Bientôt, tous les moutons seront dans leur enclos !

[Source : autochtonisme.com]

Par Antonin Campana

C’est ainsi, dès lors qu’on est dans le multiple, il y a une relation étroite entre la concentration et le contrôle : on ne contrôle bien que ce qui est rassemblé. Tout ce qui nécessite un contrôle et une surveillance (notre argent, notre collection de timbres, nos “papiers“….) est ainsi rarement éparpillé. De la même manière, le chien de berger regroupe les moutons pour mieux les tenir à l’œil. Louis XIV concentre les Grands à Versailles afin de les avoir davantage sous son autorité. Et les Britanniques inventent le camp de concentration afin de contrôler et contraindre la population boer….

Autrement dit, un dictateur qui voudrait contrôler sa population ferait en sorte de la regrouper !

[Voir aussi :
Les villes sont le cancer de la Terre
et
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Le taux d’urbanisation de la France est actuellement de 79.7%. Près de 8 résidents sur 10 habitent donc dans une ville. Rappelons qu’une ville « est à la fois un milieu physique et humain où se concentre une population », ou bien, selon le géographe Pierre George, « un groupement de populations agglomérées » (Cf. Wikipedia). « Concentration », « groupement », « aggloméré » (qui donnera le mot « agglomération ») : la ville est évidement un agrégat de gens faciles à contrôler grâce aux caméras de vidéosurveillance, à la technologie de reconnaissance faciale, où à celle des objets connectés et des capteurs de données. A un certain niveau de contrôle, on dira d’ailleurs que la ville est une « smart city », une ville intelligente, c’est-à-dire un maillage de réseaux interconnectés qui ne laissera à l’individu aucun espace d’intimité, encore moins de liberté. Les promoteurs de la smart city nous font valoir que ce type de ville est « sûr » et surtout qu’elle préserve l’environnement, ce qui reste à prouver.

Il va de soi qu’un pouvoir qui aurait l’ambition de contrôler la population aurait donc tout intérêt à  faciliter la concentration de celle-ci dans des villes, laissant les zones rurales à la disposition des multinationales de l’agroalimentaire. Nous y sommes.

Souvenez-vous, le 14 octobre 2021, dans une conférence intitulée « Habiter la ville de demain », la ministre du Logement Emmanuelle Wargon a expliqué que « le pavillon avec jardin est un non-sens écologique, économique et social », que c’est « un modèle derrière nous », un modèle qui pour l’environnement « n’est pas soutenable et nous mène à une impasse », avant de conclure, très soviétique : « il faut en finir avec la maison individuelle ».

Emmanuelle Wargon préfère la ville  « plus intense qui ne transige pas avec la qualité et qui tient sa promesse en matière de services », dit-elle. Elle préfère (pour les sans-dents, il va sans dire, la ministre possède quant à elle une belle villa avec jardin) les concentrations de logements collectifs : « C’est ce que j’appelle “l’intensité  »heureuse » : une densité d’habitat qui crée des quartiers dynamiques, vivants et chaleureux » ! Aurons-nous le choix ? Pas le moins du monde, dit Wargon : « Nous sommes face à une urgence climatique qui ne se négocie pas » ! Bref, pour sauver la planète il nous faut habiter la ville…

Vous pouvez penser ici que la volonté délirante d’interdire la maison individuelle et de concentrer les gens dans des logements collectifs au nom de “l’intensité heureuse“ et du climat est propre à Wargon et n’exprime pas une tendance politique lourde. Ce serait être bien peu “complotiste“, à l’heure où le complotisme montre qu’il ne s’est trompé sur rien. Il faut voir plus loin. En Espagne par exemple…

En mai 2021, soit quelques mois avant Wargon, Pedro Sanchez, premier ministre espagnol, a présenté son plan national pour 2050 (« Espagne 2050, fondements et propositions pour une stratégie nationale de long terme »). Qu’annonce-t-il aux Espagnols ? La fin de la maison individuelle et même la nécessité de cohabiter tous ensemble dans des appartements (au nom du climat bien entendu) !

Notons également que la question se pose aussi en Allemagne. Le maire écologiste d’Alsterdorf, près de Hambourg, agit pour la planète et interdit désormais toute nouvelle construction de maison individuelle.

Du côté de l’UE, il ne faut pas s’attendre à un discours très différent. Le vice président de la commission européenne Maros Sefcovic a ainsi déclaré que le plan de Pedro Sanchez (un clone de Macron et de Trudeau) était un « excellent exemple », un « modèle » qui « montre la voie » et qui est conforme aux objectifs stratégiques de l’UE. Etonnant, non ?

En vérité, pour ce qui concerne la France, la fin de la maison individuelle est déjà inscrite dans la loi.

La « loi climat » d’août 2021 encadre « l’artificialisation des sols », c’est-à-dire le fait de construire sur le sol naturel des choses artificielles comme des entrepôts, des voies ferrées, des routes, des maisons… toutes choses qui nuisent au climat selon le ministère de la Transition écologique. En 2030, le processus d’artificialisation doit être réduit de moitié (article 191) et en 2050 il doit être égal à zéro. Comprenons bien ce que cela signifie : à terme, plus aucune nouvelle construction ne sera possible ! La maison individuelle est donc condamnée, mais aussi la ruralité dans son ensemble. Il ne sera plus possible de bâtir sa maison sur un bout de terrain hérité de ses parents, ni de construire les locaux d’une nouvelle entreprise, ni d’implanter une zone artisanale, ni de désenclaver une région. Les logements vont s’empiler les uns sur les autres en zone urbaine : c’est ce qu’Emmanuelle Wargon appelle « l’intensité heureuse ».

On voit bien que l’objectif est de faire perdre leur indépendance aux 20% de Français qui, sortes de moutons égarés dans la campagne, n’ont pas encore regagné leur enclos. Mais au-delà de ça, je suis toujours étonné par la capacité du Système à raisonner en décennies (quand ce n’est pas en siècles) alors que la Résistance ne voit pas plus loin que le bout de son nez. Evidemment, la pression va s’accentuer très progressivement, prenant la forme d’une augmentation des prix des terrains, des bâtiments et des constructions jusqu’à ce qu’il ne soit plus possible d’échapper à la ville, au contrôle urbain et à la surveillance de masse. « Artificialisation des sols » avez-vous dit ? A peine un petit pion déplacé sur le vaste échiquier ! Mais il faut voir plus loin : cette loi passée presque inaperçue pourra avoir, dans dix ou quinze ans, des conséquences radicales sur notre capacité à échapper au Système.

Tout cela pour dire, qu’on me pardonne le détour, que nous sommes dans une guerre totale d’une ampleur inouïe. Une guerre qui touche tous les aspects de nos vies. Les fronts sont multiples (sanitaires, migratoires, économiques, géopolitiques avec la guerre en Ukraine, monétaires avec l’Euro numérique ou même urbanistiques comme ici) et la Caste joue avec plusieurs coups d’avance. Face à cette Caste de psychopathes assistée du larbinat gouvernemental, les peuples se conduisent comme des troupeaux de moutons. Non contents de s’être fait tondre, ils vont maintenant se faire pucer avant de se faire volontairement enfermer, stade terminal du processus de domestication, dans des enclos urbains sous surveillance numérique.

Le camp de concentration comme avenir de l’humanité ?

N’ayez crainte, Davos et Wargon nous le prédisent : « vous serez heureux » !




Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

La présence organisée par l’État de néo-nazis au sein de l’armée ukrainienne n’est pas anecdotique, même s’il n’est pas possible de la quantifier de manière certaine. Il est par contre aisé de dénombrer leurs victimes. Dans l’indifférence générale, ils ont tué 14 000 Ukrainiens en huit ans. Cette situation est l’une des causes de l’intervention militaire russe en Ukraine. Israël se trouve confronté pour la première fois à ce qu’il n’a jamais pu imaginer : le soutien de son protecteur US à son ennemi historique, le nazisme.

Naftali Bennett et Olaf Scholtz, au Mémorial Yad Vashem. Israël et l’Allemagne découvrent l’ampleur du problème.
Bureau de Presse du Premier ministre

Cet article fait suite à :
 1. « La Russie veut contraindre les USA à respecter la Charte des Nations unies », 4 janvier 2022.
 2. « Washington poursuit le plan de la RAND au Kazakhstan, puis en Transnistrie », 11 janvier 2022.
 3. « Washington refuse d’entendre la Russie et la Chine », 18 janvier 2022.
 4. « Washington et Londres, atteints de surdité », 1er février 2022.
 5. « Washington et Londres tentent de préserver leur domination sur l’Europe », 8 février 2022.
 6. « Deux interprétations de l’affaire ukrainienne », 15 février 2022.
 7. « Washington sonne l’hallali, tandis que ses alliés se retirent », 22 février 2022.
 8. « Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens », 5 mars 2022.
 9. « Une bande de drogués et de néo-nazis », 5 mars 2022.

Israël est confronté à un problème inattendu face à la crise ukrainienne : est-il exact, comme le prétend Moscou, que le pays est aux mains d’une « bande de néo-nazis » financée par des juifs ukrainiens et états-uniens ? Si oui, c’est un devoir moral pour Tel-Aviv de clarifier sa position sur les juifs qui soutiennent des nazis, indépendamment de toute prise de position sur la crise ukrainienne.

La question est d’autant plus cruelle que les quelques juifs états-uniens qui soutiennent ou instrumentent les groupes nazis ukrainiens sont un groupuscule d’une petite centaine de personnes, les straussiens, aujourd’hui au pouvoir dans l’entourage immédiat du président Joe Biden.

QUE REPRÉSENTENT LES NÉO-NAZIS UKRAINIENS ?

En février 2014, la « révolution de la dignité », dite aussi « EuroMaïdan », fut un changement de régime sponsorisé par la straussienne Victoria Nuland, assistante des secrétaires d’État Hilary Clinton et John Kerry. Dans ce contexte, un groupe de hooligans supporters du club de football de Kharkiv, la « Secte 82 », occupa les locaux du gouvernorat de l’oblast et passa à tabac les employés de l’ancien régime.

Devenu ministre de l’Intérieur, Arsen Avakov, qui avait été gouverneur de Kharkiv durant l’ancien régime et l’un des organisateurs de l’Euro 2012, autorisa la formation d’une force paramilitaire de 12 000 hommes, autour des hooligans de la « Secte 82 » pour défendre la « révolution ». Le 5 mai 2014, le « Bataillon Azov » ou « Corps de l’Est » était officiellement formé sous le commandement d’Andriy Biletsky.

Ce dernier, dit le « führer blanc », est un théoricien du nazisme. Il avait été le leader des « Patriotes d’Ukraine », un groupuscule néo-nazi partisan d’une Grande Ukraine et violemment anti-communiste.

Andriy Biletsky et Dmitro Yarosh fondèrent ensemble le « Secteur Droit » qui joua le rôle principal sur la place Maïdan, en 2014. Cette structure, ouvertement anti-sémite, homophobe était financée par le parrain de la mafia ukrainienne, le milliardaire juif Ihor Kolomoïsky. Au plan international, le « Secteur Droit » est violemment opposé à l’Union européenne et entend au contraire constituer une alliance des Etats d’Europe centrale et de la baltique, l’Intermarium. Cela tombe bien, c’est aussi le projet des Straussiens qui, depuis le rapport Wolfowitz de 1992, considèrent l’Union européenne comme un rival pour les USA plus dangereux que la Russie. Vous vous souvenez de la conversation téléphonique interceptée entre Madame Nuland et l’ambassadeur US, elle s’y exclamait : « Qu’on encule l’union européenne ! » (sic).

Dmitro Yarosh est un agent des réseaux stay-behind de l’Otan qui organisa avec l’émir Dokou Oumarov un congrès anti-Russe à Ternopol, en 2007, sous le regard attentif de Victoria Nuland, qui à l’époque était ambassadrice des États-Unis à l’Otan. Yarosh réunit des néo-nazis de toute l’Europe et des islamistes du Moyen-Orient pour faire le jihad en Tchétchénie contre la Russie. Par la suite, il fut le leader du « Trident de Stepan Bandera » (dit « Tryzub »), un groupuscule glorifiant la Collaboration ukrainienne avec les nazis. Selon Stepan Bandera, les Ukrainiens authentiques sont d’origine scandinave ou proto-germanique, malheureusement, ils se sont mêlés avec des slaves, les Russes, qu’ils doivent combattre et dominer. Fin 2013, les hommes de Yarosh et les jeunes d’un autre groupe nazis furent formés au combat de rue par des instructeurs de l’Otan en Pologne. Je fus très critiqué lorsque je révélai cette affaire car j’avais cité en note un journal satirique, cependant le Procureur général de Pologne ouvrit une enquête qui, bien sûr, n’aboutit jamais car elle aurait mis en cause le ministre de la Défense.(([1] « Ukraine : la Pologne avait formé les putschistes deux mois à l’avance », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 17 avril 2014.))

À l’été 2014, le Bataillon Azov comprenait déjà tous ces groupes néo-nazis, mais pas seulement eux. Ils furent envoyés combattre les rebelles de Donetsk et de Lougansk, ce qu’ils firent avec jouissance. Leur solde fut augmentée pour atteindre plus de deux fois celle des soldats réguliers. Le Bataillon prit la ville de Marinka à la République populaire autoproclamée de Donestk où il massacra des « séparatistes ».

En septembre 2014, le gouvernement provisoire chargea la Garde nationale d’absorber le Bataillon Azov et d’écarter quelques leaders nazis de la formation.

Aux élections d’octobre 2014, deux anciens leaders nazis du Régiment Azov, Andriy Biletsky et Oleh Petrenko furent élus à la Rada (Assemblée nationale). Si le « führer blanc » siégea seul, Petrenko rejoignit le groupe parlementaire soutenant le président Petro Porochenko. Le Bataillon Azov devint alors le Régiment Azov de la Garde nationale.

En mars 2015, le ministre de l’Intérieur (toujours Arsen Avakov) négocia avec le Pentagone qu’une formation militaire soit donnée par les Forces spéciales états-uniennes au Régiment Azov dans le cadre de l’opération « Gardien sans peur » (Operation Fearless Guardian). Mais immédiatement les représentants John Conyers, Jr. (Démocrate, Michigan) et Ted Yoho (Républicain, Floride) dénoncèrent une folie. Ils firent valoir qu’armer les islamistes en Afghanistan avait rendu possible la formation d’Al-Qaïda et la généralisation du terrorisme. Ils convainquirent leurs collègues que les États-Unis ne pouvaient pas former des néo-nazis sans risquer d’en payer un jour les conséquences. Les parlementaires interdirent donc au Pentagone de poursuivre et d’armer le Régiment Azov avec des lance-roquettes (MANPAD) lors du vote du budget de la Défense.(([2] « U.S. House Passes 3 Amendments By Rep. Conyers To Defense Spending Bill To Protect Civilians From Dangers Of Arming and Training Foreign Forces », John Conyers, Jr., June 11, 2015.)) Cependant le Pentagone revint à la charge et parvint à faire retirer l’amendement(([3] « Congress Has Removed a Ban on Funding Neo-Nazis From Its Year-End Spending Bill », James Carden, The Nation, January 14, 2016.)), soulevant des protestations du Centre Simon Wiesenthal.

Au cours de cette période, le sénateur John McCain (Républicain, Arizona), partisan du soutien aux ennemis de la Russie, après avoir entretenu des liens avec les chefs d’Al-Qaïda puis de Daesh en Libye, au Liban et en Syrie,(([4] « John McCain, le chef d’orchestre du « printemps arabe », et le Calife », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 août 2014.)) visita une unité du Régiment Azov, Dnipro-1. Il félicita chaleureusement ces braves nazis qui défient la Russie comme il avait jadis félicité ces braves jihadistes.

C’est à ce moment la que le Régiment Azov recruta à l’étranger. Il en vint de tout l’Occident, notamment du Brésil, de Croatie, d’Espagne, des États-Unis, de France, de Grèce, d’Italie, de Slovaquie, de Tchéquie, de Scandinavie, du Royaume-Uni et de Russie. Pourtant les Accords de Minsk, dont l’Allemagne et la France sont les garants, interdisent formellement aux autorités de Kiev d’engager des mercenaires étrangers. Le Régiment Azov a aussi organisé des camps de jeunesses pour 15 000 adolescents et des associations pour les civils de sorte que l’ensemble du Régiment comprenait environ 10 000 hommes et au moins deux fois plus de « sympathisants ». Andriy Biletsky pouvait déclarer que le Régiment avait pour mission historique d’unir « les races blanches du monde dans une dernière croisade pour leur survie […] une croisade contre les sous-hommes conduits par les juifs ».

Deux rapports du prince Zeid Raad al-Hussein, en qualité de Haut Commissaire des Nations unies pour les Droits de l’homme font état des crimes de guerres commis par le Régiment Azov.(([5] Report on the human rights situation in Ukraine 16 November 2015 to 15 February 2016 and Report on the human rights situation in Ukraine 16 February to 15 May 2016, Office of the United Nations High Commissioner for Human Rights. February and November 2016.))

En 2017, une délégation officielle de l’Otan, comprenant des officiers des États-Unis et du Canada, rencontra officiellement le Régiment Azov.

De très nombreux médias ont consacré des reportages aux groupes néo-nazis ukrainiens. Tous, sans exception, ont été horrifiés par l’idéologie et la violence du Régiment Azov. À titre d’exemple, le Huffington Post mettait en garde contre la complaisance des responsables politiques ukrainiens dans un article intitulé : « Note à l’Ukraine : Arrêtez de blanchir le dossier politique ».(([6] « Note to Ukraine : Stop Whitewashing the Political Record », Nikolas Kozloff, Huffington Post, March 25, 2015.))

En 2018, le FBI entra à nouveau en conflit avec la CIA. Cette fois à propos des néo-nazis états-uniens qui avaient été se former auprès du Régiment Azov et étaient revenus perpétrer des violences sur le sol américain. L’ennemi de l’intérieur qu’est le Mouvement pour s’élever au-dessus (Rise Above Movement — RAM) avait été formé par la CIA en Ukraine.(([7] USA vs Robert Rundo, Robert Boman, Tyler Laube and Aaron Eason, Central district of California, October 20, 2018.))

Après les attentats du Christchuch (Nouvelle-Zélande), qui firent 51 morts et 49 blessés en octobre 2019, 39 membres de la Chambre des Représentants US écrivirent au département d’État pour réclamer que le Régiment Azov soit qualifié d’« organisation terroriste étrangère » (FTO) car le terroriste avait fréquenté l’organisation ukrainienne. Cependant le néo-zélandais était anti-musulman, tandis que les néo-nazis ukrainiens se sont battus en Tchétchénie avec les jihadistes.

En 2020, le milliardaire Erik Prince, le fondateur de l’armée privée Blackwater, souscrit divers contrats avec l’Ukraine. L’un d’entre eux lui donnait toute latitude pour encadrer le Régiment Azov. Prince espérait à terme prendre le contrôle de l’industrie d’armement ukrainienne héritée de l’Union soviétique.(([8] « Exclusive : Documents Reveal Erik Prince’s $10 Billion Plan to Make Weapons and Create a Private Army in Ukraine », Simon Shuster, Time, July 7, 2021.))

Le 21 juillet 2021, le président Zelensky promulguait une loi sur les « peuples autochtones ». Elle ne reconnait la jouissance des Droits de l’homme et du citoyen et des Libertés fondamentales qu’aux ukrainiens d’origine scandinave ou germanique, mais pas à ceux d’origine slave. C’est la première loi raciale adoptée en Europe depuis 77 ans.

Sur suggestion de Victoria Nuland, le 2 novembre 2021, le président Volodymyr Zelensky nomma Dmitro Yarosh, conseiller du commandant en chef des armées ukrainiennes, le général Valerii Zaluzhnyi, avec mission de préparer l’attaque du Donbass et de la Crimée. Il importe de garder à l’esprit que Yarosh est nazi, tandis que Victoria Nuland et Volodymyr Zelensky sont juifs ukrainiens (d’origine pour Madame Nuland qui est aujourd’hui états-unienne).

En huit ans, du changement de régime à l’opération militaire russe non comprise, les néo-nazis en Ukraine ont tué au moins 14 000 Ukrainiens.

LE DÉFI MORAL D’ISRAËL

Le président Zelensky répondit à son homologue russe qui dénonçait une « bande de néo-nazis » au pouvoir à Kiev que c’était impossible puisqu’il était juif. Comme cela ne suffisait pas, au sixième jour du conflit, il accusa la Russie d’avoir bombardé le mémorial de Babi Yar où 33 000 juifs furent massacrés par les nazis. Non seulement, il ne soutenait pas les nazis, mais les Russes effaçaient leurs crimes.

Sans attendre, le Mémorial Yad Vashem, l’institution israélienne qui entretient la mémoire de la « solution finale de la question juive » par les nazis se fendit d’un communiqué rageur. Il paraissait outrageant aux Israéliens que la Russie compare l’extrême-droite ukrainienne avec les nazis de la Shoah et plus encore qu’elle bombarde un lieu de mémoire.

C’est alors que des journalistes israéliens se rendirent sur le lieu du crime pour constater qu’il n’avait jamais été bombardé. Le président ukrainien avait menti. Puis, le porte-parole du Kremlin, Dmitry Preskov, invita le Mémorial Yad Vashem à envoyer une délégation en Ukraine pour constater de visu, sous la protection de l’armée russe, ce dont le président Poutine parle.

Un grand silence suivit. Et si le Kremlin, comme jadis le Centre Simon Wiesenthal, disait vrai ? Et si les juifs straussiens aux États-Unis, le leader juif ukrainien Ihor Kolomoïsky et son employé le président juif Volodymyr Zelensky travaillaient avec de vrais nazis ?

Immédiatement, le Premier ministre israélien, Naftali Bennett, se rendait à Moscou et recevait le chancelier Scholtz à Tel-Aviv, puis téléphonait au président ukrainien dont tous avaient pu constater la mauvaise foi. Présenté comme une énième tentative de paix, ce voyage avait en réalité pour seul but de savoir si oui ou non les États-Unis s’appuyaient sur de vrais nazis. Désorienté, face à ses découvertes, Bennett rappelait le président Poutine qu’il avait quitté la veille. Il téléphonait aussi à divers chefs d’Etats membres de l’Otan.

Il serait souhaitable que Naftali Bennett rende public ce qu’il a vérifié, mais c’est peu probable. Il lui faudrait ouvrir un dossier oublié, celui des relations entre certains sionistes et les nazis. Pourquoi donc David Ben Gourion assurait-il que Ze’ev Jabotinski, le fondateur du sionisme révisionniste, était un fasciste et peut-être un nazi ? Qui sont les juifs qui ont chaleureusement accueilli avant l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler une délégation officielle du parti nazi, le NSDAP, en Palestine alors qu’il pratiquait des pogroms en Allemagne ? Qui a négocié en 1933 l’accord de transfert (dit « Accord Haavara ») et maintenu un Bureau à Berlin jusqu’en 1939 ? Comment le demi-juif Vollrath von Maltzan est-il devenu le pourvoyeur de gaz Zyklon B des camps de la mort ? Autant de questions que les historiens laissent habituellement sans réponse. Et aujourd’hui, est-il exact comme le prétendent de nombreux témoins que le professeur Leo Strauss enseignait à ses élèves juifs qu’ils devaient construire leur propre dictature, avec les mêmes méthodes que les nazis, pour se protéger d’une nouvelle Shoah ?

À l’évidence, Naftali Bennett n’a pas adhéré à la narration de l’Ukraine et de l’Otan. Il a déclaré que le président russe ne théorisait pas de complot, n’était pas irrationnel et ne souffrait pas de maladie mentale. Au contraire, interrogé sur le soutien de l’État juif, le président Zelenski a répondu : « J’ai parlé au Premier ministre d’Israël. Et je vous le dis franchement, et cela peut sembler un peu insultant, mais je pense que je dois le dire : nos relations ne sont pas mauvaises, pas mauvaises du tout. Mais les relations sont mises à l’épreuve dans des moments comme ceux-ci, dans les moments les plus difficiles, lorsque de l’aide et du soutien sont nécessaires. Et je ne pense pas qu’il [Bennett] soit enveloppé dans notre drapeau ».

Israël devrait se retirer du conflit ukrainien. S’il change subitement d’avis sur un autre sujet et entre en conflit avec Washington, vous saurez pourquoi.





Borello, « l’ami » de Macron mêlé à un énorme scandale de réseau pédophile dans un centre pour enfants

[Source : apar.tv]

Par Anna Summer

L’association Wanted Pedo dénonçait en 2017 l’implication d’un très influent personnage de la macronie dans un réseau de pédocriminalité. Il s’agit de Jean-Marc Borello. Toujours impuni. Décidément, la Macronie est un cloaque et un repère de pervers toxicomanes.

Jean-Marc Borello est le dirigeant d’une association de 10.000 salariés appelée “Groupe SOS” et fait figure de caution sociale de “en Marche”. La Fondation Schwab a même primé le Groupe SOS au Forum économique mondial de Davos de 2017.

L’ancien gérant de la fameuse boite de nuit “Le Palace” a été condamné à 6 mois de prison avec sursis pour avoir laisser faire un trafic d’ectasy dans les établissements dont il était responsable.

Pourtant il serait le plus influent des 9 délégués de Macron et est même décrit comme le vrai patron.

Il est mêlé de près à l’affaire Megel, énorme scandale de réseau pédophile d’élite qui avait lieu au sein même du centre pour enfants “Les Tournelles” pendant plus de 20 ans et dont il était administrateur.

On ne manquera pas de remarquer le soutien à Macron de personnalités bien connues comme Daniel Cohn-Bendit, Pierre Bergé, etc.

Retour sur l’article ci-dessous de Donde Vamos qui mets en lumière les dessous de ce réseau.

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Réseau Mégel : Un réseau pédophile au foyer pour enfants des Tournelles

On va revenir sur une affaire de réseau pédophile d’élite, passée fort discrètement il y a quelques années bien qu’elle révèle d’intéressantes connexions.

En 2002, Robert Mégel est condamné pour pédophilie dans le centre pour jeunes délinquants qu’il dirigeait.

Un centre des Tournelles soit-disant expérimental, exemplaire, géré par du beau monde qui n’a « rien vu, rien entendu » pendant des années.

Le drame se déroule à Meaux, la ville de Jean-François Copé, est en Seine-et-Marne.

C’est là qu’on a aussi plusieurs assos absolument véreuses, comme Olga Spitzer, qui agit dans l’illégalité la plus complète mais a ses entrées dans les tribunaux.

On a aussi les Tournelles, un centre pour mineurs difficiles qui réhabilitait les enfants et jeunes délinquants (de 7 à 18 ans) grâce au luxe et à une pseudo « thérapie du merveilleux ».

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Il se trouvait juste à côté de Levallois-Péret (la ville de Balkany).

Ledit centre était dirigé depuis 1978 par Robert Mégel, qui a été condamné en 2004 à 11 ans de prison pour viols et attouchements sur mineur [1].

Mégel était un haut fonctionnaire du ministère de la justice, détaché de la Protection judiciaire de la Jeunesse.

Payé grassement par les contribuables, donc, pour gérer ce centre.

L’affaire a démarré après qu’un employé de la protection de l’enfance du Conseil Général de Seine-et-Marne, alerté par des rumeurs d’abus sexuels aux TournellesPascal Viret, est invité à organiser une réunion dans l’établissement pour les 50 pensionnaires, au sujet de la prévention de la maltraitance.

Quand soudain, Mégel lance

« Il faut que vous sachiez que quoi qu’il ait pu se passer entre vous et les gens qui s’occupent de vous, la relation qui existe est indestructible »[2].

A cette époque, le centre faisait figure de référence et se vantait d’avoir le soutien de Françoise Dolto, dont il disait appliquer les méthodes.

Cela n’est guère étonnant, quand on sait qu’elle a signé une des pétitions parues dans les années 70 pour soutenir le lobby pédophile.

Apparemment, quand les magistrats ont décidé de relancer l’internat des Tournelles en 1978, ils ont fait appel à Dolto qui aurait formé l’équipe d’encadrement, et qui y tenait des conférences à l’occasion.

En 1993, un article dithyrambique de L’Express nous expliquait que

« Ici, les enfants sont guidés, écoutés, mais surtout respectés.
Et ça marche ».

Mais, il a été défendu par tout son staff et par les administrateurs des Tournelles qui pourtant, sont censés protéger les enfants et pas les pédocriminels.

Tous ces braves gens ont dit que les victimes étaient des menteurs (NDLR: comme dans énormément de procès, comme pour Outreau et tant d’autres ), c’est si facile.

Parmi les soutiens de Mégel, il y avait une clique variée : un Haut fonctionnaire de Bercy, des journalistes, une scientifique de l’Institut Pasteur, des gérants de boîtes de nuit, des magistrats…

Par exemple, Geneviève Moll, rédactrice en chef à France 2 et membre du CA [3] des Tournelles, a carrément balancé à la victime :

« T’es qui, toi ? 

Tu devrais avoir honte, petit merdeux… ».

D’après certaines écoutes, c’est grâce à Moll que la presse n’a rien dit ou presque sur cette affaire.

L’avocat parisien Michel Peisse et le conseiller d’État Philippe Sauzay étaient aussi des membres du CA des Tournelles.

En outre, Megel était défendu par le président de la ligue des droits de l’homme, et star du barreau, Me Henri Leclerc.

Au nombre des défenseurs qui se sont mobilisés pour Mégel, il y avait aussi Jean-Marc Borello, ancien administrateur des Tournelles devenu délégué général du groupe SOS Drogue International, qui a dit à l’audience que les faits reprochés étaient « matériellement impossibles ».

Borello est aussi un ancien éducateur de jeunes délinquants, qui a eu de belles promotions puisqu’il a été conseiller ministériel [12]puis gérant des grosses boîtes de nuit parisiennes Le Palace et Regine’s, mais aussi du resto Ledoyen où Mégel emmenait ses proies.

On peut aussi noter que Borello a obtenu la Légion d’honneur en 2000 et qu’il a créé le groupe SOS (11.000 salariés) en « appliquant au secteur social les recettes du privé ».

Ledit « groupe SOS », nous explique le magazine Capital,

« chapeaute une trentaine d’associations intervenant dans l’accueil de toxicomanes, de SDF, de jeunes en difficulté et dans la gestion de crèches et de maisons de retraite»,

mais il regroupe également « une dizaine d’entreprises privées comme Altermundi, l’enseigne de distribution de produits équitables, L’Usine, un espace événementiel situé face au Stade de France et employant des personnes en réinsertion, ou encore La Manufacture durable, le numéro 2 des cabinets de conseil en développement durable, avec plus de 100 collaborateurs ».

En 2012Borello était même devenu conseiller de diverses multinationales comme Danone.

Ledit Borello a expliqué au procès que c’est lui qui a « convaincu des ministres d’aider les Tournelles » et a affirmé y avoir emmené Danielle Mitterrand, la tante du ministre pédophile Frédéric Mitterrand.

Raissa Gorbatechev y serait également allée…

Que faisaient ces gens dans un centre pour jeunes difficiles ?

Le même genre de virées que celles de la clique pédophile anglaise dans l’orphelinat de Jersey ?

Au procès, Borello a dit que toutes ces accusations n’étaient qu’un complot qui avait« développé un insupportable climat d’homophobie »…

Pourtant, Borello était bien présent aux partouzes de Mégel, qui recrutait essentiellement du personnel homosexuel ou bi aux Tournelles :

« Je me rappelle Borello (NDLR: membre du conseil d’administration, patron de boîte de nuit et grand ami de Robert Mégel) la première fois que je l’ai rencontré chez Mégel, il m’a déboutonné trois boutons de chemise “pour voir ce qu’il y avait dessous’’ »,

a ainsi expliqué un éducateur du centre.

Philippe Sauzay, conseiller d’État honoraire, ancien préfet, ex chef du cabinet de Giscard et ancien membre du conseil d’administration des Tournelles, mais surtout ami de Mégel depuis 1973, a bien sur pris la défense de Mégel.

A partir de 1973 d’ailleurs, la carrière de Mégel connait une ascension fulgurante.

Dont le sommet fut la création des Tournelles, où le tiers du conseil était composé de magistrats (pourtant jamais interrogés dans l’enquête) et avait « le soutien de personnalités ».

On se demande pourquoi un tel engouement.

D’après le journal La Vie (18 janvier 1998),

« en 1974, sur proposition de Philippe Sauzay (alors chef de cabinet présidentiel de Giscard d’Estaing, aujourd’hui conseiller d’État), l’ancien instituteur a été chargé de mission au cabinet d’Hélène Dorlhac, secrétaire d’État à la Condition pénitentiaire.

Au conseil d’administration des Tournelles, il s’est bien entouré : outre Philippe Sauzay, plusieurs magistrats, des avocats, un ancien président de la cour d’appel de Paris, un ex-procureur de la République, un vice-président du tribunal de grande instance de Paris ou encore une ancienne directrice de l’École polytechnique féminine ».

Parmi tous ces gens, aucun n’aurait jamais eu le moindre soupçon sur Mégel ? Difficile à croire.

Parmi les soutiens de Mégel, il y avait aussi Françoise Gaspard, ex-maire de Dreux de 1977 à 1983, puis députée de l’Eure-et-Loire.

De fait, Mégel avait beaucoup d’amis bien placés, et aussi beaucoup d‘amants, souvent mariés et restés au placard.

De hauts fonctionnaires, des magistrats aussi, qui ont permis son ascension sociale : à 25 ans, Mégel était

« contrôleur des centres en charge des mineurs pour la direction de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) ».

Ce sont probablement ces belles relations qui ont permis à Mégel de passer à travers les mailles du filet quand, dans les années 70, la mère d’un adolescent avait signalé à la Brigade de Protection des Mineurs qu’elle avait surpris Mégel au lit avec son fils de 13 ans.

Le garçon, suivi dans un centre médico psychologique où officiait Mégel,  était revenu d’un séjour en Espagne avec la syphilis [4].

Mégel avait d’abord dit qu’il ne s’agissait que d’une infection intestinale, avant de déclarer que l’enfant avait été violé par des Marocains.

En 1997, quand une victime a parlé, Mégel s’est lamenté sur son triste sort, l’a convoquée en tête-à-tête dans son bureau, puis lui a fait dire devant tout le monde qu’il ne s’était jamais rien passé.

Ce qui, manifestement, a satisfait l’audience.

Et tout le monde s’est mis d’arrache-pied à travailler à la défense de Mégel :

on rédige des dossiers présentant Jérôme comme un menteur pathologique (certains sont même antidatés) ;

on atteste qu’aucun jeune ne pouvait se retrouver seul le soir au domicile de Robert Mégel, même s’il se faisait porter des plateaux-repas par des jeunes qu’il sélectionnait lui-même ;

personne ne proteste quand il détruit les cahiers retraçant les allées et venues des enfants, le soir [5].

Quand le ministère de la Justice retire l’agrément à l’association de Mégel qui gérait les Tournelles pour le refiler à une autre asso à cause de l’affaire des viols, Mégel introduit un recours devant le tribunal administratif.

En outre, Mégel s’est barré avec la trésorerie de l’asso, soit 2,7 millions de francs [6].

Le psychiatre membre du conseil d’administration des Tournelles Jean Tremsal, en profite pour décrédibiliser la victime qui selon lui a un « profil de délinquant ».

Accessoirement, c’est justement pour cette raison qu’on envoie des jeunes dans les centres pour jeunes difficile, et le rôle des adultes n’est pas de les violer mais de les aider autant que possible.

Peut-être que Tremsal a été aussi gentil avec Mégel parce que ce dernier lui proposait de faire du business ensemble dans l’immobilier ?

Précisons que Tremsal exerce toujours à Meaux, ce qui ne semble déranger personne [7].

Etienne Madranges est l’un des magistrats membres du conseil d’administration des Tournelles.

Lors d’écoutes réalisées pendant l’enquête, il a parlé de la rémunération de Mégel, des

« soirées à l’Élysée Matignon où le whisky coulait à flots »,

de personnes qui complotaient pour mettre la main sur les Tournelles.

On ne parle pas ici d’une start-up innovante ou d’une multinationale, mais d’une association a priori sans but lucratif.

Pourquoi donc ces manœuvres afin de récupérer ce centre pour jeunes difficiles.

A qui s’adressait Madranges ?

Colette Kreder, ancienne directrice de l’École polytechnique féminine, et administratrice aux Tournelles, qui se moquait bien elle aussi de la victime et ne pensait qu’à sauver les Tournelles.

Aujourd’hui, Madranges nous gratifie de ses chroniques dans Le Figaro.

En 2003, au moment du procès, Madranges,

« jusqu’alors magistrat au parquet général de la cour d’appel de Paris, rejoint le cabinet de Jean-Louis Borloo au ministère délégué à la Ville.

Nommé conseiller auprès du Ministre, et venant ainsi compléter le cabinet, il aura en charge notamment les problématiques jeunesse »,

nous disait alors le site du ministère de la Ville [8] .

Pas de chance, s’il n’y avait qu’une seule partie civile grâce à la prescription, en réalité beaucoup de victimes sont venues décrire à la barre les mêmes faits de viols et agressions sexuelles.

D’anciens pensionnaires d’un établissement où Mégel était passé avant, l’institut médico psychologique de Dammartin-sur-Tigeaux, sont également venus témoigner.

Certains ont décrit ses virées dans les boites parisiennes avec des adolescents du centre, d’autres ont parlé des recrues non qualifiées de Mégel, ou de ses relations avec d’anciens pensionnaires devenus adultes.

C’est aussi là qu’on a appris l’organisation par Mégel de virées dans des hôtels de luxe au Maroc, ou même aux États-Unis.

Un soir, il a fait décoller des enfants d’Orly pour les emmener manger à Cannes.

Dans un reportage diffusé par 7 sur 7 (émission de Anne Sinclair), on voyait les pensionnaires discuter avec Badinter.

Ils ont aussi été sur le plateau du célèbre pédophile Michel Polac, en compagnie de Depardieu, dont les débuts de carrière sont des plus obscurs, et Renaud.

Comment était financé ce centre pour parvenir à envoyer les jeunes au Maroc (où des viols ont eu lieu), en Tunisie,au Canada, aux USA [9] ou dans les restos chics de Cannes (comme le Carlton) et de Paris ?

« Outre les allocations de la Caisse d’assurance maladie, l’institut récolte aussi les dons de généreux mécènes, dont le legs d’une vieille dame fortunée, et les cadeaux en nature (champagne, caviar) de sociétés privées.

Certaines participent d’ailleurs au financement du nouveau pensionnat, inauguré en 1995 »,

nous explique le site de l’association Morkhoven (Association du grand Marcel Vervloesem NDLR).

Dans ce nouveau pensionnat, « chacune des 26 chambres a été décorée par les soins d’une ambassade ».

Mais on rêve : que viennent faire les ambassades dans la décoration d’un pensionnat pour jeunes difficiles ?

A ce stade, précisons qu’en Angleterre, un des sports nationaux était pour le MI5 ou le MI6 de coincer des personnalités, souvent étrangères, lors de partouzes organisées dans divers orphelinats ou dans des villas, mais avec des enfants pris dans des orphelinats.

Il n’y a qu’un pas à faire pour envisager le même type de processus avec les Tournelles.

Finalement, Mégel a pris 11 ans, puis 12 ans en appel.

On notera que des plaintes avaient été déposées contre Mégel dès 1994 et que l’affaire a débuté suite à une lettre anonyme du père d’une victime de Mégel, qui a écrit en 1997 à Xavier Emmanuelli, alors secrétaire d’État à l’Action humanitaire.

Aujourd’hui, toutes les familles savent qu’une telle lettre est directement renvoyée au parquet, au nom de la fameuse « séparation des pouvoirs » qui n’est qu’un mythe.

La victime principale de l’accusation a porté plainte à 17 ans, la même année.

Et dès les années 80, les psychiatres de la région disaient que les Tournelles était un établissement dangereux, dans lequel il ne fallait pas envoyer les enfants.

En outre, Mégel n’a fait que 5 jours de préventive.

« Robert Mégel a été relâché après cinq jours de détention, par décision du président de la chambre d’accusation, en vertu d’une mesure très rare : le référé-liberté », a précisé le journal La Vie,

« Autre – étrange – rareté : le contrôle judiciaire n’est pas laissé à la disposition du juge, comme le veut la coutume, mais à la chambre d’accusation.

“Il a été réduit à sa plus simple expression, note un policier.

Mégel n’a même pas besoin d’aller pointer chez les gendarmes !”

Les policiers qui ont, semble-t-il, eu quelque mal à démarrer l’enquête, font d’étonnants constats : l’expert informaticien de la DRPJ a ainsi découvert qu’un psychiatre des Tournelles n’a pas hésité à signer de faux documents ».

Divers documents concernant les nombreux protagonistes de l’affaire ont également disparu, comme ce fut le cas, par exemple, pour le dossier personnel de Mégel au ministère de la Justice, qui est son employeur, ou l’original du dossier de la victime, qui a disparu avant d’être remplacé par un faux rapport antidaté par Tremsal.

Quant à la presse, qui a relaté le scandale même a minima, elle a été systématiquement poursuivie, et intimidée par Mégel et ses amis.

Mégel avait déjà bénéficié de l’ultra laxisme judiciaire en faveur des pédophiles : cité parmi 340 personnalités dans le dossier Coral qui a été étouffé, Mégel était déjà passé entre les mailles du filet.

Si filet il y a eu dans cette affaire…


Bref, je suppose que si Mégel a fini par tomber, c’est qu’il dérangeait quelqu’un.

Avait-il des dossiers sur certaines personnes ?

Etait-il devenu trop voyant ?

Ou est-ce que les détournements de fonds qu’on lui a reprochés en ont dérangé certains ?

On ne le saura sans doute jamais, quoique…

En tout cas, quand on voit les manœuvres et pressions diverses qui n’ont cessé dans ce dossier, on comprend que Mégel n’était certainement pas le seul à être mouillé jusqu’au cou dans cette affaire.

C’est l’ancien adjoint de Mégel qui a repris Les Tournelles.

Bien sûr, lui non plus n’avait rien vu, rien entendu.

Brisons l’omerta sur ces réseaux pédophiles qui ont le pouvoir.

On lâche rien.

L’équipe Wanted Pedo.

Bonus : Petite vidéo censuré dans les médias qui circule sur le soutien de Cohn-Bendit à Macron.


Notes

[1] Au départ, ce centre était un institut médico psychologique dans lequel des enfants au crane rasé étaient installés dans les sous-sols.

[2] Pascal Viret a subi de grosses pressions suite à son intervention dans ce dossier :

« Par ailleurs, le responsable de la Protection de l’enfance en Seine-et-Marne, Pascal Vivet, qui a exprimé ses soupçons sur Robert Mégel, a craint pour son emploi.

Et indique ne plus compter les menaces téléphoniques », cf. La Vie.

En fait, Vivet a été viré suite à cette affaire, et les menaces qu’il a reçues étaient carrément des menaces de mort.

[3] Conseil d’Administration.

[4] A l’arrivée de la gauche au pouvoir, en 1981, on lui propose d’intégrer la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie, où il est vite remarqué par Gaston Defferre, alors ministre de l’Intérieur, qui en fait son conseiller technique sur le sujet.

Gaston Defferre, maire de Marseille où la French connection battait son plein et ami du mafieux Mémé Guérini, sait certainement de quoi il parle en matière de drogues.

Nick Venturi, un des gros bras de Defferre, était aussi un des piliers de la french Connection.

Enfin, je ne vais pas m’étaler sur ce très riche sujet, j’y reviendrai surement un jour dans ma saga de la société Ricard et de Charles Pasqua.

[5] La mère avait ensuite surpris Mégel dans le lit de son fils et avait porté plainte, mais Mégel a été blanchi, notamment parce que sa victime n’a pas osé parler aux flics.

[6] Étrangement, des photocopies de ces cahiers ont été envoyée anonymement au juge par la suite.

Avec toutes les données ou pas ? Mystère.

[7] En octobre 1998, selon le Point,

« le parquet de Meaux a ouvert une enquête préliminaire pour abus de biens sociaux, abus de crédit et abus de pouvoir.

La section financière du SRPJ de Versailles s’intéresse au patrimoine de l’Association des Tournelles, estimé à près de 80 millions de francs ».

[8] Et il semble que pour Tremsal, l’ « œuvre médicale coloniale » fut grandiose en Algérie française.

[9] Pour le CV complet : « substitut au Tribunal de grande instance de Meaux de 1977 à 1982, substitut au TGI de Bobigny de 1982 à 1988, puis nommé en 1989 premier substitut, chef de la section des stupéfiants, dans ce même Tribunal.

En 1993, il a rejoint en qualité de conseiller technique le cabinet de Michèle Alliot-Marie, Ministre de la Jeunesse et des Sports, où il a été chargé de la jeunesse et de la vie associative.

En janvier 1996, il a été nommé substitut général au parquet général de Paris, où il a été successivement avocat général de la chambre d’accusation, de la 13ème chambre correctionnelle, et de la cour d’assises.

Parallèlement à sa carrière judiciaire, Etienne Madranges a enseigné dans diverses universités et grandes écoles, présidé de nombreux jurys, et animé des associations nationales intervenant dans les secteurs de la jeunesse, de la prévention, du sport, de l’insertion, du handicap, de la culture ».

[10] Deux semaines aux USA, avec hébergements dans les hôtels Hilton à chaque étape.




La guerre en Ukraine : La cinquième colonne en Russie et le clan Rothschild

[Source : strategika.fr]

[NDLR : les apparents « juifs » mentionnés dans le texte se situent bien loin de l’esprit juif héritié de la Torah et qui anime des personnes telles que Rav Dynovisz et le Dr Vladimir Zelenko. Il s’agit bien plus probablement de Khazars. Voir L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare]

Par Iurie Roşca

Iurie Rosca est écrivain. Ancien ministre et homme politique moldave, il est le président de l’Université populaire de Chișinău et organisateur du Forum non-aligné de Chișinău.

Dès que l’opération militaire russe pour démilitariser et dénazifier l’Ukraine a commencé, les réseaux d’influence sionistes présents en Russie ont commencé à activer toutes leurs ressources humaines afin de torpiller la stratégie de Moscou visant à obtenir la défaite militaire du régime de Kiev. L’élément clé qui prédomine lors des interventions publiques proférées par les agents d’influence étrangère en Russie est le suivant : « Poutine, arrêtez la guerre ! »

Curieusement, cette cohorte de pacifistes ne s’est jamais distinguée au fil du temps en appelant à la fin du terrorisme d’État pratiqué par Israël contre les Palestiniens. Nous n’avons par ailleurs jamais entendu ces gens appeler à ce que les États-Unis mettent fin à leurs agressions militaires en Irak, en Afghanistan, en Libye, en Syrie ou au Yémen.

Le réseau sioniste en Russie

Parmi les représentants du lobby sioniste en Russie (qui sous couvert de messages pacifistes, condamnent résolument les actions de Vladimir Poutine en Ukraine), on trouve :

  • Maxim Galkin, comédien, parodiste, star de la télévision ;
  • Ivan Urgant, showman, vedette de la télévision ;
  • Matvei Ganapolski, journaliste de la radio « Eho Moskvî » qui s’est enfui en Ukraine ;
  • Alexander Nevzorov, journaliste, star de la télévision, ancien député de la Douma d’État ;
  • Ksenia Sobciak, animatrice de télévision et de radio, militante civique ;
  • Boris Grebenshchikov, poète et musicien, compositeur, chanteur et guitariste du groupe de rock « Aquarium », l’un des fondateurs de la musique rock en russe, animateur des émissions « Aerostat » sur Radio Russie ;
  • Andrei Makarevich, chanteur, poète, compositeur, présentateur de télévision, leader du groupe de rock « Maşina Vremeni » (Time Machine) ;
  • Valerii Meladze, chanteur
  • Alisher Morgenshtern, rappeur et sataniste autoproclamé ;
  • Oleg Deripaska, oligarque, milliardaire, journaliste ;
  • Mikhail Fridman, oligarque, milliardaire, co-fondateur d’Alfa Bank, citoyen d’Israël, membre de la direction du Congrès juif en Russie ;
  • Roman Abramovich, oligarque basé à Londres, milliardaire, propriétaire de l’équipe de football Chelsy ;
  • Andrei Kozirev, ancien ministre russe des Affaires étrangères sous le président Bors Yeltsine ;

Outre les VIP citées ci-dessus (tous pacifistes autoproclamés), on peut y ajouter un certain nombre de personnages mineur du showbiz tels que Zemfira, Monetochka, etc., lesquels entretiennent l’illusion de l’existence d’une multitude de « leaders d’opinion » dont l’objectif consiste à torpiller toute action entreprise par les dirigeants russes en Ukraine.

Dans le même ordre d’idées, la récente interdiction de deux structures médiatiques russes depuis le commencement des opérations militaires spéciales en Ukraine met également en lumière la présence massive d’agents sionistes au sein de dispositifs de propagande visant à porter atteinte aux intérêts nationaux russes. Il s’agit de la station de radio « Eho Moskvi » (Écho de Moscou) et de la station de télévision « Dojdi » (Pluie). On relèvera au passage que le rédacteur en chef et copropriétaire de la station de radio « Eho Moskvi » n’est autre que Alexei Venediktov.

Quelques jours après le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine, une autre « initiative civique » est apparue. Cette dernière est animée par toute une cohorte d’expatriés de nationalité juive. Il s’agit du soi-disant Comité antiguerre dirigé par l’oligarque juif Mikhail Khodorkovsky, l’ancien propriétaire de l’entreprise Yukos, qui a été reconnu coupable d’innombrables crimes et gracié par Poutine après plusieurs années de détention, après quoi il s’est réfugié en Occident. Il est bien connu que le clan Rothschild est derrière cet agent antirusse, un fait qui peut être vérifié par quiconque fait un effort minimal pour se documenter sur Internet. Dans la liste de ceux qui se sont échappés de Russie et se sont réunis dans ce comité, les personnages les plus connus sont le joueur d’échecs et opposant politique Gari Kasparov, né Weinstein, ancien champion du monde d’échecs, d’origine arméno-juive (Wikipedia), ainsi que et l’écrivain satirique juif Victor Shenderovich qui est inscrit au registre du ministère russe de la Justice avec la mention « agent étranger ».

Le même réseau de « dissidents » inclut également Aleksei Navalny, un militant civique et aspirant présidentiel qui est récemment allé en prison, un exposant clair des intérêts de l’Occident collectif en Russie.

C’est donc une très vaste toile d’araignée tissée depuis des décennies, constituée de showmens, de journalistes et d’oligarques liés au même agenda, qu’elle promeut avec méthode et persévérance. Ce programme est complètement étranger et même hostile à la Russie. C’est ce qu’on peut appeler le lobby libéral ou atlantique, le camp des occidentolâtres [combinaison de « occidental » et « idolâtre »]. Leur trait distinctif est l’hostilité à la tradition, plus précisément, sa désagrégation par l’anti-musique « moderne » et les abominables tours de scène qu’ils pratiquent, l’hostilité à l’Église orthodoxe, la tolérance (et parfois « l’appartenance a ») pour les minorités sexuelles, la dévaluation par persiflage de codes culturels russes, la ridiculisation des vertus et mœurs traditionnelles.

Cette cohorte de prestidigitateurs et de farceurs constitue l’arme de destruction massive aux effets dévastateurs appelée « culture de masse », qui a inondé l’espace public russe, anéantissant toute trace d’identité collective, de décence, de sériosité et de patriotisme, notamment chez les jeunes générations. Et ces oligarques ne sont que le véhicule financier du même acte subversif de sape des fondements du peuple et de l’État russes. En fait, dans tous nos pays, il existe des réseaux similaires d’influence antinationale.

Le commando juif à la tête du pouvoir d’État en Ukraine

Si l’on tient également compte du fait qu’aux postes clés de l’Ukraine se sont installées, non par hasard, quelques personnalités juives, tout est lié.

Avec Volodymyr Zelenski, (président), Denys Shmyhal, (Premier ministre) et Alexey Reznikov, (le ministre de la Défense), le lobby sioniste contrôle l’Ukraine d’une poigne de fer. Et comme par hasard la personne qui l’a soutenu financièrement et dans les médias et a amené le comédien Zelenski à la tête de l’État est l’oligarque juif Igor Kolomoiski.

De la même manière, l’ancien pouvoir étatique avait aussi une surreprésentation des Juifs dans les fonctions clés : Petro Porochenko (président de 2014 à 2019) et Volodymyr Groysman, (Premier ministre de 2016 à 2019).

Vadim Rabinovich, homme d’affaires ukrainien bien connu, magnat des médias et homme politique, président du Congrès juif ukrainien, candidat à l’élection présidentielle de 2014, citoyen d’Israël, pourrait également être mentionné ici. En général, la présence de l’élément juif dans la politique, les affaires et les médias ukrainiens est massive. Face à une surreprésentation aussi écrasante de citoyens israéliens au sein de l’élite dite ukrainienne, l’écrivain et publiciste Eduard Hodos (juif loubavitch devenu chrétien orthodoxe) a caractérisé la réalité politique en Ukraine de « roulette juive ». Contrairement à la roulette russe (dans laquelle il n’y a qu’une seule balle), la roulette juive remplit toutes les chambres du barillet.

Et ce qui est particulièrement éloquent dans ce contexte, c’est que la majeure partie de la dette souveraine de l’Ukraine est détenue depuis 2015 par le fonds d’investissement américain Franklin Templeton, lequel agit dans l’intérêt du clan Rothschild.

Les informations ci-dessus montrent qui est en fait le véritable maître de l’Ukraine et qui poursuit l’hostilité permanente des relations entre l’Ukraine et la Russie. La grande finance internationale ayant complètement pris le contrôle de l’Ukraine, elle y a installé ses représentants dans toutes les fonctions importantes de l’État et ce faisant pris le contrôle de l’économie et des médias dominants. Dans une logique d’expansion de sa sphère d’influence, la prochaine grande cible de cette mafia ploutocratique mondiale est la Russie.

Bien qu’au cours des trois dernières décennies, les réseaux d’influence étrangère se soient fortement développés en Russie, réussissant à imposer une influence considérable dans un certain nombre d’institutions étatiques, en économie, médias et showbiz la colonisation définitive de ce pays reste malgré tout inachevée. Alors qu’elle a achevé un contrôle total des pays constituant le bloc de l’OTAN et de l’UE, la Cabale complote sans relâche afin de renverser à tout prix l’État russe et y installer ses propres marionnettes à la tête de ce pays.

Dans ce contexte, l’Ukraine s’est vue attribuer le rôle de fer-de-lance dans la guerre tous azimuts menée contre la Russie. Cette élite financière ne se contente pas de demi-mesures et s’acharne à extorquer des concessions sans fin auprès de Moscou. Elle vise la capitulation définitive du Kremlin et la transformation de la Russie en colonie, en objet de domination étrangère, dépourvue de toute vocation ou capacité à ne jamais revenir au statut de sujet de politique internationale.

Il est bien sûr interdit dans tout l’espace euroatlantique d’exprimer de telles analyses. Les tenants du « discours dominant » à l’échelle mondiale ne le tolèrent pas et tout contrevenant à cette doxa est immédiatement châtié et dénoncé en tant que « complotiste ». La sémantique est extrêmement régulée et le sens étymologique des mots jalousement surveillé. Il ne peut être toléré aucun dérapage aux dogmes idéologiques obligatoires. En excluant toute opinion un tant soit peu non orthodoxe sur ces questions, il devient dès lors impossible de comprendre les véritables enjeux des conflits géopolitiques majeurs.

À l’heure actuelle, ceux qui s’enrôlent dans le camp du régime de Kiev et se font passer pour des pacifistes sont en fait les mercenaires de l’élite mondialiste cosmopolite, l’élite qui ne cache pas son désir de voir s’établir un Nouvel Ordre Mondial sous l’égide d’un Gouvernement Mondial chargé d’imposer une dictature technocratique à l’échelle planétaire. Cette mafia globaliste ambitionne d’inaugurer une ère transhumaniste et ainsi de recréer une humanité selon des préceptes prométhéens grâce à la cybernétique et la manipulation du génome humain.

Qu’importe le nom prêté aux principes philosophiques partagés par cette élite (« néo-Kominternistes », trotskystes, mondialistes, sionistes, kabbalistes, occultistes, lucifériens, Illuminati, mamonocratie [dérivé du mot « Mamon »], ploutocratie, démonocratie [dérivé de « démon »], etc.) : leur agenda n’est en rien légitime pour la simple et bonne raison qu’ils sont prêts à procéder à une dépopulation massive pour achever leurs ambitions.

En seulement quelques jours de guerre, toute la théorie et la pratique de la conspiration sont apparues en pleine lumière. Il s’agit donc bien d’une « conspiration ouverte » (selon H. G. Wells). On sait maintenant qui a mis en place et exécuté les deux « Maïdans » (les coups d’État de 2004 et 2014 à Kiev) et quels sont les rôles attribués par le souverain oligarchique à ses pions placés au sommet de chaque hiérarchie étatique.

Nous sommes également en présence d’une guerre totale de religion (de nature quasi eschatologique) dont l’expression visible se manifeste à travers tout le spectre anthropologique (guerre politique, guerre économique, guerre médiatique et cognitive, guerre culturelle et — ce qui prévaut — la guerre axiologique). Depuis quelques jours, il est même question d’une guerre sans limites menée par des sociétés secrètes qui ont pris le pouvoir politique principalement en Occident.

Quiconque feint d’occulter la dimension spirituelle de l’affrontement planétaire actuel ne peut rien comprendre au déroulement des événements actuels.

La cible principale du Léviathan mondialiste est la Fédération de Russie non seulement à cause de ses vastes ressources naturelles, mais aussi parce qu’elle est le rempart ultime de la Chrétienté contemporaine au travers de l’Orthodoxie.

Le conflit civilisationnel/eschatologique entre l’Occident déchristianisé et la Russie est maintenant entré dans sa phase militaire directe en cela que les Occidentaux utilisent l’Ukraine comme bélier contre la Russie.

Vu sous cet angle, au-delà du récit officiel promu par la pieuvre politico-médiatique atlantique, l’enjeu de l’affrontement en Ukraine apparaît dans la véritable dimension planétaire. Le conflit civilisationnel entre l’Occident hégémonique, déchristianisé, mercantile, avec des revendications de domination planétaire d’un côté, et la Russie de l’autre, est maintenant entré dans sa phase militaire directe. Pour l’instant, les Occidentaux préfèrent rester dans la stratégie de la « proxy war », dans laquelle l’Ukraine est utilisée aveuglément au détriment de ses propres intérêts nationaux et contre la Russie.

La Russie a toujours été la cible des stratèges occidentaux. Depuis Halford John Mackinder, les constantes géopolitiques du monde anglo-saxon, contrôlé par les banquiers et les marchands, n’ont pas changé. La Russie est située dans l’espace appelé « Heartland », « cœur du monde » ou « pivot géographique de l’histoire ».

La définition classique de Mackinder est la suivante : celui qui dirige l’Europe de l’Est gouverne le Heartland ; celui qui dirige le Heartland gouverne l’Île-Monde ; et celui qui dirige l’Île-Monde gouverne le monde.

Comme nous l’avons évoqué, la Russie apparaît également comme le dernier bastion de la civilisation chrétienne. Selon la philosophie politique orthodoxe, c’est le rôle messianique de « Katechon », ce gardien providentiel qui retient et ralentit la venue de l’antéchrist (Deuxième épître aux Thessaloniciens de saint Paul, 2 : 6).

Le philosophe et écrivain français d’origine roumaine Jean Parvulesco a vu en Vladimir Poutine « l’homme providentiel », qui aura pour mission historique de refuser l’arrivée du « fils de perdition ». L’homme providentiel dont parle Parvulesco n’a pas grand-chose à voir avec l’individu Poutine dans le sens ou le philosophe traditionaliste fait la distinction entre la force historique qu’incarnerait Vladimir Poutine (destin, sens de l’histoire, manifestation divine) et les limites de l’homme lui-même.

Poutine deviendra-t-il l’instrument d’une volonté supérieure poussée vers la réalisation d’objectifs spirituels majeurs ? Cette probabilité reste ouverte. Mais une chose est certaine. Dans des moments historiques aussi critiques, l’homme au poste politique clé transgresse ses limites personnelles.

Le conflit en Ukraine inaugure une contre-offensive mondiale contre le mondialisme sataniste, contre les promoteurs de l’Agenda 21 génocidaire, contre la dictature technocratique, contre les centres de commandement des forces occultes, lesquelles mettent en œuvre le dépeuplement au travers d’injections forcées, la famine et la paupérisation généralisée.

La Russie obtiendra-t-elle sa revanche sur l’Histoire après les deux défaites majeures de 1917 et 1991 ? Dieu permettra-t-il aux forces de la lumière de vaincre les forces des ténèbres ?

Est-ce la fin du monde ou la fin de ce monde ? Sommes-nous à la fin de l’histoire ou juste à la fin d’un cycle historique, comme disait René Guénon selon une vision de l’Histoire plus « hindoue » ? Sommes-nous à la fin du Kali Yuga, le dernier des quatre cycles, appelé le « temps sombre », enveloppé d’un matérialisme opaque, de conflits et de péché ?

Bien sûr, le recours à l’hindouisme n’est ici qu’une figure de style, pas une déviation du dogme orthodoxe. Et pourtant notre optimisme chrétien nous porte à espérer que l’issue du conflit actuel puisse servir de prélude à un renouveau spirituel octroyé à l’humanité par la providence divine.

Klaus Schwab affirme que le monde ne reviendra jamais à l’époque pré-Covidienne.

Nous affirmons aussi qu’il ne reviendra pas non plus à ce qu’il était avant le 22 février 2022.

Dixi.

Iurie Roşca




Appel lancé aux amoureux de la liberté !

[Source : LHK]

Le 20e siècle a été marqué par la voix d’un intellectuel qui connaissait mieux que quiconque le système régissant le goulag. Seul avec sa plume cet homme, Alexandre Soljenitsyne , s’était battu de toutes ses forces pour dénoncer le totalitarisme soviétique et exiger la liberté. Il n’a eu de cesse de dénoncer les agissements pervers des oppresseurs de la société et de ceux qui pervertissent l’humanité en la piégeant avec un matérialisme consumériste dégradant.

Selon lui, « l’âme humaine aspire à des choses plus élevées, plus brûlantes, plus pures que celles offertes aujourd’hui par les habitudes d’une société massifiée, forgées par l’invasion révoltante de publicités commerciales, par l’abrutissement télévisuel, et par une musique intolérable. »

Alexandre Soljenitsyne

Quand dans les années 1970 il s’adressa, à un parterre d’étudiants de Harvard, sa critique de l’Occident, qui se prétendait gardien d’un monde libre, fut sévère. Qui de nous aurait pu imaginer il y a encore une dizaine d’années que le monde prospère et libre de l’Europe ou des Etats-Unis était la vitrine qui avait servi à piéger le reste de la planète. La haute finance de City-Wall Street n’a jamais eu l’intention de mener l’humain vers des idéaux nobles et élevés. A l’inverse, elle s’en est servie pour mener l’humanité vers la case de la servitude d’abord volontaire grâce aux paillettes acquises par le piège de l’endettement, puis par la force grâce à un virus.

Soljenitsyne est donc cet homme qui a pris tous les risques pour avertir et inciter les gens du pouvoir à réveiller en eux la part noble qui s’est anesthésiée. Sa critique de l’élite dirigeante est édifiante. Le délitement des Etats n’aurait jamais pu précéder celui des élites dirigeantes. Leur corruption par toutes sortes de tentations, pas uniquement financières, fut une étape anticipatrice au Coup d’Etat planétaire. Qu’ils soient de droite ou de gauche, des individus transportant d’imposantes casseroles ont été choisis pour dérouler des feuilles de route venues d’ailleurs. Les Coups d’Etat qui ont frappé les Etats de la planète ont forcément fait suite à des délits de haute trahison.

Savez-vous que la notion de haute trahison a été supprimée de la Constitution? L’article suivant existait bien dans la Constitution avant sa réforme en 1999.

https://mjp.univ-perp.fr/constit/ch1874.htm

La noblesse d’un dirigeant économique ou politique, le pousse forcément à avoir une ambition à fortes valeurs pour son travail pour en faire bénéficier les individus dont il a la responsabilité. Pour cela, il faut faire preuve de courage. Or, le courage a besoin de liberté. A ce sujet, Soljenitsyne impute le déclin du courage à cette élite qui dirige les Etats.

« Le déclin du courage est peut-être le trait le plus saillant de l’Ouest aujourd’hui pour un observateur extérieur. Le monde occidental a perdu son courage civique, à la fois dans son ensemble et singulièrement, dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque pays, et bien sûr, aux Nations Unies. Ce déclin du courage est particulièrement sensible dans la couche dirigeante et dans la couche intellectuelle dominante, d’où l’impression que le courage a déserté la société toute entière. »

Alexandre Soljenitsyne

Avec ce genre de réflexion, nous sommes loin des arguments de ces intellectuels philosophes, qui squattent les plateaux télé de notre société décadente, qui viennent s’ajouter à toutes sortes de propagandes belliqueuses et/ou liberticides. De fait, une société gangrénée par les dettes et le narcissisme a trouvé des visionnaires médiocres qui se contorsionnent pour « vendre » l’invendable.

Afin de mettre en place la société sous surveillance dont nous parlons souvent et qui a été décrite durant la première moitié déjà du siècle dernier, il a fallu mettre en place dans les allées de la sphère publique toute une population de technocrates, composée de cadres moyens à supérieurs qui ne se posent les questions qu’en matière de probabilité et de modèles statistiques. On leur a désappris à se poser des questions et/ou à développer un esprit critique. Prendre le risque d’aller à l’encontre du courant médiatique vous fait courir le risque d’être taxés de complotiste… Il serait bon de se souvenir qu’un certain nombre de régimes totalitaires de sinistre mémoire n’ont pas hésité à faire enfermer, voire à rééduquer, les contrariants. Alors vous laisser neutraliser par la peur du qu’en dira-t-on, vous fait courir le risque de devoir un jour faire face à d’autres situations dotées de mesures coercitives.

Depuis la crise sanitaire du Covid, le voile se lève pour que les aveugles finissent par voir ce qui était dénoncé par une personne comme Soljenitsyne. Grâce à cette pandémie dont la définition a été révisée, les experts financiarisés des médias ont décrété que dorénavant c’était à l’état de définir ce qui est bon pour les uns et les autres, et comment il fallait organiser sa vie. De décrets en directives, l’Occident, dit libre, s’est métamorphosé en un vaste camp où les allées et venues devaient être soumis à des tests sanitaires et autres règlementations, voire frappé de couvre-feu. Certains pays l’ont expérimenté plus que d’autres. Par exemple, ce qu’un état comme l’Australie a fait vivre à ses citoyens fut proprement dramatique.

A l’heure où un totalitarisme assumé s’installe confortablement, chassant l’Etat de droit de notre quotidien, une voix s’est élevée ce 3 mars 2022 sous la Coupole. Cette voix est celle de François Sureau, un amoureux de la liberté. La vraie. Celle qui donne la force à un homme d’oser dénoncer la tyrannie qui grappille tous les jours un peu plus du territoire des libertés individuelles.

Qu’est-ce qu’une société libre? Comment peut-on la défendre sans la faire disparaître? François Sureau, avocat et écrivain, dénonce la disparition progressive de l’Etat de droit dans l’indifférence générale. « Sans la liberté »
(Gallimard, coll. « Tracts », septembre 2019)

François Sureau, avocat et écrivain, a été reçu le 3 mars 2022 à L’Académie Française. Voilà enfin un intellectuel qui donne de la voix en faveur de la liberté que le système technocratique est non seulement en train de confisquer, mais en plus, celui-ci vante le mérite de sa suppression en faveur de la sécurité, faisant de celle-ci une liberté.

François Sureau va mettre à l’honneur, tout le long de son discours, nombre de penseurs et d’intellectuels qui ont, de par leur passé, payer le prix fort en réclamant une liberté qui était interdite aux petites gens. (Ci-dessous quelques extraits signés Victor Hugo ou Charles de Gaulle)

La liberté piétinée impunément à l’heure actuelle a coûté très cher à ceux qui l’ont revendiquée dans le passé. Nous sommes toutes et tous les dépositaires de ce bien hautement précieux qui a vu les chaînes de l’esclavage trembler puis tomber.

Nous avons un devoir aujourd’hui de nous souvenir des châtiments que les intellectuels, critiques des systèmes établis, ont eu à subir au nom de cette liberté. Celle-ci vit depuis des années des heures noires puisque d’abord galvaudée, puis maltraitée, pour être au final carrément partiellement suspendue depuis 2020.

En attendant sa suppression au gré des crises et des guerres.

Alors que faire? On se laisse mener à l’abattoir de la servitude en se satisfaisant d’un vulgaire revenu universel, ou on réclame la liberté pour TOUTES et TOUS. Sans exception. D’ailleurs, il n’y a aucune raison pour que l’élite autoproclamée nous impose ses desiderata puisqu’à ce jour elle n’a fait qu’étaler ses échecs. Dans tous les domaines. Avec une systématique telle, qu’elle ne peut nous imposer un système méritocratique (crédit social) sans se condamner elle-même pour missions multiples et variées misérablement ratées.

Je vous invite à écouter cette personne dont les mots devraient vous interpeller, tout en vous offrant une bouffée de plaisir tant le choix et l’agencement des mots sont si bien ciselés. Je vous laisse avec ces mots de toute beauté:

Personne d’autre que le citoyen libre n’a qualité pour juger
de l’emploi qu’il fait de sa liberté, sauf à voir celle-ci disparaître.
Ainsi la loi ne peut-elle permettre à l’État de restreindre
abusivement la liberté d’aller et venir, de manifester,
de faire connaître une opinion,de s’informer, de penser pour finir.

François Sureau Septembre 2019

A toutes et à tous, je nous souhaite tout le courage pour oser réfléchir, critiquer et vous prononcer sans peur ni crainte.

LHK


Annexes:

L’archipel du Goulag de A Soljenitsyne

L’Archipel du Goulag. 1918-1956, essai d’investigation littéraire (en russe Архипелаг ГУЛаг) est un livre d’Alexandre Soljenitsyne publié en 1973 à Paris.
L’Archipel du Goulag traite du système carcéral et de travail forcé mis en place en Union soviétique. Écrit de 1958 à 1967 dans la clandestinité, l’ouvrage ne se veut ni une histoire du goulag ni une autobiographie, mais le porte-parole des victimes des goulags : il est écrit à partir de 227 témoignages de prisonniers ainsi que de l’expérience de l’auteur. Soljenitsyne précise que « Ce livre ne contient ni personnages ni événements inventés. Hommes et lieux y sont désignés sous leurs vrais noms ».
Goulag (Glavnoe oupravlenie ispravitelno-trudovykh Lagerei, ou Direction principale des camps de travail) est un acronyme utilisé par l’administration soviétique pour désigner des camps de travaux forcés. Le terme « archipel » est utilisé pour illustrer la multiplication des camps et leur diffusion dans tout le pays, comme un ensemble d’îlots connus seulement de ceux condamnés à les peupler, à les construire ou à les relier. Cela fait également allusion au « goulag de Solovki », créé dès 1923 sur les Îles Solovetski.

En vrac, des citations savoureuses, ainsi que l’ensemble du discours de François Sureau

M. François Sureau est reçu en séance solennelle sous la Coupole, ce jeudi 3 mars à 15h, par M. Michel Zink, au fauteuil de M. Max Gallo (fauteuil n° 24).
https://www.academie-francaise.fr/actualites/reception-de-m-francois-sureau-f24

« Les inconvénients de la liberté, même chèrement payés, ne l’emporteront jamais sur ses avantages » François Sureau

Tout se passe comme si (…) des gouvernements incapables de doter, de commander, d’organiser leurs polices ne trouvaient d’autre issue que celle consistant à restreindre drastiquement les libertés pour conserver les faveurs du public et s’assurer de leur vote, dans une surprenante course à l’échalote qui nous éloigne chaque année un peu plus des mœurs d’une véritable démocratie. François Sureau

https://www.franceculture.fr/player/export-reecouter?content=3b0e32cf-d45c-4e35-bb47-f23db6fceae7

Ce livre, « Sans la liberté », je l’ai écrit pour comprendre comment, en 20 ans, on en était arrivé là. Et pourquoi l’expérience de ma vie d’homme aura été celle du déclin de notre amour des libertés. François Sureau

https://www.franceculture.fr/emissions/tracts-le-podcast/francois-sureau

« J’invite les Français qui veulent rester libres à m’écouter et à me suivre »

Charles de Gaulle

Victor Hugo : Ils ont voté! 

Ils ont voté (1) ! Troupeau que la peur mène paître

Entre le sacristain et le garde champêtre,

Vous qui, pleins de terreur, voyez, pour vous manger,

Pour manger vos maisons, vos bois, votre verger,

Vos meules de luzerne et vos pommes à cidre(2),

S’ouvrir tous les matins les mâchoires d’une hydre ;

(…)

L’altière Vérité jamais ne tombe en cendre.

La Liberté n’est pas une guenille à vendre,

(…)

L’honneur n’abdique point. Nul n’a droit de me prendre

Ma liberté, mon bien, mon ciel bleu, mon amour.

Tout l’univers aveugle est sans droit sur le jour.

Fût-on cent millions d’esclaves, je suis libre.

(…)

La vertu, la fierté, la justice, l’histoire,

Toute une nation avec toute sa gloire

Vit dans le dernier front qui ne veut pas plier.

Pour soutenir le temple, il suffit d’un pilier ;

extrait des Châtiments, III, 4, 1853
http://www.matisse.lettres.free.fr/artdeblamer/tzonvote.htm




Je n’oublie pas…

Par [Auteur inconnu]

Besoin de laisser une trace écrite de tout ce que je ressens, la suspension du pass approchant…

Je n’oublie pas…

La date du 12 juillet 2021 qui a marqué ma vie à jamais, qui a détruit ma confiance en mon pays, ma confiance en la démocratie.

Je n’oublie pas que la devise de la France « liberté égalité fraternité » s’est transformée en « quoi qu’il en coûte » oui, quoi qu’il en coûte des dégâts collatéraux…

Je n’oublie pas que la fin aura justifié tous les moyens, même les plus ignobles.

Je n’oublie pas que la « liberté » est devenue « condition »,

que « l’égalité » a disparu pour laisser place à la « discrimination »,

que la « fraternité » a volé en éclat et est devenue « division ».

Je n’oublie pas la fracture du peuple, les discussions houleuses, les amitiés brisées…

Je n’oublie pas les victimes du covid, je n’oublie pas non plus les victimes collatérales de certaines mesures : les suicides, les faillites, les enfants à qui on a volé l’insouciance et qu’on a culpabilisé les citoyens vaccinés sous la contrainte, dès 12 ans, contre leur volonté profonde.

Je n’oublie pas ma cousine, dans son centre de rééducation depuis 7 mois qui se bat pour tout réapprendre suite à sa deuxième injection Pfizer. J’espère la justice pour elle et les autres victimes des injections expérimentales qui sont trop nombreuses et qui sont les oubliées de cette crise, réduites au silence.

Je n’oublie pas les personnes âgées mortes de solitude pendant les confinements, enfermées pour certaines dans leur chambre en EPADH, les obsèques en comité restreint, l’impossibilité des proches de dire adieu à un défunt

Je n’oublie pas les soignants suspendus SANS SALAIRES depuis le 15 septembre 2021, avec la complicité des syndicats et des institutions, à qui on a même retiré le droit de démissionner, qu’on refuse de licencier, laissés SANS RESSOURCE, dans le mépris le plus total et l’indifférence générale, alors même qu’on les applaudissait tous les soirs pendant la première vague.

Ils sont 15 000 soignants et 5000 pompiers. En pleine crise sanitaire, comment accepter de se passer d’eux quand des soignants vaccinés positifs au covid, eux, peuvent exercer ?

Je n’oublie pas le masque sur le visage de mes enfants, 10 heures par jour, en intérieur comme en extérieur, y compris en cours de sport, dans l’indifférence des adultes, au mépris de leur santé mentale et de leur bien-être.

Je n’oublie pas les réprimandes subies par mon fils au collège, les mots dans le cahier de liaison, la punition qu’il a reçue pour avoir osé baisser son masque en classe pour respirer convenablement, le devoir de 3 pages qu’il a dû remplir pour démontrer « les bienfaits du port du masque » et la culpabilisation induite dans ce travail de vouloir contaminer ses petits camarades. Depuis, il ne baisse plus jamais son masque par peur de sanctions. Il est rentré dans le moule, il a abdiqué. Je ne peux pas m’en réjouir.

Je n’oublie pas la complicité des enseignants, des directeurs d’école, des institutions au détriment de l’intérêt supérieur de l’enfant. Non, respirer 10 heures par jour dans un masque n’est pas normal et n’a jamais empêché un virus de circuler, virus qui ne concerne d’ailleurs pas nos enfants…

Je n’oublie pas d’avoir été interdite d’accompagner mon fils à ses matchs de foot, même en extérieur, d’avoir été interdite de l’accompagner au guichet du cinéma pour acheter sa place pour qu’il profite d’un film avec un copain. Je n’oublie pas l’humiliation ressentie ce jour-là d’avoir dû rester dehors et veiller à ce qu’il achète bien son billet à travers la vitre.

Je n’oublie pas les médecins, soignants qui ont bafoué leur serment d’Hippocrate en Hypocrite en conditionnant l’accès aux soins, les refus d’opérer ou de prendre en charge des patients non injectés, la maltraitance physique et verbale (vécue par un proche avant une intervention chirurgicale, parce que non vacciné).

Je n’oublie pas que les riches se sont enrichis, les pauvres appauvris, les profits des labos, la corruption des États, les conflits d’intérêts, la censure des discours scientifiques contraires à la parole officielle, les traitements efficaces interdits encore aujourd’hui.

Je n’oublie pas la pression sociale, le mépris que j’ai ressenti, les regards accusateurs, les phrases assassines. Je n’oublie pas d’avoir été considérée comme une sous-citoyenne, irresponsable, égoïste et inconsciente, d’avoir été désignée comme une ennemie, un danger.

Je n’oublie pas qu’on m’a culpabilisée de réfléchir par moi-même, de douter, d’exercer mon libre arbitre et de faire appel à mon sens critique.

Je n’oublie pas d’avoir été traitée de complotiste.

Je n’oublie pas le pass sanitaire, le pass vaccinal, de constater avec désolation l’acceptation de la majorité, comme hypnotisée. Je n’oublie pas d’avoir été, moi et mes enfants, empêchés de vivre normalement, d’avoir été mis à l’isolement social.

Je n’oublie pas d’avoir été insultée par le président : « les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder… Et donc, on va continuer de le faire, jusqu’au bout » « Un irresponsable n’est plus un citoyen ».

Je n’oublie pas la guerre psychologique faite dans les médias, la manipulation par la peur, les propos honteux, les insultes de médecins, philosophes, politiques, journalistes, célébrités, dont voici quelques exemples : « il faut confiner les non -vaccinés », « les non -vaccinés ont du sang sur les mains », « faut-il soigner les non-vaccinés ? », « vu le nombre de gens qui se sont fait vacciner, même si on doit tous crever, je préfère, plutôt que de rester sur terre avec les pauvres connards qui ne se sont pas fait vacciner », « dites à vos amis non vaccinés qu’ils commencent à nous saouler ».

Je n’oublie pas que plus rien ne sera jamais comme avant, que la société est abimée, que je suis abimée, que ça m’a profondément changée.

Je n’oublie pas que le QR code a laissé place au bon sens et fera partie de nos vies. Une nouvelle vague, un nouveau virus, une guerre, une crise écologique… justifiera son retour.

Enfin, et je veux garder surtout ça au fond de moi : je n’oublie pas les manifestations dans la joie et la bonne humeur, les nouvelles amitiés, les valeurs partagées, le convoi de la liberté, les associations, la solidarité, les groupes d’entraide et tous les résistants ❤️.

Auteur inconnu




Une cyberattaque de grande envergure sous faux drapeau est maintenant imminente

[Source : alt-market.us]

Par Brandon Smith

4 mars 2022

Au début de l’année 2021, au plus fort de la peur des covidés générée par les médias, le Forum économique mondial a publié une série de tables rondes et de livres blancs décrivant une « pandémie » d’une nature totalement différente, qu’il a qualifiée de « cyber-attaque imminente aux caractéristiques similaires à celles des covidés ». Le programme du WEF était intitulé « Cyber Polygone » et dirigé avec un zèle inquiétant par le mondialiste Klaus Schwab.

Le WEF et Schwab sont surtout connus pour deux choses :

1) Leur implication dans un jeu de guerre appelé Event 201 qui simulait la propagation mondiale d’une pandémie de coronavirus. Cette simulation s’est déroulée deux mois AVANT la réalité, au début de l’année 2020, et la majorité des mesures présentées dans le jeu ont été mises en œuvre presque immédiatement après l’épidémie.

2) L’annonce enthousiaste de Klaus Schwab selon laquelle la pandémie était l' »opportunité » parfaite pour instituer ce qu’il appelle la « Grande Réinitialisation » de l’économie mondiale en même temps que l’essor de la Quatrième Révolution Industrielle, qui est la centralisation complète du commerce mondial et de la gouvernance dans un empire socialiste mondial où vous ne posséderez « rien, n’aurez aucune vie privée, et l’aimerez ».

[Voir aussi :
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »,
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
et
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

Le fait que le WEF ait été si prescient en ce qui concerne la pandémie de covidés est un véritable miracle. C’était presque comme s’ils savaient que cela allait arriver, et leurs amis politiques dans diverses nations n’ont pas perdu de temps pour mettre en œuvre leurs politiques de mandat draconien dans le monde entier. L’Event 201 prévoyait un nombre initial de décès d’environ 65 millions de personnes, mais cela ne s’est pas produit. En fait, le taux médian de mortalité par infection du covid n’était que de 0,27 %. Le Covid ne tuait pas assez de personnes et le public commençait à remettre en question l’efficacité des mesures de confinement, les règles inutiles concernant les masques et la nécessité de prendre un vaccin expérimental à ARNm dont l’innocuité n’avait pas été testée à long terme.

[Note de Joseph Stroberg : le taux de mortalité attribué à la Covid est sensiblement le même que celui de la grippe, alors que dans le même temps :
1)- celle-ci a pratiquement disparu et comporte plusieurs symptômes similaires ;
2)- il n’y a pas eu de surmortalité significative au niveau mondial.
On peut facilement en déduire que la grippe a été rebaptisée Covid.

Si par ailleurs, l’Humanité finit un jour par reconnaître que :
1)- les maladies virales ne sont en réalité pas causées par des virus et qu’aucun virus n’a été réellement isolé (selon un point de vue réellement scientifique et rigoureux conforme à la définition du terme « isolé ». Voir L’enterrement de la théorie virale) ;
2)- les ondes électromagnétiques, surtout pulsées (comme le Wi-Fi, la 3G, la 4G, la 5G, le Bluetooth…), et les champs électriques artificiels engendrent des problèmes physiques aux symptômes notamment similaires à ceux de la grippe ou de la Covid (en plus d’autres effets possibles),
3)- les lieux d’implantation initiaux de la 5G sont aussi ceux où l’on a d’abord repéré les symptômes attribués à la Covid (Wuhan, Corée du Sud et Saint-Marin),

alors on pourra facilement conclure que les morts attribués à la grippe baptisée Covid-19 provenaient en réalité pour une grande part d’un manque de résistance des individus aux nouveaux rayonnements 5G, le corps humain n’y étant pas encore habitué.]

Aux États-Unis, les États conservateurs ont commencé à se soulever et à bloquer le programme des covidés. Aujourd’hui, le CDC et le gouvernement fédéral ont déclaré la suppression de la plupart des mandats et même les États bleus de gauche commencent à céder. Cependant, la plupart des États rouges conservateurs n’ont pas eu de mandat depuis plus d’un an ou un an et demi. Nous avons été sans restrictions pendant tout ce temps, et le gouvernement agit comme s’il venait de nous « permettre » d’être libres à nouveau.

La vérité est que les mondialistes du WEF et leurs partenaires étrangers ont échoué dans leurs efforts pour instaurer une tyrannie médicale, du moins aux États-Unis et dans certaines régions d’Europe. L’agenda s’est effondré parce que la science était contre eux à tous les égards. Ils n’avaient rien. Avec 99,7 % de personnes à l’abri du covid, il était impossible de susciter suffisamment de peur dans une partie suffisante de la population pour qu’elle renonce à ses libertés.

Ainsi, pour ceux d’entre nous qui ont suivi attentivement ces événements, la sonnette d’alarme a vraiment commencé à retentir lorsque le WEF a changé de vitesse et s’est soudainement concentré sur le récit d’une cyberattaque. Était-ce un plan B ?

En avril 2021, j’ai publié un article intitulé « Les mondialistes auront besoin d’une autre crise en Amérique pour faire échouer leur programme de réinitialisation ». Dans cet article, je décrivais les scénarios les plus probables pour le prochain événement catastrophique, qui comprenaient la guerre en Ukraine ainsi qu’une cyberattaque mondiale qui perturbe la chaîne d’approvisionnement. Dans cet article, je déclarais :

« Les médias et l’administration Biden sont très occupés à essayer de créer des tensions avec la Russie au sujet de l’Ukraine. Il y a un regain de tensions entre l’Iran et Israël et la déstabilisation continue de l’Occident en Syrie. Et, un danger croissant de confrontation avec la Chine au sujet de Taïwan…
Il y a … un avantage narratif aux tensions mondiales ; lorsqu’ils sont confrontés à une menace étrangère, les Américains sont-ils plus susceptibles de rejeter les notions de rébellion contre les intrusions du gouvernement ? Je ne doute pas que l’establishment tentera d’affirmer que le mouvement pour la liberté n’est pas un mouvement pour la liberté, mais un mouvement « astro-turf » créé par les Russes pour déstabiliser l’Amérique. C’est la stratégie de propagande des médias gauchistes depuis des années ; alors pourquoi s’arrêteraient-ils ? »

En juin 2021, j’ai écrit plus spécifiquement sur la nature suspecte du Cyber Polygon dans mon article « Cyber Polygon : Will The Next Globalist War Game Lead To Another Convenient Catastrophe ? » (Cyber Polygon : le prochain jeu de guerre mondialiste conduira-t-il à une autre catastrophe commode). Puis, en juillet 2021, j’ai écrit un article intitulé « Et si la prochaine cyberattaque majeure ciblait Internet ? J’y faisais cette observation :

« En juin de cette année, il y a eu un événement de panne d’Internet qui a conduit à de larges pans du Web à devenir sombres, y compris un certain nombre de sites d’information grand public, Amazon, eBay, Twitch, Reddit et une foule de sites Web gouvernementaux sont tombés en panne. Tout cela s’est produit lorsque la société Fastly, spécialisée dans les réseaux de diffusion de contenu (CDN), a eu un bug. Bien qu’Amazon ait remis son site en ligne en 20 minutes, cette brève panne a coûté à l’entreprise plus de 5,5 millions de dollars de chiffre d’affaires (et il ne s’agit que d’un seul site web !).

Fastly a identifié et corrigé le problème en deux heures, et continue d’affirmer que la panne n’avait rien à voir avec une cyberattaque. Cependant, elle a révélé une énorme vulnérabilité de l’internet (ce que von Clausewitz aurait appelé un schwerpunkt). Une grande partie du web dépend de seulement trois sociétés CDN, dont Fastly.

Voici ce qui me préoccupe : si une cyberattaque était menée sur ces points faibles du web, et que l’attaque impliquait un ver malveillant ou une autre arme hautement infectieuse, alors Klaus Schwab pourrait très bien avoir sa cyberpandémie. »

Aujourd’hui, les tensions guerrières avec la Russie sont sur le point de déborder et je soupçonne que ce n’est qu’une question de temps avant que la Chine ne lance également des opérations contre Taïwan. Mais il y a une menace bien plus grande à l’horizon. Je n’ai guère de doute, à ce stade, qu’une attaque sous faux drapeau contre les États-Unis ou l’Europe (ou les deux) est maintenant imminente, et ce que j’entends par « faux drapeau », c’est que l’attaque sera conçue pour profiter aux mondialistes et pas nécessairement au pays qui en est accusé.

Comme je l’ai noté dans le passé, Vladimir Poutine est un associé de longue date de nombreux mondialistes. Son amitié avec la goule du Nouvel Ordre Mondial, Henry Kissinger, a débuté il y a plusieurs décennies et ils continuent de se rencontrer pour des déjeuners réguliers, Kissinger agissant en tant que conseiller auprès de plusieurs branches du Kremlin. Poutine a également entretenu des relations suivies avec le WEF et la Russie a même rejoint le réseau de la quatrième révolution industrielle de Klaus Schwab l’année dernière. L’affirmation selon laquelle Poutine est anti-mondialiste est un mensonge, il est profondément impliqué dans le système mondialiste et l’a toujours été.

Les mondialistes jouent des deux côtés du conflit ukrainien. Telle est la réalité. Il est très important de comprendre et d’accepter ce fait, sinon vous ne serez pas en mesure de saisir les événements qui vont suivre.

Poutine a récemment menacé les gouvernements occidentaux de représailles d’une ampleur sans précédent s’ils tentent d’interférer en Ukraine. Le problème, c’est que de nombreux médias grand public et alternatifs ont automatiquement supposé qu’il s’agissait d’une menace de guerre nucléaire. Je ne pense pas que c’est à cela que Poutine faisait référence. J’ai une autre théorie…
Il est peu probable que les mondialistes passent les dernières décennies à construire l’une des grilles de contrôle technocratique les plus complexes de l’histoire pour suivre et dominer le public, pour ensuite tout anéantir en un clin d’œil avec des armes nucléaires. Un environnement post-nucléaire serait impossible à contrôler pour eux.  Ce qui est plus probable, à mon avis, c’est une cyberattaque massive qui vise la fonctionnalité de l’Internet lui-même, et il faudrait que cela se produise relativement vite.

La quantité d’opérations économiques et commerciales liées au web est stupéfiante. Même si l’internet devait s’arrêter pendant seulement deux semaines, les répercussions sur nos marchés et notre chaîne d’approvisionnement seraient dévastatrices. Par extension, les avantages pour les mondialistes seraient immenses. Ils pourraient mettre en place des filtres et des pare-feu sur toute partie du web qu’ils n’aiment pas (y compris les médias alternatifs) et prétendre que c’est pour protéger l’internet des sources possibles de propagation virale. Ils pourraient réduire le web à une poignée de sites d’entreprises et de gouvernements approuvés, tout cela au nom de la protection de l’intégrité du net.

En outre, une telle attaque serait un parfait bouc émissaire pour l’économie déjà en chute libre et l’inflation croissante. À ce moment-là, les banques centrales qui sont vraiment responsables de notre instabilité financière pourraient simplement dire que tout était « sur le point de revenir à la normale » jusqu’à ce que la Russie ou la Chine propage le cyber-virus. Et, peut-être que la Russie sera impliquée, mais ce ne sera pas Poutine qui donnera l’ordre, ce seront ses partenaires mondialistes derrière le rideau.

Le battage médiatique autour de l’Ukraine est à son comble en ce moment. Je trouve un peu bizarre la panique et l’indignation qu’elle suscite. C’est comme si les gens avaient oublié que le gouvernement américain vient de passer plus d’une décennie à dévaster un pays comme l’Irak sans raison valable. Personne ne semble mentionner l’hypocrisie d’exiger une guerre totale contre la Russie alors que les campagnes américaines en Irak ont tué des centaines de milliers de civils et que très peu de pays ont sourcillé à ce sujet.

Il est clair que les médias contrôlés tentent de convaincre les Occidentaux de soutenir une confrontation militaire directe avec la Russie pour un conflit qui n’a rien à voir avec nous. Il y a même de nombreux néo-conservateurs du GOP (Lindsay Graham, je vous regarde) qui font campagne pour que les vrais conservateurs soient d’accord avec un état de guerre. Je ne pense pas que cela gagne beaucoup de terrain, mais qu’est-ce qui a fonctionné comme une manipulation efficace contre les conservateurs dans le passé ?

Les mondialistes ont besoin d’un autre Pearl Harbor – une attaque du 11 septembre ou quelque chose d’encore plus grand. Ils ont besoin de quelque chose qui fasse enrager la population américaine, en particulier les conservateurs. Ils ont besoin d’une crise aux proportions épiques pour nous attirer dans une réponse émotionnelle et l’abandon de la logique. Ils ont également besoin d’un désastre bouc émissaire qu’ils pourront utiliser pour faire porter le chapeau à la crise économique imminente.

Je prédis que cet événement prendra la forme d’une cyber-attaque de grande envergure, et l’escalade des événements me laisse penser qu’ils vont essayer de mettre en œuvre une telle attaque à court terme. Peut-être dans les deux prochains mois et certainement avant la fin de l’année.

Il ne s’agit pas de la Russie. Il ne s’agit pas de l’Ukraine. La vraie guerre est entre les peuples libres et les mondialistes. Lorsqu’ils seront écartés et que leurs marionnettes le seront, la majorité de ces désastres cesseront. Tant qu’ils resteront au pouvoir, les événements de crise ne feront que s’accélérer et augmenter en fréquence jusqu’à ce qu’ils trouvent quelque chose qui fonctionne ; quelque chose qui fait que la plupart des gens sont prêts à abandonner leurs libertés en échange de la fausse promesse de sécurité.




L’OMS signe un contrat avec Deutsche Telekom pour la création d’un certificat vaccinal numérique mondial

[Source : echelledejacob]

Alors que le monde se concentre sur le conflit russo-ukrainien, l’OMS s’est discrètement associée à Deutsche Telekom pour développer un certificat numérique mondial COVID-19.

Le contrat entre l’agence mondiale de la santé et la société de télécommunications vise à utiliser un logiciel basé sur un code QR pour afficher les preuves de vaccination partout dans le monde.

En plus des injections expérimentales de COVID-19, l’application inclura d’autres vaccinations que l’OMS juge nécessaires pour la population mondiale.

Le partenariat public-privé entend construire l’infrastructure numérique pour obliger les citoyens à « montrer leurs papiers » partout sur la planète.

Une autre «théorie du complot» confirmée pour ceux qui ont mis en garde contre les pass de vaccins numériques au cours des deux dernières années. 

Reuters a rapporté :

L’Organisation mondiale de la santé a signé un contrat avec T-Systems, filiale de Deutsche Telekom (DTEGn.DE), pour créer une solution logicielle de vérification électronique mondiale des certificats de coronavirus, a indiqué la société de télécommunications.

La solution logicielle basée sur le code QR sera également utilisée pour d’autres vaccinations, telles que la poliomyélite ou la fièvre jaune, a déclaré T-Systems dans un communiqué mercredi, ajoutant que l’OMS soutiendrait ses 194 États membres dans la mise en place d’une technologie de vérification nationale et régionale. .

Les détails financiers de la transaction n’ont pas été divulgués.

« La santé est un domaine de croissance stratégique pour T-Systems », a déclaré Adel Al-Saleh, PDG de T-Systems.

T-Systems a précédemment travaillé avec SAP (SAPG.DE) pour développer l’application allemande de traçage et de vérification Corona-Warn-App et un système de vérification numérique des vaccins COVID-19 à l’échelle européenne.

Les Américains ont également travaillé sur un laissez-passer national pour les vaccins, qui s’est déployé dans environ la moitié du pays :




Ukraine : qui viole plus le « Droit » ?…

Par Lucien SA Oulahbib

Bizarrement (mais en fait pas vraiment…), les violations depuis huit ans des accords de Minsk 2 par l’actuel régime ukrainien (issu d’un coup d’État, quoique validé électoralement ensuite…) ne sont pas soulignées, bien au contraire ; et même les documentaires soi-disant plus « fouillées » (Arte, France 24, euro-news…) parlent toujours et d’abord de « séparatisme » ou « d’infiltration russe » sans expliquer les questions cruciales posées par ce qui devait réellement se passer conformément à ces accords Minsk (autonomie politique, culturelle et linguistique).

Certes, Poutine a en effet lui aussi violé le Droit en ne se contentant pas d’intervenir dans cette région puisqu’il veut renverser le régime même qui tient Kiev afin d’éliminer la cause des troubles dans le Donbass à la racine (« opération militaire spéciale en vue de dénazifier la région ») sauf que cette violation aurait pu être « négociée » par l’ONU et l’UE en dénonçant explicitement les violations des Accords de Minsk de la part du régime posté à Kiev, ce qui aurait (peut-être) permis de tempérer l’ardeur poutinienne ; sauf que l’on sait que Biden ne veut pas d’accalmie, pas plus que l’UE, tant les enjeux ne sont pas seulement géopolitiques, mais géosymboliques : par exemple, quoique sur un autre point, la Commission fait actuellement pression financièrement sur la Pologne et la Hongrie en ce qui concerne leurs positions sur les revendications queer LGBT et les « minorités », dont les « migrants »positions qui sont les mêmes que celles défendues par la Russie…

De plus, et contre le Droit également, la Commission européenne décide unilatéralement d’envoyer des armes létales au régime ukrainien, et aussi d’interdire les chaînes comme Russia Today (RT) et Spoutnik (confirmé par le ministre français de la Défense) alors qu’elle n’a aucune compétence légale en la matière et que celles-ci ont toujours accepté la diversité des points de vue (elles ne sont d’ailleurs pas interdites aux USA) ; il est vrai néanmoins qu’elles sont dans le collimateur en particulier macronien depuis l’irruption des Gilets Jaunes et l’affaire hygiéniste de C.19 puisque ces chaînes ont permis aux « questionnistes » de développer leurs analyses sans être d’emblée taxer de « complotistes, conspirationnistes », voire d’extrême droite, etc.

En fait, l’idée dominante qui justifie « académiquement » ces diverses violations du Droit consiste à se croire en « 1938 » : Poutine serait ainsi le nouveau Hitler ou alors Staline ressuscité voulant s’emparer des pays baltes de la Pologne, de la Roumanie, etc., ce qui est complètement faux jusqu’à preuve du contraire. La Russie a en réalité d’autres fers au feu, en particulier son développement interne (d’où le désir de le casser, comme l’a indiqué Biden dans sa conférence de presse) et bien sûr l’expansionnisme otanien… Ceci ne veut pas dire qu’il n’y ait pas également de réels problèmes de vie démocratique en Russie, mais ce pas plus en réalité qu’en France ou au Canada où l’on voit bien que toute tentative de contester le narratif officiel en matière sanitaire, climatique, aujourd’hui géopolitique est immédiatement diabolisée et attaquée, soit en sous-main en écartant les voix dissidentes, soit institutionnellement en poussant lesdits « contre-pouvoirs » à bloquer toute tentative de défendre les libertés fondamentales qui sont ainsi de plus en plus foulées aux pieds, et ce de manière pseudo-légale ; ce qui est en tout cas là une violation effective du Droit et ce à tout point de vue.

Au final, l’UE, les USA, l’U.K, l’ONU, toutes les structures dites démocratiques issues de la Seconde Guerre mondiale sombrent peu à peu dans l’illégalité elles aussi, en plus d’une anti-rationalité de plus en plus patente. La légitimité n’est de toute façon plus de leur côté. Ce qui implique une crise à la fois juridique, politique, culturelle en un mot civilisationnelle majeure, non plus seulement dans les profondeurs, comme il a été déjà indiqué, mais maintenant au niveau strictement institutionnel visible puisque les décisions prises (interdire des médias, sanctionner économiquement, restreindre des libertés de déplacement, envoyer des armes, geler des fonds) sont strictement illégales puisqu’elles n’ont pas été validées par le Conseil de Sécurité onusien, pas plus que le Conseil Européen.

Il faut finalement observer que cette anti-rationalité se double d’une irréalité de plus en plus onirique, une dystopie porteuse de guerre multiformes dans laquelle nous SOMMES, sauf que cela apparaît de manière bien plus visible maintenant : guerre culturelle, politique, économique, financière, guerre civile larvée également…

Ceci implique bien de prendre en compte désormais le fait que toutes ces structures désormais illégitimes et violant de plus en plus le Droit (national, international…) deviennent de plus en plus toxiques et apparaissent comme étant les ennemies bien réelles des peuples du Monde civilisé.




La raison du retournement de Trudeau fait surface — L’Association des banquiers canadiens a été approuvée par le Forum économique mondial pour diriger la création d’une identité numérique

[Source : theconservativetreehouse.com]

Par Sundance

23 février 2022

La lumière du soleil est le meilleur désinfectant. Une vidéo promotionnelle de l’Association des banquiers canadiens (ABC) aide à bien relier tous les points sur la raison pour laquelle le gouvernement canadien a annulé si rapidement ses saisies d’actifs bancaires au cours des dernières 24 heures {pour plus de détails}. Et oui, comme nous le soupçonnions, c’est presque certainement le contact du Forum économique mondial avec la ministre canadienne des Finances, Chrystia Freeland, qui a déclenché le changement de position.

[Voir aussi :
Justin Trudeau est un « politicien bien formé » contrôlé par Klaus Schwab pour le compte de « Big Money ».]

Lorsque le premier ministre canadien Justin Trudeau et la ministre des Finances Chrystia Freeland ont annoncé qu’ils utiliseraient la déclaration de la loi sur les mesures d’urgence pour cibler les systèmes de soutien financier, les banques et les comptes des personnes qui protestaient contre les obligations de la vaccination anti-COVID, ils n’ont pas seulement sapé l’intégrité du système bancaire canadien – mais ils ont aussi, par inadvertance,  mis des bâtons dans les roues des plans du Forum économique mondial et de l’utilisation collaborative de l’Association des banquiers canadiens pour créer une identité numérique.

Dans le contexte de l’action du gouvernement canadien, REGARDEZ CETTE VIDÉO :

https://youtu.be/jRXR86wVSNw
Canadian Bankers Association Promotes Digital IDs And Refers To WEF #TheRayzorsEdge

Si le gouvernement canadien peut bloquer arbitrairement l’accès des citoyens à leur institution bancaire sans aucune procédure régulière, qu’est-ce que cela dit du système que l’Association des banquiers canadiens (ABC) mettait en place dans le cadre de son réseau d’identification numérique ?

Si l’identité numérique de l’ABC était en place, les mêmes personnes ciblées par l’utilisation de la loi sur les mesures d’urgence par Trudeau verraient leur identité entière bloquée par les mêmes mesures gouvernementales. La prise de conscience du problème, reflétée par une grave atteinte à la confiance dans le système bancaire, est un problème dramatique pour ceux qui travaillent à créer et à promouvoir l’identification numérique.

Ce n’est pas une coïncidence si le mécanisme de ciblage financier déployé par Trudeau/Freeland, le système bancaire canadien, est le même système utilisé pour créer l’identité numérique. À la suite du ciblage des comptes bancaires par le gouvernement, la ministre des Finances Freeland vient de créer un point de référence pour ceux qui s’opposeraient à l’autorisation de la création d’une identité numérique complète.

La raison pour laquelle le Forum économique mondial et l’Association des banquiers canadiens ont immédiatement contacté Trudeau et Freeland et leur ont dit de renoncer à leur plan est parfaitement claire. C’est presque certainement pourquoi Freeland est apparue si réprimandée, choquée et incapable de prendre pied hier {pour plus de détails}, et pourquoi le gouvernement canadien a simultanément informé le Parlement qu’il débloquait les comptes bancaires.

Justin Trudeau et Chrystia Freeland ont essentiellement brisé le code financier de l’omerta, en montrant à quel point il est facile pour le gouvernement de saisir vos comptes bancaires, vos cartes de crédit, vos comptes de retraite, vos assurances, vos hypothèques, votre accès aux prêts et de vous couper les vivres (sans procédure régulière).

La conséquence involontaire était un point de référence immédiat et clair si le gouvernement effectuait la même action avec une identité numérique en place.

Cependant, cette confiance minée et la foi dans le système bancaire ne peuvent être restaurées rapidement. Le dentifrice ne peut pas être remis dans le tube. Le cheval a quitté l’écurie.

Le gouvernement canadien doit rapidement limiter les dégâts. Cela explique pourquoi Justin Trudeau a abandonné la déclaration de la loi sur les mesures d’urgence.

Tout s’explique maintenant. Tout.

En effet, les chefs de gouvernement qui reçoivent leurs instructions des multinationales en charge du Forum économique mondial, c’est-à-dire la quasi-totalité d’entre eux, sont tellement ancrés dans leur besoin d’utiliser la COVID-19 comme levier pour le programme « Build Back Better (reconstruire en mieux) » qu’ils ne peuvent tout simplement pas y renoncer.

Sans la COVID-19, ils ne peuvent pas maintenir la campagne de vaccination. Sans la campagne de vaccination, ils ne peuvent pas maintenir le processus de passeport vaccinal en place. Sans le processus d’enregistrement du passeport vaccinal pour suivre et surveiller le comportement humain, les autorités gouvernementales ne peuvent pas remplir la mission d’un système complet d’identité numérique et de suivi du crédit social. En effet, tout ce qu’elles recherchent est subordonné au maintien de la prémisse de la COVID-19.

Ce n’est pas par hasard que le Forum économique mondial se trouve à l’épicentre de ce projet.

Comme nous l’avons déjà noté, les architectes de la société Build Back Better (FEM) guident les différents gouvernements sur les moyens de créer des systèmes d’enregistrement et de conformité efficaces, c’est-à-dire des moyens qui permettent aux citoyens de prouver qu’ils sont vaccinés et conformes. Alors que ces discussions ont lieu, il est prudent de faire une pause et de réfléchir très attentivement, avec sagesse.

Nous savons tous, au moment où nous lisons ces lignes, que sous couvert d’améliorer notre sécurité, le gouvernement fédéral américain est en discussion avec la communauté médicale, les sociétés multinationales et les employeurs de citoyens pour créer un processus plus efficace pour que vous puissiez enregistrer votre conformité aux vaccins.

Nous connaissons leur conversation sous la terminologie de Passeport COVID. L’objectif actuel est de créer un système nous permettant de montrer et de prouver notre statut de travailleur autorisé, qui, comme vous le savez, est basé sur votre obéissance à un vaccin obligatoire.

Des tests bêta sont menés dans diverses nations, chacune ayant des perspectives et des limitations constitutionnelles différentes, fondées sur des règles et des lois archaïques qui régissent la liberté.

En ce qui concerne les perspectives occidentales ou, faute d’un meilleur terme, « démocratiques« , l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la France et l’Europe ouvrent la voie avec leur système technologique de points de contrôle de la vaccination et de statut vaccinal national/étatique lié à votre identification d’enregistrement.

La ville de New York a rejoint le processus des points de contrôle de la vaccination, car elle exige désormais le vaccin pour entrer dans toutes les entreprises privées. Los Angeles a rapidement suivi.

Les points de contrôle électroniques australiens sont essentiellement des passerelles où des codes QR sont scannés à partir des téléphones portables des citoyens vaccinés. Oui, camarades, il y a une application pour cela.

Actuellement, les scans du statut vaccinal sont enregistrés par d’heureux agents de conformité, les hôtes d’accueil à l’entrée de l’entreprise ou du lieu. En effet, l’hôte d’accueil de Walmart dispose d’un nouveau gadget pour scanner votre téléphone avant de vous laisser la garde d’un caddie.

Dans les restaurants, l’hôte ou l’hôtesse dispose d’un scanner de conformité similaire pour vous enregistrer avant de vous asseoir ou de confirmer votre réservation.

C’est simple et amusant. Vous affichez votre code QR sur votre téléphone portable (alias transpondeur portable et dispositif d’enregistrement), en utilisant l’application d’enregistrement, et votre téléphone est scanné et donne une réponse verte pour confirmer votre statut vaccinal correct et l’autorisation d’entrée.

Le gouvernement australien, tant au niveau fédéral qu’au niveau des États, travaille en étroite collaboration avec des entreprises de haute technologie (assoiffées du contrat national) pour évaluer le meilleur processus universel pouvant être déployé à l’échelle nationale.

Comme l’ont indiqué les six premières américaines, les systèmes matériels (scanners) et logiciels (enregistrement) sont tous testés pour trouver les unités portables les plus complètes et les plus pratiques. Entre-temps, aux États-Unis, des villes comme Los Angeles et New York attendent la conclusion du test bêta avant de déployer leur propre version du même processus.

En Europe, les processus de suivi et d’enregistrement des vaccins connus sous le nom de « passeport vert » de l’UE sont également testés.

Le « passeport vert » est un système technologique similaire qui permet à un citoyen vacciné et enregistré d’accéder à tous les lieux et sites précédemment confinés pendant la période d’atténuation de la COVID-19. Ce qui aurait été qualifié de « vaste théorie du complot de droite » il y a 24 mois, est aujourd’hui un processus de passeport COVID bien avancé.

Comme pour tout ce qui se passe dans notre ère technologique rapide, il n’est pas nécessaire de plisser les yeux pour voir l’horizon et accepter que ce processus finira par être automatisé, et qu’il y aura un gadget ou une passerelle de numérisation qui vous donnera automatiquement accès sans qu’une personne doive se tenir là et scanner individuellement le code QR sur chaque téléphone portable.

Comme pour toutes les choses de notre ère technologique rapide, vous n’avez pas à plisser les yeux pour voir l’horizon et accepter que ce processus finira par s’automatiser, et qu’il y aura un gadget ou une passerelle de numérisation vous accordant automatiquement l’accès sans qu’une personne ait besoin de se tenir là et scannez chaque code QR de téléphone portable individuellement.

Le processus automatisé est tout simplement logique. Vous savez très bien que votre téléphone portable transmet déjà une balise électronique permettant à votre chauffeur Uber ou Lyft d’accéder à votre emplacement en appuyant sur un bouton de l’écran tactile, une autre application pratique sur votre téléphone. Alors, pourquoi les passerelles n’accepteraient-elles pas simplement cette même transmission reconnaissable comme l’enregistrement de votre arrivée au café en conformité avec les lois de vaccination ?

La version automatisée est bien plus facile et bien plus cool que de devoir mettre la main dans sa poche ou son sac à main pour faire apparaître ce code QR sur l’écran. Souriez tous, le partenariat entre les grandes firmes technologiques et le gouvernement omniprésent est toujours là pour rendre votre transit plus fluide et plus transparent. Vous ne remarquerez même pas le récepteur électronique installé à l’entrée. Donnez-lui quelques semaines et vous ne vous souviendrez plus de la raison pour laquelle vous vous moquiez d’Alex Jones (NDT : journaliste « conspirationniste » américain), pas plus que vous ne vous souvenez de la raison pour laquelle vous enlevez vos chaussures à l’aéroport.

Cependant, au fur et à mesure de la création de ce processus, il convient de considérer que vous êtes en train de passer discrètement du statut de personne individuelle à celui de produit. Certains commencent à s’inquiéter dans le cadre du test bêta :

[…] « vous devez devenir un objet avec des attributs qui se trouvent dans une base de données. Au lieu de se promener anonymement et de faire toutes sortes de transactions à l’insu du gouvernement, les Australiens se retrouvent à passer par des « portes ». …

Tous les systèmes basés sur les produits ont ces portes pour contrôler le flux des stocks et éliminer les erreurs. C’est ainsi que les ordinateurs voient les choses. Plus il y a de portes, plus c’est clair.

Vous mettez à jour le gouvernement comme un colis est mis à jour par Australia Post sur son chemin vers un client. Si une erreur est détectée, des alertes automatiques sont émises et vous êtes arrêté dans votre démarche. En Nouvelle-Galles du Sud, cela se traduit par un grand « X » rouge sur l’application myGov pour les passeports vaccinaux (si vous avez réussi à relier votre compte Medicare sans faire exploser votre téléphone).

Les systèmes de contrôle des portes ont été adaptés du commerce de détail et transformés en solutions de foule à base humaine pour microgérer des millions de vies avec la même efficacité impitoyable que les codes-barres qui suivent les stocks. Il n’y a aucune nuance ou humanité dans cette ère numérique sans âme. Les codes-barres sont binaires. Bon – mauvais. Citoyen ou dissident.

Même si vous avez tous les attributs gouvernementaux requis pour passer les portes – deux vaccins, six rappels et un abonnement à vie à Microsoft – quelque chose peut mal tourner. Si vos données échouent au scanner, vous passerez au purgatoire numérique et deviendrez un message d’erreur. » (Lire la suite)

Cela pourrait poser problème si votre statut n’est pas enregistré correctement, ou si le système identifie une forme de non-conformité au mode de vie alternatif qui vous empêchera d’entrer. Mais bon, c’est à ça que servent les tests bêta, à résoudre tous ces bugs techniques et autres. Ne vous inquiétez pas…. passez votre chemin….

Mais encore une fois… 

« Pour ceux qui font partie de la classe privilégiée autorisée à faire du shopping, prenez note des panneaux Covid qui encouragent les transactions sans argent liquide sous le couvert de la « santé ». Les messages autour des cartes étant « plus sûres » vont se multiplier jusqu’à ce que le Trésor tente de supprimer entièrement l’argent liquide, presque certainement avec l’approbation du public. »

Attendez, maintenant nous plissons les yeux sur cette image familière à l’horizon parce que nous savons que ceux qui contrôlent les choses parlent d’une société sans argent liquide depuis un certain temps.

Nous savons également que les données sont considérées comme une marchandise majeure en soi. Pourquoi pensez-vous que tous les systèmes que vous rencontrez à l’ère moderne exigent votre numéro de téléphone, même si vous ne vous inscrivez à rien. Cela signifie que vous, nous, sommes tous liés à ce système d’enregistrement moderne qui définit notre statut. Nous savons également que les opérateurs du système achètent et vendent notre statut enregistré au sein de divers systèmes de vente au détail et de technologie.

Oui, cette ombre opaque devient un peu plus claire maintenant.

Vous essayez peut-être d’acheter de la nourriture pour chien et on vous refuse l’entrée à Pet Smart parce que vous n’avez pas renouvelé l’immatriculation de votre voiture. Ou peut-être que l’on vous bloque l’entrée parce que vous avez oublié de changer l’huile du véhicule que vous conduisez en leasing, et que Toyota a passé un accord bizarre avec un consortium de détaillants. Vous vous rendez chez le vidangeur qui apparaît comme par hasard dans l’application de conformité citoyenne – il n’est qu’à deux pâtés de maisons – ils effacent l’alerte après avoir effectué la vidange, et vous êtes à nouveau conforme aux règles de la passerelle.

Vous avez manqué votre piqûre de rappel ? Nous sommes désolés, citoyen, votre compte bancaire est gelé jusqu’à ce que votre conformité soit rétablie… Veuillez vous rendre au bureau de vaccination le plus proche, tel qu’il s’affiche sur l’écran de votre téléphone portable, afin de pouvoir accéder à tous les autres points de contrôle. …. tapez pour continuer !

Vous avez voté pour le mauvais candidat ? Participé, ou fait un don à une manifestation de camionneurs ?

Oui, où cela allait nous mener semblait clairement évident, et le Premier ministre canadien Justin Trudeau vient de réveiller les masses :




Ukraine : la fuite en avant de la Secte néo-nazie dominant l’Occident

Par Lucien SA Oulahbib

Au lieu de s’en tenir aux faits — Ce qui s’est passé réellement dans le Donbass depuis huit ans (les bombardements incessants et les actions de forces paramilitaires), sans parler de la violation des Accords de Minsk 2 par le clan au pouvoir à Kiev (mis en place sous Obama…) — et qu’il s’agisse de Biden (empêtré par diverses « affaires »), Johnson (idem : il est toujours sur la sellette suite à ses transgressions festives lors des confinements), Macron (une élection en vue…), mais encore également des seconds couteaux comme Bourlanges (sur Europe 1), tous, au lieu de soutenir l’offre de négociations (demandée par le président ukrainien, puis repoussée par Biden) mettent de l’huile sur le feu en voulant traiter la Russie en « paria » à l’identique de ce qu’ils font au fond pour les personnes non injectées…

Car au-delà des spécificités, il s’agit de la même rengaine, la même haine aigrie et méprisante envieuse de personnages qui voient la Russie et d’autres encore s’échapper de leurs griffes de papier (mais avec des dents atomiques aurait répondu Khrouchtchev à cette formule de Mao…). Ceux-ci veulent labourer frénétiquement les chairs et les âmes qui refusent leur modèle cybernétique, et veulent modeler, moduler de plus en plus les êtres singuliers (et nations) en « particules alimentaires », zombis branchés sur Métaverse et Netflix, voguant d’injection en injection (une fournée nouvelle achetée pour mai en France) pour les rendre dépendants médicalement. Ils veulent les transformer en nouveaux terreaux affairistes, scellant l’alliance objective entre Big Pharma, Big Tech et la Technostructure globale, le tout formant cette Secte hygiéniste, scientiste, affairiste avec le néonazisme comme cosmologie totale : création d’une race de Trans dont la démesure veut agir non seulement sur les corps, mais aussi le climat, en attendant de le faire sur l’univers (comme le réclamait l’une de leur pythie : Blanchot…).

Comment se fait-il que cette irrationalité « marche », que les médias, les grandes instances académiques et institutionnelles courent même, et ce non seulement sur cette question locale, mais aussi sur le sanitaire, le climat, la mondialisation « heureuse » ? À cela, peut-être deux réponses :

– d’une part, la séduction liée à la puissance de la Technique depuis deux siècles (bien analysée par Baudrillard) qui fait croire que cette dernière aurait réponse à tout, y compris résoudre pour de bon la souffrance dite existentielle à coup de pilules miracles (voir la baisse de l’espérance de vie aux USA chez les jeunes générations — Raoult en parle dans sa vidéo du 22 février 2022) ; d’où l’acceptation du discours scientiste prétentieux autour des virus et du climat, pensant qu’il serait possible d’éradiquer et de réduire sans se rendre compte qu’il s’agit surtout de syndémie et d’explosion de mégapoles qui ont créé des systèmes de saturation cependant de plus en plus régulés par les médecines alternatives et la réduction de la pollution (les moteurs thermiques d’aujourd’hui sont 98 % plus « propres »).

– D’autre part, l’intimidation liée au discours d’autorité qui fait que par exemple le journaliste en « questionnement » (alors que c’est son job) se verra rabroué par le cercle de référence supérieur (son chef, le relais intellectuel d’une revue jugée compétente, elle-même liée à d’autres cercles dits « académiques »), eux-mêmes filtrés aujourd’hui par tous les circuits de communication qui sont chargés autour des Pouvoirs de faire circuler l’électricité symbolique et d’en disjoncter les cercles « disruptifs » qui iraient à l’encontre du discours faisant office de perception nécessaire et suffisante.

Séduction et intimidation donc, ou les deux mamelles libidinales du syndrome de Stockholm où l’on voit la victime prendre le parti de son bourreau y compris jusqu’à le désirer physiquement tant, à force, la puissance brute fascine et donne envie de s’y soumettre ne serait-ce pour être reconnu, être au moins quelque chose plutôt que rien…

D’où la servilité de toutes ces jeunes générations fascinées, tels des lapins pris dans les phares, et s’en allant défendre bec et ongles une Secte qui les manipule pourtant jusqu’à leur faire prendre des vessies pour des lanternes : une femme est un homme en devenir (ou l’inverse) ; un enfant, un adulte en puissance ; la liberté serait la servitude (celle de « contaminer autrui » alors que l’injection s’est avérée contaminante…) ; et la paix serait la guerre continuée par d’autres moyens.

Dans cette inversion de plus en plus totale des perceptions. L’irrationalité devient antirationnelle et donc totalitaire au sens de ne plus accepter aucun débat, dialogue, discussion, car se poser une question serait déjà pour « eux » (les membres de cette Secte) devenir complotiste conspirationniste. Bref, nous nageons de plus en plus dans leur paranoïa, celle-là même qui déclenche la guerre, la vraie.

Comment s’en débarrasser ? En coupant leurs cordons toxiques. Lesquels ?…

Bonne question…

[Note de Joseph : une réponse plausible, même si elle sera souvent jugée irrationnelle ou délirante, se trouve sans doute plus facilement dans l’occultisme, l’ésotérisme ou même les religions, voire dans l’ufologie. Ces cordons y sont considérés comme l’influence directe ou la possession par des entités dites « satanistes », alors que les ufologues modernes parleraient plutôt de manipulation « reptilienne » ou « draconique » de la part de races non humaines. De telles influences, si elles existent bien, sont similaires à des mécanismes hypnotiques et la victime ne peut en sortir que par le biais d’un contre-hypnotiseur capable de déprogrammer l’individu en lui offrant par exemple un message plus fort apte à effacer le premier, ou bien lorsqu’elle vit un choc salutaire suffisant pour qu’elle se réveille d’elle-même, mais cette alternative entraînera probablement des séquelles psychologiques ou traumatiques plus importantes. Dans le monde, les chefs d’État, les « experts » de plateaux télévisés et les grands prêtres médiatiques les plus influents sont possiblement sous une telle emprise et utilisent à leur tour des mécanismes divers de contrôle mental sur les foules, notamment la psychose de formation de masse (voir Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin). Un message susceptible de les contrer est centré sur l’Amour, comme les camionneurs canadiens l’ont tenté. Cela n’a pas été suffisant, car il est nécessaire de parvenir à atteindre une masse critique de conscience positive avant de pouvoir contrebalancer l’influence malsaine de telles entités. Le convoi de la liberté aura cependant contribué à augmenter cette conscience au niveau planétaire.]




Quand une menace virtuelle est remplacée par une autre menace virtuelle… Le Sars-cov-2 a encore muté et le nouveau variant s’appellerait Poutine

Par Alain Tortosa

Quiconque a étudié le sujet et lu ne serait-ce que les données officielles (qui plus est mensongères), comme les rapports d’hospitalisation et de décès, n’ignore pas que le Covid n’a été qu’une grippe, voire une grippette.

Je rappelle que le réseau Sentinelle utilisé depuis des dizaines d’années pour observer les épidémies en France a constaté que le Covid n’a jamais atteint le seuil épidémique, pas même en mars-avril 2020.

Tout ceci pour radoter et répéter que nous ignorerions, encore aujourd’hui, jusqu’à l’existence même de cette « épidémie » sans le concours actif des médias et de tous les corrompus.

Dans le même temps de nombreux Français continuent de vivre dans la terreur de mourir du virus alors même qu’ils utilisent un gel « efficace », un masque « efficace », un passe vaccinal « efficace » pour tenir à distance les pestiférés non vaccinés ainsi que trois doses d’une injection « efficace » et « inoffensive ».

Nous vivions donc dans un monde « normal » de risque mortel du Covid, mais dans une parenthèse, un œil du cyclone le temps des élections françaises et le retour probable du méchant virus début juillet.

Mais il eût été irresponsable de laisser les Français et la planète souffler un peu après deux ans de pandémie mondiale.

Omicron a donc totalement disparu de la scène médiatique du jour au lendemain.

Celui-ci a été remplacé par « le variant Poutine encore plus contagieux et mortel ».

Alors que le Sars-cov-2 était « diabolique(([1] https://www.bfmtv.com/sante/jean-francois-delfraissy-on-a-affaire-a-un-virus-diabolique-et-beaucoup-plus-intelligent-qu-on-ne-le-pense_VN-202101240184.html))» selon les affirmations du président du conseil scientifique aussi nommé « tribunal de l’Inquisition », le variant Poutine est quant à lui un « psychopathe » (à la différence de notre gentil Président), « fou » (à la différence de…), et ressemble à Staline (à la différence de…).

« Le variant Poutine est le Mal et nous, les Occidentaux, sommes le Bien ! »

Nul doute que nos démocraties occidentales sont attachées aux droits de l’homme, à la démocratie, au respect des minorités, et contre toute forme d’apartheid… « pas comme l’autre enculé en face ».

Rendez-vous compte que ces jours-ci l’odieux personnage va jusqu’à réprimer des manifestations populaires, c’est dire le profil de l’individu !

Ceci n’est qu’évidence, bien sûr, et il n’y aurait qu’un complotiste antivax et de surcroît antisémite pour suggérer que la France ou les autres « démocraties » occidentales auraient basculé ces derniers mois d’une dictature molle vers une dictature dure.

Alors que se passe-t-il en Ukraine ?

Il est bien difficile de le savoir au regard de la propagande, néanmoins :

Version occidentale

Le malade mental, le variant Poutine a envahi par surprise (donc sans prévenir) la gentille démocratie ukrainienne.

Il a agi sans la moindre raison dans l’unique but de recréer l’ex-URSS puis de conquérir le monde.

Il prend plaisir à terroriser et tuer des civils.

Il est à ce point taré qu’il n’est pas impossible qu’il veuille aussi envahir les États baltes, la Roumanie ou la Pologne…

Heureusement l’OTAN est là pour nous protéger et de nombreuses troupes ont été déployées dans ces pays pour les protéger de l’invasion russe et de leurs chars qui pourraient bientôt défiler sur les Champs-Élysées.

(Je n’exagère absolument pas et ne fais que traduire le discours des médias français et occidentaux.)

Il est donc raisonnable de paniquer, l’apocalypse nucléaire est à nos portes, Sting(([2] « I Hope The Russians Love Their Children Too »)) a oublié si les Russes aimaient leurs enfants ou pas, bref l’horreur !

Version russe

La Russie voit son empire grignoté depuis des années.

L’Europe et surtout l’OTAN gagnent du terrain.

Si l’Ukraine rejoint l’OTAN, il y aura des bases américaines et des missiles à la frontière de la Russie, mais surtout la Russie perdrait le port de Sébastopol qui lui permet d’avoir un port qui n’est pas pris par les glaces en hiver.

Le pays (fabriqué après la chute de l’URSS) est divisé en deux parties.

À l’ouest les pro-occidentaux armés par l’OTAN et à l’est, dont le Donbass, les pro-russes russophones et russophiles tournés vers la Russie.

Les pro-occidentaux considèrent les Russes comme des sous-hommes et des milices nazies (niées aujourd’hui par l’occident(([3] https://www.lefigaro.fr/international/2018/05/18/01003-20180518ARTFIG00007-ukraine-les-milices-extremistes-du-bataillon-azov.php))) les oppriment depuis des années.

(À titre personnel je croyais que les Russes en faisaient un peu trop en parlant de nazis,(([4] https://www.lapresse.ca/debats/chroniques/lysiane-gagnon/201505/01/01-4866065-aider-les-neonazis.php)) mais ces mouvements le sont vraiment.)

Sans compter le gazoduc russe qui passe par l’Ukraine, ce qui constitue un danger pour la Russie.

D’où la création de Nord Stream2 un gazoduc dont ne veulent pas les Américains qui ont menacé les pays qui l’utiliseraient de représailles et qui alimentera directement l’Allemagne.

Les Américains ne veulent pas pour des raisons économiques et géostratégiques que l’Europe soit dépendante du gaz russe.

Ils veulent que l’Europe commerce uniquement avec les USA et surtout pas l’empire russe.

Des faits

  • Il est un fait que Poutine a envahi l’Ukraine ce qui n’est pas légal… mais logique.
  • Il veut faire du pays une zone neutre démilitarisée dont la sécurité serait garantie et avec la certitude qu’elle ne rejoindra pas l’OTAN.
  • Il est un fait que Poutine veut récupérer l’est du pays dans la fédération comme le désirent les habitants russophones.
  • Il est un fait que l’OTAN est une menace pour la Russie. Imaginez l’implantation de bases russes demain matin au Mexique ! Imaginez le tollé occidental (à juste titre). La dernière fois, c’était à Cuba sous Khrouchtchev, et ça a failli mal tourner.
  • L’OTAN n’a jamais signé d’accords juridiques contraignants(([5] https://www.monde-diplomatique.fr/2018/09/DESCAMPS/59053)) de non-expansion, mais il n’en demeure pas moins vrai que des promesses n’ont pas été respectées.
  • Il est un fait que l’occident a armé des néonazis en Ukraine.
  • Il est un fait que l’Ukraine de l’Ouest mène une guerre dans le Donbass(([6] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1014582/6-points-pour-comprendre-guerre-ukraine-russie-crimee)) contre les pro-russes dans l’indifférence de l’occident.
  • Il est un fait que la Russie veut pouvoir écouler son gaz vers l’Europe et avoir des échanges commerciaux.

Il est donc légitime de poser la question quant à savoir qui est l’agresseur. (cf. base russe au Mexique).

À qui profite le crime ?

  • Poutine va sortir gagnant militairement, l’Ukraine ayant été trahie par les Occidentaux et les promesses d’intégrer l’OTAN. Elle a le champ libre pour faire de l’Ukraine ce qu’elle veut et personne ne lui mettra des bâtons dans les roues mis à part des fous de guerre comme Bernard Henry Lévy.
  • Les gouvernements occidentaux vont pouvoir nous maintenir dans la peur du variant Poutine pendant des années.
  • Les budgets militaires à l’est et à l’ouest vont pouvoir exploser.
  • La main mise des USA sur l’Europe (OTAN) va s’accroître. De là à ce que nous ayons des bases américaines sur notre sol (refusé par De Gaulle), il n’y a qu’un pas si le peuple français ne réclame pas son indépendance.
  • L’augmentation du prix de l’énergie va profiter notamment aux Américains et leur gaz de schistes qui coûte cher à l’extraction (et super écolo) qui n’était plus rentable avec un pétrole trop bas. De fait, la dépendance de l’Europe vis-à-vis des USA va s’accroître aussi bien économiquement que stratégiquement.
  • Beaucoup d’intervenants vont se faire des fortunes.
  • Les peuples vont payer la facture.

Mensonges

Qui peut croire que la Russie va payer économiquement pour son « crime » sans qu’il y ait de représailles de sa part ?

Les grands discours annoncent qu’elle va être isolée alors même que l’Inde et la Chine ont officiellement annoncé qu’ils étaient prêts à commercer avec elle.

Si vous additionnez les populations des pays pro-russes, de l’Inde et de la Chine, vous arrivez à plus de 3 milliards d’habitants !

Les menaces de sortie du système Swift sont du vent, la Russie ayant développé un autre système de liaison interbancaire qui lui permettra de contourner l’interdiction (peu probable).

Nos menteurs promettent aussi que la Russie ne pourra plus avoir accès à la haute technologie alors que cette technologie est en Chine.

Nos menteurs promettent que les Russes ne pourront plus (ou moins) vendre leur gaz alors même que l’Europe a une dépendance vitale au gaz russe et que les pays producteurs ne pourront ni fournir ni acheminer des quantités suffisantes.

Sans compter que les Russes peuvent fermer le gaz quand ils veulent.

Alors les menteurs parlent de geler les avoirs occidentaux de Poutine et autres, comme s’il n’avait pas pris les devants.

Sanction contre nous-mêmes

Si vous avez des enfants lisez l’album de Luky-Luke(([7] https://www.dupuis.com/lucky-luke/bd/lucky-luke-tome-19-les-rivaux-de-painful-gulch/640 )) « Les rivaux de Painful Gulch »

Dans celui-ci deux familles se détestent et se battent.

Au plus fort de leurs différents le patriarche d’une des familles demande que l’on sabote la laiterie, et la mère de répondre : « mais on boit du lait nous aussi ».

Ordre est quand même donné, puis un peu plus tard on entend une explosion.

Le patriarche se réjouit et le fils revient, la mine déconfite, en disant « les autres l’ont fait sauter avant nous ».

Ce qui le met en rage, car les autres ont osé faire sauter la laiterie avant…

Nous en sommes là…

Toutes les mesures dites de « représailles » contre les Russes vont se retourner directement contre nous, mais avec un effet boomerang.

Cela n’empêche pas des guignols politiques comme Bruno Lemaire de nous faire croire que les Russes vont payer, mais que nous serons épargnés.

À les écouter, la puissance militaire de la France permettrait de faire plier l’armée russe !

Mais « il en va de l’honneur du monde libre, de la lutte du bien contre le mal ». (fou rire dans la salle, comme si un dirigeant au monde en avait quelque chose à foutre des droits de l’homme.)

Personnellement, j’attends encore les décisions fortes contre le Qatar, l’Arabie Saoudite, la Corée du Nord ou contre la Chine pour défendre les droits de l’homme !

Il y aura bien des mesures, mais principalement pour la galerie…

Mais qui seront les victimes ? Les peuples bien évidemment !

Non seulement nos dirigeants n’en ont rien à foutre, mais en plus :

  • Ils vont gagner en crédibilité et stature de chefs d’État avec leur intransigeance de façade.
  • Ils vont pouvoir nous maintenir dans la peur pendant des années. Cela a été annoncé par le Président de la République nous indiquant qu’on va morfler pendant longtemps. Une majorité de Français s’apprête à revoter pour un président qui nous a donné de la souffrance et des larmes face au Covid et qui nous promet de la souffrance et des larmes face à Poutine.
  • Ils vont pouvoir créer de l’inflation et des impôts pour nous spolier un peu plus ou payer les intérêts de la dette.

Tout n’est que cirque médiatique, et l’Europe va continuer à acheter du gaz russe dont elle a un besoin vital.

Et on n’ira pas faire la guerre à une puissance nucléaire dont on dit que le dirigeant est un fou dangereux.

Le prix du gaz va exploser et donc celui de l’énergie (électricité…) aussi, ainsi que le prix du blé et d’autres matières premières pour notre plus grand malheur et le plus grand bonheur des entreprises du secteur et de nos dirigeants corrompus.

Nous serons les victimes comme le peuple russe sera aussi la victime subissant inflation, restrictions de libertés et angoisses.

Les « journalistes »

J’ai pris soin de regarder aussi bien les BFM et autres… que RT France (Russia Today), c’est dire à quel point je pourrais être condamné pour « intelligence avec l’ennemi ».

Il est intéressant de voir que la propagande occidentale n’est qu’à charge contre le variant russe.

Nous avons de nombreuses preuves que les journalistes présentent des fausses informations volontairement fabriquées afin de coller au récit.

Sur RT, où il y a bien sûr de la propagande, force est de constater que des pro-occidentaux ont aussi une libre parole.

Il est intéressant de voir que le niveau de mensonges de nos médias mainstream est au moins aussi délirant que pour la crise du Covid.

Le « journaliste » n’est qu’un pion actif au service de la propagande.

Nous sommes largement au-delà de l’incompétence, mais dans la fabrique du mensonge.

Conclusion ?

  • Oui, Poutine est un enculé, mais il fait bien le job et il a des raisons légitimes d’intervenir en Ukraine.
  • Les occidentaux, pour le coup, sont largement autant, voire plutôt plus, de sacrés enculés.

Comme pour le Covid, une majorité du peuple qui tire son savoir de l’AFP va gober et subir « avec joie » les mesures dictatoriales qui ne manqueront pas de surgir pour le « bien » de la nation et du « monde libre ».

Nombreux seront ceux, comme durant la guerre froide, qui vont avoir peur de voir des chars russes sur les Champs-Élysées.

Nous allons donc pouvoir continuer à vivre dans la peur d’un ennemi invisible… comme pour le Covid.

La question qui se pose est : comment allons-nous partager toutes ces peurs ?

Entre le Covid (ou son cousin) qui ne manquera pas de revenir, le « réchauffement climatique » qui menace la survie de l’espèce avec les « odieux humains qui expirent du CO2 » ainsi que le variant « Poutine le Barbare », nous sommes équipés pour un bon moment.

À la question « de qui avez-vous peur aujourd’hui entre Poutine et Macron » ?

Ma réponse est « Macron » sans hésiter (mais aussi les responsables de tous les partis présidentiables).

Merci.

Alain Tortosa

26 février 2022.
https://7milliards.fr/tortosa20220226-covid-nouveau-variant-poutine.pdf





Précisions et point de vue sur l’intervention russe en Ukraine

[Source : Qactus]

À 5 heures du matin des explosions sont entendues sur la rive droite de Kiev… Des attaques par drones sont faites sur des sites stratégiques, (Armes, matériel, commandement militaire, station électriques, gaz, pétrole.) ….

L’invasion des troupes Russes a commencé, c’est le service de presse du ministère de l’Intérieur Ukrainien qui rapporte ces informations.

Le lancement du BM-30 « Smerch » depuis le Belgorod russe en direction de l’Ukraine :



Les aéroports de Kiev, Kharkov Dniepropetrovsk fermés ainsi que les espaces aériens… Toutes les villes sont touchées… Les hackers Russes ont mis hors service les sites Web gouvernementaux, les banques de données du ministère de la Défense sont touchées…

L’arrivée d’un missile de croisière à Ivano-Frankivsk :



Poutine a officiellement déclaré à 5 heures du matin, que la Russie est en guerre avec l’Ukraine… et que ceux qui veulent se mêler de cette histoire sont attendus de pied ferme.
Il a déclaré que celui qui désire donner des ordres à la Russie devra bien réfléchir dorénavant…

Des troupes aéroportées sont déjà en position dans les villes et lieux stratégiques… Le pays est bloqué.

Embouteillage à Kiev

Les missiles viennent de frapper le centre de l’administration militaire, des aérodromes, des dépôts militaires stratégiques à Kiev, Karkhok, Dniepropetrovsk. Le bombardement d’artillerie de la frontière est en cours.

Carte des objets de l’infrastructure militaire des forces armées de l’Ukraine qui ont subi des frappes

Poutine vient de dire que cette opération d’envergure n’est pas dirigée contre le peuple Ukrainien, mais contre tous ceux et celles qui depuis 30 ans se moquent d’eux, des Russes et pensent diriger ou contrôler le monde…

Poutine est vraiment en colère et emploi un ton martial… Il invite tous pays complices et manipulateurs à intervenir directement comme ils le promettent dans les médias et journaux complices…

Malheureusement, c’est bien ce que nous disons depuis des années…

Il est très dangereux de vouloir humilier un peuple… Souvenez-vous de l’Allemagne et de son humiliation après la première guerre mondiale…

[Note de Joseph :
la partie suivante de l’article est nettement plus « complotiste », avec une part qui relève (très ?) probablement davantage d’opinions, d’espoirs, d’illusions et/ou de croyances que de faits avérés. À prendre avec un grain de sel, comme on dit au Québec.]

Les khazars Sionistes Rothschild sont vraiment dans la merde… Poutine vient de dire qu’il va désarmer l’Ukraine, mettre le drapeau Russe sur le pays, arrêter toutes celles et ceux qui ont été complices de cette situation depuis les premiers jours de l’indépendance de l’Ukraine…

Tous les oligarques fanfarons, ces imbéciles profonds et incompétents que nous avons connus, sont soit en fuite, soit-on déjà quittés le pays depuis 15 jours à destination de l’Angleterre, Monaco et autres…

C’est à la fin du bal que l’on sait si la musique était bonne…

L’addition vient d’être présentée à celles et ceux qui ont festoyé comme des porcs…

Maintenant, l’arbitre vient de siffler la fin du match…
Les grands spécialistes de politique, économie, stratégie et autres conneries vont devoir réapprendre l’humilité, le respect et le bon sens…

Ce n’est pas un vieux pédophile sénille qui n’est même pas président des États-Unis qui va pouvoir trop longtemps manipuler le monde avec ses fidèles et serviles vassaux…

Poutine a lancé le grand nettoyage mondial !!

La fin prochaine du virus bidon et des vaccins/poisons ou plutôt des piqûres mortelles… Une peur terrifiante va s’abattre sur tous les dirigeants crétins des pays idiots qui vont devoir se réveiller vraiment… Ce n’est pas une guerre de conquête, mais de nettoyage…

La peur fait parler et délie les langues… Ça commence par les journalistes ukrainiens qui commencent à raconter tout ce qu’ils savent et n’ont jamais dit…

Ce que disent les journalistes ce matin…

L’Ukraine est sous le contrôle total d’un groupe de Sionistes (ils ne parlent pas encore des khazars Sionistes Rothschild, mais je suis sûr que ça va venir) qui dirigent et contrôlent tout le pays, le SBU (ex-KGB services secrets), l’armée, les ministères et tous les ministres et politiques…

Une journaliste vient de téléphoner pour l’informer que Trump est avec Poutine pour mettre en place le grand nettoyage… C’est un plan bien ficelé, planifié et prévu depuis très longtemps… Pendant que les idiots voleurs et psychopathes dansaient, Poutine et Trump travaillaient dur et efficacement…

Prions pour que tout se déroule selon le plan de Dieu…




Le traité sur la prohibition des armes biologiques sert-il à quelque chose ?

Par John Hunter

Le traité sur la prohibition des armes biologiques.1972. Un rappel. Autres considérations

Biological weapons convention treaty. BWC.

(Source Dr Richard Fleming.)

Ce traité oblige les parties signataires, dont la France, à interdire les armes biologiques. (Il est maintenant notoire que le covid-19 n’est pas une zoonose, mais une fabrication en labos, une chimère qui croise ensemble plusieurs particules génétiques d’autres virus avec la technique CRISPR.)

(Source Luc Montagnier.)

Ce traité entre en vigueur en 1975 et interdit le développement, l’accumulation, le stockage et la production d’agents biologiques et de Toxines de certaines natures et en quantité qui ne servent à rien pour la prophylaxie ou d’autres usages pacifiques. Les transferts de cette technologie sont aussi interdits. Ce traité invoque aussi la Convention de Genève de 1925 et enjoint les signataires à détruire les stocks dans les neuf mois. La défense contre une attaque par armes biologiques n’est pas exclue, mais les trois investisseurs ne supposaient aucune possibilité d’attaque biologique imminente.

Compréhension

Les USA, la France, l’Australie qui ont investi dans cette aventure, à Wuhan ou ailleurs, Fort Detrick ou Institut Pasteur sont coupables d’avoir violé ce traité.

Il y a la version Fourtillan : ce sont deux chercheurs de l’institut) Pasteur qui ont élaboré cette chimère et l’ont envoyé à Wuhan et cela se confirme de plus en plus. Vont devoir figurer à Nuremberg 2. Pasteur doit se retourner dans sa tombe. Qui va payer les compensations ?
Les contribuables français.
Comme ça se chiffre en quadrillions, autant se vendre comme esclaves tout de suite !

Aux USA C est le Dr Fauci qui a investi dans le centre de virologie de Wuhan avec évidemment un transfert de technologie.

À la suite de cela ce fut un raz de marée de pathologies sur le monde et une irruption de substances expérimentales introduites dans l’urgence et qui n’ont pas achevé leur période de tests. Maintenant c’est la pandémie des « vaccins » avec des débilités graves et des décès. Eudravigilance en Europe :

Décès 12,184 au 22 mai 2021. Puis au 21 juillet, 18 928 morts. Pour les 4 vaccinateurs, débilités graves et irréversibles : 1,8 million. En février 2022, 34 000 morts, et on est en dessous du chiffre réel.

Il n’y aurait pas un problème ? L’UE n’en parle plus du reste et aborde le Great Reset au lieu d’autre chose. Silence aussi sur le graphène et la recherche que vous financez. Plus on avance et plus on cache la montagne de poussière sous le tapis.

On ne comprend plus l’acharnement de l’État ou de l’Europe à vouloir vacciner toute la population. Il doit y avoir un agenda caché.

Quel serait-il ?

Dépeupler est le plus plausible.

Autre chose ?

Fabriquer des transhumains, des cyborgs qui vont devoir vivre au rythme des machines et auront perdu tous leurs droits. (Arrêt de la Cour Suprême aux USA. Les cyborgs appartiennent aux labos pharmaceutiques qui ont injecté leurs gènes préfabriqués dans ces vaccins et les distribuent. Les vaccinés n’ont pas compris qu’ils appartiennent à Pfizer et autres et ne sont plus que des transhumanisés.

Quelles machines ?

La 5G, les éoliennes, LINKY…

Comment faire le lien entre peuple et machines ?

En introduisant du graphène dans les « vaccins » qui va au cerveau et constitue une antenne. Le graphène, un nano très robuste, est biologiquement assimilable et s’assemble en microstructures dans les cellules du cerveau, rendant celui-ci magnétique [les clés se collent sur le front]. Le graphène intervient ensuite dans les neurones et les synapses pour une mission spéciale : prendre le contrôle de la pensée, des automatismes, etc. Il y a adéquation complète entre graphène et 5G. D’où les sabotages mondiaux des antennes 5G.

En ce qui concerne les éoliennes, les résidents sont déjà en phase, pour les troubles du sommeil avec les éoliennes puisque la recherche Cooper a démontré les troubles commençant quand la turbine accélère ou décélère sa production d’énergie de 10 %. La corrélation devient cause.

En conclusion, les dès sont jetés pour une reprogrammation génétique de la population, avec extension aux générations futures ! pour un génocide et un État éminemment liberticide qui va régler le sort des survivants à la baguette.

C’est le Nouvel Ordre Mondial ! Ce plan est si crucial pour eux qu’une commission anticomplotiste vient d’être créée en provenance de l’Élysée. Il s’agit d’endiguer et de supprimer le flot de dénonciations des experts qui se succèdent sur le Web. Vous avez connu les fact checkers, les deplatformings, ceci n’est qu’un début. La persécution des médecins non alignés s’installe. L’appareil d’état est déchaîné. Réprimer, réduire au silence et isoler. Les préfets ont ordre de rapporter les agitations sociales tous les jours au ministère de l’Intérieur.

Il est bien évident qu’ils ne se permettent plus d’échouer dans la mesure ou les machinations sont découvertes une a une qui bafouent les constitutions mondiales et forment le grain à moudre de futurs procès Nuremberg 2.

Donc, les Européens, accrochez vos ceintures, car cela va tanguer !

Pour voir ce qui vous attend, regardez l’Australie et l’appli que les citoyens doivent télécharger. L’appli est G2G sortie il y a un mois. Karen Kingston, analyste en biotechnologie, l’a commentée. Une plateforme d’obéissance civile très proche des Chinois. Reconnaissance faciale, prescriptions précises de vaccination et amendes pour dissidents. Il est prévu des vaccins plus forts pour eux et les régulateurs seront le corps médical [soumis] et la police.

Tous les médecins qui ne rentrent pas dans la case se verront révoqués et peut-être injectés de force avec des vaccins plus puissants. Lire euthanasie.

Ceux qui se soumettent bénéficieront de vaccins plus faibles, moins dangereux.

Veulent-ils vider l’Australie de ses habitants ? On le dirait.

Quel est l’État qui n’entre pas dans ce complot infâme ?

Le Vatican ?

Vous faites erreur, les gardes suisses non injectés doivent rendre leur armure et leur costume !
Peut-être les Russes, ?
Non, leur vax contient des nanos.
Alors qui ?
À vous de faire l’enquête ….




L’insémination artificielle solidaire et forcée sauvera l’humanité !

Par Alain Tortosa

(de même que la vaccination obligatoire…)

Dans les années 2020, un groupuscule terroriste menaça l’humanité en s’opposant à la vaccination solidaire et obligatoire.

Leur slogan était :

« mon corps m’appartient ! »

Les intentions criminelles de ces fous étaient d’autant plus incompréhensibles :

  • Que l’humanité était menacée par un virus mortel appelé Sars-Cov-2.
  • Qu’il n’y avait aucun traitement disponible.
  • Et que le vaccin efficace ne présentait strictement aucun effet secondaire.

Ils ne démordaient pas du « mon corps est ma propriété » en ajoutant « une fois injecté, un vaccin ne peut plus être retiré ».

Je rappelle à ceux qui n’étaient pas nés ou trop jeunes pour s’en souvenir que cet odieux virus s’attaquait principalement aux personnes âgées en fin de vie et qu’il était indispensable que les enfants les protègent.

Par chance, les peuples du monde entier disposaient du bon sens nécessaire qui permit de vacciner plus de 90 % de la population mondiale et ainsi faire reculer le virus pendant trois mois.

Pourquoi je vous parle de cette époque me direz-vous ?

Pour la simple raison que l’histoire se répète, encore !

Cela fait maintenant plusieurs dizaines d’années que notre planète connaît une progression fort inquiétante de la stérilité. Si au début de la crise nous nous réjouissions parce qu’elle touchait principalement les pays pauvres, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Les cinquantenaires commencent à paniquer (avec raison) pour leurs retraites, et au-delà c’est l’avenir du monde qui est en question.

Les experts estiment que si nous n’avons pas trouvé une solution viable d’ici 70 ans, nous risquons l’extinction pure et simple de la race humaine.

Il y a consensus scientifique pour déterminer les causes de ce fléau qui a débuté juste après le Sars-cov-2 et la vaccination massive :

  • La consommation de viande et de produits d’origine animale.
  • Le réchauffement climatique.

Autant il a été relativement facile, malgré quelques heurts, de résoudre le problème de la viande en interdisant tout commerce (à noter qu’il existerait des lieux clandestins de consommation).
Autant le réchauffement climatique est un chantier que nous avons pris à bras le corps, mais qui risque de prendre encore au moins un ou deux siècles avant de le résoudre.

Nous avons fait notre maximum pour lutter contre cet infâme CO2 :

  • Mise en place du passeport vert.
  • Interdiction des déplacements individuels non stratégiques.
  • Quotas de consommation de CO2.
  • Interdiction de l’habitat individuel.
  • Etc.

Bref, un ensemble de mesures de bon sens que seul un fou aurait pu rejeter…

Mais hélas, même si ces mesures ont permis un ralentissement de la progression, l’humanité demeure subir ce changement climatique avec l’augmentation de la stérilité qui en découle tout naturellement.

Ne croyez pas que notre République Démocratique Mondiale soit restée impassible face à ce fléau.

De nombreuses campagnes d’information et d’incitation ont été menées dans les zones riches pour inciter les femmes fertiles en âge de procréer à faire des enfants. Hélas nous savons tous que convaincre n’est pas suffisant, qu’il existe encore beaucoup trop d’égoïstes irresponsables sur la planète.

Nous pensions aussi que les utérus artificiels, si prometteurs, permettraient de résoudre le problème, mais il s’avéra que leur rapport bénéfice coût était catastrophique.

Plus de 90 % des fœtus n’arrivaient pas à terme et la gestion artificielle fut interrompue. Vous pourriez justement me dire « qu’est-ce qu’on en a à foutre, ce n’est que de la viande »… Oui, mais c’est oublier le gaspillage d’ovules si précieux et si rares.

C’est donc ainsi que la loi sur l’insémination obligatoire des femmes en capacité de procréer (avec obligation de don de semence pour les hommes non stériles) a été promulguée sur recommandation de l’OMS et des autorités sanitaires.

« Toute femme non stérile devra obligatoirement être inséminée avec un intervalle maximal de huit mois entre chaque grossesse ! »

Ainsi grâce à cette mesure solidaire et de bon sens, nous espérons résoudre le problème de la natalité le temps que nous ayons résolu le problème climatique.

Et c’est là que nous voyons ressurgir les extrémismes des heures les plus sombres de notre histoire.

Entendez-vous qu’une minorité de femmes extrémistes (avec la complicité de certains hommes) s’oppose à cette loi de progrès en disant :

  • « Mon corps m’appartient ! »
  • « Je ne suis pas une pondeuse ! »
  • « Je suis contre la procréation artificielle ! »
  • « Ma liberté est de choisir ou refuser ! »

(Rappelons que la procréation naturelle est trop aléatoire et qu’il ne saurait être question de laisser la nature décider de notre avenir.)

À l’heure de la menace planétaire, les intérêts individuels ne peuvent prendre le dessus sur l’intérêt collectif.

C’est aussi égoïste qu’irresponsable !
La liberté ce n’est pas participer activement et avec préméditation à la fin de l’humanité !
La liberté ce n’est pas être complice de l’extinction de l’espèce humaine !
Alors, rappelons le slogan du gouvernement :

« Je suis pour la vie, je suis pour l’insémination artificielle forcée ! »

Et notons aussi sa générosité :

  • Les premiers tests.
  • Les traitements hormonaux.
  • L’insémination artificielle.
  • La grossesse dans les camps luxueux aménagés (avec visite possible du conjoint tous les quinze jours).
  • La césarienne (on ne peut pas prendre le risque d’un accouchement par voie basse).
  • Les trois premières années de vie du bébé dans ces mêmes camps (la maman étant autorisée à séjourner encore un mois après la mise au monde).

Tout est gratuit !
Oui 100 % gratuit !
Les frais sont entièrement pris en charge par la collectivité !

Et certains osent se plaindre ?

Alors malgré des siècles de progrès social et d’avancée de l’humanité, nous en sommes finalement au même stade qu’en 2020 quand les complotistes antivax clamaient des slogans identiques :

  • « Mon corps m’appartient ! »
  • « Je suis libre de refuser l’injection d’ARNm ! »
  • « Qui connaît les effets à long terme des injections expérimentales ! »
  • « À quoi bon me vacciner si je suis en bonne santé ! »
  • « Quel est le rapport bénéfice vs risque et les effets secondaires ? »

Mais fermez là bande de cons !

Non, votre corps ne vous appartient pas dès lors que vous vivez en société !
Quittez la planète et allez vivre sur Mars si vous voulez !

Les devoirs collectifs passent avant les droits individuels !

Nul ne peut mettre en danger l’avenir de la société à des seules fins égoïstes !

Merci.

Alain Tortosa

Prophétie du 20 février de plus tard…

https://7milliards.fr/tortosa20220220-insemination-obligatoire.pdf




l’Histoire de l’Ordre Mondial par Eustace Mullins

[Source : Deconnexion lemagazine]

[Voir aussi :
Sous le signe de Baal : Eustace Mullins et le culte noir des vaccins
et
Meurtre par injection]




Comment Big Pharma et Bill Gates luttent contre la démocratie et la santé publique

[Source : Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie
@LigneDroiteMatinale]






En Iran, on surveillait mon voile, en France, on contrôle mon masque

[Source : RL]

Par Élisabeth Lalesart

J’ai rendez-vous sur le port à Toulon, devant la sculpture « Le génie de la navigation » plus connue sous le nom de « Cuverville ». Je prends par cours Lafayette, là où un carton contenant une tête avait atterri en plein jour, événement devenu banal somme toute, dans un pays où il est décrété que l’insécurité est du domaine du fantasme.

Bizarrement, ce ne sont pas les voilées qui vont me renvoyer dans le temps, ce sont les masqués !
Bien qu’il n’y ait aucun contrôle depuis belle lurette, et qu’au vu de l’heure, il n’y a pas foule non plus, ce qui se traduit par une distanciation d’office de quelques dizaines de mètres entre chacun, je retrouve l’esprit de zèle à la soumission chez ces masqués.

Au début de la révolution islamique, le voile n’a pas été obligatoire tout de suite. Encore mieux, l’ayatollah Khomeyni et son entourage rassuraient la populace en jurant la main sur le cœur que tout ce qui se rapportait au port du voile n’était que rumeur, colportée par des haineux et méchants non pas complotistes, le mot n’existait pas, mais « anti-révolutionnaires », ou encore « passéistes, has been, royalistes ». Parallèlement, ils ont mis très vite en place ce que je nomme mieux grâce à l’actualité : la « cancel culture ». Notre histoire, nos ancêtres et tout ce qui se rapportait aux rois perses qui faisaient notre fierté ont été gommés purement et simplement de nos livres et programmes scolaires. Toujours dans l’esprit d’aujourd’hui, en parlant de novlangue, ils ont mis un point d’honneur à ringardiser l’utilisation des mots persans, en les remplaçant par des mots d’origine arabe. Et il était de bon ton de les prononcer avec l’accent qu’il faut, c’est-à-dire un bien plus raide et plus guttural que le persan natif. Tiens tiens, ça me rappelle nos banlieues !

D’ailleurs pour preuve, Ghotbzadeh, l’homme qui accompagnait Khomeyni dans l’avion d’Air France qui le ramenait de Neauphle-le- Château à Téhéran, avait sa nièce qui naviguait dans les milieux huppés, maquillée et déshabillée à outrance, à l’occidentale ! J’étais écœurée par ces femmes qui se voilaient et pire encore, voilaient leurs petites filles d’à peine 5 ans, alors que rien n’était encore imposé. Un bout de tissu présenté comme libérateur et salvateur du regard et de la perversion de l’homme, garant d’une bonne conduite vis-à-vis de Dieu. Le masque n’est-il pas présenté comme notre passeport pour la liberté, sauveur face à la maladie et garant d’une bonne conduite vis-à-vis de la bien-pensance moralisatrice qui estampille les soumis, comme de bons citoyens responsables opposés aux irresponsables, comme l’étaient désignées les femmes non voilées en Iran, victimes de viols ou d’agressions ?

Quand même, étant entendu que le gouvernement a dit que le masque ne servait à rien, puis l’a rendu obligatoire, et là en 2022, on nous dit qu’en fait pour être efficace il eût fallu des FFP2, dont peu de gens savent même à quoi ça ressemble, comment certains sont prompts à le porter sans y être forcé ? En plus à des moments ou des endroits où l’utilité est improbable ? J’en ai même croisé seul ou en couple, à la plage !

La vraie question qui m’a chagrinée à ce moment précis, c’est comment puis-je être témoin, par deux fois dans l’histoire de l’humanité, de ce processus de soumission inconditionnelle, de la palper et de l’appréhender d’aussi près ?

Quelle malchance ! J’ai envie de crier, de secouer les gens en leur disant : mais n’avez-vous pas vu ce qui arrive après ? Mais je piétine, je suis en avance et faisant du surplace, je commence à avoir froid. Je me dis que ça ne sert à rien, les gens ont finalement le sort qu’ils méritent. Gagnée par une grande lassitude, je me dirige vers le centre commercial qui ouvre à peine. Et là, encore et encore, la réalité me rattrape et me sort de mes réflexions.

Un vigile au regard vide, dénué de toute empathie, vient de me faire un signe de tête accompagné d’un grognement sourd : il faut que je monte mon masque pour qu’il recouvre mon nez. Comme jadis, un pasdaran, gardien de la République islamique l’avait fait, cette fois-là, dans l’autre sens, il fallait que je descende mon voile sur mon front.

Mon sang s’est glacé, la machine à broyer la liberté est bel et bien en marche. Chaque petit soldat se contentant d’imposer son petit bout de « diktat » sans même savoir combien il contribue à l’avènement du « Grand diktat » !

Élisabeth Lalesart




Comment début 2022 un pneumologue peut-il adhérer totalement à la doxa ? Être pour toutes les mesures sanitaires, pour la vaccination obligatoire, la dictature, etc.

Par Alain Tortosa

J’écris « un » parce que c’est un exemple vécu, mais il est évident que je pourrais écrire « la quasi intégralité des pneumologues ».

Ceci est d’autant plus perturbant que de l’autre côté de l’échiquier des médecins, tout aussi diplômés et respectables, ont fait le choix de dénoncer toutes ces mesures, aussi bien leur inefficacité que leur dangerosité.

Alors pour en revenir à mon exemple, comment un médecin (a priori) intelligent, extrêmement impliqué dans le devenir de ses patients et avec vingt ans de pratique, peut en arriver à ne pas douter et basculer dans un extrémisme qui touche au religieux ?

Ce n’est pas le cas de celui-ci, mais dorénavant des « médecins » de ville affichent qu’ils refusent de prendre en charge des malades non vaccinés ; c’est dire le degré de folie.

« Interdit aux lépreux ! »

Le consentement libre et éclairé qui est inscrit dans la loi, pierre angulaire de la médecine, n’est plus.

Je précise que toute la suite de mon texte relève de données officielles, d’études publiées dans des revues scientifiques ou par l’OMS et que d’aucuns peuvent qualifier de « complotistes » pour se disculper de leur devoir d’information et de recherche.

Mon pneumologue que je vais nommer Jean-Michel pour des raisons de facilité d’écriture considère que le gouvernement est bien « gentil » et plutôt laxiste en permettant aux non-vaccinés d’aller à l’hôpital.

En revanche, il n’a aucun état d’âme pour prendre en charge des fumeurs chroniques qui peuvent saturer les réanimations.

Médecin qui approuve les interdictions de fumer dans les lieux publics et peste contre le tabagisme passif qui peut nuire à autrui.

Jean-Michel impose donc le masque là aussi sans état d’âme et avec conviction…

Il faut qu’il soit mis et même « bien mis » par sa clientèle y compris des enfants…

Rien à redire suite à l’obligation faite aux enfants de le porter à l’école 10 heures par jour ou plus…

Nous sommes de toute évidence dans une gestion de crise, en temps de guerre, et il existe des priorités !

Je vous rappelle que Jean-Michel est pneumologue, qu’il traite des patients qui ont des problèmes respiratoires…

Vous avez essayé de porter un masque avec une pneumonie ? Moi oui, pendant quelques secondes !

La capacité de l’humain à débrancher son cerveau est quand même remarquable…

(Au point que les extraterrestres ont dû classer notre planète dans la catégorie à protéger, tant nous devons être uniques dans l’Univers)

Attendez :

  • Jean-Michel porte un masque « efficace »… Comme « le masque protège les autres, mais pas soi » (il va m’en falloir des cours de rattrapage)… il ne peut donc nous reprocher de faire courir un risque aux autres patients, Jean-Michel portant le sien.
  • Jean-Michel aère bien évidemment son cabinet entre chaque patient en prenant soin de ne pas être sur le chemin du courant d’air entre la table d’auscultation et la fenêtre… à moins qu’il ne se baisse quand il ouvre la fenêtre pour éviter les virus qui ont soif de liberté.
  • Jean-Michel utilise du gel hydroalcoolique « efficace » au point qu’il a installé une citerne de 10 000 litres à l’arrière du cabinet.
  • Jean-Michel est bien entendu triplement vacciné d’un vaccin « efficace » et attend sa quatrième dose « efficace ».

Et vous voudriez me faire croire qu’imposer un masque à ses patients améliorerait la sécurité de tout un chacun ?!

Je ne sais pas vous, mais à ce stade je ne vois plus que l’autopsie du cerveau de Jean-Michel pour comprendre…

Ah pardon, la seule erreur de Jean-Michel est d’ausculter ses patients, ce qui pour le coup est totalement irresponsable.

De nombreux praticiens sont passés à la consultation à distance, ce qui me semble beaucoup plus raisonnable et au moins autant efficace et humain…

Alors, hormis cette erreur, comment Jean-Michel a-t-il pu basculer dans ce monde délirant ?

Il est non seulement persuadé de vivre dans les tranchées de Verdun depuis deux ans, mais aussi persuadé que les mesures et les solutions actuelles ne sont pas à remettre en question.

Il ne doute pas, comme mon frère qui faisait son service militaire à Berlin dans les années quatre-vingt, qui était intimement convaincu de l’attaque imminente des Soviétiques.

Jean-Michel semble avoir des certitudes et il serait totalement vain de chercher à discuter avec lui.

Il ne verrait que folie et délire dans mes propos irresponsables.

Pourquoi un médecin totalement impliqué dans son métier ne dispose-t-il pas des informations publiques dont moi, simple quidam (ce que certains covidistes ne manquent pas de me reprocher), j’ai connaissance ?

Comment peut-il ne pas douter ?

Comment peut-il ne pas se faire sa propre opinion ?

Comment peut-il ne pas se questionner ?

Et comment en arrive-t-il à piétiner des années d’expérience et de déontologie ?

Vous et moi avons la réponse… c’est la peur et l’inconnu !

Depuis deux ans, des médecins qui côtoyaient des patients hautement contagieux avec pas ou peu de protections, ont désormais peur de mourir ou peur de tuer leurs patients…

Je ne suis plus tout jeune et je peux vous dire que hormis dans des hôpitaux pour des chirurgiens ou des infirmières de bloc (j’ai écrit chirurgien et infirmière afin de faire rager les woke), je n’ai jamais vu de personnels médicaux masqués ou habillés en cosmonaute…

Une amie complotiste hospitalisée m’a rapporté à ce propos que pour ses soins standards l’infirmière ne portait qu’un masque, mais que pour son test PCR, la même infirmière s’était habillée en cosmonaute… pour ensuite reprendre une tenue normale.

C’est dire à quel point nous devons rester humbles, de toute évidence, seuls les esprits supérieurs peuvent comprendre.

Alors…

Comment un pneumologue qui exerçait sans masque (sauf exception) peut-il en arriver à contrarier la respiration déjà laborieuse de ses patients en les forçant à porter un masque ou en induisant une peur telle que le masque devient préférable à l’odieux virus ?

Comment fait-il pour croire en l’efficacité de ce dispositif, alors même que les études antérieures à la crise avaient non seulement démontré la dangerosité du produit, mais aussi sa totale inefficacité en population générale ?

(cf 7milliards.fr).

Comment a-t-il pu adhérer à l’interdiction de soin ?

Comment a-t-il pu ne pas se révolter suite à l’interdiction d’usage de molécules de plus de 40 ans et sans effets secondaires graves connus, quand bien même elles fussent inefficaces ?

Comment a-t-il pu accepter la consigne de donner uniquement du paracétamol, molécule notoirement connue pour ses effets indésirables sur les défenses immunitaires ?

Comment a-t-il pu adhérer au « restez chez vous et allez aux urgences si votre situation se dégrade » ?

Comment a-t-il pu adhérer au confinement d’une population générale dans laquelle le virus circulait déjà ?

Ici encore toutes les études des temps anciens avaient démontré l’inefficacité et les effets pervers.

Comment a-t-il pu adhérer au mythe des patients asymptomatiques, positifs à un PCR foireux et déclarés « malades » et dangereux pour autrui ?

Comment a-t-il pu jeter aux oubliettes le réseau Sentinelles, qu’il utilisait tous les ans pour connaître l’évolution des épidémies en France ?

Comment a-t-il pu ignorer que le réseau n’a JAMAIS détecté une épidémie de Covid (seuil épidémique jamais atteint) ?

Comment a-t-il pu ignorer que les données Santé Publique France sont totalement bidons, que le nombre de patients hospitalisés, en soins critiques, ou décédés du Covid comprenait les patients malades du Covid, mais surtout les personnes positives à un test PCR ?

Le covidiste a du mal à vous croire quand vous lui dites qu’un accidenté de la route positif au Covid rentre dans les statistiques des hospitalisations Covid.

Et je ne parle pas du taux de personnes en réa qui est simplement un faux grossier… Il n’y a jamais eu de saturation des lits des soins critiques à l’échelle nationale.

Concernant les injections…

Comment pouvait-il croire que le « vaccin » pourrait être un espoir alors même qu’il ne ciblait QUE la protéine spike d’un virus ARN dont le métier est de muter sans arrêt ?

Comment peut-il croire qu’il présente un rapport bénéfice vs risque positif pour une population qui sur le plan statistique risque plus de mourir de foudroiement ?

Comment peut-il être convaincu d’un bénéfice vs risque positif alors que c’est une thérapie ARNm expérimentale ?

Comment peut-il ignorer les effets secondaires graves officiellement répertoriés alors même que les études prouvent que le taux de remonté est marginal ?

Comment peut-il approuver la vaccination des enfants, des femmes enceintes en l’absence totale d’études alors même que deux ans avant il hésitait à prescrire de l’aspirine à cette même population ?

Et comment, alors que l’on sait sans le moindre doute que le « vaccin » n’empêche ni de tomber malade ni les contaminations, peut-il être un ayatollah de la vaccination y compris pour une population jeune et en bonne santé ? (Il n’y a qu’à regarder la courbe des contaminations.)

Comment peut-il continuer à ne voir d’issue que dans le « vaccin » alors même que l’explosion du nombre de cas dans les pays hautement vaccinés prouve la totale inefficacité du produit pour contenir l’épidémie ?

Je vous rappelle que le « vaccin » devait éradiquer le virus, mais ça aussi, c’est oublié.

Comment ignore-t-il que son « vaccin » dont il ne reste plus officiellement que le « il protège des formes graves » ne présente aucun intérêt pour des populations qui ne font pas de formes graves ?

Comment ignore-t-il que l’immunité naturelle suite à une infection est plus solide que ces pseudos-vaccins ?

Comment ignore-t-il son inefficacité pour les personnes immunodéprimées en fin de vie, la seule population qui en aurait besoin et qui décède avec le virus ?

À noter qu’il n’existe aucune étude prouvant que la mortalité finale est diminuée dans les populations à risque…

Nous avons vacciné des milliards d’individus sans évaluer l’efficacité de la mesure !

Alors, comment expliquer ce côté dramatique ?…

A-t-il une surmortalité dans sa patientèle ?

C’est possible (ou pas), mais est-ce le virus qui est en cause ou l’interdiction de consulter en cancérologie, les retards de prise en charge, le confinement, le Rivotril, la peur induite jour après jour et les interdictions de soin ?

A-t-il été le témoin vivant des dégâts engendrés par ce virus (que n’a pas vu Sentinelles) ou a-t-il vécu le drame par procuration ?

Aurait-il été conscient de cette terrible « épidémie » si BFM ne lui en avait pas parlé ou a-t-il modifié sa pratique pour coller au fléau rapporté par la propagande ?

A-t-il subi ou induit une surmortalité si tel est le cas ?

Et s’il n’a pas eu à supporter une surmortalité est-ce dû à toutes ses actions « héroïques », à tous ses protocoles ou ceux-ci relèvent-ils de la patte de lapin ?

… Je serais curieux d’avoir les réponses.

Comment a-t-il piétiné sa déontologie ?

Comment a-t-il oublié sa loi, que le patient passait avant la collectivité et qu’il devait avoir un bénéfice personnel au soin préconisé ?

Comment en arrive-t-il à approuver l’apartheid et même l’interdiction d’accès aux soins pour les non-vaccinés ?

Comment un médecin que l’on pouvait qualifier (à tort ? Je ne crois pas.) de « bon » médecin a-t-il désormais exactement le même discours extrémiste que BFM TV ?

Sa formation ?

Je ne le crois pas… autant pour des médecins formés récemment j’entends qu’on leur apprend à ne pas penser, à ne faire qu’appliquer des protocoles… mais pas pour des médecins qui ont commencé leurs études il y a plusieurs dizaines d’années et qui ont un vécu.

Et ce n’est pas uniquement les médecins abonnés au Quotidien du Médecin, vitrine de l’industrie pharmaceutique qui sont victimes de cette amnésie délirante.

Des médecins abonnés à la revue Prescrire (qui elle aussi a disparu), revue vivant sans publicité, ont aussi basculé…

Quel début d’explication ?

En premier lieu, les médecins sont aussi des humains et ils ont aussi bouffé du BFM, du Monde ou du Libération toute la journée…

La peur rend fou, nous en avons la preuve quand des personnels soignants en arrivent à se protéger avec des sacs poubelles totalement inefficaces.

Ils sont alors guidés par l’irrationnel comme un médecin qui en arrive à refuser un patient non-vacciné.

Ce n’est plus de la science, c’est du moyen-âge, c’est de la lutte contre des esprits malins.

Est-ce le fait que l’OMS, les autorités de santé, les politiques, les revues médicales ont TOUTES tenu le même discours, ce qui aurait suffi à les faire basculer dans une foi dénuée de science ?

Ceci associé à une chasse aux sorcières pour faire taire toutes les voix dissidentes pouvant faire croire à un consensus…

Il n’existe plus de discours critiques, mais uniquement des « complotistes antisémites ».

Pour autant aussi bien moi que vous lisant ce texte ne sommes pas tombés dans ce délire…

(J’hypothèse qu’aucun Jean-Michel ou covidiste ne lira ce texte).

Concernant le « vaccin », tout le monde peut savoir qu’il a été approuvé sur les seules études publiées par le « gentil fabricant qui œuvre pour le bien de l’humanité ».

Tout le monde peut savoir que ces industriels ont été condamnés par le passé à des milliards de dollars d’amende pour publicité mensongère, tromperie ou corruption de médecins, de politiques, de journalistes…

Quiconque étudie les données de commercialisation verra que les patients vaccinés faisaient moins de formes graves que les non-vaccinés, mais qu’au final il y avait plus de morts dans la population vaccinée, ce qui ne peut s’expliquer que par les effets secondaires.

Et le fait que l’on injecte des millions de personnes avec un « vaccin » conçu pour une souche qui n’existe plus depuis des mois (années) n’interroge pas !

Je ne pense pas que Jean-Michel et les autres utilisaient le vaccin contre la grippe d’il y a 2 ans pour protéger leurs patients…

Mais tout ça, c’était avant, c’était le monde d’avant, la science d’avant, les valeurs d’avant… avant le FLEAU !

Et bien ni Jean-Michel ni les autres n’ont eu cette curiosité ou ne se sont posé ces questions, y compris les lecteurs assidus de Prescrire !

Pourquoi ?

Je ne vois que la peur et la sidération…

Une campagne médiatique mondiale a été organisée avec la complicité des Ferguson et leurs prédictions bidons auquel il ne croit pas lui-même (il ne respectait pas le confinement), l’OMS et toutes les autorités sanitaires.

Nous les « résistants » avons peut-être eu un peu peur au début, mais pas au point de basculer dans la panique, l’irrationnel ou la sidération…

Peut-être sommes-nous plus terre à terre, plus St Thomas.

Cela me fait penser à « La guerre des mondes », l’émission de Radio diffusée en 1938 qui annonçait une invasion extraterrestre et qui aurait entraîné la panique des auditeurs.

Personnellement je n’ai pas vu de cadavres dans la rue et je n’ai pas connu ni ouï dire qu’une personne jeune ou en bonne santé était décédée de cet odieux virus, et ce en deux ans de Covid.

Nous n’avons pas vécu une épidémie différente de la grippe.

Pour nous simples mortels, cette épidémie n’est que médiatique.

Il y a ceux qui ont cru le scénario et ceux comme nous qui ont douté…

Ça veut probablement dire que le schéma de la peur, de l’inconnu, de la perte de repères et la plongée dans une incertitude s’est déclenché chez eux avant que le scénario du doute et du besoin de compréhension ne se mette en branle…

Il a aussi bien sur les benêts, les moutons qui ne se posent jamais de questions et qui obéissent, point.

Les naïfs, les honnêtes gens qui ne pensent pas que le Mal puisse exister et qui croient que l’histoire ne se répète pas.

Les sceptiques qui croient plus en la bêtise humaine qu’à un plan machiavélique.

Il y a donc des médecins qui entrent dans ces catégories.

Mais concernant Jean-Michel, il y a probablement la conjonction de la peur et de la naïveté « si toutes les autorités disent la même chose, c’est que c’est vrai ».

Je persiste à penser que si la peur n’était pas de la partie cette bascule n’aurait pas eu lieu au point de balayer des années d’expérience, de bon sens et de déontologie.

Je radote, mais merde ! « Comment un pneumologue peut-il masquer ses patients ? »

Demeure aussi le fait que la remise en question est difficile pour l’humain.

Et d’autant plus difficile que l’erreur est à ce point gigantesque et dans la durée…

Après trois doses, avoir lavé le cerveau de ses patients pour les convaincre de s’injecter y compris les enfants, vendu du masque à outrance, du confinement, de l’absence de traitements efficaces et vendu jour après jour de la peur (très mauvaise pour les défenses immunitaires) et ce pendant deux ans…

Il n’est pas évident d’ouvrir les yeux sur cette réalité, sur sa réalité, son aveuglement, son absence de recul, sa « naïveté », mais aussi et surtout sa complicité active dans un crime contre l’humanité, l’économie des classes moyennes ou populaires et la démocratie.

La science dit que le masque, les confinements, les gestes barrières sont totalement inefficaces en population générale.

La science dit que ces injections expérimentales généralisées à l’ensemble de la population sont totalement inefficaces pour contrôler l’épidémie et diminuer la mortalité.

La science dit que ces injections sont dangereuses dans le présent et à l’avenir totalement incertain.

Mais ça, Jean-Michel ne peut le croire, il ne peut même pas se poser sérieusement la question, il ne peut pas se permettre de douter.

Merci

Alain Tortosa.

14 février 2022 https://7milliards.fr/tortosa20220214-medecin-2022-doxa.pdf




La main invisible

[Source : RadioQuebec]

Les forces mondialistes sont en déroute partout, malgré leur domination apparente. Quelles forces opèrent en coulisse contre le Nouvel Ordre Sanitaire ?


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Laurent Mucchielli décrit l’état du monde à partir de la crise Covid

[Source : AIMSIB]

J’ai également beaucoup apprécié le combat de Laurent Mucchielli et son livre en est le reflet que beaucoup auront intérêt à lire pour mieux comprendre ce qui s’est passé depuis deux ans
Merci à lui de son effort de synthèse dans son livre « la doxa du covid »

Nicole Delépine

Il fallait s’y attendre, quand un immense sociologue formé à l’histoire, de surcroît parfaitement imperméable aux pressions extérieures, décide de publier un ouvrage sur la crise de la Covid-19, les révélations et les mises en accusations pleuvent dru. Toutes y sont disséquées, démontrées, évidemment parfaitement sourcées. On plaint presque tous ceux qui apparaissent au fil du livre, car on comprend que quand la justice se penchera enfin sur leurs implications diverses et variées, leurs projets d’avenir s’en verront radicalement modifiés. (…)

Ins Montagnier

Vincent RELIQUET (V.R.) – Cher Laurent, il faut d’abord te présenter à notre public bien que probablement ce préalable ne soit plus d’une très grande utilité aujourd’hui. Tu es chercheur au CNRS depuis 1997, médaillé par lui, élevé au grade de directeur de recherche en 2006, tu as participé à la réalisation d’une foule énorme d’ouvrages et d’articles (*). Depuis le début de la crise sanitaire, tu as publié toute une enquête sur ton blog chez Mediapart mais hélas ta liberté de parole, qu’on aurait attendu comme plutôt encouragée sur ce type de site, t’a valu de découvrir la censure en août 2021, poussé par un collectif de « bien-pensants » qui souhaitait laisser toute la place au récitatif covid officiel. Tu leur as pardonné depuis ?

Laurent MUCCHIELLI (L.M.) – Non, j’estime que ce que fait Mediapart depuis le début de cette crise est impardonnable. Je peux évidemment comprendre toutes les personnes qui doutent et qui hésitent, ou encore celles qui ont suivi le discours officiel au début mais le regrettent aujourd’hui. J’en connais beaucoup, y compris dans mon entourage. Nous avons tous été victimes d’une propagande industrielle et politique massive. Mais je ne peux pas oublier celles et ceux qui ont joué un rôle aussi actif et nocif dans le débat public que Mediapart. La chasse à l’homme qu’ils ont décidé d’orchestrer (avec d’autres journalistes parisiens, au Monde, à Libération, à l’Express, à Marianne notamment) au détriment de Didier Raoult est une faute à la fois intellectuelle et morale car, derrière le personnage qui a évidemment ses qualités comme ses défauts, des questions majeures de stratégie sanitaire étaient en jeu. Questions qu’ils ont fortement contribué à rendre invisibles et incompréhensibles en concentrant l’attention sur une seule personne, déchaînant contre elle cette espèce de cancel culture qui a envahi les réseaux sociaux et où tous les coups sont permis dans le but de tuer symboliquement les personnes. Et ils ont fait le même coup à d’autres comme le Dr Louis Fouché. Loin d’aider à réfléchir collectivement et d’apporter du débat contradictoire, ils ont parfaitement servi la propagande industrielle et politique du moment. Ceci s’est illustré jusqu’à la caricature vis-à-vis des nouvelles thérapies géniques improprement appelées « vaccins ». Leur positionnement pro-vax (pour reprendre ces raccourcis ordinaires du débat public) est confondant de simplisme et de naïveté. Ils ont ainsi joué un rôle important dans le naufrage de la gauche politique durant cette crise. Pire encore, ils ont joué un rôle dans la dérive autoritariste d’un gouvernement qui n’a trouvé aucun contre-pouvoir capable de lui rappeler les limites à ne pas franchir.

Leur attitude à mon égard participe de cet ensemble. Pour faire court, en transformant mon blog en une sorte de mini-revue en ligne où j’ai publié près de 70 articles et 46 auteurs (universitaires et/ou médecins pour la plupart), je leur amenais une véritable contre-enquête, un véritable débat contradictoire et accessoirement des lecteurs. Ils auraient pu s’en réjouir, nous aurions même pu travailler en collaboration plus étroite. J’ai tenté à plusieurs reprises de dialoguer en écrivant à Edwy Plenel, à Fabrice Arfi ainsi qu’à la rédaction de la partie blog du journal. Je n’ai reçu en retour qu’un grand silence méprisant. Eux qui prétendent défendre la liberté d’expression, valoriser les lanceurs d’alerte et faire alliance avec les intellectuels critiques, ont pourtant fait exactement le contraire. Ils m’ont d’abord invisibilisé le plus possible sur leur propre site (via des procédés de shadow-banning), et finalement ils m’ont censuré à quatre reprises. Et pas simplement moi mais aussi les universitaires et les médecins que je publiais, nous traitant de complotistes et de propagateurs de « fake news », en chœur avec des lobbies liés aux industries pharmaceutiques, se réclamant de la « vraie science » et qui sont spécialisés dans le harcèlement en ligne, l’attaque ad hominem et la dénonciation calomnieuse. On a connu mieux que ce parti-pris superficiel digne d’une chaîne d’information en continu. Edwy Plenel se vante d’avoir sorti l’affaire Cahuzac, il devrait se souvenir que cette affaire était aussi celle de mallettes qui transitaient entre la Suisse et Paris, ayant pour origine un grand industriel de la pharmacie qui est devenu milliardaire grâce à la gestion calamiteuse de cette épidémie.

Se faisant, Mediapart s’est mis au même niveau que tous ces petits sites de prétendu « fact-checking » que l’on voit fleurir sur Internet et qui permettent à quelques influenceurs à la mode de propager leur médiocrité intellectuelle dans le débat public. Je pense à « Fact and furious » créé par un ancien militaire (Antoine Daoust) qui se fait manifestement un devoir de protéger le gouvernement contre toute critique de sa politique de santé. Je pense à « Conspiracy watch », dont le fondateur (Rudy Reichstadt) est un proche des milieux de pensée extrême-droitisant, dont on se souvient de la façon dont, après un sondage de l’IFOP, il se moquait des « pauvres gens » qui pouvaient penser que le virus avait pour origine un accident de laboratoire à Wuhan. Ce ridicule ne l’empêche pas d’être invité jusque sur les plateaux de télévision du service public, à la place des chercheurs qui ont de véritables compétences sur ce sujet. Je pense encore à « La Tronche en biais », alias Thomas Durand, un influenceur qui utilise YouTube et des outils de « co-financement » anonymes comme Tipeee pour faire commerce de la propagande, qui est aussi accueilli comme rédacteur par le magazine de l’Association Française pour l’Information Scientifique (AFIS), un lobby aux positions pro-OGM, pro-glyphosate, pro-big-pharma, pro-nucléaire et j’en passe, tout en se permettant de se proclamer « indépendant » (quelle farce !).

Alors oui, c’est bien un naufrage pour Mediapart, et cela m’attriste beaucoup car j’étais un soutien et un abonné de la première heure, qui donc s’en ira désormais proposer ailleurs son travail de chercheur désintéressé et d’intellectuel engagé.

V.R. – Quand on veut savoir « à qui on a affaire » aujourd’hui s’agissant d’un personnage public, c’est très simple : on regarde d’abord ce qui s’écrit d’officiel sur le web et en général on est vite renseigné sur la façon dont l’establishment le considère. Par exemple ta page Wikipédia [1] nous fait comprendre immédiatement que tu sens depuis peu franchement le souffre, regarde :

Wikipedia, capt. écran

Tu as suscité « une guerre d’édition » ! Espérons que tu ne vas pas faire sauter le serveur de leur site et quelques lignes plus loin la catastrophe se confirme : tu serais l’auteur de « propos controversés et propagateur de fausses nouvelles sur la dangerosité du virus…/… participant à la désinformation sur la pandémie de la Covid-19 ». On pourrait pleurer de tristesse devant tant d’imbéciles accusations, dont la puérilité et l’absence de fond démontre toute la nullité partisane de tes détracteurs chez Wikipedia. Sérieusement, de tels écrits t’ont-ils blessé voire gênés dans l’exercice de ton travail quotidien de chercheur ?

L.M – Tu connais le dicton sur la bave du crapaud et la blanche colombe… Non, sincèrement, je ne suis pas atteint par le torrent d’imbécilités plus ou moins malveillantes qu’on peut trouver sur Internet aujourd’hui me concernant. Cela ne fait que confirmer et exemplifier mon analyse du fonctionnement du débat public. L’un des volets de mon enquête consiste précisément à essayer de comprendre comment un ensemble d’acteurs (parmi lesquels la plupart des journalistes) se sont de facto associés pour organiser la clôture du débat public, l’érection de frontières entre ce qu’il est permis ou non de penser et de dire, contribuant massivement à imposer comme seule légitime la narration globale que j’appelle la Doxa du Covid. Quant à Wikipedia, chacun comprend désormais que cette entreprise collective au départ pleine de promesses démocratiques (comme Internet et les réseaux sociaux de manière générale) et animée par des bénévoles enthousiastes, est devenue le lieu d’une lutte d’influence où les trolls et les lobbyistes se déchainent pour imposer la vision du monde découlant de leurs intérêts politiques ou commerciaux. C’est triste là encore, mais c’est la réalité. Tous les chercheurs et tous les enseignants doivent en tirer les leçons et expliquer notamment aux jeunes qu’ils ne doivent pas manipuler ce site naïvement. Wikipedia n’est pas une « encyclopédie en ligne » où l’on pourrait se faire une connaissance minimale de l’état des savoirs sur n’importe quelle question. Beaucoup de contenus sont utilement informatifs mais ils perdent toute neutralité dès que les questions posées prennent une dimension politique ou économique. Ils deviennent alors au mieux l’expression du point de vue dominant dans le débat public d’un pays, à un moment donné de son histoire, au pire l’expression de la petite propagande des influenceurs qui ont réussi provisoirement à gagner la « guerre d’édition » dont tu parles.

V.R. – Avant d’aborder le fond de ton dernier ouvrage, je souhaiterais que tu visionnes ce sujet diffusé pendant le JT de TF1 en février 2010 par Corinne Lalo (aimsib) [2] et Etienne Bourbotte, au sujet de la grippe porcine de 2009 :https://www.youtube.com/embed/GfB–uQA4iU?controls=0

L.M. – Ce rappel est salutaire. L’espèce d’amnésie qui a frappé un peu tout le monde en février-mars 2020 est l’une des choses qui m’a le plus étonné. L’affaire de la pandémie de grippe H1N1 en 2009-2010 a en effet de nombreux points communs cruciaux avec ce que nous venons de vivre. Cela ressemble à une sorte de premier essai non transformé pour les industries pharmaceutiques, le philanthrocapitalisme de la galaxie Bill Gates et tous leurs affidés que l’on trouve dans les organisations supranationales comme l’OMS et la Commission européenne, ainsi que dans la haute administration sanitaire et parmi les politiques dans de nombreux pays du monde, à commencer bien sûr par les riches pays occidentaux. Le drame est que nous n’avons pas su tirer les leçons d’H1N1. La raison fondamentale, à mon avis, est la sous-estimation de l’ampleur et de l’efficacité des trafics d’influence et de la corruption organisée par ces industries et par ce philanthrocapitalisme. Les quelques outils de contrôle supplémentaires mis en place après 2009 ont montré leurs terribles limites. A quoi cela sert-il d’obliger les médecins à déclarer leurs liens d’intérêts avec les industries si, le moment venu, aucun d’entre eux n’a l’honnêteté d’en faire état quand il intervient dans les médias ou même dans une enceinte parlementaire ? Et si aucun journaliste n’a ni la présence d’esprit de faire trois clics sur son ordinateur pour chercher ces liens d’intérêt, ni le courage de les signifier à son interlocuteur lorsque celui-ci s’exprime publiquement sur les stratégies sanitaires à adopter ?

Voyez aussi le déni de la pharmacovigilance en matière d’effets indésirables des nouvelles thérapies géniques. Cette affaire trahit globalement un échec cuisant pour la démocratie sanitaire à laquelle beaucoup travaillent depuis des décennies. Nos instruments de contrôle de l’industrie et de protection des populations sont clairement sous-calibrés. Ils n’ont pas pesé lourd face à la déferlante de la communication biaisée de l’OMS et des gouvernements, suscitée par les puissances financières qui leur murmurent aux oreilles.
Entendons-nous bien : l’épidémie de 2020-21 est clairement plus redoutable que celle de 2009. Cela semble dû essentiellement à la contagiosité et la mutagénicité plus fortes du Sars-CoV-2 dont il est presque certain désormais qu’il est le produit accidentel d’expériences virologiques de laboratoire menées en Chine avec le soutien financier massif des Etats-Unis. Or, précisément, les corrupteurs sont allés jusqu’à tenter d’interdire même ce questionnement sur l’origine du virus, le qualifiant de « complotiste ». Et la plupart des gens sont tombés dans le panneau.

V.R. – Tu portes à notre connaissance une nouvelle proprement inouïe et qui a échappé à nombre d’entre nous : En 2020 le vrai patron de l’OMS, à savoir son financier Bill Gates, a réussi à publier un article dans le New England Journal of Medicine ! [3] On y lit qu’il veut sauver des vies, ce qui demeure pour le moins suspect quand on connaît sa position résolument « réductionniste » qu’il souhaite appliquer à la population du monde. Mais le meilleur est à venir, il écrit : « …/… Scientists sequenced the genome of the virus and developed several promising vaccine candidates in a matter of days, and the Coalition for Epidemic Preparedness Innovations is already preparing up to eight promising vaccine candidates for clinical trials .” [4] Ton avis sur l’intrusion de Gates l’informaticien dans la médecine des épidémies ?

https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762

L.M. – Pendant longtemps, j’ai vécu sur le souvenir de mes cours de fac en droit international (j’ai fait du droit avant de faire de l’histoire et de la sociologie) où l’on présentait à juste titre l’OMS comme une organisation financée par les pays occidentaux. Mais c’était à la fin des années 1980… En 2019, mon attention avait été attirée par le petit livre d’un journaliste français (Lionel Astruc, L’art de la fausse générosité. La fondation Bill et Melinda Gates, Actes Sud). Et en 2020, dès que j’ai compris que l’OMS était en train de créer une nouvelle panique mondiale, comme en 2009, j’ai commencé à chercher des informations sur les enjeux financiers sous-jacents. J’ai, entre autres, fait une chose très simple : regarder le financement de l’OMS. J’ai fait alors cette « découverte » :  Le premier financeur de l’OMS n’est plus le gouvernement américain, c’est un financeur privé : Bill GatesJ’ai poursuivi en essayant d’objectiver le réseau de fondations et d’associations philanthropiques, de partenariats et de systèmes de dons (défiscalisés bien entendu), mis en place ces vingt dernières années par celui qui fut longtemps l’homme le plus riche du monde (avant d’être détrôné par Jeff Bezos, propriétaire d’Amazon, et Elon Musk, propriétaire de Tesla). J’ai alors compris que le Sars-CoV-2 était l’occasion rêvée, l’aubaine tant attendue, de déployer le grand projet de vaccination intégrale du monde dont Bill Gates ne se cache pas, et ce depuis des années. Sa présence dans le champ des politiques mondiales de santé est devenue tellement banale que l’on peut en effet assister, médusé, à ce que je raconte page 77 de mon livre, à savoir le fait que Bill Gates peut se permettre et se voir autorisé, par une rédaction soi-disant scientifique et indépendante, à publier un article dans une des plus prestigieuses revues médicales du monde (le New England Journal of Medicine) en avril 2020. Article dans lequel on trouve un concentré de la doxa : c’est la « pandémie du siècle », le virus est hyper-dangereux même pour les gens « en bonne santé », mais tout va bien car la science va fabriquer un vaccin sûr et efficace « en quelques jours », là où il fallait des années jusque-là. On croit rêver, et pourtant ce n’est pas le cas.

La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste

Lionel Astruc est l’auteur d’une enquête approfondie sur la Fondation Bill et Melinda Gates. Créée en 2000 par l’un des hommes les plus riches de la planète, Bill Gates, le père de Microsoft (fortune personnelle estimée à 96,5 milliards de dollars, selon le classement Forbes 2019), la Fondation Bill et Melinda Gates se donne pour missions la lutte contre la pauvreté, la protection de la santé, le renforcement de l’éducation, la promotion d’une agriculture intensive…

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V.R. –  A partir de la page 79, tu nous brosses un portrait glaçant de l’expansion financière des firmes pharmaceutiques et parallèlement tu cites Jean-Dominique Michel, un autre de nos membres d’élite, qui ne cesse jamais de dénoncer la « corruption systémique » [5] régulièrement utilisée par ces entreprises. Quelques exemples consternants sont relatés dans ton ouvrage. Sans tout révéler, peux-tu nous en dire un mot ici ?

L.M. L’essentiel tient en trois constats :
1) Le premier est celui de l’importance de ce secteur économique et financier. Avec près de 1 200 milliards de dollars américains de chiffre d’affaires en 2019, soit une multiplication par 3 depuis le début du 21ème siècle, l’industrie pharmaceutique est devenue l’un des plus grands secteurs industriels du monde et peut-être le plus rentable de tous. Les grands groupes pharmaceutiques qui se sont constitués rivalisent désormais avec l’industrie pétrolière, les groupes bancaires, les GAFAM, l’industrie du luxe, l’industrie automobile et les cigarettiers. Ils font partie de ces multinationales interconnectées par le jeu des participations croisées dans l’actionnariat, qui dominent le monde et y imposent leurs intérêts. Ils développent également les mêmes stratégies de maximisation des profits que la plupart de ces multinationales (rachats d’entreprises, licenciements dans les pays d’origine, délocalisation dans les pays pauvres, tricherie sur les prix, évasion fiscale, lobbying intense, détournement des aides publiques à leur profit, etc.). Les patrons de ces firmes sont parmi les mieux payés du monde et les dividendes qu’elles reversent à leurs actionnaires sont parmi les plus importants du monde. Ils sont donc devenus un acteur central du nouveau capitalisme financier dominant la planète.
2) Le second constat est que ces gigantesques groupes pharmaceutiques dominent non seulement le marché mondial des médicaments, mais ils influencent aussi de plus en plus la recherche médicale, au point de la contrôler en grande partie dans certains domaines. Les fameux essais cliniques (ou essais thérapeutiques) sont financés et réalisés très majoritairement par ces industriels, parfois à la demande des agences publiques comme la Food and Drug Administration aux USA ou l’Agence Européenne du Médicament. C’est dans cette mouvance politico-industrielle que s’est fixée une sorte d’ersatz de l’Evidence Based Medecine (« médecine fondée sur des preuves ») avec ces méthodes statistiques de randomisation donnant l’illusion d’une démonstration mathématique infalsifiable, à grand renfort de données collectées à l’aide de moyens financiers que seule l’industrie peut généralement s’offrir, créant ainsi des standards artificiels souvent inaccessibles pour la recherche publique indépendante. Le principe est de substituer le calcul statistique à l’expérience clinique, la démonstration mathématique à la pratique médicale. Conséquence d’un tel système : un nombre croissant de médecins-chercheurs multiplient les publications sur les maladies et les médicaments, lors même qu’ils n’en ont pas de pratique médicale. Les malades sont devenus de simples unités statistiques.
3) Et le troisième constat est relatif au trafic d’influence et à la corruption, qui est plus forte que jamais. Les laboratoires payent des études à ces médecins-chercheurs testant leurs médicaments, ils en déterminent les protocoles et vont jusqu’à payer plusieurs milliers d’euros par patients inclus dans l’étude. Ils organisent également des boards et autres « réunions stratégiques » dans lesquels les médecins-chercheurs sont associés à la détermination des projets des laboratoires et pour lesquels ils sont fréquemment payés entre 1 000 et 2 000 euros la journée. Les laboratoires financent également les voyages et tous les frais de ces médecins-chercheurs pour qu’ils aillent présenter leurs résultats dans des colloques internationaux dont l’organisation est elle-même très largement financée par les industriels. Dans certains cas, ces derniers vont jusqu’à réaliser eux-mêmes les études dans leurs laboratoires et proposer ensuite à des médecins universitaires plus ou moins renommés de les signer de leurs noms. Cela s’appelle le ghostwriting et a donné lieu à de nombreuses fraudes ces dernières années, à l’image du Lancet Gate en mai 2020.
Mais la question de la corruption ne se limite pas à l’univers médical. Ce qui donne à la corruption une ampleur démesurée, c’est aussi la transformation des rapports entre organisations publiques et privées. En cause, la circulation des mêmes personnes entre ces deux univers aux logiques de fonctionnement et aux finalités pourtant théoriquement opposées (le bien public pour les unes, l’enrichissement personnel pour les autres). Au-delà même du phénomène que l’on appelle en France le « pantouflage », le problème majeur qui se pose désormais est celui du changement de la nature de ces relations. Nous avons été habitués à penser un monde dans lequel les puissances publiques (Etats et organisations supranationales) sont un peu les gendarmes du monde économique privé. Or, ce monde est en train de disparaître sous nos yeux.  Nous entrons dans un monde où les puissances publiques deviennent des partenaires des groupes commerciaux privés dont certains ont de fait acquis autant de pouvoir qu’un Etat. Ceci se voit très bien dans plusieurs pays, dont la France. Ceci devrait faire l’objet de grandes discussions politiques. Je n’en vois guère pour le moment.

V.R. – De Gilead à Air France, tu me vois venir ? Qu’est-ce qu’il faut retenir en peu de mots sur cette énorme boite américaine méconnue en France qu’est Gilead ?

L.M. – Le groupe américain Gilead Sciences emploie près de 12 000 personnes et a fait un chiffre d’affaires de 22,5 milliards de dollars en 2019. Parmi ses actionnaires, figurent certains des plus gros fonds d’investissement américains. Le premier est The Vanguard Group, concurrent direct de Black Rock (le plus gros gestionnaire d’actifs du monde et l’un des plus importants actionnaires du CAC40). Vanguard est par ailleurs le premier actionnaire d’Apple, possède 5% d’Amazon et est entré au capital de nombre de grandes entreprises françaises. Même chose pour le second actionnaire de Gilead, Capital Research and Management, qui possède des parts du capital de la Caisse des Dépôts et Consignations, de Veolia, de Bouygues, de Schneider, de la Société Générale, de Pernod et d’Air France. Nous sommes donc bien ici au cœur du capitalisme financier actuel, c’est-à-dire celui qui est entièrement dominé par les banques et autres fonds d’investissements contrôlant l’actionnariat des grandes entreprises et ayant pour logique fondamentale la maximisation de la valeur pour l’actionnaire.

Au demeurant, la suite n’aurait pas dû surprendre tant Gilead était déjà connu pour pratiquer une exagération des prix à des fins d’enrichissement maximum. Je rappelle dans mon livre l’affaire du Sovaldi dans la lutte contre l’hépatite C, affaire qui a fait la fortune de Gilead. Dès le tout début de la crise du Covid, ce dernier a voulu refaire le coup en faisant acheter par tous les pays du monde un antiviral pour traiter le Covid : le Remdesivir. L’industriel y travaille depuis l’épidémie du virus Ebola qui traversa l’Afrique de l’Ouest en 2014-2015. Les recherches montreront pourtant par la suite que ce médicament était déjà inefficace sur Ebola. Mais qu’à cela ne tienne, face à la nouvelle pandémie de coronavirus, tout l’enjeu pour cet industriel était de convaincre que son produit était le plus efficace pour traiter les personnes infectées, et lancer ainsi sa production industrielle de masse. Il a en ce sens déployé toute sa puissance de lobbying et de trafic d’influence, au point que, dès le départ, l’OMS et un certain nombre de chercheurs importants dans plusieurs pays occidentaux (tels Yazdan Yazdanpanah et Franck Chauvin en France, tous deux membres du Conseil scientifique Covid-19, le second étant aussi le président du Haut Conseil de la Santé Publique qui fera d’emblée barrage à la proposition de l’IHU de Marseille au profit du Remdesivir) annonçaient déjà que l’antiviral de Gilead était la solution la plus prometteuse. Étrangement, tandis qu’elle bloquera l’hydroxychloroquine, l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) délivrera très rapidement une autorisation de mise sur le marché (AMM) pour le Remdesivir.
On sait aujourd’hui que ce médicament est inefficace et même dangereux. Il n’est quasiment plus utilisé dans les pays occidentaux. Mais si Gilead est passé une fois encore à côté du jackpot mondial, il s’est quand même enrichi grâce à la seconde grande stratégie des nouvelles industries capitalistiques : la spéculation boursière. Enfin, son intense lobbying lui permettra de parvenir tout de même à fourguer pour 1,2 milliard de son produit à l’Union Européenne fin 2020, avant que cette dernière ne s’en débarrasse vers les pays pauvres en ayant de surcroît l’indécence de présenter la chose comme de la générosité. La chose se reproduira du reste avec le « vaccin » d’AstraZeneca. Je note toutefois que certains pays africains (comme le Nigeria) ont bien compris l’arnaque et répondent « non merci » à cette fausse générosité.

V.R. – Le délire corruptif qui règne à l’Agence Européenne du Médicament (EMA) semble t’avoir particulièrement intéressé, je te remercie d’ailleurs d’avoir cité un de mes articles dans ta démonstration. Ce passage de ton livre est vraiment sidérant…

L.M. – L’affaire Ursula Von der Leyen est un révélateur du trafic d’influence et de la corruption qui sévissent en effet au sein de la Commission européenne et d’agences comme l’EMA. Madame négocie personnellement avec le PDG de Pfizer des contrats dont le contenu est étrangement tenu top secret, tout en ayant un mari travaille dans l’industrie des biotechs et un fils qui travaille chez Mc Kinsey, le cabinet de conseil qui s’enrichit démesurément en organisant la communication (i.e. la propagande) des campagnes vaccinales de nombreux pays (dont la France). Et quand on demande des comptes à madame, elle répond qu’elle a malencontreusement effacé ses conversations avec monsieur Bourla, avec lequel on la voit s’enlacer à la cérémonie de l’Atlantic Council récompensant les meilleurs business-leaders du moment. On nous prend vraiment pour des imbéciles et c’est gros comme le nez au milieu du visage. Et pourtant, à une ou deux exceptions près (comme Etienne Campion à Marianne), aucun journaliste ne s’en est inquiété. Voilà typiquement le sujet d’intérêt public majeur dont un journal comme Mediapart aurait dû s’emparer, plutôt que de s’enfermer dans sa haineuse petite entreprise de démolition de Didier Raoult. Et les intellectuels ne valent guère mieux hélas. Où sont passés tous les universitaires et les journalistes dits « d’investigation » qui ont travaillé ces dernières années sur ces phénomènes de lobbying et de corruption organisée par les industriels, comme sur les nouvelles formes de marketing, de propagande et autres méthodes de story telling ? Toute cette affaire est une dramatique défaite de la pensée.

V.R. – Tu abordes ensuite le point le plus crucial de ton livre, à mon avis, et c’est ce que tu appelles le « viol des foules », qui ne comprend pas cette manipulation mentale abominable se met immédiatement en position de se faire à nouveau duper lors de la prochaine crise, le Dr Pascal Sacré avait déjà abordé ce phénomène chez nous, il y a un an [6]…

L.M. – J’ai intitulé ce chapitre « Le viol des foules par la propagande politique », reprenant le titre d’un vieux livre de Serge Tchakhotine, paru en 1939, interdit en France et même brûlé ensuite par la Gestapo. Les dictatures n’aiment pas que l’on objective leurs stratégies d’endoctrinement des masses. Mais il faut croire que les démocraties ne l’aiment pas non plus. A moins qu’elles ne soient déjà plus vraiment des démocraties. Quoi qu’il en soit, j’analyse effectivement les formes et les contenus de l’intense propagande que le gouvernement français (parmi d’autres) a déployé pour faire croire à la population que le vaccin était la fin de l’histoire, qu’il fallait d’urgence injecter à tout le monde (adultes, personnes âgées, enfants, femmes enceintes) ces produits prétendus « totalement sûrs », qui allaient « nous débarrasser de l’épidémie » (en bloquant la contagion) et qui étaient « efficaces à 95% » pour empêcher les formes graves de Covid. Ah, la magie des chiffres…

Je montre que, pour réaliser cette grande manipulation, le gouvernement a usé de toutes les ficelles et tout le registre de la propagande : technique de « la bouse blanche » consistant à envoyer dans les médias des médecins triés sur le volet pour vanter les mérites de la nouvelle politique vaccinale, technique du « choix truqué » consistant à placer les citoyens devant un prétendu choix entre la solution qu’on veut leur imposer et une fausse alternative en réalité inacceptable (du genre : préférez-vous être vaccinés ou reconfinés ?), et enfin bien entendu la technique de « la grenouille ébouillantée » consistant à amener progressivement les gens vers le point d’arrivée prévu en réalité dès le départ, mais en y allant par étapes, à coups de demi-mensonges successifs, afin de faire accepter très progressivement quelque chose qui, si il avait énoncé d’emblée, aurait été jugé inacceptable pour beaucoup. En l’occurrence, il fallait amener doucement les citoyens à renoncer à une de leurs libertés fondamentales en acceptant l’idée que seule une vaccination intégrale et forcée de la population s’imposait pour nous « libérer » de l’épidémie.

V.R. – L’heure de nous quitter est venue. Nous ne sortons pas de ton interview beaucoup plus optimiste qu’au moment où nous l’avons abordée, mais avec une envie bien plus grande de dévorer ton passionnant bouquin. Vivement le tome II, on s’y prépare avec délectation. Ton mot de la fin ?

L.M. – D’abord je te remercie de me donner ainsi la parole et de traiter mon travail avec sérieux. Le tome 2 paraîtra en mars, il reprendra les meilleurs « épisodes » de ma série initiée en mars 2020, avec 40 chapitres et 30 auteurs. C’est un travail collectif qui n’est certainement pas parfait mais dont je suis fier et qui me donne le sentiment d’avoir fait ce que je devais faire.

Ensuite un mot pour dire que j’avais depuis longtemps l’habitude d’être attaqué, essentiellement par l’extrême droite, du fait de mes travaux sur la sécurité (qui montrent notamment comment on passe là aussi son temps à effrayer la population pour mieux vendre de l’idéologie sécuritaire et des technologies très coûteuses comme la vidéosurveillance). Mais depuis le début de la crise du Covid, j’ai été couvert d’insultes et de calomnies à un point que je n’avais jamais connu. Et surtout, indépendamment des affidés des industriels et des intellectuels de cour (comme le très macroniste Gérald Bronner qui a publié contre moi en août 2021, dans Le Monde, une tribune aussi agressive que dénuée de contenu, avant d’être nommé par l’Elysée à la tête d’une commission), la plupart de ces insultes sont venues de gens qui disent appartenir à la gauche intellectuelle et politique. Certains sont même allés jusqu’à m’accuser de complicité avec l’extrême droite, moi qui la combat depuis 30 ans et qui y avait consacré tout mon dernier livre paru juste avant le premier confinement (La France telle qu’elle est. Pour en finir avec la complainte nationaliste, Fayard, 2020). C’est dire à quel point nous sommes en pleine confusion mentale. Il faudra du temps pour en sortir et essayer de rebâtir quelques digues intellectuelles et éthiques. La chose est essentielle car l’histoire est loin d’être terminée. D’autres crises sécuritaires, sanitaires et écologiques sont à venir. Et si nous ne sommes pas mieux armés pour les affronter, j’ai peur que les dégâts individuels et collectifs soient plus importants encore, notamment que l’idéal démocratique finisse par disparaître au profit d’une gestion autoritaire des biens publics par des intérêts privés.

Crédit photo : © Editions Eolienne

(*) Ouvrages de Laurent MUCCHIELLI :

Direction d’ouvrage

  • Histoire de la criminologie française, Paris, L’Harmattan, 1995, 535 p. (ISBN2-7384-3136-4, notice BnF no FRBNF36685469)
  • Avec Massimo Borlandi, La Sociologie et sa méthode : les règles de Durkheim un siècle après, Paris, L’Harmattan, 1995, 415 p. (ISBN2-7384-4033-9, notice BnF no FRBNF35804890)
  • Avec Dominique Duprez, Les Désordres urbains : regards sociologiques, Chêne-Bourg-Genève, Médecine et hygiène, 2000, 440 p. (ISBN2-8257-0726-0, notice BnF no FRBNF37733537)
  • Avec Philippe RobertCrime et sécurité : l’état des savoirs, Paris, La Découverte, coll. « Textes à l’appui », 2002, 438 p. (ISBN2-7071-3620-4, notice BnF no FRBNF38811277)
  • Gendarmes et voleurs : de l’évolution de la délinquance aux défis du métier, Paris, L’Harmattan2007
  • Avec Véronique Le Goaziou, Quand les banlieues brûlent : retour sur les émeutes de novembre 2005, Paris, La Découverte, 2eédition 2007
  • Avec Marwan MohammedLes Bandes de jeunes : des blousons noirs à nos jours, Paris, La Découverte, 2007
  • La Frénésie sécuritaire : retour à l’ordre et nouveau contrôle social, Paris, La Découverte, 2008
  • Avec Pieter Spierenburg, Histoire de l’homicide en Europe, de la fin du Moyen Âge à nos jours, Paris, La Découverte, 2009
  • Avec Xavier Crettiez, Les Violences politiques en Europe : un état des lieux, Paris, La Découverte, 2010, 336 p. (ISBN9782707164582)
  • Avec Christian Mouhanna,La police contre les citoyens ?, Nîmes, Champ social, coll. « Question de société », 2011, 182 p. (ISBN978-2-35371-105-5)

En collaboration

Notes et sources:

[1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Mucchielli
[2] https://www.aimsib.org/2021/12/09/encore-des-hormones-mais-pour-combien-de-temps/
[3] Gates B,Responding to Covid-19 — A Once-in-a-Century Pandemic? N Engl J Med 2020; 382:1677-1679 DOI: 10.1056/NEJMp2003762 https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762
[4] Traduction : Les scientifiques ont séquencé le génome du virus et développé plusieurs vaccins candidats prometteurs en quelques jours, et la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations prépare déjà jusqu’à huit vaccins candidats prometteurs pour des essais cliniques.
[5] Michel JD, Covid : anatomie d’une crise sanitaire, Paris, HumenSciences, 2020, p.109
[6] Pascal Sacré, « Pavlov ou la Covid-19, comprendre l’inhibition transmarginale » https://www.aimsib.org/2021/01/17/pavlov-ou-la-covid-19-comprendre-linhibition-transmarginale/




Tant que les crimes de gauche ne seront pas punis, tout soutien à la « liberté » sera catalogué d’extrême droite

Par Lucien SA Oulahbib


Ce qui frappe dans ces mouvements récents pour « la liberté » c’est l’extrême maturité qui vient ces temps-ci du fond du froid [au Canada], peut-être avec un tantinet d’érable et d’étendues infinies et qui aujourd’hui, malgré les reductio ad hitlerum (peuplé de « teubés » pour la radio dite « publique » — admirez le ton de haute tenue), mobilise de partout, s’organise à la base avec des relais et des points d’ancrage démultipliés. Ceci n’a plus rien à voir avec les improvisations héroïques d’il y a trois ans [en France]. C’est un cri du cœur, l’expression tenace et spontanée de toutes les bonnes volontés. Celles-ci ne sont pourtant que de la chair à injections pour la nouvelle Secte lyssenkiste qui tient les hauts lieux du Pouvoir.

C’est peut-être cela l’effluve Révolution dans ses prémisses et ses bons côtés : chacun trouve sa place, met sa pierre, se fait utile, apporte son pack, étend les victuailles sur les tables, réconforte les isolés. Les gens dansent, chantent. Il y a comme une vague immense qui bien sûr se heurte aux récifs biscornus des murs médiatiques et des zones urbaines déjà passées sous mode de la réalité virtuelle depuis des lustres. Les gens n’y votent plus, mais acceptent la piquouse comme le dernier Pif gadget, abrutis par les mitraillettes de ricanements provenant des associations subventionnées jusqu’à la moelle (dernière en date : les Meutes Traoré faisant la chasse au « Livre Noir » parce que « d’extrême droite ») ou alors un Jadot qui dans un éclair de lucidité à l’envers réduit aussi le nucléaire à un parti pris d’extrême droite.

Car rien n’y faitla secte ultragauche qui donne toujours le la en France et en Occident (surtout depuis qu’elle est devenue le bras armé de l’affairisme hygiéniste djihadisé) appuie toujours son mensonge d’avenir radieux et le maquillage éhonté de ses crimes odieux (amorcés sous Trotski, mentor de Plenel) en falsifiant l’Histoire que hélas d’aucuns renforcent en adoubant la fiction d’une URSS qui aurait gagné, seule, la Seconde Guerre mondiale alors que sans l’appui anglo-américain en arsenal militaire massif : camions, jeeps, chars, chasseurs

  • 400 000 jeeps et camions
  • 14 000 avions
  • 8 000 tracteurs
  • 13 000 chars

jamais l’armée rouge n’aurait tenu. Par ailleurs Staline implorait les Anglo-Américains d’ouvrir un second front à l’ouest. D’où le débarquement en Normandie adoubé par Staline et même participant à une ruse pour le camoufler… (On est loin là aussi de la non-nécessité stratégique d’un tel front…).

Tout cela pour dire que la symbolique communiste a pu lestement effacer le sang des millions de morts des camps soviétiques, maoïstes, polpotiens (castristes, guévaristes, FLN algérien…) grâce à cette « victoire » très aidée sur le nazisme.

Il faudrait pourtant en finir avec ces deux poids deux mesures (vœux pieux), les millions de morts du communisme n’ont pas à être passés à l’as, il n’est pas possible que d’aucuns se prévalent des crimes de l’autre côté pour excuser les leurs alors qu’ils partagent parfois la même rhétorique  :

Manifeste du Parti communiste févier-mai 1941. Pour le salut du peuple de France (…).

« Le peuple de France empli d’un profond mépris à l’égard de la tourbe des politiciens de Vichy et de Paris ne veut être ni le soldat de l’Angleterre ni le soldat de l’Allemagne, ni le soldat de Churchill ni le soldat de Hitler : il ne veut pas être le soldat de la ploutocratie sous quelque visage qu’elle se présente. (…). Établissement de rapports fraternels entre le peuple français et le peuple allemand en rappelant que l’action menée par les communistes et par le peuple français contre le traité de Versailles, contre l’occupation du bassin de la Ruhr, contre l’oppression du peuple par un autre peuple (…) Nationalisation sans indemnités des banques, compagnies d’assurances, mines, chemins de fer, et de l’ensemble des sociétés capitalistes aryennes et juives (…) Recensement des fortunes et biens des gros capitalistes (aryens et juifs) (…) »

Cette mise dos à dos — ce relativisme — revient à la mode en remplaçant « aryennes » par « blanches » et « juives » par « sionistes » ; le tour est joué. Oubliées bien sûr toutes ces expropriations faites en Russie en Chine, en Algérie et ailleurs parce que l’on était « bourgeois », paysans riches, pieds-noirs… Il n’y avait certes pas l’apanage « racial », mais c’était tout comme puisque la « classe » était une sorte de race métaphysique, à commencer par le « Prolétaire », ce salvateur de l’Humanité et dont l’appartenance était aussi âprement débattue que la filiation directe à la famille de Mahomet. Ainsi était-on « prolétaire ou demi, ou quasi » parce que produisant « directement » ou pas de la « plus-value », ou alors assimilé prolétaire tout de même si l’on se trouvait une filiation chez les cheminots et autres tourneurs-fraiseurs. Et il y avait aussi ces exceptions, depuis 14, car adoubées par les plus authentiques d’entre eux lors de « Congrès » : ainsi des petits-bourgeois comme Lénine pouvaient faire oublier ces origines honnies grâce à leur surenchère sur « le renégat Kautsky », les « droitiers » ou les « gauchistes »…

Nous en sommes encore là : le niveau du débat politique est tellement étriqué que la Secte ne se préoccupe même plus de démontrer ses arguments (concept réactionnaire). Il suffit de les asséner comme le font Jadot, la meute Traoré, Mélenchon, Castex, Enthoven, Darmanin, etc.. Il suffit d’aboyer « extrême droite, complotiste, contaminateur, raciste, populiste » pour avoir son rond de serviette dans les officines du Service Public et Privé, et cela passe : « calmez-vous, cela va bien se passer, vous verrez », un propos de geôlier que peuvent reprendre en chœur tous ceux de la Secte. Et si vous ne vous calmez pas, c’est que vous êtes d’extrême droite (ou hystérique dans la version féminine).

Il faut décidément et en urgence (vœu pieux) l’organisation d’un tribunal mondial des crimes communistes et affiliés (en attendant celui des injections actuelles et du refus « systémique » de soins), quelque chose que l’on pourrait négocier avec Poutine (qui devrait réouvrir les archives) en échange de la levée des sanctions et de lutte contre la propagande queer. Et puis après : Pékin… Gros morceau en perspective, tant le régime maoïste est devenu l’un des piliers majeurs de la Secte hygiéniste affairiste racialiste.




Le combat pour les libertés paye ! Au 11 février 2022 quatre provinces canadiennes vont être libérées grâce aux convois de la liberté

Par Gérard Delépine

Il y a trois semaines, dans un silence assourdissant des médias, les camions de la liberté ont commencé leur croisade contre les mesures prétendument sanitaires qu’imposaient les dirigeants canadiens et en particulier le passe vaccinal.

Trudeau et sa clique ont d’abord méprisé les camionneurs, puis les ont accusés d’être des complotistes, des suprémacistes blancs (l’une des figures du mouvement est une Indienne !), puis d’être manipulés par Moscou.

Il a affirmé qu’ils n’étaient qu’une poignée.

Mais sur les routes, les camionneurs ont partout été salués par la population.

Des manifestants applaudissent depuis un pont au-dessus d’une autoroute proche de Toronto le convoi de camions qui convergeait vers Ottawa, jeudi 27 janvier 2022 | COLE BURSTON/AFP

et les policiers ont refusé de les arrêter.

Fin janvier, ils ont occupé Ottawa dans le calme comme ils l’avaient promis et Trudeau s’est caché dans sa propriété sous protection policière pendant près d’une semaine, car il aurait été infecté par le Covid malgré ses trois doses.

À Ottawa, malgré l’état d’urgence décrété par le maire, l’occupation du centre-ville autour du parlement s’est poursuivie dans le calme.

« La situation actuelle est complètement hors de contrôle, car ce sont les protestataires qui font la loi », a déploré dimanche 6 février 2022, le maire Jim Watson sur une radio locale, constatant que les manifestants « sont beaucoup plus nombreux que nos policiers ».

L’état d’urgence est décrété.

Pour mettre fin à l’occupation de la ville, le maire prévient :

« Toute personne qui tenterait d’apporter un soutien matériel (carburant, etc.) aux manifestants risque d’être arrêtée. Cette mesure est désormais en vigueur. »

Dimanche 6 février, la police d’Ottawa a indiqué avoir procédé à 7 interpellations et 100 contraventions…(([1] https://twitter.com/OttawaPolice/status/1490657893657546753)) Peter Sloly, chef de la police d’Ottawa reconnaissant qu’il n’avait « pas suffisamment de ressources pour arrêter les manifestants ».

Le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (JCCF), un groupe juridique représentant le Freedom Convoy à Ottawa, a déclaré que :

« la police enfreindrait la loi si la police tentait d’intimider ou d’arrêter des personnes qui apportent de la nourriture ou d’autres fournitures à des camionneurs qui exercent pacifiquement leurs charte, droits et libertés à Ottawa ».

« Les personnes qui apportent de la nourriture, de l’eau, de l’essence ou d’autres fournitures aux camionneurs qui manifestent pacifiquement n’enfreignent aucune loi. Il n’y a aucun fondement à cette menace policière », a déclaré l’avocat du JCCF, Nicholas Wansbutter dans un communiqué.

Certaines provinces canadiennes ont annoncé qu’elles annulaient leurs mandats de vaccination alors que les camionneurs canadiens protestataires continuent de bloquer les principales artères à la frontière canado-américaine et obstruent la capitale canadienne malgré la répression de la police d’Ottawa.

Premières victoires

Le Premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, a annoncé lors d’un point de presse le 8 février que le programme de passeport vaccinal de la province prendrait fin à minuit et que la plupart des règles sanitaires de la province seraient terminées dans les trois semaines. Kenney a annoncé que les règles de masque obligatoires seront annulées pour les enfants de moins de 12 ans dans tous les contextes et pour tous les enfants dans les écoles.

Le 8 février 2022, le Premier ministre de la Saskatchewan, Scott Moe, a également déclaré que son gouvernement commencerait à lever ses ordonnances de santé publique en cas de pandémie selon une approche progressive, à compter de lundi 14 février avec la suppression de son programme de passeport vaccinal.

Le Québec, qui avait précédemment annoncé son intention d’imposer des amendes punitives aux non-vaccinés, a déclaré le 8 février que la plupart des restrictions seraient levées d’ici le 14 mars. Le Premier ministre du Québec, François Legault, a signalé la levée des mesures Covid dans sa juridiction d’ici la mi-mars.

« Nous devrons apprendre à vivre avec le virus. Il y aura peut-être une sixième vague éventuellement, mais nous devrons vivre avec Covid »

La province des îles du Prince Edward a également annoncé qu’elle allait supprimer les restrictions prétendument sanitaires.

Tamara Lich, l’une des leaders du mouvement, répondant à Trudeau qui refuse pour l’instant d’abolir les mesures sanitaires a déclaré :

« Notre départ se fera quand le Premier ministre fera la bonne chose et mettra fin à toutes les obligations et restrictions ».

Ces premières victoires montrent que les protestations populaires massives peuvent faire reculer les tyrans.

Effectivement les choses bougent puisqu’au Parlement fédéral, les conservateurs menés par Candice Bergen ont présenté une motion demandant au gouvernement de Trudeau de présenter un plan pour mettre fin aux obligations vaccinales et aux restrictions sanitaires d’ici la fin du mois.

Cette motion pourrait être adoptée grâce à l’appui du Bloc québécois Mario Simard qui s’est dit favorable.

CONVOI DE LA LIBERTÉ français. Le convoi de la liberté est en route

Les premiers véhicules doivent arriver à Paris ce vendredi 11 février 2022.



[Voir aussi :
L’ancien tireur d’élite de Trudeau coordonne la sécurité bénévolement pour les camionneurs après sa démission pour refus de se faire vacciner
La couverture biaisée par les grands médias de la manifestation des camionneurs canadiens
Camionneurs de la liberté à Ottawa : l’astucieuse et encourageante analyse d’une journaliste canadienne
Dernières nouvelles du Canada : Trudeau a fui les camionneurs (sous le prétexte local de test positif à la Covid)
Canada : le milliardaire Elon Musk soutient les camionneurs ; Trudeau se planque à l’arrivée des routiers
Camionneurs : au tour de l’Europe ?
Les camionneurs australiens organisent à leur tour un convoi vers leur capitale
Canada : un énorme convoi de camions se dirige vers la capitale pour protester contre l’obligation vaccinale des camionneurs. Mise à jour 4
100.000 camionneurs veulent bloquer Ottawa pour libérer le Canada
Convois de la liberté : après la sidération du peuple, la sidération de la caste
Le convoi de la liberté en France et ailleurs dans le monde — 9 février… Mise à jour 3
« Convoi de la liberté », la révolte populaire ne faiblit pas malgré la répression et les menaces
Manifestations à Londres et NY en soutien au Convoi de la Liberté
Impact positif du Convoi de la liberté à Ottawa au Canada
Carlson fustige Justin Trudeau sur les ondes de Fox News : « Il n’y a pas de despote plus effrayant que le premier ministre du Canada »
LE Grand Réveil de l’Amérique ! Mise à jour 3
La majorité des Canadiens souhaitent maintenant la fin de toutes les restrictions sanitaires
Le Canada tout entier s’est joint au convoi, sauf Trudeau qui accuse Freedom Convoy 2022 de propager la haine, le racisme et la violence
Désinformation contre le convoi de la liberté, de la part d’un organe de propagande mainstream
Les médias mainstream canadiens continuent bien sûr de mentir. Mise à jour 5
Les routiers canadiens roulent vers la capitale Ottawa contre le pass vaccinal]




L’actu en bref… Revue de presse du 10 février 2022

Par Alain Tortosa

Panne de téléphone et d’internet dans les agences de presse, AFP, Reuters et AP ainsi que dans tous les journaux mainstream.

  • Le 8 février, le professeur Luc Montagnier, ancien prix Nobel de médecine s’est éteint à l’âge de 89 ans (sic).
  • Seuls les médias résistants ont diffusé l’information… Après tout, ce n’est qu’un prix Nobel…
  • Rectificatif, Cnews a appris la nouvelle le 10 février à 13 h 30, le téléphone a dû être réparé.

USA

  • Bonne nouvelle, le président Biden s’est souvenu de son nom ce matin au réveil…
  • En revanche il ignorait pourquoi sa maison avait des murs blancs.

Politique

  • Une fois de plus nous avons la preuve que les hommes politiques ne cherchent que le bien commun des Français.
  • Nous avons appris que Eric Woerth a rejoint l’équipe de E. Macron (sic). Ceci n’est que pure conviction politique et n’a rien à voir avec les sondages mensongers donnant une large victoire à notre bien aimé Président.
  • Notons qu’il n’est pas le seul… Nos députés et sénateurs nous ont prouvé leur courage politique depuis deux ans, n’hésitant pas à se tenir vent debout pour défendre nos libertés, au risque de perdre leur poste.

Gouvernement

  • Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, nous a rappelé que les devoirs devaient bien évidemment passer avant les droits (sic).
  • Sa déclaration a été saluée par Xi Jinping le lumineux.
  • Les frontons des bâtiments officiels indiqueront désormais « Devoir, Bon Français, Chacun pour soi et je t’emmerde ».

Canada

  • Malgré les suppliques d’appel au calme, les néonazis suprémacistes blancs membres du KKK du convoi de la « liberté » continuent à terroriser les habitants d’Ottawa (sic), voler les SDF (sic) et rançonner les petites vieilles.
  • Les autorités canadiennes semblent impuissantes à contrôler ces 20 camions qui bloquent la ville et une partie du pays.

Étranger

  • Russie, humiliation de Vladimir Poutine.
  • Lors de la rencontre entre V. Poutine et E. Macron, le pleutre Poutine était tellement terrorisé par notre grand Président qu’il s’est tenu à plusieurs mètres de lui (sic pour les mètres).
  • La réputation de notre Président est telle qu’il avait peur de s’en prendre une.

Gouvernement

  • Gérard Darmanin a déclaré aux médias que personne en France ne pensait que Macron n’avait pas été un bon président (si, si, sans rire, sic).
  • Cela me fait penser aux Chinois qui sur les réseaux sociaux soutiennent sans faille les JO de Pékin et comprennent qu’ils n’aient pas le droit d’y assister…

JO de Pékin

  • Des athlètes complotistes antinazis déclarent se sentir en prison dans leur lieu de résidence forcée avec interdiction de sortir, notamment en ville.
  • Et de rajouter que matin midi et soir ils reçoivent le même plateau-repas (sans légumes) (sic).
  • Il est totalement inadmissible qu’ils aient eu le droit d’y participer, cela donne une très mauvaise image de marque de l’Occident à nos amis chinois.

Covid

  • G. Attal a déclaré que le pass vaccinal devrait ne plus exister vers le mois d’avril (sic).
  • Nous n’avons pas à ce jour de détail sur le nouveau nom qu’il devrait prendre.
  • Des bruits de couloir laissent entendre qu’il devrait désormais s’appeler « pass de la liberté ».

Jeux olympiques

  • Une fois de plus, force est de constater que strictement personne n’en a rien à foutre des compétitions et de l’esprit sportif.
  • La seule chose qui compte est le nombre de médailles remportées, comme nous le rapportent tous les médias français et étrangers.

Société

  • Nous vous rappelons que le prix à la pompe du carburant est uniquement lié à l’augmentation du prix du pétrole, comme ne manquent pas de nous le rappeler les médias mainstream.
  • Si l’essence est à deux euros alors que le baril est très loin de ses sommets, ce n’est que pur hasard. D’aucuns affirment que cela serait lié à l’augmentation de la TIPP.
  • Le plus drôle est que nous payons aussi de la TVA (20 %) sur des taxes (TIPP).
  • Rappelons qu’aux USA le prix du litre est de moins d’un euro.

Société

  • Un homme transgenre devenu femme est officiellement devenu-e-s-iel la mère de son enfant conçu alors qu’il était un homme (sic).
  • Je ne doute pas que le Pape accueillera l’information avec joie et soutien sans faille.
  • Le nombre de psys va ainsi être multiplié par 10 pour les prochaines années.

C’est tout pour aujourd’hui.

Merci

Alain Tortosa

10 février 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220210-revue-de-presse.pdf




La fin du Covid. Libres, enfin libres… encore que…

Par Alain Tortosa

[Humour]

Et oui, le grand jour est arrivé, le Covid est mort, nous n’avons plus besoin de masques protecteurs, de confinements régulateurs de virus, de vaccinations altruistes et de passe-vaccinal libérateur…

Ah ! nous l’attendions depuis longtemps et cela prouve à tous les complotistes que la méthode gouvernementale était la bonne.

Bon, d’accord, nous allons devoir payer l’addition avec de nouvelles taxes ou une inflation de 10 %, mais c’était ça ou l’extinction de l’espèce humaine.

Libres, libres, nous sommes libres…

Libres, oui, mais pas de faire n’importe quoi comme pourrait nous le répéter notre Président bienfaiteur lumineux ou Valérie Pécresse, tous deux grands défenseurs des libertés s’il en est !

Je vous rappelle que le monde est très très dangereux.
Poutine nous menace ainsi que le terrorisme !

Alors oui le monde est débarrassé… pardon, le monde contrôle l’odieux Sars-cov2, mais la menace peut revenir à tout moment. Nous avons vu comment, nous, frêles Occidentaux, sommes fragiles face à la violence d’un virus qui ne respecte même pas les frontières. Pour protéger la population, nous n’avons pas hésité à investir massivement dans le personnel de sécurité chargé de contrôler les mauvais Français.

Qui sait si le monstre ne va pas revenir demain ou dans deux ans ? (les scientifiques de Wuhan prépareraient la V3 avec l’aide de Fauci et autres instituts français.)

Nous devons plus que jamais rester vigilants et demeurer dans la peur si possible 24 heures sur 24… Nous sommes peut-être à l’aube d’un conflit nucléaire mondial ! Je vous rappelle que les Russes sont des psychopathes sans âme qui n’aiment pas leurs enfants.

Et comme dit le dicton « un Français endetté, c’est bien, mais un Français dans la peur, c’est mieux ».

Attention, ces menaces ne sont rien face au défi qui nous attend ! Cela fait des années que gouvernements et médias corrompus nous y préparent, mais maintenant il va falloir rentrer dans le dur.

« Nous devons sauver la planète Terre de nous-mêmes ! »

Nous sommes face à un défi énorme que l’homme (pardon « iel ») n’a jamais connu.

Si nous ne le faisons pas, les générations futures (s’il y a des survivants) ne nous pardonneront jamais de ne pas avoir acheté de voitures électriques.

Les mêmes experts qui ont modélisé l’épidémie sont formels et unanimes.

Il y a de plus un consensus sur la planète pour dire que dans dix ans, si nous ne faisons rien, il y aura la fonte totale des glaces, la disparition des ours polaires ainsi que 30 % à 50 % des espèces vivantes, et une montée des océans de 23,82 mètres.

Qui pourrait douter de ces prévisions à 5 ou 10 ans quand nous constatons la redoutable précision de la météo à 5 jours !

Pour revenir au réchauffement, tout le monde sait que la chaleur n’est pas propice à la vie et que les jungles luxuriantes se trouvent aux pôles. Nous savons tous que les différentes ères glaciaires ont permis l’explosion de la vie sur Terre.

Et autre point à considérer, le réchauffement climatique devrait entraîner d’énormes sécheresses et la fin de la pluie. Là aussi il faudrait être le dernier des idiots pour imaginer que plus de chaleur entraînerait plus d’évaporation et donc plus de précipitations… Tout le monde sait qu’à l’équateur il pleut beaucoup moins qu’en Antarctique !

Bref, c’est la catastrophe annoncée et assurée…

Des centaines de millions de personnes vont mourir de faim et de soif (heureusement c’est des pauvres) et des milliards d’individus (là aussi des pauvres, ouf) vont devoir se déplacer vers des zones moins arides…

Disons que s’ils venaient chez nous ce serait moins drôle…

Pourtant cela ferait des économies de transport…

Ben oui, réfléchissez un peu… Aujourd’hui nos esclaves vivent à des milliers de kilomètres pour produire notre richesse et nous permettre de vivre dans l’opulence. Si nous avions des ghettos, par exemple dans le Larzac où personne ne veut vivre, les pauvres pourraient produire local… C’est ça l’écologie ! Il suffirait de leur donner un statut de sous-homme, sur le modèle des non-vaccinés, et ainsi il ne serait que justice que le fruit de leur travail leur permette tout juste de ne pas crever de faim.

Et en plus on pourrait créer des parcs à thème selon le type d’esclaves, ce qui pourrait permettre de faire des sorties Week-end pour les enfants… Sans compter que plutôt que d’acheter un dinosaure en plastique « made in China » à la boutique du parc, on pourrait acheter une phalange d’un enfant de six ans tranchée du matin par une machine-outil…
Du Bio ET du local !

Bon, je me suis un peu égaré, mais dès que l’on pense avenir de l’homme et progrès sociaux, je suis intarissable… J’espère ne pas avoir volé trop d’idées à Valérie, qu’elle m’en excuse…

Donc l’Armageddon est pour demain si nous n’agissons pas.

La France doit relever ce défi et être un phare pour la planète Terre et les planètes voisines.

Alors on va rester sans rien faire, assister à la fin du monde ?

Décidément l’homme n’apprend rien de son histoire Regardez les catastrophes dans la galaxie…
Sans aller si loin, il suffit de se tourner vers Mars. Il y a quelques milliards d’années, c’était une planète verdoyante avec une atmosphère respirable, des lacs et des rivières. Et voilà, il suffit qu’une tribu de macaques énarques établisse une colonie pour que, quelques dizaines d’années plus tard, la planète soit telle qu’on la connaît, hostile et sans vie.

Il faut donc « prendre le taureau par les cornes » ou comme dirait nos amis du Québec libre « ne pas niaiser avec la puck ».

Il nous faut désigner l’ennemi, ennemi qui est identifié depuis des dizaines d’années… Naïvement certains croyaient que c’était la surexploitation des ressources, la croissance infinie, la surconsommation, les produits chimiques, les pollueurs… mais que nenni !

« L’ennemi est bien entendu le CO2… »

Quel être décérébré pourrait ignorer que ce gaz est mortel ?! Rendez-vous compte que des imbéciles pensent que la surface forestière mondiale pourrait augmenter du fait du CO2 dont se nourrissent les plantes ?! Mais quelle stupidité !

Heureusement, le sujet est suffisamment sérieux pour que des imbéciles ne s’en mêlent pas.

C’est bien lui, le CO2, qu’il faut combattre, mais surtout pas les produits chimiques, les pesticides et tous les autres gaz à la dangerosité totalement marginale. Et fermons les yeux sur les pollutions engendrées par l’exploitation des terres rares qui rendraient stériles pour des dizaines d’années les zones d’extraction et de mise en valeur.
Ba-li-ver-nes.

Oui mes frères, permettez-moi cette familiarité, nous devons redoubler d’efforts pour lutter contre ce fléau.

Stop à l’égoïsme et à l’individualisme, l’heure est à la solidarité et à l’union telle que nous avons connu l’ébauche dans ce combat contre l’odieux Covid.

Pour lutter contre ce fléau, le conseil de défense a décidé de mesures phares :

  • Port obligatoire du masque à partir de 3 mois pour se protéger des polluants et diminuer la quantité de CO2 expulsée par chaque individu.
  • Confinement durant les pics de pollution (peuvent durer entre 24 heures et 6 mois).
  • Interdiction de tous véhicules de plus de 3 ans afin de favoriser les véhicules propres.
  • Limitation des déplacements individuels avec crédit kilométrique et taxe carbone.
  • Abaissement de la vitesse sur autoroutes à 50 km/h pour diminuer les émissions.
  • Interdiction de prendre l’avion sauf pour les personnes indispensables à la marche du pays.
  • Passeport climatique pour des raisons d’éthique et de solidarité. Il ne s’agirait pas de laisser des petits cons aux poumons obstrués saturer nos réanimations alors que nous, les bons Français, aurions fait les efforts nécessaires.
  • Stage de rééducation pour les irréductibles. Ici nous pouvons pointer du doigt l’irresponsabilité de ces salopards de complotistes qui manipulent les honnêtes gens simples d’esprit en leur laissant croire que l’évolution climatique serait un phénomène naturel.
  • Modification de la Constitution et du Code pénal avec introduction du délit pénal de « criminel climatique ».

C’est grâce à ces mesures pondérées, de bon sens, mais efficaces que nous pourrons contenir le réchauffement climatique.

Nous sommes bien conscients qu’il faudra faire plus et même beaucoup plus pour sauver la planète, mais le gouvernement soucieux, une fois de plus, du bien-être de chaque Français a décidé de faire preuve de pédagogie et avancer doucement.

Il a notamment déclaré « jamais nous ne toucherons à l’habitat individuel ».

Ceci n’a pas empêché Sainte Greta, canonisée par notre nouveau pape transgenre récemment élu, et prix Nobel de la paix ET de l’économie pour cinq années consécutives, de faire une crise de nerfs et déclarer que « vous devriez avoir honte, bande de cons, il faut aller beaucoup plus loin » comme :

  • Interdiction de l’habitat individuel.
  • Interdiction de véhicules individuels motorisés.
  • Interdiction de faire plus de 1,5 enfant (permis vert obligatoire).
  • Interdiction de chauffer sa maison à plus de 15 degrés.
  • Interdiction des avions publics (seuls les jets privés seront autorisés).
  • Interdiction de porte-containers à moteurs (à voiles en tissu bio uniquement).
  • Interdiction de courir pour toute personne à partir de 3 ans.
  • Interdiction des aires de jeu pour enfant.
  • Interdiction de surproduction de CO2 par la respiration. Taxe, amende et prison pour les plus grands producteurs.
  • Date de péremption de 3 ans sur tous les biens de consommation avec obligation de les remplacer par leur équivalent écologique.

Grâce à cet élan de l’humanité, encore plus beau que la solidarité qui a pris naissance contre le Covid, les progrès vont être extraordinaires.

Déjà des chercheurs imaginent des modifications génétiques sur l’humain qui permettraient de moins consommer d’oxygène et donc de moins expulser de CO2. Un vaccin est en cours de mise au point (à prendre tous les 15 jours) qui ferait baisser notre consommation de 30 % et plus à chaque rappel. Il a déjà été prouvé qu’il était sans le moindre effet secondaire à long terme.

Vous voyez bien que l’avenir est radieux et qu’il faudrait vraiment être de mauvaise foi pour s’en offusquer.

Grâce à toutes ces mesures, nous serons demain tous libres et nos enfants nous remercieront.

À nous faire regretter le Covid ?

Merci

Alain Tortosa.

1er février 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220201-fin-covid-tous-libres.pdf




Roumanie : Un sondage montre que les deux tiers de la population savent que le covid est une arnaque

[Source : Aube Digitale]

Les populations se réveillent tout doucement.

Via le Romania Journal :

Plus de 60% des Roumains pensent que la pandémie de Covid19 a été provoquée par les élites mondiales pour imposer un contrôle sur la population mondiale. En outre, près de 30 % d’entre eux pensent qu’il existe un plan mondial d’implantation de puces par la vaccination, selon le chapitre sept du sondage d’opinion intitulé « Méfiance du public : l’Ouest vs l’Est, la montée du courant nationaliste à l’ère de la mésinformation et le phénomène des fausses nouvelles » réalisé par INSCOP Research en partenariat avec Verifield et commandé par le think tank STRATEGIC Thinking Group.

En ce qui concerne les théories du complot répandues, selon près de deux tiers des Roumains (65,7 %), la pandémie de Covid-19 a été provoquée par les élites mondiales pour imposer un contrôle sur la population mondiale. Moins d’un tiers (28,4%) pense que la pandémie de Covid-19 s’est produite naturellement, comme d’autres pandémies dans l’histoire de l’humanité. 5,9% des répondants ne savent pas ou ne répondent pas à cette question.

Par ailleurs, 28,5 % des personnes interrogées pensent qu’il existe un plan mondial d’implantation de puces par la vaccination, tandis que 66 % rejettent cette théorie et 5,5 % ne savent pas ou ne répondent pas.

Exposition aux fake news

En ce qui concerne l’intention d’exposition personnelle aux fausses nouvelles, 54,7% des personnes interrogées considèrent qu’au cours des derniers mois, elles ont été exposées à des fausses nouvelles ou à des mésinformations dans une très large mesure (contre 55,6% en septembre 2021, 50,1% en juin 2021 et 55% en mars 2021), et 41,8% qu’elles ont été exposées dans une faible ou très faible mesure / pas du tout (contre 40,8% en septembre 2021, 45,6% en juin 2021 et 42,6% en mars 2021). 3,6% ne savent pas ou ne répondent pas à cette question (contre 3,6% en septembre 2021, 4,3% en juin 2021 et 2,5% en mars 2021).

« En ce qui concerne la vulnérabilité des Roumains à la mésinformation, nous notons les réponses inquiétantes concernant deux types de complots largement diffusés au cours des deux dernières années. Ainsi, un peu plus d’un quart des Roumains croient qu’il existe un plan mondial d’implantation de puces par la vaccination, et près de deux tiers pensent que la pandémie a été provoquée par les élites mondiales pour imposer un contrôle sur la population mondiale. Ce dernier chiffre ne reflète pas un déni de la pandémie et de ses graves effets, mais la tentation d’une très grande partie de la population pour les interprétations conspirationnistes, alimentées un temps par la mésinformation, les fausses nouvelles, certaines même diffusées par diverses voix influentes en Roumanie ou dans le monde, au détriment des explications raisonnables, acceptées par la communauté scientifique concernant les causes naturelles du virus COVID19 », a déclaré Remus Ștefureac, président de Strategic Thinking Group.

Quels sont les pays qui soutiennent la propagande ?

Concernant les pays qui soutiennent les actions de propagande, 27,3% des Roumains pensent que la Russie est la principale source d’actions de propagande, de mésinformation et de fausses nouvelles en Roumanie (contre 18,1% en septembre 2021, 25,2% en juin 2021, 24% en mars 2021). Dans le même temps, l’Union européenne est considérée comme la principale source de propagande, de mésinformation et de fausses nouvelles en Roumanie par 17% des répondants (contre 18,5% en septembre 2021, 13,8% en juin 2021, 18,5% en mars 2021), tout près de la Chine avec 17,7% (contre 14,3% en septembre 2021, 12,2% en juin 2021, 14,9% en mars 2021).

La Hongrie vient ensuite avec 5,4% (contre 6,9% en septembre 2021, 8% en juin 2021, 9,2% en mars 2021), les États-Unis – 4,9% (7,3% en septembre 2021, 7,9% en juin 2021, 9,2% en mars 2021) et l’Allemagne – 3,8% (2,2% en septembre 2021, 3,5% en juin 2021, 3,3% en mars 2021).

« La perception de la dimension conspirationniste du contrôle mondial est plus forte parmi le segment de la population ayant un niveau d’éducation primaire et de faibles revenus et vivant dans les zones rurales, mais, apparemment paradoxalement, lorsque le sujet de la cause de la pandémie de COVID est abordé, la part de la population qui croit en ce scénario augmente non seulement parmi les personnes vivant dans les zones urbaines et ayant un niveau d’éducation secondaire, mais aussi parmi la population ayant un niveau d’éducation supérieur et des revenus élevés. »

Les pays pauvres seront toujours plus terre à terre. Il faut avoir un niveau de domestication vraiment élevé pour croire que Poutine mange des bébés et que ce sont les antivax qui perpétuent le covid.




Canada : Justin Trudeau, juste un truand !

[Source : laminutedericardo.com]






Pourquoi le Great Reset est l’Agenda du Chaos….

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Avec le temps, et avec le temps seulement, la véritable nature du Great Reset apparaît. C’est celle de l’Agenda du Chaos mondial où, sous l’apparence d’un ordre multilatéral coordonné et harmonieux, les peuples sont mis en coupe réglée pour enrichir une infime minorité de possédants à la solde de qui des gouvernements corrompus et autoritaires oeuvrent sans état d’âme. Cet Agenda se déroule dans la hâte et la violence sous nos yeux depuis plusieurs années, mais nous n’y avions pas forcément pris garde. En tout cas, progressivement, on comprend comment cet Agenda a pris forme, comment il a été possible, ce vers quoi il tend : l’asservissement généralisé dans un ordre bipolaire où Chine et Etats-Unis espèrent constituer de nouveaux blocs dociles et rentables. Nous en dévoilons ici les dix étapes.

Nous ne l’avions pas clairement vu, mais l’Agenda du Chaos mondial se met en place, accéléré par le Great Reset, depuis plusieurs années. Il a fallu un long travail d’approche, une stratégie minutieuse, patiente, pour y parvenir. Et l’Agenda est loin d’être achevé, même si l’accélération de la cadence ces derniers mois traduit la panique certaine de la caste mondialisée face à la tournure des événements. 

Comprendre l’Agenda du Chaos

Je sais que beaucoup contestent l’existence d’un Agenda, parce qu’ils ne croient pas au complot, ou parce qu’ils ont peur d’être taxés de complotisme. Par crainte d’être cloué au pilori, il est provisoirement impossible (mais cela reviendra, avec le temps) de penser raisonnablement l’histoire contemporaine, d’en démêler les fils compliqués.

Tout historien sérieux est sommé d’admettre la propagande officielle comme une vérité brute, sinon il s’expose à une infamante mise à l’index. 

Pour dédramatiser les enjeux, il n’est pas inutile de commencer par un point sur la philosophie de l’histoire, pour replacer cette question du complotisme dans ses justes proportions et dans un cadre intellectuel cohérent. 

Toute la question qui est posée dans l’Agenda du Chaos mondial est celle de la place des forces sociales ou collectives et de leurs antagonismes dans l’histoire. L’histoire évolue-t-elle par hasard ? ou bien résulte-t-elle du conflit des volontés, éventuellement orchestré par des forces organiques ?

La question du complot et du complotisme

Selon la propagande officielle, penser que l’histoire ne soit pas une suite de décisions politiques rationnelles et désintéressées, ne soit pas un libre jeu du hasard et de la raison, en quelque sorte, c’est être complotiste. 

Selon cette propagande (assez bien orchestrée, concédons-le, mais qui s’embarrasse au final de trop peu de détails qui font vrai pour être crédible), une chauve-souris a volé pendant 400 kilomètres pour mordre un pangolin sur un marché de Wuhan en Chine. Le pangolin a mordu un Chinois qui passait par là, et, sans lien avec le laboratoire expérimental situé à proximité… qui travaillait sur des souches de coronavirus, l’épidémie a éclaté, contaminant le monde entier, sans traitement possible, si ce n’est un vaccin mis au point en 300 jours, qui ne comporte aucun effet secondaire dangereux et qui doit être rendu obligatoire dans les mois qui suivent sa mise sur le marché. 

Dans le même temps, tous les gouvernements des pays industrialisés ont rationnellement fait le choix de confiner leur population, puis d’imposer un passe sanitaire fonctionnant à partir d’un QR Code, puis de transformer ce passe sanitaire en passe vaccinal. Ils ont aussi fait le choix de s’endetter massivement auprès de leur banque centrale, jusqu’à mettre en péril la solvabilité des générations futures. 

Bref, nous sommes priés d’admettre sans broncher une fable selon laquelle, après des années de divergences internationales, le monde entier a brutalement retrouvé son unité et son harmonie pour adapter une réponse monolithique à une épidémie sortie de nulle part. 

Le moindre libre examen sur cette fable est immédiatement taxé de complotisme. 

Ce fut par exemple la thèse défendue par la prétendument prestigieuse revue scientifique The Lancet, dans une tribune du 19 février 2020, co-signée par un groupe de scientifiques qui dénonçaient tout scepticisme sur l’origine animale du virus. ” Conspiracy theories do nothing but create fear, rumours, and prejudice that jeopardise our global collaboration in the fight against this virus”, écrivaient-ils. (Les théories du complot ne font rien d’autre que créer la peur, des rumeurs et des préujugés qui fragilisent la collaboration mondiale dans le combat contre le virus). 

Pendant plus d’un an, le réseau social Facebook bannira sans état d’âme toute publication émettant un doute sur la fable de la chauve-souris qui a mordu un pangolin qui a mordu un Chinois. 

Assez rapidement pourtant, c’est l’Organisation Mondiale de la Santé qui diligentera une mission d’enquête en Chine pour comprendre l’origine réelle du virus. Dans l’équipe d’enquête se trouve un certain Peter Daszak, co-auteur de l’article du Lancet, et lié de longue date aux recherches sur le coronavirus en Chine, qui s’empressera d’affirmer que l’origine du virus est bien naturelle… rapidement démenti par le directeur général de l’OMS lui-même. 

Il est donc évident que l’accusation de complotisme portée par Daszak le 19 février 2020, et la censure officielle mise en place par les GAFAM sur l’origine réelle de l’épidémie, ont été et sont des paravents pour empêcher tout examen critique sérieux des circonstances historiques précises dans lesquelles cette épidémie est survenue. 

Il est tout aussi évident que des publications reconnues comme The Lancet ont prêté leur concours à une entreprise de propagande délibérée, destinée à empêcher toute transparence sur la façon dont l’épidémie est apparue et dont, ensuite, elle a été gérée. 

Ce qui nous intéresse ici n’est pas de relever, étape après étape, les moments où la propagande officielle a menti, et où elle a rejeté dans le complotisme toute opposition, voire tout doute sur le simple bon sens des discours tenus par les gouvernants ou par leurs affidés, sur l’épidémie. 

Ce qui nous intéresse, c’est de comprendre par quels mécanismes l’histoire s’est construite, et de savoir s’il s’agit d’un complot ourdi par quelques personnages mystérieux qui tirent les ficelles. Ou bien est-ce une affaire un peu plus compliquée ?

Entre propagande et complot, la réalité

Ma position, au demeurant assez commune dans la recherche historique, est de considérer que les événements ne s’expliquent ni par un complot ni par un enchaînement transparent et désintéressé comme nous le propose la propagande. 

L’histoire contemporaine s’explique plutôt par un immense antagonisme de forces collectives, dont certaines sont plus ou moins organisées. 

Autrement dit, l’histoire n’est certainement pas cette pièce de théâtre écrite par avance que les complotistes nous proposent. Il n’y a pas, tapis dans l’ombre, quelques scénaristes, quelques marionnettistes, qui prévoient tout et qui agitent des personnages en bois pour dérouler une intrigue dont ils connaissent l’issue. 

En revanche, il est incontestable que l’hyper-capital d’abord anglo-saxon, et maintenant mondialisé, qui s’est constitué grâce à une révolution numérique mal maîtrisée ou mal “régulée”, nourrit depuis une bonne décennie la tentation de profiter des circonstances historiques heureuses grâce auxquelles il s’est taillé la part du lion pour consolider et étendre sa domination sur le monde. 

Cet hyper-capital, souvent résumé dans l’expression GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon), dispose d’un véritable éco-système organisé et pensé pour influencer, de façon “soft” mais efficaces, le cours des événements. 

Les visages de cet écosystème sont nombreux. Beaucoup connaissent le Forum Economique Mondial de Davos, fondé par Klaus Schwab dont j’ai analysé le Great Reset. Mais il existe bien d’autres instances où la caste mondialisée se retrouve pour faire avancer son emprise sur les affaires. 

Nous y reviendrons dans les chapitres suivants. 

Ce qu’il est important de souligner ici, c’est que l’influence de la caste mondialisée sur le déroulement des événements historiques ne correspond pas à un complot, mais à une sorte de pulsion collective qui a trouvé sa formulation dans un agenda relativement bien séquencé, que nous exposons dans les lignes qui suivent. 

Sur le fond, il n’y a ici nul conspirationnisme. Il y a une simple compréhension du conflit des volontés dont parlait Emmanuel Kant à la fin du dix-huitième siècle. L’histoire ne s’explique par la manipulation de tous par quelques-uns, mais par l’opposition d’intérêts entre les uns et les autres. 

Parfois, comme le pensent les libéraux, cette opposition produit des résultats harmonieux. C’est l’objet de la pensée de Bastiat. 

Parfois, elle tourne au conflit. C’est l’objet de la pensée de Marx. 

C’est à ce conflit qui nous mène au chaos que nous assistons. 

La domination par la caste et le chaos mondial

Avant de détailler les dix étapes-clés de l’agenda du chaos, il faut sans doute poser la question première du pourquoi, c’est-à-dire de la finalité ultime que poursuit la caste mondialisée avec son agenda savamment partagé. 

Cette finalité pourrait être longuement discutée, et des divergences existent probablement, fortes, substantielles, au sein même de la caste, entre les objectifs à atteindre. 

Par exemple, George Soros est très hostile à la Chine, alors que Klaus Schwab n’hésite pas à se rapprocher du Parti Communiste Chinois. On peut penser que l’obsession vaccinale de Bill Gates ne correspond pas aux obsessions virtuelles de Mark Zuckerberg. 

Au sein de la caste, la téléologie de la domination diffère. 

Mais un point commun unit ces aspirations ou ces visions différentes : la haine des Etats-nations, qui sont les empêcheurs de tourner en rond, et, in fine, la haine de la liberté. 

On ne dira jamais assez comment l’idéologie mondialiste a mal vécu l’évolution des vingt dernières années : la montée du “populisme” en Occident, l’échec de la Constitution Européenne, rejetée par referendum, le Brexit, l’élection de Trump, sont autant de menaces vitales pour la mondialisation des marchés et la négociation de contrats sans obstacle souverainiste. 

Il suffit de lire le Great Reset de Schwab pour comprendre combien le populisme ou le nationalisme constitue la menace principale qui pèse sur la mondialisation. On trouvera par exemple cette phrase révélatrice à la page 87 du livre de Schwab :

” À mesure que les coûts sociaux provoqués par les effets asymétriques de la mondialisation augmentaient (notamment en termes de chômage dans le secteur manufacturier des pays à haut revenu), les risques de la mondialisation financière sont devenus de plus en plus évidents suite à la grande crise financière qui a débuté en 2008. Ainsi combinés, ils ont déclenché la montée de partis populistes et de droite dans le monde entier (plus
particulièrement en Occident), qui, lorsqu’ils arrivent au pouvoir, ont souvent recours au nationalisme et font la promotion d’un programme isolationniste, deux notions contraires à la mondialisation. “

Saluons la grande lucidité de Schwab sur les inconvénients de la mondialisation, sur ses risques, sur ses déséquilibres, et saluons l’intelligence des solutions qu’il propose pour combattre la tentation protectionniste et populiste : asservir les peuples en les nivelant et en les faisant entrer à coup de chausse-pieds en acier dans une chaussure trop petite : celle d’un ordre mondialisé où une caste s’enrichit en tentant d’hypnotiser les peuples avec des techniques de manipulation de masse. 

Et c’est bien cet horizon indépassable qui nous est proposé : neutraliser le populisme par tous les moyens possibles afin de laisser le champ libre à la mondialisation. 

Dans cet objectif commun, dans cette alliance tactique qui unit des anti-chinois et des pro-chinois, des vaccinolâtres et des technolâtres de tous poils, il y a un ciment durable, puissant : la haine des réactions populaires, le mépris pour les “populistes” et les “nationalistes”, la peur des soulèvements, et la recherche d’une domination la plus fluide possible pour que le business continue et même prenne de l’ampleur. 

La lutte est là. La victoire à remporter n’est pas ailleurs. Il faut faire la guerre aux Etats-nations et à leurs défenseurs, et attirer le monde entier dans la seringue univoque de la grande famille humaine conduite par une élite éclairée. 

Et tant pis si, pour y arriver, le chaos est semé partout, et si la domination fait fi des droits naturels, à commencer par la liberté de choisir son propre destin, pour assurer son triomphe. 

Ordo ab chao. 

Les 10 étapes de l’Agenda du Chaos

Ces opérations ne sont pas nées de nulle part, et sous la houlette de quelques esprits déterminés, comme celui de Klaus Schwab, elles se sont inscrites dans un canevas à grosses mailles dont on mesure aujourd’hui l’impressionnante efficacité. 

Schématiquement, nous pouvons décomposer ce canevas, cet Agenda du Chaos, en dix étapes-clés :

  1. Syndiquer la caste mondialisée et tisser une connivence durable : cette première étape a consisté, dans les années 2000, puis 2010, à forger une conscience de caste commune et à bâtir des relais solides pour une action concertée. Ce fut par exemple l’oeuvre des Young Global Leaders de Davos (lancés en 2004)
  2. Concentrer les médias pour construire une hégémonie culture : cette étape décisive a commencé dans les années 2000 dans les démocraties occidentales, mais atteint son apogée avec la domination écrasante de Google et de Facebook, qui captent la valeur de l’information et disposent d’un primat sur celle-ci. L’éviction de Donald Trump hors des réseaux sociaux en dévoilera le projet final
  3. Industrialiser le “narratif” de la protection pour justifier la domination : pas de domination hégémonique durable, pas de combat contre le populisme sans une industrialisation du discours de la protection des peuples par la caste. Ce fut par exemple le projet de Bill Gates, entamé en 2010, sur la vaccination mondiale, qui s’est appuyé sur une constellation impressionnante d’organisations qu’il a lui-même fomentées comme le GAVI ou le CEPI. Grâce à cette industrie mondiale, la caste peut endormir la vigilance des peuples en les convainquant qu’elle protège
  4. Sidérer les consciences par des chocs systémiques : la survenue de l’épidémie de COVID 19 a montré de quoi la caste était capable pour mettre en place son Agenda du Chaos. L’utilisation du choc épidémique, son instrumentalisation politique, pour domestiquer les peuples et vaincre les résistances est un prodigieux tour de force qui n’aurait pas été possible sans une industrialisation préalable des médias, de la connivence entre intérêts publics et intérêts privés, et du discours dominant
  5. Généraliser la peur comme mode de gouvernement : le corollaire indispensable à cette stratégie du choc, c’est la peur comme mode de gouvernement. La gestion du COVID a montré comme cette peur était savamment orchestrée, par exemple par la mise en scène de points quotidiens sur le nombre de morts prétendus du virus, alors même que, selon toute vraisemblance, les chiffres des décès étaient artificiellement gonflés pour entretenir l’angoisse
  6. Transformer les opposants en boucs-émissaires : cette manoeuvre est au coeur de la gestion du COVID depuis le début. Tous ceux qui osent contester la propagande sont rejetés dans le complotisme et accusés d’être à l’origine de tous les maux de la société. La politique de ségrégation à l’égard des non-vaccinés l’a abondamment montré
  7. Accélérer les transferts de souveraineté vers des instances multilatérales sous contrôle : cette étape essentielle est intervenue grâce à l’éviction de Donald Trump. Avec l’arrivée de Joe Biden au pouvoir, la caste mondialisée a pu remettre ses dadas en route : les COP, les G quelque chose (7, 8, 20). En Europe, le Conseil a décidé de nombreux transferts de souveraineté dans différents domaines, dont la santé
  8. Mettre les populations sous surveillance constante : cette dimension essentielle de l’Agenda du Chaos ne se limite pas à la mise en place du contact tracing prôné par le Great Reset de Schwab. Elle inclut différentes mesures liberticides, comme la limitation dans la libre circulation des personnes selon leur statut vaccinal, mais aussi la généralisation de la reconnaissance faciale, l’autorisation des drones dans la vie quotidienne, la mise en place de fichiers uniques des populations, intégrant le fichage des opinions philosophiques
  9. Orchestrer la domination financière des nations : la crise du COVID a donné lieu à une explosion de la dette mondiale, qu’elle soit publique ou privée. Qui dit dette dit aussi créancier, et entrée du débiteur en dépendance vis-à-vis de son créancier. Pendant que les GAFAM se sont enrichis à coups de dizaines ou de centaines de milliards, des Etats ont définitivement perdu toute autonomie financière vis-à-vis des banques centrales et de la finance américaine en empruntant pour éviter la déroute. 
  10. Prendre le contrôle des monnaies : cette phase ultime, régulièrement appelée Great Reset monétaire, se déploiera en plusieurs étapes, dont la mise en place de monnaies numériques et l’instauration d’une politique budgétaire conforme aux vues de la Modern Monetary Theory (MMT), déjà exposée dans nos colonnes. Cette politique écrasera les classes moyennes et créera des paradis fiscaux pour les plus riches. La mise en place de l’euro numérique est prévue pour 2023, mais on peut penser que le Great Reset monétaire interviendra en 2024 si les mid-terms américaines consacrent une large victoire des Républicains. 

In fine, l’Agenda du Chaos s’achèvera lorsque le suffrage universel sera vidé de sa substance, et lorsqu’une gouvernance mondiale se substituera au concert des Nations. 

Dans cet univers dystopique subsisteront deux castes : les “intouchables” vivant de l’helicopter money versé par la caste, et les mondialisés, qui seront les seuls à accéder aux profits. 

La dystopie en action

Comme on le voit, l’Agenda du Chaos a pris forme il y a une quinzaine d’années avec l’apparition des Young Global Leaders, dont l’achèvement se mesure maintenant. Il ne faudrait bien entendu pas limiter la syndication de la caste mondialisé à ces seuls Young Global Leaders, mais ils constituent la face emblématique d’un système de cooptation qui s’est mis en place dans la durée pour créer une connivence profonde entre les élites mondiales. 

L’Agenda s’est accéléré, nous l’avons dit, avec l’irruption de Trump et la montée du souverainisme partout dans le monde. 

Sans ces circonstances, il est probable que son évolution aurait été à peine perceptible jusqu’en 2030, année fixée pour les premières réalisations de l’Accord de Rio, puis de Paris. 

Le COVID a constitué une formidable opportunité pour accélérer l’allure. L’histoire dira un jour comment cette accélération est intervenue. 

En attendant, il est très probable que les deux prochaines années concentrent de nouveaux événements douloureux supposés briser pour longtemps la capacité de résistance des peuples. 

Au premier rang de ces événements, une nouvelle crise financière devrait permettre la mise en place des monnaies numériques et le retrait de cash complètement dévalués. 

C’est la stratégie du chaos. 

Dans la lecture des pages qui suivent [dans un prochain livre], il ne faut surtout pas oublier que cet Agenda est le fait d’une caste, en rien un scénario inévitable. 

Il appelle, de la part des peuples, un effort de conscience, et la mise en place d’une véritable stratégie de sécession, que nous détaillerons dans la deuxième partie de ce livre. 




Pendant que les dirigeants de la plupart des pays occidentaux tyrannisent leur peuple, un prétendu dictateur expose l’arnaque des mesures sanitaires

[Source : @coolsage3]

[Voir aussi, concernant le Président Loukachenko de Biélorussie :
22 Juin 2021, Loukachenko au Fort de Brest : Appel à la Résistance populaire antifasciste
Le président Biélorusse présenté comme un dictateur est un des rares dirigeants du monde à s’opposer aux mesures sanitaires, mais doit se battre contre ses ministres vendus
Le Bélarus face à la haine occidentale
Les acteurs mondiaux peuvent utiliser le coronavirus pour remodeler le monde sans guerre — Président de Biélorussie]




Le Canada tout entier s’est joint au convoi, sauf Trudeau qui accuse Freedom Convoy 2022 de propager la haine, le racisme et la violence

[Source : mondialisation.ca]

« Hier, je me tenais avec des amis et des collègues sur l’un des nombreux viaducs d’autoroute de Toronto, alors que nous assistions à un moment véritablement historique devant nos yeux remplis de larmes. Des milliers de Canadiens épris de liberté, de tous les horizons, étaient rassemblés là – comme partout dans le pays – dans un froid glacial, brandissant des drapeaux et des pancartes pour montrer leur soutien à des centaines de courageux chauffeurs de camions de transport qui passaient devant nous dans le convoi de la liberté en route vers la capitale nationale. »

David Skripac, auteur de renom et pilote ayant servi comme capitaine dans l’Aviation royale du Canada.


Selon Justin Trudeau :

les manifestants « ont exprimé une rhétorique haineuse et de la violence envers leurs concitoyens ».

« Alors à ceux qui sont responsables de ce comportement – il faut que cela cesse, […].

Les Canadiens à la maison regardent avec dégoût [disgust] et incrédulité ce comportement, se demandant comment cela a pu se produire dans la capitale de notre pays. …

M. Trudeau affirme que personne n’a le droit « d’abuser, d’intimider et de harceler […] ses concitoyens ».

(Déclaration du 31 janvier suivie d’une conférence de presse, vidéo ci-dessous)

« Dégoût et incrédulité » selon Trudeau. Des millions de Canadiens d’un océan à l’autre ont soutenu et continuent de soutenir le convoi pour la liberté 2022.

Il n’y a eu aucune preuve de racisme, de haine et de violence de la part des manifestants, ni d’abus contre des concitoyens, comme l’a prétendu le premier ministre.

[Voir aussi :
Désinformation contre le convoi de la liberté, de la part d’un organe de propagande mainstream
et
Les médias mainstream canadiens continuent bien sûr de mentir. Mise à jour 5]

Le vaccin est sans danger selon Trudeau

M. Trudeau affirme sans preuve que le vaccin est sans risque. Nous ne soutenons pas la désinformation et les théories du complot, dit-il.

Il attaque Erin O’Toole, chef du Parti conservateur. Il appelle les politiciens à réfléchir  très sérieusement à qui ils soutiennent.

Il appelle les politiciens à « respecter la science ».

Science et faits

M. Trudeau appelle à « faire confiance à la science, à faire confiance aux faits ». À cet égard, je le soutiens pleinement.

Mon message à Justin Trudeau :

Je vous suggère de lire les rapports officiels sur la science et les faits de l’Union européenne, des États-Unis et du Royaume-Uni concernant les décès et les événements indésirables liés aux vaccins qui ont été signalés, enregistrés et consignés. N’oubliez pas : La plupart des décès et des effets indésirables ne sont pas signalés.

Il s’agit de chiffres officiels. Ce sont des faits.

TOTAL pour l’UE/le Royaume-Uni/les États-Unis – 61 654 décès liés à l’injection de Covid-19 et 9 755 085 blessures signalés au 28 janvier 2022.

Et Santé Canada n’informe pas les Canadiens sur les décès et les effets indésirables liés au vaccin Covid-19.

Voir la déclaration de Trudeau suivie d’une conférence de presse bilingue :

https://www.youtube.com/embed/Y8YZ5l5rJrE

Le Premier ministre Justin Trudeau déclare que « les discours haineux et les symboles racistes ne doivent pas être tolérés au Canada. » 1:46

Voir la vidéo ci-dessous.

Voilà ce qui se passe. Et Trudeau appelle cela une « minorité marginale ».

Vidéo : TOUT le Canada a rejoint le convoi, sauf Trudeau

https://www.youtube.com/embed/N23pYH18xGs

Croix gammées

Trudeau a fait référence aux croix gammées, laissant entendre que les organisateurs soutiennent les symboles néo-nazis. (Le Times of Israel a confirmé qu’il y a eu un événement avec une croix gammée et un drapeau confédéré à Ottawa).

Ce que Trudeau omet de mentionner, c’est que son gouvernement soutient la Garde nationale ukrainienne, qui est contrôlée par des éléments néonazis.

Selon le Ottawa Citizen (9 novembre 2021)

« Les fonctionnaires canadiens qui ont rencontré les membres d’un bataillon ukrainien lié aux néonazis n’ont pas dénoncé l’unité, mais étaient plutôt inquiets que les médias exposent les détails de la rencontre, selon des documents nouvellement publiés.

Les Canadiens ont rencontré les dirigeants du bataillon Azov et ont été informés par eux en juin 2018. Les officiers et les diplomates ne se sont pas opposés à la réunion et se sont plutôt laissés photographier avec les responsables du bataillon, malgré les avertissements précédents selon lesquels l’unité se considérait comme pro-nazie. Le bataillon Azov a ensuite utilisé ces photos pour sa propagande en ligne, soulignant que la délégation canadienne avait exprimé « l’espoir d’une coopération fructueuse future. »

Il existe de nombreuses preuves du soutien canadien et américain aux néonazis en Ukraine, qui remontent à l’Euromaïdan de 2014 :

Andriy Parubiy cofondateur du Parti social-national néo-nazi d’Ukraine (rebaptisé par la suite Svoboda) a été nommé [en 2014] secrétaire du Comité de la sécurité nationale et de la défense nationale (RNBOU). (Рада національної безпеки і оборони України), un poste clé qui outrepasse le ministère de la Défense, les forces armées, les forces de l’ordre, la sécurité nationale et le renseignement.

Le leader néo-nazi Andriy Parubiy invité par Trudeau à Ottawa

Lors de la formation d’un nouveau gouvernement en 2014, le leader néo-nazi Andriy Parubiy est devenu député. Il a ensuite été nommé vice-président de la Verkhovna Rada (Parlement ukrainien).

En 2016, le leader nazi Andreiy Parubiy a été invité à Ottawa pour rencontrer le Premier ministre du Canada.

Le vice-président du Parlement ukrainien, Andriy Parubiy, s’est rendu à Ottawa en février 2016 pour rencontrer le premier ministre. Lors de cette réunion (de gauche à droite) se trouvent l’ambassadeur de l’Ukraine au Canada Andriy Shevchenko, le vice-président de la Verkhovna Rada Andriy Parubiy, le premier ministre Justin Trudeau et le député Borys Wrzesnewskyj.

Michel Chossudovsky

Article original en anglais :

ALL of Canada Has Joined The Convoy, Except Trudeau. Accuses Freedom Convoy 2022 of Propagating Hatred, Racism and Violence, publié le 31 janvier 2022

À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté,  America’s « War on Terrorism » (2005) – Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à crgeditor@yahoo.com

Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022




L’AFP : la plus grande fabrique française de fausses nouvelles

Par Gérard Delépine

L’AFP, c’est 8 « Fake News » [Fausses nouvelles] en une seule dépêche(([1] « AFP Factuel Attention aux assertions trompeuses de Christian Perronne sur la vaccination anti-Covid devant des députés luxembourgeois 27 01 2022 »)) contre le Pr Perronne

Jadis, les agences de presse rapportaient les faits sans prendre parti, laissant les commentaires aux éditorialistes et autres commentateurs. Mais depuis le Covid-19 la plupart d’entre elles, rémunérées par Bill Gates, sa fondation et ses extensions, se sont transformées en organes de propagande provax et émettent sans arrêt des désinformations qu’elles surnomment pompeusement « checknews » [vérification de nouvelles].

Actuellement l’AFP, financée largement par l’État met à la disposition de tous l’information disponible facilement utilisable et qui devient la référence facile pour tous les petits journaux qui n’ont pas de subsides pour envoyer des journalistes dans le monde. « Fact check » [Vérification des faits] à disposition !

Parmi celles-ci, l’AFP se signale par son agressivité malveillante envers les donneurs d’alerte comme récemment envers le professeur Perronne.

Nous reprendrons quelques-uns des mensonges de l’AFP les plus éhontés utilisés pour discréditer le professeur Perronne qui ne peut pas être qualifié d’antivax : expert vaccins de l’OMS pour l’Europe, il a établi pendant plus de dix ans le calendrier vaccinal français.

1°) Les injections Covid actuelles seraient des vaccins ! L’AFP ment en le prétendant

Pasteur a défini un vaccin comme contenant des antigènes provenant d’un virus tué ou inactivé. Les injections anticovid actuelles ne contiennent aucun antigène, mais ont pour principe actif un ARN messager. Ce sont donc des médicaments génétiques à visée préventive et non pas des vaccins.

Affirmer le contraire comme le fait l’AFP témoigne de l’ignorance de ce qu’est un vaccin ou d’une mauvaise foi marchande. D’ailleurs le Pr Delfraissy lui-même a récemment admis qu’il s’agissait en réalité d’« une forme, un peu, de vaccin médicament… Disons un « vaxicament”. » L’AFP va-t-elle bientôt le traiter lui aussi de complotiste ?

2°) Ces injections sont bien expérimentales. L’AFP ment en prétendant : « les vaccins autorisés en France ne sont plus au stade expérimental »

Pour tenter de démentir ce fait établi et vérifiable, l’AFP utilise des déclarations trompeuses de responsables des vaccinations ou de médecins très liés aux lobbys pharmaceutiques, mais ne montre aucun fait probant.

Il est pourtant très facile de savoir si un médicament est encore en expérimentation : il suffit de consulter le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais médicamenteux en cours, leur état d’achèvement et éventuellement leurs résultats publiés.

Si l’AFP l’avait fait, elle aurait constaté qu’aucun pseudovaccin actuel n’a terminé ses essais phase 3 dont la fin est espérée pour janvier 2023.

L’essai le plus avancé, celui de Pfizer ne sera terminé que dans un an !

Par définition tant que l’essai phase 3 n’est pas terminé, le médicament est expérimental. D’ailleurs l’autorisation de mise sur le marché qui lui a été accordée est conditionnelle rappelant qu’elle n’est que provisoire en attendant la fin des essais.

Mais peut-être que les « fact checkers » de l’AFP ne savent pas consulter le site « clinicaltrials.gov » ou ont du mal à lire l’anglais.

3°) Les vrais vaccins sont destinés à empêcher les contaminations. L’AFP ment en prétendant le contraire

Le succès des vaccinations contre les viroses telles que la variole, la fièvre jaune, l’hépatite B, les oreillons, la rubéole, la poliomyélite repose sur cette capacité à empêcher d’attraper et de transmettre la maladie. Cette propriété première des vaccins à prévenir toute transmission virale constitue même l’argument fétiche pour imposer les obligations vaccinales :

« il faut vacciner tout le monde pour protéger les plus faibles ».

Certes, certains vaccins n’y parviennent qu’à 90-95 % (vaccin contre la rougeole) et les vaccins antigrippaux sont les moins efficaces (10 à 50 %), car le virus mute chaque année et la formule vaccinale retenue ne constitue qu’un pari sur le mutant le plus probable et c’est pour cette raison qu’ils ne sont obligatoires dans aucun pays.

Un vaccin incapable d’empêcher les transmissions risque, d’un point de vue sociétal, de se révéler plus dangereux qu’utile, car il risque d’inciter les injectés qui se croient protégés à adopter des comportements à risques. Cela a été constaté lors des essais de vaccins antisida et aussi lors de la mise en œuvre du passe sanitaire en Autriche.

4°) Il faut au moins dix ans pour qu’un vaccin normal soit autorisé. L’AFP ment en prétendant le contraire

Vaccination info service, organe de promotion des vaccins, précise sur son site(([2] https://vaccination-info-service.fr/Generalites-sur-les-vaccinations/Qualite-securite-et-efficacite-des-vaccins/Securite-et-qualite-des-vaccins/Recherche-et-essais-cliniques-sur-les-vaccins)):

« Compte tenu des études et des tests exigés par les autorités, le développement d’un vaccin est très long, d’une durée pouvant aller de neuf à quatorze ans, voire plus (exemple du VIH/SIDA). »

Le dernier vaccin de Sanofi, le vaccin Dengvaxia a nécessité 20 ans de recherche d’après Dr Olivier Brandicourt, Directeur Général de Sanofi.(([3] https://www.sanofi.com/fr/media-room/communiques-de-presse/2015/2015-12-09-16-30-00))

Le dernier vaccin contre l’hépatite a de même nécessité plus de dix ans de recherche.

Le vaccin Mosquirix développé pour lutter contre le paludisme à partir de 1996 n’a été accepté en Europe qu’en 2015 (19 ans après le début des recherches).

Mais l’AFP fait semblant d’ignorer ces informations indiscutables.

5°) L’AFP prétend imprudemment : « la technologie de l’ARN messager, élaborée depuis près de 30 ans et qui s’est révélée très efficace contre le Covid ». C’est trompeur et mensonger

Certes cette technologie d’injection génique a été développée depuis longtemps, mais avec des échecs graves (leucémies après traitement des enfants bulles), mais elle n’avait jamais été utilisée en pathologie infectieuse. Pour un « vaccin », il s’agit donc d’une technologie expérimentale qui justifie les plus grandes précautions.

Surtout, les résultats avérés de ces pseudo vaccins en population réelle sont franchement mauvais : incapables d’éviter la maladie et les contaminations.

L’évolution sanitaire des pays les plus vaccinés le démontre, comme celle d’Israël désormais dans le peloton de tête mondial du nombre de personnes contaminées par nombre d’habitants.

D’après les chiffres du ministère israélien de la Santé publiés le 30 janvier 2022, beaucoup de personnes testées positives avaient déjà contracté le Covid-19 ou bien avaient été vaccinées, et parfois même avaient reçu une quatrième dose.

De quelle efficacité l’AFP glorifie-t-elle les pseudo vaccins ? De faciliter l’infection ?

6° Les vaccins n’empêchent pas de faire des formes graves ni de mourir du covid. L’AFP ment en le niant

Toutes les agences gouvernementales françaises sont mobilisées pour faire croire cette fable comme à l’époque de Tchernobyl pour prétendre que le nuage s’était arrêté à la frontière. Mais dans les autres pays, les agences sanitaires sont moins dépendantes de l’état et permettent une appréciation plus objective.

Ainsi en Israël, en janvier 2022 le nombre de patients développant des symptômes sévères n’a pas cessé d’augmenter. Ce chiffre devrait dépasser le record de 1 200 cas graves atteint il y a un an, alors que la première campagne de vaccination n’avait pas encore produit ses effets. D’après le ministère de la Santé, au 30 janvier 2022, sur les 1 099 cas graves recensés dans le pays, 47 % sont à jour de leur vaccination anti-Covid.

La mortalité quotidienne actuelle dépasse déjà les records de la vague précédente.

Grande-Bretagne

Le 29/12/2021 UK Health Security Agency (UKHSA) a recensé 815 malades hospitalisés en soins intensifs pour Omicron.

25 % (206) d’entre eux n’avaient reçu aucune injection, 6 % (49) une dose, 43 % (352) deux doses et 23 % (189) 3 doses, ce qui reproduit à peu près le statut vaccinal de la population générale et montre l’absence de protection des formes graves par les injections.

7°) Oui, il existait des traitements efficaces au moment de l’homologation des vaccins. L’AFP ment en prétendant le contraire

Pour s’en convaincre, il suffit de comparer l’évolution de l’épidémie en Algérie (qui a utilisé le protocole Raoult) à celle des pays voisins, Tunisie, Italie, France dont les populations sont proches par le pourcentage de plus de 60 ans et leurs comorbidités, mais qui ont interdit l’utilisation de l’hydroxychloroquine.

Fin janvier 2022 l’Algérie compte 13 à 15 fois moins de morts de Covid par millions de personnes que les pays qui ont interdit les traitements précoces.

Mais l’AFP croit peut-être qu’il y a eu un miracle en Algérie.

8°) L’AFP se comporte en révisionniste des procès de Nuremberg et défend ainsi la position nazie de la primauté de la société sur l’individu, pourtant clairement condamnée lors de ces procès.

Rappelons les faits historiques.

Après la 2e Guerre mondiale, les alliés voulant punir les responsables des crimes contre l’humanité ont organisé deux procès, l’un contre les responsables politiques, l’autre contre les médecins responsables des expériences médicales faites dans les camps de concentration.(([4] Bruno Halioua Le procès des médecins de Nuremberg : l’irruption de l’éthique médicale moderne Vuibert, 2007))(([5] https://www.memoiresdeguerre.com/article-proces-des-medecins-nazis-42235659.html)) La moitié de ces essais thérapeutiques concernait des vaccins et en particulier contre le typhus, l’hépatite virale, le typhus, la typhoïde, la fièvre jaune, la dysenterie, la tuberculose, la gangrène gazeuse.

Pour réfuter l’argumentation de défense des accusés, les experts du tribunal ont approfondi les questions éthiques et juridiques, jusque-là peu explorées qu’ils ont résumées en Code de Nuremberg.(([6] Philippe Amiel, François Vialla Le « code de Nuremberg », une jurisprudence pénale inaugurale en droit international de la santé
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01248128/document))(([7] Amiel P., « Code de Nuremberg » : texte original en anglais, traductions et adaptations en français », in Des cobayes et des hommes : expérimentation sur l’être humain et justice, Paris, Belles Lettres, 2011, appendice électronique
http://descobayesetdeshommes.fr/Docs/NurembergTrad))

Ce code que les entreprises pharmaceutiques et leurs mercenaires voudraient abolir constitue le fondement des règles éthiques de la recherche médicale rappelées dans la déclaration d’Helsinki(([8] https://www.fhi360.org/sites/default/files/webpages/fr/RETC-CR/nr/rdonlyres/e3vjr6w3l5e2acb6uezmtjmslkergm5udhzoqwtt3ixs5ntx5e7cp32ppismbsifle2vkurebdhmcn/HelsinkiDeclarationFrench.pdf)) de l’Association Médicale Mondiale(([9] https://www.wma.net/fr/ce-que-nous-faisons/ethique/declaration-dhelsinki/)) et de la convention d’Oviedo.(([10] http://www.preventionvaccin.org/post/La-convention-d-Oviedo))(([11] http://www.espace-ethique-poitoucharentes.org/obj/original_115108-oviedo-original_111432-convention-d-oviedo.pdf)) Les accords signés par la France à Oviedo en 1997 proclament entre autres :

Article 1 : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Article 2 : Primauté de l’être humain L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science.

Article 5 : Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. »

Le jugement rendu les 20 et 21 août 1947 a acquitté 7 des 23 accusés. 9 ont été condamnés à de longues peines de prison, et 7 condamnés à mort ont été exécutés par pendaison le 2 juin 1948 pour n’avoir pas respecté le consentement volontaire du sujet humain.

La convention d’Oviedo, signée par la France en 1997 a été transposée dans le droit national par le Décret no 2012-855 du 5 juillet 2012.(([12] portant publication de la convention pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : convention sur les droits de l’homme et la biomédecine, signée à Oviedo))

D’un point de vue légal, ce n’est pas le code de Nuremberg, mais la convention d’Oviedo qui interdit donc d’imposer une obligation d’injecter des substances expérimentales comme le sont actuellement les pseudo vaccins Covid.

En affirmant le contraire, l’AFP reprend l’argumentaire de défense des médecins nazis.

Globalement dans ce réquisitoire mensonger contre le Professeur Perronne, l’AFP ne s’est pas comportée en journaliste, mais plutôt comme un tribunal de l’Inquisition n’interrogeant même pas l’accusé, ne citant aucun fait avéré, diffusant sans précaution des mensonges d’État et n’hésitant pas à faire du révisionnisme historique.

Y a-t-il encore des journalistes respectueux de l’éthique à l’AFP ?

Mais il est vrai qu’un chien ne mord pas la main qui le nourrit et l’État nourrit généreusement l’AFP à qui elle fournit environ la moitié de son budget.





Les origines secrètes de la première guerre mondiale

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Hidden History [Histoire cachée] : les origines secrètes de la première guerre mondiale

Par Anthony C. Black − Le 19 juillet 2017 − Source Unz Review

Présentation du livre Hidden History de Gerry Docherty & Jim Macgregor

Parmi les nombreux mythes qui troublent l’esprit politique contemporain, celui qui pollue le plus la compréhension des faits historiques est la notion selon laquelle les grandes fortunes et les puissants ne fomentent pas de conspiration.

Il se trouve qu’ils le font.

Ils conspirent continuellement, ordinairement, efficacement, diaboliquement, et à une échelle qui dépasse l’imagination. Réfuter l’existence de ces conspirations revient à fermer les yeux à la fois sur des preuves empiriques écrasantes, et à refuser la rationalité la plus élémentaire.

A contrario, pour l’observateur avisé du « Grand Jeu » de la politique, c’est une source d’émerveillement sans fin que de trébucher chaque fois sur des exemples plus incroyables les uns que les autres des machinations monstrueuses dont les fortunés et les élites puissantes sont capables. Et de fait, c’est bien sur ce registre que les auteurs Docherty et Macgregor entrent dans la mêlée et menacent de nous couper tout à fait le souffle.

Ainsi, nous disent-ils, l’histoire officielle et canonisée de la première guerre mondiale est un vaste mensonge absolu du début à la fin. La thèse soutenue par les auteurs s’inscrit à fond sur ce registre conspirationniste, qui énonce que — et pour paraphraser un mot prononcé plus tard par un Churchill qui s’activa au premier-plan de ce récit — on n’a jamais assassiné plus de gens aussi inutilement, pour satisfaire à l’ambition et aux bénéfices de quelques-uns.

En démolissant les nombreux schibboleths qui entourent les origines de la « Grande Guerre » (parmi lesquels « la responsabilité allemande »« les efforts de paix britanniques »« la neutralité belge » et « l’inéluctabilité de la guerre »), Docherty et Macgregor pointent du doigt ce qu’ils considèrent comme la véritable source du conflit : une cabale plus ou moins secrète fomentée par des impérialistes britanniques, dont l’ensemble de l’existence politique, durant une quinzaine d’années, fut consacrée à façonner une guerre européenne visant à détruire le concurrent émergeant à l’Empire britannique, en cours d’émergence sur les sphères commerciale, industrielle et militaire, à savoir l’Allemagne.

En résumé, loin de « marcher tels un somnambule vers une tragédie globale », Docherty et Macgregor soutiennent qu’il « fut piégé par une embuscade posée par une cabale secrète ourdie par les fomenteurs de guerre », et que son origine n’était pas à Berlin, mais bien « au cœur de Londres ».

Je dois bien avouer à ce stade que j’entretiens une tendance à accorder du crédit à une thèse aussi frappante, ne serait-ce que par principe. Après tout, qui considère sans s’illusionner la réalité politique de notre temps distingue bel et bien la gueule du cauchemar décrit par Orwell. Qui plus est, trois décennies de journalisme indépendant m’ont amené à conclure non seulement que presque rien de ce qui est présenté comme « les informations » n’est vrai de près ou de loin, mais que le récit et la présentation conventionnels de l’histoire sont une imposture s’apparentant à un billet de banque d’une valeur de trois dollars. Mais pour autant, il convient d’exiger un ou deux arguments crédibles soutenant cette thèse. Considérons quelques arguments présentés dans le livre « Hidden History ».

Les Joueurs

Avant de se lancer au petit bonheur dans le labyrinthe argumentaire, il convient que nous commencions par présenter les personnages principaux de cette sinistre histoire.

Cecil Rhodes (Source: Wikipedia)

Au commencement était Cecil Rhodes, premier ministre de Cape Colony, mais qui, nous rappellent les auteurs, était « en réalité un opportuniste dont l’activité consistait à s’accaparer des terres », dont la fortune avait été constituée à parts égales « par une élimination brutale des indigènes et les intérêts d’extraction minière, au niveau mondial, de la maison Rothschild ». Rhodes avait, semble-t-il, depuis longtemps à l’esprit le projet d’établir une « société semblable aux Jésuites » pour contribuer aux ambitions globales de l’Empire britannique. Au mois de février 1891, il sollicita les services de ses proches associés, William Stead, un journaliste de premier-plan, et Lord Esher, un proche conseiller de la Monarchie britannique.

Deux autres personnages furent bientôt acceptés au cercle restreint constituant le groupe clandestin : Lord Nathaniel (Natty) Rothschild, membre de la célèbre dynastie bancaire britannique et européenne, ainsi qu’Alfred Milner, un universitaire brillant et administrateur colonial qui allait rapidement devenir le génie organisateur et le maître déterminé des cérémonies tenues par le groupe.

Ces quatre figures centrales allaient par la suite s’adjoindre : Lord Northcliffe, propriétaire du journal « The Times », qui allait compléter l’effort de Stead dans la tâche de propagande et de travail sur l’esprit du public britannique vers la guerre contre l’Allemagne ; Arthur Balfour et Herbert Asquith, deux futurs premiers ministres britanniques qui allaient apporter l’influence parlementaire nécessaire ; les lords Salisbury et Rosebery, qui allaient amener un nouveau cercle de connexions politiques à la table ; et Lord Edward Grey, ministre des affaires étrangères en 1914, qui allait enfoncer le dernier clou dans le cercueil de la paix européenne.

Personnage particulièrement important à avoir rejoint le groupe, le prince Edward (qui allait bientôt devenir le Roi Edward VII), qui malgré son image de coureur de jupons, était bel et bien un politicien sagace dont les fréquentes incursions sociales à l’international allaient apporter la couverture parfaite pour aider à façonner les alliances militaires et politiques, souvent secrètes, entre la Russie, la France, la Grande-Bretagne et la Belgique.

Cette garde prétorienne centrale étendit ensuite ses tentacules dans toutes les branches de la hiérarchie britannique (et, sur la fin, internationale) du pouvoir, en recrutant avec vigueur son « Association de Contributeurs », la myriade de bureaucrates de plus bas niveau, officiers militaires, universitaires, journalistes et hauts fonctionnaires, dont il s’avère que nombre sortaient des Colleges de Balliol et All Souls, à Oxford.

Et avec eux, le légendaire Churchill, généreusement gonflé de sa propre grandiloquence, et bien huilé avec l’argent des Rothschild, allait monter pour prendre sa sainte position parmi les élus secrets avides de guerre.

Premières aventures

La première percée menée par cette cabale d’élites se produisit en Afrique du Sud, avec la fomentation délibérée de la (seconde) guerre des Boers (1899 – 1902). En 1886, on avait trouvé de l’or dans la région du Transvaal, et les impérialistes britanniques étaient déterminés à mettre la main dessus. Après une suite de machinations ratées menées par Rhodes en personne pour faire tomber les Boers, l’élite secrète reçut un as dans son jeu lorsque Alfred Milner fut nommé haut-commissaire à l’Afrique du Sud. Saisissant l’occasion, Milner entra en guerre sans autre forme de procès, avec sa tristement célèbre politique de la terre brûlée, et ses exigences catégoriques de reddition sans condition, et fit montre d’une philosophie martiale générale qui serait par la suite déployée contre l’Allemagne.

Une carte de l’Empire britannique tel qu’il était en 1898, avant la seconde guerre des boers (1899-1902).
(Source: Wikimedia Commons)

Suite à la défaite des Boers, Milner & Co (Rhodes était mort durant les « négociations de paix ») pénétrèrent rapidement les principaux organes de la gouvernance impériale britannique, y compris les services des relations étrangères, coloniales, et le ministère de la guerre. Arthur Balfour alla encore plus loin en établissant, en 1902, le Committee for Imperial Defence (CID). Ce dernier s’avéra particulièrement utile pour aider à contourner presque entièrement le Cabinet britannique au fil des années, mois et jours amenant à août 1914. Balfour allait bel et bien s’avérer constituer l’un des deux seuls membres permanentes de cette institution impériale de prime importance ; l’autre fut Lord Frederick Roberts, commandant-en-chef des forces armées, et ami proche de Milner. Ce fut Roberts qui nomma par la suite deux parasites tragiquement incompétents, Sir John French et Douglas Haig, à leurs postes de supervision du meurtre de masse de centaines de milliers de soldats alliés.

L’année 1902 vit également l’établissement du traité anglo-japonais. La Grande-Bretagne entretenait de longue date des craintes pour son empire d’Extrême-Orient, à cause de la Russie, et voulait renforcer le Japon comme contre-pouvoir. L’alliance fructifia avec le conflit russo-japonais de 1904-1905, qui infligea une défaite décisive à la Russie. Gardant toujours leur objectif à long terme en tête, c’est-à-dire la guerre contre l’Allemagne, Milner et ses comparses changèrent adroitement d’appât, et se mirent immédiatement à courtiser le Tsar Nicolas II, débouchant sur la convention anglo-russe de 1907. Au cours de la même période (en 1904), la Grande-Bretagne, avec l’assistance incontournable d’Edward VII — rompit son inimitié de presque mille ans avec la France, et signa l’Entente Cordiale avec son ancienne rivale.

Dans le même temps (en 1905), un accord plus ou moins secret fut conclu avec le Roi Leopold II, autorisant la Belgique à annexer l’État libre du Congo. Il s’agissait pour ainsi dire d’une alliance entre la Grande-Bretagne et la Belgique ; une alliance qui, au cours de la décennie à suivre, allait se trouver continûment approfondie par de nombreux accords militaires bilatéraux (pour la plupart secrets, c’est-à-dire inconnus du Parlement britannique) et « mémorandums d’entente », choses qui supprimaient toute notion de « neutralité » quant au positionnement de la Belgique dans le conflit à venir contre l’Allemagne.

Le cœur de l’alliance était désormais prêt, à savoir la Grande-Bretagne, la France et la Belgique, et tout ce qui restait à faire était de garantir la fidélité et l’obéissance des colonies britanniques. Pour y contribuer, Milner convoqua la Conférence de Presse Impériale de 1909, qui assembla quelque 60 propriétaires de journaux, journalistes et auteurs en provenance de tout l’Empire, fréquentant quelque 600 journalistes, hommes politiques et figures militaires britanniques, dans une vaste orgie de propagande de guerre. Le message martial fut alors durement délivré aux multitudes d’habitants des colonies, qui n’avaient rien demandé. On put mesurer la réussite de la Conférence particulièrement au Canada, où malgré l’extrême discorde sur ce sujet, la nation allait finir par envoyer plus de 640 000 soldats sur les champs de la mort européens, pour le compte d’une petite poignée d’impérialistes britanniques.

La « Crise » marocaine

Docherty et Macgregor nous rappellent que l’historienne renommée Barbara Tuchman, dans son ouvrage lauréat du prix Pulitzer, « The Guns of August »« a très clairement indiqué que la Grande-Bretagne était déterminée à la guerre dès 1911 au plus tard. » De fait, les préparations de guerre avaient été bon train dès 1906.

Mais 1911 marqua un tournant lorsque l’élite secrète se permit pour la première fois d’essayer de démarrer une guerre contre l’Allemagne. Le prétexte en fut le Maroc. À dire vrai, la Grande-Bretagne ne disposait d’aucun intérêt colonial direct au Maroc, mais c’était bien le cas pour la France et l’Allemagne. À ce moment-là, la cabale de Londres — avec Edward Grey au poste de ministre des affaires étrangères — avait intronisé un ministre français, Théophile Declasse, dans son cercle de confiance, et fut en mesure de fabriquer ce qui fut fondamentalement une opération sous faux drapeau à Fez. La France fit suivre l’incident en envoyant une armée d’occupation sur place. L’Allemagne dépêcha une réponse minimaliste en envoyant une petite canonnière à Agadir, ce qui permit à l’ensemble de la presse britannique — reflétant les intérêts de l’« État profond » britannique — d’entrer dans un état d’hystérie condamnant les « menaces allemandes pour les voies maritimes britanniques », etc. La mèche allumant la guerre ne fut finalement éteinte qu’en toute dernière minute, lorsque le premier ministre français (tout juste élu) Joseph Caillaux initia des pourparlers de paix avec le Kaiser. La guerre contre l’Allemagne allait devoir attendre.

Dans l’intervalle, la Grande-Bretagne, sous la direction de ses mandarins secrets — c’est-à-dire presque totalement sans examen ni approbation parlementaire — poursuivit ses préparatifs de guerre. À cette fin, par exemple, Churchill, qui avait en 1911 été nommé Premier Lord de l’Amirauté, redéploya la flotte britannique de l’Atlantique de Gibraltar à la Mer du Nord, et la flotte de la Méditerranée à Gibraltar. Dans le même temps, la flotte française fut retirée de l’Atlantique pour pallier à l’absence britannique en Méditerranée. Ces manœuvres étaient toutes stratégiquement dirigées contre la marine allemande de la Mer du Nord. On était en train de placer les pièces sur l’échiquier global.

En France, Caillaux, homme de gauche et non-violent, fut remplacé en 1913 au poste de premier ministre par l’un des « contributeurs » tout acquis aux élites britanniques, en la personne de Raymond Poincaré, un germanophobe enragé de droite. Poincaré rappela rapidement son ambassadeur anti-guerre déployé en Russie, George Louis, et le remplaça par le revanchard Declasse. Dans le même temps, aux États-Unis, la cabale secrète, agissant en grande partie au travers de la Pilgrim Society et au travers des Maisons de Morgan et de Rockefeller, machina pour faire élire un démocrate inconnu mais malléable, Woodrow Wilson, en préférence au partisan d’un contrôle public des banques centrales, le président Taft. Ce fut depuis ce noble perchoir que l’« État profond » anglo-étasunien lança l’US Federal Reserve System, une banque centrale privée dédiée dès le départ à financer la guerre contre l’Allemagne.

Le coup monté des Balkans

Le récit simple que l’on répète à satiété au sujet des circonstances autour de l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand, le 28 juin 1914, nous indiquent Docherty et Macgregor, contient aussi peu de vérité que la version officielle de l’assassinat de JFK deux générations plus tard. De fait, les ressemblances structurelles entre les deux événements — du retrait quasiment total de l’appareil de sécurité aux éléments indiquant clairement la complicité de l’État (dans cette instance, au départ de Serbie, mais menant droit à Londres) — sont remarquables. Il suffit d’affirmer qu’il se produisit une chaîne d’événements en cascade — les événements ne furent pas pilotés par les instincts humains de base ainsi que par des forces inéluctables dépassant tout contrôle humain, comme on le profère souvent, mais par des esprits calculateurs et un dessein conspirationniste.

Ainsi, juste après l’assassinat, l’Autriche-Hongrie fut l’objet d’un vaste soutien sur la scène internationale, ce pays était largement perçu comme la partie lésée. Néanmoins, les suspects habituels, ayant contribué à organiser le meurtre en premier chef, furent en mesure d’orienter adroitement la propagande contre l’Autriche ainsi que l’Allemagne, au moyen d’une ruse ingénieuse. Ayant secrètement obtenu le contenu de la « Note », qui contenait les exigences autrichiennes (raisonnables au vu des circonstances) pour la contrition serbe, la cabale secrète fut en mesure d’accéder directement à la rédaction de la « réponse serbe ». La « réponse » fut bien entendu conçue pour être inacceptable du point de vue de l’Autriche. Dans le même temps, le président français, Poincaré, fila à Moscou pour assurer au Tsar et à ses généraux que, si l’Allemagne devait agir pour honorer les responsabilités de son alliance avec l’Autriche, la France soutiendrait la Russie dans le déclenchement d’une guerre européenne à grande échelle. La France savait naturellement que l’Angleterre — ou plutôt sa clique de l’élite impériale — était tout aussi déterminée à la guerre. Ce fut en réalité durant ce moment d’opportunité, que Grey et Churchill se mirent d’accord pour acheter l’Oil Company anglo-perse, pour garantir les approvisionnements en pétrole de la marine britannique.

Durant tout ce temps, il resta visible que le Kaiser Guillaume et le chancelier Bethmann étaient les seuls dirigeants à véritablement poursuivre un objectif de paix. Leur diabolisation, par la suite, par les hordes d’historiens malpropres sonne des mêmes accents orwelliens que la diabolisation contemporaine des nations et des individus qui résistent à l’Imperium étasunien.

Grey déclenche les opérations

Étant parvenus à attiser les flammes d’un incendie local aux Balkans pour en faire un enfer général européen, Grey, ministre britannique des affaires étrangères, et Asquith, premier ministre, déployèrent ensuite tous les coups les plus bas sur la scène diplomatique pour gâcher toute possibilité de paix, et garantir la survenue de la guerre.

Par exemple, le 9 juillet, l’ambassadeur allemand en poste à Londres, le prince Lichnowsky, reçut plusieurs fois l’assurance de la part de Grey que la Grande-Bretagne n’était engagée dans aucune négociation secrète pouvant faire survenir la guerre. Il s’agissait évidemment d’un mensonge patent. Le 10 juillet, Grey trompa le Parlement et l’amena à croire que la Grande-Bretagne n’était pas le moins du monde préoccupée par l’idée que les événements de Sarajevo pourraient déboucher sur une guerre à l’échelle du continent. Dans le même temps, Berchold, le premier ministre autrichien, fut trompé de même par les trois gouvernements de l’Entente, lui affirmant que leur réaction à la « Note » ne dépasserait pas le seuil des protestations diplomatiques. Cependant, lors de la troisième semaine du mois de juillet, chacun de ces mêmes gouvernements fit volte-face, et affirma un rejet total de la réponse de l’Autriche.

Le 20 juillet, comme nous l’avons déjà noté, Poincaré, le président français, se rendit à St. Petersbourg pour réaffirmer les accords martiaux respectifs des deux nations. Le 25 juillet, Lichnowsky se présenta sans s’être annoncé au Foreign office britannique, muni d’un plaidoyer désespéré produit par le gouvernement allemand, implorant Grey d’user de son influence pour mettre fin à la mobilisation russe. Chose incroyable, nul ne fut disponible pour le recevoir. La Russie avait de toutes façons déjà entamé, en secret le 23 juillet, sa mobilisation, et le 26 juillet, Churchill mobilisa sans bruit la flotte britannique à Spithead.

Aucun de ces événements, bien entendu ne fut soumis à un quelconque contrôle démocratique. Comme Docherty ey Macgregor, l’énoncent,

Pour autant que le grand public [britannique] fût concerné, rien de fâcheux n’était en cours. On vivait simplement un week-end estival.

Le 28 juillet, l’Autriche, bien qu’elle ne fût pas en position de pratiquer une invasion avant une quinzaine de jours, déclara la guerre à la Serbie. Dans le même temps, le Foreign office britannique se mit à faire circuler des rumeurs selon lesquelles les préparations allemandes pour la guerre étaient plus avancées que celles de la France et de la Russie, alors que c’était l’exact opposé qui se produisait. Les événements dépassèrent rapidement le contrôle de Guillaume.

Le 29, Lichnowsky supplia de nouveau Grey d’empêcher une mobilisation russe aux frontières de l’Allemagne. La réponse de Grey fut de rédiger quatre dépêches à destination de Berlin, dont l’analyse, une fois la guerre terminée, a prouvé qu’elles ne furent en réalité jamais envoyées. Ces dépêches se sont avérées relever purement de la charade totalement inventée pour faire passer la Grande-Bretagne (et spécifiquement Grey) comme faisant tout son possible pour éviter la guerre. Dans la soirée du 29, Grey, Asquith, Churchill et Richard Haldane s’assemblèrent pour discuter ce qu’Asquith appela la « guerre en approche ». Docherty & Macgregor insistent ici encore sur le fait que ces quatre hommes étaient en pratique les seules personnes de Grande-Bretagne qui étaient dans le secret de la calamité qui approchait, c’est-à-dire à l’exclusion de tout autre membre du cabinet, des membres du Parlement, et absolument des citoyens britanniques. C’étaient eux qui en furent les architectes.

Le 30, le Kaiser envoya un câble au Tsar Nicolas, contenant un appel du cœur pour négocier la prévention des hostilités. De fait, Nicolas fut tellement remué par le plaidoyer de Guillaume qu’il décida d’envoyer à Berlin son émissaire personnel, le général Tatishchev, pour négocier une paix. Malheureusement, Tatishchev ne parvint jamais à Berlin, car il se fit arrêter et emprisonner cette même nuit par Sazonov, le ministre russe des affaires étrangères, que l’ouvrage « Hidden History » désigne de façon convaincante comme un atout dans la manche de la cabale secrète de Londres. Sous la pression soutenue des hauts-membres de son armée, Nicolas finit par céder, et dans l’après-midi du 30, il ordonna la mobilisation générale.

L’annonce officielle de la mobilisation russe ferma dans les faits toutes les portes à la paix. Les Allemands, comprenant qu’ils avaient été piégés, et réalisant également qu’ils allaient subir des attaques sur deux fronts — depuis l’Ouest par la France, et depuis l’Est par la Russie — finirent par ordonner le 1er août leur propre mobilisation ; de manière éloquente, la dernière puissance continentale à prendre cette décision. L’Allemagne, à ce stade, commit une grave erreur tactique : elle décida de faire suivre sa mobilisation par une déclaration de guerre formelle, tenue par l’honneur, contre la France. Ce faisant, elle tomba encore plus profondément dans le piège tendu par Grey & Co, qui avaient du début à la fin fomenté une machination pour faire tout ce qui était possible pour assurer la guerre, sans pour autant apparaître comme ayant officiellement déclenché la guerre.

Grey disposait encore d’une carte à jouer pour amener à la fois un Cabinet et une Chambre des Communes, rétifs à la guerre, à abandonner leur sens commun et à plonger derechef dans une guerre pan-européenne à grande échelle. De la même manière que le mythe des « armes de destruction massive » allaient, dans une ère ultérieure, servir à promouvoir l’agression impériale étasunienne, ce fut alors le mythe de la pauvre petite « Belgique neutre » exsangue qui porta la bannière de l’impérialisme britannique.

Le discours qui a scellé le sort de millions de gens

Le 2 août 1914, le premier ministre Asquith convoqua une réunion spéciale du Cabinet afin de discuter de la crise (fabriquée). Bien que le Cabinet ne fût pas d’humeur à approuver l’engagement britannique dans une guerre européenne, il se retrouva mis sous pression, et pris de cours par des révélations d’un « réseau d’obligations [militaires et politiques], dont il avait été assuré qu’il ne s’agissait pas d’obligations, [et] qui avaient été entortillées autour d’eux durant leur sommeil. » Qui plus est, Grey s’abstint bien de leur révéler le fait que l’ambassadeur allemand, Lichnowsky avait, la veille encore (le 1er août) spécifiquement proposé de garantir la neutralité belge. En réalité, les manœuvres trompeuses de Grey auraient pu ne jamais être révélées, si le chancelier Bethmann n’avait pas présenté cette proposition au Reichstag le 4 août.

Le Cabinet suffisamment dominé, confondu — et trompé, car Asquith, sans assentiment du Cabinet et sans que celui-ci le sût, avait déjà ordonné la mobilisation de l’armée et de la marine — il ne restait plus qu’à en mettre plein les yeux au Parlement. Ainsi, le 3 août, Sir Edward Grey monta au pupitre et se lança dans un panégyrique épique sur les folies de la paix et les vertus de la guerre. Là non plus, son public n’était pas particulièrement réceptif, mais le sermon rassembla des forces.

Après avoir donné le ton en annonçant que la paix en Europe « ne peut pas être préservée », Grey poursuivit par une suite stupéfiante de mensonges et de fausses représentations sur les accords militaires compliqués et longs entre l’Angleterre, la France, la Russie et la Belgique. À en croire Grey, ils n’existaient pas. Mais qu’en était-il du dense écheveau d’accords diplomatiques ? Il n’existait pas d’accord de cette nature, il n’existait pas de tel imbroglio. Le Parlement était « libre » de voter en conscience, d’exercer son mandat démocratique. Pourvu, bien entendu, qu’il ne se prononçât pas en faveur de la paix.

Tout ce qui précède, en tous cas, ne constituait que le préambule de l’axe central du discours de Grey : la neutralité de la Belgique. La duplicité que constituait ce pur simulacre ne fut dépassée que par la dissimulation pratiquée par Grey, non seulement au Cabinet, mais à présent face au Parlement, de l’offre de l’Allemagne proposant de garantir très précisément ce point, c’est-à-dire la neutralité de la Belgique. Au lieu de cela, Grey produisit de manière dramatique un télégramme envoyé par le roi de Belgique au roi George, demandant son assistance. Le calendrier n’aurait pas pu être plus parfait que s’il avait été délibérément envoyé pour servir à cette occasion. Et bien entendu, c’était le cas. Les affirmations favorables à la guerre, suivant ce sermon, énoncées par les dirigeants des divers partis d’opposition étaient tout aussi préparées. Chacun d’eux avait été évalué et convaincu de rejoindre le mouvement par Churchill avant la session du jour. Seul Ramsay Macdonald, dirigeant du parti travailliste, nagea contre la marée bien orchestrée de l’« inévitabilité » qui marqua du début à la fin les péroraisons martiales de Grey.

La session du jour se termina sans débat ; Asquith n’en avait autorisé aucun, bien qu’il fût mis sous pression par le président de la Chambre des Communes pour reconvoquer l’assemblée plus tard le même soir. Dans l’intervalle, Grey scella l’accord, c’est-à-dire la guerre, en expédiant un ultimatum à l’Allemagne, exigeant qu’elle n’envahît pas la Belgique, alors que Grey savait que cette même invasion avait déjà commencé. Comme l’énoncent Docherty et Macgregor, ce fut un « coup de maître ». La guerre ne pouvait plus être évitée. Et même si, durant la nuit, la session connut un débat vigoureux et important, qui démolit en grande partie la position de Grey, ce fut en pure perte. Au moment choisi, Arthur Balfour, « ancien premier ministre conservateur et membre du cercle rapproché de l’Élite Secrète, se leva de manière menaçante. Il en avait assez. » Usant de tout le poids de son autorité magistrale, il condamna, tourna au ridicule et écarta les arguments des opposants à la guerre, les qualifiant des « dernières miettes et lies du débat. » La Chambre des Communes se retrouvant ainsi contrainte au silence par l’émotion, la dernière chance pour la paix en Europe s’éteignit.

Plus ça change

Ce qui est frappant, de manière répétée, lorsqu’on lit « Hidden History », ce sont les accents de vérité qui résonnent en chaque page, au timbre de chaque révélation. Qu’un aussi petit groupe d’individus membres de l’élite, au-delà de tout contrôle démocratique, ait pu déterminer le destin — et la mort — de millions de gens, voilà qui devrait être choquant. Cela devrait l’être, mais cela n’est pas vraiment le cas. Ce n’est pas le cas, car nous voyons de nos jours le même phénomène se reproduire, de manière répétée, sous nos yeux. De fait, l’état actuel de « guerre permanente » relève plus ou moins de la substance de la modernité.

Docherty et Macgregor ont ici produit une contribution précieuse. Ils sont allés plus loin que ceux que David Irving a identifié comme les « historiens courtisans », c’est-à-dire les historiens qui sont fondamentalement prostitués au service du consensus de l’élite / de l’establishment, et ils nous donnent un aperçu de ce qu’écrire l’histoire signifie véritablement. Et s’il existe un enseignement — ou plutôt, un contre-enseignement, que nous pouvons en tirer, c’est que nous ne sommes condamnés à répéter l’histoire que tant que nous écouteront ceux qui s’occupent de l’obscurcir et de l’inverse ; ceux qui nous mentent, en deux mots.

Traduit par José Martí, relu par Wayan, pour le Saker Francophone

Note du Saker Francophone

L’excellent ouvrage de Russell Grenfell, Haine Inconditionnelle, traduit par nos soins et en libre accès, fait également mention des origines du premier conflit mondial dans ses premiers chapitres. On pourra également se reporter aux révélations stupéfiantes du même acabit, concernant la seconde guerre mondiale, dans l’ouvrage La guerre perpétuelle pour une paix perpétuelle de Harry E. Barnes, également disponible en français dans notre bibliothèque de livres gratuits.




AUTRICHE — Coup de théâtre — La fin de la plandémie le 19 février ? Relâchements et Cour Constitutionnelle

Transmis par Christine Côte

Aujourd’hui le ministre du covid Mückstein (VERT) a annoncé, de façon totalement imprévisible, les relâchements suivants. L’explication se trouve plus bas. Ils ont une liste de question de la part de la cour constitutionnelle auxquelles ils doivent répondre avant le 18 février.

Traduction par Christine Côte

https://www.sozialministerium.at/Informationen-zum-Coronavirus/Coronavirus—Aktuelle-Ma%C3%9Fnahmen.html

À partir du 5 février 2022, l’heure de fermeture des bars et restaurants sera repoussée de deux heures (de 22 h à 24 h) et la limite du nombre de personnes pour les rassemblements sans places assises attribuées passera de 25 à 50 personnes. Lors des manifestations, seules la règle des 2G et une obligation de FFP2 seront applicables à partir de cette date (au lieu des règles actuelles « 2G+ »* + Rappel).

À partir du 12 février 2022, la règle des 2G sera supprimée dans les commerces. L’obligation de porter un masque FFP2 s’appliquera alors sans interruption dans tous les magasins.

À partir du 19 février 2022, la règle 2G sera étendue à la règle 3G** dans le secteur de la restauration. La validité des tests PCR sera réduite à 48 heures pour le secteur de la restauration — pour tous les autres secteurs, la validité des tests PCR restera de 72 heures comme auparavant. Si les tests PCR ne sont pas disponibles, les tests antigènes sont également valables pour une durée de 24 heures. La règle des 3G s’appliquera également aux manifestations à partir de ce moment-là (au lieu de la règle précédente des 2G).

* 2G : « Genesen oder Geimpft » c.-à-d. rétabli ou injecté.
** 3G : entièrement injecté (2 injections, à condition qu’elles ne soient pas périmées !), ou rétabli, ou testé négatif.


https://reitschuster.de/post/game-over-setzen-wiens-verfassungsrichter-die-regierung-matt/

Game Over ?
Les juges constitutionnels de Vienne mettent-ils le gouvernement en échec ?
Des questions explosives jusqu’ici taboues

PUBLIÉE LE 29 janv. 2022

Une tribune de Chris Veber [Ancien Vert]

C’est terminé. Le 26 janvier 2022, la Cour constitutionnelle autrichienne (VfGH) a lancé une procédure de contrôle des décrets et a transmis au ministre autrichien de la Santé un ensemble de questions. Des questions qui étaient jusqu’à présent absolument taboues, qui ébranlent les fondements de la « pandémie ». Le ministre de la Santé a jusqu’au 18 février 2022 pour répondre, ce qui correspond également à la date de fin de la « pandémie » en Autriche.

Plus précisément, la Cour constitutionnelle veut savoir si les chiffres d’hospitalisation et de décès englobent toutes les personnes infectées. L’ancienne question an ou avec Covid. Si toutes les personnes testées positives ont été comptabilisées, la Cour constitutionnelle aimerait en connaître la raison.

En outre, la Cour constitutionnelle souhaite obtenir le détail de la répartition des cas de décès et d’hospitalisation liés au Covid. Où Corona était-il en cause ? Où est-ce seulement un test « positif » sans signification ? Elle demande même l’âge des personnes décédées et hospitalisées !

Le ministre de la Santé doit également apporter des preuves de la pertinence de l’obligation de porter un masque FFP2.

C’est alors que les choses se gâtent (pour la mafia pharmaceutique). La Cour constitutionnelle évalue le risque de décès par Covid à 0,15 %. Elle demande comment il faut comprendre la réduction absolue et relative du risque d’une vaccination. La VfGH veut savoir quelle est la réduction absolue du risque après une, deux ou trois vaccinations. Le mensonge de l’efficacité à 95 % est à bout de souffle.

Il y a encore mieux. La « pandémie des non vaccinés » est remise en question. Le ministre de la Santé doit répondre dans quelle mesure la « vaccination préventive » réduit le risque d’infection, de maladie et de transmission. Puisque « l’état des connaissances scientifiques semble indiquer que même les personnes vaccinées contre le Covid peuvent être infectées par le SRAS-CoV-2, contracter le Covid et transmettre le SRAS-CoV-2 ».

Ensuite, on entre dans des domaines dangereux pour le ministre de la Santé. La Cour constitutionnelle veut connaître le risque d’hospitalisation après une maladie et après une vaccination, ventilé par cohorte d’âges et par nombre de vaccinations. C’est là qu’interviennent les effets secondaires des vaccins, jusqu’ici si nonchalamment ignorés.

Même le « confinement des non-vaccinés » ne reste pas sans réponse. La Cour constitutionnelle demande de combien le taux d’occupation des lits serait plus élevé sans ce confinement.

La question la plus mortelle pour le gouvernement arrive à la fin. La Cour constitutionnelle demande à savoir s’il est exact qu’il y aura moins de décès Covid en 2021, mais qu’il y aura tout de même une surmortalité hebdomadaire à trois chiffres. Il veut savoir comment s’explique cette surmortalité.

Toutes ces questions ont été posées par des extrémistes de droite et des complotistes, depuis le début de la « pandémie ». Le gouvernement les a balayées avec la complicité active de médias achetés et d’experts dociles. C’est maintenant terminé. Le gouvernement doit répondre aux questions de la Cour constitutionnelle.

Je pense que la réponse à ces questions mettra fin à la « pandémie ». Elle met également fin au gouvernement.

Il semble que nous nous en soyons sortis une fois de plus avec les honneurs. N’oublions pas cette leçon. La liberté ne meurt jamais de manière dramatique. Elle meurt par tranches. Nous ne devons jamais la prendre pour acquise. Nous devons nous battre pour elle ! Et ce, jusqu’à ce ce que les dirigeants soient emmenés menottes aux poignets et virés de leurs fonctions.

Vous trouverez la lettre complète de la Cour constitutionnelle ici :

https://chrisveber.blogspot.com/2022/01/game-over.html#:~:text=Ich%20glaube%2C%20die,%C3%84mtern%20entfernt%20wurden.

Les contributions des auteurs externes reflètent toujours l’opinion de l’auteur, et non la mienne. Et je suis d’avis que ce sont justement les contributions d’auteurs controversés qui sont particulièrement précieuses pour la discussion et la démocratie. J’estime mes lecteurs en tant qu’adultes et je veux leur offrir différents points de vue pour qu’ils puissent se faire leur propre opinion.

Chris Veber est un ex-Vert, ex-philosophe, entrepreneur, journaliste indépendant.

Image : Shutterstock

Texte : br

https://reitschuster.de/post/game-over-setzen-wiens-verfassungsrichter-die-regierung-matt/




Selon la journaliste Sharyl Attkisson, les vérificateurs de faits sont employés pour embrouiller le public

[Source : aubedigitale]

Sharyl Attkisson, journaliste récompensée par cinq Emmy Awards, a déclaré qu’elle avait constaté un effort accru pour manipuler le public afin qu’il apprécie la censure et désapprouve le journalisme. L’une des stratégies employées est le recours à des vérificateurs de faits tiers, a-t-elle déclaré.

« Presque tous les modes d’information ont été cooptés, s’ils peuvent l’être par un groupe quelconque, et les vérificateurs de faits ne sont pas différents », a déclaré Mme Attkisson à l’émission « American Thought Leaders » d’EpochTV.

« Soit ils ont été cooptés, dans de nombreux cas, soit ils ont été créés dans le but de diffuser des récits et de la propagande », a déclaré Attkisson.

« Tout cela fait partie d’un paysage très bien financé et bien organisé qui dicte et oriente les informations qu’ils veulent que nous ayons. »

Mme Attkisson dit qu’elle a commencé à remarquer que les informations étaient contrôlées au début des années 2000, lorsque l’entreprise de médias pour laquelle elle travaillait essayait activement de supprimer certains reportages.

« Le mouvement de repli s’est orienté vers la volonté d’empêcher la diffusion d’un reportage ou d’empêcher une étude d’être rapportée dans les nouvelles, et pas seulement de présenter l’autre côté, ni de s’assurer qu’elle était rapportée avec exactitude », a-t-elle déclaré à propos des histoires de l’industrie pharmaceutique qu’elle couvrait à l’époque.

En 2016, Attkisson a entendu l’ancien président Barack Obama dire que les actualités devaient être filtrées, après quoi les médias grand public ont commencé à utiliser systématiquement le terme « fake news » pour décrire des nouvelles principalement conservatrices qu’ils jugeaient fausses.

« Et je me souviens avoir pensé que c’était une chose tellement étrange à dire, parce qu’il n’y avait pas de grand mouvement parmi le public, que les gens avaient besoin que leurs informations soient filtrées, que quelqu’un devait intervenir et nous dire quoi penser, filtrer ce qui était en ligne. Mais … après cela, si vous regardez les médias, jour après jour, il y avait des gros titres sur les fake news et le filtrage de ce qui devrait et ne devrait pas être rapporté.  »

Attkisson faisait référence au commentaire d’Obama lors de la conférence Frontières de la Maison Blanche à Pittsburgh, en Pennsylvanie, en octobre 2016.

« C’est pertinent pour notre démocratie, la citoyenneté. Nous allons devoir reconstruire, au sein de ce far west sauvage du flux d’informations, une sorte de fonction de contrôle à laquelle les gens adhèrent », a déclaré Obama.

Parce qu’Attkisson était curieuse de cette idée de gestion des informations, elle a fait des recherches sur le sujet de la mésinformation, ce qui l’a conduite à un organisme à but non lucratif appelé First Draft, financé par l’ancien PDG de Google, Eric Schmidt.

Le président Barack Obama et la candidate démocrate à la présidentielle Hillary Clinton saluent les délégués après le discours d’Obama lors de la troisième journée de la Convention nationale démocrate à Philadelphie, le 27 juillet 2016. (J. Scott Applewhite/AP Photo)

« Et si vous regardiez le site web de l’association à but non lucratif quand ils disaient fake news, ils voulaient dire des fake news entièrement basées sur le conservatisme et leur point de vue ; il n’y avait pas de version libérale des fake news. Et puis, en l’espace de quelques semaines, le président Obama prononce le discours, les médias s’en emparent et courent avec. »

Attkisson a déclaré que l’expression « fake news » a en fait été lancée par la gauche, mais qu’elle a été effectivement détournée par l’ex président Donald Trump et que maintenant la plupart des gens pensent qu’il a inventé l’expression.

« Mais il est en fait bien documenté qu’il s’agit d’une invention des militants politiques gauchistes pendant la période que j’ai décrite », a déclaré Mme Attkisson.

Pour son livre « Smear », elle a interviewé des personnes qui travaillent à la diffusion de la mésinformation et de la propagande dans le but de confondre le public.

« Et ils m’ont expliqué que, s’ils ne font rien de plus que de brouiller le paysage de l’information, peut-être que vous ne croyez pas totalement ce qu’ils disent, mais ils en ont fait assez pour que vous ne soyez plus sûr de rien. »

La censure pendant la pandémie

Mme Attkisson a reproché aux grands organes d’information d’être les « porte-parole » du gouvernement ou d’autres groupes d’intérêt au lieu de les contester ou de leur demander des comptes, notamment en ce qui concerne la pandémie.

Elle a déclaré que peu de temps après le début de la pandémie, elle a parlé à de nombreux scientifiques, gouvernementaux et privés, au sujet du virus et de son évolution avant de se faire une opinion. Elle a demandé à certains de ces scientifiques de s’exprimer, mais ils ont eu peur.

« Ils ont dit qu’ils n’osaient pas s’exprimer de peur d’être controversés, et de peur d’être traités de négationnistes du coronavirus, car cette expression commençait à être utilisée dans les médias. Et deuxièmement, ils craignaient de contredire le Dr Fauci, qui, selon eux, avait été en quelque sorte adoubé ou canonisé dans la presse pour des raisons qu’ils ne comprenaient pas. »

Le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, témoigne lors d’une audience de la commission sénatoriale de la santé, de l’éducation, du travail et des pensions au Capitole, le 11 janvier 2022. (Shawn Thew/Getty Images)

Le Dr Anthony Fauci est le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) depuis 1984, ce qui lui a permis de conseiller sept présidents sur des questions de santé publique, dont le COVID-19. Il a été accusé d’avoir trompé le public sur le financement de la recherche de gains de fonctions en Chine.

Selon Mme Attkisson, les National Institutes of Health ont utilisé l’argent des contribuables pour financer des recherches sur le gain de fonction en partenariat avec la Chine, mais les médias ont affirmé le contraire.

« Et puis le récit est géré d’une autre manière Je me souviens après avoir examiné les subventions elles-mêmes à ma satisfaction, parce que je ne savais pas ce qui était vrai jusqu’à ce que je trouve la documentation et puis encore entendre, non seulement des personnalités de la santé publique, mais les journalistes prétendent comme s’ils connaissaient la vérité, que rien de tout cela n’était arrivé. »

Elle a ajouté qu’une autre façon d’embrouiller le public au sujet de la vérité est de qualifier quelque chose de conspiration, comme la théorie de la fuite en laboratoire liée au nouveau coronavirus.

« Et pourtant, quand vous entendez les gens parler de « théorie du complot », c’est conçu pour saisir cette petite partie de votre cerveau qui dit, eh bien, cette chose n’est pas vraie », a déclaré Attkisson.

« Et moi, je garde toujours l’esprit ouvert et je me dis que cette chose folle qu’ils disent être une théorie du complot peut très bien contenir une part de vérité ».

Attkisson pense que la raison pour laquelle certaines personnes peuvent être manipulées pour croire le récit présenté par les médias corporatifs est qu’elles vivent dans « une boîte », ce qui signifie qu’Internet est leur seule source d’information.

« Et les personnes qui veulent contrôler l’information comprennent que si elles ne peuvent contrôler que quelques sources de base – nous parlons de Google, Twitter, Facebook et Wikipedia – elles ont la mainmise sur l’information, car nous avons tous été dirigés vers ces quelques sources ».

Selon elle, leur objectif est de vous faire croire que vous êtes en minorité et de vous faire craindre de soulever des objections au récit. 

« On peut vous faire croire que si vous vivez dans la boîte, alors je dis constamment aux gens, vivez en dehors de la boîte. Oui, vous pouvez obtenir des informations là-bas et faire ce que vous faites en ligne. Mais certainement, faites confiance à votre dissonance cognitive. Parlez aux gens qui vous entourent. »

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale