Jour sombre pour la France

[Source : businessbourse.com]

Franck Ferrand : 

« Jour sombre au pays de la Liberté, de l’Égalité, de la Fraternité. Les gouvernants qui instaurent une telle discrimination entre citoyens en règle seront, j’en suis persuadé, jugés sévèrement par l’histoire. Quant au peuple qui les aura laissé commettre cela sans broncher… »




Instrumentalisation des enfants, de Mao à la Covid, mêmes méthodes

[Source : François Cotardbis]

https://youtu.be/k36woXApwQE



Existe-t-il un moyen d’empêcher les psychopathes d’accéder à des postes de pouvoir ?

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith − Le 6 janvier 2022 − Source Alt-Market

Malgré un regain d’intérêt croissant pour la science et la psychologie des sociopathes et des psychopathes narcissiques, il semble que la société actuelle ait perdu de vue la façon dont ces personnes peuvent saboter le tissu central d’une civilisation ou d’une nation. Il est très facile de se focaliser sur les idéologies collectivistes comme source de nos problèmes et d’oublier que ces idéologies ne fonctionnent pas dans le vide ; elles ne peuvent pas faire des ravages par elles-mêmes, elles ont besoin de personnes psychopathes qui les dirigent pour faire de réels dégâts.

Il y a quelque chose dans le collectivisme qui se prête à la projection et à l’hypocrisie (le collectivisme est une organisation par la FORCE au lieu d’être volontaire). Je suppose que lorsque votre idéologie politique devient votre religion, il est facile de se transformer en zélateur. Et si les zélotes trouvent leur pouvoir dans leur pensée unique et leur cultisme, ils ont aussi tendance à ne pas avoir conscience d’eux-mêmes. Ils deviennent littéralement fous de dévotion à leur cause, au point de ne plus savoir si leur cause est juste et équitable ou non. Leur comportement devient de plus en plus erratique et décousu et toute personne qu’ils rencontrent et qui ne partage pas leur point de vue est immédiatement considérée comme un ennemi hérétique qui doit être démasqué ou détruit.

Pour les observateurs extérieurs, les fanatiques sont une source inépuisable de comédie. On ne peut s’empêcher de rire parce que leurs tics, leurs grincements et leurs emportements sont absurdes (il suffit de regarder « Libs Of Tik Tok » pour trouver une montagne d’exemples). Tant qu’ils n’ont pas de pouvoir réel, ces gens rappellent ce qui se passe lorsque les êtres humains abandonnent la raison pour la folie. Ils peuvent être effrayants, mais ils servent à la fois à divertir et à garder le reste d’entre nous sur terre. Cependant, lorsqu’ils prennent le pouvoir, c’est là que les choses cessent d’être drôles.

[Voir aussi :
Covid et fanatisme
Note sur le fanatisme]

Les civilisations de l’histoire ont toujours été confrontées au problème des fanatiques, mais la plus grande menace est l’existence de narcissiques et de psychopathes qui se faufilent dans les positions d’autorité et encouragent le fanatisme parmi les masses. En général, les psychopathes sont considérés comme une anomalie qui est rapidement identifiée et évitée afin de les empêcher de monter trop haut dans l’échelle de l’influence sociale. Le problème est qu’ils ne sont pas aussi rares qu’on pourrait l’espérer et que beaucoup d’entre eux ont la capacité de se cacher parmi le troupeau.

Environ 1% d’une population donnée est composée de psychopathes, tandis qu’un autre 1% est constitué de sociopathes. Environ 5 % des gens sont identifiés comme ayant des traits narcissiques. Les narcissiques sont absorbés par eux-mêmes et se considèrent comme supérieurs à tous les autres – ils pensent avoir droit à l’adoration et à l’autorité. Les sociopathes sont incapables de ressentir de l’empathie pour les autres, ce qui les rend peu pratiques en tant que dirigeants. Les psychopathes présentent également un manque d’empathie, mais ont aussi une propension à la violence émotionnelle ou physique. Ils se réjouissent de la souffrance des autres et commettent un grand nombre de crimes violents.

Bien que les psychopathes représentent 1% de la population, ils constituent 15% à 25% des personnes incarcérées dans les prisons. On ne saurait trop insister sur le poids qu’ils exercent sur la société.

Il y a certainement des chevauchements entre les différents types, mais en général, près de 10 % des êtres humains présentent des dysfonctionnements psychologiques dangereux et pour la plupart inhérents, qui ne peuvent souvent pas être traités. Pensez-y un instant : 10 personnes sur 100 sont des bombes à retardement qui attendent de rendre la vie misérable au reste d’entre nous.

Bien sûr, certaines d’entre elles sont encore capables de fonctionner dans la société. Les sociopathes, en particulier, peuvent devenir précieux dans des domaines où moins d’empathie est nécessaire pour accomplir certaines tâches. Ils sont particulièrement bien adaptés aux fonctions de chirurgien, d’ambulancier, de soldat, de pompier et à tout autre emploi où le fait de voir des gens souffrir ne les empêchera pas de sauver des vies. Ils ne prennent pas forcément plaisir à voir les autres souffrir, mais cela ne les perturbe pas non plus émotionnellement. Tant qu’ils ne sont pas autorisés à occuper des postes d’influence sur de grands groupes de personnes, ils peuvent être utiles au public.

L’histoire nous montre qu’il n’est pas si facile de filtrer et d’empêcher des individus psychologiquement brisés de se glisser dans des institutions offrant du pouvoir. En fait, de nombreuses monarchies et empires ont été construits sur des systèmes qui ont permis aux psychopathes et aux narcissiques de s’épanouir car ils reposaient sur la succession génétique. Si un monarque avait un fils prédisposé à la psychopathie, cela n’avait aucune importance, ce prince fou deviendrait un jour roi et il n’y avait pas grand-chose à faire. Il n’y avait pas de processus de filtrage. De plus, beaucoup de ces traits sont transmis génétiquement, ce qui signifie qu’une structure de pouvoir construite sur l’hérédité pourrait devenir progressivement plus destructrice au fur et à mesure que les psychopathes de la royauté se marient entre eux. Cela contribuerait à expliquer pourquoi le comportement psychopathe est surreprésenté chez les monarques du passé.

La création de la démocratie et des républiques démocratiques a été en partie conçue pour aider à éliminer les individus aberrants en utilisant des élections ouvertes et le processus de vote. En d’autres termes, laisser le peuple examiner les candidats et écarter les fous des cercles de pouvoir. Malheureusement, cela ne fonctionne pas très bien si TOUS les candidats sont des psychopathes et que le public n’a pas vraiment le choix. Par extension, les psychopathes ont également trouvé des moyens de contourner le processus politique et de le contrôler sans y participer directement.

Le monde de l’entreprise et les institutions financières permettent aux psychopathes d’influencer la politique depuis l’arrière-plan, en achetant les candidats et leur loyauté ou en examinant les candidats et en n’autorisant QUE ceux qui ont des habitudes sociopathiques, narcissiques et psychopathiques similaires à travers le processus de sélection et dans l’arène politique.

Dans les sociétés tribales et dans les petites sociétés à faible technologie, il était plus facile d’identifier et d’extirper les individus psychologiquement brisés et de les empêcher de devenir des leaders. Au milieu des vastes empires et de la technocratie, il est beaucoup plus simple pour les psychopathes de se cacher parmi les gens normaux et de se fondre dans la masse. C’est pour cette raison que je compare généralement les psychopathes envahissants aux histoires mythologiques de vampires. Je ne peux vraiment pas penser à une meilleure analogie. Ils s’insinuent dans une population, prennent des positions d’influence qui les protègent de tout soupçon, puis saignent systématiquement la ville à blanc. C’est ce qu’ils font. C’est dans leur nature et ils ne peuvent pas être corrigés, ils peuvent seulement être retirés comme un parasite est retiré de son hôte.

Ces personnes sont les principales menaces pour toute civilisation donnée. Ils sont les modérateurs du chaos et ils conspirent activement pour supplanter la société libre. Ils sont ce que j’appellerais des psychopathes primaires organisés et ils travaillent effectivement ensemble pour un gain mutuel, un peu comme une meute de loups. Ils représentent les 1% des 1% (c’est-à-dire les mondialistes).

Les psychopathes au sommet de la pyramide sont organisés depuis longtemps, mais qu’en est-il des millions d’autres personnes qui présentent ces caractéristiques ? Que se passe-t-il lorsqu’on leur donne un moyen de se rassembler ?

La société moderne et les médias sociaux de Big Tech ont créé des circonstances encore pires, car désormais la grande communauté des psychopathes n’est plus isolée. Ces 1 % qui étaient auparavant relégués dans des coins tranquilles et en marge de l’humanité sont désormais capables de s’organiser en foules agressives de centaines de milliers de personnes, à la tête de millions de sociopathes et de narcissiques de moindre importance. Cela crée une sous-culture de ce que j’appellerais la folie communautaire – Comme le dit le vieil adage, les malades prennent le contrôle de l’asile.

Nous le voyons particulièrement avec la gauche politique et la promotion ouverte du narcissisme comme un mode de vie acceptable. Cela ne veut pas dire que les psychopathes n’essaient pas aussi d’infiltrer les cercles conservateurs, mais que les gauchistes sont beaucoup plus accueillants pour leur espèce. Ce sont des gens qui se sentaient autrefois impuissants parce qu’ils étaient rejetés et qui veulent maintenant se venger.

Le fait est qu’ils ont été écartés de toute influence pour une très bonne raison : ils ne sont pas psychologiquement équipés pour gérer une quelconque mesure de pouvoir. Aujourd’hui, on leur confie le contrôle institutionnel et on les pousse à la frénésie. Ils se considèrent comme les outsiders et les « révolutionnaires », mais en réalité, ils ne sont qu’émotionnellement retardés et handicapés, et ils ont été mis à l’écart en permanence pour protéger le reste de l’humanité.

[Voir aussi dans
Prise de conscience et autisme :

Sur le plan astral, le défaut de coordination ou de cohérence entre les phases de réception et de réaction se traduit en lacune entre la perception des émotions d’autrui et la réaction empathique. Dans le cas des psychopathes et des sociopathes, il n’existe pratiquement aucune empathie en face des vécus affectifs et émotionnels des autres individus (ni des autres êtres vivants). De ce point de vue, le psychopathe est un « autiste astral » extrême.

]

Mais comment faire face à ce danger, non seulement à court terme mais aussi à plus long terme ?

Notre culture doit être fondamentalement modifiée en tenant compte de la psychopathie et d’autres traits aberrants. Nous ne pouvons plus ignorer l’effet que ces personnes ont sur l’humanité dans son ensemble. La première étape consisterait à se séparer des mouvements et des institutions qui encouragent les comportements psychopathiques et narcissiques. En d’autres termes, nous devons revenir à un modèle d’isolement pour les personnes enclines à la psychopathie au lieu de les traiter comme s’il s’agissait d’une sorte de groupe de statut de victime qui a besoin d’une attention spéciale et d’être « couvé ».

Comme indiqué, dans de nombreux cas, ces caractéristiques sont inhérentes (innées) et ne peuvent être traitées. Il est impossible de régler le problème, car il ne s’agit pas tant d’une maladie que d’une structure psychologique complètement différente. Ils pourraient tout aussi bien être une espèce différente, et une espèce prédatrice en plus. Il n’y a pas de coexistence mutuelle avec eux. Ils nous considèrent comme de la nourriture.

Les candidats à des postes d’autorité devraient être soumis à un dépistage de la psychopathie, du narcissisme et de la sociopathie. S’ils présentent trop de ces signes avant-coureurs, ils ne devraient pas être autorisés à occuper ces postes. C’est la seule réponse possible, à part changer fondamentalement le fonctionnement de notre système électoral, ce à quoi je ne suis pas nécessairement opposé non plus. Un système de loterie aléatoire pour les emplois gouvernementaux, ainsi que des limites de mandat strictes (non seulement pour les postes politiques normaux mais aussi pour les postes bureaucratiques) seraient au moins meilleurs que ce que nous avons actuellement. Je préfère risquer la possibilité que des personnes moins qualifiées soient choisies au hasard pour le gouvernement plutôt que d’avoir un système qui attire une culture concentrée de parasites malveillants.

[Extrait du Manifeste pour un nouveau monde (non publié) :

Une humanité ne peut devenir harmonieuse et équilibrée que par la reconnaissance des psychopathes afin de les empêcher dorénavant de nuire aux autres, à la société, à la planète et en fait aussi à eux-mêmes en tant que consciences. Une telle action relève de la responsabilité de tous ainsi que de tout éventuel dispositif éducatif mis en place. La psychopathie et la sociopathie peuvent être considérées comme des maladies psychologiques et, comme toute maladie, il faut en rechercher les causes, même lointaines, pour ensuite s’efforcer d’y remédier au mieux. Une guérison définitive ne peut provenir de l’élimination des symptômes, mais des causes, ainsi que d’un rééquilibrage de l’être après les dysharmonies et déséquilibres divers induits par sa maladie.

La psychopathie trouve une de ses causes fondamentales dans la coupure d’un lien avec la Conscience et dans une optique de vie fondamentalement matérialiste et égocentrique, optique découlant le plus souvent elle-même de peurs plus ou moins fondamentales, comme la peur de la mort et celle de perte de contrôle. Sa guérison devra faire appel à un processus d’accompagnement du malade l’amenant à retrouver son essence immortelle et la confiance en la vie, à accepter puis accueillir par conséquent sa vulnérabilité physique, à découvrir ou redécouvrir que son vrai et plein potentiel humain ne passe pas par l’exploitation des autres… Progressivement, le malade en phase de guérison et de réappropriation de sa véritable nature passera du service envers lui-même au service envers les autres et le monde.

]

Quel meilleur moyen de décourager les psychopathes que de supprimer tout avantage à long terme à travailler au gouvernement ? Quelle meilleure façon de perturber l’influence des entreprises élitistes que de leur retirer la possibilité de financer ou de choisir les candidats qui se retrouvent au pouvoir ? Et même s’ils parvenaient à acheter certains fonctionnaires, avec la limitation des mandats, ils devraient recommencer encore et encore avec la dernière génération de nouveaux fonctionnaires.

Certains feront bien sûr remarquer que pour changer le système demain, il faudra se débarrasser des psychopathes qui le dirigent aujourd’hui. Je suis d’accord, c’est un dilemme. Malheureusement, une fois que les psychopathes sont organisés et enracinés, l’histoire nous dit qu’ils ne bougeront pas sans la force de la violence. Ils ne se soucient pas des protestations, ils ne sont pas touchés par la raison ou la logique, ils ne se soucient pas de la souffrance des masses et ils se considéreront toujours comme les dirigeants légitimes des « petits » paysans que nous sommes.

Ils tirent leur suprématie des foules de rabougris qu’ils dirigent et exploitent ; les quelque 10% de la population qui, lorsqu’ils sont organisés, se transforment en une armée de chapeliers fous furieux affamés des restes de la table du pouvoir. Nous pouvons et devons continuer à nous séparer de la foule collectiviste et des fanatiques, mais tous les psychopathes considèrent la séparation comme un défi et tenteront d’interférer. Il finira par y avoir un combat, et c’est peut-être mieux ainsi.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Ces 30 banques qui peuvent faire « sauter » le système

[Source : elucid.media]

Par Marine Rabreau

On les dit « systémiques » : si l’une d’elles fait faillite, c’est tout le système financier mondial qui vacille. Elles sont américaines, françaises, britanniques, suisses, chinoises… Malgré les avancées en matière de réglementation bancaire depuis la crise de 2008, les États restent, au fond, garants de leurs dettes.

Elles sont soi-disant « too big to fail » : trop grosses pour faire faillite. Certaines banques sont dites « systémiques » : c’est-à-dire que si l’une d’elles fait faillite, c’est tout le système financier mondial qui est ébranlé.

C’est exactement ce qu’il s’est passé avec la chute de la banque américaine Lehman Brothers en 2008, qui a entraîné un séisme financier mondialisé sans précédent, nécessitant un renflouement urgent des plus grandes banques internationales par les États, via un endettement public massif. Ce sauvetage du « système » reste encore aujourd’hui en travers de la gorge des citoyens contribuables du monde entier, qui ont eu le sentiment de « payer » pour un secteur qui avait pris des risques inconsidérés, en toute impunité.

Même la Fed, le FMI ou encore la Banque des règlements internationaux comparent ces banques à de véritables « réacteurs nucléaires »… Il faut dire que ces banques-là savent, au fond, que les pouvoirs publics ne peuvent décemment pas laisser le système péricliter. C’est ce qu’on appelle l’aléa moral : elles ont tendance à prendre plus de risques que de raison, puisqu’elles ont la garantie d’être sauvées.

Trente banques systémiques à travers le monde

Pour éviter un nouveau Lehman Brothers, le Conseil de stabilité financière (le Financial Stability Board), qui réunit des représentants des autorités de supervision bancaire des pays du G20, publie chaque année depuis 2011 la liste des « Global systemically important banks » (ou « G-SIBs »). Une telle identification constitue une avancée indéniable : il est fort probable que les autorités américaines n’auraient pas décidé de lâcher Lehman Brothers si elles avaient su que sa faillite était de nature à mettre la planète finance en danger.

Le FSB prend en compte plusieurs critères pour évaluer le risque systémique d’une banque : la taille de son bilan, bien sûr, mais aussi la complexité de ses activités, sa présence dans différentes juridictions, son degré d’interconnexion avec l’écosystème financier, et son caractère substituable en cas de faillite.

Ainsi, en 2022, soit 14 ans après la plus grosse crise financière depuis la Grande Dépression, il y a encore quelque 30 banques ultra-concentrées et hyper complexes dans le monde susceptibles de faire « sauter » le système en cas de faillite. Huit d’entre elles sont des banques américaines, huit autres font partie de la zone euro, quatre sont chinoises, trois japonaises, trois britanniques, deux suisses, et deux canadiennes.

Les banques sont classées par catégories, de 1 à 5. Plus la catégorie est élevée, plus la banque présente un risque systémique important, et plus elle se voit appliquer une exigence supplémentaire de fonds propres pour faire face en cas de choc. En 2021, la banque américaine JP Morgan Chase fait son retour dans la catégorie 4. Elle devra donc constituer un coussin supplémentaire de liquidités de 2,5 % par rapport aux banques « normales ».

En la matière, la France s’avère être vice-championne du monde des banques systémiques, avec BPCE, Crédit Agricole, Société Générale, et BNP Paribas, qui pèse de plus en plus lourd : en montant de la catégorie 2 à la catégorie 3, elle rejoint l’américaine Citigroup et la britannique HSBC. Notons néanmoins que cette « promotion » n’affecte pas la banque française puisqu’elle dispose déjà d’un ratio de fonds propres durs de 13 % et sa « capacité totale d’absorber les pertes » atteint 26 %, soit 6 points au-dessus des exigences du FSB.

Le cas préoccupant de la Chine

Depuis sa création, le classement du FSB a toujours recensé entre 29 et 30 banques systémiques, avec quelques entrées et quelques sorties qui ne bouleversent pas l’analyse globale d’une année sur l’autre. Néanmoins, sur les 10 années écoulées, la percée de la Chine dans le paysage bancaire systémique est particulièrement impressionnante.

En 2011, le classement FSB ne comptait qu’une banque chinoise ; aujourd’hui, il en compte quatre, qui s’avèrent être aujourd’hui les quatre plus grandes banques du monde, comme le confirme le classement mondial des 100 plus grandes banques du monde publié chaque année par le S&P Global Market Intelligence. À elles seules, elles totalisent plus de 17 000 milliards de dollars d’actifs (c’est 17 % de plus qu’en 2020), contre 1 900 milliards en 2011.

L’État reste, au fond, garant des dettes bancaires

Avec les nombreuses réformes bancaires menées dans le monde entier, la capacité financière des banques systémiques à absorber des pertes s’est améliorée, certes. Mais aujourd’hui encore, la valeur des actifs de ces banques représente 20 fois celle de leurs fonds propres. Un levier bien trop élevé pour résister à un choc majeur.

Pour ne plus faire peser les risques sur les pouvoirs publics, la réglementation bancaire a tendu vers la responsabilisation les banques, en leur imposant le principe du sauvetage en interne. On est passé du « bail-out » au « bail-in« . En Europe par exemple, les banques en difficulté sont censées mettre à contribution d’abord leurs actionnaires et leurs créanciers. Si besoin, les dépôts de plus de 100 000 euros peuvent être ponctionnés (c’est ce qu’il s’était passé à Chypre en 2013).

Enfin, elles peuvent faire appel à un Fonds européen de « résolution unique », qui serait doté en 2023 d’environ 55 milliards d’euros. Ce qui paraît bien mince : rappelons qu’à elle seule, BNP Paribas pèse plus de 2400 milliards d’euros, autant que le PIB français ! C’est pourquoi, aujourd’hui encore, les investisseurs considèrent toujours la dette bancaire comme une dette « garantie » par l’État… L’aléa moral du « too big to fail » n’a donc pas disparu.

Enfin, si les banques sont beaucoup moins interconnectées sur le marché interbancaire qu’il y a dix ans, elles le sont bien plus avec d’autres intermédiaires financiers, notamment des sociétés de gestion ou des fonds d’investissement qui opèrent dans le « shadow banking » (la finance de l’ombre), et qui passent sous le radar des régulateurs. Dans sa définition la plus large, cette finance non bancaire pèse 184 000 milliards de dollars, soit presque la moitié du total des actifs mondiaux, selon les dernières estimations du FSB datant de 2019. À peine identifié, le risque systémique se déplace subrepticement dans des sphères bien plus opaques.




Covid-19 : pourquoi la Suède n’a pas confiné ?

[Source : LLP]

Par Mariam Carette

Vous croyez que la Suède est un exemple en matière de gestion de la crise sanitaire ? Alors comment s’expliquer que malgré une quasi absence de restrictions, la population se soit fait massivement vacciner contre le Covid-19 ? Cela paraît paradoxal ! Bienvenue en Suède !

La Suède ne compte que 10,4 millions d’habitants, son PIB se situe au 24e rang mondial. Ce pays est à la pointe de la technologie dans divers domaines. La Suède est une monarchie constitutionnelle avec un parlement qui mène une politique ultra-libérale capitaliste, avec une note de communisme très particulière où le gouvernement a un rôle de tuteur légal sur ses citoyens. L‘ « étatisme » est une sorte de religion nationale.

Comme nous sommes curieux, que nous aimons savoir et nous poser des questions, nous avons étudié la situation de plus près. Nous vous proposons une petite visite du pays en 10 points, qui nous permettra de mieux voir comment la Suède gère son peuple.


1- Le Personnummer

Le Personnummer est le sésame qui ouvre toutes les portes en Suède : administrations publiques, banques, associations, opérateurs téléphoniques, fournisseurs de gaz et d’électricité, salles de sports etc. Tous ne jurent que par le Personnummer !

C’est à la fin du 17e siècle que ce numéro d’identité national voit le jour. D’abord pour un simple recensement de la population et la collecte des impôts. En 1749, la Suède créait le premier institut de statistiques officiel au monde : Tabellverket connu aujourd’hui sous le nom de Statistiska Centralburân. Le Personnummer tel qu’il est actuellement, a été instauré en 1967. Il est composé de 10 chiffres, calculés d’après l’algorithme de Luhn. Un système infaillible !

2- L’Energiebox

La Suède a commencé à équiper les foyers suédois de compteurs électriques communicants appelés Energybox en 2009. Avant-gardistes les Suédois !

Soi-disant pour que le citoyen fasse des économies. Bizarre cette attention soudaine portée à nos dépenses d’électricité ? Ils ne veulent donc plus de notre argent ? Nous connaissons la même histoire avec le Linky en France.

Tout s’explique quand nous comprenons que la Energybox est soutenue par la technologie HAARP (High-Frequency Active Auroral Research Project). Un programme de surveillance totale de contrôle des consciences et de réduction des populations.

Nous vous invitons à lire « Les Anges ne jouent pas de cette HAARP »

3- La disparition du cash

L’argent liquide a été quasi supprimé du pays depuis 2018. Les banques n’ont plus de distributeurs de billets, les commerçants refusent le cash, même pour un simple café ! De ce fait, plus de marché parallèle, le gouvernement a la main sur chaque Krona (couronne suédoise, Krona ? Krona et Corona, quelle parfaite homophonie ! Y aurait-il une similitude ?), il faut savoir que la Suède ne fait pas partie de la zone euro.

Les banques ont le contrôle sur l’ensemble de la masse financière du pays.

Depuis 2012 le paiement électronique Swish a été adopté par les Suédois à la quasi-totalité. Elle vise à supprimer le cash à 100 % d’ici 2030. 2030 ! Ça nous fait penser à un certain « Agenda 2020-2030 » de Klaus Schwab, président du WEF.

4- La puce RFID

En Suède, la puce sous-cutanée séduit des milliers de personnes. Cet implant remplace clés, cartes bancaire, cartes de visite, billets de train, de cinéma… « C’est génial ! Ça simplifie la vie ! ».

En décembre 2021, la Suède a présenté son projet d’implanter la puce qui servirait de Greenpass, c’est-à-dire de Pass Vaccinal. Et tout cela est strictement volontaire ! Nous ne pouvons nous empêcher de penser à Jacques Attali qui disait en 1981 : « La sélection des idiots se fera ainsi toute seule, ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. » Extrait du livre « L’avenir de la vie », entretien avec Michel Salomon.

5- Hene, le 3e genre

En 2010, le Forum Économique Mondial (WEF, dont le fondateur et président est Klaus Schwab) avait désigné la Suède comme le pays le plus sexuellement égalitaire au monde.

Mais pour de nombreux Suédois l’égalité des sexes ne suffit pas, il faut devenir sexuellement neutre. La Suède reconnaît 170 prénoms unisexes. On habille l’enfant de façon neutre et on lui donne des jouets neutres. Dans de nombreuses écoles maternelles toutes références au sexe des écoliers ont été supprimées. Les enfants ont droit à de la « littérature » LGBT.

Récemment, une institutrice s’est fait licencier car elle refusait, à la demande des parents, d’appeler une petite fille de 7 ans Hene au lieu de fille.

Hene fut mentionné pour la première fois dans les années 60, puis en 1994 il fut intégré en tant que pronom personnel. Au fil du temps il est devenu le 3e genre sexuel officiel. Nous avons donc les enfants filles, les garçons et les henes, sans compter que le petit garçon a l’option de devenir une fille et idem pour la fille.

Le ministère de l’éducation nationale suédois fait tout pour promouvoir une perspective sexuellement égalitaire et éviter ainsi les visions traditionnelles du genre et des rôles parentaux.

Pour comprendre un peu mieux les valeurs et le rôle de la tradition, nous vous invitons à lire « La crise du monde moderne » de René Guénon.

6- LGBT en puissance

La Suède est le pays le plus sympathisant du mouvement LGBT (Lesbian Gay Bisexual Transgender). Il s’agit même d’une norme sociale.

Petit récapitulatif historique :

  • 1930-1940 : les premières luttes contre la discrimination de l’homosexualité. Des réseaux d’entre- aide se développent.
  • 1944 : légalisation de l’homosexualité. Le consentement équivaut celui des hétéros.
  • 1972 : légalisation des transgenres
  • 1995 : légalisation du Pacs pour les homosexuels
  • 2003 : droit d’adoption pour les homosexuels
  • 2005 : droit à la Fiv pour les lesbiennes
  • 2009 : légalisation du mariage pour tous.

La Suède est le pays où le mouvement LGBT a le plus de droits et de légitimité dans le monde entier.

Qui dit LGBT, dit Gaypride.

En 2021 la Suède a accueilli à Malmö la Worldpride. L’événement dure une semaine entière et s’étend dans tout le pays. La Europride a déjà eu lieu 3 fois en Suède. Nous tenons à préciser que « pride » en anglais signifie la fierté. Voici la fierté du Monde.

7- Transplantation d’utérus

En 2014 à Goeteborg, deuxième ville de la Suède, sont nés 8 bébés à la suite d’une greffe d’utérus chez leur mère, une technique en plein développement. Technique que la communauté LGBT souhaiterait vivement reprendre pour des fins personnelles. On dirait de la science fiction, tout comme dans ce film des années 90 avec Arnold Schwarzenegger, « Junior », où un homme tombe enceinte. Le « Madprofessor » Christopher Inglefield, chirurgien et fondateur de la London Transgender Clinic, estime que c’est tout à fait envisageable. Et devinez ? C’est en Suède que la technique a été innovée. Ce fut un flop.

Permettez-nous de nous poser des questions sur l’éthique d’une science sans conscience, qui voudrait implanter l’utérus d’une femme dans le ventre d’un homme ?! Et il accoucherait par où ? Par l’anus ?!

8- L’alcoolisme

En 1850 déjà, le roi Fredrik recense une consommation de 45 litres d’alcool par an par personne. On peut dire que les Suédois sont très exubérants en matière de boisson ! Le manque de luminosité et de chaleur n’aident pas. Raison pour laquelle les pouvoirs publics ont dû réguler l’accès à l’alcool dans le pays. Depuis 1870, l’État a pris le monopole sur la vente et les recettes. En 1955 les boutiques « Systembolaget » ont vu le jour. Ce sont des magasins d’État qui vendent les vins et spiritueux, les alcools jusqu’à 3,5° sont en vente libre. La vente d’alcool est interdite aux moins de 20 ans. Le tourisme d’alcool est très répandu, les Suédois vont se fournir dans les pays limitrophes comme le Danemark et même l’Allemagne où l’alcool y est bon marché.

Nous constatons qu’en matière d’alcool, les Suédois sont bien moins obéissants !

9- Taux de vaccination des vaccins dits classiques

En 2018, notre chère ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, nous vendait la Suède comme un exemple mondial en terme de couverture vaccinale, lorsque notre gouvernement français avait instauré l’obligation vaccinale à 11 vaccins pour nos bouts de choux. Elle nous disait dans l’émission « Les Maternelles » : « Les Suédois eux, n’ont pas d’obligation vaccinale, et pourtant ils sont vaccinés à 99 %! » La Suède est ainsi souvent prise comme exemple : malgré l’absence totale d’obligation vaccinale, les enfants de moins de 2 ans ont été injectés du vaccin DTPolio à 99 %, il en est de même pour les autres vaccins dits recommandés chez nous avant 2018. Tandis qu’en France il a fallu mettre des obligations vaccinales scolaires et professionnelles, les Suédois eux, ne font pas de distinction entre recommandations et obligations gouvernementales.

10- Taux de vaccination du vaccin Covid-19

Malgré l’absence de confinement et de port du masque obligatoire, le taux de vaccination est extrêmement élevé. Sans oublier que ce vaccin est en phase expérimentale, il n’a donc pas pu se voir délivrer d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM).

La Suède a commencé sa campagne de vaccination Covid-19 en mars 2020. Au 9 janvier 2022 nous constatons, en consultant les données officielles du site Johns Hopkins, que 72, 24 % des Suédois présentent un schéma vaccinal complet (2 doses) que 7.430.541 personnes sont doublement vaccinées et que 17.887.449 doses ont été attribuées au total.

Nous avons une population de : 10.402.070 individus

Les 2 dosés sont au nombre de : 7.430.541 individus

Ce qui nous fait une différence : 2.971.529 individus restant en Suède qui n’ont pas eu 2 doses.

Donc : 7.430.541 personnes ont eu 2 doses, ce qui nous fait un total de : 14.861.082 doses. Au total 17.887.449 doses ont été administrées.

Ce qui nous fait une différence de : 3.026.367 doses qui ont forcément été administrées aux 2.971.529 personnes restantes. Nous constatons même une « overdose » de 54.838 entre le nombre de doses restantes et le nombre d’individus restants, différence qui s’explique certainement du fait que la Suède a commencé en janvier avec la 3e dose pour les personnes les plus fragiles. Si l’on inclut les personnes primo-vaccinées on atteint un taux qui tend vers du 100 %.

La quantité de personnes injectées est faramineuse !

Notre correspondant sur place nous disait que les gens dans son pays étaient vaccinés à 100 %, que seule une poignée de personnes ne l’était pas et que ces derniers subissaient une discrimination totale de leurs concitoyens. Ça paraît irréel ! Et pourtant les chiffres le confirment !

Pour conclure, il nous semble assez clair que le gouvernement suédois a une énorme emprise sur son peuple et qu’il opère cette manipulation depuis des décennies. Ses moyens de contrôle mentaux sont très sophistiqués.

Le Youtubeur et ex-banquier« Un être Humain » nous rapporte dans l’émission du 4 décembre 2020 sur la chaîne de Hayssam Hoballah, qu’il a fait l’expérience de partir vivre en Suède dans le courant de l’année 2020. Il pensait fuir la dictature sanitaire de l’Hexagone, mais au final il n’a tenu que 2 mois en Suède, alors que le pays vivait librement, tout était ouvert, les gens sortaient où et quand ils voulaient, pendant que nous en France, nous devions signer des auto-attestations pour sortir de notre maison-prison ! Alors pourquoi n’a-t-il pas apprécié toute cette liberté ? En fait il nous dit : « Là-bas, les gens sont prêts ».

Ils sont prêts. C’est du préconditionné, du précuit. Plus qu’à les mettre dans la marmite !

L’état suédois contrôle tellement bien ses sujets qu’ils sont déjà prêts à se faire injecter et pucer. C’est le travail de subversion et d’endoctrinement de la pensée « Attalienne », la pensée unique franc-maçonnique du Nouvel Ordre Mondial (NOM).

La devise suédoise est :

« Nous vous laissons libres, c’est à vous de prendre vos responsabilités. »,
« Vous ne pouvez pas sortir du cadre, vous ne pouvez pas vous en échapper. »

La Suède vend du vent à ses citoyens, de l’illusion, de la magie ! Elle leur fait croire qu’ils sont libres et qu’ils choisissent. Mais en catimini, elle leur suggère et leur soumet sa volonté à elle. C’est avec beaucoup de subtilité et de séduction qu’elle formate ses disciples, ses enfants de la patrie.

Tous les rejetons de Papa-Maman-Suède sont formés dans le même moule. Vous ne verrez évidemment aucune manifestation dans les rues, s’élever contre leur tuteur légal, cela est impensable. On ne critique pas Papa-Maman, c’est très mal vu. Et malheur à celui qui ne veut pas se soumettre à la pensée unique suédoise, c’est l’exclusion directe et à tous les niveaux, que ce soit familial, social ou professionnel. Et non seulement on vous bannit mais on vous finit ! On vous achève mentalement et financièrement. Mise à part cela, le Suédois est libre, libre de choisir la liberté à la suédoise. C’est comme si l’on vous disait que vous pouvez choisir tous les habits que vous voulez, mais que dans tout le magasin il n’y a que la même veste et que même si vous avez besoin de chaussettes, vous ne pouvez qu’acheter une veste, vous avez besoin d’un pantalon, là encore, vous devez achetez une veste. C’est plus égalitaire vous comprenez !

La Suède ne fait jamais rien par la force mais elle suggère implicitement.

D’ailleurs, la Suède prétend vouloir influencer l’Europe, évidemment pas par la force, mais par la séduction. La séduction ! Ce mot nous fait penser à Babylone, la grande prostituée qui a séduit une grande partie de l’humanité… et qui est en train de tomber…




Sans argent liquide = le seuil de l’enfer

[Source : Kla.tv]

Par Ivo Sasek



Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 1977, et si ce que vous allez entendre ne se produit pas exactement de cette manière, comme je vais le dire maintenant, alors on peut me traiter de faux prophète.

J’esquisse ici encore une fois sans ambiguïté la destination vers laquelle toute cette pandémie de Covid veut nous pousser.

Enfin, il ne faut pas oublier de proposer une issue réalisable. Mais passons directement au point essentiel : quelles sont les instructions que l’on nous martèle depuis des mois dans presque tous les grands magasins d’alimentation ? « Payez sans contact ».

Oui, c’est ça : « Payez sans contact ». Je l’entends tout le temps. Et les médias, ces infatigables porte-parole de quelque mystérieux commanditaire, évoquent l’utilisation de l’application « Contact-Tracing ». Bien sûr, tout cela en anglais dans l’espace germanophone. En d’autres termes, nous devons nous rendre de plus en plus traçables partout et à tout moment. Oui, j’ai délibérément choisi ce terme de « traçable », car son ambiguïté nous met déjà dans l’ambiance de la thématique centrale dont il est question ici.

Vous savez, la destination de la plandémie n’est pas seulement la surveillance totale, mais plutôt le contrôle total, la domination totale de chaque citoyen de la Terre !

Tant que c’est possible, ils veulent atteindre cet objectif au moyen du Covid.

La santé à tout prix, telle est la devise politique. Les privations de liberté imposées par les confinements ne peuvent déjà plus être rachetées que par le biais d’indulgences de toutes sortes – et le commerce de billions de dollars est florissant : tout a commencé avec le commerce des indulgences des masques, bien que les experts qui ont donné le ton aient ouvertement souligné au préalable que les masques n’apportaient absolument rien ; cette constatation a toutefois fourni le prétexte idéal pour pouvoir imposer les premiers pas vers la surveillance totale souhaitée du monde entier. Vous comprenez cela ? Cette démarche forcée s’est bien sûr accompagnée depuis d’un commerce toujours plus florissant d’indulgences d’autotest, d’indulgences de tests PCR, puis d’indulgences de vaccins, d’indulgences de passes sanitaires, etc. Mais que ce soit clair : ce ne sera jamais la liberté promise que vous achèterez avec toutes ces indulgences mentionnées et à venir. Vous achetez ainsi uniquement votre état d’esclave total. Et chaque jour, dans les magasins, vous entendez dans les haut-parleurs la manière dont vous achetez votre esclavage : Payez sans contact ! Ecoutez comme ils disent ça : « Payez sans contact ! » « Payez sans contact ! » Bien avant le Covid, d’innombrables lanceurs d’alerte avaient déjà révélé comment la suppression de l’argent liquide constituait une base stratégique pour les dirigeants mondiaux auto-proclamés.

À ce moment-là, nous ne savions encore rien sur le Covid.

Malgré cela, même la plupart des médecins de ce monde essaient d’acheter leur liberté par le biais du commerce des indulgences de certificats et des indulgences de vaccins. Ecoutez-moi, vous tous les médecins qui faites de telles choses : Vous savez très bien qu’avec le Covid, on a jeté aux orties tout, mais vraiment tout ce que vous avez appris sur le sujet dans vos universités. Mais au lieu de vous unir et de vous lever contre ce scandale pour défendre votre savoir chèrement acquis, vous vous taisez, tout simplement ! Et je vais vous dire pourquoi : par pure peur de perdre vos droits d’exercer. Et ce faisant, vous soutenez le plan directeur qui se cache derrière toute cette propagande épidémique et cette terreur des peuples – et vous suivez même l’ordre stratégique du paiement sans contact. Alors que si vous mainteniez fermement et proclamiez haut et fort vos premières leçons de pathologie, de virologie, de biologie ou de quoi que ce soit d’autre, cela pourrait conduire à la mise en échec immédiate de cette stratégie sans argent liquide. Mais même toute personne ayant reçu une formation moyenne dans les domaines de l’anatomie médicale devrait encore avoir en tête ces connaissances de base empiriquement prouvées. Toute infirmière ou par exemple toute sage-femme a appris lors de sa formation de base que les virus ne peuvent pas subsister tout seuls mais qu’ils ont besoin d’un hôte vivant. Alors comment les virus pourraient-ils survivre sur de la matière morte comme des billets de banque ?

Mais venons-en maintenant au point le plus important : la suppression de l’argent liquide rendra chaque citoyen de la Terre vulnérable au chantage jusqu’au bout. Réfléchissez bien à ce que je vais dire ! Les extorsions actuelles ne sont qu’un petit avant-goût de ce qui se passera lorsque nous perdrons l’argent liquide. Ça c’est mon pronostic ! Déjà maintenant, tous ceux qui ne se conforment pas exactement aux diktats sanitaires sont exclus de toutes sortes de commerces, de divertissements, de locaux, de services, de professions, etc. Le rachat de libertés partielles ne peut se faire que par des soumissions ainsi forcées. Une fois l’argent liquide supprimé, les mêmes dictateurs bloqueront les comptes des personnes peu dociles jusqu’à ce qu’elles fassent exactement ce qu’ils veulent. Vous comprenez ? Et, voyez-vous, c’est là que les choses deviennent vraiment difficiles pour nous tous. Aujourd’hui déjà, ces despotes forcent les gens à participer à leur « expérience de vaccination ». Malgré les mises en garde de milliers de spécialistes éminents, qui les avertissent qu’il s’agit de « faux vaccins » dangereux. Ces gens s’en fichent totalement.

Reconnaissez donc que les hommes qui tiennent actuellement les leviers de commande du monde ne peuvent en aucun cas être issus du véritable système de santé. Ils viennent des âmes extrêmement morbides du complexe financier numérique mondial ou, comme l’a prouvé le nouveau chancelier allemand, ils sont au moins mêlés aux cercles financiers les plus influents. Mais les leviers de la domination mondiale sont également détenus par les parties corrompues de Big Pharma et leurs associés, par diverses sociétés secrètes de haut niveau et leurs vassaux souvent ignorants, etc. On en a déjà souvent parlé. Leurs véritables intérêts résident uniquement dans l’assouvissement de leurs désirs de pouvoir anormaux, qu’ils souhaitent pousser à l’extrême sur la voie de l’hyper-maximisation des profits, jusqu’à la domination ultime du monde.

Et l’humanité arrivera à cette destination, à moins que nous n’arrêtions enfin cette guerre hybride ! Mais si la communauté mondiale ne met pas un terme à cette évolution anormale par une décision mondiale claire ou par des décisions mondiales, ces dirigeants malades de l’argent numérique ne tarderont pas à émettre des décrets qui nous semblent aujourd’hui encore totalement impensables.

Alors rien de plus abject, de plus malsain ou de plus pervers ne sera impossible. Je vous le garantis ! Et que personne ne dise que je ne fais que fantasmer. Rappelez-vous la phrase que j’ai dite au début. Si tout ne va pas dans cette direction, avec ou sans le Covid, je serai un faux prophète.

Le Covid n’est qu’un des nombreux fléaux qui nous poussent vers le but ultime que je viens d’évoquer. Aujourd’hui déjà, ces fous, je ne peux pas les appeler autrement, nous obligent à commettre les actes les plus insensés, tu le sais de par ta propre expérience, et nous en avons expliqué des centaines dans nos émissions kla.tv ; mais demain, ces mêmes manipulateurs te couperont les vivres au moindre refus d’obéissance. Ce qui est malheureusement inconcevable pour la plupart des gens de ce monde, c’est le fait que ces maîtres de la contrainte exigeront toutes les perversions encore impensables aujourd’hui. N’oubliez pas à quel point il aurait été impensable, il y a vingt ans encore, que la théorie du genre fasse partie du programme politique mondial, ou que rien qu’en Allemagne, des centaines de milliers d’enfants soient arrachés à leurs parents chaque année, ou que le monde entier soit réduit à la plus stricte nécessité s’il ne se soumet pas à une expérience de vaccination massivement contestée, etc. Et pourtant, toutes ces choses et bien d’autres sont devenues des évidences depuis longtemps. Mais dès que l’argent liquide sera supprimé, tu pourras rapidement subir des prélèvements automatiques, voire des blocages de compte, pour tout écart par rapport au « politiquement correct » à venir. Je dis cela en tant que personne à qui les élites financières dénient depuis de nombreuses années, sans explication, toute solvabilité, bien que je n’aie jamais rien eu à me reprocher. Mais revenons à notre situation : il se pourrait aussi que les dirigeants mondiaux qui viennent d’apparaître trouvent bientôt préférable que tu te fasses vacciner encore plus, puis tester à nouveau, pour protéger la collectivité ; ou que tu changes volontairement de sexe au risque qu’on te bloque ton argent, afin de mieux t’intégrer dans leur image globale ; tu comprends ? Ou alors que tu cèdes tes enfants ou ton partenaire aux dirigeants pour le bien de l’État, sinon ton argent sera bloqué. Suis bien ce que je suis en train de dire.

Si tu commences à douter de moi, demande à ton dictionnaire ce que signifie « Jus Primae Noctis » (c’est-à-dire « droit de cuissage »).

Croyez-le ou non, c’était le droit légal des seigneurs médiévaux de passer la première nuit avec la femme d’un serf, d’un sujet, etc. qui venait de se marier. Oui, la première nuit ! Malgré toutes les moqueries sur les dérives médiévales, nous ne nous rendons même pas compte qu’actuellement, leurs coutumes inhumaines et le commerce des indulgences sont en train d’être décuplés.

Les maîtres de l’argent numérique pourraient aussi trouver tout à coup plus utile que tu partages ta maison avec des immigrés pour renforcer le sens de la communauté, sinon ton argent sera bloqué ; que tu travailles dans une autre profession pour mieux t’intégrer, sinon ton argent sera bloqué ! Ou que tu vives avec un partenaire plus approprié pour te ménager, sinon ton argent sera bloqué ! Vous comprenez de quoi je parle ? Ou que tu n’aies pas de partenaire du tout afin de te protéger. On peut tout décider pour toi, sinon ton argent sera bloqué !

Chacun peut continuer cette énumération à sa guise. Et, croyez-le bien, quoi que vous imaginiez d’impossible, ça pourrait toujours être pire. C’est ce que j’affirme avec conviction à ce stade !

Mais cela ne se produira que si la communauté mondiale n’entreprend pas très rapidement des démarches communes et ne prend pas de décisions à caractère obligatoire.

Je ne peux pas inclure dans cette partie la question de savoir par quels moyens et sous quelle bannière ces décisions mondiales sont prises. Que chacun se saisisse de ce qu’il peut. Que chacun agisse selon ses talents. Pour conclure, je vais juste esquisser trois des décisions mondiales les plus importantes parmi toutes celles que nous devrions prendre. Le premier point est le plus urgent :

  1. Prenons la décision mondiale de ne plus tirer aucun profit des crises, épidémies, pandémies, catastrophes et autres.
    Vous avez bien compris ? Cette décision mondiale de temps de crise doit s’appliquer aussi bien aux individus qu’à tous les types d’entreprises qui profitent de la crise, comme les banques, les entreprises pharmaceutiques, les assurances, les spéculateurs de toutes sortes, les associations, les gouvernements, les organisations caritatives, etc.
    Il est désormais inacceptable qu’une seule et même crise provoque d’un côté d’innombrables victimes tandis que de l’autre, une quantité vraiment infime de profiteurs cupides s’enrichissent sans mesure grâce à ces victimes. Ce n’est tout simplement pas possible. Ce premier point me semble donc, comme je l’ai dit, le plus urgent et le plus nécessaire, c’est la décision mondiale.
  2. Une deuxième décision mondiale doit être la préservation absolue de notre argent liquide pour les raisons susmentionnées et bien d’autres encore. Paye autant que tu le peux en espèces et témoigne partout que l’argent liquide est synonyme de liberté.
  3. Une troisième décision mondiale doit être prise pour y parvenir – il doit donc également y avoir une décision mondiale qui exige l’arrêt inconditionnel de la production de toute technologie de surveillance numérique. Avant tout, il faut empêcher et interdire la technologie 5G qui sert à cela. Elle est de toute façon extrêmement dangereuse pour notre santé, tout comme les générations précédentes d’ondes électromagnétiques.
    Enfin, il faut refuser à tous les médias à redevances obligatoires le droit d’être payés tant qu’ils refusent, comme ils le font depuis longtemps, de publier les contre-arguments et censurent les voix alternatives importantes de la vérité.
    Une fois de plus, il ne s’agit que de la pointe de l’iceberg. Je qualifierais la première décision mondiale – c’est-à-dire l’interdiction absolue de « tirer du profit de la crise » – d’obligatoire et les trois autres sont des options possibles.
    Encore un pronostic pour la fin : la prétendue pandémie se terminera du jour au lendemain si personne ne peut plus en tirer profit. Toute crise provoquée par les hommes se terminera exactement de la même façon.
    S’il vous plaît, diffusez si possible ces avertissements et ces appels sur vos canaux. Informez constamment ceux qui ne sont pas encore au courant. Prenez les choses en main et connectez-vous avec les personnes activement réveillées, partout où c’est possible et avec qui c’est possible.
    Je m’appelle Ivo Sasek, vous connaissez la suite…



Reiner Fuellmich à la Minute de Ricardo

[Source : laminutedericardo.com]






Dans presque tous les pays, le coronacircus est en train de se terminer

Par Nicole Delépine

Quelques informations glanées sur les RS et tues par les médias

La Norvège, l’Allemagne, l’Espagne, la Croatie, la Grande-Bretagne, l’Irlande du Nord, l’Écosse et beaucoup d’autres pays allègent, ou suppriment les restrictions sanitaires. Comment leurs habitants vont-ils faire en venant en France ?

Emmanuel Macron va-t-il leur infliger les mêmes restrictions qu’aux Français au risque de les faire fuir ?

Selon Emmanuel de Villiers :

« Arrêt du délire Covid un peu partout, en Angleterre, Israël, Espagne, Suède… Avec l’application du ridicule pass vaccinal totalement à contretemps le Président Macron aurait glissé à son chauffeur en arrivant à Bruxelles : “Ernest, je suis très emmerdé !” »

Pr Christian Perronne

Je pense que c’est en train de craquer de partout, l’OMS fait machine arrière… la Roumanie a supprimé l’obligation vaccinale… Aux États-Unis ça commence à craquer, on a vu que la Cour suprême a censuré la loi de Joe Biden qui voulait imposer le vaccin.

ROYAUME-UNI

Westminster développe maintenant une « stratégie à long terme pour vivre avec Covid-19 »

La fin des restrictions au Royaume-Uni annoncée par Boris Johnson au parlement ; voyez à 46 s quand BoJo annonce la fin du port du masque en faisant un clin d’œil. Ce cri de liberté en dit long

[Qtime Network ⭐️⭐️⭐️ / 19/01/2022 / EN]

La Grande-Bretagne va « traiter le coronavirus comme un rhume » : Bojo se prépare à mettre fin à toutes les restrictions sur les médicaments.

Boris Johnson annonce la levée des principales restrictions en Angleterre, dès la semaine prochaine :

– Fin du port du masque obligatoire
– Suppression du Pass Sanitaire
– Fin du télétravail recommandé
– Abandon du pass sanitaire pour les discothèques et les grands événements
– Travail à domicile — Abandonné
– L’auto-isolation expire le 24 mars

Par suite d’une requête officielle, Nigel Farage a obtenu le nombre exact de personnes qui sont mortes « uniquement » du Covid au Royaume-Uni : 17 371. Sachant que 153 000 personnes ont été déclarées comme « morts Covid »…

TCHÉQUIE

Le gouvernement tchèque abandonne l’Obligation Vaccinale pour les plus de 60 ans et le personnel soignant

JAPON

Zéro obligation et moins de 10 morts quotidiennes depuis novembre 2021 dans ce pays de 125 millions d’habitants

ESPAGNE

« Pourquoi je libère le Peuple ? Parce que ce que je vois en France ou en Australie me donne la Nausée ! Je dis NON à la Malveillance d’État »

Pedro Sánchez, 1er Ministre espagnol en DIRECT de l’entretien du 10/01/2022.

L’Espagne va revivre normalement et stopper toutes les restrictions

Décisions :

– Terminés les tests massifs
– Ne plus tracer les contacts
– Arrêter les isolements
– Laisser totalement tomber le masque.

#PasseVaccinal #BruleTonPass

La ministre de la Santé souhaite engager le débat avec les autres pays européens.

ÉCOSSE

La Première ministre écossaise Nicola Sturgeon a annoncé la fin des restrictions restantes, tout en appelant la population à la prudence. 

La plupart des restrictions restantes liées au Covid-19 en Écosse seront assouplies à partir de lundi, a annoncé mardi 18 janvier le gouvernement écossais après une « chute importante » du nombre de nouveaux cas.

Les discothèques rouvrent, le télétravail reste recommandé

À partir de lundi, les discothèques pourront rouvrir et les jauges dans les salles de spectacle seront levées. Jusqu’à présent, seuls trois ménages pouvaient se réunir à l’intérieur, une limite qui sera également levée. Nicola Sturgeon a cependant souligné que « malgré l’amélioration de la situation, le niveau de contaminations au Covid dans la population est toujours élevé. Donc, pour minimiser le risque d’attraper le virus, il serait judicieux que nous restions tous prudents dans nos interactions sociales à ce stade. » Le télétravail continuera d’être recommandé lorsque c’est possible et les masques resteront obligatoires dans les lieux publics intérieurs et dans les transports en commun.

ALLEMAGNE

14.01.2022 : Deutscher Bundesrat Berlin –

Le ministre-président Reiner Haseloff annonce au nom du Bundestag allemand et selon la conférence ministérielle que la situation pandémique d’ampleur nationale est « terminée » !

Cela signifie logiquement que : * toute loi d’urgence est abrogée * toute obligation de vaccination est définitivement écartée * l’autorisation d’urgence des vaccins est nulle et non avenue * toute restriction COVID est nulle et non avenue…

7 h 52 · 20 janv. 2022·Twitter

toute obligation de port de masque est nulle et non avenue * toute restriction d’accès aux commerces et aux emplois est nulle et non avenue ! Est-ce la raison pour laquelle les médias ne rapportent pas cette décision ? Les gars, c’est fini…

NORVÈGE

Dès septembre 2021

« L’Institut norvégien de santé publique (FHI) classe la maladie de Covid-19 comme respiratoire, aussi dangereuse que la grippe ordinaire. En revanche, il précise que la pandémie n’est pas terminée, mais est entrée dans une nouvelle phase — le Covid-19 est désormais l’équivalent d’une maladie respiratoire courante, comme la grippe ou une infection respiratoire — due à plusieurs facteurs : les mutations qu’ils souffraient du SRAS-CoV-2, ce qui le rend moins dangereux, l’immunité naturelle et induite par le vaccin que la société norvégienne a obtenue.

Bien que le virus continue de circuler, il ne provoque pas d’augmentation du nombre d’hospitalisations, ce qui signifie que le SRAS-CoV-2 ne fait plus pression sur le système médical norvégien. FHI évalue désormais le coronavirus comme similaire à d’autres virus respiratoires, tels que ceux qui causent le rhume ou la grippe saisonnière ».

Dans des études menées par FHI, il a été constaté que les personnes partiellement et complètement vaccinées avec Covid-19 ont un faible risque d’hospitalisation, mais qu’il en va de même pour les personnes en bonne santé qui n’appartiennent pas à des groupes à risque.

Selon les dernières statistiques de FHI, 67 nouveaux patients ont été hospitalisés avec Covid-19 comme cause principale au cours de la semaine 37, ce qui représente une diminution par rapport aux 95 cas de la semaine précédente. Parmi les nouveaux cas à la semaine 37, seuls 9 patients ont eu besoin de soins intensifs, une diminution par rapport aux 22 semaines précédentes.

La Norvège ne recommande pas le vaccin pour les 5-11 ans mais table sur l’immunité naturelle pour cette tranche d’âge. Il y a encore des pays où l’état réfléchit intelligemment. Battons-nous pour que ce soit le cas en France

ISRAËL, NOTRE MODÈLE

L’explosion des cas plus nombreux à chaque vague affirme l’échec de « la stratégie tout vaccin, tout pass »

20 Janvier 2021 « Il n’y a aucune logique médicale ou épidémiologique dans le pass sanitaire » affirme le ministre des Finances Avigdor Lieberman qui a appelé à mettre fin à l’utilisation généralisée du « passeport vert »

Le ministre des Finances Avigdor Lieberman n’est pas n’importe qui ! Car c’est de sa rupture avec Netanyahou qu’il a fait chuter ce dernier !
https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/1642516691-israel-covid-19-le-ministre-des-finances-demande-l-annulation-du-passeport-vert

il travaille avec « toutes les autorités » afin de mettre fin au pass sanitaire et de « maintenir une routine de vie normale pour tous. »

QUÉBEC

Québec renonce à l’obligation vaccinale des soignants devant les résistances ! « Le réseau ne peut se passer des personnels non vaccinés » dit leur ministre de la Santé. Bravo pour cette remarque de bon sens ! Que Véran qui pleure qu’il n’a « pas de soignants en réserve » en prenne de la graine !

BRÉSIL

20 Janvier Jair Bolsonaro : « Aucun gouverneur ou maire ne pourra imposer la vaccination enfants. En outre, aucune amende ou autre sanction ne sera appliquée aux parents ! »

BOLIVIE

Grand Bravo à nos amis Résistants Boliviens ! Le gouvernement de Luis Arce a cédé aux mobilisations antivaccins des secteurs sociaux du parti au pouvoir lui-même et a suspendu en Bolivie l’exigence à partir du 26 janvier dans les institutions publiques et privées de la carte de vaccination contre le Covid-19 ou des tests PCR négatifs. Belle victoire !

La THAILANDE reconnait que le vaccin blesse et tue

Les médias thaïs présentent cette information de manière très anodine.

Et pourtant, elle est explosive !

« Une compensation financière d’un milliard de bahts a été accordée par le Bureau de la sécurité nationale (NHSO) aux personnes ayant subi des effets négatifs après avoir été vaccinées contre le Covid-19.

Une compensation de 400 000 bahts a été accordée à 2 264 familles de patients décédés ou de personnes souffrant d’un handicap permanent qui aurait pu être attribué aux effets secondaires de l’inoculation ».

2264 décès ou blessures graves (handicaps à vie) ont donc été reconnus par les autorités comme causés par les vaccins… Une compensation de 10 000 euros a été versée à chaque famille…

À ce jour, 45,4 millions de Thaïlandais sont « totalement vaccinés » (2 ou 3 doses). Un rapide calcul démontre donc que 1 personne « vaccinée » sur 20 000… est tuée ou soufre de séquelles à vie après ces injections. Une sur vingt mille…

En Australie

Pays qui a toujours proclamé que les vaccins étaient surs et efficaces : pourtant plus de dix mille victimes des vaccins demandent des indemnisations qui pourraient atteindre 30 millions d’euros.

Au total, ce petit survol montre qu’en janvier 2022 partout dans le monde les gouvernements abandonnent les restrictions prétendument sanitaires pour traiter le covid comme une grippe.

Macron veut-il paraphraser Victor Hugo en proclamant « S’il n’en reste qu’un, je serai celui-là »…?




La destruction de la Médecine et du Savoir s’accentue

Par Lucien SA Oulahbib

Lu sur FigaroVox : 

« (…) Il s’agit d’un réel scandale que tout le monde fait semblant d’ignorer. Alors que chaque jour les médias constatent la pénurie de médecins, cette « brillante » réforme nous conduit à des aberrations majeures. Ainsi, dans la note finale d’admission en 2e année, deux oraux de dix minutes chacun comptent à égalité ou plus que 15 heures d’examens écrits. Vous avez bien lu ! D’un côté, 15 heures d’examens écrits (12 matières, 240 h de cours) et de l’autre, 2 oraux de 10 min. (sans formation spécifique) qui comptent plus que les écrits. La palme revient à l’Université de Paris où l’oral compte pour 72 % contre 28 % pour les écrits !

Avez-vous une idée des sujets de ces oraux qui permettent d’évaluer les compétences transversales des étudiants à l’Université de Paris ?

Voici un exemple de sujet délirant de l’épreuve de « mise en situation » de l’université de Paris : « Dans un musée, on voit une enseigne d’une ancienne chocolaterie du XVIIIe siècle avec un domestique noir qui sert sa maîtresse blanche. Le nom de la chocolaterie est “le nègre joyeux”. Qu’en pensez-vous ? ». Il s’agit pourtant bien d’un sujet censé évaluer si les étudiants « disposent des compétences nécessaires pour accéder aux formations de médecine », selon le décret. (…) »

Tout y est dit. Puisque la médecine est désormais caduque, remplacée par un peu de Doliprane et des injections expérimentales, le bétail humain du zoo urbain global doit se soumettre ou se démettre en ânonnant les mantras serviles à l’instar de ce qui se passait en URSS et encore en Chine ou dans les pays dominés par le djihadisme systémique. Il n’est plus jugé sur des critères de compétence, mais d’allégeance à la Secte Scientiste Hygiéniste Affairiste au néonazisme « éclairé » par le Guide [Führer en allemand].

Il s’agit en effet de domination négative à l’état pur. La domination positive est plutôt celle qui maîtrise la spécialité dédiée et qui donc « domine » légitimement le « champ » incriminé, alors que la domination négative, elle, réduit la notion de « pouvoir » à celle de puissance, décidant par exemple de l’état d’exception (cher à Schmitt), mais elle oublie que le pouvoir est aussi fait d’autorité et de compétence (comme l’indique Weber) en ce sens où si le citoyen accepte d’obéir, c’est bien parce qu’il a confiance dans les institutions qui organisent la société du fait de leurs compétences respectives. Ce n’est à l’évidence plus le cas.

À lire ce qui est demandé plus haut aux futurs médecins obligés ainsi d’acquiescer à une remarque anachronique qui bien entendu ne sied plus aujourd’hui, nous en sommes en effet visiblement bien loin.

Au fond, les médecins ne sont plus que des distributeurs en parapharmacie, au même titre que les profs devenus des animateurs de classes déréglées par l’anomie et réglées par des valeurs qui annihilent toute possibilité de transmettre un savoir objectif en ce sens où il ne trie pas les faits en fonction de priorités politiques, mais laïques ou comment former des esprits libres à même de créer le monde de demain au lieu de le subir ?

Dommage (encore une fois) qu’aucun candidat ne prenne réellement la mesure de cette destruction de la médecine (et du Savoir en général) alors qu’il serait possible de servir de la crise médicale actuelle pour repenser la notion de santé en y intégrant les nouvelles avancées de la médecine dite « intégrative » au sens d’articuler une connaissance d’ensemble de l’être humain et aussi du citoyen : certains n’ont-ils pas dit : « j’ai mal à ma France » ? Ils seraient aujourd’hui traités de « factieux », surtout s’ils se mettent à applaudir les mains hautes…

Ainsi va le monde global du Bâtir inversé : la déconstruction intégrale.




De la crise financière et monétaire à la terreur Étatique de la pandémie COVID

[Source : les7duquebec.net]

Tout commence par la crise financière et monétaire

Connaissez-vous les récits de vos grands-parents au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, lorsque des mesures monétaires très douloureuses ont été mises en œuvre dans le contexte de l’inflation galopante, des dettes de guerre et des personnes qui avaient tout perdu ? Je voudrais évoquer très brièvement ce qui s’est passé à l’époque, puis faire le lien avec notre époque actuelle.

Tout d’abord, la réforme monétaire [1] a eu lieu en 1948, lorsque le Reichsmark est devenu le Deutsche Mark. Toutefois, le nouvel État en a profité pour se débarrasser d’une grande partie de ses dettes en ne donnant que 6,50 marks pour 100 reichsmarks. Cela s’appliquait à tout ce qui se trouvait sur les comptes bancaires, aux emprunts d’État, aux obligations, aux crédits d’épargne-logement et également aux crédits d’assurance-vie et d’assurance retraite. Les dettes, c’est-à-dire les crédits, et les paiements courants (loyers, primes, etc.) ont en revanche été convertis 1:1 et ont donc été maintenus dans leur intégralité. Dans le cadre de la réforme monétaire de 1948, les actifs financiers ont donc été massivement dévalorisés.

Comme la réforme monétaire avait particulièrement touché les épargnants et épargné les propriétaires de biens immobiliers, la compensation des charges [2] a été mise en œuvre en août 1952 pour les citoyens possédant des biens matériels, notamment des biens immobiliers. Une compensation des charges de 50% a été versée à l’État sur tous les biens. Cette énorme charge financière a ensuite été payée à l’État sur 30 ans par tranches d’un quart d’année. En 1982, la loi sur la compensation des charges a pris fin avec les derniers versements.

Le système financier, avec ses intérêts composés, ne cesse de tomber dans un piège qu’il s’est lui-même tendu. Au fil des années, le capital se concentre (s’accumule) entre les mains d’un groupe extrêmement riche et  restreint de capitalistes (plus de 2000 multimilliardaires). Les autres personnes doivent rémunérer cette fortune des super-riches par le biais de leur force de travail salarié (la plus-value), mais cela devient de plus en plus difficile, car le capital à rémunérer ne cesse d’augmenter alors que la part des salaires tend à diminuer dans la richesse collective. C’est pourquoi ce système a besoin d’une remise à zéro de temps en temps.

Autrefois, les guerres étaient très appréciées à cet effet (remettre la comptabilité sociale à jour en faisant payer les travailleurs). Sous le mode de production capitaliste on acceptait des morts et des souffrances pour préserver et développer la richesse sociale collective que les riches accumulaient pour leur bénéfice personnel. Pourquoi en serait-il autrement aujourd’hui ?

Jusqu’à présent, il n’y a pas eu de troisième guerre mondiale (compte tenu des immenses arsenaux nucléaires, cela serait dangereux pour les «élites» et les milliardaires eux-mêmes), mais le problème du système financier en faillite subsiste…comment le résoudre?

Depuis les années 1980, la dérégulation des marchés financiers et l’apparition de marchés de produits dérivés très spéculatifs sont venues aggraver la situation, faisant perdre encore plus de terrain à la formation de capital réel (capital mobilier et immobilier ou capital constant et variable).

C’est ainsi qu’est survenue la crise financière de 2008. Les banques et les investisseurs ont été « sauvés » par les États. Mais à un prix très élevé. Outre l’endettement extrême de l’État (dont les contribuables devront finalement s’acquitter), de larges couches de la population, en particulier en Allemagne, ont été quasiment partiellement dépossédées de leurs biens par des taux d’intérêt négatifs et des hausses extrêmes des prix des biens patrimoniaux dues à l’afflux d’argent des banques centrales. Les prix élevés de l’immobilier ne signifient pas qu’ils ont pris de la valeur. Les monnaies (notamment l’euro et le dollar américain) ont simplement perdu de leur valeur en raison de l’abondance d’argent. Cela doit tôt ou tard conduire à un crash. Le plus tard sera le pire.

En 2019, nous y sommes presque arrivés. En septembre, les marchés financiers ont failli connaître une nouvelle crise qui aurait éclipsé la crise financière de 2008. Le marché dit « repo » (il s’agit de la partie du marché monétaire par laquelle les banques et les hedge funds se prêtent de l’argent entre eux), qui représente un volume mondial d’environ 15 000 milliards d’euros !!!, a dû être sauvé par la banque centrale américaine, la Fed, à hauteur de centaines de milliards de dollars américains. Après le sauvetage des banques en 2008 et l’endettement extrême des États qui s’en est suivi, une nouvelle crise aurait conduit au chaos par le biais d’effets dominos mondiaux. Le public ne s’en est toutefois pas rendu compte. [3]

Le terrorisme Étatique sanitaire comme tactique pour imposer le «Grand reset»,  pour le bénéfice des riches

De mon point de vue, cela a déclenché la « pandémie » dont les «élites» parlent depuis longtemps, afin de remettre le système financier et économique mondial sur pieds et de protéger et d’accroître encore la fortune des super-riches…ce que l’élite aime appeler le «Great Reset» c’est-à-dire, faire payer les travailleurs pour les dettes des riches.

L’OMS a été mise au pas depuis longtemps à grand renfort d’argent, notamment en provenance de Chine et d’investisseurs privés [4], et les États membres sont tenus, par le biais du Traité sur le règlement sanitaire international (RSI) contraignant en droit international, de suivre les instructions de l’OMS, notamment en cas de pandémie. Ce traité a été amendé en 2005 en vue de la mondialisation croissante et de la propagation internationale de maladies infectieuses telles que le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et est entré en vigueur le 15 juin 2007 [5].

En avril 2009 (donc peu après le début de la crise financière), la définition d’une pandémie a été nettement édulcorée par l’OMS [6]. Alors qu’il fallait auparavant un « très grand nombre » de morts dans le monde pour qu’une pandémie se déclare, il ne suffit depuis lors que de résultats de tests positifs. Ainsi, la pandémie de grippe porcine a pu être déclarée dès le 11 juin 2009. Heureusement, cette pandémie a pu être démasquée comme étant totalement exagérée. A l’époque, le test PCR avait déjà joué un rôle peu glorieux. Le 31 octobre 2020, l’OMS a encore modifié la définition de l’immunité de groupe, qui ne pourra plus être atteinte à l’avenir par l’immunité naturelle, mais uniquement par la vaccination [7].

Par ailleurs, avez-vous remarqué que le CDC américain n’autorise plus le test PCR pour la détection de la maladie de Corona à partir du début de l’année? Celui-ci ne peut pas faire la différence de manière fiable entre les virus Influenza et Corona [8]. Peut-être une des raisons pour lesquelles l’influenza semble avoir disparu ? Ceci n’est qu’une parenthèse.

En 2010, la fondation Rockefeller avait déjà décrit dans son rapport «Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international» [9] le scénario du « lockstep », c’est-à-dire du «pas de géant», en cas de pandémie de grippe. Il s’agissait de réfléchir aux possibilités et aux défis politiques et sociaux qui résulteraient de cette pandémie anxiogène. Il en est ressorti qu’une synchronisation mondiale associée à des mesures répressives serait prometteuse pour l’installation d’États totalitaires de surveillance et de contrôle à la suite de la pandémie.

D’autres éléments de notre vie actuelle ont également été préparés avant Corona, comme par exemple un certificat de vaccination numérique dans l’UE depuis 2018 [10] [11]. Le Global Vaccination Summit qui s’est tenu à Bruxelles le 12.09.2019 sous l’égide de la Commission européenne et de l’OMS est également très instructif à ce sujet [12].

Le 19.10.2019 a ensuite eu lieu à New York l’«Event 201» (traduit : événement de janvier [20]) sous l’égide du Johns Hopkins Center for Health Security (créé par la fondation Rockefeller) et avec le soutien de la fondation Bill et Melinda Gates et du Forum économique mondial (World Economic Forum – WEF) [13]. L’exercice portait sur le cas fictif d’une pandémie mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. Outre le lockdown et les restrictions de voyage, il a été question de la communication en cas de pandémie et de la gestion des fake news.

Dans la « pandémie » qui a ensuite effectivement eu lieu à partir de janvier 20, l’université Johns-Hopkins fournit dans le monde entier, via le Corona Dash-Board, les chiffres qui justifient l’abolition des droits fondamentaux dans le monde entier, la fondation Bill et Melinda Gates fournit les vaccins via ses investissements (entre autres, depuis l’automne 2019, elle investit dans BioNTech) [14] et le Forum économique mondial, avec son fondateur Klaus Schwab et son livre « Covid-19 – The Great Reset » [15], fournit le cadre idéologique.

Toutefois, deux modifications législatives du Bundestag allemand à l’automne 2019, donc également avant la soi-disant pandémie de Corona (SARS-CoV-2), sont décisives: Modification de l’article 21 de la loi sur la réglementation du droit d’indemnisation sociale (loi sur la compensation des charges) du 12.12.2019 avec application à partir du 01.01.2024.

Dans cette modification, l’objectif de «l’assistance aux victimes de guerre» pour lequel la loi sur la compensation des charges a été créée est remplacé par le terme «indemnisation sociale» et il est fait référence au livre quatorzième du code social, qui a également été modifié. Modification du Code social quatorzième livre (SGB XIV) du 07.11.2019 avec application à partir du 01.01.2024.

« Le nouveau livre 14 du Code social (SGB XIV) règle l’indemnisation des besoins liés aux dommages subis par … les personnes qui ont subi un préjudice de santé suite à une vaccination préventive ou à d’autres mesures de prophylaxie spécifique selon la loi sur la protection contre les infections».

Résumons donc brièvement la situation : L’État pourra, à partir du 01.01.2024, procéder à une compensation des charges (un joli mot pour expropriation) dans les actifs de l’ensemble de la population pour l’indemnisation des victimes de la vaccination.

Les contrats divulgués avec les fabricants de vaccins expliquent que ceux-ci n’assument aucune responsabilité [16]. Cela incombe aux candidats à la vaccination qui, en acceptant « la vaccination proposée », assument eux-mêmes le risque de participer à cette expérience médicale. Pourquoi pensez-vous que les vaccins Covid, qui n’ont que des autorisations conditionnelles, sont les seuls vaccins où il faut signer un document de consentement? [17]. En fin de compte, on participe à une étude médicale pour laquelle le fabricant n’assume aucune responsabilité. La victime d’une vaccination ne peut que se tourner vers l’État et espérer une indemnisation.

Une obligation générale de vaccination est importante pour l’État, car c’est la seule façon de justifier une répartition des charges sur tous les citoyens. Sinon, tous ceux qui ne se sont pas fait vacciner pourraient à juste titre se demander pourquoi ils devraient être responsables des dommages subis par les autres, qui ont volontairement pris le risque de la vaccination expérimentale. De plus, il s’agit bien sûr aussi de ne plus avoir de groupe de contrôle non vacciné, ce qui est en fait obligatoire pour une étude médicale, mais qui pourrait soulever des questions sur la responsabilité personnelle de certains protagonistes.

Pour obtenir une autorisation régulière sans obligations spécifiques, les fabricants de vaccins doivent obtenir d’autres résultats d’études et remplir d’autres obligations spécifiques dans un certain délai [18]. En attendant, les autorisations conditionnelles sont prolongées sur une base annuelle, ce qui a été fait récemment par l’EMA dans le cas de BioNTech/Pfizer, Moderna et AstraZeneca.

La vaccination et le pass-saitaire comme moyen de surveillance

D’ici fin 2023 (en supposant un cycle de 6 mois), chaque sujet/citoyen aura reçu 7 injections de ces vaccins expérimentaux basés sur le génie génétique. Cela correspond d’ailleurs aux quantités incroyables de doses de vaccins commandées par l’UE. Dès le lancement de la campagne de vaccination, 2,3 milliards de doses de vaccins ont été commandées, pour seulement 450 millions d’habitants environ [19], soit 5 vaccins par habitant de tout âge. Entre-temps, encore plus de doses ont été commandées, notamment en mai 1,8 milliard de doses supplémentaires de BioNTech [20]. Ceux qui pensent que les rappels actuels sont suffisants, croient aussi au malade asymptomatique et au test PCR.

Si l’on tient compte des graves effets secondaires des vaccins jusqu’à présent, y compris les décès, qui dépassent toutes les échelles des vaccins actuels (voir graphique sur la base de la banque de données américaine VAERS), il faut s’attendre à un nombre extrêmement élevé de victimes et de dommages liés aux vaccins dans les années à venir.

Le 23 septembre 2021, une demande a déjà été déposée au Parlement européen pour la création d’un fonds pour les victimes de la vaccination. Dans cette demande, les chiffres de l’Agence européenne des médicaments (EMA) concernant les effets secondaires, qui étaient déjà près d’un million à cette date, sont révélateurs [21]. Entre-temps, ces chiffres sont encore nettement plus élevés et le nombre de cas non déclarés devrait être très important [22].

Il faut donc s’attendre à un nombre énorme de victimes et de décès dus à la vaccination d’ici 2024, ce qui rend très probable l’appel à un partage des charges.

Il se pourrait toutefois que les indemnisations ne soient qu’un prétexte et que l’on perçoive nettement plus d’argent par le biais d’une compensation des charges que ce qui serait en fait nécessaire.

Réforme monétaire et remise à zéro (Great reset) du système économique en faillite

L’État a également besoin de la fortune de ses citoyens pour une nouvelle monnaie, l’euro numérique, sur lequel la BCE travaille officiellement depuis cette année [23]. Les États européens (comme d’autres États occidentaux, notamment les États-Unis) sont fortement endettés et majoritairement en faillite. En revanche, le patrimoine appartient aux citoyens. Pour que l’euro numérique ait une valeur, la BCE et les États de la zone euro doivent être désendettés. Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que la présidente de la Commission européenne, Ursula von-der-Leyen, exige désormais une vaccination obligatoire à l’échelle européenne [24]. Cela pourrait donc être utilisé dans toute l’Europe comme prétexte à des expropriations.

En outre, la Chine va déjà introduire en 2022 une nouvelle monnaie numérique adossée à des actifs, qui est déjà en phase de test et devrait être lancée dans tout le pays pour les Jeux olympiques d’hiver de 2022 [25]. Cependant, la Chine possède désormais beaucoup plus d’actifs que les pays industrialisés occidentaux, ce qui rendra la monnaie très forte et mettra les autres sous pression. Selon la volonté des dirigeants chinois, l’e-yuan doit remplacer le dollar comme monnaie de référence.

Les citoyens de l’UE et d’autres pays occidentaux seront bientôt prêts eux aussi pour une réforme monétaire. L’inflation actuellement alimentée artificiellement (générée entre autres par des retards de livraison et des pénuries de microprocesseurs) va encore s’accélérer [26] et faire en sorte que les citoyens qui s’appauvrissent peu à peu réclament des compensations, des «aides» de l’État.

La nouvelle monnaie sera probablement une monnaie purement numérique, sans argent liquide, basée sur la technologie blockchain ou similaire. Elle devrait alors être reliée, sous forme de portefeuille, à une identité numérique au sens de l’ID2020 [27], dont les carnets numériques de vaccination feront également partie ou constitueront la base. En tant que monnaie de banque centrale, elle ne sera, comme on peut s’y attendre, plus liée à un compte bancaire. Chaque citoyen aura son propre compte de banque centrale auprès de la BCE. Les publications de Norbert Häring à ce sujet sont d’ailleurs très instructives [28].

Jusqu’à présent, il n’est pas encore question de réforme monétaire avec le projet d’euro numérique de la BCE. En outre, il est toujours souligné que l’on ne veut pas abolir l’argent liquide avec l’euro numérique, mais ne disait-on pas aussi jusqu’à récemment qu’il n’y aurait jamais de vaccination obligatoire en Allemagne ?

Puce d’identité numérique comme système de contrôle de masse

Grâce à la carte d’identité numérique, les droits fondamentaux peuvent en outre être liés à la réalisation de prescriptions étatiques, comme en Chine avec son système de scoring social. Aujourd’hui, il faut se faire vacciner pour avoir accès à la vie publique. Qu’en sera-t-il demain ? D’autres expériences médicales pour Big Pharma, des mesures médicales contre la surpopulation, le blocage du porte-monnaie numérique pour les produits et services qui consomment trop de CO2, comme la viande ou les voyages ? Le citoyen devient ainsi totalement vulnérable au chantage. Pas d’argent et pas de droits fondamentaux en cas de «mauvais comportement». Et qui manifestera encore si on lui coupe ensuite les vivres en guise de punition?

Cela laisse présager le pire pour notre liberté et notre prospérité. Selon le tableau dressé par le Forum économique mondial pour l’année 2030 : «Vous ne posséderez rien, mais vous serez heureux» [29].

Encore quelques mots pour conclure à l’attention des citoyens, des élus, des journalistes ou des juges qui pensent que cela ne les concerne pas, parce qu’ils peuvent peut-être, grâce à leurs relations avec des médecins ou à leur position actuelle, obtenir le carnet de vaccination tant convoité, même sans piqûre. C’est encore possible, car on veut faire entrer le plus de gens possible dans le système du passeport Covid sans grande résistance. Mais il existe déjà des brevets pour des vaccins biométriques infalsifiables, comme le Microneedle Tattoo du célèbre Massachusetts Institute of Technology (MIT), qui a été présenté le 18 décembre 2019 [30] [31]. L’étau se resserre de plus en plus pour tout le monde. Est-ce ce que vous voulez pour vos enfants et vos familles ? Tous ceux qui participent se rendent complices.

Les droits fondamentaux inaliénables et le code de Nuremberg [32] ont été créés en tant que leçon suite au troisième Reich, selon lequel aucun être humain ne peut être contraint de participer à une expérience médicale contre sa volonté :

« …le consentement volontaire du sujet de recherche (est) absolument nécessaire. Cela signifie que la personne concernée doit être capable, au sens juridique du terme, de donner son consentement ; qu’elle doit être en mesure d’exercer son jugement sans être influencée par la violence, la fraude, la ruse, la pression, la simulation ou toute autre forme de persuasion ou de contrainte ; qu’elle doit connaître et comprendre suffisamment le domaine concerné dans ses détails pour être en mesure de prendre une décision raisonnable et éclairée ». Il est évident que cette obligation a déjà été violée de manière flagrante par la pression (2G et autres). Qu’est-ce qui va suivre ?

Traduit de l’Allemand

https://uncutnews.ch/impfpflicht-zur-rettung-des-finanzsystems/


Sources

VERSION ORIGINALE ALLEMANDE

Source : https://uncutnews.ch/impfpflicht-zur-rettung-des-finanzsystems/




Appel à affamer les non-vaccinés : je fais citer le docteur Masson en correctionnelle !

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Chacun se souvient que, au mois de décembre, le médecin radiologue Jean-Philippe Masson, avait appelé à affamer les non-vaccinés sur la boucle WhatsApp lancée par l’Institut Santé de Frédéric Bizard, qui compte 90 membres éminents (dont moi-même, exclu depuis cette date). J’ai décidé de le poursuivre en justice pour incitation publique à la haine. L’audience, qui aura lieu le 21 mars, sera l’occasion de connaître le point de vue des juges sur le discours très macroniste du « j’emmerde les non-vaccinés ».


Plainte contre Jean-Philippe Masson, radiologue, président de la FNMR pour incitation à la haine from Société Tripalio

Je vous avais parlé, au mois de décembre, de cette boucle WhatsApp de l‘Institut Santé de Frédéric Bizard, qui prône “l’autonomie solidaire en santé”. Autonomie, on veut bien croire. Solidaire, on comprend un peu trop ce que cela signifie : solidaire entre certains, mais pas entre d’autres. 

Le docteur Jean-Philippe Masson se lâche sur WhatsApp

Pour promouvoir son obscur institut, énième structure de lobbying dans le domaine de la santé, Frédéric Bizard avait lancé une boucle WhatsApp avec des personnalités diverses (dont votre serviteur). Dans la pratique, cette boucle a surtout servi de caisses de résonance à des médecins en mal de reconnaissance.

Dans ce cadre, plusieurs figures de la santé, comme le docteur Jean-Philippe Masson, radiologue à Carcassonne et président (réélu, donc expérimenté) de la Fédération Nationale des Médecins Radiologues (FNMR) ont échangé sur la meilleure façon de convaincre les non-vaccinés de se faire vacciner. 

Nous étions en décembre, en pleine campagne orchestrée par Mc Kinsey et par le gouvernement, de persuasion sur le danger que les non-vaccinés représentent (prétendument) pour les vaccinés. 

Cette ambiance très guerrière a suscité des vocations. Nous vous l’avions raconté : le docteur Masson, avec quelques autres, a trouvé l’idée du siècle, interdire aux non-vaccinés de se ravitailler. Condamnés à la faim, ils seraient bien obligés de subir l’injection. 

Voilà une belle morale chez quelqu’un qui a prêté le serment d’Hippocrate. Et voilà une logique citoyenne empreinte de “solidarité”, preuve que l’Institut Santé véhicule pleinement les idées dont il se revendique. 

On rappellera ici que, même aux pires moments de la Shoah, le régime nazi n’a jamais endossé l’appel à la privation de nourriture pour ses victimes. 

La justice doit prendre position sur les appels à la haine des médecins pro-vax

Ceux qui suivent nos colonnes savent que je ne suis pas un grand ami des procédures – procédures judiciaires comprises. Mais là, trop c’est trop !

Sans cibler particulièrement le docteur Masson, dont je pense que, à l’image de son collègue Marty, ce n’est pas par l’intelligence qu’il brille le plus, il est important que la justice de la République prenne clairement position sur ses propos tenus contre l’égalité de tous les citoyens. 

Est-il répréhensible d’appeler publiquement à affamer les non-vaccinés, surtout lorsqu’on préside une fédération de médecins. Je le crois profondément. 

Il me paraît nécessaire que le public soit clairement informé de ce que recouvre la phrase d’Emmanuel Macron “je veux emmerder les non-vaccinés”

Il ne s’agit pas de mots en l’air. Il y a, dans les beaux quartiers, dans la caste mondialisée, des gens éduqués, diplômés, qui appellent clairement au génocide de ceux qui ne pensent pas comme eux. 

Le 21 mars, je souhaite que la justice dise clairement Stop ! et qu’elle sanctionne durement ceux qui, sous couvert de leur prétendue science, revendiquent le pire de l’obscurantisme. 

Si vous souhaitez participer à la campagne de shaming de Rester libre ! sur le sujet, rejoignez-la

Et surtout, le 21 mars, soyez au Palais de Justice avec nous. 




Situation sanitaire mondiale le point au 22 01 2022 : pays avec traitement précoce, versus les tout vax

Par le Dr Gérard Delepine

Si les gouvernements et les médecins honnêtes avaient voulu faire autrement et utiliser les traitements précoces : le point au 22 01 2022

Depuis le début de la crise Covid, une propagande effrénée assortie d’une censure féroce nous assène « il n’y a pas de traitement possible …rentrez chez vous et prenez du Doliprane…le confinement sauve des vies…la fin de la crise viendra des vaccins… »

Puis après la mise sur le marché des pseudo vaccins « les vaccins sont efficaces à 97 %. Ils sont sûrs et efficaces…Vous vacciner vous protège et protège les autres…vaccinez-vous et vous retrouverez vos libertés… »

Mais la réalité est têtue et, progressivement, dément tous ces slogans mensongers. Après un an d’une vaccination imposée à plus de 80 % des Français, les restrictions s’intensifient dans une stratégie du tout vaccinal dont l’échec est maintenant reconnu par l’OMS, qui en a pourtant été la grande conseillère, et de nombreux pays qui abandonnent actuellement toute restriction (Espagne, Grande-Bretagne, etc.…).

L’argument le plus fréquemment utilisé par les médias et le pouvoir pour justifier la politique sanitaire qui nous empêche de vivre libre est : « tous les pays pratiquent la même politique ».

Mais cette affirmation est mensongère : près de la moitié des pays du monde (dont l’Inde, les pays d’Afrique tropicale, la Chine, la Malaisie) ont utilisé des traitements précoces, permettant des comparaisons solides avec les pays occidentaux soumis à une dictature sanitaire du tout injection.

Lors des comparaisons, pour évaluer l’efficacité des politiques anti-covid, nous utilisons les données officielles publiées par l’OMS avec, pour étalon la mortalité mondiale cumulée au 11/1/2022 qui atteint 693/Million.

Globalement l’analyse des données de l’OMS est porteuse d’espoir en objectivant l’efficacité des traitements précoces et/ou préventifs utilisés entre autres en Afrique et en Inde et la très grande bénignité d’Omicron qui va sauver les pays soumis à la dictature vaccinale.

L’Afrique tropicale démontre que les traitements précoces sont efficaces

Certains pays africains par choix et/ou nécessité n’ont pas ou très peu vacciné et ont utilisé des traitements anciens et bon marché (antipaludéens et Ivermectine) ou des plantes locales qu’ils utilisent depuis longtemps pour lutter contre le paludisme et de nombreuses parasitoses (Artemisia annua).

En janvier 2022, l’OMS recense en Afrique, un peu plus de 7,8 millions de cas (2,2 % du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial), alors qu’elle regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale.

Cette très faible mortalité africaine pourrait sembler d’autant plus inattendue que les systèmes hospitaliers sont bien plus délabrés que les nôtres, qu’ils manquent chroniquement de médicaments et de médecins et que très peu d’Africains (moins de 3 %) ont été vaccinés. D’ailleurs, depuis le début de la crise, les médias mainstream aux ordres de l’ordre mondial avertissent de l’imminence d’une catastrophe Covid dans ce continent et nos gouvernants voudrait leur imposer la thérapie génique expérimentale.

Certes la jeunesse des Africains constitue un facteur protecteur important : le pourcentage des plus de 65 ans varie de 2,5 % (Tchad) à 12 % (Maurice) alors qu’il atteint 20 % en Europe et 17 % aux USA. Comme la très grande majorité des victimes du Covid se recrute parmi les plus de 65 ans, la proportion des malades à risque en Afrique est en moyenne quatre fois inférieure à celle de l’Europe et pourrait expliquer une partie de sa sous-mortalité constatée. De fait, après correction de la mortalité par l’âge, les Africains bénéficient encore de 7 fois moins de morts Covid par million d’habitants (en excluant l’Afrique du Sud qui concentre 45 % de la mortalité africaine globale pour les raisons explicitées plus loin).

L’éventuel rôle protecteur du climat tropical sur la mortalité Covid, parfois évoquée, est rendu peu vraisemblable par la carte des mortalités mondiales qui montre que les pays tropicaux d’Amérique du Sud (où le paludisme ne sévit pas et dont les populations ne prennent pas d’antipaludéens) souffrent autant du Covid que ceux d’Amérique du Nord et d’Europe.

La mortalité Covid des pays africains exposés au paludisme est inférieure à 80/million soit, 22 fois plus faible qu’en France.

La comparaison au 20/1/2022 des cartes de la mortalité Covid et de l’incidence du paludisme montre que les pays, dont la population exposée au paludisme prend des antipaludéens chaque jour, bénéficient d’une mortalité Covid beaucoup plus faible 10 à 180 fois inférieure à celle de la France (1847/M) comme : le Nigéria (14/M), le Mali (33/M), le Congo (65/M), La Tanzanie (12/M), le Tchad (11/M), le Cameroun (68/M), le Niger (11/M), la Côte d’Ivoire (27/M), la Guinée (30/M), le Kenya (99/M), le Sénégal (116/M), le Gabon (129/M).

Les populations du Maghreb, comme celle de l’Afrique du Sud, ne prenaient pas d’antipaludéens avant l’arrivée du Covid.

En Algérie, la population à risque, les plus de 60 ans, représente 25 % du total. Dès mars 2020, les autorités sanitaires algériennes ont recommandé le protocole Raoult qui a été largement utilisé. Au 19/1/2022, la mortalité cumulée ne dépasse pas 144/M, soit 13 fois moins que la France.

Le 31 mai 2021 sur « Canal Algérie », un membre du comité scientifique algérien a employé le terme de « curatif » concernant ce traitement.

Au Maroc, le gouvernement qui avait initialement fortement milité pour la chloroquine n’a plus conseillé ce traitement après les mises en garde infondées de l’OMS. Au 19/1/2022 la mortalité cumulée atteint 401/Million.

La Tunisie a suivi les recommandations de l’OMS et suspendu l’utilisation de la chloroquine en mai 2020. Cet arrêt a été suivi par la progression de la maladie et l’apparition des premiers décès. Au 19/1/2022, la mortalité Covid atteint les chiffres européens : 2165/M.

L’Afrique du Sud ne souffre pas de paludisme et n’utilisait pas d’antipaludéens lorsque le Covid est apparu. La stratégie utilisée a été semblable à celle de la France : confinement, refus des traitements précoces, vaccin. Elle a banni la chloroquine et plus récemment l’Ivermectine. Elle constitue actuellement le second pays africain à la plus forte mortalité Covid avec 1556 morts par million d’habitants, supérieure à la mortalité européenne moyenne, mais paraît être sortie de l’épidémie depuis la fin de la vague Omicron.

Cet examen rapide de l’évolution du Covid en Afrique montre la parfaite corrélation entre une mortalité faible et la prise quotidienne d’antipaludéens et/ou d’Ivermectine/Artémisine.

Il n’y a pas de miracle africain. Il n’y a que la confirmation que les traitements par antipaludéens et/ou Ivermectine/Artémisine sont efficaces.

La comparaison des îles Africaines de l’océan Indien met en évidence la supériorité du traitement par Artémisine sur les pseudo vaccins

Dans l’océan Indien, quatre îles se situent dans un cercle de 1000 kilomètres de rayon : Maurice, la Réunion, les Seychelles, Madagascar. Leurs conditions climatiques, leur mode de vie et les caractéristiques de leurs populations sont très proches. Mais les trois premières ont adopté la stratégie de l’OMS, tandis que Madagascar adoptait le traitement précoce par l’Artémisine. La comparaison de leurs évolutions est démonstrative.

Madagascar : 29 millions d’habitants, dont 2 % de vaccinés

Le gouvernement a fait la promotion de l’utilisation préventive d’un antipaludéen local, l’Artemisia qui a été beaucoup consommée.

Au 19/1/2022, l’épidémie est maîtrisée depuis début juin 2021 après 55 827 cas et 1169 morts, soit une incidence globale de 1963/Million et une mortalité globale 39/Million, soit 18 fois moins que la moyenne mondiale et 48 fois moins que celle de la France.

Île Maurice 70 % d’injectés

En 2022, la population de l’île Maurice compte 1 280 000 personnes. La vaccination a commencé mi-février 2021 et au 17/11/2021 plus de 70 % de la population avait reçu au moins une injection.

Depuis la campagne de vaccination le nombre de morts par a été multiplié par 24 (de 10 à 240). Au 12/12/2021, la mortalité cumulée s’élève à 200/million, soit 5 fois supérieure à celle de Madagascar.

La Réunion compte 905 000 habitants dont 58 % sont vaccinés

La politique sanitaire suivie est celle de la métropole avec l’interdiction des traitements précoces et un tout vaccin. Au 12/12/2021, l’épidémie reste active, le nombre de cas cumulé atteint 63 863 avec 391 morts (mortalité 415/M), soit le triple la moyenne africaine et 12 fois celle de Madagascar.

La catastrophe vaccinale des Seychelles vaccinées à 90 %

Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas de Covid-19 confirmés et 3 morts. En espérant sauver sa prochaine saison touristique, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. En janvier 2022, la couverture vaccinale dépasse 90 %.

Mais depuis la vaccination, les Seychelles ont dû faire face à une hausse considérable des cas qui a incité le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars dans la journée, les casinos…

Au 19 janvier 2022, le pays comptait 32 850 cas confirmés et 133 morts contre 500 cas et 3 morts avant la vaccination. Ainsi après 12 mois de vaccination, le nombre de cas a été multiplié par 64, la mortalité par 44. L’incidence globale atteint 332078/million et la mortalité globale attribuée au Covid s’élève à 1415/million, 8 fois plus que la moyenne africaine et 38 fois celle de Madagascar.

Cette analyse des îles africaines de l’océan Indien confirme l’efficacité du traitement par Artemisia et l’inefficacité dangereuse des vaccins. Le traitement précoce et/ou préventif par Artemisia a permis à Madagascar de compter 40 fois moins de morts par million que la stratégie OMS du tout vaccin adoptée aux Seychelles.

L’Inde très peu vaccinée a utilisé avec succès les traitements précoces et préventifs

Le système de santé indien est beaucoup moins bien pourvu que celui de la plupart des pays, avec une dépense par habitant de 73 dollars à peine, contre 4 690 dollars en France. Compte tenu de l’état de leurs hôpitaux et de la grande promiscuité de la population qui s’entasse dans les mégalopoles, les experts prédisaient une catastrophe sanitaire majeure qui n’a pas eu lieu.

Le 22/3/2020, lors de la première vague, l’Indian covid19 Task force a refusé de suivre l’avis de l’OMS déconseillant HCQ sur la foi de l’étude truquée publiée par le Lancet et a, au contraire, recommandé le traitement préventif par l’hydroxychloroquine du personnel soignant, des forces de l’ordre et des foyers, contenant des personnes contaminées par le Covid-19. Ce traitement préventif a contrôlé la première vague en limitant considérablement la diffusion de la maladie avec un pic de nouvelles contaminations quotidiennes qui n’a pas dépassé 75/Million, alors qu’en France il a atteint 1072/M.

Au 30 janvier 2021 l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542), soit six fois plus.

Cette forte réduction du risque de contamination lors de la première vague ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement. Ce traitement préventif ciblé a aussi fortement réduit la mortalité puisqu’au 30 janvier 2021, l’Inde comptait dix fois moins de morts que la France (118 morts/M contre 1156/M).

Le début timide de la vaccination en janvier 2021 a été suivi par relatif abandon des traitements préventifs et l’explosion du nombre de cas en mars 2021 puis de la mortalité en avril, obligeant le ministère de la Santé indien à actualiser ses recommandations, en ajoutant l’Ivermectine à la liste des traitements officiellement recommandés. Les contaminations journalières ont très rapidement diminué ainsi que la mortalité. Grâce à l’Ivermectine, l’Inde bénéficie depuis juillet 2021 d’une accalmie qui confine à la guérison et sa mortalité cumulée globale par million d’habitants est quatre fois et demie plus faible que celle de la France (395 vs 1843).

Depuis l’utilisation de l’Ivermectine, la mortalité quotidienne attribuée au covid en Inde se maintient autour de 300, équivalent français de 15/J, alors que notre moyenne actuelle tourne autour de 200/J.

L’Inde n’est pas le seul pays à avoir utilisé l’Ivermectine avec succès

Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer la mortalité avec l’Ivermectine.

Plus de 20 études randomisées ont démontré avec certitude que l’Ivermectine a une très grande efficacité contre la Covid-19 — en prévention, en traitement précoce et à l’hôpital.(([1] https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2021/03/BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.)) En France, le Dr Gérard Maudruxa publié une synthèse complète(([2] BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.))(([3] Ivermectine for COVID-19: real-time meta analysis of 75 studies Covid Analysis, Jan 17, 2022, Version 172
https://ivmmeta.com)) de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine.

De très nombreux scientifiques et médecins du monde entier militent pour généraliser la prescription d’Ivermectine, comme l’Alliance FLCCC aux États-Unis, le groupe BIRD en Grande-Bretagne, le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation mondiale de la Santé. Au Japon, le président de l’Association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament.

Les négationnistes institutionnels : aveugles ou corrompus ?

L’Autorité européenne du médicament (EMA) déconseille ce médicament prétendant« les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour le Covid-19 en dehors d’essais cliniques » de même que l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) prétextant que les preuves d’efficacité n’étaient pas « concluantes ». L’Agence française du médicament (ANSM) a refusé d’accorder à l’Ivermectine une recommandation temporaire d’utilisation, estimant qu’on ne peut pas « présumer d’un bénéfice/risque favorable » alors que certaines de ces mêmes agences ont défendu ou autoriser sans preuves réelles les pseudo vaccins, le Remdesivir, l’Evusheld(([4] nouvelle bithérapie d’anticorps monoclonaux contre la Covid-19, autorisée en accès précoce sur le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament)) et le 21 janvier 2021 le Paxlovid qui serait donné aux patients susceptibles de faire une forme grave !

C’est d’autant plus ahurissant que le risque de l’Ivermectine est nul : avec trente ans de recul et plusieurs milliards de doses prescrites, même à des enfants et des personnes âgées, aucun risque sérieux n’a été signalé aux doses recommandées.

Ces refus de l’Ivermectine, comme celui de l’hydroxychloroquine, ne reflètent que le crédo d’un petit groupe de pseudoscientifiques trop liés à l’industrie pharmaceutique et sous la pression de politiques qui refusent qu’un médicament du domaine public à un prix ridicule puisse concurrencer les dernières inventions brevetées et hors de prix de leurs amis industriels.

L’excellente nouvelle de l’arrivée d’Omicron, possible futur « vaccin » naturel idéal

Manifestement, nos dirigeants veulent continuer de gouverner par la peur, via les tests multiples que tout le monde ou presque va pouvoir pratiquer (décret du 21 janvier 2022), pour prolonger des mesures contraires aux données de la science, au simple bon sens et aux droits de l’homme pour leurs profits et ceux de Big Pharma.

Mais leur dernier croquemitaine (Omicron) que les médias montent en épingle risque fort de les décevoir en mettant définitivement fin au coronacircus.

En effet sa plus grande contagiosité va progressivement le rendre dominant en 2022. Or il est très peu mortifère et son installation devrait progressivement réduire la mortalité vers zéro comme tendent à le démontrer l’Afrique du Sud et la Grande-Bretagne.

Il pourrait représenter le vaccin idéal : naturel, gratuit et efficace pour la vie.

Vive le variant omicron et n’en ayez pas peur ! Il va nous libérer.





Les enfants sacrifiés du Covid

Par Nicole et Gérard Delépine

FAUVES

Le 24 janvier 2022

160 pages – 16 €

Le livre

Depuis deux ans se déroule – avec peu d’opposition – le scénario d’une pandémie mis au point par les puissants de ce monde, alimenté par la peur du SARS-CoV-2 et le matraquage quotidien d’un message unique, omniprésent dans tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger. » L’hypnose générale a occulté les dangers des atteintesaux libertés fondamentales imposées par un totalitarisme rampant.

Les enfants sont les premières victimes de cette guerre. Le confinement les a isolés du monde et de leurs camarades, remplaçant les échanges humains par des échanges virtuels. Les masques cachent le visage et les émotions d’autrui, le pass leur interdit les activités collectives salvatrices et, plus grave, la vaccination généralisée même aux tout-petits les menace. Cette injection expérimentale est d’autant plus injustifiée qu’ils sont à risque zéro et ne contaminent personne. De plus, elle met en péril leur avenir immédiat et à long terme, avec des effets secondaires connus et inconnus.

Quel avenir pour une société qui sacrifie délibérément ses enfants? Il est temps d’ouvrir les yeux et ne pas sacrifier, après nos aînés, notre jeunesse, avenir de l’Humanité.

Les auteurs

Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, et Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, se battent depuis plus de quarante ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.

FAUVES

mairot.sophie@gmail.com 06 70 89 52 89

www.fauves-editions.fr

4e de couverture

Depuis deux ans se déroule – avec peu d’opposition – le scénario d’une pandémie mis au point par les puissants de ce monde, alimenté par la peur du SARS-CoV-2 et le matraquage quotidien d’un message unique, omniprésent dans tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger. » L’hypnosegénérale a occulté les dangers des atteintes aux libertés fondamentales imposées par un totalitarisme rampant.

Les enfants sont les premières victimes de cette guerre. Le confinement les a isolés du monde et de leurs camarades, remplaçant les échanges humains par des échanges virtuels. Les masques cachent le visage et les émotions d’autrui, le pass leur interdit les activités collectives salvatrices et, plus grave, la vaccination généralisée même aux tout-petits les me-nace. Cette injection expérimentale est d’autant plus injustifiée qu’ils sont à risque zéro et ne contaminent personne. De plus, elle met en péril leur avenir immédiat et à long terme, avec des effets secondaires connus et inconnus.

Quel avenir pour une société qui sacrifie délibérément ses enfants ? Il est temps d’ouvrir les yeux et ne pas sacrifier, après nos aînés, notre jeunesse, avenir de l’Humanité.

Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, et Gérard Delépine, chirur-gien, oncologue et statisticien, se battent depuis plus de quarante ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.




Décision du Conseil Constitutionnel : la fin des illusions ?

Par Lucien SA Oulahbib

Il n’est pas sûr que soit évaluée dans son importance gravissime pour les libertés cette avalisation absolument inique, celle d’une telle loi scélérate, en l’occurrence le fait de rendre « comme » obligatoire ce qui ne l’est pas déjà légalement à savoir l’injonction d’une injection censée éviter « des formes graves », alors qu’il suffisait de laisser les médecins prescrire les traitements précoces qui marchent. Rappelons d’ailleurs qu’interdire ces derniers est criminel et sera sans aucun doute durement châtié lorsque la Raison retrouvera ses droits ; mais quand ? Car il n’est cependant pas sûr, répétons-le, que soit encore saisi à sa juste mesure le piétinement faramineux actuel de nos libertés, et ce au moment même où la Grande-Bretagne et l’Espagne décident de classer cette pandémie (une syndémie en réalité) comme « endémique » ce qui implique de plutôt soigner les personnes fragiles et laisser vivre normalement la grande majorité de la population en particulier les enfants qui ne sont ni à risque ni dangereux.

Mais pour les fanatiques de la secte hygiéniste, la Grande-Bretagne ne compte pas, parce qu’elle a quitté l’UE, un crime de lèse-majesté pour les jusqu’au-boutistes de la solution injectable. Ceux-ci se sont « enkystés » dans un « long tunnel » de déni (pour paraphraser leurs propres dires lorsqu’ils parlent et montrent du doigt les non-injectés comme source du mal, car autrement tout aurait été bien sûr accompli), alors que — et ce comme prévu par les spécialistes (et non les charlatans de la lumpen intelligentsia, qu’ils soient médecins, politiques, journalistes, ou pseudo-philosophes) — l’accélération des contaminations (avec bien moins de létalité) est objectivement liée au fait que ces injections initialement structurées pour répondre (provisoirement) à la souche initiale ont un spectre bien trop spécifique (à la différence de l’immunité naturelle et acquise) et donc laissent passer les nouvelles variations.

À quoi bon de toute façon s’entacher ainsi puisque de tels arguments sont inécoutables pour des sectaires ? Rappelons-nous ce ministre de la santé qui dès qu’il entend le mot « hydroxychloroquine » sort son revolver clownesque en répondant à Martine Wonner que cela ne se « fume » pas, lui qui à sa troisième injection s’en est trouvé alité.

Sans doute [à cause de] un de ses enfants, peut-être à l’instar du Premier Ministre qui a accusé sa fille de 11 ans et dont la célérité à définir le terme de « dangereux » devrait être citée comme exemple type et symbole monstre d’une narration absurde frisant non pas la démence (dépassée depuis longtemps), mais la monstruosité.

Car nous en sommes là. Ce sont des monstres (comme il a été déjà dit dans plusieurs textes), au sens de recombinés synthétiques qui associent des bribes d’un peu de toutes les idéologies et que j’ai proposé de nommer soit Secte Scientiste hygiéniste affairiste (la SSHA), soit la Secte néonazie plus synthétiquement parlant, car il s’agit d’un projet à la fois racialiste et génétique. Il est racialiste au sens de créer une nouvelle « race » tout en dénonçant le racisme. Et pour ce faire il emploie les manipulations génétiques géniques génitales multiformes, le tout dans une ambiance idéologique de manipulation mentale à haute dose en injectant des séries comportementalistes via les réseaux fictionnels que des « influenceurs » patentés ou « miroirs mimétiques » doivent à la fois initier et entretenir (entertainment [ce terme anglais signifie « divertissement »]).

La tératologie politique dont j’essaye d’esquisser les contours dans plusieurs ouvrages et articles tente alors déjà de comprendre la genèse de ce processus idéologique qui a produit de tels mutants (ou « variants ») tout en sachant bien sûr qu’il est sans doute très inconfortable déjà de penser que des (prétendus) partisans de l’antifascisme et de la démocratie se soient ainsi transformés, et ce peu à peu, en leur contraire, comme l’engendrement (et non l’enfantement) d’Aliens  à l’instar du film bien connu ou encore du Portrait de Dorian Gray.

Mais c’est ainsi : l’incrédulité entoure toujours la force prégnante d’une nouvelle argumentation comme le prophétisait déjà Marshall Mac Luhan lorsque dans son livre » La galaxie Gutenberg » (précédant le suivant — « Medium is the message » — qui a tant influencé la pensée de Jean Baudrillard cité aujourd’hui de plus en plus par… Didier Raoult dans ses vidéos) Mac Luhan indiquait que lorsque la nouveauté conceptuelle dépassait les 20 %, le public moyen des influenceurs était perdu ou rebuté parce qu’ils ont été formés dans l’ancienne blockchain conceptuelle ce qui fait qu’ils ne peuvent adouber une pensée qui les remet en cause même indirectement ; aussi préfèrent-ils l’ignorer, voire l’effacer, et ainsi croient-ils, pensent-ils « protéger » le « grand » public de pensées « complotistes », un peu comme autrefois où la lecture des Écritures ne pouvait se faire que par l’intermédiaire des Clercs.

Mais quand ceux-ci « trahissent » (transition aisée, mais opportune…), faut-il attendre que de 20 nous passions à 30, 40, puis 50, enfin 80 % d’une argumentation recevable alors qu’il n’est pas sûr que cedit « grand » public que l’on prétend préserver ne soit pas à même d’appréhender lui-même la nouveauté ? La mode fonctionne ainsi : une nouvelle forme apparaît et se répand partout parce qu’elle rend visible ce qui se tramait comme esprit du temps.

[Note de Joseph : une certaine vision des choses, d’ordre métaphysique, ésotérique ou religieux, considère que les nouvelles idées proviennent d’un ensemencement du plan mental commun à l’Humanité et tout individu suffisamment sensible à ce plan peut alors les capter. Les plus réceptifs sont souvent des penseurs, des inventeurs ou des artistes. Ils s’en emparent puis les transmettent alors sous une forme ou une autre : textes, paroles, inventions, expressions artistiques… les rendant alors plus accessibles à ceux qui ne sont pas autant réceptifs ou mentalement outillés. Cependant, il peut exister une fraction des penseurs et autres capteurs d’idées qui préfèrent conserver pour eux-mêmes les nouveautés de peur de perdre leurs privilèges. Et dans le même temps, ceux parmi les privilégiés qui ne sont pas eux-mêmes des récepteurs d’idées nouvelles tendent à lutter contre ces dernières pour le même motif ou pour éviter de chambouler ce qui justifiait jusqu’à présent leur vie. Ils peuvent entraîner derrière eux tous ceux qui ont peur de perdre leurs repères, leurs habitudes ou leur confort physique, moral ou psychique…]

Espérons qu’il en soit bientôt ainsi : que l’illusion d’un « État de droit » inamovible se dissolve, que les « civilisations sont des êtres mortels » et que sans un Appel, un Sursaut, une Révélation enfin (ou le travail séculaire des Prophètes, aujourd’hui des Précurseurs) il soit enfin possible de prévenir la fin si l’on ne fait rien.

Mais, à l’inverse, et après tout, la Terre en a vu d’autres sur quatre milliards et quelques années de son émergence, les dinosaures ont bien disparu, l’espèce humaine serait donc en train de se détruire, à une vitesse sans doute plus lente que celle des premiers, du moins en apparence…

Et puis comme nous sommes encore dans une période interglaciaire, celle-ci touche peut-être à sa fin ou le retour vers le grand froid (« Anéantir » clame justement le Prophète à la mode) : spirituellement c’est fait, politiquement aussi, économiquement en cours.




L’Autriche devient le premier pays de l’UE à imposer la vaccination obligatoire à tous les adultes

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Le 20 janvier, l’Autriche est devenue le premier État du vieux continent à adopter la vaccination obligatoire contre le Covid-19. En octobre 2021, ils avaient essayé le confinement des non-vaccinés, mais avaient abandonné quelques semaines plus tard. Et voilà que, malgré l’ampleur et la régularité des manifestations populaires, le gouvernement autrichien fait une fois de plus le choix de l’autoritarisme en imposant la vaccination.

Lire aussi : Confiner seulement les non-vaccinés ? Une idée venue d’Autriche qui pourrait devenir virale

Pendant ce temps, hors de l’Union européenne, le Royaume-Uni annonce mettre fin aux quelques restrictions qui restaient encore en place d’ici à la fin du mois de janvier.

Un projet de loi auquel seule l’extrême-droite s’est opposée

Le projet de loi sur la vaccination obligatoire annoncé en novembre a été adopté au Parlement autrichien par une large part de la classe politique (137 pour, 33 contre sur 183 sièges). La mesure prendra effet le 4 février. Outre les Verts, partenaires de coalition des conservateurs, les chefs des partis social-démocrate et libéral se sont prononcés en faveur du texte.

Seule l’extrême-droite s’y est opposée en vertu de la nécessité de protéger les libertés individuelles. Le chef du parti anti-immigration FPÖ, virulent opposant à la politique sanitaire du gouvernement, a dénoncé lors des débats « un projet ouvrant la voie au totalitarisme en Autriche ». « Nous n’avons pas la majorité aujourd’hui au Parlement, mais nous l’avons à l’extérieur », a lancé Herbert Kickl, assurant qu’il défierait la loi.

À l’inverse, le chancelier conservateur (OVP) Karl Nehammer a déclaré devant la presse avant l’ouverture de session que « la vaccination est la chance pour notre société d’atteindre une liberté durable et continue, sans que le virus nous restreigne ».

Suite à l’adoption de cette mesure, le gouvernement ne cache pas sa crainte d’une réaction violente des Autrichiens. Il a donc décidé d’instaurer des « périmètres de protection » aux abords des établissements de santé, des centres de vaccination et de tests.

Une amende allant jusqu’à 3 600 euros en cas de non-vaccination

En vertu de la nouvelle loi, les non-vaccinés pourront écoper d’une amende pouvant aller de 600 à 3 600 euros. Elles seront levées si le contrevenant se fait vacciner dans les deux semaines.

À ce stade, environ 72 % de la population de 8,9 millions d’habitants est entièrement vaccinée, un pourcentage inférieur à la France. Pour laisser du temps aux non-vaccinés, qui se verront tous adressés une lettre de convocation, les contrôles ne seront lancés qu’à partir de la mi-mars.

Le 20 janvier au matin, une petite foule s’était réunie aux abords du Parlement. D’après Kerstin, enseignante de profession et contactée par l’AFP, qui a souhaité garder son nom de famille confidentiel, la loi est contraire à la Constitution et « bafoue les droits fondamentaux ». Avec elle, d’autres opposants à la vaccination ont exprimé leurs inquiétudes sur « les effets à long terme » des vaccins, assurant d’une même voix qu’ils ne paieraient de toute façon pas l’amende. Le gouvernement autrichien enverra-t-il en prison les non-vaccinés qui ne s’affranchiront pas de la sanction financière ?

Sur Twitter, la commentatrice politique Eva Vlaardingerbroek a annoncé : « L’Autriche est tombée. L’Europe ne fait officiellement plus partie de l’Occident libre. »

Un peu plus tôt sur la chaine Fox News, elle dénonçait la mise en place en Europe « d’un régime de contrôle et de surveillance de masse tyrannique » et appelait à un sursaut en Autriche, de sorte que le continent ne connaisse le même sort que la Chine sous contrôle communiste. 

Auteur(s): FranceSoir




Covid, notre victoire est en marche !!

[Source : @Vivresainement]






Les humains bien moins respectés que les animaux domestiques ?

Par Lucien SA Oulahbib


C’est un fait pourtant. Et cela s’appelle même un « assassinat social », précise un avocat alors qu’il est contraire selon lui au principe de conventionnalité. Celui-ci, en haut de la hiérarchie des normes, lie toute loi au respect des libertés fondamentales garanties par la Convention européenne des droits de l’Homme, en l’occurrence : le consentement éclairé, la non-discrimination, et l’objection de conscience — « vaccinale » ici — ce qui fait d’ailleurs que rendre « obligatoire » cette injection s’avère déjà illégal du point de vue de ce principe même de conventionnalité. Mais les magistrats ne l’appliquent pas ou la « souveraineté » est détournée, pervertie.

Les animaux domestiques n’ont pas ce souci : ils peuvent aller et venir, sans masque en plus. Par contre les humains, surtout s’ils se veulent citoyens et donc osent, exigent en rappelant qu’ils ont des « droits », sont montrés du doigt, invectivés, méprisés, insultés, puis traqués, pourchassés, en leur faisant perdre leur emploi et en les empêchant de se défendre, de parler même, par la mise en place de tout un maillage permettant de filtrer, isoler, annihiler non pas le virus, mais le nuisible dit « non-vacciné », alors que les injectés contaminent à qui mieux mieux et c’est d’ailleurs tant mieux du point de vue de l’immunisation de groupe à partir du moment où les médecins ont la liberté de prescrire réellement (même l’Azithromycine a été mise à l’Index alors qu’elle a prouvé son efficacité).

Voilà pourquoi il est nécessaire que l’Union sacrée s’élargisse (et donc Zemmour autant que Mélenchon et Marine Le Pen devraient venir parler le samedi à la tribune proposée par Philippot), car il s’agit de défendre les principes universaux qui ont fait la France et tant d’autres nations également qui étaient là bien avant l’avènement de cette république jacobine (qui empêche de chérir un Molière, un Montesquieu) : liberté de cueillir le Fruit de l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal malgré l’interdiction (transgressive en réalité : le défi du Créateur à sa Créature faite à son « image ») ; chasser les marchands du Temple lorsqu’ils abusent de la foi ; savoir partager, pardonner (« que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre »), défendre la veuve et l’orphelin, chérir ses aïeux, les femmes et les enfants d’abord, le capitaine quitte toujours le bateau en dernier…

Autant de principes universaux qui n’ont pas attendu l’avènement des « Lumières », celles-ci se vautrant désormais dans un scientisme hygiéniste qui a fait tant de morts au XXe siècle (et cela continue), doublé aujourd’hui d’un affairisme nihiliste paganisé puisque les humains sont considérés à nouveau comme de la matière première brute (du « rien » dit Macron) et non plus comme de la « force de travail ». C’est donc bel et bien une régression totale (et non pas un progrès en butte à la « réaction ») qui instrumentalise « la » science et « la » technique pour charrier les corps humains dont les désirs et passions sont pressés, éviscérés, avortés, telles des vaches à lait ou à viande ou des poules pondeuses encagées (programmées), jusqu’à les réduire à l’état de bétail « qrcodé », bien en deçà de l’animal domestique dont d’aucuns cherchent à lui donner désormais un statut de citoyenneté à part entière.

« Nous » en sommes .




Covid-19 : Remettez tout en question – Restez sains d’esprit – Vivez libres

[Source : dailysceptic.org]

Par Sally Beck 

Traduction : Jean Bitterlin

Pourquoi ne publient-ils pas les données sur les décès d’enfants après la vaccination contre le Covid ?

Les parents d’enfants âgés de 12 à 17 ans veulent que les responsables du Gouvernement publient les données de sécurité en temps réel pour les vaccins Covid. Une mère est tellement inquiète sur la possibilité que ses trois enfants pourraient souffrir d’événements indésirables graves qu’elle a demandé en leur nom à la Haute Cour la divulgation publique complète (de ces données — NdT).

Le Bureau National des Statistiques (en anglais ONS pour Office for National Statistics — NdT) admet qu’il détient les chiffres, mais ne les a pas révélés publiquement, donc jeudi dernier, la mère EF, qui ne peut être nommée pour des raisons juridiques, a fait part de son inquiétude au juge Jonathan Swift et lui a demandé d’ordonner à l’ONS de divulguer les données. Sa requête a été refusée.

Elle a déclaré :

« Je ne suis pas surprise. J’ai l’impression que le juge avait déjà pris sa décision ».

Pour ceux d’entre nous qui sont devant les tribunaux, c’était certainement comme s’il avait pris sa décision et que personne n’osait remettre en cause les décisions du Secrétaire à la Santé Sajid Javid.

La présentatrice de télévision et de radio Beverley Turner, qui a aidé à collecter plus de 100 000 £ pour financer l’action et qui a été vilipendée pour avoir posé des questions sur la sécurité des vaccins, était également présente. Elle a déclaré :

« Il semblait que le juge avait déjà décidé de l’issue. Il était hostile aux demandeurs et chaleureux envers les accusés. Tout ce que nous faisons c’est de nous battre pour la transparence et pour cela, nous avons eu une réponse hostile ».

On sait que les vaccins Covid à ARNm de Pfizer et Moderna peuvent causer les maladies inflammatoires cardiaques myocardite et péricardite, le plus souvent chez les jeunes gens, alors que l’Oxford/AstraZeneca peut provoquer des caillots sanguins et des accidents vasculaires cérébraux. Nous ne savons pas dans quelle mesure, et si les enfants sont décédés ou ont été handicapés de manière permanente à la suite d’une vaccination Covid.

Les enfants d’EF, AB et CD, ont saisi les tribunaux en septembre dernier pour arrêter le déploiement du vaccin pour les 12 à 17 ans (for 12-17-year-olds) et ont demandé un réexamen de la décision de justice. Ils disent qu’il leur faut les chiffres de l’ONS afin d’étayer un appel puisque la demande a été rejetée.

Leur mère EF, qui est leur représentante dans la procédure, a déclaré :

« La cour a été informée que seuls deux enfants sans maladies sous-jacentes sont décédés jusqu’à présent. Il est clair que la Covid n’est pas un problème pour les jeunes, mais le vaccin peut en être un. Tout ce que nous voulons c’est une divulgation honnête des chiffres afin que les parents puissent prendre une décision éclairée. Aucun d’entre nous n’est anti-vaccin, mais nous sommes inquiets par le manque de données de sécurité pour les injections Covid.

Nous savons que les vaccins à ARNm (ARN messager — NdT) sont expérimentaux et qu’ils sont proposés au titre de la procédure d’urgence. Nous savons également que les essais ne se terminent officiellement qu’en 2023. De nombreux parents ne veulent pas que leurs enfants soient des cobayes ».

Après avoir examiné les preuves, la Commission Mixte sur la Vaccination et l’Immunisation (en anglais JCVI pour Joint Committee on Vaccination and Immmunisation — NdT) a recommandé de ne pas vacciner les 12 à 15 ans (recommended against vaccinating 12-15-year-olds), mais les quatre médecins en chef du Royaume-Uni ont passé outre à cet avis.

Au 22 décembre (2021 — NdT) l’Organisme de Réglementation des Médicaments et des Soins de Santé (en anglais : MHRA pour Medicines and Healthcare products Regulatory Agency — NdT) qui évalue l’innocuité des nouveaux médicaments a reçu 2 546 rapports d’événements indésirables (ce qui représente vraisemblablement 10 % du total réel — 10% of the true total) pour les moins de 18 ans par le biais de leur système d’auto déclaration Carte Jaune (Yellow Card) mais qui ne donnent des détails qu’au sujet d’inflammation cardiaque.

Un communiqué a dit :

« Au 17 novembre 2021, il y a eu 432 signalements de myocardites et 332 signalements de péricardites suite à l’utilisation du vaccin Pfizer. Il y a eu 101 signalements de myocardites et 57 signalements de péricardites suite à l’utilisation du vaccin Moderna. Il s’agit là d’un risque potentiel avec le vaccin COVID-19 Pfizer BioNTech et le vaccin COVID-19 de Moderna et le MHRA (voir ci-dessus — NdT) surveille de près ces événements ».

Nous savons que 2,9 millions d’enfants ont reçu leurs premières doses Pfizer et 20 550 ont eu leurs premières doses Moderna alors que 11 600 enfants ont reçu leurs premières doses Oxford/AstraZeneca (encore qu’il ne soit plus recommandé pour les moins de 40 ans parce que ce groupe d’âge est plus sensible aux caillots sanguins potentiellement mortels). Près d’un million de moins de 18 ans ont reçu une deuxième injection.

L’action en justice a été engagée par l’avocat Stephen Jackson du cabinet Jackson Osborne et a été plaidée par l’avocat plaidant Francis Hoar, qui a subi des interruptions constantes de la part du juge Swift. Il a présenté à la cour les preuves de la pathologiste consultante Clare Craig.

Le Dr Craig a déclaré que les chiffres de l’ONS (rappel Bureau national des Statistiques — NdT) disponibles concernant le nombre de décès dans le groupe des 15-19 ans montraient :

« une tendance d’un excès de décès non-Covid chez les garçons de cet âge qui dépassait les décès des années précédentes ».

Du 1er mai 2021 au 30 décembre 2021, 402 décès masculins avaient été enregistrés, 34,6 % de plus que la moyenne des cinq ans entre 2015 et 2009. Le nombre pour les femmes sur la même période était de 163, une diminution comparée à la moyenne sur cinq ans de 175.

L’avocat plaidant Heather Emmerson, représentant l’ONS, qui ne s’est pas attiré la colère du juge Swift, a déclaré :

« Nous n’acceptons pas une augmentation significative des décès de garçons comparés avec les années précédentes. Ceci parce qu’il est difficile d’un point de vue statistique de calculer un taux de mortalité moyen ».

Elle a néanmoins reconnu :

« qu’il y avait une augmentation marginale de la mortalité sur cette période, mais les chiffres devraient être traités avec prudence. Les différences sont suffisamment faibles qu’elles pourraient être causées par un retard dans l’enregistrement du décès ».

Le Dr Vahé Nafilyan, statisticien de la santé à l’ONS, a déclaré dans un communiqué qu’ils ne possédaient que 62 % des données demandées, car 38 % des décès devaient encore être enregistrés. Potentiellement, la marge de mortalité pourrait augmenter jusqu’à 38 % ou décroître d’autant ou quelque part entre les deux.

Une enquête est exigée lorsqu’un médecin légiste pense qu’un décès a été dû à autre chose qu’une mort naturelle. Le décès ne peut pas être enregistré tant que le médecin légiste n’a pas procédé à l’autopsie et examiné les autres preuves et qu’il a décidé de la cause. Il y a actuellement un délai de 12 mois pour les enquêtes.

Mme Emmerson (l’avocate représentant l’ONS — NdT) a déclaré qu’elle n’était pas convaincue que si l’ONS publiait les données disponibles que les destinataires (les personnes qui demandent les données à l’ONS – NdT) les interpréteraient correctement — une déclaration que les plaignants ont trouvée condescendante. « Nous devons être extrêmement prudents au sujet de ces données et sur les conclusions qui peuvent en être tirées », a-t-elle déclaré à la cour.

Elle était également préoccupée que bien que les données soient anonymes sans publication des noms, dates de naissance ou régions, les identités des enfants pourraient être découvertes, citant des articles de journaux faisant état de morts subites d’enfants qui pourraient être liées aux données.

Le juge Swift a déclaré :

« La corrélation n’équivaut pas à la causalité et les informations de l’ONS ne sont pas nécessaires pour se prononcer sur cette revendication ».

Rien de tout cela n’aide les parents qui sont également inquiets par le fait qu’en posant des questions raisonnables ils sont étiquetés anti-vaxx. La mère des trois enfants, Bev Turner, a déclaré :

« Je n’ai jamais entendu le terme avant 2021. Tout ce que les parents veulent ce sont les dernières données de sécurité qui ne sont tout simplement pas disponibles, de sorte que nous ne savons pas si les vaccins peuvent causer des problèmes neurologiques, des problèmes de fertilité ou d’autres problèmes physiologiques ».

Le parent EF (la maman — NdT), qui a deux filles âgées de 13 et 16 ans admissibles à la vaccination, et un fils de sept ans, actuellement trop jeune pour recevoir l’injection, dit qu’à cause de cette incertitude ses enfants étaient anxieux à l’idée de la recevoir.

« Aucun d’entre eux ne veut se faire vacciner » a-t-elle déclaré, « et l’une d’entre elles a une amie qui s’est évanouie immédiatement après avoir reçu le vaccin et a ensuite manqué l’école pendant deux semaines. Nous n’avons pas d’autre détail sur ce sujet, mais elle était clairement souffrante sinon elle aurait été à l’école. Nous n’avons pas d’information. Ils ne peuvent pas nous dire si les injections causent le cancer ou la cécité et jusqu’à ce que nous le sachions, comment pouvons-nous prendre une décision en parfaite connaissance de cause ? »

Sally Beck est une journaliste freelance (qui travaille à son compte et qui propose ses articles aux médias — NdT) qui a 30 ans d’expérience dans la rédaction d’articles dans les journaux et magazines nationaux. Cet article a été publié pour la première fois dans TCW Défendre la Liberté (first published in TCW Defending Freedom) par Sally Beck / le 17 janvier 2022.




Ce que signifie VRAIMENT « vivre avec le Covid » et la prochaine étape dans le plan de la gouvernance mondiale

[Source : Sott.net]

[Illustration : « Covid, je suis rentré à la maison ! »]

Par Kit Knightly — Off Guardian

Pourquoi les médias se mettent-ils désormais à minimiser l’hystérie Covid qu’ils ont jusqu’à aujourd’hui entretenue ? Est-ce parce que la « pandémie » est vraiment terminée ? Ou s’agit-il d’un élément important du processus de manipulation des esprits [particulièrement accéléré depuis près de deux ans – NdT] ?

Ces derniers jours, voire ces dernières semaines, nous avons assisté à une nette modification de l’attitude des médias mainstream face à la « pandémie » de Covid.

De nombreux exemples de ce que l’on pourrait qualifier de « dissidence » se sont produits, si les médias n’étaient pas aussi étroitement contrôlés. Mais, puisque les médias sont étroitement contrôlés, nous devons le qualifier de changement apparent du message.

Le Dr Steve James, consultant en anesthésie,a confronté le ministre britannique de la santé, Sajid Javid, sur la faiblesse de la science qui soutient les obligations vaccinales [anti-Covid-19 – NdT. Notez que cette confrontation a été diffusée sur Sky News :

Traduction : « La science n’est pas assez solide ».

« Regardez le moment où un consultant hospitalier non vacciné interpelle le ministre de la Santé Sajid Javid au sujet de la politique gouvernementale de vaccins COVID obligatoires pour le personnel du Service national de santé. »

Il y a quelques jours, le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a participé à l’émission « Good Morning America » pour parler de la vague « Omicron », et a fini par souligner que la plupart des décès « Omicron » présentent [à la base – NdT] de multiples comorbidités.

Note du traducteur : En effet, selon le CDC, « plus de 75 % des décès Covid se sont produits au sein d’une population qui était atteinte d’au moins quatre comorbidités. » et « 94 % des décès Covid se sont produits au sein d’une population qui présentait des problèmes de santé. »

On peut en effet parler d’un virage à 180° !!! Ou du moins, c’est à cela que ça ressemble…

Dans une autre interview, avec Fox News, le Dr Walenksy a déclaré que le CDC allait publier des données sur le nombre de personnes décédées à cause du Covid, et sur le nombre de personnes décédéesavecle Covid.

Tout ceci soulève une série de questions importantes.

  • Pourquoi le directeur du CDC s’engage-t-il (apparemment) dans ces argumentations sceptiques quant au Covid après avoir prétendu pendant deux ans qu’elles n’existaient pas ?
  • Pourquoi Sky News a-t-elle diffusé, puis tweeté, le clip vidéo d’un médecin défiant le ministre de la Santé ?
  • Pourquoi The Guardian publie-t-il des titres tels que « Il faut mettre fin aux vaccinations massives et vivre avec le Covid, selon l’ancien Monsieur vaccins », et pourquoi cite-t-il des membres du personnel médical qui affirment que nous devons « traiter le Covid comme la grippe » ?
  • Pourquoi de nouvelles études selon lesquelles les cellules T de rhumes ordinaires peuvent « vous protéger du Covid » sont-elles mises en avant par les médias mainstream ?

On ne peut pas nier que le discours change et qu’ils lèvent le pied dans la narration [jusque-là hystérique – NdT]. Un nouveau chapitre s’ajoute au récit : celui de « vivre avec le Covid ».

Depuis plus d’un mois, c’est une expression à la mode dans toute la presse occidentale.

Le 1er décembreForbes titrait :

« Pourquoi le Covid-19 endémique sera une cause de célébration. »

Un article qui affirmait, entre autres, que « le Covid-19 endémique ne sera pas pire que la grippe saisonnière ». Ce sentiment a est désormais répété ad nauseum dans de nombreux médias.

Nous avons déjà mentionné l’article du Guardian du 8 janvier, mais il y a aussi un article antérieur daté du 5 décembre et intitulé « De la pandémie à l’endémie : voici comment nous pourrions revenir à la normale ».

CNBC a publiétrois articles presque identiques sur ce sujet en l’espace de deux semaines :

« La pandémie de Covid pourrait prendre fin l’année prochaine, selon les experts – voici à quoi cela ressemble, et comment les États-Unis pourraient y parvenir » — 9 décembre
« La pandémie pourrait prendre fin en 2022 – selon les experts médicaux, voici à quoi une vie ‘normale’ pourrait bientôt ressembler » — 15 décembre
« Omicron pourrait flamber à travers les États-Unis – et potentiellement accélérer la fin de la pandémie de Covid, selon un expert » — 22 décembre

Le jour de l’an, Voxa publié un article intitulé :

« Malgré Omicron, le Covid-19 va devenir endémique. Voici comment. »

Bloombergannonce qu’Omicron marque la fin de « la phase aiguë de la pandémie ».

Hier encore, The New York Posttitrait : « Le Covid deviendra endémique d’ici la fin de l’année, selon l’ancien chef du groupe de travail de Biden », et USA Todayposait la question « La pandémie change. Omicron apportera-t-il une nouvelle normalité pour le Covid-19 ? »

Et plus tôt dans la journée, Channel 4 a affirmé que « Le Covid en 2022 » signifie « apprendre à vivre avec le virus ».

Le message n’est pas seulement véhiculé par les médias. Des rapports indiquent que « vivre avec le Covid »sera la stratégie du gouvernement britannique à l’horizon 2022, avec une publication officielle sur ce sujet attendue « dans les semaines à venir ».

Ainsi, « vivre avec le virus » va être ajouté au vocabulaire de la narration Covid aux côtés de « aplatir la courbe » et de « la nouvelle normalité ». Mais qu’est-ce que cela implique réellement ? Quand ils disent « vivre avec le Covid », que veulent-ils vraiment dire ?

Tout d’abord, ne commettons pas l’erreur de faire confiance à un gouvernement, un média mainstream ou un « expert », simplement parce qu’ils commencent à dire 20 % de la vérité. Ce sont des menteurs, ils ont un dessein, c’est toujours vrai, et vous ne devriez jamais l’oublier, même quand — ou plutôt surtout quand — ils vous disent soudain ce que vous voulez entendre. Ils ne reconnaissent pas soudainement avoir eu tort. Ils ne font pas volte-face, ils ne corrigent pas leurs erreurs, ils ne retrouvent pas la raison et ils ne changent pas de camp. Il n’ont pas abandonné leurs convictions antérieures. Aucune vague de mauvaise conscience ne traverse l’élite [elle n’en a pas – NdT].

Ils ont un objectif. Ils ont toujours un objectif. Vous devriez également chasser de votre esprit toute idée de « retour à la normale ». Ce n’est pas le cas. Comment le savons-nous ? Parce qu’ils l’ont dit.

La moitié des articles qui parlent de « vivre avec le Covid » expliquent en détail comment les choses ne changeront pas vraimentPrenez celui-là, tiré du Guardian d’hier [9 janvier – NdT] :

« Vivre avec le Covid ne signifie pas forcément renoncer à toute mesure de protection. »

Il indique que le Covid pourrait bientôt devenir endémique, que les tests de dépistage de masse sur les personnes asymptomatiques pourraient être contre-productifs et qu’il faudrait peut-être y mettre un terme, mais rien ne change en ce qui concerne les masques ou les [soi-disant – NdT] vaccins et tout cela laisse la porte grande ouverte à un nouveau « variant » qui pourrait à l’avenir déclencher d’autres confinements :

« Vivre avec le Covid ne doit pas signifier inverser toutes les mesures de protection. Si une meilleure ventilation et des masques faciaux réduisent l’impact des maladies respiratoires hivernales, c’est un point positif, même si le Système de santé n’est plus sous la menace imminente d’être débordé. Nous devrons également rester vigilants face à la menace de nouveaux variants qui pourraient encore nous amener à revenir en arrière. Aucune garantie n’existe quant au fait qu’un autre variant, plus infectieux et plus virulent qu’Omicron, puisse à l’avenir émerger. Les scientifiques affirment que le soutien des efforts de vaccination à l’échelle mondiale sera crucial pour sécuriser le chemin vers la normalité. »

Les masques, le télétravail et la distanciation sociale dans les endroits bondés pourraient tous rester dans les parages, selon l’un des articles de CNBC mentionnés ci-dessus. Et « les rappels d’injection Covid pourraient bien se transformer en vaccins annuels comme ceux contre la grippe ». Pendant ce temps-là, les « experts » nous avertissent que même lorsque le Covid sera devenu endémique, nous devrons nous préparer à des « flambées » tous les trois ou quatre mois. Il semble bien que « vivre avec le virus » signifie maintenir le statu quo, assouplir quelques restrictions, mais laisser la voie libre à de nouvelles vagues de peur hystérique et paranoïaque si le besoin s’en fait sentir.

Mais pourquoi ? Pourquoi font-ils cela maintenant ? Il se pourrait qu’il y ait des scissions et des dissensions, voire des fissures dans les allées du pouvoir. Il est possible que certains membres du grand club suprême souhaitent à ce stade mettre un terme à la pandémie, par crainte que toute avancée supplémentaire sur la voie de la « Grande réinitialisation » ne mette en péril leur propre position ou leur propre richesse.

Peut-être.

Ce qui me semble le plus probable, c’est qu’ils ont le sentiment d’être déjà allés trop loin, et que pousser plus loin pourrait faire voler en éclats tout leur scénario.

Pour utiliser une métaphore appropriée, imaginez le programme de la « Grande réinitialisation » comme une armée d’invasion, traversant ville après ville, remportant bataille après bataille et brûlant tout sur son passage. Il arrive un moment où vous devez vous arrêter. Vos lignes d’approvisionnement sont tendues, vos hommes sont fatigués et leur nombre diminue, et les citoyens soumis à l’occupation opposent de plus en plus de résistance. Persistez néanmoins, et toute votre stratégie pourrait s’effondrer.

Dans cette situation, il faut se retirer sur une position défendable et la fortifier. Vous ne rendez pas les terres que vous avez prises, ou du moins pas en grande partie, mais vous cessez d’avancer. Les gens dont vous avez envahi les terres, si fatigués de se battre, seront tellement heureux que la guerre soit terminée qu’ils seront soulagés par ce répit avant de réaliser à quel point les terres qui leur ont été prises sont nombreuses. Ils pourraient même affirmer « qu’ils les gardent, à condition qu’ils cessent de nous attaquer ». C’est ainsi que fonctionnent les conquêtes, depuis l’époque de la Rome antique et au-delà. Un cycle d’agressions suivi de fortifications.

Lorsque nous passerons de « pandémie » à « endémie », nos droits [supprimés en raison d’une soi-disant crise – NdT] ne nous seront pas rendus, les injections, la surveillance et le climat de peur et de paranoïa subsisteront, mais les gens seront tellement soulagés par la trêve dans la campagne d’effroi et de propagande qu’ils cesseront de résister. Ils ne riposteront pas, et la « nouvelle normalité » deviendra littéralement juste ça, normale.

Ils donneront probablement leur feu vert au financement de tout ce que Bill Gates voudra faire pour s’assurer que « le Covid soit la dernière pandémie ». Et puis, un jour, lorsque les gens seront à nouveau sages et dociles, un nouveau variant fera son apparition, ou encore nous aurons besoin d’un « confinement climatique », et la pression pour le contrôle de tous les aspects de nos vies reprendra de plus belle. La meilleure chose que nous puissions faire à ce stade est de ne pas tomber dans le piège.

La presse, les politiciens et Big Pharma ne viennent pas tous de découvrir la vérité, ils utilisent simplement quelques petites parties de la vérité qu’ils ont [à dessein – NdT] ignorées pendant deux ans pour fortifier leur position. Mais ce n’est pas une mauvaise chose pour autant. Le fait même qu’ils ressentent le besoin de le faire montre que la résistance se développe, et qu’ils essaient de nous endormir.

Ce serait le pire moment pour arrêter de se battre.

Note du traducteur : Et pour votre information, ça ne peut pas être fini, puisqu’il il ne faut jamais présumer de l’issue d’un événement qui est toujours en cours.

On peut cependant suspecter que ce changement d’orientation dans les messages ne sert qu’à déblayer le terrain narratif pour mettre en place la phase suivante qui devrait être introduite rapidement :

  • des « chocs » environnementaux qui mèneraient à d’éventuels confinements climatiques,
  • des pénuries croissantes de nourriture et de chauffage,
  • un chaos économique et inflationniste,
  • la mise hors service et/ou le remplacement d’Internet,
  • sans oublier de mentionner des « problèmes » avec la Russie,
  • voire une cyber-attaque mondiale…

Cette liste n’est pas exhaustive et le choix est large.

En d’autres termes, ces monstres pourraient bien ouvrir un deuxième front très bientôt, car comme l’aurait dit Virgile dans l’Énéide, et en se référant au Cheval de Troie :

« Je crains les Grecs, même lorsqu’ils font des cadeaux. »

Source de l’article initialement publié en anglais le 10 janvier 2022 : Off Guardian
Traduction et emphases : Sott.net




Anne-Cécile Robert : « l’union européenne n’a jamais été démocratique »

[Source : elucid.media]

Par Laurent Ottavi

Le temps n’est plus aux « demi-mesures » face à l’Union européenne. Anne-Cécile Robert, journaliste et docteur en droit européen, membre du comité de direction du Monde diplomatique et vice-présidente de l’Association pour une constituante, explique ici en quoi les institutions européennes sont post-démocratiques et comment refonder la démocratie à partir du consentement populaire.

Laurent Ottavi (Élucid) : On entend parler de « crise de la démocratie », de « déficit démocratique », d’« oubli du peuple », autant d’expressions laissant entendre que l’Union européenne était initialement démocratique. Est-ce que les institutions européennes ne relèvent pas d’autre chose que la démocratie depuis le début ?

Anne-Cécile Robert : Quand les institutions de l’Union européenne ont été fondées, la démocratie n’était pas le sujet, entièrement laissé à la discrétion des États. La question était alors plutôt de partager ou de transférer la souveraineté entre les États appelés à faire partie de l’UE et des institutions dépassant le cadre de l’État-nation.

L’inquiétude à propos d’un manque de démocratie est venue au fil du temps, avec la prise de conscience du problème de ne pas pouvoir contrôler des pouvoirs supranationaux aussi importants. Cette évolution est positive, mais elle ne doit pas masquer le fait que le train n’a pas déraillé en chemin : depuis le début, les institutions de l’Union européenne sont antidémocratiques ou post-démocratiques.

« Les institutions européennes permettent aux classes dirigeantes de se prémunir du peuple en éloignant de lui le pouvoir de décision. »

Élucid : Que répondez-vous à l’argument selon lequel l’Union européenne agit sur mandat des États, lesquels sont démocratiques ?

A-C Robert : L’argument est vrai et faux à la fois. Non seulement les institutions européennes usurpent le pouvoir qui appartient légitimement à la souveraineté populaire, mais les États eux-mêmes outrepassent la volonté du souverain. Nous sommes bien placés, en France, pour savoir que certains votes des peuples lors des référendums ne sont pas pris en compte. Le Traité pour une Constitution européenne de 2005 a ainsi été ratifié par les parlementaires sous une forme à peine amendée en 2007.

Élucid : En quoi l’Union européenne, non-démocratique, relève-t-elle de la gouvernance et non du gouvernement ?

Elle repose, comme la gouvernance, sur un partage du pouvoir entre différentes instances : les États, la Commission européenne, le Parlement européen, la Cour de justice de l’Union européenne ou encore la Banque centrale européenne pour les plus évidentes. Des experts non élus en arrivent ainsi à prendre des décisions en dehors de tout contrôle populaire. Elles satisfont des intérêts, principalement ceux du marché, qui ne sont pas ceux du peuple.

Peut-on identifier précisément qui a le pouvoir dans la gouvernance de l’Union européenne ?

Le système même de la gouvernance, avec son partage du pouvoir entre de multiples instances, rend la réponse à cette question très difficile. Chacun détient une part de pouvoir. Cela est encore aggravé par l’absence totale de clarté des procédures, point sur lequel les citoyens ont par exemple été alertés au moment des négociations des traités de libre-échange.

« La Commission européenne a beau consulter beaucoup de monde, elle prend toujours la décision et celle-ci va toujours dans le sens de ses idées initiales. »

Comment le concept de « société civile » revu par la gouvernance joue-t-il contre le peuple ?

La « société civile » est présentée par les institutions européennes comme un partenaire et un acteur. Elle est mentionnée dans le traité de Lisbonne. Il est ainsi prévu que la Commission consulte la « société civile ». La définition qui en est donnée est néanmoins extrêmement vague. On y trouve de tout : des syndicats, des églises, des lobbies.

Par ailleurs, les critères de représentativité et de légitimité selon lesquels se fait la consultation ne sont absolument pas clairs. Cette élasticité a pour conséquence que les organisations ayant énormément de moyens financiers, et donc de capacité à faire la promotion d’elles-mêmes, sont très influentes. Y compris lorsqu’elles ne sont pas du tout représentatives des citoyens ! Des individus sortis de nulle part en viennent de la même façon à jouer un rôle disproportionné.

Le peuple, pendant ce temps, n’est pas consulté. Le partage du pouvoir au sein de l’UE n’en est pas non plus modifié. La Commission européenne a beau consulter beaucoup de monde, elle prend toujours la décision et celle-ci va toujours dans le sens de ses idées initiales.

Les institutions européennes sont-elles aujourd’hui un moyen pour les élites de s’affranchir délibérément du peuple ?

Le mot d’« élites » est à prendre avec des pincettes. Il est flou. Les élites étaient les champions que le peuple se donnait à lui-même. Ils émanaient alors du débat public ou de l’éducation nationale. Les élites d’aujourd’hui sont, au contraire, autoproclamées. Elles justifient leur statut par leurs diplômes ou le fait qu’elles seraient raisonnables contrairement au peuple présupposé instable, versatile et animé par des passions tristes.

Grâce aux institutions européennes, les classes dirigeantes se prémunissent en effet du peuple en éloignant de lui le pouvoir de décision. Elles se cooptent également entre elles sur la base d’intérêts communs et d’une même vision du monde faite d’économie de marché et d’une certaine vision des Droits de l’Homme. Elles me font penser aux privilégiés de l’Ancien Régime.

« Il faut faire la place la plus large possible à l’expression de la souveraineté populaire. »

Dans ces conditions, introduire davantage de souveraineté populaire au sein des institutions européennes ne reviendrait-il pas à mettre un pansement sur une jambe de bois ?

Nous n’en sommes plus aux demi-mesures ! Il faut aujourd’hui refonder la démocratie à partir du consentement populaire. Il n’existe pas de peuple européen et je ne vois pas comment nous pourrions consulter tous les peuples des États-membres de l’UE alors qu’elle ne représente pas une communauté politique suffisamment cohérente. Cette réforme des institutions européennes devrait, de mon point de vue, être menée de front avec celle des institutions françaises.

Je suis partisane de l’élection d’une assemblée constituante en France qui viserait, d’une part, à sortir du délire monarchique de nos institutions nationales et qui, d’autre part, demanderait au peuple souverain s’il souhaite participer aux institutions européennes et de quelle façon.

Le référendum devrait-il être utilisé pour légitimer tous ces changements ?

Il faut faire la place la plus large possible à l’expression de la souveraineté populaire. Les Gilets Jaunes ont exprimé, parmi tant d’autres, ce désir de prendre part aux décisions qui les engagent. Le référendum est un moyen important en ce sens, surtout compte tenu de l’ampleur du fossé séparant les classes dirigeantes et les peuples.

Il faut veiller toutefois à ne pas enterrer dans le même élan la démocratie représentative. Elle peut être considérablement améliorée par un meilleur contrôle des élus, des référendums révocatoires en cours de mandat ou encore un mandat impératif. Ainsi solutionnerait-on le fait que les classes dirigeantes ne se sentent plus aujourd’hui redevables des citoyens.

Propos recueillis par Laurent Ottavi.




Qui est Bill Gates ?

[Source : @JeanneTraduction via lezarceleurs]

Bill Gates ou la domestication du monde – The Corbett Report

PARTIE 1 : Qui est Bill Gates ? de 00:00 à 23:28
PARTIE 2 : Le plan de Bill Gates pour vacciner le monde de 23:28 à 50:45
PARTIE 3 : Bill Gates et la grille de contrôle de la population de 50:45 à 1:27:02
PARTIE 4 : Rencontrez Bill Gates de 1:27:02 à la fin



[Voir aussi :
Gates blâme la « liberté » occidentale
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Bill Gates : Les gouvernements doivent punir les utilisateurs en ligne qui s’opposent aux masques et aux vaccins
Les données : l’« or noir » du XXIe siècle
3 mois avant le COVID, l’Union mangeait la soupe du vaccin servie par Bill Gates et Big Pharma
Fondation Bill & Melinda Gates — la grande arnaque révélée
La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Bill Gates explique que le vaccin covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN
Bill Gates et le hold-up vaccinal
Bill Gates détient des actions importantes à la fois dans Pfizer et BioNTech, et il est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des produits de santé et de médecine
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !
Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice
La martingale de Bill Gates dévoilée
Bill Gates et la fin de l’Amérique
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Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
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Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
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Robert F Kennedy Jr. expose le plan de dictature des vaccins de Bill Gates – cite le «complexe du Messie» tordu de Gates
Au tour du meurtrier Bill Gates !
Le Diable a un pied dans la porte et le Vatican ne fait rien — où l’on retrouve encore Bill Gates
Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist

sur Sott.net :

La page Instagram de Bill Gates est inondée de messages demandant son arrestation pour « crimes contre l’humanité »
L’obsession de Bill Gates pour les vaccins
Bill Gates franchit le Rubicon digital, en disant que les « rassemblements de masse » ne reviendront peut-être pas sans un vaccin mondial
Bill Gates et l’élite mondiale NE VACCINENT PAS leurs propres enfants… et pour cause
Bill Gates : L’incroyable arnaque derrière sa fondation
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Londres, Bill Gates, promettent des millions pour la vaccination
Une base de données en vue de vacciner tous les enfants doit être créée, selon Bill Gates
Le mariage Gates et Monsanto : attention, danger pour le planète
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
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La FDA met fin au programme d’essais Covid-19 soutenu par Bill Gates
Corbett Report : Bill Gates et la grille de contrôle de la population
Dépeuplement, ID2020 et preuve d’immunité numérique – La doctrine agressive de la Fondation Gates pour une vaccination massive]




Schwab, du FEM, donne au président chinois Xi une plateforme de propagande contre « l’intimidation hégémonique … mentalité de guerre froide »

[Source : Aube digitale]

Par Tyler Durden pour Zero Hedge,

Davos ayant été fermé par la dernière incarnation de la variante COVID, les plus grands et les plus beaux du monde ont décidé de se réunir virtuellement cette année pour dire au monde ce qu’ils pensaient qu’il faudrait faire.

C’est le Dr. Denfer Klaus Schwab qui a donné le coup d’envoi dans une brève déclaration d’introduction où tout a été dit sauf un petit doigt dans le coin de la bouche :

https://twitter.com/disclosetv/status/1483023169678192644

Après avoir exhorté ses collègues élites à « réduire le fossé entre les riches et les pauvres », Schwab a présenté le président chinois Xi Jinping, qui n’a pas perdu de temps pour mettre en garde contre « l’attisement de l’antagonisme idéologique et la politisation des questions économiques, scientifiques et technologiques ».

Prenant soin, sur le plan diplomatique, de ne pas accuser un pays en particulier – mais de manière évidente pour quiconque n’a pas été complètement impressionné par la présentation héroïque du dirigeant chinois par Schwab – Xi Jinping a mis en garde les nations contre le protectionnisme, ainsi que contre « l’hégémonie et l’intimidation », exhortant les pays à travailler en coopération pour relever les défis mondiaux.

« Nous devons nous défaire de la mentalité de la guerre froide et rechercher une coexistence pacifique et des résultats gagnant-gagnant. »

« Notre monde actuel est loin d’être tranquille. Les rhétoriques qui alimentent la haine et les préjugés abondent. Les actes d’endiguement, de suppression ou de confrontation qui en découlent font tout le mal, et pas le moindre bien, à la paix et à la sécurité mondiales », a-t-il ajouté, selon une traduction.

« L’histoire a prouvé à maintes reprises que la confrontation ne résout pas les problèmes. Elle ne fait qu’inviter des conséquences catastrophiques. »

« Le protectionnisme et l’unilatéralisme ne peuvent protéger personne. Ils finissent par nuire aux intérêts des autres ainsi qu’aux siens propres. Pire encore sont les pratiques d’hégémonie et d’intimidation, qui vont à l’encontre du courant de l’histoire. »

Xi a déclaré que « la bonne voie pour l’humanité est le développement pacifique et la coopération gagnant-gagnant. »

Lisez la déclaration complète de Xi ici.

Il s’agit du même Xi qui militarise pacifiquement des îles du Pacifique, qui a récemment intimidé tout dissident (ou média) à Hong Kong, qui exerce une pression hégémonique sur les dirigeants démocratiquement élus de Taïwan pour qu’ils acceptent son règne, et qui supprime « prétendument » des millions de musulmans ouïghours.

Cependant, au milieu de toutes ces accusations de malaise mondial, les véritables craintes de Xi sont apparues lorsqu’il a indiqué très clairement que « la mondialisation économique est la tendance du moment » et que le resserrement des politiques des autres pays (comme la Chine) est une recette pour le désastre (dans le monde selon Xi) :

« L’environnement mondial de faible inflation a considérablement changé, et les risques d’inflation induits par de multiples facteurs font surface. »

Si les grandes économies freinent ou font volte-face dans leurs politiques monétaires, il y aura de graves retombées négatives. »

« Elles constitueraient un défi pour la stabilité économique et financière mondiale, et ce sont les pays en développement qui en feraient les frais. »

Comme nous l’avons noté précédemment, cela risque de devenir l’histoire de l’économie mondiale du premier semestre 2022, la Chine étant obligée de relâcher la pression (avec un IPP à deux chiffres et une croissance toujours supérieure à 8 %) pour éviter une crise du logement et des troubles sociaux, tandis que le reste du monde se resserre (en particulier la Fed) dans un contexte d’inflation élevée depuis plusieurs décennies et de pressions politiques.

Nous ne doutons guère que la rhétorique de Pékin prendra de l’ampleur une fois que la Fed commencera à monter et que la Chine verra d’énormes sorties de capitaux – principalement via les cryptos.

Le marché des changes à terme s’attend toujours à ce que le yuan s’affaiblisse (par rapport au dollar) au cours des 12 prochains mois…

MAIS, en termes simples, l’un de ces deux « marchés » aura tort – le marché anticipe des hausses de taux spectaculaires cette année par la Fed ET s’attend à ce que le yuan chinois se renforce (ou s’affaiblisse moins) au cours de la même période…

Et nous pensons savoir laquelle, comme Rabobank l’a noté plus tôt :

« Quelle que soit la direction prise par la Fed, elle aura tort. Si elle recule, elle verra les attentes d’inflation s’ancrer davantage. Poursuivre, et voir les choses s’envenimer ».

Et enfin, si vous doutiez du soutien de Xi à un gouvernement mondial unique (vraisemblablement basé à Pékin), ce dernier paragraphe devrait clarifier les choses :

« Les principales économies devraient considérer le monde comme une seule communauté, penser de manière plus systématique, accroître la transparence des politiques et le partage d’informations, et coordonner les objectifs, l’intensité et le rythme des politiques fiscales et monétaires, afin d’empêcher l’économie mondiale de s’effondrer à nouveau. Les principaux pays développés devraient adopter des politiques économiques responsables, gérer les retombées des politiques et éviter les graves répercussions sur les pays en développement. Les institutions économiques et financières internationales devraient jouer leur rôle constructif pour mettre en commun le consensus mondial, renforcer la synergie des politiques et prévenir les risques systémiques. »

(…)

« Nous devrions suivre la tendance de l’histoire, œuvrer pour un ordre international stable, défendre les valeurs communes de l’humanité et construire une communauté avec un avenir partagé pour l’humanité. Nous devrions choisir le dialogue plutôt que la confrontation, l’inclusion plutôt que l’exclusion, et nous opposer à toutes les formes d’unilatéralisme, de protectionnisme, d’hégémonie ou de politique de puissance. »

Traduction : Ne pouvons-nous pas tous simplement nous entendre… en ligne derrière Pékin.




Nouvelle plandémie en vue ?

[Source : profession-gendarme.com]

ALERTE ❗ Marburg Arnaque Totale



[Voir aussi :
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
L’effondrement de l’hypothèse virale
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Le jour où Jake Tapper (de CNN) a vendu son âme à Big Pharma

[Source : lewrockwell.com]

Par Robert F. Kennedy Jr.Children’s Health Defense — 8 janvier 2022

Traduction : Jean Bitterlin

Il y a une raison pour laquelle Jake Tapper de CNN à l’intention de me désigner comme étant une « menace » et un « menteur » et pourquoi il refuse de débattre avec moi sur le contrôle de la matérialité des faits et des preuves scientifiques. Voici le fond de l’histoire.

Apparemment, consterné par les solides ventes de mon best-seller « The Real Anthony Fauci », le présentateur de CNN Jake Tapper — au lieu d’examiner l’œuvre de manière critique — s’est servi de son compte Twitter pour déverser contre moi un déluge d’insultes ad hominem.

Rompant avec la traditionnelle retenue de neutralité journalistique, de rectitude professionnelle et de rigueur intellectuelle, il m’a désigné de « dangereux », d’être « une menace », « un menteur », « un escroc », « un fraudeur », « un déséquilibré » et autres.

Mais les diffamations de Tapper flottent dans l’atmosphère, sans fondements ni citations. Si je suis un menteur, alors quel était mon mensonge ? Si je suis un escroc, alors quel est mon profit ou avantage personnel ? Si je suis un fraudeur, alors où est ma déclaration inexacte ?

Je reconnais que je suis une menace dangereuse, mais seulement pour l’industrie pharmaceutique, pour ses technocrates captifs et pour ses flagorneurs médiatiques.

Alors que j’ai répondu à sa calomnie par un tweet respectueux l’invitant à débattre avec moi, Tapper a refusé, expliquant qu’il ne débattrait pas avec un « théoricien du complot ». De manière caractéristique, il a négligé de citer une seule théorie du complot dont il croit que j’ai fait la promotion.

Et est-il crédible de m’écarter comme étant un théoricien du complot indigne d’un débat ? Après tout, je suis le fondateur et ancien président de la plus grande association de protection de l’eau et fondateur et président en exercice de l’une des plus grandes associations de défense de la santé des enfants.

J’ai gagné des centaines de procès, parmi lesquels des victoires historiques contre MonsantoDuPontExxonSmithfield Foods et les principaux pollueurs des industries chimiques, du carbone, pharmaceutiques et agricoles. (Dont bon nombre me traitaient également de « théoricien du complot »).

Mon dernier livre, « le véritable Anthony Fauci » (The Real Anthony Fauci) est sans doute le livre comportant le plus de références à avoir jamais figuré au sommet des listes mondiales de best-sellers durant six semaines consécutives. Avec 500 000 exemplaires vendus, il a attiré le nombre spectaculaire de plus de 5 500 critiques cinq étoiles (92 %).

Malgré l’extrême hostilité envers ce livre de la part des médias mainstream et du cartel médical, jusqu’à présent personne n’a encore identifié une seule inexactitude factuelle dans ses 250 000 mots.

Si mon livre n’est que théories du complot sans fondement, alors M. Tapper ne devrait-il pas se réjouir de l’opportunité qui lui est donnée de me corriger avec des faits ou des arguments qui vont au-delà des injures ?

Permettez-moi, alors, de vous proposer ma propre théorie pour l’apoplexie de M. Tapper.

De nombreuses personnes font, au cours de leur vie, des pactes faustiens, échangeant leur intégrité personnelle contre des avantages matériels. Bien souvent la métamorphose se produit comme une érosion graduelle de la fibre morale. De temps en temps cela se produit en un instant ; un homme se trouve à la croisée des chemins moraux et choisit le côté sombre.

Il se trouve que j’étais aux premières loges lorsque Jake Tapper a eu son moment de crise morale. Je suppose que sa féroce attaque au vitriol envers moi est une réaction à son embarras dont j’étais le témoin au moment même où M. Tapper a choisi la carrière plutôt que la moralité.

En juillet 2005, Jake Tapper était le producteur principal d’ABC lorsque le réseau lui a ordonné de tirer un long exposé à partir de la conférence secrète de Simpsonwood en 2000 organisée par les Centres de Contrôle des Maladies et de la Prévention (les fameux CDC — NdT).

En voici le contexte :

En 1999, en réponse à l’explosion des épidémies d’autisme et autres troubles neurologiques, le CDC a décidé d’étudier son vaste Datalink de Sécurité des Vaccins — le dossier médical et de vaccination de millions d’Américains, archivé par les principaux HMO (Health Maintenance Organization — organisme de gestion des dépenses de santé — NdT) pour savoir si l’escalade spectaculaire du calendrier vaccinal, à partir de 1989, était le coupable. L’épidémiologiste interne du CDC, Thomas Verstraeten, a dirigé l’effort.

Les graphes des données initiales de Vertraeten suggéraient que les vaccins Hépatite B qui contiennent du mercure — administrés au cours de premiers mois de vie — étaient associés à un large éventail de blessures neurologiques parmi lesquelles une augmentation spectaculaire de 1 135 % des risques d’autisme [soit 11 fois plus] chez les enfants vaccinés.

Les résultats de Verstraeten ont propulsé le CDC en DEFCON 1 (mesure militaire de menace, le DEFCON 1 correspondant à la menace la plus grave commandant une réponse immédiate aux menaces ou attaques — NdT). Les plus hauts responsables de l’agence ont convoqué, pour une réunion secrète de deux jours dans le centre de retraite isolé de Simpsonwood à Norcross en Géorgie, 52 représentants de l’industrie pharmaceutique, les plus éminents vaccinologues du milieu universitaire et de l’Académie Américaine de Pédiatrie (AAP) et des fonctionnaires régulateurs de santé publique de l’Institut National de la Santé, de l’Administration des Denrées Alimentaires et des Médicaments (FDA), du CDC, de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de l’Agence Européenne du Médicament pour élaborer une stratégie pour cacher au public ces terribles révélations.

En 2005 j’ai obtenu la transcription explosive de cette réunion et j’étais sur le point d’en publier des extraits dans Rolling Stones (Deadly Immunity, 18 juillet 2005). Ces enregistrements, de manière ironique, dépeignaient ces principaux caïds du cartel des vaccins en équilibre au bord de leur propre précipice moral, et racontaient leur effondrement dans la corruption durant deux jours écœurants de débat.

La plupart de ces personnes étaient des médecins et des responsables chargés de la réglementation qui avaient consacré leur vie par idéalisme et par profonde préoccupation pour les enfants. Les données de Verstraeten les confrontaient avec le fait que les niveaux cumulés de mercure dans tous ces nouveaux vaccins qu’ils avaient recommandés avaient surdosé une génération d’enfants américains avec des concentrations de mercure plus de cent fois supérieures aux expositions que l’Agence de Protection de l’Environnement considérait comme sûres.

En recommandant une très grande batterie de nouveaux vaccins pour les enfants, les organismes de régulation de santé publique avaient en quelque sorte négligé de calculer les charges cumulatives de mercure et d’aluminium dans toutes les nouvelles injections.

Le Dr Peter Patriarca, qui était alors le directeur à la FDA du Bureau de la Recherche et de l’Examen sur les Vaccins, a exprimé le sentiment général d’horreur lorsqu’il a demandé pour quelle raison personne n’avait calculé l’exposition cumulée au mercure des enfants alors que les décideurs ajoutaient cette cascade de nouveaux vaccins au calendrier de vaccination des enfants :

« La conversion du pourcentage de thimérosal en microgrammes réels de mercure implique une algèbre de niveau 3e (donc de collégien — NdT). Qu’est-ce qui a pris autant de temps à la FDA pour faire les calculs ? »

Dans les jours tendus qui ont précédé le conclave de Simpsonwood, le défenseur de la santé des enfants, le Dr Ruth Etzel de la EPA (Environmental Protection Agency — NdT) a plaidé avec ses collègues responsables de la santé publique d’admettre publiquement qu’ils avaient fait une terrible erreur en empoisonnant par inadvertance les enfants américains et de réparer les dégâts.

Le Dr Etzel a exhorté l’AAP (American Academy of Pediatrics — NdT) et les organismes de réglementation gouvernementaux de gérer la crise avec la même honnêteté et le même remords public dont avait fait preuve Johnson & Johnson en découvrant des produits chimiques toxiques dans la préparation de son Tylénol :

« Nous devons suivre trois règles de base : (1) agir rapidement pour informer les pédiatres que les produits ont plus de mercure que ce que nous pensions ; (2) être francs avec les consommateurs sur le pourquoi nous n’avons pas trouvé cela plus tôt ; (3) faire preuve de contrition. Si le public perd confiance dans les recommandations des Services de Santé Publique, alors la bataille de la vaccination va se briser. Pour garder la confiance, nous devons être francs et honnêtes et aller rapidement de l’avant pour remplacer ces produits ».

Confrontée aux preuves scientifiques de leur rôle dans la calamité des maladies chroniques, la cabale fit exactement l’inverse. Les transcriptions choquantes de Simpsonwood montrent le Dr Patriarca et d’autres caciques de la santé publique s’avertissant les uns les autres de leurs responsabilités quant à leurs réputations, à leur vulnérabilité face aux avocats des plaignants et des dommages potentiels au programme de vaccination.

Le Dr Patriarca a prévenu que la divulgation publique des découvertes explosives du CDC donnerait aux Américains le sentiment que la FDA, le CDC et les décideurs en matière de vaccination dormaient aux commandes pendant des décennies en permettant au Thimérosal de rester dans les vaccins destinés aux enfants.

Après plus de deux jours de discussions intenses, ces agents de Big Pharma et ces technocrates gouvernementaux se sont persuadés les uns les autres afin de transformer leur désastreuse erreur en infamie — en doublant la mise et en cachant leur erreur au public.

Tapper a vu une première ébauche de mon histoire (destinée à être publiée dans — NdT) Rolling Stones et a proposé qu’en échange de l’exclusivité, il fasse un documentaire d’accompagnement pour ABC programmé pour être diffusé le jour de la publication du magazine.

Tapper a passé plusieurs semaines à travailler sur l’histoire avec moi et une équipe de journalistes et de techniciens enthousiastes. Au cours de ses fréquentes conversations avec moi lors de cette période, il était brûlant d’indignation sur les révélations Simpsonwood. Il a agi comme un journaliste qui espère gagner un Emmy (les Emmy Awards sont des récompenses décernées aux meilleures émissions et meilleurs professionnels de la télévision — NdT).

La veille de la diffusion de l’article, c’est un Tapper exaspéré qui m’a appelé pour me dire que les responsables d’ABC lui avaient ordonné de retirer l’histoire. Le réseau des annonceurs publicitaires de l’industrie pharmaceutique menaçait d’annuler ses publicités.

« L’entreprise nous a dit de la fermer », fulminait Tapper. Il m’a dit que c’était la première fois dans sa carrière que les responsables lui ordonnaient d’étouffer une histoire.

ABC avait annoncé l’exposé Simpsonwood, et son annulation soudaine a déçu une armée de défenseurs de la sécurité des vaccins et de parents d’enfants blessés (par un vaccin — NdT) qui ont inondé le réseau (ABC – NdT) par un maelström de mails de colère.

En réponse, ABC changea de tactique et promit publiquement de publier l’article. Au lieu de cela, après un retard d’une semaine, le réseau a diffusé de manière trompeuse un reportage assemblé à la hâte qui faisait la promotion des vaccins et assurant les auditeurs que les vaccins contenant du mercure étaient sûrs.

Le nouveau débat « bait and switch » (émission d’ABC qui dénonce la méthode consistant à appâter les gens avec un produit bon marché pour ensuite leur vendre autre chose — NdT) suivait exactement les points de discussion de Pharma (Big Pharma — NdT). « Je fais confiance à l’institut de Médecine », a déclaré en conclusion l’obséquieux rédacteur médical d’ABC, le Dr Tim Johnson. Le débat était précédé et suivi par une annonce publicitaire pharmaceutique.

Après la publication de l’article (l’article a finalement été publié par le magazine Rolling Stone — NdT) j’ai appelé Jake pour me plaindre. Il ne m’a ni répondu ni rappelé.

Durant les 16 années qui ont suivi, Big Pharma a renvoyé l’ascenseur à M. Tapper en promouvant de manière agressive sa carrière. Pfizer sponsorise sans vergogne le journal télévisé de Tapper sur CNN, annonçant sa propriété sur l’espace — et le servage sous contrat de M. Tapper — avant chaque épisode avec la phrase chargée de sens : « Pfizer vous présente ».

Sous le terme apparent de ce parrainage, CNN et Tapper fournissent à Pfizer une plate-forme pour commercialiser ses produits et permettre à la société pharmaceutique — un criminel en série — de dicter le contenu à CNN.

Cet arrangement a transformé The Lead with Jake Tapper  (nom du journal télévisé présenté par Jake Tapper sur CNN — NdT) en un véhicule de propagande pour Big Pharma et a effectivement réduit le rôle de M. Tapper à celui de représentant pharmaceutique — promouvant sans vergogne la peur pornographique, la confusion et la phobie des germes, et guidant son public vers des produits pharmaceutiques brevetés à haut rendement (financier — NdT).

L’objectif principal de Tapper durant la pandémie a été de promouvoir des niveaux de terreur suffisants pour compenser tous les mensonges officiels à l’encontre de la pensée critique.

Tout cet argent provenant de Big Pharma exige naturellement que M. Tapper fasse des courbettes au Dr Fauci, et l’esclavage du présentateur de CNN a contribué à faire de l’émission de Tapper la tribune du directeur de l’Institut National de l’Allergie et des Maladies Infectieuses (le NIAID dont le Dr Fauci est le directeur depuis 1984 ! – NdT).

C’est un endroit sûr pour le Dr Fauci pour obtenir de Jake des résultats fiables.

« La compétition de léchage de bottes à CNN est assez nauséabonde », a observé la journaliste d’investigation Celia Farber qui a relaté la mauvaise gestion du Dr Fauci au NIAID durant plus de 25 ans. « C’est à la fois ruineux pour la démocratie et pour la santé publique ».

Un autre journaliste a comparé la servilité horriblement gênante de Tapper envers le Dr Fauci à l’adulation d’un chien loyal et obéissant. « C’est comme un chien qui regarde une partie d’échecs », dit l’ancien journaliste du New York Times Alex Berenson. « Tellement d’intensité et si peu de compréhension ».

Tapper a passé deux ans sans poser une seule question difficile au Dr Fauci. Il a dissimulé l’implication de Fauci (le NIH aurait financé à Wuhan des expériences de gain de fonction sur des virus — NdT), supprimé les nouvelles de blessures vaccinales, a manipulé psychologiquement les blessés, et défendu toutes les orthodoxies officielles sur le port du masque, les confinements, la distanciation sociale, les vaccins, le Remdesivir, l’Ivermectine et l’hydroxychloroquine.

Il n’a jamais posé de questions sur la santé publique, la santé mentale et les coûts économiques liés aux confinements, sur les fardeaux disproportionnés des politiques du Dr Fauci sur les minorités, la classe ouvrière et les pauvres du Monde.

Il n’a jamais demandé au Dr Fauci d’expliquer pour quelle raison les pays et États qui ont refusé les prescriptions du Dr Fauci ont systématiquement eu de meilleurs résultats en matière de santé. Par exemple, pour quelle raison les taux de mortalité américains sont-ils 1 000 fois supérieurs aux taux de mortalité des pays africains tels que le Nigéria et des États indiens qui utilisent largement l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine ? M. Tapper n’autorise tout simplement jamais des points de vue contraires dans son émission.

Il continue à chanter les louanges des vaccins contre la COVID comme étant une technologie miracle que les personnes peuvent prendre quatre fois et qui peuvent malgré cela contracter et propager la maladie.

« Il n’appelle jamais le Dr Fauci sur ses déclarations hésitantes dénuées de science », a dit Farber. « Le Dr Fauci semble capable de paralyser les traits de curiosité du cerveau de Tapper ».

Il faut que Tapper demande au Dr Fauci pour quelles raisons, sous sa direction, l’Amérique a souffert du plus grand décompte de décès au Monde. Avec 4,2 % de la population mondiale, notre nation a subi 15 % des décès COVID.

Au lieu de cela, il opère tel un grand prêtre de toute l’orthodoxie officielle, travaillant à déifier le Dr Fauci et à oindre toutes ses déclarations absurdes, hésitantes et contradictoires avec une infaillibilité papale. Le meilleur moyen de susciter l’indignation de Tapper c’est de critiquer le Dr Fauci.

Voici quelques exemples de tromperies éhontées de M. Tapper :

Le 2 février 2021, Tapper a réfuté les affirmations que le grand joueur de baseball Hank Aaron ait pu décéder suite à une vaccination COVID. Le roi du home run (coup de maître au baseball lorsque le joueur envoie la balle au-delà des limites du terrain — NdT) s’était présenté à une conférence de presse organisée par le CDC 17 jours plus tôt. Tapper a affirmé à son auditoire que le médecin légiste du comté de Fulton avait déterminé qu’Aaron était décédé de « causes naturelles ».

Lorsque le médecin légiste du comté de Fulton a nié par la suite avoir jamais vu le corps d’Aaron, et encore moins avoir effectué une autopsie, Tapper a refusé de corriger son histoire.

En août 2021, Tapper a donné au Dr Fauci une tribune pour répandre la rumeur que des Américains qui s’étaient fait berner étaient en train de s’empoisonner avec un « remède pour cheval » appelé Ivermectine.

Dans une interview du 29 août 2021, le Dr Fauci a dit à Tapper « Il n’y a absolument aucune preuve que cela fonctionne, et cela pourrait potentiellement avoir de la toxicité… avec des gens qui sont allés dans des centres antipoison parce qu’ils ont pris le médicament à une dose ridicule et finissent par tomber malades. Il n’y a aucune preuve clinique qui indique que cela fonctionne ».

Tapper n’a jamais corrigé le Dr Fauci. Il n’a jamais souligné qu’il y avait alors 70 études révisées par des pairs démontrant l’efficacité miraculeuse de l’Ivermectine contre la COVID.

Il n’a pas contesté la qualification de remède pour cheval faite par le Dr Fauci au sujet de l’Ivermectine en faisant remarquer que le médicament avait remporté à la fois un Prix Nobel et été mis dans la liste des « médicaments essentiels » de l’OMS pour son efficacité miraculeuse contre les maladies humaines, et que les gens en ont consommé des milliards de doses sans aucun signalement significatif au niveau de la sécurité.

M. Tapper n’a jamais pensé à demander au Dr Fauci s’il essayait de décourager l’utilisation d’un médicament bon marché et efficace qui pourrait concurrencer ses vaccins expérimentaux.

Au lieu de cela, Tapper a de manière abjecte répété comme un perroquet les points de discussion :

« Les centres antipoison signalent que leurs appels explosent dans des endroits comme le Mississippi et l’Oklahoma, parce que certains Américains essaient, pour traiter et éviter de contracter le coronavirus, d’utiliser un médicament antiparasite pour chevaux appelé Ivermectine ».

Peu importait à Tapper que les responsables du Mississippi tout comme ceux de l’Oklahoma aient rapidement nié que quiconque dans leur état ait été hospitalisé pour un empoisonnement à l’Ivermectine. Tapper n’a jamais corrigé son histoire fausse.

Le 14 septembre 2021, Tapper a obligeamment donné au Dr Fauci une tribune pour contester l’inquiétude de la rappeuse Nicki Minaj que les vaccins COVID puissent affecter la fertilité. Le Dr Fauci a simplement déclaré :

« La réponse à cela, Jake, est un non catégorique ».

Comme d’habitude, Tapper n’a pas demandé au Dr Fauci de citer une étude pour soutenir son affirmation. Il n’a jamais souligné que tous les fabricants de vaccins COVID reconnaissent que leurs produits ne sont pas testés pour les effets sur la fertilité, ou que des données récentes ont montré des augmentations spectaculaires de fausses couches et de prééclampsies chez les femmes vaccinées. (La prééclampsie est une complication de grossesse qui se caractérise par une pression sanguine élevée et des signes de dommages au foie et aux reins — NdT).

Néanmoins, sur la base de la seule parole du Dr Fauci, CNN s’est précipitée pour diffamer et discréditer la rappeuse et pour assurer au public que Minaj avait tort. Après tout, le Dr Fauci avait parlé !

Il est facile de voir comment deux années d’une telle déférence obséquieuse ont encouragé le Dr Fauci, en novembre 2021 à déclarer :

« Je représente la science ».

Il y a beaucoup trop d’autres exemples de la promotion non critique par Tapper de mensonges du gouvernement et de l’industrie pharmaceutique, ne serait-ce que pour les résumer. Il ne s’agit pas de mensonges inoffensifs. Chacun d’entre eux a de potentielles conséquences pour la santé publique.

Le terme de « projection psychologique » décrit l’extraordinaire précision avec laquelle un certain type de personnes applique aux autres des termes péjoratifs, ces termes mêmes qui décrivent avec le plus de précision leurs propres défauts.

Lorsque M. Tapper me traite de « déséquilibré », de « menace pour la santé publique », d’« escroc », de « menteur », n’est-il pas victime de projection ?

Dans une démocratie, les fonctions essentielles du journalisme sont de dire la vérité au pouvoir, d’exposer sans relâche la corruption et de toujours maintenir une posture de scepticisme envers les centres de pouvoir du gouvernement et des entreprises.

Ce que fait Jake Tapper est à l’opposé du journalisme. Tapper, au lieu de cela, s’aligne sur le pouvoir et se fait propagandiste des narratifs officiels et un agent publicitaire servile pour les élites puissantes et les technocrates gouvernementaux.

Sa fureur à l’encontre de ceux qui contestent leurs récits n’est donc pas étonnante.




Le ministre des finances israélien demande la fin du Pass sanitaire

[Source : i24news.tv via philippot]

Le ministre des Finances Avigdor Lieberman a appelé mardi à mettre fin à l’utilisation généralisée du « passeport vert » prouvant la vaccination contre le coronavirus pour entrer dans certains lieux.

« Il n’y a aucune logique médicale ou épidémiologique dans le pass sanitaire et de nombreux experts s’accordent à le dire », a-t-il déclaré. 

« Il y a cependant un préjudice direct à l’économie, aux opérations quotidiennes et une contribution non négligeable à la panique quotidienne au sein du public », a-t-il affirmé.

M. Lieberman a indiqué qu’il travaille avec « toutes les autorités » afin de mettre fin au pass sanitaire et de « maintenir une routine de vie normale pour tous. »

[Voir la suite sur i24news.tv]




Au Luxembourg, une pétition contre la vaccination des enfants parvient au Parlement

[Source : FranceSoir]

[Photo : Les intervenants entendus à la Chambre des Députés. LG]

Mercredi 12 janvier dernier, un débat public sur la vaccination des enfants était organisé à la Chambre des Députés du Luxembourg. Plusieurs scientifiques reconnus tels que Christian Perronne ou Luc Montagnier, y ont été invités. Cette discussion a eu lieu grâce à la pétition publique « Stop aux vaccins de type thérapie génétique (COVID-19) à nos enfants », qui a passé le seuil requis des 4 500 signatures pendant les 42 jours réglementaires, entre septembre et octobre 2021.

Une balance bénéfice-risque qui contre-indique la vaccination des enfants

M. David Georgiu, auteur de la pétition, demande à ce que le « déploiement de nouvelles thérapies génétiques » ne se fasse que sous conditions : d’abord, que la balance bénéfices-risques soit avantageuse, et qu’il n’y ait « pas de traitement actif. » Il ne s’agit donc pas d’une demande d’interdiction totale, mais avant tout d’une réclamation de preuves solides.

Voir aussi : Rodolphe Bacquet a déposé sa pétition contre le passe vaccinal à l’Assemblée nationale et au Sénat

Pour défendre leur position, des médecins et scientifiques issus de divers domaines de la recherche ont pris la parole. Parmi eux, des noms bien connus de la lutte contre la gestion de crise sanitaire : Christian Perronne, Alexandra Henrion-Caude, ou encore Luc Montagnier.

Des victimes d’effets secondaires graves, ou des proches de personnes décédées, sont également intervenus pour nourrir le débat. Nous avons pu recueillir quelques réactions à la sortie des débats :



Auteur(s): FranceSoir




Refusons les tests chez les enfants innocents du covid

Par Nicole Delépine

LES MILLIONS DE TESTS IMPOSÉS AUX ENFANTS EN L’ABSENCE DE GRAVITÉ ET DE MORTALITÉ DU VARIANT OMICRON SONT UNE ARME POUR ALIMENTER LA PEUR ET CONDUIRE LES PARENTS À L INJECTION GÉNIQUE DANGEREUSE ET INUTILE

Refusons les tests PCR et le pseudovax inutiles et dangereux




À propos de l’audition du professeur Perronne au parlement du Luxembourg

Par John Hunter

Qu’en a-t-il résulté exactement puisque quelques jours après son exposition la police réprimait durement les manifestants ? (Qactus)

Ceci rappelle en France le grand débat national suite au mouvement des gilets jaunes bien avant la pandémie des pseudo vaccins. Donc là-bas comme ici il faut laisser les gens s’exprimer pour que la vapeur s’échappe du pot et ensuite on fait comme si rien ne s’était passé, parce qu’on n’a rien retenu.

C’est systématique que les gouvernements n’aient rien à faire des débats tenus par des scientifiques. On écoute poliment comme un divertissement raffiné et on continue la routine du parlementaire : Ne jamais contester et toujours obéir aux consignes de vote pour obtenir son avancement de carrière.

L’Angleterre, la mère des parlements depuis surtout 1688, Leur glorieuse révolution contre le despotisme de Jacques II qu’ils ont contraint à l’exil, donne un titre plaisant à celui chargé de la discipline du parti. C’est le « chief whip ». L’homme au fouet. Malheur à celui qui désobéit !

Les parlements européens ont tous cette manie d’écouter religieuse- ment le père Fouettard du parti. Ne serait-il pas temps de briser ce moule pervers et que chaque représentant vote selon sa conviction personnelle et non plus la conviction du parti ?

Pour revenir au Luxembourg, patrie de Jean Claude Juncker, ce pays est le plus conservateur de l’Europe. Ils tiennent leur pouvoir de leur imbrication totale avec les grands groupes multinationaux à qui ils concèdent des conditions exceptionnelles, les fameux « sweet heart deals ». Les taux fiscaux les plus bas et les ingérences les plus légères qui soient. Donc les capitaux affluent. Junker était l’artisan de ce mécanisme. Mais il a échappé au blâme de par sa fonction. Architecte, mais pas responsable. On ne fait pas plus fort dans l’hypocrisie.

Donc vous avez un État qui concurrence à mort les autres. Un peu comme l Irlande avec ses taux d’imposition de 2 à 3 %, mais en pire et dans l’esprit de confidentialité le plus total. Leur rôle de laquais du Capital international, ils l’assument sans vague à l’âme.

Par conséquent les propos du Pr Perronne n’allaient rien changer. Quand on fait son beurre avec les multinationales, il faut surtout la stabilité politique et aucune dissidence. Par conséquent la police a frappé les protestataires du vaccin à ARN et conduit plusieurs en prison. l ’obligation vaccinale pour ceux qui travaillent est passée comme lettre à la poste.

La prestation Perronne a eu un effet nul. Quand on sait que le professeur a compilé soigneusement toutes les errances sanitaires en France, on voit bien qu’il n’a pas eu un jugement favorable sur la gouvernance du pays. Il en a écrit un livre, ne revenant pas de l’incapacité à gérer la crise, de l’obstruction aux soins ni de la corruption des hôpitaux arrosés par GILEAD avec le funeste Remdesivir qui en a echarpé plus d’un.

Les Luxembourgeois n’ont rien appris et tout oublié de ce discours. Ils vont faire comme leurs confrères européens, tourner le dos à la Science et asseoir le Nouvel Ordre Mondial au pas de charge.




Comment et pourquoi devenir objecteur de conscience vaccinale ?

[Source : resterlibre.org]

Par Éric Verhaeghe

Nous vous proposons aujourd’hui le kit express de l’objecteur de conscience vaccinale. Nous vous expliquons à quoi il sert… et comment s’en servir. Mobilisez-vous… tenez-nous au courant de vos initiatives pour transformer cet outil en arme de guerre contre le passe vaccinal…



Nous vous expliquons ici comment vous servir du kit d’objection de conscience vaccinale.

  1. Télécharger et remplissez le formulaire de déclaration de conscience vaccinale. Vous le trouverez ici :

Nous publions intentionnellement ce document à télécharger sur Slideshare, qui nous permet de mesurer le nombre de téléchargements, qui donne un aperçu sur l’impact réel du document. Si vous voulez disposer du document en fichier PDF envoyé par mail, vous devez adhérer à l’association et formuler votre demande d’envoi en PDF à l’adresse :

objectiondeconscience@protonmail.com

2. Présentez ce document aux commerçants ou aux fonctionnaires qui vous demandent un passe vaccinal. S’ils vous refusent l’accès aux lieux que vous souhaitez fréquenter, saisissez le juge judiciaire de cette discrimination.

3. Pour être plus efficaces pour instaurer un rapport de force, constituez un groupe d’au moins 5 personnes qui ciblent les commerces ou les administrations les moins fraternels de votre région. Présentez-vous à l’entrée de ces commerces et de ces administrations avec votre déclaration, et filmez la scène. Demander à chaque membre de rédiger un témoignage et intentez une action judiciaire pour discrimination avec le soutien des avocats que nous vous indiquerons.

Au besoin, consultez le forum de Rester libre ! sous l’onglet « Actions d’objection de conscience » pour vous organiser localement.

4. Faites-nous systématiquement remonter l’information.

Souvenez-vous d’une règle : l’action ne fonctionnera que si elle est pacifique. Nous nous désolidarisons par avance de toute provocation qui serait réalisée sous notre bannière.




Révélations de la DARPA sur Fauci : le troublant mutisme de la presse

[Source : h16free.com]

Il y a une semaine, le projet Veritas publiait différents documents dont le contenu, s’il était vérifié, pourrait largement remettre en question nombre d’affirmations colportées par les médias, les experts et les politiciens sur la pandémie, son origine et son déroulement, et éclairerait l’histoire de ce virus d’une lumière nouvelle, particulièrement incriminante pour une partie de l’administration américaine…

Si vous vous en tenez à la presse et aux médias grand public français, il est assez peu probable que vous ayez entendu parler du Projet Veritas, ni de ses dernières révélations.

Les rares articles évoquant cette association remontent à plusieurs mois, lorsqu’elle avait publié différentes vidéos montrant, en caméra cachée, ce que pensaient vraiment différents scientifiques et personnages haut placés dans différents groupes pharmaceutiques comme Pfizer : les allégations obtenues dans ces vidéos, jamais démenties ni par ces sociétés, ni par les personnes enregistrées, sont relatées dans une ou deux notules dans les médias français qui, bons soldats, ont fait le minimum syndical afin de bien faire comprendre à leurs (moins en moins nombreux) lecteurs que Project Veritas est avant tout une organisation ultra-conservatrice (lire « ultra-beurk ») et que peu importent les informations qu’elle a pu récolter, étant dans le Camp du Mal, elle ne peut être crédité d’absolument rien.

Au-delà de ces éléments, rien n’a donc transpiré depuis dans la presse française des allégations rassemblées et publiées lundi dernier. De rares journaux américains s’y sont intéressés, mais on constate essentiellement une distance gênée face aux révélations accumulées qui méritent cependant un peu plus d’intérêt.

En effet, selon Project Veritas, un responsable militaire, le Major du Corps des Marines Joseph Murphy, aurait affirmé dans un rapport adressé à l’Inspecteur Général de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) – une agence américaine chargée de recherches et développements militaires – que le virus SARS-CoV2 serait le résultat d’une manipulation génétique humaine dirigée par les Américains, cherchant essentiellement à combiner la viralité d’un coronavirus commun à la létalité de précédents virus SARS-CoV1 et MERS.

Mieux encore : ces documents incriminent directement Anthony Fauci, le directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses aux États-Unis, Institut qui aurait ainsi subventionné l’ONG EcoHealth Alliance dans ces dangereuses recherches alors que la DARPA les aurait refusées précisément en raison de la nature même de ces expériences et de l’interdiction qui frappait alors (et continuent de courir) sur de telles manipulations (dites « gain de fonction« ), et ce alors même que Fauci a déposé plusieurs fois sous serment, devant des commissions d’enquêtes du Sénat américain, qu’il n’en avait rien été.

À ces éléments déjà sulfureux qui viennent s’ajouter aux nombreuses et insistantes rumeurs sur l’évasion du virus du laboratoire de Wuhan ainsi qu’aux précédentes révélations provenant de la publication des emails détaillés de Fauci montrant des comportements étonnants (et très peu éthiques) de sa part, sans même évoquer les expériences de torture sur des chiens menées par le NIH et révélées en octobre dernier, on comprend que l’actuel conseiller de Joe Biden pour la gestion de l’actuelle pandémie soit mis sur la sellette…

Ce qui pose évidemment quelques soucis à l’ensemble des médias américains et européens qui n’ont eu de cesse de suivre assez scrupuleusement (et encenser un peu trop ouvertement) les orientations et diktats plus ou moins grotesques qu’il a empilés depuis le début de la crise.

Et pendant que les rumeurs et allégations s’empilent sur Fauci, la DARPA n’a pas confirmé mais pas plus infirmé l’exactitude des documents fuités. Cependant, s’ils sont confirmés exacts, ils sont particulièrement lourds de conséquences puisqu’ils indiqueraient notamment que les actuels vaccins sont d’assez mauvaise qualité et de sûreté douteuse et que des traitements curatifs auraient été identifiés très tôt, ce qui, là encore, jetterait une lumière crue sur les agissements de certains afin de cacher cette information.

Rassurez-vous, tous ces éléments ne vous seront pas fournis par les canaux habituels tant est grand l’écart avec le discours officiel. Vous pourrez cependant vous faire votre propre opinion en allant voir les éléments publiés et les vidéos qui les accompagnent :

https://twitter.com/VigilantFox/status/1480740626161414145

Avant une possible disparition inopinée, la vidéo complète est ici :

À la suite de cette publication, certains élus américains ont cependant décidé d’agir : six députés (membres de la Chambre des représentants), à savoir Madison Cawthorn, Bill Posey, Diana Harshbarger, Lisa McClain, Randy Weber et Matt Gaetz, ont ainsi envoyé une lettre (consultable ici) au secrétaire à la Défense, au secrétaire à la Santé, aux Services sociaux ainsi qu’au directeur du CDC, Rochelle Walensky, avec une liste de questions auxquelles ils aimeraient obtenir des réponses.

De la même façon, le sénateur Ron Johnson (un Républicain du Wisconsin) exige également des réponses. Il a lui aussi envoyé une lettre au Secrétaire à la Défense Lloyd Austin avec une liste de questions et quelques demandes, notamment celle de connaître ce qui fut fait du rapport une fois celui-ci remis…

Même si l’on ne peut guère être optimiste quant à ces demandes – dont l’aspect politique n’est évidemment pas à écarter – gageons cependant que certains citoyens (américains et européens, en réalité) attendent ces réponses avec obstination, ne serait-ce que pour déterminer à quel point ces allégations sont exactes ou non. Si elles sont fausses, on s’étonnera du mutisme des institutions concernées. Si elles sont vraies, les conséquences devraient, dans un monde normal, être particulièrement dévastatrices.

Pourtant et jusqu’à présent, malgré l’enjeu évident, aucun journal grand public, aucune chaîne de télévision, aucune Elise Glucet sur la brèche toujours dans les bons coups fumants, ne semblent vouloir enquêter sérieusement. Du côté des GAFAM, on note même le déploiement des techniques habituelles lorsqu’une information gênante sort, puisque sur Twitter, différents membres du projet Veritas ont déjà été bannis, et que Google rivalise d’inventivité dans ses algorithmes pour camoufler ces informations (des recherches à ce sujet sur Google puis sur DuckDuckGo mettent bien en lumière le décalage qui existe entre les deux moteurs de recherche).

Si le passé est un indicateur en matière de comportement de ces firmes et de ces médias, on peut raisonnablement imaginer que ces allégations pour le moment sulfureuses seront admises du bout des lèvres dans six mois, le temps moyen qui sépare le complotisme de la froide réalité…




Les Français sont trahis par une propagande dont les effets sont pénalement condamnables

[Source : Dr_Astrid_Stuckelberger]



Les Français sont trahis par une propagande
dont les effets sont pénalement condamnables

La propagande est un concept désignant un ensemble de techniques de persuasion mises en œuvre pour propager, par tous les moyens disponibles, une idée, une opinion, une idéologie ou une doctrine et pour stimuler l’adoption de comportements au sein d’un public cible.

Les Français subissent la propagande d’une bande organisée usurpant des fonctions régaliennes et abusant de l’auditoire des médias de masse.

Article 132-71 CP :

« Constitue une bande organisée au sens de la loi tout groupement formé ou toute entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, d’une ou de plusieurs infractions »

INFRACTIONS AUX OBLIGATIONS RÉGALIENNES DE L’ÉTAT

L’une des fonctions régaliennes de l’Etat est d’assurer la sécurité des citoyens. Allant contre le principe régalien de la protection des Français cette bande organisée qui en usurpe les fonctions, n’hésite pas à mettre en danger les citoyens en dépit des codes internationaux. Par exemple le règlement européen du 14 juin 2021 interdit les discriminations à l’encontre des personnes ne souhaitant pas participer (pour raison de santé parfois) à une expérimentation clinique de phase 3 en dépit des recommandations des fabricants des dits produits expérimentaux. Cette mise en danger fait suite à des pressions psychologiques, et pour certains Français, c’est fatal ! Les actes de décès l’attestent ! Ceci, alors que le code de Nuremberg précise que « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ».

En infraction avec l’article 313-1 du Code Pénal, cette bande organisée n’hésite pas à escroquer le citoyen français par l’usage de faux, par l’abus d’une qualité vraie et par l’emploi de manœuvres frauduleuses et elle l’escroque au profit d’intérêts qui ne sont pas d’intérêt général mais des intérêts d’entreprises privés ! Cette bande organisée usurpant des fonctions régaliennes trompe nos concitoyens et les détermine ainsi, à leur préjudice à consentir un acte opérant obligation de renoncer au droit d’inviolabilité de leur corps.

Pour arriver à ces desseins délinquants et criminels, voire ses actes terroristes, cette bande organisée utilise la propagande, qui elle-même à l’endoctrinement.

Et cela parce que la très grande majorité des journalistes ont oublié (volontairement ou du fait de pressions) la Déclaration des devoirs et des droits des journalistes, Munich, 1971

Le préambule de cette déclaration commence ainsi :

« Le droit à l’information, à la libre expression et à la critique est une des libertés fondamentales de tout être humain. Ce droit du public de connaître les faits et les opinions procède l’ensemble des devoirs et des droits des journalistes.

La responsabilité des journalistes vis-à-vis du public prime toute autre responsabilité, en particulier à l’égard de leurs employeurs et des pouvoirs publics »

Parmi les devoirs essentiels du journaliste, dans la recherche, la rédaction et le commentaire des événements :

« 1) respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître ; 2) défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique ;

3) publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents ;

6) rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte ;

8) s’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondement ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information ;

9) ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs ;

10) refuser toute pression et n’accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction.

Tout journaliste digne de ce nom se fait un devoir d’observer strictement les principes énoncés ci-dessus ; reconnaissant le droit en vigueur dans chaque pays, le journaliste n’accepte, en matière d’honneur professionnel, que la juridiction de ses pairs, à l’exclusion de toute ingérence gouvernementale ou autre. »

Nous Français, nous subissons tous des violences psychologiques, également appelées harcèlement moral, du fait de la répétition quotidienne et cela plusieurs fois par jour, car tous les médias quel qu’ils soient (TV, radio, presse, internet) répètent le discours de cette bande organisée, sans aucun esprit critique, poussant les citoyens français à se faire injecter un produit en phase expérimental.

VOLONTÉ MANIFESTE DE HARCÈLEMENT ET D’ENDOCTRINEMENT

Article 222-33-2-2 du Code Pénal

« Le fait de harceler une personne par des propos ou comportements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de vie se traduisant par une altération de sa santé physique ou mentale est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende lorsque ces faits ont causé une incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours ou n’ont entraîné aucune incapacité de travail

L’infraction est également constituée :

1. Lorsque ces propos ou comportements sont imposés à une même victime par plusieurs personnes, de manière concertée ou à l’instigation de l’une d’elles, alors même que chacune de ces personnes n’a pas agi de façon répétée ;

2. Lorsque ces propos ou comportements sont imposés à une même victime, successivement, par plusieurs personnes qui, même en l’absence de concertation, savent que ces propos ou comportements caractérisent une répétition.

Les faits mentionnés aux premier à quatrième alinéas sont punis de 2 ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende :

1° Lorsqu’ils ont causé une incapacité totale de travail supérieure à huit jours ;

2° Lorsqu’ils ont été commis sur un mineur de quinze ans ;

3° Lorsqu’ils ont été commis sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficiencephysique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur ;

4° Lorsqu’ils ont été commis par l’utilisation d’un service de communication au public en ligne ou par le biais d’un support numérique ou électronique ;

5° Lorsqu’un mineur était présent et y a assisté.

Les faits mentionnés aux premier à quatrième alinéas sont punis de 3 ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende lorsqu’ils sont commis dans 2 des circonstances mentionnées aux 1° à 5°. »

En relayant en boucle les informations de cette bande organisée, les médias de masse se rendent complices de celle-ci par fourniture de moyens.

Article 121-7 CP :

« Est complice d’un crime ou d’un délit la personne qui sciemment, par aide ou assistance, en a facilité la préparation ou la consommation »

Les médias, en relayant à longueur de journée les décisions d’une bande organisée usurpant des fonctions régaliennes, se rendent aussi complices d’abus de faiblesse, en mettant le peuple français dans un état de sujétion psychologique, en usant de chantage au pass sanitaire, puis vaccinal pour que les Français aillent se faire injecter un produit encore expérimental.

Article 223-15-2 CP :

« Est puni de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende l’abus frauduleux de l’état d’ignorance ou de la situation de faiblesse … d’une personne en état de sujétion psychologique ou physique résultant de l’exercice de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement, pour conduire … cette personne à un acte … qui lui est gravement préjudiciable.

Lorsque l’infraction est commise par le dirigeant de fait ou de droit d’un groupement qui poursuit des activités ayant pour but ou pour effet de créer, de maintenir ou d’exploiter la sujétion psychologique ou physique des personnes qui participent à ces activités, les peines sont portées à cinq ans d’emprisonnement et à 750 000 euros d’amende »

De pressions graves, réitérées exercées par les médias de masse, de ces techniques propres à altérer le jugement des citoyens, il en résulte une mise en danger de la vie d’autrui

Article 223-1 CP :

« Le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. »

LA RESPONSABILITÉ DE TOUS LES ÉLUS ET FONCTIONNAIRES DE LA RÉPUBLIQUE :
EMPÊCHER LES INFRACTIONS

Cette mise en danger délibérée peut également être le fait de maires, de préfets, n’exerçant pas leur devoir de discernement, de désobéissance

Les fonctionnaires qui obéissent à des ordres illégaux peuvent être poursuivis au titre des articles mentionnés au titre 2 du livre premier du Code Pénal

Cette mise en danger des citoyens est également en infraction avec l’article 40 du Code de Procédure Pénal

« Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs »

Maires et Préfets se rendre tout autant coupables de la mise en danger des citoyens par leur manquement ou négligence à une obligation légale à l’article 121-3 CP :

«… Il y a délit, lorsque la loi le prévoit, en cas de faute d’imprudence, de négligence ou de manquement à une obligation de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, s’il est établi que l’auteur des faits n’a pas accompli les diligences normales compte tenu, le cas échéant, de la nature de ses missions ou de ses fonctions, de ses compétences ainsi que du pouvoir et des moyens dont il disposait. »

« les personnes physiques qui n’ont pas causé directement le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation du dommage ou qui n’ont pas pris les mesures permettant de l’éviter, sont responsables pénalement s’il est établi qu’elles ont, soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque d’une particulière gravité qu’elles ne pouvaient ignorer »

De cette mise en danger et ces violences psychologiques peuvent en résulter des décès et des infirmités permanentes :

Article 222-14-3 CP :

« Les violences … sont réprimées quelle que soit leur nature, y compris s’il s’agit de violences psychologiques »

Article 222-7 CP :

« Les violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sont punies de 15 ans de réclusion criminelle. »

Article 222-8 CP :

« L’infraction définie à l’article 222-7 est punie de 20 ans de réclusion criminelle lorsqu’elle est commise :

1° Sur un mineur de quinze ans ;

8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d’auteur ou de complice »

Article 222-9 CP :

« Les violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente sont punies de 10 ans d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende. »

Article 222-10 CP :

« L’infraction définie à l’article 222-9 est punie de 15 ans de réclusion criminelle lorsqu’elle est commise :

1° Sur un mineur de quinze ans ;

8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d’auteur ou de complice »

Il est à constater, actuellement, de nombreux effets secondaires à la suite des injections de produits expérimentaux contre le Covid19,ce sont des informations publiques, et ces dommages corporels sont recensés à travers le monde.

Tel qu’en atteste la base de données de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS)

VigiAccess a été lancé par l’OMS en 2015 pour permettre au public d’accéder aux informations contenues dans VigiBase, la base de données mondiale de l’OMS sur les effets secondaires potentiels signalés des médicaments. Les effets secondaires – connus techniquement sous le nom d’effets indésirables des médicaments (EIM) et d’effets indésirables suivant la vaccination (EIAS) – sont signalés par les centres nationaux de pharmacovigilance ou les autorités nationales de réglementation des médicaments qui sont membres du Programme international de surveillance des médicaments (PIDM) de l’OMS. Le PIDM de l’OMS a été créé en 1968 pour assurer une utilisation plus sûre et plus efficace des médicaments.

http://www.vigiaccess.org/

À la date du 15/01/2022, le nombre total d’enregistrements recueillis : 2 961 255

MISE EN DANGER PAR PRESSIONS PSYCHOLOGIQUES

Les personnes ayant eu recours à ces injections, l’ont faites en raison des violences psychologiques.

Les personnes ayant eu recours à ces injections, l’ont faites en raison de la propagande produite par cette bande organisée usurpant des fonctions régaliennes et abusant de l’auditoire des médias de masse, usant de peur, allant jusqu’à terroriser la population, et cette bande tente d’imposer son Ordre discriminatoire en effectuant notamment un chantage via le pass sanitaire et pass vaccinal nécessaire pour accéder aux loisirs (restaurant, cinéma, sport, etc).

Le mode opératoire de cette bande organisée est pénalement condamnable : Article 132-71 CP :

Le fait de gouverner par le terreur est par définition du terrorisme.

« Recours à la terreur et à la violence pour imposer ses idées politiques ou son autorité »

https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/terrorisme/

Là encore, vous penserez en premier lieu en entendant le mot « terrorisme », que ce n’est pas le cas. Mais cela est une nouvelle fois dû à la dialectique utilisée par les gouvernants.

La définition du terrorisme donnée par les gouvernants est une définition politique donc restreinte :

« Ensemble d’actes de violence (attentats, prises d’otages, etc.) commis par une organisation ou un individu pour créer un climat d’insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine à l’égard d’une communauté, d’un pays, d’un système »

https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/terrorisme/77478

LA VOLONTÉ MANIFESTE DE NUIRE AUX CITOYENS FRANÇAIS

Cette bande organisée (usurpant des fonctions régalienne, abusant de l’auditoire des médias de masse) fait suite à des directives de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), mais ne considère pas les messages d’alerte de cette même organisation sur l’injection à répétition de produits expérimentaux sur les Français. La volonté de nuire de cette bande organisée est manifeste.

La France définit le terrorisme, dans son Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale de 2013, comme des actions auxquelles « ont recours des adversaires qui s’affranchissent des règles de guerre conventionnelle pour compenser l’insuffisance de leurs moyens et atteindre leurs objectifs politiques. »

Le Système des Nations Unies, qui est aussi souvent appelé officieusement la « famille des Nations Unies », est composé de l’Organisation des Nations Unies et de nombreux programmes, fonds et institutions spécialisées. Chacune de ces entités a sa propre direction, son propre budget et ses propres États Membres. Les programmes et fonds sont financés par des contributions volontaires plutôt que statutaires. Les institutions spécialisées sont quant à elles des organisations indépendantes financées par des contributions volontaires et statutaires.

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) est l’une de ces organisations indépendantes.

L’OMS est l’autorité directrice et de coordination des efforts visant à amener tous les peuples au niveau de santé le plus élevé possible. Son but est d’améliorer les perspectives d’avenir et la santé future pour toutes les populations du monde. La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité, comme le stipule la Constitution de l’OMS.

L’OMS obtient son financement de deux sources principales : les contributions fixées des États Membres (les cotisations des pays) et les contributions volontaires d’États Membres et d’autres partenaires.

Les contributions volontaires proviennent en grande partie d’États Membres, d’autres organisations des Nations Unies, d’organisations intergouvernementales, de fondations philanthropiques, du secteur privé et d’autres sources.

Parmi les fondations philanthropiques se trouvent notamment la Fondation Bill & Melinda Gates, qui , pour l’année 2021, tous sujets de subventions confondus, a donné 299.172.879 $

Alors que, par exemple, la France a donné pour l’exercice 2018/2019 : 0,9 million de dollars

Il apparaît donc que l’OMS reçoit en grande partie des financements privés.

D’autre part, si l’on consulte le site de la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP), il apparaît que la Fondation Bill & Melinda Gates y figure depuis 2018.

Et notamment en 2020, pour « Promouvoir le rôle de l’aide publique au développement française vers les fonds multilatéraux de sante notamment dans le cadre de la réponse globale à la crise COVID » :

  • Type d’actions de représentation d’intérêts
  • Organiser des discussions informelles ou des réunions en tête-à-tête
  • Transmettre aux décideurs publics des informations, expertises dans un objectif de conviction Etablir une correspondance régulière (par courriel, par courrier…)
  • Catégorie de responsables publics
  • Collaborateur du Président de la République
  • Membre du Gouvernement ou membre de cabinet ministériel – Affaires sociales et santé, Economie et finances, Affaires étrangères et développement international

De ce fait, des membres du gouvernement français qui se soumettent en dépit de leur fonction régalienne à cette bande organisée qui terrorise les Français, les affaiblit psychologiquement et physiquement et mène des actes d’hostilité et des actes d’agression contre la France, doivent faire l’objet de plaintes pour intelligence avec l’ennemi.

Article 411-4 CP :

  • Le fait d’entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, en vue de susciter des hostilités ou des actes d’agression contre la France, est puni de 30 ans de détention criminelle et de 450 000 euros d’amende.

Est puni des mêmes peines le fait de fournir à une puissance étrangère, à une entreprise ou une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents les moyens d’entreprendre des hostilités ou d’accomplir des actes d’agression contre la France. »

PDF de l’article

(qui n’inclut pas les PDF intermédiaires)




Demain, je me déclarerai objecteur de vaccination et je n’appliquerai pas la loi

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Quand la loi sur le passe vaccinal sera adoptée par le Parlement, je n’attendrai pas l’avis pipeauté du Conseil Constitutionnel pour me déclarer objecteur de vaccination. Je n’appliquerai pas cette loi illibérale qui instaure une ségrégation sans indemnité, là où le premier statut des Juifs, en octobre 1940, avait été plus doux et plus bienveillant… Face à la disparition de l’État de droit et à la neutralisation des contre-pouvoirs, les citoyens ne sont plus tenus de respecter la loi. L’ère de la sécession commence.



Objecteur de vaccination, c’est tout ce que je suis depuis le début, et c’est tout ce que je vais continuer à être. 

Ce n’est pas que je sois anti-vaccin. Jusqu’à cette affaire de Pfizer ou d’AstraZeneca, je n’avais jamais réellement réfléchi à la question, et comme tout le monde ou presque, j’ai reçu des vaccins. 

Simplement, j’estime que j’ai le droit de choisir quand je veux me soigner ou pas. Personne n’a à s’immiscer dans cette décision personnelle qui ne regarde que ma conscience. 

La farce des non-vaccinés qui contaminent les vaccinés

J’ai évidemment bien entendu la fable, la carabistouille, selon laquelle ne pas se vacciner est un acte criminel. 

J’ai même un proche qui est venu me dire, à la maison, que j’étais un contaminateur qui revendiquait le droit de tuer les autres. 

Si cette accusation, par les temps qui courent, n’avaient pas de conséquences aussi désagréables, elle m’amuserait. Si j’en juge au nombre de non-vaccinés de mon entourage qui sont devenus contagieux après une rencontre avec un double vacciné, ce genre d’assertion est grotesque. 

Je l’avais d’ailleurs écrit cet été : en autorisant les vaccinés à ne plus respecter les gestes barrières, le gouvernement a transformé les vaccinés en bombe virale. 

C’est la fameuse histoire des clusters dans les hôpitaux de Paris, survenus en décembre alors que l’obligation vaccinale était instaurée depuis plusieurs mois. 

En réalité, ce sont majoritairement les vaccinés qui contaminent les autres : ils sont les plus nombreux, ils sont malades, ils sont contagieux, et ils ne prennent quasiment pas de précautions. 

[Note de Joseph : même cette assertion n’est pas fondée, au moins tant que le SRAS-CoV-2 n’a pas été réellement et rigoureusement isolé avec une approche scientifique expérimentale digne de ce nom et non pas selon la magouille virologique actuelle qui n’utilise jamais de contre-expériences et ne peut donc aucunement prétendre à l’établissement d’un lien de causalité entre un virus et la maladie virale associée.
Voir :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
L’effondrement de l’hypothèse virale]

Mais, comme ils ont reçu la potion magique, on ne peut plus rien leur dire, et on doit les laisser contaminer le groupe. 

L’objection de conscience vaccinale, comment ça marche ?

Bref, demain, je me déclarerai objecteur de conscience vaccinale. 

C’est mon droit, au nom de la jurisprudence de la Cour Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme, le fameux arrêt Vavricka

Je fournirai sur le site de Rester libre ! un modèle de déclaration officielle d’objection de conscience. 

N’hésitez pas à en devenir membre. L’association a besoin d’encore un peu de fonds pour financer un recrutement indispensable à son bon fonctionnement. 

D’ici là, notre intérêt est de nous rassembler pour faire valoir ensemble ce statut protecteur et pour être suffisamment nombreux pour l’imposer comme une donnée de la vie sociale. 

Ensemble, nous serons plus forts. 


[Voir aussi :
La clef de la libération]




Résister c’est combattre la matrice

[Source : dedefensa.org]

Par Patrice-Hans Perrier

 « Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée ».

Mathieu 10:34 — Bible Louis Second

Contrairement à bien des idées reçues, Jésus n’a jamais été une victime propitiatoire, selon la définition qu’en donne l’ancienne loi hébraïque. Le Messie est un envoyé de Dieu chargé de nous apporter la lumière vespérale qui témoigne de la fin de l’Ancien Monde pour que l’homme nouveau puisse renaître. Ceux qui ont repris en main les destinées du Saint Empire Romain auront transformé Jésus en bouc émissaire afin qu’il puisse servir de figure tutélaire auprès des masses qu’il convenait de toujours asservir un peu plus.

Se qualifiant d’« Agneau de Dieu », Jésus signifiait qu’il était venu offrir sa vie en juste sacrifice pour la rémission de nos péchés, mais pas comme bouc émissaire. Personne ne doit porter la faute des autres. Le don de soi est l’insigne marque de la grandeur et de la royauté. En effet, celui qui est consacré en qualité de ROI devrait normalement porter en lui toutes les qualités insignes qui font du titulaire un véritable nautonier, c’est-à-dire un passeur de lumière et un arbitre suprême. Le Roi veille à l’équité, à la réconciliation des partis et au rayonnement du royaume compris comme une agrégation d’« hommes de bonne volonté ». Le règne du souverain est un véritable sacerdoce puisqu’il prend sur ses épaules les destinées de chacun de ses sujets et de l’ensemble de l’humaine communauté.

L’offrande suprême est un combat, non une défaite

Jésus a offert toute sa VIE, non seulement sa MORT, en juste sacrifice afin que l’humanité puisse entreprendre sa véritable quête de lumière, cette marche qui la mènera vers une destinée noble et lumineuse. Quand Jésus dit qu’il est le « FILS DE L’HOMME », il signifie qu’il s’est incorporé à travers l’argile de l’humanité afin d’en éprouver les faiblesses, mais aussi toutes les potentialités. Toute sa vie durant, ce grand prêtre s’il en est — en ligne directe avec le grand Melchisédech, roi de justice par excellence — est venu par sa propre offrande nous libérer du poids des illusions. Car, le péché est le fils des illusions et la fatalité représente sa terre de prédilection. Il n’y a RIEN de fataliste dans la vie du Christ. Bien au contraire !

Prêchant parmi les humbles, issus de toutes les couches de la société, Jésus, messie ou envoyé de Dieu, est venu témoigner de notre filiation avec le divin.

« Jésus, prenant la parole, lui dit : Que veux-tu que je te fasse ? Rabbouni, lui répondit l’aveugle, que je recouvre la vue. Et Jésus lui dit : Va, ta foi t’a sauvé. Aussitôt il recouvra la vue, et suivit Jésus dans le chemin »

Marc 10:52 – Bible Louis Second

Le don de soi, même lorsqu’il commande le sacrifice suprême, mène à la victoire solaire s’il procède au gré d’une juste alchimie. Puisque les alchimistes nous ont démontré que c’est par la dissolution des substances — représentant notre EGO — qu’il est possible de purifier la matière jusqu’au point de non-retour. C’est-à-dire lorsque les qualités vibratoires de l’énergie cosmique sont restituées à travers la dissolution et la recomposition — mutatis mutandis — d’un matériau qui ne demeure qu’une illusion d’optique en fin de compte. Par-delà les illusions matérialistes se cache la lumière, qui est PURE QUALITÉ VIBRATOIRE. C’est cela que la physique quantique nous aura démontré au XXe siècle.

Jésus ressuscité, c’est l’être quantique qui a quitté son « habit de peau » pour revenir réconforter ses disciples en leur annonçant qu’il a VAINCU LA MORT, une fois pour toutes. Voilà ce qu’accomplissent tous les véritables héritiers du Grand Melchisédech, roi de justice. C’est-à-dire celui qui honore et restitue les qualités vibratoires primordiales de la matière ignée, libérée de sa gangue. C’est ce que Jésus est venu faire parmi nous : nous libérer de la gangue des illusions mortifères qui nous empêchaient de « renaître à nous-mêmes » et, à l’égal des dieux, de pouvoir accomplir l’œuvre de notre vie, ici-bas.

La lutte actuelle est un combat contre des nécromanciens

Dans un contexte où une horde de mages noirs s’est emparée du LEXICON — c’est-à-dire du « narratif de l’humanité en marche » — qui préside aux destinées de la Polis, il y a péril en la demeure alors que les citoyens sont condamnés à devenir des esclaves. Le transhumanisme représentant les TABLES DE LA LOI de la contrefaçon, ou de la contre-œuvre, les mages à la manœuvre nous promettent de rendre notre « habit de peau » imputrescible en repoussant l’échéance du passage vers la dissolution de notre état actuel. Se drapant avec une cape d’invisibilité, ils se font passer pour des thaumaturges, des guérisseurs et des éclaireurs. Mais, nous savons que leurs potions magiques — injections à ARN messager et autres chimères génétiques — ont été fabriquées à partir de lignées cellulaires fœtales humaines, de cellules souches pour faire court, et peuvent aussi contenir des microorganismes qui viennent parasiter les cellules des cobayes du grand sacrifice mondial actuel.

Et, de fil en aiguille, lorsque le Souverain Pontife invite ses ouailles à se faire vacciner « par amour pour leur prochain », il utilise la formule magique de la victime propitiatoire comme symbole opératoire afin de neutraliser le libre arbitre et la volonté de puissance du peuple des croyants. Malheureusement, le peuple des croyants ne représente pas forcément la filiation des disciples de Jésus et la cité du Vatican n’est rien de plus qu’un état pontifical. Il faut cesser de « vendre vessie pour lanterne ».

Ayant signé un pacte avec les adeptes de la « contre-initiation », le pontife romain s’est empressé de lier les mains de ses ouailles avec les desseins du Conseil pour le capitalisme inclusif, un surgeon du Forum économique mondial de Davos. Aligné sur les objectifs de développement durable de l’ONU, ce pacte, qui a été parafé par le souverain pontife, scelle une association plus que discutable avec une poignée de conglomérats, incluant MasterCard, Allianz, Dupont, Rothschild, Merck, Johnson & Johnson, Visa, Bank of America et, même, les fondations Ford et Rockefeller qui n’ont jamais fait la promotion de valeurs chrétiennes dignes de ce nom.

Un gigantesque égrégore d’agneaux silencieux

Le Pape vient d’indiquer, sans ambiguïté, qu’il se conforme aux desiderata du Grand Reset de Klaus Schwab. Utilisant la formule magique de la victime propitiatoire afin de façonner un égrégore puissant à partir de l’énergie captive de ses fidèles, ce dangereux nautonier mène ses brebis silencieuses vers l’abattoir d’un Nouvel Ordre Mondial qui ne peut plus attendre.

Consentir à recevoir ces injections délétères, c’est accepter de se faire injecter des substances toxiques destinées à formater des cellules qui deviendront de véritables « usines à protéines spike ». Certaines études avancent, même, la possibilité d’une modification de l’ADN des cobayes humanoïdes, ce qui pourrait, en théorie, déposséder ces derniers de leur droit de propriété sur leur propre code génétique. En outre, certaines substances artificielles liées à ce formatage cellulaire pourraient permettre de suivre à la trace ce nouveau cheptel marqué du sceau de la Bête. Par-delà les effets secondaires indésirables ou la provenance douteuse de certaines composantes des dits « vaccins », c’est toute la problématique de la traçabilité numérique du cheptel humain qui pose problème.

Une religion mondialiste

Accepter de se faire marquer et de se conformer à tout un protocole de circulation en société, cela signifie renoncer à sa liberté en bonne et due forme. En outre, le fait de retirer aux « non conformes » leurs droits les plus élémentaires, tout en les confinant à perpétuité, institue un système de double citoyenneté, là où les pestiférés de cette prison panoptique occuperont la position du bouc émissaire afin de conforter la masse des « croyants » de cette nouvelle religion mondialiste. De fil en aiguille, la théologie transhumaniste et globaliste se calque sur les prémisses d’un catholicisme ultramontain qui s’est toujours appuyé sur la figure de la victime propitiatoire pour raffermir sa mainmise sur un troupeau de fidèles ayant été détourné des véritables bienfaits du christianisme.

Il s’agit, si mes lecteurs me suivent, d’utiliser le complexe de culpabilité des masses — pratiquants ou pas — pour les amener à consentir à l’irréparable : modifier la structure génétique de l’humanité ; accepter d’être traqué en permanence et de se conformer à l’identité numérique ; vivre au sein de SMART CITIES où les objets « intelligents » connectés permettront de prédire les moindres comportements des nouveaux esclaves ; avaler les dogmes de l’empreinte écologique pour ne plus être maître de sa vie ; perdre le droit de propriété et toute forme d’intimité sous prétexte d’un combat contre les iniquités ; dépendre de l’état en toutes choses et ne plus pouvoir compter sur la protection d’une famille, cellule humaine qui remonte à la nuit des temps.

La religion mondialiste nous promettra l’immortalité et la justice sociale à condition que l’on renonce à la propriété de notre propre personne. Enfin, la fameuse question du libre arbitre sera réglée puisque les pontifes de la nouvelle Rome prendront en main nos libertés en échange de notre tranquillité d’esprit. Une fois l’argent liquide retiré, la traçabilité du cheptel humain et l’interconnexion des objets « intelligents » acquises, l’identité numérique instituée et l’impossibilité de jouir de son propre corps devenue réalité, l’être humain ne sera plus. L’humanoïde aura pris sa place et c’est en calquant cet immense renoncement sur la foi chrétienne que les maîtres de la contre-initiation atteindront leur but. L’homme deviendra une masse informe, un GHOLEM manipulable à volonté.

La volonté de puissance ou le combat pour la liberté

Ceux qui ont consenti à se faire marquer du sceau de la bête l’ont fait afin de pouvoir conserver certaines prérogatives et d’avoir la satisfaction de voir une poignée de boucs émissaires se faire tondre sans autre forme de procès. Toutefois, on réalise bien qu’ils ont bradé leur liberté la plus élémentaire contre un plat de lentilles. Tôt ou tard, ils subiront le même sort que les moutons noirs actuels : les nautoniers de la contre-initiation les priveront, graduellement et par soustraction d’air, de leurs droits les plus élémentaires. Véritable coup d’État planétaire, cette gestion autoritaire de la prétendue pandémie jette par terre toutes formes de constitution en laissant libre-cours à la classe politique pour ce qui est de gouverner par décret.

Les gens bien informés ont compris que les lois d’exception adoptées dans le sillage des événements du 11 septembre 2001 auront permis à l’état profond de mettre en place un dispositif permettant d’abolir, de manière graduelle et indolore, tous les garde-fous qui permettaient à notre démocratie de façade de se maintenir. Tout vient de s’effondrer, avec la bénédiction du COVID et la soumission papale. Terrorisée et incapable d’ouvrir les yeux, la majorité de nos concitoyens accepte de se départir de tous ses droits, du moment qu’elle peut encore conserver quelques « privilèges » qu’elle sait bien éphémères. La descente aux enfers économiques et l’éventuel conflit militaire mondial qui s’annoncent accentuent la PEUR ambiante et ses effets hypnotiques sur les restes de conscience de l’humanité. Conscients qu’il faut se sacrifier afin de passer le gué vers un nouveau millénaire « plus inclusif et respectueux de l’environnement », les mutants de Panurge acceptent de jouer le jeu, du moment que des boucs émissaires sont égorgés en premier.

Être résistant c’est être un disciple du fils de l’homme

Être un disciple du « fils de l’homme » commande un énorme courage et une abnégation à toute épreuve par les temps qui courent. Il faut refuser la MARQUE DE LA BÊTE et mettre tout notre poids dans la balance afin d’entraver cette fuite en avant funeste et démoniaque. Les chrétiens, qu’ils soient catholiques ou membres d’autres dénominations, doivent impérativement tendre la main aux autres résistants ; du moment que ce mouvement collectif prenne en considération ce qu’il est convenu d’appeler la LOI NATURELLE et l’urgence d’un ressourcement spirituel collectif dans un contexte où le matérialisme ambiant représente un véritable cancer civilisationnel. Méditez, priez, aimez-vous et prenez soin de vos proches, faites en sorte de chasser cette PEUR qui représente un véritable virus. Chemin faisant, les brebis conformes pourraient vous envier cette erre d’aller et prendre la décision de laisser leur propre peur au vestiaire. Afin d’être en mesure de vous rejoindre dans cette grande marche collective vers notre libération véritable.


[Voir aussi :
La religion de l’Antéchrist
La clef de la libération
Le Diable a un pied dans la porte et le Vatican ne fait rien — où l’on retrouve encore Bill Gates
JE SUIS EN COLÈRE, par Michelle d’Astier de la Vigerie
Le secret de l’exil juif et le dévoilement du messie]




Le Diable a un pied dans la porte et le Vatican ne fait rien — où l’on retrouve encore Bill Gates

[Source : Campagnol tvl]

La plongée d’un guérisseur dans une poignée de monastères de l’Est révèle la France sanitaire ubuesque que nous inflige une puissance étrangère avec l’aval du Gouvernement.

[Voir aussi :
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist
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Etc. (Bill Gates)]