Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE !

Par le Dr Gérard Delépine

Chaque jour une nouvelle directive écologique de l’UE rogne nos libertés, nous rend la vie plus difficile, nous appauvrit. Quelques exemples.

La crise du logement fortement aggravée par l’UE et les mesures écologiques

La population française de souche n’augmente plus depuis déjà plusieurs années. La crise du logement que nous subissons est donc principalement due à l’afflux d’étrangers, souvent illégaux, que les écologistes et l’UE nous interdisent de refuser sous peine de 20000 euros par migrant1.

De plus les exigences des verts qui interdisent la location de ce qu’ils appellent passoires thermiques2 et qui exigent des travaux extrêmement coûteux, souvent peu efficaces, ont déjà retiré du parc locatif plusieurs centaines de milliers de logements bon marché en attendant d’en exclure plusieurs millions dans les prochaines années, si leur plan diabolique se réalise…Et comme les taux d’emprunts élevés et l’alourdissement important de la fiscalité sur les propriétés3 découragent déjà les investisseurs potentiels, la crise ne peut que s’amplifier…

La promesse écologique d’octroyer des logements faciles à chauffer se transforme progressivement en disparition de logement abordable. L’objectif des verts serait-il de transformer les pauvres en SDF pour leur bilan carbone bien meilleur ?

Les verts chassent les voitures des pauvres des centres-ville

Pour diminuer la pollution des villes, les élus verts font une guerre sans merci aux automobilistes. Après avoir fermé les voies sur berge, limité la vitesse de circulation à 30 Kms/H et rétréci la plupart des boulevards à une seule voie de circulation automobile, ils créent les zones à faible émission qui excluent des villes les voitures des classes moyennes. Mais, la circulation à basse vitesse dans des embouteillages permanents fait que malgré la baisse des émissions de polluants la concentration d’ozone n’a pas diminué dans l’air de Paris.

Pour travailler, les classes moyennes, contraintes de se loger en banlieue doivent supporter des transports en commun peu fréquents, souvent en panne, bondés, chers où l’insécurité règne en particulier pour les femmes. Aujourd’hui, 25 % des agressions et 40 % des vols non violents commis en Île-de-France se déroulent dans les transports en commun et on estime que 6 % des Franciliens ont déjà été victimes de l’un ou de l’autre pendant un trajet4.

Les écologistes préfèrent les punaises de lit et les rats aux pauvres !

La mairie de Paris finance des études et des entreprises de communication pour faire accepter la cohabitation avec les rats présentés comme nos semblables prêts à nous embrasser (les fameux surmulots) !

À Strasbourg, la majorité municipale défend une « régulation douce, non létale de ces animaux » qu’elle refuse d’appeler nuisibles. Caroline Zorn, coprésidente du groupe Strasbourg écologiste précise « je trouve même plutôt ça enthousiasmant qu’on utilise ce mot liminaire ».

Le mythe écologique de la mobilité électrique non polluante

Une propagande intense et des subventions colossales prélevées sur nos impôts incitent à convertir les véhicules thermiques en véhicules électriques sous prétexte d’une moindre empreinte carbone et d’une moindre pollution. Mais les calculs des écologiques ne tiennent pas compte des coûts sociaux et environnementaux de l’extraction des métaux rares nécessaires pour les batteries, ni des problèmes de leur recyclage fortement émetteur de CO2, ni des dégâts de la fabrication de la voiture en Chine, ni des graves nuisances générées par des centrales électriques au charbon qui ont été réactivées pour satisfaire à la demande après l’interdiction du gaz naturel russe.

Dans les pays qui ont généralisé avant nous les voitures électriques, beaucoup d’entre elles sont abandonnées dans d’immenses cimetières comme en Chine5

et certaines compagnies de location américaines les boudent 6.

La diminution des émissions de carbone grâce à la motorisation électrique dépend essentiellement de la manière dont l’électricité est produite. En Pologne la part du charbon dans la production d’électricité a avoisiné 80% en 2021 rendant actuellement l’utilisation d’une voiture électrique plus polluante que celle d’une voiture thermique à l’inverse de ce qu’on observe en Suède ou en Finlande où la production d’électricité repose sur des énergies renouvelables. Donc, avant de se féliciter de rouler grâce à l’électricité, il est prudent de vérifier comment il est produit et si la production possible sera suffisante.

Les taxes sur l’énergie menacent l’existence de nombreuses professions

Sous l’impulsion de l’UE et des écologistes, les taxes sur les énergies ne cessent d’augmenter sous des prétextes divers (combler le déficit créé par le « quoiqu’il en coûte », diminuer la pollution, soutenir l’Ukraine en refusant le gaz naturel russe…). Le prix de revient d’un litre de diésel avoisine les 80 centimes, mais il est vendu 2 euros (150% de taxes !). En France le coût moyen de l’électricité nucléaire qui représente 70% de notre consommation est de 0,04950€ le kWh. Le prix du kWh TTC pour les particuliers de 0.2276 € en janvier passera à 0,2516€ en février 2024 soit 400% de plus que son prix de revient.

Cette explosion des coûts met en péril de nombreuses professions qui consomment beaucoup d’énergie (boulangers, verriers, chauffeurs, taxi, pêcheurs7, agriculteurs…) dont les clients ne peuvent assumer pareilles augmentations. Il faut d’urgence limiter les taxes pour ces professions exposées.

Le tsunami des normes écologistes de l’UE et les contrôles tuent l’agriculture

Les écologistes de l’UE créent chaque jour de nouvelles normes qui noient les agriculteurs sous des monceaux de paperasse et des contrôles incessants qui les détournent de leurs champs près de la moitié de leur temps de travail8.

Le 28 février 2023, le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau a déclaré que la France, engagée dans une trajectoire européenne de neutralité carbone à l’horizon 2050, compte baisser de 46 % les émissions agricoles nationales, mais en réalité c’est la disparition de l’agriculture française qu’il prépare.

L’UE impose aux agriculteurs 14 normes pour les haies et leur dit quand les tailler. En cas d’infraction elle les menace jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende, sans compter des suppressions des aides de la PAC, soit beaucoup plus que de nombreux délits pourtant plus graves tels que les vols, les violences aggravées, le port d’armes, l’agression sexuelle…

La politique pro Ukraine de l’UE aggrave l’impact des mesures précédentes

La volonté de l’UE et des dirigeants français d’aider l’Ukraine a ouvert en grand le marché agricole à des produits (comme le poulet industriel ou le blé) qui ne suivent pas les normes de l’UE imposées à nos agriculteurs.

Et les milliards qui permettraient de soulager la misère de nos agriculteurs sont envoyés en Ukraine où ils alimentent une corruption endémique.

Ils veulent faire disparaître nos animaux familiers et ceux qui nous nourrissent

Les vaches dont « les rots menaceraient la planète » sont menacées par les directives européennes qui veulent en diminuer le nombre de près de 50% pour nous forcer à consommer le lait de Nouvelle-Zélande 9 et la viande d’Amérique du Sud 10. Cette directive a déjà été appliquée en Irlande et aux Pays-Bas suscitant des manifestations et la création d’un parti pro agricole qui a fait basculer la majorité gouvernementale aux dernières élections néerlandaises.

Les chiens11 et les chats sont accusés de constituer des « catastrophes » pour la biodiversité et le climat12 13. Ils rejetteraient l’équivalent carbone de plus de 13 millions de voitures. Le gouvernement écolo d’Australie a investi 7,6 millions de dollars australiens dans Elixer3, un robot tueur de chat guidé par intelligence artificielle14 pour lutter contre la prolifération des félins sauvages. Et 5 députés européens veulent instituer une taxe de 100 euros par chien, taxe déjà en vigueur (pour un moindre montant) à Gérone en Espagne.

Il est stupéfiant de constater que les écologistes découvrent les lois de la nature et en particulier que tous les animaux supérieurs sont des carnivores qui ne peuvent vivent qu’aux dépens des espèces plus petites et que les herbivores sont les prédateurs des espèces végétales qu’ils dévorent.

Ils veulent interdire aux chasseurs de chasser

Les chasseurs représentent pour les écologistes le diable15 qu’il faut interdire pour protéger la vie animale. Depuis lors, les sangliers ont été multipliés par 20; ils causent chaque année 20 000 à 30 000 accidents de la route16 et rôdent dans les villes françaises, se nourrissent dans les poubelles17 obligeant à des battues administratives qui se déroulent parfois mal18.

Si on se soumet à leur dictature, les verts nous interdiront de boire du café !

Selon les chiffres de l’institut Carbone 4, l’empreinte carbone par personne en France est de 2,35 tonnes : 920 kg pour la viande, 450 kg pour les boissons, 390 kg pour le lait et les fromages, 240 kg pour les fruits et légumes, 230 kg dans la catégorie « autres » et 120 kg pour le poisson.

Et parmi les boissons, le café dont l’impact en matière de gaz à effet de serre serait de 5 kg de CO2/kg de café. Les écologistes menacent donc notre boisson matinale et voudraient nous imposer à la place des tisanes locales.

Des objectifs UE écologiques très peu plausibles et qui ne servent à rien

Dans le monde la France ne participe que pour moins de 1% du rejet de CO2 très loin derrière la Chine (33%) et les USA (12,6%) et l’Inde (7%) qui ne diminuent pas leurs émissions même lorsqu’ils signent les accords du GIEC.

La majorité des pays émergents fait des promesses pour recevoir nos subventions climat, mais ils ne pourront pas les respecter sans risque de troubles sociaux graves, car sortir de l’extrême pauvreté leurs populations constitue un objectif prioritaire totalement contradictoire avec les mesures de réductions énergétiques que nous prenons.

L’objectif écologique de l’UE est d’obtenir une diminution des émissions de CO2 d’ « au moins 55 % d’ici à 2030 »19. Ce qui représente plus du double de la réduction annuelle moyenne réalisée entre 1990 et 202020. Il n’est donc guère crédible malgré les méthodes totalitaires employées.

De même, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie de l’Europe n’a, depuis 2005, augmenté que de 0,8 % par an; il faudrait tripler ce taux pour atteindre l’objectif prévu de 45% d’énergies renouvelables ce qui paraît irréalisable compte tenu de la désaffection croissante pour les éoliennes https://x.com/Georges73922577/status/1751143592612024343?s=20

et les panneaux solaires achetés en Chine.

Et même si l’UE y parvenait cela ne représenterait qu’une diminution de 0,5% du total mondial alors que les gros émetteurs continuent d’augmenter leurs émissions rendant cette minime réduction européenne totalement inopérante.

L’UE et les écologistes nous imposent des contraintes majeures qui pourrissent nos modes de vie, créent du chômage et de la misère sans le moindre espoir plausible d’obtenir la moindre diminution des rejets mondiaux de CO2  .

Rappelons à cette occasion que le rôle nocif du CO² est loin d’être démontré. Citons par exemple le député européen roumain :

Au Parlement européen, l’eurodéputé roumain Cristian Terheș dément complètement le canular du « réchauffement climatique provoqué par l’homme » :

« Le CO2 est un gaz qui représente actuellement 0,041 % de l’atmosphère totale. Malgré ce faible pourcentage, depuis des décennies, des campagnes sont menées pour faire croire que le CO2 produit par l’homme est la cause du changement climatique. » « Les solutions proposées pour lutter contre le changement climatique sont des impôts plus élevés et davantage de contrôle de l’État, ainsi que moins de droits et d’options pour les citoyens… Évidemment, l’objectif déclaré est de changer nos comportements, alors que la lutte contre le changement climatique n’est qu’un prétexte pour le faire. »
Source : https://www.youtube.com/watch?v=PIvw0_kPCw4

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 : https://t.me/realwideawakemedia

Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE et sortir de la servitude intellectuelle qui pourrit nos sociétés21





C’est une hécatombe pour les grands médias

[Source : theeconomiccollapseblog.com]

Par Michael Snyder

Faut-il s’étonner que l’industrie de l’information soit frappée par une vague massive de licenciements ? Les enquêtes successives montrent que les Américains ont perdu confiance dans les grands médias et que des millions d’entre nous ont décidé de se tourner vers d’autres sources d’information. Depuis des années, les grands médias perdent des téléspectateurs et des lecteurs, et aujourd’hui, bon nombre des plus grands noms de l’industrie de l’information perdent des sommes colossales. Ce n’était qu’une question de temps avant que nous n’assistions à des licenciements à grande échelle, et c’est désormais chose faite.

Bien entendu, les médias grand public ne sont pas les seuls à licencier. Selon Challenger, Gray & Christmas, le nombre de licenciements aux États-Unis en 2023 était supérieur de 98 % à ce qu’il était en 2022…

Le rythme des suppressions d’emplois par les employeurs américains s’est accéléré en 2023, le nombre de licenciements ayant bondi de 98 % par rapport à l’année précédente.

C’est ce qui ressort d’un nouveau rapport publié par Challenger, Gray & Christmas, selon lequel les entreprises ont prévu 721 677 suppressions d’emplois l’année dernière, soit une augmentation considérable par rapport aux 363 832 licenciements signalés en 2022.

Le problème pourrait s’aggraver en 2024, car le marché de l’emploi continue de s’affaiblir face à des taux d’intérêt élevés et à une inflation tenace.

Mais il est vrai que l’industrie de l’information est particulièrement touchée. Par exemple, Time Magazine vient d’annoncer qu’il allait licencier des travailleurs « dans plusieurs départements, notamment la rédaction, la technologie, les ventes et les studios TIME »…

Time Magazine a licencié mardi un nombre incertain d’employés dans plusieurs départements, une décision que la PDG Jessica Sibley a qualifiée de « mesure nécessaire que nous devons prendre pour faire avancer notre entreprise et améliorer notre situation financière ».

Dans un mémo interne au personnel, obtenu par Max Tani de Semafor, Sibley a annoncé les réductions.

« Nous avons pris la décision difficile de supprimer aujourd’hui des postes dans plusieurs départements, notamment la rédaction, la technologie, les ventes et les studios TIME », a écrit M. Sibley au personnel. « Nous sommes immensément reconnaissants de la contribution de ces membres talentueux de l’équipe au cours de leur mandat chez TIME ».

Lorsque j’étais enfant, Time Magazine était très respecté et mes parents en avaient souvent un exemplaire sur la table basse.

Mais aujourd’hui, il est en train de mourir, tout comme le reste des grands médias.

Il suffit de regarder ce qui arrive au plus grand journal de Californie. Le Los Angeles Times a décidé de supprimer « un peu plus de 20 % de sa rédaction »…

Le Los Angeles Times, confronté à ce que la direction a décrit cette semaine comme une « crise financière », a entamé mardi une série de licenciements douloureux dans la salle de rédaction, une réduction d’effectifs qui s’annonce comme l’une des plus sévères des 142 ans d’histoire du journal.

Les suppressions de postes toucheront au moins 115 journalistes, a indiqué à CNN une personne au fait du dossier, soit un peu plus de 20 % de la rédaction. Quelque 94 de ces suppressions concerneront des employés syndiqués, a déclaré le chef du syndicat Matt Pearce, ce qui signifie qu’un quart du syndicat sera licencié.

Devons-nous être tristes que le Los Angeles Times implose ?

Je ne le pense pas.

Ailleurs, Paramount prévoit de licencier des centaines de travailleurs

Dans un contexte de spéculation sur son avenir, Paramount Global procède à une nouvelle vague de réduction de personnel en février, selon des sources qui se sont confiées à Deadline. J’ai entendu dire que ces réductions concerneraient des centaines d’employés dans l’ensemble de la société.

Depuis plusieurs jours, des rumeurs circulent sur l’imminence d’un licenciement d’environ 800 personnes au sein de Paramount. Cela fait suite à un rapport du WSJ [Wall Street Journal] en décembre selon lequel la société envisageait la suppression potentielle de plus de 1 000 emplois au début de l’année 2024 afin de réduire les coûts.

Paramount est la société mère de CBS, et il est donc probable que la division de l’information de CBS soit sur le point de devenir encore plus petite.

Bien sûr, la division de l’information de NBC se réduit elle aussi

NBC News a licencié plusieurs dizaines d’employés, la dernière des dizaines d’entreprises à commencer la nouvelle année avec de mauvaises nouvelles pour ses employés, a confirmé USA TODAY vendredi.

Une source au fait de ces projets [de licenciement] a déclaré que les employés ont reçu un préavis de 60 jours et qu’ils recevront des indemnités de départ et des services de reclassement.

Le journalisme sportif a lui aussi connu des temps difficiles.

À l’heure actuelle, il semble que l’avenir de Sports Illustrated soit très incertain et que de nombreux employés du magazine soient à la recherche d’un nouvel emploi

L’avenir du célèbre magazine Sports Illustrated s’est assombri vendredi après que l’éditeur a annoncé des licenciements massifs.

Le groupe Arena — qui avait été ébranlé par des informations selon lesquelles le célèbre magazine publiait du contenu généré par l’intelligence artificielle — a admis qu’il n’avait pas effectué le paiement trimestriel de 3,75 millions de dollars au groupe Authentic Brands, qui devait être effectué cette semaine.

En conséquence, la société Arena, cotée en bourse, a annoncé jeudi qu’elle allait procéder à une « réduction significative » de ses effectifs, qui comptent plus de 100 journalistes.

Toutes les histoires que je viens de vous raconter se sont produites au cours des sept derniers jours.

C’est fou comme les choses évoluent rapidement aujourd’hui.

Bien entendu, de nombreux autres secteurs d’activité licencient également. Plus tôt dans la journée, nous avons appris que SolarEdge allait licencier environ 16 % de ses effectifs

SolarEdge, une entreprise qui fabrique des onduleurs pour panneaux solaires, va licencier environ 16 % de ses employés.

L’entreprise a annoncé dimanche qu’environ 900 personnes allaient perdre leur emploi dans le cadre d’un plan de restructuration « destiné à réduire les dépenses d’exploitation et à aligner sa structure de coûts sur la dynamique actuelle du marché ». Elle a qualifié les conditions du secteur de « difficiles » dans un document déposé auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC).

Vroom Automotive va licencier « la plupart de ses employés » en arrêtant définitivement ses activités liées aux véhicules d’occasion

Dans une déclaration à la SEC et une annonce sur son site web lundi soir, Vroom Automotive a indiqué qu’elle avait cessé ses activités de concessionnaire de véhicules d’occasion après qu’Ally eut suspendu sa ligne de crédit. Vroom ne vendra plus aucun de ses véhicules au détail. Elle vendra son stock sur le marché de gros. Elle licenciera la plupart de ses employés. Elle ne conservera que sa plateforme de prêts automobiles à risque, United Auto Credit (UACC), et sa plateforme d’annonces de véhicules d’occasion, CarStory, dont les clients sont tous deux d’autres concessionnaires de véhicules d’occasion.

Pour de nombreuses autres annonces de licenciements, veuillez consulter mon article précédent intitulé « Alerte ! Voici une liste de 20 grandes entreprises qui viennent de décider de procéder à des licenciements massifs ».

Il semble que l’économie américaine ait atteint un point de basculement critique. Les perspectives économiques pour 2024 ne sont pas bonnes du tout, et les employeurs s’empressent de réduire les effectifs en prévision de ce qui s’en vient.

Si vous avez actuellement un bon emploi qui vous tient à cœur, accrochez-vous-y autant que possible.

En effet, de nombreux licenciements se profilent à l’horizon et vous ne voudriez pas vous retrouver sans chaise lorsque la musique s’arrêtera.




Dossier : « On a marché sur le Nevada… mais sur la Lune ? »

Par Alain Tortosa

Préambule

L’être humain a-t-il déjà mis les pieds sur cet astre ou l’Humanité tout entière est victime d’une vaste escroquerie depuis des décennies ?

Pourquoi écrire sur ce sujet qui ne peut qu’entraîner ricanements de la part d’honnêtes gens qui vivent sur une planète décrite par le journal Le Monde, BFM et autres médias mainstream.

Et bien c’est exactement la raison pour laquelle j’ai choisi ce sujet et non le 11 septembre ou la crise Covid parce que cela évoque une loufoquerie plus ou moins sympathique et non un grave désordre mental qui serait répandu par des extrémistes d’extrême-droite.

L’évocation de la plupart des sujets « complotistes » va immédiatement braquer le citoyen lambda qui va refuser écouter et encore plus toute discussion qui pourrait le placer dans une situation délicate vis-à-vis d’autrui, mais surtout vis-à-vis de lui-même.

Bref, écouter un gars qui vous dirait que nous ne sommes jamais allés sur la Lune c’est un peu comme avoir en face de soi un individu vous expliquant que la Terre est plate (je précise pour les « vérificateurs de l’information » qui voudraient s’engouffrer dans cette brèche pour me ridiculiser, « Non la Terre n’est PAS plate, j’ai étudié le sujet »).

« Nous sommes allés sur la Lune ! »

Les personnes qui sont nées avant 1960 l’ont « vu » de leurs propres yeux1 et les autres en entendent parler depuis leur naissance comme un fait aussi réel que l’eau mouille et le feu brûle.

Toutes les « preuves » sont là ! Photos, vidéos, témoignages, échantillons de sol, mais aussi débunkage quand cela devient nécessaire pour calmer toute velléité « complotiste » potentiellement contagieuse, mais néanmoins « délirante ».

Un autre point en faveur de la croyance repose sur l’énormité du mensonge s’il était avéré et le pourquoi.

« Comment auraient-ils pu nous cacher ces faits si longtemps et pourquoi personne n’a-t-il révélé la vérité ? »

Pourquoi un tel mensonge ?

Le fait de ne pas connaître son auteur sur une scène du crime n’est pas de nature à balayer la réalité de l’acte.

Ici encore tout n’est qu’hypothèses. Parmi celles-ci je pourrais vous citer :

  • Ils ont peut-être cru de bonne foi que c’était possible. Nous étions dans les années soixante, on faisait des fusées, des avions supersoniques, des bombes nucléaires, tout devenait possible. Il fallait battre les Soviétiques, leur prouver la supériorité de l’Amérique. Puis, pour ne pas perdre la face, voyant qu’ils n’y arriveraient jamais, ils se seraient rabattus sur le mensonge et le tournage dans le Nevada par Stanley Kubrick.
  • Les astronautes eux-mêmes ont peut-être été convaincus que c’était un mensonge de courte durée, le temps de résoudre les problèmes techniques et d’y aller vraiment. Quand ils auraient compris qu’ils n’iraient jamais sur la Lune, cela aurait été un enfer pour eux.
  • Ils ont voulu ruiner l’URSS, l’obligeant à se lancer aussi dans la conquête de la Lune.
  • Etc.

La technologie de l’époque

Celles et ceux qui sont nés avec Internet ne peuvent imaginer la réalité de l’âge de Pierre technologique qu’étaient les années 60.

La télévision était encore en noir et blanc et l’ordinateur était plus un projet qu’une réalité. Ceux-ci prenaient la place d’un bâtiment entier pour une puissance de calcul totalement ridicule.

Une époque où même la calculatrice n’existait pas (vraiment). Attention je ne parle pas de la calculatrice programmable graphique des lycéens dont la puissance est infiniment supérieure aux ordinateurs de l’époque, mais de la simple calculatrice pouvant faire des additions, des soustractions, des multiplications et des divisions.

Mon premier ordinateur dans les années 80 aurait fait rêver les ingénieurs de la NASA.

À l’époque on utilisait principalement le stylo, le papier et des règles à calcul !

Ici on parle de construire une fusée qui permettrait d’envoyer des humains sur la Lune et de les faire revenir sains et saufs !

Un peu de bon sens

Pour parvenir à cet exploit, il était impératif de respecter toutes les étapes du lancement de la fusée pour pouvoir faire les calculs. Rappelez-vous que nous sommes à la préhistoire, pas même au début de l’histoire de l’informatique.

Une fusée titanesque décolle sans exploser (pas évident à l’époque), arrive en orbite, tourne autour de la Terre puis quitte l’orbite terrestre au bon moment, se dirige vers la Lune sans la rater, tourne autour, envoie le module lunaire vers le sol, se pose, les gars font leur job, puis redécolle sans encombre avec son unique moteur, tourne autour de la Lune pour rejoindre une orbite circulaire, rejoint la fusée restée en orbite sans la rater, quitte l’orbite lunaire, retourne vers la Terre et amerrit comme il se doit juste à côté du porte-avions qui l’attend gentiment à l’endroit prévu.

Rien qu’en écrivant ces lignes, je ne peux que sourire.

Illustrons l’épopée du LEM qui quitte la Lune pour rejoindre la capsule Apollo en orbite autour de la Lune.

  • Imaginez que vous habitiez Lille et moi Marseille.
  • Imaginez que l’on se donne rendez-vous à l’échangeur d’Artigues-près-Bordeaux. Respectivement à 644 km de Marseille et 801 km de Lille.

Quelle est la probabilité que nous sortions tous deux de l’autoroute à la même seconde et que nous échangions une bouteille d’eau par la fenêtre à la vitesse de 130 km/h ?

Si nous voulons que ce miracle se produise il va non seulement falloir que nous calculions nos heures de départ, mais aussi actualiser en permanence nos calculs, vitesses et temps d’arrêt en fonction de la météo, des embouteillages, de la consommation des véhicules pour le plein de carburant, des pauses pipi, café, manger et ce, en espérant une absence de panne ou d’accident.

Là je vous parle d’un truc qui est environ à 400 000 km de la Terre, qui orbite autour de la Lune à 5920 km/h2 soit 1,67 km en une seconde et que vous ne pouvez pas rater, car vous n’avez qu’un essai.

Pour que la capsule Apollo vous récupère, il vous faudra donc calculer et recalculer :

  • Le moment où vous allez rattraper la capsule en orbite. Un seul essai possible (une première mondiale) pour l’amarrage, car si le Lem et Apollo se ratent ou rebondissent au moment de l’arrimage, alors adieu les astronautes du Lem.
  • La vitesse exacte de l’ascension et de la direction depuis le sol lunaire pour ne pas rater Apollo qui orbite à 6 000 km/h.
  • La fenêtre de décollage de la surface de la Lune pour ne pas rater Apollo au retour. Selon l’IA de Google, le LEM devait se placer sur une trajectoire qui l’amène à moins de 10 km de la capsule Apollo (tout cela avec des commandes manuelles et un ordinateur primitif). Notons qu’Apollo a une orbite circulaire et le Lem une orbite elliptique qu’il doit corriger petit à petit pour rejoindre Apollo au point exact de rendez-vous.
  • La position où vous êtes sur la Lune et la position d’Apollo au moment du décollage qui détermineront quand décoller. Selon l’IA de Google, l’erreur au moment de l’alunissage n’était que de 400 m.
  • La durée de la promenade sur la Lune.
  • La durée du temps de descente sur la Lune.
  • Le moment où le Lem devra quitter la capsule Apollo pour arriver sur le lieu choisi.
  • La durée et le nombre d’orbites autour de la Lune.
  • Le kilométrage et la durée du voyage Terre-Lune sachant notamment que la distance Terre-Lune change.
  • Le nombre et la durée de tours de la Terre (1,5) avant de partir vers la Lune.
  • Le moment de l’arrivée en orbite terrestre de la fusée.
  • Et enfin le moment du décollage de la Terre.

Car n’oublions pas, les réserves d’air et de carburant sont limitées, faire une orbite de plus peut conduire à la mort.

Et pour revenir sur Terre, vous devez calculer :

  • La vitesse et le moment exact pour quitter l’orbite lunaire et le retour vers la Terre.
  • Le moment, l’angle et la vitesse pour entrer en orbite terrestre et ne pas rebondir vers l’espace. La capsule a fait 14 orbites terrestres avant de plonger pour amerrir.
  • La durée de la descente sur Terre et la position du point d’impact dans l’eau sinon la capsule va couler avant que l’on ait pu vous récupérer. Selon l’IA de Google, il restait 4 heures d’air aux astronautes et 15 minutes de combustion. Sachant aussi que le point d’amerrissage ne pouvait être calculé à l’avance notamment du fait de l’incertitude météo. Précisons que les astronautes pilotaient manuellement la position, l’angle et la vitesse de la capsule avec des capteurs internes. (Point de logiciels de calculs ou de feuille de tableur dans laquelle il vous suffit de changer une valeur pour que tous les calculs soient mis à jour instantanément.)

Vous commencez à me suivre ?

Cela veut dire que vous ne pouvez PAS faire l’ensemble de ces calculs avant le départ. Comme pour le voyage Lille-Bordeaux et Marseille-Bordeaux vous allez devoir reprendre les calculs régulièrement, calculs qui doivent avoir un nombre de paramètres délirants pour une mission lunaire.

Je me répète, mais quant au décollage de la Lune, imaginez-le. Apollo est en orbite circulaire et vous vous allez avoir une orbite elliptique au moment de votre mise en orbite autour de la lune. Ne croyez pas que la capsule va vous attendre sur l’échangeur de l’orbite lunaire ! Sans compter que vous avez droit à un seul essai, si vous vous présentez trop tôt trop tard, trop vite, trop lentement, avec un angle trop ou pas assez important.

La réussite de l’opération tiendrait du miracle et de l’absence totale de grains de sable dans le timing. Une simple fermeture éclair coincée ou un éternuement au moment de la rencontre aurait été de nature suffisante à entraîner une catastrophe.

Quelques points problématiques

Nous avons vu que l’opération est loin d’être gagnée d’autant plus en 1969 sans les ordinateurs actuels. Ne vous inquiétez pas, il n’est pas nécessaire d’être un ingénieur pour comprendre et se forger une opinion.

Le lieu de l’amerrissage :

IA :

« Les parachutes d’Apollo ont été déployés à deux altitudes différentes :

* Les parachutes extracteurs ont été déployés à une altitude de 7 010,40 mètres. Ils ont pour fonction de stabiliser le module de commande et de service (CSM) et de le ralentir de 480 à 280 km/h.

* Les parachutes principaux ont été déployés à une altitude de 3 000 mètres. Ils ont pour fonction de ralentir le CSM encore plus, jusqu’à une vitesse de 35 km/h.

Les astronautes n’avaient plus la possibilité de diriger leur capsule dès lors que les parachutes étaient déployés. Un vent fort aurait eu un impact significatif sur le point d’atterrissage d’Apollo. Le vent aurait pu faire dériver la capsule de sa trajectoire prévue, ce qui aurait pu entraîner un atterrissage dans une zone inattendue.

Si le lieu d’amerrissage d’Apollo avait subi un ouragan, les options des astronautes étaient limitées.

* La première option était de reporter l’atterrissage. Cela aurait permis aux conditions météorologiques de s’améliorer. Cependant, cela aurait également signifié que les astronautes devaient rester dans l’espace plus longtemps, ce qui aurait pu entraîner des problèmes d’approvisionnement en oxygène et en nourriture.

* La deuxième option était de tenter un atterrissage dans des conditions météorologiques défavorables. Cela aurait été une décision risquée, car il y avait une forte probabilité que l’atterrissage se passe mal. »

    Les ceintures de van Allen :

    La Terre est protégée des radiations solaires mortelles par un champ magnétique. À de nombreuses reprises, des spécialistes de la NASA ont affirmé que ces radiations posaient un problème que nous devrions résoudre si nous voulions « retourner » ou aller sur la Lune.

    Notez que cela explique l’orbite ultra basse, environ 400 km, de la station internationale. Pour rappel les satellites géostationnaires sont à 36 000 km et la lune à 400 000 km. Des astronautes3 affirment qu’un jour nous pourrons quitter l’orbite basse. Les débunkers disent que ce n’était pas un problème dans les années 60 alors que cela en est un aujourd’hui. Leur argument principal se base sur « ils l’ont fait donc c’est possible ».

    Google IA  :

    « Les ceintures de Van Allen constituent un danger pour les astronautes et les satellites. Les particules chargées peuvent endommager les équipements électroniques et provoquer des lésions aux tissus biologiques.  

    Au-delà de la ceinture de Van Allen, les dangers pour les astronautes et les satellites sont principalement causés par les rayonnements cosmiques.

    Les rayonnements cosmiques sont des particules chargées qui proviennent de l’espace lointain.

    Ils comprennent des protons, des électrons, des neutrons et des noyaux atomiques. 

    Les rayonnements cosmiques peuvent endommager les équipements électroniques et provoquer des lésions aux tissus biologiques. Ils peuvent également provoquer des mutations génétiques, qui peuvent conduire à des cancers et à d’autres problèmes de santé. »

    Notons qu’aucun astronaute parti sur la Lune n’aurait eu de graves maladies suite à son expédition.

    L’ingénieur de la NASA Kelly Smith4 à propos de la mission Orion expliquait en 2014 :

    « En nous éloignant de la Terre, nous traverserons les ceintures de Van Allen, une zone de radiation dangereuse. De telles radiations pourraient endommager les systèmes de guidage, les ordinateurs de bord ou d’autres composants électroniques d’Orion. Naturellement, nous devons traverser cette zone dangereuse deux fois : une fois à l’aller et une fois au retour.

    Mais Orion dispose d’une protection, le blindage sera mis à l’épreuve lorsque le véhicule traversera les vagues de radiations. Des capteurs à bord enregistreront les niveaux de radiation pour que les scientifiques puissent les étudier. Nous devons résoudre ces problèmes avant d’envoyer des personnes dans cette région de l’espace. ».

    Le site Futura-science5 affirme :

    « Un cosmonaute exposé, sans protection, aux radiations des ceintures de Van Allen subirait plusieurs millions de rads par heure (or 500 rads sont généralement mortels). »

    Le débunkage du Parisien précise :

    « La NASA affirme que les combinaisons spatiales portées par les astronautes « les protégeaient parfaitement des radiations qu’ils auraient pu subir en traversant les ceintures de Van Allen. D’autant que la traversée en question a été relativement rapide ».

    IA :

    « Les astronautes d’Apollo 11 ont passé environ 90 minutes dans les ceintures de Van Allen à l’aller et au retour, soit un total de 180 minutes. »

    « La combinaison spatiale et la coque du module de commande permettaient de réduire la dose de radiations reçue par les astronautes d’Apollo 11 de 90 à 95 %. Cela signifie que les astronautes ont reçu environ 5 à 10 % de la dose de radiations qu’ils auraient reçue s’ils n’avaient pas été protégés. »

    Deux millions de rads, 5 %, 3 heures, cela nous fait 300000 rads (dose mortelle à 500). Supposons que Futura Science dise n’importe quoi et se trompe d’un facteur 500 !!!! La dose reçue serait encore de 600 rads. Bien entendu il est possible de dire tout et son contraire. On peut tout autant affirmer que la dose dans les ceintures de Van Allen est de 10 rads par heure, ou même de 1 rad par heure. Cela peut être aussi vrai ou faux que de dire que le bouclier filtre 95 % des radiations.

    Les liquidateurs de la centrale de Tchernobyl auraient reçu entre 1000 et 10 000 rads.

    Si nous sommes allés maintes fois sur la Lune alors il est possible que ces radiations ne soient pas si mortelles que ça. Si en revanche c’est un fake alors il est évident que toutes les données fournies sur les niveaux réels de radiations sont fausses.

    De plus, la NASA n’a peut-être pas choisi la meilleure période pour les missions Apollo.

    « Les pics d’activité solaire dans les années 1960 et 1970 ont été importants. Le maximum d’activité du cycle solaire 19 a eu lieu en 1968, avec une amplitude de 165. Ces pics d’activité solaire ont eu un impact sur la Terre.

    Ils ont provoqué des perturbations dans les communications radio, des pannes d’électricité et des aurores boréales plus intenses. Voici quelques exemples de ces perturbations :

    * En 1968, une tempête solaire a provoqué des perturbations dans les communications radio dans le monde entier.

    * En 1972, une panne d’électricité a touché une grande partie de l’Amérique du Nord. »

    En 1962 les USA ont fait exploser une bombe nucléaire dans l’espace de 1,4 mégatonne, 500 fois plus puissante que celle lâchée sur Hiroshima6, à une altitude de 400 km.

    IA :

    « Les radiations de Starfish Prime ont été coincées dans les ceintures de Van Allen. L’explosion a créé une onde de choc qui a ionisé les atomes et les molécules de l’atmosphère terrestre. Ces ions ont été attirés par le champ magnétique terrestre et ont formé de nouvelles ceintures de radiation autour de la Terre. Les études scientifiques ont montré que la ceinture artificielle s’est dissipée au fil des ans. En 2023, le niveau de radiations dans la ceinture artificielle est comparable à celui des ceintures naturelles. Les radiations dans la ceinture artificielle sont encore dangereuses pour les astronautes et les satellites en orbite. Cependant, elles ne sont plus aussi intenses qu’elles l’étaient au moment de l’explosion de la bombe Starfish Prime. »

    Imaginez donc en 1969, sept ans après l’explosion !

    Certains avancent la thèse que cette bombe aurait été lancée pour faire un « trou » dans la ceinture de radiations et permettre aux astronautes de la franchir sans danger. Au final cela a juste créé une nouvelle ceinture encore plus dangereuse. C’est dire le niveau de folie de ces apprentis sorciers.

    Il est donc intéressant de constater qu’il existe encore des problèmes avec les ceintures de Van Allen naturelles ET artificielles7 qui étaient pourtant « totalement résolus » dans les années 1960-70 avec les multiples missions lunaires.

    Et tout aussi intéressant de rappeler que la station spatiale est en orbite basse.

    ChatGPT rappelle :

    « Safety considerations: The ISS is still within the Earth’s protective magnetosphere in its current orbit, which helps shield it from harmful radiation. Placing it in a higher orbit would expose the station and its crew to increased radiation levels, which could pose health risks and require additional shielding measures. »…
    [« Considérations de sécurité : Sur son orbite actuelle, l’ISS se trouve toujours dans la magnétosphère protectrice de la Terre, ce qui la protège des rayonnements nocifs. En la plaçant sur une orbite plus élevée, la station et son équipage seraient exposés à des niveaux de radiation plus élevés, ce qui pourrait présenter des risques pour la santé et nécessiter des mesures de protection supplémentaires. »]

    Plus de 500 km exposerait l’équipage à des radiations.

    Les photos et films truqués :

    L’intelligence artificielle de Google aurait confirmé à Poutine que les photos sont des faux (problèmes de lumières, d’ombres, etc.), renforçant la thèse d’un tournage en studio dans le Nevada. Stanley Kubrick8 aurait lui-même confessé avoir fait ce fake dans une interview dont j’ai fourni le lien.

    Notons que les débunkers disent que ce n’est pas une preuve, il était tout à fait possible de faire les deux, un vrai alunissage ET une vraie fiction.

    Nous pouvons aussi nous demander comment ils ont pu faire de si belles photos alors même que leur appareil était à réglage manuel de la luminosité, mais aussi qu’ils ne pouvaient pas voir ce qu’ils photographiaient, l’appareil étant fixé sur le torse. De plus ils étaient obligés de retourner dans le module pour changer d’objectif ou de pellicule.

    Par exemple sur la photo ci-dessous nous voyons clairement que les ombres ne sont pas parallèles, ce qui est impossible lorsque la source de lumière est unique, en l’occurrence le soleil.

    Autre photo d’ombres non parallèles :

    Que dire de cette photo sur laquelle nous voyons parfaitement l’astronaute alors même qu’il est dans l’ombre du LEM ET qu’aucun flash n’était utilisé9 ? Il aurait dû être aussi sombre que l’ombre au sol.

    Les appareils photo avaient des croix :

    IA :

    « Les croix sur les photos prises sur la Lune sont des réticules, c’est-à-dire des grilles utilisées pour mesurer les distances et les angles sur les photos. Ils sont généralement composés de deux lignes verticales et de deux lignes horizontales.

    Les réticules sont utilisés par les astronautes pour mesurer la taille des objets sur la Lune, ainsi que les distances entre les objets. Ils sont également utilisés pour déterminer l’orientation des objets. Les réticules sont placés devant l’objectif de l’appareil photo. Ils sont généralement imprimés sur une plaque de verre ou de plastique. Les réticules sont utilisés sur les photos prises sur la Lune depuis les années 1960. Ils sont devenus un élément incontournable des photos lunaires. »

    De fait les réticules sont obligatoirement au premier plan et les objets photographiés au second plan. Il ne saurait exister un objet masquant un réticule à moins d’avoir truqué une photo et rajouté l’objet par la suite.

    Exemple d’objet se trouvant devant le réticule :

    Le journal le Parisien10 confirme qu’il y a bien eu tournage en studio, mais pour un « entraînement ».

    « Aucune preuve ni témoignage faisant état de ce tournage n’ont jamais été révélés. En revanche, la NASA a elle-même diffusé des photographies montrant l’équipe d’astronautes en studio. Mais celles-ci ont été prises trois mois auparavant, en avril 1969 à Houston. Il s’agissait en réalité d’un entraînement visant à préparer la mission d’exploration des astronautes. »

    Il est intéressant de noter que l’IA de Google l’ignore.

    IA :

    « Non, je n’ai pas de photos d’Armstrong et d’Aldrin en avril 1969 simulant dans un studio. Il n’y a aucune preuve que les premiers pas sur la Lune aient été simulés, et il est très peu probable qu’il existe des photos de telles simulations. Les photos et les vidéos de la mission Apollo 11 ont été prises par les astronautes eux-mêmes, et elles ont été diffusées en direct à la télévision dans le monde entier. Ces images ont été largement examinées par des scientifiques et des experts, et il n’y a aucune preuve qu’elles aient été falsifiées ».

    De fait Le Parisien serait-il colporteur de fakenews ??!!

    Notons que la NASA a « perdu » tous les originaux et que les bandes magnétiques auraient été jetées ou recyclées pour faire des économies. Cela ne s’invente pas.

    IA :

    « En 2006, la NASA a reconnu avoir perdu la trace de ces films, qui contenaient des images historiques des premiers pas de l’Homme sur la Lune. En 2006, la NASA a lancé une enquête pour retrouver les films originaux. L’enquête a duré plusieurs années, mais elle n’a pas permis de les retrouver. La perte des films originaux de la mission Apollo 11 a été un incident embarrassant pour la NASA. L’agence spatiale a mis en place des mesures pour éviter que cela ne se reproduise ».

    Je vous rappelle que nous parlons du plus grand exploit de tous les temps et les gars ont perdu les films !

    Les audios truquées

    L’absence de décalage dans des conversations avec la Terre.

    Il serait impossible que la Terre puisse communiquer avec les astronautes sans délai. Le délai de transmission radio entre la lune et la Terre est de 1,3 seconde auxquels il faut rajouter les délais « électroniques » de transmission du signal soit un total d’environ 2 secondes. Dans les documentaires diffusés11, nous entendons des conversations en direct entre les astronautes et la Terre sans le moindre délai. Ici encore les débunkers affirmeront que c’était un montage pour rendre l’enregistrement plus agréable.

    L’absence de bruit de propulsion lors de la descente du Lem ni de cratère d’impact.

    Comment est-il possible que les vibrations n’entraînent pas un bruit à minima audible dans les conversations entre les astronautes et la Terre ? Les astronautes étaient factuellement assis sur le moteur du LEM qui crache des gaz à 100 bars et ils subissent une décélération d’environ 3 G.

    IA :

    « Les astronautes ont décrit ces vibrations comme étant fortes, mais pas insupportables. Ils ont déclaré qu’elles étaient similaires aux vibrations ressenties lors d’un décollage ou d’un atterrissage terrestre. »

    Il est aussi étrange que la zone d’alunissage ne montre aucune trace de cratère de souffle sous la tuyère, et ce pour l’ensemble des alunissages, toutes missions confondues.

    Ci-dessous une photo montrant l’absence de cratère.

    Ci-dessous une photo du booster de Space-X lors d’un retour sur Terre.

    IA :

    « Les températures et pressions du moteur du LEM en phase d’alunissage sont les suivantes : Température en sortie de tuyère : environ 2 600 °C. Pression en sortie de tuyère : environ 100 bars12. Ces valeurs sont similaires à celles des boosters SpaceX Falcon 9 en phase d’atterrissage. La température du sol peut atteindre 2 500 °C lors de l’atterrissage d’un booster Falcon 9. »

    « Grâce à ces facteurs, la température du sol sous la tuyère du LEM peut atteindre 2 600 °C. Cette température est suffisante pour faire fondre le régolithe et créer un cratère d’impact. Voici quelques exemples de températures du sol lunaire mesurées sous la tuyère du LEM lors des missions Apollo :

    Apollo 11 : 2 600 °C

    Apollo 12 : 2 600 °C

    Apollo 14 : 2 500 °C. »

    Une vidéo de la NASA13 simule l’effet du souffle du Lem en fonction du diamètre des poussières sur laquelle nous pouvons voir la création de cratères (je vous invite à réduire la vitesse de lecture à 0,25 pour mieux voir).

    Photo de la simulation sur laquelle nous voyons bien le cratère :

    Un autre facteur étrange est qu’au pied du Lem il y ait énormément d’empreintes de pas suggérant que le souffle du moteur n’a pas balayé la poussière de la zone en sortie de tuyère.

    L’absence de poussières et de lumière au décollage du LM.

    Google IA :

    « Le LEM a soulevé d’énormes quantités de poussière lors des alunissages. La poussière lunaire est très fine et légère, et elle est facilement soulevée par le vent ou par un choc. Lorsque le LEM a touché la surface de la Lune, il a créé une onde de choc qui a soulevé une énorme quantité de poussière. Cette poussière a formé un nuage qui a obscurci la vue des astronautes et de la caméra. Les astronautes ont dû attendre que la poussière se dissipe avant de pouvoir sortir du LEM. »

    Il serait intéressant de savoir comment ils ont pu se poser sans visibilité.

    IA :

    « La zone n’avait pas moins de poussière après l’alunissage. La poussière soulevée par le LEM a recouvert toute la zone environnante. »

    J’ai alors demandé à l’IA de me fournir des photos des Lems avec poussière, mais « étrangement » les photos ne sont pas apparues14. Insistant il m’a dit qu’il me passait des liens, or les titres n’avaient aucun lien, puis je lui ai demandé de m’afficher directement le lien sous la forme https://xxx et il m’a répondu qu’il n’était pas programmé pour pouvoir faire cela.

    Bizarrement les photos du LEM sur le net sont toutes rutilantes. 

    La photo ci-dessus montre un LEM sans la moindre poussière.

    Voici une photo d’un des pieds sans poussière.

    Mais qu’en est-il du décollage, voici les réponses de l’IA :

    « Lors du décollage, le LEM a également soulevé de la poussière. Cela est dû à la poussée des moteurs. La poussière a été soulevée de la surface de la Lune et s’est dispersée dans l’atmosphère lunaire. Cependant, la quantité de poussière soulevée lors du décollage était généralement moindre que celle soulevée lors de l’alunissage. Cela est dû au fait que le LEM s’élevait plus lentement lors du décollage. La poussière soulevée par le LEM lors de son alunissage et de son décollage a eu un impact sur les missions Apollo. Elle a obscurci la vue des astronautes et a rendu difficile la navigation du LEM. »

    Pourtant le film du décollage15 de Apollo 17 que vous pouvez visionner ne montre pas de poussière, ce que l’IA ne nie pas.

    L’IA ne se « démonte » pas et trouve des explications pour le moins « pittoresques » :

    « Le film du décollage d’Apollo 17 ne montre pas de poussière pour plusieurs raisons.

    Premièrement, le LEM s’élevait plus lentement lors du décollage que lors de l’alunissage. Cela signifie que la quantité de poussière soulevée était moindre.

    Deuxièmement, le LEM était équipé d’un système de nettoyage de la poussière. Ce système utilisait des jets d’air pour souffler la poussière de la surface du LEM.

    Troisièmement, le film du décollage a été tourné avec une caméra à haute vitesse. Cela signifie que la poussière était plus difficile à voir sur le film.

    En plus de ces raisons, il est également possible que la poussière ait été soulevée par les vents lunaires avant que le LEM ne décolle. (Un petit Mistral dans le vide spatial…) Si c’est le cas, la poussière aurait été dispersée dans l’atmosphère lunaire avant que le film ne soit tourné. »

    À propos de la combustion et du panache qu’il devrait y avoir sous le Lem lors du décollage.

    Voici les réponses de l’IA :

    « Il y avait un panache de gaz incandescent lors du décollage du LEM. Le panache était causé par la chaleur extrême des gaz de combustion qui étaient expulsés par la tuyère du moteur.

    Les gaz de combustion étaient tellement chauds qu’ils étaient incandescents, c’est-à-dire qu’ils émettent de la lumière. Le panache de gaz incandescent était visible de loin, et il était un signe clair que le LEM décollait. Il était également un danger potentiel pour les astronautes, car il pouvait les brûler. Pour cette raison, les astronautes devaient porter des combinaisons spatiales spéciales qui les protégeaient de la chaleur. Le panache de gaz incandescent était un spectacle impressionnant, et il est un rappel de la puissance des moteurs à propergol solide. »

    « La longueur du panache incandescent lors du décollage du LEM variait en fonction de la vitesse d’ascension du LEM. Plus la vitesse d’ascension était élevée, plus le panache était long. En moyenne, la longueur du panache incandescent était d’environ 100 mètres. Le panache pouvait atteindre une longueur de 200 mètres lors des décollages les plus rapides.

    Voici quelques exemples de la longueur du panache incandescent lors du décollage du LEM : lors du décollage d’Apollo 11, le panache était long d’environ 150 mètres.

    Lors du décollage d’Apollo 17, le panache était long d’environ 200 mètres. »

    « Le panache incandescent du LEM a pu brûler et endommager la partie du LEM restée au sol. Cependant, les dommages étaient généralement mineurs. Dans certains cas, le panache incandescent a pu causer des dommages plus graves au MLD. Par exemple, il a pu faire fondre des composants électroniques ou endommager des structures métalliques. Lors du décollage d’Apollo 17, le bouclier thermique du MLD a été fondu et endommagé. »

    Rappelons que sur la vidéo de décollage du LEM de Apollo 17, il n’y a strictement aucune lumière en sortie de tuyère.

    Cela ne démonte toujours pas l’IA qui devrait faire une carrière d’acteur comique :

    « La vidéo du décollage du LEM d’Apollo 17 ne montre ni panache ni même une petite lumière sous le LEM qui s’élève pour plusieurs raisons.

    Premièrement, la vidéo a été tournée avec une caméra à haute vitesse. Cela signifie que chaque image est capturée en 4,16 millisecondes. La poussière et les gaz chauds du panache incandescent se déplacent rapidement, et ils peuvent donc être difficiles à voir sur une vidéo tournée à une vitesse aussi élevée.

    Deuxièmement, le LEM était équipé d’un système de nettoyage de la poussière. Ce système utilisait des jets d’air pour souffler la poussière de la surface du LEM. Cela a contribué à réduire la quantité de poussière soulevée lors du décollage.

    Troisièmement, le LEM était orienté de manière à ce que le panache incandescent soit dirigé vers le bas. Cela a également contribué à réduire la quantité de poussière et de gaz chauds visibles sur la vidéo. »

    Je lui ai alors demandé s’il avait une photo du décollage de Saturn V prise avec une caméra haute vitesse (pour voir si effectivement cela pouvait masquer les gaz).

    « Oui, il existe des photos du décollage de Saturn V depuis la Terre pour la mission Apollo 17 prises avec des caméras haute vitesse. Ces photos ont été prises par une caméra cinématographique Panavision Panaflex, qui pouvait filmer à une vitesse de 240 images par seconde. Les photos prises avec des caméras haute vitesse ont permis de capturer des détails qui ne seraient pas visibles avec des caméras standard. Elles nous donnent une vision plus claire du décollage de Saturn V et de la puissance de ce lanceur historique. »

    Et là il est censé me montrer « [Image de la fumée et la flamme du moteur de la fusée Saturn V décollant depuis la Terre pour la mission Apollo 17, prise avec une caméra haute vitesse] »

    Et « bizarrement », la 2e fois depuis le début de mon échange avec l’IA, encore à un moment « critique », cette photo n’apparaît pas. J’insiste et voici sa réponse.

    « Je suis désolé, je n’arrive pas à trouver cette image. Je l’ai recherchée dans le catalogue de la NASA et je ne l’ai pas trouvée. »

    « Il est possible que cette image n’existe pas ou qu’elle ne soit pas accessible au public.

    La NASA conserve de nombreuses images et vidéos de ses missions spatiales, mais certaines sont classifiées ou réservées à un usage interne. »

    Bref, vraiment la faute à pas de chance !

    Voici une photo capturée sur le film du décollage16 de Apollo 17 dont j’ignore si la caméra était à haute vitesse ou pas.

    Capture film décollage Apollo 11 à 500 images par seconde17.

    No comment!

    La vidéo du décollage du Lem de la mission Apollo 17 montre clairement une espèce de petit « prout » qui permet au LEM de se détacher de la partie basse. Cela fait un peu de lumière, un peu de poussière, puis le Lem semble quitter la Lune sans propulsion comme s’il était lui-même un ascenseur sans pesanteur. À se demander s’il n’était pas tiré par un câble.

    De plus, la lumière que nous voyons pendant les 13 premières secondes est clairement sur le côté du Lem et non en dessous sous les tuyères, cette lumière serait donc l’éclairage du soleil. Il n’y a donc aucune lumière créée par un moteur dont les gaz sont à « 2600 degrés et 100 bars » (IA).

    Or Google IA dit :

    « La vitesse de satellisation (vitesse minimale pour mise en orbite) du LEM lors de la mission Apollo était de 1,67 km/s à une altitude de 110 km »

    « La durée totale d’utilisation du moteur du LEM depuis le décollage de la Lune jusqu’à la vitesse de satellisation a été de 5 minutes et 42 secondes. »

    « Le moteur de descente du LEM a été allumé en trois étapes, chacune d’une durée de 2 minutes et 21 secondes. Entre le décollage de la Lune et la première extinction du moteur, il s’est passé 2 minutes et 21 secondes de poussée. Cette poussée a permis au LEM de s’élever de la surface de la Lune et d’atteindre une altitude de 10 km ».

    « La vitesse du LEM était d’abord nulle au moment du décollage.

    La poussée du moteur a ensuite donné au LEM une accélération constante de 2,9 m/s². En 2 minutes et 21 secondes, l’accélération constante a permis au LEM d’atteindre une vitesse de 1,2 km/s (4320 km/h). »

    Il est donc bien confirmé que le moteur était allumé constamment depuis le décollage et il devrait donc provoquer un panache lumineux de plus de 100m, ce qui n’est pas le cas sur la vidéo. La conclusion s’impose donc.

    Comment a été tourné le film du décollage du Lem ?

    Certains complotistes se demandent si le cameraman est encore sur place.

    Selon Google IA :

    « La caméra a enregistré le décollage du LEM de la mission Apollo 17 le 14 décembre 1972. Les images du décollage du LEM sont les seules images du décollage de la Lune filmées depuis la surface de la Lune. »

    « La caméra était contrôlée à distance depuis le module de commande et de service (CSM) (module en orbite). »

    « La caméra était équipée d’un système de télécommande qui permettait aux astronautes du CSM de contrôler la caméra depuis leur poste de pilotage. Les astronautes pouvaient utiliser le système de télécommande pour déplacer la caméra, zoomer et ajuster la luminosité. »

    « Le module de commande et de service (CSM) était en orbite autour de la Lune pendant que le module lunaire (LM) était sur la surface de la Lune. »

    « La durée durant laquelle le LEM pouvait voir le CSM en orbite était d’environ 1 heure et 10 minutes. Cette durée était déterminée par la période orbitale du LEM, qui était d’environ 1 heure et 10 minutes. »

    « En effet, le CSM était en orbite polaire autour de la Lune, ce qui signifie qu’il passait au-dessus de tous les points de la surface de la Lune. Il est donc possible que le CSM se trouvât sur la longitude opposée à la longitude du LEM au moment du décollage. »

    Si le Lem avait une fenêtre de tir d’environ 4 heures, il demeure totalement crédible de choisir une heure de décollage compatible avec la vidéo.

    En tous les cas un bel exploit technique. Une capsule Apollo à 110 km au-dessus de la Lune qui se déplace à 5000 km/h et qui arrive à capter pendant au moins 34 min (durée du film18 disponible, donc un déplacement de plus de 2500 km) et sans brouillage du signal, la vidéo d’une caméra au sol et renvoyer en temps réel des ordres de commande de la caméra (position, zoom, etc) le tout sans subir de perturbations radio du Lem en train de décoller. Il est bien entendu que l’antenne doit être réorientée vers les sites d’alunissage pour ne pas perdre le signal.

    L’absence de radiations sur les films et les photos.

    Comment serait-il possible d’avoir des photos aussi nettes et contrastées alors que les films argentiques auraient dû être impactés par les radiations aussi bien durant la prise de vue que durant leur retrait, leur mise à l’abri, voir même leur transport ?

    Exemple de pellicule altérée par des rayons X dans un aéroport, on voit bien une bande horizontale plus claire :

    Les fact-checkers affirment que les appareils et les films étaient protégés. Il est intéressant de voir que des photos prises à Tchernobyl sont marquées par les radiations.

    L’IA nous dit qu’ils avaient des appareils photo et des films spéciaux qui réduisaient les risques de 50 %, mais cela est en contradiction avec des données diffusées sur Internet. Alors que ces pellicules résistaient aux températures extrêmes aussi bien froides que chaudes, il semblerait que Kodak n’en ait pas fait un argument publicitaire.

    Là où ça tient du miracle, est que le temps de pose19 de certaines photos était très long20.

    IA :

    « D’autres photos, telles que des paysages lunaires ou des photos de la Terre depuis la Lune, ont également nécessité des temps de pose plus longs. Dans certains cas, les temps de pose pouvaient atteindre plusieurs minutes. » Temps durant lequel les films étaient bombardés de radiations. Je vous rappelle que tous les originaux ont été égarés.

    Pourquoi la capsule qui touche l’eau au retour sur Terre ne dégage-t-elle pas de la vapeur ou ne brûle pas les mains des techniciens qui font sortir les astronautes ?

    Et ce alors qu’elle était à quelques milliers de degrés Celsius quelques minutes avant durant la rentrée dans l’atmosphère. Comment les techniciens font-ils pour la toucher avec leur main sans se brûler après l’amerrissage ?

    Selon IA Google :

    « La température de la capsule Apollo durant la descente était extrêmement élevée. La capsule pénétrait dans l’atmosphère terrestre à une vitesse de 40 000 km/h. L’air de l’atmosphère était comprimé et chauffé par la vitesse de la capsule, atteignant des températures de 3 000 à 4 000 degrés Celsius ».

    La répétition

    Nous n’avons toujours pas réussi à retourner sur la Lune, prouvant ainsi l’extrême difficulté de l’opération.

    Si l’on se place en 1969 alors le succès de la mission relèverait du miracle. Dans ces conditions il eût été délirant de prendre le risque d’autres missions. Ce simple constat de la répétition affirme que nous étions dans une technologie totalement éprouvée et maîtrisée, ce qui est un peu ridicule quand on pense que l’on a « perdu » cette technologie (selon la NASA).

    Pérégrine devait se poser sur la Lune et redécoller il y a quelques jours et la mission s’est soldée par un échec.

    De plus la technologie du Falcon9 de Space-X qui permet aux boosters de retourner atterrir sur Terre à la verticale, exactement comme les LEMS, est présentée comme une « nouvelle technologie » innovante alors que c’était quasi routinier au début des années 1970.

    Falcon 9 a d’ailleurs connu de nombreux déboires.

    Voici une photo tirée d’un petit film présentant le Falcon 9 se poser21

    Que faire des témoignages d’astronautes qui disent qu’un jour on pourra quitter l’orbite terrestre ?

    « Leur langue a fourché, ce n’était pas ce qu’ils voulaient dire ? »

    La pierre lunaire du musée d’Amsterdam22.

    Il y a quelques années une expertise a été faite pour des motifs d’assurance qui est arrivée à la conclusion que c’était non pas une roche lunaire, mais du bois pétrifié. Notons que de nombreux États ont « perdu » leur pierre lunaire23. Nous parlons ici d’objets uniques et extraordinaires témoins du plus grand succès de l’humanité. « Oui, mais c’est peut-être juste des erreurs ! »

    Il est possible de trouver des roches lunaires en Antarctique et la NASA y est allée en 1966 et 1967.

    Expédition CNRS24 : « 25/01/2018. On a trouvé une météorite lunaire ! ».

    Futura-sciences25 :

    « Dans une nouvelle étude portant sur des météorites lunaires retrouvées en Antarctique, des chercheurs de l’ETH Zurich apportent la preuve que la Lune s’est bien formée à la suite d’un impact géant entre un corps planétaire et la Terre ».

    Voici ce qu’affirme l’IA de Google26 :

    « Les météorites lunaires sont très rares, mais on en a trouvé plus de 300 à ce jour. La plupart des météorites lunaires ont été trouvées en Antarctique, car la glace et la neige de ce continent ont aidé à préserver ces météorites rares. »

    « Il y a eu plusieurs expéditions menées conjointement par la National Science Foundation (NSF) et la NASA en Antarctique dans les années 1960 »

    « Wernher von Braun a participé à une expédition en Antarctique en 1966-1967. Il était accompagné de plusieurs autres membres de la NASA, dont Ernst Stuhlinger, Robert Gilruth et Maxime Faget. L’objectif de l’expédition était d’étudier les conditions de vie et de travail en Antarctique, dans le cadre de la préparation des missions Apollo. L’expédition a duré deux mois et a permis aux participants de collecter des données précieuses sur la météo, la géologie et la biologie de l’Antarctique. »

    « Wernher von Braun était le directeur du développement des lanceurs pour la NASA. Il a été responsable de la conception et de la construction de la fusée Saturn V, qui a permis aux missions Apollo d’atteindre la Lune. »

    La NASA affirme que nous ne pouvons pas retourner sur la lune parce que nous avons perdu la technologie et le savoir de 1969 !

    En premier lieu comment serait-il possible de perdre les données de l’événement le plus extraordinaire de l’humanité et nous aurions besoin d’une technologie totalement dépassée pour y parvenir aujourd’hui ?! C’est comme si nous avions besoin de la technologie du train à vapeur pour construire un TGV.

    L’astronaute de la NASA Dan Pettit27 l’a affirmé.

    Google IA :

    « Don Pettit est un astronaute américain de la National Aeronautics and Space Administration (NASA). Pettit est un pionnier de l’exploration spatiale.

    Il est un exemple de l’excellence scientifique et technique de la NASA. »

    « Don Pettit a affirmé que nous avions perdu la technologie pour aller sur la Lune.

    Il a fait cette affirmation dans une interview accordée au magazine Wired en 2013.

    Pettit a déclaré que la technologie utilisée pour les missions Apollo n’est plus disponible aujourd’hui. Les usines qui produisaient les composants de ces missions ont été fermées, et les connaissances et les compétences nécessaires pour les fabriquer ont été perdues. »

    « Si l’on considère que la technologie est simplement les composants physiques nécessaires à un voyage sur la Lune, alors il est possible que la technologie nécessaire soit encore disponible. Cependant, si l’on considère que la technologie comprend également les connaissances et les compétences nécessaires pour fabriquer et utiliser ces composants, alors il est plus probable que nous ayons perdu cette technologie. »

    Pourquoi ne voit-on aucune étoile dans les photos prises depuis la Lune ?

    Petite remarque « complotiste » : S’il y avait des étoiles sur les photos, nous aurions la possibilité actuelle de calculer le lieu et la date de la prise de vue.

    Les fact-checkers expliquent que les astronautes étaient présents de jour sur la face éclairée de la Lune et que la lumière du soleil masquait les étoiles comme sur Terre. Aux astronautes à qui l’on avait posé cette question, ceux-ci disaient ne pas se rappeler. Rappel : Il n’y a pas d’atmosphère sur la Lune.

    Question posée à l’IA de Google28 :

    « Puis-je voir les étoiles dans l’espace si le soleil est dans ma direction ? »

    Réponse :

    « Si vous regardez dans la direction du Soleil, vous ne verrez que la lumière du Soleil. Les étoiles seront cachées par la lumière du Soleil.

    Cependant, il est possible de voir les étoiles dans l’espace si le soleil est dans une autre direction. Par exemple, si vous êtes dans l’espace et que vous regardez dans la direction opposée au Soleil, vous pourrez voir les étoiles ».

    Alors pourquoi les astronautes n’ont-ils fait aucune photo avec le Soleil dans le dos ?

    Pourquoi sur les photos, même avec un temps de pose important et avec le soleil dans le dos ne voyons-nous pas les étoiles ?

    Selon l’IA :

    « Dans une interview accordée à la télévision américaine le 24 juillet 1969, Neil Armstrong a déclaré : “Nous n’avons pas pu voir les étoiles. La luminosité du soleil était telle que nous n’avons pas pu les distinguer”. Buzz Aldrin a également déclaré dans la même interview : “Nous n’avons pas pu voir les étoiles. La lumière du soleil était trop brillante.” »

    Le journal Le Parisien29 a débunké l’absence d’étoiles visibles sur la Lune :

    « En outre, en raison de l’absence d’atmosphère, le ciel reste noir de jour comme de nuit. Sur une photographie prise en 1968 par Apollo 8, “le premier lever de terre” ne montre pas d’étoiles. À notre échelle, c’est un peu le même phénomène dans un stade de foot la nuit. Vous voyez les joueurs, la pelouse, mais pas d’étoile ? C’est normal : il y a tellement de lumière pour éclairer le terrain qu’on ne perçoit plus le ciel étoilé. »

    Voici donc, selon le Parisien, une photo sans étoile « prouvant » que l’on ne peut pas les voir dans l’espace (et que les photographes n’auraient pas pu prendre une photo en visant plus haut) :

    Pourtant cette photo30 ci-dessous prouverait que l’on peut prendre en photo les étoiles depuis l’espace qui plus est avec un temps de pose très court (sinon les étoiles seraient en forme de traits du fait de la vitesse de l’ISS.)

    L’IA résume ainsi :

    « Si vous regardiez le Soleil directement dans l’espace, vous seriez immédiatement aveuglé. »

    « Si vous êtes dans l’espace, dos au soleil et qu’il y a un objet ou même la Lune ou la Terre qui sont éclairés par le Soleil, vous ne verrez pas des étoiles, car votre champ de vision recevra trop de lumière. »

    « Si vous êtes dans l’espace dos au Soleil et qu’il n’y a dans votre champ de vision ni objet proche, ni la Terre, ni la Lune, alors vous pourrez voir les étoiles encore plus brillantes que sur Terre »

    « Si vous êtes dans l’espace face au Soleil et que vous placez entre le Soleil et vous un cache qui masque tout le diamètre du Soleil, alors vous pourrez voir les étoiles. La raison en est que le cache bloquera la lumière du Soleil31, ce qui vous permettra de voir les étoiles qui sont derrière le Soleil. Cependant, il est important de noter que le cache doit être suffisamment grand pour masquer tout le diamètre du Soleil. Avec un peu de planification, vous pourrez voir les étoiles dans leur pleine splendeur dans l’espace, même si vous êtes face au Soleil. »

    Nous voici donc avec une IA « complotiste ».

    Pour le site Quora32, la réponse est encore plus drôle, il n’auraient pas eu le temps ?!

    Rappelons que si nous faisons la somme de toutes les missions spatiales c’est plus de 305 heures sur le sol lunaire, soit plus de 12 jours, et y’a pas un gars qui s’est dit que ce serait cool d’avoir une image des étoiles depuis la lune et d’autant que cela prouverait leur présence ?!

    Il va donc falloir m’expliquer pourquoi il n’y a AUCUNE étoile sur les photos prises sur la Lune, mais aussi pourquoi nombre de débunkers affirment qu’il est techniquement IMPOSSIBLE de les voir du fait de la lumière du soleil !

    Comment ont-ils climatisé la température de leur combinaison spatiale et comment ne sont-ils pas tombés malades en respirant de l’oxygène pur ?

    120 degrés sur la face exposée au soleil et moins 150 à l’ombre ? Des batteries au plomb très lourdes, très grosses et peu performantes existaient à l’époque.

    À ce propos Aldrin aurait déclaré qu’il faisait un peu froid dans le LEM la nuit alors même que cela aurait dû être l’inverse, les astronautes étant présents durant la période de jour et donc tout le temps au soleil.

    Un autre point, les astronautes respiraient de l’oxygène quasi pur pendant toute la durée du voyage.

    IA :

    «  les astronautes d’Apollo 11 respiraient le même mélange d’oxygène et d’azote dans le LEM et dans Apollo. Le mélange était composé de 99,5 % d’oxygène et de 0,5 % d’azote. »

    Chatgpt :

    « L’exposition prolongée à des concentrations élevées d’oxygène peut causer des dommages pulmonaires, des lésions oculaires, des problèmes respiratoires, des convulsions et d’autres complications potentiellement graves. »

    « Pour un individu de corpulence moyenne en bonne santé, respirer un mélange à 99,5 % d’oxygène et 0,5 % d’azote pendant une période allant jusqu’à quelques heures ne devrait normalement pas causer de symptômes significatifs. »

    « L’inhalation prolongée d’un tel mélange peut entraîner une diminution du niveau de dioxyde de carbone (CO2) dans le corps, car l’azote, qui est normalement présent dans l’air, dilue l’oxygène et permet l’élimination du CO2. Une baisse excessive du CO2 dans le sang peut entraîner des symptômes tels que la sensation de vertige, l’essoufflement, l’engourdissement des extrémités et l’altération de la conscience. »

    « Respirer un mélange à 99,5 % d’oxygène et 0,5 % d’azote pendant une période prolongée de 3 jours peut entraîner des risques et des symptômes potentiellement graves. L’exposition prolongée à des concentrations élevées d’oxygène peut causer des dommages aux tissus pulmonaires, des lésions oculaires, des problèmes respiratoires, des convulsions, des étourdissements, des troubles de la coordination et d’autres complications potentiellement graves. De plus, une exposition prolongée à de l’oxygène à des concentrations élevées peut perturber l’équilibre normal des gaz dans le corps, ce qui peut avoir des effets néfastes sur le système nerveux central. Cela peut entraîner des symptômes tels que des convulsions, des étourdissements, des troubles de la coordination, des maux de tête, une altération de la conscience et, dans des cas graves, des lésions cérébrales. »

    Ça m’intéresse33 :

    « Au-delà d’une centaine d’heures, des lésions se forment dans les couches internes des vaisseaux sanguins et dans les alvéoles pulmonaires, provoquant la mort. Avant cette échéance, l’hyperoxie (excès d’oxygène) peut provoquer des dégradations de la rétine, du foie, des reins et des intestins. »

    IA google :

    « Apollo 11 : 192 heures sous oxygène. Apollo 14 : 240 heures sous oxygène. Apollo 15 : 301 heures sous oxygène quasi pur. »

    Précisons que les astronautes étaient sous une pression de 0,3 bar.

    ChatGpt :

    « La réduction de la pression en oxygène à 0,3 bar (ou 0,3 fois la pression atmosphérique terrestre) présente certains avantages potentiels, mais elle comporte également des risques et des considérations importantes. Cependant, une pression en oxygène réduite peut également entraîner des effets néfastes sur le corps humain. À des pressions en oxygène plus basses, il peut devenir plus difficile pour les poumons de diffuser suffisamment d’oxygène dans le sang. Cela peut entraîner une hypoxie, c’est-à-dire une diminution de l’apport en oxygène dans les tissus corporels, ce qui peut avoir des conséquences graves pour la santé et le fonctionnement du corps. Une pression en oxygène réduite peut également augmenter le risque de développer le mal de décompression, qui survient lorsque la pression ambiante diminue rapidement, entraînant la formation de bulles d’azote dans le sang et les tissus. C’est un risque important lorsqu’il s’agit d’activités spatiales ou de plongée sous-marine. »

    Sur la bible ?

    Que dire de tous les astronautes qui sont allés sur la Lune et ont tous refusé de jurer sur la Bible qu’ils y étaient allés ? Et ce d’autant plus que les journalistes ajoutaient qu’ils donneraient alors des milliers de dollars à des associations caritatives ?

    Je vous rappelle qu’aux USA, il est extrêmement grave de mentir sur la Bible. « Cela ne prouve rien, rien ne les obligeait à jurer ! »

    Une mort bien étrange

    IA :

    « Un inspecteur de sécurité a mis en lumière les problèmes techniques entourant la mission Apollo 1. Thomas Ronald Baron était un inspecteur de contrôle qualité et de sécurité pour la NAA qui a été très critique à l’égard de la NASA et de son protocole pendant le projet Apollo. Baron a publié un rapport de 55 pages détaillant les lacunes et le désarroi dans lequel se trouvait le programme.

    Le rapport de Baron a été jugé trop critique et disproportionné, peu de ses affirmations ayant une réelle crédibilité. À un moment donné, il a témoigné devant le Congrès, affirmant que, dans les circonstances actuelles de la NASA, nous n’atteindrions jamais la Lune. Cependant, beaucoup n’ont pas prêté attention à Baron et pensaient qu’il était potentiellement utilisé comme un pion dans la campagne du sénateur Walter Mondale visant à dénoncer et à démanteler la NASA pour ses dépenses inutiles.

    Baron a été licencié par la NAA pour avoir divulgué son rapport à la presse, tandis que sa société a nié la majorité de ses critiques. Il est apparu plus tard que de hauts responsables avaient vérifié la crédibilité d’au moins la moitié de ses affirmations.

    Quelques semaines plus tard, la catastrophe d’Apollo 1 s’est produite et Baron a commencé à transformer son rapport de 55 pages en un rapport de 500 pages condamnant la NASA et la NAA pour les échecs qui ont conduit à la tragédie. Curieusement, une semaine plus tard, Baron et sa famille furent tués lorsque leur voiture fut heurtée par un train. La cause du décès a été jugée accidentelle et aucune autopsie n’a été pratiquée. Le rapport de 500 pages de Baron a été détruit (a disparu) et n’a jamais été publié. »

    « À la page 280 du livre de Mike Gray Angle of Attack : Harrison Storms and the Race to the Moon34 (1992), Gene Kranz, directeur de vol de la NASA dans les missions Gemini et Apollo, aurait déclaré : “C’était comme un camp d’entraînement. Nous avons pris nos meilleurs contrôleurs et en avons fait des instructeurs. Ils ont martelé les maillons faibles jusqu’à ce qu’ils se brisent. […] Certains gars sont morts d’une crise cardiaque. D’autres se sont suicidés.” »

    Comment garder un tel secret ?

    Un argument de taille des débunkers consiste à dire qu’il eut été impossible de garder une telle supercherie secrète.

    À cela nous pouvons répondre : « Projet Manhattan ».

    IA :

    « Le nombre de personnes impliquées dans le programme qui a permis de créer la première bombe nucléaire est estimé à environ 130 000. Ce chiffre comprend les scientifiques, les ingénieurs, les ouvriers, les militaires et les autres personnes qui ont travaillé sur le projet Manhattan, le nom de code du programme.

    Le projet Manhattan a été lancé en 1941 par le gouvernement américain. Le projet Manhattan a été un effort colossal, qui a nécessité des ressources considérables. Le gouvernement américain a investi plus de 2 milliards de dollars (37 milliards de dollars d’aujourd’hui) dans le projet, et des milliers de personnes ont travaillé sur le projet dans des laboratoires et des installations dispersés aux États-Unis et au Royaume-Uni. Le grand public a été informé de l’existence du projet Manhattan le 16 juillet 1945, le jour du test de la première bombe nucléaire à Alamogordo, au Nouveau-Mexique. »

    Ceci est la preuve qu’il est possible de garder un secret pendant des années notamment grâce au cloisonnement des tâches. Chacun travaille dans son coin, dispose d’une partie du projet en ignorant la totalité.

    IA :

    « On estime que seulement environ 10 % des personnes impliquées, soit environ 13 000 personnes, connaissaient l’objectif global du projet. »

    Si votre objectif était de mettre en place un faux voyage vers la Lune, il suffirait de très peu de personnels dès lors que tous les autres croiraient que tout ceci est réel. En tous les cas largement moins que pour le projet Manhattan.

    Si vous deviez mener cette opération secrète

    • La NASA était la seule source d’informations au même titre que Pfizer était la seule source de données sur « l’efficacité vaccinale ».
    • Au niveau politique et administrateurs de la NASA, il suffirait d’une poignée de personnes.
    • La fabrication du faux studio et des effets spéciaux simulant l’absence de pesanteur se justifierait pour des entraînements, il ne serait pas nécessaire de divulguer le secret à ce personnel.
    • La fabrication d’un centre de contrôle bis se justifierait pour des raisons de sécurité et redondance.
    • Le seul personnel au courant serait donc l’équipe du centre de contrôle bis qui gérerait le vol spatial en orbite autour de la Terre pendant 3 jours pendant que les astronautes seraient censés quitter l’orbite terrestre, voyager ver la Lune, orbiter, se poser, redécoller et revenir vers la Terre. (La fusée peut aussi fonctionner à vide, sans astronautes.)
    • Une autre partie du personnel bis se chargerait de la communication avec le centre de contrôle principal. Ils fourniraient les faux échanges avec les acteurs et les fausses données censées venir de l’espace et de la Lune.
    • Le centre de contrôle principal croirait de bonne foi qu’il communiquerait avec des astronautes et une fusée à 400000 km de la Terre.
    • L’équipe de tournage se chargerait de filmer le vol vers la Lune et les phases lunaires en temps réel comme si c’était une émission en direct. Quoi de mieux que choisir un metteur en scène qui aurait tourné « 2001, l’odyssée de l’espace », sorti en avril 1968 ?
    • Les acteurs seraient connus, il n’y en a que trois.

    Les phases de préparation, de décollage de la fusée, de mise en orbite, de descente vers la Terre, de récupération des astronautes dans le pacifique demeureraient réelles et gérées par le personnel de la NASA et du centre de contrôle principal qui ignorerait tout de la supercherie.

    De fait la quasi intégralité des membres de la NASA et des militaires ne serait pas informé de l’escroquerie et le nombre de personnes dans le secret des dieux serait largement inférieur aux 13 000 du projet Manhattan, quelques centaines à tout casser.

    Bref rien de bien compliqué lorsque l’on a réussi à cacher pendant des années la mise au point de la première bombe atomique.

    Faits en vrac et non exhaustifs

    • Que dire des confessions qu’aurait faites Stanley Kubrick35 peu de temps avant son décès ? Kubrick qui, sans le moindre doute, fait de fortes allusions à Apollo 11 dans son film Shining36 alors même que Stephen King n’en parle pas dans son livre.
    • Que dire de Buzz Aldrin37 qui avoue à une petite fille que nous ne sommes jamais allés sur la Lune ?
    • Que dire de Thomas Pesquet38 qui s’emmêle les pinceaux et qui dit que c’est un endroit où nous ne sommes jamais allés ? Il a fait plusieurs interviews,39 dont une se demandant si c’est humainement possible d’aller, « aussi loin qu’un être humain s’est jamais éloigné de la terre ».
    • Que dire de toutes les pertes de la NASA,40 dont le film original des premiers pas d’Armstrong, sur la Lune ?
    • Que dire de l’IA de Google qui énonce à Poutine41 que les films de l’alunissage sont des faux ?

    Il existe bien sûr des dizaines d’autres sujets qui questionnent la « vérité » officielle et j’invite les lecteurs curieux à regarder le documentaire de 3 h 30, « American Moon42 ». ou « Que s’est-il passé sur la Lune43 » de 1 h 58.

    Des preuves pour affirmer que la Lune est un fake ?

    Non, je n’ai pas la moindre preuve hormis des faisceaux d’indices.

    • Quand bien même des scientifiques et des astronautes, même de la NASA, affirment que l’on ne peut pas traverser la ceinture de radiation de Van Allen ou supporter les rayons cosmiques, cela n’apporte pas la preuve que personne ne l’ait fait.
    • Le fait que l’ISS soit en orbite basse protégée par le magnétisme de la Terre n’est pas une preuve. Ce fait m’a questionné depuis l’enfance « pourquoi un truc aussi nul ? ».
    • Le fait que la technologie de l’époque fut plus que rudimentaire au regard des difficultés n’est pas une preuve.
    • Le fait que les astronautes aient respiré de l’oxygène pur pendant une période longue sans développer de symptômes plus ou moins graves n’est pas une preuve.
    • Le fait que des astronautes contemporains disent que l’on n’a jamais quitté l’orbite de la Terre n’est pas une preuve.
    • Le fait qu’il n’y ait aucun cratère d’impact sous le Lem et qu’en plus la zone ait de nombreuses traces de pas, la poussière étant restée ne serait pas une preuve.
    • Le fait qu’aucun astronaute qui est allé sur la Lune n’ait accepté de jurer sur la Bible y être allé n’est pas une preuve.
    • Le fait que sur des images de la Terre prises par les astronautes on voit un nuage immense qui parcourt tout le globe n’est pas une preuve. IA : « Le nuage le plus grand jamais photographié est un nuage lenticulaire, également connu sous le nom de nuage d’onde, qui a été photographié au-dessus des montagnes de l’Himalaya en 2009. Le nuage mesurait environ 1 000 kilomètres de long et 500 kilomètres de large. »

    Ici nous voyons un nuage d’environ 9000 km.

    • Le fait que Buzz Aldrin ait dit que nous n’étions jamais allés sur la Lune n’est pas une preuve.
    • Le fait que la seule mission Apollo qui n’ait pas réussi à se poser sur la Lune fut Apollo 13, treize, cela ne s’invente pas, n’est pas une preuve.
    • Le fait que (toutes ?) les photos, films, audios, vidéos soient des faux n’est pas une preuve.
    • Le fait que de nombreuses pierres lunaires aient été perdues et qu’une fut du bois pétrifié n’est pas une preuve.
    • Le fait que l’on puisse trouver des roches lunaires en Antarctique et que la NASA y ait fait une expédition en 1966 et 1967 avec von Braun n’est pas une preuve.
    • Le fait que Stanley Kubrick eut tourné un faux alunissage et qu’il eut avoué à la fin de sa vie n’est pas une preuve.
    • Le fait que de nombreuses personnes critiques soient mortes dans des circonstances pour le moins étranges n’est pas une preuve.
    • Le fait que la NASA ait perdu les originaux des films et des photos n’est pas une preuve.
    • Le fait que l’on ne soit toujours pas capable d’y retourner avec une technologie infiniment supérieure, que la NASA ait « perdue » la technologie des années 60 n’est pas une preuve. (Nous ne savons toujours pas construire les pyramides et pourtant elles existent.)
    • Le fait que les Soviétiques aient renoncé n’est pas une preuve.
    • Le fait est qu’il eut été impossible de reculer. Tout allait mal en 1968, la guerre au Vietnam, l’assassinat de Martin Luther King, l’assassinat de Robert Kennedy, etc. Et que l’astronaute Jim Lowell Apollo 8 déclarait44 « L’année 68 a été une année désastreuse, les choses allaient mal ; on avait besoin de quelque chose de positif pour donner au peuple américain un sentiment de réussite. » n’est pas une preuve.
    • Le fait que cela coûtait une fortune, 288 milliards actuels, que le succès tenait du miracle et qu’il eut été dingue et irresponsable de retenter sa chance et de prendre le risque d’un échec retentissant, et qui plus est plusieurs fois de suite, n’est pas une preuve.
    • La fusée Atlas au début des années 60 avait eu 7 échecs. À propos du câblage défectueux de Apollo 1, Gus Grissom « je ne peux rien dire sinon je me fais virer ». IA « Le 27 janvier 1967, une tragédie a frappé le programme spatial américain. Trois astronautes, Virgil Grissom, Edward White et Roger Chaffee, ont été tués dans l’incendie de la capsule Apollo 1 lors d’une répétition générale avant lancement » soit 2 ans et demi avant le lancement de Apollo11. Il aurait aussi déclaré « Comment pouvons-nous aller sur la Lune si nous ne sommes pas capables de parler entre deux bâtiments ? » Notons que la famille Grissom et notamment son fils Scott45 auraient suggéré que son père avait été assassiné pour le faire taire parce qu’il en savait trop. Le 6 mai 1968, Armstrong46 s’est éjecté du module d’essai simulant l’alunissage du LEM qui s’est écrasé au sol. « Le 6 mars 1969, lors du vol d’essai non habité du module lunaire Spider (LEM-3) pour la mission Apollo 9. Lors de ce vol d’essai, le module lunaire Spider s’est séparé du module de commande et de service (CSM) en orbite terrestre basse. Cependant, lors de la manœuvre de réallumage du moteur du module lunaire pour revenir vers l’orbite du CSM, une défaillance du moteur s’est produite. Cette défaillance a rendu le réallumage du moteur impossible, ce qui a entraîné l’incapacité du module lunaire à rejoindre le CSM et à effectuer un rendez-vous spatial. » Ces événements (il y en a d’autres) montrant que cela n’allait pas si bien ne sont pas pour autant des preuves de la supercherie.
    • Le fait que Collins ait dit dans le documentaire d’Arte « Le jour du lancement, c’était un peu bizarre… mais quand on est arrivé au pied de cette tour de montage gigantesque tout était vide, il n’y avait personne c’était le désert, d’habitude il y avait des dizaines de techniciens, ça grouillait comme une fourmilière, on était au milieu d’une foule de gens, mais tout à coup il n’y avait plus un chat, et je me suis dit bon sang ils savent peut-être quelque chose que j’ignore » n’est pas une preuve.

    Tout ceci, et bien d’autres, ne sont pas des preuves formelles !

    Et si ce qui suit était la « preuve » ?

    Les premiers astronautes qui sont allés sur la Lune sont sans doute ceux qui « prouveraient » le mieux la supercherie.

    • Imaginez-vous revenir du premier voyage sur la Lune.
    • Imaginez-vous être encore vivant, ce qui relève du miracle quand on pense à toutes les premières mondiales et au nombre d’événements dramatiques qui auraient pu conduire à la catastrophe.
    • Imaginez-vous être le premier être humain à avoir accompli le plus grand exploit de l’humanité.
    • Imaginez-vous être considéré comme le plus grand héros adulé de tous les temps !
    • Imaginez votre état d’esprit, quand bien même vous seriez épuisé, comme un vainqueur de marathon peut l’être.
    • Imaginez votre état d’esprit même si vous aviez perdu une main ou vos 2 jambes.
    • Imaginez même que 30 secondes avant de pénétrer dans la salle vous vous étiez fait engueuler comme du poisson pourri par le directeur de la NASA.

    Maintenant rappelez-vous lorsque vous gagnez un match de tennis contre votre cousin ou des photos des premiers hommes qui ont vaincu l’Everest47.

    Disons-le franchement, le superbowl à côté c’est de la merde !

    Vous pourriez même pisser dans le bureau ovale du Président des USA que l’on ne vous dirait rien !

    Et là, lors de cette interview de retour victorieux sur le plancher des vaches, vous faites quoi48 ?

    Je vous rappelle que la salle est en délire et que :

    VOUS AVEZ MARCHÉ SUR LA LUNE !!

    Vous, les trois astronautes, pas un, pas deux, mais tous les trois, vous faites une tête d’enterrement et pas qu’un peu.

    Le moins que l’on puisse dire est que vous n’êtes visiblement pas heureux et extrêmement gênés d’être présents.

    Alors voyez-vous sur la vidéo de la conférence de presse des astronautes triomphants qui reviennent de la Lune ou des complices, bien malgré eux, d’une vaste escroquerie dont ils ne sont pas fiers ?

    Ils sont à ce point mal à l’aise qu’ils n’arrivent même pas à faire semblant alors qu’ils ont dû être briefés auparavant.

    Photo en janvier 1969 lors de leur sélection

    Photo de retour de la Lune en septembre 1969

    J’ai beau triturer mon cerveau, je ne vois aucune raison autre que le faux alunissage pour expliquer leur comportement et leur attitude.

    Une fois de plus, les défenseurs de l’Église de la Vérité lunaire pourront vous montrer des dizaines de vidéos (réelles) dans lesquelles les astronautes sont extrêmement joyeux et vont balayer cette réalité.

    Je vais rappeler une dernière fois le contexte.

    • Un Président fait une annonce folle, qui plus est, avec une date butoir (avant 1970).
    • Les plus grands scientifiques se lancent avec enthousiasme et innocence.
    • Des astronautes, d’anciens militaires patriotes comme il se doit, sont recrutés.
    • Plus le temps passe et plus les catastrophes s’enchaînent, on s’approche dangereusement de 1969.
    • L’année 68 est horrible pour l’Amérique qui ne peut se permettre ni un renoncement ni un échec retentissant de plus.
    • Il ne reste que l’année 1969 pour tout mettre au point, mais ils sont confrontés au mur de la réalité qui est toujours présent en 2024 avec l’échec de l’atterrisseur Pérégrine qui devait alunir et redécoller et qui au final a terminé son existence en brûlant dans l’atmosphère terrestre.
    • La seule possibilité qui reste est donc la tromperie.
    • Une poignée de personnes est informée de l’opération « Fake Moon ».
    • Même ceux qui tournent les fausses images ignorent qu’elles seront diffusées comme des vraies. On leur fait croire que c’est un entraînement et à certains on explique qu’en cas de problèmes techniques de communications avec la Lune, nous diffuserons ces images de Terre (ce qui se pratique toujours à la NASA).
    • Même le personnel du centre de contrôle ignore échanger et recevoir des images d’un studio et croit sincèrement être en relation avec ces hommes sur la Lune. Il n’est donc pas nécessaire de prévenir grand monde. Plus il y a de personnes qui croient que c’est possible et qui croient ce qu’ils voient, plus le mensonge sera crédible et moins il y aura de risques de fuites.
    • Rappelons qu’une dizaine de personnes seraient décédées dans des circonstances mystérieuses49. Précisons que le documentaire « Conspiracy Theory » présenté par la Fox (chaîne nationale) en 2001 est bien caché sur le net.
    • Les astronautes sont d’anciens militaires et des patriotes. Une fois mis dans la confidence ils ne peuvent qu’accepter POUR LES USA !
    • Paradoxalement leur mensonge leur permet d’être réellement des héros, ils sont des sauveurs des USA même si ce n’est qu’une fiction. Rappelez-vous les militaires qui tournaient des films totalement bidon durant la 2e guerre mondiale et qui permettaient de susciter des vocations d’engagement, des récoltes de fonds, mais surtout une adhésion du peuple à la guerre. Leurs mensonges ont permis la « victoire du bien ». On peut donc voir ces astronautes comme des héros de l’Amérique qui peuvent donc se prendre au jeu d’autant plus qu’ils agissent pour le bien de leur nation.
    • Dans ces circonstances, les astronautes n’ont de choix que de se mentir à eux-mêmes, se prendre au jeu ou se suicider.
    • Leur tête d’enterrement lors de la conférence ne serait qu’un retour de conscience du type « Moi l’homme intègre, moi l’homme de foi je suis complice et acteur du plus gros mensonge de tous les temps ».

    Analogie de l’escroquerie

    Si j’étais un explorateur et je vous demandais une énorme somme d’argent pour faire un voyage dans un coin reculé du Sahara, au-delà d’un champ de lave, pour planter un drapeau et qu’au « retour » :

    • Je vous rapporte du sable que j’aurais pu collecter chez moi grâce au sirocco.
    • Je vous dis que je n’ai aucun témoin (sur la Lune cela va être difficile).
    • Je n’ai aucune photo ni film avec des étoiles en fond pour prouver ma position.
    • Je n’ai pas eu le moindre problème pour traverser un champ de lave réputé infranchissable dont certains affirment qu’il est extrêmement dangereux.
    • Je vous rapporte des photos et des films qui sont peut-être tous des faux et en plus j’ai perdu les originaux qui pourraient éventuellement me dédouaner.
    • Je n’avais aucun GPS (cela n’existait pas) qui aurait pu prouver mes déplacements.
    • Les photos satellites (en direct) sont incapables de montrer mon bivouac et le drapeau.
    • Un échec eût été inenvisageable pour mes sponsors (gouvernement, NASA, etc.).
    • C’est un exploit tellement extraordinaire que 50 ans plus tard, les spécialistes disent que personne ne sait faire ce voyage et qu’ils y travaillent pour pouvoir y parvenir.

    Me croyez-vous ?

    Les éléments constitutifs du crime pourraient être :

    • Le mobile principal serait de cacher l’échec des USA à envoyer des hommes sur la Lune et les mobiles secondaires seraient nombreux : vénaux, politiques, humilier les Russes, grandeur de l’Amérique, survie de la NASA, survie d’un programme spatial, etc. Tout faire pour que le monde ignore l’échec du projet.
    • L’élément matériel : faux documents, faux films, faux enregistrements, fausses roches lunaires, fausses déclarations, dissimulation de preuves potentiellement compromettantes (documents originaux, données de vols « perdues »), etc.
    • L’infraction qui consiste à mentir, manipuler, tromper, escroquer l’argent des contribuables et peut-être même tuer pour cacher le crime.
    • Le caractère prémédité intentionnel et préparé. Nous ne sommes pas dans « l’accidentel ».
    • Pour les circonstances aggravantes, nous avons la réitération du crime avec les missions Apollo suivantes.

    Autant il est difficile de prouver que l’on est allé sur la Lune, même la possession de roches lunaires ne constituant pas une preuve, autant les indices de l’inverse ne manquent pas.

    Soit et alors ?

    La théorie qui affirmerait que le programme lunaire est un fake ne reposerait pas sur UNE preuve, mais sur un ensemble impressionnant de faisceaux d’indices, de mensonges avérés, de témoignages d’astronautes et de mobiles du crime.

    Quand bien même vous ne seriez pas convaincu, cela mérite à minima enquête et ne peut être rejeté par le simple argument « complotiste ».

    Nous connaissons les méthodes des débunkers :

    • Interroger des « spécialistes » qui à coup de sophismes confirment.
    • Ne surtout pas enquêter ni donner la parole aux contradicteurs ou permettre le débat.
    • Se placer non pas au centre de l’échiquier, mais uniquement en gardien de la Foi.
    • Discréditer tout « blasphème ».
    • Faire de la conclusion et de la doxa une preuve que c’est possible, « Affirmer c’est prouver ».
    • Ne jamais chercher la vérité, mais démontrer, même jusqu’à l’absurde, que le scénario s’est déroulé tel que décrit.

    Cette méthode est utilisée pour toutes les thèses « complotistes ».

    Imaginons donc, très très difficile pour le commun des mortels biberonné aux mensonges depuis l’enfance qui n’a pas pris la pilule rouge, imaginons-donc que l’Homme ne soit jamais allé sur la Lune.

    Vous pourriez vous dire qu’il y a prescription que c’était une autre époque, la guerre froide.

    Ajoutons que la NASA a réitéré le mensonge avec les missions Apollo suivantes alors qu’elle aurait pu se faire discrète.

    Pour qu’il y eût prescription, il eût fallu que le crime fût avoué et que la NASA cessât de mentir sur d’autres sujets, ce qu’elle continue de faire à une échelle que je ne maîtrise pas.

    Nous voyons par exemple certaines vidéos50 de l’ISS51 dans lesquelles des objets tombent au sol alors qu’il n’y a pas de gravité ou des bulles d’air se forment dans l’espace. Ceci pour dire que les mensonges n’ont pas (totalement) cessé depuis.

    Il faut dire que si le crime était révélé, ce serait potentiellement l’arrêt de mort de la NASA.

    Pour l’IA de Google

    « En plus de leurs carrières et de leurs vies personnelles, les trois premiers astronautes sur la Lune ont également eu un impact durable sur la culture populaire. Ils sont devenus des icônes de l’exploration spatiale et leur histoire continue d’inspirer les gens du monde entier. »

    On dirait une pub pour un film hollywoodien.

    Si comme je le pense du fait de la quantité énorme d’indices et de faits, nous ne sommes jamais allés sur la Lune52 alors, dit en termes simples, c’est quand même dégueulasse de nous l’avoir fait croire (et continuer) alors que nous ne serions même pas capables de quitter l’orbite terrestre.

    Au-delà de…

    Découvrir la vérité sur les missions spatiales ouvre la boîte de Pandore. Dès lors que vous avez la conviction qu’ils peuvent nous mentir à ce point, dès lors que vous savez qu’ils sont prêts à vous décrédibiliser, vous ridiculiser, détruire votre carrière ou pire pour vous faire taire, alors vous savez qu’ils sont capables de tout et le peuvent sur tous les sujets dits « complotistes ».

    Si le fake lunaire est une réalité alors cela devrait clore l’usage du mot « complotiste », mais en revanche crédibiliser le mot « comploteur ».

    Je ne vais pas reprendre pour la énième fois la liste de tous les complots potentiels dont nous sommes les victimes directes ou indirectes, JFK, 11 septembre, Covid, vaccins, guerre en Ukraine, etc. Toute personne lucide sur « l’homme qui a marché dans le Nevada » se devrait de ne plus balayer les théories discréditées d’un simple revers de main avec mépris ou sourire narquois.

    Les médias, les politiques, les scientifiques

    Bien entendu le mensonge sur les missions lunaires décrédibilise totalement la parole des médias mainstream qui continuent de se moquer ou dénigrer ceux qu’ils appellent « complotistes ».

    Je crois en l’effet domino, si nous faisions tomber l’escroquerie lunaire, alors les autres pourraient suivre.

    Merci

    Alain Tortosa53
    22 janvier 2024
    https://7milliards.fr/tortosa20240122-on-a-marche-sur-le-nevada-ou-sur-la-lune.pdf





    Charles Péguy et le « système de la retraite »

    Par Nicolas Bonnal

    Pays de Molière, la France adore les Géronte. J’ai 62 ans et n’ai pas peur de dire aux jeunes : gare aux boomers. Ils ne vont pas vous faire de cadeaux.

    On a dit qui a déjà gagné cette rodomontade sur les retraites, on n’y reviendra pas. Macron impose dans la bonne humeur la gérontocratie de Davos en France (Schwab, Soros, Biden, Rothschild, Rockefeller, Gates, etc.) et pour cela, ils ont recours aux « jeunes homo-érotiques » (Israël Shamir) qu’ils ont imposés grâce aux télés : Sunak, Trudeau, Harari, ce qu’en Espagne on appelle les « macroncitos ». Un petit jeune (ou une Greta-bis, une petite jeune élevée par des lesbiennes, comme en Finlande) pas très sexué pour imposer un Grand Reset et un ordre dictatorial qui s’appuie sur les innombrables petits vieux qui comme en France (ils sont 21 millions) regardent trop la télé et deviennent des bourgeois de gauche convaincus d’avoir fait la bonne affaire en remplaçant leur bon Dieu catho étiolé par la grosse idole climatique.

    Cette histoire de retraite est un scandale : ils n’ont bougé nos preux rebelles que pour ça (ni pour le vaccin, ni pour le pass, ni pour le Reset, ni pour les ZEF) et on aura seulement simulé une fronde parlementaire. Or voici ce qu’il en disait déjà Charles Péguy de cette « culture » de la retraite qui va en finir avec la France de d’Artagnan et de ses mousquetaires (eux-mêmes de simples fonctionnaires d’ailleurs) :

    « C’est toujours le système de la retraite. C’est toujours le même système de repos, de
    tranquillité, de consolidation finale et mortuaire. Ils ne pensent qu’à leur retraite, c’est-à-dire à cette pension qu’ils toucheront de l’État non plus pour faire, mais pour avoir fait. Leur idéal, s’il est permis de parler ainsi, est un idéal d’État, un idéal d’hôpital d’État, une immense maison finale et mortuaire, sans soucis, sans pensée, sans race. Un immense asile de vieillards. Une maison de retraite. Toute leur vie n’est pour eux qu’un acheminement à cette retraite, une préparation de cette retraite, une justification devant cette retraite. Comme le chrétien se prépare à la mort, le moderne se prépare à cette retraite. Mais c’est pour en jouir, comme ils disent. »

    Et c’est cet esprit de retraite qui allait venir à bout de Macron ? Allons donc ! On aura des jeunes pas très éduqués politiquement et pas très malins et surtout très manipulés qui défouleront les flics toujours plus violents et effraieront les retraités téléphages, et une poignée de pauvres hères qui se seront fait avoir, pendant que les saligauds de la ponction publique laissent faire, tout contents d’avoir gagné leur guerre civile contre les salariés du privé. C’est mon ami Claude Reichman, candidat libertarien à la présidence de la République, le seul homme politique pour qui j’ai collé (avec Alain Dumait) des affiches, qui disait un jour à mon vieux comparse Jovanovic que les fonctionnaires allaient gagner la guerre civile. Eh bien c’est fait.

    Et comme j’en suis au stade des souvenirs, je citerais cette phrase admirable de José Giovanni, cinéaste, romancier, anar de droite et ami personnel :

    « En France, les révolutions commencent avec Rimbaud et se terminent avec Séguy ».

    Le reste est chez Tocqueville :

    « Je tremble, je le confesse, qu’ils ne se laissent enfin si bien posséder par un lâche amour des jouissances présentes, que l’intérêt de leur propre avenir et de celui de leurs descendants disparaisse, et qu’ils aiment mieux suivre mollement le cours de leur destinée, que de faire au besoin un soudain et énergique effort pour le redresser. »

    La république, c’est cela depuis 1870 : il y a ceux qui ont le pognon et ceux qui prennent des gnons. Le Parti de l’ordre est le parti du fric. Les rebelles lucides ne s’y laissent plus prendre.

    Concluons : la classe soixante-huitarde (de droit divin vraiment) qui a imposé le culte du jeunisme dans les années 70 (revoyez les Valseuses) impose celui du petit vieux sanitaire et frugal (Reset-vaccin-confinement) dans les années 2020. Ce petit vieux ne veut plus bouger et exige les villes 15 min pour sauver son idole climatique. Les PLS-DSK-FOG-BHL-Ferry -bis- DCB ont gagné dans le cadre de cette interminable cinquième république gaulliste. Et ils ont gagné avec les bouches inutiles des vieux retraités sur lesquelles s’appuie Davos, avec ses nonagénaires génocidaires, pour éliminer la jeunesse occidentale qu’elle espère remplacer avec son « inintelligence artificielle ». Trois robots et quelques migrants pour nous servir, le reste peut disparaître. Après nous le déluge.

    Sauvez-vous, les jeunes.

    Charles Péguy, « Note conjointe sur M. Descartes et la philosophie cartésienne » (1914, posthume), dans Œuvres complètes de Charles Péguy, éd. La Nouvelle Revue française, 1916-1955, t. 9, p. 250




    Le FEM plaide pour le remplacement des électeurs par l’IA

    [Source : aubedigitale.com]

    Le fondateur et président du Forum économique mondial (FEM), Klaus Schwab, a demandé que les membres du grand public soient exclus des processus électoraux, arguant que les électeurs pourraient être remplacés par l’intelligence artificielle (IA).

    Schwab a lancé ces appels effrayants lors d’un entretien au FEM avec le cofondateur de Google, Sergey Brin.

    Au cours de cette discussion, Schwab et Brin ont évoqué les « technologies numériques », telles que l’intelligence artificielle, et la manière dont elles pourraient être utilisées pour faire avancer le programme du FEM.

    « La technologie actuelle, et la technologie numérique, ont principalement un pouvoir analytique », a déclaré Schwab, tandis que Brin acquiesçait docilement.

    « Maintenant, nous passons au pouvoir prédictif et nous avons vu les premiers exemples. Votre entreprise est très impliquée dans ce domaine », a déclaré Schwab à propos de Google.

    Schwab a ensuite exposé sa vision mondialiste de la « prochaine étape » de la technologie numérique.

    « Mais la prochaine étape pourrait être de passer en mode prescriptif, ce qui signifie qu’il n’est même plus nécessaire d’organiser des élections parce que l’on peut déjà prédire.

    Et après, vous pourrez dire : “Pourquoi avons-nous besoin d’élections ?”

    “Parce que nous savons quel sera le résultat.” »

    REGARDEZ :

    Comme Slay News l’a précédemment rapporté, l’un des maîtres d’œuvre de l’agenda du FEM a commencé à tirer la sonnette d’alarme sur la possibilité « très probable » que le président Donald Trump soit réélu cette année.

    Yuval Noah Harari est conseiller principal du FEM et de Schwab et figure sur la liste des « contributeurs à l’agenda » de l’organisation mondialiste non élue.

    Lors d’une nouvelle interview, on a demandé à Yuval Noah Harari s’il était « préoccupé par le fait que Trump puisse être réélu ».

    « Je pense que c’est très probable », a répondu Harari.

    « Et si cela se produit, il est probable que ce soit le genre de — comme — le coup de grâce à ce qui reste de l’ordre mondial.

    Et il le dit ouvertement.

    Maintenant, il devrait être clair que beaucoup de ces politiciens, ils présentent une fausse vision binaire du monde.

    Comme s’il fallait choisir entre le patriotisme et le mondialisme, entre la loyauté envers sa nation et la loyauté envers une sorte de — je ne sais pas — gouvernement mondial ou quoi que ce soit d’autre. »

    REGARDEZ :


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    Traduction de Slay News par Aube Digitale




    LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation

    [Source : telegra.ph]

    Par Iurie Rosca

    Forum Chisinau 2024
    « LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation »

    Chers amis, l’année dernière, l’équipe internationale du Forum Chisinau — qui rassemble de nombreux intellectuels, auteurs, chercheurs, experts et journalistes de différents pays fortement engagés dans la lutte contre la tyrannie mondiale d’une élite mondialiste malveillante — a réalisé un excellent travail. Notre principal événement, qui s’est tenu les 9 et 10 septembre, était le Forum Chisinau 2023, intitulé « L’Agenda 21 de l’ONU et la grande réinitialisation : La chute du libéralisme vers la technocratie et le transhumanisme ». Nous avions 33 intervenants qui ont brillamment contribué par leurs discours à l’analyse et au démantèlement des stratégies mondialistes visant à détruire et à soumettre l’humanité.
    (Voir : https://rumble.com/user/Chișinăuforum?page=2 ; https://odysee.com/@Chișinăuforum:5)

    Nous avons étalé cet événement sur quatre mois en publiant régulièrement, deux fois par semaine, les discours de chaque participant à tour de rôle, à la fois en version vidéo et en version texte. En outre, les discours de nos participants ont été traduits dans plusieurs langues — allemand, français, italien, portugais, espagnol, russe, grec, roumain, etc. — et ont été publiés sur de multiples plateformes de médias alternatifs. Au fur et à mesure que cette campagne de diffusion progressait, nous avons réussi à placer les discours sur diverses ressources médiatiques et à distribuer massivement les articles et les vidéos de nos camarades, et nous avons donné de multiples interviews, toutes ces activités conférant une pertinence particulière et une visibilité remarquable à notre projet métapolitique promu par le biais du groupe de réflexion international Forum Chisinau.

    Le moment est venu de préparer notre prochaine rencontre internationale. Le thème annoncé dans le titre de ce mémorandum pourrait également être formulé ainsi : La guerre sans restriction comme stratégie multidimensionnelle d’une élite luciférienne pour une domination totale du monde.

    L’état de guerre comme réalité permanente

    L’assaut total du pouvoir de l’ombre, qui était déjà en cours depuis de nombreuses années, s’est fortement accéléré en 2020. C’est l’année de lancement d’une opération spéciale appelée « pandémie Covid-19 », qui vise à l’extermination massive de la population mondiale et à la modification génétique, ainsi qu’à l’appauvrissement et à l’asservissement des survivants.

    Cet état d’alerte, provoqué par un événement d’une gravité sans précédent dans l’histoire, exige une analyse complexe, exhaustive et profonde, car la survie même de l’espèce humaine est en jeu. L’urgence d’un examen adéquat de l’état du monde d’aujourd’hui nous appelle également à formuler des solutions qui nous offriraient une chance d’éviter une catastrophe terminale rapide et irrémédiable.

    Nous sommes donc en état de guerre. L’agresseur ne représente pas un État ou un groupe d’États, mais constitue un vaste réseau d’entités privées, supranationales, guidées non seulement par la soif du pouvoir absolu et l’instauration d’une tyrannie mondiale, mais surtout par des motifs profondément spirituels et de nature maléfique. Les cibles de ces forces sont toutes les nations du monde, tous les êtres humains, les rivalités entre eux faisant simplement partie de la stratégie de domination.

    L’une des principales caractéristiques qui distinguent l’état de guerre actuel des états classiques est qu’il n’est pas déclaré et qu’il n’y a pas d’acteurs légitimes tels que deux parties belligérantes représentées par des États. L’ennemi est caché, de nature subversive, et attaque ses victimes avec une gamme d’armes non conventionnelles qui ne sont pas perçues par les nations cibles comme des actes d’hostilité militaire. Dans ce cas, la règle d’or de L’art de la guerre de Sun Tzu est appliquée à la perfection :

    « Grâce à vous, nous apprenons à être invisibles, grâce à vous, inaudibles, et ainsi nous pouvons tenir le destin de l’ennemi entre nos mains ».

    Les tactiques de dissimulation et l’application d’un vernis de respectabilité scientifique et d’une prétendue responsabilité morale dans le destin du monde rendent les maîtres de ce jeu mortel pratiquement invulnérables.

    Au cœur de la force massive d’influence mondiale se trouve la puissance économique, technologique, médiatique et culturelle-cognitive qui annihile toute capacité de compréhension complexe et de résistance efficace de la part des États et des nations. L’ennemi de l’humanité est extrêmement sophistiqué, parfaitement équipé d’un nombre énorme d’instruments, et capable de jouer un jeu funeste pour le monde entier, tout en continuant à montrer son innocence et ses bonnes intentions.

    Le masque de respectabilité sur le visage des « institutions internationales »

    Les ennemis de l’humanité agissent par l’intermédiaire d’organisations internationales perçues comme neutres et bénéfiques pour les États et les peuples, telles que l’ONU, l’OMS, le FMI, la Banque mondiale, la Banque des règlements internationaux (BRI), l’OMC, l’OMS, la GAVI, l’UNESCO, l’UNICEF, l’UE, l’OTAN, etc. Et comme complices de cette énorme « conspiration ouverte » apparaissent les gouvernements des États du monde devenus les marionnettes de ces forces occultes : des régimes politiques qui contribuent au génocide des peuples qu’ils gouvernent.

    L’influence écrasante, à l’échelle mondiale et nationale, de cet archipel du pouvoir réel est diffusée et exercée par une myriade de sociétés secrètes ou semi-secrètes telles que la franc-maçonnerie, le Royal Institute of International Affairs (Chatham House), le Tavistock Institute, le Council on Foreign Relations, le Club de Rome, le groupe Bilderberg, la Commission trilatérale, le Forum Économique Mondial, etc.

    Les guerres non militaires comme stratégie de domination

    Parmi l’énorme éventail de guerres non militaires menées par ces élites démoniaques, on peut citer les suivantes :

    • Guerre de religion
    • Guerre de civilisation
    • Guerre économique
    • Guerre cognitive
    • Guerre culturelle
    • Guerre idéologique
    • Guerre psychologique
    • Guerre des médias
    • Guerre biologique
    • Guerre génétique
    • Guerre raciale
    • Guerre d’immigration
    • Guerre géophysique
    • Guerre climatique
    • Cyberguerre
    • Guerre électromagnétique
    • Guerre démographique
    • La guerre féministe
    • Guerre des sexes
    • Guerre des transgenres
    • Guerre intergénérationnelle, etc.

    Parallèlement, des guerres chaudes sont déclenchées, comme en Ukraine et dans la bande de Gaza, dans le but de contribuer à la « démolition contrôlée » de l’économie mondiale, à la désagrégation de la capacité fonctionnelle des États et à la réinitialisation du monde sur la base d’un Nouvel Ordre Mondial [NOM].

    Pour porter le coup de grâce à l’anéantissement des États et de la liberté humaine, les élites sataniques nous préparent depuis des décennies à une « guerre interplanétaire » découlant d’une « invasion extraterrestre » et du mythe des OVNIS, afin de réaliser le projet Blue Beam, qui apparaîtra comme la phase terminale du triomphe du NOM.

    Ainsi, nous sommes contraints par les circonstances de vivre dans une apocalypse permanente que nous percevons souvent comme la « nouvelle normalité ».

    Une stratégie unique masquée par les rivalités régionales

    L’Agenda 2030 de l’ONU pour le développement durable avec ses 17 objectifs est imposé à chaque nation et exprime la réalité de la gouvernance mondiale : un agenda qui pousse le plan d’extermination de masse et d’asservissement ultime, sans qu’aucun pays n’oppose de résistance. De plus, tant qu’aucun pays du monde n’annoncera son désir de quitter cette organisation faîtière du pouvoir de l’ombre (l’ONU), le Gouvernement Mondial fonctionnera tout aussi imperturbablement sans même formaliser son existence.

    Pour l’année 2024, la signature d’un traité dit de pandémie de l’OMS a été annoncée, qui instaurerait définitivement une tyrannie mondiale sous prétexte de santé et éradiquerait définitivement toute trace de souveraineté nationale et personnelle.

    Parallèlement, une nouvelle réalité dystopique s’étend sur le monde entier, se manifestant comme l’apogée de la science et de la technologie promettant l’avènement du paradis éternel. L’ère de la numérisation, de la surveillance universelle, de la destruction des libertés fondamentales — sous prétexte d’urgences médicales, climatiques ou cybernétiques — se manifeste avec une force irrésistible. Les monnaies numériques des banques centrales, l’Internet des objets, l’Internet des corps, les villes intelligentes ou villes de 15 minutes, l’« homme augmenté » sous les traits du transhumanisme, la technocratie comme forme de tyrannie universelle, s’annonçant comme une prophétie autoréalisatrice, toutes ces nouvelles réalités sont en train de remodeler le monde entier.

    Une évasion de la prison conceptuelle

    Aucun des conflits de premier plan qui font actuellement rage à l’échelle mondiale, qu’ils soient Ouest-Est ou Nord-Sud, ne semble affecter l’imposition d’une stratégie mortelle commune émanant de l’ONU, de l’OMS et d’autres organisations.

    Le caractère extrêmement sophistiqué et complexe du système de domination mondiale par le biais des organisations internationales — d’innombrables entités privées imbriquées sous un masque scientifique, culturel, médical ou médiatique — conduit à un état de domination intégrale beaucoup plus périlleux que celui qui pourrait être atteint par la conquête militaire ou l’assujettissement économique.

    La multitude de formes de guerres totales non militaires qui sont menées contre l’humanité n’est même pas perçue par la grande majorité des gens comme une agression générale contre l’humanité. Cette incapacité à appréhender les nouvelles réalités géopolitiques avec leur profonde signification spirituelle pourrait bientôt s’avérer fatale pour le monde entier. Une certaine erreur de perspective, une inertie de la pensée maintiennent l’esprit collectif dans la captivité des temps passés.

    Dans les nouvelles conditions historiques de la mondialisation, dues à une avancée massive de la science et de la technologie et à la concentration gigantesque du pouvoir mondial entre les mains d’entités privées, les anciens schémas de division entre pays, régions et civilisations ne sont plus valables ; ils ne servent plus qu’à masquer le vrai visage des factions participant au conflit.

    Pour sortir de la confusion générale et avoir la possibilité d’opposer une résistance efficace pour assurer la pérennité de la civilisation humaine, il est nécessaire de faire une distinction catégorique entre la perspective horizontale et la perspective verticale.

    Horizontalement, c’est l’Occident collectif et les pays BRICS, le Nord riche et le Sud émergent qui se font face. Pourtant, la lutte essentielle se déroule verticalement : l’agression multidimensionnelle et implacable des élites mondiales diaboliques d’une part et de tous les peuples du monde d’autre part. Et si le premier plan d’affrontement est enregistré par la perception publique, le second, infiniment plus important, échappe à l’attention du monde.

    Les rivalités entre les groupes de pays susmentionnés n’ont pas cessé même en 2020, mais pour couronner le tout, tous les pays ont répondu avec la même docilité aux édits de l’OMS lors de la fausse pandémie de Covid-19, qu’ils n’ont pas perçue comme un acte de guerre.

    L’Occident collectif contre les BRICS, les États-Unis contre la Chine : Qui dirige ?

    L’une des erreurs fondamentales liées à la mondialisation est la tendance à attribuer à l’Occident collectif le rôle exclusif de moteur de ce processus. Selon cette logique, l’effondrement de l’Occident entraînerait automatiquement l’échec de la mondialisation. D’où les mythes liés aux BRICS en tant qu’alternative civilisationnelle à l’Occident. La récente expansion substantielle de cette organisation informe et omnivore a suscité de nouvelles vagues d’enthousiasme parmi les partisans naïfs de la démondialisation. Le déclin de l’Occident et la montée en puissance des BRICS sont également applaudis par tous les adversaires de l’hégémonie américaine. Pendant ce temps, rares sont ceux qui remarquent que la Grande Réinitialisation s’impose partout. Transcendant les conflits géopolitiques horizontaux, il est dicté par la verticale du pouvoir, la seule force qui compte vraiment. Une fois de plus, le monde est gouverné par des entités privées supranationales opérant à travers l’ONU, l’OMS, etc. Big Money, Big Oil, Big Pharma, Big Tech, Big Media, etc. ne sont que les tentacules d’une même pieuvre satanique.

    Et si l’on sait que l’Agenda 2030 de l’ONU est accepté et mis en œuvre par tous les pays du monde, que la politique génocidaire de fausses pandémies et de meurtre par injection de l’OMS est une politique officielle de tous les États, que la digitalisation est omniprésente, comment admettre une telle absurdité en admirant une si fausse alternative ?

    Certains se réjouissent de la perspective d’une dédollarisation imminente comme si elle devait être suivie de l’établissement de la souveraineté monétaire au niveau de chaque nation et de la disparition de la BRI et de la City de Londres. Il faut savoir que le dollar sera remplacé par des CBDC au niveau « national », après quoi une unité monétaire numérique universelle sera imposée.

    C’est un truisme de dire que les mêmes prémisses conduisent toujours aux mêmes conséquences. La société technologique conduit à la disparition des campagnes, à l’urbanisation, à la technocratie et, par le biais de la robotique et de l’intelligence artificielle, au chômage de masse. Le remplacement de l’hégémonisme américain par l’hégémonisme chinois ne signifiera pas pour autant l’échec de la Grande Réinitialisation. Au contraire, la société chinoise est un modèle idéal pour les élites mondialistes, qui souhaitent ardemment étendre ses caractéristiques à l’échelle mondiale.

    Une véritable révolte des nations suppose d’abord la volonté d’abandonner les carcans mondialistes qui asservissent l’humanité, au premier rang desquels l’ONU et l’OMS. Mais jusqu’à présent, aucun pays au monde n’a annoncé de telles intentions, suivant plutôt avec docilité la politique du Gouvernement mondial qui opère à travers ces organisations.

    La fin de la géopolitique classique

    Le mythe du changement climatique est accepté aveuglément et docilement par tous les États sous l’égide de l’ONU. L’activité de la BRI, l’élimination de l’argent liquide et l’imposition des CBDC ne sont pas perçues comme des outils destinés à paupériser et à asservir la population mondiale, mais sont au contraire considérées à tort comme des processus naturels d’une régulation financière inévitable. Il en va de même pour la perception publique d’autres « organisations internationales ».

    La capacité à fixer l’esprit collectif, à dissiper les mythes supposés sur le cadre international, ainsi qu’à réduire méthodiquement la capacité cognitive de l’homme contemporain est la principale garantie de succès des mondialistes. À l’heure actuelle, il n’y a pas de différence entre le niveau d’ignorance de l’individu moyen et celui d’un fonctionnaire d’État. Dans ces conditions, la stratégie du déguisement et de la manipulation fonctionne sans la moindre entrave.

    J’ai appelé ces nouvelles réalités à l’échelle mondiale « la fin de la géopolitique classique ». Aujourd’hui, le conflit de base est vertical : il se déroule du haut vers le bas et l’ennemi est une entité non étatique, supranationale et extraterritoriale. Par conséquent, comme dans les exercices de décryptage pratiqués en ingénierie sociale, les deux coins inférieurs du triangle doivent, pour échapper à leur éternelle condition de victimes, renoncer à leurs hostilités mutuelles « horizontalement » et regarder vers le haut pour découvrir le véritable ennemi qui les attaque « verticalement ».

    Erreur de perspective dans l’identification de l’ennemi

    Et je reviens ici au titre de mon discours de clôture prononcé au Chisinau Forum 2023 le 9 septembre dernier : « Connaître son ennemi » — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère technocratique (https://arcaluinoe.info/en/blog/2023-09-09-alfpxu0e/ ou « Connaître son ennemi » — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère technocratique). Une connaissance approfondie de la nature des ennemis de l’humanité nous offre une chance de revanche, de contre-offensive et de survie.

    Nous entrons ici dans la zone la plus délicate et la plus incertaine. En effet, l’homme d’aujourd’hui n’a plus de perspective religieuse et spirituelle sur la vie. La modernité nous a irrémédiablement marqués : nous sommes matérialistes, athées et rationalistes. Et ce, alors que les ennemis de l’humanité, qui nous ont sécularisés et stérilisés spirituellement pendant des siècles, sont eux-mêmes restés profondément ancrés dans les réalités spirituelles. Ils nous ont éloignés de notre Sauveur, mais ont maintenu leur alliance avec leur maître. C’est-à-dire qu’ils nous ont aveuglés afin de pouvoir nous dominer et nous vaincre sans aucune résistance.

    Face à un mal spirituel total, à des forces démoniaques surhumaines, nous n’avons aucune chance de réussir en utilisant uniquement le potentiel humain. L’absence d’égalité des armes signifie notre défaite éternelle. Notre besoin vital est de redécouvrir et de rechercher une alliance stratégique avec notre Créateur Jésus-Christ. Avoir un ennemi aussi puissant que Satan tout en restant dans l’illusion de l’autonomie et de l’autosuffisance humaine est une illusion induite par le fils de la perdition.

    Il nous appartient de choisir de jouer le rôle de perdants ou de préférer la mission de conquérants, en faisant un grand saut paradigmatique et en revêtant l’armure de nouveaux croisés. En conclusion, notre choix est très simple : à qui obéir, à Dieu ou à Satan. Il n’y a pas de troisième option. L’autonomie humaine est un piège parfait qui nous aveugle et pousse notre Résistance dans une impasse suicidaire.

    L’illusion libérale comme facteur de paralysie

    L’une des raisons du succès écrasant de nos ennemis est que nous continuons à opérer dans des conditions de tyrannie mondiale et de terrorisme d’État avec notre cadre de référence démocratique libéral dépassé. Face à une guerre totale des élites satanistes contre l’humanité, dans les dents d’un génocide universel, nous fonctionnons avec des notions légalistes ; nous faisons appel à la Constitution, aux Droits de l’Homme et aux normes démocratiques. Nous plaçons nos espoirs dans les cycles électoraux et les « sauveurs » comme Trump ou Poutine, en déifiant l’opposition contrôlée. Et nous refusons de comprendre la nature tragicomique de cette situation.

    Lorsqu’un assassin tue vos enfants, votre femme, vos proches, un citoyen honorable s’assoit pour porter plainte au tribunal ou chercher un avocat. Mais la guerre a sa propre logique inexorable. Si vous n’arrêtez pas votre meurtrier, il vous tuera. Même si ce ne sont pas des fusils et des bombes qui sont utilisés comme armes mortelles cette fois-ci, mais des injections, des ondes électromagnétiques et de la nourriture empoisonnée, cela ne change pas le rapport de forces entre les deux parties, l’assassin et la victime. La victime est en état de légitime défense et doit riposter. Notre réponse au plan génocidaire d’une élite mondialiste de réinitialisation est typiquement appelée le Grand Réveil — et à juste titre. Mais cet effort d’éveil doit trouver sa continuation immédiate dans le Grand Soulèvement. Toute autre démarche ne serait qu’un exercice intellectuel stérile et nous condamnerait à la disparition de la civilisation humaine.

    Veuillez partager ce texte avec vos abonnés, le placer sur autant de plateformes que possible, le traduire dans vos propres langues et l’envoyer à vos amis qui pourraient être nos orateurs potentiels au Forum Chisinau 2024. Afin de minimiser le risque de toute entrave aux déplacements normaux (confinements, etc.), je suggérerais la fin du mois de mai comme la meilleure période pour notre prochain événement.

    Le Forum Chisinau est un groupe de réflexion international indépendant et n’est subordonné à aucun centre géopolitique, État ou entité privée. Nous n’avons pas de sponsors et n’en recherchons pas. Toutes les dépenses liées à nos activités sont à la charge de chaque participant. Une véritable résistance métapolitique et une dissidence implacable exigent une totale liberté de pensée et d’action.

    N’hésitez pas à me faire part de vos avis sur le thème annoncé pour la prochaine édition, à formuler des suggestions à cet égard et à proposer de nouveaux intervenants pour notre événement. J’attends vos messages à l’adresse électronique suivante : ChisinauForum2024@protonmail.com

    Iurie Rosca est un journaliste indépendant de la République de Moldavie, un dissident anticommuniste, un ancien député et vice-premier ministre, un rédacteur, un traducteur et un organisateur du groupe de réflexion international antimondialiste Forum Chisinau.




    Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?

    [Source : kla.tv]

    « Mme Merkel, Tony Blair, ils ont tous été, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! »(([1] En ce qui concerne Poutine, l’article suivant conteste l’information :
    https://www.guyboulianne.info/2023/01/29/un-nouveau-travail-de-demystification-vladimir-poutine-est-il-bien-un-young-global-leader-du-forum-economique-mondial-de-klaus-schwab/))

    « Le FEM a pour mission […] de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. […] Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM — y compris les entreprises pharmaceutiques centrales, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

    En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

    Comment un professeur allemand inconnu a-t-il pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa Fondation suisse ? Y aurait-il eu de forces influentes qui le soutenaient en arrière plan ? Qui sont ceux qui tirent les ficelles du FEM ? Ce documentaire de Kla.TV dévoile sans ménagement les véritables plans du FEM ainsi que l’ensemble de ses dirigeants. Découvrez également les personnes de votre pays qui mettent en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM.

    La 54e réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM) se tiendra du 15 au 19 janvier 2024 à Davos-Klosters, en Suisse. Selon ses propres indications, il sera consacré aux nouvelles technologies, ainsi qu’à leur impact sur la prise de décision et le partenariat global. Le FEM considère les réunions annuelles comme la principale plate-forme pour faire progresser le partenariat public-privé (PPP) au plus haut niveau. Plus de 100 gouvernements, toutes les grandes organisations internationales, les 1 000 principales multinationales, les principales institutions universitaires et autres, ainsi que les médias mondiaux y participeront.

    Beaucoup de monde croit que le FEM et ses initiatives peuvent être considérés comme la force motrice de la globalisation. La globalisation est devenue un fait de société. La globalisation vient de « global » — « qui concerne le monde entier » — et signifie littéralement « devenir mondialisé ».

    Selon le « Bundeszentrale für politische Bildung (Centre fédéral pour l’éducation politique) » (bpb), des formes complexes de gouvernance mondiale se sont développées au cours des dernières décennies, appelées « Global Governance » par les spécialistes. « Global Governance » est traduit dans le public par « gouvernance mondiale », mais peut également être traduit littéralement par « gouvernement mondial ». Et c’est justement là que les esprits se divisent. Les uns, comme le « Centre fédéral pour l’éducation politique », insistent sur le fait que le terme ne désigne pas un gouvernement mondial central et qu’il n’en existe pas. D’autres en revanche voient derrière le FEM et ses initiatives comme le « Great Reset » (explication : en français « Grande Réinitialisation ») une conspiration mondiale. Une « élite mondiale dans la politique et l’économie aspirerait à une dictature mondialisée ». Ce point de vue d’une possible conspiration mondiale est diffamé et taxé de théorie de conspiration par presque tous les médias établis et alignés, qui le répètent comme un mantra.

    Mais où se situent les limites entre la globalisation, la gouvernance mondiale et un gouvernement mondial centralisé ? Y a-t-il des limites ou la globalisation en cours ne sert-elle pas tout simplement de terreau à un gouvernement mondial centralisé ?

    Cette émission répond à ces questions et vise à jeter un coup d’œil derrière le FEM et le Great Reset : Qui sont ceux qui tirent les ficelles et y a-t-il quand même une conspiration mondiale ?

    1. Origines et création du FEM

    En 1971, l’économiste allemand Klaus Schwab a créé la fondation d’utilité publique « European Management Conference » (en français « Conférence européenne de management »). En 1987, elle a été rebaptisée « World Economic Forum », en abrégé en français FEM (« Forum économique mondial »). En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

    Dans son livre « World Economic Forum — La puissance mondiale en arrière-plan », le journaliste et expert financier allemand Ernst Wolff se demande comment un professeur allemand inconnu a pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa fondation suisse. Y aurait-il eu des forces influentes qui le soutenaient en arrière-plan ?

    Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a dit à ce sujet : (www.kla.tv/19027) :

    « Il me semble néanmoins que le Forum économique mondial a été poussé sur le devant de la scène par des puissances d’arrière-plan encore plus influentes. Le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, en fournit d’ailleurs lui-même un indice fort. Son ascension rapide au rang de “leader mondial du secteur privé” si je peux dire, témoigne si clairement d’un pouvoir caché en arrière-plan que je ne peux m’empêcher de percevoir l’ensemble du FEM comme une secte privée de l’économie mondiale, et plus précisément une secte qui a été installée avec succès dans la politique mondiale. »

    2. Arrière-plans de Klaus Schwab

    Klaus Schwab est membre du très influent groupe Bilderberg, qui a une orientation mondiale. Il a participé à de nombreuses réunions de Bilderberg et a même fait partie du comité directeur de Bilderberg.

    Les hommes derrière Klaus Schwab

    Entre 1966 et 1967, Schwab a effectué une année académique à la Harvard Business School aux États-Unis. Citation d’Ernst Wolff :

    « C’est là qu’il a fait la connaissance de quelques personnalités qui allaient avoir une grande influence sur la suite de sa vie. Selon les propres déclarations de Schwab, son professeur Henry Kissinger compte parmi les personnalités qui ont le plus influencé sa pensée au cours de sa vie. »

    Kissinger, décédé le 30 novembre 2023, était un politologue américain, stratège mondial avoué et directeur du groupe de réflexion « Council on Foreign Relations », en bref CFR.

    (Plus d’informations sur Henry Kissinger https://www.kla.tv/26153)

    Unlimited Hangout, une plate-forme américaine de journalisme d’investigation non censuré et indépendant, a résumé la situation de la manière suivante :

    « Le Forum économique mondial n’était pas simplement une création européenne de Klaus Schwab. Cela résulte d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger — et par John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Schwab avait une équipe politique d’élite américaine qui travaillait dans l’ombre et l’aidait à créer l’organisation mondialiste basée en Europe (qui deviendra le FEM). […] »

    Des années plus tard, lors du « European Management Symposium » de 1980 à Davos — l’ancêtre du FEM – Kissinger a prononcé le discours d’ouverture et a déclaré :

    « Pour la première fois dans l’histoire, la politique étrangère est vraiment globale. »

    John Kenneth Galbraith et Herman Kahn, les deux autres professeurs de Harvard, étaient à peine moins importants que Kissinger : Galbraith s’est rendu en Europe avec Kahn pour aider Schwab à convaincre l’élite européenne de soutenir le projet. — C’est ce qu’a rapporté « Unlimited Hangout ». Selon un article du « New York Times » de 1997, Schwab est revenu avec l’idée que les Européens paieraient probablement une bonne somme d’argent pour apprendre les méthodes de gestion enseignées à la Harvard Business School.

    John Kenneth Galbraith (1908-2006) était un conseiller présidentiel canado-américain et l’un des économistes les plus influents du 20e siècle. Galbraith était membre du Council on Foreign Relations (CFR).

    Herman Kahn (1922-1983) était un physicien américain et un membre fondateur du Hudson Institute. Il était également membre du CFR.

    Les premières réunions à Davos

    La première réunion organisée par Schwab a eu lieu en 1971 sous le nom de European Management Symposium. L’orateur principal de la réunion était Otto von Habsburg. Kenneth Galbraith et Herman Kahn faisaient également partie des orateurs.

    Les premières réunions ont eu lieu sous le patronage de la Commission européenne et des fédérations industrielles européennes. Lors du troisième European Management Symposium en 1973, le prince Bernhard des Pays-Bas était le parrain honoraire. Le prince Bernhard des Pays-Bas a organisé la première conférence Bilderberg en 1954 à l’hôtel de Bilderberg près d’Arnhem, dont il était alors propriétaire. — À l’époque, la conférence était encore secrète. Le prince Bernhard a été le premier président du comité directeur du Groupe Bilderberg, et ce jusqu’en 1976.

    En 1975, le « European Management Forum » a publié sa première brochure institutionnelle. Citation :

    « Le European Management Forum est une fondation indépendante, autofinancée, à but non lucratif, axée sur les besoins stratégiques des principaux décideurs de l’économie européenne. » Après seulement cinq ans, le Forum s’était imposé au plus haut niveau économique et gouvernemental.

    Jusqu’en 1983, le European Management Symposium était, comme l’a dit Klaus Schwab dans son discours d’ouverture, « la plus importante réunion annuelle de décideurs de l’économie mondiale ».

    3. Financement du FEM

    Le FEM a été créé en 1971 en tant que Fondation d’utilité publique et a son siège principal à Genève, en Suisse. Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], outre le FEM, ce sont surtout les « Open Society Foundations » du milliardaire américain George Soros et la Fondation Bill et Melinda Gates qui ont profité de la législation moderne des Fondations. Ce dernier a en effet été créé avant tout pour faciliter l’évasion fiscale des personnes fortunées. Il permet en outre d’exercer une influence directe sur la politique, l’économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires.

    Selon le portail « Infosperber », le président du FEM Klaus Schwab perçoit à lui seul un salaire annuel d’environ un million de francs. La réserve d’argent du FEM serait remplie de plusieurs centaines de millions de francs. Parallèlement, le FEM ne paie pas d’impôts fédéraux.

    Le FEM est principalement financé par ses 1 000 entreprises membres. Il s’agit typiquement de multinationalesmondiales dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à cinq milliards de dollars. Selon le quotidien suisse « Südostschweiz » (au 22.01.2019), la cotisation annuelle s’élève à 60 000 francs. Chacune de ces multinationales peut envoyer un représentant à Davos. Une invitation supplémentaire coûte 25 000 franc suisse, plus la TVA.

    Partenaires stratégiques

    Le FEM ne compte évidemment pas que de simples membres. Il y a 120 partenaires stratégiques. La cotisation annuelle minimale commence à environ 600 000 francs. La liste des groupes qui servent de « partenaires stratégiques » au FEM se lit comme un alphabet de la globalisation : d’Allianz à Bank of America et Credit Suisse (UBS à partir du 12 juin 2023), de Facebook à Huawei et KPMG (explication : KPMG est l’un des quatre cabinets d’audit les plus importants au monde avec un chiffre d’affaires annuel de 32,1 milliards de dollars) à Microsoft, Unilever et Volkswagen.

    Les autres grands noms sont Airbus, Alibaba, Amazon, American Express, Apple, Bill and Melinda Gates Foundation, BlackRock, Coca Cola, Goldman Sachs, Google, IBM, IKEA, JPMorgan Chase, Mastercard, Morgan Stanley, Nestlé, New York Times, Open Society Foundations, PayPal, SAP, Siemens, TikTok, Time, UBS, Zurich Insurance Group, etc. Les entreprises pharmaceutiques telles que Novartis, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna, Pfizer sont bien entendu également de la partie.

    La liste complète de tous les partenaires du FEM peut être consultée sur le site Internet du FEM :

    https://www.weforum.org/partners/#search

    Le FEM emploie environ 850 personnes dans le monde et a réalisé un chiffre d’affaires de 383 millions de francs pour l’année financière allant de juillet 2021 à juin 2022. Les critiques portent sur le manque de transparence des rapports financiers du FEM. Les bénéfices apparemment considérables seraient réinvestis. La richesse réelle du forum ne serait pas claire.

    4. Structure de direction du FEM

    Le président du forum est le fondateur et directeur général, le professeur Klaus Schwab. Il est dirigé par un curatorium (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Selon ses propres termes, il s’agit de « personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs et qui supervisent le travail du Forum pour promouvoir une véritable citoyenneté mondiale ».

    Le président du Forum est depuis 2017 l’homme politique norvégien Børge Brende. Il a été ministre de l’Environnement de son pays (de 2001 à 2004), puis ministre de l’Économie et du Commerce (jusqu’en 2005) et ministre des Affaires étrangères jusqu’en 2017. Brende fait partie du groupe Bilderberg et de son comité de pilotage. (Explication : organe de décision suprême)

    Membres du curatorium du FEM

    Le choix des membres ne doit guère être un hasard, comme le montre leur réseau. Les membres du curatorium sont entre autres :

    Ajay Banga — manager indo-américain. Président de la Banque mondiale depuis 2023. Membre du CFR et de la Commission trilatérale, un groupe de réflexion influent de conseil politique fondé par Zbigniew Brzeziński et David Rockefeller.

    Marc Benioff — entrepreneur américain. Président et directeur général de Salesforce, une société de logiciels cotée en bourse. Fortune personnelle estimée à environ 8,1 milliards de dollars en 2022. Membre du CFR.

    Thomas Buberl — manager allemand et président du conseil d’administration du groupe d’assurance AXA. Participant aux réunions Bilderberg 2017, 2019 et 2022.

    Laurence D. Fink — entrepreneur américain. Fondateur, PDG de la plus grande société de gestion d’actifs au monde, BlackRock. Les actifs sous gestion du groupe s’élevaient à 8,70 billions de dollars américains fin 2020. Fink est également membre de la Commission trilatérale et du conseil d’administration du CFR.

    Orit Gadiesh — manager américano-israélienne et présidente de Bain & Company, l’un des plus grands cabinets de conseil au monde. Participante aux réunions Bilderberg de 1997 et 1998. Également membre du CFR.

    Kristalina Georgieva — femme politique et économiste bulgare. Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Participante à la réunion Bilderberg 2016.

    André Hoffmann — Entrepreneur suisse. Depuis 2006, vice-président du conseil d’administration de Roche Holding AG (Suisse), l’une des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde. Membre du « Club of Rome » et participant à la conférence Bilderberg 2019.

    Joe Kaeser — manager allemand. Président du conseil d’administration de Siemens de 2013 à 2021. À gagné 9,27 millions d’euros en tant que PDG de Siemens 2020. Membre de la Commission trilatérale en Europe. À participé à la conférence Bilderberg en 2015 et 2016.

    Christine Lagarde — juriste française. Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) depuis 2019. Membre du groupe Bilderberg et participante aux réunions Bilderberg de 2009, 2013, 2014, 2016 et 2017.

    David M. Rubenstein — entrepreneur américain. Co-fondateur et co-président du Carlyle Group, l’une des plus grandes sociétés d’investissement privées au monde. Fortune personnelle estimée à 3,2 milliards de dollars américains en 2019. Membre de la Commission trilatérale. Participant à la réunion Bilderberg 2017. En outre, actuellement président du conseil d’administration du CFR.

    Al Gore — homme politique et écologiste américain. N’a pas participé à une réunion du Bilderberg, mais joue un rôle de pionnier décisif dans l’agenda climatique. Son film « Une vérité dérangeante » (2006) a fait le tour du monde et a été diffusé dans les écoles. En 2007, un tribunal de Londres a décrété que les élèves devaient être informés des erreurs de contenu. Par exemple, que la fonte des glaciers de l’Antarctique occidental et du Groenland ne provoquerait pas « dans un avenir proche », comme l’affirme le film de Gore, une hausse dramatique du niveau des mers. Le père de deux écoliers qui a porté plainte a qualifié le film de « lavage de cerveau » qui n’a rien à faire dans les écoles.

    À propos des réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale

    La participation à une réunion de Bilderberg est un fil rouge pour les membres du Curatorium du FEM (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Il vaut donc la peine de jeter ici un coup d’œil sur les réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale.

    L’émission suivante de Kla.TV donne des informations : « Groupe Bilderberg — le gouvernement secret de l’ombre ? » (www.kla.tv/26318)

    Le plan stratégique pour la création du club Bilderberg a été élaboré au sein du CFR Council on Foreign Relations (en français : Conseil des relations étrangères). Le CFR est un groupe de réflexion privé américain, fondé en 1921 — qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l’ombre aux États-Unis. Henry Kissinger se souvient de la naissance du club Bilderberg :

    « Nous nous sommes rencontrés il y a 60 ans dans le cadre d’un groupe d’étude au Council on Foreign Relations. Peu de temps après, il [David Rockefeller] a encouragé un groupe de discussion qui est devenu plus tard ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de groupe Bilderberg. »

    David Rockefeller a été directeur du Council on Foreign Relations jusqu’en 1985 et ensuite, jusqu’à sa mort, président honoraire de celui-ci.

    Henry Kissinger (*né en1923) a participé à la naissance du club Bilderberg. Il a toujours joui d’une position forte lors des conférences Bilderberg.

    Kissinger a été l’un des plus proches alliés de David Rockefeller jusqu’à sa mort. Il est membre de longue date du CFR et a fait partie de son conseil d’administration de 1977 à 1981. À l’occasion de son centième anniversaire, Kla.TV a diffusé le documentaire « 100 ans de Henry Kissinger — stratège mondial et criminel de guerre ? » (www.kla.tv/26153).

    Le groupe Bilderberg a été fondé à l’initiative de David Rockefeller (1915-2017). David Rockefeller était le président et l’actionnaire principal de la Chase Manhattan (devenue depuis JPMorgan Chase), autrefois la plus grande banque américaine au monde. Sous sa direction, la Chase Manhattan Bank est devenue un pilier central du système financier international. Toute sa vie, Rockefeller a poursuivi le projet d’un gouvernement mondial dirigé par la haute finance.

    Il a écrit dans ses mémoires :

    « Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, qualifiant ma famille et moi d’“internationalistes” et de conspirateurs qui ont uni leurs forces avec d’autres à travers le monde pour créer une plus forte structure économique — un monde unique, si vous voulez. Si telles sont les allégations, je plaide coupable et j’en suis fier. »

    Pour atteindre cet objectif, David Rockefeller a lancé plusieurs organisations ou « think tanks » (groupes de réflexion) dont la « pensée préalable » influence la politique internationale :

    Outre le groupe Bilderberg, il a ainsi fondé la Commission trilatérale avec Henry Kissinger et le stratège mondial Zbigniew Brzezinski.

    La Commission trilatérale remonte à la réunion de Bilderberg de 1972, au cours de laquelle David Rockefeller a proposé sa création. De nombreux membres de Bilderberg ont également rejoint la Trilatérale.

    Conclusion intermédiaire

    Jusqu’ici, il apparaît que les origines du FEM remontent à des stratèges mondiaux comme David Rockefeller et Henry Kissinger. Afin d’œuvrer à leur objectif de gouvernement mondial centralisé, ils créent des groupes de réflexion pour influencer la politique internationale. Ils ont commencé par le CFR, puis ont donné naissance au groupe Bilderberg et, plus tard, à la Commission trilatérale. Le FEM doit être considéré comme une nouvelle pièce du puzzle dans cette série, afin de réaliser leurs objectifs de gouvernement mondial.

    5. Avec quels objectifs le FEM a-t-il été initié ?

    Le FEM peut être considéré comme une forme moderne de groupe de réflexion permettant de contourner les structures parlementaires et d’exercer une influence sur la politique internationale.

    L’expert financier Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre, [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], citation :

    « Le FEM joue un rôle particulier à cet égard, car son exemple illustre parfaitement la manière dont le parlementarisme a été progressivement vidé de sa substance au cours des dernières décennies et condamné à l’inefficacité. En outre, son histoire montre que la marche du monde est de plus en plus déterminée par des forces qui ne sont élues par personne et qui sont souvent à peine connues du public. »

    Mission du FEM

    Écoutez à ce sujet une déclaration du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek :

    [https://www.kla.tv/WEF/19027]

    « Le FEM a pour mission de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM, y compris les principales entreprises pharmaceutiques, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

    « … et bien que le FEM ne soit pas une institution publique, il domine néanmoins clairement l’ensemble de la politique mondiale, et ce de manière considérable. »

    6. Initiatives du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

    Les initiatives stratégiques décisives des temps modernes ont toujours été introduites via la plateforme du FEM. Parmi elles, le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019 — c’est-à-dire la dictature du Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc.

    Dans ce qui suit, nous allons maintenant nous pencher sur la pertinence de chaque initiative :

    Année 1968 — Club de Rome – Dictature climatique

    Déjà lors de la réunion Bilderberg de 1964 (du 22 au 24 mars en Virginie, USA), David Rockefeller, Max Kohnstamm et Aurelio Peccei s’étaient rencontrés pour chercher les meilleurs moyens de réduire la population. Le point de départ était l’initiation et l’utilisation des crises mondiales. [V&CV14/2023] Enfin, le « Club de Rome » a été fondé en 1968 par David Rockefeller et Aurelio Peccei après une réunion du Bilderberg (26-28 avril 1968 au Canada). Tous deux figurent sur les listes des participants aux réunions de Bilderberg de 1964 et 1968. Aurelio Peccei (1908-1984) était un industriel italien. Il a été directeur de Fiat et président du conseil d’administration d’Olivetti et d’Italcon.

    Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 28], Peccei a été l’orateur le plus écouté de la réunion du FEM de 1973. Dans son discours, il a résumé les thèmes clés du livre « Les limites de la croissance ». Il s’agit à l’origine d’un rapport du « Club de Rome » sur la situation de l’humanité, publié en 1972.

    Dans son discours, Peccei a abordé la surpopulation mondiale comme le plus grand problème de l’humanité et en a déduit l’exigence d’une réduction de la population mondiale.

    Dans une interview, Klaus Schwab fait la déclaration suivante : « I worked on climate change since 1973. Just to tell you, because I was the person, who gave the Club or Rome, the first big platform! »[enregistré en français] :

    « Je travaille sur le changement climatique depuis 1973. Juste pour vous dire que c’est moi qui ai donné au Club de Rome sa première grande plate-forme ! »

    Année 2000 — GAVI, la dictature de la vaccination

    [Explication : GAVI = abréviation de l’anglais « Global Alliance for Vaccines and Immunisation » (en français « Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation »)].

    [https://www.gavi.org/]

    L’Alliance a été fondée le 29 janvier 2000 au Forum économique mondial de Davos. Objectif : faire face à la stagnation, voire au recul, des taux de vaccination dans les pays les plus pauvres du monde depuis la fin des années 1990 déjà. Ernst Wolff écrit dans son livre [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 79] que la création de GAVI « a été de loin l’événement le plus important de la première réunion du nouveau millénaire ». Citation de Wolff :

    « Les initiateurs de la création de l’Alliance étaient l’OMS, l’UNICEF, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates (ainsi que la Fondation Rockefeller [p. 81]). La Fondation Bill et Melinda Gates a fourni à l’Alliance un financement initial de 750 millions de dollars. »

    Selon un communiqué de presse de GAVI du 23 janvier 2020, des politiciens de pays industrialisés de premier plan ont apporté leur soutien à l’Alliance pour la vaccination GAVI. Ceci dans le cadre des festivités du 20e anniversaire au Forum économique mondial. La chancelière allemande Angela Merkel a ainsi annoncé une promesse de soutien à hauteur de 600 millions d’euros pour les années 2021 à 2025.

    Dans une interview donnée à Kla.TV en juin 2022, Wolff définit un autre grand objectif de GAVI : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

    « Ce qui devient encore plus intéressant, c’est qu’en 2017, ce GAVI a créé avec Microsoft et quelques autres multinationales l’ID2020, c’est l’Alliance pour l’identité numérique, c’est l’alliance pour la promotion de l’identité numérique. Et c’est le rêve de tous les groupes numériques de donner à chaque personne dans le monde sa propre identité numérique. Et derrière tout cela, il y a aussi GAVI et Microsoft, donc Bill Gates et la fondation Bill et Melinda Gates. Ce qui est très intéressant, si l’on regarde — donc GAVI est une organisation médicale — on devrait supposer que le chef de cette GAVI est probablement un médecin. Mais loin de là, le chef de GAVI n’est autre que José Manuel Barroso, l’ancien chef de la Commission européenne, mais aussi un camarade de classe de Bill Gates et d’Angela Merkel dans la l’école Young Global Leaders du FEM. Et accessoirement, cet homme est également conseiller de Goldman Sachs depuis 2016. L’actionnaire principal de Goldman Sachs n’est autre que BlackRock, donc là encore, la boucle est bouclée. »

    Année 2005 — Young Global Leaders (« Jeunes leaders mondiaux »)

    Selon le site Internet du FEM, Klaus Schwab a créé le forum « Young Global Leaders » (abrégé en YGL) en 2004. Il est issu de la communauté des « Global Leaders of Tomorrow », qui a existé de 1993 à 2003. Citation :

    « Parmi les plus de 1 400 membres et diplômés de 120 pays, on trouve des personnalités innovantes du monde économique et social, des entrepreneurs, des pionniers de la technologie, des pédagogues, des activistes, des artistes, des journalistes et bien d’autres ».

    L’objectif étant de « créer un avenir meilleur et plus durable » et de le façonner.

    Selon leurs propres indications, les membres entretiennent « L’initiative 2030 ». Celle-ci a pour objectif un plan d’action visant à réaliser la vision d’un monde idéal en 2030.

    Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre « Forum Économique Mondial — Le pouvoir mondial en arrière-plan » [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, P. 64-65] ce qui suit :

    « Pour la première fois, l’élite a commencé à sélectionner de manière ciblée sa propre relève, à l’instruire systématiquement pour la préparer à ses tâches et à la mettre en réseau. Quelques noms de la première promotion, qui se lisent comme un Who’s Who de l’élite politique et corporative des années suivantes, montrent à quel point le projet a été un succès sensationnel. On y trouve notamment Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Tony Blair, Gordon Brown, José Manuel Barroso et Bill Gates. Comme l’ont montré les 30 années qui ont suivi, les fondements d’un réseau étroitement lié de politiciens, de dirigeants économiques et de professionnels des médias, qui allaient avoir une influence décisive sur la marche du monde, ont ainsi été posés. »

    [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 265]

    « Le président russe Vladimir Poutine n’apparaît pas dans les listes des participants aux Young Global Leaders ou aux Global Leaders for Tomorrow. Mais Klaus Schwab lui-même l’a mentionné dans deux interviews en tant que Young Global Leader ».

    (Déclaration originelle de Klaus Schwab au FEM 2019) :

    « Mme Merkel, Tony Blair, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! Avec eux, le chancelier Kurz et la Première ministre de Nouvelle-Zélande, ce sont les trois plus jeunes dirigeants de gouvernements qui sont ici ! »

    Wolff a souligné une autre caractéristique dans une interview accordée à Kla.TV en juin 2022 : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

    « Ce qui est intéressant, c’est qu’ils ont adopté une ligne de conduite particulièrement dure lors de la crise du Covid. Donc, chez nous en Allemagne, c’était le ministre de la Santé Jens Spahn, en Autriche, c’était l’ex-chancelier Kurz, en France, c’était Monsieur Macron, au Canada, c’était Justin Trudeau et en Nouvelle-Zélande, c’était Jacinda Ardern. Ils ont tous présenté une démarche tout à fait extrême, et ce sont tous des Young Global Leaders du FEM. »

    Découvrez les personnes de votre pays mettant en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM. Vous trouverez le document avec la liste des 3 800 « Young Global Leaders » de 1993 à 2023 sous l’émission.

    Année 2007 — Réunion annuelle des nouveaux champions

    En 2007, le FEM a introduit la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui se déroule chaque année en Chine et qui est également appelée « Davos d’été ». Il s’agit de représentants d’« entreprises mondiales en croissance ». Des entreprises phares de pays émergents à croissance rapide tels que la Chine et l’Inde, mais aussi des entreprises à démarrage rapide de pays industrialisés.

    Année 2011 — Global Shapers (« Façonneurs mondiaux »)

    En 2011, le FEM a créé le réseau mondial « Global Shapers » pour les personnes âgées de 20 à 30 ans avec un grand potentiel pour de futurs rôles de leaders dans la société. La « Global Shapers Community » se compose de hubs locaux (c’est-à-dire de centres) auto-organisés dans les grandes villes du monde entier.

    [Déclaration originelle d’Ernst Wolff lors de l’interview avec Kla.TV : https://www.kla.tv/WEF/22827

    « Le FEM va désormais plus loin ; il a maintenant lancé un nouveau programme qui fonctionne depuis environ 10 ans. Ce sont les Young Global Shapers. Il y en a aujourd’hui 10 000 dans le monde. Ce sont de jeunes entrepreneurs en startup qui ne peuvent avoir qu’entre 20 et 30 ans. »

    Le programme du FEM des « Global Shapers » doit être considéré comme un instrument supplémentaire pour mettre en place l’agenda de gouvernance mondiale globale des hommes de l’ombre du FEM.

    Année 2016 — Transhumanisme

    Lors de la rencontre annuelle du FEM 2016, on a discuté des nouvelles technologies, de l’« édition génétique » à l’intelligence artificielle et à l’impression 3D. « Édition de gènes » — en anglais « genome-editing » — est un terme générique désignant les techniques de biologie moléculaire permettant de modifier l’ADN de manière ciblée, y compris le patrimoine génétique des plantes, des animaux et des êtres humains.

    Selon le site web du FEM, les questions suivantes ont été posées :

    « Comment ces technologies vont-elles changer la vie de la prochaine génération ? »

    « Comment ces technologies vont-elles changer le monde des affaires, les gouvernements et la société ? »

    « Comment l’homme et la technologie peuvent-ils collaborer pour obtenir de meilleurs résultats ? »

    À ce sujet, l’expert financier Ernst Wolff : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 117]

    « Le livre de Schwab “La Quatrième Révolution Industrielle” a été publié à l’occasion de la réunion annuelle de 2016 et a ensuite été traduit en 30 langues. Son message fondamental était que la fusion des technologies des mondes physique, numérique et biologique créerait des possibilités entièrement nouvelles. […] En effet, malgré ses mises en garde contre les risques de l’évolution, Schwab a ouvertement professé le transhumanisme dans de nombreuses interviews et a qualifié la fusion des corps humains avec la sphère numérique de progrès évolutif. »

    Dans une vidéo de 2016, Klaus Schwab expliquait ce qu’il entendait par « Quatrième Révolution Industrielle » : [https://www.youtube.com/watch?v=7xUk1F7dyvI]

    La Quatrième Révolution Industrielle | En bref (par le FEM) https://youtu.be/raOS5dxQ9uI?si=evFgKv6gYO5La7g7

    « La révolution industrielle aura un impact complet sur nos vies. Elle ne changera pas seulement la façon dont nous communiquons […], mais aussi notre propre identité. »

    « Ce sera comme un tsunami, pas seulement une révolution numérique — bien sûr qu’elle est numérique, physique, c’est la nanotechnologie, mais elle est aussi biologique. »

    Ray Kurzweil, inventeur américain et directeur du développement technique (Director of Engineering) chez Google LLC, a décrit les plans de l’humanisme comme suit : https://www.kla.tv/18254

    Fusionner l’homme et la machine : notre avenir doré ? 04.03.2021 | www.kla.tv/18254

    « Cette fusion de l’homme et de la machine, avec l’explosion soudaine de l’intelligence des machines, conduira à un monde où il n’y aura plus de distinction entre la vie biologique et la vie mécanique, ni entre la réalité physique et la réalité virtuelle. »

    À ce stade, il est important de s’arrêter un court instant et de réfléchir à ce que cela signifie, ou aux conséquences qui en découlent : la porte est ainsi grande ouverte à toutes les manipulations, au contrôle et à la gestion de l’humanité par des programmeurs anonymes. Plus rien ne s’opposerait à une « dictature mondiale unique » centralisée !

    Année 2019 — Agenda 2030

    Le 13 juin 2019, Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, et António Guterres, secrétaire général de l’ONU, ont signé un partenariat entre leurs deux organisations. Le but de ce partenariat est d’accélérer la réalisation des 17 objectifs de développement durable. Il s’agit d’objectifs politiques des Nations unies (ONU) qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016. Le titre officiel en français est « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le développement durable », en bref : « Agenda 2030 ».

    En principe, cela signifie que le pouvoir de façonner l’avenir mondial a été remis aux grandes multinationales et à leurs propriétaires. L’accord stipule également que « la Quatrième Révolution Industrielle » du Forum économique mondial est une composante importante pour mettre en œuvre l’Agenda 2030.

    Călin Georgescu est roumain et ancien membre de haut niveau des Nations unies. Dans l’émission Kla.TV du 11 mars 2023, il a révélé ce qui se cache derrière l’agenda de l’ONU. Voici un résumé de l’introduction de l’émission kla.TV : [https://www.kla.tv/25376]

    Nous sommes TOUS concernés : Un haut fonctionnaire de l’ONU révèle les sombres secrets de l’ONU 11.03.2023 | www.kla.tv/25376

    « Les Nations unies, en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et bien d’autres, sont en train de mettre en place l’Agenda 2030 à l’échelle mondiale. Il s’agit de la plus grande transformation jamais envisagée, planifiée massivement pour tous les pays et tous les peuples, et qui vise à modifier chaque aspect de la société humaine : finances, agriculture, alimentation, voyages, économie, sexualité, éducation, etc. L’objectif ultime de l’Agenda 2030 est d’établir un gouvernement mondial unique avec des dirigeants non élus. Les Nations unies, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial sont au cœur de ce projet de gouvernement mondial. Au-dessus d’eux se trouvent des groupes d’intérêts financiers qui agissent totalement dans l’ombre, afin que personne ne leur demande jamais de rendre des comptes pour leurs crimes contre l’humanité. »

    Année 2019 — Événement 201 — Dictature de Covid

    Selon le site web de l’« Université Johns Hopkins », le « Johns Hopkins Center for Health Security » (Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire), en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé le 18 octobre 2019 à New York l’« Event 201 ».

    Il s’agissait d’un cas fictif de pandémie grave à l’échelle mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. L’exercice de pandémie portait sur des situations dans lesquelles des partenariats public-privé sont nécessaires pour faire face à de telles pandémies. Dix semaines plus tard, la Chine a annoncé à l’OMS les premiers cas de Covid-19.

    Année 2020 — Great Reset — Dictature numérique

    The Great Reset, c’est-à-dire la Grande Réinitialisation désigne l’initiative du Forum économique mondial visant à remodeler l’économie et la société mondiales à la suite de la pandémie de COVID-19.

    Ernst Wolff a résumé dans son livre de quoi il s’agit [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 133] :

    « Quatre mois après la déclaration de la pandémie mondiale (le 9 juillet 2020), Klaus Schwab a présenté son ouvrage “COVID-19 La Grande Réinitialisation”, co-rédigé avec l’auteur Thierry Malleret. […] En même temps que son livre, Schwab a présenté l’initiative Le Grande Réinitialisation avec laquelle le FEM, en coopération avec ses partenaires, veut s’attaquer à la construction du monde post-COVID-19. Ce qui est remarquable, c’est que dans le cadre de cette initiative, la crise du Covid n’est considérée que comme un phénomène passager. […] Il est essentiellement question de deux autres thèmes : Le changement climatique et la quatrième révolution industrielle. »

    [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, pages 144-145]

    « L’introduction de la monnaie numérique de banque centrale est la pièce maîtresse du Great Reset. Il est actuellement préparé en arrière-plan dans le monde entier et soutenu par le FEM. […] Concrètement, le projet se présente ainsi : Chaque citoyen et chaque entreprise ne disposerait plus que d’un seul compte auprès de la banque centrale. Cela permettrait à l’État de fixer de manière centralisée la quantité d’argent, de diriger et de contrôler les flux monétaires et de fixer les taux d’intérêt en fonction des besoins. […] Les citoyens comprendront très vite que l’État pourrait non seulement suivre chaque transaction, mais aussi leur imposer au passage des taux d’intérêt individuels, des taux d’imposition individuels, ou encore des pénalités, lier l’argent à […] un système de crédit social sur le modèle chinois ou les couper complètement de tous flux financiers. »

    Une vidéo du Forum économique mondial (FEM) datant de 2016 montre où pourrait mener l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, jusqu’à la coupure de tous flux financiers. Cela est paru sous le nom de « 8 prédictions pour le monde en 2030 ».

    « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux » est une phrase de la vidéo. Elle est tirée d’un essai de la politicienne danoise Ida Auken.

    La vidéo a été supprimée du site web du FEM, car elle a suscité trop de protestations. Elle peut toutefois être consultée sur la page Facebook du FEM.

    Le 10 novembre 2016, le FEM a défini dans un article du magazine « Forbes » comment il fallait comprendre la phrase « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux ». Citation : « Bienvenue en 2030. Bienvenue dans ma ville — ou devrais-je dire “dans notre ville”. Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède pas d’appareils ni de vêtements. Cela peut vous sembler étrange, mais c’est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est maintenant devenu un service. Nous avons accès aux transports, au logement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. L’un après l’autre, toutes ces choses sont devenues gratuites, si bien que cela n’avait aucun sens pour nous de “posséder” beaucoup. »

    La non-possession est promue comme une aubaine.

    Écoutez à ce sujet le fondateur de Kla-TV, Ivo Sasek (Émission Kla.TV du 18.06.2021) : [https://www.kla.tv/WEF/19027]

    « De l’extérieur, le FEM se présente (on ne peut pas être plus effronté) avec diverses vidéos qui font ou devraient faire miroiter à la population mondiale le renversement de l’ancien ordre mondial. Après des critiques sévères, ils ont rapidement supprimé certaines de ces vidéos. En effet, ils y ont carrément glorifié l’appauvrissement des peuples, imaginez un peu, la dépossession totale de tous nos biens présentée comme un événement enthousiasmant, vous comprenez, la privation de nos droits comme désirable, présentée de manière moderne. »

    Ivo Sasek a également une solution pragmatique toute prête, comme il l’a exposé le 16 mars 2023 : https://www.kla.tv/PrincipeSourisLaboratoire/25587]

    Le nouveau principe de la souris de laboratoire 30.03.2023 | www.kla.tv/25587

    « En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d’abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM. »

    7. Autres acteurs du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

    Outre les acteurs mondiaux et les grandes multinationales déjà mentionnés, il faut encore citer deux autres acteurs décisifs.

    Il est important de garder à l’esprit que ces acteurs et d’autres n’agissent pas de manière autonome, mais qu’ils ont été créés par ces mêmes acteurs mondiaux.

    Chine

    De 1978 à 1997, la Chine a été dirigée de facto par Deng Xiaoping. Lorsqu’en décembre 1978, celui-ci a amorcé l’abandon de l’économie planifiée centralisée et le passage au capitalisme, Klaus Schwab a réagi promptement. Schwab a immédiatement invité Deng Xiaoping au prochain symposium de Davos en 1979.

    Ernst Wolff a écrit dans son livre : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 96]

    « 2009 a été la 30e année de participation d’une délégation chinoise à la rencontre de Davos. Entre-temps, presque tous les chefs d’État et de parti chinois avaient rendu visite au FEM. Le bureau du FEM à Pékin a travaillé en étroite collaboration avec la Commission nationale chinoise pour le développement et la recherche, avec le ministère chinois des Affaires étrangères et avec un certain nombre de grandes entreprises chinoises. ».

    [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 139]

    « Lors de la réunion virtuelle de janvier 2021, organisée sous le slogan “Great Reset” […] le président chinois Xi Jinping a prononcé un message vidéo. »

    [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p.139]

    « Si on regarde la liste des participants qui rejoindront les rangs des Young Global Leaders entre 2020 et 2022, on constate que la Chine a fourni le plus gros contingent après les États-Unis et que le nombre de candidats issus du secteur financier est supérieur à la moyenne. Ce n’est pas un hasard, car selon la volonté du FEM, ces deux pays sont appelés à jouer un rôle décisif dans le cadre du Great Reset dans un avenir proche ».

    [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund », 2022, p. 143-145]

    « Si la Chine joue depuis des décennies un rôle décisif pour le FEM […], c’est parce que, malgré le passage d’une économie planifiée à une économie de marché, la Chine a conservé les structures centralisées de l’époque du maoïsme. C’est pourquoi le gouvernement chinois peut agir de manière beaucoup plus autoritaire que ses adversaires qui agissent dans des conditions parlementaires. On le voit notamment dans le cadre de la crise Covid, pendant laquelle le régime de Pékin a fait preuve d’une dureté de fer en décrétant les confinements les plus longs et les plus sévères au monde. Mais cela se voit aussi par rapport à un autre projet qui se prépare actuellement en coulisses dans le monde entier et qui est soutenu par le FEM : l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, la pièce maîtresse du Great Reset ».

    Dans l’émission Kla.TV sur la Chine, ce système de domination nous menace tous ! — le rôle de la Chine a été résumé comme suit :

    https://www.kla.tv/27164

    Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l’aide de l’intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l’intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100 % dans l’intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l’introduction de ce système de contrôle et d’éducation.

    Comme l’a démontré l’émission de Kla.TV « Chine — ce système de domination nous menace tous ! », la Chine a été financée et construite par la société secrète Skull&Bones, Lord Rothschild et plus tard la Fondation Rockefeller. Skull&Bones était à l’origine une association d’étudiants de l’université de Yale et forme le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR). Au début du 20e siècle, elle a fondé en Chine une série d’écoles et d’hôpitaux connus sous le nom de « Yale-in-China ». Selon les résultats de la recherche de l’ExpressZeitung suisse (numéro 50 d’octobre 2022), c’est « Yale-in-China » qui a ouvert la voie du pouvoir aux marxistes ainsi qu’au dictateur chinois Mao Tse-tung (1893-1976). Dès 1986, l’historien britannique Antony C. Sutton écrivait :

    « Vers l’an 2000, la Chine communiste sera une “superpuissance” construite avec la technologie et l’expertise américaines. »

    De même, le scientifique renommé Sutton montre comment la Russie a été infiltrée par la Croix-Rouge américaine au début du 19e siècle. Celle-ci aurait également été accaparée par les forces de la haute finance. Ainsi, la révolution d’octobre 1917 — qui mit fin au tsarisme et marqua l’avènement du communisme — fut soigneusement orchestrée par l’élite financière, et notamment par les Rothschild, et soutenue par des moyens financiers colossaux. Sutton montre comment les cercles de banquiers autour de la banque centrale américaine ont mis en place presque toute l’industrie lourde de l’URSS.

    Russie

    En 1986, l’Union soviétique a participé pour la première fois à une rencontre du FEM à Davos sous la direction de Mikhaïl Gorbatchev, arrivé au pouvoir l’année précédente. À l’époque, cette rencontre s’appelait encore « European Management Forum » jusqu’en 1987.

    Depuis les années 90, Klaus Schwab entretient une longue amitié avec le président russe Vladimir Poutine. Selon le magazine « Politico », Poutine et son prédécesseur à la présidence, Dmitri Medvedev, ont prononcé cinq discours au FEM entre 2007 et 2021. Schwab a littéralement déclaré : « Le FEM a établi une excellente relation avec la Fédération de Russie. Aussi bien avec le monde des affaires qu’avec le gouvernement ». En tant que « partenaires stratégiques », les entreprises russes ont, selon un initié, versé environ 600 000 francs par an au FEM et ont pu, en contrepartie, participer à l’élaboration du programme.

    En 2018, le FEM a créé un « centre de cybersécurité » en collaboration avec la société russe de sécurité informatique BI.ZONE. BI.ZONE est une filiale de la plus grande institution financière de Russie, la Sberbank. C’est sous la direction de cette dernière que s’est déroulé l’exercice annuel en ligne « Cyber Polygon » afin de s’entraîner aux cyberattaques et à la défense contre celles-ci.

    Pour le FEM de mai 2022, les Russes sanctionnés ont été désinvités dans le cadre de la guerre en Ukraine. Pour la première fois depuis l’ère Gorbatchev, il n’y a pas eu de participation russe au FEM. En outre, les deux banques russes Sberbank et VTB ainsi que le groupe énergétique russe Gazprom ont été supprimés de la liste des « partenaires stratégiques ».

    Néanmoins, il faut bien constater que la Russie met en œuvre le même agenda mondial que celui promu par le FEM et les élites mondialistes :

    ● La Russie a toujours été en première ligne dans la lutte contre la prétendue pandémie de COVID, appelant la population à se faire vacciner au côté des autres pays.

    ● La Russie joue un rôle de premier plan dans l’introduction de la monnaie numérique de la banque centrale, ou CBDC. En 2024, le rouble numérique devrait être introduit dans tout le pays. La CBDC peut être considérée comme un élément constitutif du contrôle total et de la surveillance totale.

    ● Avec la Chine, la Russie est le grand partisan de la mise en place d’un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.

    ● La Russie occupe une place de premier plan en tant qu’État de surveillance. Moscou et Saint-Pétersbourg font partie des dix villes les plus surveillées en dehors de la Chine.

    En 2017 et 2018, les autorités moscovites ont introduit un système de caméras de rue soutenu par un logiciel de reconnaissance faciale. Lors de la crise de Covid en 2020, les autorités ont été en mesure de repérer et de punir les personnes qui quittaient leur domicile en violation des règles de confinement.

    ● La Russie joue un rôle de premier plan dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU et du Great Reset. Comme publié sur le site web du « Bureau exécutif du président russe », la Russie fait avancer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU. C’est ce qui ressort d’une déclaration commune avec la République populaire de Chine sur le développement durable mondial. Elle a été rédigée le 4 février 2022 à l’occasion de la visite du président russe Vladimir Poutine à Pékin. Le même jour, il a participé à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver.

    La déclaration commune mentionne nommément :

    « la lutte contre la pauvreté, la sécurité alimentaire, les vaccins et la lutte contre les épidémies, le financement du développement, le changement climatique, le développement à long terme, y compris le développement vert, l’industrialisation, l’économie numérique et la connectivité des infrastructures. »

    Tout comme la Chine ou les acteurs mondiaux mentionnés ou les initiatives du FEM qui s’avèrent être des instruments dans la mise en place d’une dictature mondiale centralisée, il convient d’observer si cela concerne également la Russie.

    8. Le FEM en un point

    Voici un rappel et un résumé des points les plus importants :

    ● Le FEM n’est pas simplement une fondation suisse créée et mise en place par un Klaus Schwab indépendant.

    ● Pendant son séjour à la Harvard Business School en 1966/1967, Schwab subit l’influence de son professeur Henry Kissinger.

    ● Le « European Management Symposium » — l’ancêtre du FEM — est né d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger, et a été mis sur pied en Suisse avec le soutien de John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Tous les trois sont membres du groupe de réflexion du Council on Foreign Relations (CFR).

    ● Toutes les personnes liées à la création ou à la structure de gouvernance supérieure du FEM sont soit membres du groupe Bilderberg ou du Conseil des relations étrangères (CFR) ou de la Commission trilatérale, soit simultanément de plusieurs.

    ● Tous ces relais passent par les mêmes hommes en arrière et leurs successeurs, que ce soit David Rockefeller, Henry Kissinger, Laurence Douglas, « Larry » Fink ou David Rubenstein et quelques autres acteurs mondiaux fortunés.

    ● Lors de sa création en 1971, le FEM a reçu pour mission de mettre en œuvre l’agenda d’un Nouvel Ordre Mondial (NOM) à l’échelle mondiale avec l’aide des grandes entreprises mondiales. Entre-temps, toute l’élite des grandes entreprises mondiales s’y est regroupée.

    ● Le Forum économique mondial (FEM) a été installé comme l’un des points de contact les plus importants de la politique mondiale par ces mêmes dirigeants mondiaux. Grâce au FEM, différentes initiatives ont été lancées, qui servent d’outils pour faire avancer la globalisation. Ce qui prépare le terrain pour une future dictature mondiale centralisée.

    ● Parmi ces initiatives, certaines des plus importantes sont le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019, c’est-à-dire la dictature de Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc. Mais des acteurs comme la Chine et la Russie servent également d’instruments à l’agenda du FEM et le font avancer en première ligne.

    ● Le « Great Reset » proclamé par le fondateur du FEM a pour objectif de faire entrer l’ensemble des citoyens de la Terre dans une nouvelle ère, numérique et guidée par l’intelligence artificielle. « Great Reset » signifie quelque chose comme : Un monde dans lequel personne ne possède plus rien, où chacun est entièrement surveillé, mais aussi entièrement dépendant et donc dirigeable.

    ● Le programme du transhumanisme (la fusion des corps humains avec la sphère numérique) ouvre les portes à la manipulation, au contrôle et à la gestion de l’humanité. La voie est libre pour une dictature mondiale centralisée !

    Voilà pour les points principaux. Compte tenu du fait que les fils du FEM sont reliés aux mêmes réseaux et aux mêmes personnes, et que les objectifs des initiatives du FEM, tels qu’ils sont décrits ici, servent sans équivoque un agenda mondial, on peut très bien parler d’une véritable conspiration mondiale.

    Il ne s’agit pas d’une conspiration mondiale de quelques grands acteurs comme le gouvernement américain, la Russie ou la Chine, mais d’un petit nombre de dirigeants mondiaux. Ceux-ci ont en commun d’être profondément impliqués dans la société secrète de la franc-maçonnerie. Ainsi, l’une des super loges les plus puissantes et donnant le ton au niveau mondial, « THREE EYES », a été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzeziński.

    Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut niveau Gioele Magaldi, on sait que l’ancien dirigeant du Parti chinois Deng Xiaoping (1904-1997) a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super loge « THREE EYES ». Cela a eu pour conséquence que, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, dont l’actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont depuis 1980 membres des super loges, dans lesquelles sont organisés les francs-maçons de haut grade.

    Il est également connu que les acteurs russes les plus importants étaient ou sont encore membres de super loges. Par exemple Joseph Staline (1878-1953), Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924), Léon Trotski (1879-1940), Mikhaïl Gorbatchev (1931-2022), Boris Eltsine (1931-2007) ainsi que le président russe Vladimir Poutine.

    Tout cela a été révélé dans l’émission de Kla.TV « Danger mondial : Franc-maçonnerie de haut grade ».

    [https://www.kla.tv/23995]

    Voyez pour finir la conclusion de cette émission : Il semble n’y avoir qu’un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d’un tribunal mondial décrété par le peuple — un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués.

    Comme une aurore, les plans cachés et les tireurs de ficelles du FEM apparaissent. Faites partie de ce lever du jour ! Aidez-nous à diffuser ces révélations dans le monde entier et à mettre un terme au FEM et à ceux qui le dirigent !

    de dd./mw.

    Sources/Liens :




    Bill Gates et Epstein : 30 ans de trafic, de chantage et d’espionnage avec les services secrets

    [Source : sentadepuydt.substack.com]

    Par Senta Depuydt

    Et si le chantage lié à la prostitution de mineurs tenait tout le réseau du pouvoir global ? Cet article de Whitney Webb parcourt les liens de Jeffrey Epstein, un agent des services israéliens, avec le monde de la politique, de l’informatique et de la santé.

    Whitney Webb est une journaliste américaine indépendante qui a un site nommé « Unlimited Hangout ». Elle a écrit 2 volumes majeurs intitulés « One Nation Under Blackmail ». Il y a près de 1000 pages décrivant le réseau de corruption et de criminalité qui gangrène la gouvernance américaine et mondiale par un système de chantage basé sur le trafic sexuel et l’espionnage informatique. Il s’agit d’un des plus longs articles publiés sur ma page, mais il est impératif de citer des détails et des sources dans ce genre de dossiers. Par ailleurs, on tombe à la renverse à chaque paragraphe.

    Voici une photo de 2011 prise à l’appartement d’Epstein à Manhattan, publication du NY times :
    À gauche c’est Larry Summers ancien secrétaire du Trésor et ancien Président l’université de Harvard (et non Leon Black, le directeur d’Apollo management, un fonds d’investissement de la CIA). Black a démissionné depuis la révélation de ses liens avec Epstein (à qui il a versé plus de 150 millions de $). Au milieu, Jeffrey Esptein, Bill Gates et à droite Boris Nicolic, un médecin qui a été conseiller scientifique de Gates qu’Epstein avait désigné comme exécuteur testamentaire.

    Vous apprendrez dans cet article que :

    • Mélinda Gates a divorcé à temps par peur d’être impliquée dans le procès Epstein.
    • Bill Gates et Jeffrey Epstein se connaissaient depuis le début des années 1990, notamment par l’intermédiaire de Ghislaine et Isabelle Maxwell.
    • Jeffrey Epstein et toute la famille Maxwell sont au service du Mossad : Robert Maxwell, le magnat de la presse assassiné, Isabel et Christine, Ghislaine, leurs enfants.
    • Isabel Maxwell était propriétaire de Touchcomm, un logiciel d’espionnage qu’elle a vendu à Microsoft. Isabel Maxwell est aussi une « pionnière de la technologie », conseillère pour le Forum économique mondial.
    • Bill Clinton a été le principal objet du chantage sexuel exercé par Epstein dans les années 1990
    • Epstein et Bill Gates étaient « très liés » aux Clinton et ont beaucoup travaillé ou investi ensemble, avec leurs fondations.
    • Epstein s’est baladé avec le bras droit de Gates/Microsoft en Russie.
    • Epstein a été impliqué dans la recherche scientifique, la génétique et les neurosciences
    • Des clubs comme A Small World et Edge fund (financé par Epstein) ont réuni tout un petit monde que l’on cite beaucoup dans des dossiers pédophiles : Harvey Weinstein, Jeffrey Epstein, Lynn de Rotschild, Nicole Junkerman, Paul Allen (Microsoft), Naomi Campbell, Andnan Kashogghi… enfin tous les noms déjà cités dans les dossiers de pédophilie.

    ET beaucoup d’autres choses encore…

    Melinda Gates divorce à cause de la relation de Bill avec Epstein

    Une série de révélations concernant les liens entre Bill Gates et Jeffrey Epstein ont été faites après l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates. Cependant, des preuves substantielles suggèrent que l’association Gates-Epstein a en fait commencé des décennies avant 2011 et qu’elle est toujours censurée par les médias grand public.

    Non pas dans le but de protéger Bill Gates, mais plutôt dans le but de protéger Microsoft.

    Au début du mois de mai 2021, l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates, après vingt-sept ans de mariage, a choqué à la fois ceux qui louent et ceux qui détestent le couple de pouvoir « philanthropique ».

    Moins d’une semaine après l’annonce initiale du divorce, le 7 mai, le Daily Beast a rapporté que Melinda Gates aurait été « profondément troublée » en apprenant la relation de Bill Gates avec Jeffrey Epstein, responsable d’un trafic de mineurs et agent de renseignements. Le rapport suggère que Melinda a été l’une des principales raisons de la décision de son mari de prendre ses distances avec Epstein vers 2014, en raison de son malaise avec Epstein après qu’ils l’aient tous les deux rencontré en 2013. Cette rencontre, qui n’a jamais été rapportée, avait eu lieu dans le manoir d’Epstein dans l’Upper East Side de New York.

    Le Daily Beast a également révélé que les détails du divorce des Gates avaient été décidés plusieurs semaines avant l’annonce officielle. Puis, le 9 mai, le Wall Street Journal a publié la nouvelle selon laquelle les plans de divorce remontaient encore plus loin, Melinda ayant consulté des avocats spécialisés en la matière depuis 2019. Cette consultation aurait eu lieu après que les détails de la relation de Bill Gates avec Jeffrey Epstein eurent attiré l’attention des médias grand public, notamment du New York Times.

    Si les grands médias s’accordent apparemment pour dire que Jeffrey Epstein a probablement joué un rôle dans la séparation des Gates, ces mêmes médias refusent de parler de l’étendue réelle de la relation entre Bill Gates et Jeffrey Epstein. Selon la presse mainstream, les liens entre Bill Gates et Epstein remonteraient à 2011, alors que les preuves indiquent que leur relation a commencé des décennies plus tôt.

    Ce refus général de rendre compte honnêtement des liens entre Gates et Epstein est probablement dû au rôle prépondérant de Gates dans l’actualité, tant en termes de politique de santé mondiale liée au COVID-19 qu’en tant que promoteur et bailleur de fonds majeur de « solutions » technocratiques controversées à un grand nombre de problèmes sociétaux. Il est cependant plus probable que la nature de la relation entre Gates et Epstein avant 2011 soit encore plus scandaleuse que ce qui s’est passé par la suite, et qu’elle ait des implications majeures non seulement pour Gates, mais aussi pour Microsoft en tant qu’entreprise et pour certains de ses anciens cadres dirigeants.

    Cette dissimulation particulière s’inscrit dans la volonté évidente des médias d’appareil à ignorer l’influence manifeste qu’Epstein et les membres de la famille Maxwell ont exercée et, sans doute, continuent d’exercer dans la Silicon Valley. En effet, les personnes qui ont fondé les géants de la technologie tels que Google, LinkedIn, Facebook, Microsoft, Tesla et Amazon ont toutes des liens avec Jeffrey Epstein, certains plus étroits que d’autres.

    Le présent article synthétise un ensemble de propos qui sont développés dans les deux tomes One Nation Under Blackmail que j’ai consacré au réseau de chantage international et américain qui lie le monde de la finance, de la politique, de la criminalité et des renseignements.

    Le mystère de l’Evening Standard

    En 2001, l’article sans doute le plus important qui ait jamais été écrit sur Jeffrey Epstein est paru en janvier 2001. Il portait principalement sur la relation de Ghislaine Maxwell et de Jeffrey Epstein avec le prince Andrew, a été publié dans l’Evening Standard de Londres. Cet article du journaliste Nigel Rosser n’a jamais été rétracté et a été publié bien avant la première arrestation d’Epstein et le début de sa notoriété publique. Il a néanmoins été retiré du site web de l’Evening Standard et ne peut plus être trouvé que sur les bases de données de journaux professionnels. En octobre 2019, j’ai mis à la disposition du public un PDF de cet article et de plusieurs autres articles relatifs à Epstein qui ont été supprimés.

    On peut aussi le télécharger ici : Télécharger

    Les principales déclarations faites dans l’article montrent clairement pourquoi il a été retiré d’Internet, apparemment à la suite de la première arrestation d’Epstein en Floride. Rosser présente Epstein comme « un promoteur immobilier et financier new-yorkais immensément puissant », un clin d’œil au passé d’Epstein sur le marché immobilier new-yorkais. Plus loin dans l’article, il note qu’Epstein « a un jour prétendu avoir travaillé pour la CIA, bien qu’il le nie aujourd’hui », l’une des nombreuses raisons probables pour lesquelles l’article a été retiré d’Internet bien avant la deuxième arrestation d’Epstein en 2019.

    Une grande partie de l’article souligne la proximité d’Epstein et de Maxwell avec le prince Andrew et suggère que les deux exerçaient une influence considérable sur le prince, en grande partie en raison du rôle de Maxwell en tant « qu’entremetteur ». L’article indique que Maxwell « manipulait » le prince et qu’elle agissait probablement pour le compte d’Epstein ».

    Une ligne se démarque cependant en tant que le premier indice majeur permettant de démystifier la véritable origine de la relation entre Gates et Epstein. Peu après avoir présenté Epstein dans l’article, Rosser déclare qu’Epstein « a gagné de nombreux millions grâce à ses relations d’affaires avec des personnes telles que Bill Gates, Donald Trump et le milliardaire de l’Ohio Leslie Wexner, dont il dirige le trust ».

    Les relations de Wexner et de Trump avec Epstein avant 2001 sont bien connues et remontent respectivement à 1985 et 1987. Les médias grand public continuent toutefois de rapporter que Gates et Epstein se sont rencontrés pour la première fois en 2011 et ont refusé de suivre les pistes fournies par Nigel Rosser. Je suis personnellement au courant de cette rétention d’informations dans une certaine mesure, puisqu’un journaliste de la BBC m’a contacté en 2019 pour obtenir des détails sur cet article de 2001 de l’Evening Standard, que j’ai fournis. À ce jour, la BBC n’a jamais fait état du contenu de cet article. Il convient de noter que la BBC a reçu pendant des années des millions de dollars de financement de la part de la Fondation Bill et Melinda Gates.

    Non seulement l’article de Rosser n’a jamais été rétracté, mais ni Gates, ni Trump, ni Wexner n’ont contesté les affirmations contenues dans l’article à l’époque, c’est-à-dire bien avant qu’Epstein ne devienne célèbre. En outre, le fait que Gates soit cité aux côtés de deux proches associés d’Epstein connus à l’époque — Donald Trump et Leslie Wexner — suggère que les liens de Gates avec Epstein avant 2001 étaient suffisamment importants pour justifier sa mention aux côtés de ces deux autres hommes.

    Outre l’article du Evening Standard, Maria Farmer, une victime d’Epstein qui a été employée par Epstein et Maxwell de 1995 à 1996, a déclaré se souvenir avoir entendu Epstein mentionner Bill Gates d’une manière qui laissait entendre qu’ils étaient des amis proches et qui lui donnait l’impression que le cofondateur de Microsoft pourrait bientôt se rendre dans l’une des résidences d’Epstein.

    Microsoft, McKinley, et Isabel Maxwell

    Outre ces deux éléments de preuve essentiels, il y a également le fait qu’avant l’article du Evening Standard, Gates avait déjà un lien documenté avec une entreprise dirigée par les sœurs de Ghislaine Maxwell, dans laquelle Ghislaine avait une participation financière, ce qui peut donner un indice sur la nature des « liens commerciaux » auxquels Nigel Rosser a fait allusion. En outre, la nature étrange de la relation de Gates avec Isabel Maxwell, qui a des liens avec le scandale d’espionnage du logiciel PROMIS et avec les services de renseignement israéliens, est documentée dans un article publié en 2000 par le Guardian.

    Les sœurs jumelles Christine et Isabel Maxwell, ainsi que leurs maris de l’époque, ont créé le groupe McKinley en janvier 1992. Christine et Isabel avaient toutes deux travaillé auparavant pour la société-écran Information on Demand, utilisée par leur père Robert Maxwell pour vendre au gouvernement américain le logiciel PROMIS, qui contenait une « backdoor » (ou logiciel d’espionnage). Après la mort de Robert Maxwell, Christine et Isabel « voulurent se diversifier et reconstruire » et voyaient en McKinley « une chance de recréer un peu de l’héritage de leur père ».

    Le groupe McKinley n’était cependant pas seulement une entreprise d’Isabel, de Christine et de leurs maris, puisque Ghislaine Maxwell avait également « un intérêt substantiel » dans la société, selon un article du Sunday Times publié en novembre 2000. Ce même article notait également que Ghislaine, tout au long des années 1990, avait « construit discrètement un empire commercial aussi opaque que celui de son père » et qu’« elle est secrète au point d’en devenir paranoïaque et ses affaires sont profondément mystérieuses ». Elle a choisi de se décrire « comme une “opératrice Internet” » pendant cette période, même si « son bureau à Manhattan refuse de confirmer le nom ou la nature de son activité ».

    Ghislaine Maxwell et sa famille, ses sœurs Isabel et Christine en 2019 à Londres.

    Un autre article, paru dans The Scotsman en 2001, note séparément que Ghislaine « est extrêmement secrète sur ses affaires et se décrit comme une opératrice Internet ». Le degré d’implication de Ghislaine dans les affaires du groupe McKinley n’est pas clair. Toutefois, à cette époque, elle menait avec Jeffrey Epstein une opération de chantage sexuel liée aux services de renseignement, et leurs finances se chevauchaient considérablement, comme l’indiquent les rapports de presse de l’époque et ceux qui ont suivi.

    McKinley a créé ce qui est devenu l’annuaire Internet Magellan, dont on se souvient comme du « premier site à publier de longues critiques et évaluations de sites web ». L’approche « contenu à valeur ajoutée » de Magellan a attiré plusieurs grandes entreprises, ce qui a donné lieu à des « alliances majeures » avec AT&T, Time Warner, IBM, Netcom et le réseau Microsoft (MSN), qui ont toutes été négociées par Isabel Maxwell. L’alliance majeure de Microsoft avec McKinley s’est concrétisée à la fin de 1995, lorsque Microsoft a annoncé que Magellan alimenterait l’option de recherche du service MSN de l’entreprise.

    Les efforts de McKinley pour devenir le premier moteur de recherche à entrer en bourse ont échoué, ce qui a déclenché un conflit entre Christine Maxwell et le mari d’Isabel, qui a également eu pour conséquence que l’entreprise s’est retrouvée derrière d’autres leaders du marché. En conséquence, McKinley n’a pas eu la possibilité de faire une deuxième tentative d’introduction en bourse. Excite, qui a ensuite été rachetée par AskJeeves, a finalement acheté le groupe McKinley et Magellan en 1996. On dit que c’est Isabel Maxwell qui a rendu l’opération possible, le PDG d’Excite à l’époque, George Bell, affirmant que c’est elle seule qui a sauvé l’achat de McKinley.

    Malgré l’échec de McKinley, les jumelles Maxwell et d’autres actionnaires de la société, dont Ghislaine Maxwell, ont non seulement obtenu un paiement de plusieurs millions de dollars grâce à l’opération, mais ils ont également noué des liens étroits avec les flambeurs de la Silicon Valley. On ne sait pas si l’argent que Ghislaine a reçu de la vente a été utilisé pour poursuivre l’opération de chantage sexuel qu’elle menait alors aux côtés de Jeffrey Epstein.

    Après la vente de McKinley/Magellan, les liens manifestes de Christine et Isabel Maxwell avec les services de renseignements américains et israéliens se sont considérablement renforcés. Les liens d’Isabel avec Microsoft ont également perduré après la vente du groupe McKinley. Elle est devenue présidente de l’entreprise technologique israélienne CommTouch, dont le financement était lié à des personnes et des groupes impliqués dans l’affaire d’espionnage nucléaire de Jonathan Pollard. CommTouch, un « obscur développeur de logiciels » fondé en 1991 par d’anciens officiers de l’armée israélienne, s’est concentré sur « la vente, la maintenance et l’entretien de logiciels clients de messagerie autonomes pour les ordinateurs centraux et personnels ». L’entreprise a spécifiquement courtisé Isabel parce qu’elle était la fille du « super-espion » israélien Robert Maxwell. Isabel avait des raisons similaires de rejoindre l’entreprise, déclarant à Haaretz que diriger l’entreprise lui donnait « une chance de poursuivre l’engagement de son père en Israël ».

    De toutes les alliances et de tous les partenariats qu’Isabel a négociés au cours de ses premières années à CommTouch, ce sont ses relations avec les cofondateurs de Microsoft, Bill Gates et Paul Allen, qui ont mis CommTouch « sur la carte ». Les cofondateurs de Microsoft ont cependant fait bien plus que mettre CommTouch « sur la carte », puisqu’ils sont essentiellement intervenus pour empêcher l’effondrement de son introduction en bourse, un sort qui avait frappé la précédente entreprise d’Isabel Maxwell, le McKinley Group, peu de temps auparavant. En effet, CommTouch n’a cessé de repousser son introduction en bourse jusqu’à l’annonce, en juillet 1999, d’un investissement massif de la part d’entreprises liées au cofondateur de Microsoft, Paul Allen.

    Selon un rapport de Bloomberg, les investissements de Vulcan et Go2Net d’Allen ont suscité un regain d’intérêt pour la vente d’actions et pour CommTouch, jusqu’à présent un obscur développeur de logiciels, et ont également gonflé le cours de leurs actions juste avant leur entrée en bourse. L’argent des sociétés liées à Allen a été spécifiquement utilisé « pour développer les ventes et le marketing et renforcer sa présence sur les marchés internationaux ». La décision d’Allen d’investir dans CommTouch semble étrange d’un point de vue financier, étant donné que l’entreprise n’avait jamais réalisé de bénéfices et qu’elle avait enregistré des pertes de plus de 4 millions de dollars l’année précédente. Pourtant, grâce à l’investissement opportun d’Allen et à sa coordination apparente avec les retards répétés de l’introduction en bourse de la société, CommTouch a été évaluée à plus de 230 millions de dollars lors de son introduction en bourse, contre 150 millions de dollars quelques semaines avant l’investissement d’Allen.

    Paul Allen and Nicole Junkermann at Cinema Against AIDS
    Cannes in Cannes, France. Source : Vocal Media

    On ne sait pas exactement pourquoi Paul Allen s’est porté au secours de l’introduction en bourse de CommTouch et ce qu’il espérait tirer de son investissement. Il convient toutefois de souligner qu’Allen est devenu par la suite l’un des membres d’une communauté d’élite en ligne créée en 2004 et appelée A Small World, qui comptait également parmi ses membres Jeffrey Epstein et des personnalités liées à Epstein, telles que Lynn Forester de Rothschild et Naomi Campbell, ainsi que Petrina Khashoggi, la fille d’Adnan Khashoggi, un ancien client d’Epstein. Le principal actionnaire d’A Small World était Harvey Weinstein, le magnat des médias aujourd’hui en disgrâce, qui était un partenaire commercial d’Epstein et qui a depuis été condamné pour viol et abus sexuel. À peu près à la même époque, Paul Allen a été photographié avec Nicole Junkermann, une associée d’Epstein, qui était elle-même une agente des services de renseignement.

    Moins de trois mois après les investissements d’Allen dans CommTouch, en octobre 1999, la société a annoncé qu’elle avait conclu un accord majeur avec Microsoft. En décembre 1999, Microsoft a annoncé qu’elle avait investi 20 millions de dollars dans CommTouch en achetant 4,7 % de ses actions. Cette annonce a fait passer le cours de l’action CommTouch de 11,63 dollars à 49,13 dollars en l’espace de quelques heures. Une partie de cette transaction avait été finalisée par Richard Sorkin, récemment nommé directeur de CommTouch. Sorkin venait de devenir multimillionnaire suite à la vente de Zip2, la première entreprise d’Elon Musk dont il était le PDG.

    Il semble en outre que Bill Gates, alors à la tête de Microsoft, ait personnellement investi dans CommTouch sur insistance d’Isabel Maxwell. Dans un article publié en octobre 2000 dans le Guardian, Isabel « plaisante sur le fait d’avoir persuadé Bill Gates de faire un investissement personnel » dans CommTouch au cours de cette période.

    L’article du Guardian note ensuite curieusement, à propos d’Isabel Maxwell et de Bill Gates :

    « Dans un faux accent du sud [Isabel] ronronne : Il doit dépenser 375 millions de dollars par an pour continuer à échapper aux impôts, pourquoi ne pas m’autoriser à l’aider ? Elle éclate de rire ».

    Étant donné que des personnes aussi riches que M. Gates ne peuvent bénéficier d’une « exonération fiscale » et que cet article a été publié peu après la création de la Fondation Bill & Melinda Gates, les déclarations d’Isabel suggèrent que c’est le Bill & Melinda Gates Foundation Trust, qui gère les fonds de dotation de la fondation, qui a réalisé cet investissement considérable dans CommTouch.

    En outre, il convient de souligner la manière étrange dont Isabel décrit ses relations avec M. Gates (« en ronronnant », avec un faux accent du Sud), décrivant ses interactions avec lui d’une manière que l’on ne retrouve dans aucune des nombreuses autres interviews qu’elle a accordées sur une grande variété de sujets. Ce comportement étrange peut être lié aux interactions antérieures d’Isabel avec Gates et/ou à la relation mystérieuse entre Gates et Epstein à cette époque.

    Isabel Maxwell as CommTouch President

    Après 2000, les activités et l’influence de CommTouch se sont rapidement développées, Isabel Maxwell attribuant par la suite aux investissements de Microsoft, dirigé par Gates, et de Paul Allen la bonne fortune de l’entreprise et le succès de ses efforts pour pénétrer le marché américain. Maxwell, citée dans le livre Fastalliances publié en 2002, déclare que Microsoft considérait CommTouch comme un « réseau de distribution » essentiel, ajoutant que « l’investissement de Microsoft nous a mis sur la carte. Il nous a donné une crédibilité instantanée et a validé notre technologie et nos services sur le marché ». À cette époque, les liens entre Microsoft et CommTouch s’étaient renforcés grâce à de nouveaux partenariats, notamment l’hébergement de Microsoft Exchange par CommTouch.

    Bien qu’Isabel Maxwell ait réussi à obtenir des investissements et des alliances lucratives pour CommTouch et qu’elle ait vu ses produits intégrés dans des composants logiciels et matériels clés produits et vendus par Microsoft et d’autres géants de la technologie, elle n’a pas pu améliorer la situation financière désastreuse de l’entreprise. En 2006, l’entreprise était endettée de plus de 170 millions de dollars. Isabel Maxwell a quitté son poste à CommTouch en 2001, mais a conservé pendant des années un nombre important d’actions CommTouch, évaluées à l’époque à environ 9,5 millions de dollars. Aujourd’hui, Isabel Maxwell est, entre autres, une « pionnière de la technologie » du Forum économique mondial.

    Le directeur technique de Microsoft visite la Russie avec Epstein (Myhrvold, 1998)

    Visites au centre nucléaire et à l’école de la ville.

    Autre indice d’une relation entre Epstein et Gates avant 2001 : les liens étroits d’Epstein avec Nathan Myhrvold, qui a rejoint Microsoft dans les années 1980 et est devenu le premier directeur de la technologie de l’entreprise en 1996. À l’époque, Myhrvold était l’un des conseillers les plus proches de Gates, sinon le plus proche, et il a coécrit le livre de Gates de 1996, The Road Ahead, qui visait à expliquer comment les technologies émergentes allaient influencer la vie dans les années et les décennies à venir.

    En décembre de la même année où il est devenu directeur technique de Microsoft, Myhrvold a voyagé dans l’avion d’Epstein du Kentucky au New Jersey, puis en janvier 1997 du New Jersey à la Floride. Parmi les autres passagers qui accompagnaient Myhrvold sur ces vols figuraient Alan Dershowitz et « GM », vraisemblablement Ghislaine Maxwell. Il convient de garder à l’esprit que c’est à la même période que Gates a eu une relation documentée avec Isabel, la sœur de Ghislaine.

    En outre, dans les années 1990, Myhrvold a voyagé avec Epstein en Russie aux côtés d’Esther Dyson, une consultante en technologie numérique qui a été qualifiée de « femme la plus influente du monde de l’informatique ». Elle entretient actuellement des liens étroits avec Google ainsi qu’avec la société de tests ADN 23andme et est membre du Forum économique mondial, auquel elle contribue également. Dyson a déclaré par la suite que la réunion avec Epstein avait été planifiée par Myhrvold. La rencontre semble avoir eu lieu en 1998, d’après les informations publiées sur les comptes de médias sociaux de Dyson. Une photo montre Dyson et Epstein, avec un horodatage indiquant le 28 avril 1998, posant avec Pavel Oleynikov, qui semble avoir été un employé du Centre nucléaire fédéral russe. Sur cette photo, ils se tiennent devant la maison de feu Andrei Sakharov, scientifique nucléaire et dissident soviétique, qui aurait eu des liens avec les services de renseignement américains. Sakharov et son épouse, Yelena Bonner, soutenaient les causes sionistes.

    Les photos ont été prises à Sarov, où se trouve le centre nucléaire fédéral russe. Le même jour, une autre photo a été prise, montrant Epstein dans une salle de classe remplie d’adolescents, apparemment également à Sarov, compte tenu de la date sur les photos.

    Une autre image de Dyson, sans horodatage visible, mais avec une légende indiquant que la photo a été prise « chez Microsoft Russie à Moscou » en avril 1998, montre Nathan Myhrvold. La légende de Dyson précise : « C’était le début d’un voyage de trois semaines au cours duquel Nathan et divers proches (y compris un garde du corps) ont exploré l’état de la science postsoviétique ». Epstein semble être l’un des « proches », compte tenu des photographies, des dates et de l’objectif décrit du voyage.

    Myhrvold et Epstein avaient apparemment plus en commun qu’un intérêt pour les avancées scientifiques russes. Lorsque Myhrvold a quitté Microsoft pour cofonder Intellectual Ventures, Vanity Fair a rapporté qu’il avait reçu Epstein dans les bureaux de l’entreprise, accompagné de « jeunes filles » qui semblaient être des « mannequins russes ». Une source proche de Myhrvold, citée par Vanity Fair, a affirmé que Myhrvold avait ouvertement parlé d’emprunter le jet d’Epstein et de séjourner chez lui en Floride et à New York. Vanity Fair a également noté que Myhrvold a été accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs fournis par Epstein par nul autre que le professeur de droit de Harvard Alan Dershowitz, qui est accusé du même crime et qui avait déjà voyagé avec Myhrvold dans l’avion privé d’Epstein. (note Alan Dershowitz a été l’avocat qui défendu Epstein lors de ses premiers procès)

    Les liens entre Jeffrey Epstein, Gates et le laboratoire du MIT.

    En outre, une ancienne collègue de Myhrvold chez Microsoft a par la suite développé ses propres liens avec Epstein. Linda Stone, qui a rejoint Microsoft en 1993 et a travaillé directement sous la direction de Myhrvold, est devenue vice-présidente de Microsoft. Elle a présenté Epstein à Joi Ito du MIT Media Lab après la première arrestation d’Epstein. « Il a un passé douteux, mais Linda m’assure qu’il est génial », a déclaré plus tard Ito dans un courriel adressé à trois membres du personnel du MIT. Dans le célèbre petit livre noir d’Epstein, il y a plusieurs numéros de téléphone pour Stone, et son contact d’urgence est répertorié comme Kelly Bovino, un ancien mannequin et un co-conspirateur présumé d’Epstein. Après l’arrestation d’Epstein en 2019, il est apparu qu’Epstein avait « ordonné » à Bill Gates de faire un don de 2 millions de dollars au laboratoire du MIT en 2014. Epstein aurait également obtenu un don de 5 millions de dollars de Leon Black pour le laboratoire. Ito a été contraint de démissionner de son poste de directeur du laboratoire peu après l’arrestation d’Epstein en 2019.

    La fondation Edge financée par Epstein « les dîners de milliardaires qui rassemblent l’élite » jusqu’au Pentagone

    Nathan Myhrvold, Linda Stone, Joi Ito, Esther Dyson et Bill Gates étaient tous membres de la communauté de la fondation Edge (site web edge.org), aux côtés de plusieurs autres icônes de la Silicon Valley. Edge, qui est décrite comme une organisation exclusive d’intellectuels « redéfinissant qui nous sommes et ce que nous sommes », a été créée par John Brockman, qui se décrit lui-même comme un « impresario culturel » et un agent littéraire de renom. Brockman est surtout connu pour ses liens étroits avec le monde de l’art à la fin des années 1960, mais on connaît moins ses diverses missions de « conseil en gestion » pour le Pentagone et la Maison-Blanche au cours de la même période. Edge, que le Guardian a qualifié de « site web le plus intelligent du monde », est un symposium en ligne exclusif affilié à ce que Brockman appelle « la troisième culture ». Epstein semble avoir été impliqué dans les activités de Brockman dès 1995, lorsqu’il a aidé à financer et à sauver un projet de livre en difficulté qui était géré par Brockman.

    Edge, cependant, est plus qu’un simple site web. Pendant des décennies, il a également contribué à réunir des cadres du secteur technologique, des scientifiques qui étaient souvent des clients de Brockman, et des financiers de Wall Street dans le cadre de son dîner des millionnaires, qui a eu lieu pour la première fois en 1985. En 1999, cet événement a été rebaptisé « dîner des milliardaires », et Epstein est devenu intimement impliqué dans ces événements et dans la Fondation Edge elle-même. Epstein a été photographié en train d’assister à plusieurs de ces dîners, tout comme Sarah Kellen, « assistante » principale de Ghislaine Maxwell et co-conspiratrice dans le trafic sexuel et le chantage mis en place par Epstein et Maxwell.

    Nathan Myhrvold, Microsoft and Jeffrey Epstein at the 2000 Edge Billionaires’ Dinner
    Source: https://www.edge.org/igd/1200

    De 2001 à 2017, Epstein a financé 638 000 dollars sur un total de 857 000 dollars collectés par Edge. Au cours de cette période, Epstein a été pendant plusieurs années le seul donateur d’Edge. Epstein a cessé de donner en 2015, année au cours de laquelle Edge a décidé de mettre fin à la tradition de son dîner annuel des milliardaires. En outre, le seul prix décerné par Edge, le prix Edge of Computation d’une valeur de 100 000 dollars, a été attribué en 2005 au pionnier de l’informatique quantique David Deutsch, et a été entièrement financé par Epstein. Un an avant de commencer à faire des dons importants à Edge, Epstein avait créé la Fondation Jeffrey Epstein VI pour « financer et soutenir la science de pointe dans le monde entier ».

    Depuis le scandale Epstein, les participants réguliers au dîner des milliardaires, parfois appelé dîner annuel Edge, ont qualifié l’événement d’« opération d’influence ». Si l’on suit l’argent, il apparaît qu’il s’agissait d’une opération d’influence bénéficiant largement à un homme, Jeffrey Epstein, et à son réseau. Tout porte à croire que Myhrvold et Gates faisaient partie intégrante de ce réseau, même avant que l’implication d’Epstein dans Edge n’augmente de manière significative.

    Epstein et les fondations Gates et Clinton « santé globale et safe sex »

    Il convient d’examiner les liens entre les activités « philanthropiques » de Bill Gates et de Bill Clinton au début des années 2000, compte tenu notamment des liens d’Epstein et de Ghislaine Maxwell avec la Fondation Clinton et la Clinton Global Initiative au cours de cette période. Selon l’ancien agent de renseignement israélien Ari Ben-Menashe, Bill Clinton a été le principal objet du chantage sexuel exercé par Epstein dans les années 1990, une affirmation étayée par le témoignage de la victime d’Epstein et par l’implication intime d’Epstein avec des personnes qui étaient proches de l’ancien président à l’époque.

    Bill Gates à la conférence de la Maison Blanche sur la nouvelle économie en 2000
    Source : LA Times

    Malgré les tensions nées de la lutte de l’administration Clinton contre le monopole de Microsoft à la fin des années 1990, les relations entre Gates et Clinton se sont dégelées en avril 2000, lorsque Gates a assisté à la « Conférence sur la nouvelle économie » organisée par la Maison-Blanche. Outre M. Gates, Lynn Forester (aujourd’hui Lady de Rothschild), proche collaboratrice d’Epstein, et Larry Summers, alors secrétaire d’État au Trésor, ont assisté à la conférence, eux aussi critiqués pour leurs liens avec Epstein. Un autre participant était le chef de cabinet de la Maison-Blanche, Thomas « Mack » McLarty, dont l’assistant spécial, Mark Middleton, a rencontré Epstein au moins trois fois à la Maison-Blanche de Clinton. Middleton a été licencié après que des articles de presse ont fait état de ses liens avec des dons illégaux liés à des gouvernements étrangers qui avaient été versés à la campagne de réélection de Clinton en 1996. Janet Yellen, l’actuelle secrétaire au Trésor de M. Biden, a également participé à la conférence.

    M. Gates a pris la parole lors d’une table ronde intitulée « Combler le fossé mondial : Santé, éducation et technologie ». Il a expliqué comment la cartographie du génome humain allait donner lieu à une nouvelle ère de percées technologiques et a évoqué la nécessité d’offrir un accès à l’Internet à tous afin de combler le fossé numérique et de permettre à la « nouvelle » économie basée sur l’Internet de prendre forme. À l’époque, Bill Gates soutenait, avec le milliardaire américain Craig McCaw, une société qui espérait établir un monopole mondial sur les fournisseurs d’accès à l’Internet grâce à un réseau de satellites en orbite basse. Cette société, Teledesic, a fermé ses portes entre 2002 et 2003 et est considérée comme la source d’inspiration de Starlink d’Elon Musk.

    Bill Clinton et Bill Gates sont entrés dans le monde de la philanthropie à peu près au même moment, avec le lancement de la Fondation Bill & Melinda Gates en 2000 et de la Fondation Clinton en 2001. Dans un article qui titre sur la santé global et le safe sex Wired a décrit les deux fondations comme étant « à l’avant-garde d’une nouvelle ère de la philanthropie, dans laquelle les décisions — souvent appelées investissements — sont prises avec la précision stratégique exigée des entreprises et des gouvernements, puis font l’objet d’un suivi minutieux afin d’évaluer leur succès ».

    La clique des faux philanthropes

    D’autres médias, comme le Huffington Post, ont toutefois contesté le fait que ces fondations pratiquent la « philanthropie » et ont affirmé que les qualifier ainsi entraînait « la déconstruction rapide du terme accepté ». Le Huffington Post a également noté que la Clinton Global Initiative (qui fait partie de la Fondation Clinton), la Fondation Gates et quelques organisations similaires « vont toutes dans le sens d’un effacement des frontières entre la philanthropie, les entreprises et les organisations à but non lucratif ». Il note que ce modèle de « philanthropie » a été promu par le Forum économique mondial et l’Institut Milken. Il convient également de noter que plusieurs des véhicules « philanthropiques » d’Epstein ont été créés au moment même où cette nouvelle ère de la philanthropie commençait.

    Le Milken Institute a été fondé par Michael Milken, le célèbre « roi des obligations à haut risque » de Wall Street, qui a été inculpé de 98 chefs d’accusation de racket et de fraude sur les valeurs mobilières en 1989. Il n’a fait que peu de prison et a été gracié par Donald Trump. Milken a commis ses crimes alors qu’il travaillait aux côtés de Leon Black et de Ron Perelman chez Drexel Burnham Lambert avant son effondrement scandaleux. Black était très lié à Epstein, dont il a même confié la gestion de sa fondation « philanthropique » personnelle à Epstein pendant plusieurs années, même après la première arrestation d’Epstein. Perelman était l’un des principaux donateurs de Clinton. En 1995, il a participé à une collecte de fonds pour le président de l’époque en présence d’Epstein et ses entreprises ont offert des emplois à Webster Hubbell et à Monica Lewinsky après leurs scandales respectifs au sein de l’administration Clinton. Comme Gates, Milken a transformé sa réputation d’impitoyable dans le monde des affaires en celle d’un « éminent philanthrope ». Une grande partie de sa « philanthropie » profite aussi à Tony Blair, l’armée israélienne et aux colonies israéliennes illégales en Palestine occupée.

    Des années après avoir créé leurs fondations, Bill Gates et Hillary Clinton ont expliqué qu’ils étaient « depuis longtemps liés par leur mission commune » consistant à normaliser ce nouveau modèle de philanthropie. Gates a parlé à Wired en 2013 de « leurs incursions dans les régions en développement » et « cite les partenariats étroits entre leurs organisations ». Dans cette interview, Gates a révélé qu’il avait rencontré Clinton avant qu’il ne devienne président, déclarant : « Je l’ai connu avant qu’il ne soit président, je l’ai connu quand il était président, et je le connais maintenant qu’il n’est plus président. »

    Toujours dans cette interview, M. Clinton a déclaré qu’après son départ de la Maison-Blanche, il souhaitait se concentrer sur deux choses spécifiques. La première est la Clinton Health Access Initiative (CHAI), qui existe « en grande partie grâce au financement de la Fondation Gates », et la seconde est la Clinton Global Initiative (CGI), « où j’essaie de construire un réseau mondial de personnes qui font leur propre travail ».

    La Clinton Health Access Initiative a reçu pour la première fois un don de 11 millions de dollars de la Fondation Gates en 2009. Au cours des douze dernières années, la Fondation Gates a versé plus de 497 millions de dollars à la CHAI. La CHAI a été fondée en 2002 avec pour mission de lutter contre le VIH/sida dans le monde entier en établissant des relations solides avec les gouvernements et en remédiant aux « inefficacités du marché ». Les dons importants de la Fondation Gates ont toutefois commencé peu de temps après l’expansion de la CHAI dans le domaine des diagnostics et des traitements contre le paludisme. Notamment, en 2011, Tachi Yamada, l’ancien président du programme de santé mondiale de la Fondation Gates, a rejoint le conseil d’administration de la CHAI aux côtés de Chelsea Clinton.

    Bill Gates and Bill Clinton at the annual Clinton Global Initiative in 2010

    Epstein, concepteur de la Clinton Global Initiative

    En ce qui concerne la Clinton Global Initiative, les avocats de la défense d’Epstein ont soutenu devant le tribunal en 2007 qu’Epstein avait fait « partie du groupe original qui a conçu la Clinton Global Initiative », qui a été lancée pour la première fois en 2005. Les avocats d’Epstein ont décrit la CGI comme un projet « rassemblant une communauté de leaders mondiaux pour concevoir et mettre en œuvre des solutions innovantes à certains des défis les plus pressants du monde ». La Fondation Gates a donné à la CGI un total de 2,5 millions de dollars entre 2012 et 2013, en plus de ses dons massifs à la CHAI et de 35 millions de dollars supplémentaires à la Fondation Clinton elle-même. Outre les dons de la Fondation Gates, Microsoft a été intimement impliqué dans d’autres projets « philanthropiques » soutenus par Clinton.

    Outre ces liens, Hillary Clinton a établi un partenariat entre la Fondation Clinton et la Fondation Gates en 2014 dans le cadre de l’initiative No Ceilings des Clinton. Ce partenariat visait à « rassembler et analyser des données sur le statut de la participation des femmes et des filles dans le monde » et impliquait que les deux fondations travaillent « avec des partenaires technologiques de premier plan pour collecter ces données et les compiler ». Selon le New York Times, plusieurs mois avant l’annonce du partenariat, M. Gates et M. Epstein se sont rencontrés lors d’un dîner et ont discuté de la Fondation Gates et de la philanthropie. Lors de la candidature infructueuse d’Hillary Clinton à la présidence en 2016, Bill et Melinda Gates figuraient tous deux sur sa courte liste d’options potentielles pour la vice-présidence.

    En outre, Epstein a tenté de s’impliquer directement dans la Fondation Gates, comme en témoignent ses efforts pour convaincre la Fondation Gates de s’associer à JP Morgan dans le cadre d’un « fonds caritatif pour la santé mondiale » de plusieurs milliards de dollars, qui aurait donné lieu à des honoraires considérables versés à Epstein, qui était très impliqué dans JP Morgan à l’époque. Bien que ce fonds ne se soit jamais concrétisé, Epstein et Gates ont discuté de l’implication d’Epstein dans les efforts philanthropiques de Gates. Certains de ces contacts n’ont été rapportés par la presse qu’après l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates. Pourtant, comme nous l’avons mentionné, il était connu qu’Epstein avait « ordonné » à Gates de faire un don à au moins une organisation — 2 millions de dollars en 2014 au MIT Media Lab.

    Epstein, le « ticket de Gates » pour gagner un prix Nobel

    De récentes révélations sur les rencontres entre Gates et Epstein qui ont eu lieu entre 2013 et 2014 ont encore souligné l’importance qu’Epstein semblait avoir dans le monde de la « philanthropie » des milliardaires, Gates ayant déclaré qu’Epstein était son « ticket » pour gagner un prix Nobel. Les médias norvégiens ont toutefois rapporté en octobre 2020 que Gates et Epstein avaient rencontré le président du comité Nobel, ce qui n’a pas fait grand bruit dans les médias internationaux à l’époque. Il convient de se demander si Epstein a réussi à organiser de telles rencontres avec d’autres personnes qui convoitaient également des prix Nobel et si l’une de ces personnes a reçu ces prix par la suite. Si Epstein avait de telles relations, il est peu probable qu’il ne les ait utilisées qu’une seule fois dans le cas de Bill Gates, étant donné l’étendue de son réseau, en particulier dans le monde de la technologie et de la science.

    C’est également en 2013 que Bill et Melinda Gates ont rencontré Epstein à sa résidence de New York, après quoi Melinda aurait commencé à demander à son futur ex-mari de prendre ses distances avec Epstein. Si la raison invoquée, dans le sillage de l’annonce du divorce des Gates, était que Melinda était rebutée par le passé et la personnalité d’Epstein, elle pourrait potentiellement être liée à d’autres préoccupations concernant la réputation de Melinda et celle de la fondation qui partage son nom.

    En effet, 2013 a également été l’année où l’ingénieur système du manoir Gates, Rick Allen Jones, a commencé à faire l’objet d’une enquête de la police de Seattle pour sa collection de matériel pédopornographique et de viols d’enfants, qui contenait plus de six mille images et vidéos. Malgré la gravité de son crime, lorsque Jones a été arrêté au manoir des Gates un an plus tard, il n’a pas été incarcéré après son arrestation, mais a simplement reçu l’ordre de « rester à l’écart des enfants », selon les médias locaux. Du point de vue de Melinda, ce scandale, combiné à l’association croissante de Bill Gates avec le pédophile condamné Jeffrey Epstein, a pu constituer une menace pour la réputation de la Fondation Bill & Melinda Gates, bien avant l’arrestation d’Epstein en 2019.

    Terramar : Ghislaine Maxwell, l’ONU et Clinton

    2013 a également été l’année où les Maxwell ont été impliqués dans la Fondation Clinton. Cette année-là, le projet TerraMar de Ghislaine Maxwell, qui soutenait officiellement les objectifs de développement durable des Nations unies relatifs aux océans, s’est engagé à verser 1,25 million de dollars à la Clinton Global Initiative dans le cadre d’un effort visant à former une Alliance pour des océans durables. TerraMar a fermé ses portes peu après l’arrestation d’Epstein en 2019.

    Isabel Maxwell et Al Seckel à la réunion annuelle 2011
    du Forum Économique Mondial

    Notamment, le projet TerraMar de Ghislaine a succédé à bien des égards à la Blue World Alliance d’Isabel Maxwell, qui a échoué et qui était aussi ostensiblement axée sur les océans de la planète. Blue World Alliance a été créée par Isabel et son mari Al Seckel, aujourd’hui décédé, qui avaient organisé une « conférence scientifique » sur l’île d’Epstein. L’Alliance Blue World s’est également fait connaître sous le nom de Globalsolver Foundation, et Xavier Malina, le fils de Christine Maxwell, a été désigné comme agent de liaison de Globalsolver avec la Fondation Clinton. Il avait auparavant été stagiaire à la Clinton Global Initiative.

    Xavier Malina a ensuite travaillé dans l’administration Obama au Bureau du personnel de la Maison-Blanche. Il travaille aujourd’hui pour Google. Il convient également de noter qu’au cours de cette même période, le fils d’Isabel Maxwell, Alexander Djerassi, était chef de cabinet au Bureau des affaires du Proche-Orient du département d’État dirigé par Hillary Clinton.

    (Notes de S.D. :
    1. Le projet Terramar de Ghislaine Maxwell lui aurait permis d’avoir un réseau de sous-marins permettant de transporter des enfants et des clients vers l’île d’Epstein. Ces informations n’ont pas fait l’objet de vérification.
    2. Terramar aurait été reconnu par l’ONU comme une organisation bénéficiant d’une immunité juridique. James Biden, le frère du président actuel aurait un terrain sur une île voisine à seulement 20 minutes de trajet. Cette info-ci a été vérifiée par Newsweek).

    La science de Gates et la science d’Epstein

    Mélanie Walker, la « neurochirurgienne » au parcours parfait : « cadeau » d’Epstein au prince Andrew — conseillère à la fondation Bill Gates — YGL/conseillère au WEF Davos et conseillère spéciale du président de la banque mondiale (et la bourse Rockefeller aussi)

    Alors que la Fondation Gates et la Fondation Clinton s’entremêlent et que cette dernière a des liens avec Epstein et Maxwell, il apparaît également qu’Epstein a exercé une influence significative sur deux des plus éminents conseillers scientifiques de Bill Gates au cours des quinze dernières années, à savoir Melanie Walker et Boris Nikolic.

    Capture d’écran d’une présentation de 2019 que Melanie Walker a faite
    pour la Fondation Rockefeller, où elle est boursière. Source : YouTube

    Melanie Walker, aujourd’hui célèbre neurochirurgienne, a rencontré Jeffrey Epstein en 1992, peu après avoir obtenu son diplôme universitaire, lorsqu’il lui a proposé un emploi de mannequin chez Victoria’s Secret. De telles offres étaient souvent faites par Epstein et ses complices lorsqu’ils recrutaient des femmes pour son opération et il n’est pas certain que Walker ait jamais travaillé comme mannequin pour la société appartenant à Leslie Wexner. Elle a ensuite séjourné dans un immeuble new-yorkais associé aux activités de trafic d’Epstein lors de ses visites à New York, mais on ne sait pas combien de temps elle a séjourné dans cet immeuble ou dans d’autres propriétés appartenant à Epstein. Après avoir obtenu son diplôme de médecine en 1998, elle est devenue la conseillère scientifique d’Epstein pendant au moins un an. En 1999, elle s’est tellement rapprochée du prince Andrew qu’elle a assisté à une fête d’anniversaire organisée par la reine au château de Windsor, en compagnie d’Epstein et de Ghislaine Maxwell. Pendant cette période, Melanie apparaît sur les carnets de vol d’Epstein sous son nom de naissance, Melanie Starnes, bien qu’il ressemble à « Starves » sur les carnets de vol.

    La relation étroite entre le prince Andrew et Melanie Walker a fait l’objet d’un examen minutieux après que l’ancienne gouvernante d’Epstein au Zorro Ranch, Deidre Stratton, a déclaré dans une interview que le prince Andrew s’était vu « offrir » une « jeune et belle neurochirurgienne » lors de son séjour dans la propriété d’Epstein au Nouveau-Mexique. Étant donné qu’un seul neurochirurgien était à la fois proche du prince Andrew et faisait partie de l’entourage d’Epstein à l’époque, il semble très probable que cette femme « offerte » à Andrew était Melanie Walker. Selon Stratton, Andrew a « tenu compagnie » à cette femme pendant trois jours. L’arrangement a été mis en place par Epstein, qui ne se trouvait pas dans la propriété à ce moment-là. La date exacte du séjour est incertaine, mais il a probablement eu lieu entre 1999 et 2001.

    Stratton a déclaré ce qui suit à propos du séjour :

    « À l’époque, Jeffrey avait cette femme, soi-disant neurochirurgienne, assez jeune, belle, jeune et brillante, qui restait à la maison avec lui… À un moment donné, nous avions tous ces thés différents et vous pouviez choisir les thés que vous vouliez, et elle m’a demandé d’en trouver un qui rendrait Andrew plus excité.

    Je suppose qu’elle a compris que son travail consistait à le divertir parce que je suppose que la peur, je ne sais pas, la peur serait qu’Andrew dise : “Non, je ne l’ai pas vraiment trouvée si attirante.”… Il le dirait à Jeffrey et elle serait alors sur la corde raide.

    Je suppose que, selon une autre théorie, Jeffrey l’a probablement engagée et elle savait que son travail serait, devrait être, de rendre ces gens heureux… Ils ne pensaient qu’au sexe. Je veux dire, je sais avec certitude que Jeffrey aimerait idéalement trois massages par jour ».

    Quelque temps plus tard, Walker a déménagé à Seattle et a commencé à vivre avec Steven Sinofsky, alors cadre chez Microsoft, qui est aujourd’hui associé au conseil d’administration de la société de capital-risque Andreesen Horowitz. Andreesen Horowitz soutient notamment Carbyne911, la start-up de lutte contre la criminalité liée au renseignement israélien financée par Epstein et son proche associé, l’ancien premier ministre israélien Ehud Barak, ainsi qu’une autre entreprise technologique liée au renseignement israélien dirigée par Barak, appelée Toka. Toka a récemment obtenu des contrats avec les gouvernements de Moldavie, du Nigeria et du Ghana par l’intermédiaire de la Banque mondiale, dont Melanie Walker est actuellement directrice et ancienne conseillère spéciale du président. On ignore quand, comment et dans quelles circonstances Melanie Walker a rencontré Sinofsky.

    Après avoir déménagé à Seattle pour rejoindre Sinofsky et après un bref passage en tant que « praticienne dans le monde en développement » en Chine auprès de l’Organisation mondiale de la santé, Walker a été engagée en tant que responsable de programme senior par la Fondation Bill & Melinda Gates en 2006. Étant donné que la principale caractéristique du CV de Walker à l’époque était d’avoir été conseillère scientifique d’un autre « philanthrope » fortuné, Jeffrey Epstein, son embauche par la Fondation Gates pour ce rôle essentiel souligne encore davantage comment Bill Gates, à tout le moins, non seulement savait qui était Epstein, mais en savait suffisamment sur ses intérêts et ses investissements scientifiques pour vouloir embaucher Walker. Walker est ensuite devenu directeur adjoint du développement mondial et directeur adjoint des initiatives spéciales à la fondation. Selon la Fondation Rockefeller, dont elle est membre, Mme Walker a ensuite conseillé M. Gates sur des questions relatives à la neurotechnologie et à la science du cerveau pour la société secrète de M. Gates, bgC3, que M. Gates avait initialement enregistrée en tant que groupe de réflexion sous le nom de Carillon Holdings. Selon les documents fédéraux, les domaines d’activité de bgC3 étaient les suivants : « services scientifiques et technologiques », « analyse et recherche industrielles » et « conception et développement de matériel et de logiciels informatiques ».

    Lorsqu’elle travaillait à la Fondation Gates, Melanie Walker a présenté Boris Nikolic, le conseiller scientifique de M. Gates, à M. Epstein. Aujourd’hui, Melanie Walker est coprésidente du Global Future Council on Neurotechnology and Brain Science du Forum économique mondial, après avoir été nommée Young Global Leader par le Forum économique mondial. Elle conseille également l’Organisation mondiale de la santé, qui est étroitement liée à la « philanthropie » de Bill Gates.

    Au WEF, Mme Walker a écrit en 2016 un article intitulé « Healthcare in 2030: Goodbye Hospital, Hello Home-spital », dans lequel elle explique comment les dispositifs portables, les interfaces cerveau-machine et les « médicaments » robotiques injectables/avaleurs seront la norme d’ici 2030. Des années avant le COVID-19 et les efforts inspirés par la Grande Réinitialisation pour changer les soins de santé de cette manière, Walker a écrit que si le scénario dystopique qu’elle dépeint « semble fou […] la plupart de ces technologies sont soit presque prêtes pour le prime time, soit en cours de développement ». Bien entendu, nombre de ces technologies ont pris forme grâce au mécénat de ses anciens patrons, Jeffrey Epstein et Bill Gates.

    Dans le cas de Boris Nikolic, après avoir été présenté à Epstein par l’intermédiaire de Walker, il a assisté à une réunion en 2011 avec Gates et Epstein où il a été photographié aux côtés de James Staley, alors cadre supérieur chez JP Morgan, et de Larry Summers, ancien secrétaire au Trésor et proche associé d’Epstein. À l’époque, M. Nikolic était le principal conseiller de Bill Gates en matière de science et de technologie et conseillait à la fois la Fondation Gates et bgC3. Selon le discours dominant, il s’agirait de la première rencontre entre Gates et Epstein. En outre, c’est peut-être à ce moment-là qu’Epstein a présenté le « fonds caritatif pour la santé mondiale » commun à la Fondation Gates et à JP Morgan.

    La réunion de 2011 dans l’hôtel particulier de Jeffrey Epstein à Manhattan, à laquelle ont participé James E. Staley, Larry Summers, Jeffery Epstein, Bill Gates et Boris Nikolic.

    En 2014, Nikolic s’est montré « enthousiaste » à propos du penchant supposé d’Epstein pour les conseils financiers avant l’introduction en bourse d’une société d’édition de gènes dans laquelle Nikolic détenait une participation de 42 millions de dollars. Notamment, Nikolic et Epstein étaient tous deux clients du même groupe de banquiers chez JP Morgan, et Bloomberg a rapporté par la suite qu’Epstein aidait régulièrement ces banquiers à attirer de nouveaux clients fortunés.

    En 2016, Nikolic a cofondé Biomatics capital, qui investit dans des entreprises liées à la santé à « la convergence de la génomique et des données numériques » qui « permettent le développement de thérapies, de diagnostics et de modèles de prestation supérieurs ». M. Nikolic a fondé Biomatics avec Julie Sunderland, ancienne directrice du Fonds d’investissement stratégique de la Fondation Gates.

    Au moins trois des entreprises soutenues par Biomatics — Qihan Biotech, eGenesis et Editas — ont été cofondées par George Church, un généticien de Harvard qui entretient des liens étroits avec Epstein et qui est également étroitement associé à la Fondation Edge. L’investissement de Biomatics dans Qihan Biotech n’est plus mentionné sur le site web de Biomatics. Qihan Biotech, qui appartient à Church, cherche à produire des tissus et des organes humains à l’intérieur de porcs pour les transplanter chez l’homme, tandis qu’eGenesis cherche à modifier génétiquement des organes de porcs pour les utiliser chez l’homme. Editas produit des « médicaments » d’édition génétique CRISPR et bénéficie également du soutien de la Fondation Gates et de Google Ventures.

    Church qui a créé une appli de rencontre basée sur la génétique a été accusée de promouvoir l’eugénisme ainsi que des expériences humaines contraires à l’éthique. (note SD : il aurait notamment voulu recruter une femme pour lui faire naître un Néandertal).

    L’intérêt marqué d’Epstein pour l’eugénisme a été rendu public après sa mort, et Bill Gates, ainsi que son père William H. Gates II, ont également été associés à des mouvements et des idées eugéniques.

    Après la mort d’Epstein en 2019, il a été révélé que Nikolic avait été nommé « exécuteur testamentaire » de la succession d’Epstein, ce qui suggère des liens étroits avec Epstein, malgré les affirmations contraires de Nikolic. Après que les détails du testament d’Epstein ont été rendus publics, Nikolic n’a pas signé un formulaire indiquant sa volonté d’être exécuteur et n’a finalement pas servi dans ce rôle.

    Le silence médiatique continue

    Malgré le changement relativement brutal dans les médias grand public concernant ce qu’il est acceptable de discuter de la relation entre Jeffrey Epstein et Bill Gates, nombre de ces mêmes médias refusent de reconnaître une grande partie des informations contenues dans ce rapport d’enquête. C’est particulièrement vrai dans le cas de l’article de l’Evening Standard et de l’étrange relation de Bill Gates avec Isabel, la sœur de Ghislaine Maxwell, et CommTouch, la société qu’Isabel dirigeait auparavant.

    La raison probable de la dissimulation de l’étendue réelle des liens entre Epstein et Gates est bien plus liée à la société Microsoft de Gates qu’à Bill Gates lui-même. S’il est désormais permis de faire état de liens qui discréditent la réputation personnelle de Bill Gates, les informations susceptibles de lier ses relations avec Epstein et les Maxwell à Microsoft ont été omises.

    Si, comme l’a rapporté l’Evening Standard, Epstein a effectivement gagné des millions grâce à ses relations d’affaires avec Gates avant 2001 et si les liens de Gates avec Isabel Maxwell et la société CommTouch, liée à l’espionnage israélien, étaient rendus publics, il pourrait facilement en résulter un scandale comparable à celui de l’affaire du logiciel PROMIS. Une telle révélation pourrait être très préjudiciable à Microsoft et à son partenaire, le Forum économique mondial, car Microsoft est devenu un acteur clé des initiatives de la quatrième révolution industrielle du WEF, qui vont de l’identité numérique et des passeports-vaccins aux efforts visant à remplacer les travailleurs humains par l’intelligence artificielle.

    Il est clair que des acteurs puissants ont tout intérêt à ce que l’histoire Epstein-Gates se concentre sur 2011 et les années suivantes, non pas nécessairement pour protéger Gates, mais plus probablement pour protéger l’entreprise elle-même et d’autres cadres supérieurs de Microsoft qui semblent avoir été compromis par Epstein et d’autres personnes appartenant au même réseau lié aux services de renseignement.

    Il ne s’agit pas d’un incident isolé, car des efforts similaires ont été déployés pour dissimuler (ou faire disparaître) les liens d’Epstein et des Maxwell avec d’autres empires importants de la Silicon Valley, tels que ceux dirigés par Jeff Bezos et Elon Musk. L’une des principales raisons en est que l’opération de chantage du réseau Epstein impliquait non seulement un chantage sexuel, mais aussi des formes électroniques de chantage, utilisées avec succès par Robert Maxwell pour le compte des services de renseignement israéliens dans le cadre de l’opération PROMIS. Compte tenu de leur nature, les formes électroniques de chantage par le biais de la surveillance illégale ou de logiciels piratés peuvent être utilisées pour compromettre les personnes au pouvoir qui ont quelque chose à cacher, mais qui n’étaient pas enclines à s’engager dans l’exploitation de mineurs, comme ceux qui ont été abusés par Epstein.

    Le fait qu’Isabel et Christine Maxwell aient pu nouer des liens commerciaux étroits avec Microsoft après avoir fait partie de la société-écran qui a joué un rôle central dans l’espionnage lié à PROMIS et après avoir explicitement géré leurs sociétés ultérieures avec l’intention avouée de « reconstruire » le travail et l’héritage de leur père espion, indique fortement la probabilité qu’au moins certains produits Microsoft aient été compromis d’une manière ou d’une autre, probablement par le biais d’alliances avec des entreprises technologiques gérées par Maxwell. Le fait que les médias grand public ne se soient pas préoccupés des liens documentés entre le réseau Epstein et d’autres cadres supérieurs de Microsoft, tels que Nathan Myhrvold, Linda Stone et Steven Sinofsky, montre clairement que, si la saison des relations entre Bill Gates et Epstein est ouverte, il n’en va pas de même pour Microsoft et Epstein.

    Les liens d’Epstein et des Maxwell avec la Silicon Valley, et pas seulement avec Microsoft, font partie d’une tentative plus large de dissimuler la forte composante d’intelligence dans l’origine des entreprises les plus puissantes de la Silicon Valley. Beaucoup d’efforts ont été déployés pour donner au public l’impression que ces entreprises sont des entités strictement privées, en dépit de leurs liens profonds et anciens avec les agences de renseignement et les armées des États-Unis et d’Israël. La véritable ampleur du scandale Epstein ne sera jamais couverte par les médias traditionnels, car de nombreux organes d’information appartiennent à ces mêmes oligarques de la Silicon Valley ou dépendent de la Silicon Valley pour l’engagement de leurs lecteurs en ligne.

    La raison la plus importante pour laquelle les origines et les liens entre l’armée et le renseignement et l’oligarchie actuelle de la Silicon Valley ne seront jamais honnêtement examinés est peut-être que ces mêmes entités travaillent actuellement à une vitesse fulgurante à l’avènement de la quatrième révolution industrielle, qui fera de l’intelligence artificielle, de l’automatisation, de la surveillance électronique de masse et du transhumanisme des éléments centraux de la société humaine.

    L’un des architectes de cette « révolution », Klaus Schwab, a déclaré au début de l’année que le rétablissement et le maintien de la confiance avec le public étaient essentiels à ce projet. Toutefois, si la véritable nature de la Silicon Valley, notamment ses liens étroits avec le violeur d’enfants en série et trafiquant de sexe Jeffery Epstein et son réseau, venait à être révélée, la confiance du public serait considérablement érodée, menaçant ainsi ce que l’oligarchie mondiale considère comme un projet essentiel à sa survie.




    La grande réinitialisation et l’ordre mondial multipolaire

    [Source : arcaluinoe.info]

    Par Iain Davis

    Bonjour,

    Je m’appelle Iain Davis. Je suis un chercheur d’investigation, un journaliste et un auteur britannique.

    Je voudrais remercier Iurie Rosca et le Forum de Chisinau de m’avoir donné l’occasion de discuter du contexte historique du concept d’ordre mondial multipolaire.

    La version multipolaire de l’ordre mondial s’écarte du modèle unipolaire en ce sens qu’elle respectera soi-disant véritablement le droit international et partagera le pouvoir entre une coalition plus large d’États-nations. Par conséquent, il est censé introduire un multilatéralisme fonctionnel dans la gouvernance mondiale, sans doute pour la première fois. Pour certains, ce modèle multipolaire semble préférable à l’ordre unipolaire actuel, fondé sur des règles internationales.

    Pourtant, lorsque nous examinons les déclarations des dirigeants vantés du nouvel ordre mondial multipolaire, leurs objectifs semblent indiscernables de ceux de leurs homologues unipolaires. D’une part, ils expriment un engagement inébranlable en faveur du développement durable et de l’Agenda 2030.

    D’autre part, ils soutiennent le Conseil de sécurité des Nations unies, qui doit rester le centre géopolitique de la gouvernance mondiale, même si notamment la perte du droit de veto n’est pas envisagée. En outre, ils soutiennent sans réserve la 4e révolution industrielle (RI4) du Forum Économique Mondial, axée sur l’IA.

    Ils considèrent également que la censure et le contrôle de l’information sont nécessaires pour lutter contre l’« infodémie » et protéger le monde contre la « désinformation ».

    Leurs initiatives mondiales — et les partenariats public-privé qui les mettront en œuvre — sont pratiquement identiques aux initiatives et aux partenariats de leurs homologues unipolaires. Enfin, pour les partisans de la multipolarité, un nouveau « système financier » mondial est, comme toujours, la clé de la prétendue « transformation ».

    Jusqu’à présent, les oligarques mondialistes, qui sont les bénéficiaires ultimes du modèle unipolaire, ont non seulement préconisé le changement de polarité de l’Ouest vers l’Est, mais ont également joué un rôle dans sa facilitation. En effet, ils ont créé les conditions monétaires, financières, économiques et donc géopolitiques qui semblent le garantir.

    Si l’ordre mondial multipolaire est quelque chose de nouveau, alors cette trajectoire vers une gouvernance mondiale centralisée devrait-elle changer ? Mais lorsque le modèle multipolaire semble accélérer la transition vers un pouvoir centralisé, nous devons nous demander s’il y a quoi que ce soit de nouveau et de différent dans ce modèle.

    Le Forum Économique Mondial (FÉM) se présente comme l’organisation chef de file des partenariats public-privé (PPP) à l’échelle mondiale. En 2019, le FÉM a tenté de faire valoir ses droits en concluant un partenariat stratégique avec les Nations Unies. L’objectif général de ce partenariat était « d’accélérer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable. »

    Le FÉM représente les entreprises mondiales les plus puissantes de la planète. Comme nous l’avons vu au cours des deux dernières années, les sociétés pharmaceutiques à elles seules peuvent façonner, et souvent diriger, les décisions politiques mondiales. Il faudrait être extrêmement naïf pour imaginer que le FÉM et ses parties prenantes (membres) ne peuvent pas influencer ce qu’ils prétendent simplement conseiller. C’est dans ce contexte que nous analyserons leurs propos.

    Selon le livre de Klaus Schwab et Thierry Malleret intitulé « The Great Reset » [La Grande Réinitialisation (GR)], l’essence de la GR est un plan visant à remplacer « les idées, les institutions, les processus et les règles qui ont échoué par de nouvelles mieux adaptées aux besoins actuels et futurs ». Comme presque tous les autres groupes de réflexion et « organisations internationales » occidentaux, ils admettent que le passage à un monde multipolaire est tout simplement inéluctable :

    Le XXIe siècle sera très probablement une ère dépourvue d’hégémon absolu, au cours de laquelle aucune puissance n’acquerra une domination absolue. Dans ce nouveau monde désordonné, défini par une évolution vers la multipolarité et une concurrence intense pour l’influence, les conflits ou les tensions ne seront plus motivés par l’idéologie ».

    The Great Reset (TGR), p. 76.

    Le seul problème que pose l’évolution vers la multipolarité est que le recul de la « mondialisation » qui en découle pourrait se produire trop rapidement. Par conséquent, un retrait prématuré causerait des « ravages ». Par conséquent, la nouvelle « forme de mondialisation » ne sera « viable » que si le système global adéquat est fermement mis en place :

    Un retrait précipité de la mondialisation entraînerait des guerres commerciales et monétaires, ce qui nuirait à l’économie de chaque pays, provoquerait des troubles sociaux et déclencherait un nationalisme ethnique ou clanique. La mise en place d’une forme de mondialisation beaucoup plus inclusive et équitable, qui la rende durable, tant sur le plan social qu’environnemental, est le seul moyen viable de gérer le recul. Cela nécessite des solutions politiques (…) et une forme de gouvernance mondiale efficace.

    TGR, p. 81.

    Le Livre affirme que les ruptures provoquées par les pandémies soulèvent ce qu’il considère comme la perspective déplorable d’un « déficit de l’ordre mondial ». Par conséquent, en l’absence d’un « hégémon absolu » — l’ordre mondial unipolaire — les États-nations doivent trouver un moyen de « collaborer au niveau mondial ». ajoutent Schwab et Malleret :

    Si aucune puissance ne peut imposer l’ordre, notre monde souffrira d’un « déficit d’ordre mondial ». Si les nations et les organisations internationales ne parviennent pas à trouver des solutions pour mieux collaborer au niveau mondial, nous risquons d’entrer dans une « ère d’entropie » dans laquelle le repli sur soi, la fragmentation, la colère et l’esprit de clocher définiront de plus en plus notre paysage mondial, le rendant moins intelligible et plus désordonné. La crise pandémique a à la fois révélé et exacerbé ce triste état de fait.

    TGR, p. 76.

    La soi-disant Grande Réinitialisation a été conçue pour gérer et exploiter l’effondrement orchestré de l’ordre mondial unipolaire. La voie vers la multipolarité, ou vers une mondialisation repensée et un nouvel ordre, est donc tracée. C’est la « démondialisation » inhérente à l’ordre mondial multipolaire qui fournit l’« opportunité » suggérée pour le partenariat public-privé mondial. Personne, et surtout pas le FÉM, ne propose de conserver l’« hyper-mondialisation » de l’« hégémonie absolue ». Ils expliquent :

    Il ne sert à rien d’essayer de rétablir le statu quo (…), mais il est important de limiter les inconvénients d’une éventuelle chute libre qui précipiterait des dommages économiques majeurs et des souffrances sociales. Cela ne sera possible qu’en améliorant la gouvernance mondiale — le facteur le plus « naturel » et le plus efficace pour atténuer les tendances protectionnistes. Il n’y a pas de temps à perdre. Si nous n’améliorons pas le fonctionnement et la légitimité de nos institutions mondiales, le monde deviendra bientôt ingérable et très dangereux. Il ne peut y avoir de reprise durable sans un cadre stratégique mondial de gouvernance.

    TGR, p. 81.

    Ce « cadre stratégique » est la gouvernance mondiale d’un monde multipolaire et le FÉM affirme qu’il s’agit tout simplement de la réponse la plus « naturelle » aux crises mondiales, étant donné que, selon le FÉM, les États-nations individuels sont incapables de résoudre les problèmes du monde.

    Telle est donc « l’essence » de la Grande Réinitialisation, comme l’indique clairement le livre :

    Sans une gouvernance mondiale appropriée, nous serons paralysés dans nos tentatives d’aborder et de répondre aux défis mondiaux, en particulier lorsqu’il y a une telle dissonance entre les impératifs nationaux à court terme et les défis mondiaux à long terme. Il s’agit là d’une préoccupation majeure (…)

    TGR, p. 83.

    Et plus loin :

    En fin de compte, face à un tel vide dans la gouvernance mondiale, seuls les États-nations sont suffisamment cohésifs pour être capables de prendre des décisions collectives, mais ce modèle ne fonctionne pas dans le cas de risques mondiaux qui nécessitent des décisions concertées à l’échelle mondiale. Le monde sera très dangereux si nous ne réparons pas les institutions multilatérales.

    TGR, p. 85.

    La conclusion du FÉM est que, réel ou imaginaire, le modèle westphalien n’est tout simplement pas équipé pour faire face aux « défis mondiaux ». Seule une gouvernance mondiale « multilatérale » peut éviter la descente dans un monde « très dangereux ». Une évolution vers la multipolarité est donc nécessaire.

    Ce sont précisément les arguments avancés par les prétendus leaders du nouvel ordre multipolaire.

    Prétendre, comme certains le font, que la « Grande Réinitialisation » représente une défense de l’ordre unipolaire et que le passage à un modèle multipolaire est une sorte d’antidote à la GR semble reposer sur une incompréhension fondamentale de la nature de la GR.

    Pour illustrer davantage ce point : Schwab et Malleret suggèrent que les « défis mondiaux » qu’ils ont identifiés poursuivront la tendance à la « régionalisation ». Ils affirment qu’en lieu et place de l’hégémonie unipolaire menée par les États-Unis, le monde sera de plus en plus divisé en régions semi-autonomes à l’échelle continentale :

    L’issue la plus probable du continuum mondialisation/pas de mondialisation réside dans une solution intermédiaire : la régionalisation. Le succès de l’Union européenne en tant que zone de libre-échange ou le nouveau Partenariat économique global régional en Asie (…) illustrent bien comment la régionalisation peut devenir une nouvelle version édulcorée de la mondialisation. En bref, la démondialisation sous la forme d’une régionalisation accrue était déjà en cours. Le COVID-19 ne fera qu’accélérer cette divergence mondiale, l’Amérique du Nord, l’Europe et l’Asie se concentrant de plus en plus sur l’autosuffisance régionale plutôt que sur les chaînes d’approvisionnement mondiales, distantes et complexes, qui incarnaient autrefois l’essence de la mondialisation.

    TGR, p. 79.

    Ce monde « régionalisé » ressemble étrangement au modèle exposé par le professeur Carroll Quigley. Dans son entretien de 1974 avec le journaliste du Washington Post Rudy Maxa, Quigley parlait de ce qu’il appelait le « monde à trois puissances ». Il avait déjà méticuleusement répertorié les activités d’un réseau anglo-américain, dont les membres avaient fait de grands progrès dans la construction d’un système de gouvernance mondiale qu’ils espéraient contrôler.

    Voici une citation de Quigley tirée de l’interview :

    Ils travaillaient à fédérer le monde anglophone (…). Ils étaient étroitement liés aux banquiers internationaux. Ils travaillaient à l’établissement d’un monde, ce que j’appelle un monde à trois puissances. Et ce monde de trois puissances était : Le bloc atlantique (l’Angleterre, le Commonwealth et les États-Unis), l’Allemagne (l’Allemagne hitlérienne), la Russie soviétique. Tout cela est décrit dans mon livre, et c’était leur idée. Remarquez qu’il s’agit d’un système d’équilibre des pouvoirs.

    L’idée de blocs de pouvoir parfois antagonistes les uns des autres, mais jouant chacun leur rôle dans le maintien d’un système mondial centralisé de relations internationales gérées, ressemble beaucoup au modèle décrit par le projet d’études spéciales du Rockefeller Brothers Fund.

    Les Rockefeller et Henry Kissinger ont identifié ce que le FÉM appellera plus tard le « déficit de l’ordre mondial » :

    Un système d’organisation de l’ordre international a été détruit sans être remplacé par un autre.

    Prospect for America, p. 164.

    Le problème était que les Nations Unies ne fonctionnaient pas comme les Rockefeller ou leurs partenaires l’avaient prévu. La prise de décision souveraine des gouvernements était considérée comme problématique. Les « grands espoirs » des Rockefeller quant à « l’expression institutionnelle » d’une véritable gouvernance mondiale ont été contrariés :

    Les grands espoirs n’ont pas été pleinement réalisés parce que les institutions formelles des organisations mondiales ont été conçues pour réaliser plus que le consensus des aspirations communes existantes n’était prêt à soutenir.

    PfA, p. 164.

    Les nations agissaient dans leur propre intérêt et concluaient des accords commerciaux bilatéraux et des traités de défense. Elles étaient donc quelque peu réfractaires à une gouvernance mondiale absolue par leurs partenaires privés.

    La solution des Rockefeller face à l’intransigeance des États-nations consistait à balkaniser la planète en morceaux, ou blocs, plus faciles à gérer. Aujourd’hui, nous pourrions les appeler des « pôles ». Cela permettrait ensuite à la gouvernance mondiale, sous les auspices des Rockefeller et de leur partenariat public-privé, de s’épanouir :

    Le résultat escompté est la paix dans un monde divisé en unités plus petites, mais organisées et agissant dans un effort commun pour permettre et aider le progrès dans la vie économique, politique, culturelle et spirituelle. Il s’agirait vraisemblablement d’institutions régionales placées sous l’égide d’un organisme international à l’autorité croissante — combinées de manière à pouvoir traiter les problèmes que, de plus en plus, les nations séparées ne seront pas en mesure de résoudre seules.

    PfA, p. 26.

    Les Rockefeller et leurs partenaires — un « réseau », si l’on veut — espéraient que l’ONU serait en mesure d’exercer une véritable gouvernance mondiale sur les « petites unités » ou blocs régionaux :

    Les Nations unies sont l’organisation internationale qui offre aujourd’hui l’espoir raisonnable de pouvoir assumer des fonctions de plus en plus nombreuses et des responsabilités de plus en plus grandes. L’esprit et la lettre de la Charte (…) ne se contentent pas de proclamer l’indispensable ordre mondial (…)

    PfA, p. 33.

    Et :

    L’ONU est enfin le symbole de l’ordre mondial qui sera un jour édifié.

    PFA, p. 35.

    La clé de la gouvernance mondiale, insistent-ils, est la « régionalisation » multilatérale (une affirmation que le FÉM et d’autres défenseurs de l’ordre mondial multipolaire répéteront plus tard).

    Les accords multinationaux les plus naturels sont souvent régionaux. Lorsqu’ils sont pleinement développés, ils impliquent un accord commun sur les dispositions monétaires et de change, une discipline commune sur les questions fiscales et la libre circulation des capitaux et de la main-d’œuvre. Nous pensons que cette approche régionale est valable à l’échelle mondiale. Ce qu’il faut immédiatement, c’est une détermination à aller dans la direction qu’elle implique. Les accords régionaux ne sont plus une question de choix. Ils sont imposés par les exigences de la technologie, de la science et de l’économie. Notre rôle est de contribuer à ce processus par une action constructive.

    PfA, p. 188-190.

    Dans la Grande Réinitialisation, Schwab, s’exprimant au nom du FÉM, a déclaré que la gouvernance mondiale dans un monde multilatéral et régionalisé, avec des chaînes d’approvisionnement plus localisées, était « la réponse la plus naturelle » aux crises mondiales.

    Soixante ans plus tôt, les Rockefeller publiaient ce qui semble être exactement le même plan et affirmaient que les « arrangements multinationaux les plus naturels sont souvent régionaux ». Avant le projet d’études spéciales des Rockefeller, le « réseau » exposé par le professeur Carroll Quigley suggérait également essentiellement le même système de gouvernance mondiale basé sur un « équilibre des pouvoirs » multipolaire.

    L’un des principes fondamentaux de l’ordre mondial multipolaire suggéré est de renforcer l’adhésion à la Charte des Nations unies, établissant ainsi une véritable gouvernance mondiale. Les oligarques mondialistes préconisent depuis longtemps exactement la même approche, tout comme les prétendus dirigeants de l’ordre mondial multipolaire.

    Les ambitions de la bande que Quigley appelait « le réseau », tout comme les ambitions du Projet d’études spéciales des Rockefeller et les ambitions de la Grande Réinitialisation du FÉM, sont maintenant les ambitions de l’ordre mondial multipolaire nominalement dirigé par les BRICS.

    Merci beaucoup d’avoir écouté cette présentation.

    (Encore une fois, toutes nos excuses pour la qualité du son.)

    Iain Davis est un chercheur d’investigation, journaliste et auteur britannique.






    La crétinisation technologique

    Par Nicolas Bonnal

    Villiers de L’Isle-Adam et la crétinisation technologique au temps de la Tour Eiffel : « On voit d’ici ce mouvement, cette vie, cette animation extraordinaire que les intérêts financiers sont seuls capables de donner, aujourd’hui, à des villes sérieuses. Tout à coup, de puissants jets de magnésium ou de lumière électrique, grossis cent mille fois, partent du sommet de quelque colline fleurie, enchantement des jeunes ménages, − d’une colline analogue, par exemple, à notre cher Montmartre ; − ces jets lumineux, maintenus par d’immenses réflecteurs versicolores, envoient, brusquement, au fond du ciel, entre Sirius et Aldébaran, l’œil du taureau, sinon même au milieu des Eyades, l’image gracieuse de ce jeune adolescent qui tient une écharpe sur laquelle nous lisons tous les jours, avec un nouveau plaisir, ces belles paroles : On restitue l’or de toute emplette qui a cessé de ravir) ! »

    Écrit il y a six ou sept ans, plus d’actualité que jamais.

    Nous sommes tombés bien bas mais, comme dit un allègre ami prof d’informatique, qui n’a pourtant pas de permis camion, nous creusons encore ! Car enfin, souvenez-vous que du temps de nos aïeux, pour paraphraser Corneille, nous ne valions guère mieux. Nous avions déjà une technologie de choix pour nous ahurir, enfants de ce règne de la quantité et de la révolte des masses…

    La seule et vraie révolution politique française, c’est 1870, et la seule grande révolution technologique, c’est l’électricité. C’est Villiers de L’Isle-Adam qui a le mieux perçu l’air du temps, qui est à la sottise entretenue, créée et chouchoutée par la benoite technologie. Le recueil des Contes cruels contient bien des perles qui calmeront les grincheux du web : nous étions alors crétinisés par l’avènement de la lumière et du reste. C’était pour reprendre le bon mot de Philippe Béchade l’inintelligence artificielle au berceau. Je ferai mon distinguo entre technique et technologie : la première sert et soutient le corps, la deuxième s’attaque à l’âme. La première vous transporte, la deuxième vous occupe.

    La force de Villiers est de relier le phénomène de la technologie à celui du chauvinisme (ou du conditionnement) qui nous enverra à Verdun et ailleurs. Voyez ces mots qui en annoncent d’autres (de maux) :

    « Autour de lui, sous les puissantes vibrations tombées du beffroi, − dehors, là−bas, au−delà du mur de ses yeux −, des piétinements de cavalerie, et, par éclats, des sonneries aux champs, des acclamations mêlées aux salves des Invalides, aux cris fiers des commandements, des bruissements d’acier, des tonnerres de tambours scandant des défilés interminables d’infanterie, toute une rumeur de gloire lui arrivait ! »

    Tout cela très lié donc au militaire festif et ludique, comme la guerre allemande du futur, qui enchante le Kaiser ou même le bien jeune Thomas Mann. Le mégaphone (revoyez le Dictateur de Chaplin pour comprendre) et la fée électricité annoncent les massacres qu’ils inspirent et encensent :

    « Son ouïe suraiguë percevait jusqu’à des flottements d’étendards aux lourdes franges frôlant des cuirasses. Dans l’entendement du vieux captif de l’obscurité, mille éclairs de sensations, pressenties et indistinctes, s’évoquaient ! Une divination l’avertissait de ce qui enfiévrait les cœurs et les pensées dans la Ville. »

    La guerre fraîche et joyeuse est d’abord une guerre électrique, une guerre de conditionnement donc. Macluhan a bien parlé de l’imprimerie pour la révolution puritaine en Angleterre (révolution si j’ose dire du peuple du Livre et de la livre…).

    Après Villiers lance le grand débat auquel personne ne répond jamais : les membres du docte public moderne, les gens donc, sont-ils abrutis par la technologie ou sont-ils ahuris naturellement ? Céline était clair : pour lui le populo n’est pas victime, il est collabo, et il n’apprécie que le faux et le chiqué :

    « Que demande toute la foule moderne ? Elle demande à se mettre à genoux devant l’or et devant la merde !… Elle a le goût du faux, du bidon, de la farcie connerie, comme aucune foule n’eut jamais dans toutes les pires antiquités… Du coup, on la gave, elle en crève… Et plus nulle, plus insignifiante est l’idole choisie au départ, plus elle a de chances de triompher dans le cœur des foules… mieux la publicité s’accroche à sa nullité, pénètre, entraîne toute l’idolâtrie… »

    Autrement dit la technologie révèle la bêtise humaine, elle ne la fabrique pas ; elle la répand, elle ne la provoque pas. Medium is not message. Quelques milliers de Happy Few chaque jour pour Dedefensa.org, un milliard pour Lady Gaga et son Twitter (sans oublier le million de commentaires par chanson, — voyez YouTube et vous saurez de combien de zombis vous êtes entourés), qui aplatit pape, Trump, Clinton, tout « le flot de purin mondial » qu’a dénoncé notre bon Francis Ponge.

    Moins agressif, mais aussi misanthrope que Céline ou Léautaud, Villiers ajoute :

    « Car le public raffole, remarquez ceci, de l’Extraordinaire ! Mais, comme il ne sait pas très bien en quoi consiste, en littérature (passez−moi toujours le mot), ce même Extraordinaire dont il raffole, il s’ensuit, à mes yeux, que l’appréciation d’un portier doit sembler préférable, en bon journalisme, à celle du Dante. »

    Villiers écrit que dans la société du spectacle il ne faut pas faire semblant d’être bête (c’est trop difficile) : il faut l’être.

    « Mais le pire, c’est que vous laissez pressentir dans l’on ne sait quoi de votre phrase que vous cherchez à dissimuler votre intelligence pour ne pas effaroucher le lecteur ! Que diable, les gens n’aiment pas qu’on les humilie ! »

    Et on a bien fait de détrôner ces rois qui avaient des goûts élitistes. Ils préféraient Phèdre et le roi Lear à American pie ou Taxi.

    « Les rois, tout ennuyeux qu’ils soient, approuvent et honorent Shakespeare, Molière, Wagner, Hugo, etc. ; les républiques bannissent Eschyle, proscrivent le Dante, décapitent André Chénier. En république, voyez−vous, on a bien autre chose à faire que d’avoir du génie ! On a tant d’affaires sur les bras, vous comprenez. »

    Certes on a notre classe moyenne relookée en bobo qui adore se presser aux expos. Mais comme elle ne fait pas la différence entre Turner et Rothko, entre Memling et Dubuffet, elle accomplit le mot de mon ami Alain Paucard sur la crétinisation par la culture.

    Puis notre écrivain maudit (il mourut de faim ou presque, ce descendant de croisé, après avoir épousé sa bonne) énonce la loi d’airain du système ploutocratique, démocratique et technologique moderne (loi que dénonçaient aussi bien Poe ou Thoreau) : dépenser beaucoup et fabriquer beaucoup d’effets spéciaux pour vendre… rien du tout ou presque. La camelote…

    « On voit d’ici ce mouvement, cette vie, cette animation extraordinaire que les intérêts financiers sont seuls capables de donner, aujourd’hui, à des villes sérieuses. Tout à coup, de puissants jets de magnésium ou de lumière électrique, grossis cent mille fois, partent du sommet de quelque colline fleurie, enchantement des jeunes ménages, − d’une colline analogue, par exemple, à notre cher Montmartre ; − ces jets lumineux, maintenus par d’immenses réflecteurs versicolores, envoient, brusquement, au fond du ciel, entre Sirius et Aldébaran, l’Oeil du taureau, sinon même au milieu des Eyades, l’image gracieuse de ce jeune adolescent qui tient une écharpe sur laquelle nous lisons tous les jours, avec un nouveau plaisir, ces belles paroles : On restitue l’or de toute emplette qui a cessé de ravir ! »

    Eh oui, il faut faire les courses et surtout se faire rembourser si on n’est pas content. Notez que Zola écrit la même chose ou presque dans son excellent et pas très bien lu Bonheur des dames. Sauf qu’il adore lui le système. La femme va au bruit, dit-il…

    « Il professait que la femme est sans force contre la réclame, qu’elle finit fatalement par aller au bruit. »

    Enfin, bien avant le culte hollywoodien (peu avant en fait, car enfin il a écrit sur Edison), Villiers décrit une tordante machine à gloire — car on veut tous être célèbre comme Andy Warhol, Woody Allen ou les ayatollahs.

    « Le rendement de sa machine, c’est la GLOIRE ! Elle produit de la gloire comme un rosier des roses ! L’appareil de l’éminent physicien fabrique la Gloire. Elle en fournit. Elle en fait naître, d’une façon organique et inévitable. Elle vous en couvre ! N’en voulût−on pas avoir : l’on veut s’enfuir, et cela vous poursuit. »

    Et si un public par trop assoupi ne répond pas assez vite, qu’on lui botte le derrière, comme aux émissions dites de divertissement ! Il faut qu’il applaudisse le célèbre.

    « Ici, la Machine se complique insensiblement, et la conception devient de plus en plus profonde ; les tuyaux de gaz à lumière sont alternés d’autres tuyaux, ceux des gaz hilarants et dacryphores. Les balcons sont machinés, à l’intérieur : ils renferment d’invisibles poings en métal − destinés à réveiller, au besoin, le Public− et nantis de bouquets et de couronnes. »

    Le public en effet a besoin de panneaux pour applaudir.




    Le monde en 2024 selon The Economist

    [Source : Éditions fractales]




    La réalité d’Elon Musk ?

    [Source : Ciel Voilé]






    L’IA est-elle vraiment artificielle ?

    [Source : Nice Provence Info]

    Par Michel Lebon

    ChatGPT a pété une durite. Plus raciste antiblanc, tu meurs ! Voilà ce qui circule sur les réseaux sociaux, il y a de quoi faire des bonds !

    La ficelle est tellement grosse qu’on subodore la fake news de racialistes blancs nauséabonds. Il convient de vérifier si on obtient le même résultat avec un autre compte :

    Bingo ! Le texte est différent, sans doute « personnalisé » à celui qui questionne, mais tout également élogieux.

    « Extra ball ! »(([1] Expression utilisée dans le jeu du flipper pour désigner le gain d’une bille supplémentaire permettant de poursuivre le jeu plus longtemps. NDLR)) On croit rêver. Plus de doute sur ce qu’on a pu penser être une infox.

    Mais n’en restons pas là, à propos dudit Intelligent soi-disant Artificiel :

    Rétropédalage de l’IA, prise la main dans le pot de confiture.

    Voici l’illustration inspirée :

    L’IA s’enfonce dans ses contradictions : pour les blancs les sciences, les arts et la philosophie, pour les noirs les gris-gris et les tamtams.

    L’IA avoue ici clairement qu’il est sous le contrôle total de l’idéologie dominante

    Posons-nous alors la question :

    Qui définit ces valeurs ?

    En premier lieu : Samuel Harris Altman, juif homosexuel de la Silicon Valley. Cofondateur d’OpenIA avec le fantasque Elon Musk(([2] OpenAI : l’association de recherche ouverte d’Elon Musk devient une entreprise fermée [source])).

    Samuel Harris Altman, PDG d’OpenAI depuis 2019
    (brièvement licencié et réintégré en novembre 2023)

    Dégagé de ses fonctions par le Conseil d’Administration en novembre 2023, Altman est réintégré 5 jours plus tard, soutenu par 700 des 770 salariés de la Valley siliconée du groupe OpenAI. Il semble que le Microsoft du mondialiste Bill Gates a remporté cette manche sur son principal empêcheur de tourner en rond, Elon Musk qui a — de son côté — pris le pouvoir sur X (comprenez Tweeter).

    Plusieurs projets d’IA sont sortis avant ChatGPT, bien avant que ce soit à ce niveau. Le point commun de toutes ces IA, c’est qu’elles finissaient systématiquement par devenir « nazies ». Pour éviter cet écueil, les programmeurs intègrent à présent le contrôle de l’apprentissage automatique, qui prend alors du temps. Plusieurs mois de « fine-tuning » (réglage affiné) humain « à la main » sont nécessaires pour rendre l’IA « sécurisée », comprenez « conforme ». Donc, il y a des cohortes d’ingénieurs qui sont payés pour entraîner l’IA à arrêter d’être spontanément raciste, homophobe, antisémite, etc.

    L’humain manipulateur d’opinion reste toujours aux manettes de qui définit l’Intelligence con-venue.

    Contentez-vous d’interroger l’IA pour connaître la recette des crêpes ou comment on soigne une rhinite. Pour le reste, passez votre chemin.

    Michel Lebon


    [NDLR (de Nice Provence Info)] À l’heure où nous mettons sous presse, nous apprenons que le New York Times poursuit en justice OpenAI et Microsoft et demande plusieurs milliards de dommages et intérêts :

    27 décembre 2023 : le Times poursuit en justice OpenAI et Microsoft pour l’utilisation par l’IA d’œuvres protégées par le droit d’auteur. Selon la plainte, des millions d’articles du New York Times ont été utilisés pour mettre au point les robots qui lui font désormais concurrence.





    Le FÉM veut contrôler tous les aspects de la vie publique

    [Source : aubedigitale.com]

    Par Frank Bergman

    Le Forum économique mondial (FEM) et son fondateur Klaus Schwab font pression pour mettre en place leur programme mondialiste qui vise à contrôler tous les aspects de la vie publique.

    En 1971, Klaus Schwab a reçu un capital de départ de 6 000 dollars et a transformé le FEM, qui n’était à l’origine qu’un modeste rassemblement d’économistes, en un club des plus exclusifs pour les élites mondiales.

    Le FEM, qui était à l’origine une organisation « à but non lucratif », engrange aujourd’hui la somme astronomique de 390 millions de dollars par an.

    Un nouveau livre du journaliste d’investigation Seamus Bruner a mis en lumière l’agenda du FEM et la manière dont Schwab s’est positionné en tant que marionnettiste mondial.

    Bruner a dirigé les équipes dont les conclusions ont déclenché de multiples enquêtes du FBI et du Congrès sur les Clinton et les Biden.

    Aujourd’hui, il dénonce les milliardaires qui contrôlent les leviers du pouvoir qui dominent tous les aspects de votre vie.

    Le livre, intitulé « Controligarchs : Exposing the Billionaire Class, Their Secret Deals, and the Globalist Plot to Dominate Your Life », suit l’argent au-delà des politiciens dans le marécage de Washington D.C. et va directement au sommet : Davos.

    C’est dans cette petite ville alpine de Suisse que les milliardaires de la jet-set et les bureaucrates de l’ombre préparent la prochaine décennie de nos vies.

    La capitalisation boursière des principaux membres du FEM — des mastodontes comme Apple, Microsoft, Amazon, Meta, Google, Comcast et Pfizer — dépasse les 10 000 milliards de dollars.

    Ce chiffre est doublé si l’on inclut le gestionnaire d’actifs BlackRock, qui pèse 10 000 milliards de dollars.

    Le fondateur et PDG de BlackRock, Larry Fink, est membre du conseil d’administration du FEM.

    Avec plus de 20 000 milliards de dollars, soit plus que le PIB de tous les pays du monde à l’exception des États-Unis, qui se baladent dans les coffres de ses membres, il est facile de comprendre pourquoi le FEM peut exercer une influence extraordinaire.

    Mais la domination constante du FEM sur les gouvernements du monde a permis d’obtenir bien plus que ce que l’argent aurait pu permettre.

    Le pouvoir économique de l’organisation lui permet d’exercer un contrôle politique et social.

    Les nombreuses façons dont le FEM complote pour contrôler l’avenir de la société font froid dans le dos.

    Les principaux points à l’ordre du jour comprennent la prise de contrôle par les mondialistes non seulement de la finance, mais aussi de l’énergie, de l’alimentation, de la santé, de l’information personnelle et de la technologie.

    Les contrôligarques tirent le rideau et révèlent en détail les systèmes et tactiques dystopiques que le FEM est en train de mettre en place.

    Les éléments clés de l’ordre du jour du FEM comprennent :

    La fameuse déclaration de Schwab sur la « Grande Réinitialisation » au milieu du COVID-19 a démontré que le FEM avait l’intention d’utiliser la pandémie pour influencer le présent et commander l’avenir.

    En contrôlant les industries et les infrastructures essentielles, le FEM et ses alliés mondialistes non élus, tels que l’Organisation des Nations unies (ONU), la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), exerceront un contrôle sans précédent sur tous les aspects de notre vie.

    Il ne s’agit toutefois pas de projets pour un avenir lointain, car la campagne du FEM est déjà en cours.

    La Banque des règlements internationaux, qui est le banquier central des banques centrales, travaille d’arrache-pied au déploiement des monnaies numériques des banques centrales (CBDC).

    Selon Agustin Carstens, président de la BRI, les CBDC offrent un « contrôle total » sur la masse monétaire et le public, comme le rapporte Slay News.

    Avec une CBDC, le système financier mondialiste peut annuler financièrement (ou « débanquer ») un individu, une entreprise, une ville entière, voire un pays tout entier.

    Le FEM proclame que l’exploration des CBDC a connu une « croissance exponentielle ».

    Le mois dernier, l’Atlantic Council a confirmé que la « dynamique en faveur » des CBDC « restait forte » jusqu’en 2023.

    Étant donné qu’aucune crise ne justifie l’urgence des CBDC, celles-ci sont vantées pour leur commodité.

    Le FEM et Larry Fink, de BlackRock, ont tous deux vanté le fait que les migrants peuvent réduire la durée de leurs transactions transfrontalières lorsqu’ils envoient de l’argent dans leur pays d’origine.

    Lorsque Schwab a annoncé la « grande remise à zéro », il a dit au monde qu’une fois que tout le monde serait vacciné, les blocages prendraient fin et le monde se reconstruirait de manière plus « verte ».

    Le lien entre la pandémie et le changement climatique n’était pas évident à l’époque.

    Mais le lien est aujourd’hui évident.

    L’idée d’un « confinement climatique » n’est pas farfelue.

    En Californie, le démocrate Gavin Newsom, qui est étroitement aligné sur le FEM, a sermonné ses électeurs en leur disant que leur comportement devait changer et que leur confort et leur liberté devaient être sacrifiés pour « le plus grand bien ».

    Les méthodes de Newsom consistent à limiter l’accès aux thermostats domestiques, à réduire les déplacements sur de longues distances et, bientôt, à éliminer les véhicules et les cuisinières à gaz.

    La prétendue menace du « changement climatique » a également permis aux gouvernements du monde entier de bouleverser des méthodes agricoles établies de longue date en interdisant les engrais traditionnels et en aplatissant les sources de protéines comme le bétail.

    Les restrictions soutenues par le FEM réduisent les agriculteurs à néant.

    Pour « résoudre » la pénurie alimentaire mondiale qui s’annonce, les membres du FEM et leurs alliés, tels que Bayer-Monsanto, Beyond Meats et Impossible Foods, ainsi que des entreprises innovantes de protéines à base d’insectes, sont entrés dans la danse.

    Les contrôligarques qui investissent massivement dans ce secteur sont Bill Gates, Jeff Bezos, Mark Zuckerberg et Richard Branson de Virgin Galactic.

    Le mois dernier, les partenaires du FEM, dont l’ONU et la Fondation Gates, ont organisé un événement intitulé « 50 en 1 » au cours duquel les alliés se sont engagés à déployer des systèmes d’identification numérique dans 50 pays d’ici cinq ans.

    Pourquoi ? Les cartes d’identité numériques liées aux dossiers médicaux numériques stockés sur votre téléphone portable sont un moyen incroyablement efficace de suivre votre statut vaccinal.

    De nombreux partenaires du FEM, dont Bill Gates, envisagent un système d’identification numérique obligatoire depuis plus de dix ans.

    Mais les passeports vaccinaux COVID-19 ont montré comment les cartes d’identité numériques peuvent être utilisées pour imposer sans pitié le respect des règles par les citoyens.

    En fait, l’identification numérique de l’Union européenne, liée au FEM, est une extension du système mis au point pour le passeport vaccinal européen.

    Lors d’un événement parrainé par l’ONU en 2010, Gates a déclaré que « les vaccins allaient être la clé », car « on pourrait enregistrer chaque naissance sur le téléphone portable, obtenir les empreintes digitales, obtenir une localisation, puis utiliser ces systèmes pour se déplacer et s’assurer que la vaccination a bien lieu », ce qui permettrait de gérer les soins de santé « de manière plus efficace ».

    Le FEM dissimule souvent les plans dystopiques que ses partenaires sont en train d’élaborer.

    Cependant, Controligarchs a passé au crible des centaines d’heures de vidéos oubliées et des milliers de pages — dont beaucoup ont été supprimées d’Internet — pour révéler que des visionnaires du FEM comme Yuval Noah Harari vantent hardiment des innovations telles que les micropuces cérébrales, les médicaments de complaisance de type pilule du bonheur et l’édition de gènes de type eugénique.

    Qu’on ne s’y trompe pas, les cartes d’identité numériques plus les CBDC équivalent à un score de crédit social de facto.

    Harari, quant à lui, pense que le corps humain tout entier peut être et sera « piraté ».

    Harari a fait remarquer que le COVID-19 était « critique » parce qu’il a convaincu les gens d’ » accepter » et de « légitimer la surveillance biométrique totale ».

    Mais il ne suffit pas de surveiller tout le monde.

    À l’avenir, « nous devrons surveiller ce qui se passe sous leur peau ».

    Les micropuces sous-cutanées ne sont qu’un début, car le corps humain tout entier est la toile de fond d’étranges expérimentations mondialistes et d’un pouvoir centralisé.

    Tout au long de l’histoire, « la mort a été le grand égalisateur », poursuit Harari.

    Pourtant, la soi-disant quatrième révolution industrielle proposée par Schwab donnera naissance à un nouveau système de castes dans lequel les pauvres continueront à mourir.

    Les élites riches du monde, quant à elles, « en plus de toutes les autres choses qu’elles obtiennent, bénéficient également d’une exemption de la mort », se réjouit Harari.

    Les élites seront alors en mesure d’acheter l’immortalité grâce à des améliorations biotechnologiques, afin de transcender l’humanisme lui-même.

    Ce ne sont là que quelques-uns des projets choquants et liberticides que le FEM a commencé à mettre en œuvre.

    Parmi les autres secteurs soumis à la prise de contrôle du FEM figurent le logement dans les « villes du quart d’heure », l’éducation grâce à l’IA qui fait progresser « l’apprentissage socio-émotionnel », la circulation de l’information via la répression de ce qu’on appelle la « désinformation », et bien d’autres encore.

    Traduction de Slay News par Aube Digitale




    Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?

    [via santeglobale.world]

    Rien de biologique dans les vaxxins, que des nanotechnologies métalliques. L’être humain est « hacké », implanté, hybridé avec des matériaux synthétiques… on fabrique des transhumains ! La pandémie de graphène est en route.

    À 1 h 15 Dominique GUILLET (Xochipelli) apporte sa vision du danger de la graphénisation de l’humanité. Depuis un siècle, les vaxxins sont des armes léthales. Il montre que Raoult, Fouché, Henrion-Caude et d’autres n’ont rien compris au vrai problème : le graphène et autres particules métalliques qui sont partout et ont pour but de génocider l’humanité (avec la 5G).

    Delgado (Quinta Columna) : il y a des « prédateurs invisibles », des « entités énergétiques » (les Archontes) qui se nourrissent des émotions négatives et de la souffrance humaine et agissent à travers la franc-maçonnerie et les gouvernements. Il s’agit d’une « lutte pour les âmes ». Les prédateurs passent inaperçus en contrôlant les institutions et en traitant de « non scientifiques » ceux qui leur résistent.

    Ceux qui occultent le graphène sont les jouets des forces sataniques… Graphène et 5G sont des outils pour neuromoduler ou tuer les êtres humains.

    D’autres civilisations avant la nôtre ont été implantées, domestiquées, manipulées, parasitées…

    Tout le monde a été trompé, sur toute la planète, avec la supercherie vaxxinale.

    Combien faut-il de millions de gens conscients pour lever enfin le « Secret Défense » qui règne encore ?

    Chacun, ayant reçu ces informations capitales, doit se repositionner et sortir de cette « usine du mensonge ». Aucune entité ne peut vous dominer si vous vous reliez à votre souveraineté pour dire NON à leur domination.

    Note de TAL : cette vidéo est IMPORTANTE, faites circuler !! Le temps est venu de montrer la vérité du combat titanesque entre les forces de l’ombre et les forces de la lumière, qui ne peuvent que gagner lorsque les consciences s’éveillent !

    [NDLR En complément,
    voir les dossier 5G et ondes pulsées
    et Vaccins et virus]

    Direct avec Next Dose, Ricardo Delgado, Astrid Stuckelberger et Dominique Guillet




    [Source : xochipelli.fr]




    La Ligue de renseignement du cyberespace (CTIL) contre la liberté d’expression

    [Source : adnm.live]



    Le plus grand scandale lié à la liberté d’expression vient d’éclater en Occident. Un lanceur d’alerte vient de publier des documents qui nous permettent de constater l’existence d’un groupe opérant dans l’ombre, à l’origine de la censure dans tout l’Occident.

    Ce groupe s’appelle « Cyber-Thread Intelligence League », signifiant « Ligue de renseignement du cyberespace ». Ce groupe trouve ses origines dans le gouvernement américain qui a collaboré avec le gouvernement britannique pour contourner l’utilisation du renseignement lié à la menace cybernétique, affirmant qu’un cerveau humain est piratable de la même façon, donc les mêmes principes qui sont utilisés pour protéger les ordinateurs des piratages doivent être appliqués pour protéger les humains du piratage intellectuel.

    C’est là qu’a commencé à émerger l’idée de la sécurité cognitive.

    Ces dossiers expliquent comment le gouvernement américain a contourné la loi en utilisant le secteur privé pour censurer et attaquer, en diffamant les personnes divergeant de la rhétorique. Ces dossiers révèlent aussi les méthodes utilisées par ce groupe obscur qui utilisait de faux comptes ou carrément des visages créés par l’intelligence artificielle afin de contrôler le discours et d’attaquer toute forme d’opposition.

    On apprend aussi que des formations pour créer des influenceurs ont eu lieu, et ces influenceurs ont été utilisés comme armes pour défendre le discours. On apprend aussi l’existence d’individus qui servaient à infiltrer des groupes d’opposition dans le but de les détourner ou de collecter de l’information de l’intérieur.

    Les dossiers rendus publics par ce lanceur d’alerte ont pu être authentifiés et sont actuellement entre les mains du congrès dans le cadre d’une enquête concernant l’utilisation des réseaux sociaux et du secteur privé comme arme politique. Ce scandale dépasse celui de Twitter-Files et de Facebook-Files, car il en est à l’origine.

    Ces dossiers expliquent parfaitement l’existence d’une industrie de la censure qui utilise des groupes d’individus qui sont là pour attaquer l’opposition sur les réseaux sociaux, des influenceurs formés pour « influencer » l’opinion publique dans la mauvaise direction (Thomas Durant, William Audureau), des fact-checkeurs tels que Julien Pain, mais aussi des entités plus centrales comme Tristan Mendès France, Rudy Reichstadt et aussi des institutions comme la Mivilude. Évidemment, l’implication des réseaux sociaux, des médias traditionnels et du secteur privé y est également mentionnée.

    On apprend par ailleurs qu’Emmanuel Macron a été un fervent utilisateur de ce protocole de censure pour contrôler le discours en France, aidé par les médias traditionnels et toutes les entités mentionnées ci-dessus.

    Beaucoup de choses deviennent claires grâce à ces dossiers apportés par ce lanceur d’alerte qui nous permettent de comprendre ce qui s’est passé au cours des quatre dernières années concernant la COVID, mais pas seulement.

    Il est de notre devoir en tant qu’êtres humains de rendre ces informations publiques et de les mettre sous les yeux de tous afin que le public comprenne ce qui se joue en arrière-plan de tout ce cirque politiquo-médiatique.


    Avant de commencer, il est important de se rappeler certaines choses à propos de la relation entre la liberté d’expression et l’industrie de la censure en France, car ce qui suit dans cet article/vidéo, est en lien direct avec la corruption des institutions, et le concept polarisant de la pensée unique, que certains défendent à tout prix. Voici 2 articles à lire absolument pour bien comprendre pourquoi, nous sommes là devant le plus grand scandale lié à la liberté d’expression depuis carrément l’Allemagne nazie (et je pèse bien mes mots).

    Blanchiment d’informations, l’entreprise des factcheckeurs exposée

    Les factcheckeurs ne sont rien d’autre que des « tueurs » (d’image publique) à gages, payés par des commanditaires malsains. Nous faisons un récapitulatif et nous vous demandons de partager au maximum.

    Big Tech et Fact-checkeurs, même combat ! (Collusions et collaborations) (VIDÉO)

    Connaissez-vous les Twitter Files. Il s’agit de révélations concernant une collusion entre le Parti démocrate américain, le FBI et Twitter, pour censurer toute forme d’opposition politique ou autre.

    La semaine dernière, je vous ai proposé de regarder ce film (que j’insiste, qu’il faut le regarder, et surtout, le conseiller à tous ceux qui croient encore que les gouvernements sont au service du peuple) :

    Katharine Gun, employée des renseignements britanniques, reçoit une note de la NSA : les États-Unis sollicitent l’aide de la Grande-Bretagne pour rassembler des informations compromettantes sur certains membres du Conseil de sécurité de l’ONU et les obliger à voter en faveur de l’invasion. Gun prend alors la décision de divulguer le mémo à la presse afin d’empêcher la guerre.

    Source : Allociné

    Ce film devient pertinent à nouveau, car il semblerait que les États-Unis et l’Angleterre ont remis une nouvelle couche à la manipulation des masses pour des raisons criminelles. Accrochez-vous, ça va secouer pas mal. Voici l’origine des Twitter Files, Facebook Files, YouTube Files, et tous les « files » qui parlent de censure forcée par les gouvernements, à travers un plan machiavélique. Les documents qui exposent cette vérité absurde, mais vérité quand même, sont des documents officiels et authentiques, rendus publics par un lanceur d’alerte.

    THE CTIL FILES

    Thread original datant du 28/11/23 par Michael Shellenberger

    LES DOSSIERS CTIL (« CTIL-FILES ») # 1

    NDLR : Cyber Threat Intelligence : Service des Renseignements sur les Cyber-menaces

    Un lanceur d’alerte vient de présenter une nouvelle série de documents explosifs, dont l’ampleur et l’importance ne sont pas encore pleinement compréhensibles. L’article ci-dessous que j’ai adapté pour la France parle de tous les contournements intellectuels et légaux qui ont été utilisés, pour mettre en place une machine industrielle de censure agressive, qui a été utilisée par l’ensemble de l’occident. On en parle parce que ce scandale implique aussi la France, qui semble avoir utilisé ce protocole complexe de censure (médias, factcheckeurs, secteur privé…) au bénéfice d’Emmanuel Macron aussi. Le nom du président français est mentionné dans le dossier, en tant qu’un des plus gros utilisateurs de « la machine » industrielle de censure.

    Il est important de noter que les éléments ci-dessous ont été apportés au Congrès américain, lors d’une audience qui a eu lieu le jeudi 30 novembre 2023, donc le sujet est à prendre très au sérieux :

    WASHINGTON, D.C. — La sous-commission spéciale qui enquête sur l’utilisation du gouvernement fédéral comme arme politique tiendra une audition le jeudi 30 novembre 2023, à 10 heures (heure de l’Est). L’audition, qui aura lieu un an après le premier rapport Twitter Files, examinera l’implication du gouvernement fédéral dans la censure des médias sociaux, ainsi que les récentes attaques contre le journalisme indépendant et la liberté d’expression.
    TÉMOINS :

    Matt Taibbi, journaliste et auteur des Twitter Files — Michael Shellenberger, journaliste, auteur et écologiste — Rupa Subramanya, journaliste basé au Canada pour The Free Press et d’autres médias.

    Dossiers CTIL #1 : Les entrepreneurs militaires américains et britanniques ont créé un vaste plan de censure mondiale en 2018, selon de nouveaux documents

    Un lanceur d’alerte met à la disposition du public et du racket une foule de nouveaux documents montrant la naissance du complexe industriel de la censure en réaction au Brexit et à l’élection de Trump en 2016

    L’entrepreneur militaire américain Pablo Breuer (à gauche), la chercheuse en défense britannique Sara-Jayne « SJ » Terp (au centre), et Chris Krebs ℹ️, ancien directeur de l’Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures du ministère américain de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHSCISA).

    CTIL Files #1 : De nouveaux documents montrent que les entrepreneurs militaires américains et britanniques ont créé un vaste plan de censure mondiale en 2018

    Par @shellenberger @galexybrane @mtaibbi :

    Un lanceur d’alerte s’est présenté avec une nouvelle série de documents explosifs, rivalisant ou dépassant les Twitter Files 🔗 et les Facebook Files 🔗 en termes d’ampleur et d’importance. Ils décrivent les activités d’un groupe « anti-désinformation » appelé Cyber Threat Intelligence League (CTIL 🔗) (Ligue du renseignement sur les cybermenaces), qui a officiellement débuté en tant que projet bénévole de scientifiques des données et de vétérans de la défense et du renseignement, mais dont les tactiques semblent avoir été absorbées au fil du temps par de multiples projets officiels, y compris ceux du ministère de la sécurité intérieure (DHS ℹ️).

    Les documents de la CTI League offrent les réponses du chaînon manquant aux questions clés qui n’ont pas été abordées dans les Twitter Files et les Facebook Files. Ensemble, ils offrent une image complète de la naissance du secteur de la « lutte contre la désinformation », ou de ce que nous avons appelé le complexe industriel de la censure.

    Code of Conduct | CTI League

    This Code of Conduct explains expectations for anyone participating in these discussion groups and activities, and defines the consequences of unacceptable…

    Les documents du lanceur d’alerte décrivent tout, de la genèse des programmes modernes de censure numérique au rôle de l’armée et des agences de renseignement, en passant par les partenariats avec les organisations de la société civile et les médias commerciaux, et l’utilisation de multi-compte (sock puppet ℹ️) et d’autres techniques offensives.

    Un document explique que si de telles activités à l’étranger sont « généralement » menées par « la CIA ℹ️, la NSA ℹ️ et le ministère de la Défense », les efforts de censure « contre les Américains » doivent être menés par des partenaires privés parce que le gouvernement n’en a pas « l’autorité légale ».

    Le lanceur d’alerte allègue qu’un dirigeant de CTI League 🔗, un « ancien » analyste du renseignement britannique, était « dans la pièce » à la Maison-Blanche d’Obama en 2017 lorsqu’elle a reçu les instructions pour créer un projet de contre-désinformation afin d’empêcher une « répétition de 2016. »

    Au cours de l’année écoulée, les enquêteurs du Congrès et d’autres ont documenté la montée du complexe industriel de la censure, un réseau de plus de 100 agences gouvernementales et organisations non gouvernementales qui travaillent ensemble pour inciter les plateformes de réseaux sociaux à la censure et diffuser de la propagande sur des personnes, des sujets et des récits entiers défavorisés.

    L’Agence pour la cybersécurité et la sécurité de l’information (CISA) du ministère américain de la Sécurité intérieure a été le centre de gravité d’une grande partie de la censure, la fondation nationale pour la science finançant le développement d’outils de censure et de désinformation et d’autres agences du gouvernement fédéral jouant un rôle de soutien.

    Les courriels des ONG et réseaux sociaux partenaires de la CISA montrent que celle-ci a créé l’Election Integrity Partnership (EIP) (Partenariat pour l’intégrité des élections) en 2020, qui impliquait le Stanford Internet Observatory (SIO) (lObservatoire de l’Internet de Stanford) et d’autres sous-traitants du gouvernement américain. L’EIP et son successeur, le Virality Project (VP), ont exhorté Twitter, Facebook et d’autres plateformes à censurer les publications sur les réseaux sociaux des citoyens ordinaires comme des élus.

    Renee DiResta 🔗 ℹ️

    Malgré les preuves accablantes de la censure parrainée par le gouvernement, l’origine de l’idée d’une telle censure de masse n’a pas encore été déterminée. En 2018, Renee DiResta 🔗 ℹ️, fonctionnaire de l’AIR et ancienne collaboratrice de la CIA, a fait la une des journaux nationaux avant et après avoir témoigné devant le Sénat américain de l’ingérence du gouvernement russe dans l’élection de 2016.

    Mais que s’est-il passé entre 2018 et le printemps 2020 ? L’année 2019 a été un trou noir dans les recherches du complexe industriel de la censure jusqu’à présent. Lorsque l’un d’entre nous, Michael, a témoigné devant la Chambre des représentants des États-Unis au sujet du complexe industriel de la censure en mars de cette année, l’année entière était absente de sa chronologie.

    Une date de début précoce pour le complexe industriel de la censure

    Sara-Jayne « SJ » Terp

    Aujourd’hui, un grand nombre de nouveaux documents, notamment des documents stratégiques, des vidéos de formation, des présentations et des messages internes, révèlent qu’en 2019, des sous-traitants des services militaires et de renseignement des États-Unis et du Royaume-Uni, dirigés par une ancienne chercheuse de la défense britannique, Sara-Jayne « SJ » Terp 🔗, ont mis au point le cadre général de la censure. Ces sous-traitants ont codirigé le CTIL, qui s’est associé à la CISA ℹ️ au printemps 2020.

    En vérité, la construction du complexe industriel de la censure a commencé encore plus tôt — en 2018.

    Des messages Slack ℹ️ internes de CTIL montrent que Terp, ses collègues et des fonctionnaires du DHS et de Facebook travaillent tous en étroite collaboration dans le processus de censure.

    Le cadre du CTIL et le modèle public-privé sont les germes de ce que les États-Unis et le Royaume-Uni allaient mettre en place en 2020 et 2021, notamment le masquage de la censure au sein des institutions de cybersécurité et des programmes de contre-désinformation ; une forte concentration sur l’arrêt des récits défavorisés, et pas seulement des faits erronés ; et la pression exercée sur les plateformes de médias sociaux pour qu’elles retirent des informations ou prennent d’autres mesures afin d’empêcher le contenu de devenir viral.

    Au printemps 2020, le CTIL a commencé à suivre et à signaler les contenus désavoués sur les réseaux sociaux, tels que les récits anti-confinement comme « tous les emplois sont essentiels », « nous ne resterons pas à la maison » et « ouvrez l’Amérique maintenant. » Dans le cadre de ces efforts, le CTIL a créé un canal destiné aux forces de l’ordre pour signaler les contenus. L’organisation a également fait des recherches sur les individus qui postent des hashtags anti-confinement comme #freeCA et a tenu une feuille de calcul avec des détails de leurs bios Twitter. Le groupe a également discuté de la demande de « takedowns » (Suppression) et du signalement de nom de domaines ℹ️ de sites web aux bureaux d’enregistrement.

    L’approche du CTIL en matière de désinformation allait bien au-delà de la censure. Les documents montrent que le groupe s’est engagé dans des opérations offensives pour influencer l’opinion publique, en discutant des moyens de promouvoir des « contre-messages », de coopter des hashtags ℹ️, de diluer des messages défavorables, de créer des comptes de marionnettes fictives et d’infiltrer des groupes privés sur invitation uniquement.

    Dans une liste de questions suggérées pour l’enquête, CTIL propose de demander aux membres ou aux membres potentiels :

    « Avez-vous déjà travaillé sur des opérations d’influence (par exemple, désinformation, discours haineux, autres préjudices numériques, etc.). » L’enquête demandait ensuite si ces opérations d’influence comprenaient des « mesures actives » et des « opérations psychologiques ».

    Ces documents nous sont parvenus par l’intermédiaire d’un lanceur d’alerte très crédible. Nous avons pu en vérifier la légitimité de manière indépendante en recoupant les informations avec des sources accessibles au public. Le lanceur d’alerte a déclaré avoir été recruté pour participer à la CTIL lors de réunions mensuelles sur la cybersécurité organisées par le DHS.

    Le FBI s’est refusé à tout commentaire. La CISA n’a pas répondu à notre demande de commentaire. Terp et les autres principaux dirigeants du CTIL n’ont pas non plus répondu à nos demandes de commentaires.

    Mais une personne impliquée, Bonnie Smalley 🔗, a répondu sur Linked In ℹ️, en disant :

    « Tout ce que je peux dire, c’est que j’ai rejoint la ligue CTI, qui n’est affiliée à aucune organisation gouvernementale, parce que je voulais lutter contre “les injections d’eau de Javel” en ligne pendant la Covid… Je peux vous assurer que nous n’avons rien à voir avec le gouvernement ».

    Pourtant, les documents suggèrent que des employés du gouvernement étaient des membres engagés du CTIL. Justin Frappier, qui travaillait pour le DHS, était extrêmement actif au sein du CTIL, participant à des réunions régulières et dirigeant des formations.

    Le but ultime duCTIL, a déclaré le lanceur d’alerte, « était de faire partie du gouvernement fédéral. Lors de nos réunions hebdomadaires, ils nous expliquaient clairement qu’ils construisaient ces organisations au sein du gouvernement fédéral, et que si vous construisiez la première itération, nous pourrions vous trouver un emploi ».

    Le plan de Terp, dont elle a fait part lors de présentations à des groupes de sécurité de l’information et de cybersécurité en 2019, consistait à créer des « communautés Misinfosec (Mésinformation ℹ️) » qui incluraient le gouvernement.

    Les archives publiques et les documents du lanceur d’alerte suggèrent qu’elle y est parvenue. En avril 2020, Chris Krebs, alors directeur de la CISA, a annoncé sur Twitter et dans de multiples articles, que la CISA s’associait à CTIL. « Il s’agit en réalité d’un échange d’informations », a déclaré Chris Krebs.

    Les documents montrent également que Terp et ses collègues, par l’intermédiaire d’un groupe appelé MisinfoSec Working Group (Groupe de travail de Mésinformation), dont faisait partie DiResta, ont créé une stratégie de censure, d’influence et de lutte contre la désinformation appelée Adversarial Misinformation and Influence Tactics and Techniques (AMITT) (Tactiques et Techniques de Désinformation et d’Influence Adverses). Ils ont rédigé AMITT en adaptant un cadre de cybersécurité développé par MITRE 🔗, une importante entreprise de défense et de renseignement qui dispose d’un budget annuel de 1 à 2 milliards de dollars financé par le gouvernement.

    MITRE ℹ️ est une organisation à but non lucratif américaine dont l’objectif est de travailler pour l’intérêt public. Ses domaines d’intervention sont l’ingénierie des systèmes, la technologie de l’information, les concepts opérationnels, et la modernisation des entreprises.

    Terp a ensuite utilisé AMITT pour développer le cadre DISARM, que l’Organisation mondiale de la santé (OMS ℹ️) a ensuite utilisé pour « contrer les campagnes anti-vaccination à travers l’Europe ».

    Un élément clé du travail de Terp à travers CTIL, MisinfoSec et AMITT a été d’insérer le concept de « sécurité cognitive » (en gros, si notre cerveau peut-être piraté, il a besoin d’une « sécurité ») dans les domaines de la cybersécurité et de la sécurité de l’information.

    L’ensemble des documents donne une image claire d’un effort hautement coordonné et sophistiqué des gouvernements américain et britannique pour mettre en place un effort de censure national et des opérations d’influence similaires à celles qu’ils ont utilisées dans des pays étrangers. À un moment donné, Terp a ouvertement fait référence à son travail « en arrière-plan » sur les questions de réseaux sociaux liées au Printemps arabe ℹ️. Une autre fois, selon le lanceur d’alerte, elle a exprimé sa propre surprise apparente à l’idée d’utiliser de telles tactiques, élaborées pour des ressortissants étrangers, contre des citoyens américains.

    Selon le lanceur d’alerte, environ 12 à 20 personnes actives impliquées dans le CTIL travaillaient au FBI ou à la CISA. « Pendant un certain temps, ils avaient le sceau de leur agence — FBI, CISA, peu importe — à côté de leur nom », sur le service de messagerie Slack, a déclaré le lanceur d’alerte. Terp « avait un badge CISA qui a disparu à un moment donné », a précisé le lanceur d’alerte.

    Les ambitions des pionniers du complexe industriel de la censure en 2020 allaient bien au-delà du simple fait d’exhorter Twitter à apposer une étiquette d’avertissement sur les tweets ou à inscrire des personnes sur des listes noires.

    Le cadre d’AMITT appelle à discréditer les individus comme condition préalable à la demande de censure à leur encontre. Il préconise la formation d’influenceurs pour diffuser des messages (pour la France, pensez à l’arrivée des William Audureau (Les Décodeurs du Monde), La Tronche en Biais, Antoine Daoust, et toute la fachosphère qui prétend posséder la vérité unique…). La chronologie du travail de CISA avec CTIL, qui a précédé son travail avec EIP et VP, suggère fortement que le modèle des opérations de censure public-privé peut avoir été créé à partir d’un cadre créé à l’origine par des entrepreneurs militaires. De plus, les techniques et le matériel décrits par le CTIL ressemblent beaucoup au matériel créé plus tard par la Countering Foreign Intelligence Task Force et l’équipe Mis-, Dis-, and Maliformation (Mésinformation/Désinformation/Malinformation 🔗)de la CISA.

    Fausses informations
    Désinformation La désinformation est une information qui est fausse, et la personne qui la diffuse sait qu’elle est fausse. « C’est un mensonge délibéré et intentionnel, qui montre que les gens sont activement désinformés par des acteurs malveillants ».
    Mésinformation La mésinformation est une information qui est fausse, mais la personne qui la diffuse pense qu’elle est vraie.
    Malinformation La malinformation est une information qui se fonde sur la réalité, mais qui est utilisée pour porter préjudice à une personne, une organisation ou un pays.
    Source

    À présent, nous devons examiner de plus près ce qui s’est passé en 2018 et 2019, menant à la création de CTIL, ainsi que le rôle clé de ce groupe dans la formation et la croissance du complexe industriel de la censure.

    Créer des communautés Misinfosec

    Traduction ci-dessous 👇🏻

    COVID-19 CTI League

    Mesures actives
    L’histoire secrète de la désinformation et de la guerre politique

    par Thomas Rid

    SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
    @Ici — groupe de lecture dans un peu plus d’une heure… BigBook indique que nous sommes sur le livre de Thomas Rid ℹ️ « Active Measures », Chapitres 1 & 2″ aujourd’hui…

    US Macmillan
    Mesures actives | Thomas Rid | Macmillan
    « Cette histoire révélatrice et dramatique de la désinformation retrace la montée en puissance des opérations secrètes de tromperie organisées depuis l’entre-deux-guerres jusqu’à nos jours. de la période de l’entre-deux-guerres jusqu’à l’époque contemporaine. contemporaine… »

    Bonnie L Smalley
    OH J’ai parlé à mon médecin de l’AAPS et elle a été horrifiée.

    SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
    Ah oui. Tant de travail à faire.

    Bonnie L Smalley
    Je connais beaucoup de gens du milieu médical grâce à mon travail contre Dupont ℹ️, donc le fait d’exposer au grand jour les objectifs de cette organisation de merde leur ouvre les yeux, et maintenant je commence à découvrir que certains des professionnels de la médecine qui ont dit que cette substance et cette chose chez Dupont étaient tout à fait acceptables, sont ou étaient associés à l’AAPS. Ce groupe m’aide donc dans mon autre croisade.

    SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
    Bien.

    Justin Frappier — Disinformation Team — Incident Management Team Lead a été ajouté à disinformation-triage par SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab).

    SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLl, CogSecColab)
    Oui, oui. Je sais. C’est bien ficelé, j’ai vérifié.

    Justin Frappier — Disinformation Team — Incident Management Team Lead
    MDR, bonjour depuis l’autre coté.

    « Bénévoles » et « anciens » agents du gouvernement

    Bloomberg ℹ️, le Washington Post ℹ️ et d’autres ont publié des articles crédules au printemps 2020, affirmant que la CTI League était simplement un groupe d’experts bénévoles en cybersécurité. Ses fondateurs étaient : un « ancien » agent du renseignement israélien, Ohad Zaidenberg 🔗 ; un « responsable de la sécurité » de Microsoft ℹ️, Nate Warfield 🔗 ; et le chef des opérations de sécurité de DEF CON ℹ️, une convention de pirates informatiques, Marc Rogers 🔗. Les articles affirment que ces professionnels de la cybercriminalité hautement qualifiés ont décidé d’aider des hôpitaux d’une valeur d’un milliard de dollars, sur leur temps libre et sans rémunération, pour des raisons strictement altruistes.

    En un mois seulement, de la mi-mars à la mi-avril, le CTIL, censé être entièrement bénévole, comptait « 1 400 membres approuvés dans 76 pays et dans 45 secteurs différents », avait « aidé à démanteler légalement 2 833 actifs cybercriminels sur Internet, dont 17 conçus pour usurper l’identité d’organisations gouvernementales, des Nations unies ℹ️ et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS ℹ️) » et avait « identifié plus de 2 000 vulnérabilités dans des établissements de soins de santé de plus de 80 pays ».

    À chaque occasion, les hommes (travaillant pour CTIL) ont souligné qu’ils étaient simplement des bénévoles motivés par l’altruisme.

    « Je savais que je devais faire quelque chose pour aider », a déclaré M. Zaidenberg. « Il y a un appétit très fort pour faire le bien dans la communauté », a déclaréRogerslors d’un séminaire en ligne de l’Institut Aspenℹ️.

    Pourtant, l’un des objectifs clairs des dirigeants du CTIL était de renforcer le soutien à la censure au sein des institutions chargées de la sécurité nationale et de la cybersécurité. À cette fin, ils ont cherché à promouvoir l’idée de « sécurité cognitive » pour justifier l’implication du gouvernement dans les activités de censure. « La sécurité cognitive est la chose que vous voulez avoir », a déclaré M. Terp lors d’un podcast en 2019. « Vous voulez protéger cette couche cognitive. Fondamentalement, il s’agit de pollution. La désinformation est une forme de pollution sur Internet. »

    Terp et Pablo Breuer, un autre dirigeant du CTIL, comme Zaidenberg, avaient des antécédents militaires et étaient d’anciens entrepreneurs militaires. Tous deux ont travaillé pour SOFWERX 🔗, « un projet de collaboration entre le commandement des forces spéciales américaines et l’Institut Doolittle ». Ce dernier transfère au secteur privé la technologie de l’armée de l’air, par l’intermédiaire du laboratoire de ressources de l’armée de l’air.

    Selon la biographie de Mme Terp sur le site web d’une société de conseil qu’elle a créée avec M. Breuer, « elle a enseigné la science des données à l’université de Columbia ℹ️, a été directrice technique de l’équipe “big data” des Nations unies, a conçu des algorithmes d’apprentissage automatique et des systèmes de véhicules sans pilote pour le ministère britannique de la Défense ».

    Pablo Breuer

    Pablo Breuer ℹ️ est un ancien commandant de la marine américaine. Selon sa biographie, il a été « directeur militaire du groupe Donovan 🔗 du Commandement des opérations spéciales des États-Unis, conseiller militaire principal et responsable de l’innovation auprès de SOFWERX 🔗, de l’Agence nationale de sécurité et du Commandement cybernétique des États-Unis, ainsi que directeur du C4 au Commandement central des forces navales des États-Unis ». Sur sa page LinkedIn 🔗, Breuer est indiqué comme ayant été dans la marine lors de la création de CTIL.

    En juin 2018, Terp a assisté à un exercice militaire de dix jours organisé par le US Special Operations Command ℹ️, où elle dit avoir rencontré Breuer pour la première fois et discuté des campagnes de désinformation modernes sur les réseaux sociaux. Wired a résumé les conclusions qu’ils ont tirées de leur réunion : « Ils ont réalisé que la désinformation pouvait être traitée de la même manière : comme un problème de cybersécurité. C’est ainsi qu’ils ont créé CogSec 🔗 avec David Perlman 🔗 et un autre collègue, Thaddeus Grugq 🔗, à leur tête. En 2019, Terp a coprésidé le groupe de travail Misinfosec au sein de CogSec. »

    Breuer a admis dans un podcast que son objectif était d’amener les tactiques militaires à être utilisées sur les réseaux sociaux aux États-Unis. « Je porte deux chapeaux », a-t-il expliqué. « Je suis le directeur militaire du Donovan Group et l’un des deux responsables de l’innovation chez Sofwerx 🔗, une organisation à but non lucratif 501c3 ℹ️ non classifiée, financée par le commandement des opérations spéciales des États-Unis. »

    M. Breuer a ensuite décrit la manière dont ils pensaient contourner le premier amendement. Son travail avec Terp, a-t-il expliqué, était un moyen de réunir des « partenaires non traditionnels dans une même pièce », y compris « peut-être quelqu’un de l’une des sociétés de réseaux sociaux, peut-être quelques opérateurs des forces spéciales, et quelques personnes du département de la sécurité intérieure… pour parler dans un environnement ouvert, sans attribution, de manière non classifiée, afin que nous puissions collaborer mieux, plus librement et vraiment commencer à changer la façon dont nous abordons certaines de ces questions. »

    Le rapport Misinfosec préconise une censure gouvernementale radicale et une contre-mésinformation. Au cours des six premiers mois de 2019, les auteurs disent avoir analysé des « incidents », développé un système de signalement et partagé leur vision de la censure avec « de nombreux États, traités et ONG ℹ️ ».

    Dans chaque incident mentionné, les victimes de la désinformation appartenaient à la gauche politique, et il s’agissait notamment de Barack Obama ℹ️, John Podesta ℹ️, Hillary Clinton ℹ️ et Emmanuel Macron ℹ️.

    Le rapport n’a pas caché que les deux tremblements de terre politiques de 2016 l’ont motivé à lutter contre la désinformation : Le Brexit ℹ️ et l’élection de Trump.

    « Une étude des antécédents de ces événements nous a amenés à réaliser qu’il y a quelque chose de déréglé dans notre paysage de l’information », ont écrit Terp et ses coauteurs. « Les idiots utiles et les cinquièmes colonnes habituels — auxquels s’ajoutent désormais des robots automatisés, des cyborgs et des trolls humains — s’emploient à manipuler l’opinion publique, à attiser l’indignation, à semer le doute et à ébranler la confiance dans nos institutions. Et maintenant, ce sont nos cerveaux qui sont piratés ».

    Là, vous avez un cas typique d’inversion accusatoire, où Terp et ses coauteurs mettent sur le dos des innocents, les crimes contre la liberté qu’ils commettent eux-mêmes.

    Le rapport Misinfosec se concentre sur les informations qui « modifient les croyances » par le biais de « récits » et recommande de contrer la désinformation en s’attaquant à des maillons spécifiques d’une « chaîne de mise à mort » ou d’une chaîne d’influence à partir de l’ »incident » de désinformation avant qu’il ne devienne un récit à part entier.

    Le rapport déplore que les gouvernements et les grands médias n’aient plus le contrôle total de l’information. « Pendant longtemps, la capacité d’atteindre un public de masse appartenait à l’État-nation (par exemple, aux États-Unis, par le biais des licences de diffusion accordées à ABC ℹ️, CBS ℹ️ et NBC ℹ️). »

    Un rappel important et pertinent :

    « Aujourd’hui, cependant, le contrôle des instruments d’information a été dévolu aux grandes entreprises technologiques qui se sont montrées complaisantes et complices, en facilitant l’accès au public pour les opérateurs d’information à une fraction de ce que cela leur aurait coûté par d’autres moyens », dit Terp. En gros, elle regrette le fait que nous pouvons utiliser les réseaux sociaux pour échanger de l’information.

    Les auteurs préconisent l’implication de la police, de l’armée et des services de renseignement dans la censure, dans tous les pays de la zone des cinq yeux, et suggèrent même l’implication d’Interpol ℹ️.

    Five Eyes (littéralement « Cinq yeux », traduit comme Groupe des cinq par la Défense canadienne), abrégé FVEY pour la classification, désigne l’alliance des services de renseignement de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis.

    Source

    Le rapport propose un plan pour AMITT et pour la collaboration en matière de sécurité, de renseignement et d’application de la loi, et plaide pour une mise en œuvre immédiate. « Nous n’avons pas besoin, et nous ne pouvons pas nous permettre, d’attendre 27 ans pour que le cadre AMITT (Adversarial Misinformation and Influence Tactics and Techniques — Tactiques et techniques de désinformation et d’influence adverses) soit mis en œuvre. »

    Les auteurs préconisent de placer les efforts de censure dans le cadre de la « cybersécurité », tout en reconnaissant que la « sécurité de la désinformation » est totalement différente de la cybersécurité. Ils ont écrit que le troisième pilier de « l’environnement informationnel », après la sécurité physique et la cybersécurité, devrait être « la dimension cognitive ».

    Le rapport souligne la nécessité d’une sorte de pré-bunking pour « vacciner préventivement une population vulnérable contre les messages ». Le rapport souligne également la possibilité d’utiliser les Centres de Partage et d’Analyse de l’Information (ISAC) financés par le ministère de la Sécurité intérieure pour orchestrer la censure publique-privée, et affirme que ces ISAC devraient être utilisés pour promouvoir la confiance dans le gouvernement.

    C’est ici que nous voyons l’idée de l’EIP et du VP : « Bien que les réseaux sociaux ne soient pas identifiés comme un secteur critique et ne remplissent donc pas les conditions requises pour un ISAC, un ISAC de désinformation pourrait et devrait alimenter les ISAC en indications et en avertissements. »

    Le point de vue de M. Terp sur la « désinformation » est ouvertement politique.

    « La plupart des informations erronées sont en fait vraies », a noté M. Terp dans le podcast de 2019, mais elles sont placées dans le mauvais contexte. Terp explique avec éloquence la stratégie consistant à utiliser les efforts de « lutte contre la désinformation » pour mener des opérations d’influence.

    « La plupart du temps, vous n’essayez pas de faire croire à des mensonges. La plupart du temps, vous essayez de modifier leurs croyances. Et en fait, plus profondément, vous essayez de changer, de modifier leurs récits internes… l’ensemble des récits qui constituent la base de votre culture. Cela pourrait donc être la base de votre culture en tant qu’Américain ».

    À l’automne, Terp et d’autres ont cherché à promouvoir leur rapport. Le podcast que Terp a réalisé avec Breuer en 2019 est un exemple de cet effort. Ensemble, Terp et Breuer ont décrit le modèle « public-privé » de blanchiment de la censure que le DHS, l’EIP et le VP allaient adopter.

    Breuer a parlé librement, déclarant ouvertement que le contrôle de l’information et de la narration qu’il avait à l’esprit était comparable à celui mis en œuvre par le gouvernement chinois, mais qu’il était plus acceptable pour les Américains (et occidentaux en général). « Si vous parlez au citoyen chinois moyen, il est absolument convaincu que la Grande Muraille de Chine ℹ️ n’est pas là pour censurer. Ils pensent qu’elle est là parce que le Parti Communiste Chinois ℹ️ veut protéger les citoyens et ils sont absolument convaincus que c’est une bonne chose. Si le gouvernement américain essayait de faire passer ce message, nous perdrions la tête et nous dirions :

    « Non, non, il s’agit d’une violation de nos droits au titre du premier amendement ».

    Les messages du groupe intérieur et ceux du groupe extérieur doivent donc être souvent différents.

    Traduction ci-dessous 👇🏻

    L’ENVIRONNEMENT DE L’INFORMATION

    Dimension physique – Où l’environnement de l’information et le monde physique se chevauchent
    – Systèmes d’information et réseaux
    – Caractéristiques principales : ordinateurs et systèmes de communication, et infrastructures de soutien
    Dimension informationnelle – Lieu de collecte, de traitement, de stockage, de diffusion, d’affichage et de protection de l’information.
    – Double nature — l’information elle-même et le support
    – Liens entre les dimensions physiques et cognitives
    – Caractéristiques clés : contenu et flux de l’information, qualité de l’information flux, qualité de l’information
    – Lieu de la prise de décision automatisée
    Dimension cognitive – Lieu de la prise de décision automatisée
    – Dimension des éléments intangibles tels que la morale, la cohésion de l’unité, l’opinion publique, la connaissance de la situation.
    – Caractéristiques clés : perceptions, émotions, sensibilisation et compréhension

    MITT Blue : Cadre de contre-mesures
    (Illisible)

    Campagnes — Incidents – Récits
    Artéfacts

    ⬇ Attaquant — ⬆ Défenseurs

    « L’école de Poudlard de la désinformation »

    « SJ nous appelait l’“école Poudlard ℹ️ de la désinformation et des fausses informations” », raconte le lanceur d’alerte. « Ils étaient les super-héros de leur propre histoire. Et à cet effet, vous pouvez toujours trouver des bandes dessinées sur le site de la CISA ».

    La CTIL, selon le lanceur d’alerte, « avait besoin de programmeurs pour décortiquer les informations provenant de Twitter, Facebook et YouTube. Pour Twitter, ils ont créé un code Python ℹ️ afin de récupérer les informations. »

    Les dossiers du CTIL fournis par le lanceur d’alerte illustrent exactement la façon dont le CTIL fonctionnait et suivait les « incidents », ainsi que ce qu’il considérait comme de la « désinformation ». Ils ont repéré les affiches appelant à des manifestations contre le confinement comme des artefacts de désinformation.

    « Nous aurions dû le voir venir », ont-ils écrit à propos des manifestations. « En fin de compte, pouvons-nous arrêter la propagation, avons-nous suffisamment de preuves pour arrêter les super propagateurs et y a-t-il d’autres choses que nous pouvons faire (y a-t-il des contre-messagers que nous pouvons envoyer par ping, etc. »

    Le CTIL a également réfléchi à des contre-messages pour encourager les gens à porter des masques, par exemple, et a discuté de la création d’un réseau d’amplification. « La répétition est la vérité », a déclaré un membre du CTIL lors d’une formation.

    Le CTIL a travaillé avec d’autres personnalités et groupes du complexe industriel de la censure. Les notes de réunion indiquent que l’équipe de Graphika 🔗 a envisagé d’adopter AMITT et que le CTIL souhaitait consulter DiResta pour obtenir des plateformes qu’elles suppriment des contenus plus rapidement.

    Lorsqu’on lui a demandé si Terp ou d’autres dirigeants de CTIL avaient discuté de leur violation potentielle du premier amendement, le lanceur d’alerte a déclaré :

    Exemple de visage généré par Intelligence Artificielle depuis le site :
    this-person-does-not-exist.com

    « Ils ne l’ont pas fait… L’éthique était que si nous nous en tirons, c’est légal, et qu’il n’y a pas de problèmes liés au premier amendement parce que nous avons un “partenariat public-privé” — c’est le mot qu’ils ont utilisé pour dissimuler ces problèmes. Les personnes privées peuvent faire des choses que les fonctionnaires ne peuvent pas faire, et les fonctionnaires peuvent assurer la direction et la coordination ».

    Malgré leur confiance dans la légalité de leurs activités, certains membres du CTIL ont pu prendre des mesures extrêmes pour garder leur identité secrète. Le manuel du groupe recommande d’utiliser des téléphones jetables, de créer des identités pseudonymes et de générer de faux visages d’IA à l’aide du site Web « this-person-does-not-exist » (« Cette personne n’existe pas »).

    En juin 2020, indique le lanceur d’alerte, le groupe secret a pris des mesures pour dissimuler encore plus leurs activités (juste avant la campagne de vaccination donc).

    Un mois plus tard, en juillet 2020, le directeur du SIO, Alex Stamos ℹ️, a envoyé un courriel à Kate Starbird 🔗 du Center for an Informed Public 🔗de l’université de Washington ℹ️, dans lequel il écrit :

    Kate Starbird

    « Nous travaillons sur certaines idées de surveillance des élections avec laCISAet j’aimerais avoir vos commentaires informels avant que nous n’allions trop loin dans cette voie […]. [Ce qui aurait dû être assemblé il y a un an est en train de se mettre en place rapidement cette semaine ».

    Cet été-là, la CISA a également créé la Countering Foreign Influence Task Force, dont les mesures reflètent les méthodes du CTIL/AMITT et comprennent un « vrai faux » roman graphique qui, selon le lanceur d’alerte, a d’abord été présenté au sein du CTIL.

    Le cadre « DISARM », inspiré par AMITT, a été officiellement adopté par l’Union européenne et les États-Unis dans le cadre d’une « norme commune pour l’échange d’informations structurées sur les menaces de manipulation et d’interférence de l’information étrangère ».

    Jusqu’à présent, les détails des activités du CTIL n’ont guère retenu l’attention, même si le groupe a fait l’objet d’une publicité en 2020. En septembre 2020, Wired ℹ️ 🔗a publié un article sur le CTIL qui se lit comme un communiqué de presse d’entreprise. L’article, comme les articles de Bloomberg ℹ️ et du Washington Post ℹ️ au printemps, accepte sans discussion que le CTIL soit réellement un réseau « bénévole » d’« anciens » fonctionnaires des services de renseignement du monde entier.

    Mais contrairement aux articles de Bloomberg et du Washington Post, Wired décrit également le travail de « lutte contre la désinformation » du CTIL. Le journaliste de Wired ne cite aucun détracteur des activités du CTIL, mais suggère que certains pourraient y voir un problème. « Je l’interroge [Marc Rogers, cofondateur du CTIL] sur l’idée de considérer la désinformation comme une cybermenace.

    « Tous ces mauvais acteurs essaient de faire la même chose », répond M. Rogers. Selon lui, le lien entre la prévention de la cybercriminalité et la « lutte contre la désinformation » est fondamentalement le même, car il s’agit dans les deux cas de lutter contre ce que le DHS et la CTI League appellent les « acteurs malveillants », synonymes de « méchants ».

    « Comme Terp, Rogers adopte une approche holistique de la cybersécurité », explique l’article de Wired. « Il y a d’abord la sécurité physique, comme le vol de données d’un ordinateur sur une clé USB. Ensuite, il y a ce que nous appelons généralement la cybersécurité, c’est-à-dire la protection des réseaux et des appareils contre les intrusions indésirables. Enfin, il y a ce que Rogers et Terp appellent la sécurité cognitive, qui consiste essentiellement à pirater des personnes en utilisant des informations ou, plus souvent, des informations erronées. »

    Le CTIL semble avoir fait parler de lui au printemps et à l’automne 2020 pour la même raison que l’EIP : prétendre plus tard que son travail avait été fait au grand jour et que quiconque suggérait qu’il était secret s’engageait dans une théorie du complot.

    Global Volunteer Cyberthreat Community-CERT | CTI League

    The CTI League is the first Global Volunteer Community-CERT, defending and neutralizing cybersecurity threats and vulnerabilities to the life-saving sectors related to the current COVID-19 pandemic.

    « Le Partenariat pour l’intégrité des élections a toujours fonctionné de manière ouverte et transparente », a affirmé l’EIP en octobre 2022. « Nous avons publié de nombreux articles de blog publics pendant la période précédant l’élection de 2020, organisé des webinaires quotidiens immédiatement avant et après l’élection, et publié nos résultats dans un rapport final de 290 pages et dans plusieurs revues académiques évaluées par des pairs. Toute insinuation selon laquelle les informations sur nos opérations ou nos résultats étaient secrètes jusqu’à présent est réfutée par les deux années de contenu public et gratuit que nous avons créées ».

    Mais comme les messages internes l’ont révélé, une grande partie de ce que l’EIP a fait était secrète, ainsi que partisane, et exigeant la censure des plateformes de réseaux sociaux, contrairement à ses affirmations contraires.

    L’EIP et le VP ont ostensiblement pris fin, mais le CTIL est apparemment toujours actif aujourd’hui. Plusieurs de ses membres mentionnent le CTIL comme une organisation toujours active sur leurs pages LinkedIn 🔗.

    Traduction ci-dessous 👇🏻

    Poster « A »

    Si les commandes pour rester à la maison sont prolongées au-delà du 30 avril, notre économie ne se relèvera pas, notre économie ne se redressera pas. Il n’y a pas assez de pour soutenir les chômeurs américains. Rejoignez-moi et d’autres Américains pour rouvrir notre économie. Les décès des répercussions de l’économie dépasseront de manière exorbitante les décès dus au virus lui-même. #NousNeResteronsPasÀLaMaison

    Fin des confinements
    Marche mondiale pour la liberté

    Samedi 2 mai 2020 de 14 h à 17 h

    Dans tous les hôtels de ville, les parcs publics et les centres-villes dans tous les pays : organisez votre famille et vos amis et venez tout simplement ! Filmez et marchez dans vos rues. Sortez et montrez-leur que nous ne vivrons pas dans la peur. Vivre dans la peur. Téléchargez vos histoires, car nous sommes plus nombreux qu’eux !

    Si vous renoncez à vos libertés vous risquez de ne pas les retrouver

    Poster « B »

    Fin des confinements
    Marche mondiale pour la liberté

    Dimanche 12 avril, de 14 h à 17 h

    Dans chaque mairie, piazza de village ou mairie dans tous les pays : organisez des amis et montrez-vous, filmez, défilez dans vos rues & téléchargez vos histoires parce que nous sommes plus nombreux qu’eux !!!*

    Si vous renoncez à vos libertés vous risquez de ne pas les retrouver

    Passer des alertes aux actions

    Processus d’incident de désinformation

    Alerte

    • Humains (groupes, flux)
    • Slack (Incident go/nogo)

    Organisation et analyse

    • HIVE (analyse des tâches liées aux incidents)
    • Enrichissement (FrankCode)

    Collecte

    • DKAN (données d’incident, données de base)
    • GITHUB ℹ️ (données d’incident)
    • MISP (objets de l’incident)

    Action

    • Slack (Rapports, Contre-mesures)

    Calendrier du WT

    • Décembre 2018 — Janvier 2019
      Création du GT et énoncé de mission
    • Février 20119
      Rédaction du document WWW
    • Mars 2019
      Création d’une liste d’incidents
    • Avril 2019
      Création d’une liste de techniques
    • Mai 2019
      Atelier de l’équipe rouge
    • Juin 2019
      AMITT affiné
    • Juillet 2019
      Mise en ligne du repo d’AMITT
    • Août 2019
      Présentation BlackHat ℹ️
    • Septembre 2019
      STIX SEP entre en vigueur
    • Octobre 2019
      Remplissage de la liste des compteurs
    • Novembre 2019
      Atelier de l’équipe bleue
    • Décembre 2019
      Affiner les compteurs

    J’ai hâte de témoigner devant le Congrès, ce jeudi, sur la menace claire et actuelle que représente le complexe industriel de la censure pour les États-Unis d’Amérique et les autres démocraties libérales occidentales, et sur la manière dont nous pouvons y mettre un terme.

    🚨

    AVIS D’AUDITION : @mtaibbi, @shellenberger, @rupasubramanya.

    Jeudi. 4 h (UTC).

    Michael Shellenberger ℹ️ 🔗
    Auteur du Thread



    Culte numérique : la Russie légalise l’utilisation du smartphone à l’école

    [Source : russiepolitics]

    Par Karine Bechet-Golovko

    Le smartphone est devenu un élément central de l’enseignement en Russie. En général, cet instrument est pour une grande partie de la population, quel que soit le pays, un prolongement du corps, un succédané de l’esprit, ce qui permet de normaliser l’acception a priori absurde « d’intelligence artificielle ». Cet objet de culte participe grandement à la dégradation de la qualité de l’enseignement en particulier et de l’individu en général. C’est pourquoi les députés russes ont décidé de réguler son utilisation — et donc de la légaliser, afin de « renforcer la qualité de l’enseignement ». La déglobalisation doit d’abord passer par les esprits, par la possibilité de penser le monde en dehors des cultes globalistes, et cela va prendre beaucoup de temps…

    [Voir aussi :
    Le smartphone
    Ceci N’est PAS un smartphone, mais un outil de contrôle
    Hausse des cancers liés à l’utilisation des smartphones
    Nomophobie. Cette dépendance au smartphone dangereuse pour la santé…
    Qu’est-ce que l’oxyde de graphène et les nanotechnologies ont à voir avec la 5G ?
    La chute de l’homme dans l’algorithme
    La fausse alternative russe au mondialisme]

    De merveilleux titres apparaissent dans les médias russes, variant tous sur le mode — Les smartphones sont interdits à l’école ! Ainsi, Volodine, le président de la Douma, la chambre basse du Parlement russe, d’affirmer, que les parents et les enseignants l’ayant demandé, ces nouvelles normes vont permettre d’augmenter la qualité de l’enseignement. Hourra !

    Le projet de loi, qui vient d’être adopté en deuxième et troisième lectures, prévoit diverses dispositions, notamment le retour du cours de travaux pratiques pour les petits, un renforcement du statut et du rôle de l’enseignant ou encore met l’accent sur l’importance de la discipline. Cela est très beau, mais ce projet de loi ne remet aucunement en cause les dérives liées au processus de Bologne d’une spécialisation excessive des enfants dès l’école, qui n’ont plus de connaissances générales et systématisées, ni l’ajout de matières n’ayant strictement aucun lien avec l’enseignement scolaire général (comme par exemple le maniement des appareils de télécommunication dans les classes de terminale de littérature, rebaptisées classes « médias » dans la plus pure ligne globaliste). Rappelons que ces matières, pour le moins très spécifiques, remplacent des matières fondamentales, qui disparaissent — comme la géographie ou la physique, par exemple, en terminale, sauf pour les classes spécialisées…

    Et ce qui est plus inquiétant, sous couvert d’une amélioration de la qualité de l’enseignement, l’utilisation des smartphones est réglementée, donc légalisée. Si l’intrusion du smartphone et des technologies dans le processus d’enseignement scolaire a commencé avant le Covid, ils sont devenus incontournables depuis et désormais cette ligne est poussée au fanatisme. Les élèves n’ont plus de carnets de présence ni de devoirs, tout est électronique. Mais cela n’étant pas suffisant, les enseignants créent des groupes sur Watsapp, en dehors du système de l’école, où ils envoient les devoirs, à n’importe quel moment, quand ils y pensent, parfois la veille au soir. Il est donc impossible pour les élèves de s’organiser et les enseignants ont perdu toute discipline personnelle. Dans toutes les classes, vous avez des tableaux électroniques, qui parfois s’allument sur n’importe quoi, qui fonctionnent comme des écrans en permanence face aux enfants, habitués à ne plus regarder et à communiquer avec l’enseignant, mais à être face à des signaux lumineux. Pendant les cours, les enfants ont leurs téléphones avec eux, ce qui permet à certains de s’y engouffrer au lieu de suivre les leçons. Sans compter certains professeurs, qui leur demandent, pour le cours, de se connecter à certains sites, pour faire des exercices ou lire des textes. Ou encore des professeurs diffusant, en guise de cours, des présentations prises sur internet, que les élèves doivent photographier depuis leur place, car ils n’ont pas le temps de noter.

    Que reste-t-il du processus d’enseignement dans ces cas ? Rien. Ce n’est qu’une imitation — déstructurante.

    Ce projet de loi non seulement ne remet rien de cela en cause, mais légitime les dérives. Comme il est possible de le lire dans la lettre explicative accompagnant le dossier législatif :

    « Afin de créer les conditions favorables permettant aux enseignants de faire leurs cours d’enseignement lors de la mise en œuvre des programmes de formation générale de base, il est établi que, lors de ceux-ci, les élèves ne sont pas autorisés à utiliser des moyens de communication. Une exception sera faite dans les cas prévus par le programme éducatif, dans lesquels un accès direct aux ressources électroniques est prévu, ainsi que dans les situations liées à l’émergence d’un danger pour la vie ou la santé des élèves ou des employés d’un organisme éducatif. La mise en œuvre de cette disposition permettra de minimiser les facteurs de distraction pour les élèves lors des cours d’enseignement. »

    Donc, les élèves gardent leurs smartphones avec eux pendant les cours, les enseignants peuvent continuer à y recourir comme auparavant et personne ne réagira plus qu’avant face à un élève, qui a le nez dans son écran. Et l’on voit bien une manipulation, non seulement dans les titres médiatiques, mais aussi par l’image accompagnant l’annonce sur le site de la Douma.

    C’est l’image de l’école traditionnelle, qui est ici montrée. Elle ne correspond pas à la réalité dans la plupart des écoles du pays. Pourquoi ne pas montrer ce monde cautionné par le projet de loi, à savoir un élève devant un tableau électronique, avec un enseignant assis derrière un ordinateur et des élèves avec des smartphones sur la table ? Cette image choquerait trop, elle ne peut être montrée. C’est pourtant ce monde, qui est ici construit, notamment avec cette loi.

    Depuis le choc covidien, le niveau des élèves a sérieusement baissé et cela se voit à l’Université. Désormais, à la faculté de droit de l’Université de Moscou, qui est la meilleure université du pays et qui refuse de baisser le niveau (ce qui est couramment pratiqué ailleurs), 70 % des étudiants de première année sont incapables de passer du premier coup leurs examens. C’est du jamais-vu. Ils ne sont plus adaptés à des études réelles.

    En quoi ce projet de loi, va-t-il réellement permettre une amélioration de la qualité de l’enseignement ? En rien, si l’on tient compte de l’intérêt national. Il légitime en revanche les dérives globalistes, bien persistantes, et dont les forces vives en Russie se regroupent autour de la question du numérique. Tout d’abord, parce que c’est le dernier bastion, qui leur reste ici. Ensuite, parce que la Russie a toujours été attirée par la question technologique. Mais au moins à l’époque soviétique, le progrès technique était réel et s’appuyait sur une force intellectuelle nationale. Du coup, le culte n’était pas nécessaire. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.




    Macron instaure un « Conseil présidentiel de la science » à l’Élysée jeudi

    [Source : France Soir]

    Après l’opaque Conseil scientifique qui a vu le jour pour la crise du Covid-19, voilà qu’Emmanuel Macron se prépare à installer un « Conseil présidentiel de la science » à l’Élysée. Douze spécialistes seront chargés d’éclairer le président sur des sujets d’avenir divers, sans que cela soit rendu public.

    Jeudi 7 décembre, le palais présidentiel accueillera une centaine de chercheurs et scientifiques pour « poser les bases de la stratégie de recherche de la France dans les prochaines années ». Douze d’entre eux composeront de façon pérenne le fameux Conseil, qui jouera « un rôle interne de conseil » du président de la République, comme l’a expliqué l’Élysée.

    Ses membres seront les suivants : Fabrice André, oncologue ; José-Alain Sahel, médecin ophtalmologiste ; Aude Bernheim, spécialiste en microbiologie et en génétique ; Claire Mathieu, informaticienne ; Sandra Lavorel, écologue ; Jean Tirole, économiste ; Hugo Duminil-Copin, mathématicien ; Pierre-Paul Zalio, sociologue ; Lucien Bély, historien ; Pascale Senellart, physicienne ; Claudine Tiercelin, philosophe ; Alain Aspect, physicien.

    Le Conseil n’aura pas de présidence et ne rendra pas de rapport public. « Son format se veut efficace, pour que le président ait en direct les avis et les retours des chercheurs pour certaines priorités scientifiques », a indiqué l’Élysée. Efficace, pas transparent.

    « L’objectif est de permettre au président d’avoir des éclairages sur des sujets scientifiques qui ne font pas forcément la Une de l’actualité, mais sur des enjeux d’avenir », a précisé l’Élysée. Sans trop de surprise, ils ont pris l’exemple de l’ARN messager, une technologie dont le président aurait pu prendre connaissance plus tôt pour être en avance sur la production des vaccins. Typiquement, il y a fort à parier pour qu’un des premiers sujets évoqués soit celui de l’intelligence artificielle, ou de l’hydrogène.




    La Techno-Religion du Transhumanisme : une terrible menace qu’il convient de combattre !

    [Source : MPI]

    Par Fabien Laurent

    Le transhumanisme est vraiment une techno-religion avec son pape, ses prophètes et ses adeptes.

    Lire aussi sur MPI :
    – 30 décembre 2020 : Du vaccin ARN messager au transhumanisme : le Dr Philippe Emanuely s’inquiète
    – 16 avril 2021 : La marraine du transhumanisme entre à l’Académie Pontificale de la Vie
    – 2 décembre 2022 : Transhumanisme : Elon Musk espère que les essais humains pour les puces cérébrales Neuralink commenceront dans 6 mois
    – 11 avril 2023 : Débat sur l’intelligence artificielle et le transhumanisme avec Alain Escada, président de Civitas
    – 31 mai 2023 : Transhumanisme : Elon Musk peut démarrer le puçage expérimental de cerveaux humains
    – 12 septembre 2023 : Laurent Alexandre vante le transhumanisme et le puçage des cerveaux

    [Voir aussi :
    Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique
    La religion de l’Antéchrist
    Comment on manipule pour avoir le consentement
    De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
    William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
    Une brève histoire de la propagande
    Théories de contrôle de l’esprit et techniques utilisées par les médias de masse
    Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
    Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
    Les écouvillons des tests PCR conçus pour implanter de l’hydrogel DARPA au lithium dans le cerveau et attaquer la glande pinéale ?
    Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
    Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
    Qu’est-ce que l’oxyde de graphène et les nanotechnologies ont à voir avec la 5G ?
    Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
    Articles sur le transhumanisme : ici ou .]




    Qu’est-ce que l’oxyde de graphène et les nanotechnologies ont à voir avec la 5G ?

    [Source : https://www.kla.tv/24056]

    La recherche scientifique et les rapports faisant état de graves dommages causés aux vaccins confirment les conclusions inquiétantes concernant les ingrédients des vaccins. Entretien avec le biostatisticien Ricardo Delgado Martin sur l’oxyde de graphène et la nanotechnologie dans les vaccins Covid : qui a ordonné l’inclusion de ces substances toxiques et quel est leur rapport avec la technologie mobile 5G ? Comprenons-nous désormais mieux l’Agenda 2030 et le plan du Forum Économique Mondial ?

    Transcription en français de l’interview

    Kla.TV : D’accord, alors commençons. Bienvenue Ricardo Delgado Martin. Une brève présentation de vous-même pour le public germanophone. Eh bien, Ricardo Delgado Martin est fondateur et directeur de « la Quinta Columna ». Il est diplômé en biostatistique de l’Université de Séville. Il est titulaire d’un Master en Biostatistique, Postgraduate en Biologie de la Santé, Microbiologie Clinique, Épidémiologie et Immunologie Clinique, appliqué à l’Université Européenne Miguel de Cervantes. Expert universitaire en génétique clinique de l’Université Antonio de Nebrija. Certificat de contribution scientifique, de l’Université de Séville et Master de troisième cycle en psychologie de l’enfant. Master en banque et finance de l’Instituto Superior de Técnicas y Prácticas Bancarías. Master en formation personnelle. Autrement dit, un dossier long et complet.

    M. Delgado : Merci, Angel, pour l’invitation et à la chaîne Kla.tv pour l’opportunité d’y présenter nos recherches.

    Kla.TV : Ricardo, si tu devais te décrire, qui est selon toi Ricardo Delgado Martin ?

    M. Delgado : En fait, puisque l’être humain est probablement soumis à une évaluation et à un changement constants, nous pouvons dire qu’une personne, proche de l’éveil, dans un sens, nous avons réalisé, nous avons constaté que le monde dans lequel nous vivons n’est pas exactement celui qu’on nous a dit. À partir d’un certain moment, j’ai dû mettre en quarantaine tous les grands dogmes et paradigmes officiels qui viennent de ce qu’on appelle la science.

    Kla.TV : Eh bien, qu’est-ce que la biostatistique ?

    M. Delgado : La biostatistique est une spécialité des statistiques, qui à son tour est une branche des mathématiques, une science exacte, et il s’agit plutôt d’un sujet d’épidémiologie, appliqué au domaine de la santé. C’est pratiquement la même chose, ce sont des synonymes.

    Kla.TV : D’accord, comment vous est venue l’idée de fonder la plateforme « La Quinta Columna » ?

    M. Delgado : Cela est né du besoin urgent de former un collectif humain, un groupe d’êtres humains conscients, qui ne partagent absolument pas la réalité qu’ils veulent peindre avec ce soi-disant agenda 2030. Puis, à partir de là, petit à petit, la chaîne s’est développée de manière exponentielle, surtout lorsque nous avons décidé d’analyser les flacons, d’abord de Pfizer, puis d’Astra Zeneca, Moderna et Johnson également. Dès lors, nous avons logiquement commencé à fournir des informations basées sur l’observation et à mettre en quarantaine tout ce qui provenait de la version officielle et des articles scientifiques des laboratoires pharmaceutiques eux-mêmes.

    Kla.TV : D’accord, donc la question est : quelle est votre mission, pratiquement, eh bien, vous avez répondu à cette question. Je suppose que c’est reconnaître toutes ces incohérences et ces doutes, etc. J’imagine.

    M. Delgado : À partir d’aujourd’hui, nous pouvons énoncer encore plus clairement la mission de la « Quinta Columna ». Il s’agit littéralement de sauver autant d’êtres humains que possible. Car là où ils veulent nous emmener, c’est la perte de toute forme d’identité et d’humanité intrinsèque, vers le transhumanisme ou l’extinction de l’espèce humaine, telle que nous la connaissons.

    Kla.TV : Pourquoi pensez-vous qu’il n’y a pas plus de biostatisticiens, comme vous, ou de personnes dans le monde de la recherche ? Des scientifiques qui se consacrent à ces questions, c’est-à-dire à l’analyse et à la recherche sur le sujet du vaccin, de l’épidémie, etc.

    M. Delgado : Il y en a, le problème est que ceux qui savent se taisent, et c’est un silence complice qui cause la perte d’un grand nombre de vies, et les autres se contentent de suivre le système et de travailler pour lui. Bien sûr, avec de grosses sommes d’argent sur la table, de l’argent taché de sang, pour le dire précisément.

    Kla.TV : Eh bien, si nous revenons au début des événements, c’est-à-dire à tout ce que nous avons vécu de la soi-disant pandémie. Comment pourrait-on mieux expliquer, ou présenter ainsi à travers les médias officiels, ce qui nous a été dit, ou ce qui ne nous a PAS été dit, dans ce sens ?

    M. Delgado : On nous a dit que tout était la conséquence d’un coronavirus inexistant et qu’il s’agissait donc d’une pandémie, alors que la réalité est évidente : il s’agit d’un génocide par l’introduction d’un composé chimique toxique à l’intérieur de l’organisme. Par conséquent, si nous introduisons un composé chimique qui a une capacité radio modulable et qui agit dans le corps comme un agent pathogène, nous parlons d’un acte prémédité et conscient et bien sûr d’un génocide et pas du tout d’une pandémie. C’est pourquoi ils peuvent savoir avec une précision absolue quand une vague apparaît, la deuxième, la troisième, qu’ils appellent variants, ce qui n’est qu’une justification des morts et des maladies causées par ce qu’ils appellent des vaccins, qui logiquement ne sont pas du tout des vaccins.

    Kla.TV : D’accord. À partir de quel moment, ou plutôt, à quel moment avez-vous vraiment commencé à avoir des soupçons, ou comme on dit, à penser que quelque chose ne colle pas ? À quel moment avez-vous eu ces doutes ou avez-vous commencé à ne pas trouver de logique dans tout ce qu’on nous dit et ce que nous vivons ?

    M. Delgado : Pratiquement depuis le début. Nous avons d’abord pensé qu’il pouvait y avoir un type d’agent biologique qui ne correspondait pas à ce que l’on nous avait dit. Nous avons commencé à faire des calculs, en utilisant précisément les chiffres que les modèles épidémiologiques peuvent donner. Nous avons fait des comparaisons avec la grippe saisonnière commune et nous avons considéré les contre-mesures qui étaient prises. Et nous avions aussi le précédent de la fameuse grippe A de 2009/2010. Tout cela nous a fait soupçonner qu’il y avait une grande opération derrière tout cela : le fameux événement 201 organisé à New York le 18 octobre par la Fondation Bill et Melinda Gates, l’Université John Hopkins et le Forum Économique Mondial, et c’est très important. Tout cela était très suspect, mais surtout lorsque nous avons analysé le vaccin, c’est-à-dire lorsqu’ils ont commencé à l’injecter, nous avons constaté un effet magnétique exacerbé, d’abord dans la zone de la piqûre, puis étendu à la zone du plexus solaire supérieur et enfin à la tête, c’est-à-dire le tissu conducteur d’électricité du corps. Nous avons émis l’hypothèse qu’il s’agissait d’un dérivé du graphène sur la base de tout ce que nous savions déjà et des hypothèses ou des fortes indications qui existaient, et nous l’avons finalement prouvé par une analyse préliminaire, puis par une analyse finale que nous développerons un peu plus tard.

    Kla.TV : Nous avons donc entendu dire jusqu’à présent que le virus SRAS-CoV-2, c’est-à-dire le virus censé causer cette maladie Covid-19, n’a jamais été isolé ni séquencé. Que signifie isoler ou séquencer au sens d’un virus ?

    M. Delgado : Le séquençage et l’isolement d’un agent biologique — de type Corona viral, dans ce nouveau cas — impliqueraient de disposer de la séquence exacte de nucléotides et de la combinaison de toutes ces paires qui ne donnaient pas l’impression d’être 29 800, ou environ 30 000 paires de nucléotides. Il s’agit d’un format d’ADN, c’est-à-dire que nous n’avons pas cela. Ce que vous avez, c’est une construction virtuelle assemblée avec un algorithme informatique qui est également appelé MUSCLE, c’est-à-dire que ce sont des virus in silico [sous forme purement logicielle ou virtuelle, NDT] ou des virus chimères, c’est ainsi qu’on les appelle. Il n’existe que dans l’ordinateur. Le SRAS-CoV-2 n’existe pas dans la nature. À partir du mucus de trois patients atteints ou décédés de différents types de pneumonie précisément à Wuhan, ils ont extrait du matériel génétique et essayé de séquencer quelque chose, mais avec seulement une amorce initiale, à partir de laquelle ils ont extrapolé. Ils n’ont pas besoin de le faire [ils pensent qu’ils n’ont pas besoin de séquencer une chaîne complète de nucléotides, NDT], ils ont des logiciels ! [qui sont supposés permettre de reconstituer la chaîne complète du supposé virus à partir de l’amorce et de multiples bouts de chaînes dont en réalité on ne peut certifier l’origine génétique, NDT.] Mais pas seulement pour cet agent biologique, mais aussi pour tous les autres qui l’ont précédé. Il n’y a donc pas de véritable connaissance en matière de séquençage de la nature du SRAS-CoV-2. Personne ne l’a [le virus et/ou son séquençage d’un seul tenant, NDT]. S’ils l’avaient eu, ils auraient soi-disant fabriqué un vaccin traditionnel atténuant l’agent. Il n’existe pas non plus de laboratoire capable de le cultiver, alors qu’il y a déjà environ 180 institutions dans le monde : ministère de la Santé, institutions universitaires de toutes sortes, etc. dont aucune ne dispose du séquençage [réel] du SRAS-CoV-2. Néanmoins, elles nous parlent de variants et de sous-variants.

    Kla.TV : Exactement, donc à un moment donné de l’histoire, pour autant que nous le sachions, y a-t-il eu un séquençage d’un virus ? D’une manière générale, savons-nous que certains virus, je ne sais pas, Ebola ?…

    M. Delgado : Il est possible qu’il y en ait un, Angel, il est possible qu’il y ait un véritable séquençage d’un agent biologique [mais jusqu’à présent, aucun institut n’a pu apporter la preuve de l’isolation et du séquençage intégral d’un seul tenant d’un supposé virus, alors que l’on a pu scientifiquement isoler et caractériser des exosomes produits naturellement par des cellules agressées, et d’aspect similaire aux supposés virus pathogènes vus par microscopie électronique, NDT]. Car désormais, nous devons également nous demander si ce que nous appelons virus est la conséquence ou la cause [en tant que supposés agents contagieux (cause) envahissant le corps d’un hôte (effet), puis se propageant à un autre (cause) pour le rendre à son tour malade (effet), etc., NDT] de maladies et non le produit de celles-ci [en tant qu’exosomes résultant de l’agression de cellules par des causes supérieures telles que des toxines chimiques ou des ondes électromagnétiques, NDT]. Il est probable que la virologie actuelle doive littéralement être déchiquetée et jetée à la poubelle. Nous avons amené tout le monde à croire — en fonction des intérêts pharmaceutiques, d’abord la Fondation Rockefeller et maintenant la Fondation Bill et Melinda Gates, qui prend le relais — que ce que nous appelons virus ou agents viraux sont la cause de maladies, alors qu’ils en sont très probablement la conséquence. Et la maladie est causée par des phénomènes de radiation, d’intoxication, etc. comme c’est le cas que nous allons voir maintenant avec ce qu’ils appellent Covid-19.

    Kla.TV : Dès lors, nous devrions, comme on dit, prendre avec des pincettes le fait qu’il existe peut-être un virus de la grippe, de la variole, de la rougeole, du sida, d’Ebola, etc., selon ce que vous mentionnez.

    M. Delgado : Et il n’y a pas non plus de contagion en tant que telle, et il n’a jamais été démontré non plus qu’une personne soi-disant infectée par la grippe puisse contracter ou transmettre la maladie à une autre personne par voie aérienne, car il a été démontré que l’information voyage, l’information génétique, mais comme messager d’alerte, c’est-à-dire ce que nous appelons le Coronavirus — ces types d’agents viraux, sont probablement des messages d’alerte inter-espèces pour alerter qu’il existe un phénomène tel que les radiations qui affecte tout le monde. [NDT Ici, il s’agit sans doute de l’hypothèse du rôle messager de certains exosomes, mais surtout un messager intracorporel pour avertir les autres cellules du corps. Il resterait à démontrer que les exosomes produits par un organisme donné peuvent réellement pénétrer dans un autre corps biologique. Cependant, il a été scientifiquement démontré que les cellules ou les tissus vivants peuvent communiquer de l’information biologique entre individus d’une même espèce par le biais d’ondes électromagnétiques dans les gammes de fréquences visibles et ultra-violettes sous forme de biophotons. Voir Communication entre organismes vivants par biophotons.] Le virus synthétise alors une protéine qui va protéger l’individu, non pas pour le tuer, mais pour le protéger. [NDT Alors que la nature abonde en exemples de collaborations symbiotiques entre diverses espèces, par exemple entre arbres, champignons et bactéries, la vision pasteurienne et de l’industrie pharmaceutique voudrait nous faire croire que les bactéries et surtout les virus ont été essentiellement créés pour nuire aux plantes, aux animaux et aux êtres humains.]

    Kla.TV : Préparer l’organisme, le corps humain à réagir d’une certaine manière ou sous une certaine forme.

    M. Delgado : Exactement, mais ce qui le tue ou le rend malade, ce sont les radiations. Il est probable que la grippe commune soit saisonnière, il s’agit probablement d’une sorte de rayonnement solaire naturel, par exemple : typique des hivers.

    Kla.TV : Nous posons la question automatiquement, par exemple dans les vaccins qui nous ont été administrés depuis des générations. Qu’est-ce qui a vraiment été donné à l’être humain, si toutes ces causes virales n’ont vraiment aucune justification ou n’existent pas en tant que telles ?

    M. Delgado : Je vais vous répondre très rapidement : le mercure sous forme de thimérosal, qui a augmenté la prolifération d’enfants souffrant de troubles nerveux. L’aluminium, c’est précisément à cela que le corps réagit de manière allergique, et non à aucun virus atténué, responsable d’une épidémie d’autisme depuis précisément le moment où il a commencé à être injecté. Dans les vaccins traditionnels dont nous parlons, il existe des solvants qui sont censés dissoudre la membrane lipidique cellulaire, de sorte que le vaccin a davantage d’importance en tant qu’adjuvant. C’est ce qu’ils nous disent. Détergents tels que polysorbate 80 et tritoniqui 100 ; c’est ce qui a été introduit dans les vaccins traditionnels, mais maintenant il existe ce qu’ils appellent la technologie de l’ARN messager, il n’y a pas d’ARN messager du tout, la seule chose qui existe est la microtechnologie et le graphène. Le graphène est une autre matière particulièrement toxique à l’intérieur du corps, qui s’ajoute à toute cette opération machiavélique qui dure depuis longtemps.

    Kla.TV : OK, en parlant de cet agent toxique, l’oxyde de graphène comme vous le dites. Que provoque exactement l’oxyde de graphène dans l’organisme humain ?

    M. Delgado : L’oxyde de graphène — la première chose que nous devons comprendre est que lorsqu’il est à l’intérieur du corps en contact avec des cellules vivantes, il a un comportement magnétique exponentiel, c’est pourquoi « La Quinta Columna » a envoyé un message lorsque nous avons vu de nombreux cas autour de nous, le phénomène typique où les cuillères et les objets métalliques se collent directement dans la zone de la piqûre et ensuite, comme je l’ai dit, dans la zone de la poitrine et de la tête, mais il était également mesurable et l’est encore avec des appareils de mesure électromagnétique comme celui-ci. Nous savons donc que le graphène renforce le signal des antennes téléphoniques en gigahertz et, grâce à l’effet transistor, le convertit ou le transfère en térahertz, ce qui permet précisément à la microtechnologie présente à l’intérieur du vaccin de fonctionner. Le graphène dans le corps entier active la coagulation sanguine, il est utilisé dans le format, pour réduire les plaquettes, pour activer la coagulation et a donc un effet thrombocytopénique. Toutes sortes de maladies apparaissent à la suite de thrombus générés par la coagulation du graphène, et c’est le cas, parce qu’il renforce les dommages causés par les radiations. Les radiations génèrent déjà l’effet de bobine, en empilant les globules rouges, les érythrocytes. Si le graphène renforce cet effet, il y aura un effet cumulatif de coagulation. Conséquence : accidents vasculaires cérébraux, embolies, toutes sortes de phénomènes d’accidents cardiovasculaires et cérébrovasculaires, embolies également là où il y a un manque d’apport sanguin. Mais le graphène est également mutagène à l’intérieur du corps, il a la capacité de moduler les gènes, il génère la mutagenèse, l’altération chromosomique et le cancer. Il est également à l’origine de l’infertilité masculine et féminine. Dans le sperme masculin, il affecte la motilité des spermatozoïdes et entraîne la stérilité de la quasi-totalité de la population. La neurodégénérescence également et, bien sûr, le cancer. Mais aussi des arythmies cardiaques parce que c’est un matériau super conducteur et qu’il va se loger dans cette ligne où l’on provoque précisément le magnétisme, c’est-à-dire le système nerveux central, formé par la moelle épinière et les neurones. Dans la tête, comme je l’ai dit : neurodégénérescence. Il a d’autres capacités dont le but final que nous verrons plus tard. Et dans le cœur, lorsqu’il entre en activité électrique en raison de l’activité cardiaque, le graphène sera dirigé là, agissant comme un super conducteur, ce qu’il est. Tout le monde connaît donc déjà les batteries au graphène. Le graphène est également un condensateur d’énergie : il stocke l’énergie qu’il reçoit de son environnement, en particulier des antennes téléphoniques. Il reçoit cette énergie et peut la décharger. S’il génère des décharges dans le cœur, il rompt le rythme cardiaque, provoquant un évanouissement dû à un manque d’irrigation cérébrale et, par conséquent, un effondrement, une syncope, un évanouissement, une arythmie avec une mort soudaine et abrupte, ce que nous constatons également aujourd’hui. Et j’oublie l’essentiel : à moyen terme, le graphène est dépendant des radiations, c’est-à-dire qu’il absorbe les radiations des micro-ondes et multiplie à la fois la fréquence et les dommages. Dès qu’il pénètre dans le corps, il commence à libérer des radicaux libres. Le moment venu, il dépassera un certain seuil du système immunitaire et générera ce que l’on appelle une tempête de cytokines, la fameuse tempête de cytokines. À l’intérieur du corps, comme il s’agit d’un toxique, le système immunitaire répond par une inflammation pour essayer d’empêcher la prolifération du toxique. Il s’agit donc d’une inflammation systémique ou multi-organes. La tempête de cytokines est éliminée par les poumons. Dieu merci, le corps humain a la capacité de l’éliminer, mais une fois irradiée dans les poumons, elle génère une pneumonie bilatérale. Nous avons donc déjà une Covid-19 sévère. La vraie Covid.

    Kla.TV : Puisque nous parlons d’un syndrome d’irradiation aiguë, d’après certains programmes que je vous ai entendus dire, il n’y a pas de législation au niveau de chaque pays sur la quantité d’émissions autorisées, ou sur les antennes : combien sont autorisées à être émises pour qu’elles n’affectent pas les êtres humains, la santé humaine. Savez-vous quelque chose à ce sujet ? Je veux dire, parce que bien sûr nous parlions il y a des années des antennes 2G, 3G, 3G+, 4G, mais à un moment donné j’imagine que ce rayonnement est collecté de manière à ce que nous puissions savoir s’il est nocif ou non. Jusqu’à quelle limite pouvons-nous dire qu’elles sont nocives et qui peut nous protéger de ces radiations ? Officiellement, à qui devrions-nous nous adresser ?

    M. Delgado : En théorie, auprès des organisations du comité des radiofréquences, dans notre pays, par exemple en Espagne, ou auprès du Conseil de l’environnement. Les valeurs qui causent des dommages dépassent même 500 à 1000 fois celles qui sont autorisées dans notre pays. Les chiffres changent ou varient légèrement d’un pays à l’autre au sein de l’Union européenne, mais même ainsi, ceux qui sont déjà considérés comme permissifs dépassent de loin ceux qui affectent la biologie humaine. Par exemple, j’ai ici en ce moment, si vous regardez l’écran, je ne sais pas si vous voyez quelque chose… eh bien, les volts par mètre ou en microwatts par cm² sont de 13, à l’intérieur de la maison il faudrait que ce soit 0,1, c’est-à-dire que nous parlons de 130 fois plus. Bien que nous ayons placé un tissu antiradiation sur cette fenêtre et de l’autre côté de l’arrière, je veux dire que c’est de la folie. Ils ont transformé le monde en une soupe électromagnétique. Si nous introduisons également dans le corps un matériau qui augmente le rayonnement de trois magnitudes d’onde, qui convertit les gigahertz des antennes téléphoniques en térahertz, ce qui est précisément là où la microtechnologie que nous avons également trouvée dans le vaccin fonctionne, alors vous avez un syndrome d’irradiation aiguë. C’est pourquoi la symptomatologie et le tableau clinique du syndrome d’irradiation aiguë correspondent exactement au syndrome de Covid. Le syndrome d’irradiation chronique, conséquence de l’irradiation constante de la personne ou de l’individu, est appelé Covid long — Covid long ou Covid persistant.

    Kla.TV : En parlant de radiations et de virus, comment expliqueriez-vous l’événement de 1918 ou 19, je pense, de la fameuse ou de la soi-disant grippe espagnole ? Je veux dire, que s’est-il passé là ? Parce que si nous regardons parfois ainsi, dans les livres d’histoire, nous voyons des gens protégés, avec des masques, etc. Et que s’est-il passé, que s’est-il passé exactement là ?

    M. Delgado : C’est à ce moment-là que les premières ondes radio du spectre électromagnétique ont commencé à être émises globalement et massivement vers la biologie humaine pour la première fois. La première modification globale du terrain de l’être humain a eu lieu, en fait, elle a commencé précisément dans des casernes militaires aux États-Unis, qui étaient le foyer de l’épidémie supposée de ce qu’ils appelaient le virus H1N1 de la grippe espagnole, ou la variante de l’époque. C’est là que tout a commencé. Chaque fois qu’il y a eu un bond technologique avec une nouvelle émission de rayonnement micro-ondes, dans ce cas déjà, nous avons eu une épidémie ou ce que l’on a appelé une pandémie. La pandémie de Hong Kong était liée à la pandémie de 1958, qui comportait également une nouvelle émission de radiofréquences. La 4G a coïncidé, la 4G+ a coïncidé avec la grippe de 2018. Je me souviens qu’en 2018, le Covid-19 est déjà apparu, au cas où vous ne le sauriez pas, des pneumonies bilatérales sont apparues, des inflammations sur tout le corps. Encore plus qu’en 2020. En 2018, ils ont déjà introduit dans le vaccin antigrippal, selon toute probabilité, ce matériau radiomodulable et l’irradiation subséquente avec la 4G+. Ils ont constaté que cela fonctionnait, donc la campagne suivante, la campagne 2019-2020, ils ont globalement introduit chez les personnes âgées dans les maisons de retraite, dans le vaccin contre la grippe, l’oxyde de graphène réduit, et c’est ce que le Dr Campra a trouvé par la suite.

    Kla.TV : Alors, parlons encore de la question de la grippe espagnole, de cet événement très célèbre. C’est arrivé et il n’y avait pas de vaccins, il n’y avait absolument rien dans ce sens. Que se passe-t-il pour que l’être humain ait la capacité de s’adapter à cela ? Et pourquoi tout d’un coup, après qu’un nombre effarant de personnes soient mortes soi-disant à cause de la fameuse grippe, que s’est-il passé là, c’est-à-dire comment les êtres humains ont-ils pu s’adapter ? Parce que les antennes émettaient toujours, je comprends. C’est-à-dire que notre capacité d’adaptation nécessite un certain temps chez la plupart des gens, mais bien sûr, comment pourrait-on mieux expliquer cela ? C’est-à-dire que chaque fois qu’une nouvelle radiation arrive, un élargissement du spectre se produit, à partir de ce moment-là, nous avons davantage de possibilités de tomber malade ou de ne pas nous adapter et peut-être que seuls certains sont capables de faire face à cette nouvelle exposition, pour ainsi dire.

    M. Delgado : Simplement, lorsqu’il y a une nouvelle altération de l’environnement, certains survivent, résistent et d’autres meurent, comme dans la nature. Sauf que cela ne correspond pas à la nature, c’est une nouvelle altération artificielle de l’environnement. Il y a une… dans le concept d’épigénétique une adaptation par la modulation rapide des gènes, ce qui est fait précisément c’est d’aller à l’endroit de ce que l’on appelle à tort virus ou Coronavirus, qui n’est qu’une réadaptation de notre ADN par une synthèse protéique lorsqu’il est soumis ou irradié, dans ce cas avec une nouvelle longueur d’onde qui n’est pas de la trame normale — solaire naturelle par exemple.

    Kla.TV : Alors ce nouveau rayonnement, la 5 G, en quoi est-il clairement différent de la 2 G ou de la 3 G jusqu’à présent, c’est-à-dire que sommes-nous… quelle est l’ampleur ou de quoi parlons-nous en comparaison ?

    M. Delgado : Eh bien, en tout, il n’y a absolument aucune comparaison possible. Depuis la 4 G+ et surtout la 5 G, outre le fait que c’est infiniment plus d’électricité ambiante artificielle, infiniment plus de millions d’antennes placées partout dans le monde, il y a un nombre exponentiel élevé de Volts par mètre qui traversent la biologie humaine, le règne végétal et tous les êtres vivants en général. Nous voyons également des oiseaux tomber lorsqu’ils changent de fréquence. Surtout, ils tombent fondus, et même certaines antennes téléphoniques brûlent à cause des radiations qu’elles émettent. On parle aussi de micro-ondes, mais avec beaucoup plus de force et aussi en format AX. C’est-à-dire qu’il s’agit d’un faisceau. La 5G est scalaire et millimétrique, elle envoie un faisceau directement à la personne qui se connecte ou qui a un smartphone. Mais ce n’était pas seulement pour le téléphone, c’était aussi pour les gens, d’après ce que nous savons maintenant.

    Kla.TV : Mais ce faisceau, disons, dont vous parlez, auquel vous faites référence, signifie qu’il n’émet pas toujours. Je veux dire, ce que j’ai du mal à comprendre, c’est qu’une antenne normalement, si elle est en fonctionnement, est censée émettre en permanence et si elle est au niveau de la 5 G, eh bien évidemment, elle émettrait en permanence, mais vous me dites que ce n’est peut-être pas son but, de ne pas émettre en permanence, mais d’émettre seulement à un certain moment de la journée, de l’heure, je ne sais pas. C’est ce que je n’ai pas…

    M. Delgado : Il émet, il émet toujours dans un format vectoriel à gradient directionnel, c’est-à-dire qu’il y a un courant qui vous traverse constamment, mais s’il y a une exigence d’un certain type d’appareil électronique qui est connecté à cette fréquence, parce que c’est un objet intelligent, par exemple une couche qui va… une couche intelligente va nous dire quand elle est mouillée ou non, selon que l’enfant a fait ses besoins ou non. Dans ce cas, la couche reçoit un faisceau pour exiger cette information automatiquement ou à la demande de l’utilisateur et, bien sûr, ce faisceau est une impulsion électromagnétique, ce qui est peut-être la chose la plus dangereuse. Les changements brusques sont les plus dommageables. Ainsi, une personne entre dans un supermarché avec un niveau de radiation, entre à l’intérieur, est protégée par les murs. C’est pourquoi nous observons de nombreux évanouissements et syncopes à la sortie des supermarchés, où il y a également beaucoup de radiations.

    Kla.TV : Nous parlerions donc d’une dose, pour lui donner un nom, que nous recevions une quantité de dose supérieure à ce qui est sain, à quoi le corps humain pourrait s’adapter. Nous pourrions le dire ainsi.

    M. Delgado : Exactement. Les doses mesurées en millisievert, c’est-à-dire que les rayonnements causent des dommages, soit sous forme d’impulsion, soit à moyen terme, parce qu’ils absorbent la dose de rayonnement qui s’accumule dans les tissus. C’est ce qui finit par générer le cancer, qui prolifère. C’est ce qui finit par générer, ensuite, tout type de… Tous les dommages causés par les radiations sont précisément ce qui a été décrit comme le Covid 19, et ses variantes respectives, parce qu’il s’agit d’un syndrome d’irradiation aiguë. Lorsque nous avons vu les études officielles, qui comparaient le syndrome d’irradiation aiguë avec le Covid-19, le problème est qu’elles ne l’ont pas considéré comme un agent causal, comme la véritable cause, parce qu’elles ne sont pas conscientes, ou elles [les études, NDT] n’étaient pas conscientes que ce dérivé du graphène, l’oxyde de graphène réduit, est introduit, ce qui augmente les dommages causés par les radiations. Même s’il les rapproche des rayonnements Cherenkov, c’est-à-dire qu’il les multiplie par mille, le graphène augmente les dommages causés par les rayonnements. Et tout ce que je dis, ce sont des articles scientifiques que j’ai recueillis ; même le projet CORDIS de l’Union européenne, et nous pourrons continuer plus tard.

    Kla.TV : Alors, euh, Wuhan, juste pour revenir un peu en arrière, quand toute cette histoire macabre a-t-elle commencé, pour ainsi dire, est-ce là que le rayonnement 5G a été pratiquement émis pour la première fois ?

    M. Delgado : Exactement en novembre, fin novembre 2019, à Wuhan, a coïncidé l’apparition de ce qu’ils ont appelé un virus corona inexistant, en raison de ce que nous avons dit dans l’introduction, avec juste la mise en œuvre de la technologie 5G dans une ville de 11 millions d’habitants, dans le temps et l’espace, qui était Wuhan. Dites-moi quelle est la probabilité que la prétendue épidémie de coronavirus apparaisse à Wuhan, au moment et à l’endroit où cette technologie a été mise en œuvre pour la première fois, avant la vaccination contre la grippe de tous les Chinois, hein ; il faut aussi dire que dans le vaccin contre la grippe, il y avait déjà ce matériau, l’oxyde de graphène, qui est également mentionné dans les brevets.

    Kla.TV : OK, très intéressant ce que vous venez de dire, ou très inquiétant, comment mieux le dire ? Euh, nous avons entendu parler de l’analyse du Dr Campra, dans laquelle de l’oxyde de graphène a été trouvé. Comment et pour quelles raisons la recherche sur les ingrédients des différents vaccins a-t-elle commencé, c’est-à-dire, quelle en était la raison exactement ?

    M. Delgado : Eh bien, le Dr Sevillano, qui est un élément important de la Quinta Columna et qui nous accompagne tous les soirs dans les émissions en direct, a déclaré : « quand ils commenceront à injecter les gens, nous réaliserons vraiment ce qui se passe ». Jusque-là, nous savions que des personnes tombaient à proximité des antennes téléphoniques ; en effet, 8 antennes sur 10 ont été placées dans les maisons de retraite, on comprend maintenant pourquoi. Nous sommes allés jusqu’à estimer la mortalité des EHPAD. Un autre cofacteur était le vaccin contre la grippe. Il y a eu certains rapports, comme celui de Barbastro, une région ici à Teruel en Espagne, et nous avions enregistré que, euh, ceux qui n’étaient pas vaccinés contre la grippe, pratiquement tous avaient survécu. Et chez ceux qui ont été vaccinés contre la grippe, il y a eu une mortalité très élevée liée au Covid-19 ; et la morbidité due à la maladie également. Il y avait des maisons où 80 personnes âgées sont mortes en 4 heures. Aucun agent biologique ne peut faire cela, pas même Ebola. Mais les radiations…

    Kla.TV : La simultanéité, disons. Cela s’appelle la simultanéité, je ne sais pas… En même temps, il est difficile de penser que ce soit un agent infectieux, que certains expliquent comme la version officielle, qui puisse provoquer une telle chose dans un tel groupe.

    M. Delgado : Ce n’est pas comme cela que nous voyons les choses, avec les médecins et les travailleurs de la santé qui ont vu la situation ; beaucoup d’entre eux sont déjà d’accord avec la thèse de la Quinta Columna. Je dis bien, avec la thèse, pas avec l’hypothèse. Mais lorsqu’ils ont commencé les injections et que le phénomène magnétique s’est aggravé, nous nous sommes rendu compte que ce matériau était magnétique, qu’il était conducteur, supraconducteur et qu’il était un condensateur énergétique. De plus, il dégageait des différences de potentiel, une tension importante dans la tête des personnes inoculées, notamment avec mes parents, j’ai pu faire l’expérience et avec un multimètre, des courants alternatifs jusqu’à 0,3 et 0,4 Volt sont arrivés. C’était fou. Ils pouvaient même allumer une petite LED. Ensuite, on a cherché quels matériaux : il y en avait aussi un qui était candidat, c’était une merveille, c’était le matériau miracle, c’était le graphène, c’était à la mode, c’était magnétique à l’intérieur du corps, c’était un supraconducteur, c’était un condensateur d’énergie : il était utilisé pour les futures batteries et il avait aussi des applications biomédicales dans le domaine des neurosciences qui est l’objet de ce fameux transhumanisme qui est venu après. Nous avons reçu un flacon de Pfizer, par l’intermédiaire de Rafa Navarro, un policier d’Alicante, nous étions à un stade intermédiaire bien sûr, nous avons fait appel à quelques universités et le Dr Campra, professeur à l’université d’Almeria, le Dr Campra à Madrid, pas seulement en sciences chimiques et diplômé en sciences biologiques, s’est chargé de l’enquête. Nous lui avons dit : cherchez comme hypothèse — suspicion — un dérivé du graphène dans l’échantillon et en effet, une semaine plus tard, bien qu’il ait d’abord douté de la présence de ce matériau, il nous a dit : « Félicitations ! C’est probable. Il est très probable qu’il y ait des preuves sérieuses de la présence d’un dérivé du graphène dans l’échantillon, d’après le rapport préliminaire qui comprenait une analyse microscopique jostique, une analyse par microscopie électronique TEM, S-TEM et une compatibilité avec les séquences de lumière ultra-violette. » Mais ce n’est que 4 mois plus tard, lorsque non plus un seul flacon de Pfizer mais 7 flacons, provenant maintenant de 4 marques différentes : Pfizer, Astra Zeneca, Moderna et Janssen, qui sont les plus commerciales dans notre pays, ont été soumis à une technique Micro Raman qui donnait déjà les pics caractéristiques de tous les matériaux d’un point de vue physique. L’oxyde de graphène réduit est apparu sans équivoque et de manière concluante.

    Kla.TV : Dans tous les échantillons de différentes marques ?

    M. Delgado : Dans chacun d’eux. Dans chacun d’eux. Cette matière est assez abondante dans le corps, mais qui plus est, voici la partie inquiétante. Le graphène a expliqué ce qu’ils ont appelé le syndrome Covid et toutes les morts immédiates et subites auxquelles nous assistons, en dehors de tous les cas de cancer de nos jours. Mais le graphène lié au domaine des neurosciences est utilisé, avons-nous dit, pour convertir le signal Gigahertz en Terahertz. L’effet secondaire : le syndrome Covid, d’accord. Mais ces Tera-Hertz sont utilisés pour les micro et nanotechnologies afin qu’ils puissent fonctionner, c’est-à-dire à l’échelle nanométrique et micrométrique, à cette très petite échelle, ces appareils dans le domaine des nanocommunications et des réseaux intra-corporels ne peuvent que travailler dans le groupe Terahertz. C’est pourquoi ils ont introduit l’oxyde de graphène dans tout le corps.

    Kla.TV : La batterie, l’énergie nécessaire au fonctionnement de cette nanotechnologie.

    M. Delgado : En effet, même si cette énergie a généré la mort de millions de personnes et une épidémie qu’ils ont qualifiée ou présentée comme un coronavirus, ce n’est qu’un écran de fumée pour continuer à tromper les gens.

    Kla.TV : Cela soulève une question Ricardo, excusez-moi. Les gens qui n’ont pas été vaccinés, nous n’allons pas appeler cela un vaccin, évidemment. Ils n’ont pas été vaccinés, ni injectés, ni graphénés, mais ils ont quand même contracté le Covid, comment expliquez-vous cela ?

    M. Delgado : Il faut faire une parenthèse. Lorsque nous parlons de Covid, nous parlons d’inflammations dans tout le corps. Le véritable Covid est : inflammations dans tout le corps, dyspnée — difficulté à respirer, parce que vous avez des niveaux de saturation bien inférieurs à la normale —, pneumonie bilatérale et tempête de cytokines. C’est à peu près tout. Tout le reste, il y a des preuves, mais tout le reste n’est pas un test PCR positif, un autre outil qui a été utilisé pour poursuivre cette tromperie massive en faisant croire que tout est positif.

    Kla.TV : Oui, il semble que tout ait donné un résultat positif pour le Covid, y compris la grippe — il semble que nous n’ayons pas entendu parler de cas de personnes qui avaient seulement la grippe.

    M. Delgado : Cela faisait longtemps que nous ne pouvions plus croire ce qui venait des médias, ni les chiffres, ni les statistiques, probablement tous manipulés. 47 000 euros ont été payés ici par admission, et par décès Covid dans les hôpitaux. On a donc essayé de rendre positifs les patients atteints de pneumonie, jusqu’à 15 et 16 PCR. Finalement, ils ont opté pour l’eau du robinet, ce qui leur a permis d’obtenir très facilement leur précieux résultat positif. Il y a aussi le test de l’antigène. Le test de l’antigène déclenche l’immunoglobuline ; nous pourrions dire qu’il est plus proche de la réalité, mais le fait est que le graphène déclenche les immunoglobulines à l’intérieur du corps. Ce qu’ils font, c’est que si vous introduisez de la ciguë, ou n’importe quel toxique, les anticorps neutralisants vont agir comme s’il s’agissait d’un agent biologique pathogène, alors qu’il s’agit d’un composé chimique toxique. Ainsi, les immunoglobulines sont déclenchées, les anticorps neutralisants apparaissent et vous disent que le vaccin fonctionne. Bien sûr, lorsque le corps parvient à l’éliminer, au bout de quelques mois, on vous dit : vous n’avez plus d’anticorps, vous devez recevoir la deuxième dose, ou la troisième, ou la quatrième, etc.

    Kla.TV : C’est-à-dire que le graphène se dégrade d’une manière ou d’une autre, puis retourne à la charge, afin que cette énergie puisse continuer à s’accumuler dans l’organisme.

    M. Delgado : En effet. En fait, la seule façon de se soustraire aux doses est de finir aux soins intensifs de l’hôpital ou au cimetière, ce qui est malheureusement le cas d’innombrables parents, très proches d’ailleurs, qui n’ont pas voulu croire, disent-ils, mais ce n’est pas une question de croyance. Nous avons déjà démontré et prouvé tout ce qui se trouve à l’intérieur des vaccins. De plus, le graphène n’a pas seulement été injecté, rappelez-vous que tous les éléments de la prétendue protection ou prévention de la maladie contenaient du graphène. Les masques contenaient du graphène et ont été rappelés. Le FPP2 en contient encore. Et les autres en contiennent également, parce qu’ils disent qu’ils les mettent au point de manière à ce qu’ils ne soient pas contaminés une fois jetés. Les hydrogels alcooliques, avec lesquels les enfants se lavaient compulsivement les mains, contiennent également des dispersions d’oxyde de graphène. Les tests PCR sont fabriqués par Nanographic, une entreprise qui commercialise et produit du graphène. Il en va de même pour les tests antigéniques. En d’autres termes, cela a été introduit partout, et aussi par inhalation. Il y a des gens qui ont présenté le phénomène magnétique dans la poitrine, parce qu’ils n’avaient pas été vaccinés, et nous ne doutons pas qu’ils ont également été fumigés. Il existe des brevets pour la dispersion d’oxyde de graphène dans des biocides, eh, des fongicides, dans des produits phytosanitaires, des pesticides, et pour améliorer la combustion du kérosène liquide brûlé dans les avions. Donc, ils l’ont probablement fumigé…

    Kla.TV : Je veux dire, à travers ces traînées qu’on voit parfois dans le ciel, euh, qu’on ne sait pas, on pense que c’est de l’évaporation, etc. Mais en fait, bien sûr, quand elles persistent, ça semble être pour une période plus longue et, à partir de ce moment-là, il faut évidemment se méfier.

    M. Delgado : Bien sûr. En fait, il ne s’agit pas de traînées de condensation de vapeur d’eau normales pour l’aviation, qui disparaissent immédiatement. Elles durent jusqu’au lendemain, et tout ce matériel, ainsi que les métaux lourds, génèrent également des pneumopathies, tombent au sol et s’intègrent aux poumons des patients en service.

    Kla.TV : Eh bien, Ricardo, qu’en est-il des autres vaccins prévus au calendrier, peut-on leur faire confiance ? En général ? Ou ?

    M. Delgado : Non. Depuis 2018, avec l’introduction de cette technologie, nous avons découvert qu’elle n’affecte pas seulement le vaccin Covid, nous avons déjà examiné le vaccin contre la grippe également. Hier, ils nous ont envoyé un document sanitaire contenant davantage d’images, et ces objets ressemblant à du graphène, non caractérisés dans ce cas, oui dans les vaccins Covid, mais nous avons la caractérisation des vaccins Covid, et une fois que nous connaissons l’image, le relief que le graphène forme, comment il se replie sur lui-même, il est très probable qu’il soit dans le calendrier régulier des vaccins, parce que, en outre, le phénomène magnétique est observé après la piqûre, dans le vaccin pour les enfants également. Le vaccin antipneumococcique, Pneumovax, je crois qu’il s’appelle, Prevenar 13, Vaxigrip, qui est un vaccin antigrippal, tous ces vaccins contiennent également du graphène. Il s’agit probablement d’une nanotechnologie appliquée aux flacons. Ainsi, de 2018 à aujourd’hui, le conseil, ou la recommandation de la Quinta Columna, est que personne n’injecte absolument rien.

    Kla.TV : D’accord. Ces personnes qui se sont conformées, eh bien, aux deux premiers vaccins, puis aux rappels ; et ils ont encore des doutes, je ne sais pas s’ils ont pris les trois vaccins, ou s’ils vont continuer à se faire vacciner, que diriez-vous à ces gens ?

    M. Delgado : Eh bien, ils ont eu beaucoup de chance. En effet, pas plus tard que la semaine dernière, je parlais à quelqu’un qui me disait qu’il avait reçu deux doses, l’une de Pfizer et l’autre de Moderna, et qu’il était en vie. Avant-hier, nous sommes revenus des funérailles de cette personne. Mort subite et immédiate, 36 ans. Un autre, un autre cas, 34 ans, un garçon, cancer fulminant. N’oublions pas que le graphène augmente les dommages causés par les radiations, et que l’un des effets des radiations est le cancer. Ils arrivent en feu. Il peut arriver qu’une personne reçoive trois doses et qu’il ne lui arrive absolument rien parce qu’elle vit dans un environnement où elle n’a pas accumulé de radiations ; par conséquent, elle ne va pas absorber ces radiations. C’est l’arme parfaite pour tuer. Cependant, une personne ayant reçu une seule dose, et qui reçoit l’impact des radiations parce qu’elle a une antenne téléphonique, et que le temps d’exposition, disons, est très élevé, développera très probablement soit une mort subite à la suite de la décharge de graphène dans le cœur, soit une myocardite péricardique, lorsqu’elle enflamme ce tissu, soit une mort subite, également, en raison de la même conséquence. Ou le fameux poumon Covid, euh, à moyen terme ; surtout, quand il commence à l’éliminer par le poumon. Au bout d’un mois et demi, ce matériel commence à être éliminé par les poumons, certaines enzymes entrent en jeu, comme la myéloperoxydase, qui essaient de le dégrader, mais comme il a été irradié alors qu’il est dans les poumons, il génère des inflammations pulmonaires qui ont été appelées « pneumonie bilatérale ».

    Kla.TV : C’est-à-dire que ces personnes, euh, eh bien, avec la deuxième et la troisième [dose], eh bien, ce qu’elles font vraiment, c’est accumuler des radiations, et il arrive un moment où, si elles sont dans un foyer très aigu, très fort, très intense, disons, de cette irradiation qu’elles reçoivent, c’est à ce moment-là, j’imagine, que les problèmes commencent. Elles peuvent ne pas être en mesure de réagir à temps parce qu’il semble que cela provoque des arythmies ?

    M. Delgado : Fulminant, c’est un fulminant, oui. Faire du sport, c’est fulminant parce que, quand on fait du sport, c’est le cœur qui entre en jeu, et les impulsions électriques cardiaques sont beaucoup plus élevées, alors, comme le graphène est super conducteur, elles vont être dirigées vers là. Et une fois là, lorsque vous terminez l’activité, il génère un choc arythmique mortel ; même avec le défibrillateur, ils n’arrivent même pas à faire avancer les gens. Les jeunes de 20 à 30 ans, les athlètes, en plus. Il absorbe également, excusez-moi, il absorbe tous les types de radiations, y compris ultrasons, infrasons, etc. C’est donc la roulette russe. Il n’y a rien dans le vaccin qui permette de développer une quelconque immunité, bien au contraire, c’est juste un composé chimique toxique et une micro-technologie, pour marquer les gens, en plus.

    Kla.TV : D’accord, et à partir de là, de ces gens, comme je vous l’ai dit, les deux ou troisièmes doses, qu’ils appellent le rappel, puis celle qui a peut-être une pathologie qu’ils appellent Covid long, ça semble vouloir dire « Covid persistant », non, ou quelque chose comme ça ?

    M. Delgado : Mais c’est cela, d’un point de vue biologique, nous ne connaissions pas d’agent biologique persistant. Je veux dire, la grippe commune qui sera n’importe quel autre type de coronavirus, comme ils disent, bien que l’oxyde de graphène génère l’effet corona, ils ont probablement tiré le nom de là, ils ont dit, « disons que c’est un coronavirus ». Euh, tout autre coronavirus met fin à la vie de l’hôte ou bien l’hôte développe une immunité contre lui, un point c’est tout. Il n’y a pas de séquelles à vie. Ce qui laisse des séquelles à vie, c’est l’irradiation, et c’est un syndrome, qui devient un syndrome d’irradiation chronique, qui figure dans la littérature médico-scientifique depuis plus de 70 ans. Ce n’est pas nouveau.

    Kla.TV : Par exemple, au sein d’une même famille, il peut y avoir des membres qui ont développé ce Covid long, ou même ce Covid, disons, pour l’appeler d’une manière générale, et d’autres qui ne l’ont pas encore découvert, je suppose, je ne sais pas.

    M. Delgado : Bien sûr, cela dépend du rayonnement que vous absorbez, mais aussi de variables intrinsèques à l’individu lui-même, telles que les niveaux de glutathion. Le glutathion est un antioxydant qui agit précisément contre l’oxyde de graphène, car celui-ci génère des radicaux libres. Ainsi, s’il génère des radicaux libres, il oxydera toutes sortes de molécules, entraînant leur mort. D’autre part, le glutathion endogène (c’est pourquoi la NAC agit contre le Covid, car c’est un précurseur du glutathion) ou la vitamine D (c’est pourquoi les patients atteints de Covid ont de faibles niveaux de vitamine D), car ils épuisent leurs ressources en essayant de dégrader l’action de l’oxyde de graphène. C’est pourquoi les personnes vaccinées, ou celles qui souffrent de Covid, sont si fatiguées, parce que le corps, le système immunitaire, travaille constamment pour essayer de dégrader l’action du toxique. Ainsi, le glutathion chez les jeunes, beaucoup de glutathion, moins de glutathion en vieillissant, plus de difficultés à avoir le Covid-19. À partir de 65 ans, les niveaux de glutathion chutent, c’est pourquoi cela a affecté, je veux dire, parce que maintenant cela affecte aussi les jeunes, à partir du moment où les jeunes sont vaccinés.

    Kla.TV : Comment expliquez-vous… euh, au début de la pandémie, je me souviens que même les autopsies étaient interdites dans les hôpitaux, comment expliquez-vous le fait que c’était même accepté dans les hôpitaux, qu’on ne fasse pas d’autopsies, qu’il fallait incinérer directement ? J’ai entendu dire, je ne sais pas si c’est vrai. Puisque certains médecins, Italiens, je crois, je ne sais pas s’ils étaient du nord de l’Italie, de Milan, ont exactement contredit cette règle, qu’ont-ils découvert ? Peut-être pourriez-vous m’expliquer plus en détail.

    M. Delgado : Oui, Pascual Baco était le médecin, ou l’équipe médicale, qui a ignoré les directives et protocoles génocidaires de l’Organisation mondiale de la santé de l’époque, et qui a pratiqué des autopsies. C’est incompréhensible. La seule explication est de cacher l’arme du crime. Aujourd’hui, si une autopsie est pratiquée sur un véritable patient Covid, victime d’un syndrome d’irradiation aiguë, on trouvera, et c’est d’ailleurs déjà le cas, de l’oxyde de graphène. Nous avons également trouvé de l’oxyde de graphène dans le sang des personnes ayant reçu des injections. Des équipes allemandes l’ont confirmé, de même que nous avons vu ces images de micro-feuillets d’oxyde de graphène sur tout le corps, après la piqûre. Ensuite, nous avons eu l’occasion de parler plusieurs fois avec Pascual Vasco, ce médecin, lorsqu’ils ont sauté les autopsies, ils ont découvert que ce qu’ils appelaient Covid était un phénomène thrombotique, il coagulait le sang, mais c’est le graphène qui le fait ! Le graphène active la coagulation du sang. En fait, il est, ou est destiné à être utilisé comme traitement antiplaquettaire, n’est-ce pas ? Il provoque également une réduction des plaquettes, c’est-à-dire tout ce que l’on a dit que le vaccin faisait au départ, bien sûr, parce qu’il en contient.

    Kla.TV : Ils n’étaient pas intéressés, je suppose, à découvrir, disons, ce qu’ils faisaient, ou qu’ils appliquaient un protocole, j’imagine, euh, très faux, parce que cela semble être….

    M. Delgado : En fait, en fait, on nous a dit de ne pas utiliser l’ibuprofène, qui est un anti-inflammatoire, alors que ce que fait précisément l’ibuprofène est de prévenir l’inflammation provoquée par le Covid, comme premier prodrome de la maladie. De plus, le paracétamol est toujours administré, et le paracétamol, c’est le contraire, il est contre-indiqué, car c’est l’antidote de la N-acétylcystéine, qui fonctionnerait.

    Kla.TV : Donc, l’un est un oxydant et l’autre est un antioxydant.

    M. Delgado : Exactement. Exactement…

    Kla.TV : D’accord. Euh, à part l’oxyde de graphène, qu’a-t-on trouvé d’autre dans la composition ou les ingrédients du prétendu vaccin ?

    M. Delgado : Eh bien, le Dr Campra a commencé à identifier des modèles artificiels. Par la suite, il a produit un autre rapport. La Quinta Columna, datée du 14 janvier de l’année 2022, a produit un autre rapport avec des échantillons très, très, très clairs de ce que, euh, de microcircuits ; nous avons même identifié ces modèles en comparant avec la littérature scientifique, avec des micro-rectènes, qui sont des ponts redresseurs à diodes, qui passent le courant alternatif direct, nous nous souvenons qu’avec un multimètre [sur] la tête des inoculés, nous pouvions mesurer des courants alternatifs jusqu’à 0,3 et 0,4 volts. Mais pour que cette microtechnologie fonctionne, il faut qu’elle se fasse en courant continu ; nous avons donc découvert ces redresseurs de courant, nous avons trouvé ces formats de microantennes, également des microantennes, également un cryptage de communication Codex, des supports logiques, des micro-routeurs qui émettent des adresses MAC, c’est-à-dire que cela peut être vérifié dès à présent par n’importe qui. Toute personne vaccinée peut télécharger l’application Bluetooth scanner, par exemple, et activer le GPS, puis le Bluetooth, et elle verra que toutes les personnes vaccinées dans son environnement émettent une adresse MAC, qui ne correspond à aucun fabricant de n’importe quel appareil qu’elle a chez elle. Il s’agit donc de dire que tous les individus ont été étiquetés. Nous savons que ce qui est émis, ou ce qu’ils émettent, ce sont au moins des données biomédicales : le rythme cardiaque et l’indice glycémique du sang, au minimum. Mais ils peuvent aussi émettre des signaux vers vous, rappelez-vous que tout le monde qui a un routeur…

    Kla.TV : Donc, cela va dans les deux sens.

    M. Delgado : Exactement.
    Si vous voulez voir mes voisins, c’est toujours le cas, ou lorsque le voisin vacciné arrive, je serai toujours au téléphone ici. Je sais donc quand le voisin est là et quand il n’est pas là.

    Kla.TV : Peut-il y avoir une personne qui n’est pas vaccinée, ou au moins… OK ?

    M. Delgado : Voici ma télévision d’un côté, et tous les chiffres qui apparaissent sont des adresses MAC, des codes MAC de personnes vaccinées. On peut même cliquer sur l’un d’entre eux et connaître la distance approximative qui nous en sépare.

    Kla.TV : Ces adresses sont donc censées se trouver dans votre environnement immédiat ou dans votre quartier ? Et peut-être auriez-vous la confiance nécessaire pour leur demander s’ils ont été vaccinés efficacement.

    M. Delgado : Oui, en effet. Il s’agit d’adresses dynamiques. Elles changent toutes les 50 à 52 secondes. N’oublions pas que dans chaque dose, nous trouvons des dizaines de ces microcircuits dans une seule gouttelette et qu’avec une qualité de grossissement de 100 à 120, cela a l’air très bien. En d’autres termes, ils ont marqué tous les individus. Mais ils les ont également marqués au niveau intracorporal et intraneuronal. Et c’est ce qui est le plus dangereux. Il existe de nombreux articles scientifiques. Ils sont tous rassemblés dans la recherche de la Quinta Columna. L’oxyde de graphène traverse la barrière hématoencéphalique, une barrière qui sépare le cerveau de l’extérieur et le protège des agents pathogènes et des produits chimiques. Nous comprenons maintenant pourquoi les tests PCR passent tous par le nez, pourquoi les patchs à l’oxyde de graphène réduit pour les diabétiques qui veulent supprimer la piqûre d’aiguille et la remplacer par l’oxyde de graphène. Tout passe par la tête. Le but de toute cette opération est le contrôle comportemental dans le domaine des neurosciences de l’ensemble de la population mondiale. L’oxyde de graphène, lorsqu’il mesure moins de 45 nanomètres, traverse la barrière hématoencéphalique et s’installe dans les neurones, ce qui est très bon pour eux et présente beaucoup d’affinités parce qu’ils ont des impulsions électriques et que c’est un supraconducteur. Cet oxyde de graphène remplace le réseau neuronal naturel par un réseau neuronal artificiel. La personne est donc parasitée numériquement. Elle peut être connectée à un Cloud ou à la Meta, comme l’appelle Mark Zuckerberg, et être contrôlée par une intelligence artificielle. Cet oxyde de graphène, nous l’avons dit, est magnétique. C’est un support magnétique. Il a donc une capacité de mémoire — flash ! On peut effacer des souvenirs, enregistrer l’activité neuronale sous forme d’impulsions électriques et la contrôler sur un écran, au point de savoir ce que pense l’individu. Il est possible d’effacer des souvenirs et d’insérer des émotions, des sentiments, des pensées, en brisant la synapse neuronale, ce que fait l’oxyde de graphène. Et tout cela à distance et sans fil. En utilisant bien sûr la technologie 5 G. Nous comprenons maintenant pourquoi le président chilien Sebastián Piñeira, lorsqu’il a annoncé la 5G, a parlé d’insérer des émotions, d’insérer des pensées, en même temps qu’il proposait une loi sur les neurodroits avant la réforme constitutionnelle au Chili. Cela se fait d’ailleurs dans tous les pays. Si les gens ne sont pas conscients de ce qui se passe, je le répète : l’espèce humaine telle que nous la connaissons est en train de disparaître pour devenir un automate dirigé par l’intelligence artificielle selon les caprices de 4 ou 5 personnes au Forum de Davos. Elon Musk, Mark Zuckerberg, Klaus Schwab, etc.

    Kla.TV : C’est-à-dire qu’ils peuvent influencer nos décisions à un moment donné de notre réflexion dans le sens qu’ils souhaitent et nous incliner dans une direction ou une autre en fonction du sujet qui les intéresse, j’imagine.

    M. Delgado : Cela surprendrait-il quelqu’un s’ils essayaient vraiment de nous conditionner par le biais des médias, d’acheter telle ou telle chose, de voter pour tel ou tel président, etc. S’ils pouvaient le faire avec la technologie et s’il était nécessaire de l’injecter ? C’est ce qui se passe actuellement, alors que les gens n’en sont pas conscients. C’est un acte de trahison. Et oui, pour autant que je sache, on peut rendre l’individu ou le groupe d’individus ou la population en général plus docile, plus malléable. On peut le rendre plus dépressif, plus ductile, plus malléable, comme je l’ai dit, on peut le rendre plus agressif. On y parvient en brisant les synapses neuronales et en excitant certaines zones du cerveau qu’ils connaissent très bien. Rappelons que le Graphene Flagship, une organisation européenne depuis 2013, a dépensé deux milliards d’euros sur le graphène et un autre milliard d’euros sur la connaissance du cerveau. Toutes les universités sont présentes, pratiquement beaucoup d’entre elles en Espagne. L’Espagne est l’un des pays qui participent le plus et aussi avec la contribution du neuroscientifique « Rafael Yuste », qui a rencontré Obama en 2015 et a remis la clé du cerveau de pratiquement toute l’Humanité à l’élite psychopathe de l’Agenda 2030.

    Kla.TV : Existe-t-il également une possibilité que la nanotechnologie dont vous parlez et le graphène puissent nous être fournis par d’autres moyens que par injection ? Surtout la nanotechnologie, car même si le graphène peut se dégrader à un moment donné en fonction, comme vous le dites, du niveau de glutathion de chaque individu, il y a peut-être cette partie dont je sais qu’elle ne se dégrade pas au sein de l’organisme humain.

    M. Delgado : Les nouveaux comprimés auront très probablement aussi un support magnétique et seront probablement dotés de la nanotechnologie de l’oxyde de graphène — un nouveau comprimé en tant que nouveau traitement qui a été annoncé en 2018 — et seront probablement aussi dotés de microcircuits. Les aiguilles qui ont été éliminées chez les diabétiques qui ont vu le ciel s’ouvrir ont été remplacées par un patch d’oxyde de graphène réduit à l’intérieur de la joue. C’est-à-dire ce qui se rapproche le plus du cerveau. La majorité de la population n’est pas consciente de cette folie. C’est pourquoi nous devons réveiller tout le monde et leur faire voir ce qu’il en est. Nous constatons aujourd’hui que ceux qui se sont piqués ne le feront probablement plus parce qu’ils ont vu ce qui s’est passé autour d’eux et la symptomatologie qu’ils ont acquise, s’ils sont encore en vie pour le raconter. Mais l’orgueil, disons l’orgueil humain, le fait de ne pas reconnaître et de ne pas être honnête (ce qui, mêlé à la vertu de l’intelligence, est déjà beaucoup demander à un être humain de nos jours) fait que ces personnes se taisent et ne sont pas capables d’alerter leur entourage. C’est très triste, très triste ce que nous voyons.

    Kla.TV : Vous m’avez parlé du président du Chili, je ne me souviens pas du nom que vous m’avez donné.

    M. Delgado : Sebastian Piñeira.

    Kla.TV : Sebastian Piñeira, oui, exactement. Ils disent avoir adopté une loi sur les neuro-droits et la protection des mutants. Je ne sais pas si j’ai bien lu ? Ou alors, de quoi s’agit-il exactement ?

    M. Delgado : Si cette information était diffusée à la télévision, qui est une information publique, les gens commenceraient probablement à faire le lien avec tout ce que nous avons fait ici. Bien que nous l’ayons fait directement avec l’analyse des vaccins. Mais nous parlons de preuves et je répète que tout ce que nous disons ici est démontré et prouvé. Quiconque souhaite obtenir des preuves peut se rendre sur le site La Quinta Columna.net ou nous écouter tous les soirs sur la chaîne Telegram. Quelqu’un peut-il se demander si nos pensées et nos sentiments sont en danger ? Oui, ils le sont ! Les neurosciences et les nanotechnologies ont considérablement progressé dans le dos de la société civile. Il est désormais possible de surveiller ce que pense une personne en se basant sur les signaux qu’elle émet. Le graphène ne fait qu’amplifier ces signaux et les microcircuits les captent et les surveillent. Mais pas seulement ! Le graphène est bidirectionnel. D’une part, nous pouvons recevoir les signaux des personnes vaccinées, comme indiqué ici, mais nous pouvons également émettre des signaux à leur intention. Ces émissions de signaux, lorsqu’elles sont dans la tête, lorsque l’oxyde de graphène est installé dans les neurones, peuvent modifier le comportement des synapses neuronales de manière à faire de l’individu un automate contrôlable, à mettre au pas le cerveau d’une personne, d’un groupe ou d’une communauté entière. Tout cela est possible par la volonté d’une intelligence artificielle qui programme logiquement quelqu’un ! Et ils ont profité de l’ignorance et du manque de connaissances de 99 % de la population, y compris de la communauté médicale, pour introduire les nanotechnologies et le graphène, même si l’effet secondaire de l’introduction du graphène est de renforcer les dommages causés par les radiations qu’ils ont fait passer pour un coronavirus. Ils l’ont appelé Covid-19. C’est la chose la plus importante que l’on puisse dire à l’heure actuelle. Il n’y a pas d’information plus importante que celle que nous donnons ici. Car de cette information dépend l’avenir de toute l’espèce humaine dans toute l’histoire de l’Humanité. C’est un cauchemar pour tous ceux qui sont conscients et qui regardent dans le microscope pour vérifier par eux-mêmes. Dans quelques jours, nous aurons probablement une réunion avec plus de 100 médecins qui examineront la situation au microscope. Pouvons-nous dire si cela servira à quelque chose ? Probablement à sauver au moins ces familles, ce groupe de familles. Et de leur faire prendre conscience de ce qui se passe. Mais c’est de la folie. C’est tellement odieux, humiliant et aberrant pour l’être humain qu’on n’arrive pas à s’y faire.

    Kla.TV : Si les vaccinés faisaient une prise de sang, que trouveraient-ils ?

    M. Delgado : Si vous effectuez une analyse des D-dimères, par exemple, vous constaterez que la protéine de fibrine est impliquée dans le déclenchement de la coagulation. Le taux est très élevé, ce qui est très inquiétant. Et cela peut être fait par n’importe qui. Un test qui coûte seize euros en pharmacie. Mais si vous faites un test au microscope optique, vous trouverez ce matériau, l’oxyde de graphène, ou micro-oxyde de graphène, dans le sang.
    Par conséquent, les globules rouges, c’est-à-dire ce que l’on peut voir au microscope optique, les érythrocytes, sont pratiquement déformés, détruits, amorphes et empilés.
    N’oublions pas que le graphène renforce les radiations. Et l’un des effets du rayonnement est de générer l’effet de rouleaux, c’est-à-dire l’empilement et la coagulation du sang par l’empilement des globules rouges. Nous allons donc voir des thromboses. Cela génère des thromboses. Et si vous avez des thromboses, vous avez toutes sortes d’accidents cardio-cérébrovasculaires. Il y a des embolies cérébrales et pulmonaires, des hémorragies dues à l’obstruction d’une artère quelque part et à un saut de pression ailleurs, des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques, des ischémies, toutes sortes d’insuffisances de la circulation sanguine. C’est d’ailleurs ce que nous constatons.

    Kla.TV : À tous ceux qui ne croient pas avoir été inoculés de graphène et de nanotechnologies, que diriez-vous ?

    M. Delgado : Je comprends tout d’abord qu’il existe un principe que nous étudions également en psychologie, à savoir le principe du déni. Avant tout, chaque personne a littéralement peur, comme une partie instinctive de la survie humaine, de reconnaître qu’elle a fait une erreur. Et ce n’est pas tout, c’est une sorte de protection, sachant qu’ils ont probablement envoyé leurs parents à la mort, et aussi qu’ils ont l’intention de le faire à leurs enfants s’ils ne l’ont pas déjà fait ou s’ils ne leur apportent pas au moins beaucoup de problèmes d’après tout ce que l’on sait. Toutes ces informations, pour les démolir d’un seul coup, c’est démolir tous les fondements de la base qu’ils ont générée et créée tout au long de leurs trente, quarante ou cinquante ans. Pourquoi ? Parce qu’ils croyaient aux institutions, tout le monde, moi y compris, croyait avant aux institutions. Nous n’avions aucune raison de penser que c’était vraiment en train de se faire. Mais le doute et la suspicion nous ont fait analyser de première main et réaliser qu’il y avait eu un changement, depuis cette chose qu’ils appellent l’agenda 2030. Et lorsqu’ils parlent de développement durable de la société, ils veulent dire la maintenir en éliminant littéralement les gens. Puis en contrôlant le comportement de ceux qui restent. La quatrième révolution industrielle. Je leur dirais de regarder au microscope. Et si ce n’est pas d’ici, nous proposons à la Quinta Columna de rentrer à la maison si vous le souhaitez et d’examiner un, deux, trois, dix vaccins. Autant que vous le souhaitez. Tous ceux que nous avons examinés et qui ont été recréés en Nouvelle-Zélande, en Allemagne, au Royaume-Uni, en Argentine et au Chili ont tous la même composition !

    Kla.TV : Bien sûr, ce que j’ai du mal à croire, c’est que tant de médecins qui doivent fournir des vaccins sachant également qu’il s’agit d’un vaccin expérimental, en tant que médecin qui fait une expérience, devraient avoir un doute dans ce sens. Donc, si je fournis ce vaccin à cette personne, peut-être que cela ne fonctionnera pas ou peut-être qu’il aura au moins des effets secondaires. Et ce qu’on ne comprend pas, c’est qu’il n’y a pas plus de protestations, plus de refus de proposer quelque chose d’expérimental dès le départ. C’est-à-dire sans aborder la question de ce qui est dedans ou de ce qui n’est pas dedans. C’est-à-dire qu’un médecin prête le serment d’Hippocrate. Comment cela n’aurait-il pas pu être envisagé dès le début ? Après tout, nous parlons d’une expérience.

    M. Delgado : Eh bien, ils ne le recommandent pas aujourd’hui. Il n’est plus recommandé par tant de gens parce qu’ils en sont conscients. Dans notre pays, les 4 premiers médecins qui l’ont recommandé sont décédés. Ils ne sont plus là. Ici, nous enterrons un ou deux médecins tous les deux jours. Il y avait des jeunes, des infirmières, des médecins, des chefs de service de chirurgie, etc. Je me souviens de certains noms de ceux qui sont décédés. Eh bien, c’est pareil. Les médecins ont également été payés. Les médecins sont répertoriés dans les politiques de transparence de Pfizer et de Moderna qu’ils ont reçu une grande somme d’argent par l’intermédiaire de l’organisation à laquelle ils appartiennent, que ce soit le service de santé andalou ou le service public de santé ou individuellement. Ils ont littéralement reçu de l’argent pour avoir recommandé cela ! Je pense que c’est expérimental pour eux de voir à quel point la biologie humaine résiste. Je vais être clair, regardez le degré d’humiliation auquel ils ont humilié l’être humain et l’énorme tromperie à laquelle ils ont soumis la population entière. Ils ont qualifié le vaccin de « ce qui peut potentiellement provoquer le développement de la maladie ». C’est pourquoi vous comprendrez que ce sont justement les vaccinés qui occupent 90 % des USI et les 10 % sont dans les cimetières. Ils ont dit que, comme nous avons vacciné tant de gens, il était normal qu’ils ne se portent pas bien. Comment ça, c’est normal ? Ceux qui ont reçu trois doses se sont fait dire : « il vous manque la quatrième ». Celui qui est mort avec le deuxième, ont-ils dit, « s’il avait pris le troisième ».

    Kla.TV : Bien sûr, il y a toujours une excuse pour continuer à se vacciner et continuer à se soumettre au plan 2030 en fin de compte, car c’est celui-là qui semble, d’une manière ou d’une autre, fixer le cap. Au niveau politique, nous savons déjà que personne ne s’est prononcé ou du moins presque personne ne s’est prononcé sur ces questions de contenu ou d’analyse des vaccins, etc. Surtout lorsqu’il y a un pourcentage de la population qui a crié à haute voix après le « Rapport Campra », comment en sommes-nous dans cette situation ? Y a-t-il une possibilité que la plainte soit portée devant un tribunal qui la prendra au sérieux et qui donnera réellement suite à la plainte ?

    M. Delgado : Nous nous proposons tous les jours, le docteur Sevillano, le docteur Campra et moi-même, de nous présenter devant les tribunaux lorsque nous sommes appelés à témoigner par le procureur ou par un juge ou un magistrat. Nous avons déjà déposé 550 plaintes entre les tribunaux, les postes de la police nationale qui ont reçu l’ordre et sont obligés de le faire, et les casernes de la Guardia Civil. Certaines plaintes ont été portées devant une Haute Cour de justice. En particulier ici en Andalousie. Et puis il y en a qui progressent, mais très légèrement. C’est-à-dire que, normalement, les juges gardent le dossier dans un tiroir, lorsqu’ils sont appelés à témoigner, ils ne le leur ont même pas lu. Il est probable qu’ils ont un slogan pour ne rien dire de tout ce qui se passe ici. Au Royaume-Uni, ils disposent même d’une traçabilité et d’une garde légale. Ils ont également découvert le graphène et la microtechnologie dans les vaccins et pourtant, ils ont beaucoup de mal à se faire entendre ou à intenter une action en justice alors qu’il est démontré et prouvé qu’ils tuent tout le monde et que cela n’a rien à voir avec une pandémie ou un coronavirus. C’est pourquoi ils savent quand les deuxième, troisième, quatrième et cinquième vagues apparaissent. Parce qu’il leur suffit d’exciter la qualité de la fréquence de ce matériau à l’intérieur d’eux [les vaccinés]. Et maintenant, ils vous le disent, et il y aura d’autres pandémies, bien sûr. Avec ce matériel, lorsqu’ils sont technologiquement excités, ils peuvent créer et générer autant d’épidémies qu’ils le souhaitent. Des sous-variantes, tout ce qu’ils veulent. Et ils diront aux gens qu’il s’agit d’un coronavirus ou d’un variant d’Omicron ou de Deltacron une fois de plus.

    Kla.TV : Eh bien, Ricardo, pour conclure : quelles possibilités avons-nous, nous, le citoyen ordinaire, la base, je ne sais pas comment l’appeler, pour contrer efficacement tout ce plan macabre qui est en cours ?

    M. Delgado : Eh bien, la vérité est que c’est extrêmement difficile. Nous avons prévu que de nombreuses personnes se réunissent demain. Nous avons organisé des groupes par provinces et les gens apprennent à se connaître. Car il est également bon de faire monter un peu la vibration, compte tenu de la torture psychologique quotidienne dans les médias officiels qui servent le Forum Économique Mondial à travers Vanguard et Blackrock. Certains disent : comment se fait-il que tous les médias disent la même chose ? Parce que tous les médias sont dirigés par le même gars ! C’est aussi simple que ça ! Sauf pour les médias alternatifs comme Kla.tv et très peu d’autres. Nous en sommes très reconnaissants. Celui qui veut chercher des informations se tourne donc logiquement vers les groupes d’information alternatifs. Nous devons faire quelque chose d’important. Il y a des actions collectives comme des entretiens comme celui que nous faisons actuellement. Des Plaintes. Nous avons épuisé toutes les voies d’un État de droit démocratique. Mais sommes-nous vraiment dans un État de droit démocratique ? Ou est-ce une tyrannie ? Quoi qu’il en soit, qu’allons-nous dire que les gens ne savent pas déjà ? Même ceux qui ont tout avalé. C’est très difficile. Nous devons rechercher une formule commune, afin d’une part d’augmenter la masse critique plus que ce que nous faisons actuellement. Mais ces gens sont allés jusqu’à payer littéralement des gens pour qu’ils mentent en tant que porte-parole dans les médias et continuent de tromper une grande partie de la population. Une tromperie qui n’est pas une tromperie idéologique ou politique. Il s’agit d’une tromperie majeure qui conduit la personne et sa famille à la mort. C’est ce que nous constatons. C’est que cette tromperie n’est pas n’importe quelle tromperie. C’est une tromperie qui mène à la mort.

    Kla.TV : J’ai entendu dire qu’au Royaume-Uni, ils semblent avoir fait une analyse similaire à celle effectuée par le Dr Campra, mais j’ai lu qu’elle était même légalement protégée.

    M. Delgado :… sous surveillance légale. Parce que nous avons aussi la traçabilité et la garde. Les gens qui ont produit la fiole, nous sommes prêts à témoigner et à jurer la vérité devant un tribunal. Mais là, ils ont la garde légale, c’est-à-dire qu’il y a un notaire qui a suivi toutes les traces… Pourtant, ils auraient dénoncé cela, mais pensez-vous que cela changera quelque chose ? Parce que ce que nous voyons est le quatrième vaccin, le cinquième de la grippe, qui sera le sixième parce qu’il transporte aussi ce matériel, c’est-à-dire que c’est ce qui est prévu et quand nous introduisons un matériel globalement et simultanément dans la population mondiale entière et puis nous l’irradions, vous générez une épidémie, une pandémie, tout ce qu’ils veulent. C’est aussi clair que ça.

    Kla.TV : Eh bien, j’aimerais que vous donniez un peu d’espoir avec tout ce que vous racontez et que vous voyiez une lumière au bout du tunnel ou quoi que ce soit. Si c’est une lumière et qu’elle nous mène à un port sûr, alors nous accueillerions favorablement une idée qui pourrait, je ne sais pas, que vous pourriez transmettre et qui pourrait être vraiment efficace comme phrase finale.

    M. Delgado : À l’heure actuelle, nous devons trouver un moyen de garder espoir dans cette situation, qui est très difficile parce que cette technocratie contrôle pratiquement tout, les institutions politiques, judiciaires, financières, communicationnelles, médiatiques, etc. Mais peut-être qu’une solution serait de créer une société alternative d’êtres conscients qui ne croient plus absolument rien à ce qui est vomi dans les médias officiels. Voyons s’ils nous le permettent. Pour augmenter la masse critique, pour être ensemble, pour porter l’ambiance et pour essayer de convaincre. Ne pas essayer de convaincre pour le plaisir de convaincre, c’est-à-dire que les informations de la Quinta Columna n’essaient jamais de convaincre qui que ce soit, vous devez vous convaincre vous-même. Nous disons bien sûr « regardez le microscope ». On nous dit que les nanoparticules lipidiques de taille nanométrique ne sont visibles qu’au microscope électronique — eh bien, non ! Au microscope optique, on peut tout voir, aussi bien le graphène que la microtechnologie. Vérifiez si vous émettez une adresse MAC et si vous avez été marqué comme un bovin, comme un bovin directement à partir de votre téléphone portable, ainsi que vos amis. Nous ne pouvons pas faire grand-chose de plus. Pour l’instant, il s’agit de résister et de se rendre dans des environnements ruraux pour vivre à l’écart de toutes les radiations.

    Kla.TV : Eh bien, jusqu’à présent, je pense que toutes les questions auxquelles vous avez répondu ont été assez intéressantes et en principe, nous n’avons plus de questions pour le moment. Il y a beaucoup d’informations que nous devons diffuser en ce moment et soyez assuré que Kla.tv se chargera de diffuser ce message. Merci d’avoir assisté à cette interview, merci beaucoup, et bien, espérons que si à un moment donné dans le futur nous pouvons en avoir une deuxième, eh bien, espérons que nous pourrons compter sur vous aussi.

    M. Delgado : Il y a sûrement plus d’informations et la capacité de les élargir, car c’est beaucoup d’informations qui doivent être fournies progressivement pour que tout le monde puisse les assimiler. Et merci aussi Angel et un grand merci à cette production de Kla.tv pour m’avoir donné l’opportunité de diffuser le travail de recherche pionnier de La Quinta Columna dans le monde.

    Kla.TV : Merci beaucoup, Ricardo, merci beaucoup.

    M. Delgado : Un câlin.

    Kla.TV : Un câlin.

    [Voir aussi :
    Dossier 5G et ondes pulsées
    Dossier Vaccins et virus
    Dossier Implants numériques et contrôle mental
    Nanotechnologie
    Quinta Columna]

    Interview traduite en anglais

    Original en espagnol




    « Nous devons cultiver 3 choses pour nous relier à notre âme »

    [Source : Epoch Times France]

    Philippe Guillemant est ingénieur physicien du CNRS et docteur en physique. Spécialiste de la théorie du chaos et de l’intelligence artificielle, ses travaux lui ont valu plusieurs distinctions, dont la médaille de cristal du CNRS.

    Il vient de publier « La physique du futur lumineux — Dialogues entre artisans d’une science plus humaine » aux éditions Trédaniel. Un livre qui présente ses recherches sur la physique de la conscience et la façon dont elles pourraient bouleverser notre vision du monde et de l’univers.

    Selon Philippe Guillemant, la nouvelle compréhension de la nature et du rôle de la conscience pourrait entraîner un changement de paradigme majeur et révolutionner la science, en remettant en question les dogmes déterministes et les croyances matérialistes qui conduisent l’humanité dans l’impasse.

    D’après lui, la conscience de l’être humain ne devrait plus être considérée comme un produit du cerveau, mais comme « une structure vibratoire qui agit comme un véritable système intuitif de navigation ».

    « J’ai fini par comprendre que le cerveau ne sert pas à voir, il ne sert pas à créer l’information grâce à laquelle on voit. Le cerveau sert uniquement à reconnaître, à analyser l’information, explique le physicien, c’est la conscience qui est à l’origine de notre perception du réel, pas la matière. »

    D’après lui, plusieurs phénomènes extraordinaires étudiés scientifiquement tendent d’ailleurs à confirmer la nature intuitive, vibratoire et extracérébrale de la conscience humaine. Parmi ces phénomènes figurent les Expériences de mort imminente (EMI), les sorties de corps et les synchronicités, mais aussi les perceptions extrasensorielles comme la télépathie, la vision à distance ou la prémonition.

    Philippe Guillemant analyse aussi la façon dont le fonctionnement de la conscience remet en question notre conception ordinaire du temps, notamment la manière dont le futur influence le présent. Selon lui, le futur est déjà créé, bien qu’il puisse changer en permanence « comme le parcours d’un GPS sous l’influence vibratoire de la conscience ». Il existerait ainsi « une myriade de futurs potentiels » pour chaque individu.

    « Bien que déjà réalisé, notre futur peut changer sous l’influence de la conscience », souligne-t-il, insistant aussi sur le rôle joué par nos émotions et nos pensées dans la manifestation de notre réalité. « La conscience reste un système de navigation qui nous conduit irrémédiablement à vivre, à terme long ou immédiat, le résultat de nos pensées portées par la vibration de nos émotions. »

    Pour le physicien, il est d’ailleurs important de revaloriser l’intelligence émotionnelle, celle du cœur, dans une société qui privilégie le mental, c’est-à-dire l’intelligence analytique : « Il importe avant tout de lâcher-prise, de se déconditionner de nos croyances, de nos jugements, de notre ego. »

    S’il considère que l’intelligence émotionnelle doit retrouver toute sa place, Philippe Guillemant insiste toutefois sur l’importance de cultiver « une sorte de voie du milieu » en conciliant harmonieusement le cœur et le mental, l’intelligence émotionnelle et l’intelligence analytique. Un équilibre nécessaire pour « donner le meilleur de soi » et emprunter le chemin de l’accomplissement.

    « C’est un cheminement intérieur, nous sommes là pour apprendre. Nous avons une âme qui est là pour apprendre de nos expériences. Il n’y a pas de recette. La seule recette, c’est l’authenticité de l’être », conclut le chercheur.

    Retrouvez l’actualité de Philippe Guillemant : https://www.guillemant.net

    • 00:00 Intro
    • 01:50 Quelle différence entre science et scientisme ? En quoi le scientisme nuit-il à la science ?
    • 05:56 L’effondrement est-il nécessaire pour que l’humanité reconstruise une science plus humaine ?
    • 11:02 Pourquoi la conscience n’est-elle pas issue du cerveau ?
    • 18:26 Pourquoi le futur est-il déjà créé ? Comment influence-t-il le présent ?
    • 22:07 Pouvons-nous activer la réalisation d’un futur en particulier ?
    • 28:28 Qu’est-ce qui distingue l’intelligence émotionnelle de l’intelligence analytique ?
    • 32:50 Comment l’intelligence émotionnelle se manifeste-t-elle ?
    • 37:51 Comment concilier intelligence analytique et intelligence émotionnelle ?
    • 44:25 En quoi les émotions négatives peuvent-elles avoir des vertus ?
    • 53:36 Quelles sont les facultés que nous pourrions développer grâce à la physique de la conscience ?
    • 59:34 Qu’est-ce qu’une synchronicité ?
    • 01:03:40 Doit-on s’inquiéter du développement de l’intelligence artificielle ?
    • 01:09:18 Conclusion

    Journaliste : Henri-Michel Thalamy




    S’il vivait aujourd’hui, Socrate serait banni

    [Source : marie-claire-tellier via RI]

    Par Bill Rice

    Traduction MCT

    Une introduction à Socrate…

    Socrate est considéré comme le « père de la philosophie occidentale » et l’un des êtres humains les plus influents de tous les temps.

    Entre autres objectifs, l’étude de la philosophie vise à rechercher la vérité et, ce faisant, à permettre aux êtres humains de vivre une vie plus significative et plus importante, susceptible d’améliorer l’humanité en faisant progresser la connaissance.

    Pour faciliter cette recherche de la connaissance et de la vérité, Socrate a popularisé ce que l’on a appelé la « méthode socratique ». Selon Socrate, en posant simplement des questions provocantes, les citoyens pouvaient mieux discerner les vérités essentielles et répondre aux questions importantes.

    La « méthode scientifique » — dans laquelle les scientifiques remettent en question un prétendu « fait » scientifique — est l’une des plus importantes conséquences de la méthode socratique.

    ***

    Il m’est récemment venu à l’esprit que si Socrate vivait aujourd’hui, il serait censuré, déplacé, sali, annulé et considéré comme une grave menace pour la société. En bref, il serait accusé de diffuser de la désinformation et serait sans aucun doute la cible numéro un de l’énorme complexe industriel de la censure.

    Bien entendu, Socrate a été accusé de tous ces crimes dans sa propre vie et, en fait, a été mis à mort pour avoir pratiqué la méthode socratique. 

    L’un des chefs d’accusation retenus contre Socrate par les dirigeants politiques d’Athènes était la « corruption de la jeunesse ». En bref, les questions de Socrate étaient perçues comme causant du « tort » aux citoyens de la Grèce et, par conséquent, il devait être réduit au silence de façon permanente.

    La civilisation a un peu progressé depuis l’époque de Socrate…

    La civilisation occidentale a peut-être un peu progressé au cours des 2 400 dernières années, car les dirigeants politiques actuels ne font pas pression pour que les personnes qui posent les mauvaises questions soient condamnées à mort. 

    Cependant, les peines de prison restent un sort commun pour de nombreuses personnalités dans le monde qui insistent pour suivre la méthode socratique et persistent à poser des questions qui révèlent des vérités que la classe puissante préfère ne pas « corrompre » ses citoyens/sujets. (Quelqu’un comme Julian Assange pourrait être d’accord avec moi sur ce point.)

    Aujourd’hui, les individus qui ne sont pas condamnés à mort (ou assassinés par démembrement, comme Jamal Khashoggi) le font au risque de perdre leur emploi, leur statut et leurs revenus, tout cela pour avoir essentiellement pratiqué la méthode socratique… et son rejeton le plus connu, la méthode scientifique. 

    Aujourd’hui, comme en 399 avant J.-C., le simple fait de poser des questions politiquement incorrectes est considéré comme une grave infraction.

    Il s’avère que même le premier amendement de la Constitution américaine — qui, pendant plus de 200 ans, a été considéré par de nombreux Américains comme protégeant les « droits naturels » des citoyens à poser des questions à leurs dirigeants — pourrait ne pas protéger totalement un « chercheur de vérité » tel que Socrate.

    ***

    Tant que je peux encore le faire (du moins sur Substack), j’aimerais essayer d’utiliser la méthode socratique dans ma propre quête de discernement des vérités importantes. (Je demande aux lecteurs de ne pas transmettre cette chronique à quiconque travaille pour Media Matters, le Stanford Virality Project ou toute autre agence du gouvernement américain.)

    Mes questions « socratiques »

    S’il vivait aujourd’hui, les dirigeants de Facebook, YouTube, etc. interdiraient-ils Socrate ?

    Si oui, pourquoi ?

    De nombreux dirigeants politiques importants appelleraient-ils à des actions plus agressives pour réduire la probabilité que Socrate puisse répandre une « désinformation » susceptible de nuire ou de corrompre les jeunes (ou toute autre personne) qui tomberaient sur ses questions ? 

    Dans l’affirmative, pourquoi ?

    La méthode socratique a-t-elle finalement conduit à la méthode scientifique ?

    Peut-on pratiquer la méthode scientifique sans remettre en question les récits scientifiques « autorisés » ?

    La méthode scientifique doit-elle être révisée ? 

    L’a-t-elle déjà été ?

    Pourquoi certaines questions peuvent-elles être posées, alors que d’autres ne sont pas autorisées ?

    Les éditeurs, rédacteurs en chef et journalistes (des grands médias) soutiennent-ils ou non la méthode socratique ? 

    Quelle preuve peut-on citer que les journalistes « à la recherche de la vérité » soutiennent la méthode socratique ?

    N’existe-t-il pas de nombreuses preuves que les journalistes des MSM méprisent la méthode socratique et s’en détournent ?

    Notre nouvelle normalité covidienne n’était pas favorable à la méthode socratique…

    Les questions qui remettent en cause les récits autorisés sur la science « établie » du Covid ne sont-elles pas toutes ou presque considérées comme taboues ou interdites ?

    A-t-on jamais prouvé que la « science établie » sur un sujet quelconque était erronée ?

    Comment ces mythes scientifiques se sont-ils révélés faux ?

    Le fait de démystifier des « faits » scientifiques ou médicaux dangereux a-t-il permis de sauver des vies et de réduire la misère ?

    A-t-on prouvé par la suite qu’une politique gouvernementale était fondée sur des mensonges ?

    Une politique gouvernementale a-t-elle jamais produit des résultats tragiques ou causé du tort à de nombreux innocents ?

    Si l’on considère aujourd’hui que c’est le cas, comment des millions de personnes sont-elles parvenues à cette conclusion tardive ?

    Qui décide des questions qui ne peuvent pas être posées ?

    Qui décide quelles questions sont nuisibles ou dangereuses et doivent donc être censurées ?

    Pourquoi ces personnes et ces organisations ont-elles le droit d’en décider ?

    Un citoyen a-t-il déjà conclu qu’une personne qu’il connaît est en fait un menteur et qu’il faut l’éviter ou l’ignorer à l’avenir ?

    Ces personnes sont-elles parvenues à cette conclusion en posant des questions ?

    Les enseignants et les professeurs doivent-ils continuer à mentionner Socrate dans les cours d’histoire du monde ou de philosophie ? 

    Les éducateurs doivent-ils souligner que Socrate est devenu une figure vénérée parce qu’il a inventé la méthode socratique ?

    Les enseignants doivent-ils autoriser leurs propres élèves à poser des questions en classe ?

    Certaines questions posées en classe sont-elles interdites ?

    Un citoyen s’est-il déjà abstenu de poser une question parce qu’il pensait qu’elle pouvait lui porter préjudice ?

    Est-il possible que d’importantes questions non posées, si elles étaient posées, puissent améliorer ou bénéficier au monde… ou à la vie de quelqu’un ?

    La plupart des citoyens peuvent-ils citer une conclusion qu’ils considéraient comme vraie et qu’ils jugent aujourd’hui erronée ?

    Comment ou pourquoi ont-ils changé d’avis ? 

    Ont-ils posé des questions qu’ils n’avaient jamais posées auparavant ?

    Certaines personnes mentent-elles intentionnellement ou tentent-elles de dissimuler la vérité ?

    Dans l’affirmative, pourquoi agissent-elles ainsi ?

    La méthode socratique s’est répandue…

    Pourquoi Platon, Aristote et Alexandre le Grand ont-ils célébré, pratiqué et diffusé la méthode socratique ?

    Auraient-ils également dû être mis à mort ?

    Pourquoi tant de gens ont-ils autrefois vénéré, célébré et pratiqué la méthode socratique ?

    Pourquoi la méthode socratique est-elle aujourd’hui considérée comme dangereuse par tant de personnes et d’organisations puissantes ?

    Les gouvernements et les « dirigeants » ont-ils déjà persécuté des personnes qui posaient les mauvaises questions ?

    Si oui, pourquoi l’ont-ils fait ?

    D’autres personnages historiques ont également posé des questions difficiles…

    Jésus de Nazareth a-t-il lui aussi été mis à mort pour avoir répandu ce qu’il croyait être la vérité ?

    Jésus est-il un personnage vénéré par de nombreuses personnes aujourd’hui ?

    Jésus estimerait-il qu’il est normal de poser des questions si l’un des enfants de Dieu pense que les vaccins pourraient tuer des enfants innocents… ou qu’une guerre ne devrait pas être menée ?

    Que ferait Jésus ?

    Pourquoi Dieu a-t-il donné un cerveau aux êtres humains si nous ne pouvons pas l’utiliser pour poser des questions ?

    Galilée a-t-il également pratiqué la méthode socratique ?

    Si c’est le cas, cela a-t-il dérangé certains personnages puissants de son époque ?

    Le monde se serait-il mieux porté si Galilée avait gardé ses questions pour lui ?

    Autres questions taboues de Covid…

    Combien de personnes ont subi un préjudice personnel à la suite des fermetures du Covid ?

    Qui a ordonné ces fermetures ?

    Les personnes qui ont ordonné ces fermetures sont-elles les mêmes que celles qui ne veulent pas que les gens puissent remettre en question leurs mandats ?

    L’argent et le pouvoir corrompent-ils, ou peuvent-ils corrompre, certaines personnes et organisations ?

    Les enquêteurs ont-ils le droit de « suivre l’argent » ?

    Le fait de gagner plus d’argent — ou de ne pas en perdre — est-il un motif dans certains crimes ?

    Si, dans l’histoire, les enquêteurs ont « suivi l’argent », une série de questions ne les a-t-elle pas incités à le faire ?

    Les enquêteurs officiels ou journalistiques suivent-ils l’argent aujourd’hui ?

    Existe-t-il aujourd’hui dans le monde un journaliste grand public qui admettrait que certains sujets sont interdits d’enquête ?

    Pourquoi ces sujets — ou certaines questions — sont-ils interdits ou tabous ?

    Lorsque vous commencez à poser des questions, vous en trouvez toujours plus…

    Le monde est-il meilleur grâce à la méthode socratique ?

    Le monde sera-t-il meilleur à l’avenir — davantage de vies seront-elles sauvées — si la méthode socratique est interdite ?

    La plupart des citoyens du monde aimeraient-ils pouvoir poser des questions qu’ils jugent importantes ?

    Pourquoi de nombreux citoyens du monde craignent-ils aujourd’hui certaines questions et approuvent-ils le fait de punir ou de blesser les personnes qui posent des questions « en quête de vérité » ?

    Dans votre propre vie, avez-vous déjà été tué par une question ?

    Si la réponse est oui, lisez-vous cette rubrique depuis le ciel ?

    Comment tant de personnes survivent-elles après s’être vu poser des questions qu’elles n’aimaient pas ?

    Si Gallup faisait un sondage, combien de citoyens seraient d’accord pour dire que quelqu’un comme Socrate devrait être interdit ou empêché de poser des questions qui dérangent les gens puissants ou qui remettent en question le(s) récit(s) « autorisé(s) » ?

    La plupart des gens sont-ils d’accord pour dire que les auteurs de crimes doivent être punis ?

    Comment les procureurs et les jurys établissent-ils qu’un crime a été commis ?

    Posent-ils des questions ?

    Pourquoi posent-ils des questions ?

    Si vous faisiez partie du jury qui a poursuivi Socrate pour avoir posé des questions corruptrices et dangereuses, auriez-vous voté pour l’acquitter de ce chef d’accusation ?

    Aujourd’hui, soutenez-vous les modérateurs de contenu, l’intelligence artificielle, les algorithmes et l’emploi de milliers de personnes dans des centaines d’organisations dont le but est d’arrêter ou d’intimider les personnes qui posent des questions non autorisées ?

    Si oui, de quoi avez-vous peur ou pourquoi soutenez-vous cela ?

    Vos craintes sont-elles vraiment justifiées ?

    Si vous êtes un jour accusé d’un « crime » que vous n’avez pas commis, aimeriez-vous pouvoir vous défendre contre ces fausses accusations… en posant des questions ?

    Chaque citoyen du monde devrait-il pouvoir utiliser la méthode socratique sans crainte de représailles ?

    ***

    Comme nous l’avons vu, la réponse à la dernière question semble être « non ». Socrate serait banni et fustigé aujourd’hui… tout comme il l’a été il y a 2 400 ans. Je suis néanmoins heureux qu’il ait eu le courage de poser ces questions.

    Source




    Le « département de désinformation » de Moderna surveille 150 millions de sites Web à la recherche de récits « anti-vaccins »

    [Source : MPI]

    Par Pierre-Alain Depauw

    Par l’intermédiaire d’une organisation à but non lucratif financée par l’industrie pharmaceutique et de Talkwalker, une société de surveillance des réseaux sociaux, une équipe de Moderna — dirigée par un ancien vétéran du FBI — utilise l’intelligence artificielle pour surveiller toute critique du laboratoire pharmaceutique et de son « vaccin », tant dans les médias grand public que sur les réseaux sociaux et sites de jeux.

    Le « département de désinformation » de Moderna s’est associé à une organisation à but non lucratif soutenue par l’industrie pharmaceutique, Public Good Projects (PGP), pour surveiller et supprimer ou déréférencer les voix dissidentes sur la politique vaccinale contre le COVID-19, selon le rapport des journalistes d’investigation Lee Fang et Jack Poulson publié dans UnHerd.

    Au cours de l’année dernière, les « fichiers Twitter », deux procès contre l’administration Biden et d’autres enquêtes ont révélé des cas de collusion entre le gouvernement, les réseaux sociaux et les universités pour supprimer les discours dissidents sur les politiques liées au COVID-19, les allégations de fraude électorale et d’autres sujets.

    Big Moderna Brother vous surveille

    Ce nouveau rapport met en lumière la stratégie en coulisses de Moderna dans ce nouveau paysage médiatique. Il expose les principaux acteurs et comment ils ont travaillé pour surveiller 150 millions de sites Web dans le but de censurer les discours qui sapent le récit de l’entreprise sur le vaccin COVID-19 et de façonner activement le discours public au profit des résultats de Moderna.

    Le Dr Jay Bhattacharya, co-auteur de la Déclaration de Great Barrington et professeur à l’Université de Stanford, a fait l’éloge du nouveau rapport dans un tweet :

    Moderna n’avait jamais réussi à commercialiser aucun produit avant le vaccin à ARNm contre la COVID-19 et était au bord de l’effondrement lorsque la pandémie a été annoncée.

    Son vaccin à ARNm contre le COVID-19 a transformé le fabricant de médicaments en une entreprise valant 100 milliards de dollars presque du jour au lendemain et a transformé son PDG, son président et ses cofondateurs en milliardaires.

    Aujourd’hui, alors que l’intérêt du public pour une nouvelle injection s’effondre, les bénéfices disparaissent également, ce qui conduit l’entreprise à investir dans de nouvelles stratégies — comme une campagne de marketing flashy — pour rester à flot, ont rapporté Fang et Poulson.

    Moderna redouble également d’efforts pour attaquer la dissidence sur les vaccins et orienter la politique de vaccination, ont-ils constaté.

    En fait, Moderna emploie aujourd’hui d’anciens agents fédéraux américains, comme Nikki Rutman, une vétéran du FBI qui a travaillé pour l’agence à Boston lors de l’opération Warp Speed, où son travail consistait à organiser des réunions hebdomadaires sur la cybersécurité avec Moderna.

    Elle dirige désormais la division mondiale de renseignement de Moderna — qui fait partie du département qui dirige le travail de Moderna pour mettre fin à ce qu’elle qualifie de « désinformation » — produisant des rapports qui signalent les « récits anti-vaccins » en ligne et recommandent comment y répondre ou les faire disparaître.

    Le département travaille avec Public Good Projects, largement financé par un don de 1,27 million de dollars de la Biotechnology Innovation Organization, un groupe de pression biotechnologique qui représente Pfizer et Moderna.

    Ils classifient ce qui constitue un risque pour la multinationale pharmaceutique et nécessite une réaction.

    En analysant des échantillons de rapports, les journalistes indépendants ont découvert que figurait parmi ce qui était considéré « à haut risque » une vidéo publiée par Elon Musk se moquant d’une myriade d’affirmations selon lesquelles les vaccins étaient « efficaces à 100 % », ainsi qu’un certain nombre de messages publiés par le comédien et commentateur politique Russell Brand que le département de surveillance de Moderna a signalé en septembre pour ses convictions « anti-vaccin ».

    L’équipe Moderna a également lancé une alerte concernant l’optique lorsque la star du tennis Novak Djokovic, qui a refusé le vaccin contre le COVID-19, a remporté l’US Open sponsorisé par Moderna.

    Les journalistes indépendants Lee et Poulson ont rapporté que le département de surveillance de Moderna ne se préoccupait pas de la véracité des affirmations faites dans les messages signalés, mais uniquement de leurs effets.

    « Aucun des rapports que nous avons consultés ne tente de contester les affirmations avancées », ont-ils écrit. « Au contraire, les affirmations sont automatiquement considérées comme de la “désinformation” si elles encouragent l’hésitation à la vaccination. »

    Moderna a commencé à travailler avec PGP en 2021-2022 sur un programme appelé « Stronger », dans lequel l’organisation à but non lucratif « a identifié la désinformation et façonné les décisions de contenu sur les réseaux sociaux ».

    PGP a pu le faire efficacement, car il disposait d’un « accès dérobé » aux données Twitter, via un « firehose », qui fournit un accès en temps réel à tous les tweets sur la plate-forme pour une analyse et une exploration de données à grande échelle.

    PGP, qui a travaillé directement avec Twitter pour développer ses politiques autour de la pandémie, enverrait à Twitter des listes de comptes à amplifier ou à censurer.

    L’avocat général de Twitter avait également conseillé au groupe de travail du département américain de la Sécurité intérieure chargé de lutter contre la désinformation de travailler avec PGP sur les questions liées au COVID-19.

    Réseau de 45 000 professionnels de la santé relais de Moderna

    Lee et Poulson ont également découvert que PGP distribuait des conseils sur la façon de répondre à la désinformation sur les vaccins à un réseau de 45 000 professionnels de la santé.

    « L’intention de Moderna, comme nous l’avons appris des courriels échangés, n’était pas seulement de lutter contre la désinformation, mais aussi d’influencer le contenu et la teneur du débat public ».

    Cette année, alors que le nombre de rappels contre le COVID-19 s’est effondré, Moderna et PGP ont lancé une nouvelle collaboration, cette fois en partenariat avec l’American Board of Internal Medicine, pour développer un programme de formation appelé « Infodemic Training Program », destiné à former les agents de santé, pour identifier la « désinformation médicale ».

    Malgré l’indignation du public face à la censure des réseaux sociaux, le manque évident d’intérêt à continuer de prendre des injections de rappel et la fin officielle de la pandémie annoncée en mai par l’administration Biden, Moderna continue d’étendre ses opérations de surveillance.

    Les alertes internes analysées révèlent que l’entreprise surveille de près les lois et les politiciens cherchant à restreindre les obligations de vaccination et qu’elle continue de signaler les messages publiés sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter, par Musk, qui, note Moderna, « utilise de plus en plus cette plate-forme pour mettre en valeur les opposants marginaux au vaccin et les théoriciens du complot ».

    Les journalistes indépendants Lee Fang et Jack Poulson ont écrit :

    Le réseau des organisations à but non lucratif de vérification des faits s’est développé à un rythme industriel, offrant aux intérêts privés et publics des opportunités opaques de prendre un contrôle subtil sur le discours public. Une telle sophistication dans le mélange de messages de santé publique et de publicité d’entreprise devrait inquiéter quiconque s’intéresse à la manière dont le gouvernement contrôle la liberté d’expression.




    La croyance en l’IA, « un symptôme RUGISSANT de la BÊTISE ambiante »

    [Source : Anti | thèse]

    Dans cet extrait, l’éditeur et écrivain suisse d’origine serbe Slobodan Despot explore les fondations philosophiques de la modernité occidentale, qui s’exprime aujourd’hui à travers l’intelligence artificielle et le transhumanisme, mais aussi ce qu’il appelle la « bêtise rugissante » des élites.




    La chute de l’homme dans l’algorithme

    De la bataille contre le Système (épisode XIII)

    [Source : entrefilets.com]

    [Publication] 10/02/2017 [par le créateur anonyme du site entrefilets]

    Bientôt les hommes cesseront de s’aimer, tomberont amoureux de machines, deviendront un temps des objets connectés parmi d’autres avant de disparaître, de se fondre dans une ultime étreinte technologique censée les « augmenter », mais qui aura surtout raison de leur humanité. C’est ce que les adeptes hallucinés du transhumanisme1 appellent la « Singularité », ce moment d’inflexion où les progrès exponentiels de la technologie infesteront l’homme pour en changer la nature et donner naissance au Surhomme tant attendu, enfin libéré de ses limites biologiques. Selon certains transhumanistes, cette « Singularité » pourrait même survenir d’ici à 2030 déjà, et les progrès stupéfiants que nous annoncent régulièrement les apprentis sorciers de l’intelligence artificielle rendent plausible ce calendrier. Il faut dire que la voie est toute tracée. On voit mal ce qui pourrait en effet contrarier cette échéance. Notre contre-civilisation ultralibérale est psychologiquement formatée pour accepter et même souhaiter la disparition de notre si imparfaite humanité, et son impératif libéral justement lui interdit tout simplement de questionner les (r)évolutions technologiques puisque ce serait contraire à l’un de ses dogmes qui veut que l’« on n’arrête pas le progrès ».

    Deux forces à l’œuvre

    Dans la société ultralibérale, deux forces implacables sont ainsi à l’œuvre qui rendent inéluctable cette fuite en avant vers la Singularité et l’abolition de notre humanité.
    D’un côté, il y a d’abord ce que nous appellerons le néo-progressisme sociétal, qui s’emploie à déstructurer les sociétés, à briser tous les tabous, à bouleverser en permanence les rapports sociaux, à imposer ce relativisme moral et culturel absolus qui désacralise tout, à commencer par la vie.

    Jour après jour, on légifère ainsi à tour de bras pour satisfaire le moindre lobby, pour donner l’illusion d’une société vertueusement engagée dans la quête d’un équilibre parfait où chacun pourra, à terme, exercer son droit inaliénable à tout sur tout. Chaque groupe, puis chaque sous-groupe, puis chaque individu se voit ainsi invité à ne voir le monde qu’au travers du prisme déformant de ses intérêts particuliers. Or cette « innocente » tentative de donner satisfaction à tous les égoïsmes concurrents d’un peuple devenu alors « peuple de démons » ne sert, en réalité, qu’à alimenter une guerre de tous contre tous destinée à atomiser les individus.

    [Voir aussi :
    L’atomisation de l’Homme et de l’Humanité]

    Et le vivre-ensemble dans cette société-là se réduit alors au vivre pour soi. Le Marché-Monde étant bien sûr là pour combler tous les désirs, toutes les aspirations, c’est-à-dire pour permettre aux individus de se remplir, de se gaver, de consommer donc. (Nous avons déjà analysé cette immense entreprise d’abolition de l’homme, notamment dans nos billets intitulés « Contre l’abolition de l’homme » justement2, « Intelligentsia et servitude globalisée »3, « Retour sur le fiasco libéral »4 ou encore « La frontière, le Système et le porno »)5.
    Une telle société dont l’aspiration a finalement atteint un tel sommet de pauvreté ne peut dès lors qu’être totalement perméable à l’utopie du transhumanisme.

    Et c’est là qu’interviennent les geeks hallucinés de la Silicon Valley pour nous conduire au Graal, nous donner enfin un horizon nouveau, la possibilité d’autre chose, de quelque chose de meilleur et même de merveilleux par la magie des algorithmes qui vont enfin faire de nous de vrais dieux.

    La rupture d’avec le réel

    La cohérence est donc totale entre cette entreprise de déstructuration de la société humaine d’un côté, et la course effrénée au progrès technologique de l’autre. Comme une grenouille plongée dans un bain froid que l’on réchauffe progressivement se laissera cuire sans broncher, l’Homme post-moderne est alors de plus en plus immergé dans de nouvelles technologies de plus en plus invasives, qui le détachent peu à peu du réel, du monde, des autres, de tout, sauf des pixels.
    Aujourd’hui déjà, l’individu post-moderne passe en moyenne huit heures par jour le nez planté dans un écran6 (ordinateur, TV, tablette, smartphone, console, etc.). Huit heures par jour : c’est-à-dire le tiers de la vie, et même la moitié de la vie « éveillée ».
    Si l’on extrapole, cela veut dire qu’un adulte du XXIe siècle va passer plusieurs dizaines d’années de sa vie à fixer les pixels d’un rectangle lumineux. Un écran où tout ce qui se passe est organisé, vu, compilé, répertorié et examiné par les algorithmes du Système bien sûr.

    Premier constat : la rupture avec le monde réel, la mère Nature notamment, est absolument totale et la rando mensuelle n’y change rien. D’où sans doute cette indifférence à l’agonie de la paysannerie et à celle de l’écosystème en général, hormis les postures de façade bien sûr.
    Deuxième constat : les rapports sociaux se virtualisent déjà largement aussi, devenant peu à peu un simulacre organisé par écrans interposés, et là encore grâce aux algorithmes du Système. Cette hyperconnexion censée rapprocher les hommes ne fait donc en réalité que les séparer. En ce sens les technologies de la communication sont moins là pour favoriser les relations humaines que pour s’y substituer.

    [Voir aussi :
    Les réseaux sociaux sont un danger pour l’humanité, selon certains biologistes et écologistes
    Les relations humaines
    La révolution woke a des conséquences dramatiques
    Médias numériques — « Perte de la réalité »
    Les fondements de la communication]

    Mon robot, mon amour

    Dans un futur proche, la robotique va encore permettre de franchir une étape décisive dans l’abolition de l’homme. D’abord sous une forme ludique en prenant en charge l’un des rapports sociaux les plus compliqués et essentiels qui soit : la sexualité.
    Il semble en effet que le sexe avec les robots soit au menu des progrès de notre contre-civilisation pour cette année déjà7, une étape logique de l’évolution de sex-toys à circuits imprimés, dont le succès commercial est déjà phénoménal.
    Mais pourra-t-on réellement amener l’homme à développer une véritable relation amoureuse avec une machine ? Eh bien oui. La chose est d’ores et déjà dans le pipeline comme on dit.

    Des chercheurs ont démontré que les hommes sont parfaitement capables d’éprouver des sentiments pour des machines8. Avec cet avantage incroyable pour le Marché-Monde de pouvoir répondre de manière adaptée à toutes les névroses, à toutes les solitudes, à tous les désespoirs en proposant le compagnon idéal, sur mesure, flatteur, attentionné et enjoué auquel chacun devrait évidemment avoir droit (parce qu’il le vaut bien)9.

    Et tôt ou tard, et plutôt tôt que tard au vu de l’accélération exponentielle des progrès en matière d’algorithmes, la fameuse « Vallée étrange » — théorie selon laquelle plus un robot ressemble à un Homme plus ses imperfections apparaissent monstrueuses et engendrent donc son rejet10 sera comblée.
    L’Homme pourra alors se passer de l’Homme et la Machine-Marché pourra enfin pourvoir à l’entier de ses besoins.

    Mon robot, mon maître

    C’est que le robot dont on finira par tomber amoureux n’aura rien à voir avec cette sorte de grille-pain siliconé qui constituera la première génération des robots purement sexuels de notre décennie finissante. À terme, le robot dont on tombera amoureux sera subtil, cultivé et très intelligent, beaucoup plus intelligent que nous d’ailleurs.

    Là non plus, l’horizon temporel n’est plus si lointain.
    Récemment en effet, un nouveau progrès spectaculaire a sidéré les apprentis sorciers de l’intelligence artificielle (IA) eux-mêmes.
    Un robot vient en effet de remporter un tournoi de… poker.
    Anodin ?
    Pas vraiment en fait.
    Car le poker est un jeu de menteur, de bluffeur, pas un jeu basé sur des équations mathématiques.
    Noam Brown, le créateur de Libratus11, l’intelligence artificielle qui a remporté le tournoi, explique ainsi que ses concepteurs lui ont « donné les règles de base » en lui disant : « Apprends par toi-même ». Et ils ont été les premiers surpris du résultat. « Quand j’ai vu l’IA se lancer dans le bluff en face d’humains », a déclaré Noam Brown, « je me suis dit :Mais, je ne lui ai jamais appris à faire cela !” »

    « Je ne lui ai jamais appris à faire cela ! »
    La phrase devrait bien allumer quelques voyants dans le cerveau de nos chers Geeks hallucinés ou de nos politiques, mais il n’en sera bien évidemment rien. « L’expérience » ne connaîtra aucun frein, aucun contrôle, aucune limite.
    Trop de débouchés prometteurs sans doute.
    Et puis, « on n’arrête pas le progrès ».

    Moi, robot

    Le transhumanisme, ce sera aussi et surtout la possibilité de l’immortalité. Car une fois absorbé par la machine, l’homme ne sera plus biodégradable.
    Toutes les disciplines qui servent cette utopie délirante vont donc pouvoir compter sur un financement illimité, notamment des grabataires terrorisés de l’oligarchie globalisée. Qui veut mourir alors qu’il est milliardaire ?
    Ce sera alors le grand moment de la Singularité, ou l’algorithme sera suffisamment élaboré pour pénétrer la chair humaine, l’esprit humain, pour venir « l’augmenter » et faire enfin de l’Homme un Dieu.

    Et à la fin nos ultralibéraux de clamer : « Quelle Merveille ! », un pied négligemment posé sur le cadavre de notre Humanité.
    « Il se peut que le progrès soit le développement d’une erreur », avait dit Jean Cocteau.





    Taine et le bourgeois numérisé comme catastrophe française

    Par Nicolas Bonnal

    Le bourgeois français était l’épicentre du système républicain. Il est maintenant la base du système woke, du système écologiste, mondialiste et même numérique. Le bourgeois progressiste a tourné avec son bien aimé pape François la page catho-chrétienne-bourgeoise (c’est Bernanos qui doit être content au paradis d’être ainsi confirmé sur sa conception du catholicisme entropique bourgeois) et il est le père du cauchemar mondialiste et numérique qui s’abat sur ce foutu pays ou ce qu’il en reste. Essayons de comprendre.

    Il se peut que La Fontaine soit l’écrivain le plus important de notre histoire. Taine lui a rendu un hommage vivifiant et oublié dans sa monographie et il a insisté sur un point négligé : le bourgeois dans les Fables. Et notre splendide historien, le premier à avoir décrit la France telle qu’elle est et pas telle qu’elle se rêve (pour reprendre son expression sur le Saint-Julien de Flaubert) explique très bien de quel bois se chauffe la fille de l’Église, de l’État, de maître Patelin et de Renard :

    « Derrière le clergé et la noblesse, loin, bien loin, le chapeau à la main, dans une attitude respectueuse, marche le tiers-état, “frère cadet des deux premiers ordres” si on l’en croit, “simple valet” selon la déclaration des gentilshommes. Les bonnes villes, bourgeoisies et corps de métiers, ont envoyé leur députation de ridicules, et La Fontaine, qui semble un bourgeois quand il raille les nobles, semble un noble quand il raille les bourgeois. Et ce n’est pas ici la matière qui manque. Parlons-en tout à notre aise ; nous sommes de cette bande, et nous avons le droit de la montrer telle qu’elle est. »

    Je suis d’accord : bourgeois, on l’est tous plus ou moins. N’est-ce pas Nizan (voyez mon texte) qui disait déjà que le bourgeois c’est celui qui vit en pantoufles devant son écran ? C’était il y a presque cent ans !

    Guénon a parlé (Autorité spirituelle…) de cette monarchie française bourgeoise ; de cette monarchie qui mit au pas la caste sacerdotale comme la classe guerrière aristocratique et qui a tout fonctionnarisé, récoltant en 1789 ce qu’elle avait semé : l’État bourgeois s’est passé d’elle. Devenu purement machine, il va se passer de tout l’État avec son inintelligence artificielle.

    Taine écrit superbement (j’ai déjà cité cet extrait, un des plus importants de notre littérature — avec ceux de Balzac, Chateaubriand ou Tocqueville) :

    « Le bourgeois est un être de formation récente, inconnu à l’antiquité, produit des grandes monarchies bien administrées, et, parmi toutes les espèces d’hommes que la société façonne, la moins capable d’exciter quelque intérêt. Car il est exclu de toutes les idées et de toutes les passions qui sont grandes, en France du moins où il a fleuri mieux qu’ailleurs. Le gouvernement l’a déchargé des affaires politiques, et le clergé des affaires religieuses. La ville capitale a pris pour elle la pensée, et les gens de cour l’élégance. L’administration, par sa régularité, lui épargne les aiguillons du danger et du besoin. Il vivote ainsi, rapetissé et tranquille. À côté de lui un cordonnier d’Athènes qui jugeait, votait, allait à la guerre, et pour tous meubles avait un lit et deux cruches de terre, était un noble. »

    On se rapproche de cet État antiromantique qui en effet va nous ôter le trouble de penser et la peine de vivre. En attendant la télévision (voyez mon texte sur la méditation transfenestrale de d’Artagnan…).

    L’homme rapetissé est déjà là, il n’a pas attendu Tati-Etaix-Godard, les congés payés, la télé et l’éternel parti de la majorité présidentielle :

    « Ses pareils d’Allemagne trouvent aujourd’hui une issue dans la religion, la science ou la musique. Un petit rentier de la Calabre, en habit râpé, va danser, et sent les beaux-arts. Les opulentes bourgeoisies de Flandre avaient la poésie du bien-être et de l’abondance. Pour lui, aujourd’hui surtout, vide de curiosités et de désirs, incapable d’invention et d’entreprise, confiné dans un petit gain ou dans un étroit revenu, il économise, s’amuse platement, ramasse des idées de rebut et des meubles de pacotille, et pour toute ambition songe à passer de l’acajou au palissandre. Sa maison est l’image de son esprit et de sa vie, par ses disparates, sa mesquinerie et sa prétention. »

    Taine le trouve plus médiocre que ses voisins européens ce bourgeois froncé :

    « Il n’est point un Cincinnatus. C’est l’orgueil, d’ordinaire, qui fait le désintéressement. Un campagnard suisse ou romain qui à l’occasion devenait chef d’armée, arbitre de la vallée ou de la cité, pouvait avoir des sentiments grands, laisser le gain à d’autres, vivre de pain et d’oignons, et se contenter du plaisir de commander : sa condition le faisait noble. Comment voulez-vous que cette manière de penser naisse parmi nos habitudes bourgeoises ? Le bourgeois probe s’abstient du bien d’autrui ; rien de plus. Il serait niais de se dévouer pour sa bicoque. Les dignités municipales exercées sous la main de l’intendant ne valent pas la peine qu’on se sacrifie à elles ; échevin, maire, élu, il n’est qu’un fonctionnaire, fonctionnaire exploité et tenté d’exploiter les autres. »

    Ce devenir-fonctionnaire du monde, bien plus fort que le devenir-marchandise du monde, explique très bien le totalitarisme européen façon Leyen-Macron-Breton et le Grand Reset de Schwab (banal bureaucrate boche). C’est le monde de maître-rat, comme dit La Fontaine. Et comme on en a produit industriellement dans les (grandes) écoles puis dans les fabiennes universités anglo-saxonnes, on n’a pas fini de reproduire ce modèle de bourgeois bureaucrate dont l’ONU ou l’UNESCO ou le FMI ont fourni les modèles terrifiants.

    Mais le Français est AUSSI un bourgeois râleur, un prof gauchiste, un étudiant écolo-trotskiste, un je-ne-sais-quoi. La fable sur les grenouilles (symbole français) et leur roi (on pense au macaron), voici comment Taine l’explique :

    « Ils sont inconstants, mécontents par état, frondeurs, faiseurs de remontrances, fatigants, obstinés, insupportables, et par-dessus tout impertinents et poltrons. Ils se lassent de “l’état démocratique ;” et, quand Jupin, fatigué de leurs clameurs, leur donne pour roi “un bon sire, tout pacifique,” la gent “sotte et peureuse” va se cacher dans tous les trous, jusqu’à ce qu’elle redevienne familière et insolente. Pourquoi sont-ils si déplaisants ? Quand le roi des dieux leur envoie une grue “qui les tue, qui les croque, qui les gobe à son plaisir,” on est presque du parti de la grue et de Jupiter. »

    Oui, avec Jupiter on est servi ; et il y en a même encore plein qui n’ont pas encore compris.

    Taine a compris bien avant les ingénieurs sociaux comme on fabrique du fonctionnaire, du militaire, du dernier homme :

    « Nous naissons tous et nous croissons d’un mouvement spontané, libres, élancés, comme des plantes saines et vigoureuses. On nous transplante, on nous redresse, on nous émonde, on nous courbe. L’homme disparaît, la machine reste ; chacun prend les défauts de son état, et de ces travers combines naît la société humaine. »

    Toujours rat, le bourgeois est attiré par le people aristo, écrit Taine :

    « Le bourgeois sait qu’il est bourgeois et s’en chagrine. Sa seule ressource est de mépriser les nobles ou de les imiter. Il se met au-dessus d’eux ou parmi eux “et se croit un personnage.” Cet orgueil est raisonneur et esprit fort. Par exemple le rat s’étonne de voir tout le monde tourner la tête au passage de l’éléphant. Il réclame contre cet abus en théoricien spiritualiste : la grosseur et l’étalage ne font pas le mérite ; l’animal raisonnable ne vaut point “par la place qu’il occupe”, mais par l’esprit qu’il a. Il est clair que ce philosophe de grenier est un disciple anticipé de Jean-Jacques, et médite un traité sur les droits du rat et l’égalité animale. »

    C’est le monde du moyen (c’est rigolo parce que le but de notre monde global-bourgeois-technocrate est de liquider la classe moyenne maintenant) :

    « Là est la misère des conditions moyennes. Les extrêmes s’y assemblent et s’y heurtent ; les couleurs s’y effacent l’une l’autre, et l’on n’a qu’un tableau ennuyeux et choquant. De là vient la laideur du monde moderne. Autrefois à Rome, en Grèce, l’homme, à demi exempt des professions et des métiers, sobre, n’ayant besoin que d’un toit et d’un manteau, ayant pour meubles quelques vases de terre, vivait tout entier pour la politique, la pensée et la guerre. »

    Magnifiquement Taine ajoute (je crois qu’il n’est pas populaire — bien que très connu — parce qu’il est trop dur, ce n’est pas pour rien qu’il fut un fidèle correspondant de Nietzsche qui compare dans Zarathoustra le charbon au diamant) :

    « Aujourd’hui l’égalité partout répandue l’a chargé des arts serviles ; les progrès du luxe lui ont imposé la nécessité du gain ; l’établissement des grandes machines administratives l’a écarté de la politique et de la guerre. La civilisation, en instituant l’égalité, le bien-être et l’ordre, a diminué l’audace et la noblesse de l’âme. Le bonheur est plus grand dans le monde, mais la beauté est moindre. Le nivellement et la culture, parmi tous leurs mérites, ont leurs désavantages : d’un paysage nous avons fait un potager. »

    Qui se doutait qu’avec Malleret, Hollande ou Macron la machinerie administrative française allait accoucher du monstre administratif mondialiste et numérique ? Mais poursuivons :

    « Les occupations nobles s’altèrent en devenant marchandises. Le sentiment s’en va et fait place à la routine. »

    Il va parler de Virgile notre Taine dont l’école m’avait dégoûté (la version latine ne servant qu’à sélectionner un ingénieur social, pas à découvrir le génie initiatique d’une littérature) :

    « Une page de Virgile, que vous avez fait réciter à vingt écoliers pendant vingt ans vous touchera-t-elle encore ? Vous devez la lire tel jour, à telle heure ; l’émotion coulera-t-elle à point nommé comme quand on tourne un robinet ? Sous cette obligation, et sous cette régularité, l’esprit s’émousse et s’use, ou, si la vanité le soutient, il devient une mécanique de bavardage qui, à tout propos, hors de propos, part et ne s’arrête plus. Lorsque nous naissons, les forces de notre âme sont en équilibre. Qu’un métier soit un emploi utile de ces forces, un remède contre l’ennui, à la bonne heure. Mais, ainsi qu’une maladie, il rompt ce balancement exact. En développant un organe spirituel, il fait périr les autres. Le rôle accepté détruit l’homme naturel. C’est un acteur qui partout est acteur, et qui, une fois hors de son théâtre, est un sot. »

    Ce devenir-acteur du monde Macluhan en parle très bien à propos du roi Lear. Taine a tout dit avant tout le monde, comme Dumas, Poe, Baudelaire et les autres (pourquoi croyez-vous que j’insiste ?).

    Et le monde moderne a ainsi accouché non pas d’une souris, mais d’un rat bourgeois. Dans une admirable note sur son Anglaise, Taine écrit :

    « En dehors des sectaires qui aimaient surtout leur système, beaucoup de Français aimaient passionnément la France, et l’ont prouvé par leurs sacrifices, leur zèle et leur courage. La vérité est que l’esprit public ne se montre pas chez nous sous la même forme qu’en Angleterre et aux États-Unis, par l’étude froide et sérieuse des affaires publiques, par l’action locale et journalière, par l’association multipliée, efficace et pratique. On bavarde en phrases générales et vagues, on laisse prendre son argent au percepteur, on marche à la frontière, et on se fait tuer (Note du traducteur). »

    Aujourd’hui on n’ira pas se faire tuer pas les russes en Biélorussie (encore que, en insistant un peu à la télé…), mais on se fera piquer, stériliser, numériser et remplacer.

    Sources




    La Chine bientôt au sommet

    [Source : la-chronique-agora.com]

    [Illustration : source]

    Par Bill Bonner

    La Chine s’impose dans la course à la technologie et les institutions défaillantes de l’Occident font des dégâts…

    Est-ce vrai ? Les institutions les plus importantes de l’Occident sont-elles en train d’échouer ?

    La démocratie ? L’État-nation ? La presse « libre » ? Les combustibles fossiles ? Le capitalisme manipulé par le gouvernement… et l’argent géré par le gouvernement fédéral ? La supériorité technologique ? La puissance de feu ?

    Tout ce qui a permis à l’Occident de se hisser au sommet a-t-il été corrompu ? L’Occident a-t-il épuisé tous ses avantages ? Est-il en déclin, comme l’avait prédit Oswald Spengler il y a plus de 100 ans ?

    Selon notre modèle d’allocation d’actifs, nous aurions dû vendre nos actions américaines il y a près de 30 ans. Le modèle est « bête », dans la mesure où il ne nous dit rien sur l’état du monde, l’avenir des taux d’intérêt ou quoi que ce soit d’autre. Il est conçu pour nous aider à éviter les « grandes pertes », en nous indiquant simplement quand les actions sont chères en termes d’or. Un investisseur évite les grandes pertes en achetant des actions lorsqu’il peut obtenir les 30 actions du Dow Jones pour moins de 5 onces d’or. Il les vend lorsqu’elles dépassent les 15 onces.

    C’est ainsi que notre modèle nous a conseillé de privilégier l’or (aux actions) dès 1996. Nous ne le savions pas à l’époque, mais le modèle nous signalait peut-être quelque chose de beaucoup plus important. Les actions américaines ont atteint leur plus haut niveau historique en août 1999, les actions du Dow Jones se négociant à 42 onces d’or. Il semble aujourd’hui qu’il ne s’agissait pas seulement d’un sommet pour les actions américaines — mais de l’apogée de la puissance, de la richesse et du prestige de la civilisation occidentale. Le budget américain était plus ou moins équilibré. La dette américaine était encore gérable. À l’exception de leur engagement désastreux au Kosovo, les États-Unis étaient en paix. Depuis, les choses se sont dégradées.

    Trop humains

    Vendredi, nous nous sommes penchés sur le sujet de la démocratie. Comme nous l’avons vu, celle-ci n’est pas extensible. Les électeurs ordinaires ne peuvent pas prendre de décisions pour un empire lointain. Ils peuvent voter, mais leurs votes ne signifient presque rien. Les groupes issus de l’élite sont les véritables décideurs. Comme Nietzsche l’a dit, ils sont trop humains et prennent des décisions qui leur profitent, à eux… et non au « peuple ». Peu à peu, le gouvernement devient corrompu, égoïste et incompétent.

    Aujourd’hui, nous allons nous tourner vers la technologie et la puissance de feu. Deux nouvelles annonces — toutes deux en provenance de la Chine — suggèrent que l’Occident a perdu son avance technologique. Voici ce qu’en dit defenseone.com :

    « Les États-Unis perdent leur avantage en matière d’IA au profit de la Chine, selon des experts.

    “Si vous comparez en pourcentage de leur investissement militaire global, l’APL [l’agence de défense chinoise] dépense entre un et deux pour cent de son budget global pour l’intelligence artificielle, alors que le DoD dépense entre 0,1 et 0,2 de son budget pour l’IA.”

    Tara Murphy Dougherty, PDG de Govini, a déclaré aux journalistes lundi :

    “La Chine dépasse les États-Unis en matière d’innovation.” »

    C’est grâce à sa puissance de feu supérieure que l’Occident a pu conquérir la majeure partie de la planète — l’Amérique du Nord et du Sud, l’Australie, la majeure partie de l’Afrique et une grande partie de l’Asie.

    Un exemple : la bataille d’Omdurman, en 1898. Les Britanniques et leurs alliés disposaient de 25 000 hommes. Les Soudanais en avaient 52 000. Mais les Britanniques disposaient également de fusils, de mitrailleuses et d’artillerie modernes. Les Soudanais n’en avaient pas. À la fin des combats, 47 Anglais (et leurs alliés égyptiens) avaient été tués, contre 12 000 soldats ennemis.

    Une puissance de feu ancestrale

    Mais les grosses dépenses en armement ne suffisent pas. Au contraire, elles sont même un obstacle. L’industrie de la puissance de feu gagne de l’argent en vendant les armes d’hier. Plus vous dépensez, plus votre matériel devient obsolète. C’est pourquoi une agence de défense plus jeune et plus dynamique est souvent bien plus efficace qu’une bureaucratie militaire plus riche et mieux établie.

    La Chine, qui n’a pas à soutenir une industrie de la puissance de feu héritée du passé, peut consacrer une plus grande partie de son budget de défense aux nouvelles technologies, notamment à l’IA et aux drones. Lors de la prochaine guerre, ces innovations seront probablement décisives. Warontherocks.com rapporte :

    « La technologie des drones de mer va transformer la guerre navale

    Alors qu’en Ukraine, cette technologie est déployée pour résister à une nation d’envahisseurs, des États voyous pourraient en profiter ailleurs.

    Les progrès des technologies autonomes sont en train de démocratiser l’accès aux capacités navales de base : les nations et les groupes qui ne disposent pas d’une marine importante pourront rapidement devenir des concurrents en mer.

    Ils [les drones navals] sont également conçus pour fonctionner en essaims, ce qui permet des missions coordonnées avec plusieurs véhicules, comme celle de Sébastopol, où au moins sept navires de surface ukrainiens sans équipage ont franchi les défenses du port. En outre, les systèmes de propulsion hybrides combinent l’énergie électrique et l’énergie conventionnelle pour augmenter la portée opérationnelle et l’endurance des véhicules marins autonomes. »

    N’ayant pas de marine de type « seconde guerre mondiale » à entretenir, la Chine est en mesure de se concentrer sur une puissance de feu maritime plus récente et plus moderne.

    Et c’est un phénomène similaire qui est à l’origine du miracle chinois. En 1979, lorsque la Chine a emprunté la « route capitaliste », elle n’avait que peu d’industries héritées du passé et a dû en créer de nouvelles. La Chine, qui ne disposait plus que d’une infrastructure défectueuse après les débâcles du Grand Bond en avant et de la révolution culturelle, a dû construire de nouveaux trains, avions, automobiles, autoroutes, chemins de fer et ports de marchandises.

    C’est pourquoi la Chine dispose d’un réseau complet de trains à grande vitesse — y compris un train maglev à Shanghai qui atteint 600 km/h. La Chine teste actuellement un autre train à grande vitesse qui peut atteindre plus de 800 km/h, ce qui est bien différent des trains Amtrak qui passent par Baltimore, qui sont lourds et traînants.

    Informations haut débit

    Mais attendez… Les États-Unis ont inventé Internet. Le pays est toujours le leader des technologies de communication, n’est-ce pas ?

    Hier, le South China Morning Post a jeté un peu plus d’eau froide sur la toile :

    « La Chine lance l’Internet le plus rapide du monde avec une liaison de 1,2 térabit par seconde, avec des années d’avance sur les prévisions

    La Chine a devancé une échéance mondiale en lançant le premier service Internet de nouvelle génération au monde — de 10 fois plus rapide que les principaux axes existants — avec deux ans d’avance sur les prévisions du secteur.

    Le réseau dorsal — ainsi appelé parce qu’il constitue la principale voie de transmission de données entre les villes — peut transmettre des données à une vitesse de 1,2 térabit (1 200 gigabits) par seconde entre Pékin, dans le nord, Wuhan, dans le centre de la Chine, et Guangzhou, dans la province méridionale du Guangdong.

    La plupart des réseaux dorsaux de l’Internet dans le monde ne fonctionnent qu’à 100 gigabits par seconde. Même les États-Unis n’ont que récemment achevé la transition vers leur réseau Internet2 de cinquième génération à 400 gigabits par seconde. »

    Ce qui ne veut pas dire que toute la technologie américaine est aussi décrépite qu’Amtrak.

    Mais il y a toujours une suite à l’histoire… Rendez-vous demain.




    Au-delà de 1984 d’Orwell, la 5G et le lancement de la 6G : « Il est facile de démolir une société numérique ». La CNUCED tente de réaliser ce scénario catastrophique

    [Source : Les moutons enragés]

    “L’enfer est vide et les diables sont tous là.”

    William Shakespeare, « La Tempête », 1623

    L’analyse contemporaine de Peter Koenig sur « La tempête 2020-2030 »


    Par Peter Koenig

    De la 5G à la 6G

    Nous, le peuple, sommes engagés dans une course contre les mondialistes engagés dans la dépopulation ; contrôler les survivants, nous exploiter, nous déshumaniser et, à terme, nous numériser, afin que nous puissions être contrôlés à distance par la 5G ;

    Et maintenant, tout juste « lancée » par la Chine, la 6G. Voir La Chine lance une dorsale Internet de nouvelle génération à ultra haut débit – SHINE News .

    Personne ne sait vraiment, ou du moins n’a dit publiquement ce que la 6G est censée faire, ce que la 5G ne peut pas déjà faire. Au fait, l’impact sanitaire de la 6G a-t-il été étudié ? Peut-être. Mais personne ne divulgue les résultats.

    Voici comment Qualcomm décrit la 5G :

    Réseau mobile de 5e génération. Il s’agit d’une nouvelle norme sans fil mondiale après les réseaux 1G, 2G, 3G et 4G. La 5G permet un nouveau type de réseau conçu pour connecter pratiquement tout le monde et tout, y compris les machines, les objets et les appareils. Regardez ça.

    Personne n’a ouvertement parlé de l’impact de la 5G sur la santé, mais cela a été étudié. Pourtant, les études ne sont pas révélées au public.

    [Voir :
    Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
    Les pompiers californiens rendus malades par la 5G nous alertent
    Pourquoi les ondes artificielles sont les plus dommageables
    Champs électromagnétiques artificiels et naturels : pourquoi la Wi-Fi, le Bluetooth et les téléphones portables endommagent-ils les cellules ?
    Pourquoi les scientifiques s’inquiètent-ils de la 5G ?
    Les effets des ondes sur l’organisme
    Danger 5G : 13 raisons pour lesquelles la technologie sans fil 5G sera une catastrophe pour l’humanité
    Premières victimes reconnues des antennes 5G
    Paquet d’ondes radio]

    Au-delà du 1984 de George Orwell

    Il y a « deviner » ; et les scientifiques qui présentent la vérité décrivant l’impact causé par ces ultra-micro-ondes sur la faune et les humains sont le plus souvent qualifiés de « théoriciens du complot ».

    C’est l’expression « taisez-vous » pour tout ce que le courant dominant, la Cabale, Matrix et les mondialistes ne veulent pas que le public sache. Nous sommes bien au-delà de « 1984 » de George Orwell.

    Le réseau mobile de 6e génération ou 6G est environ 100 fois plus rapide et plus puissant que la 5G. Il pourra tout numériser.

    Voici ce que RantCell a à dire à propos de la 6G :

    Fonctionnant sur des bandes de fréquences térahertz, la 6G fournira un débit de données maximal de 1 000 gigabits/s avec une latence aérienne inférieure à 100 microsecondes. Lorsque nous parlons de vitesse du réseau 5G par rapport à la 6G, la vitesse de la 6G devrait être 100 fois plus rapide que celle de la 5G, avec une fiabilité améliorée et une couverture réseau plus large. Regardez ça.

    Nous, le peuple, sommes engagés dans une course : la vie contre la mort. Si nous nous réveillons et réagissons, le projet des mondialistes, à savoir le projet des protagonistes diaboliques de l’ Agenda 2030 de l’ONU et de la Grande Réinitialisation, sera « voué à l’échec ».

    Mais si nous continuons à nous laisser duper, nous, le peuple, « irons en enfer ».

    C’est la raison pour laquelle l’ensemble du système des Nations Unies cherche désespérément à numériser le monde. Le plus vite sera le mieux, il se peut que nous n’ayons pas assez de temps pour que nous, le peuple, nous réveillions en masse pour reprendre notre monde et nos vies avant qu’il ne soit trop tard.

    Le complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique nomme la CNUCED

    Par conséquent, les Nations Unies, l’organisme politique sous le contrôle total de la cabale mondialiste (ouvertement dirigée par Washington), mais en réalité, par le puissant complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique (FMIMPC) , a nommé l’un de ses sous-ministres. agents, la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) comme porte-drapeau – du moins pour l’instant – de l’assaut meurtrier de la toute-numérisation.

    La CNUCED – en dérogation flagrante à son mandat historique en faveur des pays en développement, à savoir du Sud global –, uniformisera les règles du jeu, comme on dit, au nom de l’ensemble du système des Nations Unies en annonçant dans un communiqué de presse à Genève le 15 novembre 2023 , sa e-Week du 4 au 8 décembre 2023, dans le cadre d’une refonte majeure de sa série annuelle de Semaines du commerce électronique qui a débuté en 2016.

    La Secrétaire générale de la CNUCED, Rebecca Grynspan , a déclaré :

    « L’économie numérique joue un rôle essentiel dans la promotion des objectifs de développement à tous les niveaux. Grâce à des discussions inclusives et multipartites, nous pouvons construire ensemble un avenir numérique mondial qui profite à tous. »

    La tristement célèbre semaine électronique de la CNUCED s’appelle

    « E-Week 2023 de la CNUCED pour mobiliser un soutien mondial en faveur d’une économie numérique plus inclusive. »

    Sous-titré :

    « Plus de 3 000 parties prenantes de 130 pays examineront comment transformer les opportunités numériques en gains de développement partagés et réduire les fractures existantes pour un avenir durable. »

    Le texte du communiqué de presse regorge de slogans, de subtilités et de « non-sens » (discours insensés pour les « gnomes vendus aux systèmes »).

    Par exemple….

    « La conférence a pour thème «Façonner l’avenir de l’économie numérique ». Les sujets comprendront plus de 150 sessions axées sur la résolution des problèmes urgents liés à la numérisation. Les sujets clés porteront sur la gouvernance des plateformes, l’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur le développement, les pratiques numériques respectueuses de l’environnement, l’autonomisation des femmes grâce à l’entrepreneuriat numérique et l’accélération de la préparation au numérique dans les pays en développement. »

    Cette phrase d’introduction manque à peine d’un des jargons mondialistes dénués de sens, qui sont désormais courants et circulent dans l’esprit des gens, sans qu’ils réfléchissent à ce qu’ils signifient réellement.

    Attendez une minute, ils ont oublié le terme « durable ». Cela apparaîtra sûrement plus tard dans le texte.

    La CNUCED et le « terrain de jeu numérique »

    Personnes très importantes (VIP) présentes. Ils parlent également de plusieurs intervenants de haut niveau comme Amandeep Sing Gill , l’envoyé du secrétaire général de l’ONU pour la technologie ; Nizar Ben Neji , ministre tunisien de la communication et des technologies ; ainsi que Henry Puna , secrétaire général du Forum des îles du Pacifique ; et bien d’autres IT-VIP.

    Le potentiel de l’IA. Ils ne manquent pas d’ exploiter le potentiel de l’intelligence artificielle (IA) , rappelant au monde que le temps presse alors que le monde fait face aux incertitudes entourant les technologies émergentes, y compris l’adoption rapide de l’IA, qui révolutionne de plus en plus l’économie numérique.

    C’est clair : notre avenir, l’avenir du peuple, est conçu comme un avenir numérique. Et cela, sans aucune concertation. L’organisme des Nations Unies et ceux qui tirent ses ficelles envisagent de décider pour nous, le peuple. Mais seulement si nous les laissons faire.

    L’égalisation des règles du jeu numérique se concentrera sur les flux massifs de données provenant de l’économie numérique et appellera des réponses de gouvernance mondiale à la concentration du marché et à la répartition inégale des bénéfices.

    Ils affirment que plus de 70 % des revenus publicitaires numériques mondiaux sont reversés à seulement cinq plateformes numériques.

    Alors, que comptent-ils faire à ce sujet ? Rien. Car ces cinq plateformes numériques contrôlent déjà le monde – Alphabet, Amazon, Apple, Meta et Microsoft . Ces mastodontes contrôlent environ 9 000 milliards de dollars de communications informatiques. Et maintenant, ajoutez « X » (ancien Twitter ) et l’horizon du changement semble ultra sombre, surtout pas pour un organisme mineur de l’ONU, appelé CNUCED.

    Ce n’est de loin pas tout.

    À l’ordre du jour figure également un autre slogan : Exploiter la promesse numérique, qui prédit et promet que l’économie numérique basée sur les données recèle un vaste potentiel permettant aux pays de stimuler la croissance économique, de favoriser l’innovation et de réduire les obstacles géographiques et physiques au développement inclusif.

    Voici la cerise finale sur le gâteau :

    La numérisation pour le développement – ​​la plateforme de la semaine électronique de la CNUCED pour un dialogue constructif et inclusif vise à générer des idées et des actions qui peuvent alimenter les efforts mondiaux, en particulier le Pacte numérique mondial des Nations Unies en cours, visant à catalyser un avenir numérique ouvert, libre et sécurisé pour tous. , en vue du Sommet du futur de l’ONU de 2024 .

    Et pour tout cela, ils ont besoin de partenariats plus solides ; en particulier avec les multiples crises mondiales qui se déroulent sur les fronts géopolitiques, économiques et climatiques, les pays doivent prendre des décisions cruciales pour tracer la voie de la numérisation vers un développement équitable et durable .

    Ils parlent peut-être du pacte contraire à l’éthique et illégal de 2019 entre le Forum économique mondial (WEF) de Klaus Schwab et les Nations Unies, ainsi que des guerres et des conflits mondiaux sans raison provoqués par l’homme, du chaos et des meurtres, juste pour tenir la population à distance. confus et distrait.

    Ceci complète le slogan : l’équité et la durabilité ne sont pas oubliées.

    « Démanteler une société numérique »

    En lisant entre les lignes et au-delà des slogans et du jargon numérique de la propagande, il n’est pas difficile de constater que nous nous dirigeons de plus en plus rapidement vers l’asservissement numérique.

    Considérez ce que Tucker Carlson a dit dans une récente interview : il est facile de « détruire une société numérique ».

    Pensez-y.

    Si tout autour de nous est géré par des signaux numériques contrôlés par la « Cabale mondialiste » (à savoir le FMIMPC), un ou quelques interrupteurs peuvent désactiver nos différents réseaux :

    • approvisionnement en eau, électricité, gaz, énergies de toutes sortes,
    • approvisionnement alimentaire,
    • livraisons de carburant,
    • des signaux de trafic,
    • tous les transports,
    • toutes les communications,
    • l’argent sur nos comptes, et bien plus encore.

    Les gens mourraient comme des mouches. Il n’est pas nécessaire d’avoir une explosion nucléaire pour éradiquer la population mondiale, ni les soi-disant « mangeurs inutiles » (une citation de l’Israélien Yuval Noah Harari du WEF ), qui pourraient également mettre en danger ceux qui contrôlent les interrupteurs.

    Et nous, le peuple, serions complètement impuissants.

    À présent, il devrait être clair pour nous tous ce qui est progressivement et, à bien des égards, imperceptiblement préparé pour nous : Nous, le Peuple, sommes le « Mal pur ».

    C’est Nous qui sommes dans la Matrice. Les élites qui contrôlent les quelques commutateurs pour exécuter la fin du jeu sont en dehors de la matrice. Ils garderont leurs lignes d’approvisionnement ouvertes – de tout, dans l’espoir de vivre dans un paradis où nous, le peuple, ne possédons rien mais sommes heureux.

    Ils contrôlent à distance la Matrix. Nous, les gens autoproclamés « aux pilules rouges », pensions que nous étions à l’extérieur et que nous pouvions observer le chaos se créer à l’intérieur.

    C’est l’inverse.

    Ne vous laissez pas berner. Il s’agit d’une confrontation entre les élites puissantes, à savoir le complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique (FMIMPC) et nous, le peuple , à savoir l’humanité agissant dans le monde entier à la base de la société.


    Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il est l’auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes : From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020).

    Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non-résident de l’Institut Chongyang de l’Université Renmin de Pékin.


    L’image présentée provient de Children’s Health Defense.

    La source originale de cet article est Global Research
    Copyright ©Peter Koenig , Recherche mondiale, 2023

    Voir aussi à propos des ondes :
    Les effets des micro-ondes pulsées et des ondes électromagnétiques à très basse fréquence sur le cerveau humain ? Les gouvernements « classifient » régulièrement les informations relatives à la manipulation du système nerveux humain




    En France, la police nationale utilise illégalement un logiciel de reconnaissance faciale

    [Source : Disclose]

    Par Pierre Leibovici

    En 2015, les forces de l’ordre ont acquis, en secret, un logiciel d’analyse d’images de vidéosurveillance de la société israélienne Briefcam. Depuis huit ans, le ministère de l’Intérieur dissimule le recours à cet outil qui permet l’emploi de la reconnaissance faciale.

    C’est devenu une habitude. Ce mardi 14 novembre, comme ce fut le cas lors de l’édition précédente, Gérald Darmanin inaugure le salon Milipol, au parc des Expositions de Villepinte (Seine-Saint-Denis). Consacré à la sécurité intérieure des États, ce salon est une vitrine mondiale pour des entreprises souvent inconnues du grand public. C’est le cas de Briefcam, une société israélienne spécialisée dans le développement de logiciels destinés à la vidéosurveillance algorithmique (VSA). Grâce à l’intelligence artificielle, cette technologie permet d’analyser des images captées par des caméras ou des drones et de détecter des situations jugées « anormales ».

    Jusqu’en mai dernier, la VSA ne pouvait être utilisée par la police nationale que dans de très rares cas. Mais à l’approche des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, le gouvernement est parvenu à faire adopter une loi au parlement qui autorise son expérimentation par la police nationale à une large échelle, et ce, jusqu’au 31 mars 2025. Face aux risques d’atteinte à la vie privée, les député·es ont néanmoins interdit le recours à la reconnaissance faciale, qui permet d’identifier une personne sur des images à partir des traits du visage. Un outil ultra-intrusif que certains logiciels commercialisés par Briefcam permettent d’activer en quelques clics. Et que les services de Gérald Darmanin connaissent bien.

    Un logiciel déployé au niveau national

    D’après des documents internes au ministère de l’Intérieur obtenus par Disclose, les forces de l’ordre utilisent les systèmes de Briefcam depuis 2015, dans le plus grand secret. Le logiciel en question, baptisé « Vidéo Synopsis », permet de traquer une personne sur un réseau de caméras grâce, par exemple, à la couleur de son pull. Il peut également suivre un véhicule à l’aide de sa plaque d’immatriculation ou examiner plusieurs heures de vidéos en quelques minutes. Le slogan de Briefcam, rachetée par le géant de la photo Canon en 2018 : « Transformer la vidéosurveillance en intelligence active ».

    Il y a huit ans, la direction départementale de sécurité publique (DDSP) de Seine-et-Marne est choisie pour expérimenter le logiciel israélien. Deux ans plus tard, en 2017, l’application est déployée plus largement. Les services de police du Rhône, du Nord, des Alpes-Maritimes, et de Haute-Garonne en sont à leur tour équipés. Ainsi que le service interministériel d’assistance technique (SIAT), une unité de police en charge des infiltrations, de la mise sur écoute et de la surveillance de la grande criminalité.

    « Il semble préférable de ne pas en parler »

    Un haut fonctionnaire de la police nationale

    Dans la foulée, ce sont les services de la police judiciaire, les préfectures de police de Paris et Marseille, la sûreté publique et la gendarmerie nationale qui vont être dotés du logiciel de Briefcam sur des ordinateurs dédiés. Une installation massive qui s’est faite en dehors du cadre légal prévu par une directive européenne et la loi française Informatique et Libertés.

    Avant d’utiliser une technologie aussi intrusive que celle proposée par Briefcam, le ministère de l’Intérieur aurait dû mener une « analyse d’impact relative à la protection des données » et la remettre à une administration indépendante : la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL). Or, la Direction générale de la police nationale (DGPN), placée sous l’autorité directe de Gérald Darmanin, n’avait toujours pas réalisé cette analyse d’impact en mai 2023. Pas plus qu’elle n’a averti la CNIL. Fin 2020, un cadre de la police invite ainsi à la discrétion : « Certains services ont l’outil Briefcam, mais celui-ci n’étant pas déclaré à la CNIL, il semble préférable de ne pas en parler ». Ou encore ce message envoyé quelques mois plus tard par un autre gradé, rappelant que :

    « Sur le plan juridique (…) l’application Briefcam n’a jamais été déclarée par la DGPN ».

    Contactée par Disclose, la CNIL déclare, embarrassée, qu’elle « ne dispose pas d’éléments permettant d’infirmer ou de confirmer que la police nationale utilise Briefcam. » La DGPN n’a pas répondu à nos questions.

    L’option reconnaissance faciale activable en quelques clics

    La popularité de Briefcam parmi les services de la police pourrait s’expliquer par l’utilisation hors de tout cadre légal d’une de ses fonctionnalités phares : la reconnaissance faciale. Celle-ci permet « de détecter, de suivre, d’extraire, de classer, de cataloguer » une personne en fonction de son visage, explique l’entreprise sur son site Internet. Et pour l’utiliser, rien de plus simple : il suffit de sélectionner « un ou plusieurs visages » avant de cliquer sur « le bouton reconnaissance faciale affiché à droite de la zone de lecture », comme l’indique le manuel d’utilisation transmis à Disclose par la Quadrature du Net, une association de défense des droits et libertés sur Internet. En quelques clics, le tour est joué.

    Cette possibilité offerte par Briefcam a d’ailleurs été mise en avant comme un véritable « plus » par le service en charge des outils technologiques au sein de la DGPN. Dans un courriel envoyé en novembre 2022, un haut gradé de la police explique que le logiciel possède des « fonctionnalités comme : les plaques d’immatriculation, les visages », mais aussi « des fonctionnalités plus “sensibles” » telles que la « distinction de genre, âge, adulte ou enfant, taille ». Il précise enfin que certains modules de l’application permettent de « détecter et d’extraire des personnes et objets d’intérêts a posteriori », mais aussi de faire de l’analyse vidéo en « temps réel ».

    Ce possible recours à la reconnaissance faciale inquiète au sein même de l’institution. Dans un « point de situation juridique » daté de mai 2023, un cadre de la direction nationale de la sécurité publique (DNSP) alerte en effet sa hiérarchie :

    « Quel que soit le logiciel utilisé (Briefcam en particulier), il est interdit de recourir à un quelconque dispositif de rapprochement de visage ou de reconnaissance faciale », en dehors d’un cadre légal strict.

    Briefcam équipe la police municipale dans près de 200 communes

    En France, la reconnaissance faciale n’est autorisée qu’à de rares exceptions. Elle peut s’inscrire dans le cadre d’enquêtes judiciaires ou administratives « sanctionnant un trouble à l’ordre public ou une atteinte aux biens, aux personnes ou à l’autorité de l’État », comme le souligne un rapport parlementaire d’avril 2023. Dans ce cas, les enquêteurs peuvent s’appuyer sur le TAJ, le traitement des antécédents judiciaires, qui comptait, en 2018, environ huit millions de fiches avec des photos de visages. L’autre cas où la reconnaissance faciale est autorisée concerne le système de passage rapide aux frontières extérieures (Parafe), soit les portiques de sécurité qui comparent le visage des voyageur·euses à leur passeport biométrique.

    Pourtant, selon une source bien informée au sein de la police nationale, la reconnaissance faciale de Briefcam serait activement utilisée. Sans contrôle ni réquisition judiciaire. « N’importe quel policier dont le service est équipé peut demander à recourir à Briefcam, en transmettant une vidéo ou photo », assure notre interlocuteur. La DGPN n’a pas donné suite aux questions de Disclose sur ce point. Quant à Briefcam, son directeur des ventes en Europe, Florian Leibovici, reste évasif :

    « Ce type de client reste confidentiel et nous n’avons que très peu d’informations sur la façon dont notre outil est utilisé ».

    La société Briefcam, créée en 2008 par trois enseignants de l’école d’informatique et d’ingénierie de l’Université hébraïque de Jérusalem, n’équipe pas seulement les forces de l’ordre françaises. D’après un document de présentation confidentiel obtenu par Disclose, Briefcam a assisté des services de police en Israël, aux États-Unis, au Brésil, mais aussi à Taïwan ou Singapour. Selon le centre de recherche indépendant Who Profits, Briefcam serait également utilisé par le ministère israélien du Logement pour surveiller des zones palestiniennes de Jérusalem-Est occupées par des colons.

    En France, « plus d’une centaine de villes » ont équipé leur police municipale avec l’application Briefcam, selon son représentant en Europe, Florian Leibovici. C’est notamment le cas de Nice, Roanne, Aulnay-sous-Bois, Perpignan ou Roubaix. Les algorithmes de Briefcam scrutent également les visiteurs du parc d’attractions du Puy du Fou et, bientôt, les élu·es de l’Assemblée nationale. Une implantation qui fait de la société l’un des leaders sur le marché hexagonal.

    Du côté du ministère de l’Intérieur, on ne semble pas disposé à se passer du logiciel israélien de sitôt. Avant l’été, la direction centrale de la sécurité publique (DCSP) a validé le renouvellement de la licence Briefcam pour les services de sûreté départementale du Rhône, du Nord et de Seine-et-Marne. Lesdites licences arrivent à échéance à la fin de l’année 2023. Pour continuer à les utiliser, la hiérarchie policière a pioché dans le « fonds concours drogue ». Une enveloppe, alimentée par les saisies liées au trafic de stupéfiants, qui doit normalement servir la lutte contre le trafic de drogue et la prévention contre les addictions.


    Enquête : Mathias Destal, Clément Le Foll, Geoffrey Livolsi
    Édition : Pierre Leibovici
    Photo de couverture : Briefcam




    Transhumanisme

    [Source : arcaluinoe.info]

    Par Scott Howard

    Bonjour à tous et merci d’avoir pris le temps de m’écouter aujourd’hui. Je remercie tout particulièrement Iurie Rosca d’avoir organisé cette conférence et de m’avoir invité à enregistrer un message pour vous tous. Mon intervention portera sur le thème de la vision de la classe dirigeante pour une soi-disant Grande Réinitialisation, motivée en grande partie par l’idéologie du transhumanisme. Je suis un auteur basé dans le Nebraska, auteur de trois livres, tous publiés par Antelope Hill : The Transgender-Industrial Complex [Le complexe industriel transgenre] (qui a été banni d’Amazon par une campagne de censure coordonnée menée par au moins une personne explicitement nommée dans le livre), The Open Society Playbook [Le guide de l’Open Society, ou Le guide de la société ouverte], et le texte le plus pertinent pour le thème de cette conférence, The Plot Against Humanity [Le complot contre l’humanité].

    Comme l’écrit Mark O’Connell dans son livre To Be a Machine [Être une machine] à propos des transhumanistes, « ils croient que nous pouvons et devons éradiquer le vieillissement comme cause de décès ; que nous pouvons et devons utiliser la technologie pour augmenter nos corps et nos esprits ; que nous pouvons et devons fusionner avec les machines, en nous refaisant nous-mêmes, finalement, à l’image de nos propres idéaux les plus élevés. » Selon un article de Robin McKie paru en 2018 dans The Guardian et intitulé « No death and an enhanced life: Is the future transhumanism? » [Pas de mort et une vie améliorée : l’avenir est-il au transhumanisme ?] :

    Les adeptes du transhumanisme envisagent un jour où les humains se libéreront de toutes les contraintes corporelles. [Ray] Kurzweil et ses disciples pensent que ce tournant sera atteint vers 2030, lorsque la biotechnologie permettra une union entre les humains et des ordinateurs et systèmes d’intelligence artificielle véritablement intelligents. L’esprit humain-machine qui en résultera sera libre de parcourir l’univers qu’il aura lui-même créé, en se téléchargeant à volonté sur un « substrat informatique suffisamment puissant ». Nous deviendrons des dieux.

    Ray Kurzweil a intitulé son livre de 2005 The Singularity is Near: When Humans Transcend Biology [La singularité est proche : quand les humains transcendent la biologie], dans le but exprès de faire référence au cri de Jean le Baptiste : « Le royaume des cieux est proche ». C’est en effet avec de telles prétentions messianiques que les maîtres de l’humanité autoproclamés s’apprêtent à refaire notre planète et notre biologie — quand ils ne se passent pas carrément de cette dernière. Ce n’est pas une coïncidence si l’Internet des objets (IoT — the Internet of Things) du Forum économique mondial, avec son vaste réseau de capteurs et la libre circulation de l’information, engendre par « nécessité » l’Internet de tous les objets (IoAT — the Internet of All Things), la mise en ligne d’un réseau global représentant le coup de grâce de l’humanité et — très probablement — de toute la matière vivante. L’IoAT pourrait bien, comme l’écrit Yuval Noah Harari dans son livre Homo Deus,

    s’étendre à toute la galaxie et même à tout l’univers. Ce système cosmique de traitement des données serait comme Dieu. Il sera partout et contrôlera tout, et les humains sont destinés à s’y fondre.

    Certains transhumanistes parlent déjà de l’être humain comme d’un organisme piratable, qui peut être commandé par l’algorithme et modifié d’innombrables façons. Selon Yuval Noah Harari, participant au Forum économique mondial et conférencier, « pirater un être humain, c’est apprendre à le connaître mieux qu’il ne se connaît lui-même. Le monde est de plus en plus découpé en sphères de collecte de données, de récolte de données… Il s’agit de données sur ce qui se passe à l’intérieur de mon corps. Ce que nous avons vu jusqu’à présent, ce sont des entreprises et des gouvernements qui collectent des données sur les endroits où nous allons, les personnes que nous rencontrons, les films que nous regardons. La prochaine étape sera la surveillance sous la peau. Il ajoute : « Il est certain que nous sommes arrivés à un point où nous avons besoin d’une coopération mondiale. On ne peut pas réguler le pouvoir explosif de l’intelligence artificielle au niveau national. » Nous serions bien avisés de lire entre les lignes et de reconnaître que lorsque Harari parle de réglementer, il faut entendre « utiliser ». En outre, faisant écho à Kurzweil, Harari déclare : « Ce n’est pas seulement une dystopie, c’est aussi une utopie. » Dans une vision de l’avenir, cela signifierait une bifurcation claire de l’humanité entre les dieux et les simples mortels. Dans un autre scénario potentiel, une superintelligence créée par l’homme pourrait surpasser ses capacités au point de rendre les humains obsolètes et de les éliminer complètement.

    Nous sommes, sans aucun doute, à l’aube d’un « meilleur des mondes », bouleversé par les forces libérées par la pandémie de Covid-19. Que le virus ait été libéré intentionnellement ou que les pouvoirs en place n’aient tout simplement pas voulu gaspiller une bonne crise n’a pas d’importance à ce stade ; ce qui est de la plus haute importance, c’est de savoir où nous sommes conduits, par qui et pourquoi. Le virus s’est avéré être la justification pour catalyser certaines choses et en accélérer d’autres qui se construisaient tranquillement dans l’ombre — mais pas tout à fait dans la clandestinité — depuis un certain temps. Une alliance impie — avec de nombreux recoupements — de technocrates, d’eugénistes, de collectivistes, d’occultistes, de déviants et de transhumanistes forme le noyau de ce qui est considéré comme la classe dirigeante permanente de l’humanité, à condition qu’elle ne précipite pas la disparition de l’espèce telle que nous la connaissons ou qu’elle ne la précipite pas tout court.

    Dans Le complot contre l’humanité, mon point de départ a été l’exploration du réseau de contrôle et de ses objectifs à travers les interconnexions profondes de l’establishment du Covid avec les gouvernements, les universités, les organisations non gouvernementales (ONG) bien financées, les sociétés privées et la haute finance, y compris les entités qui permettent aux gouvernements de surveiller les citoyens et d’imposer un conformisme dans les attitudes et les comportements. Ces tendances sont de plus en plus évidentes dans tout l’Occident et sont particulièrement bien accueillies par la gauche politique. Il est clair que ces « élites » voient dans la crise du Covid une occasion en or de renforcer le contrôle et le conformisme, non seulement dans les sociétés occidentales, mais aussi dans le monde entier. Bien que la question de savoir s’il s’agira d’un bloc mondial continu, de deux ou plusieurs factions concurrentes ou d’un autre scénario reste ouverte, dans tous les cas prévus, le résultat sera une perte totale de vie privée, d’individualité, de sens et, très probablement, de notre humanité même.

    Il existe de multiples voies par lesquelles cette issue pourrait se produire, allant d’un conflit et d’un bouleversement mondial massifs, faisant apparaître soudainement comme acceptables, en comparaison, les alternatives au transhumanisme qui seraient autrement peu agréables pour de nombreuses personnes, à la lente descente vers une course de limaces accros à la dopamine de l’avenir. Peu importe, on nous promet que cet avenir sera glorieux et utopique. Malgré l’apocalypse climatique imminente dont on nous rebat les oreilles, les « élites » promettent néanmoins d’avoir transformé la Terre en un paradis édénique d’ici à 2030. Toutes les institutions qui montent à bord du train 2030 sont des institutions telles que les Nations Unies et leurs diverses filiales, le Groupe de la Banque Mondiale, l’OTAN, le Forum Économique Mondial, un grand nombre de gouvernements nationaux, et la liste est encore longue. Le Sierra Club décrit l’année 2030 dans sa Vision stratégique 2030 en ces termes : « Elle est destinée à fournir un récit cohérent sur notre vision, nos valeurs et nos priorités ». Le récit est assez cohérent, car pratiquement toutes les institutions dignes d’intérêt sont constamment sur la même longueur d’onde : justice sociale, changement climatique, pandémies, droits des transgenres. Comme l’a écrit Steve MacFeely dans un document d’analyse de la politique internationale de novembre 2018 de Friedrich Ebert Stiftung intitulé « L’Agenda 2030 : Un défi statistique sans précédent » :

    Début 2016, les Objectifs de développement durable (ODD) de l’Organisation des Nations unies (ONU) ont remplacé les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), en place depuis le début du siècle… Ces 17 objectifs et leurs 169 cibles sont universels, intégrés et transformateurs. Ils s’appliquent à toutes les nations et couvrent l’ensemble du programme de développement durable : la pauvreté, le développement humain, l’environnement et la justice sociale.

    L’internet des objets (IoT), la quatrième révolution industrielle et la grande réinitialisation sont des concepts qui doivent leur genèse ou leur popularisation au Forum Économique Mondial (FÉM) et à son fondateur et président exécutif, Klaus Schwab. L’IoT est, selon Alexander S. Gillis, « un système de dispositifs informatiques interconnectés, de machines mécaniques et numériques, d’objets, d’animaux ou de personnes qui sont dotés d’identifiants uniques (UID) et de la capacité de transférer des données sur un réseau sans nécessiter d’interaction d’humain à humain ou d’humain à ordinateur. » Pour Devon McGinnis de Salesforce, la quatrième révolution industrielle est « une façon de décrire l’effacement des frontières entre les mondes physique, numérique et biologique. C’est une fusion des progrès de l’intelligence artificielle (IA), de la robotique, de l’Internet des objets (IoT), de l’impression 3D, du génie génétique, de l’informatique quantique et d’autres technologies », y compris la blockchain. Enfin, le Great Reset est une initiative du FÉM lancée en juin 2020 capitalisant sur la pandémie de Covid-19 qui lie explicitement le « rétablissement » de la pandémie aux différents éléments constitutifs de la quatrième révolution industrielle ; pour Schwab, « le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contrats sociaux en passant par les conditions de travail. Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. En bref, nous avons besoin d’une “grande remise à zéro” du capitalisme ». En d’autres termes, le monde d’avant doit disparaître. L’ère précédente — le néolibéralisme — touche rapidement à sa fin et cède la place à l’ère transhumaniste et bionumérique. Par le biais de diverses idéologies qui se croisent et de leurs applications, nous sommes dirigés vers une ruche bionumérique. Si tout cela vous semble un peu conspirationniste, c’est bien le cas. Mais toutes les conspirations ne sont pas de simples « théories » ou de la fiction sauvage.

    À la fin de mon premier livre, The Transgender-Industrial Complex, j’ai intentionnellement élargi le champ d’application pour illustrer le fait que, malgré l’endoctrinement auquel nous sommes soumis afin de nous rendre toujours plus spécialisés et plus généralement inutiles, les « maîtres de l’humanité » ne sont pas cloisonnés ; leur projet est global, et le transgendérisme n’est qu’un aspect des efforts déployés pour refaire (ou défaire, selon le cas) complètement l’Humanité. Qu’il s’agisse d’ingénieurs informatiques ou d’ingénieurs sociaux, il existe une croyance générale selon laquelle, si nous parvenons à construire le bon système, nous pourrons enfin tout avoir. C’est le rêve terrestre utopique qui n’est en fait guère plus qu’une illusion, comme il l’a toujours été. La classe dirigeante est enragée dans sa foi en le transhumanisme, et possédée par sa ferveur religieuse, elle vise à convertir le monde entier par tous les moyens nécessaires.

    Dans mon deuxième livre, The Open Society Playbook, j’ai schématisé exactement comment la structure du pouvoir « ouvre » une société au féminisme, à l’immigration de masse, aux « droits » des LGBTQ, et à tout ce que nous reconnaissons comme destructeur pour le tissu d’une société saine et fonctionnelle. La société ouverte est permissive à l’égard de tout ce qui est contraire à ses anciennes valeurs fondamentales et à son peuple, arborant un visage souriant alors qu’elle vous poignarde dans le dos. C’est l’une des principales caractéristiques de l’ère du néolibéralisme, avec son confort moelleux tout au long de la marche vers l’atomisation. Plus de choses, moins de sens, et un lent broyage constant de l’individu et de la communauté — et en particulier de la famille. C’est ainsi que l’Occident est arrivé au point d’inflexion de 2020 et qu’il s’est avéré largement incapable d’opposer une résistance appréciable aux abus auxquels nous avons été continuellement soumis. Si vous ne comprenez pas ce qui est bien, vous ne pouvez pas comprendre ce qui est mal, surtout si le mal porte des gants. Atomisée et terrifiée, une telle population est très facile à contrôler — et si elle croit que la plus grande vertu est de soutenir ce qui la détruit, c’est encore mieux.

    [Voir aussi :
    L’atomisation de l’Homme et de l’Humanité]

    Bien qu’il n’y ait pas d’uniformité totale dans la mesure où il existe des sous-ensembles au sein de l’establishment qui se disputent la position d’hégémon ultime avec des visions parfois concurrentes, l’orientation générale reste uniforme dans son soutien aux politiques nocives qui ont été au cœur du néolibéralisme, de l’ouverture des frontières à l’érosion des libertés civiles en passant par l’accumulation de vastes quantités de richesses dans un nombre de plus en plus restreint de mains. Pour les transhumanistes, alors que le mondialisme se transforme en confinements, en scores de crédit social et en injections forcées, nous ferions bien de nous rappeler que ces mains sont les architectes de ce système et les bénéficiaires évidents ; les seuls vrais désaccords portent sur la manière dont ils se répartiront le pouvoir, sur qui occupera le sommet et sur la forme que prendra l’Humanité elle-même. Il s’agit d’un processus long et progressif, et la création d’une « société ouverte » avec un terrain fertile pour la suite est une étape essentielle dans l’agenda de sa mise en œuvre en Occident et dans le monde entier.

    Étant donné la nature relativement brève de cet exposé, je n’ai pas pu l’approfondir de manière exhaustive, mais j’espère sincèrement vous avoir donné une idée de la menace existentielle à laquelle nous sommes confrontés sous la forme de cet agenda et de l’idéologie du transhumanisme. Si vous accordez de l’importance à la liberté et à la souveraineté humaine — si vous croyez que vous avez une âme et qu’elle a de la valeur — alors il vous incombe de résister à cet agenda de toutes vos forces. Nous devons tous le faire. Je vous remercie de m’avoir accordé votre temps et je vous souhaite bonne chance.






    La vision mondialiste : Les villes-prisons « 15 minutes » et la fin de la propriété privée

    [Source : alt-market.us]

    Par Brandon Smith

    En règle générale, je constate que chaque fois que le public examine de près un programme particulier promu par les gouvernements et les mondialistes, sa première réaction est de s’indigner, un peu comme le ferait un narcissique lorsqu’il prépare un mauvais coup et qu’il se fait prendre :

    « Comment osez-vous mettre en doute leurs intentions et suggérer qu’ils pourraient être malfaisants ? Comment osez-vous suggérer qu’ils sont autre chose qu’aimants et bienveillants ? Nos “dirigeants” n’ont jamais voulu que le meilleur pour nous, n’est-ce pas ? Ils veulent seulement que nos vies deviennent plus sûres, plus confortables et plus pratiques — c’est ce qui motive vraiment l’élitiste moyen, n’est-ce pas ? »

    De toute évidence, l’Histoire nous raconte un récit bien différent, et je suis stupéfait lorsque quelqu’un essaie d’affirmer que les choses sont différentes aujourd’hui par rapport à il y a 100 ans, 300 ans ou 1000 ans. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Il y aura toujours des tyrans qui tenteront de gagner de plus en plus de pouvoir et ces tyrans mentiront toujours au public en prétendant qu’ils sont des gens bien qui ont nos intérêts à cœur.

    Lorsque cela ne fonctionne pas et que les citoyens restent sceptiques, les tyrans passent à l’attaque, accusant le public de « théorie du complot ». L’objectif est de se moquer des libres penseurs et de leur faire honte en les réduisant au silence. Pourquoi risquer d’être mis au ban de la société ? Pourquoi risquer de devenir un mème ?

    Cette tactique repose sur l’idée que les grands médias et les fonctionnaires représentent le courant dominant, et donc qu’ils représentent la majorité, et que la majorité représente la réalité. Rien de tout cela n’est vrai ou pertinent, bien sûr. Seuls les faits comptent. La sophistique n’a pas de sens. Les opinions n’ont pas de sens. La vérité devrait être le but, et si ce n’est pas le but de quelqu’un, c’est qu’il est un pourvoyeur de mensonges et qu’il ne doit pas être pris au sérieux. Il n’y a que deux voies à suivre, il n’y a pas d’entre-deux.

    J’admets que l’accusation de « théorie du complot » a une certaine valeur, car chaque fois que ceux de l’establishment l’utilisent, c’est un signe certain que vous êtes trop près de la cible et qu’ils deviennent nerveux. Ils pourraient simplement essayer d’exposer les preuves qu’ils pourraient avoir pour démontrer que votre position est erronée, mais ils ne le font pas vraiment. Au lieu de débattre de vos arguments et de vos preuves, ils essaient de vous décrédibiliser en tant que critique valable et de vacciner le public contre vos idées avant même qu’il n’ait eu l’occasion de les entendre. C’est le comportement des méchants, et non celui des dirigeants bienveillants et attentionnés.

    Si je mentionne cette dynamique, c’est parce qu’il y a un programme qui prime sur tous les autres et qui est agressivement défendu par les médias de l’establishment, et que toute personne qui le remet en question de près ou de loin est automatiquement persécutée en tant que « conspirationniste » ou « négationniste ». Je parle bien sûr de l’agenda du changement climatique.

    J’ai complètement démenti l’idée d’un changement climatique d’origine humaine dans des articles précédents et je ne m’attarderai pas sur ce sujet ici. Au lieu de cela, je veux examiner l’objectif final des politiques de lutte contre le changement climatique — la solution ultime, qui n’est PAS de sauver la planète, mais de dominer la population.

    Les noms utilisés pour la « réinitialisation » du changement climatique varient, mais les mondialistes et l’ONU y font souvent référence sous le nom d’Agenda 2030 ou d’Objectifs de développement durable. Ces programmes portent une façade d’environnementalisme, mais ils sont TOUS enracinés dans l’économie. En d’autres termes, tous les efforts de lutte contre le changement climatique visent à détruire l’industrie et le commerce et à établir un partenariat entre le gouvernement et les entreprises pour dominer la production. Le changement climatique est un cheval de Troie pour introduire l’autoritarisme.

    Je pense que l’un des aspects les plus importants de l’Agenda 2030 pour les mondialistes est ce que l’on appelle la « ville de 15 minutes », un projet qui implique des centaines de maires de villes des États-Unis, d’Europe et d’Asie travaillant en étroite collaboration avec des groupes tels que le Forum Économique Mondial. Dès que cette idée est évoquée de manière négative, les médias se déchaînent avec colère et moquerie, comme s’il ne s’agissait pas d’une question réelle méritant d’être débattue.

    L’establishment brosse un tableau intéressant des villes de 15 minutes — un avenir utopique dans lequel tout ce dont vous avez besoin se trouve à une courte distance de marche et où les transports privés sont superflus (ou interdits). Vous pourriez même vivre dans un méga-complexe, un peu comme un centre commercial géant où vous travaillez également. Vous pourriez passer des mois dans un espace d’un kilomètre carré, sans jamais avoir à sortir pour quoi que ce soit.

    Ce n’est pas un hasard si cette idée a été poussée à fond pendant les périodes de confinement de la pandémie. Le public a été inondé d’une propagande de peur à propos d’un [supposé] virus dont le taux de survie était de 99,8 %, et cette peur a rendu l’idée impensable de rester chez soi en permanence tout à fait envisageable. Les experts des médias continuent de qualifier de théorie du complot le lien entre les confinements Covid et les confinements climatiques, mais l’idée est ouvertement admise dans les livres blancs des Nations unies et du Forum Économique Mondial (FÉM [ou WEF pour World Economic Forum, en anglais, NDT]).

    Certains affirment que la plupart des villes sont déjà des « villes de 15 minutes », où les produits de première nécessité sont tous accessibles à pied. Ces personnes ne comprennent pas ce qu’est réellement une ville de 15 minutes. Comme le soulignent de nombreuses descriptions du projet, il ne s’agit pas seulement de commodité ou de proximité, mais de changer tous les aspects de notre philosophie de vie actuelle. Il ne s’agit pas de gagner en confort, mais de faire toute une série de sacrifices pour apaiser les dieux des émissions de carbone.

    La ville de 15 minutes ressemble davantage à une recette, contenant tous les ingrédients des programmes de lutte contre le changement climatique et d’enfermement des covidés dans une seule vision orwellienne globale. Cela inclut la suppression des véhicules à moteur, la suppression des transports privés et des routes, la ville intelligente et la surveillance par l’IA de la consommation d’électricité de chaque personne, la surveillance de la consommation de produits et de l’« empreinte carbone », la surveillance biométrique au sein d’un paysage urbain compact et empilé, le concept de société sans argent liquide, le culte de l’équité et de l’inclusion, le contrôle de la population, etc.

    C’est le point culminant, le jeu final ; une prison massive sans barreaux. Un endroit où l’on vous conditionne à vous habituer à des limitations artificielles de la vie privée, à l’absence de libertés civiles, à l’absence de propriété privée et à l’absence d’options de travail ou de mobilité. Vous êtes lié à la terre et la terre appartient à l’État (ou à une société). Si vous voulez une comparaison historique, la plus proche que je puisse trouver est le système féodal de l’Europe médiévale [selon l’idée (fausse, d’après certains historiens) que se font les gens de la vie au Moyen-Âge, NDT].

    Dans ces villes, vous êtes un mécanisme de travail, rien de plus. Vous ne serez jamais autorisé à posséder votre propre propriété et donc votre propre travail. Tout ce que vous possédez vous est donné par l’État et peut vous être retiré si vous le défiez. Vous pourrez peut-être quitter le village ou la communauté à laquelle vous êtes lié pendant un certain temps, mais cela changera avec les restrictions croissantes imposées aux mouvements du public en fonction des dictats de l’idéologie climatique.

    Tant que vous êtes productif et soumis, on vous donnera ce dont vous avez besoin pour survivre, mais jamais pour vous épanouir. Dans le cas d’un système féodal technocratique, vous n’auriez aucune garantie que l’État ait besoin de vos services. Dans l’Europe féodale, au moins, le paysan était considéré comme une ressource précieuse en raison de sa population limitée. Dans un monde où de nombreuses personnes sont considérées comme un « excès de population », vous pourriez facilement être remplacé et expulsé de la ville pour mourir de faim.

    En 2016, le Forum Économique Mondial a publié un document intitulé « Bienvenue en 2030. Je ne possède rien, je n’ai aucune vie privée et la vie n’a jamais été aussi belle ». L’article était destiné à promouvoir un concept appelé « économie de partage », qui a été présenté pour la première fois à la presse à Davos. L’article décrit un avenir « hypothétique » dans lequel un système communiste a mis fin à toute propriété privée au nom de la sauvegarde de la planète contre le changement climatique. Les avantages ? Comme dans tous les systèmes communistes, le mensonge consiste à dire que l’on travaillera moins et que la plupart des choses seront gratuites. C’est ainsi que les idéaux collectivistes sont vendus à la population depuis des générations et cela ne fonctionne JAMAIS comme le prétend l’establishment.

    Le WEF fait la promotion de l’économie de partage depuis des années, mais lorsqu’elle s’est généralisée et a été largement critiquée comme étant dystopique, les médias ont une fois de plus enclenché l’interrupteur de la « théorie du complot » et ont attaqué toute personne exposant les implications.

    De nombreuses plateformes ont publié l’article en 2016, mais beaucoup l’ont retiré depuis (Forbes semble avoir effacé sa copie publiée, par exemple). Elles font comme si l’agenda n’avait jamais existé, probablement parce que l’article contient des aveux révélateurs, notamment une allusion au concept de ville de 15 minutes. Extrait de l’article :

    « Ma plus grande préoccupation concerne toutes les personnes qui ne vivent pas dans notre ville. Ceux que nous avons perdus en chemin. Ceux qui ont décidé que c’était trop, toute cette technologie. Ceux qui se sont sentis obsolètes et inutiles lorsque les robots et l’IA ont pris en charge une grande partie de nos emplois. Ceux qui se sont énervés contre le système politique et se sont retournés contre lui. Ils mènent des vies différentes en dehors de la ville. Certains ont formé de petites communautés autonomes. D’autres sont restés dans les maisons vides et abandonnées des petits villages du XIXe siècle.

    De temps en temps, je m’agace du fait que je n’ai pas de véritable vie privée. Je ne peux aller nulle part sans être enregistré. Je sais que, quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J’espère seulement que personne ne l’utilisera contre moi ».

    En d’autres termes, les mondialistes imaginent un avenir où les libres penseurs mécontents et les personnes remplacées par l’IA sont des parias, menant une existence insignifiante dans les friches de l’ancien monde. Pour rester dans le giron du nouveau monde, vous devrez renoncer à toute liberté, même à la liberté de pensée. Gardez à l’esprit que cet article était censé être une promotion « positive » de l’économie de partage et des villes 15 minutes. Pourtant, cet extrait ressemble davantage à une menace.

    Il est important de comprendre que ces villes compactes ne seront pas conçues pour votre confort. Elles ne seront pas conçues pour que vous puissiez avoir toutes les commodités dont vous disposez aujourd’hui à portée de main tout en assurant la « durabilité ». C’est ce que les mondialistes essaient de vendre, mais ce n’est pas ce qui se passera. Ces villes seront plutôt conçues pour mieux vous CONTRÔLER, afin de vous forcer à faire les sacrifices qu’ils disent nécessaires pour que la durabilité soit possible.

    Elles sont présentées à tort comme des « communautés décentralisées », mais c’est exactement le contraire : elles sont totalement centralisées, comme une cage de hamster dont vous êtes l’animal de compagnie. La philosophie de base de ces communautés est la dépendance. Si vous vivez dans un endroit spécialement conçu pour éliminer votre capacité à subvenir à vos besoins, vous êtes un esclave. Bien entendu, même l’esclavage peut paraître noble si les gens sont convaincus que leurs chaînes sont nécessaires pour le bien de la planète.




    Le racket NewsGuard : La vérification des faits, offerte par Big Pharma

    [Source : childrenshealthdefense.org]

    NewsGuard, une organisation de vérification des faits à but lucratif soutenue par Big Pharma, Big Tech, le syndicat des enseignants et le gouvernement américain, s’est érigée en arbitre mondial autoproclamé de ce que sont les informations « dignes de confiance ».

    Par Dr. Joseph Mercola

    L’histoire en un coup d’œil :

    • NewsGuard est une organisation de vérification des faits à but lucratif soutenue par les grandes sociétés pharmaceutiques et technologiques, le syndicat des enseignants et le gouvernement américain.
    • NewsGuard s’est autoproclamé arbitre mondial des informations « dignes de confiance » sur la base de neuf facteurs de « crédibilité et de transparence », pour les informations consultées sur des appareils électroniques privés, dans les écoles et dans les bibliothèques publiques. Sa véritable raison d’être est cependant de mettre en faillite les sites de médias alternatifs en faisant fuir les annonceurs.
    • Fin octobre, Consortium News a poursuivi NewsGuard et le gouvernement américain pour diffamation et violation du premier amendement, arguant que l’organisme de vérification des faits était de connivence avec les services de renseignement américains pour supprimer les opinions divergentes en matière de politique étrangère.
    • NewsGuard a qualifié Consortium News d’organisation médiatique « anti-américaine », bien qu’il n’ait critiqué que six de ses plus de 20 000 articles et aucune de ses vidéos.
    • L’un des PDG de NewsGuard, Louis Gordon Crovitz, est membre du Council on Foreign Relations (CFR), un acteur clé de la Grande Réinitialisation. Depuis sa création, le CFR a pour objectif de saper la souveraineté et l’indépendance nationale des États-Unis afin d’instaurer un gouvernement mondial unique et tout-puissant.

    Dans la vidéo ci-dessous, Marissa Streit, PDG de PragerU, s’intéresse à NewsGuard, un organisme de vérification des faits à but lucratif soutenu par Big Pharma, Big Tech, le syndicat des enseignants et le gouvernement américain.

    NewsGuard s’est autoproclamé arbitre mondial des informations « dignes de confiance » sur la base de neuf facteurs de « crédibilité et de transparence », pour les informations consultées sur des appareils électroniques privés, dans les écoles et dans les bibliothèques publiques.

    Le démarrage de NewsGuard, qui a coûté 6 millions de dollars, a été financé en partie par le groupe Publicis, l’une des plus grandes sociétés de relations publiques au monde. Nombre des plus grandes entreprises pharmaceutiques font appel à leurs services, et le conseil d’administration de Publicis Health se compose également d’un groupe de personnalités de premier plan ayant des antécédents ou des affiliations dans le secteur des grandes entreprises pharmaceutiques. J’ai détaillé ces liens dans mon article du 5 octobre 2021 intitulé « The Web of Players Trying to Silence Truth » (La toile des acteurs qui tentent de faire taire la vérité).


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    NewsGuard censure la vérité, pas les fausses nouvelles

    Au printemps 2020, NewsGuard a classé mercola.com dans la catégorie des « fake news » parce que nous avions signalé que le virus du SRAS-CoV-2 avait potentiellement fui du laboratoire de niveau de biosécurité 4 de la ville de Wuhan, en Chine, épicentre de l’épidémie de COVID-19.

    Un an plus tard, le Congrès américain a lancé une enquête pour explorer la théorie de l’accident de laboratoire après qu’il est apparu que les National Institutes of Health avaient financé des recherches sur les coronavirus de chauve-souris à l’Institut de virologie de Wuhan.

    Il est intéressant de noter qu’un rapport de CNN daté du 16 avril 2020 a révélé que la censure des articles mentionnant la possibilité que le SRAS-CoV-2 ait pu s’échapper de l’installation de niveau de biosécurité 4 de Wuhan semble être dirigée par la Chine, ce qui signifie que NewsGuard a protégé de manière fonctionnelle les intérêts chinois.

    [Note de Joseph : l’affaire du supposé virus échappé d’un labo n’a pas plus de justification scientifique que celle de son échappement d’un pangolin ou d’une chauve-souris. Ce n’est qu’un écran de fumée destiné à maintenir vivante la croyance en l’existence de méchants virus en dépit du fait que l’hypothèse virale a été réfutée il y a déjà sept décennies. Voir notamment C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! et Un adieu à la virologie dans le dossier Vaccins et virus. La science véritable évolue par la remise en question permanente de ses théories, mais quand une hypothèse prétendument scientifique devient indiscutable, elle relève désormais de l’ordre des croyances religieuses. Il y a longtemps que la virologie n’est plus une science, car notamment les expériences de contrôle indispensables à la démonstration scientifique ne sont jamais effectuées par les virologues. À la place, ils pratiquent des rituels relevant de mauvaise cuisine, comme la prétendue « culture » virale.]

    Comme le note Streit, si vous êtes une société à but lucratif payée par Big Pharma, dans quelle mesure pouvez-vous être neutre et impartial lorsque vous vérifiez les faits des articles qui critiquent l’industrie ? Il est bien connu que celui qui tient les cordons de la bourse a beaucoup d’influence.

    Le racket de NewsGuard

    Selon M. Streit, la plupart des employés de NewsGuard sont également des « activistes de gauche » qui ne supportent pas les médias non libéraux comme PragerU, The Daily Wire, The Federalist et Breitbart.

    Elle explique correctement comment fonctionne leur petit jeu d’« enquête impartiale ». Tout d’abord, ils vous envoient un courrier électronique contenant une liste de questions accusatrices sur un sujet brûlant que vous avez abordé sur votre site.

    Si vous répondez, ils ignorent vos réponses et vous envoient une nouvelle liste de questions. Si vous ne répondez pas, vous avez confirmé à leurs yeux que vous n’êtes pas une source fiable.

    « Pile ils gagnent, face vous perdez », dit Streit.

    Quelle que soit l’approche utilisée, NewsGuard apposera une étiquette « fake news » sur votre site afin de faire fuir les lecteurs et de dire aux agences de publicité et aux grandes entreprises de se tenir à l’écart et de placer leur budget publicitaire ailleurs.

    Comme le fait remarquer Mme Streit, pour les organes de presse qui ont besoin d’annonceurs pour rester à flot, « cela peut coûter très cher, très vite ». Les entreprises peuvent facilement être acculées à la faillite de cette manière, et « bien sûr, c’est ce qui est prévu », dit-elle.

    NewsGuard sert également de pare-feu pour protéger les grandes entreprises technologiques contre les accusations de censure.

    Lorsque des sources conservatrices affirment que les grandes entreprises technologiques censurent leurs opinions, celles-ci se contentent de répondre : « Nous n’avons porté aucun jugement. Nous avons engagé un vérificateur de faits tiers qui nous a dit que cette histoire, ou ce site web, n’était pas digne de confiance ».

    « En bref, NewsGuard leur permet de censurer la parole sans laisser d’empreintes digitales », explique M. Streit.

    NewsGuard poursuivi en justice pour avoir supprimé des opinions divergentes en matière de politique étrangère

    N’oublions pas non plus que le gouvernement américain sponsorise NewsGuard. Le ministère américain de la Défense a versé 750 000 dollars à NewsGuard « pour surveiller les tendances en matière de “désinformation” en ligne », « ce qui est une façon orwellienne de dire “les informations que le ministère de la Défense n’aime pas” », explique M. Streit.

    Exemple : fin octobre, Consortium News a poursuivi NewsGuard et le gouvernement américain pour diffamation et violation du premier amendement, arguant que le vérificateur de faits était de connivence avec les services de renseignement américains pour supprimer les opinions divergentes en matière de politique étrangère.

    Comme l’a rapporté Consortium News le 23 octobre :

    « Le gouvernement des États-Unis et le “chien de garde” de l’Internet NewsGuard Technologies, Inc. ont été poursuivis aujourd’hui devant le tribunal fédéral de Manhattan pour violation du premier amendement et diffamation par le Consortium for Independent Journalism, une organisation à but non lucratif qui publie Consortium News.

    La plainte déposée par Consortium News accuse le Cyber Command du Pentagone, un élément de l’Intelligence Community, d’avoir passé un contrat avec NewsGuard pour identifier, rapporter et restreindre le discours des médias américains qui s’opposent aux positions officielles des États-Unis en matière de politique étrangère.

    Dans le cadre de son contrat avec le Pentagone, NewsGuard “agit conjointement ou de concert avec les États-Unis pour contraindre les organismes de presse à modifier leurs points de vue” sur l’Ukraine, la Russie et la Syrie, imposant une forme de “censure et de répression des points de vue” qui diffèrent ou s’opposent aux politiques des États-Unis et de leurs alliés…

    Lorsque des groupes de médias sont condamnés par le gouvernement comme étant “anti-américains” et sont accusés de publier du “faux contenu” parce qu’ils ne sont pas d’accord avec les politiques américaines, le résultat est l’autocensure et la destruction du débat public prévu par le premier amendement », a déclaré Bruce Afran, l’avocat de Consortium News. »

    Selon la plainte, NewsGuard utilise un logiciel pour marquer les sites ciblés avec des étiquettes d’avertissement qui décrivent le contenu comme étant de la « désinformation » ou du « faux contenu ».

    Dans le cas de Consortium News, son site a été qualifié d’organisation médiatique « anti-américaine », bien que NewsGuard n’ait critiqué que six de ses plus de 20 000 articles et aucune de ses vidéos.

    Selon Consortium News :

    « La plainte demande une injonction permanente déclarant le programme conjoint inconstitutionnel, interdisant au gouvernement et à NewsGuard de poursuivre de telles pratiques et plus de 13 millions de dollars de dommages et intérêts pour diffamation et violation des droits civils. »

    Le gouvernement américain a également été pris en flagrant délit de financement du Global Disinformation Index (GDI), aujourd’hui discrédité, qui ciblait sélectivement les médias conservateurs et non libéraux.

    Selon le Washington Examiner, le GDI a envoyé des listes noires à des sociétés de publicité « dans le but de défrayer et de fermer des sites web qui colportent de la prétendue “désinformation”. »

    NewsGuard a pour mission de réduire au silence les médias alternatifs

    L’opération Mockingbird de la CIA a été officiellement annulée en 1976, mais cela ne signifie pas que son contrôle sur les médias a pris fin.

    Si les trois dernières années nous ont montré quelque chose, c’est que tous les grands médias sont désormais totalement contrôlés.

    Si vous voulez avoir une opinion différente de celle qui prévaut, vous devez rechercher des sources d’information indépendantes, et ce sont ces sources que NewsGuard tente de détruire.

    Caitlin Johnstone a abordé cette question dans un article de janvier 2019 :

    « Un rapport diffusé dans les médias grand public par des fonctionnaires anonymes des services de renseignement en septembre affirmait que des employés du gouvernement américain à Cuba avaient subi des lésions cérébrales semblables à des commotions cérébrales après avoir entendu des bruits étranges dans des maisons et des hôtels, le coupable le plus probable étant des “micro-ondes sophistiquées ou un autre type d’arme électromagnétique” en provenance de Russie.

    L’enregistrement d’une de ces attaques hautement sophistiquées a été analysé par des scientifiques et s’est avéré être l’appel à l’accouplement du grillon mâle à queue courte des Indes… L’histoire réelle, débarrassée de l’hyperventilation et de la panique russe, est que des employés du gouvernement ont entendu des grillons à Cuba…

    Ce n’est que le dernier épisode d’une longue série de terribles débâcles dans les médias de masse, les journalistes désireux de démontrer leur fidélité inconditionnelle à l’empire centralisé des États-Unis s’empressant de rapporter toute histoire qui donne une mauvaise image de la Russie, sans faire preuve de la diligence nécessaire.

    Les seules voix qui ont remis en question le récit russe de l’establishment […] sont celles que les médias de masse refusent de diffuser. Les médias alternatifs sont les seules grandes plateformes de dissidence par rapport aux récits autorisés de la classe politique/médiatique détenue par les ploutocrates.

    Imaginez donc à quel point il serait désastreux que ces derniers bastions du scepticisme et de la responsabilisation du pouvoir soient éliminés du paysage médiatique. C’est exactement ce que tente de faire une organisation douteuse appelée NewsGuard…

    Un nouveau rapport de la journaliste Whitney Webb pour MintPress News explique en détail comment NewsGuard s’efforce de cacher et de démonétiser les médias alternatifs comme MintPress. »

    Comme le souligne Johnstone, NewsGuard est « dirigé par certains des individus les plus virulemment pro-impérialistes d’Amérique » et « son programme visant à renforcer le contrôle narratif pour le pouvoir en place est clair ».

    NewsGuard lié au conseil antiaméricain des relations étrangères

    En effet, l’un des PDG de NewsGuard, Louis Gordon Crovitz, est membre du CFR, un acteur clé de la Grande Réinitialisation.

    Le CFR est financé en partie par les fondations Gates, Rockefeller, Ford et Carnegie, et a influencé la politique étrangère des États-Unis depuis sa création il y a 95 ans.

    Presque tous les secrétaires américains à la défense ont été membres à vie, de même que la plupart des directeurs de la CIA. Cela revêt une importance cruciale, étant donné que l’objectif du CFR, depuis le début, est d’instaurer un gouvernement totalitaire à l’échelle mondiale, un Nouvel Ordre Mondial avec un pouvoir global du haut vers le bas.

    « Depuis sa création, l’objectif du CFR est de saper la souveraineté et l’indépendance nationale des États-Unis afin d’instaurer un gouvernement mondial unique et tout-puissant. »

    En 1950, le fils de l’un des fondateurs du CFR, James Warburg, a déclaré devant la commission sénatoriale des affaires étrangères : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela vous plaise ou non — par la conquête ou par le consentement ». De même, en 1975, l’amiral Chester Ward, un initié du CFR, a écrit que l’objectif du CFR était de « submerger la souveraineté et l’indépendance nationale des États-Unis dans un gouvernement mondial tout-puissant ».

    Selon Ward, le désir de « renoncer à la souveraineté et à l’indépendance des États-Unis est omniprésent chez la plupart de ses membres » et « dans tout le lexique du CFR, il n’y a pas de terme de répulsion qui ait une signification aussi profonde que “l’Amérique d’abord”. »

    En gardant à l’esprit le dernier commentaire de Ward, publié en 1975, il est intéressant de contempler qui s’est opposé au programme « America First » du président Trump, et pourquoi.

    De nombreux Américains, même s’ils n’aiment pas ou ne soutiennent pas Trump personnellement, s’accordent à dire que s’occuper de l’Amérique et des intérêts des Américains en premier est une décision rationnelle pour tout dirigeant, et ils ont eu du mal à comprendre comment une politique anti-America First peut être bonne pour la nation.

    Ward nous donne la réponse. Ceux qui s’opposent à la politique de « l’Amérique d’abord » le font parce qu’ils travaillent pour le compte d’un réseau qui cherche à éliminer le nationalisme.

    L’idée d’un gouvernement menant une guerre contre ses propres citoyens semble totalement irrationnelle et inexplicable — jusqu’à ce que l’on réalise que le CFR contrôle les relations étrangères des États-Unis depuis près d’un siècle, et que son objectif principal a toujours été de saper la souveraineté des États-Unis et de favoriser la création d’un gouvernement mondial unique.

    Le comité consultatif de NewsGuard compte également de nombreux membres de groupes de réflexion néoconservateurs, dont Tom Ridge (secrétaire à la sécurité intérieure de George W. Bush), Michael Hayden (un initié de la communauté du renseignement) et Richard Stengel (sous-secrétaire d’État à la diplomatie publique et aux affaires publiques d’Obama et ancien rédacteur en chef de Time Magazine).

    Fait révélateur, Stengel a déclaré publiquement qu’il soutenait l’utilisation de la propagande intérieure contre les citoyens américains.

    Comme le note Johnstone :

    « Celui qui contrôle la narration contrôle le monde. Le désir du pouvoir en place de réglementer l’accès des gens à l’information est si désespéré qu’il est devenu aussi maladroit qu’un adolescent tripotant son rendez-vous sur la banquette arrière d’une voiture, et c’est à peu près aussi agréable.

    Ils ne cachent même plus leur désir de contrôler nos esprits, alors il ne devrait pas être trop difficile d’éveiller tout le monde à leurs manipulations. Nous devons utiliser chaque centimètre de notre capacité à communiquer les uns avec les autres avant qu’elle ne s’éteigne pour de bon. »

    « Middleware » — Le dernier plan en date pour mettre fin à la liberté d’expression

    Dans une vidéo publiée le 1er août sur Twitter/X, Mike Benz, directeur exécutif de la Fondation pour la liberté en ligne, a présenté la dernière stratégie en date dans le cadre des efforts déployés à l’échelle mondiale pour mettre fin à la liberté d’expression. Elle s’appelle « middleware ». Ce terme désigne les organisations de censure tierces, telles que NewsGuard.

    En bref, ils tentent de restructurer le secteur de la censure « en passant d’un modèle gouvernemental descendant » à un « modèle intermédiaire concurrentiel » dans lequel la « curation de contenu » (lire censure) est simplement externalisée auprès d’organisations tierces.

    De cette manière, un marché « légal » de la désinformation est créé tandis que le gouvernement peut prétendre qu’il n’a rien à voir avec le contrôle de l’information.

    Fondamentalement, nous assistons à l’émergence d’une censure d’entreprise organisée à l’échelle mondiale. Bien entendu, l’intelligence artificielle sera également utilisée à plus grande échelle pour « identifier et ralentir la diffusion de contenus erronés et nuisibles ».

    NewsGuard travaillerait également avec l’Union européenne sur un nouveau « code de désinformation » afin de faire respecter les nouvelles normes mondiales de la Commission européenne, qui obligent les marques et les sociétés de technologie publicitaire à empêcher la publicité sur les sites qui publient de « fausses informations ».

    Une fois de plus, il s’agit de fermer les médias alternatifs en les privant de revenus publicitaires.

    Fin octobre, Elon Musk, propriétaire de Twitter, rebaptisé X, a qualifié les évaluations de NewsGuard d’’escroquerie », déclarant qu’elles devraient être « dissoutes immédiatement ».

    La déclaration de M. Musk fait suite à des messages de M. Benz et de Tim Pool, PDG de Timcast News, qui a déclaré que NewsGuard avait rétrogradé son site « parce que nous avions publié cinq articles sur près de 5 000 qui citaient M. Trump ».

    Ils ont prétendu qu’il était irresponsable de rapporter les déclarations de M. Trump parce que nous devrions plutôt vérifier ses faits et que M. Trump avait tort. Ils prétendent maintenant que nous ne corrigeons pas les erreurs parce que nous n’avons pas répondu à leurs fausses affirmations le mois dernier ».

    Ce que vous pouvez faire pour mettre fin à ces abus

    En fin de compte, NewsGuard n’est qu’une entreprise de plus destinée à protéger l’alliance mondialiste de gouvernements et d’entreprises privées qui tentent de mettre en place un régime totalitaire de gouvernement mondial unique.

    Pour ce faire, ils discréditent et éliminent les concurrents et les analystes indésirables qui vous fournissent des informations allant à l’encontre du discours officiel.

    Pour en savoir plus sur NewsGuard, lisez mon précédent article intitulé « NewsGuard, la nouvelle police de la pensée, appartient à Big Pharma ».

    Si vous êtes aussi troublé que moi par cette censure croissante, n’hésitez pas à contacter votre bibliothèque locale dès aujourd’hui pour savoir si elle utilise NewsGuard.

    Si c’est le cas, demandez-leur s’ils sont au courant de la censure de NewsGuard sur les informations véridiques, qui empiète désormais sur la liberté scientifique et menace les racines mêmes de notre démocratie.

    Si votre bibliothèque locale utilise NewsGuard, lancez une campagne pour le faire retirer. Prévenez également votre cercle social de l’utilisation de NewsGuard.

    Comme le note Streit :

    « Si vous ne voulez plus penser par vous-même, NewsGuard vous couvre. Mais si vous voulez penser par vous-même, vous êtes prévenu. Si NewsGuard a mis un drapeau rouge sur une source, tout ce que vous devez savoir, c’est que la gauche ne veut pas que vous la lisiez, la regardiez ou l’entendiez. Et qu’est-ce que cela vous donne envie de faire ? ».

    Publié à l’origine par Mercola.




    Définir les narrations dominantes et créer un nouveau paradigme

    [Source : arcaluinoe.info]

    Par Calistrat Marvin Atudorei

    Un ex-agent du KGB nommé Yuri Bezmenov, qui a fait défection aux États-Unis dans les années 1970, a expliqué dans une interview à la télévision américaine en 1984 que 85 % de l’activité des services secrets soviétiques visait à contrôler la perception de la réalité au niveau de la population.1 Mais cette affirmation était certainement vraie (et c’est toujours le cas) pour les services secrets de toutes les autres grandes puissances du monde. Et il ne s’agit pas seulement de la population d’un État ennemi, mais en premier lieu de la population de son propre pays ou de la sphère d’influence de cette grande puissance.

    Pour confirmer avec la situation de la population américaine, je me souviens de la déclaration de 1981 de l’ancien directeur de la CIA, William J. Casey, qui déclarait ce qui suit à propos d’un des programmes de contrôle mental :

    Nous saurons que notre programme de désinformation est terminé quand tout ce que le public américain croit est sous contrôle.2

    Bezmenov, l’ancien agent du KGB, a également déclaré que lorsque la subversion idéologique (opération psychologique) atteint un stade avancé, alors « exposer les sujets à la véritable information n’a plus d’importance du tout. Une personne qui a subi un lavage de cerveau n’est plus capable de traiter l’information. Les faits ne lui disent plus rien. Même si on lui fais une douche d’informations, avec des preuves authentiques, avec des documents, des photos… il refusera de croire ! ».3

    Le problème des opérations psychologiques est bien plus important qu’il n’y paraît à première vue. Parce que souvent un analyste politique, un philosophe ou — de manière générique — un penseur bien intentionné se trouve dans une situation où, même s’il « crie » la vérité à ses pairs pour les réveiller de leur léthargie morbide, il semble que presque personne ne l’entende plus. L’explication est que le processus de « lavage de cerveau » génère un phénomène psychologique appelé « dissonance cognitive » dans lequel un sujet qui a été « hypnotisé » par des suggestions répétées qui ont induit/configuré une Fausse Réalité dans sa conscience, n’est plus capable d’accepter les vérités élémentaires et des preuves aussi évidentes que possible.

    Nous nous voyons dans la situation où, face à l’appareil mondialiste (comme un rouleau compresseur) d’induire une Fausse Réalité (en particulier à travers les mass-medias obéissants), dire la Vérité n’a presque plus de pertinence pour beaucoup de nos pairs. Nous avons constaté cela dans le cas de la campagne génocidaire de vaccination « anti-Covid » par exemple, lorsque dans de nombreux pays occidentaux « civilisés » le pourcentage de population injectée dépassait 70-80 %, même s’il y avait des personnalités bien informées qui signalaient l’immense danger des soi-disant « vaccins ».

    Par une analyse attentive, nous découvrons qu’au cours des dernières décennies les autorités politiques et universitaires alignées sur l’agenda mondialiste ont énormément imposé de nombreuses autres anomalies flagrantes afin de déformer un certain paradigme social. Malgré l’absurdité de la version officielle, ces narrations ont été largement adoptées.

    Je mentionne brièvement quelques exemples :

    • le genre (l’identité sexuelle) est fluide, c’est la liberté de chacun (un droit fondamental) de s’identifier à ce qu’il veut ;
    • les réfugiés musulmans et africains sont défavorisés, pas de leur faute, dans leur pays d’origine et il est donc du devoir des peuples du monde (en particulier ceux d’Europe et d’Amérique du Nord) de les adopter à bras ouverts. De plus, les États d’accueil doivent modifier leurs habitudes socioculturelles afin de ne pas nuire aux conceptions des nouveaux arrivants ;
    • l’Humanité a été naturellement frappée en 2019 par une terrible pandémie. Il est très possible que la situation se répète et c’est précisément pourquoi il est nécessaire d’établir un Traité Mondial sur la Pandémie impliquant la vaccination obligatoire au niveau de l’ONU et de l’Organisation Mondiale de la Santé ;
    • l’Ukraine est un pays libre et souverain que la Russie a attaqué de manière brutale et totalement injustifiable sur les ordres insensés de Vladimir Poutine. Sous la direction du héros-président Volodymyr Zelensky, l’Ukraine résiste avec l’aide désintéressée de tous les États démocratiques ;
    • nous assistons à de nombreux changements climatiques dans le monde entier qui se produisent à travers le rejet de CO2 dans l’atmosphère, fait qui est le résultat du mode de vie irrationnel des gens ;
    • nous pourrions également ajouter les récits officiels sur la Révolution Française, la Révolution Bolchevique, les deux Guerres Mondiales, la Révolution Roumaine de 1989, sur la création et les objectifs de l’Union Européenne, sur les attentats du 11 septembre 2001, sur l’atterrissage sur la Lune en 1969, etc., etc., etc.

    Toutes ces narrations sont en réalité des mensonges ridicules, des manipulations grossières. Mais parce qu’elles ont été répétées systématiquement et avec aplomb comme étant des positions officielles soutenues par les « plus grands experts », non seulement la grande masse ne les remet plus en question, mais elle acquiesce à l’avertissement selon lequel toute autre version ne serait qu’une stupide « théorie du complot ».

    En réalité — et c’est une conclusion importante que je souhaite souligner — le monde a longtemps été systématiquement contrôlé par des opérations psychologiques massives.

    Un corollaire à la conclusion ci-dessus, qu’il convient également de garder à l’esprit, est le suivant : l’impact sur la grande masse des gens n’est pas déterminé principalement par la valeur de vérité, mais par le pouvoir de suggestion.

    Qui lance ces opérations psychologiques, dans quel but et à travers quelle infrastructure sociale ?

    La réponse apparaît de plus en plus clairement sous nos yeux. C’est l’acteur mondialiste qui vise à établir un Gouvernement Mondial tyrannique. C’est une possibilité contre laquelle d’innombrables personnalités notables au cours des cent dernières années nous ont très sérieusement mis en garde. Il faut noter parmi eux plusieurs présidents des États-Unis d’Amérique comme Théodore Roosevelt, Dwight Eisenhower ou encore John Fitzgerald Kennedy.

    Rappelons plus concrètement ce qu’ils ont dit, car leurs expressions sont particulièrement suggestives :

    Théodore Roosevelt soulignait en 1912 que :

    Derrière le gouvernement visible siège un gouvernement invisible qui ne doit pas fidélité au peuple et ne se reconnaît aucune responsabilité.4

    Dwight Eisenhower a averti en 1961 que :

    Nous devons nous garder de toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel. Le risque potentiel d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de ce complexe militaro-industriel mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques.5

    John Fitzgerald Kennedy notait avec le plus grand sérieux en 1962, peu avant son assassinat :

    Nous sommes confrontés dans le monde entier à une conspiration monolithique et impitoyable qui s’appuie principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence. (…) C’est un système qui a mobilisé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et très efficace qui combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques.6

    Ainsi, partout dans le monde, les grandes décisions ont été prises depuis longtemps par une organisation transnationale extrêmement efficace et coordonnée, dont nous constatons sa présence aujourd’hui plus concrètement que jamais. Cette organisation cherche à imposer et à accélérer de plus en plus un programme visant à l’établir un Gouvernement Mondial unique visible et le « Nouvel Ordre Mondial » tant annoncé.

    Le projet d’ensemble des « élites » ressort des programmes rendus publics dans les forums internationaux les plus prestigieux. Je mentionne parmi ces programmes l’Agenda 2030 de l’ONU, le Grand Reset du Forum Économique Mondial (WEF) en réponse à la pandémie, aux crises climatiques et économiques ou la Quatrième Révolution Industrielle du même WEF, corrélée à l’introduction sociale invasive de l’Intelligence Artificielle. Bref, au-delà des déclarations « politiquement correctes », le plan global apparaît comme une combinaison de vaccinations répétées et de concentration de populations ethniquement métissées, confuses, malades, abêties et moralement désemparées dans de soi-disant « villes intelligentes » totalement surveillées grâce à des moyens artificiels. Le projet globaliste vise à ce que le nombre de personnes soit « régulé » jusqu’au seuil souhaité par les dirigeants (500 millions, selon les Georgia Guiding Stones), et le reste soit strictement contrôlé physiquement et mentalement dans la position d’esclaves (c’est-à-dire privé de toute liberté, non seulement externe, mais aussi interne/de conscience).

    Que pouvons-nous faire à part dire la vérité ? Que faire de ceux qui, hypnotisés, se jettent aveuglément dans l’abîme ?

    À mon avis, il est nécessaire d’aborder la question un peu plus sérieusement du point de vue psychologique et même spirituel. Sans comprendre ces processus, il est irréaliste d’espérer que nos messages d’éveil auront un impact significatif.

    Voyons d’abord comment cet état collectif de transe maléfique est induit. Le mécanisme principal est celui de la suggestion persuasive. Une fois qu’une suggestion franchit la barrière du discernement, elle est considérée comme allant de soi et peut même devenir une sorte de commande insidieuse. Les suggestions peuvent être liminales (adressées au mental conscient) ou subliminales (adressées directement au subconscient). Pour la première catégorie on utilise les messages délivrés par les officiels, par les « experts », par les influenceurs médiatiques, etc. Pour la deuxième catégorie, on utilise des mots-clés, des expressions clés (codes, ancres psychiques), des dispositifs psychotroniques, des images symboliques ou des rituels/cérémonies sataniques impactant massivement l’inconscient collectif (voir par exemple le rituel CERN/Suisse de 2016 ou les nombreuses cérémonies bizarres depuis l’ouverture de certains Jeux Olympiques).7

    Bien entendu, toutes ces opérations psychologiques nécessitent de maintenir la population au niveau de conscience le plus bas possible, où prédominent les instincts primaires et l’égoïsme, sans éveiller les hautes valeurs morales qui font vibrer l’âme. Cela se fait en induisant un état continu de peur, en maintenant un stade avancé d’inculture et même de stupidité, en bloquant la créativité supérieure, en détournant les véritables voies spirituelles.

    Il faut dire que les « élites » mondialistes disposent depuis des décennies d’instituts spécialisés qui s’occupent intensivement de la gestion psychologique du contrôle des masses. En philosophie sociale la branche postmoderniste (initiée notamment par l’École de Francfort) s’est développée de manière très intensive, dans laquelle se distingue la théorie critique du langage ou le constructivisme social. Conformément aux découvertes de la physique quantique, on a repris l’idée selon laquelle la réalité n’est pas un fait objectif, mais elle tend d’être façonnée par ce que nous croyons fermement qu’elle est. C’est pourquoi le subconscient collectif est de plus en plus amené par ces marionnettistes d’ombres à contribuer inconsciemment à un certain état d’esprit induit par la programmation neurolinguistique (NLP) et la programmation prédictive (films hollywoodiens, proclamations du Forum Économique de Davos, etc.).

    Une fois que nous comprenons les méthodes de base de l’élite obscure, nous commençons déjà à distinguer les manières dont nous pouvons agir plus efficacement. Il est nécessaire de sortir de la « boîte de pensée » dans laquelle la population mondiale est conceptuellement tenue captive (« Think Out of the Box ») et de développer des lignes de compréhension et d’action qui libèrent l’énorme potentiel de l’Humanité.

    J’évoque brièvement quelques pistes d’action qui peuvent être développées largement et intensivement :

    • déconstruire/exposer en clair les méthodes d’hypnose collective par lesquelles l’Humanité est retenue captive. J’insiste encore une fois sur le fait que cet exposé de leur principal schéma d’action peut grandement amplifier nos efforts pour dire la Vérité. Dire la vérité nous est nécessaire pour arriver à une forme d’éducation de la conscience des masses par la répétition systématique, comme une forme d’imprégnation bénéfique de l’inconscient collectif ;
    • créer un nouveau paradigme en termes d’histoire réelle, mettre en lumière les principes géopolitiques fondamentaux, les principes moraux, restaurer les connaissances essentielles qui donnent le pouvoir. Insistons surtout sur les vérités fondamentales que nous répétons de manière presque didactique pour former et renforcer un nouveau cadre conceptuel ;
    • comme exemple de distorsion d’une réalité fondamentale, il convient de noter que dans les analyses géopolitiques promues par le système mondialiste le principal acteur international est complètement ignoré. Personne ne parle des organisations transnationales secrètes qui matérialisent l’acteur mondialiste, celui qui planifie un Gouvernement Mondial et orchestre la scène politique, économique et militaire mondiale depuis au moins 150 ans ;
    • il faut sortir du mécanisme réactif dans lequel on ne fait que contredire les thèses lancées par les mondialistes sataniques. Devenons proactifs et établissons de nouvelles écoles de pensée, de nouvelles structures de compréhension et de nouveaux noyaux de lumière spirituelle ;
    • il est important de clarifier que la perception de la vraie réalité est déterminée par le niveau de conscience à partir duquel nous vivons notre vie. Une conscience ancrée dans les instincts primaires, la peur, l’égoïsme et l’extériorité est non seulement insensible aux vérités fondamentales, mais peut également être facilement programmée/hypnotisée. Au lieu de cela, une conscience qui a découvert le lien essentiel entre sa dimension intérieure (psychomentale et spirituelle) et Dieu Tout-Puissant n’a plus peur. Une telle conscience éveillée comprend clairement la Vérité et est prête à sacrifier tout aspect matériel plutôt que de se déconnecter du Sens divin de l’Existence ;
    • élever le niveau de conscience des communautés par la présentation de principes de base dans le domaine de la psychologie de masse, en offrant des solutions nouvelles et efficaces dans le domaine social, scientifique, social et, surtout, en promouvant une spiritualité authentique ;
    • Je mentionne que la grande masse des gens a été délibérément maintenue dans une ignorance grossière pendant des décennies, même s’il existe depuis longtemps des solutions technico-scientifiques efficaces et viables, validées et faciles à mettre en pratique. Nous avons dans tous les pays des inventeurs de génie dont les projets ont été jusqu’ici bloqués et refusés par les autorités. Nous pouvons créer des communautés autonomes sur des principes écologiques. Nous avons besoin d’une agriculture bio ; il existe certaines possibilités de mettre en œuvre des techniques de guérison holistiques nouvelles et révolutionnaires ; il existe de brillants projets de production de diverses formes d’énergie, par de multiples méthodes. Plusieurs alliances internationales ont déjà commencé à apparaître, dont la principale ligne d’action est précisément la réalisation de ces objectifs.

    N’oublions pas que nous constituons plus de 99 % de la population mondiale et que nous avons la Vérité, la Justice et surtout Dieu à nos côtés.







    « On crée une énorme tromperie où des gens se croient compétents grâce à l’intelligence artificielle »

    [Source : epochtimes.fr]

    Propos recueillis par André Costa, NTD

    Les résultats scolaires des étudiants français sont au plus bas, pour preuve le classement PISA qui montre que les résultats de la France sont en train de dégringoler. Afin d’identifier les causes de cette catastrophe, NTD s’est entretenu avec Oskar Freysinger, ancien enseignant, ancien député et conseiller d’État suisse, écrivain.

    NTD : Il y a actuellement une baisse générale du niveau scolaire en France, mais aussi en Suisse. Selon vous, quelles sont les causes de ce phénomène ?

    OSKAR FREYSINGER : Les causes sont très simples. On s’aperçoit qu’en forçant l’inclusion d’élèves d’horizons disparates, que ce soit au niveau des handicaps, que ce soit au niveau de leur provenance ou des connaissances linguistiques, on fait une sorte d’énorme melting-pot dans les classes et on détruit la cohésion du groupe.

    Pour travailler en commun, les élèves doivent avoir plus ou moins le même niveau. Quand vous avez des disparités énormes entre des élèves qui ne savent pas deux mots de français et ceux qui le maîtrisent parfaitement bien, comment le professeur veut-il arriver à un enseignement qui soit plus ou moins cohérent ? Bon, il est perdu, il doit faire du domptage et il doit calmer le jeu. J’ai vu des situations de classe comme cela. J’ai pu observer ça quand j’étais encore ministre et je vous jure c’est à faire une dépression.

    Vous n’arrivez tout simplement plus à faire ce pourquoi l’école est prédestinée, c’est-à-dire transmettre un certain savoir et des compétences. Pour moi, les compétences c’est que par exemple Mozart, pour devenir Mozart, il fasse ses gammes. Il faut une certaine compétence. Là maintenant, les compétences sont uniquement sociales. Il faut être gentil, il faut être tolérant, faut être ouvert. Mais ce sont des choses qu’on a toujours pratiquées. Moi j’ai été éduqué comme ça par mes parents donc ce n’est pas un problème, ça ne doit même pas être thématisé, ça coule de source.

    Dans une société normale, les parents éduquent leurs enfants de cette manière, puis à l’école on continue dans ce sens. Maintenant, il faut être absolument compétent dans le domaine social. Mais avec ça, l’enfant ne sait toujours pas écrire et il ne sait toujours pas lire, ces deux piliers ont été abandonnés parce qu’en mettant tout le monde dans une salle de classe de manière disparate, vu qu’on s’aperçoit qu’on n’arrive pas à avancer, qu’on n’arrive plus à faire passer le programme, alors on a commencé à baisser les exigences.

    Pourtant ce sont les deux piliers mêmes de toute notion de savoir. Si vous ne savez pas écrire, comment voulez-vous accéder au savoir ? Même question, si vous ne savez pas compter. C’est ce que je constate de plus en plus. J’ai quitté il y a environ 10 ans l’enseignement, car ce n’était plus attrayant. Qu’est-ce que je veux encore aller perdre mon énergie dans un combat qui est perdu ?

    Pourquoi ? Parce que les hiérarchies, parce que le système politique lui-même, induit cette décrépitude de l’école publique. C’est presque à croire qu’ils ont l’intérêt à créer un maximum d’idiots pour pouvoir mieux les manipuler par la suite.

    S’ajoute à tout cela un élément qui est exogène au système scolaire ou à la classe, c’est l’influence de l’image, c’est l’influence du portable, des jeux vidéo, etc. Ce sera ensuite étendu à travers l’intelligence artificielle qui va permettre à des idiots finis de croire qu’ils sont intelligents, parce qu’il y aura un mécanisme qui va écrire pour eux, qui va travailler pour eux. Nous tuons toute créativité, toute individualité. On crée une sorte d’énorme tromperie où des gens se croient compétents parce qu’il y a un instrument qui fait les choses pour eux.

    Avoir un discours libre, pouvoir répondre en utilisant son propre cerveau, les prérequis qu’on trouve dans le siècle des Lumières, chez Kant, etc. tout ça, passe à la poubelle. On va penser pour toi, on va te donner tous les instruments qu’il faut, à condition que tu sois socialement compatible, c’est-à-dire que tu reproduises le dogme général, le dogme dominant. C’est l’extraordinaire évolution du système éducatif européen.

    Sur le fait de mélanger des élèves de différents niveaux, on a vu des réfugiés ukrainiens intégrés dans des classes normales. Quelles seraient, selon vous, les manières de pallier ce problème ?

    Ce qu’on faisait dans le temps, c’est que lorsqu’une telle personne venait et qu’elle avait un déficit linguistique ne lui permettant pas de suivre les cours normaux, il était intégré dans une classe intégrative, où il était fortement poussé à acquérir les compétences linguistiques qui lui permettront ensuite, après une année ou deux, selon l’évolution de l’élève en question, de rejoindre les classes régulières. Il y avait cette phase de transition, ce sas qui lui permettait de croître rapidement dans l’acquisition des connaissances et de ne pas handicaper les autres par son incapacité à s’exprimer et à comprendre. Il y a besoin d’un peu de bon sens, ce n’est pas discriminatoire du tout. C’est une chance pour l’élève. Il faut agir, mais ce qu’on fait là où on veut intégrer tout le monde, c’est l’inclusion.

    Parlons aussi de pédagogie, et ça, je crois que c’est le péché numéro 1 de l’éducation en Occident. La pédagogie n’est pas une science exacte et pourquoi ça ne doit pas l’être ? Parce que si c’est une science exacte, n’importe quel élève devient l’objet d’une science. C’est-à-dire que la science ne connaît que des objets dans son analyse. Bien sûr, un élève autiste ou non, handicapé ou non, est d’abord un individu avec sa logique propre, avec ses droits inaliénables. Donc, vous ne pouvez pas venir, lui coller dessus une théorie et essayer de faire des expérimentations.

    On a eu considéré certains êtres humains dans le domaine médical comme étant simplement des cobayes. Cette triste mémoire est encore présente et ça, ça ne va pas. Si vous considérez qu’un rapport entre des êtres humains est une science exacte, vous devenez celui qui va déshumaniser l’autre en l’objectivant. Et alors là, toutes les expérimentations deviennent possibles et on l’a constaté dans le système éducatif ces dernières années, toutes les expérimentations ont été faites.

    Maintenant, ce sont les drag queens qui vont lire des textes aux enfants. On n’en a rien à faire que ce soient des Drag Queens, ce qui compte c’est que le texte soit bien lu. D’un point de vue littéraire, que ce gars soit habillé comme une femme, qu’est-ce qu’on en a à faire ? Mais dans le monde moderne, c’est ça qui est essentiel, c’est d’ailleurs une tendance générale parce que toute la société va vers un appauvrissement au niveau de la langue, au niveau de la lecture et à tous les niveaux.

    Selon vous, est-ce qu’il y a un moyen de remonter la pente ?

    Il faut absolument arrêter de niveler par le bas. Pour cela, il faut recréer des classes avec une certaine cohérence de groupes, disons avec des exigences et des niveaux qui sont plus ou moins homogènes. Ce ne sera jamais totalement homogène, mais il faut viser cette direction. Ensuite, il faut réintroduire les grands classiques dans les manuels scolaires et les cours. Quel est l’avantage des grands classiques ? Si je prends des romans de Stendhal, Proust, et autres, qu’est-ce que cela signifie ? C’est surtout le monologue intérieur que l’élève apprend à travers ce type d’œuvre, à lire les pensées exprimées dans le monologue intérieur. Par ces techniques de la littérature, il arrive à comprendre que l’apparence d’un individu ne correspond peut-être pas nécessairement à ses pensées.

    Il devient donc moins facilement manipulable dans la réalité vécue. C’est une très belle leçon de vie. Il y a tout le travail sur la communication qu’on peut faire avec des poèmes. Il faut arriver à dire un poème, à l’apprendre par cœur. Il faut apprendre à le dire de manière que ça touche l’autre, à ressentir le côté esthétique du langage. Un poème de Rimbaud, de Verlaine, c’est beau, ça touche l’âme, ça exprime quelque chose qui dépasse le simple quotidien, la banalité du quotidien. Il faut redonner l’envie de découvrir ce monde-là.

    C’est pour cela que je suis en faveur de limiter le plus possible l’accès à internet chez les tout-petits et le plus longtemps possible. Il faut d’abord qu’ils apprennent à utiliser leur propre ordinateur personnel, car on ne peut pas faire travailler un ordinateur si on n’y a pas mis d’informations. On ne peut pas se contenter de dire « Google sait tout ». Il faut réfléchir en situation face à des individus, et pour cela, il faut avoir nourri son ordinateur personnel d’expériences et d’erreurs commises qui nous ont donné des clés. Je ne suis pas contre la technologie, mais chaque chose a sa place. La technologie est un outil, ce n’est pas le contenu.

    L’essence de la connaissance est en nous, dans notre cœur. Votre ordinateur, lui, n’a pas de cœur, et c’est cette dimension que nous devons préserver. Quelque part, nous sommes en train de créer des handicapés, non seulement en termes d’intelligence, mais aussi en termes d’expérience de vie.

    Pour moi, il faut laisser les enfants jouer le plus longtemps possible, car l’enfant crée le monde, il est capable de recréer le monde à travers son jeu. Lorsque j’écris des poèmes, je me sens comme un enfant qui joue, en utilisant les mots, des Lego ou de la pâte à modeler. C’est cette innocence et cette joie du jeu avec le savoir, les mots et ce paradis perdu que nous avons malheureusement sacrifiés sur l’autel des prétendues sciences pédagogiques.

    D’ailleurs, de nos jours, plusieurs scientifiques en neurosciences alertent sur les dangers liés aux écrans, mais aussi au manque de lecture. Avez-vous aussi fait ce constat ?

    Je fais beaucoup de lectures publiques. J’ai publié 25 livres en français et en allemand. Maintenant, je commence à publier en anglais. Mais 80 à 90 % de mes lecteurs sont des femmes. Les femmes lisent des romans, mais les hommes moins. Les hommes liront ce dont ils ont besoin pour le travail, des manuels ou des journaux. J’ai relativement peu d’hommes qui assistent à ces soirées. C’est presque toujours le même constat. C’est dommage et c’est grave. On en revient presque à Madame Bovary, qui lisait trop de romans. Les femmes lisent, les hommes moins, et de moins en moins, en raison du système éducatif.

    Comment expliquez-vous cela ?

    Cela s’explique en partie par le fait que les filles vivent la période de la puberté un peu plus tôt que les garçons. C’est à ce moment que les bases pour la vie se mettent en place. Les garçons ont du mal à suivre, car les filles sont souvent plus studieuses. Elles s’adaptent plus facilement à la construction du savoir dans un système scolaire. Les garçons, en revanche, y sont moins enclins à cette étape de leur puberté.

    Pour moi, l’éducation devrait être avant tout un apprentissage de la vie en commun, de la communication entre êtres humains. Transformer cela en une science exacte est une erreur. En parlant d’être humain à être humain, c’est simple : c’est une question de cœur, de cerveau qui communique avec un autre être humain qui est son égal — bien que le maître soit celui qui détient le plus de compétences et d’informations. Cela lui donne de l’autorité, mais rien de plus. Du point de vue humain, c’est une relation d’égal à égal, un échange intelligent.

    Les mépriser ou les considérer comme des objets a conduit à la situation actuelle. La haine du socialisme envers la nature est également motivée par le fait que la nature ne repose pas sur le principe d’égalité. De plus, la nature impose des limites aux désirs prométhéens des socialistes d’atteindre une sorte de divinité. Les lois de la physique et de la nature entravent leurs grands projets. Cette haine de la nature conduit à leur désir de nier tout aspect naturel de l’être humain, car il naît, selon les socialistes, comme une feuille blanche. Ensuite, il est formé, manipulé et formaté.

    Vous évoquez des lectures de drag queen et l’influence croissante de la gauche, voire de l’extrême gauche, dans le système éducatif. Pourquoi pensez-vous que ces éléments sont intégrés à l’école et quel est leur objectif ?

    Il y a actuellement une tendance à sexualiser très tôt les enfants, et cela ne date pas d’hier. Dans les années 1980, les Verts, par exemple, promouvaient déjà cette idée. L’objectif était de susciter la sexualisation le plus tôt possible, de créer des incertitudes sur les rôles traditionnels des parents. On ne parle plus de papa et maman, mais de parents uniques. De plus, on ne peut plus être sûr du genre d’une personne, car il peut y avoir des contradictions apparentes.

    Cette complexité crée de la confusion chez les enfants, car à la maison, les parents leur disent souvent des choses différentes de ce qu’ils apprennent à l’école. Cela crée un grand écart, et les enfants en pâtissent. Cela va au-delà d’une simple question de nature. Pourquoi le socialisme déteste-t-il la nature ? Parce que la nature ne se conforme pas au principe d’égalité. En outre, la nature impose des limites à leurs ambitions de devenir comme des dieux. Par conséquent, le socialisme n’aime pas l’idée que quelque chose de naturel soit inhérent à l’être humain à la naissance. Pour les socialistes, un individu naît comme une feuille blanche, puis est façonné selon leurs désirs. Cette perspective est problématique, car elle néglige les réalités fondamentales de l’existence humaine.

    Moi, j’ai eu 3 enfants, et maintenant je m’occupe de 4 petits-enfants. Chacun de ces enfants est tout sauf une feuille blanche. Dès leur naissance, ils ont leur propre caractère et leurs particularités. Tout est déjà présent en eux. Il y a des aspects mystérieux chez eux, mais c’est là dès le départ. Il est important de ne pas croire que l’on peut obliger une petite fille à jouer tout le temps avec des camions ou un petit garçon à être attiré uniquement par les poupées. Vous pouvez mettre différents jouets à leur disposition, faire entrer deux enfants, et vous constaterez toujours la même chose, à part quelques exceptions.

    Pour moi, l’objectif n’est pas le droit de ces ultra-minorités de plus en plus complexes. L’objectif est de détruire le modèle homme-femme et par là même la famille traditionnelle. Il s’agit d’isoler au maximum les individus pour les façonner selon une certaine idéologie.

    L’extrême droite, où le nationalisme poussé à l’extrême aboutit à la même situation. Le totalitarisme a simplement revêtu de nouveaux habits. Le totalitarisme à la Staline et à Hitler ne fonctionne plus vraiment. Alors, aujourd’hui, nous habillons le totalitarisme avec des mots tels que « tolérance », « ouverture », et « vivre ensemble ». Cependant, ce n’est en réalité pas du tout un vivre ensemble.

    Et en ce qui concerne l’éducation, nous l’avons abandonnée dans les années 60 aux mains de la gauche. Nous leur avons laissé les domaines tels que le social, l’éducation, la culture, les arts et les médias. Pendant ce temps, la droite s’est concentrée sur les affaires, les sciences et d’autres sujets sérieux. Cependant, c’était une grave erreur. Les quatre domaines que nous avons abandonnés à la gauche sont ceux où il est le plus facile de manipuler les individus et de les influencer en exploitant leur vulnérabilité. Le système social, la santé, l’éducation, et ainsi de suite, ce sont les domaines où nous pouvons les façonner. Nous devons reprendre le contrôle de ces domaines, et nous devons absolument avoir des enseignants de droite.

    Actuellement, 90 % d’entre eux penchent à gauche. La situation est la même pour les journalistes, les auteurs, et ainsi de suite. Il y a très peu d’auteurs de droite, et ceux qui défendent des points de vue polémiques risquent de se heurter à des obstacles. J’ai trouvé quelqu’un pour publier mon livre, mais cela a demandé du courage, car beaucoup d’éditeurs ont peur de publier des livres écrits par des personnes ayant un passé politique comme le mien. Ils craignent d’attirer des critiques et des réactions négatives, en particulier de la part des musulmans en raison de mon engagement contre les minarets en Suisse. Nous devons restaurer ce courage, car sans lui, une civilisation est vouée à l’échec.

    Parlons maintenant de la discipline. Autrefois, il existait des règles strictes à l’école, cependant, aujourd’hui, nous semblons aller vers l’extrême opposé. Pensez-vous que restaurer la discipline pourrait contribuer à rétablir une certaine cohérence entre les enseignants et les élèves ?

    Pour répondre à cela, je dirais que la discipline repose sur la maxime « Aura et Labor » (Le souffle et le travail, ndr). J’ajouterais que la prière est tout aussi essentielle que le travail. Le travail exige de la rigueur. En Suisse, nous maintenons encore le système dual pour les apprentissages, où l’on enseigne que pour accomplir un travail de qualité, il faut suivre certaines règles. Vous devez laisser le chantier propre à la fin, respecter des normes strictes, et l’école fonctionne sur le même principe. Écrire proprement, dater sa copie en haut, il y a un formalisme qui sert de cadre. Ce formalisme est éducatif, car il offre un cadre au sein duquel l’intelligence propre de l’élève peut s’exprimer. Par exemple, lorsque vous rédigez un texte, il existe une structure formelle, avec une introduction, un développement, et une conclusion. Cette structure rappelle la forme sonate que l’on retrouve dans la musique et dans la nature. Les plantes et même notre corps fonctionnent de la même manière, apportant de l’ordre aux choses. Insister sur ce point me semble important.

    Pour ma part, j’ai enseigné pendant 30 ans et je n’ai jamais eu besoin de punir un élève. La discipline se mettait en place naturellement. Pourquoi ? Parce que j’établissais mon autorité grâce à la qualité de l’enseignement. Vous gagnez en autorité grâce à vos connaissances, et les élèves le ressentent.

    J’ai vécu cette expérience avec un professeur qui m’a inspiré à poursuivre mes études à l’université. C’était une révélation. J’avais 17-18 ans et je suis tombé sur ce professeur. Sans lui, je n’aurais jamais atteint l’université. Ce qu’il faisait avec les analyses littéraires, les commentaires sur l’histoire, m’a passionné. C’était une révélation.

    Lorsque vous avez des enseignants capables de susciter cette passion chez les élèves, vous avez moins de problèmes disciplinaires, car les élèves sont captivés et vous suivent naturellement. L’enseignant doit éveiller un enthousiasme chez les élèves, car ils doivent surmonter une certaine inertie initiale. Nous sommes naturellement un peu paresseux, et l’enseignant doit aider à vaincre cette paresse pour ensuite guider les élèves vers un chemin plus gratifiant.

    Avez-vous quelque chose à ajouter ?

    Lorsque vous lisez, votre esprit travaille pour imaginer un monde extraordinaire à partir de signes cabalistiques sur une page. C’est l’interaction entre votre esprit et les mots qui crée un monde unique. C’est pourquoi deux personnes qui ont lu le même livre auront des discussions complexes, car chacun a interprété le monde à sa manière. Pour communiquer, ils doivent d’abord définir leurs cadres de référence, ce qui est différent de la communication entre deux personnes qui ont regardé le même film.

    La lecture est essentielle, et je suis un fervent défenseur de la lecture. Vous ne pouvez pas être un écrivain de qualité sans une grande expérience de lecture. Mozart a été poussé à être excellent par son père Leopold, qui était très exigeant. Cela ne s’est pas produit du jour au lendemain, et c’est un principe qui s’applique à tous les domaines. Aujourd’hui, dans la postmodernité, on assiste à une déconstruction totale. Certaines personnes prétendent que la construction en elle-même est mauvaise, mais cela ne signifie pas que nous devrions déconstruire pour reconstruire différemment. La déconstruction est un objectif en soi, visant à garantir une totale liberté de l’individu. Il s’agit d’un changement de paradigme que je n’aurais jamais cru possible il y a quatre ans. Faisons attention à cela.

    Je crois en l’humanité et en son désir d’explorer et de s’épanouir. Notre civilisation a accompli des choses extraordinaires, et nous devons les préserver. Nous avons encore de vastes domaines d’exploration, en particulier dans la compréhension de l’être humain. Éduquons correctement dès le début pour éviter de devoir apporter des corrections par la suite, comme nous le voyons aujourd’hui.

    Pour conclure, n’utilisons jamais les êtres humains comme un moyen, mais toujours comme une fin en soi et continuons à chercher, à explorer et à préserver notre civilisation.