La résistance truffée d’espions ?

[Source : LMDR]

[Note de Joseph : ceci pourrait expliquer en partie le fait que cette résistance reste divisée autour de multiples leaders d’opinion, parfois d’action, et autant de courants et/ou d’initiatives plus ou moins avancées, mais qui restent dispersées, sans liens, sans cohérence entre elles. Une telle division ne peut que faire le jeu du Nouvel Ordre Mondial et de ceux qui le parachèvent actuellement. Si au moins dans un pays comme la France ces différents mouvements qui pour l’instant ruissellent seulement ne sont pas capables de converger en un fleuve unique, alors ils ne permettront pas de renverser les obstacles majeurs qui se trouvent sur leur route, ils s’assécheront avant de pouvoir fertiliser un réel nouveau monde. Voir Comment s’unir.]






Mensonges guerriers, pénuries et sortilèges : les caves se rebiffent

Par Lucien SA Oulahbib


Il suffit de lire le rapport d’Amnesty International du 4 août 2022 pour se dire que la récente tirade de Ségolène Royal (1/9/22) n’est pas uniquement théâtrale (pas plus que celle du maire de Butcha fin mars 2022 se félicitant que tout aille bien dans sa localité après le départ des troupes russes…). De même, les passe-droits de l’extrême-centre remplaçant, de fait, le Parlement par des comités de « défense » farfelus servent à édifier des « mesures » illégitimes visant plutôt à contrecarrer celles qui ont été prises par les mêmes extrémistes. Ou comment la « schizo-analyse » chère à Deleuze est devenue le bréviaire dominant.

À savoir créer le chaos (au sens nihiliste de type néo-léniniste) et ensuite en accuser l’Autre : depuis cinquante ans, le CO2 (alors que le nucléaire n’en produit pas, mais il sera détruit, et que les plantes en ont besoin, mais il faut réduire le nombre d’humains, tout en niant les cycles climatiques) ; bien sûr Poutine (comme s’il avait été le seul à inventer « l’État profond » et cracher sur les accords de Minsk 2) ; et n’oublions pas « l’hétéro blanc » (il se reproduit, ce salaud, et prétend même continuer son horrible civilisation qui pourtant attire tant de par le monde — pas assez selon ses détracteurs) ; etc.

Nos cuistres (car ce sont aussi les “nôtres”, hélas, preuve supplémentaire que la civilisation “blanche” crée aussi ses propres démons) pérorent, portent plainte, gémissent, parce qu’ils ont été élus grâce à l’abstention massive ou cooptés par leurs complices miliciens dans les institutions politiques scolaires et médiatiques qu’ils sont pourtant en train de couler dans l’incrédulité générale tant la crétinerie est devenue la seule denrée produite et même exportée.

Les jeunes dindes et coqs qui fabriquent ce nouveau « soleil vert » et le répandent sur les ondes ont certes encore l’avantage de leurs années : leur chair est tendre et peut apaiser un temps les adeptes de La Familia Grande et de l’anti barbecue primaire. Mais le combat de Karl Zéro étant maudit, le sortilège « complotiste » en effet a été prononcé à son encontre (on attend « extrême droite » en extrême-onction), les dénoncer relève de plus en plus du « suicide » avec une balle dans le dos ou dans trente centimètres d’eau ou encore avec défenestration, toute une (fausse) monnaie des plus courantes lorsque l’on regarde de plus près les affaires de cette Secte — sans foi ni loi — au Pouvoir.

Certes, celle-ci se gausse d’avoir « regagné » l’Alaska sur Sarah Palin (mais il s’agit plutôt d’une défaite locale et provisoire) et puis la planche à billets endort le manant, du moins pour l’instant. La grande masse moutonnière reste en effet insensible à son égorgement progressif sécularisé. L’extrême-centre français reste même en tête, pour garder ses privilèges d’endettement infini, à sacrifier, en échange d’un peu de flouze, sa filière énergétique pour les beaux yeux des alter-verts allemands (d’un totalitarisme à l’autre) encore une victoire posthume (indirecte) du nazisme canal historique…

Pendant ce temps ladite “Opposition” s’enfonce dans les mêmes rengaines, par exemple antinucléaires (comme si elle ne connaissait pas la technique des bassins de rétention pour consolider le refroidissement des réacteurs nucléaires en cas où…) tout en oubliant également que prendre “aux riches” pour donner “aux pauvres” reste un expédient qui a vu ses limites en 1919 à Moscou (bizarre d’ailleurs que les dirigeants post-staliniens n’aient guère renoué avec cette mesure), négligeant enfin qu’il ne sert à rien de rouspéter contre la mise en congé du Parlement si des mesures énergiques et spectaculaires (pacifiques) ne sont pas prises comme s’enchaîner à ses grilles jusqu’à son ouverture, ou bloquer les portes des chaînes de propagande du service public afin qu’une réelle pluralité y soit enfin présente.

Mais il faudrait en avoir pour cela, ce qui devient difficile lorsque le “trans” fait führer.




Malcolm Roberts, sénateur australien, à propos de la pandémie Covid-19 : « Tout a été planifié. »

[Source : Ma France]



[Voir aussi :
L’enquête australienne Covid 2.0 pour un plus gros aperçu de l’enquête réalisée par une équipe d’Australiens autour du sénateur Malcolm Roberts
et Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales pour un large aperçu des enquêtes de l’équipe internationale d’avocats autour de Reiner Fuellmich, avec des heures de vidéo et quelques transcriptions écrites.]


Historique partiel d’événements probablement liés à la planification de la pandémie

Par Christophe M.

  • Le 31 janvier 2000, lors de la réunion annuelle du Forum économique mondiale (WEF), a été lancée l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, GAVI (Global Alliance for Vaccines and Immunization ). Cette organisation «  aide à vacciner près de la moitié des enfants du monde contre les maladies infectieuses mortelles et invalidantes ».
    https://www.gavi.org/fr
  • En 2004, création du Club Valdaï qui  est un forum international  promouvant les intérêts  de la Russie dans le monde. « More than 1,000 representatives of the international scholarly community from 85 countries have taken part in the Club’s activities. They include (…)  think tanks, including Harvard, Columbia,(…) Johns Hopkins University. 
    https://valdaiclub.com/about/valdai/
  • En mai 2016, l’organisation ID2020 est inaugurée,  sous l’égide de l’ONU.  Elle a pour objectif de promouvoir la digital identity right,  pour les plus pauvres du monde,  « 1.1 billion people ». Dans cette rubrique du site, il est précisé que l’identitification numérique est déjà une pratique courante  « From e-passports to digital wallets, online banking to social media accounts,…», mais peu fiable «  Most of the current tools are archaic, insecure, lack appropriate privacy protections and commoditize our data ». Sous l’impulsion de ID2020, ce problème va être résolu. « ID2020 is leading the charge.», sans doute par l’exploitation d’une technologie plus efficace.
    https://id2020.org/digital-identity#approach,
  • Le 15 mai 2018, s’est déroulé un autre exercice de simulation, sous la forme d’un jeu de rôle, organisé par le John Hopkins Center For Health Security.  Participent à cet exercice, baptisé du nom du  virus « Cladex »,  des personnalités américaines, ayant occupés des postes de haut rang, et qui jouent chacun le rôle d’un dirigeant du gouvernement américain. Le scénario commence par l’irruption d’une épidémie à deux endroits  « serious respiratory disease in Germany and Venezuela » pour se propager ensuite à travers le monde entier.  Cette épidémie s’avère être d’origine criminelle,  car revendiquée par un groupe extrémiste  « a fringe group » déterminé à réduire la population humaine  « bent on reducing the human population ». L’exercice de simulation a permis d’illustrer comment les autorités politiques du monde entier « the United States and the world » peuvent coordonner leurs actions et gérer une situation de crise sanitaire de grande ampleur. 
    https://www.centerforhealthsecurity.org/news/center-news/2018/2018-05-15_clade-x-policy-recommendations.html
    https://www.centerforhealthsecurity.org/
  • En 2019, il est noté sur Wikipédia qu’ « …ID2020 a lancé un nouveau programme d’identité numérique en collaboration avec le gouvernement du Bangladesh et l’alliance vaccinale Gavi ».  Il existerait donc une relation entre l’identité numérique et la vaccination. 
    https://fr.wikipedia.org/wiki/ID2020
  • Le 19 juin 2019,  s’est déroulé un exercice en ligne, dénommé Cyber Polygone,  portant sur la cybersécurité, et impliquant des sociétés russes et occidentales, provenant de 24 pays. «  The fight against cybercrime cannot be waged alone. The sooner the public and private sectors learn to cooperate, the faster we can build a safe and secure cyberspace. » 
    https://2019.cyberpolygon.com/
  • En septembre 2019, selon Le Monde, la Fondation Gates a lancé des enquêtes d’opinions au Malawi, au Kenya et Bangladesh, pour savoir si les populations étaient « prêtes » à se faire implanter des carnets   de vaccinations, sous la forme de  « ….minuscules boites quantiques »,  « les cartes de vaccination en papier [ étant ] erronées ou incomplètes ».  Ce carnet vaccinal serait implanté par « un patch de microaiguilles »  qui, une fois dissout sous la peau, laisserait un ensemble de points réagissant à un spectre lumineux proche de l’infrarouge. Un « android modifié »  pointé dessus, signalerait  si le patient a été vacciné. « La limite du concept est que la technique ne sera utile pour identifier les enfants non-vaccinés que si elle devient l’outil exclusif ».
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/12/19/le-kenya-et-le-malawi-zones-test-pour-un-carnet-de-vaccination-injecte-sous-la-peau_6023461_3212.html
  • Le 18 octobre 2019,  Center For Health Security  organise en collaboration avec la Fondation Gates et le WEF un troisième exercice de simulation d’épidémie. Depuis plusieurs années, près de 200 épidémies apparaissent chaque année, mettant en péril le système économique globalisé. Une unième épidémie « Event 201 » pourrait être fatale.  Aussi des acteurs privées et publics se sont-ils réunis  pour face à ce danger. Le scénario commence par la transmission d’un coronavirus de la chauve souris au porc,  au Brésil …« a novel zoonotic coronavirus transmitted from bats to pigs ».
    https://www.centerforhealthsecurity.org/event201
    https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/scenario.html
    https://www.gatesfoundation.org/  
  • Diffusé le 3 juin 2020, le clip suivant  met en scène, de façon à la fois elliptique et métaphorique, un évènement grandiose survenant à l’échelle mondiale Le chaos ( sociale, climatique, pandémique…)  qui menace l’humanité s’accroit.  Et tout d’un coup, par un simple clic – touche reset –  sur l’ordinateur   » on rembobine la pellicule « ,  on revient en arrière pour éviter la catastrophe.  Symboliquement, le numérique apparait alors comme le recours ultime, sauvant le monde entier du déluge. Sous quelle forme précisément cet événement, le Great Reset, pourrait-il  avoir lieu ? 
    https://youtu.be/8rAiTDQ-NVY
  • 9 juillet 2020, deuxième session de l’exercice de cybersécurité, dont le thème central est une  « pandémie numérique ».  Interventions initiales « Welcome Remarks » du Premier ministre russe, Mikhail Mishustin, et du fondateur du WEF, Klaus Schwab. 29 pays prennent part à cet évènement. 
    https://2020.cyberpolygon.com/agenda/
  • (24 février 2022, début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.)



L’histoire sombre de Fauci — Entretien avec Robert F. Kennedy Jr

[Source : Kla.tv]

Les Américains seraient devenus plus malades qu’ils ne l’ont jamais été, bien qu’ils dépensent plus pour la santé que les autres nations. Parmi les pays industrialisés, les résultats en matière de santé des Américains sont à la dernière place. Dans l’interview de Robert F. Kennedy Jr., la lumière est faite sur cet étrange illogisme : la face cachée d’Anthony Fauci. 

[Voir aussi :
Fauci et la grande arnaque du SIDA]

Transcription

En examinant la situation aux États-Unis et dans le monde, l’interview suivante avec Robert F. Kennedy Jr., le célèbre président et principal conseiller juridique de Children’s Health Defense, révèle des vérités choquantes.

Dans un épisode de « Conversations That Matter » (Conversations qui sont importantes], Kennedy parle du contenu de son livre « Le vrai visage d’Anthony Fauci », avec Alex Newman, le présentateur et rédacteur en chef du « New American Magazine ».

Au terme de recherches approfondies, Robert F. Kennedy Jr. a révélé la sombre histoire choquante de Fauci, jetant ainsi le doute sur tous les reportages des médias à propos du Covid-19 et alertant tous ceux qui ont à cœur la démocratie aux États-Unis ainsi que l’avenir et la santé de leurs enfants.

« Le vrai visage du Dr Fauci » montre en détail comment Fauci, Bill Gates et leurs consorts associés utilisent le COVID-19 pour subjuguer l’humanité et la placer sous une domination totalitaire mondiale. Grâce à leur contrôle sur les médias, les revues scientifiques, les institutions gouvernementales et paragouvernementales, les services secrets mondiaux et les scientifiques et médecins influents, le public a été inondé de propagande de panique sur le danger de contagiosité et le développement du Covid-19. Des agents dévoués pour faire taire les critiques, étouffer le débat et censurer impitoyablement les opinions divergentes. Fauci aurait orchestré, entre autres, la transformation de l’agence du ministère de la Santé publique (NIH) en un laboratoire de produits pharmaceutiques.

Découvrez d’autres informations dans l’interview suivante sur le vrai visage du Dr Fauci qui, avec Bill Gates, a servi les intérêts des entreprises pharmaceutiques et a contribué à faire des États-Unis la nation au monde la plus tributaire de la pharmacie.

Newman : Qui est le vrai Anthony Fauci, et pourquoi devrions-nous nous inquiéter ? N’est-il pas un sympathique spécialiste en santé publique qu’on voit à la télé ?

Kennedy : Anthony Fauci est à l’origine de la « capture » d’agences au sein des agences de santé publique. Il a orchestré la transformation du HHS, le Département de la Santé et des Services sociaux qui est devenu un laboratoire de produits pharmaceutiques qui promeut l’agenda de Big Pharma. C’est l’équivalent de J. Edgar Hoover de la santé publique. Je montre dans mon livre qu’il a réussi à rester au pouvoir pendant 50 ans, non pas en accomplissant des succès mesurables en matière de santé publique — la santé publique a considérablement décliné sous son régime — mais plutôt en servant les intérêts des sociétés pharmaceutiques, en aidant à faire de ce pays le pays au monde le plus dépendant de l’industrie pharmaceutique. Nous prenons trois fois plus de médicaments que la moyenne des autres pays occidentaux. Nous payons les prix les plus élevés pour ces médicaments et nous avons de loin les pires résultats du monde développé en matière de santé. Nous sommes au 79e rang mondial en termes de résultats totaux de santé. Cette génération d’enfants qui a atteint la majorité sous le régime de Tony Fauci — depuis 1984 — est la génération la plus malade de l’histoire. Lorsqu’il est entré au NIH, le Département de la Santé, les taux de maladies chroniques [chez nos enfants] dans notre pays étaient d’environ 6 %. Aujourd’hui, ils atteignent 54 %. Par maladie chronique, je veux dire, pas seulement l’obésité, mais les troubles neurologiques de développement comme le TDA, le TDAH, le retard de la parole, le retard du langage, les tics, la narcolepsie, le syndrome de Tourette, l’autisme. L’autisme est passé d’une personne sur 10 000 dans ma génération — ce qui est toujours le cas aujourd’hui — à un enfant sur 34 dans la génération de mes enfants. Sous l’administration de Tony Fauci, les allergies alimentaires sont apparues en 1989. Les allergies à l’arachide, les maladies cœliaques, les allergies au blé, toutes ces autres allergies alimentaires, puis les maladies auto-immunes : la polyarthrite rhumatoïde, le diabète juvénile, les lupus sont devenus épidémiques. C’étaient toutes des maladies qui étaient totalement inconnues dans les années 1960, et la science les fait remonter à des innovations contrôlées par Tony Fauci. Vous ne pouvez pas complètement blâmer Tony Fauci — une personne — avec cette avalanche, ce tsunami de maladies chroniques. Le travail de Tony Fauci au NIAID [Institut national des allergies et des maladies infectieuses] consiste à rechercher les sources de ces maladies chroniques, maladies immunitaires et maladies allergiques, puis à nous aider à les éliminer, à identifier les causes. Nous savons que c’est une toxine environnementale, ça doit l’être. Les gènes ne causent pas d’épidémies. Ce que je montre dans le livre, c’est qu’au lieu de faire cette recherche, il dépense la quasi-totalité de son budget de 7,7 milliards de dollars pour développer de nouveaux médicaments pour les sociétés pharmaceutiques et faire de la recherche sur les armes biologiques pour le Pentagone et pour le complexe militaro-industriel. 1,6 milliard de dollars par an de son budget vont essentiellement au développement d’armes — la recherche sur les armes biologiques. C’est la personne la mieux payée du gouvernement fédéral. Il reçoit 434 000 dollars par an, soit 34 000 dollars de plus que le président des États-Unis. Il a beaucoup, beaucoup d’autres sources de revenus avec ce travail. Soixante-huit pour cent de ce budget provient de sa gestion de la recherche sur les armes biologiques, et c’est pourquoi il a été contraint de faire les études sur le gain de fonction à Wuhan et de les gérer à Wuhan, parce que le Pentagone le paie pour faire ce genre de recherche. S’il ne le faisait pas, il perdrait la majeure partie de son salaire.

Newman : Alors, où se situe Bill Gates dans cette histoire ? C’est le gars sympathique avec le gilet qui donne simplement des milliards pour améliorer la santé publique, et pourtant votre livre suggère qu’il y a aussi un côté plus sombre à tout cela.

Kennedy : En 2000, Gates a convoqué Anthony Fauci dans son manoir de 87 millions de dollars sur les rives du lac Washington à Seattle et lui a proposé un partenariat entre eux qui imposerait toute une batterie de vaccinations différentes d’ici 2020 à chaque homme, femme et enfant sur la terre. Ils ont rebaptisé leur effort en 2009, la « Décennie des vaccins ». Ils ont promis que d’ici 2020, les enfants, mais aussi tout le monde sur terre seraient vaccinés non seulement par un seul vaccin, mais par toute une batterie de vaccins. Gates est fortement investi dans pratiquement toutes les entreprises qui fabriquent tous ces vaccins. Il utilise sa philanthropie – il l’appelle capitalisme philanthropique parce que ce n’est pas vraiment de la philanthropie. Il rafle 33 milliards de dollars et les protège des impôts, donc nous payons en fait ses politiques. Ensuite, il a utilisé cet argent pour prendre le contrôle de la politique mondiale de santé publique. Il possède essentiellement l’OMS [Organisation mondiale de la santé]. Il a créé une série d’organisations quasi gouvernementales qui dictent la politique de santé mondiale : GAVI, CIFI et d’autres dans lesquelles il a fortement investi et qu’il contrôle comme la Brighton Collaboration. Il utilise son contrôle sur ces agences pour exiger des pays en développement – Afrique, Asie, Amérique latine – qu’ils imposent des vaccins à leurs populations. Ces pays, par exemple les pays africains, dépendent fortement de l’OMS pour l’argent qui soutient leur ministère de la Santé et qui soutient leurs programmes de lutte contre le SIDA. Ce que Gates et l’OMS font, c’est dire à ces pays, vous devez administrer une certaine quantité de vaccins de Gates contre la polio, et ses vaccins diphtérie-tétanos-polio. Si, par exemple, 70 ou 80 % de votre population ne reçoit pas ces vaccins, vous n’obtiendrez pas l’argent pour votre ministère de la Santé. Les vaccins qu’ils achètent sont des vaccins fabriqués par des entreprises dans lesquelles il est personnellement engagé, et la Fondation Gates est personnellement investie. Lorsque des organisations indépendantes, comme le gouvernement danois, ont en fait cherché à savoir si ces vaccins sauvaient ou non des vies (ce que Gates prétend), ils ont découvert que c’était exactement l’inverse qui se passait. Prenons pour exemple, le vaccin le plus populaire au monde, le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche, dont Gates avait fait la promotion en Afrique et en Asie pendant de très nombreuses années pour sauver la vie de dizaines de millions d’enfants. Lorsque le gouvernement danois a financé une étude en 2017, le gouvernement danois, le Statens Serum Institut au Danemark et une autre société de vaccins ont financé une étude. Ils ont examiné trente ans de dossiers en Afrique pour comparer comment allaient les enfants qui avaient reçu le vaccin par rapport aux enfants qui ne l’avaient pas eu. Ce qu’ils ont découvert, c’est que les filles qui ont reçu ce vaccin – alors qu’elles étaient protégées contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche – mouraient dix fois plus que les filles non vaccinées. Le vaccin les protégeait contre certaines souches de certaines maladies infectieuses, mais il avait anéanti leur système immunitaire et les avait rendues extrêmement sensibles aux infections mineures et notamment aux infections respiratoires. La malnutrition, l’anémie, le paludisme… les autres choses qui tuent de nombreux enfants africains… il s’avère que les enfants vaccinés étaient beaucoup moins capables de résister aux maladies que les enfants dont le système immunitaire n’avait pas été altéré.

Newman : C’est absolument terrifiant.

Kennedy : Permettez-moi d’ajouter autre chose. Gates a fondamentalement transformé l’OMS qui était une agence de développement, d’hygiène, d’assainissement et de développement économique en une agence qui s’occupe essentiellement des vaccinations. Cinquante pour cent du budget de l’OMS va au projet-phare de Gates, qui est le vaccin contre la polio, alors que la plupart des experts en vaccins dans le monde – très pro-vaccins – lui ont dit depuis le début que ça ne fonctionnerait pas. Vous n’allez pas éradiquer la poliomyélite. Et aujourd’hui, l’OMS admet que 70% des cas de poliomyélite dans le monde sont causés par le vaccin de Gates. En fait, au lieu d’effacer la maladie, ça aggrave le problème. Ça provoque des épidémies dans des pays où la poliomyélite a été éradiquée, comme le Congo et l’Afghanistan et de très nombreux autres pays.

Newman : L’Associated Press a même rapporté cela sur la base des données de l’OMS. Je l’ai également vu en novembre 2019. Donc tout cela soulève la question suivante : Ces gens font-ils cela délibérément ? Sont-ils des obsédés du mal ? Ou s’agit-il simplement d’une politique stupide mais bien intentionnée, et quel est, selon vous, leur programme ultime ? Gagner de l’argent ? Quel est leur plan ?

Kennedy : Ce n’est pas un mystère pour moi. Les mêmes motifs ont poussé les gens depuis le début des temps, le motif d’accumuler le pouvoir. Le pouvoir sur la santé publique et la promotion de la biosécurité ont désormais fondamentalement supplanté tous les autres objectifs de la politique étrangère. C’était délibéré. C’était intentionnel. C’est ce qui a été promu par ces deux hommes – Gates et Fauci – mais ils avaient de très, très nombreux alliés. Comme je le montre dans mon livre, les agences de renseignement sont profondément alliées au Dr Fauci et à Bill Gates. À partir de 2000 ils ont développé une série de… (en fait, la CIA a développé) une série de simulations impliquant des centaines de milliers de personnes, et Gates et Fauci y ont participé. Ils ont toujours été mis sur un piédestal par les agences de renseignement ainsi que par les militaires et les grandes sociétés pharmaceutiques. C’est un pacte très, très sinistre que j’explique dans le livre. Soit dit en passant, il y a 2 200 notes de bas de page dans le livre. Chaque phrase que j’ai écrite, chaque déclaration factuelle, est scrupuleusement, soigneusement documentée. N’importe qui peut les consulter. Ils ont développé ces simulations de pandémie qui ont formé des travailleurs de première ligne, des médecins hospitaliers, des responsables médicaux, des responsables du renseignement, des responsables de l’application des lois, des travailleurs de première ligne en Europe, aux États-Unis, en Australie et au Canada. Pratiquement chaque année, ils reprenaient ces simulations, lesquelles étaient des simulations de pandémie. Que faites-vous si une pandémie de coronavirus survient ? Ils n’avaient rien à faire des réponses médicales. J’ai publié les transcriptions dans mon livre. Il n’y a eu aucune discussion sur la façon de renforcer le système immunitaire des gens, comment distribuer de la vitamine D ou du zinc ou de la quercétine, ou comment réorganiser les médicaments, faire un traitement précoce, comment mettre les malades en quarantaine et les protéger de la maladie, réduire les hospitalisations, et protéger la Déclaration des droits. Rien de tout cela n’a jamais été discuté.

La seule discussion était de savoir comment utiliser une pandémie comme prétexte pour réprimer, pour imposer des contrôles totalitaires et pour la destruction contrôlée de la démocratie libérale dans le monde. La série de simulations de pandémie qu’ils ont mise en place s’appelait Operation Lockstep parce que c’était un moyen de coordonner ostensiblement les activités de toutes les démocraties libérales à travers le monde pour faire basculer soudainement les défenseurs constitutionnels vers la censure, les contrôles totalitaires et l’effacement des droits constitutionnels et civils dans le monde. Beaucoup disent aux gens que cela ressemble à une folle théorie du complot, mais n’importe qui peut aller sur YouTube et rechercher l’événement 201, qui est l’un des plus célèbres. J’en ai trouvé beaucoup, beaucoup plus. Cela se produisait année après année après année. L’événement 201 a lieu en octobre 2019 et, à cette époque, le coronavirus circulait déjà à Wuhan. La meilleure estimation, c’est qu’il a commencé à circuler le 12 septembre 2019. Les Chinois le savaient déjà, et l’un des participants à l’événement 201, George Gao qui se trouve à l’hôtel Pierre à Manhattan, était à la tête du CDC chinois. Les autres personnes présentes étaient les militaires, les sociétés de médias sociaux, les grandes sociétés de médias comme Bloomberg et Washington Post, les plus grandes sociétés pharmaceutiques comme Johnson & Johnson.

Qui sont les hôtes ?
Les hôtes sont Bill Gates et Avril Haines, la directrice adjointe de la CIA, ancienne directrice adjointe. Elle est maintenant à la tête de l’Agence de sécurité nationale de Joe Biden. Elle est chef de la réponse aux coronavirus. Que fait la CIA en matière de santé publique ? La CIA ne s’occupe pas de santé publique. Elle fait des coups d’État. Ce n’est pas une blague. Il est prouvé que la CIA a participé à 73 coups d’État contre la plupart des démocraties, soit un tiers des gouvernements du monde entre 1947 et 2000. Si vous regardez en arrière, chaque année, elle simulait des pandémies et aucune d’entre elles ne concernait la santé publique. Elles portaient toutes sur la façon d’utiliser la prétendue pandémie pour réprimer les contrôles totalitaires et pour effectuer un coup d’État contre toutes ces démocraties mondiales. Il y a une très, très forte présence de la CIA dans chacune d’entre elles. Il y a parfois trois, quatre, cinq hauts responsables d’In-Q-Tel et de la CIA. Ils enseignent aux gens, ils les forment. Il y avait aussi toujours une grosse pointure. Il y avait une fois Madeline Albright, une autre fois, le sénateur Gary Hart, le sénateur Sam Nunn, chef du comité de la défense, ou un membre du Congrès ou Bill Gates. Il y avait toujours une sorte de figure de proue. Ça donne à l’ensemble de l’exercice le consentement de la légitimité et de l’autorité. Ils enseignaient aux travailleurs de première ligne comment réagir face à une pandémie. Vous verrouillez les entreprises, vous obligez les gens à porter des masques, vous vous débarrassez des processus démocratiques comme de la procédure régulière, il y a la censure de la presse.

Quiconque le souhaite peut aller faire des recherches sur l’événement 201. Le quatrième séminaire ce jour-là, le quatrième exercice et le plus long, était un exercice simulé, bizarre à tous points de vue – qui simulait une pandémie mondiale de coronavirus deux mois avant l’annonce du COVID-19.

Quel était leurs soucis ?
Ils se demandaient comment inciter les médias sociaux à censurer les rumeurs selon lesquelles il s’agirait d’une fuite de laboratoire. C’est ce dont ils parlaient tous en octobre 2019. Si vous revenez sur toutes ces simulations comme je l’ai fait et lisez mon livre, le chapitre « Jeux de microbes » décrit l’extraordinaire prescience, l’espèce de divination qui s’est concrétisée exactement comme ils avaient prédit, jusqu’aux vaccins à ARNm dont ils parlaient déjà il y a dix ans – et dont c’est la finalité. C’est très, très alarmant quand on le lit.

Newman : Pourriez-vous s’il vous plaît, nous dire en quelques mots ce que vous pensez que nous devrions faire à ce sujet. Quelle serait la solution ? Est-ce une question partisane ? Doit-on avoir peur ?

Kennedy : Je pense que la meilleure chose pour les oligarques et pour ce cartel regroupant les sociétés de médias sociaux qui s’enrichissent en se nourrissant des cadavres de la classe moyenne anéantie, les sociétés de médias, les agences de renseignement et les technocrates médicaux, leur intention stratégique est de garder les républicains en lutte contre les démocrates et les Noirs contre les Blancs, de semer la division et d’orchestrer la peur. Nous allons gagner une personne à la fois, en parlant à nos voisins, en convainquant les gens. Le taux d’évolution joue en notre faveur. Une fois que les gens comprennent la vérité, ils ne retourneront jamais de l’autre côté. Nous constatons maintenant ce formidable taux d’évolution croissant. Lorsque nous aurons atteint une masse critique, nous pourrons reprendre notre démocratie, mais nous devons littéralement faire cela avec une personne à la fois, c’est-à-dire en parlant constamment, en diffusant le message. Je dirais que l’une des façons de le faire est d’acheter mon livre, de le donner à vos amis pour Noël. Soit dit en passant, je ne gagne pas d’argent sur le livre. Tous mes bénéfices reviennent à Children’s Health Defence, pour nos procès, etc., pour notre travail de défense juridique.

de avr./ug.

Sources / Liens :

Robert F. Kennedy Jr.: Die dunkle Geschichte von Fauci aus dem Buch von RFK

Aus der website von „New American Magazine“ von Alex Newmann: die dunkle Geschichte muss aufgedeckt werden.




Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?

Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Le dérèglement climatique au secours de Big Pharma ?

Par Alain Tortosa

Wikipédia(([1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_microbienne)) nous dit :

« Bien que très controversée lors de sa formulation initiale, cette théorie (des germes) a été validée à la fin du XIXe siècle et constitue désormais un élément fondamental de la médecine moderne et de la microbiologie clinique. »

(Je précise que cette théorie inclut les bactéries ET les virus.)

Le site précise qu’elle a été validée avant 1900 soit bien avant le premier microscope électronique fabriqué en 1930 permettant de « voir » des virus.

Rien sur cette page sur la découverte des virus, des preuves de leur existence, du moyen de les isoler, de la preuve de la contagion, rien…

Il existe pourtant d’autres théories qui arrivent à la conclusion inverse, que les virus n’existent pas (j’y reviendrai un peu plus loin).

Je vous invite à vous pencher sur les modèles de Béchamp vs Pasteur.(([2] http://www.ateliersante.ch/bechamp.htm#B%C3%A9champ))

« Les travaux de Béchamp.

Trente ans avant l’instauration de l’idée du monomorphisme, le microbiologiste Antoine Béchamp, docteur ès sciences, docteur en médecine, en chimie, et en pharmacie, découvrait, à la suite de travaux expérimentaux et d’observations minutieuses, que toute cellule animale ou végétale est constituée de petites particules capables, sous certaines conditions, d’évoluer pour former des bactéries qui continuent à vivre après la mort de la cellule dont elles proviennent. Béchamp appela ces petits éléments autonomes, des “mycrozimas”.

Béchamp et Pasteur qui étaient contemporains s’opposèrent farouchement pour défendre leurs théories bactériennes devant les milieux scientifiques de l’époque.

Pasteur défendait la théorie selon laquelle toute maladie infectieuse était causée par des micro-organismes invariables dans leur forme et provenant TOUJOURS de l’extérieur de l’organisme, le milieu intérieur de tous les organismes vivants étant stérile.

Béchamp voyait à la maladie une origine interne, et affirmait que toute matière organique est sujette à des modifications naturelles dues à des processus normaux de fermentation. Ces processus provoquent, dans des conditions pathologiques, le développement des mycrozomas et aboutissent à la formation de bactéries ayant des propriétés de putréfaction et de fermentation. »

Béchamp aurait déclaré(([3] http://www.meilleures-citations.com/auteurs/antoine_bechamp.html)):

« Je suis le précurseur de Pasteur, exactement comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie. »

Wikipédia, garant de la doxa, comme nous pouvons le vérifier chaque jour, vient encore à notre secours pour parler du « déni de la théorie des germes(([4] https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9ni_de_la_th%C3%A9orie_du_germe))».

Il est intéressant de voir que celle-ci n’est pas présentée comme une autre voie, un courant scientifique alternatif, mais comme un « déni » qui de fait relèverait du charlatanisme, de la foi ou de la psychiatrie, fin de non-recevoir :

« Le déni de la théorie du germe est une croyance pseudoscientifique qui prétend que les bactéries et virus ne causent pas de maladies.

Cette croyance est souvent rattachée à la théorie d’Antoine Béchamp, désormais réfutée par la science, qui affirmait que les tissus humains malades pouvaient produire des microbes, et donc que la présence de ceux-ci étaient une conséquence de la maladie et non l’inverse. Mais il a été démontré que les micro-organismes se transmettaient par contagion. »

Nous n’en saurons pas plus sur cette « démonstration ».

Il n’y a donc pas de sujet et seuls des illuminés ou des complotistes 4dan pourraient s’y intéresser.

Comme pour le Covid, il n’y a pas de débat possible sur l’efficacité du masque, des confinements, de l’existence de traitements, de l’efficacité ou de la dangerosité des « vaccins ».

Nous vivons dans un monde de « consensus scientifique » et « d’illuminés » qui gravitent autour.

Je vous rappelle que je ne m’interdis aucun sujet et que je me suis même interrogé sur la théorie de la Terre plate.(([5] https://nouveau-monde.ca/la-verite-revelee-la-terre-est-plate-et-jen-aurais-la-preuve/))

Si l’affirmation de la non-existence des virus est scientifiquement exacte ?

[Note de Joseph : ce qui est actuellement réfuté par des précurseurs tels que les Docteurs Lanka, Kaufman, Bailey et Kiseleva, c’est l’existence de virus « pathogènes », car ces derniers mentionnent qu’il existe bien des structures cellulaires d’apparence similaires à celle des supposés virus pathogènes, mais qu’elles ont été scientifiquement et rigoureusement démontrées comme étant produites par les cellules elles-mêmes sous forme d’« endosomes » (appelés « exosomes » lorsqu’ils sortent des cellules). Par contre, aucun des virus et rétrovirus supposés « pathogènes » (Ebola, HIV, Rougeole, Polio, etc.) n’a pu être correctement isolé et caractérisé du fait que la méthodologie utilisée depuis les années 1950 ne respecte aucunement la démarche scientifique et n’effectue aucune expérience de contrôle pour valider notamment les liens supposés de causalité.]

  • Il n’y a donc pas de sars-cov2.
  • Il n’y a donc pas de virus manipulé.
  • Il n’y a donc pas de gains de fonctions.
  • Il n’y a donc pas de virus volontairement répandu.
  • Il n’y a donc pas de Covid en tant que maladie nouvelle causée par un virus nouveau.
  • Il n’y a donc pas d’épidémie de Covid en tant que maladie nouvelle.
  • Il n’y a donc pas de variants.
  • Il n’y a donc pas de tests possibles.
  • Il n’y a donc pas de mesures préventives possibles axées sur ce virus.
  • Il n’y a donc pas de traitements spécifiques possibles contre ce virus.
  • Il n’y a donc pas aucun vaccin possible.
  • Il n’y a donc plus de dictature sanitaire possible.

[Note de Joseph : dans le cadre de la théorie alternative à la virale, il peut très bien exister des « virus » manipulés (en fait au mieux des « exosomes » ou autres composants cellulaires manipulés) et donc des supposés « gains de fonction » (dont il resterait cependant à vérifier la réalité par des contre-expériences adéquates qui n’ont pas davantage lieu que pour l’isolement supposé des virus).]

Le Covid serait de fait une épidémie médiatique s’appuyant sur les épidémies habituelles.

Revenons un peu sur l’hypothèse des virus qui n’existeraient pas :

Les virus seraient ainsi une théorie non prouvée.

Qui a vu un virus ?

Les représentations en couleur ou 3D [trois dimensions] que nous avons des virus sont des dessins ou des constructions informatiques directement issues de l’imaginaire des artistes.

On n’a donc jamais « vu » un virus en regardant par exemple un tissu pulmonaire d’un malade, jamais !

De plus nous n’avons jamais pu observer « en live » un virus « vivant », qui se déplace, qui rentre dans une cellule saine ou qui en sort après l’avoir tuée et utilisée comme usine de production.

Il n’existe que des « photos » au microscope électronique, donc des représentations statiques de « trucs » plutôt ronds que l’on a nommées « virus ».

Question : Qu’est-ce qui prouve que ces machins sont des virus et qu’ils ont les comportements qu’on leur prête ?

Croyez bien que sans ces représentations artistiques omniprésentes depuis notre naissance, notre regard sur le sujet en serait fortement bouleversé.

C’est du même ordre que les films ou documentaires dans lesquels nous voyons des dinosaures :

  • Se déplacer ou courir d’une certaine façon.
  • Avoir un type et une couleur de peau spécifique.
  • Se nourrir.
  • Émettre des sons ou même avoir une communication et un « langage ».
  • Se reproduire.
  • Etc.

Même si nous disposons de quelques maigres indices, nous n’avons strictement aucune idée de leur apparence et comportement réel.

Question : Pourquoi est-il impossible d’observer et photographier des virus dans le milieu dans lequel ils sont présumés se « reproduire » et tuer des cellules saines ?

(alors même que l’on peut observer des « bouts » de bactéries)

Une « isolation » du virus semble possible en ajoutant dans la mixture d’autres éléments vivants (avec leur propre patrimoine génétique comme des cellules de singe, des cellules fœtales ou autres), mais aussi des éléments chimiques comme des antibiotiques, conservateurs, poisons…

Brève histoire de la virologie

Pendant de nombreuses années, l’existence des virus était purement théorique, avant l’arrivée du microscope électronique.

Pour l’hépatite G(([6] https://books.google.fr/books?id=iizJZ0ZblGAC&pg=PA140&lpg=PA140&dq=%22culture+virale+in+vivo%22&source=bl&ots=WhDcg7NJBi
Les virus transmissibles de la mère à l’enfant.)):

« Diagnostic direct : La culture virale in vivo n’est pas réalisable en routine, et les tentatives d’isolement in vitro se sont soldées par des échecs.

À l’heure actuelle, bien qu’encore non standardisée, la technique de mise en évidence du génome par RT-PCR est la plus sûre et la plus pratiquée »

La raison (officielle ?) de l’échec in vivo serait qu’il y en aurait insuffisamment dans un prélèvement et… qu’une culture directe « se solde par un échec ».

Raison pour le moins étrange étant donné qu’ils seraient suffisamment présents pour contaminer une autre personne.

« L’interprétation (([7] RAPPORT DU CONTROLE DU MARCHE DES TESTS RAPIDES DE DIAGNOSTIC DE LA GRIPPE
(Avril 2013) )) et la comparaison des données fournies par les fabricants nécessiteraient de connaître la fourchette de charge virale retrouvée habituellement dans les échantillons de patients atteints exprimée avec chacune de ces unités. Or, il existe peu de données dans la littérature sur ce sujet (Cheng et al, 2010, Journal of Clinical Virology , Volume 47, Issue 2, February 2010, Pages 182–185 : Spécimens de patients avec charge virale exprimée en TCID50/ml, 103-107. Suess et al. PLoS One. 2012;7 (12) : spécimens exprimés en nombre de copies d’ARN viral/ml=102 -105, Loeb et al., J Infect Dis. 2012 Oct 1;206 (7):1078-84 : spécimens exprimés en nombre de copies d’ARN viral/ml =102 -10»

Mais bon, pourquoi pas.

Dans « Apport de la biologie moléculaire dans l’identification de nouveaux virus(([8] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7140284/))»:

« Les débuts de la virologie furent longs et difficiles, et le concept de virus lui-même n’a évolué que très progressivement entre la fin du 19e siècle et le milieu du 20e siècle. Près de soixante ans ont été nécessaires… La principale difficulté résidait dans le fait de concevoir des êtres vivants submicroscopiques, en les définissant principalement sur des critères d’exclusion (trop petits pour être vus, non-cultivables), à un moment où la bactériologie pouvait, chaque jour, faire état de succès bien tangibles. Les progrès réalisés grâce à la biochimie, la microscopie électronique ainsi que la maîtrise des techniques de culture cellulaire ont conduit à la certitude que les virus étaient des agents infectieux entièrement originaux. »

« Les progrès dans le domaine de la virologie seront plus lents pour deux raisons au moins : les virus ne sont pas visibles en microscopie optique, et ils ne sont pas cultivables en laboratoire sur les milieux usuels. »

Tour ceci confirme qu’il semble impossible de cultiver et voir un virus dans son milieu.

Question : Pourquoi cette culture est-elle impossible alors même qu’il se reproduit précisément dans ledit milieu et pourquoi ce fait ne semble-t-il pas être de nature à perturber les chercheurs et la médecine ?

« Pour étudier un virus, il faut donc 2 éléments essentiels : le virus et sa cellule cible. Cette découverte confirme que la virologie humaine est dépendante d’un autre champ de recherche, celui de la culture en laboratoire des cellules animales. Sans cellule permissive au virus, impossible d’isoler le virus en laboratoire, et donc d’en faire une analyse poussée. »

On a donc « trouvé » et « observé » l’effet cytopathique(([9] https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_cytopathique)) ou « cytopathogène » pour les « cultiver ».

Le principe consiste à prélever des cellules de singe ou autres (selon le virus à étudier), les affamer sans les tuer, ajouter des tissus fœtaux de bovin (ou autres) pour ralentir le processus, ajouter des antibiotiques, de l’antigel, etc., mais surtout le prélèvement supposé infecté d’une personne malade afin d’assister en quelques jours à la « cytopathie ».

Il est alors possible « d’observer » au microscope électronique des cellules mourir “à cause [supposément] du virus” et voir apparaître les fameux petits machins ronds que l’on appelle « virus ».

L’effet cythopatique dans l’étude de Enders sur la découverte du « virus » de la rougeole représenterait l’étalon OR prouvant l’existence des virus et le moyen de les cultiver et les isoler.

C’est ce principe qui est utilisé depuis des dizaines d’années par tous les chercheurs et virologues qui observent des virus. Principe qui n’est nullement remis en cause par la communauté scientifique au pouvoir.

Pour autant l’auteur(([10] https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.3181/00379727-86-21073
Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles.
John F. Enders)) lui-même n’était pas si affirmatif :

« Les résultats qui viennent d’être résumés appuient la présomption que ce groupe d’agents est composé de représentants de l’espèce virale responsable de la rougeole. »

Ces « virus » seraient la cause de la mort des cellules saines.

Question : Pourquoi affirmer que ces observations sont des virus alors même que l’on pourrait émettre l’hypothèse qu’ils ne seraient que des déchets de cellules mortes affamées ou empoisonnées par les divers produits ou les antibiotiques ?

L’effet cytopathique ou cytopathogène(([11] http://unt-ori2.crihan.fr/unspf/2010_Lille_Goffard_Virologie/co/06_diagnostic_direct.html)) ne se produit pas pour tous les « virus ».

« Certains virus ne donnent pas d’effet cythogénique au cours de leur réplication en culture cellulaire : virus grippaux…

Certains virus ne se répliquent pas en culture cellulaire : virus des hépatites, rubéole, etc., etc. »

Ils ne peuvent donc pas être cultivés ou n’ont pas d’effet cythopatique.

Question : Pourquoi le fait que l’effet cytopathogène ne fonctionne pas avec tous les virus n’est pas de nature à interroger sur la réalité du phénomène sinon de l’existence des virus ?

Quid de l’expérience témoin ?

Il est vital de savoir si la destruction des cellules et l’apparition des « virus » durant ces expériences sont dues au virus observé ou si nous assistons au film de la mort d’une cellule (empoisonnée) et que ces « virus » vus au microscope électronique ne seraient que des déchets de cellules mortes.

Enders lui-même semble apporter une réponse à cette question.

Il aurait constaté ce même effet cytopathique alors même qu’il n’avait pas ajouté de matériel génétique (exemple : crachat) « contaminé par un virus ».

Je le cite :

« Ce faisant, il faut cependant garder à l’esprit que des effets cytopathiques qui ressemblent superficiellement à ceux résultant de l’infection par les agents de la rougeole peuvent éventuellement être induits par d’autres agents viraux présents dans le tissu rénal du singe ou par facteurs inconnus. »

Question : Pourquoi Enders (et donc tous les successeurs), au lieu de déduire que les « machins ronds » (statiques, car microscope électronique) obtenus ne seraient peut-être pas des virus, mais des débris de cellules mortes, car on les trouve aussi sans ajouter un support présumé contaminé, a émit l’hypothèse que d’autres virus pouvaient être déjà présents dans les cellules du singe et donc que l’effet cytopathique était une réalité ?

N’importe quel imbécile se dirait que son essai ne prouve strictement rien !

Il a aussi précisé que cette observation « in vitro » n’était peut-être pas le processus qui se déroule dans la vraie vie c’est-à-dire « in vivo »

Question : Pourquoi tous les doutes et interrogations d’Enders ont-ils été balayés ?

Comprenez que toute la théorie virale moderne, et les vaccins qui en découlent ne reposent que sur cette expérience (puis les tests PCR), qui lui a valu un prix Nobel.

Les antigènes ou « protéines virales »

Ainsi pour « prouver » l’existence de certains virus que l’on n’a JAMAIS pu observer (incroyable, mais vrai) on va alors utiliser la méthode de l’antigène pour les détecter et confirmer leur existence supposée être à l’origine d’une maladie.

Question : Pourquoi la communauté scientifique ne semble-t-elle nullement traumatisée à l’idée qu’il existerait de façon « certaine » des entités que l’on appelle « virus » alors même que l’on n’a jamais pu les observer ?

La théorie est simple.

Si des personnes avec des symptômes grippaux ont dans leur sang un certain type d’antigène, alors cela constitue la « preuve » que le patient a contracté le virus de la grippe qui aurait induit la production de ces antigènes.

C’est ainsi que l’on a pu « prouver » l’existence de virus que l’on n’a jamais pu voir (comme, par exemple, le HIV).

Question : La présence d’un couteau ensanglanté sur les lieux d’un présumé crime est-elle la preuve qu’il y a eu meurtre et la preuve que le couteau est l’arme du crime ?

Les antigènes sont-ils la preuve d’une attaque virale présente ou ancienne ou ne seraient que la conséquence d’un autre phénomène ou des débris issus du processus de guérison, désintox du corps et ne prouveraient en rien la présence de tel ou tel virus ?

Il est couramment admis que l’on puisse être porteur d’un virus non détectable (Hépatite B, C, VIH…)

Selon le Dr Henri Agut(([12] https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2638471-virus-definition-mode-d-action-comment-le-combattre-adn-arn/)), médecin virologue à Paris :

« Un virus ne peut survivre très longtemps à l’état de particule virale libre dans le milieu ambiant. Il doit donc trouver rapidement une cellule à infecter. C’est essentiellement sous la forme de cellules infectées, des « usines » à fabriquer des virus, qu’il existe dans la biosphère. »

Question : Comment pourrait-on être un porteur sain ou porteur d’un virus non détectable dès lors que la survie du virus dépend de sa capacité à prendre le contrôle de cellules saines pour se reproduire et que cette prise de contrôle se traduira obligatoirement par la destruction de ces cellules saines, par la destruction d’autres cellules saines et donc de la production de déchets ou de mécanismes de défense (antigènes ?).

Question : Comment une diffusion à bas bruit dans les tropiques peut-elle exister alors même qu’un virus ne peut pas survivre sans attaquer des cellules saines et donc se multiplier ?

La biologie moléculaire (le RT-PCR)

« Les outils de la biologie moléculaire ont permis l’amélioration du diagnostic des infections virales et la découverte de nouveaux virus. En effet, grâce à des outils tels que la (RT — ) PCR ou le séquençage, on peut maintenant faire face à des situations de diagnostiques nouvelles.

On peut :

Mettre en évidence la présence de génomes de virus indétectables par d’autres méthodes :

Recherche des papillomavirus humains (HPV) responsables de cancers du col utérin

Détection des virus des hépatites(([13] http://unt-ori2.crihan.fr/unspf/2010_Lille_Goffard_Virologie/co/06_diagnostic_direct.html))»

« Cependant, il existe de nombreux inconvénients :

La mise en évidence d’un génome viral dans un échantillon ne signifie pas que les particules virales infectieuses complètes soient présentes…

La grande sensibilité de ces techniques les rend très sensibles aux contaminations par des acides nucléiques extérieurs à l’échantillon initial, »

On est donc peut-être en train de faire la PCR d’un moustique ou d’un pollen avalé par inadvertance.

Question : Comment la « science » a-t-elle la « preuve » de l’existence de virus qu’il est impossible de voir in vivo, qu’il est parfois impossible de voir dans la soupe cytopathogénique, qu’il est impossible de détecter par la présence d’antigènes et dont la « preuve » de l’existence repose sur un RT-PCR (douteux) sur quelques séquences issues de la soupe contenant un nombre impressionnant de matériaux génétiques (ou organismes divers dans l’échantillon prélevé) ?

La causalité

Trouver un « virus » n’est pas suffisant, il faut ensuite s’assurer que celui-ci est bien la cause de la maladie.

Pour se faire il faut que le « virus » ainsi trouvé soit bien le « coupable » de ladite maladie et donc l’inoculer à un porteur sain.

Il faut donc isoler le virus dans la soupe ou dans l’échantillon (en effet, les autres substances ou organismes présents dans celle-ci pourraient aussi causer des maladies).

Ici se pose un grand problème, car la soupe de Enders contient des cellules de singe (ou autre animal), des cellules fœtales de bovin et l’échantillon prélevé sur le malade (qui peut aussi contenir d’autres « virus », bactéries, mais aussi du matériel génétique comme des pollens, des insectes inspirés par le malade, etc.)

Sans compter toutes les toxines comme des antibiotiques et autres substances chimiques présentes dans cette soupe.

Ajoutons le fait que toutes ces substances biologiques et chimiques se sont peut-être mélangées et qu’il devient alors impossible de les filtrer ou les séparer pour ne prélever que le virus incriminé.

Question : Étant donné qu’il semble impossible d’isoler de façon certaine des virus dans un prélèvement in vivo,
comment serait-il possible d’infecter un porteur sain en ayant la preuve que l’infection transmise est UNIQUEMENT causée par cet agent pathogène dit virus et ce afin de s’assurer qu’il provoque bien la même maladie chez celui-ci ?

La Contagion

Une fois le virus « isolé », il faut contaminer le porteur sain avec une méthode compatible avec la vie réelle.

Par exemple s’il est admis que le virus étudié se transmet aéroporté alors il ne s’agira pas d’injecter directement le supposé virus dans le cerveau d’un cobaye ou par intraveineuse pour voir si le sujet tombe malade.

À ce stade, si le sujet sain « contaminé » par la soupe bactériologico-virale développe une maladie, il faudra s’assurer que c’est bien de la même maladie avec les mêmes symptômes et les mêmes marqueurs biologiques comme indiqué précédemment.

Question : Est-ce le virus qui va entraîner la maladie de la personne en bonne santé ou les produits chimiques et autres tissus en décomposition utilisés dans la soupe pour « isoler » le virus ou d’autres bactéries présentes dans le prélèvement du patient, voir même un effet placebo ou d’autres actions que nous ne comprenons pas ?

Le problème est que les rares expériences qui ont été menées pour prouver le principe de la contamination et de la contagion se sont soldées par des échecs comme celle de 1918 menée par Rosenau.(([14] Rosenau MJ: I. Series of experiments at Boston, November and December, 1918. Hygienic Laboratory U.S.P.H.S. Bulletin 1921
https://virologyj.biomedcentral.com/articles/10.1186/1743-422X-5-29))

L’objet était d’infecter par la grippe espagnole réputée extrêmement dangereuse par 100 « volontaires » sains et sans symptômes, fournis par la Navy :

« Ensuite, nous avons procédé au transfert du virus obtenu à partir de malades ; c’est-à-dire que nous avons recueilli les sécrétions matérielles et muqueuses de la bouche, du nez et des bronches de 19 malades et les avons transférées à nos volontaires. Nous avons toujours prélevé le matériau de la manière suivante : le patient fiévreux, au lit, a devant lui un grand aménagement peu profond en forme de plateau, et nous avons lavé une narine avec une solution saline stérile, en utilisant peut-être 5 cc, qui est autorisé à couler dans ce plateau ; et cette narine est soufflée vigoureusement dans le plateau. Cela est répété avec l’autre narine. Le patient se gargarise ensuite avec la solution. Ensuite, nous obtenons du mucus bronchique en toussant, puis nous tamponnons la surface muqueuse de chaque narine et aussi les muqueuses de la gorge. »

Ensuite, ils ont mélangé tous les « trucs » ensemble et ont pulvérisé 1 cc du mélange dans chacune des narines de 10 volontaires, et « dans la gorge, tout en inspirant, et sur l’œil » et ont attendu 10 jours pour que les volontaires tombent malades. Cependant, « aucun d’entre eux n’est tombé malade de quelque manière que ce soit ». »

Dans son livre, Eleanor McBean « l’aiguille empoisonnée(([15] THE POISONED NEEDLE Suppressed Facts About Vaccination By Eleanor McBean 1957
http://whale.to/a/mcbean.html#BIBLIOGRAPHY))»
nous rapporte :

« Au cours de l’une des plus grandes épidémies de poliomyélite (1949), “la contraction de la poliomyélite par contact précis avec d’autres victimes de la maladie n’a pas été établie dans une étude élaborée réalisée par le Département de la santé de l’État de New York. Le service de santé publique des États-Unis, dans ses études, a également trouvé la même réponse négative lors des épidémies successives de poliomyélite. Bref, ils ont appris que la maladie n’était pas contagieuse.” TIME Magazine a commenté cette révélation inattendue de ces enquêtes en remarquant que “quand et où les gens attrapent la poliomyélite reste un mystère”.

La supposition que les virus pénétraient par la bouche et le nez a conduit les expérimentateurs à faire des tests exhaustifs aussi bien sur des animaux que sur des êtres humains, pour la plupart des détenus et des orphelins en institution. Ils ont été exposés (par association étroite) à des patients atteints de poliomyélite et leur gorge et leurs voies nasales ont été fréquemment tamponnées avec de la matière (provenant des patients) censée contenir des virus. Aucune poliomyélite n’a été produite de cette manière et le seul effet secondaire notable était que les sujets des expériences avaient perdu leur sens du goût et de l’odorat en raison des effets néfastes des poisons contenus dans le sérum utilisé sur les écouvillons. »

Le site cv19(([16] https://cv19.fr/2022/02/20/quelques-etudes-ayant-tente-de-prouver-la-contagion-interhumaine/)) liste un ensemble d’expériences de tentatives de contamination soldées par un échec pour prouver la théorie de la contagion :

  • En 1919, Rosenau et Keegan sur la grippe.
  • En 1919, Wahl et al sur la grippe.
  • En 1920, Schmidt et al sur la grippe et le rhume.
  • En 1921, Williams et al sur la grippe et le rhume.
  • En 1924, Robertson & Groves sur la grippe.
  • En 1930, Dochez et al sur le rhume.
  • En 1940, Burnet et Foley sur la grippe.

Remarquez que si les expériences pour prouver le principe de la contagion étaient nombreuses dans la première moitié du 20e siècle, celles-ci se sont raréfiées tandis que Big Pharma prenait le pouvoir en imposant la médecine basée sur le pétrole.

En 2018 des chercheurs analysent l’état de la science sur les modes de transmission des virus(([17] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1879625717301773?via%3Dihub
Transmission routes of respiratory viruses among humans)) pourtant censés être démontrés depuis fort longtemps et « nullement source de questionnement » selon Wikipédia ou la communauté scientifique au pouvoir.

Voici leurs conclusions :

  • « La plupart des études sur les voies de transmission interhumaines ne sont pas concluantes. »
  • « L’importance relative des voies de transmission des virus respiratoires n’est pas connue. »
  • « Les méthodes de détection modernes peuvent faire progresser les expériences de transmission. »

En 2018 aucune étude n’était donc en capacité de démontrer les modes de transmission alors même que c’est cette théorie virale qui conduit aux masques, aux confinements, aux gestes barrières et surtout à la vaccination !

Pierre Lécot de Décoder l’éco(([18] https://www.youtube.com/watch?v=xq2h2onD7tk)) nous livre des éléments statistiques pour le moins troublants

Sur ce graphique des décès nous pouvons voir que les épidémies se produisent chaque année au même moment dans divers pays dont la France, la Suède ou le Portugal.

À noter qu’il en est de même si l’on observe les hospitalisations.

Si les épidémies se propageaient par contagion c’est-à-dire de patients vers patients alors il serait logique de constater un décalage dans le temps entre le Portugal et la Suède quand bien même il existe des avions… Or elles se produisent en même temps !

C’est donc une preuve que le phénomène d’épidémie (réel) n’est absolument pas lié à la transmission interhumaine.

[Note de Joseph : sans compter que les analyses statistiques de Pierre Lécot démontrent que l’hypothèse de contamination exponentielle ne tient pas du tout. Ceci, car la « dérivée » devrait être elle-même exponentielle, mais se révèle plate !]

Question : Si le processus de contagion est le fruit d’une transmission virale d’un porteur A vers un porteur B, puis d’un porteur B vers un porteur C, comment le porteur A (ou patient 0) a-t-il pu être contaminé et par qui ?
Nous touchons à la théologie ou au Big bang… Il y avait quoi avant rien ?

Il est important d’être conscient que les médecins sont comme les maraîchers, ils ont leurs saisons !

Saison de la grippe, saison de la gastro, saison de l’angine, saison des rhumes des foins…

Ils ont ainsi une forte propension à donner le même nom aux pathologies qui se présentent à un instant donné.

Et ce d’autant plus qu’ils reçoivent les données du réseau Sentinelle qui leur fournit les dernières tendances.

Cette information obligatoirement différée dans le temps, car fournissant les données de la semaine précédente, sont certainement de nature à induire un décalage dans le temps et ainsi montrer une courbe d’évolution qui pourrait ressembler à un phénomène de « contagion ».

(L’information est aussi véhiculée par les médias qui, s’ils disent qu’il y a une épidémie de grippe, vous feront penser que vos symptômes respiratoires relèvent plus de celle-ci que d’une angine.)

Cela a été largement vérifié pour le Covid.

Plus de grippes, plus de pneumo, plus d’angines, plus de gastros, etc. plus rien sauf le Covid !

Point tout aussi intéressant Pierre Lécot a corrélé les décès au climat (à la température).

Il se trouve que plus vous êtes âgé et plus vous décédez lors des périodes de froid et plus vous êtes jeune et en bonne santé et moins vous décédez.

C’est ce qui expliquerait pourquoi les décès se produiraient au même moment dans des zones géographiques au climat équivalent pour une population à la santé équivalente ??!!

Il est à noter que ce constat apporte plus de questions que de réponses.

Le climat n’étant pas le même dans le sud de l’Espagne qu’en Suède ou dans les Alpes. Les saisons froides étant décalées de même que l’ensoleillement, l’enseignement principal serait d’affirmer que nous ne savons pas grand-chose.

En tous les cas les épidémies ne peuvent s’expliquer par le principe de la contagion (virale) interhumaine.

Où est le virus de la grippe en été ?

Science et Vie(([19] https://www.science-et-vie.com/corps-et-sante/que-devient-le-virus-de-la-grippe-en-ete-59085.html)) a posé cette question à un chercheur de l’Institut Pasteur (ils ont évidemment toutes les réponses sur les virus) :

« C’est simple : il déménage sous des cieux plus favorables à sa propagation, c’est-à-dire froids et humides.

« Le virus de la grippe est toujours quelque part en un point du globe », confirme Jean-Claude Manuguerra, de l’Institut Pasteur. Dans l’hémisphère Nord, il provoque des épidémies entre octobre et mars, tandis qu’il s’épanouit dans l’hémisphère Sud entre avril et septembre. C’est le « basculement hémisphérique » de l’hiver septentrional à l’hiver austral. » »

Question : Il est où au printemps qui correspond à l’automne dans l’hémisphère sud, saisons non favorables à son épanouissement ?

La diffusion virale à bas bruit (et ce n’est pas un extrait du journal de Mickey)

Nul point dans le globe me semble froid et humide à cette période (les pôles étant plutôt très secs)

Que nenni, le chercheur a sa réponse !

« Dans la ceinture intertropicale, le virus circule toute l’année, mais à bas bruit, avec des pics à la saison des pluies »

Cette région serait donc la zone d’échange entre le nord et le sud pour l’alternance de la grippe.

Question : C’est quoi une circulation virale à bas bruit ?

Tout le monde se le passe, mais il ne nous rend pas malade ?

Question : Comment fait le virus de la grippe pour se transmettre sans rendre malade ses hôtes ?

  • Un virus est un organisme à la fois vivant et mort qui ne peut QUE se reproduire et survivre en infectant des cellules saines de son hôte et en les tuant pour se multiplier !

Question : Comment peut-il se transmettre à « bas bruit » et comment puis-je contaminer mon voisin sans avoir moi-même une charge virale suffisante ?

  • Si j’ai une importante charge virale alors elle me rendra symptomatique et malade pour le lui transmettre en éternuant sur lui !
  • Si je n’ai que 2 ou 3 virus, je ne pourrais pas contaminer mon voisin, car je serai asymptomatique et donc dans l’incapacité de transmettre mes virus d’un hémisphère vers un autre.

Question : Si ma charge virale est faible, mon organisme va l’éliminer et comment pourrais-je ici encore le transmettre ?

Si en revanche j’ai une charge virale importante, je vais être malade, et si je suis malade ce n’est plus une diffusion « à bas bruit ».

L’article nous « éclaire » un peu plus :

« A contrario, si un Australien contaminé vient passer ses vacances en France au mois d’août, le virus ne s’y implantera pas, car les conditions “environnementales et comportementales” ne sont pas réunies. »

Alors là ça devient compliqué.

Si vous recevez votre correspond australien qui a attrapé la grippe pendant son hiver et vient vous voir pendant votre été alors :

Le gars est malade comme un chien, il vous crache dessus, il crache ses virus dans la soupe, il vous embrasse et pourtant vous n’aurez quasi aucune chance de l’attraper parce que vous êtes en été !

Et ce alors même que la température de votre corps est de 37 degrés aussi bien en été comme hiver.

Nous pouvons donc supposer que son arrivée en Europe va lui permettre de guérir quasi instantanément.

[Note de Joseph :
extrait de Le pour et le contre

— Pourquoi le gars isolé dans sa cabane au Nunavut ou en Alaska attrape-t-il tout d’un coup la grippe un certain hiver alors qu’il n’a rencontré personne depuis plus d’un mois ?

— Euh ! Bin le virus dormait dans son corps.

— Mais le système immunitaire n’est-il pas censé tuer les virus ? Pourquoi est-il assez sympa pour en maintenir en vie quelques exemplaires pour la saison prochaine ?

— Euh ! Il faut demander aux virologues. Ils doivent bien avoir une explication. Il y a bien des « porteurs asymptomatiques » pour la covid-19, d’après eux, alors pour la grippe, ça doit bien être pareil.

— Des porteurs asymptomatiques ? Des gens dont le système immunitaire est assez gentil pour laisser traîner quelques poignées de virus ici et là, le temps qu’ils récupèrent avant de pouvoir mener une prochaine invasion tranquillement ? Et pendant ce temps, ils ne sont pas malade ?

— Eh bien, ils ne sont malades que si suffisamment de virus les envahissent ?

— Combien ? 1 million ? 1 milliard ?

— Ça dépend.

— De quoi ?

— De la maladie et de l’état de santé de la personne.

— Et si la personne est en bonne santé, y a-t-il besoin de plus de virus ?

— Peut-être bien que oui.

— Mais un virus n’est pourtant pas un être vivant, puisque notamment il ne sait pas se multiplier tout seul ?

— Parce qu’il utilise le code génétique d’une cellule pour s’y multiplier.

— Et pourquoi celle-ci se laisse-t-elle couillonner ?

— Bin pas toujours ! C’est là que le système immunitaire intervient. Il empêche le virus de rentrer dans la cellule en supprimant son enveloppe qui possède la clef. Et là le virus est bien mort.

— Mais ce n’est déjà pas un être vivant. Tout ce qu’il est censé faire, c’est se faire multiplier dans une cellule. Ce n’est qu’un genre de grosse molécule qui demande d’être dupliquée. Pourquoi cette molécule rendrait-elle malade par ailleurs ?

— Bin, parce qu’elle se multiplie.

— Mais même des milliards de virus, ça n’occupe pas beaucoup de place. Pourquoi ça rendrait malade ?

— Peut-être parce qu’en plus cette molécule est mauvaise pour l’organisme.

— Admettons. Maintenant, pourquoi le fait d’avoir la Covid-19 empêcherait-il d’avoir la Grippe ?

— Les virologues disent qu’en quelque sorte ça bloque l’entrée pour les autres virus.

— Ah bon ? Pourtant, les deux ont une clef d’entrée et peuvent entrer n’importe où sur la paroi cellulaire, tellement il y a de serrures. Et je doute fort que tous les emplacements soient occupés en même temps par une seule variété de virus, sachant que ces virus ne sont pas censés traîner à la porte d’entrée, mais se précipiter à l’intérieur.

— Je ne sais pas. Il faudrait demander à un virologue.

— Ouais, admettons qu’il ait une réponse logique et satisfaisante, et pas une nouvelle rustine à leur théorie qui me paraît de plus en plus foireuse. En attendant, c’est quand même une étrange coïncidence que depuis la covid-19, presque plus personne ne meure de la Grippe, comme si celle-ci avait été rebaptisée.]

Notre système immunitaire va dire « là mon gars c’est pas la saison, alors le virus tu repasseras en hiver ! »

Les milliards de microbes que nous allons nous prendre ne pourront donc pas attaquer nos cellules ni se reproduire pendant l’été, période de vacances des virus !

(Sauf pour le coronavirus qui aurait provoqué la 4e vague en juillet, août 2021, sacré corona !)

Question : Au lieu de prétendre savoir, la communauté scientifique ne pourrait-elle pas avoir la modestie ou l’honnêteté de dire qu’elle n’a aucune idée sur l’existence réelle des virus, sur le processus de contamination (s’il existe) et pourquoi et comment on tombe malade ?

La théorie virale ne repose que sur des théories, sur un effet cythogénique douteux (notamment parce qu’il ne peut être reproduit pour tous les virus) et sur des tests RT-PCR encore plus douteux (cf. les propos de son inventeur dans la suite de ce texte).

Sujet sans intérêt ?

Si vous regardez la fiche Wikipédia de John Enders(([20] https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Enders)), vous y trouverez… rien… juste quelques phrases.

Cela n’est-il pas étrange pour un prix Nobel de médecine pour lequel les travaux sont la référence historique et méthodologique pour détecter les nouveaux virus ?

On trouve plus d’informations sur Casimir(([21] https://fr.wikipedia.org/wiki/Casimir_(personnage) ))!

Le vide sidéral est tout aussi présent concernant l’effet cytopathique(([22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_cytopathique)) alors qu’il ne saurait exister de détection ou visualisation de virus sans celui-ci.

Le mot cythogénique, quant à lui, n’est pas trouvé.

Si vous voulez en savoir plus sur Rosenau et ses expériences visant à identifier les modes de contamination de la grippe, vous pouvez aussi demander à Wikipédia qui vous dira que :

« Rosenau est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin »

Strictement rien sur ce chercheur !

Nous vivons dans un monde de virus mortels, avec 11 vaccins obligatoires, le Covid, des couvre-feux, des passe-sanitaires et le sujet semble être sans intérêt ou disons plutôt « blasphématoire ».

Sources documentaires

Je vous invite à vous documenter pour vous faire votre propre opinion.

[Note de Joseph : voir aussi les articles du dossier Vaccins et virus.]

Intéressons-nous maintenant au « virus » provoquant le « Covid ».

Comme pour les autres virus, celui-ci n’a donc jamais pu être vu dans des « humeurs » de malades (directement au microscope) et il n’y aurait aucune preuve que ce « Sars-cov2 » provoquerait les symptômes du Covid.

Le séquençage du virus…

Il n’existerait aucun séquençage réel complet de celui-ci, comme pour les autres virus.

En même temps si les virus n’existent pas ce serait plutôt logique.

Pour autant, un séquençage de la soupe virale est créé à partir de la soupe cytopathique.

On recherche quelques nucléotides supposés être présents via test PCR puis on assemble les morceaux qui semblent aller de pair et on fabrique informatiquement un génome totalement théorique et supposé probable.

Les séquences qui auraient servi à la fabrication des tests PCR, mais aussi du vaccin seraient ainsi à plus de 90 % imaginaires.

La pilule rouge(([28] Cf. Matrix.)) est bien entendu difficile à avaler.

Quand nous voyons le simple fait d’émettre l’hypothèse que les « vaccins » anticovid auraient des effets secondaires, imaginez-vous dire à un croyant que les virus et donc les vaccins ne seraient qu’une chimère ou une escroquerie !

Il est évident que le débat est totalement impossible.

L’histoire du Covid

Comment pourrait-on raconter l’histoire du Covid si les virus n’existent pas ?

Tout ceci se présente assez mal…

Fauci a avoué avoir investi dans le laboratoire P4 de Wuhan sur les gains de fonctions est-ce une escroquerie de plus qui vise à répandre la peur ?

Le Dr Cowan a déclaré(([29] https://odysee.com/@Johnny_Cirucci:4/Terrain%E2%80%94The-Film:4
1h14)):

« Ils ont inventé l’histoire du virus créé en laboratoire ou du “virus artificiel” pour donner à la communauté anti-vaxx quelque chose d’existant : “ils ont attrapé les méchants en flagrant délit”. Les méchants sont plus intelligents qu’eux et ils ont poussé à promouvoir l’histoire “Oh mon Dieu, il y a un virus artificiel mortel qui circule”. Ça maintient l’histoire du virus et effraie encore plus les gens. Ils sont les grands maîtres des échecs, la plupart des gens jouent aux dames ou ignorent l’existence d’un jeu. »

Il semble évident que si nous ne sommes pas en capacité de séquencer l’intégralité d’un virus, comment serait-il possible d’obtenir des gains de fonction ?

(Alors que ce serait possible sur des bactéries.)

Il est vrai que toute cette histoire de Covid est une vaste escroquerie, celle-ci pourrait-elle aller jusqu’au fait que les Bill et autres « bienfaiteurs » de ce monde sauraient que les virus n’existent pas et que l’objectif serait uniquement d’empoisonner les peuples avec des vaccins inutiles et dangereux ou une simple source de profits délirants ?

Le Covid une nouvelle maladie ?

Une méta étude publiée en 2020 dans Cochrane(([30] Signs and symptoms to determine if a patient presenting in primary care or hospital outpatient settings has COVID-19 disease
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32633856/ Cochrane Database Syst Rev. 2020 Jul 7)) nous apporte des éléments troublants :

« Nous avons identifié 16 études portant sur 7 706 participants au total. La prévalence de la maladie COVID-19 variait de 5 % à 38 %.

Nous avons trouvé des données sur 27 signes et symptômes, qui se répartissent en quatre catégories différentes : systémiques, respiratoires, gastro-intestinaux et cardiovasculaires.

Sur la base des données actuellement disponibles, ni l’absence ni la présence de signes ou de symptômes ne sont suffisamment précises pour confirmer ou infirmer la maladie. »

16 études, 7700 participants et impossible de conclure à l’existence d’une nouvelle maladie !

C’est le grand truc de Big Pharma, changer le nom de maladies existantes pour créer de nouveaux marchés et de nouvelles peurs.

Cette non-spécificité et donc cette non-existence du Covid sont indirectement confirmées par l’OMS pour la classification de la maladie(([31] Lignes directrices internationales pour la certification et la classification (codage) des décès dus a la COVID-19, 20 avril 2020
https://www.who.int/classifications/icd/Guidelines_Cause_of_Death_COVID-19-20200423_FR.pdf)):

« Définition des décès dus à la Covid-19.

Est considéré comme UN « DÉCÈS DU À LA COVID-19 » UN DÉCÈS RÉSULTANT D’UNE MALADIE CLINIQUEMENT COMPATIBLE, CHEZ UN CAS PROBABLE OU CONFIRMÉ DE LA COVID.

UN DÉCÈS DÛ À LA COVID-19 NE PEUT PAS ÊTRE IMPUTÉ À UNE AUTRE MALADIE (PAR EXEMPLE, À UN CANCER) ET DOIT ÊTRE COMPTABILISÉ INDÉPENDAMMENT DES AFFECTIONS PRÉEXISTANTES qui sont soupçonnées d’avoir déclenché une évolution grave de la COVID-19. »

Les médecins et les hôpitaux ont d’autant plus suivi cette règle que leur rémunération a été fortement accrue en codifiant « Covid » toute maladie respiratoire.

Il ne saurait y avoir de différences de rémunération pour des maladies à symptômes ou gravité comparable sauf à vouloir fausser les statistiques et donc la réalité.

Ce seul fait (parmi d’autres) constitue une preuve de la volonté de créer une fausse épidémie à partir de rien.

Nous avons assisté à une disparition magique de toutes les autres pathologies comme le confirme Pierre Lécot(([32] La bureaucratie sanitaire au centre de la fraude
https://www.youtube.com/watch?v=ceG8dd80JJU)):

Qui peut raisonnablement croire que le virus de la grippe (ou les autres virus respiratoires) n’a pas frappé en 2020 où il aurait entraîné 72 morts(([33] https://www.ladepeche.fr/2020/03/05/avec-72-morts-la-grippe-a-beaucoup-moins-tue-cet-hiver-en-france,8777067.php
Avec 72 morts, la grippe a beaucoup moins tué cet hiver en France.)) officiels ?

Le virus de la grippe qui ne travaille que 3 mois par an prend déjà des vacances bien méritées (Où ? Nul ne le sait), mais avec le Covid il s’est accordé plus de 3 ans de vacances et va peut-être revenir cet année frais et dispo pour reprendre son carnage annuel !

Va-t-on dire qu’il « circulait à bas bruit » ?

Le Covid identifiable par PCR ?

L’inventeur du RT-PCR Kary Mullis, prix Nobel de chimie disait(([34] https://odysee.com/@Johnny_Cirucci:4/Terrain%E2%80%94The-Film:4 1h24))

« S’ils ont pu trouver ce virus en vous, avec le PCR, si vous le faites bien vous pouvez trouver quasi n’importe quoi chez n’importe qui.

Ça vous fait croire à une sorte de notion bouddhiste que tout est dans tout.

Parce que si vous pouvez amplifier une seule molécule jusqu’à quelque chose qu’on peut vraiment mesurer, ce que la PCR peut faire, alors il y a très peu de molécules que l’on n’a pas dans son corps au moins une fois »

Cet homme n’a cessé de répéter de son vivant que son procédé était un outil de recherche et certainement pas de diagnostic.

Cela n’a pas empêché le journal Le Monde de déclarer(([35] https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2019/08/18/mort-de-kary-mullis-prix-nobel-de-chimie-1993_5500473_3382.html)):

« On peut être Nobel, avoir révolutionné la science et soutenir des thèses scientifiquement infondées. Les exemples ne sont pas légion, mais celui de l’Américain Kary Mullis, Prix Nobel de chimie 1993 pour l’invention de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) qui a bouleversé la génétique, est particulièrement éclatant. »

La démonstration soutenant la validité du test PCR et la « folie » de son inventeur reposent sur le fait qu’il est utilisé partout sur la planète, ce qui de fait apporte donc la « preuve irréfutable » de sa fiabilité.

C’est un peu comme la saignée, elle était utilisée partout jusqu’à ce que l’on découvre son inutilité et sa dangerosité (sauf pathologies spécifiques).

Le PCR est tellement « efficace » que Le Monde a précisé :

« la PCR est aussi la technique qui permet de ressusciter les dinosaures dans Jurassic Park… »

Même l’OMS(([36] https://www.who.int/fr/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05)) (non indépendante et corrompue) précise qu’il ne saurait constituer un outil de diagnostic à lui tout seul :

« La plupart des épreuves de PCR sont indiquées à titre d’aide au diagnostic et les prestataires de soins doivent donc examiner les résultats en tenant également compte de la date de prélèvement, du type d’échantillon, des caractéristiques spécifiques du test, des observations cliniques, des antécédents du patient, du statut confirmé des contacts éventuels et des informations épidémiologiques. »

Nous savons que des millions de tests ont été pratiqués sans consultation médicale préalable.

La quasi-intégralité des testés étant asymptomatiques (donc non malades) et ce à seule fin de rendre réelle une épidémie dont nous ignorerions encore l’existence sans les médias ou les masques.

Quand bien même le Sars-cov2 existerait, le RT-PCR ne serait pas en mesure de le détecter sans une marge d’erreur délirante !

Que les virus existent ou pas, que le sars-cov2 existe ou pas, que celui-ci soit naturel ou manipulé, cela ne change pas le fait que le génome de ce prétendu virus est une construction artificielle imaginaire sur la base d’un génome de Sars-cov1 (tout aussi imaginaire) et que les tests PCR ne permettent pas d’identifier catégoriquement la présence de la globalité de cette séquence imaginaire.

C’est aussi ce qui expliquerait pourquoi on a pu détecter du HIV (dont le génome est tout aussi imaginaire/inventé) dans le génome du Sars-cov2.

Question : Quelle est la probabilité pour qu’un individu ait dans son corps une séquence complète d’un génome qui n’existe pas et qui n’est qu’une construction humaine ?!

Dès lors que les personnes sont conscientes des réalités objectives suivantes :

  • Rien ne permet de caractériser le Covid 19 comme une nouvelle maladie.
  • Le Covid 19 est le nouveau nom donné à toutes les maladies respiratoires des précédentes années.
  • Le test PCR ne vaut strictement RIEN !

Alors le château de cartes s’effondre…

Toutes les mesures spécifiques de distanciation, de masque, de confinement n’ont strictement aucune justification.

Je vous invite à lire les dizaines d’études qui prouvent l’inutilité de ces mesures.

Si de plus nous intégrons cette donnée complotiste 4dan que les virus n’existent pas, qu’ils ne sont qu’une théorie jamais prouvée, que les expériences cherchant à contaminer des porteurs sains (grippe, rougeole, polio…) se sont soldées par des échecs (ou que le groupe témoin était plus malade que le groupe à infecter) alors cela enterre définitivement toutes ces mesures.

Je vous rappelle qu’aucun virus prélevé sur un malade n’a pu être directement observé in vivo ! (Comme, par exemple, le virus du sida).

De fait, si la contagion virale n’existe pas, pourquoi et comment s’en protéger ?

Sans compter le nombre d’études qui s’accumulent et que l’on prend bien soin de cacher au public assoiffé de volonté d’ignorer la vérité sur les confinements, distanciation, masques, couvre-feu qui n’ont aucune incidence positive sur l’épidémie.

Interdiction de soigner une « nouvelle » maladie « mortelle » ?

Cela devient « croustillant » lorsque l’on aborde le sujet du traitement et du vaccin.

Ne trouvez-vous pas « étrange » que les médecins aient été interdits de traitement lors de la première vague (la seule vague avec des malades) ?

On a forcé les malades à prendre du Paracétamol qui est reconnu pour sa dangerosité.

Question ; Qui peut être aussi stupide pour croire qu’en cas de nouvelle maladie la marche à suivre est “restez chez vous sans traitement et attendez d’aller très très mal pour aller (mourir) à l’hôpital” et de ne SURTOUT PAS utiliser les traitements et solutions habituelles ?

Au contraire on a attendu que les patients aient des poumons en très mauvais état pour les mettre sous respirateur avec une pression d’oxygène telle que cela faisait exploser leurs bronches et donc les achevait…

Et que dire des vieux dans les maisons de retraite interdits de soin non pas sur des critères de santé et de pronostic, mais uniquement d’âge ?

Ils ont été interdits d’hôpital, interdits de traitement (inexistant comme il se doit) et « terminés » au Rivotril !

Les médecins qui ont bravé les interdits, qui ont osé (et ils ont été punis pour cela) soigner leurs patients ont eu des résultats remarquables et n’ont pas constaté plus de décès que les années précédentes.

L’inversion des valeurs !

Question : L’interdiction de soin (et l’opération visant à fausser les statistiques) pour rendre réelle une maladie indétectable autrement que par un test PCR non fiable n’est-elle pas un point « étrange » de plus  ?

Le malade asymptomatique

Sans compter cette merveilleuse invention du patient contagieux asymptomatique, une première mondiale soulignant le mystère de la contagion !

Je vous rappelle que l’on n’a jamais observé le virus in vivo dans le crachat d’un malade, qu’il fallait obligatoirement aller chercher le « virus tueur » on fond de la gorge [ou du nez] et non dans la salive.

Qu’il fallait procéder à au moins 30 cycles d’amplification du RT-PCR pour détecter ce que l’on nommait magiquement sars-cov2.

Un peu de bon sens !

Nous avions donc des « positifs asymptomatiques » qui de fait ne toussaient pas et ne crachaient pas, asymptomatiques voulant dire « sans le moindre symptôme d’une quelconque maladie ».

On prétendait qu’un prélèvement salivaire ne permettait pas de détecter le virus.

Virus dont la présence était uniquement révélée par un PCR suite à un prélèvement au fond de la gorge.

Et il nous a été répété que cette personne sans symptômes pouvait transmettre ce virus, virus indétectable dans la salive !

Question : Comment des millions de Français continuent-ils à gober ce délire ?

Le « vaccin »

Vaccin dont les fabricants reconnaissent qu’il leur a fallu quelques heures pour le mettre au point.

On nous répète depuis des mois que celui-ci a été fabriqué sur la séquence du virus de Wuhan.

Je vous rappelle que ce génome est un génome imaginaire supposé être le génome du « vrai » sars-cov2.

Génome construit avec des briques du supposé sars-cov1 elles-mêmes tout aussi imaginaires et issues d’un autre génome imaginaire.

Si les virus existaient et si les vaccins permettaient de faire des défenses immunitaires pour ne pas tomber malade alors n’importe quel idiot concepteur de ce « vaccin » eut été conscient du peu de probabilité de l’efficacité de son usine à produire des toxines.

Le fabricant n’eût pu ignorer que la probabilité d’efficacité eut été extrêmement faible au regard du génome imaginaire utilisé.

Ce qui ne l’a pas empêché de dire qu’il était efficace à plus de 90 %.

Question : Alors même que l’on nous inonde de nouveaux variants. Alors même qu’il est reconnu que « l’efficacité » des vaccins diminue avec les mutations [tout aussi supposées]. Alors même qu’il a fallu quelques heures pour programmer le premier vaccin :
Pourquoi la première mise à jour est annoncée pour l’automne, soit 3 ans après l’émergence de la première souche ?

Si maintenant les virus n’existent pas alors il n’est plus question de parler d’efficacité vaccinale.

Vaccins dont la fabrication requiert de nombreux poisons et dont le rapport bénéfice vs risque ne peut qu’être catastrophique.

Consentement vaccinal

Je note aussi que c’est la première épidémie pour laquelle le consentement à vaccination n’a pas été basé sur les craintes et les convictions des personnes éligibles, mais à la mise en œuvre d’un crédit social.

À part quelques paniqués manipulés, les patients ne se sont pas injectés pour échapper à la mort (et ne me faites pas marrer en parlant d’altruisme), mais pour pouvoir aller au restaurant, au club de sport ou retrouver « une vie normale ».

C’est dire à quel point le peuple n’a pas gobé la supercherie du virus mortel et que cette épidémie était médiatique.

Je ne connais directement ou indirectement personne en bonne santé et jeune qui serait décédé de ce prétendu virus.

Donc la question qui demeure n’est pas de savoir si l’épidémie de Covid est une escroquerie, mais à quel point elle est une escroquerie (ainsi que les autres épidémies).

Si les virus n’existent pas…

Celles et ceux qui avaient mon « savoir » récent vont avoir du mal à avaler cette pilule rouge grande comme un porte-avions.

Une chose est certaine :

  • Si la science existait.
  • Si elle n’était pas dans les mains des industries pharmaceutiques et autres Blackrock.

Il serait indispensable de mettre des millions de dollars dans des études indépendantes et sans conflit d’intérêts afin de déterminer si nous vivons dans un monde de virus menaçants ou si nous sommes l’héritage d’une escroquerie majeure de Pasteur et autres acolytes.

Il n’est pas possible de rester dans cette incertitude !

Vérité impossible ?

Celui qui serait en capacité de prouver l’escroquerie et ouvrir les yeux du public ferait bien de prendre une bonne assurance vie.

Menacer à la fois des milliards de bénéfices annuels, mais aussi le maintien dans la peur du peuple ne peut se faire sans risques majeurs.

Je dis cela, mais je suis certain que les maîtres du monde et Big Pharma ont déjà prévu cette transition.

En septembre 2021 j’avais écrit un texte à ce sujet, « vous avez tué le principe de la vaccination(([37] https://7milliards.fr/tortosa20210926-deces-de-la-vaccination.pdf))»

Un nouveau marché émergeant

Il semblerait que la menace soit en train de se déplacer.

Poutine n’est qu’une diversion, un interlude entre 2 maux pour nous appauvrir un peu plus.

La variole du singe est un bide, elle ne prend pas, le scénario est trop identique, un mauvais remake.

En revanche le changement climatique est un franc succès avec une belle dictature mondiale à la clef.

Je constate autour de moi que celles et ceux qui ont gobé la fiction Covid gobent totalement le « changement climatique qui va annihiler toute forme de vie si nous ne prenons pas le taureau par les cornes » (synonyme de « si nous ne mettons pas en place une dictature climatique drastique »).

Les Français accepteront sans se révolter d’utiliser leur véhicule uniquement pour se rendre au travail.

Véhicule qui sera de fait interdit pour les loisirs et les vacances (sauf payer une taxe délirante ou être membre de la caste des demi-dieux).

Les importants pourront continuer à utiliser leur jet privé, mais attention « intégralement compensé CO2 ».

Quid de l’industrie pharmaceutique dans un monde où la vaccination est morte ?

Il faudra toujours des médicaments pour nous « soigner », des médicaments eux-mêmes et des produits chimiques répandus dans l’atmosphère ou dans la nourriture et qui nous rendent malades, mais quid des vaccins ?

Si le peuple reconnaît qu’il n’y a pas de virus, que toute cette mascarade mortifère est une escroquerie alors il n’y aura plus aucun vaccin !

Il en est de même s’il ouvre les yeux sur ce poison vaccin volontairement répandu.

Est-ce pour autant la mort définitive des vaccins ?

J’imagine qu’il leur suffira de changer de nom. Delfraissy les nomme d’ailleurs « vaccins médicaments »

Les médicaments préventifs de demain seront donc les vaccins d’hier.

Le changement climatique sera une source merveilleuse de peurs et de décès

Il suffira de faire officiellement mourir des millions de personnes à cause du CO2 et du réchauffement climatique puis de rendre obligatoire « l’injection de la survie », celle qui permet de ne pas mourir à cause des changements !

Le plus complexe sera sans doute les premiers mois de la mise en œuvre du plan.

En effet il faut que le peuple benêt et apeuré croie que des gens meurent à cause du changement climatique, mais surtout que chacun peut y passer, y compris ses enfants.

Car je vous rappelle une règle principale, si c’est le voisin ou l’Africain qui crève, on n’en a strictement rien à foutre !

Le génie de ces enculés, nommons-les tels qu’ils sont, est sans limites.

Si les effets secondaires des injections de « vaccin » Covid se poursuivent ou s’amplifient alors le fonds de commerce sera bien présent.

Ils ont commencé à le faire… aucune de ces morts subites des adultes, de ces AVC, fausses couches, cancers et autres ne sont imputables aux injections expérimentales à ARNm !

De nombreuses études financées par Big Pharma vont pouvoir sortir « prouvant » que ces décès ont été provoqués par le changement de la composition de l’air due au « réchauffement climatique ».

Vous n’ignorez pas que l’injection de la survie sera efficace à 99,99 % pour se protéger du fléau mortel.

Puis une petite étude « honnête » permettra ensuite de « prouver » que les non injectés, recracheront des gaz dangereux, voire mortels pour la santé des injectés, activement protégés par leur injection récurrente salvatrice.

Les non-injectés seront, comme pour le Covid, les assassins des injectés protégés (vous connaissez le processus maintenant).

« La liberté c’est l’interdit, elle consiste à ne pas nuire à son prochain ».

Mon cul !

Car c’est bien la capacité donnée à autrui de me pourrir la vie avec sa tondeuse le dimanche matin qui garantit MES libertés.

Cette dangerosité des non-injectés pour la planète, le climat et les injectés justifiera totalement le pass climatique qui interdira « enfin » aux non-injectés de fréquenter les lieux publics, travailler ou partir en vacances.

Puis l’injection miracle prendra le relais des décès dus aux injections anticovid, elle fera son œuvre en provoquant des décès et des maladies inédites grâce aux poisons intelligemment inclus dans la mixture « tous anti CO2 ».

Décès et maladies qui seront, comme pour le Covid, imputés uniquement au changement climatique et non à l’injection elle-même, et ce avec le soutien de tous nos grands médias indépendants qui salueront le consensus scientifique corrompu.

« Tous injectés, tous protégés du changement climatique » qui deviendra par la suite « l’injection protège des formes graves de changement climatique »

À force, ils vont bien réussir à dépeupler totalement l’occident…

Les fameux variants (tout aussi imaginaires) ne seront plus le fruit d’un virus imaginaire qui mute, mais issus de « la composition de l’atmosphère qui continuera à se dégrader du fait des non injectés ».

Car plus on sera en dictature, plus on diminuera les consommations des gueux et plus la situation ira en se dégradant comme il se doit.

Espérons que les Chemtrails existent vraiment et qu’ils permettent de contrôler localement la météo, afin de pouvoir provoquer ici et là des épisodes de canicule ou des inondations meurtrières bien anxiogènes.

Ainsi le public voyant visiblement les dégâts terribles causés par les variations climatiques (surtout chez les enfants, c’est plus vendeur) sera bien conscient de la nécessité de s’injecter la pilule pour lutter contre les nouveaux polluants invisibles, mais mortels.

Et je ne vous parle pas du masque qui permettra de filtrer plus de 90 % des gaz mortels dus au dérèglement climatique et de protéger le voisin, auquel nous tenons tant et qui respire nos gaz toxiques.

Vous voyez, l’industrie pharmaceutique peut mettre à mort les vaccins et les remplacer par des injections mensuelles à vie tout aussi rémunératrices et toxiques…

Celles et ceux qui penseraient que je pourrais donner des idées aux enculés qui nous exploitent et nous gouvernent, ne vous inquiétez pas, ils y ont déjà pensé bien avant moi.

Et aux incrédules je dis de garder soigneusement ce texte et de le ressortir dans quelques années.

Car à moins qu’il y ait enfin le grand réveil, ceci n’est pas de la fiction, mais un documentaire.

En même temps, comme dirait l’autre, ils n’ont pas ouvert les yeux sur l’escroquerie de Covid, alors que tout ce que nous avions annoncé s’est concrétisé.

Du moment qu’il nous reste suffisamment d’électricité pour regarder la télé et utiliser notre smartphone, à quoi bon se plaindre ?

J’en terminerais par cette question sur les virus qui n’est pas ou plus :

  • « Les virus existent-ils ? »

Mais

  • « Croyez-vous en l’existence des virus ? »

Une entité :

  • Que l’on ne peut voir in vivo !
  • Que l’on n’a jamais vue entrer dans une cellule saine, se reproduire, et la détruire en sortant !
  • Donc l’effet cythogénique n’a jamais été prouvé, sujet à caution et n’est pas reproductible avec certains virus !
  • Dont nul ne sait si les antigènes, parfois absent alors que le virus est présent, seraient la preuve d’une contamination ou le processus normal d’une maladie non virale.
  • Dont le test RT-PCR qui permettrait d’établir leur génome puis de les détecter relève de la construction humaine, de la magie ou de l’escroquerie.

merci

Alain Tortosa

31 août 2022
http://7milliards.fr/tortosa20220831-covid-virus-escroquerie-scientifique-foi.pdf





Affaire Cohen et Lina, l’association E3M cherche plutôt des vrais journalistes

[Source : aimsib.org]

Dans ce déferlement d’anti-démocratie qui écrase tout l’occident depuis bientôt trois ans, on comprend que rien n’aurait été possible si le journalisme libre avait tenu le cap de la liberté des opinions ainsi que du respect des Lois. Hélas, notre presse européenne s’est largement et immédiatement laissée bâillonner sans la moindre velléité de résistance, c’est ainsi. Didier Lambert, Président de l’Association E3M(([1] https://www.asso-e3m.fr/)), vous en donne un étonnant exemple ici : quand des médecins se font prendre la main dans le sac de la corruption/compromission par leurs instances ordinales et qu’ils sont condamnés pour leurs actions répréhensibles, comment réagit la presse nationale française ? Bonne lecture.  


Par Didier Lambert

Une société est-elle en danger lorsque ses experts sont sous influence de l’industrie, et la majorité de ses médias muets sur le lobbying ou la corruption en cours ? C’est tout l’enjeu de cette affaire révélée par les sanctions infligées à deux personnalités du monde de la santé.

Deux leaders d’opinion sanctionnés par la justice – Les faits

Deux éminents leaders d’opinion dans le domaine de la vaccination, Robert Cohen (en haut) et Bruno Lina (en bas) viennent de recevoir un avertissement de la Chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins.

Ils sont intervenus dans plusieurs médias pour défendre la présence d’aluminium dans les vaccins, mais sans mentionner leurs liens d’intérêts, très importants, avec l’industrie pharmaceutique liée aux vaccins (avec aluminium bien sûr). Or, la loi les oblige à cette transparence (voir le communiqué E3M(([2] Nous avions demandé que les Pr Lina et Cohen soient condamnés non seulement pour leurs liens d’intérêts non déclarés, mais aussi pour « manque de prudence dans leurs propos » (ce que prévoit la loi), dans la mesure où ils exonèrent l’adjuvant aluminium, ainsi que les vaccins contre le papillomavirus, de tout effet indésirable grave. La Chambre disciplinaire n’y fait pas référence pour le Pr Cohen, et blanchit le Pr Lina sur ce point. Le fait que la Chambre, bien que présidée par un juge du Conseil d’Etat, soit composée de médecins élus par le Conseil de l’Ordre, n’est sans doute pas étranger à cette décision.)) du 20 juillet 2022).

Les faits se sont déroulés début 2017 et cette date n’est pas anodine.

En 2016, se tenait la concertation citoyenne sur la vaccination, pilotée par le Pr Fischer. Cette concertation fut un simulacre de démocratie.

Les jurys citoyens et professionnels de santé, mis en place pour exprimer la volonté populaire, ont voté contre l’élargissement de l’obligation vaccinale (à 75%) et demandé à l’unanimité la mise à disposition de vaccins sans aluminium. De plus, ils n’ont pas voulu encourager la vaccination contre le papillomavirus (HPV), objet de nombreuses critiques. Le « comité Fischer » est passé outre l’avis des jurys, préconisant dans son rapport du 30 novembre 2016 l’élargissement de l’obligation vaccinale à 11 pathologies et l’extension de la vaccination HPV aux jeunes garçons, sans remettre en cause la présence d’adjuvants à base de sels d’aluminium.

(Lire le rapport E3M, publié en février 2017, intitulé Concertation nationale sur la vaccination : un échec dangereux pour la santé publique et la démocratie.)

Au cours de l’année 2017, certains leaders d’opinion, et particulièrement les Pr Cohen et Lina, se sont répandus dans les médias, encourageant la ministre de la Santé à appliquer le rapport du Pr Fischer. E3M n’a ciblé que 3 interviews dans sa plainte, parmi de nombreuses autres. Leurs interventions médiatiques répétées ont bien évidemment eu une influence dans l’appréhension des risques par les médias, qui ont pu ensuite « rassurer » l’opinion publique…

Le 5 juillet 2017, la ministre Agnès Buzyn annonçait qu’elle proposerait à la représentation nationale d’élargir l’obligation vaccinale à 11 pathologies. Le projet de loi fut débattu début novembre 2017. Pour emporter l’adhésion des parlementaires, la ministre, soutenue par le rapporteur de la Commission des Affaires Sociales de l’Assemblée Nationale, Olivier Véran, s’appuya sur les résultats de la « concertation citoyenne ».

En outre, elle n’hésita pas à diffuser plusieurs fausses informations, ce qu’E3M dénonça dans un communiqué, malheureusement très peu relayé dans la presse alors même qu’il s’agissait d’une manipulation de l’opinion.

L’Assemblée Nationale, puis le Sénat, votaient ensuite ces mesures, et le 1er janvier 2018 se mettait en place l’obligation vaccinale contre 11 pathologies, avec des vaccins contenant pour la plupart des sels d’aluminium. En 2020, la vaccination contre le HPV des garçons âgés de 11 à 14 ans intégrait le calendrier vaccinal, le Gardasil et le Cervarix contenant un adjuvant aluminique…

Ce rappel du déroulé des événements met en évidence le fait que la présence médiatique des leaders d’opinion Cohen et Lina répondait à un objectif clair : soutenir la politique vaccinale définie par le Pr Fischer et promue par la ministre de la Santé Agnès Buzyn. Seul problème : ces « experts » avaient caché leurs liens (très importants) avec l’industrie pharmaceutique. Nous les avons exposés à la lumière dans notre communiqué du 29 juillet 2022.

Conflits d’intérêts = danger pour la santé et pour la démocratie

« Savoir qui parle, pour permettre de distinguer les vessies de la communication des lanternes de l’information, n’est pas un point de détail en matière d’information et particulièrement d’information de santé » 

(Formindep(([3] Formindep = association de lutte contre les conflits d’intérêts dans le monde médical)) – 2009).

Rappelons en effet que tout lien d’intérêt, même minime, génère une relation de subordination ou tout au moins de connivence entre l’entreprise et le bénéficiaire des versements.

Le président de l’Ordre des médecins lui-même précise en outre que « plus le nombre de liens spécifiques établis avec un industriel dans le cadre d’actions concordantes sera important, plus la question de l’indépendance du praticien se posera avec acuité »

(Patrick Bouet – 2016).

« Les études montrent que les leaders d’opinion jouent un rôle majeur en crédibilisant les messages des laboratoires (…). Cela s’inscrit dans une « stratégie globale d’influence » de la part de l’industrie pharmaceutique, comme l’indique l’IGAS dans un rapport de 2007 »

(Prescrire – 2008).

Cela est d’autant plus important que « les leaders d’opinion des firmes pharmaceutiques irriguent et contrôlent, sous la dénomination d’experts, l’ensemble du milieu sanitaire, la formation des étudiants, la formation continue des professionnels, l’expression médiatique vers le public et les usagers de soins, les décisions et la direction des agences sanitaires, les cabinets ministériels, etc. »

(Formindep – 2011).

« Ces liens d’argent savamment entretenus par les laboratoires pharmaceutiques avec le monde de la médecine sont à l’origine de conflits d’intérêts qui entachent la plupart des scandales sanitaires », rappelle Stéphane Horel

(Le Monde, 2020).

La confession, tardive mais lucide, du PDG de Lilly

« J’ai vendu mon âme au diable », reconnaît John Virapen, ancien PDG du laboratoire Lilly en Suède, dans son livre traduit, préfacé et commenté par le Pr Philippe Even en 2014(([4] John Virapen – Médicaments effets secondaires : la mort – Editions du Cherche-Midi, 2014.)). Quelques extraits illustrent ce terrible aveu qui ne peut nous laisser indifférent :

« Les leaders d’opinion ne s’appuient pas nécessairement sur des preuves irréfutables et vont parfois jusqu’à en fabriquer ou en sélectionner de fausses. Les soi-disant leaders d’opinion (…) sont payés pour donner et diffuser un avis favorable sur les médicaments, d’abord oralement, à la tribune des congrès organisés et financés pour cela par l’industrie pharmaceutique, et surtout par écrit dans les journaux scientifiques largement commandités par l’industrie (aucun ne peut survivre sans elle).»

« Savez-vous qu’il y a sur le marché des médicaments dont l’autorisation n’a été obtenue que par la corruption financière des experts ? J’ai aussi corrompu des décideurs politiques ou de la haute administration de santé. Les autorités sont corruptibles, les experts sont corruptibles et les médecins aussi. Et comme ils sont corruptibles, quelques-uns, qui se trouvent à un moment donné dans une position décisionnelle clé, sont corrompus ».

« Ces médecins étaient de ceux qu’on appelle les leaders d’opinion, choisis et financés par nous en raison de leur complaisance pour diffuser les avis les plus favorables sur nos nouvelles molécules, donc évidemment pas en les convainquant de leurs qualités, mais tout simplement en les payant. Très cher. »

« Ne croyez pas une seconde que les compagnies pour lesquelles j’ai travaillé soient des cas isolés et je ne suis pas moi-même un cas isolé. Tout le système fonctionne de cette façon et les bénéficiaires de ces enveloppes ne sont pas non plus, et très loin de là, des cas isolés. C’est une pratique quotidienne dans l’industrie pharmaceutique. Une pratique de marketing normale. »

Des médias bien silencieux

Aucun journaliste digne de ce nom ne peut ignorer la pratique du lobbying par l’industrie pharmaceutique. Les journalistes spécialisés en santé et les journalistes d’investigation connaissent les actes de corruption dévoilés par John Virapen, mais aussi la « fabrique du mensonge »(([5] Voir le livre éponyme de Stéphane Foucart paru en avril 2014 aux éditions Gallimard Folio.)), une pratique de l’industrie visant à contrer une science qui pourrait les empêcher de poursuivre leurs activités.

Le communiqué de presse que nous avons diffusé le 29 juillet 2022 a été repris par la presse spécialisée (APMnews, Quotidien du Médecin, JIM, Hospimedia), avec relai par des médias Lyonnais du fait de la notoriété du Pr Lina dans sa région (Fr3, Lyon capitale, Tribune de Lyon). Nous nous en réjouissons, même si le contenu de certains articles nécessiterait une réponse, voire un débat.

Mais aucun média généraliste national ne s’en est fait l’écho, à notre connaissance. Aucun article de fond n’a été publié. N’est-il pourtant pas question de transparence, d’information « libre et non faussée » des citoyens, des sujets de la plus haute importance en démocratie ? N’est-il pas important d’informer le public que, pour la première fois, une sanction a été appliquée en application de l’article L 4113-13 du Code de Santé Publique, qui vise justement à protéger les citoyens de l’influence de l’industrie pharmaceutique ?

Nous pourrions imaginer que les rédactions soient toutes en vacances… Mais sans doute est-il plus juste de l’écrire au singulier :

Il y a une vacance totale du journalisme sur le sujet de la vaccination et nous le constatons depuis 2018.

Auparavant, les communiqués d’E3M étaient régulièrement repris dans la presse écrite, E3M ou les chercheurs spécialisés sur le sujet étaient invités dans des émissions radios ou sur des plateaux de télévision. Bref, le sujet « aluminium vaccinal » était un sujet de société, ce qui est logique dans la mesure où toute la population est concernée par cet acte de santé publique !

Depuis 5 ans, les portes de quasiment tous les médias se sont refermées.

https://www.sciencedirect.com/
science/article/abs/pii/S1568997219301090?via%3Dihub

Et pourtant, le dernier article scientifique de l’équipe INSERM des Pr Gherardi et Authier et de la Dr Crépeaux, publié en 2019 dans une revue à comité de lecture, présente « des preuves épidémiologiques, cliniques et expérimentales comme quoi l’EM/SFC [Encéphalomyélite Myalgique / Syndrome de Fatigue Chronique] constitue un type majeur d’effet indésirable des vaccins, en particulier ceux contenant des adjuvants aluminiques particulaires peu dégradables » (Version originale – Version française). Parmi les adhérents d’E3M malades d’EM/SFC, 96% sont en invalidité, dont les ¾ en invalidité totale. De plus, d’autres pathologies pourraient être induites par les adjuvants aluminiques, sous réserve d’études complémentaires (scléroses en plaques, scléroses latérales amyotrophiques, troubles du neurodéveloppement…). Un sujet secondaire qui ne justifie pas une information large du public ?

De l’aluminium vaccinal à la crise de la Covid

Ce silence des médias recouvre maintenant la crise du Covid.

  • Comment la plupart des journalistes ont-ils pu accepter sans sourciller, sans questionner, sans enquêter que le gouvernement interdise aux médecins généralistes de prendre en charge leurs patients avec des traitements de première intention,
  • Comment admettre qu’il impose des mesures de confinement de toute la population,
  • Comment accepter qu’il rende obligatoire (ne jouons pas sur les mots) l’injection de vaccins expérimentaux dont on ne connaissait rien notamment sur les effets indésirables à moyen et long terme, comme nous l’avons écrit à plusieurs reprises (rappel de la position d’E3M), et ceci sans débat parlementaire ?
  • Comment ont-ils pu ne pas analyser d’un œil critique les essais menés par les fabricants avant la mise sur le marché ?
  • Pourquoi n’ont-ils pas réclamé la composition précise de ces vaccins, alors que des effets indésirables graves et nombreux leur sont imputables, nécessitant que soient compris au plus vite les processus physiologiques qui pourraient les expliquer, notamment pour soigner les malades ?
  • Pourquoi n’ont-ils pas interrogé la décision du gouvernement de suspendre des personnels non-vaccinés et de les laisser sans aucun revenu ?
  • Comment ont-ils pu se taire face aux actes de censure menés tant par les pouvoirs publics (vis-à-vis de scientifiques et professionnels de santé) que par les GAFAM (fermeture de comptes, blocage de vidéos, etc.) ?

Nous-mêmes sommes aussi visés par cette censure, puisque Youtube a bloqué notre documentaire L’aluminium, les vaccins et les deux lapins…, ainsi que des interviews de chercheurs dont le Pr Christopher Exley, spécialiste international de la toxicité de l’aluminium.

Silence total de la presse, aucun média n’a relayé notre communiqué. Tout ceci est littéralement inconcevable… Il y a 50 ans, on entendait Il est interdit d’interdire. Le retour de balancier est brutal !

Le réveil des journalistes est urgent, il en va de notre démocratie

E3M serait-elle devenue complotiste et anti-vaccinale ? Non, simplement et comme toujours, elle utilise son bon sens, s’appuie sur l’analyse des faits, notamment scientifiques, et reste habitée par une volonté profonde de justice.

Il est indispensable de connaître les éventuels liens d’intérêts de ceux qui passent par les médias pour nous convaincre de la justesse de leur analyse, de leur position, de façon à ne pas prendre « des vessies pour des lanternes ». Nous demanderons à l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) qu’elle fasse respecter la loi et veille à ce que les journalistes interrogent leurs invités sur leurs éventuels liens d’intérêts.

Dans le domaine qui est le nôtre (adjuvant aluminique), nous resterons vigilants à ces déclarations préalables à toute intervention médiatique et nous n’hésiterons pas à engager (avec le soutien de tous ceux qui veulent être à nos côtés) de nouvelles procédures.

Mais les médias doivent réagir sans tarder. L’argent qu’ils reçoivent de l’État les oblige à une éthique irréprochable et ils se doivent de respecter la Charte de déontologie de Munich. C’est leur rôle, lorsqu’ils reçoivent un expert, d’éclairer les lecteurs, auditeurs, téléspectateurs sur son degré d’indépendance vis-à-vis des lobbies ! Sinon, ils sont complices de désinformation. Ils doivent en outre diffuser et expliquer les analyses de TOUTES les parties prenantes, y compris bien évidemment celles qui expriment une analyse critique de l’action gouvernementale ou institutionnelle.

Nous interpellons les journalistes : vous devez retrouver au plus vite votre liberté de pensée et de parole, imposer dans vos rédactions la prise en compte des opinions minoritaires, favoriser la pluralité du débat, vérifier les sources de vos interlocuteurs. Et si quelqu’un cherche à vous en empêcher, les citoyens seront à vos côtés.

Il en va de notre démocratie. Tout simplement.

Didier Lambert
Président E3M
Membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance ANSM de septembre 2019 à juin 2021
Août 2022

Pour soutenir l’action d’E3M : https://www.vaccinssansaluminium.org/faire-un-don/

Notes et sources




Quelques précisions sur le CFR, la Trilatérale et autres organisations secrètes ou semi-secrètes influençant la destinée des nations

Par Jeff

Les deux documents suivants ont été transmis par Pierre de Villemarest (1922-2008), fondateur et directeur du Centre Européen d’Information (ci-dessous, copie PDF de sa fiche Wikipédia). Ils datent d’un certain nombre d’années.

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Autres sources (journal solidarité et Express) :




Marie-Estelle Dupont fait le lien entre les propos du président Macron et l’idéologie de Klaus Schwab

[Source : lemediaen442.fr]

Fallait oser le dire sur un grand média… La psychologue Marie-Estelle Dupont l’a fait et vient de faire gagner du temps de réflexion aux auditeurs qui tournent en rond sans rien comprendre aux tenants et aboutissants du merdier que l’on nous prépare. Notre psychologue vient de faire le travail que les journalistes ne font pas.

Comme le souligne Le Courrier des Stratèges, « Macron a ouvert le Conseil des ministres avec des paroles limpides sur “la grande bascule” ou “le grand bouleversement” que nous sommes en train de vivre. » Ces idées sont pourtant déjà exposées, mot pour mot, dans le Great Reset de Klaus Schwab, en juillet 2020.


« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux », c’est la fameuse prédiction de Klaus Schwab lancée au Forum économique mondial en 2016 pour 2030. Le prétexte de la lutte contre l’épidémie de covid ayant déjà permis à Macron et Cie de détruire 700 milliards de notre économie, c’est aujourd’hui le conflit ukrainien qui offre la possibilité à la ploutocratie de parachever notre dépouillement au prétexte de la défense de l’Ukraine contre la méchante Russie. Au moment même où le président français annonce la fin de l’abondance et demande au peuple de se sacrifier… il donne un milliard d’euros à l’Ukraine de Zelensky.

Pour voir l’émission : L’Heure des Pros 2 du 25/08/2022 

Il va de soi que Klaus Schwab, issu d’une famille de collaborateurs nazis et devenu élève de Kissinger, n’inspire pas confiance. « La gouvernance mondiale est au cœur de toutes les autres questions », dira-t-il  dans son ouvrage Covid-19 : The Great Reset. Et c’est ce que Joe Biden annonce aux PDG de la Business Roundtable, un lobby des dirigeants des grandes entreprises américaines dont font partie General Motors, Apple, Amazon, JP Morgan, Bank of America, Boeing, FedEx, Exxon Mobil, Johnson & Johnson… « C’est maintenant que les choses changent. Il va y avoir un nouvel ordre mondial et nous devons le diriger. Et nous devons unir le reste du monde libre pour le faire », a déclaré le président américain.

Mais tout ne se passe pas comme prévu, puisque les sanctions contre la Russie n’ont pas fonctionné et que les peuples européens ne rendent pas Vladimir Poutine responsable de l’incompétence de leurs gouvernements. Les années covid ont rendu les populations très méfiantes envers les comploteurs, jusque dans les médias mainstream — ce qui va compliquer l’agenda du Forum économique mondial. Les Gilets Jaunes avaient pressenti la fin de l’abondance promise par le président Macron. Le bras fer n’est pas terminé. Et rappelons à nos lecteurs que le chef du Kremlin, Vladimir Poutine, a déjà sonné la fin de la récréation lors de son discours du 16 août 2022 : « Je répète que l’ère de l’ordre mondial unipolaire est vouée à l’échec ».




Une emprise sur l’Humanité

Éléments de réflexion

Par Joseph Stroberg

Hypothèses de base

Une intelligence non humaine dirige le bal.

Elle ne sera pas nommée ici, car elle a été qualifiée de différentes manières au cours des âges et selon les civilisations.

Elle établit des plans de longue haleine.

Elle est habituellement imperceptible aux sens humains ordinaires.

Conséquence immédiate pour l’être humain

Difficulté pour l’Homme d’envisager le fait ou l’hypothèse d’être victime de tels plans, en raison notamment d’une durée de vie individuelle bien plus courte et de son orgueil.

Objectifs de l’entité

Renverser l’Ordre cosmique naturel et démontrer que l’Homme n’est pas digne de son libre arbitre.

Méthodes utilisées

Toutes celles qui lui passent par l’équivalent de la tête humaine. La fin justifie les moyens.

Ce qui a déjà été mis en œuvre avec un relatif succès

Corruption de la conscience humaine et des créations de l’Humanité dans tous les domaines (religion, arts, philosophie, politique, commerce, éducation, etc.).

Remplacement du lien spirituel inné par un attachement de plus en plus fort à la matière, avec pour conséquence l’inversion des valeurs, une peur croissante de la mort, un vide intérieur croissant que les émotions extrêmes sont impuissantes à combler…

  • Être → Avoir
  • Synergie → Division
  • Organisation → Chaos
  • Sagesse → Stupidité
  • Amour → Haine
  • Foi → Peur
  • Humilité → Orgueil
  • Pardon → Vengeance
  • Charité → Égoïsme
  • Partage → Vol
  • Soin → Meurtre

Étapes déterminantes

Église (« assemblée de fidèles ») du Christ faite d’Hommes → Églises de pierres (à partir du sixième siècle)1

Lumière intérieure provenant de l’Esprit divin → Lumière extérieure provenant de la technoscience (à partir de la Révolution française, du siècle des « Lumières »)

Soins naturels (plantes, cristaux, chants, soleil, eaux thermales…) → « Soins » artificiels (médicaments pétrochimiques, radiations, inoculations « vaccinales » de poisons, etc. par Pasteur, Rockefeller et compagnie)2

La maladie comprise comme la conséquence du fait de s’écarter des lois naturelles ou divines, et/ou comme le résultat d’empoisonnements ou de mauvaise alimentation3 → La maladie attribuée à des germes minuscules (bactéries, virus…), parfois à des poisons, autrement à la « génétique ».4

Vie rurale proche de la nature → Vie citadine entourée de béton, artificielle par l’informatique et les machines électroniques, antisociale par les Réseaux « Sociaux ».

Alimentation naturelle issue de la pêche, de la chasse, de la cueillette et d’agriculture traditionnelle → Alimentation industrielle issue de l’agroalimentaire à base d’engrais chimiques, de pesticides, d’herbicides, de fongicides, d’additifs alimentaires divers, d’hormones de croissance, d’antibiotiques toxiques, de graisses artificielles (les margarines), de fausse viande, etc.

Contacts humains directs → Contacts virtuels par télégraphie, téléphonie, radio, télévision analogique, télévision numérique, Internet, téléphonie sans fil (Wi-Fi, Bluetooth, 2G, 3G, 4G, 5G…)5, masques, distanciation sociale, confinement…

Corps humain naturel doté éventuellement de prothèses extérieures (lunettes, béquille…) → Humain « augmenté » ou artificiel, transhumain, pucé…6

Décentralisation et souveraineté favorisées par la diversité des nations, des cultures et des croyances religieuses → Centralisation et asservissement favorisés par l’émergence d’une langue mondiale de communication (l’anglais), d’un modèle culturel dominant (hollywoodien) et d’une nouvelle forme de religion à l’extension désormais mondiale, le scientisme technologique. Cette religion a toutes les caractéristiques d’une religion dégradée : ses prêtres que sont les experts, ses inquisiteurs que sont les vérificateurs de faits médiatiques ; ses temples que sont les laboratoires et les salles de conférences ; ses doctrines et ses dogmes comme la théorie virale et le dogme vaccinal ; ses dieux et/ou ses saints que sont les prix Nobel, les Pasteur et autres Darwin ; ses miracles comme la réanimation cardiaque, le vol des avions plus lourds que l’air, la communication presque instantanée d’un bout à l’autre de la planète, etc. ; ses messes que sont les conférences « scientifiques » et les expositions technologiques ; ses rituels comme celui des virologues qui prétendent ainsi isoler des virus alors que leur méthode n’a rien de scientifique et ne démontre rien de tel ; et surtout plus de sept milliards de croyants qui croient en elle et en ses dogmes et doctrines, en la supériorité de ses dieux et de ses miracles…

Prochaine étape ?

Retour vers l’essence de l’Homme ? Ou son asservissement total et la fin de son libre arbitre ?





Le harcèlement des opposants ne passera pas !

[Source : anthropo-logiques.org]

« À l’avenir, les dissidents seront à l’Ouest », aurait prophétisé Alexandre Solejnitsyne. Si le propos n’est pas apocryphe, le prix Nobel avait vu juste : le totalitarisme qui a colonisé les esprits dans nos contrées l’a fait avec la facilité de l’invasion allemande contournant tranquillement la ligne Maginot pour déferler sans opposition sur Paris.

La débâcle intellectuelle, politique, philosophique et éthique est poignante : l’Occident n’est déjà plus qu’un champ de ruines en plein suicide de ses valeurs, de son identité et forcément de son histoire. Comme de sa capacité de relation avec le réel.

Le propre du déferlement totalitaire, c’est justement que l’idéologie prime la réalité. Peu importent les faits, le discours délirant des élites se suffit à lui-même. Elles peuvent dire tout et son contraire, tordre le bras autant qu’elles veulent aux données et aux faits, affirmer en rafales des mensonges éhontés, who cares ? La beauté du délire est qu’il anéantit notre humaine condition et donc précisément notre soumission au réel !

Le fait est tout sauf anodin : dans ses fonctions de ministre de la Santé, Olivier Véran avait ainsi multiplié les mensonges et les expressions honteuses sans la moindre vergogne et avec les encouragements sonores de la petite frappe qui lui tient lieu de chef (« Tiens bon, on les aura ces connards ! »).

Tout le monde se souviendra pareillement de son affirmation péremptoire devant les caméras de télévision selon laquelle dire que les injections géniques étaient en phase expérimentales était faux, « la phase III est terminée depuis longtemps », avait-il même ajouté. Ceci alors que ladite phase III vient d’être prolongée en ce qui concerne les injections Pfizer jusqu’au mois de juin 2024…

Or non seulement le gredin n’a jamais fait amende honorable (pas même n’a-t-il pris la peine de corriger son propos), il a été nommé dans la foulée « porte-parole du gouvernement ».

Quand la parole publique devient à ce point « parole de putes » (je m’excuse auprès des travailleuses du sexe, très majoritairement honnêtes, pour cette comparaison) au moins sait-on à qui nous avons à faire et donc à quoi nous en tenir.

La fureur totalitaire ne se contente pas de délirer à tout va : elle se doit d’éliminer toute opposition. Le propre de la démocratie et de la science, c’est l’importance du débat d’idées  de bonne foi et donc de la contradiction. Alors que le totalitarisme abhorre les opposants et s’acharne à les détruire.

Il commence bien sûr « subtilement » par les diaboliser. Les opposants ne sont pas ici des opposants dans le sens où l’on parlait traditionnellement de l’opposition en politique : ce sont forcément des êtres douteux, fourbes, dangereux, dont il faut se méfier au point de les priver de parole de peur qu’ils ne nous ensorcellent avec leurs arguments fallacieux !

Alors même que les élites médiatico-politiques déploient une véritable hypnose toxique depuis bientôt trois ans, c’est à les entendre de la parole de ceux qui cherchent à réinjecter du principe de réalité, des données vérifiables et du bon sens, bref de l’honnêteté qu’il faut se méfier comme de la peste. Fussent-ils accessoirement les meilleurs et les plus compétents dans leurs domaines : l’idéologie paranoïaque n’en a cure puisque le réel la contrarie.

On invente donc des experts (comme les pathétiques Rudy Reichstadt, Tristant Mendès-France, Sébastien Diéguez, Karine Lacombe ou Gilbert Deray) et peu importe qu’ils soient le ban et l’arrière-ban de la médiocrité ou de la malhonnêteté intellectuelle, ce sont évidemment à l’inverse les compétents et ceux qui ont gardé leur éthique que l’on désigne comme des « trompeurs » et des « charlatans ».

Avec toujours les mêmes étiquette fétichistes imbéciles et délétères, les favoris de la dérive en cours étant « complotiste », « d’extrême droite » et « antisémite ».

Voici un exemple de logorrhée totalitaire, scandée d’une manière propre à induire une transe dissociative chez l’auditeur, éructée en l’occurrence au micro de France-Inter par Tristan Mendès-France au sujet de l’initiative du Doctothon (un exercice pour les sceptiques est de compter le nombre de fois où il utilise -scande devrait-on dire- chacune des expressions en question) :

https://www.youtube.com/embed/yy80YHLh-2Y

Le système totalitaire doit donc impérativement désigner des ennemis (et même en inventer au besoin). Il a en effet besoin de ce danger extérieur pour entretenir la panique et justifier sa violence. Il n’y a ici pas besoin d’aller chercher bien loin. Qualifier par exemple d’ « antivax » des personnes ayant des doutes sur l’innocuité, l’efficacité et/ou la sécurité des injections géniques expérimentales est un cas d’école. C’est un tour évidemment imbécile, abusif, malhonnête et manipulatoire.

Le doute, l’esprit critique et le scepticisme sont les pierres angulaires de la démarche scientifique, l’occasion n’en est que plus belle pour les larrons : on stigmatise par cette appellation tous ceux qui restent intègres par rapport à la méthode et à l’éthique scientifique ! Dès lors le champ est libre, la haine devient un ressort banalisé et donc rendu acceptable sous les encouragements des corrompus, comme l’exemple suivant l’illustre :

https://www.youtube.com/embed/6PEZgAmX0IU

Tout ceci est d’une gravité extrême. Le rouleau compresseur paranoïaque s’attaque en effet à toute voix divergente et a fortiori salutaire, puisqu’engagée à rappeler les contours du réel et les valeurs qui doivent fonder notre vivre ensemble.

Tous les zélés complices de la dérive s’en donnent à cœur joie : la presse en premier, qui colle les étiquettes infamantes à tire-larigot, exonérée de toute déontologie comme de sa responsabilité collective. Au point de se réclamer de son inconduite et de faire porter le chapeau de ses transgressions aux opposants, comme les lamentables journaleux de l’Express s’y sont employés après s’être fait démasquer dans leur malhonnêteté et leur médiocrité par un Idriss Aberkane magistral…

https://www.youtube.com/embed/0Bi_1-BzY88

La réponse des fâcheux ne s’est donc pas fait attendre…

  • Pour lire « Affaire Aberkane : la Charte de Munich, nouveau totem des complotistes contre les médias » dans l’Ex-presse : cliquer ici.

Les attaques subies par les valeureux sont ainsi d’une brutalité inouïe, avec la complicité lâche des corps constitués soumis à la dérive totalitaire, nous l’avons souligné hier.

Voici encore pour exposer publiquement la réalité de cette ignominie un communiqué collectif auquel je m’associe, qui en révèle les procédés.

Suivi de la réponse adressée par Ariane Bilheran, normalienne, philosophe, psychologue et docteur en psychopathologie, à un obscur article intitulé « Annuaire du complotisme », sur le non moins obscur site dit de « débunkage » appelé « Bibliothèque Vigilante ». Lequel présente toutes les caractéristiques d’une énième émanation des cercles mafieux qui engagent avec force moyens des trolls et des faux experts pour leur sale besogne, jusque dans les rédactions de la presse subventionnée…

Tout ceci est certes bien nauséabond, mais il importe d’exposer sans hésitation cette boue ordurière et ceux qui la mettent en œuvre…


Le harcèlement des opposants ne passera pas !

Cet article collectif est destiné à alerter la population et les responsables politiques sur un processus larvé de répression, mené par l’État français contre de nombreux lanceurs d’alerte critiques du narratif officiel sur le Covid.

Cet article collectif est destiné à alerter la population et les responsables politiques sur un processus larvé de répression, mené par l’État français contre de nombreux lanceurs d’alerte critiques du narratif officiel sur le covid.

Au-delà de la répression de masse devenue banale dans ce pays (traque des citoyens pendant les rétentions de masse, censure, « suspensions » abusives, violences contre les manifestants…), nous assistons de plus en plus à une répression ciblée qui repose sur les moyens de l’État, ceux des contribuables, pour harceler des citoyens qui dérangent.

Les citoyens visés peuvent être des universitaires lanceurs d’alerte, ou des citoyens militants : des parents membres d’associations de défense des enfants contre les maltraitances institutionnelles établies au prétexte du covid sont convoqués par les services sociaux à la demande de plusieurs départements, à la suite d’obscurs « signalements », des chercheurs qui ont osé interroger les annonces officielles se retrouvent menacés sur le plan professionnel, on observe également des contrôles fiscaux aussi intempestifs que sévères, des sanctions financières, des pressions sur l’entourage, des calomnies publiques trop organisées en réseau pour ne pas être organisées… Cela, en France, pays décrit comme un “état de droit” par certains observateurs.

La méthode utilisée combine la censure par tous les moyens afin que l’opinion publique ne puisse pas les entendre, la calomnie, les menaces et le harcèlement administratif. Parce que les lois, le droit sont du côté des lanceurs d’alerte, l’État répressif utilise des moyens détournés, déjà utilisés par le passé contre d’autres lanceurs d’alerte, mais employés cette fois de manière beaucoup plus systématique.

Car dans ce qu’on appelle une « démocratie », les citoyens ont le droit de critiquer, ils ont même le droit à la satire, à la caricature, à l’ironie. En clair, ils ont le droit à la « liberté d’expression ». Ils ont le droit de penser et de dire des choses qui sortent du cadre de la propagande et les citoyens ont le droit d’être informés.

Des représailles touchent pourtant plusieurs personnes qui émettent un autre discours sur la crise qui nous occupe en dénonçant notamment la corruption, dont Vincent Pavan, Ariane Bilheran, Virginie de Araujo Recchia, Emmanuelle d’Arles, Olivier soulier, etc. Certains par pudeur ne souhaitent pas exprimer publiquement leur situation personnelle mais nous constatons entre autres :

Calomnies, harcèlement privé par insultes et menaces, contrôles fiscaux sévères et harcèlement fiscal, pertes de salaire, clôture arbitraire et inopinée des comptes bancaires, perte d’accès à la sécurité sociale pour soi et ses proches, suspensions, etc.

Prenons le cas de Vincent Pavan : l’universitaire subit des sanctions professionnelles y compris sur le plan des rémunérations, avec interdiction d’enseigner.

Ariane Bilheran comme son entourage subissent régulièrement des pressions (ex. : menaces de mort au moment de sa dénonciation des textes de l’OMS), qui se sont fortement accentuées depuis le covid avec par exemple l’intervention des services fiscaux ou le fichage mensonger sur des sites calomnieux.

Emmanuelle Darles fait face à deux procédures disciplinaires en cours à l’Université, doublées d’atteintes à la vie privée, le tout dans un contexte délétère.

Maître Virginie De Araujo Recchia est aussi victime de harcèlement administratif, ce qui a été jusqu’à une garde à vue avec saisie de matériel.

Pourquoi est-il aujourd’hui nécessaire de dénoncer ? Il ne s’agit pas de cas personnels, mais d’attaques contre la société dans son ensemble : si seule la parole du pouvoir compte et que plus personne n’ose poser de questions sur la place publique ni critiquer ou débattre, qu’adviendra-t-il de ceux qui n’osent pas parler ? Qui posera des limites quand les foudres d’un pouvoir à la dérive s’abattront sur eux ? Ce qui finira par arriver au rythme où vont les choses.

Cette répression mesquine n’en est pas moins extrêmement violente et elle se pare de la légitimité de l’État, celui qui est censé nous protéger tous. Elle est un problème majeur pour nous tous, car elle montre que nous sommes en train de nous enfoncer dans l’obscurantisme comme dans des sables mouvants.

Ce glissement progressif vers le totalitarisme n’est pas terminé, mais il avance : aujourd’hui l’exécutif se soucie-t-il des lois ? De la constitution ? Des principes généraux du droit ? De la réalité ?

Les attaques personnelles contre les lanceurs d’alerte, de manière à les éliminer du paysage social, préfigurent toujours une répression généralisée contre toute dissidence puis contre le peuple tout entier de façon arbitraire, et même bien souvent une guerre classique, de ces guerres sales qui pourrissent un pays pendant des générations. On l’a vu avec les dictatures en Amérique latine, les nazis, l’URSS, les Khmers rouges, le Rwanda, la Syrie…


Lettre d’Ariane Bilheran à « Bibliothèque Vigilante »

À l’attention de :

Clair Roger, Responsable de publication « Bibliothèque Vigilante »

Envoyée à :

bibliovigi@protonmail.com

Objet :

Ma fiche « Ariane Bilheran » dans votre « Index du Complotisme », https://bibliotheque-vigilante.info/index/

Pièces Jointes :

Attestation d’enseignements universitaires

Doctorat de psychopathologie clinique

Lettre publiée sur mon site

http://www.arianebilheran.com et relayée avec mon autorisation sur le site
http://www.coroinfo.wordpress.com et le blog https://anthropo-logiques.org

Cali (Colombie), le 24 août 2022

Madame, Monsieur,

Je vous écris afin de rectifier vos déclarations me concernant sur votre site, qui sont, pour leur très grande majorité, erronées. Vous pourrez ainsi vérifier mes dires, et rétablir la vérité selon les faits, puisque nous partageons ce souci commun.

Je rends également cette lettre accessible à tous sur mon site, afin que cesse la propagation de mensonges qui pourraient s’apparenter à des calomnies publiques et des diffamations contre ma personne.

Tout d’abord, vous évoquez que « je me présente comme psychologue et psychothérapeute (doctoresse en psychologie) », laissant sous-entendre que je ne le serais pas. Je suis psychologue clinicienne, et par voie de conséquence psychothérapeute, car le titre de psychologue clinicien est un diplôme professionnel d’État donnant de droit accès au titre de psychothérapeute. J’ai donc un numéro Adéli, qui garantit la détention de ce titre.

Pour votre information, en psychologie clinique et psychopathologie, j’ai deux masters, un Master Recherche, soutenu à l’Université Denis Diderot en 2004 à Paris, et un Master Professionnalisant, soutenu à l’Université d’Aix-Marseille en 2007, celui qui me donne précisément droit à exercer en tant que psychologue clinicienne et psychothérapeute.

J’ai également un Doctorat de psychologie clinique et psychopathologie (et non pas un doctorat de psychanalyse, ce qui n’existe pas en France), soutenu à l’Université Lumière Lyon II en 2007, sous la direction du Professeur Albert Ciccone (Wikipédia diffuse un nom de directeur de thèse qui est erroné : je n’ai jamais rencontré le Professeur Mohamed Lahlou… Je vous envoie le document source, pour vos archives). J’ai également enseigné à l’Université durant plusieurs années (cf. attestation jointe, si vous souhaitez rajouter cette information qui me paraît importante à faire connaître).

Pour mémoire, une majeure partie du corpus de la psychopathologie, qui soutient la psychiatrie traditionnelle, émane de la psychanalyse, laquelle est très loin de se réduire à des psychanalystes fous et incompétents, ou à Freud et Lacan, ou encore, aux calomnies dont elle est l’objet depuis des années. Par exemple, des notions passées dans la langue commune proviennent de recherches en psychanalyse sur le psychisme individuel ou celui des foules, telles que psychose, perversion, traumatisme, névrose de guerre, névrose d’abandon, refoulement, acte manqué, déni, etc.

Ensuite, vous reprenez le qualificatif de « complotiste », j’ose vous demander aimablement votre définition de ce terme.

Vous me présentez comme « proche du mouvement soralien ». Je ne suis pas « proche du mouvement soralien ». Je n’ai jamais rien eu à voir avec Alain Soral. J’ai publié un petit livre L’Internationale nazie(([1] https://www.bookelis.com/politique/52258-L-Internationale-nazie.html)), où vous pourrez vous rendre compte par vous-même de mes réflexions personnelles. J’ai donné la parole en France à Vera Sharav, dont les prises de position sont, il me semble, aux antipodes d’idées d’extrême droite.(([2] https://crowdbunker.com/v/994y7qwygL))

Vous me présentez également comme « amie du professeur Henri Joyeux ». Pour votre gouverne, je n’ai eu qu’un seul échange avec le Professeur Joyeux, concernant une newsletter dans laquelle M. Joyeux me demandait la permission de citer l’un de mes livres il y a quelques années. Je n’ai jamais eu d’autres échanges privés ou publics avec le Professeur Joyeux.

Vous me présentez ensuite comme « amie du pédopsychiatre Maurice Berger ». J’ai appartenu dans le passé à une association de psychologues de l’enfance et pédopsychiatres il y a des années, au sein de laquelle intervenait également le Professeur Maurice Berger, qui est une référence universitaire et professionnelle en matière de psychologie de l’enfance et de pédopsychiatrie. Cela ne fait pas de moi son « amie », mais tout au plus une collègue, d’autant que je n’ai plus aucun contact avec M. Berger depuis des années.

Vous parlez de « réseaux extrémistes » comme RéinfoCovid, auquel je n’appartiens pas non plus (cf. l’avertissement sur mon site(([3] https://www.arianebilheran.com/avertissement)) que je vous remercie d’avoir cité, afin que les gens se fassent une idée par eux-mêmes de vos propos à mon égard).

Vous me qualifiez de « spécialiste en manipulation », et c’est juste, vous auriez pu citer mon livre Manipulation. La repérer, s’en protéger, paru aux éditions universitaires Dunod en mars 2013. Vous voyez que ma spécialisation ne date pas d’hier mais que, contrairement à vos insinuations, je décrypte la manipulation pour aider les gens à la repérer et s’en protéger, donc à s’en libérer, et non pas dans l’intention de les manipuler.

Vous indiquez que je suis « à l’origine d’un mouvement de désinformation né en août 2018 », j’aimerais connaître sur quels fondements vous vous appuyez pour dire cela, car de mon côté, j’ai publié un livre en 2017, L’Imposture des droits sexuels, qui en est à sa cinquième édition aujourd’hui(([4] https://www.bookelis.com/sciences-humaines/51301-L-imposture-des-droits-sexuels.html)), et qui porte sur les textes de l’OMS, dans lequel j’étudie lesdits textes, et m’interroge sur le bien-fondé des références scientifiques invoquées. Je ne suis pas la seule professionnelle de santé à le faire, par exemple le pédiatre et pédopsychiatre Régis Brunod s’en est également alarmé, dans un livre intitulé Préserver l’innocence de l’enfant(([5] https://www.decitre.fr/livres/preserver-l-innocence-des-enfants-9782855541563.html)). En tant que professionnels de santé, nous sommes très inquiets de la nature de ces textes. Ce n’est pas parce que beaucoup de nos collègues choisissent de ne pas s’exprimer publiquement pour le moment qu’ils ne partagent pas nos vues, et je reçois assez de remerciements aujourd’hui pour savoir que nous sommes loin d’être isolés.

Vous notez que sur mon site personnel je partage de « fausses informations et des rumeurs complotistes », que je véhicule « mensonges et désinformation », sans rien en sourcer, j’aimerais bien que vous puissiez donner des exemples et m’indiquer en quoi il s’agit de fausses informations qui ne seraient pas sérieusement sourcées, dans ce cas je me ferai un devoir de les rectifier. Car lorsqu’il s’agit de faits (par exemple, de textes et de références promues par l’OMS), c’est aisément vérifiable. Vous citez alors Mme Marion Sigaut, en prenant le titre d’une de ses conférences pour me faire dire des propos qui sont les siens, c’est assez curieux comme procédé pour vous qui semblez si sensible à l’attribution correcte des sources. Mon approche des « droits sexuels et reproductifs » vise la protection de l’enfance, depuis une perspective professionnelle de psychologue clinicienne formée en psychologie de l’enfance et dans le développement psychique infantile.

Vous m’attribuez ensuite une citation, mais je n’ai jamais accusé l’Éducation Nationale de « pervertir nos enfants pour en faire de la chair fraîche pour les pédophiles ». J’ai au contraire toujours soutenu que ces programmes n’émanaient pas de l’Éducation Nationale, mais du ministère de la Santé, sous l’égide de l’OMS, bien qu’ils puissent se déployer au sein de l’institution scolaire, à la faveur d’un partenariat avec le ministère de la Santé lui donnant les autorisations d’accès. Avec un peu de recherche sur mon site, vous devriez pouvoir trouver à de nombreuses reprises mes déclarations sourcées.

Je n’ai pas été « exclue par mes pairs », au contraire, je reçois aujourd’hui énormément de soutiens et de reconnaissance pour mes prises de position en faveur de la protection psychique des individus, de la part de professionnels de la santé mentale, qui ont désormais bien identifié les grossiers mécanismes de manipulation mentale à l’œuvre depuis le champ politique et médiatique sur la population.

Ensuite, vous vous permettez un diagnostic sauvage sur ma personne, en indiquant que j’aurais des « travers paranoïaques ». Je vous renvoie à mon livre sur Psychopathologie de la paranoïa(([6] https://www.dunod.com/sciences-humaines-et-sociales/psychopathologie-paranoia-0)), paru chez l’éditeur universitaire Dunod, et qui en est à sa deuxième édition. Cela vous permettra peut-être de mieux maîtriser ces notions. D’autre part, s’improviser psy, comme vous le faites, pour pratiquer des diagnostics sauvages de psychose renvoie aux pires heures de la psychiatrisation des opposants de certains régimes, ce qui est un élément supplémentaire de validation de mon hypothèse concernant la dérive totalitaire en cours.

Concernant le livre Le débat interdit(([7] https://www.editions-tredaniel.com/le-debat-interdit-p-10270.html)), vous devriez le lire pour vous instruire : j’aimerais savoir d’où vous tirez l’expression du « complot de la science contre le vivant », et quelle était la contextualisation de cette phrase. Nous y déployons un raisonnement d’épistémologie systématiquement argumenté et exemplifié. Vous n’ignorez pas que j’ai une formation en philosophie morale et politique, validée en 2004 par un Master en Sorbonne, sous la direction à l’époque du Professeur Éric Blondel, ainsi qu’une solide formation en philosophie reçue à l’École Normale Supérieure Ulm, que j’ai intégrée en section Lettres en 1999.

Vous indiquez enfin que je relaie « de nombreux sites peu fiables, articles antisémites et les tribunes de quelques extrémistes comme Sputnik News ou Pravda ». J’aimerais que vous puissiez me dire où vous avez trouvé ces éléments, surtout pour ce qui concerne l’antisémitisme !! Vous dites aussi que je relaie Gilad Atzmon, que je ne connais pas, donc j’aimerais savoir quelles sont vos sources fiables. Car reprendre des mensonges émis par quelqu’un d’autre ne fait pas de l’information une information sourcée, et encore moins véridique.

En revanche, il est tout à fait exact que je publie à l’occasion des articles dans la revue L’Antipresse de Slobodan Despot, que j’apprécie pour son ouverture d’esprit, sa grande culture, sa rationalité, son intelligence et sa connaissance du phénomène totalitaire.

En conclusion, je me permets de reprendre à votre compte votre conseil : « Si possible, remontez à l’origine de l’information ! ». Je constate que vous ne m’avez pas contactée pour vérifier les données et que, ce faisant, vous avez manqué de la déontologie la plus élémentaire. Vous n’avez manifestement pas non plus recoupé les informations, ni interrogé vos sources et leur fiabilité. Je vous saurais donc gré de rectifier les informations me calomniant sur votre site, et de publier ma lettre, ce que vous ne manquerez pas de faire, puisque vous avez à cœur de lutter contre la désinformation, « pour un accès universel à une information exacte, transparente et de qualité »(([8] Source : https://bibliotheque-vigilante.info/methode/)), et « analyser, comprendre, démystifier »(([9] Source : https://bibliotheque-vigilante.info/la-redaction/)), au mieux.

Respectueusement,

Ariane Bilheran.

PS : « rationalité » s’écrit avec un seul « n ».

Il faut donc corriger votre titre « Méthode & rationnalité ».

Sources :

https://bibliotheque-vigilante.info/methode/

https://dictionnaire.lerobert.com/definition/rationalite

PS2 : je recevrai votre éventuelle réponse par retour de courrier électronique ou via le formulaire contact sur mon site http://www.arianebilheran.com/





Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Laurent Aventin

Deux annonces ont circulé dans les derniers jours de ce mois d’août qui faisaient encore réagir la presse subventionnée il y a quelques mois seulement : l’Agence Européenne du Médicament (AEM) a annoncé examiner un nouveau vaccin anti-Covid faisant intervenir des nanotechnologies. D’autre part, l’un des représentants du Forum Économique de Davos a exprimé l’idée « qu’il existe des raisons solides et rationnelles de micropucer les enfants ». À leurs yeux, la population semble être prête à accepter l’inacceptable et c’est ce qui ferait la force de la troïka du Forum Économique Mondial (FEM) et de ses ambassadeurs. Récapitulatif d’une manipulation basée sur un agenda bien huilé.

L’Agence européenne du Médicament (AEM) examine un « vaccin » antiCovid à base de nanotechnologies

Un nouveau « vaccin » anti-covid, nommé Skycovion, conçu par le laboratoire pharmaceutique britannique GSK et le sud-coréen SK Bioscience (SK Chemicals selon les sources) est actuellement soumis à l’examen de l’AEM. L’information serait banale si le fabricant n’avait pas annoncé l’utilisation — et donc l’injection — de nanotechnologies introduites dans son produit.

La presse évoque plutôt l’utilisation de nanoparticules, mais il y a souvent une confusion entre nanotechnologies et nanoparticules. Ces dernières sont déjà utilisées dans les injections actuellement commercialisées comme les liposomes (enveloppe lipidique) qui protègent le matériel injecté et c’est admis par la presse grand public. Ce qui ne l’est pas – pas davantage par les fabricants de l’industrie pharmaceutique et les autorités de régulation sanitaire – c’est la présence d’oxyde de graphène auquel nous avons consacré un dossier, mais aussi de nanotechnologies destinées à créer un nanoréseau intracorporel, ce qu’on appelle un « wireless body area network » déjà utilisé en médecine de pointe.

Pour l’instant, aucune information n’est vraiment disponible sur le contenu de ce produit et il ne faut pas s’attendre à une réelle transparence tant sur la nature des nano éléments que sur leur programmation (cf. ci-dessous nanoparticules auto-assemblées) ou sur l’adjuvant utilisé. L’EMA donne pour l’instant une information à minima : 

Skycovion est un vaccin à nanoparticules autoassemblées ciblant le domaine de liaison au récepteur de la protéine de pointe du Sars-Cov 2 […], développé conjointement avec l’Institut de Conception de Protéines de l’Ecole de médecine de l’université de Washington, en combinaison avec l’adjuvant de GSK.

On sait en revanche que le vaccin a été co-financé par la Fondation Bill et Melinda Gates et la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies — (CEPI). On peut donc déjà prévoir une issue positive, car ce produit passe par Les Fourches caudines de ces deux grandes institutions incontournables pour l’obtention d’une autorisation de mise sur le marché. GSK fait par ailleurs partie de l’opération Warp Speed, il ne devrait donc pas être débouté.

Ce n’est pas la présence de nanoparticules en soi qui pose problème, mais la nature de ces particules (l’oxyde de graphène est particulièrement toxique, on pourrait le retrouver « officiellement dans ce vaccin ; l’EMA ne donne cependant aucune indication) ainsi que l’utilisation de nanotechnologies.

 L’usage de micropuces sous-cutanées couplé à la vaccination avait en revanche été démenti par la presse à un moment où il y avait confusion auprès de l’opinion publique sur ces deux technologies.

Mais voilà le Forum Économique Mondial « sort du bois » et annonce ouvertement l’utilité de la micropuce ; en réalité il prépare depuis longtemps son introduction auprès des populations avec la collaboration des autorités publiques.

Le FEM annonce la justification du micropuçage des enfants

C’est dans un article du FEM daté du 16 août 2022 qui fait l’éloge du transhumanisme et de la réalité augmentée que l’on peut lire la promotion du micropuçage présenté comme une évolution naturelle :  

Aussi effrayants que puissent paraître les implants de puces, ils font partie d’une évolution naturelle qu’ont connue autrefois les articles à porter. Les prothèses auditives ou les lunettes qui ne sont plus stigmatisées.

Bien sûr les intentions cachées restent cachées et il ne sera pas expliqué aux populations que les nanotechnologies qui ont déjà été injectées aux populations via les « vaccins » anti-Covid couplés à une micropuce sous-cutanée permettront d’influencer et de diriger leur comportement. Les progrès de la bio-informatique permettent de pirater l’esprit d’une personne, ce que la très grande majorité des citoyens considère comme de la science-fiction. Et pourtant.

Relayé par Aube digitale, le contenu de l’article du FEM précise également que la micropuce sera relayée par les influenceurs.

Cette technologie a besoin « d’un soutien, d’une vision et d’une audace appropriés », qui seront bien sûr fournis par vos suzerains technocrates, les mêmes personnes qui tentent désespérément de censurer l’internet pour ne pas être critiquées.

« La technologie d’augmentation sera utile à toutes les étapes de la vie : les enfants dans un environnement d’apprentissage, les professionnels au travail et les personnes âgées ambitieuses. Les possibilités sont multiples », écrit Philips.

« Devriez-vous implanter une puce de suivi à votre enfant ? », demande le scientifique, qui ajoute : « Il existe des raisons solides et rationnelles à cela, comme la sécurité. »

Tout est dit. Leur objectif est de prendre le contrôle des enfants. Les personnes âgées sont formatées et elles ont peu d’intérêt selon les déclarations de la caste dans le Nouvel Ordre des Barbares, la « vaccination » permet de justifier l’accès aux enfants, aux nouvelles générations, à ceux qui vont faire le monde de demain… mais comme esclaves des nouveaux maîtres.

Un agenda bien huilé dans le but de diriger la population mondiale comme du bétail

Quelle est la méthode du FEM et de ses seigneurs ?

Ils ont observé les annonces faites par les personnes éveillées dénonçant leurs activités et leur agenda au cours de la campagne de vaccination mondiale tout en dénonçant des propos complotistes. Et cela a fonctionné, leur politique mortifère a été suivie par la grès grande majorité de la population mondiale qui a reçu ces injections qui tuent et vont continuer de tuer. L’essentiel pour la Caste consiste à ne pas perdre la guerre de la communication, de l’information et donc de la manipulation des masses.

Puisque les populations ont accepté les injections — parfois sous la contrainte, mais finalement de manière aisée (69 % de la population européenne a reçu au moins une injection contre Covid au 22 août 2022, et 81 % de la population française — source The world in data), ils peuvent se permettre d’avancer en annonçant ce qui finalement ne semble pas choquer les populations : l’injection de nanotechnologies ou l’utilisation de micropuces. Le message est assez clair, « vous êtes du bétail et nous vous traitons comme des animaux d’élevage ».

En avril 2022, Le directeur général de GAVI (L’alliance mondiale du vaccin), Seth Berkley, explique que :

« la vaccination a besoin d’un coup de pouce technologique par des systèmes d’identification numériques sécurisés pouvant stocker les antécédents médicaux d’un enfant ».

Il fallait bien que ce soit le copain de Bill Gates qui l’annonce sinon cela aurait pu susciter des soupçons. Voici comment l’élite mondialiste prévoit de conduire les populations au marquage numérique grâce à l’épidémie de Covid et la vaccination.




Principes (méta) physiques de la guerre « sale »

Par Lucien SA Oulahbib

Il faut bombarder sa propre population avec de la mitraille physique et métaphysique. Puis accuser les Russes, les complotistes, les non-injectés, les « climato-sceptiques », les « islamo/trans/phobes », etc.

Ainsi les premiers bombarderaient aux dernières nouvelles une station de train (plus émotionnelle qu’une centrale nucléaire, même si c’est moins sensationnel au nombre de photos quoique « erronées » de cheminées répertoriées présentées comme missiles russes…). Les seconds dénonceraient le « Grand Reset » alors qu’il s’agissait de « grande bascule ». Ou encore, ils accusent le ministre français de la Justice qu’il était au courant pour le karting de la prison de Fresnes alors qu’il n’en est rien étant là juste en effet pour la façade (il ne gère rien sinon sans doute quelques dossiers délicats). Les non-injectés, eux, insistent pour ne pas l’être (code Nuremberg) alors qu’ils seraient la cause même de la persistance pandémique aux dires de certains propagandistes, ce qui semble alambiqué, mais cela se comprend : l’injection « protège » si bien qu’il faut même en reprendre quatre à cinq fois par an… d’où la recherche d’un bouc émissaire ou la suppression du groupe témoin (mais c’est « conspi » de penser cela).

Quant aux climatosceptiques (alors qu’ils sont climatoréalistes) tant pis également si plus d’un millier de personnes compétentes en la matière tirent la sirène d’alarme sur l’argent dépensé inutilement tant il s’agit de cycles plus ou moins acérés et que le CO2 est indispensable pour la végétation et l’agriculture. Enfin, concernant la supposée « phobie » s’agissant de l’islam (religion politique) et de l’idéologie « trans » (pensée comme « révolution permanente » par les néo-léninistes n’ayant plus que ça à se mettre sous la dent), il s’agit moins de « peur » que de pensées critiques. Celles-ci refusent que soit employé le sortilège pourtant si vieillot de la malédiction sous-jacente à ce terme, de même que le second sortilège, si « phobie » ne suffit pas, celui d’« extrême droite » étant bien sûr accolé (par exemple à Gorgia Meloni) afin de paralyser, soumettre les peuples, peu importe si ceux qui sont ainsi affublés défendent seulement les principes de base de la citoyenneté en démocratie : respect des frontières et des droits liés à la citoyenneté incluant les libertés de penser et d’entreprendre dans un cadre constitutionnel et politico-juridique donné discuté au sein d’un parlement pluriel.

Mais comme nous sommes (revenus) à l’ère de la guerre « sale » propre aux hors la loi bandits et idéologues faisant cause commune au service de puissants réseaux nihilistes d’affranchis sans foi ni loi, il va de soi que l’échange argumenté propre aux démocraties d’origine « grecque » (la fameuse Agora) fait place à la destruction non seulement métaphysique de toute possibilité de « dialogue » en jetant ainsi des sorts via des anathèmes maudits (« sorcière », « hérétique » a été remplacé par « réactionnaire » puis maintenant « extrême droite »), mais aussi à la destruction physique, telle qu’elle : assassinats d’opposants chez l’ennemi lointain, mort sociale et médiatique chez l’ennemi proche.

Il faut bien se rendre compte que nous ne sommes même plus dans l’atmosphère des années 30 ou 70 lorsque l’on s’affrontait à coup de barres de fer avant de se retrouver dix ans après chez le même éditeur, tout en s’esclaffant autour d’une bonne bière vingt ans après avec l’animateur dédié qui permet de s’en souvenir. Aujourd’hui, il s’agit d’assassiner sans même y faire attention comme le préconisait Maurice Blanchot (mentor du néo-léninisme aujourd’hui corps franc de la Secte SHA) dans son Espace littéraire (p.86 et suivantes) : ne pas chercher à mourir ou faire mourir puisque l’on est déjà mort (comme le mafieux qui tue toute humanité en lui et le démontre en tuant froidement la cible indiquée lors de son adoubement) tandis que lorsque l’on « fait mourir » c’est de « l’art » (contemporain) qu’il s’agit : ainsi Orphée doit se retourner sur Eurydice afin de la transformer en statue…

L’on doit vous affubler de “phobie” et des mots sortilèges « extrême droite », « complotiste », « conspirationniste », « antivax », etc., afin de vous transformer en “œuvres”, ce qui permet au préposé d’être coopté comme “artiste” (sniper) au sein de la Secte. Il ne s’agit donc plus de politologie seulement, mais de criminologie avec une spécialité déjà énoncée ici : la tératologie politique. 

Car lorsque l’on est capable de commanditer d’assassiner (et non pas « tuer ») une toute jeune fille comme Daria Douguine, de bombarder des cibles civiles en accusant la partie ennemie, de « suspendre » des milliers de soignants et pompiers pour un virus évanescent — qu’ils ne peuvent transmettre sans être malades et fortement (et dans ce cas ils restent chez eux et se soignent), alors c’est que nous avons affaire à des monstres, mais qui comme dans la série V s’affublent de visages « humains » et même font de la prose poétique comme l’actuel président français ainsi que ses ministres, semblables à Néron jouant de la lyre devant l’incendie de Rome qu’il a lui-même fomenté, accusant les Russes, phobes, et non-injectés de l’époque de l’avoir allumé…




Le discours de John F. Kennedy révélant l’existence des sociétés secrètes 10 jours avant son assassinat !

[Source : lemediaen442.fr]

En ces temps où le Covid fait apparaître en pleine lumière le mensonge, où des forces peuvent agir dans tous les pays du monde dans un timing parfait, afin de mettre en place restrictions, confinement…, où les géants d’internet s’associent aux gouvernements du monde et aux laboratoires pharmaceutiques, afin que la liberté d’expression soit strictement encadrée… où Joe Biden retarde la publication des dossiers d’assassinat de JFK à cause de la pandémie de covid-19…


Voici le discours de John F. Kennedy, donné le 12 novembre 1963 à l’université de Columbia, dix jours avant son assassinat le 22 novembre 1963. Un discours où les mots de JFK prennent vie en ces jours troubles que nous vivons depuis le début de cette pandémie. Ce sont les paroles d’un homme qui a eu le courage d’alerter ses concitoyens en son temps et qui vous avertit, vous, 59 ans plus tard, d’ouvrir les yeux.

« Le simple mot de secret est inacceptable dans une société libre et ouverte. Et nous sommes, en tant que peuple, intrinsèquement et historiquement opposé aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux réunions secrètes. » John F. Kennedy

Discours de John F. Kennedy, à l’université de Columbia, le 12 novembre 1963, 10 jours avant son assassinat.

La question de la survie de notre société fait apparaître deux nécessités, qui concernent à la fois le président et la presse, deux gageures qui peuvent sembler contradictoires, mais qui peuvent être conjuguées et remplies si nous nous groupons face à ce péril national. Je me réfère ici à l’importance d’informer largement le public et à la nécessité de refuser la politique officielle du secret.
Le simple mot de secret est inacceptable dans une société libre et ouverte. Et nous sommes en tant que peuple intrinsèquement et historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux réunions secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers de la dissimulation excessive et injustifiée de faits pertinents dépassent de loin les dangers que l’on cite pour les justifier. Même aujourd’hui il est peu justifié de résister à la menace d’une société fermée en imitant ses restrictions arbitraires. Même aujourd’hui, il est peu justifié d’assurer la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec elle. Et il y a un danger très grave qu’un besoin annoncé de sécurité accrue soit l’opportunité que saisiront ceux soucieux d’étendre sa portée aux limites extrêmes de la dissimulation et de la censure officielle. Voilà ce que je n’ai pas l’intention de laisser faire dans la mesure où j’en ai le contrôle. Et aucun officiel de mon administration, quel que soit son rang, qu’il soit civil ou militaire, ne devrait interpréter mes paroles ici ce soir comme une justification pour censurer la presse, étouffer la dissidence, cacher nos erreurs ou soustraire au public et à la presse les faits qu’ils méritent de savoir.

Mais je demande à tout publiciste, tout éditeur, tout journaliste dans ce pays de réexaminer ses propres principes moraux et de reconnaître la nature du péril qui menace notre pays. En temps de guerre, le gouvernement et la presse ont traditionnellement mis en commun leurs efforts reposant largement sur l’autodiscipline, pour empêcher la divulgation d’informations non autorisées à l’ennemi. En temps de danger « clair et présent », les tribunaux ont maintenu que même les droits privilégiés du premier amendement doivent céder devant le besoin commun de sécurité nationale.
Aujourd’hui, aucune guerre n’a été déclarée, et aussi féroce le combat puisse-t-il être, elle pourrait bien ne jamais se déclarer à la façon habituelle. Notre mode de vie est attaqué. Ceux qui se veulent nos ennemis progressent partout dans le monde. La survie de nos amis est menacée. Et pourtant, aucune guerre n’a été déclarée, aucune frontière n’a été franchie par des troupes en marche, aucun missile n’a été tiré.

Si la presse attend une déclaration de guerre avant d’imposer l’autodiscipline qui s’impose dans ces conditions, alors peut seulement dire qu’aucune guerre n’a jamais autant menacé notre sécurité. Si vous attendez une situation de « danger clair et actuel », alors je peux seulement dire que le danger n’a jamais été aussi clair et sa présence plus imminente.
Cela requiert un changement de perspective, un changement de tactique, un changement de missions, par le gouvernement, par le peuple, par tout homme d’affaires ou chef d’entreprise et par tout journaliste. Car nous sommes confrontés dans le monde à une conspiration monolithique et implacable qui repose essentiellement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence (par l’infiltration au lieu de l’invasion, la subversion au lieu d’élections, l’intimidation au lieu d’un choix libre, des guérillas de nuit au lieu d’armées en plein jour).
C’est un système qui a mobilisé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machinerie très efficace et au maillage très serré qui combine opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques.

Ses plans sont dissimulés, non publiés. Ses erreurs sont cachées, non affichées. Ses dissidents sont réduits au silence, pas félicités. Aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur ne circule, aucun secret révélé. Il conduit la guerre froide, bref, avec une discipline de temps de guerre aucune démocratie ne pourrait jamais espérer ou désirer bien se porter.
Cependant, toute démocratie reconnaît les restrictions nécessaires liées à la sécurité nationale (et la question demeure de savoir si ces restrictions doivent être plus strictement observées si nous devons faire face à ce genre d’attaque et d’incontestable invasion.)

À vrai dire c’est un fait que les ennemis de cette nation se sont ouvertement vantés d’acquérir dans nos journaux les informations qu’ils auraient dû obtenir dans le cas contraire en engageant des agents, par le vol, la corruption et l’espionnage ; que les détails des plans secrets de cette nation pour contrer les opérations secrètes de l’ennemi ont été mis à la portée de chaque lecteur de journal, ami autant qu’ennemi ; que les effectifs, la puissance, l’emplacement et la nature de nos forces et armes, et nos plans et stratégies pour leur utilisation ont tous été précisés dans la presse et autres médias à un degré suffisant pour satisfaire n’importe quelle puissance étrangère ; et que dans au moins un cas, la publication de détails concernant un mécanisme secret, par lequel les satellites étaient suivis, a demandé sa modification au prix de beaucoup de temps et d’argent.

Les journaux qui ont imprimé ces histoires étaient loyaux, patriotes, responsables et de bonne volonté. Si nous avions été engagés dans une guerre ouverte, ils n’auraient sans aucun doute pas publié ces faits. Mais en l’absence de guerre ouverte, ils ne reconnaissaient que les contrôles du journalisme et non ceux de la sécurité nationale. Et la question que je pose ce soir est de savoir si des contrôles additionnels ne devraient pas être adoptés maintenant.

À vous seuls d’y répondre. Aucun officiel ne devrait le faire à votre place. Aucun plan gouvernemental ne devrait imposer ses restrictions contre votre volonté. Mais je manquerais à mon devoir envers la nation, considérant toutes les responsabilités que nous assumons maintenant et tous les moyens dont nous disposons pour remplir ces responsabilités, si je n’attirais pas votre attention sur ce problème et ne conseillais vivement sa prise en compte réfléchie.
En de nombreuses occasions auparavant, j’ai dit (et vos journaux ont constamment dit) que nous sommes en des temps qui font appel au sens du sacrifice et à l’autodiscipline de chaque citoyen. Ils demandent que chaque citoyen mette en balance ses droits et son confort avec ses obligations au bien commun. Je ne peux pas croire maintenant que ces citoyens qui travaillent dans le journalisme se considèrent non concernés par cet appel.

Je n’ai pas l’intention de mettre en place un nouveau bureau d’information sur la guerre pour canaliser le flot des nouvelles. Je ne suggère pas de quelconques nouvelles formes de censure ou quelconques nouveaux niveaux de secret. Je n’ai pas de réponse évidente au dilemme que j’ai soulevé, et ne chercherais pas à l’imposer si j’en avais une. Mais je demande aux membres de la profession journalistique et de l’industrie dans ce pays de réexaminer leurs propres responsabilités, de considérer le degré et la nature du danger présent, et de respecter le devoir d’autorestriction que ce danger nous impose à tous.
Tout journal maintenant se demande, par rapport à chaque histoire 
: « S’agit-il de nouvelles informations ? » Tout ce que je suggère est que vous ajoutiez la question : « Est-ce dans l’intérêt de la sécurité nationale ? » Et j’espère que tous les groupes en Amérique (associations et hommes d’affaires et officiels à tous niveaux) poseront la même question sur les efforts à accomplir, et soumettront leurs actions aux mêmes justes contrôles.

Et si la presse américaine considérait et recommandait la mise en place volontaire de nouveaux éléments spécifiques dans les rouages du gouvernement, je peux vous assurer que nous coopérerons de tout cœur et prendrons en considération ces recommandations.
Peut-être n’y aura-t-il pas de recommandations. Peut-être n’y a-t-il pas de réponse au dilemme auquel se trouve confrontée une société libre et ouverte dans une guerre froide et secrète. En temps de paix, toute discussion sur ce sujet et toute action qui en résulte sont à la fois douloureuses et inédites. Mais nous vivons un temps de paix et de péril tel qu’on n’en a jamais connu dans l’histoire.
C’est la nature sans précédent de ce défi qui aussi exige de vous de répondre à une deuxième obligation, une obligation que je partage. Et c’est celle d’informer et d’alerter le peuple américain, de s’assurer qu’il possède tous les éléments d’information nécessaires et qu’il les comprenne également (les périls, les perspectives, les objectifs de notre programme et les choix qui se présentent à nous.)
Aucun président ne devrait craindre que le public ne scrute son programme. Car cet examen approfondi permet la compréhension. Et la compréhension autorise le soutien ou l’opposition. Les deux sont nécessaires. Je ne demande pas à vos journaux de soutenir l’administration, mais je demande votre aide dans la tâche énorme d’informer et d’alerter le peuple américain. Car j’ai toute confiance en la réponse et le dévouement de nos citoyens dès qu’ils sont pleinement informés.
Non seulement je ne pourrais pas réprimer la controverse entre vos lecteurs, mais je dis qu’elle est la bienvenue. Cette administration a l’intention d’être franche concernant ses erreurs, car comme un homme sage a dit un jour : « Une erreur ne devient une faute que lorsqu’on refuse de la corriger. » Nous avons l’intention de prendre la pleine responsabilité de nos erreurs. Et nous attendons de vous que vous les pointiez du doigt quand nous manquerons à cet engagement.

Sans débat, sans critique, aucune administration et aucun pays ne peuvent réussir, et aucune république ne peut survivre. C’est pourquoi, selon ce que le législateur athénien décréta, c’est un crime qu’un citoyen se dérobe à la controverse. Et c’est pourquoi notre presse fut protégée par le premier amendement (le seul business en Amérique spécifiquement protégé par la Constitution), pas en premier lieu pour amuser ou divertir, pas pour exacerber le trivial et le sentimental, pas pour simplement « donner au public ce qu’il veut », mais pour informer, stimuler, réfléchir, faire état des dangers et opportunités, montrer nos crises et nos choix pour mener, façonner, éduquer et parfois même provoquer la colère de l’opinion publique.

Cela signifie une plus vaste couverture et analyse des nouvelles internationales (car elle n’est plus lointaine et étrangère, mais à portée de main et locale). Cela signifie une attention accrue à une compréhension améliorée des actualités autant qu’une meilleure transmission. Et cela signifie, enfin, que le gouvernement, à tous les niveaux, doit remplir son obligation de vous fournir l’information la plus complète possible en dehors des limites les plus étroites de la sécurité nationale (et nous avons l’intention de le faire). C’est au tout début du 17e siècle que Francis Bacon remarqua trois inventions récentes qui étaient déjà en train de transformer le monde : la boussole, la poudre à canon et l’imprimerie. Maintenant le lien entre les nations, qui a été d’abord accompli par la boussole, a fait de nous tous des citoyens du monde, les espoirs et les craintes d’un seul devenant les espoirs et les craintes de tous. Tandis que les efforts se poursuivent pour vivre ensemble dans ce monde unique, l’évolution de la poudre à canon jusqu’à ses limites ultimes a mis en garde l’humanité contre les terribles conséquences d’un dérapage.

C’est donc de la machine à imprimer (de la mémoire des actions des hommes, la gardienne de leurs consciences, la messagère de leurs nouvelles) que nous attendons de la force et de l’assistance, qu’elle nous donne confiance qu’avec votre aide, l’Homme sera ce pourquoi il est né : libre et indépendant.

John F. Kennedy




Contre toute logique scientifique, pourquoi le CO2 est-il devenu l’ennemi public numéro 1 ?

[Source : lesalonbeige.fr]

Cet article fait suite, dans l’ordre, à :
Le GIEC pour les nuls
Le réchauffement climatique anthropique fait consensus à 97 %. Vraiment ?
Y a-t-il un complot pour faire taire les opposants au GIEC ?
Le climat mondial se réchauffe-t-il ?
et CO2, accusé levez-vous !


Par Jacques Laurentie,
Ingénieur, auteur (Un autre son de cloche, et Face aux miracles – à paraitre –, édition Téqui)

Voilà une question pertinente !

Pourtant, comme nous l’avons vu au chapitre 5 de cette conférence, le dioxyde de carbone n’a quasiment aucune influence négative sur le climat. Cet état de fait est lié au principe de saturation en absorption (le CO2 absorbe déjà presque 100 % des émissions thermiques terrestre, c’est une disposition naturelle de ce gaz), ainsi qu’à sa plage d’action dans l’infrarouge (soit +/— 10 % de la plage totale de l’émission de chaleur terrestre, contre 60 % pour l’eau). Cela relevant de principes physiques immuables, le GIEC se positionne sur d’autres arguments, dont principalement l’effet déclencheur du CO2 (effet domino, cf. chapitre 5), qui pour le moment ne semble pas vouloir s’initier…

En dépit de ces éléments factuels, depuis la fin du XXe siècle nous faisons face à une véritable hystérie face à ce gaz pourtant nécessaire à la vie ! Tout est indexé sur le carbone, certains de nos impôts, certains de nos achats, et demain, la tentation d’un « Passe carbone », comme nous avons eu un « Passe sanitaire », est plus que jamais d’actualité.

Mais que s’est-il donc passé pour que les pays occidentaux passent ainsi d’une vérité scientifique (le CO2 ne peut pas être responsable d’une variation de température à la hausse), à un dogme ? Pourquoi une telle focalisation sur le carbone, à tel point que l’on parle maintenant « d’énergie décarbonée », pour évoquer les productions non fossiles ?

C’est une partie qui se joue en trois temps.

Pour y répondre, nous devons faire un saut dans le passé…

Dans les années 1970, certes il y a des hippies et des utopies écologistes, mais le réchauffement du climat n’est pas un sujet à la mode. Pire, comme expliqué précédemment (chapitre 5), les quelques études confidentielles alors menées démontrent la probable arrivée d’une nouvelle ère glaciaire. Cependant, mis à part quelques journaux, personne ne donne vraiment crédit à ces allégations, et les universités américaines (et du reste du monde), ne sont pas financées pour travailler sur ce sujet. De plus, les écologistes d’alors, sont perçus comme de doux rêveurs, pas dangereux, et dont le prosélytisme est mesuré. Ces gens sont minoritaires, anarchistes et pas, ou peu, organisés.

Ce n’est qu’à la fin de cette décennie, en 1979, lors d’une conférence sur le climat, qu’un rapport(([1] https://www.lemonde.fr/planete/article/2009/12/28/des-1979-le-rapport-charney-annoncait-le-rechauffement-climatique_1285427_3244.html)), celui de G Charnay fait état d’un possible réchauffement en fonction de la concentration de CO2, reprenant sur le principe certains travaux antérieurs à des siècles comme le XVIIIe, où les théories relevaient souvent plus de l’intuition que de la mesure effective. Cette étude est à l’époque totalement isolée et sans grand intérêt. Elle ne sera déterrée que quelques années plus tard, pour servir « la cause » selon l’expression consacrée par des membres du GIEC tel que révélé lors du Climat-gate (cf. Chapitre 1). Cependant ce premier lien « officiel », entre climat et CO2, qui aurait dû rester dans les oubliettes de l’Histoire, va servir d’arme politique dans les années 1980 pour résoudre un conflit interne opposant le gouvernement anglais et des syndicats.

En 1984, a lieu en Angleterre, la grève la plus dure et la plus longue de l’histoire moderne de ce pays(([2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Gr%C3%A8ve_des_mineurs_britanniques_de_1984-1985#:~:text=La%20gr%C3%A8ve%20fut%20l’une,pertes%20financi%C3%A8res%20etant%20trop%20importantes)). Cette grève durera un an, jusqu’en mars 1985 (https://www.lesechos.fr/2018/07/1984-1985-la-dame-de-fer-contre-les-hommes-du-charbon-1120320), et mobilisera le très puissant syndicat des mineurs de charbon (National Union of Mineworkers). Très puissant, car à cette époque, près de 90 % de l’électricité du Royaume-Uni dépend du charbon. La grève met le pays dans un état de tension inégalé, aussi bien pour les entreprises que les particuliers qui ont besoin d’électricité. Et les négociations sont difficiles, car le gouvernement n’a que très peu de marge de manœuvre, le syndicat tenant le pays à la gorge. En ces années le Premier ministre est Margaret Thatcher, qui lors de sa campagne politique avait évoqué la nécessité de diminuer le pouvoir nuisible des syndicats, et ces derniers ne se privent pas de lui faire payer ses positions. Une fois aux affaires, le gouvernement Thatcher fait le constat amer de son impuissance face à ce type de menace. Certains éditorialistes couvrant les événements disent alors que le syndicat des mineurs « pose un revolver sur la tempe du gouvernement »… Un bras de fer s’engage, il est féroce, les manifestations se solderont par 9 morts et plusieurs dizaines de milliers de blessés ! Le gouvernement se dit en guerre contre les syndicats, et va jusqu’à supprimer les aides sociales aux familles des grévistes. Mais, au bout du compte, le gouvernement doit céder !

À la fin de la grève, Mme Thatcher va tout mettre en œuvre pour abattre le syndicat des mineurs. Et cela passe nécessairement par le fait de diminuer la dépendance de son pays au charbon.

Le gouvernement anglais souhaite alors se tourner vers le nucléaire. En 1984, il n’existe aucune centrale sur le sol anglais. En fait seule une est en construction à titre de test, à Dungeness, et qui sera exploitée par EDF en avril 1985. Mais, en ce milieu des années 80, le nucléaire n’a pas bonne presse. Les mouvements écologistes s’organisent en partis politiques et le nucléaire est l’ennemi à abattre (souvenez-vous de l’autocollant jaune avec un soleil rouge en son centre et le slogan « Nucléaire bon merci » édité à la fin des années 1970, et qui existe toujours !). Dès lors, faire accepter à l’opinion publique la construction de centrales nucléaires s’avère être un challenge politique de taille !

Qu’à cela ne tienne, des communicants planchent sur le moyen de faire basculer l’opinion des Anglais. L’idée est de trouver un danger plus important que celui du nucléaire tel que ressenti dans l’imaginaire collectif de la population. L’axe est rapidement identifié, la production d’électricité via le charbon rejette massivement du CO2, alors que les centrales nucléaires n’en rejettent pas (en fait très très peu). Et selon certains scientifiques, dont naturellement Charnay, le CO2 pourrait mettre la Terre en péril en modifiant la température et donc le climat. D’un côté un risque d’irradiations mortelles, mais localisées. De l’autre un risque de mort de toute l’humanité. C’est cette piste qui va être exploitée. Ne reste plus alors qu’à convaincre du danger supposé du CO2…

Problème, pour le grand public ce gaz ne revêt pas un caractère dangereux, bien au contraire, il est source de vie pour les plantes ! A chaque problème sa solution : l’Angleterre va alors généreusement financer des centres de recherches universitaires et des laboratoires, pour qu’ils mettent en avant les effets nocifs du CO2. Puis, dans le même temps, elle va faire tout un travail de lobby auprès de l’ONU pour que soit créée une commission spéciale dédiée à ce type d’études. Non pas pour étudier le climat au sens large du terme, mais bien pour étudier les impacts des productions humaines sur le climat, avec un fort prisme sur le CO2. Cela sera l’origine de la création du GIEC peu de temps après la fin de la grève des mineurs de charbons anglais…

Pour illustrer cette manœuvre politique, je vous renvoie à l’explication donnée par Nigel Lawson, alors secrétaire à l’Énergie dans le gouvernement Thatcher, ainsi reportée sur la page Wikipédia évoquant le GIEC :

« […] sa motivation [il parle de Mme Thatcher] était de contrer les syndicats britanniques des mineurs de charbon tout en soutenant le nucléaire en tant que source d’énergie propre pour remplacer le charbon.(([3] https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_d%27experts_intergouvernemental_sur_l%27evolution_du_climat))»

Et au discours que Mme Thatcher va tenir en 1988 (l’année de création du GIEC) à la Royal Society où elle dit :

« L’ingénierie et les progrès scientifiques nous ont donné le transport terrestre et aérien, la capacité et la nécessité d’exploiter les combustibles fossiles qui étaient restés inutilisés pendant des millions d’années. L’un des résultats est une augmentation constante du dioxyde de carbone. »(([4] https://www.margaretthatcher.org/document/107346))

Or, comme évoqué, à cette époque, le CO2 n’est pas encore la cause des maux de l’Humanité, ce n’est en tout cas aucunement un centre d’intérêt des nations, et on n’en trouve trace dans aucun discours politique (ou de façon marginale). Et là, curieusement, ou pas, Mme Tacher porte le fer contre le CO2 à six reprises durant ce discours. En faire cas ainsi dans le cadre d’une intervention politique n’est pas sans arrière-pensée.

Le GIEC se doit donc trouver une relation entre CO2 et climat. Telle est sa mission souhaitée par le puissant Empire britannique, soutenu à l’époque, pour des raisons économiques et politiques, par les USA (R. Reagan) qui voulaient maîtriser les mouvements écologistes naissants en leur opposant un organisme officiel sous l’égide de l’ONU lui-même sous forte influence des USA(([5] https://www.novethic.fr/actualite/environnement/climat/isr-rse/a-l-origine-quand-margareth-thatcher-et-ronald-regan-ont-cree-le-giec-148067.html)). Les deux super puissances d’alors vont imposer leur agenda à l’ONU.

L’Angleterre dispose aujourd’hui de 18 centrales, et 2 sont en construction. Quant au syndicat des mineurs, il est réduit à portion congrue et inoffensif.

Voilà donc, de 1984 à 1988, le premier étage de la fusée.

Nonobstant cette volonté politique de produire des éléments à charge du CO2, à cette époque, ce n’est pas encore l’hystérie climato-catastrophique et collapsologue qui règne. Nous sommes pour le moment dans une manœuvre restreinte à quelques hauts fonctionnaires et élus, et à quelques cercles d’initiés, visant à permettre à un gouvernement de reprendre la main sur la destinée énergétique d’un pays.
À la fin de l’année 1989 va arriver un événement qui va bouleverser l’Histoire du monde. Dans la nuit du jeudi 9 au vendredi 10 novembre 1989, le mur de Berlin « tombe ». Au-delà du mur lui-même, qui est un symbole, c’est toute l’idéologie communiste qui montre son échec à répondre au bonheur des peuples, et qui, tout comme le mur, s’effondre. Les partisans communistes de nombreux pays, très majoritairement européens, se retrouvent orphelins.

Vont alors s’opérer en quelques années, dans le début des années 90, des transferts entre l’ex-parti communiste et les partis écologistes. En effet, les communistes trouvent des points de convergences avec les écologistes, notamment leur opposition commune au système dit capitaliste. Les écologistes vont ainsi voir en quelques années leurs rangs s’étoffer, et leurs méthodes s’affiner…

À la fin des années 80 début 90, les partis écologistes des différents pays ne sont pas pris au sérieux, sont désorganisés, passent pour des illuminés, et font quelques pour-cent aux diverses élections. En France, en 1988, avant la chute du mur, les écologistes n’ont aucun député, et font 0,35 % aux élections législatives(([6] https://www.france-politique.fr/elections-legislatives-1988.htm)). Ils sont inexistants. Puis, les ex-communistes, bien rodés, vont s’occuper de gérer tout cela. Résultat, à l’élection législative de 1993, miracle, les deux partis écologistes font un score cumulé(([7] https://www.france-politique.fr/elections-legislatives-1993.htm)) de presque 8 % !

À partir de ce moment, les idées écologistes vont se répandre dans l’opinion publique, soutenues par une presse qui a souvent soutenu le parti communiste. De tout cela naîtra l’expression visant à décrire les écologistes comme des pastèques : « vert à l’extérieur, rouge à l’intérieur ». Et au-delà de l’expression devenue populaire, il y a une réalité. Les partis écologistes modernes, ceux que nous connaissons aujourd’hui, qu’ils soient français ou allemands, sont les héritiers directs des partis marxistes et bolcheviks d’hier. Les idées sont les mêmes, seule la façade a été repeinte ! En l’occurrence les intérêts purement écologistes y sont souvent secondaires (cf. le Wokisme actuel porté essentiellement par ce type de parti politique).

Ces deux mouvements réunis en un, se retrouvent sur de nombreux terrains, les deux veulent abattre la société actuelle, pour la remplacer par autre chose. L’anticapitalisme est un point de convergence naturel, et les communistes identifient la lutte contre le CO2 comme un excellent moyen de nuire au système de consommation. Car, en effet, à peu près tout notre monde occidental génère du CO2 dans presque toutes ses activités. Si vous interdisez la production de CO2, alors, des usines jusqu’à l’utilisation de votre machine à laver en passant par le smartphone sur lequel vous lisez peut-être ces quelques lignes, tout s’arrête ! La lutte contre le CO2 devient une cause majeure, celle qui peut faire tomber le reste et provoquer le « grand soir ». Et tout sera mis en œuvre pour justifier cette lutte.

En 2018, ce qui reste du PCF (Parti Communiste français) de titrer sur son site(([8] https://www.pcf.fr/ecologique_au_coeur_du_combat_communiste)):

« L’écologie au cœur du combat communiste. Face à un capitalisme qui exploite, avec la même vigueur, les hommes et la nature, nous opposons l’écommunisme pour protéger l’humanité du chaos et préserver la planète. »

L’écommunisme une idée, un programme, qui résume tout…

C’est là, le second étage de la fusée. La puissance décuplée des mouvements écologistes noyautés par l’idéologie et les méthodes, efficaces, communistes. La volonté qu’ont tous les révolutionnaires de faire table rase, pour reconstruire un « monde meilleur ».

Jusque-là les entreprises, surtout les multinationales, sont restées soit spectatrices du mouvement, soit ont cherché à le ralentir, principalement les sociétés en rapport avec l’énergie et les transports. En effet, à la fin des années 1990, début 2000, une pression environnementale se fait sentir, mélangeant aussi bien des dispositions visant à gérer la pollution, que des règles destinées à limiter le réchauffement climatique, « via la décarbonation », annoncé maintenant depuis une dizaine d’années (création du GIEC en 1988 et premier rapport en 1990). Or, par expérience, le monde marchand sait parfaitement que ce type de dispositions politiques débouchera inévitablement sur des taxes et des contraintes réglementaires. Et c’est ce qui va se passer.

La Taxe carbone (pour la France, mais bien entendu chaque pays a son équivalent), fiscalement dénommée « contribution climat énergie » (en novlangue on ne parle plus ni de taxes ni d’impôts, mais de contributions), et qui doit être investie dans des projets à visée climatique, rapporte à la France 35 Md d’Euros en 2019. Et seuls 20 % de cette somme(([9] https://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/ou-vont-les-recettes-de-la-taxe-carbone-1132699
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2018/12/07/comprendre-la-taxe-carbone-en-huit-questions_5394292_4355770.html)) sont effectivement affectés à des projets en rapport avec le climat. Les associations s’en émeuvent régulièrement, et la Cour des comptes de constater chaque année ce détournement de fonds. La lutte contre le climat rapporte des sommes très confortables aux États, et elles ne sont pas contestées, car qui oserait de nos jours s’opposer à un prélèvement visant à « sauver l’humanité », même si en définitive ces sommes servent à tout autre chose.

Mais revenons au début des années 2000. Donc, à cette période, les entreprises sont encore sur la réserve, la plupart sont conscientes que le mouvement écolo-communiste qui se dessine vise principalement à changer de modèle de société, donc potentiellement à les faire disparaître ou plus prosaïquement à — pourquoi pas ? — les nationaliser. Mais, l’Histoire fait que ce début de XXIe siècle correspond aussi à une saturation conjoncturelle économique. Certes l’économie numérique performe, mais, pour le reste, les marchés ne connaissent plus de formidables performances comme celles des années d’après-guerre.

Ainsi, pour la Communauté Européenne, le taux de croissance du PIB est de : 5 % de 1960 à 1970, puis de 3,5 % de 1970 à 1980, puis de 3,2 % de 1980 à 1990 et de seulement 2,8 % de 1990 à 2000(([10] http://ses.ens-lyon.fr/articles/donnees-taux-de-croissance-du-pib)) (chiffres de l’École normale supérieure de Lyon filière économique). Nous sommes donc passés en quarante ans à une croissance divisée par deux ! La faute à différents vecteurs, dont le taux d’équipement des foyers impliquant un faible renouvellement des produits manufacturés. En effet, dans les années 1990, presque tous les foyers occidentaux disposent d’une ou deux voitures, d’une télévision, de mobilier, d’un réfrigérateur, d’une machine à laver, etc. Et ces mêmes foyers n’ont pas de motif rationnel pour en changer. Il faut alors des raisons ponctuelles, comme une coupe du monde de football pour doper l’achat de téléviseur, ou une prime d’État pour pousser les ventes de voitures.

L’automobile en est un exemple très parlant. Faisons un focus pour mieux comprendre le jeu des entreprises dans l’incrimination du CO2 comme cause de tous les maux et de la fin du monde, tel qu’expliqué (rêvé) par les écologistes-communistes et leur concept « d’écommunisme » :
Le journal économique Les Échos a étudié dans un article du 4 février 2020 l’évolution du parc automobile français (titré : Les vrais chiffres du parc automobile français), et il en ressort que le parc a connu une flambée au début des années 2000. Qu’est-ce qui peut expliquer ce phénomène ?

Comme vu précédemment, au début des événements, le monde économique est sur la réserve face aux notions de réchauffement climatique, et l’attaque en règle du CO2 qui s’annonce. Puis dans un second temps, il va décider, non pas de s’opposer au mouvement, mais, très intelligemment, bien au contraire de l’accompagner. Dès lors, c’est à qui sera le plus vertueux, le plus eco-friendly, quitte à mentir ou à en rajouter. Grâce au marketing les citrouilles deviennent carrosses !

Ce phénomène amorcé dans les années 2000 sera appelé le « greenwashing », évoquant ainsi le fait que les entreprises, jadis polluantes (selon une certaine vision), deviennent des champions de l’écologie et de la protection du climat. Et ce pour deux raisons. D’une part sous la pression des politiques qui eux-mêmes font face à une opinion populaire, et d’autre part, car elles ont compris qu’il y avait là un excellent moyen de relancer la consommation et donc d’augmenter chiffre d’affaires et profits. Le CO2 allait devenir un excellent levier économique…

Le capitalisme a traversé tous les âges grâce à son incroyable capacité d’adaptation, c’est ce qui définit un système intelligent.

Dans les années 80, les constructeurs automobiles mettent en avant les performances de leurs voitures. C’était l’époque des GTi ! Lors du lancement de la Renault 21 Turbo en 1987, les journalistes sont invités sur un circuit automobile, et dans le dossier de presse se trouve un chronomètre gracieusement offert. Cette voiture est rapide, très rapide, et c’est pour cela qu’il faut l’acheter. Dans le courant des années 1990, la communication est plus axée sur la sécurité et le confort, sont mis en avant les équipements comme l’airbag, l’ABS, la climatisation, ou encore les aides électroniques. Puis, à compter de 2005 environ, le marketing change, les voitures deviennent « propres », « écolos ». Volkswagen annonce des taux de CO2 très bas, incroyablement bas, c’est un argument marketing (on saura plus tard qu’ils ont triché). Dans ses brochures publicitaires, Mercedes définir sa nouvelle classe C comme « Pur et sensuel ». Qu’est-ce qu’une voiture « pure » ? On ne sait pas, mais ce mot raisonne en nous comme quelque chose de bien, de propre, qui ne pollue pas.

Les consommateurs que nous sommes ne doivent plus avoir envie d’acheter une voiture pour ses performances, non, ils se doivent d’acheter une voiture pour être un bon citoyen eco-vertueux. Et pour cela, il nous est fait injonction de se débarrasser de notre « vieille » voiture. Le système mis en place par le monde mercantile fonctionne, et de nombreux foyers changent de voitures, principalement entre 2000 et 2010, d’où le pic constaté dans l’enquête… Et l’État accompagne ce mouvement en mettant « la main à la poche ».

Les subventions massives, des éoliennes, des panneaux photovoltaïques, des véhicules électriques (pourtant tout aussi polluantes que leurs congénères thermiques(([11] Cf. reportage Arte intitulé : « La face cachée des énergies vertes » publié en 2021.)) ), et autres systèmes « verts », sont une des stratégies poussées par le monde économique pour trouver des relais de croissance à moindre coût. Business is business ! La presse qui fait, et défait, les opinions, veut du « green », pas de problème, elle va en avoir. Et dans le même temps, l’argent va couler à flots (nos impôts et taxes)…

En un mot comme en cent, le monde entrepreneurial va monter dans le bateau, et à son tour, faire le nécessaire pour charger le CO2, car là est son intérêt. Dès lors, les consommateurs doivent remplacer leurs équipements par une version qui produit moins de CO2. Le marché se réouvre !

Il est bien entendu que les marchés ainsi relancés rapportent bien plus que ne coûtent les taxes, c’est là l’équilibre subtil et existentiel de l’économie de marché depuis l’antiquité ! De la main droite l’État perçoit des taxes carbone, et de la main gauche, il subventionne abondamment l’achat de nouveaux produits ou de systèmes énergétiques, éolien et solaires, dont les rendements techniques sont déplorables, mais encouragés par le législateur. Là encore, comme les politiciens, nombre d’entreprises s’adaptent pour gagner le plus d’argent possible, peu importe si c’est un non-sens et si la nation paiera à moyen terme ces erreurs stratégiques.

Les grands groupes d’énergies (Total, Shell, BP, Dana Petroleum, EDF, Chevron, etc.) donnent de l’argent, beaucoup d’argent, aux universités, aux laboratoires, organisent des conférences, financent des études. Comme les États ils ne croient pas à un monde décarboné, car cela n’est pas possible, mais ils favorisent leurs marchés respectifs afin de vendre leurs solutions qui sont, naturellement, toutes validées, moyennant quelques tours de passe-passe, comme eco-friendly. Au pied du mur et sous la pression d’entreprises du secteur énergétique (dont l’éolien), en 2022, l’Union Européenne ira jusqu’à classer le gaz parmi les énergies « vertes », alors même que quelques mois au paravent, ce même gaz était vilipendé, car fossile et producteur massif de CO2. En effet, l’intermittence des turbines éoliennes implique sur plus de 70% du temps un recours à un autre moyen de production électrique, sans gaz, pas d’éoliennes, l’équation est cruelle.

Une très importante part des émissions de CO2, peut-être la première, est due au monde informatique et plus précisément aux fermes de serveurs(([12] Le magazine Futura science : « Data centers et cloud computing émettent trop de CO2 selon Greenpeace ».)), à travers les dizaines de milliers de Datacenter répartis un peu partout sur la planète. Le premier détenteur de Datacenter est la société Alphabet, qui est la holding qui détient Google corporation. En 2020, Google a annoncé(([13] https://www.challenges.fr/green-economie/google-verdit-ses-data-centers-et-vise-le-zero-en-carbone-en-2030_728228)) viser la « neutralité carbone » pour 2030. Google entend y arriver en utilisant de l’énergie dite verte, même si cela ne correspond à rien (une éolienne ou du photovoltaïque sont également émetteurs de CO2 et dépendent de matériaux fossiles), en compensant par l’achat de dettes carbone, et la création de puits à carbone. Dans les faits, il n’y a aucune diminution de la production de CO2 de prévue…

Mais au fond, qui s’en préoccupe ? L’annonce fait son effet, les jeunes qui défilent pour le climat peuvent donc continuer d’utiliser en masse les services Google, échanger sur les réseaux sociaux, acheter des vêtements à l’autre bout du monde, et en définitive, émettre un paquet de CO2, ce gaz qu’ils maudissent, du haut de leurs 12 ou 15 ans, alors même qu’ils n’ont pas commencé leur vie de consommateurs actifs ! Lors d’une conférence scientifique donnée le 6 mai 2019(([14] Disponible sur Youtube)), le scientifique Laurent Alexandre a qualifié cette annonce de Google de « plaisanterie ». Du greenwashing qui fait vendre, de l’anti-CO2 qui permet d’augmenter les affaires…

Autre anecdote concernant le monde entrepreneurial : vous avez pu noter que le célèbre logo de la chaîne de restauration rapide Mc Donald’s, qui était rouge et jaune depuis son origine, connu ainsi dans le monde entier, est devenu vert et jaune à la fin de l’année 2009. Presque toutes les entreprises du monde, dans les années 2000 à 2010, ont introduit à un moment ou un autre du vert dans leur logo ou leur communication. Le but étant de ne pas ralentir les ventes et surtout, pour nombre de marchés, de relancer les ventes. Le monde politique et médiatique veut des entreprises vertueuses qui mettent un genou à terre face au terrible CO2 ? Très bien, si cela permet de vendre plus, les entreprises verdiront leur logo et mettront un genou à terre. L’argent n’a pas d’odeur…

Voilà donc le troisième étage de la fusée, le monde économique qui participe à la charge en règle contre le CO2, à des fins mercantiles.

Ajoutez à tout cela que depuis environ 50 ans, les politiques de divers pays ont, comme le rappelle Laurent Alexandre (conférence donnée le 21 mai 2019 sur la transition énergétique visible dans son intégralité sur YouTube), des connaissances insuffisantes en sciences pour comprendre ce qui se passe réellement, et, ne font plus qu’arbitrer les pressions. C’est à qui criera le plus fort ou fera le plus peur. Les politiques gouvernementales réagissent à chaud, en prenant en compte le dernier avis diffusé et surtout le discours le plus catastrophique, n’étant pas en mesure de le relativiser. Et au jeu de la pression, les partis écologistes sont très forts, jouant sur la corde sensible de la protection de la nature et des animaux, le tout baigné d’une idéologie New Age où il faut sauver Gaïa la Terre mère. Ce discours qui met en joue le capitalisme et les réussites sociales, plaît à une majorité de médias et raisonne facilement au sein de la population. Dès lors, le politique suit le sens du vent, sans rien comprendre aux rapports du GIEC qu’ils ne considèrent pas forcément plus que ça, mais qui lui sert de socle moral. Et là encore, le CO2 est un coupable facile, il est donc de bon ton de fonder toute politique sur son éradication, ce qui serait à n’en pas douter très problématique(([15] Au cours du XXe siècle, la concentration de CO2 n’a baissé que 2 fois. Après 1929 où suite au krach boursier nombre d’activité de production se sont arrêtés, et en 1945, où la chute industrielle de l’Allemagne et du Japon a provoqué cette diminution. Autrement dit, si nous devions suivre les recommandations du GIEC (Groupe 3), et diminuer d’au moins 30% les émissions de CO2 d’ici 2050, cela passerait soit par une guerre mondiale, soit par un krach boursier mondial, à priori, il n’existe pas d’autres voies…))!

Comme déjà évoqué au chapitre précédent, le premier des GES (Gaz à effet de Serre) est l’eau (H20), mais, reconnaissez que si les États avaient taxé massivement l’eau, il aurait été difficile d’obtenir une adhésion populaire, et les partis politiques auraient craint pour leurs élections. Sans même parler d’interdire l’eau ! De plus, l’eau ne touche pas l’ensemble de la chaîne économique mondiale ce qui rend ce gaz moins « coupable ». Les autres GES, comme l’Ozone, ou le Méthane, sont moins produits par les traitements humains (mais bien plus important dans l’effet de serre que le CO2). Bref ! il ne restait plus que le CO2 sur la liste des suspects (souvenez-vous que l’objet initial du GIEC n’est pas d’étudier le climat, mais bien d’étudier l’influence humaine sur le climat, nuance qui a son importance). Et comme le dit le dicton populaire « quand on cherche, on trouve ». Les chercheurs financés presque sans limites, et soigneusement sélectionnés (le GIEC ne référence qu’une centaine de laboratoires parmi les milliers à travailler sur ces sujets, écartant les résultats jugés « non conformes ») ont trouvé ce qu’on leur demandait de trouver.

Au début des années 2000 il circulait une plaisanterie dans les milieux de la recherche universitaire, consistant à dire que pour obtenir un financement il suffisait de mettre le mot « CO2 » dans l’intitulé de l’objet de la thèse ou du sujet de recherche, même si cela parlait d’art ou de trombone. Un mot de passe magique !

Le tout a été porté par un biais idéologique qui a déformé en quelques décennies la pensée écologique des années 60 et 70. A ce sujet, il est intéressant de noter un livre, qui a fait grand bruit, édité en décembre 2020, aux éditions de l’artilleur : « Confessions d’un repenti de Greenpeace », écrit par Patrick Moore. Vous ne savez pas qui est Moore ? Eh bien tout simplement le fondateur de Greenpeace… Rien d’autre que la plus grande association mondiale écologiste. Dans cet ouvrage, Moore dénonce la dérive politique de Greenpeace et d’une façon plus large des ONG écologiques, y compris le GIEC. Le fondateur de Greenpeace d’expliquer que les mouvements qui prétendent défendre l’écologie, le climat, la biodiversité, se sont, dans leur très grande majorité, éloignés de la science, pour imposer des idéologies, et faire de la nature une religion. Ces principes ont permis l’émergence d’un courant de pensée extrémiste, qui a fait le lit de ce que nous connaissons aujourd’hui à travers la chasse au CO2 et donc à toutes les activités humaines. Le CO2, qui n’avait rien demandé et grâce à qui nous existons, est coupable, et à travers lui, toute l’Humanité…

Voilà, succinctement résumé pourquoi et comment nous sommes arrivés à une telle hystérie, comme le disent le scientifique Laurent Alexandre et le philosophe Michel Onfray. Il n’y a aucun complot au sens traditionnel du terme, mais des convergences d’intérêts, une idéologie post-révolutionnaire, et une lâcheté d’une partie du monde politique et scientifique. Si la population avait un niveau en science suffisant, les discours alarmistes concernant le climat n’auraient pas percé dans l’opinion, mais, tel n’est pas le cas, c’est même tout le contraire, le niveau de connaissance de nombreux pays ne cesse de baisser année après année. Si bas qu’une jeune fille dont le niveau scolaire est celui du collège vient donner son opinion sur le sujet, et qu’une partie de la classe politique mondiale s’agenouille. En résumé, nous faisons face à une déchéance intellectuelle de nos sociétés, plus qu’à un risque climatique avéré.

La semaine prochaine, nous verrons s’il y a vraiment chaque année plus de catastrophes naturelles dues au réchauffement climatique…





Coronavirus et campagne forcenée pour le marquage du bétail humain

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

On sait aujourd’hui que le décompte des « morts du Covid » doit être radicalement remis en cause. On sait aujourd’hui que les « vaccins anti-covid » ont provoqué de graves effets secondaires… ainsi que des morts par milliers ! On se souvient que ceux qui osaient donner ces informations, il y a quelques mois à peine, étaient aussitôt traités « d’irresponsables » ou de « complotistes » !

Chacun doit se demander en conscience : qui sont donc ces gens qui ont pu se permettre de traiter les veilleurs, les lanceurs d’alertes, les informateurs responsables, des experts dans ces questions de santé, « d’irresponsables et de complotistes » ? Qui sont ces personnes arrogantes, habitées par le mensonge et méprisant à ce point l’humanité par leurs motivations égocentriques donnant raison à leurs conflits d’intérêts placés de ce fait bien au-dessus de toute conscience morale de base ?

En réalité, l’humanité a toujours produit ce genre « d’anomalie  » qu’elle a régulièrement été obligée de corriger, afin d’empêcher qu’elle ne conduise les humains à leur fin prématurée… C’est difficile à entendre mais c’est la réalité !

La revue scientifique Nature et cette autre revue, The Lancet, qui veut sans doute se refaire une virginité, ont décidé toutes les deux de traiter objectivement les questions du décompte des morts de la Covid-19 et des myocardites provoquées à la chaîne par les injections dites anti-Covid.

Selon ces deux revues et les scientifiques qui s’y prononcent, il y a 40 % d’erreur dans le décompte des décès de la Covid-19. Ce décompte n’a servi qu’à fomenter la terreur de la mort et à préparer le terrain de la propagande pour la campagne de « vaccination », en réalité cette injection de nanotechnologie pour « le piratage des animaux humains » comme l’ont si bien formulé les pervers amis de Klaus Schwab du Forum Économique Mondial de Davos. 

Pour que ce marquage puisse fonctionner et donc pour que le « piratage des animaux humains » soit possible, il faut sans doute une quantité de graphène suffisante injectée dans le corps ; cela expliquerait la stratégie des « vaccinations » répétitives organisées dans le mensonge absolu (une dizaine de prévues, compte tenu des stocks achetés par l’UE) et d’où viendraient la colère et la volonté de Macron « d’emmerder » « affectueusement », dixit le « Young Global leader » de l’Élysée, tous ceux qui refusent de se faire marquer comme de vulgaires animaux domestiques du troupeau des nouveaux « esclaves » !

Selon Harari, un grand ami de Klaus Schwab, la technologie du cloud, comme la plate-forme d’IBM ou celle de Bill Gates, Microsoft, sera l’une des « forces motrices » de cette évolution. 

« Les humains (qui continuent de croire au mensonge) sont désormais des animaux piratables ». « Toute idée que les humains ont cette âme ou cet esprit, et qu’ils ont le libre arbitre, et que personne ne peut savoir ce qui se passe en chacun, quoi qu’il choisisse, que ce soit aux élections ou au supermarché, ce libre arbitre est fini. » 

« Aujourd’hui, nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle », poursuit Harari, qui ajoute : « Tout est numérisé. Tout est surveillé. » 

« En cette période de crise, vous devez suivre la science ». « On dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre, parce qu’une crise [COVID-19] était l’occasion de faire les bonnes réformes, qu’en temps normal, les gens n’auraient jamais acceptées. Mais en temps de crise, c’est une fenêtre d’opportunité ! »

« Et si nous réussissons à pirater et à concevoir la vie, ce ne sera pas seulement la plus grande révolution de l’histoire de l’humanité, ce sera la plus grande révolution de la biologie depuis le tout début de la vie, il y a quatre milliards d’années », disent triomphalement les « élites » du FEM de Davos. « Pendant quatre milliards d’années, rien de fondamental n’a changé dans les règles du jeu. Les dinosaures, les amibes, les tomates, les humains, toute la vie était soumise aux lois de la sélection naturelle et aux lois de la biochimie organique, mais cela est sur le point de changer… »

« Mais, poursuit Harari, notre conception intelligente et la conception intelligente de nos clouds, le cloud d’IBM, le cloud de Microsoft, ce sont les nouvelles forces motrices de l’évolution et en même temps la science peut permettre à la vie, après avoir été confinée pendant quatre milliards d’années dans le domaine limité des composés organiques, de sortir dans le domaine inorganique ainsi après quatre milliards d’années de vie organique façonnée par la sélection naturelle. » 

« Nous entrons dans l’ère de la vie inorganique façonnée par la conception intelligente », ajoute le complice de Klaus Schwab. 

Comme si la vie organique n’avait pas été façonnée par la conception intelligente de la nature. Au lieu d’avoir une sélection naturelle, nous aurons maintenant une sélection artificielle !

Ces hommes arrogants prétendent donc être plus intelligents que la nature et d’être désormais capables de façonner une vie qui sera supérieure à tout ce qui est vivant dans le monde ! Ce sont des gens pareils qui ont pris le pouvoir et qui nous imposent cet abominable transhumanisme dans lequel il n’y a plus trace de ce qu’est la beauté de la conscience et de la liberté qui est une manifestation de la conscience ! (Source : anguillesousroche.com)

Selon les scientifiques de ces deux revues spécialisées, Nature et The Lancet, les « injections » à ARN messager n’avaient pas du tout une finalité sanitaire, comme on le dit déjà depuis le début de cette comédie pathétique…

Le 9 juin, Nature révèle dans le détail comment les experts de l’OMS ont pu compter 40 % en trop dans le simple calcul de l’excès de mortalité causé par l’épidémie de la Covid-19. (Cf.,  Van Noorden, Richard. « COVID death tolls: scientists acknowledge errors in WHO estimates », Nature, 1er juin 2022, vol. 606,7913 (2022) : 242-244. Doi : 10.1038/d41586-022-01526-0, https ://www.nature.com/articles/d41586-022-01526-0)

C’est la méthodologie utilisée à dessein par les experts de l’OMS, qui a permis aisément cette falsification. Les « modélisateurs » mathématiques qui ont été utilisés étaient défaillants et cela se savait depuis le début.

À son tour, The Lancet publiait le 11 juin quelque chose d’encore plus sidérant : une étude rétrospective pour comparer les risques cardiaques (péricardites et myocardites) suite aux injections des produits à ARNm de Pfizer et de Moderna. 

Pour les deux substances injectées, le risque était le même, c’est-à-dire, bien plus élevé que ce qui a été constaté habituellement chez les 18-25 ans, sachant que les données récoltées par la pharmacovigilance ont été largement insuffisantes du fait de la résistance des médecins à déclarer ce qu’ils constataient et compte tenu de la pression scandaleuse qui s’est exercée sur eux, les menaçant de suspension ou de radiation de l’Ordre des Médecins…

(Cf., Hui-Lee Wong, Mao Hu, Cindy Ke Zhou, Patricia C Lloyd, Kandace L Amend, Daniel C Beachler et al, « Risk of myocarditis and pericarditis after the COVID-19 mRNA vaccination in the USA : a cohort study in claims database », The Lancet, 11 juin 2022, https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(22)00791-7/fulltext)

Les doses dites de « rappel » augmentaient ce risque et les médecins de ville, généralistes, constataient cette hausse inexpliquée des troubles cardiaques chez les jeunes. Le ministre de la santé allemand a admis, le 12 juin dernier, que la campagne d’injections dite « anti-Covid », avait eu pour effet principal, un affaiblissement du système immunitaire de ses concitoyens, ce qui expliquait désormais qu’ils étaient devenus plus vulnérables aux autres virus toujours existants !

Du coup, ce même ministre recommandait la poursuite intensive des « vaccinations », car le mal étant fait, il n’y avait plus d’autres solutions que celle de s’enfoncer davantage dans cette erreur ! (Cf., David Berger, «Lauterbach gibt zu: Coronamaßnahmen haben Immunsystem schwer geschädigt», Philosophia Perennis, 6 juin 2022 (en allemand), https://philosophia-perennis.com/2022/06/06/lauterbach-gibt-zu-coronmassnahmen-haben-immunsystem-schwer-geschaedigt/).

Selon les derniers chiffres officiels, 65 629 décès sont dus aux injections anti-Covid-19 et 10 439 642 blessures ont été signalées au 24 février 2022 pour l’ensemble des pays de l’Union Européenne, des USA, du Royaume-Uni… (cf., The European Medicines Agency (EMA) ; The Medicines And Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA); The United States Food And Drug Administration (FDA); The Centers For Disease Control And Prevention (CDC)-)

Les médias aux mains des milliardaires, qui se sont entendus pour soutenir la campagne de propagande à la demande des responsables du FEM de Davos voulant exploiter « la fenêtre d’opportunité » qu’offrait cette fausse pandémie, se sont livrés corps et âme à la cause du « transhumanisme » qui se cachait derrière toutes ces aberrations que l’OMS elle-même avait répétitivement été obligée de démentir en se contredisant de multiples fois. Le Pr Perronne, ancien expert de l’OMS, nous expliquait dans une interview que la fondation Bill Gates avait le contrôle total de l’OMS, puisqu’elle est la sponsor principale, majoritaire des fonds attribués à l’OMS. (cf., « Les Incorrectibles » GETTR, du 16 janvier 2022, animée par Éric Morillot.)

Tout ce qu’a publié le Professeur Perronne durant ces deux dernières années, est fondé, prouvé, démontré scientifiquement. Il est inattaquable sur le plan scientifique. C’est pourquoi personne ne veut un débat scientifique avec lui ; les ordures qui nous gouvernent préfèrent radoter que Perronne « affirme des contre-vérités sur la Covid-19 », « qu’il ne sait plus ce qu’il dit », que c’est un « charlatan », sans rien démontrer, sans jamais rien argumenter. Les pervers aux commandes se contentent de dénigrer, d’humilier, de détruire par le mensonge et la diffamation, la réputation de tous ceux qui s’opposent à leur agenda mondialiste et à leur « croyance obscurantiste sur la Covid- 19 ». 

À l’heure actuelle, le wokisme, le covidisme, le « vaccinalisme » et l’Ukraine ont fait de nos Talibans médiatiques des références doctrinales incontournables pour le triomphe de la vérité révélée par le dieu du Nouvel Ordre Mondial : les véritables scientifiques sont harcelés par la terreur de ces charlatans au service du système.

Prochainement nous aurons un sérieux nettoyage à planifier au sein de la société humaine : la colonie pénitentiaire de Kafka ou le monde orwellien, faisant partie de l’épisode obscurantiste des talibans médiatiques…

Rappel : En France au pic le plus élevé de la crise de la Covid-19, il y avait 140 malades par semaine pour 100 000 habitants ; pour une grippe normale, c’est entre 500 et 600 malades par semaine pour 100 000 habitants, sachant que le chiffre de 140 n’a jamais été dépassé depuis deux ans et demi (chiffre qu’il faut encore revoir à la baisse, compte tenu des falsifications relevées récemment dans les statistiques rapportées par les organismes officiels !) 

Depuis que les théoriques « vaccins » ont été reconnus comme inutiles (ils ne protègent pas de l’infection par le SARS-Cov-2 et n’empêchent pas d’infecter ses contacts), le chef de la stratégie vaccinale de « l’Agence Européenne du Médicament » a déclaré en début d’année : 

« Si nous avons une stratégie dans laquelle nous donnons des rappels tous les quatre mois, nous finirons par avoir potentiellement des problèmes de réponse immunitaire ». (cf. AEM de janvier 2022)

(Cf., Sommet mondial sur le Covid: 17 000 scientifiques appellent à mettre fin à l’état d’urgence sanitaire, France Soir, 26 mai 2022. Covid-19 : un déficit immunologique responsable de près d’un quart des formes sévères chez les vaccinés, TF1 Info, 15 juin 2022.)

 Les travaux les plus avancés semblent être ceux de L’Office Parlementaire d’Évaluation des Choix Scientifiques et Techniques OPECST : 

« Un vacciné sur 340 consulte un médecin après sa vaccination, pour grande fatigue, fièvre, maux de tête, de ventre, musculaires, rougeurs sur sa peau, paralysie partielle, troubles cérébraux ou cardiaques… Un sur 1434 a quelque chose de très grave qui peut se terminer en handicap permanent et enfin un sur 28 000 en meurt. » 

Au printemps 2022, les chiffres des contaminations deviennent franchement catastrophiques pour les défenseurs de ces « vaccins » : les « vaccinés » ont désormais plus de risques d’être infectés que les non-vaccinés !

(Cf., site officiel « Vax Impact », pour les 60 à 79 ans : la proportion d’infection parmi les vaccinés (2 ou 3 doses) est systématiquement supérieure à celle observée chez les non-vaccinés, à partir du mois de mars 2022. https://covidtracker.fr/vaximpact/)

Résultat : les Britanniques cessent brutalement de publier le taux d’infection selon le statut vaccinal. En France, on ne communique plus sur les chiffres officiels de la DREES. 

En mai 2022, un Bill Gates abattu reconnaît hypocritement, sur la scène du Forum économique mondial, que « ces vaccins ne sont pas bons pour bloquer l’infection ».

https://www.youtube.com/watch?v=jEmy9PeuRLU

Il en tire même la conclusion que les passeports vaccinaux n’ont aucun sens, dès lors qu’on peut être vacciné et infecté ! Pour se moquer du monde, personne ne fait mieux !

Cerise sur le gâteau, le Laboratoire Pfizer déclare : « aucun des effets secondaires ou graves survenus chez les personnes après le « vaccin » anti-Covid, n’est lié au « vaccin » ! Les cas de problèmes graves sont tellement nombreux que le laboratoire faisait cette déclaration en vue de se protéger face au déluge de plaintes qui allaient inévitablement lui tomber sur la tête. 

Pfizer refuse catégoriquement d’admettre que l’un des effets très néfastes tels que la mort ou des lésions neurologiques est dû à son vaccin.

https://southfront.org

Mais, qu’à cela ne tienne, les Macron et leurs équipes de pervers veulent à tout prix continuer et renforcer la campagne de « vaccination » en la généralisant aux enfants eux-mêmes ! Ils continuent de dépenser l’argent public dans l’achat de ces substances mortelles ou dangereuses pour la santé physique et mentale, sans parler des objectifs réels poursuivis par ces injections …

CONCLUSION

Dans cette histoire de la « pandémie Coronavirus » tout est faux de A à Z ; tout est manipulé ; tout a été acheté, et ce qui ne pouvait pas l’être a été menacé de « mise à pied », de « suspension », de « radiation », de sanction, de répression judiciaire, policière, fiscale… Les scientifiques qui ne pouvaient pas être achetés ont été purement et simplement menacés dans leur existence ou pour l’avenir de leur carrière. 

Les médecins eux-mêmes ont été obligés de se taire et de tenir le discours du narratif officiel mensonger, sous peine de radiation de l’Ordre des médecins ou d’une condamnation pour « faute professionnelle » ou rébellion…

Tout a été martyrisé, persécuté, menacé, sanctionné sans pitié et sans scrupules… L’argent de la trahison a coulé à flots, bien plus que les trente deniers symboliques de la tradition judéo-chrétienne paulinienne !

Les salauds, les ordures et les pervers ont proliféré soudain sous nos yeux ébahis, faisant ouvertement de la vérité un mensonge et du mensonge la vérité, nous traitant de « complotistes », de « terroristes », d’extrême droite, de « populistes »… 

Lorsque nous affirmions que c’était « la Terre qui tournait autour du soleil et non pas le soleil autour de la Terre », ces chiens de garde de la trahison de l’humanité aboyaient en meutes nous renvoyant à « l’évidence du contraire », nous condamnant au bûcher pour avoir osé critiquer la doxa du narratif des mondialistes au pouvoir, eux qui savaient contrairement aux pauvres rebelles que nous étions et qui n’étaient « qu’ignorance et inutilité » depuis notre naissance ! Nous devions « croire » que c’est le soleil qui tourne autour de la Terre, cela étant une « évidence » que seuls les « complotistes » refusaient de voir !

Les « inutiles » devaient être éliminés, les « substituables » devaient être transformés par le transhumanisme en machines à servir les Maîtres absolus de la vie piratée !

Plus que jamais, nous avons le devoir de nous battre en résistant, en refusant de nous soumettre à cette tyrannie déguisée de bons “prétextes sanitaires”, de “responsabilité morale”, de “devoir”…

L’humanité a été conduite à l’échafaud. Des vies ont été ruinées. Les récalcitrants sont encore maltraités. Les vieux ont été achevés à coups de Rivotril. Les enfants sont muselés et piqués aux produits toxiques remplis d’oxyde de graphène et d’autres substances dangereuses pour la santé physique et mentale. 

La chute fatidique du Capitalisme ultra libéral devait être camouflée par le triomphe des plus riches, la ruine de l’économie, le chômage de masse, les faillites tragiques en très grand nombre, le passage forcé au tout numérique, la disparition de l’argent liquide et le passage au contrôle par le passe vaccinal dont le QR code permettra une identification numérique reliant tout à tout ce qui regarde une personne : ses dossiers de santé, son activité bancaire, ses loisirs, ses fréquentations, ses centres d’intérêt, ses affaires privées, ses idées, sa sexualité…, etc.

Le code de vérification QR ouvre potentiellement la voie à la mise en place d’un “État policier mondial”, contrôlé par la finance. C’est de cette manière que la gouvernance mondiale se mettra en place, grâce à la marque du chiffre dont chacun devra être porteur sous peine d’exclusion et d’élimination du champ contrôlé de la vie.

Jean-Yves Jézéquel

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




Le support philosophique de la Grande Réinitialisation

[Source : medias-presse.info]

Selon le RP Joseph, capucin, qu’est-ce qu’on doit entendre par l’idée de « réinitialisation » de l’homme et de l’humanité ?

[Voir aussi :
Le nouvel ordre des barbares ou comment le Great Reset est programmé depuis 1969 au moins
Klaus Schwab
Great Reset
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Agenda 2030
identification numérique
Transhumanisme
dépopulation
Bill Gates]




Qu’est-ce que le « Conseil pour le capitalisme inclusif » ? C’est le Nouvel Ordre Mondial

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Brandon Smith − Le 14 juillet 2022 − Source Alt-Market

L’idée qu’il existe un programme de gouvernement mondial parmi les élites financières et politiques du monde a longtemps été qualifiée de « théorie du complot » au sein des médias grand public et de l’establishment. Et malheureusement, même lorsque vous parvenez à convaincre les gens de regarder et d’accepter les preuves que les institutions bancaires et certains politiciens travaillent ensemble à leurs propres fins, beaucoup de gens ne veulent TOUJOURS pas envisager l’idée que l’objectif ultime de ces seigneurs du pouvoir est un empire mondial unique. Ils ne peuvent tout simplement pas se faire à l’idée d’une telle chose.

Les gens diront que l’establishment n’est guidé que par la cupidité et que leurs associations sont fragiles et basées uniquement sur l’intérêt individuel. Ils diront que les événements de crise et les changements dans les tendances sociales et politiques sont aléatoires, et non le produit d’une ingénierie délibérée. Ils diront que les élitistes ne seront jamais capables de travailler ensemble parce qu’ils sont trop narcissiques, etc.

Tous ces arguments sont un mécanisme d’adaptation permettant au public de faire face à des preuves qu’il ne peut réfuter autrement. Lorsque les faits deviendront concrets et que les pouvoirs en place admettront ouvertement leurs manigances, certaines personnes reviendront à un déni confus. Ils ne veulent pas croire que le mal organisé à une telle échelle puisse réellement exister. Si c’était le cas, alors tout ce qu’ils pensaient savoir sur le monde pourrait être faux.

Pendant de nombreuses années, le programme de gouvernance mondiale n’a fait l’objet que de chuchotements au sein des cercles élitistes, mais de temps à autre, l’un d’entre eux en parlait à voix haute en public. Peut-être par arrogance ou peut-être parce qu’ils estimaient que le moment était venu de faire accepter cette possibilité à la population. Chaque fois qu’ils l’ont mentionné, ils l’ont appelé le « Nouvel Ordre Mondial ». Les dirigeants mondiaux, de George HW Bush à Barack Obama, en passant par Joe Biden, Gordon Brown, Tony Blair et bien d’autres, ont tous prononcé des discours sur le « nouvel ordre mondial ». L’argent et les élites politiques comme George Soros et Henry Kissinger ont mentionné le NWO sans cesse au fil des ans.

L’une des citations les plus révélatrices de l’agenda provient du secrétaire d’État adjoint de l’administration Clinton, Strobe Talbot, qui a déclaré en 1992 dans le magazine Time que :

Au siècle prochain, les nations telles que nous les connaissons seront obsolètes ; tous les États reconnaîtront une autorité unique et mondiale… La souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout.

Il ajoute dans le même article une citation moins connue :

… Le monde libre a formé des institutions financières multilatérales qui dépendent de la volonté des États membres de renoncer à un certain degré de souveraineté. Le Fonds monétaire international peut pratiquement dicter les politiques fiscales, y compris le montant des impôts qu’un gouvernement doit prélever sur ses citoyens. L’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce réglemente le montant des droits de douane qu’une nation peut prélever sur les importations. Ces organisations peuvent être considérées comme les protoministères du commerce, de la finance et du développement pour un monde uni.

Pour comprendre le fonctionnement de l’agenda, je vous propose une citation du globaliste et membre du Council on Foreign Relations, Richard Gardner, dans un article paru dans le magazine Foreign Affairs en 1974, intitulé « Le chemin difficile vers l’ordre mondial » :

En bref, la « maison de l’ordre mondial » devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas. Cela ressemblera à une grande « confusion bouillonnante et bourdonnante », pour reprendre la célèbre description de la réalité faite par William James, mais en contournant la souveraineté nationale, en l’érodant morceau par morceau, on obtiendra bien plus que par l’attaque frontale à l’ancienne.

Le « NWO » a depuis changé de nom plusieurs fois, le public étant de plus en plus averti de la conspiration. On l’a appelé l’ordre mondial multilatéral, la quatrième révolution industrielle, la « grande réinitialisation », etc. Les noms changent mais la signification est toujours la même.

Au cours des deux dernières années, face à des événements de crise mondiale de grande ampleur, le « nouvel ordre » dont parlaient les globalistes de l’establishment est arrivé, sans presque aucune fanfare ni mention dans les médias grand public. Les prémices d’un gouvernement mondial existent déjà, et il s’appelle le « Conseil pour un capitalisme inclusif« .

Ces derniers temps, de nombreux analystes, dont je fais partie, se sont concentrés sur le Forum économique mondial et son rôle dans l’agenda du gouvernement mondial. Principalement parce que le chef du WEF, Klaus Schwab, est une telle grande gueule et qu’il ne peut s’empêcher de parler des futurs plans de centralisation.

Comme je l’ai noté dans des articles précédents, les élites du WEF ont été beaucoup trop excitées par la pandémie de Covid, pensant qu’elles avaient la crise parfaite pour mettre en œuvre de nombreuses politiques globalistes sous la forme d’une grande réinitialisation. Il s’est avéré que la Covid-19 était loin d’être aussi mortel qu’ils l’avaient initialement prédit lors de l’événement 201, et que le public n’était pas aussi soumis et docile qu’ils l’avaient espéré. Le WEF a vendu la mèche trop tôt.

Ainsi, nous continuons, crise après crise, comme des dominos qui tombent, jusqu’à ce que nous arrivions à l’événement qui, selon eux, poussera les masses à accepter la gouvernance globale. Et alors que le WEF est régulièrement fréquenté par des globalistes de haut niveau, il s’agit plutôt d’un groupe de réflexion de haut niveau, le Conseil pour un capitalisme inclusif semble s’intéresser à la mise en œuvre plutôt qu’à la théorie.

Le fondateur du groupe est Lynn Forester de Rothschild, membre de la tristement célèbre dynastie Rothschild qui, depuis des générations, s’emploie financièrement à influencer les gouvernements. Le pape François et le Vatican se sont publiquement alignés sur le conseil en 2020, et l’un des principaux récits du CIC est que toutes les religions doivent s’unir aux dirigeants du capital pour construire une société et une économie qui soit « juste pour tous ».

Cette déclaration de mission est plutôt familière, car elle fait écho aux objectifs du WEF et à son concept d’« économie partagée«  : Un système dans lequel vous ne posséderez rien, n’aurez aucune vie privée, emprunterez tout, serez complètement dépendant du gouvernement pour votre survie et vous « aimerez ça ».

En d’autres termes, le but du « capitalisme inclusif » est de tromper les masses pour qu’elles acceptent une version relookée du communisme. La promesse sera que vous n’aurez plus à vous soucier de votre avenir économique, mais le prix à payer sera votre liberté.

Le CIC est dirigé par un groupe de leaders mondiaux qu’ils appellent « les gardiens » (non, je ne plaisante pas, c’est réel).

Parmi les membres du CIC figurent : Mastercard, Allianz, Dupont, les Nations unies, la Teachers Insurance and Annuity Association of America (TIAA), CalPERS, BP, Bank of America, Johnson & Johnson, Visa, la Fondation Rockefeller, la Fondation Ford, Mark Carney, le trésorier de l’État de Californie et de nombreuses autres entreprises dans le monde. La liste est longue, mais ce qu’elle représente, c’est une sorte de gouvernement dirigé par les entreprises, avec un congrès de représentants d’entreprises mêlés à des dirigeants politiques souples.

L’une des principales missions du CIC a été de modifier nos modèles économiques afin de « promouvoir l’équité et l’inclusion ». De façon hilarante, les partisans du CIC affirment que « trop de richesses ont été accumulées entre les mains de trop peu de personnes » et que cela prouve que le capitalisme existant ne fonctionne pas, alors qu’ils sont ceux-là mêmes qui ont truqué le système pour centraliser ces richesses entre leurs mains. Ce ne sont pas des « capitalistes », c’est une aristocratie. Pensez-vous vraiment que ces gens vont construire un tout nouveau système qui ne continue pas à leur profiter ?

Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi le Pape a poussé l’idéologie Woke, l’alarmisme climatique et la rhétorique de la religion unique mondiale en conflit avec la doctrine chrétienne traditionnelle, voici pourquoi – Il suit les dictats du CIC.

Une autre mission du CIC est d’imposer des contrôles et des taxes sur le carbone au nom du « changement climatique » dans le but d’atteindre des émissions « nettes zéro« . Comme nous le savons tous, le zéro carbone net sera impossible sans un bouleversement complet de notre économie et de notre industrie, avec la mort de milliards de personnes dans le processus. C’est un scénario irréalisable, c’est pourquoi il est parfait pour les globalistes. Les humains sont les ennemis de la Terre, affirment-ils, et nous devons donc laisser les élites contrôler chacun de nos actes pour nous assurer que nous ne détruisons pas la planète et nous-mêmes, et le processus ne s’arrêtera jamais car il y aura toujours des émissions de carbone à gérer.

Les membres du CIC, dont le directeur de la Bank of America, suggèrent ouvertement qu’ils n’ont pas vraiment besoin de la coopération des gouvernements pour atteindre leurs objectifs. Ils affirment que les entreprises peuvent mettre en œuvre la plupart des mesures d’ingénierie sociale sans aide politique. En d’autres termes, c’est la définition même du « gouvernement de l’ombre » – une cabale massive d’entreprises qui travaillent en tandem pour mettre en œuvre des changements sociaux sans aucune surveillance. Comme indiqué, nous avons déjà vu cela avec la propagation de l’idéologie Woke par des centaines, voire des milliers de sociétés travaillant comme une ruche.

Le CIC est-il la forme finale du gouvernement mondial ? Non, probablement pas. Mais il en est le début ; un gouvernement par les entreprises et les élites financières pour les entreprises et les élites financières. Il contourne toute représentation politique, tout contrôle et équilibre et toute participation des électeurs. Ce sont les conglomérats et leurs partenaires qui prennent les décisions pour notre société de manière unilatérale et centralisée. Et, puisque les grandes entreprises agissent comme si elles étaient séparées du gouvernement plutôt que partenaires du gouvernement, elles peuvent prétendre qu’elles sont autorisées à faire ce qui leur plaît.

Cependant, les entreprises et les globalistes montrant de plus en plus leur vrai visage et agissant comme s’ils devaient être aux commandes, le public doit leur demander des comptes comme s’ils faisaient partie du gouvernement. Et s’il s’avère qu’ils sont autoritaires et corrompus, ils doivent être renversés comme toute autre dictature politique.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




C’est terminé : Les CDC affirment que les personnes exposées au COVID n’ont plus besoin d’être mises en quarantaine

[Source : Aube Digitale]

Par Chris Martenson

Et, juste comme ça, c’est fini.

C’est une énorme nouvelle, les amis. Dans la langue des bureaucrates, c’est un échec quasi-complet devant les faits réels :

  • Aucun symptôme ? Pas de problème.
  • Vacciné ou non ? Même conseil.
  • Exposé ? Même pas besoin de quarantaine.
  • Les étudiants exposés ? Ils peuvent rester en classe, et puis zut, non ?

[Voir aussi :
Une plongée plus profonde dans le retournement des CDC (Anguille sous roche)]

Si vous avez réussi à maintenir votre intégrité pendant cette terrible période, félicitations ! Vous êtes l’une des rock stars de cette aventure. Vous êtes un individu solide qui a du courage et qui s’est tenu ferme et droit quand cela comptait le plus.

Quant à ceux qui ne l’ont pas fait, certains peuvent être pardonnés. Mais beaucoup ne le peuvent pas.

Ceux qui auraient pu et « dû » être mieux informés ? Les médecins qui n’ont pas utilisé les traitements précoces connus et éprouvés pour sauver des vies ? Les autorités de santé publique qui ont enfermé les gens et imposé des masques sur le visage des enfants sans la moindre preuve scientifique à l’appui de ces décisions ? Les administrateurs médicaux des hôpitaux qui ont mordu à l’hameçon monétaire et ont imposé aux patients des régimes toxiques et mortels de Remdesivir et de ventilateurs (encore une fois, sans aucune preuve à l’appui !). Le groupe d’experts en traitement des NIH qui, à ce jour, ne recommande toujours pas la vitamine D, ni aucun autre traitement précoce sûr et efficace ?

Désolé, pas désolé, ces personnes doivent subir des conséquences publiques réelles et durables. Certains médecins devraient perdre leur licence. Certains bureaucrates doivent perdre leur emploi tandis que d’autres doivent être jugés.

J’éprouve des sentiments très forts pour ceux qui se sont fait prendre et qui en ont terriblement souffert. Je me sens vraiment mal pour toutes les personnes qui n’ont pas pu assister au décès d’un être cher ou qui, pour pouvoir continuer à travailler, ont été contraintes de recevoir des injections anti-covid dont elles ne voulaient pas et dont elles n’avaient pas besoin.

Il y a beaucoup trop de cas tragiques. Beaucoup trop de jeunes vies ont été perdues et continuent de l’être. Je suis en colère que cela se soit produit et contre les bureaucrates mesquins et ignorants qui l’ont imposé. Le « syndrome de la mort subite de l’adulte » est une chose maintenant, et les tentatives de normalisation par la presse m’ont fait penser que les entreprises et les journalistes qui se sont engagés dans cette voie devraient être interdits à vie d’exercer à nouveau ce métier.

En voici quelques-uns parmi les nombreux candidats :

L’un des cas les plus marquants de tragédie évitable est celui de Sean Hartman, 17 ans :

Dan Hartman est certain que son fils, passionné de hockey, est décédé à la suite d’une vaccination anti COVID, mais on lui dit très peu de choses sur ce qui s’est passé. Ce père ontarien dit vouloir des réponses sur la mort soudaine de Sean, 17 ans.

« Je ne peux pas le pleurer correctement sans connaître la vérité. C’est différent si quelqu’un meurt dans un accident de voiture, une maladie ou un suicide. Ce n’est ni l’un ni l’autre, c’est une inconnue », a déclaré M. Hartman lors d’une interview diffusée le 30 juillet dans l’émission « The Nation Speaks » de NTD.

Selon l’hommage rendu à Sean par la Beeton Athletic Association Cash Draw, il a commencé à jouer au hockey à l’âge de 5 ans et a ensuite joué pour les TNT Tornadoes à New Tecumseth, en Ontario, pendant trois ans avant de revenir dans sa ville natale de Beeton lors de son année majeure Bantam.

En raison de la pandémie de COVID-19, l’Association de hockey mineur de l’Ontario a mis en place une politique qui exigeait que les joueurs âgés de 12 ans et plus soient vaccinés sous peine de ne pas pouvoir jouer.

Hartman a déclaré que Sean a décidé de se faire vacciner en août dernier afin de pouvoir continuer à jouer, le hockey étant sa passion. En Ontario, la Loi sur le consentement aux soins de santé ne prévoit pas d’âge minimum de consentement, ce qui signifie que les jeunes de l’âge de Sean peuvent se faire vacciner sans le consentement de leurs parents.

« Donc, le 25 août, il a reçu le vaccin de Pfizer. Et le 29 août, il s’est rendu aux urgences – il avait des cercles bruns autour des yeux, une éruption cutanée et il vomissait », a déclaré Hartman.

« Ils l’ont renvoyé chez lui avec seulement de l’Advil. Le médecin n’a pas fait deux tests sanguins qu’il aurait dû faire. Un autre médecin m’a dit qu’il aurait dû les faire. Et le matin du 27 septembre, il a été retrouvé mort sur le sol à côté de son lit. »

(Source : Epoch Times)

Il y a des milliers et des milliers de cas similaires et tragiques. Trop nombreux.

Depuis le début, je dis la même chose que les docteurs McCullough, Malone, Urso, Kory, Marik, Rose et Steve Kirsch, parmi tant d’autres : les vaccins anti-covid n’auraient jamais dû être administrés à toutes les personnes possibles.

Il aurait fallu adopter une approche de stratification de l’âge et du risque. Seules certaines personnes auraient dû être vaccinées, mais jamais des enfants en bonne santé. Jamais.

La diabolisation de questions même simples et tout à fait appropriées était horrible et se poursuit encore aujourd’hui, comme je l’ai souligné dans une vidéo récente sur « Fact Checkers » dans laquelle j’ai couvert un article vraiment horrible du New York Times par Sheera Frenkel. Dans cet article, Mme Frenkel s’est laissée emporter par un verbiage hyperbolique, chargé d’émotion, dans une tentative effrontée de déformer toute question posée par les parents en disant qu’elle était entièrement due à la mésinformation, à des théories du complot et à une position en noir et blanc d’ »antivax ».

Eh bien, si les parents hésitants sont des antivax, alors nous devons dire que ces gens sont dans la grande majorité (et à juste titre) tandis que c’est Mme Frenkel et le New York Times qui sont terriblement hors de l’alignement avec les données.

Loin d’être marginale, l’opinion selon laquelle les enfants n’ont pas besoin du vaccin anti covid-19 représente une minorité significative (pour les cohortes plus âgées) ou une majorité écrasante (pour les plus jeunes) de parents aux États-Unis, au Royaume-Uni et ailleurs.

Les 95 % de parents américains qui ont refusé de faire vacciner leurs enfants de 0 à 5 ans contre le Covid-19 sont-ils « antivax » ? Qu’en est-il des 89 % de parents britanniques qui, à la fin du mois de juillet, avaient refusé de faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans ?

Bien sûr qu’ils ne le sont pas. Ils reconnaissent simplement que l’extrême discrimination par âge du Covid rend la vaccination inutile pour la grande majorité des enfants par ailleurs en bonne santé, tout comme l’immunité acquise par l’infection.

(Source – La diabolisation de la dissidence)

C’est aux psychologues et aux spécialistes des sciences sociales qu’il appartient de comprendre comment la « gauche » a pu devenir les plus grands défenseurs des sociétés pharmaceutiques corrompues dont la corruption a été prouvée par les tribunaux. Peut-être pourrions-nous également inclure des éthiciens et des procureurs.

Traitements précoces

Plus important et plus révélateur dans cette triste saga, des traitements précoces auraient dû être découverts et utilisés à bon escient, comme ils l’ont été dans de nombreux autres pays.

Le simple fait que les deux graphiques ci-dessous n’aient jamais fait l’objet d’un débat sain et vigoureux en dit long sur l’ampleur réelle de la corruption.

Depuis plus d’un an, l’Uttar Pradesh botte le c*l de tous les pays occidentaux dans la lutte contre le covid, et ce, grâce à des programmes de traitement précoce simples et efficaces qui ressemblent à ceci :

Le kit comprenait :

  • Ivermectine
  • Azithromycine (Z-pac)
  • Doxycycline
  • Zinc
  • Vitamines D et C

Il est évident que cette approche a fonctionné et a très bien fonctionné, non seulement en réduisant le nombre de décès, mais aussi de cas. Avec moins de cas moins graves, il y a fort à parier qu’ils ont également réussi à réduire les longues périodes du covid.

Le Dr Pierre Kory a récemment écrit un article d’une qualité exceptionnelle sur la manière dont l’Uttar Pradesh a accompli son étonnant exploit. Tout a commencé avec un dirigeant qui n’a pas eu peur de commencer par éradiquer la corruption :

Le miracle méconnu dans le monde entier : Le succès de l’Uttar Pradesh

L’Uttar Pradesh (UP) est un État du nord de l’Inde qui compte 231 millions d’habitants. C’est là que se trouve le Taj Mahal. Si c’était un pays, il serait le sixième plus grand du monde.

À mon avis, la réussite historique de l’UP repose sur l’intégrité de son ministre en chef (CM) Yogi Adityanath. Il est un moine hindou et est connu pour sa politique de tolérance zéro contre la corruption. On ne saurait trop insister sur l’importance de cette qualité, surtout au vu des corruptions incessantes de la science médicale et de la politique de santé publique qui se manifestent chaque jour depuis deux ans.

Depuis sa prise de fonction en tant que CM il y a plus de trois ans et demi, il a pris des mesures contre 775 fonctionnaires corrompus de l’UP issus du service administratif et du service de police indiens. Son leadership pendant le COVID devrait servir d’exemple d’inspiration historique aux politiciens. Ils devraient prendre note de la façon dont des politiques honnêtes et directes conçues dans le but singulier de servir et de protéger le bien public peuvent réussir en politique.

En mars 2020, Yogi Adityanath a convoqué (et présidé) un comité composé de 11 hauts fonctionnaires chargés de gérer différents aspects tels que la surveillance et la recherche des contacts, les tests et les traitements, l’assainissement, le confinement, l’application de la loi, la livraison à domicile, les problèmes des migrants, la stratégie de communication, etc.

Il est à noter que l’UP a commencé par être forte dès le début. Dès le début de la pandémie, en mars 2020, s’inspirant du protocole national de l’Inde, l’UP a immédiatement adopté l’hydroxychloroquine pour la prévention du COVID pour tous ses travailleurs de la santé ainsi que pour les contacts familiaux de tous les cas confirmés en laboratoire.

Rappelons que la promesse de traitement de l’HCQ était connue depuis la première pandémie de SRAS, un fait souligné depuis longtemps par Anthony Fauci. Pourtant, dans le COVID, lorsque sa menace pour l’industrie pharmaceutique en tant que traitement efficace est devenue réalité, Fauci a essentiellement mené la première campagne de désinformation contre un médicament reconverti dans la pandémie. Sa campagne est décrite dans le livre de RFK Jr, The Real Anthony Fauci, dans la première section du chapitre 1, intitulée « Killing Hydroxychloroquine ».

Puis, en août 2020, UP a rompu avec les fédéraux et a changé son protocole pour l’ivermectine après une « expérience » à Agra, une ville de 1,6 million d’habitants. Le chef des unités de l’équipe d’intervention rapide de l’État, le Dr Anshul Pareek, avait décidé de mener une étude sur l’ivermectine en tant qu’agent préventif sur la base du rapport d’un vétérinaire (pour être juste, il s’appuyait également sur d’autres rapports cliniques prometteurs chez l’homme).

L’UP a immédiatement commencé à administrer de l’ivermectine aux contacts proches des cas positifs dans le district et a constaté des résultats profondément positifs. Sur la base de ces observations, les autorités sanitaires de l’État ont donné le feu vert à l’utilisation non autorisée de l’ivermectine non seulement en prévention… mais aussi en traitement. C’était leur protocole d’utilisation de l’ivermectine :

  1. Les contacts proches des patients atteints de COVID-19
  2. Personnel soignant
  3. Soins généraux des patients atteints du COVID-19

Remarquez que le gouvernement de l’UP a fait ce que mes collègues et moi-même avions imploré depuis le début de la pandémie. Faire une analyse décisionnelle des risques et des avantages en cas d’urgence. Comme on le fait en temps de guerre. Même si le point de vue était que les preuves des essais cliniques pour le HCQ ou l’IVM étaient  » insuffisantes « , les preuves des dommages étaient presque nulles, alors que les preuves des dommages d’un COVID généralisé non traité étaient évidemment catastrophiques.

Source – Pierre Kory Substack

Alors, pourquoi les pays occidentaux n’ont-ils pas réussi à remarquer l’incroyable succès de l’Uttar Pradesh ? Je dis que c’est parce qu’ils ne le voulaient pas. C’était volontaire, malin et mauvais. Fauci (en tant que substitut de tout professionnel de la santé corrompu et en conflit) préférait le pouvoir, l’argent et la célébrité qui découlaient d’une longue crise. Ces personnes en conflit n’ont pas pensé à tuer et à blesser davantage de personnes, préférant maintenir la crise en jeu aussi longtemps que possible.

Nous avons souffert aussi longtemps, et tant de gens sont morts, parce que nos gouvernements ne se soucient pas de leur propre peuple. Parce que les grands médias ne se soucient pas de leurs concitoyens. Parce que les entreprises, et surtout les entreprises pharmaceutiques, ne se soucient pas des gens. Elles se soucient plus de l’argent, du contrôle et du pouvoir que de toute autre chose.

C’est ce que je pense fermement et sans ménagement. Ces gens ne peuvent pas être réformés. Ce sont des marchandises endommagées. Les institutions ne peuvent pas être réformées, elles doivent être démantelées et recommencées. Les sociétés ne peuvent être sauvées, elles doivent être dissoutes et leurs actionnaires et détenteurs d’obligations doivent subir de lourdes pertes afin que la prochaine fois, le capital se pose un peu plus de questions.

Le grand retour en arrière

Alors pourquoi les CDC reviennent-ils sur leurs « conseils » à ce stade ? Je ne sais pas, mais il n’y a pas de nouvelles études à ma connaissance qui auraient fait pencher la balance d’un côté ou de l’autre.

Je pense plutôt que c’est le gouvernement danois qui a rendu illégale l’administration de vaccins aux mineurs (<18 ans) après avoir finalement constaté que le rapport risque-récompense n’était pas favorable.

Il va devenir très difficile pour les CDC de maintenir une quelconque intégrité si certaines agences sanitaires occidentales commencent à affirmer l’évidence alors que les CDC continuent à conseiller à leurs propres citoyens de sacrifier leurs enfants et eux-mêmes à la machine à vaccins anti-covid.

Si cela reste leur conseil – stupidement – cela ne durera pas longtemps, à mon avis. Les bureaucraties doivent faire marche arrière par étapes.

Et puis il y a un nombre croissant de pays qui remarquent ouvertement que leurs chiffres de mortalité toutes causes confondues sont beaucoup trop élevés et qui commencent à enquêter :

Quand environ 4 000 personnes de trop meurent en l’espace de trois semaines, c’est très inconfortable et les gens finissent par le remarquer. Et, quand ils le font, oh là là, attention !

Ou peut-être est-ce simplement que les CDC ont lu les derniers sondages, qu’ils ont compris que les démocrates allaient perdre leur majorité et qu’ils essaient d’anticiper les enquêtes que les républicains ne manqueront pas de lancer dès qu’ils le pourront ?

Quelle que soit la raison, c’est trop peu et trop tard. Les CDC ont perdu à jamais ma confiance et tous ceux qui y travaillent portent la responsabilité de ce qui s’est passé, certains plus que d’autres, bien sûr.

Conclusion

C’est fini, les amis. Rangez vos affaires ! La grande pandémie de Covid est terminée. Comme je l’avais prédit en décembre 2021, Omicron était la fin de Covid, mais il a fallu beaucoup trop de temps et beaucoup trop de vies supplémentaires pour que cette réalité se concrétise.

Je prédis qu’il faudra encore de nombreux mois avant que le Canada, la Nouvelle-Zélande et l’Australie ne se réveillent enfin de leurs cauchemars autoritaires, mais cela arrivera aussi. Avec, je l’espère, des conséquences extrêmes pour Trudeau, Morrison, Arden, Andrews, Mme Freeland et d’innombrables autres minarets bureaucratiques.

Pour aider à guérir de ce désastre, nous devons être aussi accueillants que possible pour ceux qui se réveillent enfin et veulent être réintégrés comme membres à part entière du Remnant. Bien sûr, ils seront en probation pour toujours, mais ils seront les bienvenus.

Dans l’immédiat, je demande des excuses globales aux personnes blessées par le vaccin et à leurs proches qui ont été horriblement étouffés par l’establishment médical. Ils méritent notre soutien, et ils l’auront.

Et pour tous ceux qui ont tenu bon, vous êtes mes amis pour la vie et je salue chacun d’entre vous !

Traduction de PeakProsperity par Aube Digitale


À propos de l’auteur

Chris Martenson, PhD (Duke), MBA (Cornell), est un chercheur économique et un prospectiviste spécialisé dans l’énergie et l’épuisement des ressources, et fondateur de PeakProsperity.com. L’un des premiers écoblogueurs à avoir prédit l’effondrement du marché immobilier et la correction du marché boursier des années à l’avance, Chris a acquis une certaine notoriété avec le lancement de son séminaire vidéo fondamental : The Crash Course, qui a également été publié sous forme de livre (Wiley, mars 2011). The Crash Course est une distillation populaire et extrêmement appréciée des forces interconnectées de l’économie, de l’énergie et de l’environnement (les « trois E », comme Chris les appelle) qui façonnent l’avenir – un avenir qui sera défini par des défis croissants à la croissance telle que nous l’avons connue.




Aucun Mirabeau ou Lafayette encore prêt à rejoindre le camp dit « souverain »

Par Lucien SA Oulahbib

Alors que les mauvaises nouvelles et les fausses informations s’amoncellent (échecs de la politique des sanctions, de l’injection Covid-19, de la « contre-offensive » de Kiev, le tout non contrebalancé par ladite « maladie » de Poutine, de ses supposés « 80 000 » morts en Ukraine, de la « canicule » — ce nom hygiéniste pour l’été) force est de constater néanmoins que hormis des médecins de renom, quelques sociologues et intellectuels, il n’y a guère de défections parmi les instances académiques étatiques et privées régissant la vie intellectuelle culturelle et politique de l’Occident à la différence de ce qui s’est passé à l’aube des Révolutions américaines et françaises.

D’où les attaques narquoises des nettoyeurs (les « vérificateurs ») qui ont beau jeu de jouer de l’argument d’autorité tout en établissant des corrélations farfelues entre « complotistes » de tous bords, sur une base réelle cependant, celle de cette dichotomie de plus en plus manifeste entre ceux qui cherchent la vérité (au sens ici criminologique : il y a bel et bien eu crime et non pas seulement celui du « sentiment ») et ceux qui veulent la masquer dans tous les sens du terme désormais.

Aussi n’est-il pas étonnant d’observer que les menteurs, profiteurs, affairistes, scientistes, hygiénistes sont d’un côté et forment la Secte Scientiste-Hygiéniste-Affairiste de type néonazi (manip génétique et génitale, sélection — encore ourdie — par la couleur de peau) ; alors que de l’autre se rassemblent, non sans conflits et difficultés, d’authentiques démocrates au sens fort (au-delà des courants républicanistes et monarchistes), celui du pouvoir du peuple par le peuple pour le peuple, ce que les membres de la Secte (ploutocratique en son sein) nomment désormais « populisme »…

Ainsi parfois la binarité a du bon, car elle permet, à un certain moment crucial, celui de la guerre, de clarifier les positions : en 38 et en 40, il n’y avait pas de position intermédiaire entre Hitler et Churchill, même Staline a dû choisir après 1941. Certes Franco et la Suisse ne l’ont pas fait, le premier pour des raisons idéologiques et stratégiques (la guerre civile a laissé l’Espagne exsangue), la seconde par souci de ne pas imploser en chemin tant elle est formée de trois populations (germaine, italienne et francophone), antagonistes ailleurs. Mais cela n’empêche qu’à un moment donné il faut bien cataloguer, classer, créer des systèmes d’alliance, et même prévenir, rompant en effet avec le principe westphalien, comme aurait dû le faire la France en 1936 en empêchant Hitler de remilitariser la Rhénanie, comme l’a fait l’intervention de la Russie dans le Donbass alors qu’il s’agissait d’un conflit interne à l’Ukraine, mais qui allait devenir sanglant pour les populations russophones, comme enfin l’a fait Churchill en soutenant de Gaulle alors que sa mutinerie était une affaire franco-française. Par contre et en effet, les immiscions de services secrets US et UK (coup contre Mossadegh), français (Ben Barka), belges (Lumumba), mais aussi soviétiques (soutien aux brigades rouges et à l’OLP) et israéliens (ambiguïté contre-productive quant au conflit Hamas/Fatah et cela se voit de plus en plus depuis l’abandon non justifié militairement de Gaza), ces immiscions se retournent souvent contre les initiateurs… Les cas du Tibet et de Taïwan sont à part parce que tout simplement le régime maoïste n’incarne pas la Chine authentique, autant sinon fermer les yeux sur l’intervention soviétique à Berlin-Est à Budapest à Prague et ne pas empêcher la Corée du Nord d’envahir la Corée du Sud : la vision réaliste des relations internationales est nécessairement dynamique et non pas statique et isolationniste…

Et concernant ici notre sujet, l’on voit bien qu’un Mélenchon par exemple, malgré ses positions très « westphaliennes », n’a rien d’un Mirabeau soutenant la « Cause du Peuple », mais plutôt d’un Hoxha (que d’un Tito), appendice en fait de la Secte dont il est l’un des opposants « officiels » juste pour la galerie des Glaces (pour les assoiffés du Pouvoir « whatever it takes“…)

Au niveau académique et institutionnel, rien en effet ne surnage de consistant hormis Mucchielli sur les effets secondaires de la Covid-19 (quoique inopérant sur ses analyses « anti-sécuritaires » tant il ne voit pas le côté politique scissionniste de la délinquance djihadisée encouragée par un système scolaire à bout de souffle). De son côté, l’Institut de France soutient mordicus que l’injection agit au moins sur les formes « graves » (ce qui s’est déjà révélé faux puisque les injectés meurent bien plus que les non injectés), et il n’y en a guère chez les non injectés âgés (du moins lorsqu’ils sont pris à temps ils ne débouchent pas sur du « Covid long »).

Et comme ces institutions ont également la même position de soutien scientiste aux élucubrations sur ledit « réchauffement », elles alimentent également l’alarmisme et le catastrophisme qui mettent de plus en plus sur le dos du climat des proliférations virales dont les origines naturelles sont de plus de plus sujettes à caution tant les recherches légales et illégales sur les « gains de fonction » pullulent, n’évitant pas des fuites et des accidents (in)volontaires.

Nous sommes donc de plus en plus dans un séparatisme académique similaire à celui qui a frappé les académies allemandes et russes lorsque respectivement l’eugénisme et le lyssenkisme ont dominé ces structures, le premier revenant par la bande avec la PMA/GPA, ainsi que le second via les manipulations génétiques. D’où l’idée d’un néo-eugénisme lyssenkiste fer de lance académique de la Secte SHA néonazie prête à faire des expériences génitales et génétiques au nom du “trans” (humanisme) du panhumanisme, réalisant ainsi le projet des partisans déconstructionniste de la “mort de l’homme” en particulier occidental ce bras armé du néo-eugénisme lyssenkiste ossature eschatologique néonazie de la Secte SHA.

Comment secouer cette double prise scientiste-hygiéniste-affairiste, académique et institutionnelle, sinon en créant des contre “académies” au sens grec, ce qui prolifère d’ailleurs dans les structures scolaires “hors contrat” dans des cercles gréco-judéo-chrétiens, des médias de la réinformation objective au sens non pas de dire “la” vérité, mais de faire en sorte que par la diversité des analyses un consensus se dégage peu à peu pour classer “ce qui est” près de la vie et du peuple se séparant de ce qui veut seulement “la mort de l’homme” à commencer par son immunité biologique, sa libre pensée culturelle, pour toucher à son anatomie physio psychosociologique elle-même.




L’exclusion des soignants et pompiers non vaccinés est aussi un acte de censure dissimulée

Par Nicole et Gérard Delépine

Les soignants vaccino prudents ainsi que les pompiers, premiers témoins des désastres vaccinaux, ont été exclus du milieu médical, puis ostracisés parce que le ministre ne voulait pas qu’ils parlent, racontent leurs constatations, ni qu’ils servent d’exemple !

Maintenant les hôpitaux, les cliniques obstétricales ferment tandis que les déserts médicaux se multiplient aux dépens des malades.

Il n’y avait aucune raison sanitaire d’exclure les soignants vaccino prudents

Avant la mise sur le marché des vaccins, lors de la première vague, aucune étude n’a prouvé que les soignants constituaient une source notable de dissémination de la maladie. Les 300 covids nosocomiaux répertoriés en France sont dus aux conditions d’attente aux urgences et à l’absence de ventilation efficace des services.

Au moment où le gouvernement a imposé cette obligation, il reconnaissait lui-même que les pseudo vaccins n’empêchaient ni d’attraper la maladie ni de la transmettre donc que les injections des soignants ne pouvaient pas protéger les malades au vu des courbes d’évolution de l’épidémie mondiale publiées par l’OMS.

On pouvait s’en douter depuis plus d’un an, au vu de la flambée épidémique dans les pays précocement et massivement vaccinés, Islande, Royaume-Uni, Gibraltar, Israël alors que l’Afrique et Madagascar peu vaccinés ont beaucoup moins souffert.

Les vaccinés sont aussi dangereux pour les personnes qu’ils approchent que les non-vaccinés. 

Les données sur le mois de juin 2022 de la Direction de la recherche, des études, évaluations et statistiques du ministère de la Santé laisseraient même envisager que la vaccination avec rappel augmente le risque d’infection. La proportion de tests positifs se révèle plus faible chez les non-vaccinés que chez les vaccinés avec rappel (788/100 000 vs 846) dans la catégorie des 40-59 ans, comme dans celle des 60-79 ans (584 vs 757).

Le gouvernement se réfugiait derrière la prétendue protection des formes graves qui s’est depuis elle aussi révélée fausse et qui ne pouvait en aucune manière constituer un argument d’obligation vaccinale.

Alors pourquoi le gouvernement a-t-il imposé cette obligation ?

Il n’y a aucune raison sanitaire de maintenir l’exclusion des soignants vaccino prudents

L’académie de médecine s’est opposée à une éventuelle réintégration des soignants non vaccinés sans aucun argument scientifique. Lorsqu’elle prétend qu’un « revirement mettrait en péril les malades fragiles », elle est incapable d’apporter la moindre étude clinique à l’appui de son affirmation infondée. Et son affirmation est d’autant moins crédible qu’elle a accepté que les soignants covid positifs continuent leur activité auprès de ces malades fragiles…

Elle se réfugie derrière des motifs psychologiques en prétendant croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister entre soignants », alors que ceux qui travaillent encore n’attendent que d’être renforcés par leurs collègues et amis.

Elle fait aussi semblant de croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister avec les patients » alors que ceux-ci préfèrent avoir des soignants expérimentés plutôt que des vigiles à l’entrée des hôpitaux et que la peur qui en paralyse encore beaucoup n’est pas la conséquence d’un danger réel, mais seulement de la propagande terrorisante qui se poursuit et qu’elle pourrait contribuer à calmer.

Lorsque les vieux retraités de la médecine qui constitue la majorité de l’académie prétendent que « la réintégration ne résoudrait pas les difficultés de l’hôpital », ils paraissent ignorer la réalité du terrain rappelée par les médecins en activité comme Gérald Kierzek(([1] émission Points de vue du 13 juillet 2022.
https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-reintegrer-les-soignants-non-vaccines-gerald-kierzek-pousse-un-coup-de-gueule_498050)), Jean-François Cibien, (président de l’intersyndicale Action Praticien Hôpital)(([2]« Ils ne sont pas des parias », s’insurge-t-il.
https://www.midilibre.fr/2022/06/24/crise-a-lhopital-face-a-la-penurie-de-soignants-faut-il-reintegrer-le-personnel-non-vaccine-contre-le-covid-10394277.php)), Yannick Neuder, Patrick Pelloux(([3] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/sante-publique/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-5-medecins-repondent-sans-langue-de-bois)), Antoine Flahault(([4] https://twitter.com/FLAHAULT/status/1549756425928327168)) pourtant infatigable provax, le professeur Yonathan Freund, urgentiste à l’AP-HP…

« Outre la pénurie de soignants, il est dommage de se priver de compétences et de personnes qui ont donné parfois 20 ou 25 ans à leur métier. Aucune quantité n’est négligeable aujourd’hui. Dans une équipe à flux tendu, quand on enlève une ou deux personnes, c’est très compliqué… On a besoin de tout le monde pour assurer la qualité et la sécurité des soins. »

Quant à la HAS, on comprend mal la base scientifique de son avis, dont la conclusion est en contradiction avec l’exposé. Pour justifier le maintien de l’obligation vaccinale, les experts de la HAS prétendent en effet que « la protection vaccinale se situe entre 45 % et 55 % contre les infections symptomatiques dans les trois mois suivant l’injection » mais se contredisent plus loin en reconnaissant que « le niveau d’efficacité contre les infections après trois mois n’est pas précisément connu à ce jour ». L’absence d’indépendance de la HAS dont tous les membres sont nommés par les politiques a été démontrée ailleurs et fait peser bien des doutes sur la fiabilité de leurs avis.(([5] HONTE A LA HAS EMANATION DU POUVOIR DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

En réalité l’exclusion visait à empêcher que ces soignants et pompiers n’informent les patients avec des informations directes du vécu du terrain (qualifiées de complotistes)

La censure des médecins vaccino prudents, et leur diabolisation, ont commencé très tôt dans les médias excluants systématiquement ceux qui contredisaient les mensonges officiels (tels que l’utilité du confinement et d’autres mesures prétendument sanitaires telles que le masque ou la distanciation des écoliers [!], la qualification « vaccin » attribuée à des médicaments sans antigène ni anatoxine, la nature expérimentale des injections jusqu’en 2023, leur efficacité proclamée de 95 %, leur intérêt chez les enfants…).(([6] AUTOPSIE D’UN CONFINEMENT AVEUGLE, G ET N DELEPINE, ÉDITIONS FAUVES SEPT 2020)) Très vite après les premières injections, les ambulanciers, urgentistes, pompiers ont été frappés par les « accidents » type AVC, crise cardiaque qu’ils étaient amenés à prendre en charge. Et très rapidement ils ont été soumis au SILENCE imposé par leur hiérarchie sous peine de sanctions, voire de licenciement.

Les témoignages personnels et par les réseaux sociaux sont légion de ces personnes soumises à des pressions fortes et déstabilisatrices et dont l’état psychologique est aujourd’hui gravement perturbé, ajoutant à la peur vécue, un sentiment de culpabilité. Ils ont su tôt et n’ont rien dit, en dehors des plus « forts » qui ont osé refuser l’injection et se laisser suspendre et vilipender.

Cette censure des professionnels a été avouée et officialisée par la modification du code de la santé publique obligeant les médecins qui s’expriment à se conformer dorénavant à la propagande gouvernementale.(([7] Le décret du 24 décembre 2020 modifiant l’Article R. 4127 — 19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle))

Elle a été renforcée par le conseil de l’ordre qui a rétabli le délit d’opinion(([8] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion)), poursuivi les médecins, et en a condamné pour la simple expression de vérités dérangeantes. Récemment une nouvelle charrette de médecins poursuivis est dénoncée d’autant qu’il s’agit de médecins ayant eu l’extrême audace de soigner et guérir leurs malades au nom du serment d’Hippocrate et contre l’interdiction du ministre Véran d’utiliser l’hydroxychloroquine et les antibiotiques contre ce petit virus (qui a l’outrecuidance de passer à travers les pores des masques imposés).

L’exclusion des soignants vaccino prudents et des pompiers est en réalité essentiellement un acte de censure visant à empêcher les professionnels du soin et de leur accompagnement, conscients de l’inefficacité et surtout des complications des injections rapidement apparues et constatées dans leur pratique quotidienne, d’en informer les patients. Les autres, demeurés dans le système, ont été soumis à la règle du silence absolu et du pseudo devoir de réserve. Demandez-leur !

Cette exclusion fait partie du plan de propagande pro vaccin mis au point avec un cabinet de conseil (McKinsey ?) utilisant la vieille technique des sociétés communistes d’exclure les opposants politiques de leur profession. Ont-ils pris des leçons auprès du PCC(([9] Parti communiste chinois. N’oublions pas que notre gouvernement a suivi à la lettre les règles aberrantes de confinement appliquées en Chine, avant toute épidémie avérée et dangereuse démontrée en France. E. Macron nous expliquait, quelques jours avant d’imposer le confinement strict, qu’il fallait aller au théâtre, vivre normalement. Qui l’a fait changer d’avis en quelques jours ?)) ?

Cette haine contre les opposants à sa dictature sanitaire explique seule leur exclusion du chômage et de toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Seule cette haine contre les résistants peut justifier la persistance de l’obligation en France et en Italie alors que la quasi-totalité des pays européens voisins n’y a pas eu recours ou l’a supprimée

Traiter les soignants vaccino prudents d’antivax est une diffamation

Les soignants qui ont refusé les pseudo vaccins ne sont pas des anti vax : jusqu’à la mise sur le marché conditionnelle des injections expérimentales ils étaient à jour de leurs vaccinations et n’avaient jamais rechigné à administrer à leurs patients de vrais vaccins.

Les traiter d’antivax comme le font couramment ministère et médias constitue donc un mensonge et une injure destinés à les discréditer aux yeux de la population.

Les pouvoirs publics les ont désignés comme de dangereux irresponsables, des antisciences, un comble pour des médecins et infirmiers. L’équivalent, prétendaient-ils, « de matheux contestant les théorèmes les plus solides » alors qu’ils avaient scientifiquement raison.

Avec des vaccins qui empêchent mal la transmission contre Omicron, le refus de la réintégration des soignants vaccino prudents ne constitue donc pas une protection des patients contre le virus, mais une mesure de censure féroce contre la diffusion d’un prétendu « complotisme » dans les hôpitaux. Cette décision aggrave évidemment le vide hospitalier et l’incompréhension des équipes de plus en plus conscientes de la bêtise de cette exclusion sans argument scientifique, relevant d’un totalitarisme qu’ils devinent et ne voudraient pas voir.

Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale plaide pour l’apaisement :

« On est dans une société fragilisée, fracturée. On a besoin de retrouver de la cohésion, du lien social, du respect réciproque, de la responsabilisation, et je ne pense pas que cela se fasse en jetant le discrédit et l’anathème sur des personnes qui, au tout début de la crise, sont allées sur le terrain, dans les EHPAD, dans les services hospitaliers sans le moindre soutien, sans les moindres moyens. “Ces soignants ont été souvent considérés comme des héros. Et du jour au lendemain, les répudier d’une manière aussi rapide et brutale me pose problème”.

La réintégration des soignants non vaccinés, ainsi que d’ailleurs des pompiers réfractaires, qui seraient bien utiles sur le front des incendies de forêt, se révèle donc nécessaire. Le pragmatisme y rejoindrait la morale. Toutefois, pour calmer les craintes des patients ayant succombé à sa campagne de communication, il faudrait que les pouvoirs publics admettent avoir cloué au pilori pour rien de nombreux professionnels. Voire, via le pass sanitaire puis vaccinal, commis un chantage à l’emploi et à la vie sociale sur des millions de jeunes et piétiné allègrement leurs droits et libertés au prétexte de les empêcher de contaminer les personnes à risques… sans raison médicale valable ».

Il faut réintégrer immédiatement les soignants et les pompiers scandaleusement ostracisés et supprimer toutes les censures qui empêchent tout débat démocratique depuis plus de deux ans.

Heureusement des voix s’élèvent pour la réintégration des non-vaccinés y compris à l’Assemblée nationale !

La sénatrice Laurence Muller-Bronn prend la défense des soignants suspendus non vaccinés sur France Soir : « On les traite comme… — (les-republicains.net)


Quelques témoignages





L’hystérie climatique remplacera-t-elle l’hystérie covid19 ?

Par Nicole Delépine

« Un pays n’est richesse que d’hommes ».

Jean Bodin, économiste du XVIe siècle.

REFUSONS LE PRINCIPE DU PASS ENVIRONNEMENTAL DÈS MAINTENANT

Il faut bien tenir le peuple en laisse, dans la grande peur, sinon il ne laisserait pas spolier les travailleurs, les vieux, les jeunes, par les milliardaires au pouvoir mondialiste comme durant ces deux dernières années. Mais leurs croquemitaines covid et variole du singe sont de moins en moins crédibles et ces puissants commencent à le comprendre.

Alors passons vite à autre chose en attendant le vaccin miracle antiCO2, antitabac ou ozone… Que sais-je encore ? Ils vont tenter d’instaurer une nouvelle panique qui terrorisera et anesthésiera les citoyens du monde pour leur permettre de poursuivre leurs forfaitures. Ils ont bien préparé le terrain… Le moneypox dit variole du singe aurait dû faire l’affaire, mais c’est mal parti tellement sont rares les patients atteints et tant la ressemblance avec les effets secondaires du covid est frappante. Ils essaient…

LA MISE EN CONDITION DE LA CLASSE BIBERON SUR LE CHANGEMENT CLIMATIQUE

Bien des auteurs attirent notre attention sur cette nouvelle rengaine tellement enseignée aux enfants depuis plus de dix ans. Beaucoup ne savent pas lire, à la sortie de l’école, ni écrire comme en témoignent leurs tristes tweets et même parfois des remarques d’instit dans les cahiers des élèves.

Mais ils savent tous que l’Homme serait responsable du « réchauffement climatique » (mais il paraît qu’on aura froid en 2030, qui sait ?…) et qu’il faut fermer les centrales nucléaires (pourtant innocentes dans l’émission de CO2). En pratique les sectaires écolo qui ont éduqué nos jeunes rouvrent les centrales à charbon. Peu importe, il faut tout mélanger et bloquer toute réflexion via l’intoxication, les jeux, les écrans, la TV.

POURSUIVONS L’INFORMATION SUR LE COVID19 et LE CLIMAT : REMARQUONS LES PARALLÈLES DANS LA PROPAGANDE

Alors, continuons à mettre en garde contre le masque qui rend psychotique à force de le porter(([1] L’affligeante dépendance de certains Humains au Masque, outil d’enfermement : urgent de DÉMASQUER et l’imposture et le peuple ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )), et contre le pseudo vaccin anticovid inefficace et dangereux, même si de bons signaux arrivent comme le renoncement apparent de A Fischer sur la vax des enfants et les aveux de Delfraissy.(([2] Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Mais ils ne lâcheront pas prise si facilement.

Restons très vigilants, car son successeur pourrait bien nous proposer, voire imposer, un vax miracle contre la variole du singe dont vous ne risquez rien sauf si vous êtes un mâle homo (votre droit le plus entier). Cependant, comme pour le vaccin Gardasil de plus en plus fortement conseillé à tous les garçons, avec tous ses risques sous prétexte de ne pas « discriminer » les garçons homo (à risque pourtant bien faible de cancer anal), généraliser le vax contre la variole du singe — maladie bénigne qui ne touche que quelques groupes à risque — serait médicalement et éthiquement insupportable. Libre à eux de se faire vacciner s’ils le désirent.

LES MISES EN GARDE DES SCIENTIFIQUES SUR LES QUESTIONS ENVIRONNEMENTALES

Tentons de transmettre les appels à la raison de spécialistes du domaine qui crient dans le désert depuis plusieurs années dans le silence assourdissant des médias, comme pour le covid19 depuis deux ans. Le « changement climatique » sera la prochaine « hystérie pandémique » !?… nous dit Robert Bibeau.

 29 juillet 2022 Robert Bibeau 

Un directeur de CNN a été filmé en caméra cachée en train de reconnaître que la chaîne a décidé que le « changement climatique » serait la prochaine « hystérie pandémique » parce que « la peur fait vendre ».

28.29.07.2022.ToddCalender-GBad-Hysteria-climatico-English-Italiano-Spanish

Selon Charlie Chester, directeur technique de CNN :

« le public n’a plus peur du Covid-19 et les élites ne peuvent plus l’utiliser pour contrôler les masses… Les médias ont besoin d’une “histoire” avec “longévité”. »

Project Veritas a publié une série en trois parties exposant Charlie Chester admettant que CNN « inventait des histoires » pour destituer Trump.

Selon Project Veritas, ces enregistrements secrets ont été réalisés alors que Chester avait des rendez-vous sur Tinder avec un journaliste infiltré de Veritas.

Dans la vidéo, on peut entendre Chester dire que « l’histoire de Covid-19 » touche à sa fin et que CNN est prête à commencer à vendre l’histoire du « changement climatique » et à recommencer d’instiller la « peur ».

CLIQUEZ POUR VISIONNER :

Manipulation : Après le covid, le réchauffement climatique ! (lemediaen442.fr)

mise à jour le 03/08/22 place à la dictature climatique !

Quelques lanceurs d’alerte informent sur la manipulation des masses via le climat

Le physicien François Gervais s’oppose à cette manipulation que les médias diffusent. À la base de ses arguments scientifiques : le cycle de Milankovic.(([3] https://www.nice-provence.info/2020/12/07/co2-produit-par-homme-n-influence-pas-climat/)) Ses détracteurs ne paraissent pas l’innocence même en termes de conflits d’intérêts.(([4] Dans le Monde « Les contre-vérités du dernier pamphlet climatosceptique », le climatologue F-M Bréon critique le livre de F Gervais : « L’innocence du carbone ». Innocent de conflits d’intérêts ce climatologue à l’IPSL ? Financé par EDF et EIT Climate-KIC. L’européen EIT financé par Air Liquide, CEA, Danone, Engie, KLM, The Carbon Trust, Veolia, WWF, entre autres… Depuis oct 2020, FM Bréon est président de l’Afis.  Glyphosate et pesticides en tous genres, cf Elise Lucet dans Envoyé spécial, ont trouvé leur défenseur : l’Afis. Comme pour le covid19 et les précédents scandales sanitaires, les conflits d’intérêts sont au cœur du drame.))

[Transféré de LANAGR – Lutte anti-NOM et Grande Réinitialisation] sur Telegram

Sur Twitter, Telegram, et Cnews via Ivan Rioufol, également des appels au bon sens

#Climatocircus (https://t.me/climatocircustchat) —

Il y a des mois et des mois, voire des années que certains alerteurs, nous prévenaient qu’après le pass sanitaire et le pass vaccinal, les gouvernements vont tenter de nous imposer un projet de pass climatique ou pass carbone pour restreindre et contrôler toujours plus les populations.

Les médias nous faisaient passer pour des complotistes ! Voilà maintenant que des médias mainstream évoquent ouvertement un « pass climatique ». Qu’ont à dire les moutons naïfs et les pro-système qui ont traité les anti-pass et les anti-Nouvel Ordre Mondial de complotistes ?

LANAGR — Lutte anti-NOM et Grande Réinitialisation : https://t.me/lutteantinometgrandresetTchat et partage d’infos Mensonges d’États : https://t.me/mensongesdetatstchat

LES DOUZE MENSONGES DU GIEC

Grâce à Y Rioufol et son émission sur Cnews, nous avons découvert l’ingénieur polytechnicien Christian Gerondeau et son livre « religion écologique 2 » qui nous a permis d’obtenir des réponses sur les interrogations qui nous travaillent depuis longtemps, ayant une conscience diffuse de la supercherie ambiante.

Le scénario Greta Thunberg(([5] « Greta Thunberg, icône d’un écologisme naïf » (lefigaro.fr) )) nous avait éveillés aux mensonges mondialistes sur le sujet tant la mise en scène de cette enfant manipulée était énorme. Depuis lors, notre vigilance était éveillée et cette émission de Cnews et surtout la lecture du livre de C. Gerondeau ont confirmé nos doutes.

Dans son dernier livre, il revient sur le déroulement de la COP 26 de Glasgow en Novembre 2021, puis dénonce les agissements du GIEC (organisme politique qui prétend parler « au nom de la science »), les « douze contre-vérités majeures qui constituent le socle de la religion écologiste qui règne aujourd’hui en Occident.(([6] Les 12 mensonges du GIEC sur le climat (polemia.com) ))

La dernière « Conference of Parties » (COP) n’a pas entériné la « fin du charbon », les représentants indien et chinois ont obtenu la rédaction d’un texte non contraignant.

En conséquence, ces deux pays les plus peuplés du monde (et les USA) continueront à émettre sans limites réelles du CO2, contredisant définitivement les résolutions solennelles des 25 COP précédentes. On peut constater que depuis cette réunion, l’Allemagne en a profité en remettant en marche ses mines de charbon (qui nous envoie ses nuages de pollution) et que la France s’apprête à en faire de même au prétexte mensonger de punir la Russie !(([7] Centrale à charbon de Saint-Avold : une réouverture déjà prévue après trois mois de fermeture (la-croix.com) )) C’est dire la fiabilité de ces grands rounds cinématographiques qui mobilisent les médias pendant des semaines et régalent les participants de petits fours et champagne au minimum.

Le Giec, que nos médias appartenant aux milliardaires nous présentent en permanence comme une instance scientifique, n’est en réalité qu’un comité politique.

1) «  Le GIEC agirait pour le bien de l’humanité »

Ce mantra est vite démonté par l’auteur lorsque l’on découvre sa composition. Le GIEC Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat a été créé en 1988, à la demande du G7 par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Il rassemble 195 États membres par l’Organisation Météorologique Mondiale et le Programme pour l’Environnement des Nations Unies.

Comme toutes les institutions onusiennes (l’OMS par exemple), le GIEC n’est pas une association de personnes physiques, mais une association de pays : ses membres sont des nations, non des personnes physiques. Aucun individu — et en particulier aucun chercheur — ne peut être membre du GIEC « en direct » : les personnes qui siègent aux assemblées du GIEC ne font que représenter des pays membres et sont bien souvent des politiques non scientifiques.

Tous les pays membres des Nations Unies sont membres du GIEC (deux exceptions, Taiwan et le Vatican –) Il ne s’agit donc pas d’un organisme de recherche, mais d’un groupe qui effectue une évaluation et une synthèse des travaux de recherche menés dans les laboratoires du monde entier. Le GIEC effectue une revue de presse : il examine et synthétise ce qui s’est publié dans la littérature scientifique sur la question de l’influence de l’homme sur le climat (et par voie de conséquence sur le fonctionnement du climat, avec ou sans hommes).(([8] Qu’est-ce que le GIEC ? — Jean-Marc Jancovici site intéressant à consulter pour connaître les méthodes de travail du Giec, mais qui est inquiétant quand il affirme que toutes les conclusions du Giec sont des certitudes : «  On peut donc considérer que tout ce qui fait l’objet d’un consensus dans les rapports du GIEC peut être tenu pour une certitude. Il en va ainsi, en particulier, des conclusions suivantes :
« la concentration de l’atmosphère en CO2 est plus élevée qu’elle ne l’a été sur les 800 000 dernières années, cette augmentation entraîne un changement climatique dont l’une des caractéristiques (mais pas la seule) est une augmentation de la température moyenne de la planète au niveau du sol. C’est l’ampleur de ce réchauffement qui demeure un objet de débat, mais pas le fait que globalement le climat va changer et en particulier la moyenne des températures va monter ».
Or en science qui peut oublier le « doute fertile » ?))

Seuls les revues scientifiques à comité de lecture ou les travaux en cours dans les laboratoires de recherche sont pris en compte). Mais chacun a pu constater pendant la crise du covid que les revues ne sont pas financièrement indépendantes et que, comme en médecine, elles publient ce qu’elles veulent ou plutôt ce que veulent leurs financeurs. Les opposants à la thèse du réchauffement climatique qui serait uniquement lié à l’activité humaine ont le plus grand mal à se faire publier et à obtenir, qui plus est, des crédits de recherche. Or l’argent est le nerf de la guerre…

En faisant croire qu’il serait possible de se passer des énergies fossiles, le GIEC entraîne tous les pays qui le suivent sur la voie de dépenses et de contraintes inutiles aux très lourdes conséquences. Les pauvres et les plus déshérités en sont les premières victimes.

Ainsi, l’électricité, indispensable pour de multiples usages clé de sortie de la pauvreté, mais cette énergie ne peut être produite en grande quantité que par le recours à des centrales hydroélectriques, nucléaires ou thermiques et non par des sources intermittentes peu efficaces et peu durables comme les éoliennes ou les panneaux photovoltaïques.

Dans les pays en développement, les centrales à gaz ou à charbon demeurent les seules solutions réalistes. En préconisant à un pays comme l’Inde de ne pas émettre de CO2, le GIEC condamne à la famine une grande partie de sa population.

2) deuxième mensonge : le Giec et ses affidés veulent faire croire que les énergies renouvelables peuvent remplacer le pétrole et les autres énergies fossiles

Or les énergies renouvelables ne peuvent répondre au maximum qu’à 10 % des besoins énergétiques de l’humanité et non à 80 % comme l’affirme le GIEC.

En Allemagne, où plus de 300 milliards d’euros ont été dépensés pour couvrir le pays de plus de 30 000 éoliennes et de millions de panneaux photovoltaïques, ceux-ci ne lui procurent qu’un peu plus d’un tiers de son électricité, c’est à dire moins de 8 % de son énergie finale, les 92 % restants étant principalement fourni par le pétrole, le gaz naturel et le charbon.

Le but de l’UE et pays aux ordres de supprimer entièrement le recours aux énergies fossiles pour en finir avec les émissions de CO2, en 2050 ou en 2100, relève donc de l’utopie ou plutôt d’un mensonge absolu pour faire accepter au peuple ces énormes dépenses pour les éoliennes, par exemple dont on ne sait que faire trente ans plus tard et dont le démantèlement obligatoire coûte énormément d’argent. Et nous avons tous rencontré des éoliennes à l’arrêt qui défigurent la France ! Quant à leurs dangers, ils ont été bien cachés, mais les chutes et les feux deviennent visibles.(([9] Il aura fallu 4 camions de pompiers et 15 hommes pour éteindre une éolienne toute neuve ayant pris feu en Côtes-d’Armor
https://www.epochtimes.fr/cotes-darmor-eolienne-toute-neuve-feu-demande-lintervention-de-4-camions-de-pompiers-15-sapeurs-pompiers-a-bourbiac-2085354.html
👉 t.me/Epochtimesfrance
➡️ La mise en service de ce parc éolien est toute récente))(([10] 13/10/2019 « Les éoliennes, tout sauf écologique »
Découvrez ce que le lobby du vent vous cache sur les éoliennes
https://www.lanceurdalerte.info/2019/10/13/les-eoliennes-tout-sauf-ecologique/))(([11] https://arr.bzh/img/appel%20%C3%A0%20projet.pdf
NB : Le lieu d’implantation de ce projet d’éoliennes n’est pas le lieu de l’incendie, mais relativement proche.
L’actualité montre qu’ailleurs en France, des éoliennes sont implantées dans des zones Natura 2000 ou en pleine forêt, malgré les avis défavorables des conseils municipaux, des enquêtes publiques et de diverses associations locales de protection de la nature ou du patrimoine.
En effet, les éoliennes industrielles bénéficient d’une procédure spécifique pour leur implantation — dans laquelle les industriels peuvent par exemple obtenir une dérogation pour « destruction d’espèces protégées ». Et malgré les possibles recours, c’est finalement le préfet qui a le dernier mot.
‼️‼️ Plus d’infos et pétition à signer ici : https://arr.bzh/eoliennes/))

« Après la chute d’une éolienne à Plémet, c’est une éolienne de Bourbriac qui prend feu. Personne ne pourra désormais nous dire que l’énergie éolienne est sans danger. Bretagne

https://actu.fr/bretagne/bourbriac_22013/une-eolienne-en-feu-a-bourbriac-pres-de-guingamp_52957609.html »

3) un mensonge de plus pour faire peur serait le manque imminent de pétrole

Malgré les prévisions pessimistes des années 1970, les réserves connues représentent actuellement cinquante ans de consommation, sachant que les réserves réelles sont très largement supérieures.

4) le cinéma de la mer qui va nous submerger ne correspond pas à la réalité

Il s’agit d’une des peurs ancestrales de l’humanité déjà présentée dans la bible comme le « châtiment de dieu », mais les satellites constatent seulement une montée des eaux de 2 à 3 millimètres par an depuis une quarantaine d’années ; au rythme actuel il faudrait dix mille ans pour que Paris devienne enfin Paris sur mer. On va devoir attendre…

5) La température devrait s’élever dramatiquement

Cette peur, fondement central de la communication du GIEC n’est pas démontrée.

Au cours des 40 dernières années, les satellites ont relevé une croissance de l’ordre de 0,013 à 0,020° par an, ce qui conduirait à une hausse de l’ordre de 0,4 à 0,6° en 2050, si elle se poursuivait inchangée.

« De 1910 à 1940, le globe avait déjà connu pendant trente ans un rythme analogue de croissance de la température avant d’entrer dans une phase de décroissance jusqu’en 1975, à tel point que les médias unanimes et de nombreux climatologues de l’époque pronostiquaient l’arrivée imminente d’un nouvel âge glaciaire ! »

6) Les réfugiés climatiques vont-ils déferler ?

Depuis 1950, la hausse des températures dans les zones équatoriales et subtropicales a été d’environ un demi-degré Celsius !

Les migrations proviennent plutôt du vol des richesses par l’Occident, de leurs matières premières, de leurs semences, et des interventions inopportunes dans les pays africains qu’on devrait laisser libres au lieu de continuer à les pousser à suivre nos modes de vie et de raisonnement économique.

L’immigration majeure organisée par Soros et ses amis mondialistes n’a rien à voir avec le climat, mais bien avec la volonté de détruire l’Occident dont les populations sont trop réfractaires à leurs projets.

7) Le changement climatique serait responsable de toutes les catastrophes

Il n’y a qu’à tenter de regarder les abominables journaux TV lors d’une catastrophe climatique.

“Lors des nombreuses catastrophes naturelles qu’a connues l’humanité, dont beaucoup sont sorties de la mémoire collective, personne n’aurait eu l’idée de rendre responsable le « changement climatique » d’origine humaine comme le fit sans scrupules Angela Merkel au sujet des inondations en Allemagne survenues en 2021”.

En revanche silence contre la bétonisation à outrance dans les villes et les campagnes et l’assèchement des marais, qui compromettent le stockage naturel des eaux de pluie et aggravent les périodes de sécheresse.

8) Les ours blancs seraient en danger

Ces plantigrades carnivores ont failli disparaître il y a une cinquantaine d’années à cause des chasses incontrôlées auxquelles les autorités canadiennes ont mis fin en 1975 et la situation s’est normalisée. Les ours blancs existent depuis des centaines de milliers d’années et leur espèce a traversé des successions de phases glaciaires et interglaciaires.

Et peut-être n’ont-ils pas une bande à Bill Gates et Soros pour vouloir les faire disparaître par tous les moyens, famine, vax toxiques, guerre, etc.. La terre est immense et très vide dans de nombreux endroits et le mythe de la surpopulation qu’on ne pourrait pas nourrir est organisé par les milliardaires fous et psychotiques qui cherchent à faire disparaître tous les hommes qui ne leur sont pas « utiles » à leurs menus plaisirs ni adeptes de leurs coutumes.(([12] Le mythe de la surpopulation — Les Observateurs occasion de montrer, à l’aide, entre autres, de l’article consacré au malthusianisme par le « Dictionnaire du libéralisme »[1], que la surpopulation est un dogme d’une religion sans fondements.))(([13] Elon Musk déclare que « la plus grande menace » à laquelle l’humanité est actuellement confrontée est « l’effondrement de la population » (anguillesousroche.com)
Elon Musk : « La civilisation va s’effondrer » si les gens n’ont pas plus d’enfants (anguillesousroche.com) ))

9) Le CO2 serait un polluant(([14] Le grand mensonge écolo que presque tout le monde prétend croire — Aube Digitale L’affirmation fantaisiste selon laquelle le CO2 est un polluant a été inventée de toutes pièces.))

Affirmation pour le moins audacieuse et que leurs médias aux ordres ont réussi à passer dans la jeune génération élevée par les enseignants pour un bon nombre au biberon de la pseudo écologie. En conséquence des adolescents croient que les centrales nucléaires font du CO2…

Il y a trente ans, personne n’aurait osé qualifier le CO2 de polluant. Car le gaz carbonique est indispensable à la vie en tant qu’élément central de la photosynthèse. Sans CO2 les plantes n’auraient pas de feuilles qui leur permettent de respirer et de nous fournir l’oxygène qui nous est indispensable. Nous en émettons nous-mêmes à chaque respiration de même que les vaches, notre amie nourricière qu’ils voudraient faire disparaître comme ils ont commencé aux Pays-Bas suscitant la révolte des agriculteurs.

L’accroissement de la présence de CO2 dans l’atmosphère depuis les débuts de l’ère industrielle a eu deux conséquences bénéfiques, à savoir que la planète reverdit (lorsqu’on ne coupe pas tous les arbres, comme trop de maires se le permettent, dont celle de Paris) et que la productivité des récoltes est meilleure.

« Vérité n° 1 avant le pass climatique, foutre l’économie française en l’air, imposer des restrictions dans notre malheureux pays surendetté, désindustrialisé, fera plaisir aux Khmers verts, mais ne contribuera pas à la réduction des émissions de CO2…

Le monde émet 35 milliards de t de CO2, dont 10,7 pour la seule Chine et 4,7 pour les États-Unis. La France avec 0,26, représente 0,7 du total mondial, moins que le Qatar et les Émirats (dix fois moins peuplés)

Il y a 40 ans les émissions mondiales ne s’élevaient qu’à 19 milliards de t, dont 1,5 pour la Chine, 4,7 pour les États-Unis et 0,51 pour la France qui représentait alors presque 3 % du total mondial

Il n’est pas évident que les pets de nos vaches expliquent l’augmentation du gaz carbonique qui par ailleurs n’explique peut-être pas un réchauffement climatique qui lui-même n’est pas évident…

Mais tout çà c’est trop compliqué pour un journaliste, la France n’est pas responsable du CO2 pas plus que nos vaches »(([15] EN 40 ANS LA FRANCE A RÉDUIT DE MOITIÉ SES ÉMISSIONS DE CO2, la sobriété française ne sauvera pas la planète et en plus rien ne prouve que le CO2 impacte les températures… | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

10) L’écologie favoriserait l’emploi et la croissance

Énorme duperie qui a fait plier trop de communes grâce aux subventions énormes pour leur laisser installer les éoliennes qui massacrent le paysage et finalement leurs finances. Car en fin d’exploitation c’est à la commune ou au propriétaire du champ loué qui deviennent propriétaires de l’éolienne en fin de contrat, et responsables de son démontage horriblement coûteux :

« Une association du Massif central a obtenu un devis d’une société de démolition industrielle et de récupération de matériaux pour évaluer le coût du démantèlement d’une centrale éolienne. Cette société est agréée pour réaliser ce type de travaux, elle possède le certificat ISO 14 001 correspondant. Cette estimation est donc entièrement crédible. Le devis se monte à 900 000 € pour une éolienne de 3 MW »(([16] https://environnementdurable.net/documents/pdf/demantelementtotal-sn.pdf))

Arnaque grand A !

En réalité, les dépenses consenties au nom de l’illusion vaine de « sauver la planète » détruisent massivement des emplois dans le secteur industriel et n’aident jamais nos agriculteurs, surchargés de normes souvent inutiles, à survivre dignement.

11) Le GIEC serait un groupe d’experts

Le mot « expert » ne figure pas dans la dénomination anglaise (« Intergovernmental Panel on Climate Change ») du GIEC, organisme non scientifique, mais politique regroupant 195 pays dont les représentants n’ont pour la plupart aucune expertise en matière de climat.

« Depuis sa création en 1988, cet organisme a compté quatre présidents dont aucun n’était climatologue. Les deux premiers étaient météorologistes (ce qui est entièrement différent), le troisième ingénieur des chemins de fer, et le dernier économiste.

En 2021, le rapport de 4 000 pages de la co-présidente, la Française Valérie Masson-Delmotte, indique qu’il a été élaboré par 751 auteurs issus de 66 pays (existe-t-il tant d’experts qualifiés du climat répartis dans autant de pays ?), tout en citant 14 000 références et en mentionnant avoir fait l’objet de 78 007 commentaires ! En fait, les conclusions rendues publiques émanent d’un petit groupe de rédacteurs finaux qui n’ont fait que reproduire en l’aggravant le contenu des cinq rapports précédents. »

12) Les scientifiques seraient unanimes

Vous assistez depuis deux ans et demi à la pseudo-unanimité des scientifiques dans le domaine du Covid et vous en voyez les monstrueuses conséquences d’appauvrissement, et de mortalité à la suite des confinements et autres mesures restrictives de liberté et des complications des injections géniques appelées abusivement vaccins.(([17] Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
ARRÊTEZ LES INJECTIONS ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Ce sont les mêmes mondialistes eugénistes qui possèdent les médias et censurent tous les avis contradictoires sur les réseaux sociaux.

Nous devons boycotter Facebook et autres Instagram qui intoxiquent la jeunesse entre autres et font le black-out sur de sérieux scientifiques qui dénoncent les mensonges.

« Depuis la création du GIEC, de nombreux scientifiques ont dénoncé et continuent à dénoncer ses affirmations. Ainsi, en 2019, 500 scientifiques, parmi lesquels des titulaires de Prix Nobel, ont adressé au Secrétaire Général des Nations-Unies une déclaration restée sans réponse, intitulée “Il n’y a pas d’urgence climatique”. »

Les six paragraphes sont les suivants :

  • 1/ Le climat terrestre a toujours varié 
  • 2/ Le réchauffement actuel est beaucoup plus lent qu’annoncé 
  • 3/ La politique climatique repose sur des modèles inadaptés 
  • 4/ Le CO2 est la nourriture des plantes, la base de toute vie sur terre
  • 5/ Le réchauffement climatique actuel n’a pas accru les désastres naturels
  • 6/ La politique doit respecter les réalités scientifiques et économiques

Le moment est venu de faire appel à la science, la vraie, celle qui repose sur des faits et non des hypothèses. D’après l’article de Johan Hardoy 07/06/2022(([18] Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

BATTONS NOUS CONTRE LE PASS CLIMATIQUE AUSSI FORTEMENT QUE CONTRE LE PASS SANITAIRE SON FRÈRE !

Nos libertés n’existent que tant que nous les défendons.
Si on accepte une restriction de celles-ci,
quel qu’en soit le prétexte,
nous ne savons pas si on les récupérera un jour.
Vive la liberté !

⁦@nstweetfr‬⁩

Aujourd’hui, on commence à parler de pass climatique, ce qui est complètement fou quand on sait que China Coal, une entreprise de charbon basée à Pékin, a émis à elle seule plus de 3,8 milliards de tonnes de CO2 en 2020, soit plus que l’ensemble des pays européens la même année. pic.twitter.com/74xZXP90ZL‬‬‬‬‬‬





« Il faut manipuler 2 émotions pour obtenir une soumission psychique » – Ariane Bilheran, Vincent. Pavan

[Source : epochtimes.fr]

Ariane Bilheran est docteur en psychopathologie, psychologue clinicienne et philosophe. Spécialiste de l’étude des manipulations, de la perversion, de la paranoïa et du harcèlement, elle a écrit de nombreux ouvrages et donné plusieurs conférences en lien avec ces sujets au cours de sa carrière.

 Vincent Pavan est maître de conférences et chercheur en mathématiques à l’université d’Aix-Marseille, département Polytech. Ses recherches portent notamment sur la théorie cinétique et l’équation de Boltzmann.

Il y a quelques mois, Ariane Bilheran et Vincent Pavan ont publié « Le Débat interdit – Langage, Covid et totalitarisme » aux éditions Guy Trédaniel.

Un ouvrage qui interroge la façon dont la langue, la logique et la science ont été dévoyées et perverties par le pouvoir politique, les médias ainsi que certains médecins et scientifiques pour exercer une contrainte psychique sur la population dans le cadre de la crise sanitaire.

 «  J’avais identifié que nous avions affaire à ce qu’on appelle un peu vulgairement une psychose de masse, c’est-à-dire un délire, une croyance totalement dénuée de rapport avec la réalité de l’expérience. Il fallait remonter aux premiers principes de ce délire paranoïaque, comprendre sur quoi il se fonde  », explique Ariane Bilheran.

 «  Il est très important de revenir aux racines du délire paranoïaque, que ce soit d’ailleurs pour l’individu ou pour le collectif, pour en saisir la nature et, surtout, le mensonge. C’est ce que nous avons fait en interrogeant les conditions d’exercice de la science. Nous avons fait un travail d’épistémologie et de condition philosophique, de philosophie des sciences. » Dès que l’on comprend qu’il y a eu une corruption de la science, et en particulier des mathématiques, une imposture frauduleuse dès le départ, on comprend aussi que toute la suite ne tient pas debout  », poursuit la philosophe.

Un constat que partage Vincent Pavan :

«  J’ai été bouleversé de me rendre compte que les mathématiques qui, normalement, sont une discipline très précise, très rigoureuse, ont été complètement dévoyées, qu’elles ne servaient pas à décrire le réel mais, au contraire, à créer l’illusion de façon totalement délirante.  »

 «  Ce discours mathématique dévoyé, ce discours scientiste, servait à la fois une idéologie politique et également un comportement psychique de nature sans doute paranoïaque ou pervers.  »

 «  Nous voulions comprendre l’articulation entre le discours scientiste et la façon dont il était récupéré par l’idéologie pour manipuler et faire en sorte que tout le monde avance dans le sens du délire  », observe le mathématicien.

 S’ils se sont attachés à mettre en lumière la façon dont les mathématiques et la science ont fait l’objet d’une instrumentalisation politique pendant la crise, Ariane Bilheran et Vincent Pavan ont également analysé la façon dont la langue et les discours ont été manipulés, corrompus et avilis afin de subjuguer la population et de justifier les mesures politiques prises dans le cadre de l’épidémie.

 «  Nous avons analysé la logique, la rationalité́ et, bien sûr, la question de l’utilisation de la langue pour créer le lavage de cerveau, ou, pour reprendre un terme de Mao, la rectification de la pensée  », souligne Ariane Bilheran.

 « Tous les phénomènes manipulateurs empruntent le chemin d’une imposture, d’une perversion au nom de la langue pour réussir à semer le doute, la confusion et entrainer l’autre dans sa propre histoire, c’est-à̀-dire dans une histoire où l’on voudrait qu’il soit prisonnier », ajoute-t-elle.

Dans le cadre de leur analyse de la corruption du langage, Ariane Bilheran et Vincent Pavan se sont notamment appuyés sur les travaux de Victor Klemperer, écrivain et philologue allemand victime des persécutions nazies qui a étudié les ressorts de la propagande du régime hitlérien et la façon dont la langue fut manipulée pour asseoir l’idéologie totalitaire du IIIe Reich.

 «  Dans le phénomène totalitaire, il y a la question de la censure de la liberté d’expression. Il y a des mots qui deviennent dangereux, que l’on n’a plus le droit de prononcer, et il y a des mots qui sont sanctifiés, que nous devons au contraire intégrer dans la nouvelle religion  », précise Ariane Bilheran

Pour les auteurs du « Débat interdit », les champs politique et médiatique n’ont d’ailleurs pas hésité à recourir à des mécanismes de manipulation bien connus en psychologie pendant l’épidémie liée au virus Sars-CoV-2, certaines méthodes employées s’apparentant, selon eux, à une forme de « torture psychologique ».

 «  Pour coloniser quelqu’un psychiquement, il faut rentrer chez lui. Pour rentrer chez lui, il faut créer un choc, il faut créer ce que l’on appelle une effraction psychique, une effraction traumatique, c’est-à̀-dire le sentiment d’une imminence de mort pour soi ou pour autrui. Cela a été́ largement agité dans les médias de masse  », explique Ariane Bilheran.

 «  Pour soumettre également quelqu’un, il faut réussir à créer ces chocs de façon répétée, sur la durée, en laissant des moments d’accalmie pour que la personne ait la sensation que c’est terminé. Ce sont des méthodes de torture psychologique  », ajoute-t-elle.

D’après Vincent Pavan, plusieurs médecins et scientifiques intervenus dans les médias ont joué un rôle néfaste en entretenant la peur à travers des prédictions alarmistes reposant sur des modèles et des données erronés :

 «  Il y a eu une manipulation de la parole scientifique, de la parole médicale qui s’apparente à une torture psychologique. En racontant des choses complétement fausses, en dehors de toutes les règles usuelles de prise de parole de la science ou de la médecine, on a plongé́ les gens dans une angoisse très importante.  »

 «  Tous les médecins de plateaux télé qui ont annoncé l’apocalypse ont participé à cette confusion mentale. Des personnes qui, normalement, doivent être dans la modération, dans la mesure, dans le soin, jamais dans le sensationnalisme, ont joué́ le rôle de prédicteurs d’apocalypse », poursuit le mathématicien.

Si les auteurs estiment que la gestion de la crise a mis en lumière la déconnexion entre la science et le réel, ils soulignent que les décisions prises et les discours tenus dans le cadre de l’épidémie révèlent aussi « un parti pris idéologique très puissant », la volonté de mettre en place une nouvelle organisation sociale dans laquelle l’homme serait privé de son humanité et de son identité propre afin d’être soumis à une logique techno-sanitaire.

 «  Ce qui est important, c’est de bien voir qu’il y a une véritable idéologie derrière. Elle s’impose de manière sournoise à travers la langue. L’étude de la langue dit souvent énormément de choses sur l’idéologie souterraine qui anime les décideurs, les idéologues, les propagandistes  », explique Vincent Pavan.

 «  On veut réduire l’individu à un QR code, le mettre dans des banques de données, le réduire à un flux d’informations. C’est comme cela que l’on voit l’individu de demain […]. Dans la société́ du futur, c’est l’algorithme optimal qui donnera le mode d’organisation de la société́, et si vous n’êtes pas d’accord, vous faites partie des gens qui n’auront vraisemblablement plus le droit de vivre en société.  »

Pour Vincent Pavan, cette idéologie sous-jacente est notamment caractérisée par l’hubris et le transhumanisme  :

 « Il y a cette idée que nous allons vers le futur homme-machine pour sauver l’individu, défini par son information et sa mémoire. L’augmentation de l’homme par la biotechnologie fait partie des moyens de le débarrasser des scories de son corps. »

 «  Le surhomme doit être créé pour aller vers une société́ optimale. Les mathématiques sont censées nous guider vers cette société optimale que seul l’ordinateur pourrait calculer en disposant de tous les paramètres. Dans les sociétés totalitaires, c’est toujours l’ensemble qui prime sur l’individu, et si la solution optimale pour l’ensemble nécessite que l’on se passe de certains, on le fera. Il y a cette idée des « inutiles », chère à Yuval Noah Harari(([1] « Le Covid est capital parce que c’est ce qui convainc les gens d’accepter, c’est ce qui légitime la surveillance biométrique totale », Yuval Noah Harari, conseiller principal de Klaus Schwab et leader du Forum économique mondial)), que l’on voit d’ailleurs à travers la suspension des personnels non vaccinés, qui sont considérés non essentiels alors que l’hôpital hurle du manque de moyens, que les pompiers se battent contre les incendies, etc… On les laisse en dehors car, refusant la biotechnologie que l’on veut leur imposer, ils ne peuvent prétendre au statut d’homme augmenté qui seul pourra, à l’avenir, permettre de constituer une société meilleure, optimale à tous les niveaux.  »

«  La division de la société́ entre des surhommes et des sous-hommes est aujourd’hui totalement assumée », ajoute Ariane Bilheran, « C’est quelque chose qui, à mon avis, doit poser question. La logique totalitaire est une logique de division, une logique de sacrifice de ceux qui, pour une raison ou pour une autre, ne peuvent pas accéder au nouveau stade du surhomme tel qu’il va être défini selon l’idéologie du moment.  »

 «  Dans la pensée paranoïaque, le corps humain est un objet inerte, une gestion statistique de corps infectés, non-infectés, l’individu est réduit à un cas. Il n’y a pas d’interactions complexes, les êtres humains sont réduits à des corps et à des chiffres, ce qui légitime l’utilisation de QR Codes et notre asservissement, voire une éventuelle éradication future, puisque s’il y a trop de chiffres dans l’équation, il faut bien les supprimer.  »

Pour Ariane Bilheran, la gestion de la crise sanitaire a ainsi consacré «  l’ambition de traiter les êtres humains comme des unités mathématiques  ».

 «  Cela traduit une société́ terrifiée par la vie, qui cherche à se maintenir dans la survie. La vie suppose des prises de risque et de l’aventure, c’est aussi de l’imprévu, de l’accident, du mouvement ; et c’est aussi la maladie et la mort.  »

Et la philosophe de conclure :

«  Je crois que la masse a rarement raison. Quand nous sommes témoins de phénomènes collectifs qui s’emballent, nous devons garder une certaine distance afin d’analyser ce qui se passe avant d’accepter d’y rentrer.  »

Epoch Times France


[Voir aussi :
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19]


À propos d’Ariane Bilheran :

Après avoir intégré l’Ecole Normale Supérieure (Ulm), Ariane Bilheran a choisi d’ajouter à sa formation initiale de lettres classiques un double cursus en troisième cycle de philosophie et de psychologie.

 Son doctorat de psychopathologie a porté sur la temporalité psychique dans la psychose.

 Ariane Bilheran exerce une activité de psychologue (consultations, formations, supervisions, diagnostics souffrance au travail) et enseigne la psychologie clinique à l’Université de Provence. Elle dirige également la société Sémiode, un cabinet de conseil et d’études de sémiologie et d’anthropologie culturelle.

 Depuis 2015, Ariane Bilheran réside en Amérique du Sud où elle poursuit son activité clinique ainsi que son travail de recherche et d’écriture, tout en consacrant une part de son temps à des actions agricoles et humanitaires.

Titre, Diplôme :
Normalienne (Ulm), Master Lettres Classiques, Philosophie et Psychologie.

Fonction actuelle :
Psychologue, Dirigeante de la société Sémiode.

Pour suivre Epoch Times France :

 Voir notamment les autres articles d’Ariane Bilheran [+ Vidéos] :

Référence :




Idriss Aberkane, la science peut-elle être humaine ?

Par Alain Tortosa

Cher monsieur Aberkane, le battage sur les réseaux sociaux à propos de votre interview accordée à l’Express(([1] ExpressGate : l’entretien d’Idriss Aberkane avec l’Express en exclusivité sur FranceSoir
https://www.youtube.com/watch?v=0Bi_1-BzY88)) a excité ma curiosité et conduit à regarder(([2] Pour être honnête, je n’en ai regardé que 55 minutes, ce qui me semblait suffisant pour me forger une opinion.)) ce fameux entretien que vous avez eu avec deux de leurs journalistes.

Mon propos, monsieur Aberkane, s’articulera en deux temps, un premier sur la forme et un second sur le fond.

En préambule, vous ne me connaissez pas bien sûr, monsieur Aberkane (bon j’arrête le M. Aberkane dont vous avez largement usé pour déstabiliser les journalistes), mais si vous prenez le temps de lire quelques-uns de mes écrits(([3] Https://7milliards.fr)), vous constaterez que je ne suis certainement pas du côté de la caste journalistique.

Vous (je suppose) et moi savons que dans leur immense majorité ceux-ci sont des lâches qui préfèrent leur paye à leur dignité, des corrompus qui ont vendu leur âme au diable ou des débiles qui croient être des génies de l’Olympe.
Ceci pour préciser que je ne les porte pas dans mon cœur et ainsi ne pas me faire de procès d’intention.
Je précise aussi ne pas avoir lu l’article de l’Express.

La forme

Ce serait vous faire affront que de vous considérer naïf.
Nous connaissons le « travail » de l’Express depuis des années et encore plus depuis la crise Covid.

Faisant le reproche aux journalistes de ne pas avoir fait un minimum de recherches sur Google pour connaître leur sujet, il me semble évident que vous, à la différence, avez fait ce travail les concernant.

Alors une première question se pose :

« Pourquoi avoir accepté cette interview ? »

J’estime que ce serait vous faire offense de penser que vous auriez pu imaginer bénéficier d’un travail neutre, objectif ne trahissant aucune de vos pensées ou de vos travaux.

Qui pourrait imaginer un travail honnête et sérieux de leur part (je souligne une fois de plus, le mépris que j’ai à leur encontre).

Dès lors, accepter leur proposition d’interview indique un objectif « autre ».

D’entrée de jeux vous procédez à la mise en scène… je pourrais dire la scène du crime.

  • Vous savez que vous êtes largement plus intelligent que vos interlocuteurs.
  • Vous savez que leur bagage scientifique est plus que léger.
  • Vous savez qu’ils travaillent mal et se croient en mission.

Afin de les « détendre », vous leur expliquez que :

« Tout ce que vous allez dire sera utilisé contre vous. »

Ainsi que :

« Vous allez être enregistrés ET diffusés. »

Notons qu’à ce stade je ne comprends pas pourquoi les journalistes acceptent ou plutôt si, je comprends, ils sont idiots et inconscients du piège qui va se refermer sur eux.

Et ce que vous aviez certainement planifié se produit, un jeu de massacre…

D’aucuns pourraient y voir narcissisme, méchanceté, « vengeance » (ils l’ont bien mérité).
Nombre de vos propos sont d’une extrême violence à leur encontre, quand bien même ils ne sont que vérité objective.
J’ai été mal à l’aise à de très nombreuses reprises et ressenti une méchanceté gratuite.

Je pourrais vous imaginer alors « légitimement » narcissique, mais je pense que votre démarche était uniquement « scientifique ».
De la science, de la logique froide et sans émotions…

J’ai pu assister à une démonstration (facile), prouvant, si cela était encore nécessaire, que les journalistes étaient incompétents, de mauvaise foi, imbus d’eux-mêmes et surtout du côté du « bien ».
De fait je ne comprends pas vraiment l’intérêt de piétiner des fourmis.
Si d’aventure cette action avait un fond émotionnel alors la victoire n’eût pas été auréolée de gloire.

J’imagine mal Novak Djokovic se réjouir d’une victoire contre un enfant handicapé de 5 ans.

D’autre part, si l’objectif était une démonstration purement scientifique sans état d’âme alors ici aussi, il m’est difficile d’y voir autre chose qu’une banalité…
OK, l’eau chaude ça brûle, OK les glaçons sont froids, mais quel intérêt de le redémontrer ?

En fait il faut attendre la fin de l’interview pour que vous annonciez que vous faites une enquête sur l’Express et qu’effectivement ces journalistes en sont les cobayes.

Cette interview semble de fait un acte politique.

Mais le problème des débats politiques est qu’aucun des camps ne change d’opinion lors d’un débat.

  • Les « pour » Idris pourront se réjouir d’une mise à mort qui ne serait que « justice » au regard du mal qu’ils nous font. Une preuve de plus de leur malhonnêteté et absence de dignité.
  • Les « contre » verront en Idris un être froid narcissique qui fait des attaques personnelles gratuites pour « masquer son incompétence » (je vous rappelle que je n’ai pas lu la publication de l’Express qui ne m’apporterait rien).

Je reste sur ma faim, pourquoi vouloir enfoncer une porte ouverte ?

Le fond

La science serait au service de l’homme.

Comment ne pas bondir de sa chaise face à de tels propos ?
L’histoire du monde regorge d’exemples où la science est au service de la destruction, de la souffrance, de la suppression des libertés, du mal, et j’en passe…

Rappelez-moi….

  • C’est bien les scientifiques qui ont inventé des armes de plus en plus létales du lance-pierres à la bombe atomique ?
  • C’est bien les scientifiques qui ont dessiné les plans des chambres à gaz et mis au point le zyklon b dans les camps ou l’agent orange au Vietnam ?

Je pourrais bien évidemment en écrire des pages et des pages.

Aujourd’hui c’est la science, la 5G, la miniaturisation qui permet le contrôle facial, les QR codes et demain la dictature climatique.

Vous auriez beau jeu de me rappeler que sans la science, il n’y aurait pas de scanner ou d’IRM pour diagnostiquer des cancers…
Cancers fabriqués par la science avec la pollution, les additifs chimiques, la suppression des cycles naturels et l’enfermement des fourmis dans des gratte-ciel sans nature ?

Je serais personnellement plus modeste sur l’apport de la science à l’homme.

Oui la science m’apporte un confort matériel, je ne suis pas dans la savane à manger des baies ou chercher à tuer un mammouth.
Mais ce « confort » est-il un apport en termes de liberté et de bien-être ?

Je suis un esclave de la technologie, un esclave d’internet, du téléphone, de la télé, de l’ordinateur, de la voiture, de l’électricité, de l’eau chaude, des normes, des lois, etc.

Les monstres qui dominent ce monde ont bien compris qu’ils nous tenaient par les c… avec le crédit, l’endettement à vie, mais surtout la peur de perdre ce confort uniquement matérialiste et sans âme.

Dieu a été remplacé par Satan !

Selon vous un domaine de la neuroscience serait valide au prétexte que l’U.S. Air Force aurait dépensé un demi-milliard en recherche et développement pour des casques vendus 400 000 dollars l’unité.

En premier lieu, je vous sais gré d’avoir reconnu que si ce casque était efficace pour le pilote il l’était aussi contre les humains qu’il aide à tuer.
De ce fait, j’en reviens encore sur « la science est-elle bonne pour l’homme » ?

En second lieu, vous semblez déduire que ce casque bourré de neuroscience serait « bon » pour le pilote.

Ce raccourci me semble tout du moins audacieux.
Au mieux, il retarde l’insupportable.
Si grâce à celui-ci le pilote peut accomplir des actions ou des missions autrefois impossibles ou tenir deux heures au lieu d’une, je ne vois pas le bénéfice personnel.
En l’occurrence, le pilote n’est qu’une interface (à ce jour encore utile) et rien de plus.
Bref, ce casque est au service du Pentagone, des politiques, des va-t-en-guerre et certainement pas du pilote.

La démonstration affirmant que si l’on dépense des milliards dans un domaine c’est qu’il est efficace me semble fort étrange.

Rappelons une blague racontée par M Attali (cf. mon ouvrage(([4] 7 milliards d’esclaves et demain ?))) dans laquelle des juifs achètent puis revendent des pantalons à une jambe. Un catholique fait remarquer le problème en affirmant que ces pantalons sont invendables. Et le juif de répondre que ces pantalons ne sont pas faits pour être portés, mais pour être achetés et vendus.

Plus récemment on pourrait se référer aux injections contre le Covid pour lesquelles les fabricants savaient, avant même de commencer, qu’un vaccin à ARN messager sur un virus qui ne fait que muter, qui plus est avec une vaccination durant l’épidémie, ne pourrait qu’augmenter les mutations et rendre le produit inefficace.
Cela ne les a pas empêchés d’écouler des milliards de doses d’un produit inefficace et dangereux.

Les exemples ne manquent pas comme l’escroquerie freudienne ou pasteurienne.

Je m’étonne donc de cette affirmation :

« Si c’est étudié et vendu, c’est que ça marche ».

  • Le fabricant de casques n’en a que faire, il voit un marché fort juteux.
  • Les militaires qui soutiennent le projet y voient une étoile de plus sur leur uniforme.
  • Les politiques sont des héros pour protéger les Américains.
  • La corruption permet de soudoyer des scientifiques pour affirmer l’efficacité.

Ceci peut durer jusqu’à (concernant ce casque je n’ai pas d’infos) jusqu’à la mise au grand jour du scandale.
Non, le succès d’une méthode n’apporte en rien la preuve de son efficacité, la vérité ne se mesure pas en quantité.

Les neurosciences pourraient soulager au quotidien.

Selon le site techno-science(([5] https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Neurosciences.html)):

« Les neurosciences correspondent à l’ensemble de toutes les disciplines biologiques et médicales qui étudient tous les aspects, tant normaux que pathologiques, des neurones et du système nerveux.

Les neurosciences étudient le développement, la structure et le fonctionnement du système nerveux, du niveau moléculaire au niveau psychologique, avec les méthodes et les moyens des sciences biologiques (biologie, biochimie, pharmacologie, anatomie et physiologie) et sciences médicales (neurologie, neuropsychologie et psychiatrie) et des sciences psychologiques (psychologie cognitive). »

Nous voyons ici que le champ est très large.

Personnellement quand j’entends neuroscience, coaching, développement personnel, j’entends aussi manipulation des pensées et des cerveaux.

Le terme de « développement personnel » est fort étrange… pourquoi faudrait-il que les humains bénéficient d’un enseignement de développement personnel induit par autrui ?

Pourquoi faudrait-il que nous soyons plus « performants » ?

Vous avez cité un exemple concret (si j’ai bien compris) d’une personne ayant des difficultés à se lever le matin et se motiver pour aller au travail.
Personnellement si quelqu’un me dit ça j’en déduis qu’il n’est pas heureux, pas rempli dans sa vie et que ce travail factuellement nourricier ne nourrit pas son âme.

Mes propos suivants illustrent peut-être mon ignorance, mon incompréhension totale des neurosciences, mais je pense que nombreux sont ceux qui pourraient être dans mon cas.

J’ai compris, déduit, que les neurosciences pouvaient aider cette brave personne à trouver une motivation et peut-être même un plaisir à se lever le matin pour aller au travail.

Dans ce cas de figure, la neuroscience ne serait pas une forme de « guérison », mais un « antidouleur »…
« Tu as mal à la tête ? Prends une aspirine ! »

Pire encore si cette personne malheureuse au travail devenait heureuse alors la neuroscience serait vraiment de la manipulation mentale.

La douleur de cette personne au quotidien n’est-elle pas bonne pour lui ?
N’est-elle pas un signal émotionnel envoyé par son cerveau pour lui dire qu’il ne peut pas rester ainsi ?
A-t-il besoin d’un coaching pour accepter l’inacceptable ou d’une thérapie (qui relève aussi des neurosciences) pour se trouver lui-même et enfin partir faire bûcheron au Canada ?
Encore faut-il que ce désir de devenir bûcheron et de passage à l’acte ne soit pas induit par le thérapeute.

Attention, je ne nie pas l’existence de souffrances et de biais cognitifs. Une personne en relation avec un manipulateur sera moins encline à en être victime si elle a connaissance de leur existence, la capacité de les détecter et un amour propre/narcissisme suffisamment développé pour s’en protéger.

La société ne veut pas d’hommes libres, mais uniquement des esclaves dociles.
De fait, elle ne peut que valoriser des méthodes de manipulation mentale visant à les maintenir à l’état de moutons dociles et certainement pas de développement personnel.

D’autre part, a-t-on le droit moral de modifier le cerveau d’un individu quand bien même cette modification se traduirait par une diminution ou une suppression de ses souffrances ?

La neuroscience serait-elle l’héritage high-tech des électrochocs barbares du 20e siècle ?

Ici encore il est légitime de se reposer la question quant à savoir si la science est bonne pour l’homme ou pas.

C’est bien les neurosciences qui ont converti en mouton la population au point qu’elle demande à porter un masque, à être confinée, à réclamer un passeport pour aller au restaurant ou s’injecter une substance expérimentale douteuse y compris aux enfants et aux femmes enceintes !

Il est intéressant de voir à quel point la science a été enterrée, anéantie durant cette crise au profit de « neurosciences » et d’outils toujours plus performants de manipulation mentale des individus.

Cette destruction de l’humain n’eut pas été possible sans le concours de « scientifiques » délirants, mégalomanes ou corrompus.

Celui qui pense, qui doute, qui se pose des questions est devenu le « complotiste », le « fou », le « dangereux » et même « l’antisémite » que l’on sort de son chapeau comme le véhicule prioritaire au Mille-Bornes.

On est arrivé à faire croire au peuple en semaine n qu’il ne fallait surtout pas s’asseoir sur une plage au risque de répandre la mort et en semaine n+1 qu’il ne fallait surtout pas bouger sur une plage et rester statique.
Le drame est que des forces de l’ordre sont là pour obéir comme les soldats qui faisaient monter des juifs dans des trains.
Aujourd’hui encore les soignants sont suspendus sous prétexte qu’ils n’ont pas fait de faux pass comme leurs collègues alors même que preuve est faite depuis longtemps que l’injection vaccinale n’empêche pas les contaminations.

Le peuple est-il debout pour dire « non » alors même que l’on ferme des services faute de soignants ?
Les collègues prétendument vaccinés sont-ils debout pour réclamer leur réintégration ?
Bien sûr que non !

Peut-on oser parler de progrès de l’humanité grâce à la science ?

Ah, il est toujours possible de sortir le couplet sur « ce n’est pas l’outil qui est bon ou mauvais, mais son usage ».

Je suis bien d’accord qu’une puce RFID (ou mieux) implantée sur chaque humain pourrait rendre l’enlèvement d’enfants impossible et nous permettrait de ne plus perdre nos clefs.

Et encore, je suis bien naïf, les plus grands pédophiles de notre planète auront la possibilité de débrancher les liaisons vers les serveurs grâce à d’autres complices pédophiles et dans un silence assourdissant des médias.

Nos « bons » médias comme l’Express sont là pour nous rappeler que l’ennemi est le Covid, la variole du singe, Poutine ou le fameux réchauffement climatique causé par le méchant CO2 !
La suppression définitive de nos droits nous sauvera de l’apocalypse, amen !

Tout le reste n’est que délire, il ne faut surtout pas réveiller les moutons qui ne demandent qu’une chose, ne pas avaler la pilule rouge(([6] Cf. Matrix))!

Mais dans les faits, cette puce a pour unique vocation de nous espionner, nous tracer, nous contrôler et réduire encore plus nos libertés.
Il en est de même de la suppression de l’argent liquide si pratique au quotidien et si pratique pour nous contrôler.
Le scientifique ne peut pas se réfugier derrière « je ne suis pas responsable de l’usage liberticide de mon invention » de même que l’enseignant en neurosciences ne peut se dédouaner de l’usage qu’en fera un psychopathe qu’il aura formé.

Le narcissisme, la soif de pouvoir, la corruption mènent le monde et les scientifiques seront toujours les pions des forces du mal.
Il y aura toujours un scientifique corrompu, narcissique ou naïf pour concevoir le plus immonde et un enculé pour l’utiliser.

Les progrès de la science rendent l’homme de plus en plus « inutile » et les pourritures en sont bien conscientes.
Qu’elles sont les inventions qui auraient été créées si chaque scientifique s’était posé la question
« Est-ce bon pour l’humanité ou cette invention peut-elle (et donc va-t-elle) être utilisée contre l’homme ? »

Je crains qu’il ne fût pas resté grand-chose…

Demain l’intelligence artificielle sonnera-t-elle la fin de l’humanité ?
C’est plus que probable si elle n’est pas purement et simplement interdite et condamnée.

Je vous rappelle que les lois de la robotique d’Asimov qui devaient nous protéger ont été bafouées depuis bien longtemps par les militaires qui utilisent des robots avec une composante décisionnelle autonome pour tuer des humains !

Alors personnellement je veux croire en l’humain plus qu’en la science qui doit être sévèrement contrôlée et limitée.
La science est froide, logique, elle n’a pas d’états d’âme, pas d’émotions, ni conscience.

Cette mise à mort des journalistes dans l’interview me fait penser au personnage de Spock dans Star Trek.
Il est ultra intelligent (comme vous, en tous les cas largement plus que moi), il a une logique scientifique sans faille (probablement comme vous).

Mais Spock est double, sa partie vulcaine est dénuée d’émotions, purement logique, purement scientifique.
Pour autant l’intérêt du personnage est dans son humanité, son illogisme et les émotions qu’il ressent.
C’est cette part humaine qui lui permet de ne pas être un monstre (et parfois inversement en cas de troubles émotionnels).

Toutes les saloperies du monde commises avec la complicité des scientifiques ne sont possibles que par leur sang vulcain…
Si l’empathie était de ce monde, s’ils avaient accès à l’ensemble des émotions humaines, alors le monde serait moins pourri.

Merci.

Alain Tortosa

7 août 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220807-idriss-la-science-a-t-elle-une-ame.pdf





Révolution sanitaire au Costa Rica ?

[Source : arianebilheran.com]

Interview de Marco au Costa Rica

Par Ariane Bilheran

Témoignage de Marco Albertazzi

Le nouveau gouvernement du Costa Rica vient de supprimer le caractère obligatoire des injections expérimentales contre le COVID, et d’exiger des investigations juridiques sur les contrats passés par le gouvernement antérieur avec les multinationales des vaccins.

Dans ce contexte, j’ai souhaité recueillir le témoignage de Marco Albertazzi, qui est une figure clé de la résistance costaricaine, un homme pugnace et inspirant, qui par sa foi soulève des montagnes.

Marco est administrateur d’entreprise.

Il termine son master en Business et Administration.

Il fut le premier à s’exposer publiquement, allant marcher devant la Maison Présidentielle, pour informer la population sur les mensonges, la corruption et les manipulations de masse. Muni de sa pancarte, il interpellait les passants : « Quelle pandémie ? Quelle pandémie ? Où avez-vous vu une pandémie ? ».

Tout le monde le prenait alors pour un Diogène fou…

En ce jour historique du 3 août 2022, la résistance qu’il a levée à lui tout seul au Costa Rica a emporté sa première grande victoire.

Propos recueillis par Ariane Bilheran, normalienne, philosophe, docteur en psychopathologie
https://www.arianebilheran.com


Pouvez-vous me décrire comment s’est formée la résistance au Costa Rica, avec quelles ambitions ? Je suppose qu’au début vous n’étiez pas nombreux à avoir le courage d’affronter la politique sur la « pandémie » ? Quels obstacles avez-vous rencontrés ? Vous m’aviez parlé de répression, comment cela s’est-il passé ?

Après des abus, des restrictions et des impositions de la part du gouvernement, des décisions absolument incongrues par rapport à ce que nous vivions, et face à l’inaction des dirigeants politiques pour protéger les personnes bafouées, le 13 juillet 2020, je suis sorti seul dans la rue pour dénoncer cette pandémie devant la Maison Présidentielle, en me fondant sur des données biostatistiques et épidémiologiques qui n’étaient tout simplement pas en accord avec le message donné par le gouvernement de la République.

Ensuite, j’ai cherché des gens qui avaient des pages Facebook, Twitter, Instagram, et qui manifestaient leur désaccord avec la politique menée. J’ai contacté des médecins, des avocats, des psychologues, des infirmiers, des biologistes, et d’autres professions pour organiser le Mouvement pour la Santé et la Liberté. Je m’y consacre sans pause depuis 2020.

Nous nous sommes réunis et nous avons organisé des actions, des manifestations, différentes modalités de protestation. Nous avons subi des représailles inouïes. Dès le 13 juillet 2020, les attaques commencèrent contre moi, puis contre ceux qui me rejoignaient : selon la presse et les fonctionnaires du gouvernement, nous étions des négationnistes, les théoriciens du complot, etc. Quant à eux, ils continuaient d’exiger les fermetures et les confinements, des mesures restreignant la liberté, et de violer les droits de l’homme tels que la dignité et la liberté des êtres humains, la liberté de parole, le travail, la vie, la sécurité, le droit de ne pas être traités comme des esclaves, cruellement ou de manière dégradante, entre autres. Nous avons subi des répressions policières très violentes.

Lorsque les substances expérimentales sont sorties, nous avons été informés des risques qu’elles pouvaient produire. Nous avons alors commencé à alerter la population, ce qui nous a valu le titre « d’antivaccins » auprès des médias alignés sur la politique du gouvernement. Cependant, nous n’avons jamais cessé de parler des bons traitements qui pourraient aider les gens à surmonter le COVID, et de mettre en garde contre les risques des injections.

Pour avoir dénoncé ces abus, j’ai même été assigné à résidence (en arrestation à mon domicile) durant trois mois après que nous nous fûmes rendus dans un hôpital exiger des explications, puisqu’un enfant était retenu en otage pour être vacciné, ce que le personnel de l’hôpital a fait par la force, en frappant même sa mère enceinte lorsqu’elle essaya de le protéger des infirmières de l’hôpital. Le jour où nous sommes allés à l’hôpital pour défendre cet enfant et soutenir sa mère, la répression policière a été terrible : les policiers ont frappé des enfants, des personnes âgées, des femmes, à des médecins, dont la docteur Jimena Campos. Le but était d’intimider et d’attaquer le mouvement.

Qu’est-ce qui vous a donné le désir et la force de résister ?

Mon indignation devant la violation des droits humains, les gens écrasés, piétinés par le gouvernement, la police, l’abus de pouvoir, les gens arrêtés pour réclamer le droit d’aller travailler et alimenter leur famille. Je suis chrétien, et la Bible nous enseigne que, comme fils de Dieu, je dois défendre la vérité et la justice, et simplement je ne pouvais pas me taire. J’ai pensé que si David avait vaincu Goliath, et si Moïse avait vaincu Pharaon, je pouvais moi aussi, avec l’aide de Dieu, vaincre ces fous qui ont causé tant de torts à la population du Costa Rica. Il fallait de la vaillance et de la bravoure, lever la voix pour réveiller les consciences, et ne pas se taire. Face aux attaques, il ne fallait pas non plus se laisser faire.

Désormais au Costa Rica, vous avez remporté une victoire : la vaccination n’est plus obligatoire. Pouvez-vous me dire comment vous avez obtenu ce grand succès, qui l’est non seulement pour le Costa Rica, mais aussi pour le monde entier ? Vous donnez un sacré exemple.

Le Président actuel a tenté de supprimer l’inoculation obligatoire, mais les membres de la Commission nationale de vaccination et d’épidémiologie ont refusé. Après enquête, nous avons découvert que les nominations de cette Commission avaient expiré et que, par conséquent, tous les accords conclus par elle depuis 2020 étaient illégaux ! De même, conformément à la loi, nous avons demandé une copie certifiée des procès-verbaux de la Commission, et nous avons vu les insanités qui avaient été décidées alors que les membres savaient pleinement qu’ils faisaient le mauvais choix. Ils ont agi avec malice contre le peuple. Cela a conduit à une plainte pénale déposée hier (le 3 août) contre tous les membres de la Commission.

Quel est votre conseil pour les défenseurs des libertés dans les autres pays, qui essaient d’obtenir le même résultat que vous au Costa Rica ?

Battez-vous ! Exposez personnellement les décideurs et les promoteurs corrompus de ces politiques liberticides (photo, numéro d’identification, poste qu’ils occupent, etc.) afin que les gens puissent les identifier… qu’ils ressentent la pression (cela a fait démissionner un membre de la Commission). Déposez des plaintes pénales avec des preuves ! Examinez les procès-verbaux des Commissions qui ont pris les décisions des enfermements, des inoculations obligatoires, et de toutes les mesures contre les droits de l’homme et les libertés fondamentales, afin de pouvoir engager des actions en justice sur la base de ces preuves.

Frappez à toutes les portes.

N’abandonnez surtout pas.

Ne cédez pas à la fatigue.

Quel est votre prochain objectif ?

Continuer maintenant à exposer au public les effets néfastes de ces inoculations, poursuivre en justice les personnes qui ont obligé les citoyens à recevoir ces substances, mais aussi les employeurs (entreprises) qui ont harcelé, contraint, discriminé, suspendu et licencié leurs employés parce qu’ils ne voulaient pas subir ces injections, afin que cela ne se reproduise plus jamais, et m’attaquer aux mensonges de la variole du singe.

Pour contacter Marco :

Marco Albertazzi
Coordinateur général
Movimiento Por La Salud Y La Libertad (Mouvement pour la santé et la liberté)

direccion@movlibertadcr.com |+ (506) 6050-9992

Rencontre entre Marco Albertazzi et Ariane Bilheran le 30 juin 2022 :




Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy. Mise à jour

[Voir aussi sur : RL]

Par Gérard Delépine

Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique(([1] Conseil qui disparaît ce 31 juillet 22 en même temps que la loi d’urgence.)) devenu complotiste, serait-il inquiet ?

@codePS17 

« Le bal des morts de trouille !! 
Ah ça voulait piquer tout le monde de gré ou de force et maintenant ils ont le trouillomètre à zéro de peur de se retrouver derrière les barreaux pour très longtemps »

«  IL FAUT ARRÊTER DE DIRE ET RACONTER TOUT ET N’IMPORTE QUOI », dit JF. Delfraissy résumant l’action du Conseil scientifique.

« UN ÉCHEC TOTAL, IL FAUT LE DIRE, en termes de mortalité, de morbidité et d’accès aux droits humains.  Zéro covid n’était pas la solution. Ce sont les médias qui poussent à cela. Il faut à un moment donné redevenir raisonnables, les Français l’ont compris ».

@UPR_Asselineau

« LE DOUBLE AVEU DU Pr DELFRAISSY  : Soulageant sa conscience, il dénonce en fait la DOUBLE SOUMISSION révélée par la covid-19, celle des États occidentaux à Big Pharma, celle de la classe dirigeante à la toute-puissance des médias, qui imposent leurs vues par intimidation et censure. »

ET sur la variole du singe

@MaxDelvallee

DELFRAISSY sur la variole du singe : 

« Elle est beaucoup mise en avant parce que les médias ne veulent pas rater le début d’une éventuelle nouvelle crise (…). Je ne crois pas à la gravité et à l’existence d’une pandémie de ce type. (…) C’est une maladie peu sévère dans 99 % des cas. »

LE PARCOURS DÉPLORABLE DE JF. DELFRAISSY ET DU CONSEIL DIT SCIENTIFIQUE

Dès mars 2020 nous avons dénoncé les mesures prétendument sanitaires (confinement et autres privations de liberté), comme inefficaces car contraires à la vérité scientifique(([2] Delépine « Confinement, mesure sanitaire ou politique ? » Agoravox samedi 21 mars 2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478))(([3] Nicole Delépine, Gérard Delépine Autopsie d’un confinement aveugle Édition Fauves septembre 2020
https://docteur.nicoledelepine.fr/autopsie-dun-confinement-aveugle/))(([4]Delépine « Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine » Agoravox »
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712))(([5] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-cette-mesure-d-223105)), les tests PCR chez les asymptomatiques comme une arnaque sans intérêt médical uniquement destinée à faire croire à des poussées de l’épidémie(([6] Vers le faire-part de décès des tests PCR
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vers-le-faire-part-de-deces-des-tests-pcr)) et l’objectif officiel du zéro covid comme un mirage de la propagande marchande provax.

Depuis la mise sur le marché des pseudo-vaccins et la propagande forcenée que martèlent les médias pour nous les imposer, nous répétons que les injections anti-covid ne sont pas des vaccins mais des médicaments, qu’elles sont totalement expérimentales et issues d’une technique jusqu’alors jamais utilisée en infectiologie, qu’elles ne protègent ni de la maladie, ni des transmissions, ni des formes graves, ni de la mort.

Ces constatations scientifiques des faits publiés par l’OMS ont été constamment traitées de fake news par de pseudo- journalistes peu scrupuleux qui nous qualifient de complotistes(([7] Le  Collectif citoyen Quand la démocratie devient un complot
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/quand-la-democratie-devient-un-complot)) en suggérant même que nous serions d’extrême droite, voire antisémites pour nous diffamer. Malheureusement pour ces mercenaires de la désinformation, la vérité est têtue et ce que nous proclamons depuis près de deux ans et demi est progressivement confirmé et reconnu même par les anciens avocats des mesures sanitaires dès qu’ils quittent le monde imaginaire des simulations biaisées pour examiner le monde réel…

Un très bel exemple d’un retour très tardif au monde réel est celui de JF Delfraissy.(([8] Jean-François Delfraissy, né le 19 mai 1948 à Paris, est un médecin et professeur de médecine français, spécialisé dans l’immunologie.
Il est nommé président du Comité consultatif national d’éthique en 2016. Il prend en 2020 la présidence du Conseil scientifique covid-19, institué par le ministre Olivier Véran pour conseiller le gouvernement dans la lutte contre la pandémie de covid-19.))

Confinement déclaré indispensable puis reconnu dévastateur

Début 2020 Jean-François Delfraissy avait prétendu que le confinement était indispensable malgré ses doutes qu’il a récemment confié au Parisien :

« Mais qu’est-ce qu’on a fait ?(([9] Capture BFM TV
« Mais qu’est-ce qu’on a fait ? » : Jean-François Delfraissy sans filtre sur la gestion de la covid-19))», avant de se rassurer rapidement : « Plusieurs autres membres du Conseil scientifique doutaient, eux aussi, et on s’est remonté le moral, se répétant qu’on n’avait pas d’autre choix. ». Attitude vraiment incroyable d’un prétendu scientifique censé analyser la balance avantage/risques d’une mesure avant de la conseiller.

Un an plus tard, malgré le bilan catastrophique avéré du premier confinement(([10] Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique
https://www.francesoir.fr/societe-sante/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire)), il récidivait avec Denis Malvy et Karine Lacombe, plaidant pour une nouvelle astreinte à résidence de la population « e confinement apparaît vraiment irrémédiable. » !

Mais l’inefficacité sanitaire et les conséquences dramatiques des confinements ont depuis été largement démontrées par tous les scientifiques indépendants des gouvernements et des organismes qui les ont imposés.(([11] https://ripostelaique.com/il-faut-mettre-fin-immediatement-a-ce-confinement-mortifere-pour-le-pays.html))(([12] Surjit S BhallaLockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID WinsNov 1, 2020
https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69ca46b0b44118206a901b))(([13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))(([14] Jonas Herby, Lars Jonung, and Steve H. Hanke A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ONCOVID-19 MORTALITY SAE./No.200/January 2022
https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf))(([15] Bendavid E, Oh C, Bhattacharya J, Ioannidis JPA. Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19. Eur J Clin Invest. 2021 Apr;51(4):e13484. doi: 10.1111/eci.13484. Epub 2021 Feb 1. PMID: 33400268; PMCID: PMC7883103.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/))

En février 2021 dans une lettre au Lancet(([16] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18,
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext)), J. Delfraissy reconnaissait enfin, avec 5 autres membres du Conseil scientifique, que le confinement avait été nocif et qu’il fallait changer de politique :

« il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire ».« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. » « Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

Alors pourquoi a-t-il conseillé le premier confinement et persisté ensuite dans l’erreur plusieurs fois ?

Le scandale des passes inefficaces et discriminatoires

Le Conseil scientifique et son président ont présenté les passes comme des  mesures permettant de retrouver les libertés sans risque alors qu’ils ne constituaient que des chantages aux libertés pour forcer à l’injection les gens qui n’en avaient aucun besoin.

Lors de son audition au Sénat, à la question :

« Est-ce que le passe protège réellement ? »

La réponse de J. Delfraissy a été : 

« Non. »

Ce que confirme l’explosion des contaminations après leur instauration :

Alors pourquoi ont-ils menti aux Français en prétendant le contraire ? 

@dreslincourt   31 juil.

Dans le Parisien, le Pr Delfraissy reconnaît un traitement « inhumain » de nos anciens en Ehpad pendant le covid, et une mainmise des labos sur les stratégies vaccinales ! Quand nous informions les Français de ces choses, la presse nous qualifiait de « complotistes » ! Des excuses ? 

Le mirage du « Zéro Covid » reconnu un « échec total. »

Pendant près de deux ans le Conseil scientifique a fait croire que les mesures sanitaires et la vaccination allaient éradiquer le virus selon la stratégie du zéro covid inventée par les Chinois. Ils nous ont promis qu’on obtiendrait l’immunité collective après la vaccination de 60 % des Français, puis de 70 %, puis de 90 %. Mais tous les pays (sauf la Chine) qui nous avaient précédés dans cette stratégie ont reconnu qu’il s’agissait d’un mirage impossible à atteindre dans le monde réel.

Mais après deux ans d’atteintes majeures à nos libertés fondamentales cautionnées par son comité prétendument scientifique J. Delfraissy avoue :

« Le “Zéro Covid” est un échec total… Il faut vivre avec le virus ! »(([17] https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/mais-qu-est-ce-qu-on-a-fait-jean-fran%C3%A7ois-delfraissy-sans-filtre-sur-la-gestion-de-la-covid-19/ar-AA1086Uu))

Cette stratégie n’a jamais permis d’éradiquer une épidémie avec réservoir animalier connu comme l’est le covid. Alors pourquoi l’a-t-il conseillée sinon pour vendre des prétendus vaccins ?

Les  « vaccins sûrs et efficaces » devenus des « vax médicaments inefficaces »

Le Comité scientifique et son président ont validé tous les mensonges de Pfizer comme celui d’appeler vaccin un médicament expérimental ne contenant aucun antigène et celui « d’une efficacité de 95 % » pour inciter la population à se faire injecter. Plus tard, alors que l’échec contre la diffusion virale devenait évident, ils ont persisté :

 « Les vaccins sont efficaces contre le variant delta, si l’on a eu deux injections. Il faut se faire vacciner » 

Et quelques mois plus tard, ils ont persévéré en prétendant :

« le vaccin est toujours efficace contre le covid-19 (…) s’il a été administré trois fois ».

Encore plus choquantes ont été les déclarations de Delfraissy à Sciences-Po Lille conseillant la vaccination des plus jeunes qui ne risquent rien du covid et celle poussant à la vaccination des femmes enceintes, hérésie scientifique jusqu’ici toujours contre-indiquée.

Ce n’est qu’après la fin annoncée de son Comité anti-scientifique que J. Delfraissy avoue :

« Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion ».

Alors pourquoi ne s’excuse-t-il pas d’avoir menti pendant au moins dix-huit mois et des complications et des morts que ces médicaments expérimentaux ont causé ?

Le Pr. Delfraissy a été en pointe dans la propagande alarmiste et les décisions portant atteinte à nos libertés fondamentales en leur donnant un alibi scientifique mensonger. Il a bafoué et décrédibilisé la science en trompant les Français pour qu’ils supportent l’inacceptable.

Espère-t-il par ces aveux se faire pardonner ?

Faute avouée est à demi pardonnée dit-on. Mais JF Delfraissy n’a avoué que la moitié de ses fautes. En particulier il n’a dénoncé ni l’inefficacité ni la toxicité des masques ni l’absence de toute justification scientifique des obligations vaccinales imposées aux soignants et pompiers ni l’ignominie des mesures sociales qui ont été imposées aux vaccino- prudents. Espérons qu’il complétera bientôt sa confession.

@Phil_7338

« Il sera jugé. Je ne lui pardonnerai jamais, port du #masque obligatoire pour nos enfants petits enfants quasiment H24. Ni les #Confinement #CouvreFeu 21h 19h 18h…ni les #Attestations débiles ni les 1km,10km…#dérogations #tests gratuits, payants, 72h…24h #coronacircus »

@PascalBurlot1

« Et à propos des mails échangés avec Fauci pour supprimer le traitement précoce HCQ, belle réussite pourtant Pr Delfraissy ! Ces aveux sont pitoyables après avoir conseillé les inconcevables lock-down, masques, couvre-feux, suspensions et injections. »

@verity_france     

Covid-19 : Jean-François Delfraissy a des « regrets » dans la gestion de la pandémie qui n’est « pas terminée »/ si c’est un honnête homme il dira tout devant un juge pour expliquer les pressions, et détailler l’instrumentalisation dont il a fait l’objet

« SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME » (Pantagruel, RABELAIS)

Il reconnaît enfin que ce sont les compagnies pharmaceutiques qui ont tout pouvoir sur les décisions prétendument scientifiques en rapport à ces pseudo-vaccins. Mais pourquoi ne l’a-t-il pas dénoncé plus tôt et démissionné du Conseil scientifique comme l’a fait très rapidement le Pr D. Raoult ?

Le ministre proclame son désir de transparence. Pour nous en convaincre, il faudrait qu’il fasse lever  le secret défense ubuesque qui pèse sur les 300 réunions et les 80 avis ou notes rédigés en deux ans et quatre mois par ce Comité scientifique pour que chacun puisse en faire l’analyse.

À défaut, l’opposition parlementaire devrait l’exiger car qui peut croire que  la divulgation de ces  documents  jusqu’à présent classés secret défense(([18] Le secret défense a été créé pour protéger les informations militaires ou diplomatiques nécessaires à la sécurité militaire du pays. On ne comprend pas en quoi cela s’est appliqué à un virus, pas plus que le nouveau « commando » que veut mettre en place le ministre Braun.)) puisse  renforcer la virulence du Sars-CoV-2 ?

Les covidistes passent (tardivement) aux aveux !


Au passage, il pourrait rappeler qui nomme le collège des experts de la HAS soi-disant indépendante et qui maintient la suspension des soignants et pompiers non vaccinés ? les mêmes politiques trop proches de Big Pharma.

Quelques commentaires sur Twitter

Hélène Laporte 2 août

Après J-F #Delfraissy qui avoue que la stratégie « Zéro #COVID19 » est un échec total, c’est Alain #Fischer, « Monsieur Vaccin », qui ne recommande plus de rappel vaccinal… Visiblement les certitudes d’hier ne sont plus !

ladepeche.fr

EXCLUSIF. Covid-19 : le conseil d’orientation de la stratégie vaccinale « arrête son travail »,…

Fin du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, nouveaux vaccins en cours d’élaboration pour lutter contre les variants, pas de généralisation de deuxième dose de rappel à toute la populati…

@Olivierfente 2 août

ALERTE GÉNÉRALE C’est la débandade complète pour les nofakemerdes Je pense que dans les mois ou les semaines à venir nous allons apprendre des choses complètement hallucinantes Delfraissy et Fischer ont ouvert le bal

L£ G£N£RAL 0fficiel©
@Le_General_0ff_ · 2 août

ALERTE INFO #Delfraissy  » Le Conseil scientifique avait réclamé la constitution d’un comité citoyen national, le Gvernement l’a refusé 3fois, c’est une vraie connerie une bêtise politique [..] On l’aurait pu le faire sur le vaccin  » #senat #NiOubliNiPardon #PassDeLaHonte #Raoult

@EdBernardelli  

« Il est plus facile de tromper les gens que de leur faire admettre qu’ils ont été trompés » M. Twain En ce 1er août, le passe et l’état d’urgence sont arrêtés. Stop aux manipulations ! Le combat continue pour réintégrer les soignants suspendus et éveiller les consciences !

@UnionPierre 31 O7 22

Des soignants Covid peuvent travailler alors que des soignants en bonne santé ne le peuvent pas, c’est tellement absurde! Nous demandons la réintégration immédiate avec des excuses! Soutenez notre collectif, suivez-nous   #JusticePourLesSuspendus #SoignantsSuspendus

@Sarah41659531  30 juil.

Le 1er août tous les Français pourront reprendre une vie normale sans PASSE à l’intérieur des frontières SAUF les soignants suspendus qui resteront  » punis  » (expression de @PatrickPelloux) et sans revenus pour se nourrir et nourrir leurs familles.  » Pays des droits de l’homme  »

@LucileFievet

26 juil.  Important et assez urgent Très Sérieux Pour les soignants et agents toujours suspendus au 1er août 2022

Selon l’avis de juristes, il est possible de considérer que l’obligation vaccinale prend fin au 31 juillet 2022, avec la fin de l’état d’urgence.

Piste à explorer d’urgence !

La démocratie nécessite une information impartiale relayant les faits et des commentaires honnêtes. Durant ces deux ans et demi, elle ne l’a pas jamais été. Le rôle particulièrement nocif des propagandistes de la désinformation, proclamés « fact-checkers », doit être souligné et on espère que les violations permanentes de l’éthique journalistique dont ils ont fait preuve en ne donnant jamais la parole aux personnes qu’ils accusaient ternira à jamais leur CV.

Nous avons gagné une grosse bataille avec la suppression du passe par le vote de l’assemblée (E. Macron avait prévu la prolongation de la loi d’urgence jusqu’en 2023), mais le combat doit se poursuivre par la suppression de l’obligation vaccinale des soignants et pompiers dans les faits, la suppression des tentatives de détournement de la loi votée par des arrêtes autorisant que l’Assistance Publique de Paris, des cliniques, pharmacies ou autres imposent le port du masque ou un passe alors qu’il est maintenant non seulement démontré par les faits établis, mais aussi reconnu par la quasi-totalité de leurs anciens avocats que ces mesures n’ont eu aucun effet démontré contre l’infection…

RÉAGISSONS PAR DES PLAINTES SUCCESSIVES À CES DÉTOURNEMENTS

@Steiner61421320   

Il est temps de remplacer les vigiles à l’entrée des hôpitaux par des soignants et en priorité les soignants suspendus (en les dédommageant) ! #JusticePourLesSuspendus #PassSanitaire

@DIVIZIO1

Ça commence : ce matin déjà des vigiles ont réclamé le passe à l’entrée d’une clinique ! Ça c’est cependant très bien passé en ce qu’alertés, ils ont appelé la direction qui leur a confirmé ne pas avoir à contrôler. Mais du coup : ils servent à quoi ? Ils sont payés pour quoi ?

1 août

Tiens j’y pense : le 27 septembre je vais être jugé par des avocats qui, pour parler de la crise et des libertés publiques ont invité en son temps : Alain Fischer et jean Paul Hamon ! On va devoir tout reprendre depuis le début hein! J’ai demandé la journée et la nuit





Les Georgia Guidestones — Compte à rebours vers le Great Reset ?

[Source : Kla.tv]

Le 6 juillet 2022, les mystérieuses Georgia Guidestones ont été la cible d’un attentat à l’explosif et ont dû être entièrement démolies pour des raisons de sécurité, selon les informations officielles.

[Voir aussi :
Les Georgia Guidestones explosées
Georgia Guidestones – Rétrospective en 5 Actes (22/03/1980 – 06/07/2022)
Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial
Pourquoi le français n’apparaît-il pas sur les Georgia Guidestones ?
Les Georgia Guidestones (Kla.tv)]

Georgia Guidestones — Compte à rebours vers le Great Reset ?

Quatre pierres, huit langues et un message sans équivoque : plus de sept milliards de personnes doivent mourir pour un monde meilleur. Il s’agit des Georgia Guidestones et pour cela, à votre demande, je vous donne enfin une vidéo d’investigation avec quelques nouvelles informations et de nouveaux faits intéressants avec des traces vers les suspects habituels — maintenant et en exclusivité avec Norman Investigativ.

Elberton, une petite ville tranquille dans le sud des États-Unis. Avec ses quelque 5 000 habitants, elle est un peu plus grande qu’un village. Et aussi discrète que puisse paraître cette communauté, Elberton n’en est pas moins un lieu plein de secrets. L’un de ces secrets est celui des Georgia Guidestones. Qui les a commandées et, surtout, pourquoi ces pierres ont-elles été placées ici, au milieu de nulle part, à proximité d’un lieu dont tout ce qui ressort de ces vues aériennes est uniquement son insignifiance ?

Selon la légende, tout se serait passé ici — dans les bureaux de l’Elberton Granite Association, qui, comme son nom l’indique, fait le commerce du granit. Un vendredi après-midi de juin 1979, Joe Fendley, alors président de la Elberton Granite Company, était assis dans son bureau lorsqu’un certain Robert C. Christian s’est présenté et a demandé le prix d’un monument en pierre. Cette rencontre est décrite dans tous ses détails dans cette brochure Georgia Guidestones — éditée par la société en question. Nous y lisons que ce Robert C. Christian a déclaré agir au nom d’un petit groupe d’Américains loyaux qui croient en Dieu. Il vivait lui-même en dehors de la Géorgie et souhaitait laisser un message aux générations futures. Le monument prévu devait en outre fonctionner comme une boussole, un calendrier et une horloge, et résister aux catastrophes — tels étaient les souhaits de R. C. Christian.

Afin de trouver le terrain adéquat pour son monument, Robert C. Christian a ensuite survolé Elberton et l’a trouvé à environ 14 km de là, dans ce champ qu’il a acheté pour 5 000 dollars. Le projet a immédiatement démarré avec l’aménagement du terrain et des calculs astronomiques sur place pour déterminer la position du soleil et des étoiles, tandis que les blocs de plusieurs tonnes étaient découpés dans la carrière d’Elberton. Selon des instructions précises, les pierres ont été façonnées, ajustées, marquées astronomiquement et pourvues des symboles indiqués. Le monument a été achevé en neuf mois, de sorte que les Guidestones ont pu être érigées le 22 mars 1980, ce qui correspondait à la date souhaitée par R. C. Christian. L’objet a été inauguré sous la forme d’un cube noir.

Des cubes noirs – nous les connaissons depuis ma dernière vidéo. Ceux qui ne l’ont pas encore vue devraient s’arrêter un instant pour regarder cette vidéo de Black Goo (intelligence noire), disponible dans ma playlist. Tous les autres se doutent déjà qu’un rituel a eu lieu ici et que les Guidestones sont peut-être plus qu’un simple monument. Les inscriptions étranges en témoignent.

Les inscriptions : elles consistent en dix commandements gravés dans la pierre. L’exigence principale des Guidestones est la suivante :

  1. réduire l’humanité à moins de 500 millions d’individus
  2. unifier l’humanité
  3. instaurer un tribunal mondial
  4. optimiser le pool génétique humain

Dix commandements gravés dans la pierre, c’est ce que nous connaissons de Moïse ; mais ses dix commandements, qui lui ont été remis par Dieu en personne, concernaient plutôt la cohabitation sociale. Les Georgia Guidestones n’ont pas grand-chose à voir avec le social, et ces nouveaux dix commandements ne viennent pas non plus de Dieu. Ce sont des commandements humains qui exigent des coupes radicales et un nouvel ordre mondial, un ordre qui en fait frémir plus d’un.

Ainsi, il est écrit dans le deuxième commandement : « Dirige sagement la procréation pour améliorer l’aptitude et la diversité ». Améliorer l’aptitude et la diversité est une exigence presque eugénique, telle que nous la connaissons depuis le troisième Reich. Voici une propagande de l’époque en question sur ce que l’on entendait alors par « aptitude ». L’homme fort en bas serait donc apte. Les deux autres qu’il doit porter sur ses épaules ne le sont manifestement pas et lui coûteraient non seulement des efforts, mais aussi de l’argent – 200 000 € selon les calculs actuels. Voici d’autres propagandes eugéniques de l’époque nazie qui, à l’instar des Guidestones, indiquent un danger dans la multiplication des inférieurs. « Diriger sagement la reproduction pour améliorer l’aptitude et la diversité » — qu’est-ce que c’est si ce n’est pas de la propagande eugénique ?

Les eugénistes vont encore plus loin et estiment que le nombre de personnes génétiquement inférieures augmenterait au fil du temps, car elles se multiplieraient de manière incontrôlée. Appliqué à l’époque actuelle, qui compte 7,8 milliards d’individus, cela signifie qu’environ 7,4 milliards d’entre nous seraient de qualité inférieure. Seuls 312 millions d’êtres humains seraient de qualité supérieure et auraient alors le droit d’exister – ce qui correspondrait à la première exigence, la plus radicale, des Guidestones : Maintenir l’humanité en dessous de 500 millions (en équilibre permanent avec la nature).

Selon le premier commandement des Guidestones, plus de 7,4 milliards de personnes se voient refuser la poursuite de leur existence. Qui a imaginé une telle chose ? Selon la légende, un certain R.C. Christian, qui dit croire en Dieu, aurait croisé par hasard la route d’un tailleur de pierre quelque part en Amérique. Mais comment un homme croyant en Dieu peut-il rédiger ses propres dix commandements ? Les graver dans la pierre de manière hérétique, à l’instar de Moïse, et exiger en plus d’intervenir dans la création ? Regardons donc d’un peu plus près.

Revenons à la légende, qui donne l’impression que ces pierres ne sont que par pur hasard, ici à Elberton, une agglomération de quelques milliers d’habitants. Mais cette petite ville n’est pas si insignifiante que cela ! En effet, à l’époque où les États-Unis ont été fondés par des francs-maçons comme George Washington, Elberton a également été fondée par un franc-maçon, le Grand Maître Samuel Elbert. Elberton est une ville franc-maçonnique et porte le nom de ce général franc-maçon au 32e degré. Il est également dit que ce tailleur de pierre, Joe Fendley, a reçu par pur hasard la visite de ce R.C. Christian alors qu’il passait devant son bureau. On a l’impression que ce Joe Fendley est un tailleur de pierre comme les autres parmi les dizaines d’entrepreneurs en granit d’Elberton. Mais ce Joe Fendley n’est pas si vierge que cela, car dans la brochure Georgia Guidestones, il fait quelques confidences, à la page 39. Et si nous parcourons les pages jusque-là, nous apprenons qu’il était par exemple Rotarien, ce qui lui permettait déjà d’avoir un réseau international — ce qui ne le rend pas encore remarquable. Mais, plus loin, il est dit qu’il était également Grand Maître au 32e degré selon le rite écossais à la Philomathea Masonic Lodge 25 à Elberton. Être le grand maître d’une loge maçonnique, c’est déjà beaucoup pour un tailleur de pierre ordinaire. Mais ce n’est pas tout : il aurait également été membre du temple Yaarab Shrine dans la ville voisine d’Atlanta et président du Valley Shrine à Savannah. Les Shriners sont un ordre maçonnique arabe antique qui utilise le symbolisme islamique et le mysticisme de l’Égypte ancienne. Leurs temples ne ressemblent pas seulement à des mosquées, ils les appellent aussi mosquées. Et leurs statues portent ostensiblement des uniformes ottomans/turcs, et ce au milieu de l’Amérique, protégées par des sphinx égyptiens. Ottomane, égyptienne, maçonnique, les Guidestones ont donc été construites par un homme qui n’était pas seulement un franc-maçon de haut niveau, mais aussi un Shriner de premier plan, dont la relation symbiotique est encore une fois évidente ici. Et cela s’est passé dans une ville qui a également été fondée par un franc-maçon. Tout cela n’est-il qu’une théorie du complot ou l’arbre cache-t-il la forêt ?

Regardons de plus près ce mystérieux temple Yaarab Shrine près des Guidestones. Et les voilà de nouveau — les hommes féroces — dont Joe Fendley était le président. Dans la rubrique « about us », nous apprenons que cette confrérie compte également des astronautes. Et maintenant, devinez de quel astronaute il s’agit. Il s’agit bien sûr de celui qui a l’empreinte la plus célèbre au monde, le franc-maçon de haut rang Buzz Aldrin, un Yaarab Shriner sur la lune. Ici, avec une casquette ottomane assortie. Et ce n’est pas du Photoshop, chers amis, ni une théorie du complot, tout semble une fois de plus lié.

Norman : Il n’est pas nécessaire de faire beaucoup d’efforts pour voir de telles implications. Il suffit de se libérer de l’emprise de son propre confort pour voir qui tire les ficelles dans l’ombre. Et les fils mènent aux suspects habituels, comme les francs-maçons, les Shriners ; mais le lopin de terre sur lequel se trouvent les Guidestones a également une origine franc-maçonnique et porte le nom d’un franc-maçon très bien rémunéré. Mais qu’en est-il de ce R.C. Christian, le financier anonyme et commanditaire des Guidestones ? Cet homme est-il lui aussi impliqué dans une quelconque confrérie ?

Les commanditaires des Guidestones estiment que l’humanité évolue dans la mauvaise direction. Par le biais de leurs dix commandements, ils exigent une réforme de la science, de la religion et de l’éthique afin de diriger l’humanité dans la bonne direction. C’est exactement ce qui correspond à l’agenda de l’ordre de la Rose-Croix. Nous lisons : « La préoccupation et le but principal des trois écrits étaient de contrer cette évolution en cultivant la terre au moyen d’une réforme continue de la science, de l’éthique et de la religion. » Mais qui sont ces gens ? Dans cette autopromotion datant de 1618, il apparaît clairement que les Rose-Croix ou rosicruciens ont mis l’accent sur une mobilité et une défense constantes, afin de se rendre à la fois inattaquables et introuvables. Le nom de Rose-Croix remonte à ce livre de 1459. C’est là que le nom de Christian Rosenkreuz, abrégé en R. et C. et R.C. Christian, apparaît pour la première fois. N’était-ce pas le nom de ce financier anonyme et commanditaire des Guidestones, qui voulait rester introuvable et donc inattaquable. Un premier indice sur les rosicruciens ?

L’entreprise de granit qui a construit les Guidestones nous fournit un autre indice. Ils ont placé cet objet ici dans leur cour cinq ans plus tôt, un obélisque égyptien. Cet obélisque est toujours là aujourd’hui, comme nous pouvons l’admirer sur Google Street View. Et si nous y zoomons un peu, une croix semble y trôner, mais pas n’importe quelle croix, une Rose-Croix. Ce qui nous donne une autre indication sur la Rose-Croix. Les rosicruciens les plus proches se trouvent dans la capitale de l’État, Atlanta, et sont relativement faciles à atteindre depuis les Guidestones. Sur la page d’accueil de la Rose-Croix, nous remarquons non seulement la symbolique de l’Égypte ancienne, mais aussi leur vidéo d’introduction parle principalement de l’Égypte ancienne. Et là encore, nous remarquons les initiales R. et C., qui font référence à Christian Rose-Croix.

Dans la rubrique « Histoire », nous apprenons – traduisons cette page en français – que la Rose-Croix trouve ses racines chez Thoutmôsis III, qui régnait sur l’Égypte vers 1500 avant Jésus-Christ et qui est censé avoir introduit les écoles ésotériques.

Mais le véritable maître, nous dit-on, est le pharaon Aménophis IV. Ce pharaon éclairé, premier monothéiste de l’histoire, était tellement inspiré par les enseignements des mystères, dit-on, qu’il a donné une toute nouvelle orientation à la religion et à la philosophie égyptiennes. Il fonda une religion qui reconnaissait l’Aton, le disque solaire, comme le symbole de la divinité unique ; le fondement même de la vie, le symbole de la lumière, de la vérité et de la joie, et changea son nom en Akhénaton pour refléter cette nouvelle idée.

Il s’agit bien sûr d’Akhenaton, le pharaon au long crâne, dont je parle aussi régulièrement. Celui-ci semble être l’ancêtre des rosicruciens, auquel un hommage est rendu dès le premier numéro du journal rosicrucien The Triangle, paru en 1921. Les Rosicruciens vivent selon leur propre calendrier, qui commence avec le règne d’Akhenaton. Ainsi, l’année rosicrucienne 3274 correspond ici à l’année chrétienne 1921. Le 22 mars 2020, l’année rosicrucienne 3373 a commencé. Mais si notre 22 mars 2020 correspond à l’année 3373, l’année rosicrucienne, quelle année rosicrucienne avons-nous eue le 22 mars de l’année 1980, lorsque les Guidestones ont été inaugurées ? C’était le Nouvel An rosicrucien 3333 – un autre indice fort que les Guidestones sont un monument des Rosicruciens. Les symboles égyptiens qui font référence aux Rosicruciens ont déjà attiré notre attention avec cet obélisque. Mais cette entreprise de granit a laissé d’autres traces sur l’Égypte ancienne et donc sur la Rose-Croix. Ainsi, la carrière d’Elberton d’où proviennent les Guidestones, est appelée Pyramid Quarries et est exploitée par Pyramid Stone Industries. Et l’ensemble du site se trouve, comment pourrait-il en être autrement, sur la Pyramid Road. Et comme si cela ne suffisait pas, le type de granit qui y est extrait, dont sont également faites les Guidestones, s’appelle le Pyramid Blue Granite. Bien sûr, tout cela n’est qu’une coïncidence et n’a rien à voir avec les Rosicruciens.




Qui est derrière l’effondrement économique ?

[Source : crashdebug.fr]

Un billet qui fera date. Il confirme ce qu’avait dit Charles Sannat (qui depuis à viré sa cuti et est maintenant POUR le Grand Reset qui est « nécessaire », « inévitable », ha ! ha ! ha ! ha !) : qu’en fait la crise de 2008 n’a jamais été réglée ; ils ont juste imprimé de l’argent virtuel ; et ces mêmes banquiers qui ont planté le monde en 2008 vont le replanter en 2023-2025, ceci pour implémenter un « nouveau système financier » mondial amélioré.

Franchement vous faites confiance à ces gens qui sont la lie de l’humanité pour nous guider ? Bref, toujours le même piège que depuis 250 ans (je me répète, mais ! quand même !!!) et ça marche toujours aussi bien : Problème -> Réaction -> Solution.

l’Amourfou

Par le Dr Joseph Mercola

Résumé

Le documentaire The Untouchables de PBS Frontline, diffusé à l’origine en 2013, enquête sur la cause de la crise financière de 2007-2009, et sur les raisons pour lesquelles les escrocs de Wall Street ont échappé aux accusations de fraudes liées à la vente de mauvais prêts hypothécaires.

Aucun dirigeant de Wall Street n’a été tenu pour responsable de cette crise massive, alors que les preuves suggèrent que les dirigeants de Wall Street qui étaient prêts à frauder les clients pour arrondir leurs fins de mois en étaient la cause.

Le procès contre Bear Stearns et JPMorgan a résumé l’essentiel de la crise du crédit de 2008 : Les institutions bancaires ont intentionnellement vendu des titres qu’elles savaient être mauvais.

Les mêmes banquiers criminels détruisent aujourd’hui intentionnellement le système financier mondial pour le remplacer par quelque chose d’encore pire — des scores de crédit social, une identité numérique et des coupons numériques de banque centrale (CBDC), qui leur donneront la possibilité de contrôler non seulement vos finances individuelles, mais aussi tout le reste de votre vie.

La crise financière de 2008 nous a montré à quel point ils sont incompétents. Alors pourquoi accepterions-nous le système financier « nouveau et amélioré » qu’ils ont l’intention de mettre en place dès que le système financier actuel sera en ruine ?

08 Suivre La Piste De L Argent Orig



Le documentaire de PBS Frontline ci-dessus, The Untouchables, diffusé à l’origine en 2013, enquête sur les causes de la crise financière de 2007-2009(1) et sur les raisons pour lesquelles les escrocs de Wall Street ont échappé aux accusations de fraude liées à la vente de prêts hypothécaires douteux. Comme l’explique PBS (2).

« Les dirigeants de Wall Street sont-ils « trop gros pour être emprisonnés » ? Dans « The Untouchables », le producteur et correspondant Martin Smith… enquête sur les raisons pour lesquelles le ministère américain de la Justice n’a pas agi sur la base de preuves crédibles que Wall Street a sciemment emballé et vendu des prêts hypothécaires toxiques aux investisseurs, prêts qui ont amené les économies américaine et mondiale au bord de l’effondrement.

Grâce à des entretiens avec des procureurs de haut niveau, des fonctionnaires et des dénonciateurs de l’industrie, FRONTLINE rapporte des allégations selon lesquelles les banquiers de Wall Street ont ignoré une fraude généralisée lors de l’achat de pools de prêts hypothécaires. »

Revue historique

Vous vous demandez peut-être pourquoi je publie un documentaire vieux de près de dix ans. C’est parce que nous pouvons tirer de puissants enseignements de notre histoire. Il est clair que tous les banquiers qui ont été responsables du traumatisme financier n’ont jamais été poursuivis. Eh bien, vous pouvez parier votre dernier dollar que nous aurons le même résultat lorsqu’il s’agira de poursuivre les responsables de la mort de millions de personnes lors de la pandémie de COVID.

Plongeons donc dans l’histoire pour que vous puissiez apprendre. J’ai également inclus ci-dessous un documentaire intitulé All the Plenary’s Men (Tous les hommes du plénum), qui examine plus en profondeur la question de savoir pourquoi le ministère de la Justice n’a tenu personne pour responsable et n’a poursuivi aucune des grandes banques.

La crise financière qui a débuté en 2007 et a atteint son paroxysme en 2008 n’était pas le résultat d’une fraude à court terme. Non, le décor avait été planté des années auparavant avec des taux d’intérêt très bas et des normes de prêt hypothécaire laxistes, et la situation s’est aggravée à partir de là, lorsque les fraudeurs ont commencé à tirer profit de ce qui semblait être de l’argent gratuit et facile(3).

À l’origine, la baisse des taux d’intérêt devait relancer l’économie après la bulle Internet. Une bulle immobilière s’est formée et, comme toutes les bulles, elle a fini par éclater, laissant les institutions financières détenir des milliers de milliards de dollars d’investissements dans des prêts hypothécaires à risque sans valeur – des investissements qui avaient été frauduleusement vendus comme des instruments à faible risque de premier ordre.

Le désastre a été aggravé par le fait que la Securities and Exchange Commission a assoupli en 2004 les exigences en matière de capital net pour les banques d’investissement telles que Goldman Sachs, Merrill Lynch, Lehman Brothers, Bear Stearns et Morgan Stanley, ce qui leur a permis de multiplier leurs investissements par 40. Comme l’explique Investopedia(4).

« La Fed a commencé à relever les taux en juin 2004, et deux ans plus tard, le taux des fonds fédéraux avait atteint 5,25 %, où ils y sont restés jusqu’en août 2007. Les premiers signes de détresse sont apparus. En 2004, le taux d’accession à la propriété aux États-Unis avait atteint un sommet de 69,2 %. Puis, au début de 2006, les prix des maisons ont commencé à chuter.

Cela à cause de réelles difficultés à de nombreux Américains. Leurs maisons valaient moins que ce qu’ils avaient payé. Ils ne pouvaient pas vendre leurs maisons sans devoir de l’argent à leurs prêteurs. S’ils avaient des prêts hypothécaires à taux variable, leurs coûts augmentaient à mesure que la valeur de leur maison baissait.

Les emprunteurs à risque les plus vulnérables se sont retrouvés avec des prêts hypothécaires qu’ils ne pouvaient pas se permettre. Au début de 2007, les prêteurs à risque ont déposé leur bilan les uns après les autres.

En février et mars, plus de 25 prêteurs à risque ont fait faillite. En avril, New Century Financial, spécialisée dans les prêts à risque, a déposé son bilan et licencié la moitié de ses effectifs.

En juin, Bear Stearns a arrêté les rachats dans deux de ses fonds spéculatifs, ce qui a incité Merrill Lynch à saisir 800 millions de dollars d’actifs dans ces fonds. Mais ce n’était rien en comparaison de ce qui allait se passer dans les mois à venir.

En août 2007, il est devenu évident que les marchés financiers ne pouvaient pas résoudre la crise des subprimes et que les problèmes se répercutaient bien au-delà des frontières américaines. »

Le marché interbancaire s’est gelé lorsque les banques du monde entier ont commencé à signaler des problèmes de liquidités et des pertes importantes dues aux mauvais investissements dans les subprimes, les banques centrales ont commencé à injecter des milliards de dollars de prêts pour soutenir les marchés du crédit, la récession a frappé, les marchés boursiers se sont effondrés, les banques d’investissement se sont effondrées et ont été vendues pour quelques centimes de dollars, et les prêteurs immobiliers comme Fannie Mae et Freddie Mac ont été saisis par le gouvernement américain.

Le « remède » à cet échec épique a été le sauvetage de Wall Street, où de nombreuses banques ont reçu des milliards de dollars pour rester à flot. En fait, le gouvernement a acheté les actifs toxiques (avec l’argent des contribuables, bien sûr) pour sauver les banques jugées « trop grosses pour faire faillite », tandis qu’environ 3,8 millions d’Américains ont été contraints à la saisie(5) et ont perdu toutes leurs économies.

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Qui est à blâmer ?



La responsabilité de l’effondrement financier de 2008 ne manque pas d’être attribuée à tout le monde(6) Les économistes accusent les politiques laxistes en matière de prêts hypothécaires qui ont permis aux gens d’emprunter plus qu’ils ne pouvaient se permettre.

D’autres rejettent la faute sur les prêteurs prédateurs, qui ont séduit les gens en leur faisant croire qu’ils pouvaient se permettre des prêts hypothécaires plus élevés que ce qui était réellement possible, et sur les « experts » en investissement qui ont regroupé les mauvais prêts hypothécaires et les ont revendus aux investisseurs comme des instruments à faible risque. Les banquiers, à l’époque, ont admis qu’ils avaient mal calculé les risques.

Les agences qui ont approuvé les paquets d’hypothèques toxiques, en leur donnant les meilleures notes d’investissement, ont aussi clairement joué un rôle, tout comme les investisseurs individuels, qui n’ont pas fait preuve de diligence raisonnable ou qui ont simplement revendu à d’autres ce qu’ils savaient être des créances douteuses.

Et puis il y a Wall Street. Les interviews de Frontline montrent clairement qu’au cœur de cette bulle se trouvaient des dirigeants cupides de Wall Street, prêts à escroquer les clients pour améliorer leurs propres résultats.

Des fraudes ont-elles été commises ?

La question posée par Frontline est de savoir si une véritable fraude a été commise. Pas un seul dirigeant de Wall Street n’a été tenu pour responsable de cette crise massive. Est-il vraiment possible que pas un seul d’entre eux n’ait commis de fraude avérée ? Et si c’est le cas, pourquoi n’ont-ils pas été tenus pour responsables ?

David Boies, fondateur du cabinet d’avocats new-yorkais Boies, Schiller & Flexner, a déclaré au correspondant de Frontline, Martin Smith, que des poursuites substantielles étaient effectivement attendues à l’époque. Dans les couloirs de Washington D.C., les appels à des poursuites étaient également forts et clairs.

L’ancien sénateur Ted Kaufman, D-Del, était parmi ceux qui insistaient sur le fait que les responsables de l’escroquerie à l’égard des travailleurs américains devaient être identifiés, poursuivis et jetés en prison.

Comme l’a fait remarquer M. Kaufman, le système financier mondial, et pas seulement celui des États-Unis, a été presque détruit, et « cela n’arrive pas s’il n’y a pas quelque chose de mal qui se passe ». En fin de compte, cependant, aucun coupable n’a été identifié. Personne n’a été tenu pour responsable. Personne n’est allé en prison. Et l’une des raisons de cette situation, selon le ministère américain de la Justice, est que « la cupidité n’est pas nécessairement un délit pénal. »

Comme le note Frontline, pour poursuivre Wall Street, les investisseurs avaient besoin a) de preuves de ce que les banquiers savaient, et b) qu’ils avaient une intention criminelle. Frontline poursuit en interviewant plusieurs souscripteurs de due diligence, des personnes qui calculent les chiffres pour évaluer le risque d’achat d’un portefeuille de prêts donné et déterminer si les souscriptions — les prêts — sont légitimes.

Ainsi, si une société de Wall Street veut acheter un portefeuille de prêts, elle engagera des souscripteurs chargés de la diligence raisonnable qui lui diront si un portefeuille particulier est un investissement sûr ou non en examinant manuellement un échantillon de prêts dans ce groupe.

Au cours des années qui ont précédé le krach immobilier, les souscripteurs chargés de la diligence raisonnable ont reçu l’ordre, prétendument de la part de leurs supérieurs, de ne pas examiner les prêts trop en profondeur ou de ne pas poser de questions qui auraient dû être posées, comme celle de savoir si une serveuse pouvait réellement gagner les 12 000 dollars par mois nécessaires pour payer le prêt. Même dans les cas où une fraude flagrante était suspectée sur une demande de prêt hypothécaire, les responsables de la diligence raisonnable n’étaient pas autorisés à l’appeler ainsi.

Activité frauduleuse ignorée/acceptée aux plus hauts niveaux

Certains hauts responsables ont également remarqué des problèmes. Richard Bowen, ancien vice-président et souscripteur en chef chez Citigroup entre 2002 et 2009, s’est inquiété lorsqu’il a découvert que 60 % des prêts hypothécaires achetés par Citigroup ne respectaient pas sa politique de prêt. À la fin, le taux de prêts hypothécaires défectueux chez Citigroup dépassait 80 %.

Bowen a essayé d’alerter la haute direction de Citigroup sur le fait que l’entreprise courait un grand risque, mais personne ne semblait s’en soucier. Il a ensuite été rétrogradé et a fini par démissionner. Citigroup a finalement plaidé coupable dans le cadre d’un procès pour fraude civile pour avoir omis d’exercer une diligence raisonnable de base de 2004 à 2010.

Frontline passe ensuite en revue certaines des nombreuses auditions du Congrès et les découvertes des enquêteurs. Il est important de noter qu’un rapport d’enquête sur la crise financière a révélé les conclusions d’une enquête sur une société de diligence raisonnable appelée Clayton Holdings, qui avait effectué une diligence raisonnable pour une vingtaine de banques qui achetaient des prêts hypothécaires, les conditionnaient et les vendaient aux investisseurs.

Bien que Clayton Holdings ait constaté qu’une partie importante des avoirs de chaque banque ne répondait pas aux normes de la banque en matière d’achat de ces prêts, dans chaque cas, les banques ont accepté les prêts et les ont vendus aux investisseurs. Pire encore, elles ont dit aux investisseurs qu’il s’agissait d’investissements de premier ordre et à faible risque, puis ont parié contre eux avec des positions courtes. Comment cela n’est-il pas une conduite criminelle ?

Les conclusions ont été transmises au ministère de la Justice, mais à part quelques amendes, aucune charge n’a été retenue. Il ne fait aucun doute que l’intention criminelle peut être très difficile à prouver, mais nombreux sont ceux qui pensent que le ministère de la Justice n’a tout simplement pas fait assez d’efforts.

L’action en justice de Bear Stearns résume le système de fraude de la crise du crédit

Cela ne signifie pas que nous ne pouvons pas comprendre ce qui s’est réellement passé. Nick Verbitsky, un réalisateur de documentaires, a mené plusieurs entretiens avec des employés d’EMC Mortgage de Bear Stearns, qui ont expliqué en détail comment la société escroquait ses clients.

Après avoir visionné plusieurs heures de ces enregistrements, la journaliste d’investigation Teri Buhl a écrit un article à ce sujet. Peu après, elle a été contactée par des avocats de Patterson Belknap Webb & Tyler, qui représentaient un groupe d’assureurs hypothécaires appelé Monolines. Ils travaillaient déjà sur une affaire de fraude contre Bear Stearns et JP Morgan Chase, et souhaitaient que les dénonciateurs les aident à monter leur dossier.

L’affaire contre Bear Stearns et JP Morgan résume en fait l’essentiel de la crise du crédit de 2008, a déclaré l’analyste financier Mark Palmer à Frontline. Il pense que la crise financière était, à la base, le résultat d’institutions bancaires vendant intentionnellement de mauvais prêts hypothécaires. Palmer est également convaincu qu’il y avait suffisamment de preuves pour, au minimum, inculper de nombreux acteurs clés.

Enfin, en 2012, le procureur général de New York a intenté une action civile contre Bear Stearns et JP Morgan, pour fraude. Son dossier était largement basé sur le travail d’autres cabinets d’avocats privés, dont Patterson Belknap. La question est de savoir pourquoi le ministère de la Justice n’a pas pu faire le travail.

Les mêmes escrocs font à nouveau couler l’économie

Personne au sommet de l’échelle n’a été puni pour les malversations flagrantes qui ont conduit à la crise financière de 2008. Et maintenant, ils sont en train de provoquer une nouvelle crise, encore plus grave que la précédente. C’est ce qui se passe lorsque vous permettez à des criminels de poursuivre leurs agissements sans répercussion. Ils s’enhardissent et leurs crimes prennent de plus en plus d’ampleur.

Nous en sommes maintenant au point où les banksters se sont auto-sélectionnés pour diriger le monde entier, en jetant les notions de démocratie, de liberté et de dignité humaine à la poubelle au passage. Comme l’a noté le Dr Robert Malone dans un récent article de Substack(7).

«… Les contribuables américains ont renfloué les grandes banques lorsqu’elles ont fait s’effondrer l’économie mondiale en 2007-2008… Je n’ai pas été renfloué. Vous avez probablement aussi dû vous contenter d’encaisser.

Mais les grandes banques ont travaillé avec la Réserve fédérale (privée), le gouvernement américain et Blackrock, et ont détruit leurs concurrents (le secteur des caisses d’épargne et des prêts), les petites entreprises de tout le pays, et décimé les finances des propriétaires qui avaient été incités à de multiples cycles de refinancement.

Pendant ce temps, ces mêmes grandes banques qui étaient en grande partie responsables de la catastrophe économique ont essentiellement reçu de l’argent gratuit (de la monnaie fiduciaire en papier imprimée par la Réserve fédérale et injectée dans l’économie via les grandes banques, ce qui n’est en fait qu’une autre forme d’imposition — par la Réserve fédérale privée !)

Et ce sont ces mêmes banques, gestionnaires et fonds spéculatifs qui pensent qu’ils ont la sagesse, les connaissances et les compétences pour gérer le monde entier.

Et ils croient apparemment qu’il leur suffit de pouvoir suivre numériquement le comportement, les achats, les activités politiques, les comptes bancaires et tous les autres aspects de nos vies de chacun pour pouvoir nous gérer correctement via des scores de crédit social, des scores ESG, etc.

Ces grandes banques et fonds d’investissement (Larry Fink/Blackrock, State Street, Vanguard, etc.) semblent croire que s’ils disposent de toutes ces données et capacités de suivi au niveau individuel sur chacun d’entre nous, ainsi que d’une monnaie numérique mondiale centralisée, alors ils seront en mesure de nous gérer correctement.

Donc, la question. Qui a mis les banquiers en charge du monde ? C’est de la folie. Cela doit cesser. Ils ont démontré à plusieurs reprises leur incompétence, leur orgueil, leur arrogance et leur cupidité. D’une manière ou d’une autre, le pouvoir des milliardaires, des banques centrales privées, des fonds d’investissement massifs et de tous leurs petits clubs et sociétés privées doit être réduit ou (de préférence, à mon avis) détruit.

« Nous devons faire face à la vérité qui a été cachée derrière tout cela… Le monde a permis aux monopolistes (tels que Bill Gates) et aux monopoles de s’emparer de beaucoup trop de pouvoir et de contrôle. Ils doivent être mis au pas. Pour le bien de chacun d’entre nous. Pour le bien de l’humanité. Pour le bien de nos enfants, à défaut d’autre chose. »

Polycrise du malheur en perspective

La pandémie de COVID a mis en évidence la stratégie utilisée par la cabale mondialiste. Les banquiers sont des acteurs clés de cette cabale, mais ils ne sont pas les seuls. Ils créent des crises pour nourrir leur propre cupidité. La pandémie n’était que la dernière de ces nombreuses crises.

La crise financière de 2008 nous a montré à quel point ils sont incompétents. Alors pourquoi accepterions-nous le système financier « nouveau et amélioré » qu’ils ont l’intention de mettre en place dès que le système financier actuel sera en ruine ?

Mais la crise financière de 2008 nous a également montré à quel point ils sont incompétents. Ils ne maîtrisaient pas la situation à l’époque, et ils ne la maîtrisent toujours pas aujourd’hui. Alors pourquoi accepterions-nous le système financier « nouveau et amélioré » qu’ils ont l’intention de mettre en place dès que le système financier actuel sera complètement détruit ?

Il sera bien pire que le précédent. Il n’y a aucun doute là-dessus, car il ne leur accordera pas seulement un contrôle total sur vos finances personnelles, mais aussi sur tous les autres domaines de votre vie. Cela se produira après la Grande Réinitialisation dans les deux ou trois prochaines années, une fois que les banques centrales auront mis en œuvre leurs CBDC (monnaies numériques des banques centrales).

À l’heure actuelle, nous sommes confrontés à une série de crises sans précédent, comme indiqué dans « Un expert en économie explique l’imminente polycrise du destin ». Toutes ces crises – inflation, pénuries alimentaires, pénuries d’énergie, escalade de guerre imminente – ont été créées dans le but de cacher le plus grand transfert de richesse que le monde ait jamais connu.

Une fois ce transfert de richesse terminé, vous ne posséderez plus rien, comme l’a prédit le Forum économique mondial, et serez sous le contrôle total des humains les plus cupides et les plus incompétents sur le plan fiscal de la planète. Il n’existe tout simplement aucun scénario dans lequel ces individus seront capables de créer l’utopie qu’ils prétendent promouvoir, et plus vite chacun s’en rendra compte, plus vite nous pourrons les remplacer par des personnes qui ont réellement les compétences nécessaires pour reconstruire ce qu’ils ont détruit.

Comment les banquiers prévoient de nous contraindre à la grande réinitialisation

Plusieurs pays, dont l’Allemagne, la France et les États-Unis, ont intentionnellement paralysé et/ou entièrement démantelé leur secteur énergétique au nom de l’agenda vert. En conséquence, la Deutsche Bank prévient maintenant que les Allemands devront brûler du bois de chauffage pour survivre à l’hiver prochain(8), et la France éteint les lampadaires pour réduire la consommation d’énergie(9).

À ce stade, il est important de réaliser que l’Agenda vert n’est qu’un outil de plus pour nous forcer à la Grande Réinitialisation, tout comme la pandémie a été utilisée pour armer Big Pharma en vue d’un réseau mondial de biosécurité.

Comme l’explique Town Hall, l’une des façons dont les grandes banques complotent pour forcer cette transition est de mettre en place des notes environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) pour les entreprises et les comptes d’investissement individuels(10).

« Si les banques sont autorisées à décider collectivement de ne plus financer n’importe quel groupe de personnes qu’elles souhaitent, en se basant non pas sur des préoccupations financières, mais sur des considérations idéologiques, alors les banques et leurs alliés de la Grande Réinitialisation auront, de fait, un contrôle quasi total sur la société — surtout si elles commencent à lier les décisions de prêt à un vaste système ESG…

Le temps est venu pour une révolte populiste massive contre la Grande Réinitialisation, une révolte qui, espérons-le, aura le même succès que le mouvement populaire contre le Common Core sous l’administration Obama. Le sort du monde libre pourrait très bien en dépendre. »

Comprendre le jeu en Grande-Bretagne

Pendant ce temps, le leadership au Royaume-Uni s’effrite, et le Forum économique mondial se bat pour qu’un de ses membres prenne la place de l’ancien Premier ministre Boris Johnson. Comme l’a fait remarquer Maajid Nawaz(11), la course à la direction du Royaume-Uni a pour but d’obtenir un dirigeant qui inaugurera la grande réinitialisation :

« La division a été semée après le Brexit. Les normes civiles ont [sic] été écrasées après le COVID. Les “moyens de production” ont été perturbés après la guerre en Ukraine. Ce qui vient ensuite est le but qu’ils ont tous servi : La grande réinitialisation.

Combinées, ces crises cumulées de suicide fiscal monumental, de perturbation sans précédent de la chaîne d’approvisionnement et de pénuries alimentaires et énergétiques risquent de provoquer l’effondrement du système financier mondial, déclenchant des soulèvements mondiaux vraiment sans précédent. En fait, nous en sommes déjà témoins.

L’effondrement du système financier mondial semble désormais inévitable. Il s’est effectivement effondré en 2008. Ce qui s’est passé depuis n’est que l’exécution d’une démolition contrôlée soigneusement planifiée, pour ne pas dire vicieuse.

Cette démolition est orchestrée par les mondialistes de l’establishment du Forum économique mondial (WEF) afin que leur propre opposition contrôlée puisse orienter cette réinitialisation mondiale vers une plus grande tyrannie centralisée, au lieu de lui permettre de favoriser la démocratie décentralisée.

La résistance populaire sera désormais utilisée comme un prétexte pour réprimer et suspendre la liberté en déployant des forces militarisées pour soumettre les citoyens qui se rebellent.

C’est ainsi que l’establishment financier mondial cherche à profiter de la révolution mondiale actuelle pour conserver son pouvoir. Nous sommes à la fin d’un cycle générationnel naturel : un tournant historique. Nous sommes témoins de la partie “réinitialisation” de la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab. Ils nous ont dit ce qu’ils comptaient faire. Après la réinitialisation, ils chercheront à “reconstruire en mieux” afin de créer leur nouvel ordre mondial…

Ce qui précède est le contexte approprié pour expliquer pourquoi l’establishment mondialiste britannique s’est retourné contre son propre leader et Premier ministre Boris Johnson.

Cela donne l’impression que les responsables de toutes les injustices passées pendant les chapitres du Brexit, du COVID et de la guerre en Ukraine semblent être suffisamment désignés comme boucs émissaires aux yeux du public infortuné, tandis que le prochain chapitre de leur transition mondiale souhaitée vers la technocratie est introduit sous notre nez par un nouvel acolyte au visage frais …

Le prochain chapitre des mondialistes nécessite un Premier ministre indemne – vivant dans l’imagination du public pour avoir distribué de l’argent gratuit au public – qui soit prêt à diriger l’effondrement du système financier et à inaugurer la technocratie planifiée par la banque mondiale : les scores de crédit social et les coupons numériques de la banque centrale (CBDC) ».

La cabale des banques centrales et ses nombreux alliés ont infiltré les gouvernements et les institutions à travers le monde pendant de nombreuses décennies, retournant lentement les systèmes contre nous. Nous sommes maintenant dans le dernier chapitre de leur prise de contrôle technocratique. Tout indique qu’ils vont réussir.

Ce que vous pouvez faire

Cependant, il y a un joker : L’esprit humain et son amour inhérent de la liberté. Si un nombre suffisant d’entre nous refuse d’accepter le « nouveau monde » que ces escrocs proposent, nous avons peut-être encore une chance de renverser ce désastre et de reconstruire véritablement quelque chose de meilleur.

Il est important que vous continuiez à vous préparer à l’inévitable catastrophe financière et que vous deveniez aussi indépendant et résilient que possible. Cette année, j’ai proposé de nombreux articles sur la façon dont vous pouvez vous préparer, et vous pouvez les consulter sur mon site Substack.

Il sera également vital de devenir aussi sain que possible. Une étude récente a montré que 93 % des adultes américains sont en mauvaise santé métabolique, et ces statistiques dataient de 4 ans. Il est probable que ce chiffre dépasse aujourd’hui les 95 %. Vous voulez être la seule personne sur 20 qui est en bonne santé. Faites-vous un devoir de faire partie de ce groupe.

C’est tellement important que je suis en train de concevoir un sondage pour savoir quel est ce pourcentage pour nos abonnés. Ce sondage sera un peu plus précis, car il inclura des paramètres tels que le taux de vitamine D, l’exposition au soleil et l’exercice physique. Alors, si vous ne l’êtes pas encore, commencez dès maintenant à vous mettre en forme métaboliquement pour pouvoir participer au prochain sondage.

Mon dernier livre, The Truth About COVID-19, est un best-seller instantané. Après des milliers de critiques, il a obtenu une note presque parfaite de 5 étoiles, alors achetez votre exemplaire aujourd’hui avant qu’il ne soit trop tard !

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Source : Activistpost.com




Loi contre les contenus « terroristes » en ligne, en marche vers une censure généralisée au sein de l’UE ?

[Source : FranceSoir]

[Photo :  AFP – Ugo Padovani / Hans Lucas]

La loi sur « la prévention de la diffusion de contenus à caractère terroriste » menace directement la liberté d’expression.


Par Wolf Wagner, journaliste indépendant

Sous couvert de lutter contre le terrorisme et de se conformer au droit européen, l’Assemblée nationale vient de voter une loi sur « la prévention de la diffusion de contenus à caractère terroriste ». Ce texte donne à présent le droit aux autorités de censurer, dans l’heure et sans aucune intervention de la justice, tout contenu publié sur internet dès lors que celui-ci peut être considéré comme « terroriste ».

Une loi qui menace directement la liberté d’expression. Explications.

Gérald Darmanin ne s’y trompe pas. Il s’est félicité sur Twitter que « ce texte important permet de contraindre éditeurs et hébergeurs web à retirer les contenus terroristes dans l’heure ».
Le ministre de l’Intérieur fait ici référence au texte adopté par l’Assemblée nationale le 27 juillet 2022.

Une loi qui vise à se conformer à la législation européenne entrée en vigueur le 7 juin dernier. Pour Caroline Cayeux, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales, qui était présente sur les bancs de l’assemblée pour défendre les positions du gouvernement, « il était indispensable que des autorités indépendantes chargées d’assurer et de contrôler la légalité du retrait des contenus soient désignés par chaque État-membre ».

L’autorité indépendante en question censée contrôler ces contenus est l’Arcom, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, le successeur du CSA. C’est-à-dire une instance dont les membres sont nommés par les présidents de la République, du Sénat et de l’Assemblée nationale, par le Conseil d’État et par la Cour de cassation.

Autrement dit : les membres d’une autorité à l’indépendance et à l’impartialité politique fortement contestable.

Et pour parvenir à ses fins, l’autorité indépendante entend s’appuyer sur sa plateforme Pharos, qui recense les signalements de contenus illicites réalisés par des internautes.

Être jugé coupable sans intervention judiciaire et sans possibilité de se défendre en amont de la sanction

Grâce à l’adoption de cette proposition de loi par l’assemblée, l’Arcom a donc bien à présent la possibilité de forcer tout site Internet, réseaux sociaux en tête, à supprimer dans l’heure un contenu qu’elle jugerait terroriste.

Contrairement à ce que permet habituellement le droit français, un plaignant pourrait ainsi se voir être injustement condamné avant d’avoir la possibilité de se défendre. En résumé, la sanction interviendra avant toute intervention de l’institution judiciaire, et donc avant tout procès.

Une situation inacceptable déjà dénoncée en avril 2021, depuis le Parlement européen, par l’eurodéputée EELV Gwendoline Delbos-Corfield :

« Bien entendu, il sera possible après d’attaquer cette décision en justice, et peut-être de se voir rendre justice, si c’était illégitime. Mais « après ». En attendant, l’UE aura créé l’opportunité d’une forme de censure préalable, ce qui va à l’encontre des éléments fondamentaux de la liberté d’expression. »

Sans oublier qu’en cas de censure subie, il est difficile d’imaginer que le Français, ou que l’Européen, moyen injustement condamné souhaitera s’engager dans une longue procédure judiciaire s’il n’obtenait pas rapidement gain de cause face à la censure de l’une de ses publications. Il est fort à parier que celui-ci préférera accepter sa sanction et passer à autre chose plutôt que d’entrer dans un long combat potentiellement perdu d’avance.

Et pour les entités plus puissantes, capables d’engager une procédure judiciaire contraignante, il est envisageable – notamment concernant la presse indépendante – que toute information publiée et censurée à tort par l’Arcom, perdra en valeur et en intérêt si elle ne devait réapparaître sur Internet que bien plus tard, une fois la procédure judiciaire terminée et remportée par l’accusé. Le mal aura dans tous les cas été fait, l’information aura été censurée au moment de sa diffusion.

Un contenu supprimable partout en Europe à la demande de n’importe quel ministère de l’Intérieur de l’UE ?

Beaucoup plus inquiétant, Gwendoline Delbos-Corfield alerte sur le fait que :

« demain, le ministère de l’Intérieur d’un pays va pouvoir faire supprimer en une heure un contenu qu’il aura décrété terroriste dans le pays voisin, en s’adressant directement à la plateforme qui l’héberge et sans qu’aucune autorité judiciaire, des deux côtés, n’ait jamais eu un regard dessus. »

À l’en croire, cette loi permettrait tout simplement une ingérence permanente entre États européens sur la manière de régulariser la liberté d’expression des citoyens de l’UE sur Internet. Un mode opératoire qui, s’il venait à véritablement voir le jour, soulèverait de nombreuses questions.

En effet, l’eurodéputée rappelle que :

« dans certains États de cette Union européenne, on peut être ciblé officiellement comme traître à la nation ou ennemi de l’État pour avoir simplement questionné une décision gouvernementale. Dans certains États de cette Union européenne, la constitution peut être interprétée comme jugeant acte terroriste le fait d’organiser un référendum. Dans certains États de cette Union européenne, des membres de gouvernements et des hauts fonctionnaires ont qualifié d’actes terroristes de mineures dégradations matérielles faits par des activistes environnementalistes ».

Une définition du « terrorisme » qui prête ainsi largement à interprétation selon l’eurodéputée et selon plusieurs ONG auxquelles Public Sénat faisait écho, le 13 juillet dernier, dans un article paru suite à l’adoption du texte par le Sénat :

« Ces publications « à caractère terroriste » regroupent, selon la définition prévue par les textes législatifs, toute incitation à la commission d’infractions terroristes, la sollicitation d’une personne ou d’un groupe pour commettre des actes terroristes, la fourniture d’instruction pour la fabrication ou l’utilisation d’armes ou d’explosifs. Cette définition large est critiquée par de nombreuses associations et Organisation Non Gouvernementales (ONG), qui y voient une menace pour la liberté d’expression ».  

Qu’est-ce qu’un terroriste ?

L’eurodéputée soulève ici une très bonne question : qu’est-ce concrètement qu’un terroriste ? Comment le différencier d’un déséquilibré ou d’un opposant politique violent ?

Un terroriste est-il forcément djihadiste ? Un terroriste doit-il obligatoirement proférer des attentats sur le territoire national pour être considéré comme tel ? Ou encore, un attentat terroriste doit-il obligatoirement toucher des personnes ou la seule atteinte aux biens suffit-elle ?

Autant de critères non définis qui laissent à terme la porte ouverte à une multitude d’interprétations possibles.

D’autant qu’il n’est pas nécessaire de remonter jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, quand les résistants de l’époque étaient appelés « terroristes » par le régime nazi et par celui de Vichy, pour trouver des analogies parfois hasardeuses, voire mensongères, au sujet d’individus qualifiés de terroristes.

En effet, pour Michel Wieviorka, sociologue et directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales, interrogé en 2021 par CNews au sujet de l’incendie d’un centre de vaccination à Urrugne dans les Pyrénées-Atlantiques, il s’agit « certainement de groupes tout à fait petits qui organisent ce genre de chosesOn est dans de l’action structurée, organisée, violente… j’ai envie de vous dire : la colère se refroidit et se transforme en quasi terrorisme ».

Le mot « terrorisme » a donc déjà été lâché par un éminent sociologue au sujet de l’incendie, plutôt léger, d’une simple tente abritant un centre de vaccination.

Une interrogation qui avait alors été reprise telle quelle par un influent site Internet de l’époque, celui de Jean-Marc Morandini, qui avait choisi de diffuser l’interview du sociologue et qui débute son article en se posant cette question : « La colère est-elle en train de se transformer en actes terroristes ? ».

D’un incendie d’une tente, nous avons donc rapidement basculé vers un discours où l’amalgame était permis entre opposants antivax et le terme de terroriste, généralement consacré aux individus animés de velléités meurtrières contre les intérêts français.

Il serait simple de se dire que ces mots n’engagent que le sociologue qui les a prononcés, mais, dans un pays où la novlangue est devenue reine et où la définition des mots peut parfois évoluer très rapidement, il convient de rester méfiant quant à l’interprétation que l’on peut faire d’un texte de loi de ce type à plus ou moins court terme.

Qui peut aujourd’hui dire ce que sera le sens du mot « terrorisme » dans deux ans ? Et qui sera alors susceptible de répéter les arguments autrefois défendus par Michel Wieviorka ? Nul ne peut le prédire, et c’est bien là tout le danger de ce texte.

Comment s’interdire d’imaginer que dans le cas où nous aurions à revivre une situation proche de celle rencontrée au cours des années 2020 et 2021, avec un pouvoir aussi vertical que strict, certains opposants, plus ou moins violents et hostiles à la politique du gouvernement, ne seraient pas de nouveau qualifiés de terroristes par une partie toujours plus importante de l’intelligentzia ?

Faut-il par exemple rappeler les différentes sorties médiatiques d’un Raphaël Enthoven pour s’en convaincre ? Comme lorsqu’il écrit que les antivax seraient revenus « à l’État de nature », c’est-à-dire qu’ils seraient en opposition avec le contrat social qui régit nos civilisations depuis le XVIIe siècle. En un mot, selon Enthoven, les antivax seraient des êtres sous-développés philosophiquement aux aspirations moyenâgeuses, pour ne pas dire animales.

Grâce à cette loi et à la lecture de ces différentes déclarations, serait-il possible dans le futur de supprimer toute prise de position publique de la part d’antivax ou d’antipass sur le simple prétexte qu’ils représenteraient un danger terroriste, ou a minima un danger pour la sécurité intérieure du pays ?

La démarcation entre terrorisme et sécurité intérieure est trop poreuse pour pouvoir affirmer qu’ils ne seraient pas victimes d’une chasse aux sorcières encore plus agressive.

Quoi qu’il en soit, le simple fait que cette question puisse être posée démontre de facto que la réponse est incertaine. Ce qui est déjà en soi, un sérieux problème démocratique.

Par ailleurs, un individu qui serait considéré comme terroriste en Hongrie ou en Allemagne, le serait-il obligatoirement aussi en France ?

Pas forcément.

En Allemagne, l’extrême droite considérée par les autorités comme plus dangereuse que le terrorisme djihadiste

En effet, récemment en Allemagne, un groupe qualifié « d’antivax proche de l’extrême droite » a été arrêté car il aurait projeté de réaliser des attentats sur le sol allemand.

Le 15 avril 2022, Le Parisien écrit à ce sujet :

« En Allemagne, à l’issue d’une enquête menée depuis octobre 2021, cinq Allemands appartenant à la mouvance anti-restrictions sanitaires et faisant partie d’un groupe de messagerie intitulé « Patriotes unis », ont été suspectés de planifier des attentats d’extrême droite. (…) Leur réseau, organisé sur la plate-forme Telegram, envisageait notamment des enlèvements de personnalités publiques comme le ministre de la Santé Karl Lauterbach, partisan des restrictions face au Covid-19. »

Le groupe rassemblait environ 70 personnes à travers le pays. Ils parlaient entre eux « d’un renversement de l’ordre démocratique, de la mise en place d’un nouveau gouvernement, jusqu’à des déclarations selon lesquelles (le président russe Vladimir) Poutine devrait aussi réussir ici en Allemagne pour permettre l’avènement d’un nouveau système », a résumé le ministre de l’Intérieur de Rhénanie-Palatinat, Roger Lewentz. ».

Pour Le Figaro qui relate également la nouvelle : « Les opérations policières visant la frange radicale de la mouvance anti-restrictions sanitaires se sont multipliées dans le pays qui a érigé la violence d’extrême droite au premier rang des menaces pour l’ordre public, avant le risque djihadiste. ».

Si les accusations portées à l’encontre de ces Allemands étaient par la suite confirmées par la justice d’outre-Rhin, ce groupe mériterait alors d’être condamné, mais l’information la plus importante divulguée ici par Le Figaro, c’est que l’Allemagne considère à présent la menace de l’extrême droite comme plus dangereuse que celle incarnée par le terrorisme djihadiste.

Ce qui est loin d’être le cas en France.

Preuve que les sensibilités politiques varient bel et bien d’un pays à l’autre.

D’autant que quelle que soit la réalité actuelle, en suivant la logique allemande et en tenant compte des propos de Gwendoline Delbos-Corfield, une nouvelle question se pose inéluctablement : que se passerait-il dans le cas où le ministre de l’Intérieur allemand en voyant une publication sur les réseaux sociaux d’antivax français – qu’il qualifierait, à juste titre ou non, de membres de l’extrême droite – décidait, en tant qu’autorité allemande et au nom de sa propre interprétation politique nationale, de demander au réseau social de supprimer la publication de cet internaute français ?

Au nom de l’Europe, si l’on en croit l’eurodéputée, il serait très certainement exaucé. Il deviendrait ainsi possible de voir des autorités étatiques étrangères avoir le droit d’intervenir administrativement pour faire sanctionner des citoyens d’autres nations.

Un mode opératoire qui semble néanmoins totalement inapplicable en l’état, tant les nations de l’UE ne possèdent pas les mêmes standards. Exemple concret avec la Hongrie et sa politique vis-à-vis de la communauté LGBT. Qui Facebook devra-t-il suivre si d’un côté les autorités hongroises considèrent comme terroriste, ou a minima comme dangereux, le militantisme LGBT, pendant que celui-ci serait au contraire défendu dans un pays tel que la France ?

Il y a là une contradiction évidente qui ne pourrait au final être levée qu’en cas de perte définitive des souverainetés nationales au profit de celle de l’UE.

Qui veut tuer son chien l’accuse de la rage. Qui veut tuer un mouvement politique le qualifie d’extrême droite

Le souci avec les étiquettes politiques, que ce soit en Allemagne, en Hongrie ou en France, ce sont donc les critères choisis pour les définir.

Difficile par exemple d’un point de vue franco-français de pouvoir affirmer ou infirmer le bien-fondé du jugement allemand sur les individus récemment arrêtés et sur leur obédience politique réelle. Néanmoins, il suffit de faire le parallèle avec la France pour constater que, concernant ce sujet, certains jugements peuvent parfois être hâtifs, quand ils ne sont pas clairement mensongers.

En effet, y a-t-il déjà eu par le passé en France des cas de personnes injustement qualifiées d’extrémistes de droite dans le seul but de chercher à les discréditer aux yeux de l’opinion ?

La réponse est oui.

Il est par exemple aisé de se souvenir que de nombreuses voix, notamment à gauche, s’étaient élevées avant même le début du mouvement des Gilets Jaunes pour crier au complot d’extrême droite. Une appellation fallacieuse, largement documentée, mais qui avait par exemple vu la CGT – dont le communiqué a depuis été supprimé de son site Internet (sans intervention de l’Arcom) – écrire une petite vingtaine de jours avant la première mobilisation des Gilets Jaunes :

« L’appel lancé un samedi, sans réelle ambition de bloquer l’économie, s’appuie sur une colère légitime mais dont les ressorts sont obscurs et les solutions préconisées pour sortir de cet engrenage sur le long terme demeurent floues, voire dangereuses pour le monde du travail.

Plusieurs partis d’extrême droite semblent être à la manœuvre. »

Dans le même registre, trois ans plus tard, il y a aussi eu une tentative d’associer antipass et extrême droite (123) en tentant de mettre tous ceux qui étaient opposés aux restrictions sanitaires dans ce seul et même sac.

Pourtant, avec le recul et une fois posé, ce raisonnement ne tient pas.

Les soignants suspendus ne sont pas une assemblée de militants d’extrême droite. Les pompiers suspendus, idem. Et que dire des membres du collectif Où est mon cycle, à laquelle la presse dominante a décidé de s’intéresser dernièrement ? Ou encore ces 700 artistes qui ont conjointement appelé à refuser le passe vaccinal ? Ils seraient d’extrême droite ?

Bien évidemment, la réalité est tout autre, tant du côté des manifestants sortis dans les rues, que de celui de ces artistes aux militantismes politiques différents. Veronique Genest ou Alexandre Jardin, tous deux connus pour être idéologiquement de droite, côtoient au sein de cette tribune Bruno Gaccio, Yvan Le Bulloch ou encore Alain Damasio, dont les prises de position à gauche ne sont plus à démontrer.

Preuve que, contrairement au narratif assené à l’époque par une partie de la classe médiatique et politique, l’ensemble de ces personnalités, de ces collectifs, de ces personnels soignants ou, plus généralement, de ces anonymes qui se sont rassemblés dans la rue se sont en réalité retrouvés d’abord et avant tout derrière une volonté de s’opposer au passe vaccinal sans pour autant s’être préalablement entendus sur une idéologie politique et partisane commune.

Or, d’un côté en Allemagne, en érigeant l’extrême droite en menace supérieure de la nation, et de l’autre en France, en rattachant injustement toute une frange de la population à ce camp politique, comme ce fut le cas lors du mouvement des Gilets Jaunes ou lors de celui des antipass, il y a là avec l’application de cette loi, déjà tous les ingrédients nécessaires pour permettre à terme de justifier une future censure à l’encontre de ce type de mouvement, qu’il voit le jour en Allemagne ou en France.

Cette loi est bien plus dangereuse d’un point de vue démocratique qu’il n’y paraît.

Dans la continuité, avec un tel pouvoir d’action dénué de tout contrôle, combien des articles de FranceSoir publiés durant la crise sanitaire auraient pu être supprimés par l’Arcom grâce à cette nouvelle loi ? Combien de ces papiers auraient pu résister à l’accusation d’avoir diffusé des « fake news complotistes » mettant en danger la sécurité intérieure ?

Comme par exemple l’article qui révélait la probabilité que le virus puisse s’être échappé du laboratoire P4 de Wuhan et qui avait à l’époque vu un grand nombre de « fact-checkeurs » assurer à l’opinion publique que l’information était assurément fausse… avant de finalement se rétracter quelques mois plus tard pour expliquer que cette hypothèse était à présent privilégiée.

Combien de temps ce papier aurait-il pu survivre en ligne avec ce type de lois et avec cette définition si évasive du mot « terrorisme » ?

Là encore, impossible d’affirmer quoi que ce soit, mais au vu des années passées et compte tenu de la manière avec laquelle la macronie, et une bonne partie des pouvoirs européens, a su imposer avec force et virulence ses positions, il est plus qu’envisageable d’imaginer que cette loi puisse, in fine, permettre de pouvoir encore davantage « emmerder les non-vaccinés », ces « irresponsables qui ne sont plus des citoyens ».

Tour de passe-passe démocratique

Dernière particularité concernant le vote de cette loi : sa méthode.

En effet, comme le rapporte Public Sénat :

« Certains sénateurs se sont interrogés sur la méthode : utiliser une proposition de loi – c’est-à-dire un texte venu des parlementaires plutôt que du gouvernement – pour transposer dans la loi un règlement européen. Ainsi les sénateurs « Les Indépendants », pourtant soutiens de la majorité présidentielle, ont émis leurs « réserves » sur cette méthode qui prive les parlementaires de toute étude d’impact et d’un avis du conseil d’État.  ».

Pour Guy Benarroche, représentant le groupe écologiste du Sénat, dont les propos sont rapportés par Public Sénat, cette méthode est un « tour de passe-passe qui entache la sincérité du processus démocratique. ».

Avis partagé du côté des sénateurs communistes qui s’adressent au gouvernement avec « le sentiment que le règlement européen vous donne le prétexte de nous faire voter ce qui a déjà été supprimé – à raison- par ailleurs. ».

Les communistes font ici référence au Conseil Constitutionnel qui avait en grande partie retoqué la loi dite AVIA contre la haine en ligne et dont certains articles reprenaient la loi votée actuelle.

Un Conseil Constitutionnel qui représente aujourd’hui un bien faible dernier rempart pour retoquer un texte aux aspects des plus dangereux au vu de la menace anti-démocratique qu’il fait peser sur la liberté d’expression des citoyens français… et européens.




ATTENTION L’OMS VEUT MANIPULER À NOUVEAU LE MONDE VIA LE MONEYPOX (monkeypox)

Par Nicole Delépine

Une nouvelle fois le directeur général de l’OMS aux antécédents lourds(([1] En réponse à @jgalt485
«  Tedros, ancien Ministre de la Santé dans l’ancien Empire totalitaire de Libye, promu à l’OMS en passant devant 2 autres candidats Européens sur les injonctions de la Chine qui entretenait d’excellentes relations avec l’Empire Libyen en son temps ».))(([2] Senta Depuydt : quand le directeur de l’OMS appelait à « embrasser des Chinois dans la rue » – Profession Gendarme (profession-gendarme.com) la journaliste est allée enquêter sur Tedros Ghebreyesus. Le personnage est particulièrement sulfureux. « Il a commencé sa carrière politique dans un groupe terroriste marxiste, le Front de libération du peuple du Tigray dans les années 1970 », découvre-t-elle. « Un groupe qui a fait des attaques à main armée, des enlèvements… », rapporte-t-elle. Un groupe qui aura pris le pouvoir en 1991 et « qui domine toujours depuis ». De plus, le directeur de l’OMS est « le premier à ne pas être médecin ». Il était surtout « le ministre de la Santé de 2005 à 2012 en Éthiopie ».))(([3] Tedros Adhanom Ghebreyesus : l’OMS est-elle dirigée par un terroriste ? — Childrens’ Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) «  En quelques semaines, le sort de la planète entière semble avoir été placé sous le commandement de l’Organisation mondiale de la santé et de son leader, Tedros Gherbreyesus. Mais au cours des derniers jours, sa gestion de la crise des coronavirus et ses relations avec la Chine ont mis le président de l’organisation sous le feu des projecteurs, beaucoup appelant à sa démission. Alors, qui est cet homme qui a soi-disant notre destin entre ses mains ? »)) veut imposer sa décision en accord avec Bill Gates et contre le vote de ses propres collègues sur le risque de la variole du singe et censure les voix contraires. Il veut rejouer le covid19. Serons-nous encore complices ?

@jgalt485 27 juil.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom, a demandé aux entreprises de médias sociaux du monde entier de lutter contre toute « désinformation » concernant le monkeypox.

En d’autres termes il veut censurer quiconque n’est pas d’accord avec sa folie du monkeypox.

« Comme nous l’avons vu avec le COVID-19, la mésinformation et la désinformation peuvent se propager rapidement en ligne. Nous appelons donc toutes les plateformes de médias sociaux, les entreprises technologiques et les organes de presse à travailler avec nous pour prévenir et contrer les informations nuisibles »,
a déclaré Adhanom le 26 juillet 2022.

Il y a quatre jours le chef de l’OMS a déclaré la variole du singe « urgence sanitaire internationale », annulant une décision de la majorité de membres du panel qui avaient voté contre une telle déclaration. Ces méthodes sont habituelles pour le directeur général de l’OMS vendu à Bill Gates et sa volonté de vacciner le monde entier.

Terrible aveu (non exprimé au début des essais covid) :

Les labos qui ont produit le vaccin anti monkeypox considèrent que la vaccination des populations constituera un test clinique en grandeur réelle.

@jgalt485 27 juil. L’INFODÉMIE !

C’est la même étape que l’OMS a franchie en 2020 et 2021 lorsque l’OMS a affirmé que toutes les informations allant à l’encontre du récit faisaient partie d’une « infodémie » plus large.

« Peu de temps après que le monde a commencé à s’habituer aux termes coronavirus et COVID-19, l’OMS a inventé un autre mot : » infodémie « — une surabondance d’informations et la propagation rapide de nouvelles, d’images et de vidéos trompeuses ou fabriquées. Comme le virus est très contagieux et se développe de façon exponentielle. Cela complique également les efforts de réponse à la pandémie de COVID-19 », lit-on dans un article de 2020 intitulé « Immuniser le public contre la désinformation ».

Au cours de la pandémie, l’OMS a commencé à s’associer à des pays pour lutter contre « l’infodémie », ce qui, le plus souvent, signifiait censurer les personnes en ligne qui avaient de véritables inquiétudes ou essayaient de faire proliférer la vérité sur les effets indésirables à la suite de piqûres d’ARNm.

De telles réactions indésirables sont maintenant connues pour être un fait, et les responsables de la santé du monde entier ont commencé à avertir les gens de risques comme la myocardite post-vaccinale, que l’OMS a toujours écartée comme une théorie du complot ».

Et dans la ligne française d’obéissance aveugle aux diktats du couple OMS-Gates le nouveau ministre de la Santé se précipite pour ouvrir environ 100 centres de vax anti monkeypox et déjà plus de 6000 personnes ont reçu cette nouvelle drogue expérimentale !(([4] IMVAMUNE® Smallpox Vaccine in Adult Healthcare Personnel at Risk for Monkeypox in the Democratic Republic of the Congo—Full Text View—ClinicalTrials.gov))(([5] Official Title: An Open-Label Prospective Cohort Study of IMVAMUNE® Smallpox Vaccine in Adult Healthcare Personnel at Risk for Monkeypox in the Democratic Republic of the Congo
Actual Study Start Date : February 23, 2017
Estimated Primary Completion Date : August 2022
Estimated Study Completion Date : August 2022
IMVAMUNE
Two doses of attenuated live virus smallpox vaccine (IMVAMUNE liquid formulation or lyophilized formulation) administered on days 0 and 28 via subcutaneous injection (deltoid) (1 x 108 Tissue Culture Infectious Dose 50 [TCID50] per 0.5 ml) Other Names: Modified Vaccinia Ankara (MVA) MVA-BN
JYNNEOS
IMVANEX))(([6] Petersen BW, Kabamba J, McCollum AM, Lushima RS, Wemakoy EO, Muyembe Tamfum JJ, Nguete B, Hughes CM, Monroe BP, Reynolds MG. Vaccinating against monkeypox in the Democratic Republic of the Congo. Antiviral Res. 2019 Feb;162:171-177. doi: 10.1016/j.antiviral.2018.11.004. Epub 2018 Nov 14. Review.))

@MouldeuxJean 25 juil.

« Je me demandais d’où sortent les 85 % d’efficacité selon DE “NOMBREUSE ÉTUDES” par l’OMS, Vidal, etc. Eh bien j’ai trouvé. D’une étude observationnelle menée en RD Congo en… 1988 avec un autre vax !
https://medium.com/microbial-instincts/effectiveness-of-monkeypox-vaccine-is-questionable-especially-when-the-virus-has-mutated-de6c9ad1c843 »

Les exploits de l’OMS en Afrique sont célèbres(([7] @RomanAude l’épidémie de polio survenue en Inde en 2007 2008 révèle selon les propres données de l’OMS que 77 % des gens touchés avaient reçu + de 7 doses de vaccin oral soi-disant le +efficace et 18 % avaient reçu 4 doses ou + ce qui porte le nbre de gens touchés pourtant archi vax à 95 %.)) mais ont rendu les africains méfiant alors l (OMS et Bil Gates ça continue tentent de poursuivre leurs expériences sur les Européens..

NOUVELLE TENTATIVE DE L’OMS EN JUILLET 2022 DE FAIRE ACCEPTER UN AGENDA MONDIAL QUI FERAIT DU DIRECTEUR DE L’OMS LE ROI DU MONDE

Au service des mondialistes de Davos

Présentation de l’avant-projet de l’OMS présenté actuellement à Genève
(du 18 au 22 juillet) destiné à renforcer l’influence de l’OMS.
Tout le monde est concerné !



PDF de la transcription de la vidéo mise en page et 2 extraits de l’avant-projet de l’OMS, avec tous les liens !

Sous-titrage en français de la vidéo originale qui se trouve ici : https://jamesroguski.substack.com/p/ten-things-everyone-needs-to-know

Un twittos fait remarquer justement :

« Leur stratégie est forte, ils attaquent au même moment sur plusieurs points éloignés de nos modèles de société, que si nous ne faisons pas les liens, on pourrait penser qu’il n’y a pas de relation dans la finalité de leurs monde, ils brisent mentalement plusieurs piliers… » 

Et curieusement le patron du conseil secret d’EM tente de reculer en douceur.

#Delfraissy « Le pouvoir sur le vaccin a été pris par les industriels » pour le prochain vaccin. Les #Big Pharma ont décidé une combinaison virus initial + Omicron « Je pense que sur le plan scientifique ce n’est pas une bonne chose »

« Delfraissy le prochain vaccin en octobre 2022 ne sera pas suffisant ! »

« Jean-François Delfraissy, se laisse aller à quelques confidences. Les “Big Pharma ont pris le pouvoir » . On sent que le médecin veut se refaire une virginité, il tourne doucement sa veste… »

MÊME SI LE COUP D’ÉTAT MONDIAL DE L’OMS NE SEMBLE PAS TRÈS BIEN PARTI, RESTONS EN ALERTE ROUGE

Les mondialistes internationaux ont décidé de rédiger un traité leur donnant essentiellement un pouvoir de loi martiale discrétionnaire partout.

https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA75/A75_18-fr.pdf

Mais la résistance se développe. L’Équateur avait le premier refusé. L’archevêque Vigano, donneur d’alerte récurrent contre la maffia tentaculaire du « Nouvel Ordre Mondial », a dénoncé ce traité, haute trahison de la part des politiciens qui l’entérineraient.(([8] https://guyboulianne.com/2022/05/30/larcheveque-vigano-met-en-garde-les-nations-contre-la-prise-de-pouvoir-du-traite-pandemique-de-loms-ceder-a-la-souverainete-est-considere-comme-un-crime-de-haute-trahison/))(([9] https://www.thegatewaypundit.com/2022/05/exclusive-yielding-sovereignty-considered-crime-high-treason-archbishop-vigano-nation-states-handing-sovereignty/))(([10] D’autres aussi :
https://www.francesoir.fr/societe-sante/traite-international-oms-prevention-pandemies-des-chercheurs-sonnent-lalerte
https://www.onenation.org.au/australias-secretive-and-unaccountable)) De nombreux sites ont alerté sur cette tentative de prise de pouvoir mondiale par l’OMS. Nous avions relayé l’appel de R Kennedy et « stop the treaty »(([11] Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
#StopTheTreaty. World Freedom Declaration—Health Freedom Defense Fund
Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund)). Sans surprise, le président français soutenait l’OMS et Gates.(([12] https://www.profession-gendarme.com/emmanuel-macron-donne-les-pleins-pouvoirs-a-loms-pour-la-sante-des-francais-lors-des-pandemies/comment-page-2/))

Dans un premier temps, nombre de pays avaient fait refuser le texte d’origine en l’état (notamment avec les amendements présentés par le résident américain).(([13] https://qactus.fr/2022/05/29/oms-120-pays-sur-179-auraient-refuse-le-texte-loms-a-retire-12-des-13-articles-mais-saccroche-au-dernier-qui-modifie-leur-constitution/
https://leve-toi.com/oms-120-pays-sur-179-auraient-refuse-le-texte-loms-a-retire-12-des-13-articles-mais-saccroche-au-dernier-qui-modifie-leur-constitution/
https://www.thegatewaypundit.com/2022/05/world-health-organization-temporarily-withdraws-bidens-public-health-emegency-amendments/)) Nombre de pays (47) manifestement refusent catégoriquement cette proposition maffieuse(([14] https://www.onenation.org.au/who-forced-into-humiliating-backdown)): Brésil, plusieurs nations africaines, la Russie, la Chine, l’Afrique du Sud, l’Iran, la Malaisie…

Le futur empereur mondial n’a pas apprécié.(([15] https://www.naturalnews.com/2022-05-27-schwab-threatens-bolsonaro-refusing-sign-pandemic-treaty.html)) Mais manifestement le gotha des milliardaires et des vedettes d’Hollywood semblent prendre de la distance.(([16] https://www.business-standard.com/article/international/davos-forum-is-back-after-2-yrs-with-less-billionaire-starpower-and-no-snow-122052300374_1.html))

FINANCEMENT DE L’OMS

Ceci explique cela. Les fondations donatrices (comme celle de Bill Gates) flèchent leurs dons qui doivent être utilisés selon leur volonté.

Dans la foulée de sa volonté de dominer le monde, Tedros a essayé de modifier le financement de l’OMS. Un peu plus d’indépendance vis-à-vis de Gates ou Schwab lui conviendrait probablement. Très près des Chinois, on sait ou on subodore que ces mondialistes eugénistes sont d’accord pour dominer la plèbe, mais se mangeraient bien entre eux…

L’OMS adopte une réforme historique de son financement(([17] Par Delphine Roucaute Publié le 24 mai 2022.))

L’Assemblée mondiale de la santé a adopté un texte prévoyant de faire passer la partie du budget financée par les États membres de 16 % à 50 % d’ici à 2028, afin de renforcer le leadership de l’organisation onusienne. 

« Il s’agit d’un tournant historique », a déclaré Tedros Ghebreyesus, directeur général de l’OMS. Le 24 mai 22, lors de l’Assemblée mondiale de la santé, les États membres de l’agence onusienne basée à Genève ont adopté une réforme du financement de l’organisation très attendue.

La partie du budget financée par les États membres devrait passer de 16 % à 50 % d’ici à 2028, ce qui devrait permettre à l’OMS de regagner une partie de son indépendance.

Cette réforme faisait partie des cinq priorités esquissées par Tedros « pour le monde et pour l’OMS » le 24 janvier : renforcer le rôle de l’OMS« au cœur de l’architecture de la santé mondiale », afin qu’elle devienne « plus efficace et efficiente ».

Depuis le mandat, entre 1998 et 2003, de Gro Harlem Brundtland à la tête de l’OMS, les fonds privés ont pris une place de plus en plus importante et déterminante dans le financement de l’agence.

Contributions volontaires

Résultat, seulement 16 % de l’exercice biennal 2022-2023 sont abondés par les contributions obligatoires des États membres, fixées d’année en année en fonction des ressources de chacun.

La réforme va permettre d’élever le niveau de ces contributions de 956,9 millions à 2,2 milliards de dollars d’ici à 2028. Le budget total actuel est de 6,1 milliards de dollars.

L’essentiel du budget (84 %) provient des contributions dites « volontaires ».Ces dernières peuvent venir d’États décidant de fournir plus d’argent que leurs contributions obligatoires ne les y obligent.

Le Royaume-Uni, notamment, fournissait 135 millions de contributions volontaires lors de l’exercice 2020-2021, en plus de sa contribution obligatoire de 49 millions, dépassant ainsi la participation chinoise. Ce supplément de cotisations permet de renforcer le jeu des influences au sein de l’organisation.

Parmi ces contributions volontaires, l’écrasante majorité (88 %) est issue de fonds privés strictement affectés à des programmes ou lieux géographiques spécifiques ; ils doivent également être dépensés dans un délai précis.

En 2020-2021, les programmes spéciaux, dont celui d’éradication de la poliomyélite financé par la Fondation Gates, totalisaient 757,6 millions de dollars, soit 13 % du budget total.

« Le recours excessif aux contributions volontaires (privées ou publiques) se traduit paruneincapacité à fixer des priorités en fonction des priorités mondialesdesanté publique, notait en janvier 2021 un article du South Centre,uneorganisation intergouvernementaledepays en développement basée à Genève.

Les États membres tententde fixer des priorités, mais les fonds sont destinés à des questions spécifiques, sélectionnées par un petit nombrede donateurs qui jouent un rôle décisif dans la décisiondel’organisation. »

Il s’agit donc bien de reconquérir un leadership affaibli par le poids des États à forte capacité d’investissement et par les intérêts privés des fondations qui abondent les comptes de l’OMS.

75 ONG, organisations philanthropiques et experts dans le domaine de la santé mondiale, dont Gavi, le Global Health Council ou encore Save the Children, ont publié une lettre appelant les États membres à saisir cette « occasion historique de renforcer et d’investir dans le rôle de l’OMS en tant que principale organisation intergouvernementale de la santé qui se consacre à la promotion de la santé et du bien-être de tous dans le monde ». 

Augmenter les contributions obligatoires marque donc un grand pas dans l’histoire de l’OMS, mais encore faut-il les payer. Au 31 décembre 2020, près de 300 millions de dollars n’avaient pas été versés au compte de l’OMS, selon un rapport publié le 5 janvier. Les résolutions de l’OMS n’étant pas contraignantes, des experts se demandent comment l’organisation pourra obliger les États membres à augmenter leurs cotisations d’année en année.

ATTENTION RESTONS EN ALERTE !

Lettre ouverte concernant le nouveau traité pandémique international de l’OMS

Lettre ouverte sur le nouveau traité pandémique international de l’OMS

À la population;
Aux gouvernements, Présidents et Ministres de la santé, Parlements, Conseil de l’Europe, Commission Européenne;
Aux médias;
Aux organisations de la santé, telles que Swissmedic, OFSP, Fédération Suisse des Patients;
À l’OMS, par l’Assemblée mondiale de la santé, Dr Tedros Adhanom Ghebreysus, Dr Soumya Swaminathan;
Aux Nations Unies, par Antonio Guterres, Liu Zhenmin, Elliott Harris, Maria-Francesca Spatolisano.

Nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, déclarons notre désaccord face au nouveau traité pandémique international proposé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui n’est autre qu’une mainmise sur les gouvernements et la population.

Cet accord mondial sur les futures pandémies octroierait à l’OMS des pouvoirs lui permettant de se substituer aux pouvoirs exécutifs des états membres, ceux-ci devenant de simples organes d’exécution.

Ce traité inutile constitue une menace pour la souveraineté des pays et les droits humains fondamentaux.

Il convient de relever que le Règlement Sanitaire International (RSI) fortement imprégné du respect des droits humains, adopté en 2005 par 196 pays, dont la Suisse, et entré en force en 2007 a justement pour objectif de répondre aux urgences pandémiques. Cependant ce dernier n’a pas été appliqué durant la crise covid, tout comme le plan pandémique établi par la Confédération Helvétique.

La définition d’une pandémie, selon l’OMS, a évolué ces dernières années, ainsi, jusqu’en 2009, elle était définie comme un événement caractérisé par une évolution grave de la maladie et une mortalité extrême. C’était donc la morbidité et la létalité qui conditionnaient une pandémie.

« Une pandémie survient lorsqu’un nouveau virus apparait pour lequel la population humaine n’a aucune immunité, résultant aussi en de nombreuses épidémies simultanées dans le monde, avec d’énormes nombres de décès et de malades. »

En mai 2009, la définition a été révisée de manière à ne plus dépendre de la gravité de la maladie ni de la mortalité, mais uniquement d’une propagation mondiale de « cas de la maladie ». La dernière définition suppose des vagues récurrentes et différentes phases. Ainsi, chaque vague annuelle de grippe peut être déclarée « pandémique ».

Avec ce traité l’OMS pourrait alors déclarer opportunément des pandémies, (déclaration qui active de surcroît, les contrats avec les fabricants de vaccins), imposer des mesures déshumanisantes telles que des confinements, des traitements coûteux, dangereux et/ou inefficaces, des programmes de vaccination obligatoire, des régimes de test, imposer des interventions médicales, dicter toutes les pratiques de santé publique contre la volonté de la population et ce, même contre l’avis des gouvernements, qui par la validation du traité en ont accepté la valeur contraignante.

Force est de constater que l’OMS ne doit pas être autorisée à contrôler l’agenda mondial de la santé, ni à imposer des mesures allant à l’encontre des droits fondamentaux, tels que les confinements qu’elle a recommandés durant le chapitre Covid-19, la suppression des traitements préventifs/précoces et l’encouragement à l’utilisation de produits expérimentaux en population large, ainsi que toutes les autres mesures qui ne se sont avérées ni sûres ni efficaces.

Les activités de l’OMS ne sont malheureusement pas effectuées en toute transparence et ceci est aggravé par l’existence des « comités d’urgence » secrets d’experts.

Pour rappel, l’OMS présente des conflits d’intérêts importants. Bien que bénéficiant de financements publics des états membres (impôts de la population…), elle reçoit également des fonds substantiels d’intérêts privés qui utilisent leurs contributions pour influencer et tirer profit des décisions et des mandats de l’OMS.

Ce nouveau traité pandémique menace gravement la souveraineté des Etats membres et les droits humains fondamentaux, c’est pourquoi nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, nous opposons avec force à la mise en œuvre d’un tel accord mondial.

Références:

EN CONCLUSION, NE LAISSONS PAS L’OMS NI DAVOS DIRIGER NOTRE MONDE

L’OMS et son directeur général voudraient être le bras armé des mondialistes de Davos, Schwab, Fauci, Gates et leurs affidés dont notre président, pour imposer sous des allures humanistes et désintéressées les terribles choix des eugénistes qui ont mis en musique le scénario covid. Ce dernier n’a pas réussi à 100 % et les dirigeants du monde voudraient compléter la mise au pas des peuples par de nouveaux films de peur, d’horreur et de moyens pervers comme des injections imposées via le crédit social.

Parallèlement Tedros tente-t-il comme Delfraissy de prendre ses distances avec Davos et cie, devant l’échec manifeste des injections géniques expérimentales anticovid et la rumeur de colère qui monte de partout dans le monde devant tant de drames et de morts liés à l’injection. Mais pourquoi vouloir recommencer avec le vaccin antivariole du singe, le nouveau Money pox ? Pris entre deux feux ? C’est la saison !

Ils ont oublié que nous sommes des Milliards, mais même s’ils sont très riches, ils ne sont seulement que quelques milliers.

Soit l’ONU redevient une instance internationale indépendante et refuse l’entrisme de quelques pays occidentaux, soit il faut supprimer cette organisation et surtout ne pas être dupe de ses décisions exceptionnellement médicales et allant quasiment toujours dans le sens d’une dictature supra nationale niant les peuples. Ce que de nombreux pays africains, asiatiques et américains du sud ont largement compris.

Informons, résistons pour sauver l’avenir de nos enfants.





Les pleins pouvoirs donnés à la HAS par le nouveau parlement témoin de son incroyable inconscience

Par Nicole et Gérard Delépine

Faites-vous nommer présidente de la HAS vous serez payé 210 197 euros par an à condition de ne pas déplaire au président qui vous nomme.

Volet 2 suite de :
HONTE À LA HAS, ÉMANATION DU POUVOIR, DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) volet 1 par Gérard Delépine


À l’ouest, rien de nouveau. La libération totale viendra probablement de l’Italie ou de la Grande-Bretagne pendant que les Français continuent de se faire berner par les puissants et leurs experts pourris de conflits d’intérêts. Les concitoyens (occupés par les TV sur port de la cravate ou non) restent aveugles et sourds à la réalité du terrain, aux multiples raisons scientifiques réelles de refuser le pseudo vaccin et aux énormes raisons pragmatiques de laisser revenir sur le terrain sanitaire les soignants fidèles à Hippocrate, pour ceux qui voudront bien qui nous pardonner et ne sont pas encore partis à l’étranger ou dans des métiers extra sanitaires ou leurs qualités sont mieux reconnues.

Les RAISONS OBJECTIVES POUR LA RÉINTÉGRATION

L’Académie de médecine et la Haute Autorité de Santé ne se déshonorent-elles pas en mettent la santé des Français encore plus en danger en refusant la réintégration des soignants vaccino prudents ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le pseudovax n’a pas ralenti l’épidémie

L’aggravation paradoxale du risque d’attraper le covid quand on est vacciné depuis plus de cinq mois a été initialement observée au Royaume-Uni :

Mais elle a aussi été constatée en France :

Et pendant ce temps-là, ceux qui en ont besoin se plaignent de ne pas être reçus à l’hôpital ou en ville dans des délais qui les mettent en danger, et de la dégradation vertigineuse du système de soins et se voient encore obligés d’exhiber un pass et/ou un test (bidon)(([1] La mystification des tests PCR continue en France via le Sénat et ruine la sécurité sociale — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) et même un masque.(([2] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Personne ne manifeste devant les hôpitaux ou les cliniques ni les EHPAD refusant les malades ou les visiteurs sans pass jusqu’à aujourd’hui alors que chacun devrait savoir s’il regarde les faits avérés, que ce vax ne protège de rien et que des soignants positifs, même symptomatiques sont autorisés à travailler dans ces mêmes établissements de soins. Mais un polémiste(([3] Patrick Pelloux qui commence à mesurer les désastres de la politique qu’il soutient depuis de longues années.)) a avoué qu’il s’agissait de les « punir » !

Enfin, grâce à la nouvelle loi sanitaire nous sortirons Le 1er août prochain de l’état d’urgence sanitaire et le gouvernement devra prendre en compte l’avis du Parlement pour toute nouvelle mesure restrictive de nos libertés qu’il souhaiterait prétextant l’apparition de nouveaux variants viraux ou toute autre excuse (moneypox et non monkeypox, etc..).

Malheureusement, la propagande de la peur, voire de la panique, se poursuit, et le gouvernement — via les mensonges répétés du Premier ministre, Mme Borne, celle qui vapote à l’assemblée, ou du nouveau ministre urgentiste et d’autres — continue à répéter comme un mantra que « les vaccins mêmes peu efficaces sont ce qu’il y a de mieux. » Oubliant une nouvelle fois les traitements précoces efficaces.

Les mondialistes voudraient tous nous injecter pour réussir leur dépopulation. « Les enfants sacrifiés du covid »(([4] Titre de notre livre paru en janvier 2022 chez Fauves éditions.)) sont dans le collimateur des puissants. C’est à nous tous de répéter les évidences démontrées maintes fois, les enfants ne risquent rien du covid et ne transmettent pas le virus. En revanche ils sont exposés aux effets secondaires des injections géniques, quelles qu’elles soient, y compris les nouveaux pseudovax dont on vous fera croire qu’ils sont sans danger. Comme les Pfizer ou Moderna, ils sont en expérimentation et sans recul. Vigilance !

COMME TROP D’ALLEMANDS DURANT LE RÉGIME NAZI et TROP DE FRANÇAIS PENDANT L’OCCUPATION, TROP DE NOS CONCITOYENS SONT À LA FOIS VICTIMES ET BOURREAUX (PAR LEUR TOLÉRANCE À L’INTOLÉRABLE).

Le gouvernement et les agences mentent quand ils prétendent que les pseudo vaccins protègent des formes graves alors que les chiffres officiels et l’OMS prouvent qu’ils sont suivis d’une surmortalité importante.

Mais ne comprennent-ils pas que derrière les soignants vaccino prudents suspendus de l’ordre de 15 000 (transformés en dix fois moins par nos menteurs permanents) se greffent ceux qui n’en pouvant plus de cette gouvernance dictatoriale qui nie leur vocation sont partis à la retraite plus tôt que prévu, souffrent d’arrêts maladie à rallonge, se sont mis en disponibilité ou ont démissionné. Le monde dit médical est devenu invivable et plutôt qu’applaudir les soignants sur injonction du gouvernement au printemps 2020 il vaudrait mieux les défendre aujourd’hui vraiment par tous moyens, manifestations, lettres aux élus, et rendez-vous, pétitions monstres, etc.. Et si nos concitoyens ne font rien, qu’ils ne viennent pas se plaindre de l’absence de soins par absence de soignants. Ces courageux qui ont mis leur carrière, leur maison et parfois leur famille en jeu pour vous avertir par un signal fort du danger des injections expérimentales deviennent des Héros.(([5] Ils auraient pu tricher comme cela a été démontré pour des puissants espagnols, stars, politiques, etc. Ils ont choisi d’informer et c’est probablement la principale crainte du pouvoir s’il les réintégrait… Qu’ils parlent du vrai monde.))(([6] https://odysee.com/@FabienMoineExuvieTV:9/soignants-suspendus-alexandra-henrion:9))

On laisse brûler nos forêts et des pompiers sont interdits de travail, pour ne pas contaminer les arbres ? La canicule bloque-t-elle le bon sens ou son expression ?

La France, pays des scandales passés inaperçus ou tolérés… depuis tant d’années : Alstom, EDF, Uberfiles, McKinsey, Cap Gemini, etc. Peu importe, on continue… Bah, voyons…

Le Sénat pour ne pas déplaire à la Macronie donne les pleins pouvoirs à la HAS, oubliant les avis désastreux de la HAS dans tous les scandales sanitaires récents : Médiator, Dépakine, Vioxx, Levothyrox…

Publié le 24 juillet 2022 par pgibertie

La HAS a été créée par la loi du 13 août 2004 relative à l’Assurance maladie. Le premier président de la HAS a été le PR Laurent Degos, grand dirigeant tout puissant de l’hématologie de Saint Louis dans une APHP encore florissante, entre 2005 et 2010, puis son alter ego nantais Jean-Luc Harousseau.

Depuis plus de deux décennies, les liens sont forts entre ces professeurs de faculté à la tête de gros laboratoires pratiquant les PPP (partenariat public privé en toute légalité) et l’industrie du médicament. Mme la Professeur Le Guludec connaît bien le monde de la recherche, puisqu’elle est la sponsor principale via l’INSERM (dont on a démontré l’absence d’indépendance), d’essais thérapeutiques en collaboration avec Oncology Clinical Trials | AAA (adacap.com).(([7] As part of the development process, our investigational radioligand products are evaluated in clinical trials to find new and better ways to image and treat disease. These studies are sponsored by Advanced Accelerator Applications (AAA).))(([8] Assessment of Radiolabeled rhAnnexin V-128 in Infective Endocarditis—Full Text View—ClinicalTrials.gov par exemple.)) Ses conventions affichées sur transparence santé, le site du gouvernement, sont aussi légales sans qu’on en connaisse les détails, mais montrent ses liens avec Pfizer ce qui aurait dû la disqualifier comme juge arbitre des problèmes covid19.

Tout ceci est légal, mais témoigne pour le moins de l’absence d’indépendance et ce type de profil à la tête des agences médicales devraient être interdit pour qu’elles soient dirigées par de véritables indépendants, perle rare tant l’organisation actuelle de la médecine mise en place à la fin du siècle dernier a rendu très difficile l’indépendance des chercheurs et médecins.

Le président de la République avait nommé le Pr Agnès Buzyn(([9] Recasée à l’OMS en Suisse et protégée des plaintes contre elle par son statut diplomatique.)), membre et présidente du collège, pour remplacer le Professeur nantais, par décret du 5 mars 2016. Elle avait été renouvelée dans ses fonctions pour un mandat de six ans par le décret du 7 avril 2017. À la suite de sa nomination comme ministre des Solidarités et de la Santé, elle a été remplacée par Dominique Le Guludec à compter du 4 décembre 2017, proposé par E. Macron. Mme Buzyn avait clairement suggéré à sa prise de fonction à l’institut du cancer quelques années plutôt que « les médecins qui n’ont pas de liens directs et forts avec l’industrie sont probablement incompétents ». En tous cas, ils sont peu nombreux, ignorés des médias et de nos politiques et jamais appelés aux responsabilités de l’état.

TOUS NOMMÉS PAR LE POUVOIR : ET PRÉTENDUS INDÉPENDANTS !

LA HAS, APPENDICE DU POUVOIR POLITIQUE, A FAIT PREUVE DE SES DANGEREUX LIENS AVEC L’INDUSTRIE DU MÉDICAMENT

« Avec du recul, nous nous apercevons que les leçons du passé concernant les scandales sanitaires n’ont pas servi et que la société répète les mêmes situations sans que la population en prenne conscience pour provoquer une réaction beaucoup plus rapide.

Normalement, les instituts de veille sanitaire, les comités de pharmacovigilance et d’autres structures de surveillance de santé devraient permettre de réagir rapidement.

Or, en réalité et en étudiant depuis un peu plus d’un siècle la longue histoire des scandales sanitaires, on s’aperçoit que les structures prévues pour réagir ne font rien pour anticiper et réagir rapidement à des situations préoccupantes ».(([10] Nous avons traité dans la face cachée du médicament (ND Éditions Michalon 2011) à la suite du procès mediator la longue suite de drames liés à l’aveuglement du pouvoir face aux intérêts des labos. À commencer par la thalidomide et les enfants sans membres ou le Distilbène dont les victimes se comptent encore à la quatrième génération, etc..
La face cachée des médicaments — L’influx (linflux.com) ))

https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/220717/la-longue-histoire-des-scandales-sanitaires-en-france »

QUELQUES EXEMPLES :

HAS ET MÉDIATOR

La HAS a refusé de voir les dangers du Médiator : pas de dénonciation des effets secondaires mortels, simple refus de mieux le faire prendre en charge par la sécu, mais pas de déremboursement

HAS ET DEPAKINE et de nombreux handicapés à vie en laissant sur le marché le médicament pour les femmes enceintes alors qu’on savait depuis de nombreuses années sans que la HAS s’en préoccupe

HAS ET VIOXX

SCANDALE VIOXX CELEBREX/service médical rendu… Même aveuglement pour le Vioxx, une molécule anti-inflammatoire sur le marché entre 1999 et 2004 provoquant aux USA 27 785 décès impliquant le laboratoire Merck sans compter le monde entier ! Retiré du marché par le labo et jamais par nos instances chargées de notre sécurité sanitaire. D’ailleurs le Celebrex est toujours là en 2022 en France…

HAS ET CHANGEMENT DE LEVOTHYROX/AVIS FAVORABLE

Plusieurs milliers de patients traités avec la nouvelle formule du Levothyrox, indiqué pour troubles de la thyroïde, se sont plaints de lourds effets secondaires (maux de tête, vertiges, insomnies…) Ils ont porté plainte contre Merck en première instance, en mars 2019. Ils ont d’abord été diabolisés par les médecins incompétents ou complices, les habituels anticomplotistes qui les ont traités de tous les noms d’oiseaux… L’histoire se répète.

Nous avions cité dans le livre « La face cachée des médicaments »(([11] N Delepine 2011, Éd. Michalon.)) la thèse de doctorat de Louis-Adrien Delarue démontrant qu’au moins quatre recommandations de la HAS émises entre 2006 et 2008 sont erronées.

Il a étudié trois classes de médicaments utilisées pour soigner le diabète de type 2, la maladie d’Alzheimer et certains troubles articulaires. Ces pathologies fréquentes font l’objet de préconisations dans quatre guides de la HAS. « Les biais sont multiples », selon la thèse :

« Études scientifiques omises, présentations de données mal étayées ou connues pour être falsifiées, conclusions hâtives et mal argumentées. In fine, la HAS promeut des médicaments dont la balance bénéfice-risque est clairement défavorable et qui impactent les dépenses publiques à hauteur de centaines de millions d’euros par an. »

Et cerise sur le gâteau, c’est celui qui dénonce les conflits d’intérêt qui se fait rabrouer

« Symbole du tabou qui entoure ces conflits d’intérêts, le jury de thèse de Louis-Adrien Delarue lui a imposé d’occulter les noms des experts incriminés en les noircissant dans son texte ».

Quelques jours après la soutenance, la pharmacologue s’est inquiétée de voir la version originale de la thèse sur Internet. Dans un e-mail adressé à Louis-Adrien Delarue et copié à tous les centres de pharmacovigilance de France, elle a tenu à ne pas s’associer aux conclusions de la thèse devant ses confrères. Et a décrédibilisé la thèse sans préciser qu’elle avait obtenu la meilleure note et la mention « très honorable ».(([12] https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20110923.RUE4315/les-revelations-qui-ebranlent-la-haute-autorite-de-sante.html))

Dans ce milieu la corruption est institutionnalisée et beaucoup d’experts sont pourris jusqu’à l’os,(([13] De nombreux livres dont ceux du PR Even et Debré ou sites comme celui du Formindep le démontrent.)) mais les Français ne veulent rien voir, avalent de « nouveaux » médicaments à 3000 euros le mois, inefficaces et toxiques, et ne bénéficient plus des traitements avérés qui guérissaient de nombreux cancéreux, entre autres. Ils se taisent, anesthésiés par la propagande. Le travail de sape de la cancérologie moderne par les ukases des plans cancer et des agences INCa, HAS et ARS qui imposent les traitements qui rapportent, est dénié par les patients qui ne font que regretter quelques années plus tard.(([14] Le cancer un fléau qui rapporte N Delépine Éditions Michalon 2013.))

Et les députés votent aveuglément la confiance à cette institution qui ne remplit pas sa mission envers la population, n’a donc aucune raison d’exister et coûte un « pognon de dingue ».

POUR FAIRE RÊVER LES SMICARDS ET LES AUTRES QUI DOIVENT CHOISIR ENTRE L’ESSENCE POUR ALLER AU TRAVAIL ET LEUR NOURRITURE, RAPPELONS LES SALAIRES À LA HAS :

Ces multiples agences, simples alibis scientifiques du pouvoir ruinent le budget santé pendant que beaucoup d’hôpitaux tombent en ruine.

Et consultez les salaires publiés par certains employés qui donnent de plus une idée du nombre de postes… alors qu’on manque de médecins, de secrétaires, de soignants dans les hôpitaux, les lieux qui soignent !

21 salaires chez Haute Autorité de Santé publiés par des employés | Glassdoor

HAS, ministère, CNOM… ce que gagnent les dirigeants des autorités de santé | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr)

210 197 euros pour le directeur de la HAS, 119 280 euros pour la ministre

À la tête de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui a laissé dire que le nuage de Tchernobyl s’arrêtait aux frontières, Bernard Doroszczuk touche 223 419 euros brut.

Dominique Le Guludec(([15] Dominique Le Guludec, 64 ans, est cardiologue et professeure de biophysique et médecine nucléaire, spécialiste en imagerie cardiovasculaire à l’APHP.
Elle était présidente du conseil d’administration de l’IRSN depuis 2013. IRSN institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) Créé par la loi du 9 mai 2001, il s’agit d’une agence française de sécurité sanitaire environnementale. Elle avait montré ses limites lors de la catastrophe de Tchernobyl en proclamant que la contamination avait épargné la France. …)), patronne de la HAS (Haute autorité de santé) 210 197 euros bruts.
Un beau chiffre qui justifie d’obéir aux injonctions du chef qui vous a mis en place !

Svoboda Vernut @SvobodaVernut 15 mai 2022 Entre l’has, l’ars et les salaires de l’assurance maladie, le peuple pourrait récupérer un pognon de dingue 👍

D’ITALIE VIENDRA LA RAISON


Comment les parlementaires ont-ils pu confier le sort des soignants vaccino prudents et des malades qui ont besoin de tous leurs docteurs à un organisme aussi peu indépendant du pouvoir, et autant lié aux scandales sanitaires récents et aux décisions covid, même les plus stupides du gouvernement ?





Soignants et pompiers non vaccinés suspendus : un précédent terrible pour les salariés

[Source : RL]

Par Jacques CHASSAING



Pour Me Fabrice Di Vizio, les soignants suspendus pour cause de refus d’injection  de vaccins expérimentaux contre le covid n’ont plus que le choix de se reconvertir professionnellement ou de s’exiler. Ce qui s’entend : avec licenciement, paiement des salaires, des indemnités légales et indemnisation des préjudices subis ; dixit le professionnel du droit, fondateur de l’association « Je ne suis pas un danger » créée en décembre 2021, qui a pour objet la défense des droits des personnes non vaccinées et vaccinées sous la contrainte.

https://jenesuispasundanger.com/qui-sommes-nous/

À ce titre, il préconise aux personnes suspendues de s’inscrire pour un gigantesque recours collectif dont il trace les grands axes et les modalités. Il anticipe même le cas où, in fine, la Cour européenne des Droits de l’Homme (dont les critères actuels estiment illégales les suspensions de salaire) condamnerait la France. D’ores et déjà, il dit aux soignants : « vous serez alors à la ramasse et devrez faire vos propres actions individuelles pour réclamer réparation de vos préjudices, dans deux ans ou dans trois ans, alors que vous serez passés à autre chose. Alors, je vous propose premièrement de lancer un recours indemnitaire préalable au Premier ministre. Celle-ci refusera et nous saisirons alors le juge administratif d’un vaste recours…». Précision : « Je ne suis pas un danger » prendra en charge les frais de ses adhérents.

L’ombrageux avocat prévient aussi les personnels suspendus qu’ils n’ont rien à attendre de « l’opposition » RN et NUPES (bien qu’il ait voté pour ce dernier attelage !), mais Di Vizio n’en est pas à une loufoquerie près en politique.

« Le droit du Travail s’est écrit dans les larmes et le sang »

Dans une vidéo, intitulée « Personnel suspendu, mobilisons nous ! », le Divizionaire détaille le plan qu’il a mis au point pour « engager le plus grand combat terminal qui n’ait jamais été engagé dans cette crise ». 

Mais surtout, il alerte sur la dérive du droit du Travail qui permettra bientôt de suspendre sans indemnités telle ou telle catégorie de salariés jugés travailleurs non essentiels, sauf à s’astreindre à telles ou telles obligations. Il apporte la preuve de la réalité d’aujourd’hui sur ce que les soi-disant complotistes avaient prévu et dénoncé hier. 

https://youtu.be/JjVNuICLEaA

Di Vizio : « le but n’est pas de licencier en appliquant le droit, mais de montrer qu’il y a des comportements qui sont inacceptables et qui peuvent vous conduire à la mort sociale. Il y a lieu de tuer socialement tous ceux qui auraient une doctrine dissidente. Et moi je dis aux syndicats qui ne s’en mêlent pas : vous êtes suicidaires et vous le paierez très cher parce que vous disparaîtrez ».

Passe sanitaire : grand procès contre l’État !

https://youtu.be/ZK4RK9X90sE

Info utile

De son côté et dans le même combat contre la dictature sanitaire, le non moins susceptible Me Carlo Alberto Brusa (président de Réaction19), a rédigé une plainte de 32 pages au pénal à télécharger, contre les agences du médicament et des produits de santé, de santé publique, les ordres des médecins et pharmaciens, pour mise en danger de la vie d’autrui et pratiques commerciales trompeuses.




Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G

[Source : Guy Boulianne]

[Voir l’article complet sur guyboulianne.com]

Le 29 septembre 2021, les deux scientifiques américains, Beverly Rubik et Robert R. Brown, ont publié une étude (7(5): 666–681) dans le très sérieux « Journal de recherche clinique et translationnelle » des Instituts américains de la santé (National Institutes of Health – NIH), intitulée : “Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G” (Preuve d’un lien entre la maladie à coronavirus-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G). Le déploiement de la cinquième génération des standards pour la téléphonie mobile fait l’objet de contestations concernant en particulier l’effet sanitaire des ondes électromagnétiques et l’impact environnemental de cette technologie.

[Voir aussi :
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Questions relatives à la 5G
La technologie la plus dangereuse jamais inventée
5G : réponse à un pseudo « vérificateur de faits »
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie
Chronique de l’opposition mondiale à la 5G en 2019: Comment les télécoms sont en train de perdre la bataille pour imposer la 5G contre la volonté de la population
Fake News de la BBC sur la 5G décodés : Impacts sur la santé niés malgré des preuves scientifiques accablantes
La guerre de la 5G – L’homme vs la technologie
APPEL INTERNATIONAL – Stop à la 5G sur Terre et dans l’espace
Un important professeur de biochimie met en garde: La 5G est « l’idée la plus stupide de l’histoire du monde »
Le réseau 5G utilise les mêmes ondes EMF que le «système de contrôle de foule» du Pentagone
Effets nocifs des ondes pulsées (Wi-Fi, cellulaires, compteurs intelligents…)
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
Les cellulaires endommagent l’ADN radicalement plus que les lignes à haute tension]

[…]

La professeure Beverly Rubik a obtenu son doctorat en biophysique en 1979 à l’Université de Californie à Berkeley. En tant que scientifique de pointe, elle est reconnue internationalement pour son exploration de la science des champs biologiques et de la médecine énergétique. Son principal domaine d’intérêt est la recherche sur l’énergétique subtile des systèmes vivants, y compris la guérison spirituelle. Elle a publié plus de 60 articles et 2 livres. Le Dr Rubik siège aux comités de rédaction du “Journal of Alternative & Complementary Medicine” (JACPFP), du “Journal of Evidence-Based Integrative Medicine” (JEBIM) et de l’“Integrative Medicine Insights” (SAGE Journals). Elle a siégé aux conseils consultatifs de divers groupes, dont le programme de médecine intégrative sous la direction du Dr Andrew Weil. [Lire plus ici]

Pour sa part, la formation médicale officielle du Dr Robert R. Brown a commencé à l’École de médecine de l’Université de Miami, à Miami, en Floride. Après quoi, il a complété un programme de formation en résidence en radiologie diagnostique à Pittsburgh, en Pennsylvanie. Après une année expérientielle de voyage autour du monde, il a suivi une formation postdoctorale à l’Université de Californie à San Diego en radiologie musculo-squelettique. En tant que radiologue diagnostique, le Dr Brown a travaillé à la fois en cabinet privé et dans des centres universitaires, notamment le NYU Medical Center et la Cleveland Clinic Foundation. Au cours de sa carrière de plus de 25 ans, il a écrit de nombreux articles de revues dans des publications de radiologie à comité de lecture ainsi que plusieurs chapitres de livres dans la littérature de radiologie. Ayant participé à la formation de résidents en radiologie et d’étudiants en médecine pendant de nombreuses années, le Dr Brown a été en mesure de promouvoir l’importance du développement de l’intuition médicale ainsi que d’insister sur le principe « primum non nocere » qui signifie « d’abord ne pas nuire ». [Lire plus ici]

[…]


Preuve d’un lien entre la maladie à coronavirus-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G

Par Beverly Rubik, Ph.D. et Robert R. Brown, MD (29 septembre 2021)

La politique de santé publique concernant la maladie à coronavirus (COVID-19) s’est concentrée sur le virus du syndrome respiratoire aigu sévère coronavirus 2 (SRAS-CoV-2) et ses effets sur la santé humaine, tandis que les facteurs environnementaux ont été largement ignorés. En considérant la triade épidémiologique (agent-hôte-environnement) applicable à toutes les maladies, nous avons étudié un facteur environnemental possible dans la pandémie de COVID-19 : le rayonnement radiofréquence ambiant des systèmes de communication sans fil, y compris les micro-ondes et les ondes millimétriques. Le SRAS-CoV-2, le virus qui a causé la pandémie de COVID-19, a fait surface à Wuhan, en Chine, peu de temps après la mise en œuvre du rayonnement des communications sans fil à l’échelle de la ville (cinquième génération [5G] [WCR(([1] WCR pour Wireless Communications Radiation (Rayonnement des communications sans fil) )), et s’est rapidement propagé à l’échelle mondiale, initialement démontrant une corrélation statistique avec les communautés internationales avec des réseaux 5G récemment établis.

Dans cette étude, nous avons examiné la littérature scientifique évaluée par des pairs sur les effets biologiques néfastes de la WCR et identifié plusieurs mécanismes par lesquels la WCR pourrait avoir contribué à la pandémie de COVID-19 en tant que cofacteur environnemental toxique. En franchissant les frontières entre les disciplines de la biophysique et de la physiopathologie, nous présentons des preuves que la WCR peut :

  1. provoquer des changements morphologiques dans les érythrocytes, y compris la formation d’échinocytes et de rouleaux qui peuvent contribuer à l’hypercoagulation ;
  2. altérer la microcirculation et réduire les taux d’érythrocytes et d’hémoglobine exacerbant l’hypoxie ;
  3. amplifier le dysfonctionnement du système immunitaire, y compris l’immunosuppression, l’auto-immunité et l’hyperinflammation ;
  4. augmenter le stress oxydatif cellulaire et la production de radicaux libres entraînant des lésions vasculaires et des dommages aux organes ;
  5. augmenter le Ca2+ intracellulaire essentiel pour l’entrée, la réplication et la libération du virus, en plus de favoriser les voies pro-inflammatoires ; et
  6. aggraver les arythmies cardiaques et les troubles cardiaques.

Pertinence pour les patients :

En bref, la WCR est devenue un facteur de stress environnemental omniprésent qui, selon nous, pourrait avoir contribué à des effets néfastes sur la santé des patients infectés par le SRAS-CoV-2 et accru la gravité de la pandémie de COVID-19. Par conséquent, nous recommandons que toutes les personnes, en particulier celles qui souffrent d’une infection par le SRAS-CoV-2, réduisent leur exposition au WCR autant que raisonnablement possible jusqu’à ce que de nouvelles recherches clarifient mieux les effets systémiques sur la santé associés à l’exposition chronique au WCR.

Introduction et arrière plan

La maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) est au centre de la politique internationale de santé publique depuis 2020. Malgré des protocoles de santé publique sans précédent pour étouffer la pandémie, le nombre de cas de COVID-19 continue d’augmenter. Nous proposons une réévaluation de nos stratégies de santé publique.

Selon le Center for Disease Control and Prevention (CDC), le modèle le plus simple de causalité de la maladie est la triade épidémiologique composée de trois facteurs interactifs : l’agent (agent pathogène), l’environnement et l’état de santé de l’hôte. Des recherches approfondies sont en cours sur l’agent, le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2). Les facteurs de risque qui rendent un hôte plus susceptible de succomber à la maladie ont été élucidés. Cependant, les facteurs environnementaux n’ont pas été suffisamment explorés. Dans cet article, nous avons étudié le rôle du rayonnement des communications sans fil (WCR), un facteur de stress environnemental répandu.

Nous explorons les preuves scientifiques suggérant une relation possible entre le COVID-19 et le rayonnement radiofréquence lié à la technologie de communication sans fil, y compris la cinquième génération (5G) de technologie de communication sans fil, désormais appelée WCR. Le WCR a déjà été reconnu comme une forme de pollution de l’environnement et un facteur de stress physiologique. L’évaluation des effets potentiellement néfastes de la WCR sur la santé peut être cruciale pour développer une politique de santé publique efficace et rationnelle qui peut aider à accélérer l’éradication de la pandémie de COVID-19. De plus, comme nous sommes sur le point de déployer la 5G dans le monde entier, il est essentiel de prendre en compte les éventuels effets néfastes sur la santé du WCR avant que le public ne soit potentiellement lésé.

La 5G est un protocole qui utilisera des bandes hautes fréquences et des bandes passantes étendues du spectre électromagnétique dans la vaste gamme de radiofréquences de 600 MHz à près de 100 GHz, qui comprend les ondes millimétriques (> 20 GHz), en plus de la troisième génération actuellement utilisée (3G ) et les bandes hyperfréquences à évolution à long terme (LTE) de quatrième génération (4G). Les attributions de spectre de fréquences 5G diffèrent d’un pays à l’autre. Des faisceaux de rayonnement pulsés focalisés seront émis à partir de nouvelles stations de base et d’antennes à réseau phasé placées à proximité des bâtiments chaque fois que des personnes accéderont au réseau 5G. Ces hautes fréquences étant fortement absorbées par l’atmosphère et notamment en cas de pluie, la portée d’un émetteur est limitée à 300 mètres. Par conséquent, la 5G nécessite que les stations de base et les antennes soient beaucoup plus rapprochées que les générations précédentes. De plus, les satellites dans l’espace émettront des bandes 5G à l’échelle mondiale pour créer un Web mondial sans fil. Le nouveau système nécessite donc une densification importante des infrastructures 4G ainsi que de nouvelles antennes 5G susceptibles d’augmenter considérablement l’exposition de la population au BFR tant à l’intérieur des structures qu’à l’extérieur. Environ 100 000 satellites émetteurs devraient être lancés en orbite. Cette infrastructure modifiera considérablement l’environnement électromagnétique mondial à des niveaux sans précédent et pourrait avoir des conséquences inconnues sur l’ensemble de la biosphère, y compris les humains. La nouvelle infrastructure desservira les nouveaux appareils 5G, notamment les téléphones mobiles 5G, les routeurs, les ordinateurs, les tablettes, les véhicules autonomes, les communications de machine à machine et l’Internet des objets.

La norme mondiale de l’industrie pour la 5G est établie par le projet de partenariat 3G (3GPP), qui est un terme générique pour plusieurs organisations développant des protocoles standard pour les télécommunications mobiles. La norme 5G spécifie tous les aspects clés de la technologie, y compris l’attribution du spectre de fréquences, la formation de faisceaux, l’orientation de faisceaux, le multiplexage d’entrées multiples, les schémas de sorties multiples, ainsi que les schémas de modulation, entre autres. La 5G utilisera de 64 à 256 antennes sur de courtes distances pour desservir pratiquement simultanément un grand nombre d’appareils au sein d’une cellule. La dernière norme 5G finalisée, la version 16, est codifiée dans le rapport technique TR 21.916 publié par le 3GPP et peut être téléchargée à partir du serveur 3GPP. Les ingénieurs affirment que la 5G offrira des performances jusqu’à 10 fois supérieures à celles des réseaux 4G actuels.

Le COVID-19 a commencé à Wuhan, en Chine, en décembre 2019, peu de temps après que la 5G à l’échelle de la ville soit « mise en service », c’est-à-dire devenue un système opérationnel, le 31 octobre 2019. Des épidémies de COVID-19 ont rapidement suivi dans d’autres zones où la 5G avait également été au moins partiellement mis en œuvre, notamment en Corée du Sud, en Italie du Nord, à New York, à Seattle et en Californie du Sud. En mai 2020, Mordachev a signalé une corrélation statistiquement significative entre l’intensité du rayonnement radiofréquence et la mortalité due au SRAS-CoV-2 dans 31 pays à travers le monde. Au cours de la première vague pandémique aux États-Unis, les cas et les décès attribués au COVID-19 étaient statistiquement plus élevés dans les États et les grandes villes dotés d’une infrastructure 5G que dans les États et les villes qui ne disposaient pas encore de cette technologie.

Il existe un grand nombre de publications évaluées par des pairs, depuis avant la Seconde Guerre mondiale, sur les effets biologiques de la WCR qui ont un impact sur de nombreux aspects de notre santé. En examinant cette littérature, nous avons trouvé des intersections entre la physiopathologie du SRAS-CoV-2 et les effets biologiques néfastes de l’exposition au WCR. Ici, nous présentons les preuves suggérant que le WCR a été un facteur contributif possible exacerbant le COVID-19.

Méthodes :

Une étude bibliographique en cours sur le déroulement de la physiopathologie du SRAS-CoV-2 a été réalisée. Pour étudier un lien possible avec les effets biologiques de l’exposition au WCR, nous avons examiné plus de 250 rapports de recherche évalués par des pairs de 1969 à 2021, y compris des revues et des études sur les cellules, les animaux et les humains. Nous avons inclus la littérature mondiale en anglais et des rapports russes traduits en anglais, sur les fréquences radio de 600 MHz à 90 GHz, le spectre des ondes porteuses du WCR (2G à 5G inclus), avec un accent particulier sur les densités de puissance non thermiques et faibles (<1 mW /cm2), et les expositions à long terme. Les termes de recherche suivants ont été utilisés dans les requêtes de MEDLINE® et du Defense Technical Information Center pour trouver des rapports d’étude pertinents : rayonnement radiofréquence, micro-ondes, ondes millimétriques, radar, MHz, GHz, sang, globule rouge, érythrocyte, hémoglobine, hémodynamique, oxygène, hypoxie, vasculaire, inflammation, pro-inflammatoire, immunitaire, lymphocyte, lymphocyte T, cytokine, calcium intracellulaire, fonction sympathique, arythmie, cœur, cardiovasculaire, stress oxydatif, glutathion, oxygène réactif espèce (ROS), COVID-19, virus et SARS-CoV-2. Des études professionnelles sur des travailleurs exposés au WCR ont été incluses dans l’étude. Notre approche s’apparente à la découverte liée à la littérature, dans laquelle deux concepts qui n’ont jusqu’à présent pas été liés sont explorés dans les recherches documentaires pour rechercher des liens afin de produire des connaissances nouvelles, intéressantes, plausibles et intelligibles, c’est-à-dire une découverte potentielle. À partir de l’analyse de ces études en comparaison avec de nouvelles informations sur la physiopathologie du SRAS-CoV-2, nous avons identifié plusieurs façons dont les effets biologiques indésirables de l’exposition à la WCR se croisent avec les manifestations de la COVID-19 et avons organisé nos résultats en cinq catégories.

Conclusion :

Il existe un chevauchement substantiel en pathobiologie entre l’exposition au COVID-19 et à la WCR. Les preuves présentées ici indiquent que les mécanismes impliqués dans la progression clinique du COVID-19 pourraient également être générés, selon des données expérimentales, par l’exposition au WCR. Par conséquent, nous proposons un lien entre les effets biologiques indésirables de l’exposition au WCR des appareils sans fil et le COVID-19.

Plus précisément, les preuves présentées ici étayent l’hypothèse selon laquelle la WCR et, en particulier, la 5G, qui implique la densification de la 4G, pourraient avoir exacerbé la pandémie de COVID-19 en affaiblissant l’immunité de l’hôte et en augmentant la virulence du SRAS-CoV-2 en (1) provoquant des changements morphologiques dans les érythrocytes, y compris la formation d’échinocytes et de rouleaux qui peuvent contribuer à l’hypercoagulation ; (2) altérant la microcirculation et réduisant les niveaux d’érythrocytes et d’hémoglobine exacerbant l’hypoxie; (3) amplifier le dysfonctionnement immunitaire, y compris l’immunosuppression, l’auto-immunité et l’hyperinflammation ; (4) l’augmentation du stress oxydatif cellulaire et la production de radicaux libres exacerbant les lésions vasculaires et les dommages aux organes ; (5) augmenter le Ca2+ intracellulaire essentiel pour l’entrée, la réplication et la libération du virus, en plus de favoriser les voies pro-inflammatoires ; et (6) aggravation des arythmies cardiaques et des troubles cardiaques.

L’exposition au WCR est un facteur de stress environnemental répandu, mais souvent négligé, qui peut produire un large éventail d’effets biologiques indésirables. Pendant des décennies, des chercheurs indépendants du monde entier ont mis l’accent sur les risques pour la santé et les dommages cumulatifs causés par la WCR. Les preuves présentées ici sont cohérentes avec un grand nombre de recherches établies. Les travailleurs de la santé et les décideurs devraient considérer la WCR comme un facteur de stress environnemental potentiellement toxique. Des méthodes de réduction de l’exposition au WCR doivent être fournies à tous les patients et à la population générale.






La science infuse

[Source : FranceSoir]

Par Xavier Azalbert, directeur de la publication de FranceSoir

[Illustration : Les technocrates, si on leur donnait le Sahara, dans trois semaines, faudrait qu’ils achètent du sable ailleurs.
 Pixabay]

ÉDITO — Serait-ce devenu certain ? Politiciens, hauts fonctionnaires, et autres experts qui nous dirigent, décident de tout pour nous, tant à l’échelle de la vie publique du pays qu’au sein des foyers et des entreprises. Pour eux, c’est certain : le doute ne subsiste pas. Ces messieurs et dames de Science Po, l’ENA, Normal Sup, Polytechnique et Cie — que Coluche regroupait sous l’appellation unique commune de « technocrates » — nos « élites », ont la science infuse.

Pourtant, alors que le moins qualifié des citoyens lambda (les « sans-dents », pour l’ex-président socialiste François Hollande), n’aurait probablement jamais l’idée complètement saugrenue de s’endetter personnellement sur quatre générations, nos élites, elles, ont réussi cet exploit. Et ceci à hauteur de 3 000 milliards d’euros. Une dette publique gigantesque à propos de laquelle personne ne semble s’être dit à un moment : « Là, ça commence à faire un peu beaucoup, non ? Trop, même. » Non. À aucun moment. Ni à compter de cent milliards. Ni à compter de cinq cents milliards. Ni à compter de mille milliards, de deux mille… Jamais.

« Faisant » cela, ces « bons à tout et surtout mauvais à rien » ont donné pleine et entière substantialité à la plus célèbre des formules du Papa des Restos du Cœur les concernant :

« Les technocrates, si on leur donnait le Sahara, dans trois semaines, faudrait qu’ils achètent du sable ailleurs. »(([1] comme depuis lors (la tirade est de 1977), ils ont passé la surmultipliée, je me suis donc permis de remplacer « cinq ans » par « trois semaines ».))

Et malheureusement pour nous, citoyens de base incapables de nous gérer par nous-mêmes (c’est ainsi ça que les technocrates nous perçoivent), ce n’est pas uniquement dans la gestion des deniers publics que nos « élites » savent se montrer totalement ridicules. Non. Il est de plus en plus apparent qu’elles s’emploient dans tous les domaines sans exception à marcher à l’opposé de la logique et du bon sens. Et ceci « avec une sérénité dans l’incompétence qui force le respect », pour citer cette fois Pierre Desproges.

Par exemple, vous autres chauffeurs de taxi, sages-femmes, instituteurs, infirmières, artisans, pères ou mères au foyer et autres, quels types de commerces auriez-vous décidé de fermer pour limiter la propagation du virus ? Auriez-vous fermé les petits commerces, ces lieux où très peu de personnes se côtoient ? Ou auriez-vous fermé les grandes surfaces, ces hauts lieux de promiscuité immédiate inévitables pour des milliers de personnes, des endroits clos encore plus bondés de monde dès lors qu’on y ajoute les clients habituels des petits commerces ?

Auriez-vous fermé les écoles, lieux où se trouvent pour l’essentiel des enfants, citoyens non ciblés par le virus ? Ou auriez-vous fermé les transports en commun, lieux où les adultes sont collés les uns aux autres deux fois par jour pendant des heures ?

Et d’après vous, pour lutter contre la propagation d’un virus, est-ce logique, normal, cartésien et davantage approprié, d’un côté, de fermer les boîtes de nuit (dancing), et de l’autre, de laisser ouvert les clubs libertins (spa) ?

Bon, évidemment, certaines mauvaises langues ne manqueront pas d’arguer à ce sujet que le virus en question n’est pas sexuellement transmissible, et que le slogan « tous vaccinés tous protégés », comme le dit la publicité émanant du ministère de la Santé, est forcément une vérité vraie. Cependant, la promiscuité paraît être bien plus à son maximum lors d’un coït que durant une simple danse, fût-ce la plus torride des lambadas.

Autre exemple : vous viendrait-il à l’idée de retirer de la vente un traitement (hydroxychloroquine) utilisé avec succès dans de nombreux pays (Inde, Chine, Sénégal), traitement ayant fait l’objet de nombreuses études scientifiques qui ont démontré son efficacité face au virus contre lequel, officiellement, vous êtes « en guerre » ?

Pareillement, vous serait-il apparu opportun d’autoriser un médicament toxique (Remdesivir), ainsi qu’un traitement comme le Rivotril, qui conduit immanquablement à la dégradation de la santé du patient ?

Et auriez-vous « questionné » les mérites de la vitamine D ?

Évidemment, non !

Eh bien nos « élites », elles, si !

Et c’est pareil dans les autres domaines.

Les médias, quant à eux, ne sont pas en reste. À défaut de questionner ces prises de position, ils les endossent, les cautionnent, et proposent un cadre pour les justifier.

Oui. C’est tout autant regrettable que triste, mais il en est ainsi.

Au lieu d’œuvrer pour un monde fonctionnel articulé autour du bon sens et de la raison, les technocrates nous imposent-ils un monde dysfonctionnel et antinomique du b.a.-ba de la logique la plus évidente ?

Sont-ils irresponsables ?

Si j’étais complotiste, je dirais qu’un tel degré de manque de bon sens (pour ne pas dire de bêtises) s’apparente à une volonté de nuire. Mais laissons à la justice la mission déterminer si cette volonté est délibérée ou pas.

Toutefois, ce constat apparaît manifeste.

Exactement comme si, bien qu’ayant vu au moins dix fois le film avant de prendre le commandement du navire, le capitaine du Titanic faisait tout son possible pour foncer droit sur l’iceberg (([2] ceci en nous expliquant qu’après avis pris auprès d’un comité d’experts en cocktails, il s’agit en fait d’une commande spéciale dont il doit absolument prendre livraison : le glaçon géant qui a été commandé par le barman en chef du navire, pour le carré V.I.P.)), les technocrates semblent s’employer à scier avec toujours plus de frénésie la branche sur laquelle nous sommes tous assis. C’est là ce que certains psychologues/psychiatres n’hésitent pas à qualifier, parfois à bas bruit, de « folie pathologique », « de folie collective. » Avant qu’ils ne se fassent eux-mêmes qualifier de complotistes.

Dès lors, le véritable problème ne serait-il pas l’irresponsabilité juridique des technocrates qui nous dirigent ?

La science ne s’occupe pas de la morale. La science, qui se fonde sur le doute et la recherche de la preuve, se régit elle-même, en corrigeant en temps utile ses erreurs. C’est pourquoi la morale doit s’occuper de la science. Le Petit Robert définit la Morale comme suit : « La science du bien et du mal, des principes de l’action humaine en tant qu’elle est soumise au devoir et a pour but le bien. » Pour nos « élites », se pose donc la question du relativisme moral, idée selon laquelle les valeurs morales seraient dépendantes du contexte historique et culturel. Pourquoi ? Parce que certains politiques n’hésitent pas à clamer « leur croyance dans la science ». Indépendamment du fait que science et croyance soient incompatibles puisque la méthodologie scientifique va de pair avec la remise en question, faire état de croyance dans la science dans une République qui prône la laïcité comme base de notre contrat social ne démontre-t-il pas un relativisme exacerbé ?

Pourtant, Voltaire, père des Lumières, le soulignait dans son Dictionnaire Philosophique : « Il n’y a qu’une morale comme il n’y a qu’une géométrie ». Une notion qui trouve son fondement dans le droit naturel. Dans son Traité sur la tolérance, le philosophe explique : « Le droit humain ne peut être fondé en aucun cas que sur ce droit de nature ; et le grand principe, le principe universel de l’un et de l’autre, est, dans toute la terre : “Ne fais pas ce que tu ne voudrais pas qu’on te fît.” Or on ne voit pas comment, suivant ce principe, un homme pourrait dire à un autre : “Crois ce que je crois, et ce que tu ne peux croire, ou tu périras”. » C’est pourtant ce que font nos technocrates : ils imposent leur croyance et règlent le droit qui régit la société civile sur la base de leur dogme subjectif. Un dogme qui, ne leur en déplaise, n’est pas une science, mais une science infuse, le propre de la personne qui croit détenir la science… sans avoir étudié. En bref, une science qui n’est que croyance. Une croyance affirmée sans juste démonstration n’est que superstition. Or, écrit Voltaire, « la morale n’est point dans la superstition ».

En conséquence, si le droit ne doit pas être l’expression de la volonté superstitieuse de ceux qui détiennent le pouvoir, mais doit, au contraire, se fonder sur le droit naturel, c’est-à-dire la recherche du juste, alors les technocrates sont irresponsables juridiquement.





Multipolarité contre unipolarité, par une guerre proxy ukrainienne, pour une gouvernance mondiale ?

Par DJERRAD Amar

Cette campagne russe en Ukraine a été, en effet, surprenante et décisive surtout pour les atlantistes aveuglés par ce sentiment de supériorité et ankylosés par leurs suffisance et rassasiement. Le risque nucléaire est à poser aux atlantistes provocateurs de la Russie depuis au moins les 15 dernières années et non à la victime qui a le droit suprême inaliénable de se protéger ! Tout le problème vient bien des USA. 

Neutraliser la Russie et la Chine pour une gouvernance mondiale ? 

L’occasion de neutraliser la Russie, par une guerre hybride, a été planifiée en Ukraine. Planification erronée qui semble aboutir à un échec lamentable ! Il faudra bien que la Russie réponde par une stratégie pour se défendre d’une menace existentielle ! Si l’OTAN était certaine que c’était « gagnable », elle n’hésiterait pas à frapper directement, comme les USA l’avaient fait au Japon, assurés qu’il n’avait pas la même arme pour répliquer !

Si l’OTAN, avec ses 30 pays, se cache derrière un seul, l’Ukraine, contre la Russie, c’est que pour cette alliance il était très hasardeux, voire dangereux, de lui déclarer officiellement la guerre sachant qu’ils seront « vitrifiés » seulement avec les armes conventionnelles hors pair qu’ils ne possèdent pas !

Mobiliser l’Europe, dans l’hystérie (une trentaine de pays), pour faire la guerre à la Russie par proxy ukrainien, sans résultat tangible et oser gesticuler sur une capacité d’affronter aussi la Chine sur la question de Taiwan, ses projets économiques mondiaux et de sa « ceinture » et route, c’est funambulesque ! Faire deux guerres majeures en même temps ? C’est du bluff américain ! Nous recommandons, à l’occasion, deux livres collectifs, intéressants, intitulés « La Chine sans œillères » et « La Russie sans œillères » qui rétablissent la vérité, sur plusieurs sujets, concernant ces deux pays. Ils savent ce que cela coûtera et où cela mènera ! De plus, raisonnablement, il faut d’abord faire la liste des guerres gagnées (dans leurs objectifs et les pertes) directement contre des pays faibles ! Par des sanctions économiques aussi contre la Chine ? Trêve de plaisanterie ! Ce ne sera plus se tirer « une balle dans le pied », mais un « missile sur sa maison » ! « Qu’ils essaient », propose Sieur Poutine pour ce qui concerne son pays !

Leur néoconservatisme effréné et ravageur, en voulant ‘manger’ tout le monde pour assouvir les sales instincts avides de domination de ses géniteurs, se retrouve, par excès de cupidité, d’immoralité et de démesure, à se consumer graduellement, pris à revers par les contradictions de son propre système économique et idéologique à savoir le « mondialisme » qui vise à mettre en place une « gouvernance mondiale » selon une doctrine obligeant les autres états et peuples à ouvrir leurs marchés, leur commerce, à céder leurs matières premières, à bannir les barrières douanières et leur culture, suivant les « règles » édictées par le gouverneur autoproclamé à savoir les États-Unis !

Les USA savent qu’ils n’ont jamais gagné de guerres dans ses objectifs. Ils ont toujours surestimé leurs forces en négligeant avec dédain celle de leurs adversaires choisis toujours parmi les pays « faibles » les considérants inaptes à la réplique comme s’il s’agit une partie de chasse qui, en fin de compte, à chaque fois, s’avèrent être de redoutables défenseurs de leur patrie, réussissant à leur infliger des dégâts intenables et inattendus ! Cela rappelle une citation du Général de Gaulle : « La guerre, c’est comme la chasse, sauf qu’à la guerre les lapins tirent ». C’est parce qu’ils le savent qu’ils ont trouvé l’astuce des guerres par proxy afin de pouvoir s’en tirer à bon compte en cas d’ennuis.

Très souvent c’est parce qu’on est en manque d’une chose qu’on l’évoque de façon obsessionnelle contre un adversaire ou concurrent qui souvent nous dépasse dans cette chose ou la fait mieux que nous ! C’est le cas des prétextes « libertés », « démocratie », « droits de l’homme » que les Occidentaux évoquent cyniquement contre leurs rivaux pour cacher leurs tares et convoiter des intérêts illégitimes ou illicites. Réellement, ils souhaitent dans ces pays des dirigeants pantins, car les valeurs qu’ils prônent entravent leurs projets prédateurs. Ce sont des criminels qui s’habillent d’oripeaux élogieux pour mieux tromper les consciences, spolier et imposer leur diktat. Leurs prétentions les aveugles au point où ils perdent la raison.   

Imbus de leur personne, leur arrogance et leur sentiment d’infaillibilité et d’invincibilité — en voulant tout réguler, tout gagner, régenter le monde, tout changer en défaisant les autres, sans changer soi-même — ils se retrouvent poussés au-delà des limites du raisonnable au point qu’ils se permettent de décider d’abord, absurdement, d’actions ou de guerres, puis de réfléchir ensuite, mais une fois trop tard, lorsque les conséquences devenant irréversibles, les solutions caduques et l’échec certain ! « Les batailles perdues se résument en deux mots : trop tard. » dit Douglas MacArthur. Il reste toutefois, toujours, du temps pour décamper ! Kadyrov, le président de la Tchétchénie, pense que la réflexion avant l’action est « un luxe que certains dirigeants occidentaux ne peuvent pas se permettre » ; pour lui aucun « n’aurait pensé qu’un nombre sans précédent de sanctions contre la Russie ne ferait absolument rien ». Même à la 7e série de sanctions incluant notamment un embargo sur l’or russe, qui semble sans effet significatif, on a observé un relâchement sur certaines restrictions (transport, les denrées alimentaires, les engrais et même le pétrole et le gaz), car elles leur nuisaient dangereusement !

Multipolarité « dictatoriale » et unipolarité « démocratique »

L’heure des atlantistes ne paraît plus à la décence et au ridicule, mais à frapper perfidement « tout ce qui bouge » vers l’indépendance et le souverainisme, voies assurées par la multipolarité que soutient la Russie face à leur unipolarité (deux modes qu’ils présentent, curieusement, comme un affrontement entre « dictature » et « démocratie »). Comme si le multipartisme est une dictature et le parti unique une démocratie ! Le ridicule est même poussé au-delà du contre nature. Selon Sergueï Ryabkov (aux journalistes), les États-Unis auraient demandé à la Russie de reconnaître les mercenaires en Ukraine comme des « combattants au sens des Conventions de Genève » !

Les atlantistes, pris dans leur égoïsme, leur cupidité et leur démence, disent et font des choses et leurs contraires, menacent puis se rétractent, sanctionnent puis réajustent, lient amitié et désavouent, méprisent la charte de l’ONU et la revendiquent, aident et volent, engagent et renient, pratiquent l’injustice et le racisme tout en le condamnant, interdisent ce qu’ils s’autorisent, fomentent des « révolutions de couleurs » ; voir en particulier le livre du Dr Ahmed Bensaada « Arabesque américaine », etc., tout cela pour se garantir des intérêts exclusifs, quitte à menacer par leurs puissances militaires, économiques et financières !  

Une mentalité funeste et arrogante qui considère que la puissance militaire fait force de loi « internationale » (qui ne s’appliquent pas sur eux) qui peut rendre licite, l’illicite et vice versa, légal l’illégal et vice versa ; qui donne le droit de sanctionner arbitrairement quiconque, sans légitimité de riposte, qui donne aussi le droit de confisquer les biens des autres par la force, etc. ne peut conduire qu’à des conflits particulièrement violents et destructeurs ! Cela s’est vu contre des pays opprimés considérés « nains » militairement et économiquement, mais qui ont réussi à mettre ces « puissances » dans des situations d’échec insupportable ! Qu’en sera-t-il si une puissance opprimante et prédatrice se retrouve face à une autre puissance, sage et patiente, plusieurs fois humiliée, qui décide d’en découdre militairement au nom de la justice ? C’est le cas présentement des USA (avec leurs vassaux pseudo-puissances européennes) qui se retrouvent face à la puissance russe par Ukraine comme mandataire ! Sergueï Lavrov explique largement à Margarita Simonian (de Russia Today) l’opération militaire en Ukraine, la question des sanctions et de la crise énergétique ainsi que l’attitude des atlantistes dans une interview d’une heure environ. Nous recommandons aussi cette récente vidéo de Xavier Moreau qui fait sur ces évènements d’Ukraine, depuis le début, un travail remarquable d’information et d’analyse.

Leur crétinisme les pousse jusqu’à oser provoquer en même temps que la Russie, le mastodonte chinois tout en lançant des piques sur l’Inde ! Allez savoir quelle mouche les a piqués pour aller gratter les anus des ours ou des lions ! À ce jour, le courageux homme qui l’aurait fait n’est pas encore revenu pour nous raconter son aventure !

Dernière phase de l’impérialisme

En Ukraine, la Russie semble n’avoir donné qu’un grognement lointain et nous voyons les effets. Comme le fort honnête agit souvent raisonnablement, Poutine a bien prévenu les atlantistes en délire que « chacun doit savoir que nous n’avons pas encore commencé les choses sérieuses »… « qu’ils auraient dû comprendre qu’ils ont déjà perdu dès le début de notre opération militaire spéciale, car son début signifie le début d’une rupture radicale de l’ordre mondial à l’américaine… » suggérant ainsi que le monde impérialiste — avec son esclavagisme, son colonialisme et néo-colonialisme, ses actions prédatrices et ses génocides — est arrivé à la dernière phase de son évolution historique. Il ne nous semble pas qu’il s’agisse d’une « accélération de l’Histoire » avec cet évènement ukrainien ! Tous les Empires pillards, à travers l’Histoire, sont arrivés à cette fin par les contradictions qu’ils renferment. Celui de notre époque, avec ses absurdités et antagonismes, menées à leurs paroxysmes, ne fera pas exception ! C’est dans l’ordre de la nature où chaque cause entraîne un effet ! « Toutes les doctrines, toutes les écoles, toutes les révoltes n’ont qu’un temps. » selon le même De Gaulle. On peut ajouter « tous les empires ».

Si l’Ukraine, par son pantin de président, affiche un certain abattement et mécontentement chaque semaine et à chaque occasion en réclamant encore plus « d’aide », c’est que la demeure prend l’eau (ou feu), menaçant surtout par là qu’elle ne pourra plus faire jouer le patriotisme/nationalisme à ses formations armées engagées par « procuration » pour des intérêts qui sont loin d’être ukrainiens ! Cette attitude, ainsi que la réaction des USA, s’inscrit à notre sens plus dans l’objectif de tenir bon en attendant les effets attendus « dévastateurs » des sanctions sur la Russie que dans le but de gagner militairement, sachant que le temps joue indubitablement contre eux !

Au vu de l’évolution des choses sur le champ de bataille, on constate bien que l’armée russe avance sans empressement, délicatement avec méthode et modération sans pertes significatives tout en consolidant ses positions ! Ceci est bien reconnu par Scott Ritter (ancien officier du renseignement américain) dans une vidéo : « La Russie est en train de gagner sur tous les fronts… ». Entre-temps, elle paraît titiller l’OTAN en lui faisant apparemment préjuger une force/faiblesse de l’armée afin d’une part la dissuader d’aller trop loin et d’autre part l’inciter à dépenser davantage, à armer plus l’Ukraine, à concentrer plus d’armement et de troupes pour finalement sortir brièvement les armes furtives pour les détruire en quelques frappes avec un moindre coût, comparativement ! Comme c’est encore le cas de la frappe russe sur Odessa ayant détruit, entre autres, un navire de guerre ukrainien transportant des missiles antinavires fournis par l’OTAN. Le lien fait par la propagande Otanesque avec l’accord d’Istanbul concernant les exportations céréalières est un vulgaire mensonge. Et bis repetita ! À ce train, avec déjà 75 milliards de dollars de dépenses sans résultats probants (auxquels s’ajoutent les coûts colossaux du boomerang des sanctions), on se dirige droit vers un gouffre financier annonciateur d’un rétropédalage au risque d’une récession ruineuse économiquement et politiquement ! Si malgré tous les efforts les résultats pointent vers cet échec, alors les Ukrainiens seront discrètement autorisés à négocier, car ce sont les États-Unis les cobelligérants, les parrains, qui décident et financent tout depuis le début ; l’Ukraine n’étant qu’un faire-valoir. Dans ce cas, on verra qu’ils seront laissés à eux-mêmes et l’OTAN leur imputera l’échec tout en cherchant une autre voie !

A la réflexion, se peut-il que tout cela soit une stratégie russe élaborée (peut-être en concertation avec d’autres puissances) pour une guerre à un niveau bien plus élevé afin de mettre un terme définitivement à l’hégémonie funeste et insupportable, qui a trop durée, de la caste anglo-saxonne ? Possible, car des voix russes réclament cette option de guerre élargie aux décideurs !

Rupture, dernier souffle et situation kafkaïenne

Les atlantistes se retrouvent confrontés à quatre situations dont les effets sont plus ou moins pénibles : admettre l’échec, déclarer une guerre ouverte, poursuivre la même démarche ou fomenter des troubles internes à finalité séparatiste. Chacune supporte un coût qu’il leur appartient d’évaluer au vu d’un bilan sérieux et objectif de leurs actions passées. Ce qui est certain, c’est que chacune des quatre situations les place dans un affreux choix « bouillante d’un côté et brûlante de l’autre » (comme disent les Maghrébins). La corde tendue est à sa rupture !

 Au regard de la carte de l’opération spéciale des forces armées russes en Ukraine au 24.07.2022, le choix paraît évident : destruction de 16 aérodromes, 260 avions, 144 hélicoptères, 1 605 drones, 357 systèmes de missiles antiaériens, 763 systèmes de lance-roquettes multiples, 4 146 chars et autres véhicules blindés, 3 196 pièces d’artillerie de campagne et 4 457 unités de véhicules militaires spéciaux et ce, en 5 mois ! Pour remplacer ces engins militaires (et infrastructures), il faudra réunir des dizaines de milliards de dollars, les fabriquer, les acheminer et former les militaires, sans compter le fait qu’ils seront en grande partie détruits, lors de leur acheminement, par l’armée russe qui les guette, puisque le ministère russe de la Défense ne cesse d’avertir que « les dépôts d’armes deviendraient des cibles légitimes pour les forces aérospatiales » ! L’avertissement va encore plus loin si d’aventure l’Ukraine est destinataire d’armes à longue portée ! Dans ce cas les « objectifs géographiques de l’opération spéciale se déplaceront même plus loin de la ligne actuelle ».

Ils refusent, jusqu’au dernier souffle, d’admettre que le monde a totalement changé dans les relations politiques et économiques, dans les rapports de force, dans les alliances stratégiques à cause des crises, des contradictions, des spéculations et des injustices suscitant des conflits d’intérêts, voire d’existence. C’est donc sans compter, cette fois, sur le double défi russe et chinois soutenus par le BRICS que les menaces et complots en cours ou en préparation seront un coup d’épée dans l’eau et les changements irréversibles ! Leur dernier souffle paraît être qu’aujourd’hui, pour justifier leur déroute (militaire et sanctions) aux yeux de leurs peuples, voire au reste du monde, pour sauver leur face, ils s’emploient indignement à imputer à la Russie toutes les conséquences de leurs fourberies ; de l’inflation aux pénuries en passant par le gros risque d’instabilité sociale avec l’arrêt de leurs usines et l’accentuation du chômage ! Sur un autre volet, ils s’échinent, par leur mensonge et propagande, à l’accuser de « crimes de guerre » sur la base de mise en scène de scénarios montés de toute pièce comme les bombardements des quartiers résidentiels, etc. ! (« massacre » de Bucha, maternité de Marioupol, garnison de l’île aux serpents, missiles sur Donetsk et la gare de Kramatorsk, Supermarché de Krementchouk, etc.) et ce, paradoxalement, à des moments, où l’armée russe et en pause ou en position dominante ! En revanche, et en soutien à la Russie, la Chine demande des enquêtes sur les crimes de guerre et les violations des droits de l’homme commis par les États-Unis et le Royaume-Uni, au cours des 20 dernières années notamment en Afghanistan, l’Irak et la Syrie, faisant jusqu’à 48 000 morts civiles. Leur dernier souffle enfin est de montrer qu’ils ont encore la capacité et la marge de nuire à la Russie en décidant d’imposer, « comme ça », un prix d’achat plancher (égal ou inférieur au coût de production) au pétrole brut russe — qui représente 30 % du marché européen et 12 % du commerce mondial — uniquement pour ne pas l’enrichir sans se soucier du risque d’avoir une réponse économique simple : celle de ne pas vendre à ce prix aux pays qui l’imposent ! C’est bien la loi du marché !

Il faut rappeler que, globalement, les pays de l’UE ont acheté en 2021 à la Russie, 30% de pétrole brut, 15% de produits pétroliers et 45% du gaz naturel. Boycott ou pas, tous ces produits énergétiques ont déjà trouvé acheteurs ! Respectueuse des contrats signés (contrairement aux atlantistes), c’est plutôt l’Europe qui peut faire crouler sa propre économie si elle choisit de proscrire le pétrole et le gaz russe et non cette dernière qui pourrait décider « de couper l’approvisionnement » à l’Europe.

Vivre son destin avec un autre ordre mondial

Quelles que soient les intentions des Russes, ils sont dans leur droit de répondre comme ils l’entendent à une injustice ou à une provocation. Si les Européens trouvent, dans leur sens, légitime qu’ils « militarisent » les sanctions contre la Russie pour la priver d’argent, pourquoi s’offusquent-ils à l’idée (seulement) que la Russie pourrait, en réponse, « militariser » l’approvisionnement énergétique qu’ils jugent illégal dans l’autre sens ? Curieuse logique !

Au fil des développements, il est fortement prévisible que l’on s’attende à ce que l’UE se divise, l’OTAN de désagrège, parce que construites sur des bases irrationnelles et anachroniques, sans particularismes (pays baltes, région scandinave, zone d’Europe centrale, Hongrie, Turquie…)

En revanche, les états prônant le multilatéralisme et le souverainisme ont intérêt à ériger une alliance, hors Europe, fondée sur des valeurs plus sûres et plus sécurisantes. Ce processus semble en bonne voie ! C’est dans cette alliance décisive, exceptionnelle, historique et courageuse avec ce nouveau bloc souverainiste et multipolaire que sera assuré le nouvel ordre mondial basé sur d’autres règles plus équitables, d’autres principes, d’autres valeurs, d’autres ONG. C’est cela une « révolution » dans les relations internationales !

On ne peut s’empêcher de conclure en citant cet extrait de discours de Poutine devant les dirigeants de la Douma :

« … C’est le début de la transition de l’égocentrisme américain libéral-mondialiste vers un monde véritablement multipolaire — un monde fondé non pas sur des règles égoïstes inventées par quelqu’un pour lui-même, derrière lesquelles il n’y a que le désir d’hégémonie, non pas sur des doubles standards hypocrites, mais sur le droit international, sur la véritable souveraineté des peuples et des civilisations, sur leur volonté de vivre leur destin historique, leurs valeurs et leurs traditions et de construire une coopération sur la base de la démocratie, de la justice et de l’égalité. Et nous devons comprendre que ce processus ne peut plus être arrêté… »

Quel autre choix raisonnable reste-t-il ?

Amar Djerrad