Tous vaccinés, tous menacés

[Source : ripostelaique.com]

Par Laurent Droit

« Tous vaccinés, tous condamnés !! »

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Sur les chaînes de télévision, l’État continue de diffuser toute la journée des spots publicitaires du genre « lutte contre le sida » dans le but de faire « vacciner » un maximum de gens contre le Coronavirus, quels que soient ses autres noms.

Sous le titre/thème « Spot TV sur la vaccination – le débat » celui-ci met en scène une famille ou une bande d’amis à table qui débattent sur l’intérêt ou non du vaccin. Débat, donc avis différents.
Ce qui est clair, c’est que cela représente la grande masse des Français peu instruits de ces choses et en ignorant à peu près tout.
Leur discussion est donc assez stérile.
Voir le spot : https://www.dailymotion.com/video/x83jaht

Cela se termine par un texte froid de l’autorité publique :

– « On peut débattre de tout… sauf des chiffres »
– « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »
– « Tous vaccinés, tous protégés. »
– « Plus d’informations sur les lieux de vaccination sur www.sante.fr »

Et la fin traditionnelle des communications gouvernementales :

À noter qu’aujourd’hui la santé passe après les « solidarités » dans un ministère fourre-tout où on considère que la santé a peu d’importance et passe largement après les solidarités (qui restent à définir et à préciser)…!
C’est totalement stupide comme ordre des priorités…

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Je souhaite maintenant revenir sur la dialectique de ce message de fin.

Primo, « on peut débattre de tout sauf des chiffres. »

Je me demande bien ce que peuvent faire tous nos fantastiques scientifiques qui débattent sans arrêt entre eux de choses chiffrées d’un très haut niveau pour nous apporter tout ce dont nous avons besoin dans nos vies, dans le monde entier.
On peut parfaitement débattre des chiffres sur leur précision, mais lorsque la démonstration de l’exactitude d’un chiffre a été faite et reconnue par la communauté scientifique, il devient assez difficile de le contester, sauf à apporter une autre démonstration tout aussi exacte mais différente.
Cette formule est donc fausse.
C’est un mensonge.
C’est une « fake-news » d’État !
Elle est faite pour endormir les naïfs et les crédules dans le but de les contraindre mentalement et de les culpabiliser à se faire vacciner.
Pourquoi ? Parce que Macron est le manipulateur en chef de toutes les manipulations de masse en France et que Macron et ses subalternes ont pour mission de faire injecter à tous les Français une substance nocive, dangereuse et à terme mortelle afin de faire diminuer la population française de souche d’origine, dans le cadre du Grand Remplacement et du Great Reset mondial décidé par les mondialistes.
À noter que les immigrés ne sont pas invités au bal des injections.

Secundo, « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »

Cette allégation gratuite est parfaitement mensongère aujourd’hui. C’est en effet tout le contraire qui se passe, car la vérité démontrée et dénoncée par d’innombrables médecins, biologistes et scientifiques non soumis au diktat de la doxa macronienne qui l’ont exprimée de nombreuses fois et de nombreuses manières :
En France et dans le monde, aujourd’hui, 8 personnes sur 10 hospitalisées dans des états désespérés ont déjà reçu une ou deux doses d’un des vaccins.
Et leur état désespéré est précisément lié aux effets secondaires dramatiques des pseudo-vaccins de grande toxicité.
J’en ai parlé suffisamment longuement dans mon livre avec tous les liens nécessaires pour en faire une preuve indiscutable : http://cabalard.free.fr/1zemmour.html

Mais je vous ai quand même noté quelques liens importants à la fin de cet article.

Par ailleurs, on ne doit pas dire « le covid », mais « la covid-19 » car il s’agit de LA maladie covid identifiée en 2019.

Tercio, enfin, ce slogan qui fleure bon le dentifrice ou la lessive miracle :
« Tous vaccinés, tous protégés. » est également l’exact contraire de la réalité démontrée dans le paragraphe précédent, c’est-à-dire que les vaccins sont très dangereux et introduisent dans l’organisme humain de nombreuses substances nocives, toxiques pouvant apporter des pathologies nombreuses et très graves susceptibles d’entraîner la mort dans des délais qui vont de quelques minutes après l’injection à plusieurs mois ou plusieurs années, sans plus de précisions, car nous n’avons pas encore assez de recul pour en juger (il faudrait au moins 5 ans).

La seule vérité c’est que « tous vaccinés » signifie en réalité « tous condamnés à mort » dans des délais inconnus, mais sans doute pas très longs. Mais en aucun cas protégés.

Je souhaite aussi préciser que ces substances hautement toxiques fabriquées et vendues par l’industrie pharmaceutique sont tout sauf des vaccins, comme je l’ai aussi déjà expliqué en long et en large dans mon livre et dans des articles, avec tous les témoignages de nombreux scientifiques non politisés dont la sincérité et l’honnêteté ne peuvent pas être mises en doute.

Nous vivons malheureusement une période extrêmement grave et pénible sur le plan sanitaire où, en plus, l’État Macron totalitaire s’ingénie à mentir au peuple français à longueur de temps dans des buts qui sont aujourd’hui connus de tous, même si beaucoup en doutent encore, tant cela peut paraître incroyable.
Mais des choses encore plus incroyables se sont produites tout au cours notre histoire et il faut quand même que les Français ouvrent un peu les yeux…

Attention, des articles prétendant démentir que les vaccins n’ont pas d’effets secondaires dangereux et que le rapport bénéfice/risque est largement favorable, courent sur le web. Ce sont des mensonges.
Ne les croyez pas !!!
L’État Macron fait tout pour vous cacher la vérité.

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Ne croyez jamais ce gouvernement de menteurs professionnels, mettez en doute toutes leurs déclarations concernant cette crise sanitaire, éloignez-vous de ces vaccins, refusez-les et avertissez vos amis et votre famille de leurs dangers mortels et aussi exigez que soient largement vendus et distribués les vrais traitements curatifs anciens, connus et efficaces qui ont déjà sauvé des centaines de milliers de personnes atteintes de la Covid-19. Chloroquine et Ivermectine associées à des antibiotiques qui éviteront les complications comme l’azithromycine ou la clarithromycine.

Cela dit, je ne vais pas refaire mon livre ici. Vous n’avez qu’à le lire, il est gratuit et en ligne.

Laurent Droit

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Liens :

Vidéo récente qui semble montrer que Pfizer refuse d’endosser toute responsabilité devant les États quant aux effets secondaires probablement nombreux et létaux de leurs « vaccins. »
Chacun en tirera ses propres conclusions…
« La députée @MicheleRivasi au CSI : beaucoup de pays africains et d’Amérique latine refusent les vaccins Pfizer car le laboratoire demande à ces pays d’hypothéquer une partie de leurs richesses nationales pour faire face à d’éventuels procès suite à d’éventuels effets secondaires. »
https://twitter.com/boutaour/status/1441354445980258311

« Film Covid, 26 raisons pour refuser les vaccins » 
https://odysee.com/@Vivresainement:f/film-covid-26-raisons-pour-refuser-les-vaccins:8

« Dr Zelenko nous dit tout sur le Covid et l’acharnement vaccinal. Accrochez-vous, c’est dur !! »
https://rumble.com/vky0dy-dr-zelenko-nous-dit-tout-sur-le-covid-et-lacharnement-vaccinal.-accrochez-v.html

« Décrypter le coup du passe sanitaire et la stratégie de la caste mondialisée »
https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/08/11/decrypter-le-coup-du-passe-sanitaire-et-la-strategie-de-la-caste-mondialisee/

« Les vaccins et le confinement sont-ils efficaces ? » 
https://www.youtube.com/watch?v=sCqqbP6Oe_Q

« Covid-19 : la stratégie d’immunité collective par la vaccination est-elle remise en cause en Islande ? »
https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-la-strategie-d-immunite-collective-par-la-vaccination-est-elle-remise-en-cause-en-islande-20210811

« La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique » 
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-dangerosite-des-nouveaux-vaccins-anti-covid-est-un-fait-historique

« 57 scientifiques et médecins demandent l’arrêt immédiat de toutes les “vaccinations” Covid-19 »
https://www.francesoir.fr/societe-sante/57-scientifiques-et-medecins-demandent-larret-immediat-de-toutes-les-vaccinations

« TRIBUNE – Un aperçu sur le scandale du vaccin COVID-19 et du passe sanitaire »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-le-regne-de-la-cupidite-et-la-chute-de-la-medecine-occidentale-moderne

« Alerte ! Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène (très dangereux) dans les injections Covid et leur létalité » Vidéo très importante en anglais sous-titré de 22’49. 
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Alerte-!-Une-ancienne-employ%C3%A9e-de-Pfizer-confirme-la-pr%C3%A9sence-d’oxyde-de-graph%C3%A8ne-dans-les-injections-Covid-et-leur-l%C3%A9talit%C3%A9.:c

Docteur Nicole Delépine : « Tous vaccinés, mais pas protégés ! » 
https://ripostelaique.com/tous-vaccines-mais-pas-proteges.html
et aussi :
« Sortir du délire : les thérapies géniques ne sont pas des vaccins » 
https://ripostelaique.com/sortir-du-delire-les-therapies-geniques-ne-sont-pas-des-vaccins.html

Docteur Nicole Delépine : « Des témoignages personnels dramatiques avec l’injection génique se multiplient »
https://ripostelaique.com/des-temoignages-personnels-dramatiques-avec-linjection-genique-se-multiplient.html

Docteur Nicole Delépine, encore une excellente étude de sa part sur le scandale de la vaccination des enfants :
« Il faut stopper la publicité à la vaccination des enfants » 
https://ripostelaique.com/il-faut-stopper-la-publicite-a-la-vaccination-des-enfants.html

« Le Dr. Laurent Montesino Réanimateur – à coeur ouvert »
La vérité sur les traitements, les tests et procédures, sur l’efficacité des injections.
https://rumble.com/vkybzq-le-dr.-laurent-montesino-ranimateur-coeur-ouvert.html

Le témoignage de cet homme, directeur d’une entreprise de pompes funèbres australienne, est tout aussi important que courageux.
« Le témoignage capital d’un directeur des pompes funèbres » 
https://reseauinternational.net/un-temoignage-capital/
Autre source :
http://www.urantia-gaia.info/2021/09/21/un-temoignage-capital/#more-9853

« Les surprises d’analyses de sang de personnes vaccinées » Observations par plusieurs personnes, dans un laboratoire, d’anomalies sanguines dangereuses, sur une vidéo de microbiologie. Commenté en français.
La conclusion est qu’il s’agit d’un crime à grande échelle, de l’euthanasie collective.
https://rumble.com/vluavl-les-surprises-danalyses-de-sang-de-personne-vaccines.html




Les Opérations d’influence chinoises

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

L’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM) en France a récemment publié un rapport de 646 pages intitulé « Les Opérations d’influence chinoises. Un moment machiavélien ». Ce volumineux rapport a été rédigé par Paul Charon (directeur du domaine « Renseignement, anticipation et menaces hybrides » de l’IRSEM) et Jean-Baptiste Jeangène Vilmer (directeur de l’IRSEM).

Pendant longtemps, on a pu dire que la Chine, contrairement à la Russie, cherchait davantage à être aimée que crainte ; qu’elle voulait séduire, projeter une image positive d’elle-même dans le monde, susciter l’admiration. Pékin n’a pas renoncé à séduire, à son attractivité et à son ambition de façonner les normes internationales, et il reste essentiel pour le Parti communiste de ne pas « perdre la face ». Mais, en même temps, Pékin assume de plus en plus d’infiltrer et de contraindre : ses opérations d’influence se sont considérablement durcies ces dernières années et ses méthodes ressemblent de plus en plus à celles employées par Moscou. C’est un « moment machiavélien » au sens où le Parti-État semble désormais estimer que, comme l’écrivait Machiavel dans Le Prince, « il est plus sûr d’être craint que d’être aimé ». Ce qui correspond à une « russianisation » des opérations d’influence chinoises.

Ce rapport s’intéresse à cette évolution, avec l’ambition de couvrir tout le spectre de l’influence, de la plus bénigne (diplomatie publique) à la plus maligne, c’est-à-dire l’ingérence (activités clandestines). Pour ce faire, il procède en quatre parties, présentant successivement les principaux concepts ; les acteurs mettant en œuvre ces opérations, notamment la base 311 de l’Armée populaire de libération ; les actions conduites par Pékin à l’égard des diasporas, des médias, de la diplomatie, de l’économie, de la politique, de l’éducation, des think tanks et en termes de manipulations de l’information, entre autres leviers ; et enfin quelques études de cas (Taïwan, Singapour, Suède, Canada, et les opérations ayant visé les manifestants hongkongais en 2019 ou cherché à faire croire à l’origine américaine de la Covid-19 en 2020). La conclusion revient sur cette « russianisation », qui a trois composantes : Pékin s’inspire de Moscou dans plusieurs registres, il subsiste évidemment des différences entre les deux, et il existe aussi un certain degré de coopération. Pour finir, le rapport évalue l’efficacité de cette nouvelle posture chinoise qui peut s’enorgueillir de certains succès tactiques, mais constitue un échec stratégique.


Les Opérations d’influence chinoises. Un moment machiavélien

Pour lire la suite : L’Institut de recherche stratégique de l’École militaire a publié son rapport : Les Opérations d’influence chinoises. Un moment machiavélien




« Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ?

[Source : Sott.net]

Par David Skripac — Global Research

Cette année marque un tournant décisif dans l’histoire humaine. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont maintenant permis de modifier définitivement le génome humain — et de modifier à jamais la relation de l’humanité avec la Nature — au moyen d’une injection pharmaceutique expérimentale qui est faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons examiner attentivement les motifs et les actes qui sont en train de transformer l’humanité telle que nous la connaissons. Par ailleurs, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Afin d’étudier les multiples facteurs qui contribuent à accélérer la disparition de l’humanité et à compromettre notre rôle essentiel de protecteurs de la Terre et de ses milliards d’espèces végétales et animales, j’ai divisé cette étude en quatre parties principales, qui apparaîtront sous forme d’articles distincts.

Dans la première partie : Le microbiome et le virome, nous découvrirons que nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui ont joué un rôle essentiel pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et ce même flux d’information viromique est responsable de la construction de l’espèce humaine.

Dans la deuxième partie : Notre guerre contre la Nature, nous explorerons comment notre propre comportement imprudent détruit l’environnement, nous avançant ainsi vers la sixième extinction massive. J’entends par là que je couvrirai la véritable catastrophe environnementale, et non le canular financé par des milliardaires « réchauffement climatique/changement climatique » initié par le Club de Rome et promulgué par le Forum économique mondial (FEM).

Dans la troisième partie : Ce qui s’est passé en 2020, nous examinerons comment cette véritable dévastation environnementale a contribué à la « pandémie » qui a été déployée en 2020, qui a conduit à des injections expérimentales massives de substances inconnues dans des « sujets » humains en 2021, et qui n’a pas de fin prévisible. (J’ai mis « pandémie » entre guillemets en raison de son caractère frauduleux. En effet, il est décrit plus précisément et à juste titre comme une plandémie, une arnaque, une pseudo-pandémie ou tout autre terme indiquant une fausse pandémie.)

Dans la quatrième partie : Notre réponse, nous analyserons la réponse irresponsable et irrationnelle de la plupart des gens de la planète à cette soi-disant pandémie.


Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Le microbiome

Le microbiome (dérivé des mots grecs micro, qui signifie « petit », et biotikos, qui signifie « vivant ») est un écosystème massif composé de milliards de micro-organismes. Fait incroyable, quelque 40 000 espèces de bactéries, 300 000 espèces de parasites, 65 000 espèces de protozoaires et entre 3,5 millions et 5 millions d’espèces de champignons vivent dans l’environnement qui nous entoure et vivent dans ou sur le corps humain. Ce monde complexe de micro-organismes sécrète continuellement une mer de virus, qui servent de réseau de communication pour les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons. Et, comme nous le découvrirons bientôt, ces virus ont toujours été là pour nous aider, pas pour nous nuire. En d’autres termes, ils sont porteurs de vie, et non mort.

Voici un indice de la complexité, de l’incroyable diversité et de la taille infinitésimale du microbiome : Le nombre de gènes dans le règne fongique est d’au moins 125 milliards ! Le génome humain, à titre de comparaison, se compose de seulement 20 000 gènes. Une mouche à fruits a 13 000 gènes, une puce en a 31 000. Ainsi, en termes de complexité génétique, le génome humain ne possède qu’un minuscule fragment d’information génétique par rapport au vaste monde de l’information génomique contenue dans le microbiome.

Un aspect fascinant du microbiome est son réseau de communication symbiotique, qui permet la transmission d’informations protéiques d’un micro-organisme à l’autre. Par exemple, le réseau mycélien (une matrice de filaments blancs fins) chez les champignons permet aux champignons de communiquer entre eux sur des distances qui peuvent s’étendre jusqu’à plusieurs kilomètres. Ces structures mycéliennes sont capables de transférer des ressources minérales et protéiques à plus d’un kilomètre. Comment ? Ils utilisent l’énergie lumineuse et les électrons qui circulent à travers les voies présentes dans le système du sol. De cette façon, le microbiome aide les plantes et d’autres formes de vie multicellulaires à prospérer. Il n’est pas exagéré d’appeler le réseau mycélien dans le royaume fongique le « cerveau » littéral de la planète. Soit dit en passant, tous les petits organismes intelligents qui composent le microbiome sont alimentés par l’énergie biophotonique du Soleil.

Commentaire : Voir notre Focus La science relative à l’intelligence végétale prend racine

Aussi difficile à comprendre, au moins 1,4 quadrillion de bactéries et 10 quadrillions de champignons vivent à l’intérieur du corps humain. Rien que dans le côlon humain on trouve 3,8 x 1013 cellules bactériennes. Chaque organe du corps, y compris le cerveau, a son propre microbiome. Le but des bactéries et des champignons dans notre corps est de nourrir et d’entretenir nos cellules, en nous gardant en bonne santé et en équilibre avec le microbiome plus vaste qui nous entoure.

Le virome

Le virome est l’immense monde dans lequel les messagers de Dame Nature existent. Il est composé de milliards et de milliards de virus produits par les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons du microbiome susmentionné.

Le corps humain adulte moyen contient 1 x 1015 virus. En revanche, dans l’air qui enveloppe la Terre, il y a 1 x 1031virus ; dans le sol terrestre, il y a 2,5 x 1031 virus ; et dans les océans de la Terre, il y a 1,2 x 1030 virus. Pour donner une certaine perspective sur ces nombres impressionnants, 1 x 1031 est 10 millions de fois plus grand que le nombre d’étoiles connues dans l’Univers entier.

En termes simples, un virus est une information génomique, soit de l’ADN ou de l’ARN, enveloppée dans une enveloppe protéique. Les petits brins de protéines dépassant de la surface extérieure de l’enveloppe protéique d’un virus sont appelés protéines Spike. Les virus ne sont pas des organismes vivants. Ils ne produisent pas leur propre carburant. Ils n’ont pas de métabolisme pour produire de l’énergie. Et ils ne peuvent pas se reproduire.

Les virus voyagent à l’échelle mondiale, au-dessus de la couche limite atmosphérique, depuis des millions d’années, bien avant l’invention des machines de transport aérien. Leurs codes génétiques couvrent la Terre depuis des lustres, créant la biodiversité et permettant l’adaptation dans tout l’écosystème. Par adaptation, je veux dire que les virus cherchent toujours à adapter leurs codes génétiques dans le but de créer une santé résiliente dans toutes les formes de vie de la planète. Il est ridicule de suggérer que, pour voyager d’une région du globe à l’autre, un virus puisse sauter à bord d’un avion, comme la Division de la recherche sur la sécurité nationale de RAND voudrait nous le faire croire.

En outre, les virus — y compris les coronavirus — ne viennent pas par vagues pour disparaître ensuite sans laisser de trace, puis réapparaître miraculeusement plus tard au même endroit ou dans un autre. Au lieu de cela, les virus ne partent jamais, n’expirent jamais. Ils habitent tous les éléments de l’environnement qui nous entoure. En bref, ils sont omniprésents et toujours présents.

Notre relation avec des virus particuliers peut changer en raison de nos actions nocives envers la Nature. Chaque fois que les humains empoisonnent et polluent l’air, le sol et l’eau, ils créent un déséquilibre entre l’humanité et le virus — un déséquilibre qui peut nous amener à à être en déséquilibre avec un virus particulier.

Malheureusement, le régime de médecine allopathique, que les ploutocrates John D. Rockefeller et Andrew Carnegie ont imposé à la majeure partie du monde avec leur rapport Flexner de 1910, a encore une grande partie de la communauté scientifique qui croit que les bactéries, les champignons et les virus sont notre ennemi.

Le fondement du système de médecine allopathique de Rockefeller est la « théorie des germes » imparfaite de Louis Pasteur, qui affirme que des micro-organismes extérieurs tels que les bactéries et les virus attaquent, envahissent et infectent le corps, causant ainsi des maladies.

La plupart des pays occidentaux attribuent à Pasteur (1822-1895) un rôle fondamental dans l’établissement de ce que nous appelons la « médecine moderne » — un paradigme qui retrace l’origine de chaque maladie à un seul germe.

Sans la théorie de Pasteur, la plupart des médicaments modernes ne seraient jamais produits, promus ou prescrits — un fait qui explique pourquoi l’establishment médical d’aujourd’hui et son industrie pharmaceutique co-dépendante refusent de reconnaître leurs défauts ou d’admettre leur inefficacité.

En revanche, la « théorie du terrain », initiée par Claude Bernard (1813-1878) et plus tard construite par Antoine Béchamp (1816-1908), allègue que le terrain — c’est-à-dire l’environnement interne du corps — et non un germe externe détermine notre santé ou notre absence. Ce que Béchamp a appelé le « terrain » est très proche de ce que la médecine moderne a maintenant appelé le système immunitaire inné. Comme nous le verrons dans les paragraphes suivants, Béchamp était certainement sur la bonne voie pour découvrir comment le corps humain interagit vraiment avec l’environnement extérieur.

Commentaire : Pasteur ne s’est par contre pas promu tout seul… Il avait un sens aigu des relations publiques, et si l’on reprend le contexte de l’époque où fleurissait aussi la théorie de l’évolution de Darwin, l’on peut comprendre que des courants idéologiques avaient — et ont toujours — des intérêts bien précis à promouvoir Pasteur plutôt que Béchamp.

À eux deux, Pasteur et Darwin ont stérilisé toute véritable recherche spirituelle en la ramenant au seul terrain matérialiste et mécaniste. On peut aussi faire le parallèle entre ces matérialismes « scientifiques » et le capitalisme libéral dans lequel s’exerce la loi du marché, ramenée à la loi de la jungle où seul le plus fort peut survivre, une loi qui ne gère que les rapports matériels entre les différents organismes vivants. Sus aux faibles, sus aux vilains microbes qui nous attaquent, et tant pis si sans beaucoup d’entre eux, nous ne serions même pas là pour en parler.

Voir aussi nos Focus :

Contrairement à Pasteur, Béchamp avait une formation universitaire en sciences. Il croyait que la maladie était le résultat biologique des changements qui se produisent dans le corps lorsque ses processus métaboliques deviennent déséquilibrés. Lorsque le corps est dans un état de déséquilibre, a allégué Béchamp, les germes deviennent des symptômes qui, à leur tour, stimulent plus de symptômes, ce qui conduit finalement à la maladie.

Bien que Béchamp aille dans la bonne direction avec sa théorie du terrain, la tyrannie pharmaceutique dépendante des germes de Rockefeller a prévalu, en grande partie en raison d’importantes infusions d’argent, que Rockefeller et Carnegie ont volontiers fournies sous forme de subventions aux universités, aux hôpitaux et aux installations de recherche médicale. Leur grande taille « philanthropique », qui dépassait facilement 100 millions de dollars, leur a permis d’influencer la politique de l’ensemble de l’établissement médical américain et, éventuellement, de la plupart des pays occidentaux, les dirigeant vers un régime allopathique exclusivement chimique.

Je démontre dans cet article que, contrairement à ce que la médecine Rockefeller nous enseigne depuis plus de cent ans, les virus ne sont pas là pour attaquer nos cellules ou nous nuire de quelque manière que ce soit.. Au contraire, l’information moléculaire génétique sur l’ADN et l’ARN contenue dans les virus constitue en fait les éléments fondamentaux de la vie sur terre. Pour utiliser une analogie moderne, nous pouvons considérer le flux d’information d’un virus comme une mise à jour logicielle transportant une intelligence moléculaire importante qui peut être téléchargée, au besoin, sur n’importe quelle cellule d’un organisme multicellulaire vivant, y compris l’une des 70 milliards de cellules contenues dans le corps humain. Nos cellules régulent de nouvelles informations génomiques qui sont reçues et d’autres informations qui ne sont pas reçues. Les virus cherchent simplement à s’adapter aux cellules dans le but de créer une santé humaine résiliente.

Commentaire : Voir notre Focus Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 et particulièrement la section sur les virus.

Un mot ici sur le système immunitaire.

Il existe deux types d’immunité : innée et adaptative

Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour.

Le système immunitaire inné fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes, comme l’APOBec3A/3G et le CAS9Ces enzymes sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus.

Le système immunitaire adaptatif monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.

Pour comprendre la rapidité avec laquelle le corps humain s’adapte lorsqu’il est exposé au virome, envisagez un nourrisson de sept jours. Il a 1 x 108 particules virales dans seulement un gramme de matières fécales. Même si cet enfant n’a pas la capacité de développer des anticorps à un stade aussi précoce de sa vie, il s’adapte néanmoins instantanément à ces particules virales, restant parfaitement en bonne santé. Au lieu de développer une fièvre, il reste en équilibre stable — l’homéostasie — avec le virome, tant microbien que génétiquement. Ce seul fait prouve que nous n’interagissons pas avec le virome par notre système immunitaire adaptatifmais que nous interagissons plutôt avec lui par l’intermédiaire de notre système immunitaire inné.

Quel est le principal point à retenir de ces faits ? Selon moi, c’est que la décision du corps d’adopter l’information génétique est un processus biologique très complexe et contrôlé. Il existe de nombreuses façons dont notre corps reste en équilibre avec l’immense mer d’informations génétiques que nous inspirons et avec lesquelles nous entrons en contact à chaque instant de notre vie.

Puisqu’un virus n’est pas un organisme vivant, notre système immunitaire inné ne peut pas tuer les virus — et il ne voudrait pas le faire. Au lieu de cela, comme mentionné ci-dessus, le système immunitaire inné entre simplement en équilibre génétique avec un nouveau virus. Il le fait en reproduisant ou en recevant des mises à jour de ce virus — et en répondant immédiatement à ce nouveau téléchargement viral. Une fois l’équilibre génétique atteint, généralement 4 à 5 jours après l’exposition initiale au virus, notre système immunitaire inné refuse de recevoir d’autres mises à jour.

De ces faits, nous pouvons conclure que les humains ne peuvent pas empêcher une « épidémie » de se produire, ni changer la trajectoire d’une épidémie. En d’autres termes, il est inutile — en fait, pire qu’inutile : c’est nocif — d’essayer de contrôler un virus par ailleurs utile en déployant un dispositif expérimental non approuvé d’édition génétique conçu pour produire une réponse immunitaire (aussi connue sous le nom de réponse adaptative du système immunitaire induite par l’injection). Ce modèle scientifique obsolète est biologiquement illogique et ne pourra jamais fonctionner. Nous savons maintenant qu’il interfère avec notre système immunitaire inné magnifiquement conçu, qui est parfaitement capable de gérer tout virus avec lequel nous pourrions développer un déséquilibre temporaire. (La façon exacte dont nous développons un déséquilibre avec un virus particulier, comme le virus du VIH ou tout coronavirus, sera expliquée plus loin dans l’article).

De plus, contrairement au récit officiel propagé par les fabricants de vaccins et les organismes de santé des gouvernements du monde entier, notre système immunitaire conserve en mémoire des virus avec lesquels notre corps a interagi et des gènes qui ont été insérés naturellement — après avoir reçu une nouvelle mise à jour virale — dans nos cellules. Dans le système immunitaire inné, par exemple, l’enzyme Cas9, qui est responsable du clivage de l’excès d’ADN lorsqu’une trop grande quantité d’un transfert viral est présentée à une cellule, est la banque de données de mémoire naturelle qui se souviendra du modèle d’ADN qu’elle a rencontré.

En outre, les dossiers permanents tenus par un système immunitaire inné sont transmis aux générations futures d’humains, qui n’auront donc jamais de réaction inflammatoire à un virus particulier. Même dans le système immunitaire adaptatif, les lymphocytes B (la source d’anticorps) et les lymphocytes T (stimuli des lymphocytes B) fournissent une immunité durable.

Une étude à plusieurs volets des NIH présentée par le Center for Infectious Disease Research and Policy (CIDRAP) en 2008 a prouvé de manière concluante que l’immunité aux anticorps peut durer toute une vie. Dans cette étude, un groupe de scientifiques, dirigé par le Dr. Eric Altschuler, a prélevé des échantillons de sang sur 32 survivants — âgés de 91 à 101 ans — de la pandémie de grippe espagnole de 1918. (En fait, le nom correct de cette pandémie est la grippe du Kansas — son lieu d’origine.) À leur grande surprise, les scientifiques ont découvert que, près d’un siècle plus tard, tous les participants à l’étude portaient encore les anticorps contre la même souche de grippe.

Commentaire : Et plus précisément en ce qui concerne cette grippe de 1918,

« La pandémie de grippe dite « espagnole » a débuté avec l’expérience brutale de l’Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. Cette expérience menée en 1918-1919 pourrait avoir tué cinquante à cent millions de personnes. Et si l’histoire qu’on nous a racontée sur cette pandémie n’était pas vraie ? Et si, au contraire, l’infection mortelle n’était ni la grippe ni d’origine espagnole ?
[…]
La pandémie n’était par grippale. On estime que 95 pour cent (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe. La pandémie n’était pas d’origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas. Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l’Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley.

Pendant le reste de l’année 1918, alors que ces soldats — vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires — étaient envoyés en Europe pour combattre, ils ont répandu la bactérie à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de la ligne de front en France.
[…]
Pendant la Première Guerre mondiale, l’Institut Rockefeller a également envoyé son sérum expérimental contre les méningocoques en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays, contribuant ainsi à la propagation de l’épidémie dans le monde entier. »

Sur la base des conclusions de cette étude vieille de 21 ans, nous pouvons rejeter la propagande qui nous est imposée par les médias mainstream et les organisations médicalesIl n’est pas vrai que l’immunité naturelle au virus Sras-CoV-2 peut s’estomper six mois à un an après l’exposition initiale. Et il n’est pas vrai qu’une injection expérimentale est le seul moyen d’atteindre l’immunité. De telles allégations non fondées ne sont que des ruses inventées pour faire avancer l’agenda avide de l’industrie pharmaceutique et des autres technocrates opérant en coulisses.

En résumé : Le pouvoir de l’immunité naturelle surpassera toujours toute présumée immunité contre un virus censé résulter d’une injection, qu’elle soit expérimentale ou approuvée par le gouvernement.

Du point de vue biologique, toute la vie sur Terre est construite à partir des séquences génétiques moléculaires d’ARN et d’ADN contenues dans les virus. Ces virus sont des systèmes d’administration génétique de nature complexe, ils demeurent essentiels à l’épanouissement et au maintien de la vie sur Terre. En fait, plus de 50 % des 20 000 gènes hérités par les humains d’aujourd’hui ont été insérés il y a des millions d’années dans le génome des mammifères par ces minuscules merveilles de la Nature. Au moins 8 % de ces gènes ont été insérés par des rétrovirus à ARN similaires au rétrovirus du VIH. (Un rétrovirus est un virus à ARN qui insère une copie d’ADN de son génome dans la cellule hôte afin de se répliquer.) Tout aussi intrigant est le fait qu’il y a des millions d’années, les mises à jour rétrovirales ont joué un rôle clé dans l’émergence des mammifères placentaires.

Fait intéressant à noter, une étude publiée en 2017 par le National Institute of Health (NIH) démontre que beaucoup d’entre nous sont porteurs du rétrovirus du VIH sans même le savoir. Dans cette étude, les chercheurs « ont exploré des données de séquence non humaines provenant du séquençage du génome entier » du sang de 8 240 adultes vivant aux États-Unis et en Europe — dont aucun n’a été établi comme étant atteint d’une maladie infectieuse. Ils ont constaté qu’un total de 42 % des participants ont obtenu un résultat positif pour la présence de 94 virus connus. Ces virus comprenaient le VIH, le virus de l’hépatite B, le virus de l’hépatite C et le virus de la grippe.

Nous avons été formés par la communauté médicale et les médias sous la coupe des entreprises pour croire que le VIH devrait prédominer chez les personnes vivant en Afrique subsaharienne. Après tout, nous dit-on, 95 % de tous les cas « séropositifs pour le VIH » proviennent de cette région du globe. Si tel était le cas, nous devrions nous attendre à voir dans d’autres régions très peu de VIH et une prévalence beaucoup plus élevée, par exemple, de l’hépatite C ou de la grippe. Au contraire : c’est juste l’inverse ! En fait, l’étude de 2017 a révélé une prévalence cinq fois plus élevée du VIH que d’hépatite C et de grippe chez ces 8 240 Américains et Européens asymptomatiques. Étonnamment, chacun était complètement en harmonie avec le virus du VIH, même si aucun d’entre eux n’avait jamais voyagé en Afrique. Nous devons conclure à partir de cette étude que non seulement le monde a tout simplement mal compris la prévalence du virus du VIH dans toutes les régions du monde, mais que notre peur de celui-ci — et du virome en général — est tout à fait injustifiée.

Étant donné que de nombreuses organisations puissantes, publiques et privées, bénéficient des énormes subventions et dons qui perpétuent le mouvement sans fin contre le SIDA, il n’est pas surprenant qu’aucune étude scientifique évaluée par les pairs n’ait été réalisée pour fournir des preuves concluantes qu’un virus appelé VIH provoque une maladie appelée SIDA. Si une telle étude devait être entreprise, elle prouverait que l’hypothèse du VIH au SIDA est sans fondement et, plus précisément, frauduleuse.

La question sur laquelle les scientifiques devraient se concentrer est la suivante : qu’est-ce qui se passe en Afrique subsaharienne qui crée une relation aussi anormale entre les personnes vivant dans cette région et le rétrovirus du VIH, ce qui fait que 95 % d’entre elles sont séropositives ?

Pour répondre à cette question, nous devons examiner le terrain où résident les virus et rester en équilibre avec le corps humain. (Par « terrain », j’entends une zone géographique avec son écosystème associé. Je ne fais pas référence ici à la théorie du terrain Bernard/Béchamp susmentionnée.) Lorsqu’un terrain est perturbé par quelque chose d’innaturel — par exemple, l’empoisonnement de l’environnement par un comportement humain irresponsable — les virus deviennent surexprimés et l’équilibre du corps avec le virome est perdu.

Compte tenu du terrain, nous constatons que le facteur numéro un commun à toutes les épidémies ou pandémies dites de maladies infectieuses est la destruction de l’écosystème. En d’autres termes, le terrain naturel a été modifié par un comportement humain irresponsable à un point tel que notre adaptation innée à toute l’information génétique qui nous entoure est sapée.

Commentaire : Il est toutefois à noter qu’un environnement peut aussi, comme l’Histoire nous l’apprend, être en partie ou totalement détruit par des changements cosmico-terrestres : ouragans, tornades, volcans, séismes, inondations, grêle, passage rapproché de comète, astéroïdes, et autres boules de feu météoriques, etc.

Ce n’est pas tant que les virus causent une maladie. C’est plutôt qu’ils présentent simplement au corps une nouvelle option d’adaptation génétique. Le système immunitaire inné de l’organisme détermine ensuite la quantité de ces nouvelles informations qu’il absorbera. Si les cellules ont un besoin urgent de réparation — peut-être en raison de mauvais choix alimentaires, d’un mode de vie sédentaire ou d’une toxicité dans l’environnement — le virus créera un événement inflammatoire au fur et à mesure que le corps traverse son processus de régénération. Cela s’accompagne généralement d’une fièvre, d’une perte d’appétit et d’un nombre élevé de globules blancs. Un tel événement inflammatoire est ce que nous appelons communément « la grippe ».

Ce que nous appelons de manière désobligeante une réaction inflammatoire — en laissant entendre qu’il est mauvais pour le corps — fait en réalité partie du processus de guérison du corps. L’inflammation est nécessaire pour créer une régénération dans le corps. Il agit au nom de l’organisme [corps], pas contre lui. Mais si le microbiome du corps est riche au lieu d’être déficient, il n’aura pas besoin d’une mise à jour et, par conséquent, aucune inflammation ne se produira.

Dans le cas de l’Afrique subsaharienne, l’écosystème est en train de mourir. L’effondrement des systèmes de sol riches en nutriments, la mauvaise hygiène de l’eau, le manque d’assainissement de base, une population souffrant de sous-alimentation chronique et l’élimination complète de l’agriculture biologique traditionnelle — dépassée par la révolution verte oxymoronique, imposée aux pays en développement par l’agriculture industrielle — ont provoqué un déséquilibre entre leur système immunitaire inné et l’environnement. Le syndrome connu sous le nom de « SIDA » est l’expression de ce déséquilibre. Le virus du VIH, découvert pour la première fois par le virologue français Luc Montagnier, a été faussement accusé d’être le principal responsable du SIDA — une forme de culpabilité par association. En fait, le virus du VIH est bénin et n’essaie pas de prendre en charge la mécanique d’une cellule.

La véritable racine du problème est que le système immunitaire inné du peuple subsaharien a été dégradé par un manque de nutrition à un point tel qu’il est en proie à une myriade de maladies, qui ont été regroupées collectivement sous le seul titre « SIDA ». Cependant, au lieu de s’adapter à la réalité de ce que provoque la terrible catastrophe écologique, les « scientifiques » blâment le virus du VIH comme un prétexte pour cacher des décennies de crimes environnementaux et économiques gouvernementaux et commerciaux.

D’après les informations recueillies jusqu’à présent, nous pouvons à juste titre conclure qu’il est impossible pour les virus ou les agents pathogènes de créer des pandémies et des épidémies de maladies infectieuses — car il n’existe pas de maladie infectieuse au sens traditionnel du terme — par exemple « SIDA », « Ebola » et d’autres pandémies « virales » non fondées. Oui, la propagande pharmaceutique pousse le paradigme des maladies infectieuses dans le monde entier depuis des siècles. Mais la croyance que de telles maladies existent n’est qu’une conséquence de la théorie des germes démystifiées de Pasteur. Ce que nous appelons communément une épidémie ou une pandémie est simplement le résultat de la dégradation du système immunitaireinnéd’une partie de la population de la planète. Les raisons de cette dégradation peuvent inclure l’empoisonnement chimique par des herbicides, des pesticides ou des aliments génétiquement modifiés, que nous examinerons plus en détail dans la partie suivante.

Comme nous pouvons le voir par la description ci-dessus du virome, il n’est pas exagéré de dire que le virome est le langage de toute vie sur Terre. Nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui demeure essentielle pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et c’est ce même flux d’information viromique qui a permis de façonner l’espèce humaine.

Ainsi, les humains ne sont pas séparés du virome et du microbiome, mais ils font plutôt partie intégrante du vaste écosystème complexe du virome et du microbiome. Pourtant, nous nous sommes de plus en plus placés en opposition directe avec le système vivant même dont nous faisons partie intégrante : la Nature.

Commentaire : Nous pouvons sérieusement, comme le fait l’article, nous interroger sur la fonction exact des microbes/virus dans l’écologie planétaire, et déterminer s’ils ne seraient pas en fait nécessaires à l’évolution de la vie sur Terre. Aucune de ces réponses ne peuvent être trouvées dans la biologie pasteurienne qui fait aujourd’hui religion.

Rappelons par ailleurs que dans l’approche matérialiste de Pasteur et de ses suiveurs (autoritaristes), notre système immunitaire serait « niais, étourdi et sans conscience » et il faudrait inoculer à l’organisme des agents extérieurs dont il « serait » dépourvu « à l’intérieur », tout en stérilisant l’environnement extérieur constitué de micro-organismes pathogènes à l’influence « néfaste ». On ne sait jamais, des fois que certains d’entre eux nous rendent plus intelligents ou plus réceptifs à certaines idées ou convictions situées à l’opposé du mantra délivré par les autorités bien mal pensantes, basé sur la toute-puissance médicale, pourtant bien insuffisante à éclairer les chercheurs de vérité.

Cette vision limitée de la Vie est exclusive, linéaire, compétitive, iatrogène, inopérante et fait l’objet d’un culte qui prétend que la maladie est extérieur à l’organisme, et qu’elle ne peut jamais, en rien, procéder d’un équilibre intérieur.

Cette vision est anti-vie.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source de l’article publié initialement en anglais le 15 août 2021 : Global Research
Traduction : Mondialisation.ca
Corrections : Sott.net


Note du traducteur 1 : La première partie de cet article a été publiée sur Sott.net et concernait l’analyse du microbiome et du virome : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome.

Nous publions ici les deuxième, troisième et quatrième parties réunies.

Deuxième partie — Notre guerre contre la Nature

L’espèce connue sous le nom d’Homo sapiens est la seule sur cette planète qui cherche activement à s’éradiquer elle-même tout autant qu’à éradiquer son habitat. Tous les systèmes de soutien de la vie sur Terre — le sol, l’eau et l’air — sont en déclin, conséquence directe de notre activité économique actuelle, qui vise à extraire le plus possible de la Terre sacrée sans se soucier des conséquences qui en découlent.

En adoptant un paradigme économique aussi intolérable, nous ne respectons pas les limites écologiques ni les limites éthiques. Notre modèle économique axé sur la consommation, que nous avons conçu et dont nous sommes aujourd’hui esclaves, est à l’origine de carences perpétuelles : épuisement des ressources, perte de biodiversité et contamination par des substances toxiques, autant de facteurs qui causent des ravages perpétuels à l’ensemble de l’écosystème et à son environnement. Les méga-corporations continuent de propager l’idéologie de la croissance économique illimitée, qu’elles entendent tirer d’une planète aux ressources limitées et dont elles sont les seules à tirer un bénéfice financier. Leurs objectifs égocentriques se heurtent aux motivations généreuses des masses, qui privilégient le concept d’égalité des chances, y compris le droit égal de tous les humains à vivre dans un environnement sain. La quête incessante de profits par l’ensemble des milliardaires, au détriment du bien-être social de chacun, alimente la concurrence mondiale pour les ressources et provoque un holocauste écologique. En bref, nous assistons à une nouvelle forme de colonialisme imposée par la classe des prédateurs [qui sont aussi des parasites – NdT] à l’ensemble de l’humanité, alors que nous entrons dans ce que l’on appelle communément la sixième extinction de masse.

Considérez ce que nous faisons à notre eau douce. La surface de notre planète est composée à 80 % d’eau, dont 97 % d’eau salée. Les 3 % restants de nos réserves d’eau potable ont été traités avec une telle insouciance qu’elles sont très pollués et s’épuisent rapidement. Sur ces 3 % d’eau douce, au moins 29 % sont siphonnés par les industries de la viande et du lait, grandes consommatrices d’eau. Les Nations unies estiment qu’au cours de la prochaine décennie, 2 milliards de personnes souffriront d’une extrême pénurie d’eau et que, d’ici la fin du siècle, la moitié de la population mondiale connaîtra une forme ou une autre de pénurie d’eau.

Note du traducteur 2 : Ou peut-être plus exactement d’un rationnement de l’eau décidé dans les hautes sphères, peu importe la quantité disponible. Par ailleurs, les événements météorologiques de ces dernières années, et plus particulièrement de ces derniers mois, laisse à entendre que les Nations Unies pourraient avoir tort : certaines parties pourraient en effet être affectées par un manque d’eau (en Amérique du Nord de l’Ouest) mais d’autres (comme l’Asie et l’Europe) pourraient bien en avoir beaucoup trop. Les Nations Unies se feraient-elles l’écho d’un Agenda 2030, aujourd’hui bien identifié par nos lecteurs ?

Les industries minière et pétrolière ne sont pas non plus des amis de l’environnement. Aux États-Unis, les sociétés minières ont abattu plus de 500 montagnes dans les Appalaches, provoquant une immense pollution des sols et des eaux de surface. Dans d’autres régions du pays, le forage pour le pétrole et le gaz de schiste, appelé fracturation hydraulique mais plus connu sous le nom de « fracking », pompe depuis le sol des substances cancérigènes et des toxines qui sont rejetées dans l’air, l’eau et le sol de surface, ce qui aggrave encore le problème de la pollution. Bien qu’elle soit présentée comme une solution à la dépendance des États-Unis vis-à-vis du pétrole étranger, la fracturation est en fait le dernier acte de stupidité d’un pétro-État.

Livre Toxic Waters

Les industries de la viande et du lait susmentionnées ne font pas que monopoliser l’eau. L’agriculture animale — qui englobe les énormes fermes industrielles et les petites exploitations familiales — est également la principale cause des gaz à effet de serre, de la déforestation, de l’extinction des espèces et des « zones mortes » des océans. L’élevage industriel intensif des animaux et de leurs cultures fourragères est en grande partie responsable du taux le plus élevé d’extinction massive d’espèces depuis 65 millions d’années [ça se discute – NdT].

En outre, aucune autre industrie sur la planète n’a besoin d’autant de surface que l’agriculture animale : elle accapare 45 % de toutes les terres libres de glace de la planète. Selon la World Animal Foundation, 70 % de la forêt amazonienne est détruite dans le seul but de cultiver du soja ou du maïs OGM pour nourrir le bétail en Amérique du Sud et en Europe. Entre 1970 et 2019, un total de 718 927 kilomètres carrés de la partie brésilienne de la forêt amazonienne a été déboisé.

Note du traducteur 3 : À noter toutefois que la même World Animal Foundation (WAF) nous encourage au véganisme et nous demande de « sauver la planète ».

Quelques faits supplémentaires à prendre en considération :

  • La moitié de l’approvisionnement mondial en céréales est destinée aux animaux de boucherie, alors qu’un milliard de personnes souffrent de la faim.
  • Aux États-Unis, 54 % de l’eau douce est détournée par l’agriculture animale, alors que 99,8 % de la zone géographique de la Californie connaît une sécheresse critique.
  • À l’échelle mondiale, l’industrie de l’agriculture animale, qui tue au moins 72 milliards d’animaux terrestres chaque année (200 millions par jour), est à l’origine de 51 % de toutes les émissions de gaz à effet de serre, soit bien plus que les 13 % générés par tous les modes de transport réunis.

Note du traducteur 4 : C’est un fait, mais l’auteur ne fait pas mention de l’absurdité de nourrir des bovins et des ovins avec des céréales, ce qui n’est absolument pas leur régime naturelle. Ce n’est donc pas l’élevage animal en tant que tel qui devrait être soumis à la question, encore que l’aspect industriel et tout ce qui l’accompagne est à prendre en considération, mais bien la façon dont ils sont nourris qui est en soi contre-Nature. Par ailleurs, l’auteur omet aussi de faire mention des cultures agricoles destinés à alimenter les moteurs de voiture pour une consommation dite « verte » qui participe à la propagation des polluants dans l’air, voir plus bas à propos du glyphosate.

Le « fait » le plus surprenant concernant la dévastation causée par l’agriculture animale est que la quasi-totalité des prétendues organisations environnementales à but non lucratif sont silencieuses sur cette question.

La catastrophe environnementale est encore plus grave dans les océans du monde. L’industrie de la pêche commerciale détruit la vie océanique, y compris les fonds marins, à un rythme jamais vu dans l’Histoire. Aucune autre industrie ne tue plus d’animaux que ce commerce. Un rapport de Matthew Zampa pour Sentient Media observe qu’entre 37 et 120 milliards de poissons sont tués chaque année dans des fermes piscicoles commerciales créées par l’être humain et qu’au moins un autre trillion d’animaux aquatiques vivant dans des plans d’eau naturels sont tués pour chaque année pour les nourrir. Selon des recherches présentées sur le site Web d’Oceana, ce total stupéfiant ne comprend pas les 100 millions de requins et les 650 000 baleines, dauphins et phoques qui sont tués chaque année en tant que prises accessoires — les prises accessoires sont le nombre total d’animaux marins que les pêcheurs capturent involontairement dans leurs filets et tuent, soit en les rejetant en mer, soit en les ramenant au port.

Note du traducteur 5 : Les fermes piscicoles créées par l’être humain sont elles aussi contre-Nature et engendrent un nombre incalculable de maladies. Qui plus est, ces poissons sont nourris de farines, d’ingrédients douteux et de poissons qu’il faut bien prendre quelque par : et à part les étangs mentionnés par l’auteur, ils pourraient bien être prélevés dans ces mêmes bassins piscicoles…

En raison de cette extraction et de cette extermination, les populations mondiales de nombreuses espèces de vie aquatique sont en train de chuter à des niveaux proches de l’extinction. Une étude scientifique présentée dans le New York Times prévoit que si la pêche commerciale dans le monde se poursuit à son rythme actuel, les océans seront pratiquement vides en 2048.

Tout aussi inquiétant, les océans sont utilisés comme dépotoir pour les entreprises manufacturières et minières du monde entier. Il n’est donc pas surprenant que des chercheurs de la Scripps Institution of Oceanography de l’université de San Diego aient découvert que les populations de poissons [et de mammifères y compris terrestres, comme l’ours polaire – NdT] des océans sont contaminées par des métaux lourds comme le mercure, les polychlorobiphényles (PCB), les pesticides organochlorés (DDT et CHL), les polybromodiphényléthers (PBDE), les composés plastiques et l’hexachlorobenzène.

Les fabricants de produits chimiques synthétiques, de pesticides, d’insecticides, d’herbicides et d’engrais comptent parmi les pires ennemis de la Terre. La menace la plus récente pour notre environnement provient des cultures industrielles génétiquement modifiées, connues sous le nom d’organismes génétiquement modifiés (OGMs). Avec l’introduction de ces nouvelles cultures, nous avons accéléré notre capacité à manipuler la Nature à un rythme inimaginable à une époque antérieure. Malheureusement, en conséquence de notre ingérence, nous assistons à une explosion des maladies chroniques.

Note du traducteur 6 : Des facteurs naturels et cycliques peuvent aussi entrer en ligne de compte, bien que ce qui précède puisse en accélérer le processus.

Voir Oubliez le réchauffement climatique, nous sommes au bord de l’extinction !

Comment notre discussion susmentionnée sur les microbiomes, les viromes et l’immunité s’inscrit-elle dans ce tableau de désolation environnementale ?

Tout d’abord, depuis l’introduction de l’agriculture chimique et l’utilisation des OGMs à l’échelle mondiale en 1996, nous avons modifié notre environnement naturel à un point tel que nous décimons notre système immunitaire inné. (N’oubliez pas cette date : 1996.) En conséquence, les maladies auto-immunes et autres maladies chroniques qui, à une époque, ne touchaient qu’un infime pourcentage de la population générale, connaissent aujourd’hui une explosion de leur prévalence. Le timing de cette explosion ne nous échappe pas : ces maladies ont commencé à toucher les humains de manière importante à partir de 1996. Il n’est donc pas exagéré de conclure que l’utilisation prodigue des OGMs est liée au déclin marqué de la santé humaine au cours des deux dernières décennies et demie.

Je vais citer quelques exemples :

Dans le monde, une personne sur quatre souffre désormais d’allergies ; en Amérique du Nord, une personne sur trois est obèse ; aux États-Unis, une femme sur deux et un homme sur trois développeront un cancer au cours de leur vie.

En outre, le trouble du développement appelé « trouble du spectre autistique » est passé de 1 enfant sur 5 000 en 1975 à 1 sur 36 en 2016. Si la tendance actuelle se poursuit, on peut s’attendre à ce qu’un enfant sur trois soit atteint d’autisme d’ici 2035. Pendant la même période, nous avons assisté à une augmentation spectaculaire d’autres troubles du système immunitaire, tels que la maladie de Crohn, la maladie cœliaque, la maladie de Parkinson (chez les hommes), la maladie d’Alzheimer (chez les femmes), la démence et le diabète de type 1.

Note du traducteur 7 : Il faut aussi mentionner que la vaccination de masse avec un nombre délirant de vaccins inoculés dès les tout premiers jours de la vie concourt à considérablement affaiblir le système immunitaire inné et à désorganiser le système immunitaire adaptatif, lequel n’a techniquement aucune raison de s’activer, en général, tant que le premier est optimal. Le fait de développer des anticorps est déjà en soi le signe d’un système immunitaire inné affaibli.

Les cultures OGMs sont pulvérisées avec des herbicides, comme le Roundup de Bayer, qui contient l’ingrédient actif appelé glyphosate et qui est l’herbicide/antibiotique cancérigène le plus omniprésent de la planète. En 2014, plus de 747 millions de kg de glyphosate ont été utilisés dans le monde. Aujourd’hui, à peine sept ans plus tard, ce chiffre a plus que doublé, passant à 2 milliards de kg. Étant un composé soluble dans l’eau, le glyphosate contamine les eaux souterraines partout, de la Chine à l’Amérique du Nord. Comme si cela ne suffisait pas, le glyphosate contamine également l’air que nous respirons. Une étude de l’US Geological Survey réalisée en 2007 révèle que le Roundup (alias glyphosate) et son sous-produit toxique, l’acide aminométhylphosphonique (AMPA), ont été retrouvés dans plus de 75 % des échantillons d’air et de pluie testés dans le Mississippi en 2007.

Parallèlement, le plus long fleuve des États-Unis, le puissant Mississippi, et ses centaines d’affluents recueillent plus de 80 % du Roundup pulvérisé sur les cultures dans l’ensemble des États-Unis. Le fleuve Mississippi reçoit également des milliers d’autres polluants chimiques qui y sont déversés par les entreprises pétrochimiques. Il n’est pas surprenant que les personnes résidant le long des 140 derniers kilomètres du fleuve, qui traverse la Louisiane — plus précisément dans la région de Baton Rouge et de la Nouvelle-Orléans — aient l’un des taux de cancer les plus élevés au monde.

Note du traducteur 8 : Le glyphosate se retrouve dans l’atmosphère également en raison de l’usage de carburants dits « verts », qui sont issus de cultures OGMs traités au glyphosate et qui sortent des pots d’échappement de tous les véhicules, qui, pour « sauver la planète » contribuent à la polluer, elle, son environnement et toute la vie qui s’y développe.

Le brevet du Roundup, autrefois détenu par Monsanto (aujourd’hui Bayer), ayant expiré en 2000, la Chine est devenue le premier utilisateur et exportateur de glyphosate au monde. En 2017, la Chine a exporté dans le monde plus de 300 000 tonnes de glyphosate. Il s’avère que la province du Hubei, où siège la tristement célèbre Wuhan, est l’une des principales utilisatrices de glyphosate en Chine. Les effets toxiques combinés de la production porcine, de l’industrie lourde et de l’agriculture chimique dans la province de Hubei ont fait de cette région l’un des endroits les plus pollués de la planète. L’écosystème de Wuhan, autrefois diversifié et propre, a été complètement ravagé par les polluants d’origine humaine et l’utilisation massive de glyphosate dans l’agriculture industrielle.

Il existe un lien indiscutable entre le taux élevé de cancer actuel et l’utilisation massive de glyphosates. En une seule génération, le taux de cancer diagnostiqué chez les hommes a doublé. Parallèlement à cette augmentation, en 25 ans (environ une génération) entre 1990 et 2015, la toxicité de l’environnement a également doublé.

Les données statistiques compilées par Nancy L. Swanson et al. dans le Journal of Organic Systems fournissent des preuves accablantes d’une corrélation précise, de 1975 à 2010, entre l’utilisation du glyphosate et l’incidence de nombreux types de cancer, notamment le cancer de l’urine/de la vessie, le cancer du foie, le cancer de la thyroïde et la leucémie myéloïde. Les graphiques présentés dans l’étude de Swanson montrent que l’augmentation de la prévalence du cancer recoupe parfaitement l’augmentation de l’utilisation du glyphosate.

Un autre lien qui ne peut être ignoré est la baisse du nombre de spermatozoïdes masculins dans les pays occidentaux. Shanna Swan, épidémiologiste au Mount Sinai Medical Center de New York et éminente spécialiste de la santé génésique, prévoit que le nombre de spermatozoïdes de l’homme moyen sera nul d’ici 2045. Avec l’introduction des perturbateurs endocriniens, le nombre de spermatozoïdes masculins a chuté de 50 à 60 %, soit une moyenne de 1 à 2 % par an, entre 1973 et 2011. Il est vrai que les microplastiques perturbateurs endocriniens présents dans l’eau potable posent un problème, mais ce problème n’est rien en comparaison des effets néfastes de l’agriculture chimique et de l’utilisation du glyphosate, affirme le spécialiste de la médecine interne, de l’endocrinologie et du métabolisme, le Dr Zach Bush, sur son site web Global Health Education.

De plus, écrit le Dr. Bush,

« le glyphosate fonctionne comme un puissant agent chélateur, bloquant les nutriments dans les systèmes du sol, des plantes et de l’eau, de sorte que nous pouvons maintenant nous trouver dans un état biologique qui équivaut à une famine tout en étant confronté à l’excès calorique le plus extrême que l’humanité ait jamais produit. »

Note du traducteur 9 : Il est question ici de la population des États-Unis, en particulier. Cet « excès calorique » ne concerne évidemment pas les populations touchées par une famine à la fois nutritionnelle et calorique.

Les avertissements mondiaux d’autres scientifiques, médecins et environnementalistes abondent. Par exemple, le Dr Vandana Shiva, militante pour l’environnement et la souveraineté alimentaire et écoféministe basée à Delhi, en Inde, n’a cessé de mettre en garde, dans les livres et articles qu’elle écrit, et dans les discours et interviews qu’elle donne dans le monde entier, contre le fait que les OGMs ont ruiné la vie des sols et des plantes en inhibant leur capacité à stocker les micro-organismes et les minéraux, tels que le zinc, le fer et le magnésium, qui sont vitaux pour la réponse immunitaire des animaux et des humains. Dans son article d’opinion de 2012 intitulé « Mythes sur l’agriculture industrielle », le Dr Shiva cite une étude de 1995 selon laquelle l’agriculture industrielle (qui a commencé en 1965) est responsable de 75 % de l’érosion de la biodiversité de la Terre, de 75 % de la destruction de l’eau et de 40 % des gaz à effet de serre, alors qu’elle ne produit que 30 % de l’approvisionnement alimentaire des humains.

Note du traducteur 10 : Voir sur le sujet l’excellent ouvrage de Lierre KeithLe Mythe végétarien.

En 2013, Sott.net a publié un article qui présente l’ouvrage traduit cette année-là en français : Revue de livre – Le Mythe végétarien, nourriture, justice et pérennité.
Toujours en 2013, Sott.net a publié une interview exclusive avec l’auteur : Radio Interactive SOTT – Entretien avec Lierre Keith

En 2009, trois articles qui reprennent les Chapitres et 1 et 2 ont été traduits par Sott.net et également publiés :
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (1re partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (2e partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (3e partie)

Depuis le milieu des années 1990, l’agriculture industrielle/chimique a décimé le microbiome du sol à l’échelle mondiale. Pensez-y : en 2014, une haute fonctionnaire des Nations unies, Maria-Helena Semendo, de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a expliqué à l’assemblée qu’à moins de développer de nouvelles approches de l’agriculture, la quantité mondiale de terres arables et productives par personne ne représentera en 2050 qu’un quart du niveau de 1960. À considérer également : dans une étude menée par l’université de Lancaster en septembre 2020, les chercheurs ont constaté que 90 % des sols cultivés de manière conventionnelle dans le monde s’amincissaient, et que 16 % d’entre eux avaient une durée de vie inférieure à un siècle.

En bref, la réduction susmentionnée du nombre de spermatozoïdes masculins, associée à la dégradation des sols dans le monde entier, sont les deux facteurs clés qui conduisent l’humanité vers l’extinction.

Chaque fois que nous pulvérisons du Roundup ou l’un des autres herbicides encore plus toxiques qui sont maintenant largement utilisés — comme le 2,4-D (le 2,4-dichlorophénoxyacétique est un ingrédient principal de l’herbicide de guerre chimique largement connu sous le nom d’Agent Orange) ou le dicamba (un herbicide 200 fois plus toxique que le glyphosate du Roundup) — nous détruisons le microbiome du sol, celui des mauvaises herbes, des plantes et des animaux ainsi que notre propre microbiome. Et, pour enfoncer le clou, le Roundup se disperse non seulement dans le sol mais aussi dans l’air. Tout comme ses produits concurrents.

Malheureusement, les herbicides ne sont pas la seule substance toxique présente dans l’air que nous respirons. De nombreux autres polluants — mercure, arsenic, soufre et cyanure, pour n’en citer que quatre — circulent également dans l’atmosphère. Ces toxines, qui sont produites par les secteurs du transport et de l’énergie, sont capables de se lier aux particules de carbone. Les particules fines de carbone, appelées PM2,5 (c’est-à-dire les particules inférieures à 2,5 microgrammes par mètre cube, soit 100 fois plus fines qu’un cheveu humain), sont un sous-produit de la combustion de carburant et des réactions chimiques. cette combustion est particulièrement préoccupante pour la santé humaine lorsque les niveaux de PM2,5 dans l’air sont élevés, comme le démontrent ces deux études de 2017 de la NIH National Library of Medicine et du The New England Journal of Medicine.

Il s’avère que les toxines ne sont pas les seules à se lier aux PM2,5 ; les virus aussi. Avant la révolution industrielle, les virus se dispersaient de manière [à peu près – NdT] égale dans l’atmosphère. Cependant, maintenant que les particules de carbone sont omniprésentes dans l’air, les virus se concentrent anormalement autour de cette substance. Plus la concentration de PM2,5 est élevée, plus la concentration de matériel viral est importante.

Chaque année, de la dernière semaine de septembre à la fin juin, la nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant cette période, les concentrations d’émissions de particules de carbone et de CO2 et d’autres polluants qui seraient normalement absorbées par les arbres, les plantes, les océans et le sol ne peuvent pas l’être. Il en résulte de très fortes concentrations de polluants qui se déplacent en direction de l’est avec les courants éoliens — Dans le même temps, des amas de virus à protéines Spike se sont accrochés aux particules de carbone. Les concentrations accrues de PM2,5 dans les zones où le sol a été dégradé au point que son microbiome vivant et doté d’une respiration aérobie a perdu la capacité d’absorber le carbone tout au long de l’année, quelle qu’en soit la saison, aggravent le problème et démontrent les effets néfastes de l’agriculture chimique.

Grâce à l’imagerie satellitaire de la NASA, nous pouvons voir, à partir de la mi-octobre de chaque année, un énorme panache de carbone qui flotte depuis les centres d’industrie lourde de Chine et d’autres régions industrielles du monde et se disperse dans un flux d’est à travers l’hémisphère nord. Au mois de mai, cette brume toxique recouvre l’hémisphère nord. Vous pouvez consulter le site IQAir pour une analyse en temps réel des données sur la toxicité des PM2,5 dans le monde.

De manière étrange, ce que nous appelons « la grippe saisonnière » coïncide parfaitement avec la période où la Nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant les mois que nous appelons « saison de la grippe », notre corps est plus susceptible de subir un événement inflammatoire — fièvre, congestion, toux et perte d’appétit. Ce phénomène se produit lorsque notre corps s’adapte et s’équilibre avec les toxines industriellesprésentes dans l’environnement. Lorsque l’été arrive, fin juin, la Nature reprend son cycle de régénération : les panaches de PM2,5 se dissipent lentement pour finalement se diluer, ce qui réduit notre risque de maladie respiratoire. C’est la raison pour laquelle nous ne souffrons que rarement, voire jamais, de grippe pendant les mois d’été dans l’hémisphère nord. Par conséquent, en suivant les flux de particules de carbone, nous pouvons en fait cartographier et prévoir exactement où se trouveront les points chauds des infections respiratoires, des « pandémies » et de la grippe saisonnière.

Note du traducteur 11 : Les toxines présentes dans l’environnement ne sont pas uniquement de nature industrielle, sinon l’ère pré-industrielle n’aurait pas eu son lot de « pandémies ». Toutefois, l’environnement qui est le nôtre aujourd’hui accentue certainement et de manière drastique ce qui était au départ un phénomène naturel et cyclique. Les éjections dues au volcanisme — et aux grands incendies — et les injections dues aux météores et autres phénomènes cosmiques font aussi partie du cycle naturel de la Terre et de son atmosphère, et l’augmentation ces dernières années de ces deux activités cycliques, en particulier, ajoute à la problématique. Le fait même de faire fi de leur existence et de leur impact sur notre environnement et sur la vie en général permet de ne focaliser que sur l’aspect humain des causes en question. Nous ne sommes pas séparés de ce qui constitue le système terrestre-atmosphérique, pas plus que la planète Terre n’est séparée de son système Solaire, pas plus que ce dernier n’est séparé de la Voie lactée, etc. Tout est lié.

Voir Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney – Ce qui se profile à l’horizon

Troisième partie — Que s’est-il passé en 2020-21 ? La « pandémie »

Cette année marque un tournant décisif dans l’Histoire de l’humanité. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est en train d’être génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont rendu possible la modification permanente du génome humain — et la modification à jamais de la relation de l’humanité avec la Nature — par le biais d’une injection pharmaceutique expérimentale faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons jeter un regard sobre sur les motifs et les actes qui sont en train de bouleverser l’humanité telle que nous la connaissons. Simultanément, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Dans les mois qui ont précédé 2020, la Terre a connu une série d’incendies de forêt sans précédent, de l’Australie à l’Amazonie et de l’Indonésie à la Californie. Rien qu’en Californie, la saison des feux de forêt de 2019 a détruit plus de 100 000 hectares de terre, ainsi que 732 structures. Au total, les feux de friches en 2019 dans le monde ont envoyé 7,8 milliards de tonnes métriques de CO2 et de particules de carbone dans la stratosphère — le plus haut niveau de PM2,5 depuis 2002. Une fois dans la stratosphère, les particules de carbone ont pu parcourir des milliers de kilomètres depuis leur provenance d’origine. De nombreuses villes du monde entier, comme Canberra, Wuhan, New York et Milan, ont connu une qualité d’air extrêmement faible en raison de niveaux extrêmement élevés de PM2,5.

Il s’avère que l’une des substances les plus toxiques générées par la combustion de matières synthétiques telles que le plastique, le nylon, la laine et la soie — combustion provoquée par des feux de forêt ou par des réactions chimiques industrielles — est le cyanure. Plus précisément, le cyanure d’hydrogène gazeux. Le cyanure est un agent hautement toxique qui provoque une hypoxie vasculaire et même la mort s’il n’est pas traité correctement.

Ainsi, alors que dans la seconde moitié de 2019 et le début de 2020 nous entrions dans la « saison de la grippe », nous nous trouvions face à la tempête parfaite de toxicité alors en circulation sur le globe. Les niveaux anormalement élevés de PM2,5, associés à des niveaux élevés de sous-produits industriels tels que le soufre, le mercure, l’arsenic, le carbone, le glyphosate et le cyanure, ont créé des conditions idéales pour supprimer le système immunitaire inné, en particulier chez les personnes fragiles et âgées, qui sont dans de nombreux cas déjà aux prises avec de graves conditions médicales sous-jacentes.

Pour aggraver les choses, la plupart des patients atteints de ces pathologies sous-jacentes — hypertension, diabète, obésité, maladie coronarienne et maladie rénale — prennent des médicaments couramment prescrits, notamment des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IEC) pour contrôler la tension artérielle et des statines pour réduire le cholestérol. Or, nous savons aujourd’hui, grâce à une étude publiée pour la première fois le 31 mars 2020 dans l’American Journal of Physiology Heart and Circulatory Physiology (volume 318, numéro 5), que les IEC et les statines régulent à la hausse le récepteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) par lequel le coronavirus pénètre dans l’organisme.

L’ACE2 est une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment l’intestin, les reins, l’utérus, les testicules, le cerveau, le cœur et, plus important encore pour notre sujet, les poumons et les muqueuses nasales et orales.

L’enzyme ACE2 joue un rôle important en aidant l’organisme à réguler la pression artérielle et en contribuant à la cicatrisation des plaies et des inflammations. En outre, les acides aminés de l’ACE2 aident à capturer et à hacher une protéine nocive appelée angiotensine II, qui fait monter la pression artérielle et endommage les tissus. C’est pourquoi les médecins du monde occidental prescrivent généralement de l’ACE-I afin de stimuler l’expression de l’ACE2 et de réduire ainsi le risque d’hypertension artérielle. De plus, lorsque l’enzyme ACE2 est régulée, elle peut très facilement capturer — ou accrocher — n’importe laquelle des nombreuses protéines Spike émanant de la surface d’un coronavirus.

Puisque nous parlons des protéines Spike, j’aimerais faire quelques commentaires, sous forme de questions-réponses, sur la recherche sur le gain de fonction dans ce domaine.

La recherche sur le gain de fonction vise à modifier les caractéristiques fonctionnelles d’un virus dans le but d’accroître sa capacité à infecter une espèce et à augmenter potentiellement son impact en tant que pathogène aérien. En rendant un virus plus « mortel », on pense qu’il pourrait ensuite être utilisé contre un ennemi potentiel comme arme de guerre biologique. Nous savons qu’il existe des laboratoires de recherches sur le gain de fonction à Wuhan, en Chine, et dans les installations de l’armée américaine à Fort-Detrick, dans le Maryland — En 2018, au moins 15 autres pays, outre les États-Unis et la Chine, dont le Canada, le Royaume-Uni, la France, Israël, l’Allemagne et la Russie, avaient des programmes documentés d’armes biologiques et des laboratoires de recherche sur les armes biologiques.

  1. Est-il possible que les deux laboratoires de Wuhan et de Fort-Detrick, ou l’un d’entre eux, aient manipulé l’une des protéines Spike d’un coronavirus qui le rendrait encore plus apte à se connecter au récepteur ACE2, comme le suggère ce document de l’Institut de microbiologie humaine de New York ? Absolument.
  2. Le Dr Anthony Fauci a-t-il des liens financiers profonds avec le laboratoire de Wuhan de par sa position de directeur, depuis 1984, du National Institute of Allergy and Infectious diseases (NIAID) ? Absolument.
  3. Par extension, le gouvernement des États-Unis est-il indirectement ou directement impliqué dans le financement de l’Institut de virologie de Wuhan ? Absolument.
  4. Le Dr Fauci et le spécialiste du gain de fonction de l’université de Caroline du Nord, Ralph Baric, ont-ils reçu des millions de dollars de subventions de recherche de plusieurs agences fédérales — NIH, DARPA et NIAID — pour étudier le gain de fonction dans les coronavirus, comme l’indique clairement ce dossier du Dr David Martin ?

Néanmoins, nous ne devons pas perdre de vue le fait que toute cette attention portée au gain de fonction pourrait être en fait une opération psychologique habilement déguisée destinée à nous distraire du fait que nous ne disposons d’aucune preuve scientifique validée par des pairs qu’un coronavirus est à l’origine du syndrome respiratoire connu sous le nom de Covid-19.

En outre, l’attention soudaine et intense que les médias portent au Dr Fauci et au lien avec Wuhan pourrait être une tactique destinée à faire porter le chapeau à la Chine pour avoir créé la « crise », tout en occultant habilement le fait que de nombreux acteurs issus de nombreuses nations et organisations, comme le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé et la Fondation Bill & Melinda Gates, travaillent de concert avec la Chine pour « asservir » l’ensemble de l’humanité dans « un cauchemar technocratique dystopique ».

Ou bien, est-il possible que les véritables armes biologiques à gain de fonction soient les injections expérimentales non approuvées (appelées « vaccins anti-Covid-19 ») qui sont actuellement déployées dans le monde entier ? L’avenir nous le dira.

Pour en revenir aux événements de 2020, nous pouvons voir qu’en régulant à la hausse le récepteur ACE2 qui se trouve à la surface des poumons et de la muqueuse nasale, nous avons facilité la tâche d’un coronavirus [des protéines Spike, en fait – NdT], en conjonction avec les particules PM2,5 qui transportent du cyanure et d’autres possibles polluants, pour qu’il s’accroche et soit attiré dans la voie respiratoire. Une fois dans les voies respiratoires, les toxines finissent par passer dans la circulation sanguine et entrer dans les globules rouges de l’organisme. Lorsqu’une toxine pénètre dans un globule rouge, elle modifie la forme de la protéine hémoglobine qui transporte l’oxygène dans le globule rouge et rend ce dernier incapable de transporter l’oxygène. Ce processus prive littéralement l’organisme d’oxygène. Par conséquent, avec cette combinaison de variables, le décor était planté dans la seconde moitié de 2019 pour produire le système de diffusion parfait permettant l’empoisonnement au cyanure.

L’empoisonnement au cyanure provoque un état connu sous le nom d’hypoxie histotoxique. Cet état comprend les symptômes suivants

  • Changement de la couleur de la peau (allant du bleu au rouge) ;
  • Désorientation ;
  • Toux ;
  • Fréquence cardiaque élevée ;
  • Respiration rapide ;
  • Essoufflement (dû à la perte de la capacité des globules rouges à transporter l’oxygène) ;
  • Transpiration.

Par conséquent, à la fin de l’année 2019 et au début de l’année 2020, les professionnels de la santé de la province de Hubei, du nord de l’Italie, de la région métropolitaine de New York et d’ailleurs ont été confrontés à des patients présentant des symptômes d’empoisonnement au cyanure. Comme le souligne une étude du JAMAparue en avril 2020ces symptômes présentent toutes les caractéristiques d’une hypoxie histotoxique, mais aucun des symptômes d’une pneumonie ou d’une insuffisance respiratoire. En d’autres termes, ils n’avaient pas de fièvre (afébrile), pas d’accumulation de liquide dans les poumons et pas d’augmentation du nombre de globules blancs (que l’on s’attendrait à voir en cas d’infection).

Nous devons donc conclure que ces patients en détresse aiguë, dont beaucoup étaient âgés, devaient initialement souffrir d’hypoxie, etnonde pneumonie etpas non plusd’insuffisance respiratoire. La pneumonie et les micro-caillots de sang, qui ont fini par les tuer, sont survenus plusieurs jours ou semainesaprèsl’empoisonnement initial — et ce, uniquement parce que leur système immunitaire inné avait été tellement affaibli que leur organisme a succombé aux effets en cascade des infections secondaires.

Par ailleurs, toutes les personnes qui ont été touchées de manière aiguë par le Sras en 2002 et par le Mers en 2012 présentaient les mêmes symptômes d’hypoxie histotoxique, et non d’infection virale. En d’autres termes, leurs symptômes étaient identiques à ceux des cas aigus en 2020 de ce qui a été appelé à tort Covid-19.

Note du traducteur 14 : Le nom de Covid-19 peut tout aussi bien avoir été choisi à dessein, et non à tort : Cov ID 2019, ce qui pourrait indiquer une volonté programmée à l’avance d’utiliser ce nom et pas un autre ; le « lancement » en 2019 du programme de mise en place des identités numériques par le biais d’un coronavirus… peut-être.

En fin de compte, la plupart des patients hospitalisés en 2020 sont décédés des suites d’un événement toxicologique — qui a été baptisé à tort « Covid-19 » d’après ce qui a été appelé une nouvelle souche de coronavirus — et non de la maladie infectieuse ainsi nommée. Même au plus fort de la « pandémie », le prétendu Covid-19 ne représentait qu’un très faible pourcentage du total des décès en Italie et ailleurs.

Heureusement, le taux de mortalité global par infection signalé pour le syndrome Covid-19 n’est que légèrement supérieur à celui de la prétendue grippe saisonnière. Tout aussi heureusement (mais pas pour ses victimes), le syndrome n’a représenté un danger que pour un seul grand groupe de population : les personnes âgées atteintes d’au moins deux maladies chroniques majeures. La présence de comorbidités — maladies cardiaques, accidents vasculaires cérébraux et cancer du poumon — est à l’origine de la grande majorité de leurs décès. Mais pour les personnes de moins de 70 ans sans ces comorbidités, le risque de mourir dans un accident de voiture est plus élevé que le risque de mourir de ce que l’on appelle la maladie Covid-19. En effet, les maladies graves et les décès dus au Covid-19 ne sont survenus que chez des personnes plus jeunes souffrant de troubles de l’immunodéficience — obésité, diabète, maladies auto-immunes et immunodéficiences héréditaires.

Néanmoins, ces décès, bien que tragiques, ne justifient en aucun cas qu’un gouvernement viole les droits naturels des citoyens. Ces droits incluent la liberté de…

  • de se déplacer — y compris de quitter son domicile à toute heure du jour ou de la nuit ;
  • voyager — y compris entre états, provinces, pays et continents ;
  • s’associer — c’est-à-dire se réunir en personne avec ses amis et sa famille ;
  • se réunir — pour protester pacifiquement contre des édits injustes, des pratiques corrompues et la censure ;
  • prier — y compris se réunir avec d’autres croyants ;
  • exprimer son individualité — y compris choisir de porter ou non un masque ;
  • jouir d’une autonomie corporelle — notamment ne pas être contraint psychologiquement ou physiquement à recevoir des injections expérimentales de quelque nature que ce soit ;
  • rester en activité — au lieu d’être considéré par des politiciens tyranniques et des bureaucrates de la santé publique comme « non essentiel », une étiquette qui a forcé des millions de petites entreprises à fermer leurs portes, souvent de façon permanente.

Le Dr Bush résume comme suit les cas de maladies respiratoires aiguës sévères qu’il a observés en 2020 :

« Malheureusement, nous n’avons pas abordé la question comme un empoisonnement, mais comme une infection. Nous avons continué à croire que ces personnes qui mouraient, mouraient d’une infection. Je pense qu’elles étaient très clairement surchargées de PM2,5 liées au cyanure transporté dans l’environnement pulmonaire et finalement dans la circulation sanguine par le virus. Le virus est naturellement conçu pour pénétrer dans l’organisme par les poumons, les tissus vasculaires et les tissus neuronaux, comme nos sinus nasaux. Nous observons toutes ces pertes de goût et d’odeur chez les personnes exposées à ce virus parce qu’il passe par le récepteur ACE2 à la surface de tous ces tissus. Le récepteur ACE2 se lie au coronavirus [à la protéine Spike du virus – NdT] et attire le cyanure directement dans le globule [rouge] et empoisonne le corps humain avec des quantités élevées de pollution atmosphérique qui n’ont pas été respirées mais qui ont été littéralement acheminées de manière ingénieuse dans la circulation sanguine à l’aide d’un virus présent dans notre environnement depuis très longtemps. »

D’après sa description détaillée, nous pouvons clairement constater que les gens mouraient de toxicité environnementale, et non d’une infection virale. C’est précisément la raison pour laquelle il n’existe pas d’étude scientifique, évaluée par des pairs, apportant la preuve concluante qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie mortelle appelée Covid-19. De telles preuves n’existent pas, car le coronavirus, soi-disant, ne cherche pas à nuire à qui que ce soit, mais présente simplement une mise à jour virale à ceux qui en ont besoin.

Note du traducteur 15 : Cette mise à jour virale constitue l’essence mêmes des virus et en l’occurrence des coronavirus. Toutefois, avec le Sras-CoV-2, nous n’avons pas à faire à un coronavirus naturel, mais à une arme biologique développée en laboratoire.

Voir la partie sur les virus et leur vraie nature dans cet article : Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

En résumé, deux scénarios différents se sont déroulés en 2020 :

Dans le premier scénario, nous avons vu des personnes présentant un événement inflammatoire marqué par de la fièvre, une congestion, une perte d’appétit, un nombre élevé de globules blancs et un malaise. Tous ces symptômes sont ceux auxquels on peut s’attendre lorsqu’un nouveau variant issu d’un coronavirus déclenche le système immunitaire inné — et éventuellement le système immunitaire adaptatif — lequel fait ce qu’il fait toujours pour nous ramener à l’équilibre après une nouvelle mise à jour génomique d’un virus. N’oubliez pas que les coronavirus nous donnent des informations génétiques qui régénèrent notre organisme ; ils œuvrent pour nous [et la vie en général – NdT] et ne nous infectent pas de maladies [sauf à ce que cet équilibre ne soit pas restauré et que les virus soient vus comme la cause des maladies – NdT].

Dans le second scénario, nous avons vu des personnes souffrant de comorbidités graves, parfois multiples, succomber finalement à un événement toxicologique, tel que décrit par le Dr Bush ci-dessus.

Certes, dans les deux scénarios, le coronavirus est présent, mais de façon bénigne. Comme je l’ai expliqué précédemment, un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. Il est simplement présent — un autre exemple de culpabilité par association, tout comme le faux lien entre le virus VIH et le Sida que j’ai décrit plus haut.

Note du traducteur 16 : « un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. » Un virus, non, mais un virus créé en laboratoire, sûrement.

À propos du VIH et du Sida, voici ce que Kary Mullis déclarait dans The San Diego Union-Tribune, le 15 Mai 1994 :

« Bien que plus de 75 000 articles ont été publiés sur le Sida, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes ni essayé de prouver que le VIH causait bien le sida. Quelques articles répondent à des objections spécifiques, mais ils commencent en supposant que le VIH est la cause du Sida, ce qui est justement la question problématique. S’il avait été possible d’écrire un tel article, il aurait déjà été écrit et ce serait la publication scientifique la plus citée du siècle. Puisque de tels articles n’existent pas, il est impossible de réfuter ou d’étayer les arguments qu’ils pourraient contenir. »

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[Voir aussi : Contestation du lien entre VIH et SIDA]
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Cependant, au lieu de faire la différence entre les deux scénarios, les responsables de la santé publique du monde entier, sous la direction de l’OMS totalement corrompue, les ont commodément regroupés dans une seule catégorie : Covid-19. Pour ce faire, ils ont utilisé le test RT-PCR, monstrueusement inapproprié et inexact, et son inventeur, Kary Mullis, a insisté (avant sa mort prématurée en août 2019) sur le fait qu’il n’était pas destiné à diagnostiquer une maladie mais simplement à vérifier la présence d’une charge virale.

Note du traducteur 17 : Kary Mullis a déclaré ce qui suit :

« C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Un des individus à qui profite les ventes de tests PCR est Christian Drosten, un virologue allemand, qui en 2003 a co-découvert le Sras ; on reste en famille. Il est devenu dès janvier 2020 le conseiller « Covid » d’Angella Merkel, il est le « Tony Fauci » allemand.

En dépit de ses résultats faciles à falsifier et donc souvent falsifiés, le test PCR est toujours utilisé dans le monde entier pour remplacer les analyses cliniques. Pourquoi ? La seule réponse logique est que le dépistage du coronavirus est une forme de contrôle destinée à créer une hystérie publique. Ne comprenant pas que la plupart des résultats positifs sont frauduleux, que les mots effrayants « cas positif » ne signifient pas la présence d’une infection, et que les personnes asymptomatiques ne peuvent ni avoir ni propager la maladie, le public a été trompé en croyant qu’un dangereux pathogène tue un grand pourcentage de la population.

En attisant la peur, les gouvernements du monde entier ont pu justifier des mesures de confinement et des obligations de porter un masque qui sont nuisibles et totalement inefficaces, ainsi que des mesures de distanciations sociales absurdes. Mais pourquoi provoquer intentionnellement la panique et pourquoi sévir comme des dictateurs ? Les politiciens et les responsables de la santé publique doivent soit obéir à des ordres menaçants, soit accepter des pots-de-vin irrésistibles, soit simplement suivre les instructions de leurs supérieurs, en croyant naïvement qu’ils font « ce qui est le mieux » dans l’intérêt de la sécurité publique. Dans la plupart des cas, ils doivent être incités, par la ruse ou par l’astuce [ou la corruption – NdT], à persuader les citoyens de prendre part à la plus grande expérience médicale de l’Histoire — une campagne mondiale de « vaccination » de masse conçue dans le but d’injecter à tout humain qui s’y conforme une thérapie génique expérimentale non testée, non approuvée, appelée ARNm anti-Covid-19 — dans quelques endroits, comme l’Italie, l’Arabie saoudite et le Tadjikistan, même les non conformistes sont contraints de se soumettre à l’aiguille Covid-19.

Les parallèles entre l’« épidémie de Sida » et la « pandémie de Covid-19 » sont trop frappants pour être ignorés. Dans les deux cas, l’acteur central est un virus bénin qui peut être facilement accusé d’être la cause première d’une maladie déclarée, en dépit de l’absence de toute preuve scientifique réelle examinée par des pairs pour étayer cette affirmation.

Note du traducteur 18 : Répétons-le encore une fois ; le Sras-CoV-2 a été créé en laboratoire et ce n’est pas le virus en soi qui est dangereux, mais bien la protéine Spike, la même que celle qui a reçu l’ordre en laboratoire via les injections anti-Covid-19 de pousser le corps humain à en produire en quantité industrielle. Quant à l’épidémie de Sida, ou plutôt son effrayant battage médiatique, elle a très probablement amorcé et fait remonter à la surface — par programmation — la peur ancrée dans l’inconscient d’une future épidémie, quelle qu’elle soit. À force de jouer avec les Lois de la Nature sans les comprendre, on peut s’attendre à moyen terme à un vrai drame, une vraie épidémie.

De même, dans les deux cas, le virus peut être utilisé comme façade pour masquer des décennies de dégradation environnementale engendrée par des entités gouvernementales et des entreprises, dont les responsables ne paient jamais sous forme d’amendes ou de peines de prison pour leurs crimes.

Enfin, dans les deux cas, l’histoire du virus procure d’immenses profits à l’industrie pharmaceutique mondiale, qui n’est jamais tenue financièrement responsable pour des dommages et des décès causés par ses vaccins ou ses médicaments — pour ces derniers, c’est le cas tant qu’on ne découvre pas qu’ils sont la véritable cause du décès (pensez à l’AZT).

Quatrième partie — Notre réponse

Plutôt que d’accepter la façon dont nous détruisons notre habitat, plutôt que d’apprendre les leçons que la Nature a tenté de nous enseigner au cours des 18 derniers mois, nous avons continué d’ignoré les ravages et nous avons refusé d’en tirer des leçons. En fait, au cours de la pseudo-pandémie de l’année dernière, l’humanité n’a fait qu’intensifier sa guerre contre la Nature.

Par exemple, depuis janvier de l’année dernière, 129 milliards de masques de protection (pour la plupart en polypropylène) et 65 milliards de gants en latex ont été jetés chaque mois, selon une étude publiée par la revue Environmental Science & Technology de ACS Publications.

Une partie importante de ces déchets finira par se retrouver dans les océans du monde, où ils prendront la forme de microplastiques polluants. Il y a aussi les milliards et les milliards de récipients alimentaires en plastique et en papier qui ont été utilisés — et jetés — en raison de l’augmentation des commandes de plats à emporter provoquée par la pandémie, une fois les restaurants fermés aux clients.

Et ce n’est là qu’une partie des dommages environnementaux causés par la plus grande des escroqueries. Les gouvernements du monde entier — notamment en Chine et en Italie — pulvérisent des biocides cancérigènes dans l’atmosphère. Cet ultime acte de folie, qui vise à contenir ou à détruire le virus redouté de manière injustifiée, soumet les piétons à des produits chimiques encore plus nocifs. Ces désinfectants finiront par se retrouver dans l’eau du robinet de millions de foyers. En bref, nous n’avons aucune idée des conséquences que les biocides peuvent avoir sur le microbiome et sur notre santé à long terme [voire à court terme considérant l’empilement des problématiques – NdT].

Pendant ce temps, des centaines, voire des milliers de professionnels de la santé et de scientifiques du monde entier ont osé respecter leur serment de ne pas nuire et de suivre leur conscience en disant la vérité sur les conséquences dévastatrices de l’adhésion aux directives liées à la fausse pandémie.

Ces hommes et ces femmes courageux — qui sont tous médecins ou titulaires d’un doctorat et portent donc le titre de « Dr » ou de « Pr » — sont notamment :

  • Robert Malone, inventeur de la technologie des vaccins à ARNm et à ADN ;
  • Lawrence Palevsky, pédiatre ;
  • Vladimir Zelenko, médecin généraliste ;
  • Judy Mikovits, avocate et ancienne scientifique du NIAID ;
  • Simone Gold, médecin et fondatrice de America’s Frontline Doctors ;
  • Stephen Malthouse, médecin de famille ;
  • Sucharit Bhakdi, microbiologiste ;
  • Byram Bridle, professeur associé d’immunologie virale ;
  • Paul Thomas, pédiatre ;
  • Richard Fleming, cardiologue ;
  • Patrick Philips, urgentiste et médecin de famille ;
  • Roger Hodkinson, pathologiste ;
  • et Mike Yeadon, ancien directeur scientifique de Pfizer… pour n’en citer que quelques-uns.

Chacun d’entre eux a exprimé de sérieuses inquiétudes quant aux effets secondaires potentiels de ces « vaccins » jamais testés, approuvés ou utilisés pour soigner les êtres humains. Et, pour s’être exprimé, chacun d’entre eux est menacé, censuré et pire encore.

Collectivement, leurs appréhensions vont de

  1. Comment les nanoparticules lipidiques (LNP) peuvent affecter le cerveau humain ;
  2. Comment l’utilisation du polyéthylène glycol (PEG) peut provoquer des réactions immunitaires anaphylactoïdes chez l’être humain;
  3. Comment les protéines Spike induites artificiellement qui se déplacent dans tout le corps humain peuvent produire des troubles de la coagulation du sang dans différentes parties du corps ;
  4. Comment ces protéines Spike en excès, qui constituent une toxine neurovasculaire pour le corps, peuvent être à l’origine de myocardites — inflammation du muscle cardiaque — chez les enfants et les jeunes adultes.

L’une des façons par lesquelles les praticiens de la médecine sont intimidés est le recours à la force des organismes qui les autorisent à exercer.
Par exemple, le Collège des médecins et chirurgiens de l’Ontario (CPSO) a publié une déclaration inquiétante fin avril 2020, menaçant de retirer l’autorisation d’exercer la médecine à tout médecin qui s’exprimerait publiquement — ou même poserait des questions — sur les effets secondaires nocifs des confinements et/ou des « vaccins » Covid-19 dont ils ont été témoins lorsqu’ils travaillaient en première ligne dans leurs hôpitaux et communautés locales. Aux États-Unis, la procédure de retrait de la licence d’un médecin est légèrement différente, mais le résultat final est le même.

Chaque État a son propre conseil médical qui peut suspendre temporairement une licence médicale sans audience si « le conseil estime que la conduite du titulaire de la licence a enfreint les normes de soins et a mis en danger la santé et la sécurité de plusieurs de ses patients ».

Note du traducteur 19 : La même chose s’est produite en France, et certainement aussi dans d’autres pays, notamment en Occident : Haro sur les médecins non alignés sur l’Agenda totalitaire des mondialistes implanté en France par son VRP Macron !
Rappelons aussi que les contrats signés entre les compagnies pharmaceutiques et les États stipulent que ces derniers doivent tout faire pour défendre le produit expérimental en question.

Voir PfizerLeak : Révélation sur les contrats Pfizer et leurs clauses « surprenantes »

Parmi les autres tentatives visant à empêcher les informations scientifiques vitales d’atteindre le public, citons le discrédit et la mise au silence des praticiens, médecins et scientifiques par les plateformes de médias sociaux grand public de Big Tech, comme YouTube de Google.

Cela ne devrait pas surprendre, puisque Google, qui a été créé par la CIA, entretient également des liens étroits avec des compagnies pharmaceutiques comme GlaxoSmithKline (GSK), enregistrée en Angleterre. Ces personnes sont également censurées de Facebook — une autre société privée créée par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) et la CIA — ainsi que d’Instagram, Amazon Web Services (AWS), Linkedin et Twitter.

Pire encore, des médecins ont été soumis à une censure extrême pour avoir fourni des preuves qu’il existe effectivement des traitements viables, efficaces et peu coûteux pour traiter le Covid-19 — des traitements qui rendent inutile le recours à un « vaccin ».

Par exemple, tous les médecins mentionnés ci-dessus, ainsi que des centaines d’autres dans de nombreux pays, n’ont pas seulement fait l’éloge des antipaludéens chloroquine et hydroxychloroquine et d’autres remèdes comme l’Ivermectin, l’azithromycine, la doxycycline et le zinc, dans le traitement de leurs patients atteints de Covid-19, mais ils ont démontré à plusieurs reprises leur efficacité. Ils ont prouvé, par exemple, que la chloroquine et l’hydroxychloroquine, lorsqu’ils sont administrés à petites doses prescrites, exercent relativement peu ou pas d’effets indésirables. De nombreuses études menées en Corée du Sud, en Chine et en France en témoignent également.

Néanmoins, les agences gouvernementales de santé — la FDA, les NIH et les CDC aux États-Unis, la MHRA au Royaume-Uni et Santé Canada [tout comme l’HAS en France – NdT] — ainsi que l’OMS interdisent continuellement ces traitements peu coûteux, tentent de décourager les gens de les utiliser et, avec la complicité des médias grand public, font à leur sujet des déclarations manifestement fallacieuses.

Pour savoir pourquoi cette suppression de traitements efficaces a lieu, il suffit de consulter l’autorisation d’utilisation d’urgence de vaccins contre le Covid-19 de la FDA qui a été délivrée en octobre 2020. À la page six de ce document, à la section lll, « Critères et considérations pour la délivrance d’une autorisation d’utilisation d’urgence pour un vaccin contre le Covid-19, la dernière puce de la liste indique clairement que la FDA ne peut délivrer une telle autorisation que si elle a déterminé qu’« il n’existe pas d’alternative adéquate, approuvée et disponible au produit pour diagnostiquer, prévenir ou traiter la maladie ou la condition médicale. » Cette déclaration signifie que toute la prémisse de l’autorisation d’utilisation d’urgence est basée sur la présupposition qu’il existe aucune alternative disponible.

En réalité, il existe plusieurs produits hors brevet bon marché parmi lesquels choisir, comme nous l’avons cité plus haut — et comme la FDA le sait parfaitement. Cependant, si elle devait permettre à un produit bon marché et facilement disponible comme l’hydroxychloroquine de dominer le marché, l’industrie pharmaceutique — qui semble dicter sa politique à la FDA — risquerait de perdre des milliards de dollars provenant des ventes de « vaccins » anti-Covid-19.

La cupidité est-elle à l’origine de la suppression par Big Pharma des informations sur les produits alternatifs ? Très certainement. Et les relations étroites que Big Pharma entretient avec les responsables des agences gouvernementales et avec les médias — ces derniers étant largement tributaires de la publicité pharmaceutique pour leur existence — empêcheront-elles la majorité du public de prendre connaissance de l’existence de ces produits alternatifs ? Il semblerait que oui. En d’autres termes, l’autorisation d’utilisation d’urgence n’aurait pas été publiée si la vérité sur les produits alternatifs avait pu être largement partagée.

Mais puisque cette vérité a été dissimulée, les décès dus aux « vaccinx anti-Covid-19 » sont de plus en plus nombreux.

En août 2021, et selon les données recueillies par EudraVigilance, au moins 21 000 personnes dans les 27 pays de l’Union européenne sont mortes après avoir reçu une injection de ces dispositifs qui modifient les gènes. Aux États-Unis, et selon les données fournies au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), c’est plus de 13 000 personnes ont succombé à ces injections. Le chiffre des États-Unis est choquant : il signifie que ces injections expérimentales ont causé plus de décès en l’espace de 6 mois que la combinaison de 70 vaccins différents approuvés en circulation au cours des 30 dernières années. Comme si cela ne suffisait pas, une étude de Harvard a conclu que seulement 1 % des dommages et des décès dus à tous les vaccins aux États-Unis sont signalés au VAERS. Même si le taux de déclaration est de 10 %, ce dernier reste faible par rapport aux chiffres réels.

Et pourtant, les injections anti-Covid-19 qui modifient les gènes continuent de faire l’objet d’une promotion agressive de la part des propagandistes et de leurs théories non scientifiques et non prouvées, et ce malgré les preuves que la propagation asymptomatique n’est pas possible, que nous n’avons pas besoin de ces injections et qu’elles ne sont ni sans danger ni efficaces, que le Covid-19 est très loin d’être aussi dangereux pour la vie qu’on l’avait prédit et que les enfants n’ont pas besoin d’être protégés contre ce virus. De plus, malgré leur insistance, il n’existe aucune preuve que le Sras-CoV-2 cause le Covid-19.

Note du traducteur 20 : En effet, et comme nous l’avons précisé dans la Note du traducteur 12, ce n’est pas le virus du Sras-CoV-2 créé en laboratoire qui est dangereux, mais bien sa protéine Spike. Donc, prétendre que c’est le virus du Sras-CoV-2 qui déclenche la maladie appelée Covid-19, est à tout le moins faux, voire une mystification.

Les gouvernements du monde entier continuent de corrompre et de contraindre les citoyens à recevoir ces injections — en violation directe du Code de Nuremberg et sur la seule base d’un prétendu « intérêt de la santé publique ». Ceux d’entre nous qui ont fait des recherches et lu sur ce sujet depuis que tout a commencé savent qu’il n’a jamais été question de préserver la santé publique. Il a toujours été question des objectifs qui visent à mettre en œuvre un plan de biosécurité mondial et une grille de contrôle transhumaniste qui, si ces objectifs étaient amenés à se réaliser, signifieraient la fin de l’espèce humaine [telle que nous la connaissons – NdT].

Cette crise largement fabriquée a fourni la rampe de lancement parfaite pour que la convergence biodigitale prenne place. Pour ceux d’entre vous qui pensent que la notion qui consiste à combiner le corps humain avec des systèmes numériques est une hyperbole ou un fantasme, je me permets d’attirer votre attention sur le document « Exploring Biodigital Convergence » [Explorer la convergence biodigitale – NdT] publié le 11 février 2020 par Horizons politiques Canada. Ce document indique que le comité directeur de la politique canadienne a discuté du concept effrayant consistant à modifier l’évolution du corps humain par l’intégration de nanotechnologies biologiques et numériques. En effet, il s’avère que la large modification génétique de l’espèce humaine en cours d’élaboration par les injections expérimentales soi-disant anti-Covid-19 n’est que la première phase de cette convergence transhumaniste.

Note du traducteur 21 : Nous avons publié la traduction en français de ce document : La convergence bionumérique ou comment faire miroiter aux populations un avenir meilleur synonyme de prison, et en voici notre présentation :

« cette « présentation » a le mérite de nous informer de l’état de la « science » dans le domaine bionumérique en général et dans ses développements en particulier, dans tous les champs d’application qui y sont envisagés, ou presque… Il en dit long également sur l’état psychopathique des élites au pouvoir, affamées de contrôle absolu (mais illusoire) sur l’ensemble du vivant qui anime notre planète, dans une sorte de course contre la montre (désespérée) engagée contre la Nature, les forces cosmiques et leur énorme potentiel créatif — bien que ce processus puisse d’abord passer par une phase destructrice. À ce jeu, qui est le plus fort ? »

Comme si le document canadien n’était pas assez alarmant à lui tout seul, une menace encore plus grande pour l’humanité est en train de se déployer ailleurs. En mai 2021, le ministère britannique de la Défense a publié un document intitulé « Human Augmentation — The Dawn of a New Paradigm » [L’humain augmenté — L’aube d’un nouveau paradigme – NdT]. Ce document a été élaboré par le Centre de développement, de concept et de doctrine du Royaume-Uni, en partenariat avec le Bureau de planification de la défense de la Bundeswehr allemande [les forces armées allemandes – NdT]. Leur objectif est de

« comprendre les implications futures de l’humain augmenté, en préparant le terrain pour une recherche et un développement de défense plus précis. »

En intégrant les recherches de spécialistes de la défense allemands, suédois, finlandais et britanniques, le projet du Centre de développement, de concept et de doctrine tente de mieux appréhender comment les technologies émergentes, telles que le génie génétique, les interfaces cerveau-ordinateur et la bioinformatique, peuvent renforcer les capacités de sécurité et de défense. Bien qu’elle soit présentée comme un outil stratégique à usage militaire, l’augmentation de l’humain sera sans aucun doute, à l’instar du développement de tant de programmes militaires au cours de l’histoire, finalement déployée pour être utilisée dans le secteur civil.

Je dois le dire sans ambages : les projets transhumanistes au Canada, au Royaume-Uni et en Europe, et probablement subrepticement dans d’autres pays, combinés à la destruction délibérée de l’écosystème, sont les deux plus grandes menaces existentielles auxquelles l’humanité est aujourd’hui confrontée. Peut-être même comme jamais auparavant.

Dernières remarques

Nous sommes bombardés sans relâche par une croyance qui fait d’un ancien virus — y compris ses variants — le seul coupable d’une crise sanitaire mondiale. Pourtant, il n’existe pas la moindre preuve que le virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Cette vision myope nous empêche de comprendre la véritable nature utile des virus, comme nous l’avons détaillé ci-dessus. En effet, les virus sont nos amis [ils font partie du système de la vie sur Terre, sans eux nous ne serions même pas là pour en parler – NdT].

En outre, cette vision nous empêche de voir le véritable désastre écologique qui se déroule autour de nous et que les virus tentent de nous aider à découvrir et à surmonter.

Non seulement l’humanité marche vers sa propre extinction, mais elle s’éloigne aussi rapidement de la science et s’étouffe au contraire dans le dogme technocratique anti-science [et anti-vie – NdT] — un dogme qui s’est transformé en une religion rigide dont les adeptes vénèrent de nombreuses divinités, dont l’un se nomme « Vaccin » et l’autre « Technologie ».

Note du traducteur 22 : Qu’est-ce que la « science » ? Selon Nissim Amzallag, dans son ouvrage intitulé La Réforme du vrai, il déclare :

« La science ne distille pas forcément le vrai, cela nous le savons depuis le début du XXe siècle. Et pourtant, une aura d’objectivité continue de protéger la science de toute critique non seulement sur ses fondements, mais encore sur la manière dont elle s’impose pour façonner la société. »

Dans on ouvrage, l’auteur explore l’Histoire pour savoir si la science « fut réellement motivée par un désir sincère d’intelligence du réel ». Même si nos lecteurs ne l’ont pas lu, il suffit de contempler notre présent pour se rendre compte que ce n’est pas le cas, et c’est un euphémisme.

Comme je l’ai expliqué au début de cet article (première partie), nous vivons une époque sans précédent, où les humains peuvent être génétiquement modifiés à un point tel qu’ils seront méconnaissables et dans laquelle le monde naturel est ravagé de façon presque irrémédiable.

Pourtant, si ces menaces sont mortifères, il existe aussi des signes d’espoir. Il n’est pas trop tard pour envisager une autre voie possible — une voie qui ne nous condamne pas à l’échec, mais nous invite plutôt à accepter que l’humanité est faite, depuis le début, pour s’intégrer de manière intrinsèque à la Nature. Si nous tirons les leçons de nos erreurs, nous avons la possibilité de nous éloigner de l’abîme du transhumanisme et de l’extinction des espèces. Nous pouvons au contraire embrasser notre belle planète avec toute sa glorieuse biodiversité — une Terre grouillante d’une vie abondante qui offre un aperçu de l’Univers parfait créé par Dieu, l’Esprit, et qui est conférée à la Création spirituelle de la divinité.
Permettons à notre bonne Terre et à notre bonté innée de devenir manifestes au lieu d’être obscurcies et finalement annihilées.

La Terre et chaque homme, femme, enfant et créature qui l’habitent sont en fait des idées infinies, éternelles et divines créées par un Esprit infini, éternel et divin. Il est temps pour nous de reconnaître cette vérité — et de la manifester dans nos vies.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source des différentes parties initialement publiées en anglais :

Partie 2 – le 20 août 2021 : GlobalResearch
Partie 3 – le 15 septembre 2021 : GlobalResearch
Partie 4 – le 7 septembre 2021 : GlobalResearch

Note : La 3e partie a été publiée après la 4e.
Traduction : Sott.net




Covid : la quatrième vague meurtrière programmée à partir d’octobre prochain

Par Diane Vincero

Voici un texte du Sénat (texte n° 811 – 2020-2021) sur « les motifs de la proposition de loi sur la vaccination obligatoire contre le Covid » qui doit être étudié le 13/10/2021 et qui vise à ajouter aux 11 vaccins déjà obligatoires, un 12e ** : celui du Covid.

Les termes du texte en sont intéressants.

Voici d’abord le texte, puis le décryptage qui s’impose.

Texte n° 811 (2020-2021) de MM. Patrick KANNERBernard JOMIER, Mmes Marie-Pierre de LA GONTRIEMonique LUBIN et plusieurs de leurs collègues, déposé au Sénat le 31 août 2021 —

proposition de loi instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2 (exposé des motifs) (senat.fr)

« EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Dès juillet dernier, les parlementaires socialistes ont prôné l’obligation progressive d’une vaccination universelle, de toutes et tous (sauf contre-indication médicale), dans une démarche de santé publique visant à obtenir une protection collective, seule à même de garantir un retour à une vie quotidienne normale pour tous du fait des différents variants en circulation.

L’objectif de cette protection collective de toute la société, en l’état de nos connaissances scientifiques et médicales, peut être atteint par une obligation vaccinale généralisée (sauf contre-indication médicale).

Nous croyons en la science, en la recherche, et au progrès médical et social, qui bénéficient à toutes et tous.

Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes.

L’obligation vaccinale a été édictée en France pour la première fois en 1902 et a permis d’éradiquer nombre de maladies et protéger nombre de nos enfants. L’obligation vaccinale est la pierre angulaire de l’intérêt collectif : en s’engageant tous, on protège chacun, partout sur le territoire national et dans tous les foyers. Elle faisait reposer la politique de santé sur des principes clairs, transparents, démocratiques et qui s’appliquaient à tout le monde.

La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. Elle permettra de lancer enfin une grande campagne d’information et de sensibilisation pour aller vers les Français non vaccinés. C’est également un geste de responsabilité et de solidarité vis-à-vis de nos soignants, engagés de toutes leurs forces dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout et de soutien vis-à-vis de nos acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires.

Nous notons surtout que plusieurs institutions du champ scientifique et médical se sont d’ores et déjà prononcées en faveur de l’obligation vaccinale généralisée. C’est le cas notamment de l’Académie nationale de médecine, le 19 juillet dernier, jour de présentation en conseil des ministres de la loi n° 2021-1040 du 5 aout 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire. Rappelons d’ailleurs que l’Académie s’était prononcée publiquement pour le port du masque dès avril 2020, quand le Gouvernement soutenait encore que le masque était inutile pour la protection de la population générale.

Ainsi, face à l’augmentation rapide de l’incidence des infections dues aux différents variants, l’Académie nationale de médecine recommandait :

“- d’amplifier l’information sur le principe de l’isolement volontaire et sur les capacités d’hébergement des personnes ne pouvant s’isoler à domicile ;

– d’inciter toutes les personnes dépistées positives à s’auto-isoler pendant 10 jours en leur rappelant le risque de contamination auquel elles exposent leur entourage ;

– de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus”.

Depuis, les Antilles ont payé un lourd tribut à la pandémie du fait du faible taux de vaccination des populations. La Guadeloupe et la Martinique ont d’ailleurs été contraintes au reconfinement et aux couvre-feux. Les services hospitaliers de Polynésie sont toujours saturés et le nombre des hospitalisations continue d’y progresser.

C’est pourquoi, nous maintenons que la vaccination contre le Covid-19 de toutes les Françaises et de tous les Français est la seule décision publique qui :

–   Protège sa propre santé et liberté, mais aussi celles des autres ;

– Correspond à une démarche de santé publique claire, assise sur nos connaissances médicales et scientifiques ;

–   Constitue une démarche de lutte contre les inégalités territoriales et sociales, car elle crée un devoir de l’État d’aller vers les publics les plus éloignés de la vaccination ;

–  Évite le “glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale” pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne ;

–  Dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public.

La vaccination obligatoire est le seul chemin à ce jour pour sortir d’une politique de sécurité sanitaire et entrer enfin dans une politique de santé publique clairement assumée. Elle est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le pass sanitaire, de l’égalité face au “chacun pour soi”, de la solidarité face à l’égoïsme. Le choix du Gouvernement a été un choix par défaut et de défausse, qui le désengageait de ses responsabilités.

L’absence d’application du III de l’article 76 vise simplement à rendre la proposition de loi recevable financièrement et n’a pas pour objectif de diminuer la prise en charge de cet acte médical par la Sécurité Sociale. »


En voici maintenant le décryptage proposé

Le texte met en avant « la nécessité d’une protection collective contre les variants du Covid afin de garantir un retour à une vie quotidienne normale, de limiter les restrictions et les privations de libertés, de mettre fin aux craintes pour nos familles, nos emplois, et la scolarité de nos jeunes », éternelle tactique de la carotte (en attendant le prochain bâton), sachant par ailleurs que les scientifiques indépendants de Big Pharma sont tous d’accord pour dire que pendant une pandémie, la vaccination collective est contre-indiquée, qu’elle laisse la place à des variants potentiellement plus graves et qu’enfin, la contagion reste effective même après la vaccination.

« La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. » qu’on peut traduire par « la seule solution de rentabilité financière maximale ».

Au passage, le texte refait l’éloge des soignants « engagés dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout », sachant que tous les soignants qui ont refusé la vaccination ont été jetés dehors depuis le 15 septembre dernier, sans salaire… Le texte évoque aussi les « acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires ». Mais qui a fermé les restaurants, les cinémas, les théâtres, les magasins de vêtements, etc. des centres commerciaux, pendant que les grandes surfaces qui vendaient les mêmes articles ont pu continuer à fonctionner ?

Les Sénateurs se réfugient derrière l’Académie de Médecine pour justifier de leur proposition, sachant que celle-ci, tout comme eux-mêmes est en lien étroit avec Big Pharma.

En effet, ils s’abritent derrière le fait que l’Académie de Médecine prônait l’usage du masque, alors que le masque laisse passer le coronavirus. Comment l’Académie de Médecine peut-elle ignorer que le SARS-CoV2 mesure entre 0,06 et 0,14 µm et que les masques laissent passer les particules jusqu’à 0,6 µm, et donc que le coronavirus est bien plus petit que les mailles des masques ?

Dans le fond, quelle peut être la réelle utilité du masque si ce n’est de nous rappeler sans arrêt qu’il existe une prétendue épidémie ?

De la même manière, les sénateurs s’abritent derrière l’Académie de Médecine pour l’obligation vaccinale pour tous, mais, comment l’Académie de Médecine peut-elle prôner

« de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus ».

Il est en effet étonnant de constater que cette « éminente instance », pourtant censée abriter des médecins, puisse ignorer les principes énoncés ci-dessus sur la contre-indication de la vaccination généralisée en cas de pandémie.

La situation évoquée par les sénateurs concernant les Antilles ne reflète pas les réalités du terrain, d’une part sur le vrai pourcentage de patients hospitalisés et/ou décédés, et le vrai pourcentage parmi eux de personnes vaccinées ou non, et enfin, la résultante, en période de pandémie, des comorbidités (hypertension artérielle, diabète, cancer, maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde, la thyroïdite d’Hashimoto, etc.), comorbidités aux Antilles liées aux OGM et aux pesticides utilisés largement (tels que le chlordécone dans les bananeraies, pourtant interdit en France métropolitaine, et le DDT pourtant interdit en France depuis 1962)…

Quand très noblement, nos sénateurs écrivent que la vaccination de tous « Évite le “glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale” pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne, et dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public. », on ne peut alors que s’interroger sur le pourquoi de ce nouveau formulaire de dénonciation de faits et de personnes ne respectant pas les ordres sur le covid, formulaire destiné aux procureurs de la République, et le pourquoi de la plateforme du service de répression des fraudes du Ministère de l’Économie et des Finances qui recueille les mêmes éléments…

« La vaccination est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le passe sanitaire, de l’égalité face au “chacun pour soi”, de la solidarité face à l’égoïsme ». Phrase d’un apparent altruisme magnifique, mais qui ne tient plus lorsqu’on connaît l’ampleur des conflits d’intérêts entre ces politiciens et Big Pharma… 

Dans le fond, ce texte nous révèle, outre les « beaux principes » et les « belles promesses » (la carotte) mis ostensiblement en avant pour faire avaler la couleuvre, « beaux principes » que sont le fait de « vouloir protéger le peuple », que « chacun pense aux autres », « qu’il faut que tout le monde ait la chance d’avoir le vaccin », avec la culpabilisation systématique du peuple à chaque occasion, et l’aspect financier colossal qui apparaît avec Big Pharma, ce texte donc, nous révèle également la difficulté qu’ont nos dirigeants à arriver à ces fins financières, et à trouver pour ce faire, les arguments convaincants et incontournables.

On peut simplement penser que, si la pandémie était réelle, elle n’aurait besoin d’aucun argument pour imposer une marche à suivre. La transparence évoquée dans le texte du sénat serait effective, honnête et les faits se seraient enchaînés sans contre-vérités à répétition, sans revirements incessants, sans données tronquées ou complètement erronées et sans autoritarisme…

Mais qui, le 13 octobre prochain sera présent au Sénat pour apporter la réalité des faits, avant que ce 12ème vaccin ne soit rendu obligatoire ??


30 % DES DOSES DE « VACCINS » ADMINISTRÉES SONT DES ÉQUIVALENTS PLACEBO                                                

En résumé, ce texte explique que, comme dans les études cliniques sur les effets des médicaments, les patients sont divisés en 2 groupes pour les « vaccins anti-covid » : l’un qui reçoit, sans le savoir, un placebo, et l’autre qui reçoit réellement le médicament.

Ici, 30 % des doses injectées, ne contiennent pas les ingrédients « anti-covid », mais probablement seulement du sérum physiologique, et constituent l’équivalent placebo des études cliniques ci-dessus.

Étant donnée la réalité des faits qui se déroulent depuis début 2020, étant donnée l’ampleur de la manipulation des peuples autour d’une pseudo-pandémie de covid, étant donné ce que contiennent ces pseudo vaccins,  on peut penser qu’il s’agit là, d’une manipulation supplémentaire, hautement perverse, à savoir que comme 30 % des doses sont inoffensives, les personnes qui la reçoivent ne développent aucun symptôme et vont donc se croire plus fortes de nature, ou, n’envisageront pas un seul instant être l’objet d’une stratégie « vaccinale »… Elles croiront que ceux qui sonnent l’alarme sont de simples complotistes et inciteront les autres à se faire vacciner « puisqu’il ne se passe en réalité rien de grave »…

De cette manière, ces personnes vont elles-mêmes se revacciner, jusqu’au jour où elles recevront un vrai vaccin « anti-covid » et développeront à leur tout un effet secondaire grave, MAIS IL SERA TROP TARD…


** Proposition de loi instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2 (senat.fr)

1.— Le 1 de l’article L.3111-2 du code de la santé publique est complété par un 12° ainsi rédigé :

« 12° contre le SARS-CoV-2. »

Article L3111-2 — Code de la santé publique — Légifrance.gouv.fr : 

Version en vigueur depuis le 01 janvier 2018                                  Modifié par LOI n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 — art. 49 (V)

I.-Les vaccinations suivantes sont obligatoires, sauf contre-indication médicale reconnue, dans des conditions d’âge déterminées par décret en Conseil d’État, pris après avis de la Haute Autorité de santé
1° Antidiphtérique ;
2° Antitétanique ;
3° Antipoliomyélitique ;
4° Contre la coqueluche ;
5° Contre les infections invasives à Haemophilus influenzae de type b ;
6° Contre le virus de l’hépatite B ;
7° Contre les infections invasives à pneumocoque ;
8° Contre le méningocoque de sérogroupe C ;
9° Contre la rougeole ;
10° Contre les oreillons ;
11° Contre la rubéole.

II.— Les personnes titulaires de l’autorité parentale ou qui assurent la tutelle des mineurs sont tenues personnellement responsables de l’exécution de l’obligation prévue au I. La preuve que cette obligation a été exécutée doit être fournie, selon des modalités définies par décret, pour l’admission ou le maintien dans toute école, garderie, colonie de vacances ou autre collectivité d’enfants.




L’arnaque des « fact-checkers » : Pierre de « Décoder l’éco » répond aux attaques

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Pierre, animateur de la chaîne Décoder l’éco
©FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

TRIBUNE – Ce 17 septembre, pour la deuxième fois concernant mes travaux statistiques, un article s’est vanté d’avoir réussi à contredire mes arguments sur la situation de la Covid-19 en Israël. Il y a quelques mois, les décodeurs du journal le Monde s’étaient prêtés à l’exercice. Ils avaient sobrement repris la vignette de ma vidéo en écrivant « FAUX » par-dessus, sans apporter d’argument contredisant ma démonstration. J’y avais répondu sous forme d’une vidéo et d’un article. Aujourd’hui c’est un petit média internet qui se lance dans cette entreprise. On y voit cette fois-ci plutôt mon visage et ma bibliothèque avec la mention « DEBUNKED », et une petite phrase qui commence par le mot « non », histoire bien évidemment de montrer que mes propos sont un mensonge, mais « avec de vrais chiffres ». 

Le comportement parasitaire des « fact-checkers » 

Dans un pays qui se dit démocratique, défendant une « liberté de la presse », il paraît tout à fait normal d’encourager les débats contradictoires. Je « m’étonne » du traitement réservé depuis 18 mois à tous ceux qui refusent de soutenir la version officielle de la terreur légitimant la « nécessité » de la mise en retrait des « Libertés » pour le « bien commun ». Je pense par exemple à Laurent Mucchielli, autrefois porté aux nues par la presse dite « de gauche » et se trouvant aujourd’hui complètement ostracisé, catalogué complotiste d’extrême-droite, voire antisémite, aucun qualificatif n’étant oublié pour discréditer une personne auprès du lectorat visé. 

Il me semble qu’un comportement « humain » raisonnable, qui devrait servir de base au métier de journaliste, est de discuter des arguments avancés par les personnes qui publient. Je m’étonne qu’à aucun moment, aucun de leurs journalistes ne soit venu discuter de mes chiffres de façon à avancer dans la compréhension du sujet. Je lis tous les messages qui me sont adressés et répond à la quasi-totalité d’entre eux. Les personnes publiant des articles ou des vidéos sur Iinternet de façon publique sont nécessairement dans une posture d’échange. Jamais aucun « fact-checker » n’a souhaité dialoguer pour lancer un débat contradictoire. Leur but n’est pas de faire avancer la connaissance et de questionner, mais de défendre leur point de vue, leur groupe. 

Ces « fact-checkers » n’ont pas d’autre horizon que d’empêcher le débat en discréditant ceux qu’ils considèrent comme leurs « adversaires ». Leurs articles posent les barrières infranchissables de l’information. La publication de petits articles avec les mots « FAUX », « DEBUNKED » ou autre « FAKE NEWS », permettent d’éviter que leur lectorat ne « s’égare » en lisant une information contraire aux croyances du groupe. Le journalisme en est réduit au niveau de harceleurs de collège où certains groupes prennent le leadership de la classe en choisissant des cibles à exclure du groupe. 

Enfin, il me semble déplorable d’encourager un journalisme dont le rôle assumé est de ne rien produire, mais de passer son temps sur le derrière de personnes qui pensent différemment d’eux, pour essayer de les dénigrer. Leur rôle n’est pas de comprendre et synthétiser les informations à leur disposition, mais de suivre paresseusement leurs cibles en vivant au crochet de leurs travaux. Il est finalement peu étonnant que ce type de journalisme du niveau cours de récré sans aucune plus-value soit financé par les réseaux sociaux. L’ère de la médiocrité intellectuelle est à l’œuvre. 

Toujours la même méthode : l’attaque ad hominem 

La première attaque des « fact-checkers » est toujours la même : discréditer l’auteur. Cette première partie est toujours composée d’attaques ad hominem. Elle permet de conforter d’emblée le lectorat sur la lecture qui suit : le monsieur est un menteur, il ne faut pas l’écouter. Il y a quelques mois il ne fallait pas m’écouter parce que j’étais un inconnu, aujourd’hui c’est parce que je suis devenu une « égérie ». La fenêtre d’écoute raisonnable semble étroite. Au passage, j’apprends que l’égérie des complotistes et des désinformateurs, c’est moi. Désolé pour tous ceux qui étaient dans la course pour ce titre en 2021, la place est prise. 

En journalisme, on apprend que seul le début de l’article est lu. Il s’agit donc de mettre l’information la plus importante en premier car l’écrasante majorité des lecteurs s’arrêtera là. Nous savons donc que l’information majeure que ce journaliste souhaite apporter : c’est que je suis un « complotiste ». Cela suffit à ce que l’article soit partagé et retweeté sans avoir besoin d’aller plus loin. Vous trouverez quelques perles de ce genre en commentaire de ma vidéo ayant subi le « fact-checking » des « Décodeurs » : des personnes se vantant de n’avoir pas regardé la vidéo, mais venant quand même mettre un post pour dire qu’elle n’est qu’un amas de « mensonges complotistes ». Je découvre la nature humaine et le besoin pour certains d’une vérité absolue sans qu’aucune nuance ne soit tolérable. 

Les fameuses questions rhétoriques 

L’auteur de l’article fait semblant de se demander pourquoi j’affirme qu’il n’y a pas de surmortalité globale, alors qu’il y a une surmortalité vaccinale. Il s’agit bien évidemment de faire croire à une contradiction. J’explique précisément dans l’article que la surmortalité liée à la vaccination est faible (quelques personnes pour 100 000). Dès lors, elle est indétectable dans la population générale en période hivernale. La mortalité hivernale est bien plus élevée que ce phénomène pour les personnes âgées. Pour cette raison, la seule population sur laquelle cette surmortalité est mesurable est la population jeune, car elle n’est pas soumise à la hausse de mortalité hivernale. En faisant le calcul, je montre une surmortalité des jeunes de 60 personnes sur la totalité de la période vaccinale. Cela ne peut pas être visible dans la mortalité générale du pays. Rappelons qu’il meurt en Israël entre 3500 et 5000 personnes tous les mois

Les soi-disant données cachées (ou ce « cherry-picking » qui serait la marque des complotistes) 

L’auteur m’accuse de masquer une partie des données. C’est assez intéressant me concernant puisque je fais l’effort de mettre tous les liens de toutes mes sources avec mes vidéos, mais qu’en plus, je prépare des fichiers prêts à l’emploi, car je sais que beaucoup se découragent au moment de télécharger les fichiers. L’auteur m’accuse donc de masquer les données de la « pandémie », autrement dit les décès estampillés Covid-19. Cela fait maintenant 18 mois que le principal apport de tous mes travaux est de montrer que les comptages Covid n’ont absolument aucun sens et qu’il faut raisonner en mortalité toutes causes confondues. La « rigueur statistique », c’est de travailler sur des données sans biais. C’est bien l’objet de mon article sur Israël. Je signale à l’auteur que toute la deuxième partie de mon article est consacré à l’absurdité du comptage de « cas » de Covid-19 en Israël à l’aide de celui des résultats de tests. Alors, oubli volontaire ? 

Les morts post-vaccination seraient des morts Covid 

L’argument suivant de l’auteur concerne les graphiques permettant d’observer une corrélation parfaite entre vaccination et mortalité. Il se base sur deux points. Le premier est de dire que les hausses de mortalité observées ne sont pas dues à la vaccination, mais à la Covid-19. L’auteur répète d’ailleurs cet argument dans un paragraphe suivant. Il serait intéressant que l’auteur nous dise où il a bien pu lire que la Covid-19 entraîne une hausse de mortalité chez les jeunes. Je signale qu’aucun pays sur lequel nous disposons de données, ni en Israël, ni dans toute l’Europe (consultez l’étude que j’ai pu réaliser sur 33 pays européens) ne montre la moindre hausse de mortalité en période Covid chez les moins de 40 ans, à l’exception des pays ayant massivement vacciné ces tranches d’âges (notamment Hongrie et Israël). La mortalité toutes causes ne montre pas de quoi décèdent ces jeunes, mais, même en considérant que c’est la Covid, faut-il quand même vacciner les jeunes si on observe que le nombre de morts Covid des jeunes augmente à cette occasion ?  

Le deuxième point concerne une deuxième hausse de mortalité visible entre deux et trois mois après les injections de masses. L’auteur en déduit que cette deuxième hausse est une preuve que la première n’a pas de rapport avec la vaccination. Je le remercie de mordre à cet hameçon, même si j’espérais plutôt que cela vienne d’un chercheur curieux de l’étude des effets secondaires. On constate en effet une deuxième hausse dans quasiment toutes les tranches d’âges, sauf les plus âgées. Il est intéressant d’observer le biais cognitif de l’auteur qui, abreuvé de l’information que la vaccination est « nécessairement » sans risque, est incapable d’envisager que des effets secondaires puissent arriver. En effet, un décès causé par une injection ou une intervention dans les jours qui suivent est un effet primaire de l’évènement. Il s’agit d’une suite directe ce qui est subi. La corrélation parfaite que nous montrons à J+5 ne présage pas qu’il n’existe pas d’autres effets plus tardifs. Il s’agit d’ailleurs du principe des études de long terme de le déterminer. Ici nous observons une deuxième remontée après les injections. En trouver une avant aurait été un indice fort de non-causalité. En trouver une après va plutôt dans le sens de ce que nous montrons. Merci donc de la souligner. 

Par ailleurs, l’auteur soulève que cette bosse est surtout observable pour les plus jeunes, et de moins en moins pour les plus âgés. C’est un indice supplémentaire. Imaginez que vous distribuez un poison à toute une population. Les plus fragiles et les plus sensibles à ce poison vont décéder en nombre très vite. Les plus jeunes résisteront bien mieux et certains résisteront longtemps avant de succomber. Si on considère que la vaccination entraîne chez certains personnes la création de caillots sanguins, il est probable que les moins de 40 ans puissent en supporter bien plus et pendant plus longtemps que les plus de 80 ans. 

Les mauvaises fréquentations 

Afin d’enfoncer le clou sur mon compte et surtout « protéger » son lectorat des « méchants », l’auteur en profite pour rappeler que mon étude se base sur les mêmes observations que celle d’Alexandra Henrion-Caude et Steve Ohana. Nous arrivons ainsi aux mêmes conclusions. Ce procédé fonctionne comme un avertissement contre tous ceux qui souhaiteraient suivre le même chemin. Il avertit les journalistes, chercheurs, lecteurs, politiques, que toute personne surprise à oser lire, commenter ou pire, approuver le document d’une personne considérée « complotiste » rentrera immédiatement dans la même case. Un certain nombre de personnes (en accord ou désaccord avec mon point de vue) me font la remarque du « consensus » scientifique sur la gravité de la situation. 

Il n’y a pas et n’a jamais eu de consensus. Il y a une pression et un acharnement délétère envers tous ceux qui osent contredire ce qui est considéré médiatiquement comme « la vérité ». De nombreux chercheurs et auteurs français (Laurent Toubiana, Jean-François Toussaint, Vincent Pavan…) autrefois considérés comme parmi les meilleurs dans leurs domaines ont subit une destruction systématique de tous leurs travaux par les médias. Qui peut croire qu’autant de personnes reconnues auraient simultanément grillé un fusible ? J’ai pu observer en direct le rejet subi par certain d’entre eux par leurs propres collègues, instituts, laboratoires. Non pas à cause d’arguments contradictoires à leurs travaux, mais bien par souci des nombreux pervers narcissiques aspirant à de hautes destinées de préserver leur précieuse image. Ces exemples destructeurs ont évidemment servi à décourager tous ceux qui souhaiteraient encore se lancer dans ce type de travaux. Je témoigne d’ailleurs (en ayant des traces mails à l’appui) avoir vu deux études se faire censurer par les hébergeurs MedRxiv et SSRN, sans aucun motif. Cette censure a bien évidemment empêché toute relecture possible par des pairs et donc toute publication. Je gage que ces deux articles ne sont pas les seuls à avoir subi ce tri. La pseudo-uniformité des résultats est donc artificiellement créée. 

La stratégie de l’inversion : me faire dire ce que je ne dis pas 

Je précise dans toutes mes vidéos que corrélation n’est pas causalité. Il n’existe pas de preuve par la statistique. D’ailleurs c’est un résultat intéressant à garder en mémoire lorsque vous lisez une étude d’un laboratoire pharmaceutique vous vantant les résultats miraculeux de son produit miracle à l’aide d’une étude statistique, souvent en double aveugle. L’étude ne vous amène qu’une corrélation et il existe autant de façon de maîtriser cette corrélation que d’auteurs rémunérés directement par ces mêmes laboratoires. On note d’ailleurs qu’une fois de plus l’auteur ne remet jamais en question le principe de causalité pour les morts de la Covid-19. On note par exemple que parmi les personnes qui décèdent, certains sont positifs aux tests Covid-19. On en déduit simplement que ces personnes sont mortes de la Covid-19. La corrélation devient causalité sans faire lever le moindre sourcil à notre « fact-checker » anglo-latiniste. On lui fera remarquer que l’écrasante majorité des personnes avec un test positif n’a absolument rien. L’auteur les classera certainement dans la case « asymptomatique », puisqu’à notre époque, « Tout bien-portant est un malade qui s’ignore. »  De la même manière, à aucun moment je ne suppose que les jeunes meurent tous de la vaccination. Je note une surmortalité (donc pas tous les décès, mais seulement ceux au-dessus de la mortalité habituelle) après les campagnes d’injections de masse. Je dénombre cette surmortalité et je constate qu’elle est cohérente avec les travaux déjà réalisés sur la pharmacovigilance. L’objet de cette étude est donc d’alerter les pouvoirs publics sur des corrélations parfaites dans tous les pays ayant mis en place cette stratégie. 

Auteur(s): FranceSoir




Couverture vaccinale en France, enfin la preuve du mensonge ?

Par Alain Tortosa

La propagande n’hésite pas à nous dire qu’en France 95 % des soignants libéraux auraient reçu au moins une dose tandis que 90 % des soignants seraient injectés dans les EHPAD et USLD.

Regardons les données pour la Guadeloupe :

70 % des personnels soignants libéraux auraient reçu au moins une dose en Guadeloupe au 15 septembre.

Pour ce qui est des EHPAD et USLD :

49 % des soignants auraient reçu au moins une dose en Guadeloupe.

Et enfin la population générale…

31 % des Guadeloupéens auraient reçu au moins une dose au 15 septembre.

En résumé, pourcentage de vaccination au moins 1 dose pour la Guadeloupe au 15 septembre.

  • 70 % des soignants en libéral (et combien de fausses injections ?).
  • 49 % des soignants en EHPAD et USLB.
  • 31 % de la population générale.

Santé publique France dans un document au 10 août indique(([1] https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/366946/document_file/2021_LePointSur_Couv_vaccinale_pro_santé_etablissements_sante.pdf)) que :

« 81,3 % des professionnels exerçant dans un établissement de santé » ont une couverture vaccinale au moins une dose.

Au 10 août, le site géodes santé publique(([2] https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&i=vacsi_psl.psl_couv_dose1&s=2021-09-15&selcodgeo=971&t=a01&view=map2)) indique que 90 % des soignants en libéraux (60 % en Guadeloupe) et 81 % en EHPAD (32 % en Guadeloupe) ont reçu une dose.

L’écart entre les professionnels en établissement de santé et en libéral est 9 %.

Il n’y a pas d’écart entre les professionnels de santé en établissement et les professionnels en EHPAD.

À ce jour, le pourcentage de personnes vaccinées en établissement de santé au moins une dose devrait donc être de 49 % en Guadeloupe !

Or que nous dit Gérard Cotellon, directeur du CHU de la Guadeloupe le 17 septembre ?

Que 75 % des personnels sont non vaccinés(([3] https://www.france.tv/franceinfo/ca-fait-l-actu/2797143-emission-du-vendredi-17-septembre-2021.html)) ce qui veut dire que 25 % sont vaccinés.

Comment le directeur de l’hôpital peut affirmer le 17 septembre que 25 % des personnels sont vaccinés (à moins qu’il ne soit un menteur) quand Santé Publique France annonce 49 % de vaccinés le 15 septembre en Guadeloupe et donc un peu plus le 17 septembre, soit DEUX FOIS PLUS ?

Si l’on en croit la propagande, la population générale guadeloupéenneserait vaccinée à 31 % alors que les personnels soignants, qui selon la même propagande, ont vécu l’enfer avec la dernière vague, seraient quant à eux vaccinés à 25 %, soit 6 points de moins que la population générale ?

De qui se moque-t-on ?

Quoiqu’il en soit, ces éléments objectifs apportent la preuve que les données de Santé Publique France sur la vaccination sont des FAUX (ou que le directeur est un menteur).

Sachant que les données sur le nombre de malades sont un faux, que le nombre de personnes hospitalisées Covid est un faux, que le pourcentage de personnes en réanimation est un faux et que le nombre de morts attribués au Covid est un faux, nous pourrions vraiment nous demander pourquoi les données sur les injections ne seraient pas aussi des faux…

Nous disposons désormais d’une preuve de mensonge à la Guadeloupe, il est quand même probable que ce soit aussi le cas en France métropolitaine.

Donc si le même coefficient de manipulation est utilisé en France métropolitaine nous pourrions alors penser que la couverture vaccinale 1 dose de la population ne serait pas de 74 % mais de 37 % ce qui change tout !

Merci

Alain Tortosa.

22 septembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20210922-preuve-manipulation-vaccination.pdf





Qu’avons-nous fait à nos enfants ?

Par Alain Tortosa

Même lorsque le masque n’est plus obligatoire, une majorité continue de le porter avec la complicité d’une partie du personnel « éducatif » !

La propagande et l’habitude sont la plus terrible des armes.

La rentrée scolaire s’est effectuée en France au niveau 2 du protocole sanitaire.

Protocole qui n’est qu’un guide comme l’a rappelé le Conseil d’État au printemps dernier.

Ministres, médias, chefs d’établissement communiquent comme si ce protocole avait force de loi.

La rentrée scolaire devait donc se faire sans masque en extérieur, mais uniquement en classe.

Mais c’était sans oublier les petits seigneurs locaux, comme par exemple le préfet du Var qui rendait obligatoire le masque à l’extérieur pour nous protéger de cette « odieuse » vague que le réseau sentinelle n’a toujours pas vue (une minuscule vaguelette moindre que les cas de gastro).

L’académie, avec la complicité des chefs d’établissements, a rendu le masque obligatoire dans la cour en toute illégalité étant donné que l’intérieur d’un collège ou d’un lycée relève du ministère de l’Éducation.

L’heure étant au dégel, notre bon seigneur du Var a décidé de lever l’obligation du masque à l’extérieur et les collèges et lycées ne sont (provisoirement ?) plus tenus d’exiger la muselière à l’extérieur.

À ce titre, parents et élèves ont reçu via Pronote (l’outil de contrôle parental du travail des élèves, Big Brother) l’information sur la suppression de l’obligation de port du masque.

Je me rends donc hier (21 septembre) au collège et je constate que les abords n’ont pas changé, la même proportion d’enfants qui portent le masque parfaitement ou sous le nez.

Je regarde l’intérieur de la cour, quasi 100 % des élèves y sont avec le masque parfaitement mis.

Je demande alors au CPE à l’entrée si les élèves ont bien été informés du nouveau règlement ?

Celui-ci me confirme que c’est bien le cas et d’ajouter « ils ont désormais l’habitude de le mettre ».

Ma soif de compréhension me conduit alors vers deux ados qui portent le masque sous le nez (et qui de fait le porteront parfaitement pour entrer). Je leur demande alors si ils ont été informés du nouveau règlement et effectivement c’est le cas. Je les interroge sur le fait qu’ils l’ont encore et j’obtiens pour réponse « c’est quand même plus prudent ».

Je suis face à deux élèves qui, à l’extérieur, portent un masque SOUS LE NEZ, qui sont en train de papoter à 30 cm l’un de l’autre et qui me disent cela !!

Je leur fais remarquer qu’à la cantine et pendant le sport ils n’en portent pas (encore que certains font du sport avec) et j’obtiens une toute petite lumière « oui c’est vrai ça doit pas servir à grand-chose ».

Je suis face à des robots formatés qui croient que le virus est dangereux, qui croient que le masque protège, qui le portent de façon totalement ridicule ce qui le rend 100 % inefficace et qui lorsqu’une autorité leur dit qu’il n’est plus nécessaire de le porter vont continuer à le mettre.

Ils n’ont pas, ni leurs parents, le moindre début de conscience de la dangerosité du produit.

Porter la muselière est « naturel » et les notions d’innocuité ou d’efficacité sont inexistantes.

Mais ce matin-là le système était encore plus pervers et sournois qu’à l’accoutumée. Le conseiller d’éducation qui accueillait les élèves portait PAR-FAI-TE-MENT le masque ! (Qu’il ne porte pas ou mal lorsqu’il est en zone administrative, ce qu’il ne ferait pas si il croyait au virus mortel. Il fait appliquer des mesures qu’il ne s’impose pas en tous lieux et tous temps.)

Nous touchons là à la perversion du système et à la propagande silencieuse.

Celui qui représente l’autorité affiche à l’entrée de l’école un masque parfaitement mis.

Qui pourrait s’attendre que les élèves conditionnés par des mois de propagande mensongère fassent le geste de l’enlever face à cette autorité qui « montre l’exemple » ?

Là où l’on goûte à l’immonde c’est que le protocole précise :

« Pour les personnels
Niveau 1/niveau vert : le port du masque est obligatoire dans les espaces clos et les règles relatives au port du masque en extérieur en population générale sont respectées ;
niveau 2/niveau jaune : les mêmes règles que le niveau vert s’appliquent »

Cela veut dire que le CPE portait un masque alors même qu’il n’était pas obligé et qu’il n’est plus dans le simple respect des règles, mais dans la propagande et la manipulation des enfants.

Mon intervention ne fut cependant peut-être pas inutile sur l’instant, car je l’entendis dire à des élèves masqués qui rentraient que celui-ci n’était plus obligatoire…

Certains établissements ont ajouté sur Pronote que :

« Néanmoins les élèves ou personnels qui le souhaitent peuvent continuer à le porter »

Sans compter les établissements qui n’ont même pas transmis l’information et agissent comme si le masque était encore obligatoire dans la cour.

D’aucuns me diront qu’il est plus facile de laisser les élèves masqués en permanence que de leur demander de le mettre en entrant.

Mais que sont devenus l’intelligence, le bon sens et l’empathie ?

Porter un masque est devenu naturel et anodin.

Se masquer le visage, cacher ses émotions est devenu la nouvelle règle !

Le devoir des enseignants et des encadrants (qui pensent qu’ils doivent faire respecter la règle du port du masque quand il est obligatoire) n’est-il pas de le faire retirer aux élèves afin qu’ils puissent vivre normalement, qu’ils puissent respirer un air sain non surchargé en CO2 ?

« Hier vous menaciez un élève dans la cour lorsqu’il ne portait pas la visière parfaitement et aujourd’hui vous n’allez RIEN dire à un élève qui continue de le porter parfaitement ! »

Si vous, encadrants ou enseignants, demandez à un élève de mettre un masque en entrant alors votre devoir est de lui demander de l’enlever en sortant !

À moins que votre rôle se borne à vous protégez-vous aussi bien de la hiérarchie que de parents devenus involontairement maltraitants.

Laisser un élève porter un masque est de la maltraitance, mais dès lors qu’on le laisse le porter alors que celui-ci n’est pas obligatoire est une maltraitance décuplée.

Puissent les encadrants, directeurs, éducateurs, enseignants réaliser leur responsabilité morale (et pénale) pour l’état de délabrement qu’ils ont provoqué par leurs actes chez les enfants dont ils ont la charge.

Alain Tortosa.

22 septembre https://7milliards.fr/tortosa20210922-lavage-cerveau-enfants.pdf

PS : À la décharge du collège, la principale était présente à l’entrée ce jour sans masque pour accueillir les enfants… peut-être un début de prise de conscience de l’administration.




Covid-19 : témoignage d’un directeur de pompes funèbres

[Source : @Nawac7]

Il mentionne en résumé notamment les faits suivants :

Les morts, lors de la première vague, venaient presque exclusivement de maisons de retraite qui avaient reçu préalablement un afflux de malades en provenance d’hôpitaux et qui avaient été traités au Midazolam.

Ils étaient tous étiquetés Covid, alors qu’ils avaient par exemple un cancer en phase 4 ou d’autres maladies.

Il n’y a pas eu plus de morts en 2020 que l’année d’avant, sauf pendant quelques semaines en mars et avril du fait des morts dans les maisons de retraite.

La deuxième vague en janvier 2020 est venue par les récents vaccinés.

Presque tous les morts Covid venaient d’être vaccinés.

Il révèle d’autres informations choquantes et révélatrices indiquant qu’il n’y a pas eu de réelle pandémie.



Son entreprise : MK Family Funeral Services (mkffs.co.uk)

Son adresse courriel : john@mkffs.co.uk

À noter qu’à la fin de la vidéo, le réalisateur de l’entretien mentionne que John O’Looney a été contacté par RT (chaîne russe pourtant souvent considérée comme alternative) pour qu’il se taise en échange de 100 000 euros.




Nous Français et Occidentaux sommes les plus « intelligents »… raison pour laquelle une majorité d’entre nous restera dans l’ignorance et la soumission jusqu’à la lie

Par Alain Tortosa

Cela fait des siècles que nous sommes formatés à « l’intelligence ». Et encore plus le Français qui a « TOUT » inventé depuis la nuit des temps.

Les hommes politiques, les médias ne se privent pas de rappeler que les Français sont intelligents, qu’ils ont du bon sens, et qu’il suffit de leur expliquer pour qu’ils comprennent. Ils rajoutent même qu’il est « impossible » de les tromper et les prendre pour des imbéciles… ben oui, « on le verrait tout de suite ! ».

De bien entendu, nous sommes tous « Charlie », ouverts d’esprit, ouverts au débat, pour la liberté d’expression et bien entendu totalement « antiracistes », c’est bien connu.

Cela ne nous empêche pas de penser ou de dire en petit comité que l’Afrique en est encore à la préhistoire en cassant des noix de coco tandis que nous, les Occidentaux, envoyons des astronautes sur la Lune. (sourire).

Si on interroge le Français moyen, il regarde tous les jours la chaîne de TV Arte alors que si on analyse la réalité, le fait est que son émission préférée sera plus « touche pas à mon poste » animée par le grand Cyril Hanouna et des intervenants dont l’intelligence ferait rougir de honte un prix Nobel…

Nous sommes les plus « intelligents » alors même que le niveau scolaire ne fait que décroître d’année en année, que l’on formate les élèves à se gaver d’un savoir monolithique et que dans le même temps tout est fait pour leur interdire de penser et d’avoir un esprit critique.

L’enseignement officiel a pour objet de fabriquer des clones avec le minimum de libre arbitre… et bien entendu, c’est exactement le contraire qui est valorisé par les mots et certainement pas par les actes.

La dictature nous manipule en jouant sur notre « intelligence »

C’est un des plans machiavéliques utilisés par l’État profond pour endormir notre cerveau et notre esprit critique. Comment les êtres les plus intelligents du monde (les Occidentaux), et encore plus les Français, pourraient-ils être manipulés ?

À la rigueur mon voisin, qui par axiome, est totalement idiot, mais moi ??

Dès lors que les « intelligents » que nous sommes ont gobé au mois de mars 2020 que nous étions menacés par un « terrible virus » et que l’unique solution était de confiner la population mondiale, c’était gagné pour la dictature.

Il a suffi de balancer quelques fausses données dans tous les « médias » avec des prévisions apocalyptiques pour nous précipiter dans la fosse.

Rendez-vous compte que l’on a réussi à faire croire à une majorité de Français que le confinement de malades et de bien portants dans un même lieu était de nature à juguler une épidémie et sauver des vies.

On a même réussi à nous faire croire à nous, « les êtres les plus intelligents du système solaire », qu’il était « vital » d’enfermer les personnes en bonne santé pour endiguer une épidémie !

On a réussi à nous faire croire que si nous avions des symptômes, il ne fallait surtout PAS se rendre chez notre médecin, mais attendre l’article de la mort pour nous précipiter à l’hôpital et nous faire exploser les bronches avec de l’oxygène à haute pression pour mourir 5 jours plus tard !

Oui dès ce jour béni de l’obscurantisme scientifique et digne de l’inquisition, l’affaire était gagnée, la marche arrière devenait impossible !

Qui plus est sans heurter le moins du monde les plus grands défenseurs des droits de l’homme conscients que « la fin justifie les moyens ».

La pensée la plus présente chez les covidistes étant :

« Comment moi, une personne supérieurement intelligente, aurais pu être débile et manipulable au point de gober une histoire aussi énorme, aussi mal foutue, autant improvisée, autant créée de toutes pièces avec des bouts de ficelle. »

Nous avons été terrorisés par un virus télévisuel « aussi mortel que la peste » alors même que nous n’avions pas vu le moindre mort. (Et encore aujourd’hui qui connaît une personne en bonne santé et non en fin de vie ou avec de fortes comorbidités décédée réellement du Covid… et non avec le Covid.)

En fait, le mois de mars 2020 était un remake de « La Guerre des Mondes » diffusée en 1938 ayant provoqué la panique chez les auditeurs convaincus qu’une attaque extraterrestre était en cours.

Idem en mars 2020 où des millions de Français ont été convaincus de l’attaque d’un virus dont pas grand monde n’en a vu la couleur… Une sale grippe en 2019 serait passée inaperçue, mais un supposé (supposé, car nous n’avions aucun test à l’époque) sars-cov2 en 2020 à symptômes identiques, était du domaine de l’enfer.

Plus les mois ont passé, plus les mensonges ont grandi, plus les incohérences se sont multipliées et plus le piège se resserrait sur nous !

Comment ouvrir les yeux aujourd’hui ?

Comment accepter que l’on ait pu être idiot au point de gober un an et demi de mensonges aussi énormes et aussi anti-scientifiques les uns que les autres.

À ce point de mon récit, il est probable que j’ai déjà perdu une énorme partie du lectorat membre de l’église du coronavirus qui a autre chose à faire que lire des élucubrations complotistes…

C’est ainsi que notre cerveau est devenu le plus grand complice de cette supercherie à l’échelle mondiale !

Tel le syndrome de Stockholm, chaque Français est devenu complice de ses preneurs d’otages.

Il est devenu vital pour la santé mentale de chacun que cette pandémie soit à ce point terrible. Vital que les mesures prises fussent les « bonnes », compte tenu de la situation qui risquait de conduire à l’apocalypse et à l’anéantissement de l’espèce humaine.

LE point de non-retour a été franchi avec les injections et pour de très très nombreuses années.

Des parents ont injecté à leurs enfants des substances inutiles, expérimentales à l’inefficacité prouvée et à la dangerosité tout aussi prouvée, mais cachée par les médias menteurs !

Cette vérité statistique est TOTALEMENT inacceptable pour un parent.

C’est pour cela que tous les parents qui ont injecté leur enfant, sont condamnés à avoir l’intime conviction d’avoir agi, non pas pour le bien de la communauté dont tout le monde se moque éperdument, mais d’avoir agi directement ou indirectement pour le bien de leur enfant.

Imaginez qu’un vaccin sur le marché depuis 20 ans présente des contre-indications potentiellement mortelles même si elles sont rarissimes. Mais que dire d’une injection d’ARNm dont les premiers essais sur l’homme ont eu lieu au mois de mai 2020 ! Alors même si l’on tablait sur un risque de décès de 1 sur 1 million d’injections, cela veut dire que mathématiquement des enfants vont et sont déjà décédés de cette injection (ce qui est confirmé par les statistiques).

Mais à la différence d’un vaccin classique qui protège l’enfant d’une maladie potentiellement mortelle pour lui, la thérapie génique à ARN messager ne le protège en rien d’une maladie qui ne le concerne PAS s’il est en bonne santé… car le Covid n’est PAS une maladie infantile comme l’écrit régulièrement l’association française de pédiatrie.

Bref, le retour en arrière est donc désormais totalement impossible.

Les « convaincus » ne peuvent PAS ou PLUS croire que dès le mois de mars 2020 :

  • De nombreuses études sur la (non) dangerosité du virus étaient parues.
  • L’on savait quelles étaient les personnes à risque et donc les personnes non à risque comme les enfants.
  • Que les confinements d’une population générale étaient contre-productifs.
  • Que le confinement du mois de mars 2020 était un échec avant même de commencer, car il était déjà un échec en Italie. Mais par contre, la méthode sud-coréenne de tracing sans confinement fonctionnait parfaitement.
  • Que les masques en population générale étaient dangereux, inefficaces et contre-productifs.
  • Qu’un vaccin contre un coronavirus (qui ne fait que muter) était OBLIGATOIREMENT une impasse thérapeutique.
  • Que l’immunité vaccinale de masse était de fait un leurre.
  • Que l’HCQ (introduite et étudiée par les Chinois et non par Raoult) et certains antibiotiques étaient efficaces avant l’orage.
  • Que seule l’immunité naturelle pouvait nous sauver, car « adaptative ».
  • Que les tests PCR ne sont pas prédictifs
  • Que les gestes barrières relèvent de la pensée magique
  • Etc.

La propagande est même arrivée à leur faire croire que l’AstraZeneca, un adénovirus génétiquement modifié, était plus dangereux qu’un ARNm expérimental. ARN messager testé par le passé à petite échelle sur des malades en phase terminale. Qui plus est encore en phase III expérimentale et ARNm « bizarrement » jamais utilisé contre la grippe.

AUCUN parent qui a gobé toute cette mascarade macabre ne peut ouvrir les yeux aujourd’hui et se dire désormais :

« J’ai pris le risque de provoquer un cancer à 10 ans pour mon enfant, mis peut-être en péril sa capacité reproductive, alors même qu’il ne risque RIEN de cette maladie et que le vaccin ne protège pas de la contamination et qu’il n’a donc RIEN de solidaire. »

Une personne « intelligente » et manipulée depuis le début et qui aurait fait l’effort de lire mon texte jusqu’à cette ligne ne peut pas se poser sereinement la question et se dire :

« Et si ce qui est écrit là était véridique ? »

Il est alors naturel d’utiliser des mécanismes de défenses classiques, se poser des questions sur l’auteur et non sur le fond, botter en touche, ricaner, mais il est à parier que le lecteur ne prendra pas le risque de faire un travail de recherche qu’il n’a JAMAIS entrepris depuis le début de l’affaire.

Travail d’autant plus facile aujourd’hui qu’il a été prémâché par de si nombreux scientifiques ou lanceurs d’alertes qui facilitent l’accès aux informations et à leurs sources.

Dédouaner « l’être supérieur »

Le gouvernement, les médecins corrompus et les médias achetés ont fait un travail formidable de décrédibilisation de la parole dissidente.

Au point que de très nombreux manipulés CROIENT qu’il y a un quasi-consensus scientifique mondial et que les dissidents sont quasi inexistants et relèvent (tous ?) de la psychiatrie.

La Pravda a donc rabâché jour après jour que tous ceux qui avaient une parole dissidente étaient des « complotistes » dont la crédibilité était proche de ceux qui pensent que les extraterrestres ont remplacé les chefs d’État par des clones.

Ces « complotistes » sont, dans la bouche des médias, à la fois des psychopathes d’extrême droite et antisémites qui ont réussi à manipuler un flot de débiles profonds analphabètes, paumés et en perte de repères.

« Un être doué d’intelligence ne pouvant prêter foi à des théories qui vont à l’encontre de la pensée unique. »

La manipulation de la dictature a été à ce point intelligente et diabolique qu’elle a dit à tous les êtres intelligents et supérieurs que nous sommes qu’il ne fallait surtout pas discuter avec les « autres »  !

Ne surtout par argumenter parce que « les complotistes sont des pervers manipulateurs qui peuvent retourner votre honnête cerveau ». On nous a donc expliqué qu’il ne fallait pas nous fabriquer NOTRE propre opinion, car nous serions manipulés par ces malfaisants.

La parfaite illustration en fut le film documentaire « hold-up ».

Question à une personne « intelligente » : « Tu as vu hold-up ? » Réponse ; « Non c’est un ramassis de théories complotistes d’extrême droite avec des intervenants dissidents rejetés par leurs pairs. »

Rendez-vous compte que la « sagesse », la démarche « intelligente et scientifique » n’était plus de regarder hold-up, puis d’aller étudier et vérifier chacune des affirmations pour se faire sa propre opinion, mais d’obéir à la consigne officielle :

« Surtout, ne regarde pas, c’est une dangereuse perte de temps ! »

Nous étions dédouanés d’avoir une démarche scientifique, dédouanés de ne pas nous interroger grâce aux « décodeurs de l’information » qui l’avaient fait pour nous.

La pensée unique

Nous avons vécu et vivons encore une période où le révisionnisme est roi ! L’OMS a réécrit son site, des études sont venues dire le contraire de dizaines d’années de travail… pas de soucis. Le Lancet, quant à lui, a fait des faux ou censuré des études dans l’indifférence générale.

On a même inventé la vérification de l’information dans le but, toujours le même, d’empêcher les êtres « intelligents » que nous sommes, d’aller nous renseigner et étudier pour nous forger notre opinion.

Le principe de la « vérification de l’information » est très simple à mettre en œuvre.

  • Un « illuminé » affirme une pensée déviante.
  • Vous allez interroger un « spécialiste » qui est d’accord avec vous et la pensée unique qui répond « Non cette affirmation est fausse ! ».
  • Ainsi vous avez « démontré » que ces propos complotistes étaient ridicules !

Petit à petit les manipulés ont acquis l’intime conviction que le récit mondialiste était vrai parce que tous les médias traditionnels, ainsi que tous les « scientifiques » médiatiques (toujours les mêmes d’ailleurs) avaient le même discours parfois au mot près.

« S’ils disent tous la même chose, c’est bien que c’est vrai ! »

Nous aurions pu trouver étrange que la quasi-intégralité des médias se contente de reprendre les dépêches AFP sans rien vérifier, mais non !

Presse considérée « indépendante » alors que sa survie repose EXCLUSIVEMENT sur les aides de l’État !

Donc soit la masse s’est contentée de l’affirmation de tel ou tel média de « confiance », genre France Inter, BFM ou Cnews, soit elle a fait « un travail d’enquête » en lisant plusieurs journaux mainstream différents qui disaient tous la même chose !

D’innombrables « débats » ont eu lieu sur les chaînes d’info où des personnes d’accord entre elles débattaient pendant des heures. Ceci entrecoupé 5 minutes par semaine d’un invité (généralement invité qu’une seule fois) qui cherchait à se défendre face à plusieurs accusateurs médiatiques présents pour le lyncher.

Ainsi la recherche de la vérité, la recherche de sa propre opinion ne procédait plus en la lecture d’auteurs, d’études ou d’opinions diamétralement opposées, mais en la lecture d’informations concordantes appelées « consensus ».

La plupart des Charlie se réjouissaient que le temps d’antenne des complotistes soit le plus bref possible et que les réseaux sociaux censurent à tout va… L’apothéose étant de trouver normal qu’un président américain élu soit censuré par des entreprises privées !

Le CSA veillant scrupuleusement à l’absence de pluralisme et sanctionnant les rares émissions où un « ennemi du peuple » pouvait prendre la parole sans contradicteurs autres que le « journaliste » présent pour le descendre en flèche.

Comment survivre face à toutes les incohérences ?

On a beau être manipulé, on a beau se voiler la face et ne rien lier, les incohérences sont parfois trop énormes pour arriver à se les cacher.

  • Il est compliqué de trouver logique d’utiliser des drones ou des hélicoptères pour verbaliser des personnes seules sur une plage ou dans une montagne durant un confinement alors que dans le même temps on peut s’entasser dans un supermarché.
  • Compliqué que le masque soit inutile et dangereux le lundi puis obligatoire et vital le mardi.
  • Compliqué qu’il faille rester enfermé le mercredi et sortir le plus possible le jeudi.
  • Compliqué de voir que l’on diminue les budgets dans la santé, que l’on ferme des lits alors même que l’on dépense des millions pour recruter des vigiles.
  • Compliqué que l’on interdise de s’asseoir en terrasse, mais que l’on autorise d’être entassé sur le quai d’un RER.
  • Compliqué que l’on interdise les médecins de prescrire et qu’on les sanctionne s’ils le font.
  • Compliqué que l’on impose une troisième dose du même vaccin alors même que le virus a muté (comme si le vaccin pour la grippe était le même tous les ans).
  • Etc., etc.

Alors comme je suis un être « supérieurement intelligent », je décide que ceci n’est pas de la malveillance, de l’intention de nuire, mais de la bêtise humaine.

Le fait que ces « erreurs » soient répétées à l’infini ne me choque pas tant que ça… que les parlementaires guignols continuent à n’être que les membres d’une chambre d’enregistrement et que tout soit décidé par un conseil de défense totalement opaque, pas de soucis. Que les mêmes soient encore aux commandes comme le Ministre de la Santé malgré tous les échecs et mensonges, no problem !

L’indispensable amnésie et surtout ne rien lier

Pour ne pas faire exploser notre cerveau nous devons avoir la mémoire courte et ou-bli-er ! Oublier tous les scandales, les milliards de dollars d’amendes de Pfizer pour tromperie, corruption de médecins, etc. Oublier les lobbies en Europe qui pèsent un poids délirant ainsi que les chaises musicales, passage du privé au public et inversement. Ignorer que l’OMS, sans les fonds de Bill Gates et des laboratoires pharmaceutiques, mettrait la clef sous la porte. Ignorer que des personnalités politiques doivent leur poste grâce au soutien financier des dits laboratoires. Ignorer que des chercheurs ne pourraient plus conduire de recherches sans la participation financière des laboratoires.

AUCUN LIEN entre les sujets !

  • Un taux de suicide en explosion chez des enfants et des personnes âgées.
  • Une explosion de la violence intrafamiliale.
  • Une explosion de la dette.
  • Des maladies graves non diagnostiquées en temps et en heure.
  • Une précarité financière dramatique chez les étudiants, petits boulots…
  • Des pertes de QI chez les enfants.
  • La destruction du lien social et voir en autrui une menace.
  • La suppression des droits de l’homme et des libertés.

Mais aussi des reportages sur Arte sur la dépendance de l’OMS, la corruption mise en œuvre par l’industrie pharmaceutique et les lobbies, le rôle vital des virus pour notre santé, l’indispensable respiration d’un bon air… Tout ceci n’est JAMAIS mis en balance et corrélé avec les mesures dites « sanitaires »…

Les données ignorées

Sans compter les chiffres et la réalité qui sont totalement biaisés.

  • C’est la première fois au monde que l’on ne remet pas à zéro le compteur de décès annuels.
  • L’OMS qui oblige à comptabiliser les faux morts (ex cancer)
  • Le réseau Sentinel qui compte les malades remplacé par un décompte de positifs dix fois plus nombreux.
  • Une épidémie de positifs (nullement malades et statistiquement nullement contagieux).
  • Le nombre d’hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de personnes en réanimation « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de morts « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de patients vaccinés hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par la DRESS)
  • Les pays pauvres qui ont 5, 10 ou 100 fois moins de morts par habitant.
  • Un premier confinement qui n’a JAMAIS aplati la courbe et qui pourtant a été répété.
  • Une augmentation du nombre de cas d’autant plus que le masque devenait de plus en plus obligatoire.
  • Les pays qui ont massivement vacciné et qui ont eu une explosion du nombre de morts depuis la vaccination.
  • La situation catastrophique en Israël qui n’arrive pas à endiguer les décès même avec la 3e dose.
  • L’absence de corrélation en France métropolitaine et dans les DOM entre le taux de vaccination et le taux d’incidence (selon les données officielles, mais pas selon la propagande médiatique).
  • Des effets secondaires dramatiques de la vaccination qui sont minimisés ou ignorés en France.
  • Des membres de la FDA qui affirment que le vaccin tue plus qu’il ne sauve.
  • Des spécialistes qui osent affirmer une autre voie et qui sont ridiculisés et traînés dans la boue.
  • Des pays qui ont utilisé l’Ivermectine avec des résultats spectaculaires.
  • Des pays qui n’ont jamais confiné et pourtant avec largement moins de morts.
  • Des pays qui n’ont jamais imposé de masque et sans le moindre geste barrière.
  • Le Rivotril dans les maisons de retraite. L’année d’avant on soignait les malades de la grippe notamment avec des antibiotiques, en 2020 on les a achevés…
  • L’interdiction de prescrire de l’HCQ ou de l’Ivermectine.
  • La négation de l’efficacité des méthodes préventives pour booster son immunité.
  • Etc.

Ma liste est loin d’être exhaustive. Tous ces arguments sont ignorés, méprisés, balayés et surtout « non liés ».

Alors pour s’en sortir, pour ne pas avoir à reprogrammer son cerveau, on va dire soit « mensonges » avec la complicité active des « vérificateurs » et des médecins de plateau arrosés, soit dans le cas d’autres pays, on affirmera que « on ne peut pas comparer ».

En France on ne peut strictement jamais comparer d’ailleurs si on les écoute, en fait si on peut, mais uniquement quand c’est pire ailleurs.

Rien, rien, rien n’est jamais lié…

Par exemple, depuis juin 2020 on nous a promis des clusters après les grands rassemblements, clusters qui n’ont JAMAIS existé. Depuis le mois de juillet 2021, il y a des centaines de milliers de manifestants dans les rues toutes les semaines en France dans des centaines de villes. Pour la plupart les manifestants sont non vaccinés, sans masque, sans distanciation, sans le moindre geste barrière et de tout âge. On s’embrasse, on se serre la main, on se partage des bouteilles d’eau et ZÉRO cluster !

Et on continue à se foutre de nous et nous dire qu’il faut respecter les gestes barrières et porter des masques !

On continue de terroriser nos enfants, à leur dire qu’ils vont tuer papi et mamie alors même que papi et mamie seront bientôt vaccinés trois doses avec un vaccin présumé « efficace » selon la propagande.

Mais là aussi pas de lien… que l’on nous terrorise en nous disant que les non-vaccinés, non malades peuvent tuer des personnes qui sont injectées avec un « vaccin » dit « efficace » ne fait pas réagir…

Jamais le moindre lien, jamais la moindre réflexion de fond… et sans compter le régulier « on ignore encore tout de ce virus » dès que les données sont franchement contre vous !

Dans les fait, le sars-cov2 demeure un gentil virus qui ne fait qu’accompagner dans la mort des personnes en fin de vie, personnes privées volontairement de traitements dont l’efficacité n’est plus à démontrer, mais qui, hélas, ne coûtent rien.

Mais en parallèle les médias et médecins corrompus continuent à vous dire que la population en réa est de plus en plus jeune et que nul n’est à l’abri pour une maladie dont l’âge médian des décès est de 85 ans !

Depuis le début la crise, strictement aucune mesure n’a jamais été prise en direction des personnes à risque à la différence de la Corée du Sud (même niveau de vie, même pyramide des âges, même densité de population que la France). Corée du Sud qui déplore 47 morts par million d’habitants versus 1 700 pour la France soit 36 fois moins !

Avec une politique identique et en partant du chiffre mensonger de 100 000 morts en France par année de Covid, nous aurions eu 2 800 décès du Covid en France en mettant en œuvre la politique coréenne. Certains « spécialistes » osent dire que l’on n’aurait pas pu mettre en œuvre en France la politique sud-coréenne « anti-démocratique » de tracing alors même que nous sommes masqués, confinés, vaccinés de force et avons un pass sanitaire pour aller faire des courses au supermarché.

Mais on se moque de qui ? Pourquoi M. Veran est encore ministre, pourquoi M. Macron n’a pas démissionné ? Pourquoi l’opposition est-elle silencieuse ? Pourquoi les médias applaudissent-ils au lieu de crier au scandale ?

Cela interroge-t-il les aveuglés ? Absolument pas !

Les médias sont même allés jusqu’à dire qu’il serait injuste ou illégal de confiner les personnes à risque alors que l’on ne se prive pas de supprimer les droits de l’homme de la population en bonne santé. Toutes les mesures dictatoriales ont été uniquement ciblées en direction des personnes en bonne santé qui risquent plus d’être foudroyées que de mourir du Covid. Tout a été fait pour massacrer les défenses immunitaires des plus faibles et prescrire du paracétamol (contre-indiqué) et obtenir un maximum de morts… Nous aurions voulu faire pire qu’il eut été quasi impossible d’y parvenir…

Pour se rassurer, on énonce alors que notre politique Anti-Covid ne peut pas être si « mauvaise » quand quasi tous les pays européens et occidentaux ont pratiqué la même.

Afrique : 150 morts par million d’habitants. Asie : 235 morts par million d’habitants. Europe : 1600 morts par million d’habitants ! Vous ne pensez pas qu’il y a un ÉNORME problème ?

De la conviction prémâchée et prédigérée

« Si tous les médias le disent, c’est que c’est vrai »

« Les journalistes sont trop fiers pour se faire commander ! »

Nous sommes si « intelligents », si « supérieurs » aux peuples des pays sous-développés, que nous n’avons pas besoin de nous poser la moindre question ni regarder ce qu’il se passe à l’étranger.

La « vérité » des paniqués est ainsi considérée comme aussi légitime et valide que celles et ceux qui ont passé des milliers d’heures à étudier profondément le sujet depuis des mois.

Se sont-ils posées les mêmes questions, ont-ils lu les mêmes études, les mêmes stats, investi du temps pour se faire LEUR propre opinion, et non le pré-mâchage médiatique, puis arrivé à des conclusions diamétralement opposées à celles des « complotistes » ?

Bien sûr que non, à quoi bon perdre son temps face à des « allumés » qui racontent n’importe quoi quand une presse « indépendante » fait le travail pour vous !

Pas de coupables, pas de meurtres !

Le dernier argument qui permet de se dédouaner et de retourner se coucher est le suivant :

« OK d’accord tout serait faux, mais alors c’est organisé par qui et pour quoi ? »

Imaginons que vous disposez de toutes les preuves (facilement disponibles) que toute cette pandémie est un faux et que ce sars-cov2, probablement fabriqué, n’est pas plus méchant que les virus respiratoires habituels. Vous avez alors tous les éléments de preuve, mais, sous prétexte que les coupables ou complices ne sont pas identifiés, alors les preuves peuvent être discréditées et celui qui vous les a amenés devient un complotiste illuminé…

C’est comme si vous étiez policier… vous arrivez sur les lieux d’un crime et découvrez un cadavre. Vous posez alors la question :

« Vous connaissez le meurtrier et ses motivations ? »

Et si la réponse est « non » alors vous déduisez « bon ça doit être une erreur, on a imaginé le meurtre ! »

Personnellement, même si j’ai quelques éléments, quelques indices, je ne possède strictement aucune preuve quant aux commanditaires, complices, opportunistes, desseins…

Je croule juste sous les preuves que :

  • Bill Gates n’est pas clair.
  • L’OMS est corrompue.
  • Les laboratoires pharmaceutiques n’ont strictement aucune valeur morale.
  • Des politiques disposent d’informations, mais agissent contre l’intérêt commun.
  • Les lobbies et la corruption vont bon train.
  • Les médecins médiatiques ont des conflits d’intérêts.
  • Ce virus est un gentil virus dont nous n’aurions JAMAIS entendu parler si les médecins avaient conservé le droit de soigner les malades et que les politiques et médias n’avaient pas monté l’affaire en épingle.
  • Les données sanitaires sont des faux.
  • Il existe des traitements.
  • Les prétendus « vaccins » sont inutiles, inefficaces et dangereux.
  • Etc.

Les « possédés » n’ouvriront pas les yeux

C’est lorsque l’autorité qui leur a dit « blanc » dira « noir » qu’ils acquiesceront et changeront d’avis, pardon… adhéreront à la nouvelle « vérité ».

Se poser les questions, chercher les réponses (bien entendu en dehors des médias classiques) ouvre une boîte de pandore trop violente.

« Comment moi, une personne si intelligente, ai-je pu tomber dans un piège qui, si on le regarde de l’extérieur, est extrêmement grossier ? »

C’est ce que se disent les personnes, pourtant intelligentes, qui sortent de secte…

Cette révélation est désormais d’autant plus difficile pour celles et ceux qui se sont injectés « volontairement » qui vont découvrir que la substance expérimentale est d’autant plus dangereuse que l’on s’injecte de doses, mais aussi qu’elle ne protège en rien de la contamination et de fait qu’elle n’aidera pas à mettre fin à la « pandémie ». Substance dont on ignore totalement les effets à long terme (une première mondiale à l’échelle de la planète). Et que dire de la violence de la révélation pour les parents qui ont injecté les thérapies géniques à leurs propres enfants et qui leur ont fait courir un risque (peut être minime, mais réel) pour RIEN ou pire… pour aller en vacances.

C’est donc grâce à notre « intelligence supérieure », grâce à l’impossibilité de se tromper (à ce point) qui nous est conférée par celle-ci (que les complotistes n’ont pas bien évidemment) que nous les Occidentaux et surtout les Français resterons dans l’ignorance… pour l’instant.

Pour l’instant, car si on regarde ce qu’il se passe à l’étranger, l’édifice commence à se fissurer de toutes parts… Et quand la vérité sortira, elle fera mal à tous les manipulés et complices malgré eux.

Personnellement j’ai dépensé suffisamment d’énergie pour les aider…

Merci Alain Tortosa.
20 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210920-intelligence-superieure-francais.pdf


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Voir aussi : Le défi de l’intelligence
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« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides » par Serge Monast

Par Serge Monast, journaliste d’enquête québécois mort en décembre 1996

[Ndlr : au-delà de la question de l’authenticité ou non des éléments rapportés par Serge Monast en 1994, ceux-ci, réels ou fantasmagoriques, trouvent un écho tout particulier par rapport à la « plandémie » Covid-19. À chacun d’estimer s’ils sont plausibles, probables ou seulement la traduction d’un délire paranoïaque ou complotiste.]

Extraits du rapport dactylographié
« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides »




Témoignages exclusifs sur les refus de soin par l’administration

Par Nicole Delépine

SOINS ANNULÉS PAR L’ADMINISTRATION POUR CAUSE DE PASSE DIT SANITAIRE

De nombreuses familles racontent des refus de soins à l’entrée de la clinique ou de l’hôpital public gardés par des vigiles. Pourtant ces derniers n’ont pas le droit de voir les papiers d’identité des demandeurs et donc la vérification du passe sanitaire n’est qu’une lutte d’influence, une manipulation.

Certains plus solides que d’autres arrivent avec un avocat ou un huissier, refusent de partir et demandent
 qu’un directeur ou en tous cas un responsable les rejoigne et montre les décrets ou circulaires qui justifieraient de refuser à Madame X. de venir faire sa chimiothérapie prévue (donc non urgente vue par un énarque) ou de venir accoucher sur rendezvous prévu… Tant pis pour les pertes des eaux précoces, le bébé attendra ou verra le jour dans la voiture du père ou de l’ambulancier.

Ceux venus accompagnés ont toujours eu gain de cause, car bien malin celui qui trouve le document administratif clair, à l’heure où la loi du 7 août n’aurait pas été suivie du décret la rendant utilisable. Les avis sont partagés sur ce point, mais j’imagine qu’un DRH ou un directeur de clinique aura du mal à affirmer ce qui est légal ou non et encore plus à le prouver…

D’autres, repoussés, contiennent leur colère et décident finalement de mettre en cause ces petits kapos qui pensent pouvoir imposer leur propre loi au nom de décisions indignes mettant en jeu la vie des patients parfois, leur confort et la qualité des soins toujours.

Tel ce monsieur qui nous fait partager sa lettre à la direction de la polyclinique du nord de la France où il devait conduire sa vieille maman, à 70 km de chez lui.

« Objet : À transmettre à la directrice Mme N pour mise en danger d’autrui pour rupture de continuité des soins, nous avons dû annuler par force nos rendez en ORL

Madame la Directrice N,

Aujourd’hui lundi 13/09/2021 nous avions rendez-vous, pour ma maman en ORL avec le DR G à 16 h 40, pour des suivis médicaux, j’ai téléphoné ce matin au secrétariat pour avertir que nous annulions nos rendez-vous, pour les raisons suivantes imposées par votre clinique.

Nous refusons le passe sanitaire illégal et discriminant et reposant sur des PCR qui donnent des données fausses.

Je rappelle que selon son fabricant, il n’est pas fait pour détecter les virus, mais détourné de sa fonction officielle et rien ne prouve scientifiquement que le faux virus covid 19 synthétique est encore là.

Les vigiles que vous avez mis aux entrées de votre établissement pour contrôler le passe sanitaire ne sont pas habilités à contrôler nos identités, et que seule la police judiciaire est habilitée à contrôler nos papiers et le passe sanitaire.

En conséquence, ma mère est privée de soins et j’ai l’intention de vous poursuivre pour mise en danger d’autrui par manque de soins, de suivi médical et de traitements, dans un but de nous contraindre à nous faire injecter des injections géniques, poison expérimental, avec des risques non négligeables de décès (près de 25 000 en UE) ou d’accidents de gravité variable (deux millions environ en UE dont la moitié reconnue comme graves par l’agence du médicament elle-même).

J’ai contacté mon avocat pour les démarches à suivre contre vous, l’ARS, et éventuellement les vigiles complices de ce détournement de la loi.

Sans modification des conditions anormales d’accueil, nous serons dans l’obligation d’annuler les RV suivants cardiologiques et pneumologiques.

Dans l’espoir que vous ferez votre possible pour améliorer l’accueil des patients, recevez mes salutations.

Un ancien employé des hôpitaux en tant que ASH.

  1. Cette plainte sera adressée au Procureur de la République à visée pénale avec des preuves, vidéos et documents à l’appui.

Il est bien triste que les patients soient conduits à en arriver là et que tout dialogue social soit interdit avec application des lois sans interprétation intelligente.

La vie d’exclu des non-vaccinés

D’autres témoignages du même genre nous parviennent et les plus inquiets sont évidemment les personnes déjà touchées dans leur passé par un cancer guéri, en rémission ou encore en traitement.

Et ils ont raison d’être inquiets, car s’ils refusent la voie de la tyrannie et de son passe sanitaire pour consulter ou pour recevoir des visites en cas d’hospitalisation ou même pendant l’accouchement (!), ils sont gravement discriminés et tous les défenseurs de l’égalité entre les humains auraient dû déjà se lever bruyamment…

L’enfer d’angoisse des vaccinés, l’épée de Damoclès

Ou bien ils acceptent cette injection génique et toutes ses inconnues, à court terme entre effets nocifs graves (voire décès) ou désagréables, et pire les effets inconnus à long terme sur leur fertilité, leurs défenses immunitaires et le risque de modifier le génome humain, tous risques possibles non calculés.

Les essais toujours en cours ne seront achevés au minimum dans un an pour les effets à court terme. Pour l’évaluation des effets à long terme, il faudra attendre et encore attendre.

Un antécédent sordide que racontent bien « les filles du Distilbène » exemplaire

Rappelez-vous que nous en sommes à la quatrième génération d’effets délétères pour le Distilbène, pilule toute bête donnée aux femmes enceintes pour limiter nausées et vomissements. Et après les effets sur la fertilité de la deuxième génération, les malformations utérines, etc., on découvre des troubles psychiques chez les petits-enfants des parturientes nauséeuses de 1948…

Imaginez-vous tout cela et le combat des « filles » et petites-filles de ces malheureuses ?

(([1] Le DES est l’abréviation du diéthylstilbestrol, un œstrogène de synthèse commercialisé dans les années 1940 aux États-Unis et en Europe sous plusieurs noms différents : par exemple Distilbène pour le laboratoire Ucepha (plus tard racheté par UCB Pharma) ou Stilbeostrol pour la firme Borne (aujourd’hui Novartis). À l’époque, ce médicament était prescrit pour prévenir les fausses couches chez les femmes confrontées à ce risque.

Pendant des années, le DES a fait figure de « pilule miracle » jusqu’à ce qu’au début des années 1970 aux États-Unis, quelques cas de cancers du vagin chez de jeunes filles attirent l’attention. Les spécialistes américains ont alors fait le lien entre ces cancers et une exposition de ces jeunes filles in utero au DES délivré à leurs mères enceintes.

En 1971, les autorités américaines ont recommandé aux médecins d’arrêter de prescrire du DES aux femmes enceintes. Une recommandation qui ne sera appliquée qu’en 1997 en France.

L’alerte venue des États-Unis était sérieuse, mais un certain nombre de médecins français n’y ont pas cru. Ils minimisaient le problème en disant qu’en France, les prescriptions étaient différentes et sans risque.

Cf. la croix 9 AVRIL 2009 la douloureuse histoire des filles du distilbène.

))

Comme nous dit un de ces professeurs omniprésents sur les plateaux, après trois mois, on ne voit plus d’effets secondaires nouveaux d’un vaccin qui n’est qu’un médicament… Il a oublié — entre autres — les narcolepsies du vaccin H1N1 (pourtant stoppé après 53 morts) qui handicapent à vie 2 500 personnes en Europe dont 800 en France (demande d’indemnisation toujours en cours pour une majorité des victimes(([2] Plusieurs ont néanmoins reçu des indemnisations atteignant plus de 600 000 euros et le tribunal administratif de Rennes a dédommagé la famille à hauteur de 1,39 million d’euros, au regard notamment des « conséquences métaboliques et cardiovasculaires tout cela à nos frais par l’Omniam.))) apparus plus de six mois plus tard…

Vaccin anticovid et cancer : une enquête à mener

Et parmi les vaccinés, au-delà des effets secondaires déjà amplement décrits en particulier sur les sites des agences comme l’EMA Eudravigilance pour l’Europe (UE), on voit apparaître d’autres « coïncidences » chez les cancéreux et anciens cancéreux guéris de longue date.

Et les effets du vax sur les pathologies antérieures ou dormantes ?

Par exemple ce généraliste, qui m’envoie un mail pour me demander ce que dit la littérature jusque-là bien silencieuse à propos des cancers et du vax, est très inquiet.

On le comprend, car chaque patient qui pose la question dans son centre s’entend répondre qu’évidemment, il y a aucun lien… Donc encore moins d’études sérieuses sur tous leurs patients vaccinés ou non.

Il raconte ses inquiétudes sur quelques patients récents. Cette jeune femme jeune encore de 45 ans chez laquelle on découvre un cancer du sein deux mois après son vaccin Pfizer et pourtant très « sérieuse » : elle ne manquait pas une mammographie et la dernière datait de trois mois… Coïncidence possible bien sûr, ces cancers de l’intervalle entre deux mammos sont connus.

Cet homme valide, âgé de 75 ans en pleine forme sportif. Mince musclé. Pas l’obèse caricatural des comorbidités devenues célèbres avec le covid qui culpabilisent le malade et exonèrent le médecin du décès sous ventilateur.

Non, un bel homme encore profitant de la vie de retraité bien méritée, comme on dit. Quelle idée saugrenue l’a-t-il pris de se faire injecter le fameux vax en février 21 ? La pression bienveillante de ses enfants ?

Qui feraient bien de s’occuper de leur santé et qui trop jeunes n’ont pas connu les affres de la désinformation habituelle en temps de guerre (même celle d’Algérie pour cette génération, ou du Vietnam, ou d’Irak avec les armes de destruction massive et les frappes chirurgicales sans victimes collatérales, et aussi les faux charniers de Timisoara).

Peut-être certains « vieux » ont-ils pu échapper, sauf en EHPAD où la piqûre à risque est le prix à payer pour ne pas être enfermé dans sa chambre, seul, même si PCR négatif. Punition du kapo obéissant aux ordres venus d’en haut, même si on ne sait pas pourquoi…

Mais les enfants insistent trop souvent pour leurs parents, leur fratrie, etc.

Pour jouer à la roulette russe, on rigole plus tous ensemble, ou bien est-ce l’espoir de l’héritage ?

Ne soyons pas méchants, ou la peur ou la jalousie de ne pas avoir de retraite, la guerre des générations voulue et réussie par le pouvoir ?

En tous cas, le nombre de transactions viagères est en hausse notable. Tout d’abord sous l’effet d’une offre plus abondante. La population est vieillissante. En France, un peu moins de 5 millions de personnes auraient dû avoir plus de 85 ans en 2050, plus de trois fois le chiffre actuel.

Or selon l’Insee, près des trois quarts des seniors sont propriétaires de leur résidence principale. Ajoutez à cela la baisse du pouvoir d’achat des retraites, et tous les ingrédients sont réunis pour stimuler l’offre en viager. La Covid-19 n’a fait qu’accélérer la tendance.

Bon nombre de seniors ont préféré continuer à vivre chez eux plutôt que de déménager dans un EHPAD où ils auraient été emprisonnés et menacés d’une injection de Rivotril à la moindre toux… Ils ont donc eu recours au viager pour rester chez eux et assurer leur train de vie. De l’autre, on peut suspecter que certains acquéreurs ont misé sur une hausse soudaine de la mortalité chez les personnes âgées. Belle époque…

Bref ce monsieur sportif de 75 ans, dès son retour de l’injection en février 2021 se plaint de sensation de malaise avec AVC probable : le médecin dit que ça ne peut pas être le vaccin. ÉVIDEMMENT ; il reçoit Saint Doliprane et… vieillit à toute allure.

« Il faisait 60 ans, il en fait 90 ».

Malgré tout, incroyable de la part du médecin, du patient et de la famille il reçoit le 2e vaccin et en quelques jours on constate une aggravation neurologique et psychique. Finalement il aura une IRM sur la pression de ses enfants qui découvre un glioblastome IV, 5 cm… Hasard bien sûr. Phase terminale. Personne ne peut exclure que cette tumeur se trouvait là, mais ne se manifeste-t-elle pas à l’occasion d’un déséquilibre induit par l’injection ?

C’est l’histoire récurrente d’une petite tumeur silencieuse qui brutalement explose. Nous en voudra-t-on d’évoquer des modifications immunitaires décisives à l’occasion du vaccin ? Complotiste ? En tous cas d’autres confrères signalent l’aggravation brutale d’une pathologie connue antérieurement à l’occasion du vax. Sclérose en plaques, leucémie, etc.

Ce généraliste a rencontré aussi dans les semaines récentes une patiente de 84 ans qu’il connaissait, guérie d’un cancer du corps de l’utérus sans aucune extension. Elle est obligée de se faire vacciner pour pouvoir être opérée en février 2021. QUI A INVENTÉ CETTE OBLIGATION INSENSÉE ? QUEL TEXTE ?  QUELLE RESPONSABILITÉ MÉDICOLÉGALE ?

Aucune démonstration scientifique ! Il n’y eu que le Pr Raoult à devoir démontrer l’absence de toxicité de la chloroquine sur le marché depuis 70 ans.

De fait pour une pathologie habituellement curable, la voici décédée en août 2021. Coïncidence ?

Enfin notre médecin inquiet se pose des questions sur la flambée rapide d’un homme stabilisé d’un cancer abdominal et qui a évolué très vite après la vaccination de son épouse. Lui a-t-elle cédé quelques protéines Spike ?

Des questions sans réponses, mais auxquelles on aurait dû répondre AVANT la généralisation du vaccin et AVANT toute obligation vaccinale.

Comme aurait dit Raoult, il n’est pas interdit d’être intelligent et surtout il ne devrait pas être interdit de se poser des questions ! Eh bien si ! Et c’est peut-être cela que voulait nous dire le patron de l’IHU en début de crise covid. Il avait compris que le pire fléau ne serait pas ce petit virus sensible aux traitements précoces, mais bien la perversité des gouvernants, et la crédulité d’une trop grande partie de la population à l’intoxication médiatique mondiale.

Bravo aux marcheurs du samedi qui tentent de faire cesser cette guerre !





Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la plandémie Covid. MàJ

[Source : docteur.nicoledelepine.fr]

Par Gérard Delépine

[Mise à jour : ajout des diagrammes.]

VOLET 1

Les erreurs du rapport 9 de Mars 2020 de Neil Ferguson, justification fallacieuse des confinements

Depuis plus de 20 mois, la politique sanitaire française est décidée dans le plus grand secret(([1] Aucun compte rendu détaillé des discussions tenues lors des réunions du conseil scientifique n’a été publié mais seulement des résumés d’avis ; pour le conseil de défense sanitaire c’est pire : manque de transparence  dans sa composition, contournement du Parlement, délibérations classifiées secret-défense obstruant le travail des enquêteurs de la Cour de justice de la République sur la gestion de la pandémie.)) par le « conseil de défense » appuyé par un « conseil scientifique. Ce dernier est dominé par Simon Cauchemez, mathématicien modélisateur au sein de l’Institut Pasteur et élève de Ferguson de l’Imperial College.

La politique de santé s’appuie presque uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement frauduleuses, car basées volontairement sur des hypothèses du pire, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif et nous faire accepter la perte de nos libertés et la pseudo vaccination génique inefficace.

La folle prophétie de Neil Ferguson qui a justifié le confinement de Mars 2020 était fausse

Détaillée dans le rapport 9 de l’impérial College,(([2] COVID-19 Response Team Neil M Ferguson Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020 Imperial College https://doi.org/10.25561/77482 Page 1 of 20)) cette simulation catastrophe prétendait que sans confinement les hôpitaux seraient partout débordés et qu’on compterait 500000 morts en France, comme en Grande Bretagne, 600000 en Allemagne, 70000 en Suède et 2 millions aux USA. Elle affirmait aussi que les mesures médicales traditionnelles (fermeture des frontières et isolement des seuls malades le temps qu’ils ne soient plus contagieux) ne serviraient à rien, qu’il fallait confiner à l’aveugle la population jusqu’à fin décembre 2021 pour imposer les futurs vaccins et/ou nouveaux traitements.

La plupart des gouvernements occidentaux ont pris ou voulu prendre cette prophétie pour une vérité et imposé à leurs populations des mesures liberticides contre- productives, telles que le confinement aveugle sans même en avoir vérifié la pertinence de la méthode de calcul, ni publié ce rapport préalablement à son application, empêchant ainsi toute discussion scientifique et tout débat démocratique.

La confrontation aux faits constatés révèle la supercherie de cette simulation

Le rapport 9 avait prédit qu’en l’absence de confinement la Suède verrait ses hôpitaux submergés et compterait 70000 morts en quelques mois. La Suède n’a pas confiné, ses hôpitaux ont pris en charge tous les malades qui en avaient besoin et après 19 mois d’épidémie (au 10/9/2021), comptait, d’après l’OMS, 14602 morts. La prophétie de Ferguson surestimait par plus de 500% le risque réel !

Même chose pour l’Allemagne.

La prophétie de N Ferguson prétendait qu’en l’absence de confinement de la population, « les mesures médicales classiques de quarantaine des malades seraient inefficaces, que les hôpitaux seraient débordés et qu’on compterait plus de 600000 morts ». L’Allemagne n’a jamais été confinée, au sens que ce mot a en France a rappelé Thomas Wieder, correspondant du  Monde dans ce pays. Au 10/9/2021 après 19 mois d’épidémie l’Allemagne comptait 92 553 morts attribuées au Covid. Là encore la prophétie de Ferguson a surestimé le risque réel par plus de 500% !

Une de ses élèves, Jasmine M GARDNER,(([3] Jasmine M GARDNER Intervention strategies against COVID-19 and their estimated impact on
Swedish healthcare capacity 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.11.20062133v1.full.pdf)) a même prédit que sans confinement total et strict, la Suède compterait 100000 morts au 1/7/2020. En réalité au 1/7/2020, selon les données de l’OMS, la Suède sans confinement ne comptait que 5496 décès attribués au Covid (19 fois moins).

À ce niveau d’erreur on ne peut plus croire à une simple bévue, mais vraiment qualifier ce texte de « propagande Covid terroriste » d’autant que sa large diffusion dans les médias suédoises a largement participé à une tentative de pression sur l’agence sanitaire pour l’obliger à confiner.

Ces simulations ne traduisaient donc ni la réalité ni la science, mais constituaient seulement de mauvais scénarios de film catastrophe destinés à nous terroriser. En témoignent les hypothèses retenues pour son modèle : des index de mortalité par infection, multipliant par 2 à 3 les chiffres réels dans les différents groupes d’âge (pour les 10-19 : 0,006% au lieu de 0,002% et pour les 20-29 : 0,03% au lieu de 0,01%) et une forte surestimation du taux de reproduction R. En surestimant ces paramètres clefs de la simulation, Ferguson et ses élèves ont obtenu les prévisions apocalyptiques désirés par Bill Gates qui les finance, et les gouvernements qui obéissent.

La surestimation des risques est une constante des prédictions de Ferguson et une technique bien rodée des imposteurs

Lors d’un de mon premier stage d’interne en neurochirurgie, mon maître m’expliqua comment se créer une aura de sauveur. « Devant cette petite tumeur du cerveau facilement opérable, ne dis surtout pas aux parents qu’elle est facile à opérer, car en cas d’accident opératoire imprévu, ils pourraient porter plainte. Au contraire explique-leur qu’il s’agit d’une mauvaise tumeur, mal placée et que seule une chirurgie très difficile peut sauver le malade. Si un accident survient, ils ne se plaindront pas. Et si tout se passe bien, ils te considéreront comme le sauveur capable de chirurgie extraordinaire ».

Apparemment cette technique est utilisée par l’équipe de l’Imperial College. Ils prophétisent un futur apocalyptique et proposent « la solution ». Si leurs prédictions ont suffisamment surestimé le danger, ils pourront, après la crise, prétendre, que c’est grâce à l’application des mesures qu’ils ont proposées que la situation a évolué plus favorablement que ce qu’ils avaient prévu.

Les religions reposent sur la foi et le caractère immuable des crédos que personne ne peut discuter sans être qualifier d’hérétique.

La démarche scientifique, basée sur le doute fertile, consiste au contraire à confronter en permanence les faits observés aux hypothèses dominantes. Lorsque les faits avérés ne sont pas compatibles avec les hypothèses, celles-ci doivent être abandonnées. Mais l’équipe de l’Imperial College, dirigée par N. Ferguson ne tire pas de leçons de ses erreurs et se comporte en gardienne d’une nouvelle religion dont les dogmes sont indiscutables, plutôt qu’en scientifique désireuse de reconnaître et d’élucider les paradoxes.

Les erreurs passées de Ferguson très nombreuses ont été dommageables

En 1997, lors de la maladie de la vache folle, N. Ferguson avait prédit jusqu’à 150 000 morts en deux décennies. Vingt ans plus tard, en janvier 2017, on ne comptait que 223 victimes humaines dans le monde (dont 177 au Royaume-Uni et 27 en France).

En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante.

En 2005, N. Ferguson prophétisait qu’une pandémie de grippe aviaire pourrait tuer de 5 à 150 millions de personnes dont 65 000 Britanniques. Il y en eu au total 45.

En 2009, lors de la grippe H1N1, Ferguson avait prédit 8000 morts au Canada : il y en eut 428. En France, il avait prédit 20000 morts, il y en eut 323 (soit environ trente fois moins qu’une grippe habituelle).  Les mesures sanitaires prises en France sur la foi de cette prédiction fausse nous ont couté deux milliards d’euros et le vaccin Pandemix hâtivement mis sur le marché a été responsable de nombreux accidents neurologiques graves dont 450 narcolepsies sur l’ensemble de l’Europe, dont plus de 60 cas en France et d’une perte de confiance de la population dans les vaccins et en la parole publique.

Ces surestimations considérables des risques des maladies constituent une donc une caractéristique constante des prédictions de l’Imperial College. Mais Ferguson comme beaucoup de prophètes sait, que pour imposer ses mesures, il faut faire peur et donc prédire des cataclysmes. Si l’évolution est moins catastrophique qu’annoncée, il pourra alors s’en attribuer le mérite.

De nouvelles simulations bidons pour glorifier le confinement

De nombreuses études(([4] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »)) rétrospectives d’auteurs indépendants des modélisateurs et des responsables des confinements ont évalué l’effet des mesures de confinements sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a démontré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie, qu’il s’agisse de l’étude danoise sur le Nord Jutland(([5] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov b Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.12.28.20248936)) de l’étude néo- zélandaise,(([6] John Gibson, 2020. « Government Mandated Lockdowns Do Not Reduce Covid-19 Deaths : Implications for Evaluating the Stringent New Zealand Response », Working Papers in Economics 20/06, University of Waikato.)) de l’étude anglaise,(([7] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown ? September 21, 2020
https://arxiv.org/abs/2005.02090)) des analyses indiennes(([8] Rabail Chaudhry A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464))(([9] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins JEL Classification Numbers : E310, C830, D840, J260)), des études allemandes,(([10] Thomas Wieland Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au COVID-19 en Allemagne 2020 novembre; 131: 104924.
doi: 10.1016 / j.ssci.2020.104924. En ligne du 21 juil.2020.))(([11] T Wieland  Flatten the Curve! Modeling SARS-CoV-2/COVID-19Growth in Germany at the County Level Volume 7, Number 2, 2020, 43–83 journal homepage: region.ersa.org
DOI: 10.18335/region.v7i2.324l)) croate,(([12] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 » 
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02861011)) des études des pays d’Europe occidentale[(([13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19  https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717;)) et de toutes les autres études internationales basées sur les faits avérés(([14] Philip Thomas Written evidence submitted by Professor of Risk Management, South-West Nuclear Hub, University of Bristol EIC0563))(([15] Joseph Stroberg
Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains 2020-11-28
https://nouveau-monde.ca/en/lockdowns-destroy-what-makes-us-human/
[Les pages anglaises ont été supprimées du site il y plusieurs mois. Voici un lien fonctionnel pour la version française :
Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains | (libreinfo.world)])) dont celle particulièrement exhaustive de John PA Ioannidis.(([16] Eran Bendavid, Christophe Oh, Jay Bhattacharya, John PA Ioannidis Évaluation des effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture des entreprises sur la propagation de COVID-19.   Eur J Clin Invest 2021 avril ; 51(4) : e13484. doi: 10.1111/eci.13484.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/))

Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont ceux d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle qui n’analysent pas les faits constatés, et espèrent ainsi s’exonérer de leurs responsabilités. Ils comparent leurs prévisions colossalement exagérées aux mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement du grand nombre de « morts évitées ».

Le mécanisme frauduleux de leurs études bidon a été  dévoilé dans un article de Nature,(([17] S.Flaxman et al. Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7Nature | www.nature.comAccelerated Article Preview)) dans lequel les auteurs de l’Imperial College prétendaient ainsi avoir sauvé 3,1 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement.

Ils ne savaient apparemment pas que les Suédois n’ont jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai 2020 prouvait seulement que les prévisions de l’Imperial College surestimaient par dix le risque réel.

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que si l’Allemagne ne confinait pas totalement, elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020.

L’Allemagne, qui n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué la technique classique d’endiguement, ne comptait, au 5 mai 2020, que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement qui n’a pas été pratiqué !

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour prétendre que la chloroquine était dangereuse. Dans cette publication fallacieuse, ce « Nature Gate », il n’y a pas eu fabrication de données mais le refus de regarder la réalité des mesures sanitaires réellement utilisées pour se glorifier des erreurs de la prophétie initiale ; il est très étonnant qu’aucun membre du comité de lecture de cette revue Nature, de bonne réputation, ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique(([18] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).)) prétendant que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement.

Les erreurs de conception, le choix d’hypothèses péjoratives et les conclusions fausses de cette étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques, mais les médias mainstream en ont très peu parlé alors que la simulation biaisée de propagande avait été très largement diffusée.

Aucune de ces publications glorifiant les confinements n’a chiffré les dégâts considérables que les confinements ont causés sur le plan sanitaire (victimes collatérales des retards et absences de traitements, problèmes psychiatriques), scolaire et universitaire, économique (perte de PIB, aggravation des dettes publiques et du chômage), sur l’aggravation de la pauvreté dans les pays riches et de la faim dans les pays pauvres.(([19] Confinement et faim dans le monde Du Trends-Tendances du 15/10/2020 « Le confinement a sans doute causé bien davantage de victimes que la pandémie elle-même. »))

Certains auteurs estiment que les pertes d’années de vie causées par ces mesures tyranniques sont dix fois plus importantes que celles causées par le Covid19 seul.(([20] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.
doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.))

Toutes ces complications du confinement, étaient parfaitement prévisibles d’emblée, par tout médecin habitué à évaluer la balance Avantages/Risques des traitements qu’il propose. Le traitement des épidémies, comme les autres maladies, ne doivent pas être décidés par des astrologues mathématiciens ou des épidémiologistes qui ne quittent pas leurs bureaux(([21] Aurélie Haroche, Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie Journal International de Médecine, 25 avril 2020)) mais par des médecins qui traitent des malades !

Les simulations mensongères constituent le socle de la désinformation gouvernementale et la seule justification des mesures autoritaires nocives qu’on nous impose.

Il ne faut pas se laisser abuser par l’aspect pseudo scientifique de ces simulations de circonstances que la propagande terrorisante du gouvernement nous impose. Elles ne sont pas plus fiables et beaucoup plus dangereuses que celles des astrologues traditionnels. Il est grand temps d’abandonner cette politique sanitaire délétère basée sur la peur et de la réorienter selon les règles de la médecine classique, d’après les faits avérés du monde réel.





En France aussi ils ont menti pour faire croire que la majorité des décès Covid étaient des non-vaccinés

Par Patrice Gibertie et Pierre de « Décoder l’éco« 

[Voir aussi, pour les USA : La « pandémie de personnes non vaccinées » est un mensonge — en voici la preuve]

[Source : pgibertie.com]

1)- LE GOUVERNEMENT A PLANQUÉ 50% des décès pour sous évaluer la part des vaccinés décédés

Les preuves de la magouille, le gouvernement communique 926 décès covid entre le 31 mai et le 11 juillet , il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1880 décès covid sur la même période. Pourquoi avoir triché et magouillé ?

On apprend que  les 926 décès correspondent à des personnes ayant un test PCR avant ou après l’entrée à l’hôpital. Étrange quand on sait que les vaccinés malades sont le plus souvent non testés, consignes obligent…

Soit la France est le seul pays au monde  dans lequel les vaccinés deux doses représentent 2% des décès (partout ailleurs, Israël, UK, [etc.] c’est plus de la moitié) , soit c’est du truandage et les décès planqués sont dans leur immense majorité des vaccinés…

EN Israel 86% des décédés de plus de 60 ans en juillet sont vaccinés deux doses ( ce qui correspond à leur part dans la population). En France …2%…Les propagandistes ont la main lourde.

La « disparition  » concerne peu les cas de contamination 145000 sur Geodes, 138000 pour la DREES, plus les hospitalisations ou même les réas 2084 sur Geodes et 1696 dour la DREES, Le mystère est total pour les décès: un sur deux escamoté.

Les données internationales donnent toujours plus de contaminations parmi les non vaccinés car nous savons que les vaccinés sont plus souvent asymptomatiques ( mais contagieux) et donc non testés.

Les vaccinés connaissant des formes graves sont proportionnellement plus nombreux

L’étude n’est pas crédible:on ne peut pas parler d’échantillon car ils prennent pratiquement tous les cas ,encore 80% des cas graves mais seulement 50% des décès

C’est une manipulation.

LES SOURCES MERCI AU TRAVAIL D’ENQUÈTE @NiusMarco

https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2021-07-23_-_sivic-sidep-vacsi_premiers_resultats_-_drees-2.pdf…

https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=home

À TITRE DE COMPARAISON, LES CHIFFRES DE DÉCÈS EN GRANDE Bretagne : 34 non vaccines sur 72 décès

toujours pour comparer les chiffres en israel


[Source : francesoir.fr]

2)- Statistiques officielles, « oublis » : la DREES a-t-elle reconnu son erreur ? « Décoder l’éco » débriefe

Auteur(s): FranceSoir

Les prétendus « complotistes » avaient-ils raison ? Une fois n’est pas coutume, suite à une analyse de Patrice Gibertie au coeur de l’été, le désormais bien connu de nos lecteurs Pierre, de « Décoder l’éco« , s’était installé en verificateur de sa déclaration. En effet, Patrice Gibertie avait écrit que la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du ministère de la Santé, oubliait 50% des décès dans son analyse qui a servi de base à la justification d’un message sur l’efficacité vaccinale.

Tout l’été, nous avons entendu que les cas covid dans les hôpitaux étaient principalement des non-vaccinés. Pierre s’est intéressé en statisticien à la validité des déclarations de Patrice Gibertie… pour les confirmer !

Il y a quelques jours, la DREES s’est fendue d’un addendum donnant raison au travail de « Décoder l’eco ». Il manquait bien 900 décès dans l’analyse, ce qui entraîne une inversion du message que 85% des hospitalisés étaient des non-vaccinés. Une correction qui fait un peu tache pour l’organisme se présentant comme « l’expertise statistique publique en santé et en social ».

Cette erreur a été justifiée par la DREES : cependant l’explication n’est pas convaincante pour le statisticien : il nous explique pourquoi en détail dans ce debriefing.

La DREES devra se fendre d’analyses supplémentaires pour fournir une analyse compléte de l’effet de la vaccination. Les données sont là, et cela ne prendrait que quelques semaines pour une bonne équipe.

Les conséquences de cette erreur sont complexes à analyser, mais sans doute importantes : elles peuvent par exemple avoir affecté le consentement libre et éclairé des personnes qui auront été se faire vacciner sur la base de la déclaration du ministre.

Il devient critique pour les médias de questionner les chiffres et communiqués de presse du ministre : le diable est vraiment dans le détail et c’est la précision, l’intelligence collective et le travail de citoyens qui tentent de rebâtir une confiance. Comme le dit Pierre, « c’est facile de vérifier, faites-le » !

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org :




[Source : pgibertie.com]

3)- Le mythe des 85 % explose en plein vol : les services gouvernementaux avouent avoir « oublié » la moitié des décès (et 20 % des cas graves)…

Vous les avez tous entendus se gargariser de statistiques fabuleuses sur l’efficacité vaccinale ! « On peut débattre de tout sauf des chiffres ! » Oui mais quand les chiffres sont pipés ! La DREES finit par reconnaitre mais la propagande se poursuit…

Depuis des mois je passe en revue toutes les informations  officielles  et je débusque les magouilles :

Le 31 juillet :

LE GOUVERNEMENT A PLANQUE 50% des décès pour sous évaluer la part des vaccinés décédés

Les preuves de la magouille, le gouvernement communique 926 décès covid entre le 31 mai et le 11 juillet , il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1880 décès covid sur la même période. Pourquoi avoir triché et magouillé ?

On apprend que  les 926 décès correspondent à des personnes ayant un test pcr  avant ou après l’entrée à l’hôpital . Etrange quand on sait que les vaccinés malades sont le plus souvent non testés, consignes obligent…

Soit la France est le seul pays au monde  dans lequel les vaccinés deux doses représentent 2% des décès ( partout ailleurs, Israel UK, c’est plus de la moitié) , soit c’est du truandage et les décès planqués sont dans leur immense majorité des vaccinés…

https://pgibertie.com/2021/07/31/le-gouvernement-a-planque-50-des-deces-pour-sous-evaluer-la-part-des-vaccines-decedes/

Décoder l’info et France SOIR VOUS EXPLIQUENT

Tout l’été, nous avons entendu que les cas covid dans les hôpitaux étaient principalement des non-vaccinés. Pierre s’est intéressé en statisticien à la validité des déclarations de Patrice Gibertie… pour les confirmer !

Il y a quelques jours, la DREES s’est fendue d’un addendum donnant raison au travail de « Décoder l’eco ». Il manquait bien 900 décès dans l’analyse, ce qui entraîne une inversion du message que 85% des hospitalisés étaient des non-vaccinés. Une correction qui fait un peu tache pour l’organisme se présentant comme « l’expertise statistique publique en santé et en social ».

Cette erreur a été justifiée par la DREES : cependant l’explication n’est pas convaincante pour le statisticien : il nous explique pourquoi en détail dans ce debriefing.

La DREES devra se fendre d’analyses supplémentaires pour fournir une analyse compléte de l’effet de la vaccination. Les données sont là, et cela ne prendrait que quelques semaines pour une bonne équipe.

Les conséquences de cette erreur sont complexes à analyser, mais sans doute importantes : elles peuvent par exemple avoir affecté le consentement libre et éclairé des personnes qui auront été se faire vacciner sur la base de la déclaration du ministre.

Il devient critique pour les médias de questionner les chiffres et communiqués de presse du ministre : le diable est vraiment dans le détail et c’est la précision, l’intelligence collective et le travail de citoyens qui tentent de rebâtir une confiance. Comme le dit Pierre, « c’est facile de vérifier, faites-le » 

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/la-drees-oubli-erreur-pierre-decoderleco

À QUOI DOIT CORRESPONDRE LA SITUATION DE LA France ? 

La France a quelques semaines de retard sur Israël ou la Grande Bretagne , ainsi en aout, en Israel, 390 personnes vaccinées  deux ou trois doses sont décédées  soit 58 ,5% des décès pour une population vaccinée qui représente à cette date 62% DES HABITANTS

Présenté ainsi l’avantage vaccinal serait très très faible.

Calculés en décès pour 100 000 habitants on obtient 8 décés pour 100 000  non vaccinés contre 7 pour 100 000 deux ou trois doses…

https://pgibertie.com/2021/09/14/israel-60-des-decedes-de-la-covid-etaient-vaccines/




La « pandémie de personnes non vaccinées » est un mensonge — en voici la preuve

[Source : mercola.com]

Par Dr. Joseph Mercola

Alors que les responsables de la santé publique et les médias grand public affirment que la pandémie de COVID-19 est désormais « une pandémie de personnes non vaccinées « 1, nous savons maintenant que cette affirmation est basée sur des statistiques très trompeuses.

Lors d’un point presse de la Maison Blanche du 16 juillet 20212, la Dre Rochelle Walensky, directrice des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies, a affirmé que « plus de 97 % des personnes qui entrent à l’hôpital en ce moment ne sont pas vaccinées ». Quelques semaines plus tard, dans une déclaration datant du 5 août 2021, elle a révélé par inadvertance comment cette statistique avait été obtenue3.

Il s’avère que les CDC ont examiné les données relatives aux hospitalisations et à la mortalité de janvier à juin 2021 – une période pendant laquelle la grande majorité de la population américaine n’était toujours pas vaccinée4.

Mais ce n’est plus du tout le cas maintenant. Le CDC joue également avec les statistiques d’autres manières pour créer l’impression fausse et inexacte que les personnes non vaccinées constituent la majeure partie des infections, des hospitalisations et des décès. Par exemple, nous savons maintenant que l’agence compte comme non vaccinés tous ceux qui sont morts dans les 14 jours suivant l’injection.

Non seulement cela gonfle de manière inexacte le nombre de décès de personnes non vaccinées, mais cela cache également les véritables dangers des injections de COVID, puisque la grande majorité des décès dus à ces injections surviennent dans les deux premières semaines.5 Maintenant, leurs décès sont comptés comme des décès de personnes non vaccinées au lieu d’être comptés comme des décès dus à des effets secondaires vaccinaux ou à des infections COVID-19 post-vaccinales !

Comment le CDC comptabilise les cas de Covid post-vaccinaux

Selon le CDC6, vous n’êtes pas considéré comme pleinement vacciné tant que 14 jours ne se sont pas écoulés depuis votre deuxième injection dans le cas de Pfizer ou Moderna, ou 14 jours après votre première dose de Janssen. Voici comment le CDC définit un cas post-vaccinal :

« … une infection post-vaccinale est définie comme la détection de l’ARN ou de l’antigène du SRAS-CoV-2 dans un échantillon respiratoire prélevé sur une personne à partir de 14 jours après qu’elle ait reçu toutes les doses recommandées d’un vaccin COVID-19 autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis. »

En d’autres termes, si vous avez reçu une dose de Pfizer ou Moderna et que vous développez des symptômes de COVID-19, que vous êtes admis à l’hôpital et/ou que vous décédez du COVID, vous êtes compté comme un cas non vacciné. Si vous avez reçu deux doses et tombez malade dans les 14 jours, vous êtes toujours considéré comme un cas non vacciné.

Le problème est que plus de 80 % des hospitalisations et des décès semblent survenir parmi les personnes ayant reçu les vaccins, mais cette réalité est masquée par la manière dont les cas sont définis et comptés. Une stratégie très astucieuse et courante des CDC au cours de la pandémie a consisté à modifier les définitions et les points de repère afin de soutenir leur narration infâme.

Par exemple, les CDC ont discrètement modifié la définition du terme « vaccin », apparemment dans le but de valider l’appellation de vaccins pour les thérapies géniques à ARNm COVID. Dans une version archivée7 du 26 août 2021, le CDC définit le vaccin comme un

« produit qui stimule le système immunitaire d’une personne pour produire une immunité contre une maladie spécifique, protégeant ainsi la personne contre cette maladie ».

Mais quelques jours plus tard, une nouvelle définition est apparue sur le site web du CDC8, qui dit maintenant qu’un vaccin est une « préparation utilisée pour stimuler la réponse immunitaire du corps contre les maladies. » Les différences entre les définitions sont subtiles mais distinctes : la première définissait un vaccin comme quelque chose qui va « produire une immunité ».

Mais comme les vaccins COVID-19 ne sont pas conçus pour stopper l’infection, mais seulement pour en diminuer le degré, il est évident que la nouvelle définition a été créée pour couvrir les vaccins COVID.

Différentes directives de test pour les vaccinés et les non-vaccinés

Ce n’est pas seulement la définition du CDC d’un cas post-vaccinal qui fausse les données. Plus flagrant et illogique encore est le fait que le CDC a même deux séries différentes de directives de test : une pour les patients vaccinés et une autre pour les non-vaccinés.

Depuis le début de la pandémie, les CDC recommandent un seuil de cycle (CT) de 40 pour le test PCR.9 Cette recommandation va à l’encontre du consensus scientifique, selon lequel un CT supérieur à 35 produit 97 % de faux positifs10, ce qui rend le test inutile.11,12,13

À la mi-mai 2021, le CDC a finalement abaissé le nombre de CT recommandé, mais uniquement pour les patients ayant reçu une ou plusieurs injections de COVID.14 Donc, si vous avez reçu une injection de COVID, les directives du CDC prévoient que votre test PCR doit être effectué à un CT de 28 ou moins. Si vous n’êtes pas vacciné, votre test PCR doit être effectué à un CT de 40, ce qui surestime largement la prévalence réelle de l’infection.

Le résultat final est que les personnes non vaccinées qui se font tester sont beaucoup plus susceptibles d’obtenir des faux positifs, tandis que celles qui ont été vaccinées ont plus de chances d’obtenir un diagnostic précis de l’infection.

Si vous êtes vacciné, seules l’hospitalisation et la mort seront comptabilisées

Et ce n’est pas tout. Le CDC dissimule également les échecs de la vaccination et soutient le récit de la « pandémie des non-vaccinés » en ne comptabilisant que les cas post-vaccinaux qui entraînent une hospitalisation ou un décès.

En d’autres termes, si vous avez reçu votre deuxième injection de COVID il y a plus de 14 jours et que vous développez des symptômes, vous ne comptez pas comme un cas post-vaccinal à moins d’être admis à l’hôpital et/ou de mourir du COVID-19 à l’hôpital, même si votre test est positif. Donc, pour résumer, les cas de COVID post-vaccinal ne comptent que si tous les éléments suivants s’appliquent :

  • Le patient a reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer ou Moderna il y a au moins 14 jours (ou une dose dans le cas de l’injection monodose de Johnson & Johnson).
  • Le patient est testé positif pour le SRAS-CoV-2 avec un CT de 28 ou moins, ce qui permet d’éviter les faux positifs.
  • Le patient est admis à l’hôpital pour le COVID-19 et/ou décède à l’hôpital.

Les vaccinés représentent probablement l’essentiel des hospitalisations

Si les vaccinés et les non-vaccinés n’étaient pas traités avec des normes aussi différentes, nous constaterions probablement que les vaccinés représentent aujourd’hui la majorité des hospitalisations, ce qui fait de la pandémie de COVID celle des vaccinés. Un article publié le 30 août 2021 par The Epoch Times révèle ce qui se passe réellement sur la ligne de front :15

« Après une batterie de tests, on a diagnostiqué à mon ami une pancréatite. Mais il a été plus facile pour la bureaucratie de l’hôpital d’enregistrer l’admission comme un cas de COVID… Les médias grand public rapportent que les cas graves de COVID concernent principalement les personnes non vaccinées… Est-ce que c’est vraiment ce qui se passe ?

Ce n’est certainement pas le cas en Israël, le premier pays à avoir entièrement vacciné une majorité de ses citoyens contre le virus. Aujourd’hui, le pays affiche l’un des taux d’infection quotidiens les plus élevés et la majorité des personnes qui attrapent le virus (77 % à 83 %, selon l’âge) sont déjà vaccinées, selon les données recueillies par le gouvernement israélien…

Après mon admission, j’ai parlé à l’infirmière du service COVID… Elle m’a dit qu’elle avait reçu les deux vaccins mais qu’elle était inquiète : « Deux tiers de mes patients sont complètement vaccinés », a-t-elle dit. Comment peut-il y avoir un tel décalage entre ce que l’infirmière du service COVID m’a dit et les reportages des médias grand public ? »

Le cœur du problème est que les États-Unis n’essaient même pas d’obtenir un décompte précis. Comme le note The Epoch Times,

« les Centres de contrôle et de prévention des maladies ont publiquement reconnu qu’ils ne disposaient pas de données précises. »

Ainsi, lorsque vous entendez que les cas augmentent, et que la plupart d’entre eux ne sont pas vaccinés, vous devez vous demander : « S’agit-il de personnes qui ont reçu un vaccin et sont tombées malades, deux vaccins et sont tombées malades, ou pas de vaccin du tout ? ». Sans plus de détails, il est impossible de savoir ce qui se passe réellement », indique The Epoch Times.16

Tout ce que nous savons, selon un médecin qui s’est entretenu avec The Epoch Times, c’est que

« les vaccins ne sont pas aussi efficaces que les responsables de la santé publique nous l’ont dit. C’est un produit qui ne fait pas ce qu’il est censé faire. Il est censé arrêter la transmission de ce virus et il ne le fait pas ».

Comptabilisation des maladies non liées au COVID comme des cas de COVID

En plus de tout cela, les hôpitaux continuent de déclarer des maladies non liées au COVID comme des cas de COVID. Comme le rapporte The Epoch Times17:

« Les autorités sanitaires du monde entier agissent ainsi depuis le début de la crise du COVID. Par exemple, un jeune homme du comté d’Orange, en Floride, qui est décédé dans un accident de moto l’été dernier, a été initialement considéré comme un décès lié au COVID par les autorités sanitaires de l’État….

Et un ouvrier du bâtiment d’âge moyen, tombé d’une échelle en Croatie, a également été considéré comme un décès dû au COVID… Pour brouiller encore plus les pistes, même les personnes dont le test de dépistage du COVID est négatif sont parfois considérées comme des décès dus au COVID.

Prenons le cas de Matthew Irvin, 26 ans, père de trois enfants, originaire du comté de Yamhill, dans l’Oregon. Comme le rapporte KGW8 News, Irvin s’est rendu aux urgences pour des douleurs à l’estomac, des nausées et des diarrhées le 5 juillet 2020. Mais au lieu de l’admettre à l’hôpital, les médecins l’ont renvoyé chez lui.

Cinq jours plus tard, le 10 juillet 2020, Irvin est mort. Bien que son test COVID se soit révélé négatif deux jours après sa mort et que sa famille ait déclaré aux journalistes et aux responsables de la santé publique que personne dans l’entourage d’Irvin ne présentait de symptômes COVID, le médecin légiste aurait dit à la famille qu’une autopsie n’était pas nécessaire, inscrivant son décès comme un cas de coronavirus. Il a fallu deux mois et demi à l’autorité sanitaire de l’Oregon pour corriger cette erreur.

Dans un exemple encore plus frappant de sur-dénombrement des décès dus au COVID, une maison de retraite du New Jersey qui ne compte que 90 lits a été déclarée à tort comme ayant 753 décès dus au COVID. Selon un porte-parole, il y a eu moins de vingt décès. En d’autres termes, le nombre de décès a été sur-déclaré de 3 700 %. »

[…]

Sources et références




La Coordination Santé Libre appelle les soignants à faire pression sur le gouvernement

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Soignants en grève. AFP]

Auteur(s): FranceSoir

Dans un communiqué de presse ce jour, la Coordination Santé Libre (CSL), qui regroupe différentes associations de médecins, soignants et scientifiques, appelle à un retrait immédiat de l’obligation vaccinale qui sera imposée à certains professionnels à partir du 15 septembre.

Dans cette lettre, l’obligation vaccinale est jugée « illégale », « choquante » et « scandaleuse », notamment du fait de son incompatibilité avec le Code du travail. Par ailleurs, la façon dont cette loi a été promulguée reste mal acceptée. À ce sujet, la CSL rappelle notamment « la sous-représentation des parlementaires ayant voté cette loi » et « la complaisance du Conseil constitutionnel », sur fond de prorogation de l’état d’urgence sanitaire.

Voir aussi : des débats parlementaires à l’image de la société, confus et électriques

En réponse à cela, grâce à l’union de ses différents membres, la CSL met un point d’honneur à la réinformation depuis sa création en janvier 2021. Sur son site, on trouve notamment les vidéos de leur Conseil Scientifique Indépendant (CSI), qui se réunit chaque jeudi pour traiter de différents sujets de santé ou de société.

Outre l’information, la CSL appelle finalement tous les professionnels concernés par l’ogligation vaccinale à faire pression sur le gouvernement, au travers des recours juridiques notamment. L’association BonSens par exemple, propose à chacun de signer ses plaintes collectives. Sur le site de Reinfo Covid, on trouve plusieurs modèles de lettres juridiques, rédigées avec des avocats, destinées à aider les professionnels en difficulté. De fait, depuis l’application du passe sanitaire en août, le parquet de Paris et la Cour de justice de la République croulent tous deux sous les plaintes, notamment grâce aux modèles de l’association créée par Me Fabrice Di Vizio.

Voir aussi : gestion de crise sanitaire : les plaintes pleuvent

Par ailleurs, d’autres moyens de lutte sont aussi envisageables et ouverts à un plus grand nombre, tels que l’affichage, la manifestation, les pétitions, le boycott ou encore la grève. À ce sujet, la CSL ponctue d’ailleurs sa lettre en apportant son soutien à l’appel à une grève illimitée des professionnels de la santé du Syndicat Liberté Santé.

Voir ici : le communiqué du Syndicat Liberté Santé

Communiqué de la Coordination Santé Libre

Auteur(s): FranceSoir




Pseudovaccin COVID : secret organisé pour les adolescents vis-à-vis de leurs parents par l’État

Par Nicole Delépine

Chaque jour apporte son décret ou sa circulaire, pire que les précédents, mais parfois on est encore surpris de leur perversité. Telle cette note de la DGS adressée à tous les personnels autorisés à injecter cette substance génique aux composants variés le 8 septembre 21.(([1] 08/09/2021 RÉFÉRENCE : DGS-URGENT N°2021-95
TITRE : VACCINATION DES MINEURS — RÈGLES DE BON REMPLISSAGE DE VACCIN COVID))

L’Essai thérapeutique à grande échelle violant le consentement éclairé explicite de la loi

Au passage, vous découvrirez que votre nutritionniste ou podologue ou orthoptiste(([2]
▪Chirurgien-dentiste
▪Audioprothésiste
▪Podo-Orthésiste
▪Ergothérapeute
▪Autre professionnel de santé
▪Sage-femme
▪Manipulateur ERM
▪Orthopédiste-Orthésiste
▪Diététicien
▪Médecin-autre spécialiste
▪Pédicure-Podologue
▪ Pharmacien
▪Infirmier
▪Opticien-Lunetier
▪Psychomotricien
▪Masseur Kinésithérapeute
▪Orthoptiste
▪Orthoprothésiste
▪Médecin généraliste
▪Orthophoniste
▪Technicien de laboratoire médical)) sont autorisés à vous faire ce geste médical aux conséquences possibles immédiates, à court et à long terme multiples, et à vous faire signer IMPLICITEMENT ce consentement éclairé sur tous les inconvénients possibles. Aucun problème de désert médical en France, chaque professionnel, de métier respectable par ailleurs, peut décider de participer à cet essai clinique à ciel ouvert sans en mesurer les conséquences possibles et parfois gravissimes.

Et les enseignements et lois, issus de la seconde guerre mondiale sur les essais thérapeutiques chez l’Homme, résumés dans le code de Nuremberg de 1947 sont enterrés. Pourtant les lois qui protègent l’humanité de la pratique sauvage des essais sont encore en vigueur, mais piétinées sans vergogne, telle la loi Kouchner de 2002 qui exige le libre consentement éclairé pour tout geste médical même non expérimental (information sur une coloscopie ou une intervention ou une prescription médicamenteuse, la loi Huriet 1988 sur les essais thérapeutiques et les multiples lois internationales qui priment sur le droit français.

Mais où est passé le respect du droit en France depuis quelques années ? Que les politiques à tous niveaux qui imposent ces lois, décrets, circulaires contraires au Droit et à tous ceux qui rivalisent de zèle pour plaire au Prince de l’Élysée pour les appliquer, ne s’étonnent pas de se retrouver un jour dans la désagréable position d’Agnès Buzyn en ce 10 septembre 2021, mise en examen pour « mise en danger de la vie d’autrui ».

Et quoiqu’en disent beaucoup, même si à terme elle est lavée (responsable et pas coupable par exemple), ce qui est possible, cette expérience pour une ancienne ministre qui se croyait tout permis est bien difficile.

Jérôme Salomon pourtant dans le même bateau signe encore cette circulaire toxique pour les jeunes. Pourquoi ? Qu’on ne me dise pas qu’il soigne son dossier pénal (comme a dit E. Macron concernant Édouard Philippe). Est-ce de l’inconscience d’une petite caste vivant sur une autre planète ?

Voici les principaux éléments de cette circulaire de la Direction Générale de la Santé signée le 8 septembre par Jérôme Salomon,(([3] Et Bernard Celli, président de la Task Force de la vaccination)) grand prêtre de nos soirées du printemps 2020 annonçant le nombre de décès officiellement attribués au virus SARS-CoV-2 (dont on saura plus tard qu’ils ont été largement surestimés) et poursuivis à la cour de justice de la République comme Agnès Buzyn.

DEPUIS JUIN L’AUTORISATION D’UN SEUL PARENT SUFFIT

« Madame, Monsieur, La vaccination contre la COVID-19 est ouverte à tous les adolescents de 12 ans et plus depuis le 15 juin 2021. Jusqu’à présent, la signature des deux parents exerçant l’autorité parentale était exigée pour la vaccination d’un mineur. La loi du 5 août 2021 modifie doublement le cadre de l’autorisation parentale en vigueur. D’une part, seule l’autorisation de l’un ou l’autre des titulaires de l’autorité parentale est requise pour la réalisation d’une vaccination contre la COVID19 pour les adolescents de moins de 16 ans ».

Notons à ce propos le nombre croissant de drames familiaux engendré par cette décision illustrant parfaitement la technique du « diviser pour régner », utilisée partout par le gouvernement pour faire passer ses décisions iniques. Les parents se déchirent et les enfants impuissants assistent à ces scénarios tragiques non conçus pour leur bien — être manifestement. Les procès entre parents s’accumulent.

MAIS LE PIRE ARRIVE : PARENTS DÉCHUS DE L’AUTORITÉ PARENTALE POUR L’INJECTION GÉNIQUE

Les parents sont, à ma connaissance, responsables pénalement et civilement (financièrement) des dégâts causés par leurs enfants mineurs (moins de 18 ans) lors d’accidents, ou de dégradations volontaires. Cependant, concernant la mascarade covid dont on ne dira jamais assez qu’elle ne tue aucun enfant ou adulte jeune sans comorbidité, et que seulement 0,003 % français sont actuellement en réanimation pour covid (et pas morts° pour 67 millions d’habitants), les parents sont déchus de leur autorité parentale !

Un adolescent de plus de 16 ans qui le souhaite peut désormais se faire vacciner sans autorisation parentale.(([4] « Concernant l’enregistrement de la vaccination de l’adolescent dans Vaccin Covid, les modalités de remplissage de Vaccin Covid restent les mêmes et vous sont rappelées ci-dessous. Le respect des règles suivantes est particulièrement nécessaire (en centre de vaccination, en ville, en équipe mobile…) au moment où la vaccination de ces adolescents progresse rapidement. 1. Tous les adolescents de 12 ans et plus qui se présentent pour se faire vacciner doivent être en possession du NIR (Numéro de sécurité sociale) de l’un des deux parents, ou de leur propre NIR. Ce NIR doit être le même pour la 1re et la 2e injection »))

En pratique la circulaire précise pour les vaccinateurs :

« a. Si l’adolescent dispose du NIR (numéro de sécurité sociale) de l’un de ses deux parents, ce dernier est utilisé pour saisir la vaccination dans Vaccin Covid. L’adolescent est retrouvé sous le NIR du parent, en cliquant sur « rechercher les autres membres de la famille ».

« b. Dans le cas où l’adolescent dispose d’un NIR personnel, celui-ci peut désormais être utilisé pour rechercher l’adolescent et saisir la vaccination dans le logiciel. NB : dans un cas comme dans l’autre, les parents pourront avoir accès à son certificat incluant le QR-Code au travers du téléservice attestations »

évidemment si l’adolescent se cache de ses parents, il n’a pas forcément leur carte de sécurité sociale et donc le ministère ne s’embête pas pour si peu.

SE VACCINER CONTRE L’AVIS DE SES PARENTS !

2. Si et seulement si le NIR ne peut être communiqué, ou lorsque l’adolescent de 16 ans ou plus souhaite se faire vacciner contre l’avis de ses parents, ou dans toute autre situation rendant impossible l’utilisation du NIR de l’un des deux parents ou celui de l’adolescent : a. La procédure de saisie dite « NIR d’urgence » peut être utilisée.

La vaccination contre la Covid-19 prime, en dernier recours, sur l’exigence d’utiliser le NIR de l’un des deux parents. b. Dans ce cas de figure, il est impératif d’indiquer aux adolescents qui se font vacciner sous le NIR d’urgence de conserver très précieusement le code patient qui se présente sous la forme d’une série de trois fois trois lettres (XXX-YYY-ZZZ). Ce code figure sur la synthèse de vaccination, et non sur l’attestation certifiée de vaccination. Il est donc également impératif de remettre à l’adolescent cette synthèse en plus de son attestation certifiée. En cas de perte par l’adolescent ou d’oubli de remettre à l’adolescent la synthèse de sa vaccination par les personnels compétents, il sera difficile de retrouver le dossier de l’adolescent, sauf à passer par le tableau de bord de celui qui a réalisé la vaccination. »

LE MANTRA OFFICIEL COMME SEULE INFORMATION

Imaginez bien l’adolescent seul ou avec des copains du même âge, le plus souvent peu informé, et dont l’orthoptiste ou le podologue du centre de vaccination ne sauront que répéter le mantra officiel : aucun risque et tu seras libre enfin de sortir, d’aller au café, au cinéma ou au concert, de t’inscrire au sport, etc. Quid des discussions et informations à donner aux jeunes sur leurs risques éventuels, sur les effets secondaires déjà répertoriés dans les banques de données officielles, sur les risques de troubles des règles chez les jeunes filles et un point d’interrogation sur les dangers éventuels de stérilité. Personne ne leur dit rien et quand ils en parlent parfois avec des amis plus âgés qui informent sur l’existence de ces banques officielles, ils demandent pourquoi ils n’en sont pas informés.

Comme dit fort justement un correspondant, la pression est énorme :

« Tout ceci permettra d’injecter les ados « sur un coup de tête » lors d’une sortie scolaire dans un centre de vac’ par exemple. La pression psychologique est rude et sournoise »

Jean-Marc.
Et chacun connaît la fragilité des ados souvent en conflit avec leur famille à cette période de la vie, il n’est pas nécessaire de mesurer la perversité de cette mesure. Jérôme Salomon est-il papa ?

HEUREUSEMENT DE NOMBREUSES VOIX SE LÈVENT POUR TENTER DE PROTÉGER NOS JEUNES 

L’association Enfance & Libertés prépare des recours juridiques devant le Conseil d’État pour protéger les droits et la santé des enfants

N’hésitez pas à les rejoindre pour étendre la toile des recours sur l’ensemble de la France. En résumé voici ce que dit leur site(([5] Enfance & Libertés prépare des recours juridiques devant le Conseil d’État pour protéger les droits et la santé des enfants — Enfance et libertés (enfance-libertes.fr) )):

« La récente loi de gestion de la crise sanitaire met à risque les droits des enfants ainsi que leur santé émotionnelle, psychologique et physique. Elle constitue en outre une entorse au principe d’autorité parentale.
Aussi, Enfance & Libertés déposera très prochainement avec l’assistance de l’avocat Me David Guyon des recours devant le Conseil d’État, en particulier contre les dispositions suivantes :
• La possibilité pour un jeune de 16-18 ans de se faire vacciner sans consentement parental
• La possibilité pour un jeune de 12-15 ans de se faire vacciner avec le consentement parental d’un seul parent
• La discrimination induite par l’éviction des élèves non vaccinés lors de l’apparition d’un cas contact dans la classe
• La possible discrimination des non-vaccinés lors de sorties scolaires • L’extension du pass sanitaire aux enfants dès 12 ans à compter du 30 septembre 2021.

https://enfance-libertes.fr/enfance-libertes-prepare-des-recours-juridiques-devant-le-conseil-detat/ »

Insistons aussi sur les programmes de propagande à l’École imposés par le pouvoir

Un professeur d’espagnol au lycée Raymond Naves de Toulouse est suspendu à Toulouse: il est accusé de relayer des idées « complotistes » :

« concernant le vaccin anti-Covid après avoir montré une vidéo du site France Soir à une classe de seconde.
Signalé par ses supérieurs hiérarchiques, il était entendu ce jeudi matin au Rectorat qui a déclaré « qu’il n’est pas acceptable, qu’un professeur exprime ses opinions personnelles auprès de ses élèves, la décision a été de le suspendre par mesure conservatoire ».

https://www.ladepeche.fr/2021/09/09/toulouse-un-professeur-despagnol-du-lycee-raymond-naves-est-suspendu-pour-apologie-du-complotisme-9778798.php

Mais des parents conscients et courageux réagissent et vont discuter calmement avec les chefs d’établissement leur faisant toucher du doigt leur responsabilité pénale personnelle à la suite de leurs décisions. Contrairement à Big Pharma et aux dirigeants politiques couverts par les clauses des contrats ils ne sont pas à l’abri de poursuites. Écoutez par exemple ce père qui a constaté que la peur peut changer de camp :

Et voyez la lettre dont il propose un exemple :

Contenu de cette lettre RAR à l’attention de ……….

1. Lettre au responsable de l’établissement de la part des responsables et tuteurs légaux.
2. Annexe 1. Rappel à la Loi concernant le secret médical.
3. Annexe 2. Communiqué du Syndicat Action et Démocratie.
4. Annexe 3. Fiche dérogatoire à l’infirmerie : refus catégorique et intemporel de soins Covid.
5. Annexe 4. Non-autorisation de sortie scolaire dans tout centre de vaccination.

Nom et Prénom du/des Responsable(s) de l’enfant

Préciser l’adresse postale du domicile principal de l’enfant

Responsables et Tuteurs Légaux de …………………., élève de ……. à ………………………

À Monsieur/Madame …………………

Chef d’établissement du collège/lycée………..

À ………, le 30 août 2020

Madame/Monsieur,

Nous accusons réception de vos emails datant des … et … août 2021 nous encourageant à effectuer la démarche de « vaccination » de notre enfant « dès à présent ». Encouragement soutenu par le courrier officiel de votre Rectrice/Recteur d’Académie, Madame/Monsieur……………………..

Nous aimerions, tout d’abord, vous informer que l’« encouragement » très orienté dans vos courriels, lettres PDF et notice explicative du protocole de vaccination mis en place au sein du collège/lycée, portent atteinte à plusieurs titres, et d’un point de vue juridique, au secret médical de notre enfant, tel qu’établi par la Loi (Cf. Annexe 1. Rappel à la Loi). En effet, ce protocole que vous mettez en place interroge sur son statut médical, protégé par la Loi.

Nous considérons que cette démarche, qui viole le secret médical de notre fils est illicite, selon ce qui est du Droit.

De plus, et de façon évidente, ce protocole de vaccination mis en place par abus de pouvoir au sein du collège/lycée………………….. dont vous êtes le chef d’établissement par le ministère de l’éducation, et donc par extension directe de la voie hiérarchique mis en place par la rectrice et par vous-même au collège/lycée………………., n’a aucune portée ni validité juridique au regard de la Loi. Il n’a jamais été publié au Journal Officiel, et pour cause, aucun texte ne donne au ministre de l’Éducation de compétence en matière sanitaire et donc le droit de déroger à la loi. Il en va de même pour vous en tant que Principal/Proviseur. Vous n’avez donc par extension aucune compétence dans la mise en place et l’application d’un protocole de vaccination purement hors la loi. Ce protocole illégal engage les responsabilités civiles et pénales de ce qui y croient, le mettent en place par vulgaire publication sur le Web, et vont l’appliquer à l’école. Nul n’est censé ignorer la Loi. Comment comptez-vous informer de façon transparente et sans parti pris du fait de votre fonction l’ensemble des familles sur l’aspect illégal de ce protocole que vous avez déjà envoyé ? Comment comptez-vous faire la mise à jour de ces informations cruciales pour ne pas avoir à engager votre responsabilité civile et pénale et celle de vos enseignants qui participeront à ce protocole ?

Cet « encouragement » à la vaccination suscite de notre part de nombreuses interrogations, ce pour quoi nous avons donc souhaité vous rencontrer en personne ce lundi 30 août 2021. Et nous avons bien entendu que vous ne partagez pas nos questionnements par manque d’information. De par votre fonction, l’heure n’est pas au partage d’un avis personnel pour la vaccination des élèves, mais à la responsabilité civile et pénale de chacun dont la vôtre, face à une situation où le principe de précaution dans l’intérêt de nos enfants qui ne sont pas concernés par cette situation sanitaire doit prévaloir en tout temps.

Nous sommes en effet désireux de savoir, et dans l’attente de réponses écrites :

  • Sur quelle base légale fondez-vous votre « encouragement », sachant qu’il n’y a aucune loi qui exige cette incitation vaccinale pour les enfants qui ont plus de 12 ans ? Il n’existe donc, au jour où nous vous écrivons, aucune disposition légale susceptible de fonder une telle demande pour un chef d’établissement et un enseignant, ainsi qu’un établissement d’enseignement ayant pour seule mission la pédagogie.
  • Pour Pfizer BioNTech, période du 28/05 au 1/07/2021, 31 389 Effets indésirables, 8689 cas graves, dont 761 décès. (Page 8/57)
  • Pour Moderna, période du 28/05 au 1/07/2021, 5665 Effets indésirables, 1050 cas graves, dont 44 décès. (Page 6/30)

En tant que Chef d’établissement, comment envisagez-vous de rectifier cette notice explicative erronée et trompeuse afin d’informer pleinement et en toute transparence, sans parti pris, mais dans un principe de précaution, les parents de ces données officielles publiques ? Car non, les effets secondaires indésirables graves ne sont pas « extrêmement rares ». Les chiffres publics officiels ANSM sont bien là et sans mises à jour disponibles depuis ce 1er juillet 2021. 761 décès, 2551 mises en jeu du pronostic vital, 5384 cas non rétablis/non résolus (que sont-ils devenus ?), pour le seul Pfizer.

Cela étant posé, comment comptez-vous concilier votre protocole de vaccination avec les principes issus des textes suivants, présentés dans un ordre décroissant de force obligatoire au regard de la hiérarchie des normes juridiques ? :

Et comment comptez-vous engager votre responsabilité civile et pénale au regard de ces mêmes textes ? :

Ces dispositions internationales ne peuvent pas être modifiées unilatéralement par le gouvernement français, même au bénéfice d’une « urgence » qui resterait pour le surplus à démontrer, et de surcroît pour une catégorie d’âge non concernée comme l’attestent l’ensemble des données de santé.

  • Article L1111-4 du Code de la Santé publique (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000041721056/) et l’article R4127-36 du Code de la santé publique (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000032973595) imposant de respecter le consentement de la personne concernée soumise à un traitement médical.
  • Notez par ailleurs qu’une protection toute particulière est instaurée au profit des mineurs en vertu de l’article R4127-42 du Code de la santé publique (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043588175/).
  • Au regard des données officielles nationales disponibles publiquement de l’ANSM, de la Haute Autorité de Santé, des données européennes d’EudraVigilance, et de l’ensemble des données au niveau international, il apparaît très clairement que les enfants de 12 à 17 ans ne sont absolument pas concernés par le SARS-CoV-2, autrement appelé Covid19. (https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins), comment comptez-vous engager votre responsabilité civile et pénale, ainsi que celles de vos enseignants qui vont participer à cette incitation vaccinale ?
  • Si, après une éventuelle injection des produits expérimentaux, certain(e)s élèves du collège/lycée…… étaient amené(e)s à présenter des effets secondaires graves pouvant aller jusqu’au décès, êtes-vous en mesure d’en supporter, tant personnellement qu’au nom de l’établissement que vous dirigez, les conséquences d’un point de vue civil et pénal, et d’y engager par écrit votre responsabilité dès aujourd’hui ?

En effet, les fabricants des produits injectés ayant obtenu de l’Union européenne une immunité civile totale, l’incitation organisée par vos soins au sein de l’Institution Sévigné d’un produit en phase d’essai clinique expérimental pourrait avoir des conséquences potentiellement dramatiques. Et ce d’autant plus en l’absence d’études précliniques de toxicité, de génotoxicité sur l’organisme humain et donc sur les enfants dont vous avez la charge.

Nous aimerions également vous rappeler que le protocole sanitaire des établissements scolaires n’a aucune valeur légale ni réglementaire (voir Annexe 2. Communiqué du Syndicat Action et Démocratie). Nous nous permettons de vous rappeler que :

  1. L’Article 225-1 du Code pénal : (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000033461473 interdit toute discrimination ou distinction entre les personnes physiques notamment en fonction de leur état de santé, de leurs caractéristiques génétiques ou de leurs opinions. En vertu de
  2. L’article 225-2 du même Code pénal : (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000033975382)

Ces discriminations sont punies de 3 ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende lorsqu’elles consistent notamment à refuser la fourniture d’un service (Art. 225-2-1°), à refuser d’embaucher ou à sanctionner ou licencier une personne (Art. 225-2-3°) ou à subordonner une offre d’emploi, une demande de stage ou une période de formation à une condition constituant une discrimination (Art. 225-2-6° du Code pénal).

  1. En résumé, selon le Code pénal, les collégiens et lycéens ne peuvent faire l’objet d’une discrimination fondée sur leur état de santé (art. 225-1). En outre, cette mesure porte atteinte à la dignité humaine que garantit le Conseil constitutionnel (déc. n°94-343/344 du 27 juillet 1994) et dont l’article 16 du Code civil affirme la protection.
  2. D’ailleurs, le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels du 16 décembre 1966, que la France a ratifié, affirme non seulement « le droit de toute personne à l’éducation », mais le fait qu’elle « doit viser au plein épanouissement de la dignité humaine et du sens de sa dignité » (art. 13). La convention internationale des droits de l’enfant du 20 novembre 1989, également ratifiée par la France, prévoit que « le droit de l’enfant à l’éducation » s’exerce « sur la base de l’égalité des chances » (art. 28-1) et que « l’enfant doit être « effectivement protégé contre toutes formes de discrimination ou de sanction motivées par la situation juridique » (art. 2-2). Or, le statut vaccinal fondé sur la détention d’un document administratif est bien une « situation juridique » définie par une attestation.

Nous réservons le droit, en tant que Responsables et Tuteurs Légaux de notre enfant …………….., et selon ces lois citées ci-dessus, de saisir le Défenseur des Droits et d’agir selon ce qui est de droit au cas où notre enfant soit « évincé » (selon la déclaration publique de Monsieur Jean Michel Blanquer, Ministre de l’Éducation Nationale sur France Info le 28 juillet 2021) de votre établissement en fonction de son statut vaccinal.

Par la voie légale de cette lettre RAR, nous nous permettons de vous communiquer également en Annexe 3 la Lettre dérogatoire à destination de l’infirmerie de l’établissement, dans laquelle, exerçant notre autorité parentale en plein droit, nous vous informons de notre refus catégorique et intemporel de soins Covid (Test PCR, Test antigénique, Vaccins Covid) pour notre enfant ………………………………..

Au regard de tous ces éléments, nous vous informons de notre refus catégorique et intemporel de toute démarche visant à la vaccination sur notre enfant ………………………….

Nous refusons toute démarche de quelque personne physique et/ou morale que ce soit, d’incitation à la vaccination.

Nous refusons toute démarche d’intimidation, mise sous pression, manipulation par abus de pouvoir, par abus de faiblesse, par abus d’influence, toute discrimination à l’encontre de notre enfant.

Nous refusons, au regard de la « notice explicative — vaccination contre la Covid19 des collégiens et lycéens » de participer à toute démarche de recensement comme le précise le formulaire 1 que nous ne « devons » pas remplir. Nous ne transmettrons donc aucun document à l’infirmière sous pli cacheté, ni aucune fiche au professeur principal à venir de notre enfant, comme à toute autre personne physique et/ou morale.

Nous restons bien sûr à votre entière écoute pour évoquer tous ces sujets ensemble, tout en attirant à nouveau votre attention sur la gravité particulière des mesures à caractère essentiellement politiques annoncées et non encore inscrites dans le marbre de la loi eu égard au nombre de dispositions normatives supérieures que ces obligations violeraient.

Finalement, nous vous invitons à prendre connaissance de l’Annexe 5. Non-autorisation de sortie scolaire. Par moyen de cette annexe, nous vous informons que nous n’autorisons pas notre fils à participer quelconque sortie scolaire que ce soit en centres de vaccination, que ce soit à l’extérieur comme à l’intérieur du collège/lycée……………………………

Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de nos salutations distinguées, préoccupées et déterminées.

Nul n’est censé ignorer la Loi. Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas.

Pour faire valoir ce que de droit. Dans l’intérêt des enfants.

Nom parent 1 Nom parent 2

Signatures :

Merci à tous de diffuser ces informations, de ne pas rester passifs, soumis devant cette attaque en règle de nos enfants, de la génération future. On ne parle que de sauver la planète, eh bien oui sauvons nos enfants qui pourront alors s’occuper de la planète Bleue.





Quand Bruno Toussaint (BFMTV) s’habille en Pravda

Par Lucien Samir Oulahbib

Lors d’un entretien avec Didier Raoult, ce sire sournois ([Bruno Toussaint] cachant hypocritement ses serres fallacieuses sous une physionomie bonhomme) a insisté, lourdement, (et à deux reprises) pour proposer, littéralement, à Raoult de s’associer à son attaque en dessous de la ceinture envers cette tribune de FranceSoir (qui fait décidément réagir puisqu’elle appuie là où cela fait mal) en lui demandant de lui retirer officiellement son soutien (Raoult l’ayant relayée via « tweeter »). Cette insistance sourde, ce chantage tout en filigrane dévoile la réalité sordide de « notre » gabegie politico-hygiéniste (dans sa faction franco-française) que les Toussaint et Cie veulent à tout prix masquer, entraînant alors dans leur chute aujourd’hui si visible y compris ceux qui ont été les premiers à vouloir l’empêcher, tel Didier Raoult.

Or, lorsqu’il a été question lors de cet « entretien » (cet interrogatoire plutôt) de cet énorme scandale, si mortifère, que fut le LancetGateToussaint l’écarte d’un revers de main et à plusieurs reprises, alors que ce fait crucial fut un élément pivot fondamental de l’impasse sanitaire actuelle que lui rappelle pourtant Raoult lorsqu’il compare la tribune controversée de FranceSoir, somme toute liée à la liberté d’exposer les faits comme on l’entend, à la monstruosité encore impensée que fut cette manipulation gravissime opérée par le LancetGate. Rien n’y fait pourtant. Toussaint regarde en l’air, puis s’obstine à revenir sur FranceSoir qu’il traite bien sûr de « complotiste », faute de mieux, etc., sans avancer l’ombre d’une preuve, ce qui est de la diffamation à l’État PUR (et le directeur de FranceSoir devrait en tirer toutes les conséquences idoines…).

Car le LancetGate a empêché, littéralement, la mise en place de traitements précoces (du moins en Occident) qui auraient sauvé des dizaines, voire des centaines, de milliers de viespuisque toutes les expérimentations furent arrêtées et jamais reprises, ou alors en suivant un mauvais protocole. Voilà ce qui, semble-t-il, EST grave, voire criminel, et non pas une tournure de phrase telle que « la Veuve s’impatiente » qui indique seulement que la Justice doit en effet passer, ce qui peut seulement troubler ceux qui se sentent de plus en plus coupables (du fait des piètres résultats actuels, y compris aux Antilles, et du manque crucial de lits, sans oublier la raréfaction de stocks d’ivermectine toujours « déconseillée » malgré des dizaines d’études favorables). Ce qui fait que ces irresponsables commencent déjà à sentir sur leur cou coupable le souffle, sinon du couperet, du moins du Glaive de la Justice. Et « Le glaive de la justice n’a pas de fourreau ».




L’Institut Pasteur rétracte son étude bidon sur le pass sanitaire

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Par de prestigieux calculs — règle de 3, certes, mais c’est pas donné à tout le monde — L’Investisseur sans costume a prouvé que l’affirmation « 78 % des nouveaux hospitalisés sont des non-vaccinés », eh bien, c’est faux. C’est pourtant l’Institut Pasteur qui l’affirme. Sauf que ses calculs sont bidonnés. Les preuves sont là. 

L’étude truquée, prépubliée en juin, a été supprimée, d’un coup de baguette magique ! Tout simplement ! Plus besoin de revue par les pairs ! (L’investisseur sans costume l’a cependant soigneusement conservée  pour ceux que ne rebute pas un texte scientifique en anglais.)

Une mise à jour l’a remplacée. Ce qui n’était que discrète falsification est devenu une arnaque bien voyante. L’Institut Pasteur, le temple de la science est devenu instrument de propagande. Ce n’est pas cela qui va changer quoi que ce soit aux décisions du gouvernement. En témoigne le Lancet Gate : 

1. On fait une étude bidon.
2. Les politiques s’en servent (Véran jette l’hydroxychloroquine à la poubelle).
3. On avoue l’arnaque.
4. Rien ne se passe : le ministère de la Santé fait comme si les conclusions restaient valables (et on échange l’hydroxychloroquine contre le Doliprane, tellement plus efficace !).

Demandez le programme !

A travers une modélisation (pas question d’observation, ça prendrait trop de temps et risquerait de ne pas donner les résultats attendus), la nouvelle étude en prépublication de Pasteur nous annonce le programme de la rentrée. 

– Une terrible cinquième vague de covid que le taux de vaccination trop faible n’arrivera pas à contrer. Il faudra donc prolonger le pass sanitairepoursuivre les gestes barrières, porter le masque en public (ça ne sert à rien, prouvent des scientifiques, donc on continuent, disent politiques et médecins de plateau).
– Une troisième dose (quand ça ne marche pas, on continue !),
– La vaccination des enfants, ce qui revient à jouer avec la survie de l’espèce. 

Aucune base scientifique ne justifie ni ces mesures ni les lieux communs sur lesquels elles reposent :

Les enfants de 0-17 ans représentent un tiers des infections

Un enfant de moins de 12 ans a autant de risque de se retrouver à l’hôpital à cause du covid que d’être frappé par la foudre. Oui, mais, selon l’Institut Pasteur, « Les enfants de 0-17 ans représentent un tiers des infections et sont responsables de près de la moitié des transmissions. » Les études de validation des vaccins s’appuient sur les cas symptomatiques. Or les moins de 12 ans n’ont pas assez de cas symptomatiques pour que aucune étude soit valide (dans l’étude en cours sur les 6 mois à 12 ans, l’échantillon n’est que de 4 500 enfants). 

Les personnes vaccinées sont bien protégées contre l’hospitalisation

Les études sur lesquelles se fondent ceux qui affirment que les non vaccinés ont 4 fois plus de risque d’attraper le virus et 2 fois plus de le transmettre, sont biaisées. L’une de ces études a porté sur des soignants (84 % de femmes actives en bonne santé). Or les femmes ont deux fois moins de risques de décéder du covid que les hommes et les personnes âgées ou les enfants ne figuraient pas dans l’échantillon observé. L’autre étude a été faite au sein des foyers (donc hors sujet à propos d’un pass sanitaire public). Pour l’analyse précise de l’arnaque aux chiffres de ces études, voir la vidéo de L’investisseur sans costume .

Il faut protéger les autres

La vaccination serait un acte altruiste.Il faudrait se faire vacciner pour protéger les autres de la contamination et du décès. Mais qui sont les autres ? Il n’y a pas d’augmentation de la mortalité des moins de 60 ans depuis le début de la crise (chiffres de l’Insee).

Ce qui n’a pas été fait

– Soigner au début de la maladie (cela a même été interdit).
– Identifier très précisément les comorbidités, ce qui aurait permis de faire de la médecine préventive.
– Encourager l’entraide : le tiers de la population française, rétabli du virus, mieux immunisé qu’avec le vaccin, aurait pu recevoir un pass pour s’occuper des personnes fragiles.

Le pass : une société des loisirs et non de l’entraide

Avec le pass, la stratégie s’est axée sur la circulation et non sur la santé, qui reste en principe de l’ordre de la décision personnelle. Avec la circulation, on est dans la sphère sociale et politique. Le pass sanitaire n’est qu’un droit aux loisirs (et au contrôle de l’État…). Rien à voir avec la protection de la santé. Il symbolise un choix entreune société de loisirs infantilisante et égoïste et une société responsable où l’on s’entraide.

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses

[Source : donde vamos via Sott.net]

Dans cet article, on va revenir un peu plus en détail sur certains points abordés lors de l’émission avec Ariane Bilheran et Akina. Pour commencer, un retour sur le début des travaux scientifiques autour du contrôle de la société et des individus, initié par un courant 100% eugéniste très en vogue dans les années 20, et rassemblé dans et autour de l’Institut Tavistock.

On va voir quelle est l’idéologie derrière tous ces travaux de recherche dont le caractère scientifique reste à démontrer. Une idéologie toujours présente en filigrane dans le discours ultra libéral, et plus que jamais d’actualité.

Note de Sott : A priori, l’émission avec Ariane Bilheran et Akina à laquelle l’auteur fait référence ci-dessus est la suivante :

https://youtu.be/6lyiufYzBRI

Nous mettons aussi à disposition de nos lecteurs la même vidéo sur Odysee au cas où YouTube censure la première :



La sociologie comme outil de gestion de la société

Le contrôle des masses et de l’esprit des individus n’est pas nouveau : les religions par exemple s’en sont fait une spécialité depuis des siècles et déjà Platon allait sur ce terrain. Mais la formalisation de ce qui est devenu une véritable discipline « scientifique » remonte à l’entre-deux guerres avec les travaux de la Tavistock Clinic, en Grande-Bretagne.

1921 : La Tavistock Clinic

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Avant les nazis, le concept de contrôle mental a été élaboré par la Tavistock Clinic créée en 1921. A cette époque de nombreuses cliniques spécialisées traitaient les adultes et les enfants, et la Clinique Tavistock (sous le nom de Tavistock Square Clinic for the Treatment of Functionnal Nerve Disorders ) s’est spécialisée dans le traitement précoce des enfants.

L’objectif était donc de traiter –et non soigner, un mot absent des études et rapports de l’époque- l’humain (enfant comme adulte mais avec des départements séparés) via la médecine, la psychologie, la sociologie en même temps. Une approche novatrice qui s’inscrivait dans le courant de pensée eugéniste, sur lequel on va revenir dans cet article.

Les premiers vice-présidents honoraires de la clinique étaient des gens aussi réputés que Sigmund Freud, qui était alors en Angleterre, HG Wells, Carl Jung[1], Cyril Burt, Julian Huxley et quelques autres.

La clinique Tavistock qui disait faire de la « nouvelle psychologie » issue principalement des théories de Karl Jung et Freud a été créée en 1921 par le psychiatre Hugh Crichton-Miller, qui a dirigé par exemple la Société Royale de Médecine ou la Société Britannique de Psychologie dans les années 30, et par Cyril Burt qui a été en contact avec les eugénistes dès ses études à Oxford et a notamment travaillé sur le caractère « héréditaire » du QI[2].

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Derrière le délire de Burt, l’objectif était de trouver des indicateurs pour assurer l’ordre social, et pour lui le QI était un paramètre important pour développer l’eugénisme, c’est-à-dire une sorte de sélection des individus les plus adaptés voire rentables pour l’ordre économique.

La Tavistock Clinic a aussi repris les thèses et l’idéologie de l’école de Francfort, issue de la création officielle en 1923 de l’Institut pour la recherche sociale, et qui était orientée vers les idées marxistes et « socialistes » en termes de gestion de la société.

Comme il y avait beaucoup de Juifs et –forcément- de marxistes dans ses effectifs, l’école a été très mal vue des nazis qui ont interdit à ses professeurs d’enseigner dès 1933. Elle s’est donc installée à New York en 1935, en association avec la New School financée par la Fondation Rockefeller, puis en Californie en 1940.

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 » Lord Bertrand Russell de l’école de Francfort était un défenseur de l’ingénierie sociale de masse clandestine. Dans son livre de 1951, ‘L’impact de la science sur la société’, il a écrit: « psychologie du cul. . . . Son importance a été considérablement accrue par le développement des méthodes modernes de propagande. Parmi ceux-ci, le plus influent est ce que l’on appelle « l’éducation ». La religion joue un rôle, quoique de moins en moins important ; la presse, le cinéma et la radio jouent un rôle croissant. . . . On peut espérer qu’avec le temps, n’importe qui pourra persuader n’importe qui de quoi que ce soit s’il parvient à attraper le patient jeune et qu’il est doté par l’État d’argent et de matériel.

Russell a poursuivi : « Le sujet fera de grands progrès lorsqu’il sera abordé par des scientifiques sous une dictature scientifique… Les psychologues sociaux du futur auront un certain nombre de classes d’écoliers sur lesquelles ils essaieront différentes méthodes pour produire une conviction inébranlable que la neige est noire« .

Theodore Adorno, passé par Oxford et proche de Horkheimer, était un des piliers de l’école de Francfort. Il voulait travailler sur la sociologie de la musique pour « programmer une culture de masse comme une forme de contrôle social extensif qui pourrait dégrader ceux qui la consomment ». Il a aussi travaillé sur les nouvelles technologies d’enregistrement et leur impact sur les auditeurs.

Il a écrit en en Allemand un bouquin publié en 1947 modestement intitulé « Dialectique des Lumières », expliquant à quel point la civilisation avait évolué depuis les âges des ténèbres à travers la « rationalité » mais que cela l’a éloigné de sa nature et l’amène à l’inhumanité.

statue Freud Tavistock

La Tavistock Clinic a aussi développé le concept d’hygiène sociale et celui d’hygiène mentale. Selon le Tavistock la folie, le crime ou l’inefficacité au travail sont liés à des troubles parfois mineurs déjà visibles dans l’enfance. En 1908 les tribunaux pour enfants ont été créés, et l’amalgame entre enfants en danger et enfants dangereux s’est renforcé. Les autorités envoyaient de partout à la clinique les enfants perturbés.

A l’origine, le Tavistock a surtout travaillé sur les mineurs et le développement de l’enfant. A ce moment un certain nombre de chercheurs se lançaient dans l’étude du psychisme des enfants, notamment des enfants traumatisés ou « difficiles », dont beaucoup sont passés par le Tavistock.

Par exemple le psychiatre John Bowlby a étudié dans les années 60 l’attachement de l’enfant à la figure parentale qui s’occupe de lui, et a estimé que les enfants ont besoin de cet attachement et de se sentir en sécurité pour se construire. Il a créé une unité spéciale au Tavistock pour cela.

Tavistock Clinic

Mais il y avait aussi d’autres objectifs, comme ceux poursuivis par un des financiers de la clinique, le duc de Bedford, le fondateur du parti fasciste anglais[3]:

« En 1921, le duc de Bedfordmarquis de Tavistock légua un bâtiment à l’Institut dans le but d’étudier les effets du traumatisme sur les soldats britanniques ayant survécu à la première guerre mondiale. Son but était d’établir le « point de rupture » d’hommes en état de stress, sous la direction du Bureau de l’armée britannique pour la guerre psychologique, dirigé par Sir John Rawlings-Reese. 
L’Institut Tavistock a son quartier général à Londres. Son prophète, Sigmund Freud, s’est installé à Maresfield Gardens quand il a déménagé pour l’Angleterre. La princesse Bonaparte lui fit cadeau de la demeure. Le travail de pionnier de Tavistock en sciences du comportement selon les directives freudiennes du « contrôle » des humains en a fait le centre mondial de fondement d’idéologies
« .

1921, année de la mise en service de la Tavistock Clinic, est une année importante pour les eugénistes. C’est l’année de la deuxième conférence internationale sur l’eugénisme à New-York, la première ayant eu lieu à Londres en 1912[4] sous la présidence de Léonard Darwin, biologiste fils de Charles.

eugenics affiche

Ces conférences visaient à inviter des décideurs politiques, des scientifiques, des organisations sociales, pour discuter de la manière dont ils pouvaient améliorer l’hérédité humaine et donc le niveau des humains qui composent la société.

C’est aussi en 1921 que Freud a publié « Psychologie des masses et analyse du moi » qui popularise la psychanalyse, sur la psychologie des individus dans des foules et était notamment inspiré de livres précurseurs en la matière : « Psychologie des foules » de Gustave Le Bon, paru en 1895[5] et des ouvrages de Gabriel Tarde.

En 1928 un neveu de Freud, Edward Bernays, publie « Propaganda : Comment manipuler l’opinion en démocratie« , dont Hitler s’est beaucoup inspiré.

Au tournant de la deuxième guerre mondiale, la Tavistock a été liée beaucoup plus étroitement au ministère de la Guerre, à l’armée et aux renseignements, orientant davantage ses travaux dans le contexte de la guerre, ce qui impliquait aussi de travailler sur les organisations et la gestion des humains.

psychologie des foules

En 1938, « Le personnel de la Clinique exprima son intention d’enquêter sur « les classes patronales et les cadres, car il était tout aussi important qu’ils soient harmonieusement équilibrés. » Ils voulaient appliquer le « traitement scientifique de la psychonévrose » aux problèmes à grande échelle d’efficacité professionnelle et aux dirigeants », et la sélection des officiers était un moyen potentiel d’y parvenir, résume Alice Victoria White en 2016 dans sa thèse « From the Science of Selection to Psychologising Civvy Street: The Tavistock Group, 1939-1948″

Un volet moins connu des travaux du Tavistock est celui sur les micro-ondes et leur potentiel en termes de contrôle des populations et des individus. Dès les années 50 des tests ont été menés sur des singes pour voir quand le singe dominait devenait soumis, et identifier les fréquences du cerveau correspondant à cet état de soumission.

Ce sont en effet les anglais qui ont marqué les plus grandes avancées sur les micro-ondes à partir des années 40, et c’est d’ailleurs en Angleterre qu’elles ont été testées à grande échelle sur des populations rétives au thatchérisme[6].

Parmi les domaines de recherches du Tavistock, il y a aussi l’identité sexuelle. Le Tavistock a été précurseur pour propager la théorie du genre et la banalisation de la transsexualité auprès des adolescents, quitte à produire des études peu sérieuses.

L’influence de Kurt Lewin

lewin

Depuis 1921, le psychologue allemand Kurt Lewin, qui passe aujourd’hui pour l’un des fondateurs de la psychologie sociale devenue la psychologie du travail il y a quelques années, avait commencé ses travaux sur le comportement humain et la manipulation des individus dans des groupes c’est-à-dire la « dynamique de groupe ».

Des travaux qui ont beaucoup influencé la Tavistock Clinic, qu’il a dirigée en 1932, quand a été créé l’Institute for the Scientific Treatment of Delinquency (l’insititut pour le traitement scientifique de la délinquance).

Lewin a notamment étudié les groupes dans le cadre de l’entreprise, par exemple autour de « la résolution des conflits sociaux » ou l’ « accompagnement au changement » tant apprécié dans les cours de « management », et a participé à l’initiation de l’Association pour la psychologie expérimentale devenue l’Association Allemande de Sociologie.

usine angleterre

Lewin avait compris l’impact de son environnement sur l’individu et l’importance d’agir sur l’environnement pour modifier la personnalité des individus, bien au-delà des simples comportements. Il cherchait aussi à utiliser le trauma pour manipuler les individus, les « reprogrammer » sur le mode Ordo ab chaos, cette devise à la fois sataniste et franc-maçonne qui dit que l’ordre viendra du chaos.

Lewin s’est dit qu’appliquer ces méthodes à l’échelle de la société pouvait donner des résultats prodigieux en termes d’ordre social. Il a mis cela en application pour contribuer à faire entrer en guerre les US.

Lewin, qui était très proche de l’OSS puis de la CIA, expliquait par exemple en 1947 qu’ « il est préférable de conduire le changement en se focalisant sur la diminution des forces restrictives, plutôt que de chercher à augmenter les forces propulsives. Il est alors possible de changer en réduisant l’attachement des individus à la norme, soit en modifiant la norme elle-même« . Le processus de changement est composé de 3 étapes (cf. Cours de marketing en ligne) :

  • La phase de décristallisation des normes (phase 1), correspond à l’abandon des comportements et des attitudes habituelles et à la création d’une motivation à changer. Cette décristallisation est rendue possible par la discussion en groupe, favorisant la remise en cause des normes du groupe.
  • La phase de déplacement (phase 2), donne lieu à un changement par la réduction des forces de résistance que représente l’attachement aux normes. Il s’agit d’une phase de transition où l’on expérimente les nouvelles pratiques.
  • La phase de cristallisation (phase 3). Cette phase repose sur l’intégration de nouvelles habitudes.
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Une méthode qui a fait et fait hélas toujours ses preuves car elle consiste à briser les fondements des individus. L’affaire France Telecom, où des cabinets de conseils en manipulation et pressage de citron ont été grassement payés pour éjecter un maximum de fonctionnaires[7], de même que la pseudo gestion de crise covid qui a surtout pour but de nous amener à marche forcée dans le monde orwellien dont certains rêvent depuis plus d’un siècle, le montrent parfaitement.

En écrivant ce genre de chose, dont il savait que cela s’appliquerait à l’entreprise comme à la politique, Lewin trahissait le but des sciences sociales qui est d’identifier et permettre de résoudre les problèmes sociétaux, pas ceux du pouvoir capitalistique.

Etant Juif, Lewin a rapidement été interdit d’enseigner et a fui l’Allemagne nazie en 1933. Après un passage en Angleterre et à la Tavistock Clinic il est arrivé aux Etats-Unis en 1935, enseignant notamment la psychologie sociale et psychologie de l’enfant d’abord à Stanford puis à Cornell, dont on reparlera dans la partie sur MK-Ultra, et enfin à Harvard où a été créée la première chaire de psychologie sociale en 1917 en collaboration avec l’armée.

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A partir de de la fin des années 30 il s’est lancé dans l’étude du comportement des individus dans le milieu du travail et les mécanismes de défense face à l’ingérence de l’extérieur, et a fondé en 1945 avec le MIT (proche de l’armée US) le Research Center for Group Dynamics.

Lewin a beaucoup travaillé sur l’apaisement des relations de travail, pour améliorer la productivité et limiter les conflits. Comme chez les nazis la notion de bonheur a été intégrée à celle de travail. Et sur la notion de groupe, notamment dans l’industrie du charbon, pour dépasser les conflits sociaux.

Il a aussi travaillé sur les enfants aux Etats-Unis, notamment à l’Iowa Child Welfare Research Station (le pôle de recherche sur le bien-être de l’enfant) où il a mené des recherches entre 1935 et 1944.

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Après 1945, le Département Social de l’institut Tavistock a été créé pour poursuivre les travaux sociologiques, anthropologiques, psychologiques et psychiatriques entrepris pendant la guerre, et les appliquer à la vie sociale en temps de paix.

En 1946 quand la Tavistock Clinic a été intégrée au service national de la santé, elle a reçu un don de la Fondation Rockefeller pour mettre en place une organisation séparée et travailler sur des sujets « non acceptés dans le domaine de la santé mentale« [8]. Elle est alors devenue le Tavistock Institute of Human Relations, isntallé sur un terrain de l’université du Sussex. L’Institu Tavistock a obtenu le statut d’ONG auprès de l’ONU l’année suivante.

Des travaux sur les « systèmes socio-techniques », sur les dynamiques de groupe et l’organisation du travail ont été menés au cours des années 50 et 60 au Tavistock par différents chercheurs comme Eric Lansdown Trist, spécialiste de la psychologie sociale ou le psychologue australien Fred Emery.

A travers tous ces travaux, le Tavistock a institutionnalisé les idées de Lewin, devenues très populaires dans les années 70.

Les influences du Tavistock sur le programme MK-Ultra.

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Un des grands noms du Tavistock, injustement mis sous le tapis aujourd’hui, est un certain John Rawlings Rees, à la fois psychiatre et militaire, cofondateur et premier président de la World Federation for Mental Health créée avec la bénédiction des Nations Unies dès 1947.

Rees était déjà présent à la Tavistock Clinic à sa création en 1920, en avait été nommé directeur médical adjoint en 1926 puis directeur médical en 1933, et il était encore là pour l’inauguration de l’Institut Tavistock pour les Relations Humaines en 1947.

Avec lui, le « Tavi » est aussi devenu un centre de formation à la psychothérapie qui rayonnait dans une série de structures[9] dédiées de près ou de loin à la gestion de la société par la médecine psychiatrique, dont une bonne partie a été créée par Rees et ses amis. Ce microcosme, largement financé et promu sur le plan « scientifique », a ainsi diffusé une certaine vision de la psychiatrie.

Rees, engagé comme psychiatre consultant par l’armée anglaise à partir de 1939, a été un acteur majeur du développement du concept de guerre psychologique, initiée par les Français durant les guerres d’Indochine puis d’Algérie. Rees a alors développé la psychothérapie de groupe basée sur la psychanalyse, devenue une nouvelle méthode de travail. Pour l’armée Rees a aussi travaillé sur les moyens d’influencer le moral de l’ennemi, sur la gestion des hommes, sur l’autorité… Des travaux qui ont été repris pour travailler sur le conditionnement des salariés et la gestion des « ressources humaines » étudiés au Tavistock.

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Rees a compris que les humains étaient fortement conditionnés par leur culture, leurs valeurs, plus que par le lavage de cerveau tel qu’ils le pratiquaient sur les soldats. Il fallait donc agir sur la société dans son entièreté.

La « Méthode Rees »qui a été très appréciée dans les écoles de guerre mais pas seulement consiste en un contrôle fasciste de la société, adapté à la gestion de la société du futur. Rees prônait un contrôle des communautés locales par des « leadership groups » et la démocratie participative avec évidemment un contrôle strict de l’information.

On notera que Rees a fait partie de l’équipe qui s’est occupée de gérer Rudolf Hess, ce pilier du système Nazi et proche d’Hitler depuis les débuts du NSDAP, qui a pris l’avion pour l’Angleterre en 1941[10]. Rees l’a suivi jusqu’en 1945, quand Hess a été jugé, passant officiellement pour dérangé mentalement grâce à l’analyse de Rees et son équipe. Après la guerre il a évidemment été nommé dans l’équipe de psychiatres chargés d’examiner les quelques nazis renvoyés devant les juges à Nuremberg, soi-disant pour « étudier le nazisme ».

Les nombreux travaux de « JR » Rees pour l’armée et les renseignements militaires lui ont valu de nombreuses récompenses et conféré un statut de « medical statesman » (homme d’Etat médical).

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C’est donc avec les honneurs qu’il a quitté le Tavistock en 47, pour se consacrer à l’organisation du 1er congrès de la santé mentale à Londres en 1948 et à la création de la World Federation for Mental Health (WFMH) avec Montagu Norman (gouverneur de la Banque d’Angleterre de 1920 à 1944 et proche des industriels Allemands).

La première intervention à la conférence fondatrice (vice-présidée par Carl Jung) a été celle de Margaret Mead, anthropologue et occultiste qui a été présidente de la WFMH en 56-57. La WFMH a lancé le mouvement d’ « hygiène mentale » et a très vite travaillé avec l’OMS et l’UNESCO dont le 1er directeur était Julian Huxley.

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Plus inquiétant encore chez Rees était sa volonté d’estomper les limites entre le vrai et le faux, le bien et le mal, et même de faire disparaître ces concepts, s’inscrivant en cela parfaitement dans l’idéologie sataniste/luciférienne. Tout un courant de la psychiatrie suivait cette tendance dans les années 40-50.

En 1934 devant des militaires Rees a expliqué son plan :

« Si nous voulons infiltrer les activités professionnelles et sociales d’autrui, je pense que nous devons imiter les totalitarismes et organiser une sorte d’activité de cinquième colonne… Nous avons mené une attaque fructueuse contre un certain nombre de professions. Les deux plus faciles d’entre elles sont naturellement la profession d’enseignant et l’église, les deux plus difficiles sont le droit et la médecine… Ne parlons pas en termes d' »hygiène mentale » mais en termes de « santé mentale ». …Soyons donc tous très secrètement la cinquième colonne. La psychiatrie doit maintenant décider de ce que sera l’avenir immédiat de la race humaine. Personne d’autre ne le peut. C’est la responsabilité première de la psychiatrie ».

Au Tavistock, Rees a aussi travaillé avec un canadien dénommé Brock Chisholm, psychiatre qui fut à l’œuvre dans la création de l’OMS, dont il a été le premier directeur général de 1948 à 1953. Il s’était notamment fixé comme objectif de définir ce qu’était l’hygiène mentale à travers une masse de publications sur la psychiatrie, pour normaliser et cadrer ce domaine crucial pour la gestion de la société.

A la sortie d’une guerre traumatisante pour plus de la moitié de la population mondiale, le sujet était en effet d’actualité. Et la chimie faisait de grands progrès ces dernières années, d’abord en Allemagne puis aux Etats-Unis également.

C’est Chisholm qui aurait suggéré à son ami « JR » Rees de créer une « Organisation mondiale de la santé mentale » pour avoir une organisation soi-disant indépendante avec laquelle collaborer.

Chisholm aussi était un fan du « gouvernement mondial » et lui aussi était pour estomper les notions de bien et de mal ainsi que la foi religieuse car cela « produit des gens non civilisés, l’immoralité, la délinquance et le chaos social« . Et pour y parvenir, il n’y avait selon lui rien de mieux que l’éducation et la psychothérapie.

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Un des collègues de Rees qui a dirigé la World Federation for Mental Health, Franck Fremont-Smith, a créé en 1942 le « Cybernetics Group », lancé par une fondation vitrine de la CIA, la Josiah Macy Foundation où Fremont-Smith était directeur médical. Les financements du Cybernetics Group venaient d’un peu partout, notamment de la WFMH, et servaient à payer des travaux destinés à prévoir et contrôler le comportement humain[11].

Kurt Lewin était d’ailleurs présent à la conférence de lancement, au cours de laquelle un chercheur mexicain dénommé Arturo Rosenblueth a déclaré que le cerveau était juste une machine complexe avec des impulsions électriques et que le comportement humain pouvait être programmé au niveau individuel comme sociétal.

En 69 sur son lit de mort, ledit Rosenbleuth a expliqué que « La culture de la recherche scientifique dans les plus hautes institutions d’enseignement a […] un rôle central. Elle élève le niveau d’enseignement destiné à préparer des professionnels et des techniciens compétents. Elle fournit l’atmosphère intellectuelle nécessaire pour la formation d’enseignants distingués. Enfin, elle permet l’entrainement du reste de la recherche ». Le Cybernetic Group a cessé d’exister en 1953 suite à des bisbilles internes.

Autre psychiatre éminent du Tavistock qui a travaillé sur le programme MK-Ultra : William Sargant, proche du directeur du programme MK-Ultra, le chimiste Sidney Gottlieb. Nommé à la tête du département de psychologie de l’hôpital de Saint Thomas à Londres en 1948 après un séjour de quelques mois aux Etats-Unis, Sargant s’inscrivait totalement dans les vues de Lewin.

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En 1957 il a publié un livre intitulé « Battle for the mind – A psychology of coversion and brain-washing » (La bataille de l’esprit. Une psychologie de la conversion et du lavage de cerveau) dans lequel il parle de diverses expériences, notamment l’utilisation de drogues, de la lobotomie et des « traitements par chocs » électriques ou d’insuline. Il examine aussi les religions et l’endoctrinement, la torture et leurs possibilités en termes de lavage de cerveau.

Il explique que

« Beaucoup de croyances peuvent être implantées dans beaucoup de gens après que les fonctions cérébrales aient été suffisamment perturbées par une peur, une colère ou une excitation induite accidentellement ou délibérément. Un des résultats qu’entrainent ces perturbations, le plus commun est une faculté de jugement temporairement affaiblie et une suggestibilité renforcée ».

Il ajoute :

« Avant d’être capable de modifier le schéma comportemental des pensées et des actions dans le cerveau humain avec rapidité et efficacité, il est apparemment nécessaire dans la plupart des cas d’induire certaines formes de perturbations physiologiques du cerveau. Le sujet doit être effrayé, énervé, frustré ou dérangé émotionnellement d’une manière ou d’une autre, car de telles réactions sont à même de causer des altérations des fonctions du cerveau qui peuvent augmenter sa suggestibilité ou le rendre capable de dépasser ses conditions normales ».

Et la lobotomie ou les électrochocs semblent parfaitement adaptés pour cela. Au final, Sargant appelle à mener d’autres expérimentations.

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Sargant, ce fils d’une famille méthodiste et grand partouzeur en compagnie de médecins, magistrats et autres personnalités voulait faire entrer la psychiatrie dans une nouvelle ère, en utilisant plus particulièrement la lobotomie préfrontale, le coma hypoglycémique, et les chocs électriques. Il a mené ses expérimentations sur des cobayes pris dans les prisons et hôpitaux psychiatriques de l’armée (auxquels on mentait sur l’objectif réel des expériences) pour le MI5 et MI6, dans des bases militaires anglaises comme Maresfield ou Porton Down l’équivalent anglais de Fort Detrick[12].

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Des tests qui avaient parfois lieu sous la supervision de Sidney Gottlieb et Franck Olson, cet agent de la CIA passé par la fenêtre d’un immeuble alors qu’il avait été gavé de LSD par ses amis de la CIA, et les trois sont même devenus amis.

Sargant avait un rôle pivot dans le programme MK-Ultra, et assurait la liaison entre la fondation pour la recherche sur l’écologie humaine (Human Ecology Fund) et les centres de recherches militaires ou civils anglais impliqués dans le programme.

Sargant a aussi collaboré étroitement avec l’affreux Ewen Cameron, ce psychiatre canadien fils d’un pasteur Ecossais qui travaillait sur le psychic driving, la conduite psychique, et a mené des expériences (électrochocs, drogues, hypnose, privations sensorielles, lobotomies au niveau des parties du cerveau qui gèrent les émotions…) sur des dizaines de patients non volontaires dans des hôpitaux canadiens, dans le cadre de MK-Ultra.

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Cameron, qui était aussi financé par l’Human Ecology Fund et par la fondation Rockefeller, était très réputé. Il faisait le tour des colloques, toutes les publications « sérieuses » lui étaient ouvertes et il est même devenu président de l’American Psychiatric Association, l’asso de référence des psychiatres US, en 1952-1953 c’est-à-dire au moment du lancement officiel de MK-Uktra, puis de son homologue canadienne, et en 1962 il est devenu président de la World Psychiatric Association où est définie la doxa dans le domaine.

Cette collaboration entre Sargant et Cameron a été nouée très tôt, le premier reproduisant en Angleterre les expériences du second[13]. Ils avaient les mêmes vues, celles du Tavistock et des inventeurs de l’ingénierie sociale, sur la gestion de la société. Raciste, élitiste, eugéniste, Cameron a par exemple écrit : « La menace imminente d’une dégénération de la race, la perspective d’une batardisation nationale due au laxisme eugénique, la croissance de la délinquance et de l’immoralité – une approche radicale du traitement peut changer tout cela » au début de sa carrière de responsable d’un hôpital psychiatrique où on laissait littéralement au rebut de la société.

Sargant lui-même a fait un séjour en hôpital psychiatrique au début de sa carrière après une sorte de burn out consécutif à l’échec d’une de ses « thérapies ». Il ne reculait devant aucune technique, et a pu laisser des patients sans sommeil durant plusieurs mois d’affilée, ou à l’inverse les plonger dans un semi coma durant des semaines, a essayé d’en « traiter » d’autres avec le virus de la malaria, en plus des traditionnels délires drogues/médocs-électrochocs-hypnose…

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Apparemment, des mineurs de 16 voire 12 ans ont aussi été utilisés mais évidemment une partie des expériences est restée secrète.

Si les victimes sortaient de ces expériences dans un état pire qu’en arrivant, il attribuait cela à leur personnalité qui ne collait pas. Une actrice anglaise, Celia Imrie, a raconté son passage entre les mains de Sargant quand elle était adolescente. Ses parents l’avaient envoyée au St Thomas Hospital à 14 ans pour une crise d’anorexie.

« Les méthodes de Sargant étaient simples : un traitement par électrochocs et des comas induits par l’insuline conduisant à une narcose continue, ou une thérapie du sommeil profond, complétée par des ordres de « lavage de cerveau » diffusés aux patients sous leurs oreillers. Et dire que tout cela était gratuit avec le NHS [le système de santé anglais] ! », écrivait-elle en 2011.

« Je me souviens aussi de la célèbre salle de narcose, une salle où les patients étaient contraints pendant des jours à un sommeil induit par la drogue pendant que des cassettes leur diffusaient des instructions sous l’oreiller« .

Les gens y entraient drogués et en sortaient drogués, inconscients.

Elle y a été traitée à l’insuline pour la mettre en sommeil, avec un antipsychotique appelé le Largacil. Elle se rappelle d’une infirmière parlant de sa « dangereuse résistance » aux « médicaments », de Sargant disant que « chaque chien a son point de rupture, ça prend juste un peu plus de temps pour les excentriques« .

Les origines du contrôle social : l’eugénisme

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La Tavistock a été créée à l’université d’Oxford, avec le soutien du Royal Institute of International Affairs. Les milieux eugénistes y étaient très actifs.

Les anglais avaient construit les théories eugénistes depuis la fin du XIXe siècle. C’est par exemple à l’University College de Londres qu’ont été formalisés les délires qui ont amené les Nazis à concevoir leur « Solution Finale ».

Cet épicentre du mouvement eugéniste au tout début du XXe siècle, a financé des travaux de recherche sur l’eugénisme et l’hérédité dans son laboratoire de biométrie créé à l’initiative de Galton et dirigé par Karl Pearson, intégré ensuite dans le Francis Galton Laboratory for National Eugenics[14].

L’eugénisme, ou la peur du désordre social chez les classes favorisées

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Karl Pearson, formé en Allemagne à la sociologie, était le bras droit de Galton à l’University College, un parfait soldat de l’eugénisme. Pour lui, par exemple, « il n’y a aucun espoir de purification raciale dans un environnement qui n’implique pas la sélection des germes« .

L’idée dingue de créer « une race supérieure » n’est pas née dans le cerveau dérangé des Nazis mais dans celui d’un aristocrate et statisticien anglais, Sir Francis Galton, qui voulait mettre en place une « sélection » des meilleurs humains selon ses critères et créer une « nouvelle race supérieure ». Galton, pionnier de la biométrie, était aussi le cousin de Darwin dont les théories ont elles aussi largement alimenté le délire eugéniste.

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Par exemple, Darwin considérait que

« Tous ceux qui ne peuvent éviter à leurs enfants une horrible pauvreté devraient s’abstenir du mariage ; car la pauvreté n’est pas seulement un grand malheur, mais elle tend à s’accroître elle-même en conduisant à l’irresponsabilité dans le mariage. D’autre part, comme M. Galton l’a remarqué, si les prudents évitent le mariage alors que les irresponsables se marient, les membres inférieurs de la société tendent à supplanter les membres meilleurs » (dans « La Filiation de l’homme »). 

Il y a eu un long travail depuis les premiers écrits d’auteurs tels que William Rathbone Greg en 1868 ou Sir Fancis Galton en 1883 pour donner un aspect un peu sérieux à cette « discipline », à coup d’études et d’enquêtes qui lui ont progressivement donné une forme de légitimité[15].

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Galton, obsédé par la question de la transmission des qualités héréditaires et de la « dégénérescence » de la société, définit l’eugénique dont il voulait faire une « religion laïque », comme suit :

une « science de l’amélioration de la race, qui ne se borne nullement aux questions d’unions judicieuses, mais qui, particulièrement dans le cas de l’homme, s’occupe de toutes les influences susceptibles de donner aux races les mieux douées un plus grand nombre de chances de prévaloir sur les races les moins bonnes« .

Il voulait aussi combiner cela avec un système social de « méritocratie », que la France technocrate a parfaitement appliqué et dont nous payons fortement les conséquences. Il a aussi travaillé sur des jumeaux toujours pour identifier l’hérédité.

Galton voulait carrément créer un  « clergé scientifique » – qui n’est pas sans rappeler les individus qualifiés de « médecins » qui font la pluie et le beau temps à la télé comme dans tout le pays depuis 19 mois- pour imposer une démarche eugénique dans l’ensemble de la société. Le seul frein à tout cela était la morale de la société qui n’approuvait pas l’élimination brutale d’une partie des citoyens.

Ces théories ont beaucoup intéressé Nietzsche, ce grand philosophe qui entre deux coups de folie les a ramenées en Allemagne.

L’Eugenics Education Society a été crée en 1907 par Sybil Gotto, inspirée par les thèses de Galton.

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En 1911, un article économique intitulé « Les progrès de l’eugénisme » listait les nombreux domaines d’application de l’idéologie eugéniste, qualifiée de « science de la réforme sociale ». Car il fallait régler les problèmes de la société et permettre à cet « ordre social » auquel tient tant cette petite élite de perdurer indéfiniment.

En 1912 c’était le 1er congrès international d’eugénisme à Londres, avant les nazis. Puis en 1921 et 1932 à New York.

Et la création de l’International Federation of Eugenics Organizations par Charles Davenport, qui regroupait des organismes de différents pays, parmi lesquels l’Institut Kaiser Wilhelm d’anthropologie, hérédité humaine et d’eugénisme, le Cold Spring Harbour Carnegie Institution for Experimental Evolution, l’Eugenics Record Office.

Une grande partie de l’argent venait de la fondation Rockefeller, qui après la 1ère guerre a aussi financé la psychiatrie génétique en Allemagne, et la création du Kaiser Wilhelm Institute for Psychiatry à Munich (ex Institut Kraepelin[16]) dont on parlera dans le prochain article sur l’eugénisme version Allemande.

Dès 1913 le Mental Deficiency Act a séparé les handicapés mentaux de la société pour qu’ils n’aient pas d’enfants dans le cadre d’une idéologie eugéniste revendiquée au Parlement. Ce texte a été en vigueur durant une quarantaine d’années.

Concours de la famille eugénique dans le Kansas

Le fondateur du Tavistock, Cyril Blunt, avait travaillé pour la ville de Londres en tant qu’eugéniste / psychologue afin d’établir des tests de QI pour identifier les écoliers moins « intelligents » d’après ses critères basés sur un « ordre social » très hiérarchisé avec l’aristocratie anglaise et les riches tout en haut.

Un test a donc été imposé aux enfants de 11 ans en vue de les répartir dans des écoles de niveaux différents, en fonction du rôle social attendu des enfants.

Entre les deux guerres, l’eugénisme s’est répandu comme une traînée de poudre dans la société anglaise. Bien au-delà de la frange d’extrême-droite de l’aristocratie. Les eugénistes étaient présents dans l’éducation, dans la pédiatrie, dans les politiques familiales pour encourager les femmes de la classe moyenne à avoir plus d’enfants que les pauvres en les incitant par des aides financières tout en pénalisant les pauvres[17] en taxant fortement –comme c’est toujours le cas- les célibataires et couples sans enfants, dans la « médecine » ou assimilé, dans l’économie, matière conçue et standardisée par les anglais…

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En 1938, l’ « Euthanasia Society of America » a été créée pour défendre les vues eugénistes sur l’élimination des « indésirables » et réclamer la légalisation de ce procédé, d’abord évidemment pour des motifs médicaux (fin de vie, bébés mal-formés…).

Le psychiatre Juif Allemand Franz Kallmann a émigré aux USA en 1936. Il y a créé en 1948 l’American Society of Human Genetics qui a lancé plus tard le « Human Genome Project ». Kallmann a aussi été nommé à la tête de l’Institut Psychiatrique de l’État de New York, rattaché à l’université de Columbia qui était un des centres principaux des expériences MK Ultra.

Le directeur de l’Institut psychiatrique de New-York était le Dr Nolan D.C Lewis, élève de Freud et franc-maçon qui a travaillé avec la fondation Rockefeller pour promouvoir la « psychiatrie génétique » en 1934. Il a contribué avec Ewen Cameron et John Rawlings Rees à l’expertise psychiatrique de Rudolf Hess. Lewis utilisait aussi des drogues, notamment la mescaline, sur ses cobayes / patients.

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Les eugénistes étaient dangereux, car ils considéraient notamment, comme jupicrétin et ses amis, que les pauvres sont la cause de la totalité de leurs maux et même de ceux des classes supérieures. Greta Jones explique par exemple dans « Eugenics ans social policy between the wars » que « la mortalité infantile élevée et le taux de maladies parmi les enfants de la classe ouvrière était dû à la négligence et à l’ignorance –résultat d’une faiblesse  d’esprit héréditaire. Ainsi ce ne sont pas les salaires ouvriers qui sont insuffisants, mais le standard des soins maternels ». Il était même question d’ « inefficience maternelle ».

C’est tellement pratique, et on comprend pourquoi les milieux industriels et d’affaires étaient si intéressés par ce genre de théories. « En outre, une grande partie du retard de croissance, du rachitisme et d’autres les maladies de l’enfance parmi les segments de la classe ouvrière étaient dus, ont-ils suggéré, au fait que les types physiques pauvres gravitaient inévitablement dans la couche sociale inférieure« , ajoute Greta Jones. Rappelons qu’à l’époque les eugénistes étaient considérés comme des « scientifiques » puisqu’on n’avait pas encore mis leurs théories en application à fond comme l’ont fait les Nazis.

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En effet pour les eugénistes, le chômage, le crime et tous les maux de la société sont dus à la condition héréditaire des classes ouvrières ou carrément pauvres. Ils parlaient beaucoup de « groupe à problèmes sociaux » à cette époque, terme repris dans le rapport Wood de 1929 sur la déficience mentale et qui a renforcé la pression pour la stérilisation des handicapés mentaux.

Des articles étaient publiés jusque dans la si fameux British Medical Journal pour appeler à appliquer cette « solution » et à l’époque les braves citoyens de la classe moyenne craignaient vraiment une épidémie de pauvres complètement débiles qui menacerait toute la société.

En 1921, après le 2e congrès international eugéniste, l’American Eugenics Society (appelée aussi « Society for Biodemography and Social Biology ») a été créée pour pousser à la régulation raciale et la santé version eugénistes. Averell Harriman, grand patron de presse US très à droite pour ne pas dire carrément fasciste et fondateur du Time était à son conseil d’administration. Grâce à d’importants subsides de « philanthropes », la société s’est donnée à fond dans la propagande pour le contrôle des naissances.

Le terrain aux Etats-Unis était très propice pour les théories eugénistes, et des structures ont été créés dès la fin du XIXe, comme le laboratoire privé de Cold Spring Harbor pour la recherche en génétique et biologie, qui a abrité les travaux de Darwin notamment.

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Ce labo fondé en 1890 et dirigé par Charles Davenport[18], où l’on cherchait à identifier les traits génétiques parfaits dans les familles américaines et à populariser l’idéologie eugéniste, existe toujours. Il a abrité de 1910 à 1939 l’Eugenics Record Office (ERO) qui avait pour objectif d’étudier le comportement humain dans une perspective eugéniste.

Davenport a recruté pour diriger l’ERO un certain Harry H. Laughlin, spécialiste d’agriculture qui voulait sélectionner les humains comme les graines qui est devenu un des meneurs du mouvement eugéniste aux USA. Ce raciste et propagandiste forcené de l’eugénisme dont les travaux à l’ERO ont été financés par John D. Rockefeller dans les années 1910, a mené des enquêtes aussi nombreuses qu’hasardeuses dans ce sens.

Président de l’American Eugenics Society de 1927 à 1929, Laughlin était un militant de la stérilisation qui a défini les critères des personnes à stériliser appelées « socialement inaptes ». Ces critères ont servi à concevoir les lois de stérilisation ou permettant la stérilisation qui se sont propagées dans la moitié des États Américains entre 1907 (Indiana) et 1921.

Les cibles des stérilisations forcées et les procédures variaient selon les États, mais les « médecins » se couvraient toujours par une décision collégiale et en général les cibles étaient les natifs Américains, les malades mentaux, les délinquants, parfois les Noirs, les épileptiques, les aveugles, les sourds, même gens atteints de tuberculose ou syphilis, les « difformes » ou les « individus à charge » comme les orphelins, les sans-domicile etc.

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Hitler s’est directement inspiré des lois inspirées par Laughlin aux Etats-Unis pour sa loi de 1933 imposant la stérilisation massive des handicapés, et aussi pour son délire de gouvernement mondial. Laughlin a même été récompensé en 1936 par l’université d’Heidelberg pour la pertinence de ses travaux sur la « science du nettoyage racial ». Autre marotte de Laughlin : l’internationalisme et la création d’un gouvernement mondial eugéniste.

Les eugénistes se servaient de la « philanthropie » comme un moyen d’utiliser l’hygiène, l’éduction, l’environnement, pour la préservation de la race comme l’explique un texte du début du XXe siècle, « The Groundwork of Eugenics » de Karl Pearson.

L’eugénisme était aussi répandu en Suède où la loi sur la stérilisation de 1934 est passée comme une lettre à la poste, en France où une expérience a été menée près de Strasbourg à partir de 1924 avec de vraies familles[19], aux Etats-Unis à travers la Société Eugéniste et le développement du Planning Familial[20], en Allemagne Nazie bien-sûr où l’école de Francfort a repris les travaux en la matière…

De fait, Greta Jones souligne :

« Il y a des liens entre l’eugénisme et la philosophie du néo libéralisme et les héritiers de cette tradition peuvent trouver une compatibilité entre l’eugénisme et leurs vues sociales. C’était une déduction logique de leurs principes. Le néo-libéralisme a redéfini la citoyenneté non comme étant simplement un droit politique mais comme un idéal moral, social et même esthétique ».

La Fabian Society

fabian society

La société fabienne était officiellement de tendance socialiste et constituait le think-thank du parti travailliste, tout en intégrant totalement les vues eugénistes d’une société de castes. Elle a été créée en 1884 et avait pour ambition « la reconstruction de la société en accord avec les plus hautes perspectives morales » tout en critiquant les dérives du capitalisme ainsi que les mouvements de gauche. C’était le début du « socialisme », mené par des bourgeois dont l’objectif premier était de détourner les classes laborieuses de toute velléité révolutionnaire.

[Voir aussi : Guy Boulianne — « La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués »]

Sidney Webb qui l’a présidée à la fin du XIXe était un ponte du mouvement socialiste et membre de la Société Eugéniste anglaise dès sa création. En 1904 Webb est devenu président du comité technique de l’Education, en charge de gérer l’enseignement secondaire et supérieur.

Pour les membres de la Fabian Society, l’Etat devait intervenir plus fortement au niveau social pour « améliorer » la société à travers l’éducation, la santé, les aides sociales, les lois du travail, et le repérage des enfants qui deviendraient des adultes problématiques. Tout cela devait être utilisé comme autant d’instruments de régulation des tensions sociales.

Woolf analyse International government

Les « Fabiens » comme ils s’appelaient défendaient aussi un « gouvernement mondial ». Léonard Woolf (membre du parti travailliste, écrivain et mari de Virginia Woolf) qui avait rejoint la Fabian Society en 1913, a publié en 1916 un bouquin intitulé « International government » dans lequel il appelle à la mise en place d’un gouvernement mondial, un pouvoir supranational, cela bien évidemment au nom de la « paix », cet argument qui a servi à construire l’Europe du business et de la finance.

Les « écrivains » HG Wells ou George Bernard Shaw appartenaient à la Fabian Society, quant à Georges Orwell et Huxley ils gravitaient a minima dans son orbite. Le livre d’Huxley « Le Meilleur des mondes » comme 1984 d’Orwell ne sont pas de la science-fiction mais des programmes, des essais dans le cadre de leurs échanges sur le monde dont ils rêvaient.

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Huxley était un eugéniste revendiqué, il était pour le « contrôle des naissances » et même pour l’amélioration de l’humain par les moyens disponibles (donc le début du transhumanisme) mais il trouvait que ça ne suffisait pas pour assurer un réel contrôle social. C’était aussi un grand ami d’un des plus éminents psychiatres impliqués dans le programme MK-Ultra, Louis Jolyon West[21].

Wells quant à lui était évidemment raciste, voulait une société mondiale et prônait un « darwinisme social ». Il se félicitait de l’arrivée des médias de masse, en premier lieu la télé mais aussi les groupes de presse d’envergure mondiale, qui ouvraient de nouvelles perspectives en matière de stratégie politique. Il est devenu membre de la société eugéniste dès sa création en 1907 mais était plus pragmatique que Galton.

« Ses vues eugénistes paraissent cependant une transposition au niveau mondial des thèses des Webb, encore qu’il ait toujours insisté sur le fait qu’il parlait d’un état futur qui lui n’était pas encore réalisable aujourd’hui « , écrit Daniel Becquemont dans « Eugénisme et socialisme en Grande-Bretagne. 1890-1900 ».

Quand Galton a exposé à la Société de sociologie son idée de sélectionner les meilleurs de la société en les poussant à se reproduire, Wells lui a rétorqué que « C’est en recourant à la stérilisation d’éléments déficients de la société et non à la sélection des meilleurs qu’il sera possible d’améliorer la race humaine ».

Wells était le tuteur d’Huxley à Oxford, tout en étant responsable des renseignements anglais durant la Première Guerre mondiale, et a initié son élève au culte des Enfants du Soleil, un groupe de l’élite anglaise qui faisait des orgies « dionysiaques ». En 1937, Huxley a été diffuser sa vision du monde à Hollywood où il a travaillé sur des scénarios pour MGM, Warner Brothers er Walt Disney. Dans les années 50 depuis la Californie, il a aussi étudié les effets des drogues, notamment la mescaline, sur le psychisme.

leary

En Californie, Huxley a été un meneur de cette « contre-culture » développée par la CIA pour capter la jeunesse et la conditionner à coups de LSD et de groupes de rockers drogués. La bande de Charles Manson était d’ailleurs un parfait exemple de ces groupes de hippies borderline qui peuplaient la Californie à l’époque.

De 1960 à 1962 Huxley a contribué avec Timothy Leary et d’autres à une série d’expériences appelées « Harvard Psilocybin Project » sur les effets psychédéliques du LSD et de la mescaline notamment. C’est le Centre pour la recherche sur la personnalité d’Harvard qui hébergeait ces travaux, interrompus après le licenciement de Richard Alpert, qui co-dirigeait les travaux avec Leary.

Quant à Huxley qui était lui aussi membre de la Société Eugénique anglaise, son père « médecin » était déjà surnommé « le bulldog de Darwin » -et de ses théories de l’évolution et de la sélection naturelle. Son frère Julian, biologiste, est passé par l’Allemagne et les Etats-Unis au début des années 1910 avant de revenir en Angleterre pour enseigner notamment à Oxford, puis de travailler avec HG Wells sur le bouquin « La Science de la Vie ».

julian huxley

Il était favorable à la stérilisation des inférieurs, ce qui ne l’empêchait pas de passer pour un « humaniste ». Cet internationaliste a d’ailleurs été à la manœuvre dans la création de l’UNESCO dont il a été le premier directeur général, en 1946.

Parmi les membres de la Fabian Society, il faut aussi citer Annie Besant, disciple de Blavatski et militante de la théosophie, dont va reparler dans le prochain épisode, ou encore William Clarke qui a édité les textes de l’occultiste et fondateur de la république Italienne Giuseppe Mazzini.

Le mouvement dit « comportementaliste » a repris de la vigueur grâce à la Fabian Society qui a permis de mieux diffuser ce concept dans les milieux politiques et académiques puis dans la société. De nombreuses institutions ont une filiation avec l’idéologie de la Fabian Society, comme la London School of Economics qui diffuse la pensée néo libérale.


Pour terminer cette première prtie sur l’eugénisme, il faut quand-même dire que cette idéologie revient au pas de charge, à mesure qu’avancent les technologies de sélection des embryons. La micronie a même été beaucoup plus loin, en autorisant l’ « avortement » jusqu’au dernier jour de grossesse pour simples raisons « psycho-sociales ». Décidée par qui ? Sur quels critères ?

« En 1998, Jeremy Rifkin, qui postule que « les techniques du génie génétique [genetic engineering technologies] sont, par nature, des outils eugéniques », considère ainsi que « la cartographie du génome humain, les progrès croissants des tests de dépistage des maladies génétiques, les nouvelles techniques de reproduction et les nouvelles méthodes de manipulation du génome humain (…), toutes ces innovations jettent les fondations technologiques d’une civilisation eugénique mercantile », rappelle Pierre-André Taguieff.

[Voir aussi :
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme]

Notes

[1] Selon David Livingston dans « Tanshumanism : the history of a dangerous idea », l’oncle du grand-père de Carl Jung, Johann Sigmund Jung, était membre des illuminés de Bavière. Son grand-père était franc-maçon, et un autre de ses ancêtres était rosicrucien. Jung a collaboré avec la CIA.

[2] Ce qui a débouché sur des pseudos tests d’ « intelligence » et de « QI ».

[3] Bedford, Hastings Russell aussi appelé « marquis de Tavistock », a créé le parti fasciste anglais, le British Peopole’s Party, en 1939. Cela, avec l’appui actif d’un autre fasciste devenu nazi, John Beckett. Il était aussi proche pendant la guerre de Barry Domvile, fondateur de The Link, une organisation dédiée au rapprochement anglo – allemand. C’est Hastings que Rudolf Hess cherchait à rencontrer lors de son escapade en Ecosse en 1941. Hess a probablement été aidé par le MI6 pour partir d’Allemagne, ainsi que par Aleister Crowley, son ami Ian Flemming et le duc d’Hamilton qui était son contact en Franc-Maçonnerie.

[4] Les International Eugenics Congress ont été mis en place par l’Eugenics Education Society, ou « Institut Galton » (Galton est décédé en 1911). Churchill est venu à la conférence de 1912 à Londres avec le diplomate lord Balfour (qui a mis un bazar sans nom au Moyen-Orient). Le troisième et dernier congrès a eu lieu en 1932 à New-York.

[5] Le Bon était une sorte d’intellectuel très proche des milieux politique, qui avait notamment organisé des déjeuners sur le mode des dîners du Siècle où traînaient par exemple Aristide Briand ou Raymond Poincarré, ainsi que des artistes. Ses travaux sur le déterminisme apparemment assez hasardeux ont malgré tout lancé la « psychologie sociale » en France.

[6] Les ondes ont été utilisées par Thatcher contre le mouvement de protestation de femmes pour la paix à Greenham Common, une base militaire. Beaucoup de militantes ont eu des cancers. Elles ont aussi été utilisées dans les quartiers de mineurs pour els rendra apathiques et qu’ils cessent les grèves et toute contestation sociale. Des ondes ELF (ultra basse fréquence) étaient diffusées par les antennes télé et téléphone.

[7] A l’époque toute réticence face au discours de dégraissage permanent était considéré comme une « résistance au changement » et signait la mort du salarié dans l’entreprise car il n’avait pas assez de « capacités d’adaptation ».

[8] Cf. « Kurt Lewin at the Tavistock Institute » de Jean E. Neumann, 2005.

[9] Cf. « Fifty Years of the Tavistock Clinic (Psychology Revivals) » de H.V. Dicks

[10] On ne connait toujours pas exactement les raisons de ce voyage hasardeux. Ce fidèle d’Hitler était le numéro 3 du parti derrière Hitler et Goering, et avait rejoint le NSDAP dès 1920. Il a atterri dans un champ en Ecosse. Apparemment il avait pour objectif de rencontrer le duc d’Hamilton qui était venu aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936 et avait rencontré les principaux dignitaires nazis, pour préparer une proposition de paix.

[11] Cf. « Transhumanism: The History of a Dangerous Idea » de David Livingstone.

[12] Cf. Gordon Thomas « Les Armes secrètes de la CIA . Tortures, manipulations et armes chimiques ».

[13] Cf. Gordon Thomas « Les Armes secrètes de la CIA . Tortures, manipulations et armes chimiques ».

[14] Créé en 1907, le Francis Galton Laboratory for National Eugenics était alors le principal centre anglais de recherches sur les questions d’eugénisme.

[15] Par exemple en 1869 Galton publie « Hereditary Genius, an inquiry into its laws and consequences », une enquête sur 300 familles d’hommes réputés : « Galton constate ainsi que 31 % des hommes éminents avaient eux-mêmes un père éminent et que 38 % ont un fils éminent. La conclusion qu’il tire de cette étude statistique est qu’il existe une loi de distribution des capacités dans les familles, c’est-à-dire que plus la parenté est proche, plus la proportion de génies est élevée ». Il a persévéré dans ses travaux pour déterminer la part d’inné et d’acquis sans jamais y parvenir.

[16] La création de l’Institut Kraepelin a été soutenue par James Loeb (famille Kuhn-Loeb) le beau-frère de Paul Warburg, et Gutav Krupp von Bohlen und Hallbach, leader de la famille Krupp. Nommé d’après Emil Kraepelin (1856-1926) qui est considéré comme le fondateur de la psychiatrie moderne, de la psychopharmacologie et de la psychiatrie génétique.

[17] Cf. « Eugenics ans social policy between the wars » de Greta Jones, Ulster Polytechnics.

[18] Diplômé d’Harvard où il a enseigné avant d’arriver à l’Université de Chicago. Davenport a ensuite persuadé l’épouse Harriman et John Harvey Kellogg puis la Carnegie Institution de Washington (appartenant à l’industriel Andrew Carnegie) de financer un labo pour « l’Etude expérimentale de l’évolution » à Cold Spring Harbor. C’est aussi lui qui a dirigé l’Eugenics Record Project de sa création en 1910 jusqu’à sa retraite en 1934.Davenport était pour le contrôle des naissances pour améliorer l’hérédité de toute la société.

[19] Un industriel local, Léon Ungemach a créé un quartier pavillonnaire idéal dans lequel il a sélectionné des familles idéales comme on jouerait aux poupées, via des annonces pourtant très claires sur lesquelles on pouvait lire que « Les jardins Ungemach augmentent dans la société de demain le nombre des éléments précieux et contribuent à guider l’évolution humaine vers une ascension plus rapide ». Sur le bail, les résidents signaient aussi pour avoir au moins 3 enfants et pour partir quand le dernier aurait 21 ans, sous peine d’expulsion. Ce parc à bétail humain volontaire a été créé avec l’aide d’une caution « scientifique », Adolphe Pinard, un des pionniers de la puériculture (si si !) qu’il définit comme « la science qui a pour but la recherche des connaissances relatives à la reproduction, à la conservation et l’amélioration de l’espèce humaine ».

[20] Margaret Sanger a lancé le concept de contrôle des naissances dans les année 1910 selon le slogan « Plus d’enfants chez les plus capables, moins d’enfants chez les inaptes », avec notamment la contraception, l’avortement et la stérilisation, qu’elle destinait aux populations qu’il fallait réduire telles que les Noirs, les pauvres et les handicapés mentaux. En 1921 elle a créé l’American Birth Control League devenue ensuite le Planning Familial pour implémenter son idée d’améliorer la race humaine. Dans « The Pivot of Civilization », elle écrit : « Les déficiences mentales constituent une menace permanente pour la race humaine. (…) De plus, lorsque nous réalisons que chaque déficient mental [feeble-minded person] est une source potentielle d’une progéniture atteinte de tares [defect], nous optons pour une politique de stérilisation immédiate pour être sûr que la maternité soit absolument interdite aux déficients mentaux » (cf. Pierre-André Taguieff dans la revue Raisons politiques 2007/2 n° 26)

[21] West était un grand adepte des drogues et de l’hypnose pour manipuler l’humain.




Un hôpital démystifie la « fausse » histoire d’empoisonnement à l’ivermectine de Rolling Stone : « Tout était inventé »

[Source : anguillesousroche.com]

Un hôpital a complètement démenti le magazine d’extrême gauche Rolling Stone qui avait publié un article viral à succès sur le médicament antiparasitaire Ivermectine.

Le magazine a publié vendredi un article intitulé « Gunshot Victims Left Waiting as Horse Dewormer Overdoses Overwhelm Oklahoma Hospitals, Doctor Says«  (Selon un médecin, les victimes de blessures par balle sont laissées en attente alors que les hôpitaux de l’Oklahoma sont submergés par des overdoses de vermifuge pour chevaux), suite aux informations selon lesquelles Joe Rogan aurait pris ce médicament dans le cadre de son traitement Covid.

Dans l’article, une personne se faisant appeler « Dr Jason Elyea » a déclaré aux médias locaux que les salles d’urgence de son hôpital de l’Oklahoma étaient surchargées en raison d’un afflux considérable de patients qui auraient fait une overdose d’Ivermectine pour traiter leurs symptômes de Covid.

Le problème est que ce prétendu médecin a tout inventé.

La branche Sequoyah du Northeastern Health System, qui fait l’objet de l’article de Rolling Stone, a publié une déclaration sur son site Web affirmant que le Dr Elyea ne travaille pas à l’hôpital et qu’il n’a traité aucun patient depuis des mois.

Mais il y a pire…

L’hôpital a également déclaré qu’il n’a pas traité un seul patient pour une surdose d’Ivermectine.

« Bien que le Dr Jason McElyea ne soit pas un employé du NHS Sequoyah, il est affilié à un groupe de personnel médical qui assure la couverture de notre salle d’urgence. Cela dit, le Dr McElyea n’a pas travaillé dans nos locaux de Sallisaw depuis plus de deux mois », peut-on lire dans le communiqué du NHS.

NHS Sequoya a également réfuté l’affirmation d’Elyea selon laquelle son hôpital était submergé de patients ayant fait une overdose d’ivermectine et n’avait refusé aucun patient en conséquence.

« NHS Sequoyah n’a traité aucun patient en raison de complications liées à la prise d’Ivermectine. Cela inclut le fait de ne traiter aucun patient pour une surdose d’Ivermectine.

Tous les patients qui se sont rendus dans notre salle d’urgence ont reçu les soins médicaux appropriés. Notre hôpital n’a pas eu à refuser de patients cherchant des soins d’urgence. »

Voilà, c’est ça – des fake news.

Pourquoi des publications comme Rolling Stone et Newsweek publient-elles ces histoires de canulars sur les traitements alternatifs du COVID comme l’Ivermectine ?

Probablement pour la même raison que les CDC considèrent comme « non vaccinés » tous ceux qui meurent dans les deux semaines qui suivent l’injection d’ARNm : pour créer un récit qui contraint les gens à recevoir le vaccin expérimental.

Pour quelle autre raison les CDC fourniraient-ils de l’Ivermectine aux migrants afghans entrants mais ne la recommanderait pas aux citoyens américains ?




Un collectif de psychologues demande l’arrêt immédiat de chantage et de discriminations du gouvernement

[Source : lemediaen442.fr]

Voici la lettre d’un collectif de psychologues qui demande l’arrêt immédiat de toutes les formes de pression, de violences économiques, sociales et psychologiques, de chantage et de discriminations sur la population française. N’oubliez pas de signer la pétition et de partager autour de vous.

LETTRE OUVERTE

COLLECTIF DE PSYCHOLOGUES INDÉPENDANTS

31/08/2021

Impactés en tant que citoyens français, en première ligne pour observer, analyser et accueillir les effets psychoaffectifs, psychosociaux et psychosomatiques sur le public dont nous prenons soin dans le cadre de nos activités professionnelles, bousculés et malmenés par nos instances dirigeantes, après presque deux ans de gestion de cette « crise Covid-19 », nous, psychologues, avons décidé de partager nos observations, nos interrogations, nos doutes et nos colères entre collègues.

Le constat est sans appel pour le collectif que nous avons constitué. En effet, la situation inédite que nous traversons et les réponses de nos dirigeants sont en opposition totale avec les valeurs et l’éthique que nous défendons quotidiennement dans notre profession.

Nous sommes alarmés par l’impact de cette gestion de crise sur la santé psychique et le bien-être de la population. Bien sûr, personne ne s’attend à ce qu’une crise soit un moment particulièrement heureux et s’il existe des façons d’accompagner sa famille, son clan, son groupe, ses compatriotes, à passer une crise et à en ressortir grandi, il en existe d’autres qui alimentent la crise, affaiblissent et annihilent les capacités psychiques d’adaptation et de résilience.

Les médias de toutes sortes ont déjà détaillé à maintes reprises les difficultés matérielles rencontrées dans la gestion de cette épidémie, ce n’est pas notre champ d’expertise. Nous ne reviendrons pas dessus même si beaucoup d’entre nous assistent impuissants à la dégradation des moyens humains et matériels donnés aux hôpitaux pour soigner les personnes avec la dignité qu’elles méritent et ce, depuis bien avant l’arrivée du virus Sras-cov-2.

Laissons donc de côté l’aspect de destruction du système de santé et concentrons-nous sur la gestion humaine de cette crise et ses effets délétères sur la population, comme les troubles psychiques impactant toutes les classes d’âge, ainsi que toutes les catégories socioprofessionnelles. Dépression, burn-out et stress post-traumatique en sont les maîtres mots. Il ne suffit pas de proposer de rembourser quelques séances de thérapie à des personnes qu’on a angoissées, enfermées, contrôlées et désorientées dans un moment de vulnérabilité extrême pour les réparer en 3 à 10 séances.

Au lieu d’humanité et d’aide soutenante apportées à la population, nous avons repéré l’utilisation de techniques de persuasion, et même de manipulation, issues du management, du marketing et de la technocratie, qui peuvent être qualifiées de perverses, voire cyniquement harceleuses, si jamais elles se révélaient être utilisées à dessein pour poser les jalons d’un régime totalitaire.

Injonctions paradoxales, discours alarmistes s’appuyant sur une énumération de faits ou de statistiques décontextualisés, renversement en son contraire ou inversion des valeurs morales, attaque des besoins primaires (tant sur le plan physiologique, du sentiment de sécurité que du lien social), chantage et menaces, instauration de clivages (en bon/mauvais, vax/antivax, responsables/complotistes, etc.), iniquité des décisions, culpabilisation, aboutissent à l’augmentation de vécus dissociatifs tel que la déréalisation et la dissonance cognitive, résultant de la croyance en des idées ou des valeurs contradictoires, et engendrent un mal-être difficilement surmontable et pathogène.

C’est ainsi qu’en mobilisant principalement les émotions sidérantes comme la peur, la culpabilité et la honte plutôt que les capacités cognitives et intellectuelles des individus, les discours médiatiques et officiels obtiennent l’adhésion à des idéologies et à des comportements auxquels les individus n’adhéreraient probablement pas si seules leurs capacités d’analyse et de discernement étaient sollicitées. Le système actuel entretient une régression vers un fonctionnement infantile, dans lequel le chantage, la peur et l’intrusion perverse permettent d’obtenir l’obéissance.

Nous ne pouvons manquer de repérer aussi, dans les différents aspects de cette gestion de crise, les principes et les mécanismes identifiés par le sociologue Albert D. Biderman pour faire plier psychologiquement un individu.

L’isolement en est la première composante. Il engendre repli et préoccupation excessive centrée sur soi, rupture avec le soutien social permettant de résister et dépendance à l’autorité. Associé à la médiatisation d’une pensée narrative unique considérée comme la seule valable, l’isolement annihile l’esprit critique et accentue la réticence à s’exprimer et à s’interroger, de peur d’être stigmatisé, considéré comme “complotiste” et exclu de son clan familial, amical ou professionnel.

L’isolement physique et psychologique, la confusion, le doute, la peur et la tension permanente que la gestion de cette crise a fait vivre aux Français ont fragilisé leur santé psychique mais aussi leur santé physique. Que penser de ces choix stratégiques qui, pour sauver des vies, en sacrifient tant d’autres par ailleurs ? En effet, parmi les dommages collatéraux des confinements successifs, nous observons dans nos consultations une augmentation des suicides, y compris chez les enfants, des violences intrafamiliales, des pratiques incestueuses, des troubles anxio-dépressifs, des syndromes de glissement massifs dans les Ehpad et les hôpitaux, etc.

Aujourd’hui, le gouvernement rajoute encore à nos concitoyens une épreuve supplémentaire, en choisissant de les diviser par la stigmatisation de la vaccination et de l’obéissance.

Nous n’acceptons pas qu’un schéma vaccinal, à partir de techniques expérimentales aux résultats discutables, puisse être imposé à notre profession et à nos collègues soignants, obligeant ceux qui refusent de s’y soumettre à renoncer à leur métier. En l’état actuel de la loi du 5 août 2021, les psychologues faisant usage du titre, quel que soit leur lieu d’exercice, y compris en libéral et par téléconsultation, perdent leur droit d’exercer et leur rémunération s’ils ne satisfont pas à l’obligation vaccinale.

Nous exigeons l’arrêt immédiat de toutes les formes de pression, de violences économiques, sociales et psychologiques, de chantage et de discriminations exercées sur nous, nos collègues et les concitoyens ne souhaitant pas se faire vacciner. Nous demandons le rétablissement d’une stratégie favorisant le choix et l’implication individuelle et ce, à partir d’une information libre et éclairée.

Nous ne pouvons pas plus cautionner le passe sanitaire ou la diffusion des données biomédicales pour accéder à la vie quotidienne, du fait non seulement de son caractère discriminant et asservissant mais également à cause du manque de respect du secret médical. A ceux qui pourraient nous opposer ici la dangerosité du virus et la prévalence de la santé publique sur l’atteinte aux libertés individuelles, nous répondons que toutes les options de prophylaxie et de traitements ne sont pas étudiées pour nous permettre de vivre avec, en pleine conscience et responsabilité.

Aujourd’hui, les citoyens qui se croyaient protégés par des lois acquises et essentielles à la garantie de leurs libertés et de leur égalité, se retrouvent à nu et en perte de repères dans un monde qu’ils ne reconnaissent plus. Nous avons tous à redouter les conséquences de cette inversion des valeurs que cette nouvelle donne politique érige en modèle sociétal.

Dans ce contexte inédit où les principes fondamentaux de notre code de déontologie sont mis à mal, nous lançons aussi un appel à tous nos collègues psychologues.

N’ayez pas peur de prendre position pour le respect des « libertés et droits fondamentaux garantis par la loi et la Constitution, par les principes généraux du Droit communautaire et par les conventions et traités internationaux.” Restons attachés « à respecter l’autonomie de la personne et en particulier son droit à l’information, sa liberté de jugement et de décision »? Tout ce qui constitue le premier principe du code de déontologie des psychologues parce que : « Le respect de la personne dans sa dimension psychique est un droit inaliénable. Sa reconnaissance fonde l’action des psychologues. »

Nous devons comprendre là qu’il ne peut s’aliéner sous aucun prétexte, ni même aucun régime dit d’exception. En aucun cas un psychologue ne saurait être l’instrument d’un pouvoir qui devient pathologique, malsain, intrusif et traumatique, puisque sa fonction au contraire, c’est bien d’en émanciper les individus.

Engageons-nous ensemble pour le respect de nos choix concernant notre intégrité physique et psychique.

Interrogeons notre posture professionnelle et déontologique en nous demandant comment continuer d’accompagner des personnes vers une meilleure autonomie de pensée si nous sommes nous-mêmes assujettis à une pensée unique ?

Cette question se pose de la même façon que celle concernant la restriction de nos pratiques à des outils ou des méthodes imposées par décret, à la volonté de nous soumettre à l’allégeance à la pensée étatique par un ordre professionnel, ou à celle de la pensée médicale par la paramédicalisation de notre profession, tel que nous le dénoncions en nombre en manifestant le 10 juin dernier.

Comment garder notre propre autonomie de penser et d’agir, en dehors de toute contrainte normative, pour nous-mêmes et pour les personnes que nous accompagnons, d’autant plus lorsque cette dernière est changeante, aléatoire et arbitraire ?

Nous invitons donc tout collègue, tout professionnel du soin et de l’accompagnement et plus largement toute personne se reconnaissant dans ces principes, à nous soutenir, à réagir et à s’organiser.

Signez cette Lettre ouverte et partagez-la au maximum !

Un collectif de psychologues indépendants issus d’un Réseau de Solidarité Active.




Parents, agissez sans attendre ! ⚠️ Action européenne pour l’interdiction du « vaccin » Pfizer

[Source : courriel]

Parents, agissez sans attendre ! ⚠️ Action européenne pour l’interdiction du « vaccin » Pfizer (17/08/21)

➡️ ⚠️ Recours en annulation pour le « vaccin » Comirnaty (Pfizer/BioNTech).

➡️ Date limite : 15 septembre 2021.

➡️ Conditions de candidature : parent d’un enfant dans l’Union européenne.

➡️ Action : participer en tant qu’intervenant à l’action en justice visant à annuler l’autorisation par l’U.E. du produit expérimental de Pfizer/BioNtech nommé « vaccin » anti-Covid-19 pour les enfants âgés de 12 ans et plus.

➡️ Avocat coordinateur pour la France : maître Virginie De Araujo-Recchia. E-mail pour lui écrire : v.dearaujo-recchia.avocat@protonmail.com

➡️ L’avocat de chaque pays remplira la plupart des documents, les parents doivent surtout dire, «OK, je veux participer. Voici mon nom, mes coordonnées, ma carte d’identité », indique l’avocate représentant l’action.

➡️ La participation à cette action en justice est gratuite et les participants ne risquent pas d’être tenus financièrement responsables en cas de perte du procès.

➡️ Pour plus d’informations :
[Source : childrenshealthdefense.eu]

Renate Holzeisen: « Les vaccins Covid violent la législation européenne »



Senta Depuydt : [00:00:02] Bonjour à tous, je suis Senta Depuydt de CHD Europe, et aujourd’hui je reçois Renate Holzeisen, que je considère comme l’avocate numéro un pour les litiges concernant les vaccins Covid au niveau des institutions européennes. Renate est avec moi pour deux actions en justice très importantes contre la Commission européenne, et nous demandons à tous les Européens d’y participer. Renate est une avocate en droit économique et fiscal hautement qualifiée. Elle est également spécialisée dans le droit international et européen. Et depuis le début de la pandémie, elle est en première ligne pour défendre nos libertés fondamentales. Elle a ainsi déposé un nombre impressionnant d’affaires liées aux vaccins Covid. Elle est originaire du Tyrol du Sud, la partie germanophone de l’Italie, donc sa langue principale est l’allemand, et elle collabore souvent avec des collègues autrichiens et allemands notamment Reiner Fuellmich. Enfin, Renate est membre du conseil consultatif de CHD Europe. Et nous sommes très, très fiers de la compter parmi nous.

Renate, merci de vous joindre à nous. Je sais que votre temps est très précieux. Avant de nous parler des nouvelles actions, pouvez-vous d’abord nous dire quelques mots sur les différentes actions juridiques que vous avez déjà entreprises au niveau européen ? Merci.

Renate Holzeisen : [00:01:32] Merci. C’est un plaisir d’être avec vous aujourd’hui. Nous avons déjà déposé quatre recours en annulation, conformément à l’article 263 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, contre les délibérations de la Commission européenne concernant l’autorisation conditionnelle des quatre vaccins Covid-19 actuellement autorisés, qui sont en fait des produits expérimentaux de thérapie géniques. Nous avons constaté que les délibérations prises par la Commission européenne sont fondamentalement contraires au droit européen sur l’autorisation conditionnelle des médicaments et des vaccins, si seulement il s’agissait de vaccins, car nous savons qu’ils sont des produits de thérapie génique. Les décisions doivent être prises conformément au règlement européen 507 de 2006. Et l’une des conditions fixées par le législateur européen est que le produit doit garantir un équilibre positif entre les bénéfices et les risques.

Donc, tout d’abord, nous pouvons dire que ces substances n’ont pas été étudiées et autorisées pour la prévention de l’infection par le virus SARS-COV-2. Elles n’ont été étudiées et autorisées que pour la prévention de la maladie Covid-19. Et déjà là, on voit, non seulement beaucoup de malentendus, mais surtout, une véritable propagande et désinformation de la part des institutions et des gouvernements européens. Et ceci est inacceptable. Nous le voyons maintenant avec les législations qui sont annoncées dans les différents pays européens comme la France et l’Italie concernant le soi-disant Pass Vaccinal…

Senta Depuydt : [00:04:48] Oui, je reviens sur ce sujet parce que vous dites tellement de choses importantes. Et je me souviens très clairement – nous avons publié un article là-dessus lorsque l’Agence Européenne du Médicament a publié cette autorisation conditionnelle. Ils ont réalisé une longue interview avec des experts, et je pense que cette vidéo est toujours disponible sur le site, dans laquelle ils déclaraient Oh, nous ne savons pas si le vaccin va prévenir la transmission. En fait, cela n’a pas été étudié… Ce n’est pas prévu dans les données. Nous n’avons aucune idée à ce sujet. Et aujourd’hui hui, au contraire, toutes les preuves montrent que dans les pays où l’on a le plus vacciné, en Israël, au Royaume-Uni, etc. nous voyons qu’il y a de nouveaux variants et que les vaccins n’ont pas fonctionné sur la transmission. Vous soulignez donc l’élément fondamental. Comment l’Union européenne ou les différents pays continuent-ils dans cette direction ? Fournissent-ils de fausses preuves, de fausses données pour être capables de soutenir l’idée que les vaccins bloquent la transmission ?

Renate Holzeisen : [00:06:22] Oui, nous devons être très clairs à ce sujet. Nous avons l’autorisation de la Commission européenne sur le rapport positif de l’AEM et de la documentation officielle de la Commission européenne, tous les documents sont disponibles sur le site web, et en cliquant sur les rapports sur les vaccins Covid-19 tout en haut de la liste, vous trouverez alors toutes les délibérations de la Commission européenne avec les documents joints. A partir de ces documents et des documents de l’AEM, que vous pouvez trouver sur le site de l’AEM, vous verrez que la Commission européenne et l’AEM, déclarent que ces substances sont autorisées pour la prévention de la maladie. Elles n’ont jamais déclaré l’autorisation pour la prévention de l’infection parce que l’AEM elle-même affirme qu’il n’est absolument pas prouvé que ces substances fonctionnent pour la prévention de l’infection. Par conséquent, la Commission européenne n’a pas pu autoriser ces 4 substances qui sont Cominarty (Pfizer/BioNtech), Moderna maintenant appelé Spikevax, AstraZeneca maintenant appelé Vaxzevria et Janssen ou Johnson & Johnson. Ils ne sont pas autorisés pour la prévention de l’infection par le virus, et cela est juridiquement contraignant.

C’est la base légale à partir de laquelle nous devons commencer et, par conséquent, tous ces « Laissez-Passer verts / Pass sanitaire » (Covid pass), qui font référence à une preuve de la vaccination avec l’une de ces quatre substances, sont illégaux. Ils ne sont pas fondés sur des faits. Donc cette législation a déjà échoué avant qu’ils ne soient introduits. Et nous, les avocats, travaillons maintenant sur ce sujet, parce qu’il est clair que nous aurions une discrimination en violation complète des principes constitutionnels entre les personnes non traitées avec ces substances expérimentales par rapport aux personnes vaccinées. Et même les personnes qui ont été traitées avec ces substances, elles n’ont pas été vaccinées afin de prévenir l’infection.

Senta Depuydt : [00:09:54] Oui et pourtant c’est ainsi qu’ils ont justifié toutes ces mesures.

Renate Holzeisen : [00:09:57] Tout à fait. Il est clair que nous avons dès le départ une discrimination complètement illégale. Et je pense que si nous apportons cette preuve avec la documentation légale de la Commission européenne et de l’AEM devant les tribunaux, la loi sur le pass sanitaire (Covid) doit tomber  immédiatement. Et aussi la vaccination obligatoire. Nous avons déjà une vaccination obligatoire en Italie pour les travailleurs de la santé. Et je vais maintenant déposer, à partir de demain, des centaines d’actions en justice afin de demander l’annulation de la suspension déjà décidée par l’Autorité sanitaire du Tyrol du Sud, qui a suspendu sans salaire des centaines de travailleurs de la santé. Ils n’ont plus aucun revenu et c’est évidemment une situation absolument inacceptable.

Senta Depuydt : [00:11:37] Et malheureusement, on voit que ce qu’il se passe en Italie arrive en France. Je suis sûre que vous en avez entendu parler. Et je suis sûre que d’autres pays vont suivre.

Renate Holzeisen : [00:11:49] Oui. Et tout cela est basé sur la manipulation des faits par les gouvernements, même en dehors des documents officiels de la Commission européenne et de l’AEM, parce que c’est la réalité. Nos gouvernements font de fausses déclarations. Ils disent que ces substances sont destinées à prévenir l’infection par le virus, alors que ces substances ne sont pas autorisées pour cela.

Senta Depuydt : [00:12:27] J’ai une question parce que vous et moi réalisons certainement que le rôle de l’Union européenne est vraiment clé dans cette affaire. C’est l’Union qui ont poussé cet Accelerator Act à changer toute la législation et à obtenir une dérogation pour l’utilisation de technologies génétiques. Elle a négocié tous ces terribles contrats pour les vaccins, sans aucune transparence, sans aucune garantie. Elle a approuvé les vaccins sans presque aucunes données. Elle a créé une énorme dette pour les citoyens, etc, et imposé le Pass sanitaire en alternant entre les rôles du sauveur et du dictateur. Et c’est encore l’Union qui, toutes les cinq minutes, tous les jours, établit les codes couleurs de chaque pays avec l’ECDC. « Oh, vous pouvez y aller Wow c’est vert. Fantastique. Arrêtez maintenant, c’est rouge ! »

On joue avec les citoyens européens et les États membres. Alors à part vous Renate, y a-t-il d’autres avocats qui attaquent directement  la Commission européenne ou les institutions européennes comme l’AEM ou le CDC européen ? Pouvez-vous m’en dire plus à ce sujet? Y a-t-il d’autres actions au niveau européen ? Et pourquoi vous adressez-vous directement au niveau européen ? Beaucoup considèrent que nous devons plutôt plaider au niveau national.

Renate Holzeisen : [00:14:00] Nous devons faire les deux, évidemment. Nous savons qu’en raison de la juridiction de la Cour de justice européenne, et en violation de la charte européenne des droits de l’homme, elle a beaucoup trop réduit à mon avis le droit légitime des citoyens à déposer des recours en annulation devant les tribunaux européens…. (allant) à l’encontre de ce que voulait le législateur européen. Nous avons donc, à mon avis, la nécessité d’un changement dans cette juridiction.

D’ailleurs, je voudrais rappeler des paroles de l’avocat général Jacobs, qui a fait une intervention très, très importante à ce sujet. Il a dit :  « S’ils vont dans cette direction, il n’y aura plus de véritables droits de défense pour les citoyens européens. Et nous sommes arrivés dans cette situation. Donc nos actions en annulation des autorisations de ces substances expérimentales seront cruciales et cela montrera si la Cour européenne base ses décisions sur la loi et sur la Charte des droits fondamentaux, ou si nous, citoyens européens, sommes finalement laissés pour compte. C’est un point crucial. Notre situation actuelle correspond exactement à l’avertissement de l’avocat général Jacobs, il y a quelques années, c’est-à-dire « Attention ! L’évolution que vous prenez en tant que tribunal prive les citoyens d’une réelle défense devant les tribunaux ».

Senta Depuydt : [00:16:54] C’est une…

Renate Holzeisen : [00:16:56] Une situation très intéressante.

Senta Depuydt : [00:16:59] Puis-je revenir sur les actions que vous intentez maintenant ? Si je peux résumer, vous avez déposé des actions en annulation pour les quatre vaccins différents qui ont obtenu une autorisation conditionnelle. Vous avez donc intenté des actions que nous (CHD Europe) avons déjà contribué à promouvoir et pour lesquelles nous avons trouvé des intervenants.

Pouvez-vous expliquer votre prochaine plainte ? Vous devez donc déposer un recours par vaccin. Vous l’avez déjà fait pour Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Et pour ceux-ci, nous n’avons plus la possibilité d’intervenir, les délais sont dépassés. Mais pour le dernier vaccin, celui de Johnson & Johnson, nous pouvons tous participer en tant qu’intervenants d’autres pays.

Renate Holzeisen : [00:17:52] Oui, c’est cela.

Senta Depuydt : [00:17:54] Donnez-nous les détails. Que devons-nous faire pour participer ?

Renate Holzeisen : [00:17:58] Donc, c’est ouvert aux citoyens de toute l’Union européenne et, premier lieu, appartenant aux catégories qui sont maintenant confrontées à une vaccination obligatoire, les travailleurs de la santé, mais aussi d’autres. Je pense aux enseignants, aux pilotes et aux travailleurs des transports publics, ils peuvent intervenir en tant que soutiens aux plaignants italiens. J’ai introduit le recours en annulation contre l’autorisation de Janssen ou Johnson & Johnson pour les travailleurs du secteur de la santé italiens. Donc maintenant, les professionnels de la santé et d’autres professions français, belges, allemands, autrichiens et d’autres citoyens européens peuvent intervenir avec leurs avocats, afin de soutenir l’action des professionnels de la santé italiens. C’est une première chose.

Ensuite, la semaine prochaine, je déposerai également un recours spécifique en annulation concernant la délibération de la Commission européenne pour l’autorisation de Cominarty Pfizer/BioNtech pour les enfants à partir de douze ans. C’est, c’était un acte criminel à nos yeux et nous devons demander aux juges d’annuler cette autorisation. Ce que l’on fait aux enfants dans toute l’Union européenne est incroyable. Nous savons que la balance entre les bénéfices et les risques, surtout pour les enfants, ne pourra jamais être positive. C’est vraiment négatif parce que les enfants n’ont aucun problème avec le virus SARS-COV-2, comme le montrent les faits, mais ils encourent des risques incroyables à cause de cette thérapie génique expérimentale. C’est donc un véritable crime d’inoculer maintenant ces substances aux enfants. Et nous devons l’arrêter.

Senta Depuydt : [00:20:58] Merci, j’ai deux questions. La première est, que nous, en tant que Children’s Health Defense, étant donné que notre organisation principale est aux États-Unis, nous suivons vraiment tout ce qui se passe avec la FDA, le CDC, et c’est vraiment comme si les États-Unis poussaient ces politiques. Dès qu’un produit est approuvé par la FDA, il est approuvé, plus ou moins automatiquement, par l’Agence Européenne du Médicament. Je peux maintenant voir que la tendance évolue très rapidement aux États-Unis. Aux dernières nouvelles, ils veulent vacciner les bébés à partir de six mois et ils parlent même de vacciner les enfants sans consentement parental ou même sans information parentale. Donc vous ne sauriez même pas que votre enfant, si par exemple il revient de l’école et que quelque chose lui arrive, vous ne sauriez même pas qu’il est vacciné. Pensez-vous donc que cette politique est vraiment, disons, poussée par les États-Unis ? Parce que je sais que le CDC européen reprend également une grande partie de leurs informations, de leur science, si l’on peut dire. Est-elle poussée par les États-Unis ? Qu’en pensez-vous ?

Renate Holzeisen : [00:22:30] Oui, je vois que ces agences qui donnent les autorisation AEM et autres…. sont dans les mains du lobby pharmaceutique ou plus précisément  les membres de ces autorités viennent de ces lobbies. Donc nous sommes dans une situation très critique, et c’est à nous les adultes de défendre les enfants. Nous devons les bloquer. Les enfants dépendent entièrement de l’aide que nous devons leur apporter. Sur la base de l’article 24 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, les besoins et les droits des enfants sont au premier plan et passent avant tout le reste. Alors que nous, au sein de l’Union européenne, nous utilisions des enfants comme cobayes, c’est un scandale incroyable. Je demande à chaque parent, chaque grand-mère, chaque grand-père, chaque oncle et tante de réfléchir à ce que nous faisons à nos enfants. Nous ne connaissons pas les effets à long terme de ces substances. Elles n’ont pas été étudiées. Nous connaissons les effets de ces substances à très court terme. Nous avons des milliers de morts, déjà 11000 morts en Europe. Et nous avons des centaines de milliers de réactions graves causées par ces substances. Et nous savons que ce n’est qu’une petite partie de la réalité, parce que nous n’avons pas de pharmacovigilance active. Et c’est l’une des violations de la loi européenne. Il est absolument illégal d’inoculer une substance expérimentale, sans pratiquer une pharmacovigilance active. C’est insensé. Ils le savent parfaitement et ils ne veulent pas de pharmacovigilance supplémentaire, parce que s’il y avait une vraie pharmacovigilance, on aurait des chiffres au moins dix fois supérieur.

Senta Depuydt : [00:25:37] Oui, je suis absolument consciente de cela. Renate, alors comment pouvons-nous adhérer ? Laissez-moi essayer d’expliquer ce que nous pouvons faire avec nos amis de Children’s Health Defense et ensuite vous me corrigerez si je me trompe.  Donc ce que les gens peuvent faire dans chaque pays.

Vous déposez l’action en allemand. Donc tous les participants doivent déposer l’action en allemand aussi quelque soit leur pays. Nous devrons donc traduire l’action et aussi le formulaire pour les personnes qui se joigne à l’action en tant qu’intervenants. Et dans chaque pays, il faut que ce soit relayé par un avocat, ou au moins un avocat par langue pour réunir les documents et les introduire.

Renate Holzeisen : [00:26:32] Oui. Je dirais que c’est le moyen le plus facile. Nous fournissons la traduction des actions qui ont déjà été déposées en anglais, français, italien, allemand et grec et de nombreuses autres langues. Le formulaire pour les intervenants a été préparé dans la langue originale, c’est-à-dire l’allemand, parce qu’il doit être déposé en allemand, la procédure est en langue allemande. Mais nous avons tout traduit. Ainsi l’avocat qui amène les intervenants reçoit tout cela de moi.

Senta Depuydt : [00:27:45] Qui doit signer le formulaire ? Donc l’avocat remplit les détails des personnes qui doivent dire, « OK, je veux participer. Voici mon nom, mes coordonnées, ma carte d’identité ».

Renate Holzeisen : [00:27:58] Chaque avocat a besoin évidemment d’un pouvoir donné par ses clients.

Senta Depuydt : [00:28:09] Et les avocats doivent être enregistrés sur e-Curia (barreau européen en ligne) ce qui est assez simple à faire si ils ne le sont pas déjà. Une question que les gens posent : y a-t-il des frais d’adhésion ou des risques financiers pour les personnes qui veulent joindre cette action ?

Renate Holzeisen : [00:28:28] Tout d’abord, les intervenants ne font que soutenir la position des plaignants et n’apportent pas leurs propres arguments. Donc ils n’amplifient pas les besoins de défense de la contrepartie, qui est la Commission européenne, mais qui pourrait aussi être le producteur pharmaceutique. Les coûts sont donc nuls, puisqu’ils n’amplifient pas les arguments présentés au tribunal. Non, il n’y a pas de risques financiers.

Je voudrais également dire une autre chose très importante pour que les gens puissent comprendre le fondement de ce recours en annulation. Tout d’abord, comme je l’ai dit, nous n’avons pas de balance positive des risques et des bénéfices pour ces substances appelées vaccins. Et un autre argument très important est qu’il n’y a pas de réelle absence de traitement contre la Covid-19.

Et là, nous pouvons constater une fois de plus le très mauvais rôle joué par l’AEM. C’est une des conditions prévues par le législateur européen pour donner l’autorisation à des produits pharmaceutiques non étudiés dans tous leurs aspects. Il faut savoir que pour ces substances expérimentales il n’y a pas eu, même pas d’études pré-cliniques. On n’a pas fait d’études sur les animaux, qui font partie des études fondamentales.

[00:30:56] Une autorisation conditionnelle est seulement possible, selon le règlement de l’Union européenne 507 de 2006, s’il y a une réelle absence de traitement d’une maladie. Nous savons qu’en particulier dans l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, de très bonnes thérapies basées sur des produits comme l’Ivermectine par exemple ont été bloquées. Et nous savons que l’Ivermectine fonctionne très, très bien. Et nous avons vu que l’AEM, il y a deux mois, a de nouveau bloqué l’utilisation de l’Ivermectine dans l’Union européenne. C’est le mauvais jeu qu’ils jouent. Et c’est l’un des arguments fondamentaux que nous apportons avec ce recours en annulation. Nous disons « nous ne voyons pas les avantages de ces substances appelées vaccins. Les risques sont énormes, énormes. Vous ne pouvez même pas évaluer la balance, parce que vous ne connaissez pas tous les risques. Nous savons qu’il y a des risques très élevés à court terme et pour le moyen et long terme, nous ne le savons pas. Nous ne sommes donc même pas en mesure d’établir un bilan. C’est pourquoi, ces autorisations doivent être annulées immédiatement ».

Senta Depuydt : [00:32:58]Je reviens sur ce que vous avez dit, car vous avez mentionné beaucoup de choses très importantes. Nous avons une plainte similaire en Belgique exactement sur cette base,  demandant la suspension de l’autorisation des vaccins expérimentaux, parce justement il y a des traitements disponibles.

Et il y a quelques jours, nous avons également interviewé le Dr Tess Lawrie à l’occasion de la Journée de l’Ivermectine, car de nombreux médecins souhaitent avoir le droit de prescrire. Donc vous touchez vraiment un élément très, très important ici.

A ce sujet, savez-vous qui est réellement responsable de ces recommandations au niveau de l’AEM ? Savons-nous s’ils suivent les conseils des États-Unis, se basent sur des études biaisées, peut-être de l’OMS ? Pouvons-nous identifier des responsabilités individuelles pour finalement pouvoir mettre certaines personnes en cause et dire : « OK, cette personne ici est vraiment responsable de la manipulation des données ou de la dissimulation des données » ?

J’ai entendu sur l’Ivermectine que le premier rapport était très bon et qu’ensuite, à la dernière minute, en France par exemple, certaines personnes clés sont venues ajouter de petites phrases du genre « Finalement, ce n’est toujours pas concluant. Nous ne pouvons pas autoriser ce traitement car il y a un manque de données » etc. Pouvons-nous faire quelque chose de plus à ce sujet. Pouvons-nous poursuivre ces personnes qui, a un moment donné, ont eu un rôle majeur pour bloquer ces traitements?

Renate Holzeisen : [00:34:42] Absolument ! Je pense que nous devons faire la même chose que la Chambre du barreau des avocats en Inde. Après avoir déposé mon cinquième recours en annulation concernant la situation spécifique de nos pauvres enfants, nous devrons également penser à une action spécifique en dommages et intérêts. Nous devons introduire cette action, conformément à l’article 265, devant le tribunal général européen contre la Commission européenne et l’AEM pour avoir bloqué l’utilisation de ces médicaments très efficaces et utiles comme l’Ivermectine. Je pense que nous avons maintenant suffisamment de faits pour porter l’affaire devant les tribunaux européens. Car la censure sur les traitements, c’est la seule façon pour eux de continuer à appliquer ces substances expérimentales à haut risque sur l’ensemble de la population. Et nous en voyons les conséquences. Nous sommes maintenant dans des systèmes qui ne sont plus démocratiques, avec des gouvernements qui introduisent une soi-disant vaccination obligatoire avec ces produits de « thérapie génique expérimentale ». Nous devons donc également poursuivre les organisations ou agences européennes devant les tribunaux pour leur demander des dommages et intérêts. Et les dommages sont énormes, non seulement les dommages directs concernant la vie et la santé des personnes, mais aussi les dommages économiques. Nous devons donc aussi travailler sur ce point.

Senta Depuydt : [00:37:15] Je suis très heureuse que vous disiez cela. Et j’aimerais rappeler à tout le monde – et peut-être que vous voulez commenter – le fait que certaines personnes, par exemple, les Doctors For Covid Ethics ou d’autres médecins ou experts ont envoyé des avis de responsabilité aux personnes de l’AEM, à différentes agences de santé ou aux membres du Parlement européen. Nous savons que cela n’aura peut-être pas d’effet immédiat, mais ils ne pourront pas dire « nous ne savions pas ». Je me souviens très bien qu’en décembre 2019, j’étais au sommet de l’OMS, le Sommet sur la sécurité des vaccins, et nous avons entendu un responsable de la santé des philippines,  le Dr Kenneth Hartigan-Go, qui a raconté ses mésaventures pendant la crise de la dengue. C’est une situation un peu similaire d’une certaine manière. Ils avaient donné une autorisation d’urgence au vaccin Dengvaxia, parce qu’il s’agissait d’une épidémie, puis cela s’est transformé en une obligation vaccinale, mais cela a tourné à la tragédie parce que le vaccin a fait beaucoup de victimes.

[00:38:44] Au début, les médecins se sont tus parce qu’ils avaient peur de parler. Et puis ils ont commencé à voir les cas de décès. Les gens sont descendus dans la rue et ils ont arrêté la campagne. Tout cela s’est terminé par la comparution de trente-deux personnes devant un tribunal pénal, y compris Dr Kenneth Hartigan-Go, des personnes de Sanofi, des personnes des agences qui avaient approuvé le vaccin, comme l’agence des médicaments des Philippines, etc. Et bien sûr, ils disaient « nous ne savions pas quels étaient les risques encourus ».

Alors qu’ici pour le Covid les risques spécifiques liés à l’introduction d’un vaccin au cours d’une pandémie avaient déjà été soulevés avant le lancement des vaccins. Vous vous souvenez qu’il y a un an, tout le monde disait « Oh, un vaccin Covid peut être dangereux, car il peut y avoir une aggravation de la maladie, etc. ». Ces mises en garde ont permis de rapidement signer tous ces contrats exonérant l’industrie pharmaceutique de toute responsabilité, parce que le risque était tellement grand, mais par après, ils ont évidemment oublié cet argument. Donc, l’envoi des notifications légales aux responsables des agences et aux parlementaires est utile dans ce cas car ils ne pourront pas dire « Nous ne savions pas ».

Renate Holzeisen : [00:40:08] Absolument.  J’ai personnellement envoyé un courrier de signification par recommandé, le 20 décembre, au nom d’un groupe de travailleurs de la santé italiens, juste un jour avant que la Commission européenne n’autorise la première de ces quatre substances Cominarty Pfizer/BioNtech. Cet avis a été envoyé à la Commission européenne, au président, au commissaire à la santé et à beaucoup d’autres représentants des nations européennes, mais aussi à l’Organisation mondiale de la santé. Donc, ils ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas ce qu’ils ont fait.

Et surtout, les avis envoyés par le groupe Doctor For Covid Ethic, sont très précis scientifiquement, et ils posent des questions très claires à l’AEM. Et l’AEM n’a donné aucune réponse. Il est donc absolument clair que les personnes responsables de l’AEM engagent leur responsabilité personnelle pour les (dommages futurs) de ces autorisations et de la poursuite de l’autorisation de ces substances. Le principe juridique est très clair.

Senta Depuydt : [00:42:02] Espérons donc que nos actions portent leurs fruits. Et dernière chose, vous avez mentionné l’aspect financier, et surtout que cela fait aussi partie de votre expertise. CHD Europe travaille également avec Mme Catherine Austin-Fitts. Elle vient de publier un rapport intitulé « The Going Direct Reset », dans lequel elle montre comment l’ensemble de la réponse à la pandémie, d’un point de vue financier, était déjà en place pour aller de l’avant avec un programme qui s’apparente à un coup d’état monétaire.

La crise et l’effondrement économiques étaient déjà là avant la pandémie, mais maintenant, nous pouvons tout mettre sur le dos de la pandémie, bien sûr. Je recommande vraiment à tout le monde de lire ce rapport. Elle commence également à identifier quelques-uns des acteurs clés. J’espère vraiment que vous, Catherine Austin-Fitts, Reiner Fuellmich, Bobby Kennedy et tous les autres passeront à l’action, car ces actions sont vraiment internationales. Je sais qu’une action a été déposée au tribunal international de La Haye par des avocats et des organisations françaises pour montrer les responsabilités individuelles, à l’OMS avec Tedros Adhanom par exemple, ou le Président Macron. La France joue également un rôle important dans ce plan. Donc, vous savez, j’ai vraiment hâte de diffuser le message, de participer. Et je tiens à vous remercier car vous êtes vraiment héroïque à mes yeux.

Renate Holzeisen : [00:43:52] Je pense que les vrais héros sont les citoyens qui font face à la situation sur le front, qui s’opposent à ce qui se passe. Pour moi, ce sont eux les vrais héros. Je dis à chaque médecin, à chaque professionnel de santé qui vient me voir, qui me demande de l’aide et qui me remercie, je leur exprime toujours mes profonds remerciements parce que sans eux, nous, les avocats, ne serions pas en mesure de porter ces questions très importantes, et fondamentales pour notre avenir  devant les tribunaux.

Senta Depuydt : [00:44:45] Merci beaucoup, Renate, et à très bientôt. Nous vous souhaitons beaucoup de succès. Merci beaucoup. Au revoir.

https://childrenshealthdefense.eu/aiovg_videos/renate-holzeisen-les-vaccins-covid-violent-la-legislation-europeenne/?lang=fr




Vaccination ados: quand le marketing sanitaire manipule le consentement des jeunes avec des récompenses…

[Source : Enfance et libertés (enfance-libertes.fr)]

Une véritable dynamique de surenchère est à l’œuvre pour extorquer le consentement vaccinal des adolescents.

Ces campagnes, qui offrent une récompense “en échange” de la vaccination, sont tantôt impulsées par les municipalités, tantôt pour les préfectures.

Sont-elles le fruit des convictions personnelles de certains élus et fonctionnaires ? Peut-être aussi le reflet de leurs peurs, ou d’un zèle excessif à vouloir être “bon élève” et satisfaire les objectifs de vaccination fixés par le gouvernement ?

Quelles que soient ces motivations, ces pratiques ne sont pas dignes d’une société démocratique qui se targue de pratiquer le consentement éclairé.




Invité dans l’émission Bourdin Direct sur BFM TV, Gilles Pialoux a tenu à répondre aux fake news voulant remettre en question l’efficacité du vaccin contre la Covid-19. Mais, qui est Gilles Pialoux ?

[Source : LE BLOG DU DOCTEUR JO (jesuismalade.org)]

Par Docteur Alain Joseph

Ci-dessous le lien de l’interview de Gilles Pialoux par Bourdin :

HTTPS://WWW.GALA.FR/L_ACTU/NEWS_DE_STARS/GILLES-PIALOUX-TORD-LE-COU-AUX-FAKE-NEWS-IL-RETABLIT-UNE-VERITE-SUR-LE-VACCIN_475210

[Lien direct : Gilles Pialouxface à Jean-Jacques Bourdin en direct – 25/08 (bfmtv.com)]

Ci-dessous les liens d’intérêts du sieur Pialoux qui officiellement ne touche pas de rémunérations cachées des nombreux laboratoires qui l’utilisent :

HTTPS://CNS.SANTE.FR/WP-CONTENT/UPLOADS/2016/10/DPI2016_PIALOUX_GILLES.PDF


Vous pouvez remarquer que Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Tenon, travaille gratuitement (sauf les frais de déplacement – ce qui est normal) comme investigateur principal, investigateur coordinateur ou co-investigateur (parfois les 3 ensemble) pour les laboratoires suivants :
Gilead, Pfizer, GSK, Janssen (vous les connaissez, ces quatre là – pour leurs magnifiques, splendides, superbes, (sauveurs de l’humanité en la réduisant), vaccins et tout le saint glin glin… mais aussi BMS, Iatec, MSD, Tibotec, InnaVirVax, Abbvie, Abbott Bristol Meyer Squibb, Imea… n’en jetez plus, et je ne mentionne pas tout.

Il faut Mr Pialoux, annoncer vos conflits d’intérêts avant de prendre la parole. C’est une obligation légale que vous enfreignez. Un peu d’honnêteté monsieur le professeur. C’est vous le porteur de fake news.

Les vaccins contre la covid 19 sont non seulement inefficaces mais sont dangereux. Vous même Mr Pialoux n’êtes pas vacciné même si vous prétendez le contraire car vous avez peur de ces vaccins et je suis très bien renseigné à ce sujet. Tout se sait Mr Pialoux même ce que vous croyiez secret. Quand vous vous êtes inscrit en médecine, pensiez vous en arriver à dire haut et fort des choses dont vous connaissez pertinemment la fausseté ? Est-ce que vous pensez que votre titre vous mets à l’abri du mensonge et que vous pouvez pérorer ainsi tel un valet ? Réfléchissez un tantinet devant la mousse à raser le matin avant de vous rendre dans votre service. Ce que vous faites, et ce que vous dites à Bourdin – qui aurait dû vous demander vos liens et conflits d’intérêts – ne correspond nullement à l’image que le public se fait d’un chef de service hospitalier. Ressaisissez vous professeur Pialoux, un peu de panache que diable !

Arrêtez de dénoncer des fakes news qui correspondent à la Vérité par d’autres fakes news; le système est éculé et vieux comme Hérode. Personne ne vous empêche de faire vos petits arrangements mais svp ne venez plus vous ridiculiser à la télévision. Restez chez vous, vous n’êtes pas crédible.




Les CDC comptent les personnes qui meurent dans les 14 jours après avoir reçu le vaccin Covid comme des « non-vaccinés »

[Source : anguillesousroche.com]

Une nouvelle étude des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) est utilisée par les médias grand public pour tenter d’effrayer les Américains et les inciter à se faire vacciner avec le vaccin anti-Covid.

Par exemple, un article intitulé « Les résidents de Los Angeles non vaccinés avaient 29 fois plus de risques d’être hospitalisés à cause du COVID-19 : étude CDC » a été publié par Yahoo Finance en début de semaine…

Rapports de Global Research : Citant le rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité du comté de Los Angeles publié mardi, même les nouvelles locales ont fait la promotion de l’affirmation selon laquelle « les résidents non vaccinés du comté de Los Angeles [sont] 5 fois plus susceptibles de contracter le COVID, 29 fois plus susceptibles d’être hospitalisés ».

En regardant une capture d’écran du communiqué des CDC, on peut observer les définitions de ce qu’ils considèrent comme « entièrement vacciné »« partiellement vacciné » ou « non vacciné ».

Selon le tableau,

« non vacciné <14 jours de réception de la première dose d’une série de 2 doses ou d’une dose du vaccin unidose ou si aucune donnée du registre de vaccination n’était disponible ».

Cela signifie que si une personne a été hospitalisée, admise en soins intensifs, a eu besoin d’une ventilation mécanique ou est décédée dans les deux semaines suivant l’administration du vaccin, elle est considérée comme « non vaccinée ».

Malheureusement, les données n’étant pas assez précises, nous ne savons pas combien de personnes réellement non vaccinées ont été hospitalisées ou sont décédées du Covid dans le comté de Los Angeles entre mai et fin juillet.

L’ensemble du rapport peut être jeté à la poubelle grâce à l’inclusion des personnes récemment vaccinées dans la catégorie des non-vaccinés.




Crise sanitaire : aidons nos proches à sortir de la manipulation

[Source : ripostelaique.com]

Par Pierre-Antoine Pontoizeau

Les médias ont relayé les prévisions de Ferguson (Oxford) promettant des millions de morts du coronavirus. Les politiques affirmaient que nous allions vivre une épidémie à l’instar des grandes pestes médiévales ou des XVIIe et XVIIIe siècle. Je m’attendais à compter les morts par dizaines de millions dans le monde. J’imaginais que nous aurions une telle surmortalité que nos populations diminueraient, comme lors de ces pestes auxquelles les scientifiques faisaient référence. J’ai douté, quand début 2021, les données démographiques mondiales et françaises m’ont permis de constater deux choses. Les taux de mortalité étaient les mêmes que ceux des quarante dernières années et la population mondiale continuait de croître. Et, en France, ni surmortalité tragique, ni baisse de la population. Aucun signe d’une épidémie au sens des historiens et des démographes, alors que la chose avait été scrupuleusement ancrée dans nos esprits. Nous avons tous été manipulés par la technique de l’ancrage. Elle consiste à donner un premier avis sur un événement ou une personne pour marquer l’esprit. On nous a annoncé une épidémie, il suffisait de compter les morts pour avoir raison. Pour en sortir et aider nos compatriotes, il existe deux méthodes. La première, les aider à sortir de leur fiction en leur apportant d’autres informations. C’est le but de cet article à exploiter autour de vous. La seconde, donner envie d’agir contre les conséquences toujours plus délirantes dont les manipulateurs tirent profit pour imposer leur volonté.

1. La mise en perspective de la mortalité : épidémie ?

Commençons par apporter la preuve de cette réalité démographique par le tableau produit par l’INSEE.

Le taux de mortalité pour 1000 habitants en 2020 (en gras) est semblable à ceux des années 1982 à 1986 et inférieur même à celui de 1983 (10,1). Une épidémie au sens des historiens et des démographes aurait provoqué quelques centaines de milliers ou millions de morts sur un ou deux ans. Cela se traduirait par un taux de mortalité voisinant les 20/1000 habitants avec 1,2 millions de morts par exemple, ou même 40/1000 h. avec environ 2,5 millions de morts. La leçon est là. La démographie est une science des grands nombres et elle a cela de redoutable qu’elle nous met les choses en perspective. Redoutable pour les manipulateurs à la petite semaine.

2. La mise en perspective de la mortalité mensuelle et journalière

Les médias ne cessent de nous traumatiser par le décompte macabre des morts par jour, prenant bien soin de livrer en pâture un chiffre isolé, preuve manifeste d’une œuvre de propagande et de manipulation, puisque le commun des mortels (sans jeu de mot) ne peut rien comprendre de ce qu’il signifie. Faisons ici cet effort. Prenons le nombre de morts moyen des 10 dernières années : 595 000/an. Divisons-le simplement par 365 jours, cela nous donne 1630 décès par jour. Les démographes savent par le suivi depuis des années que ce nombre varie selon les saisons avec un nombre plus élevé l’hiver que l’été par exemple. Évaluons les morts de la Covid annoncés par les journalistes relativement à ces morts journaliers. Quand ils nous parlent de 50 morts, de 100 morts ou même de 150 morts attribués à cette maladie (sans oublier que la moitié de ces morts, ce sont des personnes de plus de 80 ans), nous parlons de 50 ou 100/1630. Il serait plus loyal de suivre ce nombre-là et son évolution en la comparant sur plusieurs années pour apprécier la surmortalité. Exemple, ce jour-ci, cette année, 1677 morts, l’année dernière 1546, l’année précédente 1708. Tout deviendrait plus clair.

Constatons que la surmortalité a été très faible. Sur ces 6 dernières années, les trois mois les plus mortifères sont mars et avril 2020, période où ce virus va tuer des personnes très âgées, mais comparable et même légèrement inférieur à janvier 2017, pic d’une épidémie de grippe sévère. Même avril 2020 (65 900) ne dépasse pas janvier 2017 (66 990).

Cette seconde mise en perspective montre que la mortalité mensuelle n’a pas été épidémique au sens des historiens et démographes. La mortalité journalière de même. Quand les chiffres des démographes démontrent l’inverse de la désinformation au jour le jour. À ce jour, les chiffres de l’INSEE pour les 6 premiers mois de 2021. À l’exception de janvier 2021 (65 500), les mois suivants sont dans la ligne des mois d’hiver (56 000 à 57 000 décès) et mai et juin marquent le reflux (51 200 et 44 300 en juin) totalement comparable aux mois de juin des 6 dernières années.

Les commentaires de l’institut sont sans appel :
« Le nombre moyen de décès enregistrés quotidiennement, qui avait un peu augmenté en janvier 2021 par rapport à fin 2020, a diminué ensuite jusqu’à la mi-mars pour se stabiliser sur un plateau jusqu’à début mai. Il baisse depuis. Au cours du mois de janvier, environ 2 150 décès ont été enregistrés en moyenne chaque jour contre 2 035 la deuxième moitié du mois de décembre. En février, le nombre moyen de décès quotidien diminue et s’établit à 2 040, avec une baisse entre la première quinzaine et la seconde quinzaine. La baisse qui s’était poursuivie la première quinzaine de mars (avec 1 880 décès en moyenne par jour), fait place ensuite à une relative stabilisation jusqu’à début mai (avec 1 900 décès en moyenne par jour entre la mi-mai et la fin avril). La première quinzaine de mai, le nombre moyen de décès s’établit à 1 750 par jour. Il continue de diminuer ensuite et s’établit en moyenne à 1 620 décès par jour la seconde quinzaine de mai, soit un niveau qui se rapproche de celui de 2019.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/5404610?sommaire=4487854

Et plus précisément encore, les tranches d’âges les plus jeunes meurent moins,, ce qui rend encore plus absurde les quelques cas exhibés en propagande concernant quelques jeunes décédés de la covid-19, pour ceux-là de manière certaine, évidemment :
« Le nombre de décès enregistré entre le 1er janvier et le 31 mai 2021 est inférieur à celui constaté sur la même période en 2019 pour les jeunes (- 12 % pour les moins de 25 ans) mais aussi pour les personnes âgées de 25 à 49 ans (- 5 %). Il est relativement stable pour les personnes âgées de 50 à 64 ans (+ 2 %). » (Insee)

3. Le critère de létalité

Le législateur comme le Conseil constitutionnel peuvent-ils alors se prévaloir d’une crise sanitaire au seul motif que le nombre de lits ne suffit pas à traiter des nouveaux malades ? Non, il s’agit-là d’une crise capacitaire, d’un mauvais dimensionnement de l’organisation hospitalière, d’un désordre dans le parcours de soin, entre les premiers soins de la médecine de ville, puis les cas graves à hospitaliser. La saturation hospitalière a largement résulté d’un interdit de soin en médecine de ville. N’ouvrons pas cette polémique. Mais y a-t-il un critère justifiant l’épidémie et la crise sanitaire ? Cherchons pour terminer du côté de la létalité. Une crise sanitaire n’a de sens pour limiter les activités économiques et atteindre aux libertés fondamentales, que si elle est de nature à tuer dans des proportions très élevée. C’est la létalité, soit le nombre de morts parmi les personnes ayant contracté la maladie sur une période. L’OMS et l’Institut Pasteur convergent pour un taux entre 0,5 % et 1 %, sachant qu’il varie selon les classes d’âge pour la covid-19. Quelle est la létalité du choléra ou d’Ebola par comparaison : pour le choléra, l’institut Pasteur mentionne deux données : 1,8 % et plus de 6 % pour les régions les plus exposées (https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/cholera). Cela signifie, 2 fois plus ou 5 fois plus. Pour Ebola, l’OMS mentionne un taux de 50 %, avec des variations liées à des flambées jusqu’à 90 %. En clair, vous l’avez, vous mourrez. (https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/ebola-virus-disease). La table des létalités montre que la covid-19 est très très loin derrière ces épidémies dévastatrices. La peste bubonique, à laquelle certains comparaient à la hâte ce nouveau coronavirus à une létalité de 30 à 60 % sans traitement indique l’OMS. (https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/plague). Bref, chacun voit que les maladies fatales : peste, cholera, VIH (Sida) durant les premières années ont une létalité dramatique, ce n’est pas le cas aujourd’hui. Il en est de même de la contagiosité, vitesse à laquelle une population diffuse en son sein la maladie.
Reste un dernier facteur qui serait celui de l’impuissance médicale. Il y a aussi crise sanitaire, ce qui fut le cas pour durant les premières années du Sida, avant l’avènement des traitements au milieu des années 90. Ce n’est pas le cas non plus.

En conclusion, que pouvons-nous dire sur les critères scientifiques qui permettraient de légitimer un état de crise sanitaire ? Que dire à nos amis encore sous l’emprise de cet ancrage ? Constatons-nous un pic de mortalité qui bouleverse les moyennes ? Non. Il aurait fallu doubler, tripler pour constater que la mortalité journalière explose vraiment. Rien de tout cela ne s’est produit, pas même lors des premiers mois de l’année 2020. Ce recul, nous démontre qu’il n’y a rien d’épidémique au sens premier de cette notion. Ni surmortalité, ni baisse de la population. Enfin, les deux derniers critères de létalité ou d’impuissance temporaire de la médecine n’existent pas. En conséquence, le législateur ne peut pas se prévaloir de critères qui motiverait un état de crise sanitaire du fait d’une hypothétique épidémie. Il faut éclairer nos élus, les députés en tête et plus encore réinformer nos concitoyens. Allez sur les sites, notez les chiffres, posez-leur des questions, dialoguez tranquillement, faites-les douter. Quand on est sous l’emprise d’un ancrage, il faut plusieurs discussions pour accepter d’interroger sa croyance. Il faut « désintoxiquer » nos contemporains.

Pierre-Antoine Pontoizeau




Le mensonge et l’hypocrisie domineront le monde avant la délivrance

[Source : Site du Rav Haim Dynovisz (ravdynovisz.tv)]






Le soma de Huxley et le vaccin mondialiste : feint-sacrement, destruction de l’empire US et avènement de l’ordre banquier universel

[Source : nicolasbonnal.com]

Par Nicolas Bonnal

Les mondialistes se rapprochent de leur but. Ils détruisent à Kaboul et ailleurs ce qui reste d’empire américain, même si les distraits pensent que cela met fin au Nouvel Ordre Mondial — alors que cela ne fait que le mettre en place. L’Amérique était une dernière protection, il serait temps de le dire. Voyez mon texte sur le tyran de Syracuse Denys (une femme prie pour que ce tyran reste au pouvoir) : elle a en effet compris que le tyran suivant est toujours PIRE. C’est maintenant que l’on va déguster avec la tyrannie des banquiers et des informaticiens.

Ils sont obsédés par ce vaccin imposé. Il doit bien y avoir une raison. Je me suis rappelé alors du soma de Huxley. Et comme je préfère la copie à l’original (le « retour » au Meilleur des mondes »), je le relis et lis ceci :

« Le soma était une plante dangereuse, si dangereuse qu’elle rendait même malade le grand dieu du ciel en personne, Indra. Les simples mortels mouraient parfois d’une dose un peu trop forte, mais l’expérience procurait une telle béatitude transcendante et une telle illumination qu’elle était considérée comme un privilège qu’on ne pouvait payer trop cher. »

https://youtu.be/A9OuIaU9JPU

Le soma (boisson védique et sacrée bien expliquée par Guénon) chez Huxley a une fonction politique. Il est là pour assurer le pouvoir et la nouvelle autorité temporelle, comme le feint-sacrement est là pour assurer le pouvoir satanique de la mondialisation qui accompagne l’écroulement de l’empire américain décidé par Davos à Kaboul — à ce propos lisez Thomas Luongo qui est le seul à l’avoir compris avec nous et qui annonce la prise du pouvoir par Yellen en lieu et place de Biden et Harris. Nous serons nus devant les banquiers.

Mais autorité rime vite avec tyrannie et avec maladie. Voyez le texte straussien de mon ami Laurent Guyénot sur cet instinct sacerdotal qui rend définitivement fous les hommes : Nietzsche en parlait déjà (Généalogie, première dissertation). Huxley :

« Aussi, ce genre de toxicomanie n’était-il pas un vice personnel, mais bien une institution politique, l’essence même de la Vie, de la Liberté et de la Poursuite du Bonheur garanties par la Déclaration des Droits. Mais ce privilège inaliénable des sujets, précieux entre tous, était en même temps l’un des instruments de domination les plus puissants dans l’arsenal du dictateur. L’intoxication systématique des individus pour le bien de l’État (et, incidemment, pour leur propre plaisir) était un élément essentiel du plan des Administrateurs Mondiaux. »

Les administrateurs sont mondiaux dans le Meilleur des Mondes. Huxley est toujours plus fort qu’Orwell : l’État est mondial chez lui, la drogue omniprésente, le citoyen abruti plus qu’apeuré. Il poursuit :

« Karl Marx déclarait que la religion était l’opium du peuple, mais dans le Meilleur des Mondes la situation se trouvait renversée : l’opium, ou plutôt le soma, était la religion du peuple. Comme elle, il avait le pouvoir de consoler et de compenser, il faisait naître des visions d’un autre monde, plus beau, il donnait l’espoir, soutenait la foi et encourageait la charité. »

Le vaccin c’est la religion et c’est le corps de cet Antéchrist mondialiste d’ailleurs encouragé par tous les clergés ; d’où la chasse aux hérétiques. Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux, disait Debord en reprenant Hegel. Évidemment la drogue ou le soma sont dangereux comme le vaccin :

[Voir aussi : La religion de l’Antéchrist]

« Par exemple, le calmant classique est l’opium, mais c’est aussi un stupéfiant dangereux qui, depuis les temps néolithiques jusqu’à aujourd’hui, a fait des toxicomanes et ruiné des santés sans nombre. On peut en dire autant de l’alcool, euphorisant classique, qui, selon les termes du psalmiste, “réjouit le cœur de l’homme”. Malheureusement, il ne fait pas que cela ; pris en quantités excessives, il provoque la maladie, l’accoutumance et, depuis huit à dix mille ans, il a été une cause majeure de crimes, de chagrins domestiques, de dégradation morale et d’accidents évitables. »

Dans la religion (ou la contre-religion, mais elles se rejoignent en ce moment, malheureusement), tout est contrôle et possession des esprits. Aujourd’hui cette possession assistée par ordinateur fonctionne à merveille, même dans la rue ou le métro. Dans le monde postmoderne (le Retour au Meilleur des mondes date de 1957), tout n’est que contrôle et manipulation. Huxley précise que la démocratie est un luxe qu’on ne peut plus se payer (trop de gens et trop de consommation) :

« Pendant ce temps, des forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avons presque aucun contrôle semblent nous pousser tous dans la direction du cauchemar de mon anticipation et cette impulsion déshumanisée est sciemment accélérée par les représentants d’organisations commerciales et politiques qui ont mis au point nombre de nouvelles techniques pour manipuler, dans l’intérêt de quelque minorité, les pensées et les sentiments des masses. Ces procédés seront étudiés dans les chapitres suivants ; bornons-nous pour le moment à ces forces impersonnelles qui sont en train de rendre le monde si peu sûr pour les démocraties, si peu hospitalier pour la liberté individuelle. »

Le discours est libéral et néolibéral (toujours pour les imbéciles en retard d’une guerre : même Malraux avait compris déjà que le capitalisme n’était plus qu’une volonté d’organisation), mais la réalité est étatique et super-étatique :

« Un état de crise continu justifie le contrôle continu de tout et de tout le monde par les agents du gouvernement et c’est précisément cette tension entretenue à quoi l’on peut s’attendre, dans un monde où la surpopulation crée une situation telle que la dictature sous les auspices communistes devient presque inévitable. »

Le virus et la crise permettent comme on sait de liquider les derniers petits commerces. Huxley disait déjà avec l’exemple du fascisme sous les yeux que ces commerces étaient condamnés : la nuit de cristal avait détruit le petit commerce juif en Allemagne et c’est ce à quoi nous avons affaire en ce moment, mais à un niveau mondial.

« Dans un tel univers, les Petits, avec leurs fonds de roulement insuffisants, sont gravement désavantagés ; dans la concurrence avec les Gros, ils perdent leur argent et finalement leur existence même, en tant que producteurs indépendants — les Gros les ont dévorés. À mesure que les Petits disparaissent, la puissance économique en vient à être concentrée entre des mains de moins en moins nombreuses. Dans une dictature, les Grosses Affaires, rendues possibles par des progrès techniques constants et la ruine des Petites Affaires qui en est résultée, sont sous le contrôle de l’État — c’est-à-dire celui d’un groupe peu nombreux de chefs politiques et des soldats, policiers, fonctionnaires exécutant ses ordres. »

Et Huxley de mettre les points sur les I :

« Dans une démocratie capitaliste comme les USA, elles sont sous la coupe de ce que le professeur C. Wright Milis a appelé I’Élite du Pouvoir. »

Nous étions calculés depuis longtemps. La suite va être effarante (voyez mon texte sur Sitra et le 666) d’autant que la foule ne comprend toujours pas et ne comprendra pas. Elle regardera la télé et dénoncera les hérétiques qui ne sont pas vaccinés. Mais au point où on en est…

Sources principales :





Le rapport de Graphika : soft power et guerre de 4e génération contre l’Algérie

[Source : ahmedbensaada.com]

Par Ahmed Bensaada

Contrairement au hard power qui est basé sur la force coercitive classique, le soft power utilise l’attraction positive et la persuasion pour atteindre des objectifs de politique étrangère. Il s’agit donc d’une capacité d’influence susceptible d’imposer, en douceur, un comportement ou une façon de penser identiques ou similaires à celles de celui qui utilise cette technique. Son succès repose donc sur l’impression de ne pas y avoir pas été contraint. Ainsi, le soft power n’atteint ses objectifs que s’il n’est pas perçu comme de la manipulation ou de la propagande.

Selon son concepteur, le très influent Joseph Nye, le soft power est soutenu par trois piliers : les valeurs politiques, la culture et la politique étrangère. Commentant cette théorie, le professeur G. John Ikenberry donne les précisions suivantes dans la célèbre revue Foreign Affairs:

« Les États-Unis peuvent dominer les autres, mais ils ont également excellé dans la projection du soft power, avec l’aide de leurs entreprises, fondations, universités, églises et autres institutions de la société civile; la culture, les idéaux et les valeurs des États-Unis ont été extrêmement importants pour aider Washington à attirer des partenaires et des partisans ».

L’exportation de la démocratie, qui est un champ établi et prépondérant de la politique étrangère américaine, utilise évidemment le soft power. Dans son article traitant du soft power américain dans les révolutions colorées, l’anthropologue Boris Pétric mentionne que des « ONG américaines sont les principaux acteurs de cette promotion de la démocratie, des droits de l’homme et de la liberté […] ».

Cette relation entre les ONG et le soft power est très bien explicitée par Susan Liautaud dans son article « Soft Power of NGOs: Hard Responsibility, Hard Strategy, and Hard Accountability » dans lequel elle note que « les ONG et les autres acteurs du secteur à but non lucratif sont tenus d’utiliser le soft power de façon responsable et de rendre compte des conséquences induites par cette utilisation »

Il a été aussi montré que ces mêmes ONG américaines, étatiques ou non, ont joué le même rôle dans ce qui est abusivement appelé le « printemps » arabe. La printanisation de certains pays arabes ciblés à l’aide du soft power américain a été réalisé par l’intermédiaire de la formation et du réseautage de cyberactivistes « autochtones », c’est-à-dire provenant des pays visés. Ces révoltes qui ont été présentées et vendues comme une « belle saison » se sont avérées n’être que des « regime change » accompagnés de chaos, de destruction et de désolation.

Une décennie plus tard, ces ONG sont encore actives, tout particulièrement dans le Hirak algérien.

Tel que noté par Albert A. Nofi, le soft power est une des ressources sur lesquelles s’appuient la guerre de 4e génération (G4G), cette guerre moderne qui, d’après François-Bernard Huyghe, « correspondrait à la révolution de l’information » tout en précisant qu’elle « mobiliserait des populations entières en un antagonisme gagnant tous les domaines politique, économique, social, culturel ».

En ce qui concerne l’utilisation militaire de l’information, Christina M. Knopf et Eric J. Ziegelmayer nous expliquent que :

« l’information est un produit qui se prête à l’arsenalisation et l’environnement informationnel est devenu vital pour le succès des opérations militaires. Le domaine de l’information, l’Internet en particulier, est aujourd’hui un terrain crucial à saisir pour exercer une influence économique et diplomatique dominante.  C’est la raison pour laquelle les États-Unis ont officiellement incorporé à leur doctrine […] la « guerre des communications » ».

Cette « arsenalisation » de l’information a été rendue efficace grâce à l’essor fulgurant de l’Internet et des médias sociaux. À ce sujet, Waseem Ahmad Qureshi donne quelques précisions :

« Les progrès technologiques actuels (accès plus facile aux blogs médiatiques et à Internet) rendent la propagande et la manipulation des faits plus facilement accessibles tout en élargissant les conséquences des opérations de guerre de l’information en provoquant des effets dommageables massifs »

La recherche qui sera exposée dans cet article montre de manière explicite que l’Algérie fait actuellement l’objet d’une G4G qui a profité des remous du Hirak pour se déployer insidieusement.

Hirak, soft power et guerre de 4e génération

Un livre et de très nombreux articles ont été consacrés au rôle des organismes américains d’exportation de la démocratie et leurs relations avec le Hirak et ses « ténors ». Cet aspect du soft power ne sera pas traité dans ce travail, mais les lecteurs intéressés sont invités à consulter les liens suggérés.

Il faut cependant préciser que le soft power utilisé dans les G4G possède d’autres techniques aussi efficaces les unes que les autres.

Il a été fait mention d’une de ces techniques dans un de mes articles datant de décembre 2019. Il s’agit de mandater un universitaire crédible pour écrire, dans une revue crédible, un texte complétement fallacieux afin de suggérer un comportement donné et le présenter comme étant juste et approprié alors que, dans la réalité, il est complétement déraisonnable. Un exemple typique est celui du professeur Robert Zaretsky, professeur d’histoire de France à l’université de Houston qui s’est fait remarquer par un texte abracadabrantesque dans Foreign Affairs. En effet, le 26 novembre 2019, c’est-à-dire à peine deux semaines avant l’élection présidentielle algérienne, le professeur écrivait: « An Election’s Failure Will Be a Democratic Success » (L’échec de l’élection sera un succès démocratique).

Hallucinant! D’après ce professeur vivant dans un pays supposé être démocratique « ne pas voter est un acte démocratique »! Mais quel genre de démocratie désire exporter ce professeur loufoque?

L’histoire retiendra néanmoins l’odieuse campagne d’intimidation des électeurs lors de ce scrutin, ignominie qui a dû tellement faire plaisir à M. Zaretsky, certainement commandité pour nuire à l’Algérie.

Plus récemment, c’est dans un petit encadré publié par le journal français Le Figaro en date du 31 juillet 2021 qu’apparut une nouvelle technique encore plus insidieuse que celle de notre professeur de Houston. Celle-ci est destinée à persuader le public que l’État algérien utilise des cybermanipulations malhonnêtes « pour défendre les intérêts du président algérien », tout en parrainant des « campagnes de harcèlement » contre des opposants politiques.

Le Figaro précise que ces informations proviennent d’un rapport élaboré par une société américaine nommée Graphika, « spécialisée dans les nouvelles technologies et l’analyse des réseaux sociaux ». Personne n’est dupe. Cette mention cherche évidemment à donner de la crédibilité à cette compagnie et, par conséquent, conférer de la véracité à son rapport.

Encore un organisme américain qui s’attaque à l’État algérien en général et aux institutions présidentielle et militaire en particulier! Décidément, ils ne lâcheront jamais ces Américains!

Mais qui est donc Graphika? Qui est derrière ce joli nom, quels sont ses champs d’intérêts et qui la finance?

Contrairement à Émilien Hertement, le journaliste du Figaro qui a bêtement rapporté la nouvelle, nous allons nous intéresser, dans un premier temps, à cette société pour comprendre ses motivations et nous enquérir de son sérieux. Ensuite, nous étudierons en détail son rapport cité par Le Figaro.

Graphika et ses connexions sulfureuses

D’après les informations figurant sur son site officiel, Graphika est

« une société d’analyse de réseau, fondée en 2013 par le Dr. John Kelly qui a étudié, dans sa thèse, l’essor fulgurant des conversations sur Internet en utilisant l’analyse de réseau des relations entre les auteurs en ligne, et pas seulement le contenu de leurs messages ».

Toujours selon son site, Graphika est financé par la DARPA, la « Minerva Initiative », l’« US Senate Select Committee on Intelligence » et la « Knight Foundation ».

DARPA est l’acronyme de la « Defense Advanced Research Projects Agency » (Agence pour les projets de recherche avancée de défense) qui est une agence du ministère de la Défense des États-Unis chargée de la recherche et du développement des nouvelles technologies destinées à l’usage militaire.

La « Minerva Initiative » est une initiative de recherche universitaire en sciences sociales parrainée par le ministère de la Défense des États-Unis axée sur des domaines d’importance stratégique pour la politique de sécurité nationale des États-Unis. Lancée en 2008 par Robert Gates, le secrétaire à la Défense de l’époque, elle a pour objectif d’améliorer la compréhension de base du ministère de la Défense en ce qui concerne les forces sociales, culturelles, comportementales et politiques qui façonnent les régions du monde d’importance stratégique pour les États-Unis. Dès le début, le programme s’est focalisé , entre autres, sur les recherches universitaires traitant de la Chine, de l’Irak, du terrorisme et de l’islam radical. À son lancement, le projet a reçu 50 millions de dollars du ministère de la Défense des États-Unis pour financer ces recherches.

Les subventions de recherche sont supervisées par des gestionnaires de programme affiliés à deux organisations militaires de recherche fondamentale : le Bureau de la recherche scientifique de l’Armée de l’air (AFOSR) et le Bureau de la recherche navale (ONR).

L’«US Senate Select Committee on Intelligence » (SSCI) est un comité créé par le Sénat américain en 1976 pour superviser et faire des études continues sur les activités et programmes de renseignement du gouvernement des États-Unis.

La « Knight Foundation » se présente comme une fondation nationale américaine qui investit dans le journalisme et les arts et dont l’objectif est de favoriser des communautés informées et engagées qu’elle croit essentielles à une démocratie saine. Cette fondation collabore cependant activement avec l’Open Society de George Soros, la National Endowment for DemocracyFreedom House et l’USAID.

Ces quatre organisations forment la colonne vertébrale du dispositif américain pour l’exportation de la démocratie dont il a été question précédemment.

Et ce n’est pas tout. Graphika déclare être associé avec des groupes de défense des Droits de l’homme du monde entier « pour surveiller les menaces numériques ciblant les utilisateurs vulnérables ».

En fait, il s’agit de Human Rights Watch (HRW), Amnesty International (AI) et « The Syria Campaign ». Il est de notoriété publique que les deux premières organisations (HRW et AI) sont largement financées par l’Open Society.  Et il ne faut surtout pas oublier qu’elles ont été toutes deux (avec d’autres entités droitdelhommistes) derrière la résolution du Parlement européen contre l’Algérie, juste quelques jours après le référendum sur la nouvelle Constitution algérienne. Drôle de coïncidence, n’est-ce pas? Comme la coïncidence de l’article de notre pitoyable professeur Zaretsky, un an plus tôt.

L’association de Graphika avec « The Syria campaign » est très révélatrice du rôle de désinformation, de propagande et d’étroite collaboration de cette société avec les gouvernements américains et britanniques.

« The Syria campaign » qui se dit « organisation à but non lucratif enregistrée au Royaume-Uni » est étroitement lié aux « White Helmets » (casques blancs), organisme de protection civile syrien qui a défrayé la chronique en 2016 (lire mon article sur ce sujet, rédigé à l’époque).

En fait, ces « secouristes » présentés comme des héros en occident, sont financés par l’USAID (United States Agency for International Development), le plus important des organismes américains d’« exportation » de la démocratie. Un document de l’USAID datant de 2018 précise qu’une subvention de 6,25 millions de dollars a été octroyée aux « White Helmets », en plus des 33 millions de dollars qui leur ont été versés depuis 2013. Ces « casques blancs » ont aussi été très largement financés par la Grande-Bretagne via le « Foreign and Commonwealth Office ». En date du 31 mars 2018, le montant total du financement que le gouvernement britannique leur a fourni s’élevait à 38 425 591,23 £. Ce qui fit dire à Julie Hyland, journaliste et militante britannique :

« Financés par le « Conflict, Stability and Security Fund » du gouvernement britannique et le programme USAID du gouvernement américain, ils [les « White Helmets »] font partie d’un réseau de forces djihadistes soutenues par l’Occident pour organiser un changement de régime ».

The White Helmets: The greatest scandal to hit Syria

Selon Vanessa Beeley, journaliste indépendante qui a beaucoup travaillé sur le terrain en Syrie et dans de nombreux autres pays de la région, les « White Helmets » « étaient liés financièrement à Londres et à Washington (entre autres), principaux belligérants occidentaux sans mandat en Syrie […] et que des membres des Casques blancs entretenaient des liens avec des groupes djihadistes rebelles, tels que Fatah Al-Cham, résultat de la fusion d’Al-Nosra et de Ahrar Al-Cham ».

Le mythe des « casques blancs » a été démoli par un grand nombre de journalistes et chercheurs de renom dont Eva BartlettJohn PilgerGareth Porter,Phillip GiraldiCraig Murrayet l’ancien inspecteur des armements de l’ONU Scott Ritter.

Graphika et ses figures publiques

Parmi les figures publiques de Graphika, on retrouve les noms de l’anglais Ben Nimmo (directeur des recherches) et de la française Camille François (directrice de l’innovation).

Ben Nimmo a rejoint Graphika en 2019, pourtant, rien ne le prédestinait à ce poste. Son parcours singulier a été décrit dans un article détaillé du New York Times (NYT).

En effet, il a étudié la littérature à l’Université de Cambridge, a travaillé comme instructeur de plongée sous-marine en Égypte, ainsi qu’écrivain et journaliste de voyage en Europe. En 2011, il a été recruté par l’OTAN comme attaché de presse principal sur la Russie et l’Ukraine jusqu’en 2014. Ensuite, il est devenu chercheur indépendant et a commencé à travailler sur la Russie sous contrat pour des think tanks pro-démocratie comme l’« Institute for Statecraft » qui pilote un projet  financé par le « Foreign and Commonwealth Office » nommé « The integrity initiative ». Créé en 2015, ce programme avait pour objectifs de contrer et sensibiliser à la désinformation provenant de pays comme la Russie et la Chine ainsi que de groupes extrémistes comme Daech. Comme par hasard, il s’agit de pays et ou organismes ciblés aussi par la « Minerva Initiative ».

Au cours de la campagne électorale américaine de 2016, M. Nimmo a collaboré avec l’Atlantic Council, le think tank non officiel de l’OTAN.

Pour se faire une idée de l’importance de ce « groupe de réflexion », il n’y a qu’à consulter l’impressionnante liste des membres de son Conseil d’administration. On y trouve, entre autres, Henry Kissinger, Joseph Nye (le concepteur du soft power), le général David H. Petraeus (commandant de la coalition militaire sous Bush fils et chef des troupes de l’OTAN ainsi que Directeur de la CIA sous Obama), Stephen Hadley (conseiller à la sécurité nationale de Bush fils), Robert Gates (cité précédemment – Directeur de la CIA sous Bush père et Secrétaire à la défense sous Bush fils et Obama). On y trouve aussi James Baker, Léon Panetta, Colin Powell, James Woosley, Peter Ackerman et j’en passe car la liste donne le tournis (le lecteur est invité à consulter ces pages pour plus de détails: lien 1 et lien 2). Pour la petite histoire, James Woosley a été directeur de la CIA sous Bill Clinton et a dirigé Freedom House . De son côté, Peter Ackerman a aidé à la création de l’Albert Einstein Institution dirigé par son professeur, l’illustre Gene Sharp, le théoricien de la « lutte non-violente » qui a été utilisée dans les révolutions colorées et le « printemps » arabe. Sa théorie a été développée dans de nombreux livres et tout particulièrement dans « De la dictature à la démocratie », ouvrage qui est devenu le livre de chevet de tous les révolutionnaires en herbe à travers le monde.

Revenons maintenant à Ben Nimmo. Il a aidé à fonder le Digital Forensic Research Lab (DFRLab) de l’Atlantic Council, un groupe basé à Washington qui étudie la désinformation en ligne.

En 2018, Facebook a annoncé un partenariat avec DFRLab pour « identifier, exposer et expliquer la désinformation lors des élections dans le monde », accordant à l’Atlantic Council et à Nimmo l’accès aux données privées de milliards d’utilisateurs de Facebook.

Facebook a fait de lui et du laboratoire les premiers étrangers autorisés à étudier les réseaux de désinformation sur son site avant que l’entreprise ne ferme les réseaux.

À la fin de son article, le NYT précise que Graphika et DFRLab ont tous deux reçu un financement de Facebook.

Le 5 février dernier, Ben Nimmo annonçait son départ de Graphika pour rejoindre Facebook où il aiderait « à diriger la stratégie mondiale de renseignement sur les menaces contre les opérations d’influence ». Sans oublier, bien sûr, de faire « coucou » à sa collègue et collaboratrice, Camille François.

Cette nouvelle n’est pas passée inaperçue, bien au contraire. Sur The Grayzone, par exemple, on pouvait lire un article intitulé « Facebook hires ex-NATO press officer and social media censor Ben Nimmo as intel strategist » (Facebook embauche Ben Nimmo, ancien attaché de presse de l’OTAN et censeur des médias sociaux, en tant que stratège du renseignement), alors que Mint Press News titrait « Facebook partners with Hawkish Atlantic Council, a NATO lobby group, to “protect democracy” » (Facebook s’associe au belliciste Atlantic Council, un groupe de pression de l’OTAN, pour « protéger la démocratie »).

Passons maintenant à la seconde figure publique de Graphika qui se nomme Camille François. Diplômée de Sciences-Po et boursière Fulbright, elle a été membre de la « New America’s Cybersecurity Initiative » (NACI), chercheure principale chez Jigsaw, a dirigé des projets de recherche sur la cybersécurité et les droits de l’homme pour la « Defence Advanced Research Projects Agency », et a travaillé pour l’équipe « Market Insights » de Google (consulter ce lien).

La « New America’s Cybersecurity Initiative » est un organisme financé (entre autres) par le Département d’état américain, la Knight Foundation, Open Society, Google, Microsoft, Apple et Facebook.

Jigsaw (anciennement Google Ideas) est un groupe de réflexion et un incubateur technologique au sein de Google/Alphabet dirigé par Jared Cohen. Ce dernier a travaillé au Département d’État américain comme membre du comité de planification des politiques du département d’État américain, puis a été très proche conseiller des secrétaires d’État Condoleezza Rice et Hillary Clinton. C’est, par exemple, lui qui avait personnellement contacté le cofondateur et président de Twitter, Jack Dorsey, pour lui demander de reporter les travaux de maintenance des serveurs de Twitter afin de ne pas perturber les activités des cyberactivistes iraniens lors de leurs manifestations antigouvernementales en 2009.

Mais ce qui attire le plus l’attention, c’est son rôle dans la formation des cyberactivistes arabes en préparation du « printemps » arabe. En effet, Jared Cohen fut un des fondateurs de AYM « Alliance of Youth Movements » (rebaptisée Movements.org) qui se définit comme une organisation américaine à but non lucratif (d’après leur site) qui affiche clairement sa mission : i) identifier des cyberactivistes dans des régions d’intérêt ; ii) les mettre en contact entre eux, avec des experts et des membres de la société civile ; et iii) les soutenir en les formant, en les conseillant et en leur procurant une plateforme pour initier les contacts et les développer dans le temps (pour plus de détails, consulter mon article sur le sujet).

Comme expliqué précédemment, la « Defence Advanced Research Projects Agency » (DARPA) est l’agence du ministère de la Défense des États-Unis qui finance Graphika. Comme le monde est petit!

D’après ce qui est mentionné sur son CV, Camille François a été aussi recrutée par Google, dans l’équipe de « Market Insights ». Directrice de recherche associée, elle s’est spécialisée dans la recherche en ligne sur les PME françaises et a géré les trackers de marque et de confidentialité de Google pour la perception parmi le public et les faiseurs d’opinion clés.

Pour boucler la boucle, Mme François s’est formée, en 2014, à l’École de l’OTAN d’Oberammergau (Allemagne) sur les « cyber-opérations » tel que précisé également sur son CV.

Graphika, la main dans le sac

La société Graphika a été impliquée dans de nombreuses controverses en relation avec i) le « repérage » d’un type particulier et ciblé de désinformation sur les médias sociaux et ii) son rôle de « chien truffier » dressé pour servir des commanditaires militaristes, atlantistes et occidentalistes.

Pour clarifier ce point, nous allons citer deux exemples pédagogiques.

1- L’affaire Jeremy Corbyn

La très large élection de Jeremy Corbyn à la tête du parti travailliste britannique avec près de 60% des voix en 2015 a été suivie par une campagne médiatique « mainstream » ayant pour but de diaboliser sa personne et de lui ôter toute légitimité politique de premier plan.

Tout d’abord, ses positions pro-palestiniennes lui ont valu des attaques du lobby sioniste pour des allégations d’antisémitisme après son succès électoral. Quelques années plus tard, à l’approche des élections législatives de 2019, les accusations sont montées d’un cran, devenant plus incisives. Il n’était pas question qu’un socialiste « antisémite » soit logé au 10, Downing Street.

En plus de ces accusations fallacieuses, une autre affaire a été planifiée pour porter le coup de grâce à la possibilité que Corbyn puisse, un jour, occuper le fauteuil de Premier ministre britannique : sa « collusion » avec la Russie. Cette accusation, mêlée avec ce « sport » occidental communément appelé « Russia Bashing », allaient être, ni plus ni moins, un coup de grâce à ce projet.

À ce sujet, les journalistes d’investigation Ben Norton et Max Blumenthal écrivaient le 8 décembre 2019:

« À quelques jours des élections nationales britanniques du 12 décembre, les agences de renseignement britanniques et les organisations soutenues par le gouvernement américain ont intensifié leurs attaques contre Corbyn, empruntant des tactiques à l’hystérie américaine du Russiagate et faisant de grands efforts pour le présenter – sans aucune preuve substantielle – comme une supposée marionnette de l’ignoble Kremlin ».

Le journaliste Matt Kennard a, quant à lui, publié une enquête détaillée au titre très explicite : « Comment l’establishment militaire et du renseignement britannique s’efforce d’empêcher Jeremy Corbyn de devenir Premier ministre ».

Il y mentionna que des responsables de l’armée et du renseignement britanniques ont été à l’origine d’au moins 34 reportages majeurs publiés dans les médias nationaux présentant Jeremy Corbyn comme un danger pour la sécurité britannique.

Le 27 novembre 2019, en pleine campagne électorale, l’équipe de Jeremy Corbyn présenta un imposant dossier traitant de négociations secrètes entre le gouvernement conservateur de Boris Johnson et l’administration américaine dans le but de privatiser le National Health Service (NHS) britannique, démentant ainsi les promesses de son rival conservateur.

Moins d’une semaine plus tard, l’artillerie lourde fut sortie pour faire face à l’accusation.

Ben Wallace, le Secrétaire d’État à la Défense britannique, déclara que 

« Jeremy Corbyn a joué le rôle d' »idiot utile » pour le Kremlin en minant l’OTAN pendant des décennies et cela le rend inapte à être Premier ministre ».

Comme pour confirmer ses dires, le journal pro-conservateur The Daily Telegraph titrait à la Une « Le dossier de Corbyn pointe du doigt les Russes ».

The Guardian emboîta le pas en précisant que les documents de Corbyn ont été « mis en ligne par des affiches utilisant des méthodes russes ». D’autres médias comme The Daily Beast, la BBC ou le Washington Post reprirent également la nouvelle.

Ce n’est pas le « clonage » de cette information qui attire l’attention mais le fait que tous les médias se sont basés sur une et une seule source : Graphika et son directeur des recherches, Ben Nimmo. Tiens donc!

Extrait de l’article du Guardian :

« Ben Nimmo, le chef des enquêtes chez Graphika, a déclaré : « Ce que nous disons, c’est que les efforts initiaux pour amplifier la fuite du NHS ressemblent beaucoup aux techniques utilisées par Secondary Infektion dans le passé, une opération russe connue. Mais nous n’avons pas toutes les données qui nous permettent de prendre une décision finale dans cette affaire » ».

Une accusation aussi grave, reprise par des médias lourds et influents, basée sur une seule source et…du vent.

Ce qui fit dire à Norton et Blumenthal :

« Pas un seul article couvrant l’histoire n’a pris la peine d’informer les lecteurs qui était Nimmo, ni n’a offert de détails sur les puissantes forces étatiques derrière Graphika ».

Et d’ajouter :

« En fait, Nimmo n’est pas un expert en données ou un journaliste, mais un ancien attaché de presse de l’OTAN qui a précédemment travaillé pour l’usine de propagande secrète « Integrity Initiative », qui était financée par le ministère britannique des Affaires étrangères et dédiée à engendrer des conflits avec la Russie ».

La suite de l’histoire vous la devinez certainement : Jeremy Corbyn a évidemment perdu les élections du 12 décembre 2019.

2- Le Russiagate

Le Russiagate est l’affaire politico-judiciaire qui a été invoquée pour qualifier les allégations d’ingérence de la Russie dans les élections présidentielles américaines de 2016. Un branle-bas de combat médiatique a été orchestré afin de démontrer que la défaite de Hillary Clinton n’était due qu’à une collusion entre l’équipe de Donald Trump et le Kremlin via une armée de trolls russes écumant les médias sociaux, en particulier Facebook et Twitter.

Comme on peut s’y attendre, la démonstration a été confiée à une équipe de l’Université d’Oxford et …la société Graphika. Cette dernière était représentée par son fondateur, John Kelly, et Camille François.

Le rapport, commandité en 2018 par l’«US Senate Select Committee on Intelligence » (SSCI) dont il a été question auparavant, confirme évidemment les allégations. On peut y lire :

« L’Agence russe de recherche Internet (IRA) a lancé une attaque prolongée contre les États-Unis en utilisant une propagande informatique pour désinformer et polariser les électeurs américains ».

« Les données sur l’IRA fournies au SSCI par les plateformes américaines de médias sociaux et Internet démontrent un effort soutenu pour manipuler le public américain et saper la démocratie. Avec des années d’expérience dans la manipulation de l’opinion publique en Russie, l’IRA a utilisé les principales plateformes de médias sociaux, notamment Facebook, Instagram et Twitter, pour cibler les électeurs américains et polariser les utilisateurs des médias sociaux américains ».

Une année plus tard, le rapport du procureur Robert Mueller, procureur spécial chargé d’enquêter sur les ingérences russes dans les élections présidentielles de 2016, était publié. La principale conclusion stipulait qu’il n’y a pas eu d’entente entre les membres de l’équipe de Trump et la Russie.

Le Monde diplomatique qualifia le Russiagate de « débâcle » et commenta le rapport ainsi :

« Les premiers éléments connus du Rapport Mueller représentent une défaite pour la fraction la plus modérée du parti démocrate, pour le parti de la guerre à la Russie, pour les médias. […] Enfin, ce rapport constitue une gifle spectaculaire pour la quasi-totalité des grands médias américains qui, depuis deux ans, avaient fait du « Russiagate » leur commerce à plein temps ».

Une gifle aussi à Graphika et ses « experts ».

La chasse aux sorcières s’est poursuivie jusqu’aux élections présidentielles américaines de 2020. Graphika produisit un autre rapport en septembre 2020 signé par, entre autres, Ben Nimmo et Camille François ciblant un site nommé PeaceData supposément financé par l’Agence russe de recherche Internet (IRA).

À ce sujet, le New York Times écrivit :

« Le groupe russe qui s’est immiscé dans l’élection présidentielle de 2016 est de retour, utilisant un réseau de faux comptes et un site Web conçu pour ressembler à un site d’information de gauche, ont déclaré mardi Facebook et Twitter. La campagne de désinformation menée par le groupe soutenu par le Kremlin, connu sous le nom d’Internet Research Agency, est la première preuve publique que l’agence essaie de répéter ses efforts d’il y a quatre ans et d’éloigner les électeurs du candidat démocrate à la présidentielle, Joseph R. Biden Jr., pour aider le président Trump ».

PeaceData a vivement réagi à ces accusations les qualifiant de calomnies et de mensonges.

En effet, certains observateurs perspicaces notèrent que, contrairement à ce qui était dit par Graphika et NYT, le site web PeaceData avait publié plusieurs articles critiquant durement Trump, dont un qui l’a qualifié de « instable et déséquilibré ». D’autre part, Graphika ne donna aucune preuve du financement du site par l’IRA dans son rapport.

Les comptes Facebook et Twitter de PeaceData ont évidemment été fermés sur la base du rapport de Graphika et de ses « experts », Ben Nimmo et Camille François.

Graphika et l’Algérie

Après avoir passé en revue l’imposant réseau de connexions politico-militaires dont dispose Graphika et ses « experts » ainsi que les « missions » de haut niveau dont ils ont été chargés, plusieurs questions viennent à l’esprit : Pourquoi l’Algérie? Pourquoi maintenant? Quel est le but recherché? Qui a commandé l’étude? Qui l’a financée? Et qui a collaboré avec eux pour leur fournir les détails nécessaires?

Tout d’abord, il faut reconnaître que si Graphika s’est intéressée à l’Algérie, c’est que ce pays représente un enjeu géostratégique important pour les États-Unis. Cela confirme ce qui a été avancé dans mes nombreux articles et mes récents livres sur le sujet.

Le timing est lui aussi important. En effet, comme le Hirak « frelaté » bat de l’aile, cette évidente ingérence dans la politique intérieure de l’Algérie cherche à créer une nouvelle agitation malsaine dans la vie politique du pays.  En plus, il est quand même étrange que sa publication intervienne juste après le scandale Pegasus qui a ciblé l’Algérie. De victime, l’Algérie est présentée comme coupable par Graphika.

Pour tenter de répondre plus amplement aux questions, revenons au rapport de Graphika sur l’Algérie.

Le résumé du rapport donne le ton :

« Facebook a partagé un ensemble de comptes, de pages et de groupes avec Graphika pour une analyse plus approfondie avant de les supprimer de ses plateformes. Notre enquête a révélé un effort multiplateforme sur plusieurs années pour faire avancer les intérêts du président algérien Abdelmadjid Tebboune, depuis sa candidature à la présidentielle de 2019, jusqu’à un référendum constitutionnel l’année dernière et des élections législatives largement boycottées en juin. Cette activité s’est entrelacée avec une campagne soutenue de harcèlement et d’intimidation visant le mouvement de protestation du Hirak en Algérie, qui, au cours des deux dernières années, a rassemblé des milliers de personnes dans les rues du pays pour demander que l’élite dirigeante soit chassée et la fin de la corruption. Ces tentatives combinées pour manipuler, déformer et polariser la conversation politique en ligne en Algérie doivent être considérées dans le contexte de la répression signalée par le gouvernement contre les voix de l’opposition et de l’impact de la pandémie de Covid-19 qui a contraint de nombreux Algériens à déplacer leurs manifestations en ligne ».

On en tire les conclusions suivantes :

  • Comme expliqué précédemment, Facebook travaille avec Graphika;
  • Les sites jugés « indésirables » sont supprimés sur recommandation de Graphika;
  • Graphika fait de la politique et non de l’analyse de réseaux;
  • La démarche constitutionnelle adoptée par l’État algérien pour sortir de l’impasse ne plait pas à Graphika;
  • Graphika supporte la politique du « Yetnahaw Gaa » prônée en particulier par les ongistes (formés et financés par les organismes américains d’« exportation » de la démocratie), les islamawistes « offshore » et les makistes séparatistes;
  • Graphika se positionne contre les institutions de l’État algérien et soutient les groupes cités précédemment, dont deux sont considérés comme des organisations terroristes;
  • L’État algérien manipule l’information, mais aucun mot sur l’incommensurable manipulation des trois groupes cités;
  • Facebook (et les autres médias sociaux) autorise (encourage?) les manifestations en ligne pour ceux qui militent pour la phase de transition, mais ferme les comptes de ceux qui soutiennent la démarche constitutionnelle.

Passons maintenant à ce que Graphika appelle des preuves à ses allégations. Le rapport commence avec un article concernant Noureddine Boukrouh qui est commenté comme suit :

« Dans l’ensemble, les comptes et les pages identifiés par Facebook ont montré des signes clairs de coordination, ainsi que l’utilisation de fausses identités et d’autres pratiques trompeuses pour induire les utilisateurs en erreur. Dans une illustration particulièrement frappante en juin de cette année, 42 des pages identifiées ont publié la même photo avec des légendes identiques attaquant des opposants au gouvernement algérien. Beaucoup de ces pages se sont présentées comme des groupes pro-démocratie ou des médias indépendants »

Quel niveau d’analyse! Hercule Poirot en aurait perdu sa moustache!

Mensonge et inversion des rôles:

1- Graphika prétend que Noureddine Boukrouh a été qualifié de « fou » alors que c’est lui qui a traité le Président de la république algérienne de la sorte.

2- En plus, Graphika affirme qu’il s’agit d’une « attaque coordonnée contre un opposant » alors qu’il s’agit d’un de mes articles, publié sur mon site, en réponse au sien.

Il s’avère qu’il s’agit de MON article intitulé « Un goujat nommé Boukrouh » qui a été publié sur mon site avec la même photo, mais qui a aussi été repris par d’autres sites (site 1site 2site 3, etc.). Il est donc normal que des pages Facebook le reprennent comme c’est le cas de tous mes articles. Mon récent poème en hommage à Djamel Bensmaïl, par exemple, a été repris intégralement par des dizaines de pages. Où est le problème? Les réseaux sociaux ne servent-ils pas à cela? Ou alors c’est halal pour certains et haram pour d’autres?

Au-delà de cet aspect, ce qui attire l’attention, c’est la légende :

« Captures d’écran montrant la publication coordonnée d’une attaque décrivant la figure de l’opposition Noureddine Boukrouh comme « folle » peu de temps après avoir critiqué Tebboune ».

Il s’agit d’un pur mensonge! C’est M. Boukrouh qui a traité le président Abdelmadjid Tebboune de fou dans un post sur Facebook! En toute lettre dans le titre!

Question pour Graphika et Facebook : accuser fallacieusement un président en exercice de folie ne mérite pas la fermeture du compte de M. le « sain d’esprit »?

En plus de l’institution présidentielle, c’est l’institution militaire algérienne qui a été dénigrée, comme si ces mêmes institutions, aux États-Unis ou en Occident n’avaient pas le droit de s’exprimer sur l’état de la Nation. Comme tous les pays du monde, l’Algérie a ses institutions étatiques et s’exprime dans les médias qu’elles jugent adéquat à son message.

Aussi bizarre que cela puisse paraître, le rapport de Graphika critique le droit à l’institution militaire de faire des reportages sur les « fake news » et de dénoncer les agissements de certains groupes qui menacent la sécurité et la souveraineté de l’Algérie.

Le rapport cite nommément « Karim Tabbou » (cité 3 fois), « Amir DZ » (cité 4 fois), « Rachad » (cité 4 fois), « Mohamed Larbi Zitout » (cité 5 fois) et Mourad Dhina.

« Les cibles clés depuis 2019 comprenaient : Karim Tabou – une figure de l’opposition qui a été arrêtée par la police algérienne en 2020 et 2021 ; Amir Boukhors (« Amir DZ »), un dissident anti-régime en France ; et deux co-fondateurs du groupe politique « Rachad » – Mohamed Larbi Zitout, qui vit en exil à Londres, et Mourad Dhina, qui vit en Suisse. En mars 2021, un tribunal algérien aurait émis des mandats d’arrêt contre Boukhors et Zitout pour « terrorisme » ».

Les « ténors autoproclamés du Hirak », en l’occurrence Mostefa Bouchachi, Zoubida Assoul et Karim Tabbou, sont aussi présentés comme des « critiques du régime algérien ».

Comme par hasard, toutes les personnes citées, sans aucune exception, collaborent ensemble tel qu’expliqué dans mon livre sur le Hirak et sont, bien évidemment, toutes pour la phase de transition.

Décidément, la vision de Graphika (et de ses commanditaires) est dichotomique :  il y a des bons et des mauvais. Les bons sont ceux qu’elle nomme « les figures de l’opposition » et les mauvais sont les institutions étatiques, présidentielle et militaire.

Par contre, aucun mot n’est prononcé sur le nombre incalculable de comptes Facebook qui sont, directement ou indirectement, liés à ces « figures » et qui, nuit et jour, dénigrent ces mêmes institutions.

Pour plus de détails et pour comprendre le rôle de ces groupes qui ont surfé sur le Hirak algérien, le lecteur est invité à consulter mon interview sur le sujet.

Il faut dire que certains passages du rapport Graphika frôlent la dérision. Jugez-en.

« Les pages et les comptes du réseau ont constamment fait l’éloge de l’Armée nationale populaire algérienne (الجيش الوطني الشعبي الجزائري). Le réseau a amplifié des images d’exercices d’entraînement et d’autres événements, ainsi que des mèmes et des dessins animés pro-militaires, présentant tous l’armée algérienne comme des protecteurs forts et bien équipés du peuple algérien ».

Est-il donc interdit de faire l’éloge de l’armée de son pays? N’en déplaise à Graphika, l’institution militaire protège non seulement le peuple algérien, mais aussi l’intégrité et la souveraineté de son pays.

Encore une ineptie racontée dans le rapport : Graphika reproche à certaines pages d’avoir fait la promotion des élections législatives du 12 juin 2021.  Mais qu’y a-t-il de mal à vouloir encourager les citoyens à accomplir leur devoir électoral? Pourquoi alors n’avoir rien dit sur ces « grands démocrates », vulgaires factotums de ces « figures de l’opposition » qui, à l’étranger, empêchaient violemment les personnes de voter? Il est clair que les informateurs « autochtones » ne leur ont pas raconté toute l’histoire aux « experts » de Graphika. Ou alors est-ce cette dernière qui a filtré les informations pour diaboliser les institutions étatiques algériennes et sanctifier cette « opposition » qui travaille à la destruction du pays avec la bénédiction de l’Oncle Sam et de l’OTAN?

Il faut le dire clairement : un travail scientifique crédible doit nécessairement analyser les activités des deux protagonistes et non faire preuve de cécité sélective en faveur de celui qu’on veut soutenir. Le rapport de Graphika montre une faiblesse méthodologique si flagrante que son soi-disant travail « scientifique » n’est en réalité que de la propagande pour un camp choisi, le même qui a été sélectionné par les organismes américains d’« exportation » de la démocratie dans le but de réaliser un « regime change » en Algérie par le biais du soft power.

Graphika ne s’arrête pas là. Elle va jusqu’à consacrer une section sur le Maroc et la France intitulée « Maroc malveillant, France traîtresse ».

Elle y prétend que les médias de ces deux pays sont des bisounours et que l’Algérie les calomnie. Alors qu’elle attaque les chaines de télévision étatiques algériennes, Graphika présente France 24 comme une chaine inoffensive, ne précisant pas qu’il s’agit d’une des chaines étatiques françaises qui travaille directement avec le Quai d’Orsay  et dont le rôle dans le Hirak a été très partial (pour ne pas dire hostile à l’Algérie) comme expliqué dans un de mes articles publié en 2019. Ce n’est d’ailleurs pas par hasard que son accréditation en Algérie lui a été retirée en juin 2021.

Quant au Maroc, son action belliqueuse et agressive sur les réseaux sociaux contre l’Algérie est passée, elle aussi, sous silence. Il faudrait peut-être rappeler à Graphika l’affaire Pegasus dont elle n’a, bien sûr, pas soufflé mot. Le Maroc n’a-t-il pas espionné 6000 personnes en Algérie, ou est-ce encore une « fake News » des institutions présidentielle ou militaire?

Il fallait s’y attendre. Mohamed Larbi Zitout, un des membres du mouvent Rachad cité dans le rapport Graphika, en a fait ses choux gras dans une de ses interminables logorrhées cyberspatiales.

Ce qui répond tout naturellement à l’importante question : Cui Bono?

Conclusion

Cette étude nous permet de tirer les conclusions suivantes :

  • La société Graphika est financée par des entités directement ou indirectement reliées à l’administration américaine, à l’administration britannique, à l’OTAN et à des organismes américains d’« exportation » de la démocratie;
  • La société Graphika ne fait pas d’études pour informer les citoyens. Elle ne s’intéresse qu’aux médias sociaux de pays ciblés par les États-Unis ou par certains pays membres de l’OTAN comme la Grande-Bretagne;
  • Ces dernières années, les principaux pays ciblés par les études de la société Graphika sont la Russie, la Chine et l’Iran.
  • Les études sur la Russie sont très nombreuses et très agressives, ce qui confirme l’influence de l’Atlantic Council, le think tank non officiel de l’OTAN;
  • La société Graphika possède des relations avec certains géants du Web, soit directement, soit à travers ses « experts »;
  • La société Graphika collabore directement avec Facebook et lui fournit la liste des pages à supprimer;
  • Ce faisant, Facebook n’est pas indépendante, mais se comporte comme une entreprise impliquée dans la mise en œuvre de la politique étrangère étasunienne et de l’OTAN (Ceci n’est pas nouveau : la collusion entre certains géants du Web et l’administration américaine a été longuement discutée dans mon livre « Arabesque$ » et certains de mes articles);
  • La société Graphika n’a pas étudié les médias sociaux algériens fortuitement. Le timing, le parti pris et les attaques frontales contre les institutions fondamentales de l’État algérien indiquent que cette étude a été commanditée par des groupes ou des états qui favorisent un « regime change » en Algérie et qui y travaillent;
  • Ce dernier point est évident à la lecture du rapport qui présente négativement les institutions étatiques algériennes et positivement ce qu’il appelle « les figures de l’opposition »;
  • Aucune étude n’a par contre été réalisée sur l’utilisation des médias sociaux par « les figures de l’opposition », ce qui enlève toute scientificité au rapport et en fait, par voie de conséquence, un pur outil de propagande contre l’Algérie;
  • Les relations entre certaines « figures de l’opposition » et l’administration américaine (explicitées dans mon livre sur la question) ayant été complètement occultées dans le rapport, on en déduit que Graphika joue un rôle analogue et complémentaire aux organismes américains d’« exportation » de la démocratie;
  • Ces trois derniers points indiquent que Graphika, ainsi que les diverses institutions (étatiques ou non) avec lesquelles elle collabore, supportent et soutiennent activement « les figures de l’opposition » contre l’État algérien;
  • Tout cela nous amène à conclure que Graphika est un outil de plus dans l’arsenal du soft power américain, spécialisé dans un nouveau « champ de bataille » qui n’est autre que le monde virtuel des médias sociaux.
  • Les actions menées de manière agressive par les organismes américains d’« exportation » de la démocratie, combinées à celles des ONG droitdelhommistes ainsi que les attaques de la société Graphika montrent, de manière non équivoque, que l’Algérie est actuellement sous le feu nourri d’une guerre de quatrième génération.



William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui

[Source : Sott.net]

Par Cynthia Chung — The Saker Blog

« Mais je ne veux pas aller parmi les fous », fait remarquer Alice.
« Oh, tu n’y peux rien », dit le chat, « nous sommes tous fous ici. Je suis fou. Tu es folle. »
« Comment sais-tu que je suis folle ? », demande Alice.
« Tu dois l’être », répond le chat, « sinon tu ne serais pas venue ici. »

Lewis Carroll, Alice au Pays des Merveilles

Nous vivons dans un monde où le degré de désinformation et de mensonge pur et simple a atteint un niveau tel que peut-être pour la première fois, la majorité du monde occidental commence à s’interroger sur son propre niveau de santé mentale et sur celui de son entourage. La méfiance croissante et frénétique à l’égard de tout ce qui fait « autorité », mêlée à l’incrédulité désespérée que « tout le monde ne peut pas être dans le coup ! », pousse lentement de nombreuses personnes à s’enfermer dans une camisole de force de plus en plus serrée. « Tout remettre en question » est devenu la nouvelle devise, mais sommes-nous capables de répondre à ces questions ?

Gaslighting
Photo du film Gaslight, 1944
[Hantise pour la version sortie dans les salles françaises en 1947 – NdT]

Actuellement, la réponse est un non catégorique.

La mauvaise blague des comportementalistes sociaux, qui ont rendu tout le monde obsédé par le papier toilette au début de ce que l’on croyait être une période de crise, est un exemple du contrôle qu’ils exercent sur le bouton rouge intitulé « déclencher une panique massive de niveau 4 ».

Et peut-on blâmer le peuple ? Après tout, si on nous ment, comment pouvons-nous nous rassembler et pointer du doigt la racine de cette tyrannie, ne sommes-nous pas arrivés au point où elle est partout ?

Comme Goebbels l’a tristement déclaré,

« Si vous dites un mensonge suffisamment gros et que vous le répétez sans cesse, les gens finiront par le croire. Le mensonge ne peut être maintenu que tant que l’État peut protéger la population des conséquences politiques, économiques et/ou militaires de ce mensonge. Il devient donc d’une importance vitale pour l’État d’utiliser tous ses pouvoirs pour réprimer la dissidence, car la vérité est l’ennemi mortel du mensonge, et donc par extension, la vérité est le plus grand ennemi de l’État [sous le fascisme]. »

Et nous nous trouvons aujourd’hui au seuil du fascisme. Cependant, avant que le fascisme ne puisse dominer complètement, nous devons d’abord accepter de renoncer à nos droits civils en tant que collectivité. Autrement dit, le grand mensonge ne peut réussir que si la majorité ne le dénonce pas, car si la majorité le reconnaissait pour ce qu’il est, il n’aurait vraiment aucun pouvoir.

La bataille pour gagner le contrôle de votre esprit

« Les politiciens, les prêtres et les psychiatres sont souvent confrontés au même problème : comment trouver le moyen le plus rapide et le plus permanent de changer la croyance d’un homme… Le problème du médecin et de son patient souffrant de névrose, et celui du chef religieux qui entreprend de gagner et de retenir de nouveaux convertis, est maintenant devenu le problème de groupes entiers de nations, qui souhaitent non seulement confirmer certaines croyances politiques à l’intérieur de leurs frontières, mais aussi faire du prosélytisme à l’extérieur. »

William Sargant, La bataille de l’esprit

Dans le passé, on pensait couramment, et non sans fondement, que la tyrannie ne pouvait exister qu’à condition que le peuple soit maintenu dans l’analphabétisme et l’ignorance de son oppression. Pour reconnaître que l’on est « opprimé », encore faut-il d’abord avoir une idée de ce qu’est la « liberté », et si l’on a le « privilège » d’apprendre à lire, cette découverte est inévitable.

Si l’éducation des masses pouvait alphabétiser la majorité d’une population, on pensait que les idées supérieures, le genre d’« idées dangereuses » que Mustapha Menier par exemple exprime dans Le meilleur des mondes, permettraient aux masses de rapidement s’organiser et rendraient inévitable une révolution contre « ceux qui les contrôlent ». En d’autres termes, la connaissance est la liberté, et l’on ne peut pas asservir ceux qui apprennent à « penser ».

Note du traducteur : Dans l’ouvrage de Aldous Huxley, Mustapha Menier est un Alpha plus et l’un des dix administrateurs mondiaux, qui sont les individus les plus importants de la société ; il a en charge l’Europe occidentale, l’une des dix zones de l’État mondial.

Cependant, ce n’est pas exactement ce qui s’est produit, n’est-ce pas ?

La grande majorité d’entre nous est libre de lire ce que bon lui semble, en ce qui concerne les livres autrefois « interdits », tels que ceux répertoriés par l’Index Librorum Prohibitorum.(([1] L’Index Librorum Prohibitorum était une liste de livres interdits, jugés dangereux pour la foi et la morale des catholiques romains, dont beaucoup étaient de manière suspecte des ouvrages humanistes platoniciens. Parmi les œuvres interdites figurent celles de Dante, d’Érasme et tous les livres de Machiavel. Pour en savoir plus, consultez mon article sur ce sujet.)) Nous pouvons lire tous les textes qui sont interdits dans Le meilleur des mondes, notamment les œuvres de Shakespeare qui y sont désignées comme des formes de « connaissance » absolument dangereuses.

Nous sommes maintenant tout à fait libres de nous « éduquer » sur les « idées » mêmes qui étaient reconnues par les tyrans du passé comme « l’antidote » à une vie d’esclavage. Et pourtant, aujourd’hui, la majorité choisit de ne pas le faire…

Il est reconnu, bien que superficiellement, que celui qui contrôle le passé, contrôle le présent et donc le futur. Le livre de George Orwell, 1984, le martèle comme la caractéristique essentielle qui permet à l’appareil de Big Brother de maintenir un contrôle absolu sur la peur, la perception et la loyauté à la cause du Parti, et pourtant, malgré sa popularité, il subsiste un manque d’intérêt pour réellement s’informer sur le passé.

Qu’importe de toute façon, si le passé est contrôlé et réécrit pour s’adapter au présent ? Comme l’interrogateur de Big Brother, O’Brien, le déclare à Winston :

« Nous, le Parti, contrôlons tous les dossiers et nous contrôlons tous les souvenirs. Alors nous contrôlons le passé, n’est-ce pas ? [Et donc, nous sommes libres de le réécrire comme bon nous semble…]. »

Bien sûr, nous ne sommes pas dans la même situation que Winston… nous sommes bien mieux lotis. Nous pouvons étudier et apprendre sur le « passé » si nous le désirons, malheureusement, il s’agit d’un choix possible que bien des personnes n’apprécient pas à sa juste valeur.

En fait, beaucoup ne sont probablement pas pleinement conscients qu’il se déroule actuellement une bataille pour savoir qui va « contrôler le passé » d’une manière qui ressemble beaucoup à ce qui s’apparente à un « effacement de la mémoire ».


William Sargant était un psychiatre britannique et, pourrait-on dire, le père du « contrôle mental » en Occident. Il avait des liens avec les services secrets britanniques et l’Institut Tavistock, qui influencerait plus tard la CIA et l’armée des États-Unis via le programme MK Ultra. Sargant a également été conseiller pour les travaux d’Ewen Cameron sur les esprits d’individus « déconstruits » sous LSD, à l’université McGill, financés par la CIA.

Note du traducteur : Ewen Cameron était un psychiatre d’origine écossaise et directeur de l’Allan Memorial Institute de l’université McGill, à Montréal. Il fut aussi président de l’Association psychiatrique des États-Unis, de l’Association psychiatrique du Canada et de l’Association psychiatrique mondiale.

Sargant justifie une des raisons pour lesquelles il a étudié et utilisé des formes de « contrôle de l’esprit » sur ses patients, lesquels étaient pour la majorité des soldats britanniques rapatriés du champ de bataille pendant la Seconde Guerre mondiale avec diverses formes de « psychose », en arguant qu’il s’agissait du seul moyen de réhabiliter des formes extrêmes de syndrome de stress post-traumatique.

L’autre raison était que les Soviétiques étaient apparemment devenus des « experts » dans ce domaine et que, pour des raisons de sécurité nationale, les Britanniques devaient à leur tour devenir des experts… pour des raisons d’autodéfense, bien sûr.

Les travaux d’Ivan Pavlov, un physiologiste russe, ont permis d’obtenir des informations intéressantes sur quatre formes primaires de systèmes nerveux chez les chiens, lesquelles combinaient des tempéraments inhibiteurs et excitateurs : « fortement excitateur », « équilibré », « passif » et « calme imperturbable ». Pavlov a découvert qu’en fonction de la catégorie de tempérament du système nerveux du chien, cette dernière déterminait la forme de « conditionnement » la plus efficace pour « reprogrammer le comportement ». La pertinence du « conditionnement humain » n’a échappé à personne.

Les pays occidentaux craignaient que ces techniques ne soient pas seulement utilisées contre leurs soldats pour que l’ennemi obtienne facilement des « confessions », mais que ces soldats puissent être renvoyés dans leur pays d’origine, sous la forme d’assassins et d’espions zombifiés susceptibles d’être mentalement activés par un simple mot de code. En tout cas, ce sont ces scénarios qui ont été propagés dans les populations à travers les films et les romans à suspense. C’est vraiment horrible ! Que l’ennemi puisse apparemment pénétrer dans ce que l’on considérait comme le seul terrain sacré qui nous appartenait… notre « esprit » même !

Cependant, pour ceux qui étaient à la pointe de la recherche sur le contrôle mental, comme William Sargant, il était entendu que le contrôle mental ne fonctionnait pas exactement de cette manière.

D’une part, la question du « libre arbitre » était un obstacle.

Peu importe la durée ou le degré des électrochocs, de la « thérapie » à l’insuline, des cocktails de tranquillisants, des comas provoqués, de la privation de sommeil, de la famine, etc., il a été découvert que si le sujet avait une « forte conviction » et une « forte croyance » en quelque chose, celle-ci ne pouvait pas être simplement supprimée, elle ne pouvait pas être remplacée par quelque chose d’arbitraire. Il fallait plutôt que le sujet ait l’illusion que son « conditionnement » relevait en fait de son « choix ». Il s’agissait d’une tâche extrêmement difficile, et les conversions à long terme (mois ou années) étaient rares.

Cependant, Sargant y a vu une opportunité. Il était entendu que l’on ne pouvait pas créer un nouvel individu à partir de rien, mais qu’avec un conditionnement adéquat, censé conduire à un effondrement physique par le biais d’un stress anormal ( en fait, un redémarrage du système nerveux), on pouvait sensiblement augmenter la « suggestibilité » des sujets.

Sargant a écrit dans son livre Bataille de l’esprit :

« Les descriptions cliniques de Pavlov des « névroses expérimentales » qu’il pouvait induire chez les chiens se sont avérées, en fait, correspondre étroitement aux névroses provoquées par la guerre que nous étudiions à l’époque. »

En outre, Sargant a découvert qu’un souvenir faussement implanté pouvait contribuer à induire un stress anormal conduisant à un épuisement émotionnel et à une dépression physique à même de susciter cette « suggestibilité ». En d’autres termes, il n’était même pas nécessaire de vivre un « stress réel », et un « stress fictif » était tout aussi efficace.

Sargant poursuit en déclarant dans son livre :

« Il n’est pas surprenant qu’une personne ordinaire, en général, soit bien plus facilement endoctrinée qu’une personne atypique… Une personne est considérée comme « ordinaire » ou « normale » par la communauté simplement parce qu’elle accepte la plupart de ses normes sociales et de ses modèles de comportement ; ce qui signifie, en fait, qu’elle est sensible à la suggestion et qu’elle a été persuadée d’aller dans le sens de la majorité dans la plupart des occasions ordinaires ou extraordinaires. »

Sargant aborde ensuite le phénomène du Blitz londonien, une période de huit mois de bombardements intensifs sur la ville de Londres pendant la Seconde Guerre mondiale. Au cours de cette période, pour faire face et rester « sain d’esprit », les gens se sont rapidement habitués à l’idée que leurs voisins pouvaient être et étaient enterrés vivants dans les maisons bombardées autour d’eux. La pensée était la suivante : « Si je ne peux rien y faire, à quoi bon me tourmenter ? ». On a donc constaté que « ceux qui s’en sortaient le mieux » étaient ceux-là mêmes qui acceptaient ce nouveau « cadre de vie » sans chercher à le contester, et qui se concentraient simplement sur leur « survie ».

Sargant remarque que c’est justement cette « adaptabilité » à un contexte environnemental en mutation qui fait partie de l’instinct de « survie » et qui est très ancrée chez l’individu « sain » et « normal », lequel est capable d’apprendre à faire face et continue donc à être « fonctionnel » en dépit du perpétuel changement de son environnement.

C’est donc notre « instinct de survie » profondément ancré dans notre inconscient qui s’est révélé être la clé de la suggestibilité de notre esprit. Et les meilleurs « survivants » se prêtent donc en quelque sorte à un meilleur « lavage de cerveau ».

Sargant cite les travaux de Hecker, qui étudiait le phénomène de l’épidémie dansante qui s’est développée pendant la période de la peste noire. Hecker a observé qu’une suggestibilité accrue pouvait amener une personne à

« minimiser l’éloge de la vertu aussi bien que la criminalité du vice en embrassant avec la même force, raison et folie, bien et mal. »

Et qu’un tel état d’esprit était comparable aux premiers efforts de l’esprit du nourrisson

« cet instinct d’imitation, lorsqu’il existe à son plus haut degré, se conjugue aussi avec une perte de tout pouvoir sur la volonté, qui se produit dès que l’empreinte sur les sens est bien installée, laquelle entraîne un état semblable à celui des petits animaux lorsqu’ils sont fascinés par l’aspect d’un serpent. »

Je me demande si Sargant s’imaginait être le serpent…

Sargant admet finalement :

« Cela ne signifie pas que toutes les personnes peuvent être véritablement endoctrinées par de tels moyens. Certaines ne se soumettent que temporairement aux exigences qui leur sont imposées, et luttent à nouveau lorsque revient la force du corps et de l’esprit. D’autres y échappent en surmontant leur folie. Ou encore, la volonté de résister peut céder, mais pas l’intellect lui-même. »

Mais il se console, en réponse à cette résistance obstinée, en affirmant que

« Comme nous l’avons mentionné dans un contexte précédent, le bûcher, la potence, le peloton d’exécution, la prison ou l’asile d’aliénés, sont généralement là pour les défaillants. »

Comment résister à la déconstruction de votre esprit

« Celui que les dieux veulent détruire, ils le rendent d’abord fou. »

Henry Wadsworth Longfellow, Le masque de Pandore et autres poèmes, 1875

Pour ceux qui n’ont pas vu le thriller psychologique de 1944 Gaslight, réalisé par George Cukor, je vous recommande vivement de le faire, car il contient une leçon inestimable, qui s’applique tout particulièrement à ce que je soupçonne que beaucoup d’entre nous vivent aujourd’hui.

Note du traducteur : Le film est sorti dans les salles françaises en 1947 sous le titre Hantise. La performance d’Ingrid Bergman sera saluée par un Oscar de la meilleure actrice dans un rôle principal.

L’histoire commence avec Paula, 14 ans (jouée par Ingrid Bergman), qui est emmenée en Italie après que sa tante Alice Alquist, célèbre chanteuse d’opéra et protectrice de Paula, a été retrouvée assassinée dans sa maison à Londres. Paula est celle qui a trouvé le corps et, frappée d’horreur, elle ne sera plus jamais la même. Sa tante était la seule famille qui lui restait. La décision est prise de l’envoyer loin de Londres, en Italie, afin qu’elle poursuive ses études pour devenir une chanteuse d’opéra de renommée mondiale comme sa tante Alice.

Les années passent, Paula vit une vie très protégée mais elle est toujours en proie à une sombre mélancolie et ne semble jamais pouvoir ressentir une quelconque forme de bonheur. Pendant ses études de chant, elle rencontre un homme mystérieux (son accompagnateur au piano pendant ses cours) et en tombe profondément amoureuse. Cependant, elle ne sait presque rien de cet homme, Gregory.

Après une romance de deux semaines, Paula accepte de l’épouser et se laisse rapidement convaincre de retourner vivre dans la maison de sa tante à Londres, laissée à l’abandon pendant toutes ces années. Dès qu’elle y pénètre, le souvenir de la nuit du meurtre la hante à nouveau et elle est prise de panique et de peur. Gregory tente de la calmer et lui dit que la maison a besoin d’un peu d’air et de soleil. Paula tombe alors sur une lettre adressée à sa tante par un certain Sergis Bauer, lettre qui confirme qu’il était en contact avec Alice quelques jours avant son meurtre. À cette découverte, Gregory devient étrangement agité et s’empare de la lettre. Il tente rapidement de justifier sa colère en attribuant à la lettre la responsabilité de ce qui a bouleversé Paula. Gregory décide alors d’enfermer toutes les affaires de la tante de Paula dans le grenier, pour apparemment lui épargner toute angoisse supplémentaire.

C’est à ce moment-là que Gregory commence à changer radicalement de comportement. Toujours sous le prétexte du « bien de Paula », tout ce qui est considéré comme une source de « contrariété » pour elle doit lui être soustrait. Et ainsi, rapidement, la maison se transforme en une forme de prison. On dit à Paula qu’il vaut mieux qu’elle ne sorte pas de la maison sans être accompagnée, qu’elle ne reçoive pas de visite et que l’auto-isolement est le meilleur remède à ses « angoisses » qui s’aggravent. Au début, Paula n’est jamais soumise à une interdiction stricte, mais on lui dit plutôt qu’elle doit obéir à ces restrictions pour son propre bien.

Avant une promenade, il lui fait cadeau d’une magnifique broche qui appartenait à sa mère. Comme le fermoir doit être remplacé, il demande à Paula de la garder dans son sac à main, et dit ensuite, plutôt hors contexte : « N’oublie pas où tu l’as mise, Paula, je ne veux pas que tu la perdes. » Paula se dit en elle-même que l’avertissement est absurde, « Bien sûr que je n’oublierai pas ! ». Lorsqu’ils reviennent de leur promenade, Gregory demande la broche, Paula cherche dans son sac à main mais elle n’y est pas.

Le scénario se poursuit ainsi, Gregory multipliant les avertissements et les rappels, apparemment pour aider Paula à surmonter ses « oublis » et ses « angoisses ». Paula commence à douter de son propre jugement et de sa santé mentale, car ces événements deviennent de plus en plus fréquents. Elle n’a personne d’autre à qui parler que Gregory, qui est le seul témoin de ces incidents apparents. On en arrive à un point où Gregory attribue à Paula un comportement complètement absurde. Un soir, on découvre qu’un tableau a disparu d’un mur. Gregory parle à Paula comme si elle était une enfant de cinq ans et lui demande de le remettre en place. Paula insiste sur le fait qu’elle ne sait pas qui l’a enlevé. Après avoir insisté avec passion sur le fait que ce n’était pas elle, elle monte les escaliers comme si elle était dans un rêve et sort le tableau de derrière une statue. Gregory demande pourquoi elle a menti, mais Paula insiste sur le fait qu’elle n’a pensé à regarder là que parce que c’est à cet endroit qu’il a été retrouvé les deux dernières fois que cela s’est produit.

Depuis des semaines, Paula pense qu’elle voit des choses, les lampes à gaz de la maison s’éteignent sans raison [ce qui a donné au film son titre : Gaslight – NdT], elle entend aussi des bruits de pas au-dessus de sa chambre. Personne d’autre ne semble s’en apercevoir. Gregory raconte également à Paula qu’il a découvert que sa mère, décédée alors qu’elle était très jeune, était en fait devenue folle et était morte dans un asile.

Bien que Paula soit réduite à un état de stupeur permanent, elle décide un soir de faire front et de reprendre le contrôle de sa vie. Paula est invitée, par l’une des amies proches de sa tante Alice, Lady Dalroy, à assister à une soirée mondaine organisée pour un concert musical. Rappelons qu’avant sa rencontre avec Gregory, la vie de Paula gravitait autour de la musique. La musique était sa vie. Paula se pare de vêtements somptueux pour la soirée et, en sortant, dit à Gregory qu’elle se rend à cet événement. Gregory tente de la convaincre qu’elle est trop fragile pour assister à une réception aussi mondaine. Lorsque Paula insiste calmement sur le fait qu’elle ira et que cette femme qui l’a invitée est une amie chère à sa tante, Gregory lui répond qu’il refuse de l’accompagner (à l’époque, c’était un gros problème). Paula se range à cet avis et marche avec une solide dignité, sans se décourager, vers la calèche. Dans une scène très révélatrice, Gregory est laissé momentanément seul et, pris de panique, les yeux exorbités, il referme son étui à cigares et court après Paula. Il l’interpelle en riant : « Paula, tu n’as pas cru que j’étais sérieux ? Je ne savais pas que cette réception était si importante pour toi. Attends, je vais me préparer. » Alors qu’il se prépare devant le miroir, un sourire diabolique apparaît.

Paula et Gregory arrivent en retard chez Lady Dalroy, le pianiste est au milieu du 1er mouvement de la Sonate pour piano n°8 en do mineur de Beethoven. Ils sont rapidement escortés vers deux sièges vides. Paula est immédiatement captivée par la musique et Gregory se rend compte qu’il perd le contrôle. Après seulement quelques minutes, il regarde sa montre à gousset mais elle n’est pas dans sa poche. Il chuchote à l’oreille de Paula : « Ma montre a disparu ». Immédiatement, Paula a l’impression qu’elle va être malade. Gregory prend son sac à main et Paula le regarde avec horreur en sortir sa montre à gousset, insinuant que Paula l’avait mise là. Aussitôt, elle perd le contrôle et craque en public. Gregory l’emmène, tout en faisant remarquer à Lady Dalroy que c’est pour cette raison qu’il ne voulait pas que Paula vienne.

Lorsqu’ils arrivent chez eux, Paula a maintenant complètement succombé à l’idée qu’elle est effectivement frappée de folie. Gregory déclare qu’il serait préférable qu’ils partent quelque part pour une période indéterminée. Nous apprendrons plus tard que Gregory a l’intention de la faire interner dans un asile. Paula accepte de quitter Londres avec Gregory et remet entièrement son destin entre ses mains.

Dans le cas de Paula, les choses sont claires. Elle soupçonne que Gregory a quelque chose à voir avec sa « situation », mais il a très habilement créé un environnement dans lequel Paula elle-même doute que cette situation puisse relever d’une méchanceté insondable ou découler du fait qu’elle devient effectivement folle.

C’est plutôt parce qu’elle n’est pas folle qu’elle doute d’elle-même, car aucune raison ne semble pouvoir expliquer pourquoi Gregory consacrerait autant de temps et d’énergie à faire croire qu’elle est folle, du moins en apparence. Mais qu’en est-il si l’objectif consistant à lui faire croire à sa folie était simplement une question de contrôle ?

Dans cette lutte pour le pouvoir, Paula a presque réussi à prendre le dessus le soir où elle a décidé de sortir seule, même si Gregory a insisté pour lui conseiller de ne pas le faire et qu’ c’était pour son bien. Si elle avait tenu bon chez Lady Dalroy et avait simplement répondu : « Je n’ai aucune idée de la raison pour laquelle votre stupide montre s’est retrouvée dans mon sac à main et je m’en désintéresse complètement. Maintenant arrêtez d’interrompre ce concert, vous vous donnez en spectacle ! » Elle aurait pu rompre l’emprise de Gregory aussi simplement que cela. S’il avait dû se plaindre de la situation auprès d’autres personnes, celles-ci auraient pu aussi lui rétorquer : « Qui s’en soucie cher Monsieur, pourquoi êtes-vous à ce point obnubilé par votre stupide montre ? ».

Nous nous trouvons aujourd’hui dans une situation très similaire à celle de Paula. Et la voix de Gregory est incarnée par les discours médiatico-politiques mensongers et la programmation socio-comportementale apocalyptique contenue dans différents types de divertissement. Des choses auxquelles la plupart des gens se soumettent volontairement tous les jours, voire toutes les heures, ce qui les conditionnent socialement, comme une meute de chiens pavloviens salivants, à penser que la fin du monde est proche et qu’au premier coup de cloche de leur maître… ils se boufferont les uns les autres.

Paula est finalement sauvée par un homme du nom de Joseph Cotten (un détective), qui a remarqué et rapidement discerné que quelque chose n’allait pas. Gregory est finalement arrêté. Il est révélé que Gregory est en fait Sergis Bauer. Qu’il a tué Alice Alquist et qu’il est revenu sur les lieux du crime après toutes ces années à la recherche des fameux bijoux de la chanteuse d’opéra. Les bijoux étaient en fait sans valeur, car ils étaient trop célèbres pour être vendus, mais Gregory n’a jamais eu l’intention de les vendre, il était plutôt obsédé par le simple désir de les posséder.

En d’autres termes, celui qui pendant tout ce temps était complètement fou, c’était Gregory.

Une personne du type de Gregory est extrêmement dangereuse. Si rien n’avait entravé son chemin, il aurait eu raison de Paula. Cependant, le pouvoir qu’il détenait n’existait que parce que Paula le laissait la contrôler. La désintégration extrême de Paula dépendait donc entièrement de son propre choix de permettre à la voix de Gregory de l’atteindre. En d’autres termes, un Gregory n’est dangereux que si nous nous soumettons au cauchemar qu’il a construit pour nous.

« Quand j’utilise un mot », dit Humpty Dumpty d’un ton plutôt méprisant, « il signifie exactement ce que je choisis qu’il signifie — ni plus ni moins. »
« La question est », dit Alice, « de savoir si l’on peut faire en sorte que les mots signifient tant de choses différentes. »
« La question est », dit Humpty Dumpty, « de savoir qui est le maître — c’est tout. »

Lewis Carroll, De l’autre côté du miroir

Source de l’article initialement publié en anglais le 8 août 2021 : The Saker Blog
Traduction : Sott.net

Note




Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition

[Source : breizh-info.com]

En fréquentant des milieux transactivistes, Clément a transitionné d’homme à femme pendant quelques mois. Constatant qu’il avait pu être fortement influencé, il a décidé de revenir en arrière en arrêtant ses traitements hormonaux et d’accepter en tant qu’homme la part de féminité de sa personne. Il décrit l’endoctrinement du milieu LGBT sur la question de la transidentité et du manque de jugements de certains médecins face à la dysphorie de genre.

https://youtu.be/Vc27c3WTvLk [Lien non fonctionnel. Autre source :]

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Covid-19 : Les autorités, via les chaînes d’info en continu, utilisent-elles des acteurs pour jouer les antivax repentis ?

[Source : ZEjournal]

Par JF.Kersca

Si véritablement la vaccination est une formidable réussite et qu’un bon nombre de personnes s’est fait injecter la potion magique, plus de la moitié des français selon les politiques, médecins de plateaux, scientifiques stipendiés et journalistes obéissants, alors dites moi pourquoi aller chercher un intermittent du spectacle pour jouer le rôle d’un malade agonisant sur un lit d’hôpital ? Il existe même un site spécialisé dans le domaine. Bien sûr, tous ces acteurs interprètent des non-vaccinés qui regrettent amèrement d’avoir soit trop attendu pour se faire inoculer, soit regrettent purement et simplement d’avoir refusé la potion magique (la télé-réalité des antivax repentants). Ce n’est plus un cirque, mais une pièce de théâtre ultra propagandiste à ciel ouvert.

Pourquoi des meRdias joueraient-ils ce jeu extrêmement dangereux ? Parce qu’ils n’ont pas le choix, car soit ils sont tenus par des idéologues milliardaires – psychopathes mondialistes -, soit ils sont directement financés par l’état – les deux dans la plupart des cas. Peu importe qui signe le gros chèque, le torchon, la télé poubelle, la radio complice, etc. sont sous perfusion vitale. Si la perfusion mécénique et étatique n’est plus administrée au malade, le meRdia décède inévitablement et quasiment sur le champ. Les journalistes étant formés par l’oligarchie globaliste, à l’instar des médecins formés dans les écoles de Rockefeller (le tout chimique), ils ne font que leur travail : relayer l’information officielle sans se poser la moindre question.

Certains journalistes, Emmanuelle Ducros et les ménages par exemple, sont carrément financés par divers lobbies, selon, évidemment, la notoriété et le poids de leur parole ou de leurs écrits sur une grande partie des lecteurs, téléspectateurs ou auditeurs. Cela porte un nom : corruption. Lorsqu’un médecin passe son temps dans le poste, plutôt que dans son service à l’hôpital, a vanter les mérites d’un médicament inutile et dangereux, le Remdesivir par exemple, produit par un laboratoire, Gilead par exemple, alors qu’il est financé par le labo qui produit ce médicament, comment peut-on encore penser que ce toubib cathodique puisse être objectif. Des Lacombe et Blachier ont défendus bec et ongles ce traitement onéreux et ont touché des dizaines voire centaines de milliers d’euros de Gilead (Martin Blachier, Public Health Expertise : 882 205 euros de divers laboratoires pharmaceutiques, dont 120 600 euros de Gilead). Peut-on légitimement penser qu’ils aient été impartiaux ?  Ce n’est qu’une question.

Tout est bon pour nous inoculer la mixture ARNm et OGM de ces laboratoires criminels condamnés à de nombreuses reprises à des amendes faramineuses. Chaque pays récite inlassablement la même rengaine, le même texte, les mêmes directives pondues par Davos et son gourou Klaus Schwab et orchestrées par les fondations Bill et Mélinda Gates et Rockefeller. Ce que nous vivons en temps réel, c’est un plan savamment mis en place par une élite dictatoriale et eugéniste pour changer de paradigme. Ce qui arrive à grands pas, c’est le crédit social à la chinoise. Cette pièce de théâtre à ciel ouvert n’a absolument rien à voir, vous l’avez bien compris, avec une crise sanitaire.


Covid-19 : la télé-réalité rend malade !

Pas facile la vie des acteurs  en ces temps de coronavirus. Heureusement, ils arrivent à trouver de petits rôles dans la vraie vie. Nous l’avons vu en France, là. Voyons comment trois acteurs de télé-réalité au chômage se sont débrouillés en Grande-Bretagne. La pièce, dans laquelle ils ont joué avec beaucoup de réalisme, a pour titre « Covid-19 : vaccinez-vous ! »

Ils jouent le rôle de leur vie

Tara Langstone

« Tara Jane Langston, mère de deux enfants, a contracté le Covid-19. Depuis son lit d’hôpital, en mars 2020, la maman de 39 ans a mis en garde contre les dangers de ce virus dans une vidéo effrayante ». 

Tara s’adresse à la caméra en haletant pour respirer. Diagnostiquée positive au coronavirus la semaine dernière, elle a décrit son calvaire sur Facebook : « Si quelqu’un pense à prendre des risques, regardez-moi. Je suis aux soins intensifs. Je ne peux pas respirer sans ça. S’il vous plaît, ne prenez aucun risque. Parce que si ça devient vraiment grave, vous allez finir ici. C’est comme avoir du verre dans les poumons, c’est difficile à expliquer, mais chaque respiration est une bataille. C’est absolument horrible et je ne voudrais plus jamais revivre une telle chose. J’ai été malade pendant environ cinq jours avant d’être transportée à l’hôpital en ambulance ».

Tara Jane Langston, après avoir été une star de la télé-réalité britannique (Channel 4, « The Bridge »), est devenue serveuse et cosmétologue.

Matthew Roche

« Un homme de 38 ans a passé cinq semaines en soins intensifs avec le coronavirus après avoir refusé d’être vacciné. Matthew Roche est toujours en convalescence à l’hôpital de Whiston et a subi des dommages permanents aux poumons ».

Il a déclaré à Good Morning Britain  (ITV) : « Je me suis dit : “Je vais me faire vacciner, mais j’aimerais voir ce qui se passe au niveau des effets secondaires.” Personne ne prend cela au sérieux tant que ce ne lui est pas arrivé. J’ai perdu 10 % de mon poids, mes poumons ont subi des modifications permanentes et importantes, et il se pourrait bien que ma vie soit changée à jamais. Cela a été l’expérience la plus terrifiante de ma vie ».

Matthew Roche a joué en 2020 dans « Captain Bluebeard » et dans  « Charity collector » en 2019. Lors d’une simulation d’attaque terroriste dans un centre commercial, il a tenu le rôle d’un civil victime d’une explosion simulation de choc : pleurs, vomissements, il a apporté tout le réalisme possible à ce rôle, afin de mettre au défi les intervenants et les acteurs bénévoles. 

Marcus Birks

« Marcus Birks, 40 ans, un fou de gym qui se croyait à l’abri du Covid et qui a “repoussé” l’idée de se faire vacciner se bat pour sa vie. Il se trouve dans l’unité de soins intensifs d’un hôpital des West Midlands. Il exhorte les gens à se faire vacciner, après avoir pensé qu’il était à l’abri du virus ».

Le 11 août 2021, il déclare à BBC News : « Si vous n’avez pas été malade, vous ne pensez pas que vous allez l’être, alors vous écoutez les trucs [anti-vaccins]. Quand vous avez l’impression de ne pas pouvoir respirer assez, c’est le sentiment le plus effrayant du monde. La première chose que je vais dire à toute ma famille, c’est de se faire vacciner, ainsi qu’à tous ceux que je vois. Et dès que je pourrai l’avoir, je le ferai ».

Marcus Birks a joué dans de nombreuses séries de télé-réalité, dont « Odd One In » (2010), et  a été gagnant de Lads Army (2002). Depuis il s’oriente vers la chanson.

Nouveau job en Grande-Bretagne : vaccinateur

L’épidémie de coronavirus a créé l’emploi de vaccinateur. Une offre — en CDI ! — fait augurer d’un métier d’avenir !

« Une opportunité passionnante s’offre à vous pour rejoindre une nouvelle équipe dynamique chargée de fournir une gamme de vaccins à la population de l’Aberdeenshire dès la naissance et au-delà.  

Ce poste offre une grande variété, allant de la vaccination des enfants d’âge préscolaire, des écoles primaires et secondaires à celle des adultes. Ces vaccinations seront effectuées dans divers environnements, des foyers aux écoles, en passant par les lieux de rassemblement ou les centres de traitement et de soins communautaires, ce qui favorisera une culture du travail en équipe et de l’agilité. 

Le poste est actuellement ouvert aux personnes inscrites au NMC [infirmiers et aide-soignants] et, bien qu’une expérience préalable de la vaccination soit bénéfique, elle n’est pas essentielle car une formation complète sera fournie. Les candidats doivent faire preuve d’innovation, d’amabilité et d’adaptabilité ».

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.


« Tiens bon, on les aura ces connards »

(SMS de notre président à notre ministre de la Santé*)

Les jeunes se vaccinent pour voyager, les anciens ont cru la télé. Il reste la tranche 35-55 ans à convaincre. CNews met le paquet avec son Covid-fiction de l’été.

Marseille : Episode 1 Saison 1 : le non-vacciné repenti

Et le même jour aux États-Unis…

La même scène, mais cette fois le mourant a ses lunettes, son téléphone en main et rassemble toute son énergie pour prévenir qu’il ne faut pas faire comme lui, qui n’a pas voulu se vacciner.

En Guadeloupe aussi

Les journalistes là aussi peuvent entrer en salle de réanimation photographier un patient atteint du Covid-19 à l’hôpital Les Abymes (Centre hospitalier universitaire) à Pointe-à-Pitre, sur l’archipel de la Guadeloupe, le 6 août 2021.

Le 20 mars 2021 déjà, CNews avait employé un comédien

* La citation dans le titre a été relayée par divers médias dignes de la confiance gouvernementale : 
Valeurs actuellesLa Charente Libre20 minGala

– Source : JF.Kersca




Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire

[Source : LeoHohmann.com]

Par John Gideon Hartnett

Plusieurs nouvelles technologies qui semblent distinctes et non liées vont bientôt converger, créant un piège numérique géant qui attirera facilement les masses non informées.

Le piège numérique est déjà tendu et les élites mondialistes utilisent la COVID pour accélérer le processus de convergence. La plupart des gens tomberont dans le piège, ce qui les réduira finalement à un code QR humain – repérable, traçable et dépendant à 100% des Big Tech et du grand gouvernement pour leur existence.

Je vais défaire chacun de ces fils apparemment séparés qui seront progressivement fusionnés en une seule grille de contrôle socio-financière globale.

L’élément du programme le plus imminent nécessaire pour relancer ce système est le lancement réussi des passeports sanitaires numériques.

La France, l’Italie, l’Irlande, l’Allemagne, la Grèce et de nombreux autres pays ont commencé à imposer ces passeports à leurs citoyens, dont beaucoup envahissent les rues pour protester

Les citoyens protestent contre les pass sanitaires dans plus de 150 villes à travers la France.

Le mouvement vers les passeports sanitaires numériques aux États-Unis se fait plus progressivement, mais il prend de l’ampleur.  

Dans un briefing le lundi 2 août, le coordinateur de la réponse au coronavirus de Biden, Jeffrey Zients, a annoncé « qu’il est temps d’imposer certaines exigences » en ce qui concerne les vaccins anti-COVID.

Lorsqu’on lui a demandé des éclaircissements sur les règles COVID qui pourraient être mises en œuvre, l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a déclaré que rien n’est exclu.

Souvenez-vous de cette phrase : Rien n’est exclu.

Cela pourrait impliquer de rassembler les non vaccinés et de les placer dans des camps d’isolement et de quarantaine.

Un consortium universitaire composé de six universités a déjà un contrat avec le département américain de la Sécurité intérieure pour fournir une formation aux parties prenantes du gouvernement, des forces de l’ordre, des soins de santé et du secteur privé sur la façon de mettre en quarantaine « de grandes parties » des communautés rurales.

Mais la volonté de numériser la vie des Américains commencera dans les villes et se déplacera vers l’extérieur.

Le maire de New York, Bill de Blasio, est devenu le premier homme politique à saisir l’occasion d’exiger des passeports vaccinaux.

Malgré ce que l’on essaie de vous dire, séparer les Américains par statut vaccinal est une première historique. Cela n’a jamais été tenté auparavant, pas à travers les épidémies de polio ou de variole des années 1920, 30 et 40, pas pendant la grippe espagnole. Jamais.

De Blasio a ordonné aux entreprises de refuser le service aux non vaccinés, qui représentent 30 % de la population de la ville. Il reste à voir comment de Blasio appliquera cet édit. Appelera-t-il la police pour qu’elle ferme les entreprises qui n’exigent pas de leurs clients qu’ils montrent leurs papiers ?

Le gouverneur de New York Andrew Cuomo vise également des mandats de passeport vaccinal dans tout l’État, mais sait qu’il doit être un peu plus diplomatique dans son approche.

« Les entreprises privées, je leur demande et leur suggère de passer à l’admission uniquement pour les vaccinés. Passez à l’admission uniquement pour les vaccinés », a déclaré Cuomo lors d’une conférence de presse le 2 août.

« Je crois qu’il est dans votre propre intérêt commercial », a-t-il dit, « de gérer un établissement réservé aux vaccinés…. Nous avons des applications, dites simplement « vous devez montrer que vous avez été vacciné lorsque vous franchissez la porte. » »

En d’autres termes, « Montrez vos papiers ».

Pensez à ce que Cuomo dit ici.

Il « demande » avec force aux propriétaires d’entreprise d’éliminer 30 pour cent de la population de l’État de leur champ de clients potentiels et de les traiter comme des non-personnes.

Ceci est du pur fascisme et rappelle la propagande nazie qui a contraint les Allemands à refuser de faire des affaires avec les Juifs.

Si les propriétaires d’entreprise de New York écoutaient Cuomo, ils rendraient impossible aux personnes non vaccinées de nourrir leurs enfants.

Apprenez vos droits médicaux en tant qu’employé, étudiant, etc., et comment « dire non à l’aiguille » sur HealthyAmerican.org de Peggy Hall 

Les passeports numériques exigent que les gens téléchargent un code QR numérisable sur leur téléphone portable qui permettra aux entreprises de savoir qu’elles ont été vaccinées avant d’être autorisées à entrer et à recevoir le service [acheter ou vendre].

Cela nous amène à la deuxième étape du piège numérique qui cuit dans le four technologique – un nouveau système d’identification numérique mondial capable de fonctionner conjointement avec les passeports sanitaires numériques et le nouveau complexe médico-vaccinal.

Le leader de ce courant technologique est l’Alliance ID2020, une collaboration de plus de 35 membres dont Accenture, Microsoft, la Fondation Rockefeller, MasterCard, IBM, la Chambre de commerce internationale, MIT SafePaths et GAVI Global Vaccines Alliance de Bill Gates.

En février 2021, ID2020 a lancé le Good Health Pass Collaborative pour encourager une convergence transparente de toutes les applications d’accréditation des vaccins anti-COVID-19 développées par de nombreuses organisations différentes.

« Les certificats vaccinaux en papier peuvent être facilement falsifiés », prévient l’Alliance ID2020 dans un communiqué. « Le but des informations d’identification de santé est de prouver en toute sécurité qu’une personne a reçu un vaccin ou un test PCR. La nouvelle alliance cible particulièrement les voyages pour garantir que les informations d’identification fonctionnent de manière transfrontalière, intersectorielle et sans friction. »

L’alliance a publié un livre blanc sur le sujet pour ceux qui recherchent plus de détails.

Une autre pièce du puzzle techno-fasciste en évolution est la nouvelle monnaie numérique.

Les banques centrales du monde travaillent sur une monnaie numérique programmable basée sur la technologie de la chaîne de blocs. Cela signifie qu’ils seront en mesure de suivre vos dépenses et de vous couper les vivres pour quelque raison que ce soit.

Le Fonds monétaire international a publié un article sur son site Web en juillet, saluant l’Inde comme un leader mondial dans la lutte pour éliminer les espèces. Et bien sûr, la COVID a été mentionnée comme accélérant l’abandon du papier-monnaie. Le FMI a noté :

« La COVID-19 a accéléré l’utilisation des paiements numériques sans contact pour les petites transactions alors que les gens essaient de se protéger du virus. Ces avancées s’appuient sur India Stack, un système complet d’identité numérique, de paiement et de gestion des données sur lequel nous écrivons dans un nouvel article (Carrière-Swallow, Haksar et Patnam 2021). »

Comme vous pouvez le voir dans la déclaration ci-dessus, l’objectif est une identité numérique complète, combinant ses données de santé et son statut vaccinal avec des données bancaires et d’autres données personnellement identifiables.

Klaus Schwab nous a prévenus à l’avance du piège que lui et ses copains élitistes nous tendaient.

« La quatrième révolution industrielle conduira à une fusion de nos identités physique, biologique et numérique », a déclaré Schwab au Chicago Council on Global Affairs en novembre 2020.

Même avant cela, dans son livre de 2018, Shaping the Future of The Fourth Industrial Revolution, Schwab a écrit :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne s’arrêteront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure, elles feront partie de nous.

« En effet, certains d’entre nous ont déjà le sentiment que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes d’aujourd’hui, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau.

Lorsqu’il a écrit ces idées grandioses en 2018, cela ressemblait à la tarte dans le ciel des rêveries d’un futuriste déconnecté et peu y ont prêté attention. Post COVID, c’est sous notre nez et prêt à être mis en œuvre.

La dernière étape du programme technologique pour contrôler l’humanité est que les géants de la Big Tech travaillent ensemble pour éliminer toutes les voix dissidentes d’Internet. Leur objectif ultime est de créer un système où tous les utilisateurs ont un passeport Internet, sous réserve d’un examen périodique de votre activité en ligne.

Les géants de la Big Tech ont déjà déclaré qu’ils partageaient activement des informations dans le but de réprimer les « suprémacistes blancs » dans le cadre du Global Internet Forum to Counter Terrorism, un organisme auparavant réservé pour cibler les talibans et al-Qaïda. 

PayPal a annoncé qu’il travaillerait avec l’Anti-Defamation League notoirement marxiste pour parcourir l’Internet, à la recherche de voix « extrémistes » et « anti-gouvernementales » afin de rendre inactif leurs boutons de don PayPal.

Dans le cadre de ce système de notation sociale à la chinoise, les coupables d’infractions en ligne sont publiquement humiliés et réduits au silence. Les collecteurs d’informations sont payés pour dénoncer leurs voisins et les membres de leur famille. Une fois que votre pointage de crédit social descend en dessous d’un certain niveau, vous devenez tellement discrédité qu’il devient de plus en plus difficile de trouver un emploi, de voyager en avion, en train, en bus ou en voiture, d’obtenir des prêts ou d’inscrire vos enfants dans les meilleures écoles.

Ceux qui fournissent des informations qui vont à l’encontre le narratif seront signalés, avertis, et finalement bloqués en tant que diffuseurs de « désinformation ».

Vous perdez votre liberté d’expression, mais ce n’est pas tout.

Dans la société d’aujourd’hui, être retiré d’Internet signifie que vous ne pourrez pas acheter ou vendre en ligne ou effectuer un travail nécessitant une connexion Internet.

Ainsi, les passeports sanitaires, actuellement en cours de déploiement dans le monde entier, vous empêcheront d’acheter en personne de la nourriture et des produits de première nécessité, tandis que le prochain passeport Internet vous empêchera de commander vos produits de première nécessité en ligne. Vous vous retrouverez essentiellement avec le marché noir, en supposant qu’il y en ait un pour ceux qui sont jugés « impurs » et « impropres » pour le monde moderne en raison de leurs opinions dissidentes.

Toutes ces technologies fusionneront à l’intersection du Big Data, des grandes banques, de la Big Tech et du grand gouvernement. Votre pointage de crédit social sera désormais lié non seulement à votre activité sur Internet, mais aussi à votre compte bancaire et à votre statut vaccinal. Bienvenue dans la Grande réinitialisation, alias Nouvel Ordre Mondial.

Ajoutez les avancées de l’IA et de la reconnaissance faciale et des millions de caméras de surveillance et vous parlez d’un État esclavagiste verrouillé qui fait ressembler 1984 de George Orwell à un club de vacances.

Mais ne vous plaignez pas. Tout cela est « pour notre sécurité ».

On ne peut pas faire confiance aux gens pour faire ce qu’il faut, croire aux faits réels, mener le genre de vie qui aboutit à une société paisible et heureuse. Tous doivent se conformer aux nouveaux maîtres.

Il est maintenant temps de combattre ce système. Mais pour le combattre, vous devez reconnaître son existence et garder une longueur d’avance sur la stratégie maléfique de la cabale.

À un moment donné, la trappe se refermera. Il sera trop tard pour se retirer. Vous vous conformez ou devenez une non-personne. Un ennemi de l’État.

Ces voies distinctes d’évolution technologique finiront par fusionner pour créer une société dans laquelle tout, et chaque personne, est suivi numériquement. Pas seulement le mouvement de leur corps physique, mais leurs actions, leurs comportements et même leurs pensées.

Les élites comptent sur nous pour accepter ce système à ses débuts, fragmentés. La plupart des gens pensent de manière compartimentée. Ils ne relient pas les points. Ils seront trompés.

Les élites ne vont pas vous dire d’emblée tout ce qui est impliqué dans la quatrième révolution industrielle. Ils vont juste vous dire les parties qui semblent bonnes – commodité, inclusion, sûreté, sécurité.

Regardez la vidéo effrayante de 42 secondes publiée par le gouvernement australien exhortant les gens à créer une identité numérique (en anglais).

Une fois cette trappe fermée, il sera très difficile de sortir de ses griffes. Ne téléchargez pas d’applications, payez en espèces chaque fois que c’est possible, et arrêtez de marcher en somnambule vers le Nouvel Ordre Mondial.

Lisez l’article complet sur LeoHohmann.com.

[HGJ :] Ce que j’ai fait pour réduire mon empreinte numérique, c’est que j’ai acheté un téléphone « stupide » et ai désactivé le paramètre de localisation qui fonctionne sur les téléphones mobiles. Il n’a pas de fonction GPS et ne peut donc pas me suivre. J’ai acheté le livre de cartes à l’ancienne et j’apprends à naviguer à l’ancienne. Le téléphone stupide ne peut pas prendre d’applications et ne peut donc jamais être utilisé pour la lecture de code QR.

Pour faire mes courses, je sors une liasse d’espèces au guichet automatique à l’extérieur d’un centre commercial et n’utilise que de l’argent liquide dans n’importe quel magasin, n’importe où. Recommençons tous à utiliser de l’argent liquide, partout.


[Voir aussi, en vrac :
Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »
Un passeport vert pour un État mondial numérisé
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Qui est l’Antéchrist ?
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?
Les micropuces de Bill Gates
L’après COVID-19: la médecine des ASSASSINS FINANCIERS par l’ÉTAT PROFOND, pour toutes les Nations ?
Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?
Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID
Note sur les manifestations sous le règne du NOM
L’opération Covid-19 met à nu le “Nombre de la Bête”
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Les 13 étapes machiavéliques !
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID
Nous nous dirigeons à présent vers la tyrannie totale en Occident
Le passeport sanitaire est-il un prélude à l’apartheid ?
Accepter ou refuser l’implant
Bitcoin et autres monnaies cryptées : instruments de libération ou de contrôle ?
Pourquoi le NOM nous fragilise ?
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
L’entreprise Citrix s’attend à ce que les travailleurs aient des « puces implantées » d’ici l’année 2035
Dr Joseph Mercola : Une biopuce injectable pour la détection du SARS-CoV-2 sera prochainement approuvée par la Food and Drug Administration
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le langage humain bientôt obsolète, prédit Elon Musk]




Manifs, grèves, blocages, boycott… quelle solution pour sortir de ce cauchemar ?

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Pierre-Émile Blairon

Portrait d’une bobo décervelée

J’ai lu récemment l’article d’une journaliste, rédactrice en chef (adjointe) d’un quotidien luxembourgeois, lequel a la grande intelligence de revendiquer clairement sa périodicité puisqu’il s’appelle Le Quotidien ; c’est sans doute la limite de son engagement déontologique. La dame de s’extasier sur le fait que les Européens, et surtout les Européennes (puisqu’elle semble être une féministe convaincue) ne sont pas à plaindre puisque notre société européenne privilégiée ne leur impose qu’un tout petit pass sanitaire pour des démarches autrefois évidentes et naturelles, obligation qui n‘existait pas avant l’invention du Covid 19.

Cette brave petite bourgeoise hédoniste, dont la vie semble s’être coincée béatement dans un épisode de l’interminable feuilleton américain Les Feux de l’amour, de nous décrire avec effroi la condition de la femme partout ailleurs dans le monde, en Hongrie (l’homosexualité), en Iran (la répudiation), en Pologne (l’avortement), en Chine, en Inde, en Corée du Nord, etc… J’ai noté en esquissant un sourire narquois que les deux seuls pays européens où la liberté de la femme n’existe pas pour la donzelle sont la Pologne et la Hongrie. Avec ça, c’est une « femme libre » qui ne prend pas ses directives au… Luxembourg, siège des institutions de l’Union européenne.

« Par chance », dit-elle, « je suis une femme libre, vivant en France et travaillant au Luxembourg. Avec mes privilèges. Avec pour seul souci aujourd’hui d’avoir à présenter un QR code à l’entrée d’un restaurant ou d’un cinéma […] Se comparer aux victimes de dictature et de génocide, c’est indécent […] Allez savoir pourquoi, quand on a des problèmes de riches, on se fout éperdument de la misère des autres », conclut-elle avec une totale hypocrisie et une désinvolture assumée qui illustre bien l’adage : Après moi, le déluge.

Il convient de remarquer que le petit État du Luxembourg est le plus riche d’Europe (125 000 dollars de revenus annuels par habitant), que les seuls immigrés qu’il accueille sont de richissimes évadés fiscaux et que le seul acte de délinquance notable en 2021 a été le vol d’une serviette de bain au Sofitel local.
J’ai voulu avec cet exemple haut en couleurs (celles de l’arc-en-ciel LGBT ?) vous donner la mesure du niveau d’inconscience, d’égoïsme, d’incompétence, d’inculture et de stupidité des bobos covidistes.

Georges Bernanos - France contre robots

Oui, c’est vrai, désormais, deux peuples s’affrontent dans notre pays et dans tous les pays du monde : celui des lobotomisés et celui des éveillés.
Il faut rappeler à ce sujet les propos visionnaires de Georges Bernanos dans son livre, La France contre les robots (1974) :

« Je pense depuis longtemps que, si un jour, les méthodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre espèce de la planète, ce ne sera pas la cruauté qui sera la cause de notre extinction, et moins encore, bien entendu, l’indignation qu’éveille la cruauté, ni même les représailles et la vengeance qu’elle s’attire, mais la docilité, l’absence de responsabilité de l’homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public. Les horreurs auxquelles nous avons assisté, les horreurs encore plus abominables auxquelles nous allons maintenant assister, ne signalent pas que les rebelles, les insubordonnés, les réfractaires sont de plus en plus nombreux dans le monde, mais plutôt qu’il y a de plus en plus d’hommes obéissants et dociles. »

Que faire ?

Dix-huit mois maintenant que les lanceurs d’alerte ont prévenu les populations du projet maléfique en cours : Employer tous les moyens pour réduire drastiquement la population planétaire, qui est l’un des buts principaux de l’instauration de cette dictature mondiale pseudo-sanitaire.
L’un de mes premiers articles sur le sujet s’intitulait : Objectif Covid : soumission et robotisation de la population planétaire (publié dans ces colonnes le 1er août 2020). Il manquait un terme pour définir plus précisément le projet, qui, nous le savons maintenant comportait trois phases et non deux : c’était le mot : réduction, c’était même le plus important à insérer chronologiquement entre le mot soumission et le mot robotisation. Nous sommes en effet entrés en phase 2 de l’opération. La phase 1 : soumission est une réussite (presque) totale du pouvoir mondial. C’est dans ce « presque » que nous nous situons : le petit grain de sable qui vient détraquer la machine.

Nous avons largement expliqué tout au long de ces dix-huit mois, le processus satanique engagé par la caste ploutocratique au pouvoir dans le monde (voir les articles de mes confrères et les miens sur ce même site, et mon livre(1) qui recueille les articles que j’ai écrits sur le sujet). Nous avons mis à jour les modalités de mise en place de cette manipulation et dénoncé cette tyrannie qui n’a jamais caché ses objectifs les plus effrayants. Nos pires craintes, auxquelles nous avions du mal à croire nous-mêmes, se confirment jour après jour. Il est désormais trop tard pour tenter de convaincre qui que ce soit.

Pour prouver nos dires, il nous a souvent suffi de simplement citer les paroles ou les écrits des représentants de la secte qui, nous ne le dirons jamais assez, ne cachent pas leurs intentions comme s’ils voulaient ajouter une dose de sadisme à leur projet diabolique.

La secte mondiale qui dirige la guerre contre les peuples tire ses ficelles avec méthode, appliquant à la lettre le programme qu’elle s’était fixé.

Comment la combattre ? Le premier stade consiste, en l’état actuel de la situation, à employer tous les moyens légaux à disposition des citoyens, ce qui se définit globalement par l’expression « résistance passive ». Ces moyens doivent être utilisés simultanément, ce qui implique l’investissement actif de chaque citoyen responsable, de manière constante. Cette démarche a été pertinemment décrite par Georges Gourdin dans son livre Sabotage, appel à la grève des consommateurs(2).

Les manifestations

Les Français ont mis un temps fou à se réveiller ; c’en était désespérant surtout à cause du manque de communication ; les personnes éveillées, qui ont rapidement compris l’arnaque globaliste, ne pouvaient se connaître que par les réseaux sociaux jusqu’à ce que Florian Philippot organise un peu partout en France des rassemblements qui ne réunissaient au tout début de l’opération que quelques dizaines de personnes ; il faut saluer la lucidité et la détermination du seul personnage politique en France qui a eu le courage de ne pas se soumettre aux diktats de la caste mondiale représentée en France par celui qui nous sert accessoirement de Président.

Florian Philippot a tellement réussi dans son entreprise que, désormais, ce sont des centaines de milliers de personnes qui défilent en France chaque samedi pour réclamer l’abrogation de ce pass sanitaire.
Il nous faut remarquer qu’un nombre non négligeable de manifestants porte le masque, symbole de soumission, ce qui prouve que ces personnes ne rejettent pas en bloc la Grande Manipulation, et qui démontre donc aussi la force des méthodes de conditionnement qui permet d’arriver à ce stade d’incohérence.

Ces rassemblements ont le mérite de révéler l’ampleur du mécontentement, même en l’absence de toute retombée médiatique, puisque les médias entièrement soumis au Pouvoir, évitent soigneusement de parler de ce mouvement de contestation de fond ou bien le minimisent. Les défilés, organisés dans la quasi-totalité des villes françaises de plus de 5 000 habitants, interrogent la population française passive, spectatrice de ces mouvements de foule, qui prend conscience que les médias subventionnés lui cachent la vérité quant à l’importance de la contestation. Mais l’expérience malheureuse des Gilets Jaunes nous apprend qu’un mouvement populaire et patriote qui ne se manifeste que par la puissance du nombre ne peut durer bien longtemps pour quatre raisons :

  1. Il sera dans un premier temps nié par la presse aux ordres ; nous venons d’en parler et on sait la puissance, à l’heure actuelle, des méthodes de conditionnement employées par les gouvernants.
  2. Il sera rapidement récupéré politiquement par les « résistants de la dernière heure » qui accrochent leur wagon à la locomotive (LFI, RN, syndicats…) et vont donc casser l’unité du mouvement.
  3. Le Pouvoir va monter en épingle et détourner certains comportements pour discréditer le mouvement quant à ses revendications légitimes (affaire Cassandre).
  4. Et, en dernier lieu, il va envoyer ses chiens de garde semer le chaos et la terreur (meutes gauchistes, black blocs, faux policiers, etc…) pour enterrer définitivement la contestation.

Continuons cependant à manifester tant qu’il est possible de le faire ; la fronde peut reposer son organisation sur un leader dynamique, ce qui n’était pas le cas du mouvement des Gilets Jaunes. Il sera tant de prévoir des mesures de contournement quand on sera arrivé au stade(4).

En ce qui concerne ces mesures de contournement, les autres moyens d’action donc, reportons-nous à nouveau au livre de Georges Gourdin avec, cependant, une remarque : la caste mondiale impose un train d’enfer (sic) à la mise en place de son projet ; elle essaie de verrouiller le processus avant que l’ensemble des peuples, ou tout au moins une masse critique de citoyens, ne se rende compte de la manipulation. Il nous faut donc privilégier les mesures de rétorsion dont la mise en œuvre est immédiate.

Georges Gourdin préconise la grève des consommateurs qui s’articule autour d’un changement des mentalités et des habitudes de consommation : le retour aux produits de qualité (qui ne sont pas nécessairement les plus chers), le recours aux déplacements brefs favorisés par le choix des achats chez des commerçants, artisans ou producteurs locaux (localisme), ou la création des conditions de sa propre autonomie, alimentaire (potager) ou autre lorsqu’on dispose des moyens et des compétences nécessaires à mettre en œuvre cette autosuffisance.

Boulangerie traditionnelle

Dans l’immédiat, il faut profiter des failles et des incohérences du Système ; juste deux exemples :

• ainsi, pour punir les non-vaccinés, le gouvernement leur interdit l’accès aux grands centres commerciaux. Chouette ! 
L’occasion ou jamais de faire connaissance avec son boulanger au coin de la rue (celui qui ne demande pas le pass) et boycotter le rayon de la grande surface ; pourtant, il entre dans le projet du Pouvoir de faire disparaître tous les petits indépendants, et ce sont, au contraire, les grandes surfaces qui seront pénalisées. Tout au moins si les non-vaccinés n’entrent pas dans la logique idiote des gouvernants. En effet, ces derniers pensent que ces réfractaires ne le resteront pas longtemps parce qu’ils les jugent assez stupides pour se faire injecter n’importe quel produit dans le corps pour conserver leur habitude du samedi matin, celle qui consistait à faire leurs courses à Carrefour dans une ambiance de « fête » pour « profiter » des promotions…

• Autre exemple : tout le monde a pu remarquer la marche arrière du gouvernement sur les contraintes initialement imposées au routiers (dont les restaurants attitrés ne sont pas soumis à l’obligation du pass) et aux motards (dont la prescription du contrôle technique pour leurs véhicules a été retirée, à peine évoquée). Ces deux catégories de Français ont au moins un point commun : ils sont capables de tenir la route, expression prise dans les deux sens ; les routiers et les motards sont suffisamment solidaires et motivés pour déclencher, par exemple, le blocage des voies de communication à l’appel de leurs représentants, syndicaux ou pas, blocage qui mettrait rapidement toute l’économie du pays en panne alors qu’il serait difficile aux forces de police d’agir par la force sans provoquer un surcroît de tension et la production de l’étincelle qui mettrait le feu aux poudres.

Il existe vraisemblablement d’autres actions intelligentes et efficaces à mener. Le Pouvoir est un colosse aux pieds d’argile car la vanité de ses représentants leur cache les réalités du monde vrai, tel qu’il est, et non pas tel qu’ils aimeraient qu’il soit.

Pierre-Émile Blairon


(1)

Pierre-Émile Blairon - Iceberg
L’Iceberg : la Tradition primordiale contre le Titanisme (2021)
Éditions : La diffusion du lore

(2)

Couverture - une - Dualpha
Sabotage ! Sabordons la société de consommation !
Éditions FrancePhi Diffusion