La prophétie de Brandon Bible sur la tentative d’assassinat de Donald Trump il y a 3 mois a refait surface

[Note de Joseph : cet élément et celui présenté ci-après vont donner de l’eau au moulin de ceux qui penseront qu’ils s’agit d’une mise en scène pour faciliter l’élection de Trump. Et on ne peut pas exclure cette possibilité.]




La face cachée d’Elon Musk : ce que vous devez savoir

[Source : Parlons peu Parlons bien]

Dans cette vidéo, nous allons explorer les théories et les mystères entourant Elon Musk et son rôle potentiel dans le monde actuel. Est-il vraiment l’Antéchrist comme certains le pensent ? Nous allons déchiffrer les indices et les spéculations pour voir ce qui se cache derrière cette figure emblématique de la technologie. Rejoignez-nous pour un voyage fascinant au cœur des prophéties et des innovations technologiques.

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La réalité d’Elon Musk ?

(Vidéo 28 min)

Alex Jones, Elon Musk, Donald Trump, intelligence militaire, guerres de l’IA et Skynet

La réintégration d’Alex Jones sur Twitter n’est pas un hasard. Et cela a des implications bien plus importantes que ce que la plupart des gens imaginent. Parce que cela coïncide avec Elon Musk, les militaires, ce que Mike Adams appelle les réseaux d’intelligence profonde, et la façon dont ils soutiennent maintenant Elon Musk et Tucker Carlson. Et ils se préparent aussi à remettre Trump au pouvoir pour un troisième mandat. Et ce n’est pas une faute de frappe. Ce serait le troisième mandat de Trump, et non son deuxième, bien que le deuxième ait été illégalement occupé et écrasé par le régime antiaméricain de Biden.

Musk propose d’aider à reconstruire une bande de Gaza déradicalisée et « prospère » après avoir visité un kibboutz ravagé avec Netanyahou

Elon Musk s’est rendu lundi dans le sud d’Israël à l’invitation personnelle du Premier ministre Benjamin Netanyahou, où il a pu visiter un kibboutz israélien laissé à l’abandon par les raids terroristes du Hamas du 7 octobre.

Elon Musk, l’homme de main des mondialistes

Elon Musk est un projet de relations publiques des élites mondialistes. Dans l’espace médiatique, y compris en Russie, une image positive d’Elon Musk a été formée. Il est un entrepreneur prospère et propriétaire de TESLA, SpaceX et STARLINK, un conquérant de l’espace visionnaire et un vendeur excentrique de lance-flammes contre les zombies. Mais derrière cette façade colorée se cache un empire technologique profondément intégré au complexe de l’industrie militaire américaine.

Pourquoi Elon Musk a-t-il embauché Linda Yaccarino, cadre du WEF, pour devenir PDG de Twitter ?

Alors que certains voyaient en Elon Musk le gardien de la liberté d’expression, celui-ci vient de désigner comme PDG de Twitter Linda Yaccarino.

Or, Linda Yaccarino est la présidente du groupe de réflexion du Forum économique mondial (WEF) de Davos sur l’avenir du travail. Ce Forum économique mondial qui parlait il y a peu d’une nouvelle technologie permettant de lire dans vos pensées.




Le projet 47

[NDLR L’auteur de « Le projet 47 » est décédé quelques semaines après ce dernier article, d’un problème de santé :

https://legrandreveil.wordpress.com/2024/05/23/dernier-adieu/

]

[Source : legrandreveil.wordpress.com]

Par Louis d’Alencourt — 29 mars 2024

Nous allons aujourd’hui tenter d’expliciter un peu plus ce que j’appelle « le Projet 47 ». Si on voulait le résumer en quelques mots, je dirais qu’il s’agit du projet d’hégémonie mondiale d’un groupe restreint de personnes que l’on considère actuellement comme le gouvernement mondial occulte, et qui serait parvenu à ce pouvoir mondial effectif à un instant T, c’est-à-dire une fois arrivé au « 47 ».
Précisons qu’alors le 47 correspondrait à un double objectif, à savoir parvenir à ce moment-là à un pouvoir mondial définitif et irréversible, et en même temps entamer une nouvelle ère. Reste à savoir si ce pouvoir mondial, une fois parvenu au sommet, restera caché — comme maintenant — ou s’affichera visiblement, ce qui n’est pas garanti du tout. Parce qu’une fois parvenu au sommet, il faut s’y maintenir, et la discrétion, surtout dans ce domaine, est à la fois une protection et un gage de longévité. Et puis le peuple doit-il connaître les projets secrets de ses élites ?
Mais n’anticipons pas ; ce qui nous intéresse en premier lieu, c’est d’identifier le calendrier de ces messieurs, de connaître les grandes échéances qu’ils se sont eux-mêmes fixées.

Je précise, et ceci est fondamental, que je n’ai aucune preuve de ce que j’avance, mis à part certains indices ou signes très précis — de leur part — qui nous mettent sur la piste. Tout ce que je vais avancer ici est le fruit de déductions, de présomptions, de raisonnements bâtis à partir de l’analyse d’événements, de révélations, de connaissances, et de faisceaux d’indices et d’éléments — souvent cachés ou du moins ignorés du grand public — à partir desquels j’établis des liens que je relie entre eux. Ceci permet d’échafauder une série d’hypothèses, certes vraisemblables et cohérentes, mais pour lesquelles nous n’avons aucune certitude. Seuls les faits pourront nous donner raison, ou nous conduire à corriger, modifier voire abandonner tout ou partie de ces hypothèses.
De plus, la difficulté de l’analyse réside dans le fait que quelle que soit la source de nos informations, nous avons affaire à des spécialistes de la subversion et de la manipulation, qui ne disent jamais la vérité, où qu’ils soient et quels qu’ils soient, qui ne révèlent jamais les vrais motifs de leurs décisions — ou de celles qu’ils font prendre par d’innombrables intermédiaires haut placés —, et enfin parce que, pour comprendre la véritable nature des projets qui guident le monde, il faut prendre en compte leurs dimensions politiques, géopolitiques, économiques, historiques, métaphysiques, philosophiques, religieuses et spirituelles… car non seulement les projets véritables sont secrets, mais en plus ils relèvent d’un ou plusieurs de ces facteurs, qu’il faut deviner ou déduire derrière des dehors trompeurs.
Ce qui veut dire qu’aucun observateur habituel ne peut vous donner la clé des événements, car très peu sont capables d’établir une synthèse qui nécessite des connaissances aussi hétéroclites.
Et enfin, pour corser le tout, il y a le facteur surnaturel, c’est-à-dire des interventions divines donc non humaines — même si les exécutants sont des êtres humains — et qui ne sont pas toutes prévisibles ni faciles à reconnaître. À ce stade, aucun analyste ni politologue, ni géopolitologue ni même exégète ne pourra nous être utile, car aucun à ma connaissance, ne prend en compte le facteur surnaturel dans ses hypothèses ; seul l’eschatologue — croyant de surcroît — envisage cette dimension et peut l’intégrer dans ses perspectives, ce qui change considérablement l’éclairage de l’ensemble.

Le comité des 300

Avant de décrire un peu plus en quoi consiste le Projet 47, essayons de savoir rapidement qui, en définitive, est derrière ce projet.
Il ne s’agit pas ici de décrire les innombrables officines, plus ou moins secrètes, qui servent à la fois de lieux d’influence, de sélection et de management des élites, de réservoirs d’idées et d’élaboration de grands projets, ils ont tous été décrits par de nombreux ouvrages très documentés : loges maçonniques, Forum économique de Davos, Young leaders, sociétés de pensées, organisations de lobbying internationales, ONU et tous ses organismes internationaux associés, FMI, Banque mondiale, etc. sans oublier les partis politiques, tous noyautés eux aussi et soumis à ces organisations cosmopolites… tous servent en réalité, à des degrés divers, mais réels, de façon consciente ou inconsciente le même maître, celui dont on ne parle jamais et pour cause : il n’existe pas, ou plutôt il est censé ne pas exister, sauf à l’état de fantasme dans la tête de quelques complotistes en mal de publicité.
Oui, mais ces complotistes s’appuient sur des masses de documents, de présomptions et même de preuves qui établissent depuis plus d’un siècle sans aucun doute l’existence de ce pouvoir mondial secret que tout le monde pressent mais n’en connaît pas les membres, ni le fonctionnement, ni la véritable influence sur la marche du monde, ce gouvernement mondial qui agit dans l’ombre et que Walter Rathenau a résumé en une phrase lapidaire :

« Le monde entier est gouverné par 300 israélites que je connais ».

Walter Rathenau est le fils du fondateur d’AEG ; juif allemand, il fut ministre des Affaires étrangères de la République de Weimar, assassiné en 1922. Membre de la très haute bourgeoisie, et de la haute bourgeoisie juive, et homme d’Etat, Rathenau est donc crédible quand il s’exprime ainsi ; ces quelques indiscrétions lui ont coûté la vie, c’est facile d’exciter la première organisation antisémite venue pour faire taire les bavards.

Nous ne nous étendrons pas sur ce sujet ici, là encore les ouvrages de référence sur l’implication juive dans le gouvernement du monde sur les deux derniers siècles sont légion, mais il faut bien admettre que cette petite phrase résume l’essentiel :
— le monde entier… que ce soit clair… ce n’est pas anodin ;
— est gouverné… là encore le mot est précis, soyons lucides ;
— par 300 israélites… donc un petit nombre, exclusif notons-le bien (car tout en haut de la pyramide, il n’y a pas de non-juifs), probablement membres des grandes familles juives, dont quelques-unes sont connues du grand public ;
— que je connais… ce qui veut dire qu’ils sont quand même identifiables, du moins partiellement, et si le grand public n’en est pas capable, on peut estimer que certaines élites non juives (chefs d’états, hauts fonctionnaires, milliardaires…) en connaissent l’existence et peuvent en identifier quelques membres (ce qui peut expliquer bien des choses sur les rapports de forces).
Et comment gouverne-t-on ? Par l’argent. Derrière ces 300 israélites, tout le monde sait qu’il y a ce que l’on appelle la haute finance et la haute banque et que les États ne sont pas souverains, car soumis au chantage, au minimum, soit de la dette, soit du krach financier.
Bien sûr, on m’objectera que gravitent autour de ce comité des 300 énormément de personnes qui ne sont pas juives, y compris au niveau des banques, c’est exact. Mais le noyau dur, le centre décisionnel final, c’est ce comité des 300, là-dessus je pense que Rathenau ne se trompait pas et n’exagérait pas, et que, ce qui était valable en 1922 l’est encore plus — mais alors bien plus, et de façon presque palpable — en 2024.

Le projet messianique

Seuls les imbéciles, les naïfs et les ignorants, soit la majorité de nos concitoyens, ne savent pas que depuis deux mille ans la communauté juive caresse un projet messianique basé sur les promesses de Dieu faites à son peuple via les prophètes de l’Ancien Testament — à commencer par Isaïe —, à savoir la domination du monde, l’accaparement et la jouissance de ses richesses.
C’est une promesse divine, or Dieu ne peut pas mentir ni se tromper, donc… dans leur esprit c’est autant inéluctable que légitime et nécessaire.

[Voir aussi :
La synagogue de Satan
Histoire juive, religion juive : le poids de trois millénaires, par Israël Shahak
Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives]

Or le peuple de Dieu à qui la promesse a été faite, c’étaient les Hébreux bibliques, que l’on appelle juifs aujourd’hui, et qui se considèrent comme exclusifs : les non-juifs ne font pas partie du peuple de Dieu d’où selon eux, leur rôle particulier de peuple-prêtre, c’est-à-dire d’intermédiaire entre Dieu et les hommes. D’où aussi la nécessité de justifier d’une ascendance par les liens du sang et/ou, au moins, par l’appartenance à la communauté judaïque, car le judaïsme, c’est-à-dire la religion, y joue un rôle essentiel d’osmose, de justification et de continuité de l’ensemble.
Cette domination sans partage sur tous les peuples et nations de la terre doit se faire par le Messie et à son avènement. Voilà, très schématiquement, le fondement de leur doctrine même si, évidemment, officiellement elle n’est jamais présentée ainsi, surtout aux goyims (les non-juifs).

Il convient de rappeler, pour la bonne forme et pour ceux qui l’ignorent, que leur Messie est bien venu il y a deux mille ans, c’est Jésus, le Christ (Christ veut dire Messie en grec). Et Jésus (Dieu fait homme, faut-il le rappeler) leur a expliqué que la lecture matérialiste, charnelle et littérale qu’ils faisaient de l’Écriture était fausse : non seulement la faculté d’enfant de Dieu n’était plus réservée aux seuls juifs, mais à tous ceux qui croiront en Lui, mais aussi que la richesse attendue n’était pas d’ordre matériel, mais spirituel : ce sont les âmes qui s’enrichissent par la grâce obtenue par la foi, les bonnes œuvres et les sacrements. Quant à la domination mondiale et au regroupement des richesses, ils s’accomplissent de manière inverse à ce qu’ils croyaient : c’est parce que les nations et les peuples rejoignent le peuple de Dieu (qu’on appellera très vite les chrétiens) que ce dernier devient universel et regroupe ses richesses dans une seule entité : la chrétienté, un seul peuple (spirituel) derrière un seul pasteur (le Christ) ayant en commun une seule foi.

Ceci pose un triple problème :
— d’abord un antagonisme certain entre juifs et chrétiens, à cause du Messie : les uns l’attendent encore, les autres l’ont, mais il s’agit du MÊME Messie, et il ne peut y en avoir qu’un ;
— ensuite une dispute sur la domination du monde, car les deux prétendent être légitimes à l’obtenir puisque les deux s’appuient sur les mêmes textes, sachant que les chrétiens ont en plus reçu l’ordre du Christ d’évangéliser et de baptiser toutes les nations, ce qui veut dire que la chrétienté doit à terme dominer le monde ;
— et enfin celui de la possession du pouvoir spirituel. Dieu ne se partage pas et le Messie est Fils de Dieu ; donc seul l’un des deux possède l’Emmanuel (qui veut dire : Dieu avec nous) ; non seulement il ne peut y avoir qu’un, mais l’autre ne peut et ne doit pas prétendre l’avoir, ce qui sous-entend qu’il ne dispose pas du pouvoir spirituel promis. Et ceci pose aussi un problème sur le statut de peuple de Dieu : les juifs l’ont perdu à l’avènement du Christ puisque, les Évangiles sont formels, les enfants de Dieu sont désormais uniquement constitués de ceux qui croient en Jésus-Christ. Mais les juifs nient ce changement, bien entendu.

On comprend mieux pourquoi les enjeux sont énormes : parce qu’il ne s’agit pas d’une simple controverse religieuse entre les croyances de deux religions, mais bien de la destinée elle-même de la chrétienté et du peuple juif : c’est l’un ou l’autre. Enjeux et problématiques que ne partagent pas les autres religions, ils sont intrinsèques aux deux antagonistes à cause du Messie, cas unique que les deux se disputent.
Voilà pourquoi nous ne sommes guère étonnés lorsque nous trouvons presque systématiquement un ou des juifs parmi les ennemis de la chrétienté, à chaque fois qu’il y a un événement destiné à la combattre, la discréditer, la déformer, la déstabiliser ou l’annihiler.

Et voilà pourquoi les catholiques considèrent, à juste titre, que leur ennemi le plus farouche est le judaïsme, qu’il est le chef de file, l’inspirateur ou au minimum le complice de pratiquement tous les projets destinés à détruire l’Église, et par extension la chrétienté, et que l’expression utilisée par saint Jean dans l’Apocalypse « la synagogue de Satan » est à prendre dans son sens littéral : oui la synagogue est le principal instrument de Satan contre le Christ et ses enfants, même si évidemment il n’est pas le seul, et qu’il se sert des autres ennemis de la chrétienté, souvent à leur insu, pour parvenir à ses fins.

L’expansion de la Synagogue

Les juifs n’ont jamais abandonné leur projet messianique, bien au contraire. Nous n’allons pas faire un cours d’histoire ici, mais seulement en rappeler quelques traits. Il faut toujours avoir à l’esprit, pour bien comprendre les événements et leurs motivations profondes, que Satan, dès le début, a formé une immense coalition antichrétienne au sein de laquelle, très souvent, on retrouve des juifs comme inspirateurs, coordinateurs, idéologues ou même acteurs parce que, je le rappelle, les juifs et les chrétiens revendiquent le même statut, constituer le peuple de Dieu, et veulent en obtenir les mêmes fruits : la domination du monde. Compte tenu de sa nature intrinsèque, d’être numériquement très faible, face à un adversaire universel qui convertit des nations entières, le monde juif utilise comme méthodes principales la dissimulation, la subversion et la manipulation. Les innombrables intermédiaires, quels qu’ils soient (par exemple la franc-maçonnerie), savent très rarement pour qui ils travaillent en réalité. Tout réside dans le fait que le projet messianique juif ne peut pas laisser les chrétiens occuper la place qui leur est due. C’est l’un ou l’autre, alors que l’inverse n’est pas vrai : les chrétiens peuvent cohabiter sans problème avec les juifs, dans la mesure où ceux-ci ne manifestent pas d’hostilité — même dissimulée — à leur égard, et ne cherchent pas à pervertir les idées et les valeurs.

Affaiblir la chrétienté, la subvertir, la pervertir, pour qu’elle s’effrite puis s’effondre et s’efface, voilà l’étape indispensable pour que le projet messianique de la Synagogue de Satan puisse avancer, la remplacer et dominer le monde. N’oublions pas que Synagogue et Satan sont extrêmement liés et il est souvent difficile de les départager dans les grands événements de l’histoire, tant Satan utilise la synagogue comme point d’appui et moteur de l’ensemble.
Une de ses plus grandes victoires fut la scission de la chrétienté via la Réforme protestante. Avec ses alliés protestants — faux chrétiens et vrais judaïques au rabais —, la synagogue a pris la main sur les États-Unis, pays très vite sous domination judéo-protestante, via notamment la maçonnerie.
En Europe, on peut retenir comme étape majeure la Révolution française, pas seulement pour sa dimension antimonarchique et anticatholique, mais aussi parce qu’elle a eu pour conséquence, entre autres, la déclaration des Droits de l’homme et l’émancipation des juifs ; deux idées qui ne sont pas venues toutes seules. L’une a pour but de remplacer un système (Christique — Dieu fait homme) par un autre (Humaniste — l’homme fait dieu), et l’autre affranchit la Synagogue des barrières qui empêchaient son expansion.
Pour bien comprendre cette expansion, et la puissance obtenue en très peu de temps (moins d’un siècle), il suffit de savoir qu’à la fin du XIXe siècle, le monde civilisé était pris en étau entre deux systèmes, deux doctrines, opposées en apparence, mais ayant le même fondement (le matérialisme) et les mêmes géniteurs : le capitalisme libéral et le communisme. Que les deux aient de multiples variantes, que les deux aient séduit d’innombrables populations, peu importe : les deux sont d’inspiration et d’essence judaïque : idéologies et doctrines, acteurs, dirigeants, entraîneurs, diffuseurs… dans les deux cas, le noyau est juif, relayé ensuite par des quantités de personnes, ce qui prouve que la domination juive du monde civilisé avait commencé pour de bon.
D’où son corollaire immédiat : l’affaiblissement du christianisme et la disparition des régimes catholiques et des derniers empires centraux chrétiens (rôle de la Première Guerre mondiale).

D’où l’apparition du sionisme : le premier congrès sioniste s’est tenu à Bâle en 1897. C’est parce qu’elle avait obtenu l’émancipation en Europe moins d’un siècle auparavant, et grâce à l’expansion économique sans précédent du XIXe siècle, que la diaspora juive, et son futur comité des 300, s’est sentie capable d’enclencher une phase déterminante de son histoire : le sionisme.
Qu’est-ce que le sionisme en réalité ? C’est la prise de conscience par une partie de l’élite, que les promesses liées au Messie commençaient à s’accomplir concrètement ; les Protocoles des sages de Sion, qui sont en réalité le compte-rendu des actes des groupes de travail du congrès sioniste de Bâle, montrent bien que dans leur esprit la domination mondiale est à leur portée. L’objectif s’est transformé en certitude. En fait, cette élite de la synagogue a cru comprendre que les promesses faites à leur peuple s’accomplissaient par eux et qu’en conséquence c’était eux qui faisaient le travail du Messie, d’où l’état d’esprit devenu majoritaire dans leurs rangs et que Bernard Baruch a résumé dans cette formule lapidaire, mais oh combien éclairante : « le Messie c’est le peuple juif dans son ensemble ».
Je crois que c’est là le secret du judaïsme et du sionisme : en accomplissant lui-même les promesses du Messie, en ce faisant Messie lui-même, il se divinise et devient Dieu lui-même puisque le Messie est Dieu. Donc on adore une idée de l’homme devenu un dieu, et cet homme c’est le juif, c’est le monde judaïsé, dont la mentalité matérialiste a remplacé l’idéal chrétien, et qui a permis à la Synagogue de prendre la direction du monde, par le biais de l’argent (monopolisation effective des richesses, même s’il leur faut en partager un peu) et des idées : on disait tout à l’heure que déjà au début du XXe siècle, les peuples n’avaient que deux choix principaux, capitalisme ou socialo-communisme, et que ces deux choix sont d’essence et d’inspiration juive. Il y a indéniablement dès cette époque une domination juive effective sur le monde (un auteur juif, Yuri Slezkine, a appelé le XXe siècle « Le siècle juif » et l’a démontré dans son livre), qui n’a fait que s’accentuer par le progrès économique et scientifique, qui ne sont que la concrétisation dans les faits de la conception matérialiste économique du monde de la Synagogue.
Et donc le sionisme avait pour objet, après avoir entériné la progression et l’accomplissement à terme des deux premiers volets (domination du monde et accaparement des richesses), de mettre en œuvre le troisième volet des œuvres à accomplir par le Messie : le retour du peuple juif en Terre promise. C’est fait depuis 1948 la boucle est bouclée et on doit en conclure que le Messie est bien parmi nous, non pas en tant qu’homme, mais en tant que peuple.

Le projet 47

Et on en arrive au Projet 47.
Pour comprendre le Projet 47, il était nécessaire d’en expliquer d’abord toute la genèse et l’état d’esprit qu’il implique. Car pour savoir ce qui se cache derrière le 47, il faut connaître la signification de ce nombre, et ensuite connaître l’historique et la vraie trame de l’idéologie et des projets de la Synagogue.

47 c’est le nombre du Messie en numération hébraïque. Cette valeur est valable pour les juifs comme pour les chrétiens.
Pour les chrétiens, Jésus fut le Messie promis aux juifs et au monde entier. Le nombre du Christ en gloire, c’est le 47. Jésus s’écrit Ieshoua en hébreu, soit Yod 10 + He 5 + Schin 21 + Wav 6 + He 5 = 47
De son côté, Jean-Gaston Bardet parvient à un résultat similaire : il révèle que le nom de gloire du Christ « est composé du Shin, symbole de l’humanité du Christ, intégré dans le tétragramme YHWH représentant la Trinité. Ce qui donne : YHShWH. Ce nom de gloire vaut 47. »

Revenons à la Synagogue.
Officiellement, tous les juifs attendent encore le Messie ; cependant la majorité de leur élite, dont le comité des 300, estime qu’en tant que peuple ils incarnent le Messie et en ont accompli par eux-mêmes les promesses, nous venons de le voir. Ceci n’est pas officiel et n’est jamais exprimé tel quel, au contraire ils laissent les juifs religieux, rabbins en tête, continuer à caresser l’idée de l’arrivée d’un Messie individuel, à l’espérer et à l’annoncer.

En fait ils savent tous que le Messie est collectif, qu’il est déjà en action, déjà là, déjà accompli, mais il leur reste une dernière étape à accomplir et cette étape est probablement la plus secrète de toutes.
La kabbale a confirmé le nombre (47) et fixé l’échéance au 20 janvier 2025, date d’entrée en fonction du 47e Président des États-Unis. Tout le monde voit l’allusion, la symbolique, et la comprend d’autant mieux quand on connaît la signification du 47.
Comment le sait-on ?
Parce que les élites juives, civiles et rabbiniques, ont demandé à l’ensemble des juifs du monde de réciter une prière mondiale pour demander le Messie le 21 février 2021 : ce jour-là, tous les juifs du monde devaient réciter la même prière à la même heure, 18 h heure de Jérusalem.
Or le 21 février 2021 est distant de 47 mois, au jour près, du 20 janvier 2025.
Donc les élites juives relient elles-mêmes le Messie (47) au 47e Président et l’annoncent 47 mois auparavant.
Pourquoi les États-Unis ?
Parce que les États-Unis sont et restent, quoiqu’on en dise, la première puissance mondiale, et que celle-ci est entre leurs mains :

« Nous le peuple juif contrôlons l’Amérique, et les Américains le savent. »

(Ariel Sharon en 2001, alors Premier ministre d’Israël en exercice).

Quelle est donc la nature du Projet 47 ?
C’est ici que nous entrons dans la grande inconnue. Qu’ont-ils en tête en faisant coïncider le Messie avec le 47e Président, sachant que le Messie est en réalité une entité collective ?
Nous n’avons pas la réponse à cette question, et personne ne l’a d’ailleurs, tellement le projet est maintenu dans le secret le plus absolu, mais il existe bien, l’écart de 47 mois entre leur prière mondiale et le mandat du président américain le prouve.

Nous ne pouvons que formuler quelques hypothèses :
1) S’agit-il de confier à cet homme, ou cette femme, le rôle de Messie individuel ?
Je ne le crois pas. Le Christ est unique et Satan n’a pas l’autorisation de l’imiter à ce point ; aucun homme ne peut se faire Dieu en dehors de la pâle imitation actuelle de l’homme divinisé par la science, la technique et l’affranchissement de la loi naturelle.
Par contre, ce personnage peut représenter le messianisme vainqueur et symboliser, par ses œuvres, ses décisions et ses prises de position, la domination de la synagogue sur le monde, sans être lui-même ni le Messie (pour les juifs), ni l’Antéchrist (pour les autres).

2) S’agit-il de déclarer à la face des peuples la domination effective du monde juif ?
C’est-à-dire, de proclamer devant tous l’accomplissement du rêve juif : la domination du monde ? Là encore, je ne le crois pas. La prudence impose, quand vous n’êtes que quelques dizaines de millions d’individus face à 8 milliards, de prendre quelques précautions. Même si vous contrôlez les élites, un retournement incontrôlable de la masse est toujours possible. Et puis, je le répète, les goyims doivent-ils être mis au courant ? Je ne le crois pas. La stratégie s’apparente plus, actuellement, à un abrutissement des masses selon la formule du pain et des jeux, une totale dépendance au système ce qui veut dire en réalité soumission à celui-ci, et un contrôle toujours plus précis des individus, rendu possible grâce au numérique, qui annihile toute tentative d’opposition, et à terme, de résistance. Mais aller dire à la face des peuples « Nous les juifs vous contrôlons et vous dirigeons » ce serait de la pure folie ; c’est déjà le cas, pas besoin de le dévoiler. Donc il ne faut pas s’attendre à ce genre d’annonce.

3) S’agit-il de commencer une nouvelle ère ?
Je crois qu’il faut chercher plutôt de ce côté-là. En fait, ils ne sont pas au début de l’œuvre, mais à la fin. La prise de contrôle du monde s’achève, et les ennemis sont annihilés, ou presque. On ne peut pas supprimer tous les opposants ou les récalcitrants, mais on peut les mettre au pas ; les empêcher de nuire, de réagir. L’ennemi numéro un c’est la chrétienté, je l’ai expliqué. Celle-ci est globalement éclatée en 3 entités : catholiques, protestants, orthodoxes. Les protestants sont de faux chrétiens, on pourrait dire la version judaïsée de la chrétienté, ils ne sont pas dangereux. Les catholiques sont à l’agonie, le plan de destruction du catholicisme commencé au concile est presque achevé, Bergoglio devrait avoir le temps d’ici les prochains mois de terminer son travail de destruction, qui devrait aboutir, selon moi, à une double explosion : la suppression de la Présence Réelle d’une part, et l’éclatement de l’Église par un grand schisme d’autre part. Je rappelle que la guerre est religieuse et que l’ennemi principal c’est le Vatican : c’est cette dernière serrure qui doit céder, pour que les juifs puissent récupérer l’Emmanuel sans concurrent. Quant au monde orthodoxe, les gréco-byzantins sont au niveau des catholiques conciliaires, donc sans danger ; il reste les Russes, le seul faux pas involontaire. Ils croyaient avoir annihilé la religion en Russie avec le communisme, elle a ressuscité de ses cendres, donnant raison à la Vierge de Fatima selon laquelle la Russie se convertira. Non seulement elle s’est convertie, mais elle tient tête à l’Occident pour ces raisons : c’est le seul et dernier pays chrétien qui s’oppose non seulement à eux, mais à leur système, dans les domaines de la morale, mais aussi de la géopolitique et du fonctionnement économique et social (en gros la Russie ne veut pas — ou plus exactement ne veut plus — obéir au comité des 300). On l’a bien compris, le sort de la Russie est en voie de résolution, il faut l’abattre (surtout le régime) et la soumettre, l’opération est en cours, voilà pourquoi ils ont lancé la guerre en Ukraine et voilà pourquoi ils disent qu’il est impératif que la Russie ne doit pas gagner. Pas pour favoriser l’Ukraine, mais parce que c’est le dernier pays chrétien qui leur tient tête.

Reste les musulmans. Je pense, mais je peux me tromper, que les opérations en cours à Gaza ont été suscitées pour mettre au pas le monde musulman dans son ensemble, pour le forcer à effectuer lui aussi sa soumission. Comment ? Je ne sais pas, mais il semblerait bien que ce soit l’objectif sous-jacent, parce que les répercussions de cette affaire dépassent largement la Palestine, c’est tout le monde musulman qui est impacté, y compris celui installé en Europe. Les Israéliens leur font la guerre avec des armes, les Français leur font la guerre avec la laïcité, dans les deux cas c’est leur soumission au système qui est recherchée.

On peut donc estimer que tout converge pour la fin de l’année : l’objectif est d’être prêts pour le 47e président, donc pour le 5 novembre (date du vote) et le 20 janvier suivant (date de prise de fonction du nouveau Président). D’ici là, il leur faut avoir résolu le problème russe, enclenché la soumission musulmane, et terminé avec les catholiques.
Je pense donc que pour eux, la nouvelle ère messianique, c’est-à-dire celle où ils sont les seuls maîtres en place sans véritable adversaire ou concurrent, doit s’ouvrir au 47e Président, le 20 janvier 2025, ou bien à partir de cette date.
Voilà ce que signifierait le Projet 47, on verra bien au vu des événements.

Que va-t-il se passer concrètement pour le 47e Président ?

Je vais me permettre ici d’introduire une dimension que les analystes ne prennent jamais en compte : le surnaturel. Dans de tels enjeux, Dieu a son mot à dire, et le démon n’a jamais eu la possibilité de faire tout ce qu’il voulait. Ses projets peuvent être perturbés, contrecarrés, retardés par des éléments perturbateurs qui n’ont pas d’explication rationnelle, sauf une intervention divine via, par exemple, la Vierge Marie.
Ce fut le cas de l’élection de Trump en 2016. C’est le cas de Poutine, homme du système, devenu ennemi de ce même système. De fâcheux imprévus qui peuvent tourner au cauchemar pour notre comité des 300 et tous ceux qui gravitent autour et exécutent leurs projets.
Si le président français Emmanuel Macron veut envoyer des troupes en Ukraine et cherche à y inciter ses alliés, ce n’est pas par solidarité envers l’Ukraine, mais parce que ses « patrons » doivent résoudre le conflit (en clair : faire tomber la Russie) d’ici la fin de l’année.
Le comité des 300 lui-même est loin d’être homogène ; il faut bien avoir à l’esprit que des clans, des intérêts, des points de vue, des méthodes divergents, et donc des désaccords, impactent les décisions, les calendriers et les projets.
Et enfin, même sous contrôle, les intermédiaires placés à des postes de responsabilité n’acquiescent pas toujours aux projets occultes, ou se trouvent dans des situations où ils ne peuvent les exécuter en l’état.
Tout ça pour dire qu’il y a toujours, même pour les hommes les plus puissants du monde, un fossé entre la théorie et la pratique, entre les objectifs et les résultats sur le terrain, les ordres donnés et leur exécution, et qu’il faut constamment s’adapter aux circonstances, corriger, rebondir, réajuster, abandonner, supprimer… quelles que soient les précautions et les anticipations prises.
Et tous ces problèmes internes nous sont cachés, ce n’est pas la presse qui va en parler, ni les individus concernés ; nous devons donc souvent deviner ce qui se passe à la réaction de ces Messieurs et en fonction de la nature des faits et des événements.

Je rappelle aussi que l’élection américaine du 5 novembre 2024 est particulièrement sous le signe de Satan, car celui-ci avait déjà retenu la date. À Medjugorje, sa fausse Vierge a demandé qu’on honore sa naissance au 5 août et non plus au 8 septembre. Comme si le Ciel pouvait se tromper durant des siècles et même laisser l’Église définir un dogme au 8 décembre (l’Immaculée Conception) donc à une date qui serait fausse. Car si elle est née un 8 septembre, elle est conçue 9 mois avant, soit un 8 décembre. Et si la naissance est un 5 août, la conception est alors un 5 novembre.
Par conséquent, si le démon nous indique le 5 novembre pour son « infernale conception » c’est qu’il y a une raison. Or le 5 novembre 2024 tombe très bien puisque c’est l’élection du 47e Président, le 47 désignant le Messie, on l’a dit, et ce Messie c’est la Synagogue de Satan, la fausse vierge hébraïque dont parle la Salette. Pas d’erreur donc sur ce qui sort au 5 novembre et commence son ère au 20 janvier suivant.

Mais voilà, comme je le disais en préambule, le Ciel tend à s’inviter dans les jolis projets de la Synagogue et à les perturber.
L’affiche de la présidentielle américaine 2024 est, pour le moment, un duel Trump-Biden.
Trump n’est sûrement pas l’homme choisi par le comité des 300, même s’il est sioniste (de toute façon c’est une condition exigée pour tout candidat, quel qu’il soit). Et puis l’élite juive a souvent tendance à être de gauche, donc plutôt de sensibilité démocrate.
La place du 47e est gardée par Joe Biden ; bien évidemment ce n’est pas lui, car s’il était réélu il serait toujours le 46e Président, mais on lui a fixé pour mission de garder la place au chaud pour celui ou celle qui se dévoilera probablement au dernier moment. Ceci est la seule explication plausible au fait que d’une part Biden se représente alors que sa sénilité est évidente, remarquée même par son camp et raillée par ses adversaires, et que d’autre part on l’ait laissé si facilement remporter les Primaires sans véritable concurrent. L’ordre vient de très haut.
Par contre, la présence de l’outsider Républicain Donald Trump n’était sûrement pas dans le plan, voilà pourquoi je parle d’intervention divine perturbatrice (et inattendue), et ceci explique l’acharnement judiciaire à son sujet, l’accumulation impressionnante de procès sur tous les sujets qu’ils ont pu trouver, pour l’empêcher coûte que coûte de se représenter. Et si Trump est encore en vie aujourd’hui, c’est probablement dû à quelques amitiés au sein du comité des 300, ou bien à des capacités de chantage que nous ignorons. Je le redis, nous petit peuple ignorons qui dirige le monde, mais pas certaines élites ; Trump ou Poutine en font probablement partie, voilà pourquoi ils savent sur qui il faut mettre la pression. ça marche dans les deux sens.

Par conséquent la stratégie paraît claire : le candidat qui doit gagner le 5 novembre est très certainement le Démocrate, quitte à tricher encore une fois, comme ils l’ont fait en 2020 pour reprendre la main et évincer Trump. Ceci me paraît être leur projet avec certitude.
Ensuite, l’inconnue réside dans le fait qu’on ne sait pas encore si celui ou celle choisi pour être le 47e Président, qui doit être selon moi forcément juif, ce qui n’est pas le cas de Biden, sera révélé peu de temps avant l’élection, remplaçant le candidat Biden à la dernière minute, dans un contexte et une situation arrangés pour la circonstance (l’actualité internationale est suffisamment riche pour « organiser » de grands changements), ou bien ne se révèlera qu’après l’élection, c’est-à-dire au cours d’un second mandat que Biden ne finira jamais. Dans ce cas il faudra bien faire attention au Vice-président(e), ce sera lui le futur 47.

Que ce soit une sorte de sauveur remplaçant Biden au pied levé avant ou après son élection, je pense que cette nouvelle ère sera mort-née et que l’Amérique est déjà condamnée, car si contre toute attente Trump est élu, la situation sera insupportable pour le comité des 300, tous leurs projets annoncés tombant à l’eau, donc ils sont capables de tout envoyer en l’air, et si Trump n’est pas élu, le pays basculera dans la guerre civile, les Républicains refusant certainement la triche pour une seconde fois.

Et si le divin s’invitait dans cette affaire ?

Mais à toute chose malheur est bon, nous dit le proverbe.
N’oublions pas que nous spéculons ici sur une période bien particulière, appelée fin du monde par les uns, fin du temps des nations par les autres, ou chute de Babylone par les troisièmes.
Quand on parle des projets du Comité des 300 et de l’élite juive en général, tout a l’air d’aller de soi. Bien sûr que non. Par exemple, la destruction et la mort de l’Église catholique, même si c’est envisagé sérieusement, est un événement qui, s’il a lieu, très certainement sur le modèle de la Passion de son divin Maître, ne dure pas : après la mort et le tombeau, il y a la Résurrection. Il en va de même pour tous les projets du démon : vaincre la chrétienté, amorcer une nouvelle ère par l’intermédiaire de la Synagogue, c’est bien joli, mais il ne peut s’agir que d’un projet mort-né sans avenir. Le Bien reprendra ses droits, c’est une certitude, et les méchants seront confondus.

Et puis, plus on va avancer vers les grandes échéances, plus vont se produire des événements que personne ne peut imaginer, car Dieu réserve au monde des interventions qu’il tient secrètes ; non seulement son action est annoncée de façon énigmatique (la chute de Babylone dans l’Apocalypse, par exemple), mais aussi parce que, nous le savons, sa façon d’agir sera inédite, sans précédent, et exceptionnelle.

Alors, pourquoi ne pas imaginer une sorte de détournement par notre Seigneur, Jésus-Christ, des projets de la synagogue à son profit ?
L’épisode de la conversion d’Alphonse Ratisbonne m’a donné cette idée, parce que celle-ci a eu lieu un 20 janvier, le 20 janvier 1842 ; or la Synagogue espère ouvrir son ère le 20 janvier 2025. Même date, même type d’individu, Ratisbonne était juif et athée, et peut-être même mode opératoire : ce jour-là Ratisbonne était à Rome, influencé par un ami catholique qui cherchait à le convertir, et qui l’incite à entrer dans une église, dans laquelle la Sainte Vierge lui apparaîtra : « elle ne m’a pas parlé, mais j’ai tout compris », dira-t-il, et il ressent comme des écailles qui lui tombent des yeux. Un miracle à l’origine d’une conversion fulgurante pour celui qui finira prêtre Jésuite.

Et pourquoi pas ?
Pourquoi le 47 ne serait-il pas NOTRE 47 ?
Après tout, 47 est la valeur numérique du mot Ieshoua, Jésus en hébreu, et c’est aussi pour les juifs le nombre du Messie (comme pour nous ! alors que pour eux ce n’est pas Jésus) puisqu’ils font une prière mondiale pour demander le Messie 47 mois avant l’investiture du 47e président !
Par quelle extraordinaire coïncidence retombent-ils sur le même chiffre pour la même chose ?

Comment se fait-il qu’un de leurs plus célèbres kabbalistes, le rabbin Kaduri, mort en 2006, auteur de plusieurs prophéties dont certaines autour du Messie, ait déclaré que « Jésus est le nom du Messie », et que ce dernier se révèlerait peu après la mort d’Ariel Sharon (décédé — pardon, débranché — le 11 janvier 2014) ?

Ne serait-ce pas en réalité l’annonce d’un de ces grands secrets de Dieu, celui de la fameuse « conversion des juifs » devant avoir lieu à la fin du monde et qui serait autant massive qu’inattendue et fulgurante. Et pourquoi pas ? Tout est possible à Dieu.

Conclusion

Le Projet 47, c’est l’entrée dans l’ère de l’hégémonie et de la domination des élites juives, du judaïsme et de l’esprit juif sur le monde (le tout formant leur « Messie »), et cette ère, nous disent-ils avec leurs signes ésotériques, commencerait à l’investiture du 47e Président américain, le 20 janvier 2025.
Mais puisque le 47 est aussi le chiffre du Christ en gloire, il n’est pas interdit de penser que l’inverse peut se passer et qu’en réalité, ce sera la victoire du Christ sur le monde, le démon et la synagogue. Et le signe de la conversion en masse des juifs à la fin du monde comme le pressent la tradition chrétienne.

Louis d’Alencourt, le 29 mars 2024, Vendredi saint.

Illustration : l’épisode du serpent d’airain, image anticipée du Sacrifice du Christ, vers lequel Moïse avait enjoint aux juifs de se tourner pour être guéris des morsures cruelles et mortelles des serpents.




Les racines occultes du Forum économique mondial

[Source : lifesitenews.com]

« Les justifications des politiques mondiales obscurantistes de l’ONU et du Forum économique mondial, qui visent à soumettre les peuples, sont habillées sous la forme de science, alors qu’elles sont basées sur l’ésotérisme et l’occulte et ne sont donc que la pensée irrationnelle d’imbéciles ».

[Voir aussi :
https://nouveau-monde.ca/un-professeur-finlandais-expose-les-racines-occultes-du-forum-economique-mondial/]

Par Frank Wright

De nombreuses théories délirantes circulent sur ceux qui seraient les maîtres de notre avenir. Peu d’entre elles peuvent rivaliser avec les idées abracadabrantes de ces personnes, dont les paroles, lorsqu’elles sont citées mot pour mot, semblent farfelues.

Que penser alors des affirmations d’un homme qui a eu affaire à certains de ces individus en personne ? Aujourd’hui, je vous présente les travaux du professeur Mikko Paunio, dont l’argument « … est qu’en fin de compte, les programmes mondiaux fondés sur l’ésotérisme et l’occultisme ou, plus simplement, le nouveau panthéisme de la nature, sont fous et donc socialement dangereux ».



Dire que le Forum économique mondial et ses groupes de pairs sentent le soufre, c’est faire preuve de méchanceté à l’égard de l’enfer. Pourtant, c’est en décrivant avec précision les actes de ces technocrates fantaisistes, pour qui nous ne sommes guère plus qu’un problème de gestion à résoudre, que l’on servira le mieux la cause de l’Humanité.

Une affirmation aussi audacieuse, si elle est faite sans preuve, peut être rejetée sans discussion. Pourtant, les recherches menées depuis 30 ans par le professeur Mikko Paunio, qui n’est pas étranger aux réunions au niveau de l’État, présentent un ensemble de travaux qui révèlent que « les politiques environnementales de l’ONU, du Club de Rome et du Forum économique mondial sont des absurdités ésotériques ».

Les arguments suivants ont été présentés pour la première fois à un public finlandais en octobre 2022, dans une présentation simplement intitulée « Le pouvoir occulte ». Ils ne sont pas avancés par un obscur théoricien du complot, mais par un homme dont la longue carrière l’a conduit dans les couloirs mêmes du pouvoir :

Les justifications des politiques mondiales obscurantistes de l’ONU et du Forum économique mondial, qui visent à asservir les peuples, sont présentées sous la forme d’une science, alors qu’elles sont fondées sur l’ésotérisme et l’occultisme et ne sont donc que la pensée irrationnelle d’imbéciles.

Le professeur Paunio est un épidémiologiste qui a travaillé pour un certain nombre d’institutions de santé publique dans son pays natal, la Finlande, et qui a fait un bref passage à la Banque mondiale. Il est actuellement médecin-chef au ministère finlandais des Affaires sociales et de la Santé. Son travail de conseiller scientifique et politique l’a amené à participer à des réunions au niveau de l’État dans toute l’Europe et aux États-Unis.

Il a combiné cela avec une opposition franche au culte du climat dont les « idées néo-malthusiennes » sont un point de principe parmi l’élite technocratique. En fait, c’est son travail de spécialiste en santé publique qui l’a d’abord alerté sur les sombres dessous de ces misanthropes adorateurs de la nature.

Lorsque j’étais un jeune chercheur en médecine, je suis devenu l’un des secrétaires de la commission de l’énergie du Premier ministre au lendemain de l’accident de Tchernobyl, en Finlande. Moi-même et les autres secrétaires devions lire un interminable flux de données manuscrites d’un membre de la commission appelé Pentti Malaska, professeur d’études prospectives à l’université d’économie et de commerce de Turku.

Qu’y avait-il de si remarquable dans cette réunion ?

Il s’est avéré plus tard qu’il s’agissait d’un occultiste.

L’intérêt du professeur Paunio a été piqué, et c’est ainsi qu’a commencé son long voyage dans ce qu’il appelle «… le nouveau panthéisme de la nature qui est né dans le cadre de l’ONU, avec ses partenaires le Club de Rome et le Forum économique mondial ».

Le Club de Rome a été fondé en 1968, l’année de sa publication phare, Les limites de la croissance. Il est composé d’une centaine de dirigeants d’État et de technocrates issus de gouvernements, d’entreprises et de bureaucraties supranationales telles que l’ONU.

Ce livre a marqué un tournant dans le culte moderne de la Terre, en présentant l’Humanité comme un handicap supporté par une planète souffrante. Il présentait un avenir marqué par un effondrement catastrophique — des systèmes et de la population humaine — sans l’intervention d’une organisation internationale bienveillante et éclairée.

En combinant les prophéties de malheur et les promesses d’espoir, elle a creusé un sillon que les dirigeants des bureaucraties internationales d’aujourd’hui ont bien su emprunter. L’Organisation mondiale de la santé, les Nations unies et le Forum économique mondial sont tous des adeptes de cette méthode et sont bien sûr unis dans leur engagement en faveur de projets tels que Net Zero.

Toutefois, comme l’explique M. Paunio, ces organisations ne sont pas seulement unies par un intérêt commun pour le marketing de la crise.

Dès 1991, dans mon premier livre, Vihreä valhe [Le mensonge vert], je faisais remarquer qu’une grande partie des activistes du mouvement néo-malthusien Green antiscience étaient attirés par l’anthroposophie ou la pensée occulte plus originale, c’est-à-dire la théosophie.

Le point de vue de Paunio est que les prétendus maîtres du monde sont des fantaisistes, et que leurs fantasmes sont directement inspirés d’une tradition occulte remontant au 19e siècle. Il affirme qu’ils n’appartiennent pas seulement à une secte, mais que la promotion et la pratique de ces croyances, qu’elles soient cachées ou non, constituent un credo qui a supplanté celui de l’Église.

Cette religion a largement remplacé le christianisme dans les pays occidentaux. Le panthéisme naturel s’inspire spécifiquement de la « sagesse » de la théosophie, fondée sur l’ésotérisme et l’occultisme de la plus célèbre escroc du monde, Madame Blavatsky, qui prétendait avoir découvert la « vérité perdue » qui unit les religions du monde.

Paunio prend soin de faire la distinction entre « ésotérique » — qui signifie « personnel » — et « occulte » — qui signifie « caché ». Il affirme qu’un culte de la fantaisie personnelle, dont les pratiques privées se reflètent dans une vision du monde détachée de la réalité, est endémique au sein de l’élite dirigeante. Si tel est bien le cas, cela expliquerait pourquoi tant de nos dirigeants ne semblent se préoccuper que d’eux-mêmes, et pourquoi leurs croyances et leurs politiques semblent souvent n’avoir que peu de rapport avec la réalité observable.

Quelles sont les preuves de l’existence d’un tel culte ? Certains de ses adeptes les plus éminents ne se soucient guère de garder pour eux leurs croyances occultes. En janvier 2016, Klaus Schwab «… est apparu dans une interview télévisée avec RTS Suisse en Suisse, où il a ouvertement révélé son occultisme ésotérique fou. »

Dans la vidéo mentionnée, Schwab parle de la « fusion des mondes numérique, physique et biologique » à travers une technologie qui, selon Paunio, n’est rien d’autre que de la science-fiction.

[NDLR Sauf que cette technologie est malheureusement bien réelle (et pas seulement brevetée) dans la plupart des cas, comme des articles des dossiers Implants numériques et contrôle mental et 5G et ondes pulsées permettent de s’en rendre compte. Il semble que ces individus aient les moyens de leurs ambitions.]

Tout ce que Schwab a mentionné à la télévision suisse en 2016 est tout simplement de la science-fiction contraire à l’éthique. Une telle technologie n’existe pas et n’existera jamais. Il s’agit juste de la pensée grincheuse d’un vieil homme grincheux basée sur des vols dans l’espace intérieur et des idées dérivées de rituels occultes.

Paunio affirme que la soi-disant science présentée par des gens comme Schwab n’est qu’une fantaisie. Qu’en est-il du protégé de Schwab, Yuval Noah Harari ?

[Paunio s’est-il donné la peine d’investiguer dans ce domaine technologique, ou bien se trouve-t-il sur ce point particulier face à quelque chose qu’il ne peut ou ne veut pas croire ?]

Le WEF a délibérément créé un faux CV en sciences naturelles pour Yuval Harari, qui est en réalité un historien.

Harari n’est qu’un imposteur, inventé par son maître pour ressembler à un prophète scientifique du futur. Il n’est rien d’autre qu’un autre Walter Mitty, affirme Paunio — mais un Walter Mitty dirigé par un homme ayant un certain attachement aux traditions occultes.

Klaus Schwab a recruté le fonctionnaire non élu de l’ONU chargé de l’environnement de loin le plus influent, Maurice Strong, un riche industriel canadien sans éducation (1929-2015), pour diriger la fondation du WEF. Maurice Strong a été LA figure centrale de la promotion de l’agenda du développement durable depuis le premier sommet environnemental de l’ONU à Stockholm en 1972. Il était également un occultiste et un ésotériste invétéré.

Paunio a longuement écrit sur le développement de la tradition occulte à partir du 19e siècle, notant et nommant des personnalités politiques qui ont visiblement absorbé les principes du nouveau panthéisme de la nature.

Comment ces fous ont-ils pu atteindre une plate-forme aussi puissante ?

Grâce au soutien inconditionnel que leur apportent les grands médias, les politiques mondiales insensées du FEM, qui visent à nous appauvrir et à aggraver les problèmes environnementaux, ont gagné du terrain dans toutes les institutions occidentales, y compris les églises protestantes et l’Église catholique.

Il n’y a pas à discuter, car les preuves sont partout autour de nous. Nous habitons déjà les monuments numériques d’un culte qui s’est emparé de nos dirigeants et de nos médias. Pourtant, les conclusions de Paunio vont plus loin que la religion internationale du malheur. Son travail révèle comment des organisations telles que le FEM travaillent avec les gouvernements pour falsifier les preuves afin de promouvoir un agenda — celui de l’effondrement.

Paunio a prouvé dans cet article que le Forum économique mondial a utilisé un fonds d’innovation finlandais pour promouvoir la Grande Réinitialisation de Schwab.

En 2016, SITRA, qui dépend du Parlement finlandais, a publié un rapport falsifié sur le miracle finlandais de l’économie circulaire et a créé le concept actuel d’économie circulaire pour le Forum économique mondial, qui est nuisible à l’environnement, à la santé humaine et à l’économie.

En exploitant ce concept, la Commission européenne a présenté aux législateurs de l’UE, par exemple, le règlement sur la taxation de la finance verte, le paquet sur l’économie circulaire de Jyrki Katainen et l’énorme ensemble de mesures sur le climat Fit for 55, qui est encore principalement entre les mains des législateurs de l’UE, et qui conduira finalement à une planification quinquennale de type soviétique et à la chute de la société industrielle moderne.

Le travail du professeur Paunio ne consiste pas simplement à se moquer des bouffons et à démentir leurs fausses références. Il s’agit d’une tentative sérieuse de contribuer au contre-récit d’un management technocratique dont le mal est rendu plus compréhensible par la révélation de ses inspirations occultes.

Il termine son long essai sur le sujet par un cri de ralliement adressé à la communauté de l’économie réelle.

Nous, le peuple, les travailleurs ordinaires et les entrepreneurs qui aiment leur pays et leur famille, devons nous réveiller pour défendre l’instruction, la liberté et la société moderne. Seule la recherche du bien, à partir de ses propres points de départ, peut supplanter ces expériences humaines menées depuis l’étranger. La Finlande, en tant que société à part entière et historiquement dominée par d’autres nations, est aujourd’hui une plate-forme solide pour des expériences farfelues, à moins que nos décideurs ne soient conscients des énormes dangers qui y sont associés.

Pour en savoir plus sur les travaux du professeur Paunio, consultez l’émission de John Henry Westen, ainsi que les articles à venir de Frank Wright sur le contexte de ses travaux.




Netanyahu et le Messie — La guerre messianique

[Source : strategika.fr]

Par Youssef Hindi

L’eschatologie et le messianisme juifs sont au cœur de la géopolitique proche-orientale et mondiale. Depuis les déclarations de Benjamin Netanyahu à propos des réalisations « des prophéties d’Ésaïe »1 par l’État d’Israël, le tabou théologico-politique a été brisé. Encore faut-il connaître le fond de ces espérances messianiques.

Le sionisme et la destruction des nations

La reconquête de la Terre Sainte et la reconstruction du Temple de Jérusalem par le Messie sont attendues par les juifs depuis 2000 ans. Mais depuis que s’exerce l’influence du lourianisme (XVIe siècle), les juifs sont devenus leur propre Messie, lassés d’attendre l’intervention divine et une Rédemption qui devait résulter de la piété et de la repentance du peuple juif. Il s’agit depuis de réaliser les promesses bibliques de façon autonome, sans l’aide du Messie.

Le livre du prophète Obadia (composé d’un seul chapitre de 21 versets), un texte essentiellement eschatologique, nous résume le programme sioniste de la fin des temps. Les israélites achèvent leurs prières du matin et du soir par le dernier verset de ce livre.

« Mais sur le mont Sion (N.D.A. Là où devait se trouver le Temple de Salomon et où aujourd’hui se situe la Mosquée d’al-Aqsa, à Jérusalem) un débris subsistera et sera une chose sainte, et la maison de Jacob rentrera en possession de son patrimoine (N.D.A. interprété comme le retour des juifs en Terre sainte pour la posséder). La maison de Jacob sera un feu, la maison de Joseph une flamme, la maison d’Ésaü un amas de chaume : ils le brûleront, ils le consumeront, et rien ne survivra de la maison d’Ésaü. »

(Obadia, 17-18)

Ésaü est le frère de Jacob, considéré par la tradition rabbinique comme le père de l’Europe, de Rome et par suite de la chrétienté.

Et le livre d’Obadia se clôt par ce verset présent dans les prières juives du matin et du soir :

« Et des libérateurs monteront sur la montagne de Sion, pour se faire les justiciers du mont d’Ésaü, et la royauté appartiendra à Yahvé. »

(Obadia, 21)

Le livre d’Obadia promet également la destruction de toutes les nations :

« Quand approchera le jour du Seigneur pour toutes les nations — comme tu as fait il te sera fait, tes œuvres retomberont sur ta tête. Oui, comme vous avez bu sur ma montagne sainte, ainsi les nations boiront sans discontinuer ; elles boiront et en perdront la raison, elles seront comme si elles n’avaient jamais été. »

(Obadia, 15-16)

La politique de Netanyahu : accélérer la venue du Messie

Le 14 avril 2024, alors que les tensions et le risque de guerre entre Israël et l’Iran atteignaient leur paroxysme, Ehud Barak, ancien Premier ministre d’Israël, a déclaré sur LCI :

« Netanyahu est sous l’influence de ces ministres [messianiques]… Il est une sorte d’esclave de ces ministres esclavagistes. Ils ont une influence énorme sur lui. Ils ne devraient pas l’avoir et on le force à faire un choix binaire. Il ne peut rien accepter d’autre… Ces ministres lui demandent de déclencher une escalade pour accélérer la venue du Messie. »2

Cette influence et ce rapport étroit qu’entretiennent les dirigeants israéliens et le monde rabbinique messianique sont anciens. Il est notamment illustré par un entretien du 18 novembre 1990 filmé entre Benjamin Netanyahu et le grand rabbin loubavitch Menahem Mendel Schneerson3 (1902-1994), un des maîtres spirituels du judaïsme à l’échelle mondiale et considéré comme étant potentiellement le Messie. L’échange qu’ils ont eu est édifiant4 :

Menahem Mendel Schneerson : « Je ne t’ai pas vu depuis longtemps. Bénédiction et succès. Double portion de bénédiction. »

Netanyahu : « Je suis venu demander votre bénédiction et votre aide. »

Menahem Mendel Schneerson : « Dans tous les domaines ?»

Netanyahu : « Dans tous les domaines — personnel et politique. »

Menahem Mendel Schneerson : « Depuis notre dernière rencontre, beaucoup de choses ont progressé. Ce qui n’a pas changé, toutefois, c’est que le Messie n’est pas encore venu ; alors faites quelque chose pour hâter sa venue ».

Netanyahu : « Nous faisons, nous faisons… »

Menahem Mendel Schneerson : « Apparemment ce n’est pas suffisant, alors que plusieurs heures sont déjà passées aujourd’hui et qu’il n’est toujours pas là. Mais il reste encore quelques heures avant la fin de la journée5 alors essayez encore aujourd’hui. »

Netanyahu : « Oui »

Le mouvement messianique religieux en Israël a franchi une étape importante en 2004 et 2005. Soixante et onze rabbins proclament, le 13 octobre 2004 à Tibériade, la création du nouveau Sanhédrin, le tribunal suprême du peuple juif, qui avait cessé d’exister en 429 apr. J.-C.

Réunis à nouveau à Jérusalem en janvier 2005, les juges qui composent le Sanhédrin ont établi une liste des problèmes à résoudre, dont voici quelques-uns : uniformiser les règles de la cacherout ; déterminer l’endroit exact où se trouvait l’autel sur le mont du Temple ; retrouver les descendants des tribus d’Israël éparpillés de par le monde ; restaurer la monarchie davidique ; établir un nouveau code éthique juif pour l’armée pour le substituer au code en vigueur, fondé sur des sources séculières, etc.

Le 14 mai 2018 à Jérusalem, Netanyahu a participé à l’inauguration de l’ambassade des États-Unis et à rappelé à cette occasion la phrase du colonel Motta Gour, commandant des parachutistes lors de la conquête de Jérusalem-Est en juin 1967 :

« Le mont du Temple est entre nos mains ! »6.

L’actuel gouvernement Netanyahu — alliance entre le Likoud et les ultra-orthodoxes ashkénazes et séfarades — formé en novembre 2022 est le plus messianiste de l’histoire d’Israël.

Les plus « radicaux des sionistes religieux messianiques, homophobes, misogynes et racistes parviennent au pouvoir. Ce sont les héritiers idéologiques des rabbins Kook, père et fils, de Shabtaï Bon Dov, d’Abraham Stern et de Meir Kahan »7.

Itamar Ben Gvir, ministre de la Sécurité nationale, a été félicité le soir du scrutin par ses amis les rabbins de l’Institut pour la reconstruction du Temple qui sont venus lui donner l’accolade. Comme son nom l’indique, cet Institut créé en 1987 prépare la reconstruction du Temple8. Et c’est Ben Gvir qui a la responsabilité de maintenir le statu quo sur l’esplanade d’Al-Aqsa.

Les fondamentalistes messianiques, représentés dans ce gouvernement, sont persuadés que le temps de la Rédemption est arrivé. 2022 correspond à l’année 5783 du calendrier hébraïque, dont l’acronyme est : « Tav Shin Peh Gimmel », qu’ils interprètent ainsi :

« C’est l’année de la vache de la rédemption »9.

L’Institut pour la reconstruction du Temple a organisé, le 22 septembre 2022, une cérémonie à l’aéroport Ben Gourion, à l’occasion de l’arrivée de cinq génisses rousses élevées par un évangéliste dans un ranch du Texas. Selon la tradition, la dixième vache rousse devrait être la dernière de l’histoire de l’humanité et d’Israël.

La guerre de Gog et Magog

Dans la tradition juive, l’arrivée du Messie, l’ère messianique qui apporte avec elle la Rédemption, la Guéoula (Délivrance) sont précédées de grandes catastrophes : guerre de Gog et Magog, bouleversements mondiaux, cataclysmes, chute de l’Humanité au plus bas degré de bassesse, disparation de la morale, etc.

Dans tous les textes les traditions apocalyptiques, l’annonce de la fin des temps est accompagnée d’images catastrophiques revêtant des formes variées : guerres mondiales, révolutions, épidémies, famines, catastrophes économiques, mais aussi apostasies, profanations du nom de Dieu, oubli de la Torah et rejet de tout ordre moral allant jusqu’au renversement des lois de la nature10.

« Il arrivera, en ce jour, le jour où Gog pénétrera sur le sol d’Israël, dit le Seigneur Dieu, que ma colère me montera à la tête. Et, dans mon ardeur, dans le feu de mon indignation, je le déclare : en vérité, ce jour-là, il y aura une commotion violente sur le sol d’Israël ! Sous mes coups trembleront les poissons de la mer et les oiseaux du ciel et tous les animaux des champs, et tous les êtres qui rampent sur le sol, et tous les hommes qui vivent à la surface de la Terre ; les montagnes seront renversées, les coteaux étagés s’affaisseront et toute muraille tombera à terre. Contre lui, je ferai appel, sur toutes mes montagnes, au glaive, dit le Seigneur Dieu ; [eux-mêmes], ils tireront le glaive l’un contre l’autre. Je ferai justice de lui par la peste et par le sang ; je lancerai des pluies torrentielles, des grêlons du feu et du soufre sur lui et sur ses légions et sur les peuples nombreux qui l’accompagnent. Ainsi je me montrerai grand et saint, je me manifesterai aux yeux de nations nombreuses, et elles reconnaîtront que je suis Yahvé. »

(Ezéchiel 38, 18-23)

Dans le texte de la Mishna (loi orale inscrite dans le Talmud), la première codification canonique de la Halakha (terme désignant la loi juive), on trouve des descriptions apocalyptiques sur les cataclysmes de la fin des temps11 :

« Sur les talons du Messie [c’est-à-dire à l’époque de sa venue], l’orgueil augmentera et le respect disparaîtra. L’hérésie l’emportera et il n’y aura pas de réprobation morale. La synagogue deviendra une maison de prostitution ; la Galilée sera dévastée ; le peuple des frontières ira errant de ville en ville, et nul n’aura pitié d’eux. La sagesse des scribes sera tenue pour odieuse et ceux qui éviteront le péché seront méprisés. On ne rencontrera plus la vérité nulle part. Les enfants seront la honte des vieillards et les vieillards en viendront à exprimer de la déférence à l’égard des enfants.

“Le fils insultera son père, la fille se dressera contre sa mère, chacun aura pour ennemis les gens de sa propre maison” .

(Michée, 7, 6)

Le visage de cette génération sera semblable au visage d’un chien [c’est-à-dire : ce sera le règne du cynisme]. En qui pourrons-nous alors nous confier sinon à notre Père qui est dans les cieux ? » 

(Mishna, fin du Traité Sota)

Les eschatologies chrétienne et islamique annoncent également ces catastrophes à la fin des temps, mais la différence majeure avec le judaïsme est que dans cette religion il y a un mouvement apocalyptique qui vise à provoquer ces évènements funestes pour accélérer la venue du Messie.

Ces temps apocalyptiques et les catastrophes qui les accompagnent sont le passage obligatoire menant aux temps messianiques, à la Rédemption. Très tôt, au sein du judaïsme, la tentation est née de hâter les temps messianiques en provoquant ces événements catastrophiques.

« Les maîtres du Talmud se sont aussi posé la question de savoir s’il est possible de “hâter la fin”, c’est-à-dire si par l’action il est possible de forcer la venue de la fin. Cette question fut l’occasion d’un profond clivage d’opinions concernant le messianisme. Le rêve n’était pas toujours accompagné de la décision de faire quelque chose pour qu’il se réalise effectivement. »12

Finalement, le Talmud tranche (au IIIe siècle) et interdit de hâter les temps messianiques :

« Les israélites sont adjurés de ne pas se révolter contre les royaumes de ce monde [les puissances séculières], de ne pas “hâter la fin”, de ne pas révéler les mystères de celle-ci aux nations et de ne pas se dresser de l’exil comme un mur [c’est-à-dire se dresser en grand nombre]. Mais alors, pourquoi le Roi-messie doit-il venir ? Pour rassembler les exilés d’Israël. » 

(Rabbi Helbo, Midrash sur le Cantique des cantiques, Shir ha-Shirim Rabba II, cf. Ketubot 111a)

Mais la Rédemption et la Délivrance sont attendues si fiévreusement par les juifs, que l’interdit talmudique de hâter la venue du Messie sera violé à de multiples reprises au fil des siècles pour être finalement nié. Le sionisme est à inscrire dans ce mouvement visant à hâter les temps messianiques puisque c’est le Messie qui devait ramener les juifs en Terre sainte.

Lisons ce que disent les rabbins au sujet de cette délivrance :

« La Guéoula, la Délivrance finale, est un sujet profond et sérieux. Tout aussi profond et sérieux que les lois du Chabbath ou de la Cacheroute. Malheureusement, ce concept est parfois perçu comme une série d’événements, dont le caractère apocalyptique, risquerait d’atténuer notre désir de voir cette Guéoula se réaliser de nos jours. Nous tenterons d’établir, au fil de nos textes qu’on peut parler de cette Guéoula en des termes beaucoup plus positifs et stimulants. La guerre de Gog et Magog fait l’objet de quelques chapitres de la Bible. Dans Ezéchiel et Zacharie. Aucune date n’est donnée, aucun nom n’est reconnaissable bien évidemment. Comme toute prophétie, celles-ci sont sujettes à interprétation.

Ainsi, de nombreux dirigeants de notre peuple ont déjà affirmé que les deux guerres mondiales pouvaient déjà être considérées comme ayant concrétisé ces prophéties. Et que si effectivement les Juifs devaient en pâtir, la Shoah nous en avait déjà acquittés. Le Talmud aussi parle de cette guerre. Par exemple dans le traité Brakhot13. Bizarrement, on ne parle pas de massacre. On relativise même la gravité de cet événement : l’homme doit bien plus s’inquiéter de l’éducation de ses enfants et de ses conséquences que de la guerre de Gog et Magog.

En effet, il est dit dans les Psaumes de David14 :

“Pourquoi se démènent les peuples, et les nations agitent-elles de vains projets ?”

Ceci fait référence à la guerre de Gog et Magog. Pourtant, cela n’a pas l’air de tourmenter David outre mesure, comme on le voit dans la suite15 :

“Celui qui réside dans les cieux en rit, le Seigneur Se raille d’eux”. Par contre, dans le psaume suivant, à propos de son fils rebelle Avchalom, David s’écrit “nombreux sont mes tourments” !

Le message moral que veut faire passer le Talmud est clair : occupez-vous de vos enfants plutôt que d’aller chercher des sensations fortes en essayant de vous faire peur. Tout ceci est vain et ne touche pas les Juifs. »16

Gershom Scholem, historien du judaïsme, écrit ainsi :

« Pour les prophètes et les maîtres de l’Aggada [les enseignements rabbiniques non législatifs] la rédemption devait se produire par suite d’un bouleversement général, d’une révolution universelle, de catastrophes, de calamités inouïes en vertu desquelles l’histoire devait s’effondrer et s’éteindre. L’histoire était considérée par eux avec le pessimisme le plus absolu… Pour aboutir à la délivrance, il est nécessaire que l’édifice actuel soit abattu pour faire place à l’édifice messianique… »17

À la fin des temps, explique Scholem, il y aura une opposition fondamentale entre « le bien », représenté par Israël, et « le mal », incarné par les nations non-juives :

« Dans les Apocalypses, il est question par contre de deux éons, qui se suivent l’un après l’autre et se tiennent dans un rapport antithétique : le monde présent et le monde à venir, le règne des ténèbres et le règne de la lumière. L’antithèse nationale entre Israël et les Nations s’élargit en antithèse cosmique. Les domaines respectifs de la sainteté et du péché, du pur et de l’impur, de la vie et de la mort, de la lumière et des ténèbres, Dieu et les puissances qui lui sont hostiles, s’opposent. Un arrière-plan cosmique étendu sert de toile de fond aux données eschatologiques nationales. C’est dans ce contexte que doit se produire l’affrontement final d’Israël et des Nations. »18

La reconstruction d’Israël — détruit par les Assyriens avant que Juda ne soit détruit par les Babyloniens — est centrale dans l’eschatologie biblique. La destruction du second Temple fut l’ultime traumatisme qui eut un effet durable sur le messianisme :

« Quand les Juifs comprirent qu’ils avaient perdu définitivement leur existence nationale après les troubles qui suivirent la destruction du second Temple et la fin de l’ancien monde, ils eurent une conscience vive du caractère cryptique et mystérieux du message messianique. Le messianisme, en effet, a toujours eu pour objet le rétablissement de l’existence nationale, bien qu’il mène également au-delà de celle-ci. »19

Du point de vue du sionisme messianique, le retour du peuple juif en Terre sainte ne suffit pas. La réalisation du Grand Israël et de son règne sur le monde, passe par des guerres de grandes échelles, tout particulièrement celle de Gog et Magog.

Dans le livre du prophète Daniel (qui aurait vécu durant l’exil à Babylone, entre 588 et 538 av. J.-C.), il est une prophétie relative aux quatre empires ennemis du peuple juif. Selon cette prophétie, tous les empires en question s’effondreront, à savoir, l’Empire babylonien, puis l’Empire des Mèdes, suivi de l’Empire perse et pour finir l’Empire romain.

Le grand rabbin et maître du Talmud, Eliezer ben Hourcanos, qui vécut au Ier siècle, a livré une interprétation d’un verset de la Genèse à la lumière du livre de Daniel dont il tire ses conclusions quant à la victoire finale d’Israël. Il énumère les empires qui doivent tomber, les « ennemis » d’Israël qui seront « revêtus de honte », tandis que sur la tête du Messie des juifs « brillera son diadème ». Le quatrième et dernier empire ennemi d’Israël n’est autre que Rome20, qui sera le siège impérial et religieux de la chrétienté à abattre.

Dans la tradition juive, ces empires n’appartiennent pas au passé, ils sont les archétypes d’ennemis ontologiques du peuple juif. Ennemis qui s’incarnent perpétuellement. C’est particulièrement vrai pour Edom (surnom d’Ésaü, le frère de Jacob) qui s’est incarné en Rome, devenue la Rome chrétienne, devenue l’Europe, et par extension l’Occident qu’il s’agit de détruire encore et encore. Chaque incarnation de l’ennemi ontologique doit être abattue.

Si la chute de Rome est une condition importante du triomphe d’Israël d’après l’eschatologie juive, elle n’est pas la seule. Les textes fondamentaux du judaïsme indiquent également que la destruction d’Ismaël (fils d’Abraham, père des Arabes et par suite des musulmans), de l’islam, est une autre des conditions de l’avènement du Messie21.

Il en va de même pour la Perse, ennemi ontologique d’Israël du point de vue du judaïsme, qui est incarnée aujourd’hui par l’Iran contre qui Netanyahu veut entraîner les États-Unis en guerre. En 2012, Ovadia Yossef (1920-2013), Grand Rabbin d’Israël, a appelé tous les juifs à prier pour l’annihilation de l’Iran. Des dirigeants du ministère de la Défense, ainsi que le président du Conseil à la Sécurité Nationale, Ya’akov Amidror, et le ministre de l’Intérieur Eli Yishai, avaient rendu visite au Grand Rabbin pour le persuader de soutenir une éventuelle attaque d’Israël contre l’Iran. Une semaine avant de les recevoir, Ovadia Yossef avait tenu un discours similaire à propos de l’Iran22.

Ce type de discours ne se limite pas au monde rabbinique, il est aussi tenu dans les plus hautes sphères du judaïsme politique et de l’État hébreu. Pour s’en convaincre, il suffit d’écouter par exemple le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou. Lorsqu’il s’est rendu à Moscou le 9 mars 2017 pour demander à Vladimir Poutine de chasser l’Iran de la Syrie, il a utilisé, en guise d’argument, le récit d’un des livres de la Bible hébraïque, le livre d’Esther.

« Il y a 2500 ans, dit Netanyahou à Poutine, il y a eu une tentative en Perse de détruire le peuple juif. Cette tentative a été échouée et c’est ce que nous célébrons à travers la fête de Pourim… Voilà qu’aujourd’hui l’Iran, héritier de la Perse, poursuit cette tentative de détruire l’État juif. Ils le disent de la façon la plus claire, ils l’écrivent sur leurs missiles. »

La fête juive de Pourim célèbre le massacre de 75 000 Perses…

Vladimir Poutine rétorqua :

« Oui, enfin, c’était au Ve siècle avant notre ère. Aujourd’hui nous vivons dans un monde différent. Alors, parlons-en. »23

Le rabbin Daniel Scemama, comme nombre de ses coreligionnaires, interprète la géopolitique actuelle à la lumière des textes eschatologiques du judaïsme.

« Dans les écrits de nos prophètes, écrit-il, il est rapporté qu’une guerre verra deux peuples, Gog et Magog, s’affronter à la fin des temps. Cet événement aura des répercussions sur le pays d’Israël, bien qu’il ne sera pas directement concerné. On mentionne trois heures d’effroi, après lesquelles le peuple hébreu en sortira grandi. 

Bien qu’il n’y ait pas de tradition nette sur ces faits, comme le rapporte Maïmonide, certains grands Rabbanim [pluriel de “rabbin”] comme le Malbim (1809-1879) se sont penchés sur cette guerre chaotique en mentionnant une confrontation possible entre des pays islamistes et l’Occident. Un Midrach, écrit-il y a deux millénaires, nomme même la Perse (l’actuel Iran) comme l’un des protagonistes de cette guerre. On ne peut s’empêcher d’être saisis par la pertinence de ces enseignements dans notre époque, et il est important de se tenir prêts à de tels bouleversements. C’est ainsi que le “Hafets ‘Haïm, tout comme son élève le Rav Chajkin, voyaient dans tout événement politique important — la déclaration Balfour, la Guerre mondiale, l’affrontement éventuel entre l’URSS et les États-Unis — des faits potentiellement prémessianiques. »24

Selon une certaine interprétation de l’eschatologie juive, la Russie fait partie des ennemis d’Israël, car de nombreux commentateurs juifs, des rabbins, affirment que Gog est la Russie25.

Le déclenchement d’une guerre contre l’Iran, qui conduirait à terme vers une guerre mondiale opposant les États-Unis et la Russie, est précisément l’objectif des messianistes juifs qui cherchent à entraîner l’Humanité vers la catastrophe.

Youssef Hindi





Christianisme contre sionisme évangélique

[Source : guyboulianne.info]

« Christianisme contre sionisme évangélique ». Une entrevue exclusive avec Steve et Jana Ben-Nun pour le réseau TruNews, avec Rick Wiles

Par Guy Boulianne

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Je vous présente ci-dessous une entrevue exclusive que Steve Ben-Nun et son épouse Jana ont donné le 12 février 2020 pour le réseau TruNews. Fondateur de Israeli News Live, Steven Ben-Nun s’exprime à l’échelle internationale en tant qu’auteur, spécialiste de la Bible et de l’hébreu, ancien agent de renseignement et défenseur du peuple israélien et des droits humains des voisins d’Israël. Il enseigne avec sa femme Jana sur le sujet très mal compris de l’égalité biblique. Il est auteur et journaliste sur le climat politique et biblique affectant le Moyen-Orient. Steven croit que Yeshua (Jésus-Christ) est le Messie que Dieu a promis à Israël, le Rédempteur du monde. Passionné par la connaissance de son peuple de l’identité du Messie, Steven a consacré sa vie à l’étude de la langue hébraïque en privé pendant plus de 30 ans et sur le plan académique. Il a fréquenté le Pensacola Christian College et a terminé les études bibliques hébraïques avancées. Alors qu’il vivait en Israël, Steven a échappé de peu à un kamikaze le 22 septembre 2004 près de French Hill à Jérusalem. Les événements miraculeux qui ont entouré la vie de Steven façonnent le message dont il parle publiquement avec passion. Il est l’auteur de deux livres « Israel, Are they still God’s People? » (Israël, est-il toujours le peuple de Dieu ?) et « Yam Suph, The Sea of Reeds » (Yam Suph, La mer des roseaux).

Pour sa part, Jana S. Ben-Nun est journaliste et conférencière internationale. Elle est titulaire d’un baccalauréat ès arts de la Florida State University et a obtenu des crédits pour sa maîtrise à l’Université de Floride occidentale. Ancienne professeure adjointe à l’Université de Floride occidentale, elle est également titulaire d’un diplôme de sage-femme en soins infirmiers de la République tchèque. Jana continue d’étudier la prophétie biblique, avec une attention particulière sur la langue grecque Koine, dans le but de comprendre le point de vue de Dieu sur les femmes. Elle a étudié de manière approfondie en médecine naturelle et en biologie. Jana parle couramment cinq langues, dont le russe, l’anglais et diverses autres langues d’Europe de l’Est, ce qui constitue un atout majeur pour Israeli News Live. Grandir sous le communisme a donné à Jana une perspective unique des relations entre l’Europe et la Russie. Celle-ci écrit actuellement son premier livre « God Loves Pink » (Dieu aime le rose).

Récemment, Steve Ben-Nun s’est mis en relation avec moi sur le réseau social ✘ (anciennement Twitter), ce qui m’a donné l’idée de traduire et de transcrire en français cette entrevue que je connaissais depuis longtemps. L’entrevue est menée par Rick Wiles, le fondateur du réseau TruNews, l’une des principales sources d’information au monde qui rapporte, analyse et commente les événements et tendances mondiaux avec une vision du monde chrétienne orthodoxe et conservatrice. La vision est de construire un réseau d’information mondial qui fournit une source crédible d’actualités, d’événements et de tendances mondiales tout en accordant respect et honneur aux chrétiens de toutes les principales confessions – évangéliques, orthodoxes, anglicanes, catholiques et protestantes.


VEUILLEZ NOTER : La transcription ci-dessous n’est pas parfaite, mais j’ai fait de mon mieux pour que la traduction respecte toute l’essence de la conversation. Il faut savoir qu’il est très difficile de traduire une conversation orale car, souvent, les propos sont plus ou moins décousus. Merci.

➽ Christianisme contre sionisme évangélique

RICK WILES : Eh bien, mes invités d’aujourd’hui sont connus de beaucoup d’entre vous. Ils animent une émission très populaire sur YouTube appelée Israeli News Live. Les co-animateurs sont une équipe mari et femme de croyants juifs en notre Seigneur Jésus-Christ. Oui, ce sont des chrétiens juifs, mais ils rejettent fermement le sionisme. Je parle de Steve et Jana Ben-Nun. C’est la première fois que je les rencontre. Ils sont nos invités ici aujourd’hui depuis le milieu de la matinée, et nous avons eu l’occasion de nous asseoir ensemble dans mon bureau avec Susan, Doc et Matt, puis nous sommes allés déjeuner et avons continué notre conversation. Je leur ai demandé, « voudriez-vous rester un peu plus longtemps ? J’aimerais vous avoir sur True News aujourd’hui ». Et donc si vous ne les avez jamais vus, vous allez devenir l’un de leurs fans et vous visiterez leur chaîne YouTube, Israeli News Live. Steve, Jana, bienvenue. Heureux de vous avoir ici.

STEVE BEN-NUN : Merci. Rick, nous sommes très heureux d’être ici avec vous aujourd’hui.

RICK WILES : Très bien. Nous avons eu une bonne conversation aujourd’hui. Nous avons couvert plusieurs sujets.

STEVE BEN-NUN : Oui, nous avons fait beaucoup de choses. Et c’est vraiment un plaisir de pouvoir vous rencontrer, vous et le personnel ici. Tout le monde est tout simplement merveilleux. Mais oui, tout le monde est vraiment incroyable ici, Rick. Et vous savez, ce qui est vraiment sympa pour nous, c’est de venir rencontrer des gens avec lesquels on se sent vraiment chez soi, avec le sentiment de savoir, de rencontrer de vrais croyants en Jésus-Christ. Et c’est ce que nous apprécions. Et nous… j’ai même dit cela à ma femme alors que nous parlions en privé. Nous ressentons cela avec vous-même, votre femme, le personnel, tout le monde ici, des gens vraiment extraordinaires.

RICK WILES : C’est bien.

JANA BEN-NUN : C’était merveilleux d’entendre un évangile réel, vrai et pur prononcé aujourd’hui et d’attendre avec impatience Jérusalem d’en haut.

RICK WILES : Eh bien, merci. Nous sommes heureux de vous avoir ici. Euh, pour ceux qui ne connaissent pas Israeli News Live, prenez juste une minute et présentez-vous à notre public qui n’a jamais vu votre programme.

STEVE BEN-NUN : Eh bien, nous avons commencé Israeli News Live il y a sept ou huit ans, je suppose, quelque chose comme ça. J’oublie la date exacte du début réel. Nous avons commencé avant la diffusion d’Israeli News Live. Nous avons commencé comme un ministère d’enseignement, euh, mais très prosioniste. Moi, vous savez, je viens d’un milieu juif. Mes deux parents étaient juifs. C’étaient des juifs non pratiquants. Mais je viens toujours de ce milieu. J’ai donné ma vie au Christ quand j’avais huit ans, et j’ai vécu un événement où lorsque ma mère visitait une église avec un ami, elle n’y retournait plus jamais. Donc. Mais néanmoins…

RICK WILES : Une seule visite, vous aviez huit ans et vous avez été sauvé lors d’une seule visite dans une église ?

STEVE BEN-NUN : Lors d’une seule visite. Exactement.

RICK WILES : Quelqu’un prêchait l’Évangile ce jour-là ?

STEVE BEN-NUN : C’était le cas. Et tu sais, Rick, ce qui est drôle, c’est que quand j’avais 40 ans, je suis allé m’installer en Israël à ce moment-là, et quand je l’ai fait, avant de partir, je suis retourné dans cette petite église. Il s’agissait de l’église baptiste de Londres à Casselberry, en Alabama. Nous vivions à Casselberry à l’époque, et la meilleure amie de ma mère y est allée juste pour lui rendre visite. Mais j’ai laissé un mot et ils ont dit que le ministre qui administrait là-bas, je pense qu’il était décédé à ce moment-là, mais j’ai juste laissé un mot à l’église là-bas disant : « Je veux vous remercier pour un ministre qui prêcherait encore l’Évangile. Et le salut de Jésus-Christ. » J’ai dit, parce que maintenant, toutes ces années plus tard, 32 ans plus tard, j’apporte maintenant l’Évangile de Jésus-Christ à mon propre peuple en Israël. Et c’est un peu là que les choses ont commencé pour moi. Mais, même si je crois au Seigneur Jésus-Christ comme Sauveur, j’étais toujours un croyant de type pro-sioniste qui regardait davantage les Écritures avec des lunettes de type Schofield. Et donc, même si nous sommes passés du ministère à l’aspect informationnel des choses pour couvrir plus de choses, nous avons lancé Israeli News Live à ce moment-là, et Israeli News Live examinait principalement le spectre géopolitique sous un aspect plus biblique. Et nous avons vraiment gagné très rapidement en popularité avec ce programme, et toujours avec mon propre cœur, très sincère dans ce que je croyais et très passionné par celui-ci. J’ai survécu à un attentat suicide en Israël en 2004 par la grâce de Dieu. Mais à mesure que nous construisions le ministère là-bas, les choses commençaient à changer. Et ma femme a commencé à remarquer beaucoup de choses, et elle m’a fait lire un livre intitulé « The Holocaust Victims Accuse » (Les victimes de l’Holocauste accusent), qui était en réalité des rabbins juifs parlant de ce qu’ils ont vécu pendant l’Holocauste et comment ce sont les dirigeants sionistes qui leur tournaient le dos et permettaient à d’autres Juifs d’aller dans les camps de l’Holocauste et des choses comme ça, cela a vraiment commencé à me réveiller.

RICK WILES : Avez-vous lu « The Transfer Agreement » (L’accord de transfert) d’Edwin Black ?

STEVE BEN-NUN : Oui, oui. J’ai lu ça aussi.

RICK WILES : Est-ce que cela vous a ouvert les yeux ?

JANA BEN-NUN : Oui, en effet, car cela nous prouve qu’Hitler était en réalité sioniste, ce qui était une surprise totale qu’il ait coopéré avec les dirigeants sionistes.

RICK WILES : Oui, Adolf Hitler a travaillé avec les sionistes, c’est vrai. Diriez-vous qu’il était sioniste ?

JANA BEN-NUN : Eh bien, il a travaillé avec eux.

RICK WILES : Il a coopéré avec eux. Il les a aidés.

JANA BEN-NUN : C’est vrai, et ils ont une pièce de commémoration, c’est vrai. C’est exact.

RICK WILES : Ainsi, les premiers sionistes ont trouvé un moyen de travailler avec Adolf Hitler et le Troisième Reich. Le Troisième Reich a en fait contribué des millions de dollars au mouvement sioniste pour subventionner l’infiltration sioniste en Palestine.

JANA BEN-NUN : C’est vrai. Nous pouvons dire qu’Hitler a construit l’État d’Israël, il a contribué à construire l’État d’Israël.

RICK WILES : Oui, il l’a fait.

STEVE BEN-NUN : Nous avons d’abord commencé à diffuser cette information dans notre émission parce que plus j’étais choqué, plus j’en faisais ressortir. Et bien sûr, le conflit syrien a également été un facteur contributif, car à mesure que nous enquêtions sur les faits, nous avons commencé à reconnaître toutes les incohérences avec les médias grand public. Donc cela nous tournait aussi. Mais quand j’ai publié pour la première fois sur ce qui se passait pendant l’Holocauste, le peuple juif avait en fait autorisé la mort d’autres Juifs juste pour avoir des chiffres. J’avais un bon ami à moi dont toute la famille est issue du Mossad en Israël, et il m’a écrit et il m’a dit : « Steve, tu dois laisser tomber ça. C’est de l’eau sous les ponts. Il a dit, je sais que c’est vrai. Les documents sont là. Nous savons que c’est vrai. C’est écrit par des rabbins. Nous savons tout cela. Ce sont des informations factuelles. » Mais il a dit que ma propre famille avait en fait aidé à financer le Stern gang.

Menahem Begin

RICK WILES : Le Stern gang ?

STEVE BEN-NUN : Oui.

RICK WILES : Et le Stern gang était une organisation terroriste juive sioniste apparentée à Menahem Begin qui était responsable de l’explosion de l’hôtel King David et du meurtre de nombreux Arabes innocents.

STEVE BEN-NUN : Exactement, exactement.

RICK WILES : Et il a fini par devenir Premier ministre.

STEVE BEN-NUN : Oui, c’est le cas, et curieusement, vous savez, il y avait différentes choses le concernant et mes propres idées qui me venaient à l’esprit et que j’avais entendues, comme lorsque je vivais en Israël en 2004, mon colocataire là-bas était un soldat israélien. Il était originaire de Beer-Sheva. Il avait été blessé dans un accident, mais il me disait comment ils ciblaient les entraînements sur les Palestiniens et…

RICK WILES : Entraînement sur cible ?

STEVE BEN-NUN : Entraînement sur cible. Et je lui ai spécifiquement demandé, vous savez, « Iran » (c’est comme ça qu’on l’appelle Iran). « Iran », ai-je dit, « est-ce que vous voulez littéralement dire que vous ciblez l’entraînement et que vous en avez réellement tué ? » Il a dit : « J’en ai tué trois ». Et il était… Je ne sais pas s’il en avait vraiment honte ou ce que c’était, mais il m’avouait ces choses. Et en tant que croyant en Jésus-Christ, cela me dérangeait. Mais pourtant, je supprime toujours ces types de choses.

RICK WILES : Ben Gourion aurait déclaré : « nous considérions les Palestiniens comme des ânes ».

STEVE BEN-NUN : Oh, c’est pire que ça, Rick. Je veux dire, moi aussi, en raison de mon origine juive, je suis allé plus profondément juste en cherchant mes racines, même en tant que croyant. J’y suis entré, je me suis davantage impliqué dans l’organisation Chabad. Je rendais visite à des rabbins, puis j’ai noué des amitiés avec eux et je suis devenu membre de l’organisation Habad pendant plus de 20 ans.

RICK WILES : Vous vous souvenez ?

STEVE BEN-NUN : Eh bien, c’est un peu comme rejoindre une église. Vous savez, vous êtes juste la prochaine chose que vous savez, vous signez simplement ce que vous avez rejoint. Ce n’est pas comme une partie de l’élite, la secte de l’organisation Chabad. Mais nous avions des liens très forts avec eux. Et nous n’allions pas tout le temps à la synagogue et tout ça, mais j’avais des relations d’affaires avec eux à cause de l’entreprise de déménagement que nous possédons. Nous avions de nombreuses relations avec les rabbins du sud et du nord-ouest de la Floride également. Et plus vous entrez dans des cercles comme celui-ci, plus vous commencez à apprendre la façon de penser réellement du peuple juif. Bien sûr, en vivant en Israël, vous apprenez cela aussi. Et en ce qui concerne les goyim, les Gentils, ils sont très méprisés quand vous parlez d’un âne. Je ne peux pas vous dire combien de fois j’ai été assis là avec des médecins et des avocats simplement en tant qu’amis, et ensuite ils ont oublié que je suis en réalité un croyant. Dans certains cas, ils ne savaient même pas que j’étais croyant. Peut-être que je ne leur ai rien dit à ce moment-là. Et ils disaient : « Steve, ce ne sont que des Gentils. Pourquoi vous inquiétez-vous pour les Gentils ? Vous savez, ils seront nos esclaves un jour ». Et des choses comme celle-ci sont toujours restées au fond de mon esprit.

RICK WILES : Alors ils parlent des Gentils comme étant des esclaves ?

STEVE BEN-NUN : Absolument, absolument. J’ai des lettres, Rick. Je peux vous montrer des lettres d’un…

RICK WILES : Le sionisme est-il raciste ?

STEVE BEN-NUN : Oui, le sionisme est définitivement raciste, mais il ne rend pas tout le peuple juif ainsi.

RICK WILES : Oui, je suis tout à fait d’accord. Le sionisme est basé sur la supériorité raciale.

STEVE BEN-NUN : Absolument.

RICK WILES : Alors, vous considèrent-ils, vous, vos critiques, comme un ennemi parmi les sionistes ? Êtes-vous un juif antisémite ou un juif qui se déteste ? Comment vous étiquettent-ils ?

STEVE BEN-NUN : On ne me traite pas d’antisémite parce que je suis juif, mais certaines personnes disent, « vous savez, vous êtes un juif qui se déteste ». Cela dépend vraiment de celui qui s’attaque à moi. Je sais que l’une de mes sources pour le Moyen-Orient là-bas, qui est bien sûr israélien. En fait, il m’a dit récemment, il a dit : « Tu sais, Stephen », il a dit, « à un moment donné, nous avions espéré que tu puisses venir en Israël », a-t-il dit, « parce que j’apprécie le fait que tu défends Jésus. J’ai du respect pour cela. Mais vous avez vraiment irrité tout le monde au sein du gouvernement israélien maintenant. » Donc, c’est probablement complètement écarté maintenant, et c’est à cause de la position audacieuse que nous adoptons en ce qui concerne…

RICK WILES : Donc, si une personne est un Gentil, un non-juif et qu’elle critique le sionisme, pas le peuple juif, si elle critique le sionisme, alors elle est qualifiée d’antisémite. Mais si un Juif critique le sionisme, il est qualifié de Juif qui se déteste.

STEVE BEN-NUN : Oui.

RICK WILES : C’est comme ça que ce jeu fonctionne ?

STEVE BEN-NUN : C’est exactement comment cela fonctionne. Et l’antisémitisme est une propagande. C’est tout ce que c’est vraiment.

RICK WILES : Eh bien, il n’y a pas de race sémitique.

STEVE BEN-NUN : Eh bien, exactement.

RICK WILES : Il n’existe que des langues sémitiques. Il existe environ 300 langues sémitiques. L’hébreu en fait partie. Mais il n’y a pas de race sémitique. En fait, il n’y a qu’une seule course. Et si vous voulez être théologiquement correct, il y a deux races : sauvée et non sauvée. Soit la race humaine est sauvée par Jésus-Christ, soit elle n’est pas sauvée. Et ce sont les deux groupes. Le reste de la couleur de la peau, tout ce genre de choses n’a pas d’importance… Jana, et vous ? Quelles sont vos origines ? … Steve, vous êtes né en Floride, dans le Panhandle…

STEVE BEN-NUN : J’avais l’habitude de dire que ma mère avait eu la gentillesse de m’emmener dans un hôpital ordinaire au lieu de naître dans les bois, alors je suis né dans le nord-ouest de la Floride. J’ai donc grandi dans les Appalaches.

RICK WILES : Très bien. Nous avons donc un parcours similaire. D’accord. Et vous

JANA BEN-NUN : Eh bien, je suis originaire d’Europe de l’Est, de l’ancienne Tchécoslovaquie, et je suis venue au Christ en 2010. Mon origine est que je viens d’une sorte de foyer mixte. Ma mère n’était pas juive. Elle était Gentille. Ainsi, en Israël, ils me considèrent comme une Gentille. Ils ne considèrent pas les personnes dont le père est juif. Ils ne les considèrent pas comme juifs. C’est pourquoi je suis souvent qualifiée d’antisémite lorsque je m’exprime.

RICK WILES : Il est donc un Juif qui se déteste et vous êtes antisémite.

JANA BEN-NUN : C’est vrai.

RICK WILES : Est-ce que c’est ce que pensent vos ennemis ?

JANA BEN-NUN : Selon nos ennemis. C’est exact. Tout cela parce que, euh… nous mettons simplement en lumière les enseignements du judaïsme qui, en Israël bien sûr, quand vous y êtes, vous commencez à remarquer des choses. Mais à cause de notre approche sioniste de la prophétie et de la Bible en général, et que nous étions dans un cercle de chrétiens sionistes, j’ai commencé à faire beaucoup de recherches sur les racines juives et la judéité, et je voulais savoir ce qu’est le judaïsme, qu’est-ce que cela signifie ? Le judaïsme croit-il ? J’ai donc commencé à étudier les écrits, et les écrits incluent le Talmud, le Zohar, la Kabbale, qui est la loi juive ou qu’on appelle Halacha. Et j’ai commencé à expliquer, à écouter beaucoup d’enseignements du rabbin. Je créais beaucoup de vidéos dans lesquelles j’enseignerais spécifiquement sur la Halacha et le Talmud et j’expliquais certaines choses. Et j’ai commencé à voir qu’il y avait une énorme différence entre le christianisme et le judaïsme, que le christianisme n’avait absolument rien à voir avec le judaïsme. Le judéo-chrétien est aussi souvent évoqué qu’une déclaration oxymore. C’est diamétralement opposé, et j’ai commencé à voir qu’au fond, ils sont en réalité les ennemis du christianisme, donc je ne pouvais pas comprendre logiquement.

RICK WILES : Le judaïsme n’est pas biblique, même selon les normes de l’Ancien Testament.

JANA BEN-NUN : C’est exact.

RICK WILES : Dieu n’a pas créé le judaïsme.

JANA BEN-NUN : Exactement. Le judaïsme tel que nous le connaissons aujourd’hui est essentiellement pharisien. Le judaïsme n’est pas la vraie foi. Ce n’est rien de ce que Dieu a donné.

RICK WILES : C’est ce que Jésus a condamné.

JANA BEN-NUN : Exactement. J’ai donc commencé à remarquer que nous menons aujourd’hui les mêmes batailles que les chrétiens du premier siècle en tant qu’apôtres, et que nos ennemis sont les mêmes ennemis que les ennemis de Jésus. Et c’étaient les pharisiens avec leur loi orale. On voit beaucoup de chrétiens aujourd’hui, surtout dans les cercles sionistes. Ils pensent que le judaïsme concerne l’Ancien Testament, que le judaïsme n’est que l’Ancien Testament. Ils croyaient tous les Juifs, ils croyaient simplement à la loi de Moïse et ils pratiquaient la loi de Moïse. Ils ont 613 commandements. La plupart de ces chrétiens ne connaissent pas le Talmud, le Zohar et la Kabbale. Et d’où viennent ces 613 mitsvot et à quoi elles servent. J’ai donc commencé à étudier de quoi il s’agit et ce qu’enseigne le Talmud. Et j’ai remarqué qu’il y avait effectivement un plan. Il y a un complot, et c’est un complot contre le christianisme. Et je ne comprenais pas logiquement pourquoi les dirigeants chrétiens noueraient des amitiés avec des rabbins juifs ?

RICK WILES : Prenez les prochaines minutes et résumez quel est ce plan que vous avez discerné ?

JANA BEN-NUN : Eh bien, tout d’abord, permettez-moi de vous apporter l’un des livres ici, « La doctrine secrète en Israël’ (The Secret Doctrine in Israel) de Waite.



RICK WILES : Ok, nous pouvons mettre ça à l’écran. Voilà, c’est juste là. C’est le livre « La doctrine secrète en Israël », A.E. Waite. Et je pense que cela a été écrit en 1909, 1905, quelque chose comme ça.

JANA BEN-NUN : Oui. Et ce que cela explique, c’est la doctrine fondamentalement secrète du Zohar, ce qui se cache derrière le Zohar. Et vous devez comprendre que l’âme du Talmud est le Zohar, et que l’âme du Zohar est la Kabbale, l’occultisme ou la sorcellerie comme je l’appelle. Or, ce livre en particulier ne s’y oppose pas. Cela explique seulement ce que c’est, ce qu’est la Doctrine Secrète. Et ici, dans la préface, il parle en fait de la tradition secrète en Israël, ainsi que d’un récit de la manière dont elle a influencé l’érudition chrétienne en Europe au cours de 1617 et du XVIIIe siècle. Il semble que ce soit une intrigue qui n’est pas nouvelle. Cela a été planifié il y a très très longtemps.

RICK WILES : Ils ont infiltré les églises, les universités et les organisations chrétiennes pendant des siècles pour changer l’Évangile.

JANA BEN-NUN : Changer l’Évangile et mettre complètement un virus dans le christianisme. J’appelle ça un virus. Vous savez, 11 des pharisiens et dans le christianisme d’aujourd’hui, surtout ici en Amérique, ont un virus. Et nous devons identifier quel est le virus. Mais c’est fondamentalement le même problème que celui de l’apôtre Paul. C’est un judaïsme du christianisme, mais ils ont aussi introduit des pratiques occultes. Quoi qu’il en soit, en étudiant cela, je suis arrivé à une information vraiment choquante. Et ici, sur cette page… je l’ai souligné. Alors laissez-moi y retourner.

RICK WILES : Je tiens à dire que lorsque Jana et Steve m’ont parlé du livre que nous venons de voir, écrit par M. Waite, alors pendant qu’ils m’en parlaient, je suis allé en ligne et j’ai trouvé une première édition originale de, je pense, vers 1905, et j’en ai trouvé une à vendre. Parce qu’on peut acheter des réimpressions, mais je préfère… chaque fois que je peux acheter une édition originale. Je préfère faire cela parce que je peux désormais prouver aux gens qu’il ne s’agit pas d’une altération. Il s’agit de la première édition réelle de ce livre. C’est comme la Bible de Scofield. J’ai plusieurs éditions, mais j’ai la première édition originale, qui était, je pense, 1909, 1907, quelque chose comme ça, lorsque la toute première est sortie, parce que je veux pouvoir prouver aux gens les mensonges publiés par Cyrus Schofield. dans la Sainte Bible. Et si vous avez la première édition, c’est une preuve. C’est une preuve. Personne ne peut dire que la copie que vous avez a 100 ans. Cela a été modifié. Elle a été modifiée. Non, je veux pouvoir tenir le premier. J’ai donc pu commander aujourd’hui une édition originale de première année, vous savez, de ce livre. Et j’ai très hâte d’étudier ce livre. Alors, qu’y a-t-il dans ce livre. Que vais-je y trouver ?

JANA BEN-NUN : Eh bien, vous allez découvrir quelle est la véritable doctrine secrète du Zohar. Ce n’est pas joli. Je ne recommande pas vraiment aux gens qui ne sont pas forts dans la foi, ou c’est un livre pour la recherche, dans le but de rechercher ce qu’est la doctrine de la Kabbale, du Zohar et du Talmud, ce qu’est le judaïsme. Parce qu’une fois que vous comprenez ce qu’est le judaïsme, vous commencez à comprendre que ces ponts que les ministres chrétiens établissent aujourd’hui avec les pharisiens ou les rabbins sont des ponts très dangereux. Et d’un côté, vous savez, ce sont toujours les chrétiens qui se soumettent aux juifs. Ce sont toujours les chrétiens qui doivent accepter de ne pas prêcher Jésus aux juifs. Vous voyez, les Juifs, ils ne font pas de compromis. Ils ne feront jamais de compromis sur ce qu’ils croient. Mais les chrétiens sont prêts à faire des compromis. Et pourquoi ? Parce qu’ils ont pour professeurs des loups qui ont effectivement établi des ponts avec les pharisiens, les ennemis du Christ. Mais dans ce livre en particulier, je veux juste vous lire un peu ce qui m’a fait comprendre quel est le complot contre le christianisme. Il est dit ici : “Selon le « Dieu Midrash », le Messie apportera la paix éternelle”, ce qui bien sûr était compris par les Israélites comme la paix pour Israël, plus celle qui pourrait suivre l’extermination pour tous ceux qui ne sont pas entrés par conversion dans la maison. de Jacob.

RICK WILES : Extermination !

JANA BEN-NUN : Oui. Donc, fondamentalement, ce qu’ils enseignent, c’est que si les Gentils ou les Chrétiens ne s’attachent pas aux Juifs, ils seront exterminés. Et bien sûr, nous sommes bien connus pour nos Lois noahides, qui nous ont permis de mettre cela en lumière. Alors vous allez au Talmud et vous commencez à lire quel est le plan pour les Gentils. Vous voyez, le judaïsme est un système à deux vitesses. Le judaïsme remet en place le mur de séparation. Ce sont les juifs et les non-juifs. Et selon le judaïsme, les non-juifs appartiennent à des espèces différentes. Ce sont des humains, mais ils ne sont pas au niveau des Juifs. Les Juifs sont censés être divins. Ils sont la lumière du monde. Ce sont eux les élus. Ils ont la vie d’Hachem en eux. C’est ainsi qu’ils expliquent la vie de Dieu à l’intérieur. Et les Gentils, ils ne pourront jamais y parvenir, ce sont des espèces différentes, ils sont au niveau animal, et la seule façon pour les Gentils d’arriver au monde à venir est de s’attacher aux Juifs. Et comment font-ils ça ? Eh bien, grâce aux Lois noahides. Sept lois noachides.

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RICK WILES : Quel pourcentage de Juifs dans le monde croient à ces conneries ?

JANA BEN-NUN : Eh bien, c’est une question intéressante. Steve, tu as fait des recherches.

STEVE BEN-NUN : J’ai fait quelques recherches parce que je sais que lorsque nous avons été attaqués pour avoir promulgué les Lois noahides, il a été suggéré que seul un petit pourcentage, environ 2 % des Juifs radicaux en Israël le croyaient réellement. Mais c’est là la chose la plus éloignée de la vérité. Mais même s’il s’agissait d’un petit pourcentage, il faut garder à l’esprit que c’est ce pourcentage qui sert à contrôler les gouvernements du monde. Mais juste pour un exemple, 5 % des Juifs partout dans le monde sont hassidiques, en fait hassidiques, qui sont tous talmudistes. Mais le nombre continue d’augmenter parce que chez les hassidiques, une fois que vous sortez des hassidiques, nous avons ce que nous appelons « orthodoxes » ou « ultra orthodoxes » qui représentent environ 30 % de tous les juifs dans le monde. Ainsi, environ 30 % des Juifs dans le monde sont des « purs » et peut-être 15 % dans le monde entier, dirions-nous, sont des talmudistes purs et durs, du Zohar, de la Kabbale, tandis que les 15 % restants sur ce total de 30 % dans le monde y adhèrent également. Mais ils ne sont pas un noyau dur. Néanmoins, au moins 30 % de tous les Juifs considèrent le Talmud comme un écrit sacré, comme la loi orale de Dieu, et il est tenu en plus haute estime que la Bible elle-même. Je sais que certains essaieront de minimiser cela et diront que ce n’est pas vrai, que c’est totalement faux. Tout juif orthodoxe sait que le livre du Talmud a plus de prééminence que celui de Moïse ou des prophètes eux-mêmes.

RICK WILES : Quelles sont les déclarations les plus choquantes du Talmud ?

STEVE BEN-NUN : Les déclarations choquantes…

JANA BEN-NUN : Il y en a beaucoup.

STEVE BEN-NUN : Il y en a beaucoup.

JANA BEN-NUN : Il y en a beaucoup.

STEVE BEN-NUN : Eh bien, permettez-moi de clarifier certains de ces éléments parce qu’ils sont un peu mal cités, mais cela reste vrai. Comme, par exemple, quand il est question dans le Talmud d’un homme, certains essaient de dire qu’il cautionne une relation sexuelle ou une pédophilie entre un homme et un garçon, à condition qu’il ait moins de neuf ans. Il est dit que ce n’est pas considéré comme de l’homosexualité. Cela ne le tolère pas vraiment. Mais ce que ça fait, c’est que ça minimise l’offense. Ainsi, ils écrivent dans le Talmud qu’il ne faut pas oublier que s’il a 9 ou 12 ans, s’il a neuf ans, si le garçon a moins de neuf ans, alors ce n’est pas considéré comme un acte homosexuel. C’est en fait écrit dans le Talmud. Et j’ai tout le Talmud sur ma bibliothèque là-bas, dans mon bureau. Mais la raison pour laquelle ils font cela est parce qu’ils savent que la loi de Moïse ordonnerait que si vous êtes homosexuel, alors cette personne doit être lapidée. Ils ne veulent donc pas que les rabbins soient coupables s’ils finissent par se faire prendre, alors ils minimisent cela. Même chose avec… euh… ils minimisent si une petite fille a moins de trois ans et cela dépend du rabbin, cela dépend si elle a neuf ans ou trois ans dans le Talmud, cela ne serait pas différent que si la fille devait être souillée, comme si vous lui aviez donné un coup dans l’œil. En d’autres termes, cela va simplement guérir. Ce n’est pas grand-chose. Bien sûr, Jésus lui-même y est décrit. Ils n’utilisent pas son nom. Ils utilisent normalement Balaam lorsqu’il est nommé dans le Talmud. Mais je peux littéralement vous montrer directement dans le Talmud, directement dans les notes, où il est dit que Balaam est un substitut en langage codé dans le Talmud pour Jésus. Et ils disent qu’il est en enfer et en ébullition et, vous savez, dans ce genre de choses là-bas. Ce sont quelques-unes des choses les plus audacieuses dont beaucoup de gens sont le plus conscients. Mais il y a des tonnes de choses que les gens ne feraient jamais…

RICK WILES : Pourquoi y a-t-il tant de sionistes évangéliques américains, de pasteurs et de professeurs de la Bible, de professeurs de prophéties… Pourquoi y a-t-il tant d’entre eux qui étudient le Talmud ? Qu’en ont-ils retiré ?

STEVE BEN-NUN : Ce que je vois… Parfois je me demande, Rick, si c’est juste là, entrant… euh… peut-être avec de bonnes intentions. Peut-être qu’ils sont excités, qu’ils veulent essayer de se rapprocher du peuple juif. Mais il y en a d’autres qui sont clairement impliqués dans ce projet visant à susciter un mouvement œcuménique qui placerait le christianisme, le peuple chrétien, sous les rabbins talmudiques. C’est ma plus grande crainte et c’est d’ailleurs, encore aujourd’hui, ce qui tourne dans les chaires aujourd’hui. Bien souvent, à l’insu des adeptes d’ici, on leur enseigne les prophéties talmudiques et du Zohar, et les gens n’ont aucune idée que c’est ce qu’on leur enseigne.

RICK WILES : J’entends le mot gématrie apparaître sur la soi-disant télévision chrétienne, la télé religieuse. La plupart des chaînes de télévision chrétiennes sont désormais des chaînes juives. Vous n’entendez plus le christianisme. Mais j’entends apparaître le mot gématrie. J’entends une exaltation des nombres, pas du Livre des Nombres, mais qu’il y a une révélation spéciale dans la connaissance de la valeur, du nombre de valeurs des mots dans la Bible et des codes bibliques et ainsi de suite. Et vous savez, je ne regarde pas beaucoup la télé religieuse. Je ne l’ai pas regardée depuis des années parce qu’on peut attraper une MTS en regardant la télévision religieuse. C’est une doctrine transmise spirituellement. Et donc je ne veux pas que cela pénètre dans mon cerveau parce que le sionisme évangélique est une syphilis spirituelle qui causera des lésions cérébrales. Cela entraînerait des lésions cardiaques. Je fais donc très attention lorsque je regarde la télévision religieuse, tout comme lorsque nous parlions du livre que vous avez mentionné. Et vous avez raison. Vous savez, seuls les chrétiens mûrs devraient étudier… quand je lis quelque chose comme ça, je fais le signe de croix sur mon front, parce que c’est tellement dangereux de s’ouvrir pour étudier quelque chose comme ça. Mais je vois et j’entends ces chrétiens, ces soi-disant chrétiens, et je ne pense pas qu’ils soient chrétiens. Je pense que s’ils l’ont jamais été, ils ont abandonné la foi. Ils ont été judaïsés. Ils se sont éloignés de la foi chrétienne. Il y a un pasteur dans le nord du Texas, juste au sud de Dallas–Fort Worth, qui dirige une église de gématrie. Je ne plaisante pas. Il dirige une église de gématrie et il est présent sur ces réseaux de télévision. Il a une émission hebdomadaire. Il fait la promotion de la gématrie. D’accord. Il est ouvert à ce sujet. Il y avait un gars que j’avais l’habitude d’interviewer, Steve Cioccolanti, et un jour j’ai senti le Saint-Esprit me dire de ne plus le ramener. Ne le présentez pas à votre troupeau. Et je ne savais pas pourquoi. Je savais juste que le Seigneur avait dit de ne plus le ramener dans ce programme. Et puis plus tard, peut-être quelques années plus tard, j’ai découvert pourquoi. Je vais vous montrer une vidéo. Nous l’avons démontré par le passé. Il s’agit d’un Steve Cioccolanti qui se présente comme un expert en prophéties bibliques. Mais son ministère est Discover Ministries, et il a un livre intitulé « Le Code Divin ».

JANA BEN-NUN : Le Code Divin !

RICK WILES : Le Code Divin. Vous savez où cela dirige ? Nous avons donc trouvé cette vidéo de lui assis avec son mentor de la Kabbale, qui était Ariel Cohen Alloro, et Steve Cioccolanti dit à son public que ce rabbin lui apprend la gématrie. Alors regardons-le. C’est le numéro six sur notre liste. Il s’agit d’un Steve Cioccolanti et de son sorcier de la gématrie.

https://www.youtube.com/embed/3nII9ajxdtc

RICK WILES : Eh bien, nous serons le juge. La gématrie vient-elle de Dieu ?

STEVE BEN-NUN : Non.

JANA BEN-NUN : Ce n’est pas le Saint-Esprit, mais c’est une source de…

RICK WILES : … leur dieu. Lucifer.

JANA BEN-NUN : Exactement

STEVE BEN-NUN : C’est vrai. La gématrie pour commencer, c’est bien sûr la numérologie. On l’appelle toujours comme les cartes de tarot. C’est vraiment dommage que cela soit effectivement inscrit dans l’Église, mais la gématrie, la valeur numérique, a été empruntée aux Grecs. Les Grecs ont emprunté aux Égyptiens. L’hébreu n’a jamais eu cela à l’origine. Et c’est ce que beaucoup de gens oublient totalement. Et bien sûr, les pasteurs ressemblent davantage, comme les Écritures les décrivent, à des mercenaires. Ils ne se soucient pas du tout du troupeau. Et cette numérologie, que ce soit à travers les codes bibliques, que ce soit à travers la valeur numérique, finit par faire des ravages dans la Parole de Dieu. Et c’est la raison pour laquelle, dans le judaïsme, par exemple, ils attendent la venue du Messie, mais ils ne vous le disent pas… Eh bien, maintenant, ils deviennent plus ouverts. Ils l’appellent le Moshiach qui est le serpent Messie, c’est ce qu’ils recherchent. Et ils disent que les mots serpent nakash et Moshiach ont la même valeur géométrique symétrique. Cela devrait être le premier signe que cela est démoniaque, tout comme lorsqu’ils vous donnent le nom de famille de Trump ayant également le même équivalent. Eh bien, si vous voulez utiliser le terme gématrie, vous pouvez également dire que son nom de famille signifie également « toilettes ». Vous savez, je veux dire, alors…

RICK WILES : Et certaines personnes diraient que c’est biblique.

STEVE BEN-NUN : Ouais, exactement. Mais c’est tellement ridicule. Il n’y a plus de gens qui recherchent la façon dont Dieu a dit qu’il se révèle, vous savez. Et…

RICK WILES : Steve, quand je suis sorti de TBN, en 1998, quand Dieu m’a appelé pour commencer ce travail, vous savez, je veux dire, j’ai quitté TBN, j’avais été entouré par la télévision et la culture. Avant cela, j’avais travaillé pour CBN et Pat Robertson. Ainsi, les seules églises dans lesquelles j’ai jamais été étaient des églises pentecôtistes, charismatiques et baptistes du Sud, ainsi que des églises non confessionnelles. Mais quand j’en suis sorti et au cours de cette première année, j’ai été initié aux codes bibliques, et c’est feu Yacov Rambsel, qui était messianique, qui a dit qu’il était un croyant messianique, un chrétien messianique, un homme vraiment gentil. Il est décédé il y a des années. Vraiment, vraiment un homme sympa. J’ai eu de nombreuses conversations avec Yacov Rambsel. D’accord. Il a un esprit doux, un homme très gentil. Mais il était un grand promoteur des codes bibliques. Et donc j’avais un CD qui venait d’Israël, et il m’a dit que les rabbins avaient développé cela, et que vous pouvez rechercher les codes bibliques présentés par les rabbins. Et c’était tout nouveau pour moi, et je n’avais jamais entendu parler d’une telle chose. Ma femme Susan, quand je travaillais avec sur mon ordinateur, Susan me disait, « oh, je vois que tu as ta planche Ouija, tu la fais fonctionner là-haut ». Tu sais, ce n’est pas une planche Ouija. J’ai reçu ça d’Israël. Un rabbin a approuvé cela, et Susan dirait que c’est une planche Ouija juive. Très bien, eh bien, elle avait raison, j’avais tort. Mais il y a eu un jour où le Saint-Esprit m’a convaincu et m’a dit : « Mets ça de côté. N’y touche plus ». Et le Seigneur m’a dit que c’est de la divination. Et j’ai réalisé que les gens qui utilisaient ce CD en provenance d’Israël — et je parle des sionistes évangéliques d’Amérique qui achetaient ces CD en Israël auprès des rabbins — essayaient de prédire l’avenir. Et je faisais partie d’un petit réseau de sionistes évangéliques qui, vous savez, échangeaient des courriels. Il y a 20 ans, ils avaient des forums de discussion sur Internet, des forums de discussion sur, vous savez, des choses prophétiques qui allaient se produire dans le futur. Ils l’ont trouvé dans les codes bibliques, mais ce n’était que de la divination. Vous essayez de deviner l’avenir, et Dieu vous l’interdit.

STEVE BEN-NUN : Oui.

RICK WILES : Comment y ai-je été initié ? Par un juif qui se disait croyant. Et c’est ce que j’essaie de vous dire. Qui sont ceux d’entre vous qui me regardent et qui jouent avec les racines juives et hébraïques et tout ça ? Vous êtes endoctrinés. Ils vous éloignent de la foi chrétienne historique. Ils vous éloignent de Jésus-Christ vers un autre Messie. Et c’est progressif. C’est lent. C’est étape par étape. Mais vous devez savoir que vous faites une promenade dangereuse. Fuyez le sionisme évangélique. Fuyez le mouvement des racines hébraïques. Courez, courez aussi loin. Fuyez le Zohar. Fuyez tout ça aussi vite que possible. C’est dangereux.

STEVE BEN-NUN : Oui, c’est très dangereux, Rick. Et le fait est que, comme vous l’avez dit, cela semble innocent au début. En moi, j’avais la même chose. Quand c’était populaire, j’avais le petit programme. Mais la seule chose qui a vraiment attiré mon attention au début, c’est le fait que la prochaine chose que j’ai sue, c’est que je passais tellement d’heures par jour à simplement consommer mon temps. Et je pensais…

RICK WILES : Au lieu de lire et d’étudier la Parole.

STEVE BEN-NUN : Eh bien, ma pensée était la suivante : si je passe autant de temps à prier et à étudier la Parole de Dieu, combien de plus ? Parce que Dieu n’a jamais promis de se révéler à travers la gématrie. Mais comme il l’a dit à Pierre, « ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est mon Père qui est dans les cieux. Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église » (Matthieu 16:17-18) Donc révélation de lui, de Sa Parole. Et bien sûr, nous savons qu’il s’occupe de rêves et de visions. Je n’aime pas non plus aller trop loin dans ce domaine. Mais le fait est que ce sont les principes bibliques qui nous ont été établis. Ce n’était pas la gématrie, ce n’était pas la Kabbale. Ce n’était pas toutes ces choses comme c’est le cas actuellement en Israël, nous avons des enseignants juifs qui enseignent aux chrétiens. Et les chrétiens engloutissent tout cela comme si on mangeait dans une poubelle. Engloutissant cela, voulant en savoir plus parce qu’ils leur disent qu’ils leur enseignent les significations plus profondes à cause de la Kabbale, qui est essentiellement la gématrie, en mettant toute cette valeur numérique à ce que signifie cette révélation sur la base de la numérologie. Et c’est horrible ce que je vois arriver.

RICK WILES : Au cours de notre précédente conversation dans mon bureau, lorsque nous parlions du livre. Je pense que c’était la « Doctrine Secrète en Israël ». Est-ce dans ce livre que vous avez dit qu’il y avait une prophétie vieille de 200 ans, ou est-ce un autre livre ?

JANA BEN-NUN : Non, c’est un livre différent. Il y a un auteur juif, le rabbin Joel Bakst, et il est l’auteur d’un livre en deux volumes. Il s’appelle « Josephic Messiah, Sacred Serpent » (Messie Josephique, Serpent Sacré). Et je pense qu’il a trois noms. Mais ils l’empruntent à un livre vieux de 200 ans intitulé « Kol HaTor: La voix de la tourterelle » (Kol HaTor: The Voice of the Turtledove). Et dans ce livre en particulier, il y a le rabbin Gowan. Les Vilna ont découvert le code ou l’ont exprimé ou ils ont pu obtenir la révélation du mystère de la Kabbale. Et ils ont prédit dans le livre qu’à la fin des temps, c’est-à-dire une époque messianique, un personnage comme Cyrus réapparaîtrait. Donc toutes ces prophéties de Cyrus…

RICK WILES : C’était il y a plus de 200 ans ?

JANA BEN-NUN : Oui, c’était il y a plus de 200 ans.

RICK WILES : Et il y aurait une figure de Cyrus qui apparaîtrait ?

JANA BEN-NUN : C’est vrai.

RICK WILES : Et que ferait ce Cyrus ?

JANA BEN-NUN : Eh bien. dans l’esprit juif, ils n’ont pas qu’un seul messie comme nous le connaissons, nous les chrétiens. Nous avons Jésus-Christ comme un et unique Messie. Ils ont deux messies. L’un est le Messie Ben Joseph et l’autre le Messie Ben David.

RICK WILES : Ils en ont deux ?!

JANA BEN-NUN : Ils ont deux messies.

RICK WILES : Un seul n’est pas suffisant ?

JANA BEN-NUN : Eh bien, c’est ainsi qu’ils l’expliquent. Le Messie Ben Joseph peut être n’importe qui, que ce soit vous ou un Gentil. Il peut s’agir d’un Edomite, selon eux, d’un Gentil. Mais ce Gentil doit faire du bien à Israël et amener Israël vers sa rédemption finale : tikkoun olam.

RICK WILES : Il y a quelques semaines, avant le procès en impeachment et la sortie de l’enregistrement de Lev Parnas enregistré sur le téléphone de son partenaire, Donald Trump était là et ils lui disaient : « ton nom est dans la gématrie. Tu es comme le Messie ».

JANA BEN-NUN : C’est vrai, c’est exact.

RICK WILES : Alors c’est le Messie des Gentils ?

JANA BEN-NUN : Oui. Selon la doctrine juive, le Messie Ben Joseph peut être soit un Juif, soit un Gentil qui aide Israël dans le processus de rédemption. Qui fait quoi que ce soit, toutes les bonnes choses pour Israël, afin qu’Israël puisse arriver au point où il gouvernera le monde.

STEVE BEN-NUN : Eh bien, vous avez deux points différents à dire. Vous avez le Machia’h Ben Yossef et le Machia’h Ben David. Et l’un fait naître Israël par la rédemption, mais l’autre le réalise par la guerre. Et certains croient que Trump pourrait être le Messie David et que rien d’autre ne pourrait être le Yosef qui provoque la guerre, ou vice versa. J’oublie maintenant lequel est lequel, mais il existe toutes sortes de croyances comme celle-ci.

RICK WILES : Eh bien, il pourrait être difficile pour Trump d’être le messie de la guerre depuis le jour où le Sénat américain a voté pour limiter ses pouvoirs afin de déclencher une guerre avec l’Iran. J’ai été surpris que ce projet de loi ait été adopté par le Sénat. Alors, vous savez où ce qu’ils vont devoir faire maintenant ? Ils ont besoin d’un incident dans le Golfe du Tonkin. Ils ont besoin d’un incident sur l’USS Liberty. Ils doivent faire quelque chose, contourner ce vote du Sénat.

JANA BEN-NUN : Eh bien, ils le considèrent comme le Messie Ben Joseph pour une raison. Il a transféré son ambassade à Jérusalem. Bien sûr, il existe un projet selon lequel toutes les nations déplaceraient leurs ambassades à Jérusalem. Et puis il leur a également donné le Golan, et il soutient leur occupation des terres là-bas. Donc…

RICK WILES : Les sorciers de la Kabbale injectent-ils ce genre de choses dans la tête de Donald Trump ? Est-ce qu’ils inventent juste et lui disent : « Hé, nous avons des prophéties sur Cyrus et le Messie et c’est toi. Nous sommes arrivés à cette conclusion. C’est toi » ? Est-ce qu’ils inventent ce truc ?

JANA BEN-NUN : Vous savez, je ne vois pas le cœur. Je ne sais pas s’il participe volontairement à cela ou s’ils lui mettent vraiment cela en tête. Donc je ne sais pas quelle est la vérité.

RICK WILES : Nous savons qu’ils le lui disent. Nous avons des enregistrements d’eux disant : « Vous êtes le Messie. Vous êtes dans la gématrie ».

JANA BEN-NUN : Or, dans le judaïsme, Ben Yosef peut être plusieurs personnes. Chaque génération a eu le Messie Ben Yosef selon les Juifs. Alors quand ils parlent du Messie, il faut faire très attention à comprendre ce qu’ils veulent dire, car bien sûr, ils ont alors le Messie, le Messie final, le Messie de Ben-David. Et celui-là sera un Serpent sacré.

RICK WILES : Il sera quoi ?

JANA BEN-NUN : Un Serpent sacré.

RICK WILES : Un Serpent sacré !

JANA BEN-NUN : Oui, les ouroboros.

RICK WILES : Un serpent !

JANA BEN-NUN : Un serpent.

RICK WILES : Ils attendent un Messie serpent ?!

STEVE BEN-NUN : Eh bien, le rabbin Laitman, qui est un éminent philosophe juif, en est un, bien sûr, qui l’enseigne. Je vais continuer sur ce dont Jana parlait déjà. Mais le rabbin Laitman promeut très ouvertement l’idée que dans le jardin d’Eden se trouvait en réalité l’aide de l’humanité, et cela, bien sûr, il écrit à propos du Serpent sacré, ce qui, selon eux, sera le dernier Messie qui apportera la rédemption. Et donc, je veux dire, pensez toujours à ce que Jésus dit dans Jean et Matthieu, vous savez : « Vous avez pour père le diable » (Jean 8:44), ou il dit, vous êtes « race de vipères » (Matthieu 23:33). Vous savez, il vous le dit déjà, mais pourtant, quand nous voyons cela, alors nous voyons qu’ils recherchent un messie serpent. Je veux dire, c’est juste étrange leur façon de penser.

JANA BEN-NUN : D’après le livre de Joel Bakst, « Le Messie Josephique, Léviathan, Métatron et le Serpent Sacré » (The Josephic Messiah, Leviathan, Metatron and the Sacred Serpent), c’est le titre du livre. Dans le deuxième volume, il décrit le serpent qui était dans un jardin d’Eden comme une intelligence artificielle androgyne et c’est essentiellement leur messie final. Ils font tomber leur Serpent sacré.

RICK WILES : C’est un travesti ?

JANA BEN-NUN : Androgyne, mâle femelle dans un seul corps. Et l’intelligence artificielle, car la Kabbale est étroitement liée à la technologie. Et dans leurs livres et écrits, ils admettent en fait qu’ils vont apporter leur dernier messie grâce à la technologie.

RICK WILES : Ils disent ce genre de choses ?

JANA BEN-NUN : Ils le disent.

RICK WILES : Je l’ai dit, mais je n’avais aucune preuve de leurs écrits. Je crois simplement dans mon esprit que c’est là qu’ils veulent en venir. Mais vous dites dans les écrits : Ils disent que ce messie serpent va venir grâce à la technologie ?

JANA BEN-NUN : Oui. La technologie est si étroitement liée à la Kabbale que la Kabbale est fondamentalement de la technologie. C’est occulte. Et ils parlent spécifiquement du Serpent sacré qui se trouvait dans le jardin d’Eden. Ils le décrivent dans ce livre particulier et il était une intelligence artificielle androgyne, et celui-ci est leur Messie.

RICK WILES : Son nom est Lucifer.

STEVE BEN-NUN : Oui. Et vous savez, Rick, l’une des choses dont nous avons parlé à l’heure du déjeuner aujourd’hui, c’est que l’une des sources dont je dispose en Israël indique qu’il travaille fortement ou est fortement impliqué dans les renseignements israéliens. Il m’a raconté en profondeur comment cette entreprise particulière, qu’il ne pouvait pas me nommer pour que vous ne la trouviez jamais en bourse, etc., qu’ils travaillent, comme il l’appelait, avec des entités avec des milliers de personnes. Et ils essaient de traverser…

RICK WILES : Travailler avec des entités ?

STEVE BEN-NUN : Des entités.

RICK WILES : Des entités ou des extraterrestres ?

STEVE BEN-NUN : Il fait référence à un extraterrestre. En fait, lorsqu’il a parlé à l’homme qui possède l’entreprise parce qu’ils socialisent ensemble, il lui a répondu que lorsqu’il lui a demandé, il a demandé : « font-ils partie d’un gouvernement ? » Il a dit qu’ils sont plus puissants que n’importe quel gouvernement de la planète. Mais ils travaillaient, recherchant certains individus avec un certain bagage ADN avec lesquels ils pourraient croiser la technologie de l’IA avec cet ADN, l’ADN de ces individus.

RICK WILES : Les Nephilim sont-ils ici ?

STEVE BEN-NUN : Il m’a en fait dit qu’ils utilisaient des personnes dont l’ADN correspondrait à celui des Nephilim pour pouvoir faire cela. Je crois qu’ils le sont.

RICK WILES : Ils sont donc les descendants d’anges déchus et d’humains.

STEVE BEN-NUN : Eh bien, nous savons qu’Esdras nous dit clairement que le sacerdoce lévitique avait mélangé leur semence, selon le Livre d’Esdras, chapitre neuf. Et il est clairement écrit dans le Livre des Nombres qu’Enoch, son père n’était pas un Nephilim, mais que son père était dans la chute. Ils ne mettent pas les points-voyelles au bon endroit. En fait, aucun yod supplémentaire n’est réellement utilisé dans l’orthographe. Et dans le même paragraphe, quand il parle des fils d’Enoch, ce sont les fils de ses fils, mais ils sont appelés Nephilim. Donc, d’une manière ou d’une autre, ils étaient impliqués dans des activités de type sorcellerie, comme Josué avait prévenu dans Moïse, avertissant les enfants d’Israël de ne pas s’impliquer dans ce type d’activités, et cela vous amène donc à vous poser des questions.

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RICK WILES : Je crois qu’il y avait une civilisation avancée sur la planète avant le grand déluge de Noé et que nous avions un gouvernement mondial unique. Il n’y avait pas de nations. Les nations n’ont existé qu’après le déluge. Il n’y avait donc aucune nation sur la planète avant le déluge. Et je crois que Satan a gouverné le monde après la chute d’Adam et Ève. Satan était le Dieu de ce monde. Il dirigeait ce monde. Je crois qu’il y avait ici une civilisation humaine avancée. Et Dieu a atteint un point où il a dit : « Je regrette d’avoir créé ces gens. Je vais juste les effacer de la surface de la terre. Tout va mourir ». Il a sauvé Noé et sa famille. Et puis un des descendants de Noé, Nimrod, qui était un grand chasseur… Et certains croient qu’il était un chasseur d’hommes. Nimrod entreprit la construction de Babylone. Babel devint plus tard Babylone, construisant une tour pour atteindre le ciel. Son motif, son plan était de renverser Dieu. Et je crois que ce qu’il faisait, c’est qu’il disait, je pense qu’il a entendu Noé, son arrière-grand-père, je suppose. Je crois qu’il a entendu de ses propres oreilles Noé raconter les histoires de ce qui existait de l’autre côté du déluge. Et je crois que Nimrod a dit : « Je veux récupérer ça, je veux ça. Je veux ce monde, je veux cette civilisation, et ce Dieu, ce Dieu est celui qui nous l’a enlevé et qui a détruit le monde tel que nous le connaissions. Et je vais construire une tour. Je vais aller au paradis. Je vais renverser ce Dieu. Et puis l’homme reconstruira la civilisation, et nous servirons à nouveau Lucifer ». Je crois que c’est de cela qu’il s’agissait. C’est pourquoi Dieu a brisé les langues données aux gens. Vous savez, diverses langues les ont dispersées sur la terre, ont créé les nations pour briser la capacité de l’humanité à s’unir et à accomplir quoi que ce soit parce que Dieu a dit, écoutez, vous savez, parce que leur langue est une, ils peuvent tout faire. Eh bien, grâce au langage informatique, non ? Grâce au langage binaire, l’humanité revient à une seule langue et acquiert la capacité de faire presque tout. Et je crois que ce qui se passe en ce moment, c’est que les nouveaux Nimrod disent : « Nous allons reconstruire la civilisation d’avant le déluge, et nous allons prouver à ce Dieu que nous n’avons pas besoin de lui. Nous ne le craignons pas. Nous ne sommes pas obligés de lui obéir. En fin de compte, nous gagnerons. Nous allons le vaincre ». Et c’est le choc qui s’annonce en ce moment. Soit vous étiez de ce côté-là, soit vous étiez du côté du Royaume des Cieux. Il n’y a pas de juste milieu et vous devez choisir de quel côté vous vous situez. Voyez-vous quelque chose de semblable dans les écrits du Zohar, du Talmud, quelque chose de semblable ?

JANA BEN-NUN : Eh bien, dans le Zohar, le Talmud et la Kabbale, tout est question de séparation des gens entre la technologie israélienne et la technologie non israélienne, selon le livre intitulé « L’utopie juive » (The Jewish Utopia). Maintenant, ils construisent leur propre royaume. C’est le royaume terrestre juif dont le siège est à Jérusalem, où sera leur Messie IA, et ils vont gouverner le monde par la Loi. Vous savez, ce sera international. Une loi, une religion, fondamentalement la religion luciférienne. Alors oui, dans le Talmud, il s’agit du royaume terrestre juif. Et c’est pourquoi le christianisme sioniste a embrassé « Quéliasim » [inaudible pour moi]…

RICK WILES : Ce qui signifie un règne millénaire.

JANA BEN-NUN : Exactement. Ce qui met l’accent sur le royaume terrestre millénaire. Et c’est ainsi que juifs et chrétiens se retrouvent. Et les chrétiens sont tellement trompés, pensant qu’ils travaillent pour le bien des Juifs, comme s’ils aidaient les Juifs. Les Juifs sont censés obtenir ce royaume. Pourtant, c’est une doctrine zoharique et elle n’a pas de bonnes intentions. Comme je l’ai dit, ils veulent gouverner le monde, ils veulent atteindre les Gentils, et ils veulent gouverner les Gentils. Ils ne considèrent pas les Gentils comme des êtres humains à part entière. Et en fait, comme finalité, ils ont cette étrange doctrine, la doctrine d’Adam Kadmon, qui affirme qu’Adam Kadmon était à l’origine, selon le Zohar et le Talmud, un androgyne. Qu’il était un homme et une femme dans un seul corps, et c’est pourquoi vous voyez cet agenda transgenre aujourd’hui. Et il y a des lois très sérieuses qui sont adoptées au Canada…



RICK WILES : Le sionisme est-il derrière le mouvement transgenre ?

JANA BEN-NUN : Vous savez, personnellement, je ne pense pas que les chrétiens sionistes en soient conscients. Ils ne connaissent pas beaucoup de détails sur ce qui se passe. Mais je pense que oui.

RICK WILES : Existe-t-il un mouvement transgenre qui trouve son origine dans le sionisme ?

JANA BEN-NUN : Oui, cela tire son origine du sionisme, et cela tire son origine du Talmud, du Zohar et de la Kabbale. C’est une doctrine kabbalistique d’Adam Kadmon. Finalement, ils ont cette doctrine appelée tikkoun olam, la réparation du monde. Alors, comment veulent-ils réparer le monde ? Ils veulent le ramener à l’original. Quel était original ? Adam. Il était androgyne. Alors maintenant, ils mettent des choses spécifiques dans la nourriture et les boissons, et leur objectif ultime est de faire en sorte que les humains sur Terre qui survivront, quoi qu’ils apportent, soient androgynes, le programme transgenre.

RICK WILES : Ce qu’ils essaient réellement de faire, c’est de défaire la création de Dieu. Ils sont en désaccord avec le créateur. Jésus dit aux pharisiens : « Votre père est le diable ». Était-ce littéral ? Est-ce qu’il disait, « hé, vous êtes vraiment mauvais les gars. Votre vieux est le diable ? » Ou était-il en train de dire que leur père est vraiment Satan ? Vous êtes un démon.

STEVE BEN-NUN : Quand je regarde cela, je le considère dans un double objectif. Parce qu’à un moment donné, il dit en fait, je sais que vous êtes la postérité d’Abraham, mais vous ne croyez pas ce que je vous dis. À mon avis, c’est comme si c’était une hybridation. La moitié, peut-être 50 % d’entre eux. Vous savez, Satan est leur père. L’autre moitié ne l’est pas. Mais quand je dis cela, je regarde cela d’un point de vue scripturaire. Tout comme lorsqu’ils mélangeaient les graines. Et d’ailleurs, la graine n’a pas été mêlée aux Babyloniens. Il est mêlé aux Hittites, aux Jébusites, dont nous savons qu’ils avaient une lignée de Nephilim, selon les Écritures. Mais quand ils y avaient mélangé la graine, à mon avis, c’est pourquoi Jésus leur a mis cette étiquette. En fait, il continue en disant, vous savez, qu’il met le sang versé depuis Abel sur les pharisiens. Mais nous savons pourtant que les pharisiens n’existaient pas à l’époque d’Adam et Ève. Il doit donc y avoir un certain type de connexion, qu’elle soit spirituelle ou physique, c’est très difficile à dire. Absolument.

RICK WILES : Jésus a dit, vous avez tué les prophètes.

STEVE BEN-NUN : Exactement. Tout le sang versé sur eux.

RICK WILES : Il y a tout le chemin qui mène à Abel.

STEVE BEN-NUN : Exactement. Mais cela ne veut pas dire que tous les pharisiens sont mauvais parce que nous avons vu Paul sortir. C’était un pharisien. Nous voyons Nicodème venir vers Jésus la nuit. Mais il y a une écriture, cependant, qui me vient vraiment à l’esprit et que j’avais complètement ratée, et c’était Malachie chapitre quatre, quand il est dit là-dedans et nous ne parlons pas du jugement final, quand il dit : « Le jour qui vient les embrasera, dit l’Éternel des armées, Il ne leur laissera ni racine ni rameau ». Et je pensais, wow, quel feu va brûler leurs jambes et brûler leurs bras, et ensuite ils vont tomber morts. Mais il ne s’agit pas de cela. C’est exactement comme le Christ dit : « Je suis le cep, vous êtes les sarments ». Il est la racine. Il est la racine de Jessé. Il est donc notre racine. Nous sommes les sarments et les Gentils sont greffés en lui. Et dans le cas de ce dont parle Malachie, je crois qu’il parle ici de la lignée des Nephilim. Cela ne leur laisse aucune racine, qui serait Satan et ceux qui ont été greffés sur Satan à travers ces perversions dans lesquelles les Juifs se sont retrouvés dans leur idolâtrie à l’époque, même avec la maison d’Israël et avec la maison de Juda, que ceux-là sont les branches de cet arbre. Et c’est là que nous voyons cela entrer en jeu. Mais je sais qu’il y a un grand débat sur la question de savoir s’il s’agit ou non d’une lignée littérale de graines. Est-ce une lignée de graines spirituelles. Mais je sais qu’à la fin, nous le saurons. Mais Jésus a dit que vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Et bien sûr, un arbre, une branche, même greffée, ne peut porter que le fruit de sa racine, quelle qu’elle soit.

RICK WILES : Jésus-Christ a-t-il aboli le judaïsme ? Dieu l’a-t-il détruit en 70 après J.-C. ?

STEVE BEN-NUN : Cela ne fait aucun doute. Il était… Je veux dire, même si nous regardons dans les Écritures, ce que Paul écrit, il est venu en tant que Prêtrise de Melchisédek. Et curieusement, c’est ce qui est vraiment étrange. Si vous regardez les écrits de Qumrân, ils croyaient littéralement à la venue d’un sacerdoce de Melchisédek. Ils croyaient que le Messie viendrait. Je ne suis pas d’accord avec la doctrine de la communauté, mais j’ai trouvé intéressant qu’ils croient que lorsque le Messie viendrait, il serait Melchisédek venant sur terre et que ce serait la soukka, qui est le terme hébreu pour la tente, ou le tabernacle pour la Fête des Tabernacles, et que vous devrez entrer en lui dans cette soukka, ou comme nous le ferions en tant que chrétiens aujourd’hui, vous devrez entrer en Christ. Et j’ai pensé à quel point ces gens seraient proches de reconnaître qui serait le Messie s’ils croyaient vraiment que Jésus était le Messie. Donc, en répondant à cette question, oui, l’Ancien Testament, l’Ancienne Loi, comme je l’ai toujours dit, cette loi était, comme nous lisons l’Ancien Testament, la loi Lévitique, c’était ce qui était l’inimitié entre Dieu et l’homme. C’était l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Et cela devait être aboli afin de pouvoir participer à l’arbre de vie, qui est Christ. Sa vie, pas la loi.

RICK WILES : Dieu Tout-Puissant a détruit le temple en 70 après J.-C. Il a détruit les rituels, les sacrifices, tout ce qui est associé au judaïsme. Il l’a détruit. Ce n’était pas seulement un jugement mineur à ce sujet. C’était la destruction divine de Jérusalem et du temple. Exactement ce que Jésus a dit : « Il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée ». Dieu l’a jugé. Jésus-Christ est le temple. Il est notre temple. Et tout le système a été anéanti. Le jugement de Dieu est tombé sur le peuple juif pour avoir assassiné et crucifié le Fils de Dieu. Ils étaient dispersés à travers le monde. Ils ont dit : « Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! ». Et la seule façon de sortir de cette malédiction est de se repentir et de croire au nom de Jésus-Christ. C’est ça. C’est le seul moyen de sortir de cette malédiction. Le peuple juif était sous la malédiction de Deutéronome 28. Toutes les malédictions sont là. Si vous violez cette alliance, voilà ce qui arrive. Ils l’ont violé encore et encore. Toutes ces malédictions sont sur eux. D’accord. Maintenant, pour toute la race humaine, nous sommes tous sous les malédictions du péché et de la mort qui sont tombées sur Adam et Ève. Nous sommes tous sous ça. La seule façon de sortir de ces malédictions est de se repentir et de croire au nom de Jésus-Christ comme Messie. Mais, Steve, ce à quoi nous sommes témoins au cours de notre vie et cela a pris 2000 ans. Mettons, vous savez, 1900 et quelques années pour que cela ait lieu. En 1948, un groupe de sionistes déclarait : « Nous défierons Dieu Tout-Puissant. Nous reconstruirons ce qu’Il a détruit ». Nous reconstruirons le temple qu’il a détruit. Nous reconstruirons Babylone. Nous ferons de Jérusalem la nouvelle Babylone. Nous allons construire une tour technologique. Nous défierons ce Dieu. Et ce qui se passe actuellement avec le soi-disant État d’Israël, cela ne vient pas de Dieu. Cela vient du gouffre de l’enfer et est en rébellion directe contre Dieu. Si les Juifs veulent s’aligner sur Dieu, ils croiront au nom de Jésus-Christ. Ils seront baptisés dans Son église. A part ça, ils sont en rébellion. Mais les gens qui construisent l’empire sioniste défient directement Dieu Tout-Puissant. La plupart des Juifs dans le monde se trouvent désormais tout juste en dehors du royaume de Dieu. Mais ceux qui construisent l’empire sioniste sont en rébellion active et consciente contre Dieu. Ils cherchent à reconstruire ce que Dieu lui-même a détruit. Et ils le font avec Lucifer et les sionistes évangéliques qui se laissent entraîner dans cette histoire. Ils travaillent avec Lucifer et ils ne le savent même pas. Je pense que beaucoup d’entre eux le savent. Je pense que beaucoup de ces sionistes évangéliques sont juste des francs-maçons. Ce sont des francs-maçons secrets, parce que vous avez cette alliance maçonnique de la Kabbale, qui est entièrement enracinée dans la connaissance secrète babylonienne.

JANA BEN-NUN : Oui. Vous l’avez magnifiquement dit, Rick. Vous l’avez parfaitement dit. Et je voudrais dire ici plusieurs choses aux gens. Nous ne sommes pas antisémites. Je suis là avec vous. Vous aimez le peuple juif. Mon mari est juif. Ce que nous appelons juif. Et vous l’aimez parce que c’est votre frère. Vous aimez suffisamment les Juifs pour leur donner l’Évangile. Parce que celui qui aime le Juif, cette personne parlera de l’Évangile au peuple juif afin qu’il puisse sortir et avoir la vie éternelle, et qu’il puisse parvenir au vrai Messie, loin des doctrines de ses pharisiens. Ils sont trompés et revêtent le costume de leur religion pharisienne. Et nous devons les aider à en sortir. Ainsi, les vrais gens qui aiment vraiment le peuple juif comprendront que nous devons apporter le véritable, réel et pur évangile aux Juifs. Et les chrétiens sionistes ne le font pas. C’était un problème que nous avions dans un christianisme sioniste. Mon problème était qu’il y avait une forte tendance à ne pas prêcher Jésus aux Juifs. En fait, ils acceptent de ne pas le faire. Et les seuls ponts qu’ils forment, ils acceptent que les chrétiens se soumettent aux juifs et ils acceptent de ne pas donner l’évangile aux juifs. Il est interdit de prononcer le nom de Jésus devant les juifs.

RICK WILES : Vous me disiez quelque chose aujourd’hui, dont je n’avais jamais entendu parler. Vous avez dit qu’il existe en Amérique un réseau de ce qu’on appelle les pasteurs casher (Kosher Pastors).

JANA BEN-NUN : Oui.

RICK WILES : Pour de vrai ?! Maintenant, nous avons le site Web en ce moment, c’est le véritable site Web d’un homme qui se dit pasteur casher. Et je ne sais pas s’il fait partie de ce réseau dont vous parlez, mais c’est comme ça qu’il s’appelle. C’est le pasteur casher. Il y a l’étoile satanique de David et Casher, la Croix Chrétienne et le pasteur. Vous ne pouvez pas combiner les deux. Non, ils sont opposés. L’étoile de David est démoniaque. C’est la Kabbale. Elle n’a jamais été associée au roi David. Mais prenez quelques minutes et parlez-nous de ce réseau d’églises casher. Qu’est-ce que cela signifie ?

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JANA BEN-NUN : D’accord, je viens de passer samedi sur notre conférence. J’ai rencontré notre sœur en Christ, une sœur en Christ, qui était impliquée dans un groupe enseigné par Itzhak Shapira, qui est fortement impliqué dans la congrégation de Mark Biltz, c’est-à-dire les ministères El Shaddai. Et ils apportent une sorte de nouvel évangile dans toutes les églises, dans toute l’Amérique Latine. Ils s’envolent partout dans le monde, même en France, même en Europe et partout. Et ils ont ce nom de code pour les pasteurs Kosher. Et qui est le pasteur casher ? Maintenant, je ne sais pas si le site Web que vous venez de montrer est le leur. C’est juste quelque chose que nous venons de rechercher et de trouver. Je dois donc faire des recherches. Mais qui est le pasteur casher ? Eh bien, ils ont ces 13 commandements. Comment appelleriez-vous ces 13 déclarations…

STEVE BEN-NUN : 13 Déclarations exactement.

JANA BEN-NUN : … qui circulent dans les églises et que les pasteurs signent ? Et quand ils signent leur Kosher Pastor… — Maintenant, je ne l’ai pas apporté avec moi ou aurions-nous dû le chercher avant de venir ici. Mais, parmi les 13 déclarations, je peux vous dire de mémoire que une d’entre elles est de ne pas prêcher Jésus aux Juifs.

RICK WILES : Ces pasteurs signent cette déclaration ? Ils ne prêcheront pas Jésus-Christ aux Juifs ?

JANA BEN-NUN : Que les juifs n’ont pas besoin de devenir chrétiens. Ils sont déjà dans une alliance et il est interdit de prêcher Jésus aux Juifs.

RICK WILES : C’est ce qu’enseigne John Hagee.

JANA BEN-NUN : C’est vrai. Et le dernier, le chiffre 13, et c’est si drôle que ce soit le chiffre 13, parce que 13 a une grande signification dans les nombres occultes, mais la déclaration dit que tout Gentil, même si cela est nécessaire, devra donner sa vie pour tout Juif. Et vous entendez, eh bien, n’importe quel Juif, juste parce que quelqu’un est juif et qu’il signe, nous sommes prêts à donner notre propre vie pour cela.

RICK WILES : Le pasteur s’engage à donner sa vie pour un juif ?

JANA BEN-NUN : Pour tout juif, tout juif, uniquement parce que cette personne est juive par ADN.

RICK WILES : Avez-vous une idée du nombre de pasteurs qui ont signé cette déclaration ?

JANA BEN-NUN : La dernière fois que j’ai vérifié, il y en avait plus de 250. Mais maintenant, le nombre augmente.

RICK WILES : Ils rendent cela public.

STEVE BEN-NUN : Et vous savez, la raison de tout ce mouvement et ce qui fait vraiment tomber les chrétiens dans ce piège, ce sont les interprétations erronées de la prophétie biblique ou la prophétie qui s’est accomplie dans Zacharie 8, qui est l’une des plus importantes qu’ils utilisent, parce qu’ils disent que les Gentils vont s’emparer du pan de celui qui est Juif. Et, vous savez, il est dit, bien sûr, si vous regardez le verset commençant au verset 8:22 : « Et beaucoup de peuples et de nombreuses nations viendront chercher l’Éternel des armées à Jérusalem et implorer l’Éternel. Ainsi parle l’Éternel des armées : En ces jours-là, dix hommes de toutes les langues des nations saisiront un Juif par le pan de son vêtement et diront : Nous irons avec vous, car nous avons appris que Dieu est avec vous. » Maintenant, ce qu’ils font, Rick, c’est dire aux gens que cela te montre… Ils disent que c’est une prophétie future, et je croyais aussi que c’était une prophétie future. Et j’étais sioniste et j’essayais de comprendre : comment cela va-t-il se réaliser ? Et cela n’a jamais eu de sens pour moi parce que je me disais, « vous savez, pourquoi voudrions-nous prendre la totalité de la jupe d’un Juif ? » Quand les Juifs sont dans le judaïsme, ils sont dans le talmudiisme. D’accord. Alors j’ai pensé, d’accord, eh bien, peut-être que c’est à propos des deux témoins ou quelque chose comme ça. J’essayais simplement de trouver une explication logique à cela. Ce n’est que lorsque Dieu a commencé à nous ouvrir les yeux sur les faux enseignements du sionisme que nous sommes revenus en arrière et que, dans la prière, j’ai commencé à rechercher les Écritures. Et sur celui-ci en particulier, nous avons une de nos bonnes amies nommée Jennifer. Elle l’avait dit à ma femme, elle a dit, « tu devrais demander à Steve de regarder, il connaît l’hébreu. C’est un mot singulier. Ce n’est pas un mot au pluriel ». Mais pourtant, des gens comme Yitzhak Shapira, Mark Biltz, ces gars-là, enseignent que c’est un pluriel. Ainsi donc, les Gentils vont s’emparer de la nation juive, des rabbins juifs, et ils passeront sous les rabbins talmudiques jusqu’à ce que le Messie vienne et résolve tout. Mais permettez-moi de vous lire le côté hébraïque de cette focalisation ici au verset 23, quand il dit [*** mot en hébreu], ce qui signifie qu’ils saisiront l’aile. Ce n’est pas un siège, d’accord, mais une aile de [*** mot en hébreu]. Le mot [***] en hébreu signifie qu’ils saisiront l’aile, comme la manche ou même le pan de votre manteau d’un homme juif. Et c’est singulier. Ce n’est pas un groupe, mais un homme singulier. Et puis si vous continuez, cependant, et c’est là qu’ils se concentrent, ils ne se concentrent pas sur l’homme juif, mais plutôt là où il est dit [*** mot en hébreu… Elohim…]. Autrement dit, nous ici, nous irons avec vous parce que nous entendons que Dieu est avec vous et cela est au pluriel. Mais alors que j’ai commencé à étudier cela et j’ai réalisé, wow, le problème, c’est un homme juif, ça doit être Jésus-Christ, ça ne pourrait être personne d’autre. Alors j’y suis allé et j’ai commencé à y aller, j’ai sondé les Écritures et je regardais en arrière. Et puis je commençais à réaliser où était l’épanouissement. Même si vous regardez Matthieu en hébreu que nous avons, ils parlent du moment où Jésus prêchait en Galilée, que les gens qui venaient de Syrie voulaient s’emparer de sa tunique, qui est son aile. Il n’est pas dit son siège. Et pourtant, l’hébreu Matthieu utilise le mot siège spécifiquement, mais pas dans ce cas, juste l’aile. Et donc je me rends compte, bien sûr, que j’ai maintenant la preuve que Jésus-Christ est l’aile, l’homme, l’homme juif dont ils s’emparent. Mais quand ils disent, « nous entendons que Dieu est avec vous ». Cela s’est accompli dans le Livre des Actes. Quand nous découvrirons que, comme il est dit, ils diront — et bien sûr ils croiront que les dix hommes des nations, parce que c’est de cela dont ils parlent — « les dix hommes des nations » viendront en Israël et voudront s’emparer de l’aile de cet homme juif. Lorsque nous passons au Livre des Actes (ma Bible est présentée ici de manière un peu différente). Mais lorsque nous examinons le chapitre deux du Livre des Actes, nous découvrons qu’au verset 36, je crois que c’est exactement ce qui s’est passé. En fait, si vous lisez ceci, nous découvrons que ces Judéens, alors traduit par Juifs, mais ce sont en fait des Judéens qui reviennent en réalité sur la terre d’Israël. Ils viennent de toutes les nations dans lesquelles ils sont nés. Nous savons donc que ces Judéens le sont uniquement parce que leurs ancêtres sont originaires de Palestine, mais ils reviennent. Ensuite, ils sont là le jour de la Pentecôte. Et quand les cent vingt personnes qui sortent de la chambre haute sont stupéfaites et voient la puissance de Dieu qui se produit, leur cœur est touché. Mais ce qui est intéressant, c’est que le verset 36 dit : « Que toute la maison d’Israël sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié ». Ainsi, la maison d’Israël revenait en réalité, non pas dans le futur, mais il y a 2000 ans, selon les Écritures. Et cela correspond également à Romains 9, si c’est Isaïe, qu’est-ce que c’est ? Chapitre dix, verset 22 je crois, où il est question de « Israël [qui] est comme le sable de la mer, un reste seulement reviendra ». Et ce reste ici, je crois, sont les dix nations qui ont été prophétisées dans Zacharie et qui étaient ici dans ce cas, disant : « nous irons avec vous, car Dieu est avec vous », parce qu’ils ont le cœur touché. Ils veulent savoir « que pouvons-nous faire ? »

RICK WILES : Le reste dont les prophètes ont dit qu’il serait là, les prophètes, les prophètes juifs de l’Ancien Testament ont clairement prévenu qu’Israël entrerait dans l’apostasie, dans le péché, dans la rébellion, que Dieu jugerait le pays d’Israël, jugerait le peuple juif. Mais il en resterait un reste. Le reste était constitué des Juifs qui croyaient au nom de Jésus.

STEVE BEN-NUN : Exactement.

RICK WILES : Et la population d’Israël a diminué. Vous savez, il ne restait plus que quelques milliers de Juifs au début du Livre des Actes. Et puis les Gentils ont été greffés sur Israël, mais ils n’ont pas été greffés sur le judaïsme. Ils ont été greffés sur Israël, qui croyait au nom de Jésus. Les Juifs qui ont rejeté Jésus ont été chassés d’Israël, et ils sont toujours hors d’Israël. Et c’est la seule façon pour Dieu de les laisser retourner dans le véritable Israël, non pas dans l’État d’Israël, mais dans l’Israël de Dieu. La seule façon pour ces Juifs de retourner en Israël et d’être en bonne position auprès de Dieu est de se repentir de leurs péchés, de croire au nom de Jésus-Christ et d’être baptisés au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Telles sont les exigences, et elles étaient les mêmes pour tous les humains de la planète. Vous savez, le rabbin John Hagee, il enseigne… Et si vous allez en ligne, vous trouverez ces enseignements. Je les ai vus au cours des deux dernières années. Il enseigne que l’État d’Israël est la porte d’entrée vers les bénédictions célestes pour les Gentils. En tant que Gentil, vous ne pouvez pas recevoir les bénédictions de Dieu à moins de passer par l’État d’Israël. Maintenant, vous voulez parler de théologie de remplacement, ils ont remplacé Jésus par l’État d’Israël. Ils ont remplacé la croix par l’étoile de David. Et je pourrais dresser la liste de tout ce que les sionistes ont remplacé. Ils ont créé la véritable théologie de remplacement. Ils ont remplacé le vrai christianisme par un faux christianisme. Mais pour lui, se tenir là dans une église et dire aux gens l’État d’Israël est votre porte d’entrée vers les bénédictions du ciel. Et ce qu’il enseigne, c’est que moi, en tant que Gentil, je suis obligé de bénir financièrement les Juifs si je veux être béni par Dieu. C’est ce qu’il l’enseigne.

JANA BEN-NUN : C’est une doctrine talmudique.

RICK WILES : Oui. C’est talmudique.

STEVE BEN-NUN : Oui. Oui c’est le cas.

RICK WILES : Et il sait que c’est talmudique. Et je soupçonne que John Hagee s’est converti en privé au judaïsme talmudique. Nous saurons à son décès s’il aura droit à une sépulture talmudique en Israël. Je suis sérieux.

STEVE BEN-NUN : Oui, c’est vrai, c’est vrai.

RICK WILES : Cet homme a quitté le christianisme. Il est parti. Il a longtemps étudié le christianisme. Il n’est plus dans l’Église.

STEVE BEN-NUN : Je ne vois pas comment les ministres peuvent vivre avec eux-mêmes. Honnêtement, Rick, ce n’est vraiment pas le cas. Parce que lorsque vous êtes confronté à l’Évangile de Jésus-Christ, vous êtes confronté à cette vérité et vous commencez à vous réveiller et à reconnaître ce qui se passe. Comment vivre avec soi-même ? Je connais personnellement des ministres qui souffrent mentalement de ces choses en ce moment parce que je sais que c’est contre cela qu’ils se battent. Ils savent quelle est la vérité de l’Évangile. Et comme vous le dites, c’est une théologie du remplacement inversé, parce que ce que nous croyons en Jésus-Christ ne remplace pas Israël. Au début, l’Église entière était entièrement juive. Vous savez, alors comment pouvons-nous la remplacer ? Vous savez, les Gentils y sont seulement ajoutés.

RICK WILES : Mais ils parlent de… Vous voulez, nous voulons étudier les racines juives. D’accord ? Jésus est la racine.

STEVE BEN-NUN : Exactement.

RICK WILES : Pas le judaïsme. Les Juifs étaient les branches. Jésus est la racine, et les païens ont été greffés sur les branches. Mais Jésus est la racine.

STEVE BEN-NUN : Vous venez de dire une chose importante que j’essaie de faire valoir aux gens tout le temps. Nous savons que Jésus est la racine de cet arbre. Et quand Paul donne toute l’analogie dans Romains 11, à propos d’Israël qui était initialement dans cet arbre, puis qui a été retranché à cause de son incrédulité, les gens semblent tout simplement passer outre cela. Ils n’ont pas été greffés sur le Christ. Ils étaient déjà en lui à l’origine, mais c’est leur incrédulité qui les a fait sortir. Cela n’a donc rien à voir avec la théologie du remplacement, mais cela passe par-dessus la tête des gens.

RICK WILES : Jésus-Christ a accompli toutes les promesses de Dieu à Israël. Il les a toutes accomplies. Il ne reste rien. Il n’y a plus rien que Dieu puisse faire pour le peuple juif. Que peut-il faire de plus grand que de sacrifier son Fils sur la Croix ? Nommez quelque chose de plus grand. Dieu a fait tout ce qu’il pouvait faire pour le peuple juif. Dieu a fait tout ce qu’il pouvait faire pour la race humaine tout entière. La balle est dans notre camp. Obéir. Croyez au nom de Jésus. Repentez-vous de vos péchés. Soyez baptisé. Que vous soyez Juif ou Gentil. Le terrain est plat à la Croix. Nous sommes tous des pécheurs. Il n’y a ni juif ni grec. Nous devons tous aller à la Croix. Et donc Dieu ne fera rien de plus. Il ne construit pas de temple. Un temple serait une abomination. Ce serait un blasphème de la part de Dieu de construire un temple. Pourquoi ? Êtes-vous en train de dire que le sang de Jésus n’est plus assez bon ? Que le sang des taureaux et des brebis a plus de pouvoir pour expier les péchés que le Fils de Dieu ? Pensez au blasphème que font ces sionistes évangéliques en disant aux gens dans les églises qu’il doit y avoir un troisième temple. C’est un blasphème. Pourquoi Dieu ferait-il quelque chose comme ça ? Le sang de son fils est tout aussi pur, saint et puissant aujourd’hui qu’il l’était il y a 2000 ans, lorsqu’il coulait sur la Croix du Calvaire. Dieu a déchiré le voile du temple, la terre a tremblé. Le ciel est devenu noir. Le soleil était assombri. Pourquoi ? Parce que le jugement allait venir sur Israël. Et en 70 après J.C. Il l’a détruit. Et maintenant, de notre vivant, les sionistes, sous l’inspiration de Lucifer, cherchent à reconstruire ce que Dieu a détruit. Et cette chose, le sionisme est en opposition directe avec le Royaume de Dieu. Et quiconque s’aligne sur le sionisme se fait un ennemi du Dieu vivant et vous feriez mieux de vous repentir et de vous en sortir rapidement.

Mes bons amis ici présents aujourd’hui, mes invités Steve et Jana Ben-Nun, et moi-même avons apprécié leur compagnie ici aujourd’hui et je sais que vous avez apprécié ce programme. Si c’est la première fois que vous les voyez, regardez-les sur leur chaîne YouTube, Israeli News Live, et je suis certain que nous en verrons davantage ici sur True News, puis dans les semaines et les mois à venir. Nous sommes d’un seul esprit, d’une seule pensée, et Dieu accomplit une grande nouvelle œuvre dans l’Église. Il ébranle l’Église en ce moment et il révèle les fausses doctrines. Il révèle la tromperie et appelle les gens à prendre position. Il trace une ligne. Et vous devez choisir de quel côté vous êtes. Êtes-vous du côté de Satan ou êtes-vous du côté de Jésus-Christ ? On ne peut pas mélanger les deux et cela va coûter cher. Si vous sortez du sionisme, vous allez en payer le prix. Je paie un prix. Je suis attaqué. Je suis barbouillé. Mon nom est vilipendé. Pourquoi ? Parce que je rejette le sionisme et je paierai ce prix. Mais mon Dieu me défendra. Il me protégera. Et je ne crains pas ce qu’un être humain menace de me faire. Et je crois que vous avez le même esprit. Je sais que ce merveilleux couple a le même esprit.

https://widget.spreaker.com/player?episode_id=22708960






Identification du Machiah des juifs

[Source : Le Messie est à la porte]

Israël a reconnu son Messie, donc l’Antéchrist, mais celui-ci ne s’est pas encore dévoilé publiquement en tant que ce grand personnage redoutable que les prophéties nous ont fait comme description de lui. Cette vidéo montre pourquoi cela aurait été difficile que ce soit quelqu’un d’autre.

Les temps que nous vivons sont historiques, prophétiques ! L’enlèvement de l’Église c’est pour très bientôt. Et rien ne sera jamais plus comme avant. L’heure doit être à la repentance, car tout est fin prêt pour le jour du Seigneur Jésus.

[NDLR L’hypothèse de l’enlèvement de l’Église est basée sur une interprétation de certains passages de la Bible et est contestable.]

Une grande partie d’Israël est en extase devant le Yénouka. Rabbins et sages d’Israël sont presque tous d’accord face à la consécration de cet homme dont ils voient leur sauveur.

La vidéo met l’accent sur le côté hors du commun du personnage devant lequel tous sont en admiration. Tout porte à croire que c’est lui. Ce n’est qu’une piste. L’avenir nous en dira plus.


Interview exclusive du « Yenouka »

[Source : Torah-Box]

Une partie de l’équipe Torah-Box s’est récemment rendue chez Rabbi Chlomo Yéhouda Bééri, surnommé le « Yénouka », jeune géant de la Torah, à Richon Létsion, afin de lui poser des questions et de recevoir ses bénédictions pour le « Am Israël ».

Au cours de cet entretien de grande qualité, le Rav a beaucoup insisté sur quelques notions du judaïsme, essentielles à la pérennité du peuple juif et à la transmission de la Torah à nos enfants. Chemirat Halachone, bénédictions avant et après le repas, pureté familiale et privilégier l’amour des enfants sur l’apprentissage intensif sont les quelques grandes lignes soulignées par le Rav.

Un entretien mené par Rav Daniel Scemama que nous vous invitons à écouter en intégralité : puisse-t-il vous inspirer pour toute votre vie !

En savoir plus sur le Rav : https://torahbox.com/UG3X

[NDLR Ce supposé Mechiah a ici besoin d’un masque. Peur des méchants virus ?]




Nicolas Bonnal : décryptage d’un penseur iconoclaste du XXIe siècle

[Source : adoos.fr]

« On dirait un article [généré par] IA »

Nicolas Bonnal

Par Lina Nguyen

Atypique, controversé, imprévisible : autant d’adjectifs qui collent à la peau de Nicolas Bonnal, figure emblématique du paysage intellectuel contemporain. Disséquant l’époque à la manière d’un chirurgien philosophique, il n’hésite pas à trancher dans le vif des idées reçues. Dans l’arène des penseurs du XXIe siècle, Nicolas Bonnal s’impose comme un gladiateur armé d’un esprit aiguisé et d’une plume acerbe, maniant l’ironie aussi habilement que son épée verbale. Prenez garde, car plonger dans les méandres de sa pensée, c’est accepter de voir son monde secoué par un tremblement de terre intellectuel. En garde! Le décryptage commence.

Les Origines de Nicolas Bonnal

Nicolas Bonnal fait partie de ces intellectuels qui gravitent en dehors des cercles universitaires traditionnels. Sa quête incessante de vérité le pousse à explorer les confins de théories parfois marginales, s’attirant autant de critiques que d’acclamations. Né à une date que l’on devine mystérieuse, Bonnal se distingue par son parcours atypique. Plutôt que de valoriser les institutions prestigieuses, il semble avoir puisé ses connaissances dans une diversité de cultures et d’expériences personnelles. Cet éclectisme se manifeste dans ses écrits, où il conjugue références classiques et idées avant-gardistes.

Bonnal n’est pas de ceux qui maintiennent une ligne académique stricte. Auteur prolifique, il a laissé son empreinte dans divers domaines, de la politique à l’ésotérisme en passant par le cinéma. Cela lui a permis d’enrichir son corpus théorique en empruntant des concepts à différents champs du savoir, une méthode qui lui attire autant d’admirateurs passionnés que de détracteurs sceptiques. Chez lui, point de chapelles intellectuelles, mais une liberté de pensée qui s’affranchit des conventions établies.

L’Approche Iconoclaste dans ses Œuvres

Nicolas Bonnal ne craint pas de secouer le cocotier des idées reçues. Cette approche iconoclaste se matérialise notamment à travers sa propension à revisiter ou à remettre en question des pans entiers de la pensée contemporaine. Dans ses écrits, il n’est pas rare de le voir adopter une position à contre-courant de la majorité, déconstruisant les narratifs communs pour forger ses propres analyses. C’est une dance intellectuelle où chaque pas est à la fois une contestation et une proposition, rendant ses travaux particulièrement dynamiques et parfois déconcertants pour l’esprit non averti.

L’œuvre de Bonnal est un véritable labyrinthe pour l’esprit, où les couloirs familiers des savoirs conventionnels mènent souvent à des salles aux miroirs déformants. Il prend plaisir à entrelacer la philosophie, l’histoire, la culture pop, et même le fantastique, pour produire une réflexion qui défie constamment le lecteur. Ses critiques de la modernité, par exemple, sont teintées d’une ironie mordante qui révèle autant sur son objectif d’éveiller que de divertir.

La Relation avec les Médias et le Public

Lors de son interaction avec les médias, Nicolas Bonnal présente une facette énigmatique. Il joue parfois le rôle du sage ermite, difficilement accessible et fuyant les feux de la rampe, ou celui du provocateur éclairé, s’insurgeant contre les superficialités médiatiques. Cette dichotomie avec la sphère publique ne fait qu’accentuer son image de penseur indépendant et rebelle. Que l’on adhère à ses idées ou non, il est indéniable que Bonnal manipule le verbe avec une habileté telle qu’il devient un sujet de conversation en soi.

Avec le public, c’est une toute autre danse. La toile est tissée d’un lien particulier entre Nicolas Bonnal et ceux qui le suivent. À travers forums et réseaux sociaux, il entretient une relation à la fois directe et cryptée avec ses lecteurs. Son aptitude à créer de l’interaction, à stimuler le débat, voire à susciter la controverse, est au cœur de sa relation avec le public. Il devient alors ce « gourou » des temps modernes qui invite à la réflexion – non sans un certain sens de l’autodérision.

Le Penseur et l’Humour

Il serait réducteur de ne pas mentionner l’humour singulier qui imprègne l’œuvre de Nicolas Bonnal. Loin de se limiter à un ton docte, il se plaît à injecter des touches d’ironie, voire de sarcasme, dans ses analyses, rendant la digestion de ses idées complexes un brin plus légère. Cette utilisation de l’humour sert non seulement à désamorcer la tension qui pourrait naître de sujets parfois graves, mais également à souligner la nature souvent absurde de la condition humaine.

Cet humour est mêlé à une certaine dimension ludique : il aime à parsemer ses écrits d’énigmes et de références cachées, invitant le lecteur à un jeu de piste intellectuel. Parfois, même, on pourrait jurer qu’il cligne de l’œil à travers les lignes, comme lorsqu’il évoque ce vieux proverbe imaginaire : « Quand le sage pointe la lune, l’idiot regarde Nicolas Bonnal. » Un clin d’œil à sa propre réputation de détourneur d’attention, à prendre avec le sourire.

La Diversité de ses Thématiques

Une majorité de ses œuvres se prêtent à une analyse thématique riche et hétérogène. Nicolas Bonnal ne se contente pas de survoler des sujets ; il s’immerge dans des profondeurs parfois vertigineuses afin d’en extraire de nouveaux points de vue. De l’effondrement des civilisations à la critique de la technologie, en passant par la réinterprétation des mythes, il touche à des questions qui interpellent et qui, dans sa plume, prennent une teinte inédite.

Sa façon de tisser des liens inattendus entre des thèmes apparemment disparates est une autre corde de son arc intellectuel. Nicolas Bonnal tire des fils invisibles entre la politique et l’alchimie, les stratégies de communication moderne et les enseignements des philosophes antiques. Il parvient à créer des résonances entre le passé et le présent, entre le local et l’universel, ce qui donne à ses écrits une portée à la fois ancrée et atemporelle.

Les Perspectives pour l’Avenir

L’avenir semble être un terrain fertile pour Nicolas Bonnal, qu’il envisage avec prudence ou peut-être avec un sourire narquois. Il n’est pas de ceux qui prônent des solutions toutes faites ou des prophéties rassurantes, préférant laisser flotter un voile de mystère. Toutefois, ses réflexions induisent souvent une invitation à la préparation face aux inconnues futures, à l’aube d’un monde en mutation constante.

Il encourage à adopter une pensée critique, à s’affranchir des dogmes et à chercher en permanence à se réinventer. S’il est difficile de prédire où mènera le chemin de Nicolas Bonnal, une chose reste certaine : il continuera à paver la route moins empruntée, armé de son esprit acéré et de son regard singulier sur notre époque. Ses prospects d’avenir, scribouillés quelque part dans ses notes, sont probablement aussi imprévisibles que le parfum d’une rose de jardin métaphysique, cultivée en secret dans la bibliothèque de son esprit.

*Nicolas Bonnal apparaît toujours là où on l’attend le moins. C’est un peu comme lorsque vous cherchez vos lunettes partout avant de réaliser qu’elles sont sur votre nez. Certains pensent que le hasard est son meilleur ami, ou peut-être est-ce une stratégie soigneusement orchestrée ? Un jour d’hiver, alors que je glissais sur une idée philosophique aussi dangereuse qu’une plaque de verglas, je suis tombé, non pas sur le sol, mais sur une citation de Bonnal. Elle était là, tout sourire, m’attendant à l’angle d’une page web. C’est en de tels instants qu’on se prend à penser que cet homme a non seulement un sens aiguisé pour l’écriture, mais aussi pour l’omniprésence intellectuelle.*

Nicolas Bonnal : un Esprit Libre dans un Monde Conformiste

Nicolas Bonnal reste une figure atypique dans le paysage intellectuel contemporain. À la fois critique et poète, provocateur et philosophe, il incarne l’esprit libre d’un monde souvent trop conformiste. Ses textes sont des invitations au voyage intellectuel, loin des autoroutes de la pensée unique. L’esquive des étiquettes, la jonglerie idéologique et les pirouettes verbales sont son quotidien.

Se plonger dans l’univers de Nicolas Bonnal, c’est accepter le défi de voir le monde sous un angle différent, d’aborder la connaissance comme un terrain de jeu sans limites. Il représente cette petite voix qui suggère que derrière la facade du réel se cache peut-être une infinité de mondes à explorer. Peut-être est-ce là le rôle véritable d’un penseur iconoclaste : nous rappeler que la liberté de penser n’est pas une utopie oubliée, mais une flamme qui doit être constamment nourrie.

Lina Nguyen

Lina Nguyen, 25 ans, est une étudiante en journalisme avec des racines vietnamiennes et une vie parisienne. Passionnée par la découverte de nouvelles cultures et l’actualité, elle explore le monde des festivals et des loisirs, partageant ses trouvailles sur son blog. Elle se consacre à créer des ponts entre différentes cultures à travers ses récits. Lina invite son audience à la rejoindre dans ses aventures enrichissantes.




Sur quel rocher le Christ a-t-il bâti son Église ?

Par Joseph Stroberg

Mention préliminaire

Cet article pourrait choquer certains croyants, surtout s’ils se comportent comme les pharisiens du temps du Christ au lieu de s’efforcer de suivre quotidiennement son enseignement dont les piliers sont l’Amour, le Pardon, la Charité et l’Humilité.

La question de la pierre fondatrice

Tout part de la petite phrase traduite le plus souvent en français par :

« Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église. »

Matthieu 16:18

[Source : gotquestions.org]

La question de savoir si le « rocher » sur lequel Christ construira son église est Pierre, ou s’il s’agit de la confession que Jésus est « le Messie, le Fils du Dieu vivant » (Matthieu 16.16), fait débat. En toute honnêteté, il est impossible de savoir avec certitude qui a raison. La construction grammaticale permet les deux possibilités.

Le premier point de vue est que Jésus déclare que Pierre serait le « rocher » sur lequel il construirait son Église. Il semble s’agir d’un jeu de mots : « Tu es Pierre (petros) et sur ce rocher (petra) je construirai mon Église », Christ faisant le lien entre le nom de Pierre, qui signifie « rocher », et son Église qu’il construira sur un rocher. Dieu a beaucoup utilisé Pierre au moment de la naissance de l’Église : il a été le premier à annoncer l’Évangile au jour de la Pentecôte (Actes 2.14-47), était présent quand les Samaritains ont reçu le Saint-Esprit (Actes 8.14-17) et a annoncé le premier l’Évangile aux non-juifs (Actes 10.1-48). En un sens, Pierre était la « pierre fondatrice » de l’Église.

L’autre interprétation courante du rocher est que Jésus ne se référait pas à Pierre, mais à sa confession de foi de Pierre au verset 16 : « Tu es le Messie, le Fils du Dieu vivant. » Jésus, qui n’avait jamais pleinement dévoilé son identité à Pierre et aux autres disciples, a reconnu que Dieu, dans sa souveraineté, lui avait ouvert les yeux et révélé qui il était réellement. Sa confession de Jésus comme le Fils de Dieu émanait de lui et était une affirmation sincère de sa foi personnelle en Christ, qui caractérise le chrétien authentique. Tous ceux qui, comme Pierre, ont mis leur foi en Christ constituent l’Église. Pierre exprime cette vérité en 1 Pierre 2.4 : « Approchez-vous de Christ, la pierre vivante rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu, et vous-mêmes, en tant que pierres vivantes, laissez-vous édifier pour former une maison spirituelle, un groupe de prêtres saints, afin d’offrir des sacrifices spirituels que Dieu peut accepter par Jésus-Christ. »

Après la confession de Pierre, Jésus lui dit que c’est Dieu qui lui a révélé la vérité. Le terme « Pierre », Petros, signifie « petite pierre » (voir Jean 1.42). Jésus a ensuite employé un mot apparenté, petra, qui signifie « pierre fondatrice ». Le même mot est employé en Matthieu 7.24,25, pour le roc sur lequel le sage bâtit sa maison. Pierre lui-même emploie la même image dans sa première Épître : l’Église est constituée de nombreux petits petros, des « pierres vivantes » (1 Pierre 2.5) qui partagent la confession de Pierre que Jésus est le Christ, le Fils du Dieu vivant. Ces confessions de foi sont le fondement de l’Église.

De plus, le Nouveau Testament montre clairement que Christ est le fondement de l’Église (Actes 4,11, 12, 1 Corinthiens 3.11). C’est une erreur de penser que Jésus a donné ce privilège à Pierre. En un sens, tous les apôtres ont joué un rôle fondamental dans la construction de l’Église (Éphésiens 2.20), mais la primauté est réservée à Christ seul, la « pierre angulaire » (1 Pierre 2.6, 7, Éphésiens 2.20, Luc 20.17 et Actes 4.11). Si Christ est la pierre angulaire, comment Pierre peut-il être le rocher sur lequel l’Église est construite ?

La meilleure interprétation des paroles de Jésus en Matthieu 16.18 est donc qu’il s’agit d’un simple jeu de mots. Pour paraphraser : « Pierre, tu t’appelles “petite pierre”, mais ta bouche a confessé une vérité bien plus grande qui deviendra la pierre fondatrice de l’Église ».

L’Église catholique soutient que Pierre est le rocher à laquelle Jésus fait référence et se fonde sur cette interprétation pour revendiquer le titre de seule véritable Église, mais, comme nous l’avons vu, ce n’est pas la seule interprétation possible. Même si Pierre est le rocher en Matthieu 16.18, cela ne donnerait aucune autorité à l’Église catholique. Les Écritures ne mentionnent pas que Pierre a été à Rome, ne le décrivent pas comme ayant autorité sur les autres apôtres ou comme le principal responsable de l’Église primitive. Il n’était pas le premier pape. Les origines de l’Église catholique ne sont pas fondées sur les enseignements de Pierre ou d’aucun autre apôtre.

Comment accéder au Père ?

« Je suis, moi, le chemin, répondit Jésus, la vérité et la vie. Personne ne va au Père sans passer par moi. »

Jean 14:6

« Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi ? Ce que je vous dis, je ne le dis pas de moi-même : le Père demeure en moi et c’est lui qui accomplit ainsi ses propres œuvres. Croyez-moi : Je suis dans le Père et le Père est en moi. Sinon, croyez au moins à cause des œuvres que vous m’avez vu accomplir. Vraiment, je vous l’assure : celui qui croit en moi accomplira les œuvres que je fais. Il en fera même de plus grandes parce que je vais auprès du Père. »

Jean 14:10-12

Le Christ ne dit pas que pour atteindre le Père il faut passer par Pierre, ni même par son Église. Il faut simplement passer par lui, avoir foi en lui, reconnaître et appliquer son enseignement.

Et s’il mentionne qu’ainsi nous pouvons aussi à notre tour faire même de plus grandes œuvres que lui, c’est parce que, comme lui nous sommes tous fils de Dieu et fils de l’Homme. Si nous comprenons intimement son enseignement, nous réalisons que nous aussi nous sommes en Dieu (par sa dimension transcendante et sa Création) et Dieu est en nous (par sa dimension immanente).

Quid de l’Église de pierres (celle dite « catholique ») ?

Cette église qui a fait de Rome (le cœur de l’Empire romain) son siège ? Cette église assise ainsi sur la ville aux sept collines ? Cette église qui s’est parée de pourpre (les évêques), d’écarlate (les cardinaux), d’or et de pierres précieuses (les richesses du Vatican) ?

Cette église est née en 538, grâce au général romain Bélisaire qui en instaura le cadre juridique. Elle a été blessée mortellement en 1798 par Napoléon qui s’approprie les terres de cette église et emprisonne le pape de l’époque. Elle a miraculeusement ressuscité en 1929 grâce à Mussolini qui lui donne le royaume du Vatican, une enclave dans Rome.

1798 – 538 = 1260 ans

« … et il lui fut donné le pouvoir d’agir pendant quarante-deux mois [1260 jours1] »

Apocalypse 13:5

« … la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. »

Apocalypse 13:12

« Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution. »

Apocalypse 17:4

« Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. »

Apocalypse 17:9

L’Église catholique romaine correspond très probablement à la Bête de la mer.2

La Bête de la terre

« Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon. Elle exerçait toute l’autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. Elle opérait de grands prodiges, même jusqu’à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l’épée et qui vivait. Et il lui fut donné d’animer l’image de la bête, afin que l’image de la bête parlât, et qu’elle fît que tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête fussent tués.
Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. »

Apocalypse 13:11-18

L’élément chimique le plus abondant de la croûte terrestre en dehors de l’oxygène est le silicium, base des transistors composant les microprocesseurs au cœur des ordinateurs et autres technologies informatiques.

L’informatique, avec ses deux cornes que sont le hardware (le matériel) et le software (les logiciels) est ce qui a permis les nombreux « miracles » technologiques modernes : communication visuelle quasi instantanée d’un bout à l’autre de la planète, robotique, fusées, satellites, technologie médicale, etc.

L’image parlante de la bête adorée par presque tous est celle donnée par le téléphone cellulaire et les autres écrans.

Bientôt, par le biais de l’informatique et de la technologie dérivée, la conjugaison des CBDC, de la nanotechnologie graphénisée dans les vaxins (dont l’adresse MAC perçue comme code Bluetooth et qui représente un identifiant universel) et du crédit social à la chinoise, la marque de la Bête sera fonctionnelle et obligatoire pour acheter et vendre des produits et des services.

Sous le pseudopape actuel, la Bête de la mer fonctionne de pair avec celle de la terre pour établir le Nouvel Ordre Mondial, le règne de la triple bête, la troisième étant le Dragon/Satan.

Conclusion

Le christianisme originel a été attaqué par Satan dès sa fondation, car le Christ n’a pas vaincu ce dernier il y a deux mille ans, même s’il n’a pas lui-même succombé à ses tentations. En 538, avait lieu une première phase cruciale dans ce long processus de dégradation, celui de la transformation d’une Église3 faite d’Hommes en une église matérialiste faite de pierres. Les nombreux saints et martyrs qui ont jalonné heureusement par ailleurs cette période, même au sein de cette déviation, ont cependant contribué à maintenir vivant l’enseignement du Christ.

Au moment de la Révolution française, la blessure mortelle de la Bête de la mer s’est accompagnée de la décapitation du lieutenant du Christ dans le pays représentant la fille aînée de l’Église — la France. Ce pays se voyait alors coupé du lien vertical avec le divin et ramené à une dimension purement horizontale, de plus en plus matérialiste. Le reste du monde en a rapidement subi les conséquences.

L’étape finale de la déchéance chrétienne est vécue depuis 1929, avec l’infiltration maçonnique (les maçons pas francs du tout achevant le processus de transformation en pierres) et la transformation de l’Église en royaume terrestre (celui du Vatican) au lieu de sa préoccupation pour le royaume des cieux.

Avec le pseudopape actuel, qui ne peut être pape du fait qu’il est jésuite, nous assistons à l’apothéose de la corruption de l’esprit chrétien. L’Église de pierres a laissé entrer les marchands du temple dans son univers, alors que le Christ les avait chassés. Elle valide la technologie d’inspiration satanique au lieu de guider les êtres humains vers la libération de la matière et l’épanouissement de leur spiritualité et de leurs aptitudes naturelles.

« Voici, je viens comme un voleur. Heureux celui qui veille, et qui garde ses vêtements, afin qu’il ne marche pas nu et qu’on ne voie pas sa honte ! »

Apocalypse 16:15

Est-ce qu’un chrétien qui ne suit pas les enseignements du Christ, un chrétien pharisien qui a remplacé l’esprit par la lettre se prépare pour un éventuel retour de celui en lequel il dit croire ? Il y a deux mille ans, le Christ reprochait aux hypocrites et aux religieux matérialistes de l’époque d’avoir pour père Satan. Que dirait-il aujourd’hui ? Dirait-il qu’il faut s’accrocher aux propos et interprétations de Paul ou de Pierre ? Ou de retenir la substance de ses propres paroles ? Dirait-il qu’il faut s’en remettre à un pape ou à un prêtre ? Ou qu’il suffit de croire en lui et d’agir en conséquence ? Chasserait-il les juifs, les musulmans, les bouddhistes… ou lirait-il dans leur cœur pour en connaître le véritable contenu et les accueillir en son royaume s’ils le méritent par les fruits qu’ils ont produits ?

Quand tout semblera perdu pour les Hommes, à cause de l’emprise satanique sur le monde, cette fois il a annoncé qu’il reviendrait pour vaincre l’Adversaire et pour libérer l’Humanité par la Vérité. Un chrétien dans l’âme peut-il y prêter foi ? Un non-chrétien spirituel le peut-il aussi ?


1 En matière de prophétie, un jour prophétique est égal à une année littérale [Ezéchiel 4:6].

2 La mer représente à la fois des foules nombreuses ou des peuples, et la mer méditerranée autour de laquelle l’Empire romain était fondé.

« Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues. »

(Apocalypse 17:16)

3 « église » signifie « assemblée de fidèles ».




Superstitions de fin des temps : où en sont-ils ?

[Source : Jérémie Mercier]

Lors de nos deux derniers entretiens, Icaros nous a expliqué que les planificateurs centraux suivent un script eschatologique. Nous revenons dans cet entretien sur les prédictions déjà faites, et sur les prochains événements à attendre.

[Voir aussi, en relation avec le contenu de la vidéo :
►dossier Vaccins et virus (sur l’inexistence des virus) ;
►dossier Climat (sur le prétendu réchauffement climatique anthropique) ;
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus ;
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires ;
Troisième temple.]

[En cas de censure YouTube :]






L’enjeu de notre intégrité morale

[Source : dondevamos via PG]

Le mouvement de la Résistance apparu grâce à l’opération psychologique du Covid est devenu de facto la nouvelle opposition-exutoire dont avaient justement besoin nos oligarques pour remplacer celle des partis et médias en perte d’audience. Et ce point est crucial pour comprendre ce qui se joue.

Cet article est écrit avec Émilie Mugabo, passée elle aussi par le journalisme et les tentatives d’éveil des consciences.

[Voir aussi :
Acceptons-nous de devenir des objets connectés ?]


Par Émilie Mugabo

L’avancement de l’agenda 2030 et du plan transhumaniste associé a franchi un cap indirect, mais hélas réel et palpable dans les rangs de la dissidence où le sujet numéro 1 est devenu celui de l’infiltration et des manœuvres destinées à neutraliser les mouvements de contestation. On peut s’en désoler ou choisir de l’ignorer et continuer à résister tant qu’il est possible de le faire, à grands coups d’autocensure.

Y voir clair dans le brouillard organisé

Mais le déni ne nous emmènera pas bien loin tant sont désormais manifestes la débauche de moyens humains, techniques et financiers, comme l’anticipation de la caste très en amont pour empêcher le peuple de s’emparer du pouvoir : la démocratie est plus que jamais un tabou absolu dans nos ploutocraties en fin de course, persuadées qu’elles sont de n’être plus qu’à un pas du contrôle absolu des masses.

Et pourquoi n’y croiraient-elles pas alors que leurs plans fonctionnent depuis si longtemps ? Combien de révolutions confisquées, de pseudo-victoires des peuples ou bien d’un pays contre l’autre, d’un parti contre l’autre ou d’une religion contre une autre ? Toutes ces sucettes amères offertes en récompense à une humanité immature, ravie qu’on la rassure et la protège des méchants. « C’est fini, nous avons gagné »…

Vraiment ? Est-ce vraiment déjà arrivé ?

Avant qu’on nous la refasse encore à l’envers, regardons avec un peu de lucidité les échecs passés et où pourrait bien nous mener à nouveau cette propension à minimiser « le plan dans le plan » et à suivre les leaders au parfum nostalgique d’antan.

Sans remonter bien loin, on se gardera par exemple d’occulter combien des personnages bien connus comme François Mitterrand, Roland Dumas, Nicolas Sarkozy, Bolloré, Charles Pasqua, Lafargue, Martin Bouygues ou encore Attali ont œuvré à la fabrique de l’opposition en France autant qu’en Françafrique tout en travaillant dans le même temps aux intérêts des vendeurs d’armes, de la haute finance et du puissant cartel de la pétrochimie qui lui-même enfanta Big Pharma.

Est-ce que le degré de complicités, de peur, de corruptions, de pressions et d’omerta nécessaire aux pillages, coups d’État arrangés, détournements et abus sociaux fomentés diffère tant que cela de celui qui a été nécessaire pour le plan Covid, contrôle, nanos et 5G qui se déroule aujourd’hui ?

Cette même caste dont l’impunité n’est plus à démontrer puisque les condamnations des uns et des autres comme celles de leurs agents, hommes et femmes de main et de petite vertu n’ont en rien empêché qu’ils continuent à nuire, parader sur les plateaux télé, au Festival de Cannes ou au sommet du CAC40. Et aucun d’eux n’a à s’en faire pour ses fins de mois, sa retraite ou sa jolie maison.

Les liens entre les trois volets de l’affaire Elf et celle des disparues de l’Yonne et des affaires Alègre & Epstein sont à cet égard représentatifs tant ils sont étroits quand on creuse. Mais là n’est pas le sujet du jour, même s’il importe vraiment de garder ces éléments à l’esprit.

Les seuls qui s’étonneront d’ailleurs de ces constats sont ceux qui minimisent encore l’usage systématique et systémique des réseaux satanistes pédophiles et proxénètes qu’ils orchestrent ou supervisent eux-mêmes pour s’assurer de la soumission des uns et des autres. Et bien sûr de leur perversion morale et inclinaison à soutenir des législations toujours plus décadentes et avilissantes.

Sachant qu’appartenir à la franc-maçonnerie et avoir juré d’en respecter les secrets suffit dans bien des cas à s’assurer le soutien ou le silence des complices intermédiaires, qu’ils soient députés, journalistes, médecins ou avocats. Alexandre Lebreton a très bien exposé les punitions diverses auxquelles sont soumis ceux qui trahissent leur fraternité. Inutile de vous dire qu’ils ne font pas long feu, sont expulsés du jeu ou ne coulent pas une retraite tranquille et confortable.

Aussi ne devrait-on plus s’étonner de voir aussi collaborer ceux qui n’ont pas atteint un grade, un poste à responsabilités ou un mandat politique suffisamment élevé pour qu’on les coince par un « dossier » rempli de photos ou vidéos sombrement compromettantes et une justice inféodée.

Il serait donc évidemment aussi niais que dangereux de penser que ces mêmes réseaux occultes et politiques ne sont pas aujourd’hui encore actifs et même plus que jamais impliqués dans la dissidence et le bon déroulement du plan qui atteint justement un point de non-retour historiquement déterminant : le contrôle total des populations par la technologie et l’annihilation d’une part intolérable d’entre nous et du Vivant. C’est en cours. C’est maintenant.

Et beaucoup parmi nous réalisent progressivement le rôle et le poids de la France dans ce plan global et ancien, même s’ils ignorent encore les racines occultes du pourquoi.

On a vu comment le mouvement des agriculteurs a été personnifié, réduit à une figure, à une fédération, pour être renvoyé au silence après deux ou trois annonces déconnectées. Comment les black blocs passent là où les Gilets Jaunes ne passent pas. Comment ces trois dernières décennies, les révoltes ont également été contenues en médicalisant la souffrance sociale des individus via des prescriptions massives et exponentielles de neuroleptiques, d’anxiolytiques et surtout d’antidépresseurs qu’on retrouve opportunément dans l’eau du robinet. « Vous avez été licencié, vous êtes ruiné, votre épouse vous a quitté et vous vous sentez très mal ? Voilà un traitement qui devrait vous aider, mais vous n’arriverez à rien en refusant d’aller regarder votre enfance et les vrais problèmes à la racine de votre mal-être actuel »…

Nous avons vu aussi comment les citoyens en général sont bannis des plateaux et de l’espace médiatique, surtout s’ils sont militants ou s’ils portent des revendications. Et combien de marionnettes et d’idiots utiles dans les mouvements politiques, les médias, les associations qui ont pignon sur rue ?

Pourquoi le seul discours qui a droit de cité en France est-il soit un éloge de la micronie, soit un discours aseptisé, une vague opinion sans intérêt ? Parce que le régime autoritaire choisit ses opposants.

Mais peut-il pour autant se dispenser d’offrir à la part la plus radicale du peuple un mouvement de dissidence voué à nous contenir et servir d’exutoire ? Bien sûr que non et c’est même le point le plus sensible et stratégique à régler pour eux. Toute parodie de démocratie a besoin d’une « vraie » opposition, à l’image des soupapes de sécurité de nos cocottes-minute. Or que constatons-nous ?

Le mouvement de la Résistance apparu grâce à l’opération psychologique du Covid est devenu de facto la nouvelle opposition-exutoire dont avaient justement besoin nos oligarques pour remplacer celle des partis et médias en perte d’audience, alors que jamais les Français n’ont été aussi mécontents et attaqués. Et ce point est crucial pour comprendre ce qui se joue.

Dans le même temps et pour illustrer ce propos, le Front national créé en son temps pour y rediriger et contenir les contestataires, ne remplit quasiment plus cette fonction-là et devient plutôt peu à peu l’alternative qu’on pourrait nous imposer à Macron par la grâce et magie des urnes. Mais comme les partis d’extrême-gauche, il fait désormais partie d’un jeu politique considéré comme pipé et uniformisé, par une partie toujours plus grande de la population.

De même, le désaveu des Français pour les journaux et autres grands médias dominants est avéré et leur impact dans l’opinion n’a donc de cesse de diminuer.

Cela n’a d’ailleurs rien d’anecdotique de rajouter ici le soin plus que suspect qu’apportent de nombreux agents du New Age à promouvoir, bien mis en avant par YouTube, la défiance envers les médias au profit des personnalités de la Résistance elles-mêmes soutenues par les GAFAM qui ne les censurent ponctuellement que pour mieux crédibiliser leur statut de grand dissident, mais les soutiennent activement et massivement.

Le moment du point de bascule

Pas besoin d’être de grands visionnaires pour comprendre que le monde de domination par le fric qu’on connaît depuis plus de 2000 ans et des générations de guildes de marchands du temple touche à sa fin.

Plusieurs facteurs empêchent ce système de continuer : on peut mentionner la raréfaction de certaines ressources minérales, la prise de conscience planétaire du système d’exploitation de l’humain par les capitalistes et tous ses corollaires tels que les guerres, la désespérance et le déchaînement des pulsions, les famines avérées et celles agitées en épée de Damoclès via les menaces de pénurie, les campagnes d’injections expérimentales massives, mais aussi l’éveil des consciences et la hausse des taux vibratoires qui en résulte, l’activité solaire et les chambardements telluriques, climatiques et géomagnétiques, etc.

Sans parler de ces prophéties autoréalisatrices et au fatalisme induit, via la circulation de l’information ou encore le caractère absolument incohérent, déspiritualisé et amoral du monde dans lequel nous vivons. Et de celui dans lequel on voudrait nous propulser en niant jusqu’à l’existence de nos âmes.

La population doit rester suffisamment léthargique, fataliste, divisée et abêtie pour se laisser faire. Tous les leviers requis sont pensés, actionnés, tels l’addiction aux écrans à grand renfort de neurosciences, champs de fréquences pulsées pour nous faire sécréter béatement de la dopamine, et des contenus vidéo, animés et films stratégiques, anticipant la réalité désirée et pervertissant les psychés en plus de permettre un profilage de chacun selon ce qu’il regardera. Et surtout, la morale et les valeurs sont retournées et inversées méthodiquement. Autant de signaux alertant d’une fin de civilisation imminente bien plus que d’une dystopie à la sauce du N.O.M..

Longtemps les artisans de ce plan multiséculaire ont avancé masqués, mais nous relevons tous que l’agenda se précipite et que le choix a été fait de passer à une méthode ouvertement autoritaire.

Nous sommes arrivés à un point de bascule parce que le mouvement est planétaire : de la Bolivie au Sri Lanka, d’Afrique du Sud en Finlande, les gens savent que le monde va de mal en pis et ils savent que cela arrive parce qu’une petite clique tient l’économie mondiale et fait tout ce qu’elle veut. Elle s’incarne dans les injonctions du forum de Davos, de la Commission européenne, de l’OTAN, de l’ONU, de l’UNESCO, de l’OMS et de ces fondations « philanthropiques » qui ressassent leur doxa jusqu’à l’écœurement et par tous les canaux possibles, « éducation » nationale comprise.

Avec pour point commun d’être systématiquement aux mains d’une même caste se cooptant et veillant à la loyauté et fidélité idéologique de tous ceux qui en pilotent et exécutent ces programmes aussi eugénistes que racistes. En effet, ils ne cachent même plus leur propension à considérer inférieure la quasi-totalité des humains, traités avec mépris de « race des homo sapiens » tous juste bons à être implantés, torturés ou téléguidés, comme avant eux les chimpanzés. Cette idéologie s’est appelée nazisme, néo-libéralisme, wokisme, transhumanisme… et nombreux sont désormais ceux qui parlent carrément de satanisme.

Le refus de ce monde, de ce système, est de plus en plus viscéral, notamment en France — ou ce qu’il en reste. Mais il n’est pas encore radical, loin de là.

Comment s’assurer une opposition bien sage

Ceux qui contrôlent le narratif veulent aussi contrôler le contre-narratif. Considérons le public français en deux catégories : les activistes et les non-activistes.

Dans les activistes, il y a ceux qui sont politisés et ceux qui ne le sont pas. Et dans les non-activistes, il y a encore deux groupes :

  • Ceux qui ne s’informent pas du tout ou mal, ne recherchent pas d’information au-delà des grands médias officiels.
  • Ceux qui cherchent des informations complémentaires pour mieux comprendre le système, et qui pourraient éventuellement passer du côté des activistes.

On peut difficilement évaluer les proportions de chaque groupe et encore moins se fier aux baromètres d’opinion bidonnés pour démoraliser les contestataires. Les Français n’étant pas tant des « veaux » que cela, admettons que les non-activistes qui ne s’informent pas ou mal représentent environ la moitié de la population. Heureusement pour nous, il n’y a besoin que de quelques pour cent pour faire basculer la situation, pour peu que l’effort soit assez coordonné et réfléchi sur la durée.

Il est facile d’anesthésier ceux qui considèrent que la propagande est de l’information. Quant aux activistes non politisés, ils peuvent toujours militer pour les baleines ou pour sauver leur usine, cela ne changera rien et n’a aucun impact sur le bon fonctionnement du capitalisme.

La vraie menace [pour les élites] est donc dans deux groupes : les activistes politisés, et les non-activistes qui cherchent à comprendre ce qu’il se passe. Et qui, grâce à l’épisode délirant du Covid, sont de plus en plus nombreux à progressivement passer « dans l’opposition ».

Du moins le croient-ils, car aujourd’hui, c’est bien le problème : il n’y a pas d’opposition. Aucun mouvement fort et redoutable. Uni. Ceux qui pourraient la construire sont isolés et ciblés. De même pour ceux qui voudraient tenter de fédérer les groupes existants. Ces réseaux et cellules communiquent peu entre eux et la défiance règne. Une opposition structurée et véritable n’émergera pas non plus derrière un leader charismatique dont beaucoup se méfieront automatiquement et à raison. Elle doit donc s’agréger autour d’un objectif simple, précis et efficace.

Même si ce n’est pas pour demain, cette agrégation qui se ferait automatiquement en temps normal est précisément ce que doivent éviter nos autocrates qui n’ont les pleins pouvoirs que pour gaver les capitalistes de la caste, en dérouler le plan et réprimer toute contestation non voulue. Mais attention : il leur faut maintenir une opposition-exutoire, dernier reliquat de démocratie qui permet de prétendre que la parole est libre.

La méthode à déployer comprend 2 axes :

  1. Invisibiliser et si possible anéantir les oppositions les plus gênantes et les plus subversives. On va lancer des campagnes de calomnie, empêcher de parler, créer des « doubles » (des individus qu’on met en orbite pour tenir presque le même discours, mais sans attaquer le système ou dont le discours sera facile à discréditer, ou le même projet lancé en parallèle, en version « soft »). On peut aussi associer sans leur accord certains opposants à des actions, des courants ou communautés complices et promouvant des fadaises grossières ou des façons d’agir rédhibitoires pour qu’ils perdent leur crédibilité.
  2. Faire monter une opposition molle. Comme l’a dit Lénine « le meilleur moyen de contrôler l’opposition est de la diriger nous-mêmes ». On rend donc visible un meneur, un groupe en le créant, en le finançant, en lui donnant des tribunes, ou même par des articles de presse à charge, mais pas très corrosifs, dans lesquels on reste sur des considérations superficielles. On n’attaquera pas les financements ni les non-dits, par exemple.

L’opposition molle peut être créée de toutes pièces : on finance et on met en place des groupes et des sites Internet qui seront centrés sur un seul combat, anecdotique, ou qui seront inopérants parce qu’ils sont centrés sur un personnage, alimentés par des informations plus ou moins vérifiées, ou en guerre permanente avec d’autres groupes. Elle peut aussi être entretenue par l’infiltration de groupes déjà existants, ou en retournant leurs leaders d’une façon ou d’une autre.

Le point essentiel est que la visibilité de cette opposition surpasse et écrase celle des dissidents les plus gênants, pour capter tout nouveau Français résolu à modifier sa façon de s’informer et se fiant par conditionnement à ceux qui paraissent le plus suivis dans la Résistance. C’est ici que les algorithmes, trolls et sociétés proposant de doper les vues et abonnements jouent un rôle aussi important que parfaitement déloyal.

L’opposition molle contribue alors à faire écran de fumée pour que l’opinion publique n’accède pas aux informations pertinentes et pour qu’elle ne s’organise pas contre le système. Elle va permettre plusieurs choses :

  • Concentrer l’attention sur des leaders plus ou moins charismatiques qui prétendent avoir les solutions, et ainsi démobiliser les gens qui pourraient se prendre en main et collaborer.
  • Polariser le débat, le faire tourner en rond, l’amener vers des oppositions binaires au lieu d’agir de manière itérative, ce qui éloigne les gens de ces combats, réduits à des guerres intestines stériles, et qui nasse l’opinion publique dans de petits groupes militants, souvent cloisonnés, dans des combats de niche et débats sans propositions qui ne changeront rien sur le fond. Et c’est bien ce que nous vivons.
  • Distiller du faux dans le vrai, comme une sorte de poison qui permettra de jeter le bébé avec l’eau du bain, c’est-à-dire de décrédibiliser tout le sujet, tout le combat.
  • Constituer le réservoir dans lequel la caste pourrait se servir demain pour nous brandir nos nouveaux sauveurs, conseillers et dirigeants, si elle choisit stratégiquement de simuler sa défaite « complète » et laisser penser aux populations qu’enfin elles ont gagné et que « Pfizer et les politiques corrompus, c’est enfin terminé ». Sauf que le changement serait une illusion, un simple report des lois les plus décriées comme l’éducation à la sexualité. Et les technologies de contrôle et d’asservissement mental ne seraient jamais remises en question puisque cette opposition molle n’y voit généralement aucun problème ni même une réalité. La justice rendue serait juste une parodie de Nuremberg 2.0. Et les héros de l’opposition molle promus serviraient seulement de nouvelles façades à un plan continuant à fabriquer tous les prétextes et événements imaginables pour nous emmener malgré tout vers l’agenda prévu.

Et maintenant ?

Où en est-on en France ? Si on observe attentivement ce qu’il se passe dans la « Résistance », on peut sans trop de risques prédire une inflation exponentielle d’oppositions bidons sur des sujets clés comme le sida des vaccinés, les aliens, les réseaux pédocriminels et satanistes, les élections ou la maladie X pour orienter l’opinion publique vers les changements désirés tout en lui donnant l’illusion que la vérité émerge et est enfin prise en compte.

Et pour beaucoup il s’agira bien de vérités nouvelles.

Ces sujets passeront en boucle dans les médias « alternatifs » dont certains sont quasiment des « mainstream » de l’opposition de salon, avec des dissidents mous qui se légitiment et se congratulent les uns les autres comme le fait la caste parisienne médiatique, liée par les mêmes secrets et compromissions à la sauce Epstein.

Vous aurez de plus en plus de mal à trouver, même du côté alternatif, des sources d’informations vraiment utiles, qui vont vraiment au fond des choses et dénoncent les processus en cours.

Au final, il pourrait ne plus rester dans l’espace public que des oppositions « autorisées » pour reprendre l’expression d’Ariane Bilheran. On mettra en scène des combats de personnages, des clivages inutiles, et ceux qui attaquent le système seront mis sous une pression toujours plus forte pour essayer de les isoler ou même de les pousser dans la clandestinité. Il y a déjà des intrusions dans les domiciles, les ordinateurs, les voitures, avec des problèmes mécaniques à répétition, par exemple : il est certain que tout cela va s’aggraver, comme les attaques administratives et clôtures de comptes bancaires.

En parallèle, le traçage des oppositions et des groupes de discussion va augmenter en puissance, ainsi que la diffusion de messages plus personnalisés créés par intelligence artificielle et diffusés en masse et de façon ciblée comme s’en vante l’OTAN, mandatée hors de tout cadre légal pour gérer la désinformation dans l’UE [cf. article]. On doit aussi prendre en compte l’usage des neurosciences, de l’hypnose et des armes psychotroniques qui permettent de manipuler les pensées, l’état et le comportement de groupes ou des individus.

Dans ce brouhaha, il sera de plus en plus difficile d’accéder aux sources réellement pertinentes, celles qui permettent vraiment d’aller au fond des choses. Identifier les faux opposants et sujets biaisés va donc devenir un sport olympique et impliquera de se poser quelques questions :

  • Essayer d’identifier leurs motivations : l’ego, l’argent, la haine, la vengeance et le pouvoir sont de très mauvaises motivations pour mener des combats.
  • Repérer les éléments d’alerte et de vigilance accrue comme l’implication passée dans des scandales politico-financiers, dans de grandes organisations et firmes internationales, dans de grands médias parisiens, la franc-maçonnerie, la « communauté » et la défense de ses intérêts, la filière catho-sataniste, le Q et le New Age de la CIA, les confréries d’université et de pensionnat, les renseignements, ou encore le fait d’avoir exercé à des postes impliquant une cooptation maçonnique et les mesures et entraves préventives qui vont toujours avec.
  • Se demander qui leur donne de l’écho ? Qui les soutient financièrement ? De quoi vivent-ils ? Examiner les heures auxquelles tombent les vues et les commentaires sous les vidéos et à quel rythme pour les diffusions sur YouTube. Comparer avec d’autres plateformes plus alternatives où ils ont également des chaînes.
  • Estimer si leur temps de parole a été utile. Leur discours permet-il de comprendre les processus en cours ? Se souvient-on des propos tenus en fin d’émission ou n’en garde-t-on qu’un sentiment agréable, mais totalement flou ? Leur arrive-t-il de mentir ostensiblement ou valider de fausses nouvelles avérées ? Citent-ils des noms et des faits précis ou veillent-ils à rester très vagues ? Citent-ils leurs sources ? Prennent-ils des risques réels ?

Mais plus que tout et afin de traverser non seulement ces temps, mais les faire changer : à quoi disons-nous non ? Et allons-nous encore et longtemps collectivement valoriser ceux qui ont choisi de dire oui à ce qui a amené la dépravation et tyrannie de nos sociétés ? Oui à l’argent facile, aux intrigues et manipulations politiques, au sexe sur commande, aux drogues, à la luxure, au profit aux dépens d’autrui, aux arrangements entre puissants, à la gloire par cooptation et aux postes et possessions pour briller en société ?

Se rend-on compte qu’aujourd’hui encore, la plupart d’entre nous (y compris résistants) accordent bien plus d’attention et de valeur à des gens qui ont dit « oui » à ce système perverti et joué des rôles importants dans le déroulement du plan qui nous mène où nous en sommes aujourd’hui ? N’y a-t-il pas quelque chose de profondément malade dans cette façon spontanée de se fier d’abord aux propos de ceux qui ont été des « références », « sommités », des « vus à la télé » ou encore « parmi les puissants » ?

En quoi avoir besoin de se rassurer par les titres et le CV est-il foncièrement plus judicieux que penser non seulement par soi-même, mais aussi en explorant d’autres façons d’être et revisitant nos jugements sur ce qu’est une personne de valeur ?

N’est-ce pas également une façon inconsciente de se déculpabiliser pour les oui qu’on a dits soi-même et la façon dont on a vécu du système et participé via nos impôts, nos emplois, notre laisser-faire, nos achats et nos modes de vie ? Répartir sa honte cachée entre gens ayant failli comme nous, voire bien davantage que nous ? Des gens qu’on nous a donnés à envier voire jalouser, érigés en modèles de nos sociétés et de ce qu’est une vie vraiment « réussie » ? Et en persistant à garder les mêmes codes, faire perdurer cette illusion « que nous étions tous des gens bien » et que « les responsables, c’est eux » ?

Les gens qui ont dit oui, ne serait-il pas temps qu’a minima, on s’en défie ? Ne pas les rejeter, car heureusement que chacun de nous peut changer et on vit aussi pour le voir. Et ne pas non plus arrêter ses jugements, car on pourra être surpris par des personnes démontrant plus tardivement qu’elles sont bel et bien fiables et couillues. C’est quand l’étau se resserre le plus que les gens se révèlent le mieux. Face au danger, nous sommes nus.

Mais doit-on pour autant en faire ses guides ou ses alliés alors qu’ils ont déjà failli et souvent jamais démontré qu’ils ont radicalement évolué et compris ce pour quoi ils s’étaient prostitués ? Le démontrer par ce qu’ils dégagent et non par de grandes phrases. Nous sommes déjà si nombreux à ne plus croire aux mots et chercher seulement la lumière et l’authenticité. Voilà un vrai critère de sélection pour qui sait le voir sans être abusé. Il sera même déterminant.

Alors qui et quoi glorifions-nous encore individuellement ? N’avons-nous pas déjà assez échoué collectivement pour choisir cette fois d’autres référentiels, d’autres voies et approches ? Avoir rejeté le système doit-il encore valoir cette étiquette sociale d’êtres « qui ne sont personne », comme ces jeunes partis sur les routes, ceux qui ont rejeté leurs « réseaux », jeté leurs diplômes ou postes « enviables » ou encore ces vieux marginaux, poètes sans le sou, ou amoureux du Vivant ayant renoncé à tout pour embrasser enfin le Tout ?

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Leurs stratagèmes d’opposition molle ne fonctionnent que parce que nous sommes collectivement malades. Et nous sommes encore à guérir si nous courons après les gens les plus en vue et glorifions toujours les mêmes profils, les mêmes trajectoires, les mêmes déviances et addictions au pouvoir et aux miettes que trop furètent encore, truffe au sol, pour les ramasser. Un peu de hauteur et de dignité, bordel !

Et de moralité. Il est des « non » qui doivent enfin devenir la règle. L’évidence. La finalité.

Le meilleur des radars pour savoir à qui se fier et s’allier. Notre moralité et notre intégrité sont devenues la seule voie sur laquelle avancer, évoluer, nous fédérer. Sans mensonges ni compromissions. En se regardant tel qu’on est. En assumant tout ce qu’on a fait et fera. Parce qu’on a vraiment de quoi faire.




La venue imminente du Machiah en Israël : que disent les sages de la Torah ces jours-ci ?

[Source : Rav Ron Chaya – Myleava via Conscience du peuple]

Pour ceux qui s’intéressent à l’eschatologie, étude des événements des temps de la fin, voici une vidéo d’un enseignant de la Torah (très controversé) qui expose les plus récentes révélations de rabbins juifs concernant la venue de Machia’h, de la 3e guerre mondiale (Gog Magog) et de la reconstruction du Temple.

Ceci ne doit pas être considéré comme parole d’évangile, mais ça reste intéressant et instructif de connaître la séquence prophétique du point de vue juif.

Isabelle

Le Machiah est une notion essentielle de la Torah. Mais pendant 2000 années d’exil, les Sages de chaque génération se sont axés sur la préservation du peuple juif face aux menaces de toutes sortes. Depuis une trentaine d’années, le sujet de la délivrance finale refait surface avec des Rabbanim particulièrement prolixes sur ce sujet. Mais depuis le 7 octobre, depuis Simhat Torah, depuis le pogrom terrible perpétré par nos cruels ennemis, tous les rabbins, peu importe leur courant de pensée et peu importe leur localisation, tous ces éminents Sages de la Torah annoncent que le compte à rebours est lancé. Qui sont-ils ? Quels sont leurs arguments ? Revue de détail avec le Rav Chaya.




PLAN DE MARQUAGE DE L’HUMANITÉ

[Source : michelledastier.com]

Voici un article de Serge Monast dévoilant le projet des dirigeants de ce monde d’offrir tous les hommes et femmes de la planète à Lucifer au travers d’un système de contrôle que la Bible appelle « La marque de la bête ». Ce texte écrit au début des années 90 quand la puce électronique était quasi-inconnue, est d’actualité aujourd’hui. En moins de 30 années seulement, ce qui semblait être de la science-fiction est devenue réalité.

Dévoilement du complot relatif au plan de marquage de l’humanité

Par Serge Monast

Serge Monast, Journaliste d’investigation avait révélé dès 1993, le projet secret des Illuminati-Reptiliens de pucer le monde. Comme tous les gens qui disent la vérité, il a été assassiné !

Révélations de M. Monast (Un des derniers documents présentés par l’auteur avant son assassinat)

« Le 15 décembre 1993, à Montréal, Serge Monast, de l’Agence Internationale de la Presse Libre, dont les activités étaient uniquement axées sur le journalisme d’enquête internationale aux niveaux économique, politique, militaire et médical, dévoilait des informations si stupéfiantes qu’elles lui coûtèrent la vie. Neuf ans après, ses informations se confirment les unes après les autres. Il est vrai qu’il était informé par des politiciens repentis, des agents des services secrets écœurés ; il recevait également des documents classifiés, ultra confidentiels, souvent anonymement ou transmis par des confrères situés aux quatre coins du monde »

(Jacques Delacroix,Naufrage d’un système,Tome 1, Collection L.I.E.S.I., Éditions Delacroix, B.P. 18, 35430 Châteauneuf, 2003, page 70.)

Introduction

Depuis plusieurs années il existe des projets sérieux visant le marquage des individus par laser, sur le front ou sur le poignet. Mais aujourd’hui les tireurs de ficelles du Nouvel Ordre Mondial sont allés plus loin : Ils sont à même de réaliser leur rêve de contrôle complet du cheptel humain. Comment ? Par l’injection d’une puce électronique à chaque être vivant. Tout est quasiment au point ! Ce sera l’objet de la première partie de ce document. Ensuite, nous verrons pourquoi nos écoles ont produit une jeunesse qui, dans sa grande majorité, est — malgré elle — : pourrie, viciée, sans Foi, sans valeurs morales, sans esprit de discernement, sans vie intérieure, ayant pour unique perspective celle de servir le Système selon une morale Antichrétienne et Humaniste.

Nous nous pencherons ainsi sur les formes policières et militaires constituées par les cadres du Gouvernement Mondial. Cadres choisis parmi les brillants promus des écoles sans Dieu. Des jeunes formés selon une idéologie particulière. Ce Gouvernement Mondial au service de l’Enfer doit asseoir le fils de perdition — l’Antéchrist. Il a besoin d’une force d’action multinationale omniprésente. Elle ne peut se constituer qu’à partir d’éléments nationaux !

Concept de monnaie électronique avant le marquage de l’humanité. Une condition préliminaire :

L’instauration de la monnaie unique.

Depuis une trentaine d’années, les dirigeants des banques américaines et mondiales commencent à envisager un autre échange monétaire que celui du chèque. Le premier vice-président de la FED déclarait en 1975 : « Il faut absolument développer un nouveau système électronique d’échange sous peine de voir le système bancaire des États-Unis s’étouffer sous une avalanche de chèques ».

On mit alors en route un transfert électronique de fonds au niveau international, la SWIFT — Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunications, — établit à Bruxelles et comptant, enjanvier 1975 déjà 246 banques pourvues d’un système privé de communications pour la transmission de paiements et d’autres messages associés aux transactions bancaires internationales.

Une femme d’affaires américaine a fait paraître en 1981 et en 1983 deux livres fort bien documentés sur le système monétaire 666 en cours d’élaboration. Elle écrivait :

« Quand le système monétaire tombera… ce sera le 666 System…Bruxelles, le quartier général de l’économie européenne, est le lieu où se trouve le centre principal de branchement du réseau international SWIFT. Ce centre a l’ambition d’étendre ce transfert de fonds au niveau international, c’est-à-dire pour tous et dans tous les pays. Ce centre de contrôle monétaire occupe trois étages de l’immeuble de treize étages du quartier général de la CEE. C’est dans cet immeuble que Mr. Elderman est en train de diriger rapidement les efforts en vue d’attribuer à chaque personne sur la terre un numéro de 18 chiffres composé de trois séries de six chiffres. »

Cet article indique que les informaticiens travaillaient sur un plan qui visait à attribuer des numéros à chaque individu sur la terre. Ces derniers ont suggéré qu’un nombre chiffré pourrait être inscrit par tatouage au laser sur le front ou sur le dos de la main.

Selon eux, cette « marque internationale » pourrait en finir avec toutes les monnaies. Aucun individu ne pourrait acheter ou vendre sans avoir l’attribution d’une marque chiffrée…

Les capacités des ordinateurs du réseau SWIFT centralisés à Bruxelles sont telles que les initiés l’ont appelé « The Beast » (la Bête)… Ce gigantesque ordinateur à Bruxelles appelé la Bête existe depuis la fin des années 80.

Grâce aux cartes de crédit, il a été facile de mettre presque toutes les populations des nations industrielles et commerciales dans les mémoires des banques. Nous sommes liés à cette machine électronique par une ou plusieurs clés qui peuvent être notre numéro de sécurité sociale, notre permis de conduire, notre extrait de naissance, notre numéro de passeport. Chaque mouvement d’argent que nous avons fait et chaque penny que nous avons payé au service des impôts annuellement est enregistré.

La capacité de cette gigantesque machine de Bruxelles était préalablement établie pour 2 milliards de personnes en 1989. Chaque individu, membre d’une des nations industrielles est déjà dans cet ordinateur. Sont connus : chaque déplacement d’argent effectué, tous les changements d’adresses réalisés, les emplois suivis, les revenus et le taux d’imposition.

Dans ce programme, tout achat et toute vente doit se faire par ordinateur. Pas de devises, ni de monnaie ni de chèques. Les entreprises bancaires et commerciales se sont d’ailleurs toutes converties au niveau système de transfert électronique de fonds, entraînant dans leur sillage la grande masse des salariés et employés divers. L’idée initiale était d’établir cette gigantesque unification et planification monétaire par le moyen des cartes de crédit.

Dans les années 80, on pensait que chaque personne recevrait un numéro tatoué sur son poignet ou sur le front. Ce numéro fourni par Bruxelles serait imprimé par un rayon laser sans qu’on le sente. Le numéro sur le corps serait invisible à l’œil nu et serait aussi durable que les empreintes digitales. Tous les articles commerciaux sont pourvus d’une marque à l’ordinateur. L’apparition il y a quelques années du code-barres informatique s’est étendue rapidement sur la quasi-totalité des biens de consommation. Ce fut la première conséquence concrète, perceptible, du plan d’asservissement monétaire en cours. Tout ceci s’est fait sans publicité, dans le grand silence. Nous y reviendrons.

La caisse ordinatrice du magasin qui enregistre le numéro des articles, enregistrerait également le nombre sur le corps de la personne, ferait automatiquement le total de ses achats et déduirait le montant de son compte spécial de droit de retrait. À l’époque, la marque sur la main ou sur le front devait s’effectuer selon la technique du laser. On devait imprimer par brûlure microscopique, indolore, inaltérable et très précise, le code informatique des données bancaires. On trouve des explications aux États-Unis :

  • Dans les grands centres de loisirs où l’on pratique perfidement cette parole de Jésus : « Laissez venir à moi les petits-enfants »… À l’entrée du parc Disneyland, les parents règlent afin que leurs enfants puissent aller à telle ou telle aire de jeux. Rendu sur le lieu désiré, l’enfant met sa main dans une machine. Elle lit que l’enfant a payé. Elle le laisse entrer dans l’aire de jeux.

  • Dans les grands centres de distribution… Les clients n’ont plus à faire de longues queues devant les caisses. Plus besoin de passer leurs achats sur le tapis roulant. Pour emprunter un chariot, le client insère sa carte de crédit dans un logement spécial, qui s’y trouve incorporé. À l’intérieur se trouve un lecteur laser de code-barres robuste, à l’épreuve des chocs. Ainsi, chaque fois que le client introduit un article dans le chariot, son prix est enregistré. Le paiement s’opère automatiquement par connexion du chariot à la caisse-sas de sortie, qui lit la carte bancaire et vérifie la validité de son code. Le client n’a plus qu’à signer la facture établie par le lecteur code-barres de son propre chariot.

Le premier supermarché sans caissières a été ouvert à Caen en 1994…

Voici ce qui est peaufiné : pour emprunter le chariot, le consommateur devra apposer sa main dans un logement spécial incorporé — comme les enfants le font déjà à Disneyland. Le lecteur optique lira le code-barres de la main, gravé au laser.

Si le client potentiel est dûment marqué, si son compte en banque est suffisamment provisionné ou s’il n’est pas classé parmi les exclus économiques pour raison religieuse ou politique, le chariot se libère et le client peut rentrer dans le magasin. Même système et passage à la caisse-sas enregistreuse afin que celle-ci puisse établir l’identité de la facture, ainsi que le numéro du compte. Il signe cette facture et c’est fini. Seuls les esclaves de la Bête pourront manger et boire…

Mais les mondialistes ont été peu à peu obligés de se rendre à l’évidence : la carte de crédit par exemple n’était pas à la hauteur du plan monétaire d’asservissement universel ! Il fallait chercher autre chose. Dans ce contexte déjà bien avancé, il suffisait d’un pas de plus pour réaliser parfaitement la domination économique et monétaire du Gouvernement Mondial antichristique.

Plusieurs individus travaillant en solitaire pour la divulgation de la vérité sur des sujets variés, inconnus du public, dangereux, ont décidé de se réunir et d’organiser à l’échelle nationale et internationale un réseau parallèle d’informations et d’échanges de tout ordre. Ce, afin de freiner l’anéantissement des valeurs occidentales et de témoigner du complot qui s’abat contre notre monde chrétien.

Dangereux, parce que les informations vérifiables à l’Agence Internationale de la Presse libre, démontrent la perspective pas très lointaine de notre condamnation et d’une volonté des ennemis de Jésus-Christ Fils de Dieu, de nous pourchasser pour notre foi, notre refus de la société antéchristique actuelle, et finalement du désir de marquer du signe de la Bête tous les individus de la planète comme vous le verrez par la suite.

Les activités de l’Agence Internationale de la Presse libre au Canada sont accès uniquement sur le journalisme d’enquête internationale au niveau économique, politique, militaire, médical, et vérifiables. Leurs dirigeants ne peuvent pour l’instant pas être contactés pour des raisons que chacun devine. D’où la décision prise de diffuser ce que vous allez connaître. Même les informations qui seront portées à votre connaissance ont été obtenues avec beaucoup de difficultés de la part de certains journalistes [néanmoins la cohérence de ces informations rend celles-ci fort vraisemblables, pour ne pas dire certaines, compte tenu de ce qui s’est déjà réalisé]. Plusieurs ont risqué leur emploi, leur sécurité et pour quelques-uns, leur vie.

Partie I
MARQUAGE DE L’HUMANITÉ
Le microchip biologique d’identification internationale

Depuis l’apparition des Codabars en 1977 — approuvé par l’ONU dès 1972 — il y a une accélération foudroyante du Plan de la « Synagogue de Satan » [Apocalypse, II, 9] prophétisé par l’Apocalypse aux chapitres XIII, versets 8 et 15 à 18 :

« La Bête réussit à leur faire mettre à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, une empreinte sur la main ou sur le front ; et elle fit en sorte que nul ne pût acheter ou vendre, qu’il n’eût l’empreinte, le nom de la Bête ou le nombre de son Nom. Ici réside la Sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la Bête. C’est un nombre d’homme. Ce nombre est Six cent Soixante-Six »
[www = 666].

Ces Codabars de type « Ean » intégraient le nombre « 666 » au moyen de trois groupes de deux barres plus longues que les autres (au début, au milieu et à la fin). Chacun des groupes est lu au laser comme un « 6 ». Ainsi obtient-on le chiffre « 666 » qui se surimpose sur chaque code-barres. Ces trois chiffres identiques s’ajoutent aux treize chiffres fonctionnels (le choix de ce nombre fut volontaire afin de dévoiler la réalisation de l’Apocalypse, précisément son chapitre XIII !).

Le code de treize chiffres s’explique ainsi : 3 pour le pays et la région d’origine, 5 pour les producteurs (usine, atelier, etc.), et 5 pour le produit (prix, date, etc.). Chaque chiffre est lui-même réalisé par une juxtaposition de 7 modules blancs ou noirs. Comme le nombre d’arrangements de 7 modules est très supérieur à 10, ce procédé permet d’utiliser simultanément 3 codes dits A, B et C.

B est identique à A, mais à l’envers. C s’obtient en inversant les couleurs de A. Le code A n’est utilisé que pour les 6 premiers chiffres de chaque étiquetage, ce qui permet de déchiffrer le code, quel que soit le sens dans lequel les caissières des supermarchés présentent les paquets devant l’appareil de lecture optique. Afin d’éviter les « doubles », tous ces codes sont attribués, dans chaque pays par un diffuseur unique qui a fait du secret sa règle d’or : « Gen Code », filiale du diffuseur américain.

En 1988, la ville de Singapour — en Malaisie — a testé ce système de marquage sur une population de dix mille personnes. Pendant trois mois on a testé dans cette mégapole le remplacement des cartes de paiement par un Code-Barres individuel lisible au laser. Le code était gravé pour moitié sur le poignet et pour moitié sur le front !

Ron Steele démontrera que la technologie pour marquer, enregistrer et surveiller des gens existe par exemple aux États-Unis avec des prisonniers et même certaines prostituées séropositives.

Le sujet que je développe à ce jour est basé sur des informations fournies essentiellement par Ladite Agence ; il est très important. Même les journalistes initiés ne pouvaient pas penser que l’information qui fait l’objet de cet article puisse exister. Il s’agit de quelque chose d’excessivement sérieux, qui, du jour au lendemain, non seulement permettrait l’instauration d’un Gouvernement mondial, d’un ORDRE MONDIAL, mais rend possible le contrôle individuel, direct, de chaque individu sur la planète.

Cette information concerne le microchip biologique d’identification internationale. Dans la nouvelle technologie de pointe qui va être utilisée et l’est déjà pour arriver à un contrôle absolu de toutes les populations de la planète, les architectes du Nouvel Ordre Mondial ont admis dans des réunions privées que sans l’avènement de l’ordinateur et de la haute technologie, la réalisation d’un Gouvernement Mondial n’aurait jamais pu être si proche. Parmi ces nouvelles technologies les plus effrayantes qui soient, il y a le microchip biologique d’identification internationale.

Qu’est-ce que c’est ? Des confrères américains [et non français] ont réussi à obtenir des informations vérifiables grâce à des documents audio, des photographies, un dossier de presse complet provenant de publications produites par des journaux officiels et religieux depuis 1990. Ces informations démontrent l’existence d’un contrôle électronique direct de tous les individus sur toute la planète.

On pourrait croire avoir affaire à de la science-fiction, mais la présence de documents écrits, de références à ces documents et des documents vidéo provenant des compagnies qui ont mission de fabriquer ce produit-là, ne laissent aucune alternative quant aux conclusions.

Selon Terry L. Cook — journaliste chrétien d’investigation sur la côte ouest américaine, — celui-ci se référant à Tem Wellord, la technologie cachée derrière le nouveau MICRO CHIP n’est pas très compliquée. Avec un peu de raffinement, il pourrait faire l’objet d’une grande variété d’applications humaines.

D’une manière plus que concevable, un numéro pourra être assigné à chacun dès la naissance et faire partie de la vie intégrante de celui-ci jusqu’à sa mort.

Vraisemblablement cette puce électronique pourra être implantée sur le revers de la main, et celle-ci pourrait servir de carte d’identification universelle, ce qui remplacerait les cartes de crédit, les passeports, les permis de conduire, etc.

À la fin de l’année 1993, une compagnie américaine : la Destron Idi Colorado, fabrique et annonce ces puces électroniques d’identification IDI CHIP globalement via « Infopet » et d’autres distributeurs américains et internationaux.

Pour l’instant, ces puces sont utilisées pour retracer, contrôler et identifier les animaux de ferme, les animaux domestiques, les oiseaux, les poissons et tous produits manufacturés. Actuellement ce nouveau système se répand à la vitesse de l’éclair sur toute la planète. Un exemple : celui de l’implantation du MICRO CHIP sur les grands oiseaux coureurs d’Australie.

Autruches, émeus et nandous sont l’objet d’un élevage commercial aux États-Unis. Zoan Parker, un spécialiste des ratistes ou oiseaux coureurs du Penn State Cooperative Extension à Lancaster, déclare que l’élevage de ces oiseaux reflète aujourd’hui les mêmes tendances que l’élevage du bétail dans les années 1800, qui commença également comme un marché limité à quelques éleveurs. Ces premiers fermiers savaient que les voleurs de bétail étaient un véritable problème. Plutôt que de marquer le bétail au fer chaud, ce stock d’oiseaux vivants est muni d’un MICRO CHIP individuel d’identification qui émet un signal. Zoan Parker dit que « c’est comme un numéro de sécurité sociale ».

Cet article est la 2e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

Ce MICRO CHIP est si petit qu’il peut être facilement introduit dans une aiguille hypodermique ! Il s’agit d’un minuscule tube de verre, microprocesseur passif, de 2 mm de diamètre, et dont la taille mesure entre 10 et 12 mm.

Peu après la naissance de l’oiseau, le MICRO CHIP est injecté dans les tissus adipeux ou musclés de l’animal, « ne causant aucun mal ou inconvénient à l’animal », selon Parker. L’oiseau peut alors être identifié par un lecteur de MICRO CHIP portable.

Parker ajoute : « Chaque oiseau doit être muni d’un MICRO CHIP pour être transporté à travers les frontières des États, ou être assurés. Il vous faudrait littéralement déchirer l’oiseau en morceaux pour arriver à ôter le MICRO CHIP ».

En 1995, comme la plupart des gens le savent, le numéro d’assurance sociale se compose d’une série de neuf chiffres. Selon d’autres informations reçues tout récemment à l’Agence, ce système sera tout prochainement remplacé avec l’aide de nouveaux ordinateurs, par une série internationale de dix-huit chiffres numériques, à cristaux liquides, connus sous le nom de MESH-BLOCK. Une configuration internationale qui permettra d’identifier n’importe qui sur la planète. Cette nouvelle série de dix-huit chiffres sera divisée en trois parties, c’est-à-dire trois séries de six chiffres chacun.

Tout début 1994, ces implants de puces électroniques aussi appelés TRANSPONDER ont été partout répandus sur la planète pour le contrôle de l’industrie animale. Afin d’identifier l’animal (numéro précis attribué à chacun, comportant le nom et l’adresse des propriétaires) un lecteur manuel envoie une impulsion radio de 125 kHz (signal). Le transponder implanté renvoie le numéro attribué par retour (réponse en écho), au lecteur (scanner). Le scanner affiche aussitôt le nombre digital sur son écran à cristaux liquides.

Un TRANSPONDER, c’est un récepteur-émetteur radio ou radar, activé pour la transmission, par la réception d’un signal prédéterminé qui peut provenir d’un lecteur au laser ou d’un équipement sophistiqué : émetteur ordinateur ou même par satellite. Selon le journaliste L. Cook (« Implantable Biochip Tenchnology 666 ») le nom complet de ce « grain de riz » est : Destron Idi Transponder TX 1400 LX. Dans son livre il nous apprend que le coût d’un de ces « grains de riz » est d’environ $4,5(US). Il cite dans cet ouvrage un article de « San Diego Union » du 9 novembre 1991 dans lequel un journaliste révèle que la ville de Los Angeles aurait voté un crédit de $ 123 000 par an, pour fabriquer des « implants » sur les animaux familiers et inciter les propriétaires à en faire autant. L’objectif consisterait à réduire par ce système le nombre des animaux perdus, qui coûtent cher aux villes…

Dans un autre article, tiré du « Arizona Republic » du 20 juillet 1989, on apprend qu’un certain Jack Dunlap proposerait d’implanter des puces électroniques aux… jeunes enfants afin que leurs parents puissent les retrouver en toute occasion, par l’intermédiaire des ordinateurs de la police ! … [Et le pas est franchi, car l’escalade coulait logiquement et inéluctablement de source.]

Ce journaliste américain précise : « La technologie cachée derrière ce nouveau “microchip” n’est pas très compliquée et, avec un peu de raffinement, pourrait être utilisée dans une grande variété d’applications pour les humains » [bien sûr, c’était cousu de fil blanc]. À cet effet, en 1995, une nouvelle version est en phase d’expérimentation sur l’être humain. Vraisemblablement cette puce d’identification a de grandes chances de devenir le marquage électronique attendu puisqu’elle pourrait être implantée sur le front ou le revers de la main et de venir la « carte d’identité universelle ». Par exemple, dans les magasins, il suffirait de passer le poignet au-dessus ou dans un « scanner » pour effectuer ainsi un débit direct sur un compte bancaire… [et le tour est joué !].

Selon la C.E. Ouranos « des expériences ont été faites aux États-Unis pour graver sous forme de tatouage invisible à l’œil, le code-barres sur la main de certaines personnes. Une nouvelle carte identité infalsifiable comportant une puce électronique permettra, une fois passée dans un lecteur, de connaître tous les renseignements sur la personne. Elle fera office de carte universelle d’ici l’an 2000. Déjà la nouvelle forme de pointage électronique remplaçant le ticket de métro et de bus dans certaines villes préfigure le nouveau système de contrôle magnétique infalsifiable qui sera utilisé d’une manière universelle ».

On sait que de tels projets sont testés en ce moment même dans les « bureaux d’études » constitués et financés par la « Synagogue de Satan » [Apocalypse, 2:9] (Haute Finance internationale). Cela paraît peut-être invraisemblable, mais il est aujourd’hui possible « techniquement » de contrôler directement et individuellement chaque individu sur la planète. Chacun d’entre nous, avec ce système, serait enregistré. Et d’après les documents reçus, il est évident que ceux qui comptent l’implanter d’une manière obligatoire au niveau des populations sont en train de structurer les nouveaux paramètres internationaux, la nouvelle télémétrie économique, de manière à ce que tout individu qui n’aurait pas cet implant électronique ne puisse ni acheter ni vendre quoi que ce soit sur toute l’étendue de la planète.

Pour mieux comprendre ce que peut être le microchip biologique d’identification internationale on peut chercher une définition d’après les compagnies qui ont reçu mission de la créer [terme impropre : Dieu seul crée].

Après avoir évoqué la Destron Idi Colorado on pourrait aussi citer la multinationale Texas Instrument, la Tarovan, qui est la compagnie du système d’identification électronique aux États-Unis, mais aussi la compagnie Avidqui fabrique un « tag », c’est-à-dire une espèce de médaille d’identité qui est remplacée par la puce électronique et fait partie des sociétés construisant des appareils d’identification pour le monde vétérinaire aux États-Unis.

La définition transmise par ces sociétés est la suivante : l’implant microchip d’identification est un appareil d’indiscrétion, d’abus de la vie privée, inséré avec une unité — un module — dans une petite région de la peau au moyen d’air comprimé.

En d’autres termes, cette puce électronique — pas plus grosse qu’un grain de riz — doit être injectée à l’aide d’une seringue à air comprimé. L’inclinaison de cet appareil d’implantation est comme une aiguille hypodermique, n’ayant qu’une pénétration limitée, et elle ne pourrait aucunement opérer si l’angle ou la quantité de peau n’était pas approprié. Cette unité émet un signal qui est digital et qui consiste en des jaillissements de 85 datas Bits.

Cette puce produit donc un signal digital à des intervalles spécifiques. C’est un signal de localisation. La technologie de cet appareil est hautement sophistiquée, classifiée (donc c’est une information technologique non publiée), et elle n’est pas soumise aux transmissions digitales normales et analogues. Cet appareil fournit des informations vitales, de même qu’il sert de moyen de localisation ; c’est-à-dire que l’appareil peut être codé, programmé, pour fournir des informations complètes avec un numéro d’identification. De plus il permet aux individus qui le manipulent de vous repérer où que vous soyez par un service de détection. Il y a ainsi, par l’implantation du MICRO CHIP sous la peau, possibilité de localiser tout individu grâce à l’émission du signal émis par la puce, et capté par des satellites. Ces derniers retransmettraient l’information à un écran d’ordinateur aux quartiers généraux des corps de police au service de ce Gouvernement Mondial [peut-on imaginer la puissance d’un tel Gouvernement ?] (Nous verrons plus loin que ces corps de police existent déjà).

Une carte géographique intégrée dans le programme de l’ordinateur permettrait alors de localiser immédiatement l’individu recherché et de programmer une opération pour le trouver.

C’est essentiellement dans cette perspective que sont lancés à foison les satellites aujourd’hui.

Penchons-nous précisément sur la question des satellites au regard d’autres informations reçues par la Commission d’Études Ouranos. L’objectif s’intitule : « Une autoroute de données par satellites ».

Il y a chez les mondialistes de l’ONU et les financiers de l’Ordre Mondial [car, dans cet ordre-là, rien ne peut être réalisé sans argent], une volonté délibérée de faire de la planète un grand « village ». Il est pour eux un impératif que les endroits les plus reculés du monde soient reliés à une infrastructure mondiale, grâce à un gigantesque réseau de 840 satellites. Ce projet est proposé par Bill Gates [Monsieur Gates, attention au boomerang !], le fondateur de Microsoft, et par Craig Mc Caw, le roi du téléphone cellulaire (tous ces téléphones ont déjà une puce intégrée qui permet de suivre à la trace leur possesseur, d’où une publicité effrénée pour leur diffusion).

On sait que l’américain Loral Corp et neuf partenaires étrangers, dont le puissant groupe français Alcatel Alstom, viennent de donner le coup d’envoi d’un système mondial de téléphonie et de radiolocalisation par satellite Globalstar, qui s’associera avec Bill Gates. Pour découvrir 98 % de la population mondiale, la « constellation Globalstar » comprendra 48 satellites sur six plans orbitaux à l’altitude de 2390 km.

Bill Gates prévoit ainsi un réseau gigantesque de 840 satellites gravitant sur 21 orbites différentes, à une altitude de 700 km, de manière à couvrir 95 % de la planète.

On relèvera outre le projet « Globalstar », plusieurs « concourrents » dont le projet « Irridium », fondé sur 66 satellites, pour 1988. Projet qui présente la particularité d’être en avance sur les autres dans la réalisation technologique.

D’après les documents en possession de certains journalistes canadiens et américains [les journalistes français s’étant éclipsés] et fournis à l’Agence Internationale de la Presse libre, le MICRO CHIP a déjà été expérimenté et implanté dans des organismes de bébés, de militaires, de messagers du gouvernement et sur du personnel travaillant à la Maison-Blanche dans des sections de haute sécurité. On rapporte aussi qu’il fut autorisé pendant la guerre du Golfe et fut montré publiquement à l’émission très connue de « Twani and Twani » aux États-Unis, en août 1991 [en France, on se couche, comme le disait déjà l’extraordinaire Mélanie de la Salette, Sœur Marie de la Croix, la sainte Bergère].

Relevons parmi les projets diaboliques celui d’implanter dans le corps de nouveau-nés une « puce électronique » devant faire de cet individu un robot soumis au pouvoir de l’ordinateur avec lequel il sera branché. « Bonum Certanem » de l’abbé Mouraux dévoile que « le malheureux contrôlé jour et nuit deviendra un esclave électronique. Commandé électroniquement cet esclave pourra sur l’ordre de ses maîtres, commettre tous les crimes qu’on lui imposera ».

Il apparaît donc qu’à l’heure actuelle, avec une technologie de cette trempe, on arrive à une possibilité du contrôle complet des individus sur la planète, qui permet l’instauration d’un Gouvernement Mondial sous l’égide des Nations-Unis.

Mais il y a pire… On sait aujourd’hui que des personnes travaillent au remplacement, dans la prochaine décade, du MICRO CHIP par un BIO CHIP : une puce fabriquée à partir de protéines vivantes. À l’heure actuelle, le projet est déjà en stade d’expérimentation. Cette puce sera infiniment plus petite que le MICRO CHIP : elle aura la capacité de renfermer une foule d’informations. Elle aurait le potentiel de pouvoir agir sur la mémoire ou la pensée d’un individu. D’où le spectre du contrôle mental.

Est-il possible aujourd’hui d’agir sur l’être humain à son insu par la manipulation des états de conscience ? On peut facilement à cette question en se référant aux états de haute suggestibilité sur le conscient qui permet l’action de l’hypnose sur l’inconscient. À titre d’exemple, la télévision devient un outil efficace pour ce genre de manipulation au moyen du sublimal. D’ailleurs la CIA qui travaille actuellement à l’installation de son propre « canal de télé » aura la capacité de transmettre — à partir de transmetteurs aériens puissants — pour interrompre toute programmation dans n’importe quel pays. Nous avons là la réalisation matérielle de ce verset biblique : la Bête aura le pouvoir de « faire parler les images » (Apocalypse, 13:15).

Pour les initiés qui financent des chercheurs sur des projets aussi macabres, une telle puce présente d’autres avantages : tout pourrait y être inclus. Cette puce d’identification électronique humaine pourrait rendre réalisable une centralisation globale par un ordinateur central. D’où possibilité de ne jamais perdre la trace d’un individu et de remplacer le système monétaire actuel. L’argent ne serait alors plus nécessaire : plus besoin de chèque, de cartes de crédit, etc. Tout fonctionnerait à partir de cet implant électronique sur l’individu. Ce serait un moyen fantastique de réduire les dépenses de l’État, des banques et de neutraliser une fois pour toutes l’ensemble des marchés de la mafia, du marché noir, le marché de la drogue, et toutes formes de transferts illégaux d’argent.

Or à la conférence annuelle du Groupe Bilderberg de 1992, à Évian, en France (peu de temps après les émeutes de Los Angeles) Henry Kissinger a déclaré :

« Aujourd’hui les Américains seraient scandalisés de voir des troupes de l’ONU rentrer dans les rues de Los Angeles afin de restaurer l’ordre. Demain, ces mêmes populations vont nous remercier à genoux pour un tel acte. Il est spécialement vrai que si l’on dit aux populations : “écoutez, il y a un danger extérieur énorme qui existe”, et que l’on vote des lois en fonction de ce danger : que ce danger soit réel ou non, on sera capable de faire passer n’importe quoi, et les gens l’accepteront pour le bien-être de leur sécurité. »

De la même façon, d’autres politiciens américains ont imaginé qu’à partir du moment où il y aurait un scandale sans précédent d’argent, ou une terrible crise économique fabriquée de pures pièces qui jetterait toutes les valeurs monétaires à terre, le meilleur système de remplacement du système actuel et la meilleure parade pour empêcher un autre chaos, serait l’utilisation d’une puce électronique d’identification. Selon eux, par cette puce passeraient toutes les formes de transactions, d’échanges nationaux et internationaux, entre les individus.

Des informations récentes confidentielles, vérifiées par un ex-officier de la CIA, dévoilent différentes données que le TRANSPONDER pourrait fournir si cette puce électronique était implantée dans la peau : le nom et la photo de la personne, le numéro d’assurance sociale internationale composé de trois séries de 6 chiffres — chacun pour un numéro international de dix-huit chiffres, — des données au niveau des empreintes digitales, la description physique de la personne, l’adresse, l’histoire familiale (arbre généalogique) [cf. les Mormons], des informations relatives au travail et aux revenus de la personne, des informations concernant l’impôt et un éventuel casier judiciaire. Cette technologie déjà utilisée sur la planète dévoile une volonté d’exercer une dictature sur tous les individus.

Il y a là une perspective de totalitarisme dont entend faire montre le futur Gouvernement Mondial à travers l’Ordre Mondial actuellement en cours.

Il existe d’autres informations dans un rapport spécial sur la nouvelle technologie pour la surveillance par satellites. La sophistication, le raffinement des satellites est tel qu’il permet de repérer des imperfections souterraines, même de voir des verres sous le gazon. En utilisant des tours cellulaires et des satellites, l’animal domestique doté d’un MICRO CHIP ou l’individu qui en a reçu un peut être repéré par satellite au moins à dix pieds de l’endroit où il se trouve.

Par ordinateur et un système de scanner, la police de l’Ordre Mondial — qui est déjà la police actuelle — sera, grâce à un tel équipement, capable de retracer un individu sur toute la planète.

On devine qu’un individu catholique, par sa seule Foi au Christ, constitue un obstacle aux idées antéchristiques de l’Ordre Mondial : il sera « classé » comme un dangereux terroriste par l’ONU. Cet individu-là n’aura aucun moyen de se cacher sur toute l’étendue de la planète. Voilà pourquoi les Saintes Écritures nous préviennent de refuser le marquage. Par des renseignements complémentaires, on sait que les hommes au service de l’Ordre Mondial peuvent suivre par satellite un milliard d’animaux domestiques à qui on a injecté la puce. Qui, d’après vous, seront les suivants sinon nous, les hommes ?

Fin 1993, il y avait vingt-quatre « navstar » satellites pouvant repérer n’importe quoi de l’ordre d’un centimètre dans un rayon d’un kilomètre. Vous pourrez trouver ces informations dans le magazine Forbes du mois d’octobre 1991. Mais le document ne développe qu’une parcelle de tout ce qu’ilssont capables de faire à ce jour avec une technologie secrète, financée par des investissements de multinationales ou de banques centrales. (Vous comprenez ici l’objectif de Jean Conrad du « Complot contre l’homme ».)

Parmi les dossiers constitués à partir de fuites ou de révélations privées, on sait qu’un contrôle accru de l’humanité s’effectue au moyen de : la surveillance au laser, les nouveaux permis de conduire, la nouvelle carte d’assurance maladie aux États-Unis et au Québec, le nouvel espionnage électronique par le téléphone, le téléphone sans fil, les dossiers d’appel téléphonique, le micro clandestin, les répondeurs téléphoniques et les boîtes vocales, le système électronique pour porte de garage, les enquêtes sondages téléphoniques, les disquettes d’ordinateur, les services des postes, les caméras vidéo, les dossiers d’impôts, dossiers scolaires, dossiers médicaux et de service social.

Par une crise économique, ils sont en train d’engendrer une crise sociale qui oblige déjà les gens à se diriger malgré eux, vers une aide sociale. C’est un moyen légal qui ne paraît pas [un prétexte] pour aller chercher une information complète sur tous les individus.

Ce n’est pas tout. Citons le contrôle technologique du cerveau à distance, champ électromagnétique, terminaux de vidéo et jeux vidéo, micro-onde, désinformation militaire et civile, le contrôle par micro-onde basse intensité et complication biologique, les nouvelles armes électromagnétiques.

Des informations ont été obtenues sur la Banque Mondiale de la Conservation de l’Énergie. David Rockfeller et d’autres ont établi, au cours d’une réunion du 13 septembre 1987, le découpage géographique du Canada au profit du Nouvel Ordre Mondial avec carte géographique du plan mondial. Il y a aussi le plan technologique pour la chute de l’économie mondiale et l’anéantissement des fortunes individuelles ; le nouveau papier-monnaie avec barres magnétiques invisibles, la disparition des classes moyennes et la nouvelle télématique internationale au niveau du contrôle de l’économie mondiale. On vient d’ailleurs de finaliser en décembre 1993 les accords qui permettront d’arriver à un contrôle semblable.

Cet article est la 3e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

On pourrait aussi parler de la nouvelle surveillance électronique automobile qui s’installe sur les autoroutes et qui fait que les nouvelles voitures renferment des systèmes de repérage électronique de détection, sans que les acheteurs en soient conscients. Si bien qu’un système militaire se met lentement en place et rend possible tout repérage de véhicules et d’individus par rapprochement avec le fichier central détenu par la police au quartier général où repose l’ordinateur.

Les systèmes de détection sont si précis que l’on peut même savoir qui conduisait telle voiture à une heure précise, en tel lieu. Il y avait, fin 1993, des mises en pratique sur certaines autoroutes en Californie.

On met donc, à l’heure actuelle, sur l’ensemble de la planète, un des réseaux les plus sophistiqués de détection qui permettra un système de surveillance sans précédent de tous ceux qui auront reçu ce nouvel implant technologique, mais également de distinguer parmi les populations ceux qui l’ont refusé.

Avec ce nouveau micro chip biologique d’identification internationale il sera possible d’imposer un Nouvel Ordre Mondial à l’intérieur duquel tous ceux qui n’auront pas reçu, ou auront refusé cette marque d’identité, n’auront aucun droit ni d’acheter ni de vendre [cf. Apocalypse, 13:16-17], c’est-à-dire aucune possibilité de travailler, de recevoir un salaire, d’acheter un appartement ou de vivre comme locataire, de vendre des biens, etc.

Qui va accepter d’échanger des biens dans un régime de peur où tous les moyens d’échange seront bannis ? Voilà pourquoi il a été décidé de rendre public ce genre d’information. Parce que le plan est si avancé que se taire c’est être coupable comme les hommes politiques qui eux-mêmes sont au courant. N’oubliez pas que ces hommes politiques dépendent des prébendes des multinationales, lesquelles financent les programmes d’investissement de recherche qui ont abouti à la création de cette technologie de mort !

Pourquoi ne disent-ils rien ? Parce qu’ils n’ont plus de formation chrétienne et « croient » (je suis gentil !) que ce système est pour le bien des populations.

A été mis au point un MICRO CHIP de traduction. Il s’agit d’une puce électronique qui permettra la traduction instantanée et simultanée d’une langue dans toute autre langue. Soit, au moins dans soixante et une autres langues et dialectes qui, par satellite, pourront être diffusés partout sur la planète en même temps. Ainsi un dictateur mondial pourra s’adresser à toute l’humanité en même temps par le biais de ce nouveau produit de la technologie au service du Nouvel Ordre Mondial.

Pour ceux qui se souviennent de certains textes remontant il y a fort longtemps, vous trouverez des correspondances avec l’anti-Babel ! La Babel antéchristique du Nouvel Ordre Mondial entend suppléer aux conséquences de la première Babel [et parodier la Pentecôte ou le Saint-Esprit – cf. Genèse, 11:1-9; Actes des Apôtres, 2:1-12].

Il existe aussi un autre système de contrôle de la population : la surveillance au laser. Un nouveau laser d’écoute électronique a été vérifié et mis au point comme outil très spécial par les départements enclins à la surveillance : la CIA, le FBI et le Revenu de l’Impôt aux États-Unis. Ces nouveaux dispositifs peuvent, en utilisant une fenêtre comme diaphragme (comme un écran de télévision), suivre et enregistrer toute conversation à plus de vingt mille de distance.

Au niveau biologique, le D.N.A. est utilisé comme mémoire pour les ordinateurs et les implants de mémorisation. Ceci devient de la biotechnologie. Or la source de cette nouvelle biotechnologie — nous sommes rendus là dans les développements actuels, — provient du tissu de bébés avortés.

Ces tissus et les protéines de mémoire sont des systèmes majeurs pour l’intelligence artificielle dans le marché actuel des ordinateurs.

Voici ce qui est rapporté par le Winache World du 26 juillet 1991 :

« Le gouvernement finance à l’heure actuelle des expérimentations sur des bébés morts ou vivants. Les bébés avortés dans le troisième trimestre, âgés entre six et neuf mois, survivent habituellement au processus d’avortement. Ceci est d’autant plus important que les tissus utilisés pour les expérimentations doivent provenir de bébés vivants. » Voici quelques moyens utilisés lors de ces expériences. On peut trouver cela dans un article du Docteur Bernard Nathasen, publié dans l’édition du New York Garden de novembre 1991 : « En Suède, une procédure a été suivie par laquelle une femme enceinte est placée dans un état de sommeil. Le bébé localisé est amené jusqu’à l’utérus afin de permettre au docteur de percer le crâne du bébé vivant [c’est atroce !] et y aspirer du cerveau des tissus devant servir au système de maladie de Parkinson. Cette même procédure est pratiquée sur des bébés vivants pour leur pancréas, leur peau devant servir aux victimes qu’on appelle les grands brûlés. Ces bébés sont écorchés vivants. L’industrie de la recherche sur les tissus de bébés est une industrie mondiale générant des revenus de l’ordre de huit milliards de dollars. »
[Et nos hommes politiques osent parler d’humanisme !]

On sait aussi que depuis mi-1993, la clinique Sansun de Santa Barbara, en Californie, est sur le point d’importer de larges quantités de tissus fœtaux. La peau des bébés avortés [assassinés] provenant de Russie où les femmes avortent en grand nombre quand le fœtus est arrivé au stade de sept à neuf mois !

Ces fœtus sont ceux qui aujourd’hui fournissent le plus de tissus humains…

Les experts nous assurent que ces tissus sont utilisés pour traiter les diabétiques.

De quelle façon les architectes de l’Ordre Mondial comptent-ils s’y prendre pour instaurer le Gouvernement Mondial et assurer le contrôle et la surveillance directe de toutes les populations au moyen de l’implantation du microchip biologique d’identification internationale ?

Ces architectes sont les personnes à la tête de la Finance Internationale. Aussi vont-elles utiliser l’économie pour aboutir au chaos nécessaire afin de recréer un autre ordre, humaniste, amenant lesnations à accepter de gré ou de force un Gouvernement Mondial par les Nations Unies.

Des journalistes américains de la revue Monetary and Economic de mars 1993 ont révélé un document intitulé : « Un Gouvernement Mondial par assentiment ou asservissement ».

L’auteur est un dénommé Norman and Frence, ancien spécialiste d’affaires au Colorado Office of Economic Development, auteur aussi d’un manuel de planification financière. C’est également unancien responsable des prêts, officier chef des opérations dans une compagnie d’investissement, et un expert notable dans le domaine de la finance et des investissements.

Monsieur Frence rapporte :

« Les pressions pour un Gouvernement Mondial se poursuivent depuis des siècles, mais jamais encore avons-nous atteint le degré dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui. Des termes de l’ONU tels qu’autorité de loi, lois mondiales, sécurité collective, ordre mondial et nouvel ordre mondial, sont des noms de code qu’emploie l’Establishment International en référence à leur plan pour un Gouvernement Mondial unique.

Dès 1945, devant le sous-comité des relations étrangères du Sénat américain, le partisan d’un gouvernement mondial initié, J. P. Warburg établissait : “Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera atteint par la raison ou par la force. »

Il y a ceux qui proposaient une approche étape par étape. Henry Morgan, ancien secrétaire-trésorier du CFR parlait au nom de la plupart des initiés en disant : ‘Nous pouvons difficilement nous attendre à ce que l’État-nation devienne superflu de lui-même. Le but que nous devons plutôt viser est l’acceptation dans l’esprit de tous les élus responsables, qu’ils ne sont que les concierges d’une machine internationale en banqueroute qui devrait lentement être transformée en une nouvelle machine. »

Ceci a été rapporté en mars 1993. En mars 1994, ces gens de la Haute Finance Internationale viennent d’achever de mettre en marche la machine économique qui va permettre au niveau de tous les pays, l’instauration d’un nouvel ordre économique. Ils ont donné un avertissement à un an d’intervalle, jour pour jour, heure pour heure, aux deux puissances FINANCIÈRES qui pourraient les gêner : les États-Unis et le Japon. Par quel moyen ? Par un tremblement de terre.

Monsieur Frence continue : ‘L’ingrédient qui est dans cette formule est de mettre en banqueroute financière la machine internationale’. En d’autres termes, après avoir endetté les États-Unis au-delà du raisonnable, ils veulent créer de pure pièce une crise économique extraordinaire qui contraigne les États, pour se sortir du paiement des intérêts de leurs dettes intérieures souscrites aux banquiers qui dirigent la Finance Internationale, à exécuter des coupes sombres dans leurs programmes sociaux afin de toucher directement les populations. Ceci contraindra (c’est fait en 1994) les États-Unis à se tourner vers le Fonds Monétaire International de l’ONU et de la Banque Mondiale, qui imposeront CETTE condition : que les pays emprunteurs abandonnent leur souveraineté étape par étape afin de cacher ce scénario aux peuples et électeurs ! (Voici les uniques raisons de Masstricht, du Gatt, du libre-échange, des accords de Schengen…). On oblige (ra) alors ces pays à dépendre de l’ONU pour leur survie et donc des directives que l’ONU leur dictera.

Ce qui est surprenant est que cette stratégie a été mise de l’avant par la première société secrète penchant vers la conquête du monde : les Illuminati.

En effet, ce programme extrait d’une revue financière rejoint l’article 4 du code des Illuminati :

«… afin que les masses n’aient pas le temps de penser et de se rendre compte, leur esprit doit être orienté vers l’industrie et le commerce. Ainsi toutes les nations seront avalées par l’appât du gain, et dans cette course ils ne verront pas leur ennemi commun ».

Nous avons là une explication de la flambée boursière des années 80 à février 1994.

C’est une stratégie politique tout à fait connue : absorber l’attention de quelqu’un sur un point précis tandis que l’on est en train de préparer autre chose. Comme nous sommes témoins de cette quête effrénée du profit dans l’industrie et du commerce, on ne se rend pas compte que les États sont dans un système financier en Banqueroute qui est sur le point de s’écrouler. L’ennemi commun est le système bancaire global central, donc le FMI qui détient tous les prêts, réalisant ainsi ce qui est prévu par les Illuminati il y a quelques centaines d’années. L’article 6 du code des Illuminati disait en effet :

« Nous, l’élite financière, allons bientôt entreprendre d’immenses monopoles, réservoirs de richesses colossales — actions, valeurs, fonds mutuels, rentes — sur lesquels des fortunes encore plus grandes — celles des masses — vont dépendre, à un tel point qu’ils tomberont jusqu’au fond avec les crédits des États le jour suivant l’écroulement politique ».

Donc, en arrivant à une crise économique majeure, qui ne touchera pas les institutions comme ce fut le cas dans les années trente, toutes les fortunes faites par les masses dans la spéculation se retrouveront du jour au lendemain évaporées.

Dans ce mécanisme recherché par les architectes de l’ONU — les plus grands banquiers de la planète, l’objectif à réaliser est que les nations et les populations à l’intérieur de ces nations se retrouvent ruinées du jour au lendemain, en n’ayant plus aucune valeur financière. C’est de cette manière qu’il sera possible d’imposer un nouveau système. Pour accéder à ce nouveau système international, les gens devront accepter l’implantation d’un microchip biologique d’identification internationale, sinon ils ne pourront ni acheter, ni vendre au niveau national comme au niveau international [c’est simple comme bonjour !].

Il faut bien comprendre que l’objectif n’est pas de ruiner les entreprises, mais de ruiner les États et les populations ! L’écroulement économique planifié a été utilisé maintes fois à une petite échelle pour prendre le contrôle d’un pays. Mais maintenant la grande finale [c’est la lutte finale de l’internationale !…] est en préparation. Ils connaissent, grâce à certains pays qui ont subi cette thérapie de chaos, quelles seront les réactions futures des populations occidentales et américaines. Aujourd’hui, aidés par la technologie actuelle et les ordinateurs, ils sont capables de fabriquer de toutes pièces le complot d’une grande crise économique, sans que les institutions financières, les grandes corporations comme les multinationales, s’effondrent.

On tentera de faire croire à leur effondrement afin de précipiter la débâcle boursière, mais ce sera faux.

Comme les économies des pays sont en train de s’effondrer lentement à cause des dettes fabriquées et des intérêts remboursés [cf. Charles Gave, ‘Des lions menés par des ânes’, chez Robert Laffont], les élus de ces pays se verront incapables de résoudre le problème. Le complot est mené de telle manière que les élus politiques déduiront — avant l’implosion — qu’ils seront perçus eux-mêmes comme étant les responsables de la faillite des États. Les élus perdant leur pouvoir par l’incapacité humaine de résoudre ce problème insoluble sans rejeter l’ensemble du système seront condamnés à se tourner vers l’ONU [et le tour est joué !], à défaut d’être déposés par le peuple. L’ONU exigera leur assimilation aux directives élaborées par les Initiés du Gouvernement Mondial. Tout ceci sera FINI en mars 1995… Ces élus multiplieront et augmenteront la fréquence de la crise par l’augmentation des coupures au niveau social. S’ensuivront des crises mondiales, des violences à l’échelle internationale.

Les élus nationaux devront admettre l’ouverture de leurs frontières à l’immigration, la mobilité de la main-d’œuvre. Ce sera l’aboutissement des conséquences du libre-échange à tous les niveaux : la disparition des frontières nationales !

L’objectif étant, bien sûr ! D’augmenter les tensions intérieures entre les différentes ethnies et religions, de sorte que les pays en viennent à perdre le contrôle de leur sécurité intérieure. L’exemple chirurgical récemment dévoilé par l’ONU en Yougoslavie accrédite la réalisation de ce scénario dans quelques pays qui soient.

Finalement les populations se retourneront vers l’ONU. Elles supplieront de faire quelque chose au niveau international. D’ailleurs, tout a été fait au cours des dernières années pour inciter les gens à reconnaître que l’intervention de l’ONU évitait aux nations d’entrer elles-mêmes dans des guerres terribles. La fabrication de toutes pièces de conflits en augmentant les tensions sociales, a rendu les gens serviles à ce genre de démarches et d’aveuglement sur les intentions réelles des tireurs de ficelles de la secte onusienne. Cela fait partie d’une stratégie dialectique développée par des philosophes au XVIIIsiècle.

Il y a là aussi une autre démarche visant à affranchir les États encore christianisés sur le plan de leur sécurité intérieure.

En effet, pendant que les États sont affaiblis économiquement, socialement et sur le plan ethnique, les conflits créés géostratégiquement [sic] en différents points du globe — mais toujours loin des pays occidentaux, — ont permis à l’ONU d’envoyer des forces multinationales composées des soldats appartenant aux pays visés selon le plan exposé plus haut.

L’avancée du plan est d’ailleurs effectuée en parallèle avec la multiplication des conflits exigeant l’envoi de troupes multinationales. Vous remarquerez ainsi que la situation sociale se désagrège en France alors que nos troupes d’élite sont envoyées en Somalie, au Rwanda, en Yougoslavie…

Évoquant la Somalie, on relèvera que la situation a été rendue explosive maintenant grâce à la complicité des organisations supranationales, telle l’OMS. Depuis la guerre du Golfe, les conflits éclatent les uns après les autres, requérant la présence de troupes sans cesse renouvelées, tandis que le plan suit son cours et que les pays occidentaux sont vidés de leurs forces militaires… C’est pourquoi j’avais employé l’expression d’” Étincelle » dans mon premier ouvrage.

Il est aussi à remarquer que les forces américaines sont dispersées un peu partout dans le monde, faisant partie de la nouvelle force de police planétaire sous le contrôle de l’ONU.

Les grandes lignes de ce transfert des forces militaires américaines et européennes se trouvent dans le programme « Freedom from War » qui démontre ce qui se passe.

Le programme des États-Unis pour un désarmement complet et général dans un monde pacifique établi par le président Kennedy — publication 72/77 du Département d’État qui devait s’effectuer en trois phases — propose en phase deux : « La force de paix de l’ONU sera établie et renforcée progressivement à partir du matériel militaire américain ».

Cette phase deux est précisément le stade où nous nous trouvions en 1994. C’est-à-dire sans que personne s’en rende compte, la majeure partie des forces militaires et des installations militaires américaines sont en train de passer lentement sous le contrôle des Nations Unies au niveau international — comme des bases militaires, — et non plus comme c’était le cas auparavant au profit d’une seule nation qui était les États-Unis. Soyez assurés que le désarmement militaire progressif contrôlé continuera jusqu’au point où aucun État — incluant les États-Unis — ne possédera la force militaire nécessaire pour s’opposer et défier l’autorité progressivement renforcée de l’ONU. Au train actuel, c’est un fait que les forces militaires placées sous le contrôle de l’ONU — même les États-Unis en tant que nation — n’auront plus de force militaire propre pour s’opposer à l’ONU. Le résultat est que chaque pays subira et exécutera les ukases de l’ONU par crainte des forces multinationales. La dispersion planifiée des forces américaines aux quatre coins du monde et les coupures dans le budget de la défense rendant ce plan quasiment achevé.

En même temps qu’est organisée internationalement la chute de l’économie, on constitue une nouvelle force de police nationale à travers l’Amérique et une nouvelle force de police militaire internationale.

Cet article est la 4e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

Partie II
LA POLICE DU NEW AGE

Dans un tel scénario, il est programmé que les forces policières seront impuissantes à résoudre les violences provoquées par une immigration massive et une crise sociale. Elles feront appel à une force militaire… décimée pour les raisons qui viennent d’être évoquées. On devra bien faire appel à des formes multinationales sous l’égide de l’ONU, afin d’établir la paix et la sécurité dans les nations en guerre civile. Toutes les nations se dirigent à ce jour vers un éclatement intérieur.

C’est précisément dans une perspective de troubles sociaux mondiaux qu’a été mis au point par le président Clinton, sur ordre de supérieurs « inconnus », une force de police de cent mille hommes pour s’attaquer à la criminalité : la nouvelle force de police nationale de l’Amérique du Nord. Cette force est en train de se mettre sur pied à la vitesse de l’éclair. L’intervention de cette police dans le drame de la secte de Wacco a été une expérience menée pour constituer un exercice. Le choix de cette secte religieuse fut fait par hasard, dans l’objectif de contraindre des groupes religieux plus importants à accepter un nouvel ordre et… un nouveau chef spirituel !

Le vrai but de ce raid raté était de permettre à l’Establishment de présenter cette force de police comme quelque chose de bien. L’objectif était de faire accepter un tel élément aux yeux du public comme efficace pour la sécurité.

En réalité cette nouvelle force de police nationale aux États-Unis est une consolidation d’agents de la CIA, du FBI, du DEA et autres agences policières et gouvernementales.

D’après un officier des services secrets de l’armée américaine que nous appellerons Mark, ces forces sont maintenant appelées « la police MJTF ». C’est le détachement spécial multijuridictionnel de l’ONU. D’après Mark et un rapport complet fourni à l’Agence Internationale de la Presse Libre, leur mission est : d’effectuer des fouilles et des saisies maison par maison ; la séparation et le tri des hommes, femmes et enfants en grand nombre ; le tri et le transfert dans des centres de détention ; et le bon fonctionnement de tels établissements.

Il existe dans cette même veine d’informations un rapport qui touche au programme pour l’établissement des camps de concentration aux États-Unis. Ces camps n’ont rien à voir avec ceux de la Seconde Guerre mondiale. Un rapport de cinquante pages existe à l’Agence avec les emplacements géographiques des camps en question, destinés à recevoir les ennemis du futur ordre mondial.

Sous le président Reagan on avait déjà commencé à mettre en place onze centres de détentions fédéraux en Floride, en Virginie, en Georgie, dans l’État de New York, dans l’Arkansas, dans l’Arizona, en Californie. Mark expliqua aussi comment le MJTF travaille en conjonction avec le FENC (Federal Emergency National Center) qui est le nouveau stade de force de police de l’ONU. L’une des particularités des membres du FENC est que tous leurs uniformes sont noirs avec aucun signe extérieur d’identification. Les jeeps, les hélicoptères, les camions militaires sont noirs.

Le FENC est composé de polices militaires et secrètes dont le nombre se chiffre à trois cent mille aux États-Unis. Leur uniforme est l’habit de combat classique noir. Ils portent une armure anti-balles noire et un casque spécial en noir. Un suivi des événements du drame de Wacco aura permis de remarquer que les forces du MJTF ont été épaulées pour finalement être remplacées par les forces du FENC.

En novembre 1990, le président Bush a signé un ordre exécutif qui transférait un tiers des véhicules de la réserve aérienne stratégique des États-Unis au FENC, à un coût de 12,8 milliards de dollars pour le contribuable américain. Ils ont été peints en noir et ne portent aucune identification.

D’après cet officier appelé Mark, le niveau final des forces militaires qui a été structuré en 1993, sont les groupes de combat de l’ONU à l’intérieur des États-Unis.

Ces troupes sont situées à la frontière de la Californie et de la Virginie. Ils ont des groupes de combat équivalent à trente-quatre mille hommes. Dans la région de Sacramento se trouve une autre force de quarante mille hommes. Au sud de Los Angeles, un contingent de vingt-deux mille soldats de l’ONU. Mark ajoute que du Montana jusque dans le territoire canadien, existe un groupe de combat de trente-sept mille hommes qui est divisé en deux brigades d’infanterie mécanique EEC, deux brigades d’infanterie mécanisée standard, la première division d’armée canadienne et une brigade de sécurité légère japonaise.

La présence des troupes de l’ONU russes, yougoslaves, roumaines et coréennes sur le sol américain et canadien a été rapportée par plusieurs sources. Où garde-t-on ces troupes ? Dans les bases militaires qui sont supposément [sic] en train de fermer !

Par exemple, avant de quitter la présidence, alors qu’il était à l’ONU, le président Bush transféra la gare de Fort Dix aux autorités de l’ONU pour servir de camp d’entraînement.

Voyons maintenant quelle est l’idéologie qui forme ces nouveaux corps d’élite internationale, mais aussi les membres des services secrets.

Autrement dit : qu’y a-t-il derrière l’émergence d’un Nouvel Ordre Mondial, d’un nouveau corps de policiers ?

Un policier travaillant depuis vingt ans dans la police américaine a — sous un pseudonyme — fait parvenir le texte complet d’une conférence de très haut niveau, prononcée dans les années 90 pour la formation des cadres du Gouvernement Mondial de l’Amérique du Nord.

Le policier fait également part de son expérience personnelle afin de sensibiliser l’opinion — par l’intermédiaire des journalistes d’investigation — sur l’Ordre Mondial ; de ce qui est imperceptible à l’œil nu à moins de faire partie de ces différents corps-là.

La question que pose ce policier qui a volontairement changé son nom pour des raisons de sécurité personnelle est tout d’abord celle-ci : Y a-t-il des juges, des procureurs et des policiers qui aujourd’hui commettent des actes malhonnêtes pour incarcérer des individus ? À cette question, il dit : « Je réponds sans équivoque que oui ». Puis il explique pourquoi. Toutefois il écrit : « … mais il est permis d’espérer que ce n’est pas fait sans une juste cause. La véritable immoralité existe quand la cause n’est pas juste » [faux ! Cf. Romains, 3 : 8]. Afin de mieux comprendre les réponses qu’ilapportera, rappelons que jusqu’ici le droit, l’organisation des États en Occident étaient basés sur une idéologie chrétienne.

Au nom de cette idéologie [disons plutôt doctrine] chrétienne, on faisait passer le bien et la protection de l’État en priorité. Cette idéologie qui s’est transformée à l’heure actuelle sans que les populations s’en aperçoivent. La nouvelle idéologie qui justifie le Nouvel Ordre Mondial [bien retenir ce grand principe de SPARTACUS WEISHAUPT, le fondateur de l’Illuminisme : « Tout ce qui est utile est un acte de vertu. »] doit passer avant n’importe quoi. Au nom de cette idéologie, n’importe qui faisant partie du pouvoir judiciaire et militaire peut perpétuer quelque acte criminel que ce soit parce que le but visé est juste [et à plus forte raison s’il est injuste !].

« Après plus de vingt ans de service auprès de mes compatriotes américains, j’ai réalisé ce qui était la réalité. La vérité est qu’aujourd’hui plusieurs juges, avocats et officiers de police sont des dévots de la religion de l’humanisme séculier. »

Or la base idéologique de tout ce qui va composer le Nouvel Ordre Mondial est justement assise sur un humanisme centré sur le culte de l’homme [cf. S. Matthieu, 4:10]. C’est la déification de l’homme en tant que centre de l’univers, placé au-dessus de toute loi. C’est la philosophie de base de l’humanisme séculier.

Le texte de la conférence faite en privé en 1990 et adressée par le policier précise :

« … certains de nos membres, la plupart à cause de la peur, n’admettront pas que ce nouvel humanisme est une religion. Ils ont peur d’être traités comme ces soi-disant chrétiens le furent sous la doctrine de la séparation de l’Église et de l’État. Une telle peur eût été fondée si nous étions en 1970. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. La raison étant que les membres des corps policiers et militaires sont pour la plupart sous le contrôle des agences et organisations principales. »

Il y a quinze ou vingt ans, l’idéologie chrétienne aux États-Unis était dominante. Ceux qui contrôlaient les différents postes du gouvernement, du militaire, du judiciaire, de la police, des différents ministères gouvernementaux, avaient une formation chrétienne. Aujourd’hui les choses ont changé : l’humanisme triomphe et les postes cités précédemment sont occupés par des membres du New Âge et du Nouvel Ordre.

Le conférencier continue et dévoile la suffisance des ténors officieux de cette secte humaniste :

« Mon sentiment est qu’en ce moment, nous les bergers, nous devons ouvrir les yeux de nos troupeaux et choisir plus en profondeur ceux que nous pouvons amener au XXIsiècle. »

« Tous ceux qui nieraient que notre religion n’est pas une religion valide devraient retourner voir leurs devoirs. La Cour suprême des États-Unis a décidé que c’était une religion. Il y a quelques années, dans des causes célèbres, la Cour a statué que la croyance en l’humanisme, le rejet de l’idéologie chrétienne était aussi une religion acceptable. La croyance fait référence à une certaine vision universelle de la vie, du monde et de l’humanité. Dans son ensemble la Cour suprême des États-Unis a décidé qu’une religion peut être n’importe quelle vision du monde avec ou sans référence à Dieu… J’espère que ceci aidera les autres à comprendre notre foi. »

« Néanmoins, ceci n’est, bien sûr, pas le point principal de ma conférence. Je souhaite traiter des abus auxquels font face les policiers qui souscrivent consciemment ou non aux tenants moraux de notre religion ; de ce qui a trait à l’éthique ou à la morale. Partout dans notre société, nos dévots endurent d’horribles discriminations de la part de chrétiens constituant aujourd’hui une faction très petite de la société. Cette discrimination contre nous, humanistes, survient quand nous exerçons notre pratique religieuse et appliquons notre morale dans notre activité professionnelle. Pourtant des autres le font sans aucune discrimination, parce qu’ils sont chrétiens. »

« Heureusement, notre religion humaniste affiche le plus haut taux de croissance dans toute l’histoire, et la nouvelle génération à l’intérieur du système judiciaire, incluant les policiers qui souscrivent à de saints principes, sont maintenant à des postes administratifs, ce qui profite à tous. Ceci nous donne du pouvoir, même s’il existe beaucoup trop de discrimination contre un principe les plus importants de notre religion : l’éthique de situation. »

L’éthique est en principe un code de morale, de valeurs chrétiennes délimitant des frontières à ne pas dépasser. Avec la formation de cette nouvelle idéologie qui pénètre toutes les couches sociales des États-Unis, mais surtout aux postes décisionnels de chaque corps de métier, qu’entendent-ils par ce principe d’éthique de situation ? La suite de la conférence nous éclaire :

« … Le principe de l’éthique de situation ou de morale permet à l’individu de se concentrer correctement sur le but qu’il veut atteindre. Moralement parlant, peu ou pas d’importance ne doit être accordée à la méthode et aux moyens puisque rien ne surpasse le but en importance. »

C’est en d’autres mots l’application du principe connu : la fin justifie les moyens !

« Je pense que le principe de la morale de situation est le mieux décrit en examinant la définition légale de la morale et de l’éthique telle que donnée par nos compatriotes communistes. »

On entrevoit le lien ténu entre les idéologies communistes, maçonniques du XVIIIsiècle, et celle de l’Allemagne hitlérienne. Il s’agit d’une même idéologie présentée de trois manières différentes.

Le même personnage qui occupa un poste très important dans l’administration gouvernementale américaine poursuit :

« Nous pouvons apprendre beaucoup de la dévotion des communistes. Les marxistes ont par nécessité pragmatique épuré plus de 90 millions de gens dans la poursuite de la mission la plus noble de l’homme : la paix mondiale. »

Quand on entend cela enseigné à l’élite des corps de la police et de l’armée multinationale, on imagine jusqu’où ces gens sont capables d’aller pour imposer le Nouvel Ordre Mondial !

« Quelle personne intelligente pourrait appeler “immoral” quelque moyen utilisé pour parvenir au plus important des buts. Il n’y a rien d’immoral d’éliminer des gens si on le fait au nom d’une paix mondiale. »

« Dans nos grands manifestes humanistes signés en 1963 et 1973, nous appliquons nos principes moraux qui sont les mêmes que les principes marxistes, mais mis de l’avant de manière beaucoup plus concrète. Voici un bref sommaire de nos croyances sur l’éthique et la vérité. L’éthique, les valeurs morales, tirent leur source de l’expérience humaine. L’éthique est autonome et situationnelle [sic], ne nécessitant aucune sanction idéologique ou théologique. Nier ceci équivaut à nier la base même de la vie. »

Ce sont exactement les mêmes définitions que l’on trouve dans les textes de Weishaupt de 1740 — fondateur des Illuminés de Bavière — ainsi que dans les revues du Grand Orient de France.

« Nous vivons une bonne vie et maintenant.

Autorité et vérité : Nous rejetons les caractéristiques de la morale religieuse traditionnelle qui nie aux êtres humains la totale appréciation de leur potentiel et responsabilité.

Les religions traditionnelles offrent souvent du réconfort aux humains, mais souvent elles les empêchent de s’aider eux-mêmes ou de vivre leur plein potentiel.

Nous ne pouvons découvrir aucun but divin ni aucune Providence pour l’existence humaine. Les humains sont responsables de ce que nous sommes et de ce que nous allons devenir. Aucun Dieu ne va nous sauver, nous devons nous sauver nous-mêmes. »

On comprend pourquoi les Initiés ont choisi les États-Unis. C’était la nation la mieux structurée, la plus apte à imposer l’Ordre Mondial à l’humanité.

« Ceux d’entre vous qui pratiquent le christianisme sélectif sont plus près de notre foi que des superstitions des secoueurs de Bible d’Antan. Le christianisme sélectif sont ceux qui étant catholique choisissent les bonnes paroles avec lesquelles nous sommes d’accord et rejettent celles qui condamnent le plaisir terrestre et les enseignements [traditionnels] de l’Église catholique. Ne croyez-vous pas que sous cet aspect nous sommes identiques ? Votre foi est basée sur ce qui est bien selon le désir de l’homme.

La foi est valable, la religion chrétienne est valable, si vous croyez à votre système que nous vous imposons depuis vingt ans. Si vous ne nous combattez pas, c’est que vous croyez à nos valeurs parce qu’il n’existe aucun milieu !

Nous humanistes, admettons qu’il n’y apas de Dieu, que seuls lesdésirsde l’homme sont importants. Vous, dirigeants de ces chrétiens sélectifs, prêchez que votre foi est basée sur certaines parties de la Foi de Dieu, mais en réalité la majorité de votre foi est basée sur ce qui estagréableou faitvotre affaire. Finalement, en intégrant ce que nous, humanistes, voulions réaliser depuis dix-huit siècles, vous êtes arrivés à vous fabriquer une nouvelle religion centrée sur les désirs de l’homme. Vos chefs religieux prêchent les droits de l’homme et par là même cautionnent notre Ordre Mondial !

Il est évident que le gouvernement américain fonctionne selon les principes dirigeants de l’humanisme. Quels sont ces principes ? La ruse, le mensonge, la tricherie, le vol, le meurtre, l’hypocrisie, les tournures de pensée. Tous ces moyens sont moraux s’ils nous permettent d’atteindre nos buts essentiels. Voilà la vraie vertu. »

Quel est le but essentiel ? L’établissement du Gouvernement Mondial !

« Un récent exemple a été donné dans la guerre de l’Irak contre le Koweït. Plus de 250.000 individus ont déjà perdu leur vie et plus encore meurent chaque jour afin d’atteindre un but supérieur. Le but de tous les grands leaders humanistes est la paix mondiale à travers le Gouvernement Mondial.

On peut éliminer des nations, des peuples entiers si c’est le bien de tous selon nos vues. Cet enseignement du Nouvel Âge est la raison pour laquelle par exemple, il est possible qu’un officier de police d’allégeance humaniste risque sa vie pour sauver un membre de la société un jour, et que le jour suivant, le même policier mente lors d’un procès afin de remporter une affaire importante. Ceci ne doit pas être considéré comme immoral étant donné les standards éthiques sur lesquels le policier base sa moralité en ce que la fin justifie les moyens. Bien des gens ne comprennent pas que c’est la raison pour laquelle les présidents et leur état-major, les membres du Congrès et autres tenants des postes leadership mentent et trichent pour le plus grand bien de la société et donc du système. »

D’après cet initié ceux qui sont à la tête des gouvernements mentent d’une façon ouverte et concertée aux populations en vue de faire passer le bien suprême du système à venir du Gouvernement Mondial, mais aussi en vue d’excuser la disparition de dissidents ou de groupes radicaux ! Il existe en effet une différence entre les nouvelles données par les médias et ce qui se passe réellement dans les coulisses. Les versions rapportées officiellement ont été pensées, structurées, afin de nous donner une apparence de la réalité qui n’est jamais la réalité. Par une manipulation aussi ouverte de l’information nationale et internationale, on réussit à justifier la disparition d’un individu ou d’un groupe d’individus en les faisant passer pour des radicaux, des terroristes, alors que très souvent le seul danger que représentent ces personnes est uniquement en fonction de leur impact sur les populations par rapport à ce que ces gens veulent imposer comme Nouvel Ordre Mondial.

Cet article est la 5e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

« Vous êtes conscients que la grande majorité des Américains ne cherche que la paix et la sécurité. Ils ne se rendent même pas compte qu’ils ont virtuellement fait de leur gouvernement un nouveau Dieu vers qui ils se tournent pour subvenir à leurs besoins. Nos leaders du Nouvel Âge et nous leurs soldats, leurs bras et jambes — c’est-à-dire les policiers et les militaires, — se tiennent prêts à donner aux masses ce pour quoi ils prient.

Notre rôle à l’intérieur du système judiciaire d’aujourd’hui est de protéger le plan du système de la mise sur pied du Gouvernement Mondial, et de punir ceux que nos leaders identifient comme les ennemis du système. »

Ainsi a-t-on transformé le droit et la culpabilité. L’homme qui combattra pour la vérité sera considéré comme un ennemi à détruire. La conspiration de l’Âge du Verseau et du Gouvernement Mondial apparaît comme l’établissement d’une dictature à l’échelle mondiale dont l’idéologie est basée sur l’humanisme.

Dans une dictature semblable, l’individu qui, au nom de ses principes religieux, de sa conscience ou de sa foi, s’opposerait au complot contre l’homme et Dieu sera considéré et identifié comme étant un criminel. On retrouve là ce qui se passait il y a deux mille ans sous l’Empire romain. C’est le même schéma : est criminel celui qui s’élève contre l’idéologie gouvernementale établie pour la majorité des gens. Qui étaient ces criminels il y a deux mille ans ? C’étaient les chrétiens. Qui étaient les ennemis sous le régime communiste ? Les chrétiens. Cette fois-ci, le cadre change et devient international.

« Tout comme nos collègues soviétiques, sous l’éthique de situation de notre Nouvel Ordre humaniste, nous ne sommes pas limités dans les méthodes que nous pouvons appliquer pour gagner.

Nous pouvons procéder à pacifier et sécuriser les masses, donc se débarrasser de tous ceux qui vont représenter un danger pour l’instauration de ce Nouvel Ordre.

Si certains d’entre vous sont encore surpris par ceci, c’est que vous n’avez pas encore compris ce que j’essaie d’expliquer. Vous n’avez pas non plus compris ce que vos enfants ont si bien appris à travers vingt ans de système d’éducation de notre gouvernement. “Nous vivons l’ère où les hommes ont placé leur conscience dans le gouvernement au lieu de quelques superstitions appelées divin ou Dieu. Ce sont les anciennes morales religieuses qui ont causé tous nos problèmes [c’est ce que pense actuellement la quasi-totalité du monde moderne déjà prêt à accepter le Gouvernement Mondial]. Un Nouvel Âge appelle un nouveau système de croyances, un nouveau code moral, une nouvelle religion. Il est agréable de voir presque toutes les religions du monde se regrouper gentiment et unies en se préparant à servir le Nouvel Ordre Mondial.”

Je voudrai vous présenter le Docteur Sidney Saymon. Un homme très efficace, qui mérite une grande reconnaissance pour son travail de rééducation de l’humanité. Il parle simplement et ce qu’il dit est sans équivoque. Il explique aux éducateurs d’enfants à qui il s’adresse que la clarification des valeurs est une méthode pour les professeurs dechanger les valeurs de leurs élèves sans se faire prendre. Cela veut dire que sous des nouveaux déguisements, sous un nouveaudialogue, on enseigne de nouvelles valeurs sans que les enfants et les parents s’en rendent compte, et sans que les éducateurs puissent être accusés de quoi que ce soit [on parle des valeurs en général sans en préciser la nature]. Le résultat est garanti : un affrontement entre les enfants et les parents. Donc la clarification des valeurs est un autre terme pour éthique de situation. L’enseignement doit faire comprendre que l’important n’est pas les valeurs que l’on choisit, mais de les choisir librement par vous-même [leur nature est sans importance], sans pression des parents, prêtres, amis, ou société religieuse.

Les architectes du programme d’enseignement du nouvel humanisme dans les écoles du gouvernement doivent être remerciés pour avoir remodelé les valeurs de ces futures générations. Quand la loi nationale des garderies sera adoptée, ce sera un grand jour pour les humanistes et les proposants [sic] de la paix mondiale. Nous pourrons accomplir notre objectif une fois pour toutes lorsque nous aurons l’attention des enfants en âge préscolaire de six à neuf heures par jour. Regardez ce que nous avons entrepris avec les groupes plus âgés de la jeunesse américaine.

Ces garderies auront pour mission de préparer la jeunesse intérieurement à l’acceptation du Gouvernement Mondial.

C’est ainsi que les émissions dites populaires et niaiseries, de jeux basés sur l’argent, sont appréciées d’un public conditionné qui apprécie l’émission en fonction des nouvelles valeurs antichrétiennes et humanistes auxquelles il adhère inconsciemment [la télévision française, quant à elle, avec sa publicité impudique, primaire et stupide, offre des émissions qui constituent une incitation permanente aux mauvaises mœurs et à la violence sous toutes ses formes].

Les gens ainsi conditionnés fuiront la réalité et la vérité ; ils auront peur. Nous aboutirons à une armée de schizophrènes !

Il va de soi qu’une telle société exigera une nouvelle forme de police.

Un de nos éducateurs de l’humanité m’a dit il y a quelques semaines, que les religieux américains d’antan n’en croiraient pas de leurs yeux de voir les changements que nous nous sommes permis. Cette personne avait raison parce que nous avons mis le futur non pas sur le gouvernement, mais sur la capacité de tous et chacun de nous gouverner nous-mêmes, de nous soutenir nous-mêmes et ainsi de suite. C’est pourquoi le Gouvernement Mondial est bon pour tous.

Les Américains ne désirent plus assumer les responsabilités de ce gouvernement actuel. Heureusement pour eux, il y a une toute nouvelle génération de leaders et de gens au gouvernement, soucieux de s’occuper d’eux malgré leur consentement.

S’agissant de la main-d’œuvre policière : comme les citoyens abandonnent par peur de plus en plus de leurs droits, de plus en plus de policiers sont nécessaires afin de superviser les activités de cette population afin qu’elle demeure en sécurité [en cage !].

La construction de l’État Providence engendre des troubles dans la société, d’où un renforcement des membres de la police.

Qui aurait pensé il y a cent ans que l’intégration de la peur de tout serait la réponse à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.

Le mérite de ces innovations revient aux libres penseurs de la dernière génération d’avoir réussi le coup de maître de faire en sorte que la peur serve de mécanisme de base pour permettre n’importe quoi au plan des populations.

La vieille génération n’aurait pas accepté ce nouvel ordre des choses, ces nouvelles valeurs. Heureusement cela n’a pas posé trop de problèmes parce qu’ils sont rapidement remplacés par la mort ou la retraite. Il n’en restera plus aucun d’ici sept à huit ans, soit 1997/98. Nous avons l’assurance que tous ceux qui avaient des valeurs morales chrétiennes n’auront plus aucun poste clé dans le gouvernement dans les domaines exécutif, judiciaire et militaire.

Donc à ce moment-là, l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial ne trouvera plus aucun obstacle. Au même moment, les agences de police essaient par nécessité de filtrer les individus qui croient aux anciennes valeurs traditionnelles et de ne pas les engager.

C’est pourquoi on a changé les valeurs du système d’éducation. Afin que les jeunes qui entrent dans la vie active soient imbus de principes humanistes et aient rejeté toutes les valeurs et superstitions chrétiennes. Ceci doit être fait parce que nous savons que les religieux ne feront pas les choses qui leur seront demandées sous le nouveau système. Pour ceux qui restent attachés au fondamentalisme religieux de l’ancien monde, ils sont tranquillement mis de côté sous toute forme de prétexte de la part des nouveaux dirigeants.

Certains des officiers de l’ancien temps se plaignent et font valoir que ce type de discrimination est anticonstitutionnel et immoral. Mais nous savons qu’ils ont tort. Sous l’éthique de situation, toutes les choses sont morales du moment qu’elles avancent vers Le but. Ainsi ces officiers ne sont pas retirés pour une cause diabolique mais parce qu’ils sont jugés non fonctionnels pour accomplir les tâches qui seront exigées d’eux.

L’ancien monde avait compris que c’était le plus grand des péchés que de mentir à leur Dieu. Les générations de dévots qui vont rentrer dans le Nouvel Ordre Mondial doivent comprendre que le plus grave des péchés est de mentir à leur nouveau Dieu, le Gouvernement. L’individu n’existe pas ! Seul compte l’intérêt du Gouvernement Mondial.

Toute déloyauté de la sorte viendrait à l’encontre de la marche vers le progrès engagé par ceux qui mènent la gloire du Nouvel Ordre Mondial. Nous ne sommes pas préoccupés avec quelques résistances au Nouvel Ordre, car par nécessité pratique leur destin a déjà été simplement établi dans le Plan.

Nous avons parlé de ce Plan en développant le Micro Chip et le programme des camps de concentration mis sur pied en Amérique du Nord avec une technologie extrêmement avancée.

Ce qui nous préoccupe le plus en ce moment est que les masses obéissantes comprennent qu’il est néfaste pour le progrès de suggérer que leurs superviseurs — les membres des gouvernements, des Nations Unis — se complaisent sous la pression et la futilité de ces superstitions d’ordre et morale désuète.

Il y aura des changements difficiles pour ceux qui auront à faire face et entrent dans cette nouvelle société. Sur ce sujet nous pouvons assurer aux peuples qu’il n’y aura aucun compromis.

Merci de m’avoir écouté. Que la bénédiction du Nouvel Ordre vienne rapidement sur vous. »

Cette entité que l’on appelle l’Ordre Mondial, la Force, le Grand Architecte, etc. s’appelle l’Antéchrist !

Conclusion : Il est évident que les architectes de l’Ordre Mondial entendent nous imposer un Gouvernement Mondial par la force pour l’été 1999.

L’article 1 des Illuminati dit ceci : « Notre mot d’ordre est : forcez et faire semblant. Seule la force triomphe en matière politique, spécialement si elle est cachée dans les talents des hommes d’État. La violence doit être le principe ; la ruse et le faire semblant, la règle pour les gouvernements ».

En d’autres termes, on revient aux mêmes lignes de conduite utilisées en 1917 pour instaurer le communisme.

À propos de l’avenir de la Russie et de Jirinovski dont l’ascension politique est fulgurante, on a pu remarquer qu’au cours de ses déplacements en Europe fin 1993, il portait des roses et des fleurs rouges à la main gauche. C’est un symbole de reconnaissance internationale connu que de certains initiés. Fidel Castro en portait, le président Mitterrand également. Les grands hommes politiques identifiés aux groupes internationalistes se sont servis de ce symbole de reconnaissance une fois qu’ils ont été portés au pouvoir.

Ici on peut donc entrevoir l’avenir qui attend la Russie.

Cette force nationale soumis à l’ONU se constitue au même moment où apparaissent les conséquences d’une crise économique sans précédent. Les problèmes sociaux vont augmenter. Les coupes budgétaires vont étrangler les peuples. Les gouvernements vont se voir dans l’incapacité d’apporter la moindre solution parce que celles-ci sont rejetées par le FMI.

Les sociétés vont se retrouver dans un état de crise politique, sociale, et les avoirs des peuples vont disparaître dans une crise financière terrible qui commencera au Japon — peut-être par un tremblement de terre aux conséquences incalculables.

Dans un tel contexte, il est prévu que les peuples se tournent vers les Nations-Unis. Cet appel serait le prétexte pour établir le Gouvernement Mondial ! C’est précisément à ce moment propice où les peuples seront mis à genoux malgré eux que tout le mécanisme de la haute technologie et du microchip biologique d’identification internationale serait imposé.

Avant, tout doit être prêt de manière à ce que les gens l’acceptent pour la sécurité, la stabilité et pour la paix : d’où le chaos qui prend forme…

Mais l’homme exerce sa liberté dans la liberté de Dieu ! Aussi, cher lecteur, ayez l’assurance que ce système APPAREMMENT parfait ne se réalisera pas aux dates prévues. L’étude relative aux prophéties y répondra…

Nous vivons déjà visiblement les manipulations du Pouvoir Occulte. Elles aboutiront aux guerres civiles, à la Troisième Guerre mondiale selon le plan que je vous ai exposé. Mais Dieu interviendra souverainement et les hérauts de l’Ordre Mondial seront châtiés, même s’ils se sont réfugiés en Australie, persuadés d’être à l’abri du conflit qu’ils ont allumé depuis 1991 au Golfe Persique.

La Micro-Puce et la « Marque de la Bête »

Par le Dr Carl W. Sanders

Voici la traduction d’extraits d’un article publié dans le numéro de juin-juillet 1994 de la revue NEXUS (P.O. Box, Mapleton, Queensland, 4560, Australie). C’est le témoignage du Dr Carl W. Sanders, qui était chargé de concevoir la micropuce électronique. Le Dr Sanders est un ingénieur électronicien, inventeur et expert, conseiller auprès de nombreuses organisations gouvernementales et de compagnie telles que IBM, General Electric, Honeywell et Teledyn.

J’ai consacré trente-deux années de ma vie dans la conception électronique, concevant des micropuces dans le domaine biomédical. En 1968, je devins impliqué, presque par accident, dans un projet de recherche et de développement concernant un pontage spinal pour une dame ayant l’épine dorsale rompue. Nous recherchions comment pouvoir relier les nerfs moteurs, etc.

C’était un projet qui nous emballait tous. Il y avait cent personnes d’impliquées, et j’étais le principal ingénieur en charge du projet. Le projet aboutit à la micropuce dont nous parlons maintenant — une micropuce que je crois être la « Marque de la Bête ».

Cette micropuce est rechargée par les changements de température du corps humain. Évidemment, vous ne pouvez pas aller à l’intérieur de votre corps et changer vos piles de temps en temps ; alors la micropuce a un circuit de rechargement qui fonctionne selon les changements de température du corps. Plus d’un million et demi de dollars furent dépensés pour trouver les deux endroits sur le corps humain où la température change le plus rapidement : le front (premier choix), tout juste en bas de la naissance des cheveux, et le revers de la main (position de rechange) (1).

Travaillant sur cette micropuce, nous n’avions aucune idée qu’elle deviendrait un moyen d’identifier les gens. Nous considérions ce projet comme étant une chose très humanitaire. Notre équipe était composée de gens provenant de l’Université de San Jose, des compagnies Motorola, General Electric, du Centre Médical de Boston ; en fait, c’était tout un groupe de compétences…

Comme le projet de micropuce commençait à évoluer vint un temps où on nous dit que les pontages à la colonne vertébrale étaient une chose qui ne rapportait pas assez financièrement pour qu’on s’en occupe, et qu’on devait donc considérer d’autres utilisations pour cette puce. Nous avions remarqué que la fréquence de la micropuce avait un grand effet sur le comportement humain, et on orienta alors nos recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain avec la micropuce. Le projet se transforma presque en acupuncture électronique, parce qu’il résulta à installer une micropuce qui émettait un signal qui affectait certaines parties du cerveau. On démontra qu’on pouvait provoquer des changements de comportement avec cette micropuce.

Un de ces projets sur le comportement fut appelé le « Projet Phoenix », concernant les vétérans de la guerre du Vietnam. Nous avions une micropuce que nous appelions la « micropuce Rambo ». Cette micropuce pouvait causer un flux supplémentaire d’adrénaline…

Il y a 250.000 pièces dans la micropuce, y compris une petite pile au lithium. Je me suis battu contre l’usage du lithium en tant que source d’énergie pour ces piles dans le corps humain, mais la NASA se servait beaucoup de lithium en ce temps-là ; c’était la chose en vogue. J’ai demandé à un docteur du Centre Médical quel effet cette concentration de lithium dans le corps humain pouvait avoir si la micropuce se brisait. Il me répondit que cela produirait une grave plaie, douloureuse et remplie de pus.

J’étais présent à une réunion où la question suivante fut posée : « Comment pouvez-vous contrôler un peuple si vous ne pouvez pas les identifier ? » Des gens comme Henry Kissinger et des personnes dela CIA assistaient à ces réunions.

Comme nous développions la micropuce, et que la question principale était de se servir de cette micropuce comme « carte d’identité », ou moyen d’établir l’identité des gens, plusieurs choses nous furent demandées. On voulait que soit compris sur la micropuce le nom et le visage de la personne, son numéro de sécurité sociale (incluant les codes internationaux), ses empreintes digitales, sa description physique, la généalogie de sa famille, son adresse, son occupation, des informations concernant ses rapports d’impôt, et son dossier criminel (2)

Cet article est la 6e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

J’ai assisté à dix-sept réunions à travers le monde, à Bruxelles, au Luxembourg, etc., où ces sujets furent discutés, dans l’esprit d’un gouvernement mondial, et d’une monnaie mondiale. Il existe présentement des projets de loi devant le Congrès américain qui permettront d’injecter la micropuce à votre enfant dès sa naissance, pour des fins d’identification.

Le Président des États-Unis, selon l’article 100 de la loi sur le contrôle de l’émigration de 1986, a le pouvoir de décider toute forme d’identification qu’il juge nécessaire — que ce soit une marque invisible tatouée, ou une micropuce insérée sous la peau. Alors je pense que vous devez regarder les faits en face, les amis : cette micropuce ou la « Marque de la Bête » n’est pas quelque chose qui vient d’apparaître tout d’un coup. Ça fait des années que c’est en préparation !

1) Apocalypse, XIII, 15-17 :

« La Bête qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne put acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la Bête ou le nombre de son nom [666]. »

2) Nous ne sommes donc pas très loin du carnet de santé à puce.

L’HEURE APPROCHE…
Des gesticulations qui annoncent l’imminence d’un conflit mondial !

par Jacques Delacroix (Éditions Delacroix)

« Si le veilleur voit venir l’épée contre le pays, il sonne de la trompette avertit le peuple. »

Ézéchiel 33:3, 6

L’exécution d’un plan

L’étude des menées souterraines des sociétés secrètes à travers l’Histoire montre que notre société est dirigée par une petite clique d’individus au service de Satan.

Ces derniers travaillent à la damnation des âmes (1) et arrivent au terme de leur complot puisqu’ils sont parvenus, suite à l’infiltration des structures ecclésiales, « jusqu’au plus haut sommet » de l’Église — La Salette — (cf. « L’Église Éclipsée ! »)

Leur mainmise sur le monde peut être prouvée. Citons le commentaire que fit l’officier W. Carr, après qu’il eut copié un document de la British Museum Library à Londres : la lettre écrite en 1871 par l’Illuminati (2) Albert Pike, fondateur du rite palladique luciférien, Mazzini (chef révolutionnaire de la Haute-Vente, branche armée de la Maçonnerie).

«… La Première Guerre mondiale devait être livrée afin de permettre aux Illuminés de renverser le pouvoir des Tsars en Russie et de faire de ce pays une forteresse du Communisme athée. Les divergences suscitées par “l’agentur” (médias des Illuminés) entre les Empires britannique et allemand devaient servir à fomenter cette guerre. À la fin, le Communisme devait être édifié et utilisé pour détruire les autres gouvernements et pour affaiblir les religions.

La Seconde Guerre mondiale devait être fomentée en profitant des divergences entre les Fascistes et les Sionistes politiques. Cette guerre devait être livrée de telle sorte que le Nazisme soit détruit et que le Sionisme politique soit assez fort pour instaurer l’État souverain d’Israël en Palestine. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Internationale Communiste devait devenir assez forte pour équilibrer la Chrétienté. Elle serait alors contenue et tenue en échec jusqu’au moment où l’on aurait recours à elle pour le cataclysme social final (3).

La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en profitant des divergences suscitées par “L’agentur” des “Illuminés” entre les Sionistes politiques et les dirigeants du Monde Islamique. Elle doit être menée de telle manière que l’islam (le Monde arabe musulman) et le Sionisme politique se détruisent mutuellement (4). Tandis que les autres nations, une fois de plus divisées sur cette affaire seront contraintes à se combattre jusqu’à complet épuisement physique, moral, spirituel et économique. »

Le 15 août 1871, Albert Pike dit à Mazzini qu’à la fin de la Troisième Guerre mondiale ceux qui aspirent à dominer le monde sans conteste provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde ait jamais connu. Nous citons ses propres termes (empruntés à sa lettre de la British Museum Library à Londres) :

« Nous allons lâcher les Nihilistes et les Athées et provoquer un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur montrera clairement aux nations les effets d’un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement. Alors, tous les citoyens, obligés de se défendre contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation et les masses déçues par le Christianisme, dont l’esprit déiste, laissé à partir de ce moment sans boussole à la recherche d’une idéologie, sans savoir vers qui tourner son adoration, recevra la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer (au Sinaï n. d. r.) (5), enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme, simultanément soumis et détruits. »

À la lecture de ces lignes, un constat s’impose : reste l’exécution de la phase finale du plan ; à savoir une guerre mondiale et une révolution universelle dont les prémices sont visibles ! En effet l’examen du comportement des « maîtres du monde », architectes des conflits majeurs de ce siècle, confirme l’imminence d’un conflit universel.

Partie III
Troisième conflagration mondiale en vue !
Les élites financières quittent le territoire américain

Voici sous forme de communiqué l’avertissement adressé par Marcel Renoulet, directeur de l’Homme Libre :

« La rédaction de L’Homme Libre a reçu dernièrement d’un ami correspondant possédant une grande connaissance des puissances d’argent et des oligarchies financières maîtresses de la planète, l’avertissement suivant : “J’ignore si la guerre va éclater. Un fait m’inquiète beaucoup. C’est que Rockefeller et une dizaine des plus grands milliardaires américains ont acheté un territoire aussi grand que la Belgique en plein centre du désert d’Australie et s’y font construire des palaces de survie en majeure partie enterrés. Le territoire est cerné de barbelés et surveillé par une armée privée. Très mauvais ; très mauvais signe… ces Messieurs connaissent l’avenir… vu que ce sont eux qui le décident” »

(10.11.1994).

« Ces Messieurs connaissent l’avenir… vu que ce sont eux qui le décident »

Qui sont ces gens ? Les mêmes qui ont mis en œuvre la guerre de 1914/18 après avoir créé la Réserve Fédérale (banque centrale américaine de droit PRIVE) ; les mêmes qui ont permis la guerre de 1939/45 en finançant Hitler et son parti, le NSDAP.

Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, cette petite clique d’individus (6) a dessiné les contours de la future géopolitique européenne dans la perspective du « plan Pike » programmant les trois guerres mondiales.

C’est ainsi que la guerre de Yougoslavie sera la conséquence directe du découpage chirurgical d’après-guerre. Pourquoi avoir en effet donné la totalité de l’armée fédérale aux communistes serbes ?

Qu’y a-t-il entre la Russie et la France ? La Roumanie et… précisément la Yougoslavie !

Ces manipulations touchent également la géopolitique russe. Gorbatchev n’a-t-il pas permis la création d’un gouvernement secret russe en Occident à la tête d’une fortune de plus de huit cents milliards de dollars! Demandez des explications à monsieur Elstine (7) ; sa chute est sans appel à cause du terrain volontairement miné par son prédécesseur dont les rentes sont payées par les mêmes milliardaires — via différentes fondations — évoqués plus haut.

Jusqu’ici les « maîtres du monde » avaient choisi le territoire américain pour s’y protéger et y accumuler des fortunes. En effet, en 1914, en 1939, ces milliardaires se sont repliés aux États-Unis. Ils se savaient y être en sécurité ! Architectes des deux Guerres mondiales ils connaissaient les espaces géographiques qui seraient concernés par celles-ci.

Aujourd’hui, ils quittent les États-Unis… et l’opération qui les voit « déménager » a été appelée « Operation Arche de Noe » (8). Ce départ ne signifie-t-il pas que le monde entier va être touché, y compris les États-Unis ?

Le fait de se protéger dans le désert australien confirme donc, non seulement l’existence d’un Plan, mais encore l’achèvement de ce plan pour nos temps !

L’Opération Arche de Noé (9)

Suite à l’information diffusée par « L’Homme Libre », M. Jacques Monnot a adressé les lignes suivantes :

« II n’est pas étonnant que des milliardaires américains se fassent bâtir des abris au centre de l’Australie. » En 1978, Stan Deyo écrivait : « The Cosmic Conspiracy », publié en français en 1988 sous le titre « La conspiration cosmique », par Louise Courteau, Montréal, Québec. L’auteur explique que les États-Unis financent des bases ultra-secrètes, dont l’une des trois plus importantes serait en Australie, « Pine Gap », près du mont Liebig, à 23° 48’S et 133°43’E. Les principaux entrepreneurs auraient été Collins radio et Ling Pemco-Vought (Texas), Mac Mahon Constructeur et IBM. Stan Deyo s’interroge :

« Se pourrait-il que Pine Gap soit aussi ce qu’il est convenu d’appeler un abri destiné à recevoir le personnel clé des États-Unis en cas de catastrophe météorologique naturelle ou d’attaque nucléaire à l’échelle mondiale, dont le nom de code serait “Noah’s Ark” (Arche de Noé) ? » (p. 44).

U.S. Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), 1400 Wilson Boulevard, Arlington, Virginie 22209, Architect Building, serait le responsable de Pine Gap, créée en 1966. La base est installée sur un puits d’eau foré jusqu’à au moins 8535 m. et, au fond du puits, reposeraient des super systèmes informatiques IBM, sur une plateforme. Ce puits pourrait servir d’antenne souterraine pour la diffusion d’électricité à très basse fréquence (TBF).

« Il est probable que l’antenne du puits serve à synthoniser un énorme champ d’ondes stationnaires autour de la planète ! Un système de ce genre pourrait être synthonisé sur des fréquences allant de 9.000 à 14.336 cycles par seconde, soit suffisamment pour produire un champ de résonance électrique à une altitude de 400 km ». (P. 43).

Ces ondes à Très Basse Fréquence (Extremely ou Extra Low Frequence, 1 à 100 Hertz, ou Very Low Frequency, 10 à 30 kilohertz) ont un autre émetteur-récepteur près de la baie d’Exmouth, au nord du Cap Nord-Ouest (West Cape, 22°23’S,114°07E).

Le ministère des Transports enregistre Pine Gap comme R 233 sur les cartes de navigation. R233 est un espace aérien limité, réservé à la recherche spatiale. Il constitue un cercle de 5 milles marins, dont le centre est Pine Gap. Les États-Unis y mènent des recherches sur la propulsion électromagnétique, qui est celle des « soucoupes volantes » (10). La base possède des accélérateurs à plasma à haute tension et à haute énergie, utilisés probablement pour de nouvelles méthodes de production d’énergie, et un canon à plasma.

Dans un livre intitulé « Les gens les plus heureux de la terre », Demos Shakarian raconte comment, au début du siècle, quelques familles arméniennes pentecôtistes du village de Kara Kala, au pied du mont Ararat, quittèrent leur pays pour la côte ouest des États-Unis, à la suite d’une révélation privée faite à un « enfant prophète » de onze ans, d’origine russe, en 1853. Ces Arméniens échappèrent ainsi au génocide perpétré par les Turcs de 1915 à 1922 ! Le nom de l’enfant était Efim Gerasimovitch Klubniken. Dans le même ouvrage, Demos Shakarian raconte comment, au cours d’une réunion des « Hommes d’affaires du plein Évangile », quelqu’un avait annoncé qu’une grande persécution contre les chrétiens allait avoir bientôt lieu dans de nombreuses parties du monde, y compris les États-Unis d’Amérique (p. 17, diffusion Librairie chrétienne, 48, rue de Lille, Paris 7).

Ceci correspond aux prophéties de La Fraudais, de Marie-Julie Jahenny (11).

Se pourrait-il que ces milliardaires américains préparent à la fois une guerre civile antichrétienne et leurs refuges en Australie (12) ? (L’Homme Libre 10.11.1994)

Monsieur Monnot écrit :

« Ces milliardaires américains préparent à la fois une guerre civile antichrétienne et leurs refuges en Australie ».

Mais quel était donc le plan dévoilé par le grand prêtreluciférien Albert Pike en 1871, sinon une guerre civile antichrétienne ?

Partie IV
La collusion entre la Haute Finance et les cercles satanistes

Australie… que s’y passait-il au dernier trimestre 1993 ?

Un projet d’offensive satanique, préparé depuis longtemps, fut dévoilé à des religieuses australiennes qui s’occupent d’anciens satanistes.

Ces personnes qui ont décidé de fuir l’église de Satan ont révélé que « l’élite de Satan se réunit en ce moment en Australie ».

Il y eut en effet un « Grand rassemblement des Esprits » du 21 octobre au 9 novembre 1993 à Wollongong sur la côte orientale d’Australie, près de Sidney. Les témoignages d’ex-satanistes ont révélé que l’élite des chefs de culte satanique du monde entier était déjà sur place. Leur nombre se comptait par centaines et ils ont tout fait pour mobiliser leurs adeptes à aider aux préparatifs et à prendre part eux-mêmes à cette rencontre.

Cette rencontre projetée depuis plusieurs années s’est tenue dans les montagnes au-dessus de la ville, dans la brousse épaisse. Là, de nombreux rituels ont été pratiqués. La préparation de leur rencontre comprenait aussi bien la « programmation » de leurs adeptes que des sévices sadiques, sexuels et corporels. Ils invoquent des esprits démoniaques et les esprits de morts pour recevoir d’eux la puissance ; ils n’hésitent même pas à faire des sacrifices humains pour amplifier par là leur pouvoir. Le but de ce rassemblement à Wollongong était de faire participer tous les adeptes à « l’anéantissement de l’ange de la mort ». Qui est ce personnage ? À leurs yeux il s’agit d’’une personnalité chrétienne que Dieu a appelé pour les combattre ».

Cette réunion d’une importance mondiale et décisive pour ses architectes a pu se réaliser grâce à un noyautage d’adeptes installés dans la ville de Wollongong depuis une centaine d’années.

Des groupes de religieux offrent une assistance constante à toute personne désirant sortir de ces cercles sataniques. Grâce aux transfuges on a pu connaître ces informations. Parmi les personnes protégées une femme révéla dans une interview que « dès la naissance elle avait été préparée à devenir reine des sorcières et qu’elle aurait dû maintenant être intronisée par un rituel de sang ». Elle a demandé la protection de la police pour son mari et ses enfants, car les satanistes voulaient récupérer toute la famille et ils ne lui laissaient qu’un choix : « Reviens ou meurs ! »

Pourquoi les architectes de la Secte sataniste ont-ils choisi la ville de Wollongong ? La réponse fut donnée par un « transfuge » à la Directrice de la Communauté Évangélique des Sœurs de Marie :

« parce qu’ici siègent de fortes armées des ténèbres ! »

Où se trouve la ville de Wollongong ? Pas bien loin d’une grande zone désertique… Dans la perspective de la guerre antichrétienne enclenchée, la collusion entre la Haute Finance maçonnique luciférienne et les cercles sataniques est établie. (Informations données par un lecteur australien)

Pourquoi ce choix de l’Australie par les maîtres du monde ?

Outre des considérations géopolitiques naturelles, motivées par un conflit nucléaire, l’une des raisons qui justifieraient ce « refuge » des « maîtres du monde » en Australie pourrait avoir un rapport avec l’approche d’une comète gigantesque (13).

Comme par hasard, la Nasa s’intéresse de plus en plus au moyen de détourner la trajectoire d’éventuelles comètes. Le sous-sol du désert australien constitue-t-il un lieu de refuge privilégié ?

Et pourtant ?

Voici un communiqué de presse diffusé au début du mois de juillet 1994 dans le journal Ouest France :

« La chute d’une météorite a provoqué un tremblement de terre près de Broken Hill, dans l’ouest des Nouvelles Galles du Sud, en Australie. Il était 20h45, heure locale, quand plusieurs centaines d’habitants ont aperçu une énorme traînée de lumière laiteuse glissant vers la terre et senti leur maison trembler. »

Le bouclage de la région

Pour résider sur son territoire, le gouvernement de Nouvelle-Zélande exige une caution de deux millions et demi de francs ainsi que l’obligation de trouver un emploi dans les six mois.

La Nouvelle-Zélande est formée de deux grandes îles montagneuses, à deux mille kilomètres au sud-est de l’Australie !




Gougenot et l’avènement apocalyptique du mondialisme totalitaire (1865)

Par Nicolas Bonnal

La mise en place du mondialisme technologique évoque bien sûr l’Apocalypse. Même sans être de culture juive ou chrétienne, on peut comprendre (même le chien Ran-Tan-Plan) qu’il se passe quelque chose d’abominable en ce moment à mi-chemin entre le contrôle et l’extermination.

Le penseur Gougenot des Mousseaux publie en 1865 un livre sur les démons. Ce fanatique chrétien comme on dirait aujourd’hui se rapproche du Dostoïevski théologien de la Fin que j’ai évoqué dans plusieurs textes et pour finir dans mon livre sur lui et la modernité occidentale (voyez les Démons, les Karamazov et le fastueux rêve final de Raskolnikoff). Une minorité folle va terrasser, réduire et dominer un troupeau sans âme et sans défense. Nous y sommes.

Dans son dernier chapitre, Gougenot (ancien camérier de Charles X, dernier roi sacré) évoque l’avènement antéchristique qu’il relie aux temps modernes : socialisme, industrie, presse, fin des religions, mondialisation. Voyez aussi sur cette question mon texte sur Chateaubriand et la mondialisation. Gougenot :

« Le premier, le plus inconcevable de tous les miracles, ce serait que tant de peuples ennemis, que tant de nations acharnées de si longue date les unes contre les autres, ouvrissent enfin leur âme, pour la laisser pacifiquement s’épanouir aux rayons d’une même et nouvelle religion, représentée par un seul et même monarque. »

Gougenot évoque même comme le dément Stolz une fédération mondiale à venir :

« Existe-t-il, peut-il exister un moyen de rallier et d’unir en un seul corps politique, en une seule et unique fédération la grande et immense masse des peuples ; une masse qui, par elle-même et par son irrésistible prépondérance, entraînerait en quelque sorte la totalité du genre humain ? »

Il évoque un catholicisme à l’envers :

« Mais où chercher encore, où trouver la cause puissante, la cause génératrice de cette même et unique croyance, de ce catholicisme à l’envers, par lequel il s’agit de révolutionner et de passionner, en le propageant d’un bout à l’autre du monde social, le cœur de nos semblables ? Où donc ? »

L’Antéchrist se rapproche ; l’homme moderne arrive, celui des réseaux et de l’électricité, celui des « fluides » comme dit Gougenot (Nerval y fait allusion aussi dans Aurélia, voyez mon livre sur Internet) :

« Dans ces conditions si simples, et auxquelles les prophéties, d’accord avec les événements, semblent nous préparer, l’Antéchrist, « l’homme des fluides », selon l’expression prophétique de l’hérésiarque Vintras, serait tout uniment l’Homme-RévoIution et pouvoir, l’homme spirite ou pythonisé, l’Homme-Démon, le Verbe de l’Enfer, celui qui briserait et charmerait les peuples, en donnant à la pensée de propagande qui doit réaliser ses plans l’unité nécessaire pour en assurer le règne sur la terre. »

Gougenot évoque une conspiration révolutionnaire, machine à détruire régimes (sauf républicains…) et nations. Le monde multipolaire n’est pour demain (lisez Laurence Guillon pour comprendre ce qui se passe en Russie — quant à ceux qui voient dans la Chine une alternative…) :

« La conspiration pousse encore à la destruction des divers empires et royaumes par les principes nouveaux qu’elle proclame et qu’elle travaille de toutes ses forces à faire prévaloir partout. Déjà elle a mis le trouble dans plusieurs ; elle y a excité des révoltes et des révolutions… »

Le mythe de la fraternité crée le totalitarisme global :

« Et comme ce caractère de fraternité ou d’humanité est identique partout et pour tous les hommes, il s’en suit qu’une seule et même législation, un seul et même gouvernement, doivent être à la fin admis pour répondre aux droits de la fraternité et de l’humanité. »

Comme Joly dans un texte célèbre, notre auteur évoque le rôle des sociétés secrètes (en fait elles ne l’ont jamais été) :

« sur quoi, il faut savoir que les sociétés secrètes, organisées depuis un siècle dans toutes les parties de l’Europe, ou plutôt dans le monde entier, sous divers noms et sous diverses formes sont le vrai foyer où fermentent tous ces projets détestables, et d’où part le mouvement, la force d’agression qui s’attaque ensemble et à l’Église et aux puissances temporelles… »

Gougenot précise ensuite les actions de l’Antéchrist — il est lié au monstre froid de Nietzsche, j’ai nommé l’État :

« Le socialisme, aboutissant au communisme, est la doctrine antisociale qui tend et aboutit à faire de l’État le maître absolu de toutes choses, c’est-à-dire des personnes et des biens, des corps et des âmes. Or, l’Antéchrist se présentant comme l’apôtre et le chef de cette œuvre de fausse et détestable charité, comme le propagateur et le soutien de ce plan de fraternité cosmopolite et démoniaque, il deviendra la personnification parfaite de ce régime, dont la réalisation se complétera sous son sceptre. Préparé de longue main déjà par les essais révolutionnaires, par l’énormité croissante des charges, par ce principe monstrueux dont retentirent, sous le dernier règne, les échos de la tribune législative… »

Cet antéchrist est séducteur et comédien :

« Et personne ne se rencontrera qui se hasarde à contester à ce bateleur couronné, à ce terrible et prodigieux comédien, à ce séducteur des foules, ces excès de bon plaisir sévissant sous la Corme hypocrite des droits et des intérêts de tous ! »

On a droit comme avec Schwab et Davos à l’abolition de la propriété privée :

« Les propriétaires, graduellement courbés et accablés sous un joug impitoyable et intolérable de charges et d’impôts, solliciteront alors, comme un moyen de s’exonérer et de vivre en paix, la faveur de passer à l’état de fermiers ou de tenanciers. Et selon son caprice ou ses intérêts, il expulsera les uns et acceptera les autres, tenant à la fois les hommes par la terre et la terre par les hommes.

Le nom de propriétaire aura péri ; il n’y aura, dès lors, ni classes élevées ni classes inférieures ; il n’y aura ni pauvres ni riches, ni petits ni grands, si ce n’est ceux qu’il lui plaira de combler et d’élever autant que durera son caprice. »

Comme s’il prévoyait l’ordinateur et son clavier, Gougenot voit un « clavecin révolutionnaire » qui sera l’expression et l’instrument (cf. Thalès, Microsoft, Cisco, Google, Apple, etc.) de cette monstruosité totalitaire — et il cite le fameux passage de Saint-Jean :

« Un clavier du plus implacable niveau représentera la société tout entière, chaque touche de ce clavecin révolutionnaire, s’élevant et s’abaissant au gré du maître, et sous le mouvement de ses doigts. C’est ce degré d’égalité dans l’abaissement que nous peignent, avec une prophétique énergie, les paroles littéralement véridiques de Saint-Jean : « Nul ne pourra plus acheter ni vendre sans la permission de la bête, et sans l’exhibition de son signe ! »

Les religions seront tuées. On le voit maintenant (cf. les « grands travaux » de Notre-Dame) avec l’indifférence du troupeau hébété :

« Tenant à la fois en main tous les fils de sa trame, l’Antéchrist détruira, chemin faisant, toute religion, tout culte, excepté celui de sa personne… »

Les résistants seront liquidés :

« Car ses images, universalisant sa présence, sueront le miracle, et le dragon de l’abîme, le démon du spiritisme les animant, elles parleront, elles feront entendre la parole de celui qu’elles représentent. Et qui ne leur obéira point, qui ne les adorera point sera mis à mort !… Et quiconque n’observera point sa loi, quiconque ne s’assujettira pas à tenir pour bon et pour mauvais ce que ce monstre aura décrété bon ou mauvais sera coupable, et devra mourir. »

L’humanité deviendra le troupeau dont rêve Platon, troupeau que voit arriver Vance Packard étudié ici :

« Les mariages ne seront, sous sa loi, que des unions de passage entre individus de sexes différents. Il en imposera le devoir, afin de pourvoir à la conservation de l’espèce ; mais il les dissoudra selon son caprice, selon le vœu de quelque nouvel intérêt. Seul maître et seul éducateur des enfants procréés sous le jeu de ce vaste système de prostitution, il se proposera pour but d’anéantir toutes les traditions de la famille ; et sa république réalisera, quant aux mariages, mais en les dépassant, les cyniques beautés de la république de Platon. »

Le troupeau sera marqué au signe de la bête (au code QR donc) en attendant mieux)  :

« Et ne nous récrions point contre cette expression d’éleveur qui doit nous sembler si grossière ; car les hommes, sous ce néfaste empire, ne formeront, à la lettre, qu’un immense troupeau dont chaque tête se verra marquer au signe de la bête2. »

Tout cela est lié au progrès de la technologie de la communication. À l’époque on a le télégraphe pour créer la Babel mondialiste :

« Voyez le fil électrisé du télégraphe s’emparant de la pensée pour lui donner le vol de l’éclair ! Chaque jour donc, les relations de peuple à peuple, en se multipliant, se simplifient !… et, déjà, deux ou trois langues, élevées à la hauteur de langues universelles par le vœu de la littérature et des affaires commerciales, offrent au prix de faciles études les clefs de toute intelligence humaine ! Le libre-échange de la pensée, que Babel avait interrompu, et qui prépare l’unisson de la pensée, semble donc poindre et précéder le libre-échange de toits les biens de la terre, ce principe devant lequel, poussé par l’esprit aventurier du commerce, l’économiste moderne veut que s’effacent toute frontière et toute nationalité. »

Le patriotisme sera à exterminer :

«  Car le patriotisme, déjà, n’est plus qu’insigne étroitesse d’esprit et de cœur pour les vrais libéraux du progrès, pour ceux que décore le titre de cosmopolites, ces prochains dominateurs de l’opinion… »

Pauvres Zemmour, Marine, Florian et Asselineau ! Ils ont face à eux l’Antéchrist en personne, le tueur des nations !

On aura un César mondial :

« … et bientôt, du fond de son palais, un seul maître, un César, dieu, pontife et monarque, la main sur le fil électrique, pourra dater ses décrets, je ne sais d’où, sera-ce de Paris, de Moscou, je veux dire de Constantinople, de Rome ou d’ailleurs ? »

Sa Majesté du Pouvoir Humanitaire (belle expression) poursuivra de sa haine tous les résistants :

« Faites périr, effacez de la liste des vivants tel homme, telle famille, ou telle secte, qui semble méconnaître en ma personne la Majesté du Pouvoir humanitaire. Quelques minutes après, le fil du télégraphe ? obéissant, apportera cette réponse : Sire, vous avez dit, et votre parole, — ainsi que doit être — a fait la loi ! bénie soit-elle : l’ordre règne. »

À la même époque (simple rappel), le frère Jules Verne et le frère Ulysse S. Grant célèbrent cette rapide unification électrique et politique du monde.

Frères qui nous présentent aujourd’hui l’addition salée…

Sources :

https://archive.org/details/mursetpratiquesd00goug_0

https://reseauinternational.net/le-president-grant-et-la-republique-universelle-en-1873/

https://reseauinternational.net/dostoievski-et-la-prophetie-du-nouvel-ordre-mondial/

https://www.dedefensa.org/article/maurice-joly-et-le-gouvernement-par-le-chaos-vers-1864

https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Gougenot_des_Mousseaux


[Voir aussi : La religion de l’Antéchrist]




Une vie d’enfer

[Source : breizh-info.com]

Sophie Grimbert a vécu une vie d’enfer chez les Témoins de Jéhovah : « L’écriture de ce livre était motivée par le besoin de dénoncer l’endoctrinement que j’ai subi » [Interview]

« Je suis née, j’ai été élevée et j’ai vécu dans une famille de témoins de Jéhovah pendant quarante-deux ans. En 2009, j’en suis partie avec ma fille âgée de dix ans. Pendant de longues années, je n’ai pas revu mes parents, mon frère et mon fils. Cette expérience m’a marquée au fer rouge. »

Dans un ouvrage édité par Max Milo, Sophie Grimbert décrit son quotidien infernal durant des années, depuis sa naissance, chez les Témoins de Jéhovah. Et surtout, elle y décrit son combat pour en sortir, pour s’affranchir de ce qui s’apparente à une réelle secte qui enlève à ceux qui sont en son sein tout libre arbitre.

Un témoignage poignant, édifiant, sur lequel nous avons voulu revenir avec Sophie Grimbert.

Breizh-info.com : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ? Qu’est-ce qui vous a motivé à écrire « Ma vie d’enfer » et à partager votre histoire ?

Sophie Grimbert : J’ai 56 ans et je vis depuis peu avec mes enfants à Paris. Je suis fonctionnaire en disponibilité pour prendre un nouveau virage dans ma vie, faire la promotion de mon livre et continuer l’écriture sur la thématique du fondamentalisme. Le titre « une vie d’enfer » de la couverture a été changé à la dernière minute pour éviter à l’émission qui allait me recevoir d’être éventuellement attaquée par la Société Watchtower. Le vrai titre était L’enfer de Jéhovah.

L’écriture de ce livre était motivée par le besoin de dénoncer l’endoctrinement que j’ai subi pendant 40 ans et celui des milliers d’autres victimes dans mon cas. Le récit chronologique de mon histoire permet au lecteur non initié à la religion ou au mouvement jéhoviste de s’imprégner de la vie d’un enfant éduqué dans une famille fondamentaliste. J’explique, grâce à des anecdotes, ce qu’a pu être une partie de ma vie. C’est un livre objectif qui déroule cette expérience avec mes ressentis, aussi bien de croyante persuadée que tout ce qu’on lui explique est vrai, puis qui commence à douter, jusqu’à la sortie.

Breizh-info.com : Pouvez-vous décrire comment votre enfance au sein des Témoins de Jéhovah a façonné votre vision du monde ?

Sophie Grimbert : On m’a appris à avoir peur du monde méchant dirigé par Satan. Tous les « gens du monde » allaient être tués à Armaguedon, et seuls les Témoins-de-Jéhovah et ceux qui reconnaîtraient la puissance de Jéhovah à la Grande tribulation seraient sauvés. La comparaison avec les temps de Noé était sans arrêt expliquée et reliée à notre époque.. Je devais vivre dans le monde, mais je ne pouvais pas en faire partie. La séparation n’était pas physique mais mentale. Cela donne une certaine force de caractère et l’habitude de vivre à contre-courant, mais cela est aussi angoissant, frustrant et dangereux. Dangereux parce que cela oblige à devenir sectaire. J’explique comment dans mon livre.

Breizh-info.com : Quels ont été les plus grands défis auxquels vous avez dû faire face en grandissant dans cette communauté ?

Sophie Grimbert : Les défis personnels. Comment définir son identité, son moi, quand on vous demande en permanence de vous renier vous-même pour faire la volonté de Jéhovah ? Réussir dans le monde, avoir de l’argent, faire de la politique, devenir célèbre, s’engager dans une carrière qui pourrait vous empêcher d’assister aux réunions ou de prêcher n’était pas envisageable. Être transfusée non plus. Faire le service militaire, saluer un drapeau, s’habiller d’une certaine façon, tout était paramétré. J’ai donc sacrifié mes plus belles années et une carrière de chanteuse pour obéir à l’Organisation.

Breizh-info.com : Y a-t-il eu un moment précis où vous avez commencé à remettre en question les enseignements des Témoins de Jéhovah ?

Sophie Grimbert : La première fois, j’avais 15 ans, mais comme je l’explique dans le livre, j’ai enclenché le pilotage automatique en raison de mon endoctrinement. C’est l’autocensure, le reniement du doute qui s’impose et on se radicalise. D’autres sont sûrement beaucoup moins regardants que moi ! Mais je suis une personne entière, authentique, engagée à fond dans ce que je fais. Pas de chance (lol).
Arrivée à 40 ans, j’ai commencé à admettre que tout ce qu’on m’avait appris pouvait être faux, et c’est grâce à internet et à toutes les informations que j’ai pris la peine de regrouper que j’ai compris l’arnaque intellectuelle !

Breizh-info.com : Comment s’est déroulé votre processus de séparation d’avec les Témoins de Jéhovah, et quels en ont été les défis émotionnels et sociaux ?

Sophie Grimbert : Du fait que toute ma famille, tous mes amis étaient TJ, cela a été très difficile. J’ai d’abord dit que j’avais des doutes, alors à plusieurs reprises on m’a fait jeter des objets ou vêtements d’occasion au cas où ils aient été portés par des « médiums », sous-entendant ainsi que je puisse être sous influence démoniaque. Les TJ [Témoins de Jéhovah] voient l’influence de Satan partout alors que leurs publications sont truffées d’images sataniques subliminales… J’ai d’abord arrêté d’aller prêcher, puis j’ai continué avec l’assistance aux réunions. Mon mari a tout fait pour me pousser à donner l’exemple à mes enfants (peu importait ce que je pouvais ressentir). Ensuite j’ai quitté la maison (dans des conditions dramatiques) et alors que mon mari qui disait m’aimer à la folie a eu l’occasion de choisir entre moi et Jéhovah, il a été un bon petit soldat de Dieu. J’ai donc demandé le divorce et je suis partie avec ma fille. J’ai vécu l’enfer à ce moment-là. La famille applique les directives jéhovistes et coupe les ponts avec vous. Puisque vous partez dans le monde, vous avez intérêt à vous être fait rapidement de nouveaux amis, sinon, c’est la dépression assurée ! J’ai reçu de nombreux témoignages d’ex-TJ qui sont tous traumatisés de cette période très agitée et émotionnellement si difficile que certains en arrivent au suicide.

Breizh-info.com : Comment votre départ a-t-il été perçu par votre famille et la communauté des Témoins de Jéhovah ?

Sophie Grimbert : Mes parents ont d’abord cru que mon problème était un problème de couple. Ils ont appliqué les règles de la communauté, mais grâce à ma fille, ils ont pu faire quelques compromis et nous avons pu nous revoir. Ma fille ne voulant plus voir personne à condition que je sois avec elle. Mes parents ont agi avec plus d’intelligence que d’autres et je les en remercie. Cela n’empêche que les ponts sont coupés parce qu’ils pensent que je vais mourir à Armaguedon. Mon frère ne me parle plus du tout depuis 14 ans, ma mère ne m’appelle jamais et ne prend jamais de mes nouvelles. Mon père est décédé depuis bientôt 3 ans. Je n’aurais sûrement pas osé écrire ce livre s’il était encore vivant.

Breizh-info.com : Comment votre choix a-t-il affecté vos relations avec votre famille et vos proches encore membres de la communauté ?

Sophie Grimbert : Ce choix implique d’accepter de quitter votre famille pour toujours. À moins que, grâce à leur prise de position ferme jéhoviste de ne plus vous côtoyer, vous finissiez par revenir… C’est du chantage affectif.

Breizh-info.com : Quel message principal espérez-vous transmettre à travers votre livre ?

Sophie Grimbert : Que ce mouvement, à mon époque, était une secte. Qu’aujourd’hui il s’adapte au monde, ce qui était inconcevable à mon époque. La Société disait tout le contraire pour nous prouver qu’elle détenait la Vérité et que la Vérité ne pourrait jamais suivre le monde, même en parallèle. Aujourd’hui le rythme est beaucoup moins soutenu, les directives plus souples, parce qu’ils ont suffisamment d’adeptes, de biens immobiliers et qu’ils sont infiltrés partout. Ils deviennent donc, comme l’avait prédit mon propre père, une religion comme les autres. Les prophéties annoncées ne se sont jamais réalisées, mais leur ont permis de détourner des familles entières de la religion catholique qui était décrite comme « l’empire de la fausse religion ». Ils ont réussi leur mission, aidés en permanence par les franc-maçons. J’espère donc, grâce à ce livre, montrer comment ils ont volé ma vie, mais par extension, celle de milliers d’autres. Je l’ai écrit pour les gens qui peuvent connaître des Témoins et ne pas les comprendre, mais surtout pour ceux qui comme moi, se sentent si mal qu’ils ne savent plus dans quelle direction aller. Après une tentative de suicide, j’ai décidé de choisir la vie.
Masquer le message d’origine

Breizh-info.com : Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui vit une situation similaire à la vôtre au sein des Témoins de Jéhovah ?

Sophie Grimbert : De s’entourer de gens qui le comprennent vraiment, qui seront prêts à l’aider et à quitter ce mouvement s’il se sent coupable en permanence parce que sa personnalité ne colle pas avec ce qu’on attend de lui dans l’Organisation. La soumission…

Breizh-info.com : Comment votre expérience a-t-elle influencé votre perception de la foi et de la spiritualité aujourd’hui ?

Sophie Grimbert : Elle m’a appris à m’élever, à accepter que ma vie est dans le présent et non dans un hypothétique paradis sur terre pour une vie éternelle. J’ai étudié pendant des années les textes anciens, j’ai étudié l’histoire, l’archéologie, j’ai approfondi tout ce qui pouvait expliquer nos origines. Mon esprit rationnel ne m’empêche pas d’être plus spirituelle que jamais, mais sans passer par la religion. Je peux comprendre que des enfants suivent leurs parents dans une religion qui ne s’attache pas à un livre comme étant inspiré de Dieu. L’interprétation des fondamentalistes est dangereuse et sectaire. La foi doit rester une affaire personnelle et privée. Je ne supporte les gens qui affichent leur religion dans la rue. C’est une forme d’agression pour moi et d’agressivité dans l’espace qui d’ailleurs aujourd’hui soulève beaucoup de polémiques. Notre Laïcité était censée nous protéger d’un retour à ces formes de fondamentalismes…

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




L’organisation ésotérique qui gouverne le monde : le projet Gaza

Une association inattendue entre les hypothétiques délibérations secrètes du Sommet de la franc-maçonnerie britannique (et de la haute finance internationale) et les choix génocidaires de Netanhyahu

[Source : theinteldrop.org via numidia-liberum]

Par Claudio Resta

Préambule

Nous ne devons jamais oublier que l’auteur des story-boards des premiers films de 007 était le véritable agent secret de la Seconde Guerre mondiale Ian Lancaster Fleming (1908-1964), qui est devenu par la suite un écrivain britannique, surtout connu pour sa série de romans d’espionnage d’après-guerre James Bond.

Fleming est issu d’une famille aisée liée à la banque d’affaires Robert Fleming & Co. et son père fut député de Henley de 1910 jusqu’à sa mort sur le front occidental en 1917. Éduqué à Eton, Sandhurst et, brièvement, aux universités de Munich et de Genève, Fleming occupe plusieurs emplois avant de commencer à écrire.

Alors qu’il travaille pour la division britannique du renseignement naval pendant la Seconde Guerre mondiale, Fleming participe à la planification de l’opération Goldeneye ainsi qu’à la planification et à la supervision de deux unités de renseignement : 30 Assault Unit et T-Force. Fleming travaille également avec le colonel « Wild Bill » Donovan, représentant spécial du président Franklin Delano Roosevelt pour le renseignement et créateur de l’OSS (Office of Strategic Services), le service de renseignement américain qui, après la guerre, deviendra la CIA. En 1941-42, l’amiral Godfrey charge Fleming de superviser la préparation de Goldeneye, un plan visant à préserver un réseau de renseignements en Espagne en cas d’invasion allemande.

Le projet comprend également la mise en œuvre d’opérations de sabotage. Fleming a puisé dans son service en temps de guerre et dans sa carrière de journaliste une grande partie du contexte, des détails et de la profondeur de son roman James Bond.

Il y a une certaine vérité intérieure au cœur de ses fictions (comme l’existence à l’époque d’une organisation secrète fictive telle qu’un Spectre derrière lequel on peut voir la maçonnerie) et, plus récemment, d’un concept secret similaire comme l’État profond ou le gouvernement de l’ombre.

La déclaration Balfour est une déclaration publique publiée par le gouvernement britannique en 1917, pendant la Première Guerre mondiale, annonçant son soutien à l’établissement d’un « foyer national pour le peuple juif » en Palestine, qui était alors une région ottomane avec une petite minorité de population juive.

La déclaration était contenue dans une lettre datée du 2 novembre 1917, adressée par le ministre des Affaires étrangères du Royaume-Uni, Arthur Balfour, à Lord Rothschild, un dirigeant de la communauté juive britannique, pour qu’il la transmette à la Fédération sioniste de Grande-Bretagne et d’Irlande. Le texte de la déclaration a été publié dans la presse le 9 novembre 1917.

Immédiatement après la déclaration de guerre à l’Empire ottoman en novembre 1914, le cabinet de guerre britannique a commencé à réfléchir à l’avenir de la Palestine ; dans les deux mois qui ont suivi, un membre sioniste du cabinet, Herbert Samuel, a fait circuler au sein du cabinet un mémorandum proposant de soutenir les ambitions sionistes afin d’obtenir l’appui des Juifs dans la guerre au sens large.

En avril 1915, le Premier ministre britannique H. H. Asquith crée une commission chargée de déterminer la politique à suivre à l’égard de l’Empire ottoman, y compris la Palestine. Asquith, qui était favorable à une réforme de l’Empire ottoman après la guerre, a démissionné en décembre 1916 ; son remplaçant, David Lloyd George, était favorable à la partition de l’Empire. Les premières négociations entre les Britanniques et les sionistes ont eu lieu lors d’une conférence le 7 février 1917, à laquelle participaient Sir Mark Sykes et les dirigeants sionistes.

Les discussions qui ont suivi ont conduit Balfour à demander, le 19 juin, à Rothschild et à Chaim Weizmann de soumettre un projet de déclaration publique. D’autres projets ont été examinés par le cabinet britannique en septembre et octobre, avec la participation de juifs sionistes et antisionistes, mais sans représentation de la population locale en Palestine.

Lionel Walter Rothschild, 2e baron Rothschild, magnat de la banque juif récipiendaire de la déclaration Balfour, avec son célèbre carrosse zébré

Article

Je ne suis ni franc-maçon ni expert en arts occultes.

Mais il y a quelques jours, alors que j’enquêtais sur le symbolisme complexe de la mise en scène de la mort d’un éminent banquier italien, Roberto Calvi, mort mystérieusement à Londres en 1982, je suis tombé sur un symbole qui pourrait être lié non seulement à ce meurtre, mais aussi à ce qui se passe à Gaza aujourd’hui. À mon avis, il s’agit sans aucun doute d’un symbole maçonnique. C’est vraiment la sérendipité à son meilleur !

Permettez-moi de mentionner brièvement l’importance extrême de cette affaire non résolue, qui pourrait sembler insignifiante aux jeunes lecteurs. Alors que l’action de Calvi a été la base financière du mouvement Solidarność et du changement de régime en Pologne en 1982/89, de la chute du mur de Berlin et de la fin de l’Union soviétique, si cela ne vous semble pas suffisamment important, c’est uniquement parce que cela a été rapidement oublié par le mainstream et ses célébrations d’anniversaire inopportunes…

Avec 1,3 milliard de dollars américains de 1982 disparaissant on ne sait où, peut-être dans les poches de la mafia et provenant des fonds de l’Église catholique et offerts par le pape lui-même, alors le Polonais Jean-Paul II, pour libérer la Pologne du joug soviétique, par l’intermédiaire du cardinal Paul Casimir Marcinkus, né aux États-Unis, ce qui a également provoqué la faillite de l’une des plus grandes banques italiennes ! Pour l’histoire du monde, je crois que c’était un meurtre bien plus important que celui de JFK, à mon avis. Dès que je le pourrai, j’écrirai également un article sur la mise en scène de la mort de Calvi.

Cependant, désolé, ce n’est pas ce que je voulais écrire maintenant, mais ce qui se passe aujourd’hui à Gaza, qui curieusement a quelques liens avec le symbolisme mis en scène à l’occasion de la mort de Roberto Calvi, dont je n’ai pris connaissance que maintenant.
Je ne suis pas un habitué des choses occultes, néanmoins ce que j’ai découvert est trop important pour être gardé sous silence, que sa véracité pour le monde du secret maçonnique soit admise ou non.
Alors si je me trompe, vous en jugerez par vous-même…
Pardonnez-moi si je m’exprime de manière aussi alambiquée, mais ces vérités occultes sont très ambiguës et troubles, en cours d’élaboration et toujours prêtes à être démenties et/ou confirmées juste au coin de la rue.

Le River Passage [Le passage de la rivière] (également appelé Bridge Passage [Le passage du pont]) est l’un des points clés de la spiritualité maçonnique britannique.

Pour éviter toute erreur, je vais maintenant citer textuellement des passages d’un érudit occulte italien faisant autorité, Daniele Mansuino : https://www.riflessioni.it/esoterismo/simbolo-massonico-passaggio-del-fiume_01.htm

La Torche de la Liberté, un totem maçonnique

Citation d’un érudit

« Comme beaucoup d’autres symboles que nous avons abordés, mais peut-être plus clairement que d’autres, il peut se référer à la fois au projet de transformation sociale dont la franc-maçonnerie a été le protagoniste au cours des siècles, et au discours de l’évolution intérieure du franc-maçon…

La traversée du fleuve est un épisode survenu lors du retour des Juifs de la captivité babylonienne, c’est-à-dire de leur déportation massive à Babylone, qui a eu lieu en 597 av. C. à l’époque de Nabuchodonosor II et s’est achevée en 539 avec Cyrus le Grand (il en est question dans II Rois et II Chroniques, dans les livres d’Esdras et de Néhémie, dans divers Psaumes et dans divers livres prophétiques). Un mythe corollaire important est celui des Tribus perdues [auquel Daniele Mansuino a consacré un article spécifique], observant entre autres qu’en réalité, aujourd’hui, les Juifs qui se reconnaissent comme tels déclarent qu’ils descendent des douze Tribus, et donc qu’aucune ne semble avoir été perdue ; cependant, la supposition que la quasi-totalité du peuple juif a disparu mystérieusement, à l’exception d’un petit reste, a une forte valeur symbolique — elle implique, entre autres, une forte concentration d’énergie dans les personnes des survivants, et donc leur possibilité d’avoir un impact plus profond sur l’histoire du monde.

La première chose que firent les vétérans de la captivité, dès leur retour en Terre sainte, fut de reconstruire le temple de Salomon, que les ennemis avaient détruit ; dans le contexte de l’exégèse chrétienne, cette seconde édification était associée à la seconde révélation, celle apportée par Jésus pour corriger et compléter la loi de Moïse.

Par la suite, on a également fait correspondre la seconde édification à la seconde venue du Christ, qui devait avoir lieu à la fin des temps — et comme une édification est un processus qui se déroule progressivement, les exégètes du texte biblique ont commencé à y entrevoir des indications sur les faits historiques qui auraient dû se produire pour la préparer, exerçant ainsi une puissante influence subliminale sur la politique européenne (nous avons rapporté ailleurs comment une contribution importante et généralement méconnue à ce débat a même été apportée par Christophe Colomb, avec son Livre des Prophéties). Plus ou moins dans les mêmes années, c’est-à-dire au début du XVIe siècle, Luther a identifié la captivité babylonienne dans le joug que les chrétiens devaient subir de la part de l’Église catholique dévoyée, et la seconde édification dans la Réforme ; et toujours à la même époque, diverses hypothèses concernant la signification des deux édifices se sont également répandues dans la spiritualité juive.

Dans l’exégèse juive comme dans l’exégèse chrétienne, le second avènement du Messie (quel qu’il soit) devra se manifester en présence d’un immense rassemblement : ce sera pour les juifs le Rassemblement des Exilés — ou la réapparition des Dix Tribus perdues — et pour les chrétiens le Jugement dernier. Note : sur la base du projet de l’organisation ésotérique qui domine le monde [dont Mansuino a longuement parlé dans ses articles et ses livres], ces deux images peuvent être considérées comme des préfigurations de l’Amalgame.

À cet égard, il convient de noter que, sauf exception, les diverses interprétations sur le sens de la Seconde Édification ne se sont pas contredites : en effet, chrétiens et juifs partageaient l’idée que les Écritures contenaient les modèles (ou types, ou figures) de la manière dont l’action divine se manifeste dans l’histoire humaine, et que ces modalités pouvaient s’appliquer à un grand nombre d’événements différents. Ainsi, par exemple, la captivité à Babylone était une figure de la captivité en Égypte, qui était à son tour une figure de la chute d’Adam dans le monde des formes, dominé par les démons : ce n’est pas un hasard si l’un des épithètes par lesquels Samaël, le Diable de la Qabbale, était désigné était Pharaon.

Sur la base de cette mentalité, les différentes interprétations de la Seconde Édification, au lieu de se contredire, se sont influencées mutuellement ; il y a également eu une grande osmose de symboles de l’une à l’autre, ce qui a fortement contribué à créer une vision syncrétique (au moins sur certains concepts principaux) de ce qui allait arriver au monde dans les derniers temps.

À partir de 1717, la franc-maçonnerie britannique a hérité de l’immense masse d’Améliorations au degré de Fellow Craft que la tradition fait naître de la rencontre entre les Templiers et les francs-maçons dans l’Écosse du XIVe siècle. Elles étaient basées principalement sur la lecture de pages importantes de l’Ancien Testament, revisitées dans une clé gnostique et appliquées au symbolisme de la maçonnerie opérative.

Dans divers livres et articles, nous avons illustré comment cet héritage représentait à la fois un trésor précieux et une source d’embarras pour la franc-maçonnerie. En effet, les Améliorations constituaient sans aucun doute un instrument puissant pour diriger (tant au niveau politique et culturel qu’au niveau des opérations magiques) l’action de la franc-maçonnerie dans le monde ; mais c’est précisément pour cette raison qu’il était nécessaire que leur contenu soit contrôlé par une autorité centralisée et que leur pratique ne soit pas laissée à la discrétion des Loges individuelles. La Grande Loge Unie d’Angleterre ?

S’agit-il des vraies armes sur la bague du méchant 007 ?

D’innombrables et complexes événements se sont développés à partir de ce problème — et nous les avons également discutés, en opposant une interprétation plus profonde de l’histoire de la franc-maçonnerie à celle (encore répandue) qui ne voit dans ses vicissitudes qu’un reflet de l’histoire profane.

Cette dernière, lorsqu’elle parle de la franc-maçonnerie, aurait intérêt à prendre en compte toutes ses composantes — au lieu de cela, par exemple, dans l’historiographie maçonnique telle que nous l’avons connue jusqu’à présent, nous constatons que les composantes économiques sont complètement ignorées, contribuant à alimenter la légende qui voit dans la franc-maçonnerie une émanation du pouvoir bourgeois (nous ne pensons pas qu’il soit de notre ressort de corriger cette erreur assez absurde, et d’ailleurs nous n’aurions ni l’autorité ni les moyens de le faire. Espérons simplement que le XXIe siècle nous fera le cadeau d’une génération de meilleurs historiens de la franc-maçonnerie).

Mais ce n’est pas seulement la composante économique qui est négligée : plus encore, et de façon beaucoup plus inexplicable, la composante ésotérique est minimisée…

Voyez-vous une analogie entre les deux événements, le biblique et l’américain ?

Parmi les événements qui entourent la Seconde Édification, la Traversée du Fleuve représente un point crucial, car c’est le moment où les futurs reconstructeurs du Temple retournent en Terre sainte : en d’autres termes, elle configure leur reconnexion aux courants que le Premier Temple (c’est-à-dire la Seconde Loge) a développés, et qu’ils auront la tâche de traduire en un nouveau courant, dont les caractéristiques seront adaptées à l’interaction avec le monde profane.

Description par Daniel du rêve du roi et de sa résolution (extrait de Daniel : 2)

il n’est pas important de savoir si le pont en question passe entre un quai et un navire, ou d’une rive à l’autre d’un fleuve : c’était un pont, et (les enfants d’Israël) devaient le traverser pour continuer leur voyage de retour. Certains pensent qu’il s’agissait d’un gué de pierres, que l’on traversait en sautant de l’une à l’autre.

Selon le rituel des Harodim, à partir du pont utilisé par les Juifs pour traverser le fleuve, les enfants d’Ephraïm prenaient ensuite douze pierres pour fabriquer deux piliers : l’un était placé le long d’un ruisseau, l’autre dans un champ de maïs.

L’explication traditionnelle de ce conte étrange part de l’idée que le retour des Juifs en Terre sainte avait créé les conditions de la naissance de la Franc-maçonnerie ; les Piliers y sont idéalement assimilés aux Deux Colonnes, qui représenteraient dans ce cas l’une la subsistance de l’institution maçonnique au-delà du flux de l’espace-temps, l’autre l’émergence de la Franc-maçonnerie dans le Champ du Seigneur, c’est-à-dire au centre de la spiritualité chrétienne. Le rêve du Roi n’est pas celui rapporté par la Bible, mais — comme Daniel parvient à le deviner — un grand Lion tapi devant votre lit, prêt à vous dévorer, vous et votre maison.

Lorsque Daniel le lui décrit, le roi se lève brusquement de son canapé ; il admet avec stupéfaction que c’était bien son rêve et demande ce qu’il signifiait.

Le Camerlengo (c’est-à-dire l’Officier de la Loge qui parle au nom de Daniel/Candidat, comme c’est généralement le cas dans les passages aux améliorations britanniques) lui dit alors qu’il s’agit du Lion de la Tribu de Juda, qui le dévorera s’il ne permet pas aux Enfants d’Israël de retourner à Jérusalem.

Il faut donc que le roi livre cet homme à Tatnaï, gouverneur de cette rive du fleuve, et que Tatnaï le transmette à Shethar Boznaï et à ses compagnons de l’autre rive du fleuve, et que Shethar Boznaï le ramène à Jérusalem pour qu’il lui fasse miroiter la promesse d’un ouvrier de marque.

Le roi approuve la demande de Daniel, ajoutant qu’il aura des céréales, du vin, de l’huile et du sel pour sa subsistance lorsqu’il aidera à reconstruire le temple et la ville sainte qui sont maintenant en ruines, et qu’il fera comme ses ancêtres l’ont fait avant lui.

Ailleurs, ce n’est pas Daniel qui joue le rôle de Daniel, mais un personnage appelé Gobraim, qui fait partie d’un groupe de prisonniers attachés par des cordes très serrées, qui appartiennent à la tribu de Juda.

Peut-être parce qu’ils sont attachés, ils n’osent pas intimider le roi par une menace : leur explication du rêve est simplement que les enfants d’Israël doivent retourner chez eux à Jérusalem, pour reconstruire le Temple et les tombes saintes qui gisent maintenant en ruines.

Le roi avait promis que celui qui serait capable d’interpréter le rêve serait vêtu de pourpre et d’écarlate, recevrait un bracelet d’or et serait hissé sur le cheval du roi, il serait conduit dans les rues et les hérauts annonceraient son nom ; les prisonniers, eux, refusent ces honneurs et préfèrent partir tout de suite pour la Terre sainte. »

Pour étayer mon hypothèse d’un exode forcé par Tsahal de Palestiniens aux pires mauvaises manières, soutenu par le Royaume-Uni, peut-être par la City de Londres… depuis le 7 octobre, l’action du Hamas au sein du gouvernement britannique a donné lieu à une activité militaire secrète massive (opérations spéciales). En tant que bras armé de la Grande Loge d’Angleterre, je suppose :

https://new.thecradle.co/articles/secrecy-shrouds-british-military-actions-in-lebanon

« Il faut vivre de manière dangereuse »

(Friedrich Nietzsche)

Enfin si quelque chose de désagréable m’arrivait, au moins vous sauriez qui l’a commandité ! Claudio Resta

Bien évidemment l’article ci-dessus ne remplace pas celui ci-dessous, mais le complète avec une vision à plus large spectre :

https://www.vtforeignpolicy.com/2023/12/the-true-Purposes-of-the-state-terrorism-of-israel-against-the-gaza-strip-people/embed/#?secret=fAdZSpDmnn#?secret=jVBzcTXJUh

https://www.vtforeignpolicy.com/2023/12/eyes-wide-shut/embed/#?secret=EVYk3JN4VY#?secret=9VuijxXrwr

Claudio Resta est né à Gênes, en Italie, en 1958, il est un citoyen du monde (Spinoza), un philosophe non conformiste et un expert interdisciplinaire, et un artiste aussi.

Il a grandi dans une famille de scientifiques où de nombreuses sciences étaient représentées, de la philosophie à la psychanalyse, de l’économie à l’histoire, des mathématiques à la physique, et où ces sciences étaient exposées publiquement par les membres de la famille experts en la matière, et où tous ceux qui en faisaient partie pouvaient participer à un dialogue/débat familial public sur ces sujets s’ils le souhaitaient. Lire la bio complète




Noël à la source !

[Source : nice-provence.info]

Par P‑G. S.

Le Christ figuré en « bon berger ». Notons que les bergers furent les premiers à saluer l’enfant sauveur. Dans cette sculpture conservée au musée du Vatican, Jésus pourrait être Hermès criophoros (« porteur d’un animal »). Tant par la représentation du Christ (imberbe et vêtu de façon gréco-romaine) que par le thème, cette sculpture unit Paganisme antique et foi chrétienne ; autrement dit, les racines de l’Europe millénaire et qui se passerait bien d’une « diversité » migrante imposée par Bruxelles.

Noël est un moment aussi enraciné en Europe que le sont nos cathédrales ou, plus modestement, nos églises de villages

Il semblerait que sa célébration continue à offusquer certaines sensibilités non chrétiennes et les obsédés du « vivrensemble » à tout prix déploient des prodiges d’inventivité pour « gommer » le caractère supposé « ostentatoire » et « agressif » (sans blague !) de cette fête.

Avançons quelques pistes qui, je l’espère, dérangeront quelques grincheux et susciteront interrogations et curiosité chez beaucoup de lecteurs.

Commençons par l’évocation des Rois Mages qui nous transporte immédiatement en Perse avec le culte de Mithra

C’est dans l’évangile de Matthieu qu’il en est question. Et cette mention, ainsi qu’une autre, aussi essentielle, dont nous allons reparler, change totalement le regard que l’on porte sur la naissance du Christ. En effet, ce sont d’abord les bergers qui accourent pour saluer l’enfant divin ; comme, du reste, dans l’histoire de Mithra. Puis viennent les trois Rois Mages. Or, en dehors de la Sainte Famille, ce sont les personnages les plus importants de ce moment. Rien que pour cela, la Crèche et ses santons insupportent à des individus insuffisamment cultivés pour comprendre ce que cela signifie.

En effet, avant de porter turbans et habits évocateurs d’un Orient aussi fastueux que mythique, nos fameux Mages, dans les plus anciennes représentations, sont coiffés du bonnet phrygien, à l’image de Mithra et de son clergé.

Comme on le voit sur cette couverture en ivoire du manuscrit d’Etchmiadzin (Arménie), rédigé en 989, les Rois Mages arborent le bonnet — dit phrygien — de la Perse ancienne, avant son islamisation et, donc, indo-européenne. Ils apportent des galettes striées de losanges toujours présentes lorsque l’on fête les Rois.

Mosaïque de Ravenne : autre représentation des Mages
et, là encore, ils sont coiffés du bonnet phrygien.

Cette venue de trois représentants de la religion d’Ahura Mazda et de Mithra n’a pas manqué d’intriguer les théologiens. On les comprend dans la mesure où c’est la présence de la sacralité perse qui vient rendre hommage à l’enfant qu’attend une destinée hors du commun. Mais pourquoi la Perse ? Dans le légendaire de cette nation, avant que l’Iran n’existe, le peuple qui allait le composer, résidait dans une région boréale, non point blanche de glace, mais merveilleusement verdoyante. C’était l’Âge d’Or et l’harmonie régnait. Puis, en fonction de l’involution cyclique énoncée par l’Inde, la Perse et la Grèce, un froid terrible s’abattit sur ces contrées boréales et la blancheur s’en empara. Une partie de la population se dirigea vers le sud pour découvrir les plateaux de ce qui allait devenir l’Airyanem Vaehja, c’est-à-dire la « terre des Aryas »(([1] Cf. Henry CorbinTerre céleste et Corps de résurrection, de l’Iran mazdéen à l’Iran chiite, Éditions Buchet-Chastel, Paris, 1961, p. 42.)). Le dernier shah d’Iran, Mahammad Reza Pahlavi portait encore le titre de Aryamehr (« Lumière des Aryens »). Mais il faut savoir qu’avant l’anéantissement de son royaume par la glaciation, le roi de ce temps, nommé Yima(([2] Ce nom signifie « jumeau » et se fait évocateur de la double nature, mortelle et immortelle, des êtres primordiaux. De même, le Christ meurt mais, le troisième jour, manifeste son immortalité.)), fit construire, toujours selon la légende, une citadelle souterraine destinée à conserver un certain nombre d’êtres parfaits qui vécurent durant l’Âge d’Or. Et ce, dans le désir de repeupler le monde après les tribulations qu’annoncent les textes sacrés de l’Iran. Comprenons bien que cette thématique se profile en arrière-plan de la venue des Mages.

Conjointement à ces messagers perses, il y a le départ de Joseph, Marie et Jésus pour l’Égypte afin d’échapper aux tueurs du roi Hérode chargés d’assassiner tous les enfants nés durant cette période et, parmi eux, l’éventuel futur « roi d’Israël » prévu par les prophéties. Accompagnant Moïse, les Hébreux s’enfuirent d’Égypte tandis que la Sainte Famille s’y réfugie. Il faut alors imaginer Jésus grandissant à l’ombre des pyramides.

Et c’est précisément cela qui nous intéresse et permet d’établir un parallèle avec la venue des Mages iraniens.

L’un des rôles secrets de l’Égypte aura donc consisté à tracer la direction du Nord (par Ptah) et à souligner, par ses édifices les plus prestigieux (les pyramides considérées dans l’Antiquité comme l’une des Sept Merveilles du monde), le rôle magistral du Pôle.

En parallèle à Persépolis, et c’est bien le cas de le dire puisque la cité perse se situe sur le même trentième parallèle que Gizeh (qui, prolongé vers l’est, passe par le secteur de Lhassa), des guerriers figés dans la pierre semblent veiller sur un secret « polaire » que métaphorise la citadelle du Roi Yima (illustration ci-dessus à droite).

Ce que l’on nomme la « géographie sacrée »(([3] Pour reprendre ici une formule de notre regretté collègue Jean Richer.)) ne doit pas être oublié dans les événements rapportés par saint Matthieu.

La naissance du Christ est donc placée sous la protection de ces deux grands royaumes marqués de façon polaire que sont la Perse et l’Égypte

En fait, l’histoire du Khristós (terme grec, signifiant « oint ») dépasse de beaucoup le simple contexte biblique si l’on prête attention à ce qui est dit par l’ancien publicain, Matthieu, appelé à devenir l’un des douze Apôtres et surtout celui des quatre évangélistes à qui revint l’honneur de commencer le Nouveau Testament.

Bien au-delà d’une Judée sous contrôle romain, la venue des Rois Mages et le refuge en Égypte reconduisent à l’un des thèmes fondamentaux de l’Europe : un énigmatique territoire que mythes et légendes situent au nord du monde (([4] L’Hyperborée, NDLR)). Là, en des temps lointains, se serait constituée une conscience supérieure — « apollinienne » aurait dit la Grèce — de laquelle allaient surgir des civilisations diverses. Il se pourrait bien que ce thème revienne dans les esprits alors qu’on assiste peu à peu au rejet par les peuples d’idéologies mortifères s’acharnant à effacer toute forme d’appartenance ethnique et culturelle profonde au profit d’une humanité déshumanisée, déracinée, homogénéisée et servile.





L’archevêque Viganò sur le Pizzagate, Gaza, l’Ukraine, le Forum Économique Mondial…

[Source : Ciel Voilé]



Extrait plus complet, en anglais :

Intervention intégrale, en anglais :

Transcription de la conférence en français :

[Source : medias-presse.info]

« Le Pape est-il catholique ? » 

Conférence de son Exc. Mgr Carlo Maria Viganò

en ligne organisée par le professeur Edmund Mazza (USA) 

« Aspicite nobis illusiones » – Ils disent aux voyants : « N’ayez pas de visions » et aux prophètes : « Ne nous faites pas de prophéties sincères,  dites-nous des choses agréables, prophétisez des illusions » [Is 30, 10]

Avant-propos

Cette conférence en ligne organisée par le Professeur Edmund Mazza a pour thème un sujet qui n’apparaît que récemment dans le domaine public, après plus de dix ans d’horreurs pires que celles dont nous avons été témoins au cours des soixante dernières années, mais parfaitement cohérentes avec les fondements philosophiques et théologiques posés à la crise actuelle par le Concile Vatican II. Le Pape est-il catholique ? En d’autres temps, une telle question aurait presque résonné comme un blasphème, tant le respect et l’amour des fidèles pour le Pontife Romain, considéré comme le doux Christ sur terre, étaient profondément enracinés. Qui, à l’époque de Pie XII, aurait osé remettre en cause son autorité morale et magistérielle ? Et d’autre part, pourquoi les fidèles auraient-ils manifesté leur désaccord à l’égard d’un Pape dont la voix était l’expression d’une continuité ininterrompue avec ses Prédécesseurs et le divin Maître ? En écoutant Jorge Mario Bergoglio parler aujourd’hui et en comparant ses paroles avec celles du Pastor angelicus (Pie XII), nous réalisons l’abîme qui sépare un Pape de sa grotesque parodie, le gouffre qui sépare le Vicaire du Christ de la simia Pontificis. L’autorité hiératique de tous les Papes, de saint Pierre à Pie XII, intimement liée à l’autorité divine du Christ Prêtre souverain et éternel, s’est pervertie en autoritarisme arrogant et en tyrannie ; le sentiment d’appartenance à l’Ordre sacré des clercs et des prélats s’est corrompu en cléricalisme ; l’immuabilité de la Vérité révélée, fondée sur l’immuabilité parfaite de Dieu – et appuyée sur ce qui est naturellement connaissable par la raison – a succombé à la révolution permanente et au chaos, au provisoire du « Loquimini nobis placentia » [Dites-nous des choses agréables], à l’arbitraire du discutable : « Aspicite nobis illusiones » [Annoncez-nous des illusions.] (Isaïe 30,10)

Dissonance cognitive

Mais tout comme face à la mort subite de millions de personnes dans le monde après la criminelle campagne d’inoculation qui a suivi la fraude psycho-pandémique, il y a ceux qui refusent encore d’admettre la relation de cause à effet entre l’administration du sérum génique expérimental et l’extermination de masse planifiée et déclarée par l’élite ; de même, dans le domaine ecclésial, face aux ravages causés par la révolution conciliaire et la prétendue réforme liturgique, il y a encore des gens qui ne veulent pas admettre la relation de cause à effet entre l’action des experts et consulteurs – notoirement modernistes bien avant Vatican II et, en tant que tels, justement condamnés par le Saint-Office ou considérés avec suspicion par les Évêques – qui ont utilisé rien de moins qu’un Concile Œcuménique comme une scène prestigieuse sur laquelle jouer la pièce mensongère et trompeuse du dialogue avec le monde, de l’œcuménisme, de la démocratisation et de la parlementarisation de l’Église, avec l’aval des « Papes du Concile ». C’est à juste titre que cette assemblée a été appelée par ses auteurs « le 1789 de l’Église ». Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul I, Jean-Paul II et Benoît XVI n’ont pas manqué de souligner comment les principes révolutionnaires et maçonniques – liberté, égalité, fraternité – pouvaient en quelque sorte être partagés et adoptés par le Catholicisme, à commencer par l’acceptation, voire la promotion convaincue de la laïcité de l’État et l’annulation substantielle de la Royauté divine et universelle de Notre Seigneur Jésus-Christ.

Si vous avez la patience de me suivre dans cet examen, vous verrez que la Royauté sociale du Christ est la pierre d’achoppement sur laquelle s’écrasent indistinctement tous les complices du plan anti-christique du Nouvel Ordre Mondial.

La relation de causalité

La vexata questio – « Bergoglio est-il catholique ? » – est abordée de plusieurs côtés selon différents critères et à partir de différents héritages culturels : l’héritage traditionnel et scolastique, l’héritage modéré et conciliaire – nous pourrions dire montinien – et celui qui oscille, pour ainsi dire, entre les deux versants, reconnaissant Bergoglio comme Pape tout en étant de facto canoniquement indépendant de lui. Mais nous devons reconnaître qu’il est aujourd’hui possible de partager avec les prêtres et les fidèles le sentiment de grave malaise et de grand scandale face à la présence encombrante du Jésuite Argentin. Nous pouvons aujourd’hui nous demander si Bergoglio est catholique, et c’est déjà un bon point de départ, car son hétérogénéité à la Papauté est désormais évidente et perçue par les simples fidèles autant que par une grande partie du clergé et même par certaines franges des médias. La Hiérarchie se contente de faire preuve de lâcheté ou de complicité avec le tyran, et les quelques voix dissidentes n’osent pas tirer les conclusions qui s’imposent face aux hérésies et aux grossièretés du locataire de Santa Marta [la résidence de Bergoglio au Vatican]. Parce qu’ils sont en désaccord avec lui, mais pas avec Vatican II ; ils ne veulent pas non plus reconnaître que c’est précisément de ce Concile qu’a découlé ce processus révolutionnaire qui a permis à une personne comme Jorge Mario d’entrer dans la Compagnie de Jésus, d’être ordonné, de devenir évêque, d’être créé cardinal et enfin d’entrer au Conclave pour en sortir comme « pape ». On peut (selon eux) critiquer Bergoglio, à condition de ne pas critiquer l’idole conciliaire, fétiche intouchable des montiniens qui, aujourd’hui, comparés aux horreurs du Jésuite Argentin, font figure de paladins de l’orthodoxie catholique.

Et nous en arrivons au punctum dolens, c’est-à-dire à la grande contradiction qui unit les partisans de Vatican II à ses adversaires historiques – la Fraternité Saint-Pie X in primis – en voulant procéder à une évaluation de faits objectivement extraordinaires en recourant à des normes ordinaires. Comme je l’ai dit à plusieurs reprises, il me semble que certains tiennent plus à la doctrine de la Papauté qu’au salut des âmes, de sorte qu’ils préfèrent être gouvernés par un pape hérétique et apostat plutôt que de reconnaître qu’un hérétique ou un apostat ne peut être à la tête de l’Église à laquelle, en tant que tel, il n’appartient pas. D’où les distinctions entre hérésie formelle et matérielle, qui n’entravent en rien l’action destructrice de Bergoglio. L’objection selon laquelle l’accusation d’hérésie ou d’apostasie du « Pontife régnant » pourrait provoquer division et scandale est démentie par l’évidence de la division et du scandale déjà largement en cours dans le corps ecclésial précisément à cause de son hérésie et de son apostasie, qui est, pour ainsi dire, la pointe de l’iceberg d’une crise bien plus grave et généralisée de la Hiérarchie et du Clergé qui a commencé il y a soixante ans et qui a maintenant presque atteint son apogée.

Un unique plan subversif

Il y a quelques semaines, un important associé d’Hillary Clinton et de John Podesta a été arrêté pour pédophilie et pédopornographie : il s’agit de Slade Sohmer, lié au monde de Broadway et du cinéma, qui avait participé au debunking du tristement fameux Pizzagate, c’est-à-dire du réseau de complicités ignobles et de crimes horribles sur mineurs qui gravite autour de l’État profond international. Nous avons appris que Jeffrey Epstein et très probablement Gislaine Maxwell étaient membres du Mossad israélien. Cela nous fait comprendre que les fameux voyages de tant de personnalités sur l’île d’Epstein ont servi à recueillir des preuves de leur culpabilité dans les odieux crimes rituels sur mineurs afin de les faire chanter. Et si, face aux massacres de civils dans la bande de Gaza, les chefs d’État et de gouvernement du monde occidental n’osent souffler mot, on peut supposer que cette attitude est due aux nombreux dossiers et vidéos en possession des services israéliens. Il a dû en être de même pour la préparation de la fausse urgence pandémique, servilement reproduite dans tous les pays membres du Forum Économique Mondial et de l’ONU, mais aussi pour la farce de la crise ukrainienne. (N’oublions pas qu’il y a des gisements de méthane en face de Gaza qui sont très demandés à l’heure où les livraisons de gaz en provenance de la Russie sont empêchées par les sanctions, au profit des multinationales et des fonds d’investissement dont elles font partie.) Mais si ce chantage contre les puissants de ce monde constitue l’élément unificateur du projet subversif mondialiste, on ne peut s’empêcher de penser que le rôle indispensable joué par l’Église Catholique a été quelque peu forcé non seulement par la nomination de Bergoglio comme émissaire des ennemis de l’Église à son sommet, mais aussi par les scandales sexuels et financiers qui n’ont que partiellement émergé sur le compte de nombreux Prélats adeptes de l’Église profonde. Comment penser qu’un personnage comme McCarrick, qui entrait à la Maison Blanche sans avoir besoin d’être annoncé et qui continuait à suivre les affaires diplomatiques du Vatican en Chine même après avoir été accusé d’être un prédateur en série, n’a pas bénéficié du soutien de ces puissants qui partageaient avec lui les vices les plus ignobles et les crimes les plus odieux ? Doit-on penser que l’association entre l’État profond et l’Église profonde se limitait à une complicité dans la spéculation financière, alors qu’un pédophile comme Slade Sohmer collaborait avec les Clinton et Obama, impliqués dans le Pizzagate ? Ou que les nombreux vols de Bill Gates vers l’île d’Epstein, ainsi que ceux d’acteurs, de membres de familles royales, de politiciens, de banquiers et de VIP n’avaient rien à voir avec le réseau de complicité de la lavander mafia [le lobby homosexuel] ?

D’après les courriels divulgués dans l’affaire Wikileaks, nous savons que John Podesta travaillait pour le compte de Hillary Clinton et d’Obama – et de l’élite mondialiste en général – afin de promouvoir au sein de l’Église cette révolution colorée qui évincerait Benoît XVI de la Papauté, ferait élire un pape ultra-progressiste et modifierait substantiellement le Magistère catholique en lui faisant embrasser les instances de l’Agenda 2030 : égalité des sexes, introduction de la théorie du genre et de la doctrine LGBTQ+, démocratisation du gouvernement de l’Église, collaboration avec le projet néo-malthusien de la Grande Réinitialisation, coopération sur l’immigrationnisme, cancel culture [annulation des cultures]. Il me semble évident que ce projet subversif a trouvé un parfait accomplissement dans la nomination de Bergoglio – c’est exprès que je dis la nomination – et qu’il est confirmé par sa ligne ininterrompue de gouvernement et de magistère, tant public que privé, au cours de cette décennie malheureuse. Une action qui a en fait répondu aux desiderata [souhaits] – ou plutôt aux mandata, aux ordres de l’élite, point par point, et de manière si précise qu’elle est sans équivoque : égalité des sexes avec l’ouverture aux femmes aux fonctions de gouvernement et de ministère ; légitimation morale de la sodomie et du genre avec l’admission des sodomites et des transsexuels au rôle de parrains et de témoins de mariage ; démocratisation factice, calquée sur le modèle des oligarchies dans la sphère civile, par le biais de la synodalité ; acceptation des instances pseudo-environnementales avec une réduction drastique de la condamnation de l’avortement, de l’euthanasie et des manipulations génétiques par la subversion de l’Académie Pontificale pour la Vie ; la campagne d’accueil des immigrés clandestins, au nom d’un inévitable métissage non exempt d’intérêts économiques ; cancel culture avec le dénigrement de l’histoire de l’Église et la falsification des Saintes Écritures. En effet, à y regarder de plus près, c’est toujours la contrepartie économique qui lie les membres de l’Église profonde et ceux de l’État profond, à qui l’élite a payé le pretium sanguinis [le prix du sang] de leur trahison par des parrainages et des financements. Je me demande si les tentatives grotesques de Bergoglio de revaloriser Judas ne trahissent pas la sympathie instinctive d’un traître pour l’Iscariote, mercator pessimus [le pire des trafiquants].

Revenons donc au pretium sanguinis, la rémunération des services rendus par des personnes soumises au chantage non seulement de ceux qui connaissent leurs secrets les plus déroutants et les plus sombres, mais aussi de ceux qui les partagent, tout en occupant des postes similaires dans d’autres nations, au Parlement Européen, à l’ONU, à la Banque Mondiale ou dans d’autres institutions internationales. Imaginez que Trudeau ait osé se dissocier de certaines questions – par exemple, le silence sur les crimes de guerre de Netanyahou à Gaza – désobéissant ainsi aux ordres qui lui ont été donnés. Avant même que la nouvelle ne parvienne aux médias, ses homologues en Grande-Bretagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande, aux États-Unis, en France, aux Pays-Bas, en Belgique et Dieu sait où, auraient fait pression sur lui pour qu’il se taise, sachant pertinemment que le Mossad n’hésiterait pas un instant à entraîner dans le scandale – et en prison – non seulement Trudeau (qui est accusé de viol d’enfant, actuellement en cours d’enquête dans le bureau de quelque Procureur), mais aussi les membres de l’élite pédophile internationale qui détiennent des preuves d’autres crimes sur Justin Trudeau lui-même. C’est pourquoi il était nécessaire que la corruption soit endémique dans le système, afin que le cancer mondialiste puisse y être incité.

Et il serait stupide ou irresponsable de croire que la hiérarchie bergoglienne est exempte de ce chantage, alors que nous savons qu’elle est largement impliquée dans les mêmes vices, avec la protection de Bergoglio lui-même. D’autre part, quelle crédibilité peut avoir le Jésuite Argentin qui s’est réservé le cas de McCarrick, en déclarant de son autorité res judicata la condamnation sans procès de l’un des Cardinaux les plus puissants de ces cinquante dernières années, en évitant l’audition de témoins qui auraient pu nommer ses complices, aujourd’hui promus au sommet de l’Église ou des institutions publiques ? Croyez-vous qu’il était possible de perpétrer la fraude électorale pour évincer Donald Trump de la Maison Blanche en toute impunité, et qu’ils n’ont pas réussi à faire de même au Conclave, compte tenu de la compromission de la majorité du Collège des cardinaux ? Le fait que la fraude soit publique et toujours impunie est, au contraire, une aggravation donnée par l’arrogance de se croire omnipotent et invincible.

Le cas du Pape hérétique entre hypothèse abstraite et réalité concrète

Lorsque saint Robert Bellarmin a posé l’hypothèse de l’hérésie du Pontife Romain comme cas d’école, il a imaginé un Pape qui, convaincu de rester catholique, adhérerait matériellement ou formellement à une hérésie spécifique, dans un contexte général où le corps social et ecclésial serait catholique. Il ne pouvait même pas imaginer qu’un émissaire de la Franc-Maçonnerie puisse se faire élire Pape dans le but de démolir l’Église de l’intérieur, en usant et abusant du pouvoir de la Papauté elle-même. Il n’aurait pas non plus pu imaginer que ce Pape irait au-delà de l’hérésie jusqu’à l’apostasie. Aucun Docteur de l’Église n’a jamais envisagé le cas d’un Pape apostat, ni d’une élection falsifiée et manipulée par des puissances ouvertement ennemies du Christ, car une telle énormité ne peut se produire que dans un contexte unique et extraordinaire comme celui de la persécution finale annoncée par le Prophète Daniel et décrite par Saint Paul. L’avertissement Lorsque vous verrez l’abomination de la désolation (Mt 24, 15) doit être compris comme tel précisément en raison de son caractère absolument unique et du fait que tous verront s’accomplir – qui avec horreur, qui avec une satisfaction satanique – l’abomination de la désolation se tenant dans le lieu saint : que celui qui lit comprenne (Mc 13, 14).

Les Catholiques sont scandalisés par le silence lâche des Cardinaux et des Évêques pour la même raison que les citoyens sont choqués par la complicité des politiciens, des médecins, des journalistes, des magistrats et des forces de l’ordre dans la trahison du pacte social. Ils ont compris que c’est tout le système qui est l’otage de l’ennemi et qu’il est vain d’espérer la justice et la vérité de la part de ceux qui se plient au coup d’État mondial, que ce soit dans le monde civil ou ecclésiastique. L’opération subversive est si efficace et organisée qu’elle démontre sans équivoque l’œuvre d’une intelligence luciférienne qui va bien au-delà des prétendues ruses de Klaus Schwab ou d’un Rockefeller. C’est pourquoi le « problème Bergoglio » ne peut être résolu de manière ordinaire : aucune société ne peut survivre à la corruption totale de l’Autorité qui la gouverne, et l’Église n’est pas différente, quand ses membres – et surtout ses Pasteurs – refusent de reconnaître les causes de cette corruption doctrinale, morale et spirituelle et se limitent à déplorer les excès de tel ou tel discours de Bergoglio, sans se rendre compte qu’ils ont devant eux l’homo iniquus et dolosus [l’homme inique et trompeur] du Psaume 42 ; iniquus quant aux buts qu’il se fixe, dolosus par les moyens qu’il adopte.

Disserter d’hérésie formelle dans le cas de Bergoglio, c’est comme accuser de détournements de fonds des criminels qui tuent des millions de personnes avec les sérums mortels, l’air et l’eau empoisonnés, les aliments nocifs ou artificiels, les famines et les pandémies planifiées, la stérilité induite et la mort (physique ou civile) imposée par la loi. Nous sommes au-delà de l’hérésie comme nous sommes au-delà des crimes normaux dont un chef d’État peut être accusé, avec la circonstance aggravante que le coupable sait (ou espère) qu’il peut se sauver de la condamnation parce que ses principaux accusateurs le reconnaissent comme Souverain Pontife et, à ce titre, exempt de tout tribunal humain. Prima Sedes a nemine judicatur [Le Premier Siège n’est jugé par personne]. C’est précisément sur cela que se sont appuyés ceux qui l’ont fait élire Pape, en oubliant toutefois un petit détail : l’intention de nuire à l’Église en agissant pour le compte d’une puissance ennemie n’est pas compatible avec l’acceptation de la Papauté, et il y a donc un vice dans le consentement donné en raison de la volonté – confirmée par les paroles et les actes de ces dix dernières années – d’agir en in fraudem legis, en contournant la loi canonique et en dissimulant ses intentions dès sa première apparition sur la Loge du Vatican. Je le répète : il ne s’agit pas d’un Pape qui adhère à une hérésie spécifique – ce que Bergoglio a d’ailleurs fait à maintes reprises –, mais d’une personne envoyée au Conclave avec l’ordre de révolutionner l’Église depuis le sommet de la Chaire de Pierre. Et encore : il n’a pas assumé la Papauté sans réserve pour se laisser ensuite persuader par de mauvais conseillers d’agir d’une manière douteuse. Au contraire, la préméditation est évidente, confirmée à la fois par la correspondance de ses actions avec les ordres de l’Église profonde donnés dès le Pontificat de Benoît XVI – conspirateurs de la Mafia de Saint-Gall ou du Pacte des Catacombes, peu importe – et par les rencontres répétées du Jésuite Argentin avec des représentants de l’élite mondialiste et des potentats financiers de la planète, sous les yeux de tous.

Le vice du consentement (1)

Il est plausible, compte tenu des éléments critiques magistralement mis en évidence par le Professeur Enrico Maria Radaelli, que la démission de Benoît XVI ait déterminé une situation antérieure d’irrégularité canonique telle qu’elle invalide et rende nulle et non avenue, avec elle, l’élection du successeur de Benoît XVI, que ce soit Bergoglio ou un nouveau Pie X qui soit élu. Mais même si Benoît XVI avait légitimement abdiqué – bien que conscient du risque de rendre matériellement possible l’élection du Jésuite Argentin – c’est l’intention délibérée d’abuser de l’autorité et du pouvoir de la Papauté, en l’assumant par la tromperie, qui rend réel le vitium consensus, et fait de Bergoglio un usurpateur du Trône de Pierre. Le consensus et le soutien au Jésuite Argentin proviennent en grande partie de l’aile ultra-progressiste et pro-hérétique qui a parrainé son élection : tous des membres bien connus de l’Église profonde et proches du lobby homosexuel et pédophile de l’État profond.

Si certains insistent pour regarder le doigt de ceux qui dénoncent ce coup d’État et non la lune de la congruence évidente de Bergoglio avec cela, nous ne pouvons pas nous comporter comme si nous étions en train de résoudre une question de droit canonique : le Seigneur est outragé, l’Église est humiliée et les âmes sont perdues à cause de la présence sur le Trône d’un usurpateur dont les actions de gouvernement et de magistère peuvent être jugées à la lumière des paroles de Notre-Seigneur : Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous en vêtements de brebis, mais qui sont en réalité des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des ronces ? Tout bon arbre produit de bons fruits, et tout mauvais arbre produit de mauvais fruits ; un bon arbre ne peut pas produire de mauvais fruits, et un mauvais arbre ne peut pas produire de bons fruits. Tout arbre qui ne produit pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez (Mt 7,15-20).

Vous avez bien entendu : un bon arbre ne peut pas produire de mauvais fruits, ni un mauvais arbre de bons fruits, ce qui signifie que le comportement ininterrompu de Bergoglio – avant, pendant et après son élection – constitue à lui seul la preuve de son iniquité intrinsèque.

Pouvons-nous donc être moralement certains que le locataire de Santa Marta est un faux prophète ? Ma réponse est : oui. Sommes-nous alors autorisés en conscience à révoquer notre obéissance à celui qui, se présentant comme Pape, agit en réalité comme le sanglier biblique dans la Vigne du Seigneur, ou comme le mercenaire, qui n’est pas le berger et à qui les brebis n’appartiennent pas (Jn 10, 12), et qui n’a nul souci des brebis (Jn 10, 13) ? Oui. Ce que nous ne pouvons pas faire, parce que nous n’en avons pas l’autorité, c’est déclarer officiellement que Jorge Mario Bergoglio n’est pas Pape. La terrible impasse dans laquelle nous nous trouvons rend impossible toute solution humaine.

Notre tâche ne doit pas être de nous engager dans des spéculations abstraites de canonistes, mais de résister de toutes nos forces – et avec l’aide de la Grâce de Dieu – à l’action explicitement destructrice du Jésuite Argentin, en rejetant avec courage et détermination toute collaboration, même indirecte, avec lui et ses complices.

Le rejet de la Royauté de l’Homme-Dieu

Le mal de ce monde est intrinsèquement lié au refus de reconnaître que, dans l’État comme dans l’Église, l’autorité vicaire de ceux qui gouvernent émane directement de l’union hypostatique, c’est-à-dire de l’union de la divinité et de l’humanité en Notre Seigneur Jésus-Christ, Roi et Pontife. La haine des méchants contre le Christ-Roi est née dans l’éternité des temps, lorsque la Sainte Trinité a mis Lucifer à l’épreuve et qu’il s’est rendu compte qu’il devait adorer et obéir à l’Homme-Dieu, qu’il devait Le reconnaître comme Roi et Seigneur dans l’humiliation d’assumer un corps humain et dans l’infamie du supplice de la Croix. C’est alors que Lucifer a crié son Non serviam.

Ce cri de révolte qui valut la damnation éternelle d’une partie des esprits angéliques, nous le retrouvons dans les vêtements déchirés de Caïphe, dans les manœuvres des grands prêtres et des scribes du peuple pour envoyer à la mort le Messie promis, coupable de ne pas s’être prêté aux visées de pouvoir du Sanhédrin. On retrouve cela dans le délire théologique du Sionisme qui, depuis le Congrès de Bâle en 1897, se pose comme une sorte de Vatican II du Judaïsme, remplaçant la figure d’un Messie personnel par l’avènement de l’État d’Israël. Ce concile juif a proclamé la déification de l’État et son indépendance par rapport à la volonté divine, prémisse de la tyrannie. Les membres du Sanhédrin moderniste n’ont pas agi différemment lorsque, au nom de la laïcité de l’État et de la liberté religieuse, ils ont foulé aux pieds la doctrine de la Royauté sociale du Christ récemment proclamée par Pie XI. Le Non serviam avait déjà résonné dans l’Allemagne de l’hérésiarque Luther et dans l’Angleterre d’Henri VIII avec le rejet de l’autorité du Vicaire du Christ ; il retentit à nouveau avec arrogance dans la France révolutionnaire, avec la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, et encore avec le Libéralisme, qui soustrait à la Seigneurie de Dieu non seulement la domination des nations, mais aussi la primauté de la Morale sur les règles de l’économie. On retrouve le Non serviam dans le matérialisme athée du Communisme, faux pendant du Libéralisme, qui l’a voulu et alimenté pour détruire le tissu social par la lutte des classes. Et aujourd’hui, ce cri infernal résonne avec les horreurs de l’avortement, de l’euthanasie, de la transition de genre et de l’ingénierie génétique, dont le seul but est d’effacer toute trace du divin dans l’homme et dans la Création, et de briser le lien entre l’homme et Dieu accompli dans l’Incarnation.

Tant que nous ne reconnaîtrons pas l’inéluctabilité de la victoire de l’Homme-Dieu en tant que Roi et Seigneur universel, et celle de la Vierge Mère de Dieu en tant que Reine et Dame par la Grâce ; tant que les nations et les peuples ne plieront pas le genou devant l’unique Sauveur et Rédempteur de l’humanité ; tant que la société et l’Église seront les otages des ennemis du Christ-Roi et de sa très auguste Mère, nous ne pourrons pas espérer la fin de cette épreuve très douloureuse, parce que nous n’aurons pas fait le choix nécessaire que le Seigneur attend de nous pour nous faire participer à son triomphe total et définitif sur Satan. Ne nous faisons pas d’illusions : celui qui persiste à lire la situation actuelle avec des yeux humains s’expose non seulement lui-même, mais l’humanité tout entière, à la poursuite et à l’aggravation de cette situation : car notre combat n’est pas contre des créatures de chair et de sang, mais contre les principautés et les pouvoirs, contre les dominateurs de ce monde de ténèbres, contre les esprits mauvais qui habitent les régions célestes (Ep 6,12).

Conclusion

Que les nations autrefois chrétiennes reviennent donc à la Foi de leurs pères. Que les dissidents renouent avec l’unité catholique. Que les peuples plongés dans les ténèbres de la superstition et de l’idolâtrie se convertissent au Dieu vivant et vrai. Que le peuple autrefois élu reconnaisse le vrai Messie en rejetant de l’hérésie sioniste. Que les hommes sortent de leur torpeur, surtout ceux qui détiennent l’autorité, et reconnaissent avec confiance qu’il n’y a de pouvoir que de Dieu. C’est là – et là seulement – la condition de la concorde entre les peuples, de la justice, de la paix. Et si les Pasteurs manquent à cet éveil général des consciences, qu’ils se souviennent des redoutables paroles du Seigneur : Si ceux-ci se taisent, les pierres crieront (Lc 19, 40).

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque 

9 décembre 2023, Infra Octavam Imm. Conc. B.M.V 

© Traduction de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò





Pourquoi le christianisme et l’Occident seront exterminés — une histoire de Jacob (Israël) et d’Ésaü (Rome)

[Source : martinvrijland.nl]

Par Martin Vrijland

La raison pour laquelle l’Amérique et l’Europe seront mises à terre se trouve dans la généalogie de Noé et de son descendant Abraham. Vous vous souvenez des accords d’Abraham ? Il s’agissait d’un traité organisé par le gendre de Donald Trump, Jared Kushner (sur ordre de Trump), pour unir les Arabes et les Juifs. En fait, nous pouvons faire remonter tout ce qui se passe sur la scène mondiale à la généalogie de Noé (et donc d’Abraham), ce qui explique aussi pourquoi des lois noahites seront bientôt introduites dans le monde entier.

Les accords d’Abraham jouent un rôle important dans la reconnaissance et la compréhension de ce qui se passe à Gaza et en Israël. La position défendue ici est que la paix a été signée depuis longtemps entre les Palestiniens (Arabes) et les Juifs, à l’époque des accords d’Abraham. Les bases de ces accords auraient déjà été jetées sous Bill Clinton, lors des négociations de Camp David en 2000. La thèse est que les descendants d’Abraham (selon l’arbre généalogique ci-dessous) ont fait la paix et ont décidé de s’entraider.

Si vous regardez l’arbre généalogique ci-dessous (tiré de Wikipédia), vous pouvez garder deux choses à l’esprit. La première est que le géniteur de tout cela est Noé et la seconde est que, selon la tradition, un géniteur donne sa bénédiction à un fils (de préférence l’aîné).

Noé, c’est la personne après le fameux déluge mythologique. Dans les 3 livres que j’ai écrits en 2023, on découvre que la généalogie a tout à voir avec l’histoire cyclique et la rematérialisation des codes lignagers sauvegardés, mais aussi qu’il existe un scénario directeur selon lequel le monde est gouverné. Et ce scénario directeur est basé sur les croyances religieuses de tous les peuples qui semblent aujourd’hui s’opposer sur la scène mondiale.

Dans cette croyance, il y a une sorte de croyance selon laquelle le peuple juif est le descendant de Jacob. Jacob aurait changé son nom en Israël après s’être disputé avec un « être divin ». Jacob aurait reçu la bénédiction généalogique de Dieu par tromperie. En effet, son père, Isaac (le fils aîné et béni d’Abraham), est devenu aveugle plus tard dans sa vie et a voulu donner sa bénédiction à Ésaü (au lieu de Jacob). Jacob et Ésaü étaient deux frères jumeaux. Jacob a volé la bénédiction divine à Ésaü parce que sa mère l’a vêtu d’une toison d’agneau pour imiter la sensation des bras poilus de Jacob pendant qu’Ésaü chassait. C’est ainsi que l’aveugle Isaac a pris Jacob pour le poilu Ésaü.

En d’autres termes, Jacob/Israël a volé la bénédiction divine (la préférence divine) à Ésaü et c’est pour cette raison que les Juifs s’appellent eux-mêmes le peuple élu de Dieu. Après tout, leur géniteur est Israël (Jacob, qui a changé son nom en Israël) et le père Isaac a peut-être découvert la tromperie, mais n’a pas pu inverser la bénédiction. Il a donc institué la règle selon laquelle Ésaü devait désormais servir Jacob. Jetez un coup d’œil à l’arbre généalogique et lisez la suite ci-dessous.

Ce qui est intéressant, c’est que Jacob (Israël) et Ésaü étaient deux frères jumeaux. Ésaü était poilu et le premier-né des deux. On dit que Jacob a tenu le talon d’Ésaü pendant la naissance. C’est l’origine du nom Jacob, qui signifierait « qui tient le talon ». Or, certains mouvements juifs affirment que ce talon fait référence à la botte que l’on peut reconnaître sur la carte de l’Italie. Si Jacob (Israël) a tenu le talon d’Ésaü, l’Italie (et donc Rome) représente Ésaü. Et puisque Rome (l’Église romaine) serait le fondateur du christianisme, ils en concluent que le christianisme appartiendrait à la tribu d’Ésaü.

[Note de Joseph : en toute logique, si Jacob a volé la bénédiction, il ne peut en découler qu’une suite contraire au dessein divin ou cosmique pour la Terre. Et, en toute justice, ceci devra alors être réparé, ce qui semble être annoncé par le texte de l’Apocalypse de Jean et les prophéties du Christ. Il n’est pas non plus à chercher loin quelle est l’entité inspiratrice du vol. Voir aussi :
Coïncidences concernant Trump et Israël
Trump et la kabbale
La synagogue de Satan
Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives
Le troisième Temple de Jérusalem et l’embrasement de la Terre Sainte – Analyse de Pierre-Antoine Plaquevent]

C’est maintenant que cela se passe. Parce que Jacob (c’est-à-dire Israël) est censé avoir reçu la bénédiction de son père Isaac (fils d’Abraham), les Juifs (les Israélites, les descendants d’Israël) pensent que les descendants d’Ésaü (l’Occident chrétien) devraient les servir. Cela n’est peut-être pas proclamé publiquement, mais si vous consultez les présentations du rabbin Mendel Kessin, vous trouverez cette pensée. Les caractéristiques d’Ésaü sont qu’il est fort et violent. L’Occident fort et violent (en particulier les États-Unis, la nouvelle Rome) soutient Israël à la fois financièrement et militairement sur tous les fronts en raison de la simple mission du géniteur Isaac (fils d’Abraham — petit-fils de Noé) : Israël a reçu la bénédiction et Ésaü a dû servir Israël.

On pourrait donc dire que tout ce que fait Ésaü (tout ce que fait l’Occidental) sert Israël, parce que c’est ainsi que cela est dit dans l’histoire religieuse et parce que les dirigeants du monde tissent ces scénarios religieux comme des principes directeurs dans tous leurs choix et leurs actions. Ainsi, la richesse gagnée dans l’Occident chrétien (Europe et États-Unis) doit aller d’Ésaü (l’Occident chrétien) à Jacob (Israël).

Cependant, il semble aujourd’hui que les accords d’Abraham remontent un peu plus loin dans l’arbre généalogique. En effet, Israël (Jacob) était un fils d’Isaac, qui était lui-même un fils d’Abraham. Mais Abraham avait d’autres fils. Et c’est là qu’intervient Ismaël (en anglais : Ishmael). Ismaël est considéré par les Arabes comme leur géniteur. Ismaël est considéré comme le fils premier-né du prophète Ibrahim (Ibrahim = Abraham dans la tradition judéo-chrétienne) et de sa femme Agar. Selon le Coran, Dieu a béni Ismaël et sa mère, et Ismaël est considéré comme un prophète dans l’islam. Le prophète Mahomet est considéré comme un descendant d’Ismaël.

Si donc, avec les accords d’Abraham (Ibrahim pour les musulmans), il a été décidé que les descendants d’Ismaël et les descendants d’Israël représentent les mêmes droits et si les musulmans sont considérés comme les descendants d’Ismaël et les juifs comme les descendants d’Israël, alors les descendants d’Ésaü (doivent servir Rome, le talon, la botte, le christianisme, l’Occident) doivent servir Ismaël et Israël.

Et lorsque vous comprenez cela, vous comprenez pourquoi l’Occident chrétien sera complètement démoli et miné dans les temps à venir. Cependant, tout cela est censé finir par prendre la forme du scénario prophétique de la fin des temps, où un descendant de la lignée de David (qui remonte également au géniteur Abraham, et donc à Noé) s’avérera être le grand pacificateur et prendra la place du temple reconstruit de Salomon. Dans ce scénario, ce pacificateur semble être Donald Trump. C’est ce que je soutiens, et bien d’autres choses encore, dans le livre Le Phénix se lèvera bientôt et nous avons déjà vu la première indication dans le couronnement de Trump en tant que roi d’Israël le 10 juillet 2023.

Plongez-vous dans l’arbre généalogique, plongez-vous dans le scénario (tel qu’il est expliqué dans le livre), puis regardez la vidéo ci-dessous et laissez-vous imprégner.

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Le lobby de l’Armageddon. Comment les sionistes chrétiens influencent la politique américaine

[Source : geopolitika.ru via strategika.fr]

Par Leonid Savin

Bien que les bombardements de la bande de Gaza par les troupes israéliennes aient détruit non seulement des hôpitaux et des mosquées, mais aussi des temples chrétiens, de nombreuses personnes qui se disent chrétiennes et ne sont pas juives de souche soutiennent activement les actions d’Israël. D’où vient ce phénomène ?

Le fait est que le sionisme, en tant que mouvement politique juif, est apparu à la fin du 19e siècle, mais des idées similaires sont apparues bien plus tôt. Et, paradoxalement, elles sont nées dans un environnement chrétien.

La naissance du sionisme puritain

Les premiers partisans notoires de l’immigration des Juifs d’Europe en Palestine ont été les puritains. Cette secte protestante est apparue à la fin du 16e siècle et est devenue très influente en Angleterre et, plus tard, dans les colonies américaines. Ils ont manifesté un intérêt considérable pour le rôle des Juifs dans l’eschatologie, ou, en d’autres termes, la théologie de la fin des temps.

Par exemple, John Owen, théologien du 17e siècle, membre du Parlement et administrateur à Oxford, enseignait que le retour physique des Juifs en Palestine était nécessaire à l’accomplissement des prophéties de la fin des temps. En 1621, Sir Henry Finch a écrit un sermon appelant au soutien du peuple juif et à son retour dans sa patrie biblique.

L’un des courants les plus influents du sionisme chrétien est le dispensationalisme, un système d’interprétation qui utilise les informations de la Bible pour diviser l’histoire en différentes périodes d’administration ou dispensations et qui considère que le terme biblique « Israël » fait référence à la nation ethnique juive établie en Palestine.

Le dispensationalisme a été développé à l’origine par le prédicateur anglo-irlandais John Nelson Darby au dix-neuvième siècle. Darby (photo, ci-dessus) croyait que les destinées d’Israël et de l’Église chrétienne, ordonnées par Dieu, étaient complètement séparées, cette dernière devant être physiquement « enlevée » — élevée à la rencontre de Jésus — avant la période de bouleversements prédite dans l’Apocalypse, appelée la Grande Tribulation.

Selon Darby, la Grande Tribulation commencera après la construction du troisième Temple juif sur le Mont du Temple à Jérusalem. Pendant la Grande Tribulation, selon cet enseignement, 144 000 Juifs se convertiront au christianisme, ce qui leur révélera les véritables intentions de l’Antéchrist. Ils deviendront ainsi l’épicentre de la conversion à la foi chrétienne de tous les incroyants qui n’auront pas été enlevés.

Ce sont ces 144 000 juifs convertis qui rencontreront l’Antichrist lors de la bataille finale appelée Armageddon et qui vaincront l’Antichrist. Après cette bataille, les sept années de tribulation prendront fin et Jésus reviendra pour emprisonner Satan et établir un royaume messianique de mille ans sur la Terre.

Malgré son absurdité et l’absence de toute référence dans la Bible, le concept de transfert physique des chrétiens au ciel à la veille de l’Armageddon a été adopté avec enthousiasme par certaines églises en Angleterre et surtout aux États-Unis.

L’approche de Darby en matière d’eschatologie chrétienne coïncide avec des développements similaires dans le domaine de l’eschatologie juive, à savoir les idées du rabbin Zvi Hirsch Kalisher (illustration ci-dessus) et la création d’une nouvelle branche du messianisme juif. Ses représentants estimaient que les Juifs devaient œuvrer activement pour hâter la venue de leur messie en immigrant en Israël et en construisant le troisième temple sur le site du mont du Temple à Jérusalem, où se trouve la mosquée Al-Aqsa.

Darby lui-même a voyagé à travers l’Amérique du Nord et plusieurs autres pays pour populariser ses idées, rencontrant plusieurs pasteurs influents dans le monde anglophone. Parmi eux, James Brooks, le futur mentor de Cyrus Scofield (photo, ci-dessus), qui diffusera plus tard le concept, et dont l’interprétation sera publiée à grand tirage aux États-Unis et connue sous le nom de Scofield Bible.

Un autre personnage influencé par la doctrine de Darby fut le prédicateur américain Charles Taze Russell (photo, ci-dessus), dont l’église donna plus tard naissance à plusieurs sectes différentes, y compris les Témoins de Jéhovah (une organisation dont les activités sont interdites dans la Fédération de Russie). Des décennies avant la fondation du sionisme politique moderne, Russell a commencé à prêcher — non seulement aux chrétiens, mais aussi aux juifs des États-Unis et d’ailleurs — la nécessité d’une immigration juive massive en Palestine.

En 1891, Russell a écrit une lettre à Edmond de Rothschild, membre de la famille bancaire Rothschild, ainsi qu’à Maurice von Hirsch, riche financier allemand d’origine juive, pour leur faire part de son projet de colonisation de la Palestine. Il décrit son projet comme suit : « Ma proposition est que de riches Juifs achètent à la Turquie, à une juste valeur, tous ses droits de propriété sur ces terres, c’est-à-dire toutes les terres publiques (terres n’appartenant pas à des propriétaires privés), à condition que la Syrie et la Palestine soient constituées en États libres ».

Le livre « L’État juif » de Theodor Herzl, considéré comme le fondateur du sionisme, n’a été publié qu’en 1896.

Le prédicateur américain William E. Blackstone, fortement influencé par Darby et d’autres dispensationalistes de l’époque, a également passé des décennies à promouvoir l’immigration juive en Palestine comme moyen d’accomplir les prophéties bibliques. Ses efforts ont abouti à la Blackstone Memorial Petition, qui appelait le président des États-Unis de l’époque, Benjamin Harrison, et son secrétaire d’État, James Blaine, à prendre des mesures « en faveur du retour de la Palestine aux Juifs ».

Parmi les signataires de la pétition figuraient les banquiers J. D. Rockefeller et J. P. Morgan, le futur président des États-Unis William McKinley, le président de la Chambre des représentants Thomas Brackett Reed, le juge en chef Melville Fuller, les maires de New York, Philadelphie, Baltimore, Boston et Chicago, les rédacteurs en chef du Boston Globe, du New York Times, du Washington Post et du Chicago Tribune, ainsi que des membres du Congrès, des hommes d’affaires influents et des membres du clergé.

Bien que certains rabbins figurent parmi les signataires, la plupart des communautés juives américaines s’opposent au contenu de la pétition. En d’autres termes, l’objectif premier du sionisme, avant même qu’il ne devienne un mouvement, était largement soutenu par l’élite chrétienne américaine.

L’essor moderne

Pourtant, pendant la première moitié du 20e siècle, le sionisme chrétien n’était pas très répandu ni très influent aux États-Unis.

Cependant, le prédicateur Billy Graham, qui entretenait des relations étroites avec plusieurs présidents, dont Dwight Eisenhower, Lyndon Johnson et Richard Nixon, est entré dans l’arène. Enfin, le dispensationalisme entre dans le courant dominant du discours politique américain avec le prédicateur évangélique Jerry Falwell (photo, ci-dessous), qui fonde la Moral Majority en 1979.

Hal Lindsey est un autre dispensationaliste de premier plan qui exerce une grande influence politique et littéraire. Ronald Reagan a été tellement touché par ses livres qu’il l’a invité à prendre la parole lors d’une réunion du Conseil de sécurité nationale sur les plans de guerre nucléaire et en a fait un conseiller influent auprès de plusieurs membres du Congrès et de responsables du Pentagone.

Aujourd’hui encore, le parti républicain s’appuie fortement sur les sionistes chrétiens pour obtenir de l’argent et des votes. Ils exercent une profonde influence sur l’idéologie du parti.

Aujourd’hui, les sionistes chrétiens aux États-Unis ont plusieurs noms. Certains les appellent le « lobby de l’Armageddon », d’autres l’« AIPAC chrétien » (American Israel Public Affairs Committee).

Les sionistes chrétiens eux-mêmes sont environ 20 millions aux États-Unis, et ils parrainent la migration des Juifs vers Israël depuis l’Éthiopie, la Russie, l’Ukraine et d’autres pays. Ils sont en fait plus nombreux que les Juifs ethniques dans le monde, bien que tous les Juifs ne soutiennent pas le sionisme.

Sous l’administration de George W. Bush Jr. et surtout à la veille de l’invasion américaine de l’Irak en 2003, l’administration a également été fortement influencée par les sionistes chrétiens sous la forme de néoconservateurs. Lors d’une interview accordée à 60 Minutes en octobre 2002, Jerry Falwell a même déclaré : « Je pense que nous pouvons désormais compter sur le président Bush pour faire ce qu’il faut pour Israël à chaque fois ».

Falwell faisait référence aux actions du président Bush en avril 2002, lorsqu’il a fermé les yeux sur les actions israéliennes en Cisjordanie lors de l’opération « Mur de protection ». Falwell a rencontré le président Bush à plusieurs reprises au cours de son premier mandat, notamment pour discuter du soutien des États-Unis à Israël. Selon lui, les opinions du président sur Israël correspondaient aux siennes.

Les sionistes chrétiens ont également contribué à l’éviction du député démocrate Jim Moran, qui a laissé entendre que le lobby juif l’avait fait au profit d’Israël. Enfin, le Congrès apostolique et le groupe Americans for a Secure Israel ont fait échouer le plan de Bush visant à résoudre le conflit entre Israël et les Palestiniens en inondant la Maison Blanche de pétitions.

Il existe également aux États-Unis une organisation appelée United Christians for Israel, fondée en 2006 par le pasteur John Hagee (photo, ci-dessus) et qui compte plus de sept millions de membres. Elle compte parmi ses membres l’ancien chef de la CIA et secrétaire d’État Mike Pompeo, l’ancien vice-président Mike Pence et le faucon bien connu John Bolton. Tous ont été très actifs pendant la présidence de Donald Trump.

Lors d’un discours au Kansas en 2015, Pompeo a ouvertement déclaré qu’il croyait à « l’enlèvement des chrétiens » et a déclaré dans une interview qu’en tant que chrétien, il pensait que « Dieu a choisi Trump pour aider à sauver les juifs de la menace de l’Iran. »

Ce sont les sionistes chrétiens qui ont fait pression sur Donald Trump pour qu’il reconnaisse Jérusalem comme capitale d’Israël et sa souveraineté sur le plateau du Golan occupé. Le pasteur Robert Jeffress, de la First Baptist Church de Dallas et partisan de Trump, a dirigé une prière pour la paix à Jérusalem lors du déménagement de l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv le 14 mai 2018. Il a qualifié cet événement de « capital dans la vie de votre nation et dans l’histoire de notre monde ».

Une autre entité américaine, Proclaiming Justice for the Peoples, défend également les intérêts d’Israël. Fin octobre 2023, elle a commencé à demander la démission du Secrétaire général de l’ONU pour avoir critiqué les actions d’Israël à l’égard des Palestiniens.

Comme on peut le voir, la question du soutien à Israël a une histoire plus longue et plus complexe que sa création en 1948.

Alors que de nombreux juifs nient l’existence même de l’État d’Israël, qu’ils considèrent comme une violation des commandements talmudiques (par exemple, le mouvement hassidique Naturei Karta), les adeptes des confessions chrétiennes soutiennent ardemment Israël et justifient toutes les actions de son gouvernement, y compris la répression des Palestiniens.

Les protestants américains, qui lient le sort d’Israël à leur vision eschatologique du monde, jouent bien entendu un rôle considérable à cet égard. Et parmi eux se trouvent des personnalités politiques influentes qui prennent des décisions sur la politique étrangère des États-Unis.

Traduction par Robert Steuckers




Messie ou Antéchrist ?

[Source : conscience-du-peuple]



Comment reconnaîtrons-nous Machiah le moment venu ? — Rav Ron Chaya

https://youtu.be/oKoCVaW027Q



La réinitialisation mondiale pour un appauvrissement mondial

[Source : telegra.ph]

Par Enrique Refoyo, Politologue, docteur en géographie militaire et géopolitique, traducteur et journaliste, Espagne

Bonjour, chers collègues. Je suis très reconnaissant de l’occasion qui m’est donnée de m’exprimer dans le cadre de ce forum. J’espère que l’année prochaine, je pourrai être présent à Chisinau, une ville magnifique dans laquelle j’ai séjourné il y a quelques années.

Je voudrais commencer par un exemple espagnol qui, à première vue, peut sembler absurde et inutile, mais qui est également révélateur de la réalité dans laquelle nous vivons.

Vous savez peut-être que l’équipe nationale espagnole de football féminin a récemment remporté la Coupe du monde. Ce grand succès sportif devrait faire la une de l’actualité internationale. Cependant, nous ne vivons pas dans un monde de gagnants, mais d’éternelles victimes. L’excuse pour lancer une opération psychologique complète de distraction massive de la part de l’oligarchie politique et de ses médias contre tous les Espagnols était due à un comportement général regrettable du président de la Fédération royale espagnole de football. Le comportement spécifique qui a servi de détonateur à cette opération de l’establishment a été un petit baiser entre ledit président et une joueuse de l’équipe nationale espagnole.

Dès lors, nous avons assisté à une escalade sans fin, où toutes les branches du système, ses médias et ses associations connexes ont lancé une campagne de criminalisation sans précédent, appelant non seulement à la démission du président, mais aussi à son emprisonnement en tant que violeur le plus infâme de l’univers. Les manifestations féministes n’ont pas tardé, et dans le même temps, des réponses dissidentes à la situation se sont élevées. Certaines personnes se sont demandé pourquoi l’establishment, sous le déguisement de féministes, n’est pas venu protester contre la dizaine de cas réels de viols qui se sont produits en Espagne parallèlement à l’affaire des médias (« le baiser »). S’ils sont si préoccupés par les violeurs, pourquoi ne protestent-ils pas contre les cas réels ? Ah, oui, c’est vrai, le système ne cherche que des cas concrets qui favorisent sa propre histoire et oublie le reste.

Autrefois, on disait que l’establishment offrait toujours « du pain et des jeux ». Eh bien, en Espagne, il n’offre que les jeux. Du pain uniquement pour leurs collègues des partis politiques. Et pour les autres… seulement l’oubli et la misère. Il se trouve que les prix des denrées alimentaires et des carburants, les loyers et les prêts hypothécaires continuent d’augmenter. Et l’« establishment » ne se préoccupe que de créer davantage d’impôts pour payer les nouvelles représentations des jeux du cirque. L’équipe de clowns publics ne cesse de s’agrandir. Et là, de plus en plus de dissidents se demandent où est l’oligarchie politique lorsqu’il s’agit de poursuivre les vrais criminels ou de s’attaquer aux problèmes qui touchent les travailleurs. Elle n’est tout simplement pas là, et on ne s’attend pas à ce qu’elle le fasse.

À partir de cet exemple actuel, examinons la ligne historique des événements. Il s’avère qu’au cours de ces 23 années du 21e siècle, nous avons assisté à une augmentation brutale du nombre d’affaires traitées par les médias du système contre le peuple. Ces affaires sont présentées comme la quintessence des prophéties politiques et visent à consolider ce qu’ils appellent le « consensus social ». Un consensus qui repose sur le fait que les gens doivent avaler la version officielle du moment. Sinon, ils deviennent de terribles et méchants « négationnistes ». C’est ainsi que le terme « tragacionista » (avaleur) est apparu en Espagne pour désigner les personnes qui avalent l’histoire officielle, quelle qu’elle soit. Ces avaleurs sont ceux qui attaquent leurs compatriotes pour défendre les politiciens de leur propre parti politique.

La bataille n’est pas perdue. Au contraire, elle est de plus en plus contestée, car le système organise des opérations psychologiques de plus en plus absurdes et éloignées de la réalité. Ils savent que les gens souffrent de la réalité, et les politiciens le leur disent : Qui allez-vous croire, vos yeux ou l’histoire officielle ? Il y a de plus en plus de dissidents, parce que la réalité est de plus en plus précaire et que le cirque politique est de plus en plus intense. La polarisation sociale continue de s’accentuer.

D’un autre côté, approfondissons les questions qui mettent les gens en colère et les transforment en « négationnistes » de l’establishment. On parle beaucoup de l’Agenda 2030 et de cette phrase : « Vous n’aurez rien et vous serez heureux ». Lorsque je l’ai entendue, j’ai réalisé que cet agenda n’est pas apparu en 2020, mais qu’il préparait le terrain depuis les années 2010 (au moins). Au cours de la dernière décennie, on parlait déjà du précariat, de la romantisation de la pauvreté comme moyen de la normaliser. Les médias de l’establishment parlaient de nouvelles tendances, de nouvelles modes : Faire les poubelles n’est pas synonyme de pauvreté, c’est profiter des opportunités. Ne pas sortir de chez soi n’était pas non plus synonyme de pauvreté, mais une occasion de se détendre. Partager une maison avec des inconnus n’était pas la pauvreté, mais l’occasion de faire de nouvelles rencontres…

Ensuite, on observe et on assemble les pièces du puzzle : Les membres de l’« establishment » peuvent non seulement profiter de tous les luxes, mais c’est aussi un sujet d’actualité et un motif d’admiration pour les médias. Mais les autres, les gens normaux, doivent accepter de vivre avec des restrictions parce que… [ils donneront toujours une raison fondée sur la peur pour justifier le contrôle social]. Par exemple, le changement climatique. C’est le problème des « avaleurs » en 2023. En 2022, c’était la guerre (en Ukraine). En 2021, c’était les vaccins. Et en 2020, la pandémie. Nous avons connu quatre années consécutives de dénigrement massif de la part de l’establishment. Que nous réserve l’année prochaine ? En Espagne, on parle de se préparer à de nouvelles fermetures, soit à cause d’une nouvelle pandémie, soit à cause du changement climatique. Oui, ils parlent déjà de « lockdowns climatiques ». Tout cela, bien sûr, pour des raisons de « science scientifique », très bien fondées.

Quoi qu’il en soit, après avoir comparé les gros titres avec la réalité des faits, après cette diffusion de l’« agenda 2030 » (nom de code pour « la grande réinitialisation »), il n’y a que trois phases :

1) Normalisation de la pauvreté

2) Justification de la pauvreté

3) Obligation de pauvreté

En Europe, nous sommes déjà dans la phase 2. D’autres continents, comme l’Amérique du Sud, en sont encore à la phase 1. Dans tous les cas, l’agenda progresse régulièrement et intègre même régulièrement la normalisation du transhumanisme et des monnaies numériques qui, ensemble, constitueraient le contrôle financier à distance de la population. Le système contrôlerait ce à quoi l’argent est dépensé, si vous pouvez le dépenser ou non, voire sa saisie en cas de protestation contre le système (pour les « négationnistes »)…. Nous l’avons déjà vu au Canada avec le « progressiste » Justin Trudeau [dans l’affaire du convoi de camionneurs pour la liberté, NDT].

Il y a d’autres actions que l’on voit en Espagne pour créer de la pauvreté : Destruction des barrages (importance de l’eau et de l’énergie), démolition des centrales électriques (thermiques et nucléaires), destruction de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche, fermeture ou inaction dans l’exploitation minière…. En fait, le gouvernement et l’opposition s’entendent pour nous priver de nos moyens de subsistance afin de nous conduire au sous-développement. Avec ces actions, s’il y a moins de stockage d’eau et moins d’énergie disponible, alors ils auront une excuse plus forte pour dire que nous sommes forcés de suivre un « verrouillage climatique », et ajouté à une monnaie numérique, imaginez : L’establishment contrôlera en temps réel et de manière absolue toute l’eau, l’énergie et les biens que nous dépensons.

Il est vrai que l’« establishment » dispose de fonds gigantesques pour acheter des volontés, pour acheter des mercenaires dans la société. Mais ils ne peuvent pas non plus acheter tout le monde, ni dissimuler la vérité avec de l’argent. Comme je l’ai dit dans d’autres forums, nous sommes la dernière génération. Si nous échouons, il ne restera qu’un système de techno-esclavage dont il sera impossible de s’échapper. Oui, nous pourrons choisir notre sexe parmi de nombreuses options, mais aucune de ces options ne consistera à changer le système, mais à l’accepter et à être une marionnette inoffensive dans la chaîne de production et de consommation. La seule chose qui reste est de lutter jusqu’à la victoire de l’humanité réelle :

Nous devons être conscients de la réalité et l’affronter avec tous les moyens dont chacun d’entre nous dispose. Le peuple est la majorité et l’establishment et ses mercenaires sont une minorité. Avec la vérité entre nos mains, nous les vaincrons. Ils veulent faire la grande réinitialisation, et nous les confronterons au grand réveil.






Un point de vue sur les prophéties

[Extrait de numidia-liberum]

Rituel satanique de sacrifice humain de masse

Tout d’abord, quelques informations essentielles pour bien comprendre la tradition hébraïque unique de la prophétie biblique et l’accomplissement ultérieur.

« Les Écritures sacrées se transforment en écritures profanes »

Par Historiens révisionnistes pour la paix mondiale

Les affaires banales de l’humanité sont souvent contrôlées par des prophéties scripturaires énigmatiques et d’obscures prédictions calendaires. La plupart de ces prophéties séculaires et des prédictions qui les soutiennent ont été transmises à l’origine par le biais d’anciennes traditions orales. Lorsqu’elles arrivaient, elles étaient ensuite écrites sur des rouleaux et sur des tablettes. De cette façon, on pourrait s’y référer à des moments critiques pour impressionner les générations futures de la puissance et de la véracité impressionnantes des prophètes. Finalement, toutes les prophéties importantes furent enregistrées par les scribes, tout comme les prédictions les plus importantes furent préservées par les astrologues.

*Il y a un vieux dicton paraphrasé comme suit :

L’autorité religieuse l’emporte toujours sur le pouvoir financier/économique, qui à son tour l’emporte toujours sur l’influence politique ; Le pouvoir et l’influence politiques, à leur tour, l’emportent toujours sur la force militaire.

Ce que l’on sait peu, c’est que les principales traditions monothéistes du monde judéo-chrétien-islamique avaient chacune leurs propres agendas respectifs en ce qui concerne leur prophétie de la fin des temps. Au fil des millénaires, la « prophétie de la carotte et du bâton » est devenue un outil très utile pour garder la congrégation sous contrôle, ainsi que des populations entières sous contrôle. À mesure que les villes surgissaient des plaines et parsemaient les côtes, l’immoralité et les méfaits augmentaient. La classe dirigeante se tournait de plus en plus vers les prophètes et les astrologues pour obtenir l’intercession divine.

Pour ces raisons et d’autres encore, les programmes prophétiques de certains royaumes sont devenus plus intéressés et manipulateurs au fil du temps. Dans certains contextes historiques, ils sont devenus carrément exploiteurs et oppressifs. Le genre tout entier des sociétés secrètes s’est développé en réponse à ce type d’abus et d’utilisation abusive de l’influence prophétique, des connaissances occultes et du pouvoir mystique. Peu à peu, la tension sociétale qui en a résulté a évolué vers une polarité toujours présente qui s’est encore concrétisée dans les conflits nombreux et divers de cette ÈRE DE CONFLIT actuelle.

Le point clé ici est que certaines des organisations religieuses les plus tribales et les plus contrôlantes, issues de ce contexte toujours polarisant, ont utilisé à la fois la prophétie et la prédiction d’une manière peu honorable. Dans certains lieux et à certaines époques, les prophéties étaient effectivement prononcées et/ou écrites afin qu’elles puissent ensuite se réaliser. Dans ces cas-là, les « prophètes » choisis par la cabale au pouvoir, qui avaient fabriqué la prophétie, étaient également en mesure de garantir leur manifestation… à un jour donné et dans un lieu spécifique. De même, de nombreux astrologues de cour sont connus pour utiliser leurs « pouvoirs » de la même manière. De cette manière hautement scénarisée, les rois et les reines devinrent des dieux et des déesses ; les prêtres et les prophètes sont devenus des divinités.

Parce que la tradition judaïque est la plus ancienne des trois principales religions occidentales, elle a eu le plus long temps pour que des « opportunités » se présentent dans lesquelles « les Écritures sacrées se transforment en écritures profanes ». C’est là que réside le nœud de cet essai. Le pouvoir prédictif intégré aux Écritures juives et au calendrier hébreu est désormais incontestable.

Encore une fois, ce qui est présenté ici est l’idée selon laquelle les auteurs de la prophétie ont assuré, à travers leur future lignée religieuse, que les déclarations prophétiques se réaliseraient… exactement telles qu’elles sont écrites. Parce que les prophéties (et prédictions) étaient littéralement conçues et planifiées à l’avance, elles pouvaient être correctement exécutées au moment convenu et au bon endroit. De cette façon, les prophètes et les auteurs sont devenus partenaires dans un complot multimillénaire visant à emprisonner l’humanité soit dans un pénitencier financier, soit dans une plantation économique, soit dans les deux.

[Traduction de https://stateofthenation.co/?p=193985]




Le projet Red Heifer : le gouvernement israélien fait partie du plan de construction du troisième temple à Al-Aqsa

[Source : mintpressnews.com via numidia-liberum]

[Illustration par MintPress News]

Par Jessica Buxbaum

Depuis 1967, les non-musulmans sont autorisés à visiter Al-Aqsa, mais pas à prier sur le lieu saint. Pourtant, ce statu quo s’érode rapidement depuis quelques années, car des groupes de colons juifs israéliens travaillent aux côtés du gouvernement pour prendre le contrôle de l’enceinte.

Selon la loi juive, les cendres d’une génisse rouge (jeune vache femelle) doivent être dispersées sur le Haram al-Sharif avant que les Juifs puissent y monter et reconstruire le troisième temple. Alors que la recherche d’une génisse rousse a longtemps été considérée comme une initiative marginale mise en avant par les activistes du Mont du Temple, de nouvelles recherches révèlent que le gouvernement israélien est désormais impliqué dans cette entreprise.

Selon l’organisation à but non lucratif Ir Amim, basée à Jérusalem, les autorités gouvernementales israéliennes ont aidé le groupe d’activistes du Mont du Temple, l’Institut du Temple, et Boneh Israel, une organisation évangélique, à importer cinq vaches des États-Unis l’année dernière pour les utiliser dans le sacrifice de la génisse rouge.

Le ministère de l’Agriculture aurait aidé à contourner la réglementation en vigueur afin d’importer les vaches vivantes des États-Unis, ce qui est interdit. Dans un communiqué de presse, Boneh Israel et l’Institut du Temple affirment avoir reçu l’autorisation d’importer les vaches par l’intermédiaire du ministère de l’Agriculture.

Le ministère des Affaires et du Patrimoine de Jérusalem a également contribué au projet. Le directeur général du ministère, Netanel Isaac, a révélé dans un discours prononcé lors de la cérémonie d’accueil des vaches en septembre 2022 que l’agence a financé le développement de la zone du Mont des Oliviers où les activistes du Mont du Temple prévoient d’initier le sacrifice rituel de la génisse rouge. En outre, le ministère participe au transfert des vaches vers un centre d’accueil et une ferme créés pour le projet des génisses rouges sur le site archéologique de Tel Shiloh, en Cisjordanie occupée. Actuellement, les vaches sont détenues dans un kibboutz (communauté juive) de la vallée du Jourdain. Toutefois, l’une des vaches se trouverait déjà au centre de recherche de la colonie israélienne.

Ir Amim a souligné que si ce projet est mené par les dirigeants israéliens actuels, l’aide gouvernementale a en fait commencé sous le précédent gouvernement des anciens premiers ministres israéliens Yair Lapid et Naftali Bennett, qui était considéré comme plus modéré et politiquement plus diversifié que la coalition actuelle de Benjamin Netanyahou.

Aviv Tatarsky, chercheur principal d’Ir Amim sur le terrain, a expliqué qu’il y a seulement 15 ans, l’idée que les Juifs prient au Haram al-Sharif était une notion radicale promue par les extrémistes de droite. Aujourd’hui, elle est fermement ancrée dans le courant dominant israélien.

« Le changement, c’est que les idéologies nationalistes et fondamentalistes sont dominantes dans la société israélienne », a déclaré M. Tatarsky. « Elles ont gagné la société israélienne ».

Les ministères israéliens concernés et l’Institut du Temple n’ont pas répondu aux demandes de commentaires. Boneh Israel n’a pas pu être joint avant la date limite.

Des implications dangereuses

Bien que le gouvernement israélien se soit engagé à maintenir le statu quo à Al-Aqsa, les colons impliqués dans le projet de la génisse rouge soulignent que l’objectif est l’ascension des Juifs sur le Haram al-Sharif afin de reconstruire le Troisième Temple — ce qui implique la destruction du Dôme du Rocher.

Alors que les colons juifs sont de plus en plus nombreux à prendre d’assaut le Haram al-Sharif, de nombreux rabbins l’interdisent aujourd’hui, car l’ancienne loi juive stipule que les cendres de la génisse rouge sont nécessaires pour purifier la zone avant que les juifs ne puissent y monter. Pour cette raison, la plupart des juifs religieux ne pénètrent même pas dans l’enceinte, et ceux qui le font ne peuvent marcher que sur certaines parties. Avec le rituel de la génisse rouge, le nombre de juifs prenant d’assaut Al-Aqsa pourrait alors se multiplier.

Abdallah Marouf, professeur d’histoire islamique à l’université 29 Mayis d’Istanbul et ancien responsable des médias à la mosquée Al-Aqsa, a déclaré à MintPress News : « Cela pourrait conduire à des centaines de milliers de Haredis [juifs ultra-orthodoxes] ou de Séphardis [juifs espagnols] qui pourraient pénétrer dans la mosquée et provoquer une véritable guerre de religion ».

La police israélienne escorte Itamar Ben-Gvir, au centre, et un groupe d’extrémistes juifs alors qu’ils pénètrent dans le Noble Sanctuaire, dans l’enceinte de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem.
Mahmoud Illean | AP

Des personnalités impliquées dans cette initiative ont déclaré aux médias que le but ultime du projet était de reconstruire le troisième temple, détruit par les Romains en 70 de l’ère chrétienne.

« Les prophéties se sont réalisées et les Juifs sont de retour en Israël », a déclaré au Jerusalem Post Byron Stinson, responsable de l’élevage du bétail et de son acheminement à Tel-Aviv.

« Ils doivent maintenant construire un temple. Mais c’est comme acheter une très belle voiture. Si vous n’avez pas la clé, vous n’irez nulle part. La génisse rouge est la clé qui permettra au Temple de fonctionner comme il se doit. »

Stinson fait partie de Boneh Israel et a également fondé la Father’s House Foundation, une organisation caritative américaine exonérée d’impôts qui organise des voyages en Israël. Outre la Father’s House Foundation de Stinson, d’autres organisations caritatives américaines exonérées d’impôts sont également impliquées dans ce projet de génisse rouge, comme le P.E.F. Israel Endowments Fund et Biblical Faith, qui acceptent les dons pour l’Institut du Temple. Boneh Israel est soutenu par Reshit, un groupe de colons israéliens dirigé par Tzachi Mamo, une autre personne clé dans le projet des génisses rouges.

Reshit travaille actuellement avec le ministère des Affaires de Jérusalem pour développer le projet « Northern Trail », un itinéraire pédestre touristique allant de la porte de Damas à Sheikh Jarrah et mettant en valeur les maisons des colons et les sites de l’histoire juive. En développant cet itinéraire, l’État et les colons tentent d’effacer l’identité palestinienne en agrandissant les sites israéliens existants. En 2023, l’organisation a reçu 17 635 shekels (environ 4 600 dollars) du ministère israélien de l’Éducation.

M. Mamo a déclaré au Christian Broadcasting Network qu’il avait acheté en 2011 un terrain sur le mont des Oliviers destiné à la célébration du sacrifice de la génisse rouge.

« Nous espérons que dans un an et demi à partir d’aujourd’hui, nous pourrons organiser ici la cérémonie de la génisse rouge qui sera la première étape vers le Temple », a déclaré M. Mamo à CBN.

Selon les documents d’enregistrement foncier examinés par M. Tatarsky d’Ir Amim, le terrain est enregistré sous le nom d’une société inconnue et appartenait à l’origine à des Palestiniens.

En outre, les recherches d’Ir Amim montrent que l’Autorité de développement de Jérusalem travaille actuellement à la construction d’une promenade sur le Mont des Oliviers menant à l’endroit où Mamo a l’intention d’organiser le rituel de la génisse rouge.

Les « visiteurs » israéliens d’Al-Aqsa font partie du projet de troisième temple juif
« Ils ne viennent pas ici pour apprécier l’architecture ou même pour se sentir associés au passé. Non, ils sont tournés vers l’avenir ». — Dr Yousef Nathseh, Al-Aqsa, Israël, colons israéliens, troisième temple,…

Alors que le projet Red Heifer vise à obtenir la souveraineté juive sur Al-Aqsa, M. Marouf est convaincu que le peuple palestinien se battra pour préserver le statu quo, comme il l’a fait par le passé lorsque le caractère sacré d’Al-Aqsa était menacé.

« C’est ce qui se passe aujourd’hui. Toutefois, cela ne signifie pas que cela se produira », a déclaré M. Marouf. « Un élément très important dans cette équation est le peuple palestinien de Jérusalem, qui s’est avéré être le principal obstacle contre les groupes de défense des droits des colons israéliens et le gouvernement israélien. »


Jessica Buxbaum est une journaliste de MintPress News, basée à Jérusalem, qui couvre la Palestine, Israël et la Syrie. Son travail a été présenté dans Middle East Eye, The New Arab et Gulf News.

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Alexandre Douguine : « Essayons de décrire l’un des scénarios possibles d’une nouvelle escalade au Moyen-Orient. »

Par Alexandre Douguine

Essayons de décrire l’un des scénarios possibles d’une nouvelle escalade au Moyen-Orient.

Le soulèvement palestinien commence en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Mahmoud Abbas ne peut contenir la situation et, voyant qu’Israël se livre à un véritable génocide dans la bande de Gaza, les Palestiniens lancent une révolte générale. Les FDI continuent de massacrer des civils dans la bande de Gaza. Dans le monde entier, les élites libérales occidentales pro-américaines qui se prononcent unanimement en faveur d’Israël sont de plus en plus contestées. Le Hezbollah s’implique et des foules d’Arabes de Jordanie franchissent les cordons à la frontière. Les États-Unis lancent des frappes préventives contre l’Iran, qui s’implique de plus en plus dans le conflit, et l’Iran riposte contre Israël. La Syrie entre en guerre et attaque le plateau du Golan. On assiste à une mobilisation rapide de l’ensemble du monde islamique.

Les États islamiques pro-américains — Arabie saoudite, Émirats arabes unis, Qatar, etc. — sont contraints de rejoindre la confrontation aux côtés des Palestiniens. Ils sont rejoints par le Pakistan, la Turquie et l’Indonésie. L’histoire des Talibans envoyant des troupes au Moyen-Orient, qui était une fake news, devient réalité. Les bannières noires du Khorassan sont hissées dans le monde entier.

Les problèmes entre salafistes et traditionalistes, y compris les chiites, passent à l’arrière-plan. Le grand djihad du monde islamique contre l’Occident et Israël commence.

La Russie adopte d’abord une position neutre, mais ne se précipite pas pour soutenir Israël, car elle est en guerre en Ukraine avec l’Occident, qui à son tour est complètement du côté d’Israël.

À un moment donné du soulèvement à Jérusalem-Est, les Palestiniens proclament la nécessité de boucler la mosquée Al-Aqsa pour la protéger des forces de défense israéliennes. La mosquée Al-Aqsa a été mentionnée au début du soulèvement dans la bande de Gaza — le déluge d’Al-Aqsa. Israël, au cours de la lutte contre les milices palestiniennes armées et en état de légitime défense, lance une attaque à la roquette sur la mosquée. Elle s’effondre. La voie vers la construction du troisième temple est dégagée. Mais… un milliard de musulmans, dont 50 millions (officiellement) se trouvent en Europe, se soulèvent maintenant en Occident même. Une guerre civile éclate en Europe. Certains Européens sont du côté des LGBT, de Soros et des élites atlantistes, tandis que d’autres font alliance avec les musulmans (sur le modèle d’Alain Soral) et rejoignent la révolution antilibérale.

Les États-Unis utilisent des armes nucléaires tactiques contre l’Iran. La Russie lance une frappe nucléaire tactique contre l’Ukraine, qui cherche à s’accrocher à l’Occident à tout prix et provoque Moscou de toutes les manières possibles.

La troisième guerre mondiale éclate avec l’utilisation d’armes nucléaires tactiques. La Russie se décide enfin à se ranger du côté des musulmans. Les dispensationalistes1 américains réalisent que l’heure est venue. La Russie attaque — bien qu’indirectement — Israël. Gog est là. Dans la vision russe, l’Occident est sous la domination directe de l’Antéchrist. De nombreux dirigeants mondiaux meurent, de nouveaux apparaissent avec des convictions beaucoup plus radicales.

La Chine attaque Taïwan, détournant ainsi l’attention des États-Unis et de l’OTAN vers une nouvelle cible. L’Inde s’abstient d’apporter le soutien direct sur lequel les États-Unis comptent. Le soir de l’histoire cesse d’être languissant.

Les féministes, les homosexuels et les écologistes réclament la fin de tout cela, mais personne ne les écoute.

L’Occident est contraint de se battre contre tout le monde au nom d’un objectif qu’il ne peut plus formuler — toutes les vieilles thèses sur les « droits de l’homme », la « société civile » et autres incantations ont disparu dans la dure réalité de la mort totale qui s’annonce. Elon Musk admet qu’il a complètement cessé de comprendre ce qui se passe.

Israël commence, sous les coups de boutoir de toutes parts, à construire le Troisième Temple. Seul Moshiach peut sauver la situation…

C’est ici que le texte de l’analyse prédictive (prophétie) se termine brusquement.


1

Une dispensation est une manière de classer les choses, dans le domaine administratif, systématique ou de gestion. En théologie, ce terme décrit l’administration divine tout au long d’une certaine période ; chaque dispensation est une ère instaurée par Dieu. Le dispensationnalisme est un système théologique qui reconnaît ces ères instituées par Dieu pour la gestion du cosmos. Il a deux caractéristiques principales :
1) il se base sur une interprétation littérale cohérente des Écritures, particulièrement des prophéties bibliques ;
2) il établit une distinction entre Israël et l’Église dans le plan de Dieu. Le dispensationnalisme identifie sept dispensations dans le plan de Dieu pour l’humanité.

Les dispensationnalistes envisagent l’interprétation de la Bible sous un angle littéral, ce qui revient à attribuer à chaque mot son sens le plus courant. Bien sûr, les symboles, figures de style et images sont pris en compte, mais même les symboles et les sens figurés ont un sens littéral. Ainsi, quand la Bible parle de « mille ans » en Apocalypse 20, en l’absence d’indications contraires, les dispensationnalistes interprètent ce passage comme faisant référence à une période littérale d’une durée de 1 000 ans (la dispensation du Royaume).

Il y a au moins deux raisons pour lesquelles l’interprétation littérale est la meilleure interprétation possible des Écritures. D’abord, en termes philosophiques, le sens même du langage requiert d’interpréter les mots littéralement. Le langage a été donné par Dieu afin de nous permettre de communiquer. Les mots sont porteurs du sens. La deuxième raison est biblique : toutes les prophéties concernant Jésus-Christ dans l’Ancien Testament se sont accomplies littéralement, de sa naissance à sa mort et à sa résurrection, en passant par son ministère. Les prophéties étaient littérales. Il n’existe pas d’accomplissement non littéral des prophéties messianiques dans le Nouveau Testament. C’est un argument de poids en faveur de l’interprétation littérale. Sans cette interprétation, il n’y aurait pas de norme objective pour comprendre la Bible et tout un chacun pourrait l’interpréter à sa guise. L’interprétation biblique se réduirait à « ce que ce passage me dit », au lieu de « ce que la Bible dit ». Malheureusement, c’est souvent la manière dont sont menées les études bibliques aujourd’hui.

D’après la théologie dispensationnaliste, il y a deux peuples de Dieu distincts : Israël et l’Église. Les dispensationnalistes croient que le salut s’obtient depuis toujours par la foi : la foi en Dieu dans l’Ancien Testament et, plus spécifiquement, dans le Fils de Dieu dans le Nouveau. Pour eux, l’Église n’a pas remplacé Israël dans le plan de Dieu et les promesses faites à Israël dans l’Ancien Testament n’ont pas été transférées à l’Église. Les promesses de Dieu à Israël dans l’Ancien Testament (une terre, une descendance nombreuse et la bénédiction) auront leur accomplissement final pendant la période de 1 000 ans annoncée en Apocalypse 20. Tout comme Dieu s’intéresse surtout à l’Église à notre époque, il s’intéressera de nouveau à Israël à l’avenir (voir Romains 9-11 et Daniel 9.24).

Les dispensationnalistes classent la Bible en sept dispensations : l’innocence (Genèse 1.1-3.7), la conscience (Genèse 3.8-8.22), la gouvernance humaine (Genèse 9.1-11.32), la promesse (Genèse 12.1-Exode 19,25), la loi (Exode 20.1-Actes 2,4), la grâce (Actes 2.4-Apocalypse 20,3) et le royaume millénaire (Apocalypse 20.4-20,6). Ces dispensations ne constituent pas divers chemins vers le salut, mais des modes d’interaction différents entre Dieu et les hommes. Chaque dispensation comprend un modèle caractéristique de l’œuvre de Dieu parmi les hommes de cette époque :
1) une responsabilité,
2) un échec,
3) un jugement et
4) la grâce d’avancer.

Le dispensationnalisme, en tant que système, se fonde sur une interprétation prémillénariste du retour de Christ et généralement sur une interprétation prétribulationniste de l’Enlèvement. En résumé, le dispensationnalisme est un système théologique qui met l’accent sur l’interprétation littérale des prophéties bibliques, fait la distinction entre Israël et l’Église, et enfin ordonne la Bible en différentes dispensations, ou administrations.

https://www.gotquestions.org/Francais/dispensationalisme.html




Opération al-Aqsa — Un Nouveau 11 Septembre ?

[Source : AVATAR Media]




Zone litigieuse israélienne — Escarmouche localisée ? Ou le début d’un grand cygne noir mondial ?

[Source : brunobertez.com via RI]

Par Simplicius le Penseur

L’irruption en Israël a surpris beaucoup d’entre nous. Mais dans une certaine mesure, il s’agissait d’une escalade attendue depuis longtemps, destinée à amorcer le dénouement du conflit ukrainien, en y atténuant la chaleur.

Il existe de nombreux récits qui circulent sur tout ce qui semble « anormal » à propos de l’attaque du Hamas, donc je ne raconterai pas chaque point ici, car la plupart d’entre vous les ont probablement lus à plusieurs endroits ; des choses comme la brèche très invraisemblable dans les portes et les défenses de haute technologie d’Israël, les échecs sans précédent du Mossad et du Shin Bet, l’invocation étrangement scénarisée de « Pearl Harbor » par Netanyahou, ce qui est très révélateur si l’on considère que Pearl Harbor était également une attaque sous faux drapeau avec le but d’amener les États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale.

Rappelons que le Hamas a été créé en partie ou entièrement par Israël — un fait avoué par plusieurs hauts responsables israéliens — pour faire contrepoids à l’OLP, le groupe politique dominant à l’époque.

Il n’est donc pas exclu qu’un groupe créé par Israël et les services de renseignement occidentaux puisse potentiellement encore être sous leur contrôle ou au moins infiltré au point d’être « orienté » vers la création de certains faux drapeaux nécessaires qui pourraient profiter à Israël dans son ensemble.

Ceci est étayé par de nouvelles preuves qui auraient été révélées selon lesquelles le Hamas utilisait des armes fournies par l’Ukraine, ce qui indiquerait un pipeline d’armes de renseignement occidental assez standard à la manière des Contras, et coll.

L’axe principal selon lequel j’opère est que presque aucun événement mondial ne se produit par pur hasard, en particulier lorsqu’il se produit dans une sphère géopolitiqueconnexe donnée. Et le Moyen-Orient est certainement lié, à bien des égards, à la Russie, à la guerre en Ukraine et à la multipolarité en général.

Passons en revue certaines des raisons potentielles qui pourraient être responsables du déclenchement d’un tel conflit, maintenant comme jamais.

En corollaire au principe général selon lequel rien n’arrive par hasard dans le monde politique des grandes puissances, nous devons rappeler que tout ce qui arrive est généralement lié à, ou se produit comme un sous-produit — direct ou indirect — de la grande puissance ou du dirigeant. De la superpuissance en charge ; très peu de choses peuvent se produire sous leur responsabilité sans leur accord.

Alors, quelles raisons les États-Unis pourraient-ils avoir pour enflammer le Moyen-Orient ?

Nous savons que des progrès majeurs ont été réalisés récemment vers la multipolarité et vers la fracture de l’empire mondial atlantiste. En parallèle, Israël s’acheminait vers une sérieuse normalisation avec l’Arabie saoudite, normalisation qui est maintenant décrite par les initiés comme étant « suspendue pour une durée indéterminée » parce que l’Arabie saoudite exigeait de la part d’Israël diverses concessions envers les Palestiniens — ce qui est désormais une question morte.

À bien des égards, ces réconciliations, rapprochements, normalisations, etc., constituent des évolutions dangereuses pour l’Hégémon. La guerre et les conflits sont les outils les plus efficaces pour contrôler les événements et créer des conditions favorables à la domination, permettant de créer des divisions, d’affaiblir des pays intransigeants, d’évincer leurs dirigeants, etc.

Il faut d’abord rappeler que Benjamin Netanyahou lui-même était confronté à une impopularité croissante dans son pays, avec des rumeurs suggérant depuis longtemps que même le Mossad aidait à organiser des manifestations contre lui (révélé par les fuites du Pentagone au début de cette année).

Passons en revue certaines des raisons potentielles qui pourraient être responsables du déclenchement d’un tel conflit, maintenant comme jamais.

Dans ce cas, nous faisons référence aux États-Unis, le principal hégémon du monde. Cependant, les États-Unis ne sont plus les seuls grands acteurs du bloc, et nous allons donc examiner les raisons possibles que les deux parties pourraient avoir pour déclencher cette flambée.

Alors, quelles raisons les États-Unis pourraient-ils avoir pour enflammer le Moyen-Orient ?

L’une des méthodes les plus couramment utilisées par un leader « homme fort » pour affirmer sa force, regagner du soutien et consolider son pouvoir consiste à fomenter un certain type de conflit qui peut être utilisé pour créer des restrictions « d’urgence » sur les opposants, la suppression du discours politique, etc. Il s’agit évidemment d’une tactique largement utilisée — plus récemment par Zelensky — et qui ne nécessite pas beaucoup d’explications.

On peut facilement imaginer comment un Netanyahou en difficulté chercherait à attiser un conflit pour réorienter son patriotisme et se couvrir de « gloire » en détruisant le Hamas une fois pour toutes, ce qui garantirait son pouvoir et son héritage pour toujours.

En extrapolant cela, il aurait pu y avoir une convergence d’incitations mutuellement bénéfiques. Connaissant la situation de Netanyahou, les États-Unis et le Royaume-Uni ont peut-être décidé de conclure un accord mutuel selon lequel plusieurs oiseaux feraient d’une pierre deux coups. Netanyahou obtient la consolidation de son pouvoir et sa gloire, tandis que les États-Unis et le Royaume-Uni peuvent potentiellement mener une guerre pour affaiblir l’Iran, désormais imparablement ascendant.

Cela nous amène à la prochaine grande motivation. L’une des principales raisons de cette flambée soudaine pourrait être de déclencher une conflagration beaucoup plus importante afin d’affaiblir fatalement l’Iran, qui a récemment acquis une puissance géopolitique démesurée. Il ne s’agit pas là de simples spéculations, mais l’Occident y fait maintenant ouvertement allusion de diverses manières.

Tout d’abord, la nouvelle bombe selon laquelle « l’Iran a aidé à planifier » cette attaque du Hamas.

Si vous vous en souvenez bien, l’Occident s’est efforcé de couper les ailes de l’Iran au cours de l’année écoulée comme jamais auparavant. Cela est dû au fait que l’Iran est devenu de plus en plus dominant au Moyen-Orient, en particulier après tous les rapprochements qui ont eu lieu, et en raison de la manière dont l’Iran a joué un rôle général dans les diverses guerres énergétiques, géopolitiquement — ​​en aidant la Russie en Ukraine, etc. Son pouvoir a énormément augmenté et il est devenu une menace bien trop importante.

En outre, rappelons-le, le théâtre syrien a lentement commencé à s’activer ces derniers temps, en partie à cause de la guerre en Ukraine, en tant que vecteur américain pour affaiblir et diviser les efforts russes. Mais aussi parce que l’Iran a également progressé dans ce domaine, les frappes israéliennes étant moins efficaces et moins fréquentes, tandis que les troupes et les bases américaines subissent de plus en plus d’attaques de la part de mandataires iraniens.

Assad, quant à lui, a également gagné en force, parcourant le monde entier et concluant de nouveaux accords. Il a rencontré le ministre saoudien pour la première fois depuis 2011, s’est rendu en Chine pour la première fois depuis 2004, et bien d’autres exploits similaires.

Vu sous cet angle holistique, nous pouvons en déduire que l’hégémonie américaine pourrait vouloir entraîner le Moyen-Orient dans un vaste conflit afin d’affaiblir ses adversaires de plus en plus forts. Officiellement, ils se présentent comme des artisans de la paix, « aveuglés » par les développements et cherchant à freiner toute escalade.

En fait, les États-Unis viennent d’annoncer l’envoi du groupement tactique du porte-avions USS Gerald R. Ford dans la région de la Méditerranée orientale. Vous n’envoyez pas autant de puissance de feu si vous voulez faire la paix et désamorcer la situation. Sans oublier que des avions-cargo militaires américains C17 ont déjà atterri en Israël, transportant probablement de nouvelles armes.

Il est très facile de voir comment ils pourraient, par exemple, lier l’implication de l’Iran dans les attaques du Hamas à une « menace iranienne croissante » perçue en Syrie, et inclure cela dans une future offensive plus large où des escadrons conjoints israélo-américains pourraient bombarder et affaiblir les forces d’Assad, les infrastructures, etc., pour maintenir la Syrie sous contrôle. Martyanov en parle en détail dans sa nouvelle vidéo, y compris les perspectives militaires spécifiques d’une telle tentative d’attaque contre l’Iran.

Mais bien sûr, selon les menaces de Lindsey Graham ci-dessus, cela pourrait aller beaucoup plus loin. Ils pourraient planifier une guerre entière pour paralyser l’Iran, au moins ses raffineries de pétrole, ce qui paralyserait l’économie iranienne et affaiblirait son influence.

Pepe Escobar discute de ces potentialités dans son nouveau message :

« Pourtant, il y a BEAUCOUP plus.

Le révélateur mort est la rhétorique israélienne du “Pearl Harbor”. Tout le monde sait ce que cela signifie. Le projet Ukraine est mort. Les Maîtres de l’Univers ont donc besoin d’une nouvelle guerre (“contre le terrorisme”) pour mettre le feu à l’Asie occidentale.

Une Asie occidentale pacifique signifie la reconstruction de la Syrie, le redéveloppement de l’Irak et du Liban, de l’Iran et de l’Arabie saoudite dans le cadre des BRICS 11, le partenariat stratégique Russie-Chine respecté et engagé dans toute l’Asie occidentale.

La route maritime du Nord est déjà en vigueur, mettant directement en péril le canal de Suez. L’un des thèmes clés discutés à Valdai au plus haut niveau était la dédollarisation. Tout ce qui précède est un anathème pour les suspects habituels.

Le Mossad et Tsahal pris par surprise relèvent d’un fantasme enfantin. Ils savaient que ça allait arriver. La question est maintenant de savoir si le Hezbollah viendra en ville ».

Les projets qu’il évoque, l’effondrement complet du système dominé par l’Occident, constituent un point charnière clé. Familiarisez-vous à nouveau avec mon article sur le Heartland et pourquoi ce « passage intermédiaire » à travers l’Iran est absolument essentiel pour que l’Hégémon puisse conquérir le monde.

Maintenant que l’Occident est au bord du gouffre, il se peut qu’il fasse tout son possible pour tenter de neutraliser l’Iran une fois pour toutes, ce qui aurait un effet domino sur l’ensemble de la région. La défaite de l’Iran signifierait la chute de la Syrie, ce qui signifierait le retrait de la Russie et la fermeture de ses bases, ce qui signifierait que toute projection de puissance russe dans cette région serait annulée, en particulier maintenant que les routes du nord seront entièrement dominées par l’OTAN, avec l’adhésion de la Finlande et potentiellement de la Suède.

En fin de compte, cela servirait un objectif beaucoup plus vaste : il y a toujours des conceptions dans les conceptions.

Le grand projet ultime tourne autour de la guerre en Ukraine, qui elle-même tourne autour du futur conflit sino-taiwanais.

Il pourrait y avoir diverses raisons pour déclencher ce conflit maintenant, vis-à-vis de l’Ukraine. L’une des principales choses qui me viennent à l’esprit est de créer un écran de fumée massif pour détourner la couverture du conflit ukrainien pendant que l’administration Biden met discrètement en œuvre son plan — dont nous avons longuement discuté dans le dernier rapport — visant à mettre Zelensky sur la glace et à geler la guerre.

Plusieurs articles récents ont montré à quel point l’Ukraine a reçu peu de couverture médiatique ces derniers temps, des graphiques montrant le lent déclin, en particulier depuis que les réalités de l’offensive ratée se sont installées. Aujourd’hui, ce sujet est voué à disparaître complètement du cycle de l’information, remplacé par le conflit israélien croissant. Et des cris d’indignation sans fin face aux atrocités commises — vous connaissez les mêmes que celles perpétrées quotidiennement par les AFU dans le Donbass, qui, d’une manière ou d’une autre, ne parviennent pas à attirer la même attention médiatique.

Quelqu’un m’a récemment demandé — j’oublie si c’était dans la section des commentaires ou dans l’un des sacs postaux — comment j’imagine qu’ils pourront balayer le conflit ukrainien sous le tapis à l’avenir. J’ai donné plusieurs méthodes potentielles, dont l’une était qu’elles pouvaient déclencher un autre nouveau point chaud mondial pour détourner l’attention. J’ai même donné quelques exemples, comme pousser la situation entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie dans quelque chose de plus grand, intensifier les hostilités entre la Serbie et le Kosovo, qui couvent depuis un certain temps déjà ; mais c’est celui-là que je n’avais certes pas prévu.

À bien des égards, c’est le plus brillant de tous. Parce que rien ne justifie l’indignation des médias comme les attaques contre Israël, du moins ce qui semble être des attaques. Les médias ne se soucient pas des Arméniens assassinés, ni de tout autre pays d’ailleurs. Donc, si votre objectif principal est de créer le plus grand écran de fumée médiatique pour détourner complètement l’attention de l’Ukraine, alors c’est celui-là.

Mais je sais à quoi tu penses. Israël pourrait faire un travail de nettoyage « rapide » sur le Hamas et en finir avec cela, en ramenant toute l’attention sur l’Ukraine.

C’est pourquoi, pour que cette théorie fonctionne, il faudrait probablement qu’elle déclenche un conflit plus large, impliquant peut-être l’Iran. Les États-Unis pourraient alors même avoir une excuse pour se débarrasser de l’Ukraine, une excuse qui serait en fait acceptée par les membres du Congrès pro-ukrainiens les plus enragés. Par exemple : « Nous avons dû envoyer tout notre argent pour aider à sauver Israël ». Il est certain que personne au Congrès, propriété américano-israélienne, ne s’inquiéterait ou ne s’inquiéterait du fait que les États-Unis dépensent plutôt leurs fonds réservés à l’Ukraine sur Israël.

Cela pourrait donner à l’administration Biden une excuse valable et défendable pour se débarrasser de l’Ukraine. Gardez à l’esprit que je ne soutiens pas encore pleinement cette théorie comme motivation principale du conflit actuel, mais je la présente comme une théorie potentielle. Moi-même, je ne suis pas encore totalement décidé, car je suis toujours en train de rassembler des données et j’attends que d’autres événements se produisent pour nous fournir des indices.

Les médias nous conditionnent déjà à la réalité selon laquelle les États-Unis devront utiliser leurs stocks de munitions précieusement épuisés pour Israël, en donnant la priorité à leur premier bien-aimé plutôt qu’à leur deuxième nouvellement baptisé. Vous pouvez facilement imaginer l’excuse qui en résulterait à l’avenir : « Nous avions des besoins plus pressants, nous ne pouvions donc plus financer/approvisionner l’Ukraine ! »

L’absolution sera accordée parce que tout le monde au sein de l’establishment américain comprend le caractère sacré et inviolable d’Israël. Comment peut-on reprocher à quelqu’un de donner la priorité à Israël plutôt qu’à l’Ukraine ? C’est tout simplement impensable aux États-Unis.

Vous souvenez-vous que nous venions de discuter dans mon tout dernier article de la possibilité que les États-Unis se débarrassent de l’Ukraine, les laissant sans financement supplémentaire, à la lumière du récent remaniement de la Chambre des représentants ?

Cette nouvelle annonce selon laquelle Biden s’apprête à tenter de faire un don sans précédent de 100 milliards de dollars à l’Ukraine est très intéressante, car elle sent la récompense finale, ou l’envoi. C’est presque comme essayer de « se laver les mains » du conflit avec une dernière tranche de bonne conscience.

La plupart des commentateurs s’accordent cependant sur le fait qu’il s’agirait simplement d’un coup performatif et n’aurait aucune chance d’être adopté, mais c’est peut-être une façon pour Biden de se laver les mains afin de créer l’impression qu’il « a fait tout ce qu’il pouvait », pour pouvoir plus tard ayez cela dans le cadre de sa défense lorsque l’Ukraine tombera inévitablement et qu’il sera confronté à des critiques mettant fin à sa carrière. Il peut dire :

« Vous voyez, j’ai fait de mon mieux pour les sauver, j’ai promis 100 milliards de dollars, mais ces républicains gâteurs m’ont bloqué ».

Alors, cela pourrait-il être le début de quelque chose de grand destiné à effacer l’ardoise de l’Ukraine et peut-être même conduire à un autre « événement » qui changerait le monde et permettrait à l’establishment d’annuler/voler les élections de 2024

Rappelons que le grand faux drapeau du Covid a également commencé vers la période de novembre de l’année, juste avant le cycle électoral, c’est-à-dire fin 2019.

Enfin, certaines rumeurs effrayantes semblent suggérer que les néoconservateurs pourraient tout mettre en œuvre et exécuter une nouvelle série de fausses bannières à la manière du 11 septembre aux États-Unis pour amener l’Amérique entièrement dans une guerre contre l’Iran

Ce n’est pas invraisemblable ; Les néoconservateurs ont peut-être fait leurs propres calculs pour conclure que s’ils n’éliminent pas l’Iran maintenant, les États-Unis sont condamnés. Cela pourrait être le début d’une conflagration géante qui satisferait certaines des pires prophéties pour 2024, à savoir l’absence d’élections et un nouvel événement mondial du Cygne noir semblable au Covid du dernier cycle électoral.

Mais passons maintenant à l’autre possibilité principale.

Et si, au contraire, tout cet événement était une orchestration de l’Iran ou du bloc dirigé par la Russie ?

Il y a certainement une multitude de raisons pour lesquelles cela pourrait être le cas, la moindre d’entre elles étant le fait que l’Iran reconnaît que les États-Unis (et l’Occident) sont désormais au plus bas parce qu’ils se sont désarmés au profit de l’Ukraine.

Nous avons déjà vu ces derniers temps l’inquiétude urgente des membres du Congrès selon laquelle les États-Unis ne disposent pas de suffisamment d’armes pour Taïwan et doivent à l’avenir choisir entre l’Ukraine et la Chine. Aujourd’hui, l’Iran aurait pu choisir d’ouvrir un nouveau front majeur à un moment critique, alors que les États-Unis sont tiraillés entre leurs diverses exigences géopolitiques.

Un autre aspect qui pourrait indiquer cela est l’apparent excès de confiance affiché par le Hamas. La plupart des commentateurs ne parviennent pas à comprendre pourquoi le Hamas semble agir avec autant de présomption alors que — sur le papier — l’armée israélienne les domine largement. Je fais référence, par exemple, au fait que le Hamas aurait rejeté tout cessez-le-feu parce qu’il avait l’intention d’« aller jusqu’au bout ».

Au moment où nous parlons, les derniers rapports affirment que plus de 100 000 soldats israéliens se dirigent vers Gaza :

Il semble inconcevable que le Hamas puisse lancer une telle opération sans contingence, surtout si l’Iran aidait à la planifier. Nous savons que le Hezbollah a déjà déclaré qu’il interviendrait si l’armée israélienne entrait à Gaza.

Il est intéressant de noter que Erdogan a également lancé un avertissement direct aux États-Unis :

Rappelons qu’il y a seulement quelques jours, les États-Unis ont abattu un drone turc très coûteux et haut de gamme au-dessus de la Syrie, alors que ce drone aurait failli bombarder les forces américaines. De tels développements semblent témoigner d’un vaste conflit couvant.

Beaucoup pensent désormais qu’Israël est sur le point de tomber dans un « piège » tendu par l’Iran — par lequel il entrerait à Gaza et demanderait au Hezbollah d’ouvrir un deuxième front. Le Hamas aurait déjà détruit une grande partie du Dôme de Fer d’Israël avec ses propres « fusées-bouteilles » bon marché, et aurait ainsi ouvert la voie au Hezbollah pour démolir Israël avec une véritable puissance de feu fournie par l’Iran sous la forme de SRBM lourds et de drones, etc.

Le plan pourrait alors être secrètement soutenu par l’ensemble du bloc russe, sachant qu’un conflit d’une telle ampleur pourrait grandement bénéficier à la Russie et même à la Chine de diverses manières.

La première et la plus évidente est que cela détournerait toute l’attention des États-Unis de l’Ukraine, les obligeant à se concentrer sur la lutte contre l’Iran et ses puissances régionales, ce qui permettrait à la Russie d’en finir rapidement avec une Ukraine abandonnée.

Deuxièmement, et pour répondre au premier point ci-dessus, tout conflit de ce type ferait exploser les prix du pétrole, qui sont déjà estimés à 150 dollars le baril à l’avenir. Cela conduirait la Russie à faire exploser les bénéfices déjà exorbitants des combustibles fossiles, non seulement stabilisant sa propre économie, mais contribuant également à financer la guerre en Ukraine.

La Chine pourrait bien sûr bénéficier de la même manière si l’attention des États-Unis était détournée ailleurs, lui donnant ainsi une marge de manœuvre pour continuer à construire et à consolider sa propre force régionale tout en épuisant les États-Unis et en les empêchant ainsi de financer/approvisionner Taiwan à des degrés substantiels.

Cet article résume la théorie :

Beaucoup semblent confus à ce sujet, alors permettez-moi de clarifier :

Le conflit actuel en Palestine est géopolitique et reflète la consolidation de l’un des principaux pôles du monde. Il s’agit de la deuxième étape de la formation du monde multipolaire, après le SMO russe en février 2022.

Beaucoup de gens ont tendance à se concentrer exclusivement sur le Hamas et sur l’évolution de la situation — comme si cela reflétait le même plan temporel que la stratégie employée. Ne fais pas d’erreur. Il s’agit d’une opération interarmes sans précédent et rien au XXIe siècle ne s’en rapproche dans l’histoire du conflit.

Le fait que cela ait surpris les Israéliens devrait vous en dire assez. Si cela a surpris le Mossad (l’une des agences de renseignement les plus puissantes au monde), qu’est-ce qui vous fait penser que l’un de ces idiots d’arnaqueurs de droite sait ce qui va encore arriver ? Il ne s’agissait pas d’une attaque aléatoire de la part du Hamas.

Tout cela a été planifié, en pleine coordination avec l’Axe de la Résistance — et nous ne sommes même pas près d’en mesurer toute la portée et l’ampleur. Tous les résultats possibles ont été pris en considération. N’oubliez pas qu’à chaque fois que vous entendez les sionistes parler des « grands projets » que l’entité a en réserve pour raser Gaza. Ils l’ont fait plusieurs fois, mais ça n’a jamais marché.

Le Hamas en est ressorti plus fort que jamais. Et ils s’attendent également à tout ce que l’entité sioniste leur réserve. Parce qu’il ne s’agit pas seulement du Hamas. Il s’agit de tout l’Axe de la Résistance, centré en Iran. L’Iran est l’une des civilisations les plus anciennes, les plus grandes et les plus sophistiquées du monde. Elle est et a toujours été un pôle civilisationnel organique dans la région.

Avant l’ère moderne, les deux seules puissances de la région étaient les Ottomans et les Perses Safavides, qui se disputaient la région. Derrière cette opération se cachent la ruse, le génie stratégique et le matérialisme eschatologique du CGRI. Et par ce dernier point, je veux dire qu’ils ont combiné ce qui est une profonde vision spirituelle universelle-régionale avec le pragmatisme, le réalisme et le côté terreux de la technologie moderne et des techniques de guerre irrégulière hyper-clausewitziennes.

Cette guerre n’a pas un seul lieu ni même une seule chronologie. L’échelle à laquelle cela se produit n’est pas immédiatement perceptible à la fois dans l’espace ET dans le temps. Ce sont les secousses ressenties par la résurrection de certains des empires les plus anciens, les plus splendides et les plus sublimes du monde.

Il s’agit de l’opération militaire spéciale des civilisations du Moyen-Orient. De même, il ne s’agit pas uniquement d’Israël. C’est le dernier avant-poste du Nouvel Ordre Mondial dans la région. Israël était l’Ukraine du Moyen-Orient — ​​une vaine et artificielle forteresse de la modernité occidentale créée pour supprimer les puissances réelles (et endormies depuis longtemps) indigènes de la région. Il s’agit d’une révolution régionale qui pourrait déboucher sur une guerre mondiale.

La Russie a réveillé d’anciennes puissances à travers le monde. C’est la fin de « l’ordre fondé sur des règles » occidental.

Ce qui précède peut-être un peu larmoyant et trop optimiste — je ne l’approuve pas nécessairement, du moins pas encore. Cela pourrait très bien être vrai.

L’une des autres raisons est qu’il y a eu récemment beaucoup trop de soulèvements « fortuits » contre l’ordre occidental. Rappelez-vous combien de fois nous avons discuté ici du rôle asymétrique potentiel de la Russie dans les différentes libérations africaines en cours sur le continent. Pensez-vous que c’est un accident qui a conduit à des choses comme ça ?

On m’a demandé à plusieurs reprises, lors de courriers, de commentaires, etc., ce que la Russie envisageait de faire pour contrebalancer la guerre hybride constante des États-Unis dans le conflit ukrainien. Il y a certainement de nombreux « événements mystérieux » qui se produisent partout dans le monde et qui pourraient répondre à cette question.

C’est pourquoi je ne serais pas surpris si la confrontation actuelle est liée à la guerre mondiale hybride de l’Est contre l’Ouest, ou du Sud global contre les atlantistes.

Rappelez-vous que les grandes civilisations anciennes pensent et planifient des stratégies à long terme. Se pourrait-il en fait qu’il s’agisse d’une attaque coordonnée et soigneusement planifiée en trois volets — dont la première étape serait la Russie éliminant l’Ukraine, puis l’Iran éliminant Israël, pour finir par le coup de grâce de la Chine éliminant Taïwan ?

C’est certainement une notion très ambitieuse. Mais cela correspond à ce que d’autres prédisaient depuis un certain temps, comme Jirinovski ici il y a plusieurs années :

Une autre raison potentielle pour laquelle le cartel bancaire qui dirige l’Occident a besoin d’une guerre majeure pour vider le système :

Même par rapport aux normes de la dernière décennie, qui était tout simplement sans précédent en termes de quantité d’argent imprimé par la Réserve fédérale, la semaine dernière a été témoin d’une autre série d’impressions hallucinante.

Avec toute la dédollarisation en cours, cela ne peut que signifier que le système financier occidental n’a jamais été dans un état aussi précaire. Le cartel a besoin d’un conflit mondial majeur pour pouvoir débusquer le système, effacer ses comptes et recommencer l’escroquerie usure-fiat à partir d’une table rase.

Mais nous devrons voir comment ce conflit se déroulera au cours des deux prochaines semaines afin de véritablement juger s’il s’agit d’un plan directeur iranien en 5D, ou simplement d’un stratagème bon marché pour Netanyahu pour consolider son pouvoir et inscrire son héritage en tant que leader israélien historique qui a écrasé le Hamas une fois pour toutes, effaçant d’un seul coup tous ses méfaits et sa corruption.

Simplicius The Thinker

Et maintenant, tout le monde a déjà oublié ce qu’est l’Ukraine. Jirinovski avait tout prédit il y a longtemps : « Ce furent les dernières élections que vous avez eues [en Ukraine]. Il n’y aura pas d’élections en 2024, car il n’y aura pas de pays appelé Ukraine. Vous ne tenez pas compte de la situation au Moyen-Orient. De tels événements s’y dérouleront et tout le monde oubliera complètement ce qu’est l’Ukraine. Il s’agit de la Troisième Guerre mondiale. Et l’Iran n’est ni le Vietnam, ni la Corée, ni le Kosovo. Les événements les plus terribles se produiront ici ! »




Le mystère Athos

Par Nicolas Bonnal

Alexandre Dumas révélé et le message d’Athos :

« — Raoul [fils d’Athos], sachez distinguer toujours le roi de la royauté ; le roi n’est qu’un homme, la royauté, c’est l’esprit de Dieu ; quand vous serez dans le doute de savoir qui vous devez servir, abandonnez l’apparence matérielle pour le principe invisible, car le principe invisible est tout. Seulement, Dieu a voulu rendre ce principe palpable en l’incarnant dans un homme… Parce que tous les gentilshommes sont frères, parce que vous êtes gentilhomme, parce que les rois de tous les pays sont les premiers entre les gentilshommes, parce que la plèbe aveugle, ingrate et bête prend toujours plaisir à abaisser ce qui lui est supérieur ; et c’est vous, vous, d’Artagnan, l’homme de la vieille seigneurie, l’homme au beau nom, l’homme à la bonne épée, qui avez contribué à livrer un roi à des marchands de bière, à des tailleurs, à des charretiers ».

Il y a des fois comme cela où il faut se prendre pour saint Paul : arrêter de donner du lait à boire au lecteur, distribuer au contraire des nourritures solides. Eh oui, compagnons, stéréos, ça veut d’abord dire dur chez nos pères1 !

La nourriture « stéréa », elle passera (comme toujours) par la littérature populaire. Elle est un réceptacle, a dit Guénon, que dégoûtait la culture de la classe moyenne.

Dans son texte du 28 novembre 2010 donc, Philippe Grasset rappelle que les Trois mousquetaires sont une institution mondiale et transcendantale, y compris en Inde et dans le film Slumdog millionnaire. On pose des questions sur ces héros les plus populaires du monde.

Alexandre Dumas le savait d’ailleurs. Écoutez-le, ce visionnaire, qui écrit dans le Vicomte (ou Dix ans plus tard) :

« C’est qu’en effet ces quatre noms, d’Artagnan, Athos, Porthos et Aramis, étaient vénérés par tout ce qui portait une épée, comme dans l’Antiquité étaient vénérés les noms d’Hercule, de Thésée, de Castor et de Pollux2. »

On va essayer de comprendre pourquoi.

Dans un de mes textes précédents, j’ai cité Athos reprochant à d’Artagnan de ne pas être dans le camp des rois et des gentilshommes. Philippe Grasset m’indique alors un extrait de son inépuisable Grâce de l’Histoire. Il cite ces autres lignes somptueuses de Dumas.

C’est Athos, ce mont Athos de la Tradition hyperboréenne qui parle à son fils :

« Raoul, sachez distinguer toujours le roi de la royauté ; le roi n’est qu’un homme, la royauté, c’est l’esprit de Dieu ; quand vous serez dans le doute de savoir qui vous devez servir, abandonnez l’apparence matérielle pour le principe invisible, car le principe invisible est tout. Seulement, Dieu a voulu rendre ce principe palpable en l’incarnant dans un homme3. »

Relisons les remontrances d’Athos à d’Artagnan :

– Parce que tous les gentilshommes sont frères, parce que vous êtes gentilhomme, parce que les rois de tous les pays sont les premiers entre les gentilshommes, parce que la plèbe aveugle, ingrate et bête prend toujours plaisir à abaisser ce qui lui est supérieur ; et c’est vous, vous, d’Artagnan, l’homme de la vieille seigneurie, l’homme au beau nom, l’homme à la bonne épée, qui avez contribué à livrer un roi à des marchands de bière, à des tailleurs, à des charretiers4 !

Nous sommes dans les années 1640, dans la Qualité dit PhG, peu avant la Quantité qui va débarquer avec Louis XIV, ce roi-machine dont a parlé Apostolidès.

Ce roi-machine va emmener au pouvoir la bourgeoisie. Voici ce qu’il advient « dix ans après » (pour parler comme Dumas I et PhG) à d’Artagnan, conformément aux sombres prophéties orthodoxes du Voyant Athos :

… « D’Artagnan n’avait absolument rien à faire dans ce monde brillant et léger. Après avoir suivi le roi pendant deux jours à Fontainebleau, et avoir regardé toutes les bergerades et tous les travestissements héroï-comiques de son souverain, le mousquetaire avait senti que cela ne suffisait point à remplir sa vie5. »

Lisez ces lignes incroyables maintenant :

« Ainsi étendu, ainsi abruti dans son observation transfenestrale (la télé ! La télé !), d’Artagnan n’est plus un homme de guerre, d’Artagnan n’est plus un officier du palais, c’est un bourgeois croupissant entre le dîner et le souper, entre le souper et le coucher ; un de ces braves cerveaux ossifiés qui n’ont plus de place pour une seule idée, tant la matière guette avec férocité aux portes de l’intelligence, et surveille la contrebande qui pourrait se faire en introduisant dans le crâne un symptôme de pensée6. »

Que s’est-il passé ? PhG parlait de cette noble époque :

« Il y a une telle place accordée à l’honneur et une telle désinvolture chaleureuse, et une telle fermeté désinvolte dans l’exercice de la vertu de l’honneur… »

Et d’un coup on bascule.

On bascule dans la grisaille, le bourgeois, le monde ordinaire, la royauté pas sacrée du tout, les comptes d’apothicaires qui remplacent les contes de fées. On bascule dans l’horreur et dans l’erreur étatique, totalitaire même, de la Révocation en 1685, que l’Europe protestante ne pardonnera jamais à cette monarchie. On bascule, et les mousquetaires oublient les filles et les ferrets, les beuveries, et ils deviennent lucides et réactionnaires. Ils deviennent traditionnels sans le vouloir (au moins d’Artagnan, qui est le moins intelligent avec le géant Porthos, avatar pantagruélique, titan broyé sous le rocher du monde).

Athos défend le roi d’Angleterre, et il a raison.  La France aida Cromwell (le créateur d’un Deep State moderne et surtout le fondateur de l’Oceania de 1984 en fait) à détruire une première vieille monarchie.

Voici pourquoi Athos a raison, cette fois selon Fukuyama :

« Hobbes and Locke, the founders of modern liberalism, sought to eradicate thymos from political life altogether, and to replace it with a combination of desire and reason… The bourgeois was an entirely deliberate creation of early modern thought, an effort at social engineering that sought to create social peace by changing human nature itself7. »
[« Hobbes et Locke, les fondateurs du libéralisme moderne, ont cherché à éradiquer complètement le thymos de la vie politique et à le remplacer par une combinaison de désir et de raison […]. Le bourgeois est une création entièrement délibérée du début de la pensée moderne, un effort d’ingénierie sociale qui cherche à créer la paix sociale en changeant la nature humaine elle-même. »]

D’où Molière et Furetière. Les héros vont dégager, on aura les boutiquiers et leurs femmes savantes.

Fukuyama ne sait pas tout, et il n’a pas lu Taine, qui voit aussi le danger venir, de Bonacieux à François Hollande via Danton ou le Jules Favre :

« Le bourgeois est un être de formation récente, inconnu à l’antiquité, produit des grandes monarchies bien administrées, et, parmi toutes les espèces d’hommes que la société façonne, la moins capable d’exciter quelque intérêt. Car il est exclu de toutes les idées et de toutes les passions qui sont grandes, en France du moins où il a fleuri mieux qu’ailleurs8. »

La décadence décrite par Dumas frappe aussi les soldats du roy et les aristocrates (cf. Vigny bien sûr, servitude et grandeur militaire). Voici comment d’Artagnan réveillé par Athos engueule son jeune roi :

« Sire, choisissez ! Voulez-vous des amis ou des valets ? des soldats ou des danseurs à révérences ? des grands hommes ou des polichinelles ? Voulez-vous qu’on vous serve ou voulez-vous qu’on plie ! voulez-vous qu’on vous aime ou voulez-vous qu’on ait peur de vous (8) ? »

La civilisation devient « mécanicienne » et théâtrale. La médiocrité frappe les courtisans recouverts de rubans (Alceste) et de dentelles. Le tailleur Percerin est roi du pétrole chez Dumas. Montesquieu ajoute dans sa lettre XCIX :

« Le prince imprime le caractère de son esprit à la cour, la cour à la ville, la ville aux provinces. L’âme du souverain est un moule qui donne la forme à toutes les autres. »

Et La Fontaine avant lui, dans ses Obsèques de la Lionne :

« Peuple caméléon, peuple singe du maître ;
On dirait qu’un esprit anime mille corps ;
C’est bien là que les gens sont de simples ressorts. »

Tout cela pour dire que nos aînés avaient bon œil.

Dumas décrit aussi la mélancolie spleenienne (Alceste encore) de ce monde moderne qui va avec cet amas de Bourgeois, de faux chrétiens, de rois décapités.

« … tout paraît noir, tout paraît amer, tout fait douter de Dieu, en parlant par la bouche même de Dieu9. »

Mais comme on verra en note 14, cette noire mélancolie se retrouve chez nos héros préférés de la Bhagavad-Gîtâ.

Ce n’est pas une consolation.

Et Aramis qui n’aime pas Louis XIV (et il a raison selon nous) ajoute :

« Le roi a souffert, il a de la rancune, il se vengera. Ce sera un mauvais roi. Je ne dis pas qu’il versera le sang comme Louis XI ou Charles IX, car il n’a pas à venger d’injures mortelles, mais il dévorera l’argent et la subsistance de ses sujets, parce qu’il a subi des injures d’intérêt et d’argent10. »

Ce roi c’est moi, c’est l’État tentaculaire d’aujourd’hui qui va tout voler. C’est le Minotaure. Lisez Jouvenel, Fénelon, sa lettre, celle de Saint-Simon, ou bien Vauban. C’est ce géant hobbesien qui bouffe littéralement les richesses de tout un royaume. Le XVIIe siècle est d’abord le siècle de Poucet avec les ogres aux trousses. Trois millions de Français en moins !

Retournons à la nourriture solide. D’un point de vue initiatique et traditionnel, voilà ce qui s’est passé, expliqué par Guénon :

« La Renaissance et la Réforme marquèrent une nouvelle phase critique, et enfin, d’après ce que semble indiquer Saint-Yves, la rupture complète aurait coïncidé avec les traités de Westphalie qui, en 1648, terminèrent la guerre de Trente Ans. Or il est remarquable que plusieurs auteurs aient affirmé précisément que, peu après la guerre de Trente Ans, les vrais Rose-Croix ont quitté l’Europe pour se retirer en Asie11. »

Il y a conscience de la rupture dans ce cycle magistral de cinq mille pages. On passe au milieu du Grand Siècle de Corneille à Molière, de l’épopée à la banalité. On est dans une ère et un territoire désacralisés. La princesse de Clèves, hommage discret au XVIe siècle, a reflété déjà cette prise de conscience, cette Sehnsucht…

Et Edmund Burke a superbement écrit peu après (car cent trente ans ici, c’est peu après) :

« But the age of chivalry is gone. That of sophisters, economists; and calculators has succeeded; and the glory of Europe is extinguished forever. Never, never more shall we behold that generous loyalty to rank and sex, that proud submission, that dignified obedience, that subordination of the heart which kept alive, even in servitude itself, the spirit of an exalted freedom12. »
[« Mais l’âge de la chevalerie est révolu. Celui des sophistes, des économistes et des calculateurs a succédé, et la gloire de l’Europe s’est éteinte à jamais. Jamais, jamais plus nous ne verrons cette généreuse loyauté envers le rang et le sexe, cette fière soumission, cette digne obéissance, cette subordination du cœur qui maintenait vivant, même dans la servitude, l’esprit d’une liberté exaltée. »]

C’est cette obéissance aveugle ou paresseuse à cet État glacé qui caractérise l’humanité déchue ; et Tocqueville n’a rien répété d’autre.

On cite encore Guénon :

« La date précise de cette rupture est marquée, dans l’histoire extérieure de l’Europe, par la conclusion des traités de Westphalie, qui mirent fin à ce qui subsistait encore de la “Chrétienté” médiévale pour y substituer une organisation purement “politique”, au sens moderne et profane de ce mot13. »

On redonne le relais à Philippe Grasset qui se surpasse pour nous expliquer pourquoi les Fils du Ramayana et de la Bhaghavad Gîtâ14 déifient Dumas devant leur télé :

« Il y a une telle place accordée à l’honneur et une telle désinvolture chaleureuse, et une telle fermeté désinvolte dans l’exercice de la vertu de l’honneur, il y a un tel sens constant de la tragédie qu’est le destin du monde (et l’honneur est là pour en apprécier mieux les vertus), et une telle légèreté pour aborder les contraintes de la tragédie ainsi sans jamais laisser son caractère y céder par l’abaissement de l’émotion, que cette époque-là nous paraît, à nous gens de la modernité, d’un autre univers, d’une autre âme littéralement, — l’époque de la qualité qui ignore la quantité, l’époque du caractère individuel qui n’acquiert ses vertus que dans le sens d’une collectivité marquée par l’honneur, dans le sens de l’art de vivre qui est celui du héros, qui est l’art de vivre la tragédie du monde15. »

Les mousquetaires sont nos 47 ronin.

Quant à Milady, on y revient sous peu, car elle travaille pour la CIA16.

Notes

1 Hébreux, 5, 12.

2 Le vicomte de B., Chapitre CCLIV – La grotte.

3 Vingt ans après, chapitre XXIV.

4 Vingt ans après, chapitre LXI, Les gentilshommes.

5 Le vicomte de B., Chapitre CXL — Malaga.

6 Ibid.

7 End of History, chapter XVII, The Rise and Fall of Thumos.

8 La Fontaine et ses Fables, Deuxième partie, 4.

9 Bragelonne, IV, Chapitre CCIII.

10 Ibid., chapitre CCXXXIX – Les promesses.

11 Le Roi du Monde, chapitre VIII.

12 Burke, Reflections, p.63.

13 Aperçus sur l’initiation, chapitre XXXVIII.

14 Citons-la, cette Gîtâ si proche avec ses Kshatryas de Dumas et de l’acédie mousquetaire : « Car je ne vois pas ce qui pourrait chasser la tristesse qui consume mes sens, eussé je sur terre un vaste royaume sans ennemis et l’empire même des Dieux. » (II, 8)

15 « Contre-civilisation » et résistance, chapitre 24, Cinquième Partie

16 Les Trois mousquetaires, chapitres L-LVIII.




Le mystère de Fatima, un siècle après

[Source : Historique TV]

Le 13 mai 1917, à Fatima, un petit village rural du Portugal, trois enfants témoignent d’une apparition de la Vierge Marie qui aurait délivré un message contenant trois prophéties sur l’avenir de l’humanité.






Comprendre les neuf voiles qui recouvrent l’humanité

[Source : fr.sott.net]

Par A. True Ott, PhD
shiftfrequency.com

« Quatre-vingt-dix pour cent de toute l’humanité vivra et mourra sans avoir levé le premier voile »

Don Harkins

Il y a une dizaine d’années, mon grand ami et collègue Don Harkins a écrit un article intitulé « L’esclavage et les huit voiles », qui donne profondément matière à réflexion.

Avant sa mort prématurée, nous avons littéralement passé des heures à discuter de cette « théorie des huit voiles », et Don a fini par me demander d’écrire un article à ce sujet pour son journal, The Idaho Observer. S’il l’a fait, c’est parce que j’avais partagé une grande partie de mes recherches avec lui, et que nous en étions arrivés à la conclusion qu’en réalité, NEUF voiles recouvraient l’âme humaine (c’est-à-dire l’intelligence), et que toute progression spirituelle, et donc une pleine connaissance de LA VÉRITÉ, nécessitait de lever ces Neuf Voiles.

Pour plaisanter, je lui avais répondu que même en y consacrant un numéro entier de The Idaho Observer, on ne ferait qu’effleurer le sujet. C’était l’un des talents éditoriaux de Don — prendre un thème complexe et le condenser en un format plus lisible. En mémoire de Don Harkins, voici l’article auquel nous avions songé, sous la forme la plus concise possible.

Pourquoi neuf voiles et non huit

Tout chercheur de vérité consciencieux finit par tomber sur l’incroyable structure symétrique des mathématiques, ce qui est particulièrement vrai dans la géométrie fractale impliquant les nombres entiers de 1 à 9. En guise d’exemple relativement simple, regardez ces neuf équations :

(1×8) + 1= 9

(12 x 8) + 2 = 98

(123 x 8) + 3 = 987

(1234 x 8) + 4 = 9876

(12345 x 8) + 5 = 98765

(123456 x 8) + 6 = 987654

(1234567 x 8) + 7 = 9876543

(12345678 x 8) + 8 = 98765432

(123456789 x 8) + 9 = 987654321

Incroyable, n’est-ce pas ? Par ailleurs, il est particulièrement intéressant que tous les grands philosophes de l’histoire tels Archimède, Copernic, Socrate et Léonard de Vinci étaient avant tout des mathématiciens.

Je suggère que tout — des prophéties bibliques aux brins d’ADN — est construit et basé sur des formules et des modèles mathématiques assez simples. Mais je brûle les étapes par rapport à la suite de l’article, car comprendre le rôle des mathématiques constitue en soi l’un de ces neuf voiles cachés.

Considérez également ce qu’on appelle les « écoles des mystères » de l’Antiquité. Dans les temples obscurs de Sumer et de Babylone, la Kabbale montrait le chemin vers l’ultime « Saint des Saints » — les révélations (c’est-à-dire la séparation des voiles) de la vie, de la création, de Dieu et, si l’on se montrait suffisamment digne et sincère, les origines mêmes de l’Homme. Pour cela, il fallait systématiquement appréhender et adopter 9 niveaux de compréhension ou « plateaux de vérité » avant de pouvoir atteindre le « Nirvana » (ou l’unité ultime avec Dieu), tel que le décrivent les « tapis de loge » modernes.

À l’instar d’un Sudoku géant, l’expérience humaine que nous appelons la vie évolue véritablement autour des nombres 1 à 9 de mille manières tout à fait remarquables. Tout a sa place dans le système et s’intègre parfaitement et précisément dans la grille éternelle du temps et de l’espace.

Ce n’est donc qu’une définition de la vérité parmi d’autres — une connaissance secrète ésotérique qui s’intègre parfaitement dans la grille mathématique que l’on appelle logique. Comme le disait Yeshua (alias Jésus de Nazareth) à ses disciples : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira ».

Pourquoi les gens ne parviennent-ils pas à voir la vérité ?

Ce sont les sages paroles de Don Harkins, écrites en 2001, qui répondront le mieux à cette question :

« Au cours des dernières années, j’ai élaboré et rejeté plusieurs théories pour tenter d’expliquer pourquoi la plupart des gens ne parviennent pas à voir la vérité, même lorsqu’elle les frappe au visage. Nous qui voyons « la conspiration »ne cessons de discuter de la frustration que nous ressentons face à l’incapacité de la plupart des gens à comprendre les arguments extrêmement étayés qui nous permettent de décrire le processus de notre asservissement et de notre exploitation collectifs. L’explication la plus courante à laquelle on aboutit est que la plupart des gens « ne veulent tout simplement pas voir » ce qui se passe réellement.

Des hommes et des femmes extrêmement pervers qui forment une puissante élite mondiale ont intelligemment cultivé un pâturage virtuel dont l’herbe est si verte qu’il devient rarissime que des gens prennent la peine de lever les yeux suffisamment longtemps pour remarquer les étiquettes aux couleurs vives agrafées à leurs oreilles.

Ces mêmes personnes qui ne parviennent pas à voir qu’elles sont esclaves de ces verts pâturages ont tendance à considérer que ceux d’entre nous qui voient au-delà de la ferme jusque dans le petit salon du château du seigneur féodal sont des « complotistes » déments.

Enfin, je comprends pourquoi.

Ce n’est pas que ceux qui ne voient pas qu’une puissante élite leur enlève leur liberté « ne veulent pas le voir » — ils ne parviennent tout simplement pas à le voir à cause des voiles qui obstruent leur champ de vision.

Toutes les activités humaines constituent un processus de filtration. Le sport en est l’un des meilleurs exemples. Nous pratiquons des sports spécifiques jusqu’à ce que nous soyons expulsés du terrain. Les athlètes professionnels grassement payés pour être regardés ne se font jamais expulser. Des millions d’enfants concourent pour la petite ligue chaque printemps et sont peu à peu éliminés jusqu’à ce qu’il n’en reste plus que 50 qui participeront à la Série mondiale en octobre.

Derrière le premier voile, il y a plus de sept milliards de personnes sur la planète. La plupart d’entre elles vivent et meurent sans avoir sérieusement envisagé autre chose que ce qui est nécessaire à leur quotidien.

Quatre-vingt-dix pour cent de toute l’humanité vivra et mourra sans avoir levé le premier voile.

On peut effectivement dire que moins de 1 % des 7 milliards d’êtres humains de la planète lèveront les neuf voiles, et il semblerait que même cette petite minorité ne cesse de diminuer. Afin que le « pâturage virtuel » reste vert, l’élite mondiale réussit également à corrompre de nombreuses personnes qui ont levé de multiples voiles dans le but d’égarer ceux qui pourraient se rapprocher de la vérité dans de nombreux domaines. J’appelle tout bonnement cela de la prostitution intellectuelle — vendre le droit imprescriptible à la Vérité Universelle pour un pot-de-vin dérisoire. Les paillettes dorées de la richesse, de la renommée et de l’élévation sociale ont séduit plus d’un intellectuel de talent.

En hommage à Don Harkins, voici maintenant la nouvelle version des « neufs voiles ».

Le premier voile : Dix pour cent d’entre nous lèveront le premier voile et découvriront le monde de la politique. Nous voterons, deviendrons actifs et nous forgerons une opinion. Nos opinions seront façonnées par le monde physique qui nous entoure ; nos années passées sur les bancs de l’école nous auront « conditionnés » à accepter que les représentants du gouvernement, les personnalités des chaînes de télévision et autres « experts » soient les principales voix de l’autorité. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le deuxième voile.

Le deuxième voile : Dix pour cent d’entre nous lèveront également le deuxième voile pour explorer le monde de l’histoire, de la relation entre l’homme et le gouvernement et ce que signifie l’autonomie politique garantie par le droit constitutionnel et la loi. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le troisième voile.

Le troisième voile : Dix pour cent de ceux qui lèvent le deuxième voile finiront par lever le troisième pour découvrir de manière probante que les ressources du monde, y compris les personnes, sont contrôlées par des familles extrêmement riches et puissantes dont les sociétés d’antan sont devenues, grâce aux stratégies d’extorsion modernes, la cause de l’endettement actuel de toute l’économie mondiale. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le quatrième voile.

Le quatrième voile : Dix pour cent lèveront alors le quatrième voile pour découvrir les Illuminati, la franc-maçonnerie et autres sociétés secrètes. Ces sociétés recourent à des symboles et accomplissent des cérémonies qui perpétuent les transferts générationnels de connaissances ésotériques utilisées pour maintenir les gens ordinaires dans une servitude politique, économique et spirituelle vis-à-vis des plus anciennes lignées de la terre. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le cinquième voile.

Le cinquième voile : Dix pour cent progresseront et lèveront le cinquième voile pour apprendre que les sociétés secrètes sont si avancées technologiquement que le voyage dans le temps et les communications interstellaires n’ont pas de frontières, et que leurs membres contrôlent les pensées, voire les actes des gens, avec autant de désinvolture que nous disons à nos enfants d’aller au lit. Comme au temps de Noé, cette technologie crée même des formes de vie synthétiques, alors que l’homme cherche à supplanter Dieu. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le sixième voile.

Le sixième voile : Dix pour cent progresseront pour lever le sixième voile où nous apprenons que les dragons, les lézards et les extraterrestres que nous prenions pour des monstres fictifs de la littérature enfantine sont bien réels, et qu’ils sont en réalité les véritables forces de contrôle à l’œuvre derrière les sociétés secrètes dévoilées en soulevant le quatrième voile. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans lever le septième voile.

Le septième voile : Dix pour cent progresseront pour lever le septième voile où le monde incroyable de la géométrie fractale et la loi universelle des nombres seront pleinement compris et embrassés. La force créatrice de l’univers entier se révèle liée à des formules et des séquences de codes numériques, et tous les « mystères », y compris la structure même du temps, de l’espace, des univers parallèles, ainsi que les moyens d’y accéder sont percés à jour.

Ceux qui possèdent un intellect leur permettant de lever le septième voile succombent souvent à l’attrait d’une immense richesse promise par l’élite dirigeante, et ainsi plus de quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans lever le huitième voile.

Commentaire : Dans la version originale de Don Harkins, il est écrit :

« Le septième voile : Je ne sais pas ce qu’il y a derrière le septième voile. Je pense que c’est là que votre âme a évolué au point que vous pouvez exister sur terre et être l’homme qu’était Gandhi, ou la femme de Peace Pilgrim — des gens si éclairés qu’ils illuminent le monde qui les entoure quoi qu’il arrive. »

Le huitième voile : Lever le huitième voile révèle Dieu et l’énergie pure connue sous le nom d’AMOUR, c’est-à-dire la force de vie pure dans tous les êtres vivants — qui ne font qu’un. Une profonde humilité est nécessaire pour espérer lever ce voile.

Le neuvième voile : Lever le neuvième voile signifie perfectionner l’énergie pure qu’est l’amour et devenir ainsi véritablement un avec Dieu et ses formulations. En perfectionnant cette énergie pure, on embrasse alors pleinement la charité et on comprend ainsi pleinement le plan universel de sacrifice [symbolisé par la Crucifiction], de mort et de rédemption ; la vie elle-même devient alors complète, la boucle est bouclée, et l’on regarde le monde à travers les yeux d’un enfant innocent, mais avec la sagesse la plus profonde née du pur AMOUR du huitième voile.

[Note de Joseph : les piliers de l’enseignement du Christ sont l’Amour, le Pardon, la Charité et l’Humilité. L’application de cet enseignement permet alors de lever ces neuf voiles.]

Considérez ceci : si cette théorie est juste, seules 70 000 personnes environ sur la planète ont réussi à percer le sixième voile. L’ironie ici est trop incroyable : ceux qui sont coincés derrière les voiles un à cinq n’ont d’autre choix que de considérer que les personnes qui ont levé davantage de voiles sont dangereusement folles. À chaque voile levé, un nombre exponentiellement décroissant de personnes de plus en plus éclairées sont considérées comme folles par des masses exponentiellement croissantes de personnes de moins en moins éclairées.

Pire encore, plus une personne qui a levé le sixième voile ou plus essaie d’expliquer ce qu’il est capable de voir à ceux qui ne le peuvent pas, plus elle leur semble folle. Cette vérité va de soi. De plus, des institutions telles que le vénérable « Southern Poverty Law Center » sont fondées et financées par l’élite dirigeante pour accuser efficacement nombre de ces individus éveillés d’« inciter à la haine » et d’être des « terroristes ».

Notre ennemi, l’État

Derrière les deux premiers voiles, nous retrouvons la grande majorité des habitants de la planète. Ce sont des instruments de l’État : les personnes qui restent sous le deuxième voile sont des électeurs crédules dont l’ignorance justifie les actions des politiciens qui envoient les millions de gens qui n’ont pas levé le premier voile mourir dans des pays étrangers et servir de chair à canon — leurs rôles combinés dans la vie consistent simplement à croire que les machinations intéressées de l’élite au pouvoir relèvent de la sécurité nationale et valent la peine de mourir.

Pour l’État, les personnes qui ont levé les troisième, quatrième, cinquième et sixième voiles représentent de plus en plus un frein en raison de leur capacité décroissante à être utilisés comme outils pour concentrer le pouvoir et la richesse du plus grand nombre entre les mains de quelques élites au pouvoir. Il est également courant que ces personnes sacrifient davantage leurs relations avec leurs amis et leur famille, leur carrière professionnelle et leur liberté personnelle à chaque voile qu’elles lèvent.

Albert Jay Nock (1870-1945), auteur de Our Enemy, The State (1935), a expliqué ce qui arrive à ceux qui soulèvent les deux derniers voiles :

« Qu’est-ce que l’État a réussi à faire de mieux avec un vrai Socrate et un vrai Jésus quand il les avait ? Tout simplement empoisonner l’un et crucifier l’autre, pour l’unique raison qu’ils étaient bien trop embarrassants pour qu’il leur soit permis de vivre plus longtemps. »

Conclusion

Comme l’écrivait Don Harkins :

« Et donc, maintenant, nous savons que ce n’est pas parce que nos compatriotes sont tellement attachés à leur vie qu’“ils ne veulent pas voir” les mécanismes de leur asservissement et de leur exploitation. Ils “ne parviennent tout simplement pas à le voir” aussi sûrement que je ne peux pas voir ce qu’il y a de l’autre côté d’un rideau fermé. »

Le but de cet essai est triple :

1— Aider la poignée de personnes qui ont levé les derniers voiles à comprendre pourquoi les masses n’ont d’autre choix que d’interpréter leur lucidité comme de la folie ;

2— Aider les personnes derrière les deux premiers voiles à comprendre que vivre, respirer et penser, ce n’est que le début et ;

3— Montrer aux gens que la plus grande aventure de notre vie se trouve derrière le voile suivant, car c’est juste un voile de moins entre nous et Dieu alias « La plus haute vibration ».

Source de l’article initialement publié en anglais le 30 mars 2015 : IN5D —Your Esoteric Metaphysical Spiritual Database

Traduction : sott.net




Ex Machina

[Source : lesakerfrancophone.fr]

[NDLR Ex Machina se trouve dans l’expression latine Deus Ex Machina, qui peut se traduire par « Dieu sorti de la machine » et pourrait signifier « Ce qui, ou celui qui, arrive par surprise et qui est le moteur d’une action ».]

Par Zénon — Juillet 2023

Le Monde est dirigé par des lignées lucifériennes, pédocriminelles, consommatrices de sang et d’adrénochrome ? Certes, mais je suis détenteur de la vérité grâce à Internet. Les divisions (droite/gauche ; chrétiens/musulmans ; pro/anti-Russes ; etc.) atomisent peu à peu toutes les relations sociales ? Pas grave  : je reste connecté aux « résistants » de la planète entière grâce à Telegram et Signal sur mon indispensable smartphone. Nombre de personnes comprennent à l’occasion du Covid qu’on ne leur veut pas que du bien en haut lieu ? Youpi ! C’est le moment de monter un site avec des solutions payantes clés en main. La dédollarisation financière est en marche ? Bonne nouvelle : voilà le prétexte idéal pour passer aux CBDC et accélérer l’air de rien l’agenda globaliste.

Voilà plus de vingt ans que l’accès au web s’est généralisé. Vingt ans de fenêtre de tir ouverte pour s’informer, comprendre les mécanismes sous-jacents de l’Histoire, écouter les lanceurs d’alertes et partager les informations. Vingt ans de prise de conscience du plan de mise sous coupe réglée de l’Humanité, et l’oligarchie au pouvoir continue pourtant de pousser ses pions avec plusieurs coups d’avance… Certes, l’attachement aux idéologies, les querelles d’ego ou encore le parachutage d’éléments « anti-système » parfaitement inscrits dans la dialectique « thèse-antithèse » servant la synthèse finale n’ont pas joué en notre faveur. Mais il existe à cet état de fait des causes plus profondes sur lesquelles se pencher pour élucider le mystère d’une telle passivité face à notre élimination programmée.

On relève souvent à juste titre le dangereux messianisme du mouvement sioniste, mais on omet d’observer que cette tournure d’esprit est commune aux cultures des trois religions abrahamiques. Les courants de pensée prétendument athées qui s’en sont dégagés ne se sont jamais libérés de l’ultime séduction de remettre son corps, son esprit et son destin aux mains d’une entité plus forte, qu’elle soit étatique, scientiste ou collectiviste. Le projet du nouvel ordre mondial n’est qu’un savant mélange des trois, mâtiné de sauce new-âge pour complaire à la naïveté des idéalistes et à notre irrépressible besoin d’espérer.

Trop de personnes nouvellement « éveillées » restent victimes du syndrome du sauveur, que celui-ci se porte sur Trump, Musk, Poutine, sur l’arrivée/le retour du Messie, la confédération galactique ou que sais-je encore. Il s’agit d’un cheval de Troie mental plurimillénaire, exploité pour maintenir les peuples enferrés dans un perpétuel triangle de Karpman et permettre aux dirigeants de mener à bien leurs projets.

C’est la raison pour laquelle des gens comme Attali, Schwab ou Harari admettent ouvertement leur plan. L’objectif à cela est multiple : il s’agit d’abord de maintenir le public dans de basses vibrations. D’encourager la passivité propre à la sphère virtuelle, le sentiment d’impuissance et le fatalisme. Mais le fait de nous présenter ces finalités comme inéluctables participe aussi à l’effraction de notre libre arbitre : plus nous accordons d’attention à l’avenir qu’ils préparent, plus nous nourrissons mentalement la potentialité qu’il se réalise. Ce n’est là ni plus ni moins qu’une extorsion de consentement. À ce titre, la grande divulgation à laquelle nous assistons concourt pleinement à la feuille de route mondialiste : liquider avec notre complicité l’ordre ancien pour participer de concert à l’avènement du nouveau.

Comme nous le savons, la multiplication de crises générées de toutes pièces permet à chaque fois de faire accepter la « solution » prévue d’avance : le Covid pour l’injection, l’Ukraine dans une logique d’affrontement inter-blocs propice au resserrement du nœud coulant sur la gorge des peuples, le climat en vue d’instaurer le pass carbone et l’identité numérique… La stratégie du choc à répétition fonctionne à plusieurs niveaux : maintenir les populations non informées dans la peur, la sidération et l’obéissance aveugle, et accroître peu à peu le chaos à un niveau tel que même les personnes au fait du programme tombent dans le piège de s’en remettre au « sauveur » qui prétendra les en délivrer.

L’apparition d’un faux messie sera donc probablement le clou du spectacle ; l’ultime élément fédérateur derrière lequel unir les peuples de toutes les cultures sous une même bannière. Le transhumanisme n’est que la suite logique d’un processus ayant débuté par le fait de prêter des caractéristiques humaines à Dieu, et aboutissant à la déification de l’être humain. Il n’est donc pas impossible d’envisager qu’une fusion homme-machine nous arrête miraculeusement au seuil du feu nucléaire, ou autre évènement du même acabit, dans la plus pure tradition des prophéties autoréalisatrices.

Nous devons donc à ce stade intégrer qu’il n’existe aucun salut à attendre de l’extérieur. Nous connaissons les noms et les organismes de ceux qui œuvrent délibérément à notre perte. Mais notre pire ennemi n’est pas à rechercher dans le carnet d’adresses du forum de Davos ni dans les couloirs du Pentagone. Ce pire ennemi se trouve tapi en nous-mêmes : dans les croyances dont nous libérer pour accéder à notre plein potentiel. Dans notre ego plaçant un voile de défiance et de peur entre celui que nous croyons être et le monde extérieur. Dans l’intellect et sa manière de substituer les noms et les habitudes que nous avons des êtres et des choses à leur appréhension directe. L’incarnation est, pour ainsi dire, une école où l’on commence par ingurgiter ce qui nous est imposé, puis où l’on doit tout désapprendre pour repartir de zéro par nous-mêmes.

Et si la véritable foi n’était pas de croire, mais de voir ? De percevoir au niveau le plus subtil que l’on puisse ressentir l’existence d’une vibration universelle derrière la multitude des formes de vie. De découvrir que les animaux comme les végétaux sont emplis d’un amour dans lequel seule notre peur de disparaître nous empêche de nous fondre et d’enfin connaître la plénitude. Que même les minéraux respirent. Et que lorsque nous contemplons un arbre, ce que nous voyons n’est pas l’œuvre de Dieu, mais Dieu aussi bien dans son essence que dans son émanation. Vivre cette expérience induit une radicale transformation intérieure, suite à laquelle nous devenons imperméables à toute sollicitation parasite, à toute propagande, toute forme de chantage ou menace, mais aussi à toute séduction matérialiste.

Dans le sillage de ce qui a lieu actuellement dans tout le système solaire, la vibration de notre planète est en train de changer. La chape de plomb astrale où se sont accumulées génération après génération souffrances et perversions commence à se dissoudre sous l’affaiblissement de notre champ magnétique. Il en résulte déjà des réminiscences de mémoires traumatiques, une prise de conscience d’aspects méconnus de nos personnalités et une sensibilité accrue à des phénomènes subtils de circulation et d’échanges d’énergie. Ces actuelles révélations, plus douloureuses que celle des méfaits de nos dirigeants, n’en sont qu’à leur commencement. La mise à nu du mal n’est qu’un prélude aux retrouvailles avec notre nature éternelle.

De puissantes radiations solaires ont frappé la Terre au tout début de ce mois de juillet. Elles se sont fait ressentir au niveau des télécommunications, mais aussi dans nos corps et dans nos esprits de manière inédite. Cette éruption n’était pour autant qu’un coup de semonce. D’autres vagues suivront, de plus en plus fortes. Nous ne sommes qu’au début d’un processus cyclique que les apprentis sorciers au pouvoir espèrent contrecarrer par le déploiement du continuum électromagnétique Haarp — chemtrails — ondes de toutes sortes et nanotechnologies injectées afin de conserver leur contrôle du cheptel humain. Cette tentative est vouée à l’échec, comme toute entreprise prométhéenne. L’ordre du jour est au balayage de tout ce que nous avions jusqu’ici connu.

La mauvaise nouvelle dans tout cela est que la dépopulation prévue aura bien lieu. La bonne, est qu’elle ne sera pas réalisée selon les critères de sélection concoctés par les mondialistes. La lame de fond énergétique à venir affectera aussi bien les classes populaires que les élites autoproclamées. Il suffit d’observer les comportements pour constater que le phénomène a déjà démarré. Seules les personnes capables d’accepter leur propre et totale remise en cause sauront traverser les temps qui s’ouvrent. Tous ceux restant attachés à leurs acquis, à leurs représentations du Monde et d’eux-mêmes, ou ceux qui auront misé sur la technologie pour s’en sortir seront emportés, psychiquement d’abord, puis physiquement.

Les survivants ne seront pas quelques tribus de loqueteux revenus à l’âge des cavernes. Mais des individus pleinement conscients d’eux-mêmes et de leur imprescriptible lien avec tout le vivant. Des êtres humains reliés à leur dimension spirituelle que rien ni personne ne saurait aliéner ou assujettir. Notre espèce aura trouvé sa place et son équilibre dans la mystérieuse équation des forces cosmiques.

Zénon

Terra Incognita de Zénon en version PDF. À retrouver dans Les Chroniques de Zénon




Pierre-Antoine Plaquevent et la conspiration ploutocratique

Par Nicolas Bonnal

Voici un travail sensationnel, formidablement documenté et référencé. Il commence par un long rappel de la catastrophe vaccinale à travers non pas les âges, mais les mois et les années, catastrophe miraculeusement passée sous silence. On citera encore Guy Debord qui notait alors dans ses Commentaires :

« Jamais censure n’a été plus parfaite. Jamais l’opinion de ceux à qui l’on fait croire encore, dans quelques pays, qu’ils sont restés des citoyens libres, n’a été moins autorisée à se faire connaître, chaque fois qu’il s’agit d’un choix qui affectera leur vie réelle. Jamais il n’a été permis de leur mentir avec une si parfaite absence de conséquence. Le spectateur est seulement censé ignorer tout, ne mériter rien. »

L’excellence du travail de Pierre-Antoine Plaquevent permettra à tous les béotiens en la matière de maîtriser la plupart des paramètres de cette globalisation devenue folle et dangereuse. Le livre insiste aussi sur le péril chinois qui s’est manifesté lors de la crise du Covid et qui a démontré la collusion entre l’empire totalitaire chinois et l’OMS de l’effrayant Bill Gates. La progression de la tyrannie numérique et de la gouvernance totale — par-delà l’inconstante et bien vague gesticulation des Brics — n’échappe qu’aux aveugles qui en sont restés aux enfantillages des camps des bons et des méchants, à un manichéisme de théâtre. La réalité que montre la situation actuelle est totalement orwellienne : il y a une élite technocratique et politique qui se renforce partout et un troupeau politique qui se renforce partout dans son acceptation aberrante de la situation (servitude volontaire, que de crimes ne commettra-t-on pas en ton nom ?).

La gouvernance est rendue possible par les progrès de la science et de la technologie. Plaquevent invente un néologisme dans ce domaine : la technosophie.

« La volonté de transcender les capacités humaines par la technoscience et l’ingénierie génétique est un fil conducteur de sa pensée, une véritable gnose de la technique. J’emploie pour ma part le terme de technosophie pour designer cette croyance quasiment religieuse dans les capacités de transformation du genre humain et même de l’ensemble du vivant par la science et la technique. »

Pierre-Antoine rappelle les hauts faits de la famille Huxley dotée d’un pouvoir formidable après la Guerre grâce à l’UNESCO :

« En 1939, Julian Huxley était déjà à l’origine du Manifeste des généticiens, un écrit collectif qui s’intéressait aux moyens nécessaires pour l’amélioration sociale et biologique de l’humanité dans son ensemble. Parmi ceux-ci, était déjà envisagée l’idée d’une fédération. »

Le mondialisme est un humanisme et un transhumanisme !

Mais parlons d’un point de vue de lecteur : en tant que recenseur du présent permanent j’ai particulièrement apprécié l’aperçu historique qui dans ce livre montre l’ancienneté de cette conspiration essentiellement anglo-américaine. Les allusions à Galton notamment sont excellentes. J’ai parlé plusieurs fois de termites et de la hiérarchie de castes et de la resucée sacerdotale (cf. Abellio). Sur Galton Plaquevent écrit :

« Mais Galton lui donne un second sens : la race désigne une classe sociale. Les différences entre les classes sociales, visibles par la réussite sociale, s’expliquent par des facteurs héréditaires. C’est la démarche initiale à partir de laquelle il construira l’eugénisme. Il divise la “race anglaise” en trois classes sociales : l’aristocratie, à laquelle il s’identifie, qui correspond à l’élite et qu’il appelle les “désirables” (the gifted class), la bourgeoisie encore acceptable, mais sans talent particulier et une classe importante de pauvres qu’il appelle les “indésirables”. Selon Galton et ses contemporains, la pauvreté correspond à un état biologique : le pauvre est pauvre, car il est déterminé biologiquement ainsi. »

Le pauvre devient un indigne. On ne le sait que trop maintenant. Au fur et à mesure que les riches ne sont plus accablés d’impôts, les pauvres le sont. Et la dette de la nation savamment augmentée par chaque gouvernement est là pour les emprisonner puis les réduire.

Ces lignes sur Galton me semblent essentielles pour expliquer la situation française actuelle. Par exemple : on n’a plus de droite ni de gauche (au sens d’une vision culturelle ou idéologique du monde : il n’y a plus non plus de religion catholique). Par contre on a un président (vive cette constitution de la cinquième république, tant vantée par les imbéciles, et qui devait tôt ou tard nous mener à cette catastrophe dictatoriale) pour les riches ou, comme disait le peu regretté Hollande, les très riches. La mise en place de la ploutocratie progressiste avait été sentie par des esprits comme Drumont, Bernanos ou Céline (voyez mes textes sur cette question) ; et là, explique Plaquevent, elle a été mise en place dans le cadre d’une gouvernance technique, bancaire et sanitaire du monde. Dès les années 1910 Jack London en parle dans le Talon de fer en dénonçant une élite de businessmen qui désire bien faire (la philanthropie milliardaire) ; et Chesterton dans son roman à clés Un nommé Jeudi parle de cette conspiration milliardaire contre laquelle nations et policiers ne peuvent déjà plus rien. Les grands initiés et autres prédateurs (le Horla de Maupassant) ont gagné la partie.

Sur ce point précis de la conspiration milliardaire progressiste Plaquevent explique que :

« C’est en fait tout un milieu eugéniste de “gauche” libéral au sens anglo-saxon de ce terme) qui sera à l’origine de la fondation des grands organismes culturels, politiques et sanitaires de la gouvernance mondiale. Avec l’appui de grands argentiers mondialistes comme la famille Rockefeller, les bases d’une planification démographique globaliste et eugéniste furent élaborées et mises en place à cette époque, dans l’immédiat après-guerre. »

Les objectifs restent certains de ceux du nazisme, mais il va falloir s’y prendre of course autrement :

« Après la défaite militaro-politique de l’hérésie politique du socialisme internationaliste que fut le national-socialisme, l’eugénisme prenait désormais la forme unique et décomplexée d’un eugénisme humanitaire, projeté à l’échelle planétaire et cosmopolitique. »

Relire Smedley Butler sur cette proximité idéologique et comportementale entre nazisme et gouvernance dictatoriale-démocrate aux USA.

La dangerosité de ce monde moderne dominée par de progressistes forces d’argent n’est plus à démontrer ; la littérature populaire s’en est saisie (que l’on pense à Fantômas…) au début du vingtième siècle quand les 300 qui dirigent le monde (Rathenau) se connaissent déjà tous ; la guerre facilitera la gouvernance mondialiste une fois écrasée l’Allemagne (First we take Manhattan then we take Berlin comme dit la chanson du contre-initié Léonard C.). Gustave Le Rouge a publié un livre nommé la Conspiration des milliardaires… tous américains.

Mais restons à la nôtre d’époque. Plaquevent rappelle l’incroyable :

« Le 15 mai 2009, se réunissait à New-York un groupe restreint de milliardaires parmi les plus influents afin de débattre des “problèmes de la planète” selon l’expression consacrée. »

Comme on sait le problème de la planète, c’est nous, les huit milliards moins riches ! Pierre-Antoine ajoute :

« Parmi ceux-ci on retrouvait : Bill Gates, George Soros, Warren Buffett, David Rockefeller, Ted Turner et Oprah Winfrey. Mais aussi d’autres personnalités moins connues du grand public francophone comme le couple d’affairistes Eli et Edythe Broad. »

Le dernier nommé semble avoir été un contre-initié de haut vol notamment dans le domaine de l’architecture. On reverra à ce sujet l’œuf du serpent de Bergman dont le message implicite est le suivant : « toutes les villes et constructions nouvelles n’avaient qu’un but de contrôle psychologique et social. »

Passons à la fameuse « bombe démographique », brandie par ceux-là mêmes qui remplissent nos villes de migrants pour aboutir à leurs fins.

Le livre évoque bien sûr ces menaces, notamment celles des démographes catastrophistes des années 60-70 (les Ehrlich) dont toutes les prédictions se sont révélées fausses. On lit, car c’est édifiant (cf. notre planète en ébullition) :

« Bien que ses vues restent inchangées en matière de démographie planétaire, Paul Ehrlich semble quelque peu obligé de refréner ses anxiétés compte tenu des nombreuses prophéties catastrophistes qu’il annonçait dans les années 70 et qui ne se sont pas réalisées. Parmi ces prédictions, on peut citer les suivantes dont certaines sont assez étonnantes :

« Dans dix ans, toute vie animale importante dans la mer aura disparu. De vastes zones côtières devront être évacuées à cause de la puanteur des poissons morts. »
« La chute des températures ferait s’enfoncer les calottes glaciaires dans l’océan, produisant “un raz-de-marée mondial qui pourrait anéantir une grande partie de l’humanité” et faire “monter le niveau de la mer de 60 à 100 pieds”. »

Soixante ans donc de tartines Rousseau relayées par Al Gore. Il semble que la montée non pas des océans, mais de l’imbécillité médiatique rende la croisade de ces fous possible aujourd’hui. Ici on retrouve le R.P. Bruckberger et cette obsession suicidaire de la race blanche rendue possible par une déchristianisation massive et totale (Notre-Dame, es-tu là ?).

Pierre-Antoine rappelle nûment :

« Surtout, comme nous le verrons plus loin, ce type de discours catastrophistes servira de prétexte à des formes d’ingérences dépopulationnistes à travers le monde entier. Interventions dont l’habillage humanitaire-sanitaire camoufle mal des objectifs très concrets de domination géopolitique. »

La dépopulation est déjà là en Europe, de la France à l’Allemagne en passant par la Pologne. Effondrement de la natalité et explosion de la mortalité. Sous Hollande et Macron (vive les socialos que dénonçait Trotski justement, toujours alliés des milliardaires et du capital américain depuis les années vingt), la natalité française est passée de 800 000 à 600 000. Ce dépeuplement voulu et coordonné est en bonne marche, accompagné d’une invasion migrante extravagante.

C’est Tocqueville qui écrit quelque part (je cite de mémoire) :

« Je pense, qu’à tout prendre, l’aristocratie manufacturière que nous voyons s’élever sous nos yeux, est une des plus dures qui aient paru sur la terre… c’est de ce côté que les amis de la démocratie doivent sans cesse tourner avec inquiétude leurs regards ; car, si jamais l’inégalité permanente des conditions et l’aristocratie pénètrent de nouveau dans le monde, on peut prédire qu’elles y entreront par cette porte. »

Et l’objet de cette manufacture aujourd’hui c’est la biomasse humaine qu’il faut à la fois réduire et transformer. C’est nous.

On vous laisse découvrir ce merveilleux ouvrage immense et protéiforme (le tome deuxième est plus techno-scientifique et orienté sur les manipulations climatiques), véritable encyclopédie des conspirations ploutocratiques et génocidaires en cours. J’ai bien sûr insisté sur les points qui m’étaient le plus familiers (tout le monde n’est pas encyclopédiste !).




14 juillet, fête de la mort !

[Source : Jean-Marie M.A Chevrier via michelledastier.com]




500 millions

[Source et auteur : Lou Laurenz via PG]

Franc-maçonnerie, assassinat de Kennedy, 11 septembre, Apollo 11, guerre mondiale, Khazars… Tous ces événements [ou éléments] ont un point commun. Devinez lequel.

[Voir aussi :
Le Nouvel Ordre Mondial est en route et nous devons le combattre — Rav Dynovisz
La fin du Nouvel Ordre Mondial avant la délivrance finale
Le secret de l’exil juif et le dévoilement du messie
Le mensonge et l’hypocrisie domineront le monde avant la délivrance
La dictature sanitaire aura une fin
L’épouse du Machiah sera une Française
Rav Dynovisz : la délivrance finale viendra de France
Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives
Histoire juive, religion juive : le poids de trois millénaires, par Israël Shahak
La synagogue de Satan
Le troisième Temple de Jérusalem et l’embrasement de la Terre Sainte – Analyse de Pierre-Antoine Plaquevent
Remise en question de l’ascendance hébraïque et sémitique des juifs ashkénazes
L’importance de l’Ukraine pour le Nouvel Ordre Mondial
La guerre en Ukraine : La cinquième colonne en Russie et le clan Rothschild
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare]

Liste des intervenants :
Stéphane Blet, Philippe Ploncard D’assac, Pierre Hillard, Henri Guillemin, Tony Miotto, Alain Soral, Pierre Dortiguier, Philippe De Villiers, Johan Livernette, Claire Séverac, André Fontaine, Aldo Stérone, Alexandre Havard.

[Note de Joseph concernant le prétendu virus du SIDA et les armes biologiques « virales » évoquées à un moment dans la première vidéo : celles-ci n’ont jamais pu se propager de manière naturelle et nécessitent une inoculation directe, le plus souvent sous forme de « vaccin » ; aucun virus pathogène n’a jamais été scientifiquement isolé, purifié et caractérisé. L’équipe de chercheurs allemands autour de Stefan Lanka offre un million d’euros au premier virologue qui sera capable d’isoler, purifier et caractériser ne serait-ce qu’un tel virus (censé produire une maladie dite virale). Le prix n’a pas encore été réclamé. Quand un virologue prétend isoler un virus, il ne fait que répéter un vieux rituel qui n’a rien de scientifique, mais ressemble bien davantage à une mauvaise recette de cuisine et ne permet nullement de démontrer scientifiquement la présence de virus pathogènes. Le séquençage génétique opéré en fin du rituel n’est qu’une opération logicielle, une escroquerie intellectuelle.
Voir notamment, dans le dossier Vaccins et Virus :
Pierre Chaillot : « Il est faux de dire que l’on a isolé un virus ».
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Commentaires sur le VIH de Montagnier
Démontage de la théorie virale
Déclaration sur l’isolement des virus
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
et L’enterrement de la théorie virale (qui rappelle notamment ce qu’est la méthodologie scientifique).
En réponse à l’argument « Oui, mais les virus fabriqués en labos p4 ? », voir en complément :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
L’hypothèse virale pourtant démontrée fallacieuse, voire frauduleuse, perdure depuis des décennies au lieu d’avoir été abandonnée il y a 70 ans, car elle est le fondement d’une bonne partie des recettes financières de Big Pharma (l’autre partie étant la théorie mère, celle des germes pathogènes) et universellement enseignée aux médecins et autres personnels soignants lors de leur formation (ou endoctrinement) universitaire. Et c’est elle qui a notamment permis la justification des mesures prétendument « sanitaires », mais en réalité tyranniques et sanitairement nocives lors de la « plandémie » Covid-19. C’est par son biais que le Nouvel Ordre Mondial se finalise. Elle représente la pierre angulaire de l’édifice mondialiste.
Entretenir l’arnaque virale revient à favoriser la finalisation du Nouvel Ordre Mondial et l’établissement du totalitarisme planétaire. Tant que des gens ont peur de méchants virus pourtant inexistants jusqu’à preuve scientifique réelle du contraire, ils seront enclins à accepter les pires mesures contre eux-mêmes sous prétexte de santé et de sécurité. Pour que l’Humanité connaisse enfin la liberté, il faudra autre chose que seulement dénoncer les vaxins et leurs effets secondaires. Il faudra faire tomber la pierre angulaire qu’est l’hypothèse virale.]

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