REVUE DE PRESSE DU 5 FÉVRIER 2023

Par MF

ÉDITO
Révocation !

Le bilan s’alourdit pour les lanceurs d’alerte, traqués, cambriolés, menacés, tandis que des États se rebellent contre les fabricants de vaccins, comme la Thaïlande, ou que la Floride déconseille les injections aux jeunes hommes, sur fond d’une réglementation floue et permissive par la FDA et l’EMA, ou que l’Italie rend hommage au Pr Montagnier à travers un prix éponyme. Les chiffres parlent d’eux-mêmes, excès de mortalité, fertilité effondrée, inefficacité, et que des voix s’élèvent pour réclamer l’arrêt total des injections alors qu’en France, les suspendus ont dépassé les 500 jours sans aucun revenu.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Une soirée en hommage au Professeur Luc Montagnier

https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/une-soiree-en-hommage-au-pr-luc-montagnier-gerard-guillaume

Elle se déroulera de 17 à 20 heures, au 32, avenue Hoche à Paris (75008), dans l’amphithéâtre de Martin Bouygues (inscription obligatoire, présentation à l’entrée d’une pièce d’identité).

Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/covid-19-ce-que-revelent-les-chiffres-officiels-pierre-chaillot

« Regarder le passé pour éviter de reproduire les mêmes erreurs, un devoir indispensable. »

500 jours sans salaire

https://www.laselectiondujour.com/500-jours-sans-salaire-ni-indemnites-pour-les-soignants-non-vaccines-n1808/

« Le 28 janvier était le 500e jour de suspension pour les soignants et assimilés — médecins, infirmiers, pompiers, personnels administratifs — privés de salaire et d’indemnités de chômage parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner contre le Covid. »

ÉTRANGER

ITALIE — le premier prix Luc Montagnier décerné à cinq personnalités

https://www.francesoir.fr/videos-reportage/le-1e-prix-luc-montagnier-decerne-cinq-personnalites-pour-leur-independance

« Le prix s’appelle Luc Montagnier, mais il y a un E à “Luc(e)”, qui en italien signifie la lumière. C’est un honneur ».

THAÏLANDE — bientôt l’annulation des contrats avec Pfizer ?

« En plus de mettre fin aux contrats de Pfizer, le gouvernement thaïlandais prévoit également de réclamer à l’entreprise un dédommagement se chiffrant en milliards de dollars. »

USA — Rétropédalage : vagues de dé-recommandations des injections pour les jeunes

« L’augmentation des décès de cause cardiaque dans les 28 jours suivant la vaccination a été jugée suffisamment inquiétante pour que les autorités de santé de la Floride déconseillent désormais les vaccins anti-Covid-19 ARNm aux hommes de 18 à 39 ans. »

JUSTICE

Révoqué pour avoir alerté sur les effets indésirables des injections

« En le révoquant le gouvernement enlève toute crédibilité à la pharmacovigilance et remet en question la possibilité de mener des commissions d ’enquêtes parlementaires. »

ET

Le Dr Amine UMLIL, pharmacien et juriste, fait appel de cette décision

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/amine-umlil-decision-cng-je-fais-appel

« Il confie son intention d’interjeter appel, mais aussi de soulever une question prioritaire de constitutionnalité, jugeant la procédure inconstitutionnelle et inconventionnelle. »

COVID

Premier semestre 2022, les 2/3 des victimes du Covid étaient vaccinées

https://www.lelibrepenseur.org/du-1er-janvier-a-juillet-2022-les-2-3-des-victimes-covid-en-france-etaient-vaccinees-cetait-une-hecatombe-chez-les-vax-selon-le-pr-jean-paul-bourdineaud-de-bordeaux/

L’auteur a publié le livre « La science outragée ».

https://www.editionsmarcopietteur.com/resurgence/339-la-science-outragee-9782874342080.html

« Les méta-analyses Cochrane sont en réalité au service de l’industrie pharmaceutique plutôt qu’à celui de la science. »

JAPON — Dépôt de plainte pour annulation de l’action administrative

https://dailyclout.io/japanese-researchers-sue-the-government-for-hiding-inconvenient-truths-about-the-jab/

« Le ministère de la Santé japonais refusant de reconnaître le lien de causalité entre les vaccins et les décès, le professeur Fukushima et une équipe de chercheurs ont déclaré qu’ils n’avaient « pas d’autre choix que d’oser engager une action en justice. »

INJECTIONS

Arrêtez tout !

https://www.covidhub.ch/retsef-levi-mit-arret-vaccins/

« Pr Retsef Levi :  les vaccins à ARNm causent un niveau de préjudice sans précédent, y compris la mort, en particulier chez les jeunes, sont de plus en plus nombreuses et incontestables/Aucune enquête approfondie n’été menée/Les autopsies montrent le lien direct avec le vaccin, le produit médical le plus rentable de tous les temps ».

Efficacité des rappels

https://www.covid-factuel.fr/2023/01/22/vaccins-covid-cleveland-clinic-et-evaluation-de-lefficacite-des-rappels/

« Plus on vaccine, plus on a de chance d’attraper le covid. »

Négociations secrètes de l’UE avec Pfizer

https://www.francesoir.fr/politique-monde/vaccin-anti-covid-negociation-secrete-commission-europeenne-moins-dose-prix-plus-eleve

« Politique vaccinale opaque », syndrome d’un « problème de démocratie au niveau de l’Union européenne ».

Règlementation EMA et FDA concernant les vaccins ARNm

https://www.aimsib.org/2023/01/22/vaccins-arnm-reglementation-ema-et-fda-concernant-les-produits-de-therapie-genique/

« Un même produit peut être classé ou non comme un produit génique selon qu’il est qualifié ou non de vaccin contre une maladie infectieuse. Il peut dans ce dernier cas être exempté de ces études.

Or justement un produit destiné à une majorité de la population mondiale (8 milliards de personnes) en bonne santé devrait être soumis à une réglementation plus exigeante qu’un produit de thérapie génique destiné à quelques millions de personnes souffrant d’une maladie rare ou de cancer. »

EFFETS INDÉSIRABLES

En 2022, en France, surmortalité avant 40 ans et exceptionnellement haute chez les enfants, surtout les filles, et les femmes en âge de procréer

Augmentation de 7 % du risque de mortalité à chaque dose reçue

https://www.infowars.com/posts/top-insurance-analyst-finds-7-increase-in-aggregate-mortality-for-each-covid-vax-dose-received/

« Une personne “totalement vaccinée” qui a pris 5 doses augmente son risque de décès de 35 %. »

Chute de la fertilité

https://reseauinternational.net/une-chute-de-la-fertilite-a-ete-constatee-apres-que-les-2-3-de-la-population-adulte-ont-recu-le-vaccin-covid/

Il faut stopper les injections immédiatement

« Rien n’est gagné, mais la parole se répand même si elle n’est pas encore acceptée. »

RÉSISTANCES

La traque des lanceurs d’alerte

« Montrer des faits et des chiffres qui démentent le discours officiel peut coûter très cher. Témoignages de scientifiques et médecins. »

CSI n° 87 du 19 janvier 2023

https://crowdbunker.com/v/VnVeZS9f

Invité : Michel Cucchi, médecin biologiste, docteur en sociologie. Sujet : Influence et pandémies, à propos de son livre éponyme « Influence et Pandémies » aux éditions Marco Pietteur.



CSI n° 88 du 26 janvier 2023

https://crowdbunker.com/v/n6dddKwz

Invités : Hélène Banoun, pharmacienne et ancienne Chargé de recherches INSERM, membre du CSI. Patrick Provost, professeur au Département de microbiologie-infectiologie et d’immunologie de l’Université Laval et spécialiste de l’ARN.
Sujet : À quel moment surviennent les complications de santé liées à la vaccination anti-Covid ?



CSI n° 89 du 3 février 2023

https://crowdbunker.com/v/zGM63pTV

Dr Philippe de Chazourne
Sujet : Rémunération sur Objectifs de Santé Publique : ROSP et… corruption systémique.



Témoignages, un livre

https://www.contrepropagande.fr/product-page/livre-t%C3%A9moignages

Ne pas oublier et transmettre.




La fabrique des zombies

[Source : Paul JM Chenevier]

Ivan Rioufol reçoit Jean-Paul Brighelli.




Une performance satanique primée aux Grammy Awards, sponsorisés par Pfizer (et quelques autres)

[Source : leblogdejeannesmits]

Ils cochent toutes les cases, et ça paie. La couple de chanteurs Sam Smith (qui se dit non-binaire) et Kim Petras (« homme devenu femme ») a remporté le Grammy Award du meilleur duo pop pour leur chanson Unholy (impie, maléfique…) à la mise en scène satanique. La cérémonie des Grammy Awards a eu lieu dimanche soir à la Crypto.Com Arena de Los Angeles grâce au parrainage officiel d’IBM, Google Pixel, Mastercard, Grey Goose, Amazon Music, JBL, City National Bank, United Airlines, Hilton, People, Frontera, FIJI Water et SiriusXM. Non mentionnés sur la liste mais partenaires financiers : les laboratoires Pfizer dont les téléspectateurs ont vu le logo s’afficher lors de la transmission de l’événement, et qui ont confirmé leur participation.

Ajoutez que Jill Biden en personne était présente et qu’elle a remis le trophée de la meilleure chanson, et vous verrez que la boucle était bouclée entre pouvoir commercial, pouvoir pharmaceutique et pouvoir politique qui soutiennent toutes les inversions.

La mise en scène mêlant imagerie diabolique et chorégraphie lascive pour illustrer Unholy (le texte de cette chanson « délicieusement débauchée », dixit un critique américain, s’adresse aux enfants pour leur dire que leur papa est parti commettre l’adultère dans un club pendant que maman reste à la maison) a déclenché la colère de nombreux chrétiens aux Etats-Unis, évidemment accusés par la presse mainstream d’« ultra-conservatisme » voire de mépris pour la communauté LGBT.

Il n’est sans doute pas utile de décrire dans le détail la « performance » qui montre Sam Smith déguisé en diable à cornes (et qui a reçu son prix vêtu d’une sorte de cappa magna détournée) et entouré de femmes exécutant une danse obscène, tandis que Kim Petras suit le spectacle depuis une cage avec d’autres choristes non moins obscènes, le tout sur fond de flammes et de lumière rouge. Tout cela est parfaitement visible ici, affichage du logo Pfizer compris.

Le magazine Newsweek apporte cette intéressante information : ayant contacté Pfizer pour savoir si la société avait effectivement sponsorisé la chanson, étant donné notamment que le logo était apparu juste après la diffusion de Unholy, la réponse officielle a été rapide, précisant : « Nous avons parrainé l’ensemble de l’événement des Grammy’s, pas une prestation particulière. Au-delà de cela, nous ne faisons aucun commentaire sur nos initiatives destinées à sensibiliser le public » (« raise awareness »).

Autrement dit : oui, nous avons payé, et nous cultivons le secret quant à nos entreprises de sensibilisation. Sensibilisation à quoi ? Au talent artistique ? Sûrement pas, il se suffit à lui seul, non ? A un sujet « sociétal », alors ? C’est en ce sens que le mot est habituellement employé. Et ici, il s’agit clairement de soutenir, fût-ce globalement à travers les Grammy, une manifestation particulièrement perverse de l’idéologie du genre et du refus des règles morales de base.

On notera surtout que Pfizer ne se distancie en rien de la chanson et de sa mise en scène. Qui ne dit mot consent, surtout s’agissant d’une émission publique et tous publics qui a attiré des commentaires négatifs.

A Pfizer, il faut d’ailleurs ajouter tous les sponsors de cette « atrocité ».

C’est le mot choisi par Mgr Joseph Strickland, évêque de Tyler au Texas, qui a réagi sur son compte Twitter : « Cette atrocité devrait être dénoncée par tous les artistes musicaux de la nation. Mais au lieu de cela, il y a une symphonie du silence. La dépravation dans notre nation atteint des niveaux dévastateurs. Nous devons implorer la miséricorde de Dieu. »




Témoignage de Maître Carlo Brusa — La moindre lueur est un espoir de liberté

[Source : reaction19.fr]






La Reine des Neiges, plus grand complot de l’histoire ?

Par Alain Tortosa

Il existe des crimes ignorés de tous, mais celui-ci est sans doute le plus odieux, loin devant les millions de morts de guerres provoquées dans le but d’enrichir les pourritures.

J’ai longuement hésité à vous éclairer sur cet événement historique, mais je vous sais désormais suffisamment matures pour encaisser l’horrible « Vérité ».

Les complotistes 5e dan auront compris que je parle ici non pas de JFK ou du 11 septembre, mais de Elsa et Anna, personnages emblématiques de « la Reine des Neiges » du « merveilleux » studio Disney1.

Le fait est que les complots les plus immondes sont souvent là, sous nos yeux, et qu’ils passent généralement inaperçus tant ils sont énormes.

Mes propos peuvent provoquer chez certains un rire moqueur, ce fameux ricanement qui empêche de grincer des dents et de se forger sa propre opinion.

Mais je ne vais pas vous laisser en haleine plus longtemps.

Les plus pointus d’entre vous auront compris que Disney a volontairement inversé les prénoms de Elsa et Anna.

Je peux imaginer votre stupéfaction, voire votre désarroi, votre réticence ou votre recul.

Mais essayez de résister au rejet ou au dégoût inspiré par mon « affirmation délirante ».

Rappelez-vous votre première fois, quand on vous a dit que JFK avait été assassiné par la CIA ou que l’homme n’était jamais allé sur la Lune.
Vous aviez alors sans doute réagi « sainement » et balayé ces affirmations « débiles ».

Ceux qui sont allés au-delà de l’apparence ont appris que si un complotiste vous dit :

« Les petits pois sont des émetteurs mis au point par les habitants du 4e système solaire en partant de la gauche de la galaxie d’Andromède afin de modifier l’axe de la terre. »
Il est raisonnable de l’écouter avant de se marrer.

Combien de théories du complot se sont révélées exactes depuis l’introduction de la fête du Covid et de la fête du réchauffement climatique ?

Aucune bien évidemment !

Je ne vais pas vous faire languir plus longtemps et voici donc la « Vérité révélée » :

« La Reine des Neiges aurait dû s’appeler Anna, tandis que sa sœur était de toute évidence une Elsa. »

Je sais, la révélation peut être violente, mais il en est de toutes théories du complot.

Rejet, moquerie, réflexion puis… évidence2 !

Je me devais de l’exposer au grand jour au péril de ma vie pour rassurer celles et ceux qui s’en doutaient :

« Non vous n’êtes pas fous, non vous n’êtes pas seuls. »
« Oui c’est probablement le plus grand complot de tous les temps ! »

Au-delà des mots, voici des preuves pour les plus incrédules, mais néanmoins curieux…

Je précise pour les factcheckers que ma source est au-delà de tout soupçon,
J’ai choisi Le Figaro et non un vulgaire torchon complotiste comme France-Soir.
(Organe subversif qui, je le rappelle, ne prend pas ses sources directement auprès de l’AFP, mais mène ses propres enquêtes.)

Et comme le dit le grand Julien Pain :

« Si ce n’est pas dans le journal, c’est probablement une fakenews »

Je me suis donc enquis de la signification officielle des prénoms.

Que lit-on pour Elsa ?

« Sous un abord réservé et doux, Elsa a un caractère joyeux, sociable et chaleureux. Dynamique et sûre d’elle, elle a besoin d’être le centre d’intérêt et a tendance à diriger son petit monde et à le materner3. »

Cela pourrait faire rire si ce n’était pas si dramatique !

La reine des neiges, dénommée officiellement « Elsa », serait ainsi « joyeuse, sociable » et — encore plus délirant — « chaleureuse » ?

Il y a des limites à la fourberie.

Attendez, la fille fuit le monde, ne veut voir personne, se construit un château de glace, gèle tout ce qu’elle touche et elle serait « chaleureuse » ?!

Comment Disney a-t-il pu oser tromper des millions d’enfants innocents à travers le monde en affirmant que :

« La reine des neiges est chaleureuse ! »

Mais quel mépris de l’humain, quel irrespect pour les enfants.

Le genre d’ignominie qui pourrait faire passer les mesures anti-covid en direction des enfants pour une rigolade.

Bon certains n’enlèveront peut-être jamais leur masque, hurlent quand papi ou mamie veulent les embrasser, ne savent toujours pas lire à 8 ans, hurlent la nuit, tandis que d’autres se sont suicidés.
Je ne nie pas ces quelques petits désagréments, mais ils demeurent globalement bon-enfant et anodins au regard de l’immonde virus qui menaçait toutes les personnes grabataires ou en fin de vie.

Mais merde, il faut raison garder !
Soyons un tant soit peu raisonnables, c’est peanuts, à coté du scandale de la Reine des Neiges et du traumatisme induit par cette supercherie.

Je vous rappelle aussi, bandes de complotistes, que ces mesures anti-covid ont évité des milliards de morts sur la planète et peut-être même l’extinction de l’espèce !
Il ne faudrait quand même pas l’oublier !

Non seulement ces complotistes sont stupides, mais en plus ils sont ingrats.

D’un autre côté, était-ce bien nécessaire, quand on sait que nul ne pourra survivre au réchauffement climatique, quelles que soient les mesures dictatoriales mises en œuvre ?

Bon, j’arrête de me distraire et je reviens à l’essentiel.

Nous faire croire qu’il existe une pandémie mondiale, passe encore, mais là !

Et ce n’est pas tout, je poursuis avec le prénom Anna :

« Anna est une personne intelligente, curieuse et cultivée. C’est simple, lorsqu’elle est passionnée, elle s’investit de tout son être. Un brin perfectionniste, elle a horreur de la médiocrité et du désordre. Dotée d’un sixième sens, Anna se trompe rarement dans ses choix4 ».

La petite sœur de la Reine des Neiges, officiellement dénommée Anna, « intelligente » et avec « horreur du désordre » ?
Ceci pourrait faire rire si ce n’était consternant.

Je vous passe le « se trompe rarement » quand on sait qu’elle tombe immédiatement amoureuse de la première raclure qu’elle croise.

Bref il suffit d’avoir un peu de jugeote et de bon sens pour s’apercevoir immédiatement de la supercherie qui va bien au-delà de l’homme sur la lune.

Tout homme, femme, iel ou amphibien de bonne foi ne peut que se rallier à l’évidence.

« Elsa a pour vrai prénom Anna et inversement ! »

À la lumière de ces faits, nul doute que vous êtes désormais acquis à ma théorie à moins d’être adhérent de « Renaissance5 ».

La question que l’on pourrait se poser est :

« Comment Disney, avec la complicité des maîtres du monde,
a pu nous (vous) endormir au point que le complot ne nous saute pas à la gueule ? »

La raison en est simple, nous sommes manipulés depuis des dizaines d’années, voire des siècles.

La Première Guerre mondiale dans le but de se faire un maximum d’argent et étouffer les velléités des travailleurs, des esclaves à réclamer des droits ?
Ridicule ! Nous savons tous que l’assassinat de machin en est la cause.

La Deuxième Guerre mondiale pour… (pardon je ne peux pas l’écrire là, c’est du « délire » hors catégorie).

L’homme sur la Lune ?

Je vous le dis, plus c’est gros et plus ça passe !
Imaginez que pour la lune, les gars sans ordinateur et avec un module recouvert de papier aluminium tenant avec du scotch ont réussi à passer la ceinture mortelle de radiation de Van Allen sans dommages.
Alors que la station spatiale (certains pensent que c’est aussi un fake) actuelle est en orbite basse pour s’en protéger.
Le plus drôle est sans doute lors de conversations en direct depuis la lune et sans délai de transmission.
La situation est d’autant plus risible quand on voit que 60 ans après la prétendue marche, des scientifiques essayent désespérément de résoudre les innombrables problèmes pour y « retourner ».
Bon je critique, mais ce complot-là est quand même un des plus drôles.

Je plaisante, vous vous en doutez, décidément vous n’avez aucun humour.
Nous sommes allés sur la Lune, il y a des images et des vidéos qui le prouvent !

Le monde reste bien étrange et mystérieux au demeurant.
Vous vous rappelez de ce grand singe énervé au sommet de l’Empire State Building qui donnait des baffes à des avions ? Sale affaire…

L’assassinat de JFK par un gars qui passait par là et qui a inventé la balle qui change de direction ?
Je vous rassure, il n’avait pas de complices, aucun lien avec la CIA, aucun lien avec la volonté de Kennedy de tuer l’État profond, aucun lien avec son opposition à la guerre du Vietnam, etc.
C’est une non-affaire, un non-événement.

Notons que la CIA a inventé le terme de « complotiste » à ce moment-là, non pas pour dénigrer celles et ceux qui se posaient des questions, mais faire gagner du temps aux imbéciles !
Je ne vois pas pourquoi il faudrait dépenser son énergie à convaincre des débiles que la terre n’est pas plate.
La meilleure chose à faire est de ne pas les écouter et les discréditer pour le bien de tous et sauver la démocratie.

En fait ces complotistes sont comme les virus (qui n’existent pas ?) ils sont contagieux et s’attaquent aux plus faibles.
Personnellement je ne m’en plains pas, ils sont mes seuls lecteurs assidus.

Le Vietnam, ben oui, si les méchants niakoués n’avaient pas attaqué un bateau fantôme on n’en serait jamais arrivé là…
Et puis c’était une guerre juste.

Le 11 septembre ?
Attention chasse gardée, en parler risquerait de vous brûler les ailes.
(Admirez au passage le calembour avec les ailes, ailes, avions, 11 septembre, boum, brûler les ailes).

Franchement qui pourrait douter ?
Nous savons tous que des tours qui n’ont même pas été touchées peuvent s’effondrer à la vitesse de la chute libre !
Arrêtons de rigoler et redevenons sérieux un instant.
Il faudrait vraiment que les organisateurs soient des pourritures pour tuer sciemment des innocents et provoquer une guerre en Irak ou en Afghanistan.

Hormis la Reine des Neiges, il n’existe donc aucun complot mis en œuvre par les enculés de l’ombre qui nous dirigent.

Sérieusement, tous ces prétendus événements n’avaient qu’un but (et la liste est bien plus longue que mes quelques exemples) :

« Détourner notre attention du grand projet et troubler nos esprits pour Elsa et Anna ! »

J’invite celles et ceux qui désirent occuper leurs longues soirées d’hiver pour s’informer sur des complots à consulter le fil Telegram « docus qui dérangent6 » sur lequel je cherche à faire une liste la plus exhaustive possible de documentaires interdits de mainstream.

Dénigrer la parole critique, la faire passer pour folie, irresponsabilité, d’extrême droite et, cerise sur le gâteau, antisémite, ceci afin que tout questionnement relève de la psychiatrie !

Réfléchissons un peu !

Il est évident que cette demande de réflexion ne s’adresse pas aux complotistes, chacun ses limites.

Le grand philosophe humaniste Rudy Reichstad disait si justement :

« Le complotisme est l’opium des imbéciles »

Sommes-nous en dictature et qu’avons-nous à envier à l’ex-URSS ?

Nous avons :

  • Les campagnes de dénigrement.
  • La Pravda comme média.
  • Le Ministère de la Vérité.
  • La censure.
  • L’interdiction de médias comme RT ou Rumble.
  • L’interdiction d’exercer son métier pour certains résistants.
  • Une interdiction de vous présenter aux élections si vous avez un discours d’opposant, cf. Asselineau.
  • Des élections truquées.
  • Des œuvres interdites.
  • Une réécriture constante de l’histoire.
  • Une inversion de l’accusation.
  • Des prisonniers politiques.
  • Etc.

Pour que cela colle mieux avec le cadre de l’ex-URSS, nous sommes en train de transformer la France et l’Europe en zone du tiers-monde.

Nos gentils gouvernants ont introduit le chèque énergie, le chèque carburant.
À quand les tickets de rationnement ?

Il ne manque que le Goulag que certains grands pays visionnaires et nostalgiques comme l’Australie ou la Nouvelle-Zélande avaient initié pour le Covid.

Mais à quoi bon faire des camps lorsque l’on peut transformer un grand scientifique en paria de la société au point que l’évocation de son nom provoque l’hilarité générale chez « les gens bien » ?

Le plus important pour les complots, c’est de bien préparer la population.
Plus c’est énorme, plus ça passe !

Je vous ai apporté une démonstration magistrale.
Qui, hormis vous, se doute désormais de l’existence du complot « opération Reine des Neiges » ?

Tous les (prétendus) complots qui ont suivi n’avaient qu’un objet : détourner l’attention pour camoufler l’indicible !

Vous savez c’est comme faire croire qu’il existe des laboratoires qui manipulent des virus, font du gain de fonction afin de focaliser les complotistes et éviter qu’ils ne découvrent le pot aux roses, « les virus n’existent pas ! ».

Ne lisez surtout pas mon dernier texte sur le sujet, vous risqueriez le fou rire ou la contamination.

« Virus », des décennies d’escroqueries7 ?
Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Je plaisante encore une fois.

« Vous et moi savons sans le moindre doute que les virus existent,
qu’ils sont méchants, et que les vaccins aussi ils existent et qu’ils sont efficaces. »

L’objet étant encore de nous détourner du complot Elsa et Anna !

Covid, guerre en Ukraine, réchauffement climatique, ne sont QUE le nouvel arbre pour masquer la forêt.

Il était indispensable de poursuivre les (prétendus) complots après la Reine des Neiges afin d’éviter que quiconque ne se penche sur le sujet.

Toutes les précautions doivent être prises lorsqu’il s’agit de complotistes.

Rappelez-vous du petit Rudy « les complotistes sont complètement débiles »

Quoi de mieux qu’une prétendue fausse pandémie au virus dont la réalité reposait sur des masques dans la rue et des tests permettant de faire croire à des personnes en bonne santé qu’elles étaient malades ?

Notons que ce petit exercice fort ludique au demeurant, a permis aux milliardaires d’être plus riches, aux pauvres d’être plus pauvres et aux psychopathes d’introduire une dictature sanitaire « pour notre bien ».
Avec comme cerise sur la gâteau un espoir de meurtre de masse et un effondrement de la natalité.
Ce que certains nomment avec justesse et honnêteté une « épidémie de coïncidences8 ».

Mais au cas où des illuminés se pencheraient sur le complot de la Reine des Neiges et afin de ne pas permettre aux gueux de souffler…
Vous enchaînez alors avec une guerre des USA contre la Russie (débutée en 2014) dans une partie du monde dont strictement personne de normalement constitué n’a à foutre.
Franchement qui savait précisément où se trouvait l’Ukraine avant la guerre et capable de citer les pays limitrophes.
Quant au Donbass, rigolons… en plus ils parlent russe, bien fait pour leur gueule !

Non, il n’y a que les gens « bien », ceux qui s’achetaient des bébés volés ou par GPA de force qui savaient où se trouvait ce merveilleux pays que nous devons défendre jusqu’à la mort afin de commémorer le grand Stepan Bandera9 !

Précisons que 74 % des Ukrainiens auraient une opinion positive de leur « héros » appelé « M. Propre » du fait de ses talents dans le nettoyage ethnique.
Il faut dire que liquider 100 000 Polonais durant la 2e guerre mondiale était un bon score.

Si avec ce texte j’échappe à l’internement psychiatrique, c’est à désespérer de l’institution (qui a tant fait pour nous ces derniers mois).

Les avantages de la guerre en Ukraine sont multiples comme :

  • Faire main basse par les USA sur les richesses minières de l’Ukraine.
  • Rendre l’Europe encore plus dépendante des USA.
  • Faire tourner l’industrie de l’armement qui souffrait un peu.
  • Transformer l’Europe en pays sous-développé pour asseoir l’hégémonie des USA.
  • Détourner l’attention des gueux.
  • Et surtout maintenir le bon peuple dans la peur.
  • Etc.

Force est de constater qu’il y a quelques lézardes dans le mur.
Le plan de la CIA ne se déroule pas totalement sans accroc.

Heureusement, je ne lis pas tous les délires sur les réseaux sociaux.
Je rappelle à celles et ceux qui veulent bouffer du Poutine 24 h/24 de regarder LCI.
Depuis le mois de février, l’armée russe est aux abois, depuis février elle n’a pas de missiles, depuis février elle ne fait que perdre du terrain.
À se demander si les Ukrainiens ne seraient pas arrivés à Vladivostok.
Et ne parlons pas de leur économie, elle aussi aux abois grâce à nos sanctions !

Je dis ça, mais je suis un peu taquin quand même.
Reconnaissons la présence de francs succès médiatiques.

Rendez-vous compte :

  • Poutine a saboté ses propres gazoducs pour priver les Européens de gaz oubliant qu’il pouvait fermer le robinet.
  • Il a même bombardé la centrale nucléaire qu’il contrôlait pour faire accuser les gentils Ukrainiens.
  • Il a fait sauter le seul pont qui reliait la Crimée à la Fédération de Russie pour empêcher son invasion par des Ukrainiens qui passeraient par la Russie.

Et les médias osent nous dire qu’il faudrait avoir peur du personnage ?
Non, ne vous étonnez pas si on le retrouve écrasé par un camion télécommandé par lui-même.

Le plus merveilleux, au sens mystique du terme, est que tout ceci passe comme une lettre à la poste !

Écoutez le gouvernement et vous saurez que les sanctions contre la Russie fonctionnent parfaitement et que la victoire de Zelenski n’est qu’une question de minutes.
Le fait que les prévisions de croissance du FMI soient deux fois plus importantes en Russie qu’en zone euro est une preuve indéniable du succès de l’opération !

Ce n’est que moral et ce n’est pas des putains de petits cons de français qui vont nous faire chier parce que leur essence est à 2 euros et que tous les prix s’envolent !

Je vous rappelle que tout ceci est pour soutenir l’Ukraine quand bien même la Russie est à 90 % autosuffisante pour nourrir sa population et qu’elle vend son pétrole et son gaz à d’autres pays !

Il en va de la dignité des Européens et du monde libre !

Chaque sanction qui fragilise les Européens et enrichit Poutine est un pas vers sa chute !

Nous devons tenir coûte que coûte, il ne pourra en sortir gagnant !

J’espère que vous réalisez à quel point le complot Reine des Neiges est une affaire d’État.
Risquer l’avenir de l’Europe et peut-être même une Troisième Guerre mondiale dans l’unique but de nous le cacher !

Si ce n’est pas une preuve, il vous faut quoi ?

Vous savez, ce qu’il y a de bien avec les grands enculés du monde et autres Soros, c’est qu’ils n’hésiteraient pas à rayer un pays pour éviter des embouteillages à l’aéroport !

Attendez, j’ai oublié de vous parler du coup de maître du réchauffement climatique…

Chapeau bas, les pourritures, je dois vous dire « bravo » !

Arriver à faire croire à la population mondiale et même à des scientifiques que le CO2 serait la cause de tous les maux relève du génie absolu !
N’oublions pas que le CO2 est source de vie sur terre s’il en est.

La contagion est partout, même si nos bons médias font tout pour discréditer les « climato-sceptiques ».

Il n’y a pas que le bobo parisien qui utilise son vélo le dimanche matin pour aller acheter sa baguette, qui croit que les panneaux Métro en ville sont des succursales souterraines de Rungis, prend uniquement des taxis électriques puis est catastrophé par la fin du monde lors de dîners végans, et passe ses vacances en Floride, qui soit le seul préoccupé par le sujet !
Non, des Français presque « normaux » renoncent à emménager dans le sud de la France, certains vont même jusqu’à vendre leur bien méridional pour aller dans des terres moins hostiles comme le nord de la France, future Riviera française s’il en est.

Aller jusqu’à modifier le climat pour camoufler le complot Reine des Neiges, il fallait oser !

À ce propos.
Au regard des records de températures hivernales.
De -50 °C en Chine.
De -43 °C au Mont Washington10, dans l’État du New Hampshire aux USA.
Ou de la calotte polaire qui se reformerait à un rythme inédit.

Il me fallait réagir énergiquement !

« Nous nous excusons pour l’interruption momentanée du réchauffement climatique,
nous ne manquerons pas de vous informer dès son rétablissement ! »

Toute personne un tant soit peu cultivée et suffisamment cortiquée, donc non complotiste, sait parfaitement que des températures exceptionnellement basses constituent la preuve absolue d’un réchauffement climatique !

Le réchauffement est d’autant plus dramatique que les températures sont basses !

Nous l’avons lu dans le journal scientifique dit « journal de Mickey ».
L’association des climato-réalistes11 devrait le lire plus souvent et arrêter de raconter n’importe quoi.

« La vérité est dans le Giec, mes frères, nous allons tous mourir. »

Le coupable est connu, le Mal c’est l’homme, il y a consensus sans faille parmi les scientifiques qui ont droit à la parole.

Le WEF a pu le confirmer lors du forum de Davos.
Vous savez les gentils petits gars qui ne pensent qu’aux autres.
Ils donnent même du travail au personnel navigant des compagnies aériennes privées en choisissant les pilotes exclus non vaccinés.
Ils sont gentils de faire bosser ces pourritures de non-vax quand même.
Rassurez-vous, les 2000 vols depuis et vers Davos ont été intégralement compensés carbone12 !

Je vous rappelle qu’il n’y a que les idiots de complotistes pour imaginer qu’il n’y aurait pas de réchauffement global à l’échelle de la planète ou que celui-ci serait naturel, notamment du fait de variations de l’orbite terrestre autour du soleil ou de son inclinaison.

À ce titre j’informe les enseignants qu’ils devront patienter un petit peu avant d’aborder le moyen-âge avec leurs élèves.
Les livres d’histoire sont actuellement à la réimpression (ainsi que ceux qui affirment qu’il y a des hommes et des femmes) pour effacer le réchauffement climatique, appelé optimum climatique, au début du moyen-âge vers l’an 1000.
Période qui a été propice à l’agriculture, à l’économie et aux habitants…
Et ce à la différence du petit âge glaciaire qui a suivi provoquant malheur, maladies et famines.
Ce « petit incident » n’étant pas vraiment compatible avec le narratif actuel, la « science » se devait de l’effacer.

Les maîtres du monde ne sont pas si nuls côté promotion de la fin du monde.

Il faut dire « qu’ils ont quand même la petite conne handicapée pour hurler à l’ONU. »
« Actrice écervelée totalement débile qui bénéficie d’une mise en scène de fausses arrestations en Allemagne pour “activisme écologique13” ».

Pardon, pardon, je me suis emballé, sans doute un retard sur ma dose de rappel qui provoque en moi un effet de manque.
Je voulais parler de « la gentille Greta scientifique de haut rang, amoureuse de son prochain, préoccupée uniquement par la souffrance humaine dont l’objectif est de faire de la Terre un paradis glacé ».

Comme vous le voyez, je ne me suis pas éloigné du sujet Elsa et Anna !
Qui, après tout ce cirque, pourrait encore se focaliser sur le complot de la Reine des Neiges ?

Mais attention, ces psychopathes sont prêts à tout pour l’enterrer au plus profond des abysses, jamais la moindre pause !

Voici que l’Institut Pasteur, au-delà de tout soupçon s’il en est14, vient de découvrir un nouveau virus perfide qui s’attaque à notre foie, ou notre foi, je ne sais pas encore.

Je me dois de reprendre les termes utilisés par le président du Conseil Scientifique en son temps, Jean-François Delfraissy :

« On a affaire à un virus diabolique et beaucoup plus intelligent qu’on le pense15 »

J’imagine qu’il n’était pas l’auteur de cette phrase savante inspirée de l’inquisition.
Mais l’esprit est là :

« Protégeons-nous du Malin mes frères »

Cocasse quand on pense que les maîtres du monde vénèrent plus Satan que le Christ, mais passons.

J’en reviens donc à ce nouveau virus dont le nom suffit à faire trembler les vieilles filles encore pucelles, j’ai nommé le « circovirus16 »

Sa simple évocation me glace d’effroi et me fait songer à ce chef-d’œuvre du cinéma que vous connaissez tous :

« Les clowns tueurs venus de l’espace17 »

Que je recommande vivement à mes amis érudits.

J’ai pu me procurer en exclusivité une photo du nouveau virus tueur d’enfants innocents et de vieux obèses, que voici :

Mais ne croyez pas que la terreur légitimement inspirée par ce nouveau coronavirus satanique soit de nature à me faire oublier l’ignominie du complot de la Reine des Neiges !

Vous me prenez pour qui, vous pensiez que lassé, j’allais lâcher l’affaire ?

Quelques lecteurs à l’esprit aiguisé par le grand Julien Pain pourraient me rétorquer la fameuse question coup de poing utilisée par les plus grands limiers qui nous éclairent jour après jour.

J’invite celles et ceux qui veulent se pencher sur le travail pointu de Julien, mais aussi être lynchés lors d’un dîner végan organisé par des bobos parisiens en mal de spiritualité, à lire la publication indiquée en note de bas de page18.

Nous en arrivons tout naturellement à la fameuse question du « pourquoi, pourquoi ce complot disnèque ? »

Je vais immanquablement me prendre la même question posée pour le Covid !

« D’accord ton virus il est peut-être gentil, mais alors pourquoi tout le monde ment ? »

Dans Gotlib, « Rubrique à brac » le « scientifique » de la doxa dit à celui qui réfléchit ou qui émet l’hypothèse que la Terre tourne sur elle-même :

« Alors là mon cher vous êtes en pleine science-fiction19 »

Lorsque je prouvais à mes interlocuteurs incrédules que cette « maladie » n’avait rien d’exceptionnel, données officielles à l’appui, qu’elle se traitait, que le masque était inutile et dangereux et j’en passe.

La question suivante était de mise :

« Mais qui, pourquoi et dans quel but ? »

Je prends un risque inconsidéré en écrivant le mot « qui » dans la phrase précédente.

Je vous rappelle qu’une manifestante contre la dictature arborant une pancarte « mais qui ? » avait été condamnée à 6 mois de prison avec sursis20.

Ça en dit long sur l’état de notre « démocratie » et une l’élite dirigeante…
Le complot est trop énorme pour des honnêtes gens qui croient encore que ni les monstres ni les réseaux pédophiles n’existent !

« Comment les politiques, les journalistes, les médecins de plateaux,
l’OMS, Bill le généreux et j’en passe, pourraient être tous de connivence et pour quel dessein ? »

Précisons qu’il y a à la fois « connivence », mais aussi « profonde débilité ovine » de la part des exécutants.

Il est ainsi logique de se poser la même question pour ce terrible complot de Disney :

« Pourquoi inverser les prénoms ? »

Je ne dispose pas de la réponse, n’étant pas dans le secret des monstres.

Imaginez les pauvres enfants déboussolés pour qui le monde perd toute logique ?

Ici encore, afin de brouiller les pistes, une stratégie identique a été mise en œuvre avec le Covid.

Le lundi le masque était inutile et dangereux et le mardi il devenait vital même dans la rue !
Le plus merveilleux est qu’une vérité devenait un mensonge au gré de la météo !

Je ne vais pas revenir sur tous les exemples pittoresques tant il y en a :

  • Un virus qui tantôt s’attaque aux personnes assises sur la plage et tantôt à celles qui bougent.
  • Un virus qui saute sur les piétons, mais épargne les personnes en vélo.
  • Un virus qui vous choppe debout, mais pas assis.
  • Un virus qui adore les petits commerces, mais déteste les grands magasins.
  • Un virus qui n’est dangereux qu’à certaines heures.
  • Un virus qui fuit les métros bondés, mais n’épargne pas le randonneur en montagne qu’il faut appréhender avec un hélicoptère.

De quoi passer d’excellentes soirées en famille.
Je devrais inventer un jeu de société, je n’ai pas encore le nom, mais « Le Convid » serait peut-être pas mal.

Moins drôle nous avons eu les enfants en bonne santé, sans le moindre symptôme, psychopathes de l’ombre, cherchant à tuer papi et mamie alors qu’ils étaient « activement » protégés par un masque « efficace » et un vaccin encore plus « efficace » qui ne nécessite qu’un rappel tous les 6 mois !

Dans ce monde délirant le vrai devient faux et inversement.
L’inversion accusatoire est perpétuellement utilisée.

Un cauchemar dans lequel on impose aux enfants de se sacrifier pour leurs grands-parents.
Version officielle si l’en est, car la réalité était toute autre.

Ces mêmes grands-parents ont été :

  • Parqués « pour leur bien ».
  • Interdits de visites « pour leur bien ».
  • Interdits de repas en famille « pour leur bien ».
  • Interdits de sorties « pour leur bien ».
  • Interdits de câlins « pour leur bien ».
  • Interdits de soins « pour leur bien ».
  • Interdits d’aller à leurs obsèques ou aux obsèques d’un conjoint « pour leur bien ».
  • Masqués « pour leur bien ».
  • Injectés de force « pour leur bien ».
  • Et certains terminés au Rivotril « pour leur bien » !

Mais pas uniquement un monde de sécurité sanitaire.

Non, un monde aux possibilités infinies dans lequel la biologie n’existe plus.
Les garçons ne sont plus des garçons, les filles ne sont plus des filles.
Les noirs ne sont plus des noirs, les blancs ne sont plus des blancs.

Sans compter le culte d’Orwell avec « la liberté c’est l’interdit » cf. le Covid ou « la guerre c’est la paix », cf. l’Ukraine.

Nous vivons dans ce monde d’espoir et de paix mes bien chers frères…

Rouler en véhicule thermique ou manger de la viande devient criminel, tandis que manger des insectes, injecter des femmes enceintes, des enfants et même des bébés avec une substance expérimentale tout aussi inefficace que toxique, relève du bien.
Bien aussi d’interdire à un enfant de faire du sport s’il n’a pas le poison dans son corps.

Mais aussi un monde aux dangers inédits !

  • Faire du sport.
  • Faire ses lacets.
  • Prendre une douche chaude ou froide.
  • Regarder trop la télé.
  • Manger des céréales.
  • Jardiner.
  • Dormir trop ou pas assez.
  • Les freinages brusques en voiture.
  • Être anxieux à l’adolescence.
  • Manger 2 saucisses par semaine.
  • Le changement climatique.
  • Boire de l’eau debout.
  • Etc.

Toutes ces actions peuvent provoquer une mort soudaine21, « naturelle ».

J’ai même lu dans Magicmaman qu’un enfant de 12 ans était décédé d’un arrêt cardiaque à cause de poux !

Vive Satan, gloire à lui, mes frères !

Une inversion totale des valeurs à mettre en parallèle avec l’inversion des prénoms d’Elsa et Anna !

Un monde dans lequel celui qui défend des libertés, rappelle l’inviolabilité du corps, du libre arbitre, du consentement éclairé, de la différence homme, femme, du droit à la vie, du droit à l’innocence pour les enfants, du droit à la dignité, est comparé à un violeur, un tuer ou un antisémite tandis que celui qui censure, dénigre, interdit de vivre, interdit de travailler, devient le défenseur des droits et de la démocratie.

L’objectif est toujours le même, troubler les esprits afin que l’on ne réalise pas que cette inversion de prénoms, cette inversion des valeurs est totalement délirante, échappant à toute logique « logique » !

J’en reviens ainsi au fameux « pourquoi ? » qui m’est si souvent rapporté pour tous les complots précédents et futurs y compris pour celui de la Reine des Neiges.

Le « pourquoi », ou plutôt l’absence de réponses étant l’argument permettant de balayer la réalité du « complot ».

Sous-entendu que n’ayant ni sens ni connaissance de leurs auteurs, il ne saurait exister.

Ma réponse est alors toujours la même :

Si vous vous rendez sur une scène de crime avec du ketchup du sol au plafond, une tronçonneuse dans la tête de la victime et que vous dites alors :

« Qui est le meurtrier ? »

Puis

« Quel est le mobile du meurtre ? »

Si d’aventure le policier présent vous répond :

« Je ne connais ni l’auteur ni le mobile. »
« je ne connais ni ceux qui tirent les ficelles ni leurs objectifs. »

Allez-vous déduire que le meurtre n’a pas eu lieu ?

L’absence de coupable n’est pas de nature à remettre en question le meurtre sur une scène de crime.

Il en est de même pour la Reine des Neiges ou le Covid.

Le fait que nous disposions uniquement de preuves de manipulation ou de mensonges est de nature suffisante pour prouver que « complot il y a » quand bien même nous n’aurions pas toutes les réponses.

Détourner l’attention est de ce fait indispensable.

C’est ainsi que les Français sont dans la rue pour défendre les retraites.
Alors que concomitamment nous perdons chaque jour un peu plus nos libertés, l’économie est aux abois, les inégalités n’ont jamais été aussi importantes et des psychopathes cherchent à provoquer une 3e guerre mondiale pour leur bénéfice personnel.

Rendez-vous compte que des lycéens et étudiants luttent pour leur retraite tout en portant un masque !
Des enfants contaminés par la plandémie Covid et la plandémie climatique s’inquiètent du nombre de trimestres acquis pour prétendre à une retraite à taux plein !

Le gouvernement ne peut que se réjouir de l’efficacité de sa diversion et de l’immobilisme des moutons sur les points essentiels.

Ces stratégies ultra efficaces ont permis à Disney de camoufler LE complot.
Et afin que la vérité ne sorte pas, il est possible que l’héroïne de la Reine des Neiges III soit transexusuel-le-s-x-z-w.

Sachez que je risque ma vie en vous dévoilant de tels secrets.

Si d’aventure mon corps devait être retrouvé inanimé dans une baignoire, sachez que je ne me lave strictement jamais et que ce sera un meurtre !

Merci pour votre attention.

Alain Tortosa22
6 février 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230206-complot-disney-reine-neiges.pdf





Entretien avec Alexandre Douguine, le philosophe « le plus dangereux d’Occident »

[Source : geopolitika.ru via strategika.fr]

Pouvons-nous revenir sur la tentative d’attentat contre vous, tentative qui a coûté la vie à votre fille Daria le 20 août dernier ? Pourquoi vouloir assassiner un philosophe et une jeune femme innocente dont le seul tort était d’être la fille d’un philosophe ? C’est la première fois depuis Socrate et Sénèque qu’on attente à la vie des philosophes en Occident. Comment expliquer ce crime ?

Comme vous l’avez dit, je suis philosophe et ma fille était aussi une philosophe. Elle n’a jamais participé à des actions militaires et n’a jamais eu d’engagement sur le front. La seule raison, c’est ma position patriotique et mon opposition à la politique hégémonique de l’Occident. Avant cet attentat, on m’avait désigné comme le « philosophe le plus dangereux pour l’Occident ». J’ai été jugé si dangereux que moi et ma fille, qui était la plus belle part de moi-même, devions être assassinés.

Je crois qu’aujourd’hui le danger est devenu vraiment grand pour des gens comme moi. Pourtant, je n’ai fait rien contre l’Ukraine, je n’ai pas financé la guerre, je n’ai pas participé à la décision de lancer l’opération militaire spéciale, qui a été prise uniquement par notre président. Je suis simplement loyal à mon pays, à ma patrie, car je pense qu’il est nécessaire de défendre sa souveraineté contre l’agression de l’Occident. Mais ce n’est pas moi qui ai décidé comment on devait réagir, quelles étaient les lignes rouges à ne pas franchir, comment on devait répondre aux menaces de l’OTAN. Je crois que j’ai été choisi comme cible parce que mes idées sont opposées à la domination des globalistes et parce que je critique la dictature libérale. Cet acte odieux montre que celle-ci est vraiment devenue terroriste. Cet attentat est d’ailleurs unique. Depuis l’intervention russe en Ukraine, c’est le seul attentat terroriste qui a eu lieu contre les civils sur le territoire russe et qui a été quasiment fêté en Occident.

En Europe, beaucoup de gens ont condamné cet assassinat, comme le pape, qui m’a transmis ses condoléances. Des millions de gens qui étaient peut-être réservés à mon égard ont été touchés par ce crime. Mais d’un autre côté de très nombreux représentants officiels de haut niveau l’ont approuvé et l’ont considéré comme le prix que je devais payer pour la guerre que la Russie mène en Ukraine.

Tuer sur le front est une chose. Mais s’attaquer à des gens innocents, dont le seul crime consiste à avoir une vision critique de la politique globaliste ultralibérale, est une autre chose. Ce passage des mots à l’action criminelle est à mon avis très sérieux parce que cela signifie que plus personne n’est en sécurité quand il critique les globalistes. C’est le signe qu’une nouvelle dictature arrive, la dictature libérale. J’ai toujours dénoncé la nature totalitaire du libéralisme. Mais aujourd’hui, la nouveauté est que celui-ci est devenu terroriste. Et cela alors que j’ai été peu actif au moment du déclenchement de l’opération spéciale. J’ai exprimé mes opinions, mais je ne suis pas beaucoup intervenu sur la scène publique et n’ai pas participé à la propagande russe en faveur de cette opération. Au contraire, je suis resté plutôt en marge et je n’étais en aucun cas au centre de la lutte idéologique contre l’Ukraine. Ce qui rend d’autant plus étonnant cet acte de la part de l’Ukraine.

Justement, où en est l’enquête aujourd’hui ?

L’enquête a montré que l’Ukraine était impliquée. C’est une femme originaire d’Ukraine qui a commis ce crime, qui est lié aux services secrets militaires et dont l’ordre est venu de Zelensky lui-même. (Cette implication a été reconnue par les États-Unis. Voir Guerre en Ukraine. Assassinat de Daria Douguina : l’Ukraine pointée du doigt par les États-Unis, Courrier international, 6 octobre 2022, NDA).

Mais c’est assez étrange puisque, comme je l’ai dit, je n’ai pas joué de rôle, même symbolique, dans cette campagne militaire. Si on a décidé d’organiser un attentat contre moi et de tuer ma fille, les raisons doivent être ailleurs. Non pas à Kiev, qui a été utilisée et instrumentalisée. La terroriste ukrainienne qui a accompli ce crime a été un instrument dans les mains de gens beaucoup plus haut placés dans le système de l’OTAN. MI 6 ou CIA, c’est difficile à dire. Je ne crois pas que les Ukrainiens aient eu de vraies raisons, dans ce cas précis, de s’en prendre à moi.

N’est-ce pas dû au fait qu’en Europe et dans les milieux atlantistes, on vous considère comme un champion de l’eurasisme et que cette doctrine fait de vous une cible parce que vous déconstruisez le discours hégémoniste de l’Occident et sa prétention à vouloir régenter le monde ? En quoi cet eurasisme est-il si dangereux qu’on doive assassiner celui qui le promeut ? Pourquoi faites-vous si peur à l’Occident ?

L’eurasisme est la théorie du monde multipolaire. Il propose une structure alternative à l’ordre mondial libéral. Il vise à s’émanciper de l’unipolarité, de la mondialisation, de l’Occident comme centre autoproclamé de la civilisation postmoderne, et à établir un dialogue entre les différentes civilisations, parmi lesquelles figure l’Eurasie. Les autres grands espaces de civilisation indépendants sont la Chine, l’Inde, l’Afrique, l’Amérique latine et le monde arabo-musulman bien sûr. La vision eurasiste diminue le rôle et le pouvoir de l’Occident. Elle affirme la liberté et le droit des autres civilisations d’exister en toute indépendance, et cela non seulement pour la Russie, mais pour l’ensemble du monde.

Je pense que l’Occident globaliste, unipolaire, hégémonique, ne tolère pas cette multipolarité dont la branche russe est le fer de lance. La croissance des autres pôles et notamment de la Russie, qui devient de plus en plus indépendante et qui lutte pour sa souveraineté, accroît la crise si bien que la confrontation devient de plus en radicale. Cette évolution dramatique est manifeste depuis quelques années. Je suis un des promoteurs de cette vision multipolaire, car je crois que toute civilisation a le droit de choisir sa voie en toute indépendance.

Pouvez-vous revenir sur les origines du concept d’eurasisme ? Il n’est pas tout à fait nouveau dans l’histoire russe des idées.

L’eurasisme est la continuation de la théorie des slavophiles, qui considéraient que la Russie n’était pas un pays européen, mais une civilisation particulière, qui résulte à la fois d’éléments occidentaux et d’influences orientales, asiatiques. Cette double influence est à la base d’un ensemble autonome axé sur des traditions propres, à savoir la tradition de Byzance et de l’orthodoxie d’un côté, et la tradition héritée des Mongols de l’autre. L’empire de Gengis Khan s’inscrit dans la grande histoire des empires des steppes touranien.

Les eurasistes du début du XXe siècle ont redécouvert l’importance de cet héritage mongol et de l’influence de l’Extrême-Orient. L’empire fondé par Gengis Khan rassemblait des dizaines de peuples et de cultures différentes et il a servi de modèle dans la construction de l’empire supranational russe. Les princes de Moscou, qui ont revendiqué cet héritage, s’en sont beaucoup inspirés.

L’autre influence, notamment sur le plan religieux, est venue de Byzance et de l’orthodoxie, qui ont développé l’idée du Katechon, de l’empereur qui, dans la tradition du basileus byzantin, possédait une dimension eschatologique, métaphysique. C’était à l’empereur que revenait la mission d’empêcher le diable, l’Antéchrist, d’accaparer l’entier du pouvoir temporel sur terre. Le Katechon est « celui qui retient » le destin du monde, qui fait exister le monde et l’empêche de sombrer dans le néant. Il repousse l’avènement de l’Antéchrist qui voudrait régner sans partage sur l’humanité en semant le chaos. Telle est la mission religieuse et métaphysique de l’empire spirituel héritée de Byzance et de l’orthodoxie.

Quant au grand empire touranien, mongol et des autres conquérants qui venaient des profondeurs de l’Asie (Timur et son Empire, nommé officiellement « Touran » [NDLR ou encore Empire timuride ou timouride]), il a fourni le cadre d’une organisation politique et sociale qui permet à des peuples d’origines, de langues et de religions différentes de cohabiter ensemble avec harmonie.

C’est ce double héritage qui a formé en fin de compte la conscience géopolitique, historique et civilisationnelle de la Russie. C’est grâce à lui que la Russie n’est pas seulement un pays, mais une civilisation à part entière.

L’Occident présente souvent cette conception du monde comme étant une sorte de suprémacisme russe, une vision grand-russe dominatrice et raciste par rapport aux autres nations et aux autres cultures. Que répondez-vous à ces critiques ?

C’est tout à fait faux. Si j’étais raciste, fasciste, nationaliste, suprémaciste, je le confesserais volontiers. Mais je suis à l’exact opposé puisque le monde multipolaire que je défends est tout le contraire du suprémacisme, quel qu’il soit, américain, russe ou autre. Je pense que toutes les civilisations, et notamment les cultures dites archaïques, traditionnelles ou basées sur des valeurs prémodernes ou antimodernes, sont aussi valables que la civilisation moderne occidentale, technologiquement développée, séculaire, athée et matérialiste. Je récuse toute hiérarchie entre les civilisations, tout suprémacisme et tout racisme. Je défends le droit de n’importe quelle civilisation, celle de la Russie comme les autres, à être elle-même. Et je défends donc le droit de l’Occident à être lui-même et à défendre ses propres valeurs postmodernes, ultralibérales ou wokistes si tel est son vœu. Chaque société humaine a droit à sa propre identité. Je suis tout à fait d’accord pour que les Chinois aient leurs propres particularités et leurs propres valeurs, de même que les musulmans, les Africains, etc. Si c’est leur choix, c’est très bien. Mais ce n’est pas une raison pour les tuer ou les éliminer. C’est l’Occident globaliste assassin qui empêche les autres civilisations d’être elles-mêmes. Nous, nous luttons pour notre droit à affirmer pacifiquement nos particularités et à développer notre voie sans être assassinés.

Ce reproche semble en effet d’autant plus étrange que la Russie, pour ceux qui se donnent la peine de la connaître, est un pays beaucoup plus multiracial, multiethnique et multiculturel que la plupart des pays occidentaux, qui reposent sur une conception de la nation beaucoup plus exclusive, États-Unis compris.

Je suis l’ennemi absolu du racisme, et du racisme blanc en particulier, parce que ce dernier a été à la base du suprémacisme et de l’hégémonie occidentale. Il faut absolument décoloniser les esprits de cette empreinte politique et idéologique. Il faut soutenir les efforts des peuples du monde qui cherchent à s’affranchir du racisme colonial et néocolonial du globalisme occidental.

Dans ce sens, je suis aussi l’ennemi des nationalistes. Je suis critiqué fortement par les nationalistes, car je ne suis pas favorable à la nation. La nation est une invention occidentale, moderne, bourgeoise et artificielle. Alors que je suis favorable à une organisation traditionnelle de la société humaine, avec des États différents et diversifiés, qui serait fondée sur une hiérarchie spirituelle et la primauté de l’aristocratie de l’esprit sur la domination exclusive de l’économique. Je suis anti-matérialiste et anti-bourgeois parce que je crois que le triomphe de la bourgeoisie a été une issue fatale. La bourgeoisie a usurpé le pouvoir aux autres membres du tiers état. La partie la plus importante du peuple a toujours été composée par les paysans et non par les bourgeois. Or c’est la petite minorité bourgeoise qui s’est emparée du pouvoir et l’a accaparé au détriment de la majorité du peuple. Elle a perverti la hiérarchie sociale non seulement vis-à-vis des classes supérieures, mais aussi des classes inférieures en confisquant le pouvoir aux paysans, aux artisans, aux ouvriers, aux corporations. L’avènement de la bourgeoisie a été une pathologie, une régression et non pas un progressisme. Je déteste la bourgeoisie. Je suis anti-capitaliste et anti-nationaliste.

J’ai écrit des milliers de pages et une douzaine de livres pour critiquer le racisme, le nationalisme, le colonialisme et toute forme de domination d’une élite particulière, d’un type de société ou d’un pays sur les autres. Et cela vaut même pour la Russie. Je n’approuve pas toute l’histoire de la Russie et notamment celle du nationalisme russe. Comme eurasiste, je pense qu’on doit respecter, cultiver, soutenir les identités qui ne partagent pas les valeurs orthodoxes au sein de la grande union eurasienne. On doit accepter les différents peuples et conserver leurs particularités à l’intérieur de l’ensemble plus vaste dont la Russie n’est qu’une partie, même si c’est la plus grande.

En conclusion, je suis aussi antilibéral parce que j’estime que le libéralisme est devenu la troisième forme d’idéologie totalitaire de l’histoire moderne.

Vous êtes croyant et orthodoxe pratiquant, mais vous êtes néanmoins opposé à la suprématie de l’orthodoxie au sein du monde eurasien ?

Toute suprématie est raciste. Chacun a sa propre vérité. Il convient d’être fort et indépendant pour conserver cette vérité, mais on ne doit rien imposer aux musulmans, aux autres chrétiens, aux athées ou aux « progressistes ». Si les gens veulent se convertir, c’est leur choix personnel et l’État ne doit pas insister pour leur faire changer de religion.

Cela étant dit, l’orthodoxie est l’axe de notre société, de notre conscience. Cette religion a formé notre culture, notre civilisation et le noyau du peuple russe.

Venons-en à votre critique du libéralisme. Pourquoi jugez-vous cette forme de pensée et d’organisation sociale comme totalitaire ? En quoi le libéralisme serait-il la troisième forme du totalitarisme moderne ? Et quelle serait cette quatrième théorie politique souhaitable qu’il conviendrait d’établir pour mettre fin à ces trois formes de totalitarisme ?

Je crois que l’Occident moderne a été dans l’erreur dès le départ. Je ne parle pas de l’Occident traditionnel, sacré, chrétien, qui est une autre chose. Ma critique se concentre sur la modernité occidentale, car je crois que cette modernité — et sur ce point je suis tout à fait d’accord avec Hannah Arendt qui a dit que cette modernité était totalitaire dès le départ — à tendance dictatoriale s’est explicitement manifestée et démontrée dans le communisme qui est une théorie née en Occident autour de la classe prolétarienne, dans le fascisme qui est aussi une théorie née en Occident, mais axé sur la nation, mais également, d’une manière un peu plus voilée, dans le libéralisme.

Aujourd’hui le communisme et le fascisme ont disparu, si bien que la nature totalitaire de la modernité occidentale s’exprime désormais principalement dans le libéralisme. Or la modernité libérale est profondément hégémonique, raciste, suprémaciste, coloniale. Elle considère ses valeurs comme des valeurs universelles applicables à l’ensemble de l’humanité. Aujourd’hui les libéraux se comportent de façon totalitaire en voulant imposer leurs normes LGBT+ et de genre, le mariage pour tous, le wokisme, l’ultracapitalisme comme les seules valeurs universelles possibles. J’accuse ce libéralisme-là d’être un nouveau fascisme en voulant imposer à tout prix ses propres normes à l’ensemble de l’humanité. Ce n’est qu’une manière de prolonger les comportements racistes et coloniaux du passé.

Ce que j’appelle la Quatrième théorie politique consiste à contrer ce totalitarisme libéral globaliste et à dépasser la conception politique occidentale selon laquelle on ne peut choisir qu’entre trois systèmes politiques : communisme,

fascisme ou

libéralisme.

Vous n’avez pas d’autre choix que ces trois options. Si vous n’êtes ni communiste, ni fasciste, ni libéral, vous n’avez pas de place dans ce monde. Il n’y a pas d’espace pour vous. D’ailleurs, les libéraux traitent de « fascistes » tous ceux qui ne sont pas d’accord avec eux, ce qui est contradictoire avec le principe même du libéralisme.

La Quatrième théorie politique n’est pas un autre « isme ». C’est un mode opératoire, une lutte pour conserver une indépendance de pensée par rapport à ce que l’Occident moderne veut rendre obligatoire. C’est une invitation à développer une pensée politique indépendante. Si vous voulez le faire dans le cadre de la religion orthodoxe, c’est parfait. Si vous voulez le faire au sein de la religion musulmane, du confucianisme ou toute autre école de pensée, c’est très bien aussi.

La Quatrième théorie politique est le contraire du dogmatisme. C’est la multipolarité, la lutte contre les dogmes néfastes de la modernité, comme celui du libre marché et du capitalisme comme seule forme possible d’organisation économique. Je n’ai pas de problème à ce qu’on soit capitaliste, mais à condition qu’on puisse aussi être anti-capitaliste si on le souhaite. On doit considérer tous les gens et toutes les idées.

La même chose vaut pour la démocratie libérale. Si des pays veulent s’organiser selon les principes de la démocratie libérale, c’est très bien. Mais si d’autres y sont opposés, cela ne devrait pas poser de problème non plus. La démocratie libérale n’est pas une valeur absolue. Or l’Occident se conduit comme si le capitalisme et la démocratie libérale étaient des valeurs absolues, universelles, applicables à tous les hommes. Il se comporte comme si les gens opposés à ce point de vue étaient des criminels, des terroristes et des cibles à détruire. Ce n’est pas une affirmation subjective, mais un fait : ceux qui n’adhèrent pas à cette vision du monde sont éliminés comme on l’a fait en tuant ma fille. Une fois de plus, ce meurtre est la confirmation de la nature terroriste du libéralisme tel que le conçoit l’Occident collectif actuel.

L’Occident a-t-il encore la capacité d’imposer ses vues ? N’est-il pas déjà affaibli ? Comment jugez-vous les chances de réussite de votre quatrième théorie politique ?

À l’époque de Trump, j’avais pensé que l’Occident pourrait pacifiquement accepter la multipolarité et continuer à construire son identité en se limitant à son espace propre, l’espace atlantiste, et éviter par là la Troisième guerre mondiale. Mais avec les fanatiques extrémistes tels que Joe Biden, Georges Soros et les Démocrates américains qui ont saisi le pouvoir aux États-Unis en 2021, le monde se trouve au bord de l’abîme. Ces globalistes sont prêts à sacrifier l’humanité pour imposer leurs idées. Ils ne veulent pas reconnaître qu’il existe aussi un non-Occident, d’autres civilisations en dehors d’eux et que ces civilisations-là rejettent leur hégémonie. Les prémices pour une organisation multipolaire du monde existent. Mais encore faut-il que des gens comme Trump, ou les vrais libéraux historiques, ceux qui reconnaissent aux autres le droit d’exister et de vivre côte à côte avec eux, l’emportent. Dans un tel cas, l’Occident continuerait à jouer un rôle très important, mais non plus hégémonique et totalitaire.

Mais avec Biden, je pense qu’on est entré dans une ère de catastrophe, car l’Occident est décidé à lutter à tout prix contre la multipolarité. Ce qui est très dangereux parce que la Russie a la volonté de résister et de lutter pour défendre sa civilisation. La Chine sera la prochaine cible et les autres suivront si on laisse faire les globalistes.

Aujourd’hui en Occident, ceux qui ne partagent pas cette vision hégémonique totalitaire se trouvent dans la même situation que les Juifs dans l’Allemagne nazie. Ils sont persécutés, ils sont accusés d’être « terroristes ». Ceux qui protestent risquent désormais leur vie (comme le montre par exemple le site ukrainien Myrotvorets qui a dressé une liste de plusieurs dizaines de milliers de noms d’Occidentaux critiques vis-à-vis à Kiev à abattre, NDA) parce qu’on a affaire à un système totalitaire qui détruit ses propres membres et parfois même ses propres dirigeants quand ils s’opposent à l’ordre globaliste. Le cas de Trump qui a été traité de « fasciste » et qui a été censuré par les réseaux sociaux quand il était président en est un exemple.

C’est un problème que seuls les Occidentaux peuvent résoudre. Quant à nous, nous luttons pour nous-mêmes. Nous aimerions que l’Occident accepte notre singularité et nous souhaitons vivre en paix avec les autres dans un monde multipolaire, mais on ne nous donne pas la chance.

Comment voyez-vous le conflit en Ukraine dans cette perspective ? Comme un clash de civilisations ainsi que l’avait prédit Huntington ? Pensez-vous que la Russie sera capable d’atteindre ses objectifs d’indépendance dans ce contexte de guerre frontale avec l’Occident par Ukraine interposée ?

La guerre en Ukraine est beaucoup plus difficile qu’on ne le pensait au début de l’opération militaire. Ce conflit ressemble à la guerre de Crimée au XIXe siècle. À l’époque, derrière la Turquie qui était assez faible, s’est dressée une grande coalition d’ex-ennemis de la Turquie qui se sont soudain ligués derrière elle par russophobie, formant une force difficile à vaincre.

Nous sommes aujourd’hui mis à l’épreuve et la Russie ne peut pas vaincre immédiatement. Mais il est important de savoir que nous ne pouvons pas perdre cette guerre, car il s’agit de l’existence même de notre pays. Nous sommes coincés, en quelque sorte : on ne peut pas perdre, mais c’est très difficile de vaincre. Et cela rend la situation dramatique, et peut-être catastrophique, parce que la Russie combattra jusqu’à la fin et que cette fin peut être l’apocalypse nucléaire. C’est une issue qui devient de plus en plus palpable. Comme la Russie ne peut rien accepter d’autre que la victoire dans cette guerre, cela rend la situation critique au niveau mondial.

Pour le reste, ce qui est en jeu n’est pas l’Ukraine, mais l’équilibre global de la sécurité mondiale entre la Russie et l’Occident. C’est une guerre de civilisation. La Russie n’avait rien contre l’Ukraine en tant qu’État national indépendant. Une Ukraine de ce type aurait été un pont entre nous et l’Europe, ouverte sur nous parce que la moitié de la population ukrainienne était russe d’origine, même si ce n’est plus le cas aujourd’hui, et ouverte sur l’Europe puisque l’autre moitié de l’Ukraine est pro-occidentale. Comme pour la Belgique ou la Suisse, qui sont formées de deux ou trois peuples d’identité et de culture différentes, il aurait été parfaitement possible de construire une Ukraine fédérale. Mais cette opportunité historique a été perdue et finalement l’État ukrainien est devenu fasciste, ultranationaliste et russophobe. Il s’est transformé en fer de lance du combat contre la Russie, ce que nous ne pouvions accepter sans réagir. C’est pourquoi cette guerre a éclaté. Elle n’était pas voulue par nous, mais comme elle avait déjà commencé dans le Donbass, nous n’avons pas eu d’autre choix que d’y aller et de gagner à tout prix.

Et quand nous disons à tout prix, c’est à tout prix. Poutine l’a rappelé, car il comprend parfaitement que si on perd cette guerre, on perdra tout et que la Russie n’existera plus parce qu’on voudra la diviser et la vassaliser.

À cet égard, il est intéressant de noter que dans la justification cynique des sanctions européennes qui ont été prises après l’assassinat de ma fille, j’ai été accusé de fournir le fondement théologique de l’intervention militaire russe. Cela figure de façon très officielle dans les documents européens. Cette référence à mon rôle « théologique » est surprenante sous la plume d’Européens qui par ailleurs répudient toute forme de théologie et de religion et ne jurent que par la sécularisation.

Mais peut-être ont-ils raison pour une fois. Je pense en effet que cette guerre possède une dimension religieuse, spirituelle, métaphysique. La Russie lutte pour être ce qu’elle est. À défaut elle ne peut plus exister en tant que telle et ne survivrait que sous la forme d’une colonie occidentale. Cette lutte ne se déroule d’ailleurs pas que sur le plan extérieur, mais elle est aussi intérieure à la Russie. C’est un retour aux racines spirituelles de la Russie.

Je pense que l’Occident pourrait vivre et être en sécurité en acceptant l’existence d’un monde multipolaire. Mais celui-ci constituerait un danger pour les colonialistes et les extrémistes qui ont usurpé le pouvoir. Leur domination et leur survie dépendent de leur capacité à diaboliser la Russie, la Chine et les autres nations qui leur résistent. Mais ils ne représentent pas l’Occident tout entier et il reste une chance pour que l’Europe accepte une Russie neutre et indépendante à ses côtés, car la Russie ne cherche pas à conquérir l’Europe.

Comment peut-on voir le futur de la Russie dans ces conditions ? Que devrait-elle faire pour opérer cette transition vers l’indépendance et la multipolarité ?

Il faut recourir ici à l’analyse de Gramsci. Gramsci a évoqué la question du césarisme par rapport à l’hégémonie. L’hégémonie pénètre dans la société de manière totale, directe et indirecte, politiquement, culturellement, grâce aux intellectuels, à l’éducation, mais aussi à l’économie, aux marchés et à la consommation. C’est ainsi que l’hégémonie libérale démocratique, gouvernée par les lois du capital, s’est mise en place. Le but de cette hégémonie, c’est de tuer toute forme d’indépendance de la société pour créer un gouvernement mondial totalitaire.

Selon Gramsci, on peut lutter contre cette hégémonie de deux manières. Pour lui, la meilleure manière de la combattre était le communisme. Mais ce n’est pas mon avis, car je pense que le communisme n’est qu’une variante de cette hégémonie, sur le plan culturel notamment. Son analyse formelle reste néanmoins pertinente.

Pour moi, la bonne manière de lutter contre l’hégémonie, c’est la multipolarité, la construction d’un monde multiple et donc anti-hégémonique. L’hégémonie est par définition unipolaire dans tous les domaines, économique, culturel, social, informatique, civilisationnel, idéologique, spirituel, scientifique, éducationnel, etc. On doit donc lutter contre elle sur chaque plan et à tous les niveaux. Capitalisme, non ! Démocratie libérale non ! Politique du genre, non ! Cancel culture, non ! Gouvernement mondial, non ! Scientisme transhumaniste, non ! Toutes les thèses de l’hégémonie doivent être systématiquement contrées afin de construire une contre-hégémonie.

Mais pour Gramsci, il existe encore une autre méthode pour lutter contre l’hégémonie, qu’il appelle « le césarisme ». Lequel consiste à accepter certains éléments de l’hégémonie, mais à en refuser d’autres, et notamment de céder en fin des comptes le pouvoir à une puissance extérieure. Il insiste à la fois sur l’indépendance et sur le réalisme, qui fait qu’on accepte de reprendre certains éléments de l’hégémonie tels que le capitalisme et certaines formes de démocratie libérale, mais avec un certain degré de pouvoir autoritaire de façon à ne pas laisser aux dirigeants hégémoniques extérieurs la possibilité de s’emparer du pouvoir politique à l’intérieur du pays.

Cela peut engendrer de la corruption et du népotisme, comme on peut le voir dans la Russie actuelle. On peut dire que le régime de Poutine est de type césariste. Il accepte beaucoup de choses de l’hégémonisme occidental, mais rejette ce qui menace son propre pouvoir. C’est un césarisme, mais ce n’est pas une contre-hégémonie. En fait, le moment de la contre-hégémonie arrive maintenant en Russie parce que la guerre en Ukraine ne permet plus de maintenir cet équilibre césariste entre emprunts à l’hégémonie occidentale et souveraineté de la Russie. Quand on est en guerre, on ne peut pas être à moitié d’accord avec son ennemi.

Pour la Russie, l’heure de vérité est donc en train d’arriver. La seule manière de vaincre dans la guerre contre l’Occident en Ukraine, c’est d’accepter la contre-hégémonie comme idéologie. Les derniers discours de M. Poutine y ont d’ailleurs fait allusion. Des lois ont été introduites pour défendre les valeurs traditionnelles et instaurer le primat de l’esprit sur la matière. L’État commence à reconnaître l’importance de ces valeurs idéalistes. L’introduction de facteurs idéalistes dans la politique de l’État marque la fin du matérialisme absolu. L’État change de sens. Ce n’est plus un État libéral, c’est un État chargé d’une mission, sacré, un « royaume » au sens métaphysique. Ce qui se produit aujourd’hui en Russie, c’est la transformation du césarisme en contre-hégémonie au sens de Gramsci.

Considérons maintenant les autres civilisations. Vous avez notamment exprimé votre admiration pour les civilisations chinoise et africaine. Qu’est-ce que vous admirez dans la civilisation chinoise ? Et dans la civilisation africaine, considérée avec mépris par l’Occident ?

J’ai étudié l’histoire des civilisations dans un ouvrage nommé « Noomakhia » qui fait 24 volumes. Je suis impressionné par leur richesse et leur pluralité. La civilisation chinoise est exemplaire dans le sens où elle réussit à concilier modernité et tradition. J’ai été professeur à l’université de Fudan à Shanghai et j’ai bien étudié la Chine. La grande civilisation confucianiste se base sur la primauté de la culture, qui structure les relations entre l’individu et l’État. С’est le génie caché de la culture chinoise que d’avoir su créer un équilibre entre l’individu et le collectif, entre la personne humaine et l’État. L’antique tradition confucianiste est la clé pour comprendre le maoïsme et le capitalisme à la chinoise. L’originalité du capitalisme chinois est de se baser sur la solidarité et non pas sur la compétition. On ne cherche pas la lutte les uns contre les autres, mais à agir en parfaite harmonie avec à l’autre. On ne se fonde pas sur l’égoïsme individuel, mais sur une sorte de trans-solidarité de l’initiative privée.

Ainsi, un grand oligarque chinois Eric Li m’a dit que, quand il est invité à une réunion communiste, il suit la ligne du parti parce qu’il se sent redevable à son égard. Il se sent reconnaissant à État d’avoir pu créer ses richesses. Il sait ce n’est pas lui, tout seul dans son coin, qui a pu les réunir. Il est conscient que celles-ci lui ont été accordées par la communauté, par l’État, la collectivité et qu’il doit donc les utiliser à bon escient pour développer le pays et maintenir l’harmonie sociale. Le capitalisme chinois n’est pas occidental. Il est le fruit d’une culture propre dont le parti communiste est partie prenante. De ce point de vue, la Chine est un exemple de succès. Elle a réussi à conjuguer les principes du capitalisme et ceux de la culture orientale pour créer la Chine moderne.

Le cas de l’Afrique est différent. L’Afrique possède une grande richesse de cultures qu’elle ignore trop souvent. Quand elle a commencé la décolonisation, elle a voulu imiter l’Occident. Elle a importé le capitalisme, le socialisme, le nationalisme, le communisme, qui n’ont été en fait qu’une perpétuation de la colonisation, car il s’agissait d’appliquer des théories fabriquées par les puissances coloniales pour se développer, alors qu’il aurait fallu au contraire s’en émanciper. Elle a continué à puiser dans l’imaginaire et les principes du colonisateur occidental.

Aujourd’hui l’Afrique doit entrer dans une nouvelle phase, commencer une décolonisation profonde et revenir aux origines de la conscience africaine indépendante, qui est très multiple et multipolaire. L’Afrique n’est pas homogène. Elle compte d’innombrables peuples, cultures, langues et ethnies différentes et il faut respecter chacune d’entre elles. Les frontières postcoloniales ont cassé de vastes ensembles et séparé des ethnies et des cultures en deux pour créer des nations artificielles qui ont ensuite lutté entre elles et ont empêché l’émergence d’une conscience panafricaine. Je crois que la richesse de la culture africaine doit être revendiquée à nouveau. Et nous devons accepter les valeurs africaines en tant que telles, comme elles existent aujourd’hui, et non pas seulement quand l’Afrique sera développée. Cette dichotomie entre tradition et modernité, entre cultures prétendument archaïques et cultures modernes, est un point de vue que l’Occident utilise pour deviser et dominer est à rejeter.

Ce développisme, ce progressisme forcé est un racisme. Il faut laisser les peuples africains se développer comme ils veulent, selon leur propre voie, avec leurs propres valeurs, en harmonie avec leurs propres cultures. Il y a tant de principes et de traditions admirables à redécouvrir. Au lieu de vouloir coloniser à nouveau, on devrait aider l’Afrique à s’affirmer et prendre le temps de contempler ses richesses humaines.

La culture islamique est une autre source d’inspiration, comme celle de l’Inde ou de l’Amérique latine, qui n’est ni européenne, ni libérale, ni asiatique. Elles cherchent à s’exprimer aussi. On doit les laisser s’affirmer et se construire en toute indépendance et non pas en leur imposant des préceptes préfabriqués, prêts à porter ou imposés. Les Russes peuvent d’ailleurs y contribuer, mais sans imposer leurs propres visions.

C’est la grande différence entre l’Occident et nous. Pour nous Russes, l’Autre a le droit d’être Autre. Nous ne voulons pas que les autres soient comme nous-mêmes. Nous n’exigeons pas qu’ils soient à notre image. Pour l’Occidental, l’Africain, le Latino-Américain ne sont respectables que lorsqu’ils ne sont plus africains ou latino-américains et qu’ils se sont occidentalisés en adoptant les coutumes européennes, de la manière de s’habiller aux théories du genre. C’est seulement au moment où l’Autre s’est acculturé et a adopté le costume de la modernité européenne qu’il est accepté. Il faut que l’Autre soit comme blanc, laïc, postmoderne, athée, LGBT compatible pour être reconnu.

Cette incapacité à trouver la juste attitude par rapport à l’Autre est le péché capital de l’Occident.

Vous êtes en train de publier un nouveau livre qui devrait paraître cette année et qui s’appelle « Être et Empire ». De quoi s’agit-il ?

Ce livre porte sur l’ontologie de l’empire, l’empire étant entendu non pas comme une organisation politique, mais comme entité métaphysique. J’analyse la notion d’empire depuis la Mésopotamie, Sumer, Ur, Babylone et comment le concept d’empire a été intégré dans le judaïsme, par la Grèce après Alexandre le Grand, puis par Rome, le christianisme avec Constantin et l’Empire byzantin, jusqu’aux empires modernes occidentaux et russe.

Comme je l’ai mentionné plus haut, il faut savoir que tout empire comporte un aspect eschatologique, une dimension métaphysique puisque chacun d’eux se trouve confronté à sa propre fin, et donc à la fin du monde. D’où l’importance vitale des questions dynastiques dans les anciennes monarchies et des élections dans les empires libéraux.

Si on applique cette idée d’empire métaphysique à l’histoire des civilisations, on constate que l’idée impériale est toujours vivante et vivra jusqu’à la fin de l’histoire. Même quand il s’agit d’empire à rebours comme l’empire américain. Des historiens comme Niall Ferguson acceptent de plus en plus l’idée d’un empire américain. Les États-Unis, qui se sont posés comme anti-impérialistes au moment de leur création, apparaissent en effet de plus en plus comme une parodie d’empire, un contre-empire qui veut imposer le royaume universel des valeurs LGBT, wokistes, ultra capitalistes.

Il est intéressant de constater que la Russie redécouvre cette mission katéchonique de l’empire traditionnel. C’est la guerre entre ces deux conceptions de l’empire qui se déroule aujourd’hui sous nos yeux. Elle est à mon avis plus importante que la guerre pour les ressources naturelles, le gaz ou le pétrole. Il s’agit d’une confrontation métaphysique dans lequel l’empire joue le rôle de moteur caché de l’histoire. L’empire de Nabuchodonosor avait déjà été confronté à cette idée de fin, de disparition, comme l’avait prophétisé le prophète Daniel.

L’empire est le ressort caché de l’histoire humaine, son horloge. En étudiant son évolution, on peut savoir à quelle étape de développement, à quel moment historique nous sommes arrivés. Aujourd’hui, il est minuit moins une seconde. Nous sommes à la veille d’un basculement. L’idée de l’empire eschatologique se réveille et se redresse. Il ne s’agit pas d’une forme politique particulière, mais c’est une clé pour comprendre l’horloge de l’histoire.

Pouvez-vous revenir sur cette idée de Katechon, qui n’est pas familière à un public occidental ayant perdu ses références religieuses?

Le terme de Katechon est repris de la seconde épître de Saint-Paul aux Thessaloniciens dans laquelle il parle de la fin du monde. Il y est dit que le diable ne triomphera pas tant que celui qui retient le monde sera présent. C’est très important. Les traditions catholique et orthodoxe ont appliqué cette idée à la figure de l’empereur (conjointement avec le pape dans la tradition catholique romaine). L’empereur n’est donc pas seulement un chef politique temporel, mais une figure sacrée qui est l’adversaire de l’Antéchrist.

Carl Schmitt a développé cette idée en la transposant à la structure de l’État. Pour lui, l’État recèle une dimension katéchonique. Il repose sur un fondement métaphysique. Carl Schmitt a sorti ce terme de la théologie pour l’appliquer à la politologie moderne dans son livre « Le Nomos de la terre » publié en 1947.

Des auteurs italiens comme Giorgio Agamben et Massimo Cacciari (philosophe et ancien maire de Venise issu du Parti communiste italien) en particulier, l’ont ensuite utilisé dans une eschatologie de gauche. Ils l’ont introduit dans la doctrine politique de la gauche qui considère que le katechon fait obstacle au progrès. Ils pensent que la notion de katechon est non seulement importante pour les traditionalistes comme moi, mais aussi pour les gens de gauche qui le perçoivent comme un obstacle au développement d’une religion séculière de gauche.

Pour moi en tout cas, la notion de Katechon est centrale. J’ai fondé une revue et un site qui portent ce nom. Il appartient à notre héritage, à nos valeurs, et correspond à l’idée de Moscou troisième Rome développée dès le XVe siècle après la chute de Constantinople. Pour certains anti-modernistes, la guerre en Ukraine revêt d’ailleurs un caractère multipolaire et katechnique.

Une dernière question pour conclure. Pourquoi cette anti-modernité radicale ? N’y a-t-il rien à sauver à vos yeux dans la modernité actuelle ?

La modernité est un processus. Si on suit ce processus, on arrivera au dépassement de l’Homme par la Machine, à l’avènement de personnalités asexuées et à la reproduction du genre humain sans intervention humaine. Cela parce que l’individualisme, qui est le moteur de la modernité, le sécularisme, l’athéisme et la négation de la tradition nous mènent directement à la déshumanisation. Nous n’en sommes pas conscients, car nous jugeons la modernité à partir des critères de la modernité elle-même et des valeurs modernes.

Mais si nous la jugeons avec les yeux de la tradition, nous arriverions à percevoir la chute, la dégradation, la déshumanisation croissante et nous verrions comment l’humanisme, poussé à ses extrémités, mène à la déshumanisation.

Le transhumanisme et la politique des genres qui détruit la famille et impose des types humains étranges, joints à la croyance dans la toute-puissance du progrès technique, conduisent à une issue fatale. Si l’on déconstruit la modernité, on constaterait qu’un chemin erroné a été pris dès le début de l’épanouissement de la civilisation occidentale avec l’atomisme, le matérialisme, le rejet d’Aristote et de la métaphysique, le nominalisme et le développement de la physique Newtonienne, qui ont abouti à une vision complètement fausse de la nature de l’homme et du cosmos. En détruisant la dimension sacrée de l’Homme et de la Nature, on arrive à une déshumanisation totale. Le matérialisme individualiste d’aujourd’hui est la phase terminale de ce processus. Ce n’est pas le produit d’un excès ou d’une déviation, mais le résultat d’une logique implacable. Il faut donc casser cette logique infernale et prendre un autre chemin. C’est pourquoi il convient de rejeter toute la modernité, et pas seulement tel ou tel de ses aspects.

La tradition est un retour aux racines. Ce n’est pas un retour au passé, mais une redécouverte de l’éternité. La modernité a commencé avec la négation de l’éternité. L’éternité n’existe pas pour elle-même. Il est essentiel de redécouvrir la dimension éternelle de l’être. L’éternité n’est pas non plus une durée indéfinie, c’est une autre dimension de l’être, perpendiculaire à la ligne du temps, à la fois verticale et transversale. Elle n’appartient pas seulement au passé, mais aussi au présent et au futur. Il faut redécouvrir la dimension tridimensionnelle de l’être avec l’aide des poètes, des mystiques, des philosophes et des théologiens. Les comptables et les managers ne peuvent nous aider dans cette tâche. Faute de quoi, nous céderons aux injonctions mortifères de la civilisation moderne telle que la propose l’Occident.




Démembrement sectaire de l’humain citoyen (sexe, famille, culture, sciences…)

Par Lucien SA Oulahbib

Que dire de plus qu’Alain Falento sur, par exemple, l’assassinat de la France ou encore que Béatrice Bourges sur le « nouvel ordre mondial » (terme « complotiste » pour les petits sbires de la Secte SHAA) ?…

Rien d’autre que quelques arguments concrets en plus, et, peut-être, ici ceci, mais juste en passant, en vue d’informer ceux qui pensent pouvoir (ne pas) œuvrer dans le transhumanisme chic :

« (…) La phalloplastie, c’est-à-dire la procédure permettant la construction d’un pénis, est en fait composée d’une série d’interventions chirurgicales espacées sur une durée pouvant aller sur quelques années. La première étape sera la création du phallus à l’aide d’un greffon de peau pris sur l’avant-bras ou le flanc du patient (ce qui laisse des cicatrices très visibles). Ce phallus, bien qu’ayant une longueur généralement satisfaisante, ne possède pas un gland qui procure une sensation semblable à celle du clitoris, car celui-ci ne peut être greffé. Ceci veut dire que le risque de diminution du plaisir sexuel est bien réel. Attention, ceci ne veut pas dire que le néo-pénis ne permettra d’avoir de jouissance. Cela veut tout simplement dire que la personne devra réapprendre à vivre sa sexualité et à tirer son plaisir ailleurs que dans des terminaisons nerveuses. Pour certains hommes trans ou personnes trans-masculines, le sacrifice en vaut le coup ; pour d’autres, la décision est beaucoup moins évidente. (…)»

Ainsi, même pour les adeptes transis, mais encore naïfs de la trans/formation queer (naïfs, car il ne faut pas le dire, à l’école par exemple) l’adieu au « plaisir sexuel » est une donnée de fait lorsque l’on prétend faire fi du sexe « biologique ». On pourra certes rétorquer que cela reste « subjectif » et qu’au même titre que ces arguments justifiant les « familles » monosexuées, le plaisir peut aussi s’être fané dans les couples « normaux », tout comme ces enfants battus et/ou violés dans les familles dites « traditionnelles » qui auraient pu être plus « heureux » chez un couple monosexué, etc., etc..

Sauf que la question première ne consiste pas, d’abord, à mesurer telle satisfaction, toujours relative en effet, mais à se demander, avant tout, comment un psychisme humain peut se constituer (et en jouir) sans altérité masculin/féminin. C’est-à-dire sans cette reconnaissance par le sexe opposé en particulier parental indiquant déjà que l’on est bien perçu mâle ou femelle dans son comportement, sa joie, son jouir, car le sexe ce n’est pas seulement de l’anatomie une excroissance comme des cheveux, la « biologie » étant bien plus que son substrat physico-chimique (ce qui ne veut pas dire qu’il suffirait de le déployer pour être comme le croit l’eugénisme en particulier racialiste.

En ce sens, l’attraction progressivement plus complexe de l’enfant envers son père ou sa mère ne relève pas mécaniquement/automatiquement d’un besoin énergétique comme s’ils étaient uniquement des sources de chaleur ou de protection lorsqu’il était bébé, mais, surtout, mais, d’abord, et au fur et à mesure comme ce besoin bio-psychique d’être de plus en plus reconnu comme étant capable de séduire lui-même aussi, et ce à tout point de vue, telle cette nouvelle symbiose bio-culturelle, en l’occurrence l’enfant en devenir, susceptible d’être, lui aussi, admiré, aimé, une personne comme son père ou sa mère qui sont ses canevas, d’où l’importance de leur double présence…

C’est en effet ce qui permet à l’enfant de développer sa spécificité d’être un animal humain et non pas seulement un animal tout court ; cette « humanité » n’est donc pas « seulement » anatomique, mais psychique. Joseph Nuttin, (1980, p.166) explique bien que le mâle humain est enclin à non seulement tester plutôt quantitativement l’étendue de son agressivité, de sa violence, d’être (au sens éthologique, voir aussi infra) comme ses performances topiques cherchant à marquer ses territoires, tel un félin, à se percevoir dans les territoires symboliques par la fierté, la vanité, le prestige, y compris, ou sa dextérité à non seulement se déployer, mais à se développer à court moyen et long terme. La femelle, elle, est encore plus à même d’œuvrer aussi ainsi dans l’étendue, mais aussi dans la qualité du relationnel : c’est ce que par exemple soulignent non seulement Joseph Nuttin (supra), mais également Peggy Sastre dans La domination masculine n’existe pas, surtout lorsqu’elle indique comment le mâle peut se méprendre sur les signes uniquement amicaux émis par la femelle (2015, p. 61).

Ce qui implique de ne pas réduire la femelle à la seule maternité, puisque le relationnel s’étend certes à l’ensemble des territoires topiques, mais aussi symboliques, esthétiques (qui n’est pas seulement la brillance plastique de couleurs et de formes, mais la manière d’être du monde ou la séduction même, bien analysée par Jean Baudrillard). D’où aussi le fait par exemple que la Nation française est symbolisée par une femme, Marianne, et non par un homme, la Marianne de Delacroix n’exprimant pas spécialement la seule réplique de la Vierge : elle appelle au courage, à l’abnégation à l’émergence d’un nouveau Créé ; c’est aussi le Geste d’Ève défiant Dieu en prenant, elle, et la première, le Fruit de la Connaissance du Bien et du Mal (et Adam l’accompagne…) ce qui va bien plus loin que sa « soumission » au Diable, car elle aurait pu, tel le Christ, ne pas le suivre…

Ainsi, les deux sexes, en cette altérité opposant, dialectiquement, quantitatif topique et qualitatif relationnel, cherchent alors par et dans la présence de » l’autre » ce désir insatiable de se chercher soi-même jusqu’au bout des possibles ; ou comment atteindre la pleine présence harmonieuse et jouissive de se sentir vivant, c’est-à-dire ce qui (se) révèle ; par exemple comment son soi intime s’enrichit aussi par ce l’on procure à autrui comme joies et jouissances ; ou le fait de sentir que l’autre est rendu lui aussi heureux ; ce qui mesure bien ce que l’on est devenu soi-même : sommes-nous capables (ou pas) de (se) comprendre (dans) l’autre en particulier la femelle d’une part, le mâle d’autre part ? ; soit d’ailleurs le principe même de l’orgasme à deux, mâle et femelle, une mise en phase bien plus singulière grâce à cette altérité, là, celle précisément du semblable, à la fois même et autre, que dans le seul identique du pareil (ou l’homosexualité, voir ici Jacques Balthazart) ou encore celle du seul narcissisme solitaire aujourd’hui de plus en plus robotisé avec apparence humaineUn narcissisme numérisé se vivant également à plusieurs

Aussi cette singularité, humaine, c’est-à-dire nécessitant une telle altérité non simulée, ne peut pas être perçue par l’analyse en « cisgenre » : celle-ci ne peut l’atteindre en effet tant son scientisme l’en empêche puisque réduisant la matière vivante humaine soit à son complexe physico-chimique soit à son environnement normatif, évacuant alors la singularité du psychisme a fortiori humain dans la seule technologie d’avoir ou non un « désir » de pénis ou une vulve puisqu’elle en fait même une nécessité ultime (du moins pour certains) ce qui s’avère être la porte ouverte au fond à la technologie des prothèses, dont ces poupées gonflables comme vu ci-dessus…

On voit bien d’ailleurs cette poussée scientiste (et affairiste) chez sa future grande » sœur » accompagnant toute cette transformation génitale qu’est Big Pharma réduisant déjà l’immunité à une « réaction » passive qu’il faut sans cesse exciter ou bloquer alors que sa constitution s’avère bien plus complexe aux dires des spécialistes…

Ce qui fait que ce scientisme rate également le fait que même le futur cyborg le plus accompli n’échappera pas à l’agressivité d’être (ce droit de nature des Anciens, dont Hobbes, Locke, repéré également par Darwin, Nietzsche, Lorenz, Laborit…) ou le fait de vouloir acquérir du pouvoir dans ses trois composantes (puissance à attirer, autorité dans la prestance, capacité à diriger selon sa compétence) afin de peser au sein des trois buts fondamentaux de l’aventure humaine comme le disaient également les Anciens : acquérir du pouvoir (dans ses trois composantes) posséder des richesses (symboliques également) chercher à être reconnu ou le prestige (tel le « respect », y compris déjà à ses « propres » yeux)…

Mais quel rapport à ce stade avec le « démembrement » non plus seulement de l’humain, mais de la Nation Citoyenne France incarnée aujourd’hui par Marianne ? Et quid du « nouvel ordre mondial » ? Davos, la Secte SHAA ? Etc..

Eh bien ce qui peut apparaître microscopique, local, lilliputien, lié au « hasard » des mutations de mœurs et des nouvelles modes du quotidien, etc., s’agrège aussi en tendances longues : éparses au départ, mais qui, récupérées, embrigadées, peuvent servir de relais, de tremplins, pour réaliser, mailler, un programme d’action par certaines forces politico-économiques organisées (globalisées en FTN, en technostructures interétatiques) comme profiter dans les programmes scolaires et les recommandations « sociétales » de tous ces questionnements plus du tout juvéniles face aux sollicitations esthétiques et comportementales d’adultes (comment parler de sexualité à… trois, six, même dix ans) solidifiées en ces produits symboliques bien trop crus pour leur « âge » comme si l’on voulait supprimer l’enfance cette perte de temps (et d’argent)

Idem pour ces publicités institutionnelles prônant le « multiculturalisme » afin de parachever la transformation de l’Europe en zone non seulement commerciale, mais zone à crever à précisément démembrer (ZAD) et non pas à défendre comme le prétendent les orcs de la Secte SHAA ou l’Europe comme terrain vague à l’âme labouré, bombardé déjà symboliquement par toutes ces séries détournant l’imaginaire séculaire contenu dans un conte et une rêverie en le cristallisant en purs objets propagandistes et non plus seulement en fantasmes et fantaisies cerfs volant au vent (sourire amical entre hommes transformés automatiquement en désir sexuel) à l’ombre des falaises rugueuses ou parsemées de « coquelicots jolis » attendant entendant le rire des amants et répercutant « le murmure de la ville » comme l’écrit Proust (À l’ombre des jeunes filles en fleurs, lui qui n’a jamais fait état de son homosexualité pas plus que Gide) tout cet effroi froissant fructueusement les âmes en joute se cherchant, sont alors happées par la nouvelle Toile idéologique et sa matrice Cyber-étatiste dont le moyeu scolaire viendra broyer au nom de « la » science SVT (voir les programmes de seconde) toutes leurs pétales printanières pour en faire ces médicaments mentaux d’adultes vendus pour devenir « ce que l’on veut » ; un vouloir hypothétique puisque voguant au gré des influenceurs du jour, mais servant de sédiment idéologique aux bonimenteurs, même assermentés…

Quant au « reste », à la France par exemple, rappelons seulement la politique familiale instaurée par le social-étatisme d’un François Hollande, loin d’aider à contrecarrer les tendances de plus en plus erratiques de l’agressivité de la violence, d’être (ou ne pas être) depuis la « mort » des « grands récits », loin de se battre pour plus de cette « cohésion sociale » promise, ce social-étatisme n’aura fait qu’affaiblir, fragmenter, selon le mot à la mode, les classes populaires et supérieures ; ne serait-ce qu’en manipulant déjà le quotient familial, car s’il y avait de l’idée à intervenir dès le second voire le premier enfant chez les familles dites modestes ce n’était pas pour réduire la possibilité d’en avoir plus dans les familles plus aisées comme ce fut le cas en rognant sur le quotient ; même les communistes étaient contre, à l’époque, car on ne touche pas à un acquis civilisationnel ; ce qui a eu pour résultat d’affaiblir l’ensemble, surtout articulé au refus de réformer/protéger le congé maternité empêchant par exemple les entreprises (certes étranglées par des coûts sociaux aux antipodes du dumping social propre au globalisme affairiste sous-traitant en Chine et… en Pologne…) de congédier les plus faibles dont les femmes et les plus de cinquante ans (blancs en plus) pour être plus compétitives au sein d’un marché déséquilibré par un libre-échange non régulé du fait de l’obsession anglo-saxonne américaine et allemande à réduire uniquement l’UE à une zone affairiste alors que la France aspirait à ce « plus » d’une Europe des « Patries »…

Celle-ci s’est fracassée peu à peu lorsque la normalisation globaliste (diffractée par zone de démembrement) exigeait de plus en plus d’économie d’échelle et, partant, une sous-traitance exacerbée entraînant les distorsions que l’on subit encore…

Bref, au lieu de redresser le bateau France, la branche française de la Secte SHAA s’empressa de commencer à le couler avec armes et bagages en 1992 malgré le sursaut de 2005 jusqu’à aujourd’hui lorsque l’on voit bien que c’est désormais ladite « Présidente » de la Commission Européenne, élue de nulle part, qui déclare la guerre à la Russie, mais oui, interdit à Frontex d’empêcher le nouveau trafic d’esclaves africains, mais oui encore, interdit aussi Russia Today et Spoutnik, — et pourquoi pas puisque la liberté est devenue chose ancienne, donc « d’extrême droite », tandis que cette Reine (celle de Blanche Neige) fait la leçon, entre deux tweets à Bourla (patron de Pfizer) au nouveau propriétaire de Twitter via l’un de ses Commissaires, français pour lui rappeler à plus de retenue ; tout en lançant sa nouvelle meute peuplée d’incontinents en insultes, tous ces nouveaux bandits de grand chemin que sont devenus les « journalistes » de cour, à l’assaut des « questionnistes », sus ! à Berkoff qui a eu le malheur d’inviter des analystes lucides et non pas stupides….

Pendant ce temps d’autres orcs de la Secte SHAA, drones transhumains spécialisés dans la torture sociale, s’en prennent à un docteur en pharmacie, une psychiatre, un sénateur radiologue, toute une ribambelle de soignants pour avoir eu raison trop tôt ou refuser de salir leur honneur ce mot effacé du dictionnaire d’un Véran par exemple…

Démembrez-vous dis-je ! Démembrez encore et toujours, l’Enfer reconnaîtra les siens…




Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?

Du confort des croyances au choc de la vérité

Par Jamila BURET, ingénieure, docteure en physique, professeure universitaire

« Vous ne réalisez pas à quel point il est difficile d’exposer la vérité dans un monde rempli de gens qui ne sont pas conscients de vivre dans le mensonge ».

Edward Snowden

Cet article propose un survol de la « crise Covid », avec trois ans de recul et une masse énorme de données diffusées sur les canaux alternatifs d’information alors que dans les médias mainstream les journalistes-perroquets se contentent de répéter la même antienne.

Avec pour but de trouver un fil conducteur qui apporte une cohérence à une suite d’événements inhabituels, à des mesures liberticides sans fondement et souvent absurdes, au déchaînement d’un matraquage médiatique sans précédent, qui ont débouché sur une situation sanitaire, sociale, économique et psychologique catastrophique.

Et à l’arrière-plan, le désir de contribuer à ouvrir les yeux de ceux qui refusent encore de regarder la réalité en face.

La crise Covid que nous venons de vivre a eu des répercussions tous azimuts.

Mesures liberticides inédites (masques, tests PCR, confinements, couvre-feux, pass vaccinal…), peur diffusée par les médias grand public, choc de la perte de proches emportés par la maladie, souvent par manque de soins puisque, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, on a interdit aux médecins de soigner leurs patients, et, pire encore, on a administré aux malades des substances nocives ou mortelles (Rivotril, Remdesivir, paracétamol).

Tout cela a induit un profond bouleversement auquel est venu s’ajouter le forcing de la vaccination et ses conséquences pour les récalcitrants qui ont perdu leur emploi, et pour les vaccinés dont certains en sont morts ou subissent des effets indésirables multiples parfois terriblement handicapants.

Malgré toutes ces vicissitudes, la majeure partie de la population continue à faire confiance aux autorités et aux informations mensongères qu’elles diffusent sur les médias mainstream ; parce qu’elle ne peut pas ou qu’elle ne veut pas voir le tableau d’ensemble : la manipulation et la prise de contrôle de la population.

Ce refus de voir ce qui nous dérange et nous sort de notre confort est inhérent aux humains qui ne veulent surtout pas renoncer à leurs croyances sous peine de crise existentielle trop douloureuse.

Il existe cependant une petite minorité, dotée d’un esprit critique et d’analyse plus développé que la moyenne, qui, au gré des événements, se pose des questions et se met en quête de vérité. Ces chercheurs de vérité (scientifiques, anthropologues, médecins, statisticiens, etc.) ont produit continûment, depuis le début de la « crise sanitaire », une masse impressionnante d’informations alternatives, diffusées et mises à la disposition du public à travers des canaux alternatifs d’information créés par des militants (« gardiens de l’humanité ») pour contourner la censure pratiquée par les réseaux sociaux traditionnels (YouTube, Facebook, Twitter).

Et c’est un aspect positif très important de la crise Covid : le dévoilement progressif des mensonges distillés par les autorités, les institutions et leurs représentants ; mensonges relayés et diffusés par les médias mainstream financés par les États et par quelques milliardaires.

Étapes de la prise de conscience

« Une révolution est toujours l’aboutissement d’une lente évolution ».

Cette parole très juste d’un sage indien s’applique parfaitement au dévoilement des mensonges relatifs à la crise Covid.

C’est la succession d’événements anormaux apparus dès le début de la crise sanitaire qui a semé le doute dans certains esprits :

  • — Virus nouveau, maladie encore inconnue, et d’emblée on l’annonce comme très contagieuse et mortelle.
  • — À peine une quarantaine de cas déclarés et l’OMS annonce officiellement une pandémie de Covid-19.
  • — Matraquage immédiat et inouï des médias : décompte quotidien des décès, des « cas »,
  • — Apparition de nouveaux concepts (cas positif, cas asymptomatique, cas contact, cluster, gestes barrière, distanciation sociale, confinement).
  • — Application des mesures coercitives avec un contrôle policier sans précédent.

La peur se propage et s’amplifie au sein de la population ; mais les chercheurs se mobilisent et débusquent les événements antérieurs destinés à lancer « l’opération Covid » (Agenda 21, Event 201, Jeux militaires de Wuhan, dépôts de brevet bien avant 2019, test raté de la grippe H1N1…).

En quelques mois, grâce au travail bénévole acharné de nombreux médecins, scientifiques, lanceurs d’alerte, les remises en cause se succèdent :

  • de la gravité de la maladie (analogue à une grippe)
  • de la non-existence de traitements efficaces
  • de l’origine du virus
  • de l’efficacité des masques et des confinements
  • de l’utilité des tests PCR
  • des statistiques officielles

Puis la propagande vaccinale se met en branle, orchestrée par les médias : des vaccins nouveaux, produits à la va-vite, jamais expérimentés sur les humains ; mais dont on déclare d’emblée une efficacité supérieure à 90 %. Présentés comme une grande innovation technique, puisque l’antigène destiné à provoquer la production d’anticorps n’est pas injecté directement comme dans les vaccins classiques, mais fabriqué par les cellules du corps des vaccinés.

Ce vaccin « exceptionnel » est annoncé comme l’unique solution pour enrayer la pandémie et retrouver « la vie d’avant ».

D’énormes moyens sont mis en place pour vacciner le plus grand nombre, en un temps record.

Mais, au vu du grand nombre de récalcitrants, on passe au forcing à grand renfort de pass vaccinal : plus d’accès au travail, aux commerces, aux loisirs, si l’on n’est pas vacciné !

Balayé, le consentement libre et éclairé du citoyen avant tout acte médical, pourtant clairement établi par divers traités et conventions (Nuremberg, Helsinki, Oviedo…).

Le plan d’ensemble de « l’opération Covid » devient plus clair : l’interdiction de traitements éprouvés et efficaces n’avait d’autre but que de justifier la vaccination, tout comme le gonflement artificiel des « cas » à grand renfort de tests PCR sans signification.

En effet, un vaccin ne se justifie que dans le cas d’une maladie à forte mortalité, pour laquelle n’existe aucun traitement efficace, et le vaccin doit avoir prouvé son efficacité et son innocuité.

Or, aucune de ces conditions n’est remplie dans le cas du Covid !

Mais alors, pourquoi un tel acharnement à vacciner le plus grand nombre, avec un maximum de doses et de boosters, en un temps record, alors que les vaccins étaient encore en phase 3 d’expérimentation ?

À grand renfort de mensonges et de chantages !

Car on peut désormais faire le bilan de cette opération « vaccination » de masse :

  • Elle n’a pas arrêté la pandémie ni empêché les cas graves et les décès ;
  • Elle n’a pas renforcé l’immunité des vaccinés ;
  • Elle a causé des effets indésirables multiples et souvent très graves dans des proportions jamais atteintes avec les vaccins classiques.

Les populations vaccinées ont servi de cobayes aux fabricants de vaccins pour la phase 3 des essais cliniques ; plus tard, on découvrira que les phases 1 et2 ont été bâclées et leurs résultats falsifiés !

Effets des vaccins

La majorité des médecins ne pense même pas à chercher un lien éventuel entre le tableau clinique des patients et le vaccin anti-Covid ; d’où une très grande sous-estimation des effets indésirables (EI).

Étant donnés le nombre et la diversité actuels des EI, tout médecin sérieux devrait inclure dans le questionnaire préalable du patient, des questions sur la vaccination : nombre et date des doses, marque du vaccin, effets ressentis après les injections, immédiats et différés.

Morts subites d’adultes

Elles sont en général déclarées d’origine inconnue quand elles ne se produisent pas immédiatement après l’injection. Pourtant, de nombreuses études statistiques ont établi une surmortalité évidente en 2021 et 2022 dans les pays à fort taux de vaccination. En Allemagne, on signale dix fois plus de morts subites qu’en 2021 ; aux États-Unis, 40 fois plus de fausses couches et de mort-nés (les fœtus ont des crises cardiaques dans l’utérus) !

https://www.Covidhub.ch/10-fois-plus-de-morts/

https://www.Covidhub.ch/40-fois-plus-de-morts-nes/

Des vidéos montrant l’effondrement subit de personnes en pleine action affluent sur le Net : présentateurs télé, athlètes, mais aussi jeunes lycéens et sportifs. Au point qu’un documentaire « Died suddenly » a été consacré à ce phénomène !



Et il y a aussi toutes les morts différées, survenues quelques semaines ou plus après les injections. Les compagnies d’assurance américaines ont d’ailleurs alerté sur une augmentation du nombre des décès en 2021 et 2022, jamais enregistrée auparavant.

https://www.kairospresse.be/morts-dans-les-ecoles/

https://expose-news.com/2023/02/03/8x-increase-child-excess-deaths-europe-c19-vaccine/

Effets indésirables

Depuis que des médicaments et des vaccins sont utilisés à grande échelle dans le monde, jamais on n’a relevé une telle proportion et une telle variété d’effets indésirables qu’avec les injections anti-Covid. La liste en est très longue : cécité, surdité, éruptions cutanées, paralysies, thromboses, atteintes cardiaques, AVC, cancers, maladies auto-immunes, fausses couches, troubles du cycle menstruel…

Dans des pays à très fort taux de vaccination comme la Finlande, on enregistre des records d’infertilité.

Malgré la sous-estimation des EI, de nouveaux ne cessent d’apparaître : ainsi, des fœtus et des nourrissons, dont les mères enceintes ont été injectées, sont victimes d’AVC hémorragiques !

Découvertes sur les injections antiCovid

Le nombre et la gravité des EI, la diffusion des résultats d’autopsies et le témoignage de thanatopracteurs

effarés par la longueur (plusieurs dizaines de centimètres) et la consistance fibreuse inhabituelles des caillots retirés des artères et des veines des cadavres, tout cela ne pouvait qu’inciter les scientifiques à chercher à comprendre ces effets.

En fait, dès le début de la maladie Covid, les symptômes inhabituels présentés par les malades, totalement différents de ceux des autres maladies à coronavirus et dépassant largement la sphère ORL et les voies respiratoires, ont fortement intrigué les médecins.

Très vite, des chercheurs ont explicité le mécanisme d’action de la protéine spike qui permet au virus de pénétrer la cellule pour l’infecter et qui induit une hyperinflammation pouvant conduire au fameux « orage de cytokines » et au syndrome de détresse respiratoire aiguë (ARDS) avec coagulation et enfin à la mort.

https://www.francesoir.fr/societe-sante-opinions-tribunes/en-faisant-produire-la-proteine-spike-par-les-cellules-vacciner

Ainsi, les effets pathogènes du virus SARS-Cov2 sont dus essentiellement à l’activité de sa protéine spike de surface qui, qu’elle soit associée au virus SARS-Cov2 ou seule, est capable de déclencher les mêmes processus inflammatoires, et ce dans tous les organes et les tissus où existent ces récepteurs.

Et c’est justement cette même protéine spike que les vaccins géniques (à ARNm et à ADN) font produire en grande quantité (incontrôlée) dans l’organisme du vacciné !

On injecte donc, sous le nom rassurant de vaccin, un produit dangereux, qui va faire fabriquer par les cellules du corps, une protéine hautement toxique, ayant exactement les mêmes effets inflammatoires que dans le Covid.

Et les fabricants de vaccins ne peuvent prétendre ignorer les effets de la protéine spike puisque, en 2004 et 2005, des études sur l’infection par le MERS-CoV et le SARS-CoV-1 avaient déjà montré que les vaccins basés sur la protéine spike entière induisaient une forte réponse inflammatoire immunitaire dans de nombreux organes ; pendant que d’autres études concluaient qu’il était très difficile de vacciner contre les coronavirus.

Le choix de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid a donc été le pire choix possible, au point que l’on peut se demander si c’est une simple coïncidence

https://www.francesoir.fr/societe-sante/Covid-et-spike-syndrome-ne-pas-confondre

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/Covid-19-spike-arn-et-vaccins-et-si-lancait-les-etudes-prealables

Analyses d’échantillons de vaccins

Des témoignages troublants, dans des vidéos circulant sur le Net, montrent des effets magnétiques étranges chez les personnes vaccinées : des objets métalliques divers restent accrochés sur le bras au niveau du site de l’injection ou sur le torse ; des adresses MAC (Media Access Control) apparaissent sur Bluetooth en présence de personnes vaccinées.

Cela a incité des équipes de scientifiques à entreprendre l’analyse au microscope d’échantillons des différents vaccins anti-Covid. Les résultats obtenus sont si inattendus et déroutants que l’on se croirait en pleine science-fiction et la première réaction est de mettre en doute leur authenticité et l’honnêteté des chercheurs.

Cependant, de plus en plus d’études bien documentées apparaissent en provenance de plusieurs pays, présentant des images et des vidéos réalisées avec des microscopes très sophistiqués, avec des détails précis sur le mode opératoire, au point qu’il est impossible de continuer à rejeter en bloc tous ces résultats.

Les premiers à publier leurs résultats furent les scientifiques de la Quinta Columna, un groupe de scientifiques hispanophones dont « l’objectif est de montrer la réalité aussi inconfortable que soit la Vérité… sans préjugés ni conflits ».

Leur découverte principale est la présence dans les vaccins anti-Covid d’oxyde de graphène toxique pour les humains. Sur leur site (laquintacolumna.net), on peut télécharger leurs rapports techniques sur le sujet, ainsi qu’un recueil de plus de 60 publications scientifiques sur les propriétés et la toxicité de l’oxyde de graphène en biologie humaine. Leur dernière vidéo, mise en ligne sur la chaîne Odysee le 19 janvier 2023, « Nouvelles images de l’injection Pfizer », montre des structures quadrangulaires, du graphène et des nanotubes de carbone.

Un autre groupe, le COMUSAV (Coalition Mondiale pour la Santé et la Vie ; site : comusav.com), a réalisé un documentaire, « Bluetruth », qui présente les résultats de leurs recherches : présence d’oxyde de graphène dans le sang des vaccinés ; adresses MAC détectées dans différentes expériences, dont une dans un cimetière.

Pour eux, il est évident que les vaccinés émettent des ondes et ils l’expliquent par l’autoassemblage des particules de graphène à l’intérieur du corps, pour former des circuits électroniques nanométriques.

Ils relient leurs découvertes à un ensemble de projets existant depuis des décennies (Intra body Nano-Network ; carbon nanotubes linking neurones ; …) ayant pour objectifs le contrôle neuronal, la stimulation de la sécrétion des neurotransmetteurs, la modulation neuronale.



http://politikus.unblog.fr/2022/02/02/argentine-des-chercheurs-exposent-la-nanotechnologie-trouvee-dans-les-vaccins/

Une vidéo postée sur la chaîne Odysee.com, en janvier 2023, présente les travaux du Dr David Nixon de Melbourne sur les « Structures d’autoassemblage présentes dans les injections Covid-19 vues au microscope ». Disposant d’un matériel très sophistiqué, il a obtenu des images d’une qualité exceptionnelle.

Le Dr Nixon a filmé en continu pendant tout un week-end un échantillon de « vaccin » Pfizer et, en accélérant le film, a découvert l’autoassemblage et le désassemblage de cristaux carrés semblables à des puces électroniques reliées par des rubans, sensibles au rayonnement électromagnétique.

Son interprétation est que l’on est en présence d’une technologie très avancée ; que l’hydrogel des « vaccins », qui est une matière programmable et intelligente, contient les matériaux et le plan d’assemblage des structures observées.



https://www.laprensa.com.ar/523511-Vacunas-Covid-estado-actual-de-los-conocimientos.note.aspx

Plusieurs autres vidéos vont dans le même sens, mais l’une d’entre elles présente une nouvelle démarche encore plus étonnante. Un producteur américain de télé et de films, Del Bigtree, a donné son sang de non vacciné au laboratoire du Dr Ryan Cole qui l’a observé au microscope après y avoir ajouté une goutte de l’un des vaccins anti-Covid à ARNm. Dans le cas du produit Pfizer, le sang s’est décoloré et les globules rouges ont involué et sont devenus flasques donc probablement incapables de transporter l’oxygène.



On peut en conclure que des composants inconnus des « vaccins » agissent directement sur le sang des vaccinés, provoquant les EI, essentiellement coagulation du sang et inflammation. La protéine spike n’existant pas dans le « vaccin », elle ne peut pas être à l’origine de ces réactions !

Ce qui est frappant dans toutes ces analyses, c’est que les « vaccins » semblent contenir des produits dont les fabricants n’ont jamais signalé l’existence et qui n’ont pas leur place dans un vaccin !

Il n’est plus question d’ARNm ni de protéine spike. D’ailleurs, certains chercheurs ont signalé l’absence d’ARNm dans les échantillons qu’ils ont analysés.

Même si ces découvertes sont étranges et difficiles à accepter, il s’agit d’expériences réelles photographiées et filmées. Que l’on puisse ou non les expliquer pour le moment n’est pas le problème. Le problème est que ces « ingrédients », s’ils existent, ne devraient pas être injectés à un être humain à son insu.

Or les autorités sanitaires ont accordé une AMM conditionnelle à ces « produits » géniques et autorisé une expérimentation vaccinale à grande échelle, inédite dans l’histoire de l’humanité. Ce qui déjà pose problème !

Du fait de leur inefficacité et surtout leur dangerosité, ces produits ne devraient même pas porter le nom de vaccin !

Pire que cela, ils devraient être retirés immédiatement du marché vu les dégâts à court, moyen et long terme qu’ils ont causés ou vont causer. Et ceux qui les ont conçus, fabriqués, qui se sont enrichis grâce à leur vente, ceux qui en ont fait la promotion, qui les ont injectés de force, tous devraient être jugés et condamnés !

Pourtant, la grande majorité de la population qui n’est informée que par les médias officiels est tenue dans l’ignorance totale de l’inefficacité des « vaccins » et de la gravité de leurs EI. Elle continue donc à y croire ainsi qu’à la bienveillance des gouvernants !

« Les masses n’ont jamais eu soif de vérité. Elles se détournent des évidences qui ne sont pas à leur goût et préfèrent glorifier l’erreur si celle-ci les séduit. Celui qui peut apporter l’illusion est facilement leur maitre ; celui qui tente de détruire l’illusion est toujours leur victime ».

Gustave Le Bon

Vaccins anti-Covid ou arme biotechnologique ?

Le choix de faire fabriquer la protéine spike toxique par les cellules du corps des vaccinés témoigne déjà d’une intention malveillante !

Remarquons toutefois qu’un nombre toujours croissant de scientifiques remet en cause la présence d’ARNm dans les « vaccins » donc la production de la spike dans le corps des vaccinés, ainsi que l’existence même du SARS-CoV-2 (voir Note en bas de l’article).

De toute façon, les découvertes de plus en plus nombreuses et convaincantes d’oxyde de graphène, de puces électroniques et de nano-objets non identifiés, dans les échantillons de « vaccins », sont largement suffisantes pour accréditer l’hypothèse d’une arme biotechnologique.

Une toute récente information semble étayer cette hypothèse. Lors d’une conférence de presse sur le déploiement militaire en cours d’armes biologiques, tenue le 24 janvier 2023 aux USA, l’une des participantes, Katherine Watt (assistante juridique de Pennsylvanie et chercheuse en droit) a partagé ses récentes découvertes. Elle a rapporté entre autres que Pfizer, en avril 2022, a déposé une motion pour rejeter la plainte d’une lanceuse d’alerte, Brooke Jackson, au titre de la loi sur les fausses allégations : « Ce n’est pas un vaccin, mais un prototype du ministère de la Défense (DoD) ; nous n’étions aucunement obligés de procéder à des essais cliniques valides ni de prouver l’efficacité ou la sécurité du produit à qui que ce soit. »

En octobre 2022, le gouvernement US a approuvé ce point de vue, disant que les essais cliniques n’ont jamais été nécessaires pour que le DoD paie les contractants pour la production et la distribution des armes biologiques sous le nom Covid-19.



https://www.Covidhub.ch/le-pentagone/

Si l’on continue à penser qu’il s’agit d’un vrai vaccin, le fil conducteur des événements de cette crise pourrait être l’appât du gain des grands groupes pharmaceutiques. Cependant, les pressions énormes exercées sur les populations, l’implication des gouvernements, des agences de santé, de l’OMS, des médias, de même que la similitude et la simultanéité étonnantes des mesures à l’échelle mondiale, ne peuvent qu’inciter à chercher des instances situées très au-dessus de Big Pharma et ayant des intentions bien plus vastes que la soi-disant protection contre un virus par la « vaccination ».

Le Nouvel Ordre Mondial (NOM)

L’un des dévoilements de « l’opération Covid » est celui de l’oligarchie mondiale à l’œuvre depuis des siècles. (Oligarchie : régime politique dans lequel la souveraineté appartient à une classe restreinte et privilégiée).

Une caste « d’élus » qui considère qu’elle a le droit divin de gouverner la planète et dont l’objectif est d’établir une gouvernance mondiale de nature totalitaire et technocratique.

Pour y parvenir, au milieu du 20siècle, cette oligarchie s’est organisée à travers la création de différents groupes restés longtemps très peu connus sauf de quelques initiés : Groupe Bilderberg (créé en 1954) ; Club de Rome (1968) ; Trilatérale (1973) ; Forum Economique Mondial (1971) ; Dolder club. Elle contrôle également l’Organisation des Nations Unies, l’OMS, la Banque Mondiale, le FMI, la CIA, etc.

Agissant d’abord dans le plus grand secret, entourée d’un luxe de précautions, elle œuvre désormais au grand jour et annonce clairement son jeu dans des publications (Agendas 21 et 2030, livres de Karl Schwab), sur les sites web et dans les vidéos diffusées de réunions du FEM à Davos.

Le site du FEM est particulièrement riche en informations sur ses objectifs, son organisation, ses moyens humains. Son thème officiel est d’améliorer l’état du monde !

La réunion annuelle tenue à Davos regroupe des oligarques, de grands banquiers, des patrons de multinationales, de puissants responsables politiques, des intellectuels influents.

Fondée en 2005, la communauté des Young Global Leaders regroupe plus de 750 dirigeants du monde entier âgés de moins de quarante ans.

En 2007, à la Harvard Kennedy School, Klaus Schwab, le « gourou » de Davos, a affirmé : » Avec mes Young Leaders, nous avons pénétré tous les gouvernements de la planète » !

Corruption des élites, subversion des institutions, manipulation et infantilisation des populations, mainmise sur les médias mainstream, omniprésence des cabinets-conseils, tout est fait pour que son agenda se déploie.

Agenda clairement détaillé dans les livres de Klaus Schwab : ‘’Covid19 : The great reset’’ ; « La 4e révolution industrielle ».

Dépopulation, transhumanisme, contrôle de la population, monnaie numérique, accumulation des richesses par élimination des PME et des artisans, tels sont quelques-uns des axes principaux de cet agenda ; et les « crises » programmées, tout comme les guerres, ne sont que les outils pour y parvenir !

https://www.foxnews.com/video/6319623313112

Le choix criminel de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid ainsi que les nanotechnologies insérées subrepticement dans ces produits (et cela se confirme chaquejourdavantage), la surmortalité et la baisse drastique de la natalité dans les pays à fort taux de vaccination, tout cela s’inscrit dans l’axe dépopulation de l’agenda des mondialistes.

Une info de dernière minute concerne Hexa-X, le projet 6G de l’Union européenne (la technologie LED au service du contrôle social), dans lequel sont engagées 22 entreprises dirigées par Nokia.

Le président de Nokia, à la dernière réunion du FEM à Davos, a affirmé que, d’ici 8 ans, les smartphones seraient intégrés au corps des humains. Grâce à la 6G, définie comme un réseau neuronal, l’homme fusionné avec l’ordinateur pourra être contrôlé et manipulé !

Autres sources

Site « nouveaumonde.ca » : très riche en articles (voir dans la rubrique « Dossiers ») :

https://nouveau-monde.ca/implants-numeriques/

https://nouveau-monde.ca/vaccins/

Nouvelles images de graphène dans le vaccin antigrippe « Chiromas » de GSK 26/01/2023 :
https://www.flickr.com/photos/196008055@N06/albums/72177720304513633/


Note ()

Tout comme pour les nanotechnologies découvertes dans les vaccins anti-covid, nous ne pouvons plus continuer à ignorer et rejeter les travaux et publications d’un grand nombre de chercheurs sérieux et compétents qui contestent l’isolement et la caractérisation des virus, mettant en cause la méthodologie utilisée par les virologues qui n’a rien d’une démarche scientifique. Le rôle pathogène attribué aux virus est à revoir complètement car on a inversé la cause et l’effet.

À quel point les virus sont-ils morts ?

L’invention du SARS-CoV-2

Démontage de la théorie virale

Ce que les virologues, les infectiologues et autres microbiologistes prennent pour des virus pathogènes est naturellement produit par les cellules ou les tissus vivants lorsqu’ils sont agressés par exemple par des toxines chimiques, par des champs électriques artificiels ou par des ondes électromagnétiques pulsées comme celles du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G.

Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G

Ajoutons que d’autres scientifiques incriminent la présence de micro parasites, naturels ou artificiels, aussi bien dans la maladie covid que dans les effets indésirables des vaccins. Cela expliquerait l’efficacité de plusieurs traitements antiparasitaires pour soigner les malades : ivermectine, hydroxychloroquine, artemisia.






France — Retraite à 64 ans ? Fausse question et monumentale manipulation de masse !

[Source : les7duquebec.net]

Par Bernard GERMAIN

J’en ai déjà vu des manipulations politiques, mais celle-là dépasse tout ce qu’on peut imaginer !

Les Français vont payer cher d’avoir écouté, en avril 2022, ceux qui leur ont fait voter Macron « pour empêcher que le fascisme n’arrive au pouvoir en France ».

En acceptant de suivre les consignes de vote des partis de gauche — en fait l’extrême gauche — puisque la gauche classique n’existe plus (pour mémoire Hidalgo [PS] 1,74 %), des syndicats et des associations « progressistes », sans oublier la droite « républicaine », les Français ont accepté sans réfléchir de réélire un homme qui annonçait tranquillement qu’il allait détruire la France et de nombreuses « conquêtes sociales », dont les retraites.

Pourtant, les Français avaient sous les yeux le bilan catastrophique de Macron pour son premier quinquennat (2017-2022). Cela aurait dû les alerter. Mais voilà, ils n’ont rien voulu voir ni entendre et ont accepté de se plier à ces directives qui amènent aujourd’hui à une monumentale manipulation.

Dans peu de temps, ils vont connaître le prix pour cette tragique absence de réflexion ! Et cette réforme des retraites n’est que le début de ce qu’ils vont subir.

Quelques éléments vont permettre de me faire comprendre.

Tout d’abord, Macron avait ouvertement dans son programme annoncé la retraite à 65 ans.

Les syndicats, les partis de « gôche », les associations progressistes, etc. le savaient donc pertinemment.

Pourtant ils ont tous appelé à voter Macron. Pas un n’a manqué à l’appel.

Aujourd’hui Macron applique son programme. En quoi est-ce une surprise ?

Les syndicats, les partis de « gôche », les associations progressistes, etc. sont confrontés aux conséquences de leur vote. Et ils s’indignent de cette réforme ?

Bande de tartuffes !

Par ailleurs, même l’apparence de combat « contre la réforme à 64 ans » est un piège diabolique.

Pendant que les syndicats, les partis de « gôche » et les associations progressistes amusent la galerie avec l’âge de départ à « 64 ans », ils font silence sur le vrai problème : combien touchera le salarié qui part en retraite ?

Et ça ce n’est pas dit dans la chanson, or c’est l’élément essentiel. Cet élément porte un nom : la Loi Touraine, votée en 2014. Sous le quinquennat de François Hollande, donc par la « gôche ».

Que dit la Loi Touraine ?

C’est très simple : pour partir à la retraite avec un taux plein, c’est-à-dire une retraite complète, il faut un certain nombre d’annuités, en fait un certain nombre de trimestres cotisés.

La Loi Touraine a prévu un échéancier qui rajoute un trimestre de cotisation tous les trois ans jusqu’en 2035. À cette date, il faudra 43 ans de cotisations soit 172 trimestres.

Au moment où un salarié demande à bénéficier de sa retraite (aujourd’hui à 62 ans) il faut AUSSI qu’il ait le nombre de trimestres suffisants. Sinon, il aura une « décote » c’est-à-dire une réduction du montant de sa retraite en fonction du nombre de trimestres manquants.

Personne ne dit au Français que c’est le problème principal ! Évidemment puisque c’est la « gôche » qui a fait voter cette mesure parfaitement antisociale.

Ajoutons que se battre pour laisser la retraite à 62 ans est un attrape-nigaud. Pourquoi ?

Parce qu’avec la Loi Touraine, si vous partez à 62 ans, vous aurez beaucoup plus de difficulté à avoir le nombre de trimestres nécessaires pour avoir une retraite à taux plein puisque le poteau d’arrivée est reculé tous les trois ans.

Donc, si on ne remet pas en cause la Loi Touraine, on va rendre impossible très vite la possibilité d’avoir suffisamment de trimestres au moment du départ. Le salarié aura donc AUTOMATIQUEMENT une décote.

Et plus les années passent, plus le nombre de trimestres nécessaires augmente. Donc plus la décote sera sévère si on laisse l’âge légal de départ à 62 ans.

La question centrale devient donc :

« Acceptez-vous de partir à 62 ans, avec une décote qui ramènera le montant de votre retraite à la portion congrue ? Décote qui augmentera d’autant plus que les années passent ».

Dit autrement, acceptez-vous de partir à 62 ans avec une retraite qui ne vous permet pas de vivre et dont le montant sera de plus en plus bas, au fur et à mesure que s’applique la Loi Touraine ?

Il faut le dire clairement pour que tout le monde comprenne bien :

Sans remise en cause de la Loi Touraine, revendiquer le maintien de départ à 62 ans, c’est amener les gens à partir en retraite avec une pension de plus en plus faible !

S’ils refusent de partir à 62 ans, avec une retraite amputée, il faudra qu’ils travaillent plus pour annuler ou réduire au maximum la décote. 62 ou 64 ans n’est donc pas le vrai problème !

C’est là qu’on se rend compte de l’escroquerie monumentale de la « gôche », des syndicats et autres associations « progressistes », qui est en train de se réaliser sous vos yeux.

Nombre de Français l’ont déjà compris puisque l’âge moyen de départ est actuellement de 62 ans et 10 mois.

Quant aux comptes de la retraite qui seraient un « gouffre financier », le COS (Comité d’Orientation des retraites) a publié récemment qu’après avoir été déficitaires pendant plusieurs années, ils ont été excédentaires de 900 millions d’€ en 2021 et 3,2 milliards en 2022.

Ce n’est que dans quelques années que les comptes seraient de nouveau déficitaires.

Comment les empêcher de replonger dans le rouge ?

En faisant baisser le chômage ce qui permettra de faire rentrer plus de cotisations.

Mais là on retombe sur un autre « avantage » d’avoir voté Macron.

Ce dernier détruit consciencieusement notre appareil productif, ce qui va empêcher le chômage de baisser.

Sans parler des milliards qu’il jette allègrement par les fenêtres (1 milliard pour que l’Afrique du Sud baisse sa production de charbon, 300 millions d’€ versés chaque mois à l’Ukraine, les milliards dépenser pour accueillir et financer une immigration dont plus de 55 % ne travaillent pas, les fraudes aux aides sociales qui coûtent des dizaines de milliards selon Charles Prats de la Cour des Comptes, etc.).

Bref, un véritable carnage pour nos finances publiques, dont seulement 10 à 15 milliards d’€ suffiraient pour régler le problème des retraites. Ce qui pourrait être aisément réalisé vu ce que Macron jette comme argent par les fenêtres.

Pour en revenir à la réforme, au final, Élisabeth Borne a annoncé la fin des « négociations ». Elle a accepté de limiter l’âge de départ à 64 ans au lieu de 65 ans, pour satisfaire les Républicains indépendants d’Éric Ciotti, et s’assurer leurs votes au Parlement.

Mais elle a aussitôt annoncé qu’en contrepartie des 64 ans, elle allait accélérer l’application de la Loi Touraine.

Donc ce sera sans doute un trimestre de plus à faire, tous les deux ans et non tous les trois ans.

Pour les Français, ce sera ainsi salade et dessert !

Recul de l’âge de départ et aggravation des conditions de départ avec une décote qui sera difficilement évitable, sauf à accepter de travailler jusqu’à 65 ans, 66 ans ou plus !

Certains n’avaient peut-être pas compris que la « gôche » est le pire ennemi du peuple, maintenant ils savent ! S’ils acceptent de voir ce qu’ils ont sous les yeux.

Les manifestations appelées le 31 janvier et les glapissements de tous ces manipulateurs ne sont là que pour faire un écran de fumée afin que les Français aient le plus de difficultés à voir la situation réelle et qui en sont tous les véritables coupables.

Ajoutons pour faire bonne mesure que quelques événements politiques récents donnent vraiment la nausée.

Nous citerons en premier lieu l’élection partielle dans la Marne qui s’est déroulée hier.

Pour le second tour, il y avait deux candidates. Une RN et une Renaissance (Macron).

La LFI (NUPES de Mélenchon) ayant été éliminée dès le premier tour.

Pour le second tour, la NUPES a appelé à voter pour la candidate de Macron, « afin de faire barrage au fascisme ». Comme d’habitude.

Dimanche, le résultat est tombé, c’est la candidate de Macron qui est élue, grâce à la NUPES.

Donc un député de plus qui votera la réforme des retraites.

Oui, grâce à la NUPES, il y a un député de plus pour Macron, alors que la NUPES prétend combattre la réforme et appelle la population à se mobiliser contre !

Cette NUPES est réellement pourrie jusqu’à la moelle.

Autre exemple pitoyable, Hidalgo fera fermer la mairie de Paris « en solidarité avec le mouvement social » le 31 janvier.

Elle a soutenu la réforme Touraine, mise en place par les élus PS, mais fait aujourd’hui semblant de défendre les salariés contre la réforme Macron.

Encore une qui manipule allègrement la population en faisant croire qu’elle défend les salariés alors qu’elle fait partie de ceux qui sont responsables du bourbier dans lequel nous sommes tombés.

Cette Hidalgo et ses semblables sont vraiment des êtres amoraux.

Comme je viens de vous le démontrer, la manipulation de masse à laquelle nous assistons est absolument monumentale.

Si le peuple ne se réveille pas et n’accepte pas de voir ce qu’il a sous les yeux, au lieu d’accepter de se faire manipuler, la note sera salée au moment de faire le bilan du second quinquennat de Macron.

S’il arrive à la fin de son deuxième mandat…




Résistants de tous bords, unissons-nous

[Publié initialement sur RL]

Par Nicole Delépine

Chers résistants de tous bords, il faut sortir de l’isolement, de l’entre-soi, de la sinistrose, des anathèmes, du sectarisme. Unissons-nous enfin !

Contre l’apartheid des manifestants qui auraient voté Macron

Pourquoi parler de « théâtre » lorsque des millions de gens arpentent les petites et grandes villes de France à l’occasion d’un nouvel ukase prévu par le gouvernement, éventuellement par un 49-3 si nécessaire, par un cavalier législatif (inconstitutionnel ?) et dans un cadre d’injonctions multiples comme l’injection des enfants et le mépris permanent des interlocuteurs comme celui de Véran chez Hanouna envers un restaurateur et envers Bercoff sur Sud Radio.

Certes les dirigeants des syndicats ont appelé à voter E. Macron, mais pourquoi les confondre avec les millions de manifestants qui tentent de s’exprimer en l’absence de politiques (sauf de rares exceptions) capables de les représenter, ces derniers bien silencieux et oscillants dans leurs déclarations molles. Faut-il même les isoler ?

Effectivement, comme beaucoup nous nous sentons peu, voire pas représentés et même ceux qui ont fait lever beaucoup d’espoir chez les souverainistes pendant la présidentielle oublient le mot Frexit dans leurs diatribes et continuent à l’oublier malgré la corruption flagrante et les trahisons de l’UE. L’espoir était bien modéré vu leurs positions ambiguës pendant la crise covid et leur soumission de fait à l’enfermement et l’empoisonnement des populations. En dehors des manifestations hebdomadaires organisées par F. Philippot contre les mesures gouvernementales aberrantes, combien de protestations audibles des soi-disant opposants, qui sont restés cachés dans leur cabane sans appel à le soutenir ?

FREXIT ET SORTIE DE L’OTAN

Pourtant là est bien le nœud du débat. Tant que von der Leyen — malgré le scandale Pfizer qui grossit de plus en plus — est aux manettes et que le président lui est soumis, que peut-on espérer, sans révolte populaire audible et générale, la grogne reconnue par tous étant bien insuffisante ?

Nous aussi avons du mal à pardonner certaines paroles comme la « vaccination obligatoire » prônée par Onfray et si peu dénoncée par ses amis, le pass sanitaire « qui ne gênait pas » Zemmour, le silence de mort sur McKinsey de Marine lors de son entretien avec EM. Pourquoi ? Mais peut-on les exclure de nos réflexions et de nos actions pour autant ? L’erreur est humaine (même déshumanisante dans le cas du covid) et seule la persévérance dans l’erreur est impardonnable. Ne multiplions pas les ghettos !

Seul F. Philippot a d’emblée sauvé l’honneur — mais dans le silence assourdissant des médias ainsi que des médias alternatifs qui auraient dû le soutenir au quotidien — il a dénoncé l’arnaque du covid19 et ramé avec Asselineau, Poisson et un peu plus tard Dupont Aignan. Pourquoi furent-ils si peu entendus, y compris par Zemmour, et pas d’union pour la présidentielle ? La politique n’est-elle finalement qu’une querelle d’ego cherchant à suivre les meilleurs sondages pourtant aux mains des puissants ?

Alors refuser au citoyen lambda de défiler en toute sincérité, n’est-ce pas faire preuve de sectarisme odieux, celui qu’on ne supporte pas chez les députés Nupes et tant d’autres qui ne serrent pas la main des députés RN ?

Soyons différents, tolérants, ouverts, conscients de la manipulation que nous subissons tous, et rejoignons les manifestants qui n’ont pas trouvé les moyens de se faire entendre. Ne les méprisons pas selon la mode actuelle initiée par le pouvoir, ne les ignorons pas ! Seule une belle manif, de plus en plus importante jour après jour, peut éviter à chacun de sombrer dans le désespoir, la dépression, et le contact d’autrui dans le même état peut réconforter. Participons à ces réunions populaires et profitons-en pour discuter de l’ensemble des problèmes actuels en distribuant des tracts que nous devrions préparer à l’avance, et nous les partager au lieu, aussi, de les mépriser !

– Par exemple refuser absolument toute injection potentiellement mortelle à nos enfants, mais aussi nos vieux parents en EHPAD (la soumission généralisée pendant plus de deux ans est suspecte, devons-nous bannir de nos entretiens tous ceux qui se sont fait intoxiquer par l’emprise bien organisée des dirigeants et de leurs complices médiatiques et ont laissé faire en regardant Netflix ?)
Rappelez — vous que les papiers d’alerte et d’information sur le sort des vieux abandonnés, isolés, enfermés sans droit de visite (contrairement aux prisonniers), et les enfants privés d’école et de leurs copains et premiers amours, les sportifs privés de piscine, etc. furent dans les moins lus, sur les médias mainstream, mais aussi alternatifs. Demandez-vous pourquoi, et s’il ne faut pas juger ces complices du désastre par indifférence, dont certains d’entre nous ou de vos amis, comme vous jugez aujourd’hui les manifestants, dont quelques-uns ont peut-être voté Nupes et même Macron.
Personne n’est pur dans cette histoire… et un pur trouve toujours un plus pur qui l’épure (pensez à Quatennens et son combat sans nuances « pour les femmes » qui s’est retourné contre lui…).

– Refuser effectivement cette réforme dite des retraites, IMPOSÉE PAR BRUXELLES et sans avis réel du peuple.

Que vous vous retrouviez dans certaines mesures ou pas, peu importe ! L’absence de débat à l’Assemblée suffisamment long par exemple est insoutenable, et le peuple méprisé à chaque interview télévisée des puissants est inacceptable. Où est l’urgence ?
E. Macron nous expliquait lui-même en 2019 que reculer l’âge de la retraite au-delà de 62 ans n’avait pas de sens dans un pays où les seniors ne trouvent plus de travail ? Les ordres de Bruxelles et de Black Rock et Van Guard ont dû changer ! Et nous tomberions dans le panneau comme certains LR pressés de rejoindre le pouvoir macroniste ? On ne sait jamais, un petit marocain…

Dans l’immédiat évidemment le plus urgent est l’opposition forte, répétitive, quotidienne à notre implication dans la guerre en Ukraine potentiellement à risque de destruction nucléaire de la planète, guerre qui ne nous concerne pas et ruine un peu plus la France chaque jour avec de nombreux cadeaux financiers, ou sous forme symbolique de vieux chars, pendant que nos hôpitaux longtemps abandonnés sont maintenant sacrifiés, le refus de réintégrer les suspendus contre la position mondiale étant le symbole parfait du choix du gouvernement.
Distribuer des tracts dans les manifestations serait utile, car trop de gens ne savent pas qu’ils sont privés de chômage comme de RSA et que nombre d’entre eux ont fini par se suicider, ou aller travailler à l’étranger où paradoxalement ils sont mieux rémunérés.

Pourquoi rester emmuré dans ces certitudes, telles que les manifestants seraient des « traitres » ou des hypocrites parce qu’ils ont voté EM (peu en réalité, vu les 52 % d’abstentionnistes !). Allons-nous prôner l’apartheid des votants potentiels de EM, comme il a fait des non-vax, soutenus par des gens bien-pensants sur l’injection près de vous, et refuser de les côtoyer comme le jeune député Louis ou même une plus mûre Mathilde Panot ?

Ce délire de diviser pour régner mis en musique par les dirigeants serait-il contagieux ? Ont-ils vraiment réussi à nous diviser avec leurs jeux quotidiens de pseudo racisme, de couleur de peau, de genre, de musique voire de cinéma ? Les interdictions de conférences en fac à des intellectuels réputés de gauche auraient-elles contaminé l’ensemble de la population ?
Alors oui, des désespérés, et en particulier des jeunes, ont cru en la Nupes et se sont fait berner, comme par le refus sectaire de voter la motion référendaire attribuée au RN, de Sandrine Rousseau (à laquelle bien trop de médias, y compris alternatifs, font trop d’honneur et trop de publicité, il faudrait l’ignorer ?). Devons-nous rester au niveau de ces quelques exceptions devenues vedettes par la grâce des médias mainstream et alternatifs ?

Il faut nous unir, nous réunir, voir ce que nous avons en commun et le crier haut et fort. L’importance des combats (contre la guerre, contre les mesures coercitives, contre les réformes dictées par Bruxelles) qui nous unissent exige que nous dépassions ce qui nous divise.

Et le résultat de ces grèves et manifestations apparaît positif : écoutons Philippot toujours clairvoyant et si peu entendu (pourquoi ?). Il est évident que devant la colère populaire, de nombreux députés prêts à soutenir E. Borne vont probablement jouer les absents, voire les opposants pour les plus courageux après la rencontre avec leurs électeurs qu’ils ne voudraient pas perdre.

Florian Philippot
@f_philippot⁩

Aujourd’hui Macron n’a que 265 voix à l’Assemblée pour faire passer la réforme des retraites, il lui en faut 289 !

Son échec serait un coup terrible pour le macronisme, mais aussi pour l’UE qui le surveille de très près !
Alors ne rien lâcher ! Ça dépasse les retraites !

Oui, l’ampleur de ces manifestations dépasse les retraites… Pourquoi l’ignorer ?

La situation actuelle de cobélligérance dans la guerre en Ukraine nous mène à la catastrophe nucléaire après laquelle la destruction de nos écoles, hôpitaux, services publics et la submersion migratoire ne seraient plus que vieux souvenirs pour les quelques survivants en haillons. Souvenons-nous d’Hiroshima et Nagasaki dont les bombes n’étaient que des bombinettes par rapport à l’arsenal actuel.
Alors oui, comprenons et soutenons les manifestants et embauchons-les, en même temps, à l’occasion pour les manifestations contre la guerre en Ukraine dont on aimerait que nos politiques s’emparent et appellent à les rejoindre. Fabriquons des milliers de tracts anti-guerre anti-injections, anti-totalitarisme de l’UE, pour le Frexit, pour les citoyens privés de manifestations par leur âge, leur fatigue, leurs handicaps ou leur aveuglement, et distribuons-les !

Le monde fonce vers la 3e guerre mondiale. Certains y ont intérêt et nous y mènent coûte que coûte ! Il est temps que toutes les forces de Paix s’unissent et appellent à la désescalade avant qu’il ne soit trop tard !

L’ennemi c’est la politique macroniste ! Unissons-nous pour la vaincre, et stopper son pouvoir autocratique, ses réformes et son escalade guerrière.

Nicole Delépine




Discours de Poutine sur la bataille de Stalingrad

[Source : Kearunn Mc EIRE]






Cerveaux d’enfants manipulés et théorie du genre : le pire de la « cancel culture » et la circulaire de septembre 2021

Par Nicole Delépine

« Nous allons défaire le culte de l’idéologie du genre
et réaffirmer que Dieu a créé deux genres — appelés hommes et femmes »
— Président Donald J Trump

L’héritage laïque serait potentiellement LGBTQIphobe ? ce monde devient fou et on se demande jusqu’à quel point les dirigeants veulent détruire l’humanité, son histoire, ses liens avec son passé, etc. Suicide collectif, mais choisi par quelques-uns seulement, avec la volonté de l’imposer à des milliards d’individus…

Au lieu d’apprendre à lire, à compter et un minimum d’histoire et du monde, un peu de géographie et de botanique, etc., les enfants sont soumis à un matraquage sur des questions qu’ils ne se posent pas.

Qu’est — ce dont que ce « transactivisme républicain »1 que veut nous imposer le ministère de l’Éducation nationale (qui n’est plus et pour cause le ministère de l’INSTRUCTION nationale) et soutenu par le Conseil d’État qui depuis de nombreuses années ne fait que valider toutes les décisions gouvernementales. Pourquoi cette formation proposée aux enseignants, webinaire sur « la lutte contre les LGBTIphobies » où l’on apprend soudain que « l’héritage laïque » est « potentiellement LGBTIphobe ». Des formations sur la nécessaire autorité des enseignants ne seraient-elles pas plus utiles ?

La cancel culture [culture de l’annulation] veut nous imposer la suppression des statues de notre récit national, détruire des églises trop coûteuses, faire jouer Blanche Neige par une actrice d’origine africaine, etc.. Mais perturber le cerveau des petits dans leur plus jeune âge est le plus insupportable de cette mode qui finira par passer, mais après combien de dégâts ?

Les adultes devraient pouvoir se défendre, mais modeler des cerveaux en formation est une autre entreprise de démolition, de manipulation beaucoup plus perverse. Vers les années 2014, des polémiques sur la théorie du genre étaient apparues et la ministre de l’Époque Mme Najaud Belkacem avait affirmé qu’il n’en était rien et que ceux qui racontaient cela étaient… des complotistes. Malheureusement depuis l’arrivée de nouvelles équipes au pouvoir, une accélération rapide se fait jour depuis trois ans, profitant probablement de la sidération liée aux mesures coercitives de la mystification covid19 pour mettre en place l’opération.

Nous sommes bien obligés d’aborder le sujet, de nous opposer à la manipulation des petits enfants et des adolescents avant que les drames ne se multiplient2. D’après l’association Homosexualité et socialisme 67 % des trans de 16 à 26 ans ont « déjà pensé au suicide » et 34 % ont déjà fait « une ou des tentatives » et contrairement à ce que l’association pro LGBT prétend, ce ne sont pas les discriminations qui en constituent la cause principale, mais la déception qu’entraînent les traitements et mutilations qui ne leur ont apporté aucun soulagement. Or les nombreux opposants à cette « théorie » maintenant devenue « pratique » sont muselés3 et interdits d’antenne médiatique. Et pourtant ne serait-ce pas aux parents, familles de choisir « l’éducation » de leurs petits. Si nous laissons faire, combien d’années faudra-t-il avant que des pères se retrouvent en prison, comme au Canada ou aux USA précurseurs habituels de nos mœurs, pour avoir refusé la transition d’un enfant mineur4 ?

Comme pédiatre, nous avions appris qu’après la petite enfance et la découverte des différences entre le corps du petit garçon et celui de la petite fille, venait une période dite de latence pendant laquelle les problèmes de sexe n’étaient pas à l’ordre du jour, environ entre trois et douze ans. Et voilà que selon le bon plaisir de quelques humains perturbés, il faudrait interférer dans cette période de construction silencieuse ?

L’activisme trans à l’éducation nationale

L’ancien Institut National de la Recherche Pédagogique, devenu Réseau Canopé, invitait récemment les écoliers à « déconstruire la parenté », tout en recherchant la signification des préfixes « hétéro », « homo », « trans », « cis », « inter » et « bi ». On s’étonne de la perte de repères de ces très jeunes adolescents devenus violents, mais on les a privé de père, en tous cas de père ayant conservé l’autorité, tant depuis des années on détruit la famille, le respect, l’autorité. De même l’enseignant est dépossédé de son droit d’autorité, et donc non respecté, ni écouté. Isolés dans leurs angoisses, nos enfants sont perdus et comme si cela ne suffisait pas il faudrait leur expliquer à l’école qu’ils ne sont finalement pas une fille, ou un garçon et que, comme a dit notre ancienne ministre de la Santé, le père peut très bien être la tante, etc.

Tant qu’on n’aura pas mis d’ordre dans les têtes des pseudoélites dirigeantes, la violence, le désespoir, les suicides ne pourront que se multiplier pour ces jeunes auxquels on refuse le b a ba des de l’éducation, de l’amour du père et de la mère, et qu’on tente de détruire ce que la famille ordinaire peut leur apporter.

Le délire woke à l’école

On apprend dans une circulaire du 29 septembre de 2021 du ministère de l’Éducation (au Bulletin officiel) intitulée « Pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire ».

Pourquoi n’en a-t-on pas parlé ? Le cinéma covid19 visait-il à dissimuler de nombreuses modifications capitales (chômage, retraites, immigration, eugénisme, etc.) pour notre pays dont celui-ci ? Cette circulaire qui s’impose aux enseignants s’attache presque exclusivement à la « transidentité », partant du postulat que « la transidentité est un fait qui concerne l’institution scolaire ».

Le plus extraordinaire dans cette circulaire est que « l’identité de genre s’établit par simple déclaration de l’élève ».

« La prise en considération de l’identité de genre revendiquée de la part d’un ou d’une élève ne doit pas être conditionnée à la production d’un certificat ou d’un diagnostic médical ou à l’obligation d’un rendez-vous avec un personnel de santé ».

Dès ce « coming out » (terme de la circulaire), « l’établissement scolaire doit être attentif à garantir les conditions d’une transition revendiquée — c’est-à-dire la possibilité d’être et de demeurer identifié et visible comme une personne transgenre ».

Le plus incroyable est la mise à l’écart des parents de mineurs :

« Les parents peuvent être tenus à l’écart : “une communication avec les représentants légaux ne doit se faire qu’avec l’accord explicite de l’élève.”

S’ils s’opposent à la transition, les parents récalcitrants font l’objet de discrètes menaces : “Dans les cas où le mineur apparaît en situation de danger dans son environnement familial ou de vie, il peut être décidé de rédiger et transmettre une information préoccupante à la cellule départementale de recueil des informations préoccupantes (Crip) ou de faire un signalement judiciaire auprès du parquet des mineurs”.

Pour accompagner ce changement, l’établissement scolaire substitue le prénom d’usage, de manière cohérente et simultanée, dans tous les documents qui relèvent de l’organisation interne (listes d’appel, carte de cantine, carte de bibliothèque, etc.) ainsi que dans les espaces numériques (ENT, etc.)”. Des professeurs qui usent du prénom d’état civil peuvent faire l’objet de rappels à l’ordre. Enfin, l’élève pourra faire convoquer ses parents s’ils s’opposent à ce changement de prénom ».

L’intimité et le problème des toilettes au choix de l’enfant : « l’établissement peut autoriser l’élève à utiliser les toilettes et vestiaires conformes à son identité de genre », et « à occuper une chambre dans une partie de l’internat conforme à son identité de genre ». Il suffira ainsi qu’un garçon ou une fille déclare appartenir à l’autre sexe pour pouvoir être autorisé à en fréquenter les toilettes, les vestiaires et le dortoir au risque d’importuner leurs légitimes utilisateurs. C’est d’ailleurs parfois le cas dans les prisons françaises5 !

« Les choix relatifs aux toilettes, aux vestiaires et aux dortoirs doivent également, dans la mesure du possible, s’appliquer lors des déplacements, sorties et voyages scolaires ».

« Il appartient également aux personnels de l’éducation nationale de s’assurer que l’expression de genre des élèves n’est pas remise en cause ou moquée et que les choix liés à l’habillement et à l’apparence sont respectés ».

Évidemment toute mise en cause de cette circulaire et de ses conséquences potentiellement dramatiques est taxée de transphobie comme toute discussion sur la guerre en Ukraine de poutinisme, ou sur les injections, d’antivax. 50 ans après 1968, nous avons atteint l’antithèse d’« il est interdit d’interdire ».

Aujourd’hui et sous le joug des leaders de l’époque qui ne retrouvent plus la plage sous les pavés, il est interdit de penser, de s’exprimer si on n’accepte pas à 120 % l’idéologie au pouvoir, et sans discuter.

Et l’obsession de la transphobie conduit à la médicalisation de tout ! Une phobie est une affection psychique par nature irrépressible et aboutit à des gestes médicamenteux dangereux pour les enfants ou adolescents transformés en malades à vie, par les conséquences de la chirurgie lourde parfois à deux sens successifs (transition femme homme puis homme femme si déçue) et des traitements hormonaux qui ne sont pas sans risque.

On peut aussi être perturbé par les conseils du ministère d’inviter les militants associatifs LGBT+ dans les établissements, tout en interdisant aux opposants de s’exprimer y compris à l’université. Certains adolescents ont raconté leurs troubles après la visite d’un trans dans leur classe.

La validation par le Conseil d’État

Un parent d’élève qui opposait à la circulaire du Ministère de l’Éducation a référé au Conseil d’État la loi qui stipule « aucun citoyen ne pourra porter de nom ni prénom autres que ceux exprimés dans son acte de naissance ». Par décision du mercredi 28 septembre 2022, le Conseil a refusé d’annuler la partie de la circulaire permettant aux élèves transgenres de porter à l’école le prénom de leur choix.

Le Conseil d’État estime en effet que l’usage d’un autre prénom par les élèves ne concernait que la « vie interne de l’établissement » et rappelle que seul le prénom inscrit à l’état civil reste utilisé pour les épreuves des diplômes nationaux.

L’enfant, juridiquement incapable, se voit doté du pouvoir de contraindre les adultes dès lors qu’il parle de genre.

Selon F Rastier (ibid 1) :

« la nomination reste un invariant anthropologique majeur, conférer à l’enfant le pouvoir d’effacer la trace de filiation conférée par ses parents et d’imposer un nouveau prénom fait de lui un self-made-man, concrétisation de l’individualisme absolu prôné par l’idéologie managériale. Le message est clair : le ressenti a force de loi ou plutôt transcende la loi ».

Cette volonté farouche de faciliter la vie d’enfants qui seraient trans sur leur simple propre déclaration forcément acceptée par l’entourage et les familles (sous peine de se voir poursuivis par les services sociaux) se développe à l’éducation nationale pour convaincre du « progressisme » de cette institution.

Mais vous remarquerez qu’il n’est jamais question du ressenti, du vécu, des traumatismes subis par les autres enfants qu’on n’a même plus le droit d’appeler « normaux » et qu’il faut nommer « cis » pour faire bien et se montrer politiquement correct.

Que pense le petit garçon dont le professeur homme le vendredi revient habillé en femme le lundi et qu’il doit lui dire « madame » au lieu de monsieur, sans broncher ? Ou quand c’est leur camarade Baptiste qu’ils vont devoir appeler Henriette le lundi, tout cela le plus « normalement du monde »6. En effet, ils vont rapidement comprendre qu’il est interdit d’avoir la moindre critique de cette nouvelle pensée, au risque de se faire rabrouer et traiter d’homophobe ou de transphobe. Les témoignages d’enfants troublés à la maison le soir sont nombreux et inquiétants et les atteintes psychologiques sont en forte hausse.

Pourquoi ce wokisme politique envahit-il notre vie quotidienne et celle de nos petits ?

Même la littérature enfantine catholique s’en fait la complice ! Cette pseudo-ouverture d’esprit tente d’imposer de nouvelles normes qui voudraient effacer la différence entre homme et femme, fait taire la grande majorité des enfants et adultes menacés de se faire traiter d’homophobes, d’« extrême droaate » et autres joyeusetés, et condamner les hésitants à choisir la cause « moderne ou progressiste » et se lancer dans une autoagression aux conséquences définitives par des opérations chirurgicales mutilantes, sorte de scarification XXL, et par des traitements hormonaux toxiques tant sur le plan psychologique que somatique avec son cortège d’effets secondaires connus (à court et moyen terme) et inconnus à long terme.

Entre autres exemples, les androgènes donnés il y a deux décennies pour stopper la croissance précoce d’enfants petits ont entraîné des cancers du foie. Nous y reviendrons dans un article plus détaillé tant les effets indésirables de la panoplie médicamenteuse honteusement prescrite à des enfants innocents et des parents soumis et terrorisés sont importants et cachés par les médecins complices de ce jeu de Satan. Pour qui se prennent-ils ? Le mythe de Faust est d’actualité…


1 Aspects du transactivisme républicain, du ministère de l’Éducation au Conseil d’ÉtatObservatoire du décolonialisme (decolonialisme.fr) par François Rastier, Directeur de recherche honoraire au CNRS, membre du Laboratoire d’analyse des idéologies contemporaines (LAIC).

2 Les suicides de ceux qui ont subi une « transition » sont beaucoup plus fréquents que dans la population habituelle, sans parler des souffrances de ceux qui ne sont pas passés à l’acte.

3 En quelques semaines, Caroline Éliacheff et Céline Masson ont été empêchées de présenter leur livre « La fabrique de l’enfant transgenre » à l’Université de Genève, à la rencontre Citéphilo de Lille, dans une salle municipale à Paris, dans une association à Lyon, au Café Laïque à Bruxelles, etc. (ibid 1)

4 Dans des pays qui judiciarisent la prétendue transphobie, des parents ont été condamnés pour « mégenrage », parfois à la prison (ainsi, un facteur de Vancouver s’est-il vu infliger six mois de détention, sur plainte de sa fille).

5 Sauf récemment en Écosse une femme transgenre emprisonnée pour viol d’autres femmes a finalement été incarcérée dans une prison pour homme.

6 Il ne faut pas le « mégenrer » !




Vivre et mourir (Partie 3)

[Ce texte fait suite à Heurs et malheurs de la France (Partie 1)
et L’effondrement, et après ? (Partie 2)]

Par Bernard Thoorens

De tout temps et en tous lieux la vie des humains sur terre a été difficile, voire tragique. Il nous aura fallu d’abord lutter contre les conditions climatiques, les animaux sauvages, les aléas de la vie nomade. Par la suite, au sein d’organisations humaines plus structurées, nous avons commencé à être soumis, ou à nous soumettre, aux règles édictées par les chefs. Certains d’entre eux, ivres de leur puissance, ont abusé du pouvoir qui leur était conféré, se muant en dirigeants autoritaires, tyrans, dictateurs ou, plus récemment, en totalitariens (Hitler, Staline). Même sans cela, au fil des siècles, nous avons connu les famines, les maladies, l’esclavage, les guerres, les génocides, les catastrophes naturelles et celles provoquées par l’homme.

Aujourd’hui nos sociétés modernes subissent les mêmes souffrances et les mêmes injustices, mais ont oublié leurs valeurs, leur culture. Elles se sont détournées de la vie spirituelle et de Dieu pour se convertir à une religion d’argent, de gloire, d’égoïsme et d’honneurs vaniteux. La conversion est massive, elle touche toutes les couches de la société, des familles, des professionnels, des artistes, des responsables politiques, des représentants du peuple. Et nous, le peuple (encore un peu) chrétien, nous continuons de subir ces désastres, souvent en nous résignant, parfois en y participant, rarement en nous révoltant.

Face à cette noirceur, il y a aussi la beauté, la grâce, la sublimité. C’est le chêne multicentenaire altier, la toile d’araignée dans la rosée du matin, le spectacle vivant des migrations, les cimes enneigées au coucher du soleil, le ballet aérien des oiseaux dans l’azur…

L’une découle de la forfaiture de Ses sujets, l’autre est l’œuvre admirable du Créateur. Peut-on encore douter qu’Il existe quand on contemple l’infiniment petit et l’immensément grand, quand on continue, encore et encore, à découvrir la transcendance, la complexité de l’univers, la beauté de la nature ?

Sur terre la noirceur et la beauté, inhérentes à notre condition humaine, ne seraient-elles pas d’un côté comme une sorte d’épreuve et de l’autre une sorte d’invitation à se tourner vers Lui ? L’une avec l’autre constituent un mystère, une question dont la réponse n’est pas de ce monde, mais qui nous mène à Lui inévitablement.

Vivre ici-bas (quelques temps) et mourir pour vivre notre vie éternelle

Selon la volonté de notre Créateur, nous sommes nés libres. Cela nous donne, au plan spirituel, la liberté de vivre comme nous le voulons. En particulier, chaque homme a en lui la perception du bien et du mal et peut choisir de pratiquer l’un ou l’autre. Mais n’est-il pas logique que s’il fait le mal, la justice de Dieu — tout comme celle des hommes — ne lui soit pas favorable ? Cependant à la différence du juge humain, loin d’être infaillible, Dieu nous connaît au plus profond de notre cœur, il ne se trompe pas. Dans sa miséricorde et son amour infini, il peut nous pardonner si nous nous repentons. Pas de regrets ni même de remords, seulement le repentir.

À l’inverse, les belles âmes, ces personnes qui font tant de bien à leur entourage, auront la vie éternelle elles aussi, mais pas dans les mêmes conditions.

Si nous réfléchissons à notre destinée, je pense que, pourvus de notre liberté, nous choisirions tous la deuxième option. Et pour cela nous savons ce qu’il nous reste à faire.

Et si certains veulent encore croire à la réincarnation pour leur permettre de racheter leur vie passée, qu’ils soient tout de suite détrompés. Dans l’épître aux Hébreux il est précisé : « Les hommes ne meurent qu’une fois, après quoi il y a un jugement (He 9, 27). »

En guise de conclusion de cette réflexion, voici un extrait tiré du livre de C. S. Lewis, théologien anglican et écrivain, La tactique du diable, publié en 1942, étonnamment actuel.

« 
— Et comment as-tu fait pour amener autant d’âmes en enfer à l’époque ?

— Grâce à la peur.

— Oh, oui. Excellente stratégie : vieille et toujours actuelle. Mais de quoi avaient-ils peur ? Peur d’être torturés ? Peur de la guerre ? Peur de la faim ?

— Non. Peur de tomber malade.

— Mais personne d’autre ne tombait malade à l’époque ?

— Si, ils tombaient malades.

— Personne d’autre ne mourait ?

— Si, ils mouraient.

— Mais il n’y avait pas de remède à la maladie ?

— Il y en avait.

— Alors je ne comprends pas.

— Comme personne d’autre ne croyait ou n’enseignait sur la vie éternelle et la mort, ils pensaient qu’ils n’avaient que cette vie, et ils s’y accrochaient de toutes leurs forces, même si cela leur coûtait :
      — leurs affections (ils ne s’embrassaient plus, ne se saluaient plus, ils n’ont eu aucun contact humain pendant des jours et des jours),
      — leur argent (ils ont perdu leur emploi, dépensé toutes leurs économies, et pensaient encore avoir de la chance parce qu’ils n’avaient pas à gagner leur pain !),
      — leur intelligence (un jour, la presse disait une chose et le lendemain elle se contredisait, pourtant ils croyaient à tout !),
      — leur liberté (ils ne sortaient pas de chez eux, ne marchaient pas, ne rendaient pas visite à leurs proches).

C’était un grand camp de concentration pour prisonniers volontaires ! Ahahahahah ! Ils ont tout accepté, tout, tant qu’ils pouvaient prolonger leur misérable vie un jour de plus. Ils n’avaient plus la moindre idée que c’est Lui, et Lui seul, qui donne la vie et la termine.

Ça s’est passé comme ça !

Ça n’avait jamais été aussi facile »

Et pour tous ceux qui doutent ou au contraire croient trop facilement qu’« On ira tous ♪ au Paradis ♫ » et qui voudraient approfondir le sujet, ils pourront lire avec intérêt le livre de Jean-Marc Bot, « Osons reparler de l’enfer ».

Extrait de la présentation :

« L’enfer ne fait plus peur puisqu’il a presque entièrement disparu de la mémoire chrétienne. Il est désormais prévu que nous irons tous au paradis, comme dit la chanson ! À force de le répéter sur tous les tons, beaucoup finissent par s’en convaincre. Mais les plus réfléchis s’interrogent. Ce livre ose appeler au courage de la vérité ceux qui n’ont pas oublié, par négationnisme, la monstruosité dont l’homme est capable. Il apporte des témoignages aussi forts que l’étonnant Manuscrit de l’enfer. On sort différent de cette lecture, et mieux armé pour le combat de l’espérance. »




La querelle sur la reconnaissance de l’identité sexuelle en Écosse a révélé certains éléments particulièrement toxiques

[Source : tradfem]

Il existe bien sûr des personnes transgenres, mais la violence masculine existe aussi, et des dispositions doivent être prises pour protéger les femmes de cette violence dans la mesure du possible.

Par Suzanne Moore, sur son blog le 24 janvier 2023

La députée Kirsten Oswald et le député Kaukab Stewart
devant de violentes pancartes antiféministes lors d’une manifestation à Glasgow.

Ces derniers temps, lorsque quelqu’un appelle mon nom dans la rue ou se précipite vers moi, je sursaute. Je reçois tellement de menaces pour ma position « critique du genre » que mon cœur commence à battre la chamade. Cette personne est-elle celle qui fera ce que tant de personnes ont menacé de me faire ? Me frapper à la gorge, me décapiter, me brûler vive, et d’autres choses que je ne peux pas écrire ici.

Je suis heureuse de vous dire que les gens qui m’abordent ainsi sont presque toujours de jeunes hommes et femmes qui veulent juste me dire : « Continuez. Ne lâchez pas. » Une idée répandue aujourd’hui est que tous les moins de 30 ans sont acquis au culte de l’idéologie du genre, et je suis ici pour vous dire que ce n’est pas le cas.

Lorsqu’une idéologie devient dominante — comme celle des gens qui déclinent l’alphabet LBGTQ, etc. au nom de leurs multiples identités et pronoms — on voit bien sûr, beaucoup de gens la remettre en question. Les lignes de bataille sont tracées — les femmes d’âge moyen qui se souviennent de la mobilisation de Greenham Common en viennent à affronter les hipsters(([1] Adolescent ou jeune adulte urbain affichant des goûts culturels qui se veulent à contre-courant de la culture de masse.)) cool qui pensent que les hommes qui se prennent pour des femmes ne peuvent jamais représenter une menace, et que de jeunes enfants peuvent consentir à changer de sexe à huit ans ; ces personnes prolifèrent dans les médias sociaux, mais pas tellement dans le monde réel.

La grande majorité d’entre nous soutient les personnes transgenres qui vivent de la dysphorie sexuelle et en souffrent. Il s’agit d’un très petit nombre de personnes. Mais l’appropriation des sports réservés aux femmes, des lieux qui leur sont réservés, telles leurs prisons et leurs maisons d’hébergement, ainsi que la subversion de nos propres mots n’ont pas pour but de faire en sorte qu’un groupe marginalisé se sente mieux, mais de donner aux hommes toujours plus de pouvoir et la capacité de briser toutes les frontières que les femmes se sont battues pour créer.

Si, comme moi, vous avez vu de soi-disant transactivistes intimider des femmes, en assiégeant les portes de salles de conférence, en bloquant des entrées, souvent le visage masqué, vous avez constaté une violence sexuelle. Et ce sexe est masculin.

Superficiellement, tout le monde se dit terriblement préoccupé par la violence infligée aux femmes. Quelle imposture ! Nos services de police sont truffés d’agresseurs. L’échec patent des services de poursuite pénale la Couronne indique que le viol a pratiquement été décriminalisé au pays. Et, bien que la plupart des violences conjugales se déroulent « en privé », les plus récentes menaces à l’encontre des femmes ont eu lieu en public. Les preuves de cette dérive se retrouvent partout.

L’éminente écrivaine JK Rowling est depuis longtemps l’objet de terribles menaces. La députée travailliste Rosie Duffield a subi le même traitement indigne, comme beaucoup d’autres personnes. Lorsque les Communes britanniques ont discuté de la décision du gouvernement de faire opposition au projet de loi du Parlement écossais sur la réforme de la reconnaissance du sexe, un député travailliste écarlate a pointé du doigt une députée, puis a traversé la Chambre pour l’intimider de plus près. Elle soutenait simplement les droits légaux des femmes à certains espaces non mixtes. Ce geste est maintenant considéré comme une preuve patente de « transphobie ». Hé, les travaillistes, essayez de dire cela à vos électeurs musulmans et juifs ! On verra où s’arrête votre prétendue inclusivité…

L’affrontement au sujet du certificat écossais de reconnaissance du sexe a révélé certains éléments particulièrement toxiques. Rien de tout cela n’est nouveau ; en 2019, des militants transactivistes ont fait exploser une bombe fumigène à côté d’un meeting tenu à Grenfell, provoquant une énorme détresse. Les réunions de l’organisation Woman’s Place font toujours l’objet de manifestations hostiles et les femmes doivent se réunir en secret. Des projections de films sont arrêtées par des hommes bruyants, barbus et déguisés en femmes. Comme nous le savons, des professionnelles perdent leur emploi à cause de cette question et certaines se voient conseiller de faire personnellement appel à une agence de sécurité. Pour avoir dit quoi ? Que la biologie est une réalité.

Ce délire pourrait être réduit d’un cran si toutes ces formes d’intimidations étaient condamnées. Keir Starmer, le leader du parti travailliste, pourrait le faire, les syndicats pourraient le faire, les vice-chanceliers des universités pourraient le faire. Ces institutions sont-elles satisfaites de la situation ? Pour l’amour de Dieu, ne prétendez pas que les torts sont partagés. Les femmes ne menacent pas les personnes transgenres. Le mantra selon lequel débattre de nos droits légaux équivaut à nier leur existence est absurde. Il existe bien sûr des personnes transgenres, mais la violence masculine existe aussi, et des dispositions doivent être prises pour protéger les femmes de cette violence dans la mesure du possible.

Des politiciens du Scottish National Party ont joyeusement posé pour des photos avec des manifestants portant des pancartes où l’on pouvait lire « Décapitez les TERF ». Oh, ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient ? Eh bien, « Ouvrez les yeux » est tout ce que je peux vous dire. Vous ne rendez pas du tout service aux personnes transgenres, car la plupart de ces activistes sont des types qui ont simplement trouvé un nouveau canal pour exprimer leur misogynie et qui se paient un frisson bon marché en portant des sous-vêtements féminins pour le faire.

Je pose régulièrement quelques questions à ces personnes. Qu’est-ce que « l’identité de genre » ? Quand a-t-elle été inventée ? À quel âge se manifeste-t-elle ? En quoi diffère-t-elle des rôles sexuels stéréotypés ? Combien d’argent certaines entreprises peuvent-elles accumuler avec ces chirurgies et la prescription d’hormones à vie ? Pourquoi les hommes qui s’identifient comme femme ont-ils besoin de mettre les femmes mal à l’aise ? Que se passe-t-il lorsque l’on veut avoir un enfant et que l’on a été rendu stérile ou que l’on n’a plus d’utérus ? Faut-il simplement en louer un ? La maternité de substitution est-elle la prochaine étape de la déshumanisation des femmes ? Je n’ai pas encore reçu de réponses.

La colère inouïe de certains transactivistes me rappelle le mouvement masculiniste ; ils veulent ce que les femmes ont et cela exige l’accès à chacune d’entre nous. Face à cette offensive, je constate encore une énorme lâcheté. La peur d’être traité de « transphobe » nous impose le silence. Mais Silence = Mort, comme nous avions l’habitude de dire lorsque nous faisions campagne contre le sida.

Je suis fière de vivre sur notre « Île des TERFS », où la pensée critique est encore autorisée et où nous n’avons pas à nous plier à ce que les hommes nous disent. Nous sommes là pour le long terme et si certains politiciens ne le reconnaissent pas, nous ne les reconnaîtrons tout simplement pas — quelle que soit leur identité.

Suzanne Moore

Version originale : https://www.telegraph.co.uk/columnists/2023/01/24/trans-activists-giving-men-even-power-women/

Traduction : TRADFEM

Toute reproduction fidèle sur vos sites est fortement encouragée.




« Primum non nocere » : que nenni ! Un coup d’État politico-financier sous prétexte sanitaire ?

Par Catherine Teilhet, retraitée des services informatiques de la Ville de Paris.

2020-2021

2022




L’Ukraine coule. Les élites occidentales s’en sortent-elles ?

[Source : reseauinternational.net]

Par Mike Whitney

Ce qui rend le dernier rapport de la RAND Corporation sur l’Ukraine si important, ce n’est pas la qualité de l’analyse, mais le fait que le groupe de réflexion sur la sécurité nationale le plus prestigieux du pays a adopté une position opposée à celle de la classe politique de Washington et de ses alliés mondialistes sur la guerre. C’est une très grosse affaire. Gardez à l’esprit que les guerres ne prennent pas fin parce que le public s’y oppose. C’est un mythe. Les guerres prennent fin lorsqu’un clivage critique émerge entre les élites, ce qui conduit finalement à un changement de politique. Le nouveau rapport de la RAND Corporation, « Éviter une longue guerre : La politique américaine et la trajectoire du conflit Russie-Ukraine », représente justement cette rupture. Il indique que des élites puissantes ont rompu avec l’opinion majoritaire parce qu’elles pensent que la politique actuelle nuit aux États-Unis. Nous pensons que ce changement de perspective va prendre de l’ampleur jusqu’à ce qu’il déclenche une demande plus affirmée de négociations. En d’autres termes, le rapport RAND est le premier pas vers la fin de la guerre.

Considérez, pour une minute, cet extrait du préambule du rapport :

« Les coûts et les risques d’une longue guerre en Ukraine sont importants et dépassent les avantages possibles d’une telle trajectoire pour les États-Unis ».

Cette citation résume effectivement l’ensemble du document. Pensez-y : Au cours des 11 derniers mois, on nous a répété que les États-Unis soutiendraient l’Ukraine « aussi longtemps qu’il le faudra ». La citation ci-dessus nous assure que cela ne va pas se produire. Les États-Unis ne vont pas saper leurs propres intérêts pour poursuivre le rêve irréalisable d’expulser la Russie d’Ukraine. (Même les faucons ne croient plus que cela soit possible.) Les membres rationnels de l’establishment de la politique étrangère vont évaluer les perspectives de réussite de l’Ukraine et les mettre en balance avec la probabilité croissante que le conflit échappe à tout contrôle. Bien entendu, cela ne servirait les intérêts de personne et pourrait déclencher un affrontement direct entre la Russie et les États-Unis. Les décideurs américains devront également décider si les dommages collatéraux croissants en valent la peine. En d’autres termes, la rupture des lignes d’approvisionnement, la hausse de l’inflation, l’augmentation des pénuries d’énergie et de nourriture et la diminution des stocks d’armes sont-elles un juste retour des choses pour « affaiblir la Russie » ? Beaucoup diraient : « Non ».

À certains égards, le rapport RAND n’est que le premier d’une longue série de dominos qui tombent. Au fur et à mesure que les pertes de l’Ukraine sur le champ de bataille s’accumulent – et qu’il devient plus évident que la Russie contrôlera tout le territoire à l’est du Dniepr – les failles de la stratégie de Washington deviendront plus apparentes et seront plus vivement critiquées. Les gens s’interrogeront sur la sagesse de sanctions économiques qui nuisent à nos alliés les plus proches tout en aidant la Russie. Ils demanderont pourquoi les États-Unis suivent une politique qui a précipité un fort mouvement de désaffection pour le dollar et la dette américaine. Et ils se demanderont pourquoi les États-Unis ont délibérément saboté un accord de paix en mars alors que la probabilité d’une victoire ukrainienne est proche de zéro. Le rapport Rand semble anticiper toutes ces questions ainsi que le « changement d’humeur » qu’elles vont générer. C’est pourquoi les auteurs poussent à la négociation et à une fin rapide du conflit. Voici un extrait d’un article paru sur RT :

« La RAND Corporation, un groupe de réflexion d’élite très influent en matière de sécurité nationale, financé directement par le Pentagone, a publié un rapport historique affirmant que la prolongation de la guerre par procuration nuit activement aux États-Unis et à ses alliés et avertissant Washington qu’il doit éviter « un conflit prolongé » en Ukraine. (…)

(Le rapport) commence par affirmer que les combats représentent « le conflit interétatique le plus important depuis des décennies, et que son évolution aura des conséquences majeures » pour Washington, notamment le fait que les « intérêts » américains soient activement lésés. Le rapport indique très clairement que si les Ukrainiens ont mené les combats, et que leurs villes ont été « rasées » et leur « économie décimée », ces « intérêts » ne sont « pas synonymes » de ceux de Kiev ».(([1] « Rand appelle à une fin rapide de la guerre », RT))

Si le rapport ne déclare pas explicitement que « les intérêts américains (sont) lésés », il en déduit certainement que c’est le cas. Il n’est pas surprenant que le rapport ne mentionne aucun des dommages collatéraux de la guerre de Washington contre la Russie, mais les auteurs devaient certainement y penser avant tout. Après tout, ce ne sont pas les 100 milliards de dollars ou la fourniture d’armes mortelles qui coûtent si cher aux États-Unis. C’est l’émergence accélérée de coalitions internationales et d’institutions alternatives qui a mis l’empire américain sur la voie rapide de la ruine. Nous supposons que les analystes de RAND voient les mêmes choses que tout autre être sensible, que la conflagration malencontreuse de Washington avec Moscou est un « pont trop loin » et que le retour de flamme va être immense et atroce. D’où l’urgence d’en finir rapidement avec la guerre. Voici un extrait du rapport qui a été affiché en caractères gras au milieu du texte :

« Puisque éviter une longue guerre est la priorité absolue après avoir minimisé les risques d’escalade, les États-Unis devraient prendre des mesures qui rendent plus probable une fin du conflit à moyen terme ».

Il est intéressant de noter que si le rapport détaille les principaux risques d’escalade (les principaux risques sont une guerre plus large avec l’OTAN, un débordement du conflit dans d’autres pays de l’UE et une guerre nucléaire), il n’explique pas pourquoi exactement une « longue guerre » serait si dommageable pour les États-Unis. Nous pensons que cette omission est intentionnelle et que les auteurs ne veulent pas admettre que le retour de flamme des sanctions et la formation de coalitions étrangères anti-américaines sapent clairement les plans américains visant à maintenir leur emprise sur le pouvoir mondial. Parmi les élites, de tels propos sont interdits. Voici comment Chris Hedges résume la situation dans un article de Consortium News :

« Le plan visant à remodeler l’Europe et l’équilibre mondial du pouvoir en dégradant la Russie s’avère ressembler au plan raté visant à remodeler le Moyen-Orient. Il alimente une crise alimentaire mondiale et dévaste l’Europe avec une inflation à deux chiffres. Il met en évidence l’impuissance, une fois de plus, des États-Unis et la faillite de leurs oligarques dirigeants. Pour faire contrepoids aux États-Unis, des nations comme la Chine, la Russie, l’Inde, le Brésil et l’Iran se détachent de la tyrannie du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale, ce qui déclenchera une catastrophe économique et sociale aux États-Unis. Washington donne à l’Ukraine des systèmes d’armes toujours plus sophistiqués et des milliards et des milliards d’aide dans une tentative futile de sauver l’Ukraine mais, plus important encore, de se sauver elle-même ».(([2] « Ukraine – La guerre qui a mal tourné », Chris Hedges, Consortium News))

Hedges résume parfaitement la situation. L’intervention stupide de Washington ouvre la voie à la plus grande catastrophe stratégique de l’histoire des États-Unis. Et pourtant, même aujourd’hui, la grande majorité des élites corporatives et bancaires soutiennent résolument la politique existante tout en ignorant les signes évidents d’échec. Un exemple concret : Le Forum économique mondial a publié une déclaration générale de soutien à l’Ukraine sur son site Web. La voici :

« L’essence de notre organisation est sa croyance dans le respect, le dialogue et les efforts de collaboration et de coopération. Nous condamnons donc profondément l’agression de la Russie contre l’Ukraine, les attaques et les atrocités.

Nous sommes entièrement solidaires du peuple ukrainien et de tous ceux qui souffrent innocemment de cette guerre totalement inacceptable. Nous ferons tout ce qui est possible pour aider et soutenir activement les efforts humanitaires et diplomatiques.

Nous espérons seulement que – à plus long terme – la raison l’emportera et que l’espace nécessaire à la construction de ponts et à la réconciliation émergera à nouveau ».(([3] Klaus Schwab et Børge Brende, Forum économique mondial))

Cela ne devrait surprendre personne. Naturellement, les mondialistes vont se ranger du côté de leur équipe de démolition expansionniste (l’OTAN) plutôt que du côté du plus grand défenseur mondial des valeurs traditionnelles, des frontières et de la souveraineté nationale. Cela va sans dire. Malgré cela, le rapport Rand suggère que le soutien à la guerre ne fait plus l’unanimité parmi les élites. Et, puisque ce sont les élites qui définissent en fin de compte la politique, il y a maintenant une probabilité croissante que cette politique change. Nous considérons cet « éclatement du consensus des élites » comme le développement le plus positif de ces 11 derniers mois. La seule façon pour les États-Unis de modifier leur approche en Ukraine est qu’un nombre croissant d’élites reviennent à la raison et nous tirent du pétrin. Nous espérons que cela se produira, mais nous n’en sommes pas sûrs.

La section la moins convaincante de tout le rapport se trouve sous le titre de : « Engagements des États-Unis et des Alliés en faveur de la sécurité de l’Ukraine ».

Le problème est facile à comprendre. Les auteurs veulent s’entendre sur un plan pour assurer la sécurité de l’Ukraine afin d’encourager les négociations avec la Russie. Malheureusement, la Russie ne permettra pas à l’Ukraine de faire partie d’une alliance de sécurité soutenue par l’Occident. En fait, c’est la raison pour laquelle la Russie a lancé son invasion en premier lieu, pour empêcher l’adhésion de l’Ukraine à une alliance militaire hostile (l’OTAN) liée aux États-Unis. Il s’agit d’un sujet délicat qui constituera sans aucun doute un obstacle dans toute négociation future. Mais c’est une question sur laquelle il ne peut y avoir de « marge de manœuvre ». L’Ukraine – ou ce qu’il en reste – devra être neutre en permanence et tous les extrémistes d’extrême droite devront être écartés du gouvernement, de l’armée et des services de sécurité. Moscou ne choisira pas les dirigeants de l’Ukraine, mais elle s’assurera que ces dirigeants ne sont ni nazis ni liés à une quelconque organisation nationaliste d’extrême droite.

Le gouvernement américain va-t-il se diviser en deux camps antagonistes ?

Comme nous l’avons dit précédemment, nous pensons que le rapport RAND indique que les élites sont désormais divisées sur la question de l’Ukraine. Nous pensons qu’il s’agit d’une évolution positive qui pourrait conduire à des négociations et à la fin de la guerre. Cependant, nous ne devons pas ignorer le fait que même l’analyse la plus impartiale peut pencher favorablement dans la direction du groupe qui fournit le financement. Et cela pourrait être vrai ici aussi. N’oubliez pas que la RAND Corporation est un groupe de réflexion non partisan qui, selon le lieutenant-colonel retraité de l’US Air Force Karen Kwiatkowski : « travaille pour l’establishment de la défense, et si l’argent venait à manquer, le thinktank n’existerait pas sous sa forme actuelle. Il sert entièrement les intérêts du gouvernement américain, et en est dépendant ». (Lew Rockwell)

On peut en déduire que le rapport RAND pourrait représenter les vues du Pentagone et de l’establishment militaire américain, qui estiment que les États-Unis se dirigent à toute allure vers une conflagration directe avec la Russie. En d’autres termes, le rapport pourrait constituer les premières attaques idéologiques contre les néoconservateurs qui dirigent le département d’État et la Maison Blanche. Nous pensons que cette division entre le département de la guerre et le département d’État deviendra plus visible dans les jours à venir. Nous ne pouvons qu’espérer que la faction la plus judicieuse du Pentagone l’emportera.

Source : The Unz Review
Traduction Réseau International





L’empire du faux

[Extraits de lincorrect.org]

Par Arthur de Watrigant

Il y a quelques semaines, Le Monde, en partenariat avec les chercheurs de l’Ircam, un centre de recherche scientifique, d’innovation technologique et de création musicale fondé par Pierre Boulez, annonçait une petite révolution technologique : « L’appel du 18 juin du général de Gaulle reconstitué pour la première fois »Comme chacun sait, il n’existe aucun enregistrement du fameux appel mais grâce à un procédé informatique qui utilise l’intelligence artificielle, appelé voice cloning, l’un des grands moments de notre histoire sera « recréé ». Je ne sais pas vous, mais l’idée m’excite autant que la création de Skynet dans Terminator. Pour nous rassurer, le quotidien nous affirme que ce projet « doit nous pousser à nous interroger sur la puissance et les limites de l’intelligence artificielle ».

(…)

Une « vivante leçon » qu’ils disent. Non camarade, il n’y a rien de vivant là-dedans, ni de « reconstitution » d’ailleurs, mais une représentation, c’est là toute la différence. Mais vous le savez et on vous voit venir avec vos grosses pompes orthopédiques de rééducateurs.

(…)

Et là on ne parle que d’audio, l’image ne va pas tarder. Le discours de de Gaulle ne déplaira à personne mais la suite ? Imagine-t-on une « reconstitution » du faux procès de Louis XVI.

(…)

S’il y a bien quelque chose que le cinéma nous a appris, c’est la puissance de l’image. C’est son génie et sa limite. C’est une illusion et donc une emprise. L’image, le son, le mouvement nous happent pour le pire ou le meilleur, au service de l’édification spirituelle ou morale mais aussi des passions humaines. Il n’y a pas meilleur médium pour inoculer de la propagande. Avec l’arrivée de l’IA conjuguée à l’histoire, la distance qu’induit l’art disparaît. L’illusion du réel, donc du vrai, n’en est que plus dangereuse.

D’une illusion à la falsification, la frontière se révèle bien poreuse. (…)




Les stratagèmes totalitaires des génocidaires mondialistes, partie 1

[Illustration : source]

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Par Kelleigh Nelson

31 janvier 2023

Peu importe les droits que vous avez en vertu de la Constitution des États-Unis, si le gouvernement peut vous punir pour avoir exercé ces droits. Et peu importe les limites que la Constitution impose au pouvoir des représentants du gouvernement, s’ils peuvent dépasser ces limites sans aucune conséquence négative.

Thomas Sowell

Les gens ont ce qu’ils méritent. Quel que soit le parti politique, si les gens soutiennent les candidats qui promeuvent l’holocauste des vaccins, il y aura 200 millions d’Américains morts d’ici 2030. S’ils soutiennent les candidats qui encouragent la crise de la chaîne d’approvisionnement, il n’y aura plus de diesel pour transporter la nourriture des fermes aux épiceries. Et si les gens soutiennent les candidats qui fournissent des milliards de dollars aux voyous et terroristes néonazis du bataillon Azov en Ukraine, vous aurez droit à une Troisième Guerre mondiale lorsque Poutine en aura assez. Peu importe pour qui vous votez si votre candidat est un maniaque du génocide mondial.

Steven Fishman

Aimez votre pays, mais ne faites jamais confiance à son gouvernement.

Robert A. Heinlein (1907-1988), écrivain américain.

Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités peuvent vous faire commettre des atrocités.

Voltaire, écrivain français

Les bolchevistes étaient une faction marxiste révolutionnaire d’extrême gauche, fondée par Vladimir Lénine, qui s’est séparée avec les mencheviks du Parti ouvrier social-démocrate russe marxiste, un parti politique socialiste révolutionnaire formé en 1898. En 1917, deux révolutions ont eu lieu dans l’Empire russe. La première a renversé la monarchie impériale et la seconde a placé les bolcheviks au pouvoir après une guerre civile sanglante.

Le fascisme a dominé de nombreuses régions d’Europe entre 1919 et 1945. NAZI signifie Parti ouvrier allemand national-socialiste. Les nazis ne sont pas de droite, ils sont d’extrême gauche, mais les qualifier d’extrême droite persiste à cause des imbéciles et des amateurs qui souhaitent étiqueter toute personne à droite du centre comme un fasciste. C’est ce qu’ils ont fait à Donald Trump, et aussi frauduleux que cela puisse être, le mensonge répétitif s’est installé. (Des nuances de Joseph Goebbels) Trump est beaucoup de choses, mais fasciste n’en fait pas partie.

Lénine, Staline, Hitler et Mao n’ont pas eu leur pareil pour assassiner leur propre peuple et les peuples européens, même si d’autres ont été tout aussi cruels et délibérés dans l’extinction de millions de personnes. 100 millions de personnes serait-il un chiffre proche de celui des personnes assassinées ? Peut-être, mais je parierais que c’est beaucoup plus.

Aujourd’hui, des totalitaires du monde entier sont impatients de réduire en esclavage les survivants de leur dernier massacre de dépeuplement. L’anéantissement de la création de Dieu a toujours été le but de ceux qui sont possédés par le mal. Leur excuse a toujours été que la population dépasserait la production de nourriture. Cependant, les progrès réalisés au fil du temps ont prouvé que c’était faux. Les objectifs d’aujourd’hui sont à la fois la dépopulation et la pénurie de nourriture, et ils veillent aux deux afin de réaliser leurs aspirations et leurs prédictions.

Forum économique mondial

Il n’y a pas de normalité chez ceux qui sont attirés par la conquête et la révolution mondiales. Les sympathisants sont attirés par les membres ordinaires et viennent grossir leurs rangs. Pensez à ceux du Parti républicain qui sont membres du Forum économique mondial. Vous voulez que j’en cite quelques-uns ? Elise Stefanik, Dan Crenshaw, Darrell Issa, Debra Fischer, Eric Holcomb, Michael McCaul, Pat Toomey, Roger Wicker et bien d’autres. Kevin McCarthy, qui n’aurait jamais dû être nommé président de la Chambre des représentants, assiste à toutes les réunions du FEM et a dîné avec Klaus Schwab. De nombreux politiciens du Parti démocrate stalinien sont également membres du FEM. Ce sont des traîtres à leur pays et des traîtres à leurs serments d’office.

Schwab et son principal conseiller, Yuval Noah Harari, sont les deux hommes qui conduisent actuellement les États-nations dans leur monde de domination dystopique complète sur les masses. Ils ont infiltré tous les gouvernements et ont réussi à amener les dirigeants gouvernementaux dans le giron du FEM. L’économie malthusienne de Schwab et Harari est tout droit sortie du manuel de la dépopulation de Maurice Strong. Strong, père du réchauffement climatique et de l’Agenda 21 des Nations unies, sans doute le plan le plus important et le plus secret pour la transformation du monde, était l’ami et le mentor de Klaus Schwab.

La durabilité et les villes à croissance intelligente sont maintenant partout aux États-Unis. Mais il existe des projets plus ambitieux. Le milliardaire américain Marc Lore a entrepris de construire une ville du futur qui incarne l’équité, la diversité et l’inclusion. Telosa City devrait être construite dans une région désertique des États-Unis, probablement l’Utah, et son coût est estimé à 400 milliards de dollars. Oui, toujours le même plan : nous entasser tous dans une zone urbaine pour vivre ensemble dans ce qu’ils croient être une utopie. Voici le plan :

America’s INSANE New City Of The Future

Dans cet article, Mastering the Future : The Megalomaniacal Ambitions of the WEF, Michael Rectenwald écrit :

« De peur que nous n’imaginions que le FEM et ses réunions ne représentent que les délires grandioses de quelques clowns inefficaces, il convient de noter que le “capitalisme des parties prenantes” du FEM — introduit en 1971 par Klaus Schwab, le fondateur et président du FEM, dans Modern Enterprise Management in Mechanical Engineering a été adopté par l’ONU, par la plupart des banques centrales, ainsi que par les principales entreprises, banques commerciales et gestionnaires d’actifs du monde. Le capitalisme des parties prenantes est désormais considéré comme le modus operandi du système économique mondial. »

L’agriculture, le changement climatique, la durabilité, la crise alimentaire, l’approvisionnement en eau, les crises économiques, les catastrophes naturelles, les virus et tout ce que Strong a exposé dans son tome de l’Agenda 21 de l’ONU font partie du plan du FEM pour dominer le monde et ses habitants.

Klaus Schwab explique (en anglais) l’agenda de la Grande Réinitialisation en 15 minutes.

[Voir aussi :
Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos
L’ONU et Davos veulent accélérer la mise en place de « l’Agenda 2030 »
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
But des Agendas 21 et 2030
Pourquoi le Great Reset est l’Agenda du Chaos….
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le Forum économique mondial publie un guide sur la façon de contraindre et de manipuler le public pour imposer le vaccin Covid-19
Pénuries alimentaires dans six mois – Les mondialistes nous disent ce qui va se passer ensuite
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos]

Rectenwald termine son article par cette déclaration :

« En bref, avec l’agenda de Davos, nous sommes confrontés à une campagne concertée et coordonnée visant à démanteler les capacités de production dans les domaines de l’énergie, de la fabrication et de l’agriculture. Ce projet, dirigé par les élites et qui leur profite, équivaut au plus grand bond en arrière de l’histoire. S’il n’est pas arrêté et inversé, il conduira à un désastre économique, notamment à une réduction spectaculaire de la consommation et du niveau de vie. Et il entraînera presque certainement une augmentation de la faim dans le monde développé et des famines dans le monde en développement. Le président du FEM, Schwab, pourrait surpasser le président Mao. Si nous le laissons faire. » 

Ceux qui siègent au conseil d’administration de cette gigantesque abomination tyrannique et ce qu’ils ont prévu pour nous sont les mêmes acteurs qui s’y emploient depuis des décennies.

Le plan du Parti nazi

L’histoire du Parti nazi peut être racontée en termes de nouvelles formations au sein du mouvement, chacune devenant plus vicieuse et cruelle. Pensez au Nouvel Ordre Mondial, qui est devenu l’Agenda 21/2030 des Nations unies et qui est maintenant devenu la Grande Réinitialisation. Tous les objectifs sont les mêmes, mais le fait de changer les noms pour différentes générations empêche les gens de comprendre que, quel que soit le nom, nous sommes confrontés au même mal diabolique et qu’à chaque changement, les génocidaires deviennent plus maniaques. Ajoutez-y les principes du marxisme et du fascisme et vous aurez une image claire de ce à quoi l’humanité est confrontée.

Hannah Arendt explique dans son livre, Les Origines du totalitarisme (NDT : version anglaise), page 368 :

« Un autre avantage du schéma totalitaire est qu’il peut être répété indéfiniment et maintient l’organisation dans un état de fluidité qui lui permet d’inclure constamment de nouvelles couches et de définir de nouveaux degrés de militantisme.

« Les SA, les stormtroopers (fondés en 1922), ont été la première formation nazie censée être plus militante que le parti lui-même ; en 1926, les SS ont été fondés en tant que formation d’élite des SA ; après trois ans, les SS ont été séparés des SA et placés sous le commandement de Himmler ; il n’a fallu que quelques années supplémentaires à Himmler pour répéter le même jeu au sein des SS. »

Tous plus militants les uns que les autres, les SS ont d’abord créé les troupes de choc, puis les formations à tête de mort (unités de garde pour les camps de concentration) qui ont ensuite fusionné pour former la Waffen-SS, et enfin le bras exécutif de la « politique de population négative » et leur bureau des questions de race et de réinstallation. Soldiers of Destruction—SS Death Head Division, écrit par Charles Sydnor, Jr, donne au lecteur une image claire des atrocités et du mal perpétrés par la SS-Division Totenkopf.

Le mal mondial nous confronte à un nouveau titre et à une nouvelle menace, et cette fois, la majorité des gouvernements sont dans le coup, y compris les États-Unis.

Tout comme l’Ukrainien Zelensky.

Volodymyr Zelensky

Avant de devenir président de l’Ukraine, Zelensky était un comédien. On le voit dans une vidéo portant des talons hauts et faisant une danse gay érotique avec trois autres hommes. Et au cas où vous l’auriez oublié, voici Volodymyr Zelensky avec un ami, faisant semblant de jouer du piano avec son pénis.

Matériel présidentiel ? Je ne pense pas.

Jim Hoft du Gateway Pundit a récemment rapporté que les officiels ukrainiens ont gaspillé 100 milliards de dollars de l’Unipartisme américain en voitures de sport, manoirs, vacances de luxe, etc. L’argent de nos impôts au travail. En fait, c’est du papier sans valeur et sans aucune garantie. Notre président illégitime estime donc qu’il peut continuer à imprimer des dollars sans valeur et que les Américains paieront avec une inflation exorbitante.

L’Amérique a envoyé plus de 100 milliards de dollars à l’Ukraine, ainsi que des tonnes d’équipements militaires grâce à la reprise par Biden du Lend Lease Act de la Seconde Guerre mondiale. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le marxiste Harry Hopkins, qualifié de co-président de FDR, vivait dans la chambre Lincoln de la Maison-Blanche. Il était en charge du programme de prêt-bail à la Russie.

Extrait du livre de Diana West, American Betrayal, chapitre 5 :

« Victor Kravchenko était un fonctionnaire soviétique qui a fait défection en Amérique. Il avait été au siège soviétique de Lend Lease à Washington. Après la guerre, il a témoigné devant le Congrès que l’opération soviétique Lend Lease dont il a fait défection et qui était située à seulement trois pâtés de maisons de la Maison-Blanche était la commission soviétique d’espionnage, de vol et de saccage. Ils ont réussi à voler le plus grand nombre possible de secrets industriels et militaires. »

Lien

La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a déclaré sans ambages, dans de nouvelles remarques, que les alliés occidentaux mènent une guerre contre la Russie. Les États-Unis et l’Allemagne ont déclaré qu’ils enverraient des chars à l’Ukraine. L’Allemagne envoie également trois bombardiers B2.

En décembre, Volodymyr Zelensky est devenu le premier dirigeant étranger en temps de guerre depuis Winston Churchill en décembre 1942 à s’adresser à une session conjointe du Congrès américain. Au moins, Sir Winston s’est présenté en costume, Zelensky a porté son sweat-shirt. Peut-être ne possède-t-il pas de costume, puisqu’il s’est présenté à Davos en tee-shirt. Pelosi a déposé un baiser sur la joue du fasciste.

L’Ukraine a remplacé le COVID. C’est un pays de corruption fasciste et les Bidens et ses copains, y compris les Républicains, ramassent le butin.

Les retraités ukrainiens qui sont arrivés aux États-Unis après le déclenchement de la guerre totale pourront recevoir la pension du Supplemental Security Income (SSI) du gouvernement. C’est ce qu’a annoncé l’Office of Refugee Resettlement du ministère américain de la Santé et des Services sociaux. Le SSI est une pension gouvernementale versée aux personnes à faible revenu âgées de plus de 65 ans et aux personnes handicapées. Lien

Financer des fascistes pendant que les Américains souffrent. Où est l’indignation ? !

Le bataillon fasciste Azov a été immédiatement intégré à l’armée ukrainienne par Zelensky. En fait, il a déclaré la même chose dans son interview il y a quelque temps sur Fox, mais sa déclaration a été supprimée. Apparemment, les médias ne veulent pas que nous sachions que nous finançons les descendants directs des nazis d’Hitler pour qu’ils combattent avec la Russie.

Zelensky est membre du FEM, et l’Ukraine possède déjà une forme de système de crédit social. Il a été rapporté l’année dernière qu’il avait suivi la Chine et combiné la surveillance des citoyens par le gouvernement et les entreprises. Ce système donne aux citoyens un « score » qui peut restreindre la capacité des individus à entreprendre des actions — comme l’achat de billets d’avion, l’acquisition de biens ou l’obtention de prêts — en raison de leurs comportements. Ce système est en cours d’élaboration pour fonctionner en Amérique.

Le colonel Douglas MacGregor nous dit que l’Ukraine est en train de regarder l’anéantissement en face :

Notre vie privée fait partie du passé, le quatrième amendement est foutu, tout comme le premier, et le deuxième est une cible de choix. La Déclaration des droits est en lambeaux, mais bien sûr, le dernier candidat à la magistrature nommé par Biden, ne pouvait même pas nommer un seul de nos dix droits garantis par Dieu. Duh !

La Russie de Poutine

À la fin du mois d’août 2022, la Russie avait détecté plus de 50 biolabs gérés par les États-Unis près de ses frontières, et elle prévoyait de présenter les preuves à l’Office des Nations unies à Genève au début du mois de septembre.

Vous vous souvenez de Victoria Nuland ? Elle était sous-secrétaire d’État aux affaires politiques et a témoigné devant une audience de la commission des affaires étrangères du Sénat sur l’Ukraine le 8 mars 2022 à Washington, DC. Elle a déclaré : « L’Ukraine a des “installations de recherche biologique”, elle craint que la Russie ne les saisisse. »

Le Pentagone a admis le jeudi 9 juin 2022 qu’il a exploité 46 biolabs en Ukraine manipulant des agents pathogènes dangereux, après avoir précédemment rejeté les accusations comme de la propagande russe.

Peut-être…

[Concernant les recherches en biolabs, voir :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
et la vidéo suivante en anglais entre 2:54 et 14:26 :
Biotoxines]

Le 22 septembre 2022, Konstantin Kosachev, vice-président du Conseil de la Fédération, a déclaré que les biolabs gérés par le Pentagone en Ukraine poursuivent des objectifs militaires, prouvés par des preuves irréfutables.

Poutine n’est pas satisfait de ces armes biologiques du DoD près de sa frontière ni du fait que Zelensky voulait rejoindre l’OTAN qui engage ses membres à se défendre mutuellement.

Vladimir Poutine n’est pas Zelensky.

Le 23 juin 2007, Der Spiegel a publié une interview d’Alexandre Soljenitsyne. Alexandre s’était vu offrir un prix par Gorbatchev dans le passé, puis un prix par Eltsine. Les deux ont été refusés. Mais lorsqu’un prix lui a été proposé par Vladimir Poutine, il a accepté. Voici ce qu’il a déclaré dans cette interview :

En acceptant le prix, j’ai exprimé l’espoir que l’amère expérience russe, que j’ai étudiée et décrite toute ma vie, soit pour nous une leçon qui nous préserve de nouvelles ruptures désastreuses.

Vladimir Poutine — oui, il était un officier des services de renseignement, mais il n’était pas un enquêteur du KGB, ni le chef d’un camp du goulag. Quant au service dans les services de renseignement étrangers, il n’est négatif dans aucun pays — il attire même parfois les louanges. George Bush père n’a pas été beaucoup critiqué pour avoir été l’ancien chef de la CIA, par exemple.

Avant la mort d’Alexandre Soljenitsyne, Poutine l’a rencontré et Soljenitsyne a dit à Poutine ce qui devait être changé, plus de contrôle local, moins de contrôle central.

Le dirigeant russe a écouté. Soljenitsyne est mort le 3 août 2008, quelques mois avant son 90e anniversaire. Deux semaines plus tard seulement, il a été annoncé que la Grande Rue communiste de Moscou (ulitsa Bolshaya Kommunisticheskaya) allait être rebaptisée « rue Alexandre Soljenitsyne », un honneur accordé par décret personnel du président Poutine.

Joseph Pearce écrit ce qui suit dans son article Soljenitsyne et Poutine :

En octobre 2010, il a été annoncé que L’Archipel du Goulag deviendrait une lecture obligatoire pour tous les lycéens russes. Lors d’une rencontre avec la veuve de Soljenitsyne, Poutine a décrit L’Archipel du Goulag comme une « lecture essentielle ». « Sans la connaissance de ce livre, il nous manquerait une compréhension complète de notre pays et il nous serait difficile de penser à l’avenir. »

Que faut-il dire de plus ? Dans la Russie de Vladimir Poutine, le plus grand classique de la littérature anticommuniste est désormais une lecture obligatoire dans tous les lycées de la nation. Si l’on pouvait en dire autant des lycées des États-Unis, nous n’aurions pas l’ignorance historique et politique endémique qui a conduit à la sympathie généralisée pour le communisme chez les jeunes Américains. À la lumière de ce qui précède, et à la lumière de l’admiration évidente de Poutine pour Soljenitsyne, n’essayons pas de prétendre que la Russie est une nation communiste. Nous n’avons pas besoin d’aimer Vladimir Poutine. Nous n’avons pas besoin de l’admirer. Mais nous devons reconnaître que la Russie a tourné la page sur les maux du socialisme, alors que nous risquons d’embrasser ces mêmes maux.

Et pourtant, nos politiciens américains communistes/fascistes veulent faire de lui l’ennemi alors que nous finançons massivement le véritable adversaire.

Conclusion

Dans la deuxième partie, nous examinerons les plans à venir des oligarques dystopiques pour l’ensemble de l’humanité.

© 2023 Kelleigh Nelson — Tous droits réservés

E-Mail de Kelleigh Nelson : proverbs133@bellsouth.net




Macron et l’américanisation de la France

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

Banquier d’affaires chez Rothschild(([1] https://www.francetvinfo.fr/elections/presidentielle/quand-emmanuel-macron-etait-banquier-d-affaires-un-element-prometteur-mais-sans-plus_2171646.html)), Young Leader du Forum Économique Mondial (Forum de Davos)(([2] https://business-cool.com/decryptage/insolite/young-global-leaders/)), Macron suit le plan des mondialistes, pour cela depuis son élection en 2017 il n’a de cesse de saper tous les fondements de notre nation. La liste de ses méfaits serait fastidieuse, elle se résume en une formule « Tout pour la finance, rien pour le peuple qui pour être rentable doit être exploité. ». Pour ce faire il amène la France vers une gestion du pays à l’américaine où le capital a pris la main sur tous les rouages de l’économie. Regardez vers quoi il veut vous entraîner.

La protection sociale aux États-Unis

(Extrait d’un article d’Europusa(([3] https://www.europusa.com/vivre-aux-etats-unis/vie-personnelle-aux-usa/les-americains-et-vous/la-protection-sociale-aux-etats-unis/)) )

Les prestations sociales sont limitées au minimum aux États-Unis. Les charges sociales restent faibles par rapport à l’Europe. Cela représente un avantage important pour les employeurs et la flexibilité du marché du travail. Cependant, le bien-être des citoyens et leur protection sociale sont mis à l’épreuve.

Quelles différences du système de santé aux USA avec l’Europe ?

La protection sociale aux États-Unis est très différente de l’Europe. Les charges sociales sont très faibles, mais cela présente des inconvénients pour la protection sociale des citoyens en matière de couverture médicale, chômage, retraite, soins de longue durée et soins palliatifs. Les Américains doivent souvent payer pour des soins de santé et des retraites privés. En effet, les programmes publics sont très limités.

Comment fonctionne l’assurance santé aux États-Unis ?

Avant 65 ans, les Américains sont assurés par des assurances privées. Généralement, les prestations de santé et de retraite aux États-Unis sont principalement financées par les employeurs et les travailleurs, plutôt que par l’État. Les employeurs de plus de 50 employés sont tenus de fournir une assurance santé pour leurs employés. Cependant, ils peuvent choisir de ne pas le faire. Les travailleurs doivent contribuer à leur assurance santé et à leur retraite via des prélèvements sur leur salaire. Cela signifie que les personnes qui ne travaillent pas ou qui travaillent pour des employeurs qui ne fournissent pas d’assurance santé sont souvent sans couverture.

Est-ce qu’il existe un système de sécurité sociale aux USA ?

À partir de 65 ans, les Américains bénéficient d’un système de sécurité sociale tel que nous le connaissons en France. Il s’agit de Medicare. Cependant, Medicare ne couvre pas tous les frais de santé et les individus doivent toutefois souscrire une assurance complémentaire pour couvrir les coûts restants.

Comment fonctionne le chômage aux États-Unis ?

On peut pratiquement dire que le chômage n’existe pas dans ce pays. Si vous êtes licencié, vous toucherez des allocations chômage représentant 20 % à 40 % de votre salaire. La durée d’indemnisation ne peut pas durer plus de 6 mois. De plus, ces allocations sont souvent insuffisantes pour couvrir les dépenses de la vie de tous les jours. Il est donc important de rapidement retrouver un autre travail. Les travailleurs qui perdent leur emploi peuvent également être admissibles à des programmes de formation professionnelle pour les aider à se réinsérer dans le marché du travail.

Comment se porte le marché du travail aux USA ?

Le marché du travail est beaucoup plus flexible aux États-Unis. Les employeurs n’hésitent pas à embaucher quelqu’un pour « essayer » puisqu’ils peuvent en toute légalité le licencier du jour au lendemain, sans donner de motif. D’un côté, cette flexibilité est un avantage pour les employeurs. D’un autre, elle peut être source d’insécurité importante pour les travailleurs. Mais pas de panique, nous avons quelques conseils pour vous aider à trouver un emploi aux États-Unis.

Comment se passe la retraite aux États-Unis ?

La retraite est fixée à 65 ans aux États-Unis, mais beaucoup de personnes continuent d’exercer une activité au-delà. L’importance que représente le travail dans la vie sociale fait qu’il est difficile pour beaucoup d’Américains de s’arrêter si vite. Les prestations de retraite aux États-Unis ne sont pas garanties par le gouvernement comme cela peut être le cas dans d’autres pays. Les Américains doivent généralement compter sur des programmes comme la Sécurité Sociale et les plans de retraite privés pour lesquels ils peuvent avoir cotisé pendant leur carrière pour soutenir leur retraite.

Comment toucher une retraite plus avantageuse aux USA ?

Le dynamisme de l’économie de ces dernières années d’un côté et la courbe démographique en rétrécissement de l’autre crée une tension sur les retraites à payer. Les Américains ont donc trouvé une solution très pragmatique, comme toujours : si vous continuez à travailler jusqu’à 70 ans, vous toucherez tout simplement une retraite plus élevée !

Puis-je avoir une assurance santé aux États-Unis si j’ai un petit salaire ?

Certaines personnes peuvent être plus vulnérables que d’autres en termes de protection sociale aux États-Unis, comme les travailleurs à bas salaires, les personnes âgées et les personnes ayant des besoins médicaux spécifiques. Il existe cependant des programmes publics pour les personnes à faible revenu, tels que Medicaid et l’Obamacare. Ces programmes ont été créés pour aider les personnes qui ne peuvent pas se permettre une assurance privée. Ils ont amélioré l’accès aux soins de santé pour certains. Toutefois, ils restent limités et sont souvent sujets à des débats politiques. Aucun de ces fonds ne finance entièrement le coût des soins. Le programme prévoit le paiement d’une assurance, de frais déductibles ; mais l’individu devra en payer une grande partie de sa poche (out-of-pockets costs). D’autres programmes gouvernementaux, tels que Medicaid, aident au paiement de certains frais en association avec Medicare. Des programmes tels que Medigap permettent de combler la différence : toutefois, bien que ces assurances soient légalement fixées par le CMS, elles sont vendues et administrées par des entreprises privées.

Conclusion

Au cours de son histoire la République malgré ses erreurs avait amené le pays a un niveau de vie somme toute correct(([4] C’est que doivent penser en tous cas les migrants.)), Macron en financiarisant à outrance la gestion du pays(([5] Exemple de l’hôpital.
https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/sante-plus-de-4-300-lits-supprimes-dans-les-hopitaux-en-2021_5385343.html)), en suivant à la lettre les directives de ses maîtres, en les introduisant au cœur de l’État(([6] https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/01/26/intervention-du-president-emmanuel-macron-dans-le-cadre-de-lagenda-de-davos-organise-par-le-world-economic-forum)) fait écrouler en même pas deux mandats l’État français.

Quel sort va-t-on lui réserver ?

Notes




Elon Musk, défenseur des libertés? 1re partie

#1 L’opposition contrôlée : Elon Musk et les Twitter files

Il n’a échappé à personne que suite au rachat de Twitter en 2022, Elon Musk et ses équipes ont révélé la manière dont certains politiques américains et un nombre de lobbys internationaux ont contrôlé les comptes et les messages des plateformes de réseaux sociaux. Cela s’est particulièrement produit sous l’influence des démocrates et de Big Pharma qui ont censuré un nombre invraisemblable de lanceurs d’alerte et de voix critiques, aux États unis comme en Europe.

Mais faut-il pour autant célébrer Elon Musk, lui faire confiance ? Ne s’agirait-il pas d’un « limited hangout », une « sortie limitée » d’informations, pour récupérer une situation problématique ? La censure massive exercée par les réseaux sociaux a poussé de très nombreux usagers à déserter les plateformes classiques. Comment rattraper le tir et restaurer la confiance du public dans ses applications et dans « le processus démocratique » ? Car si l’on perd le contrôle d’un côté, il faut bien le rattraper de l’autre en organisant et pilotant une opposition. Alors que fait véritablement Elon Musk et à quoi cette opération peut-elle aboutir ?

Depuis qu’il est passé aux commandes de Twitter en rachetant la société pour un montant astronomique de 44 milliards de dollars, Musk a divulgué des documents internes attestant des demandes de censure de certains sujets ou de certains comptes. Des journalistes et des lanceurs d’alerte concernés ont donc publié ces preuves, principalement sur leur lettre personnelle hébergée sur la plateforme Substack. À titre d’exemple, Matt Taibbi a révélé comment dès 2017 les services des renseignements ont pris le contrôle de Twitter sous l’influence des démocrates en supprimant les messages hostiles à Clinton et aujourd’hui les dossiers compromettants sur Hunter Biden. Alex Berenson a lâché ses bombes en révélant les pressions de Pfizer pour censurer les tweets de Scott Gottlieb sur la supériorité de l’immunité naturelle à celle du vaccin et le Dr Michael Shellenberger a révélé comment Facebook a rassuré la Maison-Blanche en expliquant que les informations défavorables à la vaccination sont supprimées, même lorsqu’elles sont vraies.

La liste des scandales est longue. Officiellement, les géants de la technologie ont fait savoir qu’ils ne supprimaient que les informations contenant « de fausses informations médicales », ce qui revenait déjà à laisser l’OMS décider de l’état des connaissances scientifiques et à supprimer tout débat contradictoire. Mais il apparaît désormais que l’ampleur de la censure est encore bien plus importante. La CIA, le FBI et d’autres agences gouvernementales ont donc régulièrement envoyé des demandes de suppression de tweets ou de comptes, et même appuyé leurs exigences par de solides compensations financières. Twitter a, par exemple, perçu 3 415 323 dollars du FBI pour les services rendus par ses employés.

La divulgation de toutes ces informations ouvre également la voie à des actions judiciaires. Ainsi l’avocat Robert F. Kennedy, Jr. a porté plainte pour violation de la liberté de la presse et de la loi antitrust contre le « Trusted News Initiative », un partenariat regroupant plusieurs groupes de presse dont la BBC, Associated Press (AP), Reuters le Washington Post et l’Agence France-Presse et d’autres médias ainsi que les plateformes de réseaux sociaux Google (Facebook, YouTube, Instagram) et Twitter. Ceux-ci s’étaient alliés pour censurer collectivement les informations concernant la Covid 19 et les élections présidentielles, qui n’étaient pas alignées sur les récits officiels. Plusieurs autres célébrités de la « résistance » américaine, telles que les époux Bollinger et le Dr Joseph Mercola, se sont associées à la plainte, savourant le plaisir d’enfin pouvoir contre-attaquer ces cartels qui les étouffent depuis plusieurs années.

Robert F. Kennedy Jr @RobertKennedyJr

Le vent tourne-t-il ?

C’est en tous cas ce qu’affirme l’eurodéputée Virginie Jauron dans une interview récente concernant les faits de corruption et de censure au sein des institutions européennes (voir l’excellente interview « Miss Pfizer au milieu de la tourmente » sur Kairos » dans laquelle elle finit par mettre en cause le nouvel ordre mondial et l’agenda de Davos) :

Je suis optimiste parce que le vent tourne. On l’a vu avec le rachat de Twitter. On a la certitude que la lutte contre la désinformation est en train d’être remise en question. Cela part des États-Unis, mais maintenant cela va se voir au sein de l’Union Européenne.

Dans son allocution de fin d’année, elle s’était déjà exprimée sur les Twitter files, expliquant que :

Bruxelles avait publié jusqu’en juillet 2021 des résultats de son programme de surveillance de la désinformation liée au Covid. En Europe, Twitter aurait désactivé plus de 1500 comptes, éliminé 43 000 tweets et contesté 11,7 millions de comptes pour cause de désinformation liée au Covid.

Prise par l’enthousiasme, la députée n’avait pas hésité à porter le milliardaire aux nues, en déclarant à la veille des fêtes de fin d’année :

Je voudrais terminer par cette 3e superbe nouvelle : nous avons eu un très beau cadeau de Noël par Elon Muskdans notre combat pour la vérité. Vous le savez Elon Musk c’est cet entrepreneur génial devenu milliardaire en lançant des voitures électriques et des satellites et qui a racheté Twitter pour 44 milliards de dollars en octobre dernier.

L’on comprend son enthousiasme et l’on ne peut que se réjouir du fait que ces informations soient divulguées. Il faut saisir les occasions offertes par Elon Musk et espérer que la commission d’enquête Corona des parlementaires européens parvienne à obtenir plus de précisions sur la manière dont la censure des réseaux sociaux s’est déroulée en Europe.

Mais en revanche, il est impératif de rester vigilant quant à la suite de l’opération lancée par Musk et à la confiance que l’on peut lui accorder.

Ironmusk à la rescousse

En quelques mois monsieur Musk s’est transformé en nouveau héros de la résistance, incarnant la figure du milliardaire donneur de leçons tel Tony Stark/Ironman, le personnage de la série Marvel qu’il affectionne.

Musk est l’incarnation du rêve américain vendu par Hollywood. Il jouit de la puissance du milliardaire qui peut tout se permettre, mais finit par se vouer à une bonne cause. Ses passes d’armes sont jubilatoires, il casse les codes du politiquement correct pour endosser ceux de l’imaginaire et met tout le monde au défi. (Par exemple lorsqu’il pousse à la démission d’Anthony Fauci, le monsieur santé qui a imposé la désastreuse politique Covid aux États-Unis). Musk est devenu le défenseur de la liberté d’expression, de la libre entreprise et de la décentralisation.

Il s’en était d’ailleurs également pris à PayPal (entreprise qu’il a co-fondée avec Peter Thiel, et dont il a revendu ses parts en 2000) et avait fortement condamné les manœuvres visant à étouffer le journalisme indépendant. Ces deux dernières années, la plateforme de payement a effectivement montré à quoi l’on peut s’attendre en matière de liberté, allant jusqu’à informer ses clients qu’en cas de diffusion de fausses informations, ils s’exposaient à des amendes de 2500 dollars, des blocages de compte pouvant aller jusqu’à 180 jours et la rétention de la totalité de leurs avoirs. La nouvelle avait provoqué un tollé et Musk avait déclaré que « cela ressemblait à un épisode de Black Mirror », une série britannique sur les dérives totalitaires de la technologie. PayPal avait alors rapidement corrigé le tir en invoquant « une erreur de communication ».

Comment expliquer que Musk soit animé par un penchant aussi aigu pour l’éthique et les valeurs démocratiques ? A-t-il eu une sorte d’épiphanie ? L’avantage du personnage fantasque, c’est que l’on ne cherche pas à le comprendre. Il suffit d’être excentrique et tout s’explique.

Et les médias participent à l’édification de cette épopée héroïque. Bien entendu Musk se fait aujourd’hui lyncher par la presse mainstream qu’il a dénoncée, mais cela ne fait que renforcer la crédibilité du personnage. N’est-ce point la preuve qu’il est dans le bon camp ? À titre d’exemple, le Nouvel Obs lui consacré un article au titre on ne peut plus éloquent : « Elon Musk de super-héros à super-vilain des Américains ».

En effet, le voici à présent dans la tourmente, son capital plonge et l’on exige sa démission. Le « pauvre » Musk risque de devoir abandonner son trophée gagné de haute lutte, et sera peut-être contraint de céder la direction de Twitter à, à…

À ses anciens amis de Paypal ?

Selon un article de Fox Business (que l’on pourrait qualifier de média de l’opposition contrôlée, en référence aux médias de propagande officiels) Elon Musk envisage déjà de démissionner de la présidence de Twitter et pourrait faire appel à ses anciens camarades de Paypal, notamment Joe Lonsdale qui en fut le co-fondateur et qui a participé à lancer Palantir le programme d’espionnage et de récolte de données de la CIA et du Mossad.

Pour l’instant l’on n’en sait rien, mais il est impératif de se demander quel est l’objectif derrière toute cette saga. Car l’idée qu’Elon Musk est une véritable force d’opposition du système est difficile à croire. Même en voulant, comment s’y prendrait-il pour réellement faire cavalier seul et s’opposer à ceux qu’il dénonce, tant il collabore étroitement avec « le régime » ?

Marié aux agences gouvernementales

Elon Musk, c’est avant tout l’un des principaux partenaires du gouvernement américain pour toutes les activités de renseignement, d’espionnage, de conquête spatiale et de technologie militaire.

Ses sociétés Space X et Starlink sont des sociétés qui dépendent quasi exclusivement de contrats gouvernementaux, la demande civile pour nombre de leurs produits étant quasi inexistante. Musk possède le plus grand réseau de satellites au monde et a obtenu des milliards de dollars de contrats pour produire et lancer des satellites-espions, des drones et d’autres technologies de télécommunications militaires. SpaceX a par exemple conclu des contrats (ici 150 millions de dollars, ici 130 millions) avec l’armée de l’air pour mettre en orbite son satellite de commandement, avec l’Agence de développement spatial pour envoyer des dispositifs de suivi dans l’espace, et avec le National Reconnaissance Office (NRO) pour lancer ses satellites-espions. Ces satellites sont utilisés par les « cinq grands » organismes de surveillance, dont la CIA et la NSA.

Récemment, le déploiement de milliers de terminaux Starlink en Ukraine, offerts par Musk en soutien à la population lui a valu beaucoup de sympathie. Officiellement, il s’agit d’aider la population à retrouver l’internet suite à la coupure du réseau dans une grande partie du pays. Starlink permet aux personnes disposant d’un terminal de se connecter à un système de 2400 petits satellites en basse orbite, la plupart lancés par SpaceX.

Cependant, il s’est rapidement avéré que le « don » extraordinaire de M. Musk a été discrètement financé par le gouvernement américain. Ainsi l’agence USAID — une agence gouvernementale a qui a régulièrement fait office d’organisation de changement de régime (« en résumé la CIA ») — aurait versé l’argent nécessaire à l’achat et à la livraison de la majeure partie des terminaux en question.

Car Starlink n’offre pas vraiment une solution commerciale. Les terminaux — qui sont en fait de minuscules antennes paraboliques portables — ont une portée nettement limitée et ne sont utiles que dans un contexte très local. Mykhailo Fedorov, ministre ukrainien de la transformation numérique, a estimé que les 10 000 terminaux Starlink permettaient à environ 150 000 personnes de rester en ligne, un chiffre assez modeste en réalité.

Par contre, en quelques semaines, Starlink est devenu la pierre angulaire de l’armée ukrainienne, lui permettant de continuer à cibler les forces russes via des drones et autres engins de haute technologie dépendant d’une connexion internet. Un responsable a confié au Times of London qu’il « doit » utiliser Starlink pour cibler les forces ennemies via l’imagerie thermique.

« Starlink est ce qui a changé la guerre en faveur de l’Ukraine. La Russie a fait des pieds et des mains pour faire sauter toutes nos communications. Maintenant, ils ne peuvent plus le faire. Starlink fonctionne sous le feu des Katyusha, sous le feu de l’artillerie. Il fonctionne même à Mariupol », a déclaré un soldat ukrainien au journaliste David Patrikarakos.

L’indépendant au service des idéaux ?

Elon Musk joue le personnage de l’outsider, du milliardaire indépendant qui s’oppose au système de subsides de l’état et défend la libre concurrence. Mais dans les faits, c’est autre chose. En 2015, le Los Angeles Times avait déjà calculé qu’au moins 4,9 milliards de subsides avaient été versés à ses entreprises.

Par exemple sa société Tesla profite largement des règles internationales complexes qui régissent la production de véhicules électriques. Dans le but de réduire les émissions de carbone, les gouvernements du monde entier ont mis en place un système de crédits pour les véhicules « propres », selon lequel un certain pourcentage de la production de chaque constructeur doit être constitué de véhicules à zéro émission. Tesla ne produit que des voitures électriques et remplit donc aisément cette condition.

Mais ce système permet surtout à l’entreprise de revendre les crédits carbone excédentaires aux constructeurs qui ne peuvent pas atteindre ces quotas. Sur un marché concurrentiel où chaque constructeur doit atteindre certains objectifs, ces crédits valent leur pesant d’or et rapportent à Tesla des milliards de dollars de bénéfice chaque année. Par exemple, rien qu’entre 2019 et 2021, Stellantis, qui possède les marques Chrysler, Fiat, Citroën et Peugeot, a déboursé près de 2,5 milliards de dollars pour acquérir les crédits verts américains et européens de Tesla.

Cela explique en partie pourquoi Tesla est le premier constructeur, en termes de capitalisation boursière. Jusqu’il y a peu, la société valait plus que ses cinq principaux concurrents réunis, alors qu’elle ne fait même pas partie des 15 premiers constructeurs automobiles en termes de véhicules vendus. Cela explique aussi l’engagement d’Elon Musk en faveur des politiques liées au changement climatique. Les voitures électriques et les énergies renouvelables rapportent considérablement en termes de subsides. (Idem pour les panneaux solaires avec Solar X qui récolte des tonnes d’incentives et d’avantages fiscaux). La fortune du milliardaire s’est donc aussi largement accrue avec l’argent des contribuables.

L’on sait pourtant que la production de véhicules électriques est loin d’être aussi écologique qu’on ne l’a affirmé et l’on connaît aujourd’hui les conséquences de l’augmentation de la consommation en électricité. Pourtant cela ne semble pas remettre en question la politique du « tout à l’électrique ». Ne serait-ce pas lié à l’immense avantage qu’auraient les gouvernements de pouvoir prendre le contrôle des déplacements de chacun ? Après tout, ces véhicules sont des ordinateurs sur roues commandés par des softwares, donc susceptibles de passer sous le contrôle d’autrui. (par ex. ici et ici).

Partenaire des coups d’État

Cette collaboration étroite d’Elon Musk avec les gouvernements se voit jusque dans la politique étrangère américaine et internationale. Outre l’exemple de l’Ukraine, l’on peut citer celui de la Bolivie où il a appuyé le coup d’État de 2019 contre le président Evo Morales qui s’opposait à l’exploitation des mines de Lithium, un minerai utilisé pour les batteries des voitures électriques Tesla. Critiqué par une internaute sur Twitter à ce propos Musk avait répondu : « we will coup whoever we want. Deal with it. » (Nous renverserons qui nous voulons. C’est comme ça !).

Enfin, même s’il s’en défend, il semble bien adhérer aux idées du Forum économique mondial. Selon certains, Musk aurait fait partie de la promotion 2008, mais son nom aurait été retiré de la liste. Quoiqu’il en soit, ses objectifs sont éminemment alignés sur ceux des élites de Davos et de leur agenda 2030. Quelques internautes ont d’ailleurs remarqué ses messages quasi « copiés-collés » du compte du Forum économique mondial, plaidant tour à tour pour l’introduction de la taxe carbone (qui rapporte indirectement à Tesla), le revenu de base universel, la vaccination avec les technologies génétiques ou l’identification des personnes par implantation de micropuces.

Une chose est certaine : Musk était bien présent au forum de l’an dernier à Davos et a même été considéré comme l’un de ses principaux intervenants. Il s’était exprimé sur la transition liée au changement climatique et les défis liés à la 4e révolution industrielle remplaçant le travail humain par la technologie robotique.

Mais depuis la saga des Twitter files, Musk et Twitter semblent être devenus des « indésirables » et ont été « supprimés des partenaires du forum de Davos » pour la semaine de réunion de janvier 2023, alors que l’on continue de promouvoir les plateformes chinoises comme TikTok, Weibo et le système de crédit social WeChat.

Tout ce combat d’Elon Musk prend donc sa place dans la confrontation ostensible entre « le modèle chinois » centralisé, avec sa censure draconienne et son système de crédit social et le modèle américain du marché libre et de la liberté d’expression issus des valeurs de la démocratie occidentale.

Avec cette polarisation de plus en plus marquée entre l’Est et l’Ouest, nous sommes amenés à croire que la lutte entre leurs deux « visions d’avenir » déterminera le futur des relations internationales et l’orientation des États-nations. Mais les choses sont souvent plus complexes qu’elles n’y paraissent. En réalité, la transformation mondiale n’est pas tant menée par les gouvernements nationaux, que par un réseau mondial de parties prenantes et d’intérêts privés qui œuvrent ensemble vers une forme de technocratie globale. Et Elon Musk est un pion important sur l’échiquier de cette « solution pour le futur », puisqu’il semble vouloir contrôler tous les domaines technologiques essentiels pour y parvenir. De quel côté cherche-t-il à faire pencher la balance ?

Article à suivre dans la 2e partie

[Voir aussi :
Le soutien d’Elon Musk à la « liberté de mourir » met en lumière l’impasse du libertarianisme
Quand Laurent Alexandre décrivait le projet d’Elon Musk de greffer des implants dans les cerveaux de nos enfants
Le grand jeu : Elon Musk et Twitter]




Drs Gérard et Nicole Delépine : « On n’a plus de traitement adapté au malade qu’on a devant soi. »

[Source : Nexus]

Dans un entretien vidéo pour Nexus, les Dr Nicole et Gérard Delépine nous parlent de la fin des traitements individualisés des patients atteints de cancer à l’hôpital. Ils reviennent également sur leur parcours de soignants et sur la crise Covid.

Version intégrale



Version courte



entretien précédent filmé en 2020






Pierre de Gaulle : « Ils ont détruit la France de mon grand-père ! »

[Source : Sud Radio]

Avec Pierre de Gaulle, petit-fils du général de Gaulle :





Mea culpa d’un ex covidiste : « Il est temps pour la communauté scientifique d’admettre que nous nous sommes trompés sur le COVID et que cela a coûté des vies »

[Source : reseauinternational.net]

Un véritable « mea culpa », une révision continue et rapide de l’histoire, ou une gestion narrative plus poussée en ce qui concerne l’« amnistie » de ce que « les autres » ont fait à ceux qui ont pensé par eux-mêmes au cours des dernières années…

Par Tyler Durden

À vous de décider…

Dans un torchon libéral comme Newsweek, Kevin Bass (étudiant en médecine MS/PHD, école de médecine) a écrit un article d’opinion assez surprenant (et « courageux ») disant qu’« il est temps pour la communauté scientifique d’admettre que nous avions tort au sujet du COVID et que cela a coûté des vies… »

En tant qu’étudiant en médecine et chercheur, j’ai fermement soutenu les efforts des autorités de santé publique en ce qui concerne le COVID-19.

Je pensais que les autorités avaient répondu à la plus grande crise de santé publique de notre vie avec compassion, diligence et expertise scientifique. J’étais avec eux quand ils ont demandé des mesures de confinement, des vaccins et des rappels.

J’avais tort. Nous, la communauté scientifique, avions tort. Et cela a coûté des vies

Je constate aujourd’hui que la communauté scientifique, des CDC à l’OMS en passant par la FDA et leurs représentants, a à plusieurs reprises exagéré les preuves et trompé le public sur ses propres opinions et politiques, notamment sur l’immunité naturelle ou artificielle, les fermetures d’écoles et la transmission des maladies, la propagation des aérosols, les masques obligatoires, l’efficacité et la sécurité des vaccins, en particulier chez les jeunes. Toutes ces questions étaient des erreurs scientifiques à l’époque, et non a posteriori. Étonnamment, certains de ces obscurcissements se poursuivent encore aujourd’hui.

Mais ce qui est peut-être plus important que n’importe quelle erreur individuelle, c’est que l’approche globale de la communauté scientifique était et continue d’être intrinsèquement défectueuse. Elle était défectueuse d’une manière qui a miné son efficacité et entraîné des milliers, voire des millions, de décès évitables.

[Note de Joseph : parce que dans la grande majorité des cas, il ne s’agit plus de science, mais de scientisme basé sur des croyances religieuses quasiment sectaires.
Voir aussi : Note sur l’incohérence écologiste]

Ce que nous n’avons pas bien compris, c’est que ce sont les préférences qui déterminent la façon dont l’expertise scientifique est utilisée, et que nos préférences peuvent être — en fait, nos préférences étaient — très différentes de celles de la plupart des personnes que nous servons. Nous avons créé une politique basée sur nos préférences, puis nous l’avons justifiée à l’aide de données. Puis nous avons dépeint ceux qui s’opposaient à nos efforts comme étant malavisés, ignorants, égoïstes et mauvais.

Nous avons fait de la science un sport d’équipe et, ce faisant, nous lui avons fait perdre son caractère scientifique. C’est devenu « nous » contre « eux », et « eux » ont répondu de la seule façon que l’on pouvait attendre d’eux : en résistant.

Nous avons exclu d’importantes parties de la population de l’élaboration des politiques et fustigé les critiques, ce qui signifie que nous avons déployé une réponse monolithique dans une nation exceptionnellement diverse, forgé une société plus fracturée que jamais et exacerbé des disparités sanitaires et économiques de longue date.

Notre réaction émotionnelle et notre esprit de parti bien ancré nous ont empêchés de voir l’impact total de nos actions sur les personnes que nous sommes censés servir. Nous avons systématiquement minimisé les inconvénients des interventions que nous avons imposées — imposées sans la participation, le consentement et la reconnaissance de ceux qui sont forcés de vivre avec elles. Ce faisant, nous avons violé l’autonomie de ceux qui seraient le plus négativement touchés par nos politiques : les pauvres, la classe ouvrière, les propriétaires de petites entreprises, les Noirs et les Latinos, et les enfants. Ces populations ont été négligées parce qu’elles nous étaient rendues invisibles par leur exclusion systématique de la machine médiatique dominante et corporatiste qui présumait de son omniscience.

La plupart d’entre nous ne se sont pas exprimés pour soutenir des points de vue alternatifs, et beaucoup d’entre nous ont essayé de les supprimer. Lorsque des voix scientifiques fortes, comme celles des professeurs de renommée mondiale de Stanford John Ioannidis, Jay Bhattacharya et Scott Atlas, ou celles des professeurs de l’Université de Californie à San Francisco Vinay Prasad et Monica Gandhi, ont tiré la sonnette d’alarme au nom des communautés vulnérables, elles ont dû faire face à la censure sévère de foules implacables de critiques et de détracteurs au sein de la communauté scientifique — souvent non pas sur la base de faits, mais uniquement sur la base de différences d’opinions scientifiques.

Lorsque l’ancien président Trump a souligné les inconvénients de l’intervention, il a été rejeté publiquement comme un bouffon. Et lorsque le Dr Antony Fauci s’est opposé à Trump et est devenu le héros de la communauté de la santé publique, nous lui avons apporté notre soutien pour qu’il fasse et dise ce qu’il voulait, même lorsqu’il avait tort.

Trump n’était pas parfait, tant s’en faut, pas plus que les critiques universitaires de la politique consensuelle. Mais le mépris que nous avons affiché à leur égard a été un désastre pour la confiance du public dans la réponse à la pandémie. Notre approche a aliéné de larges segments de la population de ce qui aurait dû être un projet national et collaboratif.

Et nous en avons payé le prix. La rage des personnes marginalisées par la classe des experts a explosé sur les médias sociaux et les a dominés. Ne disposant pas du lexique scientifique nécessaire pour exprimer leur désaccord, de nombreux dissidents se sont tournés vers les théories du complot et une industrie artisanale de contorsionnistes scientifiques pour faire valoir leurs arguments contre le consensus de la classe des experts qui dominait le courant dominant de la pandémie. Qualifiant ce discours de « désinformation » et le mettant sur le compte de « l’analphabétisme scientifique » et de « l’ignorance », le gouvernement a conspiré avec Big Tech pour le supprimer de manière agressive, effaçant ainsi les préoccupations politiques valables des opposants du gouvernement.

Et ce, malgré le fait que la politique de lutte contre les pandémies a été créée par une frange très mince de la société américaine qui s’est autoproclamée présidente de la classe ouvrière — des membres du monde universitaire, du gouvernement, de la médecine, du journalisme, de la technologie et de la santé publique, qui sont hautement éduqués et privilégiés. Du haut de ses privilèges, cette élite prône le paternalisme, contrairement aux Américains moyens qui louent l’autonomie et dont la vie quotidienne les oblige à prendre en compte les risques. Il est inadmissible que nombre de nos dirigeants aient négligé de prendre en compte l’expérience vécue de ceux qui se trouvent de l’autre côté du fossé des classes.

En raison de ce fossé des classes, nous avons sévèrement jugé les critiques du confinement comme étant paresseux, arriérés, voire mauvais. Nous avons rejeté comme « escrocs » ceux qui représentaient leurs intérêts. Nous pensions que la « désinformation » énergisait les ignorants, et nous refusions d’accepter que ces personnes aient simplement un point de vue différent et valable.

Nous élaborions des politiques pour les gens sans les consulter. Si nos responsables de la santé publique avaient fait preuve de moins d’orgueil, l’évolution de la pandémie aux États-Unis aurait pu avoir une issue très différente, avec beaucoup moins de vies perdues.

Au lieu de cela, nous avons assisté à une perte massive et continue de vies en Amérique en raison de la méfiance à l’égard des vaccins et du système de santé ; une concentration massive de la richesse par des élites déjà riches ; une augmentation des suicides et de la violence armée, en particulier chez les pauvres ; un quasi-doublement du taux de dépression et de troubles anxieux, en particulier chez les jeunes ; une perte catastrophique du niveau d’éducation chez les enfants déjà défavorisés ; et chez les plus vulnérables, une perte massive de confiance dans les soins de santé, la science, les autorités scientifiques et les dirigeants politiques en général.

Ma motivation pour écrire ces lignes est simple :

Il est clair pour moi que pour restaurer la confiance du public dans la science, les scientifiques doivent discuter publiquement de ce qui a bien fonctionné et de ce qui a mal fonctionné pendant la pandémie, et de ce que nous aurions pu faire mieux.

Il n’y a pas de mal à se tromper et à admettre ses erreurs et ce que l’on a appris. C’est un élément essentiel du fonctionnement de la science. Pourtant, je crains que beaucoup ne soient trop ancrés dans la pensée de groupe — et n’aient trop peur d’assumer publiquement leurs responsabilités — pour le faire.

Pour résoudre ces problèmes à long terme, il faut un plus grand engagement en faveur du pluralisme et de la tolérance dans nos institutions, y compris l’inclusion de voix critiques et impopulaires.

Il faut mettre fin à l’élitisme intellectuel, à la crédulité et au classisme. Le rétablissement de la confiance dans la santé publique — et dans notre démocratie — en dépend.

Le problème n’était pas l’ignorance des faits par les gens, mais l’antagonisme et la censure organisés à l’encontre de toute personne présentant des données contraires à l’agenda du mandat. Ceci sans tenir compte de proclamations comme celles du LA Times, qui a soutenu que se moquer de la mort des « anti-vaxxers » pouvait être nécessaire et justifié. Après deux ans de ce type d’absurdité arrogante, il est difficile d’imaginer que les gens seront prêts à faire comme si tout allait bien.

L’effort actif pour faire taire toute donnée opposée est le crime fondamental, cependant, et non, il ne peut jamais être oublié ou pardonné.

Les gens sont toujours livides…

On ne peut s’empêcher de remarquer que l’appel de l’Atlantique à l’oubli passif et maintenant ce mea culpa dans l’éditorial coïncident avec la fin des déclarations d’urgence du COVID, au milieu d’une réaction politique croissante à ces deux dernières années de verrouillages et de mandats insignifiants, et les démocrates ont joué un rôle déterminant dans la mise en œuvre des deux. Une grande partie de la population considère qu’un parti est la cause de la plupart des conflits de l’ère covidienne.

Peut-être que les grands médias réalisent soudain qu’ils vont devoir payer pour leur fanatisme covidien ? « Nous ne savions pas ! Nous ne faisions que suivre les ordres ! » Tout cela semble plutôt familier.

source : ZeroHedge via Le Libre Penseur




Éric Verhaeghe : « La caste nous réserve encore de terribles heures de cruauté »

[Source : Epoch Times France]

Ancien haut fonctionnaire, Éric Verhaeghe est désormais entrepreneur et essayiste. Il est notamment le fondateur du site Le Courrier des Stratèges et de l’association Rester Libre !.

Dans son dernier ouvrage, Sécession – Manuel d’auto-défense contre la caste (éditions Culture & Racines), il analyse les crises qui se sont succédé ces dernières années et la façon dont la sidération qu’elles provoquent constitue une opportunité pour l’État d’accroître son emprise sur la société et de faire évoluer le comportement des individus.

Il propose aussi à ses lecteurs des pistes pour faire « sécession » afin de préserver leurs « droits naturels » et d’échapper à la « démagogie, c’est-à-dire la corruption de la démocratie, ces moments où la majorité se transforme en force d’oppression contre les libertés et l’État de droit ».

Dans le cadre de son analyse, Éric Verhaeghe se montre très critique quant à la gestion de la crise sanitaire et au sort réservé aux Français non vaccinés : « J’en veux à cette caste de bourgeois parisiens prêts à tout sacrifier, y compris la santé mentale de leurs enfants et de leurs petits-enfants, pour défendre leur train de vie, leur confort, leur santé. Nous sommes dirigés par une caste d’égoïstes absolus prêts à fouler aux pieds tous les droits des autres pour défendre leurs privilèges. »

D’après lui, la crise sanitaire a également « donné aux pouvoirs policiers l’opportunité d’avancer grandement » et de diversifier « leurs projets de mise sous surveillance ».

« Sous couvert d’urgence sanitaire, une multitude de décrets qui organisent l’encadrement de la libre expression, la surveillance et la reprise en main des populations sont passés », note l’essayiste. « Toutes les données circulant sur les réseaux sociaux doivent faire l’objet d’une collecte et d’un traitement avec des algorithmes que personne ne connaît et qui permettent de surveiller l’activité des Français. […] En décembre 2021, le Conseil d’État a également validé des décrets autorisant le fichage systématique des opinions politiques, syndicales, religieuses, philosophiques de tous les citoyens du pays », ajoute-t-il.

Pour Éric Verhaeghe, le développement de ces dispositifs s’explique notamment par la crainte de troubles sociaux de grande ampleur : « La caste mondialisée a globalement décidé de mettre les populations sous surveillance, et même sous une surveillance en progrès constant, afin de maîtriser au mieux le risque de révolte et de remise en cause d’un ordre qui lui profite. »

Selon lui, les projets d’identité numérique et d’euro numérique de la Commission et de la Banque centrale européennes s’inscrivent dans ce cadre et pourraient ouvrir la voie à un crédit social inspiré du système totalitaire chinois : « Il y a aujourd’hui une fascination de la caste pour le totalitarisme communiste. Le grand rêve est d’instaurer dans le capitalisme de connivence dans lequel nous vivons les méthodes de domination communiste chinoise. »

Afin d’échapper à l’emprise croissante de l’État, Éric Verhaeghe préconise la sécession, une démarche collective qui promeut l’émergence de groupes locaux fondés sur la coopération et le partage des compétences et des savoirs.

« Il faut créer légalement, pacifiquement, une société alternative fondée sur nos valeurs de liberté. Il faut créer des groupes où les gens se connaissent, où ils montent des coopérations locales. Il faut qu’ils organisent leurs propres écoles, leurs centres de soins, leurs réseaux de médecins », fait valoir l’ancien haut fonctionnaire.

Une démarche qui revêt également une dimension plus profonde : « Nous assistons à notre effondrement spirituel. On ne sait plus si l’on est un homme ou une femme, on ne dit plus lui ou elle, on dit iel, tout cela est l’organisation de la décadence de l’esprit. Il n’y aura de liberté que dans le relèvement moral. »

  • 00:00 Introduction
  • 02:20 Qu’est-ce qui vous a décidé à dévoiler le drame personnel qui vous a frappé ? Quelle a été son influence sur votre perception de la crise sanitaire ?
  • 14:08 Quel est l’état d’esprit des grands commis de l’État ? Quelle est leur perception de la situation du pays et leur compréhension des difficultés des Français ?
  • 24:01 Qu’est-ce que « l’agenda du chaos » ? Les crises successives de ces dernières années participent-elles de cet agenda ?
  • 31:56 En quoi les pénuries alimentaires risquent-elles de se multiplier et de provoquer des situations de rationnement ?
  • 40:23 Peut-on parler d’une dérive autoritaire, voire d’une tentation totalitaire de la part de l’État français ?
  • 48:09 Doit-on s’inquiéter des assises des dérives sectaires et du complotisme prévues par le gouvernement ?
  • 53:02 En quoi la sécession est-elle une réponse pertinente pour surmonter les défis auxquels nous sommes confrontés ?
  • 57:53 En quoi la dimension spirituelle revêt-elle une importance particulière dans le cadre de la sécession ?



Gerhard Wisnewski : ce dont les journaux n’ont pas parlé en 2022

[Source : kla.tv]

L’auteur de bestsellers allemand Gerhard Wisnewski sort chaque année un livre intitulé « verheimlicht – vertuscht – vergessen » (« caché – dissimulé – oublié »). Dans ces livres, il résume à chaque fois les événements passés sous silence durant l’année écoulée. Sur la chaîne de télévision en ligne AUF1, il donne un aperçu de ce qu’on n’a pas pu lire dans les journaux en 2022.

Qu’en penseriez-vous si quelqu’un avait l’idée de vous implanter des opinions ? Ou d’effacer en vous toute croyance dans le bien et le mal ? Ou de vous faire croire que la neige est noire ? Impossible ? Scandaleux ? Mais non, c’est tout à fait possible. Après tout, nous croyons déjà qu’un homme est une femme et une femme est un homme. De là à la folie totale et à la neige noire, il n’y a qu’un pas. Et ce sont toutes des techniques du Tavistock Institute, qui a fêté son 75e anniversaire en 2022. Vous n’en avez jamais entendu parler ? Ce n’est pas grave, je vais y venir.

Bonjour et bienvenue pour commencer. Je m’appelle Gerhard Wisnewski et je suis l’auteur de la célèbre rétrospective annuelle « caché – dissimulé – oublié », qui paraît ces jours-ci pour la 16e année. En effet, chaque fois que 365 jours sont derrière nous, je me penche sur l’année écoulée, joliment arrangée par la presse mainstream, et je la remodèle dans les règles de l’art. Et une nouvelle fois, j’ai l’honneur de jeter un regard en arrière sur l’année 2022 pour AUF1.

À propos de 2022, il est difficile de croire que nous nous en sommes tirés avec juste un œil au beurre noir, non ? Heureux ceux et celles qui ne sont pas encore fauchés, qui ont encore un revenu assuré et qui ne ressentent pas encore les effets secondaires de la vaccination, voire qui sont encore en vie. Car pas mal de personnes sont déjà mortes des effets secondaires de la vaccination.
Mais nous aurions encore quelques autres questions, par exemple : « À qui en fait profite la guerre en Ukraine ? Et qui l’a vraiment déclenchée ? Pourquoi nous assène-t-on sans cesse de nouveaux coups durs ? Covid, guerre, guerre nucléaire, inflation, explosion des prix de l’énergie, pannes généralisées, etc., etc. ? » J’aborde ces questions et bien d’autres encore dans mon nouvel annuaire « caché — dissimulé — oublié, 2023 ».

Et encore : « Quel rapport entre la météo, la guerre et la politique ? Des morts peuvent-ils encore téléphoner ? Qui paie la colle pour les autocollants climatiques ? Et qui est Annalena Baerbock ? Qu’est-ce qui se cache vraiment derrière ces changements de sexe qui font rage ? Et pourquoi les agriculteurs montent-ils aux barricades ? Comment l’actrice américaine Anne Heche est-elle morte ? Et où a-t-on encore menti, déformé, parfumé, enjolivé et passé sous silence » ? Et bien sûr : « L’Allemagne et l’Europe ont-elles encore un avenir » ?

Prenons trois sujets parmi tant d’autres dans le livre :

24 février 2022 :

La Russie attaque l’Ukraine. Le président russe Poutine appelle ça une opération militaire limitée. L’Occident parle de guerre d’agression. L’indignation est à son comble. Les trois coupables s’appellent Poutine, Poutine et bien sûr Poutine encore. Mais qu’est-ce que cela signifie ? Car les médias grand public sont des médias de l’OTAN, fondés après la Seconde Guerre mondiale avec des licences des alliés occidentaux et faisant donc toujours partie de la guerre psychologique de l’OTAN. Et maintenant, ils font juste leur travail, qui consiste à faire de la propagande de guerre. Et comment cela a-t-il fonctionné ? D’un jour à l’autre, des drapeaux bleu et jaune ont flotté partout, des bâtiments ont été illuminés aux couleurs de l’Ukraine, pour l’Ukraine – et contre Poutine. Et pourtant, Poutine est le meilleur pion de Biden. Oui, vraiment ! Cela fait au moins 20 ans que les États-Unis investissent en Ukraine : putschs, aide militaire, conseillers militaires et armes. La Russie avait été provoquée à maintes reprises, en Ukraine mais aussi ailleurs. Mais jamais Poutine n’a voulu prendre les armes… pour traire des souris.

Tout était pourtant prêt. Et, le 24 février, les canons ont enfin tonné en Ukraine ; et à Washington, les bouchons de champagne ont sauté. Enfin, le « pion » avait attaqué et transformé en « guerre chaude » ce conflit entre la Russie et l’Ukraine, qui durait déjà depuis si longtemps.

Le professeur de politologie américain Jack Rasmus énumère à lui seul dix raisons qui expliquent pourquoi les élites américaines pourraient avoir intérêt à ce que la Russie envahisse l’Ukraine. Citation : « Les médias américains, le gouvernement Biden et les faucons de guerre américains au Congrès prétendent vouloir empêcher une invasion par Poutine et la Russie. Mais ce qu’ils disent ne correspond pas à ce qu’ils font. De nombreux éléments indiquent que les États-Unis et l’OTAN veulent une confrontation tant qu’il s’agit d’une guerre par procuration entre la Russie et l’Ukraine, à laquelle ils peuvent assister, où ils peuvent alimenter l’incendie généralisé par les armes et atteindre par la même occasion d’autres objectifs US-OTAN. » Fin de citation, The World Financial Review, online, 07 février 2022

Concrètement, les dix raisons de Rasmus sont les suivantes :

  1. réunifier l’OTAN et renforcer l’hégémonie américaine,
  2. amener l’Allemagne à arrêter Nord Stream 2 et, à la place, acheter du gaz américain.
  3. créer un prétexte pour déployer encore plus de troupes et d’armes modernes dans les pays baltes et en Europe de l’Est.
  4. obtenir davantage de concessions économiques de la part de l’Ukraine pour les affaires américaines en échange d’armes US/OTAN plus nombreuses et de meilleure qualité.
  5. générer un soutien politique croissant pour les États-Unis afin d’être actifs en Moldavie, d’en chasser les soutiens russes et d’installer un régime fantoche américain sur l’ensemble du pays.
  6. justifier des efforts plus importants pour déstabiliser la Biélorussie et le Kazakhstan.
  7. augmenter le vent favorable pour les démocrates avant les élections de mi-mandat en novembre 2022.
  8. justifier une nouvelle augmentation du budget de la défense par le Congrès.
  9. créer un prétexte pour agir contre les soutiens pro-russes : Venezuela, Nicaragua et à nouveau Cuba.
  10. tester l’efficacité des dernières armes américaines contre les forces russes et l’efficacité des armes russes contre les États-Unis sans avoir à affronter directement la Russie ; découvrir les cybercapacités de la Russie.
    La guerre de Poutine est donc un coup de maître pour les États-Unis. Dans mon livre, j’ai énuméré une trentaine d’autres avantages que les États-Unis tirent de la guerre en Ukraine.

Pour nous, la guerre a bien sûr été un choc – un « Tavis-choc », comme je l’appelle depuis peu, en référence au Tavistock Institute de Londres, fondé il y a 75 ans. Le Tavistock Institute est issu de la Tavistock Clinic, où l’on avait découvert que les vétérans traumatisés de la Première Guerre mondiale étaient particulièrement faciles à contrôler. C’est ce qu’on a appelé le « shellshock », le choc des obus. Et en ce moment, nous assistons à un véritable feu continu de chocs. Après la crise du Covid, la guerre d’Ukraine, la résurgence des peurs nucléaires du siècle dernier, une nouvelle vague d’immigration massive, l’explosion des prix de l’énergie, la menace de pannes généralisées et de pénuries alimentaires, l’inflation, le chômage, l’angoisse existentielle, etc. En d’autres termes, trop de chocs pour pouvoir les assimiler. Les chocs, souvent artificiellement gonflés, ont l’avantage de rendre l’homme impuissant et contrôlable, exactement comme les chocs d’obus de la Première Guerre mondiale.

Citation : « Si les chocs étaient suffisamment proches les uns des autres, et s’ils se produisaient avec une intensité croissante, il serait alors possible de plonger la société entière dans un état de psychose de masse », ont écrit les deux personnes de Tavistock, EricTrist et Frederick Emery. Source : EstulinTavistock Institute –« Social Engineering the Masses, » 2015. « Après des chocs persistants, expliquent les collaborateurs de Tavistock, une grande partie de la population constate qu’elle ne veut plus prendre de décisions, ce qui réduit la force de ses intentions. Cette stratégie ne peut être poursuivie qu’en niant les racines plus profondes de l’humanité et la psyché individuelle qui relient les gens à un niveau personnel. »

Et plus loin : « Un tel groupe sera facile à contrôler et obéira docilement aux ordres sans se rebeller, ce qui est le but de l’exercice. » Fin de citation. Le psychiatre de Tavistock, le général de brigade John Rawlings Rees, voulait même envoyer de véritables troupes de choc dans le monde en 1945 pour effrayer les gens. Mais pour cela, nous avons aujourd’hui les journalistes, la télévision et des médias comme le SPIEGEL, le principal magazine de choc en Allemagne, fondé avec une licence du gouvernement militaire britannique. Spécialité : le choc – une grande histoire qui esquisse et justifie une nouvelle horreur, ainsi qu’une photo de couverture qui vous glace le sang. Le reste de la meute médiatique suit.

La question qui nous anime tous en fin de compte est la suivante : « L’Allemagne et l’Europe ont-elles encore un avenir ? » 2022 a marqué le début de la Grande Finale pour l’Allemagne, prise en tenaille par les faux amis, gouvernée par les amis des faux amis, écrasée et broyée entre les blocs. Les caisses de l’État allemand sont exsangues. Les crédits sont gonflés et des fonds spéciaux sont créés, qui ne sont pas des actifs, mais des dettes. Parallèlement, une nouvelle vague migratoire inonde le pays, l’Allemagne est coupée d’une énergie bon marché et livrée aux prix exorbitants du gaz liquide américain. La classe moyenne et l’industrie s’effondrent sous les prix de l’énergie et les nouvelles réglementations environnementales. Bref, la guerre hybride contre l’ancienne locomotive économique et technologique de l’Europe bat son plein. Aucun doute : pour l’Allemagne, l’enjeu est de taille. À quoi ressemblera-t-il, l’avenir des Allemands ?

Le poète Christian Friedrich Hebbel a écrit « Il est possible que l’Allemand disparaisse un jour de la scène mondiale, car il a toutes les qualités pour gagner le ciel, mais aucune pour s’imposer sur la terre, et toutes les nations le haïssent comme les méchants haïssent les bons. Mais s’ils parviennent vraiment un jour à le supplanter, il se présentera une situation dans laquelle ils voudront à nouveau le sortir de la tombe avec leurs ongles. »

Voilà, c’était notre rétrospective annuelle d’AUF1. Une rétrospective et des perspectives sombres ? Oui et non. Oui, parce que ces perspectives sont évidemment loin d’être positives. Non, parce qu’il y a au moins une lueur d’espoir, à savoir un regard lucide sur la stratégie de choc de ceux de Tavistock, avec laquelle nous sommes tous dirigés depuis des décennies.

Mais à l’avenir, nous ne devrons plus faire face à ces chocs sans nous défendre, mais nous pourrons les considérer d’une méta-perspective, une perspective d’en haut pour ainsi dire. Et nous avons enfin un terme pour désigner ces chocs permanents, à savoir : « choc tavistockien » ou plus brièvement « tavis-choc », comme je l’ai appelé. Les concepts aident en effet à comprendre les choses, à les conceptualiser et à s’en libérer. Et c’est notre chance. Ce n’est qu’en comprenant cette stratégie qu’on cesse automatiquement d’être paralysé par le choc et que ces manipulateurs diaboliques sont détrônés. Dis : « Le nouvel ordre mondial se tient et tombe avec les chocs. Alors, laissons-les tomber ! »

En outre, vous trouverez bien entendu de nombreux autres thèmes dans « dissimulé — caché — oublié, 2023 ». Et maintenant, je vous souhaite un merveilleux Noël et un esprit éveillé pour la nouvelle année 2023. Et n’oubliez pas : la neige reste blanche, l’homme reste homme, la femme reste femme et quatre doigts restent quatre doigts. Merci de m’avoir regardé et à l’année prochaine, j’espère.

Cordiales salutations
Gerhard Wisnewski.

de Sara

Sources/Liens :

https://auf1.tv/auf1-spezial/auf1-spezial-was-2022-nicht-in-der-zeitung-stand/




La Corruption à grande échelle des Institutions Européennes

[Source : MoneyRadar via planetes360.fr]

En ce moment, quand on tape Europe et Scandale sur Google, on obtient quelques dizaines de millions de pages qui contiennent toutes le même mot : Qatargate.

Il y a quelques semaines, le sujet a fait les gros titres de tous les JT du monde.

4 élus du Parlement Européen ont été arrêtés et placés en garde à vue par la police belge pour des soupçons de corruption en lien avec le Qatar, qui fait alors lui aussi la une des journaux, mais pour d’autres raisons.

Parmi eux, la Vice-présidente du parlement, la socialiste grecque Eva Kaili, une ancienne vedette du petit écran familière de l’or et des paillettes, aurait perçu plusieurs sommes d’argent, 600.000 euros en tout, pour soutenir les intérêts du Qatar devant les eurodéputés, et l’aider à redorer son image dégradée par les scandales liés aux violations des droits humains.

Un tel appel à la compassion et à la clémence a surpris le parlement, et il n’est pas passé inaperçu aux yeux des enquêteurs belges, surtout que quelques heures plus tôt, Eva Kaili s’entretenait avec le Ministre du travail Qatari, Ali Al Marri, dans son bureau à Doha, lors d’une visite diplomatique.

Pas très malin, et lourd, très lourd de conséquences pour la plus haute institution Européenne en qui la confiance de plus ou moins 750 millions d’habitants se réduit un peu plus à chaque scandale.

—  Le projet fou de Klaus Schwab et comment s’en protéger   —

Car non, le Qatargate n’est pas la première affaire à secouer l’Europe, et ce n’est pas non plus la seule de 2022, mais c’est certainement l’affaire de trop, d’autant plus que le Maroc est lui aussi récemment entré dans le cercle des coupables, avec l’Italie, la Pologne et la Belgique.

L’occasion est toute trouvée pour aller visiter nos institutions européennes pour essayer de comprendre ce qu’il s’y passe.

Aujourd’hui, je vais vous parler de Bruxelles, des lobbys et de leur puissance, d’opacité et de trafic d’influence, et même : de démocratie en danger, mais juste avant de commencer, ai-je besoin de le rappeler, n’oubliez pas de vous abonner à la chaîne pour être sûr de ne manquer aucun de nos sujets, et pour nous aider à nous faire connaître.

https://moneyradar.org/



L’entrée en guerre sans le « dire »…

Par Lucien SA Oulahbib

Zelensky (n’)est (pas) une marionnette tirée à hue et à dia « en même temps » par la mafia du cru et la Secte SHAA. Noui. Certes au départ son clan à Istanbul s’était dit qu’ils avaient perdu, mais c’était sans compter l’aide, désintéressée, de la Secte qui a fait abattre le négociateur voulant signer. Puis, comme les milliards affluaient, après tout Courchevel et les Bahamas valaient bien l’euthanasie de cent quatre-vingt mille personnes (et dix millions en exil depuis longtemps d’ailleurs).

Dans les vapeurs opiacées sur canapé et piano sexué, mourir de rire fut choisi, mais sans le dire…

Sans le « dire » (sans le discours) de la Guerre. D’où les atermoiements savamment entretenus de la propagande US excluant l’envoi d’avions alors que sans eux la protection des chars deviendrait inopérante… Il faut donc faire semblant d’être « poussé » comme le disent si bien les médecins-maires-généraux de plateau : si l’on ne veut pas que Poutine vienne se baigner à La Lanterne à la place de Bri-Bri (à ne pas confondre, bien sûr, avec Brichel), « il faut envoyer les Rafales »

Pourquoi faire ? Les médias de grand chemin veulent quand même une justification à diffuser dans les chaumières chauffées à19°. La version officielle serait de défendre là-bas « les valeurs » dominantes incarnées de plus en plus par les queers insectivores ouvertes au « monde » (façon first fucking) dont l’action « civilisationnelle » s’allie certes à celle des djihadistes chics (députés aux US, lords à Londres), mais comme ils ne sont pas affiliés à la Fédération de Russie tout va bien puisqu’il s’agit surtout de détruire (démembrer) celle-ci (sans le dire encore une fois) afin de récupérer les matières premières et empêcher qu’un modèle « autre » émerge face au transhumanisme cyborg.

D’ailleurs un marchandage à haute intensité pourrait être effectué avec les maoïstes : vous lâchez Pou-Pou et vous prenez la Sibérie gorgée de gaz tout en la partageant avec le Japon. Les Mao hésitent parce qu’ils veulent d’abord dévorer Taïwan, héritière légitime de la République de 1911, et puis l’Inde, voire le ¨Pakistan, l’Iran. Laisseront-ils faire ce démembrement qui les encerclerait ?… Déjà les confettis turcophones ne sont pas d’accord, pas plus que la Turquie ce qui fait du poids dans la balance russe…

D’où se rabattre en attendant sur l’Europe : jamais deux sans trois, affaiblir durablement l’UE (développement durable) puis proposer un nouveau plan Marshall, un plan Biden (prononcez Biiden) ?…

Sauf qu’il ne faut pas « dire » (la Guerre), mais au contraire dire la Paix (celle de 1984) en avançant que c’est précisément parce que l’on veut défendre les « valeurs » (soit, rappelons-le, la paix queer insectivore anti-phobie anti-rassuriste et anti-complotiste) qu’il faut instruire les combattants anti-Poutine, et, pour le faire, il faut (sollen) bien envoyer des enseignants (en surplus) par exemple des Mozart, non plus seulement de la finance, mais de la grosse gâchette…

Voilà voilà… (Et si « vous avez compris ce que je viens de vous dire, c’est que je me suis probablement mal exprimé »…)




Plus de deux millions de Français ont manifesté dans la rue contre cette réforme imposée par Bruxelles : aidons-les en signant la pétition

Par Nicole Delépine

[Source de l’illustration : ici]

Près d’un million ont déjà signé cette pétition contre la réforme des retraites

Diffusons-la largement : plus le nombre de signataires sera élevé plus il sera difficile de ne pas tenir compte de l’opposition des Français à ce nouvel ukase de Bruxelles :

https://www.change.org/p/retraites-non-%C3%A0-cette-r%C3%A9forme-injuste-et-brutale-reformesdesretraites

« Le gouvernement a annoncé le report de l’âge de la retraite à 64 ans avec un allongement accéléré de la durée de cotisation.

Cette mesure est injustifiée : le rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) l’indique clairement, le système de retraites n’est pas en danger. Il n’y a aucune urgence financière

Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs, et plus particulièrement ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, et ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.

Ce projet gouvernemental n’a rien d’une nécessité économique, c’est le choix de l’injustice et de la régression sociale.

Renforcer notre système de retraites nécessite en revanche des mesures de progrès et de partage des richesses.

D’autres solutions sont possibles ! Je soutiens la mobilisation intersyndicale et je m’oppose à cette réforme : « je signe la pétition »

Vos données ne feront l’objet d’aucune collecte, ni d’aucun traitement de notre part.

La demande de don faisant suite à la signature de cette pétition n’émane pas des organisations syndicales, mais de la plateforme change.org sur laquelle est hébergée celle-ci. »

VIERZON

Soulignons que les comparaisons avec d’autres pays n’ont qu’un sens très relatif, car depuis le management à l’américaine et l’alignement de nos politiques derrière l’UE les conditions de travail sont devenues insupportables en 30 ans. D’ailleurs les Suédois qui ont reculé l’âge de la retraire conseillent fortement à E Macron de ne pas suivre leur exemple1.

Pourquoi ne pas tenir compte de l’avis des millions de personnes descendus dans la rue crier leur désarroi face à la politique globale, les retraites, mais aussi contre le cinéma covid qui a cassé les Français et les petites entreprises et évidemment la position guerrière du président sans consultation ni de la population par référendum, ni nos représentants élus au parlement.

Quant aux médias hypocrites ou corrompus qui prétendent que seul le parlement aurait le droit de s’exprimer, cet argument est caduc devant le navrant spectacle des députés évoquant les discussions de cour d’école maternelle telles que : « je ne voterai pas ta motion de censure parce qu’elle vient du RN alors que la mienne (identique) ne peut pas être soumise »

Et les récentes élections partielles où les disputes partisanes entre RN et NUPES ont permis la réélection d’une députée macroniste favorable à la guerre montrent bien qu’il n’y a pas grand-chose à attendre des partis politiques actuels, qui restent dans leur petit monde de disputes enfantines, alors qu’une guerre nucléaire nous menace.

L’énorme majorité des Français l’ont compris d’où ces cortèges immenses dans toutes les villes petites ou grandes contre cette réforme bruxelloise et demain espérons-le contre la guerre qui risquerait d’effacer une grande partie du monde et l’Europe aux premières loges avec les politiques guerrières des gouvernements allemand et français contre l’avis majoritaire de leurs peuples.

LES FRANÇAIS SE RÉVEILLENT ENFIN

AIDONS-LES PAR TOUS LES MOYENS EN FONCTION DE NOS POSSIBILITÉS : manifestations, tracts, informations sous toutes ses formes, directes, humaines ou via réseaux faute de mieux

Et les jeunes sortent de la léthargie de la crise covid et comprennent l’enjeu des réformes de Bruxelles accumulées :

Quel bonheur d’entendre cette lycéenne calme et déterminée faire le lien entre tous ces moyens détournés du gouvernement pour finir de détruire la société civilisée dont nous profitions, même si depuis des décennies la destruction de nos services publics s’est accélérée insidieusement dans le silence des médias et des peuples.

Nous étions endormis globalement dans le confort du quotidien (quoique relatif pour certains) doublé de la trahison des partis qui suffisait à éteindre les incendies locaux (fermeture de maternité, etc.. 2

DES CENTAINES DE MANIFESTATIONS TROUVENT ÉCHO SUR TWITTER ET AUTRES RÉSEAUX SOCIAUX

La colère monte, la loi retraites doit être retirée, les injections géniques inefficaces et mortifères stoppées et le combat pour la Paix s’intensifier avant la catastrophe.





Stoppons l’escalade vers la guerre nucléaire !

Par Gérard Delépine

Depuis presque un an, notre président nous implique de plus en plus dans le conflit Ukraine-Russie et nous expose au risque d’une guerre nucléaire. Il faut stopper les incendiaires avant qu’il ne fasse consumer nos maisons et leurs habitants !

Cette guerre n’est pas la nôtre

Nous ne partageons aucun lien ni historique, ni culturel, ni religieux, ni économique notable1 avec l’Ukraine, qui ne fait partie ni de l’OTAN ni de l’Europe des 27. L’Ukraine n’a jamais été notre alliée contrairement à la Russie lors des deux guerres mondiales. La guerre entre la Russie et l’Ukraine est la conséquence du démembrement précipité de l’URSS, de la volonté d’assimilation forcée des populations russophones, et du désir des Américains d’inclure l’Ukraine jusqu’ici neutre dans l’OTAN.

L’Ukraine n’est pas plus démocratique que la Russie. La « défense de la démocratie », volontiers agitée pour justifier notre engagement militaire, n’est pas crédible, car cet état, le plus corrompu du continent européen2, a refusé de procéder aux élections anticipées qui auraient permis d’exprimer la volonté des populations, alors qu’elles étaient prévues par le protocole de Minsk que le gouvernement ukrainien avait signé. Il a aussi refusé d’organiser la décentralisation des pouvoirs, et d’appliquer la loi accordant l’autonomie locale dans les oblasts de Donetsk et de Lougansk.

Drôle de démocratie qui continue de glorifier ses anciens collaborateurs nazis3 et refuse des élections promises et dont l’armée tire sur ses citoyens jusqu’à en tuer plus de 14000 au Donbass ces dernières années ! Cette guerre n’est vraiment pas la nôtre !

Comme le rappelle la tribune4 du général Henri Roure :

« la France n’a strictement aucun intérêt en Ukraine, mais ses dirigeants, malheureusement, se sont ralliés à un pays prédateur aux ambitions totalitaires sous couvert de l’Alliance Atlantique et de l’OTAN. »

Nous sommes les premières victimes des sanctions envers la Russie

La Commission européenne avait promis que les sanctions qu’elle imposait aller faire chuter le cours du rouble, bloquer l’économie russe et son effort de guerre sans nous coûter grand-chose.

Depuis les sanctions, la valeur du rouble a augmenté de plus de 50% par rapport au dollar et à l’euro.

Le PIB russe a augmenté de 2 %5 alors que l’économie française stagne, que notre déficit commercial et notre dette atteignent des sommets historiques, que le prix de l’énergie menace l’existence même des commerces et de nos petites et moyennes entreprises, que la pauvreté touche 20% de notre population et que l’inflation et l’augmentation du coût de la vie sont très préoccupantes.

Les seuls gagnants actuels des sanctions européennes sont les Américains qui bénéficient de l’ouverture inespérée d’un marché pour leur gaz de schiste très cher et écologiquement désastreux et d’une baisse de compétitivité de leurs concurrents européens liée à l’augmentation du prix de l’énergie.

Il faut abandonner d’urgence ses sanctions inefficaces contre la Russie mais catastrophiques pour nous !

L’envoi de matériel militaire prolonge inutilement la tuerie

Seuls les propagandistes de l’OTAN peuvent croire qu’un pays jeune et peu industrialisé de 40 millions d’habitants peut gagner une guerre contre un pays industrialisé de 144 millions d’habitants dont les parents, grands-parents et ancêtres ont vaincu Napoléon et Hitler, et disposant de l’arme nucléaire.

L’envoi d’armes ne pourra pas changer l’issue du conflit, mais seulement le prolonger, augmentant ainsi les pertes humaines et les souffrances des populations ukrainienne et russe.

Ceux qui aiment vraiment les Ukrainiens doivent tout faire pour les convaincre de négocier maintenant, avec la Russie avant que leur situation militaire, actuellement difficile, ne devienne intenable.

L’envoi de matériel militaire à l’Ukraine nous empêche de participer à la recherche de la paix

Lors de la guerre en Géorgie en 2008, la France était restée neutre, ce qui lui a permis de proposer ses bons offices, de jouer le rôle d’arbitre et d’accélérer le retour à la paix dans la région.

Malheureusement, dans ce conflit Russie-Ukraine, la livraison d’armes nous a rendus de fait cobelligérants et nous disqualifie pour proposer notre aide à l’élaboration d’une paix juste.

L’envoi de matériel militaire affaiblit notre défense et nous expose à des représailles

Nous avons diminué de près de 25% le nombre de canons César disponibles pour nos armées et leur remplacement nécessitera plusieurs années. Nous possédons beaucoup moins d’avions de chasse et de chars lourds qu’il y a 20 ans et toute livraison supplémentaire à l’Ukraine réduirait d’autant notre capacité de riposte à un éventuel agresseur de notre pays. Ne désarmons pas notre armée en une période d’incertitude !

De plus, la livraison d’armes lourdes nous rend encore plus nettement cobelligérants et nous expose donc à des rétorsions qu’elles soient économiques ou militaires.

Défendre servilement l’OTAN selon les intentions tirées de la déclaration signée le 30 novembre 2022 à Washington entre Sébastien Lecornu, notre ministre des Armées et Lloyd Austin, Secrétaire à la Défense des USA,est parfaitement contraire à nos intérêts nationaux6 comme les tribunes de trois généraux français l’expriment publiquement. Cet asservissement à l’OTAN ne nous protège pas, mais nous expose au contraire à des représailles de la Russie. Deux généraux allemands ont également faire connaître officiellement leur opposition à la livraison de chars par l’Allemagne à l’Ukraine. [Voir ]7

Depuis la dernière guerre du Golfe, les aventures militaires de l’OTAN, réalisées à la demande des USA se sont soldées par des échecs militaires et politiques sévères au prix de morts inutiles de nos soldats8 lorsqu’ils y ont été engagés. Le sacrifice de 88 de nos soldats en Afghanistan, auxquels cette photo publiée par Slate9 rend hommage n’a abouti qu’à une totale défaite militaire, à une retraite piteuse et une légitimation politique des talibans dans ce pays. Nous n’avions rien à faire dans ce pays et nos soldats ont été sacrifiés seulement pour plaire au suzerain US.

Mais ce que pourrait nous coûter notre implication dans le conflit ukrainien est sans commune mesure, car l’ennemi qu’on essaie de nous créer n’est pas constitué de paysans révoltés avec des fusils et des bombes artisanales, mais possède un arsenal nucléaire considérable.

Le sondage effectué par Place d’armes10 (site de la communauté militaire engagée) en décembre dernier sur plus de 11 000 personnes est éloquent : 89,2 % des militaires considèrent que la guerre profite avant tout aux États-Unis.

« 91,66 % pensent que les Occidentaux, dont la France, ne recherchent pas la paix, 88,07 % pensent que leurs décisions peuvent nous entraîner vers une guerre directe avec la Russie, 96,71 % refusent l’envoi de troupes françaises pour soutenir l’Ukraine ».

L’Europe de Bruxelles facteur d’insécurité

Citons ici quelques phrases de la pétition11 d’Arno Klarsfeld sur la guerre en Ukraine12 :

« Nous n’avons pas besoin d’un troisième conflit sur le sol européen. Les peuples ont soutenu l’Union européenne parce qu’ils pensaient que cette union était garante de paix. Pourtant cette union semble nous entraîner dans un conflit généralisé qui dévasterait à nouveau le continent européen sans même rechercher un compromis dans la guerre entre la Russie et l’Ukraine, qui n’est pas membre de l’OTAN, sans consulter les peuples de l’Union… »

Pour retrouver notre démocratie, notre indépendance et assurer notre sécurité, il faut sortir de l’Union Européenne qui a trahi ses promesses fondatrices d’assurer la paix, la protection et la démocratie. Frexit !

Répétons quelques brides du dernier discours de Jean Jaurès le 25 07 1914, quelques jours avant son assassinat le 30 07 et l’entrée en guerre, et redevenues d’une brûlante actualité :

« Citoyens, si la tempête éclatait, tous, nous socialistes, nous aurons le souci de nous sauver le plus tôt possible du crime que les dirigeants auront commis et en attendant, s’il nous reste quelque chose, s’il nous reste quelques heures, nous redoublerons d’efforts pour prévenir la catastrophe…Quoi qu’il en soit, citoyens, et je dis ces choses avec une sorte de désespoir, il n’y a plus, au moment où nous sommes menacés de meurtre et, de sauvagerie, qu’une chance pour le maintien de la paix et le salut de la civilisation, c’est que le prolétariat rassemble toutes ses forces qui comptent un grand nombre de frères, Français, Anglais, Allemands, Italiens, Russes et que nous demandions à ces milliers d’hommes de s’unir pour que le battement unanime de leurs cœurs écarte l’horrible cauchemar. »

Seul le combat des populations pourrait permettre d’éviter la guerre.

Battons-nous maintenant et dans tous les pays contre la menace de catastrophe générale vers laquelle nos dirigeants semblent vouloir nous précipiter.

La fin de la guerre du Vietnam a été imposée par la population américaine qui est descendue dans la rue pour crier sa révolte contre la guerre comme le rappelle cette photo publié par radio France13

La paix en Algérie a été imposée par les manifestations dans la rue, malgré les interdictions et les répressions policières comme celle du 8 février 1962 réprimée dans le sang à Charonne : 9 morts et 250 blessés dont on voit quelques-uns sur cette publiée par Géo14.

CONTRE L’ESCALADE VERS UNE TROISIEME GUERRE MONDIALE, MANIFESTONS !





Lettres ouvertes de deux officiers généraux allemands sur l’affaire des chars lourds

[Transmis par Claude Gaucherand]

[Voir aussi :
Défendre servilement l’OTAN est-ce défendre les intérêts de la France ?]

Les chars allemands contre la Russie — révolte de ma conscience

Par Manfred Grätz, général de corps d’armée à la retraite.

C’est à nouveau le moment. Redoutée par un nombre incalculable de personnes, souhaitée et évoquée par une minorité oublieuse de l’histoire ou la méprisant avec arrogance, qui se sent appelée à gouverner notre pays et suit avec vassalité l’allié transatlantique, soutenue avec zèle par un paysage médiatique aligné une fois de plus, et désormais annoncée officiellement par le chancelier fédéral. L’envoi de chars à l’Est est décidé.

Les cheveux de nombreuses personnes se hérissent, de mauvais souvenirs se réveillent, y compris chez moi. À l’époque, il s’agissait encore de souvenirs d’enfance.

Né en 1935, je suis ou j’étais en fait encore un enfant de la Seconde Guerre mondiale. Trop jeune pour être déjà utilisé pour la course aux armements du fascisme allemand, mais assez âgé pour comprendre que la guerre ne signifie que souffrance incommensurable, misère et extermination inhumaine. J’ai perdu mon père. Une lettre froide et sans cœur de son chef de compagnie annonçait qu’il était apparemment « tombé pour le Führer, le peuple et la patrie dans des combats défensifs héroïques contre l’ennemi bolchevique… ».

Occasionnellement, des souvenirs surgissent de manière fulgurante, comme lorsque nous étions des garçons adolescents assis au bord de la voie ferrée et que nous regardions les nombreux transports militaires, avec des inscriptions blanches géantes : « Les roues doivent rouler pour la victoire ». Aujourd’hui, on peut lire : « Les chars allemands en direction de la Russie ». Les parallèles, les similitudes sont sans doute faciles à reconnaître. Les nuits de bombardement, les alertes aériennes, la ville de Chemnitz en flammes non loin de mon village, tout cela a contribué à ce que j’apprenne dès mon enfance à détester la guerre et à désirer la paix. J’ai finalement vécu la fin de la guerre comme la libération de l’Allemagne du fascisme par l’armée soviétique.

Près de huit décennies se sont écoulées depuis ces événements. Le jeune garçon de l’époque est devenu un homme de 88 ans, qui a vécu une vie bien remplie à une époque riche en événements historiques.

38 années de service pour le maintien de la paix dans notre armée nationale populaire, dont six années d’études au SU, en font partie. Je l’avoue volontiers, j’aime ce pays, tout en sachant que la Russie d’aujourd’hui n’est plus comparable à la SU. Mais les gens dont les pères et les grands-pères ont combattu pour leur patrie contre le fascisme allemand et nous ont également libérés sont restés. Des gens chaleureux et aimables, des amis !

Tout cela et bien d’autres choses encore me viennent à l’esprit dans le contexte de tout ce qui se passe actuellement. L’esprit est toujours en éveil, même après 88 ans.

C’est tout un mélange de sentiments et de sensations qui m’émeut, dominé par la colère et la déception. La colère monte en moi lorsque je suis confronté à l’attribution unilatérale de la responsabilité à la Russie, généralement à Poutine, à Poutine l’agresseur, à Poutine le criminel de guerre, sans aucun fondement. Poutine est responsable de tout ce qui se passe actuellement dans le monde. Oublié ou sciemment passé sous silence tout l’historique de la guerre en Ukraine, oublié le manquement de l’Occident à sa parole concernant l’élargissement de l’OTAN à l’Est, oublié le discours de Poutine devant le Bundestag en 2001, dans lequel il tendait la main, proposait une coopération pacifique et était ensuite accueilli par une standing ovation, oublié également le discours prononcé lors de la conférence sur la sécurité de Munich en 2007, dans lequel il évoquait l’élargissement de l’OTAN à l’Est comme une menace pour les intérêts de sécurité de la Russie.

La colère monte lorsque Mme Baerbock, après tout ministre des Affaires étrangères de notre pays et diplomate au plus haut niveau, lance, sans se douter de rien et sans aucune habileté diplomatique ni même de décence, « nous allons ruiner la Russie ».

Au même niveau se trouve le bavardage fréquent sur la question de savoir si nous sommes déjà belligérants ou non, en donnant souvent l’impression de chercher et de sonder si nous ne pouvons pas faire un pas de plus ou non. Pour moi, c’est de l’art sans pain. Les fronts sont clairs depuis longtemps. Nous sommes en plein dedans. Que faudrait-il faire de plus quand on a déjà livré des chars et d’autres armes lourdes dans le « noble » but de vaincre la Russie ?

Il est également dangereux de voir des hommes politiques et des soi-disant experts évoquer le thème de l’escalade, peut-être avec des armes nucléaires, avec des « petites tactiques » d’abord, dans des talk-shows ou à d’autres occasions, sans se douter de rien et de manière imprudente. Oubliées déjà Hiroshima et Nagasaki, ces deux villes japonaises victimes du premier largage de bombe atomique sur un territoire habité, sans aucune nécessité militaire. À ce moment-là, la Seconde Guerre mondiale était décidée depuis longtemps, en Europe comme en Extrême-Orient. Et comme chacun sait, ce n’étaient pas les Russes ! Oubliées toutes les souffrances et la misère, tous les morts qui se comptent par dizaines de milliers, et les effets à long terme que ces « deux petits calibres » ont provoqués pendant des décennies, selon les critères actuels. Inimaginable et irresponsable de jouer ainsi avec le feu dans le présent ! En tant qu’ancien militaire, je dis à tous ceux qui ne font que penser à une telle aventure : crime de guerre !

À propos de crimes de guerre ! Quelqu’un en parle-t-il encore à propos d’Hiroshima et de Nagasaki ? On a oublié ! Classé, le plus grand crime de guerre de l’histoire de l’humanité, commis par les États-Unis.

Je trouve non seulement regrettable, mais aussi inquiétant que nos politiciens, qui ont des responsabilités gouvernementales, soient également réfractaires à la consultation. Je pense ici au fait que l’opinion de militaires expérimentés, spécialistes de leur métier, est de plus en plus reléguée au second plan, ou plutôt piétinée, et qu’elle n’est plus perceptible par le public. Ne faut-il pas s’inquiéter lorsqu’un général Kujath, excellent connaisseur de la matière, y compris et surtout de l’OTAN, doit présenter ses appréciations remarquablement réelles de la situation dans un journal suisse ? Ou lorsqu’un général Vad, ancien conseiller militaire de Mme Merkel, s’exprime dans le journal EMMA d’Alice Schwarzer (ne vous méprenez pas, respect pour Mme Schwarzer !).

Ou lorsque même le chef d’état-major de l’armée américaine, le général Milley, s’est fait réprimander par l’administration Biden pour son évaluation réelle de la situation en Ukraine et que ses conclusions sont passées sous silence ?

Je ne veux même pas parler ici d’autres militaires, voire d’anciens de l’ANV, qui pourraient bien connaître les Russes !

Tout cela selon la devise « ce qui ne peut pas être ne doit pas être ». Il n’en reste pas moins qu’avec la vassalité allemande, nous suivons fidèlement la politique de guerre des États-Unis, notre principal allié transatlantique, qui vise à la domination mondiale. Quo vadis, l’Allemagne ? Je me pose la question. Ou pour paraphraser Heinrich Heine : « Si je pense à l’Allemagne la nuit, j’en perdrai le sommeil !

Encore un mot à tous les membres et sympathisants de notre association, à mes camarades et amis.

Élevez la voix, ne vous cachez pas.

Écrivez, sous quelque forme et par quelque moyen que ce soit, et n’oubliez pas votre nom et votre grade.

Cherchez et trouvez nos alliés, participez aussi à leurs manifestations.

Ensemble, nous sommes plus forts.

Descendez dans la rue, si vous êtes encore en forme et mobiles. Parlez avec les gens, malgré les intérêts divergents qui y sont représentés.

Personne ne veut la guerre parmi les manifestants.

Tout cela, c’est ma conscience qui me le dit. S’il vous plaît, examinez aussi la vôtre.


Protestation contre la poursuite du soutien à l’Ukraine avec des chars et d’autres équipements de guerre lourds par l’Allemagne

Par Sebald Daum, major général à la retraite

Avec la décision du chancelier de la République fédérale d’Allemagne, M. Scholz, et de son gouvernement de livrer finalement 14 chars « Leopard-2 » à l’Ukraine et d’autoriser les autres pays de l’OTAN à mettre également ces chars Leopard à la disposition de l’Ukraine, l’Allemagne entre dans une nouvelle phase de participation à la guerre contre la Russie et concrétise ainsi la déclaration de sa ministre des Affaires étrangères d’être en guerre avec la Russie.

Par cette décision, l’Allemagne ne fait pas que prolonger l’hécatombe en Ukraine, elle devient partie prenante à la guerre. Dans le même temps, la Russie devient de plus en plus l’ennemi du peuple allemand et on détruit définitivement tout ce qui était important dans les relations amicales avec la Russie, en particulier à l’Est ainsi qu’en RFA dans son ensemble.

Je voudrais donc simplement rappeler quelques faits importants :

  • — que l’Union soviétique a pris la plus grande part dans la libération du peuple allemand du fascisme hitlérien, avec plus de 27 millions de morts,
  • — qu’après 1945, l’Armée rouge et le peuple soviétique ne se sont pas rendus coup pour coup et n’ont pas couvert l’Allemagne de haine, comme c’est à nouveau le cas actuellement en Allemagne contre la Russie,
  • — que l’Union soviétique et la Russie ont joué un rôle décisif dans la réunification de l’Allemagne, car sans leur accord, il n’y aurait pas eu de « patrie allemande unie »,
  • — que la Russie a volontairement retiré ses troupes d’occupation, en toute bonne foi, dans le cadre de bonnes relations de voisinage, alors que les troupes d’occupation américaines sont toujours présentes dans le pays,
  • — que la Russie a accepté que l’Allemagne ne soit pas neutre, mais reste dans l’OTAN,
  • — que ce n’est pas la Russie qui s’est rapprochée des frontières de l’Allemagne ou de l’UE, mais que les troupes de l’OTAN se trouvent aujourd’hui aux frontières de la Russie,
  • — et enfin, il convient de rappeler que ce sont les États-Unis et l’OTAN qui ont organisé un coup d’État en Ukraine en 2014, chassé le président élu hors du pays et armé militairement l’Ukraine et l’ont mise en position contre la Russie afin qu’elle puisse mener et mène une guerre contre son propre peuple pendant 8 ans.

A-t-on oublié tout cela ? Est-ce que c’est maintenant le remerciement pour tout ce que l’Union soviétique et la Russie ont fait pour l’Allemagne, ou sommes-nous déjà prêts à entrer en guerre une troisième fois contre la Russie ? Les chars allemands « Leopard » doivent-ils rouler contre la Russie comme les « Tigres » allemands autrefois ? A-t-on oublié si vite les résultats de Stalingrad et de Koursk, ou veut-on revenir sur ces défaites ?

Jamais plus la guerre n’était une loi non écrite en Allemagne. Plus jamais la haine et les cris de guerre contre la Russie ne doivent donc prendre le dessus en Allemagne, plus jamais les cris de « voulez-vous la guerre totale » ne doivent nous monter contre les peuples de Russie.

C’est pourquoi j’élève ma voix pour protester contre la livraison par l’Allemagne de chars et d’autres équipements de guerre lourds qui prolongent la guerre et les massacres en Ukraine. Que les voix de la raison l’emportent et que d’innombrables personnes contribuent dans ce sens à empêcher la guerre.




Pardonne-moi Francis

Lettre ouverte à tous les Francis
qui luttent pour les libertés

Par Alain Tortosa

Oui pardonne-moi mon impuissance !
Nous ne nous connaissons pas, en tous les cas pas intimement, et pour autant j’ai la prétention de ressentir une partie de ta souffrance.

Douleur que tu n’exprimes pas toujours avec des mots quand ton corps semble parler, voire même hurler, à ta place.
Alors oui nous ne sommes pas (encore ?) amis, mais c’est pourtant en cette qualité que je m’exprime.

Pourquoi toi ?
Pourquoi t’ai-je « choisi » comme « cible » alors que nous sommes si nombreux, nous les résistants, à être en souffrance en ces temps difficiles ?

Je ne saurais l’expliquer, mais ce n’est pas la première fois que ce besoin s’exprime en moi.
Nous nous étions croisés une première fois à Avignon lors d’une rencontre organisée par Carlo.
J’avais ressenti au lendemain le besoin de t’écrire une lettre ouverte pour te dire :

« Tu n’es pas seul ! ».

Pudeur, peur du jugement, manque de confiance en moi ?
Toujours est-il que je n’avais couché que quelques mots avant de les laisser se perdre…

En te voyant vendredi, en te regardant devrais-je dire, j’ai à nouveau ressenti dans mon cœur, dans mes tripes, le poids du monde que tu sembles porter bien seul.

Mais Francis garde encore son panache !
Quand une connaissance te demande si tu vas bien, tu te plies aux conventions sociales.
Tu réponds un « oui » de façade, comme je le fais aussi, et autrui se sent soit rassuré, soit fait semblant d’y croire par pudeur ou sentiment d’impuissance.

Je ne me l’explique pas, personne me m’y oblige et pourtant je porte trop souvent le poids de cette humanité en détresse.
Tant de souffrances, d’injustices, de divisions où l’indifférence est reine et la solidarité l’exception.

Difficile d’être debout, droit et optimiste en voyant les ténèbres de ce monde.
Une civilisation qui peut imprimer des milliers de milliards d’euros lors d’une plandémie afin d’acheter le silence du peuple.
Et dans le même temps, constater que les « grands » de ce monde n’arrivent pas à trouver 30 milliards par an pour mettre fin définitivement à la famine dans le monde.

Le « n’arrivent pas » étant un synonyme « ne veulent pas » ou plutôt de « préfèrent ne pas ».
Une planète sur laquelle il est totalement légal et moralement acceptable de spéculer sur une future famine.

Mon déplacement à Paris m’a encore renvoyé en pleine gueule la laideur de ce monde.
Quelle violence de passer d’une bouche de métro avec des SDF qui ne possèdent rien à la rue du Faubourg Saint-Honoré qui m’inspire un zoo pour nantis et me donne envie de vomir.
Comme quoi le zoo de Vincennes n’est pas là où l’on pourrait le croire.

Des boutiques qui présentent des habits dont des pulls, particulièrement laids, à plus de 10 000 euros, représentent le summum de l’indécence et de la folie des hommes.

Le laid et la folie ne touchent pas que les nantis.
Que dire de pantalons vendus usés, déchirés, délavés aux produits chimiques toxiques par des enfants dans les usines bidonvilles de pays pauvres.
Quel est le regard de ces esclaves sur les dégénérés que nous sommes devenus ?

Mais ne vous méprenez pas.
Le pire n’est pas que ces personnes aient perdu tout sens du vivant, du merveilleux, de la nature et dont le sentiment d’existence se résume à dépenser pour dépenser des habits hors de prix, vêtements qu’ils ne porteront peut-être jamais…

Non, l’insondable est que notre société accepte des hommes, femmes et même enfants dormant dans les rues en hiver.
Les associations et bénévoles généreux qui cherchent à aider ces malheureux permettent paradoxalement à l’État de se dédouaner et se défausser sur eux alors que cela relève de son entière responsabilité.

Je ne parle ici que de la misère visible, mais que dire des milliards d’esclaves dont la sueur et le sang permettent notre confort matériel d’Occidentaux.
Le Grand Reset semble avoir trouvé la solution en voulant aussi faire de nous des habitants du tiers-monde.

LA question centrale est :

Comment pouvons-nous vivre dans un tel monde ?

Les fourmis que nous sommes sont impuissantes tant qu’elles n’œuvrent pas ensemble à la destitution de la reine !

S’autoflageller n’apporte pas de réconfort à celui qui souffre.
Ce n’est pas en brisant mes membres que je pourrais rendre le sourire à un enfant qui a perdu les siens sur une mine antipersonnel.
Mines qui permettent l’enrichissement de pourritures qui volent légalement des milliards sur la souffrance de leurs frères humains.
Mines probablement fabriquées par d’autres enfants dans des usines prison.

Vous pourriez vous dire en cet instant que j’ai oublié le sujet de mon texte, quid de Francis ?
Je suis peut-être dans l’affabulation, dans le délire, mais j’ai pourtant le sentiment de n’avoir jamais dévié de mon propos.
Puisses-tu me pardonner si je suis en dehors de toute réalité.

Je voulais réagir à ta vibrante intervention lors de « la journée des libertés » organisée par Carlo1

Tu nous dis croiser régulièrement des inconnus qui te remercient chaleureusement pour ton implication dans la défense des droits de l’homme, des libertés et de la démocratie.
Élan d’amour qui pour autant semble aussi te blesser.

Je ne peux croire que cet amour spontané et gratuit ne te réchauffe le cœur.
Pour autant j’ai entendu ta détresse impliquant le fait que les résistants ont aussi, voire même surtout besoin d’aide concrète.
L’amour ne se dit pas uniquement avec des mots, mais avec des actes, vérité qu’il est toujours bon de répéter.

Il est facile de critiquer, il est facile de dénigrer, il est facile de crier au loup, il est facile de faire sa vierge effarouchée… facile, mais pas forcément moral si l’on demeure un simple spectateur.

Les résistants qui n’ont pas une fortune personnelle, un patrimoine ou une famille pouvant subvenir à leurs besoins fondamentaux ont une nécessité réelle, voire même vitale, d’argent pour, ne serait-ce que survivre, manger et pouvoir continuer la lutte.
Quel fut l’esprit du résistant, il n’en demeure pas moins avoir un corps.

Ce n’est pas charité que de les aider matériellement en fonction de ses capacités.

Dans un monde juste, chacun aurait accès à un toit, à l’eau, à l’électricité et j’en passe…
Nous nous devons de pallier les carences et l’ignominie de nos dirigeants.
Je pense ici aux personnels suspendus sans salaire ni indemnité dont le seul objet de la sanction était de les détruire psychiquement et matériellement afin de prévenir toutes vocations.

Je pense que tu fais partie de ceux qui n’ont écouté que leur cœur, leurs valeurs, en risquant tout.
Et cela ne date pas d’hier avec ton implication dans le mouvement des Gilets Jaunes, les « sans-dent » comme disait Hollande.

De toute évidence tu en payes le prix aujourd’hui et je pourrais dire que le montant de la facture est indécent.
Au-delà de ces réalités matérielles factuelles, je ne peux pas croire que le manque de ressources soit aujourd’hui ce qui te pèse le plus.

Je ne suis pas stupide, encore que, au point de penser que ce fait serait anecdotique.

Oui, il faut aider matériellement et financièrement
en fonction de nos ressources les résistants
qui ont des difficultés financières du fait de la dictature !

Cela ne se discute pas, quand bien même l’on n’épouserait pas l’intégralité de leurs idées.

Je pourrais même ajouter que les soutenir relève d’un devoir égoïste, si, si…
Comprenez qu’il est impossible de mettre son énergie pour remplir son frigo tout en mettant une énergie équivalente au service de la cause.

Donnons, donnons, donnons égoïstement pour notre liberté !

Cette parenthèse étant refermée, il m’est possible de revenir à mon ressenti.

J’ai la croyance que la croix que tu portes n’est pas uniquement le fruit de difficultés financières et encore moins du manque d’implication des inconnus éveillés que nous sommes.

Ce n’est pas à toi, l’humaniste, que je vais rappeler cette vérité.

La dignité de l’homme ne se mesure pas à son compte en banque !

Je pourrais même affirmer que c’est plutôt le contraire, quand bien même il existe des exceptions.

L’homme qui n’a rien, qui vit dans la rue, a plus de dignité que l’occupant de l’Élysée.

Riche ou pauvre, tu resteras un grand homme, un fou admirable et respectable.

Je me répète, mais je ne peux croire que ton épuisement, ton abattement, la tristesse visible au fond de tes yeux, ne soit que le reflet de ces difficultés financières.
Si honte il y a, celle-ci repose sur tous les responsables de ta situation, et certainement pas sur toi et la sincérité de ton action totalement désintéressée.

Alors oui, je te sens profondément blessé, meurtri et épuisé…

J’imagine que tu n’es pas né de la dernière pluie, que tu as une idée assez précise de la nature humaine.

Et pourtant…

Malgré les épreuves que tu as eu à endurer durant ta vie, malgré tes expériences, je crois qu’ils ont encore réussi à te blesser.

Il faut dire que ces dernières années ont été riches d’enculés, mais aussi de moutons dociles.

Et ce sans parler des collabos qui n’ont pas le panache des dictateurs.

Pourtant derrière cet écrasement, l’extraordinaire tribun est encore présent.

Tu as encore une puissance inouïe pour mener l’estocade, un panache chevaleresque.

Mais je ressens aussi que tu puises l’énergie dans tes dernières ressources tel un taureau fier se relevant une dernière fois avant la mise à mort.

Oui j’envie le sort du taureau mourant dans une arène après une lutte épique, une mort digne, debout, à la lumière.
En rien comparable à l’égorgement d’une vache encore consciente dans un abattoir sombre, empli d’effluves de sang et de cris d’effroi.

Tu n’es pas homme à mourir sans lutter jusqu’à ton dernier souffle.
C’est peut-être un des éléments, cette fougue, cette passion, cet engagement, cette sincérité non calculée, quasi viscérale qui fait que nul n’est indifférent à ta présence.

L’évocation de ton nom, chez « les gens bien », est au mieux synonyme de ricanements et au pire d’un profond mépris, voire d’une haine.
Certains te détestent ainsi viscéralement tandis que d’autres t’adorent.
J’imagine que tu ne recherches ni l’un… ni l’autre…

Ce que je connais de l’homme m’empêche bien entendu de te haïr.
Comment ne pas respecter ton action, ta droiture et ton absence de compromis contre nature ?

Mais je ne suis pas non plus du genre à aduler des humains et encore moins moi-même.

Les zombies que la société a modelés se contentent de faire quelques pas de côté lorsqu’une personne s’effondre à la sortie du métro suite à une myocardite vaccinale.
C’est tout juste s’ils la voient.

En revanche, j’ai l’intime conviction que si c’était toi qui t’effondrais, certaines personnes n’hésiteraient pas à t’insulter, tandis que d’autres te donneraient des coups de pied dans le ventre et dans la gueule avec satisfaction.
Sans doute la rançon de l’absence de faux semblants.

Mais si ton abattement n’est pas uniquement forgé d’un manque de ressources ou de soutien concret de la part des résistants, qu’en est-il ?

Le proverbe qui dit que « l’on est jamais trahi que par les siens » est sans doute le plus révélateur.

Force est de constater que les « artistes », je me dois de mettre ce mot entre guillemets, ont totalement disparu durant la crise sanitaire et qu’ils n’ont pas pointé le bout de leur nez pour le conflit en Ukraine.
Cette profession, car il ne s’agit plus que d’individus qui pensent à leur carrière, leur notoriété et à l’argent, a disparu du paysage… Envolée.

J’ai été éduqué et baigné dans l’idée que les artistes étaient là pour défendre la liberté d’expression, les libertés, le pluralisme, la démocratie, les droits de l’homme, la paix, l’amour et j’en passe.

Les avez-vous entendus durant la dictature Covid ?

À part quelques-uns qui ont osé relever la tête pour la rebaisser aussitôt et se prostituer, ils se comptent sur le doigt d’une main.

En fait ce que je dis est faux, ils ont été des milliers et sont encore des milliers à être de vulgaires collabos.
À s’insurger contre celles et ceux qui ne portent pas le masque.
À exiger que les non-vaccinés perdent leur statut de citoyen, leur travail ou leurs droits.
À voir en ceux qui refusent une troisième guerre mondiale et critiquent le clown corrompu Zelenski, des traîtres pro-Poutine.
Mais comment peuvent-ils encore se regarder dans un miroir tant ils sont sales et à vomir ?
Qu’ils ne s’étonnent pas de voir que les Français boycottent les salles de cinéma.

Et je ne parle pas du journalisme dont l’encéphalogramme est totalement plat.
Ils auraient dû être tous dans la rue lorsque le média RT a été censuré, que ceux-ci partagent la ligne éditoriale ou pas.

J’en reviens donc tout naturellement à toi Francis.

Ils ont osé !
Oui les « artistes » ont tout osé te concernant !

Ton abattement est probablement proportionnel à l’illusion que tu te faisais de la profession et de personnes que tu pensais être des « amis ».

Car même si cette crise nous a permis de rencontrer des personnes formidables avec qui nous partageons tant, notre cœur est meurtri d’avoir perdu des êtres chers pour lesquelles notre simple existence est devenue insupportable.

Au lieu d’être à tes côtés, au lieu de te soutenir, au lieu de lancer des campagnes médiatiques pour te défendre toi et la liberté d’expression…
Ces personnes du monde artistique ont fait quoi ?

Des campagnes de presse et des pétitions pour réclamer plus de dictature !

Un à un, ils t’ont tourné le dos au point qu’il t’est désormais impossible d’avoir aujourd’hui une salle, une campagne de promotion, ou le droit de parole dans un média mainstream.
Tu as été rayé du paysage médiatique hormis pour te salir, tu n’existes plus !

Nous pourrions faire le parallèle entre les « médecins » et les « artistes ».

La souffrance des soignants suspendus, qui sont restés dignes, qui défendent encore et toujours le secret médical et leur serment d’Hippocrate ont subi le même sort.
La grande « famille », la « confraternité » a fondu comme neige au soleil.
Du jour au lendemain les soignants qui n’ont pas courbé l’échine sont devenus des parias, des personnes non fréquentables, et même des complotistes à abattre !

Encore aujourd’hui, voyez-vous les personnels injectés, y compris les lâches qui ont fait de faux passes, réclamer le retour des suspendus ?

Quelle dignité reste-t-il à ces êtres pitoyables qui pleurent le manque de personnels dans les médias et qui n’ouvrent pas leur gueule pour dire que leurs camarades, suspendus sans salaire depuis 500 jours, leurs amis de 30 ans pourraient venir les aider dans l’heure qui suit ?

Triste planète s’il en est, de tous ces collabos de l’ombre.
La situation est bien entendu identique dans les autres professions ayant subi l’obligation expérimentale… Pompiers, gendarmes, etc.

Mais toi Francis, tu sembles un cas encore plus « particulier » !

La question que l’on pourrait se poser est :

« Pourquoi tant de haine à ton encontre ? »

Pourquoi le monde médiatique, qui n’a plus rien d’artistique, ne se borne pas à l’indifférence, s’ils n’adhèrent pas à tes idéaux ?

Pour la simple raison que tu es leur Jiminy Cricket, le miroir de leur noirceur !

Oui toi Francis, tu leur renvoies violemment en pleine gueule leur connerie, leur lâcheté, leur couardise, leur renoncement, leur collaboration et j’en passe…

Tu leur interdis d’enterrer au plus profond la noirceur de leur être.

Tu es un phare ancré solidement dans la Terre qui les éblouit alors qu’ils ne sont que ténèbres.
Tu les empêches de ne pas voir et de faire semblant.

En te voyant toi, si lumineux, si honnête, si intègre, et pourquoi pas, si con… la frontière entre le héros et le con est souvent bien mince… mais toi au moins tu gardes une dignité qui est un lointain souvenir les concernant.
En te voyant toi, ils se prennent en pleine gueule la noirceur de leur âme.
En te voyant toi, ils ne peuvent oublier.

Te faire taire, t’écraser devient banalement humain.
Ta simple existence constitue une violente agression à laquelle ils répondent par une violence encore plus forte n’ayant aucun argument à te renvoyer.

La Vérité fait mal.

Ah quel « panache » de te traiter de fou, d’illuminé, de malade mental, de complotiste, d’extrême droite, voire d’antisémite et j’en passe !
Cela mesure à quel point ils ne sont plus que l’ombre d’eux-mêmes, un vague souvenir qui se dissout dans la brume.

Au contraire de t’écraser, j’aimerais que tu prennes cette bêtise, cette lâcheté, cette méchanceté, cette haine, comme on reçoit une vraie Légion d’honneur.

Légion d’honneur officielle qui récompense aujourd’hui le crétin, le menteur, le voleur, le violeur, le pédophile ou le collabo !

Pour autant j’ai l’impression que le phare Francis perd peu à peu de sa vigueur et j’ai peur qu’il ne s’éteigne définitivement et se transforme en souvenir… une simple ligne dans les livres d’histoire.

Lorsque je t’observe, j’ai mal, je ressens et je porte ta souffrance.
Ridicule me diras-tu, car cela ne soulage en rien la tienne.

Mais soyons logiques, comment pourrais-je te donner ce que je cherche pour moi ?

Il est des humains qui ont le choix, mais tel n’est pas notre cas, le cas de ceux qui résistent à l’oppression.
Juste, injuste, qu’importe, c’est un fait.
Nous sommes chacun, en fonction de nos possibilités, un rempart, une brique, une feuille de papier qui est là pour dire « non » et porter la parole de celles et ceux qui n’ont pas la capacité de se défendre.

Nous avons le devoir, que dis-je, l’obligation, de rester et ce quelque soit la souffrance.
Nous, résistants de fer ou de paille (comme moi) sommes les derniers remparts face à la Bête.

Notre renoncement serait leur faire un cadeau.
Notre renoncement serait une invitation à poursuivre encore plus dans l’immonde.
Notre renoncement serait leur victoire.
Notre renoncement serait la fin de l’humanité.

Je ne suis pas Charlie, la parodie ridicule de bons sentiments hypocrites, mais en revanche je peux affirmer :

« Je suis Francis ! ».

Merci
Alain Tortosa2
30 janvier 2023 https://7milliards.fr/tortosa20230130-francis-lalanne-resistons.pdf

1 Président de Réaction 19 https://reaction19.fr

2Telegram https://t.me/+cNljt4jKWeVW0I1o




Les institutions européennes et la désinformation

[Source : Ciel Voilé]






À qui profite la réforme des retraites de la macronie ? À BlackRock !

[Source : jeune-nation.com via strategika.fr]

Depuis plusieurs années, BlackRock se montre extrêmement intéressé pour mettre la main, via ses clients (assureurs, banques…), sur une partie de l’épargne des Français, afin de l’orienter vers l’épargne-retraite.

BlackRock, comme les autres « assets managers » hexagonaux, a participé au lobbying pour la loi Pacte, votée en 2019, qui fait la part belle aux produits d’épargne retraite par capitalisation. Le géant de la gestion d’actifs ne s’est jamais caché de s’intéresser, comme ses concurrents, au marché de l’épargne retraite en France. C’est même dans son ADN, comme l’expliquait de manière très transparente l’ancien directeur général de BlackRock France en 2013, au moment où le gouvernement Ayrault présentait sa propre réforme du financement des retraites.

« Les retraites, c’est un thème clé pour BlackRock. BlackRock s’est construit en gérant les capitaux de fonds de pension et fonds souverains. L’évolution des problématiques de retraite en France et dans le monde fait que BlackRock doit s’adresser aux particuliers ; même si BlackRock ne travaillera pas en direct avec les particuliers mais via des partenariats avec de grosses banques et des assureurs », affirmait sur le plateau de BFM Business le dirigeant.

Et la macronie s’est coupée en quatre pour attirer l’attention de BlackRock, qui attend d’un président qu’il fasse les « réformes favorables aux entreprises ».

Macron et BlackRock

Sur ce point, on peut dire qu’Emmanuel Macron n’a pas lésiné sur les moyens. En plus d’avoir baissé la fiscalité du capital et lancé les réformes du marché du travail, de l’assurance chômage, de la santé et des retraites, il entretient des contacts réguliers avec Larry Fink. Le grand patron a ainsi été reçu à l’Elysée et à Matignon dès juin 2017, avant même que les représentants de l’association française des gestionnaires d’actifs n’y soient conviés.

Pour maintenir les liens, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, est ensuite envoyé à New York pour promouvoir la « marque » France. Et le 26 octobre 2017, comme l’a révélé le Canard Enchaîné, le président de la République privatise les salons de l’Elysée pour recevoir à nouveau les dirigeants de BlackRock en compagnie de ses ministres.

Bref, il met tout en œuvre pour montrer au géant Wall Street que le la France n’est plus ce pays réputé « réfractaire » aux réformes économiques d’obédience libérale-mondialiste.

Depuis lors, le travail de séduction d’Emmanuel Macron paie. Larry Fink a appelé les investisseurs internationaux à investir la France. Et le gestionnaire d’actifs ne tarit pas d’éloges à l’égard de la politique menée par « l’ancien banquier d’investissement pro-européen » de chez Rothschild, Emmanuel Macron.

BlackRock donne ses directives

Isabelle Mateos y Lago, la conseillère du vice-président de BlackRock, Philip Hildebrand, donnait ensuite ses directives précises : elle espère alors, la mise en place effective « d’une vraie réforme du marché du travail », des « coupes intelligentes et durables dans les dépenses publiques », et des « baisses d’impôts à terme, pour les entreprises ». Ce à quoi la macronie va s’atteler fissa.

En septembre 2017, Isabelle Mateos y Lago se félicitait aussi que la « réforme du marché du travail » ait « bien démarré » et que « toute une série de réformes devrait prochainement être adoptée sans trop de protestations. »

En 2018, BlackRock a dépensé 1,5 million d’euros en lobbying à Bruxelles sur le sujet des retraites et en juin 2019, BlackRock a publié une feuille de route pour la France en matière de retraite (cf : « On vous explique la polémique sur BlackRock, ce fonds d’investissement soupçonné de vouloir imposer la retraite par capitalisation en France »Francetvinfo.fr, 17/12/2019). Larry Fink a été une nouvelle fois reçu à l’Elysée en juillet 2019 pour parler « investissements responsables ».

Le document de lobbying cité ci-dessus s’intitule « Loi Pacte : le bon plan Retraite ». La loi Pacte, portée par le ministre Bruno Lemaire a été adoptée le 11 avril 2019. Elle avait de quoi réjouir le gestionnaire d’actifs. Elle a créé en effet de nouveaux plans d’épargne retraite individuels et collectifs qui offrent une grande flexibilité de gestion, elle simplifie et renforce les systèmes de retraite par capitalisation.

Voilà la raison de l’entêtement macronien à réaliser « sa » réforme des retraites, malgré les vents et marées contraires ou inopportuns, tels que gilets jaunes, pandémie ou conflit en Ukraine.

À qui profite la retraite à 64 ans ? À BlackRock

La dernière étude d’Euronext montre que BlackRock possédait 1,9 % du CAC fin 2017, avec des participations autour de 5 % dans une vingtaine de multinationales françaises.

D’après Les Echos, l’encours de dettes françaises détenues par BlackRock a doublé pour atteindre 32 milliards de dollars en août 2018. Le géant maintient également ses expositions à près de 100 milliards de dollars aux actions françaises, et reste l’un des principaux actionnaires du CAC 40, derrière les familles Arnault, Bettencourt.

En 2022, BlackRock étant devenu l’un des principaux actionnaires du CAC 40, le gestionnaire de fonds dispose maintenant de participations conséquentes dans au moins 18 multinationales françaises : BNP Paribas, Axa, Renault, Bouygues, Total, Vivendi, Société générale… Blackrock, possède plus de parts dans les entreprises du CAC40 que… l’État Français.

BlackRock figure ainsi mécaniquement parmi les principaux bénéficiaires des très importants dividendes versés par les entreprises du CAC 40 chaque année.

Le fonds de gestion profite donc largement du cash que les multinationales françaises distribuent au détriment de l’investissement, des salaires et… des cotisations sociales, dont la retraite..




Note sur l’incohérence écologiste

Par Joseph Stroberg

À l’image de la médecine, si l’écologie a été un jour une science, elle est désormais une religion, voire un secte.

La première aurait dû rester l’art de soigner ou même d’aider à rester en bonne santé par une alimentation, un comportement et un environnement sains. La seconde aurait pu devenir l’art d’aider l’Humanité à soigner la planète ou de l’aider à rester en bonne santé, ceci en respectant les ressources qu’elle offre, et en adoptant un comportement responsable pour éviter de la détruire.

Les deux domaines se sont progressivement remplis de dogmes divers, de croyances que l’on n’a pas le droit de remettre en question (vaccination, théorie virale… d’un côté — énergies « vertes », réchauffement climatique… de l’autre), de fidèles fanatisés, d’inquisiteurs, de grands prêtres (souvent télévisés), de saints (Pasteur ou Greta, par exemple), de rituels (protocoles médicaux, manifestations anti-CO2)… comme il est typique de le voir dans des mouvements religieux sectaires. Autant l’Église Big Pharma déploie une vaste activité prosélytique pro vaccinale, autant celle des Verts le fait pour les éoliennes et le tout électrique, les deux sans la moindre considération des conséquences néfastes pour la santé et pour l’environnement humain et planétaire. L’électricité empoisonne pourtant probablement autant les corps que les vaccins peuvent le faire (voir les dossiers Vaccins et virus, et 5G et ondes pulsées, sachant les délicats équilibres chimiques et électriques qui existent dans les organismes vivants et dans la nature).

La science est basée sur le doute, sur une remise en question permanente des connaissances et des théories en fonction des nouvelles observations et découvertes. Tout l’acquis peut s’y trouver légitimement contesté à tout moment, en particulier dès qu’un élément observable et mesurable vient contredire les connaissances établies. L’existence d’un consensus, voire de l’unanimité sur une hypothèse, un modèle ou une théorie ne représente aucunement la preuve de sa validité. Tout le monde pourrait bien se tromper. La politique et les pressions financières ne devraient jamais s’en mêler. Sinon, la science se corrompt et tombe dans le scientisme et le sectarisme religieux.

L’hypothèse de gaz à effets de serre et d’une influence déterminante du CO2 produit par l’Homme sur le climat est contestée à juste titre (voir le dossier climat et l’article suivant [source] en PDF).

La lutte contre la production de CO2 et de méthane pousse les fanatiques écologistes au végétalisme (pour diminuer la production de pets de vaches) et au tout électrique supposé vert, alors que la production de batteries est particulièrement polluante et que le CO2 est nécessaire et bénéfique pour la vie végétale. Ces individus nuisent à la croissance végétale en diminuant le CO2 d’une part et en mangeant exclusivement des végétaux d’autre part. Ils nuisent aux animaux et à l’environnement avec la production d’éoliennes, de parcs solaires et de barrages hydroélectriques. De plus, en Allemagne, faute de production d’électricité à partir du nucléaire, ils en viennent maintenant à relancer le charbon qui pourtant produit beaucoup de CO2. (Voir https://www.bvoltaire.fr/le-fiasco-ecolo-fait-froid-dans-le-dos-des-villages-ruraux-allemands-sacrifies-sur-lautel-du-charbon/)

La production d’électricité nucléaire nuit aussi à cause des déchets radioactifs (sauf peut-être par la filière qui tend à les recycler ou par une approche avec le thorium) et la production d’énergie à partir de pétrole est également fortement polluante.

La solution pour un environnement sain et un corps sain ne passe pas par l’annulation du CO2 ni par le tout électrique, pas davantage qu’elle peut passer par le nucléaire, le charbon ou le pétrole. Elle passe par un changement radical de mode de vie. Cependant, un tel changement ne doit nullement être imposé par une élite mondialiste qui n’applique pas elle-même ce qu’elle prône, mais se réserve la belle vie face à des millions d’esclaves sous-alimentés.

Cette solution peut par contre passer par une prise de conscience, elle-même stimulable par l’éducation, mais sans recours aux processus de propagande et d’endoctrinement tels qu’ils ont cours actuellement autant en médecine qu’en écologie. En passant, découvrir avant cela une nouvelle source d’énergie quasiment inépuisable ne ferait probablement qu’aggraver les pollutions et autres atteintes néfastes à la planète autant qu’à l’Humanité.

La prise de conscience gagne à se faire sur la base d’une stimulation du sens de la responsabilité individuelle et collective. Si nous voulons moins polluer, nous devons moins produire d’énergies sales et de substances nocives ou toxiques qui en découlent. Et moins en produire implique moins consommer, moins de confort matériel, moins de loisirs oisifs tels que le tourisme, moins de commerce international, etc.

Cependant, nous pouvons conserver une certaine qualité de vie en retournant dans les campagnes, en décentralisant, en retournant à la créativité artisanale, en favorisant le partage des ressources et des productions (notamment mécaniques et technologiques), en produisant localement, en misant bien davantage sur la qualité des rapports humains et avec la nature, etc. Nous y gagnerons en santé, en temps libre et en joie de vivre, de partager, de donner, d’aider, de soulager… (Voir aussi Manifeste pour un nouveau monde).