Enquête indépendante du DRASTIC sur l’origine du SRAS-CoV-2

[Sources : yetiblog.org, 20minutes.fr, drasticresearch.org]

yetiblog

La création du virus du Covid-19 est bien d’origine humaine !

Par Pierrick Tillet

Ce que nous n’osions pas imaginer est en train de se transformer un réalité. Le virus du Covid-19 résulte bien de manipulations humaines impliquant l’administration US et le labo chinois de Wuhan.

[NDLR Autre capture du site que celle proposée par le Yéti :]

Une collusion avérée entre l’administration US et le labo de Wuhan

En 2018, une ONG américaine, EcoHealth Alliance (EHA), financée principalement par l’administration US (et les grands labos pharmaceutiques), a demandé un financement de 14 millions de dollars pour un projet consistant à créer un virus Sars-CoV à partir de coronavirus de chauves-souris.

Dès 2014, 600 000 dollars de subventions avaient déjà été versés par un sous-traitant de l’EHA à l’ Institut de virologie de Wuhan pour poursuivre les travaux de séquençage et d’échantillonnage des coronavirus dans les régions rurales du sud de la Chine.

L’affaire est suffisamment sérieuse pour que les médias mainstream ne puissent se priver de la reprendre (en France, Le Point). Que ceux-là tentent par tous les moyens de dédouaner l’administration US (celle-ci aurait refusé la demande de subvention) n’est guère surprenant, mais apparaît comme une manoeuvre dérisoire et bien insuffisante. Car le constat est accablant :

  • il y avait bel et bien collusion entre l’EHA et le labo chinois de Wuhan ;
  • ceux-ci travaillaient à la création d’un virus Sars-CoV du même type que celui du Covid-19 ;
  • l’administration US ne pouvait pas l’ignorer, ni les autorités sanitaires, ni les grands labos pharmaceutiques.

De la “théorie du complot” à sa réalité

Laissons à l’état d’hypothèses ce qui n’est pas encore démontré : fuite accidentelle du virus ? virus plus agressif qu’escompté par ses créateurs ? Il n’en demeure pas moins que les mensonges répétés des responsables politiques, sanitaires (Dr Fauci) et médiatiques occidentaux apparaissent dans toute leur cruelle vérité.

N’ont-ils pas condamné comme “théorie du complot”, notamment à travers un article du Lancet publié en 2020, ce qui apparaît aujourd’hui comme une réalité indéniable ? N’ont-ils pas essayé de traîner dans la boue le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, qui lui aussi affirmait que le virus du Covid-19 ne pouvait être que d’origine humaine ? Le film Hold-Up n’avait-il pas raison avec un peu d’avance et des conclusions qui n’entraient pas dans leurs plans ?

Mais pourquoi cette manipulation de virus ? Pourquoi ces mensonges ? Pourquoi ces tentatives de discréditer aussi salement celles et ceux qui portaient la vérité ? Là encore, les réponses ne peuvent être clairement affirmées, mais elles ne tarderont pas à l’être, comptez-y. Elles éclaireront alors nos questions du moment :

  • comment qualifie-t-on la création artificielle de virus à des fins aussi possiblement mercantiles ?
  • pourquoi ont-ils si obstinément interdit la prescription de vieux médicaments (sans valeur lucrative) comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine… en attendant que leurs produits géniques arrivent sur le marché et soient imposé massivement à toutes les populations sans même attendre leur validation définitive ?
  • comment appelle-t-on une interdiction artificielle de soins pour une maladie qui a causé à ce jour 4,7 millions de morts ?
  • que méritent les responsables de telles exactions lorsque celles-ci sont avérées ?


D.R.A.S.T.I.C. Research




Le Dr Hodkinson est horrifié par ce spectacle des tests PCR bidon… le pire de l’histoire médicale!

[Source : Les 7 du quebec]

Par Robert Bibeau

Le docteur Hodkinson est indigné par la tragédie humaine qui se joue sous nos yeux, il adresse donc ce message.

Ne croyez surtout rien de ce qu’on tente de vous faire gober pour vérité, ce ne sont que mensonges et propagandes. Cette plandémie ne reste ni plus ni moins qu’une bonne veille mauvaise grippe saisonnière et rien d’autre !!! Tout ceci est construit sur la PEUR et la PROPAGANDE, articulée intentionnellement autour du test PCR qui a fabriqué 95% de faux positifs sur des gens en BONNE SANTÉ et la SURVEILLANCE TOTALITAIRE ET DICTATORIALE qui interdit et censure toute expression contraire au narratif de la pensée unique DE CES CABALISTES MACHIAVÉLIQUES qui ont pris le contrôle et verrouillé tous les pans du système, empêchant quiconque d’émettre un avis contraire !!!



Il accuse donc implicitement les médecins, les politiciens et bien sur les médias qui se rendent tous complices de cette mascarade en acceptant par lâcheté cette compromission, préférant privilégier l’argent plutôt que l’éthique. La politique qui fait de la médecine son cheval de bataille devient un jeu extrêmenent dangereux, il rappelle au passage que Fauci a crée ce virus et que nous devons tous ne plus avoir peur et refuser tout vaccin anti-covid quel qu’il soit !!!

Pour rappel, le Dr Hodkinson, n’est pas le premier venu, en effet il a obtenu ses diplômes de médecine générale à l’Université de Cambridge au Royaume-Uni (M.A., M.B., B. Chir.) où il a été chercheur au Corpus Christi College. Après une résidence à l’Université de la Colombie-Britannique, il est devenu pathologiste généraliste agréé du Collège royal (FRCPC) et également membre du College of American Pathologists (FCAP). Il est en règle avec le Collège des médecins et chirurgiens de l’Alberta et a été reconnu par la Cour du Banc de la Reine en Alberta comme un expert en pathologie.

Son impressionnant CV ici : medmaldoctors.ca/dr-roger-hodkinson

Appel à la population en pdf : drive.google.com/file

source : https://rumble.com




Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19

[Source : Sott.net]

Par M.K. Scarlett

Voici la vidéo doublée en français d’une réunion qui s’est tenue fin juillet entre notamment l’avocat Reiner Fuellmich et le docteur Bryan Ardis, et dont le contenu est, à nouveau, de grande importance. Cet entretien est par ailleurs à rapprocher de celui mené par le docteur Mercola avec le professeur Stephanie Seneff du MTI comme invitée, entretien que nous avons traduit en français et publié en début de semaine : Le lien entre protéine Spike et protéine à prion — Quels sont les effets des injections anti-Covid-19 ? Entretien exclusif entre Stephanie Seneff du MIT et le Dr Mercola.

Le docteur Bryan Ardis nous fait part de ses recherches quant au Remdésivir, présenté par Anthony Fauci comme un « médicament » soi-disant « miracle » qu’il a imposé comme étant le soi-disant « seul remède » pour soi-disant guérir du Covid-19 dans les hôpitaux des États-Unis. Le docteur Bryan Ardis évoque aussi les recherches qu’il a menées sur le protocole sanitaire en général et surtout sur la FDA qui savait TOUT des effets indésirables des injections expérimentales nommées « vaccins » anti-Covid-19 avant même que les produits ne reçoivent ne serait-ce qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.

Il parle aussi d’une nouvelle maladie qui a été repéré chez les enfants vers avril 2020. Il s’agit du syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique ou PIMS— MIS-C en anglais — celui-là même qu’ils ont appelé la maladie de Kawasaki soi-disant en lien avec le Covid-19. Selon le docteur Ryan Ardis, dès que les adultes ont commencé à être injectés, plusieurs centaines d’enfants avaient développé cette maladie — avant même qu’aucun d’entre eux ne soit injecté, et au moment où la vidéo a été enregistrée, en juillet 2021, au moins 4 000 de ces enfants avaient développé un syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique.

Le docteur Bryan Ardis en a conclu que ces enfants ont contracté cette toute nouvelle maladie au contact de leurs parents — ou de toute personne avec laquelle ils passent du temps — lesquels étaient injectés avec des milliards de protéines Spike. Ces enfants n’ont pas été affectés par le Sras-CoV-2, mais bien par les injections anti-Covid qui produisent tellement de protéines Spike que le corps cherche à s’en débarrasser par tous les moyens : sudation, respiration, etc. C’est notamment à cet effet que l’interview du docteur Mercola et du professeur Stephanie Seneff traduite en français par Sott.net et récemment publiée est important.

Une fois de plus, accrochez-vous et bon visionnage !



Vidéo originale.

Source de la vidéo publiée le 15 septembre 2021 : Quadrillage traduction Odysee




Quand le Dr Tess Lawrie en appelle au sursaut de tous les médecins du monde

[Source : AIMSIB]

par Nicolas Moreux

Son message résonne comme celui d’une résistante qui a décidé le 25 avril 2021 que la tyrannie galopante, imposée par l’industrie pharmaceutique et soutenue par tout un système, a assez duré.  Que d’émotion, de colère, de tristesse mais aussi d’espoir, en voici la traduction française. L’AIMSIB accueille officiellement Nicolas Moreux, passionné par l’éthique et curieux de ce qui se fait dans le monde y compris chez l’Oncle Sam, au sein de ses rédacteurs. Médecins de tous les pays, chercheurs, journalistes généralistes ou spécialisés, politiciens, membres d’organisations de santé locales et internationales, salariés de l’industrie pharmaceutique et des réseaux sociaux, avocats et juristes, citoyens : le moment d’agir arrive. Cet article arrive pile à l’heure pour réjouir le Dr Antony Fauci puisque l’ivermectine répond parfaitement au cahier des charges qu’il détaillait le 5 août… Bonne lecture.

L’appel de Tess Lawrie

Quelques réflexions sur l’Evidence Based Medicine – EBM

Traduit de l’anglais par NM

« Avant que nous ne terminions cette journée, je souhaitais partager avec vous quelques réflexions sur l’Ivermectine et l’état de la situation concernant l’Evidence Based Medicine.
En tant que scientifique dont la mission était de fournir les preuves basées sur les principes de l’Evidence Based Medicine, j’ai constaté que l’approche hiérarchique, avec les revues systématiques et les méta-analyses positionnées au sommet de la pyramide et les opinions d’experts et de scientifiques tout en bas n’est plus appropriée. Cela est dû en partie au fait que l’intégrité des revues systématiques et des méta-analyses ont été dégradées petit à petit par les exigences associées aux essais randomisés considérés comme l’étalon or [les présumés « Gold-Standard » qui seraient les seuls valides] des études cliniques.

Ces fameux Grands Essais Cliniques Randomisés en Double Aveugle favorisent l’industrie pharmaceutique. Ils sont devenus si consommateurs en ressources que la production d’un dossier de 70 pages intégrant protocole et synthèse de la recherche requiert des mois de travail d’experts capables de passer toutes les subtilités indispensables en termes de processus et de d’habilitations. Sans compter que chaque essai coûte plusieurs millions de dollars ([souvent plus de 20 millions de dollars]). Toutes ces subtilités dans les éléments attendus jouent le jeu de l’industrie pharmaceutique qui est la seule qui peut financer de telles études.

Les Grands Essais Cliniques pour les médicaments génériques et les traitements non pharmaceutiques qui mériteraient d’être évalués pour un grand nombre de conditions virales et de traitements contre certains cancers sont très rares. En effet, pour être transparent, il n’y a pas d’argent à gagner sur ces derniers et il n’y a pas de financement disponible.

Dans mon expérience de chercheuse sur les nouveaux traitements contre le cancer, il est très fréquent que les découvertes réalisées dans les premières études montrant des bénéfices et ayant conduit à l’Approbation de Mise sur le Marché (AMM) soient contredits par des études complémentaires montrant qu’il n’y a en fait aucun bénéfice.

Cependant, à ce moment-là le médicament dispose déjà de son AMM et la société pharmaceutique a déjà engrangé des milliards.

Pour cette raison, je mets en garde contre le fait de prendre pour argent comptant sans remise en question les données fournies par les sociétés proposant ces nouveaux traitements. Et je suggère très fortement qu’il y ait une évaluation indépendante de ces données.

Cette évaluation ne doit pas être faite par des chercheurs financés avec des moyens quasi-illimités – financements et bourses – de l’industrie pharmaceutique et leurs acolytes parmi les associations financées par des philanthropes ou d’autres formes d’organisations caritatives. Les chercheurs en charge de ces évaluations doivent être indépendants et sans conflits d’intérêts.

Il est temps que nous reconnaissions et questionnions le rôle de l’industrie pharmaceutique et des institutions qui étaient par le passé reconnues pour leur intégrité scientifique, tout comme le rôle des soit-disant Partenariats Public Privé avec ces organisations.

Ils ont facilité la corruption de la science et de notre profession. Ceux qui définissent les protocoles des essais et contrôlent les données contrôlent aussi les résultats. Ainsi, ce système et le rôle de l’industrie – les essais cliniques conduits par l’industrie – doit prendre fin.

Les données des études en cours et futures concernant les traitements du COVID doivent être traitées et analysées de manière indépendante. On ne peut se fier à aucun résultat qui ne serait pas complètement transparent.

Pour ce qui concerne la pyramide de l’Evidence Based Medicine, il est nécessaire de mettre en place une nouvelle approche, une approche intégrée qui remplacera l’approche actuelle hiérarchique.

La pyramide doit, à mon avis, être remplacée par une figure plus appropriée : le cercle. Au centre l’intégralité des données disponibles issues de différentes sources : méta-analyse et analyse systématique des études randomisées représenteraient certaines des sources tout comme les études observationnelles, les données pragmatiques recueillies sur le terrain, les données qualitatives relatant les points de vue et expériences tout comme les opinions des docteurs experts. Ainsi, les décisions cliniques pourraient être prises sur une base bien plus holistique.

Toutes ces données différentes sont critiques pour obtenir une vue d’ensemble et leur intégration a été complètement oubliée dans l’évaluation de toutes les interventions proposées au public au cours de l’année passée. Au lieu de cela, les autorités ont pris ça et là dans la science et identifié des scientifiques pour appuyer leurs processus de décisions. »

Tess Lawrie continue, dans la foulée, sur l’exemple de l’ivermectine

« L’histoire de l’ivermectine a mis en évidence le fait que nous sommes à un point de bascule de l’histoire médicale où la preuve scientifique rigoureuse, notre formation et notre expérience, les outils que nous utilisons pour soigner et nos connexions avec nos patients sont systématiquement discrédités par une désinformation constante et sans pitié alimentée par la cupidité de certaines sociétés.

L’histoire de l’ivermectine montre que nous, le peuple, nous avons eu tort d’avoir une confiance aveugle dans nos institutions et avons sous-estimé le niveau de corruption imposé par l’argent et le pouvoir.

Il semblerait que si nous avions utilisé l’ivermectine en 2020, quand nos collègues médecins à travers le monde ont d’abord alerté les autorités de son efficacité, des millions de vies auraient potentiellement pu être épargnées et cette pandémie avec toutes ses souffrances et dégâts collatéraux aurait été freinée plus rapidement.

Depuis, des centaines de millions de personnes ont été impliquées dans la plus grande expérience médicale jamais réalisée par l’industrie : vaccination de masse avec une thérapie nouvelle et non éprouvée. Des centaines de milliards seront empochés par l’industrie pharmaceutique payés par nous le peuple.

Avec les politiciens et les autres non-médecins qui nous dictent quoi prescrire aux malades, nous, médecins, avons été mis dans une situation telle que notre capacité à respecter notre serment d’Hippocrate est assiégée. A ce point de bascule, nous devons donc choisir si nous devons rester les otages d’organisations corrompues, d’autorités de santé, de l’industrie pharmaceutique tout comme de ces milliardaires sociopathes. Ou bien réussirons nous à tenir notre engagement moral de commencer par ne pas nuire en faisant toujours le mieux pour ceux qui nous confient leur santé.

Cette deuxième option nécessite que nous contactions de manière absolument urgente tous nos collègues à travers le monde pour décider quels sont les médicaments éprouvés et sûrs de la pharmacopée qui peuvent être utilisés contre le COVID en tenant des forums comme celui-ci, libre de tout conflit d’intérêt, et en nous organisant tous ensemble pour résister à la tyrannie médicale qui nous a été imposée tout comme au public depuis un an.

Pour cela, je suggère que nous formions une nouvelle Organisation Mondiale de la Santé, une Organisation de Santé qui représente l’intérêt et la santé du peuple non ceux des entreprises et des milliardaires. Une organisation centrée sur l’optimisation de la santé des humains et de leur potentiel et non sur la contraception et le contrôle de la population. Une organisation centrée sur l’humain.

Et notre rôle de médecin n’a jamais été aussi important parce que jamais par le passé nous n’avons été complices d’engendrer autant de souffrances. J’appelle tous les médecins ici, à regarder leur cœur et à se rappeler leur serment pour que nous puissions avancer unis et avec le plus grand courage pour protéger ceux que nous soignons.

– Merci »

(1 – document en anglais traduit ci-dessus in extenso par NM)

« Qui est Tess Lawrie ? » me direz-vous…

Si ce message se passe de commentaires, vous retrouverez ci-dessous quelques éléments précisant qui est Tess Lawrie et qui vous permettront de mieux comprendre sa démarche, de suivre ses conférences et interventions. Mais Tess Lawrie n’est pas seule. Elle est désormais très investie dans BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment) (2) et est une intervenante régulière des réunions du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (3) dont vous trouverez les activités ci-dessous. Vous trouverez aussi des liens additionnels, des références pour aller plus loin sur les problématiques de la corruption systémique.

Et bien, le mieux est de jeter un œil à son parcours, ses interviews récentes et ses publications :

Titulaire d’un doctorat en médecine, Tess Lawrie a grandi, étudié la médecine et a obtenu son doctorat en Afrique du Sud, où elle a pratiqué la médecine clinique et la chirurgie. Elle est fondatrice et directrice de la société Evidence Based Medical Consultancy (E-Bmc) à Bath, au Royaume-Uni (4). Cette société indépendante travaille au niveau mondial (OMS) et national (NHS au Royaume Uni) pour les assister dans les différentes tâches associées aux études cliniques.

Vous découvrirez particulièrement ses positions et publications via :

  • Son message vidéo accompagnant la lettre ouverte au Premier Ministre du Royaume Uni, Boris Johnson dans lequel elle demande que l’ivermectine puisse être utilisée. (5 – document en anglais, non traduit)
  • Les interviews réalisées récemment pour
    • Réinfo-Covid (6) cette référence semble censurée,
    • France Soir (7 – interview traduite en français),
  • Bret Weinstein dans Dark Horse Podcast dans laquelle elle détaille la méta-analyse qui vient d’être publiée sur l’ivermectine en prophylaxie et en traitement. Elle s’y indigne aussi de la différence de traitement scientifique, médiatique et politique entre les vaccins contre le COVID et l’ivermectine. Vous retrouverez en particulier (min 18 de l’interview) le moment où elle reprend en direct la méta-analyse est fait la simulation d’exclure l’étude égyptienne controversée… et montre que même en excluant cette étude les résultats de la méta-analyse restent très robustes en faveur de l’utilisation de l’ivermectine (8 – interview en anglais)
  • et ses apparitions régulières dans les réunions hebdomadaires du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (9 – conférences en anglais, non traduites).
  • Sa lettre ouverte à la présidente du Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency, dans laquelle elle demande l’arrêt de la vaccination au Royaume Uni et la mise en place de mesures sanitaires pour soutenir les personnes vaccinées présentant des Effets Indésirables Graves (10 – lettre en anglais).
  • Et bien entendu, sa contribution majeure à la méta-analyse sur l’ivermectine publiée très récemment (11 – traduite en français)
  • Vous pouvez bien sûr suivre l’actualité de la communauté de BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment) (2) et tout particulièrement l’intégralité des vidéos des séminaires en accès gratuit (12 – conférences en anglais). La diversité des intervenants (médecins cliniciens, chercheurs, analystes de données) donne un éclairage sur chaque aspect de la science qui est passé sous silence par la majeure partie des autres médias et de la communauté scientifique.

Pour rappel ou précision pour les plus informés, le samedi 24 juillet était la journée de l’ivermecine. En avez-vous entendu parler ?

« Scoop : Olivier Véran pense que l’ivermectine peut avoir un effet »

Gérard Maudrux, dans son post du 23 juillet 2021, nous fait une synthèse des derniers rebondissements concernant l’ivermectine en France (13).

« Olivier Véran pense que l’ivermectine a une présomption d’efficacité, mais il ne peut le dire. En tous cas, il refuse de dire le contraire.

En mai 2021, 1500 médecins ont fait un recours gracieux auprès du ministre de la Santé, conformément à l’article L.5322-2 du Code de la Santé Publique, pour faire réétudier la décision de l’ANSM, concernant le refus d’une RTU pour l’ivermectine.

Dans ce recours, une question simple et directe était posée au ministre, mais aussi au médecin, interpellé par ses confrères :

« En votre âme et conscience, pensez-vous honnêtement et sincèrement qu’il n’y a aucune présomption d’efficacité comme le prétend l’ANSM ?  Nous souhaitons une réponse claire à cette question. »

Le Ministre a « botté en touche », ce qui est clairement un aveu : il a refusé d’écrire au-dessus de sa signature qu’il n’y avait pas de présomption d’efficacité de l’ivermectine. S’il le pensait, il lui aurait été très facile de nous envoyer promener, s’appuyant sur les conclusions de ses services, ce qu’il n’a pas fait. Face à l’évidence des faits, il ne pouvait le faire. En ne reprenant pas à son compte ce refus, ses motifs, c’est aussi quelque part clairement un désaveu de la position de l’ANSM, que nous critiquons et qu’il n’a pas repris. »

Pour rappel, le « recours gracieux » vaut, à lui seul, une lecture détaillée des références utilisées par l’ANSM au regard des études disponibles. (14)

Mais, y-a-t-il des exemples de manque de transparence en lien avec l’ivermectine ?

Vous avez découvert le FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (3). Parmi les docteurs les plus impliqués dans cette organisation, notons particulièrement les docteurs Paul Marick (le chercheur que l’on voit peu) (15), Pierre Kory (le « diplomate », comme on dirait chez Reinfo-Covid, et qui est venu soutenir la cause de l’ivermectine au Sénat Américain) (16) et Joseph Varon (le « Chasseur de Covid » – « Covid Hunter ») (17).

Le rôle des médias mainstream

Le cas de Joseph Varon est passionnant, il a été interviewé par toutes les chaines américaines locales et nationales de tous les bords politiques (CNN, MSSBC, Fox News,…) mais aussi mondiales : l’avantage avec ce médecin est qu’il parle 9 langues. Il tient son surnom de « Chasseur de Covid » du fait qu’il a travaillé sans relâche 407 jours consécutifs dans son hôpital United Memorial Medical Center de Houston Texas donnant à la date de l’interview qu’il donne ici à Ivory Hecker (18 – en anglais) 1 640 interviews à travers le monde, ayant traité 1 293 patients hospitalisés dont seulement 86 sont décédés soit une mortalité de 6,7%. A chaque interview, il a pu détailler les protocoles pour les patients hospitalisés – MATH+ (19) et en traitement préventif (prophylaxie) – I-MASK (20) (intégrant entre autres l’Ivermectine) développés au sein du groupe du FLCCC qu’il a implémentés et contribué à faire évoluer au fur et à mesure de l’évolution de ses connaissances liées au COVID.

Et pourtant, jamais aucune référence n’a été faite au sujet de ces protocoles dans les 1 640 reportages à l’issue du montage et des coupures éditoriales. Etonnant donc d’encenser un médecin, de le présenter comme un héros sans jamais oser donner la recette de ses résultats : son implication sans relâche bien sûr mais aussi les protocoles de traitement et de prévention.

Ivory Hecker, journaliste de Fox News, a quitté ses fonctions après avoir expliqué comment elle a été « interdite de parole » sur le sujet de l’ivermectine en particulier dans cette courte vidéo (18 – en anglais). La qualité du son est parfois dégradée mais l’interview et les vidéos complémentaires d’Ivory Hecker sont nécessaires car elle fait partie des rares journalistes qui ont osé s’insurger contre l’omerta imposée par les rédactions mondiales. Elle a osé privilégier l’information des citoyens quitte à abandonner le salaire et la situation qui étaient les siens au sein de sa rédaction.

Et en France, quels sont les journaux Mainstream qui sortent de la doxa dont parle Laurent Muchielli (21 – en français) pour donner un éclairage différent ? Combien de « Fact checkers » nous ont ouvert les yeux sur l’origine du Covid avant que Brice Perrier dans son livre « Aux origines du mal » (22) n’apporte des éléments tangibles montrant que le virus se serait peut-être échappé d’un laboratoire ?

Et bien ce sont les mêmes qui, inlassablement, vont apporter les preuves que l’ivermectine n’est pas le remède que l’on veut croire. Une simple revue de presse de la situation en Inde, de son évolution et de la situation actuelle, comparée à l’analyse des données faite par Juan Chamier (23 – en anglais) dans son article de TrialSite News (24 – traduite en français) nous éclaire sur le biais de conformité de la majeure partie des médias.

Pour ce qui est de la France, il est intéressant de voir que les journaux réputés d’opposition, ceux qui sont restés vent debout quand il s’agissait de religion, de terrorisme, ces mêmes journaux sont cruellement absents aujourd’hui. Heureusement quelques aiguillons tentent de réveiller les journalistes par trop apathiques. C’est dur d’être vacciné par des cons… (25) En référence à la Une de Charlie Hebdo du 28 juillet 2021 titrant « Hitler débordé par les antivax » et figurant Hitler à la plage dans une bouée licorne et disant « C’est dur d’être cité par des cons ! ». Lettre à Charlie à propos de sa fascination vaccinale et de ses positions réductionnistes vis à vis des opposants au sésame sanitaire par Jean-Paul Bourdineaud • 29 juillet 2021

Notons, pour la France toujours, que le Club de Mediapart s’est illustré il y a deux semaines en décidant de supprimer le dernier billet de blog de Laurent Muchielli publié au sujet de la pharmaco-vigilance des vaccins COVID et dans lequel l’auteur s’appuyait exclusivement sur les données officielles de pharmaco-vigilance européenne. Le CNRS, au sein duquel travaille le sociologue, a lui aussi pris ses distances avec Laurent Mucchielli à la suite de la publication de ce billet polémique précisant que l’auteur s’exprimait à titre personnel et non en sa qualité de chercheur au CNRS. Cette histoire fait d’ailleurs échos à ce qui est arrivé à notre ami Amine Umlil (fondateur et CTIAP au sein de l’hôpital de Cholet où il est le responsable de la pharmaco-vigilance (26) avec le directeur de l’hôpital de Cholet.

La censure rencontrée dans les médias mainstream se propage ainsi même sur des médias qui permettaient jusqu’à récemment de proposer des points de vue divergents de la pensée monolithique.

Vous retrouverez ici la synthèse de cet article diffusé lors du Conseil Scientifique Indépendant (27), les raisons officielles proposées par la direction de Médiapart (28) ainsi que la réponse de Laurent Muchielli et l’article de Laurent Muchielli republié sur France Soir (29).

Saluons, en tout cas, ceux qui ouvrent la voie et jouent leur rôle d’informer les citoyens.

Le rôle des politiques

Pierre Kory est intervenu devant le Sénat américain le 8 décembre 2020 (30 – interview en anglais) pour faire état des connaissances et pratiques en matière de repositionnement de médicaments et en particulier de l’ivermectine en prévention et en traitement. Après son intervention, et depuis 9 mois désormais, peu de politiciens des Etats Unis ou d’Europe de l’ouest ont soutenu sa démarche. Peu ont contribué à faire connaître et appliquer les traitements précoces et la prévention recommandée.

Il faut aller chercher les hommes et femmes politiques courageux et résolument engagés dans d’autres régions du monde.

Dans de nombreux cas, il aura suffit qu’une figure de proue s’empare du sujet, fasse un discours intégrant l’ivermectine pour que les réactions en chaine se produisent, que les recherches en ligne sur l’ivermectine augmentent, que les ventes d’ivermectine augmentent et que les résultats se fassent sentir dans la chute des nombres de cas, des hospitalisations puis de la baisse de la mortalité.

  • Jorge Ivan Ospina, le maire de Cali en Colombie : son annonce de début juillet 2020 a vu l’opposition du ministre de la santé, de l’organisme de santé Colombien et même du président du pays et bien entendu de l’OMS. Mais ses apparitions répétées dans les médias ont déclenché un pic des ventes d’ivermectine dans de nombreux états du pays, les cas ont atteint un plateau puis ont décliné. L’étude de Juan Chamie sur le sujet montre que la baisse de la mortalité liée au COVID est très significativement corrélée à l’utilisation de l’ivermectine (p-values très proches de 0). (23 – en anglais)
  • Olivia Lopez, la Secrétaire à la Santé pour la ville de Mexico annonce que la ville de Mexico a utilisé l’ivermectine depuis décembre 2020. Le même scénario qu’en Colombie se reproduit à l’identique (23 – en anglais).
  • Gérard Maudrux, dans son billet de blog dur 28 mai 2021 nous décrivait comment les politiciens des Etats indiens de l’Uttar Pradesh, de Uttarakhand et de Dehli ont contribué à faire reculer le Covid par leur volonté politique et malgré l’opposition de l’OMS (31 –  en français). Il est nécessaire de prendre le recul pour mieux comprendre la complexité de la situation, les différences entre Etats, les pressions des organisations de santé nationales et internationales pour aborder le sujet de l’Inde :  c’est ce qui est fait dans cet article de TrialSite News (24 – traduit en français).
  • Au Bangladesh, chercheurs, médecins et politiques, manquant de moyens ont eux aussi opté pour l’ivermectine.
  • En Europe, il faut aller chercher la Slovaquie et la République Tchèque pour trouver des politiques engagés allant à contre-courant de la seule solution vaccinale (23 – en anglais).

Le rôle des médecins

Bien entendu, chaque médecin, chacun d’entre nous a un rôle à jouer dans cette crise. Il ne faut pas attendre la venue d’un messie et de ses apôtres qui, à eux seuls apporteraient la solution. Chaque médecin, qu’il soit membre de l’AIMSIB, du Conseil Scientifique Indépendant, de Réinfocovid, du CTIAP ou de toute autre organisation, ou bien qu’il soit totalement indépendant,… chaque médecin a un rôle à jouer. Il n’est pas trop tard, chers et chères confrères soignants. Manifestez votre engagement, comme ce médecin généraliste qui prend la parole ouvertement en préambule de la manifestation de samedi 14 août 2021 à La Rochelle (32) ou comme d’autres médecins, infirmières et soignants qui, soutenus par la population et les politiques locaux, osent défier les contraintes et parler publiquement.

Médecins, ne laissons pas nos 10 confrères menacés par l’Ordre National des Médecins sans rien faire. Médecins, ne laissons pas nos patients sans traitement. Médecins, ne laissons pas quelque autorité que ce soit nous dicter ce que nous devons prescrire ou non. Soyons les gouttes d’eau qui feront déborder ce vase bien trop plein, Manifestons-nous, élevons la voix, montrons, nous-aussi, la voie à ceux qui préfèrent, pour l’instant encore, rester dans l’anonymat. Publions nos témoignages sur les réseaux sociaux, contactons les médias locaux et nationaux, mobilisons nos confrères.

Les thèmes qui auraient aussi mérité d’être détaillés ici…

Il faudrait aussi ici se poser les questions sur les rôles des scientifiques, des organisations de santé nationales et internationales et tout particulièrement du rôle central de l’Organisation Mondiale de la Santé et des revues scientifiques ce qui fera l’objet d’études complémentaires.

Docteur Fauci, une bonne nouvelle pour vous

Le Docteur Fauci (33) est, depuis 1984, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du département américain de la Santé et surtout nommé à la Cellule de Crise de l’administration Trump (et prolongé dans ses fonctions sous l’administration Biden) sur le coronavirus (White House Coronavirus Task Force), jouant un rôle de premier plan tant en termes de communication sur le virus qu’en termes de stratégie et de conseil pour le combattre. Il passait un appel sous forme de cahier des charges synthétique pour une molécule permettant la prévention et le traitement précoce du Covid.

L’équipe du FLCCC s’est directement emparée du sujet répondant mot à mot à cet appel montrant point à point que l’Ivermectine est la réponse aux demandes du Docteur Fauci. La vidéo humoristique mérite de faire le tour du monde même pour les non-anglophones. (34 – vidéo en anglais)

Corruption Systémique

Vous trouverez, pour poursuivre la réflexion, trois références sur les problématiques de la corruption systémique dans le domaine de la médecine.

Peter Goetzsche « Remèdes mortels et crime organisé : Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé »

Peter Goetzsche faisait un état des lieux dans son livre « Remèdes mortels et crime organisé : Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé » de 2013.

Il y aborde, entre autres, les chapitres suivants pour ce qui concerne la corruption et convoque des experts pour mettre en lumière chacun des points :

  • Le crime organisé, modèle d’affaires des grosses compagnies pharmaceutiques
  • 4 Très peu de patients tirent avantages des médicaments qu’ils consomment
  • Les essais cliniques, la rupture du contrat social avec les patients
  • 6 Les conflits d’intérêts dans les périodiques médicaux
  • 7 L’influence corruptrice de l’argent facile
  • 8 A quoi donc s’affairent les milliers de médecins à la solde de l’industrie ?
  • 9 Vendre sous pression
  • 10 L’impuissance de la régulation des médicaments
  • 11 L’accès public aux données des agences du médicament
  • 19 Intimidation, menaces et violences pour protéger les ventes
  • 20 Démolir les mythes de l’industrie
  • 21 La faillite générale du système commande : une révolution

Jean-Dominique Michel

Jean-Dominique Michel et en particulier son intervention du 21 mai 2021 au sein de l’IHU Méditerranée Infection (35 – en français).

Jean-Dominique Michel est aussi un intervenant régulier du Conseil Scientifique indépendant où il aborde fréquement les problèmes d’étique et de corruption systémique.

Les conflits d’intérêts en médecine : le programme de l’IHU

et abordé récemment encore lors des jeudis de l’IHU (36 – en français)

Merci à tous ceux qui seront arrivés jusque là. Rappelez-vous que désormais, c’est vous qui avez un devoir moral. Celui de vous engager concrètement ici et maintenant, celui d’agir, celui de témoigner, celui d’être un membre actif de la société civile, celui de soigner vos patients.

Notes et sources :

(1 – vidéo en anglais) L’appel de Tess Lawrie ; Conclusion du 25 avril 2021 – Deuxième jour de la Première Conférence Internationale de l’ivermectine contre le COVIDhttps://www.palmerfoundation.com.au/dr-tess-lawries-powerful-closing-address-at-the-international-ivermectin-for-covid-conference%E2%80%8B/(2) Actualité de la communauté de BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment)https://bird-group.org/(3) Site du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care)https://covid19criticalcare.com(4) E-mbc : le site de la société créée et dirigée par Tess Lawriehttps://ebmcsquared.org/(5 – en anglais) Sa demande de commencer à sauver des vies avec l’ivermectine au Premier Ministre du Royaume Uni Boris Johnsonhttps://www.healthrising.org/forums/threads/a-letter-to-mr-boris-johnson-from-uk-scientist-dr-tess-lawrie-calling-on-him-to-start-saving-lives-with-ivermectin.6481/(6) Son interview par Jennifer Hibberd pour RéinfoCovidhttps://reinfocovid.fr/base_documentaire/interview-de-la-dr-tess-lawrie-par-la-dr-jennifer-hibberd-sur-livermectine/(7 – en français) France Soir

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-scandale-de-livermectine-tess-lawrie-le-retour
(8 – vidéo en anglais) Bret Weinstein dans Dark Horse Podcast
https://odysee.com/@BretWeinstein:f/TessLawrie:0
(9 – vidéo en anglais) Tess Lawrie lors de l’une de ses interventions pour le FLCCC
https://covid19criticalcare.com/videos-and-press/
(10) Royaume Uni du 9 juin : lettre à la présidente du Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency
https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_b2acdef3774b4e9ca06e9fae526fd5cd.pdf
(11) Méta-analyse Ivermectine
https://journals.lww.com/americantherapeutics/abstract/9000/ivermectin_for_prevention_and_treatment_of.98040.aspx
(12 – vidéo en anglais) Les vidéos du premier séminaire mondial sur l’ivermectine
https://bird-group.org/conference-post-event/
(13) Blog de Gérard Maudrux du 23 juillet 2021
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/07/23/scoop-olivier-veran-pense-que-livermectine-peut-avoir-un-effet/
(14) Blog de Gérard Maudrux du 12 mai 2021 : recours gracieux auprès du ministre
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/12/ivermectine-recours-gracieux-aupres-du-ministre/
(15) Paul Marik
https://covid19criticalcare.com/?s=marik
(16) Pierre Kory
https://covid19criticalcare.com/?s=Pierre+Kory
(17) Joseph Varon
https://covid19criticalcare.com/?s=varon+joseph
(18 – vidéo en anglais) Ivory Hecker, ancienne journaliste de Fox News, interviewe le « Chasseur de Covid » Joseph Varon
https://www.youtube.com/watch?v=frwkkeH6mwM
(19) MATH+ protocole développé au sein du groupe du FLCCC
https://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/math-plus-protocol/
(20) I-MASK protocole développé au sein du groupe du FLCCC
https://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/i-mask-plus-protocol/
(21) Blog de Laurent Muchielli
https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog
(22) Brice Perrier interviewé sur Thinker View
https://www.youtube.com/watch?v=1wul4z8pmzU
(23 – vidéo en anglais) Juan Chamie – Analyste de données pour BIRD
https://www.youtube.com/watch?v=jBjULEZWl6c&t=677s
(24) Etat des lieux sur la situation en Inde par Trial Site News
https://trialsitenews.com/the-outbreak-in-india-initial-review-of-the-data/
(25) C’est dur d’être vacciné par des cons

https://criigen.org/lettre-a-charlie-cest-dur-detre-vaccine-par-des-cons/

(26) Lettre ouverte de Amine Umlil CTIAP
http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/08/lettre-ouverte-au-cng-information.html
(27) Laurent Muchielli sur la Pharmaco-vigilance des vaccins COVID lors du CSI de 29 juillet – à partir de la minute 6
https://odysee.com/@ludovicgarcia7500:c/CSI-16-R%C3%A9union-publique-du-Conseil-scientifique-ind%C3%A9pendant:2?
(28) La justification de la Rédaction de Médiapart sur la suppression du billet de blog de Laurent Muchielli
https://blogs.mediapart.fr/la-redaction-de-mediapart/blog/040821/notre-sante-face-au-covid-vrais-debats-et-fausses-sciences
(29) Le droit de réponse de Laurent Muchielli et l’article supprimé
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vaccination-covid-lepreuve-des-faits-2eme-partie-une-mortalite-inedite
(30 – vidéo en anglais) Pierre Kory intervient au sénat américain le 8 décembre 2020 (vidéo à partir de 28 minutes)
https://www.youtube.com/watch?v=k8RyV3VEDKI
(31) Gérard Maudrux dans son blog du 28 mai 2021 fait un état des lieux des 3 principaux états Indiens où l’ivermectine a été utilisée
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/28/inde-covid-et-ivermectine-suite/
(32) Intervention publique de ce médecin de La Rochelle

https://www.youtube.com/watch?v=QKxSv0-PBnw&t=3s

(33) Que dit wikipédia du Docteur Fauci ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Anthony_Fauci
(34 – vidéo en anglais) Paul Marick et Pierre Kory ont de quoi rendre le Docteur Fauci heureux : l’ivermectine répond à toutes ses demandes  https://bird-group.org/making-dr-fauci-happy/
(35) Jean-Dominique Michel : La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid
https://www.youtube.com/watch?v=WUkcsSnVzl0&t=1773s
(36) Les Jeudis de l’IHU – Conflits d’intérêts
https://www.youtube.com/watch?v=ZeSHT87hzC4




« Les vaccinés sont des innocents qui vont au massacre » Dr Roger Hodkinson

[Source : Sott.net]

« Les scientifiques savent, ils ont juste peur de le dire. »

Éminent professeur à Alberta, une des plus grandes universités du Canada, Roger Hodkinson alerte sur les produits expérimentaux nommés « vaccins » anti-Covid-19 et sur les manipulations des discours face à la maladie, dont il explique qu’aujourd’hui nous savons que ce n’est « pas pire qu’une mauvaise grippe saisonnière. »

Le professeur Roger Hodkinson : « nous vivons actuellement un cauchemar médical. » Professeur en pathologie, ancien PDG d’un grand laboratoire privé à Edmonton, dans l’Alberta, actuellement dirigeant d’une petite entreprise de biotechnologie, le professeur Roger Hodkinson est l’ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa. Il a aussi occupé pendant les 20 dernières années le poste de président d’une société de biotechnologie médicale basée en Caroline du Nord, chargée de vendre un test Covid-19. Il est spécialiste en pathologie, y compris en virologie, et a été formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni. Il a également déclaré en novembre 2020 qu’ils s’agissait du « plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance ».

Dans la vidéo qui suit, il explique :

« Je n’ai plus rien à prouver, j’ai une carrière très bien remplie, je me sens obligé de me lever et de prendre des coups. Dans la grande majorité, je suis triste de le dire, les médecins et scientifiques tombent dans la décision binaire du choix entre l’éthique et le revenu, et choisissent le revenu car ils savent que s’ils se lèvent ils vont se faire massacrer. »

Dans cet entretien, le professeur Roger Hodkinson revient sur les discours de peur pour encourager les injections expérimentales nommés « vaccins » anti-Covid-19 et évoque entre autres, les différents scandales autour du Covid-19 tels que Ferguson et ses grotesques modélisations et les falsifications de Fauci. Un témoignage avec des paroles intenses. Pour le professeur Roger Hodkinson, « nous vivons actuellement un cauchemar médical ».

« […] L’échelle des complications potentielles en dehors de la dépendance des anticorps, l’échelle des complications qui pourraient se produire est si gigantesque que c’est un vrai cauchemar. Et le grand public, ces innocents voués au massacre, est gardé intentionnellement ignorant [par la propagande]. Pas seulement par le manque de contre propagande, mais par une opération psychologique destiné spécifiquement avec une grande sophistication à installer la peur afin que la « vaccination » soit encouragée. Si ce n’est pas la conséquence la plus malsaine de cette triste période de l’Histoire de la médecine, c’est tout simplement scandaleux. Et c’est pourquoi je me lève et je m’exprime.
[…]
Je ne veux pas descendre dans le terrier du lapin pour défendre le « vaccin ». Analyser les données sur le « vaccin » et patati et patata, non, c’est une distraction. Vous échouerez dans les arguments contre les personnes qui le défendent. Vous devez revenir aux bases, aux bases fondamentales : pour commencer, il n’y jamais eu d’urgence de santé publique. Il n’y a aucune raison de se précipiter pour commercialiser ces produits. Le simple fait qu’ils soient maintenant disponibles pour le mauvais prétexte, n’est pas une raison pour les utiliser sur qui que ce soit.
[…]
La « vaccination » doit être arrêtée immédiatement. [Ces produits] sont dangereux, ils n’ont pas été testés [de la manière habituelle, à savoir cliniquement avec un suivi des patients et un groupe témoin]. Il n’y a pas de raison de les utiliser tant qu’il n’aura pas été prouvé qu’ils sont sûrs. Ils utilisent le mot « sûr » de la manière la plus orwellienne qui soit.
[…]
Les gouvernement n’écoutent pas les bonnes personnes, ils écoutent les gens qui ont un intérêt direct dans leur propre survie. Et leur propre survie dépend de leurs accords avec le gouvernement. »

Et bien plus plus dans la vidéo qui suit :



Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org

La version originale de cette vidéo (en anglais) est disponible ici.

Source partielle de l’article : FranceSoir
Doublage en français : Quantum Leap




L’escroquerie Covid s’effondre sur tous les fronts

[Source : jacqueshenry]

Par Paul Craig Roberts [avec commentaires de Jacques henry (en rouge)]

L’escroquerie Covid s’effondre sur tous les fronts un peu comme la Wehrmacht après Stalingrad. Le port de masques et les confinements sont de retour, car les autorités sanitaires admettent désormais que les vaccins Covid n’offrent pas de protection efficace, notamment contre ce qu’on appelle les « nouveaux variants ». À quoi sert un passeport Covid quand le vaccin ne protège pas et que les vaccinés doivent porter des masques ? La presse (presstitute dans le texte) aux États-Unis rapporte faussement que la « nouvelle épidémie » de Covid atteint surtout les jeunes non vaccinés, et la pression est donc exercée pour vacciner tous les jeunes. Mais les faits racontent une autre histoire. Au Royaume-Uni, par exemple, les nouveaux cas de Covid explosent parmi les personnes entièrement vaccinées, augmentant de 40% en une semaine tandis que les nouveaux cas de Covid parmi les non vaccinés diminuent de 22%. Israël est un autre exemple où la hausse des cas de Covid se fait parmi les vaccinés.

[Ndlr : dans le cas très hypothétique où les « vaccins » ne seraient que des placebos, si 99 % de la population était vaccinée, il faudrait s’attendre logiquement à ce que 99 % des cas de covid se retrouvent parmi ces vaccinés, et, inversement, à ce qu’il n’y ait que 1 % des cas de covid parmi les non-vaccinés. On ne doit donc pas comparer par rapport à la population globale, mais regarder le taux de malades parmi chacune des deux populations séparément : celle des vaccinés, d’une part, et celle des non-vaccinés d’autre part. Ainsi nous ne pourrions affirmer que le vaccin rend davantage malade que la covid elle-même uniquement si par exemple nous constations une moitié de malades de la Covid suite à la vaccination, par rapport à seulement un tiers ou un quart de malades chez les non-vaccinés.]

Il est hilarant de voir les défenseurs des vaccins soutenir que l’augmentation des nouveaux cas de Covid parmi les vaccinés est la preuve que les vaccins fonctionnent ! Non, je n’invente pas. Voici ce que déclare Katelyn Jetelina : « Plus une population est vaccinée, plus nous entendrons parler de vaccinés infectés ». Note, les inserts entre parenthèses et caractères italiques sont de mon fait et non de l’auteur de l’article.

Arieh Kovler explique : « Les pays à forte vaccination verront la plupart des personnes vaccinées tomber malades de Covid. » https://www.deseret.com/coronavirus/2021/7/20/22584134/whats-going-on-in-israels-outbreak-among-vaccinated-people . Ce qu’ils veulent dire, c’est qu’au fur et à mesure que les populations se font vacciner, il n’y a personne pour attraper le Covid, sauf les vaccinés. Malgré ces évidences, les propagandistes des vaccins revendiquent toujours une efficacité de 97,5% pour les vaccins. Il n’y a aucune preuve que ce soit pour cette affirmation fantaisiste. Seul un crétin ignorant ferait une affirmation aussi absurde.

Bien que les vaccins soient inutiles comme protection, leurs effets secondaires sont mortels. La base de données de l’Union européenne sur les déclarations de réactions médicamenteuses suspectées couvrant 27 pays européens, EudraVigilance, rapporte qu’au 17 juillet 2021, il y a eu en 2021 18 928 décès et 1 823 219 effets secondaires associés aux vaccins Covid : https://www.globalresearch.ca/18928-dead-1-8-million-injured-50-grave-reported-in-european-unions-database-of-adverse-drug-reactions-for-covid-19-shots/5750722

La base de données américaine, VAERS, rapporte qu’au 9 juillet 2021, il y avait 10 991 décès et 463 457 effets indésirables sur la santé associés aux vaccinations Covid. Un lanceur d’alerte du CDC ayant accès aux données du VAERS a révélé dans une déclaration sous serment sous peine de parjure que le nombre réel de décès dans la base de données est cinq fois plus élevé que le nombre publié https://www.paulcraigroberts.org/2021/07/26/how-the-covid-scam-is-perpetrated/ La base de données britannique des effets secondaires causés par les vaccins s’appelle le système Yellow Card. Au cours des quatre premiers mois de cette année, il y a eu 888 196 événements indésirables liés au vaccin et 1 253 décès.

Considérant que les systèmes de notification des effets indésirables des vaccins ne devraient pas couvrir plus de 10 % de ces effets adverses et des décès dus aux vaccins, pour les seuls États-Unis et le Royaume-Uni du début de l’année à la mi-juillet ces pays pourraient avoir subi 22 866 760 effets indésirables sur la santé et entre 299 190 et 639 280 décès dus aux vaccins contre le Covid (cette estimation me semble hasardeuse dans la mesure où le chiffre de 10 % n’est pas prouvé et probablement loin de la réalité). C’est un résultat pire que ce qui a été observé lors de l’épidémie de Covid. Les presstitués (expression de Paul Craig Roberts pour qualifier les journalistes), les bureaucrates de la santé publique et les politiciens stupides qui ont rampé sous les pressions multiples ne rapportent pas ces chiffres massifs. Leur excuse est que les systèmes de déclaration des effets indésirables des vaccins ne prétendent pas que ces événements indésirables sont causés par les vaccins, mais seulement qu’ils sont associés à la vaccination. Mais dans tous les cas précédents de vaccination (l’exemple emblématique fut l’essai en phase 3 de Sanofi aux Philippines pour un vaccin contre la dengue qui provoqua la mort de plus de 2000 enfants), un nombre beaucoup plus petit de décès associés a servi à retirer les vaccins de leur utilisation. Pourquoi pas cette fois ? De toute évidence, il existe des programmes en cours qui ont la priorité sur les règles normales et la santé publique – le profit, une augmentation du pouvoir du gouvernement sur des personnes autrefois libres, et peut-être des programmes plus sombres tels que la « grande réinitialisation » du WEF (World Economic Forum, alias Club de Davos) et le contrôle de la population. Ces possibilités sont-elles les croyances des « théoriciens du complot » ou sont-elles des conclusions logiques des contradictions évidentes du récit officiel du Covid ?

La pandémie est-elle réelle ?

L’Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control ont admis que la base même de la prétendue « pandémie de Covid » – le test PCR – n’est pas fiable et ne peut pas faire la différence entre grippe et Covid et entre infecté et non infecté. Le CDC a annoncé qu’il retirait sa demande d’autorisation d’utilisation d’urgence du test PCR à compter du 31 décembre 2021: https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html .Pourquoi le CDC attend-il quatre mois pour cesser d’utiliser un test Covid qui exagère énormément le nombre de cas ? La réponse est-elle que, comme le test est exécuté à des cycles élevés qui produisent un taux de faux positifs de 97%, le CDC veut préserver la peur d’une infection massive jusqu’à ce que tous soient vaccinés ? Comme le CDC partage le butin de Big Pharma, tout comme le NIH, nos autorités de santé publique ont de graves conflits d’intérêts. Alors que nous vivons dans un monde où littéralement tout est corrompu par l’argent, pourquoi devrions-nous penser que la santé publique est une exception ?

Mathew Crawford a examiné le remaniement par le CDC de son système d’alerte qui est utilisé pour indiquer quand les événements indésirables associés aux vaccins atteignent un niveau d’alerte rouge. https://roundingtheearth.substack.com/p/defining-away-vaccine-safety-signals Il a constaté que l’effet de la révision était de brouiller la différence entre les vaccins sûrs et ceux qui sont dangereux. En d’autres termes, le signal d’avertissement a été désactivé. Était-ce le résultat d’une incompétence ou d’une intention? Ne vous attendez pas à ce qu’une enquête soit menée. L’ensemble du monde politique, médiatique et médical est lié à la pandémie orchestrée et à l’efficacité de vaccins mortels. Leur crédibilité est en jeu. Ils ne peuvent pas se permettre qu’une telle chose soit reconnue et encore moins étudiée.

Et maintenant, nous avons un autre développement honteux. Eli Lilly a développé un remède avec des anticorps pour Covid, et son déploiement est bloqué au motif qu’il ne guérit pas des variants, ce qui pourrait être plus présumé que réel. https://www.wsj.com/articles/eli-lilly-covid-19-antibody-drug-shipments-paused-over-variant-concerns-11624652980 . Comme l’establishment commence à l’admettre les vaccins ne protègent pas contre les nouveaux variant et il existe la totalité de la presse pour défendre et contraindre à la vaccination universelle avec ces vaccins dangereux. Si le même argument utilisé contre le traitement d’Eli Lilly est appliqué aux vaccins, l’utilisation des vaccins devrait être immédiatement bloquée, en particulier avec leur dossier d’effets secondaires dévastateurs. De plus, l’establishment médical n’a fourni aucune preuve que le remède d’Eli Lilly ne fonctionne pas avec les variantes. C’est pourtant sur une affirmation mensongère que les presstitués font du battage médiatique.

En effet, comme je ne cesse de le demander, comment savons-nous que ce que l’on appelle des variants ne sont pas des maladies induites par la vaccination ? Comment qualifient-t-ils ce grand nombre signalé de maladies induites par la vaccination parmi les personnes entièrement vaccinées ? Ils ne le font pas. Ils les cachent sous le tapis. Je soupçonne que la véritable raison du blocage du traitement d’Eli Lilly est que les fabricants de vaccins ont plus de poids et ne veulent pas de diminution de leur marché des vaccins tant qu’ils n’auront pas pleinement exploité financièrement parlant les craintes de Covid. De plus, je soupçonne que les autorités de santé publique qui ont enfreint la loi en autorisant l’utilisation d’urgence des vaccins non testés au motif qu’il n’y avait pas de remède alors qu’il y en avait deux – HCQ et Ivermectine – ne veulent pas d’un troisième remède dans le paysage.

Le bureaucrate médical, le Dr Tony Fauci, qui a qualifié le sénateur américain Rand Paul de menteur pour avoir souligné que les documents de subvention du NIH montrent que Fauci a financé des recherches au laboratoire de Wuhan en Chine soucieux de rendre le coronavirus plus infectieux, a maintenant admis à la télévision qu’il avait financé la recherche et il la défend sur des motifs totalement absurdes que son protecteur presstitué, Jake Tapper, a soigneusement négligé. 
https://nypost.com/2021/07/25/anthony-fauci-defends-us-funding-research-at-wuhan-lab/?utm_campaign=iphone_nyp&utm_source=mail_app. Ce crétin de CNN est d’accord avec Fauci, qui a fait un paquet d’argent avec ce virus et qu’il aurait été « négligent » s’il n’avait pas financé la création du SARS-CoV-2.

Nous avons donc « le principal expert américain en virus » (quelle blague !) créant un virus, puis en créant une pandémie autour de lui sur la base de l’utilisation d’urgence frauduleuse d’un test invalide, puis en soutenant des blocages insensés qui ont détruit les entreprises de la classe moyenne, puis en prenant en charge l’obligation de port de masque insensée. qui n’offrait aucune protection et causait de nombreuses maladies, rien de moins qu’un masque N95 n’offre aucune protection, puis a augmenté un grand pourcentage de la population mondiale avec une nouvelle technologie expérimentale appelée un vaccin qui est très dangereux, et demande maintenant la vaccination obligatoire des adolescents et des enfants qui ne sont pas menacés par le Covid-19. L’establishment médical complètement corrompu dit d’un côté vicieusement que les vaccins Covid ne protègent pas contre les variants, donc les vaccinés doivent à nouveau porter des masques, et de l’autre côté tout aussi vicieusement ils disent, en totale contradiction, que les jeunes doit être vaccinés avec ces vaccins pour être sûr.

Maintenant, soit nous avons une situation dans laquelle presque tout l’establishment médical est totalement incompétent et stupide au-delà de toute croyance, soit nous avons presque tout cet establishment médical impliqué dans une gigantesque escroquerie qui tue et blesse des centaines de milliers de personnes. Il n’y a pas d’autre explication.

Il en va de même pour les politiciens. L’un des plus odieux est le meurtrier de masse de New York, le gouverneur Andrew M. Cuomo, qui a envoyé des patients Covid dans des maisons de retraite où les personnes âgées infectées par les patients Covid importés sont décédées. Le démocrate Cuomo a obtenu un laissez-passer du département de la justice du démocrate Biden. Voilà pour la responsabilité et la justice. Si vous êtes démocrate, il n’y a pas de responsabilité. Qu’est-il advenu du rapport de John Durham sur le Russiagate ? De toute évidence, le rapport n’est qu’une autre victime de la non-responsabilité des démocrates.

Voici le meurtrier de masse Cuomo. Regardez son expression folle. Écoutez ce meurtrier de masse hystérique déclarer la guerre aux non vaccinés :

Les républicains, y compris ce rénégat de McConnell se sont joints aux démocrates pour encourager les vaccinations. Maintenant que l’on sait que les vaccins ne protègent pas mais tuent, des républicains idiots veulent que tout le monde soit vacciné. Comme beaucoup le disent depuis si longtemps, il n’y a pas de parti d’opposition. Les agences fédérales imposent désormais la vaccination de leurs effectifs : 
https://www.theepochtimes.com/mkt_breakingnews/first-federal-agency-to-mandate-covid-19-vaccine_3918989.html?utm_source=News&utm_medium=email&utm_campaign=breaking-2021-07-26-3&mktids=22baca7c76e659bf404b407ad98afb5e&est=9B%2FSynA47SoRBDrsWy%2B%2BJs4ZudZ3GuM5s8sCo0KQSwTIjxgRyM%2FjbA%3D%3D

Il en va de même pour les États bleus : 
https://www.lewrockwell.com/2021/07/tyler-durden/california-nyc-require-all-public-workers-to-get-vaccinated-or-submit-to-weekly-tests/

Le département de la « Justice » (sic) (DOJ) corrompu de Joe Biden a « déterminé que la loi fédérale n’interdit pas aux agences publiques et aux entreprises privées d’exiger des vaccins contre le Covid-19, même si les vaccins n’ont qu’une autorisation d’utilisation d’urgence », du moins c’est ce que dit le président de CNN : 
https://www.cnn.com/2021/07/26/politics/doj-covid-19-vaccine-requirements-olc-opinion/index.html

C’est un mensonge flagrant, tout comme le « Russiagate » et la procédure d’impeachment du DOJ à l’encontre de D. Trump. Les États-Unis ont un département « Justice » (sic) indifférent à la justice et incapable de dire la vérité, ou alors ils ont un département « Justice » (sic) dont l’incompétence est sans précédent. (Remarque : il en est exactement de même en France macronienne, pays où non seulement la magistrature mais également le Conseil d’Etat et le Conseil Constitutionnel ne remplissent plus leur rôle).

Voici les faits réels : « Les vaccins sont une intervention médicale. Toutes les interventions médicales exigent de par la loi qu’un consentement valide soit obtenu. Voir, par exemple, le site officiel du UK National Health Service – https://www.nhs.uk/conditions/consent-to-treatment/ – qui indique : « Le consentement au traitement signifie qu’une personne doit donner sa permission avant de recevoir tout type de traitement médical, de test ou d’examen.

« Cela doit être fait sur la base d’une explication par un clinicien.

Le consentement d’un patient est nécessaire quelle que soit la procédure, qu’il s’agisse d’un examen physique, d’un don d’organes ou autre.

Le principe du consentement est un élément important de l’éthique médicale et du droit international des droits de l’homme.

Pour que le consentement soit valide, il doit être volontaire et éclairé, et la personne consentante doit avoir la capacité de prendre la décision.

Le sens de ces termes est :
volontaire – la décision de consentir ou de ne pas consentir au traitement doit être prise par la personne et ne doit pas être influencée par la pression du personnel médical, des amis ou de la famille.
informée – la personne doit recevoir toutes les informations sur ce que le traitement implique, y compris les avantages et les risques, s’il existe des traitements alternatifs raisonnables et ce qui se passera si le traitement ne se poursuit pas.
capacité – la personne doit être capable de donner son consentement, ce qui signifie qu’elle comprend l’information qui lui est donnée et qu’elle peut l’utiliser pour prendre une décision éclairée

Si un adulte a la capacité de prendre une décision volontaire et éclairée de consentir ou de refuser un traitement particulier, sa décision doit être respectée.

C’est toujours le cas même si le refus de traitement entraînerait leur mort, ou la mort de leur enfant à naître ». (Ces règles fondamentales de l’éthique médicale sont également valables en France et inscrites dans la loi).

De toute évidence, la rétention d’informations sur les risques potentiellement graves et mortels des vaccinations et le fait d’obliger et de contraindre des personnes à subir des interventions médicales est non seulement immoral et contraire à l’éthique et sape la relation patient-médecin, mais viole également la loi et devrait conduire à des poursuites pénales. Mais ce ne sera pas le cas. Les démocrates protègent leurs criminels. Les démocrates réservent « leur justice » aux innocents qui protestaient pour défendre le président américain Trump.

Les États-Unis ont le même code d’éthique médicale. Le problème est que l’establishment médical américain ne suit pas son propre code. L’éthique médicale ne paie pas lorsque vous pouvez éviter la responsabilité. Si vous pouvez gagner de l’argent en injectant un vaccin contre la mort à des personnes non informées, faites-le. Les fabricants de vaccins ont utilisé des contributions de campagne politique pour acheter leur protection contre la responsabilité du Congrès corrompu des États-Unis. Ils peuvent assassiner toutes les personnes qu’ils veulent sans aucune responsabilité. Comme je l’ai souligné pendant des décennies, la population américaine est aussi crédule et confiante que les Amérindiens qui ont accepté des couvertures imprégnées de variole comme cadeaux de bonne volonté. Les Américains pensent qu’il est antipatriotique de se méfier du gouvernement. Comme ils pensent que ceux qui se méfient du gouvernement américain sont communistes et pire, il est facile pour l’establishment de contrôler leurs esprits.

Malgré l’échec des vaccins à protéger contre l’infection et malgré leurs effets indésirables massifs, le crétin du Bureau ovale se dit déterminé à forcer la FDA à approuver les vaccins non testés qui sont utilisés uniquement sur la base d’une « utilisation d’urgence » frauduleuse : 
https://www.globalresearch.ca/politics-science-biden-admin-signals-intent-force-fda-approval-covid-vaccines/5751215

La Maison Blanche souhaite que la condition « utilisation d’urgence uniquement » soit supprimée et que les vaccins non testés reçoivent une approbation officielle d’utilisation. L’idiot du bureau ovale le veut malgré les preuves accablantes que les vaccins ne protègent pas mais provoquent des effets indésirables graves sur la santé et des décès. Vous pouvez maintenant voir pourquoi l’establishment a volé une élection présidentielle pour mettre un idiot au pouvoir. Il gagne de l’argent pour eux et fait avancer leurs agendas secrets. Dites-moi, Biden est-il un homme qui représente le bien-être des Américains, ou est-ce un homme qui représente le bien-être et les profits de Big Pharma et des agendas cachés derrière la pandémie orchestrée ?


Article de Paul Craig Roberts paru sur son blog il y a quelques jours.

Cerise sur le gâteau pour ce qui concerne la France : 

https://www.youtube.com/watch?v=V_bnCyNSBas&t=179s



Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Par Joseph Stroberg

Alors que la théorie virale semble avoir encore de beaux jours devant elle grâce à la Covid-19, et que le Nouvel Ordre Mondial(([1] ou « NOM », en abrégé, ou « NWO » pour New World Order en anglais)) transforme le monde en système esclavagiste sous couvert de liberté, nous présentons ici un moyen radical de vaincre cet énorme et coriace adversaire de l’Humanité.

Résumé

1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Il s’agit d’une méthode rigoureuse pour tenter d’expliquer la réalité objective.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

1. L’analyse

Elle consiste à subdiviser l’étude en éléments plus simples aux propriétés et fonctions particulières.

La modélisation

La modélisation est une phase de l’analyse consistant à rechercher les interactions entre les éléments de l’objet d’étude, dont les relations de cause à effet qui peuvent exister entre eux ou vis-à-vis de systèmes extérieurs.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond aux faits objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut sembler cohérente et logique de prime abord, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel.

  • Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ».
  • Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ».

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des expériences, des mesures et des évaluation pour vérifier leur conformité à ce que prévoit la théorie. Une bonne théorie doit être prédictive.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproduits autant de fois que nécessaire pour réduire la part d’erreurs et des biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption et qui peuvent amener à fausser les résultats).

Contre-expériences

Elles consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter pourtant d’obtenir les mêmes effets.

Par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Corruption et gestion de la Covid-19, on y est

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

L’emprise de Bill Gates

Par le biais de sa fondation, Bill Gates finance de nombreux médias dominants, d’importantes entreprises pharmaceutiques, des multinationales de l’agroalimentaire et bien d’autres choses qui lui ont permis d’influencer l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et même des gouvernements.

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

La grande concentration des médias dominants engendre une « pensée unique » sous l’influence de ceux qui les possèdent et par leurs commanditaires, généralement membres de l’élite richissime.

Le pouvoir de l’image

Du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, les médias télévisuels ont une influence prépondérante.

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont quatre conditions indispensables pour démontrer scientifiquement qu’un micro-organisme est bien la cause d’une maladie. On les a par la suite réservés aux bactéries.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus.

Il a abandonné le premier postulat de Koch parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé.

Virus irrespectueux

Jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

En se fondant sur le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié.

Voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus :

  1. Prélever des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie.
  2. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, macérer, filtrer et ultracentrifuger, c’est-à-dire purifier l’échantillon.
  3. Vérifier l’uniformité de ces particules par des techniques physiques et/ou microscopiques.
  4. Examiner la structure, la morphologie et la composition chimique des particules.
  5. Extraire le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique.
  6. Analyser pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme ce devrait être le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.
  7. Montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. Ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico ». À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité.

Le séquençage équivaut à la résolution d’un puzzle pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre virus.

Voir : Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias, la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.


AVERTISSEMENT !

« Le complexe médico-industriel » résiste à toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée.

Dans le cas du SIDA :

  • Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie.
  • Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté. (…) Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus !
  • Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA.

Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus.

Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées.

Les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Le virome dans le corps humain contient un million de milliards (1 000 000 000 000 000) de virus

Nouvelles connaissances en virologie

Bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus. Le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

La manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés.

L’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée non par le virus, mais par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes.

Mais qu’en est-il de l’expérience de “preuve de concept” de réplication virale qui semble démontrer la réplication des virus en laboratoire ? Comme contre-expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Sur 7 milliards d’êtres humains il n’est pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques :

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.

La présence de micro-organismes signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement causé par les fêtes de fin d’année. Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence). Ils vivent en symbiose avec nous (voir : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent.

Des médecins se sont volontairement contaminés par divers germes sans devenir malades.

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents.

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué.

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

Les virus (et les bactéries) n’ayant jamais pu être expérimentalement démontrées comme cause des maladies virales (et bactériennes) associées, la théorie virale (et plus généralement celle des germes) s’avère fausse et incapable d’expliquer adéquatement les phénomènes épidémiques. Aucune contagion n’a pu être reproduite à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux.

Si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.


1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Si le but ultime de la science est de décrire et d’expliquer la réalité objective et non pas (comme cela semble être le cas de nos jours) de se transformer en religion mondiale, alors elle doit utiliser une méthode pour y parvenir. Celle-ci, en principe rigoureuse, est habituellement appelée « démarche scientifique » et consiste en une succession d’étapes susceptibles d’atteindre l’objectif visé ou au moins une partie de celui-ci. Dans un premier temps, la science a découpé la réalité en plusieurs domaines séparés d’étude, dans l’espoir de pouvoir ainsi plus facilement étudier chacun d’eux, sachant que dans l’immédiat la totalité de la réalité lui est largement inaccessible.

C’est ainsi qu’est apparu progressivement un grand nombre de disciplines scientifiques, chacune d’elles étant chargée d’élucider un secteur particulier de la réalité universelle. Cependant, ces matières devraient toutes en principe recourir toujours à la « méthode » scientifique générale, même si un nombre croissant d’entre elles l’ont visiblement perdu de vue en cours de route. Leurs étudiants sont trop souvent devenus essentiellement des grands-prêtres chargés de répéter les croyances de leurs prédécesseurs aujourd’hui « professeurs ». Ils l’ont fait sans se donner la peine de vérifier ces affirmations (ceci d’autant moins lorsque ces dernières sont mondialement admises ou sont au minimum l’objet d’un consensus). Ils ont peut-être oublié qu’à une époque passée seulement éloignée de quelques siècles en arrière, tout le monde croyait que la Terre était plate et que le Soleil tournait autour de la Terre. Et certains des pionniers scientifiques qui ont remis en question de telles croyances universellement admises se sont retrouvés condamnés par les inquisiteurs vérificateurs de faits de leur époque, dont Giordano Bruno qui fut brûlé vif sur le bûcher des bien pensants de son époque.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

Les étapes de la démarche scientifique sont en principe les suivantes :

1. L’analyse

L’analyse consiste à subdiviser l’étude en éléments, systèmes ou objets plus simples qui ont chacun des propriétés particulières et qui peuvent remplir éventuellement certaines fonctions. Dans le cas où l’objet d’étude est un être humain, le scientifique pourra ainsi être amené à analyser aussi bien la morphologie (les formes), le rôle des organes, la température, les couleurs, les capacités éventuelles de reproduction, le langage de communication principale et les autres moyens de communication, les performances physiques, etc.

Certains des éléments les plus simples (ou « facteurs ») étudiés lors de la phase d’analyse varient au cours du temps et sont alors dénommés « variables », alors que les autres sont appelées « constantes ». Pour l’Homme, les variables sont notamment la température corporelle, la taille (au moins jusqu’à l’âge adulte), le poids, le rythme cardiaque, les rythmes cérébraux, la tension sanguine, le PH (le caractère plus ou moins basique ou acide) du sang, le taux de glucose, etc. Les constantes pour un individu donné sont par exemple le nombre de chromosomes, le nombre de dents à l’âge adulte (tant qu’elles ne tombent pas), le nombre des organes (sauf lorsqu’il en perd un, à la suite d’une maladie, d’un accident ou d’une opération, ou lorsqu’on lui en greffe un qu’il n’avait pas ou n’avait plus)… Néanmoins, les véritables « constantes » sont rares, car notamment dans les exemples présentés ici, il existe des situations où ce que l’on pouvait croire constant de prime abord se trouve pouvoir changer. Par contre, la vitesse de la lumière dans le vide est pour l’instant considérée comme une réelle constante.

La modélisation

Au cours de la phase d’analyse, le scientifique évalue également les interactions possibles entre différents éléments (ou différentes « variables ») du système ou de l’objet de son étude ainsi qu’entre ces derniers et des paramètres externes liés à son environnement. En particulier, il peut supposer alors et par exemple que le milieu social dans lequel évolue un individu est susceptible d’influencer son humeur ou son état émotionnel et affectif. La pluie pourra ainsi le rendre maussade ou triste, voire déprimé, alors que le soleil aura plutôt l’effet inverse. Le climat extérieur est alors considéré comme une « cause », tandis que l’humeur de l’individu est une « conséquence » de cette cause. Un des arts de l’analyse qui est essentiellement une opération mentale, consiste à estimer adéquatement la relation entre les causes et les effets, sachant qu’un élément ou un phénomène peut être la cause d’un effet particulier sur un autre élément ou phénomène (comme le climat qui cause un changement d’humeur) alors qu’un effet peut à son tour servir de cause à un autre élément (comme la mauvaise humeur de l’un qui peut rendre l’autre en colère ou être contagieuse).

Cette phase particulière de l’analyse est celle au cours de laquelle le chercheur essaie de trouver une explication cohérente et logique aux phénomènes observés. Il élabore mentalement (et la couche éventuellement sur le papier) une théorie — on parle aussi de « modèle » — susceptible d’apporter un éclairage adéquat et explicatif à l’état et/ou au comportement de son objet d’étude.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond à la réalité, aux faits observables (et parfois mesurables) ou objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut être cohérente et logique ou sembler l’être de prime abord avec un regard superficiel, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel. Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». Nous nous efforcerons ici par la suite de démontrer que la théorie virale relève de syllogisme, de sophisme et/ou d’illusion mentale ou intellectuelle, même si elle est presque mondialement considérée comme fondée et valable.

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des mesures et/ou des expériences pour vérifier si la modélisation (notamment les formules mathématiques ou les « équations » utilisées) correspond bien aux valeurs mesurées et aux phénomènes observés. Une bonne théorie doit être prédictive en ce sens que les résultats de mesure doivent concorder étroitement (aux incertitudes de mesure près) aux formules mathématiques utilisées pour son élaboration et aux phénomènes prévus lorsque ceux-ci ne peuvent être mis en équations. En ce sens, la théorie de la mécanique céleste (basée sur les hypothèses d’une Terre approximativement ronde, tournant sur elle-même en 24 heures et autour du Soleil en 365 jours et quart) est une bonne théorie, car elle permet de prévoir précisément et en particulier :

  • la position des étoiles, des planètes et de la Lune dans le ciel en n’importe quel moment de l’année et en n’importe quel lieu terrestre ;
  • les heures de lever et de coucher des étoiles, des planètes et de la Lune ;
  • la date et la caractéristique des éclipses lunaires et solaires (partielles, totales ou annulaires) ;

Par contre, la théorie de la Terre plate qui est élaborée à partir de sous-modèles disparates dont plusieurs sont mutuellement contradictoires et/ou relèvent de sophisme ou de syllogisme est incapable de telles prédictions et doit donc être scientifiquement abandonnée. Y croire ne relève plus de science, mais de religion. Un des exemples de syllogismes utilités par cette théorie est celui du théorème de Pythagore (qui ne vaut que pour une situation en deux dimensions) pour tenter de prétendre que le Soleil ne serait situé qu’à quelques milliers ou dizaines de milliers de kilomètres de la Terre, alors que les situations utilisées à cette fin relèvent de trois dimensions, le Soleil ne se trouvant jamais à la verticale des lieux considérés lors des mesures ou évaluations effectuées approximativement.

L’expérimentation

Pour valider certains aspects d’une modélisation ou théorie, il peut être nécessaire de recourir à des expériences significatives qui représentent des mises en situation et permettent de mesurer ou d’évaluer des variables ou des phénomènes particuliers de l’objet d’étude. Ces expériences doivent alors être répétées un nombre suffisant de fois (sur un ou plusieurs échantillons ou spécimens d’étude) pour diminuer significativement la part de hasard. Par exemple, si l’on veut pouvoir démontrer qu’un virus est responsable d’une maladie donnée, on doit obligatoirement recourir à des expériences démonstratives qui consisteront au minimum à injecter ce virus à une personne saine et à déterminer ensuite si celle-ci devient effectivement malade de cette maladie. Ceci devra être répété sur un nombre suffisant d’individus pour éliminer l’hypothèse d’une pure coïncidence.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproductibles autant de fois que nécessaire et être menés en éliminant si possible un maximum de biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption) qui autrement faussent de manière plus ou moins radicale et dramatique les résultats des tests ou des expériences, notamment par l’élimination des valeurs mesurées incompatibles avec ce qui est attendu par le modèle…

Contre-expériences

Pour valider expérimentalement une théorie, il ne suffit pas en général de pratiquer des expériences susceptibles de la confirmer. Il est également nécessaire et indispensable d’effectuer des contre-expériences. Celles-ci consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter d’obtenir pourtant les mêmes effets. Si on y parvient, ceci signifie que la théorie est au minimum à revoir, voire complètement fausse, selon l’importance de la cause. Ainsi et par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause, mais que la mortalité cellulaire a une autre cause ou plusieurs autres causes combinées non virales.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement. Le scientifique doit alors la repenser au moins partiellement, réexaminer les variables et leurs supposées interactions, faire de nouvelles suppositions concernant les liens éventuels de causes à effets entre plusieurs paramètres ou phénomènes. Et parfois, il peut être amené jusqu’à envisager l’inversion de tels liens. Autrement dit, dans certains cas, ce qu’il avait supposé être la cause d’un phénomène n’en est que la conséquence. Actuellement, la théorie virale repose sur l’idée ou hypothèse que les virus et les rétrovirus sont la cause de maladies virales. Cette hypothèse n’est cependant pour l’instant pas validée expérimentalement selon la démarche scientifique qui vient d’être rappelée.

Nous verrons plus loin que la théorie virale présente de graves lacunes et devrait donc être complètement repensée ou abandonnée au profit d’une théorie alternative. Néanmoins, la démarche est d’autant plus difficile que les entreprises pharmaceutiques détiennent actuellement le quasi-monopole de la formation universitaire médicale et contrôlent la plupart des médecins et des institutions hospitalières et cliniques par le biais des ordres de médecins ou par la corruption autant des scientifiques placés aux postes clefs que des dirigeants politiques et des décisionnaires du secteur de la Santé. Dans le même temps, il se déroule depuis plusieurs décennies une chasse active aux médecines alternatives que les médias dominants se complaisent de plus en plus à présenter comme du pur charlatanisme.

L’esprit scientifique

L’esprit scientifique est le support d’une démarche scientifique désintéressée, impartiale et objective. Il consiste dans le développement et la mise en œuvre des qualités suivantes chez le chercheur :

  • ouverture d’esprit et curiosité, de sorte à ne pas négliger des pistes de solutions lors de l’établissement d’une théorie cohérente et espérée réaliste ;
  • capacité à remettre en question ce qu’il pensait être acquis, même lorsque c’est universellement accepté et considéré comme vrai ;
  • sens de l’observation et du détail pour notamment découvrir plus facilement les éléments qui pourraient contredire la théorie aussi bien que ceux qui tendent au contraire à l’affiner ;
  • aptitudes à l’analyse et à la synthèse pour favoriser l’élaboration et la présentation de la théorie ;
  • esprit critique et discernement, pour mieux faire la part des choses, peser le pour et le contre, déterminer les éléments validant la théorie aussi bien que ceux qui tendent à l’invalider ;
  • intuition, imagination, créativité, de sorte à découvrir plus facilement des théories explicatives réalistes des phénomènes observés ;
  • etc.

Esprit et méthode

Une démarche scientifique ne peut s’exercer pleinement sans être assurée par un esprit scientifique suffisant et celui-ci ne pourra pas s’épanouir dans un environnement conditionné par des intérêts mercantiles ou politiques situés bien loin d’une telle démarche. Les directives rigides finissent toujours par étouffer la créativité et l’inventivité. Les découvertes fondamentales font alors place à des mises à jour mineures de théories existantes ou à leur complexification croissante pour continuer à tenter de coller au réel observé au lieu d’en élaborer de plus adaptées. La science contrainte finit par se transformer en religion et ne peut plus guère évoluer que dans une direction propre à satisfaire ses dogmes de plus en plus rigides. Religion et science sans esprit, sans conscience, sombrent similairement dans le matérialisme extrême.

Notons en passant que l’argument d’autorité ne permet aucunement de valider une théorie. Ce n’est pas parce que celle-ci est élaborée par le plus considéré, primé ou renommé des scientifiques, combien même serait-il Prix Nobel, qu’elle est pour autant réaliste ni nécessairement exempte d’erreurs, de syllogismes ou de sophismes.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Dans cette vidéo publiée le 11 mai dernier :

https://youtu.be/0-7R3r5_-EA

le professeur Raoult explique (à partir de 10:45) sans langue de bois que, dans le monde de la médecine qu’on croyait préservée de ce vice du temps, la corruption règne en fait à tous les étages – du praticien de base aux grands labos pharmaceutiques. Rassurons-nous cependant : il existe encore des médecins honnêtes…


Transcription (quasi…) verbatim des propos du Pr Raoult :

« Ça m’amuse beaucoup d’entendre des gens parler de complotisme et être dans la négation du fait que la circulation d’argent à ce niveau-là risque d’être associée à la corruption.

Manifestement, ces gens-là ne voient pas le problème, probablement parce qu’ils n’ont pas de notion d’histoire et qu’ils ignorent tout ce qui s’est passé dans le temps…

C’est vieux comme le monde, la corruption !

Mais je leur préparé un petit travail [le Pr Raoult extrait un document de son bureau…], pour qu’ils arrêtent de dire des bêtises. Tous nos « partenaires » ont déjà été condamnés pour corruption ! 

Peut-être que maintenant ils ne le font plus… Mais regardez :

Donc, il ne faut quand même pas penser que j’invente [rires] le fait qu’il existe de la corruption liée à l’industrie pharmaceutique !

L’industrie pharmaceutique est le secteur le plus rentable de tous et les publications scientifiques [NdHD : The New England Journal of MedicineThe LancetJournal of American Medical AssociationAnnals of Internal MedicineBritish Medical Journal…] sont le secteur le plus rentable de tous : 35% de bénéfices par an pour des grands groupes de journaux !

Et une partie extrêmement significative des recettes des journaux scientifiques de cette taille-là vient directement des contacts avec l’industrie pharmaceutique.

Une année, Merck a acheté pour 500.000 $ de bons à tirer, c’est-à-dire d’articles théoriquement faits pour être distribués. En pratique, ils ont versé 500.000 $ au journal, qui les a publiés, ce qui a constitué une partie importante des recettes du journal : ça s’appelle de la corruption déguisée

C’est une pratique « normale » : il y a des gens qui cherchent à gagner de l’argent à tout prix. Ce n’est pas la faute des gens d’essayer de gagner de l’argent…

La corruption est un phénomène qui est « naturel » : à chaque fois que vous avez beaucoup d’argent et que la personne d’à côté en a beaucoup moins, vous avez un phénomène de mécanique des fluides, de transfert de celui qui a beaucoup d’argent vers celui qui en a moins, s’il est d’accord pour vous rendre un service…

On ne donne pas d’argent à quelqu’un si on n’en attend pas un service : on n’invite pas quelqu’un à un congrès, on n’invite pas quelqu’un à déjeuner – c’est connu depuis bien longtemps, Milton Friedmann en parle : « il n’y a pas de repas gratuit »… – Ils le font en attendant quelque chose.

Moi, quand j’étais interne – c’est incroyable ! De vrais chasseurs de têtes ! – j’avais été invité avec ma femme à aller en « business class » à Boston, dans un hôtel extraordinaire, où ils avaient fait venir les meilleurs scientifiques – on était une trentaine de leaders d’opinion, ou futurs leaders d’opinion – qui étaient pris au berceau. Tout ça pour « créer des contacts ». Et à la fin, le type qui nous avait invités me tutoyait, tutoyait ma femme, et créait des liens qui sont anormaux dans des rapports professionnels. Parce qu’ensuite vous avez des difficultés, quand quelqu’un est devenu un copain, à lui dire « Ecoute, ton truc, on ne va pas le prendre… ».

J’ai eu une affaire, ici à l’IHU Méditerranée Infection, d’un médicament qui n’avait pas d’utilité mais qui avait été subitement prescrit parce qu’un collègue avait épousé la fille du type qui commercialisait ce médicament…

Donc la corruption existe et ça fait partie de la nature humaine. Ce n’est pas un phénomène horrible : c’est la loi qui doit le régler.

Il faudra bien sûr aller au bout. La loi qui a été mise en place par Xavier Bertrand sur les conflits d’intérêts, j’en suis très content, parce que ça fait avancer les choses : j’ai un collègue qui m’a dit que désormais, ils obligent les candidats à déclarer leurs conflits d’intérêt et ils ne nomment pas les gens qui ont des conflits d’intérêts depuis moins de cinq ans. Donc ça veut dire que cette notion-là, petit à petit se met en place.

Il faut faire attention : la corruption des grands journaux est un énorme problème.

Ça ne concerne pas que moi [NdHD : le Pr Raoult fait allusion à l’article bidonné du Lancet sur la « dangerosité » de l’hexachloroquine]. Celui qui écrit le plus sur tout ça, c’est un immense scientifique, un Danois – les Danois sont très bons pour le contrôle de la corruption. Ce type a un H-factor à 100 : c’est énorme, un très grand chercheur !

Les gens qui réfléchissent à ça sont maintenant convaincus qu’il faut deux catégories de journaux scientifiques : d’une part des journaux pour rapporter les essais thérapeutiques, autrement dit des journaux qui traitent de la science de manière indépendante, et d’autre part des journaux qui s’apparentent à du marketing.

Parce que « tripoter » les données et les analyses méthodologiques et mathématiques pour faire croire qu’un médicament est efficace, vous savez, c’est très banal. C’est d’autant plus facile qu’il n’y a que ceux qui ont l’ensemble de données qui les connaissent !

La Cochran Library a été une entreprise extrêmement fiable, ce qu’elle a cessé d’être dès qu’elle est devenue elle aussi une cible du marketing. Et toute revue disposant d’une audience importante devient la cible du marketing.

Vous voyez que sur mon site, je n’ai pas de cooky [rires]. Je suis choqué que les sites gouvernementaux aient des cookies ! Tout commercialiser à ce point, c’est devenu déraisonnable : il faut qu’il y ait une place pour les choses commerciales et une place pour les choses qui ne le sont pas.

Ce qui n’empêche pas qu’il puisse y avoir des liens entre les deux : créer des start-up ou avoir des rapports avec l’industrie… Mais ça ne doit pas déborder sur les activités publiques : ces deux mondes doivent rester séparés. L’étanchéité entre les activités publiques d’une part et les liens d’intérêts d’autre part est une chose essentielle.

Théoriquement, la loi impose à chaque fois qu’on intervient de déclarer ses conflits d’intérêts : tous ces personnages qui passent sur les plateaux télévisés devraient à chaque fois dire « Ecoutez, j’ai un lien d’intérêt avec tel ou tel laboratoire », ce qui éviterait d’avoir un mélange des genres, et des suspicions, justifiées ou non, de corruption.

Je pense que c’est un point qui est négligé en France, et qu’il faudrait arrêter de dire que c’est du complotisme : j’ai donné quatre exemples de firmes condamnés à des sommes absolument colossales pour corruption. Donc il ne faut pas tout à coup « découvrir » que les laboratoires peuvent corrompre les prescripteurs, parce que ce sont leurs clients : c’est comme ça…

Personnellement, je ne trouve pas que le fait de participer à des essais thérapeutiques dirigés par un laboratoire contribue spécifiquement à la connaissance. Il y a une partie de ces essais qui sont faits parce qu’il faut que quelqu’un les fasse, que ce soit en France, en Angleterre ou en Espagne, peu importe, et ensuite, il faut que ce soit confirmé sur le terrain indépendamment de l’industrie pharmaceutique, de manière à ce que l’on puisse avoir une véritable évaluation.

Ce n’est pas faire de la recherche que d’inclure des malades dans un programme qui a été réalisé par l’industrie pharmaceutique, dont l’analyse est faite par l’industrie pharmaceutique, dont la méthodologie a été mise en place par l’industrie pharmaceutique, et dont même le papier a été rédigé l’industrie pharmaceutique, et ensuite a été proposé et accepté dans les plus grands journaux scientifiques du monde…

Les gens sont contents parce qu’ils sont publiés par les plus grands journaux (scientifiques) du monde (le New England, le Lancet…) alors que leur participation cérébrale, intellectuelle, à la genèse de ces papiers – et c’est ça le principe même de la science – est négligeable, et les leurre sur leurs capacités et sur leur contribution à la connaissance.

Il faut revenir à la science. Plutôt que de se pencher sur des questions de méthodologie, le Comité d’éthique devrait se poser des questions sur la morale des essais thérapeutiques.

Ce que je regrette, c’est que certaines décisions prises par le Comité d’éthique sur la protection des personnes ne me paraissent pas avoir été analysées d’abord sur le plan de la morale mais sur celui de la méthodologie. Laquelle est « fille du temps », comme disait Brecht, et donc variera avec le temps…

Mais le fait qu’on fasse telle ou telle chose, non pour le bien des patients mais pour voir que ce n’est pas plus mauvais – mais beaucoup plus rentable… – que le traitement préexistant, ça, ça pose un vrai problème moral… »

Henri Dubost

Pot-pourri

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

Par Dominique Delawarde.

Contexte historique, affaire Médiator

En janvier 2020, 11 882 lobbies étaient inscrits au registre européen dit «de transparence»:   
https://www.touteleurope.eu/actualite/fact-checking-bruxelles-strasbourg-nids-de-lobbyistes.html Selon les sources, de 25 000 à 30 000 lobbyistes exerceraient leur influence à Bruxelles dont 7 526 accrédités auprès d’un parlement qui ne compte pourtant que 751 membres …..

Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.

L’Histoire horrible de Big Pharma (en anglais seulement)

L’emprise de Bill Gates

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

Dans la plupart des pays du monde occidental, ainsi que dans d’autres pays, les grands organes d’information se trouvent concentrés dans les mains de quelques familles richissimes et/ou de membres du gouvernement. Les journalistes qui y exercent leur activité ne mordent en général pas la main qui les nourrit. La politique rédactionnelle est dictée aux directeurs par les actionnaires et par les commanditaires. Les directeurs la transmettent aux rédacteurs en chef, puis ces derniers la rapportent à leur tour aux journalistes et aux pigistes. L’information est contrôlée étroitement en suivant les chaînes hiérarchiques. Et comme les contrôleurs du sommet de ces pyramides sont peu nombreux et animés par des buts similaires (préserver ou augmenter leur confort matériel, leur train de vie, leur emprise sur les affaires du monde, et la richesse matérielle et financière qui le facilite), le système médiatique dominant tend à engendrer une « pensée unique » sur la plupart des sujets et des domaines de la vie humaine et planétaire. Les journalistes et les pigistes qui tentent de s’en écarter sont simplement virés, ce qui fait que peu d’entre eux s’y risquent.

Le pouvoir de l’image

Parmi ces médias dominants, ceux de nature télévisuelle détiennent la part du lion, à cause du pouvoir de l’image, du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, notamment lorsqu’il s’agit de survie. La diffusion télévisée coûte nettement plus cher que la radio et que la presse écrite. Elle n’a pu être significativement concurrencée qu’assez récemment par Internet, depuis que les vitesses de transfert y permettent aussi la diffusion d’images filmées dans un confort visuel de qualité suffisante. Malgré tout, la télévision conserve une aura prestigieuse auprès d’une partie importante de la population mondiale, celle qui accepte sans examen et sans questionnements les « informations » ou la propagande et la désinformation qui y sont diffusées.

Concentration des médias (2) : convergences et dépendances – Acrimed | Action Critique Médias
Démocratiser les grands médias – Acrimed | Action Critique Médias
Médias, information et mondialisation libérale
La Presse-Système
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
Médias sous influence | Le monde politique
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Extraits de
Le mythe de la contagion virale —
Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies :

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont les suivants :

  1. Le micro-organisme doit être trouvé en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais pas dans les organismes sains.
  2. Le micro-organisme doit être isolé d’un organisme malade et cultivé dans une culture pure.
  3. Le micro-organisme cultivé devrait provoquer des maladies lorsqu’il est introduit dans un organisme sain.
  4. Le micro-organisme doit être isolé de nouveau de l’hôte expérimental maintenant malade qui a reçu l’inoculation des micro-organismes et identifié comme étant identique à l’agent causal spécifique d’origine.

Si les quatre conditions sont remplies, vous avez prouvé la cause infectieuse d’un ensemble spécifique de symptômes. C’est la seule façon de prouver la causalité. Fait intéressant, même Koch n’a pas pu trouver de preuve de contagion en utilisant ses postulats. Il a abandonné l’exigence du premier postulat lorsqu’il a découvert des porteurs du choléra et de la fièvre typhoïde qui ne sont pas tombés malades. En fait, les bactériologistes et virologues estiment aujourd’hui que les postulats sensés et logiques de Koch « sont reconnus comme largement obsolètes par les épidémiologistes depuis les années 1950. »

Les postulats de Koch concernent les bactéries et non les virus, qui sont environ mille fois plus petits. À la fin du XIXe siècle, la première preuve de l’existence de ces minuscules particules est venue d’expériences avec des filtres qui avaient des pores suffisamment petits pour retenir les bactéries et laisser passer d’autres particules.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus. Les postulats de Rivers sont les suivants :

  1. Le virus peut être isolé des hôtes malades.
  2. Le virus peut être cultivé dans les cellules hôtes.
  3. Preuve de filtrabilité — le virus peut être filtré à partir d’un milieu qui contient également des bactéries.
  4. Le virus filtré produira une maladie comparable lorsque le virus cultivé est utilisé pour infecter des animaux de laboratoire.
  5. Le virus peut être isolé de nouveau de l’animal de laboratoire infecté.
  6. Une réponse immunitaire spécifique au virus peut être détectée.

Veuillez noter que Rivers abandonne le premier postulat de Koch — c’est parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé. Même si le premier postulat de Koch n’a pas été établi, les chercheurs n’ont pas été en mesure de prouver qu’un virus spécifique cause une maladie spécifique en utilisant les postulats de Rivers. Une étude affirme que les postulats de Rivers ont été satisfaits pour le SRAS, considéré comme une maladie virale, mais un examen attentif de cet article démontre qu’aucun des postulats n’a été satisfait.

Virus irrespectueux

Comme nous le verrons par la suite et jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

Par Sally Fallon Morell, MA
Dr. Thomas Cowan, MD
Dr. Andrew Kaufman, MD

Isolement : L’action d’isoler ; le fait ou la condition d’être isolé ou de se tenir seul ; la séparation d’autres choses ou personnes ; le solitarisme.

Dictionnaire anglais Oxford

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :

  • la structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction de toute protéine Spike hypothétique ou d’autres protéines ;
  • la séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut être connue ;
  • les « variants » de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connus ;
  • il est impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 cause une maladie appelée Covid-19.

En termes aussi concis que possible, voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus. Tout d’abord, on prélève des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes (par exemple 500) présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, le virologue macère, filtre et ultracentrifuge, c’est-à-dire purifie l’échantillon. Cette technique virologique courante, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages(([2] Isolation, characterization and analysis of bacteriophages from the haloalkaline lake Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, Published: April 25, 2019. 
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0215734 — accessed 2/15/21)) et les virus dits géants dans tous les laboratoires de virologie, permet ensuite au virologue de mettre en évidence par microscopie électronique des milliers de particules de taille et de forme identiques. Ces particules sont le virus isolé et purifié.

L’uniformité de ces particules identiques est ensuite vérifiée par des techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois la pureté déterminée, les particules peuvent être caractérisées davantage. Cela inclut l’examen de la structure, de la morphologie et de la composition chimique des particules. Ensuite, leur composition génétique est caractérisée en extrayant le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique, telles que le séquençage Sanger, qui existent également depuis des décennies. On procède ensuite à une analyse pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme c’est le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.(([3] “Extracellular Vesicles Derived From Apoptotic Cells: An Essential Link Between Death and Regeneration,” Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2020 October 2. 
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell.2020.573511/full — accessed 2/15/21)) (En mai 2020, nous savons que les virologues n’ont aucun moyen de déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou simplement les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.)(([4] “The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses,” Flavia Giannessi, et al, Viruses, 2020 May))

Si nous sommes arrivés jusqu’ici, c’est que nous avons entièrement isolé, caractérisé et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Cependant, nous devons encore montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (on utilise généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, comme le confirment les résultats cliniques et les autopsies, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie. Cela démontre l’infectivité et la transmission d’un agent infectieux.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène. Nos recherches indiquent qu’il n’existe pas une seule étude montrant ces étapes dans la littérature médicale.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. Il s’agit d’une fraude scientifique.

L’observation que le spécimen non purifié — inoculé sur une culture de tissus avec des antibiotiques toxiques, du tissu fœtal bovin, du liquide amniotique et d’autres tissus — détruit le tissu rénal sur lequel il est inoculé est donné comme preuve de l’existence et de la pathogénicité du virus. Il s’agit d’une fraude scientifique.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Enfin, remettre en question ces techniques et conclusions virologiques n’est pas une distraction ou un sujet de discorde. Faire la lumière sur cette vérité est essentiel pour mettre fin à cette terrible fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Parce que, comme nous le savons maintenant, si le virus n’a jamais été isolé, séquencé ou s’il n’a jamais été démontré qu’il causait des maladies, si donc le virus est imaginaire, alors pourquoi portons-nous des masques, pratiquons-nous la distanciation sociale et mettons-nous le monde entier en prison ?

Enfin, si les virus pathogènes n’existent pas, que contiennent ces dispositifs injectables appelés à tort « vaccins », et à quoi servent-ils ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre époque.

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Comme indiqué précédemment, lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, dont des antibiotiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité. Selon la taille estimée du virus déduite d’une observation du tissu sous microscopie électronique dans laquelle ils pensent que telle structure observée est le fameux virus recherché, ils prélèvent uniquement les échantillons biologiques qui se trouvent dans la couche de densité correspondante.

À ce stade, nous avons donc d’un côté une observation de structures particulières au microscope électronique et la supposition que l’une d’elles est le virus ciblé, et de l’autre, le prélèvement d’une partie du matériel génétique provenant du tissu observé traité selon un processus chimique, puis physique particulier. Cependant, à aucun moment, ces scientifiques ne peuvent certifier que le prétendu virus correspond bien au matériel génétique prélevé (qui se présente dans la pratique comme un ensemble de fragments de codes génétiques).

Cette lacune dans la démonstration scientifique est aggravée par l’opération suivante qui se veut l’aboutissement du processus d’isolement du virus. Celle-ci est appelée « séquençage génétique », mais — comme il est montré dans l’article Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur — elle n’est en fait qu’une opération informatique complexe à l’aide d’un logiciel spécialisé.

Le séquençage équivaut en réalité à la résolution d’un puzzle de type mathématique ou statistique pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus non effectivement physiquement isolé, ceci à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être en quelque sorte rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Dans le cas du SRAS-CoV-2, le modèle utilisé a semble-t-il été celui du non moins supposé SRAS-CoV. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre prétendu virus.

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias (particulièrement télévisuels), la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie (c’est-à-dire conforme à la réalité objective). La démarche scientifique impose d’examiner les faits face aux hypothèses émises dans le cadre de la théorie ou de la modélisation destinée à expliquer ou à interpréter un phénomène. Et dans ce cas, la théorie du SIDA causé par le HIV est largement contestable et a été contestée. Bien sûr, la pensée unique diffusée par les médias dominants s’y est farouchement opposée, sans pour autant apporter les preuves et les démonstrations nécessaires.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Par Robert E. Willner, M.D., Ph.D.
copyright ©1992. Robert Willner.

(Extraits)


Ce document raconte toute l’histoire ! L’incroyable histoire de l’arrogance, de l’ignorance, de la corruption et de la tromperie de la médecine établie, de l’industrie pharmaceutique et des agences du gouvernement des États-Unis. Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.

LETTRE À UN CONFRÈRE MÉDICAL

Décembre 1992

Cher Confrère,

Mon intime conviction est que la plupart d’entre vous, tout comme moi, avez choisi le domaine de la médecine à cause d’un intense désir de vouer vos vies à des efforts constructifs et gratifiants. Je voyais la médecine comme une profession basée sur la science, la compassion et la dignité, qui apportait comme récompenses honnêtement méritées le respect, l’honneur et une vie relativement aisée. Je croyais que c’était une profession qui favorisait la pensée indépendante, la créativité et l’innovation, et était profondément ancrée dans l’intégrité. J’étais naïvement persuadé que la médecine s’élevait au-dessus de l’avarice, de la politique, de la tromperie et de l’esprit de vengeance. Durant les trente-cinq années au long desquelles j’ai pratiqué la médecine, j’ai eu le privilège de travailler avec un grand nombre de médecins dévoués ainsi que l’honneur de servir la profession en tant que conférencier et président d’associations, de sociétés, de comités médicaux et d’associations de personnel hospitalier.

Tout comme beaucoup d’entre vous, j’ai assisté aux incroyables progrès technologiques. Malheureusement, nous avons aussi assisté à la montée d’une bureaucratie et d’un contrôle étouffants, souvent dans nos propres rangs, de même qu’au niveau du gouvernement. Les conséquences inévitables de telles circonstances sont la perte de la liberté de pensée et d’expression, la suppression de l’innovation et la tyrannie d’un petit nombre qui essaient de nous prendre comme otages de leurs croyances. Ces conséquences entraînent à leur tour des maux encore plus grands : l’occasion de perpétrer une tromperie en toute impunité, de s’opposer à la vérification, de défier la contestation et de faire faire machine arrière au progrès.

Une parodie de la science et de la médecine s’est mise en place ces dix dernières années, d’une telle dimension et tellement incroyable, que votre première impulsion sera d’écarter toute critique. Ceci était bien sûr la conviction de ses auteurs et jusqu’ici, ils ont réussi. À cause de la confiance inhérente que nous avons en nos collègues scientifiques, on nous a aisément entraînés sur une voie trompeuse enjolivée par le mystérieux jargon scientifique avec lequel beaucoup d’entre nous n’étaient pas forcément familiers. Tel est le cas avec le SIDA — la soi-disant « Épidémie du Siècle ».

JE VOUS EN PRIE, LISEZ « L’ULTIME SUPERCHERIE » (Pourquoi Le Sexe et Le Virus ne sont pas La Cause du SIDA). Ce document est entièrement basé sur des informations sérieuses et des faits et il vous étonnera.

Je vous implore de ne pas rejeter ceci comme quelque chose qui ne pourrait pas être changé par votre intervention. Le nom des personnes qui remettent sérieusement en question les théories VIH-SIDA, se lit comme un « Who’s Who » de la science. Ils comprennent :

  • le Dr Peter H. Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, Californie ; autorité internationale en matière de rétrovirus ; membre de l’Académie Nationale des Sciences,
  • le Dr Charles A. Thomas, Jr., Biologiste à Harvard, fondateur du Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA,
  • le Dr Kary Mullis, Prix Nobel, Biochimiste ; inventeur du RCP, la réaction en chaîne de polymérases, qui est le mode de mesure le plus précis de la présence de virus, `
  • le Dr Robert Root-Bernstein, Professeur de Physiologie, Université de l’État du Michigan, une des principales autorités en matière de SIDA,
  • le Dr Gordon Stewart, Professeur émérite de Santé Publique, Université de Glasgow, consultant auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé pour les maladies transmissibles,
  • le Dr Joseph Sonnabend, pionnier de la recherche sur le SIDA, fondateur de la Fondation Médicale pour le SIDA,
  • et bien d’autres !

Leur nombre dépasse la centaine à l’heure où j’écris ces lignes ! La réputation de la Médecine américaine a été mise en grand danger par des scientifiques malhonnêtes et cupides, qui exercent un pouvoir surprenant parce qu’ils ont impliqué dans leur supercherie des agences gouvernementales très influentes. Nous, médecins, avons été privés d’une tribune libre impartiale parce que l’accès aux réunions médicales a été refusé aux détracteurs. C’est à présent aux médecins et à leurs patients d’exiger qu’une enquête complète et publique soit ouverte par le Congrès des États-Unis, afin que l’opposition puisse être entendue. Cette action servira à disculper la médecine de toute complicité dans cette ignominieuse affaire.

Votre respectueux confrère,
Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


AVERTISSEMENT !

Le président Eisenhower, lors de son discours d’adieu à la nation, nous mit en garde contre le « complexe militaro-industriel ». La supercherie suprême nous met en garde contre une menace encore plus grande pour nos vies, nos libertés et notre économie — « Le complexe médico-industriel ». Cette alliance résiste à (et détruit avec acharnement) toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. Cette conspiration de l’arrogance, de l’ignorance et de la cupidité coûte chaque année des centaines de milliers de vies et 200 milliards de dollars. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Nous perdrons la guerre contre le SIDA, tout comme nous avons perdu la guerre contre le cancer. Nous ne gagnerons jamais la guerre contre ces deux maladies si nous ne comprenons pas que la cause de toute maladie est une déficience acquise du système immunitaire, que ce soit par la contamination de notre environnement ou par la voie génétique, ce qui est rare.

Nous n’« attrapons » aucune maladie, nous succombons simplement à notre inadaptation à notre environnement. Si tel n’était pas le cas, la première « épidémie » sur terre aurait été la dernière. Les épidémies et les fléaux de l’histoire ont tué des millions de gens, mais il y a eu plus de survivants que de morts — pourquoi ?

Les survivants ont toujours été ceux dont le système immunitaire était intact.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.

Si nous altérons ou détruisons l’écosystème sans avoir le temps ou la capacité de nous adapter, la maladie et la mort s’ensuivront à coup sûr.

Il y a une meilleure façon de faire ! Elle est connue depuis des milliers d’années !

Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

Dans une meurtrière conspiration du silence, la médecine établie ignore la preuve flagrante que le VIH ne se propage pas sexuellement et pourrait en fait se révéler anodin.

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.

Celia Farber, Éditrice en chef, Spin Magazine
(Tiré de son article « Confusion fatale », Spin Magazine, juin 1992)


LES DIX COMMANDEMENTS DU SIDA LES DIX COMMANDEMENTS DE LA TROMPERIE
I. L’hypothèse du SIDA est frauduleuse et ses auteurs sont coupables de tromperie criminelle et de meurtre ! I. La coïncidence est la preuve de la cause et de l’effet!
II. Le SIDA n’est pas nouveau, il est aussi vieux que l’humanité. II. Les preuves indirectes sont des preuves directes !
III. Le VIH ne peut pas provoquer le SIDA. III. Un exemple démontre la règle !
IV. Le SIDA ne se transmet pas sexuellement. IV. Une supposition corroborée par une autre supposition crée un fait !
V. Le SIDA est endémique, et non épidémique,et n’est pas contagieux. V. Ce qui est dit est ainsi !
VI. Le vaccin contre le SIDA sera inutile. VI. Ne confondez pas le problème avec les faits !
VII. Le SIDA est un syndrome, pas une maladie. VII. La preuve n’est pas nécessaire et devrait être évitée ! `
VIII. L’immunodéficience acquise est la cause de la plupart des maladies. VIII. Mentez, mentez encore et l’on vous croira !
IX. L’Immunodéficience acquise est causée par beaucoup de facteurs connus et prouvés : drogues, médicaments, toxines polluantes, radiations, alimentation et cigarettes – soit individuellement, soit combinés. IX. Faites taire, ignorez et supprimez la vérité!
X. Par conséquent, on peut traiter et prévenir le SIDA. X. Remplacez la raison par le dogme, la tromperie et la peur aveugle !

L’application répétée de ces commandements de la tromperie par les conspirateurs incita T. C. Fry à faire le commentaire suivant dans son livre « SIDA : LE GRAND CANULAR » :

« … la présence de ce qu’ils appellent VIH dans le cadre de la maladie (SIDA) n’est pas plus une preuve qu’il en est la cause que la présence de mouches dans les ordures n’est une preuve que les mouches sont la cause des ordures. »

Il pourrait toutefois y avoir une exception : si l’on considère que le « gang du SIDA », à savoir Robert Gallo, Anthony Fauci, William Hazeltine, Max Essex, James Curran, Flossie Wong Stall, Dani Bolognesi, Margaret Fischler, Margaret Heckler et al., sont les mouches, alors, effectivement, elles sont la cause des ordures !

Bientôt, la lumière de la vérité commença à transpercer la façade. Pour ces conspirateurs, si la justice l’emporte, ce qui suit aura été le précurseur de leur apocalypse. Tout commença en 1987, lorsque le Dr Peter Duesberg, autorité internationale en matière de rétrovirus, publia dans « Cancer Research » un article qui secoua le fondement même de la théorie VIH-SIDA. Beaucoup de scientifiques furent stupéfaits par sa position, mais impressionnés par sa véracité. D’autres furent soulagés que quelqu’un eût enfin le courage de parler franchement. Les courtiers du pouvoir et les intéressés contre-attaquèrent, non pas avec des arguments et des faits scientifiques, mais par des insultes, des insinuations au vitriol, le dénigrement et des représailles politiques et économiques. Leurs actions et leurs paroles ne firent que confirmer leur culpabilité ! Puis, en février1989, le Dr Duesberg soumit une analyse adroite et détaillée « aux débats de l’Académie Nationale des Sciences ». Ce groupe prestigieux ignora ce document et ne prit aucune mesure !

Durant les quatre dernières années, la combinaison classique de symptômes caractéristiques du SIDA a été diagnostiquée chez des individus séronégatifs et leur nombre est en constante augmentation ! Évidemment, les charlatans ont tout de suite émis l’« hypothèse » qu’il devait y avoir un autre « virus », afin que leur manœuvre ne soit pas découverte. Encore une tentative pour détourner l’attention de la cause évidente et scientifiquement établie — LES DROGUES ! Ils concèdent à présent que le virus ne peut pas agir seul, qu’il faut des « co-facteurs ». Cependant, nous savons déjà que ces « co-facteurs » ont provoqué des immunodéficiences depuis plusieurs décades, bien avant que l’on ne découvre le VIH.

C’est le VIH qui n’est pas nécessaire au SIDA.


COMMENT ONT-ILS PU FAIRE PASSER ÇA ?

Comment cela a-t-il pu se produire ? Il n’est certainement pas possible qu’une tromperie de cette ampleur ait pu échapper à l’examen minutieux des milliers de scientifiques de par le monde qui ont cherché les nombreuses voies d’investigation menant à cette « plaie des temps modernes ». Tout commença avec les rétrovirologues, dont le champ de connaissances techniques est mystérieux et assez peu familier aux autres scientifiques. J’ai moi-même lu avec une acceptation totale les premiers articles dans les journaux médicaux, les quotidiens et les magazines populaires. Qui pouvait douter des déclarations des puissants et influents départements, agences et enclaves scientifiques du gouvernement ? Même si les nombreuses affirmations au sujet du virus ne trouvaient pas en moi un écho retentissant, il me fallut plusieurs années avant de me mettre, presque instinctivement, à douter de ce que je lisais. Je suppose que c’est à cause de mes 25 ans de pratique médicale, de l’exposition graduelle de la médecine établie aux échecs et aux contradictions, et de sa résistance à dévier de son approche dogmatique obligée de la maladie, que j’appris à m’interroger sur la nourriture que l’on m’avait enseigné à digérer. Tout d’abord, ce fut la thérapie malsaine, irrationnelle et contradictoire que je ne pus pas accepter. Mais ensuite, après avoir assisté en février 1989 à une réunion à Los Angeles sur les approches alternatives du SIDA, au cours de laquelle j’entendis parler le Dr Peter Duesberg, je mis finalement en doute la validité de la maladie elle-même. J’avais enfin été renseigné sur les rétrovirus par la personne la mieux informée dans le domaine. Jusque là, on m’avait présenté la théorie comme un fait. Comme le reste de mes collègues, je supposais que ce qu’on m’avait enseigné était prouvé et, par conséquent, je croyais que c’était vrai. La vérité est que tout cela était pure fantaisie, supposition et pseudoscience. Parce qu’il était basé sur des rapports frauduleux, sur des preuves indirectes des plus fragiles et sur des hypothèses autoalimentées, le VIH fut faussement inculpé, reconnu coupable et « condamné » pour un « crime » qu’il ne pouvait pas avoir commis. Mais qu’en est-il des rétrovirologistes eux-mêmes, comment purent-ils être trompés ? Dans un article écrit pour le magazine « The Truth Seeker » (le chercheur de vérité), dans le numéro de septembre/octobre 1989, le Dr Duesberg en révéla les raisons.

« Après 20 ans de recherches frustrantes en vue de trouver un virus humain du cancer, le club (les rétrovirologistes) désirait ardemment quelque applicabilité clinique pour le rétrovirus et, par conséquent, adopta avec bonheur le VIH — “le virus du SIDA” — comme la cause du SIDA. »

Il continua en expliquant l’impact de la puissante promotion qui avait fait de l’hypothèse du SIDA un « dogme national instantané ». Il était trop difficile de faire opposition aux milliards de dollars investis, aux intérêts économiques de la biotechnologie et des compagnies pharmaceutiques et à la formidable notoriété à travers la presse. En se demandant pourquoi seulement une poignée de scientifiques contestaient l’hypothèse du SIDA, il cita : « … les pressions conformistes exercées sur les scientifiques, particulièrement sur les scientifiques jeunes et inoccupés, à l’ère de la biotechnologie. Leur obéissance conceptuelle aux institutions entretenue par un accès contrôlé aux subventions, à la presse et à l’emploi, et récompensée par des invitations à des assemblées, des prix, des postes de consultants, des actions et des copropriétés dans des compagnies. »

Les Instituts Nationaux de la Santé, l’Institut National pour le Cancer, le Centre de Contrôle des Maladies, l’Académie Nationale des Sciences et le FDA (Régie des Aliments et des Médicaments) ont tous sérieusement compromis leur crédibilité et leurs motivations, par leur participation active ou leur silence face à une tromperie aussi évidente. Si l’on considère le fait qu’il est difficile de croire que des individus à un tel niveau soient aussi stupides (même si tout est possible), alors on doit supposer qu’une incroyable pression gouvernementale a été exercée. La pression la plus indiquée et la plus habituelle est l’apport de fonds, les à-côtés et la peur du licenciement.

Duesberg est probablement un bon exemple de ce qui peut arriver même à l’un des scientifiques les plus respectés dans leur domaine. Sa renommée est mondiale, il est membre élu de la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, il bénéficie de la très distinguée « Subvention pour Chercheur Exceptionnel » de l’Institut National de la Santé (seulement 23 dans tout le pays), il a découvert les gènes qui causent le cancer (oncogènes), il a été recommandé pour le Prix Nobel, il est considéré comme une autorité internationale en matière de rétrovirus et il est Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, CA. Sa subvention annuelle de 350 000 dollars a été supprimée cette année et son recours a été rejeté par un comité comprenant la maîtresse de Gallo, à savoir le Dr Flossie Wong Stall, et le Dr Dani Bolognesi, devenu aujourd’hui un riche détenteur de brevets pour des tests VIH.

L’intimidation fut acharnée et vicieuse. Duesberg a écrit qu’il avait été « … taxé de fanatique pour avoir considéré que l’administration journalière de produits chimiques psychoactivateurs et immunosuppresseurs était une cause plus vraisemblable du SIDA qu’un rétrovirus chroniquement inactif et presque indécelable chimiquement. Le plus éminent chercheur du SIDA de la nation m’accusa d’être l’avocat de la promiscuité (pour le paraphraser poliment) pour avoir mis en doute l’étiologie virale du SIDA. » Est-il possible que nos scientifiques aient été plus intéressés par la protection des valeurs puritaines que par la présentation de la vérité scientifique ? Les faits parlent d’eux-mêmes.

Les institutions intéressées, au lieu de répondre à la foule de questions qui ébranlent la base même de l’hypothèse du SIDA, insultent leurs opposants, refusent le débat et ont même annulé une réunion à la Maison-Blanche, refusant d’y participer afin de démontrer la « folie » de seulement mettre en doute le VIH et le SIDA ! Leur arrogance criminelle est un affront à l’humanité ! Initialement, Gallo et ses co-conspirateurs auraient probablement pu être disculpés sur la base de l’ignorance et de la bêtise, mais le fait d’entraver une discussion scientifique ouverte et d’utiliser le pouvoir politique et économique pour faire taire les points de vue opposés ainsi que la vérité et la logique scientifiques de base est une preuve irréfutable de leur intention criminelle.

Bien qu’un cadre impressionnant de scientifiques célèbres ait formé le « Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA », qui fut lancé par le Dr Charles A. Thomas Jr., biologiste à Harvard, il est nécessaire qu’il y ait des cris d’indignation venant du public et exigeant une enquête. Beaucoup de membres du Congrès ont commencé à s’intéresser à ce problème. Parmi eux, William Dannemyer et Ron Dellums. Envoyez une copie de ce document à votre Sénateur et à votre Député, leurs nom et adresse peuvent être obtenus auprès de votre bibliothèque locale ou par l’intermédiaire de votre journal. Ces scientifiques courageux, honorables et incorruptibles ont mérité et ont besoin de votre soutien.

Lorsque vous aurez fini de lire ce témoignage, je suis convaincu que vous vous sentirez soulagé(e) de savoir que nous ne sommes pas tous condamnés à mourir. À moins, bien sûr, que nous ne commencions tous à prendre de l’AZT pour avoir pris parti contre un virus insignifiant et suivi les conseils de Gallo et de ses frauduleux disciples. Si vous êtes d’accord avec ce témoignage, je vous demande de prendre votre plume et de le crier par courrier !


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Le VIH est le premier organisme, au cours des 100 dernières années, à avoir été désigné comme cause d’une maladie sans avoir satisfait aux critères de preuve scientifiquement reconnus. Nous en reparlerons plus loin. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Le virus d’Epstein-Barr et le Pneumocystis Carnii sont précisément deux d’entre eux, pourtant personne ne prétend qu’ils soient la cause du SIDA. Il est possible, mais relativement rare que ces maladies soient réactivées. D’habitude, ceci arrive uniquement lorsqu’un individu s’affaiblit et que son immunité est compromise, et n’a jamais eu besoin de l’aide du VIH pour se produire. Il n’existe pas la moindre preuve scientifique au monde de la cause et de l’effet dans la littérature médicale et de recherche. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories (encore des hypothèses !) pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée. Les conditions sont les suivantes :

  • (1) le microorganisme doit être observé dans chaque cas de la maladie ;
  • (2) il doit être isolé et se développer dans une culture pure ;
  • (3) la culture pure doit, lorsqu’elle est inoculée à un animal prédisposé, reproduire la maladie ;
  • (4) le microorganisme doit être observé et prélevé chez l’animal rendu malade expérimentalement. (Dictionnaire Médical Dorland)

Le premier postulat ci-dessus incluait à l’origine “… et au cours de la maladie.” (Duesberg), se référant à la découverte du microorganisme dans les sécrétions et les parties du corps désignées par des signes et des symptômes durant la progression de la maladie. Ce premier postulat paraît avoir été raccourci par le simple usage, plutôt que par quelque proclamation officielle. Les dispositions réglementaires sont toujours encore de chercher le(s) microorganisme(s) par exemple dans les poumons, lorsque le patient se présente avec de la toux, un manque de souffle, etc.

Dans le cas du SIDA :

  • (1) Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie. Lorsqu’on le trouve, c’est en si petites quantités qu’il ne peut pas être considéré comme cliniquement significatif. Si le Dr Gallo n’était pas arrivé avec sa supercherie, on l’aurait considéré comme un artifice de contaminateur.
  • (2) Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté, en réactivant les provirus inactifs présents dans un lymphocyte sur un million, et seulement dans des cultures auxquelles au moins dix millions de cellules sont ajoutées et qui sont exemptes d’anticorps, qui autrement neutraliseraient le virus et mettraient fin à la culture (comme cela se produit de façon naturelle chez les humains). Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus ! Ça ne me paraît pas être une maladie bien meurtrière.
  • (3) Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA. La véritable maladie provoquée par le VIH ressemble à une grippe si légère qu’elle passe souvent inaperçue (Duesberg). Dans son essence, le troisième postulat est rempli, puisque l’animal attrape une légère maladie qui passe la plupart du temps inaperçue, mais ce n’est pas le SIDA. Ceci est évidemment exactement ce qui se produit chez l’être humain, sauf si vous voulez croire aux contes de fées de Gallo. (Une fois que vous avez échoué à prouver que le virus provoque le SIDA, alors tout ce qui est lié à la transmission du virus ne peut avoir aucun rapport avec la contagiosité du SIDA.)

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Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Par Makia Freeman

(Extraits)

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus. Lanka écrit :

« Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont fausses et sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… Tous les scientifiques qui pensent travailler avec des virus dans les laboratoires travaillent en fait avec des particules typiques de tissus ou cellules mourants spécifiques qui ont été préparés de façon spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et les tissus infectés mouraient car ils étaient affamés et empoisonnés par suite des expériences en laboratoire. »

«… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de soi-disant « propagation du virus »… les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatif, dans lesquelles ils ajouteraient des substances stériles… à la culture cellulaire. »

« Ces expériences de contrôle n’ont jamais été menées par la « science » officielle à ce jour. Au cours de l’essai sur le virus de la rougeole, j’ai mandaté un laboratoire indépendant pour effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et les cellules meurent en raison des conditions de laboratoire exactement de la même manière que lorsqu’ils entrent en contact avec du matériel prétendument « infecté » ».

En d’autres termes, les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité. Fait intéressant, c’est exactement ce que de nombreux experts de la santé ont déclaré, à savoir qu’il n’y a que 2 causes de maladie : la carence et la toxicité. Par exemple, Charlotte Gerson (qui a repris la direction de la clinique Gerson de son brillant père Max) a dit cela à propos de la maladie et du cancer. Retirer des cellules ou des tissus du corps et ainsi les couper de leur apport en énergie/nutriments entraînera rapidement une carence. L’injection d’antibiotiques dans le mélange est une toxicité. Il n’y a donc aucune preuve solide qu’un virus provoque une maladie alors qu’il existe déjà une carence et une toxicité. C’est le point clé de l’idée fausse du virus.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

À ce stade d’investigation, nous nous trouvons, pour résumer, devant les constats suivants :

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils mentent (sciemment ou par ignorance de la démarche scientifique), car en fait ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Par le Dr. Ron Brown

(Extraits)

Que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines. 

Comment tant de virus ont-ils élu domicile dans des zones de notre corps désignées sous le nom de viromes, et comment pouvons-nous surmonter notre microbiophobie irrationnelle, envahissante et incontrôlable à l’égard d’un virus du rhume comme le coronavirus ?

Sur la base de ses recherches sur les virus de l’herpès, et en utilisant le microscope électronique nouvellement développé dans les années 1930, le Dr Doerr a établi certains principes de base des propriétés virales. Doerr a proposé que les virus non vivants sont créés de manière endogène, à l’intérieur des cellules, et que les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes. De toute évidence, le point de vue de Doerr est très différent de celui qui prévaut aujourd’hui sur l’étiologie et la propagation des infections virales. Comment ce changement s’est-il produit ?

Bien qu’elles n’aient jamais été réfutées, les conclusions de Doerr ont fini par être ignorées et mises de côté après l’avènement du dogme central de la biologie moléculaire, qui affirme que tous les organismes vivants reproduisent la vie en transférant l’information génétique par le biais des acides nucléiques ADN et ARN. 

Parce que les virus contiennent des acides nucléiques, le dogme central implique que les virus doivent se répliquer, même s’ils sont obligés de détourner les mécanismes de réplication génétique d’une cellule hôte pour réaliser cet exploit. Vous voulez une preuve de la réplication virale ? Placez quelques virus sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri et observez comment les virus disparaissent mystérieusement pour finalement réapparaître sous forme de hordes de progénitures qui se multiplient et tuent rapidement les cellules vivantes. 

Un message d’avertissement : cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale présente quelques défauts graves que nous évaluerons de manière critique par la suite.

Nouvelles connaissances en virologie

Des preuves plus récentes ont permis de découvrir que, bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas. Par exemple, on a découvert que des virus non infectieux contiennent de l’ARN, mais ne se répliquent pas. 

Qu’advient-il de l’ARN de ces virus ? En outre, pourquoi un grand nombre de ces virus non infectieux s’agrègent-ils en viromes dans notre corps s’ils ne se répliquent pas ? Les réponses à ces questions peuvent être synthétisées à partir des derniers résultats de la recherche en virologie, combinés à un bref examen de la biologie cellulaire et de l’immunologie de base.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté en huit segments et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Cette comparaison est étonnamment cohérente avec la proposition de Robert Doerr selon laquelle les virus sont des produits endogènes des cellules. Si nous supposons que les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus, le paradigme scientifique de l’infection virale change radicalement. Ce nouveau paradigme implique que le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

Considérons que le corps humain est composé d’environ 20 000 types de protéines différentes, et que le code ARNm de chacune de ces protéines est finalement décomposé en huit fragments qui sont emballés dans les exosomes selon potentiellement plus de 40 000 combinaisons aléatoires. Même si les fragments ne sont pas combinés de manière totalement aléatoire, la manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés. Ceci est également cohérent avec la proposition de Doerr selon laquelle les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes.

Dans un exemple étonnant de causalité inversée, des preuves suggèrent que les infections virales peuvent ne pas être directement à l’origine de maladies. Au contraire, l’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures. Vous ne vous promènerez pas dans la rue pendant une grève du ramassage des ordures en disant : “Oh regarde, chérie, les ordures se répliquent !”.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les résultats des expériences de la marine vérifient que les fragments non infectieux d’ARNm dans les exosomes ne peuvent pas se répliquer, quel que soit le nombre de virus inhalés transmis par l’air. En soi, les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes. Souvenez-vous de ces conclusions la prochaine fois que vous accuserez vos enfants de vous avoir donné un rhume ou une grippe, ou la prochaine fois que vous vous mettrez en danger en vous jetant dans la circulation pour éviter un piéton non masqué qui s’approche de vous sur le trottoir.

Mais qu’en est-il de cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale ? Comme contrôle supplémentaire de l’expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

En conclusion, le public a été endoctriné par des craintes infondées à l’égard des infections virales, ce qui accroît notre microbiophobie et exacerbe les dommages causés par les mesures répressives de contrôle des infections qui continuent de perturber notre vie quotidienne pendant la pandémie de coronavirus et les futures pandémies. Pour atténuer la microbiophobie liée au coronavirus, il faut poursuivre les recherches et diffuser de nouvelles connaissances fondées sur la véritable nature des virus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

(Extraits)

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voir fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie(([5] 

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.
    )) ). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.

Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agroalimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chères marionnettes politiques et médiatiques.

La présence de micro-organismes [naturellement présents en symbiose ou fabriqués par notre propre corps] signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année. C’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les états sanitaires de l’enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Par exemple, lors de la grippe « espagnole » on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle :

  • Iatrogène
    • (vaccins : oxydation, molécules toxiques ;
    • aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives).
  • Carences, famine, peur, stress oxydatif (<- guerre).
  • Hygiène déficiente (-> encrassement).
  • Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans, etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier.

Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C’est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées.

Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,3 – rH2 : 22 – rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies.

Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l’hygiénisme et la vraie naturopathie.

Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelles induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale. Réduisons notre toxémie, augmentons notre énergie vitale et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions…

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque.

Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains.

Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n’a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop’s Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d’une centaine d’hommes à l’hôpital public, et personne n’a contracté la grippe.

Pettenkofer (épidémiologiste) n’hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d’infection. Ses étudiants, qui l’imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent).

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. (Source : Le Goulag du SIDA – Albert Mosséri, Editions Aquarius).

Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre. Le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. Contrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l’hypothèse de l’intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses. (Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr).

Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s’inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n’était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur “ignorant” n’avait pas peur, car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal !

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué. (Source : The Invisible Rainbow – Arthur Firstenberg).

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

S’il existe bien des structures biologiques ayant la forme de virus et de ce qui a été plus récemment appelé « exosomes », ce qui précède a apporté des arguments scientifiquement recevables en défaveur de la théorie virale. Pas plus que pour les bactéries ces structures virales n’ont pu être réellement démontrées comme étant la cause de maladies. Et aucune contagion n’a pu être reproduite expérimentalement à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux et impartial. Seule une telle démarche est à même de vérifier l’absence de biais, de syllogismes, de sophismes et d’erreurs diverses au sein d’une théorie.

Sous la pression de l’industrie pharmaceutique, la théorie virale n’a jamais passé une telle épreuve. Cependant, si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors, s’ils fonctionnent dans le cadre d’une démarche réellement scientifique (et non pas pour simplement préserver leurs croyances, leur réputation ou leurs copains de Big Pharma, selon le cas), ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge, un scandale planétaire, un crime contre l’Humanité, des poisons qui n’ont jamais réellement pu guérir qui que ce soit ni préserver de la moindre maladie en dehors de leur possible effet placebo.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains et non comme des agents de bonne santé, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, étant donné l’importance de cette Église dans le monde, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.

Dans l’article La clef de la libération était évoquée l’idée de l’effondrement du Nouvel Ordre Mondial sous l’effet d’une vibration, d’une expansion de conscience. La médecine et une bonne partie des sciences actuelles ont tellement dérivé de la démarche scientifique authentique, tellement « involué » vers le matérialisme le plus lourd et le plus dense (en perdant de vue la dimension spirituelle de l’Homme), qu’elles se sont cristallisées en nouvelle religion, d’ampleur mondiale. La doctrine et les dogmes de cette dernière sont désormais indiscutables, à moins d’être volontaire pour subir les foudres de l’inquisition moderne de la part des nouveaux grands prêtres vérificateurs de faits qui sévissent dans les chapelles médiatiques et de vouloir terminer sur le bûcher ou dans le nouvel enfer terrestre, celui des savants ostracisés, vilipendés, dénigrés à mort, crucifiés comme le fut le Christ pour s’être opposé aux croyances matérialistes de son époque.

La matière solide la plus répandue dans la croûte terrestre est la silice (composée de silicium et d’oxygène), et le silicium est le principal élément indispensable à l’informatique actuelle, la base de toutes les puces électroniques qui en constituent le cœur. Dans l’Apocalypse de Jean, après la Bête de la mer qui peut symboliser notamment les foules manipulables par la religion, les idéologies et les émotions (dont la peur), apparaît celle de la terre dont la silice et le silicium représentent alors le fondement. La Bête de la terre et sa fameuse marque (sans laquelle personne ne pourra plus rien acheter ni vendre) est alors étroitement liée à la silice et, par extension, à l’informatique et à tout ce que celle-ci aura permis de faire apparaître sur notre planète en matière de nouveaux miracles : aller dans l’espace à bord de fusées, ressusciter des morts, communiquer instantanément et dans toutes les langues d’un bout à l’autre de la planète, animer l’image de la Bête grâce à la télévision et aux téléphones cellulaires qui ont transformé les hommes en zombis décervelés, etc.

Le son est capable de détruire un cristal s’il est basé sur la même fréquence que celle propre à ce dernier, ceci grâce au phénomène physique de résonance. Par analogie, un son (une parole, une idée, une prise de conscience…) adéquat pourra désintégrer la cristallisation mentale représentée par le système de croyances derrière cette nouvelle religion mondiale : la médecine et la science matérialiste basées sur la technologie. La Bête de la terre (l’informatique) pousse à adorer celle de la mer (la religion mondiale que sont la médecine allopathique et une bonne partie de la science actuelle). Cependant, la compréhension et la réalisation que le dogme central de cette religion (la vaccination et la théorie virale) est un habile mensonge juste destiné à égarer, manipuler et finalement perdre l’Humanité et toute humanité représentent ce qui pourra finalement détruire le Nouvel Ordre Mondial.

La présente guerre n’est pas contre un virus, mais contre l’Humanité. il s’agit d’une guerre d’essence spirituelle.





La chute du Dr Peter Daszak, évincé de l’enquête sur la pandémie diligentée par l’ONU

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Peter Daszak
EcoHealthAlliance]

Auteur(s): FranceSoir

Depuis le début de la pandémie de Sars-CoV2, le revue médicale The Lancet, jadis réputée comme sérieuse, s’illustre dans des publications très douteuses. 

En mai 2020, le monde entier découvrait avec stupéfaction l’étude sur l’hydroxychloroquine. Et suite à l’énorme scandale de cette affaire désormais appelée « Lancet Gate » et aux critiques des scientifiques du monde entier, la revue avait été forcée de retirer son étude qualifiée de frauduleuse.

Cependant, quelques mois plus tôt, en février 2020, la revue médicale britannique s’était déjà tristement illustrée en publiant une lettre cosignée par 27 scientifiques réunis par le médecin britannique Peter Daszak dans laquelle la théorie de la fuite du laboratoire de Wuhan était réfutée.

Dans la lettre, on pouvait lire ces mots :

« Nous sommes solidaires pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le Covid-19 n’a pas d’origine naturelle » ou encore « les théories du complot ne font que créer de la peur, des rumeurs et des préjugés qui mettent en péril notre collaboration mondiale dans la lutte contre ce virus ». Quiconque doutait de la version officielle était traité de complotiste, nouvelle insulte à la mode qui a permis pendant des mois de ne pas ouvrir officiellement le débat, disqualifiant au passage les plus grands scientifiques comme le Professeur Luc Montagner, qui avait osé affirmer le contraire en analysant le génome du virus qui ne pouvait pas selon lui être d’origine naturelle.

Mais les faits sont têtus, et 18 mois après que le virus a été détecté à Wuhan et depuis la publication des emails d’Antony Fauci, la thèse de l’origine du laboratoire désormais dominante n’est plus considérée comme une théorie conspirationniste.

En revenant sur le profil du Dr Daszak, on apprend qu’il est le président de l’EcoHealth Alliance, une organisation basée aux Etats-Unis et financée par l’Institut Antony Fauci. On découvre également qu’il entretient des relations étroites avec le chef du laboratoire de Virologie de Wuhan (WIV), le Dr Shi Zhengli dont il a financé des recherches sur le gain de fonction des coronavirus venant des chauves-souris.

Depuis quelques jours, le docteur Daszak qui faisait partie des 28 experts du monde entier pour analyser les origines du virus est accusé de conflits d’intérêts avec l’Institut de virologie de Wuhan. Devant les soupçons qui pèsent sur lui, il a été évincé de l’enquête du journal The Lancet, soutenue par l’ONU, enquêtant sur les origines du virus.

Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier mais finit toujours par triompher.

Auteur(s): FranceSoir




Kennedy s’en prend à Anthony Fauci, le tsar de la mafia médicale qui contrôle la réponse à la pandémie

[Source : childrenshealthdefense.eu]

Si Robert F. Kennedy, Jr. a décidé de consacrer un livre à Anthony Fauci, ‘expert Covid’ n°1 aux Etats-Unis, c’est parce que ce médecin est aujourd’hui l’homme plus influent sur des politiques de santé au service d’une prise de contrôle géopolitique de la planète. Directeur du NIAID l’institut de recherche sur les maladies infectieuses et membre conseil ou administrateur de nombreux autres instituts, Fauci a conseillé 6 présidents, gérant des budgets colossaux de plusieurs dizaines et même centaines de milliards de dollars. Partenaire de longue date de Bill Gates, le tsar de la mafia médicale est aujourd’hui accusé par le médecin et sénateur Rand Paul d’avoir soutenu et subventionné les recherches de ‘gain de fonction’ aux États-Unis, avant que celles-ci ne soient interdites. Son institut a pourtant continué à financer ces recherches à l’étranger, notamment sur les coronavirus au laboratoire de Wuhan – et ce jusqu’en avril 2020, via un organisme intermédiaire EcoHealth Alliance.

Depuis quelques semaines, suite à une demande officielle de mise à disposition publique de sa correspondance depuis le début de la pandémie,  certains échanges ont révélé l’obstination de Fauci à ignorer les pistes de traitements (l’hydroxychloroquine par exemple), à vanter les mérites du Remdesivir ou à ignorer les interpellations de scientifiques confirmant la piste d’un virus manipulé en laboratoire.

Kennedy explique dans cette interview comment Fauci a pris le contrôle de la santé publique aux Etats-Unis et ailleurs, en partant de sa tentative d’appropriation de la découverte du sida avec son comparse Robert Gallo, pour faire de la santé publique ‘une machine à fric’ au service de l’industrie du médicament. Pour Kennedy, Fauci est un criminel, responsable de la mort de milliers de personnes et sa place est derrière les barreaux.

Nous sommes aujourd’hui à un moment critique de notre histoire. Fauci et Gates ne sont pas les seuls acteurs à remettre en cause.  C’est tout un réseau d’influence qu’il faut aujourd’hui démanteler et juger, au sein des commissions nationales en Europe et ailleurs, et des agences de santé et organisations internationales dirigées par l’industrie et la finance.

Une interview à regarder, un livre à commander (en anglais pour l’instant) et surtout… un dossier à compléter et une affaire à suivre. Merci de partager!



Transcription :

Senta Depuydt : [00:00:00] Bonjour à tous, je suis Senta Depuydt et je représente Children’s Health Defense en Europe. Aujourd’hui, j’ai l’honneur et le privilège d’interviewer notre président, Robert F. Kennedy Jr. sur son nouveau livre, The Real Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma on the Global War on Democracy and Public Health. M. Kennedy, je regardais aujourd’hui votre livre sur Amazon, et je vois qu’il est parti pour être un best-seller. Alors qu’est-ce qui se passe ? Est-il déjà en rupture de stock ? Dites-nous.

Robert F. Kennedy, Jr. : [00:00:40] Eh bien, vous savez, j’ai commencé à écrire le livre au début de l’été dernier. Et j’essayais vraiment d’informer les Américains, parce que c’est très pénible pour moi. Tony Fauci est cette figure très polarisée. Il a été l’incarnation de la polarisation, le genre de tribalisme qui se passe aux États-Unis. Où tous les républicains ont… beaucoup d’entre eux se sont engagés dans le tribalisme en suivant le président Trump et les démocrates en suivant Anthony Fauci. Et ce qui est affligeant pour quelqu’un comme moi, c’est que le parti démocrate et le libéralisme dans lequel j’ai grandi… beaucoup de libéraux traditionnels ont abandonné leurs valeurs traditionnelles. Les valeurs avec lesquelles nous avons tous grandi, les valeurs libérales de la pensée critique, des droits constitutionnels, de la liberté d’expression, de l’application régulière de la loi par les procès avec jury, de la justice, de la tolérance, de la patience et de toutes ces choses, ainsi que de la curiosité intellectuelle et de l’intégrité intellectuelle. Toutes ces choses ont maintenant été abandonnées. Il n’y a plus de pensée critique. Nous sommes de nouveau immergés dans une sorte de tribalisme où si Tony Fauci dit quelque chose, cela doit être vrai. Si Donald Trump dit quelque chose, c’est forcément faux et vice versa. Et personne ne fait vraiment preuve d’esprit critique. Et aux États-Unis, vous savez, j’ai vu le parti libéral, qui a toujours été le champion des droits constitutionnels, s’éloigner de tous nos droits constitutionnels. Ils sont devenus les défenseurs de la censure. Et, vous savez, le premier amendement était sacré pour les libéraux et les démocrates. Quand j’ai grandi, nous nous sommes battus pour que les nazis qui défilaient à Skokie, dans l’Illinois, aient le droit de parler, même si c’était abominable, c’était répugnant, c’était repoussant. Mais tout le monde a le droit de s’exprimer et nous devons avoir confiance dans le processus d’échange d’idées et dans le fait que les politiques et les principes doivent s’épanouir au sein d’une culture du débat et sont les fruits de débats.

[00:03:30] Et ce qui se passe maintenant, c’est que cela devient une entreprise religieuse, et les gens qui soulèvent des questions sur l’orthodoxie sont des hérétiques. Ils doivent être détruits. Ils doivent être réduits au silence. Leurs paroles sont dangereuses. Et parce que nous nous sommes maintenant débarrassés du premier amendement, de la liberté d’expression aux États-Unis, où, vous savez, quiconque qui parle des mêmes choses que moi est censuré. Une fois que vous vous débarrassez de la liberté d’expression, tous les autres droits constitutionnels sont sur la sellette. Les libertés religieuses font partie de la déclaration des droits et des libertés; or nous avons reçu l’ordre du gouvernement de fermer les églises pendant un an, même si les magasins d’alcool étaient ouverts en tant qu’entreprises essentielles. Les magasins d’alcool ne sont pas cités dans la Constitution. En revanche, la liberté de religion est citée dans la Constitution, tout comme les exemptions religieuses et de vaccination qui ont été abolies. Le droit à un procès avec jury a disparu aux États-Unis. Toute entreprise qui peut dire qu’elle est engagée dans des contre-mesures, peu importe son imprudence, sa négligence, qu’elle crée un médicament, un vaccin, des masques ou peu importe la contre-mesure, vous ne pouvez pas la poursuivre, peu importe la gravité de votre blessure, peu importe la négligence de son comportement. Le droit à la propriété a été aboli. Vous savez, nous avons des fonctionnaires du gouvernement, des fonctionnaires médicaux. Et Bill Gates va fermer toutes les entreprises d’Amérique pendant un an, mettre 60 000 entreprises en faillite, dont 70 % d’entreprises appartenant à des Noirs qui ne rouvriront jamais.

SD : [00:05:28] Nous avons les mêmes catastrophes en Europe. Je suis désolée de vous interrompre. Beaucoup d’Européens ne savent pas qui est Anthony Fauci.

RFK, Jr. : [00:05:38] Anthony Fauci, c’est la personne la plus puissante en matière de santé publique dans le monde aujourd’hui. Et il a été à la tête de l’Institut national des maladies allergiques et infectieuses, que nous appelons NIAID, qui fait partie du NIH, qui est l’Institut national de la santé, qui fait partie du HHS, qui est le grand département de la santé, avec vingt-cinq agences de santé différentes sous un seul département fédéral. Et Anthony Fauci est là depuis 50 ans. Il est probablement celui qui a vécu le plus longtemps dans l’histoire de la santé publique; c’est un panjandrum et il est de loin le plus puissant. Son travail au sein de cette agence consiste à apprendre l’idéologie des maladies chroniques et des maladies infectieuses. En d’autres termes, il est chargé par le Congrès de répondre aux questions suivantes : pourquoi l’autisme est-il passé d’1 personne sur 10,000 à 1 garçon sur 22 aujourd’hui aux États-Unis ? Pourquoi l’allergie aux arachides est soudainement apparue en 1989 ? Les allergies alimentaires et l’eczéma. Pourquoi toutes ces maladies auto-immunes sont-elles soudainement devenues épidémiques ? La polyarthrite rhumatoïde, le diabète juvénile, le lupus, etc. Pourquoi avons-nous soudainement une épidémie d’obésité ? Son travail consiste à répondre à ces questions. Il doit nous parler des expositions environnementales. Nous savons que les gènes ne sont pas à l’origine des épidémies. Les gènes peuvent contribuer à des vulnérabilités. Il faut une toxine environnementale, et son travail consiste à déterminer quelle toxine environnementale est à l’origine de cette énorme épidémie. Quand il est arrivé en 1968, seulement 6 % des Américains avaient une maladie chronique. 54% aujourd’hui. Pourquoi cela se produit-il ? La même chose est vraie en Europe, pas de façon aussi grave qu’aux États-Unis, mais la même chose est vraie en Europe. Eh bien, aucun de nos responsables médicaux ne fait les études nécessaires pour trouver la réponse à ces questions.

RFK, Jr. : [00:07:58] Et bien sûr, la réponse à cela est que les produits chimiques qui causent ces blessures sont fabriqués par des entités très puissantes, par des compagnies pétrolières, des compagnies chimiques, par les grandes compagnies alimentaires, et surtout par les compagnies pharmaceutiques. Et les régulateurs ont été capturés par ces industries. Leur travail n’est pas de protéger la santé publique, mais de protéger l’industrie qu’ils sont censés réglementer. Tony Fauci a tenu 50 ans à ce poste parce qu’il a été un bon protecteur de l’industrie pharmaceutique et qu’il a pris l’agence de régulation, qui était la meilleure agence de régulation de santé au monde. Et il en a fait une filiale de l’industrie pharmaceutique. Et pour répondre à votre question, Tony Fauci a été nommé par deux présidents, Trump et Biden, pour diriger la réponse à cette pandémie de Coronavirus. Toutes les contre-mesures que nous avons eu aux États-Unis et qui se sont répandues dans le monde entier, elles proviennent toutes de Tony Fauci : le confinement, la distanciation sociale, les masques, la suppression des médicaments thérapeutiques, et des traitements précoces, de l’Ivermectine, de l’hydroxychloroquine, toute la promotion de médicaments thérapeutiques sans valeur comme le Remdesivir. Toutes ces choses viennent directement de Tony Fauci. Comment ? Quelle est la source de son pouvoir ? La voici. Tony Fauci a un budget de 6,1 milliards de dollars par an. En plus de cela, il reçoit 1,6 milliard de l’armée, car une grande partie de ses activités font appel à la technologie, en d’autres termes, il développe des armes biologiques. C’est ce qu’il faisait avec les études sur le gain de fonctions à Wuhan et dans beaucoup, beaucoup de laboratoires. Oui.

SD : [00:10:14] Pouvez-vous élaborer un peu plus sur ce sujet ? Parce que ce n’est pas vraiment une question que tout le monde veut savoir. Nous avons entendu dire qu’il y a des emails. Vous savez,

RFK, Jr. : [00:10:24] L’histoire est que les États-Unis ont commencé à développer des armes biologiques au début de 1943 pendant la Seconde Guerre mondiale et en 1969, nous avions développé des armes biologiques dans notre pays que le chef du programme d’armes biologiques, David France, qualifiait comme des équivalents nucléaires. En d’autres termes, nous avions des armes biologiques qui pouvaient avoir le même impact qu’une arme nucléaire, une bombe nucléaire. En 1969, Richard Nixon a fermé le programme. Il s’est rendu à Fort Detrick, qui est l’endroit où se trouve le principal centre de recherche sur les armes biologiques aux États-Unis. Il l’a fermé et nous avons signé en 1972 le traité sur les armes biologiques, qui était une extension du traité de Genève. Et nous avons accepté de ne pas stocker d’armes biologiques et de ne pas les développer. Les États-Unis ont donc fermé Fort Detrick. Nous avons fermé tous nos autres laboratoires d’armes biologiques cette année-là. Les militaires voulaient recommencer. Et la CIA, bien sûr, était très impliquée dans les armes biologiques et l’industrie pharmaceutique. Qui était à la tête du programme d’armement américain pendant la Seconde Guerre mondiale ? Et dans les années 50 ? C’était George W. Merck, qui était à l’époque également à la tête de Merck. Donc, l’industrie pharmaceutique était composée des mêmes entreprises qui développaient des armes biologiques. Et cela, bien sûr, est venu de la Seconde Guerre mondiale quand vous aviez les compagnies pharmaceutiques et l’Allemagne qui développaient des armes biologiques, […] développant les gaz qui étaient utilisés pour tuer les juifs à Auschwitz et autres camps de la mort. L’industrie pharmaceutique et l’armée et l’appareil de renseignement voulaient tous avoir une excuse pour relancer les armes biologiques. Et donc en 1988, le mur de Berlin tombe. On nous promet à tous : ok, maintenant nous allons avoir les dividendes de la paix. Nous allons prendre tout l’argent qui était destiné à l’armée et, à la place, nous allons le dépenser pour les écoles, les routes, les soins de santé et l’éducation. Et nous allons faire des États-Unis un endroit exemplaire et brillant avec des monuments d’albâtre, des gens éduqués, etc. Lorsque l’appareil militaire et de renseignement entendirent les mots dividendes de la paix, ils se sont dit que cet argent allait sortir de leurs poches. Ils se sont dit qu’ils devaient trouver un moyen de faire avancer les choses, de continuer à faire ce qu’ils faisaient. Quatre et demi ou cinq ans plus tard, nous avons eu la première attaque du World Trade Center, et c’était en 1993. Et tout l’argent qui était destiné à l’éducation et à l’usage civil a soudainement disparu. Et les intérêts acquis nous poussèrent à dépenser cet argent dans la lutte contre le terrorisme. En 2000, nous avons les attaques du 11 septembre. Et à ce moment-là, des milliards, des dizaines de milliards de dollars se sont déversés dans l’idée que nous devions combattre le terrorisme islamique.

[00:14:35] Les militaires à ce moment-là, ont compris que les terroristes islamiques étaient géniaux parce que c’est un ennemi beaucoup plus fiable que l’Union Soviétique. L’Union Soviétique a plié. Elle s’est retirée. Le terrorisme ne s’arrêtera jamais car ce n’est pas une nation. Ce n’est pas un peuple. C’est une tactique. Et il sera toujours là. C’est donc un ennemi parfait, un ennemi qui ne mourra jamais. Et Dick Cheney a promis une longue guerre qui durera des générations. Et ce serait dans 50 nations ou plus. Dans le même temps, de nombreux planificateurs du renseignement disaient que la sécurité biologique est en fait ce que nous devrions faire à cause du terrorisme. Le terrorisme islamique aux États-Unis tue moins de personnes que la foudre chaque année. Mais ce n’est pas un ennemi dont vous pouvez garder les gens terrifiés pendant longtemps. En revanche, le grand ennemi, ce sont les germes, parce que les germes peuvent entrer dans la maison de tout le monde et tuer votre famille. L’armée et les services de renseignements dont nous disposons, ont tous ces documents où ils parlent de ça de façon  bien plus fiables que moi. Et ils font des simulations et des jeux de guerre sur les pandémies et les attaques biologiques. Il y avait donc un ferment, un intérêt énorme. Et si vous vous souvenez, une semaine après le 11 septembre, très exactement le 4 octobre 2001, donc deux semaines et demie après le 11 septembre.

[00:16:06] Il y a eu une attaque à l’anthrax et l’anthrax a tué sept personnes. Il y avait 17 personnes, dont des sénateurs et des membres du Congrès des États-Unis. Et à ce moment-là, l’anthrax a été attribué à Saddam Hussein. Et c’est une des raisons qui a justifié l’invasion de l’Irak. Mais il s’est avéré, lorsque le FBI a commencé à enquêter, que l’empreinte digitale sur l’anthrax, cet anthrax particulier qui a été utilisé dans l’attaque, provenait de l’armée américaine. Il était donc clair que quelqu’un de l’armée américaine avait quelque chose à voir avec l’envoi de cet anthrax. Et que s’est-il passé ? Des milliards de dollars ont commencé à être dépensés pour la biosécurité. Et Tony Fauci… une partie de la biosécurité est utilisée pour développer les vaccins. Vous vous dites, « eh bien, nous faisons cela de manière défensive, nous développons juste la même technologie que vous utilisez pour développer des vaccins et qui peut être utilisée pour développer des armes biologiques », et cela s’appelle le Gain de Fonction. Et qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que vous envoyez des zoologistes dans le monde entier pour trouver des microbes, des microbes mortels et différents animaux. Et ces microbes ne peuvent pas sauter sur les êtres humains. Ils vont tuer des pangolins. Ils tueront des chauves-souris. Ils tueront des civettes. Ils tueront des chameaux. Mais ils ne tueront pas des êtres humains.

Vous pouvez prendre un microbe dans un laboratoire, et il y a deux façons différentes d’infecter des êtres humains. L’une est d’utiliser la technologie CRISPR. Vous pouvez insérer [00:18:02] de nouvelles parties dans ce microbe qui lui donneront la capacité d’attaquer un poumon humain. Ou alors, vous pouvez le cultiver des milliers de fois, vous le prenez d’une chauve-souris, vous le cultivez sur une culture de pangolin, puis vous les prenez et vous les cultivez sur des cultures de cockers et finalement vous les cultivez sur les poumons d’un fœtus humain. Et vous avez appris à ce microbe à passer de la chauve-souris à la personne. Et cela fait partie de la technologie qui, selon certains, est utile pour les vaccins, bien que cela n’ait jamais été démontré.

Nous savons que cette technologie est utilisée pour les armes biologiques. Quoi qu’il en soit, afin de capter une grande partie de cet argent qui a soudainement commencé à affluer vers les armes biologiques vers 2001-2002, Tony Fauci a commencé à faire ces études de gain de fonction. Il a financé un scientifique appelé Ralph S. Baric, à l’Université de Caroline du Nord. Il a commencé à construire des laboratoires de biosécurité, ce qu’ils appellent des laboratoires BSL, quatre laboratoires, au plus haut niveau de biosécurité. Il a réouvert le laboratoire de Fort Detrick et en a construit un nouveau là-bas. Il en a construit un à Galveston, au Texas, et je crois qu’il en a construit six en tout. La Chine a un de ces laboratoires. Nous en avons une dizaine aux États-Unis. Et Tony Fauci a commencé à financer le travail dans ces laboratoires. Eh bien, vers 2014, un tas d’accidents se sont produits dans ces laboratoires, des microbes se sont échappés. Et ainsi, trois cents scientifiques ont envoyé une pétition au président Obama le suppliant d’arrêter Tony Fauci et ses expériences avant que l’une de ses créatures ne s’échappe et cause une pandémie mondiale. Le président Obama a réagi et a ordonné à Tony Fauci et au NIH d’arrêter les études sur le gain de fonction. Tony Fauci a mis fin à environ vingt et une de ses études, mais il a continué à mener secrètement certaines des pires avec Ralph Baric, un scientifique fou de l’Université de Caroline du Nord. Puis il a pris la plus grande partie de l’argent destiné à la recherche sur les gains de fonctions, environ sept millions de dollars en tout, et il a commencé à financer le même type d’expériences très, très dangereuses dans le laboratoire de Wuhan, avec Zhengli Shi, une chercheuse connue sous le nom de « Bat Lady ». Elle avait participé aux recherches sur le SRAS en 2002, et était en fait une psychiatre. Mais elle aimait manipuler les animaux et avait le courage d’aller dans les grottes où vivent les chauves-souris, dans la province du Yunnan, dans des grottes connues sous le nom de grottes de Mojiang. Elle a commencé à collecter des chauves-souris là-bas et ils ont collecté des centaines et des centaines de chauves-souris et créé la plus grande collection de coronavirus au monde dans ce laboratoire à Wuhan.

Je sais que vous êtes belge, mais vous serez peut-être intéressée d’apprendre, et je pense que vous le savez, que le laboratoire de Wuhan a été construit par une société française appelée BioMérieux, dont le PDG s’appelle Stéphane Bancel. La société a été engagée pour construire un système de flux d’air négatif qui, à Wuhan, est une pièce essentielle de l’infrastructure pour assurer la sécurité, ce qui signifie que l’air ne sort pas. C’est l’un des éléments les plus critiques de l’infrastructure du laboratoire. Les Chinois avaient demandé à BioMérieux de le construire, mais ils ne l’ont jamais fait. Et Stéphane Bancell, qui était le PDG de cette société, est aujourd’hui le PDG de Moderna, la société qui, plus que toute autre, a profité de la pandémie, dont nous savons maintenant qu’elle provient presque certainement du laboratoire. Laissez-moi ajouter autre chose, car je sais que vous le sujet vous intéresse.

En 2000, Bill Gates a contacté Tony Fauci et lui a demandé de venir dans sa demeure à Seattle, dans l’État de Washington, une demeure de cent quarante-sept millions de dollars. Il a fait entrer Tony Fauci dans sa bibliothèque et tous deux se sont assis sur des fauteuils club avec un verre. Et Bill Gates lui a proposé un partenariat. Ce partenariat consisterait à collaborer tous les deux à une entreprise visant à vacciner le monde entier et à abolir toutes les maladies infectieuses grâce aux vaccins. Ce partenariat était très important pour Gates, car il essayait à l’époque de prendre le contrôle de la politique mondiale en matière de santé. Et pour ce faire, il avait besoin de l’aval d’un puissant responsable de la santé aux États-Unis qui pouvait lui donner de la crédibilité à l’étranger. Et Tony Fauci a fait deux choses. Premièrement, il a donné de la crédibilité à Gates et à son programme, deuxièmement, il a développé le vaccin dans son atelier du NIH. Et ensuite, Gates garantirait un marché pour ces vaccins à l’étranger. Et la troisième chose que Tony Fauci a fait… Il est très, très influent auprès du président des États-Unis. Il a donc obtenu du président Bush, le premier président Bush, qu’il engage 15 milliards de dollars pour l’Afrique.

[00:24:59] Il a donc pris toute l’aide étrangère des États-Unis. Et au lieu de la consacrer à la réduction de la pauvreté, il a dédié ces 15 milliards aux médicaments et vaccins contre le SIDA en Afrique. Cela crée une infrastructure dans tous les ministères de la santé en Afrique qui deviennent dépendants de ce flux venant des USA. Il a ensuite obtenu du président Clinton qu’il prenne le même engagement et qu’il aille voir ces présidents pour leur dire que le SIDA se développe en Afrique. Si nous ne le résolvons pas là-bas, il va se propager aux États-Unis et donc, nous devons le résoudre en Afrique. Mais en réalité, ce qu’il fait, c’est qu’il a des relations avec toutes ces entreprises pharmaceutiques qui, en fin de compte, reçoivent tout cet argent. Et parce qu’il fait la pluie et le beau temps, que c’est un courtier qui a le pouvoir de régir toute cette aide des États-Unis à l’Afrique, il jouit d’une énorme crédibilité dans toute l’Afrique auprès des ministères de la santé et lorsqu’il se rend là-bas avec Gates et dit, OK, voici mon nouveau gars, Gates avait automatiquement du cachet et de la crédibilité. Et c’est l’une des façons dont Gates a pris le relais.

SD : [00:26:20] Je peux vous arrêter 30 secondes ? Parce que je pense que j’ai quelques commentaires. En France… je pense qu’il serait vraiment intéressant de regarder l’implication plus étroite de la France dans le laboratoire de Wuhan. Je peux vous dire que le directeur de l’INSERM y est allé, officiellement avec Bancel à l’inauguration du bâtiment, le laboratoire et l’installation, et ils avaient un programme. Ils étaient donc là pour couper le ruban. L’INSERM est le plus grand institut de recherche de France en matière de santé. Et la femme de ce directeur de l’INSERM était ministre de la santé au début de la pandémie. Elle s’appelle Agnès Buzyn. Donc il y avait vraiment comme je pense que vous êtes assez impliqué. Elle a maintenant été accusée de mauvaise gestion, disons qu’elle est mise en examen pour ne pas avoir donné les bonnes informations, puis les mesures, etc. Donc elle a quitté son poste. Elle est maintenant promue à l’OMS, où elle assiste Tedros, où elle  bénéficie de l’immunité de responsabilité – vous ne pouvez pas les poursuivre en justice une fois qu’ils sont à l’OMS. En France, nous avons quelques scientifiques que vous connaissez peut-être, certains d’entre eux qui se sont vraiment penchés sur la question du virus.

[00:27:50] Et c’est aussi une de mes questions. Je sais que vous avez soutenu la vidéo  » Plandemic  » avec David Martin avec la recherche sur les brevets. (…) Nous avons ici quelques scientifiques, l’un d’entre eux s’appelle Jean-Bernard Fourtillan, qui essaient également d’examiner les brevets. Ils disent que l’Institut Pasteur a également des brevets sur les coronavirus et sur leur utilisation en tant qu’armes. On peut donc suivre plusieurs brevets d’une sorte de SARS-COV-1 à SARS-COV-2. Donc ce scientifique est apparu il y a 6 mois. Il est maintenant dans un institut psychiatrique. Il y a une grande censure et un grand silence et nous avons aussi, plus ou moins, exactement le même genre de mesures, l’hydroxychloroquine qui a été bloquée, et bien sûr, l’agenda des vaccins, etc. […] Avez-vous suivi également cette piste des brevets ? Est-ce qu’elle mène aussi à d’autres pays étrangers ? Parce que je crois vraiment que plusieurs pays ont participé, je dirais en Europe, certainement la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne.

RFK, Jr. : [00:29:13] Je sais, vous savez, les brevets sont un domaine intéressant et en ce moment, le NIH a un litige contre Moderna parce que Moderna a menti sur les brevets. Elle n’a pas divulgué quand elle a fait sa demande de brevet qu’elle avait reçu des fonds fédéraux et qu’à ce moment-là, Fauci avait investi 2,6 milliards de dollars de l’argent des contribuables dans les brevets et dans Moderna. Et Moderna n’a jamais révélé cela quand elle a déposé son brevet, ce qui est illégal aux États-Unis. Et il se peut que le contribuable américain soit en fait propriétaire des brevets. L’une des choses intéressantes à propos des brevets est que l’office des brevets a refusé à Moderna, à plusieurs reprises, un brevet, et lui a dit « Non, vous ne pouvez pas l’avoir ». Et puis Moderna est revenu à la charge le 29 mars 2019. Et a dit « il y a une urgence à ce que vous nous donniez immédiatement ce brevet ». C’est dans la demande de brevet, n’importe qui peut y accéder, et ça dit « vous devez nous donner le brevet en prévision d’une libération accidentelle ou délibérée d’un coronavirus amélioré ». Et quand est-ce que cela a eu lieu ? Quatre mois, cinq mois avant le coronavirus d’octobre. Le meilleur des meilleurs estime qu’il s’est échappé du laboratoire de Wuhan en octobre 2019.

[00:30:58] Donc… avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre… c’est sept mois avant l’apparition réelle du coronavirus. Ils connaissaient l’urgence, Ils ont insisté sur l’imminence d’un virus.

SD : [00:31:14] Donc merci. Vous êtes un peu en train de cartographier, vous venez de revenir sur le virus du VIH et tout le programme. Et quand je le regarde, il était très intéressant de voir que certains scientifiques au début, vous je suis sûr que vous savez, que ce scientifique appelé Jonathan Mann, qui était vraiment celui qui est sorti pour faire les appels pour le VIH et en faire une cause mondiale. Mais il l’a lié aux droits de l’homme. Mais si j’ai bien compris, à un moment donné, l’autre partie de l’OMS et d’autres personnes ont préféré avoir une approche différente de son approche des droits de l’homme. Il a donc été en quelque sorte écarté de la cause du sida. Et malheureusement, il est mort dans un accident d’avion. Un avion Swissair s’est écrasé, ce qui est vraiment rare, vous savez, pour un avion suisse de s’écraser. Et après cela, je crois savoir que Fauci et d’autres scientifiques, et je pense en particulier à un certain Peter Piot. Je ne sais pas si vous l’avez rencontré, c’est un Belge, mais c’est le numéro un, disons, en charge de la réponse à la pandémie au sein de la Commission européenne. [00:32:58] Il a donc été nommé et il dirige également l’Institut d’hygiène tropicale de Londres.

Tous ces scientifiques sont donc très impliqués ensemble depuis des décennies déjà sur le VIH. Et donc après ça, ils ont vraiment adopté une approche différente par rapport aux droits de l’homme et le tout s’est déplacé vers le programme des Nations Unies et le programme d’aide des États-Unis. Et je pense que c’est à ce moment-là que la banque est intervenue et que les épidémies sont devenues, d’une certaine manière un instrument géopolitique possible, et une tentative de gouvernance mondiale par le biais des politiques de santé, du contrôle des politiques de santé. Et je pense qu’ils ont commencé à avoir plus que seule la santé à l’esprit. Vous savez, c’est là que la Banque mondiale est intervenue, ainsi que le FMI, puis les entreprises pharmaceutiques. Mais je pense que c’est tout ce réseau de scientifiques spécialisés dans le VIH, ou pas seulement des scientifiques, disons des experts du monde entier, qui est maintenant aux commandes. Je dirais donc que ce sont tous les amis de Fauci.

RFK, Jr. : Fauci étant celui qui a popularisé le VIH. Luc Montagnier, qui a été le premier à isoler ou à associer le VIH, à identifier le VIH comme une cause potentielle du SIDA. Il a insisté sur le mot « potentiel ». Sa découverte a été volée par un scientifique américain qui était un ami de Fauci, Robert Gallo. Et Gallo a prétendu avoir fait la découverte, puis il y a eu une dispute et des procès qui ont duré de nombreuses années, et finalement Gallo a admis qu’il avait volé le virus à Luc Montagnier et qu’il avait trompé Luc Montagnier pour qu’il lui donne le virus. Tony Fauci, vous savez qu’avant cela, le VIH ou le SIDA était considéré comme un cancer. Il était associé au sarcome de Kaposi et la plupart des gens pensaient probablement que cela avait quelque chose à voir avec les drogues qui étaient prises, qui étaient associées au mode de vie gay, et en particulier les poppers, et à d’autres lésions environnementales. […] Tony Fauci n’avait aucune compétence sur ce type de maladie. L’Institut national du cancer était compétent en matière de cancers et, à l’origine, il s’agissait du VIH, mais lorsque Bob Gallo a dit « non, c’est un virus », Tony a répondu « d’accord, c’est un virus, donc nous l’avons, car nous sommes l’Institut national des maladies infectieuses ». Et c’est ainsi qu’il s’est emparé du VIH. Et puis le VIH a bénéficié de tous ces financements parce que l’activisme au sein de la communauté gay. Tony Fauci, tout d’un coup, est devenu un courtier de pouvoir. Il avait le plus gros budget fixé par le NIH. Et tout cet argent était à disposition.

[00:36:28] Et ainsi, Tony Fauci a pris le NIAID, son agence, qui est censé chercher l’origine de toutes ces maladies infectieuses, allergiques, auto-immunes et chroniques, au lieu de cela il l’a transformé en incubateur de produits pharmaceutiques. Le premier produit développé a été l’AZT, en collaboration avec GlaxoSmithKline, qui s’appelait à l’époque Wellcome Trust. Et ils l’ont développé et en ont fait le médicament le plus cher de l’histoire. C’était dix mille dollars par dose par an. […] La valeur des actionnaires de GlaxoSmithKline a augmenté de quelque chose comme 2,10 milliards de dollars dès qu’il a fait approuver ce médicament, qui est devenu un modèle pour ce qu’il a fait par la suite. Il a donc arrêté la recherche sur les maladies infectieuses et a commencé à développer des médicaments pour l’industrie pharmaceutique. Aux États-Unis, le laboratoire de Tony Fauci recherche des molécules efficaces contre différents virus, comme le coronavirus dans une boîte de Pétri, puis il dépose des gouttes de différentes molécules sur différents types de médicaments toxiques de chimiothérapie et d’autres médicaments existants, ou tout autre produit qui tue le coronavirus. Et s’ils trouvent quelque chose qui fonctionne, ils font des tests sur les animaux pour voir si ça tue les animaux et si ça tue le coronavirus mais pas les animaux, ils disent que c’est un médicament potentiel et ils font ça pour tout le monde, pas seulement pour le coronavirus, mais pour des centaines et des centaines de virus.

[00:38:24] Et ensuite ils l’envoient aux universités, à ce qu’ils appellent les PIs, qui sont appelés les investigateurs principaux dans les universités. Et c’est ce dont vous parlez, c’est ainsi qu’il contrôle tous les scientifiques du monde, parce qu’il y a dix mille PI et la plupart d’entre eux sont des scientifiques très importants qui sont les chefs de départements à Harvard, à Columbia, à Berkeley, à Oxford. Et ce sont des scientifiques très puissants. Pourquoi ? Car ce sont eux qui reçoivent l’argent. Tony Fauci leur donne d’énormes quantités d’argent. Il peut vous donner environ 200 ou 300 millions de dollars pour faire une étude dans l’année. C’est ainsi que cet argent finance un médicament. Les labs de Fauci s’assurent que la molécule ne tue pas l’animal mais tue le coronavirus. Ensuite, il le confie, disons, à Columbia. Le chef du département de Columbia conduit les essais cliniques (phase 1, phase 2, phase 3). Pour la phase 1, c’est un petit groupe de personnes, peut-être deux cents. Et chaque personne que le scientifique recrute pour l’étude, Tony Fauci, leur donnera 15 ou 20 000 dollars. La moitié de cet argent va à l’université.

[00:39:46] Donc maintenant l’université dépend de Tony Fauci. Donc l’université développe le médicament jusqu’à la phase 2, et si le médicament semble toujours fonctionner, ils le vendent à une société pharmaceutique comme Glaxo, Gilead, Johnson et Johnson, Merck, Pfizer. Et Tony Fauci garde sa part du brevet pour son agence, plus ses adjoints préférés qui obtiennent chacun des intérêts de brevet. Ces gars peuvent se faire 150 000 dollars par an avec chaque brevet qu’ils possèdent. C’est ainsi qu’il s’assure de la loyauté de tous au sein de son agence. Il peut donner à ces gars des brevets et ils font des tonnes d’argent ainsi et son agence peut garder la moitié des brevets comme ils l’ont fait avec le vaccin Moderna. Son agence possède la moitié des brevets. Ils gagnent ainsi des milliards et milliards de dollars. Il y a donc un conflit d’intérêt direct. Ensuite, l’université obtient une partie du brevet et le chercheur universitaire, le PI, obtient une partie des brevets, donc ils sont tous solidaires. Et il a 10.000 de ces gars-là dans le monde entier. Et qui sont ces gens ? Paul Offit, Peter Hotez, Arthur Caplan, tous ces scientifiques célèbres que vous voyez sur CNN et qui font la une des journaux, Andrew Pollard d’Oxford.

[00:41:29] Ces gens sont tous des PI de Tony Fauci. On les voit à la télé et ils ont l’air de gens très crédibles et responsables. Tony Fauci les possède dans le monde entier. Et que se passe-t-il s’il y a un scientifique universitaire dissident ? Disons qu’un jeune scientifique de l’université de Harvard, naïf, se dit : « vous savez quoi, je vais faire une expérience. Je vais faire une étude. Je vais prendre les dossiers sur la vaccination. Je vais regarder les dossiers médicaux des HMOs. Et je vais déterminer s’il y a un lien entre le diabète et le vaccin Hib, le vaccin contre l’hépatite B, l’autisme ou les allergies alimentaires. Je pense que ce sera une étude fondamentale ». Dès que Tony Fauci apprend l’existence d’une étude, un de ses larbins appelle le doyen de l’école de médecine de Harvard et lui dit : « si vous laissez ce type faire cette étude, nous allons mettre votre université en faillite. Nous allons vous faire fermer parce que nous ne permettons pas que cette étude soit réalisée ». C’est ainsi que Tony Fauci contrôle la science dans le monde entier. Son budget annuel est 13 fois supérieur au budget annuel de Bill Gates. Il est donc beaucoup plus puissant que Bill Gates donne quelques milliards par an. Tony Fauci donne 7,6 milliards par an.

[00:43:12] Tony Fauci se coordonne avec Gates et ils se coordonnent avec Wellcome Trust, qui est juste un énorme portefeuille d’actions pharmaceutiques qui est dirigé par Jeremy Farrar. Et tout ce qu’il fait est de servir les intérêts du paradigme pharmaceutique. Vous avez donc les plus grands bailleurs de fonds du monde qui fournissent probablement 90 % du financement aux entreprises pharmaceutiques et ils ne font pas de recherche sur l’origine des maladies. Ils font des recherches sur la façon dont nous développons les médicaments. Je vais vous dire une autre chose. Entre 2009 et 2016, plus de 200 médicaments ont été approuvés par la FDA dans notre pays et sont devenus des blockbusters nationaux et internationaux pour beaucoup d’entre eux, et 100 % de ces 200 médicaments sont issus de l’atelier de Tony Fauci. Il est donc le principal incubateur, de toute l’industrie pharmaceutique. C’est le type, vous savez, il n’est pas un régulateur. Il ne s’occupe pas de santé publique. C’est de la fiction polie pour dire que Tony Fauci s’occupe de santé publique ou Bill Gates s’occupe de la santé publique. Ils font la promotion des vaccins et des médicaments. C’est tout. Et ce sont ces types qui dirigent aujourd’hui les gouvernements de toute la planète. Et c’est effrayant pour nous car ils ne se soucient pas de la démocratie. Ils ne se soucient pas de la santé publique. Ils se soucient des profits, de l’industrie pharmaceutique et du contrôle de la population.

SD : [00:44:48] Ok, j’ai deux autres questions, donc je…

RFK, Jr : [00:44:51] J’ai seulement deux minutes de plus.

SD : [00:44:52] Ok, c’est injuste ! L’une d’entre elles est que vous savez, nous avons entendu qu’il y avait certains sénateurs, Rand Paul et d’autres sénateurs qui voulaient avoir une enquête sur Tony Fauci en rapport avec les fuites d’emails et le fait qu’il aurait parrainé…

RFK, Jr : [00:45:14] Le Président Biden, le 25 mai, a ordonné aux agences de renseignement de faire une enquête. Et cela va être très intéressant. C’est une enquête de 90 jours qui sortira le 25 août. Et nous espérons qu’elle sera publiée à peu près au même moment que mon livre.

J’aimerais demander à vos auditeurs qui veulent savoir comment ils peuvent aider notre mouvement : « achetez mon livre ». Et je tiens à dire que 100% des bénéfices de mon livre, qui s’appelle The Real Tony Fauci, pour lequel vous pouvez aller sur Amazon aujourd’hui et l’obtenir. 100% des bénéfices sont reversés à Children’s Health Defense, CHD, le fonds pour lequel je travaille, Senta travaille et tous les autres avocats qui travaillent pour nous dans le monde entier. Je pense que nous avons déjà pré-vendu environ 5000 livres. Si nous pouvons pré-vendre 10000 livres avant sa sortie, il devient automatiquement numéro un sur la liste d’Amazon, du New York Times et de toutes ces autres listes. Et ce qui se passe ensuite, c’est que les libraires le déplacent à l’avant du magasin. Il y a tout un tas d’effets en cascade. Plus les gens connaissent Tony Fauci et savent pourquoi il est arrivé là où il est, plus notre mouvement est fort. Si vous voulez aider ce mouvement, faites vos achats de Noël maintenant, allez sur Amazon aujourd’hui, achetez un tas d’exemplaires du livre pour vos amis, pour votre famille. Et comme je l’ai dit, tous les bénéfices vont à CHD, à 100%. Vous aidez aussi beaucoup le mouvement parce que le livre va se retrouver au top de la liste des best-sellers et les distributeurs sont alors obligés de l’y mettre. Ils le mettent dans toutes les librairies des aéroports et dans les librairies du monde entier. Et de plus en plus de gens pourront le voir. et cela donne de la crédibilité et du sérieux à notre mouvement.

SD : [00:47:25] Est-ce qu’il y aura des traductions, Bobbie ? Est-ce que le livre existera dans d’autres langues ?

RFK, Jr : [00:47:32] Oui, nous allons traduire. Il sera traduit.

SD : [00:47:35] Ok, c’est intéressant pour nous en Europe.

RFK, Jr : [00:47:39] Vous savez, que CHD et The Defender sont en cinq langues. Nous sommes un mouvement global; nous devons parler aux gens dans beaucoup, beaucoup de langues.

SD : [00:47:54] Je demande donc que la prochaine fois nous parlions de Bill Gates, car il y a beaucoup à dire là aussi.

RFK, Jr. : [00:48:02] La moitié du livre est sur Bill Gates, l’autre moitié sur Tony Fauci. Donc si vous voulez connaître la vérité sur Bill Gates, achetez le livre !

SD : [00:48:14] Oui. A propos de son lien avec Epstein (…) Je vais en parler très rapidement et ce sera une piste pour une autre interview. […] En 1987, Bill Gates était déjà avec Jeffrey Epstein au conseil d’administration de l’organisation caritative gérée par Apollo management, vous savez, en lien avec la CIA et le Mossad. Ce qui est intéressant pour nous, Européens, c’est qu’en 2013, je viens d’en entendre parler par un autre journaliste, en 2013, donc après qu’Epstein ait été condamné, etc. […] et que tout le monde savait qui il était, ils [Gates et Epstein] ont visité ensemble le Parlement européen à Strasbourg pour se renseigner sur les politiques de santé en Europe. Et puis, vous savez. Il faut se poser des questions, pourquoi Jeffrey Epstein voyage-t-il avec Bill Gates, qui à l’époque n’était pas impliqué dans l’OMS….

RFK, Jr : [00:49:15] Envoyez-moi les preuves de cela ?

SD : [00:49:19] Oui, bien sûr. C’est pour la prochaine interview alors.

RFK, Jr : [00:49:23] Merci Senta: Merci de m’avoir reçu. Et merci pour tout le travail, l’incroyable travail que vous faites. Rendez-vous sur les barricades.

SD : [00:49:36] Merci beaucoup. Et je suis très fière de faire partie du CHD, merci.

RFK, Jr : [00:49:42] Nous sommes fiers de toi Senta. Merci.




Inde : plainte pénale déposée contre GAVI, Bill Gates, Fauci… Peine de mort encourue

[Source : francesoir.fr]

[Voir aussi : Inde : condamnation à mort possible pour la scientifique de l’OMS après avoir déconseillé l’Ivermectine]

Auteur(s): FranceSoir

L’Indian Bar Association (Association des Avocats Indiens) a adressé un courrier au Premier ministre de l’Inde Shri Narendra Modi et au ministre de l’Intérieur Shri Amit Shah, qui les invite à prendre note de la plainte DHLTH/E/2021/09973 en date du 1er juillet 2021 déposée par le Secrétaire général du Conseil de sécurité des droits de l’homme (HRSC) M. A. Shaikh, contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et d’autres.

Cette plainte les invite à prendre des mesures immédiates contre les accusés et à émettre des directives appropriées aux autorités légales pour qu’elles examinent l’affaire et prennent des mesures immédiates. Cela fait suite aux deux mises en demeure que l’IBA a envoyées à l’OMS (contre le Dr Soumya Swaminathan ainsi que Tedros Ghebreyesus) qui sont à ce jour restées sans réponse.

L’avocate Dipali Ojha explique cela en détail dans son debriefing.

La plainte de 132 pages enjoint les ministres à considérer en urgence la situation et surtout la « gravité » ou « extrême gravité »

des questions qui sont posées qui ne concernent pas seulement les citoyens indiens, mais aussi la sécurité, la survie et le bien-être de l’humanité tout entière.

Cette plainte annoncée et attendue prend en considération les éléments de réponse à la gestion d’une épidémie (les quatre piliers listés par le Pr McCullough) ainsi que les publications de diverses associations de médecins (FLCCC, AFLDS, IHU) en faveur des traitements précoces qui sont une alternative à la vaccination de masse, dixit Pierre Kory. Ceci est corroboré par le retour d’expérience de nombreux médecins indiens dans les Etats ayant mis en place les directives du ministère de la Santé sur l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Au sein de cet immense pays, on a pu observer l’effet de la vaccination de masse ainsi que celui des traitements précoce et prophylactique des Indiens, afin de gérer au mieux l’épidémie. Les Indiens ont subi les mêmes effets de censure, de suppression du « narratif » et des données scientifiques que ceux observés dans d’autres pays. Le summum étant une agence de santé (DGHS) périphérique qui a supprimée les traitements précoces alors qu’elle n’avait jamais exprimé d’opinion auparavant à ce sujet, démontrant la capture probable de certaines autorités par des influences externes. Rappelons que le ministère de la Santé a conservé les traitements précoces dans ses recommandations et est le seul compétent.  A l’inverse de la France, les autorités sanitaires (ministère) ont défendu par deux fois leur position en faveur des traitements précoces, remettant en cause les avis de l’OMS contre des associations d’avocats dont les commanditaires ne sont pas identifiés.

Le périmètre et les demandes de la plainte sont clairement établis :

  1. une orientation immédiate pour la mise en œuvre du 72e rapport de la Commission parlementaire et des recommandations d’enquête et de poursuite des membres du bureau du « philanthrope toxique » et de la Fondation Bill & Melinda Gates du Syndicat des vaccins (GAVI) et des responsables concernés du Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) qui sont considérés responsables de la mort de huit filles suite à l’usage de vaccins non autorisés, illégaux et non approuvés;
  2. une directive immédiate au Bureau central d’enquête (CBI) pour l’enregistrement du premier rapport d’information (FIR) pour enquête et action stricte (en vertu des articles 115, 109, 302, 307, 304, 419, 420, 471, 474, 188, 505, r / w 120 (B) &34 de l’IPC & sections de la loi de 2005 sur la gestion des catastrophes et d’autres dispositions des actes spéciaux contre tous les éléments contre l’intérêt national, contre l’humanité, et bio-terroristes) sur les « Groupements Pharma», « Groupement Tech » et les « Cyber Harceleurs » qui sont impliqués dans des infractions contre l’humanité entière entrainant un génocide, causés par leurs actes de commission et d’omission liés à la pandémie de Covid-19.
  3. des ordonnances avec effet immédiat aux autorités concernées :
    • i) émettre des avis de garde à vue et des mandats d’arrêt contre l’accusé dont l’implication est prouvée à première vue ;
    • ii) D’engager une action en saisie conservatoire de tous les accusés et de leurs sociétés ;
    • iii) Commencer l’interrogatoire de l’accusé en détention ;
    • iv) Effectuer un test de détection de mensonges, un test de cartographie cérébrale, un test narco de tous les accusés principaux tels que le Dr Soumya Swaminathan, le Dr Randeep Guleria, M. Arvind Kejriwal Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, le Dr Anthony Fauci, Bill Gates, Mark Zuckerberg, Jack Dorsey et d’autres.
  4. des directives immédiates à toutes les autorités pour
    • i) examiner sérieusement le Livre blanc de l’association American Frontline Doctors (AFLDS) sur le Covid-19 et les vaccins expérimentaux.
    • ii) ne forcer personne à se faire vacciner et se conformer strictement à l’arrêt de la Cour suprême et de diverses hautes cours concernant le droit fondamental de chaque citoyen à choisir son traitement.
    • iii) informer le public des dangers réels du vaccin.
    • iv) informer le public sur les autres médicaments éprouvés, sûrs et plus efficaces.
    • v) ne pas répandre la peur d’une nouvelle vague sans vérifier les preuves scientifiques.
  5. une directive appropriée selon le rapport soumis par le Comité d’experts au bureau du Premier ministre avec des recommandations de ne pas administrer de vaccins sur les personnes qui se sont rétablies de l’infection à Covid-19 et qui ont développés des anticorps.
  6. Des directives immédiates pour fournir une protection à tous les dénonciateurs et à leurs témoins qui ont déjà exposé et continuent d’exposer le Syndicat comprenant BIG PHARMA, BIG TECH et BIG SCIENCE.
  7. Direction pour la constitution d’un comité d’enquête distinct concernant le vent de la panique soudain pendant la deuxième vague de coronavirus en Inde, qui a été alimenté par des reportages incessants dans les médias sur la pénurie d’oxygène. Et pourquoi ledit battage médiatique a disparu dès l’apparition de l’enquête sur le ‘Tool Kit’ (kit contre la covid) a été commencée par la police de Delhi.

Accusation principale de complot contre les accusés

La plainte (paragraphe 26) porte contre tous les accusés qui sont tenus de répondre à l’accusation principale sur la base des documents, de preuves et de preuves de nature remarquable :

Le principal accusé Bill Gates et ses alliés de GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination) ont ourdi un complot visant à créer un marché fixe pour leurs vaccins et autres médicaments et dans ce complot, ils se sont joints à d’autres accusés. 

Les autres sont Dr Anthony Fauci, conseiller médical en chef du président des États-Unis, M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef à l’OMS, Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, Jack Dorsey, PDG de Twitter, Steve Chen, Chad Hurley et Jawed Karim, YouTube (Google), Arvind Kejriwal, Ministre principal, Delhi et que les autres personnes citées dans l’annexe T13 ou celles qui pourraient être accusés après enquête approfondie.

Au paragraphe 26.3, on peut lire que les accusés ont commis un acte public dans la droite lignée d’un complot. Ils sont accusés par des actes de commission et d’omission, d’avoir :

  • i) créé de fausses données.
  • ii) supprimé et dissimulé de manière malhonnête des données réelles.
  • iii) distordu des faits importants.
  • iv) créé un narratif et un complot.
  • v) mis en place des politiques « préméditées » sur YouTube, Twitter, Facebook, etc. pour supprimer la vérité et empêcher l’information réelle de se propager
  • vi) supprimé des informations originales et scientifiques de plateformes telles que YouTube, Twitter et d’autres sur la base de « fausses politiques et conditions générales » allant à l’encontre des données scientifiques.
  • vii) publié des « vérification de faits » fausses et sponsorisées afin d’aller à l’encontre de la vérité et par la même d’entraîner la confusion dans l’esprit du public ; cela avait pour but de décourager les personnes, les scientifiques et les médecins qui possèdent des données scientifiques.
  • viii) réussi à « capturer » les agences de santé gouvernementales de nombreux pays pour obtenir les politiques et les règles formulées en fonction de leurs objectifs inavoués.
  • ix) entraîné la mort de personnes en s’assurant que ceux-ci ne devraient pas accéder ou obtenir les médicaments facilement disponibles, sûrs et abordables tels que l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, la vitamine D3, etc. et ayurvédique ainsi que les traitements naturopathes.
  • x) généré la peur dans l’esprit des gens afin que le vaccin puisse être présenté comme la seule alternative pour traiter et ainsi sauver les gens ; facilitant ainsi la voie à une autorisation d’utilisation en urgence (EUA) du vaccin non approuvé.         
  • xi) supprimé les données sur les effets dangereux du vaccin ainsi que l’usage de nombreux médicaments « ad hoc » couvrant ses effets.
  • xii) dévoyé, dissimulé ou supprimé les données sur l’inefficacité des vaccins et la mort de nombreuses personnes et de nombreux médecins. Ceci a entraîné des pertes de repères des gens causés par les sophismes des « hommes de paille ».
  • xiii) sous-déclaré les décès dus aux vaccins au travers de la création de règles à leur convenance.
  • xiv) essayé d’aller à l’encontre de la science réelle à l’aide de la rhétorique, c’est-à-dire la fausse science portée par les sophismes « de l’homme de paille », la malhonnêteté intellectuelle et les théories du complot pseudo-scientifiques.
  • xv) en outre, le cerveau de la conspiration et chef du Syndicat des vaccins M. Bill Gates a déjà été reconnu coupable d’essais illégaux et non autorisés de vaccins et d’avoir causé la mort de huit filles. Dans son 72e rapport du 28.08.2013, la Commission parlementaire de l’Inde Rajya Sabha a déjà recommandé une action en justice contre les membres du bureau de la Fondation Bill &Melinda Gates , des responsables de l’ICMR et d’autres accusés divers responsables de ces crimes odieux contre l’humanité.
  • xvi) tous les accusés étaient et sont bien conscients que par leur acte de commission et d’omission, ils vont causer la mort de millions d’innocents. Cependant ils ont choisi l’argent plutôt que les valeurs humaines. Ce sont eux les délinquants de l’humanité. Ils sont coupables de génocide. Ils ont commis des meurtres de masse avec sang-froid.

Ils ont enlevé les moyens de subsistance de l’homme du peuple et ont fait un enfer de la vie des pauvres. En raison de leurs conspirations, de nombreuses personnes qui ont réussi à survivre en prenant leurs médicaments toxiques souffrent maintenant d’effets secondaires graves ayant rendu leur vie misérable.

Ils ne méritent aucune sympathie ou indulgence. Sinon, ce sera une injustice pour toutes les victimes et une injustice pour toute l’humanité.

La peine minimale dans ce cas sera :

a) la peine de mort
et
b) La saisie de tous leurs biens meubles et immeubles et leur distribution égale à tous les peuples du monde.

D’autres questions importantes sont aussi mentionnées dans la plainte au paragraphe 2 mais suivent les mêmes bases qui comprennent la mise en cause des tests PCR, la censure et l’impossibilité pour les médecins d’échanger sur les réseaux sociaux sans risquer la censure.

La plainte a été déposée le 1er juillet 2021 et signée par la représente de l’association Me Dipali Ojha.

La plainte complète est disponible ci-après : Plainte [PDF]

www.indianbarassociation.in

Auteur(s): FranceSoir




Fauci, OMS, Wuhan… la télévision australienne crève l’abcès

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Sky News Australia]

Auteur(s) : FranceSoir

Dans une nouvelle vidéo, Sky News Australia fournit de nouvelles informations sur l’origine du virus, brisant les mensonges jusqu’alors proférés par les principaux acteurs concernés par cette question : 

  • Le laboratoire de Wuhan était à l’origine un centre de coopération internationale mais les français ont rapidement été mis à la porte, une fois la construction du laboratoire achevée. Les Chinois ont donc mené leur recherche à l’abris des regards du gouvernement et des services de renseignements français.  
  • Le manque de sécurité du laboratoire était connu. Le directeur adjoint du laboratoire, Song Donglin, a d’ailleurs admis n’avoir aucune expérience dans le domaine de la biosécurité. 
  • Il y avait effectivement des chauves-souris vivantes dans le laboratoire, comme le montrent les images dans la vidéo. Pourtant, Peter Daszak, zoologiste britannique qui faisait partie du groupe des dix experts, a nié ces faits : « C’est une théorie du complot largement répandue. […] Il n’y a pas de chauves-souris vivantes ou mortes à l’intérieur. Il n’y a aucune preuve nulle part que cela soit arrivé. C’est une erreur qui, je l’espère, sera corrigée. » 
  • Des expériences, appelées « gain de fonction », étaient menées dans le laboratoire pour rendre les virus plus infectieux et plus virulents. Celles-ci avaient pour objecitf de prévoir lesquels pourraient causer une pandémie. 
  • L’implication de Daszak dans l’enquête de l’OMS pour connaître l’origine du virus est un conflit d’intérêt puisqu’il a organisé, rédigé et signé la lettre du Lancet affirmant que l’idée d’une fuite du laboratoire était une théorie conspirationniste. L’OMS est donc à l’origine de la désinformation sur la fuite du laboratoire.

Pour en savoir plus, regardez la vidéo de Sky News Australia, traduite en français par Jeanne, bien connue de nos lecteurs :



Auteur(s) : FranceSoir




Les témoignages des drames post-vaccination s’accumulent chaque heure

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

HALTE A LA VACCINATION COVID DES ENFANTS ! STOP DESINFORMATION  MEDIATIQUE(([1] Un groupe de médecins accuse la BBC de diffuser des déclarations simplistes et biaisées sur la vaccination des enfants – Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) ))

Un nouveau cri d’alarme !

En attendant que les médias fassent leur travail comme cela commence en Allemagne avec le journal Bild(([2] https://youtu.be/dgvmHdttEEc)) qui fait son mea culpa ou en Irlande où un grand journal titre sur les morts de la vaccination,(([3] https://twitter.com/i/status/1405256231778926599)) combien faudra-t-il d’articles, de vidéos pour informer nos concitoyens de l’horreur de cette substance génique appelée vaccin, sans en avoir les caractéristiques, à l’intérêt nul pour les enfants qui ne risquent rien du covid et ne transmettent pas le virus, dont les risques sont loin d’être négligeables, en particulier cardiaques ?

Même l’agence du médicament français ANSM enquête sur le lien entre myocardites et thérapie génique. Quand on connait leur lenteur à la détente, il y a de quoi être inquiet…(([4] Cas de myocardite : l’ANSM retient un “rôle possible” du vaccin Pfizer (europe1.fr) ))

La litanie quotidienne du frère ou du copain moqueur fier de se vacciner et mort six semaines plus tard, des personnalités qui ont vanté le pseudo-vaccin à la télé italienne américaine anglaise ou française qui disparaissent brutalement d’une crise cardiaque… Deux présentateurs de la télévision britannique, un espoir du tennis de 12 ans, un mannequin et une célèbre youtubeur handicapé féru de sport et suivi par 260.000 personnes qui avait fait la pub du vaccin il y a quelques semaines, meurent brutalement de crise cardiaque et même un footballeur de l’Inter de Milan, danois qui s’écroule sur le stade et s’en tire avec un défibrillateur. Quel sera son avenir sportif, et les assurances vont -elles l’indemniser à hauteur de ses pertes financières ?  Ce jour une infirmière argentine meurt brutalement quelques jours après le vaccin et presque toujours le même scénario brutal.

Hasard ? Coincidence me dira-t-on ? Ça commence à faire beaucoup et s’additionne aux chiffres des agences comme le Vaers aux USA, l’EMA, l’ANSM, ou anglaise.(([5] How can the UK Gov. make these mandatory ? – 20th update on Adverse Reactions to the Covid Vaccines shows 949,287 Adverse Reactions & 1,332 Deaths – Daily Expose))

LA PROPAGANDE DE LA BBC MISE EN CAUSE

Le cri d’alerte du jour succédant aux appels de collègues américains en particulier est celui d’un groupe de médecins britanniques accusant  la BBC de diffuser des déclarations simplistes et biaisées sur la vaccination des enfants (juin 17, 2021). Ils demandent à tous de diffuser largement leur lettre ouverte.

La UK Medical Freedom Alliance a envoyé cette lettre ouverte  au Professeur Devi Sridhar concernant l’épisode de BBC Newsround (7 juin 2021) faisant la promotion de la vaccination Covid pour les enfants.

La UK Medical Freedom Alliance a envoyé cette  lettre de plainte au professeur Sridhar en réponse aux déclarations qu’elle a faites dans l’émission BBC Newsround, diffusée dans la plupart des écoles britanniques, qui comprenait plusieurs affirmations fausses ou trompeuses. Par exemple, les vaccins Covid-19 seraient sûrs à 100 %,  les enfants devraient se faire vacciner pour protéger leurs parents et  les avantages pour les enfants seraient supérieurs aux risques.

INVRAISEMBLABLE TRIPLE MENSONGE : les pseudo-vaccins sont dangereux, incapables d’empêcher les transmissions et les enfants ne transmettent pas le covid.

L’injection ne protègerait pas leurs parents, si même il était éthique de leur demander cela, mettre leur vie en péril pour un risque mineur de maladie pour leurs parents jeunes à risque infiniment faible de mourir du covid.

« Présenter un message aussi simplifié et biaisé est, à notre avis, profondément irresponsable, relève de la propagande et a un impact négatif sur le processus de consentement pleinement éclairé. Nous avons demandé au professeur Sridhar de retirer immédiatement l’intégralité de son message et de présenter des excuses publiques claires pour avoir déformé les faits relatifs aux problèmes de sécurité des vaccins Covid-19 chez les enfants. »

Veuillez partager cette lettre aussi largement que possible sur vos canaux de médias sociaux et avec les journalistes, les médias, les célébrités et autres. Merci pour tous et en particulier les enfants.

Lettre ouverte de l’Alliance britannique pour la liberté médicale adressée à :
Professeur Devi Sridhar concernant l’épisode de 
BBC Newsround (7 juin 2021) sur les vaccins anti-covid pour les enfants.

“Nous aimerions partager avec vous notre lettre ouverte à la MHRA datée du 7 juin 2021 concernant les vaccins Covid-19 pour les enfants.(([6] UKMFA Urgent Open Letter to the MHRA re Emergency Authorisation of the Pfizer Covid-19 vaccine for Children (ukmedfreedom.org)
60c886afa15a510c85059d51_UKMFA_Open_Letter_Devi_Sridhar.pdf (childrenshealthdefense.eu) ))

Cette lettre est une réponse à votre récente apparition sur BBC Newsround, où vous avez fait plusieurs déclarations qui ne sont absolument pas soutenues par des preuves scientifiques.

Les préoccupations sont principalement liées, mais pas limitées, aux points suivants :

« Vous déclarez que l’avantage du vaccin pour les enfants serait qu’ils n’auraient alors « pas à s’inquiéter de Covid-19 ». Les enfants sont déjà dans une position où ils n’ont pas à s’inquiéter du Covid-19, car le risque pour eux est proche de zéro.

Vous affirmez qu’un autre avantage serait qu’ils sont alors susceptibles de ne pas infecter leurs parents.

Les enfants ne jouent pas un rôle majeur dans la transmission, et les essais réglementaires ne prouvent pas non plus que les vaccins empêchent la transmission.

Il s’agit clairement d’une déclaration destinée à provoquer une réaction émotionnelle de culpabilité suivie d’un sentiment de devoir, et en tant que telle, il s’agit de propagande plutôt que de conseils factuels.

Vous affirmez que le principal inconvénient du vaccin est qu’il s’agit d’une « autre injection dans votre bras ».

Il s’agit d’une déformation grossière des risques connus et inconnus d’effets indésirables graves potentiels des vaccins Covid-19 pour les enfants.

Nous sommes sûrs que vous savez que le CDC aux Etats-Unis a convoqué une réunion d’urgence, spécifiquement pour discuter des centaines de cas de myocardite survenus chez des jeunes après la vaccination(([7] https://www.dailymail.co.uk/news/article-9672233/The-Latest-WHO-warns-delta-variant-hold-Europe.html))

Des effets potentiellement mortels et des décès ont été signalés chez de jeunes adultes et des enfants aux Etats-Unis et en Israël, ce à quoi vous ne faites pas du tout référence.

Vous trouverez les références pertinentes à tous ces points dans notre lettre ouverte.

Dans la situation actuelle, marquée par l’incertitude et la peur, le public se tourne vers les professionnels pour obtenir des conseils équilibrés.

Présenter un message aussi simplifié et biaisé est, à notre avis, profondément irresponsable. Lorsqu’il s’adresse spécifiquement à un groupe d’enfants vulnérables, il est impardonnable.

Nous notons que la version actuellement accessible de votre déclaration sur Newsround a déjà été expurgée, car vous avez initialement affirmé que le vaccin Pfizer-BioNTech était sûr à 100 %.

Vous deviez être conscient que le fait de déclarer toute intervention médicale sûre à 100 % sape la crédibilité de quiconque.

Modifier un article après qu’il a déjà été diffusé et visionné par un très grand nombre de personnes et d’enfants, sans explication ni excuses publiques, est très irrégulier. Le commentaire à la fin de la transcription écrite, se contentant de noter une correction, ne touchera pas la majorité du public qui a entendu et assimilé votre affirmation initiale.

Nous vous demandons donc de retirer immédiatement l’intégralité de votre message et de présenter des excuses publiques claires pour avoir déformé les faits relatifs aux problèmes de sécurité des vaccins Covid-19 chez les enfants”.

14 juin 2021

« Nous demandons que votre rétractation et vos excuses soient diffusées aussi largement que votre message initial, et plus particulièrement à toutes les écoles où ce matériel a pu être montré à des enfants.

Nous attendons une réponse confirmant que vous avez pris les mesures appropriées, ou justifiant les raisons pour lesquelles vous ne l’avez pas fait.

Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.
Alliance britannique pour la liberté médicale www.ukmedfreedom.org

Cc : BBC
Rt. Hon. Gavin Williamson – Secrétaire d’Etat à l’Education
Rt. Hon. Oliver Dowden – Secrétaire d’État au numérique, à la culture, aux médias et aux sports Shirley-Anne Somerville – Secrétaire d’État écossaise à l’éducation et aux compétences » 

En conclusion

Les témoignages de drames post vaccination y compris chez des enfants s’accumulent chaque heure… Il suffit d’ouvrir Tweeter ou Telegram pour trouver une nouvelle histoire tragique de parents ayant perdu leur fils de 32 ans pour rien et qui veulent alerter sur les réseaux sociaux faute de pouvoir s’exprimer sur les grandes chaines de télévision.

Tous ceux qui participent à la désinformation auprès des enfants et de leurs familles porteront le poids de ces décès, mais aussi de ces enfants devenus invalides à vie, pour RIEN, pour soutenir inconsciemment le projet funeste de quelques milliardaires contre l’Humanité.  Tous  ceux qui par leur silence contribuent à l’accumulation de nouvelles victimes.

Les responsables commencent à être mis en cause comme le Dr Fauci dont le Sénat américain demande le licenciement dans une nouvelle conférence de presse.(([8] https://youtu.be/UYVAZkXcYOg)) Nous y reviendrons, mais personne ne peut être sûr de son impunité. Tous les tyrans tombent un jour. Tâchons de limiter le nombre de victimes dans cette attente.

Nicole Delépine





Arrêt des essais hydroxychloroquine : ce que révèlent les archives

[Source : francesoir.fr]

Quand on apprend que la souveraineté sanitaire des Français repose sur une étude britannique qui n’a pas été vérifiée ni validée par les autorités sanitaires…

L’accès aux documents administratifs : un parcours du combattant

Alors qu’aux Etats-Unis, plus de 5000 pages d’emails du Pr Fauci ont été obtenus et publiés sur Internet au travers d’une demande FOIA (Freedom of Information Act), en France, obtenir les documents administratifs est un parcours du combattant. Les demandes d’un citoyen et de l’association BonSens.org auprès de l’ANSM (Agence nationale de la sécurité du médicament) sur les échanges sur les essais cliniques de l’hydroxychloroquine n’avaient pas été suivie d’effets. L’association et le citoyen qui en est membre ont donc décidé de faire une action devant le tribunal administratif de Montreuil par l’intermédiaire de Me Jean-Charles Teissedre.

En France la CADA (Commission d’accès aux documents administratifs) permet à toute personne d’obtenir les échanges et documents administratifs. Une simple demande sur internet suffit. Cependant, il arrive que les administrations ne répondent pas. Dans ce cas là, une procédure au tribunal administratif peut être initiée – c’est ce qu’ont fait le citoyen et l’association afin d’obtenir des documents sur les échanges administratifs ayant mené à la suspension puis à l’interruption des essais avec l’hydroxychloroquine. Un an pour obtenir ces documents. Un processus long et douloureux qui ne les a pas rebutés.


 

Des documents sont caviardés de manière partielle

Suite à la publication de l’étude Mehra dans le Lancet le 22 mai 2020, le ministre de la Santé, comme il l’annonçait dans un tweet le samedi 23 mai 2020, avait saisi les autorités compétentes pour évaluer l’impact de cette étude – qui fut retractée quelques jours après. Il est donc fort intéressant de comprendre ce qui s’est passé et comment les diverses administrations ont interprété cette étude.

Les 27 documents obtenus retracent principalement des échanges inter administration (Inserm, DGS et les investigateurs en chef des diverses études). Au-delà du fait que certains noms ont été enlevé alors que d’autres subsistent visuellement, il est ici difficile d’établir la règle de caviardage utilisée. Un point que pourrait soulever Me Teissedre lors de l’audience au tribunal administratif.

Un échange a attiré notre attention : celui en date du 9 juin 2020, qui retrace l’historique de la suspension de l’hydroxychloroquine des divers essais. Rappelons que de nombreux médecins ont déclaré que l’hydroxychloroquine était suspendue des essais suite à sa non-performance dans l’étude Solidarity qui regroupait l’étude Discovery – Discovery est la grande étude francaise dont les mérites avaient été vantés par le président de la République qui s’était avancé à dire que des résultats viendraient début mai 2020. En octobre, toujours rien.

Un rapide historique permet de rappeler que l’hydoxychloroquine a été suspendue des essais cliniques Solidarity, Hycovid, Covidoc, tout d’abord suite à l’étude du lancet vers le 25 mai 2020, avant d’étre réintégrée et d’être de nouveau suspendue à la lumière des résultats de l’étude britannique Recovery dont de nombreux chercheurs et FranceSoir contestent les résultats. Les résultats sont contestés du fait du surdosage en hydroxychloroquine (quatre fois la dose préconisée par le Pr Raoult) et de l’administration à des patients hospitalisés dans un état grave alors que le Pr Raoult l’utilise en traitement précoce pour prévenir l’hospitalisation.

Le 18 juin 2020, on pouvait lire dans le journal Ouest-France :

Depuis cette suspension, fin mai, la revue The Lancet, à l’origine de l’interruption d’essais cliniques dans le monde entier, avait pris ses distances avec son étude désormais controversée sur l’hydroxychloroquine, finalement rétractée. Face aux critiques, l’OMS (Organisation mondiale de la santé) avait finalement décidé d’arrêter les essais cliniques sur l’hydroxychloroquine.

Dans les documents de l’ANSM au sujet des essais cliniques hydroxychloroquine, tout semblait aller bien en France avec des signaux d’efficacité.

Cependant dans les documents on perçoit un intense lobbying de Reacting et de Jerome Salomon, le directeur général de la santé (DGS). Dès le 8 juin 2020, Reacting, Bichat et Discovery avaient décidé la non reprise des essais avec l’hydroxychloroquine. Tout allait bien, comme en atteste le résumé extrait d’un courrier non signé (nom caviardé) du 9 juin au directeur de l’ANSM Dominique Martin.

Document dont la signature et le nom du signataire ont été enlevés alors que subsistent les noms des personnes en copie.

Le DSMB (Data safery monitoring board), controleur de l’étude écrivait encore que le 3 juin 2020 que l’on pouvait continuer les inclusions et ce malgré l’étude frauduleuse du Lancet.

Pour les autres études comme Hycovid à son arrêt, elle comptabilisait 4,72% de décès dans le bras HCQ et 7,14% dans le bras placebo. L’écart était non significatif à ce stade, cependant l’essai a été arrêté après l’inclusion de 250 patients alors qu’il devait en compter 1300. En faisant l’hypothèse que l’on garde les même ratios de décès dans le bras HCQ et le bras placebo sur la base de 1300 patients, on a une différence significative. 

De plus les résultats de cette étude doivent être pris avec beaucoup de circonspection car la pratique du « cherry picking » (selection des données ou des résultats) est tel que le collectif citoyen avait publié un article expliquant les biais de cette étude. « Avec azithromycine: des résultats tellement bons qu’ils sont omis. » Et avait écrit :

Il est primordial de réinformer les français sur l’état des recherches sur l’hydroxychloroquine et l’azithromycine : car si un traitement efficace existe, il n’y a  besoin ni de reconfinement, ni de masques ni de vaccin…

Les résultats de l’étude Discovery tarderont à venir avant d’être intégrés dans l’étude solidarity avec des problèmes de différences de dosages et de type de patients.

Ce qui attire l’attention est le paragraphe 2 du courrier qui indique que le 5 juin 2020, l’étude britannique Recovery montrait aucun bénéfice de l’hydroxychloroquine pour les patients hospitalisés, entrainant ainsi la continuité de la suspension de l’hydroxychloroquine, puisqu’en conséquence au résultat de cette étude, le 5 juin, le comité de contrôle de Discovery décide malgré les avis précédents positifs de « maintenir la suspension temporaire du bras hydroxychloroquine »

Il n’y a pas d’autres explication ni analyse qui sont détaillées. Le surdosage en hydroxychloroquine dans l’étude Recovery n’est pas évoqué (2400mg le premier jour vs 800mg pour Discovery). Pas plus que l’état des patients ni les autres biais éventuels de l’étude. C’est donc une erreur importante de la recherche française que de se précipiter et d’utiliser le résultat de l’étude Recovery sans tout d’abord en tirer la quintessence ou d’en analyser l’applicabilité à la recherche française. Les ratios de risques ou taux de mortalités bien différents (plus de 25% de décès dans le bras HCQ de Recovery et pareil dans le bras placebo). Ce simple élément aurait du attirer l’attention des contrôleurs ou des autorités scientifiques avant de se prononcer sur la continuité d’une suspension. Surtout que dans les échanges on peut aussi noter que les investigateurs de Hycovid avait écrit pour faire des suggestions sur l’inclusion d’autres patients par exemple des patients des ephads. Ces derniers ont eu un fin de non-recevoir pour des raisons de sécurité – qui ne sont toujours pas justifiées par des faits.

L’Inserm qui se targue de mettre en place une recherche et une médecine « basée sur les preuves » commet donc de nombreuses erreurs ici pour la souveraineté sanitaire des Français, et surtout aucune preuve n’est apportée sur l’applicabilité de l’étude Recovery aux Français. Ils ont tout simplement pris pour argent comptant les résultats. Une véritable faute qui demande explication complète et indépendante. Comme pour Recovery, il serait utile qu’une commission d’experts indépendants reprennent les résultats pour les analyser en détail. Un peu tard pour les personnes décédées mais il n’est jamais trop tard pour apprendre afin d’éviter de nouveaux impairs nocifs. Sans oublier que les essais randomisés mal utilisés sont la nouvelle arme médiatique des laboratoires pharmaceutiques car seuls eux ont les moyens de financer ces études forts onéreuses.

Force est de constater qu’un excès d’éthique scientifique mal maîtrisée finit par nuire à l’éthique médicale.

Pour conclure, une courte vidéo du Docteur Gérard Guillaume apporte un éclairage sur la crise. « Il y a quelques années nous étions la meilleure médecine française ».

Auteur(s): FranceSoir




La réponse aux courriels de Fauci prouve que tout est faux, que la gestion des récits l’emporte sur la réalité, et que ceux qui sont au pouvoir le veulent ainsi

[Source : Aube Digitale]

En observant la couverture médiatique – ou l’absence de couverture – des courriels du Dr Anthony Fauci et de ce qu’ils signifient pour l’origine du coronavirus, on est frappé par le fait que tout est implacablement faux, des experts de la santé publique à la science.

Les courriels suggèrent notamment que Fauci s’est entendu avec Peter Daszak – chef de l’EcoHealth Alliance, qui a canalisé des fonds de recherche américains vers l’Institut de virologie de Wuhan – pour supprimer et écarter toute idée selon laquelle le virus responsable du Covid-19 pourrait ne pas avoir évolué naturellement.

En fait, M. Daszak a donné des interviews sur son travail en Chine tout au long de l’année dernière, et personne dans les médias n’a pensé à faire le lien. En d’autres termes, Donald Trump a dit que le virus venait de Chine et qu’il pouvait provenir d’un laboratoire, ce qui signifie qu’il était faux et raciste.

Ce n’est qu’un exemple, le plus récent et le plus aigu, de la victoire à tout prix de la narration sur la réalité. Des millions de morts, une destruction généralisée de l’économie, des changements tectoniques dans la société elle-même ? Petit prix à payer pour le “progrès” et assurer le “bon” résultat de l’élection de 2020, pourraient dire les fortifiants de Notre Démocratie, sans que personne ne sourcille. “Reconstruire en mieux !”, répète la presse à la place.

Trump en désaccord avec CNN est une menace mortelle pour la démocratie et la liberté d’expression, mais Biden disant à une journaliste qu’il préférerait l’écraser avec un camion électrique plutôt que de répondre à une question sur la guerre qui se déroule actuellement en Israël est une blague amusante, haha, comme c’est hilarant. Quel parfum de glace avez-vous commandé, monsieur ?

Cela peut sembler partisan à première vue, mais n’oublions pas qu’il s’agit des mêmes médias qui ont autrefois fièrement soutenu le récit des “ADM de Saddam” [Armes de Destruction Massive]. La vieille dichotomie entre démocrates et républicains ne fonctionne donc pas vraiment ici et, de plus, elle ne tient pas compte de la situation dans son ensemble.

Une société vraiment libre n’aurait pas de récits officielsa écrit la chroniqueuse australienne Caitlin Johnstone en début de semaine. Le fait est que les sociétés modernes ne sont pas libres, et que les récits officiels sont tout ce qu’elles ont. Où serait la légitimité de Joe Biden sans le récit de l’”insurrection” du 6 janvier au Capitole ?

Les fondateurs américains ont codifié le premier amendement parce qu’ils considéraient qu’une presse libre était nécessaire à une république libre. Pourtant, le complexe médiatique des entreprises et leurs homologues des Big Tech sont devenus les chiens de poche du pouvoir, et non ses chiens de garde. Même les agences, autrefois considérées comme neutres et objectives, sont dans le coup. AP a littéralement réécrit son manuel de style pour limiter l’utilisation du mot “émeute” l’été dernier. Reuters a “vérifié les faits” en déclarant que l’éloge funèbre de Robert Byrd par Biden était faux parce que le sénateur démocrate n’était pas un “grand sorcier” du KKK mais simplement un “cyclope exalté”.

Ce remplacement orwellien des faits par des récits conditionne le public à se faire l’écho de l’infâme défense d’Hillary Clinton à propos de Benghazi : “Quelle différence, à ce stade, cela fait-il ?”.

Les “faits” ne signifient rien pour cette foule. La “science” n’est pas [pour elle] un processus rigoureux de recherche de la vérité, mais un mot-totem invoqué pour conférer l’autorité et bannir la dissidence. La “vérité” est ce qu’ils déclarent être à ce moment-là, et lorsque cela ne leur convient plus, ils reviennent en arrière sans vergogne et réécrivent leurs propres mots, en prétendant depuis le début que c’est ce qu’ils ont toujours cru. Oui, c’est littéralement un comportement orwellien, mais ils ne semblent pas s’en soucier.

Après tout, qu’allez-vous faire, changer de chaîne ? En fait, c’est ce qui se passe. Mois après mois, les rapports d’audience montrent que CNN et MSNBC se font nettoyer par Fox News – et Tucker Carlson en particulier. La réponse est de tripler le nombre de sujets woke et de points de discussion démocrates, tout en menant un véritable jihad contre Fox pour “désinformation”.

Il est donc insensé de penser que les médias reviendront à la raison lorsque la réalité de l’audimat leur sautera aux yeux. Ils n’en ont tout simplement rien à faire. Se pourrait-il qu’ils ne se soucient pas tant de l’argent que du pouvoir ? Et pas seulement la proximité du pouvoir politique, mais le pouvoir de façonner et de contrôler la réalité elle-même, de refaire la société selon leurs idées utopiques. Même en supposant que ces idées soient bonnes – et c’est discutable dans le meilleur des cas – ce genre de pouvoir corrompt absolument, pour reprendre l’expression de Lord Acton.

Les médias sont censés être un moyen par lequel le public perçoit collectivement la réalité – et non les créateurs de la réalité elle-même ! Pourtant, ils agissent comme si cette dernière était vraie et voulue. C’est dangereux. Ils se croient maîtres de la réalité, au point qu’il est impossible de les raisonner. Confrontez-les à des faits réels, à des principes ou à des lois de la physique, et ils vous censurent – ou bien ils ricanent et continuent.

Le comportement de Biden commence à avoir du sens lorsque vous comprenez qu’il existe dans un monde imaginaire, entièrement imaginé par la presse et son équipe. Tout comme des milliers d’activistes, d’”ONG” et de consommateurs cultistes de subventions du gouvernement américain dans le monde entier. Comment atteindre ces personnes, qui ont intériorisé la “logique” de Qui/Qui ? C’est peut-être la question la plus importante à laquelle seront confrontés non seulement les États-Unis, mais le monde entier, très bientôt.

Traduction du Ron Paul Institute for Peace & Prosperity par Aube Digitale




Mails de Fauci : l’AFP savait-elle pour l’origine du virus ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Dans les emails des FauciLeaks récemment dévoilés, une découverte de taille page 3123 : on y apprend que l’AFP était au courant de la fabrication du virus depuis le 31 janvier 2020. A-t-elle enterré l’affaire ?

Voir aussi : L’indépendance sanitaire des Français entre les mails du Pr Delfraissy et Anthony Fauci

Depuis le 31 janvier 2020

L’AFP, par le biais du journaliste Issam Ahmed, écrivait au Dr Barney Graham du NIH (National Health Institute) au sujet d’une demande assez urgente un vendredi soir. Le journaliste demandait un avis sur une étude scientifique qui venait juste d’être publiée sur le serveur Biorxiv.org. L’article affirmait que le nouveau coronavirus comprenait quatre insertions similaires au VIH-1, et que ce n’est pas une coïncidence.

Le journaliste demandait des informations sur cet article écrit par des chercheurs indiens, qui sera plus tard rétracté sous la pression, nous a déclaré le mathématicien Jean-Claude Perez.

Sur le site du NIAID (Institut national des allergies et des maladies infectieuses), on peut lire que Dr Barney Graham est le directeur adjoint du centre de recherche sur les vaccins, chef du laboratoire de pathogenèse virale et noyau de science translationnelle. Ses principaux domaines de recherche sont le développement de vaccins et d’anticorps monoclonaux pour COVID-19, RSV, grippe, EV-D68, Nipah, Zika, VIH, Ebola et d’autres agents pathogènes émergents viraux, la conception de vaccin basée sur la structure et base structurelle pour la neutralisation du virus à médiation par les anticorps et l’approche pathogène prototype pour la préparation et la riposte à une pandémie. Le Dr Graham est donc un expert et ne pouvait pas ne pas savoir puisque cette étude était publiée.

Quel rôle pour l’AFP ?

Ce qui semble étonnant, c’est que l’AFP n’ait pas fait écho de cette étude. Cette même AFP a attaqué le Pr Luc Montagnier et le mathématicien Jean-Claude Perez lors de leurs déclarations de mai 2020, puis lors d’un « AFP factuel » de Julie Charpentrat en août 2020. 

Contactés par la rédaction de FranceSoir, M. Ahmed et Mme Charpentrat n’ont pas répondu à l’heure où nous publions cet article.

Le rôle d’une agence de presse est de vérifier, de valider et d’informer en respect de la charte de Munich. L’AFP aurait-elle manqué à son devoir en jouant ainsi un rôle de désinformation important dans l’identification de l’origine du virus alors que l’information était disponible ? L’information s’est-elle perdue en route ou a-t-elle été enterrée ?
 


Traduction de l’email

From: lssam AHMED
Sent: Friday, January 31, 2020 5:27 PM
To: Graham, Barney (NIH/YRC)
Objet : Demande de commentaires sur un article indien concernant le nouveau coronavirus

Cher Dr Graham,

Je suis journaliste scientifique à l’agence de presse Agence France-Presse et j’écris avec une demande – excusez-moi d’avoir tendu la main un vendredi soir ! Un contact m’a dit que vous pourriez être prêt à donner un avis sur ce document qui vient d’être mis en ligne : https:www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.01.30.927871v1.full.pdf  

L’étude suggère que le nouveau coronavirus a quatre inserts similaires au VIH-1 et ce n’est pas une coïncidence.

Merci beaucoup, si vous le pouvez.

lssam AHMED Health, Science and Environment

Voir aussi :
Entre une policière espagnole et l’AFP, qui désinforme le plus ?
Le « Hold up » de l’AFP : « debunk » de leur « debunk »

Auteur(s): FranceSoir




Les emails de Fauci confirment la manipulation du coronacircus !

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Le scoop du jour : les emails d’Anthony Fauci, le Mr Santé des USA, révèlent la supercherie du coronacircus

En attendant que les TV françaises se réveillent et au passage ouvrent des yeux encore fermés de trop nombreux citoyens sur le drame des pseudo-vaccins et « sauvent des vies » en évitant que des parents soumis acceptent de les vacciner (et prendre des risques majeurs tant dans l’immédiat que pour le futur), réjouissons-nous sur le nouveau feuilleton de l’année, le faucileaks.(([1] https://assets.documentcloud.org/documents/20793561/leopold-nih-foia-anthony-fauci-emails.pdf))

Et attendons impatiemment les épisodes suivants. Pas encore le caviar dit Olivier D., mais ça vient.(([2] Fauci Files : au menu caviar et petits fours | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie (wordpress.com) )) Remontons-nous le moral ! Il était temps.

Pas évident de savoir pourquoi ces emails sont lâchés dans la nature maintenant, par qui et pourquoi, mais il semble bien que le vieux Mr Fauci soit bien un fusible et en tous cas que son sort soit fixé à brève échéance.

Le Dr Fauci est le conseiller médical de longue date de la haute administration américaine. Conseiller du Président Trump avec lequel il y eu beaucoup de divergences, il resta naturellement le conseiller du nouveau Président, Biden.

Fauci est donc le numéro UN de la santé aux USA. C’est dire l’importance de ces révélations à un moment où le scénario du coronacircus se fissure. L’existence de preuves incontestables de la manipulation mondiale dirigée par quelques-uns est capitale pour faire cesser enfin cette mascarade qui a déjà coûté tant de vies, en particulier par les mesures sanitaires complètement disproportionnées que ce mini-groupe adossé aux milliardaires via l’OMS et le forum de Davos a imposées dans une grande partie des pays occidentaux. L’Asie et l’Afrique ont été relativement épargnées par une moindre obéissance aux ordres de Davos et du FMI.

Comme souvent depuis le début de la crise, le journaliste André Bercoff révèle sur Sud Radio ce jour 4 juin, cette saga de l’histoire du coronacircus vue à travers les emails de Fauci ! Ils sont mis en lumière grâce à une liberté aux USA disparue en France. Grace au Freedom of information act aux USA qui a dévoilé 3 000 pages de mails du Mister Santé des USA avec ses correspondants. Richard Boutry appelle à ce que la vérité éclate !



Selon Olivier :

« Le fait fondamental est qu’il ne s’agit pas d’une “fuite“… France-Soir commet une faute importante en parlant de “fuite“. Mais de la communication officielle de documents, menée par un organe officiel qui en amont a procédé à une censure en bonne et due forme, dans le cadre d’une loi officielle (Freedom of Information Act). J’ajoute que caviarder est une chose… il est encore plus facile de faire disparaître purement et simplement un email.

Car ces messages, entre janvier et juin 2020… sont une sélection ! Absolument pas toute la correspondance de Fauci durant cette période ».(([1] https://assets.documentcloud.org/documents/20793561/leopold-nih-foia-anthony-fauci-emails.pdf))

Fauci répète mail après mail que les asymptomatiques ne sont pas à risque, ne peuvent pas transmettre. Les masques sont uniquement pour les gens infectés.  Mais en pratique il va les imposer. Et ainsi de suite.

Et nous ne sommes pas en reste. Déjà sans que tous les mails ne soient défrichés, notre M. Conseil scientifique est concerné. Formidable !

Le Pr Delfraissy le 25 mars 2021 explique dans un mail à son collègue le Dr Fauci « qu’il y a un léger signal positif pour l’hydroxychloroquine. (..) mais qu’il fait face à une énorme pression politique pour autoriser l’hydroxychloroquine, mais ne cède pas ». Trop beau de disposer de ces affirmations entre privés (le Dr Fauci, Mr vaccin américain, et M. Delfraissy, M. vaccin français).

À croire que les USA sont encore une vraie démocratie contrairement à notre pays et que l’élection volée de Trump, même reconnue par Biden, laisse des traces et entraîne des remous majeurs.

Le Pr Didier Raoult interviewé ce jour par André Bercoff sur Sud radio fait rapidement remarquer pourquoi il ne pouvait pas travailler avec des gens comme cela, les décisions prises ne résultant pas d’une discussion scientifique, le Conseil scientifique lui apparaissant plus comme un Conseil des copains. En ce qui concerne par exemple les essais, il n’a même pas été consulté sur le bras hydroxychloroquine, alors qu’il avait en France la plus grande expérience sur ce sujet. Il a renoncé à participer à ce Conseil, car il refuse d’être une marionnette. Il pense qu’on ne pourra pas faire l’économie de la mise en cause des raisons pour lesquelles le Lancet Gate a trompé le monde et poursuivre les gens qui ont imposé le Remdésivir qu’on savait inefficace et toxique, en collusion avec Gilead qui a subventionné les prix de la recherche remis cette année à des médecins corrompus. On ne pourra pas faire l’économie de la mise à plat de la corruption universitaire.

Fauci a menti, on le savait bien sûr, mais maintenant c’est révélé sur les chaînes de télé américaines. Il a menti devant le Sénat, ce qui habituellement aux USA est mal vécu et habituellement lourdement condamné. On verra si le cirque coronavirus depuis 18 mois a changé les mentalités même aux USA…


Watch the latest video at foxnews.com

Cette vidéo est excellente : ici est apportée la preuve qu’il savait que le Sars-cov2 n’avait pas sauté la barrière des espèces, mais il a menti sous serment en affirmant le contraire. Il a menti sur les masques, l’immunité naturelle, les vaccins. Et à la fin, le lien avec Gates est souligné.

Tucker Carlson n’a pas insisté, mais entre les minutes 4 : 30 et 4 : 40, on voit apparaître en copie d’un mail le nom de Christian Drosten, le conseiller santé de Mme Merkel, grand manitou de la politique sanitaire allemande et, de fait, européenne, homme douteux dont la thèse [de Doctorat] est difficile à trouver, mais qui a su imposer à la terre entière les fameux tests PCR fallacieux, mais toujours omniprésents dans notre quotidien pour la moindre réunion sportive ou autre voyage.

Il est aussi à l’origine du mensonge majeur sur la prétendue contagiosité des porteurs asymptomatiques de la Covid et tout ce qui s’en est ensuivi : les masques, les quarantaines de bien-portants surnommés asymptomatiques, etc.

Fauci, Gates, Drosten : acteurs majeurs de la pandémie et tous mis en cause ici.

Cette vidéo de Fox news par T Carlson sur Fauci est créditée d’un million de vues. Il est bien difficile à ce jour de tirer des conclusions claires de cette entreprise de transparence, car comme dit Olivier D. :

« La NSA est capable d’écouter un pet de mouche à des milliers de km dans un bunker enterré… Alors trafiquer des emails ? En supprimer ?

Je rappelle qu’aux États-Unis, les services de renseignement n’hésitent pas à monter des dossiers de toute pièce, même des faux (exemple le Russiagate sous Trump), y compris les trucs les plus farfelus le tout ensuite repris par tous les médias et les politiciens des États-Unis, sans oublier des institutions (comme le FBI)…

Bref, on a bien voulu publier… ce qu’on a bien voulu publier, avec un ou des objectifs précis. Mais il est naïf de croire que l’administration américaine laisserait passer des éléments réellement compromettants.

C’est pourquoi je revendique un certain scepticisme face à ce genre de communication officielle…

On mesure le gouffre entre les Faucifiles et les révélations par exemple de Snowden… basées elles sur des véritables fuites, pas du tout contrôlées ! Il n’y a semble-t-il aucune preuve irréfutable …

On a simplement la confirmation qu’il a menti, souvent »

Relativisons, pourquoi pas, mais il semble bien que ce feuilleton ne fasse que commencer et nous tienne en haleine un certain temps. Pourquoi pas un « plus belle la vie » ? À moins que le grand Soleil n’apparaisse à nouveau ?

Nicole Delépine





Le paradigme du confinement s’effondre

[Source : anguillesousroche.com]

Cela a pris beaucoup plus de temps que prévu, mais cela semble enfin se produire : le paradigme du confinement s’effondre. Les signes sont partout autour de nous.

L’ancien héros du confinement, le gouverneur de New York Andrew Cuomo, est maintenant profondément impopulaire et la plupart des électeurs veulent qu’il démissionne.

Pendant ce temps, les sondages ont commencé à favoriser Ron DeSantis, gouverneur de Floride et opposant au confinement, pour exercer une influence sur le GOP à l’avenir. Ce remarquable retournement de situation est dû à la prise de conscience que les confinements étaient une politique désastreuse. Ron DeSantis et la gouverneure Kristi Noem, également opposée au confinement, sont les premiers à dire la vérité sans détour. Leur honnêteté leur a permis de gagner en crédibilité.

Pendant ce temps, lors des audiences du Congrès, le représentant James Jordan (R-OH) a demandé au Dr Fauci d’expliquer pourquoi la prévalence de la maladie dans le Michigan fermé est pire que dans le Wisconsin voisin qui est depuis longtemps entièrement ouvert. Fauci a prétendu qu’il n’avait pas entendu la question, qu’il n’avait pas vu le tableau et qu’il n’avait pas compris. Finalement, il est resté assis, silencieux, après avoir prononcé quelques banalités sur les différences de mise en application.

Les adeptes du confinement sont maintenant confrontés à l’énorme problème du Texas. Ce pays est totalement ouvert, sans aucune restriction, depuis 6 semaines. Les cas et les décès ont chuté de façon spectaculaire au cours de la même période. Fauci n’a pas de réponse. Ou alors, comparez la Californie fermée avec la Floride ouverte : taux de mortalité similaires. Nous disposons d’une gamme complète d’expériences aux États-Unis qui permettent de comparer l’ouverture et la fermeture et les résultats des maladies. Il n’y a aucun rapport.

Ou vous pouvez regarder du côté de Taïwan, qui n’avait aucune contrainte pour ses 23,5 millions d’habitants. Décès dus au Covid-19 jusqu’à présent : 11. La Suède, qui est restée ouverte, a obtenu de meilleurs résultats que la plupart des pays européens.

Le problème est que la présence ou l’absence de fermetures face au virus ne semble absolument pas corrélée à la trajectoire de la maladie. L’AIER a rassemblé 33 études de cas dans le monde entier qui montrent que c’est vrai.

Pourquoi cela devrait-il avoir de l’importance ? Parce que les « scientifiques » qui ont recommandé les confinements ont affirmé de manière très précise et pointue qu’ils avaient trouvé le moyen de contrôler le virus et de minimiser les résultats négatifs. Nous savons avec certitude que les confinements imposés ont provoqué des dommages collatéraux étonnants. Ce que nous ne voyons pas, c’est une relation entre les mesures de confinement et les résultats de la maladie.

Ceci est dévastateur car les scientifiques qui ont poussé les confinements avaient fait des prédictions spécifiques et falsifiables. C’est probablement leur plus grande erreur. En faisant cela, ils ont mis en place un test de leur théorie. Leur théorie a échoué. C’est le genre de moment qui provoque l’effondrement d’un paradigme scientifique, comme l’explique Thomas Kuhn dans La structure des révolutions scientifiques (1962).

Un bon exemple d’une situation similaire pourrait être l’économie soviétique sous Nikita Khrouchtchev. Il est arrivé au pouvoir en promettant que l’économie de la Russie communiste serait plus performante que celle des États-Unis. C’était l’essence de sa célèbre promesse « Nous vous enterrerons ». Il voulait dire que la Russie surpasserait l’Amérique.

Cela ne s’est pas produit. Il a échoué et la théorie qu’il défendait a également échoué. Et c’est ainsi qu’a commencé la lente désagrégation de la théorie et de la pratique communistes. Khrouchtchev avait déjà répudié l’État de terreur stalinien, mais il n’a jamais eu l’intention de présider à la lente disparition de toute l’expérience soviétique de planification centrale. En mettant en place un test qui pourrait falsifier sa promesse, il a condamné un système entier à la répudiation intellectuelle et à l’effondrement final.

La théorie et la pratique du confinisme pourraient suivre le même chemin.

Dans sa reconstruction de l’histoire des sciences, Kuhn a soutenu que le progrès scientifique ne se produit pas de manière linéaire, mais plutôt de manière épisodique, au fur et à mesure que de nouvelles orthodoxies émergent, sont codifiées, puis s’effondrent sous le poids de trop nombreuses anomalies.

Le schéma est le suivant. La science normale est guidée par la résolution d’énigmes et l’expérimentation. Lorsqu’une théorie semble capturer la plupart des informations connues, une nouvelle orthodoxie émerge – un paradigme. Au fil du temps, trop de nouvelles informations semblent contredire ce que la théorie prédisait ou expliquait. C’est ainsi qu’apparaissent la crise et l’effondrement du paradigme. Nous entrons dans une ère pré-paradigmatique et le cycle recommence.

D’après ce que l’on sait, l’idée de se confiner face à un nouveau virus est apparue aux États-Unis et au Royaume-Uni vers 2005-2006. Elle a été lancée par un petit groupe de fanatiques en désaccord avec la santé publique traditionnelle. Ils pensaient pouvoir gérer un virus en dictant le comportement des gens : leur proximité, leurs déplacements, les événements auxquels ils assistaient, l’endroit où ils s’asseyaient et la durée de leur séjour. Ils ont mis en avant l’idée de fermetures et de restrictions, qu’ils ont qualifiées d’« interventions non pharmaceutiques » par le biais d’un « confinement stratifié ciblé ». Ce qu’ils proposaient était médiéval dans la pratique, mais avec un vernis d’informatique et d’épidémiologie.

Lorsque l’idée a été lancée, elle a été accueillie par une opposition féroce. Au fil du temps, le paradigme du confinement a progressé, grâce au financement de la Fondation Gates et à l’arrivée de nouvelles recrues dans les milieux universitaires et les bureaucraties de la santé publique. Des revues et des conférences ont vu le jour. Les directives au niveau national ont commencé à se réchauffer à l’idée de la fermeture des écoles et des entreprises et d’une invocation plus large du pouvoir de quarantaine. Cela a pris 10 ans, mais l’hérésie a fini par devenir une quasi-orthodoxie. Ils occupaient suffisamment de positions de pouvoir pour pouvoir tester leur théorie sur un nouvel agent pathogène apparu 15 ans après que l’idée de la quarantaine ait été lancée, tandis que l’épidémiologie traditionnelle était marginalisée, progressivement d’abord, puis d’un seul coup.

Kuhn explique comment une nouvelle orthodoxie remplace progressivement l’ancienne :

Lorsque, dans le développement d’une science naturelle, un individu ou un groupe produit pour la première fois une synthèse capable d’attirer la plupart des praticiens de la génération suivante, les anciennes écoles disparaissent progressivement. Leur disparition est en partie causée par la conversion de leurs membres au nouveau paradigme. Mais il y a toujours des hommes qui s’accrochent à l’un ou l’autre des anciens points de vue, et ils sont tout simplement exclus de la profession, qui ignore ensuite leurs travaux. Le nouveau paradigme implique une définition nouvelle et plus rigide du domaine. Ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas y adapter leur travail doivent procéder de manière isolée ou se rattacher à un autre groupe.

C’est une bonne description de la façon dont l’idéologie du confinement a triomphé. Il existe de nombreuses théories du complot sur les raisons des confinements. Beaucoup d’entre elles contiennent une part de vérité. Mais nous n’avons pas besoin d’y avoir recours pour comprendre pourquoi cela s’est produit. Cela s’est produit parce que les personnes qui y croyaient sont devenues dominantes dans le monde des idées, ou du moins suffisamment importantes pour passer outre et bannir les principes traditionnels de la santé publique. Les confinements étaient principalement motivés par l’idéologie du confinement. Les adeptes de cette étrange nouvelle idéologie ont grandi au point de pouvoir faire passer leur programme avant les principes éprouvés.

C’est une bénédiction de cette idéologie qu’elle soit venue avec une promesse intégrée. Selon eux, ils obtiendraient de meilleurs résultats que les pratiques traditionnelles de santé publique. Cette promesse finira par causer leur perte, pour une raison simple : elles n’ont pas fonctionné. Kuhn écrit que dans l’histoire de la science, c’est le prélude à une crise due à « l’échec persistant des énigmes de la science normale à se réaliser comme elles le devraient. L’échec des règles existantes est le prélude à la recherche de nouvelles règles. » Plus loin : « La signification des crises est l’indication qu’elles fournissent qu’une occasion de réoutillage est arrivée. »

La théorie de Kuhn sur le progrès scientifique correspond assez bien à la montée et à la chute du confinisme. Ils avaient une théorie qui convertissait de nombreuses personnes loin des principes traditionnels. Cette théorie était assortie d’un test. La théorie a échoué au test, ce qui devient de plus en plus évident chaque jour.

Le silence de Fauci lors des audiences du Congrès est révélateur. Sa volonté de n’être interviewé que par des présentateurs TV des médias grand public est également révélatrice. De nombreux autres adeptes du confinement qui se montraient publics et prétentieux il y a un an se sont tus, envoyant de moins en moins de tweets et des contenus de plus en plus subreptices plutôt que certains. La crise de la fausse science du confinisme n’est peut-être pas encore arrivée, mais elle est imminente.

Kuhn parle de la période post-crise de la science comme d’un moment où un nouveau paradigme émerge, d’abord naissant, puis devenant canonique au fil du temps. Qu’est-ce qui remplacera l’idéologie du confinement ? Nous pouvons espérer que ce sera la prise de conscience que les anciens principes de santé publique nous ont bien servi, tout comme les principes juridiques et moraux des droits de l’homme et des restrictions des pouvoirs du gouvernement.

Source : The American Institute for Economic Research – Traduit par Anguille sous roche




Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ?

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque]

Un jeune médecin nantais de 24 ans, victime expiatoire de la folie vaccinale. À 24 ans, zéro risque du covid-19, et le vaccin ne protège pas les autres. Alors pourquoi lui a-t-on fait courir ce risque ?

Avec l’analyse des données publiées, on apprend que l’EMA a accordé l’autorisation « conditionnelle » sur l’examen intérimaire d’essais phase 3 portant sur seulement 5 800 sujets vaccinés.

Ouest-France rapporte dans son édition du 23/3/2021 la triste histoire de ce jeune interne en médecine nantais de 24 ans, en parfaite santé, brutalement décédé d’une thrombose 10 jours après vaccination par AstraZeneca. Au-delà de la compassion que nous éprouvons pour les proches de cet étudiant qui ne pourra jamais être médecin, c’est la colère qui nous submerge.

Colère que nous inspire le refus des autorités de santé européennes et françaises d’interdire ce vaccin, au moins jusqu’à ce que des études indépendantes sérieuses prouvent que le vaccin est innocent.

Colère devant leur propagande réitérée « la balance avantage/risque est favorable » alors qu’à 24 ans le risque du covid-19 sévère est infime (inférieur à celui d’une grippe) et que dans le monde, les accidents post-vaccinaux graves et parfois mortels se multiplient chez les jeunes. AVANTAGES ZÉRO, risque non négligeable d’incidents et accidents parfois mortels et aucune protection des autres, l’argument compassionnel exclu.

Colère contre l’Agence européenne du médicament qui a autorisé la mise sur le marché « conditionnelle » d’un vaccin dont l’essai phase 3 ne sera pas terminé avant le 15 février 2023, d’après le site américain officiel « clinical trials.gov » et a autorisé la reprise de cette vaccination expérimentale en se fiant au simple plaidoyer de l’entreprise pour innocenter le vaccin tueur.

Après la révélation de thromboses post-vaccinales mortelles par l’agence sanitaire danoise, puis de nombreuses autres agences européennes (néerlandaise, norvégienne, allemande) entraînant la suspension temporaire de 48 h de l’utilisation du vaccin, l’EMA s’est contenté de prétendre « qu’il n’y avait pas de lien établi entre les cas de thrombose signalés et le vaccin, les troubles de la coagulation ne faisant pas partie des effets secondaires reconnus, mais qu’elle n’excluait pas un lien de causalité entre vaccin et thrombose » et a autorisé la reprise de la vaccination sans entreprendre, ni demander immédiatement d’étude sur la responsabilité du vaccin AstraZeneca. Cette triste histoire montre que l’agence européenne fait passer, comme d’habitude, l’intérêt des firmes pharmaceutiques devant la sécurité sanitaire des populations.

Attitude confortée le lendemain par celle de l’OMS qui, elle non plus, n’a pas jugé utile de réclamer une étude indépendante sur le problème. Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ?

Mais plusieurs pays scandinaves maintiennent actuellement l’interdiction d’utilisation

D’autant que des chercheurs norvégiens et allemands ont démontré le lien de causalité et mis en évidence son mécanisme immunologique, expliquant le caractère tout à fait exceptionnel du type de thromboses rencontrées.

En France, la Haute Autorité de santé, comme l’Agence allemande du médicament, avait attiré l’attention sur l’inefficacité de ce vaccin chez les plus de 65 ans et déconseillé son usage dans ce groupe d’âge. Après la révélation récente des morts post-vaccin AstraZeneca par thromboses, la HAS a demandé que ce vaccin ne soit plus administré aux moins de 55 ans.

Malheureusement pour ce jeune homme, cette mesure de prudence a été prodiguée trop tard. Actuellement l’agence ne conseille plus la vaccination AstraZeneca que pour la tranche d’âge 55-65 ans. Espérons que cette tranche d’âge protège vraiment des complications de ce vaccin tueur.

Manifestement nos autorités font preuve d’une foi sans limites en ce vaccin, puisqu’elles ont même utilisé à Blois(([1] La Nouvelle République Covid-19 : des vaccins du lot AstraZeneca retiré en Autriche ont été injectés à Blois
Publié le 12/03/2021)) le lot banni d’Autriche après qu’il a été jugé responsable de deux complications graves dont la mort d’une infirmière.

Qu’en pensent les citoyens qui découvrent cette pratique ?

Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ?

Aux USA le vaccin n’est toujours pas autorisé à la vente, même sous conditions. Des dizaines de millions de doses de vaccins AstraZeneca restent bloqués comme réserve stratégique en attendant une éventuelle approbation par la FDA.

Le 22/3/2021 le laboratoire AstraZeneca avait défendu son vaccin, affirmant qu’il était efficace à 80 % contre le Covid chez les personnes âgées et n’augmentait pas le risque de caillots, après des essais cliniques de phase III menés aux États-Unis, avec 32 449 participants.

Mais un groupe de surveillance(([2] Rhys Blakely Des responsables américains se disent préoccupés par les données “incomplètes” sur le vaccin Oxford The Times 23 3 2021)) de l’Institut national des maladies infectieuses et des allergies (NIAID), qui supervise des essais cliniques de vaccins. a exprimé(([3] communiqué publié lundi 22 mars dans la soirée et apporté par Le Figaro)) sa « préoccupation » : AstraZeneca « a pu utiliser des informations obsolètes lors de cet essai », « ce qui peut avoir abouti à une estimation incomplète de l’efficacité » « Nous exhortons la compagnie à travailler avec le Data and safety monitoring board (DSMB, comité de suivi de l’essai), pour évaluer l’efficacité des données et s’assurer que les données les plus précises, les plus récentes et les plus efficaces possibles soient rendues publiques au plus vite ».

Le célèbre DR Fauci a déclaré mardi à « Good Morning America » d’ABC News que le vaccin Oxford-AstraZeneca était « probablement un très bon vaccin ». Cependant, a-t-il ajouté, le DSMB s’est inquiété du fait que les données contenues dans la déclaration publique d’AstraZeneca « étaient quelque peu dépassées et pourraient, en fait, être un peu trompeuses »(([4] Sam Meredith AstraZeneca a peut-être inclus des informations obsolètes dans l’essai du vaccin Covid, selon l’agence américaine de la santé MAR.23 MARS 2021)). Les actions d’AstraZeneca ont glissé de près de 1 % lors de la séance du 23 mars à Londres et ont baissé de 2 % dans les négociations de pré-commercialisation à New York.

Le 24/3/2021 20 heures, la recherche sur Google et PubMed montre qu’il n’existe toujours aucune publication de cet essai qui permettrait d’analyser les données alléguées dans le communiqué de presse d’AstraZeneca.

Situation en Europe au 24/3/2021 : les études avant AMM conditionnelle plus que légères ! De l’AMM ultralight

L’agence européenne l’EMA a osé autoriser la mise sur le marché d’un vaccin sur un simple rapport intérimaire(([5] Merryn Voysey  et al Safety and efficacy of the ChAdOx1 nCoV-19 vaccine(AZD1222) against SARS-CoV-2: an interim analysis of four randomised controlled trials in Brazil, South Africa, and the UK www.thelancet.com Vol 397 January 9, 2021)) de la sommation de deux études, l’une de phase 3 et l’autre de phase 2/3 incluant un nombre très insuffisant de sujets (7 548 dans l’essai phase 2/3  COV002 mené au Royaume-Uni et 4 088 dans l’essai phase 3 COV003 réalisé au Brésil), dont au total de ces deux essais seulement 5 800 vaccinés avec un recul médian totalement insuffisant (3-4 mois) et de plus entachées d’erreurs de dose.

La Suisse considérant la faiblesse des données présentées refuse toujours la mise sur son marché de ce vaccin.(([6] AstraZeneca avait reconnu que c’était par erreur qu’une demi-dose seulement avait été administrée à certains sujets de l’essai))La Suisse considérant la faiblesse des données présentées refuse toujours la mise sur son marché de ce vaccin.

La vaccination AstraZeneca réalisée actuellement à marche forcée représente en réalité un véritable essai vaccinal à grande échelle sur des citoyens mal informés et transformés à leur insu en cobayes.

Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ? Les citoyens sont-ils si compliants et aveugles ?

Dr Gérard Delépine





Covid-19 et Masque : Déclaration de la Dre Simone Gold à la Cour suprême, 17/10/2020

[Source : America’s Frontline Doctors]

Transcription :

En tant que médecin urgentiste et avocat, parlons des masques. Tout d’abord, ne tournons pas sur la pointe des pieds autour du grand éléphant dans la pièce. Les faits ne sont pas contestés : les masques ne sont absolument pas pertinents pour bloquer le virus SARS-CoV-2. Si vous en doutez, vous devez regarder notre session éducative Démystifier le mythe des masques. J’encourage chacun à faire sa propre recherche sur Internet et à découvrir qu’avant que les masques ne deviennent politiques en mars 2020, il n’y avait même jamais eu de tentative de prétendre que des masques, et encore moins des bandanas, puissent arrêter un virus. C’est une invention complète. Un virus mesure 1/1 000 de la taille d’un cheveu. Considérez ce que l’empereur Fauci a dit, lorsqu’on lui a demandé s’il est SÛR que les masques fonctionnent. N’oubliez pas qu’il n’est pas nouveau dans le jeu, c’est l’œuvre de sa vie depuis des décennies. Il n’y a AUCUNE chance que ce soit une erreur et il n’y a AUCUNE chance que le SRAS-CoV-2 soit différent de tout autre virus à ARN sur lesquels il a travaillé pendant des décennies.

« Lorsque vous êtes au milieu d’une épidémie, le port d’un masque peut aider les gens à se sentir un peu mieux et peut même bloquer une gouttelette, mais cela n’offre pas la protection parfaite que les gens pensent que c’est. Et souvent il y a des conséquences involontaires, les gens continuent de jouer avec le masque et ils continuent de toucher leur visage. »

« Il est également clair que les masques ont un rôle symbolique. Les masques… sont des porte-bonheur qui peuvent contribuer à accroître le sentiment de sécurité et de bien-être perçu par les TS [Travailleurs dans le domaine de la Santé]… Bien que de telles réactions ne soient pas strictement logiques, nous sommes tous sujets à la peur et à l’anxiété, surtout en période de crise… La plus grande contribution des protocoles de masquage généralisé pourrait être de réduire la transmission de l’anxiété. »

Je vous le dirai clairement, mes amis américains : les médias vous ont menti ! La propagande n’est pas un phénomène nouveau. Thomas Jefferson a déclaré : « L’homme qui ne lit rien du tout est mieux éduqué que l’homme qui ne lit que des journaux. » Et John F. Kennedy a fait remarquer que peu importait si la propagande a un objectif sinistre. « Le grand ennemi de la vérité n’est très souvent pas le mensonge… mais le mythe : persistant, persuasif et irréaliste. »

De nos jours, les Américains se divisent en trois groupes : ceux qui reconnaissent la propagande, ceux qui l’ont subie avec succès et ceux qui s’en moquent — nous laisserons de côté ces derniers. Mon message s’adresse aux adeptes du masque qui n’ont pas encore réalisé qu’ils sont victimes de propagande et qui pensent aussi que ce n’est « pas grand-chose » d’obliger d’autres personnes à porter un masque. En fait, l’obligation de port du masque pose trois problèmes énormes.

Premièrement, elle répand la peur et l’hostilité qui changent la culture américaine. Nous sommes moins amicaux, moins interactifs, plus hostiles, plus rapides à être en colère contre nos concitoyens. Les masques sont une grande source de division sociale. Il y a une honte du masque et une signalisation de vertu du masque. Il y a la conformité sociale et il y a la police citoyenne des trottoirs, des avions et des restaurants. Et en plus de l’hostilité, les masques apportent un sentiment palpable de peur qui est totalement injustifiée par les faits. Il y a de vrais êtres humains qui croient qu’eux ou d’autres seront malades s’ils ne portent pas de masque. C’est tragique.

Deuxièmement, l’obligation de port du masque pose un problème insurmontable de liberté civile. Dans le système juridique américain, le gouvernement ne peut pas forcer de se couvrir le visage parce que tous les droits qui ne sont pas expressément accordés au gouvernement appartiennent au peuple. Le gouvernement n’a ni la loi commune ni le droit légal d’imposer une tenue. Empiéter sur un droit qui appartient au peuple est extrêmement dangereux. L’un de nos pères fondateurs, le 4e président James Madison, a déclaré : « (…) il y a plus d’exemples de réduction de la liberté du peuple par des empiétements graduels et silencieux que par des usurpations violentes et soudaines. Il convient de s’alarmer dès que l’on porte atteinte à nos libertés. Nous considérons que c’est le premier devoir des citoyens et l’une des caractéristiques les plus nobles de la révolution. Les hommes libres d’Amérique n’ont pas attendu que le pouvoir usurpé se soit renforcé. »

Troisièmement, le port de masques est un problème de sécurité nationale. Lorsque la plupart des citoyens de notre pays peuvent être si facilement persuadés de faire quelque chose qui est si clairement contraire à notre propre Constitution, nos ennemis en prennent certainement note. Nous télégraphions littéralement notre faiblesse et nos divisions sociales à nos ennemis.

Maintenant, à ces Américains qui ont vraiment peur : nous sommes médecins. Nous sommes là pour vous aider avec des faits qui réduiront votre peur. D’abord les faits, puis l’émotion, puis l’appel à l’action.

Premièrement, les faits. Remarquez que ce que les « experts » disent depuis des mois est faux — il n’y a pas deux millions de morts, notre système de santé n’a pas été débordé, il y avait 10 fois plus de ventilateurs que ce dont nous avions besoin, presque tout le monde survit et le traitement précoce fonctionne. Vous ne devez pas ignorer votre propre expérience de vie ! Si tout ce que vous aviez à faire pour arrêter un virus était de tenir un papier de soie devant votre visage, nos ancêtres l’auraient appris il y a des siècles et votre grand-mère vous l’aurait appris !

Deuxièmement, l’émotion. Considérez ce que le président Jefferson a dit il y a 200 ans : que les journaux sont de la propagande, et aussi ce que le président John F. Kennedy a souligné plus tard, à savoir que peu importait si la propagande est un mensonge ou un mythe. Kennedy a déclaré: « Le grand ennemi de la vérité n’est très souvent pas le mensonge … mais le mythe : persistant, persuasif et irréaliste. » Réalisez simplement que ce n’est pas parce que vous croyez ou sentez que quelque chose est vrai que ça le rend vrai. Il y a eu une campagne de propagande massive pour vous faire croire quelque chose. Mais vous avez le pouvoir de réfuter la propagande. Comment ? Une recherche sur Internet prouve qu’aucun scientifique n’a jamais cru que les masques chirurgicaux (sans parler des bandanas !) étaient pertinents contre un virus, jusqu’à la Covid-19. Le mythe des masques vient des politiciens et quand quelque chose se passe en politique, on peut être sûr que c’est fait dans un autre but.

Troisièmement, un appel à l’action pour les croyants masqués qui se sont fâchés contre les gens qui ne porteront pas de masque : je vous invite maintenant à doubler votre colère ! Mais dirigez votre colère vers les gens qui vous ont menti — ce sont les gens qui sont en colère qui ont le pouvoir de réparer les divisions sociales. Nous avons besoin que vous mettiez votre colère à la bonne place. Libérez toute votre fureur sur le complexe médiatique professionnel qui vous a menti et menti et encore menti.

Et le dernier appel à l’action pour tous les Américains : les soi-disant experts ne cessent de vous dire qu’un bandana peut arrêter un virus 1000 fois plus petit qu’un cheveu. À quel point pensent-ils que vous êtes stupide ?! À tous les Américains, nous disons : nous ne serons plus dupes !

« Le petit empereur n’a pas de vêtements ! » [« Le roi est nu ! »]




Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier

[Source : Cogiito via Réseau International]

Bill Gates, à gauche, le directeur des NIH, le Dr Francis Collins et le directeur du NIAID, le Dr Anthony Fauci, lors d’un atelier sur la santé mondiale 2017 de la Fondation Gates sur des sujets qui comprenaient la recherche sur les vaccins.

[Auteur :] Leo Hohmann

[ * : Le Meilleur des Monde]

Traduction de Globalists using COVID-19 to usher in UN Agenda 2030 ‘Brave New World’ ten years ahead of Schedule pour cogiito.com : PAJ

« Il est temps que tous les vrais patriotes prennent position ou risquent d’être menés aveuglément dans un nouvel âge sombre. » 

Lorsque la députée Alexandria Ocasio Cortez a réécrit les objectifs de développement durable des Nations Unies et les a rebaptisés Green New Deal [= Nouvelle Donne Verte], de nombreux conservateurs ont été entendus en riant à haute voix.

L’AOC ne pouvait pas être sérieux, n’est-ce pas ? Mais qui rit maintenant ? L’AOC a obtenu presque tout ce qu’elle voulait dans le cadre du Green New Deal.

  • Le trafic aérien est beaucoup moins robuste, avec de longues attentes dans les aéroports un souvenir lointain.
  • Le trafic automobile sur les autoroutes autrefois animées a été réduit à un filet dans certaines des plus grandes villes américaines, comme New York, Chicago et LA, qui restent fermées.
  • On a dit à la plupart des Américains de travailler à domicile ou de ne pas travailler du tout. Ils reçoivent des chèques de paie du gouvernement pour rester chez eux et ne rien faire. L’AOC l’a appelé le «revenu de base universel». C’est ici.

Il est temps que le président Trump mette fin à cette expérience cauchemardesque.

Nous avons besoin de clarté et d’un leadership fort.

Arrêtez les points de presse quotidiens, où 90% du contenu consiste à se féliciter lui-même et les gouverneurs pour leur merveilleuse gestion de cette crise.

Soyons honnêtes, la plupart ont ignoré la Constitution et outrepassé leur autorité.

Nous avons besoin d’une date ferme pour la fin de ces blocages et nos dirigeants doivent s’en tenir à cette date, et pas seulement lancer une date, mais pour la prolonger plus tard.

Nous voulons que tout notre pays revienne. Pas par étapes, pas par phases.

Les conseillers du président, les Drs. Fauci et Birx ont été dénoncés comme des fraudes et ne doivent plus être autorisés à dicter leur politique.

Ils ont convaincu le président des États-Unis de prendre de mauvaises décisions basées sur une science défectueuse et des modèles informatiques spéculatifs remplis de fausses hypothèses. 

Ils sont dans les conflits d’intérêts jusqu’au cou, principalement liés à la Fondation Bill et Melinda Gates et à ses nombreux partenaires mondiaux qui poussent les vaccins obligatoires et un système d’identification mondial qui peut être utilisé pour suivre les Américains.

Pour tout politicien, dire à des petites entreprises qu’elles ne sont «pas essentielles» sur la base des conseils de ces deux comparses financés par Gates équivaut à ce que le comité central de l’URSS dise aux koulaks de quitter leurs terres et d’aller travailler dans une usine.

Sous Staline, l’État soviétique ne pouvait pas contrôler les koulaks travaillant sur leur terre, alors ils les ont expropriée. 

Est-ce la stratégie Gates-Fauci pour les propriétaires de petites entreprises américaines ? Les forcer à sortir et les faire travailler pour Amazon, Walmart ou une autre méga-société où ils peuvent être surveillés de plus près ?

Désolé, mais ce n’est pas l’Union soviétique ou la Chine communiste.

L’État n’a pas le pouvoir en vertu de la Constitution américaine de priver un Américain de son droit de gagner sa vie honnêtement. Virus ou pas de virus.

Livré à lui-même, l’État gravitera toujours vers l’accumulation du pouvoir. Une fois que l’État a revendiqué le droit d’exercer un pouvoir sur un certain domaine de votre vie, il le rend rarement.

Les gouverneurs ont revendiqué le pouvoir de nous dire quand nous pouvons aller à l’église, où nous pouvons et ne pouvons pas travailler. 

Jusqu’à présent, la plupart des Américains semblent s’accorder avec ça. Mais il y a aussi une nuance de malaise qui commence à bouillir, comme en témoigne le nombre croissant de protestations, d’abord au Michigan et bientôt dans d’autres États.

Dans la situation actuelle, l’exercice arbitraire du pouvoir de l’État est à couper le souffle, pourtant si peu [de personnes] sont capables de le discerner.

Pourquoi, par exemple, était-il considéré comme non essentiel d’acheter des graines, des fleurs, des plantes et de la peinture dans le Michigan alors que de l’autre côté de l’Ohio, ces achats étaient légaux ?

Pourquoi avez-vous le droit d’aller dans un magasin de vins et alcools, un dispensaire ou un Walmart bondé, mais pas dans une église ou un magasin d’armes à feu ?

Ce sont des décisions que le gouvernement n’a aucun fondement constitutionnel à prendre pour les citoyens américains.

Si les politiciens veulent enfreindre ces droits fondamentaux, ils devraient cesser d’être des lâches et déclarer la loi martiale, suspendant ainsi officiellement la Constitution américaine.

Vous n’avez pas la chance d’avoir votre gâteau ni de le manger, en vous arrachant aux libertés civiles tout en affirmant que la Constitution est toujours en place.

Qui est Anthony Fauci ?

Une certaine clarté est également de mise sur les antécédents des «experts» sur lesquels nos politiciens se sont appuyés pour ordonner le confinement.

Le COVID-19 est un virus contagieux qui doit être pris au sérieux.

Mais n’oublions pas que plus de 99% de ceux qui attrapent le COVID-19 se rétablissent complètement. Il est temps que nous abordions tous la question pertinente :

Sommes-nous prêts à sacrifier nos libertés, notre mode de vie, sur l’autel d’une crise sanitaire qui comporte moins de 1% de risque de décès ?

Il est sûr de dire que les Drs. Anthony Fauci et Deborah Birx, les deux experts en maladies infectieuses à la tête du groupe de travail sur le coronavirus du président Trump, ne changeront pas leurs conseils, même si les données originales sur lesquelles ils se sont appuyés pour recommander ces interdictions se sont révélées fausses.

Il n’y a pas eu des centaines de milliers de cadavres et les prédictions apocalyptiques d ‘«hôpitaux débordés» ne se sont jamais concrétisées.

Fauci et Birx ont une longue expérience de travail avec Bill Gates et sa vision eugéniste du monde.

Fauci siège au Conseil de direction du Plan d’action mondial pour les vaccins, un projet de la Fondation Gates qui travaille de concert avec les Nations Unies. [Voir  le communiqué de presse de Gates sur ce projet qui documente le rôle de Fauci ].

L’Agenda 2030 des Nations Unies, adopté en 2015 et farouchement promu et financé par la Fondation Gates , comprend 17 objectifs de développement durable [alias Green New Deal] à atteindre d’ici 2030.

L’objectif numéro 3, «bonne santé et bien-être », commence par l’exigence de l’ONU de «vacciner sa famille». L’objectif 3.8 stipule: «Assurer la couverture sanitaire universelle, y compris la protection contre les risques financiers, l’accès à des services de santé essentiels de qualité et l’accès à des médicaments et vaccins essentiels sûrs, efficaces, de qualité et abordables pour tous ». [Italiques ajoutés]

L’objectif 16.9 indique  «D’ici 2030, fournir une identité juridique à tous, y compris l’enregistrement des naissances.»

La devise de l’Agenda 2030 de l’ONU, répétée à l’infini dans ses documents, est que cet agenda « ne laissera personne de côté ».

Comment l’ONU propose-t-elle de ne laisser personne de côté si le but ultime n’est pas de rendre ces «vaccins vitaux» obligatoires pour tous?

Nous devons également nous demander pourquoi l’agenda mondialiste de Gates de vaccins forcés et de stérilisation n’est jamais exposé dans les médias grand public ? 

Se pourrait-il que l’establishment des médias soit d’accord avec l’agenda de Gates et veuille le cacher au peuple américain?

Gates a investi des milliards dans l’amélioration de l’accès à l’avortement. (foetus dans les vaccins) Ses projets de vaccination ont laissé des milliers de femmes stériles au Kenya et ses vaccins contre la polio ont provoqué la paralysie en Afghanistan, en Inde, au Congo et aux Philippines.
[Pour en savoir plus sur le bilan horrible de Gates en matière de vaccins, laissant une trace de décès et de blessures graves, lisez le rapport cinglant de Robert F. Kennedy Jr., publié par Children’s Health Defense le 9 avril 2020 sous le titre Gates ‘Globalist Vaccine Agenda : Un gagnant-gagnant pour la pharmacie et la vaccination obligatoire .]

Kennedy Jr. écrit:

« En promettant  sa part de 450 millions  de dollars sur 1,2 milliard de dollars pour éradiquer la polio, Gates a pris le contrôle du Groupe consultatif technique national indien sur la vaccination (NTAGI), qui a prescrit jusqu’à  50 doses  (tableau 1) de vaccins contre la polio par le biais de  programmes de vaccination chevauchants,  pour les enfants avant cinq ans. Les médecins indiens accusent la campagne Gates d’une épidémie dévastatrice de  paralysie flasque aiguë non polio (NPAFP) qui a paralysé 490 000  enfants au-delà des taux attendus entre 2000 et 2017.

En 2017, le gouvernement indien a rappelé le schéma vaccinal de  Gates  et a demandé à Gates et à ses politiques en matière de vaccins, de quitter l’Inde. Les taux du paralysie flasque aiguë non polio NPAFP ont chuté brusquement. »

Gates est le plus grand donateur privé de l’Organisation mondiale de la santé, une agence des Nations Unies qui, comme le dit le président Trump, est extrêmement «centrée sur la Chine» et couvre à chaque instant les dictateurs communistes chinois.

La Chine est toujours le modèle de réussite aux yeux de l’OMS, jamais le méchant à traiter, comme lorsqu’elle a délibérément donné de fausses informations sur le COVID-19.

Le père de Bill Gates, William Gates Sr., est coprésident de la Fondation Bill et Melinda Gates et ancien membre du conseil d’administration de Planned Parenthood. Fauci et le clan Gates évoluent dans les mêmes cercles que le milliardaire américain d’ingénierie sociale détestant George Soros [voir la photo ci-dessous de 2001] .

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Il est impossible d’échapper au fait que Bill Gates est un mondialiste. 

Il est également un eugéniste pathologique profondément investi dans le contrôle de la population mondiale, l’un des objectifs de longue date des Nations Unies.

S’il est raisonnable de croire qu’aucun de ces deux médecins, Fauci et Birx, ne romprait ses liens avec Gates et ne changerait de couleur simplement parce qu’il fait partie d’un groupe de travail de la Maison Blanche, alors nous devons demander au président Trump : pourquoi écoutez-vous ces deux-là ?

Un nouvel ordre économique et social

Pourquoi ces conseillers profondément en conflit [d’intérêt] conduisent-ils les décisions politiques – de la Maison Blanche aux hôtels particuliers et aux mairies du gouverneur?

De telles décisions, si elles se poursuivent, placent notre nation sur la voie rapide vers un nouvel âge sombre. Et pas seulement un âge sombre politico-économique. Lorsque nous regardons l’ordre social qui évolue rapidement, la lumière s’assombrit également.

De nouvelles règles sont en train d’être élaborées pour nous au moment où nous parlons. 

Des changements sont à venir pour tout – comment nous achetons des produits d’épicerie [masques requis], comment nous payons les produits [sans espèces?], même la façon dont nous saluons notre prochain [pas de poignée de main!].

Si vous n’obéissez pas à ces règles, vous serez publiquement honteux et blâmé comme présentant des comportements antisociaux préjudiciables au bien commun.

La façon dont nous «nous vivons notre vie» pourrait ne jamais revenir à la normale si le président Trump n’intervenait pas et ne reprenait pas les rênes de ces deux médecins alignés sur la vision des Nations Unies, Bill Gates et une foule d’ONG effrayantes comme la Fondation Rockefeller et le Forum économique mondial.

Nous avons déjà rendu compte de la conférence Event 201 du WEF en octobre de l’année dernière, où le CDC, l’OMS, la CIA, l’Université Johns Hopkins, NBC et d’autres sponsors se sont réunis pour dresser la carte de leur réponse mondiale à une pandémie de coronavirus – deux mois avant que quiconque ait entendu parler d’une épidémie de coronavirus.

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié un livre blanc de 54 pages intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international ».

Dans cet opuscule, la fondation a évoqué une future pandémie basée sur un virus pseudo-grippal qui attaque le système respiratoire humain. À la page 18 de ce document, il décrit un scénario hypothétique surnommé «lockstep»:

« En 2012, la pandémie que le monde attendait depuis des années a finalement frappé. Contrairement au H1N1 de 2009, cette nouvelle souche de grippe – provenant d’oies sauvages – était extrêmement virulente et mortelle. Même les nations les plus préparées à une pandémie ont été rapidement submergées lorsque le virus s’est propagé dans le monde entier, infectant près de 20% de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement sept mois, la majorité d’entre eux étant de jeunes adultes en bonne santé. La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies : la mobilité internationale des personnes et des biens a été interrompue, affaiblissant des secteurs comme le tourisme et brisant les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même localement, des magasins et des immeubles de bureaux normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. »

Aux États-Unis, «le confinement était un défi», poursuit le journal Rockefeller, car les États-Unis n’ont pas suivi l’exemple de la Chine  dans la mise en œuvre des verrouillages obligatoires.

La politique initiale des États-Unis de « décourager fortement » les citoyens de prendre l’avion s’est avérée mortelle dans sa tolérance, accélérant la propagation du virus non seulement aux États-Unis, mais au-delà des frontières. Cependant, quelques pays s’en sont mieux sortis – la Chine en particulier. L’imposition et l’application rapides par le gouvernement chinois de la quarantaine obligatoire pour tous les citoyens, ainsi que sa fermeture instantanée et quasi hermétique de toutes les frontières, ont sauvé des millions de vies, arrêtant la propagation du virus beaucoup plus tôt que dans d’autres pays et permettant une reprise post-pandémique accélérée.

Partout où vous trouvez les traces de la Fondation Rockefeller, la famille Gates n’est pas loin, travaillant en tant que «partenaire» ou co-fondateur. Ils partagent le même programme eugéniste.

Le Dr Fauci et le Dr Birx sont directement liés à ce groupe corrompu et Trump doit les lâcher avant qu’ils n’entraînent leur programme pourri dans nos vies à tous.

Michael Matt, rédacteur en chef de Remnant TV, a exposé cette cabale et a connecté les points mieux que n’importe qui, et je recommande fortement son podcast,  « Trumping the Gates of Hell« .



Matt discerne à juste titre que ce qui se passe est plus important que la politique partisane, démocrates contre républicains.

« Cela implique une intrigue internationale, l’OMS, George Soros, Bill Gates, le phénomène Trump et le pape François, mondialiste du Vatican », dit-il. 

« Mais comment? Pourquoi? Quelle est la fin du jeu? »

Dans des détails effrayants, il déballe la phase finale, qui n’a pratiquement rien à voir avec le fait de vous garder en vie et en bonne santé, mais tout avec le remplacement de la puissance américaine dans le monde par quelque chose de plus centralisé, et avec plus de contrôle des masses.

Nous assistons à l’aube d’une nouvelle ère «technocratique» qui se tient sur le plateau de l’ONU depuis plusieurs décennies, attendant juste un événement déclencheur pour qu’il puisse être mis en œuvre.

Une partie du plan de Gates pour un nouveau système utopique technocratique est le marquage et le suivi de chaque être humain à l’aide d’un système d’identification numérique.

Ce système d’identification mondial est actuellement conçu par l’ Alliance ID2020, basée à New York. Microsoft Corp. de Gates est devenu l’un des partenaires fondateurs en janvier 2018 avec Gavi Vaccine Alliance, un autre projet financé par Gates. 

Le financement provient également d’un collaborateur de longue date de Gates, la Fondation Rockefeller.

Afin d’introduire pleinement ce système, Gates et ses camarades mondialistes savent depuis longtemps qu’ils doivent abattre l’Amérique, la faire tomber de sa position de superpuissance la plus importante du monde et «égaliser les chances» entre les nations.

J’ai soutenu le même raisonnement dans mon article d’il y a deux semaines, « Dictature assainie : comment COVID19 est utilisé pour transformer le monde et détruire la révolution Trump ».

Maintenant, j’ai la sauvegarde intellectuelle de Michael Matt, qui prend 43 minutes pour documenter et expliquer le réseau de tromperie qui se tisse. 

Matt n’utilise pas le mot «technocratique» mais c’est exactement ce qu’il décrit – un nouvel ordre mondial dans lequel le capitalisme et la libre entreprise sont remplacés par une forme hybride de socialisme et de capitalisme semblable à celui qui asservit la population en Chine.

Dans une technocratie, des scientifiques corrompus et des bureaucrates fouilleurs de données appellent les vaccins, et les politiciens élus font leurs enchères. Que le peuple soit damné !

Ce n’est pas une coïncidence si Gates était également le principal pourvoyeur de fonds derrière les normes éducatives du tronc commun, qui se concentrent sur la collecte de données sur les élèves à travers des tests et des sondages incessants pour créer ce qui équivaut à un dossier sur les attitudes, les valeurs et les croyances de chaque élève. Il s’agit d’informations privées qui ne regardent en rien les bureaucrates de l’éducation, pas plus que ceux de la santé ne devraient acheter vos données de santé.

Comme l’épouse de Bill Gates, Melinda, l’a déclaré en 2017, capturé dans la vidéo ci-dessus, «Bill et moi aimons les données. Les chiffres nous importent… »

Ah oui, les données. Ils adorent les données car elles peuvent facilement être utilisées contre certains secteurs de la société.

En Chine, modèle technocrate du monde, le gouvernement utilise des données pour gérer un système de notation sociale. Ceux qui ont de faibles scores sociaux, tels que les chrétiens, sont ignorés pour les emplois principaux et forcés de se rencontrer dans des églises souterraines.

Oui, nous avons vu comment fonctionnent les minorités pauvres en données.

En faisant exploser la crise du COVID, en utilisant des modèles informatiques non scientifiques qui prévoyaient un nombre incroyablement inexact de près d’un million d’Américains morts, ils ont pu attirer l’attention du public américain, pour nous faire coopérer à l’avancement de notre propre asservissement.

Gates a déclaré, dans une interview avec Chris Wallace de Fox News:

«Il est juste de dire que les choses ne reviendront pas à la normale tant que nous n’aurons pas un vaccin que nous aurons distribué dans le monde entier.»

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau est sorti cette semaine avec une déclaration qui semblait étrangement similaire.

«Nous ne reviendrons pas à notre ancienne situation normale; nous ne pouvons pas le faire avant d’avoir développé un vaccin, et cela pourrait prendre de 12 à 18 mois »,

a déclaré Trudeau aux journalistes jeudi dernier.

Zeke Emanuel, l’ancien collaborateur d’Obama qui conseille désormais Joe Biden, a déclaré à MSNBC :

«De manière réaliste, le COVID-19 sera là pour les 18 prochains mois ou plus. Nous ne pourrons pas revenir à la normale tant que nous n’aurons pas trouvé un vaccin ou des médicaments efficaces. »

Qui sera notre sauveur?

Vous pouvez donc voir que la gauche, et certains mannequins à droite, sont tous sur la même longueur d’ondes avec Bill Gates.

Les médias coopèrent en continuant à attiser la peur. Ils omettent de signaler que 99% des Américains qui contractent un coronavirus se rétablissent complètement. Et les médicaments nécessaires pour le traiter sont déjà là; ils sont bon marché et largement disponibles.

Dr. Shiva
Dr. Shiva Ayyadurai

Nous devrions nous concentrer sur le renforcement de notre système immunitaire, comme le préconise le Dr Shiva dans un article publié ici . Nous n’avons pas besoin des vaccins forcés de Gates.

Il est temps de faire savoir à ces mondialistes que c’est fini. Leur couverture a été grillée.

Les patriotes du Michigan reprennent en main leur gouvernement

Suivons l’exemple du Michigan . Les patriotes sont descendus dans les rues en signe de protestation pacifique. Ils se sont rendus en masse au State Capitol à Lansing aujourd’hui [mercredi 15 avril] pour exiger que le gouvernement socialiste Getchen Whitmer rouvre l’économie.

Nous ne voulons pas d’un nouveau chèque de «relance» du gouvernement. Nous voulons retourner au travail.

L’alternative est de continuer à écouter Fauci. Ce qui revient à écouter le psychopathe Gates.

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Des manifestants se rassemblent lors de «l’Opération Gridlock» au Capitole de l’État à Lansing, Michigan, le mercredi 15 avril 2020. 
Photo gracieuseté de Fox 2 Detroit .

Fauci a répété le mensonge de Bill Gates selon lequel la seule issue est d’attendre un vaccin.

De cette façon, il arrive à faire de Gates et des mondialistes nos sauveurs. Ils feront ressembler notre président à un bouffon maladroit, qui a créé un gâchis que seuls les globalistes, chevauchant sur leurs chevaux blancs, peuvent réparer.

Au final, seul Jésus-Christ peut nous sauver. Nous le savons.

Les mondialistes finiront par arriver à leurs fins, pour un temps, et ce sera une période d’enfer sur terre. Priez pour plus de temps. Je pense que nous en avons besoin. Sinon, nous nous soumettons aux mondialistes, qui nous mèneront dans un nouvel âge sombre.

Alors que le 11 septembre nous obligeait à nous soumettre aux coups de fouet de notre personne physique dans les aéroports, les palais de justice et autres lieux publics, la pandémie de COVID19 se terminera avec chaque Américain se soumettant à une analyse de son histoire de santé numérique. A moins que les gens ne rejettent ce système, nous nous dirigeons vers…

  • Une ère de «distanciation sociale» et de fracture d’unité.
  • Une ère de honte et de blâme dictés par l’agenda
  • Un âge de suspicion et de «montrer ses papiers»
  • Une ère de verrous, de suivi, d’étiquetage et de surveillance.

Trop c’est trop.


[À propos de l’auteur]

Leo Hohmann est un journaliste indépendant, auteur du livre de 2017 «Stealth Invasion: Muslim Conquest through Immigration and Resettlement Jihad». Pour soutenir ses projets de recherche et d’écriture, veuillez considérer un don de toute taille.




Le Dr Ron Paul interviewe Robert F. Kennedy, Jr. qui admet que la CIA a tué son père et son oncle

[Source : Mirast News]

Par Brian Shilhavy, Rédacteur, Health Impact News

Dans ce qui sera sûrement une interview historique, l’ancien membre du Congrès, le Dr Ron Paul, a interviewé l’avocat Robert F.Kennedy, Jr. sur son programme quotidien Liberty Report aujourd’hui (vendredi 14 août 2020).

Alors que le Dr Paul commence le programme en déclarant que la principale raison pour laquelle ils invitaient M. Kennedy à participer au programme était de discuter des vaccins, le Dr Paul aborde directement un problème que de nombreux Américains se posent depuis plus de 3 décennies: quelle était la vérité derrière les assassinats du président John F. Kennedy en 1963, de l’oncle de Robert F. Kennedy, Jr., et de Robert F. Kennedy, son père, en 1968, et quel rôle la CIA a-t-elle joué à cet égard?

Kennedy commence par mentionner un livre qu’il a écrit, American Values, qui, selon lui, documente la bataille de près de 75 ans de sa famille contre la CIA.

Il dit que la lutte avec la CIA a commencé au milieu des années 1950 lorsque le président Truman a demandé à son grand-père, Joseph Kennedy, de siéger à une commission appelée «The Hoover Commission».

Leur tâche était de se pencher sur la CIA, parce que la CIA n’était pas à l’origine mandatée pour s’engager dans des activités paramilitaires, organiser des élections, assassiner des dirigeants mondiaux et interférer avec les démocraties d’autres pays.

Kennedy a mentionné que la CIA a été créée avec une grande réticence tant par les démocrates que par les républicains, car le précurseur de la CIA, le «Bureau des services stratégiques», une agence de renseignement militaire secrète, a été liquidé après la Seconde Guerre mondiale, parce que la croyance à l’époque était que les organisations de police secrète étaient incompatibles avec une démocratie régie par une Constitution.

À cette époque, quand les Américains pensaient à la police secrète, ils pensaient à la «Stasi» (police secrète allemande), ou ils pensaient au «KGB» (police secrète russe), ou ils pensaient à la «Gestapo» (police secrète de l’Allemagne nazie).

Il y a donc eu des débats au Congrès lors du lancement de la CIA, et les républicains et les démocrates ne pensaient pas que c’était quelque chose que l’Amérique devrait faire.

Lorsque la CIA a été créée, elle était censée être exclusivement un programme «d’espionnage» destiné à recueillir des renseignements. Ce n’était pas censé interférer.

Mais Alan Dulles, le premier directeur de la CIA, avait apparemment d’autres plans, et bientôt ils ont renversé les démocraties au Guatemala, en Iran et dans le monde entier. Ainsi, lorsque Joseph Kennedy faisait partie de la Commission Hoover, il a recommandé le démantèlement de la CIA.

Kennedy poursuit:

Alan Dulles a manipulé la loi et a conclu de nombreux accords en coulisses pour obtenir ces énormes budgets secrets et a commencé à vraiment se livrer à tous les méfaits. Et mon grand-père faisait partie d’une commission qui a examiné cela et a vu ce qu’ils avaient fait.

Et quand ils ont renversé les démocraties au Guatemala, en Iran et dans le monde entier, il a dit: «Nous devrions la démanteler. Nous devrions supprimer la Division des plans», qui était la division des« sales tours ».

Alan Dulles ne lui a jamais pardonné, ni à ma famille. Et quand mon oncle est entré et a fait la Baie des Cochons, il a ensuite renvoyé Dulles.

Lorsque le président Johnson est entré dans la pièce, dans la salle Est de la Maison Blanche, je me tenais à côté de mon père quand il a dit à mon père que Lee Harvey Oswald venait d’être tué par Jack Ruby, il l’a dit à mon père et Jackie, et J’ai dit à mon père: «Jack Ruby a-t-il aimé notre famille?»

Et personne n’a répondu à cette question.

Le père de M. Kennedy a découvert plus tard que Jack Ruby était lié à la Mob et à la CIA. Il croyait que la CIA avait tué son frère, le président John F. Kennedy.

Alors que M. Kennedy déclare que « vous seriez un idiot de ne pas croire que le président Kennedy a été tué par un complot », il ne croyait pas à l’origine le meurtre de son propre père.

Il croyait que les preuves contre Sirhan étaient accablantes, jusqu’à ce qu’un jour Paul Schrade, l’un des meilleurs amis de son père et qui se tenait à côté de son père lorsqu’il a été abattu, et a pris une balle dans la tête, lui a dit que son père n’avait pas été tué par Sirhan et qu’il avait besoin de regarder le rapport d’autopsie.

Kennedy déclare qu’il était réticent, car il ne voulait pas entrer dans toutes les «théories du complot» concernant la mort de son père.

Mais il l’a fait en faveur de Paul Schrade parce qu’il était un tel héros, et après avoir enquêté sur lui pendant quelques jours, il était clair que Sirhan n’aurait pas pu tuer son père.

Écoutez le reste de l’interview ci-dessous, où ils expliquent également comment M. Kennedy est devenu à contrecœur un défenseur des parents d’enfants endommagés par les vaccins, un changement de carrière qui l’a presque détruit. Avant cela, il était un avocat couronné de succès qui poursuivait les entreprises qui polluaient l’environnement.

Ils parlent également du fait que les fermetures et l’isolement social sur COVID, dirigés par Anthony Fauci, tuent beaucoup plus de personnes que COVID.

Mais avant de regarder cette interview historique, laissez-moi vous dire ce que vous regardez exactement.

Vous regardez deux hommes, le Dr Ron Paul, qui était lui-même un membre du Congrès républicain de carrière, et M. Kennedy d’une célèbre famille démocrate de carrière, qui sont tous deux d’accord sur les problèmes de tyrannie médicale auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui, car ils comprennent tous les deux que la menace en Amérique aujourd’hui sur la peur du COVID, est une question non partisane.

Kennedy cite en fait les paroles prononcées par Franklin Delano Roosevelt lors de son inauguration en tant que président en 1933, au milieu de la Grande Dépression: «Nous n’avons rien à craindre sauf craindre elle-même», car la «peur» est l’outil des tyrans. Les tyrans gouvernent par la peur et en prétendant qu’ils sont les seuls à sauver les gens de la menace perçue qui provoque la peur.

Cela se produit aujourd’hui, d’une manière sans précédent, avec la peur du COVID.

Ce n’est pas une interview «raffinée» onéreuse comme vous le verriez dans les médias d’entreprise de propagande où les intervieweurs sont essentiellement des artistes et apparaissent comme des modèles parce qu’ils sont si bien habillés et élégants, mais où ils jouent essentiellement et suivent un scénario pour produire un message que les mondialistes veulent que le public croie.

Le Dr Ron Paul était connu sous le nom de «Dr. Non » au Congrès parce qu’il ne pouvait fondamentalement pas être acheté par les lobbyistes. Il était chirurgien de l’air dans l’armée de l’air au début des années 1960, juste après l’incident de la Baie des Cochons à Cuba, et connaît donc très bien la famille Kennedy et sa carrière politique.

Il fêtera ses 85 ans la semaine prochaine, et parfois il perd sa place dans ses notes lors d’entretiens, mais il est toujours beaucoup plus intelligent que les politiciens de carrière d’aujourd’hui en suivant simplement la foule parce qu’ils ne savent pas comment penser par eux-mêmes.

Kennedy a un problème d’élocution et n’est manifestement pas le plus éloquent à écouter, mais sa passion pour ce qu’il croit et sa connaissance des enjeux sont sans égal.

Si vous voulez connaître la vérité et apprendre les vraies nouvelles, c’est de loin plus intéressant et informatif que tout ce que vous regarderez sur les réseaux câblés d’entreprise.

https://youtu.be/_kJdOtnBUcw

 Traduction : MIRASTNEWS

Source : Health Impact News




Inversion des valeurs et corruption juridique au cours de la crise Covid

[Source : anthropo-logiques.org]

Depuis le début de cette crise « sanitaire » qui aura vu les méthodes totalitaires chinoises être substituées aux bonnes réponses en santé publique (comme le Dr Fauci vient de l’admettre dans une déposition sous serment aux États-Unis !), l’avocate de Araujo-Recchia se bat pour faire connaître l’absolue gravité des transgressions en cours, lesquelles menacent littéralement la sécurité de l’état de droit.

Dans cette présentation, elle passe implacablement en revue les principales facettes de cette réalité que la plupart des gens (et des juristes !) préfèrent ne pas voir. Quelle absence en effet des professeurs de droit constitutionnel par exemple, mais aussi des juristes au service des gouvernements et même des cours de justice face à la redoutable gravité de cette inversion de la norme des hiérarchies juridiques !


Corruption juridique au cours de la crise Covid

Par Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate

Partie prenante à la procédure du Grand Jury du Dr Reiner Füllmich., Virginie de Araujo-Recchia a déposé de nombreuses plaintes dont une plainte pour « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide ».

Liste de ses actions : https://dar-avocats.com/actualites/

[Voir aussi :
La liberté d’expression des médecins, enseignants et chercheurs est-elle protégée en temps de crise sanitaire ? Me de Araujo-Recchia répond
Me Virginie de Araujo-Recchia communique suite à sa mise en garde à vue par la DGSI
Lettre d’informations sur les actions juridiques menées contre les mesures sanitaires par Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris
Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Résumé de la conférence par Mme Tatiana Tislenkoff.

https://www.youtube.com/embed/JoPdWCMTpW4

Autant nous assistons à l’inversement des valeurs au sein de nos sociétés occidentales, autant nous assistons à l’inversement de la hiérarchie des normes juridiques.

En effet, force est de constater que les grands principes juridiques applicables, en toutes circonstances, au sein/au cœur de toute société civilisée, sont désormais foulés au pied au détriment de l’intérêt des peuples et corrélativement au seul profit de la finance internationale mondialiste détenant notamment les groupes pharmaceutiques impliqués.

La fraude est commise sous l’égide de fondations, d’agences et de groupes de réflexion internationaux et au travers de la corruption des médias grand public et des plateformes numériques complices du cloisonnement de l’information et par conséquent d’un obscurantisme décomplexé.

Ainsi, une réglementation technocratique pullulante, incohérente et déracinée se substitue aux normes supérieures avec les conséquences désastreuses que nous connaissons.

Règne désormais un mépris total du droit à la vie, du principe de la dignité humaine, de la sacralité de l’esprit et du corps jusqu’à atteindre l’environnement du fœtus et le génome de l’être humain.

Ces questions nous mènent à la croisée du droit et de la philosophie.

I. Négation des lois non-écrites de la nature humaine et inversion de la hiérarchie des normes juridiques

I.1  Négation des lois non écrites

LE PRINCIPE DU RESPECT DE LA DIGNITÉ HUMAINE

Le principe de dignité exige de sauvegarder la personne humaine « contre toute forme d’asservissement ou de dégradation ».

La dignité implique que la personne reste maître de son corps et d’elle-même, ce qui suppose qu’elle ne se trouve pas aliénée ou asservie à des fins étrangères à elle-même.

Les textes de lois ont essayé de définir cette vie digne : une vie indépendante qui permet l’autonomie de choix et la participation à la vie sociale et culturelle.

D’ailleurs, la définition de la santé en tient compte : « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.»(([1] Extrait de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé, adoptée en 1946 à New-York et entrée en vigueur en 1948.))

Kant distingue ce qui a un prix et ce qui a une dignité : « Dans les règne des fins tout à un prix ou une dignité. Ce qui a un prix peut-être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre, d’équivalent ; au contraire, ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité.»(([2] Dans les Fondements de la Métaphysique des Mœurs de Kant.))

Par conséquent, toute violence, toute discrimination à l’encontre des personnes qui refusent de se faire injecter une substance expérimentale, surtout lorsque le produit pharmaceutique en question est inefficace et nocif, voire mortel, viole tous les principes rattachés au respect de la dignité humaine.

LE PRINCIPE DU RESPECT DE LA DIGNITE HUMAINE A SON COROLLAIRE : LA RESISTANCE A L’OPPRESSION EN CAS D’ATTEINTE À CE MÊME PRINCIPE

Le principe de résistance à l’oppression appartient aux lois non-écrites de la nature humaine et préexiste logiquement à l’État et à sa norme fondamentale suprême.

En effet, lorsque les institutions d’un État, dont la vocation première est d’assurer la protection de l’ordre public, la sauvegarde des principes fondamentaux, de la liberté et des droits du peuple, ne font plus obstacle à la dérive des régimes totalitaires, il est du devoir de chaque individu de résister à l’oppression.

« Le moteur de la résistance ce n’est ni la foule, ni la tribune, c’est l’individu qui a le goût politique et qui juge ; c’est le citoyen qui ne se laisse pas fasciner par « l’hypnose exercée par le pouvoir » ; celui qui refuse d’être dupe ». Parce qu’il faut qu’il y ait « au début du mouvement populaire, une réaction des consciences individuelles », sinon « ce sera une émeute ou une révolte, ce ne sera pas, dans le plein sens du mot, ce refus d’accepter plus longtemps l’arbitraire des gouvernants qui caractérise la résistance à l’oppression. »

« La résistance à l’oppression n’est pas révolutionnaire. Au contraire, elle est de nature conservatrice, sa mission étant de défendre l’ordre constitutionnel établi et de contribuer au retour du statu quo ante ».

I.2. Inversion de la hiérarchie des normes juridiques

Les mesures prises par le pouvoir exécutif français ont été à l’origine d’atteintes aux droits fondamentaux et libertés publiques sans précédent.

Des lois, décrets et arrêtés préfectoraux ont prévalu sur les normes du bloc constitutionnel sans que ces textes ne soient jamais remis en cause ou invalidés tant par le Conseil constitutionnel, que par les juridictions judiciaires et administratives, alors que lesdites mesures étaient clairement disproportionnées et contraires à bon nombre de textes conventionnels et européens ainsi qu’aux normes suprême du corpus constitutionnel.

L’ÉTAT DE DROIT A CÉDÉ LA PLACE A L’ARBITRAIRE

J’ai pu relever les atteintes majeures suivantes :

  • Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation.
  • Violation du droit à la vie et atteinte à l’intégrité des personnes.
  • Violation de la liberté individuelle au mépris de l’Habeas Corpus qui prévoie le contrôle du juge judiciaire à bref délai lorsque les mesures privatives de liberté sont appliquées.(([3] Confinements forcés de l’ensemble de la population.))
  • Violation du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation.
  • Violation de la liberté de circuler/liberté d’aller et venir.
  • Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction de visiter des proches à l’hôpital, d’assister à des funérailles, de se réunir en famille.
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler.
  • Violation du droit à l’éducation.
  • Violation de la liberté de culte.

Nous assistons à :

  • Une manipulation de l’opinion afin de faire régner la terreur et troubler l’ordre public.
  • Une gestion de crise disproportionnée et non conforme aux pratiques habituelles en la matière.
  • Une « épidémie » de tests RT-PCR qui ne permettent pas de déterminer si le patient est malade.
  • Une interdiction de traitements disponibles contre la Covid-19 en violation des droits du patient et de la liberté de prescrire.
  • Un homicide par administration de Rivotril dans les EHPAD.
  • Des crimes contre l’humanité.
  • Des actes de maltraitance et torture à l’égard des enfants.

Or, les magistrats de l’ordre administratif et les membres du Conseil constitutionnel ont utilisé le principe constitutionnel de protection de la santé pour entériner les mesures les plus iniques et les plus nocives pour la santé des français.

Pour le moment, il est devenu quasiment impossible d’échanger de manière objective devant les Cours et tribunaux français concernant les dommages causés par les mesures telles que les confinements forcés, les masques, les tests et la dangerosité des injections expérimentales.

Le principe constitutionnel de protection de la santé a été érigé en principe suprême, afin d’avaliser toutes les mesures prises par le pouvoir exécutif depuis mars 2020.

AFFAIRES DEVANT LES INSTANCES ADMINISTRATIVES, JUDICIAIRES, EUROPÉENNES ET INTERNATIONALES

À compter du mois de décembre 2020, des associations m’ont accompagné dans le cadre d’une action civile collective. Malgré la production de nombreuses études scientifiques dont la crédibilité ne peut être remise en cause, le tribunal judiciaire a refusé la discussion.

Il s’avère aujourd’hui que d’autres études scientifiques sont venues depuis confirmer la nocivité de la mesure de confinement forcé et le président du Conseil scientifique l’a reconnu publiquement.

Nous avons engagé d’autres actions devant les juridictions pénales, la Cour de Justice de la République, la Cour Européenne des Droite de l’Homme, à l’encontre des membres du gouvernement, de certains parlementaires, des médias grand public, des plateformes de réseaux sociaux ainsi que des intervenants propagandistes de plateau radio et télévision, notamment sur la base des chefs d’accusation suivants :

  • Abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse des français en état de sujétion psychologique résultant de techniques propres à altérer leur jugement.
  • Complicité d’extorsion et de tentative d’extorsion de consentement.
  • Tromperie aggravée et tentative de tromperie aggravée commise en bande organisée.
  • Escroquerie et tentative d’escroquerie.
  • Complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement.
  • Participation à une association de malfaiteurs.
  • Crime contre l’humanité – génocide et complicité de génocide.

J’ai également réclamé l’expertise des solutions injectables expérimentales contre la Covid-19, étant donné de fortes suspicions relatives à la présence de nanotechnologies, d’oxyde de graphène et autres substances toxiques, ce qui n’a pas encore été traité par les magistrats en charge de ces dossiers.

En parallèle, j’ai rejoint un groupe d’avocats et juges internationaux travaillant avec mon confrère Reiner Fuellmich. Nous avons créé la Cour internationale de l’opinion publique, afin de présenter publiquement les témoignages d’experts essentiels ainsi que l’ensemble des éléments que nous présentons régulièrement devant les tribunaux nationaux et qui ne sont pas pris en compte actuellement.

II. Le cartel « Finance/Pharma/Médias »

II.1 L’Oligopole

Le rapport intitulé Génocide économique des Nations de Juliette Marin détaille la mainmise des fonds d’investissement américains sur les sociétés françaises du CAC40. Ces mêmes fonds détiennent ainsi directement et indirectement les médias dominants ainsi que les laboratoires pharmaceutiques.

Je cite :

« Selon nos informations, les dix plus grands investisseurs institutionnels contrôlent à eux seuls environ 22’000 milliards de dollars et sont également présents en Europe.

Parmi ces investisseurs, beaucoup sont à la fois grands et diversifiés, comme BlackRock ou Vanguard.(…)

Même s’ils se retrouvent rarement actionnaires majoritaires d’une seule et même société, les effets de cette situation sur la concurrence sont semblables à ceux d’une situation d’oligopole.

(…)

L’étude de l’architecture du réseau de propriétés internationales et nationales, ainsi que le calcul du contrôle exercé par chaque acteur mondial dans son ensemble nous révèle un monopole de fait sur l’économie des nations du monde entier avec un accent sur l’analyse des sociétés françaises cotées en Bourse (CAC40). Nous constatons que les sociétés transnationales formant une structure géante de nœuds papillons et qu’une grande partie du contrôle se dirige vers un petit noyau d’institutions financières très unies.

Ce noyau peut être considéré comme une « super-entité » économique qui soulève de nouveaux problèmes importants pour les chercheurs et les décideurs. »

Le rapport relève les dirigeants impliqués dans le secteur des médias et également dans le secteur des biotechnologies.

II.2. L’Organisation Mondiale de la Santé

Le rapport n°12283 intitulé « La gestion de la pandémie H1N1 : nécessité de plus de transparence » de M. Paul Flynn en date du 7 juin 2010 est édifiant :

Je cite :

« De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence du processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer eu égard aux principales décisions relatives à la pandémie. Il est à craindre que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance accordée aux conseils émis par les grands organismes de santé publique. (…)

L’Assemblée a noté que les activités de lobbying non réglementées ou occultes peuvent constituer un danger et miner les principes démocratiques et la bonne gouvernance. (…) »

Les liens capitalistiques entre les médias grand public, les géants du numérique, les géants américains de la finance et l’OMS démontrent une réelle situation de collusion.

II.3 Le World Economic Forum (WEF)/Young Global Leaders a infiltré les pouvoirs publics

Depuis plus de cinquante ans, les principaux responsables économiques et politiques de la planète se retrouvent fin janvier à Davos pour la réunion annuelle du WEF.

Pour Kees van der Pijl, le WEF succéderait à d’autres organisations qui l’ont précédé, comme la franc-maçonnerie, le réseau gravitant autour de la Round Table à l’apogée de l’Empire britannique ou les conférences Bilderberg tout au long de la guerre froide et au-delà. Mais selon lui, à la fin des années 90, le WEF constituait bel et bien « le groupe de planification transnational le plus accompli, […] une véritable Internationale du capital ».(([4] Kees van der Pijl, Transnational Classes op. cit., p. 133.))

Son fondateur Klaus Schwab est un partisan de l’eugénisme et du transhumanisme. Il défend et promeut l’avènement de l’intelligence artificielle pour nos vies dans son ouvrage « La quatrième révolution industrielle » paru en 2017 et publie l’ouvrage intitulé « Le Great Reset » en 2019.

Je cite :

« Le Great Reset, c’est l’appel officiel à utiliser la pandémie et les confinements pour changer les comportements sociaux et sociétaux, une occasion historique d’accélérer la quatrième révolution industrielle, celle de la digitalisation. C’est aussi un éloge de l’intervention de l’État pour imposer la transition écologique et l’économie circulaire. C’est encore une justification à la surveillance de tous les individus grâce à Internet et à la reconnaissance faciale ».(([5] Eric Verhaeghe, ancien élève de l’ENA, haut fonctionnaire, auteur du livre « Le Great Reset : Mythes et réalités », 2021.))

Or dans le cadre d’un article en date du 28 octobre 2021, Éric Verhaeghe fait le constat suivant :

« Entre Emmanuel Macron et Mario Draghi, nul ne sait quel est le meilleur agent du Great Reset, et il n’est pas impossible que l’un et l’autre se tirent la bourre aujourd’hui pour en être les héros. Pour tous ceux qui se demandent encore si Emmanuel Macron est de gauche ou de droite, il n’est en tout cas pas inutile de comparer son œuvre politique déployée depuis un an avec le projet du Great Reset de Klaus Schwab. Les ressemblances sont si frappantes qu’on se demande même si la France n’est pas le champ d’expérimentation d’une doctrine que nous avons commentée en son temps dans notre ouvrage consacré au sujet.

Macron met en œuvre le Great Reset depuis un an. »(([6] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/10/28/comment-macron-a-mis-en-place-le-great-reset-en-france/))

En effet, Klaus Schwab décrit comment son mouvement subversif a infiltré avec succès les cabinets de plusieurs gouvernements mondiaux.

« Quand je mentionne des noms comme Angela Merkel et même Vladimir Poutine, et ainsi de suite, ils ont tous été des Young Global leaders du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes très fiers aujourd’hui, c’est la jeune génération comme le premier ministre Justin Trudeau, le président de l’Argentine, etc. Nous pénétrons les cabinets gouvernementaux. ».

Il ajoute que « ceci est aussi vrai en France, le président était un Young Global Leader ».(([7] https://humansbefree.com/2022/01/Klaus-schwab-brags-about-controlling-western-governments.htmlhttps://banned.video/watch?id=61f0562d17dfec17f412cd00))

II.4. Infiltration des pouvoirs publics par les consultants privés reliés au cartel

La commission d’enquête sénatoriale a publié en 2022 un rapport sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques.(([8] Rapport n°578 de la Commission d’enquête sénatoriale présidée par M. Arnaud Bazin, publié le 17 mars 2022 intitulé Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques.))

Dans ce rapport, on peut lire les propos de M. Frédéric Pierru, sociologue chargé de recherche au CNRS et spécialiste du secteur de la santé dont voici un extrait(([9] Op. cit. p. 32.)):

« Ce qui m’a étonné, c’est de voir un cabinet comme McKinsey, qui ne connaît rien à la vaccination, assister un ministre, alors que des spécialistes de la question sont disponibles à l’intérieur de l’État. L’administration de santé publique est capable d’élaborer logistiquement une campagne de vaccination, et on va chercher un consultant de McKinsey. »

McKinsey couramment appelé « La Firme » est non seulement tentaculaire mais elle est également reliée aux laboratoires pharmaceutiques ainsi qu’à certaines Fondations « lucratives », ce qui expliquerait pourquoi différents États occidentaux ont adopté les mêmes mesures liberticides et criminelles lors de la crise Covid-19.

McKinsey et Boston Consulting Group semblent avoir un impact démesuré sur le secteur mondial de la santé(([11] Comment McKinsey s’est infiltré dans le monde de la santé publique mondiale, article paru dans Vox le 13 décembre 2019. https://www-vox-com.translate.goog/science-and-health/2019/12/13/21004456/bill-gates-mckinsey-global-public-health-bcg?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp)). En effet, les deux entreprises ont toujours figuré parmi les cinq principaux prestataires de services professionnels de la Fondation Gates, selon les déclarations de revenus de la fondation, même après que l’organisation se soit engagée à réduire les dépenses de consultants à partir de 2015.

Comme l’a déclaré Devi Sridhar, titulaire de la chaire de santé publique mondiale à l’Université d’Edimbourg :

« Le défi est d’essayer de suivre l’argent et de comprendre les relations entre les bailleurs de fonds comme Gates, les sociétés de conseil et l’OMS. 

Comme Gates a commencé à payer régulièrement des consultants pour le compte d’institutions comme l’OMS, cela a créé une « dépendance » vis-à-vis des entreprises. Ensuite, il est devenu plus courant de faire appel à ces mêmes consultants pour la stratégie » (…)

Au total, la Fondation Gates a dépensé plus de 300 millions de dollars pour McKinsey et BCG entre 2006 et 2017 (…). C’est plus que le budget national de la santé pour tout un pays à faible revenu, comme Haïti.(…)

L’agence UNITAID a également été financée par la Fondation Gates, qui, dès le premier jour, a payé le travail de conseil de McKinsey, selon les procès-verbaux du conseil d’administration d’UNITAID de 2006 accessibles au public. (…)

Considérez le rôle de McKinsey dans l’épidémie d’opioïdes, qui a coûté la vie à près d’un million d’Américains depuis 1999. Les documents judiciaires qui ont fait surface dans le cadre d’un litige comprenait des allégations selon lesquelles McKinsey aurait conseillé deux sociétés sur la manière d’augmenter les ventes d’opioïdes sur ordonnance, du début des années 2000 jusqu’en 2014 au moins – lorsque l’épidémie de surdose était déjà bien connue. Une plainte alléguait que McKinsey avait conseillé à Johnson & Johnson de « faire prendre aux patients des doses plus élevées d’opioïdes » et d’étudier des techniques « pour garder les patients sous opioïdes plus longtemps », a rapporté le New York Times (…) »

Comme nous pouvons le constater, McKinsey et BCG travaillent étroitement avec Bill Gates, lequel affiche publiquement ses objectifs eugénistes et transhumanistes, qu’il partage avec Klaus Schwab, Henri Kissinger, Warren Buffet, tout comme les fondations Rockefeller, Rotschild, Open Society de Soros etc.

Toute cette oligarchie mondialiste considère que l’«hyper-class » doit inventer des technologies destinées à asservir les classes subalternes, réduire la population et faire scission avec cette majorité de sous-humains.(([12] Jacques Attali, Les clefs du XXIème siècle, édition avril 2000, p. 497s.))

À ce titre, un rapport(([13] https://twoplustwoequalsfournews-wordpress-com.translate.goog/2022/02/19/update-rockefeller-foundation-1968-annual-report-we-need-vaccines-to-reduce-fertility-and-address-the-population-problem/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp)) de la Fondation Rockefeller datant de 1968 décrit parfaitement la peur des oligarques concernant l’accroissement de la population et les solutions envisagées, notamment par la vaccination.

Un autre rapport(([14] https://archive.org/details/scenarios-for-the-future-of-technology-and-international-development-rockefeller-foundation)) de la Fondation Rockefeller datant de mai 2010, proposait entre autres, l’utilisation des confinements forcés.

Un article(([15] https://www-rockefellerfoundation-org.translate.goog/news/mercury-project-to-boost-covid-19-vaccination-rates-and-counter-public-health-mis-and-disinformation-in-17-countries-worldwide/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc)) du 23 août 2022, publié sur le site de la Fondation Rockefeller nous apprend que :

 « Le Social Science Research Council fournit 7,2 millions de dollars à 12 équipes qui font progresser des sciences sociales et comportementales ambitieuses et appliquées pour lutter contre la menace mondiale croissante posée par les faibles taux de vaccination contre le Covid-19 ainsi que la mésinformation et la désinformation en matière de santé publique. »

Pour aller plus loin, un article résume bien l’action de la Fondation Rockefeller contre la médecine naturelle, à partir de 1910, avec le rapport Flechner(([16] https://fr.sott.net/article/40467-Toxicologie-contre-Virologie-L-Institut-Rockefeller-et-la-fraude-criminelle-de-la-polio)) et le financement des écoles de médecine occidentales. On notera que l’École de médecine de Lyon fut créée à la demande du Dr Alexis Carrel, prix Nobel de son Institut new-yorkais, eugéniste.

III. Censure des véritables experts et des lanceurs d’alerte

III.1. La dépendance des médias grand public vis-à-vis des géants financiers américains entraine une disqualification des informations qui pourraient aller à l’encontre du plan mondialiste

Voici les propos très éclairants tenus par le journaliste enquêteur Laurent Mauduit, dans un article(([17] https://www.mediapart.fr/journal/economie/130218/les-milliardaires-de-la-presse-gaves-d-aides-publiques-et-privees?onglet=full)) datant du 13 février 2018, concernant les partenariats entre les médias grand public et les plateformes numériques dans le but de censurer l’information indépendante.

À propos du fact-checking :

« Ce type de nouvelle servitude acceptée par la presse française pose deux problèmes majeurs. Le premier est le lien de dépendance renforcé au plan financier vis-à-vis des géants américains de l’Internet dans lequel la presse française se place. Car accepter que Google et Facebook jouent ainsi un rôle majeur dans les circuits de l’information ne sera naturellement pas sans conséquence dans l’avenir :

Terrible situation de la presse française, sur laquelle une dizaine de milliardaires ont fait main basse et qui, comme cela ne suffisait pas, se jette dans les bras des oligopoles américains. (…)

En parallèle, une autre plateforme dont Google est partie prenante, et soutenue par Facebook, a également annoncé son lancement prochain : CrossCheck, au sein du projet First Draft. CrossCheck permettra au public de soumettre des questions et rassemblera les informations fournies par les seize médias français partenaires, dont à nouveau l’AFP, Le Monde, Libération, France Télévisions et France Médias Monde. (…)

Dans le cas du partenariat avec Facebook noué par ces journaux, un autre danger majeur plane : la transformation de la presse en auxiliaire ou en force supplétive des géants américains de l’Internet ; voire la constitution d’une sorte de police éditoriale, ayant un étrange pouvoir d’agrément ou de disqualification de certaines informations sensibles. ».

III.2. Le soutien des médias grand public au pouvoir politique

Les principaux détenteurs des médias grand public soutiennent le pouvoir politique pour des raisons économiques et financières.

Les médias grand public reçoivent les informations de Reuters ou de l’AFP. Cette dernière semble avoir reçu des fonds à hauteur de 45 millions de dollars de la part de la Fondation Bill & Melinda Gates, laquelle est au capital des sociétés pharmaceutiques Pfizer, BioNTech et Moderna.

Les géants du numérique tels que par exemple Google, Youtube, Facebook et Twitter, vérifient les faits et censurent les propos qui ne vont pas dans le sens des intérêts de leurs actionnaires, des géants financiers tels que Black Rock, Vanguard, la Fondation Bill & Melinda Gates, lesquels sont également au capital des laboratoires pharmaceutiques Pfizer et BioNTech.

La Fondation Bill & Melinda Gates, qui est au capital des laboratoires Pfizer et BioNTech est désormais le plus grand contributeur de l’OMS, laquelle force les populations à participer aux essais cliniques des laboratoires pharmaceutiques cités plus haut.(([18] https://youtu.be/BrHVeHGgg2Y))

Le professeur Mark qui a enseigné les médias, culture et communication à l’Université de New York pendant des années. Au cours de son témoignage devant le Grand Jury (session n°7, ce professeur a pu confirmer ces mécanismes de censure et a détaillé les modalités de financementles mécanismes de la propagande des médias et leur responsabilité dans le cadre de cette crise.(([19] https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Mark-Crispin-Miller:d))

L’intervention de Mark Sharman, ancien directeur information Sky News, le 1er avril 2022, dans le cadre de l’émission « The Lockdown Inquiry » de la chaîne britannique GBN, corrobore les affirmations du Professeur Mark Crispin Miller.(([20] https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1/trim.0DE51587-9F25-44BB-9432-2C78AB0EA2C4:b))

Nous pouvons en déduire que les médias dominants et les plateformes de réseaux sociaux sont responsables :

  • de l’absence délibérée de pluralité des sources d’information et de la non application du principe du contradictoire afin de traiter de l’opportunité des mesures prises par le pouvoir exécutif et les instances internationales ;
  • de la censure, la stigmatisation, la discrimination et la disqualification soigneusement organisée à l’encontre des voix discordantes, dont les réels experts, les lanceurs d’alerte et les victimes.

Conclusion

Cet oligopole tentaculaire détient un pouvoir extraordinairement démesuré et abusif sur les nations et donc une emprise ô combien dangereuse et nocive pour les peuples.

En suivant cette idéologie mortifère, le pouvoir exécutif de chacun des États impliqués porte actuellement atteinte aux intérêts fondamentaux de leur Nation et mène le peuple au suicide collectif, ce qui nous a d’ailleurs amené à déposer une plainte contre ces dérives sectaires en France.





Vacciner les enfants contre le covid serait « irresponsable, inutile et contraire à l’éthique »

Par Nicole et Gérard Delépine

DANGER : les enfants ne doivent pas être vaccinés par les pseudovaccins anticovid

À l’heure où l’épidémie est en voie de disparition en France, Europe et USA et que la divulgation des mails du DR Fauci montre qu’il a menti pour préparer le marché aux pseudo vaccins, il faut absolument faire échapper les petits à ces injections géniques expérimentales qui ne sont pas des vaccins, au sens classique du terme.(([1] Depuis Pasteur un vaccin se compose d’antigènes que l’on injecte pour stimuler la réponse immunitaire spécifique. Les pseudo vaccins actuels ne comportent pas d’antigène, mais un code génétique donnant des ordres à nos cellules.))

Les révélations scandaleuses qu’apporte la publication des mails de FAUCI arriveront-elles à temps à maturation pour stopper la folie vaccinale ? Ne vous étonnez pas en tous cas des gesticulations du pouvoir et des médias pour vous forcer à vous vacciner le plus vite possible, y compris les plus jeunes sous prétexte de passeport vaccinal ou autres mesures coercitives. Grâce à Macron, nous serons peut-être les derniers à l’abandonner, mais il disparaîtra en pratique, comme l’a prédit Eric Verhaeghe(([2] Pass sanitaire : Macron peut-il passer en force ? – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) )) dans un article récent du courrier des stratèges et nous même dès avril dernier,(([3] Delépine – Passeport vaccinal : chronique d’une mort annoncée mondialisation.ca 9 avril 2021 https://www.mondialisation.ca/passeport-vaccinal-chronique-dune-mort-annoncee/5655350)) sa suppression début juin en Israël(([4] https://fr.businessam.be/trois-mois-apres-son-introduction-israel-na-deja-plus-besoin-du-passeport-vaccinal/)) et en bientôt en Grande-Bretagne(([5] https://jeminformetv.com/2021/06/01/le-pass-sanitaire-la-grande-bretagne-jette-leponge/)) le confirme.

Nous répétons depuis plus d’une année que les enfants et adolescents ne risquent rien du Covid(([6] Delépine – Les écoles doivent ouvrir comme prévu le 11 MAI 2020. Pas de danger, ni pour les enfants ni pour les adultes. Démonstration Agoravox 17/4/2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-ecoles-doivent-ouvrir-comme-223390))

La littérature internationale démontre unanimement que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes côtoyés. Les quelques articles qui essaient de faire croire le contraire ne s’appuient que sur des données théoriques de laboratoires ou des simulations mathématiques fausses et jamais sur des études épidémiologiques dans le monde réel, les enseignants n’étant pas plus à risque de covid que la population générale (contrairement au jeu pervers de leurs syndicats qui ont tenté de le faire croire).(([7] Institut Pasteur COVID-19 DANS LES ÉCOLES PRIMAIRES : PAS DE TRANSMISSION IMPORTANTE DU VIRUS ENTRE ENFANTS OU VERS LES ENSEIGNANTS
https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/covid-19-ecoles-primaires-pas-transmission-importante-du-virus-entre-enfants-ou-enseignants))

Même ceux qui prônent en France la vaccination pour les plus jeunes, le reconnaissent et font intervenir des arguments aussi malhonnêtes les uns que les autres.

Le plus ridicule propose la vaccination comme antidépresseur ! « Vacciner les enfants les ferait rentrer dans le sort commun (!) et donc « aiderait à leur reconstruction psychologique » ! Message pervers qui a le mérite de reconnaître qu’en tant que protection contre le covid, il n’a aucun rôle.

Une couverture vaccinale très élevée peut-elle empêcher les contaminations ?

Des apôtres de la vaccination covid des enfants veulent l’imposer pour obtenir la couverture vaccinale la plus élevée possible(([8] dont on sait avec l’exemple de la rougeole qu’elle est incapable d’éradiquer le virus)) dans le but officiel de sauver les personnes âgées. Mais les pays qui ont les plus hauts taux mondiaux de couverture vaccinale comme le Bhoutan (96 %), Gibraltar (>100 %) ou les Seychelles (>70 %) ont été victimes de graves flambées épidémiques post vaccinales ainsi que le montrent les courbes suivantes publiées par l’OMS(([9] Sur son site officiel WHO Covid19 Dashboard)) commentées par nos soins en rouge.

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Une couverture vaccinale même très élevée paraît donc incapable de prévenir les contaminations.

Quant à la protection des anciens comme argument ? Ces mêmes personnes âgées auxquelles on a refusé les traitements précoces efficaces et donné facilement le Rivotril « pour les soulager » et, de fait, les euthanasier intéressaient-elles le pouvoir ? Pourtant, environ dix mille personnes(([10] France Soir Chronique N°52 — « La sur prescription des 3 benzodiazépines injectables Rivotril®, Valium® et Tranxène®, a coïncidé avec les pics de décès de résidents dans les EHPADs, ce qui interroge »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-ndeg52-la-surprescription-des-3-benzodiazepines-injectables-rivotrilr)) pourraient ainsi être décédées dans les EHPAD avec l’aide de ce « merveilleux » médicament interdit aux insuffisants respiratoires et donné larga manu grâce au décret de fin mars 2020 de Édouard Philipe-Véran renouvelé en octobre et récemment le 1er juin 2021…

Qu’en est-il ?(([11] 40+ Doctors Tell UK Drug Regulators: Vaccinating Kids for COVID is ‘Irresponsable, Unethical and Unnecessary’ • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

APPEL DE MÉDECINS À LEURS GOUVERNANTS AU ROYAUME-UNI

« vacciner les enfants contre covid est « irresponsable, contraire à l’éthique et inutile » »

Dans une lettre ouverte adressée à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé,(([12] Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) executive agency of the Department of Health and Social Care in the United Kingdom which is responsible for ensuring that medicines and medical devices work and are acceptably safe.)) plus de 40 médecins, médecins et scientifiques au Royaume-Uni affirment que les enfants sont plus vulnérables aux effets potentiels à long terme des vaccins CONTRE LA COVID.

Le groupe a déclaré qu’aucune personne de moins de 18 ans ne devrait être vaccinée contre la COVID, car les preuves montrent que le virus ne présente aucun risque pour les enfants en bonne santé. Lettre écrite en réponse à des documents divulgués du service national de santé du Royaume-Uni détaillant comment les autorités sanitaires britanniques prévoient de vacciner les enfants de plus de 12 ans.

Selon les documents du service de santé, des enfants dès l’âge de 5 ans pourraient être vaccinés dès juillet 21 — une mesure qui, selon le gouvernement, « pourrait être nécessaire pour réduire les cas de COVID alors que les confinements se lèvent dans tout le pays ». Pourtant les enfants ne transmettent pas et l’épidémie européenne s’effondre.

De hauts responsables anglais viennent, de plus, d’avouer officiellement avoir truqué les chiffres et instrumentalisé la peur pour imposer les mesures dites sanitaires qui convenaient aux politiques. Vont-ils poursuivre leurs mensonges ?(([13] Covid: des scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la « peur » pour faciliter le contrôle de la population ! — Le Libre Penseur
« Dans un long article The Telegraph révèle que des « scientifiques du comité (SPI-B) qui a encouragé l’utilisation de la peur pour contrôler le comportement des gens pendant la pandémie de covid ont admis que leur travail était ‘’contraire à l’éthique ‘’ et ‘’totalitaire ‘’ ».
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson))

Les auteurs de la lettre ont rappelé que le risque de décès par COVID chez les enfants en bonne santé est de 1 sur 1,25 million. Les pseudovaccins géniques contre la COVID sont responsables des accidents vasculaires cérébraux dus à des thromboses veineuses cérébrales chez les personnes de moins de 40 ans — conclusion qui « a conduit à la suspension de l’essai pour enfants Oxford-AstraZeneca », ont précisé les auteurs. Ils précisent :

« les enfants ont une vie devant eux, et leurs systèmes immunologique et neurologique sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes. »

Sommes-nous vraiment au temps des apprentis sorciers, des joueurs de roulette russe ou bien le mythe de Faust a -t-il hanté nos dirigeants, mais aussi les populations étrangement soumises à cette intoxication par injection d’une substance qui peut transformer notre ADN voire celui des générations suivantes. Nul ne sait et c’est bien le plus invraisemblable. Dans le monde qui a inscrit il y a peu le principe de précaution dans la Constitution, où les mots environnement, futur de la planète reviennent à toutes les sauces, où des arracheurs d’OGM purgent encore leur peine, ceux qui achètent bio et chassent l’OGM de leur savon ou de leur shampoing se font injecter le poison qui les transformera au minimum en humains OGM. Bravo les communicants ! Vous avez transformé nos écolos et leurs adeptes, une bonne partie de la population, en défenseur de l’Homme OGM… Vous êtes très forts.(([14] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il faut lire cette lettre in extenso : « Covid-19 Child Vaccination: Safety and Ethical Concerns — An Open Letter From UK Doctors to Dr. June Raine, Chief Executive, MHRA » :

« Nous souhaitons vous informer de nos graves préoccupations concernant toutes les propositions visant à administrer des vaccins contre la COVID-19 aux enfants. Des documents gouvernementaux récemment divulgués suggèrent qu’un déploiement du vaccin contre la COVID-19 chez les enfants de plus de 12 ans est déjà prévu pour septembre 2021, et la possibilité que des enfants d’à moins de 5 ans soient vaccinés en été dans le pire des scénarios ».

Nous avons été profondément troublés d’entendre plusieurs représentants du gouvernement et du SAGE(([15] Leur comité scientifique conseiller du gouvernement anglais :
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson)) appeler dans les médias à ce que le déploiement du vaccin contre la COVID-19 «se tourne vers les enfants aussi vite que possible ». Le Matériel pédagogique distribué aux écoles de Londrescontient des questions « chargées d’émotions et inexactitudes ».

Manipulation des responsables syndicaux enseignants qui eux-mêmes manipulent les enfants

Il y a eu un langage troublant utilisé par les dirigeants syndicaux enseignants, qui conduit à la coercition des enfants pour qu’ils acceptent les vaccins contre la COVID-19.

La pression des pairs dans les écoles devrait être encouragée selon les directives gouvernementales relayées par les syndicats. Pourtant la coercition visant à faire accepter un traitement médical est contraire aux lois et déclarations britanniques et internationales.(([16] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Passer par les enfants est particulièrement minable, méprisable et illégal. La pression sur les enfants ne peut pas être acceptée selon la charte des droits de l’enfant.

« Une telle rhétorique est irresponsable et contraire à l’éthique, et encourage le public à exiger la vaccination des mineurs avec un produit encore au stade de la recherche et dont aucun effet à moyen ou long terme n’est connu, contre une maladie qui ne présente aucun risque matériel pour eux. Un résumé de nos motifs est donné ci-dessous et une explication plus détaillée et entièrement référencée est disponible. » dit la lettre adressée aux instances médicales gouvernementales anglaises.

Les auteurs listent ensuite les risques et avantages dans les traitements médicaux. Citons quelques réflexions majeures.

NE PAS REPRODUIRE LES TRAGÉDIES PASSÉES AVEC D’AUTRES VACCINS COMMERCIALISÉS À LA HÂTE

«  Nous devons veiller à ce que les tragédies passées qui se sont produites ne se reproduisent pas, en particulier lorsque les vaccins sont mis sur le marché à la hâte.

Par exemple, le vaccin contre la grippe porcine Pandemrix, déployé à la suite de la pandémie de 2010, a entraîné plus d’un millier de cas de narcolepsie, lésion cérébrale dévastatrice, chez les enfants et les adolescents, avant d’être retiré.

Le Dengvaxia, vaccin contre la dengue, a également été déployé sur les enfants avant les résultats complets de l’essai, et 19 enfants sont morts d’une possible détérioration dépendante des anticorps (ADE) avant le retrait du vaccin.(([17] Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue – AgoraVox le média citoyen)) Une répétition de cette situation avec les vaccins contre la COVID-19, aurait non seulement un impact sur les enfants et les familles touchés, mais aurait également un effet extrêmement dommageable sur le taux de vaccination en général ».

En France aussi, des médecins pro-vaccination craignent l’impact négatif des effets dommageables de la pseudo vaccination anticovid quand l’étendue des effets délétères sera connue, car l’acceptation facilitée par la confusion entre vaccin habituel et « vaccin » covid se retournera dans l’autre sens. Il sera trop tard pour que les gens confiants et trompés admettent leur erreur (difficile à sortir d’une conviction même devant les preuves, car mentalement on se détruit intérieurement) et ils risquent de rejeter en bloc les vaccins.

« Aucune intervention médicale ne devrait être introduite sur une base « taille unique (…). Cette approche a été décrite en octobre dernier par la chef du Groupe de travail gouvernemental sur les vaccins, Kate Bingham ». Elle avait déclaré : « nous devons simplement vacciner toutes les personnes à risque. Il n’y aura pas de vaccination des moins de 18 ans. Il s’agit d’un vaccin réservé aux adultes, destiné aux personnes de plus de 50 ans, qui se concentre sur les travailleurs de la santé, les travailleurs des foyers de soins et les personnes vulnérables. Les enfants n’ont pas besoin d’être vaccinés pour leur propre protection ».

« L’immunité acquise naturellement donne une immunité plus large et plus durable que la vaccination. En effet, de nombreux enfants seront déjà immunisés. Les enfants à très haut risque peuvent déjà se faire vacciner pour des raisons humanitaires. Les enfants n’ont pas besoin de vaccination pour soutenir l’immunité collective ».

PRÉOCCUPATIONS À COURT TERME EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ DES « VACCINS » ANTICOVID

Selon la lettre adressée au MHRA (réf 12)

« Au 13 mai, le MHRA 22 avait reçu un total de 224 544 événements indésirables, dont 1 145 décès en lien avec les vaccins contre le SARS-CoV-2. Les rapports d’accidents vasculaires cérébraux dus à la thrombose veineuse cérébrale initialement en faible nombre, mais à mesure que la sensibilisation augmentait, de nombreux autres rapports ont conduit à la conclusion que le vaccin AstraZeneca ne devrait pas être utilisé pour les adultes de moins de 40 ans. Cette conclusion imprévue a également conduit à la suspension de l’essai pour enfants d’Oxford AstraZeneca.

Des événements similaires ont été notés avec les vaccins Pfizer & Moderna sur le système américain de déclaration des effets indésirables (VAERS) et il est probable qu’il s’agisse d’un effet lié à la production de protéine Spike. »

« Les nouvelles lignes directrices du Royaume-Uni sur la prise en charge de la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (VITT) incluent tous les vaccins contre la COVID-19 dans leurs préconisations. La possibilité d’autres problèmes de sécurité inattendus ne peut être exclue.

En Israël, où les vaccins ont été largement déployés auprès des jeunes et des adolescents, le vaccin de Pfizer a été associé à plusieurs cas de myocardite chez de jeunes hommes et des préoccupations ont été soulevées au sujet de rapports faisant état d’une altération des cycles menstruels et de saignements anormaux chez les jeunes femmes après le vaccin. »

Les décès signalés aux USA chez des enfants vaccinés inclus dans des essais inquiètent les médecins anglais

« il y a maintenant eu un certain nombre de décès associés à la vaccination signalés au VAERS aux États-Unis, bien que les vaccins ne soient administrés qu’aux enfants dans le cadre d’essais et d’un déploiement très récent aux 16-17 ans ».

PRÉOCCUPATIONS EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ À LONG TERME

« Tous les essais de phase 3 du vaccin contre la COVID-19 sont en cours et ne devraient pas se terminer avant la fin de 2022 ou le début de 2023. Les vaccins sont EXPÉRIMENTAUX et ne disposent que de données limitées à court terme et de données à un peu plus long terme sur l’innocuité pour les adultes. En outre, beaucoup utilisent une toute nouvelle technologie de vaccin à ARNm, qui n’a jamais été approuvée auparavant pour une utilisation chez l’homme. L’ARNm est effectivement un promédicament et on ne sait pas combien de protéine Spike un individu produira.

Les effets potentiels d’apparition tardive peuvent prendre des mois ou des années pour devenir apparents. Les essais limités sur les enfants entrepris à ce jour sont totalement sous-renseignés pour éliminer les effets secondaires rares, mais graves ».

Insistons avec nos collègues anglais :

Les enfants ont la vie devant eux, leurs systèmes immunologiques et neurologiques sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes.

« Un certain nombre de préoccupations spécifiques ont déjà été soulevées, y compris les maladies auto-immunes et les effets possibles sur le placenta et la fertilité. Un article récemment publié a soulevé la possibilité que les vaccins contre la COVID-19 à ARNm puissent déclencher une maladie neurodégénérative à base de prions. Tous les risques, connus et inconnus, doivent être mis en balance avec les risques de COVID-19. »

Le serment d’Hippocrate dit : « d’abord ne pas nuire », devoir d’agir avec prudence et proportionnalité.

« Les données probantes actuelles et disponibles montrent clairement que le calcul du risque par rapport aux avantages ne soutient PAS l’administration de vaccins précipités et expérimentaux contre la COVID-19 aux enfants, qui n’ont pratiquement aucun risque de COVID-19, mais qui font face à des risques connus et inconnus liés aux vaccins ».

La Déclaration des droits de l’enfant dit :

« l’enfant, en raison de son immaturité physique et mentale, a besoin de garanties et de soins spéciaux, y compris d’une protection juridique appropriée ». En tant qu’adultes, nous avons le devoir de protéger les enfants contre des préjudices inutiles et prévisibles.

La fin des essais de phase 3 actuels devrait au moins être attendue ainsi que plusieurs années de données sur l’innocuité chez les adultes, afin d’exclure ou de quantifier tous les effets indésirables potentiels.

Les auteurs de la lettre au MHRA concluent :

« nous appelons nos gouvernements et les régulateurs à ne pas répéter les erreurs de l’histoire et à rejeter les appels à vacciner les enfants contre la COVID-19. Une extrême prudence a été exercée sur de nombreux aspects de la pandémie, mais c’est certainement le moment le plus important pour faire preuve d’une véritable prudence nous ne devons pas être la génération d’adultes qui, par la précipitation et la peur, inutiles, met en péril la santé des enfants. »

COMPLÉTONS CETTE ANALYSE ANGLAISE PAR LES RAPPORTS AMÉRICAINS SUR LES ESSAIS INFANTILES(([18] COVID Vaccine Injury Reports Among 12- to 17-Year-Old More Than Triple in 1 Week, VAERS Data Show • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Regardons d’abord l’ensemble des signalements aux USA. Aux États-Unis, 281,6 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées au 21 mai 2021. Cela comprend 120 millions de doses du vaccin de Moderna, 152 millions de doses de Pfizer et 10 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la COVID.

Sur les 4 406 décès signalés en date du 21 mai, 23 % sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % dans les 24 heures et 38 % chez des personnes qui sont tombées malades dans les 48 heures suivant la vaccination.

Le nombre d’événements indésirables signalés à la suite de vaccins contre la COVID continue d’augmenter, selon les données publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) au 21 mai. Les données proviennent directement des déclarations soumises au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS).(([19] Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables d’un vaccin aux États-Unis.
Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’incidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de libération))

Les données montrent qu’entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai, un total de 262 521 événements indésirables totaux ont été signalés au VAERS, dont 4 406 décès — une augmentation de 205 par rapport à la semaine précédente — et 21 537 accidents graves, en hausse de 3 009 par rapport à la semaine dernière.

CHEZ LES JEUNES

Les rapports d’incidents et accidents liés au vaccin antiCovid chez les jeunes de 12 à 17 ans ont plus que triplé en 1 semaine, selon les données de VAERS au 28 MAI

Les données ont montré 3 449 événements indésirables au total, contre 943 rapports la semaine précédente, chez les jeunes de 12 à 17 ans. Les données de cette semaine comprenaient 58 déclarations d’événements indésirables graves dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans.

LES CDC ENQUÊTENT SUR LES PROBLÈMES CARDIAQUES CHEZ LES ADOLESCENTS ET LES ADOLESCENTS APRÈS LE VACCIN CONTRE LA COVID

Le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation des CDC a publié un avis le 17 mai avertissant les médecins des rapports de myocardite qui semble survenir principalement chez les adolescents et les jeunes adultes, plus souvent chez les hommes que chez les femmes, plus souvent après la deuxième dose et généralement dans les quatre jours suivant la vaccination avec les vaccins Pfizer ou Moderna. La plupart des cas semblaient « bénins » et un suivi est en cours. La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque qui peut entraîner une arythmie cardiaque et la mort.

Comme l’a rapporté The Defender le 26 mai, le Connecticut a signalé 18 nouveaux cas de problèmes cardiaques chez les adolescents qui avaient reçu un vaccin COVID. Les 18 cas ont entraîné une hospitalisation, la grande majorité pendant quelques jours, tandis qu’une personne était toujours hospitalisée le 26 mai.

Une recherche dans VAERS a révélé 419 cas de péricardite et de myocardite, parmi tous les groupes d’âge, signalés aux États-Unis après la vaccination contre la COVID entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai. Sur les 288 cas signalés, 247 cas ont été attribués à Pfizer, 151 cas à Moderna et 20 cas au vaccin COVID de J&J.

COMMENT CONVAINCRE DE LA NÉCESSITÉ DU VACCIN CHEZ L’ENFANT ?
SURESTIMER LES HOSPITALISATIONS POUR COVID : CQFD

Une étude menée par des chercheurs de Stanford a révélé que le comptage des infections au SARS-CoV-2 chez les enfants hospitalisés surestimait l’impact de la COVID dans les populations pédiatriques, car les chiffres incluaient de nombreux patients asymptomatiques. Sur 117 admissions à l’hôpital, les auteurs ont conclu que 53 patients (45 %) ont été admis pour des raisons non liées au virus. L’étude a également révélé que 39,3 % (soit 46 patients) codés comme étant atteints du SARS-CoV-2 étaient en fait asymptomatiques (personne saine ayant seulement un test PCR positif).

« Si nous nous fions aux résultats positifs des tests de SRAS-CoV-2 des hôpitaux, nous gonflons environ deux fois le risque réel d’hospitalisation de la maladie chez les enfants. »

Alors, ne nous laissons pas manipuler, la vie actuelle et l’avenir de nos enfants est en jeu ! Prenons le temps d’attendre ce que deviendra l’épidémie actuellement terminée en Europe et aux USA et les résultats des traitements précoces dont l’autorisation est indispensable.

Cette épidémie disparaîtra peut-être définitivement comme celle du SRAS et du Mers. Et si ce n’est pas le cas, attendons les résultats des essais et des « vaccinations » sur des milliards d’individus qui ont été précipités dans la vaccination par une propagande inégalée. Qui vivra verra. Souhaitons leur bonne chance.





Un professeur sanctionné par l’Éducation nationale française pour refus des mesures « sanitaires »

Verdict honteux et scandaleux au tribunal administratif de Nancy
Communication

Le 6 juin 2024, mes requêtes contre :

  • 1. mon déplacement d’office du lycée Claude à Épinal au collège René Gaillard à Bénaménil à 80 km d’Épinal
  • 2. contre ma nouvelle suspension en oct./nov. 2023 avec rétention du salaire

sont rejetées par le tribunal administratif !

Sur le fond, le tribunal administratif considère que suite à ma première sanction au conseil de discipline en oct. 2022 (3 mois de suspension avec rétention de salaire dont 2 avec sursis) j’ai fait face à de nouveaux griefs, à savoir la soi-disant mise en question de l’autorité hiérarchique, la soi-disant méconnaissance du devoir de réserve, mon soi-disant impact sur le bon fonctionnement de l’établissement scolaire, mon soi-disant appel à la désobéissance en me présentant comme professeur de l’Éducation Nationale lors des manifestations.

La décision du tribunal administratif est entachée de partialité et d’un caractère disproportionné ; ce dernier s’appuie sur des rapports mensongers d’un petit groupe d’enseignement et de personnel du lycée Claude Gellée, y compris le chef d’établissement. Sa conclusion repose sur un narratif totalement mensonger par rapport aux mesures sanitaires imposées aux élèves par l’Éducation Nationale durant la période Covid.

Contrairement à l’Éducation Nationale, je me suis toujours basé sur des rapports officiels des plus hautes pharmacovigilances officielles nationales et internationales pour me poser des questions sur la mise en danger des enfants, la maltraitance via les mesures sanitaires scolaires.

À savoir :

Les documents internes de l’Institut allemand Robert Koch, équivalent à l’Institut Pasteur, institut qui devait gérer les mesures sanitaires en Allemagne de 2020 à 2023 avec le ministère de la Santé ont été dévoilés au printemps 2024 devant le tribunal administratif de Berlin suite à une plainte du magazine « Multipolar ».

Les médecins et scientifiques de l’institut allemand Robert Koch, institut qui était chargé de gérer les mesures sanitaires avec le ministère de la Santé de 2020 à 2023 confirment à 100 % par leurs protocoles internes de crise de l’institut Robert Koch que les mesures sanitaires à l’école étaient irresponsables, maltraitantes, fantaisistes, dangereuses et sans aucun fondement scientifique.

Des dizaines de milliers de pages de protocoles internes de crise, cachées auparavant au public, transmises par un lanceur d’alerte de l’institut Robert Koch sont accessibles au grand public grâce à la journaliste indépendante allemande, Aya Velazquez. Les révélations ont explosé comme une bombe en Allemagne lors de la conférence de presse le 23/07/2024 à Berlin.

Le verdict pose alors question :

Comment est-ce possible de me reprocher « d’alerter sur la dangerosité du port du masque et la transformation des écoles en vaccinodrome ? »

Le rapport de l’ANSM de février 2022 démontre que 44 élèves sont décédés en France suite à l’injection du vaccin anti-Covid. Et comme la France n’a pas de pharmacovigilance active et seulement passive, on doit multiplier ce chiffre au moins par 10 ou 20.

Les tentatives de suicide auprès des jeunes gens ont augmenté de 300 % et sont liées directement aux mesures de distanciation et l’obligation du port de masque sans aucune preuve scientifique.

https://www.le-journal-catalan.com/wp-content/uploads/2022/01/ANNEXE2-Memoire-CEDH-Masque.pdf

L’Institut Robert Koch était responsable de la gestion des mesures sanitaires durant la période Covid.

Il ressort des documents internes de l’institut Robert Koch, noir sur blanc, que les mesures sanitaires de distanciation durant la « Crise Covid » étaient une pure imagination du Dr Fauci, sans preuve scientifique. C’est noté Noir sur Blanc ! Il ressort des documents internes également :

« 30/10/2020 :

« L’obligation de porter des masques n’est pas fondée sur des preuves ».

Il n’y a aucune justification scientifique au port du masque. »

Le 04/05/2020, le procès-verbal de l’institut Robert Koch indique (RKI) :

« Le port accru permanent de masques peut également causer des dommages. » Bien que les masques soient connus pour être nocifs, les enfants ont dû les porter pendant près de deux ans.

Procès-verbal du RKI du 21/10/2020 :

« Discussion critique en cours. Le port obligatoire du masque pour les élèves du primaire peut causer des dommages à long terme. »

« Destins individuels : La dépression et la consommation de substances addictives augmentent. »

Le 08/01/2021, il ressort des protocoles RKI :

« L’effet des vaccins CORONA n’est pas encore connu.
La durée de la protection est également inconnue. »

02/08/2021 Protocoles de l’équipe de crise RKI :

« Il faut s’attendre à ce que la vaccination n’empêche pas la multiplication locale des virus. »

Comment est-ce possible qu’un enseignant qui n’a jamais prétendu parler au nom de l’Éducation Nationale, contrairement aux fausses accusations du tribunal administratif, n’ait pas le droit de s’interroger sur la mise en danger des enfants par les mesures du protocole Blanquer qui ne s’appuient sur aucune preuve scientifique ?

Comment est-ce possible qu’un enseignant n’ait pas le droit de s’interroger sur la sécurité et la protection des enfants dans le pur respect de la liberté d’expression, garantie par la Constitution, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen, la Charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne, la Convention de Sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales « sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques » et « “sans être inquiété » ?

Le devoir de loyauté s’arrête là où un intérêt commun est en danger d’autant plus que contrairement aux fausses accusations du tribunal administratif, je n’ai jamais exposé mes convictions personnelles. Je me suis rapproché des rapports et analyses des plus Hautes Instances de pharmacovigilances nationales et internationales : le VAERS, le CDC, le Yellow Carte System, l’Eudravigilance, VigiAccess, ANSM, Robert Koch Institut.

« L’agent public doit se conformer aux instructions de son supérieur hiérarchique, sauf dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public », l’article L.121-10 du Code général de la fonction publique.

L’article 3.1. de la Convention relative aux droits de l’enfant stipule que « l’intérêt supérieur de l’enfant… » dans toutes les actions qui concernent les enfants, qu’elles soient le fait des institutions publiques ou privées de protection sociale, des tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs, doit être une considération primordiale. »

Comment est-ce possible de ne pas tenir compte de l’intérêt supérieur de l’enfant, à savoir du droit international, dans la mesure où le VAERS, la plus haute instance de Pharmacovigilance aux États-Unis, a alerté déjà au printemps 2021 indiquant que des enfants mouraient de l’injection anti-Covid ?

« Effets catastrophiques de la piqûre anti-Covid », Dr Nicole Delépine.

Pourtant aucun enfant en bonne santé ne meurt du Covid, « Les enfants sacrifiés du Covid »1, Gérard Delépine qui s’appuie sur les données du ministère de la Santé allemande.

Comment est-ce possible qu’un tribunal administratif interprète le « devoir de réserve » de manière absolument partiale ? Devoir de réserve ne veut pas dire qu’un enseignant doit se taire par rapport à un sujet d’actualité et d’une extrême importance pour la santé des enfants, leur sécurité, leur protection, et de la population tout entière, comme nous sommes tous concernés.

L’Éducation Nationale m’oblige selon nos programmes « Parcours Citoyen », d’aiguiser l’esprit critique des élèves, de leur apprendre à lire un article de presse et une image de manière critique d’enseigner « LA PLURALITE DES OPINIOLNS » C’est exactement ce que j’ai fait.

Comment est-ce possible qu’un tribunal administratif s’appuie directement et indirectement sur un narratif manipulé, trompeur, fantaisiste et véhiculé par la plupart des médias qui n’avait aucune base scientifique concernant les mesures sanitaires ? Les preuves des révélations de l’institut Robert Koch sont incontournables. Il en ressort également que l’ex-Président du conseil scientifique, Jean-François Delfraissy et le Président Macron ont étroitement coopéré avec l’institut Robert Koch afin d’améliorer l’acceptation des mesures sanitaires. Ce constat des protocoles internes de l’institut Robert Koch contredit la version officielle, à savoir que les mesures sanitaires étaient justifiées, car de nombreux pays les ont appliquées. La France savait très tôt par ces échanges avec l’institut Robert Koch que les mesures appliquées durant la « crise » n’avaient aucune base scientifique, mais il fallait les imposer, coûte que coûte, comme en Allemagne. Ces protocoles internes de l’institut Robert Koch sont accessibles à tout le monde et une information incontournable pour tous les médias.

Exemple :

Protocole de la cellule de crise de l’institut Robert Koch du 09/04/2021 :

« La thrombose sinusale comme effet secondaire du vaccin AstraZeneca. »

« En attendant, les hommes en sont également de plus en plus affectés. »

Cela signifie qu’il y a aussi une incidence vingt fois plus élevée chez les hommes par rapport à l’incidence de fond.

Les vaccinés avaient un risque 20 fois plus élevé de mourir d’une thrombose au niveau du cerveau que les personnes non vaccinées, sans que cela ne soit communiqué à la population.

Et l’Éducation Nationale me demande de me taire lorsque les scientifiques et médecins de l’institut Robert Koch découvrent très tôt et confirment les données des plus hautes institutions de santé y compris l’ANMS qu’un médicament en phase test « vaccin anti-Covid » s’avère d’être un risque mortel pour les élèves sans aucun bénéfice. On pouvait tout savoir en Allemagne et en France si on s’efforçait de connaître la réalité scientifique en passant simplement par des études et rapports officiels des différents gouvernements accessibles à tout le monde.

Ne rien dire équivaut à la non-assistance à personne en danger.

Il s’avère que les faits graves à répétition qu’on me reproche selon la décision du tribunal administratif, à savoir par exemple la communication par les médias sont en réalité des informations entièrement justes et documentées afin de protéger les élèves : il n’y a plus aucun doute sur les faits factuels concernant les mesures sanitaires catastrophiques suite aux verdicts des tribunaux administratifs en Allemagne. Tout ce que l’Éducation Nationale a imposé comme mesure durant la période Covid était non scientifique, mais relève de la pure fabulation !

Ce n’est pas mon avis personnel, ce bilan honteux ressort mot à mot des protocoles de l’institut Robert Koch.

Où sont les preuves factuelles vérifiables, où est la rigueur scientifique pour imposer des mesures sanitaires très lourdes et maltraitantes pour les enfants ?

Ces « mesures anti-Covid » dans les établissements scolaires sont délirantes selon les rapports des médecins et scientifiques allemands du RKI et le ministre de la Santé allemande, Karl Lauterbach.

Le ministre de la Santé allemand, Karl Lauterbach, a considéré à plusieurs reprises sur la deuxième chaîne allemande les mesures sanitaires à l’école comme « SCHWACHSINN ». Schwachsinn signifie en français la « folie ». Lauterbach, lui-même médecin, s’excuse pour les mesures à l’école et aussi pour les effets indésirables graves des « vaccins anti-Covid ».

Tout ce que j’ai apporté comme preuves scientifiques à l’Éducation Nationale est à 100 % une information juste et factuelle, issue des plus hautes Instances de Santé. J’invite tous ceux qui ont encore le moindre doute à lire et relire les RKI-files pour comprendre que les citoyens y compris les enfants ont été manipulés, trahis, endoctrinés et mis en danger par le mensonge, la corruption, les conflits d’intérêts et le manque de courage.

Je reviens brièvement sur les rapports totalement mensongers d’un petit groupe de mes anciens collègues au lycée Claude Gellée, y compris du chef d’établissement, qui a pesé sur le verdict.

J’ai pu rétablir les faits lors du Conseil de discipline du 20 juin 2023 avec mes 7 témoins et mon avocate, Maître Nancy Risacher. Une Inspectrice présente a affirmé et légitimé mes explications pédagogiques et didactiques.

Je me pose toujours la question de savoir comment il est possible que certains collègues du lycée Claude Gellée à Épinal essaient de me traîner dans la boue, détruire ma carrière, répandre les pires rumeurs puériles sur moi. D’ailleurs, c’est sur ces rapports absurdes et violents que le tribunal administratif de Nancy s’est appuyé.

Est-ce par jalousie, dans le but d’une récompense, ou encore d’une quelconque promotion qu’un petit groupe de mes anciens collègues du lycée Claude Gellée a rédigé ces « témoignages » ? D’ailleurs, certains des « rédacteurs » de ces torchons sont clairement en conflit d’intérêts que nous avons explicitement exposés avec mes témoins devant le conseil de discipline le 20 juin 2023.

Finalement, je remercie le Conseil de discipline qui voulait par un vote me relaxer avec 17 voix et me donner un simple avertissement avec 19 voix le 4 juillet 2023.

Comment le Recteur, qui a signé mon déplacement d’office au collège de Bénaménil peut-il justifier une mesure grave, disproportionnée, déclassante, dégradante dans la mesure où ses collègues de la Commission paritaire lui signifient le contraire ?

Comment est-ce possible que le Rectorat m’ait toujours couru après pour publier sur leur site « mes projets et ma pédagogie innovante, motivante et particulièrement brillante » selon les propos des représentants du ministère de l’Éducation nationale ?

Mes projets ont fait la promotion de l’Académie de Nancy-Metz de l’Éducation Nationale !

Comment du jour au lendemain une personne reconnue professionnellement devient une cible d’acharnement et de harcèlement ? Tous les lanceurs d’alerte ont vécu les mêmes traitements. On s’attaque à la personne pour la discréditer, la traîner devant les tribunaux ou conseils de discipline, la sanctionner et la suspendre au lieu de confronter les différents points de vue scientifiques pour profiter d’un dialogue et d’un débat afin de protéger les élèves.)

Enfin, je remercie très chaleureusement mes deux avocats, Maître Nancy Risacher et Maître David Guyon, mon comité de soutien tous les citoyens de Belgique, Luxembourg, Allemagne, France, les professionnels de santé, les universitaires allemands et français qui m’ont accompagné lors des conseils de discipline, lors des convocations au tribunal administratif.

Je me suis levé avec mon épouse et un grand nombre d’associations, de collectifs, de juristes, de médecins et scientifiques indépendants pour appeler à la prudence et à la vigilance, exactement dans le cadre des missions de l’Éducation Nationale.

Beaucoup ont écrit au Rectorat de l’Académie Nancy-Metz pour alerter contre la dangerosité et les conséquences gravissimes des protocoles Blanquer avec des rapports très argumentés et documentés.

Je n’ai jamais travaillé pour ma gloire personnelle dans l’Éducation Nationale mais pour la progression, l’ouverture d’esprit, l’épanouissement des élèves qui étaient toujours mes meilleurs juges.

Je n’ai rien à prouver à l’Éducation Nationale sur ma carrière ; tout ce que je voulais dire et apporter durant mon parcours professionnel à l’Éducation Nationale, je l’ai déjà fait.

Le verdict « Au nom du peuple français » me fait bien rire. Je suis condamné au nom du peuple français. Je pense personnellement que le peuple français aurait aimé connaître la vérité avec l’appui, des connaissances scientifiques, entre autres, de l’institut Robert Koch pour éviter des traumatismes graves, des effets indésirables des « vaccins » les dégâts physiques et psychologiques à long terme pour nos enfants….

Je me permets donc de recommander vivement à mes juges du tribunal administratif de Nancy, M. Davesne, président, M. Durand, premier conseiller, Mme Wolff, conseillère, de se documenter de manière indépendante et officielle avant de prononcer encore le moindre verdict concernant « les mesures sanitaires » durant la soi-disant crise Covid. Je ne suis pas un multirécidiviste, mais un enseignant qui a eu en tant que père de famille le souci d’informer et de protéger les enfants.

Les événements m’ont donné entièrement raison : beaucoup d’élèves en France souffrent encore des conséquences des mesures sanitaires et ont des séquelles post-traumatiques. Un nombre considérable de jeunes a des effets indésirables graves, des maladies graves, des handicaps graves liés au vaccin anti-Covid qui n’a aucun bénéfice pour eux.

Le tribunal administratif de Nancy a d’ailleurs totalement échoué également lors des verdicts contre les soignants suspendus en faisant abstraction du droit international et du droit tout court. C’est honteux ! Tant que les juges suivent un narratif officiel trompeur et mensonger, non scientifiques, les verdicts ne peuvent pas être à la hauteur d’une justice indépendante et impartiale.

Je me tiendrai disponible pour répondre à vos interrogations, pour vous donner des informations supplémentaires, car j’ai porté plainte via mon avocate, Maître Nancy Risacher, pour harcèlement moral contre mon ancien chef d’établissement du lycée Claude Gellée et l’enquête est en cours ! Deux collègues enseignants de ce même établissement ont porté plainte également contre ce chef d’établissement pour harcèlement moral dont les motifs sont différents des miens !

Je communiquerai le verdict scandaleux du 6 juin 2024 du tribunal administratif de Nancy que j’ai rédigé exclusivement en mon nom au Parlement allemand via la Commission de Santé et je vous tiendrai informé des réactions des parlementaires de la République Fédérale de l’Allemagne.

Andreas Pfeiffer, professeur d’allemand au collège René Gaillard à Bénaménil
00 33 (0) 6 77 86 11
andreas.pf@wanadoo.fr

Andreas Pfeiffer, maître Nancy Risacher devant le tribunal administratif de Nancy le 08/11/2023


RKI-files





Le danger manifeste et actuel de l’IA

[Source : aubedigitale.com]

Par Bruce Abramson

L’intelligence artificielle menace-t-elle de conquérir l’humanité ? Au cours des derniers mois, cette question est passée des pages des romans de science-fiction au premier plan de l’attention des médias et des gouvernements. Il n’est toutefois pas certain que beaucoup de ceux qui ont discuté de cette question aient compris les implications de ce bond.

Dans l’esprit du public, la menace se concentre sur la confusion inhérente à des contrefaçons de plus en plus performantes et sur ses conséquences pour le marché de l’emploi, ou bien elle s’oriente vers des directions qui feraient l’objet d’un grand film : Que se passerait-il si les systèmes d’IA décidaient qu’ils sont supérieurs aux humains, prenaient le contrôle et mettaient en œuvre des plans génocidaires ? Cette dernière perspective est évidemment la plus convaincante des deux.

Bien qu’un tel cauchemar soit possible en théorie, il est peu probable qu’il se produise. Le danger clair et présent que représente l’IA nous détruira bien avant que nos serviteurs automatisés rebelles ne se déclarent nos suzerains exterminateurs. Deux mots essentiels résument la menace : valeurs et autorité.

Les valeurs d’abord. Malgré toute leur sophistication et leur mystère, les systèmes d’IA sont essentiellement des détecteurs de modèles. Presque tous les comportements humains — et une part encore plus importante des événements non humains — suivent des schémas prévisibles. Des mécanismes d’enregistrement de plus en plus sophistiqués fournissent aux systèmes d’IA un ensemble croissant de données passées dans lesquelles ils peuvent trouver des modèles. Des algorithmes de plus en plus sophistiqués fournissent aux systèmes d’IA des capacités qui s’améliorent rapidement pour trouver des modèles dans ces données.

L’IA ne devient toutefois intéressante que lorsqu’elle projette ces schémas dans l’avenir. Peu de gens se soucient, par exemple, du fait que l’IA puisse trouver des modèles dans Shakespeare, mais beaucoup seront fascinés lorsque l’IA composera une « tragédie shakespearienne » se déroulant pendant la guerre de Sécession en utilisant une langue, un style, un idiome et des compétences qui étaient auparavant considérés comme propres au Barde.

C’est dans la projection et la prédiction que les valeurs entrent en jeu. Toute décision implique une certaine évaluation des valeurs. Dans la plupart des contextes de contrôle mécanisé actuellement soumis aux conseils de l’IA, les valeurs fondamentales sont si peu controversées qu’elles échappent à l’attention. Peu de gens (à part peut-être les kamikazes ou les fabricants de munitions) contesteraient les propositions selon lesquelles il est « mauvais » que les moteurs surchauffent, que les chaudières explosent ou que les véhicules s’écrasent. Ces croyances n’ont rien de « naturel » — un météore est indifférent au fait qu’il se précipite dans l’espace ou qu’il s’écrase sur une planète — mais elles sont si intrinsèquement humaines qu’elles transcendent les différences de culture et de temps.

Ce consensus quasi universel s’estompe toutefois lorsque des êtres humains entrent en scène. Prenons l’exemple de Dylan Mulvaney, l’influenceur transgenre des médias sociaux qui a récemment contribué à redorer le blason de Bud Light. (Selon le système de croyances woke contemporain, Mulvaney est une femme qui a eu la malchance de naître dans un corps masculin. Selon tout autre système de croyance ayant jamais existé, Mulvaney est un homme qui a choisi de vivre en tant que femme.

Comment l’IA devrait-elle désigner Mulvaney : « il » ou « elle » ? La réponse démontre une préférence pour un ensemble de croyances et de valeurs plutôt qu’un autre. Comment l’IA a-t-elle pu déduire cette préférence ?

Deux voies sont possibles : elle pourrait s’être formée à partir d’un grand nombre de réflexions éthiques tirées des milliers de systèmes de croyances qui ont vu le jour au cours de l’histoire du monde et en avoir conclu qu’un système spécifique était le meilleur, ou elle pourrait avoir adopté les préférences de valeurs de ses concepteurs et formateurs humains.

Peut-être qu’un jour, un système d’IA suivra la première voie. Aujourd’hui, personne ne doute que les tendances wokes des systèmes d’IA tels que ChatGPT reflètent les tendances wokes des professionnels de la technologie qui les ont développés. Ce que cela signifie pour la plupart des utilisateurs, c’est que les IA sur lesquelles ils pourront bientôt s’appuyer pour émettre des jugements et des recommandations fondés sur des valeurs ne partagent pas leurs propres valeurs.

Cette reconnaissance fait entrer en jeu l’autorité. Le véritable danger imminent de l’IA provient de l’intégration potentielle des systèmes d’IA dans le culte de l’expertise.

Dans de nombreux domaines, nous avons choisi de faire preuve d’une déférence quasi totale à l’égard des experts accrédités. Pendant Covid, par exemple, il était presque hérétique de remettre en question les recommandations du Dr Fauci, de la Dr Birx, des CDC ou de la FDA. Cependant, même à cette époque, il était encore (à peine) possible de noter que ces experts avaient peut-être indûment ignoré les conséquences économiques négatives de leurs recommandations en matière de santé publique. Imaginez la prochaine épidémie, lorsque le conseiller politique sera une IA qui aura pris en compte des centaines de milliers de variables pour évaluer des quadrillions de scénarios.

Un tel résultat est le véritable avenir cauchemardesque : la dictature effective d’une IA qui ne partage pas vos croyances ou vos valeurs fondamentales.

Bien avant qu’une IA exterminatrice ne prenne le contrôle du monde en son nom propre, nos gouvernements et nos concitoyens accorderont à un système d’IA le pouvoir de déclarer des situations d’urgence, de supprimer les libertés civiles et de contrôler nos vies.

Tant que nous n’aurons pas redéveloppé les mécanismes gouvernementaux dont nous avons besoin pour préserver notre liberté face à l’assaut des experts, nous ne serons jamais à l’abri des privations potentielles de la gouvernance de l’IA.

L’IA elle-même peut être contenue. La combinaison de l’IA, d’une dévotion servile et d’une application généralisée ne le sera pas. Nous devons mettre un frein à notre croyance collective en l’infaillibilité d’une classe d’experts, sinon les conseillers en IA pourraient bien mettre fin à notre civilisation.

Bruce Abramson, PhD, JD, est président de la société de conseil stratégique Informationism, Inc. et directeur de l’American Center for Education and Knowledge. Il a été l’un des premiers à utiliser des simulations à grande échelle et des analyses statistiques dans les systèmes d’intelligence artificielle. Il a écrit cinq livres, dont « The New Civil War: Exposing Elites, Fighting Utopian Leftism, and Restoring America » (RealClear Publishing, 2021).

Traduction de Real Clear Wire par Aube Digitale




40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »

[Source : off-guardian.org]

[NDLR Les numéros entre crochets renvoient aux faits correspondants, numérotés de 1 à 40, ou aux parties correspondantes, I à X]

Par Kit Knightly

Nous avons publié pour la première fois notre feuille d’information très populaire en septembre 2021, en réponse à des dizaines — voire des centaines — de demandes de sources et de données de la part de nos lecteurs. Il s’agissait d’une ressource et d’une mine de liens autant que d’un article, volontairement dépourvu d’interprétation, d’éditorialisation ou d’opinion.

La réponse a été incroyable : en quelques semaines, il est devenu notre article le plus consulté de tous les temps, et son trafic est resté constant depuis lors.

Mais le temps passe, et au fur et à mesure que de nouvelles données étaient publiées et que de nouveaux faits apparaissaient, il est devenu évident que nous devions mettre à jour l’article — non seulement en matière de faits, mais aussi en matière d’approche.

Voici donc tous les faits et sources clés actualisés concernant la prétendue « pandémie », pour vous aider à comprendre ce qui s’est passé dans le monde depuis janvier 2020 et à éclairer ceux de vos amis qui seraient encore prisonniers du brouillard de la « nouvelle normalité ».

PARTIE I : LES SYMPTÔMES

1. La « Covid-19 » et la grippe ont des symptômes IDENTIQUES. Il n’y a pas de symptômes ou d’ensembles de symptômes uniques ou spécifiques à la « Covid » et seulement à la « Covid ». Tous les symptômes de « Covid » sont communs à de nombreuses autres maladies et affections, y compris l’ensemble des infections respiratoires courantes connues sous le nom familier de « grippe ».

C’est ce qu’admettent volontiers les sources grand public et les « experts », qui décrivent régulièrement les symptômes de « Covid » comme « semblables à ceux de la grippe ».

Selon le site web du Centre américain de contrôle des maladies, qui compare la « Covid » et la grippe :

« Vous ne pouvez pas faire la différence entre la grippe et la Covid-19 rien qu’en regardant les symptômes, car ils ont certains des mêmes symptômes. »

Le NHS britannique déclare quant à lui :

« Les symptômes [de la Covid] ne sont pas différents de ceux de la grippe :
Les symptômes [de la Covid] sont très similaires à ceux d’autres maladies, telles que le rhume et la grippe. »

Alors que toutes les sources traditionnelles parlent de l’admission dans un langage doux — « certains des mêmes symptômes », « très similaires » — la vérité est que les symptômes sont identiques. Les seuls points de différence observés sont des équivoques sur la gravité et le délai d’apparition.

Cet article de Health Partners souligne que la « Covid » peut être à la fois plus grave et moins grave que la grippe, en précisant que la « Covid » peut parfois « ressembler davantage à un rhume »

Selon la Mayo Clinic, dans son article sur la « Covid » et la grippe, la seule différence entre les symptômes est qu’ils « apparaissent à des moments différents ».


2. Les « opacités en verre dépoli » ne sont PAS l’apanage de la « Covid ». Au début de la pandémie, il a été signalé que l’imagerie médicale révélait ce que l’on appelle des « opacités en verre dépoli » dans les poumons des personnes soupçonnées d’avoir contracté la grippe, et que ces opacités étaient utilisées pour diagnostiquer les patients, mais les anomalies en verre dépoli ne sont pas propres à la Covid.

Selon un article allemand publié dans la revue Radiologie en 2010 :

« L’opacité en verre dépoli (GGO) est définie comme une infiltration pulmonaire diffuse [qui peut être causée par] un œdème, un espace aérien et une pneumonie interstitielle, une pneumopathie non infectieuse ainsi que des manifestations tumorales. Des processus physiologiques, tels qu’une mauvaise ventilation des zones pulmonaires dépendantes et les effets de l’expiration, peuvent également se présenter sous la forme d’une opacité en verre dépoli. »

En 2012, le Journal of Respiratory Care a publié un article intitulé « The Imaging of Acute Respiratory Distress Syndrome » (L’imagerie du syndrome de détresse respiratoire aiguë) qui décrit les opacités en verre dépoli de la manière suivante [accentuation ajoutée] :

L’opacification en verre sur le scanner est un signe non spécifique qui reflète une réduction globale du contenu en air du poumon affecté.

En 2022, le Lancet a publié une étude de cas d’un médecin indien littéralement intitulée « Ground glass opacities are not always Covid-19 » (les opacités en verre dépoli ne sont pas toujours des Covid-19).

Un autre article, publié par Health.com en mai 2022, souligne que :

Les opacités en verre dépoli ne sont pas spécifiques à la Covid-19 […] elles peuvent apparaître en raison d’autres conditions et infections.

En bref, les opacités en verre dépoli sont une manifestation courante d’une maladie ou d’une lésion pulmonaire, et sont associées à la pneumonie, à la pneumonite, à la tuberculose et à de nombreuses autres affections.


3. La perte de l’odorat et du goût n’est PAS propre à la « Covid ». Comme pour les OGM, il a été largement rapporté que la perte du goût et de l’odorat était le signe révélateur de la « Covid », mais il s’agit d’un symptôme connu de nombreuses infections des voies respiratoires supérieures.

Selon un article publié en 2001 sur le site web de l’école de médecine de l’université du Connecticut :

Chez les adultes, les deux causes les plus courantes de troubles de l’odorat que nous voyons dans notre clinique sont les suivantes :
(1) la perte d’odorat due à un processus en cours dans le nez et/ou les sinus, comme les allergies nasales
et (2) la perte d’odorat due à une lésion du tissu nerveux spécialisé au sommet du nez (ou éventuellement des voies olfactives supérieures dans le cerveau) à la suite d’une infection virale antérieure des voies respiratoires supérieures.

Selon le NHS britannique, de nombreuses affections courantes sont connues pour provoquer des lésions aiguës et chroniques de l’odorat et du goût :

Les modifications de l’odorat sont le plus souvent causées par un rhume ou une grippe, une sinusite (infection des sinus) [ou] des allergies (comme le rhume des foins).


PARTIE II : DIAGNOSTIC ET TESTS PCR

4. Il n’est pas possible de diagnostiquer cliniquement la « Covid-19 ». Le diagnostic clinique est la pratique consistant à diagnostiquer une maladie sur la base d’un symptôme unique ou d’un ensemble de symptômes. Le Wiktionnaire le définit comme suit :

L’identification estimée de la maladie sous-jacente aux plaintes d’un patient en se basant uniquement sur les signes, les symptômes et les antécédents médicaux du patient plutôt que sur des examens de laboratoire ou d’imagerie médicale.

Étant donné que la « Covid-19 » n’a pas de profil symptomatique unique [1], et que TOUS les principaux symptômes de la « Covid » peuvent potentiellement s’appliquer à littéralement toutes les infections respiratoires courantes, il est impossible de diagnostiquer « Covid-19 » sur la base des symptômes.


5. Les tests de flux latéral ne sont pas fiables. Tout au long de la « pandémie », les « autotests » de dépistage de la « Covid » les plus fréquemment utilisés étaient les tests de flux latéral (LFT). Ces tests sont très peu fiables et sont connus pour donner des résultats positifs à partir de liquides ménagers tels que les jus de fruits et les sodas.

Au Royaume-Uni, les enfants « cassent » fréquemment leurs LFT en utilisant du vinaigre ou du coca-cola afin de créer des tests faussement positifs et d’obtenir quelques jours d’absence à l’école.

En février 2022, un « expert » a déclaré au Guardian que les LFT pouvaient donner des résultats faussement positifs en fonction du régime alimentaire de la personne testée ou en raison d’une « réaction croisée » avec un virus différent.

En février 2022, une équipe d’ » experts » de l’Imperial College a également indiqué que les LFT pouvaient « manquer » des personnes infectieuses. En d’autres termes, la position officielle est que les LFT produisent des résultats faussement négatifs ET des résultats faussement positifs.

En outre, il est reconnu — et c’est le sujet d’articles explicatifs — que les résultats des LFT et de la PCR se contredisent souvent. En d’autres termes, il est possible d’obtenir un résultat positif à l’un des tests, mais pas à l’autre.

En bref, les tests de flux latéral n’ont pratiquement aucune valeur diagnostique.


6. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer des maladies. Le test de Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction (RT-PCR) est décrit dans les médias comme « l’étalon-or » du diagnostic « Covid ».

Mais Kary Mullis, l’inventeur de ce procédé, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic et l’a dit publiquement :

La PCR n’est qu’un procédé qui vous permet de produire une grande quantité de quelque chose à partir de quelque chose. Elle ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose que vous avez obtenue va vous faire du mal, ou quoi que ce soit de ce genre ».


7. Les tests PCR ont la réputation d’être imprécis et peu fiables. Les tests PCR « de référence » pour la « Covid » sont connus pour produire de nombreux résultats faussement positifs, en réagissant à du matériel ADN qui n’est pas spécifique au Sars-Cov-2.

Une étude chinoise a montré qu’un même patient pouvait obtenir deux résultats différents à partir du même test le même jour. En Allemagne, on sait que les tests ont réagi à des virus du rhume. Aux États-Unis, certains tests ont même réagi à l’échantillon de contrôle négatif.

Le président tanzanien John Magufuli, aujourd’hui décédé, a soumis des échantillons de chèvre, de papaye et d’huile de moteur à des tests PCR, qui se sont tous révélés positifs au virus.

Dès février 2020, les experts admettaient que le test n’était pas fiable. Le Dr Wang Cheng, président de l’Académie chinoise des sciences médicales, a déclaré à la télévision publique chinoise : « La précision des tests n’est que de 30 à 50 % ». Sur son propre site web, le gouvernement australien a déclaré : « Les données disponibles pour évaluer la précision et l’utilité clinique des tests Covid-19 disponibles sont limitées ». Un tribunal portugais a jugé que les tests PCR n’étaient pas fiables et ne devaient pas être utilisés pour le diagnostic.

Le manque de fiabilité des tests PCR n’est d’ailleurs pas propre à la « Covid ». Une étude réalisée en 2006 a révélé que les tests PCR pour un virus réagissaient également à d’autres virus. En 2007, la confiance accordée aux tests PCR a entraîné une « épidémie » de coqueluche qui n’a jamais existé.

Vous pouvez lire des analyses détaillées des défaillances des tests PCR ici, ici et ici.


8. Les valeurs CT des tests PCR sont trop élevées. Les tests PCR sont exécutés par cycles, le nombre de cycles que vous utilisez pour obtenir votre résultat est connu sous le nom de « seuil de cycle » ou valeur CT. Kary Mullis a déclaré :

« Si vous devez effectuer plus de 40 cycles […], il y a quelque chose qui ne va pas du tout avec votre PCR.»

Les lignes directrices du MIQE en matière de PCR vont dans le même sens : « Les valeurs [CT] supérieures à 40 sont suspectes en raison de la faible efficacité qu’elles impliquent et ne doivent généralement pas être rapportées. »

Le Dr Fauci lui-même a admis que toute valeur supérieure à 35 cycles n’est presque jamais cultivable [NDLR On ne peut pas en faire de culture virale].

Le Dr Juliet Morrison, virologue à l’université de Californie, à Riverside, a déclaré au New York Times : Tout test dont le seuil de cycle est supérieur à 35 est trop sensible… Je suis choquée que l’on puisse penser que 40 [cycles] peuvent représenter un résultat positif… Un seuil plus raisonnable serait de 30 à 35″.

Dans le même article, le Dr Michael Mina, de l’École de santé publique de Harvard, estime que la limite devrait être fixée à 30, et l’auteur poursuit en soulignant que la réduction du nombre de cycles de 40 à 30 aurait permis de réduire de 90 % le nombre de cas de « Covidés » dans certains États.

Les données du CDC suggèrent qu’aucun échantillon de plus de 33 cycles ne peut être cultivé, et l’Institut Robert Koch d’Allemagne affirme qu’aucun échantillon de plus de 30 cycles n’est susceptible d’être infectieux.

Malgré cela, on sait que la quasi-totalité des laboratoires américains effectuent leurs tests sur au moins 37 cycles et parfois jusqu’à 45. La « procédure opérationnelle standard » du NHS pour les tests PCR fixe la limite à 40 cycles.

Sur la base de ce que nous savons des valeurs CT, la majorité des résultats des tests PCR sont au mieux discutables.


9. L’Organisation mondiale de la santé a admis (à deux reprises) que les tests PCR produisaient de faux positifs. En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus PCR, demandant aux laboratoires de se méfier des valeurs élevées de CT qui entraînent des résultats faussement positifs :

Lorsque les échantillons retournent une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

Puis, en janvier 2021, l’OMS a publié un autre mémo, cette fois-ci pour avertir que les tests PCR positifs « asymptomatiques » devaient être retestés, car il pouvait s’agir de faux positifs :

Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et testé à nouveau en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.

Ces annonces ont coïncidé avec le lancement initial des « vaccins Covid ».


10. La base scientifique de TOUS les tests « Covid » est discutable. Le génome du virus Sars-Cov-2 a été prétendument séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (Christian Drosten et coll.) auraient utilisé le génome pour créer des tests PCR.

Ils ont rédigé un article intitulé Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR, qui a été soumis pour publication le 21 janvier 2020, puis accepté le 22 janvier. Cela signifie que l’article a été prétendument « évalué par les pairs » en moins de 24 heures. Un processus qui prend généralement des semaines.

Depuis lors, un consortium de plus de quarante scientifiques du vivant a demandé le retrait de l’article, rédigeant un long rapport détaillant dix erreurs majeures dans la méthodologie de l’article.

Ils ont également demandé la publication du rapport d’évaluation par les pairs de la revue, afin de prouver que l’article a bien été soumis au processus d’évaluation par les pairs. La revue n’a pas encore donné suite à cette demande.

Les tests Corman-Drosten sont à la base de tous les tests PCR « Covid » dans le monde. Si l’article est douteux, tous les tests PCR le sont également.


PARTIE III : « CAS » & « DÉCÈS »

11. Un très grand nombre de « cas de Covid » sont « asymptomatiques ». Au début de la « pandémie », il a été signalé que la majorité des « cas Covid » ne présentaient aucun symptôme. En mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75 % des tests Covid positifs ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique datant d’août 2020 a révélé que 86 % des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

Un article chinois de mars 2020 a révélé que plus de 80 % des « cas asymptomatiques » étaient en fait de faux résultats positifs.

En bref, la grande majorité des « cas » survenus au cours de la première année de la « pandémie » étaient des personnes qui n’ont jamais été malades.

À la suite d’une directive de l’OMS visant à tester à nouveau les cas asymptomatiques [9] en janvier 2021 — juste au moment où les « vaccins » ont été déployés pour la première fois — le pourcentage de « cas asymptomatiques » aurait été plus faible, à savoir environ 40 %.


12. Les chiffres relatifs aux « cas cliniques » sont intrinsèquement dénués de sens. Depuis le début de la « pandémie », un « cas Covid » a été défini dans des termes garantissant un gonflement artificiel des statistiques.

Selon la définition de l’Organisation mondiale de la santé, un « cas confirmé » est toute personne dont le résultat de la PCR est positif, quels que soient les symptômes ou les antécédents personnels. En outre, on sait que de nombreuses agences sanitaires dans le monde — y compris le CDC américain — incluent les « cas probables » dans leurs statistiques.

L’OMS définit un « cas probable » comme toute personne répondant aux « critères cliniques » (c’est-à-dire présentant des symptômes grippaux) et ayant été en contact soit avec un « cas confirmé », soit avec un autre « cas probable » :

Cas probable : Un patient qui répond aux critères cliniques ET qui est en contact avec un cas probable ou confirmé, ou qui est lié à un groupe de Covid-19 ».

Comme nous l’avons vu plus haut, les tests PCR ne fonctionnent pas et produisent des faux positifs. Les tests de flux latéral produisent également des faux positifs. On sait que ces tests peuvent même donner des résultats contradictoires pour la même personne au même moment. Le « Covid-19 » ne présente pas non plus de profil symptomatique unique, ce qui exclut tout diagnostic clinique.

Si l’on ne peut pas tester la maladie de manière fiable en laboratoire, si l’on ne peut pas l’identifier par un profil de symptômes unique et si de nombreux « cas » sont reconnus comme « asymptomatiques », alors « Covid-19 » devient une étiquette dépourvue de sens.

En l’absence d’une quelconque méthode de diagnostic fiable, les statistiques sur les cas de toute maladie sont intrinsèquement dénuées de sens.


13. Les « décès Covid » ont été créés par manipulation statistique. Puisque les statistiques sur les cas de « Covid » sont gonflées [12], il s’ensuit naturellement que les statistiques sur les décès de la « Covid » ne sont pas fiables non plus. En fait, dès le début de la « pandémie », on a constaté que le nombre de « décès Covid » était artificiellement gonflé.

Selon l’Agence britannique des normes sanitaires, l’OMS a défini un « décès Covid » dans les termes suivants :

Un décès dû à la maladie Covid-19 est défini, à des fins de surveillance, comme un décès résultant d’une maladie cliniquement compatible chez un cas probable ou confirmé de maladie Covid-19, à moins qu’il existe une autre cause évidente de décès qui ne peut être liée à la maladie Covid-19 (par exemple, un traumatisme).

Tout au long de la « pandémie », de nombreux pays sont allés encore plus loin et ont défini un « décès par Covid » comme un « décès quelle qu’en soit la cause dans les 28/30/60 jours suivant un test positif ».

Les responsables de la santé du Danemark, de l’Italie, de l’Allemagne, du Royaume-Uni, des États-Unis, de l’Irlande du Nord et d’autres pays ont tous admis cette pratique :

Le CDC américain enregistre même les décès « probables » dus à la Covid dans ses statistiques.

En supprimant toute distinction entre les décès dus à la « Covid » et les décès dus à autre chose après un test positif à la Covid, on obtient naturellement des chiffres totalement dénués de sens concernant les « décès dus à la Covid ».

Le Dr John Lee, pathologiste britannique, a mis en garde contre cette « surestimation substantielle » dès avril 2020. D’autres sources grand public l’ont également signalé.

Compte tenu de l’énorme pourcentage d’ » infections Covid asymptomatiques » [11], de la prévalence bien connue de comorbidités graves [30] et du fait que tous les « tests Covid » ne sont absolument pas fiables [II], les chiffres des décès « Covid » sont des statistiques totalement dénuées de sens.


PARTIE IV : CONFINEMENTS

14. Le confinement n’empêche pas la propagation des maladies. Il n’y a que peu ou pas de preuves que le confinement ait un impact sur la limitation des « décès par Covid ». Si l’on compare les régions qui ont pratiqué le confinement à celles qui ne l’ont pas fait, on ne constate aucune tendance.

Décès en Floride (pas de confinement) et en Californie (confinement)
Décès en Suède (pas de confinement) et au Royaume-Uni (confinement)

Une méta-analyse de l’université Johns Hopkins, publiée en avant-première, a montré que les confinements n’avaient pratiquement aucun impact sur la mortalité du « Covid-19 », tandis qu’un autre article sur les « déterminants des décès de la Covid-19 », publié en avril 2021, a trouvé :

Peu de preuves que les confinements réduisent les décès


15. Le confinement tue. Il existe des preuves solides que les confinements — par le biais de dommages sociaux, économiques et autres sur la santé publique — sont plus mortels que le prétendu « virus ».

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation mondiale de la santé pour Covid-19, a décrit les confinements comme une « catastrophe mondiale » en octobre 2020 :

« L’Organisation mondiale de la santé ne préconise pas le confinement comme principal moyen de lutte contre le virus […] il semble que la pauvreté mondiale pourrait doubler d’ici l’année prochaine. Il se pourrait bien que la malnutrition infantile ait au moins doublé […] Il s’agit d’une catastrophe mondiale terrible, épouvantable ».

Un rapport des Nations unies datant d’avril 2020 prévoyait que des centaines de milliers d’enfants seraient tués par l’impact économique des fermetures d’usines, tandis que des dizaines de millions d’autres seraient confrontés à un risque de pauvreté et de famine.

Le chômage, la pauvreté, le suicide, l’alcoolisme, la toxicomanie et d’autres crises sociales et mentales se multiplient dans le monde entier. Les opérations chirurgicales et les dépistages manqués ou retardés ont déjà entraîné une augmentation de la mortalité due aux maladies cardiaques, au cancer et à d’autres affections dans de nombreux pays du monde.

Selon un rapport de la Banque mondiale datant de juin 2021, près de 100 millions de personnes ont été plongées dans l’extrême pauvreté à cause des « mesures anti-Covid ».

En janvier 2023, les services de santé du monde entier connaissent encore des retards chaotiques dans les traitements et les diagnostics. Les effets du confinement risquent de nuire à la santé publique pendant des années.

L’impact du confinement pourrait expliquer toute augmentation observée de la surmortalité [33].


16. Les bébés nés pendant le confinement ont un QI plus faible. Une étude réalisée à l’université de Brown a révélé que les enfants nés après mars 2020 avaient, en moyenne, un QI inférieur de 21 points à celui des générations précédentes, concluant :

« Des questions subsistent quant à l’impact du travail à domicile, de l’hébergement sur place et d’autres politiques de santé publique qui ont limité l’interaction sociale et les expériences typiques de l’enfance sur le développement neurologique des jeunes enfants. »

Cela reflète les rapports sur les enfants plus âgés (4-5 ans) qui font état d’un retard dans le développement des compétences sociales et d’une incapacité à lire les signes faciaux.


17. Les hôpitaux n’ont jamais été exceptionnellement surchargés. Le principal argument utilisé pour défendre les fermetures d’hôpitaux est que « l’aplanissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de soins de santé de l’effondrement. Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été proches de l’effondrement.

En mars 2020, il a été signalé que les hôpitaux espagnols et italiens débordaient de patients, mais cela se produit chaque saison grippale. En 2017, les hôpitaux espagnols étaient à 200 % de leur capacité, et en 2015, des patients dormaient dans les couloirs. Selon un article du JAMA datant de mars 2020, les hôpitaux italiens « fonctionnent généralement à 85-90 % de leur capacité pendant les mois d’hiver ».

Au Royaume-Uni, le NHS est régulièrement sollicité à l’extrême pendant l’hiver.

Dans le cadre de sa politique Covid, le NHS a annoncé au printemps 2020 qu’il allait « réorganiser la capacité des hôpitaux de manière à traiter séparément les patients Covid et non Covid » et que « par conséquent, les hôpitaux connaîtront des pressions de capacité à des taux d’occupation globaux inférieurs à ce qu’ils auraient été auparavant ».

Cela signifie qu’ils ont supprimé des milliers de lits.

Oui, au cours d’une prétendue pandémie mortelle, ils ont en fait réduit le taux d’occupation maximal des hôpitaux.

Malgré cela, le NHS n’a jamais ressenti de pression au-delà de la saison grippale habituelle, et a même parfois eu quatre fois plus de lits vides que d’habitude.

Au Royaume-Uni et aux États-Unis, des millions ont été dépensés pour des hôpitaux d’urgence temporaires qui n’ont jamais été utilisés.

Un article paru dans Health Policy en novembre 2021 a révélé que, dans toute l’Europe occidentale, la « capacité de pointe » des lits de soins intensifs n’a été dépassée qu’un seul jour, en Lombardie, le 3 avril 2020.


18. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation de DNR « illégaux ». Les organismes de surveillance et les agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des ordonnances de non-réanimation (DNR) au cours des années 2020-2021.

Dès mars 2020, alors que la « pandémie » n’en était encore qu’à ses débuts, des articles paraissaient déjà dans des revues grand public, prédisant l’utilisation « unilatérale » de l’ordre de ne pas réanimer, une pratique qui avait « rarement joué un rôle avant Covid » :

Les cliniciens de certains établissements de soins de santé peuvent décider unilatéralement de rédiger un ordre de non-réanimation. Cette dernière approche n’est pas uniformément acceptée et, avant la Covid-19, elle avait rarement un rôle à jouer. Toutefois, au cours de cette pandémie, dans des situations extrêmes telles qu’un patient souffrant d’une maladie chronique sous-jacente grave et d’une insuffisance cardio-pulmonaire aiguë dont l’état s’aggrave malgré un traitement maximal, une DNR unilatérale peut avoir un rôle à jouer pour réduire le risque d’une réanimation cardio-pulmonaire médicalement futile pour les patients, les familles et les travailleurs de la santé.

Aux États-Unis, les hôpitaux ont envisagé des « DNR universels » pour tout patient testé positif à la Covid, et des infirmières dénonciatrices ont admis que le système DNR avait fait l’objet d’abus à New York.

Au Royaume-Uni, on a assisté à une augmentation « sans précédent » des DNR « illégaux » pour les personnes handicapées, les cabinets de médecins généralistes ont envoyé des lettres aux patients en phase non terminale leur recommandant de signer des DNR, tandis que d’autres médecins ont signé des « DNR globaux » pour des maisons de retraite entières.

Une étude réalisée par l’université de Sheffield a révélé que plus d’un tiers de tous les patients « soupçonnés » d’être en Covid avaient un ordre de non-réanimation joint à leur dossier dans les 24 heures suivant leur admission à l’hôpital.

Un article publié dans la revue « Public Health Frontiers » en mai 2021 a présenté des arguments « éthiques » en faveur de l’utilisation « unilatérale » des DNR chez les patients Covid :

Certains pays ont été contraints d’adopter une politique de DNR unilatérale pour certains groupes de patients […] Dans la situation difficile actuelle […], des décisions difficiles doivent être prises. Les avantages sociétaux plutôt qu’individuels pourraient prévaloir.

L’utilisation généralisée d’ordonnances de non-réanimation forcées ou illégales pourrait être à l’origine de toute augmentation de la mortalité en 2020/21 [33].


PARTIE V : VENTILATEURS

19. La ventilation n’est PAS un traitement des infections respiratoires. La ventilation mécanique n’est pas, et n’a jamais été, un traitement recommandé pour les infections respiratoires, quelles qu’elles soient. Au début de la pandémie, de nombreux médecins ont remis en question l’utilisation de ventilateurs pour traiter la « Covid ».

Le Dr Matt Strauss a écrit dans The Spectator :

Les ventilateurs ne guérissent aucune maladie. Ils peuvent remplir vos poumons d’air lorsque vous êtes incapable de le faire vous-même. Dans l’esprit du public, ils sont associés aux maladies pulmonaires, mais ce n’est en fait pas leur application la plus courante ou la plus appropriée.

Le Dr Thomas Voshaar, pneumologue allemand et président de l’Association des cliniques pneumologiques, a déclaré :

Lorsque nous avons lu les premières études et les premiers rapports en provenance de Chine et d’Italie, nous nous sommes immédiatement demandé pourquoi l’intubation était si fréquente dans ces pays. Cela contredisait notre expérience clinique de la pneumonie virale.

Malgré cela, l’OMS, les CDC, l’ECDC et le NHS ont tous « recommandé » que les patients atteints de Covid soient ventilés au lieu d’utiliser des méthodes non invasives.

Il ne s’agissait pas d’une politique médicale visant à traiter au mieux les patients, mais plutôt à réduire la propagation hypothétique de la Covid en empêchant les patients d’exhaler des gouttelettes d’aérosol, comme l’indiquent clairement les lignes directrices publiées officiellement.


20. Les ventilateurs tuent des gens. Mettre sous respirateur une personne souffrant de grippe, de pneumonie, de broncho-pneumopathie chronique obstructive ou de toute autre affection limitant la respiration ou affectant les poumons ne soulagera aucun de ces symptômes. En fait, il est presque certain que cela les aggravera et tuera beaucoup d’entre eux.

Les sondes d’intubation sont une source potentielle d’infection connue sous le nom de « pneumonie associée à la ventilation », qui, selon des études, touche jusqu’à 28 % de toutes les personnes placées sous ventilateur et tue 20 à 55 % des personnes infectées.

La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des « lésions pulmonaires induites par le ventilateur », qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie, voire entraîner la mort.

Les experts estiment que 40 à 50 % des patients ventilés meurent, quelle que soit leur maladie. Dans le monde entier, entre 66 et 86 % de tous les « patients Covid » mis sous respirateur sont décédés.

Selon l’infirmière infiltrée, les ventilateurs étaient si mal utilisés à New York qu’ils détruisaient les poumons des patients :

Cette politique relevait au mieux de la négligence et au pire du meurtre délibéré. Cette mauvaise utilisation des ventilateurs pourrait expliquer toute augmentation de la mortalité en 2020/21 [33].


PARTIE VI : MASQUES

21. Les masques ne fonctionnent pas. Au moins une douzaine d’études scientifiques ont montré que les masques n’empêchent en rien la propagation des virus respiratoires.

Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a trouvé « aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques ».

Une revue canadienne de juillet 2020 a trouvé « des preuves limitées que l’utilisation de masques pourrait réduire le risque d’infections respiratoires virales ».

Une autre étude portant sur plus de 8 000 sujets a révélé que les masques « ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques ».

Il y en a littéralement trop pour les citer tous, mais vous pouvez les lire : [1] [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8] [9] [10] ou lire un résumé par SPR ici.

Bien que certaines études prétendent montrer que les masques sont efficaces pour Covid, elles présentent toutes de sérieuses lacunes. L’une d’entre elles s’est appuyée sur des enquêtes autodéclarées. Une autre était si mal conçue qu’un groupe d’experts a demandé son retrait. Une troisième a été retirée après que ses prédictions se sont révélées totalement erronées.

L’OMS a commandé sa propre méta-analyse dans le Lancet, mais cette étude ne portait que sur les masques N95 et uniquement dans les hôpitaux. [Pour un aperçu complet des données erronées de cette étude, cliquez ici.]

Outre les preuves scientifiques, il existe de nombreuses preuves concrètes que les masques n’empêchent en rien la propagation des maladies.

Par exemple, le Dakota du Nord et le Dakota du Sud présentaient des chiffres presque identiques concernant les « cas », bien que l’un ait imposé le port du masque et l’autre non :

Au Kansas, les comtés sans obligation de porter des masques ont en fait enregistré moins de « cas » de Covid que les comtés avec obligation de porter des masques. Et bien que les masques soient très répandus au Japon, ce pays a connu en 2019 sa pire épidémie de grippe depuis des décennies.

Non seulement les masques ne fonctionnent pas, mais il était largement connu qu’ils ne fonctionnaient pas avant 2020.

Une revue de la littérature publiée en 2016 dans le Journal of Oral Health a révélé que :

Il n’y a pas de données scientifiques convaincantes qui soutiennent l’efficacité des masques pour la protection respiratoire.

(Cette étude a été discrètement retirée du site web du journal en juin 2020, car elle n’était « plus pertinente dans le climat actuel ».)

Une autre étude, publiée en 2020, mais réalisée en 2019, a trouvé :

Aucun effet significatif des masques sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire.

Dans sa revue de 2020 intitulée « Masks Don’t Work » [Les masques ne marchent pas], le Dr Denis Rancourt cite des études de 2009, 2010, 2012, 2016, 2017 et 2019… dont aucune n’a trouvé le moindre avantage significatif au port d’un masque.

Et, plus révélateur encore, dans son propre rapport sur la grippe de 2019, l’OMS elle-même a noté que :

il n’y a aucune preuve que [les masques soient] efficaces pour réduire la transmission


22. Les masques sont mauvais pour la santé. Porter un masque pendant de longues périodes, porter le même masque plus d’une fois et d’autres aspects des masques en tissu peuvent être mauvais pour la santé. Une longue étude sur les effets néfastes du port de masque a été récemment publiée par l’International Journal of Environmental Research and Public Health (Journal international de la recherche environnementale et de la santé publique).

Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il constatait une augmentation des pneumonies bactériennes, des infections fongiques et des éruptions cutanées sur le visage.

Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes.

Le port de masques par les enfants encourage la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations faciales.

Dans le monde entier, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leur masque, et certains enfants en Chine ont même souffert d’un arrêt cardiaque soudain.

En outre, les masques peuvent en fait augmenter la probabilité de maladies respiratoires, comme l’a montré un essai sur les masques en tissu réalisé en 2015 :

La rétention d’humidité, la réutilisation des masques en tissu et une mauvaise filtration peuvent entraîner un risque accru d’infection.

Une nouvelle étude publiée en juillet 2022 a montré que les masques, en particulier ceux qui sont portés plusieurs fois, sont des terrains propices à la prolifération de bactéries et de microbes fongiques.

Un autre article sur l’efficacité des masques, publié en avril 2022 et évalué par des pairs, a constaté que les masques ne sont pas toujours efficaces :

Bien qu’aucune conclusion de cause à effet n’ait pu être déduite de cette analyse observationnelle, l’absence de corrélation négative entre l’utilisation des masques et les cas de Covid-19 et les décès suggère que l’utilisation généralisée des masques […] n’a pas été en mesure de réduire la transmission de la Covid-19. En outre, la corrélation positive modérée entre l’utilisation des masques et les décès en Europe occidentale suggère également que l’utilisation universelle des masques peut avoir eu des conséquences involontaires néfastes.


23. Les masques sont mauvais pour la planète. Des millions et des millions de masques jetables sont utilisés chaque mois depuis plus d’un an. Selon un rapport des Nations unies, la pandémie de Covid-19 entraînera probablement un doublement des déchets plastiques au cours des prochaines années, et la grande majorité d’entre eux sont des masques.

Le rapport poursuit en avertissant que ces masques (et d’autres déchets médicaux) boucheront les égouts et les systèmes d’irrigation, ce qui aura des répercussions sur la santé publique, l’irrigation et l’agriculture.

Une étude de l’Université de Swansea a révélé que « des métaux lourds et des fibres plastiques ont été libérés lorsque des masques jetés ont été immergés dans l’eau ». Ces matériaux sont toxiques pour l’homme et la faune.

Une autre étude, publiée en 2022, a révélé que :

Les masques jetables et les gants en plastique pourraient constituer un risque permanent pour la faune pendant des dizaines, voire des centaines d’années.


PARTIE VII : VACCINS

24. Les « vaccins » Covid sont totalement inédits. Avant 2020, aucun vaccin contre un coronavirus humain n’avait jamais été mis au point.

Après l’avènement de la « Covid », nous en aurions fabriqué plus de 20 en 18 mois.

Depuis des années, les scientifiques tentent de mettre au point un vaccin contre le SRAS et le MERS, sans grand succès. Certains des vaccins contre le SRAS qui ont échoué ont en fait provoqué une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement contracter la maladie plus gravement que les souris non vaccinées. Une autre tentative a provoqué des lésions hépatiques chez les furets.

Alors que la théorie des vaccins traditionnels veut que l’exposition de l’organisme à une souche affaiblie d’un micro-organisme déclenche une réponse immunitaire, nombre de ces nouveaux « vaccins » Covid sont des vaccins à ARNm.

Les vaccins ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent théoriquement en injectant de l’ARNm viral dans le corps, où il se réplique à l’intérieur des cellules et encourage le corps à reconnaître et à fabriquer des antigènes pour les « protéines de pointe » du virus.

Les vaccins à ARNm font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais avant 2020, aucun vaccin à ARNm n’a jamais été approuvé pour une utilisation chez l’homme.

Pourtant, après l’avènement de Covid, deux sociétés différentes ont fabriqué, à quelques semaines d’intervalle, deux vaccins ARNm prétendument « sûrs et efficaces ».


25. Les « vaccins Covid » ne confèrent pas d’immunité et ne préviennent pas la transmission. On admet volontiers que les « vaccins » Covid ne confèrent pas d’immunité contre l’infection et n’empêchent pas de transmettre la maladie à d’autres personnes. En effet, un article du British Medical Journal a souligné que les essais vaccinaux n’ont même pas été conçus pour essayer d’évaluer si les « vaccins » limitaient la transmission.

Les fabricants de vaccins eux-mêmes, lorsqu’ils ont publié les thérapies géniques à ARNm non testées, ont clairement indiqué que l’« efficacité » de leur produit était basée sur la « réduction de la sévérité des symptômes ».

En octobre 2022, Janine Small, cadre de Pfizer, témoignant devant le Parlement européen, a admis que Pfizer n’avait même pas testé si son vaccin empêchait la transmission de la « Covid » avant sa mise à disposition du public.


26. Les vaccins ont été mis au point à la hâte et leurs effets à long terme sont inconnus. La mise au point d’un vaccin est un processus lent et laborieux. En général, il faut de nombreuses années pour passer de la mise au point à l’essai, puis à l’approbation de l’utilisation publique. Les différents vaccins pour la Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an.

Sur son propre site web, Moderna admet qu’il faut normalement 10 à 15 ans pour développer un vaccin, mais se vante d’avoir produit son SpikeVax « en deux mois ».

Il est évident qu’il ne peut y avoir de données de sécurité à long terme sur des produits chimiques datant de moins d’un an.

Pfizer l’admet même dans la fuite du contrat de fourniture entre le géant pharmaceutique et le gouvernement albanais :

« Les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus à l’heure actuelle et le vaccin peut avoir des effets indésirables qui ne sont pas connus à l’heure actuelle ».

En outre, aucun des vaccins n’a fait l’objet d’essais appropriés. Nombre d’entre eux n’ont pas été soumis à des essais préliminaires et les essais sur l’homme à un stade avancé n’ont pas été examinés par des pairs, n’ont pas publié leurs données, ne se termineront pas avant 2023 ou ont été abandonnés à la suite d’« effets indésirables graves ».


27. Les fabricants de vaccins se sont vus accorder une indemnité légale en cas de préjudice. La loi américaine sur la préparation aux situations d’urgence (Public Readiness and Emergency Preparedness Act—PREP) accorde une immunité jusqu’en 2024 au moins.

La loi européenne sur l’homologation des produits va dans le même sens, et des rapports font état de clauses de responsabilité confidentielles dans les contrats signés par l’UE avec les fabricants de vaccins.

Le Royaume-Uni est allé encore plus loin en accordant une indemnité légale permanente au gouvernement et à ses employés pour tout préjudice causé lorsqu’un patient est traité pour la Covid-19 ou la « Covid-19 suspecté ».

Là encore, la fuite du contrat albanais suggère que Pfizer, au moins, a fait de cette indemnité une exigence standard pour la fourniture des vaccins Covid :

L’acheteur accepte par la présente d’indemniser, de défendre et de dégager de toute responsabilité Pfizer […] contre tout(e) poursuite, réclamation, action, demande, perte, dommage, responsabilité, règlement, pénalité, amende, coût et dépense


28. Les « vaccins » Covid comportent un risque important d’effets secondaires indésirables. Les vaccins expérimentaux Covid ont potentiellement causé des dizaines d’affections graves chez des millions de personnes. Il s’agit notamment de myocardites (en particulier chez les jeunes garçons), de caillots sanguins, de réactions allergiques, d’affections cutanées, de paralysie de Bell, d’irrégularités menstruelles, etc. [Pour une description détaillée de ces affections, cliquez ici.]

Le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) du CDC américain a reçu deux fois plus de notifications depuis l’introduction du vaccin contre la Covid que toutes les années précédentes réunies.

Source : OpenVAERS

PARTIE VIII : DONNÉES SUR LA MORTALITÉ

29. Le taux de survie de la « Covid » est supérieur à 99 %. Les experts médicaux du gouvernement ont tout fait pour souligner, dès le début de la pandémie, que la grande majorité de la population n’est pas menacée par la Covid.

Un nouvel examen global des données sur la Covid, publié en octobre 2022 par l’épidémiologiste de Stanford John Ioannidis (et coll.), a révélé un taux de mortalité médian d’à peine 0,07 % chez les personnes âgées de moins de 70 ans.

Presque toutes les études sur les anticorps portant sur le rapport infection-fatalité (RIF) de la Covid ont donné des résultats compris entre 0,04 % et 0,5 %. En d’autres termes, à supposer que la « Covid » ait jamais existé en tant que maladie distincte, son taux de survie était d’au moins 99,5 %.


30. La grande majorité des « morts de la Covid » présentent de graves comorbidités. En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2 % de ses « morts par Covid » présentaient au moins une comorbidité grave.

Il s’agit notamment du cancer, des maladies cardiaques, de la démence, de la maladie d’Alzheimer, de l’insuffisance rénale et du diabète. Plus de 50 % d’entre eux souffraient d’au moins trois maladies préexistantes graves.

Cette tendance s’est maintenue dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une requête FOIA d’octobre 2020 auprès de l’ONS britannique a révélé que moins de 10 % du décompte officiel des « décès dus à la Covid » à cette époque avaient la Covid comme seule cause de décès.

En résumé, la grande majorité des « décès par Covid » concernait des personnes très fragiles.

Cela a été interprété par la presse comme le fait que la vieillesse ou l’infirmité étaient des « facteurs de risque » pour la « Covid ». Cependant, il serait plus juste de dire que le facteur de risque numéro un pour « mourir de Covid » était déjà de mourir d’autre chose.


31. L’âge moyen du « décès par Covid » est supérieur à l’espérance de vie moyenne. L’âge moyen d’un « décès par Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, il est de 86 ans. En Allemagne, il est de 83 ans. En Suisse, 86 ans. Au Canada, 86 ans. Les États-Unis, 78 ans, l’Australie, 82 ans.

Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale.

Des recherches menées en mars 2021 ont montré que, dans les huit pays étudiés, plus de 64 % de tous les « décès par Covid » sont survenus chez des personnes dont l’espérance de vie était supérieure à l’espérance de vie nationale.

Ainsi, pour la majeure partie du monde, la « pandémie » n’a eu que peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. À titre de comparaison, la grippe espagnole a fait chuter l’espérance de vie de 28 % aux États-Unis en un peu plus d’un an. [source]


32. La mortalité par Covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle. Des études statistiques menées au Royaume-Uni et en Inde ont montré que la courbe de la « mortalité Covid » suit presque exactement la courbe de la mortalité attendue :

Le risque de décès « par Covid » suit presque exactement le risque de décès général.

La légère augmentation pour certains groupes d’âge plus élevés peut être expliquée par d’autres facteurs [15] [18] [20] [28].


33. Il n’y a pas eu de surmortalité inhabituelle. Le nombre de victimes de la « Covid », même avec des statistiques exagérées [13], n’a jamais été assez élevé pour justifier les réactions draconiennes de la plupart des gouvernements du monde.

En trois ans de « Covid », il y a eu environ 6,8 millions de « décès Covid », soit 2,3 millions par an. Cela représente 0,03 % de la population mondiale. À titre de comparaison, la grippe espagnole de 1918 a tué entre 25 et 100 millions de personnes en deux ans, soit entre 0,7 et 2,8 % de la population mondiale par an.

La presse a qualifié l’année 2020 de « l’année la plus meurtrière depuis la Seconde Guerre mondiale » au Royaume-Uni, mais cette affirmation est trompeuse, car elle ne tient pas compte de l’augmentation massive de la population depuis cette période. Une mesure statistique plus raisonnable de la mortalité est le taux de mortalité normalisé selon l’âge (ASMR) :

Selon cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année pour la mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seules 9 années ont été meilleures que 2020.

De même, aux États-Unis, l’ASMR pour 2020 n’atteint que les niveaux de 2004 :

La Suède, qui ne s’est pas enfermée, a vu sa mortalité toutes causes confondues atteindre des niveaux jamais vus en 2012 :

L’ensemble des données de la Banque mondiale sur la mortalité estime qu’en 2020, le taux brut de mortalité mondiale est passé d’environ 7,6 à 8, soit un retour au niveau observé entre 2006 et 2011.

À partir de mai 2021, l’Organisation mondiale de la santé a commencé à discuter du « coût réel de la pandémie », encourageant les efforts visant à gonfler davantage le nombre de décès dus à la pandémie en attribuant tous les décès excédentaires depuis 2020 à la Covid. Cependant, étant donné que toute augmentation de la mortalité pourrait être attribuée à des causes autres que la Covid [faits 15, 18, 20 et 28], il s’agit soit d’un raisonnement irrationnel, soit d’une tromperie intentionnelle.

En outre, il existe des preuves solides que les décès excédentaires n’ont rien à voir avec la « Covid », puisque les décès excédentaires ont continué d’augmenter alors même que les cas de Covid auraient diminué. Comme l’a rapporté le Spectator en novembre 2022 :

Pourquoi la surmortalité est-elle plus élevée aujourd’hui que pendant la Covid ?

Le Royaume-Uni n’est pas le seul concerné, comme l’ont écrit Toby Green et Thomas Fazi pour Unherd le 30 janvier :

… malgré des taux de mortalité relativement bas pendant la Covid, la surmortalité globale dans tous les groupes d’âge en Europe en 2022 était aussi élevée qu’en 2020 et plus élevée qu’en 2021 — même dans les cohortes les plus âgées. Au-delà de l’Europe, la situation est à peu près la même…

Le fait que la surmortalité ait continué d’augmenter malgré le prétendu ralentissement de la « pandémie » prouve que la surmortalité n’a peut-être jamais été causée par la « Covid », mais qu’elle est en fait due à d’autres facteurs (par exemple, les retombées économiques et sociales des politiques de confinement et, éventuellement, la distribution de « vaccins » non testés et inutiles).


PARTIE IX : PLANIFICATION ET TROMPERIE

34. L’UE préparait des « passeports vaccinaux » au moins un AN avant le début de la pandémie. Les contre-mesures proposées pour la Covid, présentées au public comme des mesures d’urgence improvisées, existent depuis avant l’apparition de la maladie.

Deux documents de l’UE publiés en 2018, « 2018 State of Vaccine Confidence » et un rapport technique intitulé « Designing and implementing an immunisation information system » (conception et mise en œuvre d’un système d’information sur la vaccination) ont examiné la plausibilité d’un système de suivi des vaccinations à l’échelle de l’UE.

Ces documents ont été regroupés dans la « Feuille de route pour la vaccination » de 2019, qui (entre autres) établit une « étude de faisabilité » sur les passeports vaccinaux devant débuter en 2019 et s’achever en 2021 :

Les conclusions de ce rapport ont été rendues publiques en septembre 2019, un mois seulement avant l’événement 201 (ci-dessous).

En fait, les programmes de vaccination et d’immunisation sont reconnus comme « un point d’entrée pour l’identité numérique » depuis au moins 2018.

Fondée en 2016, ID2020 est une « alliance » corporative-gouvernementale dédiée à « fournir une identité numérique à tous ». En mars 2018, ID2020 a publié un article intitulé « Immunisation : un point d’entrée pour l’identité numérique », dans lequel l’auteur affirme :

L’immunisation représente une énorme opportunité pour mettre à l’échelle l’identité numérique.

ID2020 a été fondé conjointement par Microsoft, la Fondation Rockefeller et GAVI the Vaccine Alliance. Parmi ses « partenaires » figurent Facebook et l’ONU.


35. Un « exercice d’entraînement » a prédit la pandémie quelques semaines avant son déclenchement. En octobre 2019, le Forum économique mondial et l’université Johns Hopkins ont organisé l’Event 201. Il s’agissait d’un exercice d’entraînement basé sur un coronavirus zoonotique déclenchant une pandémie mondiale. L’exercice était parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates et GAVI, l’alliance pour les vaccins.

Les conclusions et les recommandations de l’exercice ont été publiées en novembre 2019 sous la forme d’un « appel à l’action ». Un mois plus tard, la Chine a enregistré son premier cas de « Covid ».


36. Les dirigeants mondiaux sceptiques à l’égard de la Covid « sont morts subitement ». Plusieurs dirigeants politiques qui s’opposaient aux politiques de l’Organisation mondiale de la santé en matière de Covid sont décédés de manière inattendue, pour voir leurs politiques anti-Covid de l’OMS annulées immédiatement par leurs successeurs.

Le 3 mai 2020, le président burundais Pierre Nkurunzia a qualifié la Covid de « canular ». Trois jours plus tard, le Council on Foreign Relations a mis en garde contre les « tendances dangereuses de la démocratie burundaise ».

Le 14 mai 2020, Nkurunzia a formellement expulsé les représentants de l’OMS du Burundi. Moins d’un mois plus tard, il meurt « d’une maladie soudaine ». Son successeur qualifie Covid de « notre plus grand ennemi » et invite l’OMS à revenir.

La situation a été presque identique en Tanzanie, où le président Covid-sceptique John Magufuli a mis en doute l’exactitude des tests PCR et a interdit l’utilisation des vaccins Covid dans son pays.

En mars 2021, Magufuli a disparu de la scène publique pendant des semaines. Une fois de plus, le Council on Foreign Relations a publié un article appelant à sa destitution et, une fois de plus, il a été rapporté qu’il était mort subitement.

Son successeur a immédiatement fait volte-face sur la Covid, imposant des quarantaines, une distanciation sociale et le port de masques, ainsi que l’adhésion de la Tanzanie au programme de vaccination de l’OMS et la vaccination de 10 millions de ses citoyens.


37. Pendant la « pandémie » de Covid, la grippe a presque complètement « disparu ». Aux États-Unis, depuis février 2020, les cas de grippe auraient chuté de plus de 98 %.

Les États-Unis ne sont pas les seuls concernés : en septembre 2020, le CDC américain a signalé que l’activité grippale avait nettement diminué aux États-Unis, en Australie, en Afrique du Sud et au Chili.

En avril 2021, le magazine Scientific American a publié un article intitulé « La grippe a disparu depuis plus d’un an » :

La grippe a disparu depuis plus d’un an.

L’explication donnée est que les mesures anti-Covidus — par exemple les masques et les confinements — ont empêché la propagation de la grippe. Mais nous avons établi que les masques et les confinements n’arrêtent pas la propagation des maladies respiratoires [14] [21].

En bref, à l’échelle mondiale, la grippe a presque totalement disparu en 2020 et 2021, ce qui ne peut s’expliquer par les mesures anti-Covid.

Pendant ce temps, une nouvelle maladie appelée « Covid », qui présente des symptômes identiques [1] et un taux de mortalité similaire [29] à celui de la grippe, affectait apparemment toutes les personnes normalement touchées par la grippe.


PARTIE X : PROFIT ET MOTIVATION

38. La pandémie de Covid a fait avancer un programme politique préexistant. Dès le début, la pandémie a servi de prétexte pour faire adopter des réformes des systèmes alimentaires, identitaires et monétaires, ainsi que pour faire avancer des programmes « verts » qui centralisent le pouvoir mondial et national.

Dès mars 2020, l’ancien Premier ministre britannique Gordon Brown appelait à un « gouvernement mondial » pour lutter contre la pandémie.

La pandémie a également entraîné un renforcement des pouvoirs de censure et de surveillance, tant en Chine qu’en Occident.

En septembre 2018, le rôle important de l’« identité numérique » dans le futur « contrat social » a été l’un des principaux sujets de discussion à Davos. En décembre 2020, The Economist a rapporté que « La Covid-19 stimule les plans nationaux visant à donner aux citoyens des identités numériques ».

En janvier 2019, il a été signalé que la Banque des règlements internationaux et 70 banques centrales du monde entier participaient à des recherches sur les monnaies numériques des banques centrales (CBDC). En juillet 2021, FinTech times a rapporté que la pandémie avait « accéléré le développement des monnaies numériques des banques centrales de cinq ans ».

Tout au long de l’année 2019, des articles et des documents ont appelé à une « transformation radicale » du système alimentaire mondial. En 2021, Deloitte indiquait que la « Covid » avait « accéléré la transformation de l’alimentation ».

Le Grantham Institute de l’Imperial College de Londres a publié un article affirmant que la Covid avait permis à des experts de « mettre un pied dans la porte » afin qu’ils puissent « plaider vigoureusement en faveur d’une reprise à “émissions nettes nulles” et d’un avenir résilient. »

Enfin, la pandémie a ouvert la voie à de profonds changements mondialistes dans les politiques de santé publique, sous la forme d’une proposition de « traité sur les pandémies ».


39. Les entreprises ont réalisé des profits colossaux grâce à la Covid. Les entreprises de nombreux secteurs ont réalisé d’énormes bénéfices grâce à la « pandémie », la plupart d’entre eux provenant de l’augmentation des dépenses publiques, qui ont permis de mettre l’argent public entre les mains du secteur privé.

Le marché mondial des masques de protection, par exemple, a augmenté de plus de 15 000 %, passant de 1,4 milliard de dollars en 2019 à 225 milliards de dollars en 2020. Et il ne s’agit que des masques de protection, pas des autres formes d’équipements de protection individuelle (EPI) qui ont tous connu une augmentation massive des dépenses personnelles et gouvernementales.

Rien qu’au Royaume-Uni, le coût du simple stockage de ces EPI a atteint plus d’un milliard de livres, tandis que 4 milliards de livres d’EPI inutilisés ont été gaspillés et que les autres radiations ont totalisé près de 10 milliards de livres.

Les gants en caoutchouc et les désinfectants pour les mains ont également connu une forte hausse de leur marché grâce aux dépenses publiques. Une grande partie de cet argent a été complètement gaspillée, les produits étant périmés.

Amazon a vu ses bénéfices doubler grâce à la Covid, et les plateformes de streaming ont gagné des millions de nouveaux utilisateurs grâce aux confinements.

C’est toutefois dans le secteur des vaccins que les bénéfices les plus importants ont été enregistrés. Depuis le déploiement des vaccins, les entreprises pharmaceutiques ont gagné environ 1 000 dollars par seconde.

Fin 2019, les revenus de Pfizer n’avaient jamais été aussi bas depuis 2010 ; deux ans plus tard, ils avaient augmenté de 150 % et n’avaient jamais été aussi élevés.

Dans les mois qui ont suivi le lancement du vaccin, 9 fabricants de vaccins sont devenus milliardaires. En mai 2022, ce nombre était passé à 40.


40. L’élite a fait fortune pendant la pandémie. Les entreprises pharmaceutiques ne sont pas les seules à avoir profité de Covid. Depuis le début du confinement, les personnes les plus riches se sont considérablement enrichies.

En octobre 2020, Business Insider a rapporté que « les milliardaires ont vu leur valeur nette augmenter d’un demi-milliard de dollars » au cours des six premiers mois de la pandémie.

En avril 2021, Forbes rapportait que 40 nouveaux milliardaires avaient été créés pour « lutter contre le coronavirus ».

Ce processus n’a fait que s’accélérer.

En mai 2022, le nombre de nouveaux milliardaires créés par la pandémie s’élevait à 543. Soit environ un toutes les 30 heures au cours des deux dernières années. Parmi eux, 40 nouveaux milliardaires dans le seul secteur pharmaceutique.

Parallèlement, la part de la richesse mondiale détenue par les milliardaires est passée de 10 % en 2019 à 14 % en 2022, soit une augmentation plus importante que les 16 années précédentes réunies.

Au total, les personnes les plus riches du monde ont augmenté leur richesse collective de plus de cinq mille milliards de dollars au cours des trois dernières années, et ce, grâce à la Covid.


CONCLUSION

J’ai tenu à dire, dans l’introduction de ce document, qu’il s’agissait d’une mise à jour non seulement en matière de faits, mais aussi en matière d’approche. Je vais maintenant clarifier les choses.

Lorsque la première édition de cette liste a été publiée, la « Covid » était encore un exercice de tir réel. Une guerre de propagande tentaculaire, où les faits étaient des munitions et où les lignes d’approvisionnement étaient tendues. Cette liste se devait d’être ce qu’elle était : courte, directe et facilement accessible.

Aujourd’hui, le front de la pandémie est plus calme. Une ruine boueuse d’un champ de bataille, parsemée de cadavres et de bannières molles sur des lances brisées. Abandonnés aux charognards, les deux camps se préparent à la prochaine grande offensive.

La « Covid » est doucement réduite au profit des discussions sur l’Ukraine, le changement climatique et même « la prochaine pandémie ».

Notre monde n’est pas revenu à la « normale » — et ne le fera probablement jamais — mais tandis que la transformation reste en place, l’agent de ce changement initial est lentement repoussé par de nouveaux fronts dans la guerre de la Grande Réinitialisation pour le contrôle du monde.

Nous disposons désormais d’un espace — et d’un temps — pour passer en revue l’ensemble du récit de la « Covid » et raconter la véritable histoire de la « pandémie » qui a mis le monde sens dessus dessous, afin de mieux vider ses poches.

L’édition précédente de cette liste a été volontairement laissée libre de toute interprétation de la part de l’auteur. Les faits devaient parler d’eux-mêmes, et c’est ce qu’ils ont fait. C’est d’ailleurs toujours le cas.

Néanmoins, en guise de conclusion pour le jury mondial, je voudrais résumer l’histoire que ces faits nous racontent.

  • — En 2017, 18 et 19, divers organismes internationaux et mondiaux ont mis en place des plans — ou discuté de la possibilité de mettre en place des campagnes de vaccination à l’échelle mondiale, y compris de la manière dont elles pourraient être utilisées pour faciliter l’introduction de passeports numériques liés aux dossiers médicaux.
  • — Fin 2019, un exercice international a été organisé autour d’un hypothétique coronavirus zoonotique provoquant une pandémie mondiale et planifiant une réponse possible.
  • — Deux mois plus tard, un coronavirus zoonotique prétendument réel a commencé à infecter des personnes. Cette « nouvelle maladie » présentait des symptômes typiques de la grippe et un taux de mortalité très similaire à celui des maladies saisonnières de type grippal. Par coïncidence, au cours de cette période, le nombre de cas de grippe aurait chuté à presque zéro.
  • — Les tests de dépistage de ce « nouveau virus » ont été réalisés à la hâte, sans passer par le processus habituel d’évaluation par les pairs.
  • — Des tests de masse sur des personnes asymptomatiques ont été utilisés pour créer des « cas de Covid », tandis que des tests de masse sur des personnes déjà mourantes à l’hôpital ont été utilisés pour créer des « décès de Covid ».
  • — En guise de « réponse » à la « pandémie », des confinements ont été instaurés, paralysant l’économie et provoquant une augmentation massive de la pauvreté, de la malnutrition, de la toxicomanie et de l’alcoolisme, ainsi que des problèmes de santé mentale. Tout en veillant à ce que les personnes souffrant de réels problèmes de santé évitent les hôpitaux par peur.
  • — Pendant ce temps, dans les hôpitaux, les « directives Covid » ont entraîné un abus meurtrier des ordonnances de non-réanimation et de la ventilation mécanique.
  • — Ces mesures ont tué des gens, contribuant à l’augmentation de la surmortalité qui a pu être officiellement imputée à la « Covid », mais qui n’a pas diminué malgré la réduction du nombre de « cas de Covid ».
  • — Les masques et la distanciation sociale ont été imposés au public — en dépit de leurs propres recherches montrant qu’ils sont inefficaces — afin d’accroître la peur du public et ont agi comme la seule preuve visuelle qu’il se passait quelque chose.
  • — C’est sous le couvert de cette fausse « pandémie » qu’a eu lieu le plus grand échange d’argent public entre des mains privées de tous les temps.
  • — La « pandémie » a également permis une centralisation massive du pouvoir, tant au niveau national que mondial. Les dirigeants de presque toutes les nations de la planète se sont emparés de plus de pouvoir en jouant le jeu, et ceux qui ont refusé ont été tués.
  • — Enfin, et surtout, la « Covid » a permis une accélération rapide d’un programme politique qui aspire à transformer le monde en un spectacle d’horreur dystopique. La surveillance numérique, les procédures médicales obligatoires, les couvre-feux, les brutalités policières et la censure ont été normalisés sous le couvert de la « protection de la santé publique ». Des programmes tels que la monnaie numérique, la « réforme alimentaire » et les politiques de « green new deal » ont vu leur vitesse de développement augmenter de manière significative.

Tels sont les faits essentiels de la pandémie, et ils ne racontent qu’une seule histoire. La « Covid » était un projet. Une fausse maladie, créée pour vendre un programme bien réel. C’est la seule explication rationnelle de toutes les preuves dont nous disposons.

L’« histoire officielle » ne tient pas la route. Si la Covid était une vraie maladie et une vraie pandémie, il n’aurait pas été nécessaire de recourir à des pratiques de test corrompues et à des tours de passe-passe statistiques pour qu’il se propage. Si elle était réellement mortelle, il ne serait pas nécessaire de recourir à des manipulations statistiques pour créer des « décès dus à la Covid ». Si les pouvoirs en place étaient honnêtes, ils n’auraient jamais mis en place des mesures de « santé publique » qui, selon leurs propres recherches, ne fonctionnent pas.

L’idée qu’il s’agit d’une boule de neige d’erreurs — une tempête parfaite de panique publique, d’incompétence gouvernementale et de cupidité des entreprises — ne constitue pas non plus une explication complète, car elle ne tient pas compte des nombreux actes de malhonnêteté prolifique et délibérée, et nous demande à nouveau de croire que l’événement 201 n’était qu’une simple coïncidence.

La théorie de la « fuite de laboratoire » ou de l’« arme biologique » — selon laquelle la « Covid » est une véritable maladie diffusée accidentellement ou délibérément au public — ne correspond pas non plus à la réalité, que ce soit sur le plan factuel ou logique. D’un point de vue factuel, comme pour la version officielle, un vrai virus n’aurait pas besoin de fausses statistiques pour se propager. D’un point de vue logique, il y a le problème du contrôle.

Comme le dit Mike Yeadon dans son récent article [« Why I don’t believe there ever was a Covid virus » (Pourquoi je ne crois pas qu’il y ait jamais eu un virus Covid]) :

« L’effet d’un nouvel agent pathogène mis en circulation ne peut être prédit avec précision. Il pourrait s’éteindre rapidement. Ou bien il pourrait s’avérer beaucoup plus mortel que prévu et détruire des civilisations avancées. »

Non, la seule histoire qui tienne la route, c’est que la « Covid » était une opération psychologique à l’échelle mondiale. La plus grande et la plus vaste campagne de propagande de tous les temps, dans le but unique de briser le monde et de le refaire à l’image des mondialistes.

C’est d’ailleurs ce qu’ils n’ont cessé de nous répéter. Une « grande remise à zéro » pour « mieux reconstruire » vers une « nouvelle normalité ». Ils n’ont pas caché leur intention :

La « Covid » était — et reste — un moyen trompeur pour atteindre une fin malveillante. Nous devons le voir, le comprendre et nous en souvenir. En effet, si nous n’analysons pas et ne comprenons pas correctement l’ampleur et la méthodologie de cette propagande, nous serons vulnérables aux mêmes méthodes la prochaine fois qu’elles seront déployées.

Si les moyens peuvent être retirés, la fin restera toujours la même.

Leur nouveau monde existe aujourd’hui, tout autour de nous. Mais il n’est qu’à moitié construit, et le but distinct et final de tout ce qu’ils feront et diront à l’avenir sera de travailler à son achèvement.

C’est le bon côté de la « Covid », si vous voulez en trouver un. Faute d’une meilleure analogie, le masque a glissé. Nous avons entrevu le mur de briques de Zappa. Nous savons maintenant ce qu’ils veulent vraiment.

Ils veulent contrôler tout et tout le monde. Ils veulent nous réduire – réduire notre intelligence, nos moyens, notre santé et nos droits. Ils veulent accélérer notre lente descente vers la tyrannie et construire un camp de travail mondial entouré de maux imaginaires qui hypnotisent les détenus en leur faisant croire que les barbelés sont là pour leur bien… parce qu’ils empêchent les monstres d’entrer.

En clair, ils veulent finir ce que la « Covid » a commencé. Mais tant que nous les verrons et les comprendrons, ils ne pourront jamais le faire.






Propagande Covid délirante pour des masques inefficaces

Par Dr Gérard Delépine

Depuis quelques jours le gouvernement et les médias tentent de raviver la peur à l’aide d’une épidémie de tests et de réimposer le port de masques alors que l’expérience des 30 mois d’épidémie a prouvé :

  • 1°) Que chez les asymptomatiques les tests ne servent à rien ;
  • 2°) Que le port généralisé du masque n’empêche pas les contaminations.

Rappelons que l’évolution d’une épidémie se mesure seulement aux nombres de malades et de morts et que les masques sont incapables de limiter la progression des épidémies virales.

Il n’y a plus d’épidémie Covid menaçante en France

Pour surveiller objectivement l’évolution d’une épidémie, il faut se fier uniquement au nombre de malades (personnes qui souffrent de symptômes) et au nombre de décès quotidiens occasionnés par la maladie.

Dans le monde, l’épidémie covid est en voie d’extinction : le premier décembre 2022 d’après l’OMS moins de 800 décès lui ont été attribués (0,4 % de la mortalité toutes causes confondues) :

Le ministre tente d’effrayer la population en agitant l’augmentation des cas, personnes asymptomatiques qui ont eu le malheur de faire un test PCR revenu positif. Mais un test positif ne signifie pas que l’on est malade du covid, ni porteur de virus, ni contaminant12.

Chez les asymptomatiques, les tests PCR réalisés avec plus de 30 séquences d’amplification sont des faux positifs dans 97 % des cas34.

Le réseau sentinelle5 estime l’incidence des malades covid à 57 cas pour 100 000 très loin des seuils d’alerte6 alors qu’elle dépasse les 300/100000 pour la grippe actuellement en poussée épidémique saisonnière.

De même, la mortalité covid pourtant largement surestimée diminue depuis plus de 6 mois et atteint à peine le quinzième de ce qu’elle était en mars 2020 :

Le 2 12 2022 le directeur de l’OMS a déclaré7 « L’OMS estime qu’au moins 90 % de la population mondiale présente actuellement une certaine forme d’immunité face au virus SARS-CoV-2 ». 

Ne craignez pas l’épidémie de tests PCR faux positifs que nos gouvernants et les médias agitent ! En France comme partout dans le monde la maladie ne tue presque plus.

Le masque est incapable d’empêcher les contaminations virales8 9

Le Dr Colin Axon, membre du conseil scientifique britannique (Scientific Advisory Group for Emergencies ou SAGE)10 a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pas grand-chose pour freiner la propagation du covid, rappelant que la taille du virus COVID-19 est 5 000 fois plus petite que les trous des masques et précisant :

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers ».11

Le port généralisé du masque ne protège donc pas de la contamination virale. L’analyse des 3365 articles de la littérature internationale référencés sur PubMed le 1/12/2022 sous la dénomination « facial mask for Covid » confirme ce fait : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque en population générale protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui et beaucoup démontrent le contraire12.

L’exemple du Brigham and Women’s Hospital de Boston qui a souffert d’une forte poussée de covid-1913, malgré l’emploi systématique des équipements de protection dont les masques, est révélateur.

L’exemple du Meir Medical Center 14 est encore plus frappant, car, outre le port de masques, 92 % des contaminés avaient reçu deux doses de Pfizer. De même le port du masque chez 30 074 athlètes du Visconsin15 s’est révélé inefficace.

Dans le comté texan de Brexar16 :

« Il n’y a pas eu de réduction de la mortalité quotidienne par population, des lits d’hôpital, des lits de soins intensifs ou de l’occupation des ventilateurs des patients positifs au COVID-19 attribuable à la mise en œuvre d’une obligation de port de masques ».

L’étude de Zacharias Fögen, comparant au Kansas (États-Unis) les 17 districts qui imposaient le port du masque aux non masqués (88) entre le 1er août et le 15 octobre 2020, conclut :

« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50 % par comparaison avec les comtés qui n’ont pas adopté cette mesure. »

et envisage le mécanisme par lequel le port du masque agit. 17

Initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité, conclusion tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté18 19 20 21 22.

La révision de ses recommandations s’est appuyée sur une revue de simples études observationnelles qui concluaient au conditionnel : « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». En recommandant le masque, l’OMS reconnaissait d’ailleurs :

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée de masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité ».

Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour éviter de s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévenait :

« Le masque peut créer un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais, même dans ces conditions particulières à haut risque, il n’existe pas d’étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination23.

La seule étude prospective randomisée évaluant l’utilité du port du masque généralisé contre le covid, Danmasq1924 25, pourtant réalisée par des partisans du port du masque, ne retrouve aucune baisse significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas : le masque ne protège pas celui qui le porte.

Le Dr Fauci, interrogé sous serment le 23 novembre 2020, n’a pu présenter aucune étude qui plaiderait pour l’utilité des masques26. Le procureur général du Missouri, Éric Schmitt, présent lors de la déposition dans le Maryland, a confirmé sur les médias sociaux que le Dr Fauci « ne pouvait pas citer une seule étude » pour étayer son affirmation selon laquelle les masques étaient efficaces contre le Covid-19.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, et sur l’avis d’experts « qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique concrète.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques, habituées au masque, seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens.

Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations Omicron par million d’habitants en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque interdit seulement lors des manifestations27) montre que le masquage généralisé de la population asiatique n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations est deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

Comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire honnêtement en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune démonstration scientifique, et que de nombreux faits avérés, militent pour son inefficacité ?

En réalité le masque, parfaitement incapable de limiter les contaminations covid, ne constitue qu’une muselière symbolique des pouvoirs désireux de contrôler leur population28.

Si les obligations de port du masque ont été si largement imposées par les politiciens, c’est que le masque représente une forme visible du théâtre d’hygiène, qu’il véhicule un sentiment intuitif de sécurité et transfère la responsabilité du contrôle de la pandémie sur la population.

La surpopulation des unités de soins intensifs peut être ainsi imputée au mauvais comportement des « anti-masques », plutôt qu’à l’allocation insuffisante et mal ciblée des ressources par les gouvernements et les bureaucrates des hôpitaux. Lorsque les cas et les décès augmentent, c’est la faute des citoyens, pas des dirigeants.

Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et doit être respecté, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux et particulièrement nocifs chez les enfants innocents du covid.

Le port généralisé du masque est source de nombreuses complications29

Au 5 décembre 2022, la base de données PubMed recense 1118 articles décrivant des complications du port de masques faciaux. Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

Une rapide revue des articles publiés30 31 32 33 34 35 met en évidence les cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente.

Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI. La symptomatologie varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %).

Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques. Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène, la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et coll.36 ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans. Kisielinski K et ses coauteurs37 montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Les complications physiologiques, psychologiques et sociales associées au port du masque sont nombreuses. La perception des émotions est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère. La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique.

Les enfants en sont particulièrement victimes38 39.

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage de la reconnaissance des émotions et de la parole est particulièrement menacé. Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui. En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ?

Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent. Les orthophonistes sont débordés40.

La brimade inutile du masque a suscité le mouvement « Saturnay burning » (« brûlez les masques ») qui a enflammé l’Idaho41.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge où ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.

Les troubles psychologiques et psychiatriques sont favorisés par le port du masque, facteur de stress et de morosité..

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque.

Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux lits de psychiatrie générale à l’hôpital (atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS) et fuite des psychiatres de l’hôpital public (30 % des postes de titulaires sont vacants).

Les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes. Les enfants ont été particulièrement touchés et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province. D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.

Les masques usagés constituent aussi un fléau pour la planète et les animaux42 43

Les masques à usage unique sont jetés sur les trottoirs, dans les rivières et sur les plages de tous les pays où ils ont été rendus obligatoires dans les espaces publics. Fabriqués à base de polyester et polypropylène, ils peuvent mettre plusieurs centaines d’années avant de se décomposer et menacent l’environnement et les animaux.

Avoir imposé une telle mesure si totalement inutile, si inconfortable, si toxique en particulier pour les jeunes est une véritable barbarie. Et s’être inspiré pour notre stratégie Covid de celle de la Chine est malheureusement révélateur des valeurs démocratiques de nos dirigeants.

Vive nos libertés. À bas les masques !





La collusion de l’État, des médias et de BigTech a un nom. Serait-ce “fascisme” ?

[Source : h16free.com]

[NDLR À propos de la question soulevée dans le titre, voir aussi :
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !]

Si l’on regarde la presse de grand chemin, la semaine écoulée fut parcourue des mêmes atermoiements énergétiques que d’habitude, des sempiternelles pleurnicheries politiques et sociales que la France connaît depuis trop longtemps et qui l’engluent dans un surplace maintenant problématique. En revanche, du point de vue des réseaux sociaux, la même semaine fut au contraire riche d’enseignements…

Si l’on suit un peu l’actualité balayée par un Twitter décidément très différent de ce qu’il fut il y a encore un mois, difficile de voir un lien avec les niaiseries assommantes et les sujets volontairement distractifs que la presse de grand chemin continue de traiter. L’écart entre le réseau social de Musk et la presse étatique subventionnée est très troublant.

Comment ne pas voir la gourmandise presque obscène avec laquelle cette presse grand public s’est jetée sur les discours délirants d’une starlette hollywoodienne dont les saillies antisémites laissent perplexe, et l’absence totale, résolue et franchement inquiétante de tout traitement des révélations contenues dans les e-mails du Dr Fauci ?

Pour rappel, Anthony Fauci est le directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses aux États-Unis et fut le responsable de la réponse gouvernementale américaine à la récente pandémie, de février 2020 jusqu’à décembre 2022, mois où il prend (commodément) sa retraite. Or, le Fauci en question accumule ce qui ressemble à des mensonges sur sa façon de gérer la crise en question, les protocoles en place, et surtout l’origine du virus. Les e-mails qui viennent d’être publiés montrent maintenant sans l’ombre d’un doute que le virus sort bien du laboratoire de Wuhan et qu’il est le résultat de manipulations génétiques (gains de fonction) en partie financés par l’institut de Fauci lui-même.

[NDLR Concernant l’hypothèse du virus manipulé en laboratoire, voir :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !]

Dans ce cadre, les déclarations lunaires de Kanye West tombent à pic. Elles agitent la sphère politique, jettent de l’huile sur le feu de tensions raciales toujours présentes aux US, et font rapidement oublier le désastre de l’administration de la Santé au sujet du coronavirus. Bonus additionnel : plus personne ne semble vouloir parler de l’affaire Balenciaga, éventée sur Twitter encore, qui révélait pourtant l’appétit étrange de la marque pour la pédophilie, maintenant présenté comme une malencontreuse erreur de casting photographique. Et même si, d’habitude, absolument rien dans ce genre de photos publicitaires haut de gamme n’est laissé au hasard, même si l’accord final pour la publication des clichés n’est jamais le fruit d’une personne unique, tout le monde dans la presse de grand chemin semble vouloir croire à des choix infortunés.

Pratique.

On devra s’interroger sur le fait que ces révélations majeures (e-mails de Fauci, pédophilie dans une grande marque de mode) ont été complètement minimisée par toute la presse occidentale. On pourra s’interroger aussi, encore plus fermement, sur l’absence de tout traitement des révélations contenues dans les “Twitter Files” qu’Elon Musk a fait paraître vendredi dernier.

Ces “Twitter Files” – dont on pourra apprécier une partie du contenu en français ici – établissent sans l’ombre d’un doute que la plateforme maintenant possession d’Elon Musk, a utilisé tout son poids pour influencer la campagne électorale et l’élection présidentielle américaine en 2020. Pire : recevant des demandes de certains membres (démocrates) du Congrès et du Parti Démocrate, et ayant été démarchée par le FBI quelques semaines auparavant pour s’assurer qu’aucune “désinformation” ne serait diffusée, la plateforme s’est empressée de censurer et faire disparaître certaines informations compromettantes pour la campagne de Joe Biden, à commencer par ce qui concernait l’ordinateur portable de son fils Hunter dont le contenu, relaté par le New-York Post, fut rapidement (mais faussement) attribué à de la propagande russe et donc banni de toute discussion sur Twitter puis l’ensemble des réseaux sociaux occidentaux.

Depuis, on sait que l’ordinateur appartenait bien à Hunter, qu’il n’y avait pas plus de désinformation russe que de beurre en broche, et les preuves s’accumulent à présent montrant que le fils de Joe Biden a largement profité de la position de son père sous l’administration Obama pour des gains personnels, du trafic et du recel de trafic d’influence, des détournements de fonds et plus encore comme en témoigne l’impressionnant dossier Marco Polo dont ces lignes avaient déjà parlé précédemment.

Comme il se doit, la presse grand public n’évoque quasiment pas le sujet : tout ce qui pourrait nuire à Biden ne mérite même pas un entrefilet et surtout si cela revient à montrer sa totale collusion avec l’appareil d’État. La façon dont elle réagit actuellement en dit long sur ce qui la préoccupe ; les célébrités, les politiciens et les journalistes qui s’agitent autour de la liberté d’expression revenue sur Twitter en disent beaucoup plus long sur eux-mêmes que sur Twitter. Aucun d’entre eux n’est plus dans le camp de la raison, de la paix et de la liberté d’expression, mais tous se situent bien plus clairement dans celui de l’émotion brute, du conflit et de la censure.

La réaction récente de l’Union Européenne vis-à-vis de Musk et de Twitter illustre fort bien ce dernier point : en réclamant un retour d’une modération ferme établie selon les règles arbitraires de la Commission, les autorités européennes montrent assez bien où elles se situent dans le théâtre actuel et ce n’est vraiment pas du bon côté de l’Histoire.

À présent qu’est clairement établi, sans le moindre doute, que Twitter, tout en prétendant jouer de neutralité, faisait en réalité de la censure de contenu sur ordre d’un parti politique, on ne peut qu’imaginer ce qui se passait, au même moment, sur Facebook ou d’autres réseaux, et au sein d’autres entreprises comme Google ou Apple. Il sera impossible, à présent, de croire qu’il n’y avait pas de collusion globale de ces BigTech avec l’establishment de gauche américaine, et plus largement occidentale tant on retrouve les mêmes problématiques des deux côtés de l’Atlantique.

Avec ces Twitter Files, il est maintenant prouvé que l’État et les BigTech ont clairement agi de concert, se sont coordonnés pour étouffer tout discours différent de l’officiel, pour écraser et effacer toute opinion dissidente dans plusieurs grands sujets politiques, depuis l’élection 2020 aux États-Unis jusqu’à l’origine du virus du covid, en passant par l’efficacité et l’innocuité de plus en plus évasives des vaccins.

[NDLR Concernant l’hypothèse d’une nouvelle maladie baptisée Covid-19 soit due à un supposé nouveau « virus » (lui-même trafiqué ou non), voir aussi :
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Coronavirus — La stratégie utilisée : celle du cheval de Troie
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G]

On pourra se demander s’il existe un mot pour une forme de gouvernement dans laquelle l’État fait plier les intérêts des entreprises privées vers les siens. Ah mais, sapristi, oui, bien sûr ! Il s’agit de fascisme !

« FASCISME
Vous pensez vraiment que ce sera si évident ? »



Censure et répression des scientifiques et médecins hétérodoxes durant la crise sanitaire

[Source : qg.media]

Par Laurent Mucchielli

La Covid-19 a donné lieu à de nombreuses controverses. Pour contrer la menace que représentaient les médecins et les scientifiques contestant la position des autorités sanitaires gouvernementales et intergouvernementales, des partisans de l’orthodoxie ont entrepris de les censurer et de les réprimer. Les résultats montrent le rôle central joué par les organisations médiatiques, et en particulier par les entreprises de technologie de l’information. En lieu et place d’une discussion ouverte et équitable, elles ont porté atteinte à la réputation et à la carrière des médecins et des scientifiques dissidents. Et ceci a eu des implications délétères et de grande portée pour la médecine, la science et la santé publique.

Par Yaffa SHIR‑RAZ (University of Haifa, Israël), Ety ELISHA (Max Stern Yezreel Valley College, Israël), Brian MARTIN (University of Wollongong, Australie), Natti RONEL (Bar Ilan University, Israël) et Josh GUETZKOW (Hebrew University of Jerusalem, Israël).

Ce texte constitue la traduction de la plus grande partie de l’article paru dans la revue de sociologie des sciences Minerva le 1er novembre 2022 sous le titre « Censorship and Suppression of Covid‑19 Heterodoxy: Tactics and Counter‑Tactics ». Je remercie les auteurs pour leur accord. J’ai choisi de traduire cet article car, bien que ses matériaux proviennent des pays anglophones, il illustre particulièrement bien ce que nous avons vécu également en France. Tout ce qui est décrit et analysé dans cet article est directement transposable dans l’hexagone et nous serons nombreux parmi les scientifiques et les médecins à nous y reconnaître. Il s’agit de phénomènes qui ont traversé de façon largement comparable l’ensemble du monde occidental et ses zones d’influence (LM).


Par Yaffa Shir-RazEty ElishaBrian MartinNatti Ronel & Josh Guetzkow

Introduction

L’émergence du COVID-19 a donné lieu à de très nombreux différends et désaccords (Liester 2022), notamment sur l’origine du virus SRAS-CoV-2 (van Helden et al. 2021), les mesures restrictives prises par la plupart des gouvernements, telles que la « distanciation sociale », le confinement, la recherche des contacts et l’obligation de porter un masque (Biana et Joaquin 2020), l’utilisation de certains traitements de la maladie et l’exclusion d’autres (Mucchielli 2020), l’innocuité et l’efficacité des vaccins contre le COVID-19, et la mise en œuvre de « pass vaccinaux » dans de nombreux pays (Palmer 2021). Harambam (2020) a qualifié ces conflits de « guerres de la vérité sur le Corona ».

Depuis le début de la pandémie, alors que les gouvernements et les autorités sanitaires ont soutenu que les politiques restrictives de confinement étaient nécessaires pour faire face à la pandémie et prévenir les décès, de nombreux scientifiques et praticiens médicaux ont remis en question l’éthique et la moralité de telles tactiques, y compris des lauréats du prix Nobel et des médecins et universitaires de premier plan (par exemple, AIER 2020 ; Abbasi 2020 ; Bavli et al. 2020 ; Brown 2020 ; Ioannidis 2020a ; Lenzer 2020 ; Levitt 2020). En outre, à partir du début de l’année 2020, un nombre croissant de scientifiques et de médecins ont soutenu que la pandémie, ainsi que les chiffres de morbidité et de mortalité, étaient gonflés et exagérés (Ioannidis 2020 ; Brown 2020) ; que les politiques et les restrictions extrêmes violaient les droits fondamentaux (Biana et Joaquin 2020 ; Stolow et al. 2020) ; et que les gouvernements utilisaient des campagnes de peur fondées sur des hypothèses spéculatives et des modèles prédictifs peu fiables (Brown 2020 ; Dodsworth 2021). Certains universitaires, médecins et avocats ont souligné les biais, la dissimulation et les distorsions d’informations vitales concernant les taux de morbidité et de mortalité du COVID-19 qui ont induit en erreur les décideurs et le public (AAPS 2021 ; Abbasi 2020 ; AIER, 2020 ; Fuellmich 2020 ; King 2020).

Il a été affirmé qu’une grande partie de la discussion autour de la pandémie COVID-19 a été politisée (Bavli et al. 2020), et que la science et les scientifiques ont été bafoués en raison d’intérêts politiques et économiques (Bavli et al. 2020 ; King 2020 ; Mucchielli 2020). Ces critiques se sont multipliées, notamment après le lancement de la campagne de vaccination. Les critiques ont porté sur la rapidité avec laquelle les vaccins à ARNm ont reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA, même pour les enfants ; la qualité des essais cliniques qui ont conduit à l’autorisation des vaccins (y compris les violations des protocoles de recherche et les preuves de fraude) ; le manque de transparence concernant le processus et les données qui ont conduit à l’autorisation ; l’exagérations trompeuse des estimations d’efficacité ; et la minimisation ou l’ignorance des événements indésirables (Doshi 2020, 2021 ; Fraiman et al. 2022 ; Thacker 2021).

Des critiques ont affirmé que le discours scientifique et politique entourant le Covid-19 n’a pas été mené sur un pied d’égalité en raison de la censure et de la suppression des opinions contraires à celles soutenues par les autorités sanitaires et gouvernementales (Cáceres 2022 ; Cadegiani 2022 ; Liester, 2022 ; Mucchielli 2020).  Certains gouvernements et entreprises technologiques, tels que Facebook, Google, Twitter et LinkedIn, ont pris des mesures pour censurer les points de vue contraires, arguant que les opinions remettant en cause les politiques gouvernementales sont de la désinformation dangereuse, et que la censure est donc justifiée pour protéger la santé publique (Martin 2021).

Orthodoxie et hétérodoxie

Décrire un point de vue ou une position sur le Covid-19 comme hétérodoxe implique l’existence d’une position orthodoxe, qui fait ici référence à la position dominante soutenue par la plupart des grandes agences de santé gouvernementales et intergouvernementales. Liester (2022) fournit une liste comparant ce qu’il appelle les points de vue dominants et les points de vue dissidents, qui comprend l’origine du virus (zoonose ou produit de laboratoire ?), les obligations de se masquer (cela empêche-t-il ou pas la propagation ?), le traitement précoce avec des médicaments tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine (inefficace et dangereux ou efficace et sûr ?), l’utilité de l’usage de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine dans le traitement, l’utilité des mesures de confinement et d’autres restrictions (efficace et bénéfique ou bien inefficace et nuisible ?), les vaccins anti-Covid (sûr et efficace ou bien non sûr et dangereux ?), et les obligations et passeports vaccinaux (nécessaire et éthique ou bien nuisible et non éthique ?). S’il est vrai qu’aucune de ces positions dominantes n’a été adoptée par tous les gouvernements du monde au même degré ou dans les moindres détails, il n’en reste pas moins qu’une position dominante ou orthodoxe sur toutes ces questions peut être identifiée pays par pays, avec de fortes similitudes au-delà des frontières nationales.

Il convient de noter que les positions orthodoxes peuvent changer. Par exemple, au milieu du printemps 2020, la discussion sur les potentielles origines de laboratoire du SRAS-CoV-2 était interdite sur certains sites de médias sociaux, comme Twitter et Facebook (Jacobs 2021). Plus récemment, la théorie de la fuite en laboratoire a gagné en légitimité, notamment à la suite d’articles parus dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (Harrison et Sachs 2022), Frontiers in Virology (Ambati 2022) et Vanity Fair (Eban 2022) ainsi que d’une déclaration du directeur général de l’OMS, Ghebreyesus, qui a commenté un rapport intermédiaire du Groupe consultatif scientifique sur les origines des nouveaux agents pathogènes, en déclarant que toutes les hypothèses doivent être prises en compte et en critiquant le rapport pour son évaluation inadéquate de l’hypothèse de la fuite en laboratoire (OMS 2022). Un autre exemple concerne la nécessité du port du masque. Des responsables américains tels que le directeur du National Institute of Allergic and Infectious Diseases (NIAID), Anthony Fauci, ont recommandé de ne pas porter de masque universel en mars 2020, avant de changer de position en avril et de le recommander (Roche 2021).

Les entreprises de technologie de l’information et leurs liens avec le pouvoir politique

Depuis le début de l’année 2020, on assiste à une recrudescence des plaintes pour censure de la part d’individus et de groupes présentant des points de vue et des informations hétérodoxes liés au Covid, avec une recrudescence des plaintes en 2021 suite au déploiement des vaccins anti-Covid. De nombreux cas concernent la censure sur les médias sociaux, notamment la suppression de comptes (« déplatforming ») ou le blocage de la visibilité du contenu d’un utilisateur sans l’en informer (« shadow banning ») (Martin 2021).

Même si des plaintes concernant la censure et la discréditation de scientifiques avaient existé avant la pandémie (Elisha et al. 2021, 2022 ; Martin 2015), une caractéristique de l’ère Covid est le rôle prépondérant joué par les entreprises de technologie de l’information telles que Facebook et Google (Martin 2021). Un exemple frappant a été le déclassement du site Web de la Déclaration de Great Barrington par Google (Myers 2020).  La Déclaration, menée par trois épidémiologistes des universités de Harvard, Stanford et Oxford, a été publiée en octobre 2020 (Kulldorff et al. 2020) et signée par de nombreux scientifiques et médecins de renom, dont le lauréat du prix Nobel Michael Levitt. La Déclaration plaidait contre les confinements pour appeler en retour à se concentrer sur la protection des groupes réellement vulnérables. Toutefois, pour réduire sa visibilité, Google a modifié son algorithme de recherche (Myers 2020). En février 2021, Facebook a supprimé une page mise en place par un groupe de scientifiques impliqués dans la déclaration (Rankovic 2021). En avril 2021, YouTube a supprimé l’enregistrement d’une audience publique officielle sur la pandémie à laquelle participaient le gouverneur de Floride Ron DeSantis et les auteurs de la déclaration de Great Barrington.  L’un d’eux, le professeur Kulldorff, qui est l’un des épidémiologistes et experts en maladies infectieuses les plus cités au monde, a lui-même été censuré par Twitter en mars 2021 (Sarkissian 2021). Bien que son tweet affirmant que tout le monde n’a pas besoin d’un vaccin anti-Covid n’ait pas été retiré, il a été averti et les utilisateurs n’ont pas pu approuver ou retweeter le message (Tucker 2021).

Les cas similaires sont nombreux. Par exemple, le site de recherche et de réseautage ResearchGate a supprimé l’article du physicien Denis Rancourt sur les masques (Rancourt 2020) et, en 2021, il l’a complètement banni (Jones 2021).  En juillet 2021, LinkedIn a suspendu le compte du Dr Robert Malone, un virologue et immunologiste de renommée internationale, une action répétée par Twitter en décembre 2021 (Pandolfo 2021). Ce ne sont là que quelques-uns des nombreux exemples de censure liés à Covid.

Une autre caractéristique nouvelle de la censure liée à Covid est ses cibles. Bon nombre des médecins et des chercheurs censurés par les plus grandes entreprises technologiques mondiales ne sont pas des personnalités marginales. Comme dans les exemples ci-dessus, il s’agit de scientifiques classiques, dont beaucoup sont des experts de premier plan travaillant dans des universités et/ou des hôpitaux prestigieux, et dont certains ont écrit des livres et publié des dizaines, voire des centaines d’articles, et dont les études ont été largement citées. Certains d’entre eux sont rédacteurs de revues scientifiques/médicales et d’autres sont à la tête de services médicaux ou de cliniques.

Cette lourde censure s’est faite avec l’encouragement des gouvernements (Bose 2021 ; O’Neill 2021), qui ont coopéré avec des entreprises technologiques telles que Facebook, Twitter et Google. Par exemple, le 7 mars 2022, le chirurgien général américain Vivek Murthy a demandé aux entreprises technologiques de signaler au gouvernement fédéral les « fausses informations sur la santé » et d’intensifier leurs efforts pour les supprimer (Pavlich 2022). Par la suite, des courriels publiés dans le cadre de procédures judiciaires ont documenté la manière dont les responsables gouvernementaux ont directement coordonné avec des entreprises technologiques comme Twitter et Facebook pour censurer des médecins, des scientifiques et des journalistes (Lungariello et Chamberlain 2022 ; Ramaswamy et Rubenfeld 2022). En décembre 2021, un courriel datant de l’automne 2020 a été publié via une demande de la loi sur la liberté d’information (FOIA). Il révélait un effort en coulisses de Francis Collins, alors directeur des National Institutes of Health (NIH), à son collègue Anthony Fauci, directeur du NIAID, pour discréditer la déclaration de Great Barrington et dénigrer ses auteurs.  Dans ce courriel, M. Collins a déclaré à M. Fauci que « cette proposition des trois épidémiologistes marginaux (…) semble faire l’objet d’une grande attention », ajoutant qu’« il faut publier un démantèlement rapide et dévastateur de ses prémisses. Je ne vois rien de tel en ligne pour l’instant – est-ce en cours ? » (Wall Street Journal 2021).

Des pratiques de censure ont également été utilisées par le ministère israélien de la santé (IMOH) et les médias contre les médecins et les chercheurs dont les opinions vont à l’encontre de l’orthodoxie institutionnelle. L’un de ces exemples est celui du Conseil public israélien d’urgence pour la crise du Covid. Cette organisation, composée de médecins et de scientifiques de premier plan, a été prise pour cible par l’IMOH et les médias à de nombreuses reprises, y compris sous forme d’attaques individuelles contre des membres de l’organisation (Reisfeld 2021).

Le retour de la censure

Cette censure et cette exclusion des opinions des experts dissidents se constatent dans de nombreux autres domaines controversés de la science et de la médecine, comme le sida, les études environnementales, la fluoration et la vaccination (Delborne 2016 ; Elisha et al. 2021, 2022 ; Kuehn 2004 ; Martin 1991, 1999 ; Vernon 2017). En fait, la censure a une longue histoire, et son but est de supprimer la liberté de parole, les publications et d’autres formes d’expression d’idées et de positions perçues comme une menace pour des organismes puissants tels que les gouvernements et les grandes entreprises.

La censure d’opinions et de points de vue opposés ou alternatifs peut être préjudiciable au public (Elisha et al. 2022), en particulier lors de situations de crise et d’incertitude telles que les épidémies, car elle peut conduire à ignorer des points de vue, des informations et des preuves scientifiques importants. En outre, le déni ou la réduction au silence des opinions contraires peut susciter la méfiance du public (Gesser-Edelsburg et ShirRaz 2016 ; Wynne 2001). Des études ont indiqué que dans des situations de risque, en particulier de risque impliquant une incertitude, le public préfère une transparence totale de l’information, y compris des points de vue différents, et que le fait de la fournir ne soulève pas de réactions négatives en termes de comportement, mais contribue plutôt à réduire les sentiments négatifs et à accroître le respect du public pour l’agence d’évaluation des risques (De Vocht et al. 2014 ; Lofstedt 2006 ; Slovic 1994). Comme le prévient Wynne (2001), les tentatives de la science institutionnelle d’exagérer son contrôle intellectuel et d’utiliser les connaissances pour justifier les engagements politiques, tout en ignorant ses limites, ne font qu’aliéner le public et accroître la méfiance.

En outre, la censure peut être contre-productive, se retourner contre elle, car elle peut conduire à accorder une plus grande attention à l’information censurée, susciter de la sympathie pour ceux qui sont censurés et promouvoir la méfiance du public envers les acteurs et les agences engagés dans la censure (Jansen et Martin 2003, 2004, 2015). Ce phénomène est particulièrement évident à l’ère d’internet. Si les entreprises de technologies de l’information telles que Google et Facebook jouent un rôle de premier plan dans cette censure (Martin 2021), il s’agit pour elles d’un sérieux défi à relever pour y parvenir complètement. La visibilité des voix discordantes dans les médias et dans les résultats de recherche sur Internet peut être réduite, mais il existe trop d’options de communication alternatives pour empêcher les dissidents de communiquer leurs positions (Cialdini 2016). Par conséquent, les tentatives de faire taire et de censurer les critiques peuvent parfois se retourner contre leurs auteurs.

Compte tenu de l’ampleur de la censure signalée pendant l’ère du Covid-19, ainsi que de l’implication importante des entreprises technologiques, d’une part, et des gouvernements, d’autre part, il est important d’étudier ce phénomène. La présente étude a pour but d’explorer les perceptions subjectives de médecins et de scientifiques reconnus et compétents qui ont été victimes de censure et/ou de suppression après avoir exprimé des positions non orthodoxes concernant la gestion de la pandémie, et la façon dont ils ont réagi. Par le biais d’entretiens, nous examinons les tactiques de censure utilisées par l’establishment médical et les médias (grand public et sociaux), ainsi que les contre-tactiques employées par leurs cibles. Il s’agit donc d’une étude qualitative (Aspers 2004), qui vise à identifier les perceptions internes du point de vue de ceux qui ont vécu le phénomène en question.

Participants

Les participants à l’étude sont 13 médecins et scientifiques reconnus (12 hommes et 1 femme), originaires de différents pays du monde (Australie, Canada, République tchèque, Allemagne, Israël, Royaume-Uni et États-Unis). Parmi eux, 11 ont une formation médicale dans divers domaines (par exemple, épidémiologie, radiologie, oncologie, cardiologie, pédiatrie, gynécologie, gestion des urgences) et deux sont des chercheurs scientifiques d’autres disciplines (gestion des risques et psychologie). Tous les participants sont titulaires d’un diplôme de médecine ou d’un doctorat, et quatre sont titulaires des deux. La plupart d’entre eux sont bien connus dans leur domaine, avec une expérience de recherche avérée qui comprend de nombreuses publications universitaires.

Nous avons utilisé une méthode d’échantillonnage volontaire, c’est-à-dire un échantillonnage non probabiliste selon lequel une sélection délibérée est effectuée parmi les personnes susceptibles de nous apprendre quelque chose sur le phénomène étudié (Creswell 2012). Afin de préserver l’anonymat des répondants, les détails qui pourraient conduire à leur identification sont omis.

Outil et procédure de recherche

L’étude est basée sur des entretiens approfondis utilisant un guide d’entretien semi-directif. Les questions portaient sur la position des répondants à l’égard du Covid, les événements qu’ils ont vécus en raison de leur position, les implications de ces événements sur leur vie professionnelle et personnelle, et leurs réponses à ces événements.

Le recrutement s’est fait de plusieurs manières. Tout d’abord, grâce à une recherche sur Google, nous avons trouvé les coordonnées de médecins et de chercheurs connus pour leurs positions critiques à l’égard des mesures et des politiques de lutte contre la pandémie. Ensuite, nous avons utilisé la méthode de la « boule de neige » pour atteindre d’autres répondants. Le premier contact avec les répondants s’est fait par e-mail, dans lequel nous avons expliqué l’objectif de l’étude et demandé leur consentement pour être interviewés de manière anonyme. Les entretiens ont été menés par Skype, Zoom ou téléphone, et ont duré environ une heure et demie en moyenne. Chaque personne interrogée a été invitée à signer un formulaire de consentement éclairé. Les entretiens ont été enregistrés et transcrits.

L’analyse et le codage des données ont été basés sur l’identification des questions clés qui ont émergé des entretiens, tout en les classant et en les regroupant dans des catégories significatives. Nous avons assuré la fiabilité et la validité de l’étude en appliquant différentes méthodes. L’analyse des données a été discutée par chacun d’entre nous en tant que groupe de pairs experts, et différentes sources de données ont servi à trianguler les données (par exemple, les documents et la correspondance qui nous ont été fournis par les personnes interrogées). Les citations dans le texte sont fournies à titre d’illustration (Creswell 2012).

Réduire au silence la dissidence : tactiques de censure et d’invisibilisation

Les tactiques de censure et de discréditation décrites par nos répondants comprennent l’exclusion, l’étiquetage désobligeant, les commentaires hostiles et les déclarations menaçantes par les médias, tant grand public que sociaux ; le licenciement par les employeurs des répondants ; les enquêtes officielles ; la révocation des licences médicales ; les poursuites judiciaires ; et la rétractation des articles scientifiques après publication.

Exclusion

Les personnes interrogées ont rapporté comment, à un stade très précoce de l’épidémie, alors qu’elles commençaient tout juste à exprimer des critiques ou leur position différente, elles ont été surprises de découvrir que les grands médias, qui les avaient jusqu’alors considérées comme des personnes souhaitables à interviewer, ont cessé de les interviewer et d’accepter leurs articles d’opinion.

« Ni X ni Y [deux journaux centraux dans le pays de la personne interrogée] n’ont voulu publier mes articles.  Sans véritable explication.  Ils ont simplement cessé de recevoir des articles. C’était assez flagrant, ils ont cessé d’accepter des articles exprimant une opinion différente de celle du ministère de la santé (MOH). Le nombre de journalistes à qui l’on peut vraiment parler, qui sont prêts à écouter une autre opinion, à publier, a été fortement réduit, et la plupart des journalistes de santé d’aujourd’hui sont très partiaux envers le MOH » (#10).

Dénigrement

Les personnes interrogées ont indiqué que l’exclusion n’était que la première étape. Peu de temps après, elles ont commencé à faire l’objet de diffamation de la part des médias, et à être dénigrées en tant qu’« anti-vax », « négateurs du Covid », « diffuseurs de dis/mésinformation » et/ou « théoriciens du complot » :

« Après la publication de ce rapport (…), j’étais à la Une du Sunday Times. On disait que X [le nom du répondant], professeur à A [l’institution dans laquelle travaille ce répondant], est co-auteur du rapport anti-vax (…). On me disait que j’étais anti-vaccin » (#9). « J’ai été vilipendé (…), on m’a traité de charlatan, d’anti-vax et de négationniste du Covid, de théoricien de la conspiration » (#13).

Recruter des « tierces parties » pour aider à la discréditation

Selon nos répondants, l’une des principales tactiques utilisées par les médias pour les discréditer consiste à faire appel à des « sources tierces » apparemment indépendantes, telles que d’autres médecins, pour les affaiblir, par exemple en écrivant des articles diffamatoires :

« J’ai été choqué par ce qui est sorti le lendemain dans le Wall Street Journal (…). Nous avions donc trois des médecins les plus expérimentés avec des centaines et des centaines de publications et une crédibilité scientifique à notre actif et un grand média a permis à un jeune médecin de publier un article diffamatoire alors qu’il n’avait aucun statut académique ou antécédent » (#6).

Une autre source « tierce partie » utilisée par les médias, selon nos répondants, était les organisations de « vérification des faits » (fact-checking), une pratique qui vise ostensiblement à vérifier les informations publiées afin de promouvoir la véracité des reportages. Cependant, certains répondants ont allégué que ces groupes de « vérificateurs des faits » étaient recrutés et gérés par des entreprises ou d’autres parties prenantes afin de les discréditer et d’essayer de discréditer les informations qu’ils présentent :

« les vérificateurs de faits sont une source de désinformation, donc bien qu’ils puissent examiner quelque chose et dire ‘le Dr X a dit quelque chose’, ils font une contre-attaque. Les contre-affirmations ne sont jamais citées dans les données (…) elles remontent toutes aux fabricants de vaccins ou aux parties prenantes des vaccins » (#6). « Les vérificateurs de faits (…) ont essayé de discréditer S, mais aussi, parce que j’étais co-auteur, ils s’en sont pris à moi » (#4).

Certains répondants ont déclaré que les médias les ont persécutés au point de noircir leur nom sur leur lieu de travail, ce qui a entraîné leur licenciement, ou qu’ils ont été contraints de démissionner :

« J’ai perdu mon emploi, je travaillais depuis 20 ans à X [nom de l’institution]. Et donc, les médias ont commencé à venir à X, il y a eu un effort concerté pour ruiner ma réputation, même si, c’est incroyable, ils avaient le taux de mortalité le plus bas du monde en gros, et le médecin qui leur a apporté ça, est vilipendé et calomnié. Donc, je suis parti de mon propre chef… Ma réputation a été calomniée. Je veux témoigner sur le niveau de traitement auquel je ne m’attendais pas et ces abus » (#1).

Censure en ligne

Certains répondants ont déclaré avoir été censurés sur les réseaux de médias sociaux (par exemple, Facebook, Twitter, TikTok, YouTube, Google, LinkedIn), et ont dit que certains de leurs posts, tweets, vidéos ou même comptes ont été retirés par les réseaux.

« Mes vidéos YouTube étaient retirées. Facebook m’a mis en prison, « Facebook Jail ». Et je me suis rendu compte que j’étais dé-plateformé partout » (#1). « J’ai toujours eu des vidéos, juste mon matériel d’enseignement que je mettais sur YouTube, mais j’ai aussi commencé à mettre du matériel autour de ça, juste pour parler de certaines recherches, regarder les données sur l’efficacité des vaccins (…) et YouTube a commencé à les retirer.  Et donc maintenant je ne peux pas poster, je ne peux même pas mentionner les vaccins, parce qu’en quelques secondes, dès que j’essaie de télécharger la vidéo, YouTube dit que cette vidéo va à l’encontre de nos directives » (#3). « J’ai été banni de TikTok. D’un seul coup, j’ai été banni de façon permanente parce que j’ai vraisemblablement commis une violation de la communauté » (#2). « J’en suis à mon sixième compte twitter. Le dernier a été fermé soi-disant pour un tweet sur le laboratoire de X [le nom du laboratoire], mais il était à venir. J’ai hérissé trop de poils (#2).

Comme on peut le voir dans les exemples ci-dessus, les répondants ont indiqué que le retrait de leurs documents des réseaux sociaux s’accompagnait d’un avis affirmant qu’ils avaient violé les « règles de la communauté ». Ils ont insisté sur le fait qu’il s’agissait de documents universitaires, étayés scientifiquement :

« J’ai appris qu’une vidéo universitaire sur YouTube que j’avais réalisée au sujet de l’article publié dans la revue XXX avait été retirée par YouTube, et j’ai reçu un avis indiquant qu’elle avait enfreint les conditions de la communauté YouTube, sans jamais avoir reçu de conditions d’utilisation de YouTube qui expliqueraient quels types de conditions s’appliqueraient à une vidéo scientifique de quatre diapositives PowerPoint » (#6).

L’une des personnes interrogées a fait état d’une censure même dans Google Docs, ce qui signifie que même les communications privées sont censurées :

« Google Docs a commencé à restreindre et à censurer ma capacité à partager des documents. Ce n’est pas Twitter qui me jette comme il l’a fait. C’est une organisation qui me dit que je ne peux pas envoyer une communication privée à un collègue, à un ami ou à un membre de ma famille » (#1).

Censure et répression par l’establishment médical et universitaire

Certaines des personnes interrogées ont déclaré avoir été victimes de diffamation de la part de leur propre institution, avec l’intention apparente de nuire à leur réputation et à leur carrière. Par exemple :

« dans [mon pays], nous avons environ 55 000 médecins. Mon nom est apparu sur le site officiel du ministère de la Santé, prétendant que je suis la seule personne, le seul médecin, qui propage de la désinformation » (#12). « Il y a eu un effort concerté pour ruiner ma réputation même si, c’est incroyable, ils [l’hôpital où je travaille] avaient le taux de mortalité le plus bas du monde » (#1).

Certains participants ont également déclaré avoir reçu un message clair de la part de l’institution où ils travaillaient, selon lequel ils n’étaient pas autorisés à s’identifier à l’institution lorsqu’ils donnaient une interview ou un témoignage ou qu’ils exprimaient leurs opinions – dans certains cas, il s’agissait d’une condition de renouvellement de leur contrat.

« J’ai donné le témoignage de X (un certain traitement), et c’est en quelque sorte devenu viral. Et l’hôpital n’était pas content parce que mon affiliation était apparue. Ils m’ont proposé un nouveau contrat. Ils ont dit ‘nous avons de nouvelles conditions pour vous’, parce que mon ancien contrat n’était pas restreint. Le nouveau contrat comportait sept ou huit restrictions de mes droits au premier amendement, en gros je ne pouvais pas parler à la presse, je ne pouvais pas parler en public, sauf si je disais que ce sont mes opinions et non celles de mon employeur. C’était une conversation relativement courte. J’ai dit que cela n’arriverait jamais, que je ne signerais jamais cette chose, et nous nous sommes dit au revoir » (#9).

Dans certains cas, les répondants ont rapporté qu’à la suite d’une position ou d’une critique qu’ils ont exprimée, ils ont été renvoyés de leur établissement, ou ont été informés que leur contrat ne serait pas renouvelé.

« On m’a dit que mon contrat [à la clinique médicale] n’allait pas être renouvelé. Il y a toute une série de listes de contrôle pour que le contrat ne soit pas renouvelé, il doit y avoir une procédure régulière, et la première alerte est qu’il n’y a pas eu de procédure régulière. J’ai demandé précisément s’il y avait eu un vote du conseil d’administration et la réponse a été non, et j’ai demandé pourquoi cette action a été prise, et leur réponse a été ‘aucune raison’. [Plus tard] j’ai reçu une lettre de l’Université [X] disant que j’avais été privé de mon poste de professeur, sans procédure régulière, sans sénat de la faculté, rien. Ensuite, j’ai reçu une lettre de l’Université [Y], encore une fois sans procédure régulière, sans réunion de la faculté, sans explication » (#6).

De même, les répondants ont dit avoir été sommairement congédiés ou disqualifiés de postes prestigieux, comme la participation à des comités scientifiques ou de santé de premier plan, ou la rédaction de revues médicales, sans procédure régulière ni transparence :

« Le directeur général du ministère de [X] m’a approché et m’a dit que le ministre avait conclu un accord avec le ministère de la Santé, qu’il mettait un représentant au comité du panel [de médicaments sur ordonnance], et elle a dit que tous m’avaient pointé du doigt. Puis, après une semaine, elle m’a téléphoné et m’a dit : « Écoutez, votre nom a déjà été transmis au comité du panel de médicaments à la demande du ministre, et il a été disqualifié sans équivoque parce que vous vous opposez aux vaccinations [COVID] chez les enfants ». J’ai été choqué. Jusqu’alors, les réponses que je recevais venaient d’en bas. Voici une réponse du haut de l’échelle » (n° 11). « Il y a eu toute une série de mesures prises, encore une fois sans procédure régulière et sans explication. J’ai reçu un avis de [l’association médicale] m’informant que j’étais démis d’un poste au sein d’un comité. J’ai reçu une lettre d’une revue dont j’étais le rédacteur en chef, qui m’a retiré la rédaction, encore une fois sans procédure régulière, sans appels téléphoniques, sans explication traçable. J’ai reçu une lettre des National Institutes of Health me privant d’un poste au sein d’un comité de longue date, dont je faisais partie depuis plusieurs décennies et dont on m’a retiré le poste, là encore sans appel téléphonique, sans procédure régulière, sans explication » (n° 6).

Dans un cas, le répondant avait appris que l’équivalent dans son pays des Centers for Disease Control (CDC) était intervenu et avait demandé à l’université d’« examiner son cas » :

« le président de mon université m’a invité à parler de la crise. Lors de cette réunion, j’ai été informé que [l’autorité sanitaire équivalente au CDC dans le pays des personnes interrogées] avait écrit une lettre au président, lui demandant d’examiner mon cas parce que, selon la lettre ministérielle, je rendais publiques des choses méthodologiquement discutables. Selon le président, l’université n’a jamais reçu de demandes similaires auparavant » (#12).

Certaines des personnes interrogées ont déclaré que l’établissement de santé n’avait pas seulement terni leur réputation et pris de graves mesures à leur encontre, mais qu’il avait également coopéré avec les médias et veillé à diffuser l’information sur ces mesures par leur intermédiaire :

« Vous savez, le communiqué de presse est sorti, je suis un médecin éminent aux États-Unis, donc, en fait, je crois que le système de santé a rédigé un communiqué de presse disant qu’ils me poursuivaient en justice, et donc le sujet a été abordé [pendant l’interview avec la presse], « donc vous êtes poursuivi en justice, et quelle est votre réaction ? » » (#6).

Enquêtes officielles

Certains médecins ont fait état d’enquêtes officielles lancées à leur encontre, telles que des enquêtes ou des menaces de retrait de leur licence médicale :

« ma licence a fait l’objet d’une enquête. À ce moment-là, j’avais l’impression que la commission médicale était militarisée. Ma licence a fini par faire l’objet d’une enquête. Trois fois maintenant, et à chaque fois sans aucune sanction ou réprimande ou quoi que ce soit. Mais cela montre simplement qu’il est très facile de se faire censurer ou annuler » (#2). « Suite à un post que j’ai écrit sur les événements indésirables, j’ai reçu une lettre du comité de X [nom du comité]. Ils m’ont prétendument demandé les coordonnées de ces patients (les patients dont l’interviewé a signalé les effets indésirables dans son billet), mais s’il s’agissait d’un véritable souhait de leur part, ce n’est pas ce comité, qui s’occupe en fait de Y [la définition des activités du comité] qui m’aurait demandé les coordonnées, mais un véritable fonctionnaire du ministère de la Santé. Je leur ai répondu par l’intermédiaire de A [mon avocat], une réponse plus juridique et moins médicale. Il s’agit essentiellement d’un comité sans pouvoir. Je ne pense même pas avoir le droit de leur transmettre les noms des patients » (#2).

L’un des répondants rapporte qu’un procès d’un million de dollars a été intenté contre lui :

« Et puis ma femme m’appelle et me dit que le système de santé nous poursuit pour plus d’un million de dollars, alors je viens de réunir des équipes d’avocats et de les envoyer au tribunal. L’accusation est que je viole les termes de mon accord de séparation, spécifiquement que le système de santé est impliqué dans mes présentations médiatiques, et je n’ai jamais fait aucune déclaration [de ce genre] » (#6).

Un autre répondant fait état d’une perquisition policière effectuée dans sa clinique privée, à son domicile :

« Le [conseil médical] s’est présenté à l’improviste un jour sans mandat pour fouiller ma maison, qui était répertoriée dans leurs dossiers comme étant mon bureau, afin de procéder à une inspection du bureau médical, ce qui ne nécessite pas de mandat [dans mon pays] » (#7).

Rétractation d’articles scientifiques

Certains chercheurs et médecins ont raconté comment leurs recherches avaient été rétractées par la revue après leur publication :

« Cinq jours avant la réunion pédiatrique de la FDA sur la vaccination, [la maison d’édition] retire l’article de la National Library of Medicine et dit qu’elle le rétracte. L’explication, qu’ils nous donnent quelques jours plus tard, c’est qu’ils pensent qu’ils n’ont pas invité l’article pour commencer. Et je peux vous dire, en tant qu’éditeur, que l’article a été clairement accueilli, et qu’il est passé par le processus standard d’examen par les pairs. Le seul motif pour retirer légalement un article de la National Library of Medicine est s’il est scientifiquement invalide, et ce n’était pas le cas » (#6). « Alors je l’ai soumis à X [nom de la revue] et bien, c’était un rejet de bureau. En fait, de mon point de vue, il n’y avait pas d’arguments solides. Je ne sais pas pourquoi il a été rejeté, et puis je l’ai soumis à plusieurs autres canaux, et finalement j’ai arrêté d’essayer de le publier dans la littérature scientifique. Il a été publié en tant que pré-print » (#8).

Un autre thème qui est apparu à plusieurs reprises au cours des entretiens est que les recherches critiques ont été traitées d’une manière que les personnes interrogées n’avaient jamais rencontrée auparavant dans leur carrière. Ainsi, des articles ont été rejetés par des revues (souvent à plusieurs reprises) sans examen par les pairs, le processus d’examen et de publication d’une revue a pris plusieurs mois de plus que la normale pour la revue, et même des articles ont été rejetés par des serveurs de préimpression tels que MedRXiv :

« Au début de la pandémie, nous obtenions beaucoup de publications. Cela ne remettait pas du tout en cause le récit orthodoxe. Et puis nous avons fait cette analyse sur [X] et quand cela s’est produit, oh mon Dieu, ils ont pété les plombs, nous avons été attaqués. Ce travail n’a jamais été publié. (…) Et c’est à ce moment-là que nos travaux ont commencé à être rejetés par arXiv et medRxiv… le seul endroit où nous pouvions faire publier ces travaux était sur ResearchGate » (#4).

Dans un cas, une personne interrogée a déclaré qu’elle se sentait tellement menacée par l’establishment médical qu’elle s’abstenait de mettre son nom sur les articles qu’elle avait cosignés avec d’autres chercheurs, et que ceux dont les noms apparaissent sur les articles essayaient de se cacher ou de rester sous le radar jusqu’à ce que l’article soit publié :

« Nous avons un article qui est prêt à être publié dans [une revue importante], et le groupe qui l’a publié se cache depuis un an. Maintenant, je ne peux pas être sur l’article, vous savez » (#5).

Contre-réaction : se défendre

Les personnes interrogées ont indiqué que leur première réaction aux attaques et à la censure a été le choc et la surprise. Pour la première fois de leur vie, elles se sont senties exclues de la communauté scientifique/médicale, attaquées par les médias et parfois par leurs employeurs, et/ou dénigrées comme des « théoriciens du complot » qui mettent en danger la santé publique. Pourtant, malgré la censure, les attaques personnelles et la diffamation, les licenciements, l’atteinte à la réputation et le prix économique, toutes les personnes interrogées ont néanmoins déclaré que rien de tout cela ne les dissuadait et qu’elles avaient décidé de se battre, en utilisant diverses contre-tactiques.

Premières réactions : Choc et surprise

« J’étais sans voix. Cela ne m’arrive pas à moi. Je n’imaginais pas. Toutes ces attaques étaient terriblement menaçantes pour moi. Il m’a fallu un mois pour me remettre de la compréhension que c’est le pays dans lequel nous vivons. J’étais en état de choc. J’étais surprise. Je pense que mon rythme cardiaque était de 200 par minute » (#11). « En tant que personne qui a fait partie intégrante du système [de santé] et qui connaît personnellement les détenteurs de rôles – le fossé que je ressens est très profond » (#1).

Les personnes interrogées ont déclaré qu’elles avaient le sentiment que les menaces, les licenciements et les attaques dont elles faisaient l’objet étaient en fait une tentative de les faire taire, simplement parce que leurs opinions ne correspondaient pas à celles dictées par les autorités :

« tout a été fait au départ pour supprimer ma voix, parce que j’étais le seul à crier » (#1).

Certains répondants ont ajouté qu’ils avaient l’impression que la censure et les attaques sans précédent qu’ils ont subies étaient particulièrement vicieuses parce que ceux qui les faisaient savaient qu’ils étaient appréciés et influents :

« ils essayaient en fait de me faire taire dans les médias. Il semble à première vue que ce procès était essentiellement une tentative de me censurer. Je suis un collaborateur fréquent de Fox News, je viens de témoigner au Sénat américain, mes conseils sont appréciés dans le monde entier, et je pense que c’était une tentative de clocher pour me censurer » (#6).

Déterminés à se battre

Nos répondants ont déclaré que la censure et la suppression qu’ils ont subies leur ont donné envie de se battre et de faire entendre leur voix davantage, au nom de la liberté d’expression et de leur souci de la santé publique.

« C’est une question intéressante de savoir ce que j’ai l’impression de payer. Parce que je pense qu’il y a des [coûts]. Le fait est que j’ai failli partir. Pourquoi suis-je resté ? Parce que je me suis rendu compte qu’il y avait un prix que je n’étais pas prêt à payer – qu’ils allaient me faire taire » (#11). « Pour moi, la question la plus importante est : pourquoi est-ce que je (continue) à faire cela ? Parce que si je ne vis pas en accord avec mes valeurs et la liberté d’expression, alors je ne vivrai pas » (n° 9).

Certains d’entre eux ont même fait remarquer que les attaques contre leur réputation les rendaient encore plus déterminés et désireux d’exposer les informations qui étaient censurées.

« En fait, cela me rend plus déterminé. Je suis un peu comme un pitbull. Alors, nous allons continuer à faire passer le message » (#2).

Certaines des personnes interrogées ont déclaré avoir décidé de prendre des mesures officielles ou juridiques contre les organisations qui les ont censurées :

« Je vais porter plainte pour rupture de contrat, puisque nous avions un contrat de publication et qu’ils l’ont signé et accepté. Ils vont être poursuivis pour interférence délictuelle car ils ont effectivement interféré avec l’activité de publication d’informations scientifiques valides. J’imagine que cela va être très préjudiciable et très médiatisé pour [l’éditeur] » (#6). « J’ai déposé une demande de liberté d’information auprès de toutes les entités qui m’ont dépouillé de divers titres et postes afin de commencer à découvrir ce qui stimule tout cela » (n° 2).

Les contre-réactions des personnes interrogées ont été exprimées de plusieurs manières : le désir de divulguer l’acte de censure et les informations censurées, qui, selon elles, sont fondées sur des preuves ; l’utilisation de canaux alternatifs afin de diffuser publiquement leurs positions et leurs points de vue sur le Covid ; la création de réseaux de soutien avec des collègues ; et le développement de systèmes alternatifs d’information médicale et sanitaire. En d’autres termes, ils ont créé une sorte de monde parallèle à l’establishment traditionnel.

Exposer la censure

Certaines personnes interrogées ont souligné qu’elles voulaient dénoncer la loi de censure elle-même. Par exemple :

« J’ai pris contact avec quelques personnes puissantes, et elles m’ont orienté vers le Media Resource Centre à Washington, qui est une organisation à but non lucratif pour lutter contre la censure. Je leur ai raconté ce qui s’était passé. Et ils ont déjà rédigé un article à ce sujet. Cet article est en train d’être publié sur différents sites. J’ai fait une interview sur One American News Network. Je l’ai en quelque sorte fait connaître au monde entier » (#1).

Utilisation de canaux alternatifs

Les répondants ont indiqué que, lorsqu’ils ont compris qu’ils étaient censurés par les grands médias, ils ont décidé d’utiliser des canaux alternatifs, tels que les plateformes de médias sociaux, pour diffuser leur position et des informations contraires et exprimer leurs opinions en public : « Heureusement, je me suis constitué un petit nombre de followers sur Twitter… 34 000 ou quelque chose comme ça, alors vous pouvez faire passer le message » (#4).

Certaines des personnes interrogées ont déclaré que pour se protéger, elles ont été contraintes d’ouvrir des comptes télégrammes « secrets » ou des comptes Twitter anonymes. Bien qu’ils expriment leur frustration, ils continuent à le faire afin de diffuser des informations. Par exemple, un participant a fait remarquer qu’il est absurde que les scientifiques doivent tenir des comptes télégrammes secrets pour que le gouvernement ne leur retire pas leur licence ou ne porte pas atteinte à leur réputation (#5).

Création de réseaux de soutien social

Certaines personnes interrogées ont révélé qu’elles avaient créé des réseaux de soutien composés de collègues scientifiques, de médecins, d’avocats et de politiciens ayant des vues et des opinions similaires. Ces réseaux ont été utilisés non seulement pour échanger des informations, mais aussi pour recevoir le soutien et l’empathie d’« étrangers » comme eux, pour se faire de nouveaux amis et créer une nouvelle communauté :

« c’est vraiment agréable de se faire un réseau entier et croissant d’amis dans la vie, qui connaissent aussi ces vérités. J’ai l’impression de créer une nouvelle communauté avec de nouveaux amis à qui je peux parler, qui comprennent le monde, qui comprennent la corruption et qui peuvent vraiment s’y retrouver dans tout ça. Donc, en même temps que je me suis réveillé avec une toute nouvelle collection de collègues et d’amis, mais beaucoup d’entre nous sont en dehors de la science » (#9). « Et puis quelques collègues se sont joints à nous. Et tout d’un coup, j’avais des poids lourds, des leaders universitaires qui défendaient mon travail » (#1).

Développer des systèmes alternatifs d’information médicale et sanitaire

Au-delà de leurs activités de diffusion d’informations et de données, certaines des personnes interrogées ont indiqué qu’elles travaillaient à l’établissement de nouvelles plates-formes et organisations alternatives dédiées au développement et à la fourniture d’informations sur la santé et les traitements médicaux – y compris de nouvelles revues et organisations à but non lucratif, au lieu de celles qui existent déjà et qui, selon elles, ont échoué et déçu. Elles l’expliquent comme un moyen de faire face à la censure et à la suppression qu’ils ont subies en raison de leurs positions opposées, ce qui leur donne un sentiment d’espoir et l’impression de construire « un nouveau monde » :

« J’ai une nouvelle chose dans la vie. N et moi, nous avons créé l’organisation X, dont la seule mission est d’essayer de comprendre et d’aider les gens à traiter le Covid. Et je pense que nous avons rendu un vrai service au monde » (#9). « On parle de plus en plus de lancer un journal. Tess Lawrie a créé le Conseil mondial de la santé. On parle de plus en plus de créer un nouveau système de santé. Par exemple, les gens veulent aller dans des hôpitaux où les médecins peuvent être des médecins et pas l’autre rôle de toutes ces réglementations et agences corrompues, alors vous savez, il y a peut-être un nouveau monde qui va se former » (#4).

Discussion

Nos résultats font écho aux arguments avancés dans des études antérieures sur la suppression de la dissidence dans des domaines controversés tels que la vaccination (Elisha et al. 2021, 2022 ; Cernic 2018 ; DeLong 2012 ; Gatto et al. 2013 ; Martin 2015 ; Vernon 2017), le sida, les études environnementales et la fluoration (par exemple, Delborne 2016 ; Kuehn 2004 ; Martin 1981, 1991, 1999). À l’instar de ces études, les résultats de notre recherche indiquent une implication significative des médias et de l’establishment médical dans la censure et la suppression des dissidents. Cependant, il existe trois différences principales.

Premièrement, lorsqu’il s’agit de connaissances liées au Covid, les tactiques de censure utilisées contre les dissidents sont extrêmes et sans précédent dans leur intensité et leur étendue, les journaux scientifiques et les institutions académiques et médicales prenant une part active et impliquée dans la censure des voix critiques. En fait, comme l’indique l’un de nos répondants, même les serveurs de préimpression et les sites de réseaux sociaux universitaires censurent les articles scientifiques qui ne s’alignent pas sur le discours dominant, et cela semble être une tendance croissante. Un exemple récent est un rapport d’étude de Verkerk et al. (2022), qui a analysé une enquête sur plus de 300 000 personnes dans 175 pays qui avaient choisi de ne pas recevoir les vaccins Covid-19, qui a été retiré de ResearchGate.net après 9 jours, citant une violation de leurs termes et conditions (Conseil mondial de la santé 2022).  En outre, ce que nos répondants décrivent va bien au-delà de la censure, et comprend un large éventail de méthodes de suppression visant à détruire leur réputation et leur carrière, uniquement parce qu’ils ont osé adopter une position différente de celle dictée par l’establishment médical.

Deuxièmement, si les études précédentes ont également fait état de cas isolés où des chercheurs et des médecins aux CV irréprochables, voire au statut d’universitaire ou de médecin de haut rang, ont été censurés s’ils osaient exprimer des opinions dissidentes, la présente étude montre que dans le cas du Covid, la censure de médecins et de chercheurs de cette stature est devenue un phénomène régulier. Les participants à notre étude, ainsi que ceux mentionnés dans l’introduction et beaucoup d’autres non inclus dans notre échantillon, ne sont pas des scientifiques marginaux. La plupart d’entre eux sont des figures de proue : des chercheurs et des médecins qui, avant l’ère Covid-19, avaient un statut respectable, avec de nombreuses publications dans la littérature scientifique, certains d’entre eux ayant des livres et des centaines de publications, certains dirigeant des départements universitaires ou médicaux, certains étant rédacteurs en chef de revues médicales, et certains ayant remporté des prix importants. Néanmoins, comme le montrent nos résultats, ils n’ont pas été protégés de la censure, ni de la campagne de suppression et de diffamation lancée contre eux. Le message est que personne n’est à l’abri de la censure et qu’aucun statut universitaire ou médical, aussi élevé soit-il, ne constitue un bouclier garanti contre elle.

La troisième différence importante relevée dans notre étude est le rôle significatif joué par les organisations médiatiques pendant la pandémie de Covid, et en particulier par les sociétés d’information technologique, dans la censure des positions contraires. D’un point de vue pratique, ceux qui détiennent le pouvoir ont une plus grande capacité et de plus grandes possibilités de contrôler la connaissance et la diffusion de l’information, et par là, de fixer et de contrôler l’agenda. Bien que nos résultats ne montrent pas la direction de la relation entre ces détenteurs d’intérêts, ils peuvent indiquer des collaborations entre l’establishment médical et ces sociétés.

Des documents récemment publiés dans le cadre d’affaires judiciaires indiquent qu’au moins une partie de cette censure est orchestrée par des représentants du gouvernement (Lungariello et Chamberlain 2022 ; Ramaswamy et Rubenfeld 2022). Nos résultats pointent aussi indirectement vers d’autres parties prenantes impliquées dans le phénomène de censure évident dans la crise actuelle, notamment les entreprises pharmaceutiques. Bien que notre étude se soit penchée sur les perceptions subjectives des personnes visées par la censure plutôt que sur l’implication des parties prenantes et d’autres parties intéressées, les rapports de nos répondants font écho aux conclusions d’autres études, menées avant l’ère Covid-19 (Ravelli 2015) et plus récemment (Mucchielli 2020), qui indiquent l’implication importante des sociétés pharmaceutiques et informatiques dans la réduction au silence des informations et des études qui peuvent leur être défavorables. Étant donné le rôle central de ces entreprises aux côtés des décideurs des autorités sanitaires et des gouvernements dans le monde, il est très préoccupant de constater que des intérêts substantiels, notamment financiers et politiques, ainsi que des intérêts liés à la réputation et à la carrière, peuvent se cacher derrière les efforts de suppression.  L’intérêt des sociétés pharmaceutiques à contrôler le discours sur le Covid-19 est évident. Par exemple, comme l’ont indiqué certains de nos participants, l’une des principales controverses non résolues concernant Covid-19 est liée au traitement précoce avec des médicaments réadaptés, et il a été affirmé que des mesures très inhabituelles ont été prises pour empêcher les médecins de les utiliser (Physicians’ Declaration 2021). Comme le note Cáceres (2022), cette prétendue fin injustifiée de ce débat initial peut avoir eu d’énormes conséquences économiques (par exemple, le feu vert donné aux vaccins et aux nouveaux médicaments dans le cadre d’une autorisation d’utilisation en urgence), financières (par exemple, des gains énormes pour les plus grandes entreprises) et politiques (par exemple, des restrictions mondiales des libertés individuelles).

Les sociétés d’information technologique ont également tout intérêt à contrôler le discours concernant la pandémie de Covid-19.  Par exemple, en juin 2021, il a été révélé que Google, qui a été accusé de faire taire la théorie de la fuite du virus SRAS-CoV-2 de l’Institut de virologie de Wuhan, a financé des recherches sur le virus menées par un scientifique lié à Wuhan, Peter Daszak, par le biais de sa branche caritative, Google.org, pendant plus de dix ans. Google a également investi un million de dollars dans une entreprise qui fait appel à des épidémiologistes et à des analyses de données massives pour prévoir et suivre les épidémies.

Le British Medical Journal a révélé que le processus de « vérification des faits » de Facebook et YouTube repose sur des partenariats avec des vérificateurs de faits tiers, réunis sous l’égide de l’International Fact-Checking Network (Clarke 2021). Cette organisation est dirigée par le Poynter Institute for Media Studies, une école de journalisme à but non lucratif dont les principaux soutiens financiers sont Google et Facebook.

En ce qui concerne les intérêts personnels des décideurs politiques, un groupe de surveillance du gouvernement américain a exigé des données clés sur l’histoire financière et professionnelle du Dr Anthony Fauci, affirmant que « Pendant la pandémie, le Dr Fauci a largement profité de son emploi fédéral, de ses redevances, de ses avantages de voyage et de ses gains d’investissement », alors que son salaire pendant ces deux années n’a pas été rendu public, ni les actions et obligations qu’il a pu acheter et vendre en 2020 ou 2021, alors qu’il influençait les politiques du Covid, ni ce qu’il a reçu – ou pas – en redevances. Comme indiqué plus haut, une demande de FOIA aux États-Unis a révélé que Francis Collins, alors à la tête du NIH, avait demandé à Fauci de discréditer la Déclaration de Great Barrington et de dénigrer ses auteurs (Wilson 2021).  Roussel et Raoult (2020) ont trouvé des conflits d’intérêts similaires parmi les médecins français qui ont pris publiquement position contre l’utilisation de l’hydroxychloroquine.

La censure sape la confiance du public dans les autorités, surtout si les informations cachées et révélées par la suite auraient pu coûter des vies humaines, comme lors des pandémies qui mettent en jeu des maladies, des traitements et des vaccins (Gesser-Edelsburg et ShirRaz 2018). En outre, la censure et la manipulation de l’information sont incompatibles avec l’essence de la science, puisque la recherche scientifique exige un discours et un débat vigoureux. En effet, les chercheurs ont averti qu’au lieu d’être débattues, les controverses sur le Covid sont utilisées pour alimenter la polarisation, ce qui conduit souvent à la diabolisation et à la censure des perspectives alternatives et à l’imposition des points de vue dominants comme s’ils étaient la vérité absolue (Cáceres 2022 ; Marcon et Caulfield 2021).

Cáceres (2022) a affirmé que le fait que le débat ait été réduit au silence et que les positions alternatives aient été censurées constitue en fait un détournement de la « science normale » (Kuhn 1962), qui suppose que différentes explications et réponses aux faits d’intérêt scientifique émergent normalement et ont la possibilité d’être résolues dans le cadre d’un débat scientifique conventionnel. Selon Cáceres, un tel détournement de la praxis scientifique « normale » suggère que des influences « non scientifiques » sont à l’œuvre. Ce détournement est particulièrement préoccupant lorsque les voix réduites au silence sont celles d’un nombre croissant de scientifiques et de médecins éminents et renommés.  La volonté de censurer et de rejeter les opinions dissidentes en les qualifiant de « désinformation » présente des similitudes étroites avec le « travail sur les limites » de la science, qui consiste à maintenir le pouvoir et l’autorité de la science en délimitant certains domaines de recherche scientifique comme étant hors limites et en les discréditant comme étant essentiellement non scientifiques (Gieryn 1999 ; voir également Harambam 2014). Créer un faux consensus en censurant l’information et en empêchant les débats scientifiques peut conduire les scientifiques, et donc aussi les décideurs politiques, à se couler dans le paradigme dominant, les amenant à ignorer d’autres options plus efficaces pour faire face à la crise ou peut-être même la prévenir.  Un tel « consensus » conduit à une vision étroite du monde, qui nuit à la capacité du public à prendre des décisions éclairées et érode la confiance du public dans la science médicale et la santé publique (Cernic 2018 ; Delborne 2016 ; Martin 2014, 2015 ; Vernon 2017).

Des chercheurs ont déjà averti que la crise de COVID-19 confirme les préoccupations antérieures concernant les implications délétères de la censure (Cáceres 2022 ; Mucchielli 2020). Nous sommes d’accord avec l’affirmation de Cáceres selon laquelle la censure et le dogme sont étrangers à la vraie science et doivent être abandonnés et remplacés par une discussion ouverte et équitable.

Consulter ici la bibliographie de cet article




C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !

[Source : viroliegy.com]

[*« Gain de Fiction » : jeu de mot avec « Gain de Fonction ».]

[Voir aussi :
Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie (qui présente des expériences de contrôle — jamais réalisées par les virologues — permettant de réfuter la supposée présence de virus pathogènes dans les soupes toxiques de culture virale) ;
Aveuglés par la pseudoscience (qui démontre que les virologues ne suivent en rien la méthode scientifique) ;
L’enterrement de la théorie virale (qui rappelle la méthode scientifique et les conditions nécessaires et suffisantes pour établir la causalité entre deux phénomènes) ;
UN ADIEU À LA VIROLOGIE(ÉDITION POUR EXPERT) (qui réfute en détail la virologie et attend toujours une éventuelle contradiction scientifique solide) ;
La nature et le but de la maladie (qui présente une approche bien plus cohérente et sensée de la santé et de la maladie).
Dr Mike Yeadon : « Qu’est-ce que la recherche sur le gain de fonction ? »]

Par Mike Stone

Après le 11 septembre, les armes biologiques sont devenues une préoccupation majeure avec des histoires effrayantes sur la possibilité que des échantillons de variole soient diffusés par aérosol contre des citoyens américains, obligeant l’administration Bush à stocker des vaccins. Il y avait des histoires terrifiantes de chercheurs recréant avec succès le génome de la grippe espagnole grâce à l’ingénierie inverse, ce qui était considéré comme une certitude de tomber accidentellement entre de mauvaises mains. Des mémos secrets ont été dévoilés de scientifiques recherchant la possibilité qu’al-Qaida ou ISIS utilise d’une manière ou d’une autre Ebola pour le bioterrorisme. Des rapports de laboratoires bricolant et modifiant génétiquement certains « virus » afin de les rendre plus mortels ont commencé à remplir les ondes des médias grand public. Les gens étaient conditionnés à se recroqueviller à l’idée que le terroriste acharné sécurise d’une manière ou d’une autre une arme biologique « virale » et déchaîne un fléau contagieux sur le monde. Les mini épidémies se produisent presque tous les deux ans depuis l’introduction du SRAS en 2003, préparant stratégiquement les masses pour l’événement du siècle avec le « SRAS-COV-2 ». Des théories ont été brandies sur le fait que les coupables invisibles impliqués dans ces épidémies étaient des créations concoctées en laboratoire et lâchées sur la population sans méfiance. Ainsi, avec l’incertitude entourant l’origine animale du « SRAS-COV-2 », ce n’était qu’une question de temps avant que l’idée ne soit émise que ce n’était pas l’œuvre d’un « virus » naturel sautant d’un animal à l’autre et faisant des ravages à travers le monde avec une grippe légère. Ce « virus », associé à aucun nouveau symptôme de maladie, avait dû être créé de manière diabolique par des scientifiques fous dans les laboratoires de Wuhan.

Bien sûr, c’est un scénario qui est parfaitement logique pour les non informés, car l’Institut de virologie de Wuhan est en plein centre de Wuhan et ils ont une longue histoire d’expérimentation avec des « coronavirus » et des chauves-souris. Peu importe que les preuves du « SRAS-COV-2 » soient inexistantes, car dans ce scénario les virologues de Wuhan ont génétiquement conçu un tout nouveau « virus » à partir des restes d’autres « virus », conduisant ainsi à la « pandémie » même qui y est née. Ce « virus », créé grâce à des recherches secrètes sur le gain de fonction, avait dû s’échapper accidentellement du laboratoire ou être délibérément libéré à des fins néfastes. Cette intrigue de science-fiction conçue pour les films est défendue par ceux qui n’ont jamais remis en question le manque de preuves scientifiques de l’existence de « virus ». Cependant, pour ceux qui ont étudié ce sujet en profondeur, il est absolument clair que le récit du gain de fonction/de l’arme biologique/de la fuite de laboratoire est un appât basé sur la peur utilisé pour maintenir ceux qui remettent en question le scénario pharmaceutique officiel accrochés aux mensonges du complexe médico-industriel.

Cependant, ce scénario de « gain de fiction » prend de l’ampleur et est malheureusement fortement promu par des personnes influentes au sein de la communauté de la liberté de la santé. Ces personnes prêchent régulièrement les dangers des vaccins et des traitements pharmaceutiques toxiques ainsi que le piétinement de nos droits et libertés par des mesures draconiennes. Pourtant, malgré cela, elles avancent toujours l’idée qu’il existe des envahisseurs invisibles qui flottent et qui peuvent provoquer des maladies nécessitant ces mêmes mesures. Ils continuent de souscrire à ce récit malgré les preuves accablantes que ce n’est pas le cas. Il n’y a pas de « virus » et donc aucun des divers protocoles imposés au public pour contenir les agents pathogènes « mortels ». Cependant, si l’on devait défier ces « dirigeants » du mouvement sur le fait qu’il n’y a aucune preuve scientifique de l’existence d’un « virus », l’une des façons dont ils tentent de défendre leur croyance en ces entités est de pointer avec défi le génie génétique et les études de gain de fonction. Ils utilisent les affirmations des institutions de virologie selon lesquelles ce type de recherches expérimentales a lieu comme preuve que les « virus » existent bel et bien et que c’est ainsi que le « SRAS-COV-2 » a été créé, pas par la nature, mais par l’homme. Ils vendent cette histoire d’armes biologiques artificielles basée sur la peur à leur public sur la base des preuves les plus fragiles, dont aucune n’est scientifiquement valable.

Pour ceux qui ne sont peut-être pas familiers, les études de gain de fonction sont celles dont on dit qu’elles modifient génétiquement un « virus » ou un autre micro-organisme afin d’augmenter d’une manière ou d’une autre sa pathogénicité supposée. Les chercheurs prétendent manipuler ou combiner des « virus » pour les rendre plus mortels et plus infectieux. Cependant, il y a un léger problème, car pour manipuler un « virus », le « virus » en question doit d’abord être scientifiquement prouvé. Cela n’a jamais été fait en plus de 100 ans de virologie. En réalité, ce que cette recherche implique est de créer les mêmes concoctions toxiques cultivées sur des cellules utilisées dans les études de virologie régulières avec la mise en garde supplémentaire qu’ils utilisent plus d’additifs et d’ingrédients synthétiques, ce qui les rend plus mortels pour les animaux de laboratoire auxquels on injecte anormalement les soupes toxiques. Aucun « virus » n’est jamais correctement purifié, isolé et scientifiquement prouvé dans ces expériences par l’adhésion à la méthode scientifique. Ces entités sont simplement supposées exister dans l’échantillon au moyen de résultats de PCR frauduleux. Cependant, cela n’a pas empêché un certain groupe d’individus de prétendre que ces études prouvent l’existence de « virus » pathogènes et que ces recherches ont conduit à la création du « SARS-COV-2 ». Ils ont sauté sur l’occasion de promouvoir cette fiction fondée sur la peur sans la moindre validation scientifique crédible à l’appui. Voici quelques exemples des déclarations faites par les personnes en position d’influence qui mettent en avant ce récit de fuite d’arme biologique/laboratoire à leur public :

Leur conclusion : le SRAS-CoV-2 est sorti de la nature.

Ma conclusion : c’était définitivement une fuite de laboratoire.

Steve Kirsch 
https://stevekirsch.substack.com/p/the-wet-market-theory-re-emerges

La totalité des preuves disponibles aujourd’hui s’explique en effet mieux par l’hypothèse de l’origine du laboratoire.

Jeremy Hammond
https://www.jeremyrhammond.com/2021/06/18/interview-origin-of-sars-cov-2-lockdowns-covid-19-vaccines/

Cela a permis au Dr Fauci, au NIAID, au DTRA et au NIH d’ignorer l’interdiction de la recherche sur le gain de fonction et de poursuivre cette recherche. Comme nous le savons maintenant, c’est ainsi que le SRAS-CoV-2 a été créé puis accidentellement diffusé sur le peuple chinois. Au moins, nous espérons que c’était un accident.

Robert Malone
https://rwmalonemd.substack.com/p/ebola-this-is-not-over

La volonté des autorités américaines de dissimuler l’origine du SRAS-CoV-2 signifie que les pays peuvent désormais nous attaquer avec des armes biologiques indéfiniment, en toute impunité.

Dr. Joseph Mercola
https://childrenshealthdefense.org/defender/fauci-collins-evidence-covid-lab-leak/

Je suis maintenant convaincu qu’il s’agit d’un virus créé par l’homme.

Del Bigtree
https://www.podchaser.com/podcasts/the-highwire-with-del-bigtree-519460/episodes/is-covid-19-a-bio-weapon-91383003

Le monde a maintenant la preuve positive que le SRAS-CoV2 est une création de laboratoire d’ingénierie générée avec la technologie développée par Ralph Baric avec un financement du gouvernement américain.

Robert Kennedy Jr.
https://childrenshealthdefense.org/defender/covid-pandemic-nih-unc-fauci-baric/

Comme on peut le voir, de Kirsch à Kennedy, les histoires de science-fiction de gain de fonction est la conclusion la plus « logique » quant à la façon dont les gens ont contracté les mêmes symptômes de maladie que ceux que nous observons chaque année. Dans ce récit, Anthony Fauci a ignoré l’interdiction gouvernementale des recherches sur les gains de fonction et travaillait secrètement avec des laboratoires en Chine pour transformer le « coronavirus » plutôt inoffensif, associé au rhume, en un cas de grippe bénigne avec une survie évaluée à 99 %. Cette entité « renforcée » a été soit délibérément libérée par Fauci et compagnie, soit elle s’est échappée accidentellement du laboratoire de Wuhan en Chine. Dans les deux scénarios, nous devons croire que Fauci est un agent voyou finançant des expériences scientifiques folles créant et combinant des « virus » afin de les transformer en armes biologiques. Les courriels « fuités » de Fauci sur le gain de fonction sont souvent cités comme preuve de ce récit.

RKF Jr. et Del Bigtree s’en souviennent.

Voici un exemple de l’un des e-mails obtenus que certains ont pris comme preuve de l’origine de la fuite de laboratoire/arme biologique du « SARS-COV-2 » :

Pistolet fumant ? Non.

Fait intéressant, les informations énumérées ci-dessus sur la création du « virus » de l’arme biologique proviennent d’une étude publiée en août 2005 qui examinait le processus d’entrée théorique de la « protéine S du SRAS-CoV » dont l’existence n’a jamais été prouvée et les inhibiteurs de ce processus :

Les inhibiteurs de la cathepsine L empêchent l’entrée du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère

« Intervirion Fusion. HIV-luc(ACE2) (500 ng de p24) a été mélangé avec 1 000 ng de p24 de particules HIV-gfp incorporant l’enveloppe de l’ASLV-A, la protéine S du SARS-CoV, ou les deux enveloppes dans du PBS à 4°C pendant 30 min pour permettre la liaison. Les échantillons ont été portés à 37°C pendant 15 minutes pour permettre des réarrangements conformationnels. Les virus ont été ajustés au pH souhaité avec de l’acide citrique 0,1M. La PBS, la TPCK-trypsine (concentration finale 10 μg/ml), la CTSL, la cathepsine B (CTSB) (concentrations finales 2 μg/ml) ou le tampon CTSL seul ont ensuite été ajoutés. La CTSL recombinante (R & D Systems) a été préactivée par incubation pendant 15 min à 10 μg/ml dans 50 mM Mes, pH 6,0, sur glace. La CTSB recombinante (R & D Systems) a été préactivée dans 25 mM Mes, 5 mM DTT, pH 5.0, pendant 30 min à 25°C. Après une incubation de 10 min à 25°C, la protéolyse a été arrêtée par l’ajout de 300 μl de DMEM10 contenant de la leupeptine (25 μg/ml) et de l’ITS (75 μg/ml). Les virions ont ensuite été incubés à 37°C pendant 30 min pour permettre la fusion membranaire. 100 μl du mélange de virions ont été ajoutés en quadruplicat à des cellules HeLa-Tva prétraitées pendant 1 h avec de la leupeptine (20 μg/ml). Les cellules ont été infectées par centrifugation et incubées à 37 °C pendant 5 h. Le milieu a été remplacé par du DMEM10 frais et les cellules ont été testées pour l’activité luciférase 40 h plus tard. »

https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.0505577102

Le fait que Fauci ait eu besoin de quelqu’un pour fournir la section « méthodes » d’une étude de 2005 contenant l’« origine » du « SRAS-COV-2 », laissant ainsi une trace de courrier électronique avec le titre « Méthode de production d’une arme biologique à base de coronavirus » alors qu’il aurait pu tout aussi facilement consulter l’étude lui-même, n’a pas beaucoup de sens logique. La découverte de ce copier-coller dans la section des méthodes d’une étude de 2005 m’a en fait laissé croire que ces e-mails étaient trafiqués et/ou faux lorsque j’ai initialement examiné cette histoire. Cependant, cet e-mail particulier peut être trouvé parmi le trésor des e-mails Fauci stratégiquement « divulgués » (ils ont en fait été publiés en raison d’une demande FOIA par ICAN et Buzzfeed), vus à la page 2286 dans ce lien. Ce qui est encore plus intéressant, c’est que cet e-mail a été envoyé à Fauci par une personne nommée Adam Gaertner, une personne totalement indépendante de l’étude de 2005 qui semble être un chercheur indépendant faisant pression pour l’ivermectine comme traitement du « Covid-19 ». D’une manière ou d’une autre, les personnes qui font avancer ce récit d’armes biologiques semblent toujours avoir des thérapies pharmaceutiques alternatives qu’elles promeuvent comme un remède. À un moment donné, Gaertner avait un compte Twitter appelé « veryvirology » qui semble maintenant être suspendu. Il avait également un site Web connu sous le nom de covidcandy.net qui semble ne plus être utilisé, la dernière entrée trouvée sur la Wayback Machine étant répertoriée le 19 mai 2022. Il semble que cette personne ait contacté Fauci de manière non sollicitée avec la section des méthodes tirée d’une ancienne étude affirmant que c’était ainsi que le « SRAS-COV-2 » avait été créé. En d’autres termes, ce n’est pas une preuve très crédible d’un point de vue fuite de laboratoire/arme biologique.

Joseph Mercola a couvert l’histoire de l’arme biologique de Fauci/EcoHealth.

Un autre exemple qui est utilisé comme preuve d’une origine de fuite de laboratoire/d’arme biologique pour le « SRAS-COV-2 » est une proposition de subvention non publiée qu’EcoHealth Alliance a déposée auprès de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses de Fauci :

https://www.google.com/amp/s/nypost.com/2021/09/07/wuhan-lab-documents-show-fauci-untruthful-about-research-critics/amp/

Apparemment, obtenir du financement pour la recherche est maintenant considéré comme une preuve que la recherche est valide, que les chercheurs peuvent faire ce qu’ils prétendent et que la recherche a effectivement été effectuée. Le problème ? Au-delà des e-mails et des subventions, il n’y a aucune publication scientifique montrant que des expériences GOF [Gain Of Fonction : Gain de fonction] aient jamais eu lieu ni abouti au « SRAS-COV-2 ». Les études publiées qui ont découlé de cette subvention, intitulées « Comprendre le risque d’émergence du coronavirus de la chauve-souris », ne répondent pas à la définition de ce qui est considéré comme de la recherche GOF. En fait, il y avait une lettre soumise par le NIH aux membres du Congrès enquêtant sur cette affaire qui a finalement été utilisée comme un aveu qu’EcoHealth Alliance avait effectué et réalisé des études GOF à Wuhan. Cependant, le directeur adjoint principal Lawrence Tabak a spécifiquement déclaré dans la lettre que la recherche menée ne répondait pas à la définition de GOF et que les expériences n’auraient pas pu aboutir à un « SRAS-COV-2 » en raison des génomes non apparentés des « virus » en question.

C’est peut-être le pistolet fumant… ?

Si l’on soumet cela comme la preuve d’une origine de fuite de laboratoire, la conclusion devrait être que le « SRAS-COV-2 » n’a pas été créé dans un laboratoire à moins que ceux qui le prétendent ne soient en mesure de présenter l’étude réelle décrite dans le courriel détaillant les méthodes et montrant les données tirées de l’étude. Cependant, pour autant que je sache, il n’y a pas une telle publication. En fin de compte, tout ce que nous avons pour poursuivre, en ce qui concerne les preuves, est cette lettre affirmant que certaines expériences ont été réalisées et qu’un résultat inattendu s’est produit. Ce n’est pas une preuve scientifique. Si la lettre est tout ce dont nous disposons, nous devons alors conclure que les expériences, si elles ont été réalisées, ne répondaient pas à la définition du GOF et n’ont pas donné lieu à un « SARS-COV-2 » créé en laboratoire. Par conséquent, quiconque utilise ce document comme preuve de l’origine du gain de fonction du « SARS-COV-2 » le fait en dépit des informations fournies dans la lettre et fonde son hypothèse non pas sur des preuves scientifiques réelles, mais sur de pures spéculations. Même si les preuves avaient pointé dans la direction que le « SRAS-COV-2 » a été créé dans les expériences GOF, cela ne remplacerait toujours pas le fait que, pour que ces expériences GOF aient une quelconque légitimité, les « virus » étudiés et soi-disant manipulés doivent d’abord voir leur existence scientifiquement prouvée. Cela n’a jamais été démontré pour le « SARS-COV-2 » ni pour aucun autre « virus », ce qui n’est qu’un des nombreux problèmes liés aux études considérées comme GOF. Celles correspondant réellement à la définition GOF qui finissent par voir le jour sont extrêmement défectueuses, comme le montrera la dernière publication dite GOF un peu plus loin dans cet article. Dans tous les cas, les e-mails « divulgués » de Fauci, les propositions de subventions non publiées et les lettres au Congrès ne répondent pas aux preuves scientifiques de base requises pour prouver l’existence d’un « SARS-COV-2 » créé en laboratoire.

Maintenant, cela ne veut pas dire que Fauci soit propre de quelque manière que ce soit. Bien sûr, il est indéniable que Fauci est un monstre qui est fortement impliqué dans l’arnaque qu’est le « SARS-COV-2 ». Il a également été un acteur clé dans le canular du VIH/SIDA. Ainsi, il est facile de simplement accepter cette narration de gain de fonction et de se détourner de toute question quant à savoir si des « virus » existent ou non. Si les « virus » n’existent pas, comment Fauci aurait-il pu fabriquer son « virus » Frankenstein de grippe bénigne ? Que se passe-t-il dans ces laboratoires sinon la fabrication de « virus » plus meurtriers ? À quoi servent tous nos dollars durement gagnés par les contribuables si ce n’est dans le seul but de bricoler ces entités invisibles ? C’est ce à quoi les personnes au sommet du mouvement pour la liberté de la santé veulent apparemment que vous croyiez si vous vous retrouvez à remettre en question le paradigme « viral » répandu. Si vous ne me croyez pas, jetons un coup d’œil à Robert Kennedy Jr., sans doute le leader le plus connu du mouvement pour la liberté en matière de santé, et à son dernier roman de science-fiction pour voir ce que cela implique :

« The Wuhan Cover-Up lève le voile sur la manière dont l’augmentation des dépenses du gouvernement américain en matière de biosécurité après les attentats terroristes de 2001 — facilitée par le Dr Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) — a déclenché un plan visant à transformer le NIAID en une agence de facto du ministère de la Défense.

Alors que le Dr Fauci finançait et poursuivait avec zèle la recherche sur le gain de fonction, certains scientifiques et responsables gouvernementaux s’inquiétaient de la possibilité d’une libération accidentelle ou délibérée de virus militarisés par des laboratoires qui pourraient déclencher des pandémies mondiales. Un moratoire a été mis sur cette recherche, mais fidèle à lui-même, le Dr Fauci a trouvé des moyens de continuer sans être perturbé — externalisant certaines des expériences les plus controversées à l’étranger en Chine et fournissant un financement fédéral aux principaux chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) pour des études de gain de fonction en partenariat avec l’armée chinoise et le Parti communiste chinois.

Robert F. Kennedy Jr. dont l’analyse, méticuleusement documentée et rigoureusement sourcée, entraîne les lecteurs dans un voyage stupéfiant pour découvrir :
• les principaux facilitateurs et sbires qui poussent à la recherche sur les gains de fonction ;
• les motifs économiques qui sous-tendent la recherche par gain de fonction ;
• les “virus chimériques” conçus avec succès et capables d’infecter et de tuer des humains ;
• l’effort coordonné pour faire taire les spéculations sur la genèse du COVID-19 en laboratoire ;
• la complicité des revues scientifiques pour cacher les origines du COVID-19 ;
• le rôle de l’Institut de virologie de Wuhan dans le programme de guerre biologique et de biodéfense de la Chine ;
• les relations entre les bureaucraties et les scientifiques américains de la santé, de l’armée et du renseignement et leurs homologues chinois ;
• les rôles de Bill Gates et de Sir Jeremy Farrar dans l’orchestration de la dissimulation mondiale de la Chine.
The Wuhan Cover-Up dévoile une conspiration mondiale aux proportions épiques et aux conséquences mortelles. »

https://www.simonandschuster.com/books/The-Wuhan-Cover-Up/Robert-F-Kennedy/Children-s-Health-Defense/9781510773998

Selon l’enquête de Kennedy, Anthony Fauci a dirigé la transition du NIH en un DOD [Departement Of Defense: Département de la Défense] de facto après le 11 septembre. Fauci a fait du « zèle » pour financer les expériences de science folle sur le gain de fonction à gauche et à droite jusqu’à ce qu’il soit stoppé par le gouvernement. Cependant, Fauci avait d’autres plans et a trouvé des moyens de contourner le système en poursuivant son escapade dans la ville des fous. Qui aurait cru que le journaliste d’investigation de renommée mondiale Robert Kennedy Jr. était capable de découvrir un vaste complot mondial impliquant Anthony Fauci et l’ingénierie du « SARS-COV-2 » à Wuhan ? Bien sûr, il serait facile de croire RFK Jr., car il a été du bon côté de ce débat en dénonçant constamment les dangers des vaccins. Eh bien… tant que vous ne tenez pas compte du fait qu’il ne se considère pas comme un anti-vax et qu’il préconise en fait des vaccins « plus sûrs » plutôt que d’éliminer complètement la vaccination en tant que pratique :

Nous voulons des vaccins sûrs, une science solide et transparente et une agence de réglementation honnête et indépendante axée étroitement sur la santé publique plutôt que sur le profit de l’industrie.

Robert Kennedy Jr.
https://childrenshealthdefense.org/about-us/mercury-vaccines-cdcs-worst-nightmare/

À son crédit, Kennedy a régulièrement fustigé Anthony Fauci et a récemment exposé les actes pervers de cet homme à la vue de tous dans son best-seller de novembre 2021 The Real Anthony Fauci :

En tant que directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), le Dr Anthony Fauci a distribué 6,1 milliards de dollars de fonds annuels fournis par les contribuables pour des recherches scientifiques truquées, ce qui lui a permis de dicter le sujet, le contenu et les résultats de la recherche scientifique sur la santé dans le monde entier — un véritable programme sombre. Fauci utilise l’influence financière dont il dispose, de manière détournée, pour exercer une influence extraordinaire sur les hôpitaux, les universités, les revues et des milliers de médecins et de scientifiques influents — il a le pouvoir de ruiner, de faire progresser ou de récompenser les carrières et les institutions de manière autoritaire.

Pendant plus d’un an de recherches minutieuses et méticuleuses sur son ordinateur portable et par le biais d’interviews, Robert F. Kennedy Jr. a déterré une histoire choquante qui réduit à néant la manipulation des médias sur le Dr Fauci… et qui alertera tous les Américains — démocrates ou républicains — qui se soucient de la démocratie, de notre Constitution et de l’avenir de la santé de nos enfants.

Le vrai Anthony Fauci révèle comment « America’s Doctor » a lancé sa carrière au début de la crise du sida en s’associant à des sociétés pharmaceutiques pour saboter des traitements thérapeutiques sûrs et efficaces non brevetés contre le sida. Fauci a orchestré des études frauduleuses ne donnant rien, puis a fait pression sur les régulateurs de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour qu’ils approuvent un traitement de chimiothérapie mortel qu’il avait de bonnes raisons de savoir sans valeur contre le sida. Fauci a fait l’impensable et a violé à plusieurs reprises les lois fédérales pour permettre à ses partenaires pharmaceutiques d’utiliser des enfants pauvres et à la peau foncée comme rats de laboratoire dans des expériences mortelles sur le SIDA et les chimiothérapies anticancéreuses.

Au début de 2000, Fauci a serré la main de Bill Gates dans la bibliothèque du manoir Gates de 147 millions de dollars à Seattle, cimentant un partenariat qui viserait à contrôler une entreprise mondiale de vaccins de plus en plus rentable de 60 milliards de dollars avec un potentiel de croissance illimité. Grâce à un effet de levier financier et à des relations personnelles soigneusement entretenues avec les chefs d’État et les principaux médias et institutions de médias sociaux, l’alliance Pharma-Fauci-Gates exerce une domination sur la politique de santé mondiale et sur notre beau pays.

https://www.simonandschuster.com/books/The-Real-Anthony-Fauci/Robert-F-Kennedy/Children-s-Health-Defense/9781510766808

Il est plutôt étrange que Kennedy Jr. ait découvert que Fauci finançait des « études frauduleuses ne donnant rien » en ce qui concerne le VIH dans les années 1980, mais qu’il avance le récit selon lequel Fauci finance actuellement des études GOF qui ne sont soi-disant pas des études frauduleuses ne donnant rien. Si nous nous basons sur le passé de Fauci pour juger de ses actions dans le présent, il serait beaucoup plus logique de conclure qu’il a l’habitude de financer des études frauduleuses ne donnant rien et que la piste GOF n’est rien de plus qu’une émanation de ce comportement. Cette prémisse est facile à voir quand on comprend que toute l’histoire des études sous l’égide de la virologie repose sur une fondation frauduleuse vieille d’un siècle. Pistes d’argent, e-mails « fuités », subventions non publiées, et les lettres au Congrès ne sont rien de plus que des distractions indirectes inutiles qui nous éloignent du manque sous-jacent de validation scientifique de la virologie. Le récit GOF/armes biologiques est un faux-fuyant conçu pour maintenir les gens dans un état chronique de peur d’une attaque terroriste biologique potentielle dans la même veine que les Russes avec des armes nucléaires pendant la guerre froide ou que Sadam Hussein et ses « armes de destruction massive ». C’est un écran de fumée pour les non informés afin de les empêcher de creuser encore plus profondément.

En ce qui concerne la poursuite continuelle par Kennedy Jr. de quelqu’un dont il a montré qu’il a des antécédents de fraude avérée, il est tout à fait clair qu’il n’y a pas d’amour éperdu entre ces deux hommes influents. Une grande partie des informations que Kennedy a « découvertes » dans son livre sur Anthony Fauci étaient déjà bien connues de tous ceux qui avaient prêté une attention particulière au canular du VIH/SIDA. En fait, il est facile de voir qu’une grande partie de l’escroquerie « Covid » suit exactement le même scénario que celui mis en place par Fauci et compagnie dans les années 1980. Kennedy a raison pour beaucoup d’informations sur les activités néfastes de Fauci. Cependant, il ignore la question la plus importante au cœur des stratagèmes frauduleux de Fauci : les « virus » existent-ils vraiment ? Ces escroqueries pourraient-elles être commises avec succès sur la seule base d’une propagande de peur efficace et de tests inexacts ? Malheureusement, il semble que Kennedy Jr. ne soit même pas prêt à envisager sérieusement de telles pensées, comme le montre son échange avec le véritable journaliste d’investigation Eric Coppolino en avril 2022 :

« Ouais, je ne suis vraiment pas qualifié pour commenter, mais je… mon penchant s’il y a des gens qui disent que les virus n’existent pas, qu’il n’y a pas de virus… je ne, vous savez, mon penchant est que, euh, c’est simplement n’est pas, vous savez, ce n’est pas vrai.

« Et je suis un peu amusé à lire les échanges et mon penchant est que les virus existent et qu’ils rendent les gens malades. Je peux me tromper. Tout cela pourrait être un gros canular, mais pour moi, tout semble comme, vous savez, les virus sont réels, et euh, écoutez, j’aurais dû me taire dès le début et dire que je ne vais pas répondre à cette question. »

« Encore une fois, je ne suis pas un bon un bon par… — je ne suis pas un scientifique. Je ne prétends pas l’être. Je trouve ces arguments intéressants.

Robert Kennedy Jr.
https://chironreturn.org/rfk-jr-acknowledges-controversy-over-existence-of-sars-cov-2-and-of-all-viruses/

Kennedy Jr. a affirmé qu’il n’était pas qualifié pour parler de l’existence de « virus », car il n’était pas un scientifique. Pourtant, il a quand même conclu que ces entités fictives existent telles qu’elles sont vendues sans faire aucune enquête indépendante de sa part. D’une manière ou d’une autre, il s’est jugé suffisamment qualifié pour comprendre la « science » derrière les études de gain de fonction afin de vendre le récit du mégalomane Fauci créant des « virus » améliorés à Wuhan. Cependant, ne lui demandez pas si ces entités existent réellement, car c’est un peu trop au-dessus de son niveau de rémunération. C’est parfaitement logique, non ?

Je tiens à préciser que cet article n’a pas pour but d’attaquer RFK Jr. Lui et les autres personnes citées ici ont fourni des informations qui ont aidé beaucoup de gens à voir les dangers des mesures utilisées contre nous pendant cette « pandémie ». Cependant, il est très clair qu’il y a un effort concentré de la part de ceux qui sont en position d’influence pour amener toute personne qui remet en question le paradigme « viral » à faire un détour par le récit de l’arme biologique et du gain de fonction, malgré l’absence de toute preuve scientifique crédible à l’appui. Ceux d’entre nous qui contestent l’absence de preuves scientifiques de l’existence des « virus » font l’objet d’une forte répression. Nous devons nous demander pourquoi ces personnes réellement intelligentes sont prêtes à remettre en question l’origine naturelle d’un « virus », mais ne sont pas disposées à remettre en question les preuves fondamentales qui étayent l’existence de ce concept fictif [NDLR En d’autres termes, il n’existe aucune preuve scientifique réelle de l’existence de virus pathogènes pouvant provoquer des maladies. Mais les preuves établies tendent au contraire à démontrer que ce que la virologie a pris pour de tels virus ne correspond en réalité qu’à des composants cellulaires (éventuellement dégradés)]. Pourquoi sont-ils prêts à promouvoir un récit d’armes biologiques fondé sur la peur, alors que les seules preuves qui l’étayent proviennent de courriels « fuités », de subventions non publiées et de lettres adressées au Congrès, sans aucune preuve scientifique crédible à l’appui ?

Serait-ce dû à des intérêts particuliers ?

Steve Kirsh

« Steve est un entrepreneur et philanthrope de la Silicon Valley qui a fondé le COVID-19 Early Treatment Fund (CETF) au début de la pandémie. Steve et le CETF ont financé la recherche qui a montré des résultats prometteurs de la fluvoxamine comme traitement précoce du COVID-19. »

https://www.vacsafety.org/about

« L’équipe du COVID-19 Early Treatment Fund est composée d’experts issus d’un large éventail de domaines, notamment la médecine, la technologie, la philanthropie et les affaires. Ensemble, nous sommes rapidement devenus le premier fonds mondial axé sur les traitements précoces du COVID-19 qui tirent parti des médicaments réutilisés. »

https://www.treatearly.org/our-team

Robert Malone

« Le Dr. Malone détient de nombreux brevets nationaux et étrangers fondamentaux dans les domaines de la délivrance de gènes, des formulations de délivrance, des vaccins à ADN et des vaccins à ARNm. »

« Depuis janvier 2020, le Dr Malone dirige une grande équipe axée sur la conception de la recherche clinique, le développement de médicaments, la modélisation informatique et les mécanismes d’action des médicaments réutilisés pour le traitement du COVID-19. »

https://www.vacsafety.org/about

Peut-être vendent-ils des suppléments censés traiter la maladie ?

Jérémy Hammond

L’oxyde nitrique, la N-acétyl-L-cystéine, la quercétine avec du zinc et la vitamine D3 ont tous été proposés comme traitements pour « Covid ».
https://www.jeremyrhammond.com/shop/

Dr Joseph Mercola

Mercola a sa propre marque vendant des produits similaires.
https://drjosephmercola.com/market/

Ou peut-être ont-ils de puissants partenaires financiers à qui ils doivent rendre compte :

Del Bigtree

« Selon le Washington Post, la Fondation Selz fournit environ 75 % du financement de l’Informed Consent Action Network, une organisation caritative dont Lisa Selz est la présidente et dont la mission est décrite comme « la promotion de la sécurité des médicaments et des vaccins et du choix des parents dans les décisions relatives aux vaccins ». »

https://www.google.com/amp/s/www.vanityfair.com/news/2019/06/bernard-selz-lisa-selz-vaccines/amp

Quoi qu’il en soit, la remise en question de l’absence de preuves scientifiques de l’existence de « virus » se heurte soit à des attaques furieuses (comme celles de Kirsch et Hammond), soit à des excuses telles que le public n’est pas prêt à s’engager dans cette voie (comme proposé par Del Bigtree), soit à des tentatives de convaincre les lecteurs que la remise en question de l’existence de « virus » entravera le mouvement de la « vérité » (comme le suggère Mercola), soit encore à l’ignorance feinte et au manque de références nécessaires comme on le voit dans le cas de la réponse de Kennedy Jr. à Eric Coppolino. D’une manière ou d’une autre, les personnes ayant le plus grand impact et les voix les plus fortes ont sauté à la conclusion, sur la base des e-mails « divulgués » de Fauci, que le « SRAS-COV-2 » a été créé dans un laboratoire. Ils sont complètement vendus sous la menace d’une arme biologique « virale » sans aucune preuve scientifique crédible qu’une arme biologique « virale » ait jamais été fabriquée. Ils écriront des articles et des livres pour alerter le public sur la menace de ces études de gain de fonction, mais ils n’examineront pas les preuves fondamentales quant à savoir si l’existence de ces « virus » a déjà été scientifiquement prouvée. En réalité, ils sont tellement sûrs que les études du GOF sont des expériences scientifiques légitimes qu’ils vont promouvoir auprès de leur public les résultats d’une étude préimprimée non évaluée par des pairs datant d’octobre 2022, comme si cet article contenait des preuves scientifiques réelles soutenant leur position sur les armes biologiques :

L’Université de Boston crée une nouvelle souche SARS-CoV-2 mortelle à 80 %

« Vraisemblablement, il y a un avantage à créer une nouvelle souche de SARS-CoV-2 qui a un taux de létalité (CFR) de 80 % (contre le CFR moyen de 0,2 % pour les variantes actuelles) et qui est très contagieuse.
Je suis perplexe quant à ce que c’est. »

« Le travail a été soutenu par une subvention du NIH, en particulier du NIAID, l’organisation dirigée par Anthony Fauci. »

https://stevekirsch.substack.com/p/bu-creates-new-sars-cov-2-strain

« Insensé » : des chercheurs de Boston créent une souche « plus mortelle » de COVID, incitant à des appels pour arrêter la recherche risquée sur le gain de fonction

« Une équipe de 14 scientifiques des Laboratoires nationaux des maladies infectieuses émergentes (NEIDL) de l’Université de Boston a développé une nouvelle souche de COVID-19 qui a tué 80 % des souris infectées par le virus en laboratoire, selon une étude préimprimée publiée le 14 octobre. Suite à l’annonce, de nombreux reportages sur les résultats de l’étude se sont concentrés sur le taux de mortalité observé chez les souris de laboratoire utilisées dans l’étude.

Cependant, derrière les gros titres, certains scientifiques et d’autres ont soulevé des inquiétudes quant à la nature de la recherche et au fait qu’elle était partiellement financée par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par le Dr Anthony Fauci.

La recherche a été menée en utilisant ce que certains scientifiques ont appelé la recherche de “gain de fonction”, soulevant des inquiétudes quant au fait que ce type de recherche — qui, selon certains, a conduit à la création et à la fuite de la souche originale de Wuhan de COVID-19 — est toujours en cours, malgré les inquiétudes que cela pourrait conduire à plus d’évasions de laboratoire et à plus de pandémies. »

https://childrenshealthdefense.org/defender/new-covid-strain-risky-gain-of-function-research/

Boston U tente de reculer les rapports d’expériences dangereuses

« Quelques jours seulement après l’annonce de la nouvelle selon laquelle l’Université de Boston avait créé une souche mortelle de SRAS-CoV-2 dans ses laboratoires, l’institution essaie de colporter son annonce, affirmant que les médias d’information se sont non seulement trompés, mais qu’ils interprètent mal ce que l’institution a vraiment fait. Mais est-ce vrai ? Selon l’épidémiologiste et microbiologiste des maladies infectieuses Marc Lipsitch, l’université peut déformer les rapports de leurs découvertes comme elle le souhaite, mais ce qu’elle a fait est toujours un gain de fonction… »

https://blogs.mercola.com/sites/vitalvotes/archive/2022/10/19/boston-u-tries-to-back-peddle-out-of-dangerous-experiment-reports.aspx

Qu’est-ce qui pourrait être plus insensé que le fait que Fauci finance davantage d’expériences sur le gain de fonction afin d’évaluer la létalité d’un coronavirus au milieu d’une pandémie causée par un coronavirus amélioré qui a tué des millions de personnes ?

Pour un bon aperçu de la façon dont des études telles que celle réalisée par Boston U sont rapportées comme étant la vérité avec l’utilisation de tactiques alarmistes, le battage médiatique et le sensationnalisme, n’hésitez pas à regarder le clip de près de 10 minutes (aimablement édité par Bill Houston) du dernier The Highwire de Del Bigtrees épisode présenté ci-dessous. Il est clair que Del et l’invité Jefferey Jaxen n’ont pas lu l’étude et n’ont pas réfléchi de manière critique à la question de savoir si les résultats et les conclusions de cette étude préimprimée et non évaluée par des pairs sont même scientifiquement valides. Ils déclarent simplement que c’est vrai et utilisent les conclusions pour renforcer leur message basé sur la peur des menace d’armes biologiques. Del termine même le segment avec le remorqueur approprié sur les vieilles cordes de peur en déclarant « Au centre-ville de Boston, nous pourrions avoir la même fuite parce que les gens ne respectent pas les règles. » Fait de main de maître par les médias « alternatifs ».



RFK Jr. a également publié un article quelques jours après la publication de l’étude de Boston U faisant la promotion d’une autre étude préimprimée et non évaluée par des pairs comme preuve que le « SRAS-COV-2 » était un « virus » créé en laboratoire :

Cette étude, intitulée « L’empreinte digitale de l’endonucléase indique une origine synthétique du SRAS-CoV2 » a été publiée sur le serveur de préimpression bioRxiv et ne consiste en rien d’autre que des comparaisons de données génomiques. Il n’y a aucun « virus » impliqué dans l’étude autre que les A, C, T, G [NDT Les quatre nucléotides composant l’ADN :  adénine (A), cytosine (C), guanine (G) ou thymine (T).] aléatoires présentés sur un écran d’ordinateur comme remplaçants. Il n’y a aucune description de la manière dont ont été obtenus les génomes utilisés dans la comparaison. Essentiellement, les chercheurs ne font que regarder des données informatiques. Rien de physique n’existe, juste les données. Malheureusement pour RFK Jr., l’accumulation et l’analyse de données ne relèvent pas de la science. Cela n’a cependant pas empêché RFK Jr. de déclarer que « le monde a maintenant la preuve positive que le SRAS-CoV2 est une création de laboratoire d’ingénierie générée avec la technologie développée par Ralph Baric avec un financement du gouvernement américain ». Fait intéressant, quelques paragraphes plus loin, il déclare ceci :

La responsabilité de l’UNC et du NIAID est maintenant claire. Mais avons-nous des preuves positives que le laboratoire de Wuhan a créé la monstruosité qui a causé le COVID-19 ?

Les preuves cumulatives suggèrent fortement que le laboratoire de Wuhan a utilisé les méthodologies de Baric pour bricoler le virus chimérique qui a causé la pandémie de COVID-19. Mais quelques pièces de puzzle manquantes nous empêchent encore de prouver définitivement que ce projet de construction dangereux a eu lieu au laboratoire de Wuhan.

Robert Kennedy Jr.

Le dernier que j’ai vérifié, « suggère fortement », « pièces de puzzle manquantes » et « nous empêche de prouver définitivement » ne ressemble pas à une « preuve positive » que « SARS-COV-2 » était une création de laboratoire d’ingénierie. Ainsi, cette preuve que Kennedy Jr. jette là-bas s’apparente à ceci est la façon dont ils l’ont fait, mais nous ne savons pas encore s’ils l’ont fait. C’est comme être excité à l’idée d’acheter la guitare à air [NDT Un instrument de musique rare ?] de quelqu’un sur eBay. Bien sûr, la transaction peut être là, mais rien de physique n’existe réellement. Néanmoins, dans sa hâte de diffuser le dernier élément de preuve indirecte pour promouvoir un programme fondé sur la peur, RFK Jr. a négligé d’attendre la confirmation par une reproduction indépendante des résultats et, plus important encore, d’avoir des preuves de particules de « virus » correctement purifiées et isolées au lieu de A, C, T, G aléatoires dans une base de données informatique. À la place, il a rapidement rédigé un article vendant cette comparaison préimprimée de génomes générés par ordinateur comme une « preuve » supplémentaire de l’existence d’une arme biologique à gain de fonction.

Si RFK Jr. et ses amis prenaient le temps de lire réellement ces études sur le « gain de fonction », ils constateraient qu’il n’y a aucune science réelle dans aucune d’entre elles. Dans le cas de la dernière tentative de GOF alarmiste de Boston U, ceux qui mettent en avant ce récit découvriraient qu’aucun « virus » purifié et isolé n’a jamais été utilisé à aucun moment et que les résultats derrière les conclusions sont très discutables. Tout ce qui serait nécessaire pour voir cela est que RFK Jr. et ses amis lisent la section des méthodes qui démontre facilement que l’article n’implique rien d’autre qu’une expérimentation chimique grandiose impliquant de nombreux produits chimiques et substances étrangères combinés et cultivés ensemble qui ont été utilisés pour justifier la mise à mort des animaux expérimentés.

Par exemple, les auteurs ont affirmé avoir créé une version recombinante chimérique du « SARS-COV-2 ». Selon Merriam-Webster, chimérique signifie que la substance contient du tissu avec deux ou plusieurs populations de cellules génétiquement distinctes, tandis que recombinant concerne le fait de contenir de l’ADN génétiquement modifié. Essentiellement, les chercheurs ont mélangé de nombreuses sources de matériel génétique avec des produits chimiques synthétiques ajoutés dans une boîte de Petri et ont affirmé qu’un nouveau « virus » modifié existait dans la soupe de culture cellulaire. Pour ce faire, ils ont utilisé :

  • Cellules HEK293T de rein embryonnaire humain

    • Une lignée cellulaire immortalisée prélevée sur des fœtus avortés dans les années 1970.

  • Cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549

    • Cellules dérivées d’une tumeur pulmonaire primaire d’un homme de 58 ans en 1972.

  • Adénocarcinome colorectal humain Cellules Caco-2

    • Cellules dérivées du tissu cancéreux du côlon d’un homme de 72 ans en 1977.

  • Cellules Vero E6 de rein de singe vert d’Afrique

    • Comme son nom l’indique, les cellules de reins de singe qui sont la lignée cellulaire la plus couramment utilisée pour la culture.

De nombreux produits chimiques et substances ont été ajoutés à des fins de culture, tels que :

  • Milieu d’aigle modifié de Dulbecco

    • Contient divers ingrédients, notamment des acides aminés, des vitamines, du glucose, du sodium, de la glycine, de la sérine, du nitrate ferrique, du pyruvate et du bicarbonate de sodium.

  • Sérum bovin fœtal

    • Le sang prélevé du cœur d’un veau à naître.

  • Acides aminés non essentiels

    • Cela peut inclure la L-alanine, la L-asparagine, l’acide L-aspartique, la L-glycine, la L-sérine, la L-proline et l’acide L-glutamique.

  • Avicel

    • Selon le fabricant DuPont, il s’agit d’un excipient d’alphacellulose purifiée, partiellement dépolymérisée, fabriquée par hydrolyse acide de pâte de bois spécialisée, qui produit rapidement des granules robustes qui restent stables dans des environnements à fort cisaillement.

Il existe divers autres additifs synthétiques utilisés tout au long de ce processus, tels que le chromosome artificiel bactérien (BAC), l’ADN polymérase PrimeStar GXL, le volume de réaction CPER avec 250 µl d’Opti-MEM et le système de distribution dynamique TransIT-X2. Ce qui s’est passé au cours de cette expérience (et d’expériences similaires) n’était rien de plus que la création d’une recette qui a abouti à une soupe toxique. Cette soupe a ensuite été injectée de force dans les voies nasales de bébés souris sous anesthésie à l’isoflurane. Les souris ont été contrôlées régulièrement pour voir si elles présentaient des signes des symptômes que les chercheurs voulaient voir, tels qu’une perte de poids de 10 à 19 %, une fourrure ébouriffée et/ou une posture voûtée, une insensibilité faible à modérée et des tremblements, c’est-à-dire les signes classiques associés à la « Covid-19 » chez l’homme (notez le sarcasme). Il n’a jamais été considéré si le mode d’injection et/ou l’utilisation de l’anesthésie à l’isoflurane avaient pu ou non entraîner des symptômes. Il n’a jamais été considéré si le stress de l’expérimentation ou les conditions de vie artificielles affectaient la santé des souris. Tous les signes et symptômes étaient supposés être causés par un « virus » invisible dont l’existence n’a jamais été directement démontrée. Dans les cas où une perte de poids supérieure ou égale à 20 % survenait ou si les souris recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs, les souris étaient alors considérées comme moribondes et euthanasiées.

En d’autres termes, les chercheurs ont recherché des signes subjectifs de maladie, ont affirmé qu’elle était due à un « virus », puis ont tué les animaux s’ils atteignaient un certain seuil subjectif. C’est ainsi que le taux de mortalité de 80 % a été évoqué. Tout cela peut être vu à partir de quelques faits saillants tirés de cette étude :

Rôle de [la protéine] spike dans le comportement pathogène et antigénique du SARS-CoV-2 BA.1 Omicron

« Le variant SARS-CoV-2 Omicron (BA.1) récemment identifié et prédominant dans le monde est hautement transmissible, même chez les individus entièrement vaccinés, et provoque une maladie atténuée par rapport aux autres variants viraux majeurs reconnus à ce jour. La protéine Omicron spike (S), avec un nombre inhabituellement élevé de mutations, est considérée comme le principal moteur de ces phénotypes. Nous avons généré un SARS-CoV-2 recombinant chimérique codant pour le gène S d’Omicron dans le squelette d’un isolat ancestral de SARS-CoV-2 et avons comparé ce virus avec le variant Omicron circulant naturellement. Le virus porteur d’Omicron S échappe de manière robuste à l’immunité humorale induite par le vaccin, principalement en raison de mutations dans le motif de liaison au récepteur (RBM), mais contrairement à l’Omicron naturel, il se réplique efficacement dans les lignées cellulaires et les cellules pulmonaires distales de type primaire. Chez les souris K18-hACE2, alors qu’Omicron provoque une infection bénigne et non mortelle, le virus porteur d’Omicron S inflige une maladie grave avec un taux de mortalité de 80 %. Cela indique que si l’évasion vaccinale d’Omicron est définie par des mutations dans S, les principaux déterminants de la pathogénicité virale résident en dehors de S. »

MATÉRIAUX ET MÉTHODES

Cellules, anticorps et plasmides

« Les lignées cellulaires ont été incubées à 37 °C et 5 % de CO2 dans un incubateur humidifié. Des cellules HEK293T de rein embryonnaire humain (ATCC ; CRL-3216), des cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549 (ATCC ; CCL—185), des cellules d’adénocarcinome colorectal humain Caco-2 (ATCC ; HTB-37) et des cellules Vero E6 de rein de singe vert d’Afrique ont été maintenues dans du DMEM (Gibco ; #11995-065) contenant 10 % de FBS et 1X acides aminés non essentiels. Le système de délivrance lentiviral a été utilisé pour générer des cellules exprimant de manière stable l’ACE2 et le TMPRSS2 humains. Le statut négatif pour les mycoplasmes de toutes les lignées cellulaires a été confirmé.

Un anticorps anti-protéine de la nucléocapside (N) du SARS-CoV (Rockland; #200-401-A50) a été utilisé pour la détection de la protéine SARS-CoV-2 N par IF. Le plasmide d’expression codant pour la protéine de pointe de l’isolat SARS-CoV-2 Wuhan, pCSII-SARS-CoV-2 F8, était un cadeau aimable de Yoshiharu Matsuura. Nous avons remplacé la pointe de Wuhan dans ce plasmide par une version synthétisée chimiquement de la pointe d’Omicron et avons appelé le plasmide résultant pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron. Les vecteurs lentiviraux, pLOC_hACE2_PuroR et pLOC_hTMPRSS2_BlastR, contenant respectivement l’ACE2 humain et le TMPRSS2, ont été décrits précédemment.

Préparation et titrage du stock Omicron

Le stock de virus SARS-CoV-2 BA.1 Omicron a été généré dans des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2. En bref, 5 x 105 cellules, cultivées pendant la nuit dans DMEM/10 % FBS/1X NEAA dans un puits d’une plaque à 6 puits, ont été inoculées avec le milieu de collecte dans lequel l’écouvillon nasal d’un patient SARS-CoV-2 a été immergé. Le matériel de l’écouvillon a été obtenu auprès du Département de la santé publique du Massachusetts et il contenait le virus Omicron dont la séquence a été vérifiée (numéro d’accès NCBI : OL719310). Vingt-quatre heures après l’infection des cellules, le milieu de culture a été remplacé par 2 ml de DMEM/2 % FBS/1X NEAA et les cellules ont été incubées pendant 72 h supplémentaires, moment auquel le CPE est devenu visible. Le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et conservé à -80 °C en tant que stock de virus P0. Pour générer un stock P1, nous avons infecté 1 x 107 cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2, ensemencées la veille dans un flacon T175, avec le virus P0 à un MOI de 0,01. Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par 25 ml de milieu contenant 2 % de FBS. Trois jours plus tard, lorsque les cellules présentaient un CPE excessif, le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et stocké à -80 °C en tant que stock P1.

Pour titrer le stock de virus, nous avons ensemencé des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2 dans une plaque à 12 puits à une densité de 2 x 105 cellules par puits. Le lendemain, les cellules ont été incubées avec des dilutions en série de 10 fois du stock de virus (volume de 250 µl par puits) pendant 1 h à 37 °C, recouvertes de 1 ml par puits de milieu contenant un mélange 1 : 1 de 2X DMEM/4 % FBS et 1,2 % d’Avicel (DuPont; RC-581), et incubés à 37 °C pendant trois jours supplémentaires. »

Génération SARS-CoV-2 recombinante par CPER

« Les virus recombinants SARS-CoV-2 ont été générés en utilisant une forme modifiée du protocole CPER récemment publié. L’ADNc complet du SARS-CoV-2 cloné sur un chromosome artificiel bactérien (BAC) a été utilisé comme matrice pour amplifier le génome viral en huit fragments qui se chevauchent (F1, F2, F3, F4, F5, F6, F7 et F9). Les plasmides pCSII-SARS-CoV-2 F8 et pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron, qui ont été utilisés pour générer des mutants de Spike, ont servi de matrices pour l’amplification du fragment 8 (F8). Un lieur UTR contenant un ribozyme du virus de l’hépatite delta (HDVr), la séquence signal de polyadénylation de l’hormone de croissance bovine (BGH-polyA) et un promoteur du cytomégalovirus (CMV) a été cloné sur un vecteur pUC19 et utilisé comme matrice pour amplifier la séquence de liaison. Les extrémités 5′ des dix fragments d’ADN (F1-F9 et le lieur) ont été phosphorylées en utilisant T4 PNK (NEB; #M0201), et les quantités équimolaires (0,05 pmol chacune) des fragments résultants ont été soumises à une réaction CPER dans un volume de 50 µl en utilisant 2 µl d’ADN polymérase PrimeStar GXL (Takara Bio ; #R050A). Les conditions de cycle suivantes ont été utilisées pour la CPER : une dénaturation initiale à 98 °C pendant 2 min ; 35 cycles de dénaturation à 98 °C pendant 10 s, annelage à 55 °C pendant 15 s et extension à 68 °C pendant 15 min ; et une extension finale à 68 °C pendant 15 min. Les entailles dans le produit circulaire ont été scellées en utilisant de l’ADN ligase.

Pour transfecter des cellules avec le produit CPER, nous avons ensemencé des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2 dans une plaque à 6 puits à une densité de 5 x 105 cellules par puits. Le mélange de transfection a été préparé en mélangeant 26 µl du volume de réaction CPER original de 52 µl avec 250 µl d’Opti-MEM (Thermo Fisher Scientific; # 31985070) et 6 µl de TransIT-X2 Dynamic Delivery System (Mirus Bio ; #MIR 6000). Après incubation à température ambiante pendant 25 minutes, le mélange de transfection a été ajouté aux cellules. Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par du DMEM frais contenant 2 % de FBS. Le CPE est devenu visible en 3-4 jours, moment auquel le milieu de culture a été collecté et stocké en tant que stock de virus P0. Le stock P0 a été utilisé pour les expériences décrites dans ce manuscrit. La région de Spike de tous les virus générés par CPER a été séquencée soit par séquençage Sanger, soit par séquençage de nouvelle génération pour confirmer la présence des modifications souhaitées et l’absence de modifications accidentelles.

Des souris K18-hACE2 mâles et femelles âgées de douze à vingt semaines ont été inoculées par voie intranasale avec 104 PFU de SARS-CoV-2 dans 50 µl de PBS 1X stérile. Les inoculations ont été réalisées sous anesthésie à 1-3 % d’isoflurane.

Le score de 1 a été attribué pour chacune des situations suivantes : poids corporel, perte de 10 à 19 % ; respiration, rapide et peu profonde avec un effort accru ; apparence, fourrure ébouriffée et/ou posture voûtée ; réactivité, insensibilité faible à modérée ; et signes neurologiques, tremblements. La somme de ces scores individuels constituait le score clinique final. Les animaux étaient considérés comme moribonds et humainement euthanasiés en cas de perte de poids supérieure ou égale à 20 %, ou s’ils recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs. Le poids corporel et le score clinique ont été enregistrés une fois par jour pendant toute la durée de l’étude. Pour les besoins des courbes de survie, les animaux euthanasiés un jour donné ont été comptés morts le lendemain. Les animaux trouvés morts en cage ont été comptés morts le même jour. Pour l’euthanasie, une surdose de kétamine a été administrée suivie d’une méthode secondaire d’euthanasie. »

Cliquez pour accéder à 2022.10.13.512134v1.full.pdf

Le cercle de la science-fiction.

Il aurait été douloureusement évident pour RFK Jr. et ses amis, s’ils avaient été intellectuellement honnêtes, qu’à aucun moment cette étude préimprimée non évaluée par des pairs n’a démontré l’ingénierie d’une nouvelle souche de « SARS-COV-2. » Pourtant, d’une manière ou d’une autre, ils s’accrochent à des études comme celle-ci pour montrer que non seulement les « virus » existent, mais qu’ils sont génétiquement modifiés par Anthony Fauci et sa joyeuse bande de cohortes qui libèrent ces entités invisibles sur le monde. Alors que RFK Jr. et ses amis dénoncent les vaccins et les mesures draconiennes mises en place durant cette pandémie, leur croyance en ces entités fictives génétiquement modifiées leur permet de justifier leurs quêtes continues pour trouver des vaccins « plus sûrs » et vendre des traitements pharmaceutiques alternatifs alors qu’aucun traitement n’est nécessaire ni une alternative « plus sûre », car pour commencer il n’y a pas de « virus » causant une nouvelle maladie. Leur promotion de ce concept frauduleux maintient le train de la propagande basée sur la peur et ramène dans la toile des mensonges quiconque cherche à se libérer du récit de la théorie des germes élaborée par la pharmacie. Intentionnellement ou non, RFK Jr. et ses amis sont les joueurs de flûte de l’industrie pharmaceutique qui ramènent les souris errantes dans le giron.

Cependant, s’ils épluchaient un peu plus l’oignon et regardaient l’origine des « coronavirus » (comme je l’ai fait ici), ainsi que les preuves fondamentales pseudoscientifiques de tous les « virus », ils verraient à quel point leur position est vraiment illogique. Pour que la recherche sur le gain de fonction soit légitime, il faut d’abord prouver scientifiquement l’existence du ou des « virus » prétendument manipulés et fabriqués. Cela nécessite l’adhésion à la méthode scientifique et l’établissement d’une variable indépendante valide qui serait des particules correctement purifiées et isolées supposées être des « virus » trouvés directement dans les fluides d’un hôte malade. Une fois obtenues en étant séparées de tous les autres contaminants et microbes potentiels, il faudrait ensuite démontrer que ces particules provoquent la maladie en question de manière naturelle, c’est-à-dire en respirant les particules diffusées par aérosol plutôt qu’en utilisant des fluides toxiques issus de cultures cellulaires versés directement dans les narines ou injectés d’une manière ou d’une autre.

Des Expériences de contrôle appropriées utilisant des fluides provenant d’hôtes sains ou de personnes présentant des symptômes similaires, mais déclarés ne pas avoir le « virus » doit également être effectuée. Ce processus devrait être répété à grande échelle et démontré comme reproductible et réplicable par divers chercheurs indépendants. Ce n’est qu’une fois que le « virus  aura été soumis à un processus aussi rigoureux et que son existence aura été scientifiquement prouvée qu’il sera possible de déterminer comment « cultiver » cette entité et comment la modifier génétiquement d’une manière ou d’une autre afin de la rendre plus mortelle. Ce n’est qu’alors que des études de gain de fonction et une origine d’arme biologique ou de fuite de laboratoire pour tout « virus  seraient hypothétiquement possibles. Cependant, ce processus scientifique n’a jamais été réalisé au cours des plus de 100 ans d’existence de la virologie. Il faut d’abord prouver l’existence des particules « virales ». On ne peut pas [seulement] supposer qu’elles existent.

Robert F. Kennedy Jr. et les joueurs de flûte

avec June Hutton

Équipe de rêve

En résumé :

  • De nombreux dirigeants de la communauté de la liberté de la santé préfèrent s’accrocher à des études pseudoscientifiques sur le gain de fonction comme preuve de l’existence de « virus » plutôt que d’examiner si un « virus » a déjà été scientifiquement prouvé en adhérant à la méthode scientifique.
  • Ils avancent un récit, basé sur des e-mails, des demandes de subvention et des lettres au Congrès officiellement publiés, selon lesquels Anthony Fauci finance secrètement des études GOF en Chine qui ont abouti à l’origine du « SARS-COV-2 ».
  • Robert Kennedy Jr. a écrit un nouveau livre, The Wuhan Cover-up, avançant cette spéculation sur les fuites d’armes biologiques/laboratoires GOF.
  • Il a également détaillé les activités néfastes de Fauci dans son livre The Real Anthony Fauci, y compris le financement d’études frauduleuse « ne donnant rien » à l’ère du VIH/sida. (Ceci semble être un modèle dans lequel les études du GOF s’inscrivent).
  • Kennedy Jr. et ses amis mettent également en avant une nouvelle étude préimprimée non évaluée par des pairs de l’Université de Boston, affirmant que c’est la preuve que Fauci finance la recherche GOF et le « SARS-COV-2 » génétiquement modifié.
  • Cependant, s’ils lisaient au moins la section des méthodes de cette étude, il serait évident pour eux que ce n’est pas du tout le cas.

  • Les auteurs ont affirmé avoir généré un recombinant chimère « SARS-CoV-2 » codant pour le gène S d’Omicron dans le squelette d’un isolat ancestral « SARS-CoV-2 » et ont comparé ce « virus » avec le variant d’Omicron circulant naturellement.
  • Chez les souris K18-hACE2, alors qu’Omicron provoque une infection bénigne et non mortelle, le « virus » porteur d’Omicron S a infligé une maladie grave avec un taux de mortalité de 80 %.
  • Les chercheurs ont utilisé des souris génétiquement modifiées pour des expériences sans mentionner les procédures qui ont été suivies pour les modifier génétiquement.
  • Des cellules rénales embryonnaires humaines HEK293T, des cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549, des cellules d’adénocarcinome colorectal humain Caco-2 et des cellules Vero E6 de rein de singe vert africain ont été maintenues dans du DMEM contenant 10 % de FBS et 1X acides aminés non essentiels.
  • Le système de livraison « lentiviral » a été utilisé pour générer des cellules exprimant de manière stable l’ACE2 humain et le TMPRSS2.
  • L’anticorps anti-protéine de la nucléocapside (N) « Anti-SARS-CoV » a été utilisé pour la détection de la protéine N « SARS-CoV-2 » par IF.
  • En d’autres termes, ils ont utilisé des anticorps invisibles non spécifiques jamais correctement purifiés/isolés pour détecter une protéine pour un « virus » jamais correctement purifié/isolé, utilisant ainsi une création fictive pour déterminer l’existence d’une autre.
  • Le plasmide d’expression codant pour la protéine de pointe de l’isolat de Wuhan « SARS-CoV-2 », « pCSII-SARS-CoV-2 F8 », était un aimable cadeau de Yoshiharu Matsuura.
  • Les chercheurs ont affirmé avoir remplacé la Spike de Wuhan dans ce plasmide par une version synthétisée chimiquement de celle d’Omicron et ont appelé le plasmide résultant « pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron ».
  • Le stock « SARS-CoV-2 » BA.1 Omicron « virus » a été généré dans des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2
  • En bref, 5 x 105 cellules, cultivées pendant une nuit dans du DMEM/10 % FBS/1X NEAA dans un puits d’une plaque à 6 puits, ont été inoculées avec le milieu de collecte dans lequel l’écouvillon nasal d’un patient « SRAS-CoV-2 » a été immergé.
  • vingt-quatre heures après l’infection des cellules, le milieu de culture a été remplacé par 2 ml de DMEM/2 % FBS/1X NEAA et les cellules ont été incubées pendant 72 h supplémentaires, moment auquel le CPE est devenu visible.
  • Le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et conservé à -80 °C en tant que stock de « virus » P0.
  • Comme on peut le voir, il s’agit de la soupe de culture cellulaire non purifiée habituelle qui est censée avoir un « virus » en raison de l’apparition de l’effet cytopathogène qui peut être causé par de nombreuses choses autres qu’un « virus ».
  • Pour générer un stock P1, ils ont infecté 1 x 107 cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2, ensemencées la veille dans un flacon T175, avec le « virus » P0 à un MOI de 0,01.
  • Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par 25 ml de milieu contenant 2 % de FBS et trois jours plus tard, lorsque les cellules présentaient un CPE excessif, le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et stocké à -80 °C sous une action P1.
  • Passé à travers un filtre signifie qu’il a été minimalement « purifié », car la filtration est connue pour ne pas être en mesure de séparer tous les contaminants/microbes.
  • Les cellules ont été incubées avec des dilutions en série de 10 fois du stock de « virus » (volume de 250 µl par puits) pendant 1 h à 37 °C, recouvertes de 1 ml par puits de milieu contenant un mélange 1 : 1 de 2X DMEM/4 % de FBS et 1,2 % Avicel, et incubé à 37 °C pendant encore trois jours.
  • Des « virus recombinants SARS-CoV-2 » ont été générés en utilisant une forme modifiée du protocole CPER récemment publié.
  • L’ADNc complet du « SARS-CoV-2 » cloné sur un chromosome artificiel bactérien (BAC) a été utilisé comme matrice pour amplifier le génome viral en huit fragments qui se chevauchent.
  • Un lieur UTR contenant un ribozyme du « virus » de l’hépatite delta (HDVr), la séquence signal de polyadénylation de l’hormone de croissance bovine (BGH-polyA) et un promoteur du cytomégalovirus (CMV) a été cloné sur un vecteur pUC19 et utilisé comme matrice pour amplifier le lieur séquence.
  • Le mélange de transfection a été préparé en mélangeant 26 µl du volume de réaction CPER original de 52 µl avec 250 µl d’Opti-MEM et 6 µl de TransIT-X2 Dynamic Delivery System.
  • Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par du DMEM frais contenant 2 % de FBS.
  • Chaque étape de ce processus est un mélange de produits humains et animaux étrangers avec des produits chimiques synthétiques afin de produire la réaction souhaitée afin de prétendre qu’un « virus » est présent.
  • Des souris K18-hACE2 mâles et femelles âgées de douze à vingt semaines ont été inoculées par voie intranasale avec 10 4 PFU de « SARS-CoV-2 » dans 50 µl de PBS 1X stérile et les inoculations ont été réalisées sous anesthésie à 1-3 % d’isoflurane.
  • La note de 1 a été attribuée pour chacune des situations suivantes :

    • Poids corporel : perte de 10 à 19 % ;
    • Respiration : rapide et peu profonde avec un effort accru ;
    • Apparence : fourrure ébouriffée et/ou posture voûtée ;
    • Réactivité : absence de réponse faible à modérée ;
    • Signes neurologiques : tremblements.

  • La somme de ces scores individuels constituait le score clinique final et les animaux étaient considérés comme moribonds et humainement euthanasiés en cas de perte de poids supérieure ou égale à 20 %, ou s’ils recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs.
  • En d’autres termes, le taux de mortalité de 80 % était une considération subjective basée sur un système de notation arbitraire conduisant à l’euthanasie inutile des animaux et à la responsabilité du « virus ».
« Le Virus
Pandémie post-apocalyptique de science-fiction »

Idée de prochain livre ?

Lorsque nous tentons de déterminer la vérité sur quelque chose, nous devons retracer les preuves aussi loin que possible pour vérifier l’exactitude des informations présentées. Si nous ne le faisons pas, nous parlons d’un sujet du point de vue de l’ignorance. En ce qui concerne les « virus », cela signifie parcourir plus de 100 ans de recherche afin de savoir si l’existence des particules invisibles supposées causer la maladie a déjà satisfait à la charge de la preuve scientifique en accomplissant les étapes requises de la méthode scientifique. Quiconque examine la virologie ouvertement et honnêtement arrivera à la conclusion que cette tâche indispensable n’a jamais été assumée pour aucun « virus ». Tout ce que l’on a à faire est de choisir un « virus » et de regarder les preuves du document fondamental présenté pour voir si c’est le cas ou non. J’ai fait ce travail pendant les 5 dernières années. J’ai lu les études originales pour voir si jamais les chercheurs ont rempli les exigences scientifiques. Beaucoup de mes pairs ont fait de même. Pour cette raison, nous sommes tous arrivés à la même conclusion que la preuve scientifique de l’existence d’un « virus » n’existe tout simplement pas. Ainsi, nous parlons sur ce sujet non par ignorance, mais par connaissance.

Lorsque Robert Kennedy Jr. a été interrogé sur l’existence de « virus », il a raté le passage de relais et a précipitamment renvoyé la balle. Il a affirmé qu’il n’était pas un scientifique et qu’il n’était pas qualifié pour s’exprimer sur le sujet. Pourtant, RFK a écrit un livre sur l’existence et les origines d’un « virus » dont il a lui-même admis ne pas être qualifié pour discuter ni déterminer. Comment Kennedy Jr. s’est-il soudainement qualifié pour pouvoir écrire un livre entier et de nombreux articles sur le sujet ? Cela ne peut certainement pas provenir de la science, car RFK Jr. a admis ne pas avoir examiné l’histoire des preuves « scientifiques » derrière les « virus ». S’il l’avait fait, il se rendrait compte qu’il n’y a pas de science à trouver, seulement de la pseudoscience. Il ne pourrait provenir d’aucune étude prétendant montrer le génie génétique d’un « SARS-COV-2 », car aucune étude de ce type n’existe. Apparemment, il suffit d’une « fuite » d’e-mails et de pures spéculations pour être qualifié pour parler de la mystérieuse origine artificielle d’un « virus ».

Malheureusement, cela ne se limite pas à RFK Jr. Aucun de ceux mentionnés précédemment dans cet article (et beaucoup d’autres non inclus) n’est disposé à examiner l’existence de « virus » ouvertement et honnêtement, ni avec une pensée et une logique critiques. On se heurte régulièrement à des excuses liées au gain de fonction et à la génomique, des « avancées » récentes qui ne pourraient avoir de légitimité que si l’existence du « virus » en question avait été scientifiquement prouvée au préalable. Certains essaient même de justifier l’abâtardissement du mot « isolement » par la virologie. Le plus souvent, on nous dit que les « virus » ne peuvent pas être trouvés directement dans les fluides humains, car il n’y en a pas assez (pourtant il y a suffisamment de « virions » pour provoquer des symptômes) et que les « virus » ont besoin d’une cellule hôte (pour une raison pour laquelle l’hôte malade réel ne compte pas) afin de se répliquer. En quelque sorte, la logique échappe à ces personnes que ces informations sur la façon dont les « virus » fonctionnent et se développent ne pourraient pas être obtenues sans avoir trouvé le « virus » dans la nature et/ou dans les fluides d’un humain malade d’abord afin qu’« il » soit étudié. Évoquer une soupe de culture cellulaire dans un laboratoire et prétendre que les effets prouvent une cause n’est pas la façon dont la science fonctionne. C’est cependant ainsi que fonctionne la pseudoscience et ces personnes feraient bien d’apprendre la différence.

Il n’y a pas que le « virus » qui manque ici…

Si RFK Jr. et ses amis arrêtaient de chasser et de promouvoir la science-fiction et apprenaient à comprendre les sciences naturelles, ils se rendraient compte que la vérité sur le manque de preuves scientifiques des « virus » n’entrave pas ce mouvement de liberté de la santé, mais le renforce plutôt énormément. Une fois qu’ils auront réalisé que les « virus » n’existent pas et ne peuvent donc pas être fabriqués comme des armes biologiques, ils peuvent arrêter de se battre pour des vaccins « plus sûrs », car ils comprendront qu’il n’y a aucune nécessité pour la pratique toxique. Ils verront qu’il n’y a pas de traitements pharmaceutiques alternatifs nécessaires, car ces produits ne font que favoriser une toxicité supplémentaire à laquelle le corps doit alors faire face. Ils pourront avoir un message beaucoup plus puissant contre les confinements, les quarantaines, la distanciation sociale, le masquage, etc. une fois qu’ils concluent que les infections contagieuses ne se produisent pas, ces mesures sont complètement illogiques et totalement inutiles. Ils argumenteront à partir d’une position de connaissance et de force, car il incombera à ceux qui font les affirmations positives de prouver qu’elles sont correctes conformément à la méthode scientifique. RFK Jr. et ses amis seront libres de sortir du paradigme pharmaceutique et de le considérer comme le système de cycle de maladie basé sur la peur pour lequel il a été conçu.

Cependant, cela ne se produit que s’ils sont prêts à être intellectuellement honnêtes. Pour ceux qui sont prêts à admettre qu’ils ne sont peut-être pas qualifiés pour parler de l’existence de « virus », nous sommes nombreux à vouloir les aider à les éduquer ou à les orienter dans la bonne direction afin qu’ils puissent se faire une opinion éclairée. Pour ceux qui ne veulent pas faire une telle reconnaissance et qui veulent continuer à promouvoir la pseudoscience comme s’il s’agissait de preuves scientifiques légitimes, nous avons une mesure conçue pour résoudre ce problème tout en respectant le plus possible la méthode scientifique. S’ils sont vraiment intéressés par la validation scientifique réelle, il n’y a aucune raison de ne pas la soutenir. Le temps est venu d’abandonner le livre de science-fiction, d’arrêter de raconter des histoires effrayantes au public et d’exiger que la vraie science soit réalisée.




La catastrophe des opioïdes aux USA, prescription sous influence de McKinsey

Par le Dr Gérard Delépine

La crise des opioïdes représente une catastrophe médicamenteuse trop peu connue en France.

Une catastrophe hors norme

Par son ampleur, la crise dépasse de très loin les catastrophes médicamenteuses précédentes.

Depuis 20 ans, aux USA le nombre de décès par surdose ne fait qu’augmenter. En 2002 on recensait 2 surdoses mortelles pour 100 000 habitants. En 2012, ce chiffre avait quadruplé (8/100000) et en 2021 il atteint 31/100000. Quinze fois plus qu’il y a 20 ans !

Depuis 2017, les opioïdes font chaque année plus de victimes que les accidents de la route.

Fin 2017, le président Trump a déclaré l’état d’urgence sanitaire et alloué un budget de six milliards de dollars pour améliorer l’éducation des patients et des professionnels et favoriser l’accès aux traitements sans que cela ait stoppé la croissance de la mortalité.

Selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies(([1] CDC offices gouvernementaux)), près d’un demi-million d’Américains sont morts de surdoses entre 1999 et 2018

Morts par surdose impliquant des opioïdes aux États-Unis (2000-2016). Morts par 100 000 habitants.

Lors de la pandémie de COVID-19, une nouvelle augmentation importante du nombre de décès consécutifs à une surdose d’opioïdes de synthèse a été observée(([2] CDC Emergency Preparedness and Response: Increase in Fatal Drug Overdoses Across the United States Driven by Synthetic Opioids Before and During the COVID-19 Pandemic, 17 décembre 2020 – lien : https://emergency.cdc.gov/han/2020/han00438.asp)) avec pour la seule année 2021 plus de 107 000 morts (33/100000 soit autant que le diabète et la maladie d’Alzheimer réunis) et presque le double du nombre de soldats américains tombés durant les 20 ans de guerre du Vietnam !

Les salles d’urgence et les ressources de nombreux états sont mises à rude épreuve pour tenter de répondre à l’épidémie. Le Massachusetts, le Vermont et d’autres États ont décrété un « état d’urgence » ou créé des groupes de travail spéciaux pour faire face à la crise qui leur coûte chaque année des milliards de dollars, sans, non plus, d’amélioration visible.

Une catastrophe qui affecte même l’espérance de vie des Américains !

Le nombre de morts par surdose d’opioïdes est tel qu’il diminue l’espérance de vie des Américains. L’espérance moyenne de vie des Américains progressait depuis plus de 50 ans et atteignait 78,9 ans en 2012. Depuis, elle stagne ou diminue : 77 ans en 2020 et 76,6 ans en 2021.

Espérance de vie à la naissance en années (1980-2020).

La catastrophe des opioïdes ne touche pas seulement les États-Unis

Avec moins de 5 % de la population mondiale, les États-Unis représentent 80 % de la consommation mondiale d’opioïdes et concentrent la grande majorité des morts par surdose.

Toutefois, l’usage abusif des opioïdes se répand dans d’autres pays notamment en Grande-Bretagne, phénomène favorisé par la hausse des prescriptions médicales laxistes et à un trafic croissant de drogues illicites.

Selon l’OCDE, hors États-Unis, les pays les plus touchés par les morts par surdoses d’opioïdes étaient le Canada (85 morts par million d’habitants, en 2015), l’Estonie (81), la Suède (55), la Norvège (49), l’Irlande (44) et le Royaume-Uni (41).

À l’origine de la catastrophe, un scandale médical

Il s’agit d’un problème de société qui a été initié par un scandale sanitaire : l’utilisation abusive d’opiacés de synthèse dans la prise en charge des douleurs chroniques non cancéreuses.

Ces prescriptions qui ont créé la dépendance de toute une partie de la population sont la conséquence d’une mise sur le marché trop laxiste (non accompagnée de mises en garde adéquates) puis mal surveillée par la FDA, de recommandations discutables de sociétés médicales et de campagnes de promotion intenses et mensongères des laboratoires pharmaceutiques.

La FDA a approuvé le fentanyl en 1968, puis les fentanyls à libération immédiate transmucosale (TIRF) conçus pour pénétrer dans la circulation sanguine en quelques secondes. Ils sont plus dangereux que la plupart des opioïdes en raison de leur très grande puissance et de leur délai d’action rapide.

Ils n’ont été approuvés par la FDA que pour les patients cancéreux adultes « qui reçoivent déjà et qui tolèrent un traitement aux opioïdes pour leur douleur cancéreuse persistante ».

L’origine de la crise actuelle date du début des années 1990, quand des campagnes d’information organisées par des sociétés savantes et des associations de patients (parfois sponsorisées par l’industrie pharmaceutique) ont sensibilisé l’opinion et le corps médical sur la prise en compte parfois insuffisante du traitement de la douleur.

Des sociétés savantes trop proches de Big Pharma ont émis des recommandations incitant les médecins à prescrire des opiacés pour des douleurs chroniques « même non-cancéreuses. »

Des campagnes de marketing agressives ont été répétées par les industriels, dont Purdue Pharma, suivant les conseils de cabinet spécialisés, dont McKinsey. Elles ont instrumentalisé des études mensongères du début des années 1980 prétendant que ces nouveaux opioïdes ne produisaient pas de risque d’addiction.

Ces manipulations des médecins ont été efficaces. Les prescriptions d’opioïdes ont augmenté de 350 % entre 1999 et 2015. Pendant vingt ans, laboratoires et distributeurs ont ainsi bénéficié d’un marché de 8 milliards de dollars par an.

Mais rapidement de nombreux malades traités par ces opioïdes ont développé une forte addiction aux opiacés les poussant à rechercher leurs drogues auprès des trafiquants lorsque les prescriptions médicales ne leur suffisaient plus. Les hospitalisations et les morts liées aux surdoses d’opioïdes ont alors fortement augmenté.

La FDA, agence captive, n’a pas rempli sa fonction de protection de la population

Lorsque le problème est devenu évident, la FDA n’a pas imposé de mesures strictes pour empêcher une utilisation inappropriée de TIRF. Elle n’a réalisé aucune enquête indépendante, mais s’est contentée des rapports lénifiants que lui adressait l’industrie du médicament.

Cette incapacité de la FDA de protéger la population de l’utilisation de médicaments dangereux n’est pas accidentelle, mais témoigne de sa « capture » par les laboratoires pharmaceutiques qu’elle est censée réguler.

La capture réglementaire (ou captation de la réglementation) est une corruption de l’autorité qui se produit lorsqu’un organisme de réglementation privilégie les intérêts commerciaux d’une industrie, ou d’une profession au lieu de défendre l’intérêt général pour lequel elle a été créée.

Cette capture réglementaire est une conséquence de la défaillance de l’État qui, depuis plusieurs décennies, n’assure plus un financement suffisant pour garantir l’indépendance de l’agence et lui demande de compléter son financement par les entreprises qu’elle doit réguler. Ainsi aux USA près de la moitié du budget de la FDA est assurée par les entreprises du médicament qui en ont ainsi effectivement pris le contrôle. Depuis lors, les décisions de la FDA privilégient presque toujours l’intérêt de l’industrie sur celui de la sécurité médicamenteuse.(([3] Lire à ce sujet le livre de R F Kennedy :
« Dès mon entrée à reculons dans le débat sur les vaccins en 2005, je fus stupéfait de constater que le réseau tentaculaire des profonds enchevêtrements financiers entre l’industrie pharmaceutique et les agences gouvernementales de santé avait permis une capture réglementaire musclée. Par exemple, les CDC possèdent 57 brevets de vaccins et consacrent 4,9 % de leur budget annuel de 12 milliards de dollars (en 2019) à l’achat et à la distribution de vaccins. Les NIH sont propriétaires de centaines de brevets de vaccins et tirent souvent profit de la vente des produits qu’ils sont censés réglementer. Des fonctionnaires haut placés, dont le Dr Fauci, reçoivent des émoluments annuels allant jusqu’à 150 000 $ en redevances sur des produits qu’ils contribuent à développer puis à faire homologuer. La FDA reçoit 45 % de son budget de l’industrie pharmaceutique, par le biais de ce qu’on appelle, par euphémisme, les “frais d’utilisation” »
KENNEDY-Fauci-Gates-BigPharma-640pages 27 26/01/22 09:01 28 ANTHONY FAUCI, BILL GATES ET BIG PHARMA))

L’industrie s’était plainte de la lenteur des procédures de mise sur le marché qui l’empêchait de bénéficier pleinement de la période d’exclusivité octroyée par ses brevets. La FDA a considérablement réduit les procédures classiques et inventé différents motifs d’examens très allégés au détriment de la sécurité des malades, dont les injections anti-covid constituent un exemple démonstratif.

Mais cet allègement des procédures s’est fait au détriment de la sécurité médicamenteuse.

En témoigne la multiplication des scandales médicamenteux depuis plus de 20 ans.

Rappelons celui des antidépresseurs tels que le Prozac (susceptible de favoriser le passage à l’acte et en particulier suicide et tuerie de masse), resté sur le marché alors que Lilly savait depuis les années 1980 que la fluoxétine — principe actif du Prozac — pouvait altérer le comportement des malades, et l’a soigneusement caché ou minimisé.(([4] https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/2005/01/04/la-pilule-ne-passe-plus-aux-etats-unis))

Pfizer a également été obligé de faire savoir que son médicament vedette, le Celebrex, pouvait entraîner des infarctus.

Et depuis trois ans, Bayer a dû cesser de vendre son Baycol à cause des graves troubles musculaires qu’il peut occasionner, pouvant conduire au décès des patients.

En 2004, devant une commission sénatoriale enquêtant sur le scandale du Vioxx(([5] Voir la Face cachée du médicament, N Delépine, éditions Michalon, 2011)) (responsable d’au moins 100 000 victimes, dont 40 000 morts aux USA sans que la FDA intervienne), David Graham, un des cadres supérieurs de la FDA, a déclaré devant la commission d’enquête du sénat(([6] https://www.finance.senate.gov/imo/media/doc/111804dgtest.pdf)):

« d’autres scandales sont à venir, et le pays est pratiquement sans défense contre les médicaments à risque, qui entrent si facilement dans les foyers américains. La FDA est aujourd’hui incapable d’empêcher cela ».

Dès 2005, le Journal of American Medical Association (JAMA) constatait : « la FDA est dépassée et ne remplit plus du tout son rôle. Et nous ne sommes certainement pas les seuls à le penser ».

Le Wall Street Journal précise :

« sur les 327 millions de dollars que l’agence dépense pour les médicaments, seulement 27 sont consacrés à la recherche d’effets secondaires de ceux présents sur le marché. »

Cette incapacité de la FDA à s’opposer aux intérêts des firmes pharmaceutiques a permis à la corruption et aux campagnes mensongères de propagande médicamenteuse organisées par des cabinets de conseil de prospérer.

Les menées de McKinsey contre la Santé publique

Ce cabinet de conseil a fortement contribué à la crise des opioïdes en vendant pendant une décennie des schémas marketing et des services de conseil aux fabricants d’opioïdes, notamment Purdue Pharma, Endo Pharmaceuticals, Johnson & Johnson ou Mallinckrodt Pharmaceuticals.

Durant la même période, McKinsey a omis de divulguer ses conflits d’intérêts graves et de longue date à la FDA, violant potentiellement les exigences contractuelles et la loi fédérale.

Lors d’un communiqué du 13 avril 2022, Maloney Carolyn B présidente de la commission d’enquête sénatoriale a déclaré(([7] United States. Congress. The Firm and the FDA:: McKinsey & Company’s conflicts of interest at the heart of the opioid epidemic : interim majority staff report / Committee on Oversight and Reform, U.S. House of Representatives.
https://permanent.fdlp.gov/gpo182429/2022-04-13.McKinsey%20Opioid%20Conflicts%20Majority%20Staff%20Report%20FINAL.pdf)):

« l’enquête du Comité de surveillance met en lumière le monde non réglementé et secret des cabinets de conseil privés comme McKinsey qui créent des conflits d’intérêts en travaillant à la fois pour le gouvernement fédéral et les industries réglementées. »

Le rapport d’aujourd’hui montre qu’en même temps que la FDA s’appuyait sur les conseils de McKinsey pour garantir la sécurité des médicaments et protéger les vies américaines, la société était également payée par les entreprises mêmes qui alimentent l’épidémie mortelle d’opioïdes pour les aider à éviter une réglementation plus stricte de ces médicaments dangereux.

« McKinsey a employé au moins 22 consultants à la fois à la FDA et chez les fabricants d’opioïdes sur des sujets connexes, y compris en même temps. Dans les coulisses, les consultants de McKinsey ont tiré parti de leurs relations fédérales pour obtenir encore plus d’affaires dans le secteur privé et ont tenté d’influencer les principaux responsables de la santé publique au nom de clients comme Purdue Pharma. Les consultants de McKinsey ont discuté de la suppression de documents liés à leur travail pour Purdue :

les documents obtenus par le Comité révèlent que dès mai 2017, les partenaires de McKinsey ont discuté des moyens d’empêcher que les documents de McKinsey ne soient découverts dans les poursuites en cours de Purdue. »

Une cinquantaine de procureurs généraux, dont Maura Healey, la procureure générale du Massachusetts, tête de pont dans ce dossier, ont mis en accusation McKinsey.(([8] https://gunandsurvival.com/2022/04/28/maura-healey-blasts-mckinseys-opioid-schemes-in-house-hearing/))(([9] En France le scandale McKinsey a pour l’instant été étouffé à l’approche des élections. Néanmoins il ne saurait disparaître définitivement. «  Quelles missions McKinsey a-t-il effectuées pour l’État ? »
« Sous le mandat d’Emmanuel Macron, le cabinet McKinsey a été chargé de plusieurs missions. Il a notamment, pendant deux ans et avec le cabinet Accenture, été chargé d’évaluer la stratégie nationale de santé (coût : 1,2 million d’euros). C’est lui qui a également été missionné pour contrôler la viabilité des solutions informatiques de la CAF dans le cadre de la réforme des APL (3,88 millions d’euros). Surtout, de novembre 2020 à février 2022, McKinsey a été chargé de la campagne vaccinale avec l’organisation logistique, la mise en place d’indicateurs et d’outils de suivi ou encore l’établissement d’un plan d’action pour la campagne de rappel pour la 3e dose de vaccin anti-Covid ».
McKinsey : où en est l’enquête ? Le résumé de l’affaire (linternaute.com) ))

« Notre travail nous a permis de mettre en lumière des schémas marketing qui allaient bien au-delà des premières entreprises que nous avions ciblées dans notre enquête. Au terme de notre travail, il est devenu très clair où nombre de ces schémas marketing trouvaient leur origine : de consultants de McKinsey […]. Pendant ce temps-là, des millions d’Américains sont devenus accrocs, ont fait des overdoses et sont décédés », a-t-elle déclaré.

Il est reproché à McKinsey d’avoir contribué à la crise des opioïdes aux États-Unis en vendant pendant une décennie des schémas marketing et des services de conseil aux fabricants d’opioïdes, notamment Purdue Pharma, Endo Pharmaceuticals, Johnson & Johnson ou Mallinckrodt Pharmaceuticals, d’avoir poussé à l’augmentation du nombre de visites de représentants commerciaux auprès des plus importants prescripteurs d’opioïdes, d’avoir ciblé des médecins avec des messages spécifiques pour les convaincre de prescrire plus d’OxyContin (le médicament produit par Purdue Pharma), d’avoir encouragé plusieurs producteurs d’opioïdes à s’unir pour résister aux régulations de la FDA qui cherchait à limiter les prescriptions et d’avoir tenté d’influencer des représentants du gouvernement, y compris le secrétaire de l’administration Trump à la santé et aux services sociaux (HHS) Alex Azar, pour faire avancer les intérêts de ses clients du secteur privé. .

Le 4 février 2022, pour éviter un procès public qui aurait possiblement révélé d’autres violations de la loi, McKinsey a proposé de payer 573,9 millions de dollars(([10] Dyer O. McKinsey agrees to pay $574m to US states to settle opioid claims BMJ 2021; 372 : n360 doi:10.1136/bmj.n360)) (5 % de son chiffre d’affaires) en réparation aux états. McKinsey paiera environ 80 % de l’argent immédiatement pour renforcer les programmes de traitement et renforcer les budgets de la police mis à rude épreuve par l’abus accru des opioïdes.

Un scandale médicamenteux aggravé par la corruption du corps médical

Les laboratoires offrent volontiers des cadeaux aux médecins qui prescrivent leurs produits vedettes en prétextant souvent qu’il s’agit de faciliter l’enseignement ou la recherche. Pfizer a ainsi déclaré avoir versé ces quatre dernières années 631 millions de dollars (465 millions d’euros) à environ 300 000 professionnels, dont 173 millions pour 2012 (pour un chiffre d’affaires américain de 23 milliards de dollars).

Fabricant et distributeurs d’opioïdes condamnés

Purdue, basée à Stanford, dans le Connecticut premier fabricant d’opioïdes, a demandé la protection contre la faillite en 2019 après avoir été engloutie dans un tsunami de poursuites (plus de 3000) déposées par les gouvernements des États et locaux.(([11] The Family That Built an Empire of Pain | The New Yorker))

Il a accepté de régler 8,3 milliards de dollars après avoir plaidé coupable de trois crimes pour sa commercialisation d’OxyContin.

C’était la deuxième fois en 13 ans que la société plaidait coupable à des accusations criminelles pour ses tactiques de vente d’opioïdes.

En juillet 2021, Johnson & Johnson accepte de payer 5 milliards sur neuf ans et les distributeurs McKesson, Cardinal Health et AmerisourceBergen — fournisseurs de quelque 90 % des médicaments américains 21 milliards sur 18 ans. Ces sociétés espèrent ainsi mettre fin à près de 4 000 actions intentées au civil par des dizaines d’États américains et collectivités locales, dans le cadre d’une proposition d’accord à l’amiable « historique ».

Danger des opioïdes en France

D’après les données de l’assurance maladie, environ 10 millions de Français ont consommé des opioïdes en 2015. En une dizaine d’années, la consommation de ces médicaments a fortement augmenté. Entre 2006 et 2017 la prescription d’opioïdes forts, dominée par l’Oxycodone, a cru de près de 150 %, et leurs mésusages ont plus que doublé entre. Le nombre d’hospitalisations liées à la consommation d’antalgiques opioïdes obtenus sur prescription médicale a augmenté de 15 à 40 hospitalisations pour un million d’habitants. Entre 2000 et 2015, le nombre de décès liés à la consommation d’opioïdes a augmenté de 1,3 à 3,2 par million d’habitants, avec au moins 4 décès par semaine.

Le Tramadol serait le premier médicament responsable de ces mésusages, et le premier responsable des décès observés suivi de la morphine, l’Oxycodone puis le fentanyl transdermique à action rapide.

Les modalités de prise en charge et de surveillance par les prescripteurs, ainsi que l’accès restreint à ces médicaments, ont pour l’instant permis d’éviter le pire. Rappelons les recommandations de la ANSM :

« UNE PRESCRIPTION D’ANTALGIQUE OPIOÏDE DOIT SYSTÉMATIQUEMENT S’ACCOMPAGNER D’UNE INFORMATION AU PATIENT SUR LE TRAITEMENT ET SUR SON ARRÊT, ET D’UNE SURVEILLANCE DE CES RISQUES MÊME LORSQU’IL EST INITIALEMENT PRESCRIT DANS LE RESPECT DES CONDITIONS DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ ».


https://twitter.com/p_duval/status/1490598237211873281
https://twitter.com/p_duval/status/1490598242127601664




Qui n’a pas son programme ? Demandez votre programme !

La World Company a l’honneur de vous présenter sa nouvelle super production diffusée sur Netflix « la variole du singe(([1] Toutes les affirmations citées sont sourcées.))» !

Nous vivons sur une planète où tout va de plus en plus vite.
Difficile de suivre toutes les nouvelles séries tant elles s’enchaînent :

  • Alors même que la saison 1 de « War in the Ukraine » bat son plein !
  • Alors même que nous terminons la saison 2 de la série comique « the Covid » et que nous attendons avec impatience la prochaine saison riche en rebondissements et en effets secondaires !

Le pilote de « Monkeypox, panic on the earth » a été diffusé il y a quelques jours.

Je vous fais le pitch rapide :

« Un homo(([2] « S’il y a une communauté qui doit faire attention à elle, c’est la communauté homosexuelle ». Eric Caumes
https://rmc.bfmtv.com/actualites/societe/sante/un-cas-suspect-de-variole-du-singe-en-france-il-faut-rester-tres-prudent-previent-eric-caumes_AV-202205200094.html)) a couché avec un singe en Afrique, singe qui avait une crise d’urticaire et le contamine. L’homme a ensuite transmis sa maladie à ses copains lors d’une petite fête.

Allons-nous assister à une nouvelle épidémie mondiale ? Le suspens est insoutenable ! »

Attention, ce document révèle des éléments de l’intrigue qui ne se sont pas encore produits et qui pourraient gâcher le plaisir des téléspectateurs.

Si vous désirez angoisser au fil des semaines je vous invite à ne pas lire ce qui suit et regarder la série en direct sur BFM.

Assez bavasser, je vous dis tout !

Tout commence avec l’OMS(([3] https://www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/2022-DON381)) qui publie la bande-annonce de la série :

« On 7 May 2022, WHO was informed of a confirmed case of monkeypox in an individual who travelled from the United Kingdom to Nigeria and subsequently returned to the United Kingdom. »

« Le 7 mai 2022, l’OMS a été informée d’un cas confirmé de variole du singe chez une personne qui a voyagé du Royaume-Uni au Nigeria et est ensuite retournée au Royaume-Uni. »

Le 18 mai le Département de Santé Publique du Massachusetts(([4] https://www.mass.gov/news/massachusetts-public-health-officials-confirm-case-of-monkeypox)):

« … today confirmed a single case of monkeypox virus infection. This contact tracing approach is the most appropriate given the nature and transmission of the virus.
The confirmed case poses no risk to the general public »

« … a confirmé aujourd’hui un seul cas d’infection par le virus monkeypox.
L’approche basée sur le contact tracing est la plus appropriée compte tenu de la nature et de la transmission du virus.

Le cas confirmé ne présente aucun risque pour le grand public »

Je dois déjà les mauvaises langues et les esprits désabusés nous parler de « plagiat ».

C’est n’importe quoi !
Allez-vous dire que Top-chef et Master-chef sont les mêmes émissions ?
Le Covid et le Monkeypox n’ont rien à voir même si les producteurs sont les mêmes.

Pour le premier, nous avons un pangolin qui couche avec une chauve-souris et les deux qui s’enfuient de leur résidence P4 de Wuhan pour aller au marché, alors que là c’est un brave homme en Afrique qui a une idylle amoureuse avec un singe contaminé par une maladie éradiquée depuis 1980.
Vous voyez bien que cela n’a rien à voir !

Bon d’accord, pour les deux histoires on dit que « ce n’est pas grave », que « tout est sous contrôle »… mais vous voulez quoi ?
Que le pilote débute avec 50 millions de morts dès les premiers jours ?
Briseurs de bonheur !

Fort heureusement, tous les grands médias jouent le jeu de la promotion, super production oblige !

Sur TF1(([5] https://www.tf1info.fr/sante/qu-est-ce-que-la-variole-du-singe-dont-des-cas-ont-ete-detectes-en-espagne-et-au-portugal-2220176.html)) on a pu lire le 18 mai 2022 :

« La durée d’incubation — intervalle s’écoulant entre l’infection et l’apparition des symptômes — est en général de 6 à 16 jours, mais peut aller de 5 à 21 jours. Les symptômes durent de 14 à 21 jours et disparaissent, en général, spontanément. Néanmoins, ils peuvent parfois être fatals, le taux de létalité de la variole du singe étant de 1 à 10 %. Particularité notable, les cas graves touchent, généralement, des enfants. »

Je ne trahis pas le scénario en voyant qu’ils sont en train de nous amener vers les PCR et le confinement…

En cela, il ne s’agit nullement de plagiat, je le redis, mais d’une simple application du consensus scientifique du 21e siècle, plus précisément post 2020, qui a prouvé que des millénaires d’expérience n’étaient que de la merde ainsi que toutes les études précédentes.

Qui peut encore douter de l’efficacité des confinements hormis quelques crétins qui citent des pays qui ont fait différemment comme la Suède alors que « La suède, ce n’est pas comparable et ils regrettent bien leur stratégie ».

En Belgique c’est pareil, RTL(([6] https://www.rtl.be/info/belgique/societe/variole-du-singe-de-quels-traitements-dispose-t-on-deja-pour-traiter-la-maladie–1377856.aspx)) a publié le 21 mai de cette année :

« L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’attend à ce que le nombre de cas de variole du singe se multiplie notamment en Europe, mais aussi au Canada en Australie ou encore aux États-Unis “Alors que nous entrons dans la saison estivale (…) avec des rassemblements, des festivals et des soirées, je crains que la transmission s’accélère”, a affirmé le directeur de l’OMS pour l’Europe, Hans Kluge. Et de rajouter “Si vous êtes malade, il faut vous mettre en isolement pendant 21 jours : c’est la durée de la période d’incubation.” 

Emmanuel Bottieau, Chef de l’unité des maladies tropicales à l’institut de médecine tropicale d’Anvers : “On a une molécule qui a été développée pour la variole, mais pour la variole historique. Il y a eu à un moment donné, un risque de bioterrorisme et donc on a développé à ce moment-là un traitement qui est efficace et qui a déjà d’ailleurs été utilisé aussi pour la variole du singe.” 

La transmission se fait par contact direct. Il faut donc éviter de toucher une personne contaminée et bien se laver les mains pour s’en prémunir. »

Petit à petit nous entrons dans l’intrigue et voyons bien, une fois de plus, que la série « Covid » et la série « Monkeypox » n’ont rien en commun !

Alors que le Covid était un virus « naturel » échappé par « accident » d’un laboratoire où il était « naturellement » présent, la variole du singe serait peut-être une attaque bioterroriste !

L’histoire se présente bien, mais je trouve qu’il y a quelques petites failles dans le scénario, failles qui ne peuvent titiller qu’un complotiste comme moi.

Par exemple, au moment de l’écriture de ces lignes, l’histoire nous indique que les seuls pays où les premiers cas du virus ont été confirmés sont les USA, l’Europe, le Canada et l’Australie.
Je cherche la petite bête, mais bon, reconnaissez que ces pays sont relativement peu connus pour leurs colonies de singes et, par voie de conséquence, aucun cas n’est signalé dans les pays qui ont des singes !

Je me demande s’il n’y aurait pas une pointe de racisme que les IELs devraient soulever. On pille l’Afrique et les pays pauvres et on leur vole même leurs maladies !

Je reconnais qu’il y a une petite malhonnêteté de la part des scénaristes. Comme par hasard, l’épidémie démarre dans les pays où la série Covid a le mieux fonctionné… les pays qui ont connu les meilleures ventes de produits de merchandising comme les « vaccins ».

Je voudrais aussi dire aux médecins complotistes qu’ils ne vont pas nous gâcher le plaisir et refaire le coup du Covid en balançant des âneries monumentales comme le fait que « ce n’est pas dangereux et ça se traite ».

Autant TF1 a fait le job en parlant de « 1 % à 10 % de décès », ce qui est super chouette, car largement plus que pour le Covid, mais aussi en nous disant que les enfants étaient largement menacés, ce qui ne peut que nous réjouir et nous donner l’eau à la bouche.

Vivement des images d’enfants mourant dans les hôpitaux après d’horribles souffrances ou les alignements de petits cercueils blancs !

Car pour le Covid, ils avaient beau nous sortir des épisodes dans lesquels il était dit que le Covid était dangereux pour les enfants, on restait sur notre faim. Il y a bien eu quelques grands professeurs pour nous raconter qu’ils avaient des enfants qui mourraient dans leur service… mais la mayonnaise n’a pas pris. Soyons francs, le Sars-cov2 est un virus de merde en ne tuant que des vieux et des malades.

La série était condamnée sans l’idée géniale des scénaristes transformant les petits-enfants en tueurs de grands-parents. L’intrigue n’a été sauvée qu’en imposant confinement, distanciation, gel, masque et en forçant la vaccination des enfants pour nous tenir en haleine pendant des mois. Il faut dire qu’il fallait oser pour rendre moral le sacrifice des enfants pour rassurer des vieux cons qui ont peur de mourir malgré leur vie de merde.

Les premières images de la variole du singe sont pleines d’espoir :

« Ce n’est pas dangereux, mais il y a entre 1 % et 10 % de morts »

ou :

« Il y a des traitements, mais les enfants en meurent aussi ».

À ce titre je voudrais remercier chaleureusement le professeur Caumes qui, sur Cnews, nous a bien dit que les vieux étaient plus protégés parce qu’ils avaient bénéficié de la vaccination obligatoire contre la variole tandis que les jeunes enfants ne sont pas protégés du fait de la fin de cette vaccination obligatoire.

Hélas, j’ai pu lire sur Twitter les annonces « criminelles » du docteur Alain Brugerie(([7] https://twitter.com/brugerie/status/1527758501581398017))…

Entre parenthèses nous payons déjà les annonces d’achat par le complotiste Musk. À quand une implication sans faille du Ministère de la Vérité pour empêcher de pervertir « les cons qui gobent n’importe quoi ».

Ce médecin irresponsable (à moins que cela fasse partie du scénario pour faire du buzz) a écrit :

« La variole du singe est bien moins dangereuse que la varicelle, mais son appellation beaucoup plus » vendeuse » pour affoler les populations déjà terrorisées par l’inoffensif Omicron et c’est bien là le but.

La variole du singe c’est rare, peu contagieux et ça guérit tout seul. Le but de cette médiatisation débile étant évidemment d’entretenir un climat de trouille et de dépendance sanitaire chez les obsédés du Covid et autres hypocondriaques »

Nous ne pouvons qu’être glacés d’effroi face à de tels propos irresponsables incompatibles avec la dictature et l’ultralibéralisme.

Un peu d’histoire avec un petit ou un grand « H », c’est selon…

1820 Vaccination massive antivariolique à Londres.(([8] https://www.bbc.com/news/uk-england-leicestershire-50713991))

1853 Loi vaccination obligatoire avant 3 mois en Angleterre avec fortes sanctions en cas de désobéissance.

1869 Création de la « Leicester Anti-Vaccination League ».

Les parents ne voulaient plus vacciner leurs enfants à cause des effets secondaires graves et une efficacité toute relative. De moins en moins d’enfants sont vaccinés.

1885 Grande manifestation à Leicester suite aux milliers d’amendes pour non-vaccination.

La ville met en place un système de détection et isolement des malades.

« Leicester s’en est bien tiré, avec 370 cas — un taux de 20,5 cas pour 10 000 habitants — entraînant 21 décès. Il s’agissait d’un nombre de cas bien inférieur à celui de certaines villes bien vaccinées comme Warrington (125) et Sheffield (144). »

1898 — La loi sur la vaccination introduit une clause d’« objection de conscience ». Loi dont nous français ne pouvons pas bénéficier.

Selon le magazine Science(([9] https://www.science.org/doi/pdf/10.1126/science.357.6347.115?download=true)) du 17 juillet 2017 :

1900 à 1978

Entre 300 et 500 millions de morts de la variole dans le monde.

Le 21 décembre 1977, F. J. Tomiche, porte parole de l’OMS publiait un article fort « complotiste » dans Le Monde(([10] https://www.lemonde.fr/archives/article/1977/12/21/la-variole-vaincue_2855286_1819218.html)) (texte complet(([11] https://groups.google.com/g/atdlvq/c/O4pok84N22I))).

« Sur le plan stratégique, l’abandon de la vaccination de masse en faveur de l’approche dite de “surveillance-endiguement” revêtit une importance capitale. Elle résulta de deux observations. La première était que même dans des populations vaccinées à 90 % on pouvait assister à des flambées épidémiques. La seconde était qu’avec ce type d’approche, on parvenait à faire complètement échec à la transmission, même lorsque l’incidence variolique était élevée et les taux d’immunisation faibles. La méthode consiste en la prompte détection de nouveaux cas, suivie de mesures d’endiguement immédiates, c’est-à-dire la recherche de tous les contacts possibles et leur isolement afin d’arrêter la transmission. »

1980

L’OMS déclare officiellement l’éradication de la variole « grâce au vaccin ».

1990

L’OMS déclare qu’il faut détruire les stocks de souches de variole, mais cela reste un effet d’annonce.

2016

Des chercheurs canadiens recréent le virus de la variole en utilisant des fragments d’ADN commandés en ligne. Leur travail soutiendrait la thèse visant à garder toutes les souches pour se prémunir d’attaques terroristes. Ainsi les chercheurs disposeraient du matériel génétique pour développer de nouveaux vaccins en cas de menace.

Je vous avais promis de vous faire des révélations sur la série et j’invite donc les personnes qui ne veulent pas gâcher le suspense à ne pas lire ce qui suit.

Le 24 septembre 2019, soit avant la sortie officielle de la série « Covid in your ass », la FDA(([12] https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-approves-first-live-non-replicating-vaccine-prevent-smallpox-and-monkeypox)) (qui autorise les médicaments aux USA après pot-de-vin) a indiqué :

« The U.S. Food and Drug Administration announced today the approval of Jynneos Smallpox and Monkeypox Vaccine, Live, Non-Replicating, for the prevention of smallpox and monkeypox disease in adults 18 years of age and older determined to be at high risk for smallpox or monkeypox infection. Therefore, although naturally occurring smallpox disease is no longer a global threat, the intentional release of this highly contagious virus could have a devastating effect. »

« La Food et Drug Administration a annoncé aujourd’hui l’approbation du vaccin Jynneos contre la variole et le monkeypox, vivant, non réplicatif, pour la prévention de la variole et de la maladie du monkeypox chez les adultes de 18 ans et plus considérés comme étant à haut risque d’infection par la variole ou le monkeypox. Par conséquent, bien que la maladie naturelle de la variole ne soit plus une menace mondiale, la libération intentionnelle de ce virus hautement contagieux pourrait avoir un effet dévastateur. »

En septembre 2019 des chercheurs ont donc eu l’idée « géniale » de sortir un vaccin contre une maladie qui n’existe plus (je vous dis pas la dépense).
Juste au cas où, par un malheureux « hasard », un taré allait libérer un virus qui n’existe plus dans la nature.

Comment ne pas trouver ce scénario aussi ridicule qu’un Sars-cov2 manipulé par des humains dans un laboratoire connu pour faire des recherches sur le gain de fonction de virus pour ensuite le libérer dans la nature ? C’est là qu’on voit que je ne suis pas scénariste, il n’y a que la World Company pour imaginer un truc pareil.

Attendez, ce n’est pas tout !

Le 4 juin 2021, alors même que nous sommes en pleine saison 2 de « the anal Covid », la FDA(([13] https://www.fda.gov/drugs/news-events-human-drugs/fda-approves-drug-treat-smallpox)) en remet une couche !

« The U.S. Food and Drug Administration today approved Tembexa (brincidofovir) to treat smallpox. Although the World Health Organization declared smallpox, a contagious and sometimes fatal infectious disease, eradicated in 1980, there have been longstanding concerns that the virus that causes smallpox, the variola virus, could be used as a bioweapon.
Because smallpox is eradicated, the effectiveness of Tembexa was studied in animals infected with viruses that are closely related to the variola virus. Effectiveness was determined by measuring animals’ survival at the end of the studies. More animals treated with Tembexa survived compared to the animals treated with placebo »

« La Food and Drug Administration des États-Unis a approuvé aujourd’hui Tembexa (brincidofovir) pour traiter la variole. Bien que l’Organisation mondiale de la santé ait déclaré la variole, une maladie infectieuse contagieuse et parfois mortelle, éradiquée en 1980, on craint depuis longtemps que le virus qui cause la variole, le virus de la variole, puisse être utilisé comme arme biologique.
La variole étant éradiquée, l’efficacité de Tembexa a été étudiée chez des animaux infectés par des virus étroitement apparentés au virus variolique. L’efficacité a été déterminée en mesurant la survie des animaux à la fin des études. Plus d’animaux traités avec Tembexa ont survécu par rapport aux animaux traités avec un placebo »

Je vous sais un public averti, mais je ne résiste pas au plaisir de vous réécrire la phrase suivante :

« La variole étant éradiquée, l’efficacité de Tembexa a été étudiée chez des animaux infectés par des virus étroitement apparentés au virus variolique. »

Ce médicament a donc été autorisé sur des humains en ne testant son efficacité sur aucun homme étant donné que la maladie n’existe plus. Il a ainsi été uniquement testé sur des animaux avec un virus qui ressemble au virus humain. !!!
Dire qu’il existe des personnes qui se méfient de l’industrie pharmaceutique… On se demande bien pourquoi.

Ici encore on dépense des millions pour guérir d’une maladie qui n’existe plus. Quand on connaît cette industrie, sa soif de bénéfices, son désintérêt total pour des maladies orphelines dont le retour sur investissement est nul, son désintérêt total de l’humanité, pourquoi iraient-ils faire des dépenses délirantes pour une maladie sans malades ?

À ce stade de l’histoire, il n’est plus possible de douter de l’humour ravageur des auteurs.

Heureusement que tout ceci n’est que « fiction ».
Qui dans la vraie vie pourrait trouver le scénario crédible ?

C’est aussi délirant que d’imaginer des milliards de terriens demandant à se faire injecter une substance expérimentale à base d’ARN messager jamais commercialisée auparavant et en autorisation de mise sur le marché conditionnelle pour espérer se protéger d’une maladie qui ne tue que des mourants à qui on a refusé le traitement efficace quasi gratuit.
Scénario tiré par les cheveux…

Quelle est la suite de la série ?

Vous me croirez si vous voulez, mais le scénario complet de la variole du singe a été publié sur le site du NTI(([14] https://www.nti.org/analysis/articles/strengthening-global-systems-to-prevent-and-respond-to-high-consequence-biological-threats/))
Le NTI est une association basée à Washington qui vise à augmenter, entre autres, la sécurité nucléaire.
Si vous allez voir, il n’y a que des gens bien et sérieux dans l’équipe, dormez tranquille.

Le 23 nov. 2021, le NTI publie un article intitulé :

« Renforcer les systèmes mondiaux pour prévenir et répondre aux menaces biologiques à fortes conséquences. »

En mars 2021, soit plus d’un an avant la diffusion de l’épisode pilote, « NTI s’est associée à la Conférence de Munich sur la sécurité pour mener un exercice sur table sur la réduction des menaces biologiques à conséquences élevées. »

« Les participants comprenaient 19 hauts dirigeants et experts de toute l’Afrique, des Amériques, d’Asie et d’Europe avec des décennies d’expérience combinée dans la santé publique, l’industrie de la biotechnologie, la sécurité internationale et la philanthropie. » (philanthropie, ça vous fait penser à qq ?)

Attention, scénario dévoilé !

« Développé en consultation avec des experts techniques et politiques, le scénario fictif de l’exercice dépeint une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle de virus de la variole du singe qui est apparue pour la première fois dans la nation fictive de Brinia (NB c’est “Brinia” et non “Britain” comme pour le premier cas “réel” indiqué par l’OMS) et s’est propagée à l’échelle mondiale pendant 18 mois.
En fin de compte, le scénario de l’exercice a révélé que l’épidémie initiale avait été causée par une attaque terroriste utilisant un agent pathogène conçu dans un laboratoire avec des dispositions de bio-sûreté et de biosécurité inadéquates et une surveillance faible. »

« Les discussions tout au long de l’exercice sur table ont généré une gamme d’idées précieuses et de conclusions clés. Plus important encore, les participants à l’exercice ont convenu que, malgré les améliorations apportées à la suite de la réponse mondiale à la COVID-19, le système international de prévention, de détection, d’analyse, d’alerte et d’intervention en cas de pandémie est terriblement inadéquat pour relever les défis actuels et futurs. Les lacunes dans l’architecture internationale de la biosécurité et de la préparation aux pandémies sont importantes et fondamentales, compromettant la capacité de la communauté internationale à prévenir et à mettre en place des réponses efficaces aux événements biologiques futurs, y compris ceux qui pourraient correspondre aux impacts de COVID-19 ou causer des dommages beaucoup plus graves. »

Il est montré que dans le cadre d’une pandémie il faut donc une réponse globale et non laisser chaque nation décider ce qui est bon ou pas.

Le document (scénario) complet(([15] https://www.nti.org/wp-content/uploads/2021/11/NTI_Paper_BIO-TTX_Final.pdf)) de la série donne plus de détails.

À la page 9 vous avez confirmation de la participation de certains « philanthropes ».

« Dr. Chris Elias
Président, Global Development Division
Bill & Melinda Gates Foundation »

La série doit s’articuler en 3 saisons comme cela est résumé en page 10.

Je vous rappelle que ce wargame a été préparé en mars 2021 en pleine pandémie Covid.
Le monde est en train de mourir, mais eux ont le temps de pondre un nouveau scénario.

La date fictive retenue pour le début de la super production « Monkeypox », ce qu’ils nomment « l’attaque », est le 15 mai 2022.

Nous voyons avec bonheur que les délais ont pu être respectés, le premier cas « réel » s’est déroulé il y a quelques jours le 7 mai 2022 alors que dans le scénario c’était le 15 mai.
Beau boulot quand même !

La saison 1 (premier mouvement, comme une symphonie) débuterait le 5 juin 2022.

À cette date il n’y aurait que 4 morts et comme les cas se produisent dans des pays qui n’ont pas de variole (coïncidence avec la « réalité »), les experts trouvent ça bizarre.

Le séquençage révélera que la souche contient des mutations qui la rendent résistante aux vaccins existants (Ben oui, sinon la série s’arrête là et il n’y a aucun intérêt, réfléchissez une peu).

« La discussion qui a suivi a porté sur la manière dont le système international est positionné pour analyser les indicateurs initiaux du risque de pandémie et de communiquer les avertissements appropriés. »

La saison 2 (deuxième mouvement de la symphonie) débuterait le 10 janvier 2023 soit six mois plus tard.

« À ce moment s’est propagé dans 83 pays avec 70 millions de positifs, causant plus de 1,3 million de décès.

En l’absence de thérapies efficaces connues ou vaccins, les pays ont dû s’appuyer principalement sur des Interventions Non Pharmaceutiques (NPI) pour contrôler la pandémie. »

Là ça devient intéressant et nous rappelle de si bons souvenirs.

On connaît la musique, confinements, gestes barrières, masques, passeports sanitaires, PCR…

« Soulignant des résultats nationaux très différents dans la gestion de la pandémie,
certains gouvernements, dont la République fictive de Dranma, ont rapidement adopté des mesures agressives pour ralentir la transmission du virus en fermant les rassemblements de masse, en imposant des mesures de distanciation sociale et mise en œuvre des obligations de masque.

Ces pays ont également mis en place des tests et une recherche des contacts à grande échelle et intensifié leurs systèmes de soins de santé pour prendre en charge le nombre croissant de cas prévus.

Par contraste, le scénario représente un autre groupe de pays, dont le Cardus fictif, qui ont donné la priorité pour garder leurs économies ouvertes, entreprendre peu ou pas de NPI et minimiser les répercussions. Ces pays ont connu des résultats bien pires en termes de maladie et de mortalité que ceux qui ont répondu tôt et énergiquement. Dranma a connu beaucoup moins de cas et de décès que Cardus. »

CQFD.

N. B. Toute ressemblance avec une série existante ne serait que pure coïncidence.

La saison 3 (3e et dernier mouvement) débuterait le 10 mai 2023 un an après les premiers cas.

Vous allez voir que là on est dans du grand spectacle avec effets spéciaux et tout et tout.. Si Kubrick était encore parmi nous, il pourrait nous refaire le coup et faire toutes les prises de vue, n’étant pas un bleu en la matière.

Au début de la saison 3, nous en serions à plus de 480 millions de cas et 27 millions de décès dans le monde. Là on fait moins les malins, on ne dit plus que « la variole du singe est une petite varicelle ». On ferme sa gueule et on ouvre en grand son trou du cul pour l’avoir bien profonde !

« À ce stade, les participants apprennent que la pandémie a été causée par un attentat bioterroriste régional qui a largement dépassé les objectifs des auteurs. »

Comme quoi on a appris des erreurs du Covid, virus trop gentil qui ne tue quasi personne… « là on n’est pas des pédés, on a mis le paquet » comme dirait Bigard !

Le scénario ne semble pas avoir tenu compte de la sortie d’un vaccin en 2019 et d’un médicament en 2021 ou alors il ne fonctionne pas du fait des mutations, le scénario est à préciser,

Gouverner c’est prévoir, mais là, ça touche au génie.
Pour le Covid ils ont fabriqué un « vaccin » en quelques heures, mais après le début de la maladie.
Pour la variole et pour ne pas être pris de court, ils les ont fabriqués alors même que la maladie n’existait pas.
Et grand bien leur a pris avec l’apparition de la maladie « réelle » en ce début mai 2022.

Ce sera donc durant la saison 3, dans un an, que l’on apprendra que le virus avait été dispersé « dans les gares bondées de Brinia pendant les grandes vacances, alors qu’une grande partie de la population voyageait au niveau national et international. »

C’est bien la preuve qu’il est irresponsable de laisser les gens libres de se déplacer et voyager et la preuve que « la liberté c’est l’interdit », car « il ne saurait y avoir de liberté sans sécurité ».

Les méchants que nous n’avons pas encore identifiés dans la vie réelle (si, si) « ont utilisé des publications scientifiques accessibles au public pour guider leur travail et modifié le virus monkeypox pour le rendre plus transmissible et résistant aux vaccins actuellement disponibles. »

Bref du gain de fonction que ce cher Dr Fauci a largement financé.

Les « gentils gars » du scéna ont discuté des solutions :

« Le système international et les gouvernements nationaux doivent être transformés pour mettre l’accent sur des actions d’anticipation prédéterminées “sans regret” »

Si vous voulez flipper, c’est donc bien le moment.

Pour eux il est évident qu’il serait « efficace » de mettre des enfants de 3 ans positifs dans des camps loin de leurs parents. Si c’est « efficace », alors faisons-le !

Nous sommes bien dans une philosophie sataniste où la fin justifie les moyens « no regret » et il est explicitement dit qu’il faut une gouvernance mondiale, certainement pas une démocratie, mais une dictature mondiale.

Ainsi le « principe de précaution » nécessite de mettre en place toutes mesures préventives nécessaires « sans regret ». Pour éviter le pire, nous sommes bien d’accord que nous devons annihiler toutes libertés.

Sinon l’histoire termine « bien » :

« À la fin de l’exercice, la pandémie fictive a entraîné plus de trois milliards de cas et 270 millions de décès dans le monde. » 

Ce qui est extraordinaire est qu’ils n’ont pas peur d’affirmer qu’il faut mettre en place toutes les mesures dictatoriales possibles pour finir avec… 270 millions de morts (sur 2 ans ?).

270 millions c’est quand même du bon boulot si on pense que la variole aurait provoqué 400 millions de morts en 80 ans, soit 5 millions par an !

Les discours est désormais bien rodé « nous n’avons eu QUE 270 millions de victimes, mais sans nos mesures liberticides il y en aurait eu 10 fois plus ».

J’aime bien aussi le fait qu’ils écrivent « pandémie fictive »… au moins c’est dit !

Je vous ai transmis leur scénario tel qu’il est écrit noir sur blanc, mais pour l’instant seul le pilote a été diffusé afin de mettre en place les personnages.

Est-ce que la série va prendre ?
Est-ce qu’elle va avoir le même succès que « Covid, we fuck you » ?

Tout ceci est difficile à dire et nous ne sommes pas dans le secret des nouveaux Dieux commandés par Satan.
Les prochains jours ou semaines vont être probablement décisifs.

Les paniqués vont pouvoir avoir de sacrées sueurs froides.

Merci

Alain Tortosa
23 mai 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220523-variole-du-singe-blockbuster.pdf





Revue de Presse 22/05/2022

Par MF

REVUE DE PRESSE DU 15 Mai 2022

ÉDITO — « C’est un crime contre l’humanité ! »

S’écrie le Dr Paul Marik, numéro deux dans le monde des soins intensifs, la voix brisée par l’émotion. D’émotion, il n’est nullement question dans le monde des affaires qui s’obstine à promouvoir, fabriquer et vendre ces armes létales, au besoin en utilisant la peur depuis plus de deux ans, même si 17 000 médecins au sommet mondial sur le Covid-19 ont dénoncé ces manipulations. Les preuves s’accumulent de l’inefficacité et des effets nocifs, des mensonges et des fraudes, mais la machine à détruire la santé des populations, et particulièrement des enfants, avance inexorablement. L’immunité s’en ressent, et pourrait expliquer cette soudaine apparition de variole du singe de manière concomitante dans les pays largement vaccinés. Mais à un singe (lucide), on n’apprend pas à faire des grimaces.

IL FAUT IMMÉDIATEMENT RETIRER CES VACCINS DU MARCHÉ !

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La vaccination obligatoire signée Elisabeth Borne ?

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/05/17/elisabeth-borne-deja-en-mode-caste-mc-kinsey/

L’invention des soignants suspendus sans aucune ressource, c’est elle.

Un flicage numérique pour préparer la vaccination obligatoire

Solution, refuser d’entrer dans le dispositif de « Mon espace santé » d’Ameli…

Brigitte Bourguignon, ministre de la Santé, le 5/01/2022 :

« Derrière les non-vaccinés, il y a un mouvement contestataire qui est violent, qui est très violent, qui est même menaçant avec tous ceux qui se vaccinent ».
« La liberté de ces 10 % s’arrête là où celle des 90 % commence ».

Véran en pire ??

La crise sanitaire a affecté la santé mentale de la population

Et la proposition de soins psychiatriques est dans un état lamentable.

Ces soignants toujours à l’arrêt

https://www.midilibre.fr/2022/05/09/covid-medecins-infirmiers-sages-femmes-ces-soignants-toujours-a-larret-faute-detre-vaccines-10284748.php

« On a perdu notre identité professionnelle, on est traité comme des criminels »

L’Union dentaire demande la réouverture des cabinets de dentistes non vaccinés

https://www.lindependant.fr/2022/05/17/covid-le-vaccin-nempeche-ni-la-transmission-du-virus-ni-de-le-contracter-rappelle-lunion-dentaire-qui-demande-a-macron-la-reouverture-des-cabinets-de-dentistes-non-vaccines-10300274.php

« Les patients ont besoin que ces cabinets dentaires rouvrent au plus vite »

Les urgences. en état d’urgence, dans TOUTE la France

https://www.liberation.fr/societe/sante/dans-toute-la-france-les-urgences-hospitalieres-en-etat-durgence-20220515_SVYKWCXCCVCDFF6VTO3PN4FS6U/

La pénurie de soignants vire à la catastrophe

https://www.francesoir.fr/afp-afp-france/alerte-rouge-aux-urgences-au-moins-120-services-en-difficultes-avant-lete

De mémoire d’urgentiste on n’a jamais connu une telle tension.

Soignants remplacés par des bénévoles au CHU de Bordeaux, tout un symbole

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-soignants-remplaces-par-des-benevoles-au-chu-de-bordeaux-tout-un-symbole/

Symbole d’une destruction programmée des soins hospitaliers et de ville.

Il va y avoir des morts, alerte dans les hôpitaux publics

Plan de bataille qui consiste à déshabiller l’un pour habiller l’autre.

148 millions de nouvelles doses commandées

https://planetes360.fr/le-gouvernement-commande-148-millions-de-nouvelles-doses-de-vaccins-contre-la-covid-19/

Des vaccins connus (et inefficaces) et d’autres à venir/peut-être, comme Valneva..

La baisse de l’immunité, une menace plus grande que n’importe quel virus

https://www.epochtimes.fr/laffaiblissement-de-notre-systeme-immunitaire-une-menace-bien-plus-terrible-pour-la-sante-publique-quun-quelconque-virus-2024682.html

Entre vaccins, vieillissement et détérioration de la santé mentale, le système immunitaire est mis à rude épreuve.

ÉTRANGER

Le (second) sommet mondial de la peur

Manipulation et scénario du pire pour 3,2 milliards de dollars.

Et son pendant le Global Covid Summit, avec pas moins de 17 000 scientifiques et des révélations massives !



« nous sommes ici pour représenter l’humanité et l’éthique médicale » 

« LES INJECTIONS DE LA THÉRAPIE EXPÉRIMENTALE ANTI-COVID 19 DOIVENT CESSER ! »

Hydroxychloroquine et Ivermectine sont des traitements efficaces, en ambulatoire précoce et même à l’hôpital pour l’IVM, associés à des antibiotiques, du zinc, des vitamines D et C. « Nous devons rendre la confidentialité aux patients et aux citoyens ».

« Les masques de tout type sont inefficaces et potentiellement dangereux »

Nécessité de reconnaître les blessures dues aux vaccins, sous-déclarées, de réintégrer les soignants suspendus, et d’inculper pour fraudes les fabricants des vaccins anti-covid.

Les agences gouvernementales et médicales doivent être tenues responsables.

CHINE, grogne des étudiants contre le renforcement des mesures anti-Covid

https://www.francesoir.fr/afp-afp-france/rare-grogne-etudiante-pekin-contre-les-mesures-anti-covid

et la grogne est notable aussi à Shanghai.

CORÉE DU NORD, confinement national

https://www.francesoir.fr/afp-afp-france/coree-du-nord-larmee-deployee-pour-aider-lutter-contre-lepidemie-de-covid

Contexte de sous-nutrition et système sanitaire déplorable, mais la Corée refuse l’aide étrangère qui lui est proposée (traitements et vaccins).

POLOGNE, des chercheurs alertent sur le traité de l’OMS de prévention des pandémies

https://www.francesoir.fr/societe-sante/traite-international-oms-prevention-pandemies-des-chercheurs-sonnent-lalerte

Porte ouverte à la perte de souveraineté des pays et de liberté des citoyens.

SUISSE, pourquoi autoriser un vaccin avec un composant non autorisé pour l’être humain ?

https://www.medias-presse.info/parlement-suisse-comment-se-fait-il-que-swissmedic-autorise-un-vaccin-contenant-un-composant-non-autorise-pour-letre-humain-demande-une-elue/156039/

« Quelles mesures le Conseil fédéral compte-t-il prendre maintenant qu’il en a connaissance ? »

UE, 100 millions de non vaccinés qu’il faudra convaincre sans les discriminer

https://www.businessbourse.com/2022/05/16/virginie-joron-deputee-en-commission-covi-la-commissaire-kyriakides-annonce-la-couleur-pour-la-rentree-priorite-100-millions-de-non-vaccines-en-ue-quil-faudra-convaincre-et-les-cibler/

OMS, le plan des pandémies sur 10 ans à partir de 2020, un film choc !

https://rumble.com/v13ghrb-the-plan-the-who-plans-for-10-years-of-pandemics-form-2020-to-2030.html

En 2017 et 2018, des centaines de millions de tests Covid ont été exportés dans le monde, avec prédiction d’une pandémie en Chine qui ferait des dizaines de millions de morts. En 2017 les Gates annoncés une attaque terroriste dans les prochaines années. Six mois AVANT la pandémie de Coivd le gouvernement australien publiait un guide en cas de pandémie de coronavirus et quatre mois AVANT Bill Gates a organisé un exercice en cas de pandémie de coronavirus, « Event 201 ». Cinq mois AVANT la pandémie l’OMS a donné des instructions aux nations pour se préparer à une pandémie. Le 12 septembre 2019, sommet à Bruxelles sur la vaccination de la population mondiale. Un an AVANT la pandémie, un forum de virologie a réuni des leaders pour expliquer les techniques d’information du public : comment créer la peur avec un faux nombre de décès, un seul discours d’une seule voix, partout, afin de manipuler les populations pour accepter une vaccination.

Quatre mois AVANT, Fauci et Moderna avaient un vaccin déjà prêt. Des scénarii de films ou de BD antérieurs à la pandémie la décrivaient déjà entièrement… Qui a pris le pouvoir pour créer ce mensonge ? D’après l’Australie, cela fait partie du Nouvel Ordre Mondial. Des associations de médecins enjoignent de revenir à la clinique et de ne pas céder à la panique avec des faux positifs, exemples du Mouvement mondial pour la liberté, regroupant médecins et juristes. L’Humanité se lève contre le crime. Espoir pour le futur où chacun doit faire sa part en informant son entourage. Le but de la pandémie est d’installer une dictature mondiale. Toutes ces informations sont révélées dans le « Grand Jury ».

USA, la responsable de la bioéthique veut mettre dans l’embarras les résistants aux vaccins

https://www.francemediasnumerique.net/2022/05/la-responsable-americaine-de-la-bioethique-qui-est-la-femme-de-fauci-a-publie-un-nouveau-document-indiquant-aux-entreprises-quelles-peuvent-ethiquement-faire-pression-sur-les-employes-pour-q/

Encore une qui a juste un « petit » conflit d’intérêt, c’est l’épouse du Dr Fauci !!

JUSTICE

Un employé suspendu réintégré par décision prud’hommale

https://www.nicematin.com/justice/un-veilleur-de-nuit-avait-refuse-la-2e-dose-de-vaccin-la-justice-ordonne-sa-reintegration-a-vence-767071

Une victime d’effets indésirables graves va assigner prochainement Pfizer devant la justice

https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/seine-et-marne/vaccin-anti-covid-la-descente-aux-enfers-d-eloise-2543656.html

Elle a été auditionnée au Sénat avec son avocat le 2 mai.

Mc Kinsey, suspicion de faux témoignage, le bureau du Sénat saisit le Parquet

https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/mckinsey-le-bureau-du-senat-saisit-le-parquet-pour-suspicion-devant-la

« il appartiendra au parquet de déterminer les suites judiciaires à donner, dans le respect du principe de séparation des pouvoirs »

Allemagne, pour la Cour Suprême l’obligation vaccinale est constitutionnellement justifiée

https://euroweeklynews.com/2022/05/19/german-compulsory-covid-vaccine-justified/

« le droit à l’intégrité physique est moins important que la protection des personnes vulnérables ».

Glaçant !

COVID

Vérités dérangeantes sur la pandémie

https://reseauinternational.net/russell-blaylock-21-verites-derangeantes-sur-la-pandemie/

Exemple :

« Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des protocoles ont été formulés sur la base des recommandations d’individus et d’institutions qui n’ont jamais traité un seul patient. »

Prédictions évolutives

https://www.vidal.fr/actualites/29225-covid-19-que-nous-reserve-l-avenir.html?cid=eml_001747

Avec prudence, des auteurs plaident pour une évolution endémique

Covid-19, les mensonges dévoilés, un réquisitoire contre la gestion sanitaire US

Attaques sans précédent contre des médecins, fausses études, médias sous contrôle des géants pharmaceutiques, interdiction des traitements précoces et protocoles mortels de « soins » hospitaliers, fausse pandémie, mandats de vaccination, endoctrinement, refus d’autopsies post-injections, utilisation de médicaments toxiques, augmentation de troubles psychologiques graves. Il est temps de mettre fin à cette folie et de traduire ces personnes en justice.

INJECTIONS

Un vaccin à base de plantes ?

https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-vaccin-anti-covid-19-prometteur-produit-plantes-96743/

Étude randomisée en cours, mais sur un échantillon bien petit.

Les promoteurs de la vaccination universelle sont coupables de crimes contre l’humanité

https://www.epochtimes.fr/selon-lancien-vice-president-de-pfizer-les-personnes-ayant-promu-la-vaccination-universelle-sont-coupables-de-crimes-contre-lhumanite-2026602.html

Michael Yeadon l’immunité naturelle est plus forte que toute protection conférée par les vaccins

Les mensonges éhontés du CDC relayés par le BMJ

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/bmj-gate-interpretation-manipulee-des-donnees-statistiques

Le CDC nie l’évidence mondiale de l’échec des pseudo-vaccinations.

Mensonge dans les essais Pfizer par un médecin de la Fondation Gates

https://www.francemediasnumerique.net/2022/05/la-divulgation-de-documents-de-pfizer-montre-quun-medecin-lie-a-la-fondation-gates-a-supprime-la-liste-des-effets-indesirables-du-vaccin-dun-participant-a-un-essai-clinique/

Heureusement que les documents Pfizer n’ont pas attendu 75 ans pour être divulgués !

La fraude scientifique des tests de sécurité de Pfizer

https://www.covid-factuel.fr/2022/05/07/pfizer-et-les-tests-de-securite-fraude-scientifique/

L’absence de preuve de préjudice n’est pas une preuve d’absence de préjudice !

Libé ment en disant « vérifier »

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-verificateur-des-faits-de-liberation-pris-la-main-dans-le-sac-a-faknews-par-le-dr-g-delepine/

Quand on n’est ni médecin ni statisticien, il est dangereux de s’aventurer sur des terrains périlleux.

Il serait temps de réfléchir avant de vacciner aveuglément toute la population y compris les porteurs de maladies auto-immunes

https://www.aimsib.org/2022/05/15/les-porteurs-de-maladies-auto-immunes-sont-ils-si-rares-quon-peut-les-vacciner-sans-reflechir/

Qui représentent 1/5 de la population !

Vaccins et rappels de moins en moins efficaces et de plus en plus nocifs

https://infodujour.fr/sciences/57831-covid-19-les-vaccins-et-rappels-de-moins-en-moins-efficaces-et-de-plus-en-plus-nocifs

Les affections cardiovasculaires directement liées aux vaccins à ARNm sont en forte progression, ainsi que le syndrome d’immunodéficience acquise, catastrophe à venir.

EFFETS INDÉSIRABLES

Le vaccin anti-covid doit être immédiatement retiré du marché

https://nouveau-monde.ca/le-vaccin-anticovid-doit-etre-immediatement-retire-du-marche-dans-le-monde-entier/#identifier_5_36343

« Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur ». 

L’OPECST est au courant des effets indésirables des vaccins

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/emmanuelle-darles-vincent-pavan-rapport-opesct

et particulièrement pour les enfants, que 12 millions de doses attendent à l’automne !

Les injections favorisent l’augmentation des cancers

https://nouveau-monde.ca/refusons-la-poursuite-des-injections-anticovid-qui-favorisent-laugmentation-des-cancers/

« Le pseudo vaccin anticovid n’est pas un vaccin mais un modificateur des gènes »

ISRAËL, augmentation des pathologies cardiaques pendant le premier semestre 2021

https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-problemes-cardiaques-israel-vaccination

Augmentation chez les jeunes depuis la campagne de vaccination, qui ne peut plus être ignorée.


C’est un crime contre l’humanité, il n’est pas trop tard pour soigner les victimes.

Et si l’hépatite des bébés au Royaume-Uni était due à un virus mutant dérivé des vaccins ?

https://reseauinternational.net/les-hepatites-aigues-des-bebes-au-royaume-uni-premier-boomerang-des-vaccins-anti-covid/

Une alerte du Dr De Lorgeril à prendre au sérieux.

Les pays riches victimes de la politique sanitaire anti-Covid

https://nouveau-monde.ca/les-pays-riches-victimes-de-loms-et-de-la-politique-du-tout-vaccin/

Paradoxe : la corruption des pays riches les a condamnés, la pauvreté d’autres pays les a sauvés.

L’APRÈS COVID

Infected, la BD qui prévoyait une pandémie mondiale, en 2012 !

https://qactus.fr/2022/05/21/europe-saviez-vous-que-lue-prevoyait-deja-lepidemie-de-monkey-pox-oui-dans-une-bd-de-2012-tres-explicite/

No comment, tout y était...

Mars 2021, exercice de simulation d’une épidémie de Monkey-Pox

https://www.nti.org/analysis/articles/strengthening-global-systems-to-prevent-and-respond-to-high-consequence-biological-threats/

Le scénario fictif de l’exercice mettait en scène une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe. Depuis, un vaccin a été fabriqué. On prend les mêmes et on recommence ??

Ne pas confondre la variole du singe avec la variole humaine

https://www.lindependant.fr/2022/05/19/virus-monkeypox-fievre-douleurs-pustules-quels-sont-les-symptomes-de-la-variole-du-singe-10304716.php

La mécanique de la peur, bien huilée, est enclenchée.

RÉSISTANCES

OMERTAS

https://www.kairospresse.be/omertas-medicale-vaccinale-mediatique-politique/

Diane Protat avocate, Mélodie, fondatrice de Ouestmoncycle, Marco Pietteur, éditeur.

Laurence Kayser gynécologue-obstétricien.

Penser le totalitarisme, Ariane Bilheran et Slobodan Despot

Kit de survie psychologique en situation de crise

Mieux comprendre pour mieux réagir :






Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki

Par Hügo Krüger — 24 novembre 2021

Traduction : Jean Bitterlin

L’histoire du VIH/SIDA

« La vérité est la fille du temps, non celle de l’autorité. »

Sir Francis Bacon

Je suis persuadé par les arguments selon lesquels le VIH ne cause pas le SIDA et que, comme le Président Thabo Mbeki, j’ai fait l’effort indescriptible d’examiner les preuves pour ensuite décider de changer d’avis.

Le scandale a débuté le 23 avril 1984

1984 était une année d’élections et le président américain Ronald Reagan n’avait pas dit un mot sur le SIDA. Pour empêcher le Parti Démocrate de faire du SIDA un sujet de campagne, Margaret Heckler, Secrétaire d’État de la Santé et des Services à la Personne, a organisé une conférence de presse où elle a déclaré que la cause du SIDA avait été trouvée. Le coupable était un rétrovirus découvert par le Dr Robert Gallo. Ronald Reagan fut réélu.

L’histoire qui était « trop grosse pour échouer » était remplie de lacunes et cela devint clair lorsqu’en 1992 une Enquête Fédérale américaine a révélé que le Dr Robert Gallo avait commis une fraude scientifique.

Après trois années d’enquête, le Bureau Fédéral de l’Intégrité de la Recherche a découvert ce jour que le Dr Robert Gallo, le codécouvreur de la cause du SIDA avait commis une faute scientifique. Les enquêteurs ont dit qu’il avait « faussement rapporté » un fait critique dans l’article scientifique de 1984 dans lequel il décrivait l’isolation du virus qui cause le SIDA.

Le nouveau rapport disait que le Dr Gallo avait intentionnellement induit des collègues en erreur afin d’en tirer profit et de diminuer le mérite qui revenait à ses concurrents français. Le rapport disait également que sa fausse déclaration avait « entravé le potentiel progrès de la recherche sur le SIDA » en détournant les scientifiques d’un travail potentiellement fécond avec les chercheurs français.

Le SIDA en Afrique du Sud

Aucune maladie n’a autant secoué la psyché sud-africaine que le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA). Durant ma scolarité on disait que la pandémie se répandait dans tout le pays et cela emporta les médias, les ministères, les commerces et le système éducatif dans une frénésie — une situation qui est comparable à ce que nous vivons aujourd’hui avec le coronavirus. En Afrique du Sud des rubans rouges ont été placés sur chaque communication, les enfants ont dû apprendre les avantages des pratiques sexuelles sans risque et les églises avaient des prières d’ouverture et de fermeture (des offices — NdT) pour demander une bénédiction du Tout-Puissant pour ceux qui souffrent de la maladie mortelle. Dans son allocution sur « son plus grand regret lorsqu’il était en fonction » l’ancien président Nelson Mandela a passé ses années de retraite avec des influenceurs comme Bono, Oprah Winfrey et les Spice Girls pour sensibiliser sur les habitudes de vie dangereuses qui conduisent à l’infection au VIH et au développement du SIDA.

Et qui pourrait oublier le courageux Nkosi Johnson, l’orphelin du SIDA, qui s’est exprimé contre le Président Thabo Mbeki en 2000 lors de la conférence du SIDA à Durban et l’a supplié en public afin que d’autres enfants comme lui puissent avoir accès aux médicaments antirétroviraux. Puis il y a eu la ministre de la Santé Manto Tshabalala-Msimang, étiquetée par le Mail et le Guardian comme « Dr Betterave » après qu’elle ait suggéré que la betterave et l’ail pouvaient traiter la maladie à la conférence Internationale sur le SIDA de Toronto en 2006. Lors d’une interview avec John Robbie le présentateur de Radio 702, on lui a demandé si elle croyait vraiment que le VIH cause le SIDA ? Robbie lui a dit en colère et probablement sans réfléchir « de partir » — suscitant une compréhensible accusation de racisme, car c’était souvent le ton de langage que la femme noire subissait sous l’Apartheid.

Dans les médias on disait que Thabo Mbeki s’associait avec des hurluberlus négationnistes du SIDA et qu’il était obstiné et irresponsable pour avoir retardé le déploiement des médicaments antirétroviraux chez les plus pauvres d’entre les pauvres. Au Parlement, lorsque Ryan Coetze, porte-parole de l’Alliance Démocratique, lui a demandé « s’il pensait vraiment que le VIH ne cause pas le SIDA » il en a résulté une autre accusation de racisme. En opposition aux mesures du gouvernement, une nouvelle forme d’activisme est née, appelée « Militants du SIDA » qui comprenait notamment Zachie Achmat, Nathan Geffen et Mark Heywood de la Treatment Action Campaign (association sud-africaine contre le SIDA fondée par Zachie Achmat — NdT).

Le nombre de victimes causé par le négationnisme du Président Mbeki a été estimé être de l’ordre d’un quart de million de Sud-Africains, ce qui a conduit la Ligue de la Jeunesse du Parti Communiste à exiger qu’il soit jugé pour génocide. La négligence de Thabo Mbeki a contribué à sa défaite politique lors de la conférence Polokwane (réunion du Congrès National Africain ou ANC, parti de Nelson Mandela — NdT) et d’être destitué pendant son dernier mandat. Le Congrès National Africain (ANC) le remplaça par un président plus charismatique, Jacob Zuma dont le premier acte d’arrivée au pouvoir a été de prendre ses distances de « l’ère du déni » du pays. Jacob Zuma débuta un déploiement massif des antirétroviraux, et fait rare dans les dissensions des politiques sud-africaines, il a été temporairement loué par la leader du parti d’opposition Helen Zille. Zille se sentait très fortement concernée par le sujet du SIDA, si fortement que quelques années plus tard elle a préconisé la criminalisation de la transmission du VIH dans ce qu’un commentateur a désigné comme étant « une Gestapo du SIDA ».

Jusqu’à il y a deux ans, je ne pouvais pas comprendre la pandémie VIH/SIDA en Afrique du Sud et pour quelle raison Thabo Mbeki, qui était très intelligent, semblait si têtu sur la question. Comment se faisait-il que lui et son gouvernement étaient si sensibles aux critiques et recouraient souvent à des accusations infondées de racisme lorsqu’ils faisaient l’objet de pressions sur la question ? L’attitude m’a frappé comme étant absurde, mais c’était jusqu’à ce que je réalise que j’étais un de ceux qui assumaient simplement ce qu’il disait et qui n’écoutait pas ce qu’il disait.

Le mensonge VIH/SIDA remonte à la mauvaise interprétation de la tentative d’isolation initiale faite par le virologue français Luc Montagnier. Mon opinion se fonde sur les découvertes du Groupe de Perth en Australie, dont le travail est souvent cité dans le nouveau livre « Virus Mania » (coécrit par le journaliste allemand Torsten Engelbrecht — un livre à lire absolument — NdT). Le Groupe de Perth a convaincu le Président Thabo Mbeki que nous examinons la maladie VIH/SIDA à travers le mauvais paradigme et j’encourage ceux qui ne sont pas d’accord avec moi à au moins lire leur travail scientifique. Le Groupe de Perth a non seulement révélé que le VIH ne cause pas le SIDA, mais c’était le début du regain d’intérêt de la « Théorie écologique » de la maladie. L’idée que tout le fondement de la Théorie du Germe repose sur des bases fragiles et que les conditions environnementales jouent également un rôle important dans la progression de la maladie.

Mon voyage dans le SIDA

Durant la pandémie Covid-19, moi-même et de nombreux autres avons été atterrés lorsque des voix dissidentes provenant de scientifiques qui s’opposaient au confinement pour des raisons de santé publique ont été réduites au silence, et qu’on a découragé le recours à des médicaments hors homologation pour faire passer un vaccin à ARNm mis au point dans la précipitation sans disposer de données appropriées sur la sécurité à long terme. En niant la vérité, les autorités ont lancé une des campagnes de propagande médiatiques les plus sophistiquées de l’Histoire moderne de l’Humanité.

Comme l’ont montré récemment le physicien Denis Rancourt et ses collègues, les données ne suggèrent pas qu’il y a une dangereuse pandémie Covid-19 puisqu’il est évident que la mortalité toutes causes confondues aux États-Unis, en Europe et au Canada n’a que peu changé durant ces deux dernières années. En parcourant les données de mortalité, je suis surpris combien les médias et la population en général ne savent ni lire ni compter. Les humains ont tout simplement du mal à mettre les chiffres dans une perspective compréhensible surtout lorsqu’il y a une tentative délibérée des autorités de répandre la peur, d’induire en erreur et de monopoliser la vérité. Je ne peux que conclure qu’il n’y a qu’une pandémie de peur qui provient de la nature peu fiable du test PCR et de la non-spécificité des tests anticorps.

En faisant ma recherche et mes interviews sur le Covid-19, il devint évident que le Covid-19 n’était pas le premier des nombreux crimes commis par le Dr Fauci et que les techniques actuellement déployées pour manipuler le public à l’échelle mondiale ont été expérimentées durant la pandémie du SIDA.

L’AZT – Poison par prescription

Mon exploration dans la question VIH/SIDA est venue lorsque je suis tombé sur un article de l’épidémiologiste de Yale, le Dr Harvey Risch, qui rapportait le refus d’Anthony Fauci d’autoriser dans les années 1980 le médicament Bactrim aux homosexuels masculins. Le Bactrim, tout comme l’Ivermectine, était un médicament hors homologation qui aurait pu traiter la pneumonie à pneumocystis associée et que de nos jours les médecins utilisent couramment comme faisant partie du Protocole du SIDA HAART. Probablement pour apaiser ses amis de l’industrie pharmaceutique Anthony Fauci a décidé de bloquer le déploiement du médicament pendant près de deux ans et de promouvoir un médicament connu sous le nom d’AZT sans que des essais cliniques appropriés aient été faits. Tout comme pour le vaccin Covid-19, le groupe placébo a été délibérément cassé pour cacher les risques de fond et la criminalité n’a été révélée qu’après qu’un militant gay du nom de John Lauritsen ait enquêté sur le processus d’approbation de la FDA. Le Dr Risch a souligné que bien que le médicament AZT fonctionnait, il était très toxique aux doses initiales, mais comme j’en ai lu davantage sur la toxicité dans le livre de John (Lauritsen – NdT) « Le Poison par Prescription » tout le couvercle sur le VIH et le SIDA s’est soulevé. De plus, à la fin de l’an passé, Neville Hodgkinson, un ancien correspondant scientifique du Sunday Times a soulevé mes soupçons lorsqu’il a écrit que les supercheries Covid-19 avaient été expérimentées pendant la pandémie VIH/SIDA, ce qui m’a amené à poser la question simple :

« Que savait le Président Mbeki au sujet du VIH/SIDA ? »

Que disaient les dissidents et pourquoi avaient-ils tort ? Il s’avère que je suis maintenant d’avis que non seulement le Président Mbeki avait raison, mais qu’il avait raison de se poser des questions sur la toxicité des antirétroviraux et en particulier de l’AZT (plus tard appelé zidovudine). L’AZT — initialement conçu comme chimiothérapie anticancéreuse — cible la synthèse de l’ADN, la base de toute vie et après son utilisation généralisée, le taux de « décès SIDA » parmi les homosexuels masculins a été multiplié par 10. Récemment un ancien documentaire de la BBC intitulé « Les Enfants Cobayes » a refait surface, documentaire qui exposait comment on s’est servi d’enfants orphelins de New York dans les essais de l’AZT — la plupart d’entre eux en sont décédés.

Le médecin spécialiste du VIH/SIDA Joseph Sonnabend, né en Afrique du Sud, a qualifié l’AZT « d’incompatible avec la vie » — la définition même du poison. John Lauritsen a estimé que l’AZT a tué 330 000 homosexuels masculins aux États-Unis et à la Conférence de Vienne sur le SIDA il a prononcé un discours émouvant où il n’a pas hésité à utiliser le terme de « génocide gay » en l’honneur des jeunes hommes homosexuels qui ont pris le poison en pensant qu’il allait les guérir alors qu’en fait il les a emportés dans leurs tombes.

Pourtant c’était ce médicament que les militants de l’association Treatment Action Campaign (TAC – Campagne d’Action pour le Traitement, association sud-africaine contre le SIDA fondée par Zackie Achmat en 1998 – NdT – une façade de relations publiques pour Big Pharma) voulaient que le Président Thabo Mbeki importe en Afrique du Sud. Pendant la pandémie Covid-19, la TAC et Nathan Geffen en particulier ont écrit une série d’articles montés de toutes pièces sur l’association PANDA de Nick Hudson après qu’il ait remis en question les statistiques de vaccination du gouvernement de la Province du Cap Occidental. (PANDA est une association dont les membres sont des professionnels multidisciplinaires qui ont considéré que la réaction planétaire envers le Covid, et plus particulièrement les confinements, était exagérée – NdT). Les mêmes personnages qui avaient fait passer le profit avant les vies humaines durant la pandémie du SIDA refont la même chose avec la Covid-19.

En ce qui concerne l’Afrique du Sud, ce qui m’a encore davantage frappé c’étaient les paroles de Nkosi Johnson à la conférence de Durban sur le SIDA qui ont été publiées par les médias du Monde entier.

« Je déteste avoir le SIDA parce que je tombe très malade et je deviens très triste lorsque je pense à tous les autres enfants et nouveau-nés qui sont malades du SIDA. Je souhaite simplement que le gouvernement puisse commencer à donner l’AZT aux mères enceintes séropositives pour aider à empêcher la transmission du virus à leurs bébés ».

(Nkosi Johnson est né en 1989 et mort en 2001 ; il était né « avec le SIDA » et il est venu faire le discours ci-dessus à Durban en juillet 2000 — NdT)

L’histoire de Nkosi Johnson a-t-elle été utilisée par l’industrie pharmaceutique comme propagande émotionnelle pour vendre un médicament toxique, et quel était le médicament qu’il prenait avant de mourir ?

Le voyage de Mbeki — Débat sur le SIDA

Au cours de mon interview avec Anthony Brink, dissident du SIDA, il m’a raconté l’histoire comment Thabo Mbeki en vit à s’intéresser au débat, car, comme moi, cela a également commencé avec l’AZT. Brink était un avocat du barreau de Pietermaritzburg qui s’est intéressé à l’AZT après que la pression des médias ait commencé à pousser le gouvernement à prendre au sérieux la pandémie VIH/SIDA et à importer des (médicaments-NdT) antirétroviraux dans le pays. Sa femme l’a averti qu’il y avait sur Internet des discussions scientifiques au sujet de la toxicité des médicaments. Comme son intérêt sur le sujet grandissait, il a décidé d’écrire un livre de titre « Débats sur l’AZT » qui contenait toute la littérature médicale et scientifique sur la toxicité du médicament.

Brink m’a également mentionné qu’il connaissait un collègue avocat qui est décédé après avoir testé positif au VIH. Son partenaire juridique l’a informé qu’il prenait des antirétroviraux avant son décès. Brink a envoyé son manuscrit à la veuve et à sa grande horreur il a découvert que les symptômes étaient précisément ceux prédits par la littérature citée dans « Débats sur l’AZT ».

Brink a alerté la ministre de la Santé Nkosazana Dlamini-Zuma en envoyant à son bureau une copie de son livre, mais à ce moment-là Nelson Mandela était sur le point de quitter ses fonctions (de président de l’Afrique du Sud — NdT) et un de ses (à la ministre de la Santé – NdT) conseillers spéciaux, le Dr Ian Roberts, pensait qu’il valait mieux reporter le problème sur le prochain ministre de la Santé.

Immédiatement après avoir prêté serment, la première chose à l’ordre du jour du ministre de la Santé Manto Tshabalala-Msimang a été de passer en revue le livre d’Anthony Brink « Débat sur l’AZT ». Après avoir été informé des conclusions du livre, le Directeur Général à la Présidence de l’ANC, Smuts Ngonyama a appelé Brink et lui a demandé de rédiger la déclaration aux médias de l’ANC sur l’AZT. Mbeki a pris connaissance qu’il y avait un problème de toxicité avec les antirétroviraux et ceci l’a conduit à découvrir qu’il y avait autre chose que le virus du VIH dans le SIDA et que les médicaments eux-mêmes sont toxiques.

Comité consultatif

Débats sur le SIDA a déclenché une bombe en Afrique du Sud. Il a convaincu Mbeki d’écouter les arguments des dissidents du SIDA. Ils peuvent être trouvés sur le site Internet Virusmyth et dans le film documentaire « House of Numbers » (La Maison des Chiffres — visible, en anglais, sur le lien https://www.youtube.com/watch?v=qdJpBL6aBFQ — NdT). Les dissidents tout comme les scientifiques orthodoxes ont été invités à son Comité Consultatif sur le SIDA de mars 2000 qui s’est tenu à l’hôtel Sheraton à Prétoria. Parmi les participants à la première rencontre, il y avait des sceptiques du SIDA tels que le professeur Peter Duesberg, David Rasnick et le Professeur Sam Mhlongo de la Faculté de Médecine d’Afrique du Sud (MEDUNSA pour Medical University of South Africa — NdT). Les scientifiques orthodoxes, parmi lesquels le Professeur Glenda Gray, le Professeur Salim S. Abdool-Karim, le Dr Malegapuru W. Makgoba et le découvreur du VIH le Dr Luc Montagnier, étaient également présents. Plus significatif encore, ce sont ceux qui n’ont pu participer qu’à la deuxième réunion, le Professeur Eleni Papadopoulos — Eleopoulos et le Dr Valander Turner connus sous le nom du « Groupe de Perth » (groupe de scientifiques de Perth en Australie – NdT). Brink m’a dit que Mbeki et Kgalema Motlanthe auraient finalement été persuadés par leurs arguments.

Le Rapport Consultatif Présidentiel donne le meilleur résumé des arguments pour ou contre l’hypothèse VIH/SIDA et c’est une tragédie pour l’Afrique du Sud que nos médias n’aient jamais correctement débattu des conclusions du rapport, car cela aurait dévoilé tout le scandale. Le rapport a une valeur considérable pour l’histoire de la médecine et pour la pandémie en Afrique du Sud. La Société de Télédiffusion sud-africaine a également refusé de diffuser les vidéos de l’événement, mais heureusement une partie du matériel a refait surface et est disponible grâce à des sources anonymes sur Odysee.

Il n’y a que peu d’interviews où l’on a donné à Thabo Mbeki une occasion honnête pour exprimer son opinion sur le SIDA, mais parmi celles-ci il y a un bon film « La Recherche de Solutions » qui a été diffusé par Carte blanche et télédiffusée qu’en Afrique.

Le seul débat honnête sur la toxicité de l’AZT a été diffusé en 2005 sur ETV. Il a présenté le Dr David Rasnick et le Dr Sam Mhlongo du côté opposé (à l’hypothèse orthodoxe — NdT) et le Dr Malegapuru W. Makgoba et le Professeur Ian Sanne (du côté orthodoxe — NdT).

Le Dr Sam Mhlongo était le chef du Département de Médecine Familiale et de Soins de Santé Médicale à la Faculté de Médecine d’Afrique du Sud (MEDUNSA). Durant des décennies le Dr Mhlongo a été exilé pour son opposition au régime d’apartheid. Après son retour en Afrique du Sud il a continué à combattre un nouvel ennemi : l’impact dévastateur du « commerce avec la maladie » de l’industrie pharmaceutique en Afrique du Sud.

Il était membre du Comité Consultatif Présidentiel sur le SIDA, où il a exploré et adopté des alternatives viables pour faire face à cette épidémie, en particulier pour les communautés pauvres et marginalisées. Le Dr Mhlongo est malheureusement décédé en 2006 dans un accident de voiture, ses réflexions sur le SIDA et sur les médicaments sont bien conservées en ligne.

L’hypothèse VIH — SIDA

Dans le rapport consultatif de Mbeki, je vais souligner quelques déclarations qui montrent les raisons pour lesquelles moi aussi je rejette l’hypothèse VIH et pour quelles raisons il contient des leçons pour le Covid-19.

Une préoccupation particulière soulevée par certains membres du comité était qu’après 15 années de recherches, il n’y avait pas d’« étalon d’or » (en anglais gold standard — référence absolue — NdT) pour mesurer la précision et la fiabilité des données générées à partir des méthodes généralement utilisées pour diagnostiquer de l’infection VIH.

Le test PCR

Les arguments contre l’utilisation de la PCR (polymerase chain reaction ou réaction de polymérisation en chaîne — NdT) sont que ce test est caractérisé par une grande variabilité et un manque de reproductibilité. En outre, la très grande variabilité peut conduire à une interprétation erronée des résultats, compromettant ainsi l’exactitude et la validité de la PCR. Le Dr Bialy avait souligné que le test de charge virale avec la PCR pourrait ne pas être une mesure légitime du virus infectieux. Cela démontre un niveau élevé de fluctuation, et la charge virale peut être augmentée non spécifiquement par d’autres infections virales et bactériennes (les infections opportunistes peuvent également augmenter la charge virale). Les résultats de la recherche indiquent qu’il se peut que le test de charge virale ne soit pas toujours un indicateur de la progression clinique du VIH vers le SIDA.

Le Dr Kary Mullis (hélas décédé le 7 août 2019 — NdT), l’inventeur de la PCR a dit en maintes occasions que les soi-disant tests PCR ne peuvent pas détecter une infection ou la présence du virus. Même la notice dit que les « tests » PCR ne peuvent pas être utilisés pour diagnostiquer le SIDA ou détecter la présence de VIH.

Il en va de même des tests anticorps notamment des tests Elisa et Western Blot. Ils ne vous disent rien sur un virus unique ou une infection.

Le test Elisa

L’absence de normalisation des résultats ELISA, tant à l’intérieur du pays qu’entre les pays, était une source de préoccupations majeures pour certains membres du comité consultatif. Les résultats des tests ELISA pouvaient être interprétés différemment au sein d’un même laboratoire, entre les laboratoires d’un même pays et entre les pays. Cela peut signifier qu’une personne testée positive dans un laboratoire d’Afrique du Sud pouvait être testée négative dans un autre laboratoire du même pays. En outre le manque de standardisation entre le pays pouvait entraîner qu’une personne soit positive dans un pays et négative dans un autre.

Le test Western Blot

Le Dr Papadopoulos-Eleopoulos a présenté une diapositive montrant les résultats d’un test Western Blot avec un certain nombre d’échantillons provenant de patients atteints de lèpre, de tuberculose et de SIDA. Il est apparu que les résultats du Western Blot des différents échantillons étaient indiscernables les uns des autres, montrant que le test Western Blot était non spécifique et non fiable. Tous les échantillons ont testé positif, même ceux des patients atteints de lèpre et de tuberculose. Au cours de délibérations ultérieures, le Dr Mark Smith a souligné que Max avait déjà démontré en 1994 les résultats indéterminés des tests Western Blot. Ce qui précède souligne le fait que le test Western Blot ne peut pas être utilisé comme outil de diagnostic déterminé.

Alors que fait-on d’un virus pour lequel il n’y a pas de test fiable qui indique sa présence ? Comment se fait-il que le grand public ait été entraîné dans une frénésie sur la base de résultats faux positifs ?

Comme me l’a confirmé un médecin, aujourd’hui la pratique consiste à utiliser à la fois les tests sanguins Elisa et western Blot ainsi que le test PCR pour mesurer une « charge virale » arbitraire et qui n’a aucune signification.

Mais si aucun des trois tests n’a de sens ? Quel est leur but lorsque les facteurs suivants sont connus pour causer des résultats de test anticorps au VIH qui sont de faux positifs ?

  • Les anticorps antiglucides (52, 19, 13)
  • Les anticorps apparaissant naturellement (5,19)
  • L’immunisation passive : réception de gammaglobuline ou d’immunoglobuline (en tant que prophylaxie contre l’infection qui contient des anticorps) (18, 26, 60, 4, 22, 42, 43, 13)
  • La lèpre (2, 25)
  • La tuberculose (25)
  • La Mycobacterium avium (25)
  • Le Lupus érythémateux disséminé (15, 23)
  • L’insuffisance rénale (48, 23, 13)
  • Hémodialyse/insuffisance rénale (56, 16, 41, 10, 49)
  • La thérapie par interféron alpha chez les patients hémodialysés (54)
  • La grippe (36)
  • La vaccination antigrippale (30, 11, 3, 20, 13, 43)
  • L’Herpès simplex I (27)
  • L’Herpès simplex II (11)
  • L’infection des voies respiratoires supérieures (rhume ou grippe) (11)
  • L’infection virale récente ou exposition à des vaccins viraux (11)
  • La grossesse chez les femmes multipares (58, 53, 13, 43, 36)
  • Le paludisme (ou malaria- -NdT) (6,12)
  • Des niveaux élevés de complexes immuns circulants (6, 33)
  • L’hypergammaglobulinémie (niveaux élevés d’anticorps) (40, 33)
  • Les faux positifs sur d’autres tests, parmi lesquels le test RPR (réactif au plasma rapide) pour la syphilis (17, 48, 33, 10, 49).
  • La polyarthrite rhumatoïde (36)
  • La vaccination Hépatite B (28, 21, 40, 43)
  • La vaccination antitétanique (40)
  • La transplantation d’organes (1, 36)
  • La transplantation rénale (35, 9, 48, 13, 56)
  • Les anticorps antilymphocytaires (56, 31)
  • Les anticorps anti-collagènes (trouvés chez des hommes gays, des hémophiles, des Africains des deux sexes et les personnes atteintes de la lèpre) (31)
  • Le sérum positif pour le facteur rhumatoïde, les anticorps antinucléaires (tous deux trouvés dans la polyarthrite rhumatoïde et dans d’autres auto-anticorps) (14, 62, 53)
  • Les maladies auto-immunes (44, 29, 10, 40, 49, 43) : Lupus érythémateux aigu disséminé, sclérodermie, maladie du tissu conjonctif, dermatomyosite.
  • Les infections virales aiguës, les infections virales à ADN (59, 48, 43, 53, 40, 13)
  • Les tumeurs malignes (cancers) (40)
  • L’hépatite alcoolique/maladie alcoolique du foie (32, 48, 40, 10, 13, 49, 43, 53)
  • L’angiocholite sclérosante primitive (48, 53)
  • L’Hépatite (54)
  • Le sang « collant » (chez les Africains) (38, 34, 40)
  • Les anticorps à haute affinité pour le polystyrène (utilisé dans les kits de test) (62, 40, 3)
  • Les transfusions sanguines, les multiples transfusions sanguines (63, 36, 13, 49, 43, 41)
  • Le myélome multiple (10, 43, 53)
  • Les anticorps HLA (aux antigènes leucocytaires de classe I et II) (7, 46, 63, 48, 10, 13, 49, 43, 53)
  • Les anticorps anti muscles lisses (48)
  • Les anticorps cellulaires antipariétaux (48)
  • Les IgM anti- hépatite A (anticorps) (48)
  • Les IgM anti-Hbc (48)
  • L’administration avant 1985 de préparation d’immunoglobulines humaines regroupées (10)
  • L’hémophilie (10, 49)
  • Les troubles malins hématologiques/lymphome (43, 53, 9, 48, 13)
  • La cirrhose biliaire primitive (43, 53, 9, 48, 13)
  • Le syndrome de Stevens-Johnson 9 (48, 13)
  • La fièvre Q avec hépatite associée (61)
  • Les spécimens traités thermiquement (51, 57, 24, 49, 48)
  • Le sérum lipidémique (sang avec des taux élevés de graisse ou de lipides) (49)
  • Le sérum hémolysé (sang où l’hémoglobine est séparée des globules rouges) (49)
  • L’hyperbilirubinémie (10, 13)
  • Les globulines produites lors des gammopathies polyclonales (que l’on peut observer dans les groupes à risques du SIDA) (10, 13, 48)
  • Les personnes en bonne santé suite à des réactions croisées mal comprises (10)
  • Les ribonucléoprotéines humaines normales (48, 13)
  • Les autres rétrovirus (8, 55, 14, 48, 13)
  • Les anticorps anti-mitochondriaux (48, 13)
  • Les anticorps antinucléaires (48, 13, 53)
  • Les anticorps anti-microsomiques (34)
  • Les anticorps antigéniques leucocytaires des lymphocytes T (48, 13)
  • Les protéines sur papier filtre (13)
  • Le virus Epstein Barr (37)
  • La leishmaniose viscérale (45)
  • Le sexe anal réceptif (39, 64)

L’expérience de Luc Montagnier

On dit que le virus de l’immunodéficience humaine a été découvert par le virologue français Luc Montagnier au début des années 1980. En 1990 à une conférence sur le SIDA à San Francisco Montagnier a exprimé son propre scepticisme envers l’hypothèse VIH.

« Le VIH n’est ni nécessaire ni suffisant pour causer le SIDA »

Luc Montagnier

Bien que ne s’éloignant jamais complètement de l’hypothèse VIH/SIDA, Montagnier, dans la série documentaire House of Numbers, a doublé la mise de son scepticisme, en particulier en ce qui concerne l’Afrique.

« Le SIDA ne conduit pas inévitablement à la mort, surtout si vous supprimez les cofacteurs qui soutiennent la maladie. Il est très important de dire cela aux personnes qui sont infectées, je pense que nous devrions accorder la même importance aux cofacteurs que nous en accordons au VIH. Les facteurs psychologiques sont essentiels dans le soutien de la fonction immunitaire. Si vous supprimez ce soutien psychologique en disant à quelqu’un qu’il est condamné à mourir, rien que vos seules paroles l’auront condamné ».

Luc Montagnier.

En 2000 lors du Comité Consultatif sur le SIDA de Mbeki, on a demandé à Montagnier s’il avait réellement « purifié » le VIH. Il a simplement dit qu’il s’agissait d’une vieille technique et qu’elle n’était plus valable. Le Groupe de Perth s’est élevé contre l’interprétation initiale de Montagnier.

Que le SIDA et tous les phénomènes interprétés comme « VIH » sont induits par des changements dans l’oxydoréduction provoqués par la nature oxydative des substances et des expositions communes à tous les groupes à risque du SIDA et aux cellules utilisées dans la « culture » et « l’isolation » du « VIH ».

Les problèmes avec l’isolation du VIH authentique sont bien présentés dans la longue l’interview de Bret Leung du Groupe de Perth dans le film House of Numbers et également sur le site Internet du Groupe de Perth.

Anthony Fauci

Aggravant la fraude de Gallo, Anthony Fauci a recyclé la hautement toxique chimiothérapie AZT comme médicament anti-VIH, qui selon John Lauritsen aurait tué 330 000 homosexuels masculins.

Fauci a promis qu’un vaccin contre le VIH serait disponible « dans les deux ans à venir ». 37 ans plus tard, nous attendons toujours. Depuis lors le gouvernement des États-Unis a dépensé plus de 600 milliards de dollars pour le SIDA et n’a pas sauvé une seule vie.

L’histoire comment le dogme du SIDA a débuté a été racontée dans le film de Joan Shenton « Positiveley False » (Carrément Faux, également titre du livre de Joan Shenton — NdT).

Donc, si le virus VIH n’a pas été isolé, qu’en est-il alors du SIDA ?

Le SIDA

Donc, si le virus n’a pas été isolé, qu’en est-il du SIDA ?

« Les morts manquants »

Durant la présidence de Thabo Mbeki, le journaliste Rian Malan, qui travaillait sous contrat avec le Magazine Rolling Stone, s’est penché sur la question du VIH/SIDA et a entrepris de trouver les 250 000 morts et les 20 millions de victimes que l’on disait qui mourraient de la maladie sur tout le continent. À son grand étonnement, il a constaté que « L’Afrique ne mourrait pas du SIDA » et que des villes dont on prévoyait qu’elles allaient mourir de la pandémie voyaient en réalité leurs populations augmenter. Après avoir examiné les rapports des médecins légistes et avoir visité dans toute l’Afrique du Sud les cliniques dédiées au SIDA, Malan n’a tout simplement pas pu trouver l’excès des décès.

« Une note sur le site web du MRC (Medical Research Council — Comité de la recherche Médicale — NdT) expliquait que la modélisation est une science inexacte, et que “le nombre de personnes mourant du SIDA ne fait que commencer à augmenter”. En outre, a déclaré le MRC, il y a un nouveau modèle en cours d’élaboration, un qui produira “probablement” “des estimations environ 10 % inférieures” à celles qui sont actuellement avancées. L’exercice n’était pas strictement valide, mais j’ai persuadé mon copain scientifique Rodney Richards de faire exécuter les données révisées sur son propre simulateur et de voir ce qu’il en sortirait pour 1999. La réponse, très grossièrement, était un nombre de morts du SIDA d’environ 65 000 — très loin des 250 000 initialement avancés par l’UNAIDS.

Sans prétendre savoir quoi que ce soit sur le VIH/SIDA, Rian Malan a simplement expliqué que les millions de personnes qui étaient censées mourir de ces maladies étaient le produit de modèles informatiques.

C’est quoi le SIDA ?

À l’origine le SIDA était limité aux hommes homosexuels d’Amérique qui utilisaient des poppers comme drogue récréative dont les effets secondaires donnaient des symptômes de type de ceux du SIDA. La population homosexuelle était fortement ciblée par le dépistage et étant donné le taux élevé de faux positifs, ils testaient positif en grand nombre. Au fil du temps le CDC a regroupé des maladies qui n’avaient rien à voir les unes avec les autres. Tout comme pour la Covid-19, la définition du SIDA a commencé à s’élargir en ajoutant de nouveaux symptômes à la maladie. Peut-être la plus grande absurdité est que le SIDA en Afrique et le SIDA en Amérique n’ont en commun que le nom. En Afrique c’est avant tout une maladie de la pauvreté et en Amérique c’est surtout une maladie liée à la consommation de drogues.

La liste du CDC des 26 maladies et affections définissant le SIDA qui ont peu ou rien à voir les unes avec les autres

  • Les infections bactériennes, multiples ou récurrentes
  • La candidose bronchique, de la trachée ou des poumons.
  • La candidose de l’œsophage
  • Carcinome cervical invasif
  • Coccidioïmycose
  • Cryptococcose extrapulmonaire
  • Cryptosporidiose intestinale chronique
  • Maladie à cytomégalovirus
  • Herpès simplex
  • Histoplasmose
  • Encéphalopathie à VIH (démence)
  • Syndrome du vieillissement pathologique du VIH
  • Isosporose
  • Sarcome de Kaposi
  • Pneumonie lymphoïde interstitielle
  • Lymphome de Burkitt
  • Lymphome immun blastique
  • Lymphome primaire du cerveau
  • Mycobactérium avium ou M. kansasii
  • Mycobactérium tuberculosis
  • Pneumonie à pneumocystis carinii
  • Pneumonie récurrente
  • Leucoencéphalopathie multifocale progressive
  • Septicémie à salmonelle
  • Toxoplasmose du cerveau
  • Immunosuppression sévère liée au VIH

Voici les définitions du SIDA en Afrique des Nations Unies

  1. Perte de poids
  2. Fièvre
  3. Diarrhée et
  4. Toux persistante
  5. Tuberculose
  6. Ganglions lymphatiques gonflés

Ces deux maladies sont tellement distinctes qu’il n’est pas possible qu’elles proviennent du même virus. Si vous deviez être diagnostiqué du SIDA en Afrique du Sud et vous vous envolez pour l’Amérique, selon la définition officielle seriez-vous guéri ? Comme me l’a dit David Rasnick dans une interview “Le VIH n’a que 3 gènes structurels et pourtant il sait si vous êtes Blanc ou Noir, homosexuel ou hétérosexuel, riche ou pauvre, et sur quel continent vous vivez”.

Le rapport du comité consultatif de Mbeki a également exprimé des préoccupations sur la définition de la construction du SIDA.

Pour quelle raison le VIH/SIDA est-il transmis de manière hétérosexuelle en Afrique tandis que dans le monde occidental on dit qu’il est surtout transmis de manière homosexuelle”.

Les Africains ne peuvent certainement pas être tellement différents pour souffrir de manière différente du même virus ? Face à cette anomalie, l’establishment du SIDA a décidé de requalifier ces deux maladies en VIH-1 et VIH-2.

[Voir aussi :
Fauci et la grande arnaque du SIDA
L’escroquerie du SIDA (sidasante.com)
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

En résumé

  • Comme le montrent les travaux du Groupe de Perth, les preuves que le virus VIH a été purifié n’existent pas.
  • Comme le montrent les contradictions des méthodes de dépistage, aucun des tests VIH ne peut dire quoi que ce soit sur la présence du virus.
  • Comme le montre la découverte de Rian Malan, l’Afrique ne meurt pas d’une pandémie mortelle.
  • Comme le montre la définition du SIDA, les maladies du SIDA en Afrique sont largement liées à la malnutrition et à la pauvreté et aux États-Unis elles sont la conséquence du mode de vie et de la consommation de drogues.

Ce que j’attends que cet article génère c’est que nous commencions et ouvrions la discussion sur le VIH et le SIDA sur les points suivants.

  • La toxicité des antirétroviraux doit être ouvertement admise et les laboratoires pharmaceutiques et la FDA doivent être tenus pour responsables pour les innombrables décès qui sont de leur fait.
  • Les leçons de VIH/SIDA sont d’importance capitale si nous voulons en finir avec les crimes qui sont commis sous le nom de l’urgence sanitaire Covid-19 et si jamais nous voulons croire en la justice pour les centaines et milliers d’homosexuels et les millions d’Africains qui ont été soumis à cette expérimentation cruelle en leur donnant des médicaments sur la base d’un faux résultat positif.
  • Pour les Sud-Africains il est temps d’examiner objectivement les preuves détaillées qui sont dans le rapport du comité consultatif de Mbeki, puis que nous lui présentions tous des excuses.

Le Président Thabo Mbeki avait raison :

“Le VIH ne cause tout simplement pas le SIDA”

Références

Pour ceux qui sont intéressés par la question, des blogs, de bons vieux articles sur les arguments des dissidents peuvent être trouvés sur les sites web suivants :

  1. Virusmyth pour un recueil d’arguments sur les dissidents.
  2. Viroliegy pour une introduction sur la théorie du terrain.
  3. Treatment Information Group pour un recueil sur la toxicité des antirétroviraux.
  4. The Perth Group pour les opinions dissidentes auxquelles Mbeki a souscrit.
  5. Le site web de David Rasnick pour de bonnes références sur le SIDA. David a décidé de garder en ligne les réflexions de son ami le Dr Sam Mhlongo.

Livres sur le sujet :

  1. Virus Mania : Comment l’industrie médicale invente continuellement des épidémies, faisant des milliards de dollars de profits à nos dépens, 3e édition par Torsten Engelbrecht (auteur), Claus Köhnlein (auteur), Samantha Bailey (auteur) et Stefano Scoglio (auteur)
  2. Le poison par prescription — l’histoire de l’AZT par John Lauritsen.
  3. “Le SIDA : Le raté de la science contemporaine” par Neville Hodgkinson.
  4. “L’invention du virus de SIDA” par Peter Duesberg.
  5. “Débats sur l’AZT” par Anthony Brink.

Traduction Jean Bitterlin le 08 mars 2022.