Il faut vraiment arrêter de manger de la nourriture ultra-transformée

[Source : numerama.com]

Par Marcus Dupont-Besnard

L’impact sur l’environnement et la santé est important

La nourriture ultra-transformée, issue d’un processus entièrement industriel, est néfaste pour l’environnement, la biodiversité et la santé. Une nouvelle étude ajoute à cela un impact sur ce que les auteurs appellent l’« agrobiodiversité » — la diversité des agricultures.

Réduire notre consommation d’aliments ultra-transformés « offre une occasion unique d’améliorer à la fois notre santé et la durabilité environnementale du système alimentaire », écrivent Kim Anastasiou, Mark Lawrence, Michalis Hadjikakou et Phillip Baker dans The Conversation. Cette équipe rassemble des scientifiques spécialisés dans l’environnement et la nutrition. Ils viennent de publier, fin mars 2022, un article de recherche dédié à l’impact de la nourriture transformée tout à la fois sur la santé et les écosystèmes.

Pour définir les aliments ultra-transformés, ces chercheurs écrivent que « vous pouvez les considérer comme des aliments que vous auriez du mal à créer dans votre propre cuisine ». Leur fabrication résulte d’un ensemble de procédés purement industriels. On y trouve de grandes quantités d’additifs (visant à créer de toute pièce ou améliorer la couleur, la texture, la saveur) et on trouve peu voire aucun aliment entier. L’apport nutritionnel de cette alimentation est très faible.

De type « junk food » (ou « malbouffe »), ce sont par exemple des confiseries produites en série, des boissons gazeuses, des chips, des plats préparés à réchauffer instantanément, et la quasi-intégralité de la nourriture de fast food.

Il faut vraiment arrêter de manger de la nourriture ultra-transformée
La « junk food » (ou malbouffe) est souvent issue de produits ultra-transformés, issus d’un processus entièrement industriel. // Source : Pexels

Ces aliments ultra-transformés, qui s’opposent donc aux produits frais ou simplement peu transformés (fruits, légumineux frais ou conservés, laitages…), portent « gravement » atteinte à la biodiversité. « (…) Si l’impact sur la biodiversité des pratiques actuelles d’utilisation des sols et de production alimentaire a fait l’objet d’une grande attention, le rôle des aliments ultra-transformés a été largement ignoré », regrettent les auteurs.

La perte de l’« agrobiodiversité »

La problématique des aliments ultra-transformés n’est pas nouvelle. De plus en plus d’études tendent à montrer qu’une alimentation junk food est néfaste pour l’environnement, notamment en raison des méthodes de production. L’impact sur la santé est, lui aussi, documenté dans plusieurs études.

Les travaux de cette équipe de recherche ajoutent leur pierre à l’édifice, en montrant aussi qu’un « régime alimentaire mondialisé » basé sur de la nourriture fabriquée et distribuée à l’échelle industrielle nuit à la culture, la fabrication et la consommation des autres aliments — frais et peu transformés.

Ils constatent effectivement, à partir de données, que les aliments ultra-transformés sont une « composante dominante » de l’offre alimentaire dans les pays dits à revenu élevé — pendant que les ventes « augmentent rapidement » dans les pays à revenu faible et intermédiaire.

« 90 % de l’apport énergétique mondial provient de 15 espèces végétales »

Le problème, expliquent les auteurs, c’est que les aliments ultra-transformés sont issus d’une petite poignée d’espèces végétales à haut rendement — maïs, blé, soja et oléagineux. De même pour les ingrédients d’origine animale, qui proviennent d’animaux élevés en batterie… et nourris avec ces mêmes espèces végétales. Cela conduit, selon les auteurs, à une « perte de l’agrobiodiversité », soit la diversité des agricultures.

« Il existe plus de 7 000 espèces de plantes comestibles qui pourraient être consommées pour l’alimentation. Mais aujourd’hui, 90 % de l’apport énergétique mondial provient de 15 espèces végétales, et plus de la moitié de la population mondiale dépend de trois cultures céréalières seulement : le riz, le blé et le maïs. »

Les chercheurs en appellent à intégrer cet enjeu de manière plus prégnante au sein des sommets dédiés aux systèmes alimentaires, et de l’inscrire plus globalement à l’agenda des politiques contre la pollution et le changement climatique.




Une puce électronique dans des comprimés ?




Me Virginie de Araujo-Recchia communique suite à sa mise en garde à vue par la DGSI

[Source : francesoir.fr]

Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate au Barreau de Paris.

Auteur(s): FranceSoir

Le 22 mars dernier, Me Virginie de Araujo-Recchia ainsi que six autres personnes ont été arrêtées par la DGSI dans le cadre d’une enquête liée à Rémy Daillet, mis en examen le 22 octobre dernier pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle ». Elle était l’avocate de cet homme, connu pour ses appels insurrectionnels visant à renverser le gouvernement. Elle ressort de garde à vue le 24 mars et nous confie aujourd’hui son ressenti à travers un communiqué officiel, dans lequel elle souligne que « rien ne lui est reproché »« Je n’ai fait l’objet d’aucune poursuite, je n’ai pas été mise en examen, ni même placée sous le statut de témoin assisté », explique-t-elle.

[Voir :
L’avocate Virginie de Araujo-Recchia placée en garde à vue,
France : l’avocate qui a porté plainte contre plusieurs ministres placée en garde à vue avant d’être relâchée
et
Une avocate antivax kidnappée et séquestrée par les barbouzes de Macron]

Elle y raconte comment s’est déroulée l’interpellation ainsi que l’interrogatoire, en insistant sur les « conditions déplorables » dont nous faisait aussi part Sylvain Baron, Gilet jaune et auteur également arrêté ce jour-là. Puis, elle pose la question : 

« N’était-il pas plus simple de me convoquer plutôt que de m’emmener devant mes enfants et de me garder à vue dans des conditions déplorables sachant qu’il s’agissait, au final, uniquement d’obtenir des renseignements puisque rien ne m’est reproché ? »

L’avocate s’adresse aussi brièvement aux médias qui ont relaté son interpellation en parlant de terrorisme, d’extrémisme ou encore de complotisme, et assure : 

« Je n’en resterai pas là, car il s’agit de pure diffamation et d’intention de nuire, mais je vais solliciter un droit de réponse. »

Voir aussi : « Je suis connu pour mes actions pacifiques et légales, pourquoi la DGSI n’était-elle pas au courant ? » Sylvain Baron

Ci-dessous, le communiqué complet de Me Virginie DE ARAUJO-RECCHIA, avocate au Barreau de Paris :

Plusieurs médias ont relaté ma mise en garde à vue du 22 mars 2022 dans les locaux de la DGSI qui s’est terminée le 24 mars 2022.

En effet, le 22 mars 2022 à 6h40 du matin, douze personnes, dont des policiers cagoulés des forces spéciales, sont entrées à six voitures dans notre propriété, puis ils ont violemment tambouriné à notre porte.

Nous avons bien entendu ouvert, cependant nous avons remarqué que tout le matériel était déjà prêt au sol, pour forcer notre porte.

Cette équipe composée de forces de l’ordre notamment de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (D.G.S.I.), de la représentante de Monsieur le Bâtonnier du Barreau de Paris, de Madame la Greffière et de deux juges d’instruction, a ensuite investi, sans coup férir, notre domicile et entamé une perquisition, dans chaque pièce, jusque dans la chambre de nos enfants, la voiture et le jardin.

Ils sont allés jusqu’à éplucher nos photographies de famille, nos relevés bancaires, la comptabilité de plusieurs années, tous les dossiers un par un, regardé dans nos livres etc. Ils ont saisi tout le matériel informatique et téléphonique que nous utilisons pour notre activité professionnelle.

Tout ceci s’est déroulé devant nos enfants en bas âge, ce qui n’est pas sans conséquence.

J’ai ensuite été transportée dans les locaux de la D.G.S.I. à Levallois Perret (92), après avoir découvert que l’on me suspectait de complicité de terrorisme.

Là, j’ai été détenue pendant 60h00 dans des conditions inhumaines. Je préfère ne pas en donner les détails afin de préserver ma dignité.

Je souhaite aujourd’hui vous faire part de mes observations.

A la sortie de ma garde à vue, je n’ai fait l’objet d’aucune poursuite, je n’ai pas été mise en examen, ni même placée sous le statut de « témoin assisté ».

Je ne suis donc pas partie au dossier.

Tout ce qui me lie au dossier est le fait que je sois l’un des avocats d’une des personnes mises en cause.

N’était-il pas plus simple de me convoquer plutôt que de m’emmener devant mes enfants et de me garder à vue dans des conditions déplorables sachant qu’il s’agissait au final uniquement d’obtenir des renseignements puisque rien ne m’est reproché ?

Qu’en est-il de la présomption d’innocence ?

Il est à noter qu’il y a environ 800 000 gardes à vue par an en France, qui malgré leur caractère infamant, sont malheureusement devenues banales.

Une des raisons avancées pour expliquer l’augmentation des gardes à vue ces dernières années est notamment que le nombre de gardes à vue est un des indices de performance d’un commissariat, poussant ainsi ses fonctionnaires au zèle en la matière.

On observe aussi une augmentation sensible de leur nombre dans la période récente contre les avocats ou les journalistes. Faute de preuve sérieuse ou suffisante, la tendance étatique est donc à l’intimidation de ces deux professions, qui constituent pourtant l’un des fondements de toute Démocratie.

Il en est de même concernant certains médecins, qui subissent les mêmes méthodes d’intimidation, lorsqu’ils tentent d’alerter quant aux conséquences dommageables des mesures de gestion de la « crise » sanitaire ou des injections de thérapies géniques expérimentales.

Ils sont poursuivis devant l’Ordre des médecins et devant les tribunaux, lesquels sont contraints de prononcer la relaxe, faute de grief sérieux.

Puis, je ne peux m’empêcher d’avoir une pensée pour les gilets jaunes qui ont été les premiers à subir la violence du pouvoir en place.

En ce qui me concerne, je suis très active, depuis des années, dans plusieurs dossiers relatifs aux droits fondamentaux, à la liberté d’expression et à la « crise » sanitaire.

J’ai ainsi rédigé un rapport intitulé « Dictature 2020, terrorisme d’État, atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et crime contre l’humanité », qui a notamment été publié en novembre 2020 par l’Observatoire du génocide.

Je représente actuellement plusieurs associations et personnes physiques qui ont déposé des plaintes s’appuyant sur des arguments consignés dans ce rapport.

Je suis aussi membre d’un collectif d’avocats et de juristes internationaux qui œuvre à lutter avec les instruments du droit contre les mesures liberticides qui ont été prises dans le cadre de la gestion de la crise dite « sanitaire », de façon concomitante dans différents pays du monde.

Je n’en dirai pas plus sur le dossier qui manifestement a servi de prétexte à ma garde à vue. D’abord, parce qu’une instruction est en cours. Ensuite, parce que je n’ai pas accès au dossier, dans la mesure où je ne suis ni « mise en examen » dans cette affaire, ni placée sous le statut de « témoin assisté », comme je l’ai indiqué. Enfin, en raison de la confidentialité de la relation avocat-client car je suis soumise au secret professionnel.

Concernant l’interrogatoire, que j’ai subi pendant une dizaine d’heures, je me bornerai à citer quelques-unes des questions qui m’ont été posées :

a.    Êtes-vous patriote ?
b.    Qu’est-ce que le terme complotiste ?
c.    Que pensez-vous de la religion musulmane ?
d.    Que pensez-vous de la religion juive ?
e.    Que pensez-vous des antennes 5G ?
f.    Que pensez-vous de la pédophilie?
g.    Que pensez-vous de la franc-maçonnerie ?
h.    Pensez-vous que des ministres soient reliés aux réseaux pédophiles ?
i.    Que pensez-vous d’Emmanuel Macron ?
j.    Quelles sont les mesures qui vous amènent à dire qu’il s’agit de crimes contre l’humanité ?
k.    Qu’est-ce que le nouvel ordre mondial ?

Chacun restera libre de se faire sa propre opinion.

L’enquêteur m’a demandé de lui exposer les grands axes de mon « idéologie ». Ce à quoi je lui ai répondu qu’il ne s’agissait pas d’idéologie mais de faits avérés et justifiés que je répertorie méticuleusement depuis deux ans.

Toutes les audiences de la Cour internationale d’opinion publique/Grand Jury notamment, ont permis d’entendre les témoignages de certains des plus grands experts mondiaux en matière scientifique et médicale, en psychopathologie et psychologie, en histoire, économie, géostratégie ainsi que des témoignages de victimes du présent et du passé.

J’ai d’ailleurs personnellement recueilli les témoignages de parents de victimes, soignants, pompiers français afin de les présenter au Grand Jury.

Il s’agit d’expertise, de professionnels, de témoins, de victimes. Il ne s’agit pas d’idéologie.

Le seul but étant ici la recherche de la vérité.

J’en conclus que cet interrogatoire m’aura, au moins, permis de porter à la connaissance des enquêteurs les arguments principaux des plaintes déposées durant cette « crise sanitaire » pour le compte de mes clients.

En voici la liste :
https://dar-avocats.com/actualites/

Certains médias ont fait état d’un « dossier terroriste » et, mon nom étant cité comme « avocate représentant diverses figures des milieux complotistes » ou encore de « groupuscules extrémistes », le caractère diffamatoire de cet amalgame n’aura échappé à personne.

Je n’en resterai pas là car il s’agit de pure diffamation et d’intention de nuire mais je vais solliciter un droit de réponse.

La tentative d’amalgame entre un avocat et l’un de ses clients n’a rien de nouveau. Certains semblent y échapper plus que d’autres. Le Garde des Sceaux actuel ne l’ignore pas, lui qui a défendu nombre de criminels, avérés cette fois, pendant sa carrière.

D’autres, qui prennent le risque d’affronter l’Etat et de s’opposer aux intérêts financiers de grands groupes internationaux (pharmaceutiques, financiers et de médias…), sont susceptibles d’être placés en garde à vue sans justification.

Cela ne m’empêchera pas de poursuivre mon combat pour la défense des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales.

Lors de cet événement, j’ai eu la chance d’être assistée par mes Confrères Me Maud MARIAN, Me Serge LEWISCH et Me Philippe AUTRIVE, Avocats au Barreau de Paris, tout au long de ma garde à vue et je les remercie de leur amitié confraternelle.

Depuis le début, le Barreau de Paris exerce sa vigilance pour garantir le secret professionnel, qui couvre mes activités.
A ce titre, Me Vincent NIORÉ, Vice-Bâtonnier du Barreau de Paris veille à protéger les principes de la profession. Nous lui faisons confiance étant donné que notre Confrère a dédié sa carrière à la défense des avocats.

Je remercie certains des enquêteurs de la D.G.S.I., qui ont eu, malgré tout, des gestes d’humanité à mon égard.

Je remercie également les Confrères et juristes qui m’ont soutenu dans l’ombre, notamment ceux de nos groupes national, européen et international, qui étaient en alerte maximale !

https://healthfreedomdefense.org/illegal-arrest-and-detaining-of-virginie-araujo-recchia/

Enfin, je remercie les milliers de personnes qui m’ont envoyé des messages d’affection et de soutien ainsi que toutes celles qui ont réalisé des vidéos afin de dénoncer cette injustice.

Cette solidarité, cette cohésion et ce cœur sont une grande force, c’est tout ce qu’ils n’ont pas et c’est ce que l’on ne pourra jamais nous retirer.

Me Virginie de Araujo-Recchia
Le 30 mars 2022




Ukraine : le ministère de la Vérité

[Source : legrandsoir.info]

Le journaliste José Manzaneda a pour habitude de faire une analyse des médias. Voici son texte sur la couverture du conflit en Ukraine par les médias occidentaux. Il a cependant oublié de mentionner la dernière sanction antirusse : Anne de Kiev sera déchue de son titre de reine de France, cette sanction rentrera en vigueur le premier avril prochain.

Par José MANZANEDA

Concernant la guerre en Ukraine, les médias et les gouvernements occidentaux nous interdisent de lire tout autre livre que celui écrit par l’OTAN.

Censure absolue : 1984

Les médias russes, qui ont été pendant des années un espace pour des analystes internationaux critiques (1) (2), ont été interdits par les États-Unis, l’Union européenne (3), le Royaume-Uni (4) et d’autres alliés. Sa diffusion en direct, ses chaînes YouTube (5) et tous ses réseaux sociaux. Sans aucune décision judiciaire.

Google a supprimé de son moteur de recherche ses contenus précédents, son hémérothèque (6). Réécrire l’histoire, comme le Ministère de la vérité du roman 1984.

Les médias appliquent une censure stricte. Laissant – bien sûr – quelques espaces de témoignage qui justifient leur fausse pluralité. Liu Sivaya, politologue russe, faisait face à une meute sur la chaîne espagnole Cuatro (7). En dénonçant les huit années de bombardements ukrainiens dans le Donbass, elle a dû entendre qu’il s’agissait de « nuances non pertinentes » : ”Cela me semble une véritable insulte que nous commencions par des nuances non pertinentes dans une situation si extrêmement claire, qu’elle ne permet pas de prendre des blancs et des noirs et dans laquelle il est très clair qui sont les bons et les mauvais », a déclaré l’intervenante Ketty Garat.

Précisément pour avoir rendu compte de la situation dans le Donbass, le journal français Le Figaro a censuré un reportage de sa correspondante Anne-Laure Bonnel (8). Le colonel espagnol Pedro Baños a décidé d’abandonner ses apparitions télévisées après avoir reçu de graves menaces. La raison : le ton neutre de ses analyses sur le conflit (9).

YouTube n’a pas seulement censuré les médias et les journalistes russes avec des millions d’abonnés (10). Aussi des documentaires comme « Ukraine on fire« , d’Oliver Stone, réalisés il y a déjà six ans (11).

Twitter a qualifié de « médias affiliés au gouvernement russe » les comptes de tous les journalistes qui ont collaboré, à un moment donné, avec une chaîne publique russe (12). C’est l’ »étoile jaune » avec laquelle les marquer, professionnellement, pour l’avenir (13).

Pour la propagande de guerre contre la Russie sur le réseau TikTok, Joe Biden a convoqué les 30 tiktokers les plus influents, leur donnant un message clair à diffuser : le coupable de l’inflation aux États-Unis est Poutine (14).

Facebook et Instagram ont levé l’interdiction des messages de haine s’ils sont contre la Russie, permettant les appels à tuer les présidents russe et biélorusse et les éloges pour le régiment nazi ukrainien Azov (15).

Les réseaux permettent et encouragent cette haine antirusse : des politiciens comme le sénateur américain Lindsey Graham ont appelé sur Twitter à l’assassinat du Président Vladimir Poutine, sans que le réseau ne les ait limités (16). Dans des « médias sérieux », tels que NBC News, un journaliste a proposé une attaque de l’OTAN contre des convois russes, ou ce qui est presque le même, le début de la Troisième Guerre mondiale (17).

Le journaliste russe qui a protesté à la télévision contre Poutine et qui n’a été condamné qu’à une amende est déjà une star mondiale (18). Mais à propos d’un journaliste européen, le Basque Pablo González, emprisonné et au secret en Pologne depuis près d’un mois, accusé d’être un “ espion russe ” pour avoir relaté le drame du Donbass, le silence médiatique est presque absolu (19).

Le bon Nazisme

Le journal catalan La Vanguardia a effectué une promotion commerciale avec le slogan « Arrêtez Poutine. La désinformation veut nous diviser  » (20). Traduit : l’unité contre le seul méchant (la Russie) nécessite d’écraser toutes les informations et opinions qui contredisent la version officielle européenne.

Effaçant pour cela, par exemple, les crimes de notre allié, l’Ukraine. Le journal espagnol ABC a supprimé les informations qu’il avait publiées, en 2016, sur les viols d’enfants par l’armée de Kiev (21).

Ils appellent une base d’entraînement de mercenaires un « Centre de maintien de la paix » (22). Mot – d’ailleurs – interdit dans les médias : ce sont des « combattants étrangers » (23). C’est ainsi qu’un journaliste espagnol a conclu l’entretien avec l’un d’eux : « Cet après-midi même, il part dans un bus pour l’Espagne, préparé avec des réfugiés ukrainiens et dans lequel certains des combattants étrangers espagnols vont se rendre. » Ce mercenaire d’extrême droite rentrera chez lui sans être arrêté ni interrogé. Sans passer par le calvaire policier et judiciaire subi par huit miliciens de gauche à leur retour du Donbass en 2015, après avoir été qualifiés par les médias espagnols de “ pro-russes ” (24).

Un média a-t-il parlé de Fahrudin Sharafmal, un présentateur ukrainien qui, en direct à l’antenne, a appelé à la décapitation de tous les enfants russes (25) ? Et à propos de Gennadiy Druzenko, directeur d’un hôpital volontaire mobile, qui a ordonné que les soldats russes soient castrés pour être des « cafards » (26) ? Et sur les actes d’humiliation publique, en Ukraine, de gitans, peints en vert et attachés à des poteaux (27) ? Rien.

Le régiment Azov, composé de néonazis, est une force de réserve volontaire des Forces armées ukrainiennes (28) (29). Et ses membres – les nazis – sont pour ainsi dire interviewés par des médias tels que CNN (30). Azov a reçu des armes de gouvernements européens, comme celle de l’Espagne (31) : achetées avec un milliard d’euros au « Fonds européen de Soutien – ne riez pas, ne riez pas – à la Paix” (32). Sur la chaîne espagnole Cuatro, un « expert” a calmement donné des leçons sur la façon d’utiliser cette arme pour « tuer plus de Russes“ (33) : ”Je suis optimiste d’une manière, rien de plus : nous devons tuer plus de Russes (…) Parce que le peuple ukrainien en a besoin pour pouvoir parvenir à une bonne négociation « , a déclaré l’instructeur militaire José Jiménez Planelles.

Au Portugal, un juge a levé l’obligation pour le néo-nazi Mario Machado de comparaître tous les quinze jours, après avoir proposé de se rendre en Ukraine pour fournir – continuez à contrôler le rire – une « aide humanitaire » (34).

Que le président Volodymyr Zelensky ait décerné le titre de Héros national de l’Ukraine à Dmytro Kotsyubail (35 ans), chef du groupe paramilitaire Pravy Sektor, l’architecte du massacre syndical d’Odessa en 2014, au cours duquel 46 personnes ont été brûlées vives (36 ans) ? Ils ne l’entendront pas.

Que les Services secrets ukrainiens ont assassiné un membre de leur propre délégation de négociation avec Moscou pour « trahison » (37) ? Des choses de la guerre.

À la télévision, ils nous montrent une exposition-manifestation pour les filles et les garçons morts, ces semaines-ci, en Ukraine (38). Excellent. Et l’exposition à Moscou « Regardez dans les yeux du Donbass », sur les plus de 150 mineurs tués par les forces ukrainiennes au cours des huit dernières années, sous quel format est-elle sortie (39) ?

Fake news for war

Vous devez transformer un char ukrainien qui écrase une voiture en un « char russe » (40). Un missile ukrainien qui fait tomber un bloc d’habitation sur un « missile russe » (41). Une fille du Donbass victime des troupes ukrainiennes, chez une fille de Kiev (42).

Il existe des centaines de fausses nouvelles similaires (43). Le journal télévisé d’Antena 3, le plus regardé d’Espagne, s’est ouvert avec des images d’une explosion en Chine comme s’il s’agissait de bombardements russes (44).

 » Un carnage « , titrait en première page le journal italien La Stampa, avec une photo de civils massacrés lors d’un bombardement russe (45). Russe ? Non. La photo provenait de Donetsk (Donbass), où des civils 30 ont été tués par un missile… Ukrainien (46).

Le gouvernement russe assure qu’il n’a pas commandé d’armes à la Chine. La Chine le confirme. Mais que nous disent les médias ? Mot pour mot, ce que dit le gouvernement des EU… (47) (48) (49).

Racisme classiste aux yeux bleus

La solidarité louable avec la population réfugiée de l’Ukraine passe, à maintes reprises, à travers un filtre de racisme classiste (50). Un journaliste de NBC : « Ce ne sont pas des réfugiés de Syrie, ils viennent de notre Ukraine voisine. Ce sont des chrétiens. Ils sont blancs. Ils nous ressemblent beaucoup  » (51). Un journaliste de CBS : « Ce n’est pas un endroit, avec tout le respect que je vous dois, comme l’Irak ou l’Afghanistan, qui a eu des conflits pendant des décennies, c’est un pays relativement civilisé et européen” (52). Une interviewée par la BBC : « Ce sont des Européens aux yeux bleus et aux cheveux blonds qui sont assassinés” (53). Un témoignage dans la sixième : “Ce ne sont pas les enfants qu’on a l’habitude de voir à la télévision, mais des enfants aux yeux bleus et c’est très important ” (54).

Et comme cerise sur le gâteau, un journal télévisé de 13 heures (et ce n’est pas une parodie) : « La situation des réfugiés ? Eh bien, vous pouvez l’imaginer. Et ce sont des gens comme toi et moi. J’ai vu des sacs Dolce & Gabbana, des vêtements Louis Vuitton, des gens qui pourraient parfaitement être à Madrid, ce sont des gens comme nous et ils vivent dans des conditions totalement déplorables  » (55).

Le New York Times a publié une carte sur le déplacement des personnes : les familles ukrainiennes en Pologne sont des « réfugiés » (56). Ceux du Donbass en Russie, cependant, sont des « migrants ». Même s’ils fuient les bombes ukrainiennes.

Alors que l’Union européenne a donné l’ordre de régulariser, de manière extraordinaire, des millions de personnes originaires d’Ukraine (57), la population africaine continue d’être reçue a coups de trique par la police européenne (58). Ceci c’est pour ceux qui arrivent vivants. Lors du dernier naufrage en mars, quarante-quatre personnes sont mortes au large des îles Canaries (59).

La géopolitique exige de ne pas marteler nos consciences avec les plus de 10 mille enfants tués au Yémen, par des missiles saoudiens (60). Dont le gouvernement, ami de l’Occident, ne reçoit pas de sanctions. Aucune.

Politique dans le sport : hier interdite, aujourd’hui obligatoire

Big Brother est également venu dans le domaine du sport. Les supporters de l’Étoile rouge de Belgrade ont protesté contre l’OTAN dans les tribunes de leur stade, rendant visibles les noms des pays qu’elle a bombardés (61). Immédiatement, la réaction du journalisme européen : mentir sur le prétendu caractère « néo-nazi » d’un tel passe-temps (62). Faux.

En 2009, le footballeur Frédéric Kanouté a été sanctionné par la FIFA de 3 000 euros pour avoir montré un maillot en soutien à la Palestine (63). En 2016, pour la même condamnation d’Israël par ses fans, l’UEFA a sanctionné le Celtic de Glasgow (64). Mais maintenant, faire de la politique sur le terrain et soutenir le gouvernement ukrainien est obligatoire pour tous les clubs de football.

« Deux individus déjà identifiés par l’Ertzaintza (police basque) ont manifesté leur soutien à la Russie. Drapeaux en faveur de la Russie sur (le terrain de) San Mamés. Drapeaux et bannières. L’Ertzaintza a déjà identifié les auteurs ” : c’est ce qu’a déclaré le commentateur catalan Josep Pedrerol, tentant de criminaliser ceux qui portaient des drapeaux de la République populaire de Donetsk (dans le Donbass), un peuple massacré, depuis huit ans, par l’armée ukrainienne et qui a massivement voté pour son indépendance (65). Mais dans les médias, nous avons lu qu’il s’agissait de « bannières en faveur de l’invasion russe” (66).

L’homme d’affaires russe Roman Abramovich a été contraint de vendre l’équipe de football anglaise de Chelsea, en raison de la pression politique et médiatique (67). Mais le royaume restera entre les mains de la Maison royale saoudienne, qui bombarde le Yémen depuis sept ans et y a fait plus de 300 000 morts (68). À propos, le 12 mars, 81 personnes ont été exécutées à Riyad en une seule journée (69). Mais la Supercoupe d’Espagne s’y tiendra toujours, en Arabie Saoudite, qui verse à la Fédération Espagnole de Football 30 millions par an (70). Tout est très cohérent.

La politique de chantage à l’échelle mondiale signifie que les hommes d’affaires russes sont sanctionnés non pas pour leurs décisions, mais pour celles du gouvernement russe. Tout comme leurs athlètes. Qu’ils ne peuvent concourir avec le drapeau de leur pays ni dans les Coupes du Monde ni aux Jeux olympiques (71). Le pilote russe Nikita Mazepin a été licencié de l’équipe Haas de Formule 1. (72). Le joueur de tennis Daniil Medvedev devra « renier Poutine » s’il veut participer à Wimbledon (73). Et le Grand maître des échecs Sergey Karjakin a reçu une sanction de six mois (74).

L’Association ukrainienne de football a retiré à Anatoliy Tymoschuk, l’un des meilleurs joueurs de son histoire, tous ses titres et sa licence d’entraîneur, en raison de “son silence face à l’invasion russe” (75). Le combattant ukrainien Maxim Ryndovskiy a été torturé et exécuté par des néonazis, accusés d’”équidistance » dans le conflit avec la Russie (76). Cela a-t-il scandalisé dans la presse sportive ?

Chasse aux sorcières dans la culture

La chasse aux sorcières est également entrée dans la culture. Le russe Valeri Guergiev a été démis de ses fonctions de chef de l’Orchestre philharmonique de Munich (77 ans). Les théâtres européens, comme le Teatro Real de Madrid, annulent les représentations du Ballet du Bolchoï (78). L’Orchestre philharmonique de Cardiff (Pays de Galles) a retiré les œuvres de Tchaïkovski (79) de son répertoire. En raison des protestations, l’Université de Milan a dû revenir sur sa décision d’éliminer un cours sur Dostoïevski (80). Et celui de Córdoba, a non seulement rompu les relations avec le personnel enseignant russe, mais a menacé de le faire avec celui de Cuba et de l’Iran “s’ils ne rejetaient pas l’invasion russe” (81). Le recteur de l’Université de Valence a appelé à “l’auto-expulsion” de tous les étudiants russes (82).

A Arlington (Virginie), un professeur d’école qui a inclus, dans un cours sur la guerre d’Ukraine, le point de vue de la Russie, a été filmé et dénoncé par un élève. Il a été immédiatement suspendu pour avoir diffusé de la  » propagande russe  » (83).

La folie ne s’arrête pas. Le nom du cosmonaute Youri Gagarine, le premier homme dans l’espace et décédé il y a 54 ans, a été retiré d’un événement caritatif de la Fondation spatiale des États-Unis (84). Beaucoup de médias ont diffusé le canular selon lequel la Russie allait abandonner un astronaute étasunien dans l’espace, ce qui est complètement faux (85). Comme faux, le costume jaune de certains cosmonautes russes sur la Station spatiale internationale était un « acte de soutien » à l’Ukraine (86).

Crimes de guerre ?

Poutine est accusé d’être un « criminel de guerre » dans les médias qui n’ont jamais appliqué ce terme à George W. Bush, José María Aznar ou Tony Blair, après l’invasion de l’Irak, qui provoquât des centaines de milliers de morts (87).

Une chaîne de télévision a-t-elle récupéré la vidéo de l’actuel président des EU sur le bombardement de la Yougoslavie ? Eh bien, il a dit exactement ceci : “C’est moi qui ai suggéré de bombarder Belgrade. C’est moi qui ai suggéré d’envoyer des pilotes américains détruire tous les ponts ” (88). C’était en 1999. L’OTAN a lancé 2 300 missiles et 14 000 bombes en 78 jours (89). L’organisation a assassiné plus de 2 000 civils (90). Et quel rôle ont joué les médias qui se parent aujourd’hui du drapeau de l’Ukraine ? Rappelons seulement la couverture du magazine Time : « Conduire les Serbes en enfer : un bombardement massif ouvre la porte à la paix » (91).

Autodétermination à la carte

Ils nous disent que Poutine est un tyran parce que – affirment-ils – il interdit les manifestations contre la guerre (92). Zelensky vient d’interdire l’activité de onze partis, presque tous de gauche, en plus du parti communiste, qui était déjà illégal (93). Pour être « pro-russe ». Le tout avec le soutien de l’Union européenne (94).

Le gouvernement lituanien a annulé un don de 400 000 vaccins anti-Covid19 au Bangladesh, car ce gouvernement s’est abstenu lors du vote pour condamner la Russie à l’ONU (95).

La Suisse, dont la banque a gardé l’or du IIIe Reich (96), qui protège les trafiquants de drogue et les fraudeurs de tous bords avec le secret bancaire, dans un « geste éthique – après l’étrange menace, peut-être ? (97) – ” abandonnera sa neutralité et se joindra aux sanctions économiques » contre la Russie (98).

Et enfin, parlons de souveraineté et de libre décision des peuples.

L’Espagne vient de suivre le cap fixé par Donald Trump vis-à-vis du Maroc (99) : elle accepte son occupation illégale du Sahara et donne un coup de poignard dans le dos au peuple sahraoui (100). Elle continue de souffrir des bombardements marocains (101).

Exactement comme pour le Sahara, ni l’Espagne, ni les États-Unis, ni l’Union européenne, ni l’Ukraine ne sont prêts à respecter la volonté sans équivoque, exprimée par référendum et près de 90%, de la population de Crimée (102) et du Donbass (103).

Est-ce que cela, dans les médias occidentaux, transformé en artillerie idéologique de l’OTAN, n’est même pas mentionné comme l’une des clés incontournables de la solution du conflit.

Aujourd’hui, nous vivons un maccarthysme dans son état le plus pur. Une Dictature Mondiale. Contre lequel il sera indispensable d’organiser la résistance (104).

Vidéo

En complément voici une vidéo (en espagnol) reprenant le texte. Je met une version sur Odysee car sur Youtube il y a une limite d’âge.

https://odysee.com/$/embed/Ucrania-el-Ministerio-de-la-Verdad/e4ae69bbffa1f07aad4b4811ec2434046bfd4839?r=Ge9kHQKaUKbGtarNYdtE8iKr4tsNYufW

José Manzaneda

Source : https://www.cubainformacion.tv/especiales/20220327/96415/96415-ucrania…

Références

  1. https://www.cubainformacion.tv/especiales/20220322/96246/96246-censura-de-guerra-rusia-y-cuba-italiano
  2. https://www.elconfidencial.com/espana/2022-03-12/television-rusa-manipulacion-kremlin-guerra-ucrania_3386028/
  3. https://www.lavanguardia.com/internacional/20220302/8095180/ucrania-rusia-rt-sputnik-ue-guerra-medios-television-sanciones.html
  4. https://www.europapress.es/internacional/noticia-reino-unido-suspende-definitivamente-cadena-rusa-rt-20220318102226.html
  5. https://www.prensa-latina.cu/2022/03/12/youtube-bloquea-medios-de-comunicacion-rusos
  6. https://twitter.com/ldejesusreyes/status/1500130333169172482?t=XSGwzRJD1txszfDPi73KiA&amp ;s=03
  7. https://www.huffingtonpost.es/entry/escandalo-y-tension-en-cuatro-al-dia-tras-las-palabras-de-una-politologa-rusa-es-un-insulto_es_62226c4be4b04a0545d65f3b
  8. https://sana.sy/es/?p=223367
  9. https://www.cuatro.com/horizonte/iker-jimenez-mensaje-coronel-banos-harto-amenazas-aislo_18_3296220018.html
  10. https://www.elpais.com.uy/domingo/inna-afinogenova-periodista-rusa-censurada-invasion-ucrania.html
  11. https://infocielo.com/documental/youtube-censura-un-documental-oliver-stone-ucrania-2016-n732806
  12. https://twitter.com/cgpenalva/status/1498333754431053827
  13. https://twitter.com/HelenaVillarRT/status/1498356980502695937?t=n4l0hk1eu7T9piaM6EocRw&amp ;s=03
  14. https://www.debate.com.mx/mundo/Ejercito-de-TikTokers.-Joe-Biden-recurre-a-influensers-de-TikTok-para-luchar-contra-la-desinformacion-de-la-la-invasion-de-Rusia-20220314-0029.html
  15. https://www.lavanguardia.com/tecnologia/aplicaciones/20220311/8116479/libre-haters-facebook-e-instagram-permitiran-desear-muerte-putin-pmv.html
  16. https://evtv.online/senador-graham-pide-el-asesinato-de-putin/
  17. https://twitter.com/pascual_serrano/status/1498726185437700106
  18. https://www.elperiodico.com/es/internacional/20220316/activista-guerra-interrumpe-informativo-television-13372817
  19. https://www.publico.es/internacional/periodista-pablo-gonzalez-lleva-tres-semanas-preso-polonia-familia-abogado-hayan-podido-contactar.html
  20. https://suscripciones.lavanguardia.com/landings/706009/landing-3×3.html?utm_source=marketing&amp ;utm_medium=email&utm_campaign=captacion&utm_content=periodismoconstruye
  21. https://twitter.com/pascual_serrano/status/1500184138183290893
  22. https://mobile.twitter.com/Avivir/status/1502904794343649283
  23. https://twitter.com/EurekaNews10/status/1503821128439152643
  24. https://www.elconfidencial.com/espana/2015-02-27/detienen-a-ocho-milicianos-espanoles-tras-combatir-en-el-conflicto-de-ucrania_719239/
  25. https://7dejunio.com/degollar-a-todos-los-ninos-rusos-presentador-ucraniano/
  26. http://pablohduarte.com/post/medico-ucraniano-ordeno-castrar-a-todo-soldado-ruso-capturado
  27. https://www.lavozdelsur.es/actualidad/internacional/ninos-atados-farolas-jovenes-pintadas-verde-hombres-desnudos-tropas-ucranianas-humillan-saqueadores-gitanos_274045_102.html
  28. https://www.niusdiario.es/internacional/europa/regimiento-batallon-azov-polemico-paramilitar-nazi-integrado-fuerzas-armadas-ucrania_18_3294649658.html
  29. https://www.latercera.com/la-tercera-sabado/noticia/batallon-azov-el-comando-neonazi-que-desafia-al-kremlin-en-mariupol/W2JPMGXO2RGPRJTNFX6IBZQQ34/
  30. https://twitter.com/Polk_Azov/status/1505887132224827395
  31. https://twitter.com/oriolsabata/status/1501288161510670336
  32. https://www.efe.com/efe/america/mundo/borrell-propone-gastar-500-millones-mas-fondos-ue-para-dar-armas-a-ucrania/20000012-4758624
  33. https://www.publimetro.cl/noticias/2022/03/12/hay-que-matar-mas-rusos-la-insolita-solucion-de-instructor-militar-de-espana-para-terminar-con-la-guerra-en-ucrania/
  34. https://www.publico.pt/2022/03/18/sociedade/noticia/juiz-dispensa-mario-machado-apresentar-quinzenalmente-esquadra-combater-ucrania-1999356
  35. https://twitter.com/manelmarquez/status/1500190631313952772
  36. https://www.voltairenet.org/article183837.html
  37. https://www.lavanguardia.com/internacional/20220306/8103569/denis-kireev-asesinado-negociadores-rusia-ucrania.html
  38. https://www.infobae.com/america/fotos/2022/03/18/impactante-protesta-en-ucrania-mas-de-100-cochecitos-de-bebes-vacios-rinden-tributo-a-los-ninos-muertos-en-la-invasion/
  39. https://venezuela-news.com/exposicion-mira-a-los-ojos-del-donbas-se-inauguro-en-moscu/
  40. https://videos.elmundo.es/v/5HH38rhhG0w-un-tanque-ruso-engulle-a-un-coche-y-a-su-conductor-en-ucrania
  41. https://www.telesurtv.net/news/ucrania-rusia-conflicto-proyectil-kiev-20220226-0010.html
  42. https://maldita.es/malditobulo/20220226/padre-llora-hija-evacuacion-ucrania-rusia/
  43. https://maldita.es/malditobulo/20220322/conflicto-militar-rusia-ucrania-bulos/
  44. https://twitter.com/JulianMaciasT/status/1497158224222597120
  45. https://twitter.com/MichelCaballero/status/1504436682019549191
  46. https://espanol.cgtn.com/n/2022-03-15/GafJEA/moscu-reporta-23-muertos-en-donetsk-tras-ataque-con-misiles-en-ucrania/index.html
  47. https://www.elmundo.es/internacional/2022/03/14/622ec29dfc6c835b478b457e.html
  48. https://www.antena3.com/noticias/mundo/eeuu-insiste-que-rusia-pedido-armas-china-estarian-dispuestos-darselas_202203156230a762f5e39e0001f84918.html
  49. https://www.20minutos.es/noticia/4970068/0/rusia-ha-pedido-a-china-apoyo-militar-y-economico-segun-medios-de-eeuu/
  50. https://spanishrevolution.org/2022/03/04/video-rubios-y-de-ojos-azules-refugiados-de-primera/
  51. https://www.semana.com/mundo/articulo/periodista-aseguro-que-refugiados-de-ucrania-son-mejores-que-los-de-siria/202231/
  52. https://twitter.com/Racismo_MX/status/1498656583089201167
  53. https://www.diariodemorelos.com/noticias/europeos-con-ojos-azules-son-asesinados-guerra-en-ucrania-destapa-racismo
  54. https://twitter.com/PiensaPrensa/status/1498386092994691072
  55. https://twitter.com/HelenaVillarRT/status/1506827729135718402
  56. https://twitter.com/AnibalGarzon/status/1499159123690196996
  57. https://rebelion.org/de-unos-cien-ucranianos-que-aceptan-acogen-mas-o-menos-a-dos-africanos/
  58. https://rebelion.org/las-razones-de-la-presion-sin-precedentes-sobre-melilla/
  59. https://twitter.com/pascual_serrano/status/1502717693530710017
  60. https://www.europapress.es/internacional/noticia-mas-10200-ninos-muerto-resultado-heridos-causa-guerra-yemen-unicef-20220312010250.html
  61. http://izquierdaweb.cr/internacional/el-estrella-roja-de-belgrado-le-recuerda-a-la-otan-los-ataques-de-sus-miembros-en-los-ultimos-70-anos/
  62. https://www.elespanol.com/social/20220318/bochornoso-pablo-iglesias-rifirrafe-antonio-maestre-darle/658184524_0.html
  63. https://www.europapress.es/deportes/futbol-00162/noticia-kanoute-sancionado-3000-euros-exhibir-camiseta-lema-palestina-20090109205026.html
  64. https://www.elperiodico.com/es/deportes/20160929/celtic-multa-uefa-banderas-palestinas-hapoel-5431682
  65. https://twitter.com/alinadetormes/status/1501305268734345217
  66. https://www.20minutos.es/deportes/noticia/4967253/0/aficionados-pro-rusia-grada-san-mames/
  67. https://www.bbc.com/mundo/deportes-60596509
  68. https://elpais.com/deportes/2021-10-08/el-newcastle-se-entrega-a-arabia-saudi-y-se-apunta-a-la-lista-de-clubes-estado.html
  69. https://news.un.org/es/story/2022/03/1505562
  70. https://www.marca.com/futbol/supercopa-espana/2021/06/07/60bdcf39ca47419b288b4580.html
  71. https://www.europapress.es/deportes/olimpiadas-00169/noticia-coi-recomienda-vetar-deportistas-rusos-bielorrusos-20220228164029.html
  72. https://www.caranddriver.com/es/formula-1/a39332354/haas-despide-nikita-mazepin/
  73. https://www.abc.es/deportes/tenis/abci-wimbledon-peligra-para-medvedev-debe-renegar-putin-para-competir-202203151913_noticia.html
  74. https://www.20minutos.es/deportes/noticia/4974130/0/sergey-karjakin-sancion-apoyo-vladimir-putin/
  75. https://www.tudn.mx/futbol-internacional/anatoliy-tymoshchuk-queda-vetado-del-futbol-ucraniano-de-por-vida
  76. https://www.marca.com/otros-deportes/2022/03/06/62249a5422601d561a8b459e.html
  77. https://www.dw.com/es/la-filarm%C3%B3nica-de-m%C3%BAnich-cancela-su-colaboraci%C3%B3n-con-el-director-ruso-valery-gergiev/a-60957268
  78. https://elpais.com/cultura/2022-03-04/el-teatro-real-cancela-las-funciones-del-ballet-bolshoi.html
  79. https://rpp.pe/mundo/actualidad/orquesta-filarmonica-de-cardiff-retira-obra-de-tchaikovsky-por-conflicto-en-ucrania-noticia-1391772
  80. https://www.elperiodico.com/es/ocio-y-cultura/20220302/universidad-italiana-cancela-dostoievski-13311850
  81. https://cordopolis.eldiario.es/cordoba-hoy/sociedad/universidad-cordoba-rompera-relaciones-profesores-cubanos-iranies-si-no-rechazan-invasion-rusa_1_8801858.html
  82. https://www.elmundo.es/comunidad-valenciana/2022/03/14/622f71adfc6c8339528b4590.html
  83. https://twitter.com/brunosgarzini/status/1499761651385606144
  84. https://colectivo-news.com/internacional/una-fundacin-de-eeuu-censura-el-nombre-de-yuri-gagarin-en-un-evento-dedicado-al-espacio-por-el-conflicto-en-ucrania/
  85. https://www.tercerainformacion.es/articulo/ciencia/14/03/2022/roscosmos-desmiente-los-bulos-sobre-supuestos-planes-de-abandonar-a-un-astronauta-estadounidense-en-la-eei/?p=155749
  86. https://www.dw.com/es/astronautas-rusos-llegan-a-la-eei-vestidos-de-amarillo-y-azul-colores-de-la-bandera-de-ucrania/a-61206460
  87. https://elpais.com/internacional/2007/03/16/actualidad/1173999603_850215.html
  88. https://www.youtube.com/watch?v=54OVTfeXgNE
  89. https://es.wikipedia.org/wiki/Bombardeo_de_la_OTAN_sobre_Yugoslavia
  90. https://twitter.com/eutelia50/status/1503380585192083463?t=15f-_LAbnNIg5Lxbq8tVWg&amp ;s=03
  91. https://www.reddit.com/r/PropagandaPosters/comments/4bs62n/bringing_the_serbs_to_heel_a_massive_bombing/
  92. https://www.semana.com/mundo/articulo/rusia-sancionara-a-quienes-participen-en-manifestaciones-contra-la-guerra-en-ucrania/202222/
  93. https://es.euronews.com/2022/03/20/zelenski-suspende-la-actividad-de-al-menos-11-partidos-politicos-en-ucrania
  94. https://www.europapress.es/internacional/noticia-bruselas-enmarca-suspension-partidos-opositores-ucrania-ley-marcial-plena-invasion-rusa-20220322154330.html
  95. https://www.lrt.lt/en/news-in-english/19/1634221/lithuania-cancels-decision-to-donate-covid-19-vaccines-to-bangladesh-after-un-vote-on-russia
  96. https://elpais.com/diario/1998/05/26/internacional/896133609_850215.html
  97. https://www.france24.com/es/minuto-a-minuto/20220227-aumenta-la-presi%C3%B3n-sobre-suiza-para-que-se-una-a-las-sanciones-internacionales-contra-rusia
  98. https://www.abc.es/internacional/abci-suiza-abandona-tradicional-neutralidad-y-sanciones-economicas-contra-rusia-202202281528_noticia.html
  99. https://www.bbc.com/mundo/noticias-internacional-55267560
  100. https://www.cronicasdelanzarote.es/articulo/canarias/pedro-sanchez-traiciona-pueblo-saharaui-cediendo-chantaje-marruecos/20220322121635307667.html
  101. https://www.mundoobrero.es/pl.php?id=13074
  102. https://elpais.com/internacional/2014/03/16/actualidad/1394974142_352878.html
  103. https://elpais.com/internacional/2014/05/10/actualidad/1399756365_060753.html
  104. https://rebelion.org/informacion-falsa-imagenes-adulteradas-videos-trucados-y-censura-al-servicio-de-la-otan/



À la rencontre des plantes comestibles et médicinales

[Source : Nexus]

Le printemps est arrivé. Les arbres bourgeonnent, les plantes se déploient. L’occasion de découvrir dans notre jardin un véritable garde-manger et des remèdes bien souvent méconnus. Allons à leur rencontre en compagnie de Nathalie, dans son jardin pédagogique et nourricier.

Nathalie Ranjon, fille de paysans, a grandi dans une ferme du Berry au sein de laquelle elle développera très jeune une passion pour le jardinage et la nature. D’abord pépiniériste-paysagiste, elle est aujourd’hui formatrice en paysage et maraîchage, et accompagne également les particuliers qui souhaitent créer des jardins comestibles. Son certificat de permaculture en poche, elle a développé le Jardin des harmonies, magnifique endroit au cœur de la Creuse que nous avons eu la chance de visiter, où, en plus de la beauté des lieux, on peut apprendre à se nourrir et à prendre soin de notre santé.

◆ Des vertus insoupçonnées

Observer, écouter la nature, préserver la biodiversité au quotidien, c’est ce que fait chaque jour Nathalie. Quand elle nous accueille aux côtés d’autres participantes pour cet après-midi dédié à l’observation et à l’identification de la flore locale, c’est avec des tisanes préparées à base de plantes du jardin. Avec en bouche la saveur de la mélisse ou du thym, c’est le moment de sortir son calepin et d’activer ses sens. La vue, l’odorat, le toucher, le goût vont être particulièrement sollicités, et nos habitudes, ébranlées : ce qu’on croyait être des « mauvaises herbes » ou de petites fleurs uniquement bonnes à être mises en bouquet vont s’avérer regorger d’autres vertus.

◆ Un panorama printanier non exhaustif

Teinture mère, macérat huileux, décoction, cataplasme, tisane, hydrolat, pesto, gratin, potage, etc., la liste de ce que nous pouvons réaliser avec les plantes est longue.

Nathalie nous demande de fermer les yeux, de choisir l’une d’entre elles disposées dans un pot qu’elle nous tend, de la sentir, de la toucher, de la goûter et de nous en imprégner, avec pour mission de la retrouver dans le jardin lorsque nous partirons l’explorer, une fois nos yeux rouverts. Mais avant cette quête champêtre, Nathalie nous présente quelques plantes locales de base, dont voici un panel :

L’ortie (de la famille des Urticacées) : ses bienfaits sont nombreux. Tonique, reminéralisante, astringente et dépurative, elle est la plante la plus riche en protéines (jusqu’à 40 % en poids sec, plus que le soja) d’excellente qualité puisque équilibrées en acides aminés, mais aussi en fer et en calcium. Ses feuilles perdent leur caractère urticant en les chauffant. Elle peut se consommer sous forme de tisanes, dans des soupes, gratins, soufflés, etc. Elle s’allie particulièrement bien à la pomme de terre.

La porcelle (de la famille des Astéracées) : de prime abord, cette plante très courante ressemble au pissenlit. Ses feuilles sont en revanche rudes au toucher et couvertes de poils raides épars naissant de « petites verrues », ce qui lui vaut le nom de « peau de crapaud » en Occitanie. En mai apparaîtront au bout de sa tige de petits capitules jaunes. Même si elles sont râpeuses, les jeunes feuilles de la porcelle enracinée seront très goûteuses en salade. Un peu plus matures, il vaudra mieux les cuire.

Le lamier pourpre (de la famille des Lamiacées) : plante indicatrice des milieux riches en azote, l’odeur de ses feuilles assez forte se rapproche de celle de la menthe poivrée et elles seront plus douces sous forme de potage. Les fleurs roses peuvent se manger crues. Les feuilles lavées et broyées sont un excellent désinfectant et cicatrisant, que l’on utilise en cataplasme sur les plaies. Le lamier possède d’autres propriétés médicinales : astringent, il est antidiarrhéique et c’est aussi un diurétique.

La pâquerette (de la famille des Astéracées) : les feuilles de pâquerettes sont tendres, croquantes et légèrement aromatiques. Il faut les mélanger à d’autres plantes, car elles ont un arrière-goût un peu âcre et ont tendance à irriter la gorge, désagrément qui disparaît si on les fait cuire. Ses capitules décorent les salades. Elle est tonique, dépurative et expectorante.

Le pissenlit (de la famille des Astéracées) : efficace contre la rétention d’eau, les calculs rénaux, il facilite aussi la digestion. Il est riche en calcium, en fer, en sodium, en potassium, en provitamine A et en vitamine B2. Les jeunes feuilles de pissenlit font des salades très appréciées et on les ramasse fréquemment au printemps. Plus tard, on en prépare encore des soupes ou d’autres plats. On peut consommer également ses racines, revenues à la poêle ou longuement cuites en purée. Les boutons floraux peuvent être confits au vinaigre, et les capitules sont utilisés pour préparer une sorte de confiture ou un vin pétillant.

Le grand plantain (de la famille des Plantaginacées) : c’est une plante qu’on trouve communément sur les chemins où elle résiste aux piétinements. Les jeunes feuilles de plantain s’ajoutent aux salades, et leur saveur amère rappelle celle du champignon. Même plus âgées, les feuilles peuvent être cuites en soupes ou comme légumes. Leur action calmante sur les piqûres et cicatrisante sur les brûlures est remarquable. Bénéficiant d’une activité bronchodilatatrice et anti-inflammatoire, le plantain est indiqué en cas d’asthme, de bronchite, de pharyngite et de laryngite. Deux espèces voisines s’emploient aux mêmes fins alimentaires et médicinales : le plantain moyen et le plantain lancéolé.

La consoude (de la famille des Boraginacées) : elle peut être indiquée en cas de diarrhée, de gastro-entérite et de maladies du côlon comme la dysenterie. Elle soulage les ulcères digestifs et les cancers gastriques. La plante est utilisée pour réduire les rejets de sang par la bouche liés à la tuberculose. La consoude peut également être prescrite en usage externe pour cicatriser les plaies, les brûlures, les crevasses du mamelon et les gerçures. On peut appliquer la plante sur les fissures anales ou pour soulager la douleur des lésions osseuses et des ulcères aux jambes. Feuilles et racines ont une réelle action sur la consolidation des fractures et des ligaments déchirés. Les jeunes feuilles sont comestibles crues. Plus tard, il est préférable de les faire cuire. Du fait de sa teneur en alcaloïdes, il ne faut pas abuser de la consoude.

L’alliaire (de la famille des Brassicacées) : cette plante sauvage comestible, aromatique et médicinale se rencontre dans les forêts, les haies, les clairières et sur les bords de chemin ombragés. En mars, il est possible de récolter ses jeunes feuilles, qui ont un goût d’ail, ainsi que ses jeunes pousses. L’alliaire est appréciée pour son action diurétique (elle améliore le fonctionnement de l’appareil urinaire), vermifuge (elle combat les vers et parasites intestinaux), cicatrisante, antiputride (elle évite la putréfaction) et tonique (elle stimule l’organisme). Cette plante est surtout utilisée en usage externe pour traiter les plaies, les ulcères et les maladies de la peau telles que l’eczéma.

◆ La vigilance de mise

Nathalie nous met dès le départ en garde sur le risque d’intoxication et sur la grande vigilance dont il faut faire preuve. Elle préconise de bien apprendre les critères de reconnaissance des plantes et de ramasser uniquement celles que nous aurons formellement identifiées. « Ne vous hasardez pas à tester les plantes, ne serait-ce que des petits bouts. Certaines sont toxiques, voire mortelles, à très faible dose », nous rappelle Laurence Talleux dans son livre Mettez les plantes sauvages dans votre assiette. Bien les rincer, voire les baigner dans de l’eau mélangée à du vinaigre blanc pour enlever toutes les impuretés liées par exemple à l’urine et aux excréments de certains animaux. En cas de doute, les cuire pour éviter tout risque. Veiller également à ne pas faire de cures trop longues.

Autre recommandation : préserver le lieu de cueillette, en ne surprélevant pas de plantes et en ne le piétinant pas.

◆ Un apprentissage infini

Avant de partir avec notre teinture mère de pâquerettes concoctée sur place, Nathalie nous précise que ça n’est pas en quatre heures que l’on peut découvrir toutes les vertus des plantes, et que leur goût et leurs qualités nutritives et médicinales dépendent également du lieu où elles poussent ou de la posologie qu’on utilise. Cette introduction aux plantes sauvages comestibles et médicinales ouvre néanmoins une porte vers un monde végétal infini et surprenant qui s’adapte sans cesse aux contraintes environnementales. « Il est important que chacun découvre les plantes qui l’appellent et qui lui seront utiles. Les botanistes peuvent passer toute une vie à explorer le monde végétal, qui ne cessera de nous surprendre et de nous inviter à nous incliner devant son pouvoir immense », conclut Nathalie.

Pour aller plus loin, Nathalie nous conseille quelques ouvrages :

Précisions :

– Les informations contenues dans cet article ne peuvent en aucun cas remplacer la visite chez votre médecin ou se substituer à une prescription médicale.

– La plupart des descriptifs des plantes citées ont été tirés du livre Le guide nutritionnel des plantes sauvages et cultivées de François Couplan.




Jérémie Mercier : « Le monde de la santé et de la médecine conventionnelle repose sur de nombreux dogmes faux »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Pour « célébrer le deuxième anniversaire du confinement », nous avons reçu Jérémie Mercier, chercheur qui fait aussi de « l’éducation à la santé ». Dans ce debriefing, il revient sur les raisons qui l’ont conduit à quitter la France pour l’Estonie au moment de la mise en œuvre des premières mesures de restrictions sanitaires. Jérémie Mercier nous fait également part des positions sur lesquelles il a évolué depuis le début de la crise Covid et de ses projets à venir. Il nous confie examiner, en partenariat avec un mouvement, les autres mythes du monde médical auxquels il compte bien tordre le cou. « Il y a beaucoup de marketing venant d’une industrie pharmaceutique extrêmement puissante habituée à mentir et qui ment depuis très longtemps », assène-t-il.






L’opportun scandale Servier qui cache la forêt McKinsey

[Voir aussi sur RL]

Par Nicole Delépine

L’arbre qui voudrait cacher la forêt du McKinsey conseiller sanitaire du gouvernement et ses milliards d’€ ? Le Canard ressort le Mediator !

SERVIER, UNE SUBVENTION DE 800 000 €, peut-être ou pas… LES PAUVRES ! Certes il y a de quoi protester, mais les 3 milliards d’€ déjà donnés à Pfizer(([1] à ce jour, d’après l’OMS, 154 105 693 doses de vaccin ont été administrées au prix moyen de 20 euros.)) pour des pseudo-vaccins toxiques et inutiles n’ont droit qu’au silence des médias et du Canard. ET LES DEUX MILLIARDS ET DEMI POUR CONSEIL DE MCKINSEY, SILENCE ? Pourquoi ?

Ce n’est pas nouveau. Feuilletez le site de Marc Girard(([2] https://www.rolandsimion.org/13524-2/ )) pour plus d’informations sur ce scandale bien médiatisé onze ans après sa dénonciation.

23/08/2011 Dr Marc Girard(([3] Élargissement des obligations vaccinales : mystérieuse épidémie chez les lanceurs d’alerte – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) ))

« Que les médicaments dangereux (et, plus encore, leurs effets indésirables parfois désastreux) soient protégés par une certaine omerta, cela n’est pas douteux. C’est d’ailleurs l’une des raisons de mon scepticisme à l’égard des « scandales » complaisamment médiatisés, tels que celui de Mediator actuellement en France : car il faut bien comprendre que ceux dont on parle, si choquants soient-ils, ne sont qu’une infime fraction de ceux qui existent. »

SUBVENTION ACCORDÉE À SERVIER ?

Un jour oui, un jour non, tout dépend de l’émotion des foules… Drôle de façon de faire de la politique en France, à moins que le cabinet McKinsey ne soit trop occupé en ce moment pour conseiller le gouvernement, avec les milliers de tweets qui trouvent bizarre cette façon de gérer la France. Bizarre, vous avez dit bizarre…

Bref il était question d’une subvention de l’État accordée à Servier… Et puis le canard a couiné… et l’indignation des victimes du Mediator a conduit le Président à annuler la subvention le samedi 26 mars en plein scandale McKinsey et la ministre à écrire aux victimes du Mediator. Comme diraient certains : « ben voyons… »

Petit rappel : Le Mediator, médicament antidiabétique commercialisé par le laboratoire Servier, a été retiré du marché en 2009, présumé d’être à l’origine de graves lésions cardiaques. Le nombre de décès est estimé entre 500 à 2 000 personnes.

Pendant 33 ans, de 1976 à 2009, le Mediator a bénéficié d’une autorisation de mise sur le marché en France. Ce médicament était indiqué chez les personnes ensurcharge pondéraleatteintes de diabète de type 2. Toutefois, ce traitement a surtout été prescrit comme coupe-faim à 5 millions de personnes.

Le 29 mars 2021, le tribunal de Paris a rendu son jugement et a condamné les laboratoires Servier à 2,7 millions d’euros d’amende pour « tromperie aggravée » en ayant « sciemment dissimulé les propriétés “coupe-faim” et les dangereux effets secondaires » du médicament. »

Très tôt après sa commercialisation, le Mediator® est soupçonné de multiplier le risque de valvulopathies cardiaques !

En 1999, il est retiré du marché en Italie en raison de son risque pour la santé. La Haute autorité de santé (HAS) se prononce contre le remboursement du Mediator, jugeant qu’il ne présente pas d’intérêt médical.

En 2003, il est retiré du marché espagnol.

En 2007, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps, devenue ANSM) recommande de ne plus le prescrire comme coupe-faim. On se réveille.

En 2007, Irène Frachon, pneumologue au CHU de Brest relance l’alerte connue, mais ignorée sur les dangers du Mediator, après avoir enquêté pendant 10 ans sur ses effets cardiaques. Elle signale des cas de valvulopathies cardiaques à l’Agence du médicament.

Le 30 novembre 2009, le Mediator et ses génériques sont enfin retirés de la vente en France par l’Afssaps. La vérité éclate dans la presse et l’affaire tourne et la catastrophe sanitaire devient un scandale. Xavier Bertrand, ministre de la Santé de l’époque, souhaite que tous les patients ayant été traités par le Mediator consultent leur médecin. Au total, 5 millions de personnes ont utilisé le Mediator® en France entre 1976 et novembre 2009. L’Office national d’indemnisation des accidents médicaux a reçu plus de 9 000 demandes d’indemnisation.

Dix ans après la révélation de ce scandale sanitaire en France, le procès du Mediator s’est ouvert le 23 septembre 2019 au tribunal de grande instance de Paris. Les prévenus, à savoir des cadres du laboratoire Servier et de l’Agence du médicament, ont été jugés pour tromperie aggravée avec mise en danger de la santé, escroquerie, homicides et blessures involontaires et trafic d’influence.

Le 29 mars 2021, soit 11 ans après la fin de la commercialisation du Mediator et plus de 517 heures d’audience, le tribunal de Paris a condamné le laboratoire Servier à 2,7 millions d’euros d’amende pour « tromperie aggravée » Il a fait appel. L’ex-numéro 2 du groupe Servier a été condamnée à 4 ans de prison avec sursis. Le groupe pharmaceutique a toutefois été relaxé du délit d’escroquerie. L’Agence du médicament (ANSM) a été condamnée à 303 000 euros d’amende.(([4] Mediator : affaire, effets du médicament, nombre de morts (journaldesfemmes.fr) ))

LE SCANDALE DU JOUR

L’État devait octroyer 800 000 € d’aide au laboratoire Servier qui a réalisé 4,7 milliards d’€ de CA en 2021, « pour relocaliser la production de 5 médicaments. 2 sont jugés “inefficaces”, voire “dangereux”, par la Haute autorité de Santé, ce qui pourrait se discuter néanmoins, car il faut avoir en tête que tous les vieux médicaments efficaces ou non finissent par disparaître ou en tous cas non remboursés (sous prétexte d’inefficacité) pour être remplacés par d’autres, beaucoup plus onéreux. Donc l’argument d’inefficacité est à prendre avec des pincettes. Ce qui ne justifie en rien la subvention pour autant.(([5] « En plus de sa production historique du Mediator, certains médicaments aujourd’hui fabriqués dans cette usine sont jugés inutiles, voire dangereux, par les autorités de santé. Par exemple, le Triplixam, un diurétique, n’est pas remboursé par la Sécurité sociale, car la Haute autorité de Santé (HAS) l’a jugé inutile. Même chose pour le Vastarel, contre les vertiges et acouphènes ». On peut se demander pourquoi ils ont été si longtemps remboursés…))

Le but officiel : le gouvernement avait décidé de verser cette subvention au groupe pharmaceutique dans le cadre du plan de réindustrialisation du médicament.

INFO FRANCE INFO. Le gouvernement annule sa subvention de 800 000 euros aux laboratoires Servier (francetvinfo.fr)

Un courrier envoyé aux collectifs de victimes du Mediator : sauve qui peut

Dans une lettre envoyée le 26 mars, la ministre de l’Industrie Agnès Pannier-Runacher écrit que “compte tenu de cette émotion que nous entendons, et dans un esprit d’apaisement, je tenais à vous informer que nous avons décidé d’annuler cette subvention au bénéfice du site de Gidy.”

La ministre justifie cependant l’octroi initial de cette subvention dans un souci de “reconstruction du tissu industriel français” et de “réappropriation de notre souveraineté industrielle”. Elle explique également qu’il fautrattraper le sous-investissement, voire le désinvestissement, dans certaines industries de santé.”

“C’est une prime aux délinquants et aux marchands de poison”, Irène Frachon, lanceuse d’alerte de l’affaire Mediator, indignée par la subvention de 800 000 € accordée aux laboratoires Servier par le gouvernement, mais n’aurait pas été choquée semble-t-il, il y a quelques mois par la publicité pour le “vaccin” anticovid » en essai thérapeutique, ni par les obligations vaccinales des tout petits en 2017. Indignation à géométrie variable. Restons vigilants.

DES LIENS DE LONGUE DATE AVEC L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE ET SERVIER EN PARTICULIER

L’équipe de campagne du candidat Macron connaissait-elle l’existence du site internet mis en place par le gouvernement après l’affaire Mediator, la base Transparence Santé se demande la journaliste… :

« Si elle l’avait regardé, aurait-elle choisi le Pr Jean-Jacques Mourad, interniste à l’hôpital Avicenne de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour être le conseiller Santé du candidat à la présidentielle ? Car tout était là. Une liste longue comme le bras de liens d’intérêts avec Servier, le fabricant du Mediator ».

Entre le 1er janvier 2013 et fin juin 2016, le Pr Mourad a comptabilisé plus de 66 interventions payées par le groupe pharmaceutique (donc une à deux par mois) et plus de 80 000 euros de frais de restaurant et de transport. Le 20 janvier 2014, il a même bénéficié d’une nuit d’hôtel d’un prix de 900 euros.

L’alerte concernant le Pr Mourad est venue du Formindep, l’association qui milite pour une information médicale indépendante. Elle a questionné sur Twitter : « Qui parle ? Le porte-parole de Macron ou le speaker de Servier ? » Le Formindep s’est ému après la participation du médecin aux Rencontres de l’officine, le 4 mars 2017, à Paris, où il représentait Emmanuel Macron.

« Quand vous faites du mal à vos laboratoires pharmaceutiques, comme on l’a fait, ils détruisent de l’emploi, ils ferment des sites. »

Discours de Nevers en 2017.

Le 6 janvier 2017, lors d’un discours à Nevers, Emmanuel Macron dit :

« Vous le savez, nous prenons à 100 % en charge les affections longue durée (ALD). En 2011, une mauvaise décision a été prise : celle qui a consisté à sortir des ALD l’hypertension artérielle. (…) Il y a 1 million d’hypertendus sévères, il y en a 50 000 chaque année. Et là c’est une bêtise de ne pas bien les couvrir. Pourquoi ? Parce qu’ils font, ces hypertendus, des accidents vasculaires cérébraux plus facilement, des pathologies, des lésions, des maladies beaucoup plus graves qui vont nous coûter beaucoup plus cher dans six mois, dans un an. Et donc je veux que les hypertendus sévères soient désormais pris en charge à 100 % par l’Assurance maladie. »

Le Pr Mourad démissionnaire est — oh surprise — un grand spécialiste de… l’hypertension. Et que le laboratoire Servier a justement pour médicaments phares des hypotenseurs.

Auprès de E. Macron, reste un conseiller Santé, le Pr Jérôme Salomon, un « Kouchner boy », proche de Didier Tabuteau, premier directeur de l’Agence du médicament de 1993 à 1997… à des dates clés du Mediator. La boucle est bouclée ».(([7] il est vice-président du Conseil d’État depuis le 5 janvier 2022, après en avoir présidé la section sociale du 6 juin 2018 au 5 janvier 2022. A travaillé dans les cabinets ministériels auprès de Claude Évin (Santé, 1988-1991), de Martine Aubry (Emploi et solidarité, 1997-2000) et de Bernard Kouchner (Santé, 1992-1993 et 2001-2002). Il est également le premier directeur général de l’Agence du médicament (1993-1997). Tous, cabinets de ministères supposés de gauche pour ceux qui douteraient des liens politiques du président qui vient de le nommer en janvier 2022 vice-président du Conseil d’État.
Dans le secteur privé, il a occupé la direction générale de la Fondation Caisses d’épargne pour la solidarité pendant neuf ans (2003-2011).))

En conclusion, ne nous laissons pas abuser par les nuages de fumée qui visent à masquer avec l’aide du Canard (volontaire ou non ?) le gigantesque scandale de McKinsey qui dirige de fait la France et tant d’autres pays qui prennent du coup les mêmes décisions depuis des années avec une accélération sous ce quinquennat. Souhaitons-nous que cela perdure ?

Et lisez en détail l’article du Nouveau-monde.ca :

Mc Kinsey : le Sénat a-t-il intentionnellement noyé la mèche qui devait exploser ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Nicole Delépine

Notes




France : l’avocate qui a porté plainte contre plusieurs ministres placée en garde à vue avant d’être relâchée. Mise à jour

Mise à jour


[Source : covidhub.ch]

Me Virginie de Araujo-Recchia a été interpellée mardi à l’aube à son domicile puis gardée 48h dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure. Un procédé qui interroge, visant une des avocates les plus actives contre la politique liberticide de l’état français.

25 mars 2022·
Dernière mise à jour : 26 mars 2022

Par Jean-Dominique Michel, référent en santé publique de Covidhub.

Déclaration de lien d’intérêt : Me de Araujo m’a représenté lors d’une campagne de calomnie qui m’a visé dans le cadre du Congrès « scientifique » TimeWorld au mois de mai 2021.

Me de Araujo-Recchia a déployé au cours des deux années écoulées une activité  professionnelle intense pour dénoncer les violations des droits et libertés présentées comme nécessaires par les autorités françaises dans le cadre de la gestion de l’épidémie de Covid.  Outre la publication d’avis de droit, elle a saisi différentes juridictions pour des associations comme Bon Sens ou l’AIMSIB (association internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante).

Elle fait également partie du regroupement d’avocats internationaux instruisant actuellement une mise en accusation des gouvernements et organisations internationales dans le cadre du Grand Jury de l’Opinion Publique mis sur pied par l’avocat allemand Reiner Fuellmich.

C’est dire si son interpellation puis sa garde à vue ont suscité une onde de choc, provoquant un vaste mouvement de soutien tant en France qu’à travers le monde. Le procédé a choqué tant sur la forme (Me de Araujo a été « embarquée » à son domicile, au petit matin, devant ses enfants) que sur le fond. Active en tant que représentante de plaignants dans le cadre de procédures en  justice, de quoi Me de Araujo pouvait-elle bien être soupçonnée pour mériter un tel traitement ?

Dans un premier temps, personne ne pouvait même localiser l’avocate, pas même ses proches, ni les confrères avec lesquels elle travaillait

On apprit mardi en début d’après-midi que Virginie de Araujo était placée en garde à vue dans les locaux de la DGSI (direction générale de la sécurité intérieure), service dont la réputation n’est pas franchement immaculée… Les lecteurs étrangers à la France et à ses mœurs ne sauront peut-être pas que des officines policières se sont rendues coupables au cours du temps de nombreuses actions franchement en marge de la légalité comme des cambriolages, des chantages, intimidations ou même menaces de mort. Ainsi qu’un célèbre humoriste devenu exaspérant pour le pouvoir de l’époque en avait fait la rude expérience…

  • Pour voir « Coluche, un clown ennemi d’état – enquête » : cliquer ici

Presse et propagande

Ce fut dans la presse que sortirent les premières informations, franchement rocambolesques : Me de Araujo serait soupçonnée d’avoir été en contact avec un réseau projetant un coup d’État pour renverser Emmanuel Macron ! On a beau être à proximité du 1er avril, l’accusation peine à être trouvée drôle, pas plus qu’elle paraît crédible. Une pareille absurdité rappelle plutôt comment, en Suisse, la presse d’état avait essayé de faire croire que des « antivaxx » projetaient rien moins… qu’une prise d’assaut du Palais fédéral à la manière de l’invasion du Capitole à Washington !

Des médias subventionnés à hauteur de centaines de millions d’euros par l’état macronien n’en ont pas moins embouché les trompettes de la (mauvaise) renommée : parlant tour à tour de Me de Araujo-Recchia comme « l’avocate des covido-sceptiques » ou encore « l’avocate proche des milieux complotistes » selon les termes de l’hebdomadaire Marianne, comme si ces qualificatifs -au demeurant stupides- avaient une quelconque valeur juridique.

Si on ignore encore exactement ce que la justice reproche à Virginie de Araujo-Recchia et si elle est liée, ou non, aux projets d’actions terroristes que Rémy Daillet et son groupe sont soupçonnés d’avoir préparés, l’avocate est déjà connue comme une figure des milieux covido-sceptiques. Proche du collectif Réinfo Covid, fondé par le médecin anesthésiste marseillais Louis Fouché, un groupe de désinformation qui milite activement contre la vaccination et les mesures sanitaires.

[Voir aussi :
L’avocate Virginie de Araujo-Recchia placée en garde à vue
et
Gilets jaunes, avocate, naturopathe, ex-militaire : les profils hétéroclites des partisans du projet secret de coup d’État sur l’affaire avec Remy Daillet]

On décèle dans cet extrait les bonnes grosses ficelles de la manipulation : on « ignore exactement ce que la justice reproche » à l’avocate, mais ses liens et relations avec des personnes et groupes vilipendés (de manière calomnieuse en ce qui concerne Réinfo Covid) suffit à jeter l’opprobre sur elle en suggérant une hypothétique culpabilité.

On amalgame de surcroît des personnalités plus ou mois sulfureuses au sein d’un même « groupuscule » avec l’intention de compromettre simultanément différents groupes honnis, comme le montre le titre transparent du quotidien Le Parisien, propriété du milliardaire Bernard Arnaud :

Gilets jaunes, avocate, naturopathe, ex-militaire : les profils hétéroclites des partisans du projet secret de coup d’État

Ce qui a fait réagir sur twitter l’avocat et militant Juan Branco, conseil d’un des incriminés.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est Capture-de%CC%81cran-2022-03-25-a%CC%80-18.43.16.png.
L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est Capture-de%CC%81cran-2022-03-25-a%CC%80-18.43.28.png.

Ces procédés de suspicion floue sont devenus monnaie courante. Ils reposent principalement sur l’exploitation de l’étiquette de « complotiste », trouvaille inspirée de la CIA… pour masquer les crimes d’état. A tel point que selon l’analyse savante de Lance de HavenSmith, professeur en sciences politiques, cette étiquette, lorsqu’elle fait florès, est l’indice sûr que des crimes d’état sont en cours que les gouvernants et la presse cherchent à dissimuler.

  • Pour lire « Vous avez dit « complotiste » ?! » sur Anthropo-logiques : cliquer ici.
  • Pour lire la notice du livre « Aux origines de la théorie du complot – un outil de contrôle de la pensée » de Lance deHavenSmith aux éditions Yves Michel : cliquer ici.

L’essayiste et rédacteur en chef du Courrier des Stratèges Eric Verhaege (un des meilleurs analystes du Great Reset, projet délirant qu’il a lu avec ses lunettes d’énarque et d’ancien haut fonctionnaire) est pour sa part convaincu que le procédé utilisé contre Me de Araujo traduit une volonté d’intimidation et de « character assassination » (destruction de réputation) comme l’on dit en anglais. Et inaugure selon toute vraisemblance un cycle de montée en puissance de la répression des opposants à sa politique liberticide par le gouvernement français.

  • Pour voir : « Soutien à l’avocate Virginie de Araujo-Vecchia, résistante en garde à vue » sur le Courrier des stratèges : cliquer ici.

Voyage au pays des oligarques

La mitraille de la titraille des médias subventionnés ne laisse guère de doute, à une époque où la presse n’est plus qu’une entreprise de propagande au service d’intérêts douteux, comme Idriss Aberkanne l’a récemment analysé au sujet du groupe Altice (propriétaire grâce à sa montagne de dettes accumulées de titres comme BFM TV, RMC, Libération, L’Express).

La militante Vera Sharav, survivante de l’Holocauste, insiste quant à elle que les gouvernements de l’Occident sont aujourd’hui inféodés à des oligarques répétant les manières de faire du nazisme. Cette analyse a évidemment provoqué des réactions outrées, mais la vénérable activiste n’en démord pas,  affirmant que les procédés sont exactement les mêmes, et que le fameux slogan « plus jamais ça », pour ne pas rester creux, doit nous conduire à agir contre la menace existant actuellement.

  • Pour lire « Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis » sur France Soir : cliquer ici.

Me Virginie de Araujo-Recchia a finalement été libérée jeudi soir. Elle a fait savoir qu’elle s’exprimerait prochainement.

Rappelons à toutes fins utiles qu’elle a saisi différentes juridictions dans le cadre de procédures visant des membres des pouvoirs exécutif et législatif français (milieu que les observateurs appellent la « Macronie »).

Une avocate sachant défendre… et attaquer

Me de Araujo-Recchia a rédigé une première analyse (intitulée « Rapport terrorisme 2020 ») dans laquelle elle estimait que les agissements du gouvernement français relevaient juridiquement d’actes de terrorisme et crime contre l’humanité (atteinte volontaire à la vie et à l’intégrité des personnes, diffuser des substances de nature à créer un danger pour autrui, violations du Code de Nuremberg), d’apologie du terrorisme par médias et scientifiques en conflit d’intérêts, d’actes de maltraitance et de torture/traitements inhumains à l’égard des enfants.

  • Pour lire « Rapport terrorisme 2020 » : cliquer ici.

Entre autres faits d’armes (juridiques) elle a ensuite publié un « Rappel à la loi » à l’occasion de l’imposition d’un pass sanitaire puis vaccinal dont même Olivier Véran reconnaît aujourd’hui l’inutilité et que sa nature discriminatoire rendait parfaitement illégal.

  • Pour lire « Rappel à la loi – passe sanitaire » : cliquer ici.

Me de Araujo-Recchia a également déposé différents plaintes contre les acteurs de la dérive anti-démocratique en cours pour divers mandants.

  • Pour lire « Interview | Me Virginie de Araujo-Recchia : avocate au barreau de Paris », 11 février 2021 sur France-Soir : cliquer ici.
  • Pour lire « Maître de Araujo-Recchia dépose plainte contre les parlementaires ayant voté la loi du 5 août » sur France-Soir : cliquer ici.
  • Pour lire « L’heure des comptes Covid sonnera un jour, la justice pénale est saisie » sur le site de l’AIMSIB : cliquer ici.
  • Pour lire la plainte des associations Bon Sens et AIMSIB contre les ministres Castex, Véran et Blanquer, rédigée par Me de Araujo-Recchia : cliquer ici.

Le Grand Jury de l’Opinion Publique

Surtout, elle participe activement aux travaux du Grand Jury, lequel, jour après jour, révèle et démonte implacablement l’envergure de ce qui apparaît de plus en plus comme une opération criminelle de grande envergure, préméditée depuis longtemps – c’est en tout cas l’hypothèse forte qui se dessine selon le communiqué inaugural de cette instance ad hoc:

COMMUNIQUÉ

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, annonçons par la présente que nous mènerons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du grand jury des États-Unis. Cette procédure du Grand Jury sert de modèle de procédure juridique pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles à ce jour des crimes Covid-19 contre l’humanité à l’encontre « les dirigeants, des organisateurs, des instigateurs et des complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie. Les crimes, objet de l’enquête, englobent tous les actes commis par une personne en vertu d’un dessein partagé de commettre des crimes contre l’humanité et tous ces actes criminels seront condamnés dans les diverses communautés de jurés à travers le monde.

Cette procédure porte sur le peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle est appelée le « Tribunal populaire » de l’opinion publique ». N’ayant pas été en mesure de trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles observées devant les tribunaux du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel, en nous fondant sur le droit naturel. Ceci, à son tour, est fondé sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement faire la distinction entre le bien et le mal, et entre le vrai et le faux.

L’allégation principale repose sur le fait que : « les gouvernements du monde entier sont sous l’influence de structures corrompues et de puissances criminelles. Une entente a été établie afin de mettre en scène une pandémie planifiée depuis des années. Dans ce but, une panique de masse a été délibérément créée, soutenue par de fausses déclarations de faits. Une opération sociale psychologique « psy-ops » a été aussi conçue dont les messages ont été transmis et relayés par le biais des médias corporatifs.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccins » qui se sont entre temps révélés n’être ni efficaces, ni sûrs, mais extrêmement dangereux, voire mortels.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causé à la population mondiale peuvent être mesurés en quadrillions de dollars.

Cette procédure du Grand Jury sera menée par les avocats susnommés, avec l’aide d’un grand nombre de scientifiques et d’experts hautement respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal.

Ils fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête de la Cour populaire de l’opinion publique est double : d’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations, contre certaines des figures de proue, criminellement et civilement responsables de ces crimes contre l’Humanité. D’autre part, en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique, il s’agit de sensibiliser le public à

  • l’effondrement factuel du système actuel, détourné et de ses institutions, et, par conséquent,
  • la nécessité pour le peuple lui-même de reprendre sa souveraineté, et
  • la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette « plandémie » en refusant de s’y conformer, et
  • la nécessité de relancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin que la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions soient rétablis.

La Cour populaire de l’opinion publique fonctionne indépendamment de tout gouvernement et de toute organisation non gouvernementale. Le soutien logistique est assuré par le Comité d’enquête sur le Corona de Berlin www.corona-ausschuss.de

Retrouvez les vidéos sur www.grand-jury.net contact@grand-jury.net

Les experts du Grand-jury :-

  • Virginie de Araujo Recchia, avocate, France
  • Juge Rui Fonseca E Castro, avocat au Portugal
  • Claire Deeks, avocat en Nouvelle-Zélande
  • Viviane Fischer, avocat en Allemagne
  • Dr. Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne
  • N. Ana Garner, avocate, États-Unis
  • Dr. Renate Holzeisen, avocate, Italie
  • Tony Nikolic, avocat, Australie
  • Dipali Ojha, avocate, Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt (Adv.), avocat, Afrique du Sud
  • Deana Sacks, avocat États-Unis
  • Michael Swinwood, avocat, Canada

  • Pour lire « La procédure de Reiner Fuellmich lancée : un « Grand Jury » par la Cour populaire de l’Opinion Publique » sur France Soir : cliquer ici.

[Voir aussi :
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

Grand Jury – Session 2

Jour 3 – Grand Jury]

Too much is too much [Trop, c’est trop]

Nous ne pouvons bien sûr préjuger de ce qui est reproché à Me de Araujo. Mais l’hypothèse que l’avocate aurait trempé dans une conspiration ayant pour finalité un coup d’Etat est tellement peu crédible qu’il faut à ce stade en privilégier d’autres. Les progrès du Grand Jury et ce que ses travaux dévoilent semblent constituer un motif bien plus plausible à ce stade pour expliquer la nervosité extrême du pouvoir en France.

Un pouvoir en pleine dérive autoritaire et dont l’on doit se demander avec le plus grand sérieux s’il n’a pas purement et simplement basculé dans une psychopathologie paranoïaque- laquelle est historiquement la grande signature psychique de ceux qui perpétuent les dérives totalitaires. Au cours desquelles -c’est leur nature intrinsèque révélée par l’étymologie- ne sont plus supportées aucune contestation, aucune divergence d’opinion, aucune opposition d’aucune sorte.

Lorsque d’aucunes se manifestent (rappelons au passage qu’elles sont les garantes nécessaires de la démocratie comme de l’intelligence), reste à les écraser en faisant usage de tous moyens utiles.

C’est dans cette boursouflure qu’il est plus que probable hélas que soit tombée la macronie. Après avoir commencé par régler leur compte aux scientifiques, médecins, universitaires et parlementaires qui ont au l’audace de contester ce que le gouverneur de Floride appelle « la pièce de théâtre du Covid » ayant servi à la destruction des libertés et des fondements de l’état de droit, elle semble maintenant prête à s’en prendre aux quelques journalistes et aux avocats qui osent défier sa toute-puissance.

Jeu à double-tranchant et même à vrai dire dangereux pour elle tant elle risque par là de révéler ouvertement son vrai visage.

  • Pour lire « Il est plus que temps d’arrêter le théâtre du Covid » selon le Gouverneur de Floride sur Covidhub : cliquer ici.



Linky : les électrosensibles gagnent leur procès contre Enedis

[Source : Nexus]

[Illustration : AStoKo sur Pixabay]

Le distributeur d’électricité Enedis a annulé son pourvoi en cassation qui faisait suite à la condamnation par la cour d’appel de Bordeaux à « dépolluer » l’électricité de treize plaignants.

Après plusieurs revers devant les tribunaux, Enedis avait prévu de se pourvoir en cassation. Mais en janvier 2022, l’entreprise a préféré éviter ce dernier recours. Une victoire symbolique pour les électrosensibles. 

◆ Des troubles reconnus par l’Anses 

L’électrosensibilité (EHS) est le nouveau mal de notre société ultra-connectée. Elle se caractérise par une intolérance plus ou moins sévère aux champs électromagnétiques. Maux de tête, réveil en pleine nuit avec impossibilité de se rendormir, stress intense, dépression, maux de ventre, raideur dans la nuque, tous peuvent être causés par de l’électrosensibilité. L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) estime qu’aujourd’hui en France, environ 5 % de la population serait électrosensible, soit quelque 3 350 000 personnes.

◆ Une victoire décisive

En mars 2019, un collectif anti-Linky, composé de 206 plaignants, a porté plainte contre Enedis et son compteur connecté Linky. Ils accusaient l’appareil de représenter un danger pour la santé des utilisateurs et reprochaient à Enedis d’avoir installé les compteurs sans leur autorisation. Le tribunal de grande instance (TGI) de Bordeaux avait reconnu un préjudice pour treize des plaignants, qui avaient, certificats médicaux à l’appui, prouvé leur électrosensibilité. Le distributeur d’électricité Enedis avait été condamné à « dépolluer » l’électricité de treize victimes dans les plus brefs délais, sous peine de devoir leur verser 500 euros par jour de retard. L’entreprise avait fait appel puis avait saisi la Cour de cassation, avant de finalement retirer son pourvoi, ce qui signifie la victoire des plaignants.

◆ Robin des toits en soutien

L’association Robin des toits, qui milite contre les ondes émanant des appareils du quotidien, a soutenu les plaignants moralement et financièrement afin qu’ils puissent aller au bout de leur procédure. Pour Patrice Goyaud, secrétaire de l’association Robin des toits :

« Nous ne pouvons que nous réjouir de cette avancée majeure, laquelle, nous l’espérons, fera date. Toutefois il s’agit d’une victoire d’étape, et nous devons obtenir non seulement la dépollution des logements d’EHS, mais aussi le remplacement de leurs compteurs Linky abusivement installés, par des compteurs non communicants. Par extension, ces mesures devraient être applicables à tout usager, même non EHS, qui en ferait la demande ».

Étape symbolique dans le combat des personnes atteintes d’EHS, espérons que cette décision de justice fera jurisprudence et qu’elle permettra à d’autres plaignants d’obtenir gain de cause.




Un politicien danois exige un « procès de Nuremberg » pour les criminels du Covid-19

[Source : kla.tv]

Mads Palsvig, homme politique danois, est persuadé que, littéralement : « … nous avons besoin d’un Nuremberg. Même maintenant, où, pour se soustraire à la justice, ils lèvent les restrictions et prétendent que les vaccins ont été utiles. »

[Transcription :]

Chers amis de Kla.TV,

Récemment, j’ai lu cet article :
Un politicien danois exige un « procès de Nuremberg » pour les responsables de la pandémie du Covid-19
Mads Palsvig est un ancien banquier danois et un homme politique du jeune parti JFK21. Il a envoyé une « déclaration du nouvel an » suggérant un nouveau « processus de Nuremberg » pour la recherche de la vérité et la réconciliation. La déclaration a été envoyée à 1 600 journalistes, à tous les membres du parlement danois, au personnel du ministère américain de la Santé CDC et à d’autres décideurs de la police danoise ainsi qu’à des diplomates et politiciens étrangers.

Palsvig ne veut pas de la peine de mort pour ces criminels. Mais il dit en substance : « …nous avons besoin d’un Nuremberg. Même maintenant, où, pour se soustraire à la justice, ils lèvent les restrictions et prétendent que les vaccins ont été utiles. »
Mads Palsvig avertit qu’il ne faut pas se réjouir trop vite de la levée des mesures en considérant cela comme une victoire. Il craint bien plus que les opposants aux libertés se groupent à nouveau pour lancer une nouvelle attaque contre le peuple. Il invoque avec insistance le maintien de la pression par des actions quotidiennes. C’est la seule façon de mettre à genoux le système mondial de banksters qui financent des États entiers. Les efforts de divulgation doivent être coordonnés à l’échelle mondiale.

Palsvig va encore plus loin. Il demande l’inculpation, le procès et la condamnation de toutes les personnes impliquées dans l’imposition de ces mesures, de toutes les personnes qui continuent à promouvoir activement les expériences de vaccination, les tests et les masques obligatoires, les restrictions des libertés individuelles et qui font pression sur les personnes non vaccinées. Donc, tous ceux qui ont participé à ces crimes contre la dignité humaine doivent être tenus pour responsables. Il s’agit des politiciens, mais les responsables administratifs, les autorités sanitaires, les établissements d’enseignement, la justice, les journalistes et les responsables des médias sont également concernés. Et tous ceux qui exigent des certificats de vaccination. Ou ceux qui harcèlent ou discriminent les concitoyens non vaccinés, non testés ou sans masque.

Palsvig met au défi toutes les personnes concernées de se rendre disponibles à titre de témoins principaux contre les puissances qui se cachent derrière cette conspiration mondiale. Il propose d’accorder l’impunité ou l’amnistie aux personnes qui ont été contraintes d’agir parce que du matériel compromettant leur existence avait été utilisé contre elles.

Pour le politicien d’opposition danois, il ne fait aucun doute que de nombreuses personnes impliquées dans les crimes du Covid ont elles-mêmes été victimes d’extorsions de toutes sortes. Ces personnes doivent désigner à une commission les personnes qui se cachent derrière ces événements et rapporter ce qui a été discuté et décidé à huis clos lors des réunions Bilderberg, du Forum économique mondial, de l’Agenda 21, du Rockefeller Lockstep, de l’ID2020 et d’autres réunions conspiratrices de groupes non élus.

Conclusion de Mads Palsvig : seul un procès de Nuremberg, qui dévoile les commanditaires et les interdépendances internationales de cette affaire criminelle à grande échelle et qui demande des comptes à tous les responsables dans le monde, conduirait à un monde plus juste.

Les émissions Kla.TV suivantes sont également recommandées à ce sujet :
• Mesures Covid : Plainte pénale pour génocide déposée à La Haye Escroquerie Covid : 80 raisons de « se faire rembourser ! » (Discours aux nations – par le fondateur de Kla-TV Ivo Sasek)
• Commission Covid : Annonce d’une procédure judiciaire mondiale
La phrase finale de Mads Palsvig est encourageante :

« Je sens au fond de mon cœur que nous allons gagner cette guerre. C’est la dernière bataille pour l’humanité et cette fois-ci, les forces du bien l’emporteront. »

de hm.

Sources :

Mads Palsvig fordert Nürnberger Prozess für Corona-Verbrecher
https://unser-mitteleuropa.com/daenemark-mads-palsvig-von-jfk21-fordert-nuernberger-prozess-fuer-corona-verbrecher/

Cela pourrait aussi vous intéresser :

#Coronavirus-fr – Coronavirus – www.kla.tv/Coronavirus-fr
#Vaccination-fr – Vaccination – oui ou non ? Faits et arrière-plans – www.kla.tv/Vaccination-fr
#PresentationPrivee – Présentation privée – www.kla.tv/PresentationPrivee
#PlaintePenale – Plainte pénale – www.kla.tv/PlaintePenale

K la.TV – Des nouvelles alternatives… libres – indépendantes – non censurées…

  • ce que les médias ne devraient pas dissimuler…
  • peu entendu, du peuple pour le peuple…
  • des informations régulières sur www.kla.tv/fr

Ça vaut la peine de rester avec nous!

Vous pouvez vous abonner gratuitement à notre newsletter: www.kla.tv/abo-fr

Avis de sécurité:

Les contre voix sont malheureusement de plus en plus censurées et réprimées. Tant que nous ne nous orientons pas en fonction des intérêts et des idéologies de la système presse, nous devons toujours nous attendre à ce que des prétextes soient recherchés pour bloquer ou supprimer Kla.TV.

Alors mettez-vous dès aujourd’hui en réseau en dehors d’internet!
Cliquez ici :
www.kla.tv/vernetzung&lang=fr

Licence:

Licence Creative Commons avec attribution

Il est permis de diffuser et d’utiliser notre matériel avec l’attribution! Toutefois, le matériel ne peut pas être utilisé hors contexte.
Cependant pour les institutions financées avec la redevance audio-visuelle, ceci n’est autorisé qu’avec notre accord. Des infractions peuvent entraîner des poursuites.




Révélation explosive : en 5 ans, Big Pharma a offert 818 millions d’euros à des médecins influenceurs en France

[Source : lecourrier-du-soir.com]

Par Cheikh Dieng -2 mars 2022

Entre 2014 et 2019, Big Pharma a débloqué 818 millions d’euros pour récompenser des médias influenceurs en France, d’après une étude consultée par Lecourrier-du-soir.com et dont les résultats ont été publiés ce 02 février.

Les KOL (Key Opinion Leaders) ou l’arme redoutable utilisée par Big Pharma pour se remplir les proches. En tout cas, en pleine crise sanitaire où les liens entre laboratoires et scientifiques a déjà suscité une vive indignation, une étude menée par des chercheurs français risque de provoquer un vif tollé en France.

En effet, d’après cette étude relayée par le média Le Quotidien du Médecin, l’industrie pharmaceutique accorde d’importants cadeaux (financiers) à des médecins KOL pour vendre ses produits. Les montants débloqués sont faramineux. Selon le Quotidien du Médecin, entre 2014 et 2019, les industriels ont fléché 6 milliards d’euros (au niveau mondial) vers les médecins dont notamment 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature. D’après la même source, 548 médecins influenceurs sont en France.

“Sans surprise, les KOL sont plus gâtés que les autres. Alors que les leaders d’opinion ne représentent 0,24 % des praticiens en France, ils concentrent à eux seuls 0,68 % du nombre total de cadeaux et 1,5 % de la valeur totale de ces avantages en nature. En moyenne, un médecin influenceur recevait l’équivalent de 3 700 euros de cadeaux par an. Et 99 % des associations médicales comptaient au moins un membre de son conseil d’administration pour lequel un cadeau avait été déclaré”, révèle la source.

Dans son travail d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a eu accès à l’étude en question dans sa version originale et intégrale. Et les chiffres qui y sont dévoilés sont hallucinants. Ainsi, de 2017 à 2019, 1,67 millions d’accords contractuels ont été déclarés pour un montant 125 millions d’euros.

L’étude révèle également qu’en France, entre 2014 et 2019, 7 354 492 cadeaux ont été déclarés pour un montant de 818 millions d’euros. Les cadeaux accordés aux KOL ont été estimés à 12,3 millions d’euros, soit 3 700 euros de cadeau par an pour chaque KOL. En pleine crise sanitaire, cette étude risque de provoquer un séisme dans le monde médiatique.

Pour lire l’étude dans sa version originale, cliquez sur le lien suivant : KOL 





L’OMS et ses partenaires préparent un passe vaccinal et identitaire mondial

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Laurent Aventin

L’Organisation mondiale de la santé doit prochainement convoquer les États membres et les dirigeants des entreprises de technologie délivrant des certificats de vaccination Covid-19 pour faciliter la création d’un passe vaccinal mondial. Les promoteurs de cette initiative ont justifié cette nécessité pour faciliter des voyages ou pour vanter un effort de réouverture et de relance de l’économie. Cette politique, très claire, a consisté dans un premier temps à supprimer les libertés par la justification d’un contexte sanitaire défavorable, puis la restitution des libertés sous conditions : celles d’un contrôle social total sur les individus. La peur et le mensonge permettent de mettre en place ce qui ne pourrait l’être autrement.

La logique est implacable : Depuis l’apparition du Covid en 2020 – dont on est maintenant quasi certain qu’il a été fabriqué en laboratoire et qu’il ne s’agit en aucun cas d’une zoonose – les passe ou passeports de vaccination sont devenus obligatoires pour les voyages internationaux dans de nombreux pays.

Vers la normalisation du passe vaccinal

Mais, la reconnaissance et la validité des passe vaccinaux varient d’une région à l’autre, voire d’un pays à l’autre en raison de normes différentes en matière de preuve de vaccination. Par ailleurs les modalités de vérification des passes varient également d’un pays à l’autre, L’OMS et ses partenaires proposent donc de travailler sur des modalités communes pour les pays membres de l’OMS, c’est-à-dire le monde entier. Les quelques pays qui ne sont pas membres des Nations-unies devront de toute façon se plier à ce système si leurs ressortissants veulent voyager.

L’argument des Etats-Unis est officiellement de construire un « système équitable ». Par-là, il faut comprendre un système harmonisé et international. Ce dispositif normatif sera le premier instrument de contrôle des libertés individuelles sur le plan mondial.

Pour les promoteurs du projet comme Brain Anderson, cofondateur du Vaccination Credential Institute (VCI), les éléments de langage sont simples, il faut créer un « cadre de confiance » qui passe par des normes internationales.

VCI ™ est une coalition volontaire d’organisations publiques et privées engagées à donner aux individus l’accès à des informations cliniques vérifiables, y compris une copie fiable et vérifiable de leurs dossiers de vaccination sous forme numérique ou papier en utilisant des normes ouvertes et interopérables.

L’objectif de VCI™ est d’harmoniser les normes et de soutenir le développement de guides de mise en œuvre nécessaires pour émettre, partager et valider les carnets de vaccination liés à une identité individuelle.

Les individus peuvent ensuite utiliser ces informations d’identification vérifiables à des fins médicales et pour démontrer leur statut vaccinal afin de retourner au travail, à l’école et en voyage en toute sécurité.

Le passe vaccinal numérique, cheval de Troie pour l’instauration d’une gouvernance mondiale

VCI est à l’origine des cartes de santé SMART, qui sont devenues la norme de facto pour les informations d’identification numériques sur les vaccins aux États-Unis. Par ailleurs, des dizaines d’États ont déjà développé ou adopté la technologie. Le groupe VCI participera à l’initiative organisée par l’OMS. Microsoft et Apple sont parties prenantes de VCI ainsi que de nombreuses sociétés spécialisées dans les biotechnologies. Il n’est pas difficile de comprendre où mènerons ces discussions, l’entente est déjà établie entre ces partenaires d’ailleurs souvent liés à l’industrie pharmaceutique. Il y a le marché des vaccins, il y aura celui des micropuces ou biopuces sous-cutanées, tout aussi juteux ; ce dispositif permettra de ne pas égarer son passe vaccinal et surtout de lutter contre la fraude. Du moins, ce seront les arguments utiles à la justification d’un tel projet, encore fallait-il créer les conditions favorables à sa mise en œuvre, ce que le Covid a permis de réaliser avec succès.

En janvier 2022, les États-Unis ont partagé avec l’OMS une série d’amendements visant à faire évoluer le Règlement sanitaire international (RSI) évoqué dans un précédent article. Ces amendements imposent une action rapide de la part des pays et de l’OMS en cas d’urgence sanitaire… il faut entendre une nouvelle épidémie dont on se posait la question de savoir si elle n’est pas déjà programmée pour imposer un système de contrôle total sur la population mondiale. Enfin, ces amendements donnent à l’OMS de plus grands pouvoirs, ces prérogatives ont déjà été travaillées en 2021 dans une convention historique dit traité sur les pandémies.

Les évènements vont très vite, l’opinion publique est peu informée de manière à éviter toute opposition des populations. Les gouvernements occidentaux participent activement à ce processus. Ceux qui pensent en avoir fini avec les épidémies et le passe vaccinal se trompent lourdement.

Les dossiers d’Aventin

Retrouvez les dossiers de référence de Laurent Aventin sur le COVID et la vaccination, pour enfin être informé clairement et avec rigueur sur la situation :
Lire les dossiers

ESSENTIEL




La peur nourrit la haine, une haine qui légitime tout, y compris l’horreur

Par Alain Tortosa

[Illustration : citation-celebre.leparisien.fr]

Terroriser, rejeter, mettre au ban, déshumaniser, condamner puis exterminer…

La crise ukrainienne s’inscrit parfaitement bien dans la continuité de la plandémie sur le Covid.
Le clivage n’est pas redéfini et à part quelques exceptions les « complotistes » du Covid sont les « complotistes » du conflit ukrainien.
Les « covidistes » adhèrent autant à la doxa sur le Covid que sur l’Ukraine.

L’idée de ce texte m’est venue en lisant des réactions sur Twitter suite à la prise de parole d’un infirmier, privé de travail et de revenus, qui criait sa douleur et le peu d’empathie de ses collègues soignants.

Parmi les commentaires, voici…

« OUI ça ne choque que toi pauvre M****💩 entre des gens qui subissent une guerre et des résistants de pacotille qui veulent mettre les malades en danger par pur égoïsme et idéologie. JE M’EN FICHE ROYALEMENT QUE CES GENS AIENT ÉTÉ VIRÉS et même TANT MIEUX !!!! »

« Qui n’aurait pas peur d’être soigné par de tels égoïstes qui ne pensent qu’à eux et jamais à l’autre ! »

« Dans le tramway le “Masque est obligatoire”. Mais hier après-midi, dans une rame bondée, trois imbéciles le portaient sous la bouche dont une femme que j’ai rappelée à l’ordre, car elle discutait et donc postillonnait.

En fait, elle a juste souri avec arrogance et continué à parler de vaccins bidons, etc.. Encore une antivax si j’ai bien compris. Ces gens me mettent hors de moi. »

« La hausse des carburants, c’est terrible ! Mais un peu de retenue ! Nous restons à peu près assurés de notre bien-être, de nos libertés, et, pour l’instant du moins, hors de portée du criminel de guerre moscovite. »

« Ces écervelés ne comprennent pas que ce qu’ils n’ont pas fait aurait pu nuire à leurs patients/missions de service public. D’un côté les pleutres ayant peur d’une petite piqûre, de l’autre des résistants à l’invasion de leur pays… »

Etc.

Nous le voyons autant pour le Covid que pour l’Ukraine, le moteur demeure la peur face à une « menace mortelle » incarnée par le Sars-CoV=2 ou par Poutine.

Une autorité nous a expliqué qu’il y avait de terribles dangers et qu’elle se chargeait de nous protéger à la condition que nous nous pliions totalement à ses injonctions quand bien même celles-ci seraient parfaitement contradictoires.

Celui qui est dans la peur de mourir le reconnaît rarement et va donc s’attribuer les mérites d’une obéissance totale par « solidarité » :

  • « Je me vaccine pour protéger les autres. »
  • « Je suis solidaire et je crache sur Poutine pour protéger les Ukrainiens. »

Bull-shit !
Il est probable, pour ne pas dire certain, que ces personnes bien-pensantes se croient empathiques, mais certainement pas dans une démarche égoïste.

Combien se sont vaccinés pour protéger des inconnus ?
Combien d’entre-nous savaient où se trouvait l’Ukraine et combien savaient et s’inquiétaient d’une guerre civile faisant rage depuis 8 ans ?

Les gens se sont vaccinés pour protéger leur petite personne (ou leur proche famille) ou, pire encore, pouvoir continuer à aller au resto ou au cinéma !

Quant à l’Ukraine dont vous et moi n’avons strictement rien à foutre (j’ai l’honnêteté de le reconnaître), la seule peur pourrait être de voir Poutine débarquer avec ses chars où nous balancer une ogive nucléaire hypersonique.

Ce peuple docile a continuellement peur, peur pour sa vie !

Je serais bien incapable de définir la « vie » et plus encore « être vivant », mais de toute évidence ces personnes paniquées en ont une vision pour le moins étriquée et restrictive.

Qu’importe les confinements, qu’importe les interdictions, qu’importe l’obligation de masque, qu’importe les pass sanitaires ou vaccinaux, si cela permet de conserver sa « sécurité » et sa « liberté » !

Tous les interdits que nous subissons depuis des dizaines d’années et dont nous vivons une apothéose ne sont pas vécus comme des interdits.
Le peuple a totalement intégré dans sa psyché que « l’interdit c’est la liberté » !
Vivre semble donc se limiter à avoir un toit, pouvoir se nourrir, mais surtout pouvoir consommer.

« Je dépense donc je suis ! »

Cette population docile vit dans la peur et les gouvernements font tout pour la maintenir en permanence dans un va-et-vient de « ça va mieux » et de « ça empire ».

Nous avons, et ce n’est pas fini, vécu pendant deux ans dans une menace dont nous avons entendu parler, mais que nous n’avons pas vue et dont nous ignorerions toujours l’existence sans les médias.
Et nous vivons désormais avec une menace de guerre que nous ne voyons pas sous nos fenêtres et dont nous ignorerions l’existence sans les médias (la preuve en est que nous ne savions pas que l’Ukraine était en guerre civile depuis 2014).

Et demain (nous n’en voyons que les prémices), nous allons vivre sous la menace du dérèglement climatique avec à la clef le risque d’extinction de l’espèce humaine, et ce sans pouvoir nous demander si tout ceci est naturel, mensonger, créé par l’homme et si nous pouvons « lutter contre ».

Je vous rappelle que l’on nous fait croire depuis 2 ans qu’il est possible de lutter (et avec succès) contre un virus et qu’il faudrait être complotiste ou totalement débile pour en douter !

Cette peur est tellement envahissante qu’il n’y a plus aucune place pour la réflexion, la critique, la prise de recul et encore moins l’empathie pour autrui.

Comme nous pouvons le voir sur ces témoignages (soft), cette peur conduit à une déconnexion totale du cœur et de l’empathie.

Un soignant applaudi hier comme un héros est devenu la dernière des merdes en refusant de se vacciner.
Il est passé instantanément du statut de rempart, de soldat du feu pour me protéger MOI au statut de lâche, de complotiste, d’irresponsable, d’égoïste, de pyromane et même de tueur en puissance.

C’est d’autant plus intéressant que c’est le même soignant, la même personne, mon même voisin…

La force de la propagande est telle que tout personnel soignant qui voulait traiter ses patients Covid par des antibiotiques ou autres molécules, au lieu de paracétamol, est perçu comme un fou dangereux qui menace notre propre vie !
Les années précédentes, c’eut été l’inverse qui nous aurait profondément choqués.

Ne tentons pas de parler d’études, de science, d’efficacité… toute forme de critique en direction des saintes écritures n’est que menace pour notre vie, car il ne saurait exister une autre voie que celle martelée par l’église du coronavirus et ses fidèles serviteurs.

Il en est de même pour la guerre en Ukraine, un système binaire avec les « bons » qui représentent « l’axe du bien » et « Satan » « l’axe du mal ».

Ici aussi, mettre de la nuance, introduire de la géopolitique, laisser entendre qu’il pourrait y avoir des responsabilités occidentales dans les événements actuels est vécu comme une menace, car, ici encore, il ne saurait y avoir une autre voie que faire la guerre et détruire Poutine.

Celui qui ne pense pas comme on lui a dit de penser, celui qui n’obéit pas aveuglement aux injonctions, celui qui critique et encore plus celui qui résiste est une menace et un traître !

En fervent disciple et défenseur de la foi, je fais partie des bons, des gentils, des généreux, des solidaires, etc.

L’autre est évidemment un sale type, le non-vacciné est un sale type comme Poutine est un sale type.

L’autre est de fait tout sauf comme moi…

L’empathie devient non seulement impossible, mais quasi criminelle :

  • Comment voulez-vous être empathique avec un soignant qui a fait le choix de devenir sciemment un tueur potentiel de petits vieux ?
  • Comment voulez-vous être empathique avec un habitant du Donbass russophone et même russophile qui voit en Poutine un sauveur face à des bataillons nazis qui affirment sans s’en cacher qu’il faudrait les éradiquer ?

Il ne peut y avoir de « bons » de part et d’autre de l’échiquier.

Si mon ennemi est un humain comme moi, si un soignant est un humain comme moi, humain qui aime, qui a une vie, une famille, des enfants alors comment pourrais-je le tuer ou le priver de quoi vivre ?

Aucune guerre ne pourrait exister si des humains étaient en face d’autres humains…

Et la propagande se charge de déshumaniser activement le camp d’en face, « l’autre ».
La technique employée pour le Covid (égoïstes, idiots, irresponsables, complotistes, criminels, antisémites…) est la même que celle employée pour qualifier celles et ceux qui n’approuvent pas la gestion de la crise en Ukraine.
Les « pacifiques », ceux qui veulent que la guerre s’arrête, n’imaginent que des sanctions économiques et l’envoi d’armes létales aux Ukrainiens.

Rappelez-vous Saddam Hussein dont les troupes au Koweït « débranchaient les bébés des couveuses pour les jeter dans des poubelles ».
Nous savons aujourd’hui que ce n’était que de la propagande orchestrée pour faire de Saddam un monstre, un non-humain pour légitimer l’invasion de l’Irak et ensuite fermer les yeux sur des centaines de milliers de civils irakiens qui seront tués pendant le conflit.
Notre président, en disant que nous étions en guerre contre le Covid, a utilisé les mêmes stratagèmes et manipulations du peuple pour le conditionner à réclamer la fin des Droits des l’homme.
Je ne crois pas qu’il y ait eu des guerres que les États ont pu débuter sans manipuler auparavant le peuple et transformer « l’ennemi » en monstre.

Pour l’Ukraine nous avons aussi eu droit aux cibles civiles sciemment visées, aux enfants sciemment tués, aux dizaines de milliers de victimes tuées par le monstre slave, sans compter la destruction de centrales nucléaires, etc.
À aucun moment on n’émet l’hypothèse que les troupes ukrainiennes pourraient faire de même.

Ici encore adieu toute réflexion :

  • Si Poutine voulait voler l’Ukraine, il n’a pas vraiment intérêt à la détruire.
  • Si Poutine veut sauvegarder son image, il a intérêt à limiter au maximum le nombre de morts civils.

Bien entendu de tels propos relèvent d’un crime d’intelligence avec l’ennemi !

La réflexion est à ce point morte que nombreux sont ceux qui croient que l’armée ukrainienne pose des difficultés, voire même, met en déroute une armée qui est une des deux plus fortes de la planète !
Et là aussi on ne se dit pas que si Poutine avait voulu rayer l’Ukraine de la carte, il aurait pu la réduire en cendres en 48 heures sans même utiliser d’armes nucléaires !
Pourquoi Poutine progresse lentement au sol alors qu’il pourrait provoquer des pluies de bombes comme les Américains en Irak ?

Nous voyons donc une disparition totale de la réflexion, de la logique, du bon sens et de l’esprit critique aussi bien pour le Covid que pour l’Ukraine.
Mais pire encore, cette peur pour certains, et cette panique pour d’autres, nourrit et conduit à la haine d’autrui.

Nous avons vu comment il est facile de déshumaniser des personnes qui ont pourtant un bagage social, fait des études, etc.
J’ai même tendance à croire que l’ouvrier a plus gardé un certain bon sens dans la crise que le cadre supérieur.
Avant cette crise, je ne savais pas à quel point il est aisé de mener un peuple où on le désire dans une dictature.

Connaissez-vous beaucoup de donneurs d’ordres qui ont refusé d’appliquer les mesures dictatoriales ?

  • Combien d’enseignants, d’encadrants, de policiers, de chefs d’entreprise, de restaurateurs, d’agents de sécurité, de contrôleurs de la SNCF et j’en passe ont dit « NON ! » ?
  • Combien ont refusé d’imposer le masque ?
  • Combien ont refusé d’imposer un pass sanitaire ?
  • Combien ont refusé d’imposer un pass vaccinal ?

Quasi aucun !
Et si ou quand demain cette même autorité nous impose(ra) de mettre dans des camps les « mauvais citoyens », qui dira « non ! » ?

Les mêmes qui vous ont interdit de rentrer dans un magasin sans un masque vous feront monter dans un train sans le moindre problème de conscience !

Fiction ?
Si en 2019 on vous avait dit que vous seriez interné de force chez vous, que vous auriez l’obligation de porter un masque, une obligation d’injection expérimentale, un passeport sanitaire puis vaccinal pour des activités de la vie courante, l’auriez-vous cru ?
Si on vous avait dit que les Français accepteraient sans casser du flic vous l’auriez cru ?
Si on vous avait dit qu’ils auraient vécu les diminutions de ces mesures avec angoisse, vous l’auriez cru ?

Dois-je vous rappeler que le projet de loi(([1] https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3714_projet-loi#)) 3714 déposé en décembre 2020 comporte une disposition de placement pour les personnes contaminées ?

Alors comment un humain peut-il en arriver à obéir, souhaiter et participer activement à des actes qui peuvent conduire à des génocides ?

Tout simplement parce que ce n’est pas un humain comme lui qu’il fera monter dans le train, mais une personne mauvaise, un sous-être, un non-être, un non-humain !

Nous n’en sommes pas encore là… ça débute par l’interdiction de fréquenter certains lieux à une catégorie de personnes, à les priver de travail ou licencier un chef d’orchestre ou empêcher un sportif de participer à des compétitions uniquement du fait de sa nationalité russe ou de son statut vaccinal.

Cela provoque-t-il l’indignation de la masse ?
Tout au plus l’indifférence, mais bien souvent des applaudissements ou un regret de ne pas faire plus.

Supprimer les produits russes d’un supermarché, renommer un collège, effacer le nom de Gagarine d’une association sur l’espace n’est pas totalement ridicule, stupide ou injuste, mais un acte patriotique !

Et ne parlons pas des « sanctions économiques » qui relèvent de la commedia dell’arte. On fait croire que l’on va mettre en place un embargo contre le gaz russe.
Cela fait exploser les prix et enrichit scandaleusement les producteurs et les spéculateurs.
Dans le même temps, les importations de gaz russe sont à la hausse et Poutine encaisse une fortune qui lui permet de financer sa guerre et compenser les « sanctions » !

Qui paye la facture ? Le peuple !
Mais le gouvernement est « généreux », il met en place des aides…
Ces aides vont-elles être financées en ponctionnant ceux qui se font des milliards grâce aux « sanctions » ?
Non, elles vont aller augmenter encore plus notre dette et notre dépendance vis-à-vis de nos créanciers… Tout aussi ridicule que le blocage du prix de l’énergie qui sera financé par ? Nous-mêmes !
Bien entendu le coupable désigné en l’occurrence est Poutine comme le coupable désigné pour la destruction des Droits de l’homme et de l’économie était le Sars-CoV-2.
Les Occidentaux mettent en place des mesures dont les seules victimes seront leur peuple et que l’on imputera à autrui ou un virus.
Elles nourrissent la haine contre les « antivax » d’un côté et la haine contre Poutine de l’autre.

Le vernis entre l’animal sauvage et l’être civilisé est toujours plus fin qu’on ne le croit.

Ainsi la valeur d’un Russe ou d’un non-vacciné peut être équivalente, c’est-à-dire proche de zéro… il devient alors possible de l’éradiquer sans problème de conscience.
Mais le bourreau n’est pas conscient, il croit « bien agir » et « bien penser » pour venir en aide aux Ukrainiens ou pour les victimes de l’odieux virus.

Seules la peur et la haine attisées par la propagande gouvernementale, le matraquage médiatique, permettent d’en arriver là et l’histoire nous prouve que rien ne l’arrête.

Allons-nous enfin nous lever pour dire stop à la peur, stop aux boucs émissaires et stop à la manipulation permanente des peuples ?
Rien n’est moins sûr.

Alain Tortosa

21 mars 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220321-la-peur-etape-vers-la-haine-et-les-genocides.pdf




Vera Sharav : « Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

« Un groupe d’oligarques mondiaux assoiffés de pouvoir, qui se compose de Big Pharma, des banques centrales, et des compagnies technologiques de biosurveillance, a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis. »

Dans ce debriefing exceptionnel, nous avons reçu Vera Sharav, rescapée de l’holocauste et éminente militante des droits de l’homme. Elle a partagé avec nous ses analyses sur les parallèles qu’il est possible d’établir entre les évènements survenus au cours de la crise du Covid-19 et la période du nazisme. Cette interview a été conduite en partenariat avec Ariane Bilheran, docteure en psychologie. Elle a écrit plusieurs ouvrages sur la manipulation mentale et la psychologie du pouvoir et elle est l’auteure de la tribune Totalitarisme, idéologie et paranoïa publiée dans France Soir.



Vera Sharav, née en 1937 en Roumanie, est la fondatrice de l’organisation à but non lucratif Alliance for Human Research. Elle s’est illustrée par son fervent militantisme contre les pratiques illicites et frauduleuses de l’industrie pharmaceutique depuis la mort de son fils adolescent suite à une réaction à la Clozapine, un médicament prescrit dans le cadre du traitement d’un trouble schizo-affectif.

Dans son combat, Vera Sharav s’est particulièrement intéressée au sujet des dispenses de consentement émises par la Food and Drug administration (FDA) dans le cadre d’études cliniques. Son engagement l’avait notamment conduite à faire campagne contre « Northfield Laboratories », fabricants du substitut sanguin PolyHeme, une affaire dont les médias et le Sénat américain s’étaient saisis.

Naturellement, elle s’est rapidement positionnée contre la vaccination anti-Covid imposée dans différents pays du monde au moyen d’un arsenal législatif liberticide, qui viole le consentement libre et éclairé normalement exigé avant de pratiquer un acte médical ou d’administrer un traitement. Pour Vera Sharav :

« du temps d’Hitler, ce sont surtout les juifs qui étaient diabolisés en tant que propagateur de maladies infectieuses. Aujourd’hui, ce sont les résistants à l’obligation vaccinale et au passeport vaccinal. »

En revanche, elle soutient que ces injonctions s’inscrivent dans le cadre d’un projet plus large, le Nouvel Ordre Mondial, aussi appelé Grande Réinitialisation, qui vise à prendre le contrôle de chaque aspect de la vie du citoyen. Le passe vaccinal est un pilier fondamental de ce plan, censé consolider le projet d’identité numérique. « L’objectif sous le régime nazi et aujourd’hui est le même. Il s’agit de prendre le contrôle de la vie des gens et de s’assurer qu’ils obéissent aux décrets du gouvernement quel qu’il soit », martèle-t-elle. Et de mettre en garde :

« Lorsque nous voyons des scènes horribles de policiers en uniformes noirs, tout comme les nazis, attaquer brutalement les manifestants à Paris, à Ottawa, en Israël… ces scènes sont des rappels douloureux au prélude de l’Holocauste : la solution finale. »

Vera Sharav est aussi revenue sur le rôle central tenu dans cette crise par le Dr Anthony Fauci, conseiller de la Maison-Blanche sur la gestion de la crise sanitaire, et sur les violations manifestes du Code de Nuremberg qu’induit ce qu’elle qualifie d’« expérimentation massive ». Elle l’assène :

« Le Code de Nuremberg est garanti à chaque être humain en temps de guerre comme en temps de paix. En d’autres termes, déclarer un état d’urgence ne suspend pas le Code de Nuremberg. »

Ce debriefing a été réalisé en partenariat avec The Translation Bridge, chargé de la traduction de cette vidéo.

[Voir aussi :
La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19]




Une avocate antivax kidnappée et séquestrée par les barbouzes de Macron

[Source : RL]

Par Christian Navis

Le 22 mars 2022 la macronestapo procédait à la rafle matinale de Maître Virginie de Araujo Recchia, et à sa séquestration en un lieu tenu secret, en violation de ses droits. Une info étouffée dans le silence complice des médias main stream.

[Voir aussi :
L’avocate Virginie de Araujo-Recchia placée en garde à vue]

Cette juriste opposée à la dictature sanitaire travaillait avec Reiner Fuellmich, son confrère qui a initié contre Macronescu une procédure internationale en crimes contre l’humanité.

Cette procédure s’articule, entre autres griefs, sur les contraintes vaccinales sous menaces et chantages, en violation du code de la santé français et du code de Nuremberg.  Aggravées par les nombreux accidents, certains mortels, résultant de ces thérapies expérimentales rendues obligatoires sur des cobayes  humains.

Mais je vous parie que les nervis du pouvoir vont « découvrir » quelques grammes de coke chez elle, ou une arme ayant servi à un hold up, ou alléguer tout autre prétexte permettant de la séquestrer. Et après ça, la macronaillerie traite Poutine de dictateur !

Elle a commis des fautes impardonnables !

À l’été 2021, après que Macronescu a imposé l’obligation vaccinale pour tous les soignants et la généralisation du passe nazitaire pour l’ensemble des Français ne voulant plus rester enfermés chez eux, elle clamait dans une vidéo virale qui n’allait pas tarder à être cenSSurée, que les mesures gouvernementales covidesques, notamment la vaccination forcée et le port du masque obligatoire, participaient à un génocide dans un pays où la séparation des pouvoirs n’existait plus.

Puis en février 2022, elle rassemble des preuves pour le Tribunal international (non reconnu par la France, comme les nazis récusaient Nuremberg) mis en place par l’avocat allemand Reiner Fuellmich afin de juger les politiciens cupides qui ont contribué, avec leurs pseudo-vaccins, à tuer plus de gens que le virus de la grippe pangoline.

Il tombe sous le sens que les voyous qui ont pris la France en otage ne pouvaient tolérer pareilles dénonciations.

Peu de temps auparavant, elle avait rendu public son rapport intitulé « Dictature 2020 » accusant le pouvoir macronien et ses sbires de « terrorisme d’État, atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation et crimes contre l’humanité ».

Ce document devait constituer la base des poursuites pénales contre les membres de ce gouvernement de république bananière.

Elle ne fait qu’énoncer des évidences lorsqu’elle écrit : « On empêche les gens de travailler, on empêche les gens d’avoir une vie sociale, on isole les personnes depuis plusieurs mois, après leur avoir fait croire que tout irait mieux en portant le masque. »

Mais le dictateur et ses séides n’aiment pas entendre de genre de vérités. Malgré l’armada des journaleux vendus et des médias pourris qui chantent leurs louanges 24/24, ils craignent que les yeux des électeurs s’ouvrent avant l’élection.



Dénoncer les crapules au pouvoir est le crime le plus horrible !

Elle aurait été arrêtée sans mandat par des agents se prétendant de la DGSI, agence gouvernementale chargée de l’espionnage et du contre-terrorisme. Aucun chef d’inculpation n’a été notifié et il semblerait qu’on lui ait refusé le coup de téléphone et la présence d’un confrère, dont bénéficient les braqueurs, les narcos et les égorgeurs.

On a une chance de la revoir vivante car mieux vaut prendre des coups de Bottin sur la tête que d’avoir affaire à ces officines parallèles qui, de Ben Barka à Doucet, de Boulin à Bérégovoy, de François de Grossouvre à Jean-Edern Hallier et Claire Séverac ont su neutraliser les gêneurs.

Quand ils ne font pas disparaître discrètement les corps, les nettoyeurs s’y entendent pour qu’il leur arrive des accidents de bicyclette, des noyades dans une flaque d’eau, ou qu’ils se suicident de deux balles dans la nuque.

Virginie de Araujo-Recchia avait déjà déposé plusieurs plaintes au pénal contre le répugnant Emmanuel Lechypre et contre le fantoche Blachier, ainsi que contre les directeurs de publication de plusieurs médias menteurs complices des covideurs. De même que contre les membres de la commission mixte paritaire ayant validé le scélérat passe vaccinal. Et elle envisageait d’assigner des ministres corrompus.

Bien évidemment, Dupond le Yéti avait donné ordre à ses parquetiers de classer ces affaires, ce qui fut fait promptement.

Mais par effet Streisand, entre cenSSure, dénégations insensées et mensonges incohérents, un nombre croissant de personnes, ré informées par le web, ont commencé à se poser des questions. Auxquelles le paltoquet ne répondra pas puisqu’il refuse tout débat. Mais auxquelles des électeurs moins stupides qu’il l’imagine, trouveront tout seuls les bonnes réponses.

Le tyran craint pour son trône

On imagine le paltoquet hystérique, trépignant, éructant, hurlant et se bavant dessus devant Jean-Britt désemparé, incapable de consoler le gamin.

Si Macronescu se fait jeter, fini la belle vie aux frais des contribuables ! Fini la protection des banksters puisqu’il ne leur servira plus à rien ! Fini surtout l’immunité de la fonction et donc le risque de devoir répondre de ses méfaits. De tous ses crimes. À commencer par ceux contre les Gilets jaunes. En continuant par les expérimentations de masse sur des êtres humains contre leur volonté.

Il n’y a pas que la dictature sanitaire !

Des juristes que j’ai consultés m’ont confirmé que des éléments constitutifs de crimes contre l’humanité étaient incriminants depuis les Gilets jaunes.

Et si le manque de réaction des partis et des institutions, et la lâcheté des politiques, ont été pour Macronescu un encouragement à aller plus loin, en terrorisant les gens pour leur imposer ses décisions arbitraires d’autocrate capricieux et immature, ce n’est pas une excuse.

Si l’on s’en tient à la lettre du Code pénal, Macron et ses complices devraient être accusés de crimes contre l’humanité selon les dispositions de l’art 212-1 – 2°, 5° et 11° du code pénal ainsi libellés :

« Constitue un crime contre l’humanité et est puni de la réclusion criminelle à perpétuité l’un des actes ci-après commis en exécution d’un plan concerté à l’encontre d’un groupe de population civile dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique :(…..)

2° L’extermination,

5° L’emprisonnement ou toute autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ;

(…..)

11° Les actes inhumains causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou psychique. »

Pourraient trouver également application les dispositions de l’art 211-1 punissant de la réclusion criminelle à perpétuité « tout plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe déterminé à partir de tout critère arbitraire et de commettre ou faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie (…..) »

Les faits vus au travers du Droit :

1 / Sur le chef d’accusation du 212 – 1 11° : 11°alors que la menace d’épidémie était connue dès le mois de décembre 2019, un arrêté du 13 janvier 2020 a déclaré « substance vénéneuse » l’hydroxychloroquine, une molécule utilisée depuis 80 ans, tombée dans le domaine public donc bon marché, et dont les effets anti-viraux étaient connus.

Puis est venue une nouvelle mesure cynique : par décret du 25 mars 2020, le gouvernement a limité l’usage de ce remède aux cas désespérés afin de pouvoir en dénoncer l’inefficacité. Surtout quand on sait que prescrire de l’hydroxychloroquine à un moribond sans le combiner à l’azithromycine revient à traiter un cancéreux avec de la tisane de queues de cerise…

Le tout assorti d’une campagne médiatique hystérique de dénigrement des médecins qui proposaient cette thérapie. Brocardés, contredits et insultés par des journaleux agressifs dont la plupart n’ont pas le niveau scientifique d’un BEPC d’antan.

Menacés par ailleurs des foudres de l’administration s’ils revendiquaient le droit de choisir librement leurs prescriptions, conformément au code de déontologie. Même Pétain et Laval lorsqu’ils ont créé l’Ordre n’avaient pas osé aller aussi loin !

Aujourd’hui il est permis de s’étonner de la célérité avec laquelle l’ANSM a donné des « avis » conformes aux décisions du dictateur. L’ANSM impliquée dans les scandales du Médiator, de la Dépakine et du Levothyrox, et traduite en justice pour ses nombreuses erreurs.

On doit ajouter au désastre initial l’impossibilité matérielle pour des millions de personnes de soigner leurs maladies chroniques, perdant ainsi des chances de vie. De même que des affections autres que celles résultant du covid, du fait de la fermeture arbitraire des cabinets médicaux et de l’interdiction faite aux patients de se déplacer normalement.

S’y est ajoutée par la suite l’interdiction d’accès aux hôpitaux pour les gens non vaxinés, quel que soit le mal dont ils souffrent, soumis à un véritable chantage : Faites-vous piquer sinon on vous laissera crever la gueule ouverte pleine de mouches !

Bien que rackettés toute leur vie par une Sécu qui ne profite réellement qu’aux étrangers de préférence en situation irrégulière couverts à 100 % sans avoir jamais cotisé, on refuse de soigner les Français qui ne veulent pas servir de cobayes.

Les médicastres qui se déshonorent ainsi devront eux aussi rendre des comptes, le moment venu.

Une inconséquence criminelle peut être lue à travers la chronologie des faits et leur réitération malgré les nombreuses réserves et mises en garde provenant d’une partie du corps médical honnête et des virologues et épidémiologistes scrupuleux.

Lesquels ont été bâillonnés afin de ne pas nuire aux intérêts d’entreprises pharmaceutiques dont les dirigeants, proches du tyran et des membres de son gouvernement, devront répondre du chef de corruption active et de conflits d’intérêts, en plus de complicité d’homicides.

2/ En ce qui concerne la définition du 2e des crimes contre l’humanité, le décret du 28 mars 2020 prescrivant, facilitant et incitant à l’usage de Rivotril afin d’achever les personnes les plus âgées répond au qualificatif juridique d’ « extermination », tuerie de masse délibérément organisée selon des critères discriminatifs précis : l’âge et le niveau socio-économique.

3/ Pour ce qui relève du 5e des crimes contre l’humanitépeuvent être considérées comme constitutives d’atteintes graves et répétées aux droits civils des citoyens : l’assignation à domicile arbitraire de toute une population, sans condamnation préalable des personnes pour quelque délit que ce soit, instaurant une présomption de culpabilité généralisée s’appliquant de façon aveugle à chacun dans un climat de méfiance, de mal-être et de terreur entretenus par des harcèlements systématiques opérés par des milices qui n’ont plus rien à voir avec une police républicaine.

Le tout encadré par des sanctions pénales abusives décidées pour appuyer ces mesures autoritaires sans que les représentants élus du peuple en aient débattu et les aient votées.

Même si ces diktats furent validés ultérieurement par le Conseil anticonstitutionnel, ce rattrapage a piétiné le principe général de non-rétroactivité des lois pénales. Outre le fait qu’ils intervenaient dans le domaine dévolu à la loi, même si on les a qualifiés de « contraventions » dont les peines étaient supérieures à certains délits !

4/ En ce qui concerne le 212 – 1 – 11°,  Les piquouses forcées avec des produits dangereux sont bien des actes inhumains intentionnels causant des atteintes graves à l’intégrité physique ou psychique des personnes, passibles de la réclusion criminelle à perpétuité.

On peut y ajouter l’état de sidération dans lequel on a maintenu les enfants pendant 2 ans, en les terrorisant et en les contraignant à porter en permanence une muselière nocive, provoquant des troubles cutanés et respiratoires, et altérant gravement leur développement psychique et intellectuel en les privant des indispensables interactions visuelles avec leurs interlocuteurs.

 Tout cela s’ajoute aux crime constitués avant par les ordres donnés pour terroriser, éborgner et mutiler des manifestants pacifiques en utilisant, pendant toute une année, chaque semaine de façon délibérée, une panoplie d’armes létales telles que des grenades de combat rapproché et des balles renforcées à projection ultra rapide dites de dispersion, spécialement calibrées pour faire le plus de dégâts possible, et dont on savait qu’elles provoquaient des énucléations et des amputations à répétition.

Sans oublier les jet de gaz corrosifs et asphyxiants en plein visage, provoquant des cécités et des défigurations, pour le plus grand amusement des nervis.

Ces crimes ont occasionné des dommages physiques et psychiques à plusieurs milliers de personnes, et parmi elles des centaines de blessés très graves qui devront obtenir réparation. En attestent l’abondante documentation vidéo, les nombreuses déclarations des soignants ainsi que les témoignages de quelques policiers qui ont préféré se porter malades ou prendre des congés plutôt que de se rendre complices du dictateur.

Je connais personnellement un haut gradé, « en maladie diplomatique » prêt à témoigner à charge, une fois que Macronescu et sa clique auront été inculpés.

Les autres gradés et subalternes de la force publique auteurs d’agressions physiques devront être poursuivis du chef de coups et blessures volontaires, tentatives d’homicides, tortures et traitements dégradants. Y compris ceux qui ont impunément harcelé, tabassé et racketté d’innocents promeneurs pour une muselière de travers.

Leur culpabilité sera établie en fonction du degré de zèle avec lequel chacun a suivi des ordres manifestement illégaux.

En vertu de la jurisprudence de Nuremberg selon laquelle :

« L’obéissance aveugle à des ordres injustes ou illégaux n’exonère pas les exécutants de leur responsabilité pénale personnelle. »

SVP n’oubliez pas  Virginie de Araujo Recchia et racontez partout où vous pouvez le traitement odieux que lui infligent les tontons macoutes du despote. Seule une vague d’indignation soutenue pourra la sauver de ses tortionnaires !

Christian Navis




Conséquences catastrophiques pour les petits des mesures anticovid. Informons. Changeons de gouvernance !

Par Nicole Delépine

IMPACT DÉVASTATEUR DES MESURES COERCITIVES, FERMETURES D’ÉCOLE ET MASQUES

Ces mesures inutiles ont détruit l’avenir des tout petits. Aux électeurs : allons-nous continuer à dire que cette pandémie a été bien gérée et permettre la poursuite de cette politique dite « sanitaire » ?

« Le niveau de lecture des enfants s’effondre par rapport à l’ère pré-pandémique »(([1] Le niveau de lecture des enfants s’effondre par rapport à l’ère pré-pandémique – Aube Digitale
PAR JADE · PUBLIÉ 18 MARS 2022))

Les capacités de lecture des enfants se sont effondrées par rapport à la période pré-COVID, en raison des politiques de confinement qui ont entraîné la fermeture des écoles.

« Une étude menée par des chercheurs de la TU Dortmund a révélé que les enfants allemands en classe de CM1 sont bien moins capables de lire que leurs prédécesseurs qui sont passés par cette classe avant la pandémie »

Un test de lecture standard passé par des élèves de CM1 en 2021 a été comparé aux résultats obtenus avec le même test en 2016.

Le nombre d’enfants dont le niveau de lecture était jugé « bon » à « très bon » a chuté de 7 %, tandis que plus d’un quart des élèves ayant passé le test en 2021 ont désormais des problèmes de compréhension de la lecture.

« Si vous l’exprimez en années d’apprentissage, les enfants manquent en moyenne une demi-année d’apprentissage », a déclaré le Dr Ulrich Ludewig,

« La lecture étant un aspect crucial de chaque matière, l’impact s’est également répercuté dans d’autres domaines d’apprentissage. »

L’UNICEF avait prévenu : les fermetures d’écoles en cas de pandémie entraînaient une « perte d’ampleur presque insurmontable pour la scolarité des enfants » : « soutien intensif » nécessaire ! Pour de nombreux enfants, les préjudices pourraient être permanents.

L’orthophoniste Jaclyn Theek affirme que le port de masques pendant la pandémie a entraîné une augmentation de 364 % du nombre de patients adressés à sa clinique, des bébés et des tout-petits.

« Ils ne font aucune tentative de verbalisation et ne communiquent pas du tout avec leur famille », dit-elle, ajoutant que les symptômes d’autisme montent également en flèche. »

https://twitter.com/i/status/1486348600393220102

« (…) Il est très important que les enfants voient votre visage pour apprendre, alors ils surveillent votre bouche. » Qu’est-ce qu’on a fait ?! Mettre fin à cette folie cruelle. » (7) Darren Grimes (@darrengrimes_) / Twitter

Depuis le début du coronacircus, des pédiatres, orthophonistes, pédopsychiatres et de trop rares enseignants et de nombreuses personnes s’occupant à divers titres des enfants alertent sur les conséquences catastrophiques des mesures anticovid imposées aux enfants, inutiles et dangereuses pour leur avenir. Nous en avons cité un certain nombre dans « Les enfants sacrifiés du covid »(([2] N et G Delépine Editions Fauves janvier 2022)).

Malheureusement, les inquiétudes relayées par plusieurs articles et pétitions initiées par des orthophonistes(([3] Pétition : Le Collectif National des Orthophonistes de France dit STOP au masque en classe (mesopinions.com) )) et parfois des associations de parents se révèlent jour après jour justifiées et encore plus graves que prévu.

Extrait de la pétition récente

« Dans le pays des lumières, à l’origine de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, pionnier dès le début du 20e siècle de la protection des enfants, les droits élémentaires des élèves français en 2022 passent après ceux des adultes. Cela est insoutenable !

Nous insistons à nouveau sur le fait que les enfants ne présentent pas de risque majeur face à cette maladie, que nombre d’enfants ont attrapé le COVID cet hiver et sont donc naturellement immunisés.

De nombreux pays d’Europe ont d’ailleurs aboli les restrictions dans les écoles, depuis quelques semaines.

Le Collectif National des Orthophonistes de France, à travers un envoi massif aux élus et au Ministre de l’Éducation Nationaled’une tribune signée par 144 orthophonistes et l’infographie réalisée à la suite de celle-ci, alerte encore une fois sur lesconséquences négatives à court, moyen et long terme sur la santé des enfants et sur leurs apprentissages. »

Mais le mythe du masque n’est pas tombé

Malgré la levée au moins transitoire de l’obligation, élections obligent, trop de parents imposent à leur enfant la muselière à hauts risques immédiats, mais aussi à plus long terme !(([4] Jetez ces masques que je ne saurais voir ! Jetez les muselières qui ne protègent personne ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Et parfois des proviseurs ou chefs d’entreprise se permettent de l’imposer et de le conseiller. Ont-ils seulement la notion du mal qu’ils font ?(([5] De quel droit divin certains proviseurs et certains chefs d’entreprise se croient-ils autorisés à « conseiller » le port du masque ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Tentons d’informer encore et encore afin que cesse ce scénario gigantesque qui met en cause l’avenir de l’humanité.




Politiques et candidats, unissez-vous dès le premier tour pour que cesse cette dictature sanitaire et guerrière !

Par Nicole Delépine

Combien de temps allons-nous continuer à intoxiquer des Humains par ce pseudovaccin expérimental ?

Chaque jour apporte des éléments concrets qui devraient calmer l’ardeur des vaccinateurs et plus encore des familles trompées par une propagande mensongère incessante.

Aujourd’hui c’est Raphael Nadal qui perd sa finale après trois doses de poison et une violente douleur thoracique. Il y a quelques jours, 95 sur les154 coureurs du Paris-Nice ont dû abandonner… Record absolu de l’épreuve depuis sa création. Hasard, me direz-vous ou moral à zéro dans l’atmosphère actuelle ?

Mais dans ce délire, le plus grave n’est-il pas de continuer de jouer à l’apprenti sorcier ? La multiplication des maladies dégénératives rappelant la maladie de la vache folle devrait nous rendre vigilants, nous qui avons tant glorifié le principe de précaution jusqu’à l’intégrer à notre constitution… Cinéma.

Maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale, une épidémie dans l’épidémie ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

En France, comme d’habitude depuis le nuage de Tchernobyl, les dirigeants, les agences sanitaires et les médias nient la réalité : il n’y a rien à voir. Ils n’hésitent pas à utiliser un argument grotesque « le développement de la maladie de la vache folle est plus lent… » Mais ici c’est une injection expérimentale et une nouvelle complication d’un médicament jamais testé sur l’humain préalablement à ce coronacircus. Mais évidemment les journalistes savants de Libération connaissent tout de cet effet secondaire.

Au Canada, on est plus modéré : les autorités sanitaires du Nouveau-Brunswick ont annoncé l’ouverture d’une enquête sur « une maladie d’atrophie cérébrale présentant des similarités avec la MCJ et ayant touché 42 personnes, dont 5 sont décédées ». Faut-il voir là encore un possible lien avec le vaccin ? Les autorités canadiennes seraient-elles devenues complotistes ?

Un faisceau d’indices en faveur d’un possible lien

Dans le cas de Mauricette, ce lien a été établi a minima par son médecin traitant qui mettra un mois et demi avant de déclarer son cas à la pharmacovigilance comme cas suspect de maladie de Creutzfeldt-Jakob. Elle dénombre dans sa patientèle une seconde personne vaccinée ayant développé un tableau clinique similaire, également peu après l’injection.

La neurologue C. Moret Chalmin qui a étudié une dizaine de ces cas, dont celui de Mauricette exclut tout concours de circonstances au regard de la similarité des tableaux cliniques (démence, dyspraxie, mutisme akinétique), de la parfaite superposition de leur courbe d’évolution temporelle et de l’impossibilité d’expliquer statistiquement un tel nombre de cas, dont d’autres ont également été détectés en Suisse et en Belgique.

Cette inquiétude serait majeure si le vaccin pouvait être à l’origine des cas cités par Marc Doyer, qui évoquait récemment une incidence anormale de la maladie en Israël, pointée par un professeur du département de Neurologie de l’université de Tel-Aviv. 

Le ministre de la Santé est en tout cas formel. Il a récemment menacé en plein hémicycle une ancienne députée de la majorité, médecin, de poursuites pénales pour avoir suggéré une possible implication du « vaccin » dans la survenue de ces cas, qu’il qualifie de « délire complotiste » auquel il oppose le « fait scientifique ».

Voici l’analyse que le Pr Luc Montagnier faisait de son côté de la situation commentée par les neurologues de la Pitié-Salpêtrière, sur la base des mêmes éléments :

« C’est une maladie qui normalement arrive lentement mais sûrement et qui détruit les cellules du cerveau. Le temps travaille contre la personne qui reçoit. Plus on reçoit du vaccin, plus on fait une partie de la protéine qui est appelée “prion” car elle est capable de changer de forme, s’aplatir et de faire des agrégats insolubles et de tuer ainsi les cellules du cerveau. C’est une maladie très rare normalement, mais là nous avons déjà 8 cas signalés par des médecins neurologues. Plus on injecte, plus le risque augmente, car il est possible que ces prions se forment, c’est-à-dire s’aplatissent, quand ils sont en très grande quantité. Alors il est possible qu’en injectant à nouveau ce vaccin, on augmente le risque. Donc le danger est là. Donc j’informe les médecins qui injectent le Pfizer qu’ils risquent d’induire les maladies de Creutzfeldt-Jakob. »

Radio Courtoisie, 9 décembre 2021

Allons-nous continuer à fermer les yeux sur ce désastre à l’origine de nombreux décès et handicaps définitifs et à faire silence sur la prolongation de l’interdiction d’exercice et de salaires des soignants non injectés ?

Une action politique nécessaire

Le rôle de tous les candidats à la présidence ne serait-il pas de hurler à chaque occasion, meeting, émissions TV le scandale invraisemblable que constitue cette situation, afin que les citoyens se prennent par la main pour aller voter contre ceux qui imposent cette dictature sanitaire et son non-sens. Juste pour vous habituer à plier et à vous soumettre ? Avant d’aller voter, il faut demander aux candidats de profiter du mois de campagne restant jusqu’au 24 avril pour faire stopper cette horreur.

[Tribune] Réhabilitons nos soignants non vaccinés — Valeurs actuelles

Vingt et un parlementaires signent une tribune afin d’alerter sur le sort des personnels soignants non vaccinés, toujours interdits d’exercer malgré la levée du passe vaccinal, lundi 14 mars. Par Sylviane Noël
Publié le 14 mars 2022 

C’est bien de leur part, mais pourquoi seulement vingt et un ? Les autres recueilleront-ils vos votes aux législatives si la honte qu’ils devraient ressentir ne les oblige pas à renoncer ?

Ainsi, la rigidité du gouvernement l’a contraint à rappeler des soignants vaccinés, mais positifs du Covid (donc possiblement contaminants) au lieu de faire appel à des personnels non vaccinés, mais négatifs et prêts à se faire tester chaque jour si nécessaire.

Kafka en rêvait, le gouvernement l’a fait !

Résultats sur le terrain : une véritable catastrophe sanitaire. Chaque jour, faute de personnel disponible, des établissements de santé déprogramment des interventions chirurgicales, des EHPAD gèlent des lits, des centres médico-psychologiques renvoient des patients lourdement handicapés dans leurs familles, des maires déplorent la multiplication des déserts médicaux, des urgences pédiatriques sont à saturation… Les situations de ce type se comptent par milliers, et plongent des malades et des familles entières dans la détresse. 

Alors que le lundi 14 mars a marqué la levée de toutes les restrictions sanitaires, les soignants et assimilés français restent toujours soumis à l’obligation vaccinale, supprimée pourtant dans de nombreux pays (Royaume-Uni, Canada, États-Unis…) et jamais demandée en Belgique sans que cela ait abouti à des contaminations prouvées : c’est inacceptable !

Cette crise a mis en lumière le malaise de nos soignants, les dysfonctionnements d’un hôpital sur-administré et sous-doté, les défaillances dans les chaînes de décisions. Alors que les autres pays ont pour la plupart décidé de vivre désormais avec ce virus, il est grand temps de tirer toutes les leçons de cette période moribonde et de remuscler sans tarder notre système de santé. Certains facteurs nécessiteront malheureusement du temps pour être corrigés : le déficit de personnel en fait partie. Il est donc absolument indispensable de supprimer cette obligation vaccinale pour les soignants, de réhabiliter sans perdre une minute ces milliers d’hommes et de femmes indignement traités par l’État français et de leur accorder, enfin, respect et reconnaissance ! »

Voir aussi : https://qg.media/2022/03/21/tribune-le-senat-a-t-il-peur-de-connaitre-les-consequences-de-la-vaccination-massive-de-la-population/




Macron-Mélenchon ou la charia avant les bœufs

Par Lucien Oulahbib

[© Crédit photo : Archives AFP]

Entre deux bateleurs de grand chemin, lequel choisir ? Se demande, lassé, apeuré, le Marais. D’autant que leur programme se ressemble, malgré l’impression du contraire (en l’occurrence les tranches d’imposition et le degré de spoliation), qu’il s’agisse du multiculturalisme intégral (« il n’y a pas de culture française » versus « l’obscurantisme chrétien » opposé à «l’apport des civilisations arabes »), de la fluidité de genre (« votre problème, c’est que vous considérez qu’un père est forcément un mâle » versus «inscrire dans la Constitution la possibilité de changer de sexe »), le tout bien préparé en amont par un bombardement idéologique permanent dans les écoles les médias, les « institutions » à la solde.

Mais n’est-ce pas là placer la charia avant les bœufs ? Il n’est pas sûr en effet qu’accroître ainsi le multiculturalisme par un relativisme et un fractionnement exacerbés, une immigration massive de plus en plus encouragée (qui vient par ailleurs culbuter et culpabiliser les premières générations en voie d’assimilation) ait l’effet escompté. Il n’est pas sûr que les nouveaux entrants s’accommodent d’un tel bouleversement des mœurs, tant cette dite « fluidité » des rôles et des genres s’avère non seulement violemment rejetée par le multiculturalisme plus « traditionnel » qui s’installe et culpabilise les premières générations (« noir, arabe, juif » de service, clament les Suivantes aux ordres), mais en devient de plus sans aucun doute le justificatif même pour que, en son sein, croissent les tendances les plus retorses à cette « décadence », comme elles le décrivent dans leurs prêches, se servant certes des facilités octroyées par les deux M [Macron-Mélanchon] pour s’installer, mais rejetant toute cette fluidité annoncée par un séparatisme non seulement « culturel », mais territorial…

Les deux M et leurs entourages respectifs ne le pensent pas, hurlent au racisme et au complotisme, croyant ainsi éviter l’erreur effectuée par les « démocrates » algériens et « iraniens », ou comment pourtant l’alliance avec leur contraire les mena à leur perte. Mais en France, la prétention de se sentir supérieur, en soi, est telle que cette possibilité de soumission à plus fort spirituellement puis territorialement se trouve écartée, et ce d’un revers de main hautain et méprisant. Un peu comme pour l’idée communiste qui aura certes échoué partout, mais ce, non pas parce qu’elle serait viciée au départ, clament ces thuriféraires (éliminer définitivement l’envie, la jalousie, la corruption par l’emprise d’un état total sui generis posé comme état intime à imiter), mais « seulement » parce qu’elle n’aurait pas été menée par les seuls et vrais révolutionnaires qui ne peuvent être que Français avec 1789 comme exemple phare : la France en URSS qui aurait « réussi » avec son État social omnipotent.

Il existe en effet une sorte d’imaginaire non-dit tissé d’un nationalisme révolutionnaire à la française (« Révolution », titre d’un livre de Macron) installé au cœur d’un internationalisme globalisant fantasmé (Mélenchon) avec à sa tête nos deux « éclairés » (le « wokisme » américain en est en réalité un simple remake) ; et nos deux M se voient bien en « leaders charismatiques » siamois capables de mener à bien l’idée communiste, mais Cyber-rénovée à la façon néo-maoïste, ou comment se servir de l’outil capitaliste comme couteau suisse qui permet de créer enfin cet État total servant « en même temps » de canevas nounou et de père fouettard pour modeler tous les états intimes, ou le totalitarisme à son stade enfin abouti.

Les deux M sont certes adversaires, mais en apparence. Si en effet Mélenchon grignote ces temps-ci quelques points dans les sondages (aussi fiables que ceux de 2002), il le doit certainement aux révélations sur l’emprise techno-scientiste et hygiéniste de l’outil McKinsey dont s’est servie la nounou Macron pour accomplir la marche de plus en plus funèbre qui accompagne l’effondrement, masqué, du mode de vie made in France. Mélenchon en serait, lui, le versant père fouettard, au cas où la Secte trans/globaliste déciderait d’en accélérer le processus d’embaumement (déjà Médiapart refait du Fillon en taillant un costard au candidat PC qui fait de l’ombre), puisqu’il s’agit de spolier encore plus les classes moyennes supérieures, de détruire définitivement le nucléaire, la famille « hétéro-normée », d’accélérer enfin le déversoir de millions d’immigrés à la fois pour masquer la faillite de la décolonisation et de l’aide onusienne au « développement » d’une part, pour, d’autre part, repeupler électoralement façon libéraux américains et castristes en construisant ces immenses lotissements dits « sociaux » — les habitants munis ainsi de leur carte de séjour multifonction (et Q.R code) qui peuvent toucher l’allocation universelle, voyager, bénéficier de tel ou tel service s’ils votent « bien » comme au Venezuela et en Chine.

Face à ce rouleau compresseur (dont les deux M sont les deux têtes siamoises) et qui a décidé désormais d’élargir la guerre contre le virus C-19 versus Poutine, la tentation est alors grande de baisser les bras, de se « barrer », au lieu de chercher à l’arrêter, ce qui est certes sans doute plus facile à écrire qu’à faire. Mais n’est-il tout de même pas possible de créer non seulement des armes hypersoniques comme des résistances multiformes à coup de dénonciations et de manifestations de plus en plus massives, façonnant également des essaims de drones symboliques et pratiques capables d’enrayer façon jeu de Go chaque point de la Matrice ?… « L’imagination au pouvoir » disait-on naguère un… 22 mars…

« Impossible n’est pas français » une autre formule (plus qu’un dicton) de chimie politique qu’il s’agirait alors, et ce, maintenant, de réaliser.




Stop au poison ! Une liste d’athlètes de classe mondiale qui sont morts ou ont subi des blessures graves après le vaccin COVID-19

[Source : thecovidworld.com]

[Traduction automatique]

La date de publication de COVID World : 7 novembre 2021

Il y a 18 mois à peine, le décès de plusieurs athlètes de classe mondiale sur le terrain, devant leurs fans et en direct à la télévision, aurait fait la une des journaux sur toutes les chaînes du monde entier – pourtant, nous sommes maintenant confrontés exactement à cette situation et les médias d’information sont silencieux.

Voici une liste des meilleurs athlètes du monde entier qui, au cours des dernières semaines et des derniers mois seulement, sont morts ou ont été blessés par les vaccins COVID-19.


Kjeld Nuis : 31 ans, double médaillé d’or olympique et détenteur du record du monde de patinage de vitesse, a développé une péricardite après un vaccin Pfizer

patineuse de vitesse néerlandaiseKjeld Nuisa reçu un diagnostic de péricardite une semaine après son premier vaccin Pfizer en juillet. Le double médaillé d’or olympique a publié sur son Instagram qu’il souffrait de graves symptômes de grippe et d’une pression thoracique avant d’être diagnostiqué par son médecin et cardiologue avec un péricarde enflammé.

Nuis a d’abord signalé qu’il était très malade, mais posté plus tard sur sonInstagramqu’il se remettait bien heureusement grâce au diagnostic précoce de son médecin du sport et cardiologue.

« Il y a exactement 2 semaines aujourd’hui, j’étais à l’hôpital avec un péricarde enflammé. Heureusement, mon médecin du sport était là très tôt et m’a examiné avec le cardiologue.

Lire l’histoire complèteici.


Pedro Obiang : un footballeur professionnel de 29 ans a souffert de myocardite après le vaccin contre le COVID-19, toujours sur la touche 5 mois plus tard

Ancien joueur de West Ham UnitedPedro Obianga reçu un diagnostic de myocardite après sa vaccination contre le COVID-19 en juillet. L’homme de 29 ans a été hospitalisé pour des problèmes cardiaques pendant 10 à 15 jours et a été exclu de toute activité sportive pendant au moins 6 mois après son diagnostic.

Un médecin a été citéen disant:

« Le joueur [Obiang] est venu nous voir pour son bilan de santé annuel afin de confirmer sa forme physique compétitive. Nous avons remarqué des anomalies qui n’étaient pas censées être là, nous avons donc programmé un test cardiaque le lendemain à l’hôpital Humanitas de Milan.

Le lendemain, vendredi (9 juillet), en accord avec les médecins de Sassuolo, nous l’avons fait admettre à la Polyclinique, où il est resté environ 10-15 jours. Il y était diagnostiqué avec une myocardite.

Il avait été vacciné trois à cinq jours auparavant, comme tous les joueurs.

Obiang, qui joue actuellement comme milieu de terrain pour le club de football italien Sassuolo et l’équipe nationale de Guinée équatoriale, n’est pas revenu sur le terrain depuis son diagnostic en juillet.

Lire l’histoire complèteici.


Yusuke Kinoshita : Un joueur de baseball professionnel de 27 ans est décédé 5 semaines après avoir été vacciné contre le COVID-19

joueur de baseball japonaisYusuke Kinoshitaest décédé 5 semaines après sa vaccination contre le COVID-19. Le joueur de 27 ans, qui a joué pour leDragons Chunichi, s’est effondré lors d’un entraînement de rééducation sur son épaule droite le 6 juillet et a été transporté d’urgence à l’hôpital où il a été mis sous ventilateur. Kinoshita est décédé sans avoir repris connaissance le 3 août.

Le joueur de baseball avait reçu son vaccin COVID huit jours avant son effondrement.

Le propriétaire des Dragons Chunichi, Uichiro Oshima,mentionnépeu avant sa mort :

« J’ai entendu dire qu’il était tombé malade après sa vaccination. Il est hospitalisé et se bat actuellement pour sa vie. Je ne connais pas le lien de cause à effet entre sa vaccination et l’effondrement.

Le lanceur de 27 ans d’Osaka aurait fait de l’exercice intensément immédiatement après sa vaccination, ce qui pourrait avoir été la cause de son effondrement et de sa mort.

Lire l’histoire complèteici.


Brandon Goodwin: Un joueur de la NBA de 26 ans a souffert de caillots sanguins peu de temps après sa vaccination contre le COVID-19, toujours mis à l’écart 7 mois plus tard

Ancien meneur des Atlanta HawksBrandon Goodwina développé des caillots sanguins après le vaccin COVID-19 qui l’a entraînédisparula fin de la saison NBA 2020-21.

Dans une vidéo publiée sur Ticle 29 septembre, Goodwin a déclaré : « Oui, le vaccin a mis fin à ma saison. Mille pour cent. Il a également dit qu’on lui avait dit : « de ne rien en dire, de ne le dire à personne ».

Il a continué:

« Je suis tombé malade et je ne m’en suis jamais tout à fait remis. J’avais toujours mal au dos, j’étais juste super fatigué pendant les matchs. J’avais l’impression que je ne pouvais pas courir d’un bout à l’autre du court. Mon dos me faisait mal. Mon dos a vraiment commencé à me faire très mal. Ensuite, je me dis, ‘OK. Je dois aller chez le médecin. C’est alors que j’ai découvert que j’avais des caillots sanguins. Tout s’est passé en l’espace d’un mois. J’allais bien jusque-là. J’allais bien jusqu’à ce que je prenne le vaccin, j’allais bien.

Goodwin a admis dans la vidéo qu’il avait des inquiétudes quant à son avenir en NBA :

« Je ne sais pas où je joue cette année. Je ne vais pas vous mentir, je ne sais pas.

Le meneur n’est pas revenu en NBA depuis qu’il a développé des caillots sanguins à cause du vaccin il y a 7 mois.

Lire l’histoire complèteici.


Greg Van Avermaet: l’ancien champion olympique de cyclisme sur route quitte la Coupe du monde de cyclisme en raison des effets secondaires des vaccins

Le cycliste médaillé d’or olympique 2016Greg Van Avermaetn’a pas participé aux Championnats du monde de cette année aprèsen disantson système immunitaire avait été compromis par le vaccin Pfizer qu’il avait reçu en juin.

« Mes valeurs sanguines ne montrent rien. Parfait, comme toujours, ce qui est aussi ma grande force. Mais d’autres données montrent qu’il y a quelque chose qui ne va pas avec mon système immunitaire. Mon corps combat un adversaire inconnu et c’est probablement le vaccin. Je dors bien, je m’entraîne bien et je me sens bien, mais il me manque 3 % de ma meilleure forme.

Van Avermaet n’a pas été le premier cycliste professionnel de haut niveau à s’inquiéter des effets du vaccin sur ses performances. En juillet, après le Tour de France, Jakob Fuglsang d’Astana-Premier Tech, qui n’a pas pris le départ de la dernière étape de la course pour cause de maladie et s’est classé 38e au général après le contre-la-montre individuel de la veille, a déclaré qu’il pensait que la vaccination était derrière son performance médiocre dans la course de trois semaines.

Lire l’histoire complèteici.


Francesca Marcon : une joueuse de volley-ball de 38 ans a développé une péricardite après son deuxième vaccin contre Pfizer

joueuse de volley-ball italienneFrancesca Marcona immédiatement souffert d’essoufflement et de douleurs à la poitrine après sa vaccination Pfizer le 3 août. Elle est allée aux urgences le lendemain où les médecinsdiagnostiquéelle avec une péricardite.

La volleyeuse a partagé son expérience sur Instagram:

« Peut-être que mon discours est un peu blasphématoire, mais je me demande : n’y a-t-il aucune forme d’indemnisation pour ceux qui souffrent de problèmes de santé après avoir été vaccinés ? Je précise que je ne suis pas anti-vax mais je n’ai jamais été convaincu de prendre ce vaccin et maintenant je comprends pourquoi. Je ne sais pas si cela vous intéresse mais j’ai eu et j’ai toujours une péricardite post-vaccinale. Qui paie le prix de tout cela ?

Lire l’histoire complèteici.


Antoine Méchin : le triathlète de 32 ans a souffert de caillots sanguins après le vaccin Moderna, possible fin de carrière

Le triathlète français Antoine Méchin a été contraint desuspendresa saison en septembre après une grave réaction indésirable au vaccin Moderna. Méchin a reçu sa première dose le 28 juin et sa deuxième le 16 août et souffrait d’essoufflement et de douleurs lombaires après les injections. Plusieurs tests ont montré plus tard qu’il avait développé uneembolie pulmonairesuite au vaccin.

Le triathlète a déclaré après son diagnostic:

« Je suis actuellement sous traitement et j’espère retrouver ma capacité pulmonaire (en 3-6-9-12 mois ?) D’ici là : repos et faible intensité pendant plusieurs mois.

Endommager les personnes saines pour préserver la santé des plus faibles, un choix de logique rétrograde. Je ne me ferais pas vacciner si c’était à refaire.

Méchin esttoujoursen convalescence à ce jour.

Lire l’histoire complèteici.


Kyle Warner : un vététiste professionnel a souffert de plusieurs problèmes de santé après le vaccin Pfizer, possible fin de carrière

Le vététiste professionnel Kyle Warner a reçu un diagnostic de péricardite et de syndrome de tachycardie orthostatique posturale après le vaccin Pfizer. Warner a partagé sa blessure au vaccin début octobre dans une vidéo sur son Chaîne Youtube.

« La deuxième chose [en plus de la péricardite] à laquelle j’ai eu affaire pendant tout ce temps a été quelque chose appelé POTS (syndrome de tachycardie orthostatique posturale). J’ai reçu ce diagnostic l’autre jour au bureau du cardiologue, et ce qui était vraiment difficile, c’est qu’il m’a dit qu’ils ne savaient pas comment le traiter.

Il m’a ensuite dit que cela pourrait prendre 12 à 18 mois pour guérir de cela. J’étais un peu choqué quand j’ai entendu ça. Je suis rentré à la maison et j’ai éclaté en sanglots, principalement de frustration. Frustration qu’il n’y ait pas vraiment de voie claire à suivre. Je pense que ça a été la chose la plus difficile avec cette situation.

Warner aussipartagéson histoire lors d’une table ronde avec des experts médicaux et blessés par le vaccin COVID-19 sur les mandats fédéraux en matière de vaccins au Sénat américain le 3 novembre. Des citoyens souffrant de blessures causées par des vaccins sont venus de partout aux États-Unis pour partager leurs histoires dans la capitale nationale. 

Lire l’histoire complèteici.


Jeremy Chardy: l’ancien joueur de tennis n ° 25 mondial de 34 ans termine la saison après une «douleur violente, presque paralysante» due à une blessure causée par un vaccin

joueuse de tennis française Jérémy Chardy a été contraint de suspendre sa saison en septembre après Souffrance une réaction débilitante au vaccin Pfizer COVID-19.

Chardy a déclaré à la presse :

« Depuis que j’ai eu mon vaccin (entre les JO et l’US Open), j’ai un problème. Je me bats. Je ne peux pas m’entraîner, je ne peux pas jouer. Dans ma tête, c’est difficile parce que je ne sais pas combien de temps ça va durer. Pour l’instant, ma saison est terminée et je ne sais pas quand elle reprendra.

C’est frustrant parce que j’ai très bien commencé l’année. Je jouais très bien et puis je suis allé aux Jeux Olympiques où je me sentais aussi très bien. C’est frustrant, surtout que je n’ai plus dix ans pour jouer. Je regrette d’avoir été vacciné, mais je ne pouvais pas savoir que cela arriverait. ”

Le joueur de 35 ans a admis qu’il était préoccupé par sa carrière de tennis :

« J’aurai 35 ans en février, donc en ce moment, je suis peut-être un peu négatif, mais c’est la première fois que je pense que cette saison pourrait être ma dernière. Je ne veux pas y penser… c’est difficile parce que je m’amusais et je veux jouer plus longtemps.

Chardy n’est pas revenu sur le terrain depuis sa blessure au vaccin début septembre.

Lire l’histoire complète ici.


Florian Dagoury : détenteur du record du monde d’apnée en apnée statique a développé une myocardite et une péricardite après un vaccin Pfizer, possible fin de carrière

Florian Dagoury, actuellement le meilleur plongeur au monde en apnée statique, a reçu un diagnostic de myocardite et de péricardite 40 jours après sa deuxième dose du vaccin Pfizer. Dagoury est connu pour retenir son souffle pendant 10 minutes et 30 secondes.

L’élite Freedriver, d’origine française et basée en Thaïlande, a connu une diminution significative de sa capacité d’apnée et s’est rendue chez un cardiologue qui lui a dit que c’est un effet secondaire courant du vaccin Pfizer.

Dagoury a écrit surInstagram:

« Après ma 2e dose, j’ai remarqué que mon rythme cardiaque était bien plus élevé que la normale et que mes capacités d’apnée ont considérablement diminué. Pendant le sommeil, je suis à 65-70bpm au lieu de 37-45bpm. Pendant la journée, je suis maintenant toujours au-dessus de 100 bpm au lieu de 65 bpm, même lorsque je m’assois et que je me détends. J’ai même atteint une fois 177bpm en dînant avec des amis !!!! 10 jours après mon 2e vaccin, je suis allé voir un cardiologue et il m’a dit que c’était un effet secondaire courant du vaccin Pfizer, rien d’inquiétant, reposez-vous, ça passera.

40 jours après mon 2e jab, je n’avais aucun progrès alors je suis allé voir un autre cardiologue et j’ai reçu un diagnostic de myocardite, de péricardite et de régurgitation mitrale triviale ! Ce qui est essentiellement une inflammation des muscles cardiaques causée par le système immunitaire et quelques infimes fuites de sang des valves qui ne se ferment plus correctement. J’ai maintenant du mal à atteindre 8min d’apnée, 150m dyn et j’ai même une forte envie de respirer en faisant des plongeons de 40m. 30% de baisse sur mes performances en plongée environ. 

Lire l’histoire complèteici.


Haziq Kamaruddin : un archer olympique à deux reprises de 27 ans est décédé 10 jours après le vaccin contre Pfizer

Archer malaisienHaziq Kamaruddinest décédé à l’âge de 27 ans le 14 mai après s’être effondré chez lui quelques jours aprèsrecevoirLe vaccin COVID-19 de Pfizer. L’archer olympique à deux reprises est décédé d’une artère coronaire bloquée.

Kamaruddin a reçu la première dose du vaccin le 13 avril et la seconde le 4 mai et a publié un photo sur Instagram.

Kamaruddin a représenté la Malaisie aux Jeux de Londres 2012 et de Rio 2016 et espérait se qualifier pour le Jeux olympiques de Tokyo cet été, avec le concours de qualification qui se déroulera à Paris en juin. Il était également membre de l’équipe classique de son pays qui a remporté l’argent aux Jeux asiatiques d’Incheon en 2014.

[Source : thecovidworld.com]

[Traduction automatique]

Une liste d’athlètes de classe mondiale qui sont morts ou ont subi des blessures graves après le vaccin COVID-19 – PARTIE 2

La date de publication de COVID World : 15 janvier 2022

De retour en novembre, Le monde COVIDpubliéun article avec 11 athlètes de classe mondiale décédés ou blessés peu de temps après avoir reçu le vaccin COVID-19. Nous n’avions pas prévu que les choses allaient si mal, qu’à peine deux mois plus tard, il y aurait suffisamment d’histoires pour faire une autre liste.

Cependant, ce qui suit est encore une fois une liste de 11 athlètes de classe mondiale du monde entier qui sont décédés ou ont été blessés au cours des derniers mois après avoir reçu le vaccin COVID-19 e.


Ricardo Gomes : un joueur de football de 30 ans s’est effondré pendant l’entraînement 6 semaines après avoir reçu le vaccin contre le COVID-19

footballeur capverdien Ricardo Gomess’est effondré lors d’une séance d’entraînement en décembre dernier et a été transporté d’urgence à l’hôpital. Le joueur de 30 ans, qui joue pour le club de football serbeFK Partizan Belgrade, avait reçu le vaccin COVID-19 six semaines seulement avant l’incident.

L’entraîneur-chef de l’équipe, Aleksandar Stanojevic , aurait déclaré après l’incident :

« Il [Gomes] s’est effondré à l’entraînement et la situation est extrêmement grave. 

Gomes , qui est considéré comme l’un des meilleurs joueurs duSuper Liga serbe, a reçu son vaccin COVID en octobre de l’année dernière avec son coéquipier Quincy Menig et l’entraîneur Stanojevic, qui ont personnellement emmené l’ international capverdien sur le site de vaccination, prétendument parce qu’il  hésitait à recevoir le coup.

Lire l’histoire complète ici.


Ian Matos : un plongeur olympique brésilien de 32 ans est décédé des mois après avoir reçu le vaccin contre le COVID-19

plongeuse olympique brésilienneIan Matosest décédé à l’âge de 32 ans à la suite d’une hospitalisation de deux mois pour une infection pulmonaire, qui s’était développée peu de temps après sa vaccination contre la COVID-19.

Le Comité olympique brésilien a  déclaré dans un communiqué après sa mort :

« Nous sommes profondément attristés d’avoir appris la nouvelle du  décès prématuré  du plongeur olympique Ian Matos , âgé de seulement 32 ans.

L’équipe du Brésil reconnaît sa contribution à l’ évolution de la discipline.

Nos sincères condoléances à sa famille et ses amis. »

Le plongeur olympique avait déjà remporté trois médailles de bronze aux  Jeux sud-américains de 2010  avant de concourir dans letremplin synchronisé masculin de trois mètrescompétition aux  Jeux olympiques d’été de 2016 à Rio.

Lire l’histoire complète ici.


Sarah Gigante : une cycliste olympique australienne de 21 ans a développé une myopéricardite après avoir été vaccinée contre le COVID-19

Cycliste olympique australienSarah Gigantea développé des problèmes cardiaques en août de l’année dernière, quelques jours seulement après avoir participé aux Jeux olympiques d’été de 2020 à Tokyo. Gigante a été hospitalisé à plusieurs reprises et a finalement reçu un diagnostic demyopéricardite, qui est une combinaison d’inflammation du muscle cardiaque et du péricarde, le sac entourant le cœur.

Le jeune homme de 21 ans avait été entièrement vacciné avant la crise sanitaire.

Gigante a été interrogé dans un Questions et réponses l’année dernière si elle croyait que son problème cardiaque était le résultat du vaccin COVID , auquel elle a répondu :

«Je ne sais pas ce qui a déclenché ma maladie (et il y a beaucoup de chances – certaines personnes dans la section des commentaires semblent positives que c’était le vaccin COVID ), mais peu importe ce que c’était, le fait est que j’étais extrêmement malheureux.

Je dois simplement dire que les vaccins fonctionnent, et ces vaccins surtout sauvent des vies. J’ai beaucoup de chance d’avoir été en mesure d’être protégé contre l’horrible maladie qu’est le COVID-19 et j’encourage tous ceux qui ont la chance de l’embrasser à bras ouverts et la manche relevée. 

Lire l’histoire complète ici.


Sergio Aguero: la star du football entièrement vaccinée a été forcée de prendre sa retraite après une grave maladie cardiaque

attaquant argentinSergio Agüeroa annoncé sa retraite du football le mois dernier après avoir reçu un diagnostic de grave maladie cardiaque. L’attaquant de 33 ans l’a décrit en larmes comme « l’un des moments les plus difficiles de sa vie ».

Agüero a déclaré lors de la conférence de presse du mois dernier :

« J’ai décidé d’ arrêter de jouer au football professionnel. C’est un moment très difficile.

La décision que j’ai prise est pour ma santé ; après le problème [maladie cardiaque] qui avait commencé il y a un mois et demi. 

Les premiers problèmes médicaux d’Agüero sont apparus en octobre de l’année dernière lorsqu’il a été hospitalisé après un match de championnat contre Alaves, au cours duquel il a ressenti des douleurs à la poitrine  et  des difficultés respiratoires .

L’attaquant argentin avait été très favorable aux vaccins COVID ,promouvoirfortement sur les réseaux sociaux et encourageant l’adoption du jab chez les enfants dès l’âge de 5 ans .

Lire l’histoire complète ici.


Daniel Aakervik : un skieur norvégien de 17 ans a été contraint de suspendre sa saison après une grave réaction au vaccin COVID-19

Le skieur de fond norvégien Daniel Aakervik a été contraint de suspendre sa saison l’année dernière après avoir développé des problèmes de santé causés par le vaccin COVID-19. Aakervik a déclaré qu’il « a immédiatement senti que quelque chose n’allait pas » et a déclaré que les médecins lui avaient dit que c’était  » probablement un effet secondaire du vaccin ».

Aakervik, qui est souvent appelé le plus grand talent norvégien en ski de fond et en biathlon , a remporté le Hovedlandsrennet (une compétition de ski de fond) à deux reprises et a remporté plusieurs victoires enbiathlon, un sport d’hiver qui allie ski de fond et tir à la carabine.

Le joueur de 17 ans a récemment partagé qu’il était revenu à la compétition, écrivant sur sonInstagram:

« Après un automne difficile, ça fait du bien de sentir que le corps fonctionne à nouveau et j’espère remporter une victoire dans la Norgescup . 

Lire l’histoire complète ici.


Richard Harward : Un joueur de basket-ball universitaire a développé des caillots sanguins et des problèmes cardiaques pouvant mettre fin à sa carrière après avoir reçu le vaccin Pfizer COVID-19

Joueur de basket-ball universitaire Richard Harwardannoncéson congé du sport le mois dernier après avoir reçu un diagnostic de caillots sanguins et d’une maladie cardiaque à la suite du vaccin Pfizer COVID-19.

leCougars BYUjoueur a dit à propos de l’épreuve:

« La condition affectant mon cœur a développé d’autres complications. Pour ma santé et ma sécurité, il a été déterminé que je serai absent pour le reste de la saison. 

Il reste à voir si Harward , qui était auparavant en pleine forme, se rétablira un jour.

Lire l’histoire complète ici.


Craig Jones: un combattant australien de MMA et champion du monde de Jiu-Jitsu de 29 ans a abandonné le combat de l’UFC après une blessure au vaccin Pfizer

Le combattant australien de l’UFC et champion du monde de jiu-jitsu Craig Jones a dû abandonner un combat l’année dernière après avoir subi une grave blessure suite à sa première dose du vaccin Pfizer COVID-19 qui avait fait que son estomac se remplissait de liquide.

Jones a posté ceci surInstagramtrois jours avant le combat.

«Je suis sorti les gars. Un des malchanceux qui a eu une réaction indésirable au vaccin Covid. Je ne vais pas vous ennuyer avec tous mes symptômes, mais j’ai fini par transporter beaucoup de liquide autour de mon estomac et je ne peux pas m’entraîner et encore moins concourir. 

Le combattant australien, qui possède une ceinture noire de jiu-jitsu brésilien , est considéré comme l’un des meilleurs grapplers de sa génération en remportant de nombreuses épreuves prestigieuses, dont plusieurs titres de ceinture. Jones a également terminé 2e auChampionnat du monde ADCCen 2019.

Tout en grimpant les échelons du jiu-jitsu , en compétition internationale, le joueur de 29 ans a également réussi à décrocher un diplôme enSciences du comportement(Psychologie).


John Fleck : un joueur de football écossais s’est effondré et a eu des convulsions pendant un match quelques mois seulement après avoir reçu le vaccin contre le COVID-19

footballeur écossaisJean Flecks’est effondré et a convulsé lors d’un match de championnat en novembre de l’année dernière et a été transporté d’urgence à l’hôpital. Fleck, qui joue comme milieu de terrain pour le club anglaisRoyaume-Uni de Sheffield, avait reçu sa deuxième dose du vaccin COVID en août de l’année dernière.

Le Dailymail a publié unarticlepeu de temps après l’incident en disant que « les scientifiques avaient confirmé » que l’effondrement de Fleck n’était pas dû au vaccin COVID. Cependant, aucun détail n’a été donné sur la manière dont cette conclusion a été tirée, à l’exception d’un cardiologue du sport, le professeurGuido Pielesen disant:

« A l’heure actuelle, je dirais que c’est encore une coïncidence . »

Fleck a commencé sa carrière avecRangers de Glasgowet a fait ses débuts senior en 2008 à l’âge de 16 ans seulement. Il a rejoint Sheffield United en 2016, aidant le club à obtenir deux promotions en trois ans, passant de la  Ligue 1  à la Premier League.

Lire l’histoire complète ici.


Filip Ingebrigtsen : un athlète olympique de 28 ans a lutté pendant 7 mois après une grave réaction au vaccin COVID-19

athlète olympique norvégienPhilippe Ingebrigtsena subi une réaction « débilitante » du vaccin COVID-19 qui a duré plus de sept mois.

Ingebrigtsen, qui court dans la compétition de 1500 mètres , a réalisé des performances bien en deçà de son niveau habituel aux Jeux olympiques d’été de 2020 à Tokyo , sans aucune explication évidente de sa part et de son équipe. Cependant, des tests ont révélé plus tard qu’il souffrait des effets secondaires du premier vaccin COVID qu’il avait reçu en mars 2020.

Interrogé en octobre de l’année dernière sur le vaccin, le joueur de 28 ans a déclaré qu’il  » aurait refait la même chose « , reflétant une attitude quelque peu stoïque face à ses  » résultats négatifs « .

« Rétrospectivement, lorsque vous obtenez des résultats négatifs et que cela limite votre capacité à faire votre travail, vous le regrettez. Mais je suis sûr que j’aurais refait la même chose.

Je me sens mal que cela ait eu un effet si négatif et j’aimerais ne pas avoir ces problèmes. Je ne savais pas que ça se passerait comme ça. Malheureusement, cette fois, ça a mal tourné pour moi. 

Lire l’histoire complète ici.


Paul Zipser: L’ancien joueur des Chicago Bulls a subi une hémorragie cérébrale après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson COVID-19

Basketteur du Bayern MunichPaul Zipsera été hospitalisé après être tombé malade peu de temps avant un match éliminatoire le 4 juin de l’année dernière. Le joueur de 27 ans a reçu un diagnostic de tumeur au cerveau sur son tronc cérébral un jour plus tard et a subi une intervention chirurgicale d’urgence, faisant craindre à sa famille et à son club pour sa vie.

La star allemande du basket-ball a développé la tumeur peu de temps après avoir été vaccinée avec une seule dose du vaccin Johnson & Johnson COVID-19.

Zipser a lentement repris une vie normale depuis la chirurgie cérébrale d’urgence il y a 9 mois, cependant, il reste beaucoup de doutes s’il pourra à nouveau jouer au basket à un niveau élevé. Néanmoins, dans un podcast récententretien, Zipser est resté optimiste quant à sa carrière :

« En dehors de la (bonne) formation au contact, il manque encore quelques choses, mais [mon retour] n’est plus qu’une question de temps maintenant. 

Zipser a été sélectionné par le Chicago Bulls avec le 48e choix au total lors du  repêchage de la NBA 2016 . L’Allemand a marqué un sommet en carrière de 21 points la même année lors d’une victoire de 112 à 73 contre les  Brooklyn Nets .


Fabienne Schlumpf : une coureuse de marathon olympique suisse de 31 ans a développé une myocardite après avoir reçu une injection de rappel COVID-19

Recordman suisse du marathon et athlète olympiqueFabienne Schlumpfa reçu un diagnostic de myocardite plus tôt ce mois-ci après avoir été vaccinée avec le vaccin de rappel COVID-19.

Schlumpf , spécialisé dans la 3000 mètres steeple, avait déclaré se sentir « fatigué » dans la vie de tous les jours peu de temps après le troisième coup.

La joueuse de 31 ans ne sait plus quand elle pourra à nouveau concourir :

« Personne ne peut dire combien de temps je dois mettre ma carrière entre parenthèses. »

L’athlète suisse avait déjà remporté une médaille d’argent aux  Championnats d’Europe 2018 et est l’actuel  détenteur du record national suisse au 3000 mètres steeple avec un record personnel de 9:37.81.

Lire l’histoire complète ici.


[Voir aussi :
Liste de sportifs vax décédés, par un groupe d’avocats
Matt Le Tissier : « Je n’ai jamais rien vu de tel… C’est incroyable le nombre de sportifs qui s’effondrent »
2021 — Liste de sportifs professionnels et amateurs victimes des injections
Brisons le silence, sauvons nos enfants : la liste effroyable des décès de sportifs depuis le début de la vaccination !
Sportifs de haut niveau, les vaccins covid diminuent vos performances !]




Maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale, une épidémie dans l’épidémie ?

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

Les signalements de cas suspects de maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale se multiplient depuis le mois d’octobre en France et dans le monde. Nous avons recensé une dizaine d’études documentant un possible lien avec le vaccin, mais celui-ci est formellement réfuté par l’ANSM. La précipitation de l’État à écarter cette hypothèse l’expose-t-elle demain à un nouveau scandale sanitaire ?

Le 15 octobre 2021, la France entière découvrait sur CNews l’histoire de Mauricette Doyer, cette femme de 72 ans ayant déclaré une forme atypique de maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) 15 jours après sa deuxième injection du vaccin Pfizer-BioNTech. Depuis la diffusion de son témoignage, son mari ne cesse d’alerter les autorités sanitaires et de recevoir des messages de proches de personnes vaccinées (une quarantaine à ce jour) relatant strictement le même récit, caractérisé par les mêmes symptômes et la même chronologie.

Ce lien entre les vaccins à ARN messager et la survenue d’une maladie à prions est-il suffisamment plausible pour être pris en compte par les autorités sanitaires ? Le ministère de la Santé a-t-il, à défaut de respecter le principe de précaution qui prévaudrait ici, agi conformément à ce qu’exigerait l’éthique ou plus prosaïquement la loi au regard de la spécificité de cette maladie à déclaration obligatoire ? C’est ce que nous avons cherché à comprendre.

La réponse du corps médical : écoute-t-on les bonnes personnes ?

À défaut de l’être par les autorités de santé (Olivier Véran n’a jamais pris la peine de contacter Marc Doyer, malgré son engagement à le faire), la situation particulière de Mauricette Doyer a interpellé le Pr Luc Montagnier, biologiste virologue, prix Nobel de médecine en 2008, qui alerte depuis des mois sur un possible lien entre les injections d’ARN messager (ARNm) et le déclenchement de la maladie de Creutzfeldt-Jakob :

« Cette maladie est très rare, normalement, quand elle est sporadique, c’est un cas sur un million. Là, c’est un groupe de 7 personnes indépendantes les unes des autres avec des médecins différents qui sont atteints de cette maladie. Le facteur commun est qu’ils ont été vaccinés par deux doses de vaccin Pfizer. C’est à la deuxième dose que ça apparaît des petits signes et puis les signes généraux de la maladie apparaissent. On ne peut pas prouver que c’est causé par les vaccins, mais il faut quand même regarder cette hypothèse. Parce que le seul facteur commun entre ces personnes, c’est d’avoir été vacciné par le même vaccin. »

Sud Radio, 17 novembre 2021

[Note de Joseph :
De nombreux articles indiquent la présence de graphène et d’éléments métalliques divers dans les vaxins.
Et l’article Explication de la maladie de la vache folle suggère la véritable cause probable de la maladie de Creutzfeldt-Jakob et de celle de la Vache folle. Il s’agirait de la conjugaison de certains métaux (comme le manganèse), de facteurs oxydants (chimiques — provenant par exemple de pesticides —, mais aussi électromagnétiques — UV, radars, micro-ondes de smartphones et autres, etc.)]

Le Pr Luc Montagnier faisait état en décembre 2021 de 21 décès survenus sur le territoire national post injection [1]. Peu avant son décès, il évoquait 40 cas suspects. Sans accuser formellement les vaccins, il questionne, car il n’est pas possible de fermer les yeux aujourd’hui. La responsabilité du vaccin dans la survenue de ces cas peut-elle être pour autant établie à ce stade ? Le cas échéant, s’agit-il d’un effet secondaire connu des vaccins ?

« Il y a visiblement un sujet commun au niveau mondial »

Selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude ancienne directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et accessoirement l’une des plus grandes spécialistes de l’ARN messager, on ne peut pas parler d’« effet connu » compte tenu de l’incidence extrêmement faible de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, mais la proximité de survenue de ces cas avec les injections est a minima inquiétante.

Interrogée par Clémence Houdiakova sur Radio Courtoisie, elle évoque un « pic d’intérêt » sur Internet (Google Trends) pour cette maladie rarissime, le dernier – de bien moindre amplitude – ayant été observé en 2016, ce qui l’amène à conclure que le cas de Mauricette n’est sans doute pas un cas isolé : « Il y a visiblement un sujet commun au niveau mondial, le dernier pic étant daté du 19 octobre 2021. »

Au Canada, les autorités sanitaires du Nouveau-Brunswick ont en effet annoncé l’ouverture d’une enquête sur une maladie d’atrophie cérébrale présentant des similarités avec la MCJ et ayant touché 42 personnes, dont 5 sont décédées. Faut-il voir là encore un possible lien avec le vaccin ?

Un faisceau d’indices en faveur d’un possible lien

C’est sans doute prématuré pour le dire, la presse évoque au contraire la piste d’un élevage de homards et l’utilisation d’un produit phytosanitaire. Dans le cas de Mauricette, ce lien a été établi a minima par son médecin traitant qui mettra un mois et demi avant de déclarer son cas à la pharmacovigilance comme cas suspect de maladie de Creutzfeldt-Jakob. Elle dénombre dans sa patientèle une seconde personne vaccinée ayant développé un tableau clinique similaire, également à proximité de l’injection.

La neurologue C. Moret Chalmin qui a étudié une dizaine de ces cas, dont celui de Mauricette exclut tout concours de circonstances au regard de la similarité des tableaux cliniques (démence, dyspraxie, mutisme akynétique), de la parfaite superposition de leur courbe d’évolution temporelle et de l’impossibilité d’expliquer statistiquement un tel nombre de cas, dont certains ont également été détectés en Suisse et en Belgique.

Que répondent les autorités sanitaires et le corps médical ?

En marge des explications psychologisantes avancées par plusieurs médecins dans les médias, évoquant systématiquement la tentation de « rechercher un coupable » (S. Haïk), et donc d’incriminer le vaccin face à une maladie rarissime et « extrêmement mystérieuse » dont « on ne connaît pas encore bien le mécanisme », les hypothèses émises par le corps médical s’orientent systématiquement vers un diagnostic d’exclusion a priori du rôle du vaccin : « Elle l’avait en elle, elle l’a déclenchée lors de la vaccination » ; « On ne sait pas, on verra s’il y a une explosion des cas ». Que sait-on des enquêtes de pharmacovigilance conduites en France et de l’incidence de la maladie ?

 Le caractère de maladie à déclaration obligatoire exige le signalement immédiat et systématique de tout cas suspecté ou avéré aux autorités sanitaires 

Épidémiologie de la maladie : est-il trop tôt pour s’inquiéter ?

Un article paru dans Libération le 31 janvier 2022 prétend faire le point sur cette question. Concernant l’incidence de la maladie, les données épidémiologiques françaises ne confirmeraient pas « pour le moment » le signal évoqué par Marc Doyer : : « Les spécialistes interrogés par CheckNews assurent que les délais d’apparition de cette maladie rendent impossible tout lien avec la vaccination », explique Libération en introduction de l’article.

Plus de cas suspects relevés en quelques semaines qu’en 27 ans

Interrogé par le journaliste de Libération, Jean-Philippe Brandel, neurologue à la Pitié-Salpêtrière et coordinateur de la Cellule nationale d’aide à la prise en charge des maladies de Creutzfeldt-Jakob, explique qu’aucune augmentation de l’incidence de cas suspects ou avérés n’a été enregistrée en 2020 et 2021 au sein du Réseau national de surveillance de la MCJ, dont le caractère de maladie à déclaration obligatoire exige le signalement immédiat et systématique de tout cas suspecté ou avéré aux autorités sanitaires.

Il rappelle également que l’incidence de la maladie est particulièrement stable, en moyenne de 150 cas par an, selon la forme de la maladie :

  • sporadique (de survenue aléatoire) : en moyenne 100 cas/an en France ;
  • héréditaire (familiale ou génétique) : en moyenne 8 à 10 cas/an en France ;
  • acquise (par contamination), avec deux formes spécifiques : les MCJ iatrogéniques (112 cas recensés en France entre 1992 et 2004) et la variante de la MCJ (vMCJ, 28 cas diagnostiqués entre 1992 et 2019 en France, 200 dans le monde depuis 1995), dont la plus connue est l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), à l’origine de la maladie dite « de la vache folle ».

Aucune inquiétude donc pour le moment, mais une vigilance : « Il y a une surveillance active qui est en place, et l’on va continuer à surveiller de près si l’on y voit une augmentation significative du nombre de suspicions. Mais pour le moment, ça n’est pas le cas », précise dans le même article le Dr Stéphane Haïk, neurologue responsable de l’équipe Maladie d’Alzheimer-Maladies à prions au sein de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM) et coordonnateur du Centre national de référence des prions.

Et si ce n’était pas le hasard ?

Cette inquiétude serait en effet majeure si le vaccin pouvait être à l’origine des cas cités par Marc Doyer, qui évoquait récemment une incidence anormale de la maladie en Israël, pointée par un professeur du département de Neurologie de l’université de Tel-Aviv. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier cette information, les autorités sanitaires ont-elles cherché à le faire ?

Le ministre des Solidarités et de la Santé est en tout cas formel. Il a récemment menacé en plein hémicycle une ancienne députée de la majorité, médecin, de poursuites pénales pour avoir suggéré une possible implication du vaccin dans la survenue de ces cas, qu’il qualifie de « délire complotiste » auquel il oppose le « fait scientifique » :

« Délires complotistes » sur les vaccins : « Les mandats s’arrêtent un jour et ceux qui continuent à tenir ces propos là seront susceptibles d’en rendre compte devant la justice… je le dis pour madame @MartineWonner », rappelle @olivierveran. #DirectAN #Covid19 pic.twitter.com/mSCv6Zbh9M

LCP (@LCP) February 24, 2022

Elle le serait d’autant plus si ces cas avaient pu échapper aux radars de la surveillance épidémiologique en raison de leur atypicité et de l’incrédulité des médecins dénoncée par un nombre inquiétant de personnes ayant déclaré un événement indésirable à proximité des injections. Omerta, tabou… ce sont les termes qui reviennent dans de nombreux témoignages pour décrire le refus du corps médical d’envisager l’hypothèse d’un possible lien avec le vaccin, à l’instar de celui de l’épouse de Jean-Pierre Pernaut dont les médecins ne parviennent pas à expliquer les 4 accidents vasculaires cérébraux (AVC) consécutifs à l’injection de sa 3e dose, mais qui ont une seule certitude qui les empêche de procéder à des investigations plus poussées : ça ne peut pas être le vaccin.

« On ne remet pas en cause la vaccination »

Peut-on douter du manque de sincérité ou de lucidité du corps médical, et donc de l’exhaustivité des cas déclarés dans les bases de pharmacovigilance ? C’est ce que suggère en tout cas le Dr Amine Umlil, pharmacien et juriste en droit de la santé, responsable du centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques (CTIAP) de Cholet, qui alerte depuis plusieurs mois sur la défaillance et les entorses au droit de la pharmacovigilance dans le cadre de l’actuelle campagne de vaccination.

Il motivait en ces termes sa démission du Comité scientifique permanent de l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM), intervenue en novembre 2021, dénonçant un «  tabou bien intériorisé  » : « On ne remet pas en cause la vaccination. »

Sans pour autant reprendre cette hypothèse, que sait-on de l’intégrité des enquêtes de pharmacovigilance évoquées par le Pr Adnet lors de l’émission Touche pas à mon poste du 21 janvier 2022 (74’) et le Dr Martin Blachier qui martèle à chacune de ses interventions médiatiques que l’ANSM enquête sur l’ensemble des cas, comme ici à l’antenne de CNews le 15 octobre 2021 : « Dès qu’il y a un signalement sur quelque chose de très rare, ils investiguent, ils recherchent. »

L’Agence européenne des médicaments qui a homologué le vaccin mentionne clairement ce risque dans un document daté du 30 novembre 2020

Exclusion du rôle du vaccin : sur quelles bases s’est fondée l’ANSM ?

L’ANSM recense sur son site 6 cas de suspicion de MCJ déclarés après une vaccination, dont 4 avec le vaccin Comirnaty (Pfizer-BioNTech), 1 avec Spikevax (Moderna) et 1 avec Vaxzevria (AstraZeneca). Or l’Agence précise de manière contradictoire que « ces cas ont fait l’objet d’une analyse approfondie par les CRPV » mais que « s’agissant d’une pathologie d’évolution très lente, le comité de suivi considère que le court délai de survenue ne permet pas de retenir le rôle des vaccins contre la COVID-19 dans la survenue de ces cas », tout en rappelant que « les suspicions de MCJ sont des maladies à déclaration obligatoire [pour lesquelles] le diagnostic est complexe et long ».

Un risque théorique mais jugé minime par l’Agence européenne des médicaments

Au-delà de cette étrange contorsion rhétorique, deux éléments interrogent quant à l’arbitrage de l’ANSM et à la communication qu’elle organise sur son site, à destination du grand public dont elle pourtant garante de l’information loyale sur laquelle se fonde légalement l’exercice du consentement libre et éclairé sanctifié par le Code de la santé publique (articles L. 1111-4 et R. 4127-36, CSP) :

l’Agence européenne des médicaments (European Medical Agency, EMA) qui a homologué le vaccin mentionne clairement ce risque dans un document daté du 30 novembre 2020 : « La Protéinase K utilisée dans la fabrication de DS et bouillon LB utilisé dans l’établissement du pST4-1525 MCB et WCB sont les seuls matériaux d’origine animale utilisés dans la fabrication du BNT162b2. Le demandeur a identifié une contamination du produit par des agents de l’encéphalopathie spongiforme transmissible (EST) [maladie à prion] comme principal risque théorique associé à ces ingrédients, jugé minime » ;
les enfants de Mauricette Doyer ont fini par obtenir des autorités sanitaires une exemption de vaccination en raison d’un possible terrain familial pouvant favoriser le déclenchement de la maladie. L’État admet donc tacitement que le lien ne peut être à ce stade formellement exclu.

Le principe de précaution a-t-il été respecté ?

Pourquoi, au vu de ces éléments, l’ANSM a-t-elle choisi de poser aussi rapidement un diagnostic d’exclusion plutôt que de signaler l’existence d’un lien possible entre ces cas de MCJ et le vaccin – et donc d’un risque, fût-il exceptionnel –, ou de se contenter d’indiquer qu’une enquête est en cours ?

Les bonnes pratiques de communication sur la sécurité d’emploi des médicaments, décrites dans le chapitre 7 du Guide de bonnes pratiques de pharmacovigilance de février 2018, édité par l’ANSM indiquent en effet clairement que « la communication sur la sécurité d’emploi de médicaments » doit être « claire et adaptée aux destinataires afin de répondre à leurs attentes », « présentée de manière objective et non trompeuse », « présente[r] toujours le risque en perspective du bénéfice attendu » et « fai[re] état des éventuelles incertitudes ».

Le Code de la santé publique précise de son côté que toute personne a le droit d’être informée sur « les risques fréquents ou graves normalement prévisibles » que comportent « les traitements ou actions de prévention qui [leur] sont proposés » (art. L. 1111-2), y compris les risques exceptionnels, comme l’a rappelé le Conseil d’État (décision no 181899, séance du 10 décembre 1999). Ce cadre est-il aujourd’hui respecté ?

Il est possible qu’en injectant à nouveau ce vaccin, on augmente le risque. Donc le danger est là.

Luc Montagnier

L’exclusion du vaccin s’est faite sur un seul critère : le délai d’apparition de la maladie

L’article de Libération apporte un éclairage plus précis sur le motif d’exclusion par l’ANSM du rôle des vaccins dans la survenue de ces cas : « Lorsque la maladie apparaît quelques semaines ou quelques mois après une vaccination, il est impossible en l’état actuel des connaissances que ce soit lié à la transmission d’un prion ou à l’injection d’une molécule qui induirait une conformation anormale de la protéine prion. » (S. Haïk)

Pour la forme acquise de la maladie, le délai d’apparition varierait de 1 an minimum en cas de contamination infectieuse jusqu’à 10 à 15 ans en cas de contamination iatrogénique. Les délais seraient selon eux beaucoup plus longs si un composant du vaccin avait déclenché une anomalie sur une protéine prion. Quant à l’accélération du développement d’une maladie sous-jacente, évoquée par certains médecins, elle ne serait suggérée par aucune donnée selon les neurologues interrogés par Libération.

Restent donc deux hypothèses pour expliquer la survenue de ces cas :

  • un concours de circonstances orientant le diagnostic vers la forme sporadique de la maladie (la plus commune), ce qui serait cohérent avec la « banalité » de leur incidence. Mais elle paraît de fait exclue en raison de la similarité des cas et de leur déclenchement systématique deux semaines après une injection ;
  • une contamination induite par les vaccins ou l’un de ses composants. Cette hypothèse ne peut être écartée d’un revers de la main puisqu’une telle contamination a été constatée par Pfizer lui-même sur l’un de ses sites de productions et recensée par l’EMA

Voici l’analyse que le Pr Luc Montagnier faisait de son côté de la situation commentée par les neurologues de la Pité-Salpêtrière, sur la base des mêmes éléments :

« C’est une maladie qui normalement arrive lentement mais sûrement et qui détruit les cellules du cerveau. Le temps travaille contre la personne qui reçoit. Plus on reçoit du vaccin, plus on fait une partie de la protéine qui est appelée “prion” car elle est capable de changer de forme, s’aplatir et de faire des agrégats insolubles et de tuer ainsi les cellules du cerveau. C’est une maladie très rare normalement, mais là nous avons déjà 8 cas signalés par des médecins neurologues. Plus on injecte, plus le risque augmente, car il est possible que ces prions se forment, c’est-à-dire s’aplatissent, quand ils sont en très grande quantité. Alors il est possible qu’en injectant à nouveau ce vaccin, on augmente le risque. Donc le danger est là. Donc j’informe les médecins qui injectent le Pfizer qu’ils risquent d’induire les maladies de Creutzfeldt-Jakob. »

Radio Courtoisie, 9 décembre 2021

Aucune cause alternative n’est avancée par l’ANSM

Revenons à l’enquête de pharmacovigilance. Selon l’ANSM, la fulgurance du développement de la maladie exclut formellement qu’elle puisse avoir été provoquée par les injections, mais les enquêtes se poursuivent en attendant qu’un diagnostic soit établi.

[…]

L’ANSM ne sait pas, donc elle exclut formellement le rôle du vaccin

C’est donc l’incapacité du corps médical à expliquer, à partir des données actuelles de la science, la manière dont le vaccin pourrait induire ces cas (suspects ou avérés) de maladie de Creutzfeldt-Jakob qui les conduit à réfuter cette hypothèse. Cette limite constitue-t-elle une objection suffisante dans le contexte d’une technologie vaccinale inédite ? Sur quelles données sémiologiques se sont basés les enquêteurs de l’ANSM pour exclure le vaccin ? Ont-ils pris en compte l’ensemble des études décrivant le mécanisme d’action des vaccins ou uniquement la documentation commerciale fournie par les laboratoires ?

La méthode d’imputabilité médicamenteuse inclut en effet la prise en compte des critères bibliographiques, c’est-à-dire le fait que cet événement indésirable soit ou non décrit dans la littérature. Or les preuves dont on dispose aujourd’hui sont à ce point accablantes qu’elles laissent penser que ce n’est pas le cas.

Les ARNm ne restent pas localisés au point d’injection mais circulent dans tout le corps via la circulation sanguine et le système lymphatique, atteignant la plupart des organes, notamment le cerveau

Mécanisme d’action des injections : les scientifiques alertent depuis plus d’un an sur ce risque

La science a progressé depuis les premiers communiqués des laboratoires et l’octroi de l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle. Un consensus domine désormais au sein de la communauté scientifique [3-14] concernant la toxicité intrinsèque de la protéine Spike et sa capacité à provoquer à elle seule tous les signes cliniques de forme sévère du COVID-19.

Toxicité des nanoparticules lipides

L’ARNm injecté dans le corps est un ARNm synthétique encapsulé dans des nanoparticules lipidiques (LNP), l’ALC-0159 (polyéthylène glycol, PEG) et l’ALC-0315, hautement inflammatoires [15-19]. Le PDG de Moderna évoquait déjà lui-même en 2016 le problème de la toxicité des nanoparticules lipidiques : « Ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si un patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années. »

Dans un article daté du 10 mars 2021, le British Medical Journal (BMJ) relatait également des inquiétudes formulées par des spécialistes dans le domaine de la biotechnologie pharmaceutique concernant la biodistribution de ces LNP : « Il est essentiel d’avoir des informations plus spécifiques pour savoir précisément où les nanoparticules liposomales vont après l’injection. » [20, 21] Que nous apprend la littérature sur cette question ?

Perturbation de la barrière hématoencéphalique

On sait aujourd’hui [15, 16, 22-28] que les ARNm ne restent pas localisés au point d’injection mais qu’ils circulent dans tout le corps via la circulation sanguine et le système lymphatique, atteignant la plupart des organes, notamment le cerveau. Les autorités sanitaires peuvent-elles décemment l’ignorer ?

Le rapport d’évaluation de l’EMA l’a confirmé pour le vaccin Moderna : « De faibles niveaux d’ARNm ont pu être détectés dans tous les tissus examinés à l’exception du rein. Cela comprenait le cœur, les poumons, les testicules et également les tissus cérébraux, indiquant que la plate-forme ARNm/LNP traversait la barrière hématoencéphalique, bien qu’à des niveaux très bas (2 à 4 % du niveau plasmatique). » [29, p. 47]

Ce risque est également évoqué par l’Agence concernant le vaccin Pfizer : « Plusieurs rapports de la littérature indiquent que les ARN formulés par LNP peuvent distribuer de manière plutôt non spécifique à plusieurs organes tels que la rate, le cœur, les reins, les poumons et le cerveau. » [30, p. 54]

Cet ARNm a pour objectif de faire produire massivement (l’équivalent de 6 750 L de fluide nasal infecté pour le vaccin Pfizer, de 23 m3 pour le vaccin Moderna [11, 31]) par les cellules de l’organisme des protéines de pointe (Spike) elles-mêmes circulantes, dont le caractère pathogène et hautement inflammatoire est aujourd’hui démontré [9, 11, 15, 32].

Des études récentes montrent plus spécifiquement que la perturbation de la barrière hématoencéphalique (BHE) par la protéine Spike [15, 33-35] est alors susceptible d’induire l’apparition de neuropathies, d’inflammations du système nerveux central (polyradiculonévrites notamment) et de maladies neurodégénératives [15, 33-45], dont plus spécifiquement des maladies à prions invalidantes [15, 33–34, 38-46].

Selon une étude, les vaccins Pfizer et Moderna contiennent une région de type “prion” susceptible de déclencher un jour une maladie de Creutzfeldt-Jakob

Identification d’une région de type « prion » dans la protéine Spike

Ce mécanisme d’action permet-il d’expliquer la survenue de ces cas dans des délais aussi rapides que ceux relatés par les proches des personnes vaccinées, compte tenu notamment de la réitération des injections et des quantités astronomiques d’ARNm contenu dans chaque dose ?

La chercheuse Stefanie Seneff (Massachusetts Institute of Technology) alerte pour sa part depuis plusieurs mois sur ce risque associé aux vaccins ARNm qu’elle estime majeur en raison de la nature de la protéine Spike : « Lorsque l’on considère que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 est une protéine transmembranaire et qu’elle contient cinq motifs GxxxG dans sa séquence, il devient extrêmement plausible qu’elle puisse se comporter comme un prion », expliquait-elle déjà en juillet 2021 [15] en se basant sur les travaux de plusieurs chercheurs [40].

Ce risque est aujourd’hui confirmé par une nouvelle étude, cosignée par le mathématicien J.-C. Perez, V. Lounas et le Pr L. Montagnier, selon laquelle les vaccins Pfizer et Moderna contiennent une région de type « prion » susceptible de déclencher un jour une maladie de Creutzfeldt-Jakob [46] :

« L’ARN messager permet la traduction de son message dans le corps tout entier sans le corps. Personne ne peut dire pour chacun d’entre nous où vont aller ces messages. C’est une inconnue terrible. Et on apprend maintenant, en fait c’est un travail qui a été publié depuis plus d’un an, que ces messages contiennent une région qu’on peut appeler “prion”, qui est une région capable d’induire des modifications de protéines dans notre corps d’une façon imprévisible. »

L. Montagnier, Parlement luxembourgeois, France, 12 janvier 2022 [1, 13’30”]

[…]

Quantité et qualité de l’ARN messager

Indépendamment du mécanisme d’action des vaccins ARNm, à mille lieues de celui décrit dans la documentation commerciale (reprise ici dans la rubrique « Les Décodeurs » du journal Le Monde) et d’une possible source de contamination par du matériel d’origine animale utilisé signalée par l’EMA, la présence dans le sérum injecté d’« espèces fragmentées » d’ARN, donc d’ARN de mauvaise qualité pourrait induire l’apparition de maladies auto-immunes, notamment à prions s’ils étaient reproduits et qu’une instruction aberrante était envoyée aux cellules [11]. La généticienne A. Henrion-Caude a elle-même alerté à de nombreuses reprises sur ce risque.

[…]

Une étude publiée dans la revue Nature le 22 novembre 2021 relate la détection d’un nouveau type d’impureté dans la préparation des ARNm vaccinaux. Les chercheurs [54] ont identifié une réaction chimique, invisible par les techniques d’analyse d’intégrité habituellement utilisées par les laboratoires pharmaceutiques, qui conduit à des ARNm « impropres à la consommation », incapables de produire des protéines Spike correctes.

[…]

Personne ne peut dire aujourd’hui quel sera l’impact de ces injections sur l’organisme, notamment le cerveau et le système immunitaire.

Persistance de la protéine Spike dans l’organisme

Ces inquiétudes sont renforcées par la persistance de deux inconnues majeures.

1/ Pendant combien de temps l’ARN va-t-il envoyer des instructions au corps pour qu’il fabrique la protéine Spike ? Pour S. Seneff, « Il n’existe bien sûr pas de réponses à cette question. Les laboratoires eux-mêmes n’ont pas la réponse » [34]. Même inquiétude du côté de ce professeur d’immunopathologie qui s’étonne de la présence de deux « codons-stops » sur la partie codante qui permet la production de la Spike censée reproduire la pointe du virus [11].

2/ Pendant combien de temps la protéine Spike va-t-elle persister dans l’organisme ? On ne le sait pas précisément, mais une étude anglaise [55] a montré que des fragments de la protéine Spike étaient détectables dans le plasma jusqu’à 29 jours après la première injection. Une seconde étude plus récente [56] a montré qu’elle était retrouvée dans les cellules au moins quatre mois après la 2e injection.

Tout ce que l’on sait aujourd’hui, c’est que l’ARN messager a été modifié afin de pénétrer dans l’ensemble des cellules et assurer la synthèse de nombreuses copies de la protéine de pointe.

Nous sommes donc en présence d’un vaccin reposant sur la manipulation génétique d’un ARN naturel [57] dont « le but est de garantir qu’on ne peut pas s’en débarrasser » [15] contrairement à ce qui est observé dans le vivant [11] : « “Normalement, un ARN messager est utilisé une fois et éliminé”Avec ces injections d’ARNm par Pfizer et Moderna, l’ARN messager est “utilisé maintes et maintes fois… encore et reste dans les cellules pendant [très] longtemps” », explique le Dr P. McCullough, spécialiste en médecine interne et maladies cardiovasculaires, vice chief of medicine à l’université Baylor du Texas, cofondateur et actuel président de la Cardiorenal Society of America.

En d’autres termes, personne ne peut dire aujourd’hui quel sera l’impact de ces injections sur l’organisme, notamment le cerveau et le système immunitaire, ni même ce qu’on injecte réellement aux personnes vaccinées puisque 20 % de la composition des vaccins est protégée par le secret de fabrication et que Pfizer, soutenu dans cette démarche par la FDA refuse de rendre cette information disponible, le laboratoire ayant récemment invoqué la loi sur les secrets commerciaux (Trade Secrets Act) pour demander l’octroi à la justice d’un sursis de 75 ans.

Les personnes ayant déclaré la maladie de Creutzfeld-Jakob sont-elles la confirmation qu’il est urgent de s’inquiéter des conséquences de ces injections ou doit-on s’enfouir la tête dans le sable pour sauver le vaccin, quoi qu’il en coûte aux personnes qui ont choisi de faire aveuglément confiance au Gouvernement ?

Si le vaccin est en cause, la politique sanitaire actuelle consiste à inoculer potentiellement sur injonction de l’État, à des enfants et des adultes en bonne santé, une maladie incurable

Les autorités sanitaires ont choisi : sacrifier les Français plutôt que le vaccin

La littérature concernant le risque associé aux vaccins ARN messager de déclencher, à court ou moyen terme, une maladie de Creutzfeldt-Jakob est aujourd’hui abondante. Il ne s’agit certes à ce stade que d’un risque, mais celui est susceptible d’être majoré par la réitération des injections.

Ces études ont-elles été prises en compte par l’ANSM ? Probablement pas. Comme ne l’ont probablement pas été les récits de pathologistes (ici le Dr R. Cole, cité par le Dr R. Malone, co-inventeur de la technologie des vaccins ARNm) disant avoir pu observer, chez des personnes vaccinées déclarant brutalement un cancer après leur vaccination, des cellules cancéreuses d’une taille qu’il n’avait encore jamais rencontrée se multiplier sous leurs yeux lorsqu’ils les étudiaient au microscope. Même fulgurance glaçante.

Or cette exclusion a priori du rôle possible du vaccin dans la survenue des cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob au seul titre de la fulgurance de leur forme, est éminemment problématique puisqu’elle corrompt l’intégrité de la pharmacovigilance et conduit à biaiser l’information sur laquelle doit se fonder aujourd’hui le consentement des patients et se fondera demain le renouvellement éventuel de l’AMM des vaccins.

Mensonge par omission : peut-on parler de mise en danger de la vie d’autrui ?

Dans le cadre d’une obligation vaccinale, réelle pour les soignants ou déguisée pour le reste de la population éligible au passe vaccinal, cette omerta est d’autant plus problématique que si le vaccin est en cause, la politique sanitaire actuelle consiste à inoculer potentiellement sur injonction de l’État, à des enfants et des adultes en bonne santé, une maladie incurable, et à hypothéquer la santé des Français pour ne pas sacrifier le vaccin.

Face à une telle imprudence, renforcée par le caractère de maladie à déclaration obligatoire de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, peut-on partager la confiance (faussement) naïve du Pr Adnet, qui affirmait récemment que « l’ANSM n’a aucun intérêt à promouvoir ces injections » ?

Si l’ANSM n’a pas d’intérêt à promouvoir le vaccin, elle a a minima, en tant qu’établissement public placé sous la tutelle du ministère des Solidarités et de la Santé, un devoir de loyauté à son égard. A-t-elle intérêt à dissimuler des effets secondaires ou à écarter la responsabilité éventuelle du vaccin dans leur survenue ?

En temps normal, si l’on exclut les considérations politiques et commerciales qui ont pu expliquer sa cécité dans d’autres circonstances, elle n’en a sans doute aucun. On rappellera toutefois que dans le scandale du Mediator, l’ANSM a été reconnue coupable il y a tout juste quelques mois d’avoir « failli dans (son) rôle de police sanitaire et de gendarme du médicament » et s’est vue infliger « la peine maximale de 225 000 euros pour “homicides et blessures involontaires” par négligence, à laquelle s’ajoutent des peines d’amendes contraventionnelles à hauteur de 78 000 euros ».

Qu’en est-il dans le cadre de l’actuelle campagne de vaccination où, pour la première fois dans l’histoire, les laboratoires ont négocié leur irresponsabilité juridique totale en cas d’apparition d’effets secondaires graves dont la possibilité est par ailleurs clairement mentionnée dans les contrats ?

Les laboratoires menant des recherches sur les prions ont tous été fermés fin juillet 2021, “par précaution”, suite à la découverte d’un cas de la maladie de Creutzfeldt-Jakob chez une ancienne laborantine

[…]

Vacciner, vacciner, vacciner, quoi qu’il en coûte

La liste des pays ayant requalifié le COVID comme maladie bénigne ou endémique ne cesse de s’allonger. Comment comprendre, dès lors, que le couple exécutif s’acharne à vouloir vacciner les Français, en particulier les enfants et les femmes enceintes pour lesquels la balance bénéfice-risque des injections est, si ce n’est déficitaire, nulle à de rares exceptions près, et à les exposer de fait à un risque gravissime, dûment notifié dans les documents de l’EMA et clairement identifié par la littérature ?

Des mesures de recherche (et à terme d’éviction) de l’agent infectieux pouvant expliquer l’incidence des cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob relatés notamment par le Pr Montagnier ont-elles été prises au nom du principe de précaution ? Olivier Véran s’était-il rapproché de son confrère, ou son appel, pourtant entendu par des millions de Français, n’est-il toujours pas parvenu à ses oreilles ?

Ce principe sacré a pourtant été récemment rappelé par Pierre Germain Sonigo, docteur en médecine et en biologie, qui a fait partie de l’équipe de l’Institut Pasteur ayant développé le vaccin contre l’hépatite B pour lequel des cas de sclérose en plaques se sont déclarés peu de temps après le début de la vaccination, et où une décision a dû être prise à l’époque :

« Il y a toujours des effets indésirables, la plupart du temps exceptionnels, mais s’il y a un effet exceptionnel grave – tous les 10000 – avec des gens qui meurent, dans ce cas, on sait qu’on risque de tuer des gens, alors on essaie d’en vacciner le moins possible. »

Conclusion

Faut-il en déduire qu’un arbitrage est aujourd’hui réalisé par le Gouvernement entre la santé des Français et l’intérêt des laboratoires ? Pour le dire autrement, le déni de tout risque vaccinal et l’injonction adressée aujourd’hui à l’ensemble des citoyens de se vacciner pour conserver leurs droits fondamentaux est-il le fait d’un ministre de la Santé et des Solidarités ou de l’avocat des laboratoires auquel il est de fait assimilé par les contrats ?

Sur ce principe, les médecins sont-ils seulement sûrs que si des risques documentés à la hauteur de ce qu’ils sont aujourd’hui (une revue de la littérature recense pas moins de 1 000 études pointant un possible lien entre le vaccin et des effets indésirables pour certains gravissimes) se concrétisent demain, l’État les protégera pour avoir fait le choix d’obéir à une simple injonction, portée par un ministre par nature éphémère, au mépris de la loi et de l’éthique la plus élémentaire ?

Car – c’est une hypothèse qui se précise de jour en jour au fur que les données épidémiologiques s’affinent et que la distinction entre mort avec et mort du COVID se fraie un chemin dans plusieurs pays –, si la véritable épidémie n’était pas le COVID ou sa résurgence, mais les effets secondaires qui se multiplient depuis le début de la campagne de vaccination et dont les autorités sanitaires refusent d’admettre simplement l’hypothèse malgré des données de pharmacovigilance littéralement alarmantes ?

Pourquoi ?

M. le Ministre et M. le Président, nous attendons votre réponse.


Avertissement

Une étude publiée en preprint depuis la rédaction de cet article, cosignée par la neurologue C. Moret Chalmin, le Pr L. Montagnier et le mathématicien J.-C. Pérez vient confirmer l’hypothèse que nous soutenons ici : « Vers l’émergence d’une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob neurodégénérative : Seize cas de MCJ déclarés quelques jours après un “vaccin” COVID-19 ». Les conclusions de cette étude seront présentées lors du 16e Congrès mondial des controverses en neurologie (CONy) qui se tiendra virtuellement à Londres du 24 au 27 mars 2022.

Note

On rappellera que Luc Montagnier et Alexandra Henrion-Caude avaient annoncé avoir découvert, lors du séquençage du génome du SARS-CoV2 réalisé peu de temps après sa mise à disposition : pour le premier, des séquences de HIV et de malaria ; pour la seconde, une séquence présente au niveau du site de clivage de la furine, retrouvée à l’identique dans un brevet déposé par Moderna en 2016, comme le confirme un article paru le 21 février 2022 dans la revue Frontiers of Virology qui démontre que la probabilité d’une origine naturelle du virus contenant une telle séquence brevetée est statistiquement nulle.

Références

Source et article complet :
https://lepointcritique.fr/2022/02/18/maladie-creutzfeldt-jakob-postvaccinale-epidemie-dans-epidemie/

Photo : Mauricette Doyer avec sa petite fille Léonie




Autriche — Le président de l’Ordre des Médecins est-il lui-même menacé d’une procédure disciplinaire ?

[Source : mfg-oe.at]

Traduction : Christine Côte

Autriche — Le président de l’Ordre des Médecins (ÄK) Szekeres est-il lui-même menacé d’une procédure disciplinaire auprès de l’Ordre des Médecins ?

MFG a déposé une plainte disciplinaire pour un travail de doctorat slovaque douteux. L’autorité slovaque a également été saisie.

Vienne (OTS) — Lors de la crise politique du Corona, il a voulu être le gardien de la scientificité et a menacé, et probablement initié, des procédures disciplinaires à l’encontre de médecins qui ne pensaient pas comme lui. Aujourd’hui, le président de l’ÄK, Thomas Szekeres, devra peut-être lui-même passer devant la commission disciplinaire de l’ÄK.

Rappel des faits :

Il y a quelques semaines, on a appris que Szekeres avait obtenu son doctorat en 2003 à l’université privée slovaque de Trnava, alors qu’il travaillait à l’Université de médecine de Vienne. Ce qui est déconcertant, c’est que cette « thèse » ne traite d’aucun sujet nouveau. Au lieu de cela, il s’agit d’une simple compilation de onze publications qui avaient déjà été publiées entre 1994 et 2002. Szekeres n’est le premier auteur que de quatre d’entre elles. Deux d’entre elles sont des « reviews », c’est-à-dire des résumés d’études menées par d’autres scientifiques – il ne s’agit donc pas d’une étude indépendante ou d’un traité général, comme c’est le cas pour une thèse de doctorat ou comme cela est exigé pour un PhD. Dans quatre études, l’épouse de Szekeres est même le premier auteur. Cette série de publications a ensuite été copiée et agrafée négligemment sous le titre « Enzyme targeted chemotherapy by inhibition of key enzymes of DNA synthesis ». Le MFG a maintenant porté l’affaire devant la commission disciplinaire de l’ÄK, devant laquelle de nombreux médecins, dont l’opinion sur la Corona diffère de celle de leur président, ont dû s’expliquer ces derniers mois.

Standard scientifique international ?

Dans l’exposé des motifs de la plainte de la MFG, on peut lire : « Le suspect porte le titre de “PhD” et fait référence dans diverses présentations de son curriculum vitae — entre autres dans celle figurant sur le site web de l’Ordre des Médecins autrichiens — à l’obtention d’un doctorat en philosophie (PhD) à l’université de Trnava. Le suspect a ainsi donné l’impression d’avoir produit une qualification scientifique allant bien au-delà de ce qui est exigé d’un médecin. Cette impression ne résiste toutefois pas à un examen plus approfondi. La thèse ne répond manifestement pas aux normes scientifiques internationales en vigueur pour ce type d’écrits. Elle peut difficilement être considérée comme une preuve de qualification scientifique justifiant le doctorat en philosophie ».

L’autorité slovaque également impliquée

Mais Szekeres n’est pas seulement menacé par sa propre chambre : le groupe de médecins MFG a en outre soumis l’ensemble du « travail » de Szekeres au ministère slovaque de l’Éducation pour vérification. Il s’agit notamment de déterminer si Szekeres a jamais étudié dans cette université. La possibilité de poursuites pénales en Slovaquie est encore à l’étude (le président Szekeres bénéficie de la présomption d’innocence).

Groupe de médecins MFG : www.aerzte-nicht-kammer.at

Pour rappel :




USA : le gouvernement fédéral a payé des centaines de médias pour faire de la publicité pour les vaccins COVID-19 alors que ces mêmes organes de presse présentaient une médiatisation positive des vaccins

[Source : theblaze.com]

Par Chris Pandolfo

Traduction : Jean Bitterlin

Les laboratoires pharmaceutiques américains financent les campagnes électorales des candidats des deux bords. Ces candidats sont donc corrompus avant même d’être élus.

Les laboratoires pharmaceutiques américains financent les organismes de santé publique en faisant de ces organismes des entités corrompues (OMS, CDC, HHS) ; entités qui le leur rendent bien par le biais du calendrier vaccinal dément imposé aux familles ou en impulsant des campagnes de propagande.

Les laboratoires pharmaceutiques américains financent les journaux et chaînes de télévision par le biais des publicités (80 % des recettes) qui serviront à augmenter les ventes des laboratoires pharmaceutiques.

Le contribuable américain finance les organismes de santé publique, lesquels organismes participent aux campagnes de propagande organisées par le personnel politique et les chefs d’agences de Santé publique mis au pouvoir par les laboratoires pharmaceutiques.

Est-ce bien différent chez nous ?

Jean Bitterlin

En réponse à une requête FOIA (Freedom of Information Act, loi américaine qui oblige les organismes publics à répondre aux questions posées par les citoyens — NdT) déposée par TheBlaze, le ministère de la Santé et des Services à la Personne (en anglais le HHS – NdT) a révélé qu’il a acheté de la publicité dans les principaux médias parmi lesquels ABC, CBS, et NBC, tout comme dans les stations de nouvelles de la télévision par câble, Fox News, CNN et MSNBC, dans les médias institutionnels parmi lesquels le New York Post, le Los Angeles Times et le Washington Post, dans les entreprises de médias numériques comme BuzzFeed et Newsmax, ainsi que dans des centaines de journaux et de stations de télévision locaux. Ces organes de presse étaient collectivement responsables d’avoir publié d’innombrables articles et de segments vidéo concernant le vaccin qui étaient pratiquement uniformément positifs au sujet du vaccin tant sur son efficacité que sur sa sûreté.

Des centaines d’organes de presse étaient payés par le gouvernement fédéral pour faire la publicité des vaccins comme faisant partie d’une « campagne médiatique de compréhension » d’après les documents du ministère de la Santé et des Services à la Personne obtenus par TheBlaze. L’administration Biden a acheté des publicités à la télévision, la radio, la presse écrite et dans les médias sociaux pour bâtir une confiance dans les vaccins, en synchronisation avec la disponibilité grandissante des vaccins. Le gouvernement s’est également appuyé sur des médias gagnés à la cause mettant en vedette des « influenceurs » de « communautés durement touchées par la COVID-19 » et des « experts » comme le conseiller médical en chef de la Maison-Blanche, le Dr Anthony Fauci, et d’autres universitaires afin d’être interviewés et promouvoir la vaccination lors des journaux télévisés.

Ne manquez pas le contenu de Dave Rubin exempt de la censure des géants du net. Écoutez le compte-rendu de Rubin maintenant

Bien que pratiquement toutes les salles de rédaction aient produit des articles couvrant les vaccins COVID-19, l’argent du contribuable qui a été versé dans leurs entreprises n’a pas été divulgué au public dans leurs reportages, puisque la pratique courante exige que les équipes éditoriales fonctionnent de manière indépendante vis-à-vis des services de publicité des médias et les équipes journalistiques n’ont pas jugé utile d’en faire la divulgation, comme l’ont expliqué certaines publications qui ont reçu des commentaires de lecteurs.

L’administration Biden s’est engagée dans une campagne massive pour éduquer le public et promouvoir la vaccination comme étant le meilleur moyen de prévenir la maladie grave ou le décès dus au COVID-19.

Le Congrès a alloué 1 milliard de dollars au cours de l’année fiscale 2021 au Secrétaire à la Santé pour être dépensés dans des activités visant à « renforcer la confiance dans les vaccins aux États-Unis ». La loi fédérale autorise le HHS (Ministère ou Département de la Santé et des Services à la Personne — NdT) à agir par l’intermédiaire des Centres de Contrôle des Maladies et de la Prévention des États-Unis et d’autres agences pour passer des marchés avec des entités publiques et privées afin de « mener une campagne nationale fondée sur des preuves visant à accroître la sensibilisation et la connaissance de la sécurité et de l’efficacité des vaccins dans la prévention et le contrôle des maladies, de combattre la désinformation sur les vaccins et à diffuser des informations scientifiques fondées sur les preuves au sujet des vaccins, dans le but d’augmenter les taux de vaccination dans toutes les tranches d’âge… pour réduire et éliminer les maladies évitables par la vaccination ».

Quiconque a passé du temps à lire les nouvelles, à regarder la couverture médiatique télévisée, ou à naviguer sur les médias sociaux au cours de l’année écoulée a plus que probablement été exposé à la publicité du gouvernement. Les publicités du HHS publiées sur YouTube ont été visionnées des millions de fois et des publicités présentant des célébrités tels le chanteur Sir Elton John et l’acteur Sir Michael Caine ont été le sujet de couvertures médiatiques, comme cette chronique de NBC News :

Elton John, Michael Caine apparaissent dans une publicité comique sur le vaccin Covid — NBC News Maintenant youtu.be.

Les « publicités de vaccins basés sur la peur » du HHS présentant des histoires de « survivants » parmi les patients atteints du coronavirus qui étaient hospitalisés dans des unités de soins intensifs ont été couvertes par CNN et discutées dans les émissions « The View » d’ABC jusqu’à ce qu’elles soient dévoilées en octobre dernier.

Bien que le gouvernement fédéral ait payé chacune de ces entreprises et autres pour une publicité pro vaccin tandis que les journaux télévisés couvraient les mêmes vaccins, de nombreux comités de rédaction disent qu’ils ont des politiques de pare-feu qui empêchent les annonceurs d’influencer la couverture des nouvelles.

Les annonceurs paient pour un espace afin de partager leurs messages, comme c’était le cas ici, et ces publicités sont clairement étiquetées comme telles », a expliqué dans un communiqué Shani George, vice-présidente à la communication du Washington Post. « La salle de rédaction est totalement indépendante du département de la publicité », a-t-elle déclaré.

Une porte-parole du Los Angeles Times a fait une déclaration similaire, soulignant que « la salle de rédaction fonctionne indépendamment de la publicité ».

TheBlaze a contacté plusieurs autres publications qui ont soit refusé de commenter ou n’ont pas répondu avant la publication (de cet article — NdT).

La campagne d’éducation du public sur le COVID-19 du HHS a également utilisé des médias de proximité gagnés à la cause — le marketing du bouche-à-oreille — dans le but d’avoir des « messagers et des influenceurs de confiance » pour parler aux agences de presse afin de « fournir des informations factuelles et opportunes et des mesures que les gens peuvent prendre pour se protéger, protéger leurs familles et leurs communautés ».

À la suite de cet effort, divers responsables gouvernementaux ont souvent été cités par les reporters couvrant la pandémie COVID-19, offrant des informations factuelles sur l’efficacité et l’innocuité des vaccins. Un article du mois d’octobre de BuzzFeed News (featuring the « essential facts ») au sujet de qui était éligible pour l’injection de rappel COVID-19, par exemple, a rapporté des déclarations pro-vaccins de Rochelle Walensky, la directrice du CDC, du représentant de la FDA Peter Marks, du Secrétaire du HHS Xavier Becerra, et de George Rutherford, épidémiologiste à l’Université de Californie à San Francisco.

L’article soulignait comment les études montrent que les « rappels fonctionnent » et citait des données de la FDA qui suggèrent que de recevoir une injection de rappel « peut rétablir une forte protection contre le virus ». BuzzFeed News a conseillé à toutes les personnes âgées de 65 ans ou plus, aux personnes ayant des problèmes de santé qui les exposent à un risque élevé de maladie grave du COVID-19, à celles comme les personnels soignants qui courent le risque de par leur travail d’entrer en contact avec des personnes positives au COVID-19, et à tous ceux qui sont dans des zones à forte transmission du virus de prendre le vaccin de rappel, conformément aux directives du CDC.

D’autres publications, telles que le Los Angeles Times, ont présenté des conseils venant d’experts sur la façon dont les lecteurs pourraient convaincre les personnes hésitantes de leur entourage à changer d’avis. Le Washington Post a couvert « les messages pro-vaccins que les gens veulent entendre ». Newsmax a rapporté comment on «  a démontré que les vaccins sont sûrs et efficaces » et « a encouragé les citoyens, surtout ceux qui sont à risque, de se faire vacciner ».

Le HHS n’a pas immédiatement répondu lorsqu’on lui a demandé si l’agence utilisait l’argent des contribuables pour que les personnes interviewées soient payées ou pour qu’une société de relations publiques les place dans des interviews avec des organes de presse.

Depuis que les vaccins COVID-19 fabriqués par Pfizer-BioNTech, Moderna et Johnson & Johnson ont reçu une approbation d’utilisation en urgence aux États-Unis l’an passé, plus de 215 millions de personnes ont été pleinement vaccinées contre la COVID-19. On estime que 94,6 millions de personnes ont également reçu au moins une dose de rappel. Environ 65 % de la population des États-Unis est désormais pleinement vaccinée contre la COVID-19 dont 75 % de la population adulte des États-Unis et 88,8 % des personnes âgées.

Le HHS n’a pas encore révélé combien d’argent en publicité a été dépensé sur chaque plate-forme médiatique.

Traduction Jean Bitterlin le 18 mars 2022




Cabinets de conseil : le rapport accablant de la commission d’enquête du Sénat

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Le rapport de la commission d’enquête sénatoriale sur l’emprise croissante des cabinets de conseil privés sur le déploiement des missions de l’État français a été rendu public ce 17 mars, à l’issue de quatre mois d’investigations et d’auditions. Son titre annonce la couleur : « Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques ». Les sénateurs y soulignent « l’influence avérée » des cabinets de conseil sur les décisions publiques, le coût exorbitant des prestations pour des résultats parfois jugés médiocres, ou encore le « pantouflage » bien réel et les risques de conflits d’intérêts. Face à ce phénomène qui s’exerce sur « des pans entiers des politiques publiques », ce rapport « soulève deux principales questions : notre vision de l’État et de sa souveraineté face à des cabinets privés, d’une part, et la bonne utilisation des deniers publics, d’autre part », écrivent le président de la commission, Arnaud Bazin (LR) et la rapporteure Éliane Assassi (CRCE). Le cabinet de conseil américain McKinsey est également accusé d’évasion fiscale alors qu’il avait prétendu le contraire sous serment lors d’une précédente audition en janvier.

Le point de départ de cette enquête sénatoriale, réalisée à l’initiative du groupe Communiste, républicain, citoyen et écologiste (CRCE), a été l’appel à des consultants privés dans le cadre de la gestion de la crise Covid à partir de 2020. En réalité, il ne s’agissait que de la « face émergée de l’iceberg ». Selon le rapport, « les cabinets de conseil sont intervenus sur la plupart des grandes réformes du quinquennat, renforçant ainsi leur place dans la décision publique ». Si cette pratique n’a pas démarré avec la présidence d’Emmanuel Macron, les sénateurs notent qu’elle s’est nettement accélérée sous sa présidence au point d’évoquer un recours « massif » et « croissant ».

Voir aussi : « Les Infiltrés » : l’ouvrage qui expose au grand jour la connivence entre État et cabinets de conseil

S’il est désormais de notoriété publique que des consultants privés ont été sollicités sur les aspects centraux de la gestion crise du Covid, le rapport révèle qu’il est également fait appel à eux dans une très grande variété de domaines, y compris quand il faut préparer « une interview sur BFM TV ou une audition au Sénat ».

Plus d’un milliard d’euros de prestations de conseil pour la seule année 2021

Le recours aux consultants a particulièrement augmenté entre 2018 et 2021, pour atteindre plus d’un milliard d’euros de dépenses publiques l’an dernier, financées avec les impôts des Français. La rapporteure n’hésite pas à reprendre l’expression auparavant utilisée par Emmanuel Macron sur les prestations sociales : un « pognon de dingue ».

En outre, le rapport précise qu’il ne s’agit que d’une estimation minimale, la commission d’enquête ayant seulement interrogé les opérateurs publics les plus importants comme Pôle Emploi et la Caisse des Dépôts et consignations. Pour elle, l’objectif de réduction des dépenses de 15 % pour les prestations de conseil est « peu ambitieux ». Dans ses recommandations, elle demande que soit publiée chaque année la liste des prestations de conseil commandées par l’État et ses opérateurs.

Une qualité de prestation remise en cause

Le rapport souligne que les livrables, à savoir les documents produits par les cabinets dans le cadre de leurs missions, sont « de qualité inégale ». Il est fait référence à l’insatisfaction de la Direction interministérielle de la transformation publique (DITP) sur des travaux de McKinsey qui visaient à accompagner la stratégie pour la mise en place du service public des pensions alimentaires en 2019. Dans son évaluation, la DITP déplore « un manque de culture juridique et plus largement du secteur public » ou encore la « juniorité » de certains consultants « pas au niveau », dont il a fallu demander le remplacement. C’est pourquoi le Sénat estime qu’une évaluation devrait être conduite systématiquement, avec des pénalités à la clé si les résultats ne sont pas concluants.

Par ailleurs, les sénateurs épinglent l’absence de « suite tangible » de certaines prestations. On repense à l’exemple très médiatisé de cette audition du 18 janvier au cours de laquelle un des directeurs associés du cabinet de conseil McKinsey, Karim Tadjeddine, a eu bien des difficultés à justifier un contrat de 496 800 euros sur l’évaluation des « évolutions du métier d’enseignant ». « Il n’est pas possible de déterminer les conséquences directes » de cette prestation, selon le ministère cité par le rapport sénatorial.

Voir aussi : McKinsey au Sénat : les conseillers peinent à répondre aux questions de la Commission

Par ailleurs, McKinsey, qui s’était aussi retrouvé début 2021 au cœur d’une polémique quand son implication dans la stratégie sanitaire du gouvernement avait éclaté au grand jour, est aussi accusé d’évasion fiscale par les sénateurs. La société n’a payé aucun impôt pendant dix ans, selon les informations obtenues par la commission d’enquête auprès de l’administration fiscale. Une révélation d’autant plus embarrassante pour le géant américain au regard de la déclaration de Karim Tadjeddine lors de son audition par les sénateurs, le 18 janvier : « Je le dis très nettement : nous payons l’impôt sur les sociétés en France » témoignait-il… sous serment. C’est pourquoi les sénateurs ont saisi le procureur sur le cas de M. Tadjeddine. Le faux témoignage devant une commission d’enquête est passible de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende.

Le politique publique sous influence d’entreprises privées

Dans son rapport, la commission sénatoriale insiste particulièrement sur « l’influence avérée des cabinets de conseil sur la prise de décision » des ministères. « Certaines de leurs publications, qui sont particulièrement nombreuses en période électorale, s’apparentent même à des programmes politiques », relève-t-elle.

Par ailleurs, la fusion entre administration publique et cabinets de conseil privés est pointée du doigt. Par exemple, des consultants disposent d’une adresse électronique avec le nom de domaine du ministère et des documents sont parfois rédigés « sous le sceau de l’administration », comme a justement pu le faire McKinsey au ministère de la Santé au cours de la crise du Covid. « Cette méthode de travail renforce l’opacité des prestations de conseil car elle ne permet pas de distinguer l’apport des consultants, d’une part, et celui de l’administration, d’autre part », estiment les sénateurs.

La Commission alerte sur le « pantouflage » et les conflits d’intérêts

S’il existe déjà un cadre déontologique, « il faut néanmoins redoubler de vigilance en raison de l’influence que les cabinets de conseil peuvent exercer sur la décision publique, en particulier pour le conseil en stratégie », plaide le rapport.

Pour éviter de potentiels conflits d’intérêts, bien réels lorsque des consultants conseillent des pouvoirs publics et des acteurs privés, les sénateurs recommandent d’imposer une déclaration d’intérêts en vue de prévenir tout incident en amont si bien qu’un manquement à cette obligation serait sanctionné par une exclusion des marchés publics.

Dans le même esprit, le document met aussi l’accent sur le « pantouflage », les allers et retours des hauts fonctionnaires entre le secteur public et le secteur privé qui se traduisent par le recrutement d’anciens responsables publics dans les équipes de ces cabinets de conseil.

Plusieurs responsables politiques se sont rapidement emparés de ce rapport sénatorial. Estimant qu’Emmanuel Macron ne pouvait pas ignorer que McKinsey se rendait coupable d’évasion fiscale, la candidate LR, accusée de prise illégale d’intérêts dans l’affaire Alstom, a estimé que le président devait « rendre des comptes ».

Gilbert Collard, porte-parole du parti Reconquête, a appelé à enfin « faire la lumière sur tous ces cabinets qui dirigent indirectement la France et dont on doit se passer ! ». Le président du Parti communiste français, Fabien Roussel, a, lui, dénoncé un scandale, jugeant que les cabinets privés ne se sont jamais « autant gavés » que depuis l’élection d’Emmanuel Macron.

L’avocat Fabrice Di Vizio a lui annoncé qu’il déposait une plainte contre Amélie de Montchalin : 

Le rapport, adopté à l’unanimité des membres de la commission le 16 mars, fera l’objet d’une proposition de loi « transpartisane ».




La destruction de la médecine française achevée par le pouvoir macroniste. Pistes pour en sortir

Par Docteurs Nicole et Gérard Delépine

En 2000, le système sanitaire français était encore jugé l’un des meilleurs du monde. Mais en quarante ans depuis la politique Thatcher inaugurée en France par F. Mitterrand en 1983, la politique de restriction budgétaire et de gestion de plus en plus bureaucratique l’a mis au bord du gouffre.

Depuis de nombreuses années, les grèves quasi permanentes des personnels des hôpitaux psychiatriques et des urgences, les manifestations populaires des petites villes se battaient pour tenter d’éviter la fermeture des hôpitaux de proximité et en particulier des maternités. La mise en place des agences régionales d’hospitalisation (ARH) en 1996 par Alain Juppé, quelques mois après son échec de casse de la sécurité sociale, a conduit aux premières coupes en lits hospitaliers de proximité et aux manifestations fréquentes des personnels et citoyens de la Corrèze au Cotentin, en passant par le Jura et la Creuse. Dans le silence médiatique déjà et l’indifférence nationale.

En 2003, le plan cancer nationalisait la cancérologie (au bénéfice de Big Pharma) coupant toute possibilité de choix de traitement par le médecin et son patient. Test d’obéissance réussi. En ville les références médicales opposables transformées bientôt au début du XXIe siècle en recommandations imposées bloquaient la liberté de soigner des généralistes et spécialistes de ville. Le carcan se mettait en place sans réaction des médecins vite achetés par quelques avantages et paroles mielleuses.

La loi Bachelot(([1] Récompensée par le poste actuel de ministre de la Culture… ils sont tous liés.)) en 2008 sous Sarkozy a transformé les ARH en ARS — agences régionales de santé — mettant la main sur l’ensemble du système hospitalier tant public que privé. Les médecins du privé ont les mêmes obligations que ceux du public, en termes d’injonctions thérapeutiques, de réunions multiples et comités ad hoc, et accréditations via les agences au minimum tous les quatre ans. Pas d’accréditation, on ferme. Il n’y a plus de médecine libre ni privée en France depuis la loi de 2008. Cette dernière a été aggravée sous Hollande par la loi dite Touraine, ministre de la Santé dont O. Véran fut le rapporteur et Gabriel Attal membre de son cabinet entre autres.

Ainsi le ministère de la Santé sous E. Macron est la suite de la précédente législature dont il fut secrétaire général adjoint de l’Élysée sous F. Hollande avant d’être son ministre de l’Économie.

Continuité donc depuis de longues années sous l’apparence de changements politiques qui ne furent qu’esbroufe pour le public naïf.

REMERCIMENTS À BIG PHARMA

Ainsi le début du quinquennat Macron fut marqué par la rapide décision d’imposer 11 vaccins obligatoires à tous les enfants nés après le 1er janvier 2018 faisant fi des avis de la société civile, et surtout des dangers d’injecter tant de valences différentes aux tout petits avant qu’ils ne construisent leur système immunitaire. Mme Buzyn fut à la manœuvre et le président put remercier ses amis de Big Pharma. Cette décision n’avait jamais été évoquée pendant la campagne présidentielle.

Durant la crise Covid, A. Buzyn, puis O. Veran (ministres de la Santé) et le célèbre homme en noir du soir (le secrétaire général de la santé J. Salomon) se sont attaqués au nom de leur Président, aux principes mêmes de la médecine d’Hippocrate par des mesures autoritaires qu’aucun dirigeant n’avait jusqu’ici osé imposer. Rappelons-en quelques-unes.

NOUS SOMMES EN GUERRE, répéta E. Macron lors de sa première TV sur le Covid, oubliant de préciser contre qui… Contre les citoyens et en particulier ce qui restait de la médecine. On en eut vite quelques démonstrations.

N’allez pas consulter votre médecin !

Jamais dans l’histoire il n’avait été conseillé à un patient, en cas de maladie, de ne pas consulter son médecin, longuement formé pour vous examiner et porter un diagnostic et alors seulement, prescrire un traitement adapté à votre maladie en fonction de votre spécificité. Pourtant le ministère l’a fait dès mars 2020 en ces termes :

« Si vous présentez des symptômes pouvant indiquer une infection liée au coronavirus : toux, fièvre, écoulement nasal, mal de gorge, symptômes grippaux… restez chez vous. N’allez pas chez le médecin. »

Ça restera célèbre !

Même au temps de la peste, les médecins se rendaient au chevet des malades et leur portaient secours, car c’est depuis toujours leur mission. Mais le ministre a-t-il estimé qu’il saurait les soigner mieux qu’eux (et sans examiner personne) ou plutôt que ne pas les soigner du tout aggraverait de fait cette épidémie « providentielle » bien tombée pour imposer le Grand Reset ?

Interdictions de prescrire de la chloroquine puis l’Azithromycine et peut-être bientôt la vitamine D !

Jamais dans l’histoire le pouvoir en place n’avait interdit aux médecins de prescrire un médicament utilisé depuis longtemps sans complication. Ils l’ont fait. A. Buzyn a classé la chloroquine en médicament dangereux en janvier 2020 avant les premiers cas, alors que ce médicament était en vente libre depuis plus d’un demi-siècle et que chacun s’en procurait librement à l’occasion d’un voyage en Afrique, sans examen médical. Les militaires en mangent chaque jour comme des bonbons. Mais miracle, elle devient dangereuse alors qu’arrive le SARS-CoV-2 en France. Et Mme Buzyn osera répondre au Sénat comme « justification » que les Français consomment trop de médicaments.

Instrumentalisant l’article complètement bidon du Lancet d’ailleurs retiré peu de temps après sa publication (affaire dite du Lancet Gate(([2] Affaire du Lancet. On regrette que la presse française ne vérifie plus rien. The Gardian l’a fait. Premier résultat : les données sur l’Australie sont fausses
https://www.theguardian.com/science/2020/may/28/questions-raised-over-hydroxychloroquine-study-which-caused-who-to-halt-trials-for-covid-19On le redit, cette étude est une escroquerie intellectuelle L. Muchielli. La doxa du Covid
« Fin de partie » pour l’hydroxychloroquine ? Une escroquerie intel… | Le Club (mediapart.fr) ))), un décret paru le 27 mai 2020 au Journal Officiel interdit aux médecins de prescrire 
l’hydroxychloroquine contre le Covid pour soi-disant « toxicité cardiaque ». C’était d’autant plus surprenant que la nivaquine est commercialisée en France depuis plus de 70 ans (1949) et qu’elle n’avait pas jusqu’ici fait l’objet de signalement pour toxicité (sauf quelques rares cas lors d’automédication non surveillée par un médecin). Cette interdiction ministérielle a été soutenue par le Conseil de l’Ordre qui a systématiquement poursuivi les médecins qui défendaient ces médicaments en public comme les professeurs Raoult et Perronne et ceux qui guérissaient leurs malades grâce à eux, et encore en mars 2022 malgré l’accumulation de preuves internationales de l’absence de toxicité, mais surtout de la grande efficacité des schémas de traitement incluant la chloroquine ou dérivés !

Pourtant maître Krikorian démontra rapidement que cette interdiction n’était pas licite.

« …Le décret publié ce 27 mai 2020 tire une nouvelle fois les conclusions de l’avis du HCSP et modifie les conditions dérogatoires de prescription de l’hydroxychloroquine : que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19… »

Merci Mr Veran, car ce communiqué fut contesté dans sa valeur juridique, mais le mal était fait et court encore, exemple parfait de ce qu’est devenue la communication en France depuis le début du Covid et qui se poursuit avec la guerre en Ukraine, une version divulguée partout sur tous les Médias.

« Ce communiqué de presse a entraîné ce qui aujourd’hui peut être caractérisé comme une des plus grosses fake news puisque tous les médias ont repris cela en cœur et communiqué sur ce fait que le ministre avait interdit l’hydroxychloroquine. Ce “Ne doit pas” a eu un impact critique sur tous les médecins et Français et a entraîné une confusion générale. »

« Un élément des plus surprenants est l’asymétrie de traitement de l’information sur l’hydroxychloroquine. Le 27 mai 2020, le ministre de la Santé faisait le communiqué de presse avec ce “Ne doit pas”, mais, ce 11 juillet, alors que prenait fin cette interdiction, il n’y a eu aucun communiqué du ministre. Deux poids deux mesures. »(([3] La liberté de prescription des médecins est intacte ? (francesoir.fr) ))

« Le communiqué n’a donc aucun effet pour la juge, cependant il a été, pendant de nombreuses semaines, interprété par les médias, les patients et les médecins comme une interdiction. C’est la réalité sociologique que l’on retiendra et qui a créé beaucoup de confusion pour rien. La clarification demandée à ce sujet est donc importante et continue à mettre en évidence les incohérences ».

L’Azithromycine qui avait eu le tort d’être conseillée par le Pr Raoult en association avec l’hydroxychloroquine avec des résultats probants recueillis dans le monde entier, a été de même « interdite » par l’arrêté du 13 décembre 2021 pour soi-disant « éviter la trop grande prescription d’antibiotiques. » Mais là aussi avec un grand flou. Mais le mal est fait, démultiplié par les médias.

Jusqu’ici lorsqu’un médicament mis sur le marché se révélait dangereux, l’agence sanitaire émettait une alerte rappelant les risques signalés et le déconseillait, laissant aux médecins la liberté de le prescrire sous leur responsabilité personnelle. Ni l’hydroxychloroquine ni l’Azithromycine ni leur association n’exposent à des complications aux doses suggérées par le PR Raoult, et s’est révélée efficace et sans danger. Alors, pourquoi ?

L’Algérie, dont la population comporte les mêmes facteurs pronostiques péjoratifs que la population française (âge, obésité, diabète, hypertension), mais qui a instauré le traitement par le protocole Raoult pleure 13 fois moins de morts Covid par million d’habitants que la France

Les « interdictions » de traiter édictées par O. Véran sont vraisemblablement responsables d’une partie de l’excès de 120 000 morts français comptabilisés au nom du Covid et particulièrement chez les personnes âgées moins susceptibles de guérir spontanément. Les généralistes qui les suivaient pour leur « grippe » les années précédentes les traitaient avec l’Azithromycine pour leur infection pulmonaire et ils guérissaient.

Plus récemment, la vitamine D, dont de nombreux articles ont mis en évidence l’effet protecteur contre les formes graves de Covid, a, elle aussi, été menacée d’interdiction, car elle a été brutalement qualifiée de « perturbateur endocrinien ». L’imagination du ministère pour interdire tout traitement efficace contre le Covid n’a vraiment pas de limite !

Pour comprendre l’opiniâtreté du refus d’admettre l’efficacité des traitements précoces du Covid-19, il faut savoir que la reconnaissance officielle de l’efficacité d’un traitement médicamenteux contre le Covid aurait pu mettre en péril « l’autorisation conditionnelle » de mise sur le marché des pseudo vaccins, car celle-ci n’a été accordée que parce qu’il n’existait aucun traitement reconnu de l’infection. De fait, ils ont contourné les lois au fur et à mesure et en mars 2022, plusieurs médicaments (chers), des nouveautés, ont été acceptés. Mais en restreignant leurs indications, ce qui permet de faire croire qu’il n’existe pas de traitement pour tous les malades. Et pourtant, ivermectine, etc..

Refuser les vieux aux urgences et à l’hôpital !

L’état d’urgence sanitaire a été officiellement instauré en février 2020 pour « protéger les plus fragiles et en particulier les personnes âgées ».(([4] Mais l’analyse des actions gouvernementales réalisées depuis montre qu’en réalité, une des véritables intentions de cette suppression des droits élémentaires du citoyen est « éliminer les vieux » trop coûteux en termes de retraites, de soins. Un des thèmes préférés d’Attali (le mentor d’E. Macron), est l’élimination des retraités après 65 ans (oubliant son âge, mais c’est pour les gueux). La prévision télévisuelle de l’homme C. Barbier, à l’écharpe rouge est glaçante : Macron pourra être réélu en 2022 même s’il traite durement les retraités, car ils ne seront plus là pour voter.
Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? — AgoraVox le média citoyen)) Pour justifier les mesures restrictives des libertés prétendument sanitaires, les médias ont LARGEMENT insisté sur la priorité absolue « de protéger les plus vieux et les plus fragiles » faisant croire aux jeunes qu’ils se sacrifiaient pour les plus vieux. Mais diviser pour régner et mentir outrageusement est leur mantra. Les mesures imposées par nos gouvernants ont fait le contraire, en excluant cruellement les personnes âgées des soins.

Les mesures contre les personnes âgées se sont durcies avec les consignes de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 et plus encore le décret du 28 mars signé E. Philippe et O. Véran

« Ils prévoient, organisent et facilitent l’euthanasie des personnes âgées (âge non précisé : 60, 65, 75 ?) par injection intraveineuse d’un médicament contre-indiqué dans les détresses respiratoires. Injection qui va donc endormir le patient, aggraver son asphyxie et le mener à la mort. Le consentement éclairé est absent, de même que le simple choix du patient en abus de faiblesse. »(([4] Mais l’analyse des actions gouvernementales réalisées depuis montre qu’en réalité, une des véritables intentions de cette suppression des droits élémentaires du citoyen est « éliminer les vieux » trop coûteux en termes de retraites, de soins. Un des thèmes préférés d’Attali (le mentor d’E. Macron), est l’élimination des retraités après 65 ans (oubliant son âge, mais c’est pour les gueux). La prévision télévisuelle de l’homme C. Barbier, à l’écharpe rouge est glaçante : Macron pourra être réélu en 2022 même s’il traite durement les retraités, car ils ne seront plus là pour voter.
Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? — AgoraVox le média citoyen))

Les directeurs d’EHPAD ont reçu le document rédigé par le Dr Renaud Lévy, gériatre, membre du bureau de l’association nationale de médecins coordonnateurs d’EHPAD donnant l’instruction claire et nette de ne pas « emboliser le standard téléphonique du SAMU pour des patients qui n’iront pas à l’hôpital ». Le document ajoute à cette catégorie les personnes âgées pour qui l’hospitalisation ne serait pas bénéfique ». Évidemment les bureaucrates sont aptes à en juger. Mais la population sidérée se tait.

De plus, dans sa fiche de « RECOMMANDATIONS Gestion COVID-19 » à destination des établissements médicosociaux pour personnes en situation de handicap et établissements pour public en difficultés spécifiques(([5] https://www.hauts-de-france.ars.sante.fr/system/files/2020-03/Recommandations%20ESMS%20Mars%202020.pdf)), les ARS ne mentionnent nulle part la possibilité d’une hospitalisation.

Les ARS bras armé du ministère ont appliqué les instructions et ordonner de laisser les vieux atteints du Covid dans leur EHPAD d’origine ou le manque de personnel, d’espace et de moyens de protection a abouti à contaminer leurs compagnons d’infortune, de plus privés du soutien de leurs familles et d’une partie de leurs soignants habituels et ce de façon complètement incompréhensible et injustifiée. Du jour au lendemain, on prive nos parents de tous contacts, et on s’étonne qu’ils décèdent en grand nombre (non testés). La vie a besoin d’amour pour perdurer et le Covid-19 a bon dos. N’oublions pas que la dernière réunion de l’Assemblée nationale avant le coronacircus était consacré à l’étude de la réforme des retraites qui donnait lieu à de nombreuses voire violentes manifestations. Quelle aubaine, ce virus.

Les médecins ont reçu dès fin mars 2020 les instructions rédigées par la société savante de soins palliatifs.

Administrer du Rivotril pour euthanasier de fait les vieillards suspects de Covid

Fourniture du poison (Rivotril injectable) autorisé par le décret du 29 mars pour une période exceptionnelle (qui a eu vocation de durer…)

INCITE LES MÉDECINS ET SOIGNANTS À ACCÉLÉRER LA FIN DE VIE CHEZ LES PATIENTS QU’ILS ESTIMENT NE PAS POUVOIR PRENDRE EN CHARGE (faute de lits ou de probabilité suffisante de les guérir !)

SEULS, SANS CONSENTEMENT DU PATIENT NI DE SA FAMILLE QUI NE LE REVERRA PAS

 « Une internaute raconte : “on leur a amené ma grand-mère consciente, un peu gênée sans plus, ils nous ont rendu un cercueil fermé et l’interdiction de l’accompagner à plusieurs dans sa dernière demeure”. Nous pourrions vous en transcrire des centaines ».

Ce décret scélérat signé Veran-Philippe(([6] Un candidat à la présidence 2027 semble-t-il…))(([7] Décret n° 2020-360)) autorise la prescription de Rivotril sous forme injectable dans ces établissements et à domicile, aux malades infectés ou supposés tels (pas de test !). Le Rivotril injectable, puissant inhibiteur respiratoire est, selon la notice, contrindiqué dans les détresses respiratoires. C’est clair ! « Par dérogation à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, jusqu’au 15 avril 2020, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention “Prescription hors AMM dans le cadre du Covid-19” ». Le ministre pousse la générosité à rembourser le médicament à 100 %, 4 € plus généreux que les Chinois qui font payer la balle aux familles des condamnés à mort.

Les médecins reçoivent au début de leur garde une fiche-conseil pour la prise en charge des patients Covid(([8] Fiche conseil-urgence sanitaire patients Covid+ prise en charge des détresses respiratoires asphyxiques à domicile ou en EHPAD rédigée par la Société dite savante d’accompagnement et de soins palliatifs. « Ces propositions ne sont en aucun cas destinées à être appliquées dans d’autres circonstances que celles que nous rencontrons, déjà aujourd’hui pour certains et peut-être demain pour d’autres, liées à ce contexte dramatique d’épidémie de COVID-19 ». Travail coordonné par Pr Morel (président conseil scientifique de la SFAP), Pr Guirimand, Dr Michenot, Dr Sahut-d’Izarn.)). Injonction mortifère pour « euthanasie », mais sans consentement éclairé de l’intéressé, ni demande préalable à la famille, contraire à la loi Leonetti et même aux désirs des partisans de l’euthanasie qui la souhaitent toujours décidée par le patient lui-même.

Les fiches détaillent les étapes à suivre selon la gravité du tableau clinique (cf. article Agoravox réf.).

Le Rivotril est un puissant dépresseur respiratoire et sa notice indique qu’il est contre-indiqué en cas de difficultés respiratoires. Le donner à des vieillards souffrant de gêne respiratoire revient à les euthanasier activement ou plutôt à les assassiner puisque l’injection réalisée avec préméditation n’était pas faite à la demande du malade et que ses conséquences létales lui étaient cachées. Dix mille prescriptions supplémentaires de Rivotril par rapport à l’année 2019 ont été comptabilisées en mars et avril 2020. Dix mille morts par injection au minimum.

Plan blanc et ses milliers de « victimes collatérales »

Déclenché dès le 26 février 2020 dans les hôpitaux de Creil et de Compiègne, le plan blanc a été étendu par le Premier ministre E. Philippe dans les hôpitaux des régions du Grand Est et Île-de-France le 6 mars, avant d’être généralisé à tous les établissements de santé le 13 mars 2020.

Ce plan blanc interdit toute intervention ou traitement jugé non urgent par les Agences Régionales de Santé si ce traitement nécessite une hospitalisation (soit environ 70 % de l’activité chirurgicale normale).

Pour prétendument faire de la place pour les malades Covid, sur ordre du Premier ministre Édouard Philippe,(([9] Désastre sanitaire et économique du blocage de la chirurgie (economiematin.fr) )) les ARS ont interdit aux chirurgiens d’opérer sauf en cas d’urgence reconnue par leurs agents. Des bureaucrates décidant du degré d’urgence d’une intervention sans examiner le malade ! Par exemple, ils ont ainsi estimé que l’ablation des cancers du côlon n’était pas urgente et qu’elle pouvait être remplacée par de la radiothérapie (alors que ce cancer est très peu sensible aux rayons et qu’il y avait très peu de disponibilité de place en radiothérapie).

Cette interdiction d’opérer pour libérer des lits aux malades du Covid n’avait en réalité aucun intérêt, car les ARS ont généralement refusé de transférer les malades Covid des hôpitaux publics vers les cliniques privées qui sont restées majoritairement vides(([10] https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/31945-Podcast-On-prefere-eloigner-patients-alors-des-cliniques-restent-vides))(([11] https://www.lesechos.fr/economie-france/social/coronavirus-les-hopitaux-prives-non-lucratifs-veulent-etre-plus-sollicites-1186749))(([12] https://www.espaceinfirmier.fr/actualites/200416-Covid-19-les-cliniques-sont-elles-insuffisamment-sollicitees.html)) et ont dû, pour beaucoup d’entre elles, mettre leur personnel au chômage !

Ce blocage inutile des lits pendant trois mois a empêché de traiter convenablement les malades chroniques courants (cardiaques, diabétiques, insuffisants rénaux.), de pratiquer des greffes d’organes prévues, de dépister des cancers(([13] OMS le nombre de cancers diagnostiqués en avril de l’année dernière a par exemple « diminué de 30 à 40 % lors du premier confinement de 2020 » aux Pays-Bas et en Belgique,)), de faire les biopsies nécessaires au diagnostic précoce (objectif pourtant prioritaire de la médecine depuis 20 ans). On estime que les retards et défauts de soins consécutifs sur le plan blanc ont déjà causé le décès évitable de 5000 personnes par infarctus, embolie, accidents vasculaires cérébraux et qu’ils seront responsables de la mort de 15 000 à 20 000 cancéreux dans les prochaines années.(([14] OMS Déclaration du docteur Hans Henri P. Kluge, directeur régional de l’OMS pour l’Europe– L’impact catastrophique de la COVID-19 sur les soins du cancer Copenhague (Danemark), 4 février 2021))(([15] Dans son rapport, F Bizard précise : « selon les données de Doctolib, l’activité aurait baissé en avril 2020 par rapport à janvier 2020 de 44 % chez les médecins généralistes et de 71 % chez les spécialistes. La CNAMTS a confirmé une baisse d’activité de 40 % pour les médecins généralistes. Une moyenne de 70 % de perte d’activité chirurgicale a été constatée depuis le début du plan blanc ». L’impact de la crise Covid-19 a été estimé à une baisse de plus de 2 millions d’actes chirurgicaux, pour une date de levée du plan blanc postérieure au premier juin. Le nombre des décès secondaires aux retards de soin consécutifs à ce plan blanc est difficile à estimer pour l’instant, mais compte tenu du nombre considérable de malades concernés (plusieurs millions), il devrait très largement dépasser celui des victimes directes de l’épidémie.))

Ce plan blanc était inutile puisque le taux d’occupation des lits hospitaliers pour Covid est resté bas au cours de l’année 2020(([16] https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_Covid.pdf)), « les patients Covid ont représenté 2 % de l’ensemble des patients hospitalisés tous champs hospitaliers confondus » et « 5 % de l’ensemble des patients pris en charge en service de soins critiques. » AVEU terrible qui aurait dû entraîner des vagues de protestation, mais tout passe.

Néanmoins, les conséquences immédiates et à venir du plan blanc, totalement méprisées par le Premier ministre et les ministres successifs de la santé, Buzyn puis O Veran ont lourdement aggravé le bilan mortifère de la politique sanitaire du gouvernement.

Censure Covid servant de modèle à la censure généralisée en médecine.

Officiellement la censure est abolie en France et la loi n’interdit que :

« la négation des crimes contre l’humanité, les incitations à la haine raciale, et à la discrimination fondée sur l’appartenance ou la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion ».

Pourtant, depuis le début de la crise Covid, les dirigeants et les médias ont établi une censure sévère empêchant toute expression d’opinion mettant en doute le dogme corona officiel.

Chacun a pu l’observer sur Tweeter et LinkedIn où les donneurs d’alerte ont vu leur compte supprimé, sur Facebook qui a censuré d’un coup 8000 canaux de journalistes et de médecins indépendants, dans les journaux et à la télévision grand public où se sont succédé tous les jours des médecins très liés aux fabricants de vaccins ou aux organismes apôtres de la pseudo vaccination.

Tous les médias dominants et l’Agence France-Presse ont créé des services de « fast checkers » (souvent rémunérés par Bill Gates) qui se comportent en propagandistes sans vergogne de la stratégie « tout vaccinal »(([17] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/larnaque-des-fact-checkers))(([18] https://blogs.mediapart.fr/basicblog/blog/170721/Covid-medias-fact-checkers-fabriques-mensonges))(([19] https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/le-BMJ-etrille-le-fact-checking-de-facebook)) prétendant par exemple qu’il serait « possible éradiquer le virus par une immunité collective vaccinale »(([20] Hypothèse folle reconnue depuis impossible par la quasi-totalité des agences sanitaires qui en avaient pourtant fait un mantra.)), que les traitements précoces (Hydroxychloroquine, Ivermectine, Artémisine) étaient inefficaces et dangereux(([21] Affirmations démenties par les évolutions sanitaires des pays africains et de l’Inde qui les ont utilisés avec succès.)), que les mesures sanitaires étaient efficaces(([22] Prétention démentie par toutes les analyses indépendantes.)), que les « vaccins » seraient efficaces et sans danger(([23] L’inefficacité des vaccins est affirmée par la poursuite de l’épidémie dans tous les pays très vaccinés.))(([24] Les registres officiels américains, européen et français recensent un nombre de morts post injection sans précédent dans l’histoire des vaccins.)) et que l’injection des enfants pourrait protéger les personnes à risques

Et les médias qui publient ces désinformations refusent systématiquement un droit de réponse. À quand les poursuites juridiques contre les décideurs, mais aussi les journalistes complices ?

Parallèlement, la censure des opinions des médecins qui ne cadreraient pas avec le lobby pharmaceutique s’est élargie de jour en jour et elle est maintenant demandée par l’Institut du cancer qui réclame un collège d’expert qui aurait le pouvoir de juger qu’une information donnée dans n’importe quel domaine de la santé est une « fake news » ou pas, et d’imposer aux médias et aux réseaux sociaux sa « suppression pure et simple ».

Cette demande est intégrée au décret n° 2021-119 du 4 février 2021 qui définit la stratégie nationale de lutte contre le cancer.(([25] www.legifrance.gouv.fr/eli/décret/2021/2/4/SSAP2100774D/jo/texte Un dispositif de lutte contre les fake news réactif sera structuré. Il permettra d’éclairer les personnes face aux polémiques susceptibles de concerner les différents champs du cancer : prévention primaire, dépistage, traitements et soins complémentaires.))

Sur le même modèle, la création d’un dispositif type « CSA santé » serait étudiée, pour instaurer des règles en matière d’information en santé, prévues dans un accord-cadre avec les hébergeurs de contenus (médias, réseaux sociaux) pour qu’ils fassent « un travail d’élimination des fake news identifiées par un collège d’experts. » La menace d’une censure systématique de l’information médicale indépendante n’est donc pas un fantasme de complotiste.

Cette censure sévère et la diffamation systématique des opposants traités de complotistes, d’extrême droite, d’antisémites empêche tout débat démocratique sur la stratégie anti-Covid et autres sujets médicaux comme le traitement du cancer.

Et le gouvernement qui prétend que sa stratégie sanitaire est transparente a refusé de publier les comptes rendus du comité sanitaire de défense et les a même décrétés Secret-Défense pour 50 ans !

Rétablissement du délit d’opinion conduisant à l’interdiction d’exercer

Le délit d’opinion qui, du temps des rois, pouvait vous valoir la Bastille a été aboli lors de la Révolution française. La Déclaration des droits de l’homme du 26 août 1789 proclame : « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. ».

Mais le pouvoir macroniste a officiellement rétabli le délit d’opinion par le décret du 22 décembre 2021, modifiant le l’Article R. 4127— 19-1 du code de santé publique « relatif à leur communication professionnelle » afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle. Ses complices ont persécuté les médecins qui refusaient de se taire et continuent à interdire d’exercice quelques semaines des médecins ou plus, ceux auxquels il est reproché d’avoir guéri et/ou informé leurs malades comme tout récemment encore le Dr Philippe de Chazournes à la Réunion.

Ce décret visant à museler les médecins complète le décret de Macron— Veran qui a créé « le Conseil national de certification », investi du pouvoir exorbitant de retirer le droit d’exercer aux médecins qui n’obéissent pas. Le 19 juillet 2021, un Conseil des ministres, sans doute insatisfait d’un Conseil de l’Ordre qui n’a pas réussi à faire rentrer dans l’ordre les Pr Raoult et autres Perronne(([26] https://www.youtube.com/watch?v=9VkkvHeyq-o)), a créé ce nouvel organisme ayant le pouvoir d’évaluer, à tout moment de sa carrière, chaque médecin et donc de l’empêcher d’exercer s’il n’obéit pas servilement. Il semble que le Pr Perronne en ait été la première et célèbre victime.

L’interdiction d’exercer la médecine peut ainsi être décidée sans débat contradictoire, ni avocat, ni possibilité d’appel par des fonctionnaires nommés selon le bon vouloir des princes qui nous gouvernent selon le modèle de fonctionnement des tribunaux de l’Inquisition (la torture physique en moins).

Ainsi deux collaborateurs de la tyrannie élyséenne — la Haute Autorité de santé et le Conseil national de certification — seront désormais les gendarmes de l’exécutif pour mieux contrôler le Conseil de l’Ordre qui devra désormais appliquer à la lettre la politique inquisitoriale punitive de l’état. Les ARS ne suffisent plus. Y a-t-il des résistances internes ?

Pourtant l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) affirme la liberté d’expression :

« toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière»

Le Conseil constitutionnel français a précisé en 1994 que la liberté d’expression est une « liberté fondamentale » d’autant plus précieuse que son existence est une des garanties essentielles du respect des autres droits et libertés. » Période déjà lointaine…

Selon ces textes fondamentaux, chacun a le droit d’avoir son opinion, ses idées et de l’exprimer par n’importe quel moyen et sous n’importe quel format, sous réserve qu’il ne soit ni diffamatoire, ni négationniste, ni qu’il appelle au crime.

Serions-nous sortis de la démocratie européenne sans le savoir ?

Poursuite des suppressions de lits d’hospitalisation pendant la crise

Entre 2003 et 2019, le nombre de lits d’hospitalisation complète installés, tous établissements, toutes disciplines et tous secteurs confondus, est passé de 468 000 à 393 000, soit une diminution d’environ 75 000 dont environ 18 000 réalisée par les gouvernements Macron.(([27] la DREES édition 2021 de l’ouvrage « Les établissements de santé ».))

Durant la crise Covid, alors que le gouvernement affirmait que les restrictions sanitaires étaient dues au manque de lits hérité du passé, il a en même temps continué à en fermer, dont 5 700 en 2020 (dernier chiffre connu.)

Et les fermetures continuent en 2022 comme en témoigne la grève actuelle illimitée à l’hôpital Ravenel (Mirecourt) contre la possible suppression de l’unité pédopsychiatrique(([28 https://www.vosgesmatin.fr/sante/2022/03/08/mirecourt-une-greve-illimitee-a-l-hopital-ravenel-contre-la-possible-disparation-de-l-unite-pedopsychiatrie)), alors que les mesures sanitaires ubuesques ont fait exploser les problèmes psychiatriques des enfants.

Les mesures sanitaires inefficaces imposées « parce que nous manquions de lits » ont coûté près de 400 milliards € au pays, mais le ministre de la Santé n’en a pas trouvé 10 à 20 pour remettre immédiatement à niveau nos hôpitaux avant la prochaine crise.

On manque de soignants, mais la présidence et O. Véran les chassent de la profession

Dans son avis du 5 octobre 2021, le conseil scientifique affirmait que parmi les lits censés être ouverts :

« environ 20 % des lits fermés l’étaient du fait d’emplois vacants »… « Un certain nombre d’unités dans des hôpitaux sont obligées de fermer temporairement, ou de réduire la voilure, faute de soignants, faute surtout de pouvoir en recruter »

Le 20 octobre 2021, la Fédération Hospitalière de France faisait en plus état d’« un taux d’absentéisme de l’ordre de 10 % » et de « 2 à % de postes vacants de soignants » au sein des hôpitaux et des établissements médico-sociaux publics aggravant d’autant le manque de personnel.

Actuellement, plus de 25 000 postes hospitaliers de soignants ne trouvent pas de candidats du fait de salaires insuffisants, de conditions de travail de plus en plus pénibles sous le joug de cadres bureaucrates, d’une lourdeur administrative croissante et de l’obligation vaccinale.

Les médecins manquent tant à l’hôpital qu’en ville et les déserts médicaux se multiplient poussant certains maires à demander l’affectation autoritaire des nouveaux médecins, sans qu’ils ne se rendent compte que toutes les obligations dissuadent les médecins de s’installer et que mieux vaut renoncer à la profession sans liberté de soigner pour ne pas trahir le serment d’Hippocrate. Que ceux qui imaginent imposer des « gardes obligatoires » en ville ou ailleurs ne se fassent pas d’illusion, cela ne ferait que conduire à quelques démissions supplémentaires.

Si on veut relever la France, il faut sortir de cette gestion bureaucratique et autoritaire. Sans liberté, point de salut !

Pour tenter de colmater l’hémorragie des médecins qui abandonnent la profession, le gouvernement a proposé des rustines : une prime de solidarité territoriale pour les inciter à faire des gardes supplémentaires, 2000 assistants médicaux pour diminuer leur charge administrative, et le développement des pratiques avancées pour des infirmiers pour qu’ils pratiquent plus d’actes médicaux…

Les décideurs ne veulent pas voir qu’un médecin doit être LIBRE DES SES CHOIX PROFESSIONNELS ET EN PARTICULIER DU PREMIER D’ENTRE EUX, DE SES PRESCRIPTIONS et que le reste n’est que détail.

O. Véran prétend ne pas avoir les moyens humains pour venir à bout du problème qu’il a fortement aggravé par son obsession « vaccinale » :

« Je n’ai pas de médecins cachés dans le placard ni des infirmières qui attendent dans une salle qu’on appuie sur un bouton pour les déployer dans les hôpitaux. J’ai demandé à Pôle Emploi de repérer les soignants qui s’étaient inscrits en vue d’une reconversion professionnelle en essayant de comprendre pourquoi ils s’en vont ».

POURQUOI LES MÉDECINS ET INFIRMIERS SE RECONVERTISSENT !!

Être médecin et ne pas comprendre que cette profession ne peut se pratiquer que librement sans multiples garde-chiourmes à tous les étages, médecins CPAM, médecins ARS en ville, injonction d’appliquer les références médicales et recommandations. À l’hôpital également avec les multiples réunions imposées pour respect des normes toujours plus nombreuses et souvent imbéciles et la surveillance permanente et intrusive des cadres de santé dressés à cette tâche pour agir sur les durées de séjour et valoriser au maximum les séjours. Ce n’est plus de la médecine, pourquoi rester comme robot ?

Le ministre pourrait pourtant immédiatement ouvrir le placard dans lequel il a autoritairement enfermé plus de 10 % des soignants (les vaccino prudents). Ces soignants ne sont pas des antivax comme O. Véran et les médias les présentent ; ils ont, pour la plupart, précédemment largement injecté de vrais vaccins et n’ont pas rechigné à se faire vacciner. Mais mieux informés que le reste de la population, ils savent que ce qu’on leur propose n’est pas des vaccins, mais des médicaments géniques expérimentaux issus d’une technique jusqu’ici jamais utilisée en pathologie infectieuse.

Ils s’inquiètent de l’extrême rapidité avec laquelle ces prétendus vaccins ont été mis sur le marché alors qu’il faut normalement 9 à 15 ans pour vérifier la sécurité de tels produits. Ils savent que leur âge jeune les protège des complications du Covid-19 et que les nombreuses complications qu’ont subies leurs collègues injectés ont mis certains services hospitaliers hors d’état de fonctionner pendant plusieurs semaines ; ils ont observé que ces pseudo vaccins n’empêchaient ni d’attraper la maladie, ni de la transmettre, ni de se retrouver en réanimation et qu’ils entraînent parfois des complications graves. Ils attendent les résultats définitifs des essais pour se décider.

Cette obligation d’un médicament expérimental a constitué la goutte d’eau qui a fait déborder le ras-le-bol. Actuellement de nombreuses opérations sont reportées par manque de panseuses ; des urgences et même des services sont fermés faute de médecins et de personnel soignant et cela est directement la conséquence du totalitarisme vaccinal surajouté aux conditions déjà délétères.

Après n’avoir rien fait pour remettre les hôpitaux à niveau, O. Véran, par son obstination à injecter les soignants, injonction réitérée par le président récemment, a mis hors d’état de fonctionner un grand nombre d’entre eux. Et comme tout pompier pyromane, il prétend qu’il a fait tout pour éteindre l’incendie.

Suppression du secret médicalet transmission des données médicales personnelles à des tiers privés

Big Brother veut tout savoir de vous. Après l’échec relatif du dossier médical partagé qui traîne depuis plus de 15 ans sans efficacité, le ministère vient de créer « Mon espace santé » sans vraiment avertir la population de ses risques.

Ce dossier de santé numérique intitulé comprend déjà une version du Dossier médical partagé (DMP) stockant toutes les données de santé connues de l’assurance maladie — ordonnances, traitements, résultats d’examens, imageries médicales, antécédents médicaux et allergies, comptes rendus d’hospitalisation, vaccination.

Ce dossier numérique personnel sera prochainement complété par : un agenda santé pour gérer les rendez-vous médicaux et recevoir des rappels pour les dates clés des examens de contrôle (bilans, mammographie, vaccination…) et un catalogue d’applications certifiées par l’État pour « être mieux guidé dans le choix des outils numériques utilisés pour le suivi de votre santé. ».

C’est donc clairement la fin du secret médical ; l’état enregistrera tout de votre santé et de celle de vos proches : si vous êtes éthylique, drogué, cancéreux ou malade du sida, à quel âge votre fille a pris la pilule, si votre fils est homosexuel, si votre femme a avorté…

Et non content de rassembler et d’enregistrer ces données, l’état s’autorise à les transmettre à des sociétés privées. Ainsi l’arrêté du 21 avril 2020 a confié la collecte et l’hébergement des données de santé à la société Microsoft (Health Hub) et confié à différents prestataires privés, dont la société Doctolib, les données personnelles pour la gestion des rendez-vous de vaccination. Et le Conseil d’État a validé ces ruptures du secret médical !

Sachez que vous pouvez vous opposer à la création de votre espace santé en notifiant votre opposition dans le mois qui suit cette création automatique. Attention de le faire dans les délais, car l’absence de refus est considérée par l’état comme une acceptation. Si vous ne voulez pas que vos données médicales et celle de votre famille puissent être stockées par Microsoft et vendues à tous ceux que l’état prévoira, il est urgent que vous adressiez votre refus à votre conseiller Mon espace santé et que vous demandiez votre justificatif d’opposition.

Durant ces deux années le pouvoir macronien avec A Buzyn puis O. Véran comme chefs d’orchestre ont ainsi poursuivi une politique de destruction du système de santé tant en ville qu’à l’hôpital public ou privé, et des règles fondamentales de l’exercice médical avec en particulier la violation du secret médical, la création d’un délit d’opinion médicale, l’interdiction arbitraire de prescription de médicament mis sur le marché, l’incitation au meurtre de nos aînés en EHPAD par Rivotril, l’obligation d’un médicament génique expérimental scandaleusement qualifié de vaccin

Combien de temps accepterons-nous ? En tous cas les candidats à la présidence doivent en retenir les principaux enseignements.

Pour améliorer rapidement la situation, il ne sert à rien d’ouvrir des postes supplémentaires en ville ou à l’hôpital si on ne change pas radicalement les conditions d’exercice, car ils ne seraient pas pourvus

Augmentation des salaires des paramédicaux

Liberté de soigner découlant de la suppression des ARS sans les remplacer par d’autres pouvoirs bureaucratiques (préfets) et de la suppression du pouvoir du conseil de l’ordre d’interférer dans les prescriptions médicales et de constituer un tribunal d’exception.

Suppression de nombreuses agences sanitaires soi-disant indépendantes, mais dont les directeurs sont nommés par le ministère et dont les membres peuvent contracter des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique : HAS, INCA qui ne devraient posséder à la rigueur que des possibilités de conseil, mais jamais d’ukases ni de sanctions.

Lorsque le système de santé français brillait dans le monde, le diplôme de médecine était suffisant pour exercer ce noble métier et le médecin dispensait ses soins dans le cadre du colloque singulier avec son malade en respectant les données acquises de la science (arrêt Mercier 1936). Liberté au patient de porter plainte en cas de désaccord ou faute professionnelle supposée.

La multiplication des agences, comités, observatoires depuis les années 1995 que les députés n’arrivent plus à compter tant ils sont nombreux et opaques(([29] https://docteur.nicoledelepine.fr/destruction-de-la-securite-sociale-du-systeme-hospitalier-et-liberal-couplee-a-celui-de-luniversite-et-de-la-recherche-desastre-annonce/ diaporama)), a désorganisé la médecine en donnant des petits pouvoirs à des bureaucrates et détourné beaucoup de soignants de leur vocation, en les affectant à ces organismes inutiles, coûteux et minés par des conflits d’intérêts.

Il faut revenir à la médecine de base, libre, et pour les hôpitaux de proximité rendre le pouvoir de gestion aux maires, pour les CHU supprimer l’essentiel des PPT (partenariat public privé en expansion depuis la loi Bachelot) qui ont transformé des structures de soins en pôle de recherche aux dépens des patients, recherche tendue vers celle de crédits et des liens de plus en plus incestueux avec l’industrie pharmaceutique qui a pris la main non seulement sur la recherche et les soins, mais aussi sur l’enseignement.

Il faudra beaucoup de volonté politique pour remonter la pente, mais tous les dirigeants doivent comprendre qu’il n’y aura jamais de vraie médecine sans liberté de soigner et sans liberté de choix par les malades.





Effets néfastes des vax anti-covid sur les femmes enceintes et les enfants

Par Gérard et Nicole Delépine

https://t.me/DrDelepine/2692



La lettre suivante de 16 pages, prenant en compte 1 019 études évaluées par des pairs sur les dangers du vaccin Covid-19, a été rédigée par le Dr James Thorp, un obstétricien, gynécologue et spécialiste en médecine fœto-maternelle, à l’American Board of Obstetrics and Gynecology en réponse à leur déclaration Concernant la diffusion de fausses informations sur le COVID-19.

Ses conclusions sont sans appel.

En seulement 12 mois depuis le déploiement du vaccin COVID 19, j’ai examiné environ 1 019 références mentionnées ci-dessous. J’encourage TOUT le personnel et les examinateurs de l’American Board of Obstetrics and Gynecology à examiner toutes ces études, comme je l’ai fait. Après avoir lu l’ensemble de ces 1 019 publications évaluées par des pairs, et listées ci-dessous dans les références, vous ne pouvez arriver à aucune autre conclusion que celle que les injections de thérapie génique expérimentale COVID-19 sont hautement morbides et mortelles chez les femmes en âge de procréer, les femmes enceintes, leur progéniture et les enfants qui recevront cette injection de thérapie génique expérimentale. Les dangers de la thérapie génique expérimentale COVID-19sont irréfutables et l’American Board of Obstetrics and Gynecology doit se rétracter de ses menaces de septembre 2021 et faire une déclaration forte concernant les risques de cette injection de thérapie génique expérimentale chez les femmes en âge de procréer et pendant la grossesse. Veuillez faire preuve de diligence raisonnable et lire ces références, comme je l’ai fait.

https://www.rodefshalom613.org/wp-content/uploads/2022/01/Thorp-ABOG-Letter-.01.12.2021.pdf?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp

📣 AIDEZ NOUS À FAIRE TOMBER LES MASQUES ! — PARTAGEZ ET REJOIGNEZ LES BRIGADES ANTI-GRAPHÈNE SUR TELEGRAM

https://t.me/brigadesantigraphene

https://vk.com/xochipelli




Les vaccins contre la COVID modifient l’ADN humain. Et ce n’est plus vraiment une hypothèse…

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Laurent Aventin

Qu’il s’agisse des vaccins à ARNm (Pfizer, Moderna) ou à adénovirus (AstraZeneca, Janssen), la polémique sur les risques de modification du génome humain a été soulevée peu de temps après le début de la vaccination de masse en Occident. Le grand public n’étant globalement pas compétent en la matière, il suit les recommandations officielles qui affirment la non modification du génome humain par les vaccins, et ce à grand renfort d’information. Pourtant, une publication scientifique de 2022 vient de démontrer que la transcriptase inverse – mécanisme impliquant la pénétration et la programmation du noyau de nos cellules – provoquée par les vaccins, est une réalité.

La polémique ne date pas d’aujourd’hui ; en avril 2021, l’ANSM transmettait des informations incomplètes sur le fonctionnement des vaccins, par ailleurs dénoncés par Réinfo Covid :

« Les vaccins à vecteur adénovirus non réplicatifs (Vaccins Astra Zeneca et Janssen) sont des organismes génétiquement modifiés (OGM) de deux manières :

  • Des gènes essentiels à leur réplication ont été supprimés afin de les rendre non réplicatifs.
  • Plusieurs gènes ont été ajoutés : un gène promoteur de Cytomégalovirus (un autre virus), un fragment de gène de l’activateur tissulaire du plasminogène et enfin le gène de la protéine spike du Sars-Cov 2.

Ces gènes ont pour but d’augmenter la production et l’immunogénicité de la protéine Spike afin d’induire l’immunité contre le S Sars-Cov 2 ».

Le mécanisme des vaccins contre COVID

Selon le comité scientifique de Réinfo COVID, le schéma de l’ANSM (cf. ci-dessus) expliquant le mécanisme d’action de ces vaccins est incomplet et donc trompeur.

Sur le schéma précédent, l’adénovirus vaccinal génétiquement modifié pénètre le cytoplasme de la cellule et y déverse son génome modifié (étape 2 du schéma). Le noyau de la cellule qui contient l’ADN de la personne vaccinée est représenté à côté et semble bien séparé de cet ADN modifié de l’adénovirus. Est représentée ensuite (étape 3 du schéma), la production de la protéine spike à partir de cet ADN vaccinal toujours en dehors du noyau. Ceci est impossible ! […] car il manque sur le schéma fourni par l’ANSM l’étape de transcription qui s’effectue dans le noyau de la cellule du vacciné, c’est-à-dire la production d’un ARNm complémentaire à partir de l’ADN vaccinal génétiquement modifié.

Pour produire un ARNm, l’ADN de l’adénovirus vaccinal génétiquement modifié doit pénétrer dans le noyau des cellules de la personne vaccinée.

Ce schéma de l’ANSM a depuis été retravaillé et l’Agence a modifié ses commentaires en les ajustant pour les vaccins à ARNm et pour les vaccins à vecteur viral (adénovirus), ce qui est effectivement nécessaire pour faciliter la compréhension du mécanisme des différents vaccins. Ils conservent cependant la même conclusion pour les deux mécanismes : « Ni l’ARNm, ni l’ADN du vecteur viral ne modifient le génome de la cellule ».

AFP factuel – « grand pourvoyeur de la vérité » financé par l’Etat – explique que le vaccin a ARNm qui programme nos cellules, a pour but de synthétiser la protéine spike « étrangère (à notre organisme mais inoffensive ». Cette information est inexacte puisque le Salt Lake Institute – centre scientifique et historique de l’ARNm – affirme le contraire.

Plus loin, dans l’article AFP, on peut lire l’affirmation selon laquelle l’instruction génétique (portée par l’ARNm) ne peut pas modifier les gènes car dans le corps humain « le chemin génétique, c’est : l’ADN qui est transcrit (recopié, NDLR) en ARN. On ne voit jamais le chemin inverse », d’après le généticien français Axel Kahn.

A l’argument que la transcriptase inverse existe pour les rétrovirus du VIH et des spuma-virus, le Pr Lelièvre explique qu’ils ne retranscrivent que leur propre ARN et non d’autres ARN. Ainsi le dogme actuel en biologie moléculaire qui consiste à affirmer que le code génétique de l’ARN ne peut recoder l’ADN du noyau cellulaire, resterait inchangé.

Les découvertes récentes confirment la modification de l’ADN humain par les vaccins  

Pourtant, l’étude de Markus Alden et al. sur le vaccin de PfizerBioNtech (BNT162b2 ou Comirnaty) apporte des informations nouvelles. Après avoir constaté qu’il y a des effets hépatiques réversibles après inoculation du vaccin sur l’animal, les chercheurs ont vérifié in vitro si ces effets se vérifiaient chez l’homme, ce qui impliquerait une transcriptase inverse ou rétrotranscription. Après exposition aux cellules Huh7 humaines, ils confirment une rétrotranscription endogène et constatent des changements dans l’expression et la distribution de LINE-1.(([1] Le génome humain contient des éléments transposables actifs, comme LINE-1 (L1) et SINE. Ils se déplacent via un système de copier-coller utilisant un ARN intermédiaire et une transcriptase inverse. Leur déplacement aléatoire peut modifier le génome en engendrant des mutations et une large gamme de problèmes d’origine génétique.)) Ils ont également montré que l’ARNm du vaccin Pfizer est transcrit intracellulairement en ADN seulement 6 h après que les cellules humaines aient été exposées au vaccin. Ça va donc très vite.

Si cette équipe a travaillé sur ces mécanismes, c’est parce que la transcriptase inverse induite par les ARNm avait déjà été démontrée par une autre équipe. Celle-ci a découvert en 2021 que des copies d’ADN des séquences du Sars-CoV 2 peuvent être intégrées dans le génome des cellules humaines infectées et qu’il existe un mécanisme de transcription inverse et de rétroposition médié par le rétrotransposon LINE-1.

Mais il semble important que le grand public ne soit pas vraiment informé et que la vaccination ne soit pas contestée par des découvertes scientifiques. On comprend qu’une telle situation mettrait de nombreuses personnes en difficulté.

A l’occasion du Sommet mondial de la santé 2021 en novembre dernier, Stefan Oelrich, président de la division pharmaceutique de Bayer a déclaré « J’aime toujours dire : si nous avions fait un sondage il y a deux ans dans le public – seriez-vous prêt à prendre une thérapie génique ou cellulaire et à l’injecter dans votre corps ? – nous aurions probablement eu un taux de refus de 95 % », et d’ajouter : « Je pense que cette pandémie a ouvert les yeux de beaucoup de gens sur l’innovation ». Il s’agit malheureusement moins d’une prise de conscience que de mesures liberticides et coercitives qui ont obligé de nombreuses personnes à accepter une injection expérimentale. En revanche les laboratoires et les gouvernements sont parfaitement conscients de ce qui est programmé dans la formulation des vaccins contre Covid et qui n’apparait pas dans la composition de ces derniers.

La logique de cette politique transhumaniste que les principaux intéressés – les vaccinés -n’auraient jamais accepté s’il y avait eu un réel consentement libre et éclairé sur les produits inoculés et leurs effets sur l’organisme humain – est de façonner l’être humain, de le recréer. Il ne s’agit plus ici de soigner les gens, ni de les protéger contre une maladie dont on peut légitimement se demander si elle n’a pas été créée et répandue volontairement pour dérouler un programme ? Celui de l’élite mondialiste du Forum économique mondial (FEM) de Davos. « Dans l’annonce de l’initiative du Grand Reset, le FEM a également crédité la pandémie de Covid-19 de les mettre dans une position avantageuse pour marcher vers leurs objectifs révolutionnaires mondiaux ». Le meilleur moyen d’atteindre ses objectifs n’est-il pas de déterminer les conditions qui permettent de les atteindre ?

[Voir aussi :
Surprise : les cellules humaines peuvent finalement convertir l’ARN en ADN
La 1ère preuve que les segments d’ARN peuvent être réécrits dans l’ADN. Et ça change tout !
Les thérapies géniques à ARN messager ne sont pas des « vaccins » et peuvent modifier le génome humain ! MàJ]




La marque d’infamie de la Macronie

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

La Macronie et sa presse donnent des leçons de morale au monde en oubliant que 15 000 personnes ont perdu leur travail, car elles refusaient de se faire injecter. Moins de dix pays au monde connaissent une telle infamie !

Aujourd’hui les soignants sont les victimes, mais demain après la réélection de Macron les nourrissons passeront aussi à la casserole !

Un Français sur deux serait encore à injecter 3 doses…

Et pourtant les injectés sont plus contaminables que les non-vaccinés

Peter McCullough, MD MPH

@P_McCulloughMD

Les données britanniques montrant que les triplets échouent et se retournent peut-être avec des taux d’infection plus élevés. L’OMS a mis en garde contre eux pour des raisons d’inefficacité ou peut-être d’affaiblissement de l’immunité en pompant du matériel génétique étranger de longue durée et de la protéine Spike dans le corps.

Marco Nius ne cesse de le rappeler : pour les moins de 20 ans, les non-vaccinés ont trois fois moins de risques de décéder que les vaccinés.

Seulement 53 % des Français ont eu la troisième dose. Soit 63 % des personnes éligibles pour obtenir la pass vaccinal (+ de 16 ans)

Ne vous mentez pas. Le #passevaccinal fera son grand retour en juillet si Emmanuel Macron est réélu. Cette suspension est exclusivement politique, alors il faudra y passer avec certainement une vaccination obligatoire y compris pour les enfants.

Les injections sont inutiles et même dangereuses, mais les refuser sera un sacrilège !

Serons-nous capables de faire reculer maintenant le pouvoir pour obtenir la suppression de l’obligation vaccinale pour les soignants 

L’Angleterre vient d’y renoncer et les pays du continent également à l’exception de l’Italie, du Vatican, de la Grèce et de la France. La mesure la plus stupide, la plus injuste : l’obligation vaccinale des soignants quand lesdits vaccins sont totalement incapables d’empêcher la contamination et même la facilitent…

Qu’un infirmier ou un médecin non vacciné, mais non malade et testé négatif ne puisse pas soigner, alors qu’un médecin ou une infirmière porteurs du virus, mais vaccinés puissent le faire relève juste de l’imbécillité la plus crasse.




Biden viendra-t-il déclarer officiellement la guerre contre la Russie

Par Lucien SA Oulahbib

Comme cela avait fuité de la bouche de Macron (« cela va durer ») et ce dans la même veine de ce qu’il avait déclaré il y a un an en vue de préparer le 12 juillet dernier (« je vais prendre des décisions difficiles », ce qui déboucha sur la nuit du « 5 août » ou l’abolition de fait des droits de l’Homme et du Citoyen dont la « suspension » présente ne serait qu’une accalmie, élections obligent), il s’avère (comme l’annonce Asselineau dernièrement) qu’en accentuant la livraison militaire d’armements, en insistant sur l’instauration d’un contrôle aérien au-dessus de l’Ukraine, en relativisant la présence de laboratoires militaires bactériologiques (et non pas de simples « labos » comme le prétendent les médias de « grand chemin »), la Secte trans/globaliste qui domine (hélas !) l’Occident a décidé de faire de l’Ukraine le terrain d’affrontement en quelque sorte « final » entre globalistes adeptes du Trans et patriotes désireux de préserver les acquis civilisationnels tout en les enrichissant. D’où la venue de Biden le 24 mars…

Il s’agit en effet pour cette Secte de faire plier non pas « la » Russie, mais toute alternative politico-culturelle possible qui commençait à s’affirmer de façon distincte au khomeynisme iranien et au post-maoïsme (quoique pour une part vérolé cependant à voir son accointance avec les magouilles autour de C.19 qui continuent, pour une part parce que la mafia maoïste n’est pas homogène) puisqu’il est possible d’observer que la Secte Trans/globaliste veut à tout prix empêcher que le groupe de Visegrád (trop « trumpiste » pour certains) se rapproche via la Hongrie de la Russie et ce malgré les différents entre la Tchéquie et cette dernière (dû à l’explosion d’un dépôt de munitions à destination, déjà, de l’Ukraine, et ce en 2014, date de l’officialisation en réalité — Minsk II — de la guerre larvée dans le Donbass…).

Les pressions budgétaires de l’UE sur la Pologne et la Hongrie en sont un avant-goût, et il faut y voir moins une affaire « juridique » qu’un différend profondément civilisationnel qui oppose deux conceptions du monde, comme en Ukraine aujourd’hui : d’une part la volonté globaliste de modéliser les flux multiformes (santé, usines de GPA en Ukraine même, identité numérique comprises) en direction du Trans cybernétique ; d’autre part la volonté patriotique de préserver et enrichir (comme il a été dit) les acquis civilisationnels qui font de l’aventure humaine le vrai lieu de la pluralité créatrice et libératrice.

Car, comme le dit Douguine, il s’agit de défendre en fait la liberté humaine contre cette dérive techniciste qu’est devenu le monde dit « libéral », terme qu’il faut alors prendre plutôt désormais dans son sens américain et non plus européen (au sens de Locke : la liberté ce n’est pas la licence, infra) ; il s’agit donc bien d’une dérive, d’une perversion profonde et d’un accaparement modélisé de la liberté individuelle soumise de plus en plus aux appâts manipulateurs de groupes affairistes, hygiénistes, scientistes, consuméristes avides de transformer goûts et couleurs, désirs et motivations, afin de dé(cons)truire la « force de travail » dispersée, dissoute, en addictions diverses consommant des imaginaires de plus en plus réalistes (Métaverse) et en attendant des séries Netflix accompagnant les humeurs et cherchant à les modeler vers la fluidité du Trans.

Voilà ce qui transparaît en sous-main. Et cela couve depuis la victoire du courant queer (foucaldien) au sein de la Secte globaliste (devenue de plus en plus « Trans ») qui depuis les jeux de Sotchi de 2014 (encore cette date…) n’a de cesse d’envenimer les relations avec la Russie (alors que Poutine voulait adhérer à l’OTAN en 2000). Celle-ci pense, comme naguère les théoriciens communistes et gauchistes (Deleuze par exemple) — et pour la plupart ralliés désormais sinon à la secte du moins à ses principes (santé, identité numérique, avec l’écologisme comme cheval de Troie) —, que son modèle de monde ne peut souffrir d’aucune exception (d’où d’ailleurs, sur le plan sanitaire, la nécessité de passer au stade supérieur en juillet prochain par l’obligation vaccinale, mais décidée cette fois simultanément par l’OMS et l’UE). Comme si seule l’universalisation horizontale de son modèle « trans-cybernétique » via son application mondiale serait la garantie, la preuve par neuf de sa véracité objective intrinsèque (le vrai universel), alors qu’elle en est plutôt la négation destructrice et donc l’expression émergente du réel Troisième totalitarisme (le djihadisme en étant au fond, l’aiguillon médiocre, ses soldat(e)s portant la muselière C.19 et se faisant injecter tout autant).

Face à cela, la mort nucléaire (possible) qui vient — car décider de fermer l’espace aérien ukrainien sera une déclaration de guerre en bonne et due forme —, une course contre la montre s’engage bel et bien entre cette Secte globaliste du Trans cybernétique non plus seulement irrationnelle, mais anti-rationnelle (au sens de basculer dans la frénésie névrotique du sanguinaire assoiffé d’affrontements) et tous les partisans d’une liberté réelle qui refusent d’opposer la préservation des acquis civilisationnels et leur évolution multiforme, mais décidée démocratiquement, c’est-à-dire non pas par des groupes, de surcroît non élus, qui s’accaparent la liberté pour en faire une licence — comme le dénonçait, répétons-le, Locke (Second traité du gouvernement civil chapitre II, 6) —, une perversion qui détruit la nature humaine et citoyenne au profit d’un modèle monstrueux posant la manipulation génétique et génitale comme étant ses deux mamelles ou le néo-nazisme en acte (II), celui d’une Tragédie qui non seulement va venir, mais est déjà là.




Ce que personne ne vous a dit sur l’Ukraine et les journalistes – Époustouflant !

[Source : numidia-liberum]

Par Hannibal Genséric

Quelque chose d’incroyable  a été révélé par un brave héros de l’humanité.
Udo Ulfkotte était le rédacteur en chef de l’un des plus grands journaux européens, le Frankfurter Algemeine Zeitung .
Il y a quelques années, il a avoué au monde que des journalistes du monde entier sont payés par la CIA, des sociétés secrètes, des gouvernements, des milliardaires, etc. pour…  
toujours mentir et ne jamais dire la vérité au public.

[Voir aussi :
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA]

Téléchargez ce mème pour pouvoir le partager sur les réseaux sociaux.

Cet éditeur de journal a avoué que les journalistes sont payés pour…  pousser à la guerre avec la Russie !

C’est là qu’Ulfkotte a tracé la ligne. Après avoir menti au public pendant plus de 25 ans, il ne pouvait plus vivre avec sa conscience. Il a publiquement avoué sa culpabilité et exposé le cartel mondial des médias criminels, qui conduit l’humanité à sa perte.
Peu de temps après ses aveux, Ulfkotte a été retrouvé mort.
Écoutez sa confession dans cette vidéo :


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"veydyd","div":"rumble_veydyd"});

Incroyable tromperie

Ce qu’Ulfkotte a avoué peut facilement être observé quand on regarde comment les médias du monde entier mentent sur l’Ukraine. Regardez les exemples suivants…

Une photo d’une explosion à Gaza il y a des années, est publiée comme si cela venait de se produire en Ukraine… :

Une explosion en Chine à partir de 2015 est publiée comme si elle s’était produite en Ukraine, tout à l’heure… :

Une image d’un film de 2010 est publiée comme si elle avait été prise en Ukraine… :

Une autre scène d’un film, est utilisée pour ‘reporter’ sur ce qui se passe en Ukraine… :

Une image d’une explosion de gaz en 2018 est utilisée pour montrer la « destruction causée en Ukraine par la Russie ». La dame montrée avec un visage couvert de sang, est un célèbre acteur de crise, qui apparaît dans des dizaines d’images de «catastrophes». Théâtre pur… :

Dans cette courte vidéo, vous pouvez voir comment cet acteur de crise  est souvent utilisé pour tromper le public :


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"vu511b","div":"rumble_vu511b"});

Une photo de 2016 sert à attiser l’émotion, alors qu’elle n’a rien à voir avec la situation en Ukraine… :

Une vidéo de 2017 d’une explosion est publiée comme si cela s’était passé tout à l’heure en Ukraine… :

Une autre explosion de 2015 est utilisée par CNN   pour créer l’illusion d’une explosion en cours en Ukraine… :

Une agence de presse israélienne diffuse des images supposées de la zone de guerre ukrainienne. Il s’avère qu’ils ont utilisé une scène d’un film Star Wars… :

Une fille victime d’un attentat à la bombe en Syrie en 2018,  est montrée aujourd’hui comme si elle avait été blessée lors d’attentats à la bombe en Ukraine. :

Ces exemples montrent à quel point le monde est trompé à grande échelle. Images de films, catastrophes passées, acteurs de crise, … tous les moyens sont justifiés pour mentir au public.

[Voir aussi :
7 FAKE NEWS en provenance d’Ukraine
Festival de désinformation sur l’Ukraine par les médias mainstream]

La vérité est cachée

D’un autre côté, les médias cachent des informations critiques, qui jettent une toute autre lumière sur toute cette situation. Voici quelques exemples…

LES RUSSES NOURRISSENT LES UKRAINIENS

L’armée russe livre des centaines de milliers de livres de nourriture au peuple ukrainien. Cela a été rapporté par l’agence de presse russe RT, qui est d’ailleurs l’une des très rares agences de presse au monde à avoir rapporté la vérité sur la pandémie.

Fait intéressant, RT a maintenant été interdit partout dans le monde. Il est clair que leurs reportages ne seront peut-être pas entendus par l’humanité !

ENFANTS TERRORISTES

Ce que les grands médias cachent aussi au monde, c’est comment des enfants sont entraînés en Ukraine à devenir des terroristes, sur le modèle de Daech ! Le fameux « bataillon AZOV », un groupe de nazis opérant en Ukraine depuis de nombreuses années, a été financé par les derniers gouvernements à Kiev.

[Voir aussi :
Des enfants conditionnés et enrolés comme soldats par les néo-nazis d’Ukraine]

JEUNES FORMÉS À ÊTRE FASCISTES

La montée dangereuse du nazisme et du fascisme en Ukraine est illustrée dans cette vidéo, où un grand groupe d’adolescents chante les lignes suivantes :

« Salut l’Ukraine, mort aux ennemis, salut l’Ukraine, pendez les Russes, l’Ukraine avant tout !, l’Ukraine avant tout ! »

NAZIS EN UKRAINE

Ce documentaire complet révèle le mouvement dangereusement croissant du néo-nazisme en Ukraine :


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"vu561b","div":"rumble_vu561b"});

[Voir aussi :
France — Sénat : JO du 10 juin 2021 — question sur les néonazis d’Ukraine
Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens
La vérité sur la révolution ukrainienne : des nazis soutenus par les USA !
Thierry Meyssan à propos des bataillons nazis ukrainiens
Convoi de la liberté, les croix gammées de qui? Justin Trudeau soutient les néo-nazis en Ukraine
Qui va dénazifier l’Ukraine ?]

BOMBARDANT LEUR PROPRE PEUPLE

Une autre réalité choquante dont vous n’entendrez pas un mot sur les grands médias, c’est la façon dont l’armée ukrainienne a bombardé  son propre peuple, après quoi elle a blâmé la Russie. Cette vidéo montre une jeune famille expliquant cette horreur. Alors que la Russie apporte des tonnes de nourriture au peuple ukrainien, sa propre armée le tue par des bombardements massifs :


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"vu4zyd","div":"rumble_vu4zyd"});

Leur histoire est confirmée par un reporter de guerre français du Donbass. Elle confirme que l’armée ukrainienne bombarde son propre peuple… :


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"vu5aky","div":"rumble_vu5aky"});

DES RÉVÉLATIONS INATTENDUES

Une émission de télévision française a fait une grosse erreur : ils ont invité une dame qui vit en Ukraine depuis 25 ans. Une fois qu’elle a commencé à dire la vérité sur ce qui se passe réellement là-bas, l’animatrice de télévision et les autres invités ont été choqués et ont commencé à se disputer dans une grande confusion.

L’une des choses que cette dame ukrainienne a révélées est la façon dont le gouvernement actuel s’est positionné, par la fraude électorale, comme un gouvernement fantoche pour les criminels.

Elle révèle comment les chaînes de télévision de l’opposition ont été interdites, de nombreux journalistes ont été assassinés et le pays fonctionne comme une dictature, alors que le monde extérieur l’a salué comme une «démocratie libre». Elle explique également comment des millions de personnes en Ukraine vivent dans des conditions terribles et que de nombreuses personnes sont en fait satisfaites de l’intervention de la Russie. Écoutez cette dame ukrainienne ici :


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"vu1u39","div":"rumble_vu1u39"});

NOUS AVONS DU PLAISIR À TUER

Dans le clip suivant, vous pouvez entendre des combattants ukrainiens parler de :

– comment ils suivent les ordres que leur donne l’Occident,
– comment ils s’amusent à tuer des gens,
– comment ils prévoient de faire de l’Ukraine une préoccupation pour le monde entier,
– comment ils envisagent de détruire la Russie.


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"vu50hb","div":"rumble_vu50hb"});

Les médias vous manipulent

Le but de cette guerre médiatique est d’inciter la population mondiale à la haine contre la Russie. Tout à coup, la Russie est le grand monstre noir. Bouh Poutine ! Tuez Poutine ! Quel méchant ! Mais… est-ce que les gens qui sont indignés maintenant se sont jamais souciés de l’une des guerres qui ont eu lieu récemment ? Les États-Unis ont largué au moins 337 000 bombes au cours des dernières années. Ils ont bombardé par exemple :

Syrie pendant 5 ans.
Yémen depuis 7 ans.
Somalie depuis 15 ans.
Irak pendant 16 ans.
Pakistan depuis 18 ans.
Afghanistan pendant 21 ans.

Personne ne s’en souciait. Aucune grande entreprise n’a appelé à la compassion envers aucun de ces pays. Il n’y a pas eu de boycott contre les USA. Aucun site Web, célébrité, entreprise technologique, restaurant, etc. ne diffusait de messages de soutien à l’un de ces pays. Alors… pourquoi le monde entier est-il soudainement indigné par l’Ukraine ?

Hypocrisie extrême

Les personnes mêmes qui accusent Poutine d’avoir fait quelque chose de « mal » sont celles qui ont assassiné des  millions de personnes, toute leur vie. Je vous ai déjà montré comment ces types ont largué des centaines de milliers de bombes –  souvent sur des civils innocents –  partout dans le monde. Mais ce sont aussi eux qui assassinent les enfants, avec la thérapie génique expérimentale, faussement étiquetée de v@ccine. Ce sont eux qui ont participé au lancement d’une pandémie sur l’humanité qui a tué plusieurs millions d’innocents (voir la preuve de la façon dont cela a été planifié).

Ce sont eux qui ont supprimé tous les remèdes contre le covid, assassinant efficacement des millions de personnes qui auraient pu être guéries avec un traitement précoce.

Ce sont eux qui détruisent systématiquement nos pays, afin de nous soumettre à un gouvernement mondial unique. Ce sont eux qui nous privent de nos libertés, de nos droits, de notre argent et, si nous les laissons faire, de nos vies. Ce sont eux qui poussent au génocide, pour réduire la population mondiale. Ce sont eux qui ont assassiné des scientifiques qui ont découvert des traitements anticancéreux salvateurs.

En bref, ce sont eux qui commettent des crimes contre l’humanité dans des proportions que nous ne pouvons même pas comprendre.

Et maintenant, ils se dressent contre le « mal » ? Ceux qui servent les forces du mal les plus profondes et les plus sombres dont la plupart d’entre nous ne peuvent même pas imaginer qu’elles existent ?  Réveillez-vous chères, bien-aimées, belles personnes! Vous êtes joué, trompé, soumis à un lavage de cerveau, manipulé par des gens si méchants qu’ils détruiraient tout ce qui vous est cher, y compris vous-même, si vous ne regardez pas.

Pourquoi ont-ils peur ?

Lorsque vous observez à quel point ces criminels veulent désespérément que vous haïssiez Poutine, vous devriez vous demander :  « Pourquoi ? Que fait Poutine, qui est apparemment une menace pour eux ?  Cela nous amène à une autre réalité de base : chaque fois que la cabale vous dit de haïr quelqu’un, cela signifie que cette personne est son ennemi, et probablement votre ami.

Avez-vous déjà vu quelqu’un à la télévision publique appeler à l’assassinat d’une personne ?  Pourtant, dans les médias américains, nous avons vu plusieurs personnes appeler au meurtre de Poutine. L’un d’eux est le sénateur américain Lindsey Graham. Il est d’abord apparu à la télévision, appelant au meurtre de Poutine, et il a répété son appel sur Twitter :

Pourquoi n’appellent-ils pas à l’élimination de George Soros, Bill Gates, Klaus Schwab, des Rothshild ou des Rockefeller, et de tous les autres maîtres criminels et meurtriers de masse, qui ont infligé au monde entier des souffrances que les mots ne peuvent même pas décrire?

Vous devez vous demander : pourquoi les dirigeants politiques et les personnalités des médias appellent-ils à l’assassinat de Poutine ? Que fait-il, que ces criminels soient si terrifiés par lui ?

Que se passe-t-il?

Comme nous le savons tous, la famille Biden a beaucoup traité avec le gouvernement ukrainien actuel et a reçu à plusieurs reprises plusieurs millions de dollars de sa part. Nous savons aussi à quel point les Biden sont criminels. Hunter Biden (le fils de Joe) a été surpris en train de maltraiter d’innombrables enfants, les achetant à des marchands d’enfants et les abusant de toutes les manières possibles. Son ordinateur portable a été saisi et les preuves sont là. Ici vous voyez une photo de l’ordinateur portable de Hunter, montrant une photo d’une fille kidnappée à Paris, et mise en vente sur le marché de la traite des êtres humains.

Joe Biden est également connu pour ses abus envers les enfants. Il ne peut pas garder ses mains loin d’un enfant qui s’approche de lui (tout comme zombie Joe, son père). La relation intime et continue de cette famille criminelle Biden avec le gouvernement ukrainien est assez révélatrice…

DIRIGEANTS UKRAINIENS SÉLECTIONNÉS PAR LES ÉTATS-UNIS

Un enregistrement audio a fait surface, révélant comment les politiciens américains – ceux qui font partie de l’État profond – sélectionnaient à la main qui ils mettraient dans le gouvernement ukrainien et qui ils garderaient à l’écart. Cela signifie que l’État profond contrôle complètement l’Ukraine !


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"vu50cv","div":"rumble_vu50cv"});

Aucune description de photo disponible.

POUTINE ÉLIMINE LES LABORATOIRES D’ARMES BIOLOGIQUES

Il existe plusieurs laboratoires américains d’armes biologiques en Ukraine, dont la plupart sont très proches de la frontière avec la Russie. Les rapports des frappes de Poutine montrent comment il a ciblé ces laboratoires d’armes biologiques ! L’État profond aux États-Unis essaie frénétiquement d’empêcher Poutine de détruire ces laboratoires d’armes biologiques ! (source). Poutine n’« envahit » pas l’Ukraine. Il détruit les laboratoires d’armes biologiques !  L’Ukraine était en train d’être préparée comme un bastion majeur pour les opérations de la cabale, en Europe et en Asie. Poutine fait simplement le ménage.

[Voir aussi :
Le Conseil de sécurité et les laboratoires biologiques ukrainiens
L’OMS a demandé à l’Ukraine de détruire les « agents pathogènes à haute menace » dans les laboratoires pour prévenir la propagation des maladies
Moscou accuse Kiev et Washington d’avoir mené des «programmes biologiques militaires» en Ukraine. Mise à jour
Poutine ordonne à l’armée de détruire les laboratoires biologiques en Ukraine alors que les États-Unis éliminent les preuves de leur existence. Mise à jour]

MISSILES AMÉRICAINS LE LONG DE LA FRONTIÈRE RUSSE

Dans la vidéo suivante, vous pouvez entendre Poutine expliquer comment les États-Unis ont positionné des missiles tout le long de la frontière ukrainienne avec la Russie Il explique que personne ne permettrait jamais à son voisin de faire une telle chose. que se passerait-il si la Russie positionnait des missiles nucléaires tout le long des frontières canado-mexicaine avec les États-Unis ? C’est une simple question de légitime défense, explique Poutine. L’Ukraine était en train d’être préparée comme un bastion majeur pour les opérations de la cabale, en Europe et en Asie. Leur but était d’anéantir la Russie. Poutine empêche simplement leur invasion, en éliminant les laboratoires d’armes biologiques, les bases militaires, les rampes de lancement de missiles, etc.

[Voir aussi :
Un ancien Premier ministre ukrainien affirme que Poutine a sauvé des centaines de milliers de vies
En pleine guerre de l’Ukraine, l’OTAN rattrapé par la vérité. Mise à jour 2
La Russie contre la guerre nucléaire, bactériologique et l’épuration ethnique qui étaient projetées par l’Ukraine
L’agenda du suicide occidental en profondeur
L’Ukraine n’est pas une victime, elle est partie prenante de l’agenda du Nouvel Ordre Mondial
Réinformation sur l’Ukraine. Mise à jour
Qui est responsable de la guerre en Ukraine ? Qui s’en réjouit ?
Le plan stratégique des États-Unis contre la fédération de Russie a été élaboré il y a trois ans par le think tank américain Rand Corporation
L’homme qui a vendu l’Ukraine
Héros de guerre ou coupable de haute trahison ? Un chef d’État au service de ses concitoyens ou à la solde d’une puissance étrangère ?
Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens
UKRAINE : Les vrais enjeux
L’Art de la guerre — Ukraine : c’est l’OTAN qui a lancé l’attaque il y a huit ans
Ukraine : dernier message du 24 février de Vladimir Poutine à son peuple]

Qui est Poutine –  Vraiment ?

Poutine a peut-être été formé en tant que jeune leader mondial par le WEF, il peut être impliqué dans la franc-maçonnerie (ce qu’il faut être, pour occuper ce genre de poste gouvernemental), cela ne signifie pas qu’il a embrassé leur programme diabolique dans son cœur . Certaines personnes très pieuses ont émergé de certains des environnements les plus sombres. Pensez à l’archevêque Carlo Maria Vigano, qui est une lumière brillante au Vatican, qui est le chef du serpent mondial de la cabale ! Ce héros de l’humanité a dénoncé la maltraitance intense des enfants et la corruption financière au Vatican, et se bat maintenant avec acharnement contre le nouvel ordre mondial, dans lequel le Vatican joue un rôle clé.

[Voir aussi :
L’Arche de Gabriel : de La Mecque à l’Antarctique
et
Les deux témoins]

Écoutez CE MESSAGE INCROYABLE


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"vu52gp","div":"rumble_vu52gp"});

Transcription en Français (
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale) :

Depuis maintenant deux ans, nous assistons à un coup d’État mondial dans lequel une élite financière et idéologique a réussi à prendre le contrôle d’une partie des gouvernements nationaux, des institutions publiques et privées, des médias, de la justice, des politiciens et des chefs religieux. Tous, sans distinction, sont devenus esclaves de ces nouveaux maîtres qui assurent pouvoir, argent et affirmation sociale à leurs complices. Les droits fondamentaux, qui jusqu’à hier étaient présentés comme inviolables, ont été foulés aux pieds au nom d’une urgence : aujourd’hui urgence sanitaire, demain urgence écologique, puis urgence internet.

Ce coup d’État mondial prive les citoyens de toute possibilité de défense, puisque les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire sont complices de la violation de la loi, de la justice et de l’objet pour lequel ils existent. C’est un coup d’État global car cette attaque criminelle contre des citoyens s’étend au monde entier, à de très rares exceptions près. C’est une guerre mondiale, où les ennemis sont nous tous, même ceux qui, sans le vouloir, n’ont pas encore compris la signification de ce qui se passe.

C’est une guerre menée non pas avec des armes mais avec des règles illégitimes, des politiques économiques perverses et des limitations intolérables des droits naturels. Des organisations supranationales, financées en grande partie par les conspirateurs de ce coup d’État, s’ingèrent dans le gouvernement des nations individuelles et dans la vie, les relations et la santé de milliards de personnes. Ils le font pour de l’argent, certes, mais plus encore pour centraliser le pouvoir afin d’établir une dictature planétaire. C’est la Grande Réinitialisation du Forum Economique Mondial,  l’Agenda 2030 des Nations Unies. C’est le plan du Nouvel Ordre mondial, dans lequel une république universelle asservit tout le monde et une religion de l’humanité annule la foi en Christ.

Face à ce coup d’État mondial, il est nécessaire de former une alliance anti-mondialiste internationale qui rassemble tous ceux qui veulent s’opposer à la dictature, qui n’ont pas l’intention de devenir les esclaves d’un pouvoir sans visage, qui ne veulent pas annuler leur propre identité, leur propre individualité, leur propre foi religieuse. Si l’attaque est globale, la défense doit aussi être globale.

J’appelle les dirigeants, les dirigeants politiques et religieux, les intellectuels et toutes les personnes de bonne volonté, les invitant à s’unir dans une alliance qui lance un manifeste anti-mondialiste, réfutant point par point les erreurs et les déviations de la dystopie du Nouvel Ordre mondial et proposant des alternatives concrètes pour un programme politique inspiré par le bien commun, les principes moraux du christianisme, les valeurs traditionnelles, la protection de la vie et de la famille naturelle, la protection de l’entreprise et du travail, la promotion de l’éducation et de la recherche, et le respect de la création.

Cette alliance anti-mondialiste devra rassembler les nations qui entendent échapper au joug infernal de la tyrannie et affirmer leur propre souveraineté, en concluant des accords de collaboration mutuelle avec des nations et des peuples qui partagent leurs principes et le désir commun de liberté, de justice et de bonté. Elle devra dénoncer les crimes des élites, identifier les responsables, les dénoncer devant les tribunaux internationaux, et limiter leur pouvoir excessif et leur influence néfaste. Elle devra empêcher l’action des lobbies, surtout en luttant contre la corruption des agents de l’État et de ceux qui travaillent dans l’industrie de l’information, et en gelant les capitaux servant à déstabiliser l’ordre social.

Dans les nations où les gouvernements sont inféodés aux élites, pourront être mis en place des mouvements de résistance populaire et des comités de libération nationale, comprenant des représentants de tous les secteurs de la société qui proposeront une réforme radicale de la politique, inspirée par le bien commun et fermement opposée au projet néo-malthusien de l’agenda mondialiste. J’invite tous ceux qui veulent défendre la société chrétienne traditionnelle à se réunir dans un forum international, qui se tiendra le plus tôt possible, dans lequel des représentants de diverses nations se réuniront pour présenter une proposition sérieuse, concrète et claire.

Mon appel s’adresse aux dirigeants politiques et aux gouvernants soucieux du bien de leurs citoyens, laissant de côté les anciens systèmes de partis politiques et la logique imposée par un système asservi au pouvoir et à l’argent. J’appelle les nations chrétiennes ensemble, d’est en ouest, invitant les chefs d’État et les forces saines des institutions, de l’économie, du travail, des universités, de la santé et de l’information à se joindre à un projet commun, perturbant les anciens systèmes et mettant de côté les hostilités qui sont désirées par les ennemis de l’humanité au nom de Divide et impera [diviser pour régner].

Nous n’acceptons pas les règles de notre adversaire, car elles sont précisément faites pour nous empêcher de réagir et d’organiser une opposition efficace et percutante. J’appelle les nations et leurs citoyens à s’allier sous la Croix de Notre-Seigneur Jésus-Christ, le seul Roi et Sauveur, le Prince de la Paix — In hoc signo vinces [par ce signe, tu vaincras].

Fondons cette alliance altermondialiste, donnons-lui un programme simple et clair, et libérons l’humanité d’un régime totalitaire qui rassemble en lui les horreurs des pires dictatures de tous les temps. Si nous continuons à tarder, si nous ne comprenons pas la menace qui pèse sur nous tous, si nous ne réagissons pas en nous organisant en une résistance ferme et courageuse, ce régime infernal qui s’installe partout ne sera pas arrêté. Et que Dieu tout-puissant nous assiste et nous protège.

[Voir aussi :
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

Peut être une image de texte qui dit ’Vatican City UN NWO Agenda 2030 Roman Law Washington D.C. Jerusalem Justitia Omnibus War Terror Zionist Government The City of London Wallstreet NY 出 Strige Money & Finance Rothschild Banking Jesuits 'Illuminati' Knights Templar Knights Malta 32°+ Freemasons Organized Religion Secret Services Societies Military, Police, Mafia UN, US. EU, G20, NATO Big Bank, Big Media, Big Industry National, Regional Local Politics NGOs, Think Tanks, Big Charities The Roman Power Pyramid’

De même, Poutine a toujours pris une position audacieuse contre le nouvel ordre mondial et a fait tout son possible pour exposer leurs plans. Ses discours sont partout sur Internet, où il met en garde l’humanité contre le gouvernement mondial satanique. Il a dénoncé publiquement des criminels comme George Soros, Bill Gates et les Rothschild, retirant autant qu’il le pouvait leur influence de la Russie.

Dans tout ce que Poutine a fait et dit au cours de la dernière décennie, il est devenu clair qu’il n’est pas un ami de la cabale, mais qu’il s’y oppose farouchement.

Cela devient d’autant plus évident par la façon dont la cabale essaie de détruire la Russie maintenant. Des dizaines de leurs grandes entreprises quittent maintenant la Russie, essayant de replonger la Russie dans l’âge des ténèbres avec l’absence des meilleurs services, solutions et technologies occidentales.

Ce qu’ils ne comprennent pas, c’est que cela encouragera les Russes à construire leurs propres systèmes, ce qui rendra la Russie d’autant plus puissante contre la cabale, car ils ne compteront plus sur leurs services.

Si des cyberattaques majeures se produisent, elles seront causées par la cabale, mais… d’autres seront blâmés, y compris la Russie. C’est toujours comme ça qu’ils fonctionnent : ils causent un désastre et blâment quelqu’un d’autre. Le fait que Schwab ait prédit des cyberattaques montre que c’est à leur ordre du jour.

Peut être une image de 2 personnes et texte

La seule façon de comprendre l’attaque mondiale actuelle contre la Russie est de savoir comment cette nation est un obstacle majeur pour le gouvernement mondial unique.

Il en va de même pour l’Amérique. La cabale a tenté de détruire à la fois la Russie et l’Amérique de l’intérieur, en positionnant des marionnettes corrompues au sein des gouvernements, et par la corruption massive et le chantage d’individus influents dans ces pays. Ils ont également essayé d’amener ces deux nations à déclencher une guerre nucléaire.

Ils ont raté.

Même maintenant, avec un gouvernement fantoche cabaliste en place, ils s’exposent plus que jamais, provoquant d’autant plus une montée de feu patriote à travers l’Amérique.

Rapide vue d’ensemble

✔︎ Poutine appelle au retour à Dieu, et à Ses valeurs, qui est l’exact opposé de la cabale, qui sert le royaume des ténèbres.

✔︎ Poutine a condamné la montée de la perversion, qui est l’exact opposé de la cabale, qui pousse à la perversion.

✔︎ Poutine a pris une position audacieuse contre le mondialisme et le Nouvel Ordre Mondial, faisant de lui un obstacle à leurs plans.

✔︎ C’est pourquoi la cabale a payé des journalistes en Amérique et en Europe, essayant de provoquer la guerre avec la Russie.

✔︎ La cabale s’est emparée de l’Ukraine et en a fait un bastion pour ses opérations,  ce qui constitue une menace majeure pour la Russie.

✔︎ Poutine a supprimé les stations de lancement de missiles et les laboratoires d’armes biologiques, qui étaient positionnés le long de la frontière avec la Russie.

✔︎ L’Ukraine est une plaque tournante du néo-nazisme, où les enfants sont entraînés à devenir des terroristes.

✔︎ Les combattants ukrainiens se vantent de s’amuser à tuer des gens, et comment l’Ukraine va devenir « une préoccupation pour le monde entier ».

✔︎ L’Ukraine a été profondément au lit avec la cabale, et Biden en est un exemple frappant.

✔︎ L’État profond américain a trié sur le volet le gouvernement ukrainien, en faisant un gouvernement fantoche aux mains de criminels.

✔︎ Pendant des décennies, la cabale a tenté de provoquer une guerre nucléaire avec la Russie, pour détruire cette nation.

✔︎ Maintenant, une fois de plus, les médias de la cabale du monde entier appellent à la guerre contre la Russie, ce qui montre qu’ils veulent détruire la nation.

✔︎ Les médias mentent sur la Russie, afin de mettre l’opinion publique de leur côté, lorsqu’ils les attaquent.

En substance, Poutine défend simplement la Russie, contre une menace toujours croissante posée par l’OTAN et l’État profond/la Cabale. Dans le même temps, il abolit leurs bastions en Ukraine, qui comprend une plaque tournante du trafic d’enfants. Et il délivre le peuple ukrainien d’un gouvernement criminel qui opprime le peuple.

Cyber-pandémies

Hillary Clinton et Biden ont tous deux appelé à des cyberattaques contre la Russie. Klaus Schwab du WEF a annoncé publiquement qu’après les pandémies biologiques, il y aura une vague de cyberattaques. Ce serait bien plus dévastateur que n’importe quel virus biologique, car il fermerait toute l’infrastructure mondiale et provoquerait des pannes de courant, des perturbations des lignes d’approvisionnement, etc.

Si des cyberattaques majeures se produisent, elles seront causées par la cabale, mais… d’autres seront blâmés, y compris la Russie. C’est toujours comme ça qu’ils fonctionnent : ils causent un désastre et blâment quelqu’un d’autre. Le fait que Schwab ait prédit des cyberattaques montre que c’est à leur ordre du jour.

CONCLUSION : LES JOURNAPUTES

À New York, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880, le célèbre journaliste John Swinton se fâche quand on propose de boire un toast à la liberté de la presse :

« Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurons à le faire, nous nous retrouverons à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! »

(Cité dans : Labor’s Untold Story, de Richard O. Boyer et Herbert M. Morais, NY, 1955/1979.)

¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯

Quelques précisions  ici :

http://www.constitution.org/pub/swinton_press.htm

John Swinton sur l’indépendance de la presse

Des variations sur la citation ont été attribuées à tort à une réponse à un toast, par John Swinton, comme « l’ancien chef de cabinet du New York Times », devant le New York Press Club en 1953. Cependant, la recherche révèle que Swinton (1829 -1901), après avoir déménagé à New York, écrit un article occasionnel pour le New York Times et est embauché régulièrement en 1860 comme chef de la rédaction. Après avoir occupé ce poste tout au long de la guerre civile, il quitta le journal en 1870 et devint actif dans les luttes ouvrières de l’époque. Plus tard, il a occupé le même poste pendant huit ans dans le New York Sun et a ensuite publié une feuille de travail hebdomadaire, John Swinton’s Paper.

Les remarques ont apparemment été faites par Swinton, alors l’éminent journaliste new-yorkais, probablement une nuit de 1880. Swinton était l’invité d’honneur d’un banquet que lui offraient les dirigeants de son métier. Quelqu’un qui ne connaissait ni la presse ni Swinton a porté un toast à la presse indépendante. Swinton a indigné ses collègues en répondant :

Il n’existe pas, à cette date de l’histoire du monde, en Amérique, de presse indépendante. Tu le sais et je le sais.

Il n’y a pas un seul d’entre vous qui ose écrire ses opinions honnêtes, et si vous le faisiez, vous savez d’avance qu’elles ne paraîtraient jamais imprimées. Je suis payé chaque semaine pour garder mon opinion honnête hors du journal auquel je suis connecté. D’autres d’entre vous reçoivent des salaires similaires pour des choses similaires, et tous ceux d’entre vous qui seraient assez stupides pour écrire des opinions honnêtes se retrouveraient dans la rue à la recherche d’un autre emploi. Si je permettais à mes opinions honnêtes d’apparaître dans un seul numéro de mon journal, avant vingt-quatre heures, mon occupation serait terminée.

Le travail des journalistes est de détruire la vérité, de mentir carrément, de pervertir, de vilipender, de flatter aux pieds de Mammon, et de vendre son pays et sa race pour son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est-ce de porter un toast à une presse indépendante ?

Nous sommes les outils et les vassaux des hommes riches dans les coulisses. Nous sommes les pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d’autres hommes. Nous sommes des prostituées intellectuelles.

(Source : Labor’s Untold Story, par Richard O. Boyer et Herbert M. Morais, publié par United Electrical, Radio & Machine Workers of America, NY, 1955/1979.)

Hannibal Genséric




France — Obligation vaccinale en route ?

Voir aussi :
Les Européens seront-ils esclaves dans quatre mois ?




Toxicité des « vaccins anti-Covid »

[Source : jeremie-mercier.com]

Par Jérémie Mercier | 8 Mar 2022

Oui, je sais, l’Ukraine a pris le devant de la scène, et en un claquement de doigts, la psychose entretenue par la secte apocalyptique covidiste a laissé place à la psychose guerrière entretenue par les pays occidentaux sous contrôle de l’OTAN et des États-Unis.

Le Covid a disparu !

Adieu la guerre pseudo-sanitaire !

Maintenant, vive la guerre soi-disant « pour sauver le peuple ukrainien » !

Dans cette période plus qu’étrange, alors que les sous-citoyens français vont redevenir « citoyens » le 14 mars (sauf les soignants suspendus, qui restent sous-citoyens), juste à temps avant les élections présidentielles en France, après 2 ans de « crise Covid », on sait :

  • qu’il n’y a pas eu de pandémie ([1], [2] et [3])
  • que les syantifiques ont relayé le discours dominant par ignorance, naïveté, conformisme ou corruption [4] (je ne parle pas des trop rares vrais scientifiques qui ont fait leur boulot)
  • que la solution magique promue (l’injection expérimentale) pour résoudre la pandémie bidon était non seulement également bidon [5] mais aussi potentiellement dangereuse [6] et [7]
  • que les fabricants de ces injections bidons sont des entreprises habituées à mentir et à fournir des données bidons pour vendre leurs drogues et autres injections plus ou moins expérimentales ([8] et [9]).

Enfin, on s’est même posé la question de l’existence du fameux « virus » SARS-CoV-2, en tout cas de sa pathogénicité s’il existe réellement en dehors des simulations informatiques (existence « in silico ») et il se pourrait qu’il faille revoir complètement notre vision des maladies infectieuses [10].

Aujourd’hui, nous allons voir que les injections bidons censées protéger de la pandémie bidon sont purement et simplement des substances toxiques.

Cette toxicité a pu être analysé de façon très fine par Dr Joseph Hickey et prof Denis Rancourt, de l’Association des Libertés Civiles de l’Ontario (https://ocla.ca/), que je t’invite à soutenir en faisant un don en cliquant sur ce lien, sur le bouton PayPal en haut à droite de la page.

Leur publication sur le sujet est disponible ici (en anglais) : https://ocla.ca/ocla-report-nature-of-toxicity-of-covid-19-vaccines-in-usa-version-1/

J’ai eu le plaisir de recevoir Joseph Hickey et Denis Rancourt, pour l’émission Science en Conscience pour RéinfoCovid n°21 ce mardi 1er mars. Cette vidéo remarquable, censurée en moins de 10 heures de la plate-forme YouTube (ce qui me vaut la punition suivante : une interdiction de publiée d’une semaine sur ma chaîne – donc jusque demain – et aussi une interdiction de publier de 2 semaines pour la chaîne ReinfoCovid reloaded, je suis profondément désolé pour eux !).

Heureusement, cette vidéo est toujours disponible sur CrowdBunker https://crowdbunker.com/v/p37icnQa ou sur Odysee : https://odysee.com/@jeremiemercier:0/analyse-de-la-toxicit%C3%A9-des-injections:4



Voici le lien de la retranscription de la vidéo (document pdf à télécharger).

[Transcription :]

L’analyse des données du VAERS (Vaccine Adverse Effect Reporting System) aux États-Unis permet de mesurer la toxicité des différentes injections communément appelées « vaccins anti-Covid ».

Compte tenu de l’évolution du nombre de morts et du nombre d’effets indésirables dans le temps après la date des injections, on peut montrer qu’il existe un lien de causalité entre ces effets indésirables (parfois fatals) et l’injection en question. On peut aussi démontrer que l’injection Janssen tue 3 fois plus que l’injection Moderna, et même 4 fois plus que l’injection Pfizer.

En outre, Joseph Hickey et Denis Rancourt démontrent que les personnes les plus âgées sont celles qui ont le plus souffert de ces effets indésirables (notamment la mort).

Ainsi, non seulement ces injections n’ont aucune justification scientifique, mais en plus chercher à injecter les personnes âgées les met disproportionnellement en danger.

Bref, si tu as pris ces injections bidons, quelle qu’en soit la raison (pour aller au resto, au ciné, pour voyager, pour pas perdre ton boulot, pour protéger les autres, toi-même ou le narratif), sache au moins que tu t’es fait injecter un produit toxique.

Si tu en réchappes sans effet indésirable, j’espère pour toi que ça va durer et que tu ne vas pas te refaire injecter de truc chelou et toxique à l’avenir (c’est la norme malheureusement).

Tu peux aussi tenter de reprendre ta santé en main, notamment avec cette approche également bizarre, mais pour le coup très efficace pour pas mal de problèmes, et pas du tout bidon.

Bonne résistance à la propagande (qui repart de plus belle avec l’Ukraine), et bonne reprise en main de ta santé !

Reprendre sa santé en main est devenu un acte subversif !

1 — Télécharge mon ebook gratuit « 5 habitudes simples à mettre en place pour péter le feu »
2 — Pour être sûr de rester en contact en cas de censure, rejoins mon canal
Telegram https://t.me/DeconfineTaSante
3 — Découvre mes casquettes « Boycott Pass Sanitaire » 
et mes « badges de résistants » et montre ton refus du totalitarisme pseudo-sanitaire !




Les mots de Christine Deviers Joncour sur Attali, le Covid et le plan de dépopulation

[Source : medias-presse.info]

Christine Deviers Joncour, qui a autrefois côtoyé de près l’establishment et qui est aujourd’hui reconvertie dans l’écriture, évoque au cours d’un entretien un repas avec différentes personnalités au cours duquel Jacques Attali évoquait la nécessité d’organiser la dépopulation dans des termes qui rappellent le dossier Covid.

Au passage, Christine Deviers Joncour rend hommage à Valérie Bugault.



[Voir aussi :]






Les Nouvelles de la VÉRITÉ BRUTALE #11

[Source : Amélie Paul]




[Voir aussi :
Le Grand Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial « d’identité numérique »
Dans un rapport datant de juillet 2020, le FEM ait exhorté « les parties prenantes de tous les secteurs, industries et géographies » à unir leurs forces et à travailler ensemble « pour libérer pleinement le potentiel de l’IoB ».




La présidente de l’UE accusée de collusion avec Pfizer

[Source : covidhub.ch]

La médiatrice de l’UE, Emily O’Reilly, accuse la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen de « mauvaise administration » et lui ordonne de remettre les textos secrets qu’elle a envoyés au PDG de Pfizer lors des actions entreprises pour acheter 1,8 milliard d’injections Covid.

Cette requête fait suite à une demande d’accès à l’information déposée par un journaliste.

Pfizer est le plus grand fournisseur vaccinal de l’UE

En avril de l’année dernière, le New York Times a révélé que la dirigeante européenne et le patron de Pfizer Albert Bourla avaient échangé des SMS et des appels concernant l’achat de vaccins pour les pays de l’UE.

Ursula von der Leyen, qui s’est déclarée favorable à la vaccination obligatoire dans l’UE, a utilisé la « diplomatie personnelle » pour conclure l’accord pour 1,8 milliard de vaccins Pfizer, a révélé le journal.

Le journaliste Alexander Fanta, du site d’information netzpolitik.org, a ensuite demandé à la Commission l’accès aux SMS et autres documents, mais l’exécutif ne les a pas fournis.

Plus de la moitié des 4,2 milliards de doses achetées ou optionnées par la commission proviennent de BioNTech-Pfizer, ce qui en fait de loin le plus grand fournisseur des efforts vaccinaux de l’UE.

« La Commission est déconnectée de la démocratie européenne »

La Commission refuse de divulguer des aspects clés de ses contrats avec les fournisseurs de vaccins Covid, notamment sur les prix, invoquant le secret commercial.

« Cette affaire est plus importante qu’un simple échange de SMS », a estimé l’eurodéputée néerlandaise Sophie in’t Veld (du groupe Renew Europe). « La Commission européenne est devenue moins transparente, moins responsable devant le Parlement européen et franchement plus déconnectée de la démocratie européenne », a-t-elle dénoncé, appelant le Parlement européen à réagir.

Source :


[Source : La Vérité Qui Dérange v9 – LVQD]

La famille Von der Leyen aux manettes de l’UE (ancien agent de la Sûreté de l’État Belge)

https://youtu.be/kwtJ0Mwvu_Q