La vérité choquante sur le cancer de la peau : ce qu’on ne vous dit pas sur le soleil

[Source : vigilantnews.com]

Cet article a été publié à l’origine sur The Forgotten Side of Medicine (La face oubliée de la médecine) et a été republié avec l’autorisation de l’auteur.

Article de A Midwestern Doctor (un médecin du Midwest)

L’histoire en un coup d’œil :

  • Les cancers de la peau sont de loin les cancers les plus fréquemment diagnostiqués aux États-Unis, et pour les prévenir, le public est constamment invité à éviter le soleil. Cependant, si les cancers de la peau relativement bénins sont causés par l’exposition au soleil, ceux qui sont responsables de la plupart des décès par cancer de la peau sont dus à un manque d’ensoleillement.
  • C’est regrettable, car la lumière du soleil est sans doute l’élément nutritif le plus important pour le corps humain.
  • On peut affirmer que cette dynamique résulte du fait que la profession de dermatologue (avec l’aide d’une société de relations publiques de premier plan) s’est repositionnée sur la lutte contre le cancer de la peau, ce qui lui a permis de devenir l’une des spécialités médicales les plus rémunératrices qui soient. Malheureusement, malgré les milliards investis chaque année dans la lutte contre le cancer de la peau, le nombre de décès dus à cette maladie n’a pas évolué de manière significative.
  • Dans cet article, nous aborderons également les dangers des traitements conventionnels du cancer de la peau, les moyens les plus efficaces de traiter et de prévenir le cancer de la peau, ainsi que certaines des meilleures stratégies pour avoir une relation saine et nourrissante avec le soleil.

Depuis que je suis toute petite, quelque chose me semble anormal dans le fait que tout le monde s’extasie sur la nécessité d’éviter le soleil et de toujours mettre de la crème solaire dès qu’il y a une activité en plein air, alors j’ai fait de mon mieux pour ne pas m’y conformer. En vieillissant, j’ai commencé à remarquer qu’en plus de l’effet bénéfique du soleil, chaque fois que j’étais au soleil, les veines sous ma peau qui étaient exposées au soleil se dilataient, ce que j’ai interprété comme un signe que le corps avait besoin de la lumière du soleil et qu’il voulait l’attirer dans la circulation sanguine. Plus tard encore, j’ai appris qu’un chercheur pionnier avait découvert que des altérations significatives se produisaient dans la santé des personnes qui portaient des lunettes empêchant certains spectres de lumière (par exemple, la plupart des verres bloquent la lumière UV) de pénétrer dans la partie la plus transparente du corps et qu’il était possible de les traiter en leur donnant des lunettes spécialisées qui n’empêchaient pas ce spectre de pénétrer.

Plus tard, lorsque je suis devenu étudiant en médecine (j’étais alors familiarisé avec la myriade de bienfaits de la lumière du soleil), j’ai été frappé par la névrose des dermatologues à propos de l’évitement de la lumière du soleil. Par exemple, en plus d’entendre chaque patient que je voyais se faire sermonner sur l’importance d’éviter la lumière du soleil, j’ai appris par mes camarades de classe que les dermatologues des latitudes septentrionales (où la lumière du soleil est suffisamment faible pour que les gens souffrent de troubles affectifs saisonniers) exigeaient effectivement de leurs étudiants qu’ils portent de la crème solaire et des vêtements qui couvrent la majeure partie de leur corps lorsqu’ils se trouvent à l’intérieur. À ce moment-là, mon point de vue sur la question s’est transformé en « cette croisade contre le soleil vient sans aucun doute des dermatologues » et « qu’est-ce qui ne va pas chez ces gens-là ? Il y a quelques années, j’ai découvert la dernière pièce du puzzle grâce à Robert Yoho MD et à son livre Butchered by Healthcare (Massacrés par les soins de santé).

La monopolisation de la médecine

Tout au long de ma vie, j’ai remarqué trois tendances curieuses dans l’industrie médicale :

– Elle promeut des activités saines que les gens sont peu susceptibles de pratiquer (par exemple, l’exercice physique ou le sevrage tabagique).

– Elle promeut des activités clairement malsaines qui rapportent de l’argent aux industries (par exemple, la consommation d’aliments transformés ou la prise d’une myriade de produits pharmaceutiques dangereux et inefficaces).

– Ils s’attaqueront à des activités clairement bénéfiques et faciles à réaliser (par exemple, l’exposition au soleil, la consommation d’œufs, de produits laitiers crus ou de beurre).

D’après ce que j’ai pu constater, tout cela trouve son origine dans l’histoire scandaleuse de l’American Medical Association, lorsqu’en 1899, George H. Simmons, docteur en médecine, a pris possession de cette organisation en difficulté (les médecins faisaient faillite parce que leurs traitements étaient barbares et inefficaces). À son tour, il lance un programme visant à accorder le sceau d’approbation de l’AMA en échange de la divulgation par les fabricants de leurs ingrédients et de leur acceptation de faire de la publicité dans de nombreuses publications de l’AMA (ils n’étaient toutefois pas tenus de prouver que leur produit était sûr ou efficace). Cette manœuvre a été couronnée de succès et, en l’espace de dix ans seulement, l’AMA a multiplié par cinq ses recettes publicitaires et par neuf le nombre de ses médecins membres.

Parallèlement, l’AMA s’est efforcée de monopoliser l’industrie médicale en mettant en place un conseil général de l’enseignement médical (qui déclarait en substance que sa méthode était la seule crédible pour pratiquer la médecine), ce qui lui a permis de devenir l’organisme national d’accréditation des écoles de médecine. Cela leur a permis de mettre fin à l’enseignement de nombreux modèles médicaux concurrents, tels que l’homéopathie, la chiropraxie, la naturopathie et, dans une moindre mesure, l’ostéopathie, car les États refusaient souvent de délivrer des licences aux diplômés des écoles mal notées par l’AMA.

De même, Simmons (ainsi que son successeur, Fishbein, qui a régné de 1924 à 1950) a créé en 1913 un « département de propagande » chargé d’attaquer tous les traitements médicaux non conventionnels et toute personne (médecin ou non) qui les pratiquait. Fishbein était très doué pour ce qu’il faisait et pouvait souvent organiser des campagnes médiatiques massives contre tout ce qu’il décidait de considérer comme du « charlatanisme », campagnes qui étaient entendues par des millions d’Américains (à une époque où le pays était beaucoup plus petit).

Après avoir créé ce monopole, Simmons et Fishbein n’ont pas tardé à l’exploiter. Ils ont notamment fait chanter les sociétés pharmaceutiques pour qu’elles leur fassent de la publicité, exigé que les droits de divers traitements médicaux soient vendus à l’AMA et envoyé la FDA ou la FTC à la poursuite de tous ceux qui refusaient de se vendre (ce qui, dans un cas au moins, a été prouvé au tribunal, car l’un des « compatriotes » de Fishbein pensait que ce qu’il faisait était mal et a témoigné contre lui). À cause de cela, de nombreuses innovations médicales remarquables ont été effacées de l’histoire (une partie du travail de ma vie et une grande partie de ce que j’utilise en pratique sont essentiellement les thérapies que Simmons et Fishbein ont réussi à faire disparaître de la Terre).

[NDLR Cependant, l’emprise actuelle de l’industrie pharmaceutique semble bien se jouer sur plusieurs niveaux imbriqués, à la manière de poupées russes, car même l’accent mis sur l’ivermectine pour prétendument soigner la Covid renforce son fondement existentiel (sans lequel elle s’effondrerait) : l’hypothèse virale et sa mère, la théorie des germes. Le débat (ou la controverse) dans ce cas porte sur l’efficacité ou non de cette substance chimique dans le traitement de symptômes covidiens attribués néanmoins à un virus par ailleurs pourtant jamais scientifiquement isolé. L’ivermectine est déclarée soigner la Covid par les uns (en servant d’antiviral), ou ne rien pouvoir y faire pour les autres (puisqu’étant essentiellement un antiparasitaire), alors que de toute manière elle ne ferait tout au plus que soulager des symptômes sans s’attaquer à leur cause véritable. Ce débat ne peut finalement que faire le jeu de l’industrie pharmaceutique tant qu’il met en avant l’existence de virus. Voir notamment Le jeu de l’ivermectine.]

En peu de temps, Big Tobacco est devenu le plus gros client de l’AMA, ce qui a conduit à d’innombrables publicités comme celle-ci, publiées par l’AMA, qui ont persisté jusqu’à ce que Fishbein soit évincé (il est alors devenu un lobbyiste très bien rémunéré pour l’industrie du tabac) :

Les bienfaits de la lumière du soleil

L’une des plus anciennes thérapies « prouvées » en médecine consistait à faire prendre des bains de soleil aux gens (par exemple, c’est l’une des rares choses qui ont réussi à traiter la grippe de 1918, avant les antibiotiques, c’était l’un des traitements les plus efficaces pour traiter la tuberculose et il était également largement utilisé pour une variété d’autres maladies). Par ailleurs, comme il est sûr, efficace et disponible gratuitement, il est logique que des individus sans scrupules, désireux de monopoliser la pratique de la médecine, veuillent empêcher le public d’y avoir accès.

En raison du succès de la guerre contre la lumière du soleil, de nombreuses personnes ne sont pas conscientes de ses bienfaits. En voici quelques exemples :

1. La lumière du soleil est essentielle pour la santé mentale. On l’apprécie surtout dans le cas de la dépression (par exemple, le trouble affectif saisonnier), mais en réalité, ses effets sont bien plus vastes (par exemple, l’exposition à la lumière non naturelle détruit le rythme circadien).

2. Une vaste étude épidémiologique a révélé que l’incidence du cancer du sein était deux fois moins élevée chez les femmes ayant une exposition solaire aux UVB plus importante que chez celles ayant une exposition solaire plus faible, et que l’incidence du cancer mortel de la prostate était deux fois moins élevée chez les hommes ayant une exposition solaire résidentielle plus importante.

3. Une étude prospective sur 20 ans a évalué 29 518 femmes dans le sud de la Suède. Des femmes moyennes de chaque tranche d’âge, sans problèmes de santé importants, ont été sélectionnées au hasard, ce qui en fait l’une des meilleures études épidémiologiques possibles. L’étude a révélé que les femmes qui évitaient le soleil par rapport à celles qui s’exposaient régulièrement à la lumière du soleil présentaient les caractéristiques suivantes :

– 60 % plus susceptibles de mourir, soit environ 50 % plus susceptibles de mourir que le groupe ayant une exposition modérée et environ 130 % plus susceptibles de mourir que le groupe ayant une forte exposition au soleil.

– Le gain le plus important a été observé dans le risque de mourir d’une maladie cardiaque, tandis que le deuxième gain a été observé dans le risque de toutes les causes de décès autres que les maladies cardiaques et le cancer (« autres »), et le troisième gain le plus important a été observé dans les décès dus au cancer.

– Le bénéfice le plus important a été observé chez les fumeurs, au point que les non-fumeurs qui évitaient le soleil avaient le même risque de mourir que les fumeurs qui s’exposaient à la lumière du soleil.

Compte tenu de tous ces éléments, je dirais qu’il faut une très bonne justification pour éviter l’exposition au soleil.

Cancer de la peau

Selon l’Académie américaine de dermatologie :

Le cancer de la peau est le cancer le plus fréquent aux États-Unis. Selon les estimations actuelles, un Américain sur cinq développera un cancer de la peau au cours de sa vie. On estime qu’environ 9 500 personnes aux États-Unis reçoivent chaque jour un diagnostic de cancer de la peau.

Les carcinomes basocellulaires et spinocellulaires, les deux formes les plus courantes de cancer de la peau, sont très faciles à traiter s’ils sont détectés tôt et traités correctement.

L’exposition aux rayons UV étant le facteur de risque le plus évitable pour tous les cancers de la peau, l’American Academy of Dermatology encourage chacun à éviter les lits de bronzage intérieurs et à protéger sa peau à l’extérieur en recherchant l’ombre, en portant des vêtements de protection — notamment une chemise à manches longues, un pantalon, un chapeau à large bord et des lunettes de soleil avec protection UV — et en appliquant un écran solaire à large spectre, résistant à l’eau, avec un FPS de 30 ou plus, sur toute la peau non couverte par les vêtements.

De même, selon la Fondation pour le cancer de la peau :

Aux États-Unis, plus de deux personnes meurent d’un cancer de la peau toutes les heures.

Voilà qui est plutôt effrayant. Voyons maintenant ce que cela signifie exactement.

Carcinome basocellulaire (CBC)

Le carcinome basocellulaire est de loin le type de cancer de la peau le plus courant (80 % de tous les cancers de la peau) :

L’incidence exacte du CBC varie considérablement, allant de 14 à 10 000 cas par million de personnes, et aux États-Unis, on estime généralement qu’environ 2,64 millions de personnes en contractent un par an (avec un total d’environ 4,32 millions de cancers, puisque certaines personnes en contractent plus d’un). Les trois principaux facteurs de risque du CBC sont une exposition excessive au soleil, une peau claire (qui vous rend plus sensible à la pénétration excessive de la lumière du soleil) et des antécédents familiaux de cancer de la peau. C’est pourquoi l’incidence très variable du CBC est en grande partie due au degré d’exposition au soleil des personnes, et on le trouve généralement dans les zones fréquemment exposées au soleil (par exemple, le visage).

Ce qu’il faut comprendre à propos du CBC, c’est qu’il n’est pas très dangereux, car il ne forme presque jamais de métastases. La plupart des sources indiquent un taux de mortalité de 0 %. En revanche, il est généralement évalué en fonction du risque de récidive après son ablation (qui varie de 65 % à 95 % selon les sources).

Carcinome épidermoïde

Deuxième type de cancer de la peau le plus fréquent, le carcinome épidermoïde cutané (CEC) se présente comme suit :

Comme il est également causé par la lumière du soleil, son incidence varie considérablement, allant de 260 à 4 970 par million d’années-personnes, avec une estimation de 1,8 million de cas survenant chaque année aux États-Unis. Auparavant, on pensait que le CBC était quatre fois plus fréquent que le CEC, mais aujourd’hui cet écart s’est réduit à deux fois. Contrairement au CBC, le CEC peut être dangereux, car il peut former des métastases. S’il est enlevé avant la formation de métastases, le taux de survie est de 99 %, mais s’il est enlevé après la formation de métastases, ce taux tombe à 56 %. Le CEC étant généralement détecté avant que cela ne se produise (en 1 à 2 ans, 3 à 9 % d’entre eux formeront des métastases), le taux de survie moyen pour ce cancer est d’environ 95 %, et l’on pense qu’environ 2 000 personnes (bien que certaines estimations aillent jusqu’à 8 000) meurent du CSC chaque année aux États-Unis.

Le mélanome

On estime que le mélanome survient à un taux de 218 cas par million de personnes aux États-Unis chaque année (le risque variant selon l’appartenance ethnique). Bien qu’il ne représente que 1 % de tous les diagnostics de cancer de la peau, le mélanome est responsable de la plupart des décès dus au cancer de la peau. La survie étant grandement améliorée par une détection précoce, de nombreux guides en ligne existent pour aider à reconnaître les signes communs d’un mélanome potentiel :

Le taux de survie à cinq ans du mélanome dépend de l’étendue de sa propagation au moment du diagnostic (de 99 % à 35 %, avec une moyenne de 94 %), d’où l’importance d’une identification correcte. De même, certains cas sont agressifs et métastasent rapidement (ils ne sont donc souvent pas détectés à temps) et ces variantes ont un taux de survie compris entre 15 et 22,5 %. Au total, cela représente un peu plus de 8 000 décès par an aux États-Unis.

Il est essentiel de comprendre que le mélanome est généralement considéré comme lié à l’exposition au soleil, mais ce n’est pas le cas. Ce n’est pas le cas :

Une étude portant sur 528 patients atteints de mélanome a révélé que ceux qui souffraient d’élastose solaire (une modification courante de la peau consécutive à une exposition excessive au soleil) avaient 60 % moins de risques de mourir d’un mélanome.

87 % des cas de CEC surviennent dans des régions du corps fortement exposées au soleil, comme le visage (qui représente au total 6,2 % de sa surface), tandis que 82,5 % des cas de CBC surviennent dans ces régions. À l’inverse, seuls 22 % des mélanomes apparaissent dans ces régions. Cela indique que le CEC et le CBC sont liés à l’exposition au soleil, mais pas le mélanome, ce qui est cohérent avec le fait que nous les trouvons constamment dans des zones qui ne sont pratiquement pas exposées au soleil.

Les travailleurs en extérieur reçoivent 3 à 10 fois la dose annuelle d’UV que reçoivent les travailleurs en intérieur, et pourtant ils ont une incidence plus faible de mélanome malin cutané et un risque inférieur de moitié à celui de leurs collègues en extérieur.

Une méta-analyse de la littérature disponible réalisée en 1997 a révélé que les travailleurs ayant une exposition professionnelle significative à la lumière du soleil étaient 14 % moins susceptibles de contracter un mélanome.

Les recherches existantes ont montré que l’utilisation d’un écran solaire n’a aucun effet sur les taux de mélanome malin ou les augmente, ce qui rend assez frustrant le fait que les gouvernements du monde entier répètent toujours le conseil d’en porter davantage, en particulier lorsque les taux de mélanome augmentent (en d’autres termes, exactement ce que nous constatons également avec les campagnes de promotion du vaccin Covid-19).

Une étude de 1982 (aujourd’hui oubliée) portant sur 274 femmes a révélé que l’exposition à la lumière fluorescente au travail multipliait par 2,1 le risque de développer un mélanome malin, ce risque augmentant avec l’exposition à la lumière fluorescente, soit en raison de l’exposition au travail (1,8 fois pour les emplois à exposition modérée, 2,6 fois pour les emplois à exposition élevée), soit en raison du temps passé à travailler (c’est-à-dire 2,4 fois plus de risques pour 1 à 9 ans de travail, 2,8 fois pour 10 à 19 ans et 4,1 fois pour plus de 20 ans).

– Le nombre de mélanomes a augmenté de manière significative dans de nombreuses régions, ce qui ne permet pas d’affirmer que la lumière du soleil est le principal problème, car elle n’a pas changé de manière significative au cours des dernières décennies. Prenons par exemple les données du registre norvégien du cancer sur le mélanome malin :

Cancers rares de la peau

Cette section n’est pas importante à lire, je l’inclus principalement comme référence pour étayer le point principal et pour être complet.

La grande escroquerie dermatologique

Si l’on tient compte de la section précédente, ce qui suit devrait être assez clair :

  • – Le « cancer de la peau » de loin le plus courant n’est pas dangereux.
  • – Les « cancers de la peau » dont vous devez vous préoccuper ne représentent qu’une petite partie des cancers de la peau existants.
  • – L’exposition au soleil ne provoque pas de cancers dangereux (à l’exception du CEC, qui est loin d’être aussi dangereux que les autres).

En substance, il n’y a aucun moyen de justifier l’interdiction de la lumière du soleil pour prévenir le cancer de la peau, car le « bénéfice » de cette prescription est largement dépassé par ses effets néfastes. Cependant, une astuce linguistique très intelligente permet de contourner cette contradiction — une seule étiquette, « cancer de la peau », est utilisée pour tout, ce qui permet d’adopter sélectivement la létalité du mélanome, la fréquence du CBC et la sensibilité à la lumière du soleil que présentent le CBC et le CEC.

Cela m’a toujours exaspéré, et j’ai donc beaucoup réfléchi aux raisons de ce choix.

Toutefois, je dois souligner que certains cancers de la peau (par exemple, de nombreux mélanomes) nécessitent une ablation immédiate. Mon propos ici est de vous encourager à ne pas éviter complètement les dermatologues, mais à envisager de demander un second avis à un autre dermatologue si vous n’êtes pas sûr de ce qui vous a été suggéré, car il existe de nombreux dermatologues excellents et respectueux de l’éthique qui exercent également dans ce domaine.

La spécialité la plus recherchée

Une grande partie du processus d’éducation médicale consiste à fournir aux étudiants en médecine des carottes (récompenses incitatives) qu’ils peuvent obtenir s’ils travaillent incroyablement dur, s’ils sont très respectueux des règles et s’ils font preuve d’un degré d’aptitude supérieur à la moyenne. Cela motive les étudiants en médecine à continuer à travailler très dur (même s’ils ont « réussi » et qu’ils ont déjà été admis à l’école de médecine) et, souvent, les résidents en médecine à continuer à le faire (afin qu’ils puissent accéder à une bourse prestigieuse). L’une des principales motivations est de pouvoir accéder à une spécialité prestigieuse, car celle-ci est généralement plus respectée et mieux rémunérée.

La dermatologie est généralement considérée comme la spécialité la plus recherchée, car :

  • – La période de formation post-médicale est relativement courte (quatre ans seulement).
  • – Elle offre un équilibre relativement souple entre vie professionnelle et vie privée (par exemple, vous ne travaillez que des heures normales pendant la semaine et vous pouvez prendre un jour de congé).
  • – Il est assez rare que vous ayez à traiter des patients en état d’urgence ou difficiles, de sorte que le stress dans ce domaine est très faible.
  • – La dermatologie est l’une des spécialités les mieux rémunérées. Le salaire moyen d’un dermatologue débutant est de 400 000 dollars par an, bien que certains, comme les chirurgiens Mohs, gagnent au moins 600 000 dollars (et souvent beaucoup plus). À titre de comparaison, les médecins généralistes gagnent généralement environ 220 000 dollars par an.

Il est remarquable que la profession de dermatologue ait réussi à faire cela et, par conséquent, son domaine a tendance à attirer les étudiants les plus compétitifs qui veulent vraiment le style de vie incroyable et le salaire qu’un cabinet privé de dermatologie peut offrir (même si, au cours du processus de candidature, tout le monde prétend généralement vouloir faire de la recherche universitaire puisque c’est ce qui vous permet d’être admis). De même, l’un des médecins les plus intelligents que je connaisse (qui avait un grand cœur et la capacité d’améliorer la médecine) s’est finalement orienté vers la dermatologie pour ces raisons, ce qui a eu pour conséquence de gâcher un potentiel incroyable (de même, je pense que l’une des principales raisons pour lesquelles la recherche innovante a été si lente en dermatologie est que son modèle de rémunération attire les médecins doués qui ne sont pas intéressés par la recherche).

La transformation de la dermatologie

Il n’y a pas si longtemps, la dermatologie était l’une des professions les moins appréciées, car la plupart de leurs activités consistaient à traiter l’acné et les boutons avant l’arrivée de l’accutane (qui, contrairement à la plupart des produits pharmaceutiques, fonctionne réellement, mais qui est malheureusement incroyablement toxique et a handicapé à vie quelques personnes que j’ai bien connues).

Un blog relativement peu connu du dermatologue David J. Elpern, M.D., explique enfin ce qui s’est passé :

Au cours des 40 dernières années, j’ai été témoin de ces changements dans ma spécialité et je suis consterné par la réticence de mes collègues à les aborder. Cette tendance a commencé au début des années 1980, lorsque l’Académie de dermatologie (AAD) a demandé à ses membres plus de 2 millions de dollars pour engager une agence de publicité new-yorkaise de premier plan afin de mieux faire connaître notre spécialité au public. Ces hommes fous ont recommandé d’« éduquer » le public au fait que les dermatologues sont des spécialistes du cancer de la peau, et pas seulement des chasseurs de boutons ; c’est ainsi qu’a été créée la Journée nationale gratuite de dépistage du cancer de la peau.

Ces dépistages ont servi à gonfler l’anxiété du public concernant le cancer de la peau et ont conduit à la réalisation d’un grand nombre de procédures coûteuses et de faible valeur pour le cancer de la peau et la kératose actinique (KA). Dans le même temps, les pathologistes ont élargi leur définition du mélanome, ce qui a entraîné une « dérive diagnostique » qui a faussement augmenté l’incidence du mélanome, alors que la mortalité est restée à son niveau de 1980. Parallèlement, les cancers de la peau sans mélanome sont surtraités par des armées de chirurgiens micrographes qui traitent souvent des cancers de la peau inoffensifs par des interventions chirurgicales inutilement agressives et lucratives.

Un article de 2021 fournit un contexte supplémentaire aux remarques du Dr Elpern :

Le dépistage du cancer de la peau a commencé au niveau communautaire dans les années 1970. Le premier programme public national de dépistage du cancer de la peau a été lancé par l’Académie américaine de dermatologie en 1985, après que l’augmentation de l’incidence et du taux de mortalité du mélanome malin eut attiré l’attention au début des années 1980. Au cours des premières années du programme, le président Ronald Reagan a signé des proclamations créant la « Semaine nationale de prévention et de détection du cancer de la peau » et la « Semaine de détection et de prévention du mélanome et du cancer de la peau chez les personnes âgées », et l’examen complet de la peau est devenu la référence en matière de dépistage du cancer de la peau.

En bref, comme cela s’est produit à maintes reprises en Amérique, une campagne de relations publiques remarquablement sophistiquée a été lancée pour transformer la société au profit d’une industrie.

Je suis relativement certain que quelques-uns des principaux éléments de cette campagne étaient les suivants :

  • – Reconnaître que les cancers de la peau sont de loin les plus faciles à diagnostiquer (puisqu’il suffit de les voir).
  • – La diabolisation du soleil, qui a permis aux dermatologues de se poser en héros et de susciter autant d’anxiété que possible à l’égard du soleil, d’autant plus que l’investissement psychologique qu’ils devaient consentir en mettant constamment de la crème solaire inciterait davantage les patients à se rendre chez leur dermatologue.
  • – Leur permettre de créer un énorme entonnoir de vente en les autorisant à effectuer un grand nombre d’examens de routine de la peau du corps entier (sur des personnes par ailleurs en bonne santé) et donc de disposer d’un énorme réservoir de cancers potentiels à biopsier ou à exciser (retirer).

  • – Il leur est permis de s’appuyer sur la peur que l’industrie médicale a fait naître autour du cancer pour justifier le fait de demander beaucoup d’argent pour faire quelque chose de douteux afin de prévenir le cancer, et de faire en sorte que tous les patients soient d’accord dès qu’ils entendent le mot « c » tant redouté.

Plus précisément, leur jeu ultime était de pouvoir justifier le fait de faire payer très cher l’ablation chirurgicale de cancers de la peau, en étant souvent payé plus qu’un chirurgien pour une procédure standard (ce qui est justifié dans une certaine mesure parce que la chirurgie nécessite également un examen pathologique à mi-parcours). La procédure de référence est la suivante

L’objectif essentiel de la chirurgie de Mohs est de permettre une incision beaucoup plus petite (c’est-à-dire de ne pas couper plus qu’il n’est nécessaire), ce qui peut souvent représenter un grand avantage pour le patient, car les grands trous dans le visage peuvent être dévastateurs. Pour ce faire, on interrompt l’opération à mi-parcours et on examine ce qui a été découpé au microscope afin de déterminer si tout le cancer a été extrait et s’il n’y a plus rien à découper (alors que dans la chirurgie conventionnelle, une marge plus importante est utilisée pour plus de sécurité).

L’astuce de la chirurgie de Mohs réside dans le fait que, puisqu’il s’agit d’une chirurgie et d’une pathologie au cours de la même visite, le médecin peut facturer une variété d’éléments différents qui s’additionnent assez rapidement. Pour illustrer cela, consultez ce guide de facturation et ce résumé de l’Assurance maladie sur ce qu’il est actuellement possible de facturer (ce qui, d’après ce que j’ai compris, est un peu différent de la facturation plus lucrative qui existait il y a une dizaine d’années et qui va de pair avec les récents changements de politique dans le secteur de l’assurance qui ont fait que les dermatologues dans la plupart des régions ne pouvaient être remboursés pour les chirurgies de Mohs que s’ils avaient suivi une formation supplémentaire d’un ou deux ans dans ce domaine — ce qui en a fait, on le comprend, une formation très compétitive pour être admis).

Vous pouvez donc deviner ce qui s’est passé :

Le taux de recours à la chirurgie de Mohs parmi les bénéficiaires de Medicare aux États-Unis a augmenté de 700 % entre 1992 et 2009 [ce qui lui a valu d’occuper la première place sur la liste des codes CPT « potentiellement mal évalués » de Medicare], bien qu’il y ait peu de preuves suggérant dans de nombreux cas que Mohs était supérieur aux options de traitement moins coûteuses, qui comprennent le grattage, l’arrachage ou même l’application d’une crème pour créer une brûlure chimique. La grande différence entre ces traitements plus conventionnels et le traitement de Mohs est leur prix : quelques centaines de dollars contre plus de 10 000, voire 20 000 dollars pour le traitement de Mohs.

Pour la plupart des tumeurs cutanées bénignes, « la décision de recourir à la chirurgie micrographique de Mohs reflète probablement l’avantage économique pour le prestataire plutôt qu’un avantage clinique substantiel pour le patient », a écrit le Dr Robert Stern, dermatologue à Harvard, notant qu’en 2012, l’Amérique a dépensé plus de 2 milliards de dollars estimés pour la chirurgie de Mohs, avec de grandes variations dans son utilisation : même pour des endroits sensibles comme le visage et les mains, elle a été utilisée 53 % du temps dans le Minnesota contre seulement 12 % au Nouveau-Mexique. Le Dr Stern estime que près de 2 % de l’ensemble des bénéficiaires de Medicare ont subi une opération de Mohs cette année-là.

Pour montrer ce que ce changement dans les lignes directrices a entraîné :

Au total, 10 726 dermatologues ont été identifiés dans la base de données, représentant 1,2 % de l’ensemble des professionnels de santé et 3 % du total des paiements Medicare (3,04 milliards de dollars sur environ 100 milliards) [alors que les dermatologues représentent un peu moins de 1 % des médecins du pays]. Le paiement médian par dermatologue était de 171 397 dollars. Le remboursement moyen pour l’E/M était de 77,59 dollars par unité, tandis que le Mohs recevait un remboursement moyen par procédure de 457,33 dollars par unité. Parmi les dermatologues, 98,9 % ont reçu un paiement E/M [visite générale] et 19,9 % ont reçu des paiements liés à Mohs. Le montant total des paiements aux dermatologues était le plus élevé pour l’E/M (756 millions de dollars), suivi par le Mohs (550 millions de dollars) et la destruction des lésions précancéreuses [cryochirurgie] (516 millions de dollars) [puis 289 millions de dollars pour les biopsies]. Comparativement aux dermatologues qui facturent le moins, les dermatologues qui facturent le plus reçoivent une plus grande proportion de paiements pour la chirurgie de Mohs et les lambeaux/greffes et une plus faible proportion pour l’E/M. Les 15,9 % de dermatologues qui facturent le plus reçoivent le plus de paiements pour la chirurgie de Mohs. Les 15,9 % de dermatologues les mieux payés ont reçu plus de la moitié des paiements totaux.

Comme vous pouvez le deviner, cette opportunité a rapidement attiré l’attention de parties peu scrupuleuses qui cherchaient à profiter de cette manne. C’est ce qui a conduit le New York Times à enquêter sur ce secteur et à faire une découverte :

  • Des sociétés de capital-investissement de Wallstreet sont entrées sur le marché, ont racheté des cabinets de dermatologie et les ont dotés d’infirmières et d’assistants (beaucoup moins chers à embaucher que les médecins), tout en annonçant au public qu’il verrait un médecin. Cette situation était regrettable, car ces pseudo-dermatologues effectuaient plus de deux fois plus de biopsies de cancers cutanés présumés que les dermatologues (qui, en l’espace de dix ans, étaient passés de presque aucune biopsie facturée à l’assurance maladie à plus de 15 %). De même, ils ont souvent manqué des cancers réels ou mal diagnostiqués des lésions dont tout dermatologue pouvait dire qu’elles n’étaient pas cancéreuses (ce qui est également arrivé à des personnes que je connais et qui ont fréquenté ce type de cliniques), au point que l’article du NYT de 2017 a pu donner un exemple de ce qui s’est passé.

  • Il y a eu une forte pression (par exemple, de la part de médecins avides) pour étendre cette franchise aux maisons de retraite. Par exemple, ils ont couvert une pratique mobile dans le Michigan qui envoie des cliniciens dans 72 maisons de retraite où ils effectuent des milliers de cryochirurgies, ainsi que de nombreuses injections de stéroïdes et des chirurgies mineures. L’enquête a révélé que 75 % de ces patients étaient atteints de la maladie d’Alzheimer et que la plupart de leurs lésions cutanées étaient sans conséquence. En outre, ils ont cité une société d’analyse des soins de santé qui a examiné 17 820 examens pratiqués sur des patients de plus de 65 ans au cours de la dernière année de vie et a constaté que des biopsies cutanées et la congélation de lésions précancéreuses étaient pratiquées fréquemment, souvent des semaines avant le décès.

  • C’est tout à fait regrettable :

Le Dr Linos a ajouté que les médecins sous-estiment les effets secondaires des procédures de traitement du cancer de la peau. Les complications telles que la mauvaise cicatrisation des plaies, les saignements et les infections sont fréquentes dans les mois qui suivent le traitement, en particulier chez les patients plus âgés souffrant de multiples autres problèmes. Environ 27 % d’entre eux signalent des problèmes, d’après ses recherches.

Pour conclure cette section, je dirai que l’une des choses qui m’a toujours dérangée dans certains des cabinets de dermatologie que j’ai observés était leur aspect « commercial », car les mêmes scénarios étaient répétés encore et encore pour faire passer les patients dans l’entonnoir de vente du cancer de la peau et, simultanément, les dermatologues s’attachaient à ce que tout et tout le monde soit aussi beau que possible (tout en ayant de nombreuses publicités destinées à répondre à l’insécurité physique de leurs patientes).

Évolution du cancer de la peau

Compte tenu des sommes investies dans la lutte contre le cancer de la peau, on pourrait s’attendre à des résultats. Malheureusement, comme pour de nombreux autres aspects de l’industrie du cancer, ce n’est pas ce qui s’est produit. Au lieu de cela, nous constatons, encore et encore, une tendance à diagnostiquer davantage de cancers (auparavant bénins), mais la plupart du temps, aucun changement significatif n’intervient dans le taux de mortalité.

La meilleure preuve en a été apportée par cette étude qui s’est intéressée au type de mélanome malin réellement biopsié et a constaté que la quasi-totalité de l’augmentation des « cancers de la peau » correspondait à des mélanomes de stade 1 qui ne posent que rarement des problèmes :

Cette étude, à son tour, illustre exactement les résultats de notre guerre contre le cancer de la peau :

Enfin, comme beaucoup soupçonnaient les vaccins Covid d’entraîner une augmentation des mélanomes (ou d’autres cancers de la peau) et que je n’ai pas pu trouver de statistiques à ce sujet en ligne, j’ai décidé de les créer en compilant tous les rapports annuels disponibles de l’American Cancer Society en quelques graphiques :

Gestion du cancer de la peau et de la lumière du soleil

L’objectif premier de cet article était de responsabiliser chacun d’entre vous, car je pense qu’il est vraiment déplorable que les dermatologues abusent de la peur du cancer qu’éprouvent les patients pour promouvoir ce modèle commercial lucratif.

Néanmoins, je reconnais que cet article soulève également quelques questions évidentes, telles que :

  • – Existe-t-il des alternatives moins invasives aux chirurgies du cancer de la peau ?
  • – Quelle est la meilleure façon d’interagir en toute sécurité avec le soleil (par exemple, quelles sont les approches les plus sûres en matière de protection solaire) ?
  • – Quelles sont les causes réelles du cancer de la peau et comment peut-on le prévenir ?

Dans la dernière partie de l’article, je ferai part de nos réflexions actuelles sur chacune de ces questions.

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Secrets, sectes et loges : les franc-maçons en veulent-ils vraiment aux anthroposophes ?

[Source : redacteur-independant.ch]

Cet article met en lumière l’activité de cercles d’influence particulièrement actifs aujourd’hui dans le monde francophone pour dénigrer tout ce qui provient, de près ou de loin, du mouvement spirituel et philosophique qu’est l’anthroposophie. Parmi ces cercles se trouvent des loges franc-maçonnes. Ce texte, qui complète des thématiques déjà abordées dans ce blog, a été entièrement rédigé par l’anthroposophe Tristan Chaudon (voir note biographique en fin d’article). Les propos qu’il tient n’engagent que lui, et aucunement l’animateur du site.

redacteur-independant.ch

Par Tristan Chaudon

29 décembre 2021 – En France, l’anthroposophie est chaque jour prise à partie, injustement attaquée et salie sur les réseaux sociaux ou dans la presse grand public. On l’accuse, d’un côté, d’être une secte ou, dit de manière politiquement correcte, une « dérive sectaire ». D’un autre côté, on l’assimile à un fatras de croyances ésotériques, une pseudoscience cherchant à utiliser les peurs ou la naïveté des gens avec malhonnêteté ou intérêts.

Paradoxalement, les applications directement inspirées de l’anthroposophie connaissent un succès croissant dans les champs professionnels comme la pédagogie, l’agriculture, la médecine ou encore les arts. À une époque de crise systémique de notre modèle de pensée, de société et de consommation, elle propose des alternatives concrètes, durables, éprouvées et appréciées. À tel point que nombre de spécialistes et de scientifiques dans leur domaine de compétence en reconnaissent la valeur pratique autant que les innovations conceptuelles.

D’où vient cette contradiction, cette forme de haine et de rejet d’une pensée certes nouvelle et étonnante par certains aspects, mais pourtant originale, féconde et digne d’être perçue dans sa véritable nature ? Essayons dans cet article de comprendre pourquoi et comment des groupes minoritaires, revendiquant le secret, utilisent leur pouvoir et leurs réseaux afin de décrédibiliser aux yeux du grand public les innovations et initiatives issues de la pensée anthroposophique.

Les néo-rationalistes, influenceurs d’opinion et le relais franc-maçon

Dans l’ouvrage « Les gardiens de la raison, enquête sur la désinformation scientifique », les journalistes Stéphane Foucart et Stéphane Horel montrent comment des youtubeurs travaillent à influencer l’opinion afin de faire passer les intérêts des gros industriels pour de la science. Ils utilisent des organismes néo-rationalistes comme l’AFIS (Association Française pour l’Information Scientifique), caution intellectuelle de certains lobbys, pour semer la confusion en créant de fausses controverses sur des sujets de santé publique et de protection de l’environnement.

Leur stratégie consiste également à décrédibiliser certaines alternatives appréciées et peu coûteuses comme l’homéopathie en les taxant de pseudoscience. La vertu est ainsi placée du côté des laboratoires pharmaceutiques qui développent de nouveaux médicaments, en général plutôt chers, et souvent toxiques et inefficaces.

En 2018, le youtubeur Thomas Durand a réalisé sur sa chaîne « La tronche en biais » un entretien avec Grégoire Perra, un détracteur obsessionnel de l’anthroposophie, autoproclamé « lanceur d’alerte » et écarté d’une École Steiner pour une affaire de mœurs. L’objectif de cette vidéo, refusant tout débat contradictoire malgré des demandes, était de brosser une image grotesque et ridicule de l’anthroposophie, la faisant passer aux yeux de l’opinion pour une pensée farfelue assimilée au « New age ».

Ces vulgarisateurs, appelés également « zététiciens », instrumentalisent l’ignorance de hordes de « geeks » ou d’ingénieurs se croyant les gardiens de la vraie science et pourchassant de façon agressive et non argumentée, souvent insultante en meute virtuelle sur les réseaux sociaux (particulièrement Twitter) ceux qui se revendiquent de l’anthroposophie, de la biodynamie ou de l’homéopathie.

Des intellectuels comme Gérald Bronner, sociologue, membre du comité de parrainage de l’AFIS, soutiennent publiquement ces youtubeurs. Ce dernier gravite dans l’écosystème rationaliste tout en intervenant dans des manifestations organisées par le Grand Orient de France. Il accuse d’ailleurs l’anthroposophie de « secte » dans son dernier livre « Apocalypse cognitive », associant insidieusement aux thèses de la pensée anthroposophique toutes les théories virales et conspirationnistes circulant sur internet1.

Le 22 février 2020, des ministres et anciens recteurs ont été invités par le groupe du Grand Orient de France (GODF) et son comité « Laïcité République » à participer à une journée pour promouvoir l’idée d’un « Science Media center » à la française. Le dirigeant de ce comité, Jean-Pierre Sakoun, consultant en ingénierie culturelle, constitue au sein des milieux francs-maçons l’un des relais avancés d’une ligne néo-rationaliste du type AFIS.2

Gérald Bronner promeut des écrits d’influenceurs rationalistes.
Extrait du livre de Gérald Bronner intitulé « Apocalypse cognitive ».
Gérald Bronner gravite dans l’écosystème rationaliste et intervient dans des manifestations organisées par le Grand Orient de France.

Des écrits agressifs qui ont des conséquences néfastes réelles

Le 3 juin 2017, l’universitaire Stéphane François écrit dans le magazine franc-maçon Critica Masonica que l’anthroposophie est une « multinationale de l’ésotérisme », concept jouant sur l’ambiguïté et la peur d’une emprise globale, amalgamant des inepties au sujet de l’anthroposophie et de ses applications pratiques.

Une année plus tard, le 3 juillet 2018, le journaliste Jean-Baptiste Malet reprend le narratif franc-maçon dans Le Monde diplomatique et écrit un article entièrement à charge après avoir réalisé une enquête malhonnête. Le titre de l’article, « L’anthroposophie, discrète multinationale de l’ésotérisme », contribuant là aussi à une désinformation malveillante sur l’identité de ce courant de pensée.

Plus grave, le 8 septembre 2020, le journal Franc-maçonnerie Magazine s’en prend directement à l’anthroposophie et aux Écoles Steiner Waldorf dans un article intitulé : « Les dérives sectaires une nouvelle menace pour la République ». Il encourage tous les francs-maçons à agir dans les réseaux associatifs, fédération de parents d’élève ainsi qu’au sein de la DDEN (Direction Départementale de l’Éducation Nationale) pour contrer les impulsions anthroposophiques.

Un an plus tard, les parents de l’école Waldorf de Bagnères-de-Bigorre (affiliée à la Fédération-Pédagogie Steiner-Waldorf en France uniquement pour les classes de maternelle) sont mis en demeure de scolariser leur(s) enfant(s) dans un autre établissement par l’Académie de Toulouse, notamment sous pression des associations de parents d’élèves, de syndicats et d’une offensive journalistique de Charlie Hebdo par Laure Daussy. À noter que cette dernière a été invitée par le Grand Orient de France (GODF) en mai 2019 à intervenir sur le thème du planning familial et de l’universalisme.

Cette école de Bagnères-de-Bigorre était pourtant accompagnée par la Fédération, qui veille au respect des critères pédagogiques et administratifs conformément à la loi. Et même si de réelles divergences existaient entre cette école et l’Académie de Toulouse, tout était mis en œuvre pour y remédier et plusieurs problématiques étaient en passe d’être résolues. Cette décision abrupte, à quelques jours de la rentrée, est donc incompréhensible et fortement contestable. En effet, il n’a pas été tenu compte ni de la volonté manifeste des responsables de l’école de se mettre en conformité ni du désespoir des parents qui, pour certains, avaient déménagé et investi beaucoup d’énergie pour y mettre leurs enfants.

Une « organisation secrète » qui instrumentalise la Miviludes ?

Récemment, une responsable d’association « anti-secte » de l’ACCEC (Association Centre de Cartographie et d’Études des Croyances) a révélé sur Twitter que nombre d’associations de victimes comme l’Unadfi, le CCMM ou le FECRIS sont composées de personnalités franc-maçonnes et que, paradoxalement, certains pactisent avec des « mouvements sectaires » identifiés par la Miviludes, comme l’Antiquus Mysticusque Ordo Rosae Crucis (AMORC) ou la scientologie.

Valérie Blanchard, de l’ACCEC, révèle sur Twitter que nombre d’associations de victimes, comme l’Unadfi, le CCMM, le FECRIS sont composées de personnalités franc-maçonnes.

Concernant la Miviludes, les choses se complexifient, car l’État n’a pas réussi à créer dans cet organisme un outil efficace de lutte contre les dérives « sectaires ». Il s’est laissé influencer par des mouvements de défense des victimes et par des groupes institutionnalisés (mouvements catholiques ou francs-maçons) qui en veulent aux minorités religieuses concurrentes. Et les vrais spécialistes, scientifiques, sociologues ou historiens en ont été écartés.

Pour rappel, en 1999, Jacques Guyard, président de la commission parlementaire sur les sectes, députés PS et « frère » du GODF, mettait l’anthroposophie sur la liste des sectes. Il a été condamné 2 ans plus tard à verser « 20 000 francs d’amende et 90 000 francs de dommages-intérêts pour avoir diffamé trois mouvements anthroposophes se réclamant du courant de pensée de Rudolf Steiner. »

Cela a conduit, au sein même de l’État français, à instrumentaliser des victimes au service d’intérêts, de rivalités religieuses ou de pouvoir idéologique. C’est ce qu’a dénoncé le sociologue Raphaël Liogier dans une émission de Frédéric Taddéi sur RT France, en mars 2021. Il écrivait d’ailleurs dans un article paru dans Le Monde en 2008, que la Miviludes était déconnectée du terrain et relevait davantage d’une croisade :

«  Le Centre contre les manipulations mentales (CCMM), plutôt gauche jacobine laïciste, gardien du sanctuaire de la vérité rationnelle contre les superstitions, et l’Union nationale des associations de défense de la famille et de l’individu (Unadfi), plutôt droite libérale, voire chrétienne, défendant la cellule familiale et l’individu contre les influences néfastes. Ces deux associations deviendront les seuls informateurs patentés de l’État, recevant des millions d’euros de subventions. »

La Grande loge de France participe ou aurait participé au travail de la Miviludes.

Janine Tavernier, présidente de l’Unadfi de 1993 à 2001, constatait, dans un article du journal Le Monde du 17 novembre 2006, que « petit à petit, beaucoup de franc-maçons sont entrés dans l’Unadfi, lui donnant une coloration qu’elle n’avait pas à l’origine. » L’affiliation de son actuelle présidente, Catherine Picard en est l’une des illustrations.

Enfin, en octobre 2021 est sorti un livre intitulé « Les nouveaux périls sectaires ». Les auteurs, les journalistes Thimothée Rauglaudre et Jean-Loup Adénor se font depuis le plaisir de raconter sur les chaînes de radio et de télévision que l’anthroposophie et les Écoles Steiner sont des « dérives sectaires ».

Ces deux jeunes journalistes, d’ailleurs accusés par l’avocate Valérie Blanchard d’être des francs-maçons, semblent dire tout haut ce que la Miviludes dit seulement tout bas dans ses publications, car elle n’est en possession d’aucun élément factuel : accuser sans preuve et sans contradiction, sans recherches ni enquêtes sociologiques sérieuses, mais sous la forme de « témoignages » de victimes des propos mensongers et diffamants sur les pratiques issues de l’anthroposophie.

Des représentants de courants francs-maçons seraient ainsi particulièrement actifs dans les associations anti-sectes et particulièrement au sein de la Miviludes, service de l’État destiné à lutter contre les dérives ? Un faisceau d’indices le laisse penser, mais comme cette organisation, ainsi que le GODF ont un fonctionnement opaque, il est difficile de l’affirmer avec certitude.

La Franc-maçonnerie est-elle une « secte » ?

Mais qu’est-ce que la Franc-maçonnerie ? Et comment certains franc-maçons en sont-ils venus à se positionner aussi négativement contre les minorités spirituelles ? En France, il existe deux grandes familles de loges franc-maçonnes : il y a les loges « spiritualistes ou traditionalistes » (Grande Loge de France GLDF) qui ne souhaitent pas s’occuper de politique ni de religion, et il y a les loges « libérales ou adogmatiques » (GODF) qui n’hésitent pas influencer et même à faire directement de la politique, c’est-à-dire à pratiquer l’entrisme et à utiliser leur lien de solidarité et leur réseau pour des intérêts éloignés d’enjeux spirituels.

« Un ordre initiatique, avec des rites, des rituels et des symboles, dans lequel l’adepte parcourt un chemin d’évolution à travers les “Hauts Grades” et les “Ordres de sagesse” pour parvenir au statut de “Grand Maître”… après avoir traversé une période d’initiation et attendu parfois jusqu’à deux ans avant d’être accepté, où hommes et femmes sont clairement séparés, où les réunions sont secrètes, où l’on fait du prosélytisme pour se faire connaître, et bien sûr, recruter de nouveaux adeptes… à quoi cela vous fait-il penser ? »3

Dans un article du CICNS (Centre d’Information et de Conseil des Nouvelles Spiritualités) datant de 2010, Valérie Dole souligne qu’en tant que minorité spirituelle, les loges de Franc-maçonnerie présentent toutes les caractéristiques imputables à ce que l’on dénonce chez les sectes. Elles ont d’ailleurs été souvent désignées comme secte dans l’histoire, comme le montre Arnaud Esquerre dans son ouvrage «  La manipulation mentale — Sociologie des sectes en France » (Fayard).

Dans un autre article également publié par le CICNS, l’auteur indique que :

« Un certain nombre d’acteurs s’emploient, en France, à dégrader le débat sur la question des “sectes” ; parmi eux se trouvent les principales obédiences franc-maçonnes. Leurs prises de position officielles nous paraissent incohérentes et non responsables au vu de l’histoire mouvementée de la franc-maçonnerie.  

Compte tenu à la fois de l’impossible définition d’une secte et des caractéristiques mêmes de la franc-maçonnerie, il est impossible de se leurrer sur une hypothétique différence entre les loges maçonniques et les autres minorités spirituelles. Comment la franc-maçonnerie en est-elle donc venue à se positionner aussi négativement dans le discours antisectes ? »

Le CICNS a été créé en 2004, pour défendre les minorités spirituelles particulièrement et injustement attaquées par les associations réunies par la Mils et les rapports parlementaires recensant les sectes en 1998-99. Or, ceux qui instrumentalisaient les victimes recueillies à juste titre par une structure comme l’Unadfi en profitait pour dénoncer des pratiques sectaires qu’eux-mêmes pratiquent allègrement, particulièrement au sein de structures secrètes comme le GODF.

Steiner et la Franc-maçonnerie

Certaines associations anti-sectes pensent d’ailleurs qu’une des preuves que l’anthroposophie est une secte est que Steiner a été un temps franc-maçon dans une obédience du rite de Memphis-Misraïm.

À l’époque de la création de la Société théosophique par Helena Blavatsky, dans les années 1870, les règles du silence traditionnellement et strictement gardées par les loges maçonniques furent peu à peu rompues, faisant face à une exigence des temps où la connaissance spirituelle devait trouver le moyen d’être plus accessible auprès du public.

Dans son autobiographie rédigée et parue dans « Das Goetheanum » entre 1923 et 1925, R. Steiner s’exprime en ces termes :

« Si je me décidais à parler publiquement de la connaissance spirituelle, je devais donc me résoudre à rompre avec cette tradition. Je me trouvais confronté avec les conditions exigées par la vie de l’esprit moderne. De nos jours, il est impossible de garder secret comme cela était naturellement le cas aux temps anciens. (…) Je n’avais envers personne la moindre obligation de secret, car je n’avais rien emprunté de cette “sagesse ancienne” ; la connaissance spirituelle que je possède résulte de ma propre investigation. Après l’avoir acquise, je la compare avec ce qui a déjà été publié de la sagesse ancienne, afin d’établir la concordance et de montrer en même temps le progrès dont l’investigation actuelle est capable. À partir d’un certain moment, je reconnus donc clairement l’opportunité de mon action publique dans le domaine de la science spirituelle. »

Cette décision a été prise au tournant du 20e siècle, et s’est manifestée la première fois lorsque le Comte et la Comtesse Brockdorf, dirigeants d’une loge de la Société théosophique, l’invitèrent pour parler de Nietzsche puis de Goethe. Les membres théosophes furent vivement intéressés par ce qui vivait en lui sous forme ésotérique en lien au travail artistique de Goethe. Dans son parcours au sein de la Société théosophique, Steiner a toujours veillé à n’exprimer que ce qu’il vivait intérieurement comme contenus imaginatifs, non ce que véhiculait la société sous forme de doctrines.

Sa rencontre avec la maçonnerie se fit un peu plus tard, comme le décrit Aurélie Choné dans un article paru en 2018 : « En 1905, il est initié par Theodor Reuß au Rite de Misraïm, avec son épouse — ce qui lui coûte cher, comme le remarque l’historien allemand Helmut Zander4 —, et devient en 1906, président du “Chapitre et Temple mystique” Mystica Aeterna, à Berlin. »

Cette loge respectait les formes maçonniques de la graduation hiérarchique par degré. R. Steiner s’exprime clairement dans son autobiographie5 sur les raisons de cette adhésion : « L’idée d’engager mon action selon l’esprit d’une pareille société ne m’effleura même pas. L’impulsion anthroposophique devait découler de sa propre source de connaissance et de vérité. Sur ce point je ne tolérais aucun compromis. (…) Le déroulement du cérémonial reflétait la seule connaissance anthroposophique. Tout cela fut fait pour répondre aux désirs des membres. En plus de la science spirituelle transmise sous forme d’idées, ceux-ci souhaitaient recevoir quelque chose qui s’adressât directement au cœur et à l’acte contemplatif ».

Sa relation avec Reuss se dégrade, car il ne parvient pas, dans le cadre du rite maçonnique, à déployer librement ses idées spirituelles, ni à rénover les contenues ésotériques et méditatifs dans la forme artistique qui lui semblait adaptée à l’esprit moderne. La Première Guerre mondiale marque la fin des activités maçonniques de Steiner.

Le 17 février 1920, dans le cadre d’une « leçon ésotérique »6, R. Steiner s’exprime ainsi sur les sociétés secrètes :

« Ces vérités sont connues des nombreuses sociétés secrètes, mais elles veulent les garder pour elles. Ces sociétés ne tiennent pas tellement à nier ces vérités, mais (…) à les détourner de leur courant pour les faire entrer dans le monde comme étant de leur paternité. Rien ne serait plus simple que de rendre la science de l’esprit populaire : il suffirait que je me retire, que je me donne pour mort, et que déjà les sociétés secrètes populariseraient ces vérités comme étant les leurs pour gagner en puissance. »

Conclusion

L’anthroposophie est un courant de pensée, vaste, fécond et transparent qui s’adresse à l’individu dans son besoin de connaissance intime et propose des solutions pratiques pour les activités humaines dans différents champs professionnels. Il n’est pas réductible à l’individualité de R. Steiner, mais s’inscrit dans une continuité historique. Dans les statuts de la Société anthroposophique universelle, il est stipulé (article 4) :

« La Société anthroposophique n’est pas une société secrète ; elle est au contraire absolument publique. Toute personne peut en devenir membre qui, sans distinction de nation, de condition sociale, de religion, de conviction scientifique ou artistique, considère comme justifiée l’existence d’une institution telle que l’École de science de l’esprit du Goetheanum à Dornach. La Société refuse toute visée sectaire. Elle considère que la politique ne relève pas de ses tâches. »

Elle est pourtant régulièrement accusée de :

  • D’être une pseudoscience par des néo-rationalistes qui, sous couvert de défendre le « consensus » ou la « méthode scientifique » agissent en réalité au service des intérêts des gros industriels au détriment de la santé humaine, de notre environnement et de la biodiversité.
  • Propager de croyances ou d’ésotérisme, par des minorités spirituelles de types francs-maçons, alors qu’eux-mêmes pratiquent des rituels, vénèrent le « Grand architecte de l’univers », ou d’autres concepts appartenant au registre des croyances.
  • De pratiquer l’entrisme, alors que le Grand Orient de France ne se cache pas d’être actif directement en politique via des politiciens (Mitterand, Mélenchon, Manuel Valls, Jean-Yves Le Drian…), des conseillers (Alain Bauer), ou des hauts fonctionnaires (Christophe Chantepy, directeur de cabinet du Premier ministre, Renaud Vedel, directeur adjoint de cabinet du ministre de l’Intérieur ou Cédric Lewandovski, directeur de cabinet du ministre de la Défense).
  • Et pire encore, de charlatanisme voire de dangereuse ou criminelle, par des fonctionnaires de l’Éducation nationale comme Stéphanie de Vanssay, Conseillère nationale pédagogie et numérique à l’école, active au sein de l’UNSA-Education, qui publie régulièrement sur Twitter des messages de haine condamnables.

On observe ainsi clairement — en opposition à l’intérêt public, au droit d’entreprise et à la liberté d’association, pourtant fondements de notre République française — qu’agit contre l’anthroposophie un écosystème « occulte », composé de loges secrètes, d’intérêts industriels et financiers puissants, ainsi que certains monopoles d’État visant à :

  • Décrédibiliser l’anthroposophie et ses initiatives concrètes au sein de l’opinion publique par l’activisme militant « zététiciens » et des youtubeurs sans doute rémunérés par des agences de communication leur proposant des mots clés et des méthodes agressives de marketing 3.0.
  • Désinformer par voie de presse dans des revues spécialisées d’obédience franc-maçonne, repris parfois directement dans la presse « mainstream », à partir de fausses enquêtes à base de témoignages ou d’entretien avec des personnalités controversées et non crédibles.
  • Agir dans les réseaux de service public dépendant directement de l’État comme la Miviludes, les Directions départementales de l’Éducation nationale (DDEN) ou les académies, afin de procéder à des fermetures d’Écoles ou de pratiquer une ostracisation sous le pseudo-concept de « dérives sectaires »

La société anthroposophique compte parmi ses membres certains francs-maçons, et cela est le signe d’une ouverture d’esprit enrichissante. Mais certains d’entre eux ont témoigné qu’ils ne pouvaient pas défendre publiquement Rudolf Steiner, sous peine d’être rejetés de leur obédience. Ici se révèlent sans doute les limites de cette double appartenance, par nature incompatible pour les membres occupant des fonctions de représentation ou de direction : on ne peut pas, en privé, étudier et admirer Rudolf Steiner et ne pas le défendre quand il est publiquement sali dans la presse.

Je souhaite ainsi alerter le grand public au sujet des dysfonctionnements graves et récurrents de nos institutions au service de certains intérêts qui agissent en se cachant de moins en moins contre notre modèle de société fondé sur les libertés individuelles, religieuses, thérapeutiques et pédagogiques dont l’État devrait être le garant.


Biographie de l’auteur

Tristan Chaudon est architecte et exerce en libéral dans la région de Colmar depuis 2012. Ayant des origines familiales rhénanes (Hollande, Suisse, Allemagne et France), il s’intéresse très jeune à la spiritualité anthroposophique, comme renouveau des anciennes fraternités européennes. Il co-fonde en 2009, Carminem, association destinée à expérimenter avec des jeunes cette nouvelle compréhension du monde. En 2011, il participe à l’initiative internationale de la méditation avec le Goethéanum. Ces thèmes de recherche sont aujourd’hui liés à la tri-articulation de l’organisme social, l’histoire de l’art et des courants spirituels ainsi que la compréhension de l’actualité. Il est membre de l’École de science de l’esprit.


Notes :

1 Apocalypse cognitive, Gérald Bronner, PUF, 2021

2 Stéphane Foucart, Stéphane Horel, Sylvain Laurens, Les gardiens de la raison, enquête sur la désinformation scientifique, La découverte, 2020.

3 http://www.cicns.net/FM.htm

4 Helmut Zander : Rudolf Steiner. Die Biografie. München : Piper, 2011, p. 256.

5 Rudolf Steiner : Autobiographie. Vol 2 Genève, EAR, 1979, p.215-2016.

6 Rudolf Steiner, Leçons ésotériques, Tome 3, 1913 -1923, EAR.




NON à la traque des médecins libres !

Par AISNSH

Citoyens, Citoyennes,

Ces médecins sont chassés, traqués, punis, et pourquoi ? Pour avoir commis des erreurs médicales ?

NON

Pour avoir mis en danger la vie de leurs patients ?

NON

Pour des conflits d’intérêts ?

Encore moins…

Leur seul « crime », c’est d’avoir proposé des soins « non conventionnels » à leurs patients… ou d’avoir osé s’exprimer librement sur des « tabous de la médecine ».

48 médecins suspendus… et ça continue ! Malgré les déserts médicaux, les problèmes d’accès aux soins et la rareté des médecins, l’Ordre s’acharne.

En France, en 20221

  • L’Ordre a ouvert 1866 nouveaux dossiers (+12 % par rapport à 2021), en vue de sanctionner les praticiens (hors poursuites des médecins non-vaccinés) ;
  • 48 verdicts de suspensions et interdits d’exercer ont été rendus (c’est énorme !) ;
  • 62 médecins ont été jugés pour « faute grave » parce qu’ils ont osé proposer des solutions « non conventionnelles » à leurs patients (compléments alimentaires au curcuma, cure de propolis, probiotiques… ces solutions sont validées par la science mais restent méprisées par l’Ordre).

Les condamner, c’est VOUS condamner ! Ces hommes et ces femmes ont fait au moins 10 ans d’études pour nous soigner, sauver des milliers de vies. Aujourd’hui, ces héros ordinaires sont accusés d’être des complotistes, des lanceurs d’alerte, des inconscients…

Harcelés pour avoir dénoncé

Les plus éminents médecins de notre continent se voient interdire leur droit d’exercer la médecine et de soigner leurs patients tour à tour.

Juin 2023, en pleine période Covid : le Dr Vincent Reliquet est condamné à 3 ans d’interdiction d’exercice.

  • Médecin généraliste
  • Expert en hydrotomies marines (traitement novateur contre l’arthrose notamment)
  • Auteur de COVID 19 — L’enquête interdite
  • Critique de plusieurs traitements, dont le vaccin Gardasil, les statines et les IPP…

1er septembre 2023 : le Professeur Joyeux est condamné à un interdit d’exercer pendant 2 ans.​​​​​​​

  • Professeur de cancérologie et de chirurgie
  • Prix international de cancérologie
  • Spécialisé dans les médecines alternatives

Sanctionné durement, car il a osé « dénoncer certains abus vaccinaux ».

NON à la condamnation du Professeur Joyeux !

19 octobre 2023 : le Dr Louis Fouché est convoqué par l’Ordre des médecins.

  • Médecin anesthésiste-réanimateur
  • Fondateur du collectif réinfo covid qui visait à sensibiliser les Français sur la politique sanitaire

Même date : le Dr Amine Ulmi est convoqué devant le Conseil de l’Ordre.

  • Docteur en Pharmacie
  • Juriste en droit de la Santé

Mis en cause pour avoir dénoncé certains problèmes de pharmacovigilance (ex : affaire du Levothyrox, Covid).

Reproché d’avoir « incité à l’indiscipline collective »2.

13 septembre 2022 : Pr Christian Perronne

  • Collaborateur de l’OMS
  • Professeur à l’Institut Pasteur
  • Ancien Président de la Fédération française d’infectiologie
  • Membre du Haut Conseil de Santé Publique

Accusé de s’être exprimé sur la politique sanitaire durant la crise Covid, sur l’efficacité et la dangerosité du vaccin anti-Covid et sur les lobbies pharmaceutiques.

Par miracle, l’Ordre a annulé sa condamnation grâce aux nombreuses pétitions et signataires qui défendaient la liberté d’informer et de soigner.

Plus récemment, c’est le Dr Thierry Schmitz, qui est accusé.

Le Dr Schmitz, convoqué le 22 novembre… Aidons-le !

L’Ordre des médecins s’en prend cette fois au Dr Schmitz :

  • Docteur en médecine
  • Fondateur de l’Institut Européen de Médecine Naturelle
  • Spécialisé en médecine anti-âge, mésothérapie, homéopathie, aromathérapie, phytothérapie, micronutrition et bien d’autres thérapies naturelles
  • Père de l’Ozonothérapie en Europe, une innovation scientifique marquante du 21è siècle
  • Expert des maladies auto-immunes

Il y a quelques jours, le Dr Schmitz a reçu un courrier « personnel et confidentiel » de la part de l’Ordre.

CONVOCATION DEVANT L’ORDRE DES MÉDECINS
Le mercredi 22 novembre à 19 h 15

Motif ?

15 articles et 2 vidéos d’informations concernant le vaccin et la politique sanitaire pendant la pandémie.

Durant cette période, le Dr Schmitz a aidé et informé tous ses lecteurs sur ces sujets :

  • Protection du système immunitaire face au Covid
  • Traitements naturels existants (vitamine C, ozonothérapie)
  • Effets indésirables graves de certains vaccins
  • L’obligation vaccinale et les problèmes éthiques qu’elle soulevait

L’Ordre pointe également du doigt un article du 11 novembre 2020 dans lequel le Dr Schmitz informait ses lecteurs de leurs droits :

« L’obligation vaccinale va à l’encontre de la loi Kouchner selon laquelle un acte médical ne peut être pratiqué contre votre gré. »

On marche sur la tête !

Ceux qui vous informent sur VOS droits sont menacés de suspension…

… Par ceux qui sont censés faire appliquer la loi !

Doit-on laisser le Dr Schmitz marcher sur l’échafaud des autorités de santé bourrées de conflits d’intérêts ?

NON !

Battons-nous, comme nous l’avons fait pour le Pr Christian Perronne pour défendre NOS droits et ceux qui les respectent !

Signez cette pétition pour qu’ils dressent leur drapeau blanc et qu’enfin, nous puissions retrouver notre liberté d’être soignés !

POUR soutenir le Dr Schmitz et les médecins qui se battent pour VOS droits

CONTRE le harcèlement de ces médecins libres

CONTRE la corruption des décideurs actuels concernant VOTRE santé

Signez cette pétition à nos côtés !

Je signe cette pétition !

Rappelez-vous !

D’après la loi Kouchner, vous avez « droit à l’information et au consentement éclairé ».

Pourtant, ceux appliquent cette loi à la lettre sont accusés.

Accusés d’avoir INFORMÉ leurs patients.

Accusés de les SOIGNER par tous les moyens.

Pourquoi un tel acharnement ?

Les liens troubles entre l’Ordre des médecins et les grands laboratoires pharmaceutiques

Le 13 septembre, le Dr Schmitz et quelques confrères belges ont adressé un courrier aux dirigeants de l’Ordre.

Dans ce communiqué, il dénonce notamment le vice-président de l’Ordre national belge de s’être « vanté » de persécuter des dizaines de médecins critiques concernant le vaccin anti-Covid

… Alors que lui-même venait de déclarer, comme imposé par la loi, avoir des intérêts dans le domaine de la vaccinologie3.

C’est le monde à l’envers : ceux qui respectent les lois sont condamnés, ceux qui les enfreignent sont à la tête des grandes institutions de santé…

Il est grand temps que la tendance s’inverse.

C’est à NOUS, citoyens, de soutenir nos médecins, ceux qui défendent vraiment nos droits, ceux qui nous soignent dans le respect.

Avec notre respectueuse considération,

L’Association Santé Naturelle

PS : Amis belges, médecins, soignants citoyens et patients du Dr Schmitz organisent une manifestation pacifique le 22 novembre de 18 h 30 à 21 h 30, sur la pelouse en face du 417, avenue de Tervuren, Bruxelles.

Je vous encourage à nous rejoindre pour soutenir le Dr Schmitz qui plaidera, lui, POUR une médecine indépendante des conflits d’intérêts financiers et politiques.

Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste (AISNSH)
Case postale — 1211 Genève 3 — Suisse

Sources :

1 Louise Claereboudt, État pathologique, insuffisance professionnelle : l’Ordre dévoile le nombre de médecins suspendus en 2022, Egora, Mai 2023.

2 Soutien inconditionnel aux Drs Louis Fouché et Amine Ulmi, Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante, 15 octobre 2023.

3 Lettre ouverte du 13 septembre 2023 de la part d’un collectif de médecins à l’Ordre des Médecins belge




La mainmise des entreprises sur la Santé publique

[Source : thebiglogic.com]

Traduction de
https://www.thebiglogic.com/wp-content/uploads/the-corporate-capture-of-public-health-1.3-thebiglogic.com_-2048×2048.png
par le biais de https://translate.yandex.com/




Le Mystère de la mort du Dr Olivier Soulier

[Source : profession-gendarme.com]

Par Dr Anne-Marie Yim, PhD

Cela pourrait sonner comme un titre d’un roman d’Agatha Christie ou de Gaston Leroux, sauf que c’est de la mort très mystérieuse de feu Dr Olivier Soulier dont il s’agit. Après le choc de l’annonce brutale de sa mort, j’essaye de comprendre ce qui s’est passé dans le contexte de cette post-crise covid-19. C’est le cœur lourd de chagrin et de tristesse que je me décide, après mûre réflexion, à prendre la plume pour écrire, une fois de plus, sur le décès soudain d’Olivier Soulier.

[Voir aussi :
Hommage au Dr Olivier Soulier
Un Soulier mal chaussé]

Comme tout le monde le sait, Olivier est parti dans la nuit du mercredi 28 juin au jeudi 29 juin 2023. Nous devions faire une émission avec Dr Hervé Seligmann sur les excès de mortalité suite aux injections, mais elle a été reportée, car Éric Montana, journaliste sur TV-ADP et JSF, ami proche d’Olivier Soulier, était sous le choc de l’annonce de sa mort, triste nouvelle dont il a appris l’annonce le vendredi 30.

Dimanche 1er juillet, une soirée hommage sur TV-ADP a eu lieu, elle a rassemblé quelques noms connus de la Résistance, dont Me Carlo Brusa, Dr Éric Loridan, Dr Stéphane Gayet, Dr Laurent Montesino, Dr Laurence Kaiser, Chloé Frammery, Pierre Barnérias, Stéphanie Reynaud, porte-parole d’Ariane Bilheran et de Me Virginie de Araujo-Recchia, Dr Astrid Struckelberger, Dr Tal Schaler… et bien d’autres. Tous ses véritables amis et ceux qui l’appréciaient sincèrement se sont réunis pour honorer sa mémoire de combattant et de résistant durant cette crise sanitaire. Ils ont fait l’éloge de ses qualités de médecin homéopathe et ont également souligné son rôle majeur en tant que membre fondateur du CSI (Conseil Scientifique Indépendant), ainsi que celui du SLS (Syndicat Liberté Santé). Ce fut un exercice à la fois émouvant et difficile, car nous étions tous submergés par l’émotion. Entre deux sanglots et sous un torrent de larmes que je n’arrivais pas à contrôler, je me suis souvenue des 3 fois où mon chemin a croisé celui d’Olivier.

La première fois c’était à Massy lors du deuxième ICS (International Covid Summit) le samedi 2 avril 2022. J’étais montée sur la scène en présence des Dr Robert Malone, Dr Alexandra Henrion-Caude (AHC), Dr David Bouillon, Dr Benoît Ochs, Dr Louis Fouché et Pr Perronne. Malgré le froid glacial, la foule était au rendez-vous et avait réservé un accueil chaleureux aux intervenants, le tout filmé par une rangée de médias indépendants dont Kairos en la personne d’Alexandre Pennasse au premier rang. La foule très impressionnante scandait comme un cri de guerre : Perronne Ministre de la Santé ! Le Pr Perronne était venu débattre au Luxembourg, à la chambre des Députés, le 12 janvier 2022, suite à une pétition dont l’intitulé portait sur : « Stop aux vaccins de type thérapie génétique (COVID-19) à nos enfants ». Suite à ce débat, que j’avais organisé avec le pétitionnaire David Georgiu, le projet de loi sur la vaccination obligatoire au Luxembourg a été retiré et remplacé par la loi du 11 mars 2022 qui a vu la levée de restriction des mesures sanitaires. Un moment historique et une grande victoire qui a marqué un tournant pour la Résistance. L’espoir que nous avions suscité nous portait comme sur des ailes ! Au cours de la manifestation de Massy, je me souviens vaguement qu’AHC parlait de créer des brèches dans le narratif de la doxa sanitaire.

La deuxième fois, c’était à Nancy le 4 novembre 2022, par une belle journée ensoleillée lors de la convocation du Dr Martine Wonner par le Conseil de l’Ordre suite aux propos tenus lors d’une manifestation le 3 juillet 2021 à Nancy, organisée par Bon Sens Nancy, alors qu’elle était encore Députée ainsi que pour les propos tenus dans le documentaire « Hold-up » de Pierre Barnérias, diffusé en mai 2021. Olivier s’était mis à côté de moi dans la haie d’honneur que les résistants avaient formée, et nous chantions la Marseillaise le poing levé. Il portait un anorak bleu et une casquette qu’il avait soulevée pour dévoiler son visage en me faisant un clin d’œil amical pour me saluer, avant que nous entrions dans la salle d’audience.

La troisième fois, c’était le 17 février 2023, lors de la soirée hommage organisée par la Fondation Luc Montagnier qui s’est tenue au siège de la société Bouygues, au 32 avenue Hoche, tout près de l’Arc de Triomphe. Il y avait un parterre très prestigieux de médecins et scientifiques (Dr Guillaume, Dr Ménard, Dr Escarguel, Pr Perronne, Pr Tritto, Jacques Bauer, Dr Carrière,…), des collaborateurs proches du Prix Nobel ayant travaillé sur le Creutzfeld Jacob, le VIH (Virus Immunodéficience Humaine) et la mémoire de l’eau (Jacques Beneviste).

[Voir aussi :
La mémoire de l’eau – documentaire complet
Commentaires sur le VIH de Montagnier]

Mercredi 12 juillet, c’étaient les funérailles du Dr Olivier Soulier, je n’ai pas pu m’y rendre pour des raisons de santé. En effet, j’ai déclenché une forme grave de Covid aiguë, fortement thrombotique, suite à ma visite en Suisse chez Jacques Bauer, pharmacien suisse travaillant sur les ondes scalaires dans le traitement de la Covid-19. Je tiens à préciser que je dois la vie à un médecin exceptionnel, d’une rare intelligence : le Dr Yves Couvreur, anatomo-pathologiste belge qui a parcouru 3 h de route depuis les environs de Bruxelles pour m’accompagner à la pharmacie de garde, ce dimanche-là, et me prescrire les médicaments dont j’avais besoin. Son traitement efficace m’a sauvé la vie et je lui en suis extrêmement reconnaissante, car sans son intervention je ne serais sans doute plus là aujourd’hui.

[Voir aussi :
Voyage au cœur des injections Covid — Jacques Bauer, pharmacien-clinicien
Observation des injections anticovid]

J’ai cependant décidé d’écrire une oraison funèbre à Olivier sous forme de poème, à la fois amicale et respectueuse dont je reproduis le texte ci-dessous.

Le bleu était ta couleur préférée, celle de tes yeux azur. Tu t’en es allé rejoindre le ciel laissant orphelins des milliers de résistants, en état de choc, inconsolables face à ton décès soudain : une mort à la fois brutale et violente. Tu es parti bien trop tôt, bien trop vite, alors que le combat féroce que tu as mené pendant 3 ans face à la dictature sanitaire et contre le totalitarisme d’état t’a mené partout dans le monde.

Globe-trotter infatigable et citoyen dans l’âme, tu as su consoler les soignants dont la vie était suspendue à un fil, prodiguant des soins alternatifs àbase d’homéopathie dont toi seul connaissais les secrets et les vertus, ainsi que des traitements précoces qui ont sauvé tant de vies.

Amoureux de l’humanité, tu as traversé ta vie comme une étoile filante pour rejoindre le firmament, toujours avec humour et bienveillance. Admiratif de la science et de la vie, on retiendra ton courage sans faille, ainsi que ton engagement absolu auprès de ta communauté de cœur. Repose en paix cher Olivier, cher frère et cher ami.

Nous tous dissidents de la France éternelle et résistants dans l’âme, guerriers de lumière, nous saluons ton combat en reprenant le flambeau de la liberté pour laquelle tu as donné ta vie.

Dr Anne-Marie Yim, Ph. D. Luxembourg, 12 juillet 2023.

Je m’étais entretenue au téléphone récemment avec Olivier, avant sa mort, à propos de son éviction du CSI. Cette dernière était due au fait, non seulement de son désaccord sur la ligne éditoriale scientifique à propos de l’oxyde de graphène et de la spike, mais aussi à propos de la plainte abjecte d’Emmanuelle Darles à son encontre pour harcèlement sexuel présumé. Une plainte pour un motif questionnable qui s’éteint juridiquement avec son décès. En effet, suite à l’UER (Université d’Été Résistante) de Villeneuve-lès-Avignon dans le Gard, en septembre 2022, organisée et financée par l’association uflf88 (Union Fait la Force 88) et aidée de Cécile Maichak (Dosumani), un incident a eu lieu. Lors d’une conférence, il y avait 5 intervenants et seulement 4 sièges. Olivier a proposé à Emmanuelle Darles de venir s’asseoir sur ses genoux, proposition qu’elle a naturellement déclinée devant le public, se sentant « humiliée » selon ses propres mots. Olivier m’avait alors confié que Vincent Pavan et Emmanuelle Darles s’étaient servis de cette affaire ridicule pour le pousser hors du CSI. Ils l’avaient menacé d’ébruiter et de relâcher cette affaire « scandaleuse » à la presse, donc au grand public, s’il refusait de quitter le CSI. Il n’avait d’ailleurs pas été invité à la 100e du CSI qui a eu lieu à Saintes pendant l’été 2023. Son absence, fortement remarquée, a marqué les esprits et ce d’autant plus que ce sont produits deux incidents particuliers.

[Voir aussi :
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
et plus généralement les dossiers :
Vaccins et virus
5G et ondes pulsées
Implants numériques]

Le premier incident, Chloé Frammery publie une vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle, elle se plaint du fait que l’annonce de la manifestation du 27 mai à Genève dénonçant l’adoption du Traité Pandémie de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) ainsi que du RSI (Règlement Sanitaire International) révisé n’ait pas été autorisé par les organisateurs lors de la 100e du CSI. Ces deux textes sont d’une dangerosité majeure, car ils permettraient de donner les pleins pouvoirs à l’OMS et de mettre en place le certificat numérique. Rappelons que le certificat numérique est une version beaucoup plus étendue du passeport vaccinal qui permettait un contrôle de la population en temps de Covid (état d’urgence) et autorisait l’accès sur les lieux de travail, de loisir, de restauration, aux musées et aux aéroports. C’est donc une sorte de passeport permettant de voyager avec un QR code, une version plus généralisée du « Green Certificate » dont le terme expirait le 30 juin 2023, qui permet un contrôle des populations.

Le deuxième incident est une autre vidéo de Richard Boutry et de Natacha Werup, marchant sur la route et visiblement déçus par cette fameuse conférence de Saintes. À la fois ironique et désabusée, Natacha a commenté en substance : le ciel d’en bas n’est pas le ciel d’en haut ; ils veulent en coulisses que nous suivions le transhumanisme de Yuval Harari. Cette vidéo a par ailleurs été supprimée dès le lendemain sans laisser de traces par les auteurs pour calmer les esprits et ne pas rentrer dans une polémique.

Quel ne fut pas mon étonnement, lorsque je reçois une vidéo hommage funèbre d’Éric Verhaeghe (EV), fondateur du Courrier des Stratèges, ancien de l’ENA (École Nationale Supérieure) envoyée par un ami résistant Alain Schollaert, ancien co-référent de la cellule RéinfoCovid Corse, lanceur d’alerte indépendant et bénévole.

Dans cette vidéo de 12 min, ce qui commence comme une oraison funèbre à un défunt disparu tourne rapidement, à ma grande surprise, à un règlement de compte. J’ai dû réécouter la vidéo plusieurs fois, car je n’en croyais pas mes oreilles.

Éric Verhaeghe commence à parler de l’article injurieux du journal l’Express daté du 10 juillet, titrant qu’Olivier Soulier serait mort d’un arrêt cardiaque, suite à une séance chamanique où il aurait consommé des champignons hallucinogènes dans un appartement parisien. Cette information aurait été obtenue selon une dépêche AFP communiquée par « La Voix du Nord » auprès du Parquet de Paris ; notamment la brigade des stupéfiants chargée de mener une enquête suite à la plainte déposée par la famille Soulier qui a par ailleurs demandé une autopsie. Jean-Dominique Michel, anthropologue résistant et ami d’Olivier Soulier, avec qui il faisait de nombreuses conférences ayant quitté lui aussi le CSI par solidarité, vis-à-vis d’Olivier Soulier, s’émeut de la situation et demande à Éric Verhaeghe de publier un droit de réponse.

S’ensuit une anecdote d’un dîner parisien chez Éric Verhaeghe, dont Olivier était un invité. Ce dernier arrive avec sa compagne et sort un téléphone lui permettant de détecter l’émission d’adresses MAC (Media Access Control). L’application a immédiatement indiqué la présence de 3 vaccinés sur les 8 invités présents. Indice : un des invités vaccinés signe tous ses tweets avec « nous sommes le camp du bien ». Le ton est donné, les « diseux » n’ont qu’à bien se tenir ! Les diseux font des promesses vides qui n’aboutissent qu’à des rêves utopiques sans lendemain, sans avenir : un futur désirable dans lequel vous ne posséderez rien et vous serez heureux. Leur véritable but est de contrôler le narratif scientifique de la dissidence en mettant l’accent sur les effets biologiques de la spike, et en évacuant le problème très gênant de la présence d’oxyde de graphène, non divulguée, dans la composition des ingrédients des injections géniques.

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables]

Éric Verhaeghe va plus loin en insistant que ce prétendu grand résistant vacciné, un infiltré de la macronie, plutôt diseux que faiseux aurait demandé des compromis à Olivier Soulier, alors qu’il était prêt à l’emmener « dans les cordes ». Il conclut son oraison funèbre en demandant aux résistants d’être déterminés et de s’engager en politique pour changer de leadership et apporter un réel changement dans la société.

Cette vidéo pose évidemment des questions sur l’opposition contrôlée au sein de la résistance. La mort d’Olivier cristallise cette question autour de l’opposition contrôlée qui s’est mise en place en même temps que se déroulait la plandémie Covid. Il ne faut pas craindre les méchants visibles désignés et identifiés : le CS (Conseil Scientifique) d’Alain Fischer et Delfraissy, Véran, Buzyn, Lacombe et autres experts de plateaux, ceux qui interdisent l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, l’azythromycine ou la vitamine D3. Il faut plutôt se méfier de l’avant-garde du « Cheval de Troie », de cette caste intelligente, puissante et méchante : les loups déguisés en agneaux qui ont fait allégeance au mal et qui veulent vous pucer en vous promettant que : tout ira bien et que cela va bien se passer, alors qu’ils volent votre santé et votre âme à la fois.

Oui, cette guerre psychologique de 5génération sert un génocide biblique sans précédent sous couvert d’une pseudo crise sanitaire. Il ne faut pas avoir peur de la première mort, celle du corps, mais bien de la seconde mort, celle de l’âme. Car nier l’existence de l’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins, c’est un viol de l’âme. En effet, la fréquence émise par le GO, sous stimulation des ondes 5G, à une fréquence déterminée, précise pourra non seulement activer les virus dormants, mais aussi calcifier la glande pinéale : siège de la conscience de l’âme et de l’intuition, celle qui nous relie au divin. Le nouvel ordre mondial et les globalistes veulent éteindre le souffle du divin en nous, afin de nous plonger dans les abysses de l’enfer. Ils veulent nous donner une fausse immortalité, celle du corps, tout en supprimant l’âme et en niant sa transcendance. Tel est l’objectif inavoué des infiltrés de la macronie, alors que se resserre l’étau irréversible de la prison numérique sur l’humanité ! Leur opération d’infiltration a un but insidieux : celui de nous faire rendre les armes sans combattre ; c’est l’art de la guerre qui annonce l’Armageddon avant le retour en gloire de notre Messie. À l’aube de cette civilisation d’amour tant prophétisée, une ère nouvelle pour l’humanité. Soyons prêts à nous revêtir de notre armure de lumière, avec pour bannière l’Amour pour combattre avec détermination. Il en va de nos vies, de nos libertés ! Nous, peuples de la terre, voulons laisser en héritage, un futur de paix et de justice à nos enfants.

[Voir aussi :
Exorcisme et « vaccins » anti-Covid
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme
Les écouvillons des tests PCR conçus pour implanter de l’hydrogel DARPA au lithium dans le cerveau et attaquer la glande pinéale ?]

Dr Anne-Marie Yim, PhD

Luxembourg le 22 juillet 2023




Dr Olivier Soulier : « La médecine de demain va devoir se débarrasser de l’industrie pharmaceutique »

[Source : Nexus]

Le Dr Olivier Soulier, qui était médecin, homéopathe et chercheur passionné, nous a soudainement quittés il y a quelques jours. Nexus l’avait interviewé l’année dernière et partage aujourd’hui plus d’une heure d’entretien avec lui.

◆ Une médecine qui se déshumanise

Le Dr Olivier Soulier nous parle de l’évolution inquiétante de la médecine :

« Au XIXe et au XXe, le médecin était la personne centrale. Il y avait un lien médecin-patient qui était la base des choses. Le médecin avait comme objectif l’intérêt unique du patient et le patient faisait confiance au médecin. C’était ce duo qui fonctionnait. On a bien vu à quel point cette relation a été massivement attaquée. Les médecins ont été éliminés c’est pas pour rien qu’on a créé des centres de médecins à prescrire […] Aujourd’hui le médecin disparaît derrière des potentiels prescripteurs informatiques ! L’humain disparaît derrière le business. C’est quelque chose que l’on voit se généraliser dans notre société aujourd’hui. »

◆ Un médecin qui allait au bout de ses convictions

Le 15 septembre 2021, Olivier Soulier a préféré la suspension plutôt que jouer le « jeu » imposé du gouvernement et son obligation vaccinale pour le personnel soignant :

«[…] je n’ai pas accepté les injections expérimentales donc j’ai arrêté d’exercer en tant que médecin. J’ai participé à la création du syndicat liberté-santé pour défendre tous ces soignants. On revient dans des techniques de mode terroriste en quelque sorte ». Fidèle à l’homéopathie qu’il exerçait, il était persuadé de ses bienfaits : « La médecine homéopathique pourrait couvrir 80% du champs médical. »

◆ Des visions de la médecine différentes 

« Il y a 2 visions du monde qui s’opposent dans cette histoire et je le raconte un peu en opposant Pasteur et Claude Bernard. Une première vision qui est celle de Pasteur et qui consiste à dire : “Le monde extérieur est dangereux, ce sont les microbes qui sont responsables de ce que nous vivons de nos pathologies”. Cela sous-entend que l’humain pourrait être parfait et que le monde extérieur serait dangereux. Donc une vision que l’on va qualifier de paranoïaque. “Paranoïaque” égal “la peur”, égal ce que l’on voit aujourd’hui. “Le microbe est responsable de la maladie, il faut attaquer les méchants microbes avec des vaccins, avec des antibiotiques”. Voilà, ça c’est une première vision. L’autre vision qui est celle de Claude Bernard  est de dire : “Ce qui compte ce n’est pas l’agression extérieure mais le terrain du sujet”. »

« On a donc ces deux visions fondamentales. Une vision de type paranoïaque qui fonctionne sur la peur et une vision beaucoup plus humaniste qui est “renforçons le terrain”. On a vu que sur le site de l’OMS, le chapitre sur l’immunité naturelle avait disparu comme si d’un seul coup cela avait disparu  ! Ça existe depuis quelques centaines de milliers d’années mais d’un seul coup quand on vend des injections, ça n’existe plus ! Donc les humains sont incapables de se débrouiller sans être injectés, sans être aidés en permanence, ce qui est complètement faux ! »

[Note de Joseph : le meilleur moyen de se débarrasser de Big Pharma est une reconnaissance suffisamment large, notamment dans le milieu médical, de la fausseté de la théorie virale et en particulier du fait que jusqu’à présent aucun virus pathogène n’a été réellement isolé, purifié et caractérisé chimiquement. Cette théorie aurait dû être abandonnée il y a 70 ans. Au contraire, elle s’est transformée en religion.
Voir le dossier Vaccins et virus,
Comment Rockefeller a créé Big Pharma
et Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910.]

👉 Voir notre entretien avec Olivier Soulier :




René Quinton, savant oublié, inventeur du plasma isotonique à partir d’eau de mer

[Source : @Miniver]

René Quinton dans « Savants maudit, chercheurs exclus » par Pierre Lance

Pierre Lance : « Savants maudit, chercheurs exclus » Survivants illégaux et guérisons interdites au pays des « Droits de l’Homme »
Volume 1, 2, 3 et 4 en PDF gratuit :
https://jumpshare.com/b/UD0ZzdssJsbtTnGpebAS

Les 4 volumes aux éditions Tredaniel :

PDF Plasma marin de René Quinton :
https://www.atelierdumoi56.fr/Files/Other/Le%20plasma%20marin.pdf

René Quinton découvrit l’identité chimique de notre sang et de l’eau de mer. Il fut mondialement célèbre en 1906 pour avoir sauvé du choléra des milliers d’enfants.
Ce grand homme a sauvé plusieurs milliers de vies d’enfants et d’adultes en France et en Égypte au début du 20e siècle en utilisant un sérum (Plasma marin) qui porte aujourd’hui son nom.

Un des ouvrages les plus connus de René Quinton en PDF gratuit :
« L’eau de mer, milieu organique : constance du milieu marin originel, comme milieu vital des cellules, à travers la série animale. » C’est le livre fondateur de la théorie marine, publié en 1904.
Lien du PDF :
https://jumpshare.com/v/Vj3hFoaNUZwmz9GyTOdZ

Utilisation des sérums marins en hydrotomie percutanée
— Mémoire en défense de la méthode. Dr Vincent Reliquet, Janvier 2020 (De nombreux témoignages de patients dans la 3e partie de ce PDF)
Lien du PDF :
https://jumpshare.com/v/vvomF4ko7frgz9dlc84Q

« Il faut se rendre à l’évidence, incriminer l’utilisation des sérums marins injectés au XXIe siècle comme une technique “illusoire ou insuffisamment éprouvée relevant du charlatanisme”, article 39 du Code de Déontologie Médicale, devrait heurter d’abord ceux qui osent le prétendre. »

« Notre milieu organique est en osmose avec le milieu marin : l’eau de mer est en sympathie avec chaque infime partie de notre corps. » 

René Quinton

« Il faut attribuer à une épaisse ignorance des réflexions comme celle qui me fut faite récemment, à savoir que les injections de sérum marin représentaient une vieille thérapeutique essoufflée,
dépassée par les médications nouvelles, et parfaitement archaïque. C’est exactement comme si l’on disait que l’air et la nourriture sont aujourd’hui dépassés ! La mer et l’homme n’ont guère changé depuis Quinton, ni depuis Platon qui déclarait déjà : “L’eau de mer guérit tous les maux.” Confondre un agent naturel avec un médicament sous prétexte qu’on l’utilise en thérapeutique, c’est
vraiment la marque d’un esprit faux, ou du moins faussé, mais très gravement. »

André Mahé, 1962.

« Il est donc permis de souhaiter que cette AMM injectable soit nouvellement accordée dans un avenir plus éclairé, car cette utilisation ouvre des perspectives médicales de haute tenue, non seulement en neuralthérapie, mais aussi face aux problématiques liées aux transfusions sanguines. René Quinton nous a montré la voie royale : Et cette reconnaissance d’un produit déjà pharmacologiquement injectable, comme légalement injectable, semble inéluctable à terme. »

Dr Nicolas Stelling, 2006

https://www.pressenza.com/fr/2021/06/rene-quinton-un-savant-oublie/

https://www.csbs-odemer.fr/content/13-rene-quinton



[Source : @minipiouf]

LE PLASMA MARIN DE RENÉ QUINTON

Les miracles du plasma marin.
Découvert par René Quinton,
un homme incroyable qui en une vie aura révolutionné l’aviation et la santé.

Après avoir soigné des milliers d’enfants d’une mort certaine lors de l’épidémie de choléra en 1832 grâce à son procédé de plasma marin, il sera comme tous les hommes de bien, effacé de l’histoire.

LE PLASMA DE QUINTON PEUT REMPLACER LE SANG POUR LES PERFUSIONS ET POURRAIT ÊTRE UN DES OUTILS MAJEURS POUR SOIGNER LES INJECTÉS.
Drainage, régénération du liquide interstitiel…




[Source : @Histoire-et-revelations]

QUINTON la présentation :

L’eau de Quinton est une solution liquide dont la composition se rapproche très fortement de celle de l’eau de mer. En effet, la mise au point de celle-ci résulte du travail de René Quinton (1866-1925), qui fit en 1897, le constat que notre plasma sanguin ainsi que les liquides qui entourent nos cellules avaient une composition très similaire a celle de l’eau de mer au niveau de la concentration en oligo-éléments et en minéraux exception faite de l’iode bien entendu.

Sources :
https://quinton.fr/
https://quinton.fr/produits/eau-de-quinton

Qui est le Dr Marc-François Payà ?

Docteur Marc-François Payà : médecin spécialiste pluridisciplinaire, spécialiste de la douleur, diplômé en acupuncture, en homéopathie, ostéopathie, auriculo-médecine, ancien Directeur de département universitaire, médecin consultant et expert auprès des tribunaux, orateur et conférencier, exerce en parallèle des fonctions de responsable scientifiques et anime des formations dans ses domaines d’expertise et en particulier la nutrition et le métabolisme.
Directeur des laboratoires Quinton.

Les Thèmes :

La découverte de L’eau Quinton
Qu’est-ce que c’est ?
Comment est-elle fabriquée ?

https://www.youtube.com/watch?v=BziFBwUUOxQ




[Source : csbs-odemer.fr]

TOUT SAVOIR SUR RENÉ QUINTON

René Quinton est un biologiste, naturaliste et physiologiste français, né le 15 décembre 1866 dans la commune de Chaumes-en-Brie de Marie Amyot et de Paul Quinton, médecin et maire de Chaumes. Il s’est éteint le 9 juillet 1925 à Paris à l’âge de 59 ans.

Après l’obtention de son baccalauréat de sciences et de lettres au lycée Chaptal à Paris, René Quinton, inspiré par Flaubert, se consacre pendant quelques années à la littérature en écrivant des romans et des pièces de théâtre. À 22 ans, il entreprend des voyages dans des pays du pourtour méditerranéen suite auxquels il revient à Paris pour faire des études en géologie, paléontologie et biologie au Museum d’histoire naturelle.

Tout a commencé avec une vipère

René Quinton était quelqu’un de très intrigué par le mystère des origines de la vie humaine. Un jour de 1895, en observant une vipère engourdie par le froid qu’il exposera par la suite à la chaleur, il trouve le fil rouge de sa pensée scientifique qui deviendra « la loi de la constance thermique ». Celle-ci stipule qu’il existe une température optimale pour que l’activité vitale cellulaire s’exprime au maximum. Son raisonnement est simple, si le reptile retrouve son activité normale sous l’effet de la chaleur, c’est qu’il s’agit d’une espèce apparue sur terre quand la température de celle-ci était élevée et constante. 

En approfondissant sa pensée avec des recherches, René Quinton constate que la température dégagée par la terre au moment de la création de la vie était de 44 °C. Mais au fil du temps, avec le refroidissement progressif du globe terrestre à partir de ses pôles, de nouvelles espèces sont apparues avec un pouvoir calorifique qui permet d’augmenter et de réguler la température de l’organisme. Les espèces les plus anciennes, quant à elles, n’ont pas réussi à garder la température optimale. En étudiant ces deux groupes d’espèces selon leur milieu originel, René Quinton conclut que les premières cellules vivantes proviendraient de la mer. 

René Quinton a poussé son raisonnement plus loin en examinant le représentant le plus récent et le plus élevé du règne animal : l’oiseau. À sa surprise, il découvre que ses cellules baignent dans un plasma sanguin qui, au point de vue minéral, est exactement le même que l’eau de mer. Cette identité du milieu intérieur à celle de l’eau de mer sera démontrée par René Quinton qui, après ses expériences, formule « la loi de la constance marine » :

« La vie animale, apparue à l’état de cellule dans les mers, tend à maintenir, pour son haut fonctionnement cellulaire, à travers la série zoologique, les cellules constitutives des organismes dans le milieu marin des origines. »

Création du plasma de Quinton

Sur la base de ses théories, René Quinton est persuadé que l’eau de mer contient tous les oligo-éléments nécessaires au corps humain pour lui assurer une vie cellulaire optimale. Il pousse alors ses recherches scientifiques en fixant un programme expérimental avec de l’eau de mer ramenée à l’isotonie organique, c’est-à-dire au taux de concentration des sels minéraux du milieu intérieur. Il ajoute donc cinq parties d’eau distillée pour deux parties d’eau de mer, mais il se demande si l’eau distillée ne ferait pas perdre quelques propriétés à l’eau de mer.

Après d’autres expériences, il trouve la solution qui permettra aux œufs d’oursins d’éclore et aux globules blancs de survivre : c’est une eau de source filtrée, « l’eau vivante » comme il l’appelait. Le plasma marin sera donc désormais de l’eau de mer additionnée à de l’eau de source filtrée. Il n’a jamais pensé à ce plasma comme un médicament, mais comme un fluide extracellulaire, exactement adapté aux besoins des cellules vivantes.

Un des ouvrages les plus connus de René Quinton est « L’eau de mer, milieu organique ». C’est le livre fondateur de la théorie marine, publié en 1904.

La fameuse expérience du chien 

C’est en 1897, dans le laboratoire de Marey au Collège de France que René Quinton espère apporter la preuve de ce qu’il avance en présence de Marey et d’autres chercheurs.

Pendant huit heures on injecte à un chien de 10 kg, par voie intraveineuse, une quantité d’eau de mer de 10,4 kg, soit 104 % de son poids, sans inconvénient même mineur, l’élimination rénale étant parfaite.

Par la suite le chien a eu presque tout son sang prélevé par l’artère fémorale et il reste inerte, le réflexe de la cornée de l’œil ayant disparu. On lui injecte de l’eau de mer pendant onze minutes : le réflexe reparaît, le chien revient à la vie, se remet sur pied, le lendemain il trotte dans le laboratoire. Ce chien, rebaptisé « Sodium » mourra 5 ans plus tard, écrasé par un autobus.

La conclusion de René Quinton est sans appel : si le plasma marin a permis une reconstitution rapide du tissu sanguin, c’est qu’il a les mêmes propriétés physiologiques que celui des êtres vivants.

Ouverture des dispensaires marins

À la suite du succès de l’expérience précédente, René Quinton décide alors de reconduire l’essai, mais sur des sujets humains cette fois. De 1897 à 1904, il commence ses expérimentations dans des hôpitaux parisiens où on lui confie des cas désespérés, notamment un premier malade atteint de la typhoïde (maladie infectieuse et contagieuse, aussi transmise par l’eau et les aliments, entraînant fièvre et troubles digestifs). On lui injecte le plasma de Quinton, et dès le lendemain, le patient se sent déjà mieux et se nourrit avec appétit. Quelques jours plus tard, il est même totalement guéri. Il réitère sur un second cas, un patient suicidaire, qui confirme le succès thérapeutique du premier.

Les expérimentations connaissent du succès à chaque fois : les mourants, contre toute attente, sont sauvés. Ainsi, René Quinton ouvre des dispensaires, dont le premier dispensaire Quinton à Paris en 1907. Il en crée dans presque tous les quartiers de Paris, en province et à l’étranger (Angleterre, Belgique, Égypte, USA…). C’est ainsi que des milliers de vies, notamment d’enfants atteints de maladies infantiles, ont été sauvées au début du XX° siècle.

Un médecin, le docteur Jean JARRICOT, écrira en 1933, évoquant ces débuts de la cure marine : « Rien n’effacera en nous l’inoubliable vision : les mères découvrant sur leurs genoux, désespérées, leurs enfants mourants et Quinton, secret, silencieux, mais les lèvres frémissantes, et versant sur elles toute la pitié, toute l’éblouissante intelligence, toute l’impérieuse certitude dont peut être chargé un regard humain. »

Reconstitution de la masse sanguine

L’eau de mer a été employée avec succès chez certains grands blessés ou opérés pour remplacer la masse sanguine et sans problème de compatibilité avec les groupes sanguins. Ces expériences ne font pas stricto sensu partie de la méthode marine, mais elles ont corroboré les expériences initiales de René Quinton. Le Plasma de Quinton est également un adjuvant précieux lors de traitements visant surtout à remonter l’état général du malade (perte d’appétit, perte de poids, nausées…).

Le « protocole » de René Quinton

Son protocole est basé sur le fait de récupérer de l’eau de mer dans une zone où l’on trouve des marées importantes ce qui permet d’avoir une richesse naturelle en phytoplancton. Une microfiltration à froid pour pouvoir éliminer les polluants, les microorganismes pathogènes et les impuretés est fortement conseillée.

De plus, le plasma marin doit être conservé dans un récipient neutre qui ne modifiera pas et ne réagira pas avec le produit tel que le verre.

« Notre milieu organique est en osmose avec le milieu marin : l’eau de mer est en sympathie avec chaque infime partie de notre corps. » de René Quinton


[Source : fundacionrenequinton.org]

Qui était René Quinton

Quinton a basé sa théorie sur une prémisse universelle qui constitue le socle de sa thérapeutique : reconstruire avec l’Eau de Mer les cellules endommagées.

René Quinton a abordé plusieurs domaines de la connaissance. De formation humaniste et scientifique, il était considéré comme un sage. À travers ses œuvres, y compris les inédites, il a fait sienne cette maxime « Science de la sensibilité », c’est à dire, la conjugaison du matériel et du spirituel en un tout harmonieux.

Outre ses études dans les domaines de la biologie et de la physiologie, il fut philosophe, héros de guerre, mécène, promoteur de l’aviation, etc. Un enthousiaste de l’humanisme de son époque.

« Face au monde physique qui obéit à des lois stables, l’évolutionnisme nous avait habitués à voir la matière vivante comme une substance plastique modifiée par son environnement, s’adaptant pour survivre aux conditions variables de la terre », écrivait-il dans l’un de ses ouvrages. Cependant, en 1897, René Quinton formule un nouveau principe, qui, sans nier l’Évolution, montre l’objectif final poursuivi par la vie sous toutes ses formes. Ainsi, il découvre que la vie animale apparue dans la mer, en dépit des variations au fil du temps, tend à maintenir les conditions de ses origines. Au lieu d’obéir passivement à l’influence de l’environnement, la vie résiste à ces modifications. Les formes anatomiques changent pour permettre le maintien de la température et de la concentration saline de l’environnement marin des origines.

Finalement, l’être vivant — quelle que soit la place qu’il occupe dans l’échelle animale — demeure un véritable aquarium marin dont les cellules continuent à vivre dans les mêmes conditions aquatiques qui étaient celles des cellules primitives. La maladie apparaît comme une altération de cet environnement fondamental. Cette formulation conduisit René Quinton à baser sa théorie scientifique sur une prémisse universelle qui constitua sa thérapeutique de base : reconstruire la cellule endommagée en utilisant l’eau des océans, environnement vital dont la minéralisation est toujours identique à notre milieu interne.

Son œuvre culmine en 1904 lorsqu’il publie le livre « L’eau de Mer, milieu organique » qui pose des bases solides en démontrant scientifiquement les vertus thérapeutiques de l’eau de mer. Par exemple, il mit en évidence que « toute altération de la matrice extracellulaire altère la nutrition cellulaire ».

L’expérience

Il fallait mener des expériences afin de démontrer que l’eau de mer, réduite à l’isotonie, est identique au milieu interne humain.

En 1897, dans le laboratoire du professeur Marey au Collège de France, a lieu la première expérience : saigner complètement des chiens.

Pendant huit heures, par voie intraveineuse, sont injectés 10, 4 litres d’eau de mer -104 % du poids de l’animal — sans aucun inconvénient, l’élimination rénale est parfaite.
Un second chien est complètement vidé de son sang par l’artère fémorale. Il est à deux doigts de la mort, perdant le réflexe cornéen. On lui injecte de l’Eau de Mer pendant 11 minutes : le réflexe réapparaît, le chien revient à lui, il se lève et le lendemain il déambule dans tout le laboratoire. Baptisé « Sodium », il mourra 5 ans plus tard, écrasé par un tramway.

Entre 1887 et 1904, René Quinton applique son traitement marin et accumule des observations qui lui permettent de mettre au point une « méthode » conjointement à de jeunes médecins enthousiastes, à des Professeurs émérites et des Chefs de cliniques.

René Quinton débute sa thérapeutique dans les hôpitaux de Paris, où on lui permet de traiter des cas désespérés : un patient atteint de typhus en coma terminal dont la mort est prévue le jour même, un empoisonnement à l’acide oxalique, une syphilis, un homme atteint de cirrhose hépatique, une jeune femme vidée de son sang par accouchement…

L’eau de mer isotonique, alors appelée Plasma de Quinton, injectable, produit toujours des résultats inespérés : les moribonds sont sauvés dans de nombreux cas.

Afin de clore ses expériences, René Quinton passe à l’étude des globules blancs qui, par leur fragilité, sont difficiles à maintenir vivants en milieu artificiels. René Quinton fait porter son étude sur toutes les espèces : poissons, batraciens, reptiles, mammifères et oiseaux. Dans tous les cas, les globules blancs immergés dans du liquide marin continuent de présenter tous les signes d’une vie normale.

Dans une étude récente, le Dr. José Sempere, Professeur de l’Université d’Alicante (Espagne) du Département de Biotechnologie, conclut : 

« je suis convaincu que les globules blancs se maintiennent plus longtemps dans la solution Quinton Isotonic, au-delà des 96 heures mesurées jusqu’ici. »

L’eau de mer contient la totalité des éléments du tableau de Mendeleïev et dans la même proportion que dans notre milieu interne…

La découverte

Au début de son étude, René Quinton découvrit que l’Eau de Mer contenait 15 éléments de la classification périodique de Mendeleïev ; en poursuivant ses recherches, il en ajouta 5 de plus, tout en ayant l’intuition qu’ils y seraient tous.

Et, en effet, avec les progrès des moyens d’analyse clinique, de plus en plus d’éléments sont découverts pour en arriver à la même conclusion pressentie par le biologiste : l’Eau de Mer contient l’ensemble des éléments du tableau de Mendeleïev et dans la même proportion que dans notre milieu interne composé de différents liquides organiques comme le liquide extracellulaire, le plasma sanguin, les larmes, le liquide céphalorachidien.

C’est Henry Doffin, docteur en biologie (Faculté des Sciences de Poitiers, France) qui fait cette découverte en 1950. Plus récemment, ce sont les recherches menées à l’université de Coral Gables (Miami-USA) qui utilisent une approche molaire par « spectrométrie de diffraction de neutrons » — la méthode la plus précise jusqu’à aujourd’hui—, pour vérifier la composition qualitative du TOTUM ionominéral de l’Eau de Mer et sa concentration, qui nous donnent 78 éléments BIO-DISPONIBLES dans l’Eau de Mer naturelle à température biologique.

À l’origine, l’Eau de Mer était moins concentrée en sels minéraux que de nos jours, c’est pour cette raison qu’il faut abaisser sa concentration avec de l’eau de source peu minéralisée.

Chaque litre d’Eau de Mer contient en moyenne 300 milligrammes de dérivés prébiotiques du carbone, comme les acides aminés, les sucres, les vitamines, etc. Les ions (présents à l’état liquide, absents à l’état solide) sont des éléments chimico-électroniques naturels, transformés par le phytoplancton et le zooplancton, en chaînes naturelles. Ils agissent par effet de synergie, dans une symbiose biologique avec notre organisme dont la formulation minérale est identique à l’Eau de Mer.

En savoir plus




Information générale afin de rester prudent et vigilant : conseils pour les injectés

Mon amie homéopathe le Dr Martine Gardenal avait écrit cette mise en garde il y a déjà un an alors que les personnes contraintes à se faire injecter cherchaient légitimement des solutions qui malheureusement n’existent pas vraiment.

Actuellement la révélation des très nombreux effets toxiques (doux euphémisme) de l’injection génique pousse de multiples personnes à publier à nouveau des traitements « antidotes », ce qu’on peut comprendre. Afin de mesurer la limite du système, le Dr Gardénal a accepté de publier sa mise en garde toujours d’actualité. Nous l’en remercions.

Cet article [du 15 Mars 2022] ne veut pas dire que rien ne peut servir à quelque chose. Les papiers sur les tisanes d’aiguilles de pin par exemple(([1] Voir :
Débarrasser le corps du graphène
et
Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre)) ou l’Artémisia donnent de l’espoir à certains et ne doivent pas être négligés. Le but de ce rappel est de dire qu’il n’y a pas de traitement miracle contre la toxicité de l’injection à ce jour et donc que rien ne doit vous faire accepter l’injection en vous faisant croire qu’elle n’aura aucun risque. Roulette russe…

Dr Nicole Delépine

Par le Dr Martine Gardénal
médecin homéopathe, médecin du sport, et olympique, ex-attachée de consultation à l’Insep

Je suis très souvent interrogée par des personnes qui sont ou vont être injectés par le produit ARN messager contre le COVID.

Leur question est :

« Que puis-je faire pour ne pas avoir d’effets secondaires ou pour les faire disparaitre ? »

Je me décide aujourd’hui à vous dire le fond de ma pensée. Ceci, non pour vous faire entrer dans la peur, mais pour être claire.

Cette injection transgénique anti Covid est toujours en phase 3. Elle appartient donc encore au domaine expérimental, ce qui veut dire :

  1. que nous n’avons pas le produit à notre disposition en vente libre dans les pharmacies,
  2. que nous ne savons pratiquement rien de leur composition exacte,
  3. que comme pour tout traitement expérimental cette thérapeutique comporte différents types de produits, et obligatoirement des placebos dont nous ignorons le pourcentage. (Voir essais cliniques).

Cela explique que certaines personnes ont dû recevoir du sérum physiologique, alors que d’autres ont été injectées avec le produit expérimental. Aussi, certains n’ont absolument aucune réaction même après 3 doses, alors que d’autres réagissent dès la première injection et d’autres seulement après la 3°. Tout peut se voir.

En plus, actuellement, les pistes sont totalement brouillées :

  1. la personne ne sait pas ce qui lui est injecté,
  2. au fil des doses, la personne peut recevoir des produits provenant de laboratoires différents (Astre Zeneca, Johnson et Johnson, Moderna, Pfizer) et des doses placebo ou non,
  3. l’état sanitaire de la personne n’est jamais pris en compte.

En tant que médecin homéopathe, je sais que chaque individu à son propre terrain, avec sa plus ou moins grande susceptibilité aux produits étrangers et aux germes.

Jusqu’alors, avec tous les autres vaccins (classiques), j’avais pris l’habitude de faire un traitement préventif, mais surtout curatif afin que le terrain soit le moins touché possible par ces perturbateurs immunitaires.

Ma longue expérience professionnelle et celles d’autres confrères m’ont conforté dans notre position. Pour les vaccins classiques, cela n’a jamais posé de problème : je n’ai jamais eu à déplorer la moindre nuisance. N’est-ce pas le but recherché ?

Pour mémoire, je rappelle quelque chose qui semble bien oublié depuis des années. Le rôle du médecin est « primum non nocere » [NDLR « D’abord, ne pas nuire »].

Actuellement, avec ces injections transgéniques à ARNm, ne sachant pas ce que contient la seringue, et n’ayant pas à notre disposition les flacons, il est impossible — et nous n’aurons jamais l’assurance — que les produits homéopathiques fabriqués appelés « isothérapiques » correspondent à ce que la personne a reçu.

C’est peut-être un placebo qui a été injecté. (sérum physiologique) et peut être non ? Alors ?

Comment éthiquement parlant, proposer à quelqu’un un traitement incertain dont il est impossible de prévoir le résultat de façon sûre ? Comment affirmer qu’avec l’homéopathie il n’y aura pas d’effets secondaires et surtout que la protéine Spike va disparaître ?

Personnellement je ne me sens ni le courage ni le droit de faire de telles choses, et je refuse d’en prendre la responsabilité.
Je serai trop loin de mes choix personnels, et mon éthique m’en empêche.

Dans l’état actuel des choses, je ne vois aucun traitement préventif ni curatif avec certitude…
Les seules choses que l’on puisse faire, c’est de préparer le terrain au mieux pour qu’il réagisse le moins possible et que cela diminue les réactions de type allergique, oxydatif, sidération immunitaire. C’est ce que beaucoup proposent et font.

J’avoue que lorsque je lis les articles de certains, certifiant qu’avec des traitements naturels et/ou des isothérapiques homéopathiques faits avec des injections transgéniques antiCOVID, les injectés sont garantis de passer à travers toutes les conséquences néfastes de ces produits, à court et long terme, je suis révoltée de tant de malhonnêteté et ne peux cautionner une démarche aussi peu scientifique.

J’attends les preuves

Il faut se méfier des illusionnistes, qui pour entretenir leur réputation et récupérer quelques monnaies, ne se comportent pas mieux que les lobbys pharmaceutiques.

Je suis désolée de ne pas pouvoir dire mieux, mais au fond de moi quelque chose m’empêche de proposer un produit dont on ne sait rien et qui est sans doute faux.

Un espoir : quand on pourra acheter librement ces produits injectables contre le COVID, le problème sera sans doute différent. À voir…

Par contre, tous les petits conseils donnés dans mon ouvrage « Homéopathie, le livre de référence pour se soigner au naturel », restent vrais pour minimiser les réactions secondaires et limiter les dégâts pour les vaccins classiques.

Et dans « T’as mal où ? ma réponse homéo ». Je vous propose un traitement si vous avez le COVID.

Dr Martine GARDÉNAL

15 Mars 2022





Médecine du Sens

[Source : conversationpapillon.com via Nathalie Brochard
Fondatrice de Acméditions et partenaire de Conversation Papillon.]

Donnez du sens aux maladies et aux événements de votre vie

Microformation gratuite avec le Dr Olivier Soulier

Médecin, acupuncteur, homéopathe et créateur de la Médecine du Sens

[NDLR Le contenu de l’article est légèrement adapté pour être présenté ici.]

Découvrez la Médecine du Sens…

La microformation gratuite présentée par le Dr Olivier Soulier est disponible !

Si la santé et la compréhension du sens de la maladie vous intéressent…
Si vous souhaitez donner un sens à différents événements de votre vie…
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[Voir ici pour s’inscrire gratuitement]

Cette microformation gratuite comprenant 4 vidéos transformatrices est pour vous! 


Le contenu présenté ne constitue pas un enseignement médical, il parle de philosophie, de psychologie et de courant de pensées de la santé. Il est partagé à titre informatif et ne peut se substituer à un diagnostic effectué par un médecin ou un professionnel de santé. Soignez-vous toujours en accord avec votre médecin et les données acquises de la science.

Vidéo 1

Comprendre la maladie pour aider à guérir

La maladie est l’occasion de rentrer dans le sens des choses. Elle survient dans notre vie pour nous dire «Là, il y a quelque chose qui ne vas pas !» Elle survient pour nous informer que nous sommes en perte de cohérence.

Il est important dans la médecine de faire le lien entre la somatisation et le psychique.

La maladie ne survient pas par hasard. Faites l’exercice du fil imaginaire (PDF à télécharger) et vous verrez comment certaines situations sont survenues dans votre vie pour vous parler de «vous», pour vous aider à conscientiser un aspect de vous que vous ignorez.

Vidéo 2

Relier le corps à l’esprit par la conscience

Pourquoi je suis malade? Que dois-je faire pour rester en bonne santé? Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la somatisation n’est pas forcément une mauvaise chose. 

Notre corps exerce une veille permanente. Il est le témoin de la manière dont nous nous accomplissons dans la vie. Avant que la maladie survienne, il nous alerte par de nombreux messages. C’est le signal que quelque chose ne va pas. Que nous sommes en perte de sens. Avant que la masse des incohérences ne s’accumule, il est temps de réagir. Mais comment comprendre et interpréter ce message?

Toute maladie a une fonction d’apprentissage. Elle nous invite aussi à se poser cette question:  sommes-nous la prolongation de l’histoire de nos parents ou plutôt l’auteur de notre propre vie? C’est la porte du transgénérationnel.

Vidéo 3

Le rôle de la psychologie dans le processus de guérison

Le Docteur Soulier évoque ici de nombreux exemples de pathologies, des cas concrets qui nous permettront de faire des liens avec nos propres maladies.

On remarquera qu’il y a trois types de maladies qui ont chacune différentes fonctions. Les maladies aiguës chez les enfants par exemple sont nécessaires pour favoriser son immunité et lui apprendre le monde. Vous découvrirez aussi comment certaines médecines, comme l’homéopathie, la médecine traditionnelle chinoise ou ayurvédique sont d’un apport considérable dans les maladies chroniques et dégénératives.

La santé, c’est la joie d’avancer dans la fluidité et l’acceptation des choses, nous expliquait Spinoza. C’est lorsque nous comprenons, lorsque le sens arrive à notre conscience, que nous pourrons transformer notre vie.

Vidéo 4 | Jeudi 3 novembre  

Vivre en santé et s’accomplir !

Dans cette quatrième et dernière vidéo, le Docteur Olivier Soulier résume ce qu’est la Médecine du Sens et jusqu’où sa découverte peut nous mener. On parlera d’inhibition, d’amour tout autant que de neurosciences. On fera le lien entre émotions et pensées. D’imaginaire et d’intuition… Du lien entre le corps et l’esprit…

Il prendra aussi un moment pour présenter la grande formation en Médecine du Sens pour les personnes qui désirent aller encore plus loin et poursuivre en sa compagnie au cours des mois à venir.

Pratiquer la «Médecine du Sens» c’est bien plus que comprendre le sens des maladies, c’est arriver à donner un sens aux événements dans l’ouverture de la conscience, c’est avancer sur le chemin de la transformation et l’accomplissement de soi.

À propos du Dr Olivier Soulier…

Olivier Soulier est à l’origine en France, depuis plus de 35 ans, du mouvement sur la compréhension du sens des maladies et des événements de notre existence. Depuis, il ne cesse de développer cette analyse dans une vision symbolique plus large, qu’ il applique à des domaines variés comme les microbes, les hormones, l’embryologie, les dents, les désirs alimentaires, les maladies et de tout ce qui fait le quotidien de notre vie.

Il enseigne et donne sa première conférence « A quoi servent les maladies » dès 1988. Son travail, son intuition, ses compétences lui permettent de découvrir de nombreux nouveaux codes.

La spécificité d’Olivier Soulier est d’aller dans l’infiniment petit, de déchiffrer l’embryologie comme un livre nous révélant l’essence de l’infiniment grand. Cette lecture originale permet d’accéder aux clés de compréhension des codes biologiques et symboliques. Enseignée avec le cœur, cette connaissance donne accès aux bases physiques et psychiques de l’être humain, pour approcher le sens de la maladie, le sens de la vie. Elle peut devenir source de guérison.

Les notions médicales que propose Olivier Soulier s’inscrivent à la fois dans une réalité scientifique et symbolique. Sa vision reste très concrète et s’est enrichie d’une pratique régulière en cabinet. Il utilise une vision ouverte de la médecine et s’appuie en même temps sur de solides bases psychologiques et scientifiques. Il sait rendre ces aspects facilement abordables pour tous, par l’utilisation d’exemples et de formes imagées simples.

Ses étudiants témoignent…

Le Dr Olivier Soulier a offert plusieurs conférences, ateliers et  formations sur les ondes de Conversation Papillon. Voici ce que les participants nous ont partagé à la suite à leur expérience…

« Le Docteur Soulier est un être extraordinaire, je lis tout ce qu’il écrit, je l’écoute chaque fois que cela m’est possible, quelle intelligence et quelle intelligence du cœur… merci Docteur. »

Josiane Girardin 

« Je rêve que votre discours puisse être porté et entendu par le « grand » public »

Muriel 

« Conférence très enrichissante et présentée avec grande clarté et gentillesse. Grand merci Dr Soulier et à toute l’équipe. »

Gayatri 

« Merci pour la pertinence de cette conférence, tellement aidante à plus d’un titre. Chacun peut trouver un mot, une citation, une sensation qui résonne en son fort intérieur. Merci infiniment pour ces cadeaux, véritable manifestation d’AMOUR. »

Patricia

« La médecine du bon sens même ! J’adore tout ce que dit Olivier Soulier, c’est tellement logiquevivant, la Vie est intelligence pure, la décoder comme il le fait est pure jouissance! »

Enora

« Merci pour ce beau moment de partage qui donne un éclairage nouveau sur la vie. »

Patricia R

« Excellent ! Tellement juste et sage ! Le titre de sa conférence dit tout. Il s’agit d’une belle invitation au retour à SOI, à l’écoute de soi et à la connexion à notre unité, notre harmonie et en deça de tout, à la Source. TOUT est en nous. En écoutant Olivier, on revient à la vision juste de ce que veut dire « être en santé ». Merci !!! »

Georges

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Donnez du sens aux maladies

Avec le Dr Olivier Soulier, médecin, acupuncteur, homéopathe et créateur de la Médecine du Sens

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Big Pharma, big baudruche

[Source (transmis par Christine Côte) : aimsib.org]

[Note de Joseph : l’aiguille qui peut faire éclater le ballon de baudruche Big Pharma est très possiblement une suffisamment large reconnaissance du caractère totalement fallacieux, voire frauduleux, de la théorie virale (et accessoirement également celle de la fausseté de la théorie mère qui est celle des germes). Voir le dossier Vaccins et virus.]

Par Dr François Choffat

Introduction

L’excellent texte de Michel Cucchi(([1] La pseudo-pandémie grippale de 2009 en France était une répétition générale)) que vous [L’AIMSIB] avez publié récemment donne de précieuses informations sur les coulisses politico-techniques de la grippe porcine de 2009. Il démontre que l’épisode Covid se préparait déjà à l’échelle planétaire. Mais l’énormité de la crise survenue avec l’avènement d’une société dictatoriale quasi mondialisée ne peut s’expliquer que par un certain nombre de causes plus ou moins coordonnées dont l’ensemble nous échappe encore. Mais il paraît de plus en plus évident que les entreprises pharmaceutiques sont parmi les plus compromises dans ces grandes manœuvres médico-financières… et qu’elles en sont les premières bénéficiaires.

[Note de Joseph : ces causes sont probablement très coordonnées par le chef d’orchestre Bill Gates.
Voir notamment :
Les responsables de la santé admettent que Bill Gates dirige le monde
Coup d’État furtif de l’OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma
Qui est Bill Gates ?
Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges – Bill Gates est aux commandes »
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !
Fondation Bill & Melinda Gates — la grande arnaque révélée
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma
3 mois avant le COVID, l’Union mangeait la soupe du vaccin servie par Bill Gates et Big Pharma
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Robert F Kennedy Jr. expose le plan de dictature des vaccins de Bill Gates – cite le «complexe du Messie» tordu de Gates]

« La grippe, pas de panique! »

J’avais écrit un petit livre que j’ai publié aux Éditions Jouvence, intitulé « La grippe ? Pas de panique !  » Il a été imprimé en septembre 2009, avant la survenue de cette pseudo pandémie sous nos latitudes. Le texte que je vous propose ici est une réflexion centrée sur la dynamique économique des puissances pharmaceutiques.

Les découvertes majeures de la biochimie ont été nombreuses au siècle dernier entre les années 50 à 80, donnant lieu à de nouvelles voies thérapeutiques et à de formidables bénéfices. Depuis lors, elles se sont raréfiées au point que, en 2008, et malgré des centaines de médicaments nouveaux annoncés cette année-là, pas un seul brevet n’a été considéré comme innovant par la revue médicale indépendante Prescrire. C’était la première fois depuis la création de cette publication en 1981. (2)

Notre système économique ultralibéral exige la croissance permanente des profits attestée par leur cotation en Bourse. Le moindre fléchissement de ses cours peut entraîner l’effondrement d’une entreprise et plus celle-ci est énorme, plus elle est menacée. Le grand public semble nourrir l’illusion que les pharmas fabriquent sans cesse des médicaments nouveaux assurant ainsi les progrès permanents de la médecine pour le bénéficie de toute l’humanité. En réalité, le filon biochimique semble tari comme si les chercheurs en avaient épuisé toutes les ressources. Et que parallèlement les spécialistes de la finance mettaient tout en œuvre pour cacher la situation aux investisseurs (3).

Pour ma part, je crois que la voie biochimique est réellement épuisée et qu’il serait temps d’explorer le domaine de la biophysique, mais les entreprises exploitant la biochimie s’acharnent à dévaloriser les recherches dans cette direction. Les calomnies pseudo-scientifiques mondialement organisées contre l’homéopathie en sont une illustration.

La croissance de la production, pourtant indispensable à la survie des grandes entreprises de la biochimie, s’est trouvée gravement menacée par la raréfaction des brevets rémunérateurs. J’ai cru alors naïvement à une conversion des investisseurs en faveur d’autres thérapeutiques, mais les traitements plus proches de la nature sont hors circuit, car impossibles à breveter donc sans avenir financier. J’ai aussi imaginé, plus ou moins consciemment, que les pharmas allaient simplement entrer en décroissance, ce n’était qu’un blasphème ! La cupidité rend ingénieux mais pas plus honnête.

Le coup des traitements contraints, concept de vaccination obligatoire

Comment continuer à faire croître ses revenus, encore et toujours, sans fabriquer de produits nouveaux ? Les pharmas ont alors changé leur politique. Elles ont investi massivement dans le marketing au détriment des unités de recherche qui ont été fermées. Elles ont alors adopté la devise du Dr Knock :

« Une personne en bonne santé est un malade qui s’ignore ! »

Dans notre société, on n’a pas le droit de se dire en bonne santé sans l’aval du médecin. On consulte souvent pour s’assurer qu’on va bien. On se soumet à des dépistages, à des checkups. Et on va bien parce que sa tension, son cholestérol ou son glucose sont dans les clous, avec ou sans traitement.

En réalité, les normes de ces mesures sont édictées et modifiées en permanence à la baisse par l’Organisation Mondiale de la Santé influencée par les pharmas. On augmente ainsi le nombre des patients en bonne santé à se faire traiter à vie. La mort dite « naturelle » est le plus souvent due à des complications vasculaires et il s’avère qu’une majorité de mourants sont en traitement par un médicament du cholestérol et un autre de la tension artérielle. Est-ce à dire qu’ils meurent guéris ? Un autre filon pour « traiter » les personnes en bonne santé, ce sont les vaccins. Les anciens vaccins comme celui de la variole et le BCG contre la tuberculose, celui du tétanos, de la diphtérie, étaient simples à fabriquer et à copier, donc bon marché, ils ne bénéficiaient pas de brevet, donc sans intérêt pour les pharmas. Mais la situation a changé avec le vaccin de l’hépatite B, plus complexe à fabriquer donc nettement plus cher et moins facile à copier. Il a relancé l’intérêt des fabricants et mis la pression sur le public et les soignants. Avec le succès que l’on sait, il est devenu incontournable juste après la naissance, bien que la maladie dans les pays riches soit rare, le plus souvent bénigne et qu’elle n’atteigne pas les jeunes avant l’adolescence. Vint ensuite le vaccin du papillomavirus, responsable d’un cancer de plus en plus rare chez nous, celui du col de l’utérus survenant après la ménopause et auxquels sont soumis les adolescents des deux sexes. Mais ces nouveautés généralisées et coûteuses n’ont pas permis de remplacer le manque de nouveaux brevets. Une exception inattendue cependant, le Tamiflu un antiviral anciennement proposé contre la grippe, mais pratiquement abandonné pour cause d’inefficacité et, bien que sans brevet, a propulsé le laboratoire Roche au sommet du classement des fabricants de médicaments en 2010, car seul médicament proposé contre la grippe H1N1.

La situation me faisait écrire en 2009 que « la vente des vaccins serait particulièrement prometteuse pour l’industrie pharmaceutique si le projet se réalisait de vacciner toute la population du globe. Ce serait le marché du siècle, les actionnaires ont aussi le droit de rêver ! ».

À force d’acquisitions et de fusions, les géants de la pharmacie ont atteint une taille incompatible avec une société démocratique. La moindre baisse de profit signifie l’effondrement de ces monstres obèses. Dans le monde de la finance regroupé dans cette institution maffieuse de la Bourse, personne ne souhaite l’affaiblissement de Big Pharma.

Tout le système économique risquerait de s’effondrer comme un château de cartes. Donc malgré la concurrence, la complicité est tacite dans les rangs du grand capital. D’ailleurs, les grands prédateurs du commerce en ligne ont très largement bénéficié du confinement et des mesures liberticides. De là en imaginer qu’ils ont participé activement au hold-up me paraît logique.

Sortir de la démocratie

Dans une démocratie, la consommation et sa croissance dépendent du désir du consommateur, attisé par la publicité. Le consommateur conserve une relative liberté.

Dans une société autoritaire, la consommation est assurée par la peur, la menace et la délation. Le citoyen n’a plus aucune liberté.

Même en démocratie, la consommation médicale fonctionne déjà partiellement sur le mode autoritaire, donc sur la peur : « votre santé est aux mains de la médecine, si vous ne vous soumettez pas à tel test, si vous ne prenez pas tel médicament, si vous ne vous vaccinez pas, vous mettez votre santé, voire votre vie, en danger. »… La peur prédomine sur le désir. La loi de l’offre et de la demande n’a pas cours ici, vous avez payé d’avance avec vos cotisations aux caisses maladie et vos impôts, c’est l’autorité médicale qui décide de votre consommation, sans que votre avis soit requis. Le prix est sans importance, puisqu’assuré d’avance. Vous n’avez pratiquement aucune liberté, sinon de désobéir en cachette. En orientant commercialement les recherches cliniques, les pharmas s’ouvrent de nouveaux marchés. Par exemple, en faisant croire que la ménopause est une maladie, c’est toute la clientèle des femmes de plus de cinquante ans qui s’est offerte. Et comme nous l’avons vu, en manipulant les normes de tension artérielle ou de cholestérol, on élargit également le marché sous prétexte de prévention. On peut ainsi faire prescrire des produits (à prendre à vie) à toujours plus de personnes en bonne santé à condition de leur faire peur. L’effort publicitaire des pharmas ne s’est jamais fait auprès du consommateur, mais auprès du médecin qui choisit sa prescription.

Sans tenir compte de l’avis du patient consommateur et sans même connaître le coût de sa prescription qui n’a aucun rapport avec le succès du traitement, moins bon est le traitement plus il dure et plus le bénéfice du vendeur est important.

Un patient qui meurt coûte moins cher qu’un malade qui survit. Donc à l’encontre des lois les plus élémentaires du marché, il n’y a, en médecine, aucune relation qualité/prix. Tout s’est passé comme si le système économique médical dans sa soif de croissance se trouvait à l’étroit dans une société démocratique alors que l’industrie pharmaceutique était jusqu’ici aux petits soins avec les médecins.

Conclusion

Depuis la phase Covid, le médecin est devenu complètement inutile, les labos ont dicté leurs consignes directement aux autorités politiques en les évinçant du circuit.

Interdiction de soigner les malades, de les rassurer, de prendre des mesures avant que la situation ne dégénère. Tout a été fait pour mettre la panique à son comble. Il reste un certain nombre de questions en suspens : Pourquoi les autorités politiques du monde se sont-elles soumises avec tant de docilité à ce plan diabolique ? Comment les médecins ont-ils pu accepter dans leur majorité ces consignes tellement contre nature ? Et question inquiétante, que feront les pharmas pour maintenir leur croissance après avoir utilisé toutes leurs cartouches ?

François CHOFFAT
Septembre 2022

[À propos de l’auteur]

Le Dr François Choffat est médecin généraliste et homéopathe, de nationalité suisse, en retraite, auteur de :

  • « Aït-Baha-ou-Baha », Thèse en anthropologie médicale, sur les rapports entre une population marocaine de culture traditionnelle et la médecine moderne. Revue de psychopathologie africaine, Dakar, 1968.
  • « Sur les traces d’Ounamir », avec CatherineChoffat. Relation de notre séjour au Maroc. Ed La Baconnière 1978
  • « L’homéopathie au chevet de la médecine », Essai, 2e édition, Paris 1993. Éditions du Cerf.
  • « Hold-Up sur la santé » Ed. Jouvence 2005 (épuisé) (2) Collectif, 
  • « L’année 2008 du médicament : gare à la non-qualité », Revue Prescrire, no 204, février 2009, Paris (3) Pignarre Philippe,
  • « Le grand secret de l’industrie pharmaceutique  », Ed. La Découverte, Paris 2003



Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio

[Source : reseauinternational.net]

Par F. William Engdalh

L’un des résultats du prétendu nouveau coronavirus qui a émergé publiquement en 2019 est que la spécialisation médicale de la virologie a été élevée à une stature presque divine dans les médias. Peu de gens comprennent les origines de la virologie et son élévation à un rôle de premier plan dans la pratique de la médecine d’aujourd’hui. Pour cela, il faut se pencher sur les origines et la politique du premier institut de recherche médicale américain, l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, aujourd’hui l’Université Rockefeller, et ses travaux sur ce qu’il prétendait être un virus de la polio.

[Voir aussi :
La poliomyélite, une escroquerie médicale de plus ?]

En 1907, l’apparition d’une maladie dans la ville de New York a donné au directeur du Rockefeller Institute, Simon Flexner, une occasion en or de revendiquer la découverte d’un « virus » invisible causé par ce qui a été arbitrairement appelé poliomyélite. Le mot poliomyélite signifie simplement inflammation de la matière grise de la moelle épinière. Cette année-là, quelque 2500 New-Yorkais, pour la plupart des enfants, ont été désignés comme atteints d’une forme de poliomyélite, pouvant aller jusqu’à la paralysie et même la mort.

La fraude de Flexner

L’aspect le plus frappant de toute la saga de la polio aux États-Unis durant la première moitié du XXe siècle est le fait que chaque phase clé de l’entreprise était contrôlée par des personnes liées à ce qui est devenu la cabale médicale Rockefeller. Cette fraude a commencé avec les déclarations du directeur de l’Institut Rockefeller, Simon Flexner, selon lesquelles lui et son collègue, Paul A. Lewis, avaient « isolé » un agent pathogène, invisible à l’œil nu, plus petit encore qu’une bactérie, qui, selon eux, était à l’origine de la maladie paralysante dans une série d’épidémies aux États-Unis. Comment sont-ils parvenus à cette idée ?

Dans un article publié en 1909 dans le Journal of the American Medical Association, Flexner affirme que Lewis et lui ont isolé le virus de la poliomyélite responsable. Il indique qu’ils ont réussi à faire passer la poliomyélite chez plusieurs singes, de singe en singe. Ils ont commencé par injecter dans le cerveau de singes des tissus de moelle épinière humaine malades provenant d’un jeune garçon qui était mort, vraisemblablement à cause du virus. Lorsqu’un singe tombait malade, une suspension de son tissu médullaire malade était injectée dans le cerveau d’autres singes qui tombaient également malades.

Ils ont proclamé que les médecins de l’Institut Rockefeller avaient ainsi prouvé que le virus de la poliomyélite était responsable de la mystérieuse maladie. Ils n’avaient rien fait de tel. Flexner et Lewis l’ont même admis : « Nous n’avons absolument pas réussi à découvrir de bactéries qui pourraient expliquer la maladie ; et, puisque parmi notre longue série de propagations du virus chez les singes, aucun animal n’a montré, dans les lésions, les cocci décrits par certains chercheurs précédents, et que nous n’avons pas réussi à obtenir de telles bactéries à partir du matériel humain étudié par nous, nous avons estimé qu’elles pouvaient être exclues de la considération ». Ce qu’ils ont alors fait, c’est une supposition bizarre, un acte de foi, et non une affirmation scientifique. Ils ont pris leur hypothèse d’une agence virale exogène et en ont fait un fait, sans la moindre preuve. Ils ont affirmé : « Par conséquent, … l’agent infectieux de la poliomyélite épidémique appartient à la classe des virus minuscules et filtrables qui n’ont pas encore été démontrés avec certitude au microscope ». Donc ?

Simon Flexner a simplement affirmé qu’il « devait » s’agir d’un virus de la polio tuant les singes, parce qu’il ne pouvait trouver aucune autre explication. En fait, il n’a pas cherché d’autre source de maladie. Ce n’était pas de l’isolement scientifique. C’était de la spéculation sauvage : « …n’a pas encore été démontré avec certitude au microscope ». Ils l’ont admis dans un article de suivi publié le 18 décembre 1909 dans le JAMA, intitulé « La nature du virus de la poliomyélite épidémique ».

Le soi-disant « virus » qu’ils injectaient aux singes était loin d’être pur. Il contenait également une quantité indéterminée de contaminants. Il comprenait « de la moelle épinière en purée, du cerveau, de la matière fécale, et même des mouches broyées et injectées aux singes pour provoquer la paralysie ». Jusqu’à ce que Jonas Salk obtienne l’approbation du gouvernement américain en avril 1955 pour un vaccin contre la polio, aucune preuve scientifique de l’existence d’un virus causant la poliomyélite, ou paralysie infantile comme on l’appelait communément, n’avait été apportée. C’est encore le cas aujourd’hui. Tout le monde médical a cru Flexner sur parole en affirmant qu’il s’agissait « forcément » d’un virus.

L’Institut Rockefeller, Flexner et l’American Medical Association

L’Institut Rockefeller a été fondé en 1901 à partir de la fortune de John D. Rockefeller (Standard Oil), pour être le premier institut biomédical américain. Il a été conçu sur le modèle de l’Institut Pasteur en France (1888) et de l’Institut Robert Koch en Allemagne (1891). Son premier directeur, Simon Flexner, a joué un rôle pivot et des plus criminels dans l’évolution de ce qui est devenu la pratique médicale américaine approuvée. L’objectif des Rockefeller était de contrôler complètement la pratique médicale américaine et de la transformer en un instrument, du moins dans un premier temps, de promotion des médicaments approuvés par les intérêts des Rockefeller. À cette époque, ils cherchaient à monopoliser les médicaments issus du raffinage du pétrole, comme ils l’avaient fait pour le pétrole.

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Alors que le directeur du Rockefeller Institute, Simon Flexner, publiait ses études peu concluantes mais très appréciées sur la polio, il s’est arrangé pour que son frère, Abraham Flexner, un instituteur sans formation médicale, dirige une étude conjointe de l’American Medical Association (AMA), du Rockefeller General Education Board et de la Carnegie Foundation fondée par Andrew Carnegie, l’ami intime de Rockefeller.

L’étude de 1910, intitulée « Rapport Flexner », avait pour objectif apparent d’examiner la qualité de toutes les écoles de médecine américaines. Le résultat du rapport était toutefois prédéterminé. Les liens entre l’Institut Rockefeller bien doté et l’AMA passaient par le chef corrompu de l’AMA, George H. Simmons.

Simmons était également le rédacteur en chef de l’influent Journal of the American Medical Association, une publication distribuée à quelque 80 000 médecins américains. Il aurait exercé un pouvoir absolu sur l’association des médecins. Il contrôlait l’augmentation des revenus publicitaires des entreprises pharmaceutiques pour la promotion de leurs médicaments auprès des médecins de l’AMA dans son journal, une activité très lucrative. Il était un élément clé du coup d’État médical des Rockefeller qui devait redéfinir complètement les pratiques médicales acceptables, en abandonnant les traitements correctifs ou préventifs au profit de l’utilisation de médicaments souvent mortels et d’interventions chirurgicales coûteuses. En tant que directeur de l’AMA, Simmons s’est rendu compte que la concurrence d’une prolifération d’écoles de médecine, notamment la chiropractie, l’ostéopathie, l’homéopathie et la médecine naturelle, alors reconnues, diminuait les revenus de ses médecins, le nombre d’écoles de médecine étant passé d’environ 90 en 1880 à plus de 150 en 1903.

Abraham Flexner, ancien directeur d’une école privée, a fait le tour de plusieurs écoles de médecine américaines en 1909 et a recommandé la fermeture de la moitié des 165 écoles de médecine, qu’il définissait comme étant « de qualité inférieure ». Cela réduisait la concurrence d’autres approches de la guérison des maladies. Ils ont impitoyablement ciblé les écoles de médecine naturopathique, les écoles de chiropraxie, les ostéopathes ainsi que les écoles allopathiques indépendantes qui ne voulaient pas adhérer au régime de l’AMA. L’argent de Rockefeller est allé aux écoles sélectionnées à condition que les professeurs soient approuvés par l’Institut Rockefeller et que le programme d’études soit axé sur les médicaments et la chirurgie en tant que traitement, et non sur la prévention, la nutrition ou la toxicologie en tant que causes et solutions possibles. Ils devaient accepter la théorie des germes de Pasteur, qui revendique le réductionnisme « un germe pour une maladie ». Les médias contrôlés par Rockefeller ont lancé une chasse aux sorcières coordonnée contre toutes les formes de médecine alternative, les remèdes à base de plantes, les vitamines naturelles et la chiropractie – tout ce qui n’était pas contrôlé par les médicaments brevetés par Rockefeller.

En 1919, le Rockefeller General Education Board et la Rockefeller Foundation avaient versé plus de 5 millions de dollars aux écoles de médecine de Johns Hopkins, de Yale et de l’Université de Washington à Saint-Louis. En 1919, John D. Rockefeller a accordé un autre montant de 20 millions de dollars en titres, « pour l’avancement de l’éducation médicale aux États-Unis ». Ce montant serait comparable à environ 340 millions de dollars aujourd’hui, une somme énorme. En bref, les intérêts financiers des Rockefeller avaient pris le contrôle de l’enseignement et de la recherche médicale aux États-Unis dans les années 1920.

Création de la virologie

Cette prise de contrôle de la médecine, soutenue par l’organisation de médecins la plus influente, l’AMA, et son chef corrompu, Simmons, a permis à Simon Flexner de créer littéralement la virologie moderne sous les règles des Rockefeller. Le très controversé Thomas Milton Rivers, en tant que directeur du laboratoire de virologie de l’Institut Rockefeller, a fait de la virologie un domaine indépendant, distinct de la bactériologie, dans les années 1920. Ils ont réalisé qu’ils pouvaient manipuler beaucoup plus facilement lorsqu’ils pouvaient revendiquer des agents pathogènes mortels qui étaient des germes invisibles ou des « virus ». Ironiquement, « virus » vient du latin « poison ».

La virologie, une fraude médicale réductionniste, est une création de la cabale médicale Rockefeller. Ce fait très important est aujourd’hui enterré dans les annales de la médecine. Des maladies telles que la variole, la rougeole ou la poliomyélite ont été déclarées causées par des agents pathogènes invisibles appelés virus spécifiques. Si les scientifiques pouvaient « isoler » le virus invisible, ils pourraient théoriquement trouver des vaccins pour protéger les gens. Ainsi allait leur théorie. C’était une énorme aubaine pour le cartel Rockefeller des sociétés pharmaceutiques, qui comprenait à l’époque American Home Products, qui faisait la promotion mensongère de médicaments dont l’effet n’était pas prouvé, comme la préparation H pour les hémorroïdes ou l’Advil pour soulager la douleur ; Sterling Drug, qui a repris les actifs américains, notamment l’aspirine, de la société allemande Bayer AG après la Première Guerre mondiale ; Winthrop Chemical ; American Cyanamid et sa filiale Lederle Laboratories ; Squibb et Monsanto.

Bientôt, les chercheurs en virus de l’Institut Rockefeller, en plus de revendiquer la découverte du virus de la poliomyélite, prétendirent découvrir les virus qui causaient la variole, les oreillons, la rougeole et la fièvre jaune. Ils ont ensuite annoncé la « découverte » de vaccins préventifs contre la pneumonie et la fièvre jaune. Toutes ces « découvertes » annoncées par l’Institut se sont avérées fausses. Avec le contrôle de la recherche dans le nouveau domaine de la virologie, l’Institut Rockefeller, en collusion avec Simmons à l’AMA et son successeur tout aussi corrompu, Morris Fishbein, pouvait promouvoir de nouveaux vaccins brevetés ou des « remèdes » médicamenteux dans l’influent journal de l’AMA qui était envoyé à chaque médecin membre en Amérique. Les entreprises pharmaceutiques qui refusaient de payer pour des publicités dans le journal de l’AMA étaient blackboulées par l’AMA.

Contrôle de la recherche sur la polio

Simon Flexner et le très influent Institut Rockefeller ont réussi, en 1911, à faire inscrire dans la loi américaine sur la santé publique que les symptômes que l’on appelait la poliomyélite étaient une « maladie contagieuse et infectieuse causée par un virus transmis par l’air ». Pourtant, même eux ont admis qu’ils n’avaient pas prouvé comment la maladie pénètre dans le corps des humains. Comme le soulignait un médecin expérimenté dans une revue médicale en 1911, « Notre connaissance actuelle des méthodes possibles de contagion est basée presque entièrement sur le travail effectué dans cette ville à l’Institut Rockefeller ». En 1951, le Dr Ralph Scobey, qui critiquait la précipitation du jugement de Rockefeller sur la contagion de la polio, notait : « Cela a bien sûr placé la confiance dans les expériences sur les animaux plutôt que dans les enquêtes cliniques… ». Scobey a également souligné l’absence de preuve que la poliomyélite était contagieuse : « … les enfants atteints de la maladie étaient gardés dans les services généraux de l’hôpital et pas un seul des autres détenus des services de l’hôpital n’était atteint de la maladie ». L’attitude générale de l’époque est résumée en 1911 : « Il nous semble, malgré l’absence de preuves absolues, que les meilleurs intérêts de la communauté seraient préservés si nous considérions la maladie au point de vue de la contagion » (sic).

En classant les symptômes de la poliomyélite comme une maladie hautement contagieuse causée par un virus invisible, prétendument exogène ou externe, l’Institut Rockefeller et l’AMA ont pu couper court à toute recherche sérieuse d’explications alternatives, telles que l’exposition à des pesticides chimiques ou autres toxines, pour expliquer les épidémies saisonnières de maladie et de paralysie, voire de décès, principalement chez les très jeunes enfants. Cela a eu des conséquences fatales jusqu’à aujourd’hui.

L’arrivée du DDT

Dans la déclaration qu’il a faite en 1952 devant la Chambre des représentants des États-Unis, dans le cadre d’une enquête sur les dangers possibles des produits chimiques dans les produits alimentaires, le docteur Ralph R. Scobey a noté que « pendant près d’un demi-siècle, les recherches sur la poliomyélite ont été orientées vers un virus exogène supposé pénétrer dans le corps humain pour provoquer la maladie. La manière dont la loi sur la santé publique est maintenant énoncée impose uniquement ce type d’enquête. En revanche, aucune étude approfondie n’a été menée pour déterminer si le soi-disant virus de la poliomyélite n’est pas une substance chimique autochtone qui ne pénètre pas du tout dans le corps humain, mais résulte simplement d’un ou de plusieurs facteurs exogènes, par exemple un poison alimentaire ». Les toxines comme cause n’ont pas été étudiées.

Au cours des années 1930, marquées par la dépression économique puis la guerre, peu de nouvelles épidémies majeures de poliomyélite ont été constatées. Cependant, immédiatement après la fin de la Seconde Guerre mondiale, notamment, le drame de la polio a explosé en dimension. À partir de 1945, chaque été, de plus en plus d’enfants à travers les États-Unis ont été diagnostiqués avec la poliomyélite et hospitalisés. Moins de 1% des cas ont été réellement testés par des analyses de sang ou d’urine. Environ 99% ont été diagnostiqués par la simple présence de symptômes tels que des douleurs aiguës dans les extrémités, de la fièvre, des maux d’estomac, de la diarrhée.

En 1938, avec le soutien de Franklin D. Roosevelt, victime présumée de la polio, la Fondation nationale pour la paralysie infantile (March of Dimes) a été créée pour solliciter des dons exonérés d’impôts afin de financer la recherche sur la polio. Un médecin et chercheur allemand, le Dr Henry Kumm, est venu aux États-Unis et a rejoint l’Institut Rockefeller en 1928, où il est resté jusqu’à ce qu’il rejoigne la Fondation nationale en 1951 en tant que directeur de la recherche sur la polio. Le Dr Kumm a été rejoint à la Fondation nationale par un autre vétéran de l’Institut Rockefeller, le « père de la virologie », Thomas M. Rivers, qui a présidé le comité consultatif de recherche sur les vaccins de la Fondation, supervisant les recherches de Jonas Salk. Ces deux personnages clés de l’Institut Rockefeller contrôlaient ainsi les fonds destinés à la recherche sur la polio et le développement d’un vaccin.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors qu’il était encore à l’Institut Rockefeller, Henry Kumm a été consultant auprès de l’armée américaine où il a supervisé des études de terrain en Italie. Là, Kumm a dirigé des études de terrain pour l’utilisation du DDT contre le typhus et les moustiques porteurs de malaria dans les marais près de Rome et de Naples. Le DDT a été breveté comme insecticide par la société pharmaceutique suisse Geigy et sa filiale américaine en 1940, et son utilisation sur les soldats de l’armée américaine a été autorisée pour la première fois en 1943 comme désinfectant général contre les poux, les moustiques et de nombreux autres insectes. Jusqu’à la fin de la guerre, la quasi-totalité de la production de DDT aux États-Unis était destinée à l’armée. En 1945, les entreprises chimiques ont cherché avidement de nouveaux marchés. Elles les ont trouvés.

DDT Exposure During Early Life Associated with Increased Risk of Breast Cancer - Beyond Pesticides Daily News Blog

Au début de 1944, les journaux américains ont triomphalement annoncé que le typhus, « la redoutable peste qui a suivi toutes les grandes guerres de l’histoire », n’est plus une menace pour les troupes américaines et leurs alliés grâce à la nouvelle poudre « anti-poux » de l’armée, le DDT. Lors d’une expérience menée à Naples, les soldats américains ont saupoudré plus d’un million d’Italiens de DDT dissous dans du kérosène (!), tuant ainsi les poux qui propageaient le typhus. Henry Kumm, de l’Institut Rockefeller, et l’armée américaine savaient que, comme l’a dit un chercheur, « le DDT était un poison, mais il était suffisamment sûr pour la guerre ». Toute personne blessée par le DDT serait une victime acceptée du combat ». Le gouvernement américain a « restreint » un rapport sur les insecticides publié par l’Office of Scientific Research and Development en 1944 qui mettait en garde contre les effets toxiques cumulatifs du DDT chez les humains et les animaux. Le Dr Morris Biskind note dans un article de 1949 : « Le DDT étant un poison cumulatif, il est inévitable qu’une intoxication à grande échelle de la population américaine se produise ». En 1944, Smith et Stohlman, des National Institutes of Health, après une étude approfondie de la toxicité cumulative du DDT, ont souligné que « la toxicité du DDT, combinée à son action cumulative et à son absorption par la peau, place son utilisation dans une situation de risque sanitaire certain ». Leurs avertissements ont été ignorés par les hauts responsables.

Au lieu de cela, après 1945, dans toute l’Amérique, le DDT a été présenté comme le nouveau pesticide miracle et « sûr », un peu comme le Roundup de Monsanto avec le glyphosate trois décennies plus tard. On disait que le DDT était inoffensif pour les humains. Mais personne au gouvernement n’a sérieusement testé scientifiquement cette affirmation. Un an plus tard, en 1945, à la fin de la guerre, les journaux américains ont fait l’éloge du nouveau DDT en le qualifiant de substance « magique », de « miracle ». Le Time a appelé le DDT « l’une des grandes découvertes scientifiques de la Seconde Guerre mondiale ».

Malgré des avertissements isolés concernant des effets secondaires non testés, le fait qu’il s’agisse d’un produit chimique persistant et toxique qui s’accumule facilement dans la chaîne alimentaire, le gouvernement américain a approuvé l’utilisation générale du DDT en 1945. La Food and Drug Administration (FDA), contrôlée par les intérêts de Rockefeller-AMA, a établi comme « sûr » un contenu de DDT, bien que personne n’ait prouvé cela. Les entreprises de produits chimiques à base de DDT ont alimenté la presse en photos et en anecdotes. Les journaux rapportaient avec enthousiasme comment le nouveau produit chimique miracle, le DDT, était testé aux États-Unis contre les moustiques du Sud censés être porteurs de la malaria, ainsi que pour « préserver les vignobles de l’Arizona, les vergers de Virginie occidentale, les champs de pommes de terre de l’Oregon, les champs de maïs de l’Illinois et les laiteries de l’Iowa ». Le DDT était partout aux États-Unis à la fin des années 1940.

Le gouvernement américain prétendait que le DDT, contrairement à l’arsenic et à d’autres insecticides utilisés avant la guerre, était inoffensif pour les humains, même pour les nourrissons, et qu’il pouvait être utilisé à profusion. À partir de 1945, des villes comme Chicago ont pulvérisé les plages publiques, les parcs et les piscines. Les femmes au foyer ont acheté des aérosols de DDT pour pulvériser la cuisine et surtout les chambres des enfants, même leurs matelas. On a dit aux agriculteurs de pulvériser leurs cultures et leurs animaux, surtout les vaches laitières, avec du DDT. Aux États-Unis de l’après-guerre, le DDT a été promu, surtout par les sociétés pharmaceutiques Rockefeller comme American Home Products avec son aérosol de DDT Black Flag, et Monsanto. De 1945 à 1952, la production américaine de DDT a été multipliée par dix.

Alors que les cas présumés de polio ont littéralement explosé aux États-Unis après 1945, la théorie a été avancée, sans aucune preuve, que la maladie paralysante de la polio était transmise, non pas par des pesticides chimiques toxiques comme le DDT, mais par des moustiques ou des mouches à l’homme, plus particulièrement aux jeunes enfants ou aux nourrissons. Le message était que le DDT pouvait protéger votre famille en toute sécurité contre la polio. Les cas de polio officiellement recensés sont passés de quelque 25 000 en 1943, avant l’utilisation civile du DDT par les États-Unis, à plus de 280 000 cas en 1952, au plus fort de l’épidémie, soit plus de dix fois plus.

En octobre 1945, le DDT, qui avait été utilisé par l’armée américaine sous la supervision de Henry Kumm, de l’Institut Rockefeller, a été autorisé par le gouvernement américain pour une utilisation générale comme insecticide contre les moustiques et les mouches. Les scientifiques dissidents qui mettaient en garde contre les effets toxiques du DDT sur les humains et les animaux ont été réduits au silence. On a dit aux familles que le DDT pouvait sauver leurs enfants de la redoutable polio en tuant les insectes redoutés.

Le département américain de l’Agriculture conseillait aux agriculteurs de laver leurs vaches laitières avec une solution de DDT pour combattre les moustiques et les mouches. Les champs de maïs et les vergers étaient pulvérisés par avion avec du DDT. Cependant, le DDT était incroyablement persistant et son effet toxique sur les plantes et les légumes était tel qu’il ne pouvait être éliminé par lavage. De 1945 à 1952, la quantité de DDT pulvérisée sur le territoire américain a augmenté d’année en année. Le nombre de cas humains de poliomyélite a lui aussi nettement augmenté.

La pire épidémie de polio

Au début des années 1950, le Congrès américain et les agriculteurs se sont de plus en plus intéressés aux dangers possibles d’une telle utilisation de pesticides, non seulement le DDT, mais aussi le BHC (hexachlorure de benzène), encore plus toxique. En 1951, Morton Biskind, un médecin qui avait traité avec succès plusieurs centaines de patients empoisonnés par le DDT, a témoigné devant la Chambre des représentants des États-Unis sur le lien possible entre la polio paralytique et les toxines, en particulier le DDT et le BHC. Il a noté :

« L’introduction pour une utilisation générale incontrôlée par le public de l’insecticide « DDT » (chlorophénothane) et la série de substances encore plus mortelles qui a suivi, n’a pas d’équivalent dans l’histoire. Il ne fait aucun doute qu’aucune autre substance connue de l’homme n’a jamais été développée aussi rapidement et répandue sans discernement sur une si grande partie de la planète en si peu de temps. Ceci est d’autant plus surprenant qu’au moment où le DDT a été mis à la disposition du public, de nombreuses données étaient déjà disponibles dans la littérature médicale, montrant que cet agent était extrêmement toxique pour de nombreuses espèces animales différentes, qu’il était stocké de manière cumulative dans les graisses corporelles et qu’il apparaissait dans le lait. À cette époque, quelques cas d’empoisonnement au DDT chez l’homme avaient également été signalés. Ces observations ont été presque totalement ignorées ou mal interprétées ».

Biskind a encore témoigné devant le Congrès à la fin de 1950 : « Au début de l’année dernière, j’ai publié une série d’observations sur l’empoisonnement au DDT chez l’homme. Depuis peu de temps après la dernière guerre, un grand nombre de cas avaient été observés par des médecins dans tout le pays, dans lesquels un groupe de symptômes apparaissait, dont la caractéristique la plus importante était la gastro-entérite, des symptômes nerveux récurrents et persistants, et une faiblesse musculaire extrême… » Il a décrit plusieurs exemples de cas de patients dont les symptômes graves, notamment la paralysie, ont disparu lorsque l’exposition au DDT et aux toxines connexes a été éliminée : « L’expérience initiale sur plus de 200 cas que j’ai rapportée au début de l’année dernière a depuis été considérablement étendue. Mes observations ultérieures ont non seulement confirmé l’opinion selon laquelle le DDT est responsable d’un grand nombre de handicaps humains autrement inexplicables… » On a également noté le fait que les cas de polio étaient toujours plus nombreux pendant les mois d’été, lorsque les pulvérisations de DDT contre les insectes étaient maximales.

Les agents de l’Institut Rockefeller et l’AMA, par l’intermédiaire de leurs agents au sein du gouvernement américain, ont créé l’urgence sanitaire américaine de 1946-1952 appelée polio. Ils l’ont fait en promouvant sciemment le DDT hautement toxique comme un moyen sûr de contrôler les insectes mythiques qui propageaient la maladie redoutée. Leur campagne de propagande a convaincu la population américaine que le DDT était la clé pour arrêter la propagation de la poliomyélite.

La polio décline soudainement

Sous la direction des deux médecins de l’Institut Rockefeller, Henry Kumm et Thomas Rivers, la National Foundation for Infantile Paralysis (NFIP) a rejeté les critiques telles que celles de Biskind et Scobey. Les traitements curatifs naturels, comme l’utilisation de la vitamine C par voie intraveineuse pour la paralysie infantile, ont été rejetés d’emblée comme du « charlatanisme ». En avril 1953, l’éminent consultant en DDT de l’Institut Rockefeller, le Dr Henry Kumm, est devenu directeur de la recherche sur la polio pour la NFIP. Il a financé la recherche sur le vaccin contre la polio de Jonas Salk.

Un médecin courageux de Caroline du Nord, le Dr Fred R. Klenner, qui avait également étudié la chimie et la physiologie, a eu l’idée d’utiliser de fortes doses d’acide ascorbique – la vitamine C – par voie intraveineuse, en partant du principe que ses patients étaient victimes d’un empoisonnement aux toxines et que la vitamine C était un puissant détoxifiant. C’était bien avant les recherches du Dr Linus Pauling, lauréat du prix Nobel, sur la vitamine C. Klenner a obtenu des résultats remarquables en quelques jours pour plus de 200 patients lors des épidémies estivales de 1949 à 1951. L’Institut Rockefeller et l’AMA ne s’intéressaient pas aux perspectives de guérison. Eux et la National Foundation for Infantile Paralysis, contrôlée par les Rockefeller, finançaient uniquement le développement d’un vaccin contre la polio, sur la base de l’affirmation non prouvée de Flexner selon laquelle la polio était un virus contagieux et non le résultat d’un poison environnemental.

Puis, à partir de 1951-1952, alors que les cas de polio n’avaient jamais été aussi nombreux, quelque chose d’inattendu s’est produit. Le nombre de cas diagnostiqués de polio aux États-Unis a commencé à diminuer. Le déclin des victimes de la polio a été spectaculaire, année après année, jusqu’en 1955, bien avant que le vaccin contre la polio de la Fondation nationale de Jonas Salk ne soit approuvés pour un usage public et ne soient répandus.

Environ un an avant le déclin soudain des cas de polio, les agriculteurs, dont les vaches laitières souffraient des effets graves du DDT, ont été conseillés par le département américain de l’Agriculture de réduire l’utilisation du DDT. L’inquiétude croissante de l’opinion publique quant à l’innocuité du DDT pour les humains, et notamment les audiences publiques du Sénat américain sur le DDT et la polio en 1951, ont également entraîné une baisse significative de l’exposition au DDT jusqu’en 1955, même si le DDT n’a été officiellement interdit aux États-Unis qu’en 1972.

Les cas de polio ont diminué de deux tiers entre 1952 et 1956, parallèlement au déclin de l’utilisation du DDT. C’est bien après ce déclin, fin 1955 et 1956, que le vaccin antipoliomyélitique de Salk, mis au point par Rockefeller, a été administré pour la première fois à de larges populations. Salk et l’AMA ont attribué tout le mérite au vaccin. Les décès et les paralysies provoqués par le vaccin de Salk ont été passés sous silence. Le gouvernement a modifié la définition de la polio pour réduire encore plus les cas officiels. Simultanément, les cas de maladies nerveuses de la moelle épinière similaires à la polio – paralysie flasque aiguë, syndrome de fatigue chronique, encéphalite, méningite, syndrome de Guillain-Barré, sclérose musculaire – ont augmenté de façon notable.

Pourquoi cela est-il important ?

Il y a plus d’un siècle, l’homme le plus riche du monde, le baron du pétrole John D. Rockefeller, et son cercle de conseillers ont entrepris de réorganiser complètement la façon dont la médecine était pratiquée aux États-Unis et dans le reste du monde. Le rôle de l’Institut Rockefeller et de personnalités comme Simon Flexner a littéralement supervisé l’invention d’une fraude médicale colossale autour des affirmations selon lesquelles un germe étranger invisible et contagieux, le virus de la polio, provoquait une paralysie aiguë, voire la mort, chez les jeunes. Ils ont interdit politiquement tout effort visant à établir un lien entre la maladie et l’empoisonnement par des toxines, qu’il s’agisse de pesticides à base de DDT ou d’arsenic ou même de vaccins contaminés. Leur projet criminel comprenait une coopération intime avec les dirigeants de l’AMA et le contrôle de l’industrie pharmaceutique émergente, ainsi que de l’enseignement médical. Le même groupe Rockefeller a financé l’eugénisme nazi dans les instituts Kaiser Wilhelm en Allemagne dans les années 30, ainsi que la Société américaine d’eugénisme. Dans les années 1970, ils ont financé la création de semences OGM brevetées qui ont toutes été développées par le groupe de sociétés Rockefeller spécialisées dans les pesticides chimiques – Monsanto, DuPont, Dow.

Aujourd’hui, ce contrôle de la santé publique et du complexe médical industriel est exercé par le protégé de David Rockefeller et partisan de l’eugénisme, Bill Gates, autoproclamé tsar de l’OMS et des vaccins mondiaux. Le Dr Tony Fauci, chef du NIAID, dicte les mandats de vaccination sans preuves. La fraude à l’origine du scandale du virus de la polio après la Seconde Guerre mondiale a été affinée grâce à l’utilisation de modèles informatiques et d’autres ruses aujourd’hui, pour promouvoir un virus prétendument mortel après l’autre, du Covid-19 à la variole du singe en passant par le VIH. Comme pour la polio, aucun de ces virus n’a été isolé scientifiquement et il n’a pas été prouvé qu’ils causaient les maladies alléguées. Aucun. La même Fondation Rockefeller, exempte d’impôts, qui se présente aujourd’hui comme une organisation caritative philanthropique, est au cœur de la tyrannie médicale mondiale qui se cache derrière le Covid-19 et le programme eugénique du Forum économique mondial, la Grande Réinitialisation. Leur modèle de virus de la poliomyélite les a aidés à créer cette tyrannie médicale dystopique. « Faites confiance à la science », nous dit-on.

Source : New Eastern Outlook

Traduction : Réseau International




Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales

[Source : Jeanne traduction]

📍1:55 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge – Portugal
Résumé de la session précédente

📍5:28 ▪︎ Reiner Fuellmich, avocat – Allemagne & Etats-Unis

📍39:53 ▪︎ Dipali Ojha, avocate – Inde

📍45:35 ▪︎ Dexter Ryneveldt, avocat – Afrique du Sud

📍1:20:07 ▪︎ Virginie de Araujo-Recchia, avocate – France

📍2:08:15 ▪︎ Michael Swinwood, avocat – Canada

📍2:35:04 ▪︎ Ana Garner, avocate – Etats-Unis

📍3:03:32 ▪︎ Leslie Manookian, ex banquière d’investissement, présidente et fondatrice du Health Freedom Defense Fund – Etats-Unis




Vidéos précédentes en ordre chronologique décroissant

Jour 7

📍00:13 ▪︎ Viviane Fischer, avocate – Allemagne
Introduction

📍00:47 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
Résumé de la session précédente

📍06:49 ▪︎ Matthias Desmet, jusqu’à récemment maître de conférences en psychothérapie psychanalytique au département de psychanalyse et de consultation clinique de l’université de Gand, auteur de « La Psychologie du Totalitarisme » – Belgique
Les mécanismes de la « formation de masse », processus typique des régimes totalitaires. Pourquoi les gens adhèrent et pourquoi leur est-il presque impossible d’en sortir ?

📍1:22:15 ▪︎ Mark Crispin Miller, professeur de médias, de culture et de communication à l’université de New York, spécialiste de la propagande – Etats-Unis
Le rôle de la propagande dans les systèmes totalitaires, comment elle est utilisée et comment elle fonctionne.




Jour 6

📍01:28 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 5e session

📍07:13 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de mise en esclavage de l’humanité à travers les modifications génétiques et le « développement durable »

📍42:40 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:11:33 ▪︎ Matthew Ehret, journaliste, conférencier et fondateur de la Canadian Patriot Review.
Poursuite de l’exposé de Patrick Wood

📍1:43:40 ▪︎ Questions à Matthew Ehret

📍1:55:39 ▪︎ Ilana Rachel David, citoyenne israélienne
Israël, la population juive encore une fois victime d’expérimentations médicales et de répression.

📍2:18:06 ▪︎ Questions à Ilana Rachel David

📍2:28:18 ▪︎ Avital Livny, citoyenne israélienne, réalisatrice du documentaire The Testimonies Project
Face à l’inaction des israéliens, Avital décide de réaliser elle-même un documentaire afin d’informer son peuple et les peuples du monde de la réalité de ce qu’il se passe en Israël, la même chose que chez nous.

📍2:54:49 ▪︎ Questions à Avital Livny

📍3:12:55 ▪︎ Vera Sharav, juive allemande survivante des camps nazis, fondatrice de l’organisation sans but lucratif « Alliance for Human Research Protection », opposée fermement à l’industrie pharmaceutique responsable en grande partie de ce qu’ils s’est passé dans les années 30-40 et de ce qu’il se passe aujourd’hui.
Le parallèle établi entre la seconde guerre mondiale et ce qu’il se passe dans le monde occidental et la grippe espagnole.

📍3:43:04 ▪︎ Questions à Vera Sharav

📍4:07:08 ▪︎ Conclusion




Jour 5

📍00:13 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 4e session

📍03:23 ▪︎ Reiner Füllmich,docteur en droit, avocat, Allemagne
Introduction

📍05:52 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de réorganisation scientifique du système socio-économique

📍40:50 ▪︎ Interview en caméra cachée de Chris Cole, haut responsable de la FDA, sur le projet du gouvernement étasunien (Biden) d’instaurer les injections anti-covid de façon permanente.

📍45:30 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:16:45 ▪︎ Vidéo : florilège de déclarations sur l’Internet des corps (IoB) tenues par des acteurs de la « 4e révolution industrielle »

📍1:25:20 ▪︎ Leslie Manookian, ancien cadre dirigeant d’institutions financières, auteure et productrice de documentaires, directrice du Health Freedom Defense Fund (association qui lutte contre l’injustice en matière de santé), formée à l’homéopathie, USA
La « pandémie de Covid », paravent pour la démolition contrôlée de notre système politique et économique

📍1:54:20 ▪︎ Questions à Leslie Manookian

📍2:35:56 ▪︎ 3 Videos de victimes des 💉
🎞 Video #1: à Nashville, Tennessee (USA), une infirmière a contracté une paralysie de Bell
🎞 Video #2: une femme est atteinte de convulsions
🎞 Video #3: à Johannesburg (South Africa), une femme a développé de l’amphisème ainsi que des problèmes articulaires.
(
 Explications du phénomène ici : https://bit.ly/3INJTyU)

📍2:42:13 ▪︎ Björn Pirrwitz, juriste & expert financier, Allemagne, Roumanie
Démolition du système financier : nature du système, origine et principales étapes du processus, conséquences de la crise de 2008 et aperçu du nouveau système

📍3:12:34 ▪︎ Questions à Björn Pirrwitz

📍3:31:50 ▪︎ Christian Kreiss, professeur d’économie et ancien banquier d’affaires, Allemagne, Costa Rica
Seule une démarche spirituelle nous permettra de sortir de la nouvelle crise du capitalisme qui se cache derrière le Covid.
… (interruption de l’exposé du prof. Kreiss à cause d’un problème de connexion internet)

📍3:54:00 ▪︎ Leslie Manookian

📍3:59:39 ▪︎ Patrick Wood

📍4:03:49 ▪︎ Ana Garner, avocate, USA

📍4:07:41 ▪︎ Reprise de l’exposé du prof. Kreiss

📍4:16:49 🎞 Video #4: Yuval Harari parle du « piratage du comportement des êtres humains »

📍4:19:10 ▪︎ Commentaires de Leslie Manookian, An Garner et Dexter L-J. Ryneveldt

📍4:21:42 ▪︎ Conclusion




Jour 4

📍00:13 ▪️ Introduction

📍01:00 : Video #1 : Bill Gate$

📍03:29 : Video #2 : Terrance Munsamy, 40 ans, Durban, Afrique du Sud, victime de l’ 💉 modRNA,

📍06:55 ▪️ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal : Résumé de la 3e session

📍11:47 ▪️ 1. Les injections anti-covid ▪️

📍11:53 ▪️ Alexandra Henrion-Caude, docteure en génétique, ancienne directrice de recherches, France
Aperçu général des problèmes

📍28:24 ▪️ Questions au dr Henrion-Caude

📍47:10 ▪️ Vanessa Schmidt-Krüger, docteure en biologie, spécialisée en biologie moléculaire et cellulaire ainsi que dans les maladies cardio-vasculaires, Allemagne
Intérêt des vaccins contre les coronavirus ?

📍47:50 : 1e partie : un taux de léthalité nettement inférieur au taux officiel

📍50:12 : 2e partie : nous possédons déjà une forte immunité croisée contre tous les coronavirus !

📍1:00:47 : 3e Partie : les 💉 sont inefficaces et inutiles !

📍1:08:38 ▪️ Deanna McLeod, directrice de Kaleidoscope Strategic Inc., formation en immunologie et psychologie, Canada
Conception, mise en oeuvre et résultat des essais cliniques Pfizer

📍1:39:17 ▪️ Prof. em. Sucharit Bhakdi, docteur en médecine, microbiologiste, immunologiste et épidemiologiste, Allemagne

📍2:00:51 ▪️ Dr. Mike Yeadon, biologiste, immunologiste, toxicologue, biochimiste, ancien directeur scientifique du département maladies respiratoires chez Pfizer et ancien vice président de Pfizer, UK / USA
Quelle pouvait être l’intention pour vouloir fabriquer un « vaccin » 1) à partir de la pire des parties possibles du virus SARS-COV-2 et 2) dans un délai totalement insuffisant pour en garantir la standardisation et la sécurité ?

📍2:32:15 ▪️ Prof. Dr. Antionietta Gatti, physicienne et bio-ingenieure, nano-pathologiste, Italie
Composition chimique inattendue des injections expérimentales anti-covid

📍2:56:07 ▪️ Prof. em. Arne Burkhardt, docteur en médecine, anatomopathologiste, Allemagne
Autopsie des personnes décédées et étude histologique des complications en lien avec les injections anti-covid

📍3:33:11 ▪️ Prof. em. Dr. Ing. Werner Bergholz, professeur en ingénierie électrique et en gestion de la qualité et du risque, Allemagne
Injections covid-19 et conformité aux règles de contrôle qualité

📍3:51:40 ▪️ Questions

📍4:06:45 ▪️ Virginie de Araujo Recchia, avocate, France: Conclusion

📍4:13:39 ▪️ 2. La guerre psychologique ▪️

📍4:14:20 ▪️ Meredith Miller, coach & auteure spécialisée dans les traumatismes, USA
Principes du syndrôme de Stockholm et de la dissonance cognitive

📍4:37:44 ▪️ Ariane Bilheran, philosophe, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, France
Une dérive totalitaire qui repose sur le délire paranoïaque

📍5:13:48 ▪️ Questions

📍5:49:00 ▪️ Conclusion




Jour 3

📍 Introduction – début à 7:37

📍 Astrid Stuckelberger – 7:37 à 44:05
Les conflits d’intérêt autour du test PCR entre Drosten, la Charité de Berlin, GAVI, l’OMS.

📍 Ulrike Kämerrer – 44:05 à 1:31:44
Le fonctionnement et le rôle exacts du test PCR.

📍 Sonia Pekova – 1:31:44 à 2:13:29
Les différents génomes du virus, l’interdiction d’utiliser ses propres tests covid en République Tchèque et le trafic des résultats.

📍 Bryan Ardis – 2:13:29 à 3:19:45
Le Remdesivir, ou comment les hôpitaux ont littéralement tué des gens avec un « traitement » supposé les sauver.

📍 John O’Looney – 3:19:47 à 3:44:13
Directeur de pompe funèbre, il observe qu’il n’y a pas eu de surmortalité avant le début des campagnes d’injection ; alors qu’après la campagne elle a augmenté de 300% au Royaume-Uni. Il témoigne également de son séjour à l’hôpital où ils ont essayé de le tuer.

📍 Shankara Chetty – 3:44:47 à la fin
L’expérience d’un médecin généraliste Sud Africain, l’omerta sur les réels traitements.




Jour 2

📍Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

📍Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19eme siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

📍Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covis 19 n’est qu’une continuité, nous dit il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendu de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

📍Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

📍Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.

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Jour 1

Procédure du Grand Jury par le Tribunal D’opinion Publique des Peuples
Renforcer la conscience publique par le droit naturel
L’injustice faite à un seul est une injustice faite à tous

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons par la présente une enquête criminelle sur le modèle de la procédure du Grand Jury des États-Unis.
Cette enquête du Grand Jury sert de modèle de procédure légale pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles des Crimes contre l’Humanité du COVID-19 à ce jour contre les « leaders, organisateurs, instigateurs et complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.
Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans le cadre d’un plan commun visant à commettre des crimes contre l’humanité, et tous les actes criminels de ce type condamnés par les différentes communautés de jurés dans le monde.

Cette enquête est menée par le peuple, par le peuple et pour le peuple et sera désignée sous le nom de « Tribunal d’opinion publique des peuples ».
N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel.
Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal, et le bien du mal.

L’allégation est que les gouvernements du monde sont passés sous l’influence de structures de pouvoir corrompues et criminelles.
Ils se sont concertés pour mettre en scène une pandémie qu’ils planifiaient depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses déclarations de faits et d’une opération psychologique socialement élaborée dont les messages ont été transmis par les médias d’entreprise.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccinations » qui, entre-temps, se sont avérées ni efficaces, ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causés à la population mondiale se mesurent en quadrillions de dollars.

Les avocats énumérés ci-dessous, avec l’aide d’un certain nombre de scientifiques et d’experts très respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal,
mèneront cette enquête de grand jury et fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête du « Tribunal populaire de l’opinion publique » est double : D’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations contre certaines des figures de proue pénalement et civilement responsables de ces Crimes contre l’Humanité.
Et d’autre part, il s’agit – en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique – de créer une prise de conscience sur l’effondrement réel du système actuel, détourné, et de ses institutions, et, par conséquent la nécessité pour les peuples eux-mêmes de reprendre leur souveraineté, et la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette pandémie en refusant de s’y conformer, et la nécessité de lancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin de rétablir la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions.



Transcription complète

Grand Jury – Session 1

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich — Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha — Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont   malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




VIRUS TUEUR ??

[Source : santeglobale.world]

Dans l’antre du mystérieux virus : Remise en question totale

Par Makia Freeman

https://m.alterinfo.net/Dans-l-antre-du-mysterieux-virus-Remise-en-question-totale_a156680.html [NDLR : le lien ne dirige pas vers un article particulier et semble défectueux.]

Qu’est-ce qu’un virus ? Descendez au fond de l’antre où se cache le mystérieux virus et remettez tout en question. La pandémie bidon de coronavirus est une mystification monumentale, bien au-delà de ce que vous pourriez imaginer.

Gare ! Voilà le virus tueur !

Enfin… peut-être pas. Derrière toute pandémie, il y a toujours une flopée d’hypothèses sous-tendant les rapports médicaux et les décisions politiques et juridiques ultérieures. Le public ne sait pas qu’il s’agit d’hypothèses, puisqu’on les fait passer systématiquement pour des faits. Ainsi, pour bien justifier tout ce qui se trame dans le monde en ce moment — « distanciation » sociale, surveillance, censure, confinement, quarantaine, loi martiale médicale, crashs économiques, nouvelles monnaies numériques, pouvoirs exorbitants des gouvernements, avec leurs prévisions de vaccins obligatoires et de micropuces — les fonctionnaires du ministère de la Propagande doivent vous convaincre que ces hypothèses sont des faits. C’est pourquoi nous allons nous attaquer au mystère afin de poser quelques questions fondamentales, non seulement sur le coronavirus, mais aussi sur ce qu’est la mystérieuse entité virus dont on nous parle. Qu’est-ce qu’un virus ? Un virus peut-il passer de l’animal à l’humain ou d’un homme à l’autre ? Saviez-vous que le CDC a admis que son précieux test PCR est par essence inutile, puisqu’il n’indique pas si le virus est la cause de la maladie ? De toute façon, a-t-on prouvé à 100 % que les virus rendent malades les humains ? Comment les théories en contredisant la théorie des germes et la théorie du terrain interviennent-elles ici ? Bon, bouclez votre ceinture, ouvrez votre esprit et préparez-vous à la balade dans l’antre du virus.

Qu’est-ce qu’un virus ?

La médecine grand public occidentale (allopathie) s’est développée grâce à l’influence des Rockefeller. Ils l’ont imaginée pour vendre leurs potions à base de pétrole, qui est devenu la base des médicaments actuels de Big Pharma. Les Rockefeller et les autres familles des banques centrales du Nouvel Ordre Mondial, ont pris le contrôle des facultés de médecine et de la formation médicale, et grâce au rapport Flexner, ils ont pris le pas sur les médecines concurrentes, comme l’homéopathie. Ils se sont assurés que l’allopathie se focalise uniquement sur les produits pharmaceutiques et ont bloqué les précieuses connaissances nutritionnelles des médecins. En premier lieu, comme ce même système médical grand public définit ce que sont les monstres du genre virus, vous comprendrez que tout ce binz suscite de raisonnables soupçons. C’est aussi cette même famille Rockefeller qui a financé l’ONU (et a fait don de terres pour son siège à New York), coopté l’enseignement et publié en 2010 un document analysant la manière dont devront se comporter les gouvernements face à un scénario de pandémie.

Si l’on se fie à science allopathique, les virus sont des entités constituées de fragments d’ADN ou d’ARN (matériel génétique) enveloppés d’une membrane protéique et/ou lipidique. Dans les faits, n’étant pas vivants, les virus ont besoin d’une cellule hôte pour se répliquer. Ils sont minuscules — bien plus petits que les bactéries. Le virus serait à la frontière du vivant et de l’inanimé.

On trouve pourtant une autre vision du virus. Le défunt promoteur du régime primitif à base de viande crue, Aajonus Vonderplanitz (décédé en 2013), a donné une interview fascinante lors du canular de la grippe porcine de 2009, au moment où tout le monde paniquait (un peu moins qu’avec le coronavirus, mais dans les mêmes tons que lors des épidémies battues en neige par la presse, d’Ebola et de Zika). Voici ce qu’il a dit :

  • les virus sont créés par l’organisme pour se nettoyer quand les bactéries ne peuvent pas décomposer tous les déchets ;
  • tous les virus étant des réactions cellulaires nécessaires, ils ont un rôle bénéfique ;
  • semblables à du solvant ou du savon, les virus sont créés par les cellules pour aider à dissoudre et éliminer les toxines (le solvant transforme les déchets en soluté, en solution liquide facile à éliminer) ;
  • les virus sont spécifiques à la cellule qui les crée ;
  • les virus ne peuvent pas voyager au sein des espèces ;
  • il n’y a pas de virus en dehors des organismes ; et
  • pour qu’un virus traverse les espèces, il faudrait qu’il soit fabriqué et injecté, c’est-à-dire extrait, gardé en laboratoire, altéré et modifié génétiquement, transformé en arme, puis mis dans des vaccins et des armes biologiques.

On peut trouver à tout moment des virus dormants et latents dans notre organisme sans qu’ils ne provoquent de maladie. La seule présence d’un virus n’indique rien sur sa santé. Il est fort possible que du fait de la toxicité de notre monde (malbouffe, OGM, eau chlorée et fluorée, ciel empoisonné, rayonnements électromagnétiques), l’organisme doive fabriquer des solvants pour aider à évacuer les poisons.

Et si l’organisme produisait des virus pour réagir à sa propre toxicité ? Et si la propagation et la réplication apparentes de virus résultaient du fait que le corps en crée beaucoup pour se nettoyer ?

Comprend-on mal le virus ?

Grâce à ses expériences, le scientifique français Antoine Bechamp découvrit de minuscules particules qu’il appela microzymas. Par la suite, d’autres chercheurs qui les découvrirent, les appelèrent protides, somatides ou exosomes. Étant pléiomorphes (elles prennent de nombreuses formes), ces minuscules particules peuvent traverser un cycle de vie qu’elles entament sous forme de « bourgeons » (commencent à germer) ou de rejetons, puis se développent en prenant la forme de virus ou de bactéries. Il est très important de comprendre que les micro-organismes sont pléomorphes.
Bechamp émit l’hypothèse que les germes étaient en réalité des sous-produits chimiques de tissus morts et des caractéristiques dégénératives de l’état déséquilibré du corps. Il déclara que ces entités vivantes appelées microzymas (minuscules enzymes) bâtissaient des bactéries pour réagir à des facteurs de l’hôte et de l’environnement.

« Affirmant avoir découvert que les “granulations moléculaires” [mouvement brownien, NdT] au sein des fluides biologiques étaient en réalité des unités élémentaires de la vie, il les appela microzymas — c’est-à-dire minuscules enzymes — et leur attribua le rôle de producteurs d’enzymes et de bâtisseuses de cellules, capables d’évoluer dans des conditions favorables sous forme de bactéries. Démentant que des bactéries puissent envahir un animal en bonne santé et le rendre malade, Béchamp affirma plutôt que l’état malsain de l’hôte et de l’environnement déstabilisent les microzymas natifs de l’hôte, et les amène à décomposer les tissus de l’hôte en produisant des bactéries pathogènes. »

Selon James Hildreth, docteur en médecine de l’université Johns Hopkins : « Le virus est un exosome à part entière, à tous les sens du terme. »

Dans son article Dismantling The Viral Theory, le Dr Robert O. Young écrit :

« TOUS les virus, VIH, virus d’Epstein-Barr, cytomégalovirus, virus de l’hépatite C, virus du Nil occidental, virus d’Ebola, virus de la rougeole, virus Zika et maintenant coronavirus, TOUS sont des virus fantômes — leur existence n’a JAMAIS été démontrée scientifiquement et n’a jamais été prouvée !… De ce fait, les vaccins contre la polio et la rougeole ne contiennent pas de virus, mais des particules de tissu rénal de singe mort ou de cellules humaines cancéreuses. Jusqu’ici, aucune expérience n’a non plus été réalisée pour vérifier l’existence soit du virus dit de la polio, soit celui dit de la rougeole, ce qui aurait montré que ce sont les procédures de laboratoire qui induisent les effets cytopathogènes sur les cellules… la seule conclusion objective… est qu’en observant et en analysant les particules ou fragments cellulaires et leur activité dans un tube à essai, ils les ont pris pour des particules et des caractéristiques des supposés virus de la poliomyélite et/ou de la rougeole. »

Voici ce qu’a aussi écrit Robert Young sur le « coronavirus » :

« Les micrographies suivantes, faites à l’aide de la microscopie en contraste de phase, montrent ce que j’observe. Dans la première on voit des globules rouges sains, riches en oxygène ; dans la deuxième micrographie, manquant d’oxygène, les globules rouges sont malades. On peut aussi voir la dégénérescence des membranes cellulaires, avec les pointes ou les bosses indiquant “l’effet corona”, un symptôme dû au mode de vie “acide” et à l’empoisonnement par les rayonnements. »

Globules rouges oxygénés. Crédit Robert Young
Effet corona : Globules rouges en manque d’oxygène. Crédit Robert Young

L’équipe de réparateurs piézoélectriques

Cette vidéo, qui met en évidence des aspects de la fausse pandémie de coronavirus, dit aussi que les virus sont des entités créées par l’organisme. Ils ne font aucun mal et sont conçus pour évacuer les déchets. L’auteur de la vidéo décrit les virus comme une « équipe de réparateurs piézoélectriques, » dotés d’un revêtement de polysaccharide sur la tête, capables de se mouvoir vers les cellules endommagées et de faciliter la glycolyse (conversion de sucre en énergie). En d’autres termes, les virus se rendent auprès des cellules qui doivent être réparées et leur apportent de l’énergie (sucre) et de l’électricité (un genre de recharge de batterie). Selon ce point de vue, faire porter le chapeau des maladies au virus, revient à accuser un secouriste innocent sur la scène du crime ; ce n’est pas parce que quelqu’un a vu un crime et est venu aider qu’il est l’auteur du crime. La situation est semblable à celle de la diabolisation du cholestérol dont j’ai parlé ailleurs ; il s’avère que le cholestérol est un nutriment essentiel et qu’il est là pour réparer les dommages corporels, et non pas parce qu’il les a provoqués. À propos, il y a environ 8 ans, des scientifiques de Berkeley ont transformé d’inoffensifs virus en générateurs piézoélectriques.

Test PCR vicieux. Il est possible d’avoir le virus — et après ? Ça n’a rien à voir avec la maladie

Est-il prouvé à 100 % que les virus fourguent des maladies à l’homme ?

Même si vous croyez mordicus à la théorie des germes, il y a de sérieux problèmes avec la méthode de test acceptée en général pour dépister les virus. Cette méthode s’appelle test PCR (amplification en chaîne par polymérase). Le test PCR amplifie une partie précise du brin d’ADN ciblé. Il est qualitatif et non quantitatif ; en d’autres termes, il peut dire si un virus est présent ou non, mais il ne peut pas dire en quel nombre, et il ne peut pas évaluer avec précision si la présence du virus suffit ou non à rendre malade. Comme je l’ai relevé dans mon article 6 Solid, Scientific Reasons to Assuage Your Coronavirus Panic [Six raisons scientifiques de poids pour calmer votre panique du coronavirus], le CDC (US Center for Disease Controladmet lui-même que le test Covid19 positif au coronavirus (avec la méthode PCR) ne veut pas dire que le virus est à l’origine de la maladie ou des symptômes dont vous pourriez souffrir ! Voici ce qu’a dit précisément le CDC :

« Le résultat positif [du test] indique l’infection active du 2019-nCoV, mais n’exclut pas l’infection bactérienne ou l’infection conjointe d’autres virus. Il est possible que l’agent détecté ne soit pas la cause certaine de la maladie. »

Chose étonnante, ce n’est pas du tout le cas. La théorie des germes n’est qu’une théorie. Pour ceux qui aimeraient avoir une explication plus technique de la nouvelle compréhension des virus, voyez le Dr Thomas Cowan, le Dr Andrew Kaufman et en particulier, le Dr Stefan Lanka. Kaufman a eu plusieurs interviews récentes avec Crrow777 et Richie de Boston, dans lesquelles il développe l’idée qu’il n’a jamais été prouvé que les virus sont cause de maladies. Cowan et Kaufman parlent des expériences faites après la grippe espagnole de 1918 (il s’est avéré que l’épidémie avait été provoquée par les champs électromagnétiques, l’électrification et/ou les vaccins). À l’époque, ils essayèrent de contaminer des gens en bonne santé avec des gens malades, mais les gens en bonne santé ne tombèrent jamais malades. Ils firent aussi éternuer des chevaux malades et leur firent expectorer du mucus, des liquides, des gouttelettes… dans un sac, mirent du fourrage dans ce sac, puis le donnèrent à manger à des chevaux en bonne santé. Ils ne purent jamais rendre malades les chevaux sains.

Le Dr Stefan Lanka est le roi du domaine viral. Ce biologiste et virologue allemand en est arrivé à comprendre qu’on nous ment à grande échelle sur la nature des virus. Il a offert une récompense de 100 000 euros à celui qui pourrait prouver scientifiquement que la rougeole est l’œuvre d’un virus. Cette affaire est allée jusqu’à la Cour suprême allemande où il a gagné. Paul Fassa rapporte :

« Au début, il semblait qu’il avait perdu. Mais le Dr Lanka a porté son affaire devant la haute cour, avec d’autres experts et le soutien de deux laboratoires indépendants. Il a fini par ne pas devoir payer. Il s’est avéré que la “preuve” fournie était une photo composite de diverses images de microscopie électronique. La photo composite mêlait divers composants de cellules endommagées. La photo composite n’a pas pu être dupliquée. La Cour suprême fédérale allemande a confirmé qu’il n’y avait pas assez de preuves montrant l’existence du virus de la rougeole. »

Dans l’article Biologist Proves Measles Isn’t A Virus, Wins Supreme Court Case Against Doctor [Prouvant devant la Cour suprême que la rougeole n’est pas un virus, le virologue gagne le procès qui l’opposait au médecin], voici ce qu’écrit Dave Mihalovic :

« Par décision ultime, les juges de la Cour suprême fédérale allemande ont confirmé que le virus de la rougeole n’existe pas. De plus, d’après la littérature scientifique, pas une seule étude scientifique dans le monde n’a pu prouver l’existence du virus. Cela soulève la question de ce qui a été vraiment injecté à des millions de gens au cours des dernières décennies. Pas un seul scientifique, immunologue, spécialiste des maladies infectieuses ou médecin, n’a jamais pu établir la base scientifique, non seulement de la vaccination contre la rougeole, mais aussi de la vaccination des nourrissons, des femmes enceintes, des personnes âgées et même de nombreux sous-groupes d’adultes. »

Le Dr Lanka a dit ce qu’il pensait des épidémies ou pandémies virales similaires, comme la grippe aviaire H5N1 (qui était battue en neige par la presse en 2005). En définitive, on trouve même d’autres virologues éminents, le professeur Peter Duesberg par exemple, qui affirment, preuves solides à l’appui, que le VIH n’est pas à l’origine du SIDA. Voici quelques autres citations du Dr Lanka (traduites de l’allemand) :

« Quels virus trouve-t-on, et puis à quoi servent-ils ?

On trouve des structures que l’on peut décrire comme des virus chez de nombreuses espèces de bactéries et formes de vie simples, similaires aux bactéries. Ce sont des éléments qui cohabitent avec différentes cellules d’un type commun qui sont restées indépendantes. C’est ce qu’on appelle une symbiose, une endosymbiose. Elle est apparue au cours du processus de combinaison de différents types de cellules et structures ; une endosymbiose qui a donné naissance au type de cellule actuel, au type de cellules dont sont faits les humains, les animaux et les plantes… Très important : Les virus sont des éléments constitutifs d’organismes très simples, par exemple d’algues du type confervacé, une espèce particulière de chlorella, une algue unicellulaire, et de très nombreuses bactéries. Comme on les trouve là, ces composants viraux sont dits bactériophages. Quoi qu’il en soit, dans les organismes complexes, en particulier chez les humains, les animaux ou les plantes, on n’a jamais vu de structures du genre que l’on pourrait appeler virus.

Contrairement aux bactéries dans nos cellules, aux mitochondries ou aux bactéries se trouvant dans chaque plante, aux chloroplastes qui ne peuvent pas quitter la cellule commune puisqu’ils dépendent de son métabolisme, les virus peuvent sortir de la cellule puisqu’ils n’ont aucune tâche vitale de survie à l’intérieur de la cellule.

Les virus sont donc des éléments constitutifs de la cellule qui ont remis entièrement leur métabolisme à la cellule commune et peuvent donc la quitter. En dehors de la cellule commune, ils aident d’autres cellules, en transférant des substances de construction et énergétiques. Aucune autre fonction n’a jamais été observée chez eux.

Ces vrais virus, dont l’existence a été scientifiquement démontrée, remplissent, dans les processus très complexes d’interactions entre différentes cellules, une fonction d’aide, de soutien et ne sont en aucun cas malfaisants.

De même, dans les cas des maladies, que ce soit dans l’organisme malade ou dans les liquides corporels, on n’a jamais vu ou isolé de structure pouvant être décrite comme des virus. Avancer qu’il existe un virus quelconque qui rend malade est une escroquerie évidente, un fatidique mensonge aux conséquences dramatiques. »

Lanka a aussi lâché cette bombe :

« Pourquoi donc l’existence de virus pathogènes est-elle toujours perpétuée ?

Pour justifier leur existence, les protagonistes et les praticiens de la faculté de médecine ont besoin de la peur paralysante, stupide et destructrice du virus fantôme cause de maladies.

En premier lieu, avec les vaccins, cela leur sert à faire du mal aux nombreuses populations, dans le but de se constituer une clientèle de malades chroniques et de gens souffreteux qui accepteront tout ce qu’on leur fait.

Deuxièmement, afin de ne pas avoir à admettre que leurs traitements des maladies chroniques ne marchent pas et ont massacré et tuent toujours plus de gens que toutes les guerres ont pu le rendre possible jusqu’ici. Tous les praticiens de la faculté de médecine en sont conscients, mais très peu osent en parler. Il n’est donc pas étonnant non plus que parmi les groupes professionnels, ce sont les praticiens de la faculté de médecine qui ont le plus grand taux de suicide, loin devant les autres groupes professionnels.

Troisièmement, les praticiens de la faculté de médecine ont besoin de la peur paralysante et stupide du virus diabolique pour dissimuler leur origine historique en tant qu’instrument d’oppression et de meurtre du Vatican s’étant développé à partir de l’armée romaine occidentale, à l’époque où il luttait pour s’élever dans le monde. »

Pour comprendre tout cela, il nous faut revoir la théorie des germes et la théorie du terrain.

Théorie des germes contre Théorie du terrain

Théorie des germes, vacciner le poisson dans l’eau sale – Théorie du terrain, nettoyer l’eau de l’aquarium

Selon l’article susmentionné, Inner Terrain vs. Outer Terrain : Which Do You Emphasize for Good Health ?, les deux théories concurrentes ont influencé la pensée dans de nombreux domaines (médecine, biologie et bien d’autres). Cela commença dans les années 1800 en France, à l’époque où Louis Pasteur défendait la théorie des germes (le monde est plein de germes pathogènes, de microbes, de bactéries… capables de vous infecter si vous avez la malchance d’être du genre malchanceux), tandis qu’Antoine Béchamp et Claude Bernard défendaient la théorie du terrain (les microbes se métamorphosent en fonction de la qualité du sang ou des tissus dans lesquels ils résident). Une citation attribuée à Claude Bernard dit que « le germe n’est rien, le terrain est tout. »

Pasteur l’emporta et la théorie des germes devint la doctrine dominante. Cela eut l’effet malheureux de rendre les gens effrayés par leur environnement et vulnérables à la propagande de Big Pharma (nous sommes là pour vous protéger ; prenez juste vos médicaments et faites-vous piquer, et tout ira bien). Cela poussa aussi les gens à prendre moins soin de leur hygiène de vie — mauvais choix alimentaires et style de vie —, ce qui implique la dégradation du terrain et l’affaiblissement du système immunitaire qui rendent plus sensibles à la maladie. Mais, et si on se mettait le doigt dans l’œil avec la théorie des germes ? Que se passe-t-il s’il est bien plus important de se soucier de ses propres forces, santé et hygiène de vie, que d’éventuels germes capables de tuer et flottant partout ? Et si cette crise de coronavirus rendait tout le monde maniaque, effrayé et obsédé par l’environnement, par les contacts humains élémentaires et naturels, et faisait oublier la force interne et le pouvoir du microbiome intestinal et du système immunitaire ?

Un virus peut-il passer de l’animal à l’homme ou d’un homme à un autre ?

Selon les scientifiques citées ci-dessus, la réponse est non. Le virus est formé spécifiquement par l’organisme dans le but de se guérir en nettoyant son terrain (en évacuant les déchets toxiques). Selon cette nouvelle façon de voir, les virus sont spécialement conçus pour une cellule, un groupe de cellules ou un organe, de sorte qu’ils ne vont pas se balader d’un organe à un autre, et encore moins d’un organisme humain à un autre.

Où trouve-t-on la photo du coronavirus ?

Dans un monde où tout — littéralement tout — est photographié et enregistré sur vidéo, pourquoi n’y a-t-il pas de vraies images du virus, du véritable coronavirus censé être à l’origine du souk ambiant ? Il ne doit pas être très difficile de se procurer un microscope électronique et de le photographier. Pourquoi a-t-on seulement des images de synthèse (générées par ordinateur) ? [Les plus fréquentes photos montrent des ouvrages de laine tricotés au crochet par la grand-mère de célèbres virologues, NdT]

Importance de l’iode et de l’oxygène dans la crise du coronavirus

Sur une autre note, étant donné la panique autour du Covid19, il est important de revoir tout de suite certains fondamentaux de la santé et en particulier l’iode et l’oxygène.

Minéral très important, l’iode est le seul halogène nécessaire à l’organisme. Or, en cas de manque, l’organisme se tourne vers d’autres halogènes, fluor, chlore et brome, qui sont tous toxiques. S’il y en a trop, la maladie se déclare. Il faut se méfier de l’eau de Javel servant à éliminer de supposés virus tueurs, car cela expose au chlore. En outre, la fréquence de 6 GHz (utilisée dans de nombreux téléphones sans fil, routeurs et autres appareils) affecte l’absorption de l’iode. Parmi les symptômes du manque d’iode, il y a la détresse respiratoire (un symptôme du Covid19). La carence en iode est aussi impliquée dans le cancer.

La 5G est indéniablement liée au coronavirus, mais nous ne comprenons toujours pas précisément comment. La 5G a été déployée pour la première fois à Wuhan, en Chine, à l’épicentre de l’épidémie. Pourtant, tout le monde ne tombe pas malade en présence de la 5G. L’une des causes possibles est la nouvelle bande de fréquences qu’il utilisera (60 GHz ou WiGig, nouveau nom du Wi-Fi 60 GHz). Tout comme la fréquence de 6 GHz affecte l’absorption de l’iode, la fréquence de 60 GHz affecte l’absorption de l’oxygène. En fait, la fréquence 60 GHz a une action sur la molécule d’oxygène. Elle a la capacité d’empêcher les molécules O2 de se lier facilement à l’hémoglobine, ce qui signifie moins d’absorption d’oxygène. Cela entraîne la sous-oxygénation ou l’hypoxie, précurseur de la maladie. De nouveau, comme dans le cas de l’iode, le symptôme de manque d’oxygène est la détresse respiratoire (symptôme du Covid19).

Dans cette affaire, le virus fournit l’excuse parfaite en servant de bouc émissaire aux produits chimiques toxiques et aux rayonnements électromagnétiques qui nous rendent malades…

Si les virus ne voyagent pas entre les organismes, que se passe-t-il quand quelqu’un « attrape » la grippe ?

C’est la question clé. Si les virus ne sont pas du tout ce qu’on raconte, comment expliquer ce qui ressemble à la contagion virale ou à l’infection virale ? N’est-ce pas réel ? Eh bien, il est certain que nombre de gens tombent malades après avoir côtoyé un malade, mais la vraie question est comment cela se fait-il. Une réponse possible serait que le terrain du receveur était dégradé au point de s’infecter, que ce soit parce qu’il s’inquiétait ou avait peur de tomber malade (la peur affaiblit le système immunitaire) ; il a pensé qu’il allait tomber malade (et cette pensée a eu la force de se concrétiser inconsciemment) ou il a développé une sorte d’élan émotionnel accordant sa fréquence sur celle de la personne malade. Dans la vie, nous avons tous des moments de vitalité et de déprime ; au cours des moments de déprime, nous devenons plus sensibles aux maladies. Le grand génie Nikola Tesla a déclaré : « Le jour où la science commencera à étudier les phénomènes non physiques, elle fera plus de progrès en une décennie qu’au cours de tous les siècles précédents de son existence. » Il a dit aussi que « si vous voulez découvrir les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence et de vibration. »

Parmi les possibilités de tomber malades, il y a l’exposition à des poisons, les raisons mentales, les raisons émotionnelles, la régénération ou la désintoxication et les chocs émotionnels. Le Dr Ryke Geerd Hamer (fondateur de la Nouvelle médecine germanique) a établi que « chaque maladie est provoquée par un choc qui prend l’individu complètement au dépourvu, » et c’est devenu sa première loi biologique.

Ainsi, attraper une maladie n’a rien à voir avec « des germes malfaisants qui nous infectent, » mais dépend plutôt de l’état mental et émotionnel, du système immunitaire, du microbiome et de la réceptivité.

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus et particulièrement :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Graphène et 5G]

Conclusion : Cette crise doit être une opportunité pour voir les virus de manière différente

Il serait sage, au milieu de toute la peur du coronavirus, de se rappeler que la théorie des germes n’est qu’une théorie, et que chacun peut prendre en charge sa santé. Le système immunitaire peut être renforcé grâce aux choix alimentaires sains, à suffisamment de soleil (vitamine D3), d’exercice et de sommeil. On peut réduire ou éliminer l’exposition aux poisons que sont par exemple le fluorure, le chlore, l’aluminium, le mercure et les rayonnements électromagnétiques du sans-fil. On peut prendre des compléments alimentaires qui renforcent l’immunité, comme la vitamine C, les antioxydants, l’iode et l’oxygène, ainsi que des remèdes naturels, comme l’extrait de feuille d’olivier, les champignons médicinaux et l’huile d’origan.

[NdT : il est bien connu aussi que la prise régulière de chlorure de magnésium renforce considérablement l’organisme. C’est grâce à lui qu’a été éliminée l’épidémie de chikungunya dans les îles françaises de l’océan Indien. L’information selon laquelle il guérit même le terrifiant Ebola a aussi réussi à être propagée malgré la censure de la presse. En fait il renforce tellement l’organisme, qu’il ne laisse prise à aucune épouvantable maladie dite virale et même parasitaire.]

Il existe une maxime capitale disant que le savoir chasse la peur. Et si la vraie conspiration était l’exploitation de l’ignorance des masses de la vraie nature des virus ? Et s’il n’existait aucun virus tueur ? Et si le vrai virus était la peur, peur du virus, peur de l’inconnu et peur de mourir ? Il est difficile de dire que les contrôleurs du Nouvel ordre mondial sont des maîtres manipulateurs qui savent parfaitement exploiter la psychologie humaine. Le moment est venu pour chacun de foncer bille en tête et de remettre en question tout ce qu’il croyait savoir. Voici l’occasion de passer à un nouveau niveau de compréhension, de compréhension et de connaissance, afin que chacun puisse garder sa liberté.

Après tout, comment être libres en restant ignorant, puisque l’ignorance donnera toujours prise à l’exploitation.

The Freedom Articles, Makia Freeman

Deep Down the Virus Rabbit Hole — Question Everything




La mémoire de l’eau – documentaire complet. Mise à jour

[Source : https://www.dailymotion.com/video/x3sbctn]

[Note de Joseph Stroberg : la physique depuis Einstein a émis la théorie que matière et énergie étaient interchangeables et la physique quantique a montré que les particules élémentaires de la matière étaient toutes associées à une fréquence vibratoire particulière. Par extension, il est envisageable que chaque objet matériel ou vivant soit caractérisé par un signal électromagnétique unique. Et si son état varie, la vibration électromagnétique varie probablement aussi. Notamment un état maladif ou au contraire un état de bonne santé doit aussi pouvoir se retrouver inscrit dans le signal particulier qu’il émet. La mémoire d’un tel signal dans l’eau pourrait provenir de sa structure particulière complexe rendue possible par l’existence des liaisons hydrogène entre ses molécules.
Matière = Énergie = « Signal vibratoire » peut permettre d’envisager que chaque maladie spécifique identifiée soit liée non pas à une bactérie ou à un virus (voir L’enterrement de la théorie virale), mais à une fréquence vibratoire particulière (ou à un ensemble de vibrations) qui pourraient donc notamment facilement se propager d’un être humain à l’autre à distance et même à travers les murs. Ceci expliquerait bien pourquoi les mesures sanitaires prises dans le cas de la Covid-19 ne fonctionnent tout simplement pas. Par conséquent, si la cause d’une maladie n’est jamais bactérienne ou virale, mais une agression chimique (poison, toxine, polluant, hormones provenant d’émotions négatives…), physique (froid, chaleur, choc, friction…) ou électromagnétique (ondes pulsées comme la 5G ou le Wi-Fi) donnée, alors du fait de l’équivalence entre matière, énergie et fréquence vibratoire, il est parfaitement envisageable de soigner les individus avec des sons, des ondes lumineuses ou des signaux électromagnétiques adaptés qui puissent inverser ceux de la cause. Cependant, ceci marquerait la ruine des entreprises pharmaceutiques et cela explique notamment pourquoi certaines recherches sont violemment combattues et discréditées sous couvert de science.]

Mise à jour

Voir aussi le film Fréquences électromagnétiques de l’ADN (de Jean-Yves Bilien), sur le même sujet.
(Pour accéder au visionnement, il faut fournir une adresse courriel).




Obsèques de Luc Montagnier : « cette ferveur, c’est le cœur de la France qui bat ». Mise à Jour 3

[Source : Yves Barraud]

Hommage italien


Hommage au Professeur Luc Montagnier
Père Lachaise – 22/2/2022


[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Plus de mille personnes, mais aucun ministre : la cérémonie funéraire du prix Nobel de médecine 2008 (avec Françoise Barré-Sinoussi), Luc Montagnier, s’est déroulée cet après-midi, à la salle de la coupole du père Lachaise. Des obsèques auxquelles une foule reconnaissante assistait : près d’un millier de personnes, de tous âges, étaient venues rendre hommage au grand chercheur disparu le 8 février. Reportage.



Une ambiance de « liberté »

Les barrières entourant l’entrée de la coupole réservaient l’accès aux proches et à des personnalités proches du biologiste ou ayant partagé des combats communs : on voyait ainsi arriver Laurent Toubiana, Jean-Dominique Michel, Martine Wonner, Christian Perronne, Alexandra Henrion-Caude ou encore Francis Lalanne, passant pour certains un moment avec la population venue sur place. Jean-Dominique Michel expliquait ainsi :

« je suis très touché d’être ici, c’était un géant, c’était un humaniste, quelqu’un d’intègre et de généreux. C’était quelqu’un de simple, quand j’ai pu m’entretenir avec lui, il était d’une gentillesse et d’une générosité absolument splendides. »

La place était noire de monde, dans une ambiance de manifestation mâtinée d’émotion. La foule scandait : « Liberté, liberté, liberté ! ». Les applaudissements ressurgissaient régulièrement. L’atmosphère était à la ferveur, une communion populaire en mémoire du professeur qui « sacralisait » leur combat, comme l’expliquait une participante. Les personnes présentes témoignent une vraie reconnaissance pour le membre de l’Académie des sciences :

« il avait tout compris. Mais comme toujours quand on comprend avant les autres, ça dérange et la plupart des politiques et des médias mainstreams lui sont tombés dessus », déplorait Catherine.

Un patriarche, icône de la résistance

Le Pr Montagnier s’était notamment interrogé dès le printemps 2020 sur la provenance du virus de Wuhan : l’hypothèse qu’il avait présentée avait été vilipendée, alors qu’elle s’impose désormais comme des plus plausibles. Le chercheur disparu à 89 ans, avait ensuite pris position contre les mesures sanitaires, et notamment la campagne de vaccination de masse.

Olivier Soulier, médecin et porte-parole du syndicat Liberté santé, se félicite de cette ambiance :

« Vous voyez cette ferveur ? C’est le cœur de la France qui bat. Ce n’est pas l’Elysée, ce n’est pas l’Assemblée nationale, il n’y a pas de ministre, mais il y a les Français qui disent leur amour pour Luc Montagnier. Tous ici, nous sommes ses héritiers, ses enfants, le vieux patriarche est parti mais nous sommes là pour prendre sa suite. Je pense que dans l’histoire de cette pandémie, cet enterrement va rester comme le moment où tous les résistants se sont fédérés. On va tous rester dignes de ce qu’il nous a appris. »

Les participants avaient pour certains la chance d’être en vacances, certains ont même pris leur journée. D’autres ont dû trouver des excuses pour « sécher » le travail :

« J’étais au bureau normalement, mais j’ai dit que je devais aller à un enterrement. Je n’ai pas dit lequel, ils m’ont laissé y aller. »

Le lien fort entre le peuple et le professeur

Le professeur représentait « quelqu’un qui pouvait prendre la parole ». Flora, venue avec son mari et son enfant explique qu’elle l’admirait déjà avant la crise covid :

« c’est un chercheur qui avait travaillé sur la mémoire de l’eau. J’étais admirative qu’un grand chercheur comme lui puisse s’aventurer là-dedans. Ça avait validé l’efficacité de l’homéopathie, c’étaient des produits que je prenais depuis toujours. Il n’hésitait pas à travailler sur l’autisme, c’était un avant-gardiste ! »

Un moment triste de cette séparation, mais un moment de joie également, de sentir que le nombre et la chaleur de cette assistance illustrent qu’il part, mais que son combat continue. Beaucoup de figures de la « résistance » parisienne comme aiment s’appeler les manifestants, étaient présent.

Après une minute de silence, entièrement respectée, l’entourage et les personnalités proches du professeur saluent une dernière fois ceux qui applaudissent aussi leur présence, et se dirigent à l’intérieur de la salle funéraire pour leur dernier au revoir au professeur – Xavier Azalbert, directeur de la publication de FranceSoir, y était invité parmi d’autres à dire un mot.

L’absence remarquée des autorités et des autres médias

Marine une participante explique :

« où est le président, où sont les médias mainstreams ? Ils ont fait silence radio à sa mort. C’est un prix Nobel. Ils savent qu’ils ont eu tort et ils ont honte. Mais ce n’est pas acceptable qu’un gouvernement n’honore pas un tel homme, c’est minable. »

Jean-Dominique Michel poursuit :

« penser qu’une disparition comme la sienne, dans un pays comme la France, se heurte au silence honteux des autorités et des médias mainstream, qui continuent d’essayer de salir sa mémoire, dans des moments où le sacré entre la vie et la mort devraient l’emporter nous renforcent encore dans l’importance du combat que nous menons. »

À la sortie, une Marseillaise solennelle et spontanée a retenti. À n’en pas douter, elle résonnera longtemps dans les cœurs de ceux qui ont honoré par leur présence le souvenir du grand homme dont le sourire malicieux habitait toutes les pensées.


Voir aussi :

Didier Raoult rend hommage au Professeur Luc Montagnier. Mise à jour

Didier Raoult et Xavier Azalbert, directeur du site France Soir sont les invités d’André Bercoff.
(Vidéo > 20 min).
Mise à jour : autres hommages.

La mémoire de l’eau – documentaire complet

Avec le Professeur Montagnier.
(Vidéo > 50 min)

Pr. Luc Montagnier : « Il y a des gens qui meurent des effets du vaccin ». MàJ

Le Pr Luc Montagnier, biologiste, virologue et Prix Nobel de médecine en 2008, était l’invité d’André Bercoff le 17 novembre 2021 sur Sud Radio dans son rendez-vous du 12h-14h, « Bercoff dans tous ses états ».
(Vidéo

Le Professeur Montagnier à l’émission Le défi de la vérité

« Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH ».
– Professeur Luc Montagnier (le 17 avril 2020, sur Cnews).
Dans l’entretien pour FranceSoir, le Pr Montagnier confirme ses déclarations et relate ses travaux avec le mathématicien Jean-Claude Perez.
(Vidéo 19 min).

Lire la suite

Mise à jour 3

https://www.covidhub.ch/des-cas-de-creutzfeldt-jakob-lies-au-vaccin-contre-le-covid/



Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

[Voir aussi :
Premier jour du procès : Reiner Fuellmich s’adresse au Jury, et expose les faits. Mise à jour]

Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importanteCette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultimequi est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement inefficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

[Note de Joseph : en toute rigueur scientifique, ce n’est pas le virus lui-même qui est traité, sachant notamment qu’il n’a jamais été isolé (voir :
L’enterrement de la théorie virale
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey), mais les symptômes attribués à une maladie nommée Covid-19 et dont les causes sont manifestement autres qu’un virus naturel.]

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui.

Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en mains par l’autre partie par le biais de leur principale plate-forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous.
Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.
Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Organisation mondiale de la santéBill GatesBlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.
Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Kurz, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, -la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. […]


[Source : http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_620229c67d6b4.pdf]

Transcription complète

Grand Jury – Session 1

https://youtu.be/ELTFNkCdzjA

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




Un Plan Pour Le Monde

[Source : Planète Homéopathie (planete-homeopathie.org)]

Par le Dr. Édouard Broussalian

À tous ceux qui sont tombés pour la manifestation de la Vérité, préférant suivre leur conscience plutôt que leur intérêt. Magna est veritas et praevalebit !

À toi, portier du consulat, qui fait attendre debout, dehors, au soleil, durant une heure une femme enceinte de 9 mois au prétexte qu’elle refuse de masquer son enfant de 5 ans pour entrer. Tu ne vois pas de rapport avec le nazisme et tu t’offusques qu’on ose te le dire.

À toi ma boulangère, qui du haut de ton Bac me donne des leçons sur la manière de porter un masque.

À toi mégère anonyme qui te saisis de ton téléphone pour dénoncer le vilain client qui foule le même sol que toi dans un magasin, mais qui refuse de porter un masque. Tu n’hésites pas à appeler les flics, demain ce sera pour « emmener » ces asociaux dans des camps de « regroupement ». Leur destination finale t’importera peu, tu auras la satisfaction du devoir accompli comme tous ceux qui avant toi ont réalisé les mêmes gestes.

À tous les médiocres qui de tout temps ont formé le lit du despotisme grâce à leur servilité aveugle, et qui réalisent à leur insu les paroles du Messie :

« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive »

Mt 10 :34

[Voir : L’épée, le bon grain et l’ivraie]

Un plan pour le monde

Par le Dr. Édouard Broussalian, 18 Novembre 2021

« Sous la roue qui sans fin poursuit sa ronde deux sortes de gens vivent sans tourments : ceux qui savent les secrets du monde, et ceux qui les ignorent totalement ».

Omar Kayyam.

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans. … Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux lumières de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »

David Rockefeller.[1]

« Lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme »

Dr. Nicole Delépine.

Rien ne me prédisposait à jouer les Cassandre quand voici déjà plus d’un an je prédisais la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui plongés. Peut-être un lien immatériel peut-il réunir mes racines du Bosphore avec la fille de Priam, roi de Troie ? Défenseur de l’homéopathie depuis 40 ans face à la rhétorique pourrie du système et de ses séides, porteur épigénétique des effets du premier génocide[2] du XXème siècle et de 800 ans de dhimmitude[3], on se trouve mieux outillé intellectuellement pour envisager la notion terrifiante d’un gouvernement apparemment élu par le Peuple mais qui travaille désormais contre le Peuple.[4] Quand j’ai déclaré publiquement en Septembre 2020[5] que cette pandémie factice n’était qu’un hold-up mondial destiné à mettre en place une dictature, et que seule l’insurrection populaire sera notre salut, je n’ai pas été mieux cru que Cassandre lorsqu’elle annonçait que le cheval de Troie était une ruse qui allait aboutir à la ruine de la cité. Peu de gens ont compris dès le début :

  1. Que cette « pandémie » était grandement exagérée[6] puisqu’on s’est rapidement trouvés au point où il fallait se faire tester pour voir si l’on était malade —quant à lui, le rapport[7] de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation révèle que le Covid n’a représenté que 2% des hospitalisation en 2020 :
    1. Seul le tripotage dès 2009 de la notion même de pandémie a permis d’en arriver où nous sommes. [8]
    2. Pour les cliniciens sur le terrain nous avons tous identifié une forme de coryza pouvant évoluer relativement rapidement vers une toux avec une dyspnée importante puis une détresse respiratoire.
    3. Confiants en l’expérience de succès magistraux ininterrompus enregistrés en deux siècles, nous savions que l’homéopathie se montrerait comme de coutume extrêmement efficace pour traiter n’importe quelle épidémie.[9] Ce n’est sans doute pas pour rien si la guerre totale a été déclarée contre l’homéopathie peu avant la survenue de toute cette affaire sous forme d’une attaque orchestrée mondialement peu avant la survenue des premiers cas COVID-19. Après l’attaque délirante des 124 parfaits inconnus[10] relayés dans tous les médias, sans que jamais on ne nous ait accordé le moindre droit de réponse, ce fut la fameuse étude australienne du NHMRC qui fit le tour du monde pour servir d’alibi gouvernemental en France et ailleurs pour justifier des mesures contre l’homéopathie, alors qu’une enquête sénatoriale[11] australienne a révélé la falsification[12] de l’étude. Aucun démenti n’a jamais été publié dans la presse mais la coordination de l’attaque témoignait bien de l’organisation pyramidale des médias compliants. La démarche est en tout point semblable à ce qui s’est passé avec l’étude bidonnée[13] publiée dans le Lancet et qui démolissait l’hydroxychloroquine.[14] L’étude a servi de prétexte à nos gouvernants pour retirer un produit devenu dangereux alors qu’il était prescrit à plus de 1 milliards de personnes durant 70 ans. Et comme de coutume, la rétractation de l’étude n’a jamais engendré celle des mesures prises en l’utilisant comme prétexte. Encore plus lamentable : l’institut Pasteur rétracte l’étude bidonnée qui a servi à justifier le passe sanitaire… mais le passe demeure.[15]
    4. Le totalitarisme s’empare de la science pour confirmer ce qui lui convient, l’idée est de créer une surréalité à laquelle les « croyants » vont adhérer — c’est le cas de la création de l’Islam par les Califes[16] et de la narration autour d’un prophète imaginaire, ou le bolchévisme avec la promotion de ses demi-dieux et du narratif autour du projet grandiose. Finalement tout cela correspond exactement à ce qu’a fait Auguste quand il a pris le pouvoir en s’assurant du contrôle religieux et des augures —d’où son nom. Au sujet des prédictions, quelqu’un a-t-il des nouvelles des 500.000 morts de 2020 et des 400.000 du premier trimestre 2021 que nous avait annoncé l’infâme Macron ? Pourtant tout ce que nous subissons, c’est au nom de ces morts imaginaires, de cette fausse pandémie et de ce pseudo-Covid-19.
  2. Que sans tests PCR il n’y avait point de pandémie[17] et que le test était parfaitement vérolé de manière à détecter un maximum de « cas ». Mais c’était tout ce qu’il fallait pour aller dans le sens de la nouvelle définition de « pandémie », juste des « cas », pas forcément des vrais malades et encore moins de mortalité. Un document[18] qui vient d’être publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume. Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.[19]
    1. De manière parfaitement incroyable, l’article de Corman-Drosten[20] a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne.
    2. Plus incroyable encore, le protocole de test Drosten, alors qu’il avait déjà envoyé son texte à l’OMS à Genève le 17 janvier 2020, a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan, avant même que l’article ne soit publié.
    3. Que dire du scandale des cycles d’amplification ? L’OMS et Drosten ont recommandé un Ct de 45 cycles. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les « positifs » PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles, il ne resterait plus que 3% de vrais positifs ! Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 est scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30).
    4. Le 27 novembre 2020, un groupe[21] très respecté de plus de 20 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à Eurosurveillance pour retirer l’article du 23 janvier 2020 du « Dr » Christian Drosten, l’inventeur du dit « test » PCR. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable « examen par les pairs ». Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique « fatale » et de failles dans la promotion de leur test.
    5. Il est même possible que ce test fourré au fond du nez serve rapidement à ficher toute la population avec l’ADN des frottis. Une firme britannique entend gagner ainsi beaucoup d’argent.[22]
  3. Que seule la complicité servile des mé(r)dias —hormis en France l’exception notable de France Soir[23] et quelques rares autres— soutenue par une censure féroce dans tous les réseaux sociaux[24] a permis d’installer la doxa officielle[25] dans les cerveaux d’une population hypnotisée[26], abasourdie. Toute forme de pensée critique, quelle qu’elle soit, est immédiatement suspectée d’être complotiste,[27] la plupart des professionnels compétents sont muselés par la peur du dénigrement ![28] Le grand test que fut la grippe H1N1 a appris aux mondialistes que le contrôle absolu des médias conditionnait la réussite du projet. C’est aujourd’hui chose faite. Devant des médias complices de la conspiration, débitant ad nauseam la doxa du système, la censure systématique —notamment sur les réseaux sociaux— et la ridiculisation de toute voix discordante à l’aide d’étiquettes telles que « complotisme » ou « anti-vax ». La censure organisée sur tous les réseaux sociaux et dans la pressetituée[29],[30] nous a prouvé très tôt l’existence d’un projet, d’une volonté, d’une coordination du crime, avec les fameux « fact-checkers » —simples informaticiens ou joueurs de jeux vidéo autoproclamés défenseurs de la « science »[31]— formant les bataillons de la répression afin de maintenir à tout prix la vision et les ordres de l’OMS. Voyons ce narratif :
    1. Une épidémie terrifiante (par exemple les images d’horreur, à la sauce Timisoara[32] des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui sont en fait celles de chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale)
      1. L’épidémie de COVID-19 n’est pas un drame sanitaire mais un crime de masse.
      2. Pour les moins de 60 ans, l’année 2020 est la moins mortelle de toute l’histoire de France.[33]
    2. Pas de traitement (précoce) efficace existant, interdiction faite aux médecins de prescrire, prescription de médicaments qui tuent (Valium, Rivotril) :
      1. « Démontrer que le virus n’a pas de thérapie a été une lutte de tous les instants au risque d’étaler au grand jour les incompétences crasses des uns et des autres. » Ecrit le Dr. Michel de Lorgeril, qui ajoute « et tout scientifique qui osera dire le contraire sera lynché et traité de complotiste. »
      2. Les médecins généralistes qui doivent naturellement encaisser frontalement le choc de toute épidémie se sont vus dessaisis des cas et interdire de prescrire l’hydroxychloroquine / azithro qui fonctionne remarquablement bien[34], de sorte que de nombreux cas ont pu évoluer vers des formes graves et encombrer les hôpitaux. Partout dans le monde, des gouvernements criminels comme celui de la France ont interdit la prescription qui aurait sauvé de nombreuses vies, interdiction basée sur un article bidonné à souhait paru dans une revue « prestigieuse », et qui illustre bien jusqu’où est tombée la médecine classique. De nombreux protocoles avec l’Ivermectine[35] ont aussi largement prouvé leur efficacité.
      3. Le réseau sentinelle a été pareillement limogé car ses vrais chiffres contredisaient la propagande étatique.[36]
      4. Selon toutes les apparences, les autorités sanitaires et politiques françaises ont tout fait pour que les malades de la COVID-19 meurent en masse en suivant cinq stratégies simultanées :
  • Refuser l’accès aux hôpitaux à la majorité des malades, c’est-à-dire les personnes âgées ;
  • Refuser l’accès aux services de réanimation aux personnes âgées hospitalisées ;
  • Conseiller des traitements inutiles ;
  • Interdire les traitements efficaces ;
  • Tuer au lieu de soigner.

L’intention criminelle préméditée est prouvée par les documents officiels autorisant l’administration de poisons mortels aux patients tout en interdisant la prescription des thérapies les plus prometteuses. En France, les plus de 70 ans ont été refoulés des services de réanimation alors que plus de la moitié des lits étaient vides.[37] « Le confinement des mois de novembre-décembre n’a pas modifié la consommation des médicaments conseillés dans les cas de COVID-19. Si les confinements ne modifient pas les prescriptions hospitalières dans le cas général, on en vient à penser qu’il y a eu un défaut de prescriptions précisément envers les patients souffrant de la COVID-19 pendant la « première vague ». Considérant le nombre très important de cas répertoriés, une telle diminution est incongrue. Comment expliquer qu’en pleine épidémie on puisse atteindre un record historique de sous-prescriptions des médicaments indiqués pour soigner ladite épidémie ? »
Un décret du gouvernement en date du 28 mars 2020[38] a autorisé exceptionnellement l’usage du Rivotril dans les cas de COVID-19, sachant que seulement une à deux injections sont suffisantes pour tuer un malade. Il n’est donc pas étonnant de constater, à l’inverse des médicaments qui soignent, une sur-prescription massive des médicaments qui tuent. Les prescriptions de Valium injectable ont augmenté de 53 % à 63 % en avril-mai par rapport à la moyenne de 2017-2019. Quant au Rivotril injectable, sa consommation a explosé, multipliée par 3,9 en avril pendant le pic épidémique, et depuis reste 2,3 fois supérieure à la moyenne de 2017-2019.

  1. Les mesures de contrainte fondamentales tant qu’on n’a pas d’immunité collective vaccinale (la notion d’immunité naturelle étant désormais bannie de l’OMS[39],[40]
    1. Les mesures appliquées en guise de « prévention » chez les personnes âgées les ont sans doute fait mourir de chagrin, isolées dans une chambre.
    2. Lors des audiences du Congrès, le représentant James Jordan (R-OH) a demandé au Dr Fauci d’expliquer pourquoi la prévalence de la maladie dans le Michigan fermé est pire que dans le Wisconsin voisin qui est depuis longtemps entièrement ouvert. Fauci a prétendu qu’il n’avait pas entendu la question, qu’il n’avait pas vu le tableau et qu’il n’avait pas compris. Finalement, il est resté assis, silencieux, après avoir prononcé quelques banalités sur les différences de mise en application. Les « confineurs » sont maintenant confrontés à l’énorme problème du Texas. Cet état est totalement ouvert, sans aucune restriction. Les cas et les décès ont chuté de façon spectaculaire au cours de la même période. Fauci n’a pas de réponse. Ou alors, comparez la Californie fermée avec la Floride ouverte : taux de mortalité similaires. Nous disposons d’une gamme complète d’expériences aux États-Unis qui permettent de comparer l’ouverture et la fermeture et les résultats des maladies. Il n’y a pas de relation.
  2. Seule la vaccination nous sauverait, débloquerait la situation[41] et ferait cesser la maltraitance des Peuples.

« Et si vous croyez que l’engrenage s’arrêtera à un laissez-passer pour les plages, jetez un coup d’œil en arrière : quelle est la ligne rouge impensable qui n’a pas été finalement franchie par les gouvernements ces treize derniers mois ? Quel est le droit inaliénable de la personne qui n’a pas été violé ? Dès le moment où l’État s’arroge l’accès à votre corps, quel que soit le motif, il en devient propriétaire. Il en dispose. » Slobodan Despot.

    1. Pour un homéopathe habitué à critiquer la médecine officielle, il est évident dès le début que tout serait fait pour trafiquer la fameuse notion de bénéfices [pour les labos] / risques [pour les victimes] —surtout que les « études » n’incorporaient pratiquement pas de gens âgés alors que ce sont justement eux qu’on se proposait de protéger en priorité.
    2. La démarche habituelle consiste à maximiser la gravité de la maladie (par exemple, instructions données aux pompes funèbres[42] de déclarer en morts Covid toute personne ayant eu de la toux et de la fièvre et n’importe quel symptôme vague) tandis qu’on dissimule les effets secondaires.[43],[44],[45] Or ici c’est une explosion d’effets secondaires qu’on ne parvient plus à dissimuler. Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant.[46] Omerta, silence des médias ne suffisant plus c’est maintenant le caviardage des bases de données qui est entrepris à grande échelle.[47] La député Mathilde Panot signe un discours remarquable qui dénonce la situation,[48] cela détonne dans le marais collaborationniste ambiant. Pour ceux qui n’ont pas encore compris, la seule immunité est celle des laboratoires qui ont réussi à imposer des contrats aux clauses léonines[49] à tous les états, contrats signés pour ce qui concerne l’Europe par une seule personne, Stella Kyriakides qui a touché plusieurs millions en pots de vins.[50]
    3. L’injection —que l’on ne peut pas appeler vaccin, même si Merriam-Webster a eu le culot de modifier la définition du terme pour devenir corona-compliant je suppose— se confirme mois après mois être un produit hautement toxique. Le viol génétique conduit nos cellules (la plupart du temps celles de l’endothélium vasculaire) à produire de la protéine Spike S1. Or la Spike est elle-même responsable de la maladie qui est essentiellement endo-vasculaire, sa présence à la surface des cellules conduit à des processus de coagulation.[51],[52],[53],[54] Au microscope se produit en peu de temps une coagulation quand le sang entre en contact avec le produit, il est raisonnable de supposer que le graphène arrache des molécules de fer aux globules rouges, ce qui entraîne une activation de l’injection et explique peut-être les effets magnétiques observés. [55]
      En outre ces produits contiennent probablement des substances qui ne sont pas supposées être présentes, comme l’oxyde de graphène.[56] De nombreuses personnes ont constaté que la région injectée puis d’autres zones du corps deviennent magnétiques.[57] Certaines sources mentionnent même la présence de parasites ou d’œufs de parasites.[58] L’empoisonnement volontaire —et forcé— représente certainement l’un des objectifs de la crise actuelle et rendra difficile à nos gouvernants de plaider non-coupable quand ils passeront en cour martiale. Le principe éthique classique des « essais cliniques » consiste à stopper les recherches expérimentales thérapeutiques dès lors que l’essai atteint la vie d’autrui et sa santé. Certaines études ont arrêté l’essai thérapeutique autorisé par la FDA déjà après un seul décès comme c’est le cas pour un laboratoire pharmaceutique français[59], alors que d’autres experts estiment à un maximum 20 à 50 décès sont amplement nécessaires pour établir une « dangerosité » du produit utilisé et stopper l’expérience.Avec plus de 13 000 rapports aux CDC concernant des décès dus aux vaccins COVID-19, les vaccins COVID-19 ont maintenant le taux de mortalité le plus élevé de tous les vaccins de l’histoire. En effet, la moyenne des décès dus aux vaccins signalés chaque année aux CDC, avant le COVID-19, était d’un peu plus de 100 par an. En d’autres termes, les vaccins COVID-19 ont environ 100 fois plus de rapports de décès par an que la moyenne des rapports pour tous les autres vaccins combinés. Dans le passé, des vaccins individuels ont été retirés du marché pour seulement 12 à 50 décès signalés. Les décès liés au vaccin COVID-19 sont catastrophiques et, pire encore, les décès signalés ne reflètent qu’une petite fraction des décès réels liés au vaccin dans la communauté.[60]
    4. Il suffit pourtant d’examiner l’histoire récente des maladies transmissibles – avec de nouveaux agents infectieux (HIV-sida, Ebola, Zika, Chikungunya, Dengue, Borrélioses…) – pour ajouter plusieurs bémols à la douce mélodie voulant faire croire que la technologie des vaccins va apporter des solutions miraculeuses à la crise du COVID-19.
    5. L’histoire nous rappelle que :
    6. 1- Toutes les épidémies finissent par s’éteindre spontanément
    7. 2- Jamais un vaccin n’a permis d’éteindre une épidémie.
    8. 3- La vaccination durant une épidémie entraîne toujours une surenchère de mortalité par effet Buchwald.[61]
    9. Et quand on nous sert l’exemple de l’éradication de la variole ce n’est que la référence à un mythe. Le rapport final[62] admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits » Encore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » Nous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. »
    10. Nous subissons le totalitarisme des concepts mentaux : Il est décidé dans les sphères dirigeantes que les obstacles à la vaccination doivent être éliminés, car le vaccin est « notre porte de sortie de la crise ». Nous développerons dans le second chapitre comment la médecine industrielle porte en elle le despotisme, en ne traitant plus que des masses amorphes non individualisées. Cela a commencé avec la préparation de la vaccine sur les orphelins pour maintenir la souche, Pasteur a continué sur la même lancée, en fraudant massivement ses résultats —les héritiers du Dr. Roux, illustre collaborateur de Pasteur, ont publié la correspondance entre Brouardel et Pasteur, nous faisant ainsi découvrir comment on a masqué la mort d’un enfant inoculé par de l’extrait de moelle desséchée d’animal rabique en la faisant passer pour une crise d’urémie, permettant ainsi de sauver la science française.[63] En ce qui concerne l’éthique, en 1884, Louis Pasteur lui-même écrit à l’empereur du Brésil pour lui demander l’autorisation de contaminer des condamnés à mort avec le choléra afin d’essayer sur eux des traitements.[64]
    11. Au nom maintenant d’une théorie délirante comme la heird immunity l’immunité du troupeau —enfin de groupe— le massacre va maintenant porter aussi sur les enfants[65], surtout que nous sommes sur le chemin de l’élimination du consentement parental.[66] et les femmes enceintes —une méta-analyse a recensé 192 études et trouvé un taux de létalité chez les femmes enceintes atteintes de Covid-19 de 0,02%, décès toutes causes.[67]
    12. Et nous devrions croire sur parole des laboratoires véreux[68] qu’une injection génique expérimentale, produirait —sans le moindre recul connu— le résultat que jamais la vaccination n’a atteinte depuis que la pratique existe ?
    13. Pour ma part j’ai vraiment éclaté de rire quand on nous a annoncé une efficacité de 95% avec des études qui ne sont même pas en double aveugle. En cette fin de 2021, les preuves ne cessent de s’accumuler concernant la supercherie de ces « zétudes ».[69],[70],[71],[72] Dès le début il était facile aussi de penser que la mutation incessante du Coronavirus servirait d’excuse facile aux inoculateurs pour justifier leurs lamentables échecs. Quant à la blague que constitue les autorisations de mise sur le marché, l’ANSM, gendarme Français du médicament, se désintéresse totalement du fait qu’à ce jour (29/10/21) la dispensation des quatre vaccins anti-Covid puisse être réalisée de manière parfaitement illégale sur son sol : En effet, celle-ci se trouvait incapable de documenter que les Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles (AMMc) régissant l’écoulement de ces produits n’existent encore…[73]
    14. Un groupe de 57 scientifiques, médecins et experts politiques de premier plan a publié un rapport appelant à remettre en question la sécurité et l’efficacité des « vaccins » COVID-19 actuels, et réclame maintenant la fin immédiate de tous les programmes de vaccination. Parmi eux se trouve la généticienne Alexandra Henrion-Caude —qui mérite d’être élue femme de l’année.[74]
    15. Nous étudierons en détails dans le chapitre suivant « Et vous Peuples infortunés » les ravages de la vaccination forcée. 
    16. Le tout étant servi aux Peuples grâce à un appareil de propagande relayé par les innombrables collabos et autres idiots utiles[75],[76],[77] qui relègue au niveau de la maternelle les Goebbels et maîtres à penser de la manipulation des masses, mettant en jeu des mécanismes comme la réduction de dissonance cognitive ou le syndrome de Stockholm :
      1. Souvenons-nous comment Orson Wells[78] —l’ancêtre de nos manipulateurs actuels— avait réussi à faire croire à un débarquement des martiens seulement en se servant d’une chaîne de radio. Imaginez la puissance de feu de tous les médias confondus…

« L’affirmation pure et simple, dégagée de tout raisonnement et de toute preuve, est un des plus sûrs moyens de faire pénétrer une idée dans l’esprit des foules. Plus l’affirmation est concise, plus elle est dépourvue de toute apparence de preuves et de démonstration, plus elle a d’autorité. » Gustave Le Bon.

    1. La première des erreurs les plus communes[79] sur la façon dont fonctionne la propagande officielle consiste à penser que son but est de tromper le public en lui faisant croire des choses fausses (le masque nous protège, le vaccin nous protège, les mesures sanitaires nous protègent, etc)… Toutefois, même si les propagandistes sont bien contents quand quelqu’un croit à leurs mensonges, la tromperie n’est pas leur but premier.
    2. Le premier des buts de la propagande officielle est de générer une « narrative » qui peut être mécaniquement répétée par les classes supérieures et ceux qui les soutiennent et s’y identifient. Cette narrative officielle n’a pas à être cohérente ou crédible, ni à résister à l’examen critique. Sa plausibilité n’est pas l’important. L’important est de dessiner une ligne Maginot, une frontière idéologique défensive, entre le « Bien » tel que défini par les classes supérieures et les vérités qui contredisent la narrative officielle.
    3. Dans des sociétés ouvertement despotiques, les enjeux de ce type de choix (se conformer ou désobéir) sont souvent la vie ou la mort. Dans nos sociétés occidentales (pour ceux d’entre nous qui ne sommes pas des guérilleros militants), les conséquences du non-conformisme sont généralement plus subtiles, mais les pressions restent intenses. Se conformer à la « réalité » consensuelle produite par ces narratives est le prix de l’admission dans le saint des saints où les emplois, l’argent, le prestige professionnel et les autres récompenses du capitalisme se trouvent. Se conformer aux narratives n’implique pas d’y croire. Cela demande juste une allégeance et une obéissance inconditionnelle. Ce que l’on croit en réalité n’a aucune importance, du moment que l’on répète, comme un perroquet, la narrative officielle du moment.
    4. Pour résumer, la propagande officielle n’est pas destinée à duper le public (pas plus que les phrases d’un rôle d’acteur ne sont destinées à tromper l’acteur). Elle est destinée à être absorbée et répétée, quelle que soit son invraisemblance. De fait, elle est souvent plus efficace quand ceux qui sont forcés de la répéter comme des robots savent qu’elle est complètement stupide, parce que l’humiliation d’avoir à le faire cimente leur allégeance à la classe supérieure.[80]
  1. Que les mesures imposées liberticides, incohérentes, illogiques et arbitraires (port du masque, distanciation, assignation à domicile, fermeture de tous les magasins) étaient non seulement hors de proportion avec le fléau supposé mais contraires au bon sens, sans la moindre justification scientifique, ou ayant déjà fait preuve de leur inefficacité.[81], [82], [83], [84], [85], [86], [87]
    1. Combien de vies ont été sauvées grâce à la fermeture des rayons slips, chaussettes et tee-shirts ? Combien de transmissions n’ont pas eu lieu grâce à l’arrosage frénétique des mains avec des produits chimiques déversés par milliards de tonnes dans la nature, et remplis de perturbateurs endocriniens ?[88] Plus de 150 milliards de masques sont produits chaque mois, sans le moindre recyclage.[89] Il est à craindre qu’un nouveau continent de plastique ne flotte à la surface de ce qui reste de nos océans.
    2. Concernant les masques, personne ne s’est soucié de citer la grande étude chinoise[90] publiée dans Nature, aux chiffres astronomiques de 10 millions de patients (la dictature a parfois du bon) qui a clairement montré que les sujets asymptomatiques ne sont pas contagieux.
    3. Le port du masque est un marqueur de la soumission populaire aux mesures débiles gouvernementales —on imagine la jouissance perverse des Macron et consorts à l’idée d’avoir réussi à faire respirer tout le monde dans ses propres crachats… Au même titre que le voile islamique dans les pays soumis à l’oppression de la charia, le despotisme d’état se charge par la violence de vous rappeler à l’ordre établi.[91]
    4. L’assignation à résidence— justifiée par des modélisations douteuses, notamment celle du très influent Pr. Ferguson. Sans doute dans le besoin malgré les généreux financements de la Fondation Gates, ce dernier a utilisé un programme digne de Sim City, lui permettant de prévoir 500.000 morts en Grande Bretagne, puis finalement 20.000.[92] La plus grande panique de l’histoire et la paralysie inédite de l’économie reposent sur des spéculations délirantes. Le code concernait un modèle de grippe conçu en 2005 pour Taïwan.[93] Plutôt que de mettre le code à la disposition des autres acteurs du domaine pour qu’ils puissent l’examiner à ce moment-là et contribuer à influencer les mesures prises par les gouvernements, Ferguson a choisi de s’adresser à Microsoft. Pourquoi ? Pour réécrire le code et l’améliorer. Ainsi, personne n’a pu voir le vilain code original utilisé pour créer un mauvais modèle que les gouvernements ont utilisé pour enfermer tout le monde. Depuis quand Microsoft est-il devenu l’expert en modélisation des épidémies ? De toutes les mesures qu’il aurait pu prendre, il s’est adressé à Microsoft, et non à d’autres experts en la matière pour modéliser correctement la pandémie. C’est troublant. Pourquoi ? Serait-ce dû à une certaine loyauté ou influence liée à Microsoft ? Peut-être au fondateur de Microsoft, Bill Gates ? La Fondation Gates a financé l’Imperial College à différents moments. Observez l’écart des dates entre lesquelles le financement a été multiplié par … 29 ! (29x).
      En 2010, 2 millions de dollars ont été versés à l’Imperial College :
      https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates1.jpg
      En mars 2020, ce sont 79 millions de dollars qui ont été versés à l’Imperial College: ! https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates2.jpg

Partout où l’on se tourne, on retrouve l’empreinte de la main de Gates au travers de sa Fondation Bill et Melinda Gates.[94]

  1. Que tout serait fait pour pousser à la vaccination obligatoire —et même sous contrainte— de la population mondiale, si tant est qu’on appelle « vaccins » des injections géniques expérimentales effectuées en violation du droit international.[95]
  2. Que les voyages mais aussi tous nos gestes quotidiens seraient soumis à l’obligation vaccinale qui sera appelée à devenir perpétuelle,
  3. Que la restriction des libertés annonçait la mise en place d’une dictature à la chinoise[96], basée sur un techno-contrôle permanent d’abord au moyen de passeports sanitaires, puis à terme à base de puces RFID, reconnaissance faciale et autres 5G, le sujet du système devenant « connecté » au même titre que sa voiture ou son frigo.[97]

Le loup mondialiste est sorti du bois.

Cette guerre contre les Peuples ne nous laisse d’alternative que de vaincre ou mourir. Non, il n’y aura plus jamais ni repos ni retour en arrière tant que n’auront pas été châtiés les instigateurs et les complices de ce « coup » mondial avec son narratif délirant et burlesque d’une pandémie qui n’existe pas, imposé à l’unisson[98] par les gouvernants et relayé en boucle par les médias. John Ioannidis, probablement le plus grand épidémiologiste actuel, affirme dans une étude publiée par l’OMS[99], mais passée complètement à la trappe depuis octobre 2020 que

« The inferred infection fatality rates tended to be much lower than estimates made earlier in the pandemic. »

Notre savant aime les euphémismes : il y a en effet un facteur 14 entre les premiers chiffres — qui ont servis de référence pour déclarer la pandémie et imposer toutes les mesures folles— donnés par les autorités sanitaires chinoises et la valeur constatée par le Dr Ioannidis. Grâce au Covid, la corruption généralisée apparaît au grand jour et beaucoup de nos confrères qui vivaient dans le confort douillet du consensus découvrent en exerçant leur sens critique l’horreur de la guerre permanente de désinformation, le mensonge dans lequel notre profession baigne, la répression en cas de transgression de la doxa officielle, et la manipulation dont ils sont l’objet pour les inciter à croire qu’en étant au « top » des nouveautés, ils font de la bonne médecine.[100] Cette même guerre qui nous était livrée depuis des générations d’homéopathes est désormais devenue mondiale.

La science représente un puissant outil dans la recherche de la vérité, mais quand elle est dévoyée par l’argent, surgit la fallacieuse notion de « preuve scientifique », un oxymore destiné à vendre aussi bien une traversée en Titanic ou un vaccin.

Il est probable que jamais l’humanité n’a encore dans son histoire encouru une telle menace, non pas à cause d’un virus mortel, mais d’un simple rhume qui sert de prétexte à l’instauration d’une tyrannie oligarchique. Si l’on m’explique que vous avez bouté le feu à votre maison parce qu’il y avait un moustique dans le salon, c’est la preuve que soit vous êtes complètement fou, soit que le moustique ne fait que servir d’excuse au pyromane. De même les mesures apparemment démentes prises comme un seul homme par (presque) tous les gouvernements face à une menace nulle ne deviennent logiques que si l’on change de paradigme et qu’on réalise que les gouvernements n’œuvrent plus dans l’intérêt des peuples et des nations, mais selon l’agenda d’une structure supérieure qui les contrôle tous :

:.

Les tendances et les déclarations financières mondiales indiquent une refonte sismique de la gouvernance et des systèmes financiers qui se joue sous la surface de la pandémie de Covid-19 et qui va bien au-delà du domaine de la santé.

Le renforcement du contrôle centralisé peut créer un gouffre infranchissable entre une petite poignée de gagnants et une majorité de perdants. ….

Les preuves suggèrent que les vaccins coronavirus, véritables chevaux de Troie, pourraient remettre en cause l’intégrité corporelle et le consentement éclairé de manière totalement nouvelle, en transportant des technologies invasives dans le cerveau et le corps des gens.

Des technologies telles que les interfaces cerveau-machine, les dispositifs de suivi de l’identité numérique et les puces compatibles avec les crypto-monnaies contribueraient à l’objectif de la banque centrale de remplacer les monnaies par des systèmes de transaction et d’identification numériques et de créer une grille de contrôle mondiale qui relie la population mondiale au nuage de renseignements militaires-pharmaceutiques des technocrates mondiaux. En outre, l’utilisation des vaccins comme vecteur des technologies de surveillance annule toute responsabilité juridique.[101]

Tant pis — ou tant mieux ?— si je heurte ceux encore douillettement endormis dans le confort de la Doxa du système et qui se font une joie de partir à l’abattoir en chantant. Je n’ai jamais eu l’habitude de mâcher mes mots —pas plus que le Dr. Zelenko[102] ou Dr. Sucharit Bhakdi[103] ou encore le Dr. Michael Yeadon[104] dont je partage ici complètement les analyses : au-delà d’un simple crime crapuleux destiné à l’enrichissement sans limite de l’industrie, c’est probablement un génocide planétaire qui se prépare dans la joie et l’insouciance, avec le consentement —je devrais dire la soumission— d’une grande partie de la population.

Qu’on ne se méprenne pas : le sens du mot « génocide » est chevillé dans mes cellules, le néologisme a été forgé par Lemkin en prenant pour modèle le génocide arménien. Son professeur de droit lui ayant expliqué que les gouvernements pouvaient faire ce qu’ils voulaient des peuples administrés, comme on le fait d’un élevage de poulets, Lemkin s’est écrié « mais les gens ne sont pas des poulets ! » J’envie la France quand elle pleure un Oradour. Nous en avons connu des milliers dans le cours d’une extermination systématique, sans distinction d’âge ou de sexe.

C’est donc bien en pleine acceptation du terme que je déclare qu’à mesure que nous découvrons les effets et le contenu des « vaccins » imposés de vive force contre toute science ou raison par les gouvernements, nous avons la preuve d’une tentative de génocide. J’ignore quelle proportion de l’humanité survivra à ces poisons. Des plaintes devant la Cour Pénale Internationale[105],[106] ont été déposées, en Inde L’avocate Dipali Ojha,[107] principale avocate de l’Association du barreau indien, a intenté des poursuites pénales contre le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes, mais on se doute vu la corruption et le crime organisé que les chances d’aboutir sont minimes.

Au vu de la perversité —ce terme reviendra souvent dans mes commentaires— que nous constatons partout où l’on se retourne, seul Tocqueville me semble avoir clairement décrit pareille situation :

« Les Espagnols, à l’aide de monstruosités sans exemples, en se couvrant d’une honte ineffaçable, n’ont pu parvenir à exterminer la race indienne, ni même à l’empêcher de partager leurs droits ; les Américains des États-Unis ont atteint ce double résultat avec une merveilleuse facilité, tranquillement, légalement, philanthropiquement, sans répandre de sang, sans violer un seul des grands principes de la morale aux yeux du monde. On ne saurait détruire les hommes en respectant mieux les lois de l’humanité.[108] »

J’accuse !

J’accuse les mondialistes — cette ultra-minorité constituée de quelques grandes familles (Rothschild, Rockefeller, Carnegie, DuPont, Bush, Morgan, etc. et leurs coryphées comme Bezos, Soros, et Gates)[109] :

  • D’être majoritairement de dangereux psychopathes[110] avides uniquement de jouissance perverse ou des pires transgressions pour se sentir exister.[111]
  • D’avoir peu à peu accaparé la création de la monnaie dans le monde entier[112] depuis au moins la chute du Premier Empire.[113]
  • De contrôler ainsi les destinées des nations depuis au moins la fin du XIXème siècle, organisant pour leur profit les guerres ou révolutions qu’ils jugent utiles[114] : Guerre des Boers, Première Guerre Mondiale, Révolution Russe et instauration du Communisme,[115] etc.
  • De fomenter un complot mondial depuis des générations, en vue d’instaurer une gouvernance mondiale[116] sous forme d’un collectivisme oligarchique[117] dont la Chine représente le modèle —dès le 30 Mars 2020 Gordon Brown appelait à un gouvernement mondial « intérimaire », Attali au gouvernement mondial installé à Jérusalem[118],
  • De poursuivre depuis des générations une guerre mondiale secrète contre les Peuples[119] et de vampiriser les nations en forçant les états à une dette fictive en échange de la création de monnaie ex-nihilo.
  • D’avoir fabriqué de toutes pièces la pandémie Covid.[120],[121],[122],[123],[124],[125]
  • D’avoir breveté —à travers une multitude de sociétés dont le CDC, Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson— le génome sous tous ses aspects du SARS-Cov-2 depuis au moins 20 ans pour réaliser leurs objectifs,[126],[127]
  • D’annoncer la pandémie depuis des années avec beaucoup de perversion[128] via quelques porte-paroles dont Bill Gates[129] qui semble être le grand prêtre du système.[130],[131] Soudainement autoproclamé spécialiste de tous les problèmes planétaires et virologue, celui que l’histoire regardera sans doute comme l’un des plus grands criminels de tous les temps nous annonçait, dès le mois de Février 2020, qu’il n’y aurait pas de retour à la normale sans que la planète entière ne soit vaccinée.[132],[133]
  • De recourir sans scrupule à l’ingénierie sociale[134],[135] —notion purement communiste— au crime contre l’humanité et probablement au génocide mondial pour façonner « l’homme nouveau » — dont la tentation a toujours été la marque des régimes totalitaires —, issu de leur ancien délire eugéniste et transhumaniste.[136],[137],[138]
  • De ruiner l’économie mondiale afin d’imposer une future monnaie numérique[139] et un contrôle total technocratique[140] de la population [restante…] réduite en esclavage.[141] Tout sera fait pour nous présenter comme seule solution le gouvernement mondial pour « sauver les banques. »
  • D’organiser une destruction —une sape— des fondements de la société[142], notamment de par l’Open Society de Soros,[143] et une corruption systémique dont on ne peut se faire de représentation tant elle est omniprésente et disséminée.[144],[145] Il a suffi ainsi de faire déclarer la pandémie par le bon Tedros[146],[147] —l’homme de paille de Gates— pour que tout se mettre en branle comme une cascade de dominos, toutes les nations signataires du Règlement sanitaire international de l’OMS étant légalement tenues de suivre ce que le directeur général décide de faire en cas d’urgence.[148] L’affaire a été préparée d’avance selon un agenda qui force l’admiration : en faisant passer un rhume pour la peste noire, les corrompus savaient qu’ils pouvaient ensuite compter sur la lâcheté généralisée, la fuite de toute responsabilité pour entraîner le reste du monde avec eux.
  • D’avoir noyauté et infiltré à peu près tous les gouvernements, et toutes les instances internationales et nationales, officielles (comme l’OMS, la Banque Mondiale, le GAVI, etc.) ou officieuses (franc-maçonnerie dévoyée en parti politique comme le Grand Orient en France) [149],[150] et de posséder à peu près toutes les firmes industrielles, bancaires et technologiques.[151]
  • De ne même plus prendre la peine de dissimuler leurs objectifs mais de diffuser leur doctrine à travers des organisations comme le World Economic Forum[152] —son patron et maître à penser, Klaus Schwab étant aussi un Rothschild[153], la Fabian Society ou autres revues comme The Economist. La stratégie habituelle consistant à utiliser la fenêtre d’Overton pour habituer peu à peu la pensée du public à ce qui aurait été inimaginable auparavant.

J’accuse les trois secteurs criminels de plus en plus imbriqués —Big Finance, Big Tech et Big Pharma— de récolter les fruits de la « pandémie » Covid-19, tout en bénéficiant de relations étroites avec l’appareil de renseignement militaire[154],[155] . Ceci a permis de créer le plus grand transfert de richesses de l’histoire de l’humanité et une montée en puissance énorme de la technocratie mondiale, une forme de contrôle centralisé, dirigé par des experts, sur la production et la consommation des ressources, que le Wall Street Journal a qualifié de « règle antidémocratique par des élites qui pensent mieux savoir. »[156]

J’accuse les laboratoires pharmaceutiques —notamment Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson, Astra Zeneca— de constituer depuis le début du XXème siècle les pires organisations criminelles que le monde ait connues :

  • D’avoir déposé des milliers de brevets concernant le Coronavirus depuis 2000, d’avoir préparé et planifié la crise actuelle de concert avec la troïka Gates, Fauci, Tedros. Le génome du SARS-Cov2 a été ainsi breveté depuis de longues années, avec toutes les variantes connues de la protéine Spike (malgré leurs moyens illimités, ces messieurs ont quand même réussi à faire la bourde de déposer le brevet du futur vaccin quelques heures avant le dépôt du brevet du Coronavirus).[157]
  • D’avoir provoqué la fermeture de tous les hôpitaux homéopathiques[158] aux USA dès les années 1910 et imposé la médecine chimique sous la forme que nous connaissons, détruisant la santé de l’humanité depuis des générations.
  • D’être obsédés par la destruction de l’homéopathie, le seul édifice médical logique et scientifique capable de leur faire de l’ombre et de guérir les gens
  • De mener depuis cent ans une guerre incessante contre l’homéopathie afin de la discréditer[159] et détenir le monopole d’une médecine non-scientifique basée sur l’administration arbitraire de drogues pétrochimiques au gré de statistiques toujours falsifiées.

J’accuse la troïka Gates — à travers de sa fondation « philanthropique » Bill et Melinda et autres affidés comme l’Open society de Soros et la Clinton fundationFauci[160] — avec sa mainmise sur les CDC, ce dernier se retrouve aujourd’hui accusé d’avoir pris des mesures contraires à l’éthique et aux connaissances,[161] Tedros —avec sa haute main sur l’OMS, d’être les exécutants d’une affaire patiemment préparée —un hold-up mondial— depuis au moins deux décennies, aboutissant à une ahurissante toile d’araignées impliquant à peu près tous les secteurs[162] — avec l’aide inestimable du Parti Communiste Chinois[163] dont notamment :

  • Tripotage de la définition de la pandémie dès 2009[164]
  • Assujettissement des gouvernements aux décisions de l’OMS en cas de pandémie
  • Infiltration de toutes les instances internationales comme l’ONU, la Banque Mondiale, etc.
  • Recyclage de l’argent sale grâce à une galaxie d’ONG et autres fondations —gravitant autour de l’ONU par exemple— n’ayant de comptes à rendre à personne.[165]
  • Contrôle total des médias (ANP, AFP, REUTERS, eux même affiliés à European journalism center et Project syndicate, lesquels appartiennent comme le reste du monde à des compagnies comme Black RockVanguardStreet State ou Berkshire Hataway) et des réseaux sociaux via leur complices. Citons en France par exemple les dix milliardaires qui contrôlent toute la presse.[166]

J’accuse nos gouvernants de complicité totale avec les mondialistes et de conspirer contre la paix en créant une fracture irréconciliable de la population au moyen de mesures discriminatoires qui violent toutes les constitutions démocratiques[167] —le citoyen qui cotise pourtant à ses assurances sociales se voit refuser l’entrée à l’hôpital (chose jamais vue de mémoire d’homme), les délations pleuvent contre les mauvais porteurs de masque qui ont l’outrecuidance d’entrer dans un magasin, on refuse d’évacuer des non-vaccinés[168], les brutalités policières innommables s’abattent sur les gens au prétexte de non-port de masque[169], etc.

J’accuse l’ensemble de la classe politique —à de rares exceptions près— de connivence avec les gouvernements en place. Leur silence assourdissant alors que tous les principes démocratiques sont violés quotidiennement démontre leur culpabilité, et signe le pourrissement déjà ancien de nos sociétés où la démocratie est réduite à un simple théâtre avec de l’opposition contrôlée.

J’accuse de collaboration et de trahison tous les minables appartenant à des rouages divers de la société et qui ont tout fait pour imposer le nouvel ordre établi : Ordre des Médecins, Juges autres magistrats, Policiers, Syndicats, etc.

  • Une mention particulière ici au sujet de la lâcheté de l’immense majorité des médecins qui ont servilement accepté les consignes gouvernementales tout en sachant pertinemment leur absurdité. Ils ont ainsi trahi la confiance de leurs patients, tout en se couvrant d’une honte qui sera difficile à effacer.

Tous ces gens, du haut en bas de l’échelle, devront répondre avec leurs maîtres mondialistes des accusations de :

  • Complot mondial et escroquerie en bande organisée
  • Crime contre l’humanité (refus de soins à la population, meurtre des personnes âgées, injection forcée de substances expérimentales en violation du droit international,[170] de la liberté du refus de soin, et de toute éthique[171])
  • Crime contre l’économie (destruction volontaire de pans entiers de l’économie, assujettissement des victimes aux « aides » fournies et chantage au vote —c’est la même relation entre un mari alcoolique violent et son épouse—, pénuries organisées, inflation massive notamment des denrées céréalières[172])
  • Crime contre la société :
    • Ingénierie sociale,
    • Discrimination,[173] qui constitue le premier pas vers l’exclusion puis l’extermination, car il est facile de prévoir que tout sera fait pour faire porter le chapeau aux non-vaccinés —la situation sera bientôt catastrophique selon soit les effets délétères des vaccins soit carrément de par l’émergence de nouveaux variants naturels ou pas. L’Autriche, partie natale d’un artiste peintre tristement célèbre, vient de décider de confiner les non-vaccinés ![174]« La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. » Mathieu Slama
    • Agnotologie (production méthodique de la bêtise, de l’ign
    • orance, du doute et de la désinformation), l’affiche ci-contre illustre bien le propos[175]
    • Destruction systématique de tous les repères —ainsi que l’avait annoncé Soljenitsyne dans son fameux discours de Harvard[176],
    • « Cancel culture » et autres aberrations comme la théorie du genre.

L’issue de la crise passera par une révolution sociétale de fond en comble avec la révision du rôle de l’industrie, notamment dans la médecine, et la remise en cause de la notion d’enrichissement personnel illimité introduit par Voltaire.[177] Rousseau quant à lui avait bien réalisé que :

Jamais dans une monarchie l’opulence d’un particulier ne peut le mettre au-dessus de la volonté du prince. En revanche dans une république elle peut le mettre aisément au-dessus des lois.

Seule l’insurrection populaire permettra de mettre les mondialistes et leurs complices hors d’état de nuire. Ces hyènes agissant dans l’ombre depuis toujours ne sont que des tigres en papier, futurs gibiers de potence et les peuples forcés à l’inoculation de poisons se trouvent désormais en situation de légitime défense. Que la sainte colère des peuples abusés se lève !

« Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. » Ep 6.12

A titre de réflexion songeons que les Français ont décapité un roi innocent et qui ne voulait que le bonheur de son peuple. Que ferons-nous d’un Macron, séide des mondialistes, qui empoisonne délibérément les Français ?

Les derniers mots de Louis XVI sur l’échafaud « Et vous peuple infortuné » résonnent à nos oreilles comme une douloureuse prophétie. Ce sera le titre de notre prochain chapitre.

Il faut détruire le mondialisme ![178]


Notes

  1. David Rockefeller lors de la réunion des Bilderberger, à Baden en Allemagne, en juin 1991. Rockefeller a consacré sa vie au gouvernement mondial unique, c’est-à-dire au Nouvel Ordre Mondial (NWO). Il a fondé la Commission trilatérale et fait partie intégrante du Council on Foreign Relations. 
  2. Pour ceux qui désirent en savoir plus sur le génocide arménien, le site « Imprescriptible » est une référence. 
  3. Pour savoir ce qu’est le sort et la condition du dimmi en terre d’Islam. 
  4. Voir la Déclaration des Droits de l’homme de 1793-ch 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ». 
  5. Voir le documentaire Hold-Up de Pierre Barnerias et Philippe Cossé. Mon intervention complète en HD, ici
  6. Voir l’article de notre excellente Nicole Delepine : La peur basée sur une épidémie de rhume. Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.Même si le Covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.N’ayez plus peur. 
  7. Voir l’article sur le Courrier des Stratèges, et le pdf du rapport ici
  8. De 2003 à 2009, une pandémie a été définie par l’apparition de « plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies » ; un changement a été opéré entre le 1er et le 9 mai 2009, faisant disparaître le critère de gravité. Le contenu des pages Internet de l’OMS a été modifié, sans changer la date affichée.Pour sa part, l’OMS affirme que la définition de base de la pandémie n’a jamais changé. Citée par M. Tom Jefferson lors de son audition par la commission des questions sociales, de la santé et de la famille de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe le 29 mars 2010, Mme Nathalie Boudou, porte-parole de l’OMS, a justifié le changement de définition sur le site de l’OMS par la correction d’une « erreur », en affirmant que la définition correcte d’une pandémie devait faire référence à l’apparition de foyers dans au moins deux régions du monde, mais n’avait rien à voir avec la gravité de la maladie ou le nombre de décès. Voir le pdf
  9. La plupart des cas ont réagi favorablement pour amener à une guérison en quelques jours après la prise d’Ammonium Carbonicum, médicament dominant de l’épidémie, déterminé dès avril 2020. Nous comptabilisons avec nos étudiants plus de cent cas traités avec succès, dans n’importe quel stade de l’affection. 
  10. Voir le Figaro
  11. Voir le résultat de la commission sénatoriale. 
  12. Voir la falsification de l’étude, jamais publiée dans les médias standards et bien entendu aucune mesures prises à l’encontre de l’homéopathie n’ont été remises en cause… 
  13. À l’origine de cette étude bidon financée indirectement pas les sociétés-écrans de Bill Gates et un hôpital londonien, il y avait la société Quartz Clinical et sa directrice du marketing et des ventes, une certaine Ariane Anderson. Directrice marketing et des ventes d’une société qui produit une étude mondiale sur les dangers d’un médicament qui a été consommé par des milliards d’individus (il a en été vendu jusqu’à 1 milliard de cachets par an dans le monde), c’est quand même un sacré poste à responsabilité ! La société à l’origine de « l’article » du Lancet, la société de Big Data qui a fourni les « données » d’observation de l’étude… n’existe pas !C’est une société totalement bidon. Elle aurait été créée en 2007 par Sapan Desai, un des auteurs de l’article, et n’a jamais connu la moindre activité, n’a jamais payé d’impôts, aurait été dissoute ou suspendue à plusieurs reprises. Voir l’article de RR.On se dit que cette dame doit être bardée de diplômes et qu’elle doit avoir une expérience professionnelle à faire pâlir le docteur Raoult et les plus grands experts chinois qui ont osé vanter les effets thérapeutiques de ce médicament. On trouvera plein de photos de la dame à divers degrés d’habillement sur Internet. Cependant les « meilleures » ont déjà été retirées du Web… Voir ici
  14. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  15. Une honte de plus pour l’institut Pasteur, qui reste fidèle cependant au modèle de fausse science de son fondateur. L’étude truquée, prépubliée en juin, a été supprimée, d’un coup de baguette magique ! Tout simplement ! Plus besoin de revue par les pairs ! (L’investisseur sans costume l’a cependant soigneusement conservée  pour ceux que ne rebute pas un texte scientifique en anglais.) 
  16. Voir à cet égard le remarquable travail de vulgarisation et de synthèse accompli par Odon Lafontaine au travers du Grand Secret de l’Islam
  17. Voici le résumé par Fuellmich lui-même « Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent ».« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes ».« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé —n’en déplaise au bon Docteur Knock. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement ‘normal’ ».« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires ». 
  18. Voir ici le pdf officiel de la FDA. On peut lire que « Étant donné qu’aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude a été réalisée, les tests conçus pour la détection de l’ARN du 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/µL) introduit dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique. »Une autre révélation du document est l’admission par la FDA que les résultats des tests sont « regroupés » pour produire des chiffres inexacts. La FDA fabrique littéralement des données dans le cadre du récit de la pandémie, et tout cela est révélé dans le document.Voir aussi l’excellent article de FDA.News : “FDA document admits “covid” PCR test was developed without isolated covid samples for test calibration, effectively admitting it’s testing something else” 
  19. Nicole Delépine signe un nouvel excellent article sur la PCR ici. Elle déclare : « En conclusion, la confirmation que les tests PCR ne sont pas fiables et ne devraient en aucun cas être utilisés par les gouvernements comme preuve de la « pandémie » vient de la FDA elle-même. Il est grand temps que nos dirigeants reviennent aux moyens classiques d’évaluer les épidémies : le comptage des malades et celui des morts de la maladie. » 
  20. Voir l’article ici
  21. Voir l’article de France Soir (l’un des seuls journaux ayant gardé l’éthique du journalisme). Voir sur KLA.TV le dossier Drosten, proprement accablant, puisque ce malfaiteur a même usurpé son titre de médecin, ainsi que l’a révélé Fuellmich. 
  22. Voir dans Times: « Testing firm can profit from sale of Covid swabs”. Il est ainsi possible que l’un des objectifs du test antigéniques soit le fichage généralisé de la population. Les mondialistes ont des dizaines de coups d’avance sur nous. 
  23. France Soir, RT, et Sud Radio, méritent toute notre admiration. Ce sont probablement les seuls médias qui respectent la vocation du journalisme et la charte de Munich qui demande entre autres de recueillir, analyser, vérifier, les informations de toutes origines afin de fournir une information loyale au lecteur. 
  24. En Belgique par exemple, La Libre offrait à ses lecteurs son petit manuel de diagnostic et conduite à tenir devant les vilains complotistes. Tandis que sur Facebook il était impossible de mentionner ne serait-ce que l’adresse www.adrreports.eu, site officiel européen de statistique des décès/var/folders/mr/_9dvc9_x6xgfbhgg6j3hcwk80000gn/T/com.apple.Notes/HardLinkURLTemp/AF2BDCA7-B473-4738-B82D-00C9604CD739/La Libre.png ../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-05-31%20à%2008.23.17.png 
  25. Voir la « Stratégie du choc » de Naomi Klein. Ne pas manquer cette vidéo
  26. « Voix ou pas voix, le peuple peut toujours être amené à se plier aux exigences des dirigeants. C’est facile. Il suffit de leur dire qu’ils sont attaqués et de dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme et pour le risque qu’ils font courir au pays. Cela fonctionne de la même manière dans n’importe quel pays. » Hermann Goering. 
  27. Le 14 octobre dernier, une rencontre avec Barbara Stiegler a été organisée par la librairie Mollat de Bordeaux à l’occasion de la sortie de son livre « Nietzsche et la vie : une nouvelle histoire de la philosophie » paru aux éditions Gallimard. La philosophe a pu présenter son ouvrage, et a livré une analyse très intéressante sur la manière dont le mot « complotisme » est instrumentalisé pour museler les oppositions. 
  28. Les exemples surabondent. Je me contente de citer ici l’article de l’express qui dénigre Mme Wonner, photographiée sous l’angle le moins avantageux possible. C’est un modèle du genre. 
  29. Nous devons ce bon mot à Christian Greiling, le remarquable auteur entre autres du blog les Chroniques du grand jeu
  30. Le Monde se vante d’avoir publié en son temps le manifeste des 343 mais refuse de publier toute tribune de discussion sur la vaccination. Les exemples peuvent se multiplier à l’infini. 
  31. Citons rapidement ici les cuistres comme La tronche en biais, les cercles zététiques. M. Buisseret, mieux que quiconque incarne ce phénomène : aucune formation scientifique, ayant à son actif la réalisation d’un film pitoyable, il est persuadé de devenir l’arbitre des élégances en science. Quelle déchéance ! 
  32. Voir par exemple cet article, pour ceux qui n’ont pas eu la chance de connaître en « live » ces événements en Roumanie. 
  33. « COVID-19 – du mythe aux statistiques », auteur anonyme, 9 février 2021, lien direct, lien archivé. Observons combien de morts en plus nous aurions eu à déplorer de 2015 à 2019 si pendant ces années nous avions souffert de la mortalité de 2020 hors-COVID-19. Le tableau suivant tient compte des décès déclarés « COVID-19 » à l’hôpital et en EHPAD, mais pas à domicile [47–50, 54, 56] :
    annéesurmortalité2015-490362016-331592017-339472018-256932019-1762Les grippes saisonnières ? Disparues ! Des dizaines de milliers de personnes ne seraient pas mortes si de 2015 à 2019 nous avions refusé l’accès des hôpitaux aux personnes âgées, dissuadé les malades de consulter, diminuer significativement la consommation de médicaments et paralysé l’économie pendant des mois. C’est à se demander si les autorités sanitaires n’étaient pas complètement folles de ne pas mettre à la poubelle plus tôt toute l’organisation publique de la santé. Grâce à la COVID-19, la France a connu en 2020 un âge d’or médical parfaitement inconnu avant le 17 mars 2020. Faut-il considérer que la COVID-19, les confinements, les couvre-feu, les abandons de soins, les lits d’hôpitaux supprimés, les médecins maltraités, les populations martyrisées, les enfants traumatisés, les commerçants ruinés et les libertés individuelles annulées on réussi à vaincre le cancer, la grippe, le diabète, l’hypertension, la sclérose en plaques, bref, toutes les maladies à l’exception de la COVID-19 ? Voir l’article complet ici. 
  34. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  35. Voir l’article complet sur le site de l’AIMSIB. En Inde 97% de guérison rapide avec le variant Delta. Chez nous, la permanence Riviera-Chablais, qui traitait les patients Covid avec de l’ivermectine depuis janvier 2021 et jusqu’à la semaine dernière, les bons résultats du traitement vantés sur Facebook ont valu aux responsables de la Providence une convocation face au Comité Médical de l’HRC, composé de tous les médecins chef(fe)s de service, du directeur médical, et du doyen. Résultat : malgré un bilan de 350 à 400 patients guéris jusqu’ici, l’ivermectine est désormais interdite. 
  36. Par exemple les données Sentinelles (711 généralistes et 70 pédiatres libéraux) montrent un taux d’incidence de 24/100.000 en semaine 10 !Le taux d’incidence du SARS-CoV-2 de la 10ème semaine de 2021 est de 24 cas/100.000, et non de 700 (Alpes maritimes) ou 900 (Dunkerque) comme l’affirme le gouvernement pour terroriser tout le monde !La tendance est plutôt stable depuis mi-novembre dans toutes les tranches d’âge, selon ce rapport, ce que l’on appelle des données consolidées depuis 4 mois maintenant.Ce chiffre correspond à 16.177 nouveaux cas pour toute la semaine 10, ce qui représente 2311 par jour dans toute la France et non les 40.000 cas annoncés ! 
  37. Voir l’article remarquable sur le site Anthropologiques. 
  38. Philippe Édouard (Premier ministre), « Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire », Journal Officiel de la République Française, lois et décrets, no. 77, texte 11, 33-34 (29 mars 2020), lien sur le site de Légifrance
  39. Jusqu’en novembre 2020, l’OMS admettait que l’immunité peut être procurée par l’infection ou par la vaccination, le 13 novembre 2020, l’OMS affirme que l’immunité collective d’une population ne peut être atteinte que par la vaccination et non par l’infection naturelle ! Ceci est réaffirmé le 31 décembre 2020 pour la Covid-19, tout en reconnaissant qu’on ne connaît pas le seuil de couverture vaccinale à obtenir pour atteindre cette immunité collective !A noter que seule la définition du 31 décembre 2020 est encore accessible, les précédentes sont visibles sur la capture d’écran ci-dessous)../../../Downloads/capture-decran-2021-10-02-a-103329.pngDans une récente publication, l’institut John Hopkins n’évoque que l’immunité vaccinale dans une discussion au sujet de l’hypothétique immunité de groupe à attendre contre la Covid (2).Même le Wall Street Journal, incroyablement pro-vaccins, a récemment publié un article sur ce sujet. Habituellement, le WSJ laisse ses articles sur la page des opinions pendant environ une semaine. Mais en moins de 24 heures, le WSJ a enterré cet article sur l’immunité naturelle. L’article du WSJ traite de l’immunité des muqueuses par rapport à l’immunité interne. L’auteur (un neurologue) affirme que si les vaccins stimulent l’immunité interne, ils ne font rien pour l’immunité des muqueuses. 
  40. L’immunité naturelle est au bas mot 13 fois supérieure à celle supposée du vaccin. « Une nouvelle étude israélienne suggère que l’infection naturelle offre une bien meilleure protection contre la variante delta que les vaccins, et ce après qu’on ait dit aux Américains que les vaccins offraient une meilleure protection que les infections naturelles. Le Dr Anthony Fauci et le reste des conseillers COVID du président Biden ont une fois de plus prouvé qu’ils avaient tort concernant la « science » des vaccins COVID. L’étude a été décrite par Bloomberg comme « la plus grande analyse réelle comparant l’immunité naturelle – acquise lors d’une infection antérieure – à la protection fournie par l’un des vaccins les plus puissants actuellement utilisés. » 
  41. Voir la propagande vomitive qui a été servie sans cesse à tous les peuples par les médias aux ordres. Par exemple en France : « Vers un retour à la normale à l’hiver 2021 ? C’est ce qu’affirme le fabricant de vaccins BioNTech » ; « Covid-19 : à quand, grâce au vaccin, un retour à la vie normale ? » ; « Pour une majorité de la population, le retour à la vie normale passe par la vaccination, dit une étude » ; « Covid-19 – Vers un retour à la normale à l’automne 2021 ‘si on arrive à vacciner 80-90% des Français’, selon le Pr Fontanet » ; « Covid-19 : un an après le confinement, quand espérer un retour à la ‘normale’ ? » ; « « Sans vaccin, pas de retour à la normale dans le sport », prévient Roxana Maracineanu » 
  42. Voir le terrible témoignage de ce directeur de pompes funèbres. 
  43. Ne manquez pas l’étude bidon commanditée par Veran pour confirmer son propre discours. L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200000. Les vrais journalistes d’investigation de France soir y sont allés de leur côté, ils trouvent une explications au million mystérieux; 1,1M de vaccines auraient été comptés et appariés deux fois. Toutes les hospitalisations Covid n’ont pas été prises en compte. Un total de 26000 hospitalisés depuis le 11 février jusqu’au 20 juillet pour cause de Covid selon l’étude, or au cours de cette même période selon Geodes nous en obtenons huit fois plus pour les catégories concernées : 80% des hospitalisations Covid ont disparu… 
  44. Ainsi Moderna a dissimulé 300.000 effets secondaires graves. Cette fuite provient d’un employé de la société de sous-traitance qui gère les déclarations. 
  45. Lorsqu’une personne décède dans les 60 ou 28 jours suivant un test positif au covid-19 – même si le résultat du test était faux – elle est automatiquement traitée comme un décès dû au covid-19 pour faire grimper les chiffres. Mais lorsque des jeunes gens en bonne santé meurent quelques heures après avoir été vaccinés, ces décès sont considérés comme de simples coïncidences. 
  46. Je renvoie le lecteur au site Sens et Symboles de l’excellent Dr. Olivier Soulier. Je le cite : « Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant. Au départ, j’avais cru à une simple coïncidence. Mais depuis, cette observation s’est confirmée à peu près partout dans le monde ! On a même vu plusieurs États, comme le Cambodge, qui n’avaient quasiment pas un seul mort de la Covid… jusqu’à ce qu’ils commencent le programme de vaccination de leur population :Le déploiement de la vaccination au Cambodge en février-mars a été suivi d’un pic de mortalité, alors que le pays avait été épargné par la Covid. Le même phénomène a eu lieu à Gibraltar, petit territoire britannique qui a vacciné encore plus massivement qu’Israël : alors qu’il n’y avait eu que 10 décès Covid au total en 2020, Gibraltar a déploré 44 morts Covid en deux semaines, en pleine campagne vaccinale.(À propos de Gibraltar, cela fait plus d’un mois et demi que 100 % de la population est vaccinée avec deux doses, ce dont rêve Emmanuel Macron… et pourtant, il y a là-bas 23 cas en ce moment, soit l’équivalent de 45 000 cas par jour en France !).Au total, il ne fait aucun doute que le vaccin commence par aggraver la situation avant d’avoir [éventuellement—NDLR] un effet positif sur les formes graves. Dans une analyse bénéfice-risque du vaccin, il faut absolument prendre cela en compte !Les calculs d’efficacité du vaccin qu’on vous donne dans les médias sont totalement faussés, parce qu’on ne regarde le risque de contamination qu’après 2 doses ! Or, cela écarte du calcul tous ceux qui ont été contaminés entre la 1ère et la 2ème dose à cause du vaccin ! C’est une raison de plus pour laquelle les « 95 % de protection » qu’on vous rabâche sont purement fictifs, l’efficacité du vaccin est certainement beaucoup plus faible ! 
  47. Les données VAERS publiées aujourd’hui par les CDC font état d’un total de 545 338 signalements d’effets indésirables, tous groupes d’âge confondus, après la vaccination par COVID, dont 12 366 décès et 70 105 lésions graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021. Voir ici
  48. Voir la vidéo de la députée. Mathilde Panot massacre la macronie avec élégance, et sans qu’on puisse vraiment lui opposer d’arguments tant la situation est folle. 
  49. Pfizer et BioNTech auraient donc obtenu un contrat commercial faramineusement avantageux pour eux. Le prétexte de la pandémie COVID 19 leur auraient permis d’être dégagé de toute responsabilité et de ne pas indemniser les victimes d’effets indésirables lors de cette phase 3 d’essai clinique en population générale. Les Etats supporteront le coût des indemnisations à moins de réussir à prouver que le laboratoire a commis une faute intentionnelle ou que les produits étaient défectueux. Sur ce dernier point cela sera proche de l’impossible tant les éléments de défense que pourraient évoquer le laboratoire pharmaceutique seront nombreux : rupture de la chaine du froid, erreur lors de la dilution, utilisation de 3 doses alors que le protocole n’en prévoit que 2, mélange entre les vaccins anti covid sur le marché, délai entre les deux doses non respecté… 
  50. La commissaire européenne a touché des millions en pots de vin pour signer les contrats Pfizer. Cela a été étouffé le plus vite possible et seul RT garde un page sur le sujet. Tout ceci est vraiment épouvantable. 
  51. Voir ici la remarquable étude du Stalk Institue. Scientists have known for a while that SARS-CoV-2’s distinctive “spike” proteins help the virus infect its host by latching on to healthy cells. Now, a major new study shows that the virus spike proteins (which behave very differently than those safely encoded by vaccines) also play a key role in the disease itself. The paper, published on April 30, 2021, in Circulation Research, also shows conclusively that COVID-19 is a vascular disease, demonstrating exactly how the SARS-CoV-2 virus damages and attacks the vascular system on a cellular level. The findings help explain COVID-19’s wide variety of seemingly unconnected complications, and could open the door for new research into more effective therapies. “A lot of people think of it as a respiratory disease, but it’s really a vascular disease,” says Assistant Research Professor Uri Manor, who is co-senior author of the study. 
  52. La Spike se retrouve à la surface des cellules endothéliales, ce qui explique sans doute que les effets massifs juste après les injections sont sans doute liés à une effraction vasculaire. De sorte que de très nombreux patients ont des d-dimères positifs : des milliards de capillaires sont affectés et cela génère des caillots. Les tissus cérébraux, spinaux, ou le muscle cardiaque sont directement attaqués. Au niveau pulmonaire on aura bientôt de nombreux cas d’hypertension pulmonaire avec au final défaillance du cœur droit. Voir ici le témoignage d’un médecin français. 
  53. On regardera avec profit le Dr. Hoffe détailler les effets du vaccin que les laboratoires et les gouvernants vont s’échiner à dissimuler. 
  54. Dans cette vidéo, le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., et plusieurs de ses collègues ont averti l’Agence européenne dès le début 2021 du danger potentiel de caillots sanguins et de thrombose veineuse cérébrale chez des millions de personnes recevant des injections expérimentales géniques.Dans cet épisode de Perspectives, le professeur Bhakdi explique la science derrière le problème, pourquoi il ne se limite pas aux produits déjà suspendus et pourquoi, à long terme, nous pourrions créer des systèmes immunitaires dangereusement hyperactifs chez des milliards de sujets involontaires). 
  55. Voir le Dr. Fleming sur Rumble. «  » Ajoutez le vaccin Pfizer et les globules rouges perdent leur capacité de transport d’oxygène et les globules rouges commencent à coaguler…. C’est exactement ce que nous constatons dans les rapports du VAERS. C’est exactement ce que nous constatons avec les dommages neurologiques, cardiaques et les caillots sanguins qui se forment dans le corps. C’est la preuve que ces vaccins causent ce type de dommages au microscope, simplement en étant ajoutés au sang d’un être humain… Je pense qu’il est temps que la FDA et le CDC fassent leur travail au lieu de faire semblant. » 
  56. Voir les articles désormais nombreux à la suite de la Quinta Columna qui a découvert le pot aux roses. Voir Graphene-based “neuromodulation” technology is REAL: Press release from INBRAIN Neuroelectronics describes brain controlling biocircuits using AI-powered graphene. Ceux que le sujet du graphene intéresse découvriront que la question n’est pas nouvelle :https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/03602559.2018.1542714?journalCode=lpte21https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0379677914001441https://aip.scitation.org/doi/abs/10.1063/5.0009186https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0008622312000644https://pubs.rsc.org/en/content/articlelanding/2015/ra/c4ra12591f/unauth#!divAbstracthttps://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0272884216301584https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0169433215008193https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X11007531https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X13007933 
  57. Voir cette vidéo de la Quinta Columna par exemple. 
  58. Voir ici le papier du Dr. Zalewski qui ne semble pas être un fumiste. Certains flacons de vaccins ne contiendraient qu’une solution saline, d’autres seraient « chargés ». 
  59. Voir le sort de l’action Cellectis par exemple. 
  60. Voir ici l’intervention du Dr. Peter McCullough. 
  61. Voir sur AIMSIB, la vaccination des sujets contacts, et l’effet Buchwald. Voir aussi l’article suivant : « en matière sanitaire les solutions à l’emporte-pièce brutales, généralisées et intuitives sont rarement génératrices des succès espérés. Nos formidables élites vont-elles se souvenir des erreurs passées ou replongeront-elles dans les mêmes ornières ? » 
  62. Pour rappel ici : ce n’est pas la vaccination qui a permis d’éradiquer la variole mais bien le confinement. Voir le rapport de l’OMS dont je cite maintenant des extraits. La létalité de la terrible maladie ne se compare en rien avec celle du Covid-19 :../../../Desktop/Létalité%20de%20la%20variole,%20rapport%20final%20OMS%20p19.pngLe rapport admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits :../../../Desktop/p32%20nécessité%20de%20l'endiguement.pngComme ici :../../../Desktop/p%2042%20soudan.pngEncore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » ../../../Desktop/p32%20changement%20de%20stratégie.pngNous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. » 
  63. Voir l’excellent ouvrage du Dr. Eric Ancelet, « Pour en finir avec Pasteur : Un siècle de mystification scientifique. » 
  64. L. Pasteur, Lettre adressée à Pedro II, empereur du Brésil, 22 sept. 1884, Archives Nationales, AB/XIX/3332. 
  65. Le risque de mourir du Covid pour un enfant est proche de zéro. La corruption généralisée vient de donner le feu vert à Pfizer pour injecter les enfants de 5 à 11 ans. On frémit quant à la suite. Nous nageons en plein cauchemar. 
  66. Le parallèle devient de plus en plus frappant avec le recrutement des Jeunesses hitlériennes, ce qui à soi seul nous montre la progression de la dictature. Voici deux gamins montrant fièrement leur point d’injection, heureux de pouvoir protéger les autres !  
  67. Voir l’étude du BMJ ici. Voir aussi l’excellent article de l’AIMSIB sur la vaccination des femmes enceintes. La plupart des essais ont également exclu les volontaires enceintes et allaitantes, ainsi que celles souffrant d’affections chroniques et graves telles que la tuberculose, l’hépatite C, l’auto-immunité, les coagulopathies, le cancer et l’immunosuppression Il n’y a évidemment aucun intérêt à vacciner, mon avis personnel est que cette vaccination doit aussi générer de nombreuses fausses-couches. Notez que les autorités fédérales ont décrété que les femmes enceintes font partie des personnes vulnérable, comme toujours avec du cherry-picking des études. Nous ne sommes plus à une honte près. 
  68. Voir ici la liste des amendes infligées depuis l’an 2000 à ces organisations criminelles. 
  69. La firme pharmaceutique Pfizer a probablement lancé la production de son vaccin anti Covid-19 à ARNm bien avant d’avoir obtenu de la communauté européenne l’aménagement CE2020/1043 s’agissant de la levée de la protection de ses habitants vis à vis des OGM et avant même d’avoir lancé sa phase III d’essais cliniques, persuadée de pouvoir obtenir son autorisation de mise sur le marché partout dans le monde en faisant intervenir l’ancien Directeur Général de la FDA américaine, Scott Gottlieb, qu’elle a recruté depuis peu.La technologie vaccinale employée est embryonnaire sur le plan des connaissances scientifiques et contient de nombreuses incertitudes en termes d’effets secondaires au-delà de 6 mois, tous non étudiés. La mutation naturelle des coronavirus est importante et de nombreux co-variants du SARS-CoV-2 initial circulent déjà sur l’ensemble du globe rendant chimérique l’idée d’un vaccin unique, efficace sur toutes ses formes actuelles ou futures.La responsabilité financière des effets post-vaccinaux graves de ces vaccins a été transférée sans difficulté aux Etats acheteurs, ce qui doit faire craindre une absence totale de prudence comme de transparence de la part de l’ensemble des fabricants qui essayeront de placer leurs produits au plus vite dans cette course au rendement financier, le respect des règles déontologiques de ces firmes étant rappelé comme nul depuis de longue date.De nombreuses voix émanant de la société civile s’élèvent déjà pour inciter à une vaccination ou obligatoire, ou ségrégationniste, reléguant les non-vaccinés Covid au rang de citoyens de seconde zone, sans aucune conscience de la manipulation financière qu’ils installent, aux dépens évidents de la santé humaine et de la paix civile.Les études cliniques parues dans le New England devraient attirer l’attention du lecteur sur un détail très inhabituel : Pfizer aussi bien que Moderna parlent de « observer blind ». Habituellement, on mentionne « double blind », et une recherche sur Google vous convaincra que ce terme est pour ainsi dire absent de la littérature. Voilà qui est étrange.PfizerModernaIci je dois évoquer la réponse embrouillée du Dr. Siegrist à ma question, en tentant de me convaincre qu’il s’agit d’un double —mais dans ce cas pourquoi ne pas l’écrire comme telle ?— tout en me disant qu’on avait levé le secret pour les testeurs. Nous sommes donc priés de croire au double aveugle alors qu’il y a eu « unblinding » ? Pour le Dr. Michel de Lorgeril que je respecte comme l’un de nos plus grands spécialistes en matière de statistiques et d’études cliniques, la réponse est claire : ce n’est pas une étude en double aveugle et dès lors les effets placebo sont majeurs, les deux études, Pfizer et Moderna, profondément biaisées.Peter Doshi, dans un article remarquable et incontournable, évoque ce qui ressemble bien à un joli bidonnage de l’étude de Pfizer, grâce aux données supplémentaires fournies par la firme à la FDA. Bricolage de groupes, exclusions arbitraires, tout fleure bon la fraude.Doshi écrit par exemple :« Toute l’attention s’est concentrée sur les résultats d’efficacité spectaculaires: Pfizer a signalé 170 cas de covid-19 confirmés par PCR, répartis de 8 à 162 entre les groupes vaccin et placebo. Mais ces chiffres étaient éclipsés par une catégorie de maladie appelée «covid-19 suspectée» – ceux avec un covid-19 symptomatique qui n’ont pas été confirmés par PCR. Selon le rapport de la FDA sur le vaccin de Pfizer , il y a eu «3410 cas au total de covid-19 suspectés, mais non confirmés, dans la population globale de l’étude, 1594 dans le groupe vacciné contre 1816 dans le groupe placebo. »« Avec 20 fois plus de cas suspects que de cas confirmés, cette catégorie de maladie ne peut être ignorée simplement parce qu’il n’y avait pas de résultat positif au test PCR. »« Même après élimination des cas survenus dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sous vaccin Pfizer vs 287 sous placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réactogénicité du vaccin à court terme, l’efficacité du vaccin reste faible: 29% »Que dire de la déclaration de partage de données de Moderna qui indique que les données « peuvent être disponibles sur demande une fois l’essai terminé ». Cela se traduit entre le milieu et la fin de 2022, car un suivi est prévu sur 2 ans ! Les choses ne seront pas différentes pour le vaccin Oxford / AstraZeneca, qui a promis des données au niveau des patients « lorsque l’essai sera terminé ». Et l’entrée ClinicalTrials.gov pour le vaccin russe Spoutnik V indique qu’il n’est pas prévu de partager les données individuelles des participants.Bien d’autres points pourront être soulevés, parmi lesquels le traitement à part des patients HIV. Pour quelle raison ? S’il s’agit de l’immunodépression, je gage que bien d’autres cas existent parmi 40.000 personnes. En outre quelle surprise de ne constater aucun décès parmi tous ces gens exposés au virus… 
  70. Voir l’article de l’AIMSIB qui démonte cette pantalonnade. Cette étude ne montre donc absolument Aucun bénéfice pour empêcher la mort par Covid-19 et encore moins un effet sur la mortalité globale de la part du vaccin Pfizer-BioNTech. Au contraire, le risque d’hospitalisation pour effets secondaires grave est plus que doublé.Dans ces conditions et avec cette étude publiée voici à peine plus d’1 mois, comment peuvent-ils encore affirmer que ces vaccins empêchent de mourir de la maladie, qu’ils sont sûrs et efficaces et surtout qu’il n’y a pas d’effets secondaires graves ou de morts provoqués par ces vaccins ? L’étude de Pfizer dit exactement le contraire.Un produit pareil en temps normal n’aurait JAMAIS été approuvé et/ou aurait été retiré immédiatement avec de telles données à 6 mois. Le bénéfice de ces injections est tout simplement négatif !En langage comptable cela se nomme un DÉFICIT ou une PERTE dont l’ampleur ou l’accumulation peut conduire à un redressement ou à une liquidation…De surcroît, n’oublions pas que ces données sont basées sur la souche initiale de Wuhan plus mortelle que le variant Delta. La balance bénéfice risque est donc encore plus négative aujourd’hui
  71. Une fraude de grande ampleur déjà surnommée le PfizerGate, impliquant la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais cliniques, et la Food and Drug Aministration (FDA), a été révélée hier par le British Medical Journal
  72. Le Dr. Peter Doshi, l’un des rares scientifiques à se battre pour la vérité déclare au Sénat américain : « Les essais cliniques n’ont pas prouvé que les vaccins géniques sauvent des vies. »Les études, réalisées par la société pharmaceutique elle-même, ont montré des incohérences et des dissimulations de données. Celles-ci laissent apparaître d’une part qu’elles ont été intentionnellement falsifiées pour pouvoir affirmer des résultats probants, d’autre part qu’en réalité, l’efficacité des injections géniques n’a jamais dépassé le seuil des 20 à 30%.Elles n’auraient donc jamais dû être approuvées pour leur mise sur le marché.Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses (article de Jean-Dominique Michel) : cliquer ici.Does the FDA think these data justify the first full approval of a Covid-19 vaccine? (article en anglais de P. Doshi dans le BMJ) : cliquer ici.Pfizer contre Pfizer : la dernière étude est frauduleuse, article sur Covidhub : cliquer ici
  73. Article AIMSIB
  74. Voir ici
  75. Comique, mais pas drôle, citons la mort d’un arrêt cardiaque juste après son injection, du grand acteur indien Vivekh engagé pour faire la promotion de l’inoculation. Il faut admettre aussi que le port du masque en solitaire dans sa voiture nous a révélé un nouvel étalon or de la connerie comme dirait Audiard
  76. La propagande totalitaire devrait tout de même essayer de se renouveler de temps en temps. Comparaison n’est par raison, mais les similitudes sont frappantes. Bon, évidemment notre médecin cantonal on ne l’imagine pas attaquer l’armée de César à lui tout seul et je ne suis pas certain de lire dans ses yeux l’éclat d’une intelligence surhumaine. Mais la même pose que les autres pour nous déclarer —aux antipodes de la science supposée— sa croyance dans la haute efficacité d’un vaccin aux statistiques bidonnées, c’est cocasse et navrant.
  77. Il est intéressant de noter l’évolution des concepts de la propagande sanitaire :je me vaccine pour être sauvé (marketing sanitaire), puisje me vaccine pour pouvoir voyager (marketing pour la liberté), puisje me vaccine pour ne pas tuer mes grand parents ouje me vaccine par solidarité (marketing de la culpabilisation)et maintenant la menace et l’intimidation. Si vous ne vous faites pas vacciner on va vous pourrir la vie.On va aussi faire croire aux vaccinés que tout est de la faute des non vaccinés (voir Veran). Tout est fait pour diviser le peuple en deux alors que toute la situation est due exclusivement à nos gouvernants. 
  78. Voir sur RTL le canular radiophonique qui faisait paniquer l’Amérique. 
  79. Lire absolument l’article complet en anglais sur Counterpunch qui pose dès 2017 la question : pourquoi la propagande officielle ridicule marche quand même ? 
  80. Voir le livre de Bruno Bettleheim, Le Coeur conscient, dans lequel une psychologue allemande décrit comment elle s’était rangée aux côtés des nazis pendant la Deuxième Guerre mondiale. L’obligation de saluer le drapeau nazi chaque matin sans y croire était rapidement devenu trop humiliante pour elle, de sorte qu’elle avait fini par lâcher prise et par le saluer avec le plus grand enthousiasme. Ainsi, pour échapper à la honte de s’abaisser à saluer des idées qu’elle méprisait, elle était devenue une nazie loyale. 
  81. Depuis la peste de Marseille en 1720, on sait parfaitement que le confinement des gens sains est parfaitement contre-indiqué. Par ailleurs, seul le confinement des personnes malades a permis d’éradiquer la variole, non pas la vaccination comme aiment encore à le dire de nombreux « spécialistes ». 
  82. Jingyi Xiao et autres (2020) « Mesures non pharmaceutiques en cas de pandémie de grippe dans des contextes autres que ceux des soins de santé – Mesures de protection personnelle et environnementale » : « Bien que des études mécanistes confirment l’effet potentiel de l’hygiène des mains ou des masques faciaux, les résultats de 14 essais contrôlés randomisés de ces mesures n’ont pas permis de conclure à un effet substantiel sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire. De même, nous avons trouvé des preuves limitées de l’efficacité d’une meilleure hygiène et d’un meilleur nettoyage de l’environnement ». 
  83. Denis G. Rancourt (2020) : « Les masques ne marchent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale autour de la COVID-19 ». 
  84. Wittoria Offeddu et autres (2017) « Efficacité des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : Un examen systématique et méta-analyse « : « La preuve d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre une infection respiratoire vérifiée (IRM) n’était pas statistiquement significative ». 
  85. Faisal Bin-Reza et autres (2011) « L’utilisation de masques et de respirateurs pour prévenir la transmission de la grippe : une revue systématique des preuves scientifiques – Grippe et autres virus respiratoires » : « Une revue systématique a été entreprise pour aider à éclairer les directives sur la grippe pandémique au Royaume-Uni. La revue initiale a été réalisée en novembre 2009 et mise à jour en juin 2010 et janvier 2011. Les critères d’inclusion comprenaient des essais contrôlés randomisés et des études quasi expérimentales et observationnelles sur des humains et publiées en anglais avec un résultat de grippe confirmée en laboratoire ou cliniquement diagnostiquée et d’autres études sur les infections respiratoires virales. Il y avait 17 études éligibles. Six des huit essais contrôlés randomisés n’ont trouvé aucune différence significative entre les groupes témoin et d’intervention (masques avec ou sans hygiène des mains ; respirateurs N95 / P2) (…) Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation d’un masque / respirateur et la protection contre l’infection grippale (…) ». 
  86. B. J. Cowling et autres (2010) « Masques faciaux pour prévenir la transmission du virus de la grippe : une étude systématique » : « Aucune des études examinées n’a démontré un bénéfice du port d’un masque, que ce soit dans le cadre du travail de santé ou dans la communauté membres des ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs 1 et 2 ». 
  87. Joshua L. Jacobs et autres (2009) « Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les professionnels de la santé (HCW) au Japon : Un essai contrôlé randomisé » : « Les travailleurs de la santé masqués N95 étaient significativement plus susceptibles d’avoir des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les HCW présentait des avantages en termes de symptômes du rhume ou de prise de froid » 
  88. Les gels hydroalcooliques contiennent des perturbateurs endocriniens. Voir ici
  89. Voir le MIT mais aussi de nombreux articles dans Children Health Defense
  90. Voir Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China. 
  91. Voir Le messie et son prophète, vol II, p70 par E. M. Gallez. « Pour les femmes, les conséquences sont en tout cas funestes ; en bien des lieux où la Charia {saritah) ou loi islamique est imposée, il devient dangereux d’avoir été violée, ou d’être enceinte sans être mariée, ou même simplement d’être non mariée. 
  92. Voir notamment – Aurélie Haroche. Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie. JIM (Journal International de Médecine). 25 Avril 2020.- Jean-François Toussaint, Andy Marc. Sortir d’un confinement aveugle. La Recherche. 22 Avril 2020.- Tom Jefferson and Carl Heneghan. Modelling the models. CEBM (Centre for Evidence-Based Medicine). 3 Avril 2020. 
  93. Voir l’article complet en anglais
  94. Gates a patiemment infiltré la presse mondiale depuis des années. « Mais elle introduit un conflit d’intérêts flagrant, dans la mesure où les institutions mêmes sur lesquelles nous comptons pour demander des comptes à l’un des hommes les plus riches et les plus puissants de l’histoire de la planète sont discrètement financées par lui. Ce conflit d’intérêts est celui que les médias institutionnels ont largement tenté d’ignorer, tandis que le philanthrope prétendument altruiste qu’est Gates continue de s’enrichir, en riant aux éclats. »Voir la liste non exhaustive des médias arrosés par Gates ici, ainsi qu’un très intéressant développement sur le philathro-capitalisme. 
  95. Le vacciné participe sans son consentement à une gigantesque expérimentation médicale. Nous sommes donc pleinement en contradiction avec la loi. N’est-il pas fascinant que dans un bel unisson toute la classe politique confondue et toutes les rédactions de presse foulent au pied la Convention d’Oviedo que la Suisse a ratifié en 2008 et la France en 2012, dans le but d’encenser un produit qui n’a même pas encore reçu d’autorisation de mise sur le marché ? Pourquoi avoir pendu des nazis à Nuremberg pour en arriver là ? La situation s’est encore aggravée depuis que j’écris ces lignes car nous n’en sommes plus au consentement non éclairé mais à la coercition vaccinale, ce qui permettra d’ôter toute circonstance atténuante quand ces bureaucrates comparaîtront devant la cour martiale internationale. 
  96. Seul Bruno Riondel a dressé une analyse saisissante et percutante de la situation dans son intervention « D’octobre 17 au grand reset ». 
  97. Pour vous donner une idée du flicage déjà en place, regardez ce que votre IPhone enregistre à votre insu comme données sur vous. : 
  98. Sauf si l’on exclut la Suède, et quelques autres pays comme la Tanzanie —dont le président John Magufuli, n’a pas voulu reconnaître la pandémie, a demandé aux médias de ne pas parler de l’infection, mais qui est décédé dans des conditions étranges non sans avoir montré en Mai 2020 la fraude des tests PCR positifs de manière aussi drôle que concluante avec des échantillons de Durian et autres fruits ou animaux (chèvres et caille) ! 
  99. https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf. Lire aussi dans IL FOGLIO du 4 Mai 2020 au sujet de Ioannidis : « Ioannidis est bien connu pour avoir écrit peut-être l’article scientifique le plus lu de l’histoire de la biomédecine, qui s’intitule Pourquoi la plupart des résultats produits par la recherche sont faux. La thèse était que la plupart des études menées dans le domaine biomédical ne sont pas reproductibles. Non seulement ou pas tant en raison du fait que de nombreuses expériences sont mal conçues – Ionannidis le reconnaît et stigmatise la négligence et l’angoisse de publier des données – mais parce que la variabilité causale inhérente aux phénomènes étudiés rend certains résultats faux. Il s’agit d’un concept quelque peu sophistiqué pour une communauté scientifique cherchant à appliquer des modèles mécanistes aux phénomènes darwiniens » Ah ! qu’en termes galants ces choses-là sont mises (Le Misanthrope, I, 2, 314). 
  100. Le Dr. Richard Horton, éditeur en chef de la prestigieuse revue « The Lancet » déclare: « Les accusations contre la science sont simples : une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est tout simplement fausse … la science a pris un virage vers l’obscurité. »Le Dr. Marcia Angell enfonce le clou : « Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée … Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, que j’ai atteinte lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédactrice en chef du New England Journal of Medicine ».Qu’en est-il d’une « vérité scientifique » réduite à la statistique dans un champ aussi complexe que la « Médecine » ? 
  101. Ce remarquable article de l’équipe Kennedy nous donne une idée précise du panier de crabes en action. Plus de 50 millions d’Américains ont perdu leur emploi à l’automne 20 tandis que la fortune des milliardaires a augmenté de mille milliards de dollars soit 40 milliards par semaine en moyenne. 
  102. Voir son intervention devant la haute autorité Rabbinique d’Israël, ainsi que sa récente interview de cet homme admirable qui n’a de compte à rendre qu’à Dieu. Il a probablement soigné à lui seul plus de cas de Covid que n’importe quel autre et dénonce le mise en route d’un génocide planétaire. 
  103. Voir l’interview du Dr . Bhakdi. 
  104. Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer dont il fut scientifique en chef pour les allergies et les voies respiratoires, a passé 32 ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le poste de recherche le plus élevé» en son domaine. Il dénonce la propagande des gouvernements au sujet du COVID-19, y compris le «mensonge» de variants dangereux, l’aspect totalitaire des «passeports vaccinaux» et la forte possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait conduire à quelque chose de bien pire que les guerres et les massacres du 20e siècle. 
  105. Le CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) a déposé en date du 28 juin dernier devant la CPI une plainte pénale avec demande d’ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide, sous le numéro OTP-CR-271/21visant le président Emmanuel Macron, le gouvernement et les haut-fonctionnaires impliqués dans la gestion criminelle de l’épidémie de Covid. 
  106. La plainte déposée début Mars 2021 devant le TPI a été reçue. L’organisation People of Truth a déposé une plainte contre le gouvernement israélien, qui mène des expériences illégales sur des citoyens israéliens au travers de la vaccination Pfizer. L’avocate Ruth Makhachovsky a déclaré à Israel News : « L’expérience que Pfizer mène dans l’Etat d’Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye. Nous attendons maintenant une décision. » Lien vers les observations du Conseil européen. 
  107. Voir ici l’article de Nicole Delépine, « Un jour viendra où les négationnistes des traitements précoces devront rendre des comptes. En Inde, une représentante de l’OMS est mise en accusation. » 
  108. Alexis de Tocqueville (1835), De la démocratie en Amérique I (deuxième partie), chapitre X. 
  109. Les intrications sont probablement plus complexes encore que les liens féodaux du Moyen-Age, j’ai voulu simplifier ici en ne citant que les plus grands noms.La famille Wallenberg par exemple détient des parts de Astra-Zeneca par intermédiaire de sa très puissante société d’investissements Investor AB. Mais il y a aussi des miracles … il faut suivre le parcours exceptionnel d’un des membres de la famille, Raoul Wallemberg qui sauva la vie de plusieurs milliers de juifs pendant la guerre.Pour le lien entre l’agriculture et big-pharma, on peut simplement remonter à Elf-Aquitaine (qui sera absorbé par le groupe Total) et à la création de Sanofi … le lien est direct. Il est tout aussi direct avec le monde du luxe : famille Bettencourt (avec André Bettencourt en leader cagoulard et collaborateur) et la famille Arnault (avec là aussi le père et le beau-fils, Xavier Niel, qui s’occupe d’agriculture depuis peu de temps).Nous sommes ici très près des fabricants d’armes Lagardère et Dassault.On se souviendra alors de l’affaire Elf et de ce personnage extrêmement trouble qui a rôdé dans les souterrains du pouvoir à partir des années 30 : Etienne Léandri … collaborateur, agent de la mafia sicilienne en France, donc lié à la CIA, « parrain protecteur » de Charles Pasqua et grand stratège de la « France Afrique » …Quand on est sur les traces de Léandri, on remonte assez vite à Georges Alberini, collaborateur lui aussi et parrain du patronat français. Conseiller de l’ombre de Georges Pompidou … duquel sera proche Jacques Chirac.Pompidou, agent Rothschild (dont Vincent Bolloré, qui rachètera la banque Worms, protectrice d’Albertini après-guerre, est l’un des membres par sa grand-mère), qui organisera la réforme financière qui donnera naissance à la dette d’état.Dans cette réforme financière, seront sans doute associés Michel Cicurel (frère de Ilana Cicurel, cousine de Tristan Mendès-France qui ont tant critiqué le film Hold Up à sa sortie) et un certain Jean-René Bernard, banquier condamné, dont la fille est Présidente, nommée par Emmanuel Macron, de la CNIL et le beau-fils, le président très controversé de la 7ème banque française (qui détient la cagnotte Leetchi), sommé très récemment de démissionner sous la pression, mais remplacé par un certain Julien Carmona, copain de promotion d’Edouard Philippe. Julien Carmona dont le père n’était autre que l’un des derniers confidents de …. Etienne Léandri …Dont l’un des proches était Achille Peretti, beau-père de … Nicolas Sarkozy, bien entendu, dont le nom est apparu, rapidement, dans l’affaire de drogue « Air Cocaïne » … mais ceci est une autre histoire, même si le trafic de drogue est complètement lié à big-pharma et aux découvertes des chercheurs allemands de chez Bayer. La morphine sera diffusée en masse pendant la première guerre mondiale, au moment où on constatera l’efficacité des nitrates chimiques sur la pousse de l’herbe rendue plus haute et plus verte dans les champs de bataille de Verdun… 
  110. Macron ou Trudeau constituent à cet égard des exemples typiques de psychopathie avec leurs belles gueules. Ils sont si pervers que même les employer à jardiner ne serait pas sans danger… Voyez l’analyse remarquable de Macron par un grand professeur de psychiatrie italien. 
  111. Le divorce du couple Melinda et Bill repose non seulement sur son infidélité débridée mais probablement aussi dans la relation de Bill avec le sinistre Epstein « suicidé » dans sa cellule.Dans la biographie de 1997 Overdrive : Bill Gates et la course pour contrôler le cyberespace, le biographe James Wallace a déclaré que le style de vie extravagant de Bill Gates était connu de la plupart des gens, mais que la presse grand public avait décidé de ne pas y faire allusion. Le “mythe” Gates ne pouvait pas être touché. Le fondateur de Microsoft, en effet, aurait payé à l’époque des danseurs pour nager nus avec ses invités dans sa piscine couverte. Rien de nouveau, pour ceux qui le connaissaient vraiment : à Harvard, le magnat était « habitué à fréquenter la Combat Zone à Boston, avec ses shows pornos, ses prostituées et ses clubs avec des strip-teaseuses ». Un style de vie de rock star qu’il a ensuite maintenu, précise Wallace, même dans les premières années avec Melinda.En 2013 Epstein et Gates visitent Strasbourg pour avoir une vue complète de l’organisation de la santé en Europe. A cette époque ce dernier n’est que le PDG de Microsoft. Il en profite pour aller en Norvège afin de tenter de corrompre le jury prix Nobel pour se faire décerner le prix Nobel de la paix. Epstein était son pass car il a piégé de nombreuses têtes couronnées — il fournissait par exemple le Prince Andrew en filles. 
  112. Voir La Guerre des Monnaies classique devenu le livre de chevet des membres du Comité Central du Parti Communiste et des banquiers chinois. Le best-seller chinois de Hongbing Song, déroule l’histoire de la grande cabale monétaire qui a façonné le monde depuis plus de deux cents ans, de la constitution de la dynastie des Rothschild la fin du 18ème siècle jusqu’à la crise de 2008. 
  113. Le premier à se faire berner par les financiers Rothschild fut le roi d’Angleterre. Nathan est aussi à cet égard le pionnier de l’utilisation de la panique et de la fausse nouvelle : ayant appris la nouvelle de la défaite française de Waterloo 24 heures avant tout le monde, il s’installe à la Bourse, appuyé sur « son pilier » favori et commence à vendre. Tout le monde se dit que Rothschild « sait quelque chose », chacun se met à liquider ses positions. A la fin de la journée, Nathan rachète l’ensemble de la Bourse pour 5% de sa valeur. Bonaparte à peine élu Premier Consul crée la Banque dite de France, une institution privée, au même titre par exemple que la Fed américaine. Ce sont ces banquiers suisses dépendant aussi des Rothschild qui feront et déferont le Premier Empire dès que l’Empereur ne servira plus assez leurs intérêts. 
  114. L’ouvrage indispensable est Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, de Quigley. L’auteur développe et explique à partir d’abondantes pièces d’archives que les élites anglo-saxonnes ont élaborées, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, un véritable plan de bataille afin de permettre à l’Empire britannique associé aux États-Unis d’asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l’œuvre d’une poignée d’hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. Tout un groupe, issu de la haute aristocratie et bourgeoisie britannique en liaison avec une élite américaine, émerge. Fort d’un travail de bénédictin, Carroll Quigley recense les noms et expose les ambitions de cette « super classe « ou « famille technocratique » avant l’heure définie par des liens sociaux et familiaux étroits.Si vous n’avez jamais entendu parler du Groupe Milner (que se muera plus tard en d’autres associations comme Bilderberg), et si les noms de Sazonov, ou Izvolsky, vous sont étrangers alors vous devez lire aussi Docherty et McGregor, qui ont montré —à la suite de Quigley— les ressorts secrets de la Première Guerre mondiale dans Les origines secrètes de la première guerre mondiale. Leurs travaux sont largement confortés par McMeekin dans son fameux Russian Origins of the First World War
  115. Je renvoie le lecteur aux principaux ouvrages de Bruno Riondel touchant au communisme. Son classique L’effroyable vérité montre les horreurs de la mise en place du système et de l’ingénierie sociale, et démontre que le communisme n’est pas mort et qu’il présente des liens profonds avec le capitalisme. Une excellente conférence, censurée par YouTube se trouve ici
  116. Conclusions du Conseil européen sur la COVID-19, l’énergie, le commerce et les relations extérieures, 21 octobre 2021 :“accroître encore les taux de vaccination”“vaincre la méfiance en luttant contre la désinformation sur les réseaux sociaux”“coordination pour faciliter la libre circulation” (ce qui signifie passe sanitaire en langage diplomatique)“mesures législatives relatives à l’union de la sant锓accès aux médicaments dans tous les Etats membres”“accès aux vaccins pour tous”“rôle fort et central de l’OMS dans la future gouvernance mondiale de la sant锓traité international sur les pandémies”Dans son excellent article du Courrier des stratèges, Éric Verhaeghe de conclure : « Cette énumération permet de vérifier à quel point les gouvernements européens sont ligués autour d’un “mainstream” commun en matière de pandémie, avec des éléments de langage qui reviennent sans cesse à tous les étages de la fusée multilatérale.On retiendra du conseil européen qu’il vise aussi à préparer la réunion du G20 où la question de la pandémie sera évoquée. Nous baignons ici dans les eaux du multilatéralisme le plus pur. On découvre que les dirigeants européens parlent de préparer la “future gouvernance mondiale de la santé” avec l’OMS. On n’avait pas clairement entendu parler de ce projet entre nous, et on le découvre un peu sans qu’il n’ait été discuté par personne. Au fond, c’est en lisant les conclusions des Conseils européens qu’on comprend ce qui se trame en sous-main dans les arcanes du monde multilatéral. L’idée dominante est de transformer l’Organisation Mondiale de la Santé en structure de gouvernance mondiale pour les pandémies. C’est donc l’OMS qui déciderait de tout : des vaccins, des traitements, des mesures d’urgence.Pareil transfert de souveraineté n’est évidemment ni expliqué aux peuples de l’Union, ni discuté avec eux. La décision est prise et il n’y a plus qu’à l’appliquer. La pandémie aura donc aussi servi à déposséder les peuples de leurs droits et à favoriser l’avènement d’une caste multilatérale toute-puissante. » 
  117. Voir Théorie et pratique du collectivisme oligarchique de J.B.E. Goldstein. Quels que soient l’origine sulfureuse de l’ouvrage, supposément daté de 1948, ou ses liens avec le fameux 1984 d’Orwell (Eric Arthur Blair de son vrai nom), le texte nous éclaire sur la pensée mondialiste et ses ressorts : le rôle du secret, des alcôves de la République et des sociétés secrètes, sur cette aristocratie cachée qui a coupé la tête du roi pour recréer sa propre aristocratie obscure et avilie, et qui lutte contre le catholicisme pour recréer sa propre religion syncrétique et anti-catholique. On trouvera dans un site qui met Karl Polanyi à l’honneur —l’auteur de la Grande Transformation— un article intéressant sur le supposé Goldstein. 
  118. Nous reviendrons plus loin sur le sinistre personnage de Jacques Attali, grand-prêtre des mondialistes depuis toujours, et qui est aussi celui qui a fait la fabrication et la promotion de Macron. Citons ici son article de 2009 « Avancer par peur » : Une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé. Admirons au passage le sublime oxymore de l’altruisme intéressé, et Jérusalem comme future capitale du nouvel ordre mondial. 
  119. Je fais allusion ici à l’ouvrage de Claire Séverac: La guerre secrète contre les peuples, un essai parfaitement documenté sur des faits sciemment négligés voire rejetés par nos médias tous dans la main de cette caste omnipotente. Le lecteur ne trouvera que des faits avérés, difficilement contestables et patiemment compilés par Claire Séverac qui, sans doute, paya de sa vie son honnêteté et son intégrité. Ce livre est une somme et même un ouvrage de référence sur ce sujet sensible. Et les derniers développements de cette course folle et mortifère vers ce « nouvel ordre mondial «, comme ils l’appellent pour ne pas dire « dictature globale «, ne font que confirmer ses dires. C’est un réquisitoire en règle. Tout y passe depuis le programme « HAARP « qui consiste à bombarder l’ionosphère d’ondes à très hautes fréquences pour déclencher artificiellement tempêtes, tremblements de terre, voire tsunamis, jusqu’aux OGM en passant par les nanotechnologies, la bio-ingénierie, le transhumanisme, sans oublier toutes les arnaques comme le prétexte climatique ou sanitaire avec les campagnes de vaccination de Bill Gates dans le Tiers-Monde cause de stérilité des femmes ou de maladies bien plus graves. 
  120. Voir l’article du Courrier des stratègesPremière certitude : l’épidémie de covid-19 a commencé à Wuhan bien avant décembre 2019. Des photos américaines prises par satellite ont repéré deux fois plus de voitures que d’ordinaire sur les parkings des principaux hôpitaux de Wuhan dès le mois d’août 2019.Deuxième certitude : le gouvernement chinois, avec les réflexes typiques d’un régime communiste, a dissimulé le plus longtemps possible l’existence de l’épidémie et n’en a parlé au monde que contraint et forcé, en janvier 2020 quand elle n’était plus possible à dissimuler.Troisième certitude : Le Dr. Anthony Fauci a tout fait pour empêcher Donald Trump de remonter la piste d’un accident de laboratoire au P4 de Wuhan car il avait, directement ou indirectement, autorisé des financements à destination du laboratoire de Wuhan.  Les révélations se sont multipliées à cet égard ces dernières semaines. En bref, les recherches dites de “gain de fonction”, consistant à transformer le génome de virus pour le rendre plus dangereux pour l’homme a été interdite aux Etats-Unis entre 2013 et 2017. Des chercheurs américains ont pu néanmoins continuer à faire de telles recherches au laboratoire de Wuhan avec, entre autres ressources, de l’argent du Pentagone transféré par une ONG appelée EcoHealth Alliance.  Le 20 juillet 2021, Anthony Fauci avait encore nié  l’existence de ce type de recherches mais un réseau de chercheurs appelé DRASTIC (Decentralized Radical Autonomous Search Team Investigating COVID-19) ne cesse d’amener des preuves du contraire.Quatrième certitude: la thèse de la transmission naturelle du virus à l’homme a de moins en moins de partisans. La thèse d’un accident de laboratoire devient majoritaire, d’autant plus que tout le monde s’accorde à dire que les Chinois ont mené avec un niveau de sécurité 2, à Wuhan, des recherches qui demandaient un niveau de sécurité 4.Cinquième certitude: l’Armée chinoise se serait bien passée de la publicité faite au laboratoire de Wuhan puisqu’elle y menait, en lien avec la recherche civile, une recherche sur les armes biologiques du futur. 
  121. L’article très raisonné et persuasif, du journaliste Nicholas Wade a marqué la prise de conscience de la manipulation virale. Bien que l’auteur ait passé plus de quatre décennies comme grand reporter scientifique au New York Times et dans d’autres grands médias, son travail a été discrètement publié le 2 mai sur le site de blogs Medium, sans aucun soutien ni imprimatur prestigieux, puis republié le 5 mai par le site à faible trafic du Bulletin of Atomic Scientists. On pourra aussi lire L’origine du Covid: retournement orwellien et pétard mouillé
  122. Des virologues affirment que des “empreintes” génétiques prouvent que le COVID-19 est d’origine humaine et qu’il n’a pas d’ancêtre naturel crédible. Bref résumé : l’étude suggère que des scientifiques chinois ont créé le virus alors qu’ils travaillaient sur un projet de gain de fonction dans un laboratoire de Wuhan.La recherche sur le gain de fonction, qui a été temporairement interdite aux États-Unis, consiste à modifier des virus naturels pour les rendre plus infectieux afin d’étudier leurs effets potentiels sur l’homme.Selon l’article, les scientifiques chinois ont pris la « colonne vertébrale » d’un coronavirus naturel trouvé chez les chauves-souris des grottes chinoises et y ont ajouté une nouvelle « pointe », le transformant en COVID-19, un virus mortel et hautement transmissible.Les chercheurs, qui ont conclu que le COVID-19 « n’a pas d’ancêtre naturel crédible », pensent également que les scientifiques ont procédé à une rétro-ingénierie des versions du virus pour brouiller les pistes.« Nous pensons que des virus de rétro-ingénierie ont été créés », a déclaré Dalgleish au DailyMail.com. Ils ont modifié le virus, puis ont essayé de faire croire qu’il était dans une séquence il y a des années ».L’étude fait également état de « destruction, dissimulation ou contamination délibérée de données » dans les laboratoires chinois et note que « les scientifiques qui souhaitaient partager leurs découvertes n’ont pas pu le faire ou ont disparu ».Jusqu’à récemment, la plupart des experts ont fermement nié que les origines du virus étaient autre chose qu’une infection naturelle passant des animaux aux humains.En début de semaine, le Dr Anthony Fauci a défendu le financement américain de l’Institut de virologie de Wuhan, affirmant que la subvention de 600 000 dollars n’avait pas été approuvée pour la recherche sur le Gain de Fonction. 
  123. Voir Covid-19 : l’origine du virus – L’analyse du Pr Tritto confirme celle du Pr Montagnier. Un livre polémique vient de sortir en Italie sur les origines de ce virus qui a bouleversé le monde au cours des six derniers mois. Le professeur Luc Montagnier, décrié dans les médias en avril dernier, voit son affirmation selon laquelle le virus était le résultat d’une manipulation humaine s’étant échappé (accidentellement) du laboratoire de Wuhan, aujourd’hui reprise dans ce livre.  Nous retraçons les évènements et les extraits d’une interview de l’auteur du livre, le Pr Tritto, dans le média italien Libero.Le 17 avril 2020, sur Cnews, le professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine en 2008 pour sa participation à la découverte du virus responsable du sida, confirmait sa déclaration que le SARS-CoV-2 est une fabrication humaine. « Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH » « Ce n’est pas naturel, c’est un travail de professionnel, de biologiste moléculaire, d’horloger des séquences. Dans quel but ? Une de mes hypothèses est qu’ils ont voulu faire un vaccin contre le sida »Le Pr. Montagnier fait sa démonstration le 30 Juillet 2020 dans un article paru sous contrôle de pairs, et qui ne sera jamais cité dans les autres revues —autocensure et omerta— ni les merdias. En résumé : « L’analogie suivante permet d’illustrer cette conclusion : imaginons un puzzle principal « coronavirus » de 30 000 pièces et après plusieurs autres puzzles de 9000 pièces chacun que nous appellerons VIH 1, VIH 2 et SIV (rétrovirus proche du VIH-2 dont la cible est le singe). La preuve mathématique démontrée, peut être illustrée de la manière suivante : dans le puzzle de 30 000 pièces, à un endroit précis se trouvent trois pièces contiguës (côte à côte) issues chacune de l’un des trois autres puzzles. La probabilité que ce résultat soit naturel est nulle. » 
  124. Un ancien communiste chinois, Wei Jingsheng affirme que le SARS-Cov2 a été inoculé volontairement lors des Jeux Militaires Internationaux qui ont eu lieu à Wuhan en octobre 2019. Dans le documentaire de Sky News intitulé « What Really Happened in Wuhan », l’ancien communiste chinois a déclaré que le gouvernement de Pékin aurait profité des Jeux mondiaux militaires pour répandre le virus.Cet événement a réuni 9.000 athlètes en provenance de différents pays du monde en octobre 2019, soit deux mois avant la déclaration officielle de l’existence du virus. Par ailleurs, cette rencontre sportive s’est tenue dans la ville de Wuhan, le premier foyer de l’épidémie.A l’époque, toujours selon M Jingsheng, les participants à l’évènement, notamment les athlètes allemands, français et américains, ont été atteints d’une maladie mystérieuse. Ils présentaient les symptômes du Covid-19 mais n’ont jamais fait l’objet d’un test. Voir aussi l’article de Mail Online
  125. Voir l’incontournable article de Eric Verhaeghe. « Dans ce troisième volet de l’enquête, nous allons voir comment l’Occident, Etats-Unis et France en tête, portent une lourde responsabilité dans l’émergence du COVID-19. Cela ne dédouane en rien la Chine communiste de sa responsabilité première et principale dans les origines et la diffusion de la pandémie. Cependant, c’est bien la recherche occidentale qui a permis à la chercheuse Shi Zhengli, de Wuhan, de devenir le Frankenstein de cette histoire, à qui sa créature monstrueuse a échappé. » 
  126. Ces machinations furent dénoncées en France par le Pr. Fourtillan qui s’est retrouvé emprisonné arbitrairement, hospitalisé de force en hôpital psychiatrique —les vieilles recettes soviétiques fonctionnent toujours. Voir sur Qactus. Le Pr. Montagnier a aussi été l’un des premiers à monter l’origine artificielle du virus avant d’être enseveli sous des torrents de calomnies de la part des merdias officiels, ses vidéos effacées de tous les supports comme Facebook. 
  127. Voir https://denisbider.blogspot.com/2021/07/dr-david-martin-with-reiner-fuellmich.htmlLes découvertes fondamentales réalisées par le Dr. David Martin au sein de son entreprise M-CAM. L’interview par Robert Füllmich montre que plus de 4000 brevets ont été déposés sur le Coronavirus et le SARS. Martin a comparé les enregistrements de brevets disponibles au printemps 2020 avec la séquence de gènes isolée en tant que nouveau virus défini comme tel par le Comité international sur la taxonomie des virus de l’OMS. Son équipe a ainsi trouvé plus de 120 éléments de preuve brevetées qui suggèrent qu’il ne s’agit en rien d’un nouveau coronavirus mais au contraire d’innombrables modifications très subtiles des séquences de coronavirus. Il n’y a donc pas en tant que tel de nouveau coronavirus identifié.../../../Downloads/david%20martin.png Le premier vaccin jamais breveté contre le coronavirus a été déposé par Pfizer et comprenait spécifiquement la protéine Spike « S » – cette même protéine qui aurait été inventée à la hâte. La première demande a été soumise le 28 janvier 2000.L’idée que l’on soit mystérieusement tombés sur le moyen de trouver si rapidement des vaccins n’est pas seulement ridicule, elle est carrément inconcevable. Le 28 janvier 2000, Timothy Miller, Sharon Klepfer, Albert Paul Reed et Elaine Jones ont déposé ce qui a finalement été publié sous le nom de brevet américain 6372224, à savoir le vaccin à protéine Spike contre le coronavirus canin.Le SARS n’est en rien l’évolution naturelle d’une modification zoogène du coronavirus. En 1999, Anthony Fauci a financé des recherches à l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill. À partir d’une demande de brevet déposée le 19 avril 2002, le NIAID a construit un coronavirus infectieux à réplication défectueuse ciblant l’épithélium pulmonaire humain. En d’autres termes, nous avons créé le SARS et nous l’avons breveté avant même qu’il n’y ait une prétendue épidémie en Asie, qui a suivi plusieurs mois après. Ce brevet américain 7279327 expose clairement dans un séquençage génétique très spécifique que nous connaissions le récepteur ACE, le domaine de liaison ACE-2, la protéine Spike S1 et d’autres éléments du Covid-19. Il a été conçu et transformé de manière synthétique en laboratoire à l’aide des technologies de séquençage des gènes, en prenant un code informatique pour le transformer en un agent pathogène ou en un intermédiaire d’agent pathogène. Au début, cette technologie a été financée exclusivement comme un moyen d’exploiter le coronavirus comme vecteur pour distribuer le vaccin contre le VIH.À l’automne 2001, M-CAM a commencé à surveiller un nombre énorme d’agents pathogènes bactériens et viraux qui étaient brevetés par le NIH, le NIAID, l’USAMRIID et d’autres agences internationales. Ils étaient préoccupés par le fait que le coronavirus était considéré non seulement comme un agent manipulable potentiel pouvant être utilisé comme vecteur de vaccin, mais aussi comme un candidat à l’arme biologique.La prétendue épidémie de SARS qui a eu lieu en Chine en 2002-2003 a donné lieu à un dépôt de brevet problématique en avril 2003 par le CDC américain. Celui-ci a déposé une demande de brevet sur la séquence génétique complète de ce qui est devenu le coronavirus du SARS, ce qui constitue une violation de la section 101 de l’article 35 USC — on ne peut pas breveter une substance naturelle. Il s’agissait du brevet 7220852, avec des brevets dérivés, notamment les brevets 46592703p et 7776521. Ces brevets couvraient également les moyens de détection du coronavirus par RT-PCR.Cela pose problème car celui qui possède à la fois le brevet sur le gène lui-même et sur sa détection possède du même coup l’avantage de pouvoir contrôler à 100% la provenance non seulement du virus lui-même mais aussi sa détection. Vous avez un contrôle total de l’aspect scientifique et de la communication.Ce brevet demandé par le CDC a été prétendument justifié par son équipe de relations publiques dans le but de permettre à tout le monde de faire des recherches sur le coronavirus. C’est un mensonge car l’office des brevets a rejeté à deux reprises le brevet sur la séquence du gène comme étant non brevetable – l’office des brevets a trouvé une identité de 99,9% avec le coronavirus déjà existant dans le domaine public. Malgré le rejet de l’examinateur de brevets, et après avoir dû payer une amende en appel en 2006 et 2007, le CDC a passé outre le rejet de l’office des brevets et a finalement obtenu en 2007 le brevet sur le coronavirus du SARS.Toutes les déclarations du CDC selon lesquelles il s’agissait de l’intérêt public sont démenties par le pot-de-vin qu’il a lui-même versé à l’office des brevets. Le CDC a payé une taxe supplémentaire pour que leur demande reste privée. Les fact checkers ont déclaré à plusieurs reprises que le nouveau coronavirus SARS-CoV-2 est distinct du brevet des CDC. La séquence génétique déposée par les CDC en 2003, 2005 et 2006 présente une identité dans 89 à 99 % de la séquence qui recouvre le SARS-CoV-2. La désignation principale du coronavirus du SARS et le sous-clade SARS-CoV-2 doivent se chevaucher d’un point de vue taxonomique.Le 28 avril 2003, Sequoia Pharmaceuticals, situé dans le Maryland, a déposé le brevet américain 7151163 sur les agents antiviraux pour le traitement et le contrôle des infections par coronavirus. C’était 3 jours après que le CDC ait déposé le brevet sur le coronavirus du SARS. Sequoia Pharmaceuticals et, en fin de compte, Ablynx Pharmaceuticals, ont été intégrés dans les fonds propres de Pfizer, Crucell et Johnson & Johnson. Comment peut-on avoir un brevet sur un traitement pour une chose qui a été inventée 3 jours plus tôt ?Le brevet de Sequoia sur le traitement du coronavirus a été délivré et publié avant que le brevet du CDC sur le coronavirus ne soit autorisé. La seule façon pour Sequoia de connaître les informations contenues dans le brevet du CDC était par un moyen interne, car le CDC avait payé pour garder le secret. C’est la définition même de la conspiration criminelle, du racket et de la collusion. Ce n’est pas une théorie, c’est une preuve. C’est une affaire RICO.Le schéma RICO établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s’est déroulé selon le même calendrier pour le SARS-CoV-2. Moderna a obtenu la séquence de la protéine spike par téléphone auprès du centre de recherche sur les vaccins du NIAID avant la définition de la nouvelle sous-classe. Comment traite-t-on une chose avant de la connaître ?Le 5 juin 2008, soit à peu près au moment où la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency (« Agence pour les projets de recherche avancée de défense) s’est intéressée activement au coronavirus en tant qu’arme biologique, Ablynx, qui fait maintenant partie de Sanofi, a déposé une série de brevets visant ce que l’on nous a dit être de nouvelles caractéristiques du SARS-CoV-2. Ils visaient le site de clivage polybasique du SARS-CoV, la nouvelle protéine de pointe et le domaine de liaison du récepteur ACE-2. Ces éléments sont prétendument nouveaux pour le SARS-CoV-2, et tous ont été brevetés le 5 juin 2008. Les brevets ont été délivrés entre le 24 novembre 2015 (brevet américain 9193780 ; celui-ci a été délivré après le moratoire sur la recherche sur le gain de fonction, après l’épidémie de MERS au Moyen-Orient), suivi en 2016, 2017, 2019 par une série de brevets couvrant non seulement les brins d’ARN mais aussi les sous-composants des brins de gènes, tous délivrés à Ablynx et Sanofi.Crucell, Rubius Therapeutics, Children’s Medical Corporation, et de nombreux autres, dont la Ludwig Maximilian’s Universität de Munich, Protein Science Corporation, le Dana Farber Cancer Institute, l’Université de l’Iowa, l’Université de Hong Kong, le Chinese National Human Genome Center de Shanghai, tous identifiés dans des dépôts de brevets allant de 2008 à 2017, chaque attribut étant prétendument publié de manière unique par la seule publication de référence «The Novel Bat Coronavirus», l’article qui a été systématiquement utilisé pour identifier le nouveau virus.Si vous regardez réellement ce qu’ils déclarent être nouveau, vous trouvez 73 brevets délivrés entre 2008 et 2019 qui ont les éléments qui étaient prétendument nouveaux dans le SARS-CoV-2. Plus précisément, le site de clivage polybasique, le domaine de liaison du récepteur ACE-2 et la protéine spike.Il n’y a pas eu d’épidémie de SARS parce que nous avions modifié tous les éléments de ce virus. En 2016, un article de Ralph Baric a été financé pendant le moratoire sur le gain de fonction, disant que le coronavirus du SARS était prêt pour l’émergence humaine. À ce moment-là, non seulement il était prêt pour l’émergence humaine, mais il avait été breveté 73 fois pour une exploitation commerciale !Les gens de Moderna savaient qu’ils allaient être placés en première ligne du développement d’un vaccin en mars 2019. À ce moment-là, pour des raisons qui ne sont pas transparentes, ils ont modifié une série de dépôts de brevets rejetés pour faire spécifiquement référence à une libération délibérée ou accidentelle de coronavirus. Ils ont modifié 4 demandes de brevet rejetées pour commencer le processus de développement d’un vaccin contre le coronavirus. Ensuite, ils ont commencé à s’attaquer à un problème de taille, à savoir qu’ils s’appuyaient sur une technologie qu’ils ne possédaient pas. Deux entreprises canadiennes, Arbutus et Acuitas, détiennent en fait le brevet sur l’enveloppe de nanoparticules lipidiques nécessaire à l’injection du fragment d’ARNm. Ces brevets ont été délivrés au Canada, aux États-Unis et dans le monde entier. Moderna ne possédait pas les droits et a commencé à négocier avec Arbutus et Acuitas pour obtenir une résolution de la technologie LNP disponible pour l’intégrer dans un vaccin. En novembre, la société a conclu un accord de coopération en matière de recherche et développement avec l’UNC Chapel Hill en vue d’obtenir la protéine Spike à placer à l’intérieur du LNP, de sorte qu’elle disposait d’un candidat-vaccin avant même qu’un agent pathogène ne soit prétendument en circulation.Leur procédure régulière est similaire à celle d’autres sociétés pharmaceutiques, où les demandes sont renouvelées et modifiées en permanence pour bénéficier des premières dates de priorité disponibles. De 2016 à 2019, à chacune des réunions du conseil consultatif du NIAID, Anthony Fauci se lamentait de ne pas avoir réussi à trouver un moyen de faire accepter le vaccin universel contre la grippe, qui était sa cible favorite pour amener la population à s’engager dans ce processus…En mars 2019, dans les dépôts de brevets modifiés de Moderna, nous voyons apparaître une pensée illluminante : «Et s’il y avait une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire ?» La phrase est exactement récitée dans le livre A World at Risk, qui est le scénario mis en place par l’OMS en septembre 2019 – des mois avant qu’il y ait un pathogène présumé – qui dit : «Nous avons besoin d’une expérience mondiale coordonnée de la libération d’un pathogène respiratoire, qui, d’ici septembre 2020, doit mettre en place une capacité universelle de gestion des relations publiques, de contrôle des foules et d’acceptation d’un mandat universel de vaccination.» Le langage d’une libération intentionnelle d’un pathogène respiratoire a été écrit dans le scénario qui «doit être achevé d’ici septembre 2020» dans la déclaration unifiée du Global Preparedness Monitoring Board. Un certain nombre de personnes s’en sont attribuées le mérite, puis ont fait marche arrière.Toute affirmation selon laquelle cet agent pathogène est en quoi que ce soit unique ou nouveau s’effondre sur les séquences génétiques réelles qui sont publiées dans le dossier de brevet. Plus grave encore, Peter Daszak lui-même déclare que nous devons créer un battage médiatique pour que le public accepte la contre-mesure médicale que constitue un vaccin contre le pan-coronavirus. Ce qui est le plus ridicule, c’est que l’OMS a déclaré que le coronavirus n’avait plus d’intérêt – que nous avions éradiqué le coronavirus en tant que préoccupation. Alors pourquoi, après l’avoir éradiqué en 2007 et 2008, avons-nous commencé à dépenser des milliards de dollars dans le monde pour un vaccin contre une maladie qui avait été éradiquée par déclaration en 2008 ?Cette arme biologique était considérée comme très malléable. En 2005, c’était incontestablement une arme de choix. L’illusion dans laquelle nous continuons à voir des personnes bien intentionnées se faire piéger consiste à discuter de la question de savoir si nous disposons d’un vaccin contre un virus. Ce n’est pas le cas. Nous injectons une séquence ARNm de protéine de pointe qui est le résultat d’une simulation informatique, non dérivée de la nature, d’une séquence qui est connue et brevetée depuis des années.La nature ridicule de l’histoire selon laquelle il s’agirait d’un traitement prophylactique ou préventif va à l’encontre de toutes les preuves. Les preuves montrent clairement qu’aucune société pharmaceutique n’a fait d’efforts pour combattre le virus. Il s’agit d’injecter aux gens la protéine Spike S1, connue pour être nocive
  128. Un mot ici sur le concept de predictive programming qui consiste à faire passer les idées du développement mondialiste dans le monde courant. Il s’agit d’utiliser les émissions de télévision, les films, les bandes dessinées, les magazines, l’Internet bien sûr, les chansons, les animateurs, le ténors du genre Attali, etc. pour mettre dans la tête des masses l’idée d’un sujet spécifique. Puis, des années plus tard, le sujet devient réalité. C’est une méthode de lavage de cerveau, de sorte que lorsque les temps sont mûrs, il n’y a plus aucune difficulté à accepter l’idée comme normale. Bertrand Russell, HG Wells, et la famille Huxley sont de parfaits exemples —je passe ici tout ce qui concerne les Black Lives Matter ou même les Antifas — voir The Quad, S02.Les simulations diverses issues des grandes fondations jouent le même rôle. La « Rockefeller Foundation » nous prévient ainsi du maintien sous ferme contrôle de la population même après que l’épidémie soit terminée : “Even after the pandemic faded, this more authoritarian control and oversight of citizens and their activities stuck and even intensified. In order to protect themselves from the spread of increasingly global problems — from pandemics and transnational terrorism to environmental crises and rising poverty — leaders around the world took a firmer grip on power (p.19)”Les Protocoles des sages de Sion : quel qu’en soit l’auteur, les Protocoles ne font jamais qu’envisager la prise de pouvoir souterraine par une caste déterminée, tout en reprenant des idées qui étaient dans l’air du temps à la fin du 19ème siècle. Après tout, la démocratie ne serait-elle pas un masque et un moyen transitoire permettant d’instaurer une forme de despotisme d’origine orientale. C’était là, en tout cas, chose que pressentait le marquis de Custine, dans ses Lettres de Russie, dès la première moitié du 19ème siècle. La pertinence du texte écrit voici au moins cent ans laisse pantois : tout ce qui nous arrive aujourd’hui semble y être décrit. Je laisse au lecteur le soin de creuser cette piste qui sort de ma compétence.Dans La machine à explorer le temps (1895) HG Wells décrit le monde du futur où les habitants de la planète sont séparés en deux groupes, les Morlocks vivant sous terre et les Eloïs profitant du paradis qu’est devenu la Terre.Dans Le Meilleur des mondes (1932) Aldous Huxley a gratifié le monde d’une fiction visionnaire qui se rapproche de la réalité. L’esprit du livre a inspiré des générations entières de romanciers et de philosophes. Sexe, drogue, sécurité, loisirs, manipulation : Aldous Huxley avait tout compris. Serge Carfantan écrit un résumé de la pensée d’Aldous en 2007 —intitulé « Leçon 163 : Sagesse et révolte » :« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. […]Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste.Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée.Surtout pas de philosophie. Là encore il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des informations et des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif.On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique.Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains.Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté : de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. »Les films : Songbird qui évoque à peu près tout depuis la pandémie, au port obligatoire des masques et la passe sanitaire ; L’armée des 12 singes avec la dissémination volontaire d’un virus mortel ; The Crossing, on y parle d’un virus pandémique qui a été libéré dans le monde deux ans dans le futur et qui s’est répandu dans le présent. Bien sûr, on cite les vaccins toxiques et la mise en quarantaine également. Cette série est sortie en 2018, bien avant cette pandémie. 
  129. Voir ici, l’article de l’Obs glorifie Gates qui a prévu la pandémie alors qu’elle était planifiée depuis le début des années 2000. 
  130. Dès le mois d’Octobre 2019, la simulation Event 201 tenue à l’Université Johns Hopkins en présence du gratin mondialiste, étudiait l’impact d’une pandémie au coronavirus. Quand on possède tout, il n’est même plus besoin de se cacher pour comploter. Gates a par la suite osé prétendre qu’il n’était pas présent à la réunion. La lecture des recommandations ne manque pas de sel quand on connaît le niveau de corruption et d’interpénétration des toutes les instances citées. « Industry, national governments, and international organizations should work together » et « Governments and the private sector should assign a greater priority to developing methods to combat mis- and disinformation” pour ne citer que ces deux-là. 
  131. Voir le reportage ahurissant sur ce triste sire, qui a triplé sa fortune depuis qu’il est devenu « philanthrope. » Le bon Gates annonçait il y a 6 ans la survenue d’une épidémie mondiale avec un virus proche de la grippe. 
  132. Vous pouvez l’écouter ici dans une version plus « soft » que la vidéo d’origine où il s’exprime de manière très excitée avec de grands gestes simiesques. 
  133. Discours de Bill Gates, « Innover vers zéro » à la conférence annuelle TED2010 à Long Beach en Californie, le 18 février 2010. Ce dernier déclare vers la minute 4, Gates déclare : « Voyons d’abord la population. Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de gens. Il se dirige vers environ 9 milliards. Or, si nous faisons un excellent travail sur de nouveaux vaccins, soins de santé, services de santé génitrice (reproductive), nous abaissons cela de 10 ou 15 pour cent. »../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-10-26%20à%2011.34.53.png 
  134. Aujourd’hui, nous remarquons que la crise sanitaire mobilise dans un accord presque parfait pouvoir politique, médias, administration, partis politiques, syndicats, institutions scolaires, institutions culturelles, religions… tous suivant comme un seul homme le pouvoir, sans esprit critique. Mais le plus important c’est la formidable manipulation des esprits dont nous sommes victimes. Les ingénieurs sociaux du communisme instrumentalisaient les crises et les fléaux, dramatisaient sciemment pour maintenir les individus dans l’anxiété permanente et obtenir une soumission accrue. L’instrumentalisation des pénuries, le soupçon permanent de complot qui était dénoncé, la dramatisation de l’épidémie… étaient des pratiques courantes pour tenir les masses par la peur, les rendant totalement dépendantes de l’Etat nourricier. 
  135. Voir l’interview de Marion Maréchal Le Pen : «Chaque Européen se verra attribuer une identité numérique qui contiendra toutes nos informations sociales, fiscales, bancaires et sanitaires pour mieux nous contrôler » 
  136. Citons ici l’essai de Sir Julian Huxley qui a inventé le terme de transhumanisme et fondé l’UNESCO : « La qualité des personnes et non la seule quantité est ce que nous devons viser : par conséquent, une politique concertée est nécessaire pour empêcher le flot croissant de population de submerger tous nos espoirs d’un monde meilleur ». 
  137. Le terme « transhumanisme » remonte aux années 1950, mais sa popularisation date des années 1990, lorsque les chercheurs commencent à cerner les promesses de la convergence NBIC : les nanotechnologies (N), la biologie (B), l’informatique (I) et les sciences cognitives (intelligence artificielle et sciences du cerveau -C) progressent et convergent de façon explosive. Le désir d’immortalité est au cœur de cette nouvelle religion qui prend la suite du scientisme et du positivisme. Seule la vision allopathique industrielle d’un homme composé d’organes permet d’asseoir ce nouveau délire, permettant déjà tous les trafics de fœtus via des constellations d’ONG.L’inventeur et propagandiste du transhumanisme est Sir Julian Huxley (1887-1975), biologiste de haut niveau, premier directeur de l’Unesco et cofondateur du WWF. Le mot « eugénisme » étant devenu sulfureux après les horreurs nazies, Julian Huxley inventa donc, en 1957, un néologisme synonyme d’eugénisme de gauche, le « transhumanisme ». Son frère Aldous Huxley (1894-1963) écrira « Le meilleur des mondes » décrivant la société eugéniste idéale en 1931. C’est l’un des nombreux exemples de predictive programming qui permet d’annoncer la direction que doit prendre le monde sous l’égide mondialiste. 
  138. Songeons que le Prince Philip demandait à se réincarner en virus particulièrement meurtrier. La surpopulation est l’un des thèmes récurrents des mondialistes. 
  139. Nous insérons ci-contre l’illustration de la page de couverture de « The Economist » de Mai 21 annonçant la future monnaie numérique qui nous sera servie après l’effondrement économique —il est probable que dès la rentrée les fonds de pension en faillite amèneront les gouvernants à annoncer la suite du programme. Ce qui est lassant avec les mondialistes, c’est leur côté « tradi » comme le dit si bien Pierre Hillard (voir une excellente conférence ici). Ils utilisent toujours les mêmes symboles : à gauche le temple, à droite l’œil qui sort des nuées au sommet de la pyramide (tout comme sur le billet de 1 dollar), la lettre G qui est celle des compagnons au second grade maçonnique. Comme rien n’est dû au hasard chez ces gens, il faut aussi remarquer la puce rectangulaire placée au milieu de la lettre G. Cela pourrait être une référence à peine voilée au contrôle des populations grâce à des implants, en coupe sagittale en effet le mésencéphale ressemble à la lettre G. Pour terminer, ce n’est même plus en Dieu que nous avons confiance mais dans la technologie.Nous nous souviendrons que les millionnaires veulent faire de l’argent, les milliardaires veulent faire l’histoire. Mais les multi-milliardaires vont plus loin dans leur délire de démiurges : ils veulent que l’humanité s’adapte à leurs besoins et à leurs souhaits. Quant aux personnes qui contrôlent des milliards et des milliards, eh bien, elles se soucient de nos souhaits autant que nous nous soucions des fourmis en balayant le jardin. 
  140. En tant qu’idéologie, la technocratie exalte la connaissance et l’expertise en tant que principales sources de pouvoir et d’autorité légitimes et pour affirmer qu’il existe « une meilleure façon de faire » que seuls les « experts » (par exemple, les ingénieurs, les scientifiques et les médecins) peuvent déterminer. 
  141. Voir la fameux brevet 060606 —troublante référence à l’Apocalypse de Jean— de Microsoft en vue de créer une monnaie numérique intégrée corporellement, sans doute testée au Rwanda. Un article intéressant ici
  142. Voir à cet égard le discours prophétique de Soljenitsyne à Harvard sur la perte du courage en Occident et la folie de détruire les murs porteurs de nos sociétés. Historiquement le meurtre de Louis XVI marque la première atteinte à l’image du père, qui incarne symboliquement la loi. Le mouvement s’est poursuivi jusqu’à nos jours où toutes les qualités viriles sont systématiquement niées au profit par exemple de notions délirantes comme la théorie du genre. 
  143. Comme le rappelle Eric Verhaeghe, immigration et libertés ne font qu’un seul et même sujet : « sont les deux faces d’un seul et même projet de dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé, servile et formaté pour les besoins d’un nouveau capitalisme de connivence ». « Le spéculateur américano-hongrois Soros, élève de Karl Popper, a créé une fondation qui prétend renverser, ou aider au renversement, des sociétés “traditionnelles”, c’est-à-dire des bons vieux Etats-nations occidentaux. Pour diluer leur identité, Soros n’a pas hésité à financer abondamment les ONG qui organisent la crise migratoire. Son projet est clair et assumé : il s’agit de diluer les vieilles résistances nationales en Europe, et de promouvoir un “activisme inclusif” grâce auquel nos sociétés ne feraient plus aucune distinction entre les individus, soit sur des critères culturels, ou ethniques, ou de genre. Dans cette vision de la société ouverte, l’obligation vaccinale, le passe sanitaire, le crédit social, la peur de la maladie, jouent des rôles essentiels. »Jeune Juif « adopté » par un SS, échappant ainsi au massacre généralisé, il est indéniable avec un tel bagage que Soros ne s’en est pas sorti indemne psychologiquement… 
  144. Notre amie, le Dr. Astrid Stuckelberger a réalisé un tour d’horizon de la corruption concernant l’OMS dans l’article ici. Elle souligne à juste titre le statut exceptionnel du GAVI, comparable à la BRI (Banque des Ressources Internationales, qui a servi à la City de New York à faire passer de nombreux brevets à l’Allemagne nazie jusque fin 1944). Ces deux institutions fonctionnent comme un état dans l’état : intouchables et inattaquables. 
  145. Gates a même envahi l’un des derniers bastions de résistance scientifique dans la médecine officielle en prenant le contrôle de Cochrane
  146. Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus. L’OMS —qui s’est illustrée pour sa gestion lamentable de l’épidémie si son but était l’intérêt des malades— n’est pas une organisation internationale œuvrant pour le bien de l’humanité, mais plutôt un organe accaparé par quelques groupes d’intérêt, où domine Bill Gates. Personne n’en parle mais la corruption systémique de l’OMS est telle que 200 millions de dollars sont dépensés chaque année en frais de voyage, ce qui représente plus que les crédits alloués à la lutte contre le sida. Tedros, constitue l’exemple type de ces hommes « moyens » comme on a décrit la plupart des nazis jugés à Nuremberg. Élu en 2017 à la tête de cette organisation désormais mafieuse, il a été membre du CA du Global Fund de 2009 à 2011, et président du conseil de la GAVI vaccine Alliance en 2008-2009 avant d’être élu à la direction de l’OMS. Signe que ces crapules n’ont plus la moindre limite : il avait nommé à son arrivée à l’OMS… Robert Mugabe comme ambassadeur de bonne volonté ! Le Guardian nous explique en 2015 que : A partir de janvier 1983, une campagne de terreur a été menée contre le peuple Ndebele au Matabeleland, dans l’ouest du Zimbabwe. Les soi-disant massacres de Gukurahundi appartiennent à la période la plus sombre de l’histoire post-indépendance du pays, lorsque plus de 20 000 civils ont été tués par la redoutable cinquième brigade de Robert Mugabe.Le bon Tedros, accusé de crime contre l’humanité, est le premier non-médecin à diriger l’OMS. Tedros est membre du « Front de libération du peuple tigré » (TPLF), une organisation terroriste, fondée en tant que parti révolutionnaire communiste, ceci explique sans doute l’extase qu’il manifeste pour le Parti communiste chinois au pouvoir. Au programme : traque des dissidents, camouflage d’épidémie de choléra, famine organisée, torture sur prisonniers politiques, vente de terrains éthiopiens à des firmes internationales prix bradés, répression brutale de manifestations (500 morts), j’en passe et des meilleures. Encensé par les médias complices, ce gibier de potence doit son élection à la Fondation Bill et Melinda Gates qui a su utiliser le processus labyrinthique de nomination dans l’Organisation. 
  147. Pour compléter le tour d’horizon au sujet de cette pourriture de Tedros, je recommande au lecteur la visite du blog de l’inestimable Liliane Held-Khawam
  148. Seule la Russie a inscrit l’an passé dans sa constitution que les lois nationales passent avant les lois internationales. Un véritable pied de nez aux institutions supra-nationales mondiales. Il semble que la liberté se trouve désormais de l’autre côté de l’ancien « Mur ». 
  149. Il est difficile de se représenter l’interpénétration de toutes ces instances. Il existe des liens étroits entre des organisations et des entreprises comme la Fondation Rockefeller, Microsoft, le lobby pharmaceutique et le groupe de la Banque mondiale, sans parler des prestataires de services secondaires. 
  150. La quasi-totalité de Big Pharma apparient à deux sociétés : Vanguard et BlackRock. Vanguard et BlackRock sont les deux principaux propriétaires de Time Warner, Comcast, Disney et News Corp, quatre des six sociétés de médias qui contrôlent plus de 90 % du paysage médiatique américain.BlackRock et Vanguard forment un monopole secret qui possède à peu près tout ce que vous pouvez penser. Au total, ils détiennent des participations dans 1 600 entreprises américaines, dont les revenus combinés s’élevaient à 9,1 milliards de milliards de dollars en 2015. Si l’on ajoute le troisième plus grand propriétaire mondial, State Street, leur propriété combinée englobe près de 90 % de toutes les entreprises du S&P 500.Vanguard est le principal actionnaire de BlackRock. Vanguard lui-même, d’autre part, possède une structure unique qui rend sa propriété plus difficile à discerner, mais beaucoup des familles les plus anciennes et les plus riches du monde peuvent être sourcées aux fonds Vanguard. 
  151. L’un des premiers objectifs des mondialistes fut d’abattre l’Ancien Régime. La ‘Révolution française’ a fait plus de morts en un mois au nom de l’athéisme que l’Inquisition au nom de Dieu pendant tout le Moyen-Âge et dans toute l’Europe. Ce fait a été démontré par un historien sérieux (et protestant), Pierre Chaunu. On en retrouve l’analyse dans le quatrième numéro hors-série de L’Homme Nouveau consacré à quelques mythes de l’histoire antichrétienne, dont l’Inquisition. Un ensemble d’extraits de cette analyse est ici.C’est Voltaire et le cher Jean-Jacques qui ont pour la première fois introduit la notion d’enrichissement illimité alors que le roi, tenu par la religion, n’aurait jamais osé rêver un tel scénario qui rendit possible l’émergence de la bourgeoisie puis des industriels. Voir absolument La Laïcité, mère porteuse de l’islam, par Odon Lafontaine, l’ouvrage de référence sur ces sujets. 
  152. Je suggère au lecteur d’entreprendre la lecture barbante mais éclairante du torchon fameux de Klaus Schwab intitulé Le Grand Reset. Pour gagner du temps, cet article pourra vous intéresser. Beaucoup des mondialistes sont d’obédience gnostique, en tant que tels ils adorent semer la confusion, notamment en tentant d’inverser les causes et les conséquences. On voit ici Schwab admettre en p222 que la pandémie est la moins mortelle que l’humanité n’ait jamais connue, ce qui ne l’empêche pas d’utiliser cette opportunité pour vouloir façonner le monde selon ses vues. 
  153. Voici l’arbre généalogique de Schwab, juste histoire de nous donner une vague idée de l’interpénétration de tous les acteurs de la crise actuelle. 
  154. Voir Glaser, A. (2020, July 8). Thousands of contracts highlight quiet ties between Big Tech and U.S. military. NBC News. https://www.nbcnews.com/tech/tech-news/thousands-contracts-highlight-quiet-ties-between-big-tech-u-s-n1233171Voir Usdin, S. (2020, March 19). DARPA’s gambles might have created the best hopes for stopping COVID-19. BioCentury. https://www.biocentury.com/article/304691/darpa-jump-started-technologies-behind-some-of-the-leading-covid-19-vaccine-and-antibody-hopes
  155. Ces organisations criminelles ont déjà été condamnées à de nombreuses reprises à payer des sommes énormes, qui ne sont qu’une goutte d’eau dans leur budget : 3,75 milliards pour GlaxoSmithKline ; 3,3 milliards pour Pfizer, etc. Voir la liste officielle de la FDAViolation Tracker Agency Summary Page, qui totalise 19, 5 milliards d’amendes au total. 
  156. Wood, P. M. (2018). Technocracy: The Hard Road to World Order. Mesa, AZ: Coherent Publishing, LLC.Fitts, C. A. (2019). Will ESG Turn the Red Button Green? The Solari Report.Fitts, C. A. (2020a). The State of Our Currencies: The End of Currencies. The Solari Report.Fitts, C. A. (2020b, May 27). The injection fraud – It’s not a vaccine. The Solari Report.Schinder, R. J. (2020, January 26). The Davos crowd embraces big global government. The Wall Street Journal.Schumacher, K. (2020, March 14). Technocracy and sustainable development. Redoubt News.White, J. (2020, April 27). Technocracy after COVID-19. Boston Review
  157. Voir les révélations de Martin Füllmich et du Dr. David Martin dans cette vidéo historique. David E. Martin est le fondateur et le président de M-CAM Inc, le leader international du financement de l’innovation, du commerce et des actifs incorporels. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques basé sur l’innovation et est l’associé directeur des Purple Bridge Funds. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques au monde – le CNBC IQ100 alimenté par M-CAM. Activement engagé dans le développement économique éthique mondial, le travail du Dr Martin comprend l’ingénierie financière et l’investissement, les conférences publiques, l’écriture et la fourniture de services de conseil financier à la majorité des pays du monde. Le Dr Martin est l’architecte et le fondateur du Global Innovation Commons et l’auteur du cadre juridique international des programmes Heritable Knowledge Trust et Heritable Innovation Trust. Il est à l’origine de programmes mondiaux visant à apporter la transparence des entreprises et des marchés boursiers aux industries extractives multinationales et a joué un rôle déterminant dans le rapatriement de la valeur dans les pays qui ont été victimes d’abus financiers et d’entreprises. 
  158. Voir dans « Grippes et Pneumonies » le chapitre consacré à la destruction de l’homéopathie sous l’égide de Rockefeller —injectant pour la manœuvre plus de 225 milliards de dollars actuels. Le second statut de l’AMA était « l’éradication de l’homéopathie du sol américain ». Voir enfin le travail documenté de Thierry Lestrade « Comment l’AMA a éradiqué ». 
  159. Selon M. Kory, l’OMS ne fait que participer aux tactiques d’un « manuel de désinformation » usé par le temps. Ce terme a été inventé par l’Union of Concerned Scientists il y a 50 ans afin de décrire les stratégies que les entreprises ont développées au fil des décennies pour « attaquer la science lorsqu’elle va à l’encontre de leurs intérêts financiers ».Il se compose de cinq parties :L’imposture – Mener des recherches contrefaites et tenter de les faire passer pour des recherches légitimes.
    Le blitz – Harceler les scientifiques qui s’expriment sur des résultats qui dérangent l’industrie.
    La diversion – Fabriquer de l’incertitude sur la science là où il n’y en a pas ou peu.
    L’écran – Acheter de la crédibilité par le biais d’alliances avec le monde universitaire ou des sociétés professionnelles.
    La solution – Manipuler les fonctionnaires ou les processus gouvernementaux pour influencer les politiques de manière inappropriée.Dans l’intégralité de l’appel Zoom, censuré depuis par YouTube mais disponible sur Bitchute, Pierre Kory décrit comment les cinq phases ont été déployées contre les résultats scientifiques de l’ivermectine. Un exemple concret serait celui de la corruption des principales revues médicales, dont les rédacteurs en chef refusent que les études sur l’ivermectine soient soumises à un examen par les pairs. 
  160. Les emails de Fauci sur une certaine période ont pu être rendus publics, révélant un véritable scandale, à savoir que l’intéressé y admet que :Le coronavirus a été crééL’HQ traite la maladie avec succèsLes sujets asymptomatiques ne transmettent pas la maladieLes masques ne servent à rienLes confinements sont inutilesFacebook a participé à la promotion d’une propagande autoritaire du Covid.Le comptage des décès était largement trafiquéEt qu’il a délibérément menti au Congrès sous sermentCes informations éclaboussent aussi le Pr. Delfraissy (encore un collabo comme tant d’autres) exprimant ses affres pour résister à la pression d’autoriser l’hydroxychloroquine. « J’ai une énorme pression politique pour libérer l’accès à l’hydroxychloroquine pour tout le monde, mais je résiste », écrit-il au bon docteur Fauci. Une semaine plus tard, le Conseil scientifique rendra un avis critique sur le protocole Raoult, ayant donc visiblement résisté à ces « pressions ». Voir article du Parisien.Que s’est-il passé avec quelque chose d’aussi énorme ? Rien.Télécharger les emails. Voir le New York Post, voir Fauci is a liar
  161. J’ai de la peine à prononcer le nom de Fauci sans avoir la nausée. Dans « Les erreurs du Monsieur Covid américain impactent le monde occidental, Suisse comprise » Jamais encore des idées comme le confinement d’une population en bonne santé, l’imposition généralisée du port du masque contre un virus ou la « vaccination » de catégories de la population courant plus de risques avec la vaccination qu’avec la maladie n’avaient été envisagées, tant elles sont contraires à l’éthique et aux connaissances scientifiques. Un défilé continu de médecins de plateaux télévisés pétris de conflits d’intérêts est venu brouiller cette évidence, sans que les défenseurs des bonnes pratiques aient voix au chapitre. Ne manquez pas cette tribune écrite par les deux plus grands experts au monde, les Pr Kulldorff et Bhattacharya. 
  162. Voir le premier document magistral des analystes allemands (leur interview ici) qui ont scanné avec l’aide de l’intelligence artificielle plusieurs millions de documents. Cela a permis de mettre à jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre dite « anticovid », de démontrer qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit et chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population mondiale à se soumettre au dictat d’intérêts privés sous prétexte de “santé publique.L’analyse se divise ainsi :- Les 20 à 30 figures-clefs qui poursuivent tranquillement leur œuvre à l’ombre des figures notoires telles Gates ou Schwab ;- Les flux financiers internationaux et leur montant (colossal) ;- Les ONG (dont le rôle notamment dans le financement est fondamental), les universités et entreprises-clef par lesquelles transitent les fonds.Ces flux ont été chiffrés par Schneeten et Röper. L’attention des analystes a été attirée – pour ne donner qu’un exemple – par un petit pavillon insignifiant de banlieue aux États-Unis, utilisé comme “boîte postale” par plusieurs ONG disposant de dizaines de millions de dollars.- Le mode opératoire de prise de contrôle des gouvernements et institutions occidentaux.Voici par exemple les ramification de le fondation Bill et Melinda Gates, dont le véritable gestionnaire est probablement le sioniste et démocrate Warren Buffet, a plusieurs intérêts :1- c’est un outil d’optimisation fiscale qui permet à ses responsables d’échapper aux impôts et de décupler leur fortune ;2- la mécanique de ses « donations » reposent sur l’investissement dans les marchés financiers et les grosses sociétés (Total, Exxon, Shell, Monsanto, McDonald’s, The Coca-Cola Company) ;3- les « dons » sont alloués à un faisceau d’organisations allant toutes dans le sens du mondialisme et de la grande industrie pharmaceutique…Probablement recruté dans les années 70 à Harvard (Gates est le premier Zuckerberg), Bill Gates est à la fois un agent de croissance et un agent d’influence du Nouvel ordre mondial oligarchique, un épouvantail mis en avant pour prendre les coups, un rouage d’un réseau allant de Wall Street à Israël en passant par Bill Clinton et Jeffrey Epstein. Voir l’article da E&R ici.../../../Downloads/Corona%20links%20analyse/Netzwerkanalyse-Corona-Komplex_Page_049.jpg 
  163. ../../../Downloads/Xi-Jinping.jpgPour parler d’autre chose que du virus, il me semble opportun de dire un mot de la crise financière qui se profile, avec le brûlot Evergrande qui risque d’ébranler le marché immobilier chinois et le reste du monde par contagion —mot qui me paraît ici très approprié. Le Parti Communiste Chinois (PCC) ne semble guère décidé à agir dans la crise financière qui se profile, avec un éclatement de la bulle immobilière. Loin de vouloir éviter la crise, les autorités chinoises semblent plutôt décidées à la laisser éclater pour justifier une reprise en main de l’économie du pays. De là à penser que cette stratégie vise aussi à affaiblir l’Occident en le contaminant avec une crise financière, il n’y a qu’un pas. Une fois de plus, le Great Reset et sa théorie du Big Government modifient les analyses habituelles et pourraient mettre les épargnants du monde entier en situation difficile.Et l’excellent Verhaeghe de conclure : « Progressivement, on comprend que Xi Jinping, qui n’est pas un tendre, ni un libéral façon Deng Xiaoping, s’apprête à laisser éclater une crise financière qui devrait ruiner les exubérances “capitalistes” de l’économie chinoise, mais pourrait aussi contaminer le monde. Cette option déjà déployée dans l’affaire du COVID 19, où les communications internes à la Chine étaient suspendues quand les habitants de Wuhan pouvaient facilement circuler dans le reste du monde, ressemble beaucoup à une tentative de déstabilisation de l’économie mondiale. On ne peut ici s’empêcher de penser que la crise immobilière qui se fait jour n’est, pour le PCC, qu’une pièce dans le puzzle d’un Great Reset géostratégique permettant à la fois de liquider la libéralisation de l’économie intérieure et de saper la prospérité de l’Occident. Nous maintenons donc notre pronostic d’une instrumentalisation de la crise qui pourrait déboucher sur un désordre mondial. » 
  164. C’est en manipulant la définition de « pandémie » que toute l’affaire a été préparée de longue date par l’appareil mondialiste dont Gates est l’un des coryphées. Dès 2013 on pouvait comprendre que ce petit jeu était destiné à servir les intérêts de laboratoires afin de créer autant de pandémies que nécessaires à la promulgation de vaccins en nombre illimité. En 2009, l’OMS avait en fait supprimé la notion de mortalité (nécessité d’un grand nombre de morts) pour pouvoir enclencher l’alerte pandémique maximale, qui conditionne en fait le début de la production de vaccins. Cette modification des critères avait donc permis aux fabricants de vaccins de s’enrichir de façon scandaleuse avec la vente de vaccins expérimentaux contre une grippe H1N1 qui faisait pourtant très peu de morts et qui était même plus bénigne que la traditionnelle grippe saisonnière.Le Dr. Lydia Archilède écrivait dès 2013 : « le système va devenir moins précis, donc PLUS FLOU avec passage de 7 critères à 4, ce flou allant évidemment profiter aux fabricants de vaccins et d’antiviraux, bien davantage qu’à la sécurité réelle des citoyens. Au prétexte d’être basé sur « le risque », il sera en réalité plutôt basé sur « la possibilité d’un risque hypothétique » avec maintien quasi permanent des citoyens les plus crédules dans « la peur de la pandémie à venir » ! Finalement, la phase de transition se confondra tôt ou tard avec la phase d’« interpandémie » et nous serons donc maintenus dans une sorte d’état d’alerte permanent pour le plus grand bonheur de Big Pharma et de ses investissements ! »Et notre consœur de conclure que « le modus operandi opaque inchangé au niveau du fonctionnement de l’OMS. Celle-ci garde son influence dictatoriale puisque les Etats qui pourront soi-disant évaluer eux-mêmes le risque au niveau national, « devront tenir compte des estimations faites par l’OMS ». Et par ailleurs, la décision finale quant aux pandémies reste aux mains d’une seule personne, le directeur de l’OMS, qui continuera de se faire conseiller par le même genre de petit « comité d’experts», qui fut pourtant à la base de tout le fiasco et de tout le gaspillage inimaginables du H1N1 ! » 
  165. Le lecteur pourra au sujet de ce cloaque regarder avec intérêt quelques épisodes du « Fall of the cabal » de Janet Ossebaard et Cyntha Koeter. Même si les premiers épisodes nous semblent largement discutables —je n’adhère en rien à la narration— ceux de l’ère moderne sont assez bien documentés. Je recommande de commencer par le Numéro 6
  166. Bouygues, Xavier Niel, Dassault, Bernard Arnault, Bolloré, Pierre Bergé, Patrick Drahi, François Pinault, Matthieu Pigasse et Lagardère, voilà les dix milliardaires qui possèdent les médias français. Tous les quotidiens nationaux (Le Monde, Libération et Le Figaro), toutes les chaînes d’info (LCI, I-Télé, BFM-TV), l’essentiel des hebdomadaires de référence (Le NouvelObs, L’Express, Le Point) et des chaînes de TV privées (Canal+, TF1) appartiennent à de grands milliardaires. Une telle concentration a rendue aisée la tache de Gates pour faire marcher tout le monde à l’unisson. Voir ici
  167. Voir la remarquable contribution sur Rumble : « Coronavirus. Violation des droits fondamentaux des peuples du monde par des mesures anti-humaines : enfermement, mode masque, enseignement à distance. » 
  168. Nous en sommes déjà à refuser d’évacuer une île des caraïbes la partie de la population non-vaccinée ! 
  169. Mon disque dur se remplit d’images horrifiantes montrant avec quelle cruauté les flics se jettent sur les gens, les martyrisent, pour des prétextes délirants comme le non port du masque en plein air par exemple. La France, l’Allemagne, l’Australie sont les pays où ces exactions sont devenues monnaie courante. Voyez déjà l’article suivant
  170. Le propre du fascisme : faire passer un prétendu intérêt collectif avant l’intérêt individuel : lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme.Otto Dietrich explique en 1934 : « « La pensée individualiste repose sur le postulat que l’homme est un individu. Ce postulat est faux. L’homme n’apparaît dans le monde que comme membre d’une communauté. Dans tous ses actes, l’homme est un être collectif et ne peut être pensé que comme tel. Les seules données réelles du monde sont les races, les peuples, les nations et non les individus. Le national-socialisme considère le Volk comme la seule réalité organique. »Et Capitant, ministre de De Gaulle de commenter ce délire : « La doctrine nazie inverse toutes les valeurs. Non seulement l’individu est désormais privé d’existence et donc de droits, comme le note Capitant, mais encore, il perd toute autonomie dans la mesure où cette exaltation de la communauté débouche sur l’obéissance prétendument volontaire à un Chef. Le règne du nazisme, c’est celui de l’hétéronomie et de la servitude volontaire ».Lire l’article du Dr. Delépine 
  171. Voir l’article remarquable de Philippe Ségur, Professeur de droit public à l’Université de Perpignan Via Domitia. 
  172. En un an, les prix agricoles à la production ont littéralement explosé, avec une hausse de 13,6% qui annonce le retour à l’hyper-inflation. Cette hausse concerne tout particulièrement les céréales qui dépassent les 35% d’augmentation sur l’année. Durablement, le monde industrialisé est donc exposé à une crise agricole qui pourrait enrichir les spéculateurs, et fortement précariser les consommateurs. Il est donc temps de stocker gentiment les produits agricoles à base de céréales, voire de cultiver celles-ci soi-même.L’explosion des prix agricoles à la production en un an est parfaitement illustrée par le graphique ci-dessus. Pour les céréales, pour un indice 120 début 2021 (indice 100 début 2019), les prix ont désormais grimpé en octobre à un indice proche de 150. En deux ans, les prix ont donc augmenté de 50%. Rappelons que l’indice 120 n’a été atteint qu’une seule fois à l’automne 2018.Autrement dit, le prix des céréales à la production bat actuellement des records historiques, très au-delà des scénarios connus ces dernières années. On y verra le signe d’une crise profonde. Source : Le Courrier des stratèges. 
  173. Pas d’évacuation d’une île où sévit une éruption volcanique dans les Caraïbes si vous n’êtes pas vacciné. Le gauchiste Chomsky déclare déjà qu’il faut enfermer les dangereux non-vaccinés. Et le misérable Berset, n’hésite pas à déclarer que tout sera de la faute des non-vaccinés : 
  174. Voir le remarquable article de Mathieu Slama: « Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire ». 
  175. Étant taxé d’anti-vax, anti-masque et anti-PCR dans un courrier officiel de l’assistante du médecin cantonal à mon attention, je mesure chaque jour le naufrage de notre société. L’un des exemples ultimes étant —selon moi— l’adoption de noms comme « Avenue du Mondial » un peu partout dans les villes de France. Un beau recoupement d’agnotologie et du vieux principe panem circenses
  176. Voir par exemple ici quelques commentaires pertinents sur le discours à Harvard. 
  177. Voir Laïcié mère porteuse de l’Islam, par Odon Lafontaine. Article ici
  178. A son époque Caton l’Ancien concluait tous ses brillants discours par Delenda est Carthago ! Il faut détruire Carthage. « Il faut détruire le mondialisme » doit devenir notre devise, notre seul but si nous voulons que nos enfants vivent dans un monde libre. 



Mr Véran, un « cas » n’est pas un malade ! Sans test PCR, il n’existe pas de vague. Stop mesures antiCovid ! MàJ

Par Nicole Delépine

Une nouvelle fois les mesures annoncées par le ministre reposent sur des « cas » dépistés par tests et non sur des malades.

VAGUE DE « CAS » FONDÉS SUR TESTS PCR DÉNONCÉS PAR LA FDA, MAIS PAS DE MALADES

Les nouvelles annonces d’O. Véran reposent comme depuis plus d’un an sur les « cas » et la mystification, qui consistent à confondre cas dépistés par des tests fallacieux et de vrais malades.

Et comme les médias diffusent en continu la propagande gouvernementale sans dénoncer la différence entre un test positif et un vrai malade (que le réseau sentinelle dépiste), la panique et ses conséquences funestes continuent sur tous les plans, médical, mais aussi psychologique, économique et politique. Pendant que des pays aussi différents que le Texas ou la Côte d’Ivoire ont repris des vies normales depuis des mois, la France continue de s’enfoncer dans la désespérance et la régression générale.(([1] Faites vos jeux, rien ne va plus ! Comment le gouvernement peut-il parler de cinquième vague ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Qu’a dit Véran ?

« Le pass sanitaire ne sera plus valide sans la 3e dose à partir du 15 janvier.

La 3e dose de vaccin anti-Covid est ouverte à tous les Français de plus de 18 ans dès 5 mois après la 2e injection. Le pass sanitaire sera désactivé 7 mois après la 2e dose.

– Le gouvernement a exclu toute mesure de restriction stricte de type confinement et couvre-feu, compte tenu de la pression hospitalière qui reste modérée.
– La durée de validité des tests PCR et antigéniques, qui permettent d’obtenir le pass sanitaire sans vaccination, sera réduite à 24 h.
– Le port du masque est à nouveau obligatoire dans tous les établissements recevant du public, et dans les lieux de brassage de population à l’extérieur sur décisions des préfets.
– Les classes d’école ne seront plus fermées dès détection d’un cas de Covid-19. En cas de nouveau cas détecté, les élèves seront tous testés, ceux présentant un résultat négatif resteront admis en classe.

Les tests seront gratuits et pourront être faits par les parents à l’extérieur de l’école »

Cerise sur le gâteau : passe obligatoire pour les marchés de Noel !! .

LES ÉVEILLÉS : OUVREZ LES YEUX CONTRE LES TESTS PCR ET INFORMEZ !

Quand les « éveillés » vont-ils ouvrir leurs propres yeux et ceux de la population sur la vague de tests et l’absence d’augmentation du nombre de malades ? Ce test est l’arme de terreur du pouvoir qui permet de tenir le peuple dans l’angoisse de cette fameuse nouvelle vague qu’ils attendent tant elle est annoncée. Et tant que la population ne fera pas la différence entre cas et malades, ils recommenceront encore et encore.

Il faut dénoncer la supercherie qui nous trompe depuis janvier 2020. Elle a été clairement démontrée par maître Reiner Fuellmich dès octobre 2020(([2] Nuremberg-Covid : un crime contre l’humanité qui doit être jugé ! — Riposte LaïqueRiposte Laïque (ripostelaique.com) )) et par le tribunal de Lisbonne qui a fort longuement expliqué qu’un diagnostic est un acte médical qui repose sur une consultation, des signes cliniques et éventuellement confirmé par les examens paracliniques.(([3] Vers le faire-part de décès des tests PCR (francesoir.fr)
Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com) )) Nous avions espéré que ces petites victoires juridiques aideraient à faire cesser cette tromperie mondiale, mais rien n’y a fait : le cirque continue, entretenant la peur même chez les soi-disant éveillés qui vont se faire tester pour se rassurer, et même chez certains médecins lanceurs d’alerte qui incluent le test PCR dans leurs algorithmes.

LE LEURRE DES CONTAMINATIONS DOIT CESSER

LES CAS NE SONT NI DES MALADES NI DES MORTS

Et le ministre l’avoue puisqu’il n’envisage pas de confinement ni couvre-feu en l’absence de pression hospitalière. Pas de malades, pas de morts.

Il vient de se faire prendre la main dans le sac, obligé de reconnaître que la soi-disant surcharge insupportable de nos hôpitaux de 2020 n’a rempli que 2 % des lits en moyenne et donc même si c’est 19 % au moment des pics, on reste très loin du tsunami décrit chaque soir par notre croque-mort de service toujours en place à ce jour. Donc il attend un peu que l’effet négatif médiatique soit oublié. Quelques journalistes n’ont pas apprécié le mensonge éhonté.

Le test PCR

ne dépiste que des virus, proches ou équivalents au SARS-CoV-2, des résidus de virus plus ou moins récents, mais ne démontre en aucun cas une nouvelle vague de Covid19.

Kary Mullis, l’inventeur du test PCR.
Voir aussi : Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH

Tous ceux qui tentent d’informer sur les vérités et mensonges dans ce scénario catastrophe de plandémie depuis bientôt deux ans doivent le hurler, le répéter, l’expliquer, etc. et ne jamais le laisser oublier ! Et n’oubliez jamais que les bien portants appelés asymptomatiques ne transmettent pas le virus : ceci fut définitivement démontré par l’étude chinoise sur dix millions de personnes et aussi vite oublié. C’est la deuxième arme du trucage du scénario Covid.(([4] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr) ))

LE TEST PCR EST L’ARME DU POUVOIR POUR NOUS MUSELER, PIQUER, ENFERMER, TRACER

Laissons raconter cette supercherie des tests PCR par le Dr Édouard Broussalian

Extrait de son magnifique récit de cette pandémie(([5] Un Plan Pour Le Monde — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) et
Planète Homéopathie • Un Plan Pour Le Monde (planete-homeopathie.org) avec toutes les références)):

« Sans tests PCR il n’y avait point de pandémie(([6] résumé par Fuellmich lui-même : « Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent ». « En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes ». « Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé — n’en déplaise au bon Docteur Knock. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal” ». « Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires.)) et le test était parfaitement vérolé de manière à détecter un maximum de “cas”. Mais c’était tout ce qu’il fallait pour aller dans le sens de la nouvelle définition de “pandémie”, juste des “cas”, pas forcément des vrais malades et encore moins de mortalité. Un document qui vient d’être publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume. Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.(([7] CDC 2019 Novel Coronavirus (nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel—Instructions for Use (fda.gov) ))

De manière parfaitement incroyable, l’article de Corman-Drosten a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne. »

« Plus incroyable encore, le protocole de test Drosten, qu’il avait envoyé à l’OMS à Genève le 17 janvier 2020, avant même que l’article ne soit publié(([8] Et donc sans possibilité de relecture par ses pairs.)) a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan. »

Que dire du scandale des cycles d’amplification ? L’OMS et Drosten ont recommandé un CT de 45 cycles. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les “positifs” PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles, il ne resterait plus que 3 % de vrais positifs ! Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur CT de 45 est scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur CT raisonnable ne doit pas dépasser 30). »

Le 27 novembre 2020, un groupe très respecté de plus de 20 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à Eurosurveillance pour retirer l’article du 23 janvier 2020 du « Dr » Christian Drosten, l’inventeur du dit « test » PCR. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable « examen par les pairs ». Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique « fatale » et de failles dans la promotion de leur test.

Il est même possible que ce test fourré au fond du nez serve rapidement à ficher toute la population avec l’ADN des frottis. Une firme britannique entend gagner ainsi beaucoup d’argent.

Que seule la complicité servile des mé(r)dias — hormis en France l’exception notable de France Soir et quelques rares autres — soutenue par une censure féroce dans tous les réseaux sociaux a permis d’installer la doxa officielle dans les cerveaux d’une population hypnotisée, abasourdie. Toute forme de pensée critique, quelle qu’elle soit, est immédiatement accusée d’être complotiste, la plupart des professionnels compétents sont muselés par la peur du dénigrement.

« Le grand test que fut la grippe H1N1 a appris aux mondialistes que le contrôle absolu des médias conditionnait la réussite du projet. C’est aujourd’hui chose faite. Devant des médias complices de la conspiration, débitant ad nauseam la doxa du système, la censure systématique — notamment sur les réseaux sociaux — et la ridiculisation de toute voix discordante à l’aide d’étiquettes telles que « complotisme » ou « anti-vax ». La censure organisée sur tous les réseaux sociaux et dans la pressetituée nous a prouvé très tôt l’existence d’un projet, d’une volonté, d’une coordination du crime, avec les fameux « fact-checkers » — simples informaticiens ou joueurs de jeux vidéo autoproclamés défenseurs de la « science » — formant les bataillons de la répression afin de maintenir à tout prix la vision et les ordres de l’OMS. »

Notons que cette nouvelle version de l’historique confirme une fois de plus les récits de Denis Rancourt et Pascal Sacré dans mondialisation.ca entre autres, et ceux de Reiner Fuellmich dans nombre de vidéos et de bien d’autres ; tous travaux que nous avons tenté de répercuter pour rassurer et faire stopper cette double tromperie, imposture, duperie, falsification, fraude, dans un silence et une indifférence intersidérale.

D’où vient la valeur magique de ce bout de coton enfoncé au fin fond de votre nez, alors qu’on vous raconte que ce virus malin est fort contagieux et qu’il faut porter un masque pour éviter de contaminer les autres, même en forêt ou à la plage voire seul sur le mont Blanc ?

Appelez le test PCR du nom de votre choix, fraude médicale étant peut-être encore le plus approprié, mais informez, que cette plandémie puisse cesser avec son cortège de drames, de malades cancéreux et autres non traités, de suicides, de faillites, de ruptures, etc.

En résumé

Les tests PCR doivent être abandonnés et les malades diagnostiqués par les médecins comme pour n’importe quelle grippe.

Les cas ne sont pas des malades.

Les asymptomatiques ne sont pas malades et ne sont pas contagieux.

Les pseudovaccins géniques ne protègent pas des contaminations ni des formes graves, comme le nombre élevé d’hospitalisés double-vaccinés en Israël ou en Angleterre le démontre. Leurs effets secondaires sont importants, bien supérieurs aux autres « vaccins ».

En France, le syndrome Tchernobyl et la peur du conseil de l’ordre et des supérieurs hiérarchiques bloquent l’information qui ne doit néanmoins être guère différente des autres pays.

Pour désarmer le ministre sans violence, il faut le priver de la croyance en son test PCR et de ce narratif mensonger.

Et pour tous ceux qui se sont fait injecter pour retrouver la liberté, si vous ne vous réveillez pas, vous avez pris un abonnement pour perpet…(([9] élargissement de la dose de rappel à tous.
– Réduction du délai de 6 à 5 mois pour faire prendre sa dose de rappel ;
– À partir du 15 décembre, le pass sanitaire pour les +65 ans ne sera plus actif si l’injection de rappel n’aura pas été prise dans un délai de 7 mois après la dernière dose ;
– À partir du 15 janvier 2022, le pass sanitaire ne sera plus valide pour toutes les autres classes d’âges n’ayant pas pris leur dose de rappel.
Pour toutes et tous ceux qui croyaient que se faire injecter, c’était le retour à la liberté, vous voilà rassurés.
Vous venez de prendre pour perpet ». Via libreetinsoumis sur telegram))





Principes de la vente agressive (santé, climat, politique) et comment s’en protéger

Par Lucien SA Oulahbib

1/ Santé

  • Rendre la « dose » suivante indispensable alors que le Pfizergate éclate et qu’elle s’avère inefficace, par exemple en Israël, à Singapour… comparée aux traitements précoces qui empêcheraient de fait les cas graves. Maints exemples de médecins, d’hôpitaux qui ont soigné avec et qui ont eu d’excellents résultats (aucun mort), mais qui ont été poursuivis, cassés, aujourd’hui brisés(([1] comme l’indique le dernier CSI, à 1 h 50))…
  • Au lieu de cela les hygiénistes affairistes vont agiter le drapeau rouge des chiffres de « rebond » (infimes) et des lettres en justifiant la fermeture de lits puisque l’injection protège de « la » maladie comme si celle-ci était le fléau majeur, ce qui est le comble de l’absurde, alors que certaines sources montrent que cette injection accroît les risques chez les jeunes et au sein de certaines pathologies comme les cancers.
  • Mais pour faire oublier ces dangers et incohérences, la Milice propagandiste de la Secte culpabilise les non-injectés en les montrant du doigt comme étant la cause de la persistance de la présence virale et de la nécessité de faire porter la muselière aux enfants afin de protéger les premiers alors que les injectés sont tout autant contaminants (sinon plus, selon certaines sources) et que les enfants même « positifs » ne transmettent pas ce virus du moins de manière dangereuse — à des personnes bien portantes et n’ayant pas de comorbidités (comme cela s’est passé sur le Charles de Gaulle où il n’y a eu aucun mort, ce qui plaide pour l’idée d’une immunité croisée comme l’indique également le CSI du 4/11/21 qui par ailleurs montre entre autres les dangers croissants des effets secondaires…).
  • Il suffit d’observer les pays massivement injectés et les autres pour observer que les premiers sont bien plus touchés que les seconds, d’autant que ces derniers (du moins ceux qui ont refusé d’être corrompus, achetés par Big Pharma et ses prothèses politiques) choisissent plutôt les traitements précoces et c’est cela qui est de plus en plus déterminant bien plus que la prépondérance de la jeunesse dans leur démographie.
  • Sans parler de l’impact des maladies dites « chroniques » qui touchent bien plus les populations occidentales qui ne font pas assez attention à leur alimentation et à leur culture physique… Un phénomène qui a été bien analysé par la « naturopathie » aujourd’hui violemment combattue par la médecine allopathique (du moins celle formatée par Big Pharma, les autres médecins encore « hippocratiens » étant eux balayés comme catégorie dépassée), jusqu’à exclure l’homéopathie et les huiles essentielles, mettant même à l’index la vitamine D. Bref, tout ce qui permettrait de renforcer naturellement notre système immunitaire est considéré désormais par la Secte comme un frein à son expansion, et aussi, plus métaphysiquement, comme étant une anomalie, le dernier terrain vague, cette nature « sauvage » qu’il s’agirait de dompter, d’effacer ou alors de nier puisque pour certains courants issus des Lumières, la « nature » n’existe pas, tout serait « conditionné ». Aujourd’hui les nouveaux adeptes parlent de « construit » à l’instar de l’industrie du bâtiment (la « postmodernité » est d’abord un concept architectural visant à effacer déjà la notion de « centre » genre Brasilia). Les avatars d’aujourd’hui, en transe sur ces questions, en sont au fond seulement les nouveaux poissons-pilotes (voir ici Ethique et épistémologie du nihilisme les meurtriers du Sens… et autres articles dans les revues dogma.lu et esprit critique).

2/ Climat

  • La confusion entre météo et climat bat son plein et permet peu à peu, comme l’indique Philippe Herlin, de transformer ledit « passe sanitaire » en « passe écologiste » forçant encore plus les populations à accepter sous contrainte cette fausse « transition ».
  • Ainsi alors qu’une tendance climatique doit s’appuyer sur trente ans d’observation (et non uniquement sur la modélisation, (voir le site des climato-réalistes), le moindre évènement météo (lié d’ailleurs souvent à des effets circonstanciés produits par exemple d’un bétonnage mal conçu, d’une disparition des talus, d’un manque d’égouttage, d’une « mégalopolisation » à outrance…) pousse à un catastrophisme visant à culpabiliser là aussi contre le moteur thermique qui a pourtant fait d’énormes transformations, contre le chauffage au bois, au fioul, et peu à peu contre tout chauffage non issu des dites « énergies renouvelables » ce qui fait qu’à terme un « quota » carbone sera intégré dans le « pass » à côté de la « dose », mais aussi un quota de « bonne citoyenneté » (ou « crédit social ») entamé si l’on dit des choses pas « politiquement correctes ». Mais une tolérance sera sans doute admise pour les étrangers qui ne « connaissent pas nos normes et codes » comme il a été déjà vu pour diverses affaires sociétales.

3/ Politique

  • La « nation » est devenue un frein à cette uniformisation et standardisation QR-codée, symbolisée aussi par ces implantations d’immenses centres commerciaux (ou « malls ») qui sont devenus ces TV géantes, séduisantes et séductrices dans lesquelles les « particules élémentaires » humaines que nous sommes devenus — en particulier pour la Secte (S.S.A) — s’activent elles-mêmes pour animer ce vaste faisceau cathodique mondialisé, pixels par milliards formant ainsi l’image — écran global visionné en temps réel par les robots statisticiens qui vont ainsi évaluer le taux marginal de tel ou tel produit au sein de chaque matrice individuelle.
  • Dans ce cadre il faut éliminer toute « particule » hostile qui empêcherait cette homogénéisation, car elle modifierait, entraverait la modélisation prédicatrice des coûts et profits calculés globalement, ce qui fait par exemple que telle fermeture d’usine liée à un surcoût apparaît « logique » tout en étant faux rationnellement, car cela implique des transferts de compétence, des extinctions de toutes les retombées connexes puisqu’une usine faisait « tourner » villes et villages à proximité…
  • Ce qui a eu pour conséquences la destruction des classes salariées populaires et moyennes, la constitution de nouvelles classes supérieures bénéficiaires en matière de gestion à distance, logistique, transports privés de marchandises, communication, médias, fictions, médicaments…
  • Où l’on voit se dessiner la césure entre les gagnants et les perdants de la globalisation et donc la césure politique entre patriotes/souverainistes d’un côté et globalistes/relativistes de l’autre puisque les premiers cherchent à contrer cette destruction et sortir de ses gravas pour restaurer (en effet), mais en mieux (Versailles versus le Louvre) tandis que les seconds veulent l’accélérer avec ce « pass global »…
  • Mais il faut savoir aussi balayer devant sa porte : ainsi lorsque la Chine est rentrée à l’OMC le ministre chinois du Commerce avait indiqué en 2005 qu’il avait été négocié dix à quinze ans de délais concernant le textile afin que les pays de l’UE puissent non seulement s’adapter, mais prévenir bien en amont l’arrivée des produits chinois. Rien n’a été fait par les politiques ou si peu. Hormis le luxe, mais qui sous-traite en Asie et en Afrique du Nord.
  • Ce qui impliquerait déjà la baisse des impôts de production, mais aussi la refondation du système de sécurité sociale en s’appuyant sur des cotisations proportionnelles et non progressives, du moins si celles-ci sont prises en charge à la fois par les organismes de sécurité sociale qui comprennent également les assurances et les mutuelles.
  • Au lieu par exemple de voir les budgets de l’hôpital et des retraites être assis uniquement sur les cotisations sociales, ils pourraient être aussi assis sur les cotisations assurantielles et mutualisées, ce qui permettrait de bénéficier de leur puissance financière mondialisée de telle sorte que ce ne serait pas seulement les assurés anglo-saxons et leurs retraités qui en bénéficieraient du fait des économies d’échelle ; et en plus cela coûterait moins cher dans le cadre dudit « salaire complet ».
  • Concernant maintenant la question de « l’être ensemble » (plutôt que le « vivre ensemble » trop vague), il s’avère que les récents débats autour de la laïcité confondent celle-ci avec la « neutralité » alors qu’il s’agissait surtout pour Jules Ferry de placer en premier lieu la nécessité d’une instruction morale et civique afin de mieux armer la liberté de conscience pour être un bon citoyen.
  • Aussi il est clair que si l’on accepte de vivre dans un pays ayant cette philosophie, tout signe ostensible indiquant que l’on n’est pas d’accord ne doit pas être au moins admis dans les services publics animés justement par cette philosophie… Quant à la « rue », il faut laisser libre la critique contre ces signes, politiques en réalité, et surtout protéger les personnes qui ne veulent pas porter de tels signes, mais qui sont obligées par leur « communauté ». C’est d’ailleurs là l’esprit de la loi contre les signes ostensibles à l’école, loi portée par un Bernard Stasi qui était loin du « fascisme » dont aujourd’hui il serait certainement affublé…
  • Enfin, deux enjeux semblent se mouvoir à l’horizon : s’il est possible de remettre sur les rails d’une néo-modernité affinée les trains de la laïcité, de l’économie politique, du développement territorial, des conflits sur le partage de la valeur ajoutée (avec plus de participation de cogestion de nouveaux syndicats), alors les tensions politiques devraient être circonscrites ; si ce n’est pas le cas, les solutions plus radicales seraient envisagées comme le fait de ne pas attendre par exemple que les étrangers irréguliers soient pris en charge par la solidarité internationale et non plus seulement nationale en tranchant exclusivement pour la seule solidarité nationale.
  • De même, alors que le droit du sol est ce ferment démographique permettant à une nation qui se veut forte et unie malgré les conflits permanents, il s’en trouve fragilisé dans son inconditionnalité s’il n’existe pas aussi une « politeia » qui le sous-tend, c’est–à-dire non pas seulement une « polis » qui gère au mieux la Cité, mais une politeia qui permet au sentiment d’appartenance de prévaloir.
  • Or nous sommes précisément à une « croisée des chemins » : soit la France et aussi les démocraties en général se ressaisissent en conservant les acquis et en affinant ces derniers grâce à une politique néo-moderne puissante, soit ce n’est pas le cas et alors les solutions (ou « médecines ») plus radicales seront agitées (comme s’amputer de populations hostiles).
  • Faisons en sorte que ces dernières solutions n’arrivent pas, mais dans ce cas, donnons-nous les moyens de faire en sorte que la conservation et l’affinement des acquis civilisationnels deviennent effectifs, sinon il ne servira à rien de crier sans cesse « au loup, au loup » surtout si celui-ci s’avère être précisément celui qui hurle le plus fort… Alors qu’il est au service (commandé ?) de la S.S.A.



Choc : un médecin critique de Corona de la première heure, se suicide tragiquement

Par Christine Côte

[Illustration : Bild: Dr. Jens Bengen; Hintergrund: freepic @Dragana_Gordic]

J’ai traduit cet article en français, surtout pour un parent allopathe (et vaXXinator) qui s’est méchamment réjoui l’année dernière du suicide d’un homéopathe de sa région, qui avait été harcelé et traîné dans la boue par les merdias après avoir perdu UN patient échoué chez lui en phase terminale. (En France, que je sache, tous les médecins homéopathes sont obligés de faire les études allopathiques et font donc les études d’homéopathie, EN PLUS.

L’on sait qu’à peine 10% des victimes de la chimio”thérapie” survivent. Selon le Dr. Coldwell, ce ne seraient que 2%. 

Je pense donc que cette nouvelle lui fera grand plaisir également.

Après une répression brutale, un médecin critique s’est donné la mort.

Les enfants se suicident, les médecins honnêtes se suicident, les artistes, les pères de famille, les mères, les petits entrepreneurs, les policiers, les infirmières se suicident, les personnes âgées se laissent mourir… et ils prétendent « se préoccuper pour notre santé » ? 

Merci Dr Bengen pour votre engagement et votre courage, et nous espérons que vous n’êtes pas mort en vain…


https://report24.news/schock-corona-kritscher-arzt-der-ersten-stunde-beging-tragisch-selbstmord/

Le Dr Jens Bengen a été l’un des premiers médecins à critiquer le battage médiatique autour de Corona. Il est allé au fond des choses et les a expliquées à un large public via sa chaîne « Sword of Truth ». Le 26 mai, Bengen ne voit plus d’issue pour lui-même, ou peut-être pour l’ensemble de la société. Il choisit le suicide, laissant derrière lui un grand trou sombre. Les Résistants sont choqués, horrifiés et exhortent les responsables à réaliser enfin ce qu’ils font par leurs actions.

Le Dr Bengen est arrivé très tôt à la conclusion qu’il s’agissait d’une fausse pandémie. Les histoires officielles ne collaient pas, les hôpitaux étaient vides. Il a adopté le point de vue bien documenté selon lequel les masques faciaux n’offraient aucune protection contre un virus qui n’était de toute façon pas plus dangereux que la grippe annuelle. Bengen a tenté sans relâche d’éduquer le public et a produit de nombreuses vidéos, notamment sur la chaîne YouTube « Sword of Truth » (L’épé de la vérité). 

Les médias du système avec leur harcèlement incessant, sont indiscutablement complices. De nombreux médias grand public se sont acharnés sur le médecin résistant et ont contribué à son désespoir ultime par leur constante incitation à la haine. On ne peut même pas s’attendre  à ce qu’un seul des journalistes fidèles au système ait honte de ce qu’il ait fait. 

HNA.de : Le médecin de Trendelburg est une star pour les sceptiques de la couronne et les “complotistes”.




Italie — Un urgentiste déclare que le vaccin anti-Covid est une arme fatale sur les plus fragiles

[Source : Silvano Trotta | VK]

Un médecin du Samu italien témoigne :

« Dans mon expérience de médecin urgentiste j’ai constaté avec certitude que les sujets « fragiles » , qui ont un organisme déjà intoxiqué, lorsqu’ils reçoivent des vaccins Covid vont immédiatement dans l’autre monde. Ou du moins, il leur est difficile de ne pas y aller.

Les données officielles qui sortent sont qu’il n’y a pas d’effets secondaires, il y en a un sur huit millions. Je peux dire sans hésiter que ce n’est pas vrai, car à chaque quart de travail que je fais dans l’ambulance, j’en reçois au moins un dans ces conditions.

Le lien de cause à effet est difficile à établir. Chacun d’eux meurt de la flambée des choses qu’il avait déjà. Par conséquent, ces médicaments tuent de manière subtile, c’est la pointe de l’iceberg, celle que vous voyez au-dessus de la mer, sont les pathologies précédentes; la plus grande partie, celle qu’on ne voit pas, consiste en l’administration de ces médicaments expérimentaux, ce qui a provoqué la revitalisation et la résurgence de ces pathologies.

Comment soigner les patients Covid lors de la première vague ?

J’en ai traité un peu plus d’une centaine. Ils sont tous guéris. On les traitait avec de l’Azithromycine et de l’Ivermectine, et si on les traitait au début de la maladie, ils se levaient en trois jours, alors que quand on les prenait déjà à un stade avancé, cela prenait plus de temps. J’en ai également traité beaucoup avec l’homéopathie, accompagnée de vitamines C et D à forte dose. Une chose est sûre : je n’ai hospitalisé personne, les patients Covid peuvent être très bien soignés à domicile ».




Festival des personnes remarquables

[Source : alternative-academy.net]

Bande-annonce :

SANTE & MÉDECINE

Dr TADEUSZ NAWROCKI – 26/10/21 à 19h30

Spécialiste du système HLA depuis 40 ans – pour lequel il s’est passionné dès la découverte par l’immunologiste et Prix Nobel, Jean Dausset – le Dr Nawrocki met en place, dans les années 1990, la recherche HLA complète comme outil de singularisation anthropologique et ethnique. Puis il crée, en 2015, un fichier informatique : l’Haplotype (HLA), et mène des travaux sur la molécule HLA-G et la tolérance immunitaire de la grossesse.

Il compte 30 publications scientifiques dans les domaines de la cytogénétique, la génétique moléculaire, l’anthropologie médicale, l’odontologie, la  stomatologie et la biophysique. Au cours de sa carrière, le Dr Tadeusz Nawrocki a obtenu différents diplômes inter universitaires : de cancérologie, de méthodologie des essais cliniques des médicaments, environnement et santé, environnement et cancer, de médecine prédictive. Il a obtenu également un diplôme de l’Institut Pavlov de Saint-Petersbourg, un diplôme d’homéopathie et il s’est également formé en pharmacologie botanique ainsi qu’un diplôme universitaire de formation et recherche en anthropologie médicale DUFRAM. http:// acmeditions.com

THEME DE LA RENCONTRE : Le système HLA, un outil de diagnostic fascinant :

« En anthropologie, le système HLA est un outil qui permet d’individualiser chacun dans son appartenance ethnique, migratoire, géographique. En immunogénétique, le système HLA permet de comprendre pourquoi certaines comorbidités, qui se transmettent entre ascendant à descendants, sont activés en pathologie par leur juxtaposition sur l’haplotype. Ceci avec des susceptibilités microbiennes, virales, aux métaux lourds, véritables accélérateurs de certaines procédures maladives qu’elle soit cancéreuse, auto-immune, neurodégénérative. »

Dr GÉRARD DIEUZAIDE : 23/10/21 à 14h30

Le Docteur Gérard Dieuzaide est chirurgien-dentiste, conférencier, diplômé universitaire de posturologie et d’implantologie. Il s’intéresse depuis de nombreuses années plus particulièrement au problème occlusal dentaire, mais aussi à l‘électrosensibilité aux ondes, notamment à travers l’effet d’antenne et l’écho vibratoire de certains matériaux situés sur nos dents.

Il est l’auteur des livres « Libérez-vous de ces matières parasites » aux éditions Trédaniel, « Les maladies des ondes comment s’en préserver, électrosensibilité, fibromyalgie, fatigue chronique », « Si ça venait des dents », et « Testing thérapie » aux éditions Dangles.

Le Dr DIEUZAIDE a participé au documentaire  « Les sacrifiés des ondes » du réalisateur Jean-Yves Bilien avec entre autres le Professeur Luc Montagnier et le Professeur Dominique Belpomme. site : https://www.dieuzaide-electrosensibilite.com/fr

THEME DE LA RENCONTRE : Ces matériaux qui font « antenne » …

Certains matériaux font « antenne » avec les ondes ambiantes. Tester permet ainsi de donner à chacun les moyens de reconnaître certaines agressions environnementales, auto-induites,  proprioceptives, électromagnétiques   ou émotionnelles, de toute nature, en sachant lire et observer les réactions de son corps afin de s’en protéger. Mais tester permet également aux thérapeutes, quels qu’ils soient , médecins,  dentistes,  naturopathes, nutritionnistes, psychologue, osteopathes, etc..de respecter la célèbre maxime « primum non nocere »( D’abord ne pas nuire )qui est malheureusement trop souvent oubliée par la médecine moderne… Savoir tester donne les clés d’une méthode thérapeutique inédite qui est spectaculaire non seulement du fait des résultats obtenus mais aussi du fait de la diversité des incroyables améliorations de santé qui s’en suivent.

Enfin il faut savoir que les tests utilisés sont issus d’une jeune discipline de la médecine officielle, science que l’on appelle la Posturologie.

Dr DOMINIQUE ERAUD : 31/10/21 à 17h30

Homéopathie, Acupuncture, Phytothérapie, Nutrition –

Fondatrice du colloque Écomédecine, d’Intelligence Verte, de la CNMSE : Coordination Nationale Médicale Santé Environnement – Membre fondateur du RES : Réseau Environnement Santé Présidente Paris : Solidarité Homéopathie.

THEME DE LA RENCONTRE : Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal.

Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal. Une expérience menée avec l’Hôpital Privé Nord Parisien (HPNP) Une réflexion sur une vaccination sur mesure.

MARION KAPLAN  : 24/10/21 à 18h

Marion Kaplan est naturopathe, bio nutritionniste, spécialisée en Nutrithérapie et en micronutrition. Tout au long de sa vie elle a étudié avec des experts précurseurs comme le Dr Catherine Kousmine, Robert Masson, le Dr Jean Seignalet, le Pr Henri Joyeux, Dr Thadèe Nawrocki,  Pr Vincent Castronovo… Elle  s’est également passionnée pour les médecines énergétiques, comme l’homéopathie, l’acupuncture, la bio énergie, les médecines quantiques, mais également les médecines de compréhension de l’humain comme la PNL, le développement personnel, la spiritualité.  C’est une éternelle étudiante. Toutes ces compréhensions ont abouti à plus d’une vingtaine d’ouvrages sur l’alimentation et à l’organisation de nombreux congrès « quantique planète » et à son « Ecole des Sages ».Livres : Paléobiotique (Thierry Souccar), Powerbiotique (Trédaniel), sans gluten ni laitages (Jouvence)…Site : https://95degres.com

THEME DE LA RENCONTRE : Vivre en pleine santé après 64 ans, c’est possible ! Nous avons gagné en longévité, mais le temps de vie en bonne santé ne dépasse toujours pas 64 ans. A partir de cet âge, les statistiques démontrent que les maladies explosent, qu’elles soient de civilisation, auto immunes, infectieuses, virales, métaboliques ou autres.Pourtant, grâce aux progrès de la Médecine Préventive, nous avons tous les moyens pour prévenir plutôt que guérir.Nous avons accès maintenant à l’étude de notre génome qui nous permet de prendre les précautions et les résolutions qui ne nous ferons jamais basculer dans les maladies auxquelles nous sommes génétiquement prédisposés.

Dr Alain DUBLANCHET : 28/10/21 à 19h30

Médecin, biologiste honoraire des hôpitaux, ancien chef du laboratoire de microbiologie du Centre hospitalier de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) il a consacré son activité à la microbiologie médicale et à l’infectiologie. Il a publié de nombreux articles originaux concernant notamment l’étude des bactéries anaérobies et les résistances bactériennes aux antibiotiques.

Durant son activité hospitalière, ayant lui-même utilisé il y a plusieurs dizaines d’années des bactériophages pour traiter des infections ostéo-articulaires graves en impasse thérapeutique, il s’est attaché, à réintroduire la phagothérapie dans la communauté médicale et à correspondre avec les spécialistes français et étrangers. Il est l’auteur du chapitre « Phagothérapie » dans l’Encyclopédie Médico- Chirurgicale, et d’un ouvrage destiné au médecins généralistes et au grand public : « La phagothérapie : des virus pour combattre les infections. Renouveau d’un traitement au secours des antibiotiques ». Il a également écrit une biographie de Félix d’Hérelle, qui fut le découvreur du bactériophage en 1917 et le promoteur de la phagothérapie.  Livre : « La phagothérapie – Des virus pour combattre les infections » (Favre)  https://www.sesoignerengeorgie.com/docteurdublanchet.html

THEME DE LA RENCONTRE : De la découverte des bactériophages au développement de la phagothérapie !

Le développement continu des résistances bactériennes aux antibiotiques entraîne l’apparition d’infections de plus en plus souvent impossibles à maîtriser. Il en résulte des situations individuelles dramatiques qui met la médecine en échec. Il devient urgent de trouver une réponse. La phagothérapie, qui utilise des virus singuliers « mangeurs de bactéries » appelés bactériophages, est probablement la réponse la plus abouti à cette évolution inéluctable et préoccupante.

Dr DOMINIQUE BOURDIN : 27/10/21 à 16h  

Diplômé en Médecine du Sport et en Acupuncture, Dominique Bourdin bénéficie d’une solide expérience de médecin et de psychothérapeute (ayant exercé près de vingt ans la médecine générale et l’acupuncture, et la psychothérapie pendant plus de dix ans). Egalement formé en Sciences et en Théologie, sa quête est perpétuelle : comprendre l’être humain et le sens qu’il peut donner à sa vie.

Durant ces années d’expériences, les rencontres multiples et variées, la recherche, l’expérimentation lui ont permis de concevoir des techniques de soins performantes : la musicothérapie (ou holopsonie) qui stimule les ressources de la personne à travers l’ouïe, et la chromothérapie (ou luminothérapie de précision) qui agit sur toute la structure vibratoire du corps humain. https://www.holobiolistic.eu/new5/index.php

THEME DE LA RENCONTRE : La chromobiologie, une piste pour la médecine de demain ?

En développant une conception de l’être humain fondée sur la conscience, la lumière et les couleurs, la chromobiologie permet de comprendre les besoins et donc d’en prendre soin efficacement.

Elle propose aussi un outil thérapeutique pertinent dans une approche globale de la santé, non symptomatique, non analytique, centrée sur la personne et ses ressources plus que sur ses problèmes dans un accompagnement d’autoguérison et de prise de conscience.


Programme

Vendredi 22 Octobre 2021

14h Film « DE LA PSYCHOLOGIE A LA SPIRITUALITE » avec Thierry Janssen

18h Film « ENFANTS HYPERSENSIBLES, UN PRESENT POUR L’AVENIR »
        avec Jeanne Siaud-Facchin

20h Rencontre avec Jeanne Siaud-Facchin
 » Intelligence acérée & sensibilité exacerbée, une Alchimie pour demain ?
Échangeons ensemble !

Samedi 23 Octobre 2021

10h Projection de l’interview  » Aluminium, le corps Blessé … une invasion toxique » – Pr Christopher Exley

13h Projection du film : « Les sacrifiés des ondes « avec le Dr Gérard Dieuzaide

14h30 Rencontre avec le Dr Gérard Dieuzaide
« Le corps ne ment pas » Echangeons ensemble !

16h Projection du film : « LA ROUTE DE LA CONSCIENCE »

17h Interview de Philippe Guillemant : Comment adresser notre meilleur futur ?

18h Rencontre avec Philippe Guillemant 
Échangeons ensemble !

19h30 Rencontre avec Alexandre Rusanov
Le rôle des facteurs géologiques et géophysiques dans la pollution électromagnétique
Échangeons ensemble !

21h Projection du film : « LES GUERISSEURS, LA FOI, LA SCIENCE »

Dimanche 24 Octobre 2021

10h Projection du Film :  « LA TROUSSE D’URGENCE DE L’AROMATHÉRAPIE », avec le Dr Dominique Baudoux

14h Interview de Olivier Barbarroux : L’humain, fils de la terre, à la croisée des chemins

15h Rencontre avec Olivier Barbarroux
Échangeons ensemble !

16h30 Projection du Film : « CROQUE LA VIE »

18h Interview du Marion Kaplan  : Vivre en pleine santé après 64 ans, c’est possible !

19h Rencontre avec Marion Kaplan
Échangeons ensemble !

20h Interview du Dr Hervé Janecek : « Les ondes , la lumière,  les électrons en nutrition et en thérapie » ?

21h Rencontre avec le Dr Hervé Janecek
Échangeons ensemble !

22h00 Projection du Film : « GUERISON EXTRAORDINAIRE » avec Willy Barral

Lundi 25 Octobre 2021

10h Projection du Film :  » LE MOINE BLANC DE SHAOLIN » avec Andréas Beskow  

15h Projection du Film : « DERMO-OPTIQUE avec Antonin Poncik

18h30 Projection du Film : « CEUX QUI NE VEULENT PAS GUERIR » avec Jean-Philippe Brébion

19h30 Interview de JP Brébion : « Ne cherchons pas à vivre, cessons de survivre, la vie oeuvre en nous »

20h30 Rencontre avec Jean-Philippe Brébion
Échangeons ensemble !

Mardi 26 Octobre 2021

10h Projection du film : « LES GUERISSEURS DE L’IMPOSSIBLE »

14h Projection du film : « LA NOUVELLE BIOLOGIE CELLULAIRE » avec le Dr Bruce Lipton

16 h30 Interview du Dr Tadeusz Nawrocki : « Coronavirus & traitements » du Dr Tadeusz Nawrocki

19h30 Rencontre avec le Dr  Tadeusz Nawrocki
Le système HLA : Votre carte génétique tissulaire, un outil de diagnostic fascinant
Échangeons ensemble !

22h Projection du film : « LES ETAPES DE DEVELOPPEMENT DE L’ENFANT & DE L’ADOLESCENT »  avec Nathalie Brochard

Mercredi 27 Octobre 2021

10h Projection du film  : « MEDECINE, LE GRAND TOURNANT »

14h Projection du film : « GUERIR PAR L’AMOUR » avec le Dr Léonard Laskow

16h Rencontre avec le Dr Dominique Bourdin
L’utilisation de la lumière : A chaque couleur, sa fonction !

18 h30 Projection du film : « SEUL EST VAINCU CELUI QUI RENONCE » avec Babeth & Raphaël Colicci

20h Rencontre avec Raphaël Colicci : Le défi de la simplicité
Échangeons ensemble !

Jeudi 28 Octobre 2021

14h Projection du Film : « LES CHEMINS DE LA GUERISON »  avec le Dr Guy Londechamp

15h45 Interview du Dr Guy Londechamp : L’eau & La conscience

16h30 Rencontre avec le Dr Guy Londechamp Echangeons ensemble !

18h Projection du film « LA NATUROPATHIE VITALISTE » Ecole Dargère- Pierre-Valentin Marchesseau

19h30 Rencontre avec le Dr Alain Dublanchet
De la découverte des bactériophages au développement de la phagothérapie
Échangeons ensemble !

Vendredi 29 Octobre 2021

10h Projection du film « FUSION FROIDE » avec Jean-Paul Bibérian

14h  Projection du film : FREQUENCES ELECTROMAGNETIQUES DE L’ADN » avec le Pr Luc Montagnier

18h30 Interview du Dr Claude Touzet : Théorie neuronale de la cognition

20h Rencontre avec le Dr Claude Touzet
Échangeons ensemble !

Samedi 30 octobre 2021

10h Projection du film « AU DELÀ DU MIROIR » – Sylvie Ouellet

13h Projection du film « PHOTOBIOLOGIE – LUMINOTHERAPIE » – Dr Luc Benichou

14h15 Rencontre avec le Dr Luc Benichou
La lumière, l’eau et la cellule, 

15h30 Interview de Vahé Zartarian : L’humanité a-t-elle un avenir ?

16h30 Rencontre avec Vahé Zartarian 
Échangeons ensemble !

18h Projection du film : « MUSIQUE & THERAPIE » avec Marc Vella

19h Interview de Marc Vella : Le maître & la Grâce

20h Rencontre avec Marc Vella
Échangeons ensemble !

Dimanche 31 octobre 2021

10h Interview de Jean-Christophe Thiery : Et si nous parlions un peu de fraternité ?

11h Rencontre avec Jean-Christophe Thiery
Échangeons ensemble !

14h Interview de Patrice Van Eersel : Comment croire en l’avenir quand on a 30 ans

15h Rencontre avec Patrice Van Eersel
Échangeons ensemble !

16h Interview du Dr Dominique Eraud : « Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal »

17h30 Rencontre avec le Dr Dominique Eraud
Échangeons ensemble !

19h30 Rencontre avec Philippe Desbrosses
Agriculture : nos semences en vérité. 
Échangeons ensemble !




Connaissez-vous le Dolder Club ?

[Source : economiedistributive.fr via Geopolintel]

Le « DOLDER Club »

par B. BLAVETTE

Le Dolder Grand est un hôtel cinq étoiles situé dans la forêt, sur les hauteurs entourant la ville de Zurich. Avec ses tours, ses tourelles, ses colombages, le bâtiment semble sorti d’un film d’aventures ou d’espionnage.

C’est en ce lieu, à la fois ultra luxueux et discret, qu’en 1970 une trentaine de hauts dirigeants de l’industrie pharmaceutique mondiale choisissent de se réunir pour la première fois. Depuis cette date, la rencontre se déroule une ou deux fois par an dans divers pays du monde et a adopté en toute modestie le terme de « Dolder Club » qui dans divers patois allemands et en alsacien désigne « la cime la plus haute, qui domine toutes les autres ».

C’est tout à fait par hasard que j’ai appris, il y a quelques semaines, l’existence du Dolder Club par l’intermédiaire d’un site faisant la promotion de la santé naturelle par les plantes.(([1] Il s’agit de « La lettre directe santé ». Attention, la fiabilité générale de ce site me semble par ailleurs incertaine du fait de ses attaques sans nuance à l’encontre de la médecine allopathique.)) Car, plus encore que le « Groupe de Bidelberg », cette réunion est ultra confidentielle. Le Dolder Club ne possède pas de site internet, nulle mention n’en est faite sur le site de la Fédération Internationale des Fabricants Pharmaceutiques (IFPMA pour Inter­national Federation of Pharmaceutical Manufacturers) qui en est pourtant l’organisatrice, nulle mention non plus dans les agendas des divers participants.

La dernière réunion du Dolder Club s’est tenue à Paris les 7-8-9 juillet 2018. Mais cette fois l’anonymat intégral avait été brisé par une dépêche de l’AFP, reprise par différents organes de presse (La Croix, Le Point, Le Monde…), qui relate succinctement la rencontre et précise que le groupe a été reçu le 9 juillet au soir par Emmanuel Macron bien que ne figurant pas sur l’agenda officiel du Président. Le site internet de l’Elysée ne comporte pas non plus de compte rendu de ces discussions. L’AFP a pu se procurer la liste des participants au Dolder Clu : sans surprise on rencontre Jaquin Duato, le dirigeant de Johnson and Johnson, N°1 mondial (USA), Kenneth Frazier, PDG de Merck and Co (USA), Lars Fruergaard Jorgensen du laboratoire Navo Nordisk (Danemark), Pascal Soriot PDG de AstraZeneca (GB/Suède), Christophe Weber le directeur français de Tadeka (Japon)… La réunion est présidée par une vieille connaissance, Serge Weinberg, Président du Conseil d’Administration de Sanofi. Ce personnage s’est particulièrement illustré par son intransigeance dans le cadre du scandale de la Dépakine, cet anti épileptique produit par Sanofi qui, administré aux femmes enceintes, engendre des enfants mentalement handicapés. Selon un rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) du 22/6/2018, entre 16.600 et 30.400 enfants exposés à la Dépakine avant la naissance seraient atteints de troubles du comportement. Mais le pire c’est que tout porte à croire que Sanofi connaissait les effets délétères de la Dépakine depuis au moins le milieu des années 80 grâce à un rapport de l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS).(([2] Voir l’excellent article du magazine Capital du 22/10/2018.)) Pourtant l’affaire de la Dépakine ne s’arrête pas ici. Le lundi 9 juillet 2018 l’association France Nature Environnement publiait une étude montrant que l’usine Sanofi de Mourenx dans les Pyrénées Atlantiques (qui fabrique notamment la Dépakine) procédait régulièrement et depuis plusieurs dizaines d’années à des rejets toxiques dans l’atmosphère dépassant… 90.000 à 190.000 fois, suivant les cas, les normes admises. À la suite de ces révélations l’usine a été fermée pendant deux mois, le temps pour Sanofi de procéder à « quelques ajustements ». Puis la production a repris, « business as usual ». France Nature Environ­nement a déposé une plainte qui, comme d’habitude, n’est pas suspensive… Il est vrai que l’année précédente (le 7/10/2017) Christophe Castaner avait déclaré lors d’une visite du site de Sanofi à Sisteron « On ne doit pas critiquer des entreprises qui réussissent comme Sanofi » et Édouard Philippe avait renchéri (le 17/10/2017) devant l’Assemblée Natio­nale à propos de Sanofi : « Il ne faut pas dénigrer une entreprise française qui fonctionne bien ». Le cynisme, allié à la bêtise, de ces deux perroquets atteint ici des sommets. Il faut ajouter aussi que Serge Weinberg doit se penser intouchable, lui qui est un ami proche d’Emmanuel Macron, lui qui a largement contribué à son élection. En effet les deux hommes se sont rencontrés dans le cadre de la « Commission Attali pour la libération de la croissance » mise en place par Nicolas Sarkozy et ont rapidement sympathisé. Serge Weinberg était alors Président du Conseil d’Administration du groupe Accor et PDG du fond d’Investissement Weinberg Capital Partner et Emmanuel Macron, Inspecteur des Finances et Rapporteur général adjoint de la Commission. Par la suite Weinberg introduira Macron dans la Banque Rothschild et le soutiendra pendant toute la campagne électorale. Selon le député de la France Insoumise François Ruffin, lors de la réception donnée à l’Elysées à la suite de son élection, Macron fendra la foule de manière très remarquée pour donner l’accolade à son ami Serge…

Il n’est guère étonnant dans ces conditions qu’Emmanuel Macron « soigne les industriels du médicament » comme le déclare France-Info du 10/7/2018.(([3] Remarquons que suivant Le Canard Enchaîné du 7/6/2017 et Wikipédia, l’actuelle Ministre de la santé, Agnès Buzyn, a tissé tout au long de sa carrière dans des organismes publics des liens très étroits avec plusieurs grands laboratoires pharmaceutiques, ce qui a donné lieu à de multiples conflits d’intérêts. Agnés Buzyn a notamment effectué de nombreuses missions rémunérées pour Novartis, Bristol-Myers Squibb et, entre 1998 et 2011, le laboratoire Genzyme, filiale étasunienne de… Sanofi !)) En fait, selon RFI, la date de la réunion ne doit rien au hasard, elle permet aux membres du Dolder Club de participer au Conseil Stratégique des Industries de Santé (CSIS) qui s’est tenu le 10 juillet à l’Hôtel Matignon sous l’égide du Premier Ministre. Cette rencontre, qui se déroule tous les deux ans depuis 2004, est sensée établir un dialogue qui peut apparaître utile entre l’État et l’industrie pharmaceutique. Cependant, au fil des années, le CSIS s’est transformé en opération de lobbying permettant aux grands groupes pharmaceutiques de présenter, on pourrait même dire imposer, leurs revendications. Et ces revendications sont nombreuses.

À l’issue de la réunion, Édouard Philippe a annoncé deux mesures phares auxquelles l’industrie pharmaceutique est très attachée :

  • La réduction à 180 jours des autorisations de mise sur le marché des nouveaux produits, au lieu de 300 jours actuellement. Ceci en dépit des multiples scandales qui secouent actuellement le secteur pharmaceutique : Médiator, Lévo­thy­rox, Dépakine, implants mammaires….
  • Un nouveau système de régulation du prix des médicaments : une garantie minimale annuelle de 0,5% de croissance du chiffre d’affaire pendant les trois ans à venir, garantie pouvant aller jusqu’à 3% pour les médicaments dits “innovants”. Mais qui décidera qu’une molécule est réellement innovante ? Mais comment est-il possible qu’une entreprise privée puisse se voir offrir par la collectivité une garantie de croissance ?

Parmi les revendications que les laboratoires espèrent pouvoir faire aboutir dans un futur rapproché on citera notamment l’obligation de la vaccination contre la grippe pour les plus de 65 ans (tout comme les fournisseurs d’eau, l’industrie pharmaceutique adore les consommateurs captifs), le déremboursement, voire, dans certains cas, l’interdiction des médecines alternatives : homéopathie, utilisation des huiles essentielles…

Le marché mondial du médicament avoisine les 830 milliards d’euros annuels, ce qui donne à ses acteurs une formidable force de frappe.

On peut considérer qu’aujourd’hui l’industrie du médicament est hors de tout contrôle, qu’elle impose sa loi aux États ainsi qu’aux instances internationales comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) par une généralisation de la corruption et du conflit d’intérêts. Il s’agit là d’une atteinte supplémentaire à nos processus démocratiques.

Ajoutons qu’il m’a été impossible de connaître le lieu et la date de la prochaine réunion du Dolder Club en 2019.

Ainsi une fois de plus notre avenir collectif se décide dans des instances illégitimes, dans la plus parfaite clandestinité, dans l’indifférence générale…

Note de la rédaction :

Nous aurions aimé, par une photo, faire admirer à nos lecteurs cet hôtel absolument extraordinaire. Il aurait fallu pour cela payer à cet hôtel des droits d’auteur, ce dont nous pensons qu’il n’a pas besoin.

Mais sur internet, à l’adresse : The Dodler Grand,
vous pouvez admirer l’hôtel et son site par une foule de très belles photos… et même retenir une chambre pour vos vacances, (entre 600 et 900 € la nuit).





Est-ce la fin de la médecine libre ?

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com)]

[Également transmis par Christine Côte]

Par Jérôme (Fondation Hippocrate)

– Vous n’avez jamais tué quelqu’un, docteur ?
– Sans ordonnance, jamais !
Cet extrait d’un sketch de Raymond Devos m’a longtemps fait sourire.

Aujourd’hui, c’est la médecine intégrative que l’on tue. Et cela se fait par décret. Le gouvernement a pris la peine d’établir un arrêt de mort officiel.

L’apparence du droit et de la démocratie est respectée. Toutefois, le résultat est le même : à partir du 15 septembre 2021, des milliers de soignants et de médecins en France se trouvent bannis du système de santé.

Il leur est imposé une obligation vaccinale contre la covid 19 sans laquelle ils ne peuvent plus exercer. S’ils sont hospitaliers du public ou du privé, ils seront suspendus le temps de l’état d’urgence et de l’obligation vaccinale. Ils ne seront pas payés. (1)

S’ils pratiquent leur discipline en libéral en tant que médecin, ostéopathe ou kiné, leur cabinet peut être fermé à tout moment s’ils ne montrent pas la preuve de leur “passe sanitaire”.

Or, comme les tests PCR vont devenir payants et qu’ils doivent en faire un tous les trois jours, c’est une obligation vaccinale déguisée.

10% d’irréductibles !

Au mois d’août dernier, 9 médecins généralistes sur 10 auraient été vaccinés contre la covid 19. Il resterait donc 10% d’irréductibles. (2)

Cela pourrait représenter 10 000 médecins sur les un peu plus de 100 000 médecins généralistes qui exercent en France. (3)

Au niveau des hôpitaux, le chiffre serait de 13% sur les 1,1 millions de soignants. (4)

Cela fait tout de même plus de 100 000 soignants !

En tout, 300 000 thérapeutes et soignants pourraient refuser d’appliquer l’obligation vaccinale. (5)

L’obligation vaccinale imposée aux médecins et aux soignants est donc une mesure qui va toucher des millions de Français. Pour l’instant, ils ne se doutent de rien. La mesure a été peu commentée dans les médias. Elle est presque passée inaperçue. Pourtant, ces conséquences à court et à long termes devraient être considérables.

Cette décision pourrait aboutir à un véritable désastre sanitaire. Explications.

Le cadre juridique

Comment, un gouvernement, peut-il, en toute légalité, licencier 10% des effectifs d’un secteur économique entier ?

Cette décision a été prise au début du mois d’août, en quelques jours. Elle a été actée par un décret du 1er ministre du 7 août 2021. (1)

Il faut comprendre que de telles décisions sont possibles sans discussion parce que nous sommes en état d’urgence sanitaire. (6)

Cet état de droit d’exception a été institué une première fois par décret le 17 octobre 2020 à minuit. Il a été prolongé :

  • par une loi du 14 novembre 2020 jusqu’au 16 février 2021.
    par une loi du 15 février 2021 jusqu’au 1er juin.
    par une loi du du 31 mai 2021 jusqu’au 30 septembre 2021.
    par une loi du 5 août 2021 jusqu’au 15 novembre 2021.
    Nul doute que le 14 novembre 2021, nos députés voteront sagement une nouvelle loi pour étendre encore et toujours l’état d’urgence sanitaire…

En tout cas, ce cadre juridique permet au gouvernement d’agir vite et sans débat. En effet, lorsque les mesures ne sont pas discutées au Parlement, elles sont moins reprises par les médias. Cela fait moins de polémiques.

Un décret du 7 août 2021 a instauré le fameux “passe sanitaire”. (1)

Depuis le 15 août, ce document ou “QR code” est exigé de tous les majeurs pour accéder aux :

  • restaurants, bars et musées ;
    hôpitaux, Ephad et maisons de retraite ;
    transports publics longue distance (train, avion) mais pas aux métros ni aux bus urbains ;
    centres commerciaux supérieurs à 20 000 m2.
    événements de plus de 50 personnes.
    Il est exigible pour tous les majeurs. Il le sera pour les adolescents de plus de 12 ans à partir du 30 septembre 2021.

Celui qui ne présente pas son “passe sanitaire” s’expose à une amende de 135 euros. Les commerçants qui ne contrôlent pas les “passes sanitaires” risquent, eux, une amende de 1000 euros. (1)

Enfin, les soignants hospitaliers ou libéraux ont l’obligation de se vacciner avant le 15 septembre. S’ils ont déjà reçu une dose de vaccin, ils ont jusqu’au 15 octobre pour faire la deuxième.

Le refus des soignants libres et ses conséquences

Comprenez bien la situation. Les soignants fonctionnaires ne seront pas payés. Mais ils n’auront pas le droit non plus d’avoir une autre activité salariée en raison de leur statut, sauf illégalement. Ils risquent donc d’être à la rue.

Les salariés du privé pourront essayer de trouver un emploi ailleurs.

Les médecins ou les libéraux, habitués à une gestion plus souple de leur activité, la mettront entre parenthèses en espérant tenir sur leurs réserves ou prendront leur retraite pour ceux qui le peuvent.

Dans ces conditions, certains se feront vacciner et continueront à travailler avec beaucoup d’amertume. Vous serez soignés par des personnes qui détesteront les autorités, la société et peut-être même leurs patients.

D’autres partiront à l’étranger ou changeront de voie.

Personne ne sait aujourd’hui combien de thérapeutes, d’infirmiers, d’ostéopathes, etc. vont cesser de travailler.

Même s’il n’y en avait “que” 100 000, c’est énorme pour un système de santé exsangue où le “turn over” et les “burn out” sont déjà très élevés. (7,8)

Le départ de nombreux médecins libéraux va accentuer encore les déserts médicaux. De nombreux patients ne pourront plus se soigner

Pourquoi refusent-ils ?

Vous me direz mais pourquoi ces médecins et ces soignants refusent-ils l’obligation vaccinale contre la covid 19 ?

Pourquoi sont-ils prêts à tout perdre pour ne pas se soumettre aux obligations du gouvernement?

Il y a trois raisons essentielles à cela :

1/ Ils ne veulent pas des effets secondaires des vaccins. La covid 19 tue certaines personnes, c’est vrai. Néanmoins, les vaccins provoquent de nombreux effets secondaires et peuvent tuer également. (9)

Plusieurs milliers de personnes pourraient avoir trouvé la mort à cause du vaccin en Europe, même si ces chiffres font débat parce qu’il n’est pas toujours simple d’établir le lien entre une vaccination et un décès. (9)

C’est moins que la covid 19 mais ce n’est pas un détail non plus.

Par exemple, beaucoup de jeunes infirmières redoutent les effets secondaires douloureux des vaccins. Elles risquent de voir leurs cycles menstruels très perturbés, elles ne savent pas si le vaccin n’impacte pas leur fertilité alors qu’elles savent que la covid 19 ne représente pas un danger pour elles. (10)

Par ailleurs, elles font extrêmement attention aux gestes barrières et sont très prudentes avec leurs patients. Pour elles, le bénéfice du vaccin est vraiment discutable.

2/ Ils savent que les vaccins ne jouent pas ou peu sur l’épidémie. Ces soignants ont en tête la situation sanitaire dans des pays comme Israël ou l’Islande. Ces pays sont ultra vaccinés mais connaissent toujours des vagues épidémiques. Les contaminations y sont à la hausse ! (11,12)

Les vaccinés y sont autant hospitalisés que les non vaccinés et le virus tue autant les uns que les autres. Il est possible que chez les personnes à risque, ayant des comorbidités, le vaccin permet d’éviter les formes graves de la covid 19. Mais pour des soignants de moins de 60 ans en bonne santé, le risque mortel est faible.

3/ Ils savent que la covid 19 fait peu de victimes. Le taux de létalité du SARS- CoV-2 est faible. (13) La moyenne d’âge des morts est au-dessus de 80 ans. (14) La très grande majorité des morts avaient des comorbidités. On dit qu’ils sont morts de la covid 19 mais on aurait pu les compter dans les victimes du cancer, du diabète de type II, de l’obésité ou simplement de la grande vieillesse.

La vaccination obligatoire n’est pas une fatalité !

Les soignants dont nous parlons sont-ils égoïstes ? Prennent-ils le risque de contaminer leurs patients ?

Ce n’est pas le cas.

Ces soignants comme la majorité des thérapeutes ont choisi ce métier par vocation, par amour de leur prochain. C’est le désir d’aider les autres qui les a mis là où ils sont.

Il faut comprendre qu’ils refusent de se soumettre à une obligation vaccinale qui crée une situation absurde du point de vue sanitaire.

En effet, les vaccins Janssen et AstraZeneca ne fonctionnent pas ou peu. (15,16) Ils n’empêchent pas la transmissibilité du virus. Or ces vaccins ont beaucoup été utilisés pour les personnels hospitaliers. Les soignants concernés ne sont pas protégés et sont des vecteurs possibles de la maladie sans en avoir nécessairement conscience.

À l’inverse, ceux qui ne sont pas vaccinés le savent. Ils font donc très attention. Ils seraient disposés à faire deux tests PCR par semaine s’il le fallait, si ces derniers restaient gratuits.

En clair, il était possible de construire une politique sanitaire prudente fondée sur la confiance et le dialogue avec les patients. Ce n’est pas le choix qui a été fait. Le gouvernement passe en force.

Qui sont ces soignants ?

Parmi les médecins et les thérapeutes qui refusent la vaccination, beaucoup pratiquent des médecines intégratives.

Ils pratiquent l’homéopathie, l’acupuncture, la nutrition, l’hypnose, l’ostéopathie, toutes ces disciplines douces qui s’appuient sur le terrain du patient autant que sur le remède pour l’aider à guérir.

Pour eux, c’est la relation entre le patient et le médecin qui compte avant tout.

Ils refusent d’être les exécutants d’un système médico-technocratique qui ne fait plus qu’appliquer des protocoles de santé validés par l’industrie pharmaceutique et semble ne plus s’occuper des patients.

La perte pour les patients sera donc énorme à la fois au niveau du nombre de médecins mais aussi de la pluralité de l’offre médicale.

Il était déjà difficile de trouver un nutritionniste ou un phytothérapeute. Cela deviendra quasi impossible. Vous n’aurez plus que des médecins prescripteurs de paracétamol – potentiellement dangereux pour la Covid 19 (17) -, d’antibiotiques et de statines.

C’est la grande victoire de la médecine chimique et systématique !

Et c’est de fait, la mort programmée des médecines intégratives, faute de praticiens…

Un désastre sanitaire

Cette victoire toutefois sera de courte durée.

L’innovation dans la médecine vient de ceux qui pensent librement. Toute la recherche actuelle sur le microbiote est venue de gastro-entérologues et nutritionnistes courageux qui ont cherché à comprendre le rôle du monde bactérien dans la santé humaine.

Cela a permis de découvrir de nouvelles pathologies : l’intestin poreux, le SIBO ou l’intestin qui fermente, etc. (18)

Cela a surtout permis de développer de nouveaux traitements et thérapies pour de très nombreuses maladies : digestives mais aussi neurologiques et psychiques. L’importance du lien entre le cerveau et l’intestin n’est plus à démontrer !

La médecine y perd donc et les patients aussi.

Ces médecines intégratives permettent d’agir au niveau préventif. Elles proposent des solutions efficaces pour traiter le stress, les troubles divers, les douleurs multiples…

D’une manière ou d’une autre, donc, compte tenu de leur efficacité, ces médecins reviendront. Mais que de souffrances endurées ! Que de temps perdu !

Enfin, ce passe sanitaire, de manière plus générale, coûte cher aux patients.

Il y a le défaut de soignants, la complexité administrative, les oublis de passe sanitaire, les fraudes, la perte de confiance dans le système médical et la science plus généralement…

Comment chiffrer tout cela ?

Jusqu’où iront les injonctions sanitaires ?

Quand s’arrêtera la chasse aux sorcières contre les médecins alternatifs ?

Combien d’injections vaccinales faudra-t-il pour calmer la machine gouvernementale ?

Voilà les questions que se posent ces soignants libres, dont certains ont tout perdu depuis le 15 septembre 2021.

Jérôme
Responsable communication
Fondation Hippocrate

Références

  1. https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15084
  2. https://www.lesechos.fr/economie-france/social/covid-la-vaccination-des-soignants-a-fait-un-bond-en-quelques-semaines-1339505
  3. https://www.vie-publique.fr/fiches/273947-quest-ce-que-letat-durgence-sanitaire
  4. https://www.ouest-france.fr/sante/hopital/13-des-soignants-non-vaccines-la-federation-hospitaliere-de-france-relativise-les-chiffres-a71b3bf2-10a2-11ec-9117-940091b907ce
  5. https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/les-infos-de-6h-obligation-vaccinale-des-soignants-c-est-abject-reagit-une-infirmiere-7900072410
  6. https://www.vie-publique.fr/fiches/273947-quest-ce-que-letat-durgence-sanitaire
  7. https://www.actusoins.com/344397/turnover-et-absenteisme-a-lhopital-une-hausse-sensible-et-constante.html
  8. https://www.caducee.net/actualite-medicale/15406/burn-out-dans-la-sante-98-des-soignants-reconnaissent-avoir-deja-ressenti-les-symptomes-de-l-epuisement-professionnel.html
  9. https://www.precisionvaccinations.com/european-agency-confirms-covid-19-vaccine-fatalities
  10. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/08/06/covid-19-vaccins-et-perturbation-des-regles-des-signaux-et-beaucoup-d-incertitudes_6090781_4355770.html
  11. https://www.la-croix.com/Monde/Record-contaminations-Israel-pays-continue-miser-vaccin-2021-09-02-1201173431
  12. https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-08-17/pourquoi-les-contaminations-au-covid-19-sont-en-hausse-en-islande-lun-des-pays-les-plus-vaccines-558ccfd9-594f-4f37-9919-c62a80a7a5e8
  13. https://fr.statista.com/themes/6050/le-coronavirus-covid-19/
  14. https://www.estrepublicain.fr/sante/2021/04/18/qui-sont-les-100-000-morts-francais-du-covid-19
  15. https://fr.sott.net/article/37419-Conclusion-d-un-rapport-du-centre-francais-d-evaluation-des-medicaments-la-vaccination-avec-les-produits-Pfizer-Moderna-AstraZeneca-et-Janssen-doit-etre-interrompue
  16. https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccins-contre-le-covid-19-sont-ils-tous-efficaces-contre-le-variant-delta-on-vous-repond-fc7b1bd8-d8e6-11eb-9333-fd7799748e3d
  17. https://www.20minutes.fr/sante/2900083-20201103-coronavirus-ibuprofene-reellement-dangereux-face-covid-19
  18. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=sibo-symptomes-traitements-cette-infection



Pourquoi les intellectuels de gauche ont-ils eux aussi viré hygiénistes totalitaires ?

Par Lucien Samir Oulahbib

La riposte de Jean-Paul Bourdineaud(([1] Professeur à l’Université de Bordeaux, où il enseigne la biochimie, la microbiologie et la toxicologie environnementale tout en étant chercheur dans ces divers domaines)) à l’attaque en dessous de la ceinture de Charlie Hebdo et de Libération qui ont franchi allègrement le point Godwin (« à droite d’Hitler » en gros) en présentant les contestataires de l’actuelle politique dite « sanitaire » comme étant(([2] selon ce qu’en rapporte Bourdinaud)) « une bande d’obscurantistes totalement déraisonnables, anti-scientifiques, voire sectateurs, et penchant vers l’extrême-droite (celle trumpienne, au minimum) » en dit long sur les prétentions (non étonnantes à vrai dire) de toute une frange de pseudo-intellectuels tels Enthoven, Naulleau, Onfray, BHL, Ferry (le journal Marianne et le site Mediapart ostracisant on l’a déjà dit ici Mucchielli) et cherchant obstinément à continuer de donner le La (malgré leurs échecs retentissants dans tous les domaines), comme ils l’ont toujours fait en réalité, y compris et surtout en matière de santé si l’on entend par là (suivant ici Descartes dans la 6° partie du Discours de la Méthode, 192-193*) une certaine manière de penser notre corps dans le monde.

Ils en sauraient plus, en soi, comme ça, et c’est dit, un point c’est tout, en tout cas bien plus, mais oui, que tout le monde, en particulier à « droite » (qui a trop confiance en la « nature », en son système immunitaire, car celui-ci semble être [pour ces intellectuels] une relique, un dernier terrain vague…). D’où cette prégnance présente d’histrions et d’écrivaillons qui bien qu’étant complètement incompétents en matière de santé (ne parlons pas d’économie, de politique étrangère, mais aussi de philosophie, de littérature, d’arts…) viendront railler un Raoult, un Perronne, une Henrion-Caude, parce que pour eux, mais oui, la messe est dite face à ce virus présenté façon nouveau conte de Grimm comme étant effroyablement monstrueux, pire que la peste, bien sûr ma bonne dame, qui ravage jusqu’aux jeunes (un ici et là), d’où la nécessité « vaccinale », solution unique au-dessus de tout (über alles), alors que pour les corona aux variants innombrables, même les vétérinaires ont abandonné, par exemple s’agissant des chats, tant l’hécatombe des effets secondaires s’avérait pire que le mal. Mais que nenni ! mon bon monsieur. Taïaut, taïaut, à cheval sur son baudet, Don Quichotte armé de sa seringue bionique vient ainsi épauler les nouveaux dragons déguisés en moulins à paroles. Peu importe si cela touche plutôt certaines catégories et les pays dits « développés » (l’hécatombe prévue en Afrique et en Asie ne vient pas. qu’à cela ne tienne, fourguons-leur le Remdesivir et les « vaccins » quitte à graisser la patte de dirigeants déjà corrompus) et en avant pour l’injection des… bambins (nouveaux babouins) !…

Cette génération « je sais tout », à force de réagir dans les émissions d’opinion sur n’importe quoi, s’est (dé)construit un ego si hypertrophié que toiser de haut un spécialiste critique s’avère être une billevesée, une chiquenaude, surtout lorsque l’on trône dans les Salons qui comptent sur des milliers de « followers » (ex-groupies). Et puis une piquouse de plus ou de moins, entre deux shoots de coke, d’amphé, d’opioïdes et quelques bidouillages « high tech », tous azimuts (insémination, blocage hormonal…), what a big deal my dear fellow… [« quelle grosse affaire mon cher ami !… »]

Si l’on creuse un peu maintenant, quoique toujours trop rapidement, vers quelques profondeurs analytiques, il s’avère que toutes ces prétentions en matière de santé sont la continuité quasi directe de toutes les vieilles railleries possibles et inimaginables sur lesdites bondieuseries « réactionnaires, obscurantistes » — aujourd’hui « complotistes » — (telles les méditations, recherches de sérénité via la sophrologie, l’homéopathie) et autres « remèdes de bonne femme » dans lesquels sont de plus en plus catalogués ces savoirs ancestraux (jusqu’à traquer la lavande désormais) qui soignaient bon an mal an les maux physiques et mentaux (au-delà des manques évidents en matière de conservation de la nourriture, de lutte contre les mauvaises moisissures, contaminations liées aux égouts à ciel ouvert). Tous ces remèdes ressurgissent aujourd’hui cependant depuis les années « new Age » par toute une naturopathie et autres « médecines douces », les ayant désormais triés avec le bon dosage. Or la pensée dite « logique » (puis « matérialiste ») et se prétendant issue des « Lumières » a toujours choisi les remèdes académiques normés (que raillèrent Molière et Romains…) et écarté les gêneurs (Pasteur [Ndlr : Pasteur semble pourtant, au contraire d’un Béchamp tombé dans l’oubli, être très encensé par le côté académique ou matérialiste.], Mendel, Einstein…) suivant ici les « scolastiques » (Galilée, Bruno…), hormis un très bref intermède de sympathie avec les mouvements « romantiques » à la suite de Rousseau et Goethe (alliant Poésie et Science) et autres « symbolistes (les Parnassiens), jusqu’aux « surréalistes », alors que la plupart de ces « éclairés » aura peu à peu arrimé son supposé « réalisme » (pétri de biais idéalistes) vers un naturalisme physicaliste qui circonscrit les phénomènes charnels, y compris « inconscients », a des « forces » forcément obscures qu’il s’agit de dompter, canaliser, éradiquer, aseptiser, telles ces eaux sauvages que les barrages savants des « castors » labellisés made in Science viennent domestiquer

Le tout en reproduisant tous les travers pourtant dénoncés par une innombrable littérature à propos de « l’absolutisme », de « l’ordre moral », de la « dictature bourgeoise » sur les cœurs, les corps et leurs esprits, déployant ainsi sous nos yeux toute une panoplie inquisitrice que l’on croyait révolue à l’heure du « relativisme post-moderne ». Aujourd’hui celui-ci s’avère encore pire que l’absolutisme d’antan (y compris au niveau « écologique », sommant certaines tribus africaines d’abandonner leurs coutumes afin de sauver des « espèces en danger » — ne parlons pas du climat ni des rapports politiques du GIEC, nouveaux contes de Grimm là aussi), ayant cependant, il est vrai, substitué la mort sociale à la mort physique, cette dernière étant cependant pourtant là, mais cela ne se voit pas, tant les corps réduits aux choix « multiplex » manifestent encore leur « esprit critique » par des variations insignifiantes au sein d’une culture de plus en plus réduite à l’état de ruines, mais illuminées (dernier « cri » de l’Aufklärung)…

Au fond, que serait une « riposte laïque » dans sa profondeur de champ sinon renouer avec cet esprit que la gauche comme la droite ont « détruit » ? Ou comment permettre à tout un chacun d’avoir l’audace de penser hors des tutelles thuriféraires ? Sapere aude ! disait le vieux Kant, ce « questionniste » complotiste avant l’heure, selon nos grands penseurs (de TPMP à l’Institut)…

Descartes, Discours de la Méthode, 192/193 :

« (…) sitôt que j’ai eu acquis quelques notions générales touchant la physique, et que, commençant à les éprouver en diverses difficultés particulières, j’ai remarqué jusques où elles peuvent conduire, et combien elles diffèrent des principes dont on s’est servi jusques à présent, j’ai cru que je ne pouvois les tenir cachées sans pécher grandement contre la loi qui nous oblige à procurer autant qu’il est en nous le bien général de tous les hommes : car elles m’ont fait voir qu’il est possible de parvenir à des connoissances qui soient fort utiles à la vie ; et qu’au lieu de cette philosophie spéculative qu’on enseigne dans les écoles, on en peut trouver une pratique, par laquelle, connoissant la force et les actions du feu, de l’eau, de l’air, des astres, des cieux, et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connoissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature. Ce qui n’est pas seulement à désirer pour l’invention d’une infinité d’artifices, qui feroient qu’on jouiroit sans aucune peine des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s’y trouvent, mais principalement aussi pour la conservation de la santé, laquelle est sans doute le premier bien et le fondement de tous les autres biens de cette vie ; car même l’esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps, que, s’il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu’ils n’ont été jusques ici, je crois que c’est dans la médecine qu’on doit le chercher. Il est vrai que celle qui est maintenant en usage contient peu de choses dont l’utilité soit si remarquable : mais, sans que j’aie aucun dessein de la mépriser, je m’assure qu’il n’y a personne, même de ceux qui en font profession, qui n’avoue que tout ce qu’on y sait n’est presque rien à comparaison de ce qui reste à y savoir ; et qu’on se pourroit exempter d’une infinité de maladies tant du corps que de l’esprit, et même aussi peut-être de l’affoiblissement de la vieillesse, si on avoit assez de connoissance de leurs causes et de tous les remèdes dont la nature nous a pourvus. (…) »




Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés

[Source : Contrepoints]

[Illustration : Fakurian Design sur Unsplash — Fakurian Design]

Application des travaux de psychologie cognitive au cas de la gestion de l’épidémie de covid

Par Samuel Fitoussi.

Face au covid, il existe un dilemme fondamental entre liberté et santé, entre la sévérité des restrictions et le nombre de vies sauvées. Le rôle des pouvoirs publics est de trouver le bon compromis, à la faveur d’analyses coûts-bénéfices.

Or, depuis dix-huit mois, un certain nombre de biais et d’erreurs systématiques de raisonnement faussent la rationalité des décisions et favorisent la mise en place de restrictions excessives.

Le texte qui suit est une application des travaux de psychologie cognitive au cas de la gestion de l’épidémie.

LE BIAIS D’ANCRAGE

29 janvier 2020. Donald Trump annonce la suspension de tous les vols en provenance de la Chine. La décision est condamnée unanimement : on trouve choquant qu’un homme bafoue avec tant de légèreté la liberté de voyager de millions de personnes.

En juillet 2021, Joe Biden annonce que tout voyageur – même vacciné – provenant de Chine, du Royaume-Uni, d’Irlande, du Brésil, d’Afrique du Sud, d’Inde, d’Iran et de n’importe quel pays membre de l’Union européenne, se verra refuser l’entrée sur le sol américain. Aucune condamnation.

Que s’est-il passé entretemps ?

Dans un magasin, si le premier t-shirt que vous voyez coûte 9 euros, le second à 25 euros vous paraîtra cher. Si le premier t-shirt coûte 50 euros, le second à 25 euros vous paraîtra bon marché.

C’est le biais d’ancrage, mis en lumière pour la première fois en 1974 par Daniel Kahneman et Amos Tversky, psychologues israéliens. Une première information vous fournit un référentiel arbitraire en fonction duquel vous raisonnez ensuite.

Au printemps 2020, face à une situation d’urgence absolue – hôpitaux débordés, pénuries d’équipements et de tests, méconnaissance du virus – la plupart des pays occidentaux se tournent vers une solution de dernier recours : le confinement. Survenu très tôt dans la crise, le confinement crée ce référentiel, ce cadre cognitif par lequel nous évaluons depuis toutes les autres restrictions.

À l’annonce de chaque nouvelle mesure, nous nous souvenons que nous avons accepté pire et en concluons que la nouvelle mesure (restrictions de voyages, couvre-feux à 21 heures, à 20 heures, à 19 heures, à 18 heures, masque à l’extérieur, QR codes pour s’assoir en terrasse) est acceptable.

Et donc, pour en revenir aux États-Unis : en comparaison avec l’interdiction de dépasser les frontières de nos appartements, l’interdiction de franchir certaines frontières nationales nous paraît être un non-évènement.

[Ndlr : ici, il y a un autre facteur probablement aussi déterminant dans l’absence de réactions négatives face à l’annonce de Biden en comparaison du tollé contre celle de Trump, c’est la très forte disproportion de soutien médiatique entre les deux personnages. Trump avait 97 % des médias dominants contre lui, alors que Biden dispose d’un fort support.]

LE BIAIS D’ACTION

Évoqué pour la première fois par les économistes Richard Patt et Anthony Zeckhauser en 2000, le biais d’action désigne la croyance – plutôt logique en apparence – que face à un problème, il est toujours préférable d’agir que de ne pas agir. Le biais explique par exemple pourquoi l’homéopathie plait tant pour soigner des petits maux et pourquoi au football, les gardiens choisissent presque toujours, face à un penalty, de plonger plutôt que de rester au milieu, solution qui leur offrirait pourtant une meilleure chance d’arrêter le ballon.

En janvier 2021, lorsque le gouvernement décale le couvre-feu de 19 heures à 18 heures, l’impact sanitaire est probablement nul (voire négatif puisque l’on incite aux rassemblements intérieurs) mais au moins, on ne reste pas les bras croisés.

En juillet 2021, les maires ou préfets qui rétablissent l’obligation du port du masque en extérieur ne sauvent aucune vie, mais peuvent mieux se regarder dans la glace : ils agissent.

Dans les deux cas, la perte de bien-être pour les Français est en revanche bien réelle. On peut se demander combien de restrictions, depuis 18 mois, répondent uniquement au besoin instinctif de « faire quelque chose ».

Le biais d’action explique aussi pourquoi le principe de précaution est toujours évoqué de manière asymétrique. On entend que par précaution, il faut confiner 66 millions de personnes 6 semaines (agir), car on connait mal la maladie, [Ndlr : et peut-être pour signer une fois de plus le 666 ?] alors qu’on entend moins que par précaution il ne faut pas confiner 66 millions de personnes six semaines (ne pas agir) car on connait mal les effets du confinement.

LE BIAIS D’ILLUSION DE CONTRÔLE

Théorisé par Ellen Langer, psychologue américaine, ce biais désigne notre tendance à sous-estimer l’importance des facteurs externes et à surestimer l’importance des facteurs internes, à n’expliquer une situation donnée que par des causes sur lesquelles on possède un levier d’action.

Pendant les périodes de sécheresse, certaines tribus sacrifiaient des enfants pour apaiser les dieux. Si la sécheresse prenait fin, c’était grâce au sacrifice, sinon il fallait sacrifier d’autres enfants. Au bout d’un moment, la situation finissait toujours par s’améliorer, validant la stratégie des chefs de tribu.

En France depuis 18 mois, quand les courbes descendent c’est grâce aux restrictions, quand elles montent c’est parce qu’on n’a pas assez restreint.

C’est le biais d’action qui encourage la tribu à sacrifier des enfants, c’est le biais d’illusion de contrôle qui conduit à s’en féliciter. C’est le biais d’action qui nous encourage à fermer les remontées mécaniques, c’est le biais d’illusion de contrôle qui nous conduit à nous en féliciter.

LE BIAIS D’INSENSIBILITÉ AUX ORDRES DE GRANDEUR

En 1992, William Desvousges, économiste américain, demande à trois groupes de participants combien chacun serait prêt à payer pour sauver un certain nombre d’oiseaux de la noyade.

Résultat : les participants qui peuvent sauver 20 000 oiseaux souhaitent payer moins (78 dollars) que ceux qui peuvent en sauver 2000 (80 dollars), tandis que ceux qui peuvent en sauver 200 000 ne donnent que 88 dollars. Conclusion : l’importance que nous accordons à un problème n’est quasiment pas affectée par le nombre de personnes que le problème affecte.

Daniel Kahneman – lauréat du prix Nobel d’économie en 2002 pour ses travaux sur les biais cognitifs – donne l’explication suivante : puisqu’il est impossible de se représenter un très grand nombre d’éléments, nous réduisons le problème à une seule image mentale, un prototype. Pour évaluer la souffrance de 2000 ou de 200 000 oiseaux, les participants imaginent un oiseau se débattant dans l’eau – image indépendante du nombre d’oiseaux concernés.

Lorsque l’on cherche à estimer ce qui est plus grave entre, par exemple, 5000 morts supplémentaires du covid ou l’instauration du port du masque obligatoire dans les écoles, on imagine, d’un côté, une personne âgée en détresse respiratoire et de l’autre, un écolier masqué. La première image étant infiniment plus dramatique que la seconde, on en conclut que la seconde option est préférable à la première. Le fait qu’ils soient 5000 à être concernés par la première et 12,9 millions par la seconde n’entre pas en considération.

LE BIAIS D’INSENSIBILITÉ À LA DURÉE

En 1993, Kahneman diffuse à des sujets plusieurs vidéos désagréables, d’intensités et de longueurs variables. Il leur demande ensuite de classer les vidéos des plus déplaisantes aux plus plaisantes. L’unique facteur qui influence le classement : l’intensité des images. La longueur de la vidéo ne joue aucun rôle. C’est le biais d’insensibilité à la durée : nous jugeons la valeur d’une expérience en fonction du plaisir moyen qu’elle nous apporte sans égard pour le temps qu’elle dure et donc pour la somme de bien-être ou de mal-être qu’elle nous fournit.

En octobre 2020, lorsque le gouvernement choisit de mettre en place un couvre-feu, il est prévu qu’il durera six semaines. Au fil des mois, alors que le couvre-feu ne cesse d’être reconduit, presque tous ceux qui approuvaient sa mise en place le 17 octobre continuent d’approuver sa reconduction, comme si le prolongement de la mesure dans le temps n’exerçait aucune influence sur sa balance coût-bénéfice.

Nous succombons au biais d’insensibilité à la durée : nous jugeons « le couvre-feu », pas « un couvre-feu d’une durée de… ». Le processus mental à l’œuvre est semblable à celui du biais précédent : qu’il s’agisse d’un couvre-feu de six semaines ou de huit mois, l’image mentale que nous utilisons pour estimer son coût est la même : une soirée moyenne sous couvre-feu.

LE BIAIS DE VICTOIRE DES POSITIONS LES MOINS COÛTEUSES SOCIALEMENT

Il a imposé l’idée que la saturation des réanimations avait un coût infini.

En mars 2020, il est décidé que nous n’accepterons pas la saturation des réanimations et les désastres qu’elle impliquerait (décès, tri des patients, déprogrammations, soignants exténués, chaos…). Sauf qu’à ce stade, nous croyons que l’alternative à la saturation des réanimations est un confinement de un mois, pas trois confinements et 8 mois de couvre-feux. Peu importe, nous ne remettrons plus jamais en cause l’idée que la non-saturation des réanimations doit être la ligne rouge guidant les politiques publiques et acceptons donc l’hypothèse implicite suivante : la saturation des réanimations possède un coût infini.

Pourquoi cette hypothèse s’est-elle imposée comme une évidence ?

Octobre 2020. Arguez qu’il faut re-confiner le pays, on risque de vous rétorquer que vous ne savez pas mener d’analyse coût-bénéfice. Arguez qu’on peut accepter la saturation des réanimations, on risque de vous traiter d’égoïste sans âme.

Une des deux positions plus coûteuse socialement est donc moins exprimée. Puisque notre cerveau associe les idées beaucoup répétées avec ce qui est vrai (biais de vérité illusoire) la seconde position perd des adhérents, elle est repoussée à la marge du débat. Il devient donc de plus en plus coûteux de la tenir (puisqu’en plus d’être un égoïste vous devenez un extrémiste), elle est donc encore moins exprimée, perd d’autres adhérents, est repoussée davantage à la marge. Elle finit par disparaître complètement des cerveaux. Cercle vicieux, généralisable à un tas de sujets, qui montre que ce n’est pas uniquement la validité d’une position qui la rend dominante mais aussi (et parfois surtout) son acceptabilité sociale.

Notez que je n’écris pas qu’il fallait accepter la saturation des réanimations, simplement que le choix de ne pas l’accepter a été effectué pour les mauvaises raisons, puisqu’il qu’il a été admis arbitrairement qu’on n’optimiserait pas la balance santé (y compris réanimations) – liberté, mais la balance santé – liberté sous contrainte de non-saturation des réanimations. De façon toute aussi arbitraire, il aurait pu être décidé qu’on optimiserait la balance santé – liberté sous contrainte de ne pas imposer à 66 millions de Français 8 mois d’affilée sous couvre-feu et confinement. Ce qui aurait impliqué une ligne rouge et donc un élément au coût infini : irrationnel aussi.

LA CROYANCE SELON LAQUELLE ON NE PEUT PAS LAISSER DES GENS MOURIR

Nous faisons chaque année des choix de société qui impliquent que la vie humaine a un prix. Par exemple, les 10 000 à 15 000 morts annuels de la grippe sont évitables, mais on choisit de ne pas les éviter car on considère que le différentiel de liberté entre une situation avec des restrictions anti-grippe et une situation sans restrictions possède un coût social plus élevé que celui des décès.

Ainsi, il existe un nombre de décès X que l’on préfère à la suppression d’un degré de liberté Y, un ratio décès évités/bien-être supprimé X/Y en dessous duquel une restriction n’est plus acceptable.

C’est à la lumière de cette réalité qu’il faut évaluer le bien-fondé de chaque nouvelle restriction, plutôt qu’au nom de principes abstraits.

LA CROYANCE SELON LAQUELLE LA LIBERTÉ DES UNS S’ARRÊTE LÀ OÙ COMMENCE CELLE DES AUTRES

Depuis 18 mois, cette formule est brandie pour justifier toute nouvelle mesure. Elle est fausse, dangereuse, et porteuse de projets de sociétés totalitaires. Dans le cadre du covid, la liberté de faire x ou y s’arrêterait là où commencerait la liberté d’un autre de ne pas se faire contaminer.

D’abord, la formule est disqualifiée par le fait qu’on peut, en toute situation, la renverser :

La liberté de l’un de ne pas se faire contaminer s’arrête là où commence la liberté de l’autre de faire x ou y.

Ensuite, pour la grippe, on constate chaque année que la liberté des uns de prendre le métro sans masque (par exemple) ne s’arrête pas là où commence celle des autres de ne pas être contaminés. Il y a un donc un niveau de risque que l’on est en droit de faire courir aux autres. Le covid étant plus létal et contagieux que la grippe, il est possible que ce soit, dans la plupart des situations, la liberté des uns à ne pas être contaminés qui mérite de primer par rapport à celle des autres de vivre librement. Mais l’exemple montre que la formule n’est pas absolue et qu’il faut raisonner au cas par cas, en balance liberté supprimée pour l’un, liberté obtenue (santé) pour l’autre.

En outre, il faut noter que l’accessibilité d’un vaccin modifie complètement la balance car il atténue les bénéfices liés à la réduction de la probabilité de contamination (une contamination entraîne 90 % moins de formes graves aujourd’hui), alors qu’il ne change pas le coût des restrictions.

Toutes choses égales par ailleurs, une restriction justifiée par la balance liberté supprimé-liberté obtenue il y a 6 mois n’est donc plus forcément justifiée aujourd’hui.

LE BIAIS DES COÛTS IRRÉCUPÉRABLES

En 1973, les gouvernements français et britannique découvrent que Le Concorde, leur projet d’avion supersonique, ne pourra pas être rentable. Pour ne pas « perdre » les 300 millions d’euros déjà investis, ils décident de mener le projet à son terme. Bilan : 1,5 milliard d’euros dépensés pour un retentissant échec commercial. Influencés par une décision prise antérieurement, les gouvernements français et britannique ont succombé au biais des coûts irrécupérables.

Octobre 2020. Alors que le nombre de cas de covid explose, le gouvernement est confronté à un dilemme : confiner la France à nouveau ou accepter des milliers de décès supplémentaires ? Un élément complique l’analyse : choisir la deuxième option, ce serait rendre, a posteriori, le premier confinement vain, puisque la plupart des décès évités au printemps surviendraient à l’automne. C’est donc en partie la volonté irrationnelle de ne pas « avoir fait tous ces efforts pour rien » qui guide le choix de re-confiner, plutôt qu’une analyse mettant en balance les coûts et bénéfices futurs des différentes options.

Lors de guerres déclenchées par des rois trop orgueilleux, il fallait ne jamais capituler pour que les soldats ne soient pas morts en vain.

Aujourd’hui, il faut restreindre éternellement la liberté pour que les confinements n’aient pas été vains.

LE BIAIS DE PENSÉE DÉSIDÉRATIVE

Il s’agit du biais qui nous pousse à former nos croyances non pas en fonction de la réalité mais en fonction de ce qu’il est agréable d’imaginer.

Depuis 18 mois, beaucoup sont tombés sous l’emprise d’une pensée désidérative : nous n’avons à compromettre ni notre santé ni notre liberté puisque nous pouvons éradiquer le virus.

Prenant leurs désirs pour des réalités, ces commentateurs passent à côté du fait que la situation des pays zéro-covid n’est en rien comparable avec la situation française : ces pays ont agi tôt, n’ont pas six frontières terrestres, ne font pas partie d’une union politique de 447 millions d’habitants, et surtout, il n’est pas donné qu’ils s’en sortent mieux que la France sur la durée. Tant pis, cette pensée désidérative a beaucoup d’influence dans le débat public, puisqu’elle motive consciemment ou inconsciemment la position de beaucoup de partisans d’un durcissement des mesures : pourquoi laisser traîner le problème alors qu’il suffirait de taper un grand coup pour en finir ?

En 2011, Christopher Booker, écrivain britannique, décrit ce qu’il nomme le cycle du fantasme (les parenthèses sont les miennes) :

Lorsque nous nous lançons dans une ligne de conduite inconsciemment motivée par une pensée désidérative (nous pouvons vaincre le virus), tout peut sembler aller bien pendant un certain temps : c’est l’étape du rêve (le confinement). Mais ce faux-semblant ne peut jamais être réconcilié avec la réalité et cela conduit à une étape de frustration dès que les choses commencent à mal tourner (la remontée des courbes), ce qui incite à un effort plus déterminé pour maintenir le fantasme en vie (re-confinement).

Le biais de pensée désidérative nous pousse aussi à sous-estimer la durabilité de ce qui nous affecte négativement.

En mars 2020, nous sommes persuadés que le confinement n’est qu’une courte parenthèse et que la vie normale (le monde d’après, encore mieux que le monde d’avant) ne tardera pas à reprendre. Aujourd’hui, une des raisons du large soutien au passe sanitaire est la certitude qu’il disparaîtra dans quelques mois. Personne n’a envie de présenter pendant plusieurs années un QR code pour s’asseoir en terrasse et donc personne ne s’imagine qu’il faille pendant plusieurs années présenter un QR code pour s’asseoir en terrasse. Pourtant, les vaccins nécessiteront sûrement des rappels.

LE BIAIS DE CONFORMISME

En 1951, Salomon Asch, pionnier de la psychologie sociale, pose à plusieurs participants une question simple.

Certains répondent seuls : ils se trompent dans moins de 1 % des cas.

D’autres, soumis à la même question, observent d’abord six autres participants (des complices de l’expérimentateur), choisir, unanimes, une mauvaise réponse. Ceux-ci se conforment, dans 37 % des cas, au choix des six complices.

C’est l’illustration du biais de conformisme : nous avons tendance à adopter sans fondements rationnels les comportements de ceux qui nous entourent.

Plusieurs raisons l’expliquent.

Premièrement, nous considérons que si les autres modifient leur comportement, ils possèdent peut-être des informations que nous n’avons pas et/ou comprennent mieux la situation que nous. C’est ce que Salomon Asch nomme l’influence informationnelle.

En février, lorsque l’Italie est frappée par le virus, la seule région qui a connu une tension hospitalière comparable est la région de Wuhan. Incertaine de la voie à suivre, l’Italie se conforme donc à la méthode chinoise : le 9 mars, elle confine ses 60 millions d’habitants. Les dirigeants italiens auraient-ils même eu l’idée d’employer une telle méthode sans le précédent chinois ?

Deuxièmement, dès lors que face à un problème, certains agissent, la charge de justification est modifiée : ce n’est plus à ceux qui adoptent le comportement d’expliquer pourquoi ils agissent, mais à ceux qui n’agissent pas de justifier leur inaction. Il s’agit d’une forme de pression sociale. Dans les jours qui suivent la décision italienne, dans les pays touchés par la maladie il devient plus difficile de justifier de ne pas confiner que de justifier de confiner. Preuve de la modification de cette charge de justification : depuis 18 mois, c’est le choix suédois de ne pas confiner qui est scruté et interrogé.

Enfin, (surtout ?) il est toujours beaucoup moins coûteux de se tromper avec les autres (diffusion de la responsabilité) que seul (s’exposer, cible unique, aux critiques).

Ainsi, il sera souvent rationnel de préférer la quasi-certitude d’avoir tort avec la majorité au petit risque d’avoir tort seul (voire au risque d’avoir raison seul). C’est ce que Salomon Asch nomme l’influence normative.

En mars 2020, Boris Johnson attend sept jours avant de se conformer à la décision des autres grandes nations européennes (la France confine le 17, le Royaume-Uni le 24) : il subit encore, dans l’opinion publique, les répercussions de ce choix.

Phénomène de mimétisme qui soulève une question intéressante : que ce serait-il passé si le virus n’était pas né en Chine, dictature qui par essence accorde moins de poids à la liberté, mais dans une démocratie libérale ?

LE BIAIS D’INDUCTION

Le problème de l’induction désigne le fait d’utiliser le passé pour prédire le futur et donc de surestimer la probabilité que le futur ressemble au passé.

Une idée énoncée dès le XVIIIe siècle par le philosophe David Hume :

Ce n’est pas la raison mais l’habitude qui permet de supposer que le futur sera conforme au passé.

Et reprise de façon amusante par Bertrand Russell, qui ironise sur la mauvaise surprise qui attend le poulet raisonnant par induction :

L’homme qui l’a nourri tous les jours finit par lui tordre le cou.

Dans le cadre politique, le biais d’induction nous pousse à sous-estimer la probabilité de chamboulements majeurs dans les 10, 20 ou 50 prochaines années. Ainsi, lorsque nous évaluons les conséquences à long terme des restrictions, nous projetons ces conséquences dans une France semblable à celle d’aujourd’hui et accordons peu d’égard aux coûts liés à la constitution d’un précédent.

Par exemple, le fait que les confinements et les couvre-feux soient devenus des outils de politique publique conventionnels augmente la probabilité d’utilisation de ces outils dans le futur. Problème auquel nous accordons peu d’égard puisque le biais d’induction nous projette dans un monde où nous serons toujours d’accord (ou pas trop en désaccord) avec les justifications des confinements.

De même, si on n’est pas anti-vaccin, on aura tendance à sous-estimer la probabilité que l’on puisse un jour se retrouver dans la frange de la population qui refuse une pratique sociale ou médicale encouragée par le gouvernement.

Ainsi, lorsque l’on analysera les coûts du passe sanitaire, on accordera un poids insuffisant aux conséquences de la normalisation du procédé d’exclusion d’une partie de la population possédant certaines convictions (ici, convictions anti-vaccin).

LE BIAIS DE DICTATURE DES MINORITÉS INTRANSIGEANTES

Nassim Nicholas Taleb, qui a théorisé le processus, prend l’exemple d’un dîner où deux invités sur vingt sont des juifs pratiquants. Asymétrie fondamentale : les non-juifs peuvent manger de la nourriture casher alors que les juifs pratiquants ne peuvent pas ne pas manger casher. L’hôte préparera donc un dîner casher. La préférence d’une minorité est imposée à tous.

Dans le cadre du covid, il existe de nombreuses asymétries de ce type.

Par exemple : une personne ne craignant pas le virus accepte de porter un masque, alors qu’une personne craignant le covid refusera certaines interactions avec des interlocuteurs non-masqués. Imaginez qu’un vendeur préfère interagir sans masque mais ne connaisse pas les préférences du client qui entre dans sa boutique. Le client préfère lui aussi interagir sans masque mais ne connaît pas les préférences du vendeur.

Dans le doute, les deux garderont leur masque : le coût potentiel de ne pas le porter (l’autre peut refuser l’interaction ou formuler une remontrance) est supérieur au coût de le porter (buée dans les lunettes). La préférence d’une minorité intransigeante est imposée alors même qu’aucun membre de cette minorité n’est présent.

Limitée au phénomène ci-dessus, la dictature de la minorité est plutôt bénéfique, le covid étant une maladie contagieuse. Le problème, c’est qu’il s’agit d’un processus sans fin. Lorsque le port du masque devient la norme, une nouvelle minorité intransigeante naît, exigeant qu’on s’écarte de la situation en place pour aller vers une nouvelle norme permettant encore davantage de limitation des risques. Et de cette nouvelle norme naissent encore d’autres intransigeants…

L’important est donc de garder en tête que les codes de conduite en vigueur ne reflètent pas toujours les préférences de la majorité. La loi, puisqu’elle permet de renforcer ou d’affaiblir ces normes, doit tenir compte de ce biais.

LE BIAIS DE MÉCONNAISSANCE DE L’EFFET NOCEBO

Il conduit à une surestimation de l’ampleur du problème posé par le covid long.

Le 24 juin 2021, The Guardian publie un article abondamment repris affirmant que 37,7 % des malades du covid développent un covid long, c’est-à-dire des séquelles persistant plus de 12 semaines après leur rétablissement.

La méthodologie de l’étude : on présente à 508 707 anciens malades une liste de 29 symptômes (variant d’insuffisance respiratoire à simple fatigue) et on leur demande s’ils souffrent encore d’au moins l’un de ces symptômes. Il y a 37,7 % de réponses positives.

Le 31 décembre 2020, Pfizer publie les résultats d’efficacité de son vaccin. Chez les 2298 participants du groupe contrôle (ceux à qui on n’a rien injecté, mais qui ne le savent pas) 33,4 % déclarent ressentir, suite à l’injection, de la fatigue, 33,7 % des maux de tête, 11,7 % des coups de froid, et 10,8 % des douleurs musculaires. C’est l’effet nocebo : lorsque l’on s’attend à souffrir, le cerveau peut anticiper la douleur et déclencher par lui-même des symptômes psychologiques ou même réels. Dans l’estimation de l’ampleur du covid long, en plus de l’effet nocebo, s’ajoute un autre biais : la fausse attribution de maux réels (fatigue, dépression…) au fait d’avoir eu le covid.

Ainsi, il est évident que :

  1. La plupart des études qui visent à estimer la réalité du covid long, puisqu’elles ne comparent pas avec un groupe contrôle (idéalement, des patients qui croiraient avoir eu le covid mais ne l’auraient pas eu, ce qui est impossible à trouver en pratique), surestiment massivement l’ampleur du phénomène.
  2. Plus les médias reprendront ces études sans esprit critique en alarmant sur les prétendus dangers du covid long, plus les gens souffriront du covid long.

Ce biais peut sembler mineur mais il devient important de le pointer du doigt car à mesure que la couverture vaccinale progresse et que sont éliminées la plupart des formes graves de la maladie, le danger du covid long sera de plus en plus évoqué pour justifier la poursuite de certaines restrictions.

LE BIAIS DE CONFIRMATION

Le biais de confirmation est le fait de remarquer de manière disproportionnée ce qui permet de confirmer ses opinions pré-existantes.

Si, par exemple, l’auteur d’un texte sur les biais cognitifs pense que les restrictions sanitaires ont été excessives, il risque de s’intéresser uniquement aux biais ayant conduit à trop restreindre la liberté, oubliant que d’autres biais ont pu avoir l’effet inverse.




Hold-Up (Mise à jour : lien vers le film en deux parties, après la censure par YouTube + vidéo de Pierre Barnérias)

[Source : FranceSoir]

Hold-Up, film en sortie nationale 11 novembre. Pourquoi j’ai produit ce film par Christophe Cossé?

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir

TRIBUNE : Le film Hold-Up produit par Pierre Barnérias et Christophe Cossé, sort ce mercredi 11 novembre.  Christophe Cossé est producteur de documentaires et de films avec une formation en anthropologie sociale et psychologie clinique.  

Pourquoi j’ai produit ce film ?

Ce qui me vient en premier à l’esprit, c’est cette phrase de Kierkegaard :

« Il s’agit de comprendre ma destination, de voir ce que Dieu veut proprement que je fasse. Il s’agit de trouver une vérité qui soit vérité pour moi, de trouver l’idée pour laquelle je veux vivre et mourir».

Avec cette singulière crise politique qui remet en cause bien des principes de notre humanité, et que maquille la préoccupation sanitaire, nous sommes parvenus à l’heure des choix. Dès lors, avec nos connaissances et notre conscience, à quoi sommes-nous prêts à renoncer ? Devons-nous céder à la peur, au besoin de sécurité, ou préférer embrasser la vie et la liberté ? Ma démarche, notre démarche commune tant avec mes coproducteurs qu’avec toutes celles et ceux venus témoigner, c’est avant tout d’avertir sinon d’alerter, d’interpeller, d’informer le plus grand nombre.

L’épidémie et son traitement ont tout d’une intrigue dramatique. Cet évènement épidémique révèle en définitive une crise profonde, révélatrice de l’état actuel de notre société, de ses institutions et de sa culture. On y découvre non seulement le pouvoir de la presse, désormais inféodée au pouvoir par le jeu des actionnaires qui la détiennent, mais aussi la puissance des réseaux sociaux qui véhiculent tant le relais de cette dernière, qu’un contre-pouvoir raillé par la censure, mais ô combien salvateur pour la connaissance et la liberté d’expression ou d’information.

L’issue de cette épidémie, somme toute habituelle et saisonnière, présente donc en quelque sorte les deux genres aristotéliciens: la tragédie de l’humanisme ou l’épopée d’un renouveau. Gageons qu’elle débouche sur le renouveau. D’autres y voient une dimension biblique.

C’est donc une question de choix, d’élan instinctif, d’appel ce qui m’a poussé dans ce film. Et aussi parce que le scénario qui se déroule sous nos yeux mérite un témoignage. Sans prétention aucune, je me réfère à Alexis de Tocqueville : « ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux.»

C’est la base du film, nous évertuer à comprendre : les mensonges, la manipulation, l’ingénierie sociale, la corruption. Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l’intituler « Coup d’Etat ».

Nous sommes en fin de cycle, tout va très vite, et se radicalise. Il n’y a plus d’espace d’échange, de réflexion, de pensée. Pour Pierre et moi, comme pour Nicolas, il n’était pas envisageable de ne rien faire. Et nous prévoyons même de continuer à filmer et à suivre l’actualité, car nous pressentons un changement fondamental dans notre humanité. Notre actualité sociale et politique nous y ramène. Le président Macron a décidé de confiner derechef sa population pour six semaines.

Nouvelle étape du scénario.

La lecture des derniers relevés hebdomadaires de l’OMS et du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, permet clairement de constater que tous les pays ayant pratiqué le confinement ont eu les pires résultats dans le degré de résilience de leur population au COVID-19.

Le taux de mortalité est établi à 0,15%. Plus de 98% des individus ayant contracté le virus guérissent. Le nombre de morts associés abusivement au Covid reste encore deux fois inférieur à celui des erreurs médicales ou du tabac.

Outre que le fait de confiner toute une population saine et non malade a été et demeure une première dans l’histoire de l’humanité, toutes les études qui ont été produites depuis le premier confinement rejoignent les conclusions des précédentes, à savoir l’inefficacité de cette mesure. Serait-elle politique ?

L’OMS vient, il y a quelques semaines à peine, de convenir de son inefficacité et de son inutilité. On se souvient pourtant de cette étude de Neil Ferguson, de l’Imperial College, qui prévoyait plus de 500 000 morts en Grande-Bretagne, et 10 millions de victimes en Afrique, dont s’inspiraient l’OMS et les dirigeants occidentaux dans leur décision de confiner alors que l’épidémie était déclarée.

Ce même épidémiologiste, qui, dix ans auparavant, lors de l’épidémie de la grippe A (H1N1), avait également envisagé un désastre sanitaire de plus de 60 millions de victimes dans le monde. A l’époque, le rapport du Sénat (2010) avait clairement dénoncé l’irrationalité de ces analyses, la dérive de la politique sanitaire et avait surtout mis en lumière les conflits d’intérêts qui semblaient régir cette dernière.

Malgré cela, notre gouvernement, après s’être défendu à maintes reprises de l’envisager, l’a confirmé, ce nouvel emprisonnement. Il avance même de surcroît vouloir y associer quelques autres mesures coercitives, tout en dénonçant l’irresponsabilité, sinon l’incurie, de ceux qui s’y opposent.

Ce nouveau confinement  a été officiellement décrété en conséquence de l’importance du nombre de cas de contaminations et du nombre de malades admis en réanimation. Le seuil de 60% des lits occupés a ou aurait été franchi.

Or, il serait bon de remettre en perspective les données sanitaires des cinq années précédentes pour constater que nos services hospitaliers sont toujours saturés à cette période de l’année, tant pour d’autres coronavirus, que pour la grippe ou des problèmes respiratoires. Il est éloquent de rappeler que notre Ministre de la Santé a lui-même participé à la faillite de notre système de santé, en soutenant la politique de réduction des lits en milieu hospitalier, ce qui provoque depuis quelques années déjà, l’engorgement des services de réanimation.

Il serait également bienséant de préciser, dans un souci de transparence et d’honnêteté, que le nombre de patients en réanimation tient aussi compte du nombre de patients en soins intensifs dans le privé. Toutefois, dans le calcul de Monsieur Véran et de son Comité scientifique, on compte les malades du privé, mais pas le nombre de lits; simple tour de passe-passe pour permettre d’augmenter le taux d’occupation en réanimation et de justifier la peur, la panique ou la terreur. Etrange pour des médecins.

Que dire du bilan médical des malades admis en ce début du mois de novembre en réanimation ou en soins intensifs, si ce n’est un profil type d’individus de plus de 65 ans affectés par la comorbidité, victimes de saturation de leur système immunitaire ?

Que dire du nombre réel de victimes du Covid alors que l’on recense comme tels les décès dus aux maladies cardio-vasculaires, aux cancers, aux diabètes ?

Que dire du nombre réel des cas de contaminations, avec un moyen de dépistage peu fiable et trompeur et dont la sensibilité vient d’être augmentée aux dépens de sa déjà faible efficacité ?

Que dire du gouvernement, qui, après avoir constaté il y a six mois la saturation de nos services publics hospitaliers, n’a pas investi pour de nouveaux lits en réanimation ?

Serait-il utile d’expliquer enfin pourquoi aucune autopsie n’a été diligentée ?

Que dire de la médecine libérale, sans moyens d’agir sur la prophylaxie de la maladie, privée d’hydroxychloroquine, d’azithromycine, de macrolides ou de C3G ? En les coupant de leurs moyens, le gouvernement favorise l’orientation des soins vers l’hôpital.

De tout cela il n’est point question. Le gouvernement semble suivre sa propre feuille de route, sur cette deuxième vague et son confinement finalement induit, annoncés depuis le mois d’avril. Alors s’ils savaient, pourquoi ne pas avoir agi ? Une fois de plus ?

Ce choix d’un deuxième confinement n’est pas qu’un révélateur de l’échec de notre politique sanitaire. C’est la confirmation d’une grave et profonde crise institutionnelle et démocratique. L’état d’urgence sanitaire est anticonstitutionnel et illégal. Les élections municipales se sont déroulées hors du cadre constitutionnel. Le Conseil constitutionnel est en sommeil, prié par le gouvernement de se confiner également, les deux chambres sont au ralenti, les textes sont examinés par 10% des députés, l’exécutif détient les pleins pouvoirs, et nos libertés sont à nouveau restreintes comme jamais dans un cadre de paix.

L’état d’urgence sanitaire ne respecte nullement les applications de l’article 16 et de l’article 53 de la Constitution, le rendant anticonstitutionnel et illégal.

Au niveau des institutions, ce qui a aussi changé, dès le début de la crise, c’est que le gouvernement s’est doté d’un Conseil scientifique dont les membres sont majoritairement proches des laboratoires pharmaceutiques. Il existe pourtant des organismes réputés et sans doute plus indépendants comme l’INSERM, le CNRS, les académies de médecine, de pharmacie, ou de vétérinaires… ?

Avec ce nouveau confinement, le gouvernement restreint une nouvelle fois nos libertés. Une nouvelle fois, elles sont bafouées et notamment, la liberté d’aller et venir, la liberté d’entreprendre et la liberté de réunion. Mais d’autres plus individuelles.

La liberté d’aller et venir existe en pratique depuis la fin du servage en France. Elle apparaît dans les textes en 1315, sous Louis X. Le décret royal précisait :

“ Toute créature humaine doit généralement être franche par droit naturel. Le Roi condamne avec énergie le joug et la servitude, qui est tant haineuse et fait qu’en leur vivant, les hommes sont réputés comme morts et, à la fin de leur douloureuse et chétive vie, ils ne peuvent disposer ni ordonner des biens que Dieu leurs a prêtés en ce siècle.”

La liberté d’entreprendre est plus récente. Elle date de la Révolution française. Le décret d’Allarde de 1791 autorise tout citoyen à exercer le métier ou le négoce qu’il veut, pourvu qu’il paie ses impôts. Cela permettait d’échapper à la logique des corporations et de rang social où vous étiez plus ou moins lié par ce que faisaient vos parents avant vous. Il ne semble pas que cette liberté d’entreprendre ait connu jusqu’ici de restriction ou d’interdiction.

Puis la liberté de réunion, comme la liberté d’expression, sont des libertés fondatrices de la IIIème République. Elles marquent le droit d’exprimer son désaccord avec le pouvoir en place. Elles ont permis la création des syndicats par exemple. 

Les médecins sont désormais censurés lorsque leur parole publique ne fait pas écho à la politique dominante, et même sur les réseaux sociaux, la police de la pensée s’installe.

Toutes ces libertés ont été acquises de haute lutte dans les larmes et le sang, souvent par des personnes très jeunes qui ont généreusement donné leur vie pour leurs idéaux afin que d’autres puissent en bénéficier. Et pourtant, nous demeurons contraints dans nos libertés, sans réagir, affichant par là-même notre degré de consentement.

« Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes » écrivait Machiavel dans Le Prince.

Enfin, une liberté très singulière et fondamentale dans le droit naturel humain a été violée, celle de la tendresse, du toucher, de l’attention. Sous la menace de la force en plus d’un décret, il a été interdit aux proches de visiter leurs parents. On a laissé mourir nos anciens, ils ont été cloisonnés, enfermés dans leurs EHPAD, interdits de sortie, de visite, de tendresse, de soins. Un premier pas vers l’euthanasie.

Mais le pire à mes yeux est de ne pas avoir la liberté de mourir. Le deuxième pas vers l’euthanasie a été franchi ; sa légalisation a été effective par le décret du 28 mars, autorisant les médecins à utiliser le Rivotril pour « accompagner » les patients. Ce décret a été abrogé par un nouveau le 10 juillet. Le pays des droits de l’Homme ?

Le mépris du genre humain.

Sous le prétexte de cette épidémie dont seuls les messagers de l’idéologie sanitaire autoritaire martèlent son danger, il convient de nous surveiller, de nous diriger, de nous contraindre à une société de surveillance et de soumission. De là découlent ces délicieuses valeurs nouvelles que sont la délation, la dénonciation, le repli sur soi. Les valeurs humanistes sont menacées d’implosion, on ne parle plus d’éthique, de morale ou de respect, mais d’obéissance, de protocole, de menaces et de peurs. Un véritable cheval de Troie pour notre humanité que ce coronavirus.

Ainsi, se profile la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu. En France, en Europe, mais dans le monde entier, au prétexte d’un virus pas plus offensif qu’un autre COVID saisonnier. Quelle incroyable et phénoménale entreprise de manipulation globale, au service d’une sombre idéologie, qui avant d’accomplir son dessein, distille la peur, la menace et la confusion afin que chacun perde ses repères pour mieux embrasser le pouvoir et l’autorité dans une servitude volontaire et rassurante. Je cite à nouveau Alexis de Tocqueville,

« ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux. »

Cet état d’urgence sanitaire est aussi une catastrophe économique et sociale qui peut déboucher sur une crise économique puis politique majeure.

Au moins 400 000 PME ont dû fermer, soit environ 4 millions de personnes au chômage, sur les 10 ou 12 millions d’indépendants, combien vont pouvoir reprendre une activité ? Combien d’entre nous vont gonfler le nombre déjà exorbitant des personnes vivant en deçà du seuil de pauvreté, qui a été réévalué à 10 millions de personnes en France ? Combien de milliers de personnes vont rejoindre les 5 millions de Français qui ont déjà recours à l’aide alimentaire ? Combien de nos compatriotes vont être délogés, rejoignant la triste cohorte des 900 000 SDF ?

La loi du travail, les acquis sociaux ont déjà été revisités, corrigés, étirés. Avec la crise « sanitaire », tout employé ou salarié, au lieu de réclamer une augmentation ou une amélioration de ses conditions de travail ou de ses droits, va désormais réclamer du travail ou se plier à l’effort national, quelles qu’en soient les conditions. En majorité, il est assigné à résidence en télétravail, dans des conditions pour la plupart, d’inconfort.  Dix points de PIB à rattraper…

Ces événements actuels révèlent que l’on a glissé peu à peu vers une technocratie sanitaire, relayée par une presse qui paraît encore plus docile et inféodée au pouvoir. Ce pouvoir est lui-même de plus en plus gangréné par les conflits d’intérêts, et en particulier par le pouvoir des grands laboratoires, réputés pour leur corruption.

Les scientifiques se font journalistes, sinon politiques, tout comme les journalistes se posent comme experts dans une émulation complice de coercition et de domination. Plus alarmant, les politiques deviennent quant à eux les communicants, souvent malgré eux, des puissances financières qui les soutiennent.

Nos sociétés s’orientent-elles vers ce « biopouvoir » imaginé par Foucault ?

Le philosophe voyait le pouvoir sur les hommes évoluer vers un autoritarisme de la santé. Il observait qu’après le pouvoir sur les âmes, par les ministres de l’Eglise illustré par le troupeau de brebis égarées, c’est sur l’humain que le pouvoir monarchique s’est exercé, avec le pouvoir de donner la mort. Après l’effondrement de la monarchie, il y eut toutes ces dérives autoritaires du 20ème siècle. Légitimées par le dogme visant à transformer l’humanité ou l’humain vers un monde meilleur, elles se sont illustrées dans la prise en charge de la vie, non plus des âmes, mais des hommes.

Avec le biopouvoir, le dogme, c’est la santé ; il s’agit de prendre en charge d’un côté le corps pour le discipliner, et de l’autre la population pour la contrôler. L’élément commun au corps et à la population, c’est la norme. La norme statistique. C’est elle qui fait en sorte que ce biopouvoir s’exerce, de manière rationnelle, à la fois sur un ensemble statistique, c’est-à-dire une collectivité, et sur un individu.

Et ce biopouvoir contrôle tous les mécanismes de la vie de l’individu dans la société : politiques, judiciaires, policiers, économiques, philosophiques.

La question mérite d’être posée. En effet, non seulement des hommes d’affaires, des politiques et des médecins veulent imposer un type de traitement unique, la vaccination, sans passer par les règles démocratiques habituelles grâce à l’état d’urgence, mais de plus, chaque citoyen va devoir s’y soustraire au risque d’une mise au ban social. L’individu risque de perdre non seulement sa liberté, mais surtout sa souveraineté.

Au-delà de cette sombre hypothèse, reprenons toute la terminologie, la sémantique pour ne pas dire la novlangue actuelle, en commençant par celui que nous entendons le plus : le confinement. Étymologiquement, on retrouve dans le confinement, le terme « finis » qui en latin signifie frontière, barrière, limite. Le confinement, outre sa définition médicale brandie par la gouvernance, signifie réclusion, internement.

Enfin, employé au participe, le confiné est dit d’un espace qui manque d’oxygène, d’espace ou de nourriture.

Il est aussi fait mention d’une « distanciation sociale » pour éviter la propagation du virus. Or il ne s’agit que de distanciation physique, mais on nous impose la notion de « social », car en effet, la barrière, la limite, la frontière imposée par ce confinement devient un mur entre nous. Tout contrevenant est sévèrement critiqué, dénoncé et voué aux sanctions administratives. La tendresse est déconseillée, sinon réprimée.

Le port d’un masque est devenu obligatoire bien qu’il ait au préalable été déclaré inutile, et cet artifice est une autre barrière, un autre symbole d’enfermement.

On évoque le traçage des individus, la recherche ou la poursuite des cas contacts, le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine…

Dans le discours ambiant, non seulement les termes sont vidés de leur sens premier, mais il ne s’agit pas de se fier à la vérité, comme le disait si subtilement Sibeth Ndiaye, mais « d’orienter la réalité pour faire accepter notre projet politique aux Français; cela ne relève pas du mensonge, mais de la désinformation positive ». Evidemment !

Michel Onfray le rappelait dans son ouvrage « Théorie de la dictature », en rapprochant notre monde actuel de celui de 1984 :

« On peut citer aussi l’inversion systématique du sens des mots, par exemple, la guerre c’est la paixla haine c’est l’amour… qui reformate complètement les cerveaux ».

Car, conformément au concept de solipsisme, c’est dans le cerveau de chacun que le monde existe, “et que le réel est une construction mentale”.

Si la pensée est donc bien formatée, on ne voit plus que ce à quoi on croit.

Déjà dans « Surveiller et punir », en 1975, Michel Foucault expliquait comment la propagation de la peste avait permis aux Etats d’imposer au XVIIe siècle des mesures coercitives à travers leur pouvoir de normalisation :

« Espace découpé, immobile, figé. Chacun est arrimé à sa place. Et s’il bouge, il y va de sa vie, contagion ou punition […] Le rapport de chacun à sa maladie et à sa mort passe par les instances du pouvoir, l’enregistrement qu’elles en font, les décisions qu’elles prennent […] Derrière les dispositifs disciplinaires, se lit la hantise des contagions, de la peste, des révoltes, des crimes, du vagabondage, des désertions, des gens qui apparaissent et disparaissent, vivent et meurent dans le désordre. »

Et ce qui se passe sous nos yeux, c’est également un exemple parfait des expériences de Milgram. Chacun a tendance, pour se rassurer, à se dépersonnaliser pour embrasser la cause de l’autorité. Qui forcément détient la vérité, qui forcément peut rassurer, qui forcément peut conforter et protéger.

Il est plus rassurant de croire à une illusion qui rassure qu’à une vérité qui dérange. C’est entre autres une question de champs d’information. Pour celui ou celle qui n’a pas l’accès à un champ d’information différent de celui sur lequel il s’est construit, ou celui sur lequel on l’a construit, il y a distorsion, coupure, rejet. C’est en cela qu’il est difficile de faire comprendre à nos concitoyens les véritables contours de ce script.

C’était la triste situation de nombreux pays au XXème siècle, dont on espérait pourtant ne pas reproduire les erreurs à notre époque :

Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez”, disait Hannah Arendt.

Par des techniques de manipulation bien connues de la PNL (programmation neuro-linguistique) comme la double contrainte, l’injonction paradoxale, l’ingénierie sociale, le saupoudrage, le discours ambiant associe manipulation, désinformation, et hypnose conversationnelle. Le piège fonctionne.

La double injonction selon laquelle tout va bien mais en fait cela ne va pas est le pire qui soit pour tomber dans le piège de la peur et l’endoctrinement. C’était le premier stade de l’épidémie, on va quand même au théâtre ou au bureau de vote. A présent c’est l’inverse. Il ne se passe rien, mais on crie alerte. Le parfait système coercitif.

On assiste aussi au système peur/ soulagement, bien connu sous le thème « good cop / bad cop ». Provoquer une crainte, une peur, par une mise en scène avec des dangers existants ou virtuels. Puis « en même temps », le locuteur ou son complice change de ton avec une ouverture possible. Ce n’est pas la peur qui provoque la soumission mais le soulagement. Et le soulagement, c’est la perspective du dépistage, du vaccin. Et en attendant on reste bien chez soi. Confiné. Emprisonné chez soi, en soi. Docile ?

Car nul n’est obligé de s’y soumettre ! C’est l’heure des choix. Pour exister, un manipulateur a besoin d’un manipulé, tout comme un maître d’un esclave. Est esclave celui qui y consent. Allons nous consentir, allez vous consentir à vous soumettre ?

« La vie vaut ce que nous sommes capables de risquer pour elle ». Il n’y a de liberté que par l’acte même de libération : celui qui ne veut pas risquer sa vie risque fort la servitude. Cependant, une fois maître, l’individu devient passif, inactif. C’est son esclave qui travaille, qui s’accomplit. Ainsi le maître devient dépendant du travail de son esclave, il devient l’esclave de son esclave, car c’est en travaillant qu’on atteint la liberté.

Tous les pouvoirs, et de plus en plus ceux de la pensée, sont désormais attribués à la médecine et aux mains de celles et ceux qui la gouvernent, l’orientent. Faut il rappeler que c’est Rockefeller qui a racheté toutes les écoles de médecine aux Etats Unis dans les années 1920, afin d’y dispenser une médecine exclusivement allopathique afin d’écouler les produits chimiques provenant du pétrole, ce qui va constituer la base de la pétrochimie et de l’industrie pharmacologique.

Il ne s’agit pas d’une médecine basée sur l’alimentation, pourtant premier principe d’Hippocrate, ou sur l’herboristerie, la phytothérapie, l’homéopathie, ou sur l’hypnose, la méditation ou la psychologie, la médecine chinoise ou ayurvédique, médecines traditionnelles à l’efficacité démontrée, mais il s’agit bien d’une médecine exclusivement allopathique. Une nouvelle religion qui n’en tolère pas d’autres.

Désormais la santé n’est plus un bien, c’est devenu une valeur. Force est de constater que c’est aussi devenu un diktat.

L’humanité doit accepter d’être soignée malgré elle, selon des codes ou des normes qui lui sont imposés. Une humanité confinée, contrainte, aux droits violés, mais protégée ! Pour appliquer un soi-disant principe de précaution, en réponse à une menace fantôme dont la virtualité ne s’inspire que de prévisions statistiques, que de calculs établis selon des modèles aux principes tronqués ou faussés, des projections qui ont été mises à mal par la réalité sanitaire. Cela n’a pas de sens. Un profond changement est en cours.

Et pour mieux comprendre cette fin de cycle globale, qui appelle à ce bouleversement profond, quelle qu’en soit l’impulsion, faisons un retour en arrière.

2019 était l’année de tous les dangers : risques bancaires  avec de nombreux établissements en déroute, risques sur l’euro, économies au ralenti, manifestations sociales multiples fragilisant les pouvoirs en place. Et surtout, la fin annoncée du dollar, et l’avènement des cryptomonnaies.

La situation bancaire était critique, en particulier en Europe et aux États-Unis. Les milieux financiers craignaient pour la survie de la Deutsche Bank et la Commerzbank en Allemagne, de l’Intesa San Paolo en Italie, ou de la Société Générale en France. Toute faillite aurait déclenché en effet un « Bank run » partout en Europe que seule une fermeture coordonnée de toutes les banques de la zone et l’instauration d’un contrôle des capitaux aux frontières pourraient éviter.

Quand une banque importante fermera, on peut imaginer que toutes les banques de la zone euro fermeront. Que l’on se rassure, pour ces organismes qui constituent le fondement de notre « état », tout a déjà été mis en place légalement par la Directive BRRD européenne et Loi Sapin 2 pour pouvoir « chyprioter » nos comptes sous prétexte de nous protéger…. d’une catastrophe bancaire et économique.

À la situation bancaire critique s’ajoutait le risque de l’éclatement de la zone euro. Depuis les élections italiennes en mars 2019, la probabilité d’une sortie de l’euro de l’Italie s’était considérablement accentuée. En parade, il était prévu de faire tourner la machine à billets, ce qui aurait fait perdre toute valeur à l’euro, et la dépréciation des actifs. Aujourd’hui, certes, on risque d’en arriver au même point… avant le grand saut ?

A ce risque s’ajoutait également celui du système monétaire instauré depuis les accords de Bretton Woods, en 1944, visant à définir les grandes lignes du système économique et financier mondial, menacé par la nouvelle monnaie chinoise.

Un éclatement du système monétaire sous la pression d’une nouvelle monnaie chinoise. La Chine a créé une nouvelle monnaie basée et convertible en or. Or l’avantage des US de posséder la monnaie mondiale est que cela lui a permis de financer ses déficits. Le modèle économique américain repose en effet sur un abus chronique de dette qui est achetée par les pays qui cherchent à recycler leurs dollars. La Chine a lancé une alternative monétaire au dollar,  et de ce fait n’a plus besoin d’acheter des obligations américaines. Bras de fer pour le leadership !

La guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis était aussi particulièrement lancée, à coup de taxes, de protectionnisme et d’intimidations diplomatiques.

Enfin, le risque de crise sociale inquiétante pour les pouvoirs, tant en France que dans le monde, représentée par des mouvements populaires spontanés (Gilets jaunes…) comme par des manifestations de corporations ou de métiers, tous debout contre des réformes jugées inadaptées, injustes ou forcées au nom du marché et de ses lois.

Ainsi, ce choc anthropologique dont parlent à l’unisson les hommes politiques du monde entier que représente le Covid est une véritable aubaine.

Ce virus de pangolin serait-il à ce point opportuniste ?

Afin d’entrevoir ce que nous réserve l’avenir proche, faut-il s’inspirer des travaux du Forum Economique de Davos qui prône, comme le FMI, « The Great Reset », faut-il se tourner vers les principes collectivistes et transhumanistes de Bacon ou de Moore martelés par Attali et Minc ? S’inspirer de la Chine capitaliste autoritaire ?

Nous sommes à l’heure des choix.

Avec ce film, c’est un engagement pour la vie, le respect du vivant, mes enfants, parents, amis. Hymne à la vie, à l’amour, à l’âme humaine.

Voir aussi le debriefing de Christophe Cossé

https://www.youtube.com/embed/-ZSJ27H1YoU

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir


Les Sources du film

HOLD UP + (sources)

00 : 02 : 28

L’Homme sera bientôt un être modifié par la technologie

Vidéo de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

00 : 08 : 30

Les prophéties de Neil Ferguson pour confiner

https://www.liberation.fr/checknews/2020/06/03/les-previsions-de-ferguson-qui-ont-conduit-de-nombreux-pays-a-se-confiner-etaient-elles-fantaisistes_1790061/

Les recommandations de l’OMS quant à l’utilisation des masques

Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 : orientations provisoires, OMS.

Janvier 2020 : Microsoft Word – Advice on the use of masks 2020-01-29_fr_14FEB2020_marissa.docx (who.int)

Avril 2020 : WHO-2019-nCoV-IPC_Masks-2020.3-fre.pdf

Juin 2020 : WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf

00 : 12 : 27

L’inexactitude des chiffres diffusés – Hypoxie heureuse :

Article Science et Avenir, Les “happy hypoxics”, ces patients du Covid-19 qui ne se rendent pas compte qu’ils manquent d’oxygène (07/05/20)

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/les-happy-hypoxics-ces-patients-du-covid-19-qui-ne-se-rendent-pas-compte-qu-ils-manquent-d-oxygene_144159

00 : 13 : 13

Évolution du nombre de morts entre Mars et Septembre en 2018, 2019 et 2020.

Courbe INSEE :

Évolution du nombre de décès depuis le 1ᵉʳ septembre 2020 − Nombre de décès quotidiens | Insee

00 : 13 : 33

Nombre total de morts de la Covid-19 dans le monde

Covid-19 Dashboard by the Center for Systems Science and Engineering (CSSE)

COVID-19 Map – Johns Hopkins Coronavirus Resource Center (jhu.edu)

00 : 13 : 46

Nombre total de tests effectués dans différents pays entre mars et octobre 2020

Graphique Total Covid-19 tests: Total COVID-19 tests (ourworldindata.org)

00 : 13 : 58

Explication des cycles de dépistage

https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289

https://www.industrie-techno.com/article/baisser-le-seuil-de-detection-des-tests-rt-pcr-du-covid-19-pour-mieux-depister-les-individus-contagieux.61734

00 : 15 : 57

Les faux positifs

Article de Paris Match : Covid-19 : les tests PCR contestés (24/11/20)

Covid-19 : les tests PCR contestés (parismatch.com)

00 : 16 : 35

Le gouvernement tente de justifier le confinement

Article du Parisien : Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie (10/03/20)

Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie – Le Parisien

00 : 16 : 54

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20) https://www.dailymotion.com/video/x7vy2q8

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Article The Epoch Times : Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? (06/11/20, Mis à jour le 07/11/20)

[Vidéo] Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? | Epoch Times (theepochtimes.com)

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Les camps au Canada => Site de Randy Hillier:

https://www.randyhilliermpp.com/20201007_question

Dépistage massif à Wuhan

L’article du test sur les asymptomatiques à Wuhan ; https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w

00 : 20 : 29

Les mesures sanitaires contraignantes dans les écoles

Une du Canard Enchainé n°5207, “Un masque, une frousse et des crayons !” du 26 août 2020

Acheter un numéro du Canard enchainé à l’unité (lecanardenchaine.fr)

00 : 30 : 19

Allocution du Président de la République, 16 mars 2020

Site de l’Elysée : Adresse aux Français, 16 mars 2020 | Élysée (elysee.fr)

00 : 35 : 43

L’épidémie va durer

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin du 09 octobre 2020

Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 09/10 (bfmtv.com)

00 : 36 : 44

Comparatifs des morts par épidémie

Graphique “Comparatifs des morts dans le monde chaque année”

https://www.worldometers.info/fr/population-mondiale/

00 : 37 : 04

Les résultats de l’étude des sénateurs sur la gestion de la crise sanitaire H1N1

Rapport du Sénat du 26 juillet 2017

r16-6851.pdf (senat.fr)

00 : 37 : 44

Allocution d’Olivier Véran

Point de situation coronavirus – (28/02/20)

Point de situation coronavirus – 28 février 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 37 : 50

Interview de Sibeth Ndiaye

Le Grand Entretien, France Inter (04/03/2020)

Sibeth Ndiaye : “Au stade 3 de l’épidémie de coronavirus, on ne va pas arrêter la vie de la France” – YouTube

00 : 38 : 08

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (18/03/20)

Point de situation coronavirus | mercredi 18 mars 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 15

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (03/04/20)

Point de situation du vendredi 3 avril – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 22

Déclaration d’Olivier Véran à l’Assemblée Nationale

Questions au gouvernement (07/04/20)

Olivier Véran: “Il n’y a aucune décision de recommandation du port du masque à l’heure actuelle” pour la population (bfmtv.com)

00 : 38 : 31

Déclaration de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (22/04/20)

Jérôme Salomon, point de situation coronavirus du mercredi 22 avril – YouTube

00 : 38 : 36

Déclaration de Edouard Philippe à l’Assemblée Nationale

Compte rendu intégral de la séance du 28 avril sur la stratégie nationale du plan de déconfinement (28/04/20)

Assemblée nationale ~ Séance du mardi 28 avril 2020 (assemblee-nationale.fr)

00 : 38 : 38

Allocution du Président de la République, (14/07/20)

Site de l’Elysée : 14 juillet : l’interview du Président Emmanuel Macron | Élysée (elysee.fr)

00 : 41 : 17

Audition d’Olivier Véran au Sénat

Covid-19 : l’audition d’Olivier Véran, ministre de la Santé, devant la commission d’enquête du Sénat – YouTube

00 : 42 : 00

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le figaro, Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (04/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (lefigaro.fr)

00 : 42 : 05

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Figaro, Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (13/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (lefigaro.fr)

00 : 42 : 09

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis (01/04/20)

Direct – Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 13

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Les Echos, Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars

(03/04/20)

Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars | Les Echos

00 : 42 : 17

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi

(25/04/20)

Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 22

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis

(20/04/20)

Direct – Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis – Libération

(liberation.fr)

00 : 42 : 27

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Monde, Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe (18/04/20)

Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe

00 : 42 : 32

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Parisien, Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total (19/04/20)

Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total – Le Parisien

00 : 43 : 22

Les journalistes sont perdus sur les nombre de morts

Article de Libération, Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien (22/08/20)

Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien

00 : 43 : 26

Où sont les morts de la grippe ?

Article de Libération, La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers ? (12/03/20)

La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers? – Libération (liberation.fr)

00 : 44 : 11

La Covid fait flamber le prix des consultations

Site de l’Assurance maladie, 27 novembre 2020

Les médecins au cœur du circuit de « contact tracing » des patients Covid-19 | ameli.fr | Médecin

00 : 46 : 05

Le Pr Perronne alerte sur les chiffres apocalyptiques

Livre du Professeur Christian Perronne – Y’a t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? – Edition Albin Michel, 2020

00 : 47 : 56

Le masque de papier

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Le masque de papier”, (10/09/ 2009)

00 : 49 : 16

Site d’analyse de tous les articles sur tous les traitements

Site c19study.com

00 : 52 : 02

La chloroquine est réservée aux spécialistes

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire – Légifrance (legifrance.gouv.fr)

00 : 52 : 33

L’utilisation de la chloroquine est réservée pour les cas graves

Une du Canard enchaîné, N° 5187, Un nouveau slogan : “Pestez chez vous!” – (08/04/20)

00 : 54 : 59

Le fonctionnement de l’hydroxy chloroquine

Audition d’Agnès Buzyn à l’Assemblée Nationale

[INTEGRAL] Coronavirus : Agnès Buzyn devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale – YouTube

00 : 55 : 56

La sonnerie de clairon du gouvernement sur la dangerosité de l’hydroxy chloroquine

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

00 : 56 : 06

La balance bénéfices/risques de la chloroquine

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct du 28 mai 2020

Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 28/05 (bfmtv.com)

00 : 58 : 53

Karine Lacombe a été payée par des laboratoires

Base de données euros for docs

Vision par Professionnel bénéficiaire | Euros For Docs

01 : 14 : 32

Le remdesivir est réservé aux soins palliatifs

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

01 : 21 : 24

La CIA avait prévue une future pandémie mondiale

Livre d’Alexandre Adler – Le rapport de la CIA, comment sera le monde en 2020 ? – Edition Robert Laffont – 2005

01 : 22 : 27

La fondation Rockefeller, spécialiste des scénarios apocalyptique

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

01 : 25 : 37

Attali affirme qu’Emmanuel Macron pourra être président un jour

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali, BFM TV, (27/08/2014)

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali – YouTube

01 : 25 : 55

Attali tire les leçons de la crise de H1N1

L’express – Conversation avec Jacques Attali

Changer, par précaution | Conversation avec Jacques Attali – Lexpress

01 : 30 : 16

Gilead rafle la mise sur le remdesivir

Journal Les Echos, Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead (07/10/20)

Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead | Les Echos

01 : 30 : 45

Gilead se voit valorisé après une fusion

Article de Stratégie Bourse du 09/06/20

AstraZeneca envisage de fusionner avec Gilead (strategie-bourse.com)

01 : 30 : 54

Le business plan des laboratoires

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire”, 11 octobre 2005

Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire – Les Guignols – CANAL+ – YouTube

01 : 33 : 12

L’étude Discovery annulée

Article Le Monde, Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne, (07/05/20)

Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne (lemonde.fr)

01 : 33 : 14

L’étude Discovery annulée

Article L’Humanité : Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne (04/05/20)

Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne | L’Humanité (humanite.fr)

01 : 33 : 20

Barrage à l’hydroxychloroquine

Gautret et al. (2020) Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID‐19: results of an open‐label non‐randomized clinical trial. International Journal of Antimicrobial Agents – In Press 17 March 2020 – DOI : 10.1016/j.ijantimicag.2020.105949

Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID-19 – IHU (mediterranee-infection.com)

01 : 34 : 11

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20)

01 : 36 : 02

Gilead vend pour 220 millions d’euros de doses à l’Union Européenne

Article de Marianne : Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead, (05/12/20)

Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead (marianne.net)

01 : 36 : 06

Le remdésivir jugé inefficace et dangereux

Article de Industrie Pharma, Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (20/11/20)

Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (industriepharma.fr)

01 : 36 : 20

Gilead voit son chiffre d’affaire trimestriel augmenter de 17%

Article de The New England Journal of Medicine, Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host (03/12/20)

Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host | NEJM

01 : 37 : 21

Martin Blachier, homme d’affaire et épidémiologiste

Site Accueil | Monsite (ph-expertise.com)

01 : 39 : 52

Fauci, chercheur sur les transmission des virus inter-espèces

NIH Director’s Blog, President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola, (02/12/14)

President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola – NIH Director’s Blog

01 : 40 : 18

Les travaux de Fachi jugés dangereux

Newsweek : Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research, (28/04/20)

Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research (newsweek.com)

01 : 41 : 29

Un virus échappé d’un laboratoire américain

Article de Military.com, CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension (24/11/19)

CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension | Military.com

01 : 41 : 39

Un laboratoire fermé après qu’un virus se soit échappé

Article de Mediapart,Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! (05/05/20)

Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! | Le Club de Mediapart

01 : 45 : 21

Le nombre de morts par l’AFP

Article de Courrier Picard, Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation, (26/10/20)

Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation (courrier-picard.fr)

01 : 45 : 46

Fabrice Fries élu à la tête de l’AFP

Article de Libération, Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché, (12/04/18)

Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché – Libération (liberation.fr)

01 : 45 : 57

Montant total de la dotation de Le Monde en 2019 et 2020

Fondation Bill et Melinda Gates

Le Monde – Bill & Melinda Gates Foundation

01 : 46 : 14

L’Etat débloque une grosse enveloppe pour les médias

Article Les Echos, Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias, (05/07/20)

Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias | Les Echos

01 : 47 : 23

Qui dirige les médias ?

Schéma “Médias, Qui possède quoi ?”

Médias français, qui possède quoi ? (Le Monde diplomatique, décembre 2020) (monde-diplomatique.fr)

01 : 49 : 12

L’origine probable du virus

Document du CNRS : Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS (11/02/2020)

Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS | CNRS

01 : 49 : 16

L’origine probable du virus

Science Direct, The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade, (Avril 2020)

The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade – ScienceDirect

01 : 49 : 49

Le virus est d’origine naturelle selon Zheng Li Shi

Nature, A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin (17/09/20) A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin | Nature

01 : 50 : 38

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Article MaxiSciences.com, Une virologue chinoise dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué en laboratoire (18/09/20)

Coronavirus : la virologue chinoise Li-Meng Yan dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué dans un laboratoire à Wuhan (maxisciences.com)

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Science, Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2, (13/11/20)

Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2 | Science (sciencemag.org)

01 : 54 : 39

Disparition de tubes contenant le virus du SRAS

Article Le Monde, La mystérieuse disparition de 2349 tubes contenant du virus SRAS, (15/04/14)

La mystérieuse disparition de 2 349 tubes contenant du virus SRAS (lemonde.fr)

01 : 54 : 44

Virus transporté clandestinement

Article Le Parisien, Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile, (23/03/17)

Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile – Le Parisien

01 : 54 : 49

Intrusion dans un laboratoire P4

Article 20 Minutes, Lyon : un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4, (22/03/16)

Lyon : Un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4 (20minutes.fr)

01 : 54 : 58

La piste du labo reste l’origine la plus probable

Article du Daily Mail : China lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official, amid bombshell claims Wuhan scientist has turned whistleblower (02/01/21)

Lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official | Daily Mail Online

01 : 55 : 02

Une de Libération du 13 novembre 2020

Article de libération : Hold-Up, le virus du complot (13/11/20)

“Hold-up” : Le virus du complot. 13 novembre 2020 – Liberation

01 : 55 : 12

Une étude indienne suggère que le virus pourrait venir d’un labo

bioRxiv, Discovery of unique insertions in Covid-19 : structural and functionnal implications, Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag | bioRxiv

01 : 55 : 43

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Monde, Non, le Covid-19 n’est pas une “combinaison du SRAS et du sida”. (09/03/20)

Non, le Covid-19 n’est pas une « combinaison du SRAS et du sida » (lemonde.fr)

01 : 55 : 53

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Parisien, Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable (17/04/20)

Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable – Le Parisien

01 : 57 : 03

Une nouvelle méthode pour modifier l’ARN

Science et Avenir, Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13, (25/10/17)

Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13 – Sciences et Avenir

01 : 57 : 14

Les nanotechnologies vont permettre de “bricoler le vivant”

Conférence de Laurent Alexandre, La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI,

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 05 : 16

Le Forum économique de Davos

World Economic forum

How US foreign policy will shape the ‘Great Reset’ | World Economic Forum (weforum.org)

02 : 06 : 26

Attali soutient que l’on se dirige vers un gouvernement mondial

Arrêt sur Images – 2010

“Il faudra un gouvernement mondial. Après, ou à la place de la guerre ?” [Avent2020] – Par La rédaction | Arrêt sur images (arretsurimages.net)

02 : 06 : 39

Le Brevet nanoparticules et cryptomonnaie

Brevet Microsoft (22/05/20)

Un message pour la Journée Internationale de la Diversité Biologique, le 22 mai 2020 – Navdanya international

02 : 08 : 22

La vérité sur la 5G

Publicité Free (2020)

Free Mobile – 5G : La Vérité – YouTube

02 : 11 : 18

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

02 : 11 : 29

Les maladies graves découlant du Covid 19 seraient causées par des cellules colonisatrices

ncbi, Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (01/10/2008)

Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (nih.gov)

02 : 17 : 37

Laurent Alexandre – Global Postiv Forum

Global Positive Forum – Laurent Alexandre – French – YouTube

02 : 19 : 05

Présentation du PDG de Twitter

Site de Berggruen

You searched for – Berggruen Institute

02 : 19 : 27

Envol du cours boursier de Square

Cours boursier de Square

Square, Inc. Class A Common Stock (SQ) Stock Quotes | Nasdaq

02 : 20 : 03

Les personnalités appartenant à l’Institut Berggruen

Site du Bergguren Institute

The Transformations of the Human – Our Work – Berggruen Institute

02 : 21 : 16

Les dieux et les inutiles

Conférence de Laurent Alexandre aux élèves de Polytechnique (12/02/19)

Table ronde de l’X sur le Transhumanisme – YouTube

02 : 27 :00

Recherche des déterminants génétiques de l’intelligence

Conférence de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 28 : 21

Ce dont j’ai le plus peur, c’est la peur”

André Comte-Sponville sur RTL (8/09/20)

Coronavirus : “Je n’ai pas peur de la Covid-19”, assure le philosophe André Comte-Sponville – YouTube

02 : 36 : 22

Le pire bilan en France en un jour ?

Article La dépêche – Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie (27/10/20)

Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie – ladepeche.fr

02 : 36 : 36

Rectificatif de l’information du 27/10/20

Article France Info – RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (27/10/20)

RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (francetvinfo.fr)

02 : 36 : 42

Spot de sensibilisation aux gestes barrières

Spot de sensibilisation du gouvernement

Le spot “choc” du gouvernement pour le respect des gestes barrières – Vidéo Dailymotion

02 : 38 : 24

L’exploit de Florian Gomet

Article L’Equipe – Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte (27/09/20)

Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte – L’Équipe (lequipe.fr)

02 : 45 : 42

Des vaccins prêts en 12 à 18 mois

Emission BFM TV – Good moring Business – Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – (21/12/20)

Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – 21/12 (bfmtv.com)

02 : 46 : 19

Les vaccins vont être testés sur toute la population européenne

Commission Européenne – Roadmap of vaccination (03/2019)

2019-2022_roadmap_en.pdf (europa.eu)

02 : 46 : 45

Investissement massif dans une entreprise de fabrication de bouteilles de vaccins

Les Echos – Schott, le passeur du vaccin anti-Covid (04/12/20)

Schott, le passeur du vaccin anti-Covid | Les Echos

02 : 47 : 11

Aucun traitement n’est utile contre le virus ?

Site de l’ANSM

L’ANSM mobilisée dans la mise à disposition des vaccins COVID-19 – ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (sante.fr)

02 : 47 : 33

Interdiction du Remdesivir

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19

(20/11/20)

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19 (who.int)




Le vaccin rend(ra) libre

[Source : La Newsletter de Michel Dogna]

[Auteur : Michel Dogna]

[NdNM : l’auteur est très affirmatif sur plusieurs points qu’il nous paraît pour l’instant plus sage de considérer comme de simples possibilités plus ou moins probables ou improbables.]


« Le vaccin rend(ralibre »

Ce titre un peu surprenant a été choisi par analogie 
au portique d’entrée du sinistre camp d’Auschwitz :

(Arbeit macht frei)
« Le travail rend libre »

 

Oui, on commence à se lasser de tourner en rond toujours sur les mêmes sujets ! Aussi je vous demande de réaliser que c’est l’avenir de l’humanité et de la planète entière qui se joue en ce moment-même par un immense bras de fer avec les forces du mal pour qui le mensonge est la seule référence morale. Tant pis pour ceux qui refusent d’enlever la purée qu’ils ont dans les yeux. Moi j’ai des bonnes nouvelles, mais pas pour tout le monde…

Depuis le début de l’aventure Covid en décembre 2019, nous avons pu assister à une série continue de mesures sanitaires illogiques contradictoires et catastrophiques s’appuyant sur des décrets suicidaires pour les populations et l’économie, et pouvant laisser croire à une incompétence crasse de la part de la classe dirigeante soumise à l’OMS…

Mais ceux qui pensent naïvement cela sont dans l’erreur, car la seule chose qu’il ne faut jamais perdre de vue, c’est « la solution finale », la vaccination généralisée de toute l’humanité. On veut nous surveiller 24h/24, en nous transformant en robots mi humains mi électroniques, contrôlés à 100% sur les plans de la conscience, de l’intelligence, de la santé physique, et même de la spiritualité.

Ceci est le contrat auquel les pseudo élus « collabos » ont souscrit pour assurer leurs énormes avantages personnels, et tant pis si c’est une haute trahison face aux intérêts du peuple et de la nation qu’ils sont pourtant censés défendre…

Le faux vaccin à la Frankenstein en question sera du type mARN (signifiant ARN modifié )–– En bref nous sommes tous voués à devenir des mammifères OGM programmables à distance par la 5G selon une technique déjà au point depuis des décennies qui est la psychotronique…

Ce n’est pas pour demain mais pour maintenant même !
Il y a le feu au lac les amis !!!

Voyez plutôt cette vidéo de KLA TV allemande, de 6 min 30 :

https://www.youtube.com/watch?v=TD3r7M77GlY&feature=youtu.be

ou     https://youtu.be/TD3r7M77GlY

Comment peut-on continuer à croire à cette frange d’imposteurs qui ne font que nous mentir et nous tromper depuis toujours, et qui nous gouverne à coups de décrets contredisant les lois établies, donc illégaux…

Voyez à ce sujet le document qui suit concernant le port du masque :

LOIS ET DECRETS

(à présenter à la police en cas de verbalisation pour non port du masque)

La loi prévaut toujours sur le décret.

Question : Peut-on cacher son visage dans un lieu public ?

REPONSE DE LA DIRECTION DE L’INFORMATION LEGALE ET ADMINISTRATIVE – MINISTERE DE LA JUSTICE
Vérifié le 17/03/2020

Non, il est interdit de cacher ou de couvrir complètement son visage dans un lieu public : voie publique et lieux ouverts au public ou affectés au service public. La loi prévoit des sanctions pour cette infraction. Les sanctions sont plus lourdes pour celui qui force une autre personne à masquer son visage.

Sanctions possibles :

  • Amende de 150€ maximum, 
    Et/ou un stage de citoyenneté à ses frais.

Textes de référence :

  • Loi n° 2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public : articles 1 et 2.
  • Code pénal : article 225-4-10
    Peine aggravée en cas de dissimulation forcée du visage :
  • Code pénal : article 645-14 
    Dissimulation du visage dans une manifestation

La guerre de l’info

Bien que les allégations mensongères assénées par les grands médias et surtout la télé aient été toutes battues en brèche par de nombreux virologues, épidémiologistes, et professeurs les plus prestigieux du monde, les acteurs de l’intox sont restés sourds et aveugles à toutes les preuves largement documentées allant à l’encontre de leur propagande scélérate, se contentant de les rejeter d’un revers de main dédaigneux, en n’ayant comme contre arguments que des allégations illogiques et sans preuves de professeurs véreux et corrompus.

Curieusement, toute une partie de la population reste pourtant scotchée à la propagande gouvernementale de la télé (Y aurait-il du subliminal là dessous ?)…

D’autres ténors d’envergure sont arrivés à la rescousse tels les Professeurs Péronne, Toussaint, Montagnier (prix Nobel), Nicole et Gérard Delépine, et d’autres de l’étranger , sans oublier les milliers de médecins bravant l’autorité et risquant leur carrière, ainsi que tous les semeurs d’alertes dont le magnifique travail de ré information sur les réseaux sociaux (Internet), en dépit des censures voire des menaces de la nouvelle dictature, ont fini par récupérer une partie des égarés, ébranlant leurs fausses certitudes…

Tous les héros de cette Résistance ont réussi, malgré l’impossibilité d’accéder à la télé, à déclencher des manifestations monstres de millions de participants (détail : pour la plupart non masqués) présidées par des personnages prestigieux tels Robert Kennedy Junior et David ICKE, en Allemagne, en Angleterre, en Espagne, au Portugal, au Canada, aux USA, et en Amérique du sud (mais pas la France… !!! dont les armes anti manifestations sont meurtrières) pour contester les privations illégales et stupides de nos libertés fondamentales.

L’imposture du test PCR

La nouvelle qui vient de tomber (10 septembre 2020) est ahurissante : les tests du covid-19 seraient trop sensibles, de sorte que 90% des prétendus « testés positifs » ont en réalité une charge virale insuffisante pour être malades ou contagieux.

En effet, alors qu’il faut avoir 100 millions de virus dans un microlitre de prélèvement pour être dans un état inquiétant, on parvient à détecter la présence d’un seul virus, ou même d’un débris de virus, en répétant jusqu’à 45 fois le cycle d’amplification du test PCR.

Ainsi, les charlatans irresponsables, médecins et politiques, qui régissent la dictature sanitaire en France s’emploient à entretenir une panique collective pour une épidémie qui ne fait pratiquement plus de mort depuis mai dernier, en pratiquant des tests inutiles et coûteux par millions.

La grande supercherie des tests PCR, 
est que 90% des cas positifs ne sont ni malades ni contagieux

Témoignage d’une infirmière de laboratoire de prélèvements Covid

Résumé :

  • Nous avons 97% de négatifs.
  • Les 3 % positifs sont sans symptômes ou ont un rhume, voire rarement de la fièvre. Bref un état grippal. 10 personnes à peine hospitalisées sur ma région….
  • Des employeurs mènent un chantage illégal sur leur personnel. C’est de la manipulation.
  •  Arrêtez de faire du mal aux enfants, qui se débattent et hurlent, tellement ça leur fait du mal.
  • Arrêtez de vous faire dépister pour un oui ou pour un non.

À voir ici : https://www.bitchute.com/video/z7ApgjUeHHIa/      (5 mn)

« Je tiens à préciser que le personnel en laboratoire d’analyse médicale n’est pas dépisté. Preuve supplémentaire que tous ces tests sont inutiles. De plus, avec ces tests vous allez être fichés ! »

David Icke dénonce

  • Le test PCR n’est autre qu‘un grand flicage de la population par l’ADN récolté.
  • Les tests PCR permettent d’avoir en réserve l’ADN de millions de gens !
  • Si vous acceptez le test, vous serez fichés !

Voici la preuve : (Propos de David ICKE relevés par le journal L’informateur) :

Les tests PCR ne réagissent qu’à des débris cellulaires. A la base, c’était fait pour la police scientifique afin qu’ils puissent isoler de l’ADN. Le PCR réagit positif à n’importe quoi : une mycose, un rhume, le stress, être enceinte, un herpès, simplement la peur, en fait à plus de… 70 causes. Ce test n’a rien à voir avec le Covid, pas plus qu’avec le Lyme ni avec le VIH…

L’inventeur du test Kary Mullis a expliqué pendant des années que la mafia médicale avait volé son invention pour détecter des maladies alors que ce n’est pas fait pour cela, mais simplement pour isoler l’ADN de quelqu’un à partir de sang que l’on dilue beaucoup de fois, donc à l’usage de la Police Scientifique.

Une bombe :
des milliers de tests (volontairement ?) CONTAMINES !

Ils se permettent tout ! Avec Pierre Jovanovic                 6 min 20

https://www.youtube.com/watch?v=ne2TiDKgsS4&feature=share

Autre source :

Confirmation par le Dr Broussalian reçu par la blogueuse suisse Ema [Krusi]. Pour ceux qui sont pressés commencez à la minute 38 jusqu’à la min 47  (= 9 min)

https://youtu.be/C1xCBJ0HCUA

Qu’en est-il du vaccin promis ?

D’abord, pourquoi un vaccin pour une épidémie grippale qui est terminée et que l’on sait parfaitement soigner par de multiples moyens naturels (en outre scandaleusement combattus et interdits en France)…

Le Covid comme toutes les grippes, après une courbe en cloche éliminant les plus faibles par sélection naturelle, se dégonfle (cas actuel) et meurt ou mute vers autre chose mais on ne sait jamais quoi – c’est pour cela que tous les vaccins anti grippe sont non seulement « bidon » mais aussi dangereux car on sait maintenant qu’ils détruisent les défenses immunitaires générales ; on l’a vu avec les italiens vaccinés qui tombaient comme des mouches par le Covid.

En second lieu il s’agira d’un faux vaccin, ne protégeant contre rien, bourré de nanoparticules qui vont vous transformer en antenne ambulante de la 5G ; votre ADN sera modifié, et vous ne serez plus jamais vous-même…

Déjà rien que par la WI-FI beaucoup sont déjà bien atteints voire irrécupérables…

D’aucuns me demandent s’il est possible d’annuler le vaccin avec de l’homéopathie ou de l’argile. Cà c’est du passé, c’est fini. Nous n’avons aucun moyen pour éliminer les millions de nanoparticules disséminées dans votre corps. Et même si c’était possible, les appareils de contrôle vous refuseraient les accès en tant que « non vaccinés ».
PIRE : Certains scientifiques pensent que la programmation extérieure de l’ADN pourrait être génétiquement transmise aux enfants.

  • Noter que les vaccins vétérinaires n’ont jamais de nanoparticules, ce qui prouve que celles-ci servent bien à modifier le psychisme.

Mais il n’y a pas que cela, il y a la soupe de Frankenstein que l’on injecte déjà aux enfants et même aux bébés à la naissance leur donnant toutes les chances d’avoir un cancer ou une maladie dégénérative grave dix ans plus tard (j’ai déjà diffusé la longue liste)….

Cette fois on tombe carrément dans le satanisme le plus sordide. Les médicaux pro vaccins ne savent-ils pas ce qui va suivre ? Avons-nous atteint le sommet de l’Horreur ?
C’est pire que le film « Le soleil vert » (1973) que l’on peut trouver dans toutes les langues.

Regardez ce que l’on fait avec les fœtus humains dont l’avortement légal (en clair, l’assassinat ) vient d’être discrètement voté jusqu’au 9ème mois, donc viable  :

11 min 30

https://youtu.be/HroGDPQznUA

ALORS TOUT CECI EST-IL UNE INCONTOURNABLE FATALITÉ ?

Oui si personne ne bouge !

Je vais faire simple : tout tourne atour de la réélection de Donald Trump en novembre.
S’il repasse (ce qui qui est probable à 98%), son grand ménage déjà en cours aux USA va s’étendre immédiatement par effet domino sur toute la planète avec l’assistance  des légions galactiques qui l’ont mis en place (renseignez-vous sur les œuvres de Trump réalisées en 3 ans)…

Notre histoire planétaire va repartir sur le bon pied dans tous les domaines vers une civilisation d’Amour et de Respect des œuvres du Créateur. Tous les grands secrets technologiques, spirituels, médicaux, archéologiques, énergétiques, gravitationnels, etc. vont être enfin lâchés – 2021 sera encore chaotique mais dans le bon sens.

S’il ne repassait pas, nous risquerions d’être livrés à nouveau aux griffes de cette organisation mondiale satanique qui a déjà fait tant de mal à l’humanité et à la planète et qui espère encore finir son œuvre de destruction massive.

Ce que je dis est au-delà du politique, c’est de la simple logique éclairée et documentée.   Ceux qui voudraient me faire taire ne peuvent pas avoir des buts nobles.

Rassemblons-nous mes amis
et n’oubliez pas que Trump est la clef !

Servez-vous de votre ordinateur pour en savoir plus .

En attendant, refusez le test, refusez le vaccin 
et osez les libertés de votre choix .

Michel Dogna

A diffuser au maximum

Si vous cherchez les vidéos de Silvano TROTTA,
(censuré inexorablement par You Tube),
il vous suffit d’aller sur la merveilleuse chaîne ODYSEE, ici :

https://odysee.com/@SilvanoTrotta:f

et vous aurez ainsi l’immense plaisir de le retrouver !




La culture de Wikipedia, le fatras éditorial et le mensonge

[Source : La Gazette du Citoyen via Réseau International]

Par Richard Gale et Dr Gary Null pour Global Research le 19 juin 2020

Wikipedia, l’encyclopédie corrompue

La plus grande farce de l’histoire moderne de la technologie est peut-être la perception de Wikipedia comme une encyclopédie légitime. Ce site n’a aucune des qualifications en tant que telle, mais possède toutes les caractéristiques d’une machine de propagande déguisée en encyclopédie.

Une encyclopédie authentique est transparente. Les utilisateurs peuvent connaître les qualifications et l’expertise de ses contributeurs. Il n’y a ni état d’âme personnel ni parti-pris. En bref, ce sont des gens qui connaissent parfaitement les faits concernant un sujet donné. Il n’y a pas d’appréciation personnelle, pas de remise en cause ou de réorientation d’un contenu négatif en opinion positive ou vice versa. Si une erreur est détectée, elle peut être corrigée rapidement.

Comparez maintenant cela avec Wikipedia qui compte plus de 100,000 éditeurs pour la plupart anonymes. Aucune expertise dans le domaine que l’un de ces contributeurs anonymes est en train de modifier n’est requise. La conviction selon laquelle, grâce aux plates-formes d’accès à Wikipedia, la discussion, le débat et l’argumentation peuvent éventuellement aboutir à un consensus qui reflète les faits et la vérité sur un sujet est non seulement irréaliste mais idéalement naïf. Cela est particulièrement vrai pour un sujet qui éclipse tous les autres – la santé et la médecine – où le contenu est radicalement refondu et présenté comme acceptable, réfutable, ou pire agressé et calomnié. Le contenu qui présente l’orthodoxie médicale et se base sur le paradigme pharmaceutique est acceptable. Tout le reste est rejeté et discrédité de façon sarcastique, sous l’appellation de pseudoscience, de charlatanisme ou de charlatanerie.

Selon les règles éditoriales de Wikipedia, «la rédaction d’articles tendancieux» est interdite, c’est à dire des textes manifestement partisans, partiaux et malveillants, s’écartant de la neutralité. Des exemples de rédaction tendancieuse concernent la guerre éditoriale et le vandalisme, les jeux du système, le langage et le comportement abusifs, l’utilisation abusive et la distorsion du contenu et des références, la censure injustifiée et l’interdiction d’éditeurs qui s’efforcent de faire appel à des règles de neutralité. Étant donné que l’organisation-mère de l’encyclopédie, la Wikimedia Foundation, n’exerce pas de surveillance directe sur le contenu qui finit par paraître dans les pages du site, Wikipedia est devenu une ochlocratie, une forme de gouvernance majoritaire qui se plie au chaos du pouvoir populaire. Les postes de direction éditoriale ne sont pas basés sur des qualités intellectuelles ou une expertise dans un sujet; au lieu de cela, la direction éditoriale a dérivé vers une aristocratie fondée sur le mérite, lui-même déterminé par le nombre d’entrées et de modifications réussies.

De toute évidence, la Fondation n’a pas la capacité de maîtriser l’hostilité éditoriale, la malignité, le harcèlement, les comportements toxiques qui ont cours dans l’encyclopédie. En mai, il a été annoncé que de nouvelles règles et un code de conduite seraient élaborés pour limiter le harcèlement. Malheureusement, ces nouvelles règles s’appliqueront plus particulièrement au harcèlement et aux agressions psychologiques envers les femmes et les membres de la communauté LGBT. Or les comportements malsains à l’égard des opinions politiques, des événements actuels, de diverses croyances idéologiques et de la médecine exigent des moyens de dissuasion similaires et des mesures strictes pour interdire les rédacteurs qui n’ont pas la conduite décente attendue d’une encyclopédie légitime.

Nous vivons à une époque où la santé des Américains décline de façon exponentielle. L’espérance de vie s’est inversée. Jamais autant de gens n’avaient succombé à une erreur médicale, à un diagnostic erroné ou à une prescription excessive de médicaments. Chaque jour, 4,000 Américains sont victimes d’une réaction indésirable grave aux médicaments nécessitant une hospitalisation, et 770,000 personnes supplémentaires souffrent d’une réaction indésirable aux médicaments pendant leur séjour à l’hôpital. En 2016, le CDC a estimé de manière très prudente que plus de 70,000 décès étaient directement liés à des prescriptions inadaptées et à des surdoses, c’est à dire plus que le nombre de soldats américains tués pendant la guerre du Vietnam et bien plus que les décès dus à la grippe et à la pneumonie, aux maladies de foie frappant les alcooliques, aux armes à feu et aux accidents de voiture. Les décès sur ordonnance médicale sont également plus nombreux que les surdoses dues aux drogues illégales. Selon le Edmond Safra Center for Ethics de l’Université de Harvard, les nouveaux médicaments causent de plus en plus de morts: «Peu de gens savent que l’examen systématique des dossiers hospitaliers a révélé que même des médicaments correctement prescrits (sans même prendre en compte les erreurs de prescription, de surdosage ou d’auto-prescription) provoquent environ 1,9 million d’hospitalisations par an. 840,000 autres patients hospitalisés reçoivent des médicaments qui provoquent des effets indésirables graves pour un total de 2,74 millions d’effets indésirables graves. Environ 128 000 personnes meurent à cause de médicaments qui leur ont été prescrits.»

Notre information sur la quantité de décès dus aux médicaments aux États-Unis est beaucoup plus grande, plus proche des taux de mortalité dus aux maladies cardiaques et au cancer; elle est basée sur une étude qui a duré cinq ans et qui est parue dans notre livre précédent Death by Medicine (La mort due aux médicaments). En outre, les opioïdes sur ordonnance, les antidépresseurs, les amphétamines, les anticoagulants, les stéroïdes anabolisants, les stimulants du TDAH et les antibactériens comptent pour beaucoup parmi les décès iatrogènes. Sans parler des millions de maladies causées par une prescription inutile, des infections nosocomiales, des chirurgies et des hospitalisations prescrites dans le but de générer d’énormes profits. Ne vous attendez pas à trouver ces faits mentionnés correctement sur Wikipedia. La pratique conventionnelle de la médecine, fondée sur la prescription de médicaments, est le seul traitement préconisé par Wikipedia, tandis que des alternatives plus sûres sont dénigrées et cataloguées comme du charlatanisme.

Un exemple flagrant du mépris et de la haine de Wikipedia envers la médecine alternative est son traitement malhonnête de la médecine traditionnelle chinoise (MTC), pourtant pratiquée avec succès depuis des milliers d’années. Il en va de même pour la médecine ayurvédique indienne. Récemment, les autorités sanitaires chinoises ont rédigé un projet de loi qui punirait toute personne ou organisation qui critique ou ridiculise la MTC. Ceci à la suite de l’utilisation de la MTC, à côté de la médecine conventionnelle, pour traiter les cas de Covid19, avec bien plus de succès qu’aux États-Unis. À travers le pays, plus de 92% des patients chinois atteints de Covid19 ont été traités par la TCM, seule ou en combinaison avec des thérapies occidentales. Contrairement à la médecine pharmaceutique conventionnelle, la MTC et l’Ayurveda se concentrent sur la recherche de la cause sous-jacente d’une maladie et de ses symptômes, une méthode que la science occidentale n’a pas encore pleinement comprise ni mise en œuvre. Et pourtant, les preuves empiriques étayant ces méthodes médicales anciennes sont solides. Un récent article de la Review of Molecular Medicine de la China Academy of Chinese Medical Sciences et de la prestigieuse Université nationale de Singapour a conclu que la MTC «représente une ressource vaste et inexploitée pour la médecine moderne». Il s’agit d’un système médical qui répertorie plus de 13,000 ingrédients médicinaux différents et plus de 100,000 décoctions et recettes uniques.

Pourtant, vous ne sauriez rien sur les avantages de la MTC, de l’Ayurveda et d’une multitude d’autres thérapies non médicamenteuses et naturelles, y compris la chiropraxie, l’homéopathie, la naturopathie, la médecine énergétique et les pratiques confessionnelles si vous deviez vous fier à Wikipedia. Sa page TCM promulgue des mensonges sans aucun fondement, affirmant qu’«il n’existe aucune réelle preuve clinique que la MTC est sûre et efficace pour traiter une maladie». Les rédacteurs de la page sont déterminés à présenter TCM comme une pseudoscience. Cela malgré les centaines de milliers d’articles, revus par des pairs et catalogués dans la bibliothèque de médecine des National Institutes of Health, qui traitent de la MTC, de l’acupuncture et des plantes médicinales – une collection volumineuse où les rédacteurs de Wikipedia choisissent et sélectionnent des éléments uniquement à l’appui de leurs préjugés anti-MTC. Ils ne mentionnent même pas que le prix Nobel de médecine 2015 a été décerné pour la première fois à une femme scientifique chinoise, Tu-You, pour avoir découvert l’artemisia, un remède de la MTC, comme base pour le développement d’un médicament antipaludéen. Il est vain de chercher un traitement équilibré de la TCM et d’autres systèmes de santé alternatifs. Nous pensons qu’il y a une très bonne raison à cela; comme nous l’avons signalé précédemment, le co-fondateur de Wikipedia, Jimmy Wales, et la Fondation soutiennent les attaques calomnieuses et malveillantes envers la médecine complémentaire et alternative.

Il se peut qu’une campagne juridique concertée soit nécessaire pour prouver la responsabilité de  la Wikimedia Foundation,  alors qu’une multitude de poursuites judiciaires accusent l’organisation d’avoir fustigé et détruit la carrière de dizaines de milliers de praticiens de la santé, de censure systématique et de servir d’opération de propagande sur les médias sociaux, tout en se prétendant mensongèrement d’être une encyclopédie fiable. Pendant des années, la position officielle de l’American Medical Association a été que la chiropraxie était une pratique non scientifique et  a fait tout son possible pour détruire la profession. Cependant, les chiropraticiens ont réussi à remporter un procès contre l’AMA et dix autres groupes médicaux pour avoir participé à une entente, en violation de la Sherman Antitrust Act. Le tribunal a donc jugé que la chiropraxie était une science thérapeutique légitime.

Aujourd’hui, les médias traditionnels s’accordent avec Wikipedia pour nier ou ignorer complètement la médecine complémentaire et alternative. Peut-être sont-ils trop paresseux pour faire des recherches ou manquent-ils simplement de bon sens et de raison. Ou plus concrètement, cette attitude est-elle liée à des intérêts corporatifs: industrie pharmaceutique, assurance privée, OGM, vaccins et déploiement de la technologie 5G. De même que les médias sont extrêmement partiaux et compromis avec des intérêts privés, nous pensons qu’il en est de même pour Wikipedia. Inutile de chercher longtemps pour découvrir une armée d’experts médicaux et de professionnels de la santé exprimant leur désapprobation du contrôle de l’industrie pharmaceutique sur les politiques de santé fédérales, les arguments malhonnêtes des revues médicales, pourtant soumises au contrôle de leurs pairs, vantant des médicaments dangereux ou inefficaces. Le titre du livre de Peter Gotzsche, ancien chef de la Danish Cochrane Collaboration et professeur de médecine respecté dans le monde entier : Deadly Medicines and Organized Crime : How Big Pharma has Corrupted Healthcare (Médicaments mortels et crime organisé : comment ‘Big Pharma’ a corrompu le système de santé) illustre bien l’histoire. Il s’agit d’un récit sur les maladies et les décès d’origine médicale, la médecine ne se basant que sur les médicaments ou des procédures médicales inutiles, tandis que la prévention des maladies et les thérapies non pharmaceutiques sont totalement absentes dans les discussions des instances sanitaires du pays.

En dépit du manque de précision et de neutralité de Wikipedia sur des sujets qui ont un impact immédiat sur la vie et le bien-être de ses utilisateurs, le site a été un outil efficace pour l’État profond et les intérêts particuliers des entreprises. De la même manière, il assure les relations publiques pour l’industrie du médicament, tout comme la société Hill and Knowlton PR l’a fait pour l’industrie du tabac dans les années 1950, sauf qu’il agit sous couvert d’être une véritable encyclopédie. La Fondation a accepté que Wikipedia soit utilisé comme une arme pour réduire au silence et atténuer l’impact de personnes telles que Robert Kennedy Jr, Deepak Chopra, Craig Murray, John Pilger, Rupert Sheldrake et le prix Nobel Luc Montagnier en les décrivant de manière péjorative. N’importe quel agent provocateur ou vendeur de gazon artificiel, n’importe quelle marionnette qui a réussi à gravir les échelons éditoriaux peut saboter et contrôler des pages honnêtes et éthiques, rédigées par des auteurs importants, afin de promouvoir ses intérêts ultérieurs et préjudiciables. Il peut y avoir des dizaines de ces rédacteurs penchés sur une page, prêts à diffamer et à détruire la vie de ceux avec qui ils se trouvent en désaccord. Aujourd’hui, après environ quinze ans de négligence et d’incompétence, la Fondation fait un petit effort pour lutter contre le harcèlement général et la malveillance des rédacteurs en chef; ce faisant, elle reconnaît aussi que l’ensemble de son système et de son mode de fonctionnement est pourri jusqu’au cœur, un exemple de chaos et de mauvaise gestion éditoriale. Elle participe à des jeux massivement truqués.

Si vous en doutez, demandez à quelques unes des milliers de personnes que Wikipedia a calomniés et diffamés. L’argument de Wikipedia est que si votre personnage a été massacré par l’un de ses rédacteurs, il vous suffit simplement d’appliquer le protocole éditorial pour corriger les erreurs. Mais pour des milliers de personnes, cela s’est avéré à plusieurs reprises être un exercice futile. Étant donné que l’ensemble du modèle Wikipedia est frauduleux, de tels efforts sont voués à l’échec. Aucun membre d’une profession de santé alternative ne peut corriger sa biographie. A Wikipedia, les sceptiques sont à la fois juge, jury et  bourreau. Et la Fondation Wikimédia aime ça.


Richard Gale et le Dr Gary Null codirigent le Progressive Radio Network. Ils contribuent fréquemment à Global Research.

Lien de l’article en anglais:
https://www.globalresearch.ca/wikipedia-culture-editorial-chaos-malice/5716412




Allô Docteur 💊 Episode 01 « Un secret pour vous »

[NdNM : La vidéo présentée permet d’avoir un meilleur aperçu de l’homéopathie et de son énorme potentiel en matière de traitement des maladies, y compris en ce qui concerne la Covid-19.]

[Source : Ema Krusi]

[Auteur : Ema Krusi]

Dans ce premier épisode, nous parlons de sujets actuels brûlants.

Allô Docteur est ma nouvelle émission santé. J’ai connu le Dr Edouard Broussalian il y a plusieurs années et j’ai décidé de vous offrir des « moments santé » afin de mieux comprendre l’immunité, la gestion des symptômes et la guérison.

Dans cette émission, vous pourrez bénéficier gratuitement des conseils du Dr Broussalian et assister EN LIVE à des consultations que le Dr Broussalian fera sur ma chaîne régulièrement.

▶️ Vous ne connaissez pas encore le Dr Edouard Broussalian ?
Voici quelques mots sur son parcours.
Auteur prolifique d’articles, de traductions et d’ouvrages de référence sur l’homéopathie, il enseigne la nouvelle médecine depuis 1996. Il pratique la médecine générale homéopathique depuis 1989 et il a traité des maladies épidémiques comme le choléra (Haïti 2011) avec les mêmes succès que ses prédécesseurs, confirmant la supériorité du traitement homéopathique sur les vieux procédés chimiques. C’est en 2012 que commence le grand tournant de sa carrière en fondant un enseignement qui pour la première fois depuis des générations suit aphorisme après aphorisme l’Organon de Hahnemann.
1988: Diplôme d’État de docteur en médecine – Faculté de médecine de Grenoble

👉 RETROUVEZ LE DOCTEUR BROUSSALIAN EN LIGNE : https://drbroussalian.com/le-docteur/

https://youtu.be/C1xCBJ0HCUA



Quelle différence entre foi et croyance ?

[Source : Marie-France de Meuron via Réseau International]

par Marie-France de Meuron.

Je perçois la foi comme l’élan du cœur ouvert à la confiance en quelque chose ou quelqu’un, dans un état de large réceptivité. L’être humain est alors en mesure d’accueillir des énergies qui l’emplissent. Sur un autre plan, se situe la croyance « processus mental expérimenté par une personne qui adhère à une thèse ou une hypothèse, de façon qu’elle les considère comme vérité, indépendamment des faits, ou de l’absence de faits, confirmant ou infirmant cette thèse ou cette hypothèse ».

Un cantique de l’église protestante définit avec beaucoup d’ardeur ce que peut révéler la foi: « la foi renverse devant nous les plus fortes murailles, elle triomphe des verrous et gagne les batailles ». Qu’est devenue cette ferveur humaine dans notre monde actuel ? Quelles situations ou ambiances procurent l’occasion de la vivre ?

Prenons la présence des mouvements religieux qui sont multiples et transmettent cet élan du cœur de façons diversifiées. Dans nos contrées, il est intéressant de constater l’évolution des églises, lieux qui furent très traditionnels dans notre culture du vivre la foi chrétienne en communautés. Avant de se délabrer complètement par manque d’animation, certaines furent recyclées et rénovées : à but commercial comme un magasin de meubles ou une cave à vins, à but sportif en terrain de basket, en centre de musculation, ou à but culturel, en théâtre.

« Elles font ainsi l’objet d’un « décret d’exécration », selon la terminologie ecclésiale. En clair : elles sont désacralisées, avant d’être vendues puis reconverties ». Ce terme est puissant et dit bien qu’on retire le côté sacré du lieu et, avec ce retrait, diverses occasions de vivre des actes de foi et de connexion à des dimensions universelles.

Dans certaines communautés chrétiennes, ces édifices sont dénommés temples. L’évangile évoque même que notre corps est le temple du Saint-Esprit. Ce vocable nous vient en fait de templum issu de la culture étrusque. Il s’agit d’un lieu sacré, édifice bien solide en relation avec une intention de se relier au divin, les clochers et les flèches dénotent aussi cet élan vertical. Ainsi, ceux qui l’édifiaient cherchaient à proposer aux humains un lieu propice à établir une relation entre le monde terrestre et le monde cosmique, en ouvrant les cœurs à avoir confiance en cette immensité qui les entoure et les dépasse.

Avec l’évolution du mode de vie, nous pratiquons davantage une dynamique horizontale que verticale. C’est ainsi que nous pénétrons dans la période du virus couronné qui révèle de façon très aigüe les modes de procéder, tant au niveau sanitaire que scientifique, social, politique et économique.

Une foison de situations, d’événements, et de circonstances permettent de faire surgir soit des élans de confiance soit des décrets qui se basent sur des modélisations auxquelles on croit, souvent parce qu’il y a un socle chiffré qui sécurise. Nous vivons dans une société très structurée sur des systèmes d’assurances qui focalisent l’attention sur des paramètres bien définis comme les budgets économiques plutôt que sur les conséquences humaines globales qui peuvent avoir des répercussions non monnayables, mal définissables et plus vastes.

Ainsi, nous nous trouvons devant un carrefour crucial avec la médecine : Quand faire confiance à ce qui sonne juste selon nos expériences profondes ou au contraire quand nous soumettre à des croyances qui sécurisent mentalement d’autant plus qu’on délègue nos responsabilités et cela sur plusieurs plans.

Avant le tsunami du coronavirus, il y eut, par exemple, le raz-de-marée du déremboursement de l’homéopathie. Dans un tel cas, on peut bien distinguer entre ceux qui ont confiance en cette thérapie expérimentée sur plusieurs continents depuis deux siècles, et ceux qui font une moue de dédain en disant : « Je n’y crois pas ». Comme ils croient dans les verdicts de la médecine officielle, ils se sentent dispensés de toute réflexion et refusent d’échanger avec ceux qui l’ont expérimentée et ont obtenu de beaux résultats, sur eux, sur leurs proches ou en tant que thérapeutes. Quant à ceux qui détiennent l’autorité, ils s’obstinent à croire que seules les études randomisées en double aveugle sont valables car ils ne veulent pas comprendre que l’homéopathie uniciste traite l’ensemble du patient et que, de ce fait, chaque traitement est adapté à chaque individu, à revoir ensuite régulièrement selon l’évolution des symptômes. On ne peut donc pas effectuer des études randomisées mais seulement des études confirmant le mode de procéder et les axiomes sur lesquels se baser.

Même type d’affirmation hautaine face aux huiles essentielles dont les preuves sont multiples ; là aussi, il est exigé des études randomisées qui feraient du tort aux patients qui recevraient un placebo puisque l’on connaît déjà les pouvoirs de ces produits issus de la nature, ce qui n’est pas le cas de molécules créées en laboratoire. On retrouve la différence entre confiance et croyance chez le Pr Raoult qui a une énorme expérience d’épidémiologiste et à qui on reproche le manque d’étude randomisée, credo derrière lequel se réfugient certains scientifiques qui se sentent forts de cette croyance en une démarche expérimentale, malgré les nombreuses imperfections de telles études, observées au fil des années.

Quand les croyances sont transmises avec force par les dirigeants politiques et les médias, elles s’ancrent d’autant plus facilement dans la population que celle-ci a peu de foi dans ses propres forces, dans la nature, dans ses ressources psycho-affectives. Ainsi, quand le président Macron déclare : « Seule une vaccination généralisée pourrait avoir raison de nos souffrances actuelles… », non seulement une partie de la population le suit (apparemment les trois quarts) mais encore, voire surtout, les entreprises pharmaceutiques. Macron représente en France la chorale de 27 états de l’UE ou plutôt de 27 représentants de ces états qui se confortent dans la croyance que seul le vaccin va résoudre le problème sinueux du coronavirus. Sécurisés par le principe vaccinal, qui a pourtant souvent donner les preuves de ses limites, ils ne se demandent pas comment améliorer l’état de santé de leurs populations, prenant l’audace d’engager des milliards d’euros, en plus malgré le fait que ce soit sur le dos de leurs concitoyens.

Une autre croyance à laquelle le peuple est soumis est celle des masques. Certes, ils ont leurs places dans certaines situations mais ils ne doivent pas permettre de se donner bonne raison au détriment de bien d’autres mesures adaptées à chacun-e. En plus, à force de museler les personnes, moult autres démarches de santé ont privé les individus de bienfaits pour leurs santés. Bienvenue en Absurdie !

Cette propension à suivre ses croyances se répand dans d’autres domaines comme le Droit. Ainsi on en est venu à croire que la justice peut régler des problèmes d’ordre médical. Les exemples sont multiples et je cite ici le cas  « Où la justice décide ou non de couper l’hydratation et les vivres à quelqu’un ».

De même quand la justice sanctionne sévèrement un médecin, le forçant à vendre sa maison, parce que la croyance dans la suprématie des statistiques des coûts par année prévaut sur la valeur des soins prodigués malgré les économies effectuées dans la durée.

La croyance la plus ample et la plus intense me semble revenir à ceux qui s’investissent (corps, raison et finances) à construire la globalisation de notre monde. Or les peuples se réveillent de plus en plus et bien des situations mutent dans plusieurs parties du globe. Même l’écologie peut se retourner contre certains de ses supporters dans la mesure où elle représente davantage un idéal mental et calculé, avec brisement du bon sens, qu’un investissement de tout son être, à chaque instant et dans chaque geste, envers la nature. Ainsi, la vague verte pourra servir de caution à la guerre.

Cette situation inconfortable dans laquelle nous nous trouvons offre l’occasion de détecter toutes les croyances qui divisent notre perception du monde et de notre quotidien, afin de tourner notre regard vers notre intériorité, vers nos forces essentielles, pour retrouver notre confiance.

Marie-France de Meuron




Crime vaccinal – Ils accusent un Prix Nobel de mauvaise science !

[Source : Stop Mensonges]

Comment le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine, est-il devenu
l’Ennemi Public N°1 en France ? C’est ce qu’explique l’article que je
vous fais suivre.

Il a été écrit par Pierre Lance, dont j’aime beaucoup le style.

Régalez-vous !

Eric Müller

PS : Cet article vient de la revue Alternatif Bien-Être et était au départ réservé à ses abonnés. Mais le sujet est tellement important que son rédacteur en chef a décidé de le rendre public. N’hésitez donc pas à le transférer à votre entourage.


LUC MONTAGNIER : L’HOMME À ABATTRE ! par Pierre Lance

Comme tous les gens bien informés le
savent, le complexe pharmaco-industriel mondial (que j’ai surnommé dans
mes ouvrages « le tyrannosaure ») est une véritable mafia qui a mis
toute l’humanité en coupe réglée et qui fait la pluie et le beau temps
au sein de toutes les «Autorités de santé» de dizaines de nations
réputées indépendantes.

Or, en ce qui concerne la santé, ou plus exactement la maladie, aucun
État n’est véritablement libre de ses choix, car la grande majorité de
ses «experts» sont en conflit d’intérêts avec les grands laboratoires,
dont ils sont salariés ou actionnaires. Aussi est-il de plus en plus
urgent que les démocraties, à commencer par la France, veillent à ce que
les décideurs des divers organismes de santé soient totalement
indépendants de l’industrie pharmaceutique, faute de quoi il n’existera
bientôt plus aucune liberté du citoyen en ce qui concerne sa santé et
celle de sa famille. Sous prétexte de le «protéger», des décisions
bafouant délibérément ses droits les plus élémentaires lui seront
imposées.

Un prix Nobel face au tyrannosaure

L’une des plus grandes victoires (que
j’espère provisoire) du « tyrannosaure » a été remportée récemment en
France et en Italie par l’obligation de 11 vaccins infligés à nos bébés,
alors que rien ne pouvait justifier une telle mesure, qui est une
atteinte caractérisée à nos droits constitutionnels. Faut-il que le «
tyrannosaure » soit puissant pour qu’il soit parvenu à circonvenir le
Président Emmanuel Macron, qui fut pourtant élu dans le but de réformer
et fortifier la démocratie française. Toutefois, la guerre des vaccins
n’est pas terminée, et l’on voit de nombreux David saisir leur fronde
afin de terrasser le monstrueux Goliath, empereur des seringues.

Le Pr Luc Montagnier lors d’un congrès à Lindau, en Allemagne

Parmi ces David figure désormais le Professeur Luc Montagnier, Prix
Nobel de physiologie ou médecine, ancien professeur émérite à l’Institut
Pasteur, directeur émérite de recherche au CNRS, ancien professeur à
l’Université de New-York et membre des Académies des sciences et de
médecine. Mais Luc Montagnier étant un esprit libre, qui a toujours
refusé de se plier aux ukases des mandarins conformistes, il a poursuivi
de nombreuses recherches personnelles en sortant des sentiers battus,
ce qui lui a valu de féroces inimitiés. D’autant qu’il a pris fait et
cause pour deux de mes « savants maudits », Mirko Beljanki et Jacques
Benveniste.

Il a même annoncé en 2010 qu’il fuyait le «climat de terreur
intellectuelle» qui sévit en France et il a pris la direction d’un
institut de recherche à l’Université Jiaotong de Shangaï. Mais c’est en
novembre 2017 qu’il a mis le comble à la fureur du « tyrannosaure » en
alertant l’opinion sur les risques liés aux vaccins et en prenant
nettement position, en compagnie du Pr Henri Joyeux, chirurgien
cancérologue, contre la nouvelle loi infligeant aux nouveau-nés 11
vaccins obligatoires.

La presse complice

Dès lors, Luc Montagnier est devenu le
nouvel « homme à abattre » et la mafia médico-pharmaceutique a mobilisé
le ban et l’arrière-ban des mercenaires de la presse conformiste pour
tenter de discréditer Luc Montagnier dans l’opinion publique. La
dernière en date des attaques en règle contre ce grand scientifique est
parue dans « Le Point » (N° 2386 – 24 mai 2018). J’avoue que, jusqu’ici,
je considérais « Le Point » comme un journal sérieux. Depuis ce 24 mai,
il a beaucoup baissé dans mon estime, car il a ouvert ses colonnes à un
article qui déshonore les journalistes qui l’ont commis.

Sous le titre « Mais qu’arrive-t-il au Pr Montagnier ?», deux
folliculaires nommés Thomas Mahler et Violaine de Montclos, à
l’évidence dûment chapitrés par le « tyrannosaure », et dont les
connaissances médicales doivent être proches de zéro, se sont permis
d’aligner un ramassis de moqueries, de rumeurs, de ragots assaisonnés
par une pétition « anti-Montagnier » signée à l’aveuglette par les
moutons de Panurge du corps médical. Les rédacteurs de ce galimatias
nous disent, dès les premières lignes, avoir assisté à la conférence
Montagnier/Joyeux, qu’ils nous présentent ainsi : « Sur la scène du Théâtre Michel, ce 7 novembre 2017, deux personnages donnent (…) une drôle de farce. » 

Ainsi, d’entrée de jeu, le ton est donné : ces deux grands médecins
sont des farceurs, tenez-vous le pour dit. Et ils poursuivent : « Devant un public nombreux qui leur est tout acquis, que prophétisent les deux compères (sic) opposés tous les deux à la vaccination obligatoire ? Un « empoisonnement » général de la populationune «tempête de cytokines» dans le cerveau de nos enfants… (Je
précise que les cytokines sont des substances solubles de signalisation
cellulaire agissant à distance pour réguler l’activité et la fonction
d’autres cellules. Donc, Montagnier et Joyeux ont parfaitement raison :
Il est logique et probable qu’une injection massive de plusieurs vaccins
déclenche un « affolement » des cytokines aux conséquences
imprévisibles.) …et des « corrélations temporelles sérieuses » entre la mort subite du nourrisson et l’injection de vaccins avec adjuvants à base d’aluminium.»

Une interview truffée d’arrière-pensées…

Nos deux plumitifs ont tout de même été
rendre visite à leur victime avant de la flinguer sans sommation et nous
annoncent ainsi l’entrevue : «…Un Luc Montagnier on ne peut plus
sûr de lui nous reçoit dans les bureaux fantomatiques de sa Fondation
mondiale prévention et recherche sida, abritée par le siège parisien de
l’Unesco.» 
J’ignorais que des bureaux pouvaient être «
fantomatiques » et je constate que nos deux rédacteurs du « Point » ont
une approche de la langue française pour le moins approximative.

Ils nous parlent ensuite d’une pétition signée par « plus d’une centaine de membres des Académies des sciences et de médecine » et qui proclame : «
Nous ne pouvons accepter de l’un de nos confrères qu’il utilise son
prix Nobel pour diffuser, hors du champ de ses compétences, des messages
dangereux pour la santé, au mépris de l’éthique qui doit présider à la
science et à la médecine. » 

Or, je précise que l’Académie des sciences compte 262 membres et
l’Académie de médecine 290 (sans compter les membres étrangers). Soit au
total 552 membres, ce qui réduit les signataires de la pétition à la
proportion de moins d’un cinquième des académiciens. Je présume que tous
les autres, qui ont certainement été sollicités, ont refusé d’attaquer
un de leurs pairs sans raison crédible. Mais en outre, le texte de cette
pétition est totalement grotesque. D’abord parce qu’il est absurde de
prétendre que Luc Montagnier « utilise » son prix Nobel dans quelque but
que ce soit. Il est Prix Nobel, point barre, et ne peut avoir aucune
influence sur toutes les personnes qui jugent bon d’en faire état. Quant
aux ahuris qui ont signé ce torchon, on se demande de quel droit ils se
permettent d’interférer dans l’action d’un de leurs confrères qui dit
ce qu’il croit juste et qui parle en s’appuyant sur ses recherches et
ses connaissances, auxquelles ses censeurs n’ont pas accès.

Mais voici que nos deux rédacteurs téléguidés adoptent un autre angle d’attaque et nous disent : « Dans
les années 2000, déjà, il (Montagnier) repêche l’embarrassante théorie
de la mémoire de l’eau popularisée par Jacques Benveniste, que le
découvreur du sida voit comme un «Galilée des temps modernes». En 1988,
cet immunologiste de l’Inserm publiait une découverte qui, d’après Le
Monde, pouvait «bouleverser les fondements de la physique
 ». Après
les annonces sensationnalistes, l’expérience, non reproductible, fait
vite pschitt, et si les milieux complotistes et ésotériques les
encensent, les travaux de Benveniste sont balayés par la communauté
scientifique
. » Là, j’avoue que je reste pantois devant l’ignorance
crasse et la vanité redondante de nos deux gratte-papiers du «Point»,
qui, de toute évidence, n’ont pas la moindre idée de ce dont ils parlent
et se contentent de faire chorus avec tous les pense-petit, les
pisse-vinaigre et les va-d’la-gueule de la prétendue «communauté
scientifique».

Avoir raison ne donne pas bonne presse

Personnellement, je connais très bien
les travaux de Jacques Benveniste, dont les expériences étaient
parfaitement reproductibles (à condition évidemment qu’on veuille bien
se donner la peine d’essayer de les reproduire). Non seulement
Benveniste parvint à établir que l’eau conservait la trace de tout ce
qui la traversait, mais il réussit même à enregistrer ces traces et à
les transmettre par Internet à très longue distance. Seulement voilà,
comme ses travaux donnaient l’explication fondamentale de l’efficacité
de l’homéopathie malgré la disparition de toute substance matérielle (et
donc par un effet de « mémorisation »), il devenait aussitôt « l’homme à
abattre » pour le cartel de la pharmaco-chimie dont l’allopathie
demeure l’irremplaçable vache-à-lait. (Je rappelle que pas un médecin
homéopathe n’est membre de l’Académie de médecine, et que lorsque
celle-ci affecte de mépriser cette thérapie, dont l’efficacité a été
mille fois prouvée, elle se permet de juger une discipline qu’elle n’a
jamais étudiée et à laquelle ses membres ne connaissent rien).

Bref, Jacques Benveniste fut licencié de l’INSERM et privé de tout
soutien et de toute ressource jusqu’à ce que mort s’ensuive. Aussi
doit-on féliciter hautement Luc Montagnier d’avoir le courage de
réhabiliter Jacques Benveniste, car il devient ainsi lui-même la cible
privilégiée des mercenaires du « tyrannosaure ». Son nom vient donc
allonger la liste des excommuniés de l’Eglise du caducée, qui compte
déjà bien des scientifiques célèbres.

Nos deux frelons du «Point», se ridiculisant eux-mêmes sans s’en
rendre compte, ne se privent d’ailleurs pas d’en égratigner quelques-uns
au passage, faisant écho à une prétendue « maladie du Nobel »
diagnostiquée par un pourfendeur américain des « pseudo-sciences » (les
cloportes de la «communauté scientifique» nomment ainsi les sciences
qu’ils ne comprennent pas), notamment Linus Pauling, dont ils n’ont
évidemment pas lu le moindre texte, et qu’ils maltraitent sans vergogne
par ces lignes assassines : «Ainsi Linus Pauling, légende de la physique quantique et double Nobel, qui se fourvoya dans des travaux sur la vitamine C…». 

Or, non seulement Linus Pauling, génie incontestable, ne s’est
nullement fourvoyé, mais c’est grâce à ses expériences que le monde
entier connaît les vertus de la vitamine C (ou acide ascorbique),
substance indispensable aux performances de notre système immunitaire.
Toutefois, la vitamine C (présente dans tous les fruits et légumes et
principalement dans les agrumes) est affligée d’un inconvénient majeur :
elle ne coûte presque rien et ne peut permettre à aucun laboratoire de
faire fortune. C’est pourquoi les spadassins de la mafia pharmaceutique
entreprirent de ridiculiser Linus Pauling et y parvinrent pour une
grande part, grâce à la complicité de journalistes bigleux dont l’esprit
critique était tombé dans les chaussettes. (Toutefois, je suis obligé
de me demander si quelques enveloppes rebondies ne circulent pas dans
les salles de rédaction, afin d’encourager parfois la «bien-pensance».)

Je vous ferai grâce de toutes les autres balivernes qui émaillent ces
trois pages du «Point», dont le seul but est de jeter le discrédit sur
l’un de nos plus brillants chercheurs. On nous dit, et je trouve ça très
amusant, que certaines hypothèses médicales de Luc Montagnier sont «
très controversées ». Parbleu ! Comme si les travaux de tous les
pionniers qui s’aventurent dans les forêts vierges de la connaissance en
traçant leur propre chemin pouvaient ne pas être « controversés » par
la piétaille des conformistes et des médiocres qui ne savent circuler
que sur les autoroutes bien balisées du «scientifiquement correct».
Quoiqu’il en soit, Luc Montagnier et Henri Joyeux viennent d’adresser
une requête au Président Macron pour demander que soit inscrit dans la
Constitution le principe de précaution en matière de santé. Si cette
requête était satisfaite, l’obligation vaccinale généralisée aurait du
plomb dans l’aile, car le moins qu’on puisse dire est qu’elle foule aux
pieds toute précaution envers les enfants fragiles et nos libertés
essentielles du même coup.

Cela dit, je ne veux pas mettre en doute la bonne foi de M. Mahler et de Mme de Montclos, même s’ils se sont laissés trop aisément manipuler par quelques mandarins. Mais je me vois contraint de leur faire un reproche majeur : Leur conscience professionnelle de journalistes aurait dû les inciter, au minimum, à prendre connaissance de tous les arguments scientifiques et médicaux qui ont été développés par les médecins contestataires de l’obligation vaccinale, et notamment ceux du Dr Dominique Rueff, diplômé universitaire de cancérologie, publiée le 15 juillet 2017 (https://www.lettre-docteur-rueff.fr/vaccinations-obligatoires-jai-choisi-camp/).

Enfin je me permettrai d’inciter M. Sébastien Le Fol, directeur de la
rédaction du «Point» et M. Etienne Gernelle, directeur de publication,
dont j’apprécie grandement les éditoriaux, de bien vouloir rappeler à
leurs rédacteurs qu’ils ont un devoir d’objectivité et de loyauté et que
leur travail ne consiste pas à «servir la soupe» à quelque coterie que
ce soit ni à être des «snipers» médiatiques à la solde des ennemis
déclarés de l’un des plus éminents esprits libres de la science
française.

Pierre Lance

Pierre Lance est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages et notamment de la série Savants maudits, chercheurs exclus (4 tomes, 2002 à 2010 – Guy Trédaniel Editeur) qui regroupe les biographies résumées de 48 chercheurs de génie qui furent méconnus, occultés, voire persécutés par la « nomenklatura » scientifique et médicale.

[Voir aussi :




Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910

[Source : Les moutons rebelles ou web.archive.org]

Comment l’industrie de la santé et du bien-être ont radicalement changé

J’ai maintenant 68 ans et, depuis des années, je compte sur des solutions médicales alternatives pour presque tous mes problèmes de santé. Un changement de régime, des aromates, des vitamines, des minéraux et une bonne dose de sport ont fini par être tous les médicaments dont j’ai jamais eu besoin.

En 2010, lorsque j’avais 61 ans, j’ai guéri de l’arthrite uniquement grâce à des vitamines et des minéraux. J’étais atteint depuis que j’avais la vingtaine. Mes médecins disaient que mon arthrite n’était pas curable, mais la médecine occidentale se trompait au sujet de l’arthrite.

Après cette simple cure, j’ai arrêté de souffrir, je suis devenu sceptique, et j’ai commencé à faire des recherches sur l’histoire de la médecine en Amérique du Nord. Ce que j’ai découvert est surprenant !

Dès ma jeunesse, j’étais fasciné par la technologie médicale. Quand j’avais environ 7 ans, en 1956, une très vieille voisine utilisait un ancien appareil de stimulation musculaire électrique sur ses muscles jambiers, qui étaient crispés. Elle racontait que ça lui faisait du bien.

En 1963, j’avais 14 ans. Mes parents partirent en vacances dans la Barbade, et me laissèrent avec un couple letton, propriétaire d’une ferme dans la campagne de Hamilton, dans l’Ontario. Ils faisaient pousser de nombreuses plantes mystérieuses appelées « herbes médicinales » guérisseuses dans leur ferme. Lorsqu’il me parlèrent de la phytothérapie en Lettonie, j’étais surpris d’apprendre que les médicaments provenaient d’herbes médicinales.

Mes parents ne connaissaient rien quant au rôle médical des herbes médicinales. Jusqu’alors, dans toute mon éducation, le sujet des « herbes médicinales » n’était jamais abordé. Quand j’ai effectué des recherches à ce sujet à la bibliothèque du coin, j’ai découvert que les herbes médicinales étaient utilisées pour faire des médicaments depuis des milliers d’années. Comment est-ce que l’histoire de la phytothérapie a-t-elle été quasiment effacée vers la moitié du 20ème siècle ?

L’histoire cachée des thérapies alternatives

En tant qu’inventeur, à l’âge de 65 ans, j’ai conçu des appareils électro-médicaux de stimulation cérébrale pour égayer l’humeur et pour relaxer.

Je fus étonné d’apprendre que des machines similaires étaient utilisées en France en 1903. Et j’étais étonné d’apprendre que l’électro-médecine fut utilisée pour la première fois en Egypte Ancienne, à l’aide d’anguilles électriques, qui servaient à traiter les migraines.

Dans la Rome Antique, les poissons électriques étaient utilisés pour traiter l’épilepsie et les maux de tête. L’électro-médecine est restée populaire dans le monde jusqu’au 20ème siècle, sauf en Amérique du Nord, où elle était quasiment inconnue jusqu’à la fin des années 1980. Comment est-ce que le l’usage des traitements électro-médicaux a été pratiquement effacé de notre culture nord-américaine ?

Les origines de la médecine occidentale

La création de la médecine moderne commence avec John D. Rockefeller (1839 – 1937), qui était baron du pétrole, et premier milliardaire d’Amérique. Dans les années 1800, l’industrie pétrochimique furent crées via la « chimie biologique » ou la chimie du charbon. Dans les années 1800, il est devenu apparent que divers remèdes à base d’herbes traditionnels contenaient des ingrédients actifs appelés « alcaloïdes ».

Ces alcaloïdes pouvaient souvent être produits de manière synthétique par l’industrie pétrochimique. Parfois, l’ingrédient actif d’une herbe médicinale pouvait être chimiquement modifié et breveté. Ce nouveau business était appelé « l’industrie pharmaceutique ». Le brevet médical en résultant pouvait se vendre très cher, en comparaison avec l’herbe dont il était dérivé.

Dès le début du 20ème siècle, Rockefeller contrôlait 90% de toute la production pétrolière aux USA, à travers une multitude de compagnies pétrolières qu’il possédait. En 1900, il y avait environ 1 000 voitures qui roulaient à l’essence. Les voitures ne pouvaient donc pas rapporter beaucoup. Cependant, l’industrie pétrochimique était florissante.

L’industrie pétrochimique promettait d’être l’une des parties les plus profitables de l’industrie pétrolière. Rockefeller investissa fortement dans les compagnies pharmaceutiques nouvellement créées. Il fonda la Fondation Rockefeller en 1913, et se focalisa sur les industries pharmaceutiques, et l’éducation médicale.

En 1900, Andrew Carnegie était lui aussi très riche. À la base, il avait fait fortune en investissant dans Columbia Oil en 1862, et il avait fait encore plus fortune dans l’acier. Il lança la Fondation Carnegie en 1905. La fondation était réputée pour son expertise en financement, et dans l’exécution d’entreprises à vocation éducative.

Le rapport Abraham Flexner

Début 1900, la toute récente American Medical Association, ou AMA, comprit que l’éducation médicale était dans un état chaotique. Elle décida donc de créer le Council of Medical Education, en 1904, afin d’étudier le besoin d’améliorations dans l’éducation.

Néanmoins, l’AMA ne pouvait se permettre de financer l’étude. Henry Pritchett, membre de la Fondation Carnegie, proposa de l’argent, et recruta Abraham Flexner pour mener à bien l’étude.

La Fondation Carnegie reprit ensuite la direction du Conseil d’Education Médicale, et investissa des millions de dollars dans le projet. Elle étudia chaque école médicale d’Amérique du Nord, et publia un compte-rendu en 1910, intitulé rapport Abraham Flexner. En toute honnêteté, le rapport Abraham Flexner contribua au moins à standardiser les pratiques médicales. Mais il eut également de nombreux effets négatifs.

L’étude fut financée par la Fondation Carnegie, avec des donations de John D. Rockefeller et d’autres industriels. En 1909, le Council of Medical Education était dirigé par les industriels. Ceux-ci étaient fortement impliqués dans l’industrie pharmaceutique, une branche de l’industrie pétrochimique.

Ces industries entraient directement en compétition avec les méthodes de guérison traditionnelles, telles que la phytothérapie, l’électro-médecine, la naturopathie, le massage, l’alimentation, le sport, etc.

Les effets du compte-rendu sur d’autres branches médicales est bien résumé par l’entrée de Wikipedia sur le rapport Abraham Flexner :

« On ordonna aux écoles médicales offrant un entraînement dans diverses disciplines, y compris la thérapie par champ électromagnétique, la photothérapie, la médecine éclectique, le physio-médicalisme, la naturopathie et l’homéopathie, soit de laisser tomber ces cours de leur cursus, ou de perdre leur habilitation et leur soutien garanti. Quelques écoles résistèrent pendant un moment, mais elles finirent toutes soit par obtempérer, soit par fermer leurs portes. »

Le rapport Abraham Flexner a également marqué le début de la fin de la maïeutique aux USA et au Canada. Après 1910, aux Etats-Unis et au Canada, les Etats et provinces interdirent le métier de sage-femme les uns après les autres.

En 1929, l’Institut Carnegie fut habilité à exercer son autorité sur les écoles médicales du Canada et des USA. Toutes les écoles médicales qui ne respectaient pas le rapport Abraham Flexner mirent la clé sous la porte.

Après 1935, les écoles médicales ne proposaient que des approches pharmacologiques, y compris des vaccins et de la chirurgie. Toutes les autres approches sanitaires traditionnelles furent effectivement éliminées de l’éducation médicale.

Après le publication du rapport, les Afro-Américains et les femmes furent expulsés de la pratique médicale. Ce fut malheureux pour les femmes et les Afro-Américains, parce qu’avant 1910, il y avait beaucoup d’Afro-Américains et de femmes médecins.

En 1950, notre culture médicale nord-américaine avait été purgée de toute approche médicale traditionnelle. Seules les méthodes de l’industrie pharmaceutique, ainsi que les vaccins et la chirurgie, furent conservés.

Au fur et à mesure que les vieux médecins prirent leur retraite, la phytothérapie, la naturopathie, l’électro-médecine, les massages et autres thérapies alternatives furent toutes oubliées, sans exception. Elles furent qualifiées de « médecine de charlatans », un terme popularisé après le rapport Abraham Flexner. La médecine de Rockefeller devint la médecine du courant dominant.

La ré-émergence des approches médicales traditionnelles dans les années 1960

Lorsque j’avais 17 ans, je faisais partie de la sous-culture hippie, et les herbes, les vitamines, les minéraux, l’acupuncture, la marijuana et les massages devinrent subitement cool. Nous avons contribué à la réforme de la scène médicale canadienne. En moins de dix ans, on trouvait des herbes, minéraux et vitamines partout.

Les magasins bio fleurissaient. Des années 1970 à aujourd’hui, des études scientifiques ont montré que les herbes fonctionnaient vraiment. Divers héros du monde scientifique ont protégé notre liberté, notamment des personnes telles que Linus Pauling, pour son soutien apporté à la vitamine C.

Heureusement, les temps changent, et les médecins écoutent les requêtes de leurs patients orientés vers la médecine naturelle. Aujourd’hui, de nombreux physiciens collaborent avec des naturopathes et chiropracteurs.

Mon propre médecin de famille, qui est ouvert d’esprit, ne me force pas à acheter des médicaments sur ordonnance. C’est encourageant de voir des médecins, comme Andrew Weil, qui travaillent sur la promotion d’un modèle de santé plus équilibré, incluant toutes les options, au niveau universitaire.

On ne peut pas blâmer les médecins du 20ème siècle pour leurs penchants pharmacologiques. Leur système éducatif a été compromis par les intérêts des industriels qui ont financé le rapport Abraham Flexner de 1910.

Protéger l’accès aux herbes et aux suppléments

Au Canada et aux USA, au cours de ma vie, il y a eu de nombreuses tentatives visant à établir des standards chers et excessivement rigoureux pour les herbes et suppléments qui sont relativement sûrs, par rapport aux médicaments. Ceci menace les herboristes et autres praticiens de médecine alternative.

C’est une menace sur la disponibilité de ces aides sanitaires. On ne peut que présumer que ces efforts étaient stimulés par les lobbyistes de l’industrie du médicament. Les groupes citoyens des USA et du Canada se sont fortement opposés aux nouvelles législations proposées, et nous les avons efficacement vaincus grâce à des pétitions adressées à nos Membres du Parlement au Canada ou membres du Congrès au USA. Une vigilance constante est requise de la part des citoyens.

Nous devons développer un système de test basique à double aveugle

Les médicaments font l’objet de tests approfondis pour être vérifiés d’un point de vue médical. Les herbes importantes, telles que le curcuma, ou les minéraux tels que le bore, sont raremet analysés, parce qu’ils ne permettent aucun profit. Néanmoins, les générations actuelles et futures seraient fortement récompensées si on réalisait l’analyse d’herbes et de suppléments.

Ceci pourrait être effectué à l’aide de la technologie moderne, en créant un site de test basique à double aveugle, où les données pourraient provenir de personnes ayant décidé de devenir leur propre « cobaye ». Les échantillons et placebo pourraient être envoyés par mail avec des numéros d’identification. On peut le faire ! Qui veut proposer une solution ?

Nous avons besoin d’une approche équilibrée

Les médicaments pharmaceutiques pour le traitement des maladies ont leur place dans le traitement de certaines maladies. Les antibiotiques ont révolutionné le domaine de la santé. Les anesthésiants ont rendu la chirurgie indolore.

Les approches médicales alternatives ont du mérite, et les approches alimentaires peuvent parfois même soigner les maladies, ce qui fait que nous n’aurions plus besoin de traitements ! Ces alternatives doivent co-exister avec la médecine pharmaceutique comme options que les guérisseurs peuvent recommander.

Par Ian Faulkner

Traduit par Valentin MelchisédechChercheurs de Vérités