« Convoi de la liberté », la révolte populaire ne faiblit pas malgré la répression et les menaces

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Les manifestations contre les mesures sanitaires se poursuivent dans la capitale canadienne. Une situation « hors de contrôle » pour le maire de la ville qui sollicite l’aide des autorités fédérales. La « répression » a déjà commencé, la police d’Ottawa a menacé d’arrêter quiconque apporterait de l’essence ou un autre soutien matériel aux camionneurs. Autre manœuvre de coercition, la plateforme de récolte de dons « GoFundMe », grâce à laquelle les organisateurs du « Freedom Convoy » canadien ont réussi à récolter dix millions de dollars, a communiqué qu’elle ne leur reverserait pas les fonds. À l’instar des milliers de camionneurs canadiens qui protestent dans la capitale Ottawa, les camionneurs d’autres pays ont commencé à organiser leurs propres versions du « Freedom Convoy ».

Le maire d’Ottawa déclare l’état d’urgence

Le maire d’Ottawa, Jim Watson, a déclaré l’état d’urgence alors qu’environ 500 camions et véhicules du « Freedom Convoy » continuent de s’attarder dans les rues de la capitale canadienne pour protester contre les mandats de vaccination.

“Déclarer l’état d’urgence reflète le grave danger et la menace pour la sûreté et la sécurité des résidents posés par les manifestations en cours et souligne la nécessité du soutien d’autres juridictions et niveaux de gouvernement”, a déclaré la ville dans un communiqué.

Une situation «hors de contrôle», Jim Watson. La capitale fédérale a besoin de renforts pour mettre fin à l’état de «siège» dans lequel elle se trouve, a-t-il expliqué dans une lettre au gouvernement, plaidant pour l’envoi de 1800 policiers supplémentaires. «Nous devons mettre fin à cette manifestation, mais nous ne pouvons pas le faire seuls», a reconnu lundi le chef de la police Peter Sloly, appelant lui aussi «à l’aide».

Le chef de la police d’Ottawa a laissé entendre que les Forces armées canadiennes pourraient devoir être appelées pour gérer les manifestants persistants dans la capitale canadienne.

“Il s’agit d’un problème national, pas d’un problème d’Ottawa“, a déclaré le chef de la police d’Ottawa, Peter Sloly , lors d’une séance d’information aux conseillers municipaux. “Je suis de plus en plus inquiet qu’il n’y ait pas de solution policière à cela.”

Justin Trudeau, de retour en personne à la Chambre des communes, après une semaine d’isolement pour cause de Covid, a déclaré “Il faut que ça cesse”.

Néanmoins, le premier ministre a admis que l’envoi de l’armée pour mettre fin au mandat anti-vaccin et à la manifestation anti-gouvernementale qui a paralysé la capitale nationale pendant près d’une semaine n’est “pas dans les cartes pour le moment”.

Insensibles aux déclarations politiques, les manifestants, eux, continuent de réclamer “la levée des obligations vaccinales, des restrictions, et le rétablissement des droits et des libertés des Canadiens”, a déclaré lundi Tamara Lich, l’une des organisatrices du mouvement, lors d’un live sur YouTube.

“Nous essayons, en ce moment, de tendre la main à tous les partis fédéraux afin que nous puissions commencer des pourparlers et voir comment nous pouvons avancer”, a-t-elle ajouté.

Les politiciens “ne savent pas quoi faire de nous. Mais tout ce qu’ils ont à faire, c’est de revenir à la raison. C’est à eux de résoudre ça”, a estimé auprès de l’AFP John Lambert, 59 ans, camionneur et manifestant.

Trudeau amplifie la répression

“Quiconque tenterait d’apporter des supports matériels (gaz, etc.) aux manifestants pourrait faire l’objet d’une arrestation. L’application est en cours”, a annoncé la police dans un tweet arborant la mention “IMPORTANT”.

Les manifestants, de leur côté, se sont dits étonnés de l’élan de soutien de leurs concitoyens canadiens. 

“Le soutien a été incroyable”clame un camionneur. “Je n’ai jamais rien vu de tel. Je n’ai jamais été aussi fier d’être Canadien.”

Nicholas Wansbutter, qui a été engagé par le Justice Centre de Calgary pour représenter le « Freedom Convoy », a condamné les actions de la police d’Ottawa comme potentiellement illégales

“Les personnes qui apportent de la nourriture, de l’eau, de l’essence ou d’autres fournitures aux camionneurs qui manifestent pacifiquement n’enfreignent aucune loi. Il n’y a aucun fondement à cette menace policière. “, a déclaré Wansbutter dans un communiqué.

« Dans une société libre et démocratique régie par la primauté du droit, les citoyens peuvent librement s’associer les uns aux autres, y compris pour donner et recevoir des biens et des cadeaux. Il n’y a aucune loi qui permettrait à la Police d’Ottawa d’arrêter des personnes pour avoir donné du carburant ou de la nourriture à un autre Canadien », a poursuivi Wansbutter. 

“Les camionneurs eux-mêmes exercent leurs libertés d’expression, d’association et de réunion pacifique, comme ils ont légalement le droit de le faire.”

La police d’Ottawa a annoncé, dimanche 6 février, que plus de 450 contraventions avaient été émises depuis samedi matin pour des infractions allant du bruit excessif et des violations de la ceinture de sécurité aux plaques d’immatriculation obstruées et aux silencieux inappropriés. Ils ont également annoncé avoir ouvert 97 enquêtes pénales liées au Freedom Convoy.

Encore plus absurde, un juge ontarien a accordé, lundi 7 février, une injonction de 10 jours interdisant aux camionneurs stationnés dans les rues du centre-ville d’Ottawa de klaxonner constamment.

“Tonner un klaxon n’est pas l’expression d’une grande pensée à ma connaissance”, a déclaré le juge de la Cour supérieure de l’Ontario, Hugh McLean, lors d’une procédure judiciaire, selon la CBC.

La plateforme GoFundMe suspend la collecte de fonds du mouvement des camionneurs canadiens

Le GoFundMe a été lancé le 14 janvier par Tamara Lich, qui est également secrétaire du parti séparatiste occidental Maverick. Elle indique que l’argent servira à payer le carburant ainsi que la nourriture et l’hébergement des camionneurs participants.

La page GoFundMe pour soutenir le “Freedom Convoy” des camionneurs canadiens approchait les 10 millions de dollars lundi 1er février, soit plus d’argent que les principaux partis politiques fédéraux du Canada n’ont collecté au cours du dernier trimestre de 2021.

Des reportages avaient commencé à circuler la semaine dernière, signalant que la page GoFundMe pour “Freedom Convoy 2022” avait été gelée et que les organisateurs devaient expliquer comment les millions de dollars de fonds collectés seraient dépensés

«Cette cagnotte est actuellement suspendue car nous la vérifions afin de nous s’assurer qu’elle est conforme à nos conditions d’utilisation et aux lois et réglementations applicables» : telle est la mention ajoutée par la plateforme de financement participatif GoFundMe le 2 février à propos de la collecte de soutien.

La plateforme précise «collaborer avec les forces de l’ordre locales» à cet effet.
« Nous avons maintenant la preuve par les forces de l’ordre que la manifestation auparavant pacifique s’est transformée en occupation, avec des rapports de police faisant état de violence et d’autres activités illégales. ». Un narratif que Trudeau et les libéraux employaient aussi pour discréditer le mouvement quelques jours auparavant.

Après avoir versé le premier million récolté aux organisateurs, la plateforme a décidé de geler les neuf millions restants et de clore la campagne de dons

Le Justice Centre for Constitutional Freedoms , le cabinet d’avocats basé à Calgary, a annoncé qu’il représentait le Freedom Convoy 2022 à Ottawa et qu’il avait une équipe d’avocats sur le sol fournissant une assistance et des conseils juridiques.

“L’équipe juridique du Justice Center travaille au nom des organisateurs du convoi pour s’assurer que tous les fonds collectés par GoFundMe sont remis aux camionneurs aux fins prévues“, a déclaré le cabinet d’avocats dans un communiqué.

Preuve que ce « racket » choque, le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a déclaré que lui et le procureur général de l’État enquêteraient sur GoFundMe après que la plate-forme en ligne de financement participatif ait mis fin à la campagne de financement officielle canadienne “Freedom Convoy”. Confronté à des allégations de fraude, GoFundMe est ensuite revenu sur sa position concernant la redistribution des fonds et a déclaré qu’il rembourserait automatiquement les milliers de donateurs.

Un vent de liberté qui s’internationalise

Des camionneurs du monde entier roulent en solidarité avec le convoi canadien. Des initiatives comparables ont été observées à Leeuwarden aux Pays-Bas, à Schwerin en Allemagne, ou encore à Canberra en Australie.

Au moins 1 000 personnes se sont rassemblées près du Parlement à Canberra pour protester contre le mandat du vaccin et les restrictions, a rapporté samedi le Canberra Times. Les organisateurs ont appelé 5 millions d’Australiens à converger vers la capitale avant le retour du Parlement le 8 février.

Les camionneurs à travers l’Europe prévoient également des convois. Un groupe du World Freedom Convoy sur Signal prévoit deux manifestations distinctes, a rapporté le Brussels Times . En une semaine environ, 40 000 personnes ont rejoint le chat Signal. Les camionneurs prévoient de se rendre dans leurs capitales respectives le 7 février, et le groupe européen élargi se dirigera vers Bruxelles le 14 février.

Aram Lemmer, propriétaire d’une entreprise et organisateur en Autriche, a déclaré au Toronto Star que lui et deux autres organisateurs s’étaient engagés à envoyer 2 500 véhicules à Vienne en convoi le 13 février, y compris des voitures, des camions, des tracteurs et des cyclistes. Ils exigent que le gouvernement renonce à toutes les restrictions et démissionne. 

En France, le mouvement semble monter en puissance puisque des centaines de publications ont été postées sur les réseaux. Parmi elles, des appels à la mobilisation pacifique et des offres pour fournir logement, boissons, nourriture, ou couvertures en guise de soutien. De plus en plus d’automobilistes affichent également leur participation au mouvement en publiant des photos de leur véhicule avec une feuille A4 accrochée sur le tableau de bord ou un sticker: “je soutiens le convoi de la liberté”.

Sans surprise les syndicats ont indiqué qu’ils ne participeront pas au convoi.

“Aujourd’hui, on n’a pas de renseignements démontrant que cela s’organise de manière importante”, a répondu ce mardi 8 février sur BFMTV, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin. “Mais nous sommes attentifs et la réponse de l’Etat sera extrêmement ferme si c’est le cas.”

Enfin côté américain, un groupe de camionneurs prévoit une manifestation aux États-Unis, se rendant au Capitole américain à Washington, DC.

Brian Brase, co-organisateur de la manifestation américaine, a déclaré à que l’effort des camionneurs américains était “un peu moins de 140 000 personnes lorsque Facebook nous a censuré”Le 2 février, Facebook a supprimé une page Facebook intitulée “Convoy to DC 2022”.

Brase a déclaré que des camionneurs de partout aux États-Unis appelaient à se joindre à l’effort. “Nous avons des entreprises de camionnage de tout le pays qui nous appellent, chauffeurs”, a-t-il déclaré. Il a taquiné un communiqué de presse majeur avec des détails le mardi 8 février. “Le volume de réponse… Je vais dire que nous serons aussi grands que le Canada, sinon plus.”

Le soulèvement du peuple canadien est incroyable et ce « siège » de leur capitale Ottawa se fait avec un niveau d’intelligence rarement vu auparavant. Ils savent à quoi s’attendre en détail de la part des médias, des agitateurs/contre-manifestants ainsi que des personnes introduites dans la foule pour causer des problèmes.

Ils ont apporté assez de fournitures pour être là pendant des semaines. Ils ont installé des cantines et des services dans les rues.

Ce sont des gens qui savent ce qu’ils font et Trudeau le sent. Malgré cela il s’obstine comme en atteste son gouvernement libéral qui tente de ressusciter un projet de loi sur la censure en ligne. 




Pourquoi les gens ne font-ils pas « confiance à la science » ? Parce que les scientifiques sont souvent surpris en train de mentir

[Source : aubedigitale.com]

Par Brandon Smith

Au cours des dernières décennies, les pratiques éducatives occidentales se sont malheureusement éloignées de ce que nous appelions autrefois la « pensée critique ». En fait, la pensée critique était autrefois un élément fondamental des universités américaines et il semble aujourd’hui que ce concept n’existe plus, du moins pas de la manière dont il le faisait auparavant. Au lieu de cela, une autre forme d’apprentissage est apparue, qui promeut la « bonne pensée » ; une forme d’endoctrinement qui encourage et récompense une réponse particulière des étudiants, conforme à l’idéologie et pas nécessairement à la réalité.

Ce n’est pas que les écoles imposent directement une idéologie collectiviste ou corporatiste (parfois elles le font), c’est plutôt qu’elles filtrent les points de vue alternatifs ainsi que les faits et les preuves qu’elles n’aiment pas jusqu’à ce qu’il ne reste qu’une seule voie et une seule conclusion à un problème donné. Ils apprennent aux élèves à NE PAS penser en leur présentant des expériences de pensée, puis en contrôlant les résultats acceptables.

Par exemple, une expérience de pensée courante et manipulatrice utilisée dans les écoles consiste à demander aux élèves d’écrire une « analyse » sur les raisons pour lesquelles les gens ne font pas confiance à la science ou aux scientifiques de nos jours. L’astuce est que la question est toujours présentée avec une conclusion intégrée – il faut faire confiance aux scientifiques, et certaines personnes refusent de les écouter, alors essayons de comprendre pourquoi ces personnes sont si stupides.

J’ai vu cette expérience de nombreuses fois, toujours présentée de la même manière. Pas une seule fois je n’ai vu un professeur de collège ou un enseignant d’école publique demander aux étudiants :

« Doit-on faire confiance aux scientifiques d’aujourd’hui ? »

Pas une seule fois.

Ce n’est PAS une analyse, c’est une hypothèse contrôlée. Si vous avez déjà une conclusion en tête avant de vous lancer dans une expérience de pensée, vous allez naturellement essayer d’ajuster le résultat de l’expérience pour qu’il corresponde à vos idées préconçues. Les écoles d’aujourd’hui présentent cette bêtise comme une forme de jeu de réflexion alors qu’il s’agit en fait de propagande. On apprend aux élèves à penser à l’intérieur de la boîte, pas à l’extérieur de la boîte. Ce n’est pas de la science, c’est de l’anti-science.

Les programmes éducatifs de ce type sont désormais monnaie courante, alors que la science réelle est reléguée au second plan. Des millions d’enfants sortent des écoles publiques et des universités sans aucune compréhension de la méthode scientifique réelle ou de la science en général. Demandez-leur quelles sont les équations de la densité ou de l’accélération, et ils n’auront aucune idée de ce dont vous parlez. Interrogez-les sur les questions relatives à la vaccination ou au « changement climatique », et ils vous régurgiteront une litanie de réponses préprogrammées expliquant pourquoi la science ne peut être remise en question d’aucune manière.

Dans les médias alternatifs, nous appelons souvent cela « être piégé dans la matrice », et il est difficile de trouver une meilleure analogie. Les gens ont été récompensés pendant si longtemps pour avoir accepté le récit dominant et rejeté aveuglément toute autre information que lorsqu’on leur présente la réalité, ils en rient avec arrogance ou reculent avec horreur. La matrice est tellement plus confortable et sûre, et regardez toutes les bonnes notes que vous obtenez lorsque vous dites les bonnes choses, évitez les questions difficiles et êtes d’accord avec le professeur.

Étant donné le triste état de la science en Occident ces jours-ci, en ce qui concerne la réponse au covid ainsi que la pression insensée et non scientifique pour les vaccinations forcées, j’ai pensé qu’il serait intéressant d’essayer cet exercice de pensée, mais sous un angle qui n’est jamais autorisé dans les écoles d’aujourd’hui :

Pourquoi les gens ne font-ils plus confiance à la science et aux scientifiques ?

La réponse est simple : Parce que de nombreux scientifiques ont été surpris en train de mentir et de déformer leurs données pour les adapter aux conclusions qu’ils souhaitent plutôt qu’aux faits. La science est souvent politisée pour servir un programme. Ce n’est pas une théorie du complot, c’est un fait avéré.

Cela ne veut pas dire qu’il faut se méfier de toutes les sciences.

Le fait est qu’aucune science ne devrait être acceptée aveuglément sans un examen indépendant de TOUS les faits disponibles. C’est là tout l’intérêt de la science, après tout.

Oui, il existe des théories du complot idiotes lorsqu’il s’agit d’analyse scientifique, mais il existe également un certain nombre d’escroqueries dans le monde de la science.

L’affirmation fausse habituelle est que la personne moyenne est ignorante et qu’elle n’a pas la capacité de comprendre les données scientifiques. Je trouve intéressant que ce soit là le message général de l’expérience de pensée sur la confiance dans la science. Il s’inscrit dans la droite ligne du discours dominant et gouvernemental selon lequel LEURS scientifiques, ceux qu’ils paient et que les entreprises paient, sont implicitement corrects et ne doivent pas être remis en question. Ils sont les grands prêtres de l’ère moderne, s’adonnant à de grandes incantations magiques que nous, sales paysans, ne pouvons pas saisir. Ce n’est pas à nous de remettre en question « la science », c’est à nous de la considérer comme une religion et de nous prosterner en signe de révérence.

La plupart des gens ont la capacité de passer au crible les données scientifiques tant qu’elles sont transparentes. Lorsque les faits sont obscurcis, déformés ou omis, cela crée la confusion, et bien sûr, seuls les scientifiques de l’establishment peuvent démêler le désordre, car ce sont eux qui l’ont créé. Examinons quelques exemples directement liés à la santé humaine…

Les cultures OGM et le flux d’argent des entreprises

La propagande entourant les organismes génétiquement modifiés est implacable et omniprésente, l’idée générale étant qu’ils sont parfaitement sûrs et que quiconque dit le contraire est un cinglé avec un chapeau en aluminium. Et il est certain qu’il existe des centaines, voire des milliers d’études qui confirment aisément cette conclusion. Alors, affaire classée, n’est-ce pas ?

Pas tout à fait. Voici où l’esprit critique est si utile et où la réalité échappe aux endoctrinés – Qui a payé ces études, et ont-ils un intérêt direct à censurer les données négatives sur les OGM ?

Eh bien, dans la grande majorité des cas, les études sur les OGM sont financées par deux sources : les géants de l’industrie des OGM comme Monsanto, Dupont et Syngenta, ou des agences gouvernementales comme la FDA et l’EPA. Très peu d’études sont réellement indépendantes, et c’est là le problème. Le gouvernement et les entreprises comme Monsanto ont tout intérêt à empêcher la publication de toute étude critique sur les OGM.

Monsanto a été prise à de nombreuses reprises en train de cacher les effets dangereux de ses produits sur la santé, de l’agent orange à l’hormone de croissance RGBH utilisée pour les vaches laitières. Elle a été prise en train de constituer des dossiers illégaux sur ses détracteurs. L’industrie a été prise à plusieurs reprises en train de payer des universitaires et des scientifiques pour produire des études sur les OGM avec une tournure positive et même pour attaquer d’autres scientifiques qui participent à des expériences critiquant les OGM. Les recherches montrent qu’au moins la moitié de toutes les études sur les OGM sont financées par l’industrie des OGM, tandis que la majorité de l’autre moitié est financée par les gouvernements.

Il existe également depuis longtemps une porte tournante entre les initiés de l’industrie des OGM et la FDA et l’EPA ; les fonctionnaires travaillent souvent pour Monsanto, puis obtiennent des emplois au sein du gouvernement, avant de retourner chez Monsanto. Le grattage de fond est si flagrant que le gouvernement a même créé des protections juridiques spéciales pour les entreprises d’OGM comme Monsanto dans le cadre de ce qui est maintenant connu sous le nom de Monsanto Protection Act (section 735 du Agricultural Appropriations Bill HR 993) sous l’administration Obama en 2013. Cela rend essentiellement les entreprises OGM immunisées contre les litiges concernant les OGM, et les mêmes protections ont été renouvelées dans différents projets de loi depuis lors.

Au-delà de la porte tournante, le gouvernement a approuvé de nombreux produits OGM avec peu ou pas de données critiques pour confirmer leur sécurité. De plus, dans la plupart des cas, le gouvernement bénéficie d’une immunité souveraine contre tout litige, même s’il a été négligent. En d’autres termes, s’il est prouvé que l’un de ces produits cause des dommages à long terme à la santé, le gouvernement ne peut être poursuivi pour l’avoir approuvé, sauf circonstances particulières.

S’il pouvait être tenu responsable, vous seriez sûr que la FDA effectuerait tous les tests imaginables pour confirmer que les OGM sont définitivement sûrs, sans aucun parti pris, mais ce n’est pas le cas. Au lieu de cela, le gouvernement fait activement de la propagande pour les entreprises d’OGM et utilise des hommes de main pour faire dérailler toute critique publique.

Pour ma part, j’aimerais savoir avec certitude si les OGM sont nocifs pour le corps humain à long terme, et il y a certainement des données scientifiques qui suggèrent que cela pourrait être le cas. Il y a eu de nombreuses situations dans lesquelles des aliments OGM spécifiques ont été retirés du marché dans des pays étrangers en raison d’effets secondaires potentiellement dangereux. Les toxines endogènes des plantes dont les métabolites ont été modifiés sont une source de préoccupation, tout comme les « protecteurs incorporés aux plantes » (plantes conçues pour produire des toxines qui agissent comme des pesticides).

Il existe des données qui nous incitent à nous méfier, mais rien de concluant. Pourquoi ? Parce que des milliards de dollars sont investis par les entreprises dans des recherches visant à « démystifier » toute notion d’effets secondaires. Si le même montant était investi dans des études indépendantes et impartiales, nous pourrions entendre une histoire différente sur les risques des OGM. Tout l’argent est consacré à écarter les risques des OGM ; il n’y a presque pas d’argent pour les étudier honnêtement.

La science semble être truquée en faveur d’un résultat ou d’un récit particulier, et c’est un mensonge. La science est censée rester aussi objective que possible, mais comment peut-elle l’être lorsqu’elle est payée par des gens qui ont un programme ? La tentation de trahir est extrême.

Les vaccins contre le Covid et la mort de la science

J’évoque l’exemple des OGM car je pense qu’il est représentatif de la manière dont la science peut être contrôlée pour ne produire qu’un seul message en excluant toute autre analyse. Nous ne savons pas vraiment à quel point les OGM sont dangereux parce que la majorité des données sont dictées par les personnes qui en tirent profit et par leurs amis au gouvernement. Le fait de ne pas savoir est considéré comme une preuve de sécurité – Mais ce n’est pas scientifique. La science et la médecine exigent que nous fassions preuve de prudence jusqu’à ce que nous soyons certains.

[Note de Joseph Stroberg : depuis environ un siècle, les entreprises pharmaceutiques, sous l’influence de l’empire Rockefeller, ont pareillement pris le contrôle d’une bonne partie de la médecine, au point où des théories pourtant jamais scientifiquement démontrées (ceci en suivant une démarche qui devrait être rigoureuse, émaillée d’expériences de contrôle ou contre-expériences) doivent être crues à l’image de dogmes religieux, sans la moindre remise en question. Ceci est particulièrement le cas de la théorie des germes et de son corollaire viral.]

La même dynamique existe dans le monde des vaccins contre les covidés. Les grandes entreprises pharmaceutiques ont tout intérêt à ce qu’AUCUNE information négative ne soit diffusée sur les vaccins à ARNm, car il y a une rivière perpétuelle d’argent à gagner tant que le vaccin reste approuvé pour une utilisation d’urgence par la FDA. Il peut être important de noter que la FDA a déclaré qu’il lui faudrait au moins 75 ANS pour publier toutes les données dont elle dispose sur les vaccins contre le covid de Pfizer, ce qui suggère à nouveau qu’il existe une collusion bénéfique entre le gouvernement et les mastodontes industriels.

Entre-temps, quiconque met en doute l’efficacité ou la sécurité des vaccins est immédiatement pris à partie par les chiens d’attaque des médias, la plupart d’entre eux étant payés en publicité par les grandes entreprises pharmaceutiques. Ces attaques ne se limitent pas aux médias alternatifs ; l’establishment s’en prend également à tout scientifique ou médecin qui s’interroge sur la sécurité des vaccins.

Il existe des programmes idéologiques clairs et ouvertement admis autour de la science des vaccins qui n’ont rien à voir avec la sécurité de la santé publique et tout à voir avec le contrôle politique. Lorsque le chef du Forum économique mondial applaudit la pandémie de covid comme une « opportunité » parfaite pour faire avancer la centralisation socialiste mondiale et effacer les derniers vestiges des marchés libres et de la liberté individuelle, toute personne rationnelle devrait se demander si la science du covid n’est pas également truquée pour soutenir des intérêts particuliers.

Heureusement, le problème du covid est si vaste qu’il leur est impossible de contrôler chaque étude. Au lieu de cela, l’establishment ignore les études et les données qu’il n’aime pas.

Le virus est présenté comme une menace pour la majorité du public et comme une justification pour des taux de vaccination de 100%, par la force si nécessaire. Pourtant, le taux médian de létalité de l’infection par le covid n’est que de 0,27%. Cela signifie qu’en moyenne 99,7% de la population n’a rien à craindre du virus à un moment donné. Cela est confirmé par des dizaines d’études médicales indépendantes, mais quand avez-vous entendu pour la dernière fois ce chiffre discuté par des scientifiques du gouvernement comme Anthony Fauci ?

Je ne les ai jamais entendus en parler. Mais en quoi est-ce scientifique d’ignorer des données simplement parce qu’elles ne correspondent pas à vos objectifs politiques ? Encore une fois, l’omission délibérée de données est une forme de mensonge.

Qu’en est-il des multiples études indiquant que l’immunité naturelle offre une protection bien supérieure à celle des vaccins à ARNm ? Qu’en est-il du fait que les pays ayant les taux de vaccination les plus élevés ont également les taux d’infection les plus élevés et que leurs hospitalisations ont en fait augmenté ? Qu’en est-il du fait que les États et les pays ayant les obligations les plus strictes en matière de confinement et de port de masques présentent également les taux d’infection les plus élevés ? Qu’en est-il du fait que le vaccin ordinaire est testé pendant 10 à 15 ans avant d’être approuvé pour un usage humain, alors que les vaccins à ARNm covid ont été mis en production en quelques mois ? En d’autres termes, il n’existe AUCUNE donnée à long terme pour prouver la sécurité du vaccin contre le covid.

Ce sont des faits scientifiques facilement observables, mais nous n’en entendons jamais parler par les scientifiques des entreprises ou les scientifiques du gouvernement comme Fauci. Au lieu de cela, Fauci soutient que la critique de ses politiques est une attaque contre lui, et l’attaquer revient à « attaquer la science ». En d’autres termes, Fauci croit qu’IL EST la science.

Et cela ne montre-t-il pas à quel point la science est tombée bas dans le nouveau millénaire. De vrais scientifiques comme Kary Mullis, l’inventeur du test PCR, qualifient Fauci de fraude, mais ils sont ignorés alors que Fauci est adulé. Je ne peux même pas parler ici de la « science » du changement climatique, il faudrait que j’écrive un article entier sur les erreurs commises par les universitaires spécialistes du réchauffement climatique (saviez-vous que les températures mondiales n’ont augmenté que d’un degré Celsius au cours du siècle dernier ? Oui, seulement 1 degré selon les propres données de la NOAA, et pourtant, des institutions comme la NOAA continuent de prétendre que la fin du monde est proche à cause du réchauffement climatique).

L’étranglement rigoureux de la science aujourd’hui me rappelle l’église catholique sous le pape Innocent III, lorsque les autorités ecclésiastiques interdisaient aux gens ordinaires de posséder ou de lire une bible dans leur propre langue. Ces lois sont restées en vigueur pendant une bonne partie des XIIIe et XIVe siècles. À la place, les paysans devaient se rendre à l’église et se faire lire les textes par un clergé spécifique. Souvent, les lectures bibliques étaient faites en latin (les bibles ne pouvaient être écrites qu’en latin), langue que la plupart des gens ne parlaient pas, et interprétées comme l’église le souhaitait.

Ce n’est que l’invention de la presse à imprimer dans les années 1400 qui a changé la dynamique du pouvoir et permis aux bibles d’être largement distribuées et aux informations de se répandre sans la surveillance de l’église. Tout comme la création de l’internet permet au public d’accéder à des montagnes de données et de méthodologies scientifiques du bout des doigts. La libre circulation de l’information est un anathème selon l’establishment ; ils soutiennent qu’ils sont les seuls à avoir le droit de traiter l’information pour la consommation publique.

Le culturalisme exige un contrôle excessif des données et la restriction complète des interprétations extérieures. Lorsque l’information devient ouvertement disponible, le public est alors en mesure d’apprendre toute la vérité, et pas seulement les récits approuvés par l’establishment.

La science devient rapidement une religion politique plutôt qu’un bastion de la pensée critique. Les données contradictoires sont ignorées en tant que « non-science » ou même censurées comme étant « dangereuses ». Les études payées par les gouvernements et les entreprises sont considérées comme sacro-saintes. Faut-il s’étonner que tant de gens se méfient aujourd’hui de la science ? Toute personne raisonnable aurait des questions et des soupçons. Ceux qui ne le font pas ont été endoctrinés dans un culte dont ils ne savent même pas qu’ils font partie.

Traduction d’Alt Market par Aube Digitale




Face à la résistance, le gouvernement tente de sauver son passe sanitaire

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le passe sanitaire semble en bien mauvaise posture désormais. Face au recul évident de l’épidémie depuis le 15 août, le gouvernement ne peut plus guère invoquer le moindre motif de santé publique pour justifier son expérience de crédit social à la chinoise maquillée derrière la pudibonde appellation de « passe sanitaire ». Bien décidé, pour les raisons que nous avons plusieurs fois expliquées, à sauver cet instrument de « contact tracing », la caste cherche un moyen de le préserver sans être dans un antagonisme manifeste avec le droit constitutionnel. Ce repli prudent est d’abord l’effet des manifestations et des mobilisations de cet été, qui déstabilisent notamment les hôpitaux publics.

Le passe sanitaire survivra-t-il au recul en cours de l’épidémie ? Pour le gouvernement, la situation est épineuse et la question particulièrement délicate. 

Le passe sanitaire en sursis juridique

On a trop souvent oublié cette phrase rédigée par le Conseil Constitutionnel dans sa décision relative à la loi du 5 aout 2021 transformant officiel le passe sanitaire en outil de crédit social :

30. En second lieu, en vertu du premier alinéa des paragraphes I et II de l’article 1er de la loi du 31 mai 2021, les mesures susceptibles d’être prononcées dans le cadre du régime de gestion de la sortie de crise sanitaire ne peuvent être prises que dans l’intérêt de la santé publique et aux seules fins de lutter contre la propagation de l’épidémie de covid-19. Selon le paragraphe IV de ce même article, elles doivent être strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. Il y est mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. Le juge est chargé de s’assurer que de telles mesures sont adaptées, nécessaires et proportionnées à la finalité qu’elles poursuivent.

La rédaction des Sages est claire : les restrictions aux libertés sont prévues jusqu’au 15 novembre au plus tard, mais elles cessent dès qu’elles ne sont plus proportionnées à la situation d’urgence sanitaire. Comme le précise utilement le Conseil, “le juge est chargé de s’assurer” de cette proportionnalité. 

Le Conseil Constitutionnel a donc placé une épée de Damoclès au-dessus de l’exécutif en ouvrant expressément la possibilité d’une annulation en série pour des mesures gouvernementales qui deviendraient abusives. Certes, la notion d’abus peut être appréciée de façons très différentes, selon les juges. Mais le risque d’une pagaille judiciaire existe, dès lors que les indicateurs sanitaires reviennent dans le vert.

Et comme nous le signalons ci-dessus, les chiffres de Santé Publique France montrent que le pic en réanimation a été atteint le 21 août (soit avec une semaine de retard par rapport à la Grande-Bretagne), et que la décrue est désormais consolidée. 

Le risque d’une déroute dans les tribunaux grandit…

Les ratés d’une campagne-éclair

Si les semaines d’été ont permis à l’équipe au pouvoir d’obliger un grand nombre d’indécis à accepter une vaccination dont les conséquences à long terme pour la santé ne sont pas documentées, la résistance a été plus forte qu’attendue. 

D’une part, depuis le 12 juillet, chaque samedi, des manifestations ont lieu partout en France. Même si le gouvernement minore très fortement la participation effective à ces opérations, leur ténacité constitue un vrai marqueur politique, conforté par une montée de la contestation directe lors des déplacements du Président de la République. 

D’autre part, de l’aveu même du gouvernement, un quart des soignants non-vaccinés début août a résisté et ne présente toujours aucun schéma vaccinal. Au total, ce sont 10% des soignants qui devraient être évincés de leurs fonctions, ce qui pose un vrai problème d’organisation et de continuité des soins. 

D’ores et déjà, on signale des hôpitaux en difficulté, y compris à Paris, avec de fortes désorganisations qui ne tarderont pas à susciter la colère des vaccinés les plus hystérisés eux-mêmes. Tous ces éléments contribuent forcément au recul gouvernemental et au renforcement de la pression sur le maintien d’une mesure qui a beaucoup clivé le pays. 

L’enjeu industriel de l’identité numérique

Face à cette Real Politik, le gouvernement est pris entre le marteau et l’enclume. En Italie, Mario Draghi prend de l’avance dans la course à l’identité numérique, avec une généralisation du passe sanitaire pour les salariés à compter du 15 octobre. Cette décision a suscité de nombreuses angoisses en France. 

https://youtu.be/8CtBlPx_q1E

Nos lecteurs savent par ailleurs tout des grands industriels qui entourent l’identité numérique, dont le passe sanitaire est l’un des volets. La contrainte en sous-main est forte pour maintenir coûte-que-coûte la pression du passe et du crédit social sur les populations. 

L’option du passe sanitaire local

Pour ménager la chèvre et le chou, Gabriel Attal a donc dégainé aujourd’hui l’arme du passe sanitaire local :

« Il y a une réflexion sur la manière dont on peut adapter les règles, soit le passe sanitaire, peut-être d’autres, à la situation locale et à l’évolution de la situation locale »

Il s’agirait, dans la pratique, de garder le passe sanitaire en arrière-fond permanent, en attendant avec impatience la prétendue 5è vague, qui permettra de le réintroduire partout. Reste à voir si cette conciliation des contraires convaincra les juges. Du point de vue du gouvernement, elle permettrait en tout cas de ne pas complètement refluer sur une position doctrinale qui recouvre de vrais projets à long terme. 

Cet été, nous avions anticipé un Stalingrad de Macron dans ses projets liberticides. L’enlisement des colonnes macroniennes est finalement arrivé plus vite que prévu. 




Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

L’enfer est vide, tous les démons sont ici.

William Shakespeare, The Tempest, 1610-1611

Introduction

Une série de mensonges et d’affabulations sont utilisés pour justifier des décisions politiques de grande envergure qui, au cours des 18 derniers mois, ont littéralement détruit la vie des gens dans le monde entier.

La « fausse science » est utilisée pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le masque facial, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, qui sont tous maintenus comme moyen d’éradiquer le « virus tueur ».

Qui est ce « virus tueur » qui a été personnifié par les médias et nos gouvernements, tenu pour responsable du déclenchement du chaos économique et social dans le monde entier ?

Vous vous souvenez peut-être qu’au plus fort de l’effondrement financier de février 2020, « V le Virus » a été tenu pour responsable du plus grand krach boursier depuis 1929.

Le « virus tueur » a-t-il été identifié ? Le SRAS-CoV-2 a-t-il été isolé ?

Cet article passera en revue cette question litigieuse qui se dresse depuis le début de la crise en janvier 2020. Une partie de cette analyse est basée sur des recherches menées au début de 2020.

La question centrale soulevée dans cette analyse est la suivante: l’OMS et les autorités sanitaires nationales fournissent-ils des preuves fiables et irréfutables que le présumé virus SRAS-CoV-2 a été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non falsifié prélevé d’un patient malade » ?

Alors que le présumé virus a été initialement défini comme le nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) en janvier 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré en janvier 2020 qu’elle n’avait pas en sa possession de détails concernant l’isolement/l’épuration et l’identité du 2019-nCoV.

Et comme les détails concernant l’isolement / la purification n’étaient pas disponibles, l’OMS a décidé de « personnaliser » le test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant le prétendu virus du SRAS 2003 « similaire » (rebaptisé ultérieurement SRAS-1) comme « point de référence » pour la détection de fragments génétiques du nouveau 2019-nCoV.

Ce que cette décision implique, c’est que le nouveau 2019-CoV-2 n’est PAS un nouveau virus. Il a été classé par les autorités chinoises et l’OMS comme « semblable » au SRAS-CoV de 2003 ainsi qu’au SRMO. 

2003 Le CoV-SRAS a ensuite été renommé SRAS-CoV-1.

Historique : Isolement du virus

Autorités sanitaires chinoises

Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu‘ »un nouveau type de virus » avait été identifié « semblable à celui associé au SRAS et au MERS » (rapport connexe, ce n’est pas la source originale du gouvernement chinois). La méthode sous-jacente est décrite ci-dessous :

Nous avons recueilli et analysé prospectivement des données sur les patients atteints d’une infection à nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de prochaine génération.

Les données ont été obtenues à l’aide de formulaires de collecte de données standardisés partagés par l’OMS et le Consortium international pour les infections respiratoires aiguës aiguës et émergentes à partir de dossiers médicaux électroniques. (c’est nous qui soulignons)

L’article suivant intitulé A new coronavirus associated with human respiratory disease in China « (En Chine, un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire affectant les humains) (Nature, 3 février 2021) a été parmi les premiers à faire rapport sur le nouveau coronavirus chinois :(…) [Nous] avons recueilli du liquide de lavage broncho-alvéolaire (BALF) et effectué un séquençage méta-transcriptomique profond. L’échantillon clinique a été manipulé dans un laboratoire de niveau de biosécurité 3 au Shanghai Public Health Clinical Center. L’ARN total a été extrait de 200 μl de BALF et une bibliothèque méta-transcriptomique a été construite pour le séquençage en bout de paire (150 pb de lecture) à l’aide d’un Illumina MiniSeq comme décrit précédemment 4,6,7,8..Au total, nous avons généré 56 565 928 lectures de séquence qui ont été de novo-assemblées et criblées pour des agents étiologiques potentiels.(…)La séquence génomique de ce virus, ainsi que ses terminaisons, ont été déterminées et confirmées par PCR à transcription inverse (RT-PCR)10 et 5′/3′ amplification rapide des extrémités de l’ADNc (RACE), respectivement. Cette souche virale a été désignée sous le nom de coronavirus WH-Human 1 (WHCV) (et a également été appelée « 2019-nCoV ») et sa séquence génomique entière (29 903 nt) a reçu le numéro d’accession GenBank MN908947.L’organisation du génome viral du WHCV a été déterminée par l’alignement de la séquence avec deux membres représentatifs du genre Betacoronavirus : un coronavirus associé à l’homme (SRAS-CoV Tor2, numéro d’accession GenBank AY274119) [2003] et un coronavirus associé aux chauves-souris (chiroptelle SL-CoVZC45, numéro d’accession GenBank MG772933) . (Nature, 3 février 2020)

Il n’est pas clair, d’après les citations ci-dessus ni sur les documents consultés, si les autorités sanitaires chinoises ont entrepris un isolement/purification du spécimen provenant d’un patient.

Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) aux États-Unis

À la suite de l’annonce chinoise du 28 janvier 2020, le CDC a déclaré que le virus corona novela avait été isolé. La déclaration du CDC datée du 28 janvier 2020 (mise à jour en décembre 2020) est sans équivoque :

Le SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, a été isolé en laboratoire et est disponible pour la recherche par la communauté scientifique et médicale.


Calendrier :

  • Le 20 janvier 2020, le CDC a reçu un échantillon clinique prélevé sur le premier patient américain infecté par le SRAS-CoV-2. Le CDC a immédiatement placé l’échantillon en culture cellulaire pour développer une quantité suffisante de virus pour l’étude.
  • Le 2 février 2020, le CDC a généré suffisamment de SRAS-CoV-2 cultivé en culture cellulaire pour être distribué aux chercheurs médicaux et scientifiques.
  • Le 4 février 2020, le CDC a expédié le SRAS-CoV-2 au dépôt de ressources BEI.
  • Un article traitant de l’isolement et de la caractérisation de cet échantillon de virus est disponible dans Maladies infectieuses émergentes.

(…)

Une façon importante pour le CDC d’appuyer les efforts mondiaux visant à étudier et à en apprendre davantage sur le SRAS-CoV-2 en laboratoire était de cultiver le virus en culture cellulaire et de veiller à ce qu’il soit largement disponible. Les chercheurs de la communauté scientifique et médicale peuvent utiliser le virus obtenu à partir de ces travaux dans leurs études.

Les souches du SRAS-CoV-2 fournies par le CDC et d’autres chercheurs peuvent être demandées gratuitement auprès du référentiel de ressources de recherche sur la biodéfense et les infections émergentes (BEI) icône externe par les établissements établis qui répondent aux exigences de l’EIM. Ces exigences comprennent le maintien d’installations et de programmes de sécurité appropriés, ainsi que l’expertise appropriée. BEI fournit des organismes et des réactifs à l’ensemble de la communauté des chercheurs en microbiologie et en maladies infectieuses. (C’est nous qui soulignons).

Voir également l’étude connexe qui a été affichée sur le site Web des CDC.

Les CDC reconnaissent que le CoV-2 du SRAS n’a pas été isolé.

Le document officiel du CDC, (daté du 21 juillet 2021) intitulé « CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel » se lit comme suit :

Étant donné qu’aucun isolat viral quantifié du nCoV 2019 n’était disponible pour le CDC au moment de la mise au point du test [janvier 2020] et que cette étude a été menée, des essais conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) du titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant consistant en une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (TMV) pour imiter l’échantillon clinique. (c’est nous qui soulignons, page 40)

Comparez l’énoncé ci-dessus à l’avis du 28 janvier 2020 des CDC confirmant l’isolement du SRAS-CoV-2:

Le 20 janvier 2020, le CDC a reçu un échantillon clinique prélevé sur le premier patient américain infecté par le SRAS-CoV-2. Le CDC a immédiatement placé l’échantillon en culture cellulaire pour développer une quantité suffisante de virus pour l’étude.


Voir l’analyse des réponses du CDC dans la section ci-dessous sur les demandes d’accès à l’information.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a pas entrepris l’isolement / la purification d’un spécimen

D’après les documents cités ci-dessous, les autorités chinoises n’ont pas fourni à l’OMS un échantillon de SRAS-CoV-2   isolé / purifié.

Et comme les détails concernant l’isolement n’étaient pas disponibles, l’OMS a décidé de « personnaliser » son test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant un soi-disant isolat du virus SRAS-CoV « similaire » à celui de 2003 (rebaptisé ultérieurement SRAS-CoV-1) en tant que « point de référence » (ou proxy) pour détecter les fragments génétiques du SRAS-CoV-2 2019.

L’OMS a demandé l’avis du Dr. Christian Drosten, et ses collègues de l’Institut de virologie de Berlin à l’hôpital Charité. L’étude intitulée « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ») a ensuite été soumise à l’OMS.

Alors que l’étude de Drosten et al a confirmé que « plusieurs séquences génomiques virales avaient été libérées », dans le cas du 2019-nCoV, « des isolats de virus ou des échantillons de patients infectés n’étaient pas disponibles …« 

Les recommandations à l’OMS étaient les suivantes :

« Les séquences génomiques suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’une espèce virale appelée CoV liée au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS de 2002/03 chez l’homme [3,4].

Nous rendons compte de l’établissement et de la validation d’un flux de travail de diagnostic pour le dépistage du nCoV 2019 et la confirmation spécifique [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons de patients originaux. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite parenté génétique avec le SRAS-CoV-1 de 2003 et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. »

(Eurosurveillance, 23 janvier 2020, soulignez-le).

Ce que cette déclaration audacieuse suggère, c’est que l’isolement / purification du nCoV 2019 n’était pas nécessaire et que la « validation » serait rendue possible par « l’étroite parenté génétique avec le SRASCoV-1 de 2003″.

Les recommandations de l’étude Drosten (soutenue et financée par la Fondation Gates) concernant l’utilisation du test RT-PCR appliqué au 2019-nCoV ont ensuite été fermement approuvées par le directeur général de l’OMS, le Dr. Tedros Adhanom. (Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, Livre électronique, chapitre II).

Liberté d’information : Aucun dossier sur l’isolement-purification du SRASCoV-2 

Un important projet d’enquête continu et détaillé de Christine Massey, M.Sc. de l’Ontario, Canada, s’intitule :

Freedom of Information Requests: Health/ Science Institutions Worldwide “Have No Record” of SARS-COV-2 Isolation/Purification

Demandes d’accès à l’information : Les établissements de santé et scientifiques du monde entier « n’a aucun dossier » d’isolement/purification du SRAS-COV-2 (travail en cours depuis 2020)

par Fluoride Free Peel, le 04 août 2021

Un texte connexe montre la liste des institutions contactées

90 établissements de santé et de sciences dans le monde entier n’ayant même pas réussi à citer un seul enregistrement de purification du « SRAS-COV-2 », par n’importe qui, n’importe où, jamais 

Par Fluoride Free Peel, le 04 août 2021

Le rapport d’enquête fournit une documentation détaillée basée sur les demandes d’accès à l’information adressées à quatre-vingt-dix établissements de santé / sciences dans un grand nombre de pays.

Les réponses à ces demandes confirment qu’il n’existe aucun dossier d’isolement / purification du SRASCoV-2 « ayant été effectué par quiconque, n’importe où, jamais ».

« Les 90 établissements de santé / sciences qui ont répondu jusqu’à présent ont fourni et/ou cité, au total, zéro dossier de ce type :

Nos demandes [sous la « liberté d’information »] n’ont pas été limitées aux dossiers d’isolement effectués par l’institution respective, ni aux documents rédigés par l’institution respective, mais étaient plutôt ouvertes à tout document décrivant l’isolement/la purification du « virus de la COVID-19 » (alias « SRAS-COV-2) effectué par quiconque, jamais, n’importe où sur la planète. »

Le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC)

L’auteur de ce rapport a contacté la CCL sous la forme de quatre demandes distinctes : 2 novembre 2020, 1er mars 2021, 3 mars 2021, qui sont examinées ci-dessous :

Le 2 novembre 2020 :

Les CDC ont admis qu’ils n’avaient aucun dossier d’isolement/purification réel par qui que ce soit, n’importe où, jamais, par quelque méthode que ce soit » :USA-CDC-Virus-Isolation-Response-Scrubbed.pdf

Le 1er mars 2021 :

Les CDC ont de nouveau clairement indiqué qu’ils n’ont toujours aucun dossier sur l’isolement du « SRAS-COV-2 » effectué par quiconque, n’importe où sur la planète, jamais… tout simplement pas en tant que tel. Au lieu de cela, les CDC ont absurdement laissé entendre que l’isolement/purification du « SRAS-COV-2 » nécessiterait la réplication d’un « virus » sans cellules hôtes et est donc impossible. (La demande n’avait rien à voir avec la réplication.)

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-March-1-2021-SARS-COV-2-Isolation-Response-Redacted.pdf

Le 3 mars 2021 :

Les CDC ont une nouvelle fois omis de fournir/citer tout document décrivant l’isolement/la purification du « SRAS-COV-2 » par qui que ce soit et où que ce soit… mais ils ne se contentent plus de le dire (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils font de la figuration en citant l’étude de Harcourt et al. qui est la même que celle publiée sur le site Web des CDC

Les CDC n’ont toujours pas fourni/cité d’enregistrements décrivant l’isolement/purification du « SRAS-COV-2 » par quiconque n’importe où… mais n’ont plus simplement dit (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils font de la réthorique en citant l’étude de Harcourt et al. qui est la même que celle publiée sur le site Web des CDC :

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-March-3-2021-SARS-COV-2-purification-FOI-response.pdf

Le 7 juin 2021 :

Les CDC ont admis qu’ils n’avaient aucun dossier de purification « SRAS-COV-2 » à partir d’un échantillon de patient par macération, filtration et utilisation d’une ultracentrifugeuse, par quiconque, n’importe où, jamais :

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/06/CDC-FOIA-request-response-no-records-SARS-COV-2-purification.pdf

Résultats concluants de l’enquête

Ce que l’auteur de ce rapport incisif et détaillé a confirmé, c’est que :

Chaque établissement n’a pas fourni ne serait-ce qu’un seul dossier décrivant l’isolement, alias purification de tout « virus COVID-19 » directement à partir d’un échantillon de patient qui n’a pas été falsifié pour la première fois avec d’autres sources de matériel génétique. (Ces autres sources sont généralement les cellules rénales de singe alias « Vero » et le sérum bovin fœtal).

Voici 5 pdf de compilation contenant les réponses à la FOI de 79 institutions dans 22 pays/juridictions, concernant l’isolement/la purification/l’existence du « SRAS-COV-2 », ainsi que des courriels d’auteurs d’études qui ont affirmé avoir « isolé le virus » et un courriel du chef du laboratoire de consultants en microscopie électronique diagnostique des agents pathogènes infectieux de l’Institut Robert Koch d’Allemagne, dernière mise à jour le 13 juillet 2021

La capture d’écran d’une sélection de réponses est fournie ci-dessous : Nouvelle-Zélande, Canada, Royaume-Uni.

Consultez les archives complètes des lettres et des réponses. Ce travail a été entrepris sur une période de plus de 12 mois.

Réponse de Public Health England

Il ressort de l’étude détaillée ci-dessus qu’il n’y a aucune preuve que le virus du CoV-2 du SRAS a été isolé/purifié à partir de l’échantillon d’un patient, comme en témoignent les réponses « en vertu de la liberté d’information » (FOI) de quelque 90 établissements de santé / sciences dans le monde entier.

Jusqu’à présent (le 9 juillet 2021) 27 institutions canadiennes ont fourni leurs réponses. (cliquez sur le lien pour accéder à la liste)

République d’Irlande : « Le virus n’existe pas »

« Gemma O’Doherty est journaliste d’investigation en Irlande.

« Cette enquête irlandaise sur la Covid montre que le ministère de la Santé refuse de confirmer l’existence d’un « virus » par écrit. Confirmation révélant que le virus n’a jamais été isolé. »

VIDÉO



« Dans le cadre de notre action en justice, nous avions exigé la preuve que ce virus existe réellement [ainsi que] la preuve que les confinements ont réellement un impact sur la propagation des virus ; que les masques faciaux sont sûrs et dissuadent la propagation des virus – ils ne le font pas. Il n’existe pas de telles études ; que la distanciation sociale est basée sur la science – ce n’est pas le cas. C’est inventé ; que la recherche des contacts (traçage) a une incidence sur la propagation d’un virus – bien sûr que non. Cette organisation ici – est en train de tout inventer au fur et à mesure. » – Gemma O’Doherty

Isolement du virus. La bataille juridique en Alberta. Patrick King

Patrick King. Le virus n’a pas été isolé !

« Non, je n’ai pas gagné le procès ». [Cependant] « Ils n’ont pas les preuves ».

La vidéo suivante montre Patrick King dans sa bataille juridique contre le gouvernement de l’Alberta.

Il y a beaucoup de gens en Alberta et dans le monde qui luttent contre le grand mensonge.

Vidéo : Patrick King incarne la Vérité.



REGARDER SUR ODYSEE, ou BITCHUTE, ou REGARDER SUR RUMBLE 

[Voir aussi : Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province]

Mot de la fin : « La plus grande fraude médicale de l’histoire du monde »

Le CoV-2 du SRAS n’a pas été isolé. Le virus existe-t-il ?

Ni les autorités chinoises, ni les CDC, ni l’OMS, ni les gouvernements nationaux, ni les autorités scientifiques / sanitaires n’ont fourni de preuve que le CoV-2 du SRAS a été isolé / purifié.

Sur la base des recherches d’enquête de Christine Malley, nous avons accès aux réponses de nombreux gouvernements et autorités sanitaires, y compris celle fournie par la République d’Irlande à la journaliste Gemma O’Doherty.

Ce que cela signifie, c’est que tout le récit [officiel] de la Covid s’écroule.

Nous avons été systématiquement induits en erreur.

Tout ce que vos gouvernements vous ont dit est un mensonge, un amalgame de mensonges et de faussetés.

Il n’y a pas de véritable pandémie. L’isolement / purification du virus n’a pas été réalisé.

Toutes les politiques adoptées par les gouvernements du monde entier, qui étaient prétendument imposées pour « sauver des vies », sont illégales, socialement destructrices et en violation des droits humains fondamentaux.

Ces politiques ont contribué à « détruire la vie des gens ».

Le Dr. Stephen Frost qualifie la prétendue « pandémie de Covid » comme « la plus grande fraude médicale de l’histoire de l’humanité ».

Dès le début, en janvier 2020, le test RT-PCR défaillant et invalide a été utilisé pour « détecter » le présumé virus SARS-CoV-2 de 2019, malgré le fait que les détails concernant l’isolement/la purification du virus original n’étaient pas disponibles.

Toutes les décisions politiques de grande envergure imposées aux personnes à l’échelle mondiale étaient basées sur une banque de données de faux cas positifs associée à de fausses données sur la mortalité et se rapportant à des décès attribués à la maladie Covid-19.

Freiner la prétendue pandémie de SRAS-CoV-2 par l’imposition de masques faciaux, la distanciation sociale, la fermeture des économies nationales est tout simplement criminel et ces mesures n’ont aucune légitimité.

La souche originale du CoV-2 du SRAS n’a pas été isolée / purifiée : comment cela peut-il affecter le processus de prétendue »détection » de « variants mortels » du virus original ?

Mortalité et morbidité : Bien qu’il n’y ait « Pas de virus tueur », il y a un « vaccin tueur ».

Alors que le virus SARS-CoV-2 est présenté par les médias et les gouvernements comme un « virus tueur » (alors qu’en fait l’OMS et les CDC le décrivent comme « similaire à la grippe saisonnière »), un vaccin anti Covid-19, totalement invalide et inefficace, est actuellement imposé à l’ensemble de la population de la planète : 7,9 milliards de personnes.

Il s’agit d’une entreprise [pharmaceutique] de plusieurs milliards de dollars dans laquelle Pfizer est le chef de file, établissant ainsi un monopole quasi mondial pour la vente et la distribution du vaccin tueur à ARNm.

Question importante :

Comment Big Pharma a-t-elle réussi à développer un vaccin (parrainé par l’OMS, GAVI, la Fondation Gates et al) dont le rôle est de « protéger les gens » contre un virus qui n’a pas été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non altéré prélevé sur un patient malade » ?

De plus, le CoV-2 du SRAS 2019 a été classé comme similaire au CoV-SRAS de 2003, ce qui signifie que le CoV-2 du SRAS 2019 n’est pas un nouveau virus.

La légitimité du projet de vaccin contre la Covid repose sur les centaines de milliers de faux cas positifs RT-PCR dans le monde entier combinés à de fausses données sur la mortalité lié à la Covid.

Le vaccin à ARNm de Big Pharma a entraîné d’innombrables décès et séquelles [injuries] dans le monde entier. Cela n’est pratiquement pas rapporté par les grands médias.

Bien que nous n’ayons pas de chiffres pour l’ensemble de la planète, les derniers chiffres officiels de l’Union européenne et des États-Unis sont révélateurs. Gardez à l’esprit qu’ils sous-estiment considérablement les tendances réelles de la mortalité et de la morbidité liées au vaccin :UE/EEE/Suisse au 31 juillet 2021 – 20 595 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,94 million de séquelles [injuries], selon la base de données EudraVigilance.

Royaume-Uni au 21 juillet 2021 – 1 517 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,1 million de blessures, selon le système de carton jaune de la MHRA.

États-Unis au 23 juillet 2021 – 11 940 décès liés à l’injection du vaccin anti Covid-19 et plus de 2,4 millions de séquelles, selon la base de données VAERS.

TOTAL pour l’UE / le Royaume-Uni/ les États-Unis – 34 052 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 5,46 millions de blessures signalées – le 1er août 2021

Notez Bien : Il est important de savoir que les chiffres officiels ci-dessus (rapportés aux autorités sanitaires) ne représentent qu’un faible pourcentage des chiffres réels. En outre, les gens continuent de mourir (et de subir des blessures) des vaccins tous les jours. (D4CE)

Alors, pourquoi les gouvernements font-ils pression sur les gens pour qu’ils se fassent vacciner ?

Les chefs d’État et de gouvernement du monde entier font l’objet de pressions, de pots-de-vin, de cooptation et/ou de menaces de la part de puissants intérêts financiers pour qu’ils acceptent le consensus sur le vaccin anti Covid.

Le passeport vaccinal est la phase finale constituant une transition vers la tyrannie numérique.

L’étude et les rapports analysés dans cet article devraient être utilisés pour confronter les politiciens ainsi que pour informer et sensibiliser les gens dans les villes, les villages, à travers le pays, au niveau national et international.

À ce stade de notre histoire, la solidarité est absolument fondamentale.

Le virus existe-t-il ?

Les gouvernements et l’OMS n’ont aucune preuve sur laquelle s’appuyer. Et Bill Gates non plus.

Ce que nous devons chercher, c’est de faire face à un consensus très fragile, basé sur la fraude et la tromperie.

Michel Chossudovsky

Le 10 août 2021

.
[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]
.

Lien vers l’article original:

Does the Virus Exist? SARS-CoV-2 Has Not Been Isolated? “Biggest Fraud in Medical History”,
publié le 10 août 2021.

Traduit par Maya pour Mondialisation 

Note de l’auteur

Je remercie grandement Christine Massey pour ses recherches approfondies et ses enquêtes sur la question de l’isolement / purification du virus.

À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres, dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003), [traduit en français : La mondialisation de la pauvreté], America’s « War on Terrorism » (2005), The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il contribue à l’Encyclopaedia Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à l’adresse suivante :crgeditor@yahoo.com

Voir Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

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Âme génétique et résonance morphique

[Source : E&R]

Par Laurent Guyénot

« Nous sommes des machines à survie, des robots aveuglément programmés pour préserver ces molécules égoïstes que l’on appelle des gènes. » Ainsi s’exprime Richard Dawkins dans Le Gène égoïste [1]. Comme il le constatait en 1989, sa théorie « est devenue l’orthodoxie des manuels scolaires », car elle est simplement « une conséquence logique du néodarwinisme orthodoxe, mais exprimée comme une image nouvelle ».

[Voir aussi : L’Homme programmé ou l’Homme libre ?]

L’image est trompeuse. Dawkins ne croit pas littéralement que les gènes sont des entités égoïstes animées par une volonté de se répliquer. S’ils l’étaient, ils seraient comme des sortes d’âmes transgénérationnelles. Dans le modèle néodarwinien, les gènes ne sont pas des âmes, mais simplement des molécules régies par les lois déterministes de la chimie. Et ils sont le résultat d’une série d’accidents chimiques sur des millions d’années, à partir de la première protéine capable de s’autorépliquer.

J’ai déjà écrit pour E&R deux articles critiques sur le darwinisme : « Généalogie du darwinisme »  et « Le singe devenu dieu » (où je montrais le lien logique entre darwinisme et transhumanisme). Je vais ici prolonger cette critique, présenter brièvement l’alternative, en particulier la théorie de Rupert Sheldrake, et conclure par une réflexion « métagénétique » pour sortir du paradigme individualiste. Je voudrais ainsi apporter une modeste contribution au débat passionnant entre Alain Soral, Xavier Poussard et Lucien Cerise animé par Monsieur K, en rappelant que l’essence du vivant est le génétique, et que, pour l’être humain, le génétique, ou le générationnel, est la substance organique du politique.

La catastrophe darwinienne

[Voir aussi :
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée]

Nietzsche l’avait prédit dans la seconde de ses Considérations inactuelles : le darwinisme est un poison civilisationnel.

« [Si de telles idées], avec la folie de l’enseignement qui règne aujourd’hui, sont jetées au peuple pendant une génération encore, personne ne devra s’étonner si le peuple périt d’égoïsme et de mesquinerie, ossifié dans l’unique préoccupation de lui-même. Il commencera par s’effriter et par cesser d’être un peuple. À sa place, nous verrons peut-être apparaître, sur la scène de l’avenir, un enchevêtrement d’égoïsmes individuels, de fraternisations en vue de l’exploitation rapace de ceux qui ne sont pas des « frères », et d’autres créations semblables de l’utilitarisme commun. »

Bien qu’il disait tenir la théorie de Darwin « pour vraie, mais pour mortelle », Nietzsche en critiqua la nature mécanique, qui néglige la « volonté de puissance » inhérente à la vie, dont il avait appris l’importance chez son maître Arthur Schopenhauer. Dans sa préface à la seconde édition de La Volonté dans la nature (1836), soit cinq ans avant la parution de L’Origine des espèces, Schopenhauer avait mis en garde contre :

« le zèle et l’activité incomparables affichés dans toutes les branches des sciences naturelles qui, comme cette recherche est principalement entre les mains de gens qui n’ont rien appris d’autre, menace de conduire à un matérialisme grossier et stupide, dont le côté le plus immédiatement offensant est moins la bestialité morale de ses résultats ultimes, que l’incroyable absurdité de ses premiers principes ; car de cette manière, même la force vitale est niée, et la nature organique est dégradée en un simple jeu de hasard des forces chimiques. »

Pour mesurer où nous a conduit cette conception mécanique de la vie, un bon indicateur est le succès planétaire de la dernière star darwinienne Yuval Noah Harari. Ses livres se sont vendus à près de 30 millions d’exemplaires en 60 langues. Dans Sapiens (2015, publié initialement en hébreu), il enfonce le clou de la morale darwinienne : « La vie n’a pas de scénario, pas d’auteur, pas de metteur en scène, pas de producteur – et pas de sens. » Puis dans Homo Deus (2017), il nous apporte la bonne nouvelle transhumaniste, l’autodéification de l’Homme par le miracle de la haute technologie : « ayant sorti l’humanité de la brutalité des luttes pour la survie, nous allons chercher à hisser les hommes au rang de dieux, à transformer Homo sapiens en Homo deus. »

« les bio-ingénieurs vont […] se saisir du vieux corps de Sapiens et en réécrire délibérément le code génétique, recâbler ses circuits cérébraux, modifier son équilibre biochimique, voire lui faire pousser des membres nouveaux. […] Le génie cyborg ira plus loin, et fusionnera le corps organique avec des appareils non organiques, tels que des mains bioniques, des yeux artificiels ou des millions de nanorobots qui navigueront dans nos vaisseaux sanguins, diagnostiqueront les problèmes et répareront les dommages. »

Désormais, la « machine-robot » de Dawkins peut commencer à se transformer en un immortel zombie électronique. Un tel fantasme d’immortalité physique et d’omnipotence est risible à notre époque de covidophobie aiguë, mais il y a un lien très étroit : il s’agit toujours d’enfoncer dans le crâne des masses ahuries que le but de la vie est d’éviter la mort (la mort physique individuelle, s’entend).

La conception mécanique du vivant

La maladie mentale qui conduit l’Homme à se prendre pour une machine a été inoculée aux Européens par le Français René Descartes (1596-1650). Descartes était fasciné depuis son enfance par les nouvelles machines de son époque. Comme tout homme intelligent et instruit, il était aussi impressionné par les descriptions mécaniques du Système solaire faites par Kepler et Galilée. Il voulut donc étendre ce modèle au monde vivant. « Mon but, écrivait Kepler en 1605, est de montrer que la machine céleste ne doit pas être comparée à un organisme divin mais plutôt à une horloge. » L’analogie de l’horloge convenait aux êtres célestes, dont les mouvements réguliers avaient fourni à l’Homme ses mesures du temps. La découverte que les mouvements des planètes pouvaient être conceptualisés en termes purement mathématiques conduirait à la théorie révolutionnaire de la gravitation d’Isaac Newton. En revanche, la théorie de Descartes sur la machine animale n’a conduit à aucun progrès en biologie. En vivisectant des chiens, il a observé que le cœur fonctionnait comme une pompe, mais on le savait déjà.

Selon la tradition platonicienne et aristotélicienne, adoptée par Thomas d’Aquin, les êtres vivants différaient essentiellement de la matière inanimée par leur principe vital, leur anima. Mais voyant « l’organisme cosmique » désormais privé de son anima mundi et converti en mécanisme, Descartes a voulu se débarrasser de l’anima aussi chez les animaux, et prouver que les organismes biologiques eux-mêmes étaient en réalité des mécanismes biologiques. Il fut assez prudent pour faire une exception pour l’Homme, à qui il accordait une âme rationnelle logée dans la glande pinéale.

La théorie cartésienne, c’est-à-dire mécanique, de la vie eut un succès limité et a été constamment combattue par une école de pensée qu’on a appelée « vitalisme » au XIXe siècle. Les vitalistes affirment que les phénomènes de la vie ne peuvent pas être entièrement expliqués par des lois mécaniques ou chimiques dérivées de l’étude des systèmes inanimés, et que les processus de morphogenèse et de reproduction nécessitent un facteur causal irréductible à ces lois. Les vitalistes ont été parmi les premiers à théoriser l’évolution des espèces, qui pourrait s’expliquer si « l’élan vital » (Henri Bergson, L’Évolution créatrice, 1907) inclut une sorte de « volonté d’évoluer » à la Schopenhauer. Bergson écrit :

« Plus on fixe son attention sur cette continuité de la vie, plus on voit l’évolution organique se rapprocher de celle d’une conscience, où le passé presse contre le présent et en fait jaillir une forme nouvelle, incommensurable avec ses antécédents. »

En 1802, Jean-Baptiste de Lamarck pensa vaincre le vitalisme avec sa doctrine du transformisme, qui expliquait comment les espèces évoluaient les unes à partir des autres par héritage des caractères acquis. Darwin proposa ensuite un mécanisme d’évolution différent (« descente avec modification »), sans nier le facteur lamarckien (ce que fera son disciple zélé August Weismann).

Le darwinisme marque le triomphe de la théorie mécanique de la vie. Mais il a en outre l’avantage de rendre inutile l’« hypothèse Dieu » : les machines nécessitent normalement un concepteur (Newton imaginait Dieu « très doué en mécanique et en géométrie »), mais les organismes n’en ont pas besoin s’ils ont évolué progressivement par variation et sélection naturelle. Seuls « le hasard et la nécessité » (Jacques Monod, 1970) ont créé toutes les formes de vie, de la bactérie à l’Homme.

Avec la redécouverte des lois de l’hérédité de Mendel, le darwinisme a évolué vers ce que Julian Huxley a appelé la « synthèse moderne » (rebaptisée plus tard néodarwinisme). Dans les années 1930, grâce au microscope électronique, la quête de l’explication de la vie passe du niveau cellulaire au niveau moléculaire. La biologie s’efforce de devenir une branche de la chimie. Francis Crick, qui partagea le prix Nobel pour la découverte de la structure de l’ADN, a rendu ce programme très explicite dans son livre Of Molecules and Men (1966) : « Le but ultime de la modernité en biologie est en fait d’expliquer tous les phénomènes biologiques en termes physico-chimiques. » [2]

Paradoxalement, c’est l’accent mis sur le niveau moléculaire qui a dévoilé la complexité époustouflante du vivant, laquelle pose aujourd’hui un défi gigantesque au modèle simpliste de l’évolution darwinienne par mutations accidentelles et sélection naturelle.

Le dessein intelligent

Michael Behe ​​est un biochimiste de premier plan qui défend l’hypothèse du « dessein intelligent » (Intelligent Design). Il explique dans son livre Darwin’s Black Box :

« La biochimie a démontré que tout appareil biologique impliquant plus d’une cellule (comme un organe ou un tissu) est nécessairement un réseau complexe de nombreux systèmes identifiables différents, d’une complexité effroyable. La cellule de réplication autosuffisante « la plus simple » a la capacité de produire des milliers de protéines différentes, et d’autres molécules, à des moments différents et dans des conditions variables. Synthèse, dégradation, génération d’énergie, réplication, maintenance de l’architecture cellulaire, mobilité, régulation, réparation, communication : toutes ces fonctions ont lieu dans pratiquement chaque cellule, et chaque fonction elle-même nécessite l’interaction de nombreuses parties. » [3]

Une telle complexité peut-elle être le résultat d’une série d’erreurs accidentelles dans la réplication des gènes ? Il est important de comprendre en effet que, selon Darwin, le seul processus créatif dans l’évolution réside dans « des variations produites accidentellement ». La sélection naturelle ne crée rien ; elle n’agit que négativement en éliminant les variations désavantageuses. Elle n’est pour rien dans l’apparition des variations avantageuses, qui est le résultat d’accidents dans la réplication de l’ADN.

Puisque les tenants du « dessein intelligent » soutiennent que la complexité de la vie, qui devient de plus en plus grande avec chaque nouvelle découverte, est la preuve la plus convaincante de l’existence de Dieu – ou de l’Esprit –, les scientifiques déicides sont entrés en mode croisade contre ces hérétiques. D’où la campagne agressive pour interdire les professeurs d’université favorables à l’Intelligent Design, bien documentée dans le film Expelled : No Intelligent Allowed (à voir en français ici sur Égalité et Réconciliation). Il y a maintenant une sélection darwinienne dans le milieu universitaire pour éliminer les scientifiques non darwiniens. J’en ai fait moi-même l’expérience à un faible niveau, lorsque, muni de mon doctorat en « Études médiévales anglaises », j’ai postulé en 2010 pour un poste d’assistant à l’université ; après m’avoir dit que je correspondais exactement au profil recherché, on m’a soudain claqué la porte au nez pour la raison – qui m’a clairement été signifiée – que j’avais traduit, édité et préfacé le livre de Phillip Johnson, Le Darwinisme en question. Science ou métaphysique ?

Stephen Meyer, qui défend également la théorie du dessein intelligent dans son livre Darwin’s Doubt, écrit :

« Les entités qui confèrent des avantages fonctionnels aux organismes – de nouveaux gènes et les protéines qu’ils codent – constituent de longues chaînes linéaires de sous-unités séquencées avec précision, des bases nucléotidiques dans le cas des gènes et des acides aminés dans le cas des protéines. Pourtant, selon la théorie néodarwinienne, ces entités complexes et hautement spécifiées doivent d’abord apparaître et fournir un certain avantage avant que la sélection naturelle puisse agir pour les préserver. Étant donné le nombre de bases présentes dans les gènes et les acides aminés présents dans les protéines fonctionnelles, un grand nombre de changements dans la disposition de ces sous-unités moléculaires devraient se produire avant qu’une nouvelle protéine fonctionnelle et sélectionnable puisse apparaître. Pour que même la plus petite unité d’innovation fonctionnelle – une nouvelle protéine – se produise, de nombreux réarrangements improbables des bases nucléotidiques devraient se produire avant que la sélection naturelle n’ait quelque chose de nouveau et d’avantageux à sélectionner. » [4]

Meyer souligne que la révolution de la biochimie a conduit à la prise de conscience que la vie n’est pas fondamentalement une question de matière ; c’est une question d’information. Et l’information ne peut être produite que par une intelligence. L’ADN « code » des informations, qui peuvent être « transcrites » en molécules d’ARN, puis « traduites » en une séquence d’acides aminés au fur et à mesure que des molécules de protéines sont synthétisées. « Depuis que la révolution de la biologie moléculaire a mis en évidence la primauté de l’information sur le maintien et la fonction des systèmes vivants, les questions sur l’origine de l’information sont passées au premier plan des discussions sur la théorie de l’évolution. » [5] Des changements aléatoires ou accidentels dans toute séquence contenant des informations ne font que dégrader les informations et ne peuvent en aucun cas ajouter de nouvelles informations. C’est pourquoi le défi majeur du darwinisme est venu des mathématiciens : en 1966, un groupe distingué de mathématiciens, d’ingénieurs et de scientifiques s’est réuni pour un colloque à l’Institut Wistar de Philadelphie intitulé « Les défis mathématiques de l’interprétation néodarwinienne de l’évolution ». [6]

La Résonance Morphique

Pour Stephen Meyer, « la découverte d’informations numériques même dans les cellules vivantes les plus simples indique l’activité préalable d’une intelligence créatrice à l’œuvre à l’origine de la première vie ». Mais cette « intelligence créatrice » ne doit pas nécessairement être conçue comme un Dieu exclusivement transcendant, extérieur à sa création. En d’autres termes, le paradigme du dessein intelligent ne doit pas être réduit à une version moderne de l’horloger (en l’occurrence le concepteur d’ordinateurs), qui crée de temps en temps de nouveaux modèles. Il est également possible de suivre une ligne de pensée plus panthéiste ou animiste et de supposer que l’intelligence est inhérente à la vie elle-même. Des documentaires sur « l’intelligence des plantes » peuvent nous aider à le concevoir (ici ou ici, vidéos en anglais non sous-titrées).

Il existe, en fait, un foisonnement de théories tentant de dépasser ou abandonner le darwinisme sans pour autant se satisfaire du « dessein intelligent ». Un site leur est consacré : www.thethirdwayofevolution.com. Certains des savants cités s’intéressent aux processus épigénétiques, d’autres explorent les mécanismes holistiques de la vie (comme Denis Noble, auteur de La Musique de la vie. La biologie au-delà du génome). Est mentionné dans ce site le professeur Didier Raoult, auteur en 2010 de Dépasser Darwin.

Mais je voudrais ici présenter, pour ceux qui ne le connaissent pas, le biologiste de Cambridge Rupert Sheldrake, connu pour sa théorie des « champs morphogénétiques ». Il n’a pas inventé cette notion et en attribue le crédit à Hans Spemann, Alexander Gurwitsch et Paul Weiss, qui, au début des années 1920, ont proposé que la morphogenèse soit organisée par champs « développementaux », « embryonnaires » ou « morphogénétiques ». Ces champs organisent le développement de l’embryon et guident les processus de régulation et de régénération après dommages. Sheldrake écrit dans The Presence of the Past (traduit en français sous le titre La Mémoire de l’Univers, Éditions du Rocher, 2002) :

« La nature spécifique des champs, selon Weiss, signifie que chaque espèce d’organisme a son propre champ morphogénétique, bien que les champs d’espèces apparentées puissent être similaires. De plus, au sein de l’organisme, il existe des champs subsidiaires dans le champ global de l’organisme, en fait une hiérarchie imbriquée de champs dans les champs. » [7]

La notion de champs, initialement introduite pour expliquer le magnétisme, puis la gravitation, tend aujourd’hui à s’imposer dans tous les domaines de la physique, comme l’explique le physicien David Tong dans cette conférence (en anglais, non sous-titrée en français) à Cambridge. D’une certaine manière, cette notion réconcilie la pensée scientifique avec l’idéalisme platonicien. Werner Heisenberg, l’un des fondateurs de la mécanique quantique, a déclaré :

« Je pense que la physique moderne a tranché en faveur de Platon. Car les plus petites unités de matière ne sont pas des objets physiques au sens ordinaire du terme, mais des formes, des idées qui ne sauraient être exprimées de manière claire qu’en langage mathématique. » [8]

Penser en termes de champs est nécessaire en biologie, soutient Sheldrake, parce que l’information génétique ne peut pas être localisée uniquement dans les gènes. Sheldrake écrit dans Morphic Resonance : The Nature of Formative Causation (Une nouvelle science de la vie : l’hypothèse de la causalité formative, Éditions du Rocher, 2003) :

« Le concept de programmes génétiques est basé sur une analogie avec les programmes informatiques. La métaphore implique que l’œuf fécondé contient un programme prédéterminé qui coordonne en quelque sorte le développement de l’organisme. Mais le programme génétique doit impliquer quelque chose de plus que la structure chimique de l’ADN, car des copies identiques d’ADN sont transmises à toutes les cellules ; si toutes les cellules étaient programmées de la même manière, elles ne pourraient pas se développer différemment. » [9]

Une partie de l’information qui « donne forme » à l’organisme n’est donc pas matériellement codée ; elle est contenue dans les champs morphogénétiques et non dans l’ADN. Sheldrake utilise une métaphore simple qui rend l’idée facile à comprendre :

« Considérez l’analogie suivante. La musique qui sort du haut-parleur d’un poste radio dépend à la fois : 1) des structures matérielles du poste et de l’énergie qui l’alimente et 2) de la transmission sur laquelle le poste est réglé. La musique peut bien sûr être affectée par des changements dans le câblage, les transistors, les condensateurs, etc., et elle s’arrête lorsque les piles sont retirées. Quelqu’un ne sachant rien de la transmission de vibrations invisibles, immatérielles et inaudibles à travers le champ électromagnétique pourrait conclure que la musique pourrait être entièrement expliquée en termes de composants de la radio, de la manière dont ils étaient disposés et de l’énergie dont leur fonctionnement dépendait. S’il envisageait la possibilité que quelque chose vienne de l’extérieur, il la rejetterait en découvrant que l’appareil pesait le même poids allumé et éteint. Il devrait donc supposer que les schémas rythmiques et harmoniques de la musique sont apparus dans l’appareil à la suite d’interactions extrêmement compliquées entre ses parties. Après une étude et une analyse minutieuses de l’ensemble, il pourrait même être en mesure d’en faire une réplique qui produirait exactement les mêmes sons que l’original, et il considérerait probablement ce résultat comme une preuve frappante de sa théorie. Mais malgré son exploit, il resterait complètement ignorant du fait qu’en réalité la musique provenait d’un studio de radiodiffusion à des centaines de kilomètres de là. » [10]

Sur la notion de champs morphogénétiques, Sheldrake construit celle de « résonance morphique ». Puisque les champs morphogénétiques contiennent une mémoire inhérente, cette mémoire n’est pas immuable, mais est influencée par rétroaction. En d’autres termes, tous les organismes (ou organes, ou cellules) animés par un certain champ entrent en résonance les uns avec les autres, et cette résonance constitue le champ lui-même.

« La résonance morphique a lieu sur la base de la similitude. Plus un organisme est similaire aux organismes précédents, plus leur influence sur lui par résonance morphique est grande. Et plus il y a eu de tels organismes, plus leur influence cumulative est puissante. » [11]

C’est ce que Sheldrake appelle aussi la « causalité formative » : « selon l’hypothèse de la causalité formative, la forme d’un système dépend de l’influence morphique cumulative des systèmes similaires précédents » ; « Les champs morphiques ne sont pas définis avec précision mais sont des structures de probabilité qui dépendent de la distribution statistique de formes similaires précédentes. » [12] Cela n’explique toujours pas l’apparition de nouvelles espèces. À mon sens, la théorie de Sheldrake n’exclut pas, bien au contraire, l’hypothèse d’une Intelligence créatrice suprême, qui serait comme le cœur nucléaire du Champ morphique universel, ce dernier étant assimilable au Logos ou à la Sophia des néoplatoniciens.

L’âme génétique

Je connais la théorie de Sheldrake depuis une vingtaine d’années, et elle n’a cessé d’accompagner ma réflexion depuis. J’y ai repensé récemment en lisant de nombreux articles américains par des auteurs réagissant à l’agression culturelle sans précédent contre la « race blanche » ou la « civilisation blanche ». Nombre de ces auteurs formulent leur défense de la civilisation blanche selon le paradigme darwinien, et je pense que c’est une stratégie désastreuse, car le darwinisme ne donne aucun sens à la vie. Comment le darwinisme pourrait-il insuffler une nouvelle âme aux peuples européens alors qu’il s’agit d’une théorie matérialiste qui n’accorde aucune place aux forces spirituelles. Le darwinisme mécanise la vie et déshumanise l’humain. C’est d’ailleurs une arme maniée avec beaucoup plus d’efficacité par les adversaires de la civilisation blanche : le catéchisme darwinien n’affirme-t-il pas en effet que les races n’existent pas – surtout la race blanche ?

La théorie de Sheldrake permet de penser une anthropologie qui accorde toute son importance à la nature généalogique de l’être humain, mais sans réduire celle-ci à sa dimension matérielle, chimique. La résonnance morphique, dont Sheldrake étend et teste l’application aux domaines psychologiques et même parapsychologiques, suggère que les hommes sont liés spirituellement de manière organique et holistique, c’est-à-dire que l’âme individuelle est enveloppée dans une hiérarchie d’âmes groupales, et que cette hiérarchie est fondée non pas exclusivement mais principalement sur la consanguinité. Ce modèle rejoint la théorie de Ludwig Gumplowicz (1838-1909), l’un des pionniers de la sociologie, qui fait du « sentiment syngénique » fondé sur la consanguinité le principal facteur de cohésion des sociétés humaines.

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Représentation symbolique d’un système holistique

En définitive, la métaphore de Dawkins n’est pas sans valeur, si seulement nous lui restituons une dimension spirituelle. Les gènes, écrit-il, « nous ont créés, corps et esprit ; et leur préservation est la raison ultime de notre existence ». Préservation n’est pas le bon concept ; on ne peut que partager ses gènes. Mais cela mis à part, dans une conception sheldrakienne du génétique, on est conduit à concevoir que l’Homme, en tant qu’être spirituel et non seulement matériel, est un être essentiellement collectif, qui s’inscrit dans une lignée.

Le « sang » est le nom que l’on donnait jadis aux qualités spirituelles et morales qui se transmettent des parents aux enfants, lorsqu’on ne savait encore rien de l’ADN. Cette notion traditionnelle du « sang » est totalement étrangère à la modernité. Le « sang » n’évoque pour la plupart des Européens ou des Américains qu’une substance chimique qui prolonge notre misérable vie individuelle.

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Une startup propose des transfusion de sang jeune pour rajeunir le corps

Le sang, au sens traditionnel d’âme génétique, est l’impensable de l’individualisme matérialiste, qui est le fondement théorique de la société libérale des droits de l’homme. L’individu est déclaré être la réalité humaine ultime, en fait la seule réalité humaine. Sur le plan politique, cela a justifié les théories « contractualistes », qui commencent avec Thomas Hobbes (Léviathan, 1651) et passent par Adam Smith (La Richesse des nations, 1776). Postulant, comme Hobbes, que les hommes sont motivés exclusivement par leur intérêt personnel et matériel, Smith imagine que, par la magie de la libre concurrence, la somme des individualismes égoïstes engendrerait une société juste. Selon lui, les hommes contribuent mieux au bien public lorsqu’ils ne s’occupent que de leur bien personnel. Nous connaissons le résultat ; l’argent n’est pas le sang d’une société organique faite de cellules et d’organes, mais le carburant d’une société mécanique où les individus sont interchangeables. Le patrimoine génétique et le syngénisme sont la véritable richesse des nations.

Il faut sans doute avoir atteint un certain âge pour comprendre combien la personnalité et la destinée des hommes sont formées, à leur insu, par leur généalogie, par l’histoire des générations dont ils découlent. À la fin de sa vie, Carl Jung évoquait « l’étrange communauté de destin qui me rattache à mes ancêtres », ainsi que le « sentiment d’être sous l’influence de choses et de problèmes qui furent laissés incomplets et sans réponses par mes parents, mes grands-parents et mes autres ancêtres » [13]. La psychologie transgénérationnelle a apporté de nombreuses confirmations de l’intuition de Jung. Un de ses pionniers était Ivan Boszormenyi-Nagy, qui s’est intéressé à ces « loyautés invisibles » qui nous rattachent inconsciemment à nos ancêtres et façonnent notre destin de façon largement inconsciente, sur la base d’un système de valeurs, de dettes et de mérites : « L’élaboration de la loyauté est déterminée par l’histoire de la famille et par le type de justice que cette famille pratique et par les mythes familiaux. Elle trouve résonance en chacun des membres de la famille. » [14] Vincent de Gaulejac, dans L’Histoire en héritage. Roman familial et trajectoire sociale, évoque les « nœuds sociopsychiques » et « impasses généalogiques » qui peuvent parasiter le destin d’un individu cherchant à se déraciner de sa famille :

« À vouloir rompre à tout prix, il reste attaché sans comprendre pourquoi. À tenter de se construire dans un ailleurs, il reste surdéterminé par une filiation qui s’impose à lui quand bien même il penserait lui échapper. Ces inscriptions inconscientes conduisent à postuler l’existence d’un passé généalogique qui s’impose au sujet et structure son fonctionnement psychique. » [15]

Cette part de déterminisme généalogique, bien qu’incontestable, est une aberration du point de vue de l’utopie libérale. Mais il faut bien admettre qu’elle est également étrangère au christianisme, et que l’individualisme philosophique qui sous-tend la modernité est en partie le rejeton du christianisme (voir Louis Dumont, « La genèse chrétienne de l’individualisme moderne », dans Essais sur l’individualisme [16]).

À l’inverse, les Juifs reconnaissent et valorisent cette vérité anthropologique du sang, inscrite au cœur de la Bible hébraïque. Les Juifs, a écrit Martin Buber, font du sang « la couche la plus profonde et la plus puissante de [leur] être ». Le Juif perçoit « quelle confluence de sang l’a produit. […] Il sent dans cette immortalité des générations une communauté de sang » [17]. Nathan Wachtel, dans un livre sur la dispersion marrane, rappelle que le terme « nation », qui vient du latin natio, « naissance », a d’abord été utilisé au XVIe siècle par les marranes portugais et espagnols dispersés à travers le monde, « qui ne professent pas officiellement la même foi religieuse, et cependant partagent le sentiment d’appartenir à une même collectivité, désignée lapidairement par un mot : la Naçã  » [18].

Notre faiblesse à nous, Goyim européens, est l’individualisme. Notre sens du sang, de la lignée, est faible, et s’affaiblit d’année en année, produisant des êtres fragiles, incapables de se donner un destin commun, même au niveau familial. Il y aura bientôt un siècle, un mouvement européen était entièrement basé sur le droit naturel du sang (voir à ce sujet Johann Chapoutot, La Loi du sang. Penser et agir en nazi, Gallimard, 2014). La dénazification de l’Europe s’est depuis accompagnée d’une guerre sans pitié contre tout ce qui ressemble de près ou de loin à cette idéologie du sang (lire mon article « Jusqu’où ira la dénazification ? »)

L’anthropologie moderne a démontré que le réseau complexe de parenté qui enveloppe chaque personne de la naissance à la mort forme la structure distinctive de chaque société. Notre ancien système de parenté, hérité du monde romain et organisé autour de l’autorité du père, après avoir été affaibli par le christianisme, est aujourd’hui déchiqueté avec une sauvagerie inouïe.

Chacun de nous est membre d’un arbre généalogique : c’est notre identité première. Il me semble que l’affirmation de cette loi naturelle devrait revenir au premier plan dans un puissant mouvement culturel. Que nous voulions sauver notre civilisation ou en préparer une nouvelle, nous devrions peut-être travailler à la restauration du clan. La définition la plus simple du clan est « la communauté au sein de laquelle on ne se marie pas ». Il s’agit de la famille élargie, de trois ou quatre générations, auxquels il faut ajouter les aïeuls, dont la présence symbolique est primordiale. Construire une nouvelle culture du clan est un grand défi, car le clan ne peut se maintenir que sur la base des hiérarchies naturelles, qui se heurtent à nos « valeurs » démocratiques et mercantiles.

Mais si nous donnons la priorité à la construction de grandes familles solidaires et durables, des hommes et des femmes de valeur en sortiront – des héros, peut-être. Cela me rappelle d’ailleurs quelque chose que Laurence Leamer a écrit sur les Kennedy :

« Joseph P. Kennedy a créé une grande chose dans sa vie, et c’était sa famille. […] Joe enseignait aux siens que le sang régnait et qu’ils devaient se faire confiance et s’aventurer dans un monde dangereux plein de trahisons et d’incertitudes, pour retourner toujours dans le sanctuaire de la famille. » [19]

Laurent Guyénot

Notes

[1] Richard Dawkins, Le Gène égoïste, Odile Jacob, 2003 (première édition anglaise, 1976).

[2] Cité dans Rupert Sheldrake, Réenchanter la science, Albin Michel, 2012, p. 82

[3] Michael Behe, Darwin’s Black Box : The Biochemical Challenge to Evolution, S&S International, 2006, p. 46.

[4] Stephen Meyer, Darwin’s Doubt : The Explosive Origin of Animal Life and the Case for Intelligent Design, HarperOne, 2013, p. 177.

[5] Stephen C. Meyer, Darwin’s Doubt, p. 168.

[6] Stephen C. Meyer, Darwin’s Doubt, p. 170.

[7] Rupert Sheldrake, The Presence of the Past : Morphic Resonance and the Habits of Nature, Icon Books, 2011.

[8] Cité dans Rupert Sheldrake, The Presence of the Past.

[9] Rupert Sheldrake, Morphic Resonnance : The Nature of Formative Causation, Park Street Press, 2009, p. 9.

[10] Rupert Sheldrake, Morphic Resonnance, p. 111-112.

[11] Rupert Sheldrake, The Presence of the Past.

[12] Rupert Sheldrake, Morphic Resonnance, p. 94, 109.

[13] Carl G. Jung, Ma vie, Gallimard, 1991.

[14] Ivan Boszormenyi-Nagy, Invisible Loyalties : Reciprocity in Intergenerational Family Therapy, Harper & Row, 1973, p. 56.

[15] Vincent de Gaulejac, L’Histoire en héritage. Roman familial et trajectoire sociale, Petite Bibliothèque Payot, 2012, p. 141-142, 146-147.

[16] Louis Dumont, « La genèse chrétienne de l’individualisme moderne, une vue modifée de nos origines », Le Débat, 15, septembre-octobre 1981, repris dans Essais sur l’individualisme. Une perspective anthropologique sur l’idéologie moderne, Seuil, 1983, p. 35-81, sous le titre « De l’individu-hors-du-monde à l’individu-dans-le-monde ».

[17] Cité par Brendon Sanderson dans sa critique du livre de Geoffrey Cantor et Mark Swetlitz, Jewish Tradition and the Challenge of Darwinism, dans The Occidental Observer.

[18] Nathan Wachtel, La Foi du souvenir. Labyrinthes Marranes, Seuil, 2001, p. 26.

[19] Laurence Leamer, Sons of Camelot : The Fate of an American Dynasty, HarperCollins, 2005.




La débâcle de l’Afghanistan, Zalmay Khalilzad et la Grande Réinitialisation

[Source : reseauinternational.net]

Par F. William Engdahl.

Une grande partie du monde est choquée par l’apparente incompétence de l’administration Biden dans la catastrophe humaine et géopolitique qui se déroule en Afghanistan. Alors que Biden dit une chose et son contraire, déclarant que tout le monde est à blâmer pour ses décisions, puis déclarant « la responsabilité s’arrête ici », cela ne fait qu’ajouter à l’impression que l’unique superpuissance est en phase terminale d’effondrement.

Se pourrait-il que tout cela fasse partie d’une stratégie à long terme visant à mettre fin à l’État-nation en préparation du modèle totalitaire mondial que la cabale de Davos appelle parfois la Grande Réinitialisation ? L’histoire de 40 ans de la guerre américaine en Afghanistan et des Pachtounes afghans qui ont façonné la politique jusqu’à aujourd’hui est révélatrice.

Les ondes des grands médias du monde entier sont remplies de questions sur l’incompétence militaire, l’échec des services de renseignement ou les deux. Il est intéressant d’examiner le rôle du représentant spécial de Biden pour la Réconciliation en Afghanistan au Département d’État, Zalmay Khalilzad, d’origine afghane. Pour une personnalité qui a façonné la politique étrangère stratégique des États-Unis depuis 1984 au sein de l’administration de Bush père, qui a été ambassadeur des États-Unis en Afghanistan et en Irak à des moments clés des guerres américaines dans ces pays et qui est le personnage clé de la débâcle actuelle, il est étonnant que les médias n’aient accordé que peu d’attention à cet agent de 70 ans né en Afghanistan.

L’ombre de Khalilzad

Khalilzad, un Pachtoune de souche qui est né et a grandi en Afghanistan jusqu’au lycée, est sans doute l’acteur clé du drame afghan, à commencer par l’époque où il était l’architecte de la transformation radicale, sous Bush Jr, de la doctrine stratégique américaine en « guerres préventives ». Il a été impliqué dans chaque étape de la politique américaine en Afghanistan, de la formation par la CIA des islamistes taliban moudjahidin dans les années 1980 à l’invasion américaine de l’Afghanistan en 2001, en passant par l’accord de Doha avec les Taliban et l’effondrement désastreux actuel.

Le New York Times du 8 mai 1992 a fait état d’une fuite d’un projet du Pentagone, appelé plus tard « doctrine Wolfowitz », du nom du responsable du Pentagone sous la direction du secrétaire à la Défense de l’époque, Dick Cheney. Paul Wolfowitz avait été chargé par Cheney de rédiger une nouvelle posture militaire mondiale des États-Unis après l’effondrement de l’Union soviétique.

Selon la fuite du Times, le document affirmait que « les États-Unis doivent devenir la seule superpuissance mondiale et doivent prendre des mesures agressives pour empêcher les nations concurrentes – même les alliés comme l’Allemagne et le Japon – de contester la suprématie économique et militaire des États-Unis ». Il est également précisé que « nous devons maintenir le mécanisme permettant de dissuader les concurrents potentiels d’aspirer à un rôle régional ou mondial plus important ». Il s’agissait de facto d’une déclaration d’impérialisme unilatéral.

À l’époque, Zalmay Khalilzad travaillait sous les ordres de Wolfowitz en tant que sous-secrétaire adjoint à la défense pour la planification de la politique, où il était chargé de rédiger la nouvelle doctrine, en collaboration avec Wolfowitz et des consultants extérieurs, dont le professeur de Khalilzad, titulaire d’un doctorat à l’Université de Chicago, le « parrain » néoconservateur de RAND, Alfred Wohlstetter. Wolfowitz avait également étudié à Chicago sous la direction de Wohlstetter. Ce groupe est devenu le noyau des soi-disant faucons de guerre néo-conservateurs.

Khalilzad a déclaré un jour que Cheney avait personnellement crédité le jeune Afghan pour le document de stratégie, en disant prétendument à Khalilzad : « Vous avez découvert une nouvelle justification de notre rôle dans le monde ». Cette « découverte » allait transformer le rôle de l’Amérique dans le monde de manière désastreuse.

La proposition politique très controversée de Khalilzad, bien qu’elle ait été supprimée par la suite du document publié par la Maison Blanche de Bush, est réapparue une décennie plus tard sous le nom de Doctrine Bush sous Bush Jr, également connue sous le nom de « guerres préventives » et a été utilisée pour justifier les invasions américaines de l’Afghanistan et plus tard de l’Irak.

Bush Jr, dont le vice-président était Dick Cheney, a lancé l’invasion de l’Afghanistan en octobre 2001, poussé par son conseiller afghan, Zalmay Khalilzad, sous prétexte qu’Oussama Ben Laden, l’architecte présumé des attentats du 11 septembre, se cachait sous la protection du régime des Taliban en Afghanistan, et que les Taliban devaient donc être punis.

En mai 2001, quelque quatre mois avant le 11 septembre, Condoleezza Rice, conseillère à la Sécurité nationale de Bush, avait nommé Khalilzad « assistant spécial du président et directeur principal pour le Golfe, l’Asie du Sud-Ouest et les autres questions régionales ». Les « autres questions régionales » allaient devenir énormes.

Khalilzad avait dirigé l’équipe de transition Bush-Cheney pour le Département de la Défense. Son influence, il y a vingt ans, était énorme et largement cachée au public. L’ancien patron de Khalilzad, Wolfowitz, était le numéro deux du Pentagone de Bush Jr. et Don Rumsfeld, était secrétaire à la Défense.

Bush a déclaré la guerre au régime des Taliban pour avoir refusé d’extrader le djihadiste saoudien Ben Laden. Il n’y a eu aucun rôle de l’ONU, aucun débat au Congrès. C’était la nouvelle doctrine américaine de Khalilzad, Wolfowitz et leur cabale néo-con, selon laquelle la force fait le droit. C’est ainsi qu’a commencé la débâcle américaine en Afghanistan, qui dure depuis 20 ans et qui n’aurait jamais dû commencer dans un monde sain et respectueux de la loi.

Les origines des Taliban

Les origines des Taliban remontent au projet de la CIA, initié par le conseiller à la Sécurité de Carter, Zbigniew Brzezinski, en 1979, de recruter et d’armer des islamistes radicaux du Pakistan, d’Afghanistan et même d’Arabie Saoudite, afin de mener une guerre irrégulière contre l’Armée rouge soviétique alors présente en Afghanistan. La CIA lui a donné le nom de code d’Opération Cyclone, qui a duré dix ans jusqu’au retrait de l’Armée rouge en 1989.

Un agent de la CIA saoudienne, Oussama ben Laden, a été amené au Pakistan pour travailler avec les services de renseignement pakistanais de l’ISI afin d’attirer de l’argent et des djihadistes des États arabes dans cette guerre. Un nombre important d’étudiants pachtounes afghans radicalisés, appelés Taliban ou « chercheurs », ont été recrutés dans des madrases radicales, dont certaines au Pakistan où l’ISI les protégeait.

Cette guerre de la CIA est devenue l’opération la plus longue et la plus coûteuse de son histoire. En 1984, Khalilzad était au milieu de tout cela, en tant que spécialiste de l’Afghanistan du Département d’État américain.

Au cours de la dernière partie de la guerre de la CIA en Afghanistan dans les années 1980, Khalilzad, qui travaillait avec des moudjahidines islamistes radicaux et des mercenaires taliban, est devenu la personnalité la plus influente de la politique américaine en Afghanistan.

En 1988, Khalilzad est devenu le « conseiller spécial » du Département d’État pour l’Afghanistan sous la direction de l’ancien chef de la CIA, George Bush père. À ce poste, il est celui qui traite directement avec les moudjahidin, incluant les Taliban.

Il était alors devenu proche du stratège de Jimmy Carter pour la guerre en Afghanistan, Zbigniew Brzezinski. Entré au Département d’État américain en 1984 après avoir enseigné à l’Université Columbia de Brzezinski, Khalilzad est devenu directeur exécutif de l’influent lobby des Amis de l’Afghanistan, dont Brzezinski et Lawrence Eagleburger, associé de Kissinger, étaient membres.

Les Amis de l’Afghanistan, avec l’argent de l’USAID, ont fait pression sur le Congrès pour que les États-Unis apportent un soutien majeur aux moudjahidin. Khalilzad a également réussi à faire pression pour donner des missiles Stinger américains avancés aux moudjahidin. Au cours de cette période, Khalilzad a traité avec les moudjahidin, les Taliban, Oussama Ben Laden et ce qui est devenu Al-Qaïda.

Au sein de l’administration George W. Bush, Khalilzad a été nommé envoyé présidentiel spécial en Afghanistan au début de l’année 2002, et a été directement responsable de l’installation d’un agent de la CIA, Hamid Karzai, comme président afghan en 2002. Le frère de Hamid, chef de guerre de la plus grande province d’opium du pays, Kandahar, était payé par la CIA au moins depuis 2001. Khalilzad était clairement au courant.

Khalilzad lui-même aurait été « sélectionné » par le recruteur de la CIA, Thomas E. Gouttierre, lorsque Zalmay était un étudiant de l’école secondaire d’échange AFS à Ceres, en Californie, dans les années 1960. Goutttierre dirigeait le Centre d’Études afghanes financé par la CIA à l’Université du Nebraska à Omaha. C’est ce qui explique que, plus tard dans sa carrière, il ait acquis une influence extraordinaire sur la politique afghane des États-Unis et au-delà.

Il est à noter que l’actuel « président en fuite » afghan, Ashraf Ghani Ahmadzai, nommé par les Américains « coprésident » de l’Afghanistan, était un camarade de classe de Khalilzad au début des années 1970, alors qu’il était étudiant à l’Université américaine de Beyrouth, tout comme leurs futures épouses. Le monde est petit.

En 1996, après plusieurs années de guerre civile entre les factions rivales des moudjahidin soutenus par la CIA, les Taliban, soutenus par l’ISI du Pakistan, ont pris le contrôle de Kaboul. La prise de contrôle de l’Afghanistan par les Taliban en 1996 était une conséquence directe de l’armement et du soutien apportés par Khalilzad aux moudjahidin dans les années 1980, notamment à Oussama ben Laden.

Ce n’était pas un accident ou une erreur de calcul. La CIA avait pour objectif d’armer l’Islam politique et Khalilzad était et reste un acteur clé de ce projet. Khalilzad a été membre du conseil d’administration de la Fondation pour l’Afghanistan pendant les années Clinton, qui préconisait que les Taliban s’allient aux groupes de résistance moudjahidin anti-taliban.

À la fin de la présidence Clinton, Khalilzad a joué un rôle clé dans l’élaboration de l’agenda militaire du président suivant en participant au Projet pour un nouveau Siècle américain (PNAC), aux côtés de Cheney, Wolfowitz, Don Rumsfeld, Jeb Bush et d’autres qui ont joué des rôles politiques clés dans la présidence de George W. Bush.

Après les attentats du 11 septembre 2001, Khalilzad a orchestré la guerre de Bush contre les Taliban en Afghanistan et est devenu l’envoyé de Bush en Afghanistan. En novembre 2003, Khalilzad était ambassadeur des États-Unis en Afghanistan où le président Karzai, choisi par Bush, a été installé. En février 2004, l’ambassadeur Khalilzad accueille à Kaboul le secrétaire américain à la Défense, Rumsfeld, et un général de brigade, Lloyd Austin. Austin connaît Khalilzad.

En décembre 2002, Bush avait nommé Khalilzad ambassadeur itinérant pour les Irakiens libres afin de coordonner « les préparatifs d’un Irak post-Saddam Hussein ». Khalilzad et ses copains néoconservateurs du PNAC préconisaient une guerre pour renverser Saddam Hussein depuis la fin des années 1990, bien avant le 11 septembre. Deux ans plus tard, après le début de la guerre américaine contre l’Irak, Khalilzad a été nommé ambassadeur en Irak.

Personne n’a été plus responsable de la montée en puissance des groupes terroristes de l’Islam radical, des Taliban à Al-Qaïda, dans ces deux pays que Zalmay Khalilzad.

Pas de « défaillance du renseignement »

En 2018, Khalilzad a été recommandé par le secrétaire d’État américain et ancien chef de la CIA, Mike Pompeo, pour être le « représentant spécial pour la Réconciliation en Afghanistan » de l’administration Trump. Il n’y avait aucune allusion à la réconciliation de la part de Khalilzad ou des Taliban.

C’est là que le rusé Khalilzad a entamé des pourparlers exclusifs entre les États-Unis et les Taliban avec leurs envoyés en exil à Doha, au Qatar, l’État du Golfe pro-Taliban qui abrite des figures de proue des Frères musulmans ainsi que des Taliban. Le Qatar serait une source d’argent importante pour les Taliban.

Khalilzad a réussi à faire pression sur le Pakistan pour qu’il libère le cofondateur des Taliban, le mollah Abdul Ghani Baradar, le principal stratège de la victoire des Taliban en 1996, afin que Baradar puisse mener les discussions avec Khalilzad à Doha. Le président Trump de l’époque aurait approuvé que Khalilzad négocie à Doha uniquement avec les Taliban, sans la présence du régime de Kaboul.

Baradar a signé « l’accord » de février 2020 négocié par Khalilzad et les Taliban, dit accord de Doha, dans lequel les États-Unis et l’OTAN ont accepté un retrait total, mais sans aucun accord de partage du pouvoir entre les Taliban et le gouvernement Ghani de Kaboul, les Taliban refusant de le reconnaître.

Khalilzad a déclaré au New York Times que les Taliban s’étaient engagés à « faire le nécessaire pour que l’Afghanistan ne devienne jamais une plateforme pour des groupes ou des individus terroristes internationaux ».

C’était très douteux et Khalilzad le savait, car les Taliban et Al-Qaïda sont intimement liés depuis l’arrivée d’Oussama ben Laden en Afghanistan dans les années 1980. L’actuel chef d’Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, serait en vie et se trouverait dans un refuge des Taliban en Afghanistan.

En bref, il s’agit de « l’accord » que Khalilzad a conclu avec les Taliban pour le président Trump à l’époque, un accord qui a été accepté par l’administration Biden avec seulement un changement mineur stipulant initialement que le 11 septembre 2021 serait la date du retrait final des États-Unis. Vous parlez de symbolisme.

La chute de l’Afghanistan n’est pas le résultat d’un « échec du renseignement » de la CIA ou d’une erreur de calcul militaire du secrétaire Austin et du Pentagone. Tous deux savaient, tout comme Khalilzad, ce qu’ils faisaient.

Lorsqu’Austin a approuvé, le 4 juillet, l’abandon secret, à la tombée de la nuit, de la base aérienne stratégique de Bagram, la plus grande base militaire américaine en Afghanistan, sans en avertir le gouvernement de Kaboul, il a fait comprendre à l’armée afghane formée par les États-Unis que ces derniers ne lui accorderaient plus de couverture aérienne.

Les États-Unis ont même cessé de les payer depuis des mois, ce qui a encore sapé leur moral. Ce n’était pas un accident. C’était délibéré et Zalmay Khalilzad était au cœur de tout cela. Dans les années 1980, son rôle a contribué à la prise de contrôle des Taliban en 1996, à la destruction des Taliban en 2001 et à la restauration des Taliban en 2021.

Le véritable gagnant de cette folie est le programme mondialiste de la cabale de Davos dite de la « Grande Réinitialisation », qui l’utilise pour détruire l’influence mondiale des États-Unis, alors que Biden détruit l’économie de l’intérieur.

Aucune nation, ni Taïwan, ni le Japon, ni les Philippines, ni l’Inde, ni même l’Australie, ni aucune autre nation espérant la protection des États-Unis à l’avenir ne pourra faire confiance à Washington pour tenir ses promesses.

La chute de Kaboul marque la fin du siècle américain. Il n’est pas étonnant que les médias chinois soient remplis de Schadenfreude et de jubilation alors qu’ils discutent de la Route de la Soie avec les Taliban.

source : https://journal-neo.org

traduit par Réseau International




Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire

[Source : LeoHohmann.com]

Par John Gideon Hartnett

Plusieurs nouvelles technologies qui semblent distinctes et non liées vont bientôt converger, créant un piège numérique géant qui attirera facilement les masses non informées.

Le piège numérique est déjà tendu et les élites mondialistes utilisent la COVID pour accélérer le processus de convergence. La plupart des gens tomberont dans le piège, ce qui les réduira finalement à un code QR humain – repérable, traçable et dépendant à 100% des Big Tech et du grand gouvernement pour leur existence.

Je vais défaire chacun de ces fils apparemment séparés qui seront progressivement fusionnés en une seule grille de contrôle socio-financière globale.

L’élément du programme le plus imminent nécessaire pour relancer ce système est le lancement réussi des passeports sanitaires numériques.

La France, l’Italie, l’Irlande, l’Allemagne, la Grèce et de nombreux autres pays ont commencé à imposer ces passeports à leurs citoyens, dont beaucoup envahissent les rues pour protester

Les citoyens protestent contre les pass sanitaires dans plus de 150 villes à travers la France.

Le mouvement vers les passeports sanitaires numériques aux États-Unis se fait plus progressivement, mais il prend de l’ampleur.  

Dans un briefing le lundi 2 août, le coordinateur de la réponse au coronavirus de Biden, Jeffrey Zients, a annoncé « qu’il est temps d’imposer certaines exigences » en ce qui concerne les vaccins anti-COVID.

Lorsqu’on lui a demandé des éclaircissements sur les règles COVID qui pourraient être mises en œuvre, l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a déclaré que rien n’est exclu.

Souvenez-vous de cette phrase : Rien n’est exclu.

Cela pourrait impliquer de rassembler les non vaccinés et de les placer dans des camps d’isolement et de quarantaine.

Un consortium universitaire composé de six universités a déjà un contrat avec le département américain de la Sécurité intérieure pour fournir une formation aux parties prenantes du gouvernement, des forces de l’ordre, des soins de santé et du secteur privé sur la façon de mettre en quarantaine « de grandes parties » des communautés rurales.

Mais la volonté de numériser la vie des Américains commencera dans les villes et se déplacera vers l’extérieur.

Le maire de New York, Bill de Blasio, est devenu le premier homme politique à saisir l’occasion d’exiger des passeports vaccinaux.

Malgré ce que l’on essaie de vous dire, séparer les Américains par statut vaccinal est une première historique. Cela n’a jamais été tenté auparavant, pas à travers les épidémies de polio ou de variole des années 1920, 30 et 40, pas pendant la grippe espagnole. Jamais.

De Blasio a ordonné aux entreprises de refuser le service aux non vaccinés, qui représentent 30 % de la population de la ville. Il reste à voir comment de Blasio appliquera cet édit. Appelera-t-il la police pour qu’elle ferme les entreprises qui n’exigent pas de leurs clients qu’ils montrent leurs papiers ?

Le gouverneur de New York Andrew Cuomo vise également des mandats de passeport vaccinal dans tout l’État, mais sait qu’il doit être un peu plus diplomatique dans son approche.

« Les entreprises privées, je leur demande et leur suggère de passer à l’admission uniquement pour les vaccinés. Passez à l’admission uniquement pour les vaccinés », a déclaré Cuomo lors d’une conférence de presse le 2 août.

« Je crois qu’il est dans votre propre intérêt commercial », a-t-il dit, « de gérer un établissement réservé aux vaccinés…. Nous avons des applications, dites simplement « vous devez montrer que vous avez été vacciné lorsque vous franchissez la porte. » »

En d’autres termes, « Montrez vos papiers ».

Pensez à ce que Cuomo dit ici.

Il « demande » avec force aux propriétaires d’entreprise d’éliminer 30 pour cent de la population de l’État de leur champ de clients potentiels et de les traiter comme des non-personnes.

Ceci est du pur fascisme et rappelle la propagande nazie qui a contraint les Allemands à refuser de faire des affaires avec les Juifs.

Si les propriétaires d’entreprise de New York écoutaient Cuomo, ils rendraient impossible aux personnes non vaccinées de nourrir leurs enfants.

Apprenez vos droits médicaux en tant qu’employé, étudiant, etc., et comment « dire non à l’aiguille » sur HealthyAmerican.org de Peggy Hall 

Les passeports numériques exigent que les gens téléchargent un code QR numérisable sur leur téléphone portable qui permettra aux entreprises de savoir qu’elles ont été vaccinées avant d’être autorisées à entrer et à recevoir le service [acheter ou vendre].

Cela nous amène à la deuxième étape du piège numérique qui cuit dans le four technologique – un nouveau système d’identification numérique mondial capable de fonctionner conjointement avec les passeports sanitaires numériques et le nouveau complexe médico-vaccinal.

Le leader de ce courant technologique est l’Alliance ID2020, une collaboration de plus de 35 membres dont Accenture, Microsoft, la Fondation Rockefeller, MasterCard, IBM, la Chambre de commerce internationale, MIT SafePaths et GAVI Global Vaccines Alliance de Bill Gates.

En février 2021, ID2020 a lancé le Good Health Pass Collaborative pour encourager une convergence transparente de toutes les applications d’accréditation des vaccins anti-COVID-19 développées par de nombreuses organisations différentes.

« Les certificats vaccinaux en papier peuvent être facilement falsifiés », prévient l’Alliance ID2020 dans un communiqué. « Le but des informations d’identification de santé est de prouver en toute sécurité qu’une personne a reçu un vaccin ou un test PCR. La nouvelle alliance cible particulièrement les voyages pour garantir que les informations d’identification fonctionnent de manière transfrontalière, intersectorielle et sans friction. »

L’alliance a publié un livre blanc sur le sujet pour ceux qui recherchent plus de détails.

Une autre pièce du puzzle techno-fasciste en évolution est la nouvelle monnaie numérique.

Les banques centrales du monde travaillent sur une monnaie numérique programmable basée sur la technologie de la chaîne de blocs. Cela signifie qu’ils seront en mesure de suivre vos dépenses et de vous couper les vivres pour quelque raison que ce soit.

Le Fonds monétaire international a publié un article sur son site Web en juillet, saluant l’Inde comme un leader mondial dans la lutte pour éliminer les espèces. Et bien sûr, la COVID a été mentionnée comme accélérant l’abandon du papier-monnaie. Le FMI a noté :

« La COVID-19 a accéléré l’utilisation des paiements numériques sans contact pour les petites transactions alors que les gens essaient de se protéger du virus. Ces avancées s’appuient sur India Stack, un système complet d’identité numérique, de paiement et de gestion des données sur lequel nous écrivons dans un nouvel article (Carrière-Swallow, Haksar et Patnam 2021). »

Comme vous pouvez le voir dans la déclaration ci-dessus, l’objectif est une identité numérique complète, combinant ses données de santé et son statut vaccinal avec des données bancaires et d’autres données personnellement identifiables.

Klaus Schwab nous a prévenus à l’avance du piège que lui et ses copains élitistes nous tendaient.

« La quatrième révolution industrielle conduira à une fusion de nos identités physique, biologique et numérique », a déclaré Schwab au Chicago Council on Global Affairs en novembre 2020.

Même avant cela, dans son livre de 2018, Shaping the Future of The Fourth Industrial Revolution, Schwab a écrit :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne s’arrêteront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure, elles feront partie de nous.

« En effet, certains d’entre nous ont déjà le sentiment que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes d’aujourd’hui, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau.

Lorsqu’il a écrit ces idées grandioses en 2018, cela ressemblait à la tarte dans le ciel des rêveries d’un futuriste déconnecté et peu y ont prêté attention. Post COVID, c’est sous notre nez et prêt à être mis en œuvre.

La dernière étape du programme technologique pour contrôler l’humanité est que les géants de la Big Tech travaillent ensemble pour éliminer toutes les voix dissidentes d’Internet. Leur objectif ultime est de créer un système où tous les utilisateurs ont un passeport Internet, sous réserve d’un examen périodique de votre activité en ligne.

Les géants de la Big Tech ont déjà déclaré qu’ils partageaient activement des informations dans le but de réprimer les « suprémacistes blancs » dans le cadre du Global Internet Forum to Counter Terrorism, un organisme auparavant réservé pour cibler les talibans et al-Qaïda. 

PayPal a annoncé qu’il travaillerait avec l’Anti-Defamation League notoirement marxiste pour parcourir l’Internet, à la recherche de voix « extrémistes » et « anti-gouvernementales » afin de rendre inactif leurs boutons de don PayPal.

Dans le cadre de ce système de notation sociale à la chinoise, les coupables d’infractions en ligne sont publiquement humiliés et réduits au silence. Les collecteurs d’informations sont payés pour dénoncer leurs voisins et les membres de leur famille. Une fois que votre pointage de crédit social descend en dessous d’un certain niveau, vous devenez tellement discrédité qu’il devient de plus en plus difficile de trouver un emploi, de voyager en avion, en train, en bus ou en voiture, d’obtenir des prêts ou d’inscrire vos enfants dans les meilleures écoles.

Ceux qui fournissent des informations qui vont à l’encontre le narratif seront signalés, avertis, et finalement bloqués en tant que diffuseurs de « désinformation ».

Vous perdez votre liberté d’expression, mais ce n’est pas tout.

Dans la société d’aujourd’hui, être retiré d’Internet signifie que vous ne pourrez pas acheter ou vendre en ligne ou effectuer un travail nécessitant une connexion Internet.

Ainsi, les passeports sanitaires, actuellement en cours de déploiement dans le monde entier, vous empêcheront d’acheter en personne de la nourriture et des produits de première nécessité, tandis que le prochain passeport Internet vous empêchera de commander vos produits de première nécessité en ligne. Vous vous retrouverez essentiellement avec le marché noir, en supposant qu’il y en ait un pour ceux qui sont jugés « impurs » et « impropres » pour le monde moderne en raison de leurs opinions dissidentes.

Toutes ces technologies fusionneront à l’intersection du Big Data, des grandes banques, de la Big Tech et du grand gouvernement. Votre pointage de crédit social sera désormais lié non seulement à votre activité sur Internet, mais aussi à votre compte bancaire et à votre statut vaccinal. Bienvenue dans la Grande réinitialisation, alias Nouvel Ordre Mondial.

Ajoutez les avancées de l’IA et de la reconnaissance faciale et des millions de caméras de surveillance et vous parlez d’un État esclavagiste verrouillé qui fait ressembler 1984 de George Orwell à un club de vacances.

Mais ne vous plaignez pas. Tout cela est « pour notre sécurité ».

On ne peut pas faire confiance aux gens pour faire ce qu’il faut, croire aux faits réels, mener le genre de vie qui aboutit à une société paisible et heureuse. Tous doivent se conformer aux nouveaux maîtres.

Il est maintenant temps de combattre ce système. Mais pour le combattre, vous devez reconnaître son existence et garder une longueur d’avance sur la stratégie maléfique de la cabale.

À un moment donné, la trappe se refermera. Il sera trop tard pour se retirer. Vous vous conformez ou devenez une non-personne. Un ennemi de l’État.

Ces voies distinctes d’évolution technologique finiront par fusionner pour créer une société dans laquelle tout, et chaque personne, est suivi numériquement. Pas seulement le mouvement de leur corps physique, mais leurs actions, leurs comportements et même leurs pensées.

Les élites comptent sur nous pour accepter ce système à ses débuts, fragmentés. La plupart des gens pensent de manière compartimentée. Ils ne relient pas les points. Ils seront trompés.

Les élites ne vont pas vous dire d’emblée tout ce qui est impliqué dans la quatrième révolution industrielle. Ils vont juste vous dire les parties qui semblent bonnes – commodité, inclusion, sûreté, sécurité.

Regardez la vidéo effrayante de 42 secondes publiée par le gouvernement australien exhortant les gens à créer une identité numérique (en anglais).

Une fois cette trappe fermée, il sera très difficile de sortir de ses griffes. Ne téléchargez pas d’applications, payez en espèces chaque fois que c’est possible, et arrêtez de marcher en somnambule vers le Nouvel Ordre Mondial.

Lisez l’article complet sur LeoHohmann.com.

[HGJ :] Ce que j’ai fait pour réduire mon empreinte numérique, c’est que j’ai acheté un téléphone « stupide » et ai désactivé le paramètre de localisation qui fonctionne sur les téléphones mobiles. Il n’a pas de fonction GPS et ne peut donc pas me suivre. J’ai acheté le livre de cartes à l’ancienne et j’apprends à naviguer à l’ancienne. Le téléphone stupide ne peut pas prendre d’applications et ne peut donc jamais être utilisé pour la lecture de code QR.

Pour faire mes courses, je sors une liasse d’espèces au guichet automatique à l’extérieur d’un centre commercial et n’utilise que de l’argent liquide dans n’importe quel magasin, n’importe où. Recommençons tous à utiliser de l’argent liquide, partout.


[Voir aussi, en vrac :
Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »
Un passeport vert pour un État mondial numérisé
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Qui est l’Antéchrist ?
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?
Les micropuces de Bill Gates
L’après COVID-19: la médecine des ASSASSINS FINANCIERS par l’ÉTAT PROFOND, pour toutes les Nations ?
Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?
Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID
Note sur les manifestations sous le règne du NOM
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Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?

[Source : Aube Digitale]

Par Brandon Smith

Je ne pense pas être la seule personne à l’avoir remarqué – Il y a eu un déluge soudain de propagande sur la vaccination anti-Covid et sur le passeport vaccinal – ou pass sanitaire, pass vert – au cours du mois dernier, plus que ce que nous avons vu depuis le début de l’année, je pense. Je parle des États-Unis en particulier, mais il est important de souligner qu’aux États-Unis, l’establishment réclame toujours désespérément un taux de vaccination beaucoup plus élevé. Dans des pays comme l’Europe, le Royaume-Uni et l’Australie, les taux de vaccination sont plus élevés et les gouvernements sont passés à la phase de passeport vaccinal de leur programme.

Certaines personnes peuvent être déconcertées par le fait que la plupart des pays s’engagent dans la voie des mandats et des restrictions concernant les médicaments. Comment est-il possible que presque tous les gouvernements de la planète soient d’accord sur le totalitarisme médical ? Eh bien, c’est assez facile à comprendre quand on sait que la majorité d’entre eux sont liés entre eux par des institutions mondialistes comme le Forum économique mondial, qui a qualifié à plusieurs reprises la pandémie d’ »occasion parfaite » pour faire passer ses projets de « grand reset ».

Le « Grand Reset » est une usurpation idéologique à long terme de ce qui reste de la liberté individuelle et des économies de marché, et son objectif est l’imposition d’une dictature socialiste/communiste mondiale. Les mondialistes enveloppent ces objectifs dans de jolis mots et des aspirations humanitaires, mais au fond, la « réinitialisation » vise à mettre fin à la liberté telle que nous la connaissons. Ce n’est pas une exagération, c’est la réalité ; c’est ce que ces gens désirent par-dessus tout. Mais comment atteindre un tel objectif ?

Eh bien, de manière intéressante, le FEM et la Fondation Bill Et Melinda Gates ont décrit exactement comment ils prévoyaient de le faire au cours d’une « simulation » qu’ils ont organisée en octobre 2019, appelée « Event 201 ». Au cours de cet événement, ils ont imaginé une pandémie massive de coronavirus, qui se propagerait soi-disant des animaux aux humains, ce qui faciliterait la nécessité de restrictions omniprésentes des libertés individuelles, des économies nationales ainsi que d’Internet et des médias sociaux. Je suis sûr que tout cela n’est qu’une coïncidence, mais le même scénario que les mondialistes du FEM ont joué pendant Event 201 s’est produit dans le monde réel seulement deux mois plus tard.

En tout cas, la pandémie elle-même a été une aubaine pour les mondialistes. Nous n’avons pas vu une telle prise de pouvoir des gouvernements et des entreprises depuis la montée des national-socialistes en Europe et la propagation du communisme en Russie et en Chine il y a presque un siècle. En fait, je dirais que ce à quoi l’humanité dans son ensemble est confrontée aujourd’hui est bien pire que ce que ces misérables empires ont pu produire.

Il n’y a aucun doute : les institutions mondialistes et leurs « partenaires » gouvernementaux sont les plus grands bénéficiaires de la crise du covid. Ils s’apprêtent à acquérir le pouvoir social et politique ultime si leur programme d’exploitation de la pandémie réussit.

Cela dit, il y a quelques obstacles dans leur plan, et c’est pourquoi je crois que nous assistons à une poussée de propagande agressive ces dernières semaines. Par exemple, comme je l’ai souligné avec de nombreuses preuves dans mon article « Biden’s Vaccine Strike Force Plan Stinks Of Desperation », il apparaît que le taux de vaccination, en particulier aux États-Unis, est loin d’être aussi élevé que les élites le souhaiteraient.

Alors que l’administration Biden et les CDC revendiquent un taux de vaccination global de 67 %, de nombreuses autres statistiques, dont les chiffres de la carte des États de la clinique Mayo, indiquent que seuls quatre États américains ont un taux de vaccination supérieur à 65 % (pour une dose ou plus), et que la majorité des États ont des taux de 50 % ou moins. Même les États bleus à forte population, comme la Californie et New York, ne dépassent pas la barre des 65 %, et franchement, ces chiffres ne vont nulle part car les vaccinations sont en chute libre.

Si quelqu’un ne s’est pas présenté à ce jour avec des temps d’attente nuls et des doses abondantes partout, alors il est peu probable qu’il soit un jour vacciné.

Des statistiques contradictoires me laissent penser que Biden et les CDC gonflent leurs chiffres de vaccination pour créer l’illusion qu’une plus grande majorité d’Américains soutient le vaccin. Et si c’est le cas, cela explique pourquoi Biden, Fauci et les médias grand public gavent le public d’un battage publicitaire pro-vaccins qui contredit systématiquement les données scientifiques réelles. Ils n’obtiennent pas la peur et la conformité du public qu’ils espéraient.

Mais pourquoi veulent-ils une vaccination à 100% ? Pourquoi veulent-ils à tout prix que chaque personne dans le monde reçoive le vaccin à ARNm ?

Après tout, le taux de mortalité moyen (IFR) du covid est de seulement 0,26 % des personnes infectées (c’est une statistique que les médias refusent systématiquement et délibérément de mentionner au public). Cela signifie que 99,7% du public ne court AUCUN risque de contracter le covid, qu’il soit vacciné ou non.

Les vaccins garantissent-ils de meilleures chances ? Eh bien, selon des statistiques récentes du Massachusetts, pas nécessairement, puisqu’elles font état de plus de 5100 infections et de 80 décès de patients entièrement vaccinés. Les médias ne cessent de nous dire que seuls les non-vaccinés meurent, mais c’est un mensonge, comme tant d’autres mensonges qu’ils colportent à propos du covid. Alors, quel est l’intérêt de recevoir un vaccin expérimental si le taux de mortalité du virus est si faible et si le vaccin ne vous protège pas nécessairement ?

Il n’y a aucun intérêt. La science et les statistiques ne le soutiennent pas. Les vaccins ne peuvent même pas être crédités de la baisse des infections et des décès cette année ; les chiffres ont chuté en janvier – seuls 5% de la population étaient vaccinés en février. La seule explication à cela est que la population a atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. Rappelez-vous quand les gouvernements disaient qu’ils avaient besoin d’une immunité de troupeau ou d’une vaccination de 70% pour mettre fin aux blocages et aux mandats ? Les poteaux de but ont été déplacés plusieurs fois et la « science » du gouvernement change tous les mois. Aujourd’hui, ils prétendent que l’immunité collective n’a pas d’importance et exigent une vaccination à 100 %.

Nous devons à nouveau poser la question : pourquoi le gouvernement pousse-t-il sans relâche à une saturation totale en vaccins ? Cela ne sauve pas de vies, et les mandats restent inchangés, alors pourquoi ?

Je ne peux qu’émettre des théories basées sur les preuves disponibles, mais je pense qu’il est clair pour la plupart d’entre nous que les vaccins n’ont PAS pour but la santé publique ni de sauver des vies. Ils ont manifestement un autre objectif…

Comme de nombreux experts en virologie et en vaccins l’ont signalé au cours de l’année écoulée, la technologie expérimentale de l’ARNm présente un risque élevé d’effets secondaires nocifs pour la santé. Même l’un des créateurs des vaccins à ARNm a laissé entendre qu’il était dangereux de déployer ces cocktails de manipulation génétique sans effectuer davantage de tests. Il convient de noter les préoccupations concernant les troubles à long terme tels que les troubles auto-immunes et l’infertilité.

Les médias grand public et les mondialistes soutiendront qu’il n’y a « aucune preuve » que les vaccins à ARNm provoqueront des effets secondaires mortels ou l’infertilité. Je répondrai qu’il n’y a AUCUNE PREUVE que ces vaccins sont sûrs. La plupart des vaccins sont testés sur une période de 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vaccins contre le covid ont été lâchés sur le public en quelques mois. Honnêtement, je n’ai pas l’intention de servir de cobaye pour un vaccin non testé.

Mais que faire si les élites savent exactement quels seront les effets secondaires ? Et si les vaccins étaient un élément central de leur « Grand Reset » ?
La question de l’infertilité, en particulier, suscite le plus de critiques de la part de l’establishment, et je voudrais souligner un récit particulièrement insidieux implanté dans les médias. Chaque fois que les gens remettent en question le risque de stérilité causé par les vaccins, les bureaucrates et les têtes parlantes des médias passent à l’attaque, puis disent : « Il n’y a aucune preuve que les vaccins causent la stérilité, mais le Covid-19 pourrait la causer… ». Il suffit de regarder ce récent discours du gouverneur de l’Arkansas où lui et son larbin médical ont presque été chassés du podium par un public en colère pour avoir colporté la même propagande :

https://www.youtube.com/embed/1jMLzMpL_sE

Et voilà le résultat. À mon avis, le décor est planté pour un événement d’infertilité de masse, et le covid sera accusé à la place des vaccins expérimentaux. C’est pourquoi l’establishment a besoin d’un taux de vaccination de 100% ; les personnes non vaccinées seraient la preuve de leur crime. Laissez-moi vous expliquer…

Ce qui me préoccupe, c’est que le programme de Grand Reset de Klaus Schwab est impossible à appliquer de manière permanente, à moins que la population humaine ne soit fortement réduite sur une courte période (une génération ou deux). Les mondialistes parlent constamment de contrôle et de réduction de la population. Des élites comme Bill Gates sont célèbres pour cela. Faut-il s’étonner qu’ils conçoivent un plan pour l’instaurer ?

Et si, comme de nombreux experts l’ont suggéré, les effets secondaires des vaccins créaient cette condition de diminution de la population ? Et si c’était le cas ? Nous ne le saurons pas avec certitude avant quelques années au moins, car les troubles auto-immunes et l’infertilité mettent du temps à se manifester dans une population. Le délai moyen pour diagnostiquer un trouble auto-immune est de 4,5 ans. Le diagnostic de l’infertilité peut prendre de six mois à un an.

Si des millions de personnes ne sont toujours pas vaccinées au cours des deux prochaines années, elles constitueront un groupe de contrôle important et indéniable. Un groupe témoin est un groupe de sujets qui agit comme un échantillon pur, non touché par une expérience sur un médicament ou un vaccin. Si le groupe vacciné tombe malade ou meurt de maladies spécifiques et que le groupe témoin ne présente pas ces mêmes maladies, c’est un bon signe que votre vaccin ou votre médicament est un poison.

La moitié des Américains et des pourcentages plus faibles dans d’autres pays constituent un groupe de contrôle pour les vaccins expérimentaux. Si quelque chose ne va pas avec les vaccins, nous en serons la preuve. Je soupçonne que c’est ce dont les élites ont vraiment peur.

Elles doivent nous forcer à nous faire vacciner également – nous tous, afin qu’il n’y ait pas de groupe de contrôle et donc pas de preuve de ce qu’elles ont fait. Ils pourraient simplement imputer les troubles de santé de masse au covid lui-même, ou à un autre faux coupable.

Si les vaccins sont un cheval de Troie qui provoque une maladie ou une stérilité généralisée, et que les mondialistes se font prendre parce qu’il existe un groupe de contrôle, alors cela signifiera pour eux une rébellion pure et simple ainsi que des cordes et des lampadaires. Leur « grand reset » s’effondrera.

Bien sûr, cela pourrait se produire de toute façon. Les passeports vaccinaux sont la ligne dans le sable pour la plupart des gens. Nous assistons même à d’importantes manifestations et émeutes dans des pays comme l’Italie, la France, le Royaume-Uni et l’Australie à cause de ce régime de passeport draconien. Mais c’est aux États-Unis que le plus gros combat aura lieu, à mon avis. Nous avons une population armée, des millions et des millions de vétérans et de civils entraînés au combat, une armée composée d’environ 70 % de conservateurs et d’indépendants et une compréhension historique de la guerre asymétrique. Comme nous l’avons vu dans des endroits comme l’Afghanistan, les chars, les avions à réaction, les missiles et les drones ne garantissent pas la victoire contre une force de guérilla.

Les passeports vaccinaux n’arriveront pas ici. Nous ne le permettrons tout simplement pas.

Les mondialistes ont mis en place une fin de partie – Cela pourrait être une fin de partie pour nous, mais cela pourrait aussi être une fin de partie pour eux. Ils ont un calendrier strict. Ils doivent obtenir des taux de vaccination proches de 100% dans les deux prochaines années ou plus tôt. Ils doivent mettre en place leurs passeports vaccinaux dans les deux prochaines années ou plus tôt. Et ils doivent instaurer des conditions de confinement permanent à court terme pour étouffer la dissidence croissante. Nous sommes maintenant dans une sorte de course dans laquelle les mondialistes doivent mettre en œuvre leur programme aussi vite que possible, tandis que nous devons résister et les retenir jusqu’à ce que la vérité devienne évidente pour les masses ; la vérité que les confinements, les mandats et les vaccins n’ont jamais eu pour but la sécurité, mais le contrôle – du contrôle social au contrôle de la population.

Traduction de Alt-Market.us par Aube Digitale




Le plan de « force de frappe » de Biden sur les vaccins pue le désespoir

Par Brandon Smith

S’il y a une règle dont les esprits libres doivent se souvenir, c’est que l’establishment n’aime pas perdre le contrôle de la version officielle. Et quand il le fait, des choses bizarres commencent à se produire. Par exemple, il devient douloureusement évident que le récit sur les « vaccins » expérimentaux à ARNm a glissé entre les doigts de l’administration Biden et, par conséquent, ils sont maintenant dans une course effrénée pour injecter des millions de vaccins dans autant de bras sceptiques que possible avant que le public ne s’organise pour repousser l’ordre du jour. Il me semble qu’ils sont un peu en train de paniquer.

Le problème est devenu plus évident depuis janvier, lorsque diverses entités gouvernementales et les médias ont commencé à se plaindre ouvertement du nombre de doses de vaccins jetées à la poubelle en raison de leur péremption. Pourquoi les vaccins arrivaient-ils à expiration avant d’être utilisés ? Les médias suggèrent que c’est dû à la « mauvaise gestion du gouvernement », alors que les responsables au niveau de l’État ont admis que c’était dû à une baisse significative de la demande.

Entre-temps, Biden a expédié plus de 500 millions de doses de vaccin contre la coqueluche à l’étranger en juin, tout en affirmant que les États-Unis étaient en bonne voie pour atteindre son objectif de 70 % de vaccination pour le 4 juillet. Inutile de préciser que cela ne s’est jamais produit. L’administration Biden affirme maintenant que la population américaine est vaccinée à 67%, et si cela était vrai, elle serait très proche des directives originales d’Anthony Fauci en matière d’immunité collective. Alors pourquoi tout ce battage autour des personnes non vaccinées ?

Tout d’abord, Fauci n’a cessé de déplacer les objectifs de l’immunité de groupe au point de dire au public d’ignorer complètement l’immunité de groupe et que la seule option est de faire vacciner TOUT LE MONDE. Beaucoup d’entre nous, dans les médias libres, ont dit que c’était exactement ce qu’il ferait, et il s’est avéré être incroyablement prévisible. Deuxièmement, les chiffres de vaccination des CDC semblent être gonflés afin de créer un consensus artificiel.

Tout en revendiquant un taux de vaccination global de 67 %, les statistiques des CDC indiquent un maximum d’environ 184 millions d’Américains ayant reçu au moins une dose, puis indiquent 160 millions de personnes ayant reçu une double dose. Pourtant, selon la carte de données de la Mayo Clinic, seuls quatre États ont un taux de vaccination de 67 % ou plus, tous situés dans le Nord-Est. Même la Californie et New York sont bien en dessous de 67 %, et la grande majorité des États se situent autour de 50 % ou moins.

Franchement, je ne crois pas du tout aux chiffres de vaccination des CDC. Les chiffres des nouveaux dosages sont en chute libre à travers les États-Unis, selon les responsables des États ; tous ceux qui n’ont pas été vaccinés à ce jour ne le seront pas à moins d’y être contraints. Il n’y a pas de longues files d’attente pour les vaccins. Pas de temps d’attente. Les CDC ont même supprimé le temps d’attente entre les doses. Et pourtant, CVS et Walgreens ont jeté des doses périmées par centaines de milliers.

Si nous regardons les statistiques des CDC concernant la vaccination complète, nous sommes plus proches de 51 % de la population américaine totale, ce qui correspond plus précisément aux statistiques de la Mayo Clinic. Rien n’indique que ce pourcentage dépassera bientôt la barre des 51 %, si tant est que les statistiques soient exactes.

Cela signifie qu’au moins la moitié de la population américaine est en désaccord avec le programme. C’est probablement la raison pour laquelle Fauci et Biden sont devenus plus agressifs dans leur programme de vaccination le mois dernier. S’ils obtenaient les taux de vaccination de près de 70 % qu’ils revendiquent, ils ne se plaindraient pas avec indignation des personnes non vaccinées. Les statistiques montrent qu’un nombre ÉNORME d’Américains refusent de se faire vacciner – Nous sommes une vaste armée, et c’est une bonne chose.

Pourquoi ? Parce qu’il n’y a tout simplement aucune raison de prendre le vaccin expérimental à ARNm.

FAIT : Covid-19 a un IFR (taux de mortalité par infection) médian de 0,26% ou moins.

Pourquoi prendre un vaccin expérimental plutôt qu’un virus auquel 99,7% de la population, en dehors des maisons de retraite, survivra facilement ? Dans mon comté, seules 17 personnes sont mortes du covid en 16 mois, dont beaucoup dans des maisons de retraite. La majorité de la population a également cessé de porter des masques et mis fin aux confinements environ trois mois après l’épidémie initiale, lorsqu’il est apparu clairement que le covid n’était rien. Le variant dit « Delta » est également très présent ici, et ni les décès ni les infections n’ont augmenté de manière notable.

La plupart des gens ici ont déjà eu le virus, et c’était essentiellement comme une mauvaise grippe avec un coup de fouet supplémentaire ou un brouillard cérébral supplémentaire. Après environ une semaine, les gens se sont rétablis. C’est facile. Je comprends parfaitement les inquiétudes des gens lorsque la pandémie a commencé ; nous n’avions aucune idée de ce à quoi nous avions affaire. Cependant, après quelques mois, la réalité s’est imposée. La peur et la terreur délirantes que suscite le Covid ne sont plus qu’une paranoïa complaisante.

FAIT : Les infections et les décès dus au Covid ont commencé à s’effondrer bien avant que les vaccins ne soient répandus.

Les médias grand public suggèrent continuellement que les vaccins sont la raison de la chute des infections, mais c’est un mensonge. Les cas de covid ont atteint un pic en janvier 2021, puis ont chuté de façon vertigineuse. En février 2021, seuls 5,9 % de la population américaine avaient reçu au moins une dose du cocktail à ARNm. Dans les États conservateurs où les mandats ont été levés bien avant les États bleus et où les vaccinations sont moins nombreuses, les infections et les décès ont chuté encore plus rapidement. Les vaccins n’ont RIEN à voir avec la baisse des infections. Rien du tout.

FAIT : Au moins 81% des personnes qui ont eu le covid sont peu susceptibles d’être réinfectées.

[Note de Joseph. Du point de vue d’une démarche scientifique rigoureuse (voir Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial), il ne s’agit pas d’un fait, mais d’une statistique interprétée en provenance d’un fait. Le fait est que les personnes qui ont eu une maladie représentée par des symptômes particuliers ont peu tendance à retomber malades de la même maladie, sauf lorsque celle-ci est chronique (ce qui signifie alors qu’ils n’ont jamais trouvé le moyen d’en éliminer les causes). Ce fait peut s’interpréter tout à fait différemment et de manière bien plus logique que celle de l’hypothèse, jamais vraiment démontrée, d’une prétendue « immunité collective ». Tout simplement, le corps humain peut s’habituer ou s’adapter dans une certaine mesure et à la longue à certaines sources d’empoisonnement qui le rendent malade.]

Fauci continue d’ignorer la science de l’immunité de groupe et rejette complètement les personnes qui ont contracté le covid comme étant immunisées. Pourtant, c’est la réalité. Si nous comptons le grand nombre de personnes qui ont contracté le covid, alors les Etats-Unis ont atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. C’est pourquoi les infections et les décès ont chuté d’une falaise, pas à cause des vaccinations.

FAIT : Les vaccins à ARNm n’ont AUCUNE donnée de test à long terme les soutenant ou prouvant leur sécurité.

Les tests initiaux pour un vaccin expérimental moyen durent de 2 à 4 ans, puis plusieurs années d’observation et de tests supplémentaires sont nécessaires avant l’approbation. Globalement, les vaccins sont censés être testés et re-testés pendant 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vaccins à ARNm anti-covid ont été mis à la disposition du public en quelques mois, sans approbation officielle de la FDA et sans données à long terme, du moins aucune qui ait été révélée ouvertement. Le résultat final est que nous n’avons aucune idée des effets secondaires à long terme de ces vaccins. Cependant, certains experts tirent la sonnette d’alarme…

FAIT : De nombreux experts en vaccins mettent en garde contre les troubles auto-immuns et l’infertilité potentiellement dangereux causés par les vaccins expérimentaux à ARNm, y compris le médecin qui a inventé la technologie à ARNm.

Nous avons reçu de nombreux avertissements d’experts en virologie et en vaccins appelant à la prudence en ce qui concerne les vaccins anti-covid. L’ancien vice-président de Pfizer Michael Yeadon et plusieurs de ses associés médicaux ont publié un appel à l’arrêt des vaccinations jusqu’à ce que des tests supplémentaires puissent être effectués. Yeadon a spécifiquement mis en garde contre d’éventuels troubles auto-immuns et des effets secondaires sur l’infertilité. Il a depuis été attaqué sans relâche par les médias.

L’inventeur du vaccin à ARNm, le Dr Robert Malone, s’est exprimé sur les dangers de la thérapie génique à ARNm, soulignant spécifiquement que la protéine spike que le vaccin anti-covid indique à vos cellules de fabriquer pourrait présenter des risques pour la santé à long terme, notamment des caillots sanguins et l’infertilité chez les femmes. L’interview de Malone a depuis été effacée de YouTube et ses réalisations ont été discrètement retirées de sites web comme Wikipedia. Il est lentement dépersonnalisé.

Enfin, dans les hôpitaux du pays, 30 % des professionnels de santé ont refusé de se faire vacciner. Certains n’ont pris le vaccin que parce que leur emploi était menacé.

L’argument des médias sous contrôle contre des avertissements comme ceux-ci de la part d’experts en la matière est qu’ils sont « fous » et doivent être rejetés. Donc, seuls les professionnels de la santé qui reçoivent un salaire du gouvernement et qui sont d’accord avec les mandats du gouvernement sont en quelque sorte « sains d’esprit » ? Intéressant…

Lorsque l’éclairage gazeux ne fonctionne pas, les doreurs d’image (sans mauvais jeu de mots) sortent une logique floue classique, affirmant qu’il n’y a « aucune preuve que les vaccins causent des dommages ». C’est manifestement faux, car toute personne effectuant une recherche rudimentaire constatera que de nombreuses personnes dans le monde sont mortes ou ont souffert d’effets secondaires après avoir été vaccinées. Mais, bien sûr, les défenseurs des vaccins affirment que ce n’est pas une « preuve » à 100 % que les vaccins sont globalement dangereux.

Eh bien, il n’y a également AUCUNE PREUVE que les vaccins sont sans danger. Il n’y a pas de données de sécurité à long terme. Et dans la science médicale, la règle est de pécher par excès de prudence, de ne pas prendre de risques inconsidérés pour un virus qui ne représente aucune menace pour 99,7 % de la population.

Permettez-moi donc d’être parfaitement clair avec la secte du covid qui ne comprend pas la science médicale de base – La charge de la preuve VOUS incombe, ainsi qu’au gouvernement et aux sociétés pharmaceutiques, et non à nous. VOUS devez prouver que les vaccins sont sûrs, par des tests à long terme. Ce n’est pas à nous d’accepter le vaccin et de devenir les cobayes de la plus grande expérience médicale du monde, fondée sur une foi aveugle et des opinions vides étayées par aucune donnée.

Les « forces de frappe de la vaccination » de Biden

Ces faits, et bien d’autres encore, sont en train d’être digérés par le public américain et les résultats sont clairs : des millions et des millions d’entre nous ne prendront pas le vaccin. Cela ne se fera pas. Nous allons nous battre plutôt que de nous conformer, et nous finirons par gagner. Le programme mondialiste du Grand Reset exige une vaccination totale, des passeports vaccinaux et une conformité totale. Ils ne l’obtiennent pas, donc le résultat naturel sera une tentative de forcer les personnes non vaccinées à accepter le vaccin.

Récemment, Biden a annoncé un plan visant à déployer des « équipes d’enquête » dans toute l’Amérique, qui feraient du porte-à-porte, comme des agents de recensement, afin de déterminer qui a pris les vaccins et qui ne les a pas pris. Ces équipes « encourageraient » également les personnes qui ne sont pas vaccinées à se faire vacciner dans un endroit proche.

Ces enquêtes sont, à mon avis, plus une ruse qu’autre chose. Elles ne peuvent pas recueillir des chiffres exacts car elles n’ont aucun moyen de savoir si les gens disent la vérité ou non. Le but probable de ces enquêtes est de localiser les foyers qui refusent par principe de parler aux équipes et de les marquer comme « problématiques ».

L’attachée de presse de Biden a laissé échapper un langage intéressant sur ces équipes, révélant peut-être leur véritable intention lorsqu’elle les a appelées « forces de frappe ». Est-ce à dire que l’objectif initial sera de forcer les gens à prendre le direct sur le pas de leur porte ? Non, pas dans l’immédiat. Cependant, je pense que les équipes d’enquête sont la prochaine étape vers cette politique à l’avenir.

Pour l’instant, la secte du covid utilise les entreprises pour imposer des mandats médicaux en exigeant que les employés et même les clients se fassent vacciner avant de pouvoir accéder à un emploi ou à des services. C’est inacceptable, car bon nombre de ces entreprises ont bénéficié d’injections de relance sans fin de la part du gouvernement et sont donc redevables aux contribuables. Leurs droits de propriété privée ne s’étendent pas au contrôle de nos décisions ou de nos antécédents médicaux personnels.

Toute société ou entreprise qui exige une preuve de vaccination au nom du gouvernement ou des mondialistes devrait être mise au piquet et mise au pas. Toute entreprise concurrente qui refuse de demander des passeports vaccinaux devrait être soutenue par le public et protégée des représailles du gouvernement. Mon État natal, le Montana, a rendu illégal le fait que des entreprises demandent des passeports vaccinaux, mais de nombreux États ne l’ont pas fait. C’est aux Américains ordinaires, au niveau local, de faire savoir aux entreprises qu’ils ne toléreront pas la tyrannie médicale.

Par extension, les équipes de sondage de Biden sont à proscrire. Elles sont le précurseur des vaccinations forcées au porte-à-porte et de la pression invasive du gouvernement fédéral sur un certain nombre d’autres questions. Cela s’appelle « l’incrémentalisme », et ils pensent que nous sommes trop distraits pour le remarquer. Au fur et à mesure que l’ordre du jour continue de s’effondrer aux États-Unis, l’establishment va se désespérer. Lorsque les mandats de passeport vaccinal des entreprises échoueront (et ils échoueront), ils devront prendre des mesures violentes à court terme pour obtenir ce qu’ils veulent.

Ces équipes devraient être expulsées de toutes les communautés dans lesquelles elles se présentent. Elles ne devraient pas être autorisées à faire du porte-à-porte. Le mouvement pour la liberté gagne un terrain incroyable dans ce combat, mais cela signifie que les élites deviendront plus déséquilibrées et plus dangereuses dans leur rhétorique et leurs actions. Lorsque les obsédés du contrôle et les psychopathes n’obtiennent pas ce qu’ils veulent, ils ont tendance à piquer des crises de colère épiques.

Traduction de Alt Market par Aube Digitale




Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ?

[Source : Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ? – Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith − Le 3 juin 2021 − Source Alt-Market

En avril dernier, j’ai publié un article intitulé « Les globalistes auront besoin d’une autre crise en Amérique alors que leur programme de Grand Reset échoue ». J’y notais une tendance étrange dont beaucoup d’entre nous, dans les médias libertariens, ont pris conscience au fil des ans – Presque toutes les catastrophes majeures causées par l’homme aux États-Unis et dans de nombreuses autres parties du monde au cours des deux dernières décennies ont été précédées d’un  « exercice »  gouvernemental ou globaliste. Ces exercices et jeux de guerre ont tendance à imiter la catastrophe exacte qui frappera finalement le public quelques jours ou semaines plus tard. Parfois, les exercices de simulation de catastrophe et les événements réels se produisent en même temps.

La pandémie de Covid-19 n’a pas fait exception. C’est assez miraculeux…

J’ai spécifiquement souligné la « coïncidence » bizarre de l’exercice Event 201 du Forum économique global, un jeu de guerre cofinancé par Bill Gates et l’Université Johns Hopkins et lancé en octobre 2019. Event 201 simulait une nouvelle pandémie globale de coronavirus zoonotique (censée se propager des chauves-souris à l’homme) qui « nécessitait » une réponse globale de confinement. Seulement deux mois plus tard, la vraie chose s’est réellement produite. Presque tous les aspects de l’événement Covid se sont déroulés exactement comme cela avait été prévu lors du jeu de guerre du Forum économique mondial.

Un élément très inquiétant de la réponse à la Covid-19 a été la campagne de suppression coordonnée par les plateformes Big Tech, de YouTube à Facebook et Twitter. Cette campagne a cherché à saper ou à détruire tous les faits, données et opinions qui vont à l’encontre du discours gouvernemental sur la Covid-19, même si le discours officiel sur la Covid-19 finit par être complètement faux. La stratégie a été décrite en détail lors de l’« Event 201 » et elle a été exécutée avec une extrême efficacité parmi des entreprises et des gouvernements supposés déconnectés dans le monde entier. C’est presque comme s’ils SAVAIENT qu’une pandémie de coronavirus était sur le point de se produire et qu’ils avaient déjà mis en place une stratégie pour contrôler la réaction du public bien à l’avance.

Et soyons clairs, car je ne veux pas paraître ambigu : le Forum économique mondial et ses partenaires globalistes ont été les premiers bénéficiaires de la pandémie. Comme le chef du FEM, Klaus Schwab, l’a fait remarquer avec enthousiasme à maintes reprises, la pandémie est une « occasion » parfaite pour les globalistes d’accélérer ce qu’ils appellent le programme du « Grand Reset »  – un plan visant à démanteler complètement le cadre politique et économique actuel du monde et à le reconstruire en une civilisation socialiste hautement centralisée dans laquelle ils ont un contrôle total et où la liberté individuelle n’est plus qu’un vague souvenir.

C’est pourquoi les récentes révélations sur les origines probables de la Covid d’un laboratoire ne sont pas du tout surprenantes. Le simple fait de mentionner cette idée il y a un an dans les médias sociaux suffisait à vous faire bannir. Et, si vous voulez savoir où trouver la vérité, regardez toujours en premier lieu les sujets dont vous n’êtes pas autorisé à discuter. Comme je l’ai déclaré dans mon article « Comment la pandémie virale profite à l’agenda globaliste », publié en janvier 2020 au tout début de l’épidémie :

J’ai du mal à ignorer l’étrange  « coïncidence » des laboratoires de haut niveau en matière de risques biologiques à Wuhan en faveur de l’idée que le virus a été lancé par hasard en raison des régimes alimentaires bizarres des Chinois du centre. Au vu des preuves, il semble que le coronavirus ait été mis en gestation dans un laboratoire, et non dans la soupe de chauve-souris et de serpent de quelqu’un. En 2017, des scientifiques extérieurs à la Chine ont averti que ces laboratoires n’étaient pas sécurisés et qu’un virus pouvait s’échapper de l’une des installations… J’utiliserais le terme « échapper » de manière vague, car il est possible que cet événement ait été créé intentionnellement…

Des élites comme le Dr Anthony Fauci (un proche associé de Bill Gates et Bill Gates SR.) ont directement financé des études au laboratoire de Wuhan par le biais du NIAID depuis 2015, et ont spécifiquement financé l’étude du transfert infectieux des coronavirus des chauves-souris vers d’autres mammifères, y compris les humains. Et oui, le NIAID était en fait impliqué dans des expériences de « gain de fonction » utilisant des variantes du SRAS et du coronavirus à cette époque, malgré les affirmations contraires d’Anthony Fauci. Le site Web de l’Institut national de la santé le confirme.

Tous ces faits étayent l’argument selon lequel la Covid-19 est une arme biologique créée en laboratoire et, selon moi, d’après les preuves recueillies jusqu’à présent, il a été diffusé délibérément en étroite collaboration avec le gouvernement chinois. Fauci a même en quelque sorte « prédit » en 2017 que Donald Trump serait confronté à une « épidémie surprise de maladie infectieuse » pendant sa présidence, déclarant que « Nous serons certainement surpris dans les prochaines années… »

Le stratagème a certainement fonctionné dans une certaine mesure. Dans une grande partie de l’Europe, de l’Asie et de l’Australie, le FEM obtient ce qu’il a toujours voulu.

Cela dit, certaines choses ne se sont pas déroulées comme prévu. Par exemple, l’« Event 201 » prévoyait la mort de 65 millions de personnes au cours de la première année de la pandémie ; cela ne s’est pas produit, et ce n’est pas parce que les gouvernements ont sauvé des vies. En fait, les confinements et les restrictions gouvernementales n’ont rien fait pour empêcher la propagation de la Covid-19 et des études indépendantes ont prouvé que les mandats de masquage étaient totalement inefficaces pour arrêter le virus. Le nombre relativement faible de victimes s’explique par le fait que le taux de mortalité de la Covid-19 n’est que de 0,26 % chez les personnes en bonne santé. Le seul endroit où la Covid-19 représente une véritable menace est dans les maisons de retraite, chez les personnes âgées souffrant de maladies préexistantes.

En raison des erreurs de calcul des élites, le programme de Reset semble échouer dans certaines parties du monde. Aux États-Unis, la résistance aux mesures de confinement et aux vaccins expérimentaux s’est développée de manière exponentielle, au point que des dizaines d’États ont adopté des lois interdisant l’application des restrictions sur les malades de la Covid-19 et les « passeports médicaux ».

Les médias alternatifs ont également prouvé leur résistance à la censure et à la suppression de l’information, et il a été prouvé que nous avions raison à maintes reprises. Nous avons été les premiers à avertir que le taux de mortalité de la Covid-19 était exagéré (l’OMS et d’autres institutions de l’establishment avaient prédit un taux de mortalité d’au moins 3 %, bien au-dessus de la réalité). Nous avons été les premières personnes à avertir que les mesures de confinement et les règles relatives aux masques n’ont rien fait pour arrêter la propagation (les États qui ont supprimé les restrictions ont vu le nombre d’infections et de décès chuter). Nous avons été les premiers à signaler que le virus se comportait davantage comme une arme biologique et que son origine était plus vraisemblablement le laboratoire de niveau 4 de Wuhan, en Chine, situé juste à côté du marché aux animaux qui, selon le gouvernement chinois, était à l’origine de l’épidémie.

Nous avons également été les premiers à avertir que la pandémie serait utilisée pour justifier l’application des passeports vaccinaux, ce qui créerait une société à deux vitesses conçue pour forcer les personnes qui ne veulent pas prendre les vaccins à ARNm à se conformer. Nous avons eu raison une fois de plus puisque l’État de l’Oregon est devenu le premier aux États-Unis à exiger une preuve de vaccination (un passeport) avant que les résidents puissent entrer dans n’importe quel commerce ou établissement.

Tout au long de cet événement, nous avons été traités de « théoriciens de la conspiration » par les bureaucrates du gouvernement et les médias. Mais nous avions raison sur presque tout, et les grands médias ont eu tort sur presque tout. Soit cela, soit ils ont sciemment menti sur presque tout.

Il est important de comprendre cette dynamique car je pense que la situation est loin d’être terminée et que d’autres événements de crise sont sur le point de se produire (ou qu’ils se produiront comme par magie par coïncidence).

Ce qui me préoccupe le plus en ce moment, c’est le prochain exercice « Cyberpolygon » dirigé par le FEM en juillet. Ce jeu de guerre est censé « simuler » une cyberattaque contre des infrastructures vitales qui entraînerait l’arrêt de la chaîne d’approvisionnement globale, ou du moins des chaînes d’approvisionnement de certains pays. Comme je l’ai signalé en avril, le calendrier du Cyberpolygon est suspect. Comme le programme de confinement des malades de la Covid-19 est en train de s’effondrer aux États-Unis et que les passeports vaccinaux ne remportent pas la faveur d’un grand pourcentage d’Américains, les globalistes auront besoin d’une autre crise, s’ils espèrent atteindre leurs objectifs pour leur Grand Reset.

[Voir aussi : La quatrième phase de Schwab]

Quelques semaines seulement après que j’ai publié mes premières inquiétudes concernant le Cyberpolygon, une cyberattaque massive a été signalée, qui a frappé le Colonial Pipeline, long de 5 500 miles. Ce pipeline fournit de l’essence à la majeure partie de la côte est et, après une semaine de fermeture, de nombreux États ont signalé des pénuries d’essence. L’histoire s’est depuis tranquillement effacée des grands cycles d’information.

Ces derniers jours, une autre cyberattaque majeure a été signalée contre JBS, une entreprise de viande qui fournit environ 23 % de l’ensemble du bœuf et du porc américains. La production de JBS s’est arrêtée, et il y a maintenant une possibilité de pénurie de viande dans tout le pays si les problèmes ne sont pas résolus rapidement.

Encore une fois, est-ce une coïncidence que ces cyberattaques de grande envergure se produisent plus fréquemment à l’approche de la simulation Cyberpolygon du FEM ? Ou bien, Cyberpolygon est-il un autre Event 201 ? S’agit-il d’un test bêta pour une catastrophe prévue dans un avenir proche ? Le FEM compare ouvertement les futures cyberattaques à des épidémies de Covid-19, je suis donc enclin à soupçonner la seconde hypothèse :

La question de la chaîne d’approvisionnement est passée au premier plan dans le sillage de la pandémie, car les détaillants ont dû faire face à des pénuries intermittentes et les fabricants à un manque de composants. En outre, les problèmes d’inflation pèsent également sur les approvisionnements. Cela dit, une cyberattaque est une toute autre affaire ; que l’événement soit réel ou non, la chaîne d’approvisionnement est fragile en raison de l’interdépendance globale. Aux États-Unis, de nombreux produits de première nécessité dépendent de fabricants étrangers ou du système de fret « juste à temps ». La préparation et le stockage à long terme ne font pas partie du vocabulaire de l’entreprise américaine commune.

Je ne sais pas vraiment si la chaîne d’approvisionnement pourrait être complètement interrompue par une cyberattaque, mais en combinaison avec l’inflation et des restrictions draconiennes en cas de pandémie, il est possible de perturber le flux de marchandises pendant des semaines. Il est également impossible de prévoir combien de personnes sont préparées à une telle calamité. J’espère que plus de 30 % des Américains ont au moins commencé à se préparer, mais il ne fait aucun doute que la majorité du pays ne l’est pas. Il suffirait de quelques semaines de pénurie ou d’un scénario de panne de réseau pour que la plupart des gens soient confrontés à la famine, entre autres choses.

Si l’Event 201 est une indication, nous devons rester vigilants et surveiller attentivement une autre cyberattaque majeure affectant la chaîne d’approvisionnement dans les deux mois suivant l’exercice Cyberpolygon du FEM en juillet.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




L’Empire des clowns contre le Péril jaune

[Source : reseauinternational.net]

par Pepe Escobar.

Le Sud global ne sera pas impressionné par le nouveau projet d’infrastructure B3W financé par des intérêts occidentaux privés qui ne cherchent que le profit à court terme.

Il faut faire preuve d’une grande incrédulité pour considérer que le G7, le club le plus exclusif des démocraties, est pertinent pour les Raging Twenties. Dans la réalité, même en tenant compte de l’inégalité structurelle inhérente au système mondial actuel, la production économique du G7 représente à peine 30% du total mondial.

Cornouailles a été, au mieux, un spectacle embarrassant, avec une troupe de médiocres se faisant passer pour des « leaders » posant pour des séances de photos masqués coude à coude – alors que lors d’une fête privée avec la reine d’Angleterre, âgée de 95 ans, tout le monde était sans masque et se mêlait joyeusement dans une apothéose de « valeurs partagées » et de « droits de l’homme ».

La quarantaine à l’arrivée, les masques imposés 24/7 et la distanciation sociale, bien sûr, c’est seulement pour la plèbe.

Le communiqué final du G7 est l’habituel océan jonché de platitudes et de promesses. Mais il contient quelques pépites. Commencez par « Build Back Better » – ou B3 – qui apparaît dans le titre. B3 est désormais le code officiel de la Grande Réinitialisation et du Green New Deal.

Ensuite, il y a le remix du Péril jaune, avec les troupes de choc « nos valeurs » qui « appellent la Chine à respecter les droits de l’homme et les libertés fondamentales », avec un accent particulier sur le Xinjiang et Hong Kong.

L’histoire derrière tout cela m’a été confirmée par une source diplomatique de l’UE, une réaliste. (Oui, il y en a à Bruxelles).

L’enfer s’est déchaîné à l’intérieur de la salle – exclusive – du G7 lorsque l’axe anglo-américain, soutenu par un Canada mou, a essayé de pousser l’UE-3 et le Japon à condamner explicitement la Chine dans le communiqué final au sujet des violations des droits de l’homme qui auraient été commises au Xinjiang.

Contrairement aux accusations politisées de « crimes contre l’humanité » à l’encontre de la population musulmane ouïghoure du Xinjiang, la meilleure analyse de ce qui s’y passe réellement a été publiée par le collectif Qiao, qui se décrit comme un collectif de médias chinois de la diaspora contestant l’agression américaine contre la Chine.

L’Allemagne, la France et l’Italie – le Japon était presque invisible – ont au moins montré un peu de cran. L’internet a été coupé dans la salle pendant le « dialogue » très dur. En parlant de réalisme, on peut dire qu’il s’agit d’une véritable représentation des « leaders » qui vocifèrent à l’intérieur d’une bulle.

La dispute a essentiellement opposé Biden – en fait ses manipulateurs – à Macron, qui a insisté pour que l’UE-3 ne soit pas entraînée dans la logique d’une Guerre froide 2.0. C’est un point sur lequel Merkel et Mario « Goldman Sachs » Draghi pouvaient facilement s’accorder.

En fin de compte, la table divisée du G7 a choisi de se mettre d’accord sur une « initiative » intitulée « Build Back Better World » – ou B3W – pour contrer l’Initiative Ceinture et Route (BRI) pilotée par la Chine.

Réinitialisation ou autre chose

Comme on pouvait s’y attendre, la Maison Blanche a préempté le communiqué final du G7. Une déclaration retirée ultérieurement de son site web, remplacée par le communiqué officiel, assure que « les États-Unis et nos partenaires du G7 restent profondément préoccupés par l’utilisation de toutes les formes de travail forcé dans les chaînes d’approvisionnement mondiales, notamment le travail forcé des groupes et minorités vulnérables parrainé par l’État et les chaînes d’approvisionnement des secteurs de l’agriculture, de l’énergie solaire et de l’habillement – les principales chaînes d’approvisionnement concernées au Xinjiang ».

« Le travail forcé » est le nouveau mantra reliant habilement la diabolisation superposée à la fois du Xinjiang et de l’Initiative Ceinture et Route. Le Xinjiang est la plaque tournante cruciale qui relie la Ceinture et la Route à l’Asie centrale et au-delà. Le nouveau mantra sur le « travail forcé » ouvre la voie à l’entrée du B3W dans l’arène en tant que paquet « sauveur » des droits de l’homme.

Nous avons ici un G7 bienveillant qui « offre » au monde en développement un vague plan d’infrastructure reflétant les « valeurs », les « normes élevées » et la façon de faire des affaires du groupe, en opposition avec la marque de fabrique du Péril jaune, son manque de transparence, ses pratiques horribles en matière de travail et d’environnement ainsi que ses méthodes de coercition.

Traduction : près de huit ans après l’annonce de l’Initiative Ceinture et Route par le président Xi Jinping, années pendant lesquelles l’initiative chinoise a été ignorée et/ou diabolisée 24/7, le Sud global est censé s’émerveiller devant une vague « initiative » financée par des intérêts privés occidentaux dont la priorité est le profit à court terme.

Comme si le Sud global allait se laisser prendre à ce gouffre à dettes remixé du FMI et de la Banque mondiale. Comme si « l’Occident » avait la vision, l’attrait, la portée et les fonds nécessaires pour faire de ce projet une véritable « alternative ».

Il y a peu de détails sur le fonctionnement du B3W, ses priorités et la provenance des capitaux. Les idéalisateurs du B3W feraient mieux de s’inspirer de la Ceinture et la Route elle-même, via le professeur Wang Yiwei.

Le B3W n’a rien à voir avec une stratégie de commerce et de développement durable destinée aux pays du Sud global. Il s’agit d’une carotte illusoire que l’on fait miroiter à ceux qui sont assez fous pour croire à la notion d’un monde divisé entre « nos valeurs » et les « autocraties ».

Nous revenons au même vieux thème : armé de l’arrogance de l’ignorance, « l’Occident » n’a aucune idée de la manière de comprendre les valeurs chinoises. Le biais de confirmation s’applique. D’où la Chine comme « menace pour l’Occident ».

Nous sommes des bâtisseurs de choix

Plus inquiétant encore, le B3W est un autre bras de la Grande Réinitialisation. Pour approfondir le sujet, il suffit d’examiner « Building a Better World For All » (Construire un meilleur monde pour tous) de Mark Carney.

Carney occupe une position unique : ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, envoyé spécial de l’ONU pour l’action climatique et la finance, conseiller du premier ministre Boris « Global Britain » Johnson et du premier ministre canadien Justin Trudeau et administrateur du Forum économique mondial. Traduction : un grand idéologue de la Grande Réinitialisation, du Green New Deal et du B3W.

Son livre – qui devrait être lu en tandem avec l’opus de Klaus Schwab sur le Covid-19 – prêche le contrôle total des libertés individuelles ainsi qu’une réinitialisation de l’industrie et du financement des entreprises. Carney et Schwab qualifient le Covid-19 comme « l’opportunité » parfaite pour la réinitialisation, dont l’aspect bénin et altruiste met l’accent sur une simple « régulation » du climat, des affaires et des relations sociales.

Ce Brave New World éveillé qui vous est présenté par une alliance de technocrates et de banquiers – du Forum économique mondial et de l’ONU aux manipulateurs de l’hologramme Biden – semblait jusqu’à récemment avoir le vent en poupe. Mais des signes à l’horizon révèlent que c’est loin d’être une affaire réglée.

Les propos tenus par Tony Blair, l’un des piliers du B3W, en janvier dernier, sont révélateurs : « Plus tôt nous le comprendrons et plus tôt nous commencerons à mettre en place les décisions nécessaires pour avoir un impact profond au cours des prochaines années, mieux ce sera ».

Blair, dans un lapsus freudien, non seulement dévoile le jeu (« impact profond au cours des prochaines années », « monde nouveau ») mais révèle également son exaspération : les moutons ne sont pas rassemblés aussi rapidement que nécessaire.

Tony sait qu’il y a toujours la bonne vieille punition : si vous refusez le vaccin, vous devez rester enfermé.

Le B3W représente d’ailleurs une catégorie hétérodoxe de films pornographiques. Le B3W peut finalement se révéler n’être qu’un porno social toxique.

Pepe Escobar


source : https://asiatimes.com

traduit par Réseau International




Note sur le bouchon de Suez

Par Joseph Stroberg

Incident purement fortuit ou volontaire, à qui peut-il nuire et à qui peut-il profiter ?

Quelques éléments de réflexion :

Le navire porte-containers qui bouche le Canal de Suez appartient à une compagnie taïwanaise, sachant que Taïwan est alliée des États-Unis, mais fortement hostile à la Chine communiste.

La nouvelle route de la soie développée par la Chine peut devenir d’autant plus utile et nécessaire que le flux maritime est réduit.

Depuis plusieurs années, les mondialistes semblent favoriser la Chine au détriment des États-Unis dans le but de faire s’effondrer le dollar et de faciliter ainsi le Grand Reset.

Le Grand Reset s’inscrit dans la stratégie du chaos contrôlé.

La « plandémie » Covid-19 engendre le chaos économique.

Le bouchon du canal augmente ce chaos.




Le Texas mène à la liberté

[Source : Entre La Plume et l’Enclume (plumenclume.org)]

Par Israël Adam Shamir

L’araignée a découvert une guêpe qui s’échappait de sa toile. Elle est furax. Comment ose-t-elle ? La guêpe avait été capturée, ligotée, empoisonnée. Elle était prête à être tuée et dévorée. Et tout à coup, la voici qui se réveille et qui déchire la toile. Espèce de Neandertalienne! s’exclame l’araignée enragée, vous finirez comme les Néandertaliens, bande de dodos, Ruphus Cucullatus éteints pour toujours !

C’est ce que Biden a dit aux habitants du Texas qui ont osé se libérer de son régime de masques. Biden, le roi des morts et son équipe étaient sûrs de tenir le monde sous leur contrôle ; ils avaient prévu de mener l’humanité à la Grande Réinitialisation, à la fin sinistre de l’Homo Sapiens, à la cruelle dystopie des esclaves masqués gouvernés par les algorithmes de Google. Mais les Texans ont changé le cours de l’histoire. Ils ont été immédiatement suivis par le Mississippi, l’Iowa, le Montana et le Dakota du Nord ; les États qui avaient voté pour Trump et pour la liberté.

La population a accueilli avec joie cette décision sage et courageuse, rapporte le Daily Mail :

Oxford, où se trouve Ole Miss, a vu les gens sortir en force, se précipiter au restaurant et envahir les magasins… En Floride, les Spring Breakers ont également abandonné les masques alors que les étudiants, bikini à l’air, s’engouffraient sur les plages et s’entassaient dans les bars de Miami et de Fort Lauderdale pour donner le coup d’envoi à leurs vacances. Et dans l’Idaho, un groupe s’est réuni pour brûler ses masques devant le Capitole pour protester contre les restrictions COVID-19 après que d’autres États aient décidé cette semaine de s’asseoir sur les ordres et de rouvrir à tout bout de champ. Un groupe d’enfants a rejoint les parents, dont plusieurs étaient armés, pour brûler des photos de Joe Biden et de Nancy Pelosi, avant de jeter leurs masques chirurgicaux au feu ».

Les gouverneurs ont condamné Biden pour son injure à Néandertal. C’est pire qu’une insulte : c’était une menace de meurtre pour les électeurs de l’Union européenne, rien de moins. Les Néandertaliens, nos ancêtres intelligents mais peu bavards, ne sont pas morts d’ennui : ils ont été exterminés par leurs cousins plus avancés. Le président américain a même menacé de « nettoyage » son propre peuple, comme les Néandertaliens ont été nettoyés. Avait-il l’intention de semer un nouveau virus à Houston pour atteindre cet objectif ? Ou bien prévoit-il de remplacer les Texans – trumpistes et déplorables – par un flot de nouveaux immigrants d’Amérique latine qui voteront pour Biden ? Pour ce faire, il a déjà ouvert les portes de la frontière mexicaine et rompu les accords que Trump avait conclus avec les Latino-Américains. Le président Trump a longuement commenté ces changements au Comité d’action politique des conservateurs à Orlando, en Floride, mais il n’est pas facile de trouver et de regarder ce discours, car YouTube en a retiré pratiquement toutes les copies qui ont été publiées. (En voici une que j’ai trouvée.) Je pense que la menace de Biden constitue une bonne raison pour déclencher sa destitution, et à défaut, pour faire sécession.

Les actes de bravoure des Texans ont été très bien accueillis. Un vent de liberté a soufflé sur le monde entier. Des Suédois placides et obéissants, récemment contraints au servage par les masques, ont protesté en faisant brûler leurs masques dans le centre de Stockholm. Les Russes ont vu pratiquement toutes leurs restrictions covidiques levées il y a quelques jours ; les théâtres et les églises fonctionnent comme d’habitude à pleine capacité. Même les Israéliens, les esclaves volontaires des Ténèbres (Exode 21:6), ont obtenu quelques jours de liberté relative (à condition d’avoir un passeport vert pour aller boire un verre) et leur aéroport a été rouvert pour un bref interlude après des mois de siège auto-imposé. Néanmoins, ils ont reçu un avertissement: ils vont devoir retourner à leur quatrième confinement dans quelques jours.

Tout le monde n’est pas content que les gens s’échappent de prison. Il faut une certaine chutzpah  pour apprécier la contemplation d’un cimetière, à la place de ce qui était jusqu’à une date récente une ville animée, mais nos seigneurs et supposés maîtres ne manquent pas de chutzpah. Le gang de Davos, la force qui est derrière les pandémies de Covid-19, dans un moment de vérité, a annoncé : « Les confinements sont en train d’améliorer doucement les villes du monde entier ». Vous avez souffert, mais ils ont apprécié !

Ils nous aiment morts. Ou presque morts. Au moins, qu’on reste là où on est au lieu de nous précipiter partout ailleurs. Le virus leur a fourni une excuse ; la prochaine fois, ils utiliseront un autre script au même effet. Le grand quotidien de fausse gauche The Guardian a déjà proposé de verrouiller le monde tous les deux ans.

En fait, les plans de nos supérieurs ne sont pas nouveaux. En septembre 1944, le secrétaire américain au Trésor, Henry Morgenthau, avait proposé de détruire toutes les capacités industrielles de l’Allemagne. Les installations industrielles devaient être détruites, les mines devaient être dévastées et comblées, les experts en production et en fabrication devaient être retirés de force de la région et mis au travail ailleurs. L’Allemagne allait devenir un État féodal agraire, avec un recul de près de mille ans.

Ce serait merveilleux pour les petites Greta tourmentées par le CO2 ! Un seul problème : le plan Morgenthau n’éliminait pas les vaches, les vaches grasses et péteuses. Dans l’Allemagne heureuse et désindustrialisée, il est vrai que peu d’entre elles auraient survécu à la famine de l’après-guerre, mais elles étaient censées continuer à produire de la viande. Ce point avait été amélioré par le coreligionnaire de Morgenthau, Theodore N Kaufmann. Dans son livre L’Allemagne doit périr, il proposait de stériliser tous les Allemands en âge de procréer, ce qui serait sûrement encore mieux que de nous confiner pour l’amour du CO2.

La Grande Réinitialisation, c’est le plan Morgenthau-Kaufmann, étendu au monde entier, et d’abord aux Européens. Les Allemands ont été sauvés de ce sinistre destin par Josef Staline, le dirigeant russe victorieux. Il n’avait aucune animosité envers les Allemands qu’il avait vaincus ; il a explicitement rejeté ces plans de vengeance judéo-américains (vous pouvez le lire dans sa correspondance avec Roosevelt) et il a procédé à la reconstruction de l’Allemagne socialiste avec son excellente industrie et son agriculture. (De nombreux Ossètes regrettent encore le démantèlement de la RDA en 1990.) Les États-Unis n’ont eu d’autre choix que de le suivre avec leur plan Marshall.

Poutine jouera-t-il le rôle de Staline et nous sauvera-t-il du grand Reset? ? Après tout, il n’y a aucun avantage, du point de vue des Resetteurs, à détruire l’Ouest si l’Est reste en sécurité. Ils veulent aller jusqu’au bout, et sauver la Russie pourrait faire avorter le plan. Poutine est un homme rusé, un maître de l’aïkido, art martial japonais qui consiste à utiliser la force de son adversaire contre lui, et il peut parfaitement sécuriser son royaume. Il penche pour les accomodements avec ses adversaires dominants, puis, lorsqu’ils sont sûrs de leur victoire imminente, il introduit un nouvel élément et retourne le jeu à son avantage.

  • Il était apparemment d’accord avec le récit covidique tel que présenté par les maîtres du discours, et au dernier moment, il a produit son vaccin Sputnik-V, annulant tous les gains de l’ennemi. Ils pensaient que la Russie allait les supplier de leur fournir le vaccin, mais il s’est avéré que c’était l’inverse. Aujourd’hui, les Européens, les Tchèques et les Hongrois ainsi que les Vénézuéliens et les Biélorusses font la queue pour obtenir le vaccin russe qui est plus sûr et plus efficace que les vaccins occidentaux. Il a déjà rapporté 25 milliards de dollars, soit plus que les exportations d’armements (11 milliards de dollars). Le vaccin russe est un vaccin traditionnel, sans technologie d’ARNm douteuse, et il fonctionne. Je ne suis pas un fan des vaccins, mais le vaccin russe semble être un moindre mal, car  les Russes ne sont pas armés face à la vaccination.
  • Il était apparemment d’accord avec le programme des Verts, qui était bel et bien destiné à ruiner la Russie, grand producteur de pétrole et de gaz ; et au dernier moment, il a déclaré que la meilleure façon de minimiser le CO2 c’est d’utiliser l’énergie nucléaire du type de celle produite par le Russe RosAtom. A l’heure actuelle, Rosatom possède le plus grand portefeuille de projets de construction de centrales nucléaires à l’étranger, dont 36 unités de production dans 12 pays. L’Inde, la Chine, la Turquie, l’Iran et le Bangladesh sont devenus les principaux clients de Rosatom. Rosatom met en œuvre le projet de construction d’une centrale nucléaire en Finlande, ainsi qu’en Hongrie et en Biélorussie. Poutine a déclaré que revenir au vent et au soleil, ce serait comme retourner vivre à l’âge des cavernes. L’énergie nucléaire est préférable pour l’avenir, alors que le pétrole et le gaz devraient suffire pour le présent.
  • Il était apparemment d’accord avec Davos, il s’est entretenu avec eux de manière polie et affable. Le leitmotiv de Davos 2021 était que la pandémie de coronavirus a changé le monde de manière irrévocable, et a prouvé l’incapacité des Etats-nations à faire face aux problèmes. Les entreprises mondiales devraient prendre le contrôle de la situation et elles le feront, et elles reconstruiront le monde en mieux. Elles préviendront les épidémies et protégeront le climat. Pourquoi devriez-vous conduire des voitures et piloter des avions, polluer l’air avec des émissions et propager des virus – restez chez vous, nous vous dirons tout et vous en montrerons autant sur une télévision intelligente en 3D avec une immersion totale dans la réalité, comme dans Matrix, qui pourrait bien s’avérer être un film prophétique.
  • Seulement voilà, à Davos, pour la première fois, Poutine a déclaré qu’il n’y avait que peu de bénéficiaires de la mondialisation ; lutter contre le virus c’est bien, mais il faut d’abord empêcher les géants de l’informatique de prendre le contrôle du monde. Ce Poutine qui avait la bouche si suave, si peu conflictuelle, et qui soudain atteint un sommet. Lisez donc l’excellent résumé de son discours à Davos par notre ami Mike Whitney, pour comprendre.
  • Une personne plus simplette, comme moi, serait immédiatement en désaccord avec les salauds et plongerait le pays dans une lutte titanesque avec une faible chance de victoire. Mais un Poutine rusé est d’accord pour commencer, et bat ensuite l’adversaire en utilisant sa force. L’ennemi devrait se méfier lorsque Poutine est d’accord avec lui.
  • Pourtant, Poutine n’est pas tout-puissant, même au cœur de Moscou. Si nous voulons retrouver une vie normale, nous ne pouvons pas compter sur la Russie ou la Chine pour nous servir la victoire sur un plat.

En Russie, la montée du régime Biden et le grand Reset ont été bien jaugés par deux hommes, et leurs évaluations diffèrent. L’un considère que c’est une agression contre la Russie, l’autre dit que c’est une agression contre nous tous, et en premier lieu contre les Américains. Le premier est important car il se rapporte à la politique réelle ; le second est encore plus important car il nous parle de notre destinée.

Le premier, c’est un conseiller de haut rang du ministre russe de la défense, Andrei Ilnitsky, dont la puissante apparition au Sénat russe (Federacii soviétique) en décembre de l’année dernière a fait sensation, lorsqu’il a dit ceci: « Klaus Schwab, au nom des multinationales, a déclaré qu’elles ne nous permettraient pas de revenir à un monde pré-Covid. Elles considèrent le Covid comme leur propre projet. Aucun État national indépendant ne sera plus autorisé à exister ; elles dirigeront le monde ». Selon lui, le virus n’est pas particulièrement mortel mais hautement contagieux, de par sa conception; l’idée serait de saper les systèmes de santé comme une ouverture vers quelque chose de pire. Il a maintenant publié deux articles politiques (ici, sur le site du ministère de la Défense, et ici, dans le journal du Parlement , tous deux en russe).

Ilnitsky compare les récentes déclarations des dirigeants et des experts américains avec le discours de Churchill à Fulton (sur le « rideau de fer ») prononcé il y a exactement 75 ans, le 5 mars 1946, le discours qui a lancé la guerre froide. La désobéissance russe au plan Marshall en 1946 et au grand Reset en 2021 s’est heurtée à une rhétorique guerrière, puis à une guerre hybride. C’est une comparaison pertinente. Le régime Biden est extrêmement agressif. Au cours du premier mois de son règne, Biden a déjà tué plus de Syriens que Trump en quatre ans. Il menace l’Iran, la Russie et la Chine, malgré ses déclarations pacifiques. Il a décidé d’annuler le retrait des troupes d’Afghanistan. Et chaque action brutale est accompagnée d’expressions traîtreuses.

Avec l’accès à la présidence de Biden, l’hypocrisie est de retour, en Amérique et sur la planète. Trump était tout sauf hypocrite ; Trump est parti et l’hypocrisie revient en force. Alors que Trump bombardait la Syrie pour le pétrole, Biden massacre les Syriens car « les États-Unis ont le droit de se défendre », et ce afin de « réduire la tension en Syrie ». Trump avait provoqué l’indignation de l’opinion publique américaine progressiste, tandis que Biden la réjouit. Un exemple typique est celui d’Amy Siskind (sur la photo), une lesbienne juive anti-Trumpist SJW, ancienne directrice de Wall Street. Elle a apprécié le bombardement de la Syrie. Elle a tweeté : « C’est tellement différent d’avoir une action militaire sous Biden. Pas de menaces niveau école primaire sur Twitter. Faites confiance à la compétence de Biden et de son équipe ».

La Russie n’avait pas eu afffaire à une équipe aussi agressive que le régime de Biden depuis les années 1950. Si Biden devait bombarder Moscou, il n’oublierait pas de dire qu’il l’a fait au nom de l’égalité des sexes. Mais un bombardement est très peu probable : La Russie est protégée par son système de périmètre « de main morte » dont la réputation égale celle du Dr Folamour. Mais l’ex-ambassadeur américain McFaul, l’amiral Charles Richard et le secrétaire d’État Anthony Blinken ont demandé que l’on fasse pression sur la Russie. Pour Ilnitsky, les plans de Schwab ne sont qu’un prélude à la véritable guerre américaine contre la Russie, à mener tout d’abord dans le cyberespace. Selon Ilnitsky, « la Russie sera confrontée à une dure confrontation avec les États-Unis. Les menaces pour notre pays seront existentielles ».

Pourquoi le régime Biden est-il si agressif ? Pour la même raison que la France révolutionnaire était  agressive. (Avec très peu de succès, l’URSS a également essayé d’être agressive juste après la révolution de 1917). Biden est une façade pour le nouveau régime planétaire des grandes entreprises. Ces régimes ont le sentiment que l’avenir leur appartient, que l’histoire leur donnera raison, et ils n’hésitent pas à imposer leur programme.

La deuxième voix, plus importante, est celle du philosophe politique russe de premier plan, Alexandre Douguine, dont le Manifeste du grand réveil contre le grand Reset (en anglais) vient de sortir, il y a quelques jours, le 3 mars, et a déjà été traduit dans de nombreuses langues. Pour Douguine, la bataille finale à venir ce n’est pas l’Occident contre l’Orient, ni les États-Unis et l’OTAN contre tous les autres, mais les libéraux contre l’humanité – y compris ce segment de l’humanité sur le territoire de l’Occident qui rejette ses propres élites mondialistes.

En un mot, Douguine propose de répondre à leur grande Réinitialisation par notre grand Réveil, par notre reconnaissance d’un terrible danger imminent. La Réinitialisation proclamée par Schwab est en marche depuis la prise de pouvoir aux États-Unis par Biden. L’objectif des Resetteurs n’est pas seulement le confinement tous azimuts, ni le pouvoir, ni notre appauvrissement ; ils visent à détruire totalement l’Homme. Il s’agit de l’étape finale du projet libéral, qui dépouille l’Homme de tous ses liens collectifs. D’abord, ils se sont débarrassés de l’Église, puis de la race, de la nation, de la classe, du sexe.

L’Église en tant que « corps mystique du Christ » a été détruite et remplacée par des clubs de loisirs créés par le libre consentement de la base… Les socialistes, les sociaux-démocrates et les communistes ont contré les libéraux avec des identités de classe, appelant les travailleurs du monde entier à s’unir pour renverser le pouvoir de la bourgeoisie mondiale. … Parallèlement aux communistes, des forces nationalistes extrêmes sont arrivées au pouvoir en Europe occidentale. Elles agissaient au nom de la « nation » ou d’une « race », opposant à nouveau l’individualisme libéral à quelque chose de « commun », un « être collectif ». En utilisant tactiquement la Russie soviétique, le capitalisme a d’abord réussi à traiter avec les régimes fascistes, et ce fut le résultat idéologique de la Seconde Guerre mondiale. La guerre froide qui s’ensuivit entre l’Est et l’Ouest à la fin des années 1980 se termina par une victoire libérale sur les communistes. Voilà comment le projet de libération de l’individu de toute forme d’identité collective est passé par une autre étape.

Après avoir vaincu l’ennemi extérieur, les libéraux ont découvert deux autres formes d’identité collective. Tout d’abord, le genre. Après tout, le genre est aussi quelque chose de collectif : soit masculin, soit féminin. Le genre devait être aboli, comme toutes les autres formes d’identité collective. La migration de masse atomise les populations en Occident en utilisant une idéologie des droits de l’homme qui s’adresse à l’individu sans tenir compte des aspects culturels, religieux, sociaux ou nationaux. Les libéraux n’avaient plus qu’un dernier pas à franchir : abolir les humains. Après tout, l’humain est aussi une identité collective, ce qui signifie qu’il doit être surmonté, aboli, détruit et que les humains doivent être remplacés – certes partiellement – par des cyborgs, des réseaux d’intelligence artificielle et des produits du génie génétique.

Une personne sans religion, sans patrie, sans peuple d’appartenance, et maintenant sans sexe accède à la Singularité, quand elle est en passe de devenir un ordinateur ou une calculatrice parmi d’autres, c’est-à-dire qu’elle cesse d’être. Douguine retrace le chemin du libéralisme depuis le nominalisme – le modèle d’Occam du début du Moyen Âge – jusqu’à Schwab. Or juste avant leur victoire complète, les Resetteurs butent sur un caillou : le grand Réveil, qui est proche.

Le grand Réveil ne concerne pas les élites et les intellectuels, mais le peuple, les masses, le peuple en tant que tel. Ce n’est pas une question d’analyse idéologique. C’est une réaction spontanée des masses qui réalisent soudainement, comme le bétail devant l’abattoir, que leur sort a déjà été décidé par leurs dirigeants et qu’il n’y a plus de place pour les gens à l’avenir. Le Grand Réveil est spontané, largement inconscient, intuitif et aveugle.

La thèse du grand Réveil ne doit pas être hâtivement chargée de détails idéologiques, qu’il s’agisse du conservatisme fondamental, du traditionalisme, de la critique marxiste du capital ou de la protestation anarchiste pour l’amour de la contestation. Le Grand Réveil, c’est quelque chose de plus organique, de plus spontané et en même temps tectonique. C’est ainsi que l’humanité se voit soudainement éclairée par la proximité de sa fin imminente. C’est pourquoi le grand Réveil nous vient de l’intérieur des États-Unis, là où l’obscurité est la plus profonde. C’est un cri qui sort de l’enfer lui-même, de cette zone où le futur noir est déjà là, en partie arrivé.

Douguine croit en la victoire de l’Homme. Nous sommes des alliés – les déplorables Américains, les populistes européens (qui doivent absolument laisser tomber le différend daté entre la gauche et la droite), les pays islamiques : La Turquie et l’Iran, la Chine géante, qui tente de s’élever sur la vague mondiale, mais s’y oppose néanmoins, et conserve son identité civilisationnelle, et enfin la Russie, avec son expérience de l’opposition mondiale à l’hégémonie. Les ennemis sont forts, mais nous sommes encore plus forts, dit-il.

Le pouvoir des mondialistes est basé sur des illusions qu’ils essaient de nous inculquer de façon maniaque. La grande réinitialisation a été proclamée par une poignée de vieux dégénérés au bord de la démence (comme Biden, le méchant ratatiné Soros, ou le gros bourgeois Schwab) et une racaille marginale et perverse. Ils tiennent les bourses et les presses à imprimer ; les escrocs de Wall Street et les drogués à l’inventivité de la Silicon Valley travaillent pour eux. Des agents de renseignement disciplinés et des généraux d’armée obéissants leur sont subordonnés. Mais cela est négligeable par rapport à l’humanité tout entière, aux gens du travail et de la pensée, aux profondeurs des institutions religieuses et à la richesse fondamentale des cultures.

La libération a déjà commencé au Texas. Leur rejet du régime des masques est la preuve que le peuple américain a compris où on veut le mener. Car Praemonitus praemunitus(([1] Ce proverbe est la devise en latin de nombreux corps d’armées dans le monde et notamment aux États-Unis, mais aussi le titre de la deuxième édition américaine des Protocoles des sages de Sion.)) : un homme averti en vaut deux.


Contacter l’auteur: israelshamir@gmail.com

Traduction: Maria Poumier

Original https://www.unz.com/ishamir/texas-leads-to-freedom/


Note




“Le Crime du Garagiste” – Le Casse Banco-centraliste!

[Source : TML]

Par Luniterre

Voici tout juste un an s’amorçait, si l’on peut dire, le versant occidental de la « crise du covid », avec le plongeon des bourses, descendant d’un sommet où elles avaient réussi à se hisser au cours des douze années suivant la précédente crise, celle de 2007-2008. Pourtant, et moins d’un mois plus tard, et alors juste au moment où l’économie connaissait l’un de ses arrêts les plus brutaux et complet de l’histoire moderne, elles recommençaient déjà leur ascension, qui ne s’est pas démentie depuis, rejoignant déjà, un an après, les sommets perdus, et les dépassant même, pour ce qui est des bourses US… !

Et cela alors même que dans la même période, l’activité économique, soumise au chaos des confinements-déconfinements-reconfinements et autres couvre-feux, enregistrait globalement une récession nette et également d’ampleur historique, tout simplement également « oubliée » depuis la précédente crise, et même, la dernière guerre mondiale, en fait. Si le PIB US n’a reculé, si l’on peut dire, que de 3,5%, le PIB français, lui, a encaissé une perte de 8,3%. Mais, dans les deux cas, avec des conséquences sociales immédiates désastreuses, et relativement, encore plus marquées aux USA qu’en France.

On en est donc arrivés à cette situation paradoxale qu’à un appauvrissement global de la société correspond une augmentation de l’accumulation du capital !

Mais le corollaire spectaculaire de cette situation, bien que là aussi, paradoxalement, personne ne veuille réellement le voir pour ce qu’il est vraiment, c’est l’explosion de la dette mondiale, tant publique que privée.

C’est donc, paradoxe supplémentaire, grâce au cycle de la dette que les bourses ont pu se maintenir et même, reprendre leur ascension, au cœur même de la crise.

Le mécanisme de ce cycle, avec l’intervention des Banques Centrales sur le marché de la dette publique, notamment, est maintenant bien connu (([1] ►https://tribunemlreypa.wordpress.com/2021/01/13/great-reset-le-banco-centralisme-complot-et-ou-nouveau-systeme-nouvelle-edition-debat/
https://youtu.be/QZ7xqYJ6rE4
https://tribunemlreypa.wordpress.com/2020/06/11/merveilleux-monde-dapres-face-a-lemergence-du-banco-centralisme-quelle-forme-de-resistance/)), et donc, on n’y reviendra pas ici, où, passé ce constat, on cherche donc à aller plus loin dans l’analyse du paradoxe, à la recherche de son sens fondamental en terme d’évolution du système économique.

En effet, quelle peut être la signification d’une croissance du capital, si, dans le même temps, la dette globale croit encore plus, comme on doit simplement le constater ?

Cet accroissement du capital ne compense-t-il donc pas pour les pertes subies par l’activité économique ?

Au cours d’un récent débat, l’un de nos contradicteurs objecte qu’il n’existe pas de dette sans contrepartie, et donc que l’augmentation de la dette ne peut être que proportionnée au capital, d’une manière ou d’une autre.

Mais, lorsque l’on cherche à analyser l’activité économique, on cherche donc à comprendre l’évolution du système capitaliste, c’est-à-dire le mouvement du capital engagé dans l’activité économique en vue de son élargissement. C’est, de plus, en résumé, la définition qu’en donne Marx.

Sous ce rapport, la dette d’un consommateur pour l’achat de sa voiture particulière n’est donc pas, par exemple, un capital.

Le fait patent qu’une grande partie de la dette ne soit donc pas du capital à proprement parler peut déjà nous aider à comprendre la réalité du fait que la croissance de la dette soit supérieure à la croissance du capital, même si cette croissance du capital est considérable.

Mais cela ne règle pas la question du paradoxe de l’accumulation du capital en dépit de la récession économique.

Ce nouveau capital accumulé est-il donc, oui ou non, un accroissement des richesses de la société, qui se serait, en quelque sorte « condensé » dans les hauteurs boursières ?

Autrement dit, toute accumulation de capital est-elle nécessairement le résultat d’une création de valeur nouvelle, d’une accumulation de plus-value réellement créée, d’une manière ou d’une autre, par l’activité économique ?

Pour illustrer cette problématique et la remettre à une échelle facilement compréhensible, prenons, cette fois-ci, un exemple dans le commerce des automobiles d’occasion…

Pour faire la meilleure estimation possible de la valeur réelle d’une voiture d’occasion, il faut déjà au moins connaitre sa durée de vie potentielle, en années et kilométrage…

Supposons, une voiture prévue pour durer quinze ans et parcourir 300 000 km…

Ce qui nous fait une moyenne de 20 000 km/an.

Supposons une vente qui se fasse à 10 ans d’âge de la voiture et qu’elle ait effectivement 200 000 km au compteur, et soit en très bon état général.

On peut donc estimer, de manière simplifiée pour notre exemple, que sa décote d’usure soit des deux tiers de son prix d’origine.

En supposant qu’il ait été de 15 000 euros, la nouvelle valeur d’usage réelle de cette voiture est donc de 5000 euros.

Autrement dit, si la vente se fait à ce prix, il n’y a ni gagnant ni perdant, dans cette affaire, et donc, pas de « plus-value », ni au sens bourgeois du terme, ni au sens marxiste.

Maintenant, supposons que le garagiste « marchande » lors de l’achat et arrive à avoir cette voiture pour 4000 euros…

Supposons même, encore, qu’il la revende, presque aussitôt, pour 6000 euros, à un autre client, en lui faisant valoir le bon état général de la voiture, ou autre argument, peu importe…

Peut-on dire qu’il a réalisé une « plus-value » de 2000 euros ???

Au sens de notre contradicteur et au sens de l’économiste bourgeois, oui, assurément !

Au sens marxiste, il a simplement fait une « bonne affaire » en accumulant 2000 €uros au passage, pour son compte, même si pas très honnêtement, quand au fond, mais il n’a, par contre, pas réalisé la moindre « plus-value » qui soit… !!!

En effet, supposons que le premier propriétaire de l’auto et le second client du garagiste soient classiquement et simplement des travailleurs salariés…

La seule valeur qu’ils ont réellement créée, dans leur existence, est celle créée par leur travail, dont la part qui leur est revenue, sous forme de salaire.

Dans l’échange, l’acheteur initial, en « neuf », de la voiture a donc investi 15 000 euros de cette valeur-travail dans son achat, dont il a « usé » normalement 10 000 euros en dix ans…

A l’issue desquels il n’en récupère donc que 4000 euros sur le 5000 qu’il lui reste, potentiellement.

Il se fait donc dépouiller par le garagiste de 1000 euros de la valeur qu’il a initialement créé par son travail.

Lequel garagiste dépouille donc encore de 1000 euros un autre client, qui paye la voiture 6000 euros au lieu de 5000, et se voit donc lui-même abusivement dépouillé de 1000 euros de la valeur crée par son propre travail, pour une voiture qui en vaut réellement 5000.

Au total, il y a donc un déplacement abusif de 2000 €uros de la valeur d’usage réelle et résiduelle de cette voiture, mais absolument aucune valeur nouvelle de créée, et pour cause, et donc, aucune « plus-value », au sens marxiste du terme.

Évidemment, la situation n’est pas différente, dans son principe, si l’opération est effectuée par un particulier qui achète et revend aussitôt.

Évidemment, dans un cas comme dans l’autre, l’opération est formellement tout à fait légale, alors que si le garagiste (ou le particulier), au lieu de se compliquer la vie avec les transactions, avait simplement agressé chacun de ses deux clients pour leur dérober 1000 €uros à chacun, elle ne l’eut point été !

Mais dans le principe, en termes de déplacement, d’accumulation et de non-création de valeur, la situation est tout à fait équivalente !

Tel est, quant au fond, le « crime du garagiste », en tant que commerçant de voitures d’occasion !

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Avec cet exemple, il est donc important de comprendre qu’il peut donc exister un certain nombre de procédés tout à fait légaux, dans le cadre du capitalisme, par lesquels le capital peut donc s’accumuler sans pour autant que cette accumulation soit nécessairement le résultat d’une création de valeur nouvelle, d’une accumulation de plus-value réelle, et donc également au sens marxiste du terme.

Au sens bourgeois du terme, par contre, est donc considérée comme « plus-value » toute différence entre valeur d’achat et valeur de revente, quel que soit le processus considéré, et tout à fait indépendamment du fait que cette différence reflète ou non un accroissement réel de la richesse sociale par l’activité économique.

Alors que, par contre, la notion marxiste de plus-value est précisément aux antipodes de la simple « valeur ajoutée » arbitrairement, au moment de la vente de quoi que ce soit…

Mais c’est aussi effectivement ce que, assez généralement, les pseudos-« marxistes » eux-mêmes n’ont donc jamais compris, pour la plupart !

En réalité, on peut donc ainsi comprendre que si l’ensemble de la vie économique fonctionnait entièrement selon le processus achat-vente du garagiste « d’occasion », les uns gagnant simplement ce que les autres perdent, tout progrès économique et social, tout accroissement réel de la richesse sociale, serait absolument impossible.

C’est donc ce qui a poussé les économistes classiques, et Marx à leur suite, à rechercher ailleurs la source de l’enrichissement des sociétés humaines…

Pour ces économistes classiques, y incluant Marx, la source de la richesse économique et sociale nouvelle est la valeur nouvelle créée, en biens et services, par le travail productif humain, indépendamment de son mode d’accumulation.

Et plus précisément, pour Marx, la plus value est la différence entre la valeur d’usage de la force de travail et sa valeur d’échange.

On ne peut pas résumer ici, en trois lignes, les trois tomes du Capital, ni ses fondements philosophiques, supposément « hégéliens », tels qu’exposés dans les Grundrisse, les notes personnelles de Marx, mais on se contentera de rappeler, pour ceux qui sont supposés les avoir lu, et de poser le principe, pour les autres, c’est-à-dire, espérons le, la majorité des gens simplement honnêtes avec eux-mêmes, selon lequel la valeur d’usage de la force de travail est la valeur ajoutée par le travail, à la production, pour un temps déterminé, alors que sa valeur d’échange (salaire), est la valeur des intrants divers, en bien et services, nécessaires à sa reproduction, pour le même temps déterminé, et, évidemment, dans le même cadre de vie sociale.

Pour Marx, comme pour de nombreux économistes classiques et sociologues de toutes époques, c’est donc une particularité du travail productif humain que de reproduire plus de valeur, dans un temps donné, que nécessaire à la simple reproduction de la même force de travail.

C’est donc, pour Marx, la différence entre la valeur d’usage totale ajoutée à la production par le travail, et la valeur nécessaire et suffisante à la reproduction de la force de travail (salaire), qui constitue la base de la plus-value réelle et de l’élargissement du capital investi, et qui est donc très différente, en ce qu’elle est bien une part de la valeur nouvelle créée par le travail, de la simple accumulation au sens du « garagiste d’occasion » !!!

Du point de vue du développement de l’économie capitaliste, on comprend donc bien ainsi que la dette n’est pas un problème en soi, voire même, au contraire, dans la mesure où elle correspond à un investissement productif. Non seulement elle ne peut être que remboursée, in fine, mais même, contribuer à l’accroissement de la richesse totale de la société, indépendamment de sa répartition, et non pas seulement à l’accroissement numérique du capital total.

On comprend donc bien, également, que le stock total de la dette puisse varier, en fonction des périodes plus ou moins fastes et donc des cycles économiques conjoncturels.

Mais le problème réel surgit donc à partir du moment où, comme on le voit aujourd’hui, cette dette mondiale, qui n’a cessé de croitre depuis la crise de 2007-2008, malgré un embryon supposé de reprise, venait  donc déjà de battre des records à la veille de la présente crise, et a donc encore littéralement fait un bond exponentiel avec elle…

Le fait que ce bond exponentiel corresponde avec la récession brutale causée par cette crise est donc encore un fait malheureusement relativement cohérent…

Ce qui à priori l’est moins, c’est donc bien que le capital, dans la même période, non seulement ne cesse de s’accumuler, mais atteint même des niveaux records.

Comme on l’a vu, et comme l’expliquent bien la plupart des économistes (1), c’est le mécanisme lui-même du cycle de la dette, tel que géré par les Banques Centrales, qui entretient et encourage ce niveau élevé de capitalisation, malgré la crise.

Et donc, si ce niveau de capitalisation correspond bien, néanmoins, selon les prétentions idéologiques des adeptes et/ou des critiques pseudos-« marxistes » du capitalisme, à un élargissement de la richesse sociale, d’une manière ou d’une autre, la dette devrait donc cesser de croître, et même, commencer d’être remboursée, et donc, diminuer, à mesure que le capital total s’élargit, et non pas croître encore davantage, et donc davantage que le capital lui-même !

Dans le cas présent, la conclusion qui s’impose donc, avec la croissance durable de la dette, c’est que, globalement, à l’échelle de l’économie mondiale et du capital total, la croissance de celui-ci n’est plus qu’une nouvelle fraction de la dette totale, qui reste, de ce fait, constamment croissante.

Dans l’économie mondiale actuelle l’élargissement du stock de la dette mondiale est donc, de ce fait, une fonction croissante du capital total, qui, en conséquence et par définition,  ne pourra donc jamais la rembourser…

Bien entendu, au fil de la conjoncture, même si cette tendance, qui domine déjà depuis une bonne douzaine d’années, ne peut non seulement que perdurer avec la nouvelle crise, mais même y prendre, comme on le voit, un élan encore plus radical, elle n’est pas pour autant linéaire et on comprend bien qu’après la chute récessionniste brutale que nous venons de connaître, il y a, mécaniquement, un effet de rebond qui peut, provisoirement, paraître la contredire.

La question de fond n’est donc pas de savoir si l’économie peut « récupérer », peu ou prou, son « niveau d’avant crise » (…du covid), mais bien de savoir si l’expansion du capital total peut durablement contribuer à réduire la dette au lieu de continuer à l’accroître… !

Il s’agit bien là de deux voies fondamentalement différentes d’évolution du système économique et social.

Dans le premier cas, si l’expansion continue du capital correspond, à terme, à une réduction de la dette, on pourra écrire l’histoire de toute cette période, qui va déjà de 2007 à 2021 (…et ?), comme l’une des nombreuses crises cycliques du capitalisme, mais qui n’en altère pas réellement la nature, déjà suffisamment délétère, au demeurant.

Dans le deuxième cas, qui correspond, en fait, à un prolongement durable de la situation actuelle, inaugurée à partir de 2007, on comprend bien que c’est l’ensemble du cycle économique qui est soumis au cycle de la dette, et que la gestion du cycle de la dette, tel qu’il est actuellement contrôlé par les cinq principales Banques Centrales de la planète, est désormais le facteur déterminant et le « régulateur » de son niveau de développement économique.

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Et notre garagiste dans tout ça ?

En quoi est-il donc emblématique, à son échelle, d’une économie banco-centralisée ?

Dans le principe, l’accumulation de 2000 €uros qu’il réalise repose donc sur le fait qu’à une valeur d’usage déterminée, de 5000 €uros, il parvient à ajouter une fraction de valeur-travail, originellement produite sous forme de salaire, de deux fois 1000 €uros, alors que son opération commerciale n’implique en réalité aucun travail productif supplémentaire.

A noter, pour bien comprendre, que le mouvement total de la valeur eut été le même si, rachetant « honnêtement » la voiture à 5000 €uros à son premier client, il n’en eut pas moins le culot de la revendre 7000 au deuxième…

Moins habile, ou moins gourmand, il aurait également pu se contenter de se limiter à un « bonus » de 1000 €uros, soit en revendant 6000 après achat à 5000, ou bien encore en revendant 5500 après achat à 4500, etc…

Dans un cas comme dans l’autre il manipule donc une valeur d’usage déterminée, de 5000 €uros, à laquelle il ajoute une « valeur » arbitrairement définie par lui-même, de 1000 à 2000 €uros, mais qui, en réalité, n’a aucune existence en tant que valeur économique réelle et constitue simplement un déficit pour d’autres échanges économiques correspondant à des besoins sociaux réels de ses « clients », et constitue donc un déficit de circulation monétaire correspondant éventuellement à des achats réellement « créatifs » en matière de valeur économique globale.

Bien entendu, il ne s’agit pas ici de vouer aux gémonies la catégorie des garagistes, dont certains sont effectivement parfois honnêtes et font un vrai travail de contrôle et de remise en état des voitures d’occasion, mais le cas d’achat et revente directe, posé par notre « exemple », assez semblable à ce que font certains « particuliers » ne s’en produit pas moins assez souvent…

Maintenant, reprenons donc cet exemple, en l’appliquant à une voiture …neuve !

En effet, dans le cas d’une voiture sortant d’une usine entièrement automatisée, et qui n’est donc que le produit de la matière en mouvement, que ce soit celui des machines robotisées ou de la matière première qui passe entre leurs « mains » électroniques et informatiques, le « produit », à la sortie, se trouve tout à fait dans la situation de notre voiture d’occasion, avec une valeur d’usage déterminée, ici non pas par l’usage kilométrique, mais essentiellement par la valeur d’usage des matières premières utilisées, d’une part, et par la fraction de valeur d’usage des machines robotisées correspondant, pour chaque voiture produite, à leur coût d’amortissement, d’autre part.

Pour autant, on imagine assez bien que les groupes industriels et financiers capables de mettre en œuvre une telle technologie de production ne le font pas uniquement pour le plaisir de voir rouler leur production aux mains d’automobilistes heureux, mais bien pour en tirer un bénéfice financier substantiel…

Et c’est donc là, à propos de ce type de marge de profit, que le capitaliste « moderne » se trouve tout à fait, en réalité et à grande échelle, dans la situation de notre « garagiste d’occasion » !!!

Au stade actuel, les secteurs de production entièrement automatisés et robotisés, d’un bout à l’autre du processus, sont encore rares, mais dans tous les processus modernes l’automatisation et la robotisation gagnent tous les jours du terrain, réduisant la part du travail humain productif et augmentant la part nécessaire d’investissement en capital fixe, en machinerie automatisée et robotisée.

Or cette part croissante ne peut être « rentabilisée », pour le compte des investisseurs, que par un procédé de marges de profits qui s’apparente donc tout à fait à celui du « garagiste d’occasion » et ne correspond plus en rien à la valeur de marché réelle de la production.

Comme Marx l’a montré, dans une économie capitaliste « classique » les prix de marché oscillent autour de la valeur de marché (([2] MARX, CAPITAL, LIVRE III, Chapitres 9 et 10)), et même s’ils ne coïncident exactement que très rarement, c’est la moyenne des prix de marché qui coïncide bien, par contre, en période de développement et de croissance « normale »…

Dans cette situation « normale » on dira donc, pour simplifier, que le prix du marché inclus la plus-value créée par le travail, et même, plus exactement, par sa valeur d’usage. On peut donc dire que dans ce cas la valeur ajoutée, même au sens de l’économiste bourgeois, est égale à cette valeur d’usage.

On peut encore dire que dans ce cas, l’élargissement du capital, par l’appropriation capitaliste de la plus-value, correspond encore réellement à une nouvelle valeur créée, et donc par le travail.

Maintenant, si la moyenne des prix de marché, pour quelque raison que ce soit, s’élève nettement au dessus de la valeur « normale » de marché, il y a une baisse de consommation, une crise…

Si cela ne porte que sur un produit, mais indispensable, comme le carburant, par exemple, sa consommation ne réduira donc pas beaucoup, mais par contrecoup, il y aura moins de consommation sur d’autres, comme effet compensatoire.

Exemple bien connu : le choc pétrolier de 1973 !

Ceci-dit, il s’agissait, en fait, d’un « réajustement », mais l’effet, provisoirement, a été le même !

Quoi qu’il en soit, vendre au dessus de la valeur de marché, ce n’est donc possible, comme dans notre histoire de voiture d’occasion, qu’au détriment, non pas d’un individu particulier, mais des autres secteurs du marché, et c’est donc générateur de crise, autant que de surprofit !

Si cela devient une pratique courante, voire, généralisée, il faut donc bien remettre de la monnaie en circulation, au-delà de la valeur réellement créée par le travail productif !!!

Et là, on entre donc déjà dans quelque chose qui s’apparente au banco-centralisme, vu que cela passe par des crédits, et qu’au bout du compte, une partie des dettes ne peut donc pas être honorée, d’une manière ou d’une autre…

Le cycle actuel de la dette, tel que « pensé » par les banco-centralistes, suite à leur « expérience » de 2008, permet donc de « régler » le problème, en faisant gonfler le bilan des banques centrales, pour, en quelque sorte « absorber » la dette !

Contrairement à ce que pensent les pseudos-« marxistes » de salons et de groupuscules, il n’y a pas de limite réelle à ce principe. La dette est « renouvelée » (…« roulée ») en permanence et continuera donc à gonfler tant que les Banques Centrales n’auront pas pris le contrôle direct des monopoles.

Le gonflement actuel exponentiel de la dette n’est dû qu’à la nécessité de maintenir les marchés financiers à flots, et à travers eux, les monopoles qui contrôlent déjà l’essentiel de la production et des services.

Dès lors qu’ils seront directement alimentés en liquidités par les Banques Centrales, sans passer réellement par les marchés financiers, sauf, peut-être, formellement, comme « écran » pour les gogos du « grand public », il y aura donc possibilité d’établissement d’un cycle stable de la dette, même s’il repose carrément sur une monnaie de singe, de fait, mais qui aura alors cours forcé…

Et à ce stade, bien entendu, les « gogos du grand public » de ce nouveau spectacle seront eux-mêmes, de par le fait, question salaires, indemnités de chômage ou autre « revenu universel », payés directement par les Banques Centrales, via l’une ou l’autre des crypto-monnaies « banque centrale » déjà en cours de réalisation.

Et comme nous l’a si bien expliqué Patrick Artus, chef économiste de Natixis, pas vraiment une boîte de philanthropes, c’est bien ce type de cycle économique qui a été expérimenté, dès le premier « confinement », avec le principe du chômage partiel à grande échelle, directement financé par les banques centrales.(([3] ►https://tribunemlreypa.wordpress.com/2020/12/31/patrick-artus-le-banco-centralisme-a-visage-humain-ou-presque/
https://tribunemlreypa.wordpress.com/2020/09/18/pseudo-relance-monetisation-de-la-dette-banco-centralisme-un-nouvel-episode-du-debat-avec-gerard-bad/
ARTUS Patrick_épisode 7 – Monetisation des dettes publiques et la Theorie Monetaire Moderne-PDF))

Il s’agit donc bien, pour empêcher le système de domination de classe de s’écrouler, de financer à la fois et la production et la consommation !

Sans la nouvelle intervention massive des Banques Centrales, en plus de toutes celles des douze années d’ « entre-crises » de 2008 à 2020, non seulement les marchés financiers se seraient écroulés (…ils étaient bien partis pour le faire, à mi-Mars), entraînant avec eux la faillite des monopoles et des principales industries, mais la faillite de la plupart des États aurait rapidement suivi, incapables de faire face à une vague de chômage encore bien plus massive qu’elle ne l’a été, et qu’ils ne pouvaient déjà pas financer par leurs propres moyens !

Le « grand Reset » rendu possible par le « covisd-19 », c’est donc un déplacement complet du siège du pouvoir, qui passe du siège des CA des monopoles détenteurs des forces productives les plus modernes, et jusqu’alors « faiseurs de rois » (…et de « Présidents de la République »…), au siège des Conseils de Gouverneurs des Banques Centrales, qui contrôlent désormais l’ensemble de la chaîne économique, via le cycle de la dette.

C’est un déplacement complet du pouvoir des détenteurs des capitaux vers le pouvoir des détenteurs de la dette.(([4] https://tribunemlreypa.wordpress.com/2021/01/23/paradoxe-et-suspense-economique-en-2021-le-capital-atteindra-t-il-ou-non-le-nirvana-par-la-dette-mondiale/))

Ce n’est donc plus, à proprement parler, du capitalisme, au sens « classique » du terme, mais bel et bien, du banco-centralisme, en tant que nouveau système de domination de classe.

Bien entendu, le capitalisme « classique » continue de coexister avec le nouveau système banco-centraliste, et pour quelques décennies encore, probablement, mais le principe économique en est néanmoins fondamentalement différent, en ce que ce nouveau type de pouvoir ne repose donc plus essentiellement sur l’accumulation de capital, et notamment plus, basé sur la valeur du temps de travail, et pour cause, vu qu’il aboutit inévitablement à financer, via le cycle de la dette, à la fois la production et la consommation ! La fraction du capital, essentiellement fictif, qui continue de s’y accumuler, n’étant donc plus qu’une fraction de la dette « non remboursée » et/ou « roulée », au bon vouloir des Banques Centrales.

En termes de domination, ce nouveau pouvoir vise simplement à préserver et même, à renouveler, donc, sous cette nouvelle forme banco-centraliste, le principe de la domination de classe d’une pseudo-« élite » bourgeoise, de plus en plus minoritaire, mais qui, par le biais du contrôle monopoliste progressivement de plus en plus total de la production de valeurs d’usage, maintient l’ensemble du reste de la population dans sa dépendance absolue, pour ses moindres besoins.

Durant les premiers mois de 2020, les médias occidentaux ont fait mine de s’offusquer de la dérive concentrationnaire néanmoins bien réelle de la société chinoise, ce qui leur permettait de masquer les ébauches de tentatives équivalentes dans leur propre zone d’influence, pourtant déjà dénoncées, quelques années plus tôt par Snowden et divers autres « lanceurs d’alerte ». Mais, que ce soit en matière de traçage du comportement social et économique des citoyens ou en matière de structuration financière banco-centraliste, les sociétés asiatiques chinoises et japonaises n’ont fait qu’être des précurseurs du « Merveilleux Monde d’Après » tel qu’il tend à s’imposer aujourd’hui partout sur la planète.

Dans ses rapports d’intégration/confrontation et d’interdépendance avec l’Occident, la Chine est la première grande économie mondialisée à avoir pratiqué des années durant, déjà, un cours forcé de sa monnaie et proposé, dès 2009, l’instauration d’une monnaie de réserve internationale(([5] ►https://www.lemonde.fr/economie/article/2009/03/24/pekin-appelle-a-une-nouvelle-monnaie-de-reserve-internationale_1171825_3234.html
https://www.lejdd.fr/Economie/Une-seule-monnaie-pour-tous-75275-3075545)) qui ne soit ni le yuan, ni le dollar, ni l’euro, mais bien une « monnaie banque centrale mondiale » en réalité, et qui donc, tôt ou tard, arrivera directement dans nos « poches » de prolétaires, c’est-à-dire dans nos smartphones, en fait, sous forme de « crypto-monnaie banco-centralisée »(([6] Yuan numérique : un nouvel outil de contrôle prêt à être légalisé
https://siecledigital.fr/2020/11/04/yuan-numerique-dcep/
https://journalducoin.com/blockchain/actualites-blockchain/chine-le-putsch-monetaire-numerique/
https://cryptoactu.com/pekin-a-loffensive-sur-le-champ-de-bataille-des-cbdcs/)), dont l’utilisation effective sera donc nécessairement conditionnée par toutes les pressions sociales et injonctions comportementales voulues par le système(([7] ►https://institut-thomas-more.org/2019/07/29/le-systeme-de-credit-social-%e2%80%a2-comment-la-chine-evalue-recompense-et-punit-sa-population/
Le système de crédit social · Comment la Chine évalue, récompense et punit sa population-ITM-Note36-201907-PDF
https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/comment-la-chine-invente-le-controle-social-au-xxie-siecle-1136115)).

Si le monde des monopoles financiers capitalistes était encore, sous le discours libéral, celui des rivalités concurrentielles exacerbées susceptibles de dégénérer en conflits mondiaux majeurs, le monde des Banques Centrales est, par nécessité impérieuse de sa propre survie, celui de l’entente monétaire internationale obligée, et, si des rivalités à fleurets mouchetés se manifestent encore, c’est bien dans la manière de concourir le plus efficacement possible à ce nouvel ordre mondial.

Même si avec les précautions de langage et circonlocutions pseudos-« démocratiques » d’usage médiatique appropriées, Christine Lagarde vient bel et bien d’engager la BCE sur la voie de la crypto-monnaie banco-centralisée.(([8] Christine Lagarde « espère » un euro numérique « d’ici 5 ans » – Boursorama avec Media Services-13/01/2021
►https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/christine-lagarde-espere-un-euro-numerique-d-ici-5-ans-5a6f5a284d52466c852aa7f505e2f778
https://www.lecho.be/les-marches/actu/general/l-euro-numerique-alternative-au-bitcoin-se-precise/10284819.html
https://www.clubic.com/antivirus-securite-informatique/cryptage-cryptographie/crypto-monnaie/actualite-353230-la-bce-prendra-une-decision-sur-l-euro-numerique-vers-le-milieu-de-2021-.html))

Le « Merveilleux Monde d’Après », c’est maintenant, et il serait donc temps d’ouvrir les yeux. Le billet de retour, de par l’évolution technologique des forces productives modernes, n’existe déjà plus. La voie de sortie vers un ailleurs réellement social et humain, si elle existe encore, tend, chaque jour qui passe, à se refermer un peu plus. Il serait donc temps de se réveiller et de tenter de forcer la porte, avant qu’elle ne se referme tout à fait, pour les générations à venir.

Luniterre





Dans la crise sanitaire, l’État joue sa survie

[Source : Contrepoints.org]

Les conséquences de la politique désastreuse infligée au pays depuis un an sont bien plus délétères que l’épidémie elle-même.

Par Patrick de Casanove

La véritable inquiétude de l’État est que les Français réalisent enfin qu’il leur a menti et les a effrayés pour les manipuler. Ils ont été enfermés, ruinés, mal soignés, poussés au suicide, dressés les uns contre les autres pour une maladie contrôlable et peu mortelle, pourvu que l’État cesse de se mêler de tout et laisse les médecins faire leur travail.

Il leur a été interdit d’accompagner leurs proches dans leurs derniers instants et de leur donner de dignes funérailles.

Les conséquences de la politique désastreuse infligée au pays depuis un an sont bien plus délétères que l’épidémie elle-même.

La justice est détournée de sa mission qui est de « rendre à chacun le sien »

Les forces de l’ordre sont détournés de leur mission qui est de protéger les biens et les personnes. Lors de la répression pour non-respect des mesures de coercition sociale, elles font parfois preuve d’un zèle mal venu et inhumain.

C’était vrai lors du premier confinement. C’est encore, hélas, vrai aujourd’hui. Lors des obsèques d’un maraîcher qui s’est suicidé par désespoir, ou lors de la distribution de repas aux personnes dans la détresse.

La loi est pervertie, elle sert à détruire les droits naturels au lieu de les protéger ; l’emploi des forces de l’ordre, de la justice, est perverti. Cela participe à la grande déstabilisation des populations.

Le lien social s’effrite. L’autre est un contaminateur potentiel donc un danger, peut être mortel. Ainsi une personne qui n’est pas malade est traitée comme une pestiférée. Cette peur de l’autre engendre le retour de la délation.

La Covid est une infection virale n’ayant aucun pouvoir d’oppression des individus. Ce pouvoir est politique. Le seul responsable du désastre est le politique. En France on connaît précisément la date et l’heure du forfait.about:blank

Si cette prise de conscience avait lieu l’État perdrait son pouvoir d’imposer la grande réinitialisation et il devrait rendre des comptes.

CRISE SANITAIRE : L’OCCASION FAIT LE LARRON

Il est peu probable que cette affaire de crise Covid soit pilotée depuis le départ et préméditée. Le gouvernement en a plutôt saisi l’opportunité.

Dans cette épidémie, ce n’est pas la science qui domine, c’est la pensée magique et l’émotionnel. Le gouvernement fait peur et culpabilise les gens. Grâce à quoi il contrôle la gestion de la crise sanitaire.

Celle-ci est un outil de pouvoir. L’État s’en est emparé, a étendu son contrôle des populations et n’a pas l’intention de relâcher son étreinte. La Covid ne doit pas disparaître, ou pas avant d’avoir rempli sa mission.

EN TEMPS DE CRISE, BÂTIR L’HOMME NOUVEAU DANS UN MONDE NOUVEAU

La gestion de la Covid a été faite en dépit du bon sens. Elle n’a jamais eu aucune rationalité médicale, humaine, économique, sociale, aucune rationalité au sens de vouloir résoudre véritablement le problème.

Persister à ce point dans l’erreur ne peut être que délibéré. La prise en charge a été et reste tellement incohérente que bien des gens sont perdus. Quand tout le monde est perdu, y compris les professionnels de santé, l’irrationnel fait partie du quotidien au point de devenir la norme. Grâce à quoi l’État commande et oriente sans difficulté.

Même si leur gestion est irrationnelle, il est évident que nos gouvernants ne sont pas eux irrationnels. Mais ils peuvent être pervers et manipulateurs. Ils poursuivent rationnellement leur objectif.

Grâce à la Covid les politiciens font passer des réformes qui n’avaient aucune chance de passer : état d’urgence dit sanitaireflicage numérique, mais surtout l’écologisme appuyé par un plan de relance :

« Un plan de relance exceptionnel de 100 milliards d’euros […] Ce plan de relance, […] représente la feuille de route pour la refondation économique, sociale et écologique du pays. »

Plan qui fait écho à :

« La solution pour résoudre les grands problèmes environnementaux et sociaux existe, selon le Forum de Davos, et elle se résume en une phrase : transformer l’économie. Pour y parvenir, l’organisation propose d’orienter l’économie vers des résultats plus équitables, canaliser les investissements pour construire mieux, développer des infrastructures et techniques de construction qui ne dégradent pas l’environnement et se servir de la quatrième révolution industrielle pour notre bien. Cette quatrième révolution industrielle est celle de l’automatisation des machines par l’intelligence artificielle et la généralisation des énergies vertes. C’est elle qui, en grande partie, mènerait à un monde plus vert, plus juste et plus prospère. »

Il y a une rationalité étatique à faire durer le problème. Tant que la Covid persiste, ou simplement sa peur, cela permet à l’État non seulement de survivre, mais de s’épanouir. Il étend son autorité au détriment de la vie privée et de la liberté de chacun. Il instaure le totalitarisme, construit une société nouvelle, pour un monde nouveau, avec un Homme nouveau… et il ne rend pas de comptes.

RENDRE DES COMPTES

Ça commence à sentir le roussi !

Jean-François Delfraissy et quatre autres membres du Conseil dit scientifique  signent une tribune dans The Lancet.

Ils écrivent :

« Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire, stop-start, comme principale réponse à la pandémie […] Nous, scientifiques qui travaillons contre le Covid-19, devons avoir le courage de nous adresser à ceux qui sont au pouvoir, qui portent la responsabilité ultime des politiques choisies et de leurs conséquences. Si cette responsabilité est esquivée ou retardée, le jour inévitable où il faudra rendre des comptes pourrait être terrible. »

Reniant sans honte aucune ce qu’ils ont préconisé depuis un an, ils ont l’admirable courage de se défausser sur les politiciens.

La demande de comptes a déjà commencé. Des dépôts de plaintes ont eu lieu au début de l’épidémie.

D’autres procédures ont lieu aujourd’hui au niveau national :

pour obtenir réparation des pertes liées au confinement ou de ses préjudices au sens plus large :

https://youtu.be/Hz2xA-Ktg-A

Des initiatives semblables ont lieu dans d’autres pays.

Pour l’instant, elles ont peu d’écho. Il pourrait en être différemment si la crise covid était terminée. Mais la faire durer évite à l’État de rendre des comptes, lui donne des arguments pour l’heure des comptes.

Si la crise dure c’est que cette épidémie est sévère. Si elle dure très longtemps c’est qu’elle est très sévère. Si elle est très sévère, la gestion étatique coercitive s’en trouve justifiée, ses détracteurs relégués au rang de complotistes, à qui l’on peut contester toute liberté d’expression.

Les conséquences dramatiques des décisions étatiques s’estompent avec la peur et le temps. L’État est sanctifié dans son rôle de sauveur. Il a gagné la partie. Il survit et en sort renforcé.

IL FAUT REVENIR À LA RAISON

Il est difficile d’empêcher les gens d’avoir peur ou d’être inquiets. Mais il faut garder son sang-froid, rester raisonnable et faire face.

99,5 % voire 99,9 % des personnes infectées survivent, et parfois davantage :

Une bonne prise en charge de l’épidémie consisterait à donner :

  • sa place à la médecine, en particulier de ville,
  • la responsabilité de leur vie et de leurs libertés aux Français,
  • l’attention aux personnes à risques.

Si la prise en charge devient médicale, sans état d’urgence sanitaire qui n’est pas médical mais politique, les individus retrouveront la responsabilité de leur existence et la liberté d’accomplir leur projet de vie. L’État sera minimal. Mais il ne le veut pas.

La grande escroquerie consiste à faire croire aux Français que si l’État ne prend pas de mesures coercitives et n’insiste pas pour parvenir à une vaccination de masse on ne fait rien. C’est faux. On fait quelque chose : de la médecine et pas de la politique.

FAIRE FACE À LA CRISE SANITAIRE

La médecine a toujours fait face aux épidémies, même avec peu ou pas de moyens. Aujourd’hui, alors que l’humanité n’a jamais eu autant d’outils pour lutter contre les infections, en Occident les politiciens mettent la médecine sur la touche et prennent en charge le problème de manière politique.

Il faut être bien conscient que cette pathologie est une pathologie de médecin généraliste. L’implication de la médecine de ville ne se limite pas à l’hospitalisation à domicile ou à la télésanté.

L’implication de la médecine c’est plus que ça.

C’est la responsabilité individuelle et la liberté pour chacun de mener sa vie comme il l’entend sans nuire à autrui. Cela implique de choisir et gérer ses risques. Cela implique le respect des gestes barrière à bon escient ; de vacciner à bon escient ; de respecter les indications vaccinales et la balance bénéfice/risque ; de laisser les gens sans risques vivre leur vie et de faire très attention aux personnes à risques ; de travailler l’immunité naturelle.

C’est la confiance en la médecine générale. Le gouvernement doit arrêter de faire peur aux médecins, et délivrer des autorisations temporaires d’utilisation pour des traitements précoces, (hydroxychloroquine, ivermectine) qui certes ne sont pas recommandés ni validés officiellement, mais qui sont efficaces dans la vraie vie, qui sauvent des vies, évitent des cas graves, des hospitalisations et des décès.

Il doit, en résumé, les laisser prescrire, le tout basé sur le colloque singulier unissant le patient et son médecin.

C’est le soin précoce prodigué aux personnes malades. C’est, entre autres, pour avoir saboté cette étape de la prise en charge dès février/mars 2020, que la France a connu une crise sanitaire bien plus dramatique qu’elle aurait dû être.

C’est le bon diagnostic. Le traitement précoce et le diagnostic rigoureux sont les grands absents de cette prise en charge étatique.

Il est possible de prendre en charge une maladie de manière probabiliste.

Il n’empêche que le diagnostic rigoureux permet de traiter, isoler, spécifiquement les personnes contagieuses et les malades. Il ne repose pas uniquement sur la multiplication des tests RT-PCR, qui ne sont pas des tests diagnostic. Il est utile de tester massivement, mais pas n’importe comment, pour rompre la chaîne de contamination, protéger les personnes à risques, traiter  précocement. Il permet de protéger correctement les personnes à risques, de ne pas transformer quelqu’un de sain en malade, voire en assassin potentiel.

Cette robuste médecine de première ligne s’adosse à une médecine de seconde ligne solide avec des hôpitaux performants, des lits en nombre suffisant, des services de réanimation étoffés et une réserve dépendant du service de santé des armées.

En finir avec la crise ne repose pas sur la disparition de l’épidémie, encore moins du virus. Elle ne dépend que d’une décision politique : celle, pour l’État, de libérer les Français pour ce qui est de la vie économique, sociale, culturelle, privée, et de passer la main aux professionnels de terrain pour ce qui est de l’infection.

Elle peut être prise demain, si le bon sens revient en France.




Réseau Sentinelle, SOS médecins, urgences ne voient plus de Covid19. Stop couvre-feu !

[Source : FranceSoir]

[Auteur : Gérard Delépine]

Tribune

L’épidémie est terminée en France, mais les médias disent le contraire et la propagande terrorisante est plus active que jamais.

L’imagination au pouvoir : pendant la vague de mars, c’était le décompte journalier morbide des morts, puis en octobre des « cas » (sur tests non fiables avec 97 % de faux positifs) et actuellement faute de malades et même de testés positifs, on agite le « variant » anglais dont rien ne prouve la dangerosité ! Nos dirigeants acceptent l’idée, enfin, que les virus mutent, comme le Pr Raoult l’a expliqué à la France entière depuis des mois. Si à chaque mutant c’est la panique, notre économie sera morte dans l’année, comme de fait le plan Davos le souhaite et l’organise depuis des années sous le prétexte de cette pseudo « peste » qui n’a pas tué plus que bien d’autres grippes des années passées.

Le scénario actuel et la réalité

Depuis plusieurs semaines, le gouvernement et les médias complices agitent à nouveau la peur pour faire accepter des couvre-feux, sans aucun intérêt sanitaire réel[1]. Ils prétendent que le Covid19 revient plus méchant que jamais, revigoré par une mutation anglaise ou sud-africaine[2]. Ils affichent pour nous convaincre un nombre croissant de « cas » PCR positif dont même l’OMS reconnaît la non-fiabilité[3] [4] [5] et les inconvénients[6]. Or les « cas » ne sont majoritairement ni des malades, ni des contagieux, ni des porteurs de virus et ne témoignent donc pas de la réalité de l’épidémie, mais principalement du nombre de tests réalisés et du nombre de séances d’amplifications pratiquées.

Une épidémie ne se mesure qu’au nombre de malades, individus qui souffrent de symptômes et qui consultent leur médecin pour un diagnostic ou un traitement.

Le réseau Sentinelle

Le réseau Sentinelle est un réseau de recherche et de veille sanitaire en soins de premiers recours en France métropolitaine. Créé en novembre 1984, il est développé sous la tutelle conjointe de l’Institut national de la santé, de la recherche médicale et de Sorbonne Université. Il fédère plus de de 1400 médecins de ville, généralistes et pédiatres. C’est lui qui permet de suivre chaque année les épidémies de bronchiolite, grippe, gastro entérite, rougeole et rhume et leurs virulences. Cette année, il a étendu la surveillance des maladies contagieuses habituelles au Covid19. Ses données sont plus pertinentes que celles de Santé Publique France qui publie principalement les données hospitalières et dépend du ministre qui veille à ce que ses publications ne gênent pas sa propagande terrorisante.

Car ce qui différencie le Covid19 des épidémies précédentes n’est ni sa virulence, ni sa mortalité, mais le traitement médiatique qui lui est réservé. Lors des épidémies sévères précédentes, le ministère rassurait la population.

Depuis le début de la crise actuelle, le ministère et les médias s’efforcent au contraire de paniquer la population afin de faire accepter des mesures pseudo-sanitaires qui n’ont jamais démontré qu’elles pouvaient être utiles, et dont chacun mesure chaque jour la nocivité tant sur la santé globale que sur l’économie, les chômeurs, les salariés précaires, les pauvres, les cafés-restaurants, le monde de la culture et du sport, les petits commerçants.

Les jeunes adultes sont les premières victimes au profit des grandes chaînes, des GAFA et des super riches, sans que ces mesures ne permettent de sauver nos vieillards poussés également au syndrome de glissement par abandon de la vie qui mérite d’être vécue (entourée des siens, des amis etc..) aidés de plus vers la mort par le Rivotril des décrets de mars et octobre, à injecter en cas de problème respiratoire et de « suspicion » de covid.

Les traitements précoces qui résoudraient facilement la grande majorité de ces épisodes infectieux sont toujours interdits contre toute logique sanitaire, qui manifestement n’est pas l’objectif. Les médias continuent à ancrer dans les cerveaux des téléspectateurs qu’il « n’existe pas de traitement », mensonge énorme répété par les ministres, et l’argument d’autorité est tragique. Pourtant la mortalité très basse des pays qui utilisent le traitement Raoult, l’ivermectine ou l’artémisine depuis le début de l’épidémie sont des preuves scientifiques bien établies que nos gouvernants ne veulent pas reconnaitre. Le but est évidement de prolonger la crise et la ruine de la classe moyenne et de nous faire   consommer du remdesivir, puis les vaccins géniques non testés sur plus de deux mois, et leurs risques majeurs.

Et pourtant l’épidémie est vraiment terminée.

Réseau Sentinelle : où sont les malades Covid19 en fin d’année 2020 ?

Depuis début septembre2020, 543 patients présentant une Infection Virale Aigue (IRA) ont été vus en consultation de médecine générale et de pédiatrie et ont été prélevés dans le cadre de la surveillance Sentinelle, prélèvements essentiellement nasopharyngés testés pour différents virus respiratoires, dont le SARS-CoV-2 (COVID-19) et les virus grippaux.

En semaine 52 : aucun n’était positif au SARS-CoV-2 (COVID-19) (0/17 testés)
En semaine 53 : aucun prélèvement ne s’est révélé positif au SARS-CoV-2 (COVID- 19) parmi les échantillons prélevés, et 17 patients présentant une IRA vus en consultation 23,1%) étaient positifs au hRV (virus du rhume).

Cette absence confirmée de malade de Covid19 en consultation de ville dure depuis la semaine 47.

Ces données permettent d’estimer qu’en fin d’année 2020, le taux d’incidence des cas d’infections respiratoires aigües dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en médecine générale était inférieur à 14 cas pour 100 000 habitants[7], représentant moins de 9 097 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste.

Cette estimation est stable par rapport aux semaines précédentes.

La quasi-disparition des malades Covid19 est aussi observée par SOS médecins

Et aux urgences des hôpitaux :

Cette quasi-absence de malades Covid19 vus en médecine générale et en pédiatrie, par SOS médecins et aux urgences hospitalières, dément les propos alarmistes du ministère basés sur des tests majoritairement réalisés en dépistage sur des asymptomatiques, qui ne sont ni malades, ni porteurs de virus entiers, ni contagieux. Si l’épidémie était encore active, les médecins généralistes devraient voir de nombreux malades covid19 ; or ils n’en voient plus.
 

Alors pourquoi cette désinformation gouvernementale permanente ?

On ne trouve pas d’autre explication que la volonté de prolonger la panique dans la population et l’état d’urgence indéfiniment pour justifier des mesures prétendument sanitaires, alors que rien ne prouve qu’elles puissent avoir le moindre impact sur la propagation d’une éventuelle épidémie.

La finalité de cette propagande mensongère est vraisemblablement de réaliser le programme de Davos bien détaillé dans le livre de Schwab en supprimant, entre autres, 75% des restaurants indépendants par le maintien des confinements et interdictions de travailler jusqu’en décembre 2021, précisément prévu par le rapport 9 de Ferguson, dont toutes les prédictions se sont révélées fausses[8],[9] mais que le gouvernement suit à la lettre.

Les prophéties sont là pour conditionner la population naïve et non pour aider à la sécurité sanitaire. Le déroulement de la gestion de l’épidémie le démontre jour après jour.

Sortir de l’emprise du gouvernement sur la population

Que peuvent faire les innombrables victimes de ces mesures aberrantes ?

Cesser d’avoir peur d’un virus qui rend actuellement beaucoup moins de gens malades que les rhumes saisonniers.

Cesser d’être dupe de la propagande des médias et des promesses gouvernementales : indemnisations et réouvertures prochaines toujours prévues dans 15 jours et toujours reportées à cause de « cas » dont le nombre augmente toujours juste avant une décision pour la justifier (alors qu’elle a été prise en réalité bien longtemps auparavant). Le but de cette politique est de pousser à la faillite un maximum d’établissements pour que les chaînes puissent accaparer le marché.

Expliquer autour de soi que pratiquer des tests PCR quand on est en bonne santé ne sert à rien, ni pour celui qui les subit[10], ni pour ses proches[11] mais contribue uniquement à alimenter la propagande gouvernementale pour prolonger l’état d’urgence et les fermetures. Stop tests !

Rappeler à tous les résultats catastrophiques de la politique sanitaire française suivie jusque-là et qui nous a placés, avec les pays qui confinent durement, dans le top 5 européen des plus fortes mortalités Covid19. Stop politique mortifère !

Informer ses élus, maires, députés en leur montrant les données de ce réseau Sentinelle qui montre que l’épidémie est derrière nous, leur rappelant que la prolongation des restrictions tue l’économie, obère l’avenir des jeunes[12] et menace à terme la vie de plusieurs dizaines de milliers de français, sans protéger réellement qui que ce soit.

Porter plainte en justice contre les responsables de ces mesures pour faire indemniser à leur juste valeur les préjudices subis. Que les responsables paient !

Manifester pacifiquement pour le respect de nos libertés fondamentales : liberté de travailler, liberté de circuler, liberté d’exprimer ses opinions, liberté de prier, d’aller au restaurant, au théâtre ou au musée, à la faculté, dans les bars ou en discothèque etc. Sans masque, qui n’est que témoin de la soumission que nous impose les dirigeants soumis à l’OMS, sauf en quelques pays plus respectueux de leurs peuples comme la Finlande, l’Islande, la Suède[13], la Norvège[14], la Biélorussie.

LIBERTÉ !

[Notes]

[1] Aucun essai randomisé, ni aucune étude historique n’accrédite l’efficacité du couvre-feu contre une épidémie qui brime surtout les jeunes alors que les seuls qu’il faut protéger sont les séniors déjà malades.

[2] Coronavirus : pourquoi le variant sud-africain inquiète les scientifiques ? les chercheurs n’ont pas constaté une hausse de la mortalité directement liée à ce variant.

[3] OMS Avis d’information de l’OMS pour les utilisateurs ivd 15 12 2020 https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users.

[4] Cour d’appel de Lisbonne du 26-08-2020 : Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test ne permet pas à lui seul de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SRAS-CoV-2.

[5] Recommandation du l’agence sanitaire galloise du 20 juillet 2020 : The performance of the existing RT-PCR is isunsuited to the non-targeted screening of asymptomatic individuals, les tests PCR ne sont pas adaptés au dépistage global, non ciblé d’individus asymptomatiques https://gov.wales/technical-advisory-cell-principles-using-rt-pcr-test-detect-sars-cov-2.

[6]E Surkova, V Nikolayevskyy, F Drobniewsk False-positive COVID-19 results : hidden problems and costs www.thelancet.com/respiratory Vol 8 December 2020 https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(20)30453-7/fulltext.

[7] Pour la grippe saisonnière on parle d’épidémie lorsque l’incidence atteint 150 à 200/100000.

[8] N Delépine LES DESSOUS DU RAPPORT CLASSÉ SECRET DÉFENSE DE FERGUSON ET LE CONFINEMENT Economie matin28 4 2020 http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine.

[9] N Delépine Ferguson ment grossièrement et le journal Nature le publie France Soir 11 1 2021 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ferguson-ment-grossierement-et-le-journal-nature-le-publie.

[10] Puisque les cas positifs ne sont pas traités.

[11] L’étude chinoise récente montre que sur 410 cas asymptomatiques recensés après dépistage de près de 10 millions de chinois, aucun n’a fait de maladie, aucun n’excrétait de virus et aucun n’a contaminé ses contacts.

[12] D’après l’OMS : les jeunes sont touchés de façon disproportionnée par les conséquences à long terme des mesures sanitaires : l’interruption de la scolarité, l’incertitude économique, la perte ou le manque de possibilités d’emploi, les effets sur la santé physique et mentale et les traumatismes causés par la violence domestique. Par exemple, des troubles anxieux provoqués par la COVID-19 ont été détectés chez près de 90 % des jeunes, plus d’un milliard d’élèves dans presque tous les pays ont été touchés par la fermeture des écoles et un jeune sur six dans le monde a perdu son emploi pendant la pandémie.

[13] Qui vient seulement de recommander le masque dans les transports publics.

[14] Qui n’impose le masque que dans les transports publics bondés.

Auteur(s): Gérard Delépine, pour FranceSoir




Klaus Schwab et sa prise d’otages de masse 2.0

Par Jean-Michel Grau

“Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes.”

Nicolas Machiavel, Le Prince

«Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres !»

Cette maxime de La Boétie doit devenir pour nous tous le meilleur antidote au projet eugéniste de Klaus Schwab dont le livre «Covid-19 : la grande réinitialisation» se veut le bréviaire et la feuille de route d’une prise d’otage mondiale qui a commencée, afin de soumettre les peuples dans une dictature sanitaire avec le Covid-19 pour mettre en œuvre la grande réinitialisation du capitalisme.

Qui est Klaus Schwab? Il est né en Allemagne à Ravensburg en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum de Davos (WEF) qui rassemble depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière et des médias, à l’image d’autres organisations plus informelles que sont le Bilderberg ou la Trilatérale, rassemblant chaque année des décideurs internationaux parmi lesquels Jacques Attali, Christine Lagarde, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockefeller. «L’existence de ces organisations pose pourtant des questions aussi essentielles que : est-il possible de répondre aux défis de notre temps avec des appareils de coordination contrôlés par des élites aussi restreintes ? Élites uniquement sélectionnées en vertu de leur pouvoir et de leur richesse, qu’elles appartiennent à quelques pays seulement, ne sont élues par personne, ni déléguées par aucune autorité publique et sont inspirées par le dogme du marché autorégulé.» [1]

Seulement voilà, le dit marché autorégulé donne des signes de faiblesse depuis quelque temps. La crise des subprimes de 2008 montre à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché est porteuse de chaos. «Ce système de création monétaire kafkaïen voulant que l’argent soit créé à partir de dettes et d’intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout de souffle. Un système d’esclavage financier qui porte en lui les germes de l’autodestruction, puisqu’une dette en constante augmentation exige une croissance en constante augmentation et donc des émissions de CO2 toujours plus grandes.» [2] Pour éviter la surchauffe qui ne peut mener qu’à un effondrement généralisé de tout le système financier dans son ensemble, Klaus Schwab et ses affidés ont imaginé un scénario de décroissance accélérée appelé grande réinitialisation, ou «grand reset» et qu’ils s’appliquent à mettre en œuvre aujourd’hui avec le Covid.

De même que ce sont les Etats, donc les peuples, qui ont sauvé les banques de la faillite lors de la crise des subprimes de 2008, ce sont à nouveau les peuples qui sont mis à contribution pour éviter le naufrage financier suite à la dérégulation financière débridée de la mondialisation dont la dette devient aujourd’hui insoutenable. La décroissance voulue par Schwab passe donc par la mise au pas des peuples en leur imposant de gré ou de force une dictature sanitaire en agitant la peur d’un virus pour endiguer toute croissance de la consommation et saper des pans entiers de l’économie jugés non essentiels : culture, tourisme, restauration, PMI-PME, le point commun de ces secteurs économiques étant qu’ils utilisent tous, entre autre, la monnaie papier pour leurs règlements, monnaie que veulent faire disparaître les grands argentiers de la planète pour faire advenir la monnaie cryptée pour mieux tracer et contrôler la population à l’image de ce qui se fait déjà en Chine.

Cette prise d’otage des peuples s’inscrit dans un scénario planifié en deux temps simultanés:

  • Tout d’abord l’intrusion de la fraude dans l’élection américaine en mettant tout en œuvre pour exclure la réélection de Donald Trump dont le premier mandat a favorisé une croissance de 2,5%, inédite depuis longtemps aux Etats-Unis. Le corollaire de cette croissance est que la dette déjà insoutenable de l’économie américaine s’est littéralement envolée. Donald Trump a certes bénéficié d’un héritage très positif, mais il est parvenu à faire en sorte que l’expansion se poursuive. Avec un chômage de 3,5%, au plus bas depuis 50 ans jusqu’à la crise du Covid, la réélection de Donald Trump semblait assurée. C’était sans compter sur la volonté d’en finir des mondialistes avec l’administration Trump : les 6 swing states ont basculé comme par miracle dans le camp du challenger démocrate Joe Biden. Aujourd’hui, il apparaît indéniablement que ces élections ont été entachées de fraudes massives pour faire élire le candidat démocrate, les innombrables preuves compilées par l’avocate Sidney Powell étant accablantes.
  • Ensuite, la deuxième mise au pas des peuples, la plus effrayante et la plus cauchemardesque par son ampleur et sa solution finale, passe par la création d’une peur collective planifiée et entretenue par la scénarisation de la contagion d’un virus à l’échelle planétaire: le Covid-19.

Ce virus à la létalité de 0,05% dont ont doit rappeler qu’il n’est ni plus ni moins mortel que celui de la grippe saisonnière.

Malgré tout, ce que l’on appelle dorénavant «la grande pandémie du Covid-19» n’est rien d’autre qu’un scénario monté de toutes pièces par Klaus Schwab, le tout relaté en détail dans son livre [3], pour tétaniser les peuples par la peur afin de mettre en scène son grand reset de l’économie mondiale. A tel point que ce scénario a fait l’objet d’une répétition générale en 2019 au Forum de Davos que l’on peut trouver en ligne sur la chaîne YouTube du WEF sous le titre «We ran a massive viral pandemic simulation. Here’s what we learned about managing Coronavirus.» («Nous avons testé une simulation de pandémie virale. Voici ce que le management du Covid nous a appris.») Il suffit de lire tous les commentaires de cette vidéo de 3 minutes pour voir que personne n’est dupe : il ne s’agit ni plus, ni moins qu’une manipulation de grande envergure.[4]

Tout avait déjà été prédit par le gourou Jacques Attali dès 2009 dans un article messianique publié par L’Express et intitulé «Avancer par peur», (5) où il affirmait que «l’humanité ne pouvait évoluer significativement que lorsqu’elle a vraiment peur et que seule une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience d’un altruisme (!) pour jeter les bases d’un véritable gouvernement mondial».

Publié en juillet 2020, le livre de Klaus Schwab «Covid-19 : la grande réinitialisation» n’est rien d’autre qu’un programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer «des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler». Le plus étonnant est que Schwab admet que le Covid-19 est «l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années», ajoutant que «les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes». Il continue : «Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies». Et pourtant ! Incroyablement, cette maladie «bénigne» est simultanément présentée comme l’occasion unique d’un changement sociétal sans précédent, sous la bannière de «La Grande Réinitialisation» ! Schwab place ainsi le Covid-19 dans une longue tradition d’événements allant de la peste noire du Moyen-Âge au 11 septembre 2001 en passant par la Seconde Guerre mondiale qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés. Il invoque ainsi «La Seconde Guerre mondiale qui a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux des politiques et des dispositions du contrat social.»

Il ajoute qu’il «existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre, mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables. C’est notre moment décisif», pavoise-t-il. «Un nouveau monde émergera». «Le bouleversement sociétal déclenché par le COVID-19 durera des années, voire des générations».

«Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est : jamais!» Les industries de la restauration, du tourisme et de la culture, mais aussi les petits commerces savent à quoi s’en tenir désormais.

Le ton est donné : «Des changements radicaux d’une telle ampleur sont tels que certains experts ont évoqué une ère « avant le coronavirus » et « après le coronavirus »» .

Tous ces commentaires montrent une seule et même chose : Schwab se veut le grand architecte de cette pandémie planifiée par lui et ses acolytes pour mettre en place le grand reset. Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société dystopique au reste d’entre nous ? La solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable débitée en copié-collé par les grands médias occidentaux, mais aussi les GAFAM, verrouillés par une oligarchie financière aux mains d’une poignée de multi-milliardaires pour instiller la peur du virus durablement.

Schwab est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste et transhumaniste de la surveillance, du contrôle et du profit exponentiel. Il proclame : «Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables, signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique».

Une section entière de ce livre est consacrée au thème «Modifier l’être humain», ravalant les dystopies «1984» et «Le meilleur des mondes» à celui des bisounours. Ici, Schwab bave sur «la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous» et évoque un futur cyborg impliquant «des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes». Il écrit : «Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle- même». Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de «micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps», de «tatouages intelligents», de «calcul biologique» et «d’organismes sur mesure capables de lire dans nos souvenirs» (!)

Il est ravi d’annoncer que «les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes», que «les dispositifs implantés aideront aussi à communiquer des pensées exprimées verbalement via une puce numérique intégrée, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales».

La «biologie synthétique» est à l’horizon dans le monde de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial «la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN». C’est sur quoi certains labos s’ingénient à travailler dès à présent avec les «vaccins» ARN. L’idée même des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau suffit à nous donner la nausée, tout comme «la perspective de connecter notre cerveau à la réalité virtuelle via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots». Le Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab d’asservissement des peuples, car l’urgence immédiate qu’il présente permet de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux et sans aucune considération éthique. Ainsi : «Notre peur persistante et durable d’être infectés par un virus COVID-19 ou un autre accélérera la marche implacable de l’automatisation. De nouvelles réglementations resteront en place». Il ajoute : «L’impératif actuel est de propulser, quoi qu’il arrive, “l’économie sans contact” et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifie que l’on est sans tabou». (!)

«Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention (!) deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persisteront, l’appui sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées». «Le mouvement de l’entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale».

Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les «vaccins Covid» en cours de préparation, car derrière les «vaccins» se cache le traçage et la surveillance de masse de toute la population. On ne s’étonne donc pas qu’il insiste sur le fait qu’ «un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu’un «vaccin» ne soit disponible». Il ajoute : «Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaxxers». Ceux-ci rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets Jaunes et de tous les engagés dans des «conflits de classe», «résistance sociale» et «réaction politique».

Mais comment Schwab envisage-t-il de faire face au «sombre scénario» des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ? Quel degré de force et de mesures coercitives serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?

La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né. La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, elle s’est effondrée 988 ans avant son objectif.

Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en a été ainsi.

Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et ses amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.

Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes et leur conditionnement pour accepter leur dictature sanitaire et leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins qui ne sont rien d’autre qu’une thérapie génique. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des puces numériques ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à rester confinés ou marcher muselés et soumis, pour bientôt être piqués tels des poulets dans l’attente de l’abattoir de leur enfer transhumaniste. Nous devons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda mortifère ! Refuser leur grand reset qui n’est rien d’autre qu’un populicide ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme ! Klaus Schwab n’est pas un dieu, juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, dont Emmanuel Macron est l’apôtre le plus servile et zélé, sont peu nombreux. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas notre consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.

Tout cela pour tenter de sauver le néolibéralisme qu’ils ont fait prospérer au-delà de tout contrôle alors qu’il existait d’autres voies plus raisonnables et plus viables comme le Keynesianisme qu’ils ont systématiquement rejetées et balayées.

C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous forcer à nous confiner et nous baillonner sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification d’urgence par la peur, nous n’allions jamais accepter leur plan monstrueux.

Mais la peur est en train de changer de camp : pourquoi le prochain Forum Economique Mondial aura-t-il lieu à Singapour et non pas à Davos, puis Genève comme prévu précédemment ? Ont-ils peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons ? En réalité, si nous nous en donnons la peine, nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré. Pour preuve, le Dr Drosten, le conseiller virologue d’Angela Merkel est poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené les gouvernements à prendre des décisions de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT au dessus de 30, les résultats des tests devenaient positifs avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée. Enfin, le Conseil d’État italien vient d’autoriser à nouveau l’hydroxychloroquine comme traitement du Covid-19, entravant ainsi la thérapie génique mortifère planifiée par Schwab.

Aujourd’hui, il appartient à chacune et à chacun d’entre nous de lire le livre de Klaus Schwab qui jette les bases du monde cauchemardesque dans lequel on vient d’entrer si l’on veut savoir ce qui nous attend pour en sortir au plus vite. Quand il sera trop tard, on ne pourra pas dire qu’on ne savait pas. Car comme pour «Mein Kampf», tout était déjà écrit.

Comme l’a dit Emmanuel Macron, nous sommes bien en guerre, mais pas contre un virus : contre Klaus Schwab et ses soldats mondialistes qui veulent nous asservir par la dictature sanitaire et la thérapie génique pour éviter l’effondrement du néolibéralisme.

Ce n’est pas aux peuples de payer les erreurs néolibérales d’une poignée de multi-milliardaires corrompus qui ont mis l’économie mondiale à genoux. Il y aura un tribunal de Nüremberg pour toutes celles et ceux qui auront participé à cette tentative de génocide mondial : politiques, économistes, financiers, gourous, médecins, chercheurs et autres apprentis sorciers des laboratoires pharmaceutiques.

Nous devons gagner cette guerre idéologique par tous les moyens: judiciaire, médiatique, cyber et politique. Il y va de notre survie à tous et de l’avenir de nos enfants ! Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons reprendre dès demain notre liberté des mâchoires mortelles de cette machine infernale à broyer les humains et sauver la démocratie.

Ce texte est une adaptation résumée de la traduction du remarquable article des journalistes dissidents du Guardian le 12 octobre 2020 : 
https://off-guardian.org/2020/10/12/klaus-schwab-his-great-fascist-reset/.

Notes

  1. le groupe Bilderberg, «l’élite» du pouvoir mondial, Domenico Moro, éditions Delga.
  2. les esclaves de l’anthropocène, Nicolas Teterel, éditions Yves Michel.
  3. Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing.
  4. https://www.youtube.com/watch?v=0-FQbhkWYuY&ab_channel=WorldEconomicForum
  5. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/avancer-par-peur_758721.html.



Covid-19 – Preuves de fraude mondiale

[Source : Réseau International]

par Iain Davis.

La COVID-19, et les réponses gouvernementales subséquentes, semblent faire partie d’une conspiration internationale visant à commettre des fraudes. Il semble qu’il n’y ait aucune preuve qu’un virus appelé SRAS-CoV-2 provoque une maladie appelée COVID-19.

Parfois, il faut suivre son instinct. Je ne suis pas un expert en génétique et, comme toujours, je suis susceptible d’être corrigé. Toutefois, mon attention a été attirée par certaines recherches publiées par la revue médicale espagnole D-Salud-DiscoveryLeur conseil consultatif composé de médecins et de scientifiques éminemment qualifiés confère une crédibilité supplémentaire à leurs recherches. Leur affirmation est stupéfiante.

Les amorces et les sondes génétiques utilisées dans les tests RT-PCR pour identifier le SRAS-CoV-2 ne ciblent rien de spécifique. J’ai suivi les techniques de recherche décrites dans cette traduction anglaise de leur rapport et je peux corroborer l’exactitude de leurs affirmations concernant les séquences de nucléotides énumérées dans les protocoles de l’Organisation Mondiale de la Santé. Vous pouvez faire de même.

D-Salud-Discovery déclare qu’il n’existe pas de tests capables d’identifier le SRAS-CoV-2. Par conséquent, toutes les allégations concernant l’impact présumé de la COVID-19 sur la santé de la population sont sans fondement.

L’ensemble du récit officiel de la COVID-19 est une tromperie. Apparemment, il n’y a aucun fondement scientifique pour aucune partie de ce récit.

Si ces affirmations sont exactes, nous pouvons affirmer qu’il n’y a aucune preuve de pandémie, mais seulement l’illusion d’une pandémie. Nous avons subi des pertes incalculables sans raison évidente, si ce n’est les ambitions de despotes sans scrupules qui souhaitent transformer l’économie mondiale et notre société pour répondre à leurs objectifs.

Ce faisant, cette « classe de parasites » a potentiellement commis d’innombrables crimes. Ces crimes peuvent et doivent faire l’objet d’une enquête et de poursuites devant un tribunal.

Identification de quoi exactement ?

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a classifié la maladie COVID-19 (COronaVIrus Disease 2019). Elle a déclaré une pandémie mondiale de COVID-19 le 11 mars 2019.

Le guide de l’OMS sur les essais en laboratoire stipule ce qui suit :

« L’agent étiologique [causalité de la maladie] responsable de l’ensemble des cas de pneumonie à Wuhan a été identifié comme un nouveau betacoronavirus (de la même famille que le SRAS-CoV et le MERS-CoV) par séquençage de nouvelle génération (NGS) à partir de virus cultivés ou directement à partir d’échantillons reçus de plusieurs patients atteints de pneumonie ».

L’OMS affirme que le virus SRAS-CoV-2 est à l’origine de la maladie appelée COVID-19. Ils affirment également que ce virus a été clairement identifié par des chercheurs de Wuhan.

Dans le rapport de l’OMS intitulé « Nouveau Coronavirus 2019-nCov Rapport de Situation 1 », ils affirment :

« Les autorités chinoises ont identifié un nouveau type de coronavirus, qui a été isolé le 7 janvier 2020… Le 12 janvier 2020, la Chine a partagé la séquence génétique du nouveau coronavirus pour que les pays puissent l’utiliser dans le développement de kits de diagnostic spécifiques ».

Ces deux déclarations de l’OMS suggèrent clairement que le virus SRAS-CoV-2 a été isolé (c’est-à-dire purifié pour être étudié) et que des séquences génétiques ont ensuite été identifiées à partir de l’échantillon isolé. À partir de là, des kits de diagnostic ont été mis au point et distribués dans le monde entier pour tester le virus dans les villes et les communautés du monde entier. Selon l’OMS et les chercheurs chinois, ces tests permettront de trouver le virus qui cause la COVID-19.

Pourtant, l’OMS déclare également :

« Travaillant directement à partir des informations sur les séquences, l’équipe a mis au point une série de tests d’amplification génétique (PCR) utilisés par les laboratoires ».

Les scientifiques de Wuhan ont développé leurs tests d’amplification génétique à partir des « informations sur les séquences » parce qu’il n’y avait pas d’échantillon isolé et purifié du fameux virus SRAS-CoV-2. Ils ont également montré des images au microscope électronique des virions nouvellement découverts (la boule de protéines avec des pics contenant l’ARN viral).

Toutefois, ces structures protéiques ne sont pas uniques. Elles ressemblent à d’autres vésicules rondes, telles que les vésicules endocytiques et les exosomes.

Les virologistes affirment qu’il n’est pas possible « d’isoler » un virus parce qu’il ne se réplique qu’à l’intérieur des cellules hôtes. Ils ajoutent que les postulats de Koch ne s’appliquent pas parce qu’ils concernent les bactéries (qui sont des organismes vivants). Les virologistes observent plutôt les effets cytopathogènes (ECP) du virus, qui provoquent la mutation et la dégradation des cellules, dans des cultures cellulaires.

[NdNM : voir aussi Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus]

Lorsque les chercheurs chinois ont séquencé le génome complet du SRAS-CoV-2 pour la première fois, ils ont observé des ECP dans les cellules Vero E6 et Huh7. Les Vero E6 sont une lignée cellulaire immortalisée de singe et les Huh7 sont des cellules cancéreuses (tumorigènes) immortalisées. Cela signifie qu’elles ont été maintenues in vitro (dans des cultures en boîte de Pétri) pendant de nombreuses années.

Au cœur de l’histoire officielle du SRAS-CoV-2 se trouve l’idée qu’il s’agit d’un virus zoonotique, capable de passer de l’animal à l’homme. Lorsque les scientifiques du CDC américain ont « infecté » diverses cellules avec le nouveau virus, ils ont constaté ce qui suit :

« Nous avons examiné la capacité du SRAS-CoV-2 à infecter et à se répliquer dans plusieurs lignées cellulaires communes de primates et d’humains, notamment les cellules d’adénocarcinome humain (A549) [celles des poumons], les cellules de foie humain (HUH7. 0) et des cellules rénales embryonnaires humaines (HEK-293T), en plus des cellules Vero E6 et Vero CCL81 [cellules de singe] … Aucun effet cytopathique n’a été observé dans aucune des lignées cellulaires, sauf dans les cellules Vero [cellules de singe] … Les cellules HUH7.0 et 293T n’ont montré qu’une réplication virale modeste et les cellules A549 [cellules de tissu pulmonaire humain] étaient incompatibles avec l’infection par le SRAS-CoV-2 ».

Le CDC n’a observé aucun ECP dans les cellules humaines. Ils n’ont vu aucune preuve que ce prétendu virus ait causé une quelconque maladie humaine. Ce supposé virus humain n’a pas non plus montré de réplication notable dans les cellules humaines, ce qui suggère qu’une infection d’homme à homme serait impossible.

Constatant ce problème, une équipe de scientifiques polonais a introduit ce « virus » séquencé dans des cellules d’épithélium humain (voies aériennes). Ils ont observé les effets sur ces cultures d’épithélium humain pendant 5 jours. Ils ont noté une réplication beaucoup plus importante que les scientifiques du CDC, mais ont finalement déclaré :

« Nous n’avons observé aucune libération du virus du côté basolatéral de la culture d’épithélium humain ».

Ce qui signifie qu’ils n’ont vu aucune preuve que les virions supposés aient rompu la membrane de la paroi cellulaire. Ce qui suggère à nouveau que ce soi-disant virus n’est pas infectieux chez les êtres humains.

Il n’est pas certain que le SRAS-CoV-2 soit un virus humain capable de provoquer une maladie. Il se peut même qu’il n’existe pas physiquement. N’est-ce rien d’autre qu’un concept basé sur des séquences génétiques prédictives ?

Voyage de Discovery

Le Centre de Contrôle et de Prévention des Maladies de Wuhan et le Centre Clinique de Santé Publique de Shanghai ont publié le premier génome complet du SRAS-CoV-2 (MN908947.1). Celui-ci a été mis à jour à de nombreuses reprises. Cependant, MN908947.1 a été la première séquence génétique décrivant le prétendu agent étiologique de la COVID-19 (SARS-CoV-2).

Toutes les revendications, tests, traitements, statistiques, développement de vaccins et politiques qui en découlent sont basés sur cette séquence. Si les tests de ce nouveau virus n’identifient rien qui puisse causer une maladie chez les êtres humains, tout le récit de la COVID-19 n’est qu’une mascarade.

Les chercheurs de Wuhan ont déclaré qu’ils avaient efficacement reconstitué la séquence génétique du SRAS-CoV-2 en faisant correspondre des fragments trouvés dans des échantillons avec d’autres séquences génétiques découvertes précédemment. À partir du matériel recueilli, ils ont trouvé une correspondance de 87,1% avec le coronavirus du SRAS (SARS-Cov). Ils ont utilisé l’assemblage de novo [NdNM : l’assemblage de novo est une méthode de construction de génomes à partir d’un grand nombre de fragments d’ADN (courts ou longs), sans connaissance a priori de la séquence ou de l’ordre corrects de ces fragments. En d’autres termes, le prétendu virus ainsi étudié n’est qu’une reconstitution à partir de fragments d’ADN, comme un puzzle reconstitué dont on n’est même pas sûr de disposer de tous les fragments.] et le PCR ciblé et ont trouvé 29 891 paires de bases qui partageaient une séquence correspondant à 79,6% au SRAS-CoV.

Ils ont dû utiliser l’assemblage de novo parce qu’ils n’avaient aucune connaissance a priori de la séquence ou de l’ordre corrects de ces fragments. Tout simplement, la déclaration de l’OMS selon laquelle les chercheurs chinois ont isolé le virus le 7 janvier est fausse.

L’équipe de Wuhan a utilisé 40 cycles d’amplification RT-qPCR pour faire correspondre des fragments d’ADNc (ADN complémentaire construit à partir de fragments d’ARN échantillonnés) avec le génome publié du coronavirus du SRAS (SARS-CoV). Malheureusement, la précision du génome original du coronavirus du SRAS n’est pas claire non plus.

En 2003, une équipe de chercheurs de Hong Kong a étudié 50 patients atteints du Syndrome Respiratoire Aigu Sévère (SRAS). Ils ont prélevé des échantillons sur 2 de ces patients et ont développé une culture dans des cellules de foie de singe fœtal.

Ils ont créé 30 clones du matériel génétique qu’ils ont trouvé. Incapables de trouver des preuves d’un autre virus connu, ils ont trouvé dans un seul de ces échantillons clonés des séquences génétiques « d’origine inconnue ».

En examinant ces séquences d’ARN inconnues, ils ont trouvé 57% de correspondance avec le coronavirus bovin et le virus de l’hépatite murine et en ont déduit qu’il était de la famille des Coronaviridae. Considérant que ces séquences suggèrent un virus du SRAS-CoV récemment découvert (les nouvelles découvertes étant l’ambroisie pour les scientifiques), ils ont conçu des amorces RT-PCR pour tester ce nouveau virus. Les chercheurs ont déclaré :

« Les amorces pour la détection du nouveau virus ont été conçues pour la détection par RT-PCR du génome de ce coronavirus associé à la pneumonie humaine dans des échantillons cliniques. Sur les 44 échantillons nasopharyngés disponibles provenant des 50 patients atteints du SRAS, 22 présentaient des traces d’ARN de coronavirus humain associé à la pneumonie ».

La moitié des patients testés, qui présentaient tous les mêmes symptômes, se sont révélés positifs pour ce nouveau virus présumé. Personne ne sait pourquoi l’autre moitié a été testée négative pour ce nouveau virus du SRAS-CoV. La question n’a pas été posée.

Ce prétendu virus n’avait qu’une séquence correspondant à 57% à un coronavirus prétendument connu. Les 43% restants étaient juste « là ». Les données séquencées ont été produites et enregistrées comme un nouveau génome sous le numéro d’accession à la GenBank AY274119.

Les chercheurs de Wuhan ont ensuite trouvé une correspondance de séquence de 79,6% avec AY274119 et l’ont donc appelée une nouvelle souche de SRAS-CoV (2019-nCoV – finalement rebaptisée SARS-CoV-2). À aucun moment de ce processus, on avait produit d’échantillon isolé et purifié d’un quelconque virus. Tout ce qu’ils avaient, c’était des pourcentages de concordance de séquences avec d’autres pourcentages de concordance de séquences.

Isoler rien

Les scientifiques sont très ennuyés parce qu’ils n’arrêtent pas de dire que le virus a été isolé mais que personne ne les croit. C’est parce que, jusqu’à présent, personne n’a fourni un seul échantillon purifié du virus SRAS-CoV-2. Ce que nous avons à la place, c’est un génome complet et, comme nous sommes sur le point de le découvrir, ce n’est pas particulièrement convaincant.

Les journalistes d’investigation Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter ont demandé à certains des scientifiques qui ont déclaré avoir des images des virions du SRAS-CoV-2 de confirmer qu’il s’agissait bien d’images d’un virus isolé et purifié. Aucun d’entre eux n’a pu le faire.

En Australie, des scientifiques de l’Institut Doherty ont annoncé qu’ils avaient isolé le virus SRAS-CoV-2. Lorsqu’on leur a demandé de préciser, les scientifiques ont déclaré :

« Nous avons de courtes séquences (ARN) provenant du test de diagnostic qui peuvent être utilisées dans les tests de diagnostic ».

Cela explique pourquoi le gouvernement australien déclare :

« La fiabilité des tests de la COVID-19 est incertaine en raison du peu de preuves disponibles … Il existe peu de preuves pour évaluer la précision et l’utilité clinique des tests de la COVID-19 disponibles ».

Au Royaume-Uni, en juillet, un groupe d’universitaires inquiets a écrit une lettre au Premier Ministre britannique Boris Johnson dans laquelle ils lui demandent de :

« Produire des preuves scientifiques indépendantes, examinées par des pairs, prouvant que le virus de la COVID-19 a été isolé ».

À ce jour, ils n’ont pas reçu de réponse.

De même, le chercheur britannique Andrew Johnson a adressé une requête en vertu de la Liberté d’Information à Public Health England (PHE). Il leur a demandé de lui fournir leurs dossiers décrivant l’isolement d’un virus SRAS-COV-2. Ce à quoi ils ont répondu :

« PHE peut confirmer qu’il ne détient pas d’informations de la manière suggérée par votre demande ».

La chercheuse canadienne Christine Massey a fait une demande d’accès à l’information similaire, demandant la même chose au gouvernement canadien. Ce à quoi le gouvernement canadien a répondu :

« Après avoir effectué une recherche approfondie, nous avons le regret de vous informer que nous n’avons pu trouver aucun document répondant à votre demande ».

Aux États-Unis, le panel de diagnostic RT-PCR du CDC indique :

« … Aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’est actuellement disponible … La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent responsable des symptômes cliniques ».

Dernière mise à jour le 13 juillet 2020, les CDC n’ont pas encore obtenu d’échantillon viral pur d’un patient dit atteint de la maladie de la COVID-19. Ils admettent ouvertement que leurs tests ne montrent pas nécessairement si le SRAS-CoV-2 est présent ou cause la COVID-19.

On nous dit que rien de tout cela n’a d’importance. Que nous sommes ignorants et que nous ne comprenons tout simplement pas la virologie. Par conséquent, nous devons accepter des images de choses dont nous savons qu’elles pourraient être autre chose et des séquences génétiques (qui pourraient être n’importe quoi d’autre) comme preuve concluante que ce virus, et la maladie qu’il est censé causer, sont réels.

Des tests pour rien

L’OMS, ainsi que tous les gouvernements, les groupes de réflexion, les comités directeurs, les conseillers scientifiques gouvernementaux, les institutions supranationales et autres qui font la promotion de l’exposé officiel de la COVID-19, affirment que le SRAS-CoV-2 provoque la COVID-19.

Alors que personne n’a jamais produit d’échantillon de ce supposé virus, le prétendu génome du SRAS-CoV-2 a été publié. Il est dans le domaine public.

Des séquences génétiques clés, dans le génome du SRAS-CoV-2, auraient des fonctions spécifiques. Ce sont les protéines cibles que les scientifiques testent pour identifier la présence du « virus ». Il s’agit notamment de :

  • Le gène de l’ARN-polymérase (Rd-Rp) – Il permet à l’ARN du SRAS-CoV-2 de se répliquer dans le cytoplasme des cellules épithéliales malades de la COVID-19.
  • Le gène S (Orf2) – cette glycoprotéine forme le pic à la surface du virion du SRAS-CoV-2 qui est censé faciliter la liaison du SRAS-CoV-2 aux récepteurs ACE2 des cellules, permettant à l’ARN situé à l’intérieur de l’enveloppe protéique du virion (capside) de passer dans la cellule désormais infectée.
  • Le Gène E (Orf1ab) – petite protéine membranaire utilisée dans l’assemblage du virus.
  • Le Gène N (Orf9a) – le gène de la nucléocapside qui se lie à l’ARN lors de la formation de la capside.

L’OMS tient un registre public des amorces et des sondes RT-PCR utilisées pour tester le SRAS-CoV-2. Les amorces sont des séquences de nucléotides spécifiques qui se lient (s’annulent) aux brins antisens et sensoriels de l’ADNc synthétisé (appelées respectivement amorces avant et arrière).

Les brins d’ADNc se séparent lorsqu’ils sont chauffés et se reforment lorsqu’ils sont refroidis. Avant le refroidissement, des séquences de nucléotides appelées sondes sont introduites pour s’hybrider à des régions cibles spécifiques du génome viral suspecté. Au cours de l’amplification, lorsque les régions entre les amorces s’allongent, lorsqu’une amorce frappe une sonde, celle-ci se désintègre en libérant un fluorescent ou un colorant qui peut alors être lu par les chercheurs.

C’est par l’identification de ces marqueurs que les scientifiques prétendent prouver la présence du SRAS-CoV-2 dans un échantillon.

Un autre outil accessible au public est le Basic Local Alignment Search Tool (BLAST). Il permet à quiconque de comparer les séquences de nucléotides publiées avec toutes celles stockées par la base de données génétiques des National Institutes of Health (NIH) américains appelée GenBank. Nous pouvons donc BLASTER les amorces, les sondes et les séquences de gènes cibles revendiquées pour le SRAS-CoV-2.

Les protocoles de l’OMS concernant les amorces et les sondes avant et arrière, pour le génome viral présumé du SRAS-CoV-2, sont basés sur les profils des gènes RdRp, Orf1, N et E. N’importe qui peut les passer dans BLAST pour voir ce que nous trouvons.

La séquence nucléotidique RdRP vitale, utilisée comme amorce avant, est – ATGAGCTTAGTCCTGTTG. Si nous passons un nucléotide dans BLAST, il est enregistré comme un isolat complet du SRAS-CoV-2 avec une identité de séquence correspondant à 100%. De même, la séquence d’amorce du gène E arrière – ATATTGCAGCAGTACGCACACA – révèle la présence de la séquence Orf1ab qui identifie également le SRAS-CoV-2.

Cependant, BLAST nous permet également de rechercher les séquences de nucléotides des génomes microbiens et humains. Si nous recherchons la séquence RdRp du SRAS-CoV-2, elle révèle 99 chromosomes humains avec une identité de séquence de 100%. L’Orf1ab (gène E) en renvoie 90 avec une identité de séquence de 100% avec les chromosomes humains.

En faisant de même pour ces séquences avec une recherche microbienne, on trouve 92 microbes avec une correspondance de 100% au gène E du SRAS-CoV-2 et 100 microbes avec une identité de séquence de 100% au gène vital RdRp du SRAS-CoV-2.

Chaque fois que nous vérifions les marqueurs génétiques uniques du SRAS-CoV-2, enregistrés dans les protocoles de l’OMS, nous trouvons des correspondances complètes ou à pourcentage élevé avec divers fragments du génome humain. Cela suggère que les séquences génétiques, qui sont censées identifier le SRAS-CoV-2, ne sont pas uniques. Elles pourraient être n’importe quoi, des séquences microbiennes aux fragments de chromosomes humains.

Les soi-disant vérificateurs de faits, comme le projet Health Feedback de Reuters, se sont empressés de rejeter les affirmations de ceux qui ont remarqué le manque apparent de spécificité du supposé génome du SRAS-CoV-2.

En utilisant une série d’arguments de paillasson comme « cette affirmation suggère que chaque test devrait être positif » (ce qui n’est pas le cas), leur tentative de démystification aboutit à quelque chose comme cela :

« Les amorces sont conçues pour se lier à des séquences de nucléotides spécifiques qui sont uniques au virus. L’amorce avant peut se lier à un chromosome particulier, mais l’amorce arrière ne se lie pas au même chromosome et le chromosome n’est donc pas présent dans le virus SRAS-CoV-2. En outre, comme les amorces avant et arrière enveloppent la séquence à amplifier, la séquence cDMA entre les amorces est unique au virus.

Cela semble déformer délibérément la signification de ces résultats en avançant un argument que personne, à part les vérificateurs de faits eux-mêmes, ne fait valoir. Les recherches menées par BLAST montrent que ces séquences cibles ne sont pas uniques au SRAS-CoV-2. Il n’est pas non plus nécessaire de trouver toutes les cibles pour qu’un résultat soit jugé positif.

Des chercheurs marocains ont étudié l’épidémiologie des cas marocains présumés de SRAS-CoV-2. 9% des cas étaient positifs pour trois gènes, 18% pour deux gènes et 73% pour un seul. Comme nous venons de l’évoquer, beaucoup d’entre eux n’étaient peut-être positifs pour aucun.

Cela est tout à fait conforme aux directives de l’OMS en matière de tests. Elles stipulent que :

« Un diagnostic optimal consiste en un test d’amplification de l’acide nucléique (NAAT) avec au moins deux cibles indépendantes du génome du SRAS-CoV-2 ; cependant, dans les zones où la transmission est répandue, un simple algorithme à cible unique peut être utilisé (…). Un ou plusieurs résultats négatifs n’excluent pas nécessairement l’infection par le SRAS-CoV-2 ».

L’argument selon lequel la RT-PCR ne trouve que de l’ARN est fallacieux. La transcription naturelle (la séparation des brins d’ADN) se produit pendant l’expression des gènes. Personne ne dit que des chromosomes ou des microbes entiers sont séquencés dans le prétendu génome du SRAS-CoV-2. Quoiqu’il en soit, pour autant que nous sachions. Ils disent que les prétendus marqueurs, utilisés pour tester ce supposé virus, ne sont pas adaptés à l’objectif.

Les tests RT-PCR ne séquencent pas l’intégralité du génome. Ils recherchent des incidents de floraison de sondes spécifiques pour indiquer la présence de séquences dites existantes. Ces séquences sont définies par MN908947.1 et les mises à jour ultérieures. Ces amorces et ces sondes ne peuvent révéler que des correspondances d’ARN extraites d’ADN non codant, parfois appelé « junk » (ADNc).

Par exemple, le gène S du SRAS-CoV-2 est censé être hautement spécifique au génome du virus SRAS-CoV-2. La séquence cible est – TTGGCAAAATTCAAGACTCACTTTC. Une recherche microbienne BLAST renvoie 97 correspondances microbiennes avec une correspondance de séquence d’identité de 100%. Le pourcentage de concordance le plus faible, parmi les 100 premiers, est de 95%. Une recherche BLAST sur le génome humain trouve également une correspondance de séquence de 100% avec 86 fragments de chromosomes humains.

Peu importe où vous regardez dans le génome supposé du SRAS-CoV-2, il n’y a rien dans les protocoles de test de l’OMS qui identifie clairement de quoi il s’agit. L’ensemble du génome pourrait être faux. Les tests ne prouvent pas l’existence du SRAS-CoV-2. Tout ce qu’ils révèlent, c’est une soupe de matériel génétique non spécifié.

Si tel est le cas, comme il n’y a pas d’isolats ou d’échantillons purifiés du virus, sans test viable, il n’y a aucune preuve de l’existence du SRAS-CoV-2. Par conséquent, il n’y a pas non plus de preuve de l’existence d’une maladie appelée COVID-19.

Cela signifie qu’il n’y a pas de base scientifique pour toute affirmation concernant le nombre de cas de COVID-19, les admissions à l’hôpital ou les chiffres de mortalité. Toutes les mesures prises pour lutter contre ce virus mortel ne sont probablement fondées sur rien.

Fraude concluante

La fraude est un acte criminel. La définition légale de la fraude est la suivante :

« Une pratique trompeuse ou une manœuvre délibérée, à laquelle on a recours dans l’intention de priver un tiers de son droit, ou de lui causer un préjudice d’une manière ou d’une autre ».

La définition légale d’une conspiration est la suivante :

« Une combinaison ou une confédération entre deux ou plusieurs personnes formée dans le but de commettre, par leurs efforts conjoints, un acte illégal ou criminel ».

Il semble que ceux qui prétendent que nous sommes confrontés à une pandémie n’ont pas fourni de preuves montrant qu’un virus appelé SRAS-CoV-2 provoque une maladie appelée COVID-19. Toutes les informations suggérant fortement cette possibilité sont facilement disponibles dans le domaine public. Tout le monde peut les lire.

Pour qu’il y ait fraude, la tromperie doit être délibérée. L’intention doit être de priver délibérément d’autres personnes de leurs droits ou de leur porter préjudice d’une manière ou d’une autre. S’il existe des preuves de collusion entre des individus et/ou des organisations pour commettre une fraude, il s’agit alors d’une conspiration (dans les juridictions de droit commun) ou d’une Entreprise Criminelle Commune (ECC) en vertu du droit international.

Il semble que la COVID-19 ait été délibérément utilisée comme casus belli pour faire la guerre à l’humanité. Nous avons été emprisonnés dans nos propres maisons, notre liberté de circuler a été restreinte, la liberté de parole et d’expression a été érodée, le droit de protester a été réduit, nous avons été séparés de nos proches, nos entreprises ont été détruites, nous avons été bombardés psychologiquement, muselés et terrorisés.

Pire encore, alors qu’il n’existe aucune preuve que la mortalité toutes causes confondues soit sans précédent, il y a eu des pics de mortalité hors saison. Ces chiffres correspondent précisément aux mesures de « confinement » qui ont vu le retrait des services de santé que nous payons et une réorientation des services de santé publique pour traiter une maladie présumée à l’exclusion de toutes les autres.

En outre, ceux qui ont transmis l’histoire de la COVID-19 proposent que cette maladie présumée justifie la restructuration complète de l’économie mondiale, de nos systèmes politiques, de nos sociétés, de nos cultures et de l’humanité elle-même.

Pour être autorisés à participer à ce qu’on appelle leur « nouvelle normalité », qui est la transformation complète de toute notre société sans notre consentement, ils insistent pour que nous nous soumettions à leurs conditions.

Celles-ci comprennent, sans s’y limiter, la surveillance biométrique de chacun, le contrôle et la surveillance centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives et une demande effective que nous n’ayons pas droit à la souveraineté sur nos propres corps. Ceci constitue la condition de l’esclavage.

Il ne fait aucun doute que nous avons été privés de nos droits et blessés. Dans les juridictions de droit commun, l’innocence est présumée, mais les preuves qu’un préjudice a été délibérément causé par une conspiration internationale sont accablantes. Les politiques destructrices, adoptées par les gouvernements du monde entier, ont clairement trouvé leur origine dans les groupes de réflexion mondialistes et les institutions supranationales bien avant l’émergence de cette pandémie inexistante.

Dans les juridictions du Code Napoléon, la culpabilité est présumée. Pour que les conspirateurs accusés puissent prouver leur innocence, ils doivent montrer que, malgré leurs ressources incommensurables, ils ont été collectivement incapables d’accéder ou de comprendre les preuves librement disponibles suggérant que la COVID-19 est un mythe.

Les responsables du crime de conspiration en vue de commettre une fraude mondiale doivent être jugés. S’ils sont reconnus coupables, ils devraient être emprisonnés pendant que le reste d’entre nous s’efforce de réparer les dommages qu’ils ont déjà causés.

source [en anglais] : https://off-guardian.org

traduit par Réseau International




La « Grande Réinitialisation » de Davos arrive

[Source : Réseau International]

par F. William Engdahl.

Pour ceux qui se demandent ce qui va se passer maintenant que la « pandémie » de Covid19 a pratiquement paralysé toute l’économie mondiale, propageant la pire dépression depuis les années 1930, les dirigeants de la plus grande ONG mondialiste, le Forum Économique Mondial de Davos, viennent de dévoiler les grandes lignes de ce à quoi nous pouvons nous attendre. Ces personnes ont décidé d’utiliser cette crise comme une opportunité.

Le 3 juin dernier, le Forum Économique Mondial de Davos (FEM) a dévoilé, via son site web, les grandes lignes de son prochain forum qui se tiendra en janvier 2021. Ils l’appellent « La Grande Rréinitialisation ». Il s’agit de profiter de l’impact stupéfiant du coronavirus pour faire avancer un agenda très spécifique. Il est à noter que cet agenda s’inscrit parfaitement dans un autre agenda bien précis, à savoir l’Agenda 2030 des Nations Unies de 2015. Le paradoxe du plus important forum mondial de grandes entreprises, celui qui a fait avancer l’agenda de mondialisation des entreprises depuis les années 1990 et qui adopte maintenant ce qu’ils appellent le développement durable, est énorme. Cela nous donne un indice que cet agenda ne correspond pas tout à fait à ce que le FEM et ses partenaires affirment.

La Grande Réinitialisation

Le 3 juin, le Président du FEM, Klaus Schwab, a publié une vidéo annonçant le thème annuel pour 2021, « La Grande Réinitialisation ». Il semble qu’il ne s’agisse de rien de moins que de promouvoir un programme global de restructuration de l’économie mondiale selon des lignes très spécifiques, qui ne ressemblent étonnamment pas à celles préconisées par le GIEC, par la Suédoise Greta et ses amis du monde des affaires comme Al Gore ou Larry Fink de Blackwater.

Il est intéressant de noter que les porte-parole du FEM situent la « réinitialisation » de l’économie mondiale dans le contexte du coronavirus et de l’effondrement de l’économie industrielle mondiale qui en découle. Le site web du FEM déclare : « Il y a de nombreuses raisons de poursuivre une grande réinitialisation, mais la plus urgente est le COVID-19 ». La Grande Réinitialisation de l’économie mondiale découle donc du covid19 et de « l’opportunité » qu’il représente.

En annonçant le thème de 2021, le fondateur du FEM, Schwab, a ensuite déclaré, en changeant habilement l’ordre du jour : « Nous n’avons qu’une seule planète et nous savons que le changement climatique pourrait être la prochaine catastrophe mondiale avec des conséquences encore plus dramatiques pour l’humanité« . Le sous-entendu est que le changement climatique est la raison sous-jacente de la catastrophe de la pandémie de coronavirus.

Pour souligner son programme vert « durable », le FEM accueille ensuite le futur roi d’Angleterre, le prince Charles. Se référant à la catastrophe mondiale du covid19, le prince de Galles déclare : « S’il y a une leçon essentielle à tirer de cette crise, c’est que nous devons placer la nature au cœur de notre fonctionnement. Nous ne pouvons tout simplement pas perdre plus de temps ». Aux côtés de Schwab et du Prince se trouve le Secrétaire Général de l’ONU, Antonio Guterres. Il déclare : « Nous devons construire des économies et des sociétés plus égales, plus inclusives et plus durables, qui soient plus résistantes face aux pandémies, au changement climatique et aux nombreux autres changements mondiaux auxquels nous sommes confrontés ». Notez son discours sur les « économies et sociétés durables » – nous y reviendrons plus tard. La nouvelle Directrice du FMI, Kristalina Georgieva, a également approuvé « La Grande Réinitialisation ». Parmi les autres reinitialisateurs du FEM, citons Ma Jun, Président du Comité des Finances Vertes de la Société Chinoise de Finance et de Banque et membre du Comité de Politique Monétaire de la Banque Populaire de Chine ; Bernard Looney, PDG de BP ; Ajay Banga, PDG de Mastercard ; Bradford Smith, Président de Microsoft.

Ne vous y trompez pas, la Grande Réinitialisation n’est pas une idée impulsive de Schwab et ses amis. Le site web du FEM déclare : « Les confinements du COVID-19 s’atténuent peut-être progressivement, mais l’anxiété concernant les perspectives sociales et économiques du monde ne fait que s’intensifier. Il y a de bonnes raisons de s’inquiéter : un fort ralentissement économique a déjà commencé, et nous pourrions être confrontés à la pire dépression depuis les années 1930. Mais, si cette issue est probable, elle n’est pas inévitable ». Les promoteurs du FEM ont de grands projets : « Le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. En bref, nous avons besoin d’une « Grande Réinitialisation » du capitalisme« . C’est énorme.

Des changements radicaux

Schwab nous en dit plus sur l’agenda à venir : « Un des points positifs de la pandémie est qu’elle a montré à quelle vitesse nous pouvons apporter des changements radicaux à nos modes de vie. Presque instantanément, la crise a forcé les entreprises et les particuliers à abandonner des pratiques longtemps considérées comme essentielles, depuis les voyages aériens fréquents jusqu’au travail au bureau ». Ce sont censés être des points positifs ?

Il suggère que ces changements radicaux soient prolongés : « L’agenda de la Grande Réinitialisation aurait trois axes principaux. Le premier orienterait le marché vers des résultats plus équitables. À cette fin, les gouvernements devraient améliorer la coordination… et créer les conditions d’une « économie des parties prenantes… » Elle comprendrait « des modifications de l’impôt sur la fortune, la suppression des subventions aux combustibles fossiles et de nouvelles règles régissant la propriété intellectuelle, le commerce et la concurrence« .

Le deuxième volet de l’Agenda de la Grande Réinitialisation garantirait que « les investissements fassent progresser les objectifs communs, tels que l’égalité et la durabilité ». Ici, le chef du FEM déclare que les récents budgets de relance économique énormes de l’UE, des États-Unis, de la Chine et d’ailleurs doivent être utilisés pour créer une nouvelle économie, « plus résistante, équitable et durable à long terme ». Cela signifie, par exemple, la construction d’infrastructures urbaines « vertes » et la création d’incitations pour les industries afin d’améliorer leurs résultats en matière de mesures environnementales, sociales et de gouvernance« .

Enfin, la troisième étape de cette Grande Réinitialisation consistera à mettre en œuvre l’un des projets favoris de Schwab, la quatrième révolution industrielle : « La troisième et dernière priorité de l’Agenda de la Grande Réinitialisation est d’exploiter les innovations de la quatrième révolution industrielle pour soutenir le bien public, notamment en relevant les défis sanitaires et sociaux. Pendant la crise du COVID-19, des entreprises, des universités et d’autres ont uni leurs forces pour développer des diagnostics, des thérapies et d’éventuels vaccins, établir des centres d’essai, créer des mécanismes de traçage des infections et fournir des services de télémédecine. Imaginez ce qui pourrait être possible si des efforts concertés similaires étaient déployés dans tous les secteurs« . La quatrième révolution industrielle comprend les biotechnologies d’édition de gènes, les télécommunications 5G, l’intelligence artificielle, etc.

L’Agenda 2030 des Nations unies et la Grande Réinitialisation

Si nous comparons les détails de l’Agenda 2030 de l’ONU de 2015 avec la Grande Réinitialisation du FEM, nous constatons que les deux s’accordent très bien. Le thème de l’Agenda 2030 est un « monde durable », c’est-à-dire un monde où règnent l’égalité des revenus, l’égalité des sexes, les vaccins pour tous, sous l’égide de l’OMS et de la Coalition pour les Innovations en matière de Préparation aux Épidémies (CEPI), qui a été lancée en 2017 par le FEM en collaboration avec la Fondation Bill & Melinda Gates.

En 2015, les Nations Unies ont publié un document intitulé « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le Développement Durable ». L’administration Obama ne l’a jamais soumis au Sénat pour ratification, sachant que ce serait un échec. Pourtant, il est en train d’être mis en œuvre à l’échelle mondiale. Il comprend 17 objectifs de développement durable, prolongeant ainsi un Agenda21 antérieur. Les 17 objectifs incluent « mettre fin à la pauvreté et à la faim, sous toutes leurs formes et dimensions… protéger la planète de la dégradation, notamment par une consommation et une production durables, en gérant de manière durable ses ressources naturelles et en prenant des mesures urgentes pour lutter contre le changement climatique… Il appelle à une croissance économique durable, à une agriculture durable (OGM), à une énergie durable et moderne (éolienne, solaire), à des villes durables, à une industrialisation durable… Le mot durable est le mot clé. Si nous creusons un peu plus, il est clair qu’il s’agit d’un mot de code pour une réorganisation de la richesse mondiale par des moyens tels que des taxes punitives sur le carbone qui réduiront considérablement les voyages en avion et en voiture. Le monde moins développé ne s’élèvera pas au niveau des pays développés, mais à l’inverse, les civilisations avancées doivent voir leur niveau de vie baisser pour devenir « durables ».

Maurice Strong

Pour comprendre le double langage de la durabilité, il faut remonter à Maurice Strong, un pétrolier canadien milliardaire et ami proche de David Rockefeller, l’homme qui a joué un rôle central dans les années 1970 pour l’idée que les émissions de CO2 dues à l’homme rendaient le monde non durable. Strong a créé le Programme des Nations Unies pour l’Environnement et, en 1988, le Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) pour étudier exclusivement l’émission de CO2 provoquée par les humains.

En 1992, Strong a déclaré : « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-ce pas notre responsabilité d’y parvenir ? » Au Sommet de la Terre de Rio, Strong a ajouté la même année : « Les modes de vie et de consommation actuels de la classe moyenne aisée – impliquant une consommation élevée de viande, l’utilisation de combustibles fossiles, d’appareils électroménagers, d’air conditionné et de logements de banlieue – ne sont pas durables« .

La décision de diaboliser le CO2, l’un des composés les plus essentiels à la survie de toute vie, humaine et végétale, n’est pas le fruit du hasard. Comme le dit le Professeur Richard Lindzen, physicien de l’atmosphère au MIT, « le CO2 a des attraits différents pour chaque personne. Après tout, qu’est-ce que c’est ? – Ce n’est pas un polluant, c’est le produit de la respiration de chaque créature vivante, c’est le produit de la respiration de toutes les plantes, c’est essentiel pour la vie des plantes et la photosynthèse, c’est le produit de toutes les combustions industrielles, c’est le produit de la conduite automobile – je veux dire, si jamais vous vouliez un point de levier pour tout contrôler, de l’expiration à la conduite automobile, ce serait un rêve. C’est donc une sorte d’attrait fondamental pour la mentalité bureaucratique« .

N’oublions pas que l’exercice de New York sur les pandémies, l’événement 201 du 18 octobre 2019, a été curieusement bien planifié et coparrainé par le Forum Économique Mondial et la Fondation Gates. Il était basé sur l’idée que « ce n’est qu’une question de temps avant qu’une de ces épidémies ne devienne mondiale – une pandémie aux conséquences potentiellement catastrophiques. Une pandémie grave, qui devient « l’Evénement 201″, nécessiterait une coopération fiable entre plusieurs industries, gouvernements nationaux et institutions internationales clés ». Le scénario de l’Événement 201 prévoyait « l’apparition d’un nouveau coronavirus zoonotique transmis de la chauve-souris au porc et à l’homme, qui finit par se transmettre efficacement d’homme à homme, entraînant une grave pandémie ». L’agent pathogène et la maladie qu’il provoque sont largement inspirés du SRAS, mais il est plus transmissible dans le cadre communautaire par des personnes présentant des symptômes bénins« .

La déclaration du Forum Économique Mondial de faire une Grande Réinitialisation est à tout point de vue une tentative à peine voilée de faire avancer le modèle dystopique « durable » de l’Agenda 2030, un « New Deal vert » mondial dans le sillage des mesures de lutte contre la pandémie de Covid19. Leurs liens étroits avec les projets de la Fondation Gates, avec l’OMS et avec les Nations Unies laissent penser que nous pourrions bientôt être confrontés à un monde bien plus sinistre après la fin de la pandémie de Covid19.

source : https://journal-neo.org

traduit par Réseau International




Preuves que la pandémie a été planifiée ?

[Source en anglais : Stop World Control]


FAITS 100% VÉRIFIÉS

Notre objectif est de présenter des informations exactes. Chaque fait peut être vérifié dans les références en bas de page. Si vous voyez quelque chose qui n’est pas correct à 100%, veuillez nous en informer [let us know].


Des médecins déclarent que la pandémie était planifiée

planned pandemic germany

Un groupe de plus de 500 médecins en Allemagne, appelé « Médecins pour informer », a fait une déclaration choquante lors d’une conférence de presse nationale: (1)

« La panique Corona est une pièce de théâtre. C’est une arnaque, une escroquerie. Il est grand temps que nous comprenions que nous sommes au milieu d’un crime mondial. »

Ce grand groupe d’experts médicaux publie un journal médical à 500 000 exemplaires chaque semaine, pour informer le public de la désinformation massive dans les médias grand public. « Médecins pour informer » est soutenu par plus de 6 000 professionnels. Ils organisent des manifestations de masse en Europe, comme celle du 29 août 2020, où 12 millions de personnes se sont inscrites et environ un million se sont réellement présentées.

Pourquoi ces plus de 500 médecins disent-ils que la pandémie est un crime mondial ?

Que savent-ils que nous ignorons ?

planned pandemic protest berlin

Des centaines de médecins espagnols disent que la pandémie est planifiée

En Espagne, un groupe de 600 médecins appelé « Médecins pour la vérité » a fait une déclaration similaire lors d’une conférence de presse.

doctors for truth spain pandemic planned

« Covid-19 est une fausse pandémie créée à des fins politiques. C’est une dictature mondiale avec une excuse sanitaire. Nous exhortons les médecins, les médias et les autorités politiques à mettre fin à cette opération criminelle en répandant la vérité. » (2)

L’Allemagne et l’Espagne ne sont que deux exemples. De grands groupes similaires de centaines d’experts médicaux existent dans des pays du monde entier.

Aux États-Unis, un documentaire appelé PLANDEMIC [Plandémie, pour pandémie planifiée], qui expose le COVID-19 comme une opération criminelle, est soutenu par plus de 27 000 médecins !

Pourquoi ces milliers de professionnels de la santé dans le monde disent-ils que la pandémie est un crime ? À quelles informations ont-ils accès, que nous n’obtenons pas des médias grand public ? 

Je vous invite à regarder les faits suivants avec un esprit ouvert et à tirer ensuite vos propres conclusions…


Des millions de kits de test COVID-19 vendus en 2017 et 2018

Comme nous le savons, la nouvelle maladie COVID-19 est apparue en Chine vers la fin de 2019. Par conséquent, elle a été nommée COVID-19 qui est un acronyme pour Corona Virus Disease 2019 [Maladie à Coronavirus de 2019]. Les données de la World Integrated Trade Solution [Solution intégrée de commerce mondial] montrent cependant quelque chose d’étonnant :

en 2017 et 2018 — deux ans avant COVID-19 — des centaines de millions de kits de test PCR pour COVID-19 ont été distribués dans le monde.

screenshot covid test kits 2017
Kits de tests Covid-19 (300215) importés par pays en 2017

Vite ! Cachez-le !!

Ces données déroutantes ont été découvertes par quelqu’un le 5 septembre 2020, qui les a publiées sur les réseaux sociaux. Le lendemain, il est devenu viral dans le monde entier. Le 6 septembre, le WITS a soudainement changé la désignation originale « COVID-19 » en le terme vague « Kits de tests médicaux ».

L’utilisation de termes généraux n’est pas autorisée dans le commerce, vous devez toujours être précis. Il existe de nombreux types de kits de test pour différentes maladies.

Le fait qu’ils aient supprimé la spécification « COVID-19 », après que ces données soient devenues connues dans le monde entier, prouve qu’ils ne veulent pas que quiconque le sache. Ils ont cependant oublié de supprimer un détail: le bas de la page Web montre toujours le code produit de ces « kits de test médicaux » est 300215, ce qui signifie: « Kits de test COVID-19 »

covid19 product code
Code HS 300215 : Kits de test Covid-19

Leur dissimulation est arrivée trop tard : cette information critique a été découverte et est révélée par des millions de personnes dans le monde. Vous pouvez télécharger un PDF contenant les données originales de ce site Web.


Deux ans avant l’épidémie de COVID-19, des pays du monde entier ont commencé à exporter des centaines de millions d’instruments de test de diagnostic pour … COVID-19.

Un argument utilisé pour nier ces données est que l’étiquette COVID-19 n’a été ajoutée qu’en 2020. Mais pourquoi utiliseraient-ils d’abord un terme non spécifique comme « Kit de test médical », puis des années plus tard, le changeraient en « Kit de Test COVID-19 » (qui est exactement ce que c’est), puis le remplacer par l’ancien et vague « Kit de test médical »? Ces types sont-ils confus, ou quoi ? Je ne crains pas ce genre de tentatives pour nier quelque chose de si évident.

À propos, ces kits de test COVID-19 sont en fait les fameux tests PCR qui sont en effet utilisés partout dans le monde pour tester les gens pour la [maladie] COVID-19.

Même s’il était vrai qu’ils ont joué avec cette étiquette [relative à la désignation du Kit de test] (ce qui est hautement improbable car ce serait ridiculement non professionnel), cela ne change pas le fait que deux ans avant la pandémie, toutes les nations du monde ont soudainement commencé à distribuer des CENTAINES DE MILLIONS de tests PCR. Donc, le cœur du problème ne change pas.

planned pandemic plandemic

La question est : pourquoi la distribution de tests PCR a-t-elle explosé dans le monde entier avec la distribution de centaines de millions d’entre eux, qui sont spécifiquement utilisés pour tester la COVID-19 ?

À quoi se préparaient-ils ?


Rothschild a breveté une méthode de test COVID-19 en 2015

Un site Web du gouvernement néerlandais consacré au brevetage des inventions montre également quelque chose d’intéressant. Richard A. Rothschild du Royaume-Uni a breveté un système de test du COVID-19 en 2015.

pandemic planned patent rothschild covid

Ceux qui connaissent la dynastie Rothschild comprennent que ce sont eux qui contrôlent le monde depuis des siècles et qu’ils possèdent la plupart des banques centrales dans presque tous les pays du monde. (2D) Les Rothschild sont connus pour avoir organisé de nombreuses guerres, manipulé les gouvernements et provoqué des épidémies.

Un Rothschild brevetant une méthode de test spécifiquement pour COVID-19 est donc très intéressant… c’est le moins qu’on puisse dire !


Le « projet » COVID-19 est prévu jusqu’en 2025

La Banque mondiale montre que COVID-19 est un projet qui devrait se poursuivre jusqu’à… la fin mars 2025 ! L’intention est donc de continuer pendant CINQ AUTRES ANNÉES. (2C)

covid planned program 2025
Monde | Programme de préparation et de réponse stratégique à la covid-19
Date prévue de cloture du projet : 31 mars 2025

Fauci a garanti une pandémie dans les deux prochaines années

anthony fauci predicting pandemic

En 2017, Anthony Fauci a fait une prédiction très étrange, avec une certitude encore plus étrange. En toute confiance, Fauci a annoncé qu’au cours du premier mandat du président Trump, une épidémie surprise d’une maladie infectieuse se produirait sûrement. Voici ce qu’il a dit : (3)

Il n’y a AUCUNE QUESTION, il va y avoir un défi pour l’administration à venir dans le domaine des maladies infectieuses.

Il y aura une ÉPIDÉMIE SURPRISE.
Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de personne à ce sujet.

Comment Fauci pourrait-il garantir une épidémie surprise au cours du premier mandat de l’administration Trump ? Que savait-il, que nous ne savons pas ?


Bill et Melinda Gates garantissent une pandémie mondiale imminente

En 2018, Bill Gates a annoncé publiquement qu’une pandémie mondiale était en route et pourrait anéantir 30 millions de personnes. Il a dit que cela se produirait probablement au cours de la prochaine décennie. (4)

Melinda Gates a ajouté qu’un virus fabriqué est la plus grande menace pour les sciences humaines et a également assuré que cela toucherait l’humanité dans les prochaines années. (5)

Laissez leur choix de mots résonner dans votre esprit pendant un moment …

Ils affirment que la population dense du monde garantit cette pandémie mondiale imminente. Mais soyons honnêtes : la majeure partie de la terre est inhabitée. Survolez l’Amérique dans un avion et regardez par la fenêtre. Vous voyez un espace vide la plupart du temps, avec quelques villes ici et là. La plupart du territoire des États-Unis est encore un espace ouvert et vide. Il en va de même pour le reste du monde : Australie, Russie, Inde, Chine, Amérique, Afrique… c’est en grande partie la nature sauvage. Notre planète n’est pas aussi peuplée que Bill Gates veut nous le faire croire. Cette carte du monde le montre clairement…

La plus grande partie de la terre est totalement dépourvue de toute présence humaine. Ainsi, l’idée que le monde est largement surpeuplé et ne peut que donner lieu à une pandémie mondiale imminente est un mensonge.

Les Gates ont également affirmé que le transport aérien était sûr de créer une pandémie mondiale. Mais d’innombrables personnes ont voyagé en avion au cours du siècle dernier. Cela a-t-il donné lieu à des flambées constantes de pandémies mondiales ? Bien sûr que non !

Leurs arguments pour lesquels ils ont garanti une pandémie mondiale dans les prochaines années sont des mensonges. Alors, quelle est leur véritable base pour faire de telles prédictions garanties ?


S’exercer pour une pandémie

 Event201 planned pandemic exercise

Quelques mois avant l’épidémie, Bill Gates — le premier revendeur de vaccins au monde — a organisé un événement à New York. Devinez de quoi il s’agissait ? C’était un « exercice de pandémie de coronavirus ». Oui, vous l’avez bien lu :

Bill Gates a organisé un exercice de pandémie de coronavirus, juste avant que cela ne se produise en vrai !

Sur le grand écran de l’auditorium, vous voyez le texte imprimé : « Nous devons nous préparer à l’éventualité d’une pandémie ». Cet exercice de pandémie s’appelait Event201 et a eu lieu en octobre 2019, littéralement juste avant l’épidémie.

Leur conclusion était que toute l’humanité devait être vaccinée…


Excitation à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine

Peu de temps après cet « exercice de pandémie de coronavirus », Bill Gates a tweeté :

Je suis particulièrement enthousiasmé par ce que l’année prochaine pourrait signifier pour l’un des meilleurs achats de la santé mondiale : les vaccins.

tweet bill gates vaccines

Pensez-y : le premier revendeur de vaccins au monde garantit qu’une pandémie mondiale se produira dans les prochaines années, et son épouse a déclaré que nous devrions tous craindre un virus artificiel qui est « en route ». Ensuite, ils organisent un exercice pour une pandémie mondiale imminente et disent que les vaccins seront la seule solution. Ensuite, Bill Gates tweete à quel point il est enthousiaste à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine. Immédiatement après, la pandémie annoncée éclate.


La pandémie de coronavirus 2020 prévue en 2013

L’information suivante est particulièrement intéressante car elle montre la quantité d’informations disponibles, pour ceux qui osent faire des recherches. En 2013, un artiste musical avec le nom particulier de Dr Creep a écrit une chanson de rap appelée PANDEMIC [Pandémie]. Rien de spécial à ce sujet, si ce n’était qu’une de ses paroles disait : (6)

« 2020 combiné avec CoronaVirus, les corps s’empilent. »

Comment est-il possible qu’un musicien inconnu puisse prédire avec précision qu’une pandémie de coronavirus se produira sept ans plus tard ?

La chanson a également prédit les émeutes qui font maintenant rage dans toute l’Amérique :

« L’État est en émeute, utilisant la rue à l’extérieur. Il arrive à vos fenêtres. »

panned pandemic riots 2020

Encore une fois : comment un vague artiste pouvait-il savoir en 2013 qu’en 2020, un coronavirus balayerait la terre, suivi d’émeutes de masse ? Sa réponse est intéressante :

« J’ai fait des recherches en 2012 et lu les soi-disant « théories du complot ». Vous savez, ces enquêtes que les médias ne veulent pas que nous examinions. Selon ces théories, des pandémies devaient survenir dans la décennie 2020-2030. J’ai donc écrit la chanson « Pandemic » à ce sujet. »

Vous pigez ? Cet homme a fait des recherches sur ce que l’on appelle communément des « théories du complot », des choses que nous sommes programmés pour ignorer comme « absurdes ». Mais apparemment, ces enquêtes ne sont pas toujours aussi stupides après tout, car elles ont prédit avec précision que cette pandémie et les émeutes se produiraient exactement en 2020.

Que peut-on découvrir d’autre une fois que les gens commencent à chercher un peu plus loin que les histoires de base que nous présentent les médias grand public ? Qu’est-ce qui se cache d’autre sous l’étiquette négative de « théorie du complot » ?

Continuons à lire pour en savoir plus…


« Préparez-vous à une pandémie mondiale de coronavirus »

En septembre 2019 — également juste avant l’épidémie — le Global Preparedness Monitoring Board [Conseil mondial de suivi de la préparation] a publié un rapport intitulé « Un monde en péril ».

Il a souligné la nécessité de se préparer à… une épidémie de coronavirus !

Sur la couverture du rapport se trouve l’image d’un coronavirus et de personnes portant des masques faciaux.

Dans le rapport, nous lisons le paragraphe intéressant suivant :

« L’Organisation des Nations Unies (y compris l’OMS) organise au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un pour couvrir la dissémination délibérée d’un pathogène respiratoire mortel. »

Avez-vous compris cela ? Ils ont effectué un exercice pour une libération délibérée d’un pathogène respiratoire mortel.


Une épidémie annoncée en provenance de Chine



[Voir l’animation sur le site d’origine https://www.stopworldcontrol.com/planned/]

En 2018, l’Institute for Disease Modeling [Institut pour la modélisation des maladies] a réalisé une vidéo dans laquelle est montré un virus de la grippe originaire de Chine, de la région de Wuhan, et se propageant dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Ils l’ont appelé « Une simulation pour une pandémie mondiale de grippe ». C’est exactement ce qui s’est produit, deux ans plus tard. Pourquoi ont-ils dit que cela viendrait de Chine ? Pourquoi pas l’Afrique, où les maladies sont bien plus nombreuses ? Ou pourquoi pas l’Amérique du Sud ? Ou l’Inde ?

Comment pourraient-ils savoir qu’il y aurait un virus de la grippe venant de Chine et même montrer Wuhan comme la région d’origine, qui infecterait le monde entier ?


Ce coronavirus a-t-il été fabriqué?

wuhan virology lab

D’où vient le virus ? L’un des plus grands experts mondiaux en matière d’armes biologiques est le Dr Francis Boyle. Il est convaincu qu’il provient d’un laboratoire d’armes biologiques à Wuhan, le Bio Safety Lab de niveau 4.

Cette installation est spécialisée dans le développement de… coronavirus!

Ils prennent les virus existants et les «militarisent», ce qui signifie qu’ils les rendent beaucoup plus dangereux, pour les utiliser comme une arme biologique. Dans le clip vidéo de deux minutes qui suit, vous voyez un porte-parole de l’administration Trump, l’expert en armes biologiques, le Dr Francis Boyle et le président Trump expliquer comment ce virus est venu du laboratoire de Wuhan.



[Voir la vidéo sur le site d’origine https://www.stopworldcontrol.com/planned/]

Maintenant vient la partie intéressante : en 2015, Anthony Fauci a donné 3,7 millions de dollars à ce même laboratoire.

Figurez-vous ceci : le même homme qui a garanti une épidémie surprise d’un virus dans les deux prochaines années, a donné près de 4 millions de dollars à un laboratoire qui développe des coronavirus. Dans le court clip ci-dessous, vous pouvez voir un journaliste interroger le président Trump sur cette subvention accordée par Fauci au laboratoire de Wuhan.



[Voir la vidéo sur le site d’origine https://www.stopworldcontrol.com/planned/]


Selon un virologue chinois, le virus a pu se propager

En avril 2020, la virologue et immunologiste chinoise Li-Meng Yan a fui la Chine et a demandé l’asile politique en Amérique. Pourquoi ? Elle voulait révéler la vérité sur la Covid-19. Yan prétend être l’un des premiers scientifiques à travailler sur ce nouveau coronavirus. Lorsqu’on a appris que ce virus causait de graves maladies à l’intérieur de la Chine, Yan a reçu l’ordre de faire des recherches.

Elle a découvert quelque chose de grave : ce virus a été transmis par contact humain. Lorsqu’elle a fait connaître cette information inquiétante à son surveillant, elle a reçu l’ordre de garder le silence à ce sujet.

Peu de temps après, l’Organisation Mondiale de la Santé a annoncé qu’il y avait un nouveau virus dangereux en Chine… mais qu’il n’était PAS transmis par contact humain et qu’il n’y avait donc aucun danger pour la population mondiale.

Après cette fausse déclaration de l’OMS, elle a remarqué que le ton de tous les scientifiques à qui elle avait parlé du virus était passé d’amical à distant. Son superviseur a déclaré :

Reste calme et prudente. Ne franchis pas la ligne rouge ! Sinon, nous aurons des ennuis et disparaîtrons …

Li-Meng Yan a décidé de fuir en Amérique et a raconté son histoire à Fox News et au FBI. Selon Yan, le gouvernement chinois savait que ce virus se propageait entre les gens et ils ont attendu d’informer le monde parce qu’ils voulaient qu’il se propage à l’échelle mondiale.

L’Organisation Mondiale de la Santé a collaboré avec le Parti communiste chinois, affirmant que ce nouveau virus n’était pas transmissible entre les humains. En conséquence, il pouvait se répandre dans le monde entier.

Bien sûr, ses déclarations sont démenties par l’OMS et le gouvernement chinois. Cependant, le fait est qu’au début de janvier 2020, l’OMS a déclaré que le nouveau coronavirus n’était pas transmissible d’homme à homme, donc aucune mesure n’a été prise… et le monde entier en a été infecté.

La virologue Yan vit désormais cachée et est protégée par le gouvernement américain.


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Plusieurs films ont prédit la pandémie de coronavirus

La programmation prédictive consiste à informer la population des événements qui vont bientôt se produire. Ces dernières années, plusieurs films et séries télévisées ont été produits, sur… une pandémie mondiale de coronavirus !

Le film « Dead Plague » [peste noire] dépeint une pandémie mondiale avec un coronavirus et mentionne même l’hydroxychloroquine comme remède.

Un autre film intitulé « Contagion » montre comment un coronavirus se propage dans le monde avec la distanciation sociale, les masques faciaux, le verrouillage, le lavage des mains, etc.

Littéralement, tout ce que nous voyons maintenant est prédit en détail dans ces films.


Une bande dessinée de l’Union européenne visualise une pandémie mondiale

infected comic book european union

En 2012, une étrange bande dessinée a été produite par l’Union européenne, pour la distribution parmi leurs employés seulement. (2B) Le titre de la bande dessinée est « INFECTÉ » et montre un nouveau virus provenant d’un laboratoire chinois et se propageant à travers le monde. La solution à cette pandémie est décrite dans la bande dessinée : les mondialistes appliquent un plan mondial de santé. Ça signifie :

Plus de liberté médicale, mais la tyrannie médicale des entités mondialistes.

Tel est le message de cette bande dessinée, publiée aux employés de l’Union européenne. L’une des citations de la bande dessinée se lit comme suit :

« Les mesures de sécurité qui ont suivi ont rendu notre existence totalement insupportable. »

pandemic strip eu

Pandémie représentée lors des jeux olympiques d’été en 2012

pandemic olympics summergames 2012

Lors du spectacle d’ouverture des Jeux olympiques d’été en 2012, une pandémie de coronavirus s’est jouée aux yeux du monde entier. Des dizaines de lits d’hôpitaux, un grand nombre d’infirmières devenant les marionnettes d’un système de contrôle, la mort rôde, un géant démoniaque s’élevant dans le monde entier, et tout le théâtre était éclairé de telle manière que vu du ciel, cela ressemblait à un coronavirus .

Pourquoi les Jeux Olympiques ont-ils montré une pandémie de coronavirus, dans leur émission d’ouverture ?


Verrouillage mondial prévu en 2008

L’auteur et enquêteur Robin de Ruiter a prédit en 2008 qu’il y aurait un verrouillage mondial.

Il a dit que le but de ceci serait de créer un nouveau monde de contrôle autoritaire.

Parce qu’une grande partie de ce qu’il a écrit en 2008 se passe maintenant sous nos yeux, ce livre a été republié.


Des journalistes ont prédit une pandémie planifiée

En 2014, le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit une pandémie mondiale planifiée et a expliqué pourquoi la « classe dirigeante » ferait une telle chose:

« Ils ne reculeront devant rien pour compléter leur boîte à outils de contrôle. Les quarantaines et les couvre-feux sont l’une des choses qui manquaient à leur boîte à outils. Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »(7)


« Scénario pour l’avenir »

Ce chercheur de renom fait référence à un document célèbre de la Fondation Rockefeller dans lequel tout ce que nous voyons se passer maintenant est littéralement prédit en détail : la pandémie mondiale, les verrouillages, l’effondrement de l’économie et l’imposition d’un contrôle autoritaire.

Tout est décrit avec une précision terrifiante… dix ans avant que cela ne se produise!

Le document s’intitule « Scénario pour l’avenir de la technologie et du développement international ». (9) Cela dit tout : un scénario pour l’avenir. Il contient un chapitre appelé « LockStep » dans lequel une pandémie mondiale est signalée comme si elle s’était produite dans le passé, mais qui est clairement conçue comme une répétition pour [préparer] l’avenir.



La pandémie de 2020 est décrite avec des détails horribles dans le « Scénario pour l’avenir » de la Fondation Rockefeller écrit en 2010.

Le « Scénario pour l’avenir » se poursuit en comparant deux réponses différentes à leur pandémie prévue : les États-Unis n’ont « fortement découragé » que les gens de prendre l’avion, tandis que la Chine a imposé une quarantaine obligatoire à tous les citoyens. La première réponse est accusée de propager encore plus le virus, tandis que l’imposition d’un verrouillage suffocant est saluée. Ensuite, il décrit la mise en œuvre du contrôle totalitaire :

Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont fait preuve d’autorité et ont imposé des règles et des restrictions hermétiques, du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de la température corporelle aux entrées des espaces communs comme les gares et les supermarchés.

Il est clair que le durcissement des autorités est la réponse souhaitée. Mais cela empire, selon ce « scénario du futur » :

« Même après la disparition de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés stables et même intensifiés. »

« Dans les pays développés, cette surveillance accrue a pris de nombreuses formes : des identifiants biométriques pour tous les citoyens, par exemple, et une réglementation plus stricte des industries clés dont la stabilité était jugée vitale pour les intérêts nationaux. »


Selon la Fondation Rockefeller, une pandémie mondiale doit entraîner un contrôle accru, où les gens abandonnent volontiers leur liberté, afin de se sentir à nouveau en sécurité.


Manuel pour le contrôle global

Maintenant que la pandémie annoncée est bel et bien là, la même Fondation Rockefeller a proposé la deuxième étape : un manuel sur la mise en œuvre de nouveaux systèmes de contrôle pendant cette pandémie. Ce n’est que lorsque tous les réseaux de contrôle requis seront en place que le monde pourra s’ouvrir à nouveau.

Lorsque vous combinez les deux documents Rockefeller, vous voyez le plan :

1) Premièrement, ils annoncent une pandémie mondiale avec un coronavirus et disent à quoi cela devrait conduire : un tout nouveau niveau de contrôle autoritaire.

2) Deuxièmement, ils donnent des étapes pratiques sur la façon d’appliquer ce système de contrôle.

Ce sont des illustrations et des citations de leur guide :

« Les applications numériques et les logiciels de suivi protégés par la confidentialité devraient être largement utilisés pour permettre un suivi des contacts plus complet. »

« Afin de contrôler pleinement l’épidémie de Covid-19, nous devons tester la majorité de la population chaque semaine. »

Selon leur « Scénario du futur », toute la population mondiale devrait obtenir une identification numérique indiquant qui a reçu tous les vaccins. Sans vaccinations suffisantes, l’accès aux écoles, concerts, églises, transports publics, etc. sera refusé.

Aujourd’hui, en 2020, c’est exactement ce que Bill Gates et de nombreux gouvernements réclament.


Les contacts de tout le monde doivent être vérifiés

Dans une vidéo gouvernementale divulguée (10), nous voyons une conversation entre l’ancien président américain Bill Clinton et Andrew Cuomo, le gouverneur de l’État de New York. Ils discutent de la manière de mettre en place un grand système de contrôle pour tester l’ensemble de la population et vérifier tous leurs contacts. Ils discutent de la manière de constituer une armée pour mettre en œuvre ce système de contrôle.

« Des centaines et des centaines d’agents de contrôle doivent être nommés. Ils testent tout le monde, puis vérifient tous leurs contacts. Cela n’a jamais été fait auparavant à cette échelle. C’est une armée d’interrogateurs qui vérifieront les contacts de tout le monde. »

ANDREW CUOMO,
GOVERNOR OF NEW YORK


Un tout nouveau niveau de contrôle global

world control

Bill Gates a également précisé que seules les personnes qui ont été vaccinées contre Covid-19 devraient être autorisées à voyager, à aller à l’école, à assister à des réunions et à travailler. (11) Des identifiants numériques de vaccins sont déjà en cours de développement (12) et Gates a un brevet sur la technologie qui permet de retracer le corps d’un individu n’importe où. Cette technologie est appelée WO2020-060606 (13). De plus, Gates souhaite mettre en place un réseau de surveillance mondial, qui suivra toutes les personnes qui sont entrées en contact avec la Covid-19 (14).


Le plan : injecter à l’humanité un vaccin modifiant l’ADN

Le célèbre journaliste d’investigation Anthony Patch a fait des années de recherche sur les plans de contrôle du monde, au moyen de pandémies créées et de vaccins obligatoires. Lors d’un entretien en 2014, ce chercheur a prédit ce qui suit:

« Ils vont libérer un coronavirus artificiel. En conséquence, les gens exigeront un vaccin pour les protéger. Ce vaccin ajoutera une troisième souche d’ADN au corps d’une personne, ce qui en fera essentiellement un hybride. Une fois qu’une personne est injectée, son ADN subit presque immédiatement une transformation. Ce changement génétique amènera les gens à perdre la capacité de penser par eux-mêmes, sans même qu’ils s’en rendent compte. Ainsi, ils peuvent être contrôlés plus facilement, pour devenir les esclaves de l’élite. »

Bien sûr, cela semble insensé et c’est vraiment insensé. Pourtant, nous devons être conscients que cet enquêteur professionnel n’est pas dupe. Il a fait des années de recherche et c’est ce qu’il a découvert au fil des ans.

Nous devons veiller à ne pas rejeter des connaissances solides, fondées sur des années de recherche, simplement à cause de notre propre manque de compréhension de ces sujets.


20 ans de recherche disent :
le vaccin changera notre ADN

La docteure Carrie Madej a dirigé deux grandes cliniques en Géorgie, avant de se rendre en République dominicaine pour faire du travail humanitaire. Elle a étudié l’ADN et les vaccins au cours des vingt dernières années et a réalisé une vidéo urgente dans laquelle elle prévient qu’il existe un plan pour injecter à l’humanité des vaccins très dangereux contre la Covid-19. Le but de ces nouveaux vaccins sera double :

1) reprogrammer notre ADN et faire de nous des hybrides plus faciles à contrôler.
2) nous connecter à l’intelligence artificielle grâce à un identifiant numérique de vaccin, qui ouvrira également un tout nouveau domaine de contrôle.

Cette experte médicale dit avoir observé à plusieurs reprises comment les maladies se propageaient dans les populations par avion. Pour des raisons de sécurité, elle n’est pas en mesure de partager plus de détails à ce sujet en public.


Dépeupler la terre au moyen d’épidémies organisées

Le Dr John Coleman était un officier du renseignement de la CIA qui a écrit un livre intitulé « Le Comité des 300 ». Il y explique comment les sociétés secrètes manipulent les gouvernements, les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, etc. Ce livre se trouve sur le site Web de la CIA. (15)

L’un des principaux objectifs des nombreuses sociétés secrètes, qui contrôlent les gouvernements et les médias, est de dépeupler la terre.

Le Dr Coleman dit ce qui suit à propos de leur stratégie :

« Au moins 4 milliards de mangeurs inutiles doivent être éliminés d’ici à 2050 au moyen de guerres limitées et d’épidémies organisées de maladies mortelles à action rapide. »

DR. JOHN COLEMAN, CIA INTELLIGENCE OFFICER


Maintenir l’humanité sous 500 millions d’habitants

En 1980, un monument de granit a été érigé en Géorgie, appelé les Guidestones. Un ensemble de 10 lignes directrices [NdNM : Les 10 commandements de la nouvelle religion mondiale basée sur la science-technologie, l’humanisme et le New Age ?] est inscrit sur la structure en huit langues modernes et un message plus court est inscrit en haut de la structure dans quatre scripts de langues anciennes. La première directive est la suivante:

1. Maintenez l’humanité sous 500 000 000 en équilibre perpétuel avec la nature.


Utiliser des vaccins pour réduire l’humanité

Lors d’une conférence TED, Bill Gates a fait écho à cet objectif, quand il a dit littéralement que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15% ! (16)

« Il y a maintenant 6,7 milliards de personnes sur terre et bientôt il y en aura 9 milliards. Cependant, nous pouvons réduire ce nombre de dix à quinze pour cent si nous faisons du bon travail avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et le contrôle des naissances ».

BILL GATES, TRAFICANT de VACCINS


Vaccin Covid19 pour le contrôle de la population ?

Mike Adams est un scientifique alimentaire publié, auteur du livre scientifique populaire Food Forensics [Médecine légale des aliments] et fondateur de CWC Labs accréditée ISO. Il y a des années, il a dit ce qui suit :

Une arme biologique fabriquée sera libérée dans les centres de population. Il y aura des appels pour un financement gouvernemental massif pour l’industrie du vaccin afin de proposer un vaccin. Miraculeusement, ils auront un vaccin développé en un temps record. Tout le monde devra faire la queue et prendre ce vaccin.



[Voir la vidéo sur le site d’origine https://www.stopworldcontrol.com/planned/]

Il y a en effet une libération d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccin, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie du vaccin et d’un vaccin qui est mis au point en un temps record.

Le reste de son message est que ce vaccin commencera lentement à tuer des millions, voire des milliards, de personnes en quelques années. Ce sera un vaccin kill-switch [NdNM : coupe-circuit ou commutateur qui une fois en position ouverte pourrait libérer un genre de toxine ou d’agent mortel], conçu pour réduire la population mondiale.


RÉSUMÉ :
LA PANDÉMIE A-T-ELLE ÉTÉ PRÉVUE ?

Des milliers de médecins du monde entier appellent la pandémie un crime mondial, une dictature mondiale avec une excuse sanitaire.

Quelques années avant la COVID-19, le monde entier a soudainement commencé à distribuer des centaines de millions de kits de test PCR pour COVID-19.

En 2015, Richard A. Rothschild a breveté une méthode de test médical pour COVID-19.

La Banque mondiale montre comment le projet Covid-19 devrait durer jusqu’en mars 2025.

En 2013, un chercheur a prédit qu’une pandémie mondiale avec un coronavirus se produirait en 2020. Il le savait grâce à une enquête personnelle sur les soi-disant « théories du complot ».

En 2017, Anthony Fauci a garanti une épidémie surprise d’une maladie infectieuse au cours du premier mandat de l’administration Trump.

Juste avant la pandémie mondiale de coronavirus, Bill Gates a organisé un exercice mondial sur la pandémie de coronavirus : Event201.

Également peu avant l’épidémie, le Conseil mondial de surveillance de la préparation a dit au monde qu’il était prêt pour une pandémie de coronavirus.

En 2018, l’Institute for Disease Modeling a annoncé une pandémie mondiale avec un virus de la grippe, originaire de Chine dans la région de Wuhan.

En 2018, Bill et Melinda Gates ont annoncé que dans les années à venir, il y aurait une pandémie mondiale d’un virus artificiel.

Le coronavirus SARS-CoV-2 a peut-être été créé dans le Bio Safety Lab P4 à Wuhan, qui a reçu des millions de dollars d’Anthony Fauci.

Une virologue chinois de premier plan, Li-Meng Yan, s’est enfuie aux États-Unis pour exposer comment le Parti communiste chinois a conspiré avec l’Organisation Mondiale de la Santé pour publier une fausse déclaration sur le virus, ce qui a permis à ce dernier de se propager dans le monde entier.

Plusieurs films ont décrit la pandémie de coronavirus avec beaucoup de détails, et mentionnent même l’hydroxychloroquine comme remède.

Une bande dessinée produite par l’Union européenne décrit un virus qui se propage dans le monde entier. La crise est résolue par la mise en œuvre d’une tyrannie médicale totalitaire.

Les Jeux olympiques d’été de 2012 ont joué une pandémie de coronavirus lors de leur émission d’ouverture.

Le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit en 2014 qu’une pandémie mondiale serait provoquée, de sorte que la « classe dirigeante » pourrait mettre en œuvre un niveau plus élevé de contrôle autoritaire.

Le journaliste d’investigation Anthony Patch a prédit une pandémie mondiale avec un virus artificiel, qui serait utilisé pour forcer un vaccin modifiant l’ADN de l’humanité.

La Dre Carrie Madej a étudié l’ADN et les vaccins pendant des décennies et dit que le plan est d’utiliser le vaccin COVID-19 pour lancer le processus de transhumanisme : reprogrammer l’ADN humain.

L’officier de la CIA, le Dr John Coleman, a étudié les sociétés secrètes et affirme que leur objectif est de dépeupler la terre au moyen de pandémies organisées de maladies mortelles à action rapide.

Dans l’État de Géorgie, un immense monument a été érigé en 1980 avec dix directives pour l’humanité, en huit langues. Le premier de ces « dix commandements » est que l’humanité doit être réduite à un demi-milliard de personnes.

Bill Gates a déclaré lors d’une conférence TED que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15%.

Le « gardien de la santé » Mike Adams a prédit il y a des années ce que nous voyons se produire maintenant : la libération d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccin, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie du vaccin et d’un vaccin qui est développé en un temps record. Il a également prédit que ce vaccin tuera d’innombrables personnes au cours de quelques années.

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié le « Scénario pour l’avenir… » dans lequel elle décrit une pandémie mondiale à venir, qui devrait aboutir à la mise en œuvre d’un contrôle autoritaire sur les populations, qui s’intensifiera ensuite après la pandémie.

En 2020, la Fondation Rockefeller publie un manuel sur la façon de créer ce monde de contrôle, avec un guide étape par étape. Ils disent que la vie ne peut pas revenir à la normale, tant que le monde n’est pas devenu «verrouillé» avec ce contrôle provenant des gouvernements autoritaires.

Nous voyons en effet que Bill Gates et bien d’autres dans le monde prennent immédiatement le contrôle d’une manière sans précédent, avec des identifiants de vaccins, des micropuces qui seront implantées dans les personnes, rendant obligatoire le port de masques faciaux, la distanciation sociale, les verrouillages forcés, la recherche extrême des contacts. , etc.

Une partie de ce contrôle descendant consiste en une censure extrême de chaque voix des médecins, des scientifiques ou d’autres experts qui critiquent ce qui se passe.


Toutes les prédictions ont été faites peu de temps avant que cela ne se produise

predictions
C’est maintenant

Notez que chaque prédiction de cette pandémie a été annoncée quelques années, voire des mois avant qu’elle ne se produise. C’est important. Gates et Fauci mentent quand ils disent que « l’histoire nous dit que cela va arriver », car il n’existe aucune base historique pour garantir qu’une pandémie mondiale de coronavirus se produira dans quelques mois ou quelques années.

Jamais dans l’histoire rien de tel ne s’est produit, à une telle échelle mondiale.

Le fait qu’un événement aussi unique sur le plan historique ait été prédit avec beaucoup de détails — par des films, des émissions, des enquêteurs, des médecins, ceux qui financent les laboratoires qui développent ces virus, ceux qui gagnent des milliards grâce à ces pandémies, ceux qui veulent créer un tout nouveau niveau de contrôle dans notre monde, etc. — montre que c’était prévu.


Y a-t-il des signes que la pandémie est manipulée ?

pandemic planned covid19

Jusqu’à présent, nous avons examiné les indications selon lesquelles la pandémie avait été planifiée à l’avance. S’il est effectivement orchestré, cela devrait également être évident pendant la pandémie. Une pandémie planifiée est également une pandémie contrôlée. Observons-nous en effet que la pandémie est manipulée ? Absolument. Les autres articles sur StopWorldControl.com révèlent à quel point chaque voix médicale, scientifique, gouvernementale, éducative et journalistique qui diffère de la propagande médiatique est censurée de manière agressive. Jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité il n’y avait eu une telle censure mondiale des médecins et des scientifiques respectés du monde entier.

Big Tech (Google, Facebook, Twitter, Apple, etc.) collabore avec Big Pharma (les industries pharmaceutiques de plusieurs milliards de dollars) pour supprimer tous les sons qui défient leur propagande.

En plus de cela, il y a une démonstration sans précédent de fraude mondiale avec des numéros covid. Littéralement, chaque information sur COVID-19 est fausse. Le personnel médical du monde entier a admis qu’il subissait de fortes pressions et même carrément ordonné d’enregistrer chaque patient en tant que patient covid et chaque décès — quelle qu’en soit la cause — comme un décès covid.

Vous pouvez voir les preuves de cette affirmation scandaleuse dans cet exposé choquant de la plus grande fraude de l’histoire du monde.


Qui est derrière le plan de contrôle du monde?

world control

Nous avons parlé d’un groupe de personnes que l’on appelle des « mondialistes ». Alors, qui sont ces « mondialistes » de toute façon ? Ce sont des gens riches et influents du monde entier qui envisagent de créer un gouvernement mondial. Cela leur permettra de contrôler chaque être humain sur la planète. Leur stratégie est de dominer tous les domaines de nos sociétés : soins de santé, industries alimentaires, médias, gouvernements, religion, tout.

La domination mondiale totale a été un désir diabolique de nombreux dirigeants puissants à travers l’histoire du monde. Pensez simplement aux empires mondiaux notoires de Rome, de la Grande-Bretagne, des Perses, des Russes, etc.

Cette passion perverse n’a pas quitté le cœur corrompu de l’humanité, mais les moyens pour atteindre cet objectif ont changé. Au lieu d’envahir les nations avec des chars et des bazookas, ils asservissent désormais l’humanité en utilisant la force de la peur. Une fois qu’ils peuvent créer suffisamment de panique, ils peuvent présenter la «solution». Cette solution signifie cependant nous retirer notre liberté et nous soumettre à leur contrôle.

Les principaux acteurs du mondialisme sont les Nations Unies, le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, l’Union européenne, le Fonds monétaire international, la Banque mondiale, et en particulier les nombreuses banques privées qui contrôlent déjà le monde. Ces entités visibles ne sont cependant qu’une façade, pour cacher les vrais pouvoirs, que sont les nombreuses « sociétés secrètes ». Beaucoup de ces mondialistes se sont récemment réunis lors d’un événement appelé DAVOS, où ils ont exprimé comment la pandémie sera utilisée pour déployer leurs plans. Voici quelques-unes des déclarations qu’ils ont faites: (18)

« C’est le moment historique dans le temps, non seulement de combattre le virus, mais de FAÇONNER LE SYSTÈME.

La pandémie représente une fenêtre d’opportunité pour RÉINITIALISER NOTRE MONDE.

Le monde doit agir conjointement et rapidement pour REVAMPER TOUS LES ASPECTS de nos sociétés et économies, des contacts éducatifs aux contacts sociaux et aux conditions de travail.

CHAQUE PAYS, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être TRANSFORMÉE. »

Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial

Le Forum Économique Mondial a créé un « rouet » avec tous leurs objectifs. On y voit les trois « projets » suivants : Covid19 suivi de Gouvernance mondiale et Gouvernance d’Internet.

global reset


COVID-19 est un projet critique qui ouvre la voie à la prochaine étape : LA GOUVERNANCE GLOBALE. Un peu plus loin dans le futur, ils prévoient de créer une censure complète d’Internet : la GOUVERNANCE D’INTERNET.


Personne ne veut de ces organisations

Pas un seul humain sur terre n’a voté pour que ces organisations existent, et encore moins prennent le contrôle total de nos vies, familles, communautés, emplois, santé, industries, etc. Pourtant, ils se présentent comme nos « leaders mondiaux » qui planifient tout notre avenir.

L’Organisation Mondiale de la Santé s’est positionnée comme le chef de file de notre santé, sans qu’aucun de nous n’ait choisi pour eux.

Ils appliquent une tyrannie dans les médias grand public et les médias sociaux, où aucune expression d’expertise médicale ou scientifique n’est autorisée, à moins qu’elle ne soit conforme aux directives de cette organisation « mondiale ».

Des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques ont été censurés dans le monde entier, par Facebook, Youtube et Twitter. Pourquoi ? Parce que ces géants des médias sociaux affirment que SEUL ce que dit l’Organisation Mondiale de la Santé est vrai. C’est un exemple clair de la tyrannie mondiale des mondialistes. Ils installent leurs propres institutions « mondiales » — qui n’ont aucune autorité sur chacun de nous — mais simplement parce qu’ils se disent leaders « mondiaux », ils assument l’autorité sur toute l’humanité.


L’humanité dans son ensemble doit se soumettre à l’Organisation « Mondiale » de la Santé, sans jamais demander notre avis ni même consulter d’autres experts médicaux. En fait, chaque expert médical qui dénonce ses décisions est censuré.


Cela signifie la perte totale de la liberté médicale, la perte de la liberté d’expression, la perte de la vraie science, la perte du vrai journalisme et l’imposition de dictatures par des organisations pour lesquelles personne n’a voté, dirigées par des individus dont personne ne voulait et pourtant ils s’approprient simplement notre monde.

Ils sont le gros et méchant tyran sur le terrain de jeu, qui joue le patron sur tout le monde.


L’Organisation mondiale de la santé est dirigée par un terroriste

Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un violent parti communiste révolutionnaire en Éthiopie, le Front de libération du peuple du Tigré. (19) Le Département de la Sécurité Intérieure [aux États-Unis] déclare clairement :

«Le TPLF est considéré comme une organisation terroriste de niveau III… sur la base de ses activités violentes…»

Laissons cela passer à vous : l’homme qui dirige l’Organisation Mondiale de la Santé est littéralement un terroriste communiste, qui a été impliqué dans l’imposition du communisme à l’Éthiopie. Ce même homme harcèle maintenant le monde entier, nous disant à tous ce que nous pouvons et ne pouvons pas faire, censurant chaque professionnel de la santé qui a une opinion différente, exigeant une obéissance aveugle de toute l’humanité, tout en imposant des mandats pour être vaccinés par leur sponsor financier numéro un : Bill Gates.

Est-ce le monde dans lequel vous voulez vivre désormais ?


De plus en plus de pandémies, jusqu’à ce que l’humanité se soumette

De plus en plus de pandémies, jusqu’à ce que l’humanité se soumette

Il y aura de plus en plus de pandémies, si nous ne faisons pas la « grande réinitialisation » maintenant. (18)

Bill Gates appelle déjà cette « pandémie une » et parle de « pandémies deux et trois ». L’enquêteur qui, en 2013, avait prédit qu’une pandémie de coronavirus se produirait en 2020, suivie d’émeutes, a déclaré que le plan était de créer une série de pandémies en 2020-2030.

Cette décennie est le calendrier choisi pour transformer le monde en une grande république bananière, dirigée par des fous avides de pouvoir, qui dépeuplent la terre et asservissent le reste de l’humanité.

Ils prévoient de provoquer autant de pandémies que nécessaire, afin de briser le dos de l’humanité, jusqu’à ce que tout le monde se soumette à leur contrôle mondial. Les vaccins obligatoires sont la clé de leur plan, car les vaccins nous connecteront aux systèmes de contrôle mondiaux. Seuls les vaccinés pourront se déplacer librement.

Commencez-vous à comprendre pourquoi plus de 500 médecins allemands, 600 médecins espagnols, des milliers d’experts médicaux des États-Unis et bien d’autres dans le monde appellent cette pandémie un « crime mondial » ?


Des dirigeants de l’Église catholique mettent en garde l’humanité

Un archevêque et plusieurs cardinaux de l’Église catholique romaine ont écrit une lettre à l’humanité, pour nous avertir de la tyrannie mondiale sous le couvert du COVID-19. Ceci est un extrait de ce message historique, qui a été traduit dans de nombreuses langues et envoyé aux dirigeants du monde entier. (20)

Nous avons des raisons de croire, sur la base des données officielles sur l’incidence de l’épidémie par rapport au nombre de décès, qu’il existe des puissances intéressées à semer la panique parmi la population mondiale dans le seul but d’imposer en permanence des formes inacceptables de restriction des libertés, de contrôler les personnes et de suivre leurs mouvements. L’imposition de ces mesures tyranniques est un prélude inquiétant à la réalisation d’un gouvernement mondial indépendant de tout contrôle.


Y a-t-il de l’espoir ? Que pouvons-nous faire ?

Y a-t-il un espoir pour notre avenir, ou sommes-nous livrés aux mains impitoyables de ces méchants méga-milliardaires qui veulent dépeupler la terre et prendre le contrôle total de l’humanité ?

Oui, il y a de l’espoir. L’avenir est plus radieux qu’on ne peut même l’imaginer!

Ce n’est pas un scénario funeste et sombre, mais un appel au réveil pour que l’humanité cesse de croire aveuglément les mafia-médias et les politiciens pervers, et se lève pour un avenir de liberté. Je vous invite à rejoindre un mouvement unique et historique de combattants de la liberté mondiale, qui conduira l’humanité dans une nouvelle ère d’espoir, de renouveau et de plus de liberté que nous n’en avons jamais connue.


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En plus de le partager avec votre famille et vos amis, je vous encourage fortement à aller plus loin et à vraiment changer le monde. Partagez ce site Web avec ceux qui influencent notre société. Tous ne sont pas corrompus. De nombreux dirigeants sont tout simplement trompés, car ils ont été formés à ne jamais remettre en question le récit. C’est à nous de les informer.

Recherchez sur Internet les adresses e-mail des dirigeants du gouvernement, de l’éducation, de la santé, de l’application de la loi, etc.


Références

1: German group of Doctors For Information

2: Spanish group of Doctors For Truth

2B:EU comic strip depicts global pandemic

2C: World Bank shows planned end date of project COVID-19

2D: Rothschild owning central banks around the world

3: Fauci guarantees an outbreak with the next two years.

4: Bill Gates announced a global pandemic

5: Melinda Gates says humanities greatest threat is an engineered virus

6: Lyrics of 2013 song that predicted coronavirus pandemic in 2020

7: Harry Vox predicted the global pandemic

8: Robin de Ruiter predicted lockdowns

9: Scenario for the future described global pandemic

10: Andrew Cuomo talks with Bill Clinton about authoritarian control

11: Bill Gates talks about a digital ID to control people

12: Linking vaccines to a digital ID

13: Gates has pattent on technology to trace a body anywhere

14: Gates wants a global monitoring system

15: Download the book of CIA officer Coleman

16: Gates talks about reducing world population using vaccines

17: Tens of millions of Covid-19 test kist were exported by the EU, USA, China etc in 2017 and 2018

18: DAVOS and the gathering of the globalists

19: The head of the World Health Organization is member of violent terorrist group

20: Letter from archbishop and cardinals to humanity




Du confinement à la Grande réinitialisation

[Source en anglais : ZeroHedge]

[Traduction : Conscience du peuple]

[Auteur:] Anthony Mueller

Le confinement à la suite de la pandémie de coronavirus a accéléré la mise en œuvre de plans de longue date visant à établir un soi-disant nouvel ordre mondial. Sous les auspices du Forum économique mondial (WEF), les décideurs mondiaux plaident en faveur d’une « grande réinitialisation » dans le but de créer une technocratie mondiale. Ce n’est pas par hasard que le 18 octobre 2019, à New York, le WEF a participé à «l’événement 201 » lors de l’exercice de pandémie de «haut niveau» organisé par le John Hopkins Center for Health Security .

Cette technocratie à venir implique une coopération étroite entre les responsables de l’industrie numérique et les gouvernements. Avec des programmes tels que le revenu minimum garanti et la santé pour tous, le nouveau type de gouvernance combine un contrôle sociétal strict avec la promesse d’une justice sociale globale.

La vérité, cependant, est que ce nouvel ordre mondial de tyrannie numérique s’accompagne d’un système complet de crédit social. La République populaire de Chine est le pionnier de cette méthode de surveillance et de contrôle des individus, des entreprises et des entités sociopolitiques.

Pour l’individu, son identité se réduit à une application ou une puce qui enregistre presque toutes ses activités personnelles. Afin d’obtenir quelques droits individuels, et que ce soit uniquement pour se rendre à un certain endroit, une personne doit équilibrer ces privilèges apparents avec sa soumission à un réseau de réglementations qui définissent en détail ce qu’est un « bon comportement » et considéré comme bénéfique pour l’humanité et l’environnement.

Par exemple, lors d’une pandémie, ce type de contrôle s’étendrait de l’obligation de porter un masque et de pratiquer la distanciation sociale à des vaccinations spécifiques pour postuler à un emploi ou pour voyager.

C’est, en somme, un type d’ingénierie sociale qui est à l’opposé d’un ordre spontané ou de développement. Comme l’ingénieur en mécanique avec une machine, l’ingénieur social – ou technocrate – traite la société comme un objet. Différent des suppressions brutales par le totalitarisme des temps anciens, l’ingénieur social moderne tentera de faire fonctionner la machine sociale toute seule selon sa conception. Pour ce faire, l’ingénieur social doit appliquer les lois de la société comme l’ingénieur en mécanique suit les lois de la nature. La théorie comportementale a atteint un stade de connaissance qui rend possible les rêves d’ingénierie sociale. Les machinations de l’ingénierie sociale n’opèrent pas par la force brute, mais subtilement par coup de coude .

Dans l’ordre envisagé par la « Grande Réinitialisation », l’avancement de la technologie ne vise pas à servir l’amélioration des conditions du peuple mais à soumettre l’individu à la tyrannie d’un État technocratique.

«Les experts savent mieux» est la justification.

Le programme

Le plan pour une refonte du monde est l’idée originale d’un groupe d’élite d’hommes d’affaires, de politiciens et de leur entourage intellectuel qui se réunissaient à Davos, en Suisse, en janvier de chaque année. Créé en 1971, le Forum économique mondial est depuis lors devenu un événement méga-mondial. Plus de trois mille dirigeants du monde entier ont assisté à la réunion en 2020.

Sous la direction du WEF, le programme de la grande réinitialisation indique que l’achèvement de la transformation industrielle actuelle nécessite une refonte complète de l’économie, de la politique et de la société. Une telle transformation globale nécessite la modification du comportement humain et, par conséquent, le « transhumanisme » fait partie du programme.

« La grande réinitialisation » sera le thème de la cinquante et unième réunion du Forum économique mondial de Davos en 2021. Son programme est l’engagement à faire avancer l’économie mondiale vers «un avenir plus juste, durable et résilient».

Le programme appelle à «un nouveau contrat social» centré sur l’égalité raciale, la justice sociale et la protection de la nature. Le changement climatique nous oblige à «décarboner l’économie» et à mettre la pensée et le comportement humains «en harmonie avec la nature». Le but est de construire «des économies plus égalitaires, inclusives et durables».

Ce nouvel ordre mondial doit être mis en œuvre «d’urgence», affirment les promoteurs du WEF, et ils soulignent que la pandémie «a mis à nu la non-durabilité de notre système», qui manque de «cohésion sociale».

Le grand projet de réinitialisation du WEF est l’ingénierie sociale au plus haut niveau. Les partisans de la réinitialisation soutiennent que l’ONU n’a pas réussi à rétablir l’ordre dans le monde et n’a pas pu faire avancer avec force son programme de développement durable – connu sous le nom d’ Agenda 2030 – en raison de sa manière bureaucratique, lente et contradictoire de travailler. En revanche, les actions du comité d’organisation du Forum économique mondial sont rapides et intelligentes. Lorsqu’un consensus s’est formé, il peut être mis en œuvre par l’élite mondiale partout dans le monde .

Ingénierie sociale

L’idéologie du Forum économique mondial n’est ni de gauche ni de droite, ni progressiste ou conservatrice, elle n’est pas non plus fasciste ou communiste, mais purement technocratique . En tant que tel, il comprend de nombreux éléments des idéologies collectivistes antérieures.

Au cours des dernières décennies, le consensus s’est dégagé lors des réunions annuelles de Davos selon lequel le monde a besoin d’une révolution et que les réformes ont pris trop de temps. Les membres du WEF envisagent un bouleversement profond à court terme. Le laps de temps devrait être si bref que la plupart des gens se rendront à peine compte qu’une révolution est en cours. 👉Le changement doit être si rapide et dramatique que ceux qui reconnaissent qu’une révolution est en train de se produire n’ont pas le temps de se mobiliser contre elle.

L’idée de base de la « Grande Réinitialisation » est le même principe qui a guidé les transformations radicales des révolutions française aux révolutions russe et chinoise. C’est l’idée du rationalisme constructiviste incorporé dans l’État. Mais des projets comme la « Grande réinitialisation » laissent sans réponse la question de savoir qui dirige l’État.

Les régimes totalitaires antérieurs avaient besoin d’exécutions massives et de camps de concentration pour maintenir leur pouvoir. 👉Maintenant, avec l’aide des nouvelles technologies, on pense que les dissidents peuvent facilement être identifiés et marginalisés. Les non-conformistes seront réduits au silence en disqualifiant les opinions divergentes comme étant moralement méprisables.

Les confinements de 2020 offrent peut-être un aperçu du fonctionnement de ce système. Le confinement a fonctionné comme s’il avait été orchestré – et peut-être l’était-il. Comme s’ils suivaient un seul commandement, les dirigeants des grandes et des petites nations – et à différents stades de développement économique – ont mis en œuvre des mesures presque identiques. Non seulement de nombreux gouvernements ont agi à l’unisson, mais ils ont également appliqué ces mesures sans se soucier des conséquences horribles d’un confinement mondial.

Des mois de stabilité économique ont détruit la base économique de millions de familles. Avec la distanciation sociale, le confinement a produit une masse de personnes incapables de prendre soin d’elles-mêmes. Premièrement, les gouvernements ont détruit les moyens de subsistance, puis les politiciens se sont présentés comme le sauveur. La demande d’assistance sociale n’est plus limitée à des groupes spécifiques, mais est devenue un besoin des masses.

Autrefois, la guerre était la santé de l’État. Maintenant, c’est la peur de la maladie. Ce qui nous attend, ce n’est pas l’apparente convivialité d’un État-providence bienveillant complet avec un revenu minimum garanti et des soins de santé et une éducation pour tous.

Le confinement et ses conséquences ont apporté un avant-goût de ce qui est à venir : un état de peur permanent, un contrôle comportemental strict, des pertes massives d’emplois et une dépendance croissante à l’égard de l’État.

Avec les mesures prises à la suite de la pandémie de coronavirus, un grand pas en avant pour réinitialiser l’économie mondiale a été franchi. Sans résistance populaire, la fin de la pandémie ne signifiera pas la fin du confinement et de la distanciation sociale. Pour le moment, cependant, les opposants au nouvel ordre mondial et à la tyrannie numérique ont toujours accès aux médias et aux plates-formes pour s’opposer. Pourtant, le temps presse. Les auteurs du nouvel ordre mondial ont senti le sang. Déclarer le coronavirus une pandémie s’est avéré utile pour promouvoir le programme de leur grande réinitialisation. Seule une opposition massive peut ralentir et arrêter finalement l’extension de la prise de pouvoir de la technocratie tyrannique en plein essor.




La crise mondiale du Corona de 2020 de Michel Chossudovsky

[Source : Ciel Voilé]

Michel Chossudovsky offre en partage son livre électronique (en anglais) sur la crise mondiale 2020. Ci-dessous la préface traduite.

La crise mondiale du Corona de 2020 détruit la société civile, la dépression économique, le coup d’État mondial et la « grande réinitialisation »

Michel Chossudovsky Global Research, 15 décembre 2020

Préface

La campagne de peur a servi d’instrument de désinformation.

Au cours des onze derniers mois, à partir de début janvier, j’ai analysé presque quotidiennement la chronologie et l’évolution de la crise Covid. Dès le début, en janvier 2020, les gens ont été amenés à croire et à accepter l’existence d’une épidémie dangereuse qui progressait rapidement.

Les mensonges des médias ont entretenu l’image d’un virus mortel qui a d’abord contribué à déstabiliser les échanges commerciaux entre les États-Unis et la Chine et à perturber les voyages aériens. Puis, en février, « V- the Virus » (qui est d’ailleurs similaire à la grippe saisonnière) a été tenu pour responsable du déclenchement de la plus grave crise financière de l’histoire mondiale.

Et puis le 11 mars, un embargo a été imposé à 193 États membres des Nations Unies, entraînant le « verrouillage » des économies nationales dans le monde entier.

À partir d’octobre, une « deuxième vague » a été annoncée. « La pandémie n’est pas terminée ».

La campagne de peur l’emporte. Et les gens sont maintenant amenés à croire que le vaccin contre le corona sponsorisé par leurs gouvernements serait la « solution ». Et que la « normalité » sera rétablie une fois que toute la population de la planète aura été vaccinée.

Un mot sur le vaccin contre le SRAS-CoV-2

Comment se fait-il qu’un vaccin contre le virus du SRAS-CoV-2, qui, dans des conditions normales, mettrait des années à se développer, ait été rapidement lancé début novembre 2020 ? Le vaccin annoncé par Pfizer est basé sur une technologie expérimentale d’édition de gènes par ARNm qui a une incidence sur le génome humain.

Les tests standard de laboratoire sur les animaux ont-ils été effectués sur des souris ou des furets ?

Ou bien Pfizer est-il passé directement aux « cobayes » humains ? Les tests sur l’homme ont commencé fin juillet et début août. « Trois mois, c’est du jamais vu pour tester un nouveau vaccin. Plusieurs années c’est la norme. »

Nos remerciements à Large et au JIPÉM

Cette caricature de Large + JIPÉM explique notre situation :

La crise mondiale du Corona de 2020 de Michel Chossudovsky

A peine rapporté par les médias : « Six personnes sont mortes lors de l’essai tardif du vaccin Covid-19 de Pfizer, a révélé la FDA quelques heures à peine après que la Grande-Bretagne soit devenue le premier pays au monde à déployer le vaccin. »

« Rassurez-vous », le vaccin est « sûr ». Selon la FDA :

Les décès ne soulèveraient pas de nouveaux problèmes de sécurité ni de questions sur l’efficacité du vaccin ».

Et pourquoi aurions-nous besoin d’un vaccin contre le Covid-19 alors que l’OMS et le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont confirmé sans équivoque que le Covid-19 est « similaire à la grippe saisonnière » ?

Le projet de développement d’un vaccin est motivé par la recherche du profit. Il est soutenu par des gouvernements corrompus qui servent les intérêts des grandes entreprises pharmaceutiques. Le gouvernement américain avait déjà commandé 100 millions de doses en juillet dernier et l’UE doit en acheter 300 millions. Il s’agit d’une grosse somme d’argent pour les Big Pharma, de généreuses récompenses pour les politiciens corrompus, aux dépens des contribuables.

Dans les chapitres suivants, nous définissons le virus SRAS-CoV-2 et le controversé test RT-PCR qui est utilisé pour « identifier le virus » ainsi que pour établir les « estimations » des « cas positifs » (chapitre II).

Dans le chapitre III, nous examinons en détail la chronologie des événements depuis octobre 2019 jusqu’au confinement historique du 11 mars 2020.

Nous évaluons les vastes conséquences économiques et sociales de cette crise, y compris le processus d’appauvrissement mondial et de redistribution des richesses en faveur des milliardaires super riches (chapitres IV et V).

Le programme de vaccination de Big Pharma, qui devrait être imposé à des millions de personnes dans le monde, est examiné au chapitre VII.

Le chapitre IX se termine par une analyse de la proposition de « Grand Reset » du Forum économique mondial qui, si elle était adoptée, consisterait à supprimer l’État providence et à imposer des mesures d’austérité massives à une population appauvrie.

Ce livre électronique est préliminaire. Il y a un sentiment d’urgence. Dans le monde entier, les gouvernements mentent aux peuples.

Un mot sur la méthodologie : notre objectif est de réfuter le « Gros Mensonge » par une analyse minutieuse consistant à :

Un aperçu historique de la crise du Covid,

Analyse scientifique et examen détaillé des données, estimations et définitions « officielles »,

Analyse des impacts des « lignes directrices » de l’OMS et des politiques gouvernementales sur les variables économiques, sociales et de santé publique.

Notre objectif est d’informer les populations du monde entier et de réfuter le discours officiel qui a été utilisé comme prétexte et justification pour déstabiliser le tissu économique et social de pays entiers.

Cette crise affecte l’humanité dans son ensemble : 7,8 milliards de personnes. Nous sommes solidaires de nos semblables dans le monde entier. La vérité est un instrument puissant.

Je reste redevable à nos lecteurs et à l’équipe de Global Research.

Michel Chossudovsky, Recherche mondiale, 11 décembre 2020 (révisé le 15 décembre 2020)

Le livre [en anglais]




D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux

[Source en italien : DataBaseItalia]

Selon le Forum économique mondial, d’ici 2030, nous ne posséderons rien et nous en serons heureux.

Des termes tels que «Grande réinitialisation», « Quatrième révolution industrielle » et « Construire mieux » [« Build Back Better », en anglais] font tous référence au même programme mondialiste à long terme pour démanteler la démocratie et les frontières nationales en faveur de la gouvernance mondiale par des dirigeants non élus, et à la dépendance à l’égard de la surveillance technologique plutôt qu’à l’État de droit pour maintenir l’ordre public.

Pendant des décennies, la guerre et la menace de guerre ont enrichi l’élite technocratique et maintenu la population à la suite de leurs programmes. Aujourd’hui, les pandémies et la menace d’épidémies infectieuses sont les nouveaux outils de guerre et de contrôle social

La Réserve fédérale travaille sur une monnaie de la banque centrale numérique (CBDC). Un système monétaire entièrement numérique mis en place dans le cadre du système de contrôle social

Les principaux acteurs mondiaux travaillant à la mise en œuvre de l’agenda technocratique sont les Nations Unies, le Forum économique mondial, Bill Gates et des fondations telles que la Fondation Rockefeller, la Fondation des Nations Unies et l’Open Society Foundation de George Soros, Avanti Communications, Vision et Frontier 2030, Google, Mastercard et Salesforce.



La vidéo sur les relations publiques du Forum économique mondial ci-dessus, « 8 prédictions pour le monde en 2030 », aussi courte soit-elle, offre un regard significatif sur ce que l’élite technocratique réserve au reste d’entre nous. Cela comprend :

« Vous n’avez rien » et « vous serez heureux. » Au lieu de cela, vous louerez tout ce dont vous avez besoin et il vous sera livré par drone directement à votre domicile.
« Les États-Unis ne seront pas la première superpuissance mondiale » – Au lieu de cela, une poignée de pays domineront ensemble.
« Vous ne mourrez pas en attendant un donneur d’organes » – Au lieu de transplanter des organes de donneurs décédés, les organes personnalisés seront imprimés en 3D sur demande.
« Vous mangerez beaucoup moins de viande » – La viande sera « un plaisir occasionnel, pas un aliment de base, pour le bien de l’environnement et notre santé ».
« Un milliard de personnes seront déplacées à cause du changement climatique » – En conséquence, les pays devront se préparer à accueillir davantage de réfugiés.
« Le pollueur devra payer pour émettre du dioxyde de carbone » – Pour éliminer les combustibles fossiles, il y aura un prix mondial du carbone. Vandana Shiva, Ph.D., en a parlé dans une récente interview. Plutôt que de promouvoir l’agriculture biologique et régénérative, l’élite technocratique pousse ce qu’on appelle l’agriculture naturelle à budget zéro. Bill Gates fait partie de ce modèle. Comme Shiva l’a expliqué, la configuration complètement contre nature fonctionne comme ceci : l’État prend d’importants prêts, qui sont ensuite divisés aux agriculteurs pour cultiver de la nourriture gratuitement. Les agriculteurs gagnent de l’argent non pas en vendant des récoltes, mais en échangeant le taux de carbone dans le sol sur le marché mondial. Fondamentalement, le carbone est transformé en un produit commercialisable, remplaçant la production agricole réelle de céréales et d’autres cultures. Les agriculteurs qui ont plus de carbone dans leur sol gagneront plus d’argent que ceux dont le sol est à faibles émissions de carbone. En attendant, ils n’auront rien des cultures qu’ils cultivent.
« Vous pourriez vous préparer à aller sur Mars »  Les scientifiques « auront découvert comment vous garder en bonne santé dans l’espace », ouvrant ainsi la possibilité de course à l’espace et de coloniser d’autres planètes.
« Les valeurs occidentales auront été testées jusqu’au point de rupture. »

Les pandémies sont un instrument de contrôle social

Pendant des décennies, la guerre et la menace de guerre ont enrichi l’élite technocratique et maintenu la population à la suite de leurs programmes. La guerre et les attaques physiques ont été utilisées à maintes reprises pour nous imposer des restrictions de plus en plus draconiennes et supprimer nos libertés. Le Patriot Act, promu à la suite du 11 septembre, n’est qu’un exemple frappant.

Aujourd’hui, les pandémies et la menace d’épidémies infectieuses sont les nouveaux instruments de guerre et de contrôle social. Pendant des années, Gates a préparé la psyché mondiale pour un nouvel ennemi : des virus mortels et invisibles qui peuvent faire surface à tout moment. La seule façon de nous protéger est d’abandonner les anciennes notions de vie privée, de liberté et de prise de décisions personnelles.

Nous devons garder nos distances avec les autres, y compris les membres de la famille. Nous devons porter des masques, même dans nos maisons et pendant les rapports sexuels. Nous devons fermer les petites entreprises et travailler de la maison. Nous devons vacciner l’ensemble de la population mondiale et mettre en place des restrictions de voyage strictes pour prévenir le risque de propagation.

Nous devons traquer tout le monde, à chaque instant du jour et de la nuit, et installer des lecteurs biométriques dans le corps de chacun pour identifier qui sont les porteurs potentiels de risques. Les personnes infectées sont la nouvelle menace. C’est ce que l’élite technocratique veut vous faire croire, et ils ont réussi à convaincre un pourcentage choquant de la population mondiale de cela en quelques mois.

Si vous n’êtes pas familier avec le terme « technocratie », n’oubliez pas de lire Patrick Wood auteur de « Technocracy Rising: The Trojan Horse of Global Transformation » [« L’ascension de la technocratie : le cheval de Troie de la transformation mondiale »] et « Technocracy: The Hard Road to World Order » [Technocratie : la difficile route vers l’ordre mondial]. Vous pouvez également en savoir plus sur le site Web de Wood, Technocracy.news.

Un nouveau système de monnaie numérique en cours

Deux des derniers morceaux de conquête totalitaire seront la transition vers une monnaie entièrement numérique liée aux monnaies numériques d’État. Avec cela, l’application des règles sociales sera plus ou moins garantie, puisque vos finances, voire toute votre identité, peuvent être facilement prises en otage si vous ne vous y conformez pas.

Pensez à la facilité avec laquelle il serait facile de l’automatiser de telle sorte que si vous ne pouvez pas obtenir le vaccin requis ou postez quelque chose d’indésirable sur Internet, votre compte bancaire ne sera pas disponible ou votre pièce d’identité biométrique ne vous permettra pas d’entrer dans le bâtiment où vous travaillez.

Un article du 13 août 2020 sur le site web de la Réserve fédérale [états-unienne] traite des avantages allégués d’une monnaie numérique de la banque centrale (CBDC). Les experts sont d’accord pour dire que la plupart des grands pays mettront en œuvre la CBDC au cours des deux à quatre prochaines années.

Un système monétaire entièrement numérique joue également dans l’ingénierie sociale, car il peut être utilisé pour encourager le comportement souhaité, tout comme ce que la Chine fait avec son système de crédit social.




Vague de mort par le vaccin : le gouvernement britannique publie une demande pour un système d’IA analysant les effets secondaires du vaccin COVID-19 décrits comme une « menace directe pour la vie des patients »

[Source en anglais : Natural News]

Alors que les médias grand public mensongers et traîtres nous disent à tous que les vaccins covid-19 sont parfaitement sûrs et « efficaces à 95% » — et ce mensonge est répété par PJ Media, Breitbart et d’autres éditeurs de presse dits « conservateurs » — au Royaume-Uni, le gouvernement a publié une soumission et un avis d’attribution de contrat pour la recherche d’un système d’intelligence artificielle (IA) capable de traiter [l’information sur] le déluge attendu de préjudices et d’effets secondaires du vaccin covid-19.

Intitulé simplement « Fournitures – 506291-2020 » et trouvé à ce lien sur Tenders Electronic Daily, cet avis d’attribution de contrat que nous avons initialement publié le 19 octobre 2020 et qui se résume comme suit :

La MHRA recherche d’urgence un outil logiciel d’intelligence artificielle (IA) pour traiter le volume élevé attendu d’effets indésirables (EI) du vaccin Covid-19 et s’assurer qu’aucun détail du texte des EI ne soit oublié.

La demande du système d’IA pour traiter les réactions vaccinales covid-19 provient de la Medicines & Healthcare Products Regulatory Agency du Royaume-Uni, la MHRA.

Plus loin dans le document, la MHRA décrit une « urgence extrême en vertu du règlement 32 (2) (c) liée à la libération d’un vaccin Covid-19 » et dit que le déluge attendu de réactions indésirables au vaccin covid-19 submergera son actuel « vieux système ».

« Si la MHRA ne met pas en œuvre l’outil d’IA », explique la MHRA, « elle ne pourra pas traiter efficacement ces EI. Cela entravera sa capacité à identifier rapidement tout problème de sécurité potentiel relatif au vaccin Covid-19 et représente une menace directe pour la vie des patients et la santé publique. »

Le statut d’extrême urgence de cette offre est expliqué plus en détail :

Raisons d’extrême urgence la MHRA reconnaît que son processus d’acquisition prévu pour le programme SafetyConnect, y compris l’outil d’IA, ne se serait pas terminé par le lancement du vaccin. Ceci conduit à une incapacité à surveiller efficacement les effets indésirables d’un vaccin Covid-19.

Événements imprévisibles la crise de Covid-19 est nouvelle et les développements dans la recherche d’un vaccin Covid-19 n’ont pas suivi jusqu’à présent de modèle prévisible.

Cela ressemble-t-il à une agence qui s’attend à ce que le vaccin contre le covid-19 soit sûr et efficace?

Il ressort clairement de la description figurant dans le document d’attribution que :

  1. La MHRA s’attend à ce que les vaccins covid-19 provoquent une vague d’événements indésirables / d’effets secondaires.
  2. La MHRA est pleinement consciente que ces événements indésirables vont nuire et tuer de nombreux patients. Elle met spécifiquement en garde contre « une menace directe pour la vie du patient ».
  3. Les vieux systèmes de la MHRA sont incapables de gérer le volume attendu de rapports entrants concernant les préjudices causés par le vaccin contre le covid-19, ce qui signifie que le volume attendu de ces rapports sera très important et sans précédent.
  4. La MHRA reconnaît « l’extrême urgence » de mettre en place un nouveau système pour identifier les effets indésirables des vaccins covid-19.
  5. La MHRA déclare que si un nouveau système d’IA n’est pas installé de toute urgence, elle sera incapable d’identifier un grand nombre des effets indésirables résultant du vaccin covid-19, et que cet échec aura un impact négatif sur la santé publique. (C’est-à-dire que les gens mourront.)

Ce que cela montre, c’est l’honnêteté brutale de la MHRA dans les coulisses, dans leur processus d’appel d’offres pour les systèmes d’IA. Pourtant, publiquement, presque toutes les agences gouvernementales de réglementation du monde entier y compris celles du Royaume-Uni et des États-Unis ne partagent pas ces détails avec le public et décrivent à tort que les vaccins covid-19 sont presque 100% sûrs et efficaces.

Nous savons maintenant que même la MHRA du Royaume-Uni se rend compte que les vaccins covid-19 vont être extrêmement dangereux pour le public, générant une vague catastrophique de réactions indésirables et d’effets secondaires mortels.

Cela pose la question suivante : pourquoi la MHRA ne dit-elle rien de tout cela publiquement ?

(source initiale : la vidéo suivante sur Brighteon.com, qui a d’abord attiré mon attention sur cette bombe.)



https://www.brighteon.com/embed/036c92ca-027b-413a-8ae9-1c17eeb091c6

Liquider la population humaine avec des armes biologiques mortelles et des vaccins toxiques : la « grande réinitialisation » est la tyrannie médicale et le communisme économique

Il ne fait aucun doute que le CDC sait tout cela aussi, et il ne diffuse rien qui alerterait le public sur cette réalité.

De toute évidence, le public est délibérément tenu dans l’ignorance des dangers des vaccins contre le covid-19, et malheureusement, même les médias conservateurs pro-Trump aux États-Unis répètent la propagande de l’industrie des vaccins pour essayer de faire croire aux gens que les vaccins contre le covid-19 vont sauver le monde.

Gardez à l’esprit que les géants traîtres de la technologie ont tous conspiré au cours des dernières années pour censurer quiconque remettrait en question la sécurité de l’efficacité des vaccins. Cela signifie que pendant que les gens mourront du vaccin contre le covid-19, personne ne sera autorisé à en parler ou à sonner l’alarme. Tous les décès dus au vaccin covid-19 seront cachés et tenus à l’écart du public. Les médias, bien sûr, feront tout pour protéger Big Pharma, tout comme ils ont fait des heures supplémentaires pour empêcher des divulgations choquantes sur Joe Biden et la famille criminelle Biden à propos du contrôle de la Chine communiste sur Hunter Biden.

En substance, Big Pharma et les contrôleurs mondialistes s’attendent à ce que l’humanité s’aligne, reçoive le coup et meure en silence alors que tout nous est volé par les méchants collaborateurs mondialistes de la « grande réinitialisation ». Les vaccins qui atteignent leur objectif de génocide de masse et de dépeuplement ne sont qu’une couche de leur grand plan qui implique également le vol coordonné et mondial de tous les actifs privés via un effondrement de la monnaie fiduciaire qui rend toutes les économies et tous les actifs libellés en devises instantanément sans valeur.

[NdNM : il est pratiquement impossible de démontrer que les élites mondiales envisagent (éventuellement) le génocide de 90 ou 95% de l’Humanité par divers moyens, dont l’utilisation de vaccins. Et donc, on peut parfaitement en douter. Cependant, si par hasard c’était effectivement le cas…
Ce qui est par contre démontré et notamment visible sur le site officiel du Forum Économique Mondial, c’est la volonté d’une partie de ces élites de produire leur fameuse Grande Réinitialisation.]

Non seulement les personnes qui prennent les coups de feu finiront par être blessées ou tuées; [mais en plus] tout ce qu’ils possédaient autrefois leur sera confisqué et volé par les mêmes mondialistes qui poussent pour les vaccins et la censure.

Ce sont les mêmes mondialistes qui viennent de voler les élections de 2020 aux États-Unis, bien sûr, en truquant les machines à voter de Dominion et en enflammant le pays entier avec leurs faux médias d’information.

La solution finale contre l’humanité est une combinaison d’une réinitialisation économique mondiale, d’un génocide de masse via des vaccins, d’une famine artificielle via un effondrement contrôlé de l’approvisionnement alimentaire, et du contrôle total de la parole et des pensées via la censure des Big Tech et les programmes d’ingénierie sociale. Pour les mondialistes, vous n’êtes qu’un animal d’élevage et ils croient qu’il est temps de rassembler tous les animaux à abattre.

D’où la nécessité du coronavirus SRAS-cov-2 dès le début : il a permis aux mondialistes de libérer tous leurs programmes pour asservir l’humanité et détruire la liberté humaine, tout en prétendant vous « protéger » de la même arme biologique qu’ils ont créée et relâchée dans le lieu initial [Wuhan].

Si vous voulez survivre à ce qui va arriver, téléchargez gratuitement mes deux nouveaux livres audio : The Global Reset Survival Guide [Le guide de survie à la Grande Réinitialisation] est sur GlobalReset.news et vous pouvez acheter Survival Nutrition [Alimentation de survie] (également gratuit) sur SurvivalNutrition.com.




Un blogueur arrêté le 11/11/11

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Une formation gratuite pour se débancariser/décentraliser
Une conférence sur sa sécurité physique
et celle de sa famille
Quelques points pour de l’autonomie et du survivalisme, utiles par les temps qui courent