Scandale en Israël : comment le gouvernement a découvert de graves problèmes de sécurité avec les injections COVID et les a dissimulés

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

J’ai déjà traduit et repartagé des textes de Steve Kirsch. Ingénieur diplômé du prestigieux Massachussets Institute of Technology, entrepreneur à succès, celui-ci s’est mobilisé depuis le début de la crise Covid pour dénoncer les innombrables corruptions de la science servant à imposer des politiques publiques absurdes et destructrices.

Travailleur infatigable, il n ‘a cessé de produire des interpellations et des articles fort bien documentés, mais restant évidemment lettre morte : cela fait longtemps que les autorités systémiquement corrompues ont fermé les écoutilles face aux critiques, et même d’autant plus que celles-ci sont pertinentes ! Nous avons exactement le même problème ici : le Conseil fédéral par exemple a bien évité de répondre à la plupart des courriers de l’avocat valaisan Jacques Schroeter.

  • Pour lire « Probablement le plus gros mensonge de tous les temps » : l’interpellation d’un avocat au gouvernement suisse sur Covidhub.ch : cliquer ici.

Tout comme la Revue médicale suisse (la feuille de chou quasi-officielle de Big Corruption et Big Pharma) s’est bien gardée de répondre à la Lettre ouverte d’un éminent médecin-chercheur que j’ai relayée (pour préserver l’anonymat de cet expert) en réponse à article de propagande pour la « vaccination » des femmes enceintes truffé de manipulations et d’erreurs.

  • Pour lire « Vaccination génique des femmes enceintes : lettre ouverte d’un chercheur à la Revue médicale suisse » : cliquer ici.

Silence radio, évidemment.

Les autorités et les agences de santé ne veulent actuellement rien savoir des faits, les hôpitaux universitaires et les sociétés médicales non plus. Drôle de monde dirait-on s’il n’y avait actuellement des millions de morts à travers le monde à la clé et des centaines de millions de vies affligées par des effets dommageables bien plus fréquents et souvent hélas beaucoup plus graves que ce les complices de ce crime mondiale en disent.

C’est donc une drôle d’aubaine pour ceux qui défendent le camp de l’honnêteté intellectuelle et des données véridiques quand la preuve peut être donnée que des autorités de santé ont délibérément dissimulé la réalité des dommages qui avaient pourtant été établie. C’est ce qui se passe actuellement en Israël, avec, je vous le donne en prime : une omerta monstrueuse des autorités et de la presse.

Laquelle on le sait, là-bas comme ici, n’est plus qu’une truanderie en bande organisée au service des cercles criminels qui organisent cette dérive. Hélas.

Voici donc le dossier complet publié par Steve Kirsch sur son blog de Substack, traduit par mes soins. Comme y invite Steve, c’est à diffuser et re-partager massivement. N’hésitez surtout pas à faire connaître cet article ou à le re-publier sur vos pages !

[PDF correspondant à l’article :]


Exclusif : Preuve qu’Israël a découvert de graves problèmes de sécurité avec les vaccins COVID et les a délibérément dissimulés.

Israël n’a commencé à recueillir des données de sécurité qu’un an après le début du programme de vaccination. Ils ont rassemblé des données sur 6 mois et ont découvert que les vaccins n’étaient pas sûrs, alors ils ont menti au monde entier à ce sujet.

Steve Kirsch, 2 septembre 2022

Le Dr Sharon Alroy-Preis, directrice des services publics du ministère de la Santé et conseillère principale de COVID auprès du gouvernement israélien, n’a aucun problème à dissimuler des informations vitales sur la sécurité des vaccins COVID pour les faire passer pour sûrs. Pourquoi n’ont-ils pas publié la présentation originale faite par l’équipe de sécurité ? Une enquête doit être menée au plus vite sur ce qui s’est passé, mais le chef du ministère de la Santé, Nitzan Horowitz, ne la réclame pas. Est-il lui aussi corrompu ?

C’est l’article le plus IMPORTANT que j’ai écrit à ce jour.

Il s’agit de l’article le plus important de mon blog Substack (qui compte plus de 700 articles). Ce seul article devrait faire s’écrouler le château de cartes s’il n’y a qu’une seule personne honnête en position d’autorité dans le monde.

Le point le plus important est le suivant :

Sur la base de la corruption du gouvernement, des données de sécurité et de la corrélation entre le vaccin et les décès, le principe de précaution de la médecine exige l’arrêt immédiat du programme de vaccination COVID.

Les faits essentiels en quelques mots :

  1. Les autorités sanitaires israéliennes savaient que les vaccins étaient nocifs pour la population : les effets secondaires du vaccin ne sont ni légers ni de courte durée. En fait, dans 65% des cas neurologiques qui ont mentionné la durée, les symptômes sont tous continus.
  2. Ils ont également établi la causalité : les effets secondaires ont été causés par le vaccin. C’est quelque chose que personne d’autre n’avait été capable d’établir auparavant.
  3. Ils ne savent pas quelle est la gravité du préjudice parce qu’ils n’ont examiné que les données des cinq premières catégories. La catégorie « troubles cardiovasculaires » était la sixième. Ils n’ont donc examiné qu’une fraction des données.
  4. Les chercheurs ne connaissent pas la prévalence de ces effets secondaires graves, car on leur a simplement fourni le numérateur, et non le dénominateur (comme pour le VAERS).
  5. Les autorités israéliennes ont délibérément dissimulé les problèmes de sécurité et les ont cachés au monde entier, en publiant un faux rapport disant essentiellement « il n’y a rien de nouveau à voir ici, circulez ».
  6. La seule bonne nouvelle dans tout cela, c’est qu’Israël a empêché les Palestiniens de recevoir ce vaccin très dangereux. C’était très humain de la part des Israéliens.
  7. Au 4 septembre 2022, personne n’est tenu pour responsable et tout le monde ignore cette histoire qui fait l’effet d’une bombe :
  • Il y a un black-out de la presse sur la couverture de cette affaire en Israël. Les médias israéliens refusent même de regarder les preuves.
  • Personne en Israël n’est tenu responsable de cette corruption. Il n’y a même pas d’enquête.
  • Personne dans la communauté médicale mondiale ne s’exprime non plus sur cette corruption, alors qu’elle touche des personnes partout dans le monde.
  • Les grands médias du monde entier n’en parlent pas.
  • Aucun fonctionnaire, aucun responsable de la santé publique ni aucun média grand public dans le monde ne réclame une enquête, personne ne veut voir le rapport d’expertise original ni les données de sécurité qu’ils ont recueillies.
  • Nous avons en notre possession la vidéo complète et les diapositives qui ont été présentées ; utilisez le lien « Contactez-moi » si vous êtes une autorité sanitaire et que vous souhaitez la voir avant qu’elle ne soit diffusée au public.
  • Pour m’assurer que le CDC est au courant, je viens d’envoyer un courriel à des centaines de personnes du CDC qui sont impliquées dans les vaccins COVID (y compris Rochelle Walensky) pour leur faire savoir que le rapport et la vidéo sont disponibles. Tout ce qu’ils ont à faire est de cliquer sur répondre. Je parie que pas une seule personne au CDC ne veut le voir. Nous sommes sur le point de découvrir à quel point la corruption est profonde au CDC.
  • Il n’est pas surprenant qu’ils l’ignorent. Toutes les données négatives sur le vaccin sont ignorées. Par exemple, lorsque j’ai découvert que les jeunes médecins canadiens mouraient à un taux plus de 12 fois supérieur à la normale après le deuxième rappel, l’Association médicale canadienne, dont le rôle est de défendre la santé des médecins, a refusé de commenter. J’ai envoyé cinq demandes et ils ont ignoré toutes les demandes. Elle devrait modifier son site Web pour indiquer qu’elle défend les intérêts des sociétés pharmaceutiques, et non la santé des médecins.

Plus précisément :

  1. Le ministère israélien de la santé a mis 18 mois à compter de la date de lancement du vaccin avant d’examiner les données de sécurité du vaccin COVID pour voir ce qu’elles disent.
  2. Ils n’ont commencé à collecter des données de sécurité qu’en décembre 2021, un an après le lancement des vaccins auprès du public. Peu de gens le savaient.
  3. En décembre 2021, ils ont chargé un groupe d’experts extérieurs dirigé par le professeur Mati Berkowitz, un éminent expert israélien en pharmacologie et toxicologie de l’hôpital Asaf Harofe, d’examiner les données de sécurité qu’ils ont recueillies au cours des six mois suivants (de début décembre à fin mai 2022).
  4. Le groupe a présenté ses conclusions au personnel du ministère de la santé le 6 juin 2022 ou aux alentours de cette date, lors d’un appel Zoom enregistré secrètement. Ils ont découvert que les vaccins COVID étaient beaucoup plus dangereux pour les personnes que ne l’admettaient les autorités mondiales. Ils ont découvert des effets indésirables graves qui n’ont jamais été divulgués par Pfizer ni par aucun gouvernement mondial. Ces effets indésirables n’étaient pas non plus de courte durée comme on l’avait dit au public.
  5. Ils ont également déterminé la causalité, ce qu’aucune autre autorité sanitaire mondiale n’a jamais été disposée à faire (parce que les autres gouvernements n’ont jamais examiné les données non plus). Le lien de causalité était à la fois évident et facile à prouver à l’aide des données de remise en question qui ont été recueillies (vous ne pouvez pas le faire en utilisant les données du VAERS américain, par exemple).
  6. En bref, le panel a déterminé que le gouvernement trompait le peuple d’Israël.
  7. Nous ne savons toujours pas à quel point les vaccins sont dangereux, car l’équipe externe n’a examiné que les cinq événements les plus fréquemment cités.
  8. Tant les autorités israéliennes que les scientifiques qui analysent les données du ministère de la santé ont agi pour dissimuler les dommages en publiant un rapport fabriqué de toutes pièces pour faire passer le vaccin pour parfaitement sûr et prétendre qu’il n’y avait rien d’anormal….
  9. Ce n’est que grâce aux efforts d’une personne courageuse qui a publié l’enregistrement de la réunion Zoom complète entre le ministère de la santé et son groupe d’experts que nous savons maintenant ce qui a été dit lors de cette réunion et ce que les données ont révélés. Sinon, le monde serait toujours dans l’ignorance.
  10. Les dirigeants de nos « institutions de confiance » du monde entier n’ont absolument rien dit après que la nouvelle ait éclaté le 20 août 2022. Cela suggère qu’il y a une corruption généralisée dans la communauté médicale, les agences gouvernementales, parmi les responsables de la santé publique, les médias grand public et les entreprises de médias sociaux du monde entier : ils ne reconnaîtront aucun événement qui va à l’encontre du récit dominant.
  11. C’est un niveau de corruption sans précédent. Les atrocités commises ici sont claires et nettes. Tout le monde devrait s’exprimer et demander une enquête complète et une évaluation exhaustive des données de sécurité recueillies par le gouvernement israélien.

Ce que vous devez faire

Les trois choses les plus importantes que vous pouvez faire pour mettre un terme à ces vaccins dangereux sont les suivantes :

  1. Lisez cet article, y compris les liens recommandés dans la section Références.
  2. Partagez cet article avec le plus grand nombre de personnes possible (par exemple, partagez-le sur tous vos comptes de médias sociaux dès maintenant).Partager l’article original en anglais.
  3. Veuillez vous abonner à mon blog (en anglais) pour que je puisse vous tenir au courant des développements. Plus la portée collective des personnes qui contestent le faux récit sera grande, plus vite la vérité éclatera. L’inscription est totalement gratuite.

Résumé détaillé

Le ministère israélien de la santé (MDS) a été informé par son propre groupe d’experts extérieurs sélectionnés par ses soins et dirigés par le professeur Mati Berkowitz que les vaccins COVID n’étaient pas aussi sûrs que le MDS l’avait affirmé à la population israélienne. C’est tout le contraire : au lieu d’effets bénins et de courte durée, les effets étaient graves et de longue durée. En ce qui concerne les effets secondaires neurologiques, dans 65 % des cas, ils n’ont pas disparu du tout (commencez à regarder cette vidéo à 2:30 ; les 65 % sont à 3:09) et les chercheurs ont admis qu’ils ne savaient pas s’ils allaient disparaître un jour.

Au lieu d’admettre son erreur, le ministère de la santé l’a couverte en publiant un rapport qui déforme le rapport d’expertise.

En outre, les experts ont également couvert efficacement le problème en ne disant rien lorsque cela s’est produit. Ils sont restés les bras croisés pendant que le ministère de la Santé déformait les données. Il semble que toutes les personnes impliquées aient été tellement intimidées qu’elles se sont senties obligées de taire la vérité, même si cela pouvait coûter des vies.

Le 20 août, le public a enfin appris que le gouvernement n’avait pas surveillé les effets indésirables pendant un an, puis, après avoir rassemblé les données sur l’innocuité du vaccin, qu’il les avait délibérément manipulées pour faire croire que le vaccin était sûr alors qu’il ne l’était pas. On pourrait penser qu’il y aurait une indignation majeure face à la violation de la confiance du public. Mais il n’y a rien eu. Aucune réaction. Le Dr Sharon Alroy-Preis, directrice des services publics du ministère de la Santé et conseillère principale du COVID auprès du gouvernement israélien, n’a fait aucune déclaration publique. C’est stupéfiant.

Cela suggère qu’elle et les autres membres de son organisation qui étaient au courant étaient impliqués dans la dissimulation. Le peuple israélien devrait exiger qu’ils soient licenciés et poursuivis pénalement.

En outre, l’actuel ministre de la Santé, Nitzan Horowitz, ne fait rien. Pourquoi ne demande-t-il pas une enquête ? Il devrait lui aussi être licencié. Ou bien la corruption de la science est-elle acceptable pour le gouvernement israélien ?

Enfin, jusqu’où va la corruption ? Les grands médias israéliens couvriront-ils cette histoire ? Pourquoi pas ? Un membre du parlement israélien demandera-t-il une enquête ? Un membre de l’exécutif demandera-t-il une enquête ?

Il me semble qu’ils sont tous achetés par les compagnies pharmaceutiques. Est-ce que je me trompe ?

C’est une histoire de corruption, pure et simple.

Il n’y a aucun moyen de donner une tournure positive à cette affaire. Toute personne au pouvoir qui ne demande pas une enquête et que des têtes tombent est tout aussi corrompue que les personnes qui ont participé à la dissimulation initiale du rapport de sécurité.

Cette histoire est le « pistolet fumant » que nous attendions : une agence gouvernementale officielle a été filmée en train de recevoir un rapport alarmant de scientifiques et a ensuite délibérément menti au public à ce sujet.

La réponse à cette histoire a été « silence radio » jusqu’à présent.

La presse israélienne (qui est fortement contrôlée par l’État) a refusé de s’approcher de l’histoire ; elle n’a même pas répondu lorsqu’elle a été contactée à ce sujet. Les médias ne veulent voir aucune des preuves.

Au moment où j’écris ces lignes (2 et 3 septembre), un seul média, GB News au Royaume-Uni, en a parlé.

C’est à nous de forcer nos dirigeants médicaux, sanitaires et politiques du monde entier à prendre position sur ce qui s’est passé. Le condamneront-ils ou l’ignoreront-ils ?

Tous les leaders de la médecine traditionnelle devraient dire que ce que le ministère de la Santé a fait est une erreur et demander une enquête immédiate sur la sécurité des vaccins. Nous devrions être en mesure de voir la présentation complète du groupe d’experts et son rapport. Et les données relatives à la sécurité devraient être rendues publiques, comme le sont les données du VAERS.

Mais regardez ce qui s’est passé : ils ne condamnent pas ce qui s’est passé et ils ne demandent pas le rapport ou les données. Ils restent silencieux… comme si cela n’était pas arrivé.

Ils disent tous en substance : « Il est acceptable qu’un gouvernement ne contrôle pas la sécurité des vaccins pendant 12 mois, puis, après 6 mois de contrôle de la sécurité et la preuve évidente des dégâts causés, déforme délibérément les données de sécurité au public. »

Introduction

Il s’avère que le gouvernement israélien n’a jamais mis en place un système de contrôle de la sécurité des vaccins lorsqu’il a lancé les vaccins COVID en décembre 2020.

Finalement, en décembre 2021, soit plus d’un an après le début du programme de vaccination, ils ont décidé de corriger ce défaut. Ils ont commencé à recueillir des données de sécurité à partir de ce moment-là jusqu’à la fin du mois de mai 2022. Ils ont ensuite chargé un groupe de recherche extérieur, dirigé par un scientifique israélien de haut niveau, d’analyser ces données.

Le rapport a révélé que les effets secondaires n’étaient pas légers ni de courte durée, contrairement à ce qui était présenté au peuple israélien. Les données étaient claires : les effets secondaires étaient graves et de longue durée (parfois sans fin en vue).

En bref, les données ont montré que le gouvernement, qui ne contrôlait pas la sécurité comme il le prétendait, a menti au peuple d’Israël. De plus, il est maintenant clair que le Dr Sharon Alroy-Preis a menti au comité externe de la FDA (Food and Drug Administration états-unienne, NdT) au sujet de la surveillance de la sécurité israélienne.

Le ministère de la Santé a dissimulé le rapport de sécurité pendant deux mois, puis a publié un rapport public trompeur pour faire croire que le vaccin était sûr. Ce dimanche 4 septembre, ils vont  » demander  » au comité de sécurité des vaccins de recommander la 5e dose (le vaccin combiné) pour les plus de 60 ans. C’est de la corruption. Ils cachent les données de sécurité au public et ils le savent.

Il a fallu deux mois au ministère de la santé pour déformer les résultats et les présenter au public afin de faire croire que les vaccins COVID étaient sûrs.

Personne ne savait que quelqu’un enregistrait secrètement la réunion entre les chercheurs extérieurs et le ministère de la Santé.

Personne ne savait que la réunion de juin entre les chercheurs et le ministère de la Santé était enregistrée.

Apparemment, il y avait une personne honnête à la réunion et lorsque le ministère de la santé n’a pas agi de manière à protéger le public, l’enregistrement a été divulgué à la presse.

Dans l’enregistrement de 80 minutes, l’un des chercheurs déclare : « Nous devrons penser médico-légal – comment présenter nos résultats pour éviter les poursuites judiciaires. »

Après que des extraits de l’enregistrement ont été divulgués à la presse, aucun des médias israéliens n’a voulu couvrir l’histoire. En fait, un seul média dans le monde, GB News au Royaume-Uni, a accepté de la couvrir. Regardez cette vidéo de l’interview de Neil Oliver par GB News, qui a eu lieu le 20 août 2022.

Fox News a été informé mais a refusé de couvrir l’événement (apparemment parce que leurs contrats publicitaires avec Pfizer leur interdisent de couvrir toute nouvelle négative concernant les vaccins).

Toute l’escroquerie a été révélée au public le 1er septembre 2022 dans ce tweet (de 10 messages) de Yaffa Shir-Raz, une journaliste honnête vivant en Israël.

Je l’ai découvert lorsque Retsef Levi m’a transmis le tweet de Yaffa sur mon compte WhatsApp (étant donné que je suis définitivement banni de Twitter pour avoir dénoncé le manque de sécurité des vaccins). Ma réaction a été rapide… J’ai commencé à rédiger cet article quelques minutes après avoir lu ce tweet.

Le tweet de Yaffa évoque les techniques qui ont été utilisées pour déformer les conclusions des chercheurs :

Si Twitter retire son tweet, j’ai une copie de la vidéo et du tweet complet que je publierai si nécessaire.

La causalité des nouveaux événements indésirables a été prouvée par l’équipe externe.

En outre, de nouveaux événements indésirables significatifs ont été identifiés et le lien de causalité a été établi en interrogeant à nouveau la même personne ; si le symptôme réapparaît ou s’aggrave, c’est un signe certain de causalité.

La causalité a même été établie dans des domaines où les chercheurs n’avaient pas connaissance de problèmes auparavant. Par exemple, pour les problèmes neurologiques, pour lesquels il n’y avait même pas de question d’enquête spécifique (parce que ce n’était pas un effet secondaire officiellement établi), le signal a été détecté en lisant les champs libres.

Points supplémentaires

L’équipe extérieure a été engagée par le ministère de la santé.

La réunion avec le ministère de la santé s’est déroulée début juin devant un haut responsable du ministère chargé de la surveillance des événements indésirables.

Les responsables du ministère de la santé n’ont pas partagé les résultats avec le comité consultatif du ministère de la santé lorsque celui-ci s’est réuni plusieurs semaines plus tard pour discuter de l’approbation du vaccin pour les bébés et du 5e rappel pour les adultes.

Le Dr Alroy-Preis est le numéro 2 du ministère de la Santé. Elle dirige la collaboration officielle entre Israël et Pfizer. Elle rencontre régulièrement les responsables de Pfizer et rédige des articles avec eux. Elle est également responsable de toutes les politiques relatives à COVID 19 en Israël.

Les choses qu’ils ont cachées incluent :

  1. Le fait que, dans la plupart des cas, ces effets ne se sont pas résorbés rapidement (dans certains cas, ils ont duré plus d’un an).
  2. La preuve que le vaccin a causé les événements
  3. Les taux réels ; ils ont manipulé les taux en divisant le nombre de rapports par toutes les doses, en cachant le fait qu’ils avaient le système depuis 6 mois et qu’un seul secteur de santé (HMO) correspondant à 15 % de la population a fait un rapport. Cela rend le dénominateur énorme et le numérateur petit, ce qui masque la signification.

Comment cette corruption a-t-elle pu se produire ?

Mon hypothèse de personne est assez simple :

  1. Elle a été initialement causée par une confiance aveugle dans des figures d’autorité comme Fauci, le CDC, la FDA et Pfizer. Fauci a fait croire à tout le monde, à tort, que le vaccin était la seule solution.
  2. Comme tout le monde voulait mettre fin à la pandémie, ils ont détourné le regard lorsque des problèmes de sécurité sont apparus.
  3. Lorsque les autorités sont prises en flagrant délit, comme c’est le cas dans cette vidéo, elles étouffent l’affaire afin que personne ne soit mal vu (elles-mêmes, le gouvernement, les médias et la communauté médicale traditionnelle).
  4. Toutes ces stratégies d’atténuation étaient totalement inutiles. Nous disposons de protocoles de traitement précoce éprouvés permettant une hospitalisation et une mortalité proches de zéro. Mais parce que Fauci contrôle les NIH, ils ont ignoré tout cela.
  5. Fauci a créé le virus (en finançant le gain de la recherche sur les fonctions à l’Institut de virologie de Wuhan) et est également responsable à lui seul de la réaction qui a tué encore plus de personnes que le virus.

Il existe d’autres perspectives :

  1. Voir « Comment le ministère de la santé est-il devenu l’agent de Pfizer ? » pour savoir comment la corruption s’opère, mais en bref, c’est parce que les responsables gouvernementaux sont amenés à penser que le vaccin est la seule solution et qu’ils signent un accord qui fait de la promotion des vaccins une priorité élevée et des questions de sécurité une priorité faible.
  2. Article sur le contrat entre Israël et Pfizer.

Références / lectures complémentaires

Voici les principales sources :

Le segment GB News du 20 août 2022 où Neil Oliver intervieweYaffa et Retsef. Le post du Rumble a été publié le 28 août, mais comme vous pouvez le voir sur ce tweet, la nouvelle est sortie le 20 août. Ce qui est également étonnant, c’est le peu de réactions (seulement 427 retweets et 912 likes après 2 semaines).6.

  • Cette vidéo de 4 minutes expose le rapport du ministère de la santé qui montre ce que les scientifiques ont réellement dit lors de la réunion secrète. Les scientifiques ont établi que Pfizer a menti à la FDA au sujet des effets secondaires. Cette vidéo ne dure que 4 minutes et tout le monde devrait la regarder. Elle contient les déclarations montrant que dans 65 % des cas neurologiques, les problèmes ne se sont pas résolus.
  • Ce clip d’une minute de l’appel Zoom montre les chercheurs demandant que Sharon soit informé. Les participants du ministère de la santé assurent qu’ils feront en sorte que cela se produise.
  • Ce clip de deux minutes montre le Dr Sharon Alroy-Preis assurant le public que les vaccins sont sans danger pour les femmes, juxtaposé à la vidéo des chercheurs affirmant que les vaccins causent des dommages aux organes reproducteurs des femmes qui, dans certains cas, ne se résorbent pas. Ils soulignent également que la ré-injection entraîne la réapparition du même problème, ce qui constitue une preuve de causalité, surtout lorsque cela se produit chez de nombreux patients. N’oubliez pas que les chercheurs ne savaient pas qu’ils étaient enregistrés. Ils n’auraient jamais dit cela s’ils avaient su qu’ils étaient filmés.
  • Le rapport public du ministère de la Santé (en hébreu) qui dit essentiellement « rien à voir ici les gars, circulez ». Voici la version traduite automatique du rapport public en anglais.
  • La vidéo complète de la réunion entre les scientifiques et les fonctionnaires du ministère de la santé n’a pas été rendue publique… pour l’instant. Cela donne l’occasion aux responsables du ministère de la Santé de se présenter d’eux-mêmes et d’admettre ce qui s’est passé. Le tweet de Yaffa (ci-dessus) contient les informations qui ont été envoyées aux médias. Nous avons également une copie des diapositives qui ont été présentées lors de la réunion. Utilisez le lien « Contactez-moi » si vous êtes une autorité sanitaire (médecin, universitaire, presse, responsable de la santé publique) et que vous souhaitez les voir avant que nous les rendions publiques.

Ces références ne concernent bien sûr que cette histoire particulière. Il y a maintenant plus d’un millier d’articles dans les revues scientifiques publiées et évaluées par des pairs qui montrent que les vaccins ne sont pas aussi sûrs qu’on le prétend. Voir cet article pour un résumé des preuves.

Nous ne voyons que le sommet de l’iceberg pour le moment.

N’oubliez pas que les chercheurs n’ont analysé QUE les cinq effets indésirables graves les plus fréquemment signalés et qu’ils ont découvert de nouveaux éléments dont Pfizer n’avait pas connaissance.

Ils ont exclu les cas les plus graves et les ont confiés à un autre comité pour examen.

Les événements cardiovasculaires constituaient la sixième catégorie la plus fréquente, nous n’avons donc pas de données à ce sujet puisqu’ils n’ont pas été analysés.

Et l’étude n’incluait même pas les cas d’hospitalisation – c’est le rôle d’un autre comité de les examiner.

L’analyse actuelle n’est donc que la partie émergée de l’iceberg.

Le VAERS montre des milliers de symptômes qui sont élevés par ces vaccins par rapport à la normale.

Il y a beaucoup d’autres choses qui n’ont pas encore été révélées au public. Il y a des recherches honnêtes en cours en Israël qui sont ignorées.

Par exemple, saviez-vous que, selon une analyse des données du ministère de la santé, le vaccin COVID tue 40 fois plus de personnes âgées qu’il n’en sauve ?

Le Dr Hervé Seligmann travaille à l’Unité de recherche sur les maladies infectieuses et tropicales émergentes, Faculté de médecine, Aix-Marseille Université, Marseille, France. Il est de nationalité israélo-luxembourgeoise.

En utilisant les données du ministère israélien de la santé, Haim Yative et le Dr Seligmann, chercheurs israéliens, ont découvert que le vaccin COVID-19 a tué 40 fois (40x) plus de personnes âgées que la maladie ne l’aurait fait et 260 fois plus de personnes plus jeunes que le virus ne l’aurait fait, sur une période de 3 semaines après les injections.

Voir :

  1. Données du ministère israélien de la Santé : Le vaccin Pfizer a tué « environ 40 fois plus de personnes âgées que la maladie elle-même n’en aurait tué ».
  2. Vaccination en Israël : Remettre en cause les chiffres de la mortalité ?
  3. La mise au jour des données relatives à la vaccination en Israël révèle une image effrayante.

Autres points à noter

  1. La presse israélienne est fortement contrôlée. Yaffa a été licenciée du plus grand journal d’Israël il y a un an, après y avoir travaillé pendant 20 ans. Son crime ? Elle a écrit des articles que le ministère de la Santé n’a pas appréciés. Il n’est donc pas surprenant que la presse israélienne ait évité de couvrir cette histoire. La situation ne changera que si tous ceux qui lisent cet article le partagent sur les médias sociaux.
  2. Le groupe d’experts a découvert des effets indésirables (EI) non répertoriés par Pfizer (nouveaux signaux), notamment des EI neurologiques, des douleurs dorsales et des problèmes gastro-intestinaux, en particulier chez les enfants. Étant donné que le groupe n’a examiné que les cinq effets secondaires les plus fréquents, il est vraiment troublant qu’il ait trouvé quelque chose de nouveau. Ce n’est pas vraiment une surprise car les données du VAERS, qui sont indépendantes des données israéliennes, montrent la même chose.
  3. Causalité : ils ont trouvé de nombreux cas de rechallenge – récurrence ou aggravation d’un effet secondaire après des doses répétées chez le même individu – ce qui, comme le souligne le chercheur principal, augmente les chances de causalité « de possible à certaine ». Il est donc intéressant de constater que ces chercheurs ont pu facilement déterminer la causalité alors que personne d’autre dans le « monde médical classique » n’y est parvenu. Bien sûr, les « diffuseurs de fausses informations » se sont rendu compte que les données du VAERS le disaient déjà au début de 2021 en raison de la dépendance des symptômes à la dose.
  4. La seule personne qui a finalement tweeté quelque chose est le mari de Sharon AlroyPreis. Il a essentiellement dénigré Yaffa. C’est en fait logique, car lorsque vous êtes incapable d’attaquer les mérites d’un argument, la bonne approche est de censurer l’attaquant ou de s’engager dans des attaques ad hominem.

Un commentaire d’une de mes lectrices en Israël

Considérez ce commentaire :

Je suis israélienne et je dis ce que vous avez écrit (à moi-même et sur quelques comptes facebook israéliens) depuis un bon moment maintenant. Je suis dégoûté par les responsables de notre ministère de la santé qui sont chargés de gérer la crise Corona. Je suis dégoûté par des gens comme Sharon Alroy-Preis qui a témoigné devant le comité d’experts de la FDA comme une groupie ou une pom-pom girl de Pfizer. Comme un petit chiot, désireux de faire plaisir à son maître Pfizer. Si ambitieuse et si désireuse d’aller de l’avant et de paraître importante en se présentant devant ce comité, et si dépourvue de toute responsabilité sérieuse envers les millions d’Israéliens dont elle a négligé la santé. Non seulement elle a trahi la confiance du public israélien, mais par son témoignage déformé, elle a influencé le comité de la FDA, exposant ainsi des milliards de personnes dans le monde aux dangers de ce vaccin, car une approbation de la FDA a une grande portée dans le monde. Elle ne devrait pas seulement être licenciée. Elle devrait aller en prison !

Maintenant, tous les habitants des États-Unis ont au moins un bouc émissaire à blâmer pour tout. On m’a dit que les États-Unis comptaient sur les Israéliens pour le contrôle de la sécurité en raison du triste état des contrôles de sécurité aux États-Unis. Ils n’ont peut-être pas réalisé qu’Israël était encore pire que les États-Unis en matière de contrôle de la sécurité, bien pire.

Violation de la loi américaine par le Dr. Sharon Alroy-Preis

Le fait de faire une fausse déclaration dans une procédure officielle constitue une violation criminelle de la loi américaine (18 USC 1001). Les contrevenants sont passibles de 5 ans de prison.

Considérez les déclarations suivantes faites lors de la réunion du VRBPAC de la FDA le 17 septembre 2021 :

https://www.youtube.com/embed/WFph7-6t34M

« Reckless Levy » est en fait « Retsef Levi ». Mais cette déclaration a été faite à une époque où aucun contrôle de sécurité n’était effectué par le gouvernement israélien.

Elle fait référence à l’affirmation de Retsef selon laquelle le système de notification en Israël était dysfonctionnel (ce qui était le cas) et qu’il n’y avait aucun suivi ou contrôle des EI. Retsef n’a pas menti. Elle a bien dit qu’elle était « surprise ».

Il semble donc qu’il s’agisse d’une fausse déclaration délibérée du Dr Alroy-Preis qui pourrait lui valoir des poursuites pénales de la part du Département de la Justice. Cependant, de telles choses sont peu probables, même si son témoignage a conduit le comité à approuver les vaccins qui ont tué des centaines de milliers d’Américains.

D’un autre côté, elle était peut-être surprise que quelqu’un d’autre que le ministère de la Santé sache ce qui se passait vraiment (donc elle ne mentait pas).

Comment « ils » expliquent ça ? Ils ne peuvent pas !

Les trolls de Twitter ont d’abord affirmé que les vidéos avaient été sorties de leur contexte. Mais cela n’a pas duré longtemps. Maintenant, ils sont silencieux. La stratégie semble être d’ignorer le problème pour qu’il disparaisse.

Comment les experts médicaux américains réagissent

J’ai le numéro de téléphone portable du Dr Grace Lee, responsable du comité ACIP, qui est le comité externe du CDC. Je lui ai donc envoyé cet article par SMS et lui ai demandé des commentaires.

Si elle dit quelque chose, je le signalerai ici. Ne retenez pas votre souffle.

Elle devrait être indignée. Mais elle ne le sera pas. Elle ne dira rien. Elle fera simplement ce qu’on lui dit de faire, c’est-à-dire l’ignorer. C’est comme ça que la science fonctionne. Si vous voulez une preuve de corruption, la voici.

De même, aucun membre de la communauté médicale traditionnelle ne dira un mot. Aucun d’entre eux ne dira quoi que ce soit.

Le professeur Vinay Prasad va-t-il dire quelque chose ? Il est au courant de cet article et j’ai demandé ses commentaires également.

Il s’agit d’un moment décisif pour la communauté médicale traditionnelle mondiale et les revues médicales. Parleront-ils ouvertement ou feront-ils ce qu’on leur dit et resteront-ils silencieux ? Qui sera le premier à s’exprimer ?

Je suppose qu’ils vont tous rester silencieux et ne pas faire de commentaires à ce sujet. Cela vous montre le niveau de contrôle et de corruption.

Voici une liste partielle des personnes à qui j’ai demandé des commentaires :

  1. Marc Tessier-Lavigne, président de Stanford
  2. Lloyd Minor, doyen de la faculté de médecine de Stanford
  3. David Relman, professeur à Stanford
  4. Grace Lee, professeur à Stanford (qui est également à la tête du comité de l’ACIP)
  5. Bonnie Maldonado, professeur à Stanford
  6. Bob Wachter, doyen de la faculté de médecine de l’UCSF
  7. Professeur Vinay Prasad de l’UCSF
  8. Vikas Sukhatme, doyen de la faculté de médecine d’Emory
  9. Professeur Emory Carlos del Rio
  10. Bert Vogelstein, professeur à John Hopkins (le scientifique le plus cité de l’histoire)
  11. Dr. Sanjay Gupta, expert médical de CNN

Je connais toutes ces personnes. J’espère qu’au moins l’une d’entre elles voudra être du bon côté de l’histoire en dénonçant la corruption du ministère de la Santé.

Mais non.

La seule personne qui a répondu est Bert Vogelstein, qui a dit en gros qu’il travaillait sur quelque chose de gros et qu’il ne voulait pas être désorienté. C’est juste. C’est un homme de classe. C’est périphérique pour lui et je le savais quand je l’ai contacté.

Permettez-moi de clarifier ma position :

Une telle corruption scientifique ne devrait jamais être tolérée et ceux qui refusent de s’exprimer publiquement à ce sujet devraient avoir honte d’eux-mêmes.

J’aurais bien demandé à d’autres personnes, mais de nombreux scientifiques de haut niveau dans le domaine des maladies infectieuses m’ont demandé de ne plus jamais les contacter après que j’ai révélé que les vaccins COVID étaient dangereux, en mai 2021. Ils pensaient que j’étais une menace pour la société à l’époque (et le pensent probablement encore).

Cela ne peut pas se produire aux États-Unis parce que le CDC évite de recueillir des données précises sur la sécurité des vaccins.

Les États-Unis disposent d’un système boiteux de suivi des événements indésirables après une vaccination. Ils ont envisagé de le moderniser il y a plus de 10 ans, mais le nouveau système, ESP:VAERS, était trop précis et montrait que tous les vaccins américains étaient dangereux. Le CDC a donc mis le système en boîte. Ceci est documenté au début du livre de RFK Jr, The Real Anthony Fauci.

Le CDC ne commandera jamais une étude pour étudier avec précision les événements indésirables. Le problème ne se pose donc pas aux États-Unis parce qu’ils évitent de collecter les données en premier lieu.

C’est très corrompu, mais cela ne dérange personne, y compris la communauté médicale traditionnelle. Ils ont tous subi un lavage de cerveau pour croire que la FDA est légitime et que tous les vaccins sont sûrs. Mais apparemment, ils savent que ce n’est pas vrai, car aucun d’entre eux ne veut débattre avec RFK Jr de la sécurité des vaccins (il essaie depuis 20 ans de trouver un expert avec qui débattre (Alan Dershowitz ne compte pas)).

Bien sûr, les vaccins Pfizer américains sont tout aussi dangereux que les vaccins Pfizer israéliens, mais les gouvernements et la presse grand public veillent à ce que personne ne l’apprenne, tout comme vous ne trouverez ces informations que sur Substack et dans d’autres endroits, mais jamais dans la presse grand public.

Même lorsqu’un dénonciateur de la FAA se présente avec des accusations graves et irréfutables, la presse américaine évite de couvrir l’événement :

Aujourd’hui, personne ne défie la FDA. Ils font maintenant des approbations de mise sur le marché sans aucune preuve d’un bénéfice clinique et sans approbation par leur propre comité extérieur capturé. C’est scandaleux, mais les médecins restent silencieux.

La FDA vient d’approuver le rappel combiné après que des tests effectués sur 8 souris ont montré que la protection d’Omicron était sporadique et qu’elle n’a pas empêché l’infection chez une seule souris qui a été confrontée au virus. Rien n’a été dit sur les données montrant un bénéfice en termes d’hospitalisation ou de décès.

Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi ils n’ont pas réalisé l’étude de provocation Omicron sur 200 souris : 100 ayant reçu la série complète de vaccins contre 100 souris n’ayant reçu aucun vaccin, afin de déterminer la mortalité et la morbidité toutes causes confondues. Il s’agirait de données réelles, bien meilleures que celles obtenues sur 8 souris ayant reçu le vaccin, pour la recherche d’anticorps. Mais ils ne l’ont pas fait parce qu’ils savaient que ce serait mauvais.

Au lieu de cela, la communauté médicale et la FDA se contentent d’une étude à un seul bras sur 8 souris qui n’a montré aucun bénéfice clinique du vaccin pour approuver un vaccin qu’ils vont essayer de faire prendre à tout le monde.

C’est vraiment stupéfiant. Cela vous montre clairement à quel point la communauté médicale est brisée. Il devrait y avoir des articles d’opinion dans chaque journal médical sur l’absurdité d’approuver un rappel sans bénéfice clinique chez l’homme ou la souris. Les médecins devraient être scandalisés par cela. Mais ils ne disent rien.

Toutes les souris utilisées dans l’étude sont maintenant mortes (elles ont été tuées dans le cadre de l’étude, ce qui est pratique puisque de cette façon, on ne peut pas suivre leur mortalité).

Sharon Alroy-Preis était-elle dans le coup ?

Il est hautement improbable que le Dr Sharon Alroy-Preis, directrice des services publics du ministère de la santé et conseillère principale pour le COVID auprès du gouvernement israélien, n’ait pas été au courant de tout cela avant la fuite dans la presse.

Comment pouvait-elle ne pas savoir ? Il n’y avait aucun contrôle de sécurité en place avant décembre 2021. Si elle ne le savait pas, elle devrait être immédiatement licenciée pour incompétence. Elle devait donc savoir que des données étaient recueillies et qu’elles étaient analysées. Elle aurait dû être sur les dents en attendant le résultat de la réunion si elle se souciait vraiment de la santé publique. Et comment pouvait-elle ne pas être présente à cette réunion avec les scientifiques ? Qu’est-ce qui pourrait être plus important pour la santé et la sécurité du peuple israélien ? Où était-elle ?

Même si elle n’a manifestement pas assisté à la réunion Zoom parce qu’elle avait des choses plus importantes à faire, elle aurait été informée immédiatement après la réunion par son personnel. C’est le scénario le plus probable à 99,99%.

Mais une fois qu’elle a été annoncée dans la presse, cela a levé tous les doutes.

Si elle n’avait vraiment pas été informée avant l’article du GB News du 20 août, elle aurait immédiatement publié un communiqué de presse indiquant qu’elle n’avait jamais été informée du rapport et qu’il y aurait une enquête. Au lieu de cela, nous n’avons rien entendu. La seule façon dont cela pourrait se produire est qu’elle était dans le coup.

Mon courriel au CDC (Centers for Disease Control) proposant de partager l’information

Je voulais créer un dossier public indiquant que l’information a été offerte à des centaines de personnes qui travaillent au CDC dans le domaine de la sécurité des vaccins. Je prédis que pas une seule personne ne veut voir ces données. Je serais stupéfait si je me trompais.

Voici l’email que j’ai envoyé le 4 septembre 2022 à des centaines de personnes au CDC :

Mon courriel au NIH (National Institutes of Health) proposant de partager l’information

Le Dr Nath a cherché à savoir si les vaccins COVID causent des dommages. Jusqu’à présent, il n’a pas pu établir de lien. Il devrait accueillir ces données à bras ouverts. Ce sont les données qu’il cherche depuis plus d’un an. Mais attention… il va refuser de demander ces données. Qu’est-ce que cela vous dit ?

Et une dernière chose… nous avons maintenant la confirmation de l’effet de mort différée du vaccin ET que les décès sont CAUSÉS par le vaccin.

Il existe une relation dose-dépendante entre le nombre de vaccins COVID administrés et le nombre de décès excédentaires non COVID. Elle est statistiquement significative (p<.001). Voir mon nouvel article mis à jour sur le délai de 5 mois et faites attention à l’excellent travail de John Dee cité dans cet article. Il a utilisé les données du Royaume-Uni uniquement.

Ainsi, les données américaines (le fichier principal des décès de la sécurité sociale que le CDC ne veut pas que nous connaissions), les données européennes et les données britanniques disent toutes la même chose : les vaccins causent un nombre massif de décès.

Résumé et recommandations

Lors de la rédaction de cet article, je me suis entretenu en privé avec le professeur Retsef Levy du MIT et le Dr Yaffa Shir-Raz pour m’assurer que tout était correct.

L’essentiel est là :

  1. Il existe une corruption évidente au sein du ministère israélien de la santé et personne au sein de l’autorité ne demande une enquête.
  2. Plus important encore, l’examen préliminaire des données de sécurité montre clairement que les vaccins sont bien plus dangereux qu’on ne nous l’avait dit, mais aucun gouvernement mondial ne souhaite analyser les données de sécurité d’Israël.
  3. Personne ne dit que ce qui s’est passé en Israël est gravissime. C’est stupéfiant. Personne d’important ne s’exprime !
  4. Personne n’a demandé à voir le rapport du groupe d’experts ou les données sous-jacentes. C’est vraiment stupéfiant.
  5. Le rapport ne représente ici que la partie émergée de l’iceberg puisque seuls cinq types d’événements indésirables ont été analysés.
  6. Ces preuves, combinées aux nouvelles données sur le délai de 5 mois montrant un coefficient de corrélation très élevé (34 %) et une valeur p < 0,001, dressent le portrait d’un vaccin mortel qui devrait être immédiatement arrêté. Nous n’avons même pas besoin de faire référence aux travaux d’autres personnes, comme Yative et Seligmann. Il n’y a pas d’autre moyen d’expliquer ces données. S’il existe un moyen d’expliquer ces données, alors les autorités doivent l’expliquer et ne pas refuser de répondre aux questions des scientifiques et des statisticiens qui ont des opinions opposées.
  7. Conclusion : Sur la base de la corruption du gouvernement, des données de sécurité et de la corrélation entre le vaccin et les décès, le principe de précaution de la médecine exige un arrêt immédiat du programme de vaccination COVID.

Le peuple israélien devrait exiger l’arrêt des vaccins et la démission immédiate de Sharon Alroy-Preis ainsi que de tous les membres de son équipe qui ont participé à la dissimulation. Toutes ces personnes devraient être poursuivies comme des criminels, car c’est ce qu’elles ont fait : elles ont conspiré pour dissimuler des informations sur la sécurité qui auraient pu sauver des vies.

Il est important que l’honnêteté et l’intégrité soient rétablies au sein du ministère de la santé le plus rapidement possible, mais rien ne se passe.

La corruption se poursuivra donc dans le monde entier.

Veuillez diffuser largement cette information. Il est important que cette information soit diffusée. Maintenant.




Les propagandistes de grand chemin en action (crimes et châtiments)

Par Lucien SA Oulahbib

Il y avait bel et bien une ambiguïté pourtant sur l’origine du missile qui a frappé cette maternité dont a parlé Ségolène au dire même de l’influenceuse ukrainienne dont la parole a été immédiatement mise en cause lorsqu’elle l’a indiquée quand elle fut déplacée côté russe… Mais les médias et leurs propagandistes de grand chemin (en particulier un certain Patrick C. et son double Sofia A.) n’en ont cure, ne faisant même pas l’effort de commenter le rapport d’Amnesty International dénonçant l’utilisation d’édifices publics façon Hamas par les forces Azov auxquelles par ailleurs appartiennent les forces de représailles assassinant les supposés traîtres (et leur brassard blanc au bras — on se demande bien pourquoi s’il s’agit d’un « génocide ») par exemple à Butcha…

Mais s’il n’y avait que cela… Les travaux de cette courageuse députée européenne Virginie Joron, et de Pierre de Décoder l’éco montrent bien que tout est faux dans le discours bien plus hygiéniste que sanitaire : cela ne soigne guère, bien au contraire, et certainement pas les formes dites graves qui ne l’auraient pas été si l’on soignait en amont… Mais l’hypnose, le lavage de cerveau, la volonté aussi de se soumettre, le relativisme qui fait hausser les épaules à un directeur d’hôpital lorsque je lui parle de traitements précoces sous protocole Raoult et Perronne, et m’assénant qu’il ne vaut mieux pas prendre l’ascenseur ensemble (d’un immeuble privé), car la maladie est là (!) me lançant alors son titre pour preuve (!) tous ces éléments forgent une croyance magique en des totems inopérants, mais maquillés sous forme moderne en muselières, injections, « distanciations » diverses.

Ne parlons pas des pénuries spéculatives et liées aussi à des pratiques sadiques et cyniques allemandes ayant cherché à ruiner le parc nucléaire français en échange d’une planche à billets généreuse permettant de payer une haute administration onéreuse sans oublier les alliances entre « copains et coquins » que Poniatowski en son temps avait déjà dénoncées sous Giscard.

On ne voit pas pourquoi ce phénomène affairiste criminel se serait arrêté en 1974.

Aujourd’hui cette dérive macabre se double d’une négation nihiliste de grande ampleur qui n’en est qu’à ses débuts puisqu’il s’agit d’art contemporain ou comment se servir d’éléments réels (humains, école, justice, frontières) comme matériaux divers en vue d’édifier l’œuvre de destruction totale, celui du néonazisme se servant du néo-léninisme comme cache-sexe (lui-même en pleine diff-errance).

Pendant ce temps les “résistants”, eux, discutent d’un autre sexe, celui des anges : qui est le plus “pur” le plus ceci ou cela….




À quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme…

[Source : LHK]

Par LHK

Ce qui est appelé vaccin aujourd’hui semble se rapprocher toujours plus d’un outil de bricolage génétique qui permettrait aux dieux de l’enfer du Great Reset de prendre le contrôle de la production et de l’exploitation humaine. Une image qui m’a frappée récemment est la suivante. Elle sort directement des tiroirs de sympathisants de l’UE.

Devant une tour de Babel, flanquée de 11 étoiles inversées, se trouvent des « humains ». À les regarder de plus près, on imagine que ce sont des personnages de Lego. Or, ces gens seraient les « Nouveaux » européens. Autant de transhumains ?

L’eugénisme est une étape importante du transhumanisme. Les concepteurs de cette sordide vision divisent le monde en 2 catégories. D’un côté, vous avez les dieux milliardaires qui aspirent à devenir immortels et de l’autre vous avez les descendants du grand singe selon le non moins sinistre Charles Darwin et son cousin Galton. Deux eugénistes de référence que les grandes universités ont décidé d’ériger en gravant leurs délires dans le marbre.

Alors l’hypothèse de travail forte serait pour nous la suivante : vous avez d’un côté des dieux qui veulent défendre leur pré carré ; et de l’autre une population qui se chiffre en milliards pour laquelle le groupe détenteur (capteur par ruse ou par semi-vérité) des ressources n’a d’autre considération que sa capacité à muter en robots humanoïdes et à les produire en quantité et en qualité pour satisfaire leurs besoins divins.

On peut supposer qu’il est tout à fait normal que l’ultra-minorité ultra-riche cherche à contrôler la population qu’elle considère envahissante avec un nombre trop élevé de bouches à nourrir en comparaison de ses propres besoins.

Le narratif de l’urgence climatique due à l’activité humaine telle que présentée par Greta est pourtant battue en brèche par un nombre important de scientifiques…

https://lilianeheldkhawam.com/2022/08/25/1200-scientifiques-disent-quil-ny-a-pas-durgence-climatique/

Elle essaye de le faire au travers d’au moins 3 étapes démontrables:

1.- Rendre l’humain infertile. Vous pouvez le constater dans ce film révoltant

Voici une vidéo émouvante sur la vaccination contre le tétanos qui a fait perdre à un nombre inconnu de femmes leur capacité de reproduction. Bref, elles souffrent depuis d’infertilité. https://infertilitymovie.org/infertilite-un-programme-diabolique-francais/

Les femmes éthiopiennes sont victimes de manigances contraceptives depuis un bout de temps. Elles sont les cobayes des laboratoires de la haute finance:

https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/03/y-a-t-il-volonte-politique-de-reduction-de-la-population-et-des-libertes/comment-page-1/

L’Inde est aussi un terrain de prédilection pour les développeurs de vaccins. Ici une publication de 1989…

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2665354/

… avec une volonté de contrôler la population jamais très loin:

https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/27/comment-bill-gates-met-des-millions-dindiens-sous-surveillance-video/

Nous rappelons aussi que le vaccin anticovid a été dénoncé, et continue de l’être, en tant que source potentielle d’infertilité par nombre de scientifiques indépendants

https://www.bitchute.com/video/8MoNTpHbGbVg/

Des commentaires qui contrastent sévèrement avec ceux de cette professeure (vidéo ci-dessous) qui a pu affirmer l’innocuité des injections bien avant les résultats des industriels ! Principe de précaution jeté aux orties par les représentants de la faculté !

(Intrigant ce masque porté alors qu’elle est dans une pièce seule face à une caméra)

2.- Réduire la présence de personnes à faible apport productif

Si la question de l’impact du vaccin sur la vie de la population est brûlante…

Et ces chiffres sont largement sous-estimés puisque peu de liens directs sont possibles. Imaginons une personne qui développe une maladie auto-immune violente qui aboutit au décès. On vous dira que c’est la maladie qui a causé le décès, et ne sera pas reporté ici. Prenez un autre exemple une personne de plus de 80 ou 90 ans qui décède subitement après le vaccin, on vous dira que c’est à cause de l’âge et ne figurera pas dans ce genre de relevé…
https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/03/y-a-t-il-volonte-politique-de-reduction-de-la-population-et-des-libertes/comment-page-1/

… elle l’est encore plus sur la population vulnérable. On se souvient de l’augmentation de la mortalité à Monaco qui a suivi la vaccination des personnes « qui en avaient le plus besoin ». Évidemment, le décès de ces personnes n’était pas si inquiétant puisqu’elles n’étaient pas en grande forme.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/03/les-personnes-vulnerables-semblent-penalisees-par-le-vaccin-pourquoi-persister-sont-ils-devenus-des-indesirables/

3.- Mettre en place l’ingénierie de la procréation : faire des bébés transhumains sur mesure

Les pseudo-dieux ont besoin d’un certain quota de serviteurs qui assument les tâches de leur quotidien. Problème, ils ont besoin de certains profils d’individus obéissants, hautement productifs, corvéables à souhait. Mais pas seulement. Ces individus ne vont pas être destinés à accomplir tous les mêmes activités. Par conséquent, il faut qu’ils puissent les « bricoler » en fonction de la finalité de leur « création ».

Et là une entreprise comme Moderna est très fière d’avoir hacké le corps humain.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/03/14/bricolage-de-lhumain-le-vaccin-a-arn-messager-est-une-reecriture-du-code-genetique-selon-le-chef-de-moderna-therapeutics-ted-x/

Or, celui qui hacke est capable de reprogrammer les individus en fonction de son rôle dans l’organisation visée par le Great Reset. Une organisation où la vie sociale et privée n’est pas à l’ordre du jour. L’individu sera connecté exclusivement via le numérique après qu’il ait fusionné avec la machine. On parle de transhumain. La spirale dynamique montre bien que l’homme idéal du Nouveau Monde est pris au milieu d’une myriade d’interactions. Il a perdu au cours de son « évolution » ces relations qui en faisaient un être social. Les ordres auxquels il appartenait ont eux aussi explosé au passage, à savoir l’ordre politique, social, communautaire, ou familial.

Dans ce contexte où le couple lui-même est voué à disparaître, les bébés fabriqués naturellement par des parents très moyens n’intéressent pas. Ils seront autant de bouches inutiles à nourrir. Et dans ces cas, l’infanticide est souhaité derrière des arguments tendancieux.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/03/31/linfanticide-au-coeur-de-leugenisme-de-la-nouvelle-societe/

À quoi sert le vaccin anticovid?

Voici la grande question du jour: à quoi sert le vaccin anti-Covid? À l’heure actuelle, même les grands fans de vaccination se posent des questions sur la finalité de ce dernier. Nombre d’entre eux ne sont plus très enclins à se déplacer pour recevoir leur pseudo booster.

https://twitter.com/JCPEREZCODEX/status/1563534738312564739/photo/1

Même Pfizer fait profil bas. Une honnêteté un peu tardive!

https://nouveau-monde.ca/le-retropedalage-de-pfizer-en-vue-des-proces/

En attendant, la santé des populations semble dégringoler, et pourrait même inquiéter le plus placide des observateurs. La RTS parle du malaise en titrant Les Suisses se sentent en moins bonne santé que pendant la pandémie, mais sans aborder le sujet de la vaccination et de ses conséquences sur la santé publique. Une courageuse dame relaie des informations collectées auprès des secouristes et ambulanciers.

J’espère que le fait de la relayer ne provoquera pas la censure de sa chaîne… J’espère qu’elle a un back up ailleurs.

Dans ce lot de nouvelles peu réjouissantes, il y des bonnes. Dverses études sont publiées et montrent par a+b à quel point les « études » publiées en 2020 par les industriels étaient fausses. De plus, on nous confirme que ce vaccin est une source potentielle d’inflammation du système immunitaire et de maladies auto-immunes. Nous y reviendrons.

Bref, la science avance, mais APRÈS avoir envoyé au casse-pipe des centaines de millions d’individus. Un crime contre l’humanité qui sera très probablement sanctionné dans le cadre d’une opération de séduction que ne manqueront pas de promouvoir les nouveaux dirigeants.

LHK




Les décisions du procès de Nuremberg sont d’une brûlante actualité

Par Gérard Delépine

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les alliés, pour juger les criminels nazis, ont instauré une juridiction spéciale, le tribunal de Nuremberg, qui a défini le « crime contre l’humanité », posé les bases de l’éthique médicale moderne et les a utilisées pour la première fois en droit international. La ville de Nuremberg avait été symboliquement choisie, car elle représentait la capitale idéologique du troisième Reich et le lieu préféré de la glorification du nazisme.

Ce tribunal a jugé séparément les politiques et les médecins.

La nécessité d’un code international sur les expérimentations humaines a fait l’objet de deux réunions préparatoires dans les mois qui ont précédé l’ouverture du procès (9 décembre 1946) à Francfort (mai 1946) et à l’Institut Pasteur de Paris (31 juillet et 1er août 1946).

Le code est finalement élaboré par les deux experts du tribunal, surtout Leo Alexander (en) (1905-1985), et les quatre juges, surtout Harold Sebring (en) (1898-1968). Inscrit dans les attendus du jugement selon la common law, il comporte dix articles sur la légalité de l’expérimentation humaine ;

Ce code s’inspire de quatre sources historiques :

C’est un code légal JURIDIQUE de droits humains et pas seulement un code de déontologie médicale destinée uniquement à des médecins.

Le Procès des médecins à Nuremberg(([1] Trials of War Criminals Before the Nürnberg Military Tribunals Under Control Council Law No. 10. October 1946—April 1949, Vol. II, Chap. XII Judgment, pp. 181-184. The Library of Congress))(([2] Le procès s’est déroulé dans le cadre de l’Accord de Londres du 8 août 1945 instaurant une structure juridique, le Tribunal Militaire International qui juge les crimes « non localisables » (celui des hauts dignitaires nazis ou procès de Nuremberg). Cet accord délègue compétence et pouvoir aux quatre puissances des zones d’occupation pour les autres crimes (article 10 de l’Accord de Londres) 20, qui font l’objet d’autres procès dont ceux tenus à Nuremberg pour des professions ou des corps particuliers.
Code de Nuremberg — Wikipédia (wikipedia.org) ))

Les 3 membres du tribunal des médecins étaient qualifiés par leurs antécédents professionnels : Walter Beals (président de la Cour Suprême de l’État de Washington), Harold Sebring (juge à la Cour Suprême de Floride), Johnson Crawford (ancien juge d’un tribunal de district d’Oklahoma). L’accusation fut dirigée par le procureur James Mac Harney, assisté de deux conseils, Alexandre Hardy et Arnost Hochwald. Le long travail de documentation et d’interrogatoires requis pour la préparation du procès des médecins occupa plus de cent juristes. Chaque accusé fut représenté par un ou plusieurs avocats de son choix. Ainsi, il y eut 19 avocats de la défense, dont 13 avaient été membres du parti national-socialiste, et un également de la SS.

Le procès des 23 médecins a débuté le 21 novembre 1946 par la signification des actes d’accusation, puis se déroula du 9 décembre 1946 au 19 juillet 1947 dans la grande salle d’audience du palais de Justice de Nuremberg.

Les accusés et les recherches médicales inhumaines

En poste dans les camps de concentration du Reich, les prévenus avaient pratiqué sur des civils ou des militaires, et sans le consentement de ceux-ci, des expériences au cours desquelles ils avaient commis « meurtres, brutalités, cruautés, tortures, atrocités et autres actes inhumains d’une « cruauté indicible », d’après le réquisitoire du procureur général Telford Taylor.

Les recherches initiées par l’armée allemande visaient entre autres à mettre au point et à tester des médicaments et des méthodes de traitement de blessures et de maladies que les soldats allemands pouvaient subir ou contracter au combat.

La plupart avaient été planifiées lors de conférences réunissant de nombreux responsables des services de santé(([3] https://www.cairn.info/revue-revue-d-histoire-de-la-shoah1-1997-2-page-10.htm)). Si l’on se réfère aux pratiques scientifiques de l’époque, la principale différence était l’utilisation d’êtres humains à la place d’animaux. C’était une différence insignifiante pour les médecins nazis, puisque le cobaye était déshumanisé à leurs yeux par sa condition de détenu, son origine ou son statut social.

Beaucoup de ces essais, réalisés dans des bâtiments construits à cet effet, concernaient les maladies infectieuses et leurs traitements et en particulier les vaccins : expériences sur le paludisme conduites à Dachau de février 1942 à avril 1945, essai sur le typhus, réalisé à Buchenwald et à Natzwzeiler de décembre 1941 à février 1945, recherches sur la fièvre jaune, la variole, la typhoïde, le choléra et la diphtérie effectuées à Natzweiler, sur l’hépatite virale à Sachsenhausen et Natzweiler…

Comme ces essais étaient réalisés pour bénéficier aux soldats allemands, les victimes étaient habituellement sélectionnées pour être proches du « sang allemand » selon les critères raciaux nazis : droits communs, « asociaux » (homosexuels, opposants politiques tziganes), prisonniers de guerre. Seuls les expériences de stérilisations ou les assassinats pour récupérer les squelettes concernaient essentiellement les juifs.

Les arguments de la défense

La défense ne nia pas la réalité des expériences décrites dans l’acte d’accusation, mais prétendit qu’elles n’étaient pas si dangereuses que l’accusation l’affirmait, qu’elles étaient justifiées par la nécessité de trouver en urgence des solutions aux graves maladies étudiées et qu’elles n’étaient guère différentes d’essais en cours dans d’autres pays, dont les États-Unis.

Les hommes qui commirent ces crimes n’étaient pas des savants fous ou des SS fanatiques, mais les représentants d’une médecine allemande pervertie par l’idéologie nazie illustrant la banalité du mal décrite par Hannah Arendt(([4]Tous ces gens incriminés pour des crimes d’une gravité exemplaire étaient d’une banalité si confondante, que cela rendait la question du génocide encore plus terrifiante.
http://www.institut-ethique-contemporaine.org/article%2520ethique_arendt.htm)) (à l’occasion du procès Eichmann en 1961 et 62).

Durant la guerre, 70 % des médecins allemands étaient membres du parti nazi (et déjà de nombreux, dès les années 30). À partir de 1933, l’éthique médicale « s’était inversée, l’individu n’était rien. Le peuple était tout ». Ils croyaient comme une majorité des Allemands de l’époque les théories de l’hygiène raciale et ont saisi l’opportunité de les mettre en pratique.

La défense soutint aussi que ses clients n’étaient pas responsables puisqu’ils avaient obéi à des ordres auxquels ils ne pouvaient pas se soustraire et opéré dans les limites admises de l’expérimentation de l’époque.

Le jugement fut rendu les 20 et 21 août 1947 et le verdict prononcé le 21 août. Des 23 accusés, 15 furent jugés coupables et condamnés : 7 à la pendaison, 5 à l’emprisonnement à vie et 3 à des peines de prison.

La justice ne frappa que des exécutants, tandis que beaucoup d’autres médecins qui avaient participé aux essais incriminés parvinrent à préserver leur position sociale et leur influence. Car, tandis que le gouvernement militaire de la zone américaine d’occupation préparait la tenue d’autres procès contre des responsables nazis, d’autres organes de l’armée et du gouvernement américains récupéraient près de 1 500 scientifiques allemands issus du complexe militaro-industriel de l’Allemagne nazie dans le cadre de l’opération Paperclip(([5] Linda Hunt : L’affaire Paperclip — La Récupération des Scientifiques Nazis par les Américains, 1945-1990)) afin de les recruter et récupérer les armes secrètes du Troisième Reich pour lutter contre l’URSS.

Définir l’éthique des expérimentations sur l’homme

Le procès de Nuremberg ne jugea pas seulement le nazisme et les médecins nazis, mais aussi les concepts qui inspirent l’art d’être médecin : la compassion devant la souffrance, la bonne utilisation des connaissances reçues, le respect de l’être humain, de sa pensée, de son corps, de sa santé et de sa vie.

Ce procès tranche l’éternel dilemme de la priorité de la science et de la nécessité médicale sur le respect de l’éthique. Les nazis prétextant l’urgence de la guerre choisirent de tout faire pour tenter de protéger le soldat allemand aux dépens du respect des droits de l’être humain.

Ce procès permit de rappeler les principes élémentaires qui régissent les rapports entre les hommes dans le monde démocratique, les droits fondamentaux qui avaient été gravement violés par les accusés.

Il ne s’agissait pas de discuter l’utilité éventuelle des expériences réalisées(([6] Les responsables américains de Paperclip se sont tout particulièrement intéressés aux expériences de l’Armée de l’Air allemande sur les hautes altitudes, le froid et l’eau de mer.)), mais de constater que des médecins qui ont juré d’apaiser la souffrance de leurs semblables les ont fait souffrir et ont entraîné la mort de beaucoup d’entre eux (plus de 7000).

Constatant que la soumission à l’autorité et au mirage de la science pouvait transformer en bourreau une personne jusqu’alors censée et douée de compassion, les juges estimèrent qu’il fallait fournir à tous les médecins un système de protection éthique solide et indiscutable afin de leur permettre de résister aux pressions éventuelles du pouvoir. Il était nécessaire de fixer des limites, et tout particulièrement celles de l’expérimentation sur l’Homme.

C’est pour ces raisons que les juges ont élaboré le Code de Nuremberg, ensemble des principes qui constituent les bases de la bioéthique moderne et de ce qui est tolérable en matière d’expérimentation sur l’homme.

Les 10 principes qui forment le code de Nuremberg

Tribunal militaire américain, Nuremberg, 1947(([7] Nicole Delepine — Le code de Nuremberg. 1947
Département d’Histoire et de Philosophie des sciences de la vie et de la Santé (D.H.V.S.). Conservation du Patrimoine et des Musées — 1947
Le code de Nuremberg. 1947))

1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir, qu’elle doit être laissée libre de décider sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contrainte ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision. Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus et les conséquences pour sa santé ou sa personne qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.

L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.

2. L’expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens ; elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.

3. Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions à l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus, l’exécution de l’expérience.

4. L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et tout dommage physique ou mental non nécessaire.

5. L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu’elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des cas où les médecins qui effectuent les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.

6. Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.

7. On doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité ou la mort.

8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent.

9. Le sujet humain doit être libre, pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience s’il estime avoir atteint le seuil de résistance mentale ou physique au-delà duquel il ne peut aller.

10. Le scientifique chargé de l’expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment s’il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.

Ces dix principes réunis sous le nom de code de Nuremberg constituent la référence majeure des textes ultérieurs — éthiques et juridiques — en matière d’expérimentation médicale, comme la déclaration d’Helsinki de l’Association médicale Mondiale(([8] https://www.wma.net/fr/ce-que-nous-faisons/ethique/declaration-dhelsinki/)). Ils ont été repris par la convention d’Oviedo(([9] https://www.coe.int/en/web/bioethics/oviedo-convention)), seul instrument international juridiquement contraignant sur la protection des droits de l’homme dans le domaine biomédical, que la France a signée et s’est engagé à respecter et qu’elle a transposée dans son droit national.(([10] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000026151968/))

Le code de Nuremberg visait à refonder le monde sur des valeurs opposées à celles qui ont conduit à la construction des États totalitaires. Esprit qui a présidé également à la fondation de l’ONU et à l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme le 10 décembre 1948 par l’Assemblée générale des Nations Unies.

Il représente un des piliers de la démocratie. Par ce seul code, Walter Beals, Harold Sebringet et J Johnson Crawford sont déjà rentrés dans l’histoire.(([11] https://guyboulianne.com/2019/09/11/le-code-de-nuremberg-et-le-consentement-eclaire-comme-prealable-absolu/))

Les violations du code de Nuremberg à l’occasion du covid

Les prétendus vaccins anti-covid étaient (et sont toujours expérimentaux), car leurs essais phase 3 ne sont toujours pas terminés (ils le seront peut-être en 2023).

Toutes les stratégies sanitaires des gouvernements occidentaux visaient à obliger la population à se faire injecter ces traitements expérimentaux.

Les violations du premier principe du code (consentement libre et éclairé) sont multiples et majeures 

Fraude sur la nature réelle des produits injectés qui ne sont pas des vaccins, car ils ne contiennent ni antigène ni anatoxine, mais des médicaments préventifs à base d’ARN comme l’a d’ailleurs récemment reconnu le professeur Delfraissy.(([12] F Delfraissy « le vaccin est un peu un médicament. France info janvier 2022 https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html))

Utilisation permanente de supercherie, de duperie sur l’efficacité des injections sur la prévention de la maladie (ils prétendaient 97 % !), de la transmission (ils affirmaient plus de 90 % !)(([13] Damien Mascret sur le plateau de France Info le vendredi 26 février 2021 prétendait. Les infections sont en effet réduites de 92 %. « Aujourd’hui, on en est à peu près sûr, pour plus de 90 % des cas, [une personne] ne transmettra pas, elle ne s’infectera pas
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-pfizer-protege-contre-la-transmission-du-virus_4312241.html)), et sur la protection contre les formes graves alors que depuis la vaccination la mortalité n’a pas diminué, mais au contraire fortement augmenté.

Utilisation de contraintes majeures contre certains professionnels (soignants, pompiers, ambulanciers, militaires, personnels du transport aérien, sportifs) ont été exclus de leur métier s’ils refusaient le traitement expérimental alors que les pseudo vaccins n’empêchent nullement les transmissions.

Contrainte et coercition largement répandues contre toute la population avec la création des pass sanitaires, puis vaccinaux pourtant totalement inefficace contre la maladie

Mensonge la durée des traitements que les gouvernants veulent sans cesse prolonger (une dose, puis deux, puis trois, puis quatre puis tous les six mois(([14] https://www.dailymail.co.uk/news/article-10264927/Britain-buys-114m-extra-vaccine-doses-battle-Covid-19.html))…)

Négation des risques encourus et les conséquences possibles pour sa santé même chez les femmes enceintes(([15] https://www.allodocteurs.fr/covid-les-vaccins-a-arn-messager-sans-danger-pendant-la-grossesse-33204.html))(([16] Covid-19 : les vaccins sont « sans danger » pour les femmes enceintes, selon cette vaste étude. Selon l’ANSM
https://www.huffingtonpost.fr/science/article/covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-les-femmes-enceintes-selon-cette-vaste-etude_206523.html)), même chez les allergiques(([17] https://www.santemagazine.fr/sante/maladies/allergies/allergie-peut-on-se-vacciner-sans-risque-contre-la-covid-19-895268)) alors que les injections anticovid sont suivies du plus grand nombre de complications recensées par le VAERS américain et Eudravigilance depuis leur création, que l’incidence des réactions anaphylactiques provoquées par les deux vaccins anti-covid est supérieure à celle qui est observée pour la plupart des autres vaccins (de l’ordre de 1,31 par million de doses)(([18] M.M. McNeil, E.S. Weintraub et coll. Risk of anaphylaxis after vaccination in children and adults. J Allergy Clin Immunol. 2016 Mar; 137(3): 868–878. doi: 10.1016/j.jaci.2015.07.048.)) et que de nombreux décès par réaction allergique ont été signalés.

Rappelons enfin que le code de Nuremberg stipule textuellement que l’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent au médecin qui travaille à cette campagne d’injection expérimentale.

Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à ce professionnel qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivi. Les vaccinateurs ont gravement contrevenu à leur obligation et encourent de ce fait des risques pénaux qu’ils sous-estiment largement.

Les violations majeures du code de Nuremberg qu’ont réalisées certains gouvernants pour imposer des traitements expérimentaux manifestement inefficaces ont fait courir des risques inutiles aux populations manipulées par une propagande totalitaire souvent élaborée par McKinsey.

Faisons respecter les fondements éthiques et juridiques qui définissent nos démocraties. Il faut juger et condamner ces apprentis sorciers dont les agissements n’ont respecté le code de Nuremberg ni nos droits fondamentaux en imposant une dictature prétendument sanitaire.





Se tenir debout face à la perversité

[Source : Jean-Dominique Michel]

Par Jean-Dominique Michel

J’offre une Master Class gratuite sur mon site jdmichel.com (renseignements et inscriptions :
https://www.jdmichel.com/master-class-free).
Elle comprends désormais huit modules consacrés aux thèmes suivants :

  1. Principes de la résilience et de la salutogenèse
  2. Déjouer le business de la peur
  3. Transformer le stress et la colère en énergie vitale
  4. Vivre pleinement
  5. Faire face à la dérive totalitaire
  6. Agir dès maintenant
  7. Comment prendre soin de notre santé ?
  8. Se tenir debout face à la perversité



Appel urgent : des milliers d’oiseaux sont-ils morts à cause des ondes 4G/5G ?

Les défenseurs des oiseaux ont vécu un scénario apocalyptique durant l’été 2022 : des milliers d’oiseaux sont morts sur les plages, notamment aux Pays-Bas et en France. Les médias accusent uniquement la grippe aviaire. Ce documentaire enquête cependant sur un tout autre soupçon et se termine par un appel urgent !

Autres émissions sur ce thème :

Arbres et abeilles morts à cause de la 5G
https://www.kla.tv/15443

Appel urgent à se réveiller : la 5G est un danger pour le corps et la vie !
https://www.kla.tv/13859

Interview téléphonique avec Barrie Trower, spécialiste des ondes millimétriques. Partie 1 : Destruction de l’homme, des animaux et de la nature par les rayonnements 5G
https://www.kla.tv/14399

[Voir aussi :
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »]

Transcription

Plus de 2,7 millions de téléspectateurs ont déjà vu notre appel urgent à se réveiller « la 5G est un danger pour le corps et la vie ! » ! Dans cet appel à se réveiller, on apprend notamment que plusieurs centaines d’oiseaux pourraient avoir trouvé la mort suite à un essai de la 5G à La Haye. Des articles de presse récents, parus cet été, sur la mort mystérieuse de milliers de sternes, font à nouveau réagir :

Sur l’île néerlandaise de Texel, par exemple, selon l’association ornithologique Jordsand, une colonie de sternes caugek, comptant environ 4 000 couples nicheurs, a été presque entièrement anéantie.

Les protecteurs des oiseaux ont assisté à un scénario apocalyptique : des oiseaux morts et agonisants gisaient partout. Plus de 3 500 oiseaux morts ont déjà été ramassés sur l’île de Texel pendant les mois d’été, et beaucoup d’autres dériveraient en mer sans jamais être retrouvés.

Dans les rapports publiés par les médias, la mort des oiseaux est toujours justifiée par la présumée flambée du virus H5N1 de la grippe aviaire.

Selon le site néerlandais antennekaart.nl, qui documente de manière très transparente la mise en place ou la modification des antennes de téléphonie mobile, une augmentation massive de l’exposition aux ondes électromagnétiques a été constatée fin mai 2022 dans la réserve du Texel, près de la localité de De Petten. C’est précisément là que nichaient la plupart des sternes concernées. Six nouvelles antennes de Vodafone et douze de l’opérateur KPN ont été mises en service près de De Petten. Le nombre de fréquences émises est passé rapidement de 5 à 11.

Peu après, le drame des sternes caugek, menacées d’extinction, a commencé. De plus en plus d’oiseaux ont été retrouvés morts.

Les nouvelles fréquences, avec la nette augmentation de l’exposition aux ondes qu’elles entraînent, ont-elles porté le coup mortel aux oiseaux ?

Une « tragédie aviaire » similaire s’est produite cet été dans la réserve naturelle néerlandaise de Waterdunen, située à l’autre bout des Pays-Bas. Là aussi, d’innombrables sternes ont été retrouvées mortes.
Comme Texel, Waterdunen se trouve sur une route maritime très fréquentée, à l’entrée d’un port très actif. La téléphonie mobile y est très utilisée pour la navigation.

Selon antennekaart.nl, dans un rayon d’environ 12,5 km, le nombre incroyable d’environ 300 antennes 4G est dirigé vers Waterdunen – une ZONE DE PROTECTION DE LA NATURE ! Entre avril et juin de cette année, environ 50 de ces antennes ont été rajoutées aux mâts de téléphonie mobile. Il en résulte une augmentation dramatique de l’exposition aux ondes pour les oiseaux de Waterdunen, qui ont également été exposés à de nombreuses nouvelles fréquences.

Cependant, dans la réserve naturelle de Yerseke Moer, située à seulement 30 km de Waterdunen, aucun oiseau mort n’a été trouvé. La colonie d’hirondelles y a prospéré de manière parfaite ! Cette réserve isolée ne se trouve pas à proximité d’un grand port ni d’une voie navigable. Les données d’antennekaart.nl ne permettent pas non plus d’y détecter une augmentation significative de l’exposition aux ondes !

C’est précisément à ce point que la « théorie de la grippe aviaire » comme cause unique de la mort cruelle des oiseaux s’effondre comme un château de cartes. Car d’une part, il devrait y avoir eu une transmission d’une extrémité des Pays-Bas (Texel) à l’autre (Waterdunen), et d’autre part, la localité de Yerseke Moer, située à seulement 30 km de Waterdunen, n’est pas du tout touchée. Cela n’a aucun sens !

En outre, la mort de milliers de sternes a également été rapportée en France. L’auteur américain et critique de la téléphonie mobile Arthur Firstenberg fait remarquer que là aussi, des dizaines de nouvelles antennes 4G et 5G avaient été mises en service peu de temps auparavant. Malgré cela, en France aussi, les médias ont nommé la grippe aviaire comme seule cause de la mort. Ce prétendu virus ne servirait-il que de bouc émissaire pour détourner l’attention d’une toute autre cause ?

Lors de la mort des oiseaux à La Haye, dont nous avons parlé dans notre premier appel au réveil, le lobby de la téléphonie mobile pouvait encore nier qu’un test 5G avait eu lieu. Grâce à la documentation détaillée d’antennekaart.nl, il est désormais possible d’établir clairement, pour la première fois, un lien temporel entre la mise en service de nouvelles antennes et la mort de milliers d’oiseaux.

Pour clarifier la situation, une question essentielle doit inévitablement être posée :

Les opérateurs de téléphonie mobile sont-ils responsables de la mort de milliers d’oiseaux ?

Trois raisons fondées confirment que ce n’est pas du tout une hypothèse absurde :

  1. les éleveurs de pigeons voyageurs témoignent que les pigeons voyageurs peuvent perdre leur orientation à cause de la téléphonie mobile !
  2. après un examen approfondi de 919 études scientifiques, le ministère indien de l’environnement confirme que les mâts de téléphonie mobile perturbent les systèmes biologiques des oiseaux !
  3. Le professeur Peter Semm a effectué des recherches sur les pinsons zèbres pour le compte de Telekom. Il a découvert que leurs cellules nerveuses réagissaient au rayonnement de la téléphonie mobile. Il n’a pas été autorisé à publier ses résultats, car la Deutsche Telekom craignait un effondrement de ses affaires.

La Deutsche Telekom sait donc, grâce à ses propres expériences, que la téléphonie mobile a une influence sur la vie des oiseaux. Elle le nie toutefois en public.

Pourquoi la téléphonie mobile n’est-elle pourtant même pas mentionnée dans les rapports publics comme cause possible de la mortalité dramatique des oiseaux ?

Le dicton populaire dit : « Qui paie les violons choisit la musique ». Nos médias de masse n’agissent-ils pas exactement selon cette devise ? Ils sont en effet cofinancés pour une part non négligeable par le lobby de la téléphonie mobile. Est-ce pour cette raison que le lien éventuel avec la téléphonie mobile est tout simplement passé sous silence ?

Chers téléspectateurs, contrairement à ce qu’affirment les médias et le lobby de la téléphonie mobile, les oiseaux sont-ils morts à cause de la 4G ou de la 5G ou non ? Cette question doit être examinée immédiatement afin de mettre fin à la mort des oiseaux.

Comme les médias de masse n’évoquent pas le lien avec la mort des oiseaux, seule votre aide peut, comme d’habitude, provoquer un tollé parmi la population.

Aidez-nous donc à répandre ces informations cruciales comme une traînée de poudre. Soutenez ce cri d’alarme en transmettant MAINTENANT cette vidéo à un maximum de personnes de votre entourage. Pour ce faire, nous insérons le lien court vers cette émission.

de kw./sb.

Sources / Liens :

Berichte über den Tod von Seeschwalben

Brieftauben

Vögel können durch Mobilfunk gestört werden
The Times of India, vom 12.10.2011

Professor Peter Semm




Malcolm Roberts, sénateur australien, à propos de la pandémie Covid-19 : « Tout a été planifié. »

[Source : Ma France]



[Voir aussi :
L’enquête australienne Covid 2.0 pour un plus gros aperçu de l’enquête réalisée par une équipe d’Australiens autour du sénateur Malcolm Roberts
et Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales pour un large aperçu des enquêtes de l’équipe internationale d’avocats autour de Reiner Fuellmich, avec des heures de vidéo et quelques transcriptions écrites.]


Historique partiel d’événements probablement liés à la planification de la pandémie

Par Christophe M.

  • Le 31 janvier 2000, lors de la réunion annuelle du Forum économique mondiale (WEF), a été lancée l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, GAVI (Global Alliance for Vaccines and Immunization ). Cette organisation «  aide à vacciner près de la moitié des enfants du monde contre les maladies infectieuses mortelles et invalidantes ».
    https://www.gavi.org/fr
  • En 2004, création du Club Valdaï qui  est un forum international  promouvant les intérêts  de la Russie dans le monde. « More than 1,000 representatives of the international scholarly community from 85 countries have taken part in the Club’s activities. They include (…)  think tanks, including Harvard, Columbia,(…) Johns Hopkins University. 
    https://valdaiclub.com/about/valdai/
  • En mai 2016, l’organisation ID2020 est inaugurée,  sous l’égide de l’ONU.  Elle a pour objectif de promouvoir la digital identity right,  pour les plus pauvres du monde,  « 1.1 billion people ». Dans cette rubrique du site, il est précisé que l’identitification numérique est déjà une pratique courante  « From e-passports to digital wallets, online banking to social media accounts,…», mais peu fiable «  Most of the current tools are archaic, insecure, lack appropriate privacy protections and commoditize our data ». Sous l’impulsion de ID2020, ce problème va être résolu. « ID2020 is leading the charge.», sans doute par l’exploitation d’une technologie plus efficace.
    https://id2020.org/digital-identity#approach,
  • Le 15 mai 2018, s’est déroulé un autre exercice de simulation, sous la forme d’un jeu de rôle, organisé par le John Hopkins Center For Health Security.  Participent à cet exercice, baptisé du nom du  virus « Cladex »,  des personnalités américaines, ayant occupés des postes de haut rang, et qui jouent chacun le rôle d’un dirigeant du gouvernement américain. Le scénario commence par l’irruption d’une épidémie à deux endroits  « serious respiratory disease in Germany and Venezuela » pour se propager ensuite à travers le monde entier.  Cette épidémie s’avère être d’origine criminelle,  car revendiquée par un groupe extrémiste  « a fringe group » déterminé à réduire la population humaine  « bent on reducing the human population ». L’exercice de simulation a permis d’illustrer comment les autorités politiques du monde entier « the United States and the world » peuvent coordonner leurs actions et gérer une situation de crise sanitaire de grande ampleur. 
    https://www.centerforhealthsecurity.org/news/center-news/2018/2018-05-15_clade-x-policy-recommendations.html
    https://www.centerforhealthsecurity.org/
  • En 2019, il est noté sur Wikipédia qu’ « …ID2020 a lancé un nouveau programme d’identité numérique en collaboration avec le gouvernement du Bangladesh et l’alliance vaccinale Gavi ».  Il existerait donc une relation entre l’identité numérique et la vaccination. 
    https://fr.wikipedia.org/wiki/ID2020
  • Le 19 juin 2019,  s’est déroulé un exercice en ligne, dénommé Cyber Polygone,  portant sur la cybersécurité, et impliquant des sociétés russes et occidentales, provenant de 24 pays. «  The fight against cybercrime cannot be waged alone. The sooner the public and private sectors learn to cooperate, the faster we can build a safe and secure cyberspace. » 
    https://2019.cyberpolygon.com/
  • En septembre 2019, selon Le Monde, la Fondation Gates a lancé des enquêtes d’opinions au Malawi, au Kenya et Bangladesh, pour savoir si les populations étaient « prêtes » à se faire implanter des carnets   de vaccinations, sous la forme de  « ….minuscules boites quantiques »,  « les cartes de vaccination en papier [ étant ] erronées ou incomplètes ».  Ce carnet vaccinal serait implanté par « un patch de microaiguilles »  qui, une fois dissout sous la peau, laisserait un ensemble de points réagissant à un spectre lumineux proche de l’infrarouge. Un « android modifié »  pointé dessus, signalerait  si le patient a été vacciné. « La limite du concept est que la technique ne sera utile pour identifier les enfants non-vaccinés que si elle devient l’outil exclusif ».
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/12/19/le-kenya-et-le-malawi-zones-test-pour-un-carnet-de-vaccination-injecte-sous-la-peau_6023461_3212.html
  • Le 18 octobre 2019,  Center For Health Security  organise en collaboration avec la Fondation Gates et le WEF un troisième exercice de simulation d’épidémie. Depuis plusieurs années, près de 200 épidémies apparaissent chaque année, mettant en péril le système économique globalisé. Une unième épidémie « Event 201 » pourrait être fatale.  Aussi des acteurs privées et publics se sont-ils réunis  pour face à ce danger. Le scénario commence par la transmission d’un coronavirus de la chauve souris au porc,  au Brésil …« a novel zoonotic coronavirus transmitted from bats to pigs ».
    https://www.centerforhealthsecurity.org/event201
    https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/scenario.html
    https://www.gatesfoundation.org/  
  • Diffusé le 3 juin 2020, le clip suivant  met en scène, de façon à la fois elliptique et métaphorique, un évènement grandiose survenant à l’échelle mondiale Le chaos ( sociale, climatique, pandémique…)  qui menace l’humanité s’accroit.  Et tout d’un coup, par un simple clic – touche reset –  sur l’ordinateur   » on rembobine la pellicule « ,  on revient en arrière pour éviter la catastrophe.  Symboliquement, le numérique apparait alors comme le recours ultime, sauvant le monde entier du déluge. Sous quelle forme précisément cet événement, le Great Reset, pourrait-il  avoir lieu ? 
    https://youtu.be/8rAiTDQ-NVY
  • 9 juillet 2020, deuxième session de l’exercice de cybersécurité, dont le thème central est une  « pandémie numérique ».  Interventions initiales « Welcome Remarks » du Premier ministre russe, Mikhail Mishustin, et du fondateur du WEF, Klaus Schwab. 29 pays prennent part à cet évènement. 
    https://2020.cyberpolygon.com/agenda/
  • (24 février 2022, début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.)



Suicide des professionnels de santé : continuerons-nous a faire la sourde oreille ?

Par Nicole Delépine

Suicide des professionnels de santé : face aux chiffres « démesurés », un film choc de l’association SPS pour que « ça bouge vraiment » | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr) sept 2022

Mes soignants sont tracassés et fracassés. Par une sélection ubuesque en 1re année, par un Externat où ils font plus de travail subalterne que de la vraie formation, par un internat trop tardif et pas assez encadré. Épuisés, le suicide ou l’abandon de ces métiers en sont la conséquence. « Les Blouses Blanches sont en colère noire »(([1] Lire le livre du chirurgien B Kron « les blouses blanches sont en colère noire », éditions Max Milo : « La Covid a mis au grand jour la ruine de notre système de santé. De numéro 1 mondial en 1970, il est tombé au 24e rang des pays de l’OCDE ! Pour la première fois depuis la Guerre, l’espérance de vie recule en France. Dans les hôpitaux, 30 000 patients décèdent d’accidents médicaux chaque année. Dans cet essai, Bernard Kron analyse les causes de cet échec. Il décortique les principales réformes (en particulier la diminution drastique du nombre de médecins et d’infirmières) qui ont mené à cette catastrophe. Pour sortir de cette impasse, l’auteur milite pour redonner le pouvoir aux médecins et plus largement aux soignants, qui sont en colère contre leur administration et les agences de santé ».))

Tel est le commentaire d’un médecin sur l’article du quotidien du médecin, journal qui semble s’étonner qu’après plus de trente ans de destruction de la vraie médecine et de la perte de sens de nos métiers au bénéfice du management bureaucratique à visée financière, les médecins et soignants disparaissent du paysage, par démission, par changement de voie ou malheureusement trop souvent par le suicide. (Bernard k • Médecin ou Interne • Le 30/08/2022 à 19:06)

Mais ce sujet brûlant n’est pas nouveau et est occulté depuis plus d’une trentaine d’années comme celui des agriculteurs et des policiers. Nous avions en 2013 appelé l’attention des citoyens(([2] https://atlantico.fr/article/decryptage/suicide-des-medecins–silence-mediatique-sur-un-massacre-programme-du-systeme-de-sante-nicole-delepine août 2013)) trop indifférents au sort réel du système de santé malgré de nombreux ouvrages d’alerte dès les années 2000 comme celui de B Debré et P Even dans « Avertissement aux malades, aux médecins et aux élus » en novembre 2002(([3] Éditions le Cherche Midi « Aux malades, ce livre raconte les risques et les maladies d’aujourd’hui et la vie des médecins et des infirmières qui les soignent. C’est alors un message de vérité et d’espoir. Aux médecins, il tente de faire comprendre la confusion incroyable d’un système qui les paralyse et pourquoi il ne fonctionne pas comme il devrait. C’est ici une invitation à la mobilisation et l’action. Aux élus, il dénonce la politique centralisée, menée depuis 25 ans, purement administrative et comptable, à courte vue, sans lucidité ni courage, en mêlant gaspillages insensés et restrictions injustifiées.

À tous, il rappelle que la médecine doit être sobre, humaine, fondée sur le cœur, le savoir, l’expérience et la raison et centrée sur chaque malade particulier et non pas une démarche technologique d’ingénieurs centrée sur les maladies en général ».)) toujours d’actualité.

Dans l’article d’Atlantico de 2013, nous insistions sur les raisons de la chute vertigineuse de notre système de santé dans un silence médiatique complet. Quelques extraits pour prouver que le sujet n’est pas nouveau et occulté par les médias et les citoyens sauf le jour où ils deviennent malades (ou un de leurs proches) et tombent des nues.

MISE À MORT : suicide des médecins : silence médiatique sur un massacre programmé du système de santé

« Alors que le système hospitalier français, et plus largement le système de la santé, connaît une réforme profonde, le nombre de suicides parmi les professionnels du secteur médical est en pleine explosion. La faute à un harcèlement bureaucratique et à un management d’entreprise qui a déjà fait des ravages, notamment chez France Télécom. »

Le harcèlement quotidien des personnels de santé s’est amplifié considérablement depuis le covid

Chaque jour, comme la suspension des soignants refusant l’injection toxique et inutile l’a démontré et le maintien scandaleux de cette obligation alors que la multiplication mondiale des effets secondaires (dont trop de décès) et l’inefficacité complète sur la transmission du virus a été démontrée et avouée même par le Pr Delfraissy qui dirigeait le conseil scientifique. Cette exclusion des soignants vaccino prudents n’a qu’un but : les empêcher de parler !

« Alertes répétées et à chaque fois silence ! Et le harcèlement des autorités contre le monde médical continue avec chaque jour son flot de mesures vexatoires, diffamatoires et dégradantes pour désespérer un peu plus l’ensemble de la profession.

La gravité du harcèlement subi par les médecins libéraux n’a d’égal que le harcèlement des personnels hospitaliers par les restructurations conçues en dehors de tout consensus et sans réflexions a priori sur conséquences prévisibles avec les personnels concernés et compétents. Les réunions dites de “concertation” ne sont que des simulacres de dialogue et ne consistent qu’à annoncer au personnel désespéré les nouvelles suppressions de postes, de lits et de service sans possibilité de refus ».

La médecine policière

« La bureaucratie représentée par les Agences régionales de santé (ARS) toutes puissantes décide de la vie ou de la mort de tel service ou institution via la délivrance ou non de l’accréditation, soit de l’autorisation de traiter telle ou telle pathologie après des enquêtes, audits et interrogatoires policiers sur vos pratiques, votre obéissance aux recommandations venues d’en haut, les travaux coûteux effectués pour correspondre de nouvelles normes à chaque fois modifiées, bref, du harcèlement administratif et autocrate.

Moralité : les suicides et tentatives se multiplient, s’ajoutant aux arrêts de travail pour dépression ou équivalents aggravant la déshumanisation, conséquence de la froideur dans laquelle les personnels victimes de burn-out (épuisement professionnel : on se brûle, on se consume littéralement) se réfugient avant la décompensation finale du suicide.

Le nombre de suicides des médecins trois fois supérieur à celui de la population générale a été dénoncé de nombreuses fois depuis plusieurs années. »

Le management à la France Télécom

En 2013, le désastre des restructurations hospitalières s’aggrave, les suicides se multiplient et toujours dans le même silence médiatique. Le patron de la pneumologie de Nevers s’est suicidé(([4] Le quotidien du médecin : « Suicide d’un pneumologue à l’hôpital de Nevers : l’Ordre dénonce le silence des tutelles », 15/05/2013)) le 23 avril 2013, et même le Conseil départemental de l’Ordre des médecins de la Nièvre s’est indigné « du silence des autorités locales, régionales, voire nationales, et des médias locaux ». Le président, le Dr Badoux, insiste dans un courrier d’alerte adressé à Marisol Touraine, au préfet, à l’ARS de Bourgogne et aux instances ordinales. Quelle fut leur réponse à part le bruit assourdissant du silence ? Si elle existe, elle n’a pas inondé les ondes. Le Dr Badoux a évoqué ce médecin « pilier de la pneumologie », « apprécié de toutes et tous pour sa technicité et sa gentillesse ». L’Ordre local « choqué » s’interroge : « Pourquoi une telle indifférence ? La vie des uns et des autres n’a-t-elle pas la même valeur ? Le suicide d’un médecin aurait-il moins d’importance que celui d’un employé de grandes entreprises nationales comme France Télécom ou Renault ? Ce chef de service est revenu à l’hôpital pour mettre sa blouse en cette matinée tragique avant de se taillader les veines et se sectionner la carotide. Qu’on ne nous dise pas qu’il n’y a aucun lien avec le travail quotidien. »

McKinsey rôde, agit, coupe, casse et récolte l’argent de nos impôts

Déjà en 2013 on découvre le rôle des agences de consulting qui deviendront tristement célèbres avec le scandale McKinsey et le covid, mais qui restent toutes puissantes, semble-t-il.

« La même agence de consulting chargée de restructurer FranceTélécom et EDF avec les conséquences que tout le monde connaît… s’occupe depuis les dernières années de restructurer la santé publique ».

Et l’épidémie chez les médecins se double de celles des paramédicaux chez lesquels les suicides devraient aussi faire la une du 20 heures. Mais, surprise, ils sont également ignorés comme ceux des agriculteurs pendus dans leurs granges victimes de la politique agricole commune (PAC).

Dans les six premiers mois de l’année en cours, l’APHP (Assistance publique hôpitaux de Paris), cette célèbre et fière institution d’Île-de-France, a égalé le nombre de suicides et tentatives de l’année 2012 :

« Depuis 2010, avec une accélération en 2012, nous totalisons le triste chiffre de plus de trente suicides ou tentatives de suicide*, toutes catégories confondues, avec sur une période de 5 mois un nombre équivalent à celui (déjà inacceptable) d’une année entière ! »(([5] Communiqué de presse USAP CGT))

« Je ne veux plus retourner à Robert Debré. Travail inhumain. Plus la force ». Voilà les quelques mots laissés par Françoise, auxiliaire de puériculture le 22 décembre dernier, avant de mettre fin à ses jours. Depuis, près d’une dizaine d’autres membres du personnel de l’Assistance publique ont imité son geste. Rien que pour 2013, ils sont 9, dont deux ont tenté de se suicider directement sur leur lieu de travail. Le 25 mai 2013, une salariée d’Henri Mondor, âgée de 42 ans, a décidé d’en finir.(([6] L’insupportable souffrance au travail : ça suffit !!!
Lundi 25 mai 2013 au soir, une de nos collègues d’Henri Mondor, proche de la CGT, jeune femme de 42 ans a choisi de se suicider.(…) L’USAP CGT par courrier dès décembre 2012 avait déjà alerté.))

L’USAP CGT avait interpellé la ministre en décembre 2012. À la date du communiqué le 29 mai 2013, « aucune réponse de la ministre, aucune mesure concrète nouvelle à l’APHP, bien que la Directrice Générale nous ait répondu favorablement.

De plus les médecins du travail sont de moins en moins nombreux ».

Est-ce que la mise en place d’une cellule de crise et de soutien psychologique peut effacer les harcèlements quotidiens auxquels sont soumis les personnels ? Ne faut-il pas reconsidérer, comme ce fut fait finalement à France Télécom, le management choisi dans les hôpitaux et la politique de santé actuelle ? Comme le dit si bien ce communiqué : « L’hôpital est devenu une usine de production de soins avec une gestion managériale d’entreprise à la clé. Nous n’avons plus un ministre de la Santé, mais un ministre à l’économie de la santé ! » et des intérêts de l’industrie pharmaceutique aurait-il pu ajouter.

C’est le but purement financier de la politique sanitaire que nos concitoyens ne veulent pas ou ne peuvent pas encore reconnaître. Comment s’avouer que son gouvernement ne travaille pas pour le peuple et seulement pour le peuple et qu’il néglige totalement notre sécurité sanitaire ? Comment comprendre quelques années que les médecins complices de l’injection génique toxique et inutile collaborent au scénario tragique du Great Reset et non plus à l’amélioration de votre santé ? C’est tout un travail de prise de conscience de ce qu’est le totalitarisme qui s’insinue insidieusement dans notre société occidentale malade qu’il faut développer grâce à l’aide de philosophes, sociologues, médecins, scientifiques qui décortiquent ce que nous vivons. Car mieux on comprend, mieux on se bat.(([7] Lire « le débat interdit » d’Ariane Bilheran et Vincent Pavan, éditions Trédaniel : « un mathématicien et une psychologue — mettent en lumière le traitement de la langue et de la logique, mis en œuvre par les sphères politique et médiatique depuis mars 2020 en France.Forts de leurs connaissances spécifiques, ils étudient le fonctionnement d’une information et d’une communication détournées. En s’appuyant sur des arguments sourcés et chiffrés, ils mettent en lumière la déconstruction des “vérités” scientifiques avancées par le gouvernement pour justifier ses actions politiques. Ils proposent une analyse détaillée de la “nouvelle langue”, de la “nouvelle normalité” et des méthodes de contrainte psychique utilisées sur la population française ».))(([8] Lire aussi le blog de Jean Dominique Michel Anthropo-logiques (tdg.ch) et les nombreux articles qu’il écrit et/ou partage.)) et mieux on se porte

Les médecins infirmiers, ou aides-soignants, sont dans le même bateau ivre et victimes des mêmes souffrances, liés aux dysfonctionnements « organisés » dans le but de justifier restructurations de services, fusions d’hôpitaux, suppressions d’emplois utiles avec au passage casse des équipes soudées qui permettaient la joie de vivre malgré la maladie.

Pendant que prolifère la bureaucratie hospitalière, les effectifs soignants fondent au lit du patient conduisant l’encadrement à sacrifier leur quotidien au nom du service public. Est — ce que changer les plannings d’un jour à l’autre, annuler des congés prévus, installer la zizanie entre les professionnels améliore le service au patient ? Non, ce type de gestion trop répandu dans les établissements de soin et appris chez France Télécom le désintègre, entraînant le désarroi des soignants puis le syndrome d’épuisement professionnel (burn out), éloignant du patient et expliquant cette déshumanisation des hôpitaux. Enfin, dans un certain nombre de cas, sans l’aide de médecins du travail trop peu nombreux et pas toujours avertis, toujours absents pour les médecins (sûrement faits de chair et d’os différents des autres hommes), sans l’aide d’une famille attentive qui souvent rattrape le professionnel devenu patient, le pire arrive et l’on s’étonne, pas très longtemps.

Les médecins du travail eux-mêmes ne sont pas à l’abri : Marie-Magdeleine Gressé « a décidé d’en finir pour projeter ces questions taboues du suicide et du harcèlement sur le devant de la scène et dans le débat public ». Médecin du travail, elle travaillait depuis 25 ans à l’association « Alsace santé au travail » et était fortement impliquée dans l’Association d’aide aux victimes de violences psychologiques et de harcèlement moral dans la vie privée ou professionnelle (Avip).

Et ce n’est pas la réponse de l’APHP à la suite de l’appel au secours des personnels via leurs syndicats qui va améliorer les choses : « 522 000 euros donnés à Ipsos pour un questionnaire imbuvable, on s’aperçoit vraiment que l’on ne nous écoute pas. Des audits sont déjà faits régulièrement et cela coûte des fortunes. On ne voit pas bien ce qu’ils vont faire de ce baromètre. Ce n’est pas ça qui va régler le problème », juge la secrétaire du Comité d’hygiène et de sécurité central de l’Assistance publique.

Elle a raison, chacun comprend et connaît les raisons du désespoir que ne feront pas disparaître tous les outils éculés du management marchand qui nourrissent largement les collaborateurs de McKinsey et autres dont l’existence a choqué et entrouvert les yeux des Français endormis par la propagande covidiste. Se sont-ils rendormis, trop douloureux du totalitarisme encore mou, mais dont tous les ingrédients dont ce harcèlement sont en place.

« Trop dur, trop douloureux, symptôme d’une société tellement malade qu’elle tue ses professionnels de santé tant en ville qu’à l’hôpital et détruit ses hôpitaux. »

MAL TABOU

D’autres de temps à autre ont tiré la sonnette d’alarme, mais toujours dans l’indifférence générale. Citons cette vidéo de franceinfo « Le suicide des médecins, une réalité effrayante » le 27/02/2015

« C’est un mal tabou en France. Chaque année, une cinquantaine de médecins mettrait fin à ses jours. France 2 a mené une enquête glaçante. Le surmenage, la déprime… Autant de facteurs qui ont conduit au suicide du réputé et apprécié docteur Rémi Breuil, en octobre 2011, après 25 ans de carrière. Son épouse Claude n’a rien vu venir. » Ce n’était pas possible. Pas lui, quelqu’un qui aimait la vie, ses enfants, qui adorait son métier… », confie-t-elle à France 2.

Le docteur Breuil se serait peu à peu renfermé. Dans la lettre qu’il a laissée à sa femme, il se dit fatigué, usé. « Être médecin, pour lui, c’était une vocation. Il s’est laissé complètement envahir par ça », reprend sa veuve.

Une souffrance tabou

Le docteur Yves Léopold a posé un chiffre sur ce drame : les médecins se suicident en moyenne 2,5 fois plus que le reste de la population, victimes de ce qu’il appelle le « syndrome de toute-puissance ». Le médecin, qui donne et sauve des vies, ne supporterait pas de ne pouvoir sauver tout le monde, d’où sa souffrance.

En France, ce problème est frappé du tabou. Dans le plus grand anonymat, un hôpital du sud accueille des médecins en souffrance. Inquiets pour leur réputation, ces derniers n’acceptent leur hospitalisation que dans le plus grand secret. L’un d’eux confie : « Je crois que c’est une humiliation, d’être malade. Le comble du médecin… »

LE CARNAGE CONTINUE Y COMPRIS CHEZ LES PLUS JEUNES

Chez les étudiants en médecine, le tabou des suicides :

« Chaque année, une dizaine d’internes se donnent la mort. Des événements traumatisants pour l’ensemble d’une promotion, qui mettent en lumière les risques psychosociaux auxquels sont soumis ces étudiants ».(([9] Par Léa Iribarnegaray 12 janvier 2021 Chez les étudiants en médecine, le tabou des suicides (lemonde.fr) ))

ANNA WANDA GOGUSEY

« La métaphore revient comme un refrain : les étudiants et internes en médecine seraient des super héros. Invincibles et invulnérables. Connaissant l’intégralité de leurs cours sur le bout des doigts, enchaînant les gardes à l’hôpital, cultivant une vocation sans faille.

“Pour autant, il y en a plein qui se fracassent”, souffle Laurence Marbach, présidente de l’association la Ligue pour la santé des étudiants et internes en médecine (Lipseim). Sa fille, Élise, s’est écroulée à 24 ans. “Brillante, passionnée, empathique”, la jeune femme a mis fin à ses jours le 2 mai 2019.

En premier semestre d’hépato-gastro-entérologie à Lyon, l’interne travaillait autour de 80 heures par semaine. Avant son décès, Élise avait enchaîné trois week-ends sans répit : une astreinte pour assurer la continuité des soins, un colloque de spécialité à Paris, une formation à Clermont-Ferrand. Pour tenir, faute de cape de Zorro, elle s’était prescrit des bêtabloquants, essayant de cacher son stress et son épuisement professionnel.

Briser le mythe

Par peur de paraître “faibles”, “inaptes”, “nuls” ou “incompétents”, rares sont les futurs médecins qui osent alerter quand ça ne va pas. Pire, quand ils ont des idées noires.

Dans une culture hospitalière évoluant à huis clos, l’idée qu’il faut “apprendre dans la douleur” reste prégnante. “On est dans une forme de pression sociale, économique, intellectuelle”, relève Barbara Lantier, médecin généraliste qui, face au “mutisme collectif”, a choisi de soutenir sa thèse en 2019 sur le suicide des externes, internes et docteurs en médecine. “Certains étudiants sont dans le déni, alors qu’ils peuvent eux aussi avoir des limites physiques ou morales. Quand ils s’en rendent compte, ils risquent de tomber de très haut.” »

La prévalence de la dépression et des idées suicidaires chez les étudiants en médecine est largement supérieure à la population générale(([10] Pour plus d’infos et d’aides concrètes, voir l’association LIPSEIM fondée en 2020 par une maman blessée. Depuis la création de l’association en mai 2020, ils organisent des actions de prévention et de sensibilisation à destination des apprentis médecins, mais aussi des seniors et de l’administration hospitalière. « Les jeunes doivent entendre qu’ils sont parfois en danger », martèle Luc Marbach.))

ALERTE EN 2022 AVEC UNE VIDÉO CHOC(([11] Suicide des professionnels de santé : face aux chiffres « démesurés », un film choc de l’association SPS pour que « ça bouge vraiment » PAR LOAN TRANTHIMY — LE 30/08/2022 quotidien du médecin))(([12] https://youtu.be/38AhlGdiJtU le clip violent à ne pas montrer aux personnes fragiles et déjà touchées.))

Crédit photo : Capture Image YouTube

Fiction choc destinée à alerter et à prévenir le suicide des professionnels de santé.

« Réalisée par Marc Gibaja, réalisateur et scénariste français, la séquence d’une minute met en scène trois professionnels de santé autour d’une patiente. Au cours d’une banale scène de consultation autour d’une patiente âgée, médecin, infirmier et aide-soignant finissent par exprimer leur mal-être et passent à l’acte (par arme à feu, pendaison et défenestration). “Le suicide est un sujet tabou, on veut montrer que cela s’est installé dans le monde des soignants, souligne le Dr Éric Henry, médecin généraliste et président de l’association de Soins aux professionnels de santé (SPS), très mobilisée sur ce sujet.”

Le but du film est qu’il soit impactant et viral pour une prise de conscience de la population sur la souffrance des soignants ».

Trois suicides tous les deux jours

Son enquête de 2017 intitulée « Suicide et professionnels de santé » montrait que 25 % des personnes interrogées avaient déjà eu des « idées suicidaires au cours de leur carrière professionnelle ». Parmi eux, 25 % exerçaient en ville et 39 % en milieu rural.

Une autre étude menée en 2019 par l’Ordre, les syndicats et le collège national des sages-femmes a démontré que 31 % de ces professionnelles étaient affectées par le burn-out. « Deux suicides de sages-femmes ont été portés à ma connaissance ces deux derniers mois », témoigne Christine Chalut-Morin, sage-femme clinicienne, secrétaire générale adjointe de SPS.

En 2021, l’Intersyndicale nationale des internes (Isni) avait alerté sur la santé mentale dégradée des futurs médecins. Le taux de suicide chez les internes était évalué à un tous les 18 jours.

En juin 2022, l’étude Amadeus (améliorer l’adaptation à l’emploi pour limiter la souffrance des soignants) a révélé que 50 et 60 % des professionnels de la santé interrogés présentaient des signes d’épuisement professionnel et 30 % de dépression.

« Un interne en médecine a trois fois plus de risque de mourir par suicide qu’un jeune Français du même âge, je trouve cela terrible ! Ces jeunes qui s’engagent dans les soins où ils vont donner une grosse partie d’eux-mêmes, ce n’est pas normal qu’ils soient autant en souffrance », se désole la Dr Magali Briane, psychiatre addictologue à Lyon et vice-présidente de SPS.

« Certes, un numéro national de prévention du suicide — le 3114 — a été lancé en septembre dernier, s’adressant aux personnes en détresse, à leur famille, mais également aux professionnels de santé en contact avec des personnes en danger. Mais, selon SPS, en huit mois, cette plateforme a enregistré 92 000 appels avec “un taux de réponse de 72,3 %”

Bien loin des “100 % appels décrochés” de l’association SPS, revendique le Dr Éric Henry. Son numéro vert (0 805 23 23 36), mis en place depuis six ans, a reçu plus de 18 000 appels, dont près de 14 000 depuis la crise sanitaire. Près de 50 % des appels ont fait l’objet d’une réorientation, notamment vers un psychologue en face à face (20 %), le médecin traitant (10 %), le psychiatre (8 %) ou d’autres réseaux (Morphée, médecine du travail, médecine universitaire, associations, service social). Les appels de niveaux 3 à 5 — “épuisement professionnel”, “idéations suicidaires” et “risque de passage à l’acte imminent” — sont systématiquement réorientés vers un médecin généraliste et un psychiatre ».

L’association SPS entend démontrer à nouveau l’intérêt d’une plateforme d’écoute, d’orientation et d’accompagnement ciblée pour les soignants. « En tout cas, le film est un prétexte pour déclencher des réactions, insiste le Dr Henry. Est-ce qu’il faut que tous les soignants quittent l’hôpital, leur métier pour que cela bouge vraiment ? Le ministère va-t-il enfin bouger ? ». L’association espère pouvoir nouer prochainement un partenariat avec le numéro national 3114. (d’aucuns lui reprochent ce clip violent et pas forcément efficace, pour faire de la propagande pour son association)

Évidemment ces aides ponctuelles sont positives et à saluer, mais on n’en sortira pas sans une refonte complète du système de santé avec suppression des ARS et de leurs aberrants pouvoirs administratifs par des bureaucrates éloignés de la vraie médecine voulant nous imposer une « médecine collective et non individuelle(([13] La bureaucratie étouffe le système de santé. Agences sanitaires et liberté de soigner Volet 2 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) adaptée à chaque patient » croyant à la religion de l’intelligence artificielle qui ferait diagnostic et prescription sans besoin d’un intermédiaire médical ni même soignant.

La disparition de la chirurgie de plus en plus évidente et préoccupante dans les protocoles thérapeutiques imposés par les agences HAS, INCa, etc. en est la démonstration évidente. Des maladies curables par une chirurgie d’exérèse ou une radiothérapie de qualité sont maintenant soumises à de « nouvelles molécules » inefficaces et hors de prix qu’on change tous les six mois puisque cela n’a pas marché…(([14] En particulier par exemple dans des tumeurs bénignes comme le fibrome desmoide et surtout dans de nombreux cancers où la chirurgie disparaît du fameux « protocole » comme dans certains cancers des os alors que la place de la chirurgie est fondamentale pour obtenir de vraies guérisons.)) Mais comment les patients pourraient-ils s’en apercevoir ?

COMMENT EN SORTIR ?(([15] Nous avions abordé ce sujet dans « soigner ou obéir » dont les constats et solutions proposées sont toujours d’actualité avec une situation encore aggravée et un pouvoir bureaucratique par les ARS encore gonflé.))

Nos joyeux organisateurs ont tout cassé depuis les années 80. Ils ont transformé nos hôpitaux publics puis privés, et bientôt nos cabinets de ville (devenus « maisons de santé »), en usines, organisées sur le mode de la fabrication des voitures du début du XXe siècle.

Procédures, checklists, protocoles, audits externes et internes, réunionnites aiguës et chroniques, contrôles ARS et décisions unilatérales, le tout sorti d’ordinateurs coûteux, et souvent en panne, ont remplacé les relations humaines

pourtant, si importantes en milieu médical. Cette révolution, acculturation décidée par les « élites », en tous cas par les décideurs, éloigne les médecins et paramédicaux de leur raison d’être, le malade, être de chair et de sang, être pensant, dont la parole est là pour exprimer son désarroi ou sa philosophie, là pour être écouté, compris.

Mais ce rapport humain ne se chiffre pas, ne s’évalue pas, donc il n’a pas de prix, vous serez tous d’accord ! Il n’intéresse pas les financiers qui nous gouvernent.

Ce qui ne se compte pas ne compte pas, même s’il devrait se conter, se raconter. Donc à la trappe, le contact informel entre le médecin ou soignant et le patient. Des robots vont nous remplacer. On nous l’a prédit, et d’ailleurs, les prototypes sont exposés dans les salons « santé connectée », dont notre gouvernement est si fier. Encore une planète où « tout va bien », mais si loin du monde réel.

IL EST TEMPS D’INTERPELLER LES POLITIQUES ET D’EXIGER RÉPONSES ET ENGAGEMENTS

Il n’y aura pas de médecine de qualité, sans libération des médecins et paramédicaux du joug bureaucratique qui les étouffe.

La liberté thérapeutique des médecins accompagnée de leur liberté d’installation, de leur liberté financière et de leur affiliation libre ou non à une convention, est le préalable à une inversion de la chute dramatique du nombre de médecins installés, et même de nouvelles inscriptions à l’ordre et de la fuite à l’étranger des praticiens formés, comme des chirurgiens expérimentés.

Il importera évidemment que cette réforme majeure de l’exercice médical soit associée à la refonte de la recherche et de l’enseignement pour redonner à nos jeunes étudiants animés du désir de soigner une formation à la hauteur de leurs ambitions.

Ne plus les transformer en robots obéissants, mais donner à leur imagination, à leur sensibilité, à leur créativité, la possibilité de s’exprimer sans mépriser les acquis de leurs aînés, doit devenir un objectif obsessionnel des futurs responsables des universités.

Se libérer de la pensée unique en médecine

Après les trente Glorieuses et l’enthousiasme pour les avancées du CNR, vinrent les quarante Piteuses et le règne stérilisant du Tout Fric et les Affreuses actuelles de la déconstruction massive.

Comme nos aînés ont reconstruit les villes après-guerre, pierre après pierre, reconstruisons nos universités, nos écoles, nos hôpitaux. Nous en avons encore les moyens. IMPOSONS UN CHANGEMENT À 180 °.

Il ne faut plus perdre de temps. Soyons dignes de nos aïeux. Soyons fiers de reconquérir nos libertés et notre belle médecine. Seulement à ce prix, les suicides de médecins et soignants deviendront un vilain souvenir. Sans cette reprise en main de la médecine par les médecins, ils se multiplieront en même temps que les démissions. À nous tous de choisir.

Mais sans médecins et sans soignants, qui vous soignera ?





L’histoire sombre de Fauci — Entretien avec Robert F. Kennedy Jr

[Source : Kla.tv]

Les Américains seraient devenus plus malades qu’ils ne l’ont jamais été, bien qu’ils dépensent plus pour la santé que les autres nations. Parmi les pays industrialisés, les résultats en matière de santé des Américains sont à la dernière place. Dans l’interview de Robert F. Kennedy Jr., la lumière est faite sur cet étrange illogisme : la face cachée d’Anthony Fauci. 

[Voir aussi :
Fauci et la grande arnaque du SIDA]

Transcription

En examinant la situation aux États-Unis et dans le monde, l’interview suivante avec Robert F. Kennedy Jr., le célèbre président et principal conseiller juridique de Children’s Health Defense, révèle des vérités choquantes.

Dans un épisode de « Conversations That Matter » (Conversations qui sont importantes], Kennedy parle du contenu de son livre « Le vrai visage d’Anthony Fauci », avec Alex Newman, le présentateur et rédacteur en chef du « New American Magazine ».

Au terme de recherches approfondies, Robert F. Kennedy Jr. a révélé la sombre histoire choquante de Fauci, jetant ainsi le doute sur tous les reportages des médias à propos du Covid-19 et alertant tous ceux qui ont à cœur la démocratie aux États-Unis ainsi que l’avenir et la santé de leurs enfants.

« Le vrai visage du Dr Fauci » montre en détail comment Fauci, Bill Gates et leurs consorts associés utilisent le COVID-19 pour subjuguer l’humanité et la placer sous une domination totalitaire mondiale. Grâce à leur contrôle sur les médias, les revues scientifiques, les institutions gouvernementales et paragouvernementales, les services secrets mondiaux et les scientifiques et médecins influents, le public a été inondé de propagande de panique sur le danger de contagiosité et le développement du Covid-19. Des agents dévoués pour faire taire les critiques, étouffer le débat et censurer impitoyablement les opinions divergentes. Fauci aurait orchestré, entre autres, la transformation de l’agence du ministère de la Santé publique (NIH) en un laboratoire de produits pharmaceutiques.

Découvrez d’autres informations dans l’interview suivante sur le vrai visage du Dr Fauci qui, avec Bill Gates, a servi les intérêts des entreprises pharmaceutiques et a contribué à faire des États-Unis la nation au monde la plus tributaire de la pharmacie.

Newman : Qui est le vrai Anthony Fauci, et pourquoi devrions-nous nous inquiéter ? N’est-il pas un sympathique spécialiste en santé publique qu’on voit à la télé ?

Kennedy : Anthony Fauci est à l’origine de la « capture » d’agences au sein des agences de santé publique. Il a orchestré la transformation du HHS, le Département de la Santé et des Services sociaux qui est devenu un laboratoire de produits pharmaceutiques qui promeut l’agenda de Big Pharma. C’est l’équivalent de J. Edgar Hoover de la santé publique. Je montre dans mon livre qu’il a réussi à rester au pouvoir pendant 50 ans, non pas en accomplissant des succès mesurables en matière de santé publique — la santé publique a considérablement décliné sous son régime — mais plutôt en servant les intérêts des sociétés pharmaceutiques, en aidant à faire de ce pays le pays au monde le plus dépendant de l’industrie pharmaceutique. Nous prenons trois fois plus de médicaments que la moyenne des autres pays occidentaux. Nous payons les prix les plus élevés pour ces médicaments et nous avons de loin les pires résultats du monde développé en matière de santé. Nous sommes au 79e rang mondial en termes de résultats totaux de santé. Cette génération d’enfants qui a atteint la majorité sous le régime de Tony Fauci — depuis 1984 — est la génération la plus malade de l’histoire. Lorsqu’il est entré au NIH, le Département de la Santé, les taux de maladies chroniques [chez nos enfants] dans notre pays étaient d’environ 6 %. Aujourd’hui, ils atteignent 54 %. Par maladie chronique, je veux dire, pas seulement l’obésité, mais les troubles neurologiques de développement comme le TDA, le TDAH, le retard de la parole, le retard du langage, les tics, la narcolepsie, le syndrome de Tourette, l’autisme. L’autisme est passé d’une personne sur 10 000 dans ma génération — ce qui est toujours le cas aujourd’hui — à un enfant sur 34 dans la génération de mes enfants. Sous l’administration de Tony Fauci, les allergies alimentaires sont apparues en 1989. Les allergies à l’arachide, les maladies cœliaques, les allergies au blé, toutes ces autres allergies alimentaires, puis les maladies auto-immunes : la polyarthrite rhumatoïde, le diabète juvénile, les lupus sont devenus épidémiques. C’étaient toutes des maladies qui étaient totalement inconnues dans les années 1960, et la science les fait remonter à des innovations contrôlées par Tony Fauci. Vous ne pouvez pas complètement blâmer Tony Fauci — une personne — avec cette avalanche, ce tsunami de maladies chroniques. Le travail de Tony Fauci au NIAID [Institut national des allergies et des maladies infectieuses] consiste à rechercher les sources de ces maladies chroniques, maladies immunitaires et maladies allergiques, puis à nous aider à les éliminer, à identifier les causes. Nous savons que c’est une toxine environnementale, ça doit l’être. Les gènes ne causent pas d’épidémies. Ce que je montre dans le livre, c’est qu’au lieu de faire cette recherche, il dépense la quasi-totalité de son budget de 7,7 milliards de dollars pour développer de nouveaux médicaments pour les sociétés pharmaceutiques et faire de la recherche sur les armes biologiques pour le Pentagone et pour le complexe militaro-industriel. 1,6 milliard de dollars par an de son budget vont essentiellement au développement d’armes — la recherche sur les armes biologiques. C’est la personne la mieux payée du gouvernement fédéral. Il reçoit 434 000 dollars par an, soit 34 000 dollars de plus que le président des États-Unis. Il a beaucoup, beaucoup d’autres sources de revenus avec ce travail. Soixante-huit pour cent de ce budget provient de sa gestion de la recherche sur les armes biologiques, et c’est pourquoi il a été contraint de faire les études sur le gain de fonction à Wuhan et de les gérer à Wuhan, parce que le Pentagone le paie pour faire ce genre de recherche. S’il ne le faisait pas, il perdrait la majeure partie de son salaire.

Newman : Alors, où se situe Bill Gates dans cette histoire ? C’est le gars sympathique avec le gilet qui donne simplement des milliards pour améliorer la santé publique, et pourtant votre livre suggère qu’il y a aussi un côté plus sombre à tout cela.

Kennedy : En 2000, Gates a convoqué Anthony Fauci dans son manoir de 87 millions de dollars sur les rives du lac Washington à Seattle et lui a proposé un partenariat entre eux qui imposerait toute une batterie de vaccinations différentes d’ici 2020 à chaque homme, femme et enfant sur la terre. Ils ont rebaptisé leur effort en 2009, la « Décennie des vaccins ». Ils ont promis que d’ici 2020, les enfants, mais aussi tout le monde sur terre seraient vaccinés non seulement par un seul vaccin, mais par toute une batterie de vaccins. Gates est fortement investi dans pratiquement toutes les entreprises qui fabriquent tous ces vaccins. Il utilise sa philanthropie – il l’appelle capitalisme philanthropique parce que ce n’est pas vraiment de la philanthropie. Il rafle 33 milliards de dollars et les protège des impôts, donc nous payons en fait ses politiques. Ensuite, il a utilisé cet argent pour prendre le contrôle de la politique mondiale de santé publique. Il possède essentiellement l’OMS [Organisation mondiale de la santé]. Il a créé une série d’organisations quasi gouvernementales qui dictent la politique de santé mondiale : GAVI, CIFI et d’autres dans lesquelles il a fortement investi et qu’il contrôle comme la Brighton Collaboration. Il utilise son contrôle sur ces agences pour exiger des pays en développement – Afrique, Asie, Amérique latine – qu’ils imposent des vaccins à leurs populations. Ces pays, par exemple les pays africains, dépendent fortement de l’OMS pour l’argent qui soutient leur ministère de la Santé et qui soutient leurs programmes de lutte contre le SIDA. Ce que Gates et l’OMS font, c’est dire à ces pays, vous devez administrer une certaine quantité de vaccins de Gates contre la polio, et ses vaccins diphtérie-tétanos-polio. Si, par exemple, 70 ou 80 % de votre population ne reçoit pas ces vaccins, vous n’obtiendrez pas l’argent pour votre ministère de la Santé. Les vaccins qu’ils achètent sont des vaccins fabriqués par des entreprises dans lesquelles il est personnellement engagé, et la Fondation Gates est personnellement investie. Lorsque des organisations indépendantes, comme le gouvernement danois, ont en fait cherché à savoir si ces vaccins sauvaient ou non des vies (ce que Gates prétend), ils ont découvert que c’était exactement l’inverse qui se passait. Prenons pour exemple, le vaccin le plus populaire au monde, le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche, dont Gates avait fait la promotion en Afrique et en Asie pendant de très nombreuses années pour sauver la vie de dizaines de millions d’enfants. Lorsque le gouvernement danois a financé une étude en 2017, le gouvernement danois, le Statens Serum Institut au Danemark et une autre société de vaccins ont financé une étude. Ils ont examiné trente ans de dossiers en Afrique pour comparer comment allaient les enfants qui avaient reçu le vaccin par rapport aux enfants qui ne l’avaient pas eu. Ce qu’ils ont découvert, c’est que les filles qui ont reçu ce vaccin – alors qu’elles étaient protégées contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche – mouraient dix fois plus que les filles non vaccinées. Le vaccin les protégeait contre certaines souches de certaines maladies infectieuses, mais il avait anéanti leur système immunitaire et les avait rendues extrêmement sensibles aux infections mineures et notamment aux infections respiratoires. La malnutrition, l’anémie, le paludisme… les autres choses qui tuent de nombreux enfants africains… il s’avère que les enfants vaccinés étaient beaucoup moins capables de résister aux maladies que les enfants dont le système immunitaire n’avait pas été altéré.

Newman : C’est absolument terrifiant.

Kennedy : Permettez-moi d’ajouter autre chose. Gates a fondamentalement transformé l’OMS qui était une agence de développement, d’hygiène, d’assainissement et de développement économique en une agence qui s’occupe essentiellement des vaccinations. Cinquante pour cent du budget de l’OMS va au projet-phare de Gates, qui est le vaccin contre la polio, alors que la plupart des experts en vaccins dans le monde – très pro-vaccins – lui ont dit depuis le début que ça ne fonctionnerait pas. Vous n’allez pas éradiquer la poliomyélite. Et aujourd’hui, l’OMS admet que 70% des cas de poliomyélite dans le monde sont causés par le vaccin de Gates. En fait, au lieu d’effacer la maladie, ça aggrave le problème. Ça provoque des épidémies dans des pays où la poliomyélite a été éradiquée, comme le Congo et l’Afghanistan et de très nombreux autres pays.

Newman : L’Associated Press a même rapporté cela sur la base des données de l’OMS. Je l’ai également vu en novembre 2019. Donc tout cela soulève la question suivante : Ces gens font-ils cela délibérément ? Sont-ils des obsédés du mal ? Ou s’agit-il simplement d’une politique stupide mais bien intentionnée, et quel est, selon vous, leur programme ultime ? Gagner de l’argent ? Quel est leur plan ?

Kennedy : Ce n’est pas un mystère pour moi. Les mêmes motifs ont poussé les gens depuis le début des temps, le motif d’accumuler le pouvoir. Le pouvoir sur la santé publique et la promotion de la biosécurité ont désormais fondamentalement supplanté tous les autres objectifs de la politique étrangère. C’était délibéré. C’était intentionnel. C’est ce qui a été promu par ces deux hommes – Gates et Fauci – mais ils avaient de très, très nombreux alliés. Comme je le montre dans mon livre, les agences de renseignement sont profondément alliées au Dr Fauci et à Bill Gates. À partir de 2000 ils ont développé une série de… (en fait, la CIA a développé) une série de simulations impliquant des centaines de milliers de personnes, et Gates et Fauci y ont participé. Ils ont toujours été mis sur un piédestal par les agences de renseignement ainsi que par les militaires et les grandes sociétés pharmaceutiques. C’est un pacte très, très sinistre que j’explique dans le livre. Soit dit en passant, il y a 2 200 notes de bas de page dans le livre. Chaque phrase que j’ai écrite, chaque déclaration factuelle, est scrupuleusement, soigneusement documentée. N’importe qui peut les consulter. Ils ont développé ces simulations de pandémie qui ont formé des travailleurs de première ligne, des médecins hospitaliers, des responsables médicaux, des responsables du renseignement, des responsables de l’application des lois, des travailleurs de première ligne en Europe, aux États-Unis, en Australie et au Canada. Pratiquement chaque année, ils reprenaient ces simulations, lesquelles étaient des simulations de pandémie. Que faites-vous si une pandémie de coronavirus survient ? Ils n’avaient rien à faire des réponses médicales. J’ai publié les transcriptions dans mon livre. Il n’y a eu aucune discussion sur la façon de renforcer le système immunitaire des gens, comment distribuer de la vitamine D ou du zinc ou de la quercétine, ou comment réorganiser les médicaments, faire un traitement précoce, comment mettre les malades en quarantaine et les protéger de la maladie, réduire les hospitalisations, et protéger la Déclaration des droits. Rien de tout cela n’a jamais été discuté.

La seule discussion était de savoir comment utiliser une pandémie comme prétexte pour réprimer, pour imposer des contrôles totalitaires et pour la destruction contrôlée de la démocratie libérale dans le monde. La série de simulations de pandémie qu’ils ont mise en place s’appelait Operation Lockstep parce que c’était un moyen de coordonner ostensiblement les activités de toutes les démocraties libérales à travers le monde pour faire basculer soudainement les défenseurs constitutionnels vers la censure, les contrôles totalitaires et l’effacement des droits constitutionnels et civils dans le monde. Beaucoup disent aux gens que cela ressemble à une folle théorie du complot, mais n’importe qui peut aller sur YouTube et rechercher l’événement 201, qui est l’un des plus célèbres. J’en ai trouvé beaucoup, beaucoup plus. Cela se produisait année après année après année. L’événement 201 a lieu en octobre 2019 et, à cette époque, le coronavirus circulait déjà à Wuhan. La meilleure estimation, c’est qu’il a commencé à circuler le 12 septembre 2019. Les Chinois le savaient déjà, et l’un des participants à l’événement 201, George Gao qui se trouve à l’hôtel Pierre à Manhattan, était à la tête du CDC chinois. Les autres personnes présentes étaient les militaires, les sociétés de médias sociaux, les grandes sociétés de médias comme Bloomberg et Washington Post, les plus grandes sociétés pharmaceutiques comme Johnson & Johnson.

Qui sont les hôtes ?
Les hôtes sont Bill Gates et Avril Haines, la directrice adjointe de la CIA, ancienne directrice adjointe. Elle est maintenant à la tête de l’Agence de sécurité nationale de Joe Biden. Elle est chef de la réponse aux coronavirus. Que fait la CIA en matière de santé publique ? La CIA ne s’occupe pas de santé publique. Elle fait des coups d’État. Ce n’est pas une blague. Il est prouvé que la CIA a participé à 73 coups d’État contre la plupart des démocraties, soit un tiers des gouvernements du monde entre 1947 et 2000. Si vous regardez en arrière, chaque année, elle simulait des pandémies et aucune d’entre elles ne concernait la santé publique. Elles portaient toutes sur la façon d’utiliser la prétendue pandémie pour réprimer les contrôles totalitaires et pour effectuer un coup d’État contre toutes ces démocraties mondiales. Il y a une très, très forte présence de la CIA dans chacune d’entre elles. Il y a parfois trois, quatre, cinq hauts responsables d’In-Q-Tel et de la CIA. Ils enseignent aux gens, ils les forment. Il y avait aussi toujours une grosse pointure. Il y avait une fois Madeline Albright, une autre fois, le sénateur Gary Hart, le sénateur Sam Nunn, chef du comité de la défense, ou un membre du Congrès ou Bill Gates. Il y avait toujours une sorte de figure de proue. Ça donne à l’ensemble de l’exercice le consentement de la légitimité et de l’autorité. Ils enseignaient aux travailleurs de première ligne comment réagir face à une pandémie. Vous verrouillez les entreprises, vous obligez les gens à porter des masques, vous vous débarrassez des processus démocratiques comme de la procédure régulière, il y a la censure de la presse.

Quiconque le souhaite peut aller faire des recherches sur l’événement 201. Le quatrième séminaire ce jour-là, le quatrième exercice et le plus long, était un exercice simulé, bizarre à tous points de vue – qui simulait une pandémie mondiale de coronavirus deux mois avant l’annonce du COVID-19.

Quel était leurs soucis ?
Ils se demandaient comment inciter les médias sociaux à censurer les rumeurs selon lesquelles il s’agirait d’une fuite de laboratoire. C’est ce dont ils parlaient tous en octobre 2019. Si vous revenez sur toutes ces simulations comme je l’ai fait et lisez mon livre, le chapitre « Jeux de microbes » décrit l’extraordinaire prescience, l’espèce de divination qui s’est concrétisée exactement comme ils avaient prédit, jusqu’aux vaccins à ARNm dont ils parlaient déjà il y a dix ans – et dont c’est la finalité. C’est très, très alarmant quand on le lit.

Newman : Pourriez-vous s’il vous plaît, nous dire en quelques mots ce que vous pensez que nous devrions faire à ce sujet. Quelle serait la solution ? Est-ce une question partisane ? Doit-on avoir peur ?

Kennedy : Je pense que la meilleure chose pour les oligarques et pour ce cartel regroupant les sociétés de médias sociaux qui s’enrichissent en se nourrissant des cadavres de la classe moyenne anéantie, les sociétés de médias, les agences de renseignement et les technocrates médicaux, leur intention stratégique est de garder les républicains en lutte contre les démocrates et les Noirs contre les Blancs, de semer la division et d’orchestrer la peur. Nous allons gagner une personne à la fois, en parlant à nos voisins, en convainquant les gens. Le taux d’évolution joue en notre faveur. Une fois que les gens comprennent la vérité, ils ne retourneront jamais de l’autre côté. Nous constatons maintenant ce formidable taux d’évolution croissant. Lorsque nous aurons atteint une masse critique, nous pourrons reprendre notre démocratie, mais nous devons littéralement faire cela avec une personne à la fois, c’est-à-dire en parlant constamment, en diffusant le message. Je dirais que l’une des façons de le faire est d’acheter mon livre, de le donner à vos amis pour Noël. Soit dit en passant, je ne gagne pas d’argent sur le livre. Tous mes bénéfices reviennent à Children’s Health Defence, pour nos procès, etc., pour notre travail de défense juridique.

de avr./ug.

Sources / Liens :

Robert F. Kennedy Jr.: Die dunkle Geschichte von Fauci aus dem Buch von RFK

Aus der website von „New American Magazine“ von Alex Newmann: die dunkle Geschichte muss aufgedeckt werden.




Un collectif de mamans publie un bilan d’impact psychologique des mesures sanitaires sur les enfants

[Source : Nexus]

Dans un communiqué de presse paru le 23 août 2022, près de 40 000 Mamans Louves dénoncent les souffrances subies par les enfants depuis septembre 2020 et demandent aux parents de se rencontrer, de se positionner fermement face aux mesures sanitaires qu’elles estiment destructrices pour les enfants, et de s’organiser.

L’impact psychologique des mesures sanitaires sur les enfants a été majeur. Quelques jours avant la rentrée 2022, le collectif des Mamans Louves a publié un bilan d’impact psychologique en s’appuyant sur de nombreuses sources.

◆ Plus d’enfants morts par suicide que du Covid ?

Si la version complète du bilan d’impact psychologique réalisé par le collectif regorge de données, il a décidé dans son communiqué du 23 août 2022 de mettre le curseur sur la conséquence la plus grave de la détresse psychologique des jeunes : le suicide.

Dans un teaser vidéo, le collectif organisé sous forme associative reprend l’extrait d’une émission diffusée sur CNews, pendant laquelle est citée un article de Slate du mois d’août 2021. Cet article reprend les propos du Pr Delorme, chef du département psychiatrique pour enfants et adolescents à l’hôpital Debré, à Paris : « Davantage d’enfants sont morts par suicide pendant la crise sanitaire qu’à cause du Covid. » L’article reste nuancé en précisant que « nous aurions tort d’attribuer ces actes à une cause unique », mais il reste néanmoins indiscutable que l’on a constaté que les tentatives de suicide chez les enfants ont été « plus graves qu’à l’accoutumée » pendant la crise Covid.

◆ Un nombre de décès chez les mineurs dus au Covid peu précis

D’après L’Indépendant, Olivier Véran a annoncé en janvier 2022 que depuis le début de la crise Covid en septembre 2020, « 28 décès de mineurs ont été enregistrés, dont 13 victimes âgées de 0 à 9 ans et 15 autres entre 10 et 18 ans ».

On se demande s’il a pris en compte que mi-juin 2021, Libération rapportait qu’on comptait 13 décès d’enfants et qu’en y regardant d’un peu plus près, « il n’y avait qu’un seul enfant pour lequel le décès était survenu dans un contexte où la seule cause possible était le Covid-19. Pour les autres enfants, soit ils avaient des facteurs de risque, soit le décès est survenu dans un contexte où plusieurs éléments ont pu contribuer à l’issue fatale et en particulier des infections sévères parmi lesquelles on a retrouvé le Sars Cov-2. » Difficile ainsi de « faire la part de chacun de ces éléments dans la responsabilité du décès ».

◆ Le nombre de suicides chez les mineurs : un sujet tabou ?

Nous n’avons pas réussi à trouver combien de mineurs sont morts par suicide sur la période de deux ans entre septembre 2020 et septembre 2022, car seule l’explosion des tentatives de suicide chez les jeunes ces deux dernières années est très souvent évoquée dans les articles de presse et les rapports officiels. Les données accessibles sont également souvent antérieures à la crise Covid.

Mais nous avons pu découvrir dans un rapport publié en 2018 sur le site de Statista qu’en 2014, sur 100 000 habitants, le taux de décès liés au suicide atteignait 0,2 décès pour 100 000 habitants chez les enfants âgés entre 1 et 14 ans.  La population française s’élevant alors à environ 66,3 millions d’habitants, cela a représenté environ 132 décès par suicide sur cette seule année dans cette catégorie d’âge, sans compter la catégorie des 15-17 ans que le tableau de Statista ne nous permet pas de calculer, car il propose seulement une rubrique pour les 15-24 ans. Bien plus que 28 mineurs en deux ans et à une époque où il n’y avait pas encore la crise sanitaire…

https://www.youtube.com/embed/l8dctwTS96w

◆ L’effet du masque sur les enfants

Dans son communiqué, le collectif évoque également une étude allemande qui vient d’être publiée par une revue scientifique reconnue, ScienceDirect : elle indique que la teneur en dioxyde de carbone qu’inhalent les enfants avec le masque s’élève au-delà des niveaux de sécurités acceptables. Les Mamans Louves en proposent une version traduite en français assermentée, c’est-à-dire certifiée conforme à un document original.

L’étude a été réalisée sur 45 enfants dont la moyenne d’âge était de 10,7 ans, qui ont porté pendant 25 minutes des masques chirurgicaux et des masques FFP2 en position assise. La conclusion du résumé de l’étude est la suivante :

« Le port de MBN (masques chirurgicaux ou masques FFP2) élève rapidement la teneur en CO2 de l’air inspiré à un niveau très élevé chez des enfants en bonne santé en position assise au repos, ce qui pourrait être dangereux pour la santé des enfants. »

◆ Une opération à échelle nationale

Pour ces raisons et pour toutes celles qui sont évoquées dans leur bilan complet d’impact psychologique, les Mamans Louves semblent déterminées à protéger leurs enfants :

« Aussi, à la veille de la rentrée scolaire l’heure des grandes décisions arrive, l’indignation des familles grandit et à juste titre. Les parents ne sont pas dupes, et n’adhèrent plus ! Nous connaissons tous désormais les conséquences qui pèsent sur nos enfants. Notre association “Mamans Louves”, qui représente près de 40 000 mères de famille, a choisi de se saisir de ce sujet avec détermination, en menant une opération décisive à travers le territoire français pour la rentrée 2022, afin de lever ce voile d’omerta généré par la crise Covid. »

👉 Voir la carte avec lieux de rencontre actuels pour les parents :

👉 Lire la version complète du bilan d’impact psychologique

👉 Lire la version synthétique du bilan d’impact psychologique

👉 Lire les sources qui ont servi à établir ce bilan

👉 Voir notre entretien avec Roxane des Mamans Louves au mois d’octobre 2021  :



Image principale trouvée sur le site des Mamans Louves




Royaume-Uni : le vaccin anti-Covid est finalement déconseillé aux femmes enceintes

[Source : France Soir]

Le 16 août dernier, le gouvernement britannique a recommandé aux femmes enceintes et allaitantes de ne pas recevoir le vaccin contre le Covid-19, admettant que « des garanties suffisantes quant à l’utilisation sûre du vaccin ne peuvent être fournies à l’heure actuelle ».

Que dit le rapport anglais ?

Les conclusions du gouvernement britannique ont été révélées dans un rapport détaillé du ministère de la Santé et des Affaires sociales du pays, intitulé « Summary of the Public Assessment Report for COVID-19 Vaccine Pfizer/BioNTech« , mis à jour le 16 août. Le document a été publié par l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du gouvernement.

La section « Conclusions sur la toxicité » du rapport explique pourquoi le ministère recommande de ne pas administrer le vaccin aux femmes enceintes et allaitantes :

« Dans le contexte de l’approvisionnement en vertu du règlement 174, on considère qu’il n’est pas possible, à l’heure actuelle, de fournir des garanties suffisantes quant à la sécurité d’utilisation du vaccin chez les femmes enceintes : toutefois, l’utilisation chez les femmes en âge de procréer pourrait être soutenue à condition que les professionnels de la santé soient invités à exclure toute grossesse connue ou suspectée avant la vaccination. Les femmes qui allaitent ne devraient pas non plus être vaccinées. Ces jugements reflètent l’absence de données à l’heure actuelle et ne reflètent pas un constat spécifique préoccupant. Des conseils adéquats concernant les femmes en âge de procréer, les femmes enceintes et les femmes qui allaitent ont été fournis à la fois dans les informations destinées aux professionnels de santé britanniques et dans les informations réservées aux destinataires. […] L’absence de données sur la toxicité pour la reproduction reflète la rapidité du développement pour identifier et sélectionner le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 pour les tests cliniques et son développement rapide pour répondre à un besoin sanitaire urgent. En principe, une décision sur l’homologation d’un vaccin pourrait être prise dans ces circonstances sans données provenant d’études de toxicité pour la reproduction chez les animaux, mais des études sont en cours et elles seront fournies lorsqu’elles seront disponibles ».

L’absence de données cliniques pour la reproduction

Cependant, les raisons invoquées dans le rapport sur l’absence des données cliniques sont loin d’être la seule cause. En effet, il faut rappeler que la décision de vacciner les femmes enceintes contre le Sars-CoV-2 et le discours sur l’absence de dangerosité qui accompagnait la campagne vaccinale, a été l’une des mesures les plus surprenantes, puisqu’il n’existait aucune donnée associée à l’utilisation de ces nouvelles thérapies géniques pendant la grossesse et l’allaitement. Cette absence de données clinique s’explique par le seul fait qu’il s’agit d’une population protégée par les lois de protections des patients et que les femmes enceintes sont d’office sorties des essais cliniques.

Il faut également rappeler que dans son Plan de Gestion des Risques, Pfizer ne s’est pas caché qu’il existait des données manquantes pour certaines catégories de personnes et que le profil de tolérance des vaccins est non connu chez les femmes enceintes ou allaitantes du fait de leurs exclusions de l’étude de phase 3.

Plan de Gestions des Risques, informations manquantes

Pourtant, des cas d’effets indésirables ont été rapportés dans le premier rapport de la FDA sur la première déclassification des données de Pfizer. Bien que les femmes enceintes aient été exclues des essais cliniques, elles ont, elles aussi, fait l’objet de vaccinations en vie réelle, et le rapport fait état d’effets indésirables pour 270 grossesses rapportés comme suit : avortement spontané (23), résultat en attente (5), naissance prématurée avec décès néonatal, avortement spontané avec décès intra-utérin (2 chacun), avortement spontané avec décès néonatal et résultat normal (1 chacun).

On ne sait pas si depuis ces événements, le lien de causalité a été établi. Cependant, on peut néanmoins s’étonner de trouver des femmes enceintes vaccinées à cette époque. Il est vrai que la FDA avait donné l’autorisation pour toutes les personnes de plus de 16 ans et que les personnes à risque ont été vaccinées en priorité, ce qui sous-entendait les femmes enceintes.

Si elles ont été exclues des essais initiaux de Pfizer et Moderna pour les raisons évoquées ci-dessus, l’étude du 17 juin 2021 remaniée et publiée le 8 septembre 2021 dans le New England Journal of Medecine révèle que les cliniciens se seraient appuyés sur les données de Moderna sur le développement et la reproduction chez l’animal, qui n’ont montré aucun problème de sécurité. Les résultats sur les animaux sont-ils toujours transférables à l’homme ? Non, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle, lorsque les résultats sur les animaux démontrent que le risque est faible, la substance peut être étudiée également chez l’homme, dans les essais cliniques. Par conséquent, en l’absence de données de sécurité chez l’homme, et malgré les risques que le Covid représente pour les femmes enceintes, il est étonnant de lire dans cette même étude qu’il « n’y a aucune raison biologique plausible pour que la technologie ARNm soit nocive pendant la grossesse ». En effet, on est en droit de se demander sur quelle base scientifique les chercheurs se sont appuyés pour écrire cela alors que tant de médicaments connus et approuvés depuis longtemps sont interdits ou déconseillés pendant la gestation.

La même interrogation subsiste pour les médecins, les cliniciens lorsque certains d’entre eux ont conseillé le vaccin aux femmes enceintes. Comment ont-ils pu mettre en balance les risques documentés d’infection par le Covid-19 et les risques de sécurité inconnus de la vaccination, et ce, afin « d’éclairer » leurs patientes ?

Si dans la première étude parue dans le New England Journal of Medecine, les auteurs affirmaient qu’il n’y avait pas lieu de s’alerter sur la vaccination des femmes enceintes et que le vaccin ARN messager était sûr, ils étaient par la suite revenus sur certaines des affirmations contenues dans l’étude initiale pour apporter quelques corrections dans l’étude remaniée.

Cette seconde étude se concluait sur la nécessité d’inclure les femmes enceintes dans les essais cliniques. Une remarque qui arrivait cependant, tardivement, alors qu’il existait déjà à cette époque de forts soupçons d’événements indésirables graves sur lesquels il aurait fallu faire toute la lumière pour établir si oui ou non, il existe un lien de causalité avec la vaccination.

Encore aujourd’hui, beaucoup d’inconnues subsistent, et ce, pour la simple raison qu’il n’y a à ce jour aucun résultat d’essai clinique sur les femmes enceintes ou allaitantes terminé, comme l’explique la biostatisticienne Christine Cotton. 

Fallait-il réaliser des essais cliniques sur les femmes enceintes avant le début de la vaccination en population générale ? Le débat est difficile à trancher. Les tests peuvent mettre en danger la santé du fœtus, mais le déficit d’information peut aussi être dommageable pour la mère et l’enfant. Et, commencer des essais cliniques plusieurs mois après avoir commencé à vacciner en population générale paraît dénué de toute logique. 




Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?

Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Le dérèglement climatique au secours de Big Pharma ?

Par Alain Tortosa

Wikipédia(([1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_microbienne)) nous dit :

« Bien que très controversée lors de sa formulation initiale, cette théorie (des germes) a été validée à la fin du XIXe siècle et constitue désormais un élément fondamental de la médecine moderne et de la microbiologie clinique. »

(Je précise que cette théorie inclut les bactéries ET les virus.)

Le site précise qu’elle a été validée avant 1900 soit bien avant le premier microscope électronique fabriqué en 1930 permettant de « voir » des virus.

Rien sur cette page sur la découverte des virus, des preuves de leur existence, du moyen de les isoler, de la preuve de la contagion, rien…

Il existe pourtant d’autres théories qui arrivent à la conclusion inverse, que les virus n’existent pas (j’y reviendrai un peu plus loin).

Je vous invite à vous pencher sur les modèles de Béchamp vs Pasteur.(([2] http://www.ateliersante.ch/bechamp.htm#B%C3%A9champ))

« Les travaux de Béchamp.

Trente ans avant l’instauration de l’idée du monomorphisme, le microbiologiste Antoine Béchamp, docteur ès sciences, docteur en médecine, en chimie, et en pharmacie, découvrait, à la suite de travaux expérimentaux et d’observations minutieuses, que toute cellule animale ou végétale est constituée de petites particules capables, sous certaines conditions, d’évoluer pour former des bactéries qui continuent à vivre après la mort de la cellule dont elles proviennent. Béchamp appela ces petits éléments autonomes, des “mycrozimas”.

Béchamp et Pasteur qui étaient contemporains s’opposèrent farouchement pour défendre leurs théories bactériennes devant les milieux scientifiques de l’époque.

Pasteur défendait la théorie selon laquelle toute maladie infectieuse était causée par des micro-organismes invariables dans leur forme et provenant TOUJOURS de l’extérieur de l’organisme, le milieu intérieur de tous les organismes vivants étant stérile.

Béchamp voyait à la maladie une origine interne, et affirmait que toute matière organique est sujette à des modifications naturelles dues à des processus normaux de fermentation. Ces processus provoquent, dans des conditions pathologiques, le développement des mycrozomas et aboutissent à la formation de bactéries ayant des propriétés de putréfaction et de fermentation. »

Béchamp aurait déclaré(([3] http://www.meilleures-citations.com/auteurs/antoine_bechamp.html)):

« Je suis le précurseur de Pasteur, exactement comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie. »

Wikipédia, garant de la doxa, comme nous pouvons le vérifier chaque jour, vient encore à notre secours pour parler du « déni de la théorie des germes(([4] https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9ni_de_la_th%C3%A9orie_du_germe))».

Il est intéressant de voir que celle-ci n’est pas présentée comme une autre voie, un courant scientifique alternatif, mais comme un « déni » qui de fait relèverait du charlatanisme, de la foi ou de la psychiatrie, fin de non-recevoir :

« Le déni de la théorie du germe est une croyance pseudoscientifique qui prétend que les bactéries et virus ne causent pas de maladies.

Cette croyance est souvent rattachée à la théorie d’Antoine Béchamp, désormais réfutée par la science, qui affirmait que les tissus humains malades pouvaient produire des microbes, et donc que la présence de ceux-ci étaient une conséquence de la maladie et non l’inverse. Mais il a été démontré que les micro-organismes se transmettaient par contagion. »

Nous n’en saurons pas plus sur cette « démonstration ».

Il n’y a donc pas de sujet et seuls des illuminés ou des complotistes 4dan pourraient s’y intéresser.

Comme pour le Covid, il n’y a pas de débat possible sur l’efficacité du masque, des confinements, de l’existence de traitements, de l’efficacité ou de la dangerosité des « vaccins ».

Nous vivons dans un monde de « consensus scientifique » et « d’illuminés » qui gravitent autour.

Je vous rappelle que je ne m’interdis aucun sujet et que je me suis même interrogé sur la théorie de la Terre plate.(([5] https://nouveau-monde.ca/la-verite-revelee-la-terre-est-plate-et-jen-aurais-la-preuve/))

Si l’affirmation de la non-existence des virus est scientifiquement exacte ?

[Note de Joseph : ce qui est actuellement réfuté par des précurseurs tels que les Docteurs Lanka, Kaufman, Bailey et Kiseleva, c’est l’existence de virus « pathogènes », car ces derniers mentionnent qu’il existe bien des structures cellulaires d’apparence similaires à celle des supposés virus pathogènes, mais qu’elles ont été scientifiquement et rigoureusement démontrées comme étant produites par les cellules elles-mêmes sous forme d’« endosomes » (appelés « exosomes » lorsqu’ils sortent des cellules). Par contre, aucun des virus et rétrovirus supposés « pathogènes » (Ebola, HIV, Rougeole, Polio, etc.) n’a pu être correctement isolé et caractérisé du fait que la méthodologie utilisée depuis les années 1950 ne respecte aucunement la démarche scientifique et n’effectue aucune expérience de contrôle pour valider notamment les liens supposés de causalité.]

  • Il n’y a donc pas de sars-cov2.
  • Il n’y a donc pas de virus manipulé.
  • Il n’y a donc pas de gains de fonctions.
  • Il n’y a donc pas de virus volontairement répandu.
  • Il n’y a donc pas de Covid en tant que maladie nouvelle causée par un virus nouveau.
  • Il n’y a donc pas d’épidémie de Covid en tant que maladie nouvelle.
  • Il n’y a donc pas de variants.
  • Il n’y a donc pas de tests possibles.
  • Il n’y a donc pas de mesures préventives possibles axées sur ce virus.
  • Il n’y a donc pas de traitements spécifiques possibles contre ce virus.
  • Il n’y a donc pas aucun vaccin possible.
  • Il n’y a donc plus de dictature sanitaire possible.

[Note de Joseph : dans le cadre de la théorie alternative à la virale, il peut très bien exister des « virus » manipulés (en fait au mieux des « exosomes » ou autres composants cellulaires manipulés) et donc des supposés « gains de fonction » (dont il resterait cependant à vérifier la réalité par des contre-expériences adéquates qui n’ont pas davantage lieu que pour l’isolement supposé des virus).]

Le Covid serait de fait une épidémie médiatique s’appuyant sur les épidémies habituelles.

Revenons un peu sur l’hypothèse des virus qui n’existeraient pas :

Les virus seraient ainsi une théorie non prouvée.

Qui a vu un virus ?

Les représentations en couleur ou 3D [trois dimensions] que nous avons des virus sont des dessins ou des constructions informatiques directement issues de l’imaginaire des artistes.

On n’a donc jamais « vu » un virus en regardant par exemple un tissu pulmonaire d’un malade, jamais !

De plus nous n’avons jamais pu observer « en live » un virus « vivant », qui se déplace, qui rentre dans une cellule saine ou qui en sort après l’avoir tuée et utilisée comme usine de production.

Il n’existe que des « photos » au microscope électronique, donc des représentations statiques de « trucs » plutôt ronds que l’on a nommées « virus ».

Question : Qu’est-ce qui prouve que ces machins sont des virus et qu’ils ont les comportements qu’on leur prête ?

Croyez bien que sans ces représentations artistiques omniprésentes depuis notre naissance, notre regard sur le sujet en serait fortement bouleversé.

C’est du même ordre que les films ou documentaires dans lesquels nous voyons des dinosaures :

  • Se déplacer ou courir d’une certaine façon.
  • Avoir un type et une couleur de peau spécifique.
  • Se nourrir.
  • Émettre des sons ou même avoir une communication et un « langage ».
  • Se reproduire.
  • Etc.

Même si nous disposons de quelques maigres indices, nous n’avons strictement aucune idée de leur apparence et comportement réel.

Question : Pourquoi est-il impossible d’observer et photographier des virus dans le milieu dans lequel ils sont présumés se « reproduire » et tuer des cellules saines ?

(alors même que l’on peut observer des « bouts » de bactéries)

Une « isolation » du virus semble possible en ajoutant dans la mixture d’autres éléments vivants (avec leur propre patrimoine génétique comme des cellules de singe, des cellules fœtales ou autres), mais aussi des éléments chimiques comme des antibiotiques, conservateurs, poisons…

Brève histoire de la virologie

Pendant de nombreuses années, l’existence des virus était purement théorique, avant l’arrivée du microscope électronique.

Pour l’hépatite G(([6] https://books.google.fr/books?id=iizJZ0ZblGAC&pg=PA140&lpg=PA140&dq=%22culture+virale+in+vivo%22&source=bl&ots=WhDcg7NJBi
Les virus transmissibles de la mère à l’enfant.)):

« Diagnostic direct : La culture virale in vivo n’est pas réalisable en routine, et les tentatives d’isolement in vitro se sont soldées par des échecs.

À l’heure actuelle, bien qu’encore non standardisée, la technique de mise en évidence du génome par RT-PCR est la plus sûre et la plus pratiquée »

La raison (officielle ?) de l’échec in vivo serait qu’il y en aurait insuffisamment dans un prélèvement et… qu’une culture directe « se solde par un échec ».

Raison pour le moins étrange étant donné qu’ils seraient suffisamment présents pour contaminer une autre personne.

« L’interprétation (([7] RAPPORT DU CONTROLE DU MARCHE DES TESTS RAPIDES DE DIAGNOSTIC DE LA GRIPPE
(Avril 2013) )) et la comparaison des données fournies par les fabricants nécessiteraient de connaître la fourchette de charge virale retrouvée habituellement dans les échantillons de patients atteints exprimée avec chacune de ces unités. Or, il existe peu de données dans la littérature sur ce sujet (Cheng et al, 2010, Journal of Clinical Virology , Volume 47, Issue 2, February 2010, Pages 182–185 : Spécimens de patients avec charge virale exprimée en TCID50/ml, 103-107. Suess et al. PLoS One. 2012;7 (12) : spécimens exprimés en nombre de copies d’ARN viral/ml=102 -105, Loeb et al., J Infect Dis. 2012 Oct 1;206 (7):1078-84 : spécimens exprimés en nombre de copies d’ARN viral/ml =102 -10»

Mais bon, pourquoi pas.

Dans « Apport de la biologie moléculaire dans l’identification de nouveaux virus(([8] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7140284/))»:

« Les débuts de la virologie furent longs et difficiles, et le concept de virus lui-même n’a évolué que très progressivement entre la fin du 19e siècle et le milieu du 20e siècle. Près de soixante ans ont été nécessaires… La principale difficulté résidait dans le fait de concevoir des êtres vivants submicroscopiques, en les définissant principalement sur des critères d’exclusion (trop petits pour être vus, non-cultivables), à un moment où la bactériologie pouvait, chaque jour, faire état de succès bien tangibles. Les progrès réalisés grâce à la biochimie, la microscopie électronique ainsi que la maîtrise des techniques de culture cellulaire ont conduit à la certitude que les virus étaient des agents infectieux entièrement originaux. »

« Les progrès dans le domaine de la virologie seront plus lents pour deux raisons au moins : les virus ne sont pas visibles en microscopie optique, et ils ne sont pas cultivables en laboratoire sur les milieux usuels. »

Tour ceci confirme qu’il semble impossible de cultiver et voir un virus dans son milieu.

Question : Pourquoi cette culture est-elle impossible alors même qu’il se reproduit précisément dans ledit milieu et pourquoi ce fait ne semble-t-il pas être de nature à perturber les chercheurs et la médecine ?

« Pour étudier un virus, il faut donc 2 éléments essentiels : le virus et sa cellule cible. Cette découverte confirme que la virologie humaine est dépendante d’un autre champ de recherche, celui de la culture en laboratoire des cellules animales. Sans cellule permissive au virus, impossible d’isoler le virus en laboratoire, et donc d’en faire une analyse poussée. »

On a donc « trouvé » et « observé » l’effet cytopathique(([9] https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_cytopathique)) ou « cytopathogène » pour les « cultiver ».

Le principe consiste à prélever des cellules de singe ou autres (selon le virus à étudier), les affamer sans les tuer, ajouter des tissus fœtaux de bovin (ou autres) pour ralentir le processus, ajouter des antibiotiques, de l’antigel, etc., mais surtout le prélèvement supposé infecté d’une personne malade afin d’assister en quelques jours à la « cytopathie ».

Il est alors possible « d’observer » au microscope électronique des cellules mourir “à cause [supposément] du virus” et voir apparaître les fameux petits machins ronds que l’on appelle « virus ».

L’effet cythopatique dans l’étude de Enders sur la découverte du « virus » de la rougeole représenterait l’étalon OR prouvant l’existence des virus et le moyen de les cultiver et les isoler.

C’est ce principe qui est utilisé depuis des dizaines d’années par tous les chercheurs et virologues qui observent des virus. Principe qui n’est nullement remis en cause par la communauté scientifique au pouvoir.

Pour autant l’auteur(([10] https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.3181/00379727-86-21073
Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles.
John F. Enders)) lui-même n’était pas si affirmatif :

« Les résultats qui viennent d’être résumés appuient la présomption que ce groupe d’agents est composé de représentants de l’espèce virale responsable de la rougeole. »

Ces « virus » seraient la cause de la mort des cellules saines.

Question : Pourquoi affirmer que ces observations sont des virus alors même que l’on pourrait émettre l’hypothèse qu’ils ne seraient que des déchets de cellules mortes affamées ou empoisonnées par les divers produits ou les antibiotiques ?

L’effet cytopathique ou cytopathogène(([11] http://unt-ori2.crihan.fr/unspf/2010_Lille_Goffard_Virologie/co/06_diagnostic_direct.html)) ne se produit pas pour tous les « virus ».

« Certains virus ne donnent pas d’effet cythogénique au cours de leur réplication en culture cellulaire : virus grippaux…

Certains virus ne se répliquent pas en culture cellulaire : virus des hépatites, rubéole, etc., etc. »

Ils ne peuvent donc pas être cultivés ou n’ont pas d’effet cythopatique.

Question : Pourquoi le fait que l’effet cytopathogène ne fonctionne pas avec tous les virus n’est pas de nature à interroger sur la réalité du phénomène sinon de l’existence des virus ?

Quid de l’expérience témoin ?

Il est vital de savoir si la destruction des cellules et l’apparition des « virus » durant ces expériences sont dues au virus observé ou si nous assistons au film de la mort d’une cellule (empoisonnée) et que ces « virus » vus au microscope électronique ne seraient que des déchets de cellules mortes.

Enders lui-même semble apporter une réponse à cette question.

Il aurait constaté ce même effet cytopathique alors même qu’il n’avait pas ajouté de matériel génétique (exemple : crachat) « contaminé par un virus ».

Je le cite :

« Ce faisant, il faut cependant garder à l’esprit que des effets cytopathiques qui ressemblent superficiellement à ceux résultant de l’infection par les agents de la rougeole peuvent éventuellement être induits par d’autres agents viraux présents dans le tissu rénal du singe ou par facteurs inconnus. »

Question : Pourquoi Enders (et donc tous les successeurs), au lieu de déduire que les « machins ronds » (statiques, car microscope électronique) obtenus ne seraient peut-être pas des virus, mais des débris de cellules mortes, car on les trouve aussi sans ajouter un support présumé contaminé, a émit l’hypothèse que d’autres virus pouvaient être déjà présents dans les cellules du singe et donc que l’effet cytopathique était une réalité ?

N’importe quel imbécile se dirait que son essai ne prouve strictement rien !

Il a aussi précisé que cette observation « in vitro » n’était peut-être pas le processus qui se déroule dans la vraie vie c’est-à-dire « in vivo »

Question : Pourquoi tous les doutes et interrogations d’Enders ont-ils été balayés ?

Comprenez que toute la théorie virale moderne, et les vaccins qui en découlent ne reposent que sur cette expérience (puis les tests PCR), qui lui a valu un prix Nobel.

Les antigènes ou « protéines virales »

Ainsi pour « prouver » l’existence de certains virus que l’on n’a JAMAIS pu observer (incroyable, mais vrai) on va alors utiliser la méthode de l’antigène pour les détecter et confirmer leur existence supposée être à l’origine d’une maladie.

Question : Pourquoi la communauté scientifique ne semble-t-elle nullement traumatisée à l’idée qu’il existerait de façon « certaine » des entités que l’on appelle « virus » alors même que l’on n’a jamais pu les observer ?

La théorie est simple.

Si des personnes avec des symptômes grippaux ont dans leur sang un certain type d’antigène, alors cela constitue la « preuve » que le patient a contracté le virus de la grippe qui aurait induit la production de ces antigènes.

C’est ainsi que l’on a pu « prouver » l’existence de virus que l’on n’a jamais pu voir (comme, par exemple, le HIV).

Question : La présence d’un couteau ensanglanté sur les lieux d’un présumé crime est-elle la preuve qu’il y a eu meurtre et la preuve que le couteau est l’arme du crime ?

Les antigènes sont-ils la preuve d’une attaque virale présente ou ancienne ou ne seraient que la conséquence d’un autre phénomène ou des débris issus du processus de guérison, désintox du corps et ne prouveraient en rien la présence de tel ou tel virus ?

Il est couramment admis que l’on puisse être porteur d’un virus non détectable (Hépatite B, C, VIH…)

Selon le Dr Henri Agut(([12] https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2638471-virus-definition-mode-d-action-comment-le-combattre-adn-arn/)), médecin virologue à Paris :

« Un virus ne peut survivre très longtemps à l’état de particule virale libre dans le milieu ambiant. Il doit donc trouver rapidement une cellule à infecter. C’est essentiellement sous la forme de cellules infectées, des « usines » à fabriquer des virus, qu’il existe dans la biosphère. »

Question : Comment pourrait-on être un porteur sain ou porteur d’un virus non détectable dès lors que la survie du virus dépend de sa capacité à prendre le contrôle de cellules saines pour se reproduire et que cette prise de contrôle se traduira obligatoirement par la destruction de ces cellules saines, par la destruction d’autres cellules saines et donc de la production de déchets ou de mécanismes de défense (antigènes ?).

Question : Comment une diffusion à bas bruit dans les tropiques peut-elle exister alors même qu’un virus ne peut pas survivre sans attaquer des cellules saines et donc se multiplier ?

La biologie moléculaire (le RT-PCR)

« Les outils de la biologie moléculaire ont permis l’amélioration du diagnostic des infections virales et la découverte de nouveaux virus. En effet, grâce à des outils tels que la (RT — ) PCR ou le séquençage, on peut maintenant faire face à des situations de diagnostiques nouvelles.

On peut :

Mettre en évidence la présence de génomes de virus indétectables par d’autres méthodes :

Recherche des papillomavirus humains (HPV) responsables de cancers du col utérin

Détection des virus des hépatites(([13] http://unt-ori2.crihan.fr/unspf/2010_Lille_Goffard_Virologie/co/06_diagnostic_direct.html))»

« Cependant, il existe de nombreux inconvénients :

La mise en évidence d’un génome viral dans un échantillon ne signifie pas que les particules virales infectieuses complètes soient présentes…

La grande sensibilité de ces techniques les rend très sensibles aux contaminations par des acides nucléiques extérieurs à l’échantillon initial, »

On est donc peut-être en train de faire la PCR d’un moustique ou d’un pollen avalé par inadvertance.

Question : Comment la « science » a-t-elle la « preuve » de l’existence de virus qu’il est impossible de voir in vivo, qu’il est parfois impossible de voir dans la soupe cytopathogénique, qu’il est impossible de détecter par la présence d’antigènes et dont la « preuve » de l’existence repose sur un RT-PCR (douteux) sur quelques séquences issues de la soupe contenant un nombre impressionnant de matériaux génétiques (ou organismes divers dans l’échantillon prélevé) ?

La causalité

Trouver un « virus » n’est pas suffisant, il faut ensuite s’assurer que celui-ci est bien la cause de la maladie.

Pour se faire il faut que le « virus » ainsi trouvé soit bien le « coupable » de ladite maladie et donc l’inoculer à un porteur sain.

Il faut donc isoler le virus dans la soupe ou dans l’échantillon (en effet, les autres substances ou organismes présents dans celle-ci pourraient aussi causer des maladies).

Ici se pose un grand problème, car la soupe de Enders contient des cellules de singe (ou autre animal), des cellules fœtales de bovin et l’échantillon prélevé sur le malade (qui peut aussi contenir d’autres « virus », bactéries, mais aussi du matériel génétique comme des pollens, des insectes inspirés par le malade, etc.)

Sans compter toutes les toxines comme des antibiotiques et autres substances chimiques présentes dans cette soupe.

Ajoutons le fait que toutes ces substances biologiques et chimiques se sont peut-être mélangées et qu’il devient alors impossible de les filtrer ou les séparer pour ne prélever que le virus incriminé.

Question : Étant donné qu’il semble impossible d’isoler de façon certaine des virus dans un prélèvement in vivo,
comment serait-il possible d’infecter un porteur sain en ayant la preuve que l’infection transmise est UNIQUEMENT causée par cet agent pathogène dit virus et ce afin de s’assurer qu’il provoque bien la même maladie chez celui-ci ?

La Contagion

Une fois le virus « isolé », il faut contaminer le porteur sain avec une méthode compatible avec la vie réelle.

Par exemple s’il est admis que le virus étudié se transmet aéroporté alors il ne s’agira pas d’injecter directement le supposé virus dans le cerveau d’un cobaye ou par intraveineuse pour voir si le sujet tombe malade.

À ce stade, si le sujet sain « contaminé » par la soupe bactériologico-virale développe une maladie, il faudra s’assurer que c’est bien de la même maladie avec les mêmes symptômes et les mêmes marqueurs biologiques comme indiqué précédemment.

Question : Est-ce le virus qui va entraîner la maladie de la personne en bonne santé ou les produits chimiques et autres tissus en décomposition utilisés dans la soupe pour « isoler » le virus ou d’autres bactéries présentes dans le prélèvement du patient, voir même un effet placebo ou d’autres actions que nous ne comprenons pas ?

Le problème est que les rares expériences qui ont été menées pour prouver le principe de la contamination et de la contagion se sont soldées par des échecs comme celle de 1918 menée par Rosenau.(([14] Rosenau MJ: I. Series of experiments at Boston, November and December, 1918. Hygienic Laboratory U.S.P.H.S. Bulletin 1921
https://virologyj.biomedcentral.com/articles/10.1186/1743-422X-5-29))

L’objet était d’infecter par la grippe espagnole réputée extrêmement dangereuse par 100 « volontaires » sains et sans symptômes, fournis par la Navy :

« Ensuite, nous avons procédé au transfert du virus obtenu à partir de malades ; c’est-à-dire que nous avons recueilli les sécrétions matérielles et muqueuses de la bouche, du nez et des bronches de 19 malades et les avons transférées à nos volontaires. Nous avons toujours prélevé le matériau de la manière suivante : le patient fiévreux, au lit, a devant lui un grand aménagement peu profond en forme de plateau, et nous avons lavé une narine avec une solution saline stérile, en utilisant peut-être 5 cc, qui est autorisé à couler dans ce plateau ; et cette narine est soufflée vigoureusement dans le plateau. Cela est répété avec l’autre narine. Le patient se gargarise ensuite avec la solution. Ensuite, nous obtenons du mucus bronchique en toussant, puis nous tamponnons la surface muqueuse de chaque narine et aussi les muqueuses de la gorge. »

Ensuite, ils ont mélangé tous les « trucs » ensemble et ont pulvérisé 1 cc du mélange dans chacune des narines de 10 volontaires, et « dans la gorge, tout en inspirant, et sur l’œil » et ont attendu 10 jours pour que les volontaires tombent malades. Cependant, « aucun d’entre eux n’est tombé malade de quelque manière que ce soit ». »

Dans son livre, Eleanor McBean « l’aiguille empoisonnée(([15] THE POISONED NEEDLE Suppressed Facts About Vaccination By Eleanor McBean 1957
http://whale.to/a/mcbean.html#BIBLIOGRAPHY))»
nous rapporte :

« Au cours de l’une des plus grandes épidémies de poliomyélite (1949), “la contraction de la poliomyélite par contact précis avec d’autres victimes de la maladie n’a pas été établie dans une étude élaborée réalisée par le Département de la santé de l’État de New York. Le service de santé publique des États-Unis, dans ses études, a également trouvé la même réponse négative lors des épidémies successives de poliomyélite. Bref, ils ont appris que la maladie n’était pas contagieuse.” TIME Magazine a commenté cette révélation inattendue de ces enquêtes en remarquant que “quand et où les gens attrapent la poliomyélite reste un mystère”.

La supposition que les virus pénétraient par la bouche et le nez a conduit les expérimentateurs à faire des tests exhaustifs aussi bien sur des animaux que sur des êtres humains, pour la plupart des détenus et des orphelins en institution. Ils ont été exposés (par association étroite) à des patients atteints de poliomyélite et leur gorge et leurs voies nasales ont été fréquemment tamponnées avec de la matière (provenant des patients) censée contenir des virus. Aucune poliomyélite n’a été produite de cette manière et le seul effet secondaire notable était que les sujets des expériences avaient perdu leur sens du goût et de l’odorat en raison des effets néfastes des poisons contenus dans le sérum utilisé sur les écouvillons. »

Le site cv19(([16] https://cv19.fr/2022/02/20/quelques-etudes-ayant-tente-de-prouver-la-contagion-interhumaine/)) liste un ensemble d’expériences de tentatives de contamination soldées par un échec pour prouver la théorie de la contagion :

  • En 1919, Rosenau et Keegan sur la grippe.
  • En 1919, Wahl et al sur la grippe.
  • En 1920, Schmidt et al sur la grippe et le rhume.
  • En 1921, Williams et al sur la grippe et le rhume.
  • En 1924, Robertson & Groves sur la grippe.
  • En 1930, Dochez et al sur le rhume.
  • En 1940, Burnet et Foley sur la grippe.

Remarquez que si les expériences pour prouver le principe de la contagion étaient nombreuses dans la première moitié du 20e siècle, celles-ci se sont raréfiées tandis que Big Pharma prenait le pouvoir en imposant la médecine basée sur le pétrole.

En 2018 des chercheurs analysent l’état de la science sur les modes de transmission des virus(([17] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1879625717301773?via%3Dihub
Transmission routes of respiratory viruses among humans)) pourtant censés être démontrés depuis fort longtemps et « nullement source de questionnement » selon Wikipédia ou la communauté scientifique au pouvoir.

Voici leurs conclusions :

  • « La plupart des études sur les voies de transmission interhumaines ne sont pas concluantes. »
  • « L’importance relative des voies de transmission des virus respiratoires n’est pas connue. »
  • « Les méthodes de détection modernes peuvent faire progresser les expériences de transmission. »

En 2018 aucune étude n’était donc en capacité de démontrer les modes de transmission alors même que c’est cette théorie virale qui conduit aux masques, aux confinements, aux gestes barrières et surtout à la vaccination !

Pierre Lécot de Décoder l’éco(([18] https://www.youtube.com/watch?v=xq2h2onD7tk)) nous livre des éléments statistiques pour le moins troublants

Sur ce graphique des décès nous pouvons voir que les épidémies se produisent chaque année au même moment dans divers pays dont la France, la Suède ou le Portugal.

À noter qu’il en est de même si l’on observe les hospitalisations.

Si les épidémies se propageaient par contagion c’est-à-dire de patients vers patients alors il serait logique de constater un décalage dans le temps entre le Portugal et la Suède quand bien même il existe des avions… Or elles se produisent en même temps !

C’est donc une preuve que le phénomène d’épidémie (réel) n’est absolument pas lié à la transmission interhumaine.

[Note de Joseph : sans compter que les analyses statistiques de Pierre Lécot démontrent que l’hypothèse de contamination exponentielle ne tient pas du tout. Ceci, car la « dérivée » devrait être elle-même exponentielle, mais se révèle plate !]

Question : Si le processus de contagion est le fruit d’une transmission virale d’un porteur A vers un porteur B, puis d’un porteur B vers un porteur C, comment le porteur A (ou patient 0) a-t-il pu être contaminé et par qui ?
Nous touchons à la théologie ou au Big bang… Il y avait quoi avant rien ?

Il est important d’être conscient que les médecins sont comme les maraîchers, ils ont leurs saisons !

Saison de la grippe, saison de la gastro, saison de l’angine, saison des rhumes des foins…

Ils ont ainsi une forte propension à donner le même nom aux pathologies qui se présentent à un instant donné.

Et ce d’autant plus qu’ils reçoivent les données du réseau Sentinelle qui leur fournit les dernières tendances.

Cette information obligatoirement différée dans le temps, car fournissant les données de la semaine précédente, sont certainement de nature à induire un décalage dans le temps et ainsi montrer une courbe d’évolution qui pourrait ressembler à un phénomène de « contagion ».

(L’information est aussi véhiculée par les médias qui, s’ils disent qu’il y a une épidémie de grippe, vous feront penser que vos symptômes respiratoires relèvent plus de celle-ci que d’une angine.)

Cela a été largement vérifié pour le Covid.

Plus de grippes, plus de pneumo, plus d’angines, plus de gastros, etc. plus rien sauf le Covid !

Point tout aussi intéressant Pierre Lécot a corrélé les décès au climat (à la température).

Il se trouve que plus vous êtes âgé et plus vous décédez lors des périodes de froid et plus vous êtes jeune et en bonne santé et moins vous décédez.

C’est ce qui expliquerait pourquoi les décès se produiraient au même moment dans des zones géographiques au climat équivalent pour une population à la santé équivalente ??!!

Il est à noter que ce constat apporte plus de questions que de réponses.

Le climat n’étant pas le même dans le sud de l’Espagne qu’en Suède ou dans les Alpes. Les saisons froides étant décalées de même que l’ensoleillement, l’enseignement principal serait d’affirmer que nous ne savons pas grand-chose.

En tous les cas les épidémies ne peuvent s’expliquer par le principe de la contagion (virale) interhumaine.

Où est le virus de la grippe en été ?

Science et Vie(([19] https://www.science-et-vie.com/corps-et-sante/que-devient-le-virus-de-la-grippe-en-ete-59085.html)) a posé cette question à un chercheur de l’Institut Pasteur (ils ont évidemment toutes les réponses sur les virus) :

« C’est simple : il déménage sous des cieux plus favorables à sa propagation, c’est-à-dire froids et humides.

« Le virus de la grippe est toujours quelque part en un point du globe », confirme Jean-Claude Manuguerra, de l’Institut Pasteur. Dans l’hémisphère Nord, il provoque des épidémies entre octobre et mars, tandis qu’il s’épanouit dans l’hémisphère Sud entre avril et septembre. C’est le « basculement hémisphérique » de l’hiver septentrional à l’hiver austral. » »

Question : Il est où au printemps qui correspond à l’automne dans l’hémisphère sud, saisons non favorables à son épanouissement ?

La diffusion virale à bas bruit (et ce n’est pas un extrait du journal de Mickey)

Nul point dans le globe me semble froid et humide à cette période (les pôles étant plutôt très secs)

Que nenni, le chercheur a sa réponse !

« Dans la ceinture intertropicale, le virus circule toute l’année, mais à bas bruit, avec des pics à la saison des pluies »

Cette région serait donc la zone d’échange entre le nord et le sud pour l’alternance de la grippe.

Question : C’est quoi une circulation virale à bas bruit ?

Tout le monde se le passe, mais il ne nous rend pas malade ?

Question : Comment fait le virus de la grippe pour se transmettre sans rendre malade ses hôtes ?

  • Un virus est un organisme à la fois vivant et mort qui ne peut QUE se reproduire et survivre en infectant des cellules saines de son hôte et en les tuant pour se multiplier !

Question : Comment peut-il se transmettre à « bas bruit » et comment puis-je contaminer mon voisin sans avoir moi-même une charge virale suffisante ?

  • Si j’ai une importante charge virale alors elle me rendra symptomatique et malade pour le lui transmettre en éternuant sur lui !
  • Si je n’ai que 2 ou 3 virus, je ne pourrais pas contaminer mon voisin, car je serai asymptomatique et donc dans l’incapacité de transmettre mes virus d’un hémisphère vers un autre.

Question : Si ma charge virale est faible, mon organisme va l’éliminer et comment pourrais-je ici encore le transmettre ?

Si en revanche j’ai une charge virale importante, je vais être malade, et si je suis malade ce n’est plus une diffusion « à bas bruit ».

L’article nous « éclaire » un peu plus :

« A contrario, si un Australien contaminé vient passer ses vacances en France au mois d’août, le virus ne s’y implantera pas, car les conditions “environnementales et comportementales” ne sont pas réunies. »

Alors là ça devient compliqué.

Si vous recevez votre correspond australien qui a attrapé la grippe pendant son hiver et vient vous voir pendant votre été alors :

Le gars est malade comme un chien, il vous crache dessus, il crache ses virus dans la soupe, il vous embrasse et pourtant vous n’aurez quasi aucune chance de l’attraper parce que vous êtes en été !

Et ce alors même que la température de votre corps est de 37 degrés aussi bien en été comme hiver.

Nous pouvons donc supposer que son arrivée en Europe va lui permettre de guérir quasi instantanément.

[Note de Joseph :
extrait de Le pour et le contre

— Pourquoi le gars isolé dans sa cabane au Nunavut ou en Alaska attrape-t-il tout d’un coup la grippe un certain hiver alors qu’il n’a rencontré personne depuis plus d’un mois ?

— Euh ! Bin le virus dormait dans son corps.

— Mais le système immunitaire n’est-il pas censé tuer les virus ? Pourquoi est-il assez sympa pour en maintenir en vie quelques exemplaires pour la saison prochaine ?

— Euh ! Il faut demander aux virologues. Ils doivent bien avoir une explication. Il y a bien des « porteurs asymptomatiques » pour la covid-19, d’après eux, alors pour la grippe, ça doit bien être pareil.

— Des porteurs asymptomatiques ? Des gens dont le système immunitaire est assez gentil pour laisser traîner quelques poignées de virus ici et là, le temps qu’ils récupèrent avant de pouvoir mener une prochaine invasion tranquillement ? Et pendant ce temps, ils ne sont pas malade ?

— Eh bien, ils ne sont malades que si suffisamment de virus les envahissent ?

— Combien ? 1 million ? 1 milliard ?

— Ça dépend.

— De quoi ?

— De la maladie et de l’état de santé de la personne.

— Et si la personne est en bonne santé, y a-t-il besoin de plus de virus ?

— Peut-être bien que oui.

— Mais un virus n’est pourtant pas un être vivant, puisque notamment il ne sait pas se multiplier tout seul ?

— Parce qu’il utilise le code génétique d’une cellule pour s’y multiplier.

— Et pourquoi celle-ci se laisse-t-elle couillonner ?

— Bin pas toujours ! C’est là que le système immunitaire intervient. Il empêche le virus de rentrer dans la cellule en supprimant son enveloppe qui possède la clef. Et là le virus est bien mort.

— Mais ce n’est déjà pas un être vivant. Tout ce qu’il est censé faire, c’est se faire multiplier dans une cellule. Ce n’est qu’un genre de grosse molécule qui demande d’être dupliquée. Pourquoi cette molécule rendrait-elle malade par ailleurs ?

— Bin, parce qu’elle se multiplie.

— Mais même des milliards de virus, ça n’occupe pas beaucoup de place. Pourquoi ça rendrait malade ?

— Peut-être parce qu’en plus cette molécule est mauvaise pour l’organisme.

— Admettons. Maintenant, pourquoi le fait d’avoir la Covid-19 empêcherait-il d’avoir la Grippe ?

— Les virologues disent qu’en quelque sorte ça bloque l’entrée pour les autres virus.

— Ah bon ? Pourtant, les deux ont une clef d’entrée et peuvent entrer n’importe où sur la paroi cellulaire, tellement il y a de serrures. Et je doute fort que tous les emplacements soient occupés en même temps par une seule variété de virus, sachant que ces virus ne sont pas censés traîner à la porte d’entrée, mais se précipiter à l’intérieur.

— Je ne sais pas. Il faudrait demander à un virologue.

— Ouais, admettons qu’il ait une réponse logique et satisfaisante, et pas une nouvelle rustine à leur théorie qui me paraît de plus en plus foireuse. En attendant, c’est quand même une étrange coïncidence que depuis la covid-19, presque plus personne ne meure de la Grippe, comme si celle-ci avait été rebaptisée.]

Notre système immunitaire va dire « là mon gars c’est pas la saison, alors le virus tu repasseras en hiver ! »

Les milliards de microbes que nous allons nous prendre ne pourront donc pas attaquer nos cellules ni se reproduire pendant l’été, période de vacances des virus !

(Sauf pour le coronavirus qui aurait provoqué la 4e vague en juillet, août 2021, sacré corona !)

Question : Au lieu de prétendre savoir, la communauté scientifique ne pourrait-elle pas avoir la modestie ou l’honnêteté de dire qu’elle n’a aucune idée sur l’existence réelle des virus, sur le processus de contamination (s’il existe) et pourquoi et comment on tombe malade ?

La théorie virale ne repose que sur des théories, sur un effet cythogénique douteux (notamment parce qu’il ne peut être reproduit pour tous les virus) et sur des tests RT-PCR encore plus douteux (cf. les propos de son inventeur dans la suite de ce texte).

Sujet sans intérêt ?

Si vous regardez la fiche Wikipédia de John Enders(([20] https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Enders)), vous y trouverez… rien… juste quelques phrases.

Cela n’est-il pas étrange pour un prix Nobel de médecine pour lequel les travaux sont la référence historique et méthodologique pour détecter les nouveaux virus ?

On trouve plus d’informations sur Casimir(([21] https://fr.wikipedia.org/wiki/Casimir_(personnage) ))!

Le vide sidéral est tout aussi présent concernant l’effet cytopathique(([22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_cytopathique)) alors qu’il ne saurait exister de détection ou visualisation de virus sans celui-ci.

Le mot cythogénique, quant à lui, n’est pas trouvé.

Si vous voulez en savoir plus sur Rosenau et ses expériences visant à identifier les modes de contamination de la grippe, vous pouvez aussi demander à Wikipédia qui vous dira que :

« Rosenau est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin »

Strictement rien sur ce chercheur !

Nous vivons dans un monde de virus mortels, avec 11 vaccins obligatoires, le Covid, des couvre-feux, des passe-sanitaires et le sujet semble être sans intérêt ou disons plutôt « blasphématoire ».

Sources documentaires

Je vous invite à vous documenter pour vous faire votre propre opinion.

[Note de Joseph : voir aussi les articles du dossier Vaccins et virus.]

Intéressons-nous maintenant au « virus » provoquant le « Covid ».

Comme pour les autres virus, celui-ci n’a donc jamais pu être vu dans des « humeurs » de malades (directement au microscope) et il n’y aurait aucune preuve que ce « Sars-cov2 » provoquerait les symptômes du Covid.

Le séquençage du virus…

Il n’existerait aucun séquençage réel complet de celui-ci, comme pour les autres virus.

En même temps si les virus n’existent pas ce serait plutôt logique.

Pour autant, un séquençage de la soupe virale est créé à partir de la soupe cytopathique.

On recherche quelques nucléotides supposés être présents via test PCR puis on assemble les morceaux qui semblent aller de pair et on fabrique informatiquement un génome totalement théorique et supposé probable.

Les séquences qui auraient servi à la fabrication des tests PCR, mais aussi du vaccin seraient ainsi à plus de 90 % imaginaires.

La pilule rouge(([28] Cf. Matrix.)) est bien entendu difficile à avaler.

Quand nous voyons le simple fait d’émettre l’hypothèse que les « vaccins » anticovid auraient des effets secondaires, imaginez-vous dire à un croyant que les virus et donc les vaccins ne seraient qu’une chimère ou une escroquerie !

Il est évident que le débat est totalement impossible.

L’histoire du Covid

Comment pourrait-on raconter l’histoire du Covid si les virus n’existent pas ?

Tout ceci se présente assez mal…

Fauci a avoué avoir investi dans le laboratoire P4 de Wuhan sur les gains de fonctions est-ce une escroquerie de plus qui vise à répandre la peur ?

Le Dr Cowan a déclaré(([29] https://odysee.com/@Johnny_Cirucci:4/Terrain%E2%80%94The-Film:4
1h14)):

« Ils ont inventé l’histoire du virus créé en laboratoire ou du “virus artificiel” pour donner à la communauté anti-vaxx quelque chose d’existant : “ils ont attrapé les méchants en flagrant délit”. Les méchants sont plus intelligents qu’eux et ils ont poussé à promouvoir l’histoire “Oh mon Dieu, il y a un virus artificiel mortel qui circule”. Ça maintient l’histoire du virus et effraie encore plus les gens. Ils sont les grands maîtres des échecs, la plupart des gens jouent aux dames ou ignorent l’existence d’un jeu. »

Il semble évident que si nous ne sommes pas en capacité de séquencer l’intégralité d’un virus, comment serait-il possible d’obtenir des gains de fonction ?

(Alors que ce serait possible sur des bactéries.)

Il est vrai que toute cette histoire de Covid est une vaste escroquerie, celle-ci pourrait-elle aller jusqu’au fait que les Bill et autres « bienfaiteurs » de ce monde sauraient que les virus n’existent pas et que l’objectif serait uniquement d’empoisonner les peuples avec des vaccins inutiles et dangereux ou une simple source de profits délirants ?

Le Covid une nouvelle maladie ?

Une méta étude publiée en 2020 dans Cochrane(([30] Signs and symptoms to determine if a patient presenting in primary care or hospital outpatient settings has COVID-19 disease
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32633856/ Cochrane Database Syst Rev. 2020 Jul 7)) nous apporte des éléments troublants :

« Nous avons identifié 16 études portant sur 7 706 participants au total. La prévalence de la maladie COVID-19 variait de 5 % à 38 %.

Nous avons trouvé des données sur 27 signes et symptômes, qui se répartissent en quatre catégories différentes : systémiques, respiratoires, gastro-intestinaux et cardiovasculaires.

Sur la base des données actuellement disponibles, ni l’absence ni la présence de signes ou de symptômes ne sont suffisamment précises pour confirmer ou infirmer la maladie. »

16 études, 7700 participants et impossible de conclure à l’existence d’une nouvelle maladie !

C’est le grand truc de Big Pharma, changer le nom de maladies existantes pour créer de nouveaux marchés et de nouvelles peurs.

Cette non-spécificité et donc cette non-existence du Covid sont indirectement confirmées par l’OMS pour la classification de la maladie(([31] Lignes directrices internationales pour la certification et la classification (codage) des décès dus a la COVID-19, 20 avril 2020
https://www.who.int/classifications/icd/Guidelines_Cause_of_Death_COVID-19-20200423_FR.pdf)):

« Définition des décès dus à la Covid-19.

Est considéré comme UN « DÉCÈS DU À LA COVID-19 » UN DÉCÈS RÉSULTANT D’UNE MALADIE CLINIQUEMENT COMPATIBLE, CHEZ UN CAS PROBABLE OU CONFIRMÉ DE LA COVID.

UN DÉCÈS DÛ À LA COVID-19 NE PEUT PAS ÊTRE IMPUTÉ À UNE AUTRE MALADIE (PAR EXEMPLE, À UN CANCER) ET DOIT ÊTRE COMPTABILISÉ INDÉPENDAMMENT DES AFFECTIONS PRÉEXISTANTES qui sont soupçonnées d’avoir déclenché une évolution grave de la COVID-19. »

Les médecins et les hôpitaux ont d’autant plus suivi cette règle que leur rémunération a été fortement accrue en codifiant « Covid » toute maladie respiratoire.

Il ne saurait y avoir de différences de rémunération pour des maladies à symptômes ou gravité comparable sauf à vouloir fausser les statistiques et donc la réalité.

Ce seul fait (parmi d’autres) constitue une preuve de la volonté de créer une fausse épidémie à partir de rien.

Nous avons assisté à une disparition magique de toutes les autres pathologies comme le confirme Pierre Lécot(([32] La bureaucratie sanitaire au centre de la fraude
https://www.youtube.com/watch?v=ceG8dd80JJU)):

Qui peut raisonnablement croire que le virus de la grippe (ou les autres virus respiratoires) n’a pas frappé en 2020 où il aurait entraîné 72 morts(([33] https://www.ladepeche.fr/2020/03/05/avec-72-morts-la-grippe-a-beaucoup-moins-tue-cet-hiver-en-france,8777067.php
Avec 72 morts, la grippe a beaucoup moins tué cet hiver en France.)) officiels ?

Le virus de la grippe qui ne travaille que 3 mois par an prend déjà des vacances bien méritées (Où ? Nul ne le sait), mais avec le Covid il s’est accordé plus de 3 ans de vacances et va peut-être revenir cet année frais et dispo pour reprendre son carnage annuel !

Va-t-on dire qu’il « circulait à bas bruit » ?

Le Covid identifiable par PCR ?

L’inventeur du RT-PCR Kary Mullis, prix Nobel de chimie disait(([34] https://odysee.com/@Johnny_Cirucci:4/Terrain%E2%80%94The-Film:4 1h24))

« S’ils ont pu trouver ce virus en vous, avec le PCR, si vous le faites bien vous pouvez trouver quasi n’importe quoi chez n’importe qui.

Ça vous fait croire à une sorte de notion bouddhiste que tout est dans tout.

Parce que si vous pouvez amplifier une seule molécule jusqu’à quelque chose qu’on peut vraiment mesurer, ce que la PCR peut faire, alors il y a très peu de molécules que l’on n’a pas dans son corps au moins une fois »

Cet homme n’a cessé de répéter de son vivant que son procédé était un outil de recherche et certainement pas de diagnostic.

Cela n’a pas empêché le journal Le Monde de déclarer(([35] https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2019/08/18/mort-de-kary-mullis-prix-nobel-de-chimie-1993_5500473_3382.html)):

« On peut être Nobel, avoir révolutionné la science et soutenir des thèses scientifiquement infondées. Les exemples ne sont pas légion, mais celui de l’Américain Kary Mullis, Prix Nobel de chimie 1993 pour l’invention de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) qui a bouleversé la génétique, est particulièrement éclatant. »

La démonstration soutenant la validité du test PCR et la « folie » de son inventeur reposent sur le fait qu’il est utilisé partout sur la planète, ce qui de fait apporte donc la « preuve irréfutable » de sa fiabilité.

C’est un peu comme la saignée, elle était utilisée partout jusqu’à ce que l’on découvre son inutilité et sa dangerosité (sauf pathologies spécifiques).

Le PCR est tellement « efficace » que Le Monde a précisé :

« la PCR est aussi la technique qui permet de ressusciter les dinosaures dans Jurassic Park… »

Même l’OMS(([36] https://www.who.int/fr/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05)) (non indépendante et corrompue) précise qu’il ne saurait constituer un outil de diagnostic à lui tout seul :

« La plupart des épreuves de PCR sont indiquées à titre d’aide au diagnostic et les prestataires de soins doivent donc examiner les résultats en tenant également compte de la date de prélèvement, du type d’échantillon, des caractéristiques spécifiques du test, des observations cliniques, des antécédents du patient, du statut confirmé des contacts éventuels et des informations épidémiologiques. »

Nous savons que des millions de tests ont été pratiqués sans consultation médicale préalable.

La quasi-intégralité des testés étant asymptomatiques (donc non malades) et ce à seule fin de rendre réelle une épidémie dont nous ignorerions encore l’existence sans les médias ou les masques.

Quand bien même le Sars-cov2 existerait, le RT-PCR ne serait pas en mesure de le détecter sans une marge d’erreur délirante !

Que les virus existent ou pas, que le sars-cov2 existe ou pas, que celui-ci soit naturel ou manipulé, cela ne change pas le fait que le génome de ce prétendu virus est une construction artificielle imaginaire sur la base d’un génome de Sars-cov1 (tout aussi imaginaire) et que les tests PCR ne permettent pas d’identifier catégoriquement la présence de la globalité de cette séquence imaginaire.

C’est aussi ce qui expliquerait pourquoi on a pu détecter du HIV (dont le génome est tout aussi imaginaire/inventé) dans le génome du Sars-cov2.

Question : Quelle est la probabilité pour qu’un individu ait dans son corps une séquence complète d’un génome qui n’existe pas et qui n’est qu’une construction humaine ?!

Dès lors que les personnes sont conscientes des réalités objectives suivantes :

  • Rien ne permet de caractériser le Covid 19 comme une nouvelle maladie.
  • Le Covid 19 est le nouveau nom donné à toutes les maladies respiratoires des précédentes années.
  • Le test PCR ne vaut strictement RIEN !

Alors le château de cartes s’effondre…

Toutes les mesures spécifiques de distanciation, de masque, de confinement n’ont strictement aucune justification.

Je vous invite à lire les dizaines d’études qui prouvent l’inutilité de ces mesures.

Si de plus nous intégrons cette donnée complotiste 4dan que les virus n’existent pas, qu’ils ne sont qu’une théorie jamais prouvée, que les expériences cherchant à contaminer des porteurs sains (grippe, rougeole, polio…) se sont soldées par des échecs (ou que le groupe témoin était plus malade que le groupe à infecter) alors cela enterre définitivement toutes ces mesures.

Je vous rappelle qu’aucun virus prélevé sur un malade n’a pu être directement observé in vivo ! (Comme, par exemple, le virus du sida).

De fait, si la contagion virale n’existe pas, pourquoi et comment s’en protéger ?

Sans compter le nombre d’études qui s’accumulent et que l’on prend bien soin de cacher au public assoiffé de volonté d’ignorer la vérité sur les confinements, distanciation, masques, couvre-feu qui n’ont aucune incidence positive sur l’épidémie.

Interdiction de soigner une « nouvelle » maladie « mortelle » ?

Cela devient « croustillant » lorsque l’on aborde le sujet du traitement et du vaccin.

Ne trouvez-vous pas « étrange » que les médecins aient été interdits de traitement lors de la première vague (la seule vague avec des malades) ?

On a forcé les malades à prendre du Paracétamol qui est reconnu pour sa dangerosité.

Question ; Qui peut être aussi stupide pour croire qu’en cas de nouvelle maladie la marche à suivre est “restez chez vous sans traitement et attendez d’aller très très mal pour aller (mourir) à l’hôpital” et de ne SURTOUT PAS utiliser les traitements et solutions habituelles ?

Au contraire on a attendu que les patients aient des poumons en très mauvais état pour les mettre sous respirateur avec une pression d’oxygène telle que cela faisait exploser leurs bronches et donc les achevait…

Et que dire des vieux dans les maisons de retraite interdits de soin non pas sur des critères de santé et de pronostic, mais uniquement d’âge ?

Ils ont été interdits d’hôpital, interdits de traitement (inexistant comme il se doit) et « terminés » au Rivotril !

Les médecins qui ont bravé les interdits, qui ont osé (et ils ont été punis pour cela) soigner leurs patients ont eu des résultats remarquables et n’ont pas constaté plus de décès que les années précédentes.

L’inversion des valeurs !

Question : L’interdiction de soin (et l’opération visant à fausser les statistiques) pour rendre réelle une maladie indétectable autrement que par un test PCR non fiable n’est-elle pas un point « étrange » de plus  ?

Le malade asymptomatique

Sans compter cette merveilleuse invention du patient contagieux asymptomatique, une première mondiale soulignant le mystère de la contagion !

Je vous rappelle que l’on n’a jamais observé le virus in vivo dans le crachat d’un malade, qu’il fallait obligatoirement aller chercher le « virus tueur » on fond de la gorge [ou du nez] et non dans la salive.

Qu’il fallait procéder à au moins 30 cycles d’amplification du RT-PCR pour détecter ce que l’on nommait magiquement sars-cov2.

Un peu de bon sens !

Nous avions donc des « positifs asymptomatiques » qui de fait ne toussaient pas et ne crachaient pas, asymptomatiques voulant dire « sans le moindre symptôme d’une quelconque maladie ».

On prétendait qu’un prélèvement salivaire ne permettait pas de détecter le virus.

Virus dont la présence était uniquement révélée par un PCR suite à un prélèvement au fond de la gorge.

Et il nous a été répété que cette personne sans symptômes pouvait transmettre ce virus, virus indétectable dans la salive !

Question : Comment des millions de Français continuent-ils à gober ce délire ?

Le « vaccin »

Vaccin dont les fabricants reconnaissent qu’il leur a fallu quelques heures pour le mettre au point.

On nous répète depuis des mois que celui-ci a été fabriqué sur la séquence du virus de Wuhan.

Je vous rappelle que ce génome est un génome imaginaire supposé être le génome du « vrai » sars-cov2.

Génome construit avec des briques du supposé sars-cov1 elles-mêmes tout aussi imaginaires et issues d’un autre génome imaginaire.

Si les virus existaient et si les vaccins permettaient de faire des défenses immunitaires pour ne pas tomber malade alors n’importe quel idiot concepteur de ce « vaccin » eut été conscient du peu de probabilité de l’efficacité de son usine à produire des toxines.

Le fabricant n’eût pu ignorer que la probabilité d’efficacité eut été extrêmement faible au regard du génome imaginaire utilisé.

Ce qui ne l’a pas empêché de dire qu’il était efficace à plus de 90 %.

Question : Alors même que l’on nous inonde de nouveaux variants. Alors même qu’il est reconnu que « l’efficacité » des vaccins diminue avec les mutations [tout aussi supposées]. Alors même qu’il a fallu quelques heures pour programmer le premier vaccin :
Pourquoi la première mise à jour est annoncée pour l’automne, soit 3 ans après l’émergence de la première souche ?

Si maintenant les virus n’existent pas alors il n’est plus question de parler d’efficacité vaccinale.

Vaccins dont la fabrication requiert de nombreux poisons et dont le rapport bénéfice vs risque ne peut qu’être catastrophique.

Consentement vaccinal

Je note aussi que c’est la première épidémie pour laquelle le consentement à vaccination n’a pas été basé sur les craintes et les convictions des personnes éligibles, mais à la mise en œuvre d’un crédit social.

À part quelques paniqués manipulés, les patients ne se sont pas injectés pour échapper à la mort (et ne me faites pas marrer en parlant d’altruisme), mais pour pouvoir aller au restaurant, au club de sport ou retrouver « une vie normale ».

C’est dire à quel point le peuple n’a pas gobé la supercherie du virus mortel et que cette épidémie était médiatique.

Je ne connais directement ou indirectement personne en bonne santé et jeune qui serait décédé de ce prétendu virus.

Donc la question qui demeure n’est pas de savoir si l’épidémie de Covid est une escroquerie, mais à quel point elle est une escroquerie (ainsi que les autres épidémies).

Si les virus n’existent pas…

Celles et ceux qui avaient mon « savoir » récent vont avoir du mal à avaler cette pilule rouge grande comme un porte-avions.

Une chose est certaine :

  • Si la science existait.
  • Si elle n’était pas dans les mains des industries pharmaceutiques et autres Blackrock.

Il serait indispensable de mettre des millions de dollars dans des études indépendantes et sans conflit d’intérêts afin de déterminer si nous vivons dans un monde de virus menaçants ou si nous sommes l’héritage d’une escroquerie majeure de Pasteur et autres acolytes.

Il n’est pas possible de rester dans cette incertitude !

Vérité impossible ?

Celui qui serait en capacité de prouver l’escroquerie et ouvrir les yeux du public ferait bien de prendre une bonne assurance vie.

Menacer à la fois des milliards de bénéfices annuels, mais aussi le maintien dans la peur du peuple ne peut se faire sans risques majeurs.

Je dis cela, mais je suis certain que les maîtres du monde et Big Pharma ont déjà prévu cette transition.

En septembre 2021 j’avais écrit un texte à ce sujet, « vous avez tué le principe de la vaccination(([37] https://7milliards.fr/tortosa20210926-deces-de-la-vaccination.pdf))»

Un nouveau marché émergeant

Il semblerait que la menace soit en train de se déplacer.

Poutine n’est qu’une diversion, un interlude entre 2 maux pour nous appauvrir un peu plus.

La variole du singe est un bide, elle ne prend pas, le scénario est trop identique, un mauvais remake.

En revanche le changement climatique est un franc succès avec une belle dictature mondiale à la clef.

Je constate autour de moi que celles et ceux qui ont gobé la fiction Covid gobent totalement le « changement climatique qui va annihiler toute forme de vie si nous ne prenons pas le taureau par les cornes » (synonyme de « si nous ne mettons pas en place une dictature climatique drastique »).

Les Français accepteront sans se révolter d’utiliser leur véhicule uniquement pour se rendre au travail.

Véhicule qui sera de fait interdit pour les loisirs et les vacances (sauf payer une taxe délirante ou être membre de la caste des demi-dieux).

Les importants pourront continuer à utiliser leur jet privé, mais attention « intégralement compensé CO2 ».

Quid de l’industrie pharmaceutique dans un monde où la vaccination est morte ?

Il faudra toujours des médicaments pour nous « soigner », des médicaments eux-mêmes et des produits chimiques répandus dans l’atmosphère ou dans la nourriture et qui nous rendent malades, mais quid des vaccins ?

Si le peuple reconnaît qu’il n’y a pas de virus, que toute cette mascarade mortifère est une escroquerie alors il n’y aura plus aucun vaccin !

Il en est de même s’il ouvre les yeux sur ce poison vaccin volontairement répandu.

Est-ce pour autant la mort définitive des vaccins ?

J’imagine qu’il leur suffira de changer de nom. Delfraissy les nomme d’ailleurs « vaccins médicaments »

Les médicaments préventifs de demain seront donc les vaccins d’hier.

Le changement climatique sera une source merveilleuse de peurs et de décès

Il suffira de faire officiellement mourir des millions de personnes à cause du CO2 et du réchauffement climatique puis de rendre obligatoire « l’injection de la survie », celle qui permet de ne pas mourir à cause des changements !

Le plus complexe sera sans doute les premiers mois de la mise en œuvre du plan.

En effet il faut que le peuple benêt et apeuré croie que des gens meurent à cause du changement climatique, mais surtout que chacun peut y passer, y compris ses enfants.

Car je vous rappelle une règle principale, si c’est le voisin ou l’Africain qui crève, on n’en a strictement rien à foutre !

Le génie de ces enculés, nommons-les tels qu’ils sont, est sans limites.

Si les effets secondaires des injections de « vaccin » Covid se poursuivent ou s’amplifient alors le fonds de commerce sera bien présent.

Ils ont commencé à le faire… aucune de ces morts subites des adultes, de ces AVC, fausses couches, cancers et autres ne sont imputables aux injections expérimentales à ARNm !

De nombreuses études financées par Big Pharma vont pouvoir sortir « prouvant » que ces décès ont été provoqués par le changement de la composition de l’air due au « réchauffement climatique ».

Vous n’ignorez pas que l’injection de la survie sera efficace à 99,99 % pour se protéger du fléau mortel.

Puis une petite étude « honnête » permettra ensuite de « prouver » que les non injectés, recracheront des gaz dangereux, voire mortels pour la santé des injectés, activement protégés par leur injection récurrente salvatrice.

Les non-injectés seront, comme pour le Covid, les assassins des injectés protégés (vous connaissez le processus maintenant).

« La liberté c’est l’interdit, elle consiste à ne pas nuire à son prochain ».

Mon cul !

Car c’est bien la capacité donnée à autrui de me pourrir la vie avec sa tondeuse le dimanche matin qui garantit MES libertés.

Cette dangerosité des non-injectés pour la planète, le climat et les injectés justifiera totalement le pass climatique qui interdira « enfin » aux non-injectés de fréquenter les lieux publics, travailler ou partir en vacances.

Puis l’injection miracle prendra le relais des décès dus aux injections anticovid, elle fera son œuvre en provoquant des décès et des maladies inédites grâce aux poisons intelligemment inclus dans la mixture « tous anti CO2 ».

Décès et maladies qui seront, comme pour le Covid, imputés uniquement au changement climatique et non à l’injection elle-même, et ce avec le soutien de tous nos grands médias indépendants qui salueront le consensus scientifique corrompu.

« Tous injectés, tous protégés du changement climatique » qui deviendra par la suite « l’injection protège des formes graves de changement climatique »

À force, ils vont bien réussir à dépeupler totalement l’occident…

Les fameux variants (tout aussi imaginaires) ne seront plus le fruit d’un virus imaginaire qui mute, mais issus de « la composition de l’atmosphère qui continuera à se dégrader du fait des non injectés ».

Car plus on sera en dictature, plus on diminuera les consommations des gueux et plus la situation ira en se dégradant comme il se doit.

Espérons que les Chemtrails existent vraiment et qu’ils permettent de contrôler localement la météo, afin de pouvoir provoquer ici et là des épisodes de canicule ou des inondations meurtrières bien anxiogènes.

Ainsi le public voyant visiblement les dégâts terribles causés par les variations climatiques (surtout chez les enfants, c’est plus vendeur) sera bien conscient de la nécessité de s’injecter la pilule pour lutter contre les nouveaux polluants invisibles, mais mortels.

Et je ne vous parle pas du masque qui permettra de filtrer plus de 90 % des gaz mortels dus au dérèglement climatique et de protéger le voisin, auquel nous tenons tant et qui respire nos gaz toxiques.

Vous voyez, l’industrie pharmaceutique peut mettre à mort les vaccins et les remplacer par des injections mensuelles à vie tout aussi rémunératrices et toxiques…

Celles et ceux qui penseraient que je pourrais donner des idées aux enculés qui nous exploitent et nous gouvernent, ne vous inquiétez pas, ils y ont déjà pensé bien avant moi.

Et aux incrédules je dis de garder soigneusement ce texte et de le ressortir dans quelques années.

Car à moins qu’il y ait enfin le grand réveil, ceci n’est pas de la fiction, mais un documentaire.

En même temps, comme dirait l’autre, ils n’ont pas ouvert les yeux sur l’escroquerie de Covid, alors que tout ce que nous avions annoncé s’est concrétisé.

Du moment qu’il nous reste suffisamment d’électricité pour regarder la télé et utiliser notre smartphone, à quoi bon se plaindre ?

J’en terminerais par cette question sur les virus qui n’est pas ou plus :

  • « Les virus existent-ils ? »

Mais

  • « Croyez-vous en l’existence des virus ? »

Une entité :

  • Que l’on ne peut voir in vivo !
  • Que l’on n’a jamais vue entrer dans une cellule saine, se reproduire, et la détruire en sortant !
  • Donc l’effet cythogénique n’a jamais été prouvé, sujet à caution et n’est pas reproductible avec certains virus !
  • Dont nul ne sait si les antigènes, parfois absent alors que le virus est présent, seraient la preuve d’une contamination ou le processus normal d’une maladie non virale.
  • Dont le test RT-PCR qui permettrait d’établir leur génome puis de les détecter relève de la construction humaine, de la magie ou de l’escroquerie.

merci

Alain Tortosa

31 août 2022
http://7milliards.fr/tortosa20220831-covid-virus-escroquerie-scientifique-foi.pdf





Démantèlement de l’hypothèse virale

[Traduction : Jean Bitterlin]

[Source allemande : https://wissenschafftplus.de/uploads/article/Wissenschafftplus_Viren_entwirren.pdf
WISSENSCHAFFTPLUS – Das Magazin 6/2015]

Le « virus de la rougeole » comme exemple. Les raisons pour lesquelles on devrait douter au sujet des affirmations concernant les virus. Que sont les virus et que ne sont-ils pas ? Comment l’existence des virus est-elle expérimentalement prouvée ?

[Du même auteur ou concernant ses publications et travaux :
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Besoin urgent d’agir en ce qui concerne le SARS-CoV-2 et la vaccination obligatoire contre la rougeole
L’invention du SARS-CoV-2
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés

Autres articles sur la fausseté de la théorie virale :
Démontage de la théorie virale
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
L’enterrement de la théorie virale
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
L’effondrement de l’hypothèse virale
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
VIRUS TUEUR ??
Dr. Claus Köhnlein – Du SIDA au Covid-19 : une arnaque qui dure depuis plus de 40 ans
Repenser le SIDA
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH
Dr Valentina Kiseleva – Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
La poliomyélite, une escroquerie médicale de plus ?
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire]

Par le Dr Stefan Lanka

Les scientifiques doivent douter. Ils doivent même douter de tout. Surtout de ce qui leur est cher, à savoir leurs propres découvertes et représentations. Cette règle de base du travail scientifique a pour but d’éviter les dérives et de mettre en évidence celles qui existent. De même, tout le monde a le droit de douter, si ce n’était pas le cas nous serions en dictature. De plus, la science n’est pas limitée à quelques institutions et spécialistes. Toute personne, disposant des connaissances nécessaires et des méthodes appropriées, peut et a le droit de pratiquer la science.

La science n’est science que si les affirmations sont vérifiables et compréhensibles et permettent des prédictions. La science a besoin d’un contrôle extérieur, car, comme nous le verrons, une partie des sciences médicales s’est depuis longtemps éloignée de la réalité sans même s’en rendre compte. Quiconque connaît la biologie, l’origine de la vie, la structure et le fonctionnement des tissus, du corps et du cerveau, mettra automatiquement en doute les affirmations concernant les virus.

Dans la réalité du corps et de ses mécanismes, il n’y a pas de place pour l’hypothèse d’une action malveillante. Tous les processus qui se déroulent, y compris ceux qui peuvent déboucher sur des maladies, des souffrances, des douleurs et la mort, sont à l’origine destinés à être utiles.

Une autre approche du phénomène viral est également possible et nécessaire : tout profane disposant de quelques connaissances de base et qui lit des publications scientifiques sur les virus pathogènes reconnaît qu’il n’y apparaît pas de virus, mais des composants et des caractéristiques typiques des cellules. C’est cette connaissance de base que nous voulons transmettre dans cet article.

Les origines de l’idée

L’idée actuelle du virus est basée sur des idées très anciennes selon lesquelles toutes les maladies sont causées par des poisons et que l’homme retrouverait la santé en créant des antidotes. Il est vrai que quelques maladies sont causées par des poisons. L’idée qui a suivi selon laquelle le corps retrouve la santé par la formation ou l’administration d’antidotes a été déduite du fait qu’en augmentant lentement les quantités de poison, par exemple de l’alcool, le corps ainsi entraîné est en mesure de survivre à de plus grandes quantités de poison. Ce qui est faux, il n’y a pas de formation d’antidotes, mais le corps produit des enzymes qui décomposent et neutralisent les poisons.

En 1858, Rudolf Virchow, le fondateur de la médecine moderne, a plagié le savoir, supprimé l’essence du savoir et érigé une vision erronée des causes des maladies en dogme efficace encore en vigueur aujourd’hui. Toutes les maladies sont censées naître dans la cellule(([1] Voir les explications sur la vie et l’impact de Virchow dans WissenschafftPlus n° 5/2015 et n° 6/2015.)). Avec sa pathologie cellulaire, Virchow réintroduisait dans la médecine la théorie antique des humeurs, réfutée à son époque, et prétendait que les maladies étaient causées par des poisons pathogènes, en latin « virus ».

Lors de la recherche des poisons des maladies, recherche qui est restée infructueuse jusqu’à aujourd’hui, on a supposé, en découvrant et en étudiant les bactéries, que ces dernières produisaient ces poisons. Cette supposition, appelée « théorie des germes », a connu, et ce jusqu’à aujourd’hui, un grand succès. À un tel point que la population n’a pas pris connaissance que ce que l’on appelle les poisons bactériens est en réalité des enzymes normales qui ne peuvent pas être produites chez l’homme et qui, si elles le devaient tout de même, ne seraient jamais produites en une quantité suffisante pour être dangereuses.

Ensuite on découvrit que les bactéries, lorsqu’elles sont lentement privées de leurs moyens de subsistance, forment de minuscules formes de survie, d’apparence inerte, appelées spores. On a supposé que les spores étaient toxiques et qu’elles étaient les poisons présumés des maladies. Cela a été réfuté, car les spores donnent très rapidement naissance à des bactéries lorsque les conditions de vie sont à nouveau réunies. Lorsqu’on a observé que des bactéries instables et hautement cultivées pouvaient mourir rapidement et se transformer en structures encore plus petites que les spores, on a d’abord cru que les bactéries avaient été tuées par les poisons pathogènes présumés, appelés virus, qui se seraient multipliés.

Parce qu’on croyait que ces structures — encore invisibles lors de leur découverte — tuaient les bactéries, on les a appelées phages, les « mangeurs de bactéries ». Ce n’est que plus tard que l’on a constaté que seules des bactéries très fortement cultivées, et devenues de ce fait presque inaptes à la vie, pouvaient être transformées en phages ou lorsqu’elles étaient très rapidement privées de leurs moyens d’existence, de sorte qu’elles n’avaient pas le temps de former des spores.

Avec l’introduction de la microscopie électronique ont été découvertes les structures en lesquelles les bactéries se transforment lorsqu’elles sont soudainement privées de leurs moyens de subsistance ou lorsque le métabolisme de bactéries hautement cultivées est soumis à rude épreuve par l’administration de « phages » aux bactéries. On a alors découvert qu’il existait des centaines d’espèces de « phages » d’apparences différentes. On pensait que les « virus » supposés des hommes et des animaux ressemblaient également à cela. La découverte des phages, les « virus » des bactéries, a renforcé l’idée erronée et la croyance que les « virus » existaient également chez les hommes et les animaux et qu’ils avaient les mêmes apparence et structure. Pour diverses raisons, ce n’est pas et ne peut pas être le cas.

Avec l’application des techniques d’analyse chimique en biologie, on a découvert qu’il existe des milliers d’espèces de phages et que les phages d’une même espèce ont toujours la même structure. Ils sont constitués d’une molécule spécifique, constituée d’acide nucléique, entourée d’une enveloppe de protéines de nombre et de composition déterminés. Ce n’est que plus tard que l’on a découvert que ce n’est que dans un laboratoire que les bactéries hautement cultivées se transforment elles-mêmes en phages par contact avec des phages, mais que les bactéries provenant de la nature ou celles qui viennent d’être prélevées dans leur environnement naturel ne font jamais cela. On a alors découvert que ces « virus des bactéries » servaient à offrir des molécules et des protéines importantes à d’autres bactéries et que les bactéries elles-mêmes étaient issues de telles structures.

Avant même qu’il ne devienne évident que les « virus des bactéries » ne peuvent pas tuer les bactéries naturelles, mais les aident à vivre et que les bactéries elles-mêmes sont issues de telles structures, ces « phages » ont servi de modèle aux virus supposés chez l’homme et l’animal. On supposait que les virus de l’homme et de l’animal ressemblaient aussi à cela, qu’ils tuaient vraisemblablement les cellules, déclenchant ainsi des maladies, produisant ainsi de nouvelles toxines pathogènes et transmettant ainsi la maladie. Ce réflexe est encore efficace de nos jours, que des maladies nouvelles ou apparemment nouvelles, si l’on ne connaît pas leurs causes ou si l’on n’en prend pas connaissance, sont causées par des virus. Ce réflexe a reçu une apparente confirmation avec la découverte des « virus des bactéries ».

Ici il est important de noter que les théories de la lutte et de la contagion n’ont été adoptées et défendues que par la majorité des spécialistes impliqués dans des pays ou des régions concernés qui souffraient de la guerre et de la misère. En temps de paix, d’autres idées dominaient(([2] Anticontagionisme entre 1821 et 1867 article d’Erwin H. Ackerknecht dans le Bulletin of the History of Medicine, Volume XXII, The Johns Hopkins Press, 1948.)). Il est particulièrement important de noter que la théorie de l’infection n’a pu se mondialiser — en partant de l’Allemagne — qu’avec le troisième Reich, lorsque les chercheurs juifs, qui s’opposaient majoritairement aux théories de l’infection, instrumentalisées politiquement, et les réfutaient, ont été écartés de leurs positions.(([3] l’Institut Robert Koch sous le régime national-socialiste. Livre d’Annette Hinz-Wessels, 192 pages, 2008, Kulturverlag Kadmos Berlin.))

Sur la détection des phages

L’existence des phages a été et est encore rapidement et simplement prouvée dans un premier temps par la confirmation de leur présence par un effet, la transformation des bactéries en phages, et par une image au microscope électronique. Les expériences de contrôle consistent en la non-apparition de phages lorsque les bactéries ne changent pas ou lorsqu’elles se décomposent de manière aléatoire par dégradation externe, sans former de phages.

Lors de la deuxième étape, le fluide contenant les phages est concentré et appliqué sur un autre fluide qui présente une concentration élevée en bas du tube et une concentration plus faible en haut. Ensuite, le tube contenant les phages est fortement centrifugé et toutes les particules qu’il contient se déplacent en fonction de leur taille et de leur masse vers l’endroit de leur propre densité. La densité est le quotient de la masse par le volume, exprimé en kg/litre ou g/ml. C’est pourquoi cette étape de concentration et de purification de particules de même densité est appelée centrifugation à gradient de densité.

À l’endroit où se trouvent de nombreuses particules de même densité apparaît une opacité appelée « bande ». Ceci est documenté et les particules ainsi concentrées et purifiées des autres composants sous forme de « bande » sont prélevées par une aiguille d’injection. La quantité de particules prélevées et concentrées est appelée isolat. La présence effective de phages dans l’isolat est confirmée par une photographie rapide et simple prise au microscope électronique, qui donne en même temps une première indication de la pureté de l’isolat si l’on n’y voit rien d’autre que des phages et aucune autre particule. Cette image permet également de déterminer l’aspect et le diamètre des phages. L’expérience de contrôle consiste à traiter et à centrifuger de la même manière des fluides de bactéries qui n’ont pas produit de phages, sans que ceux-ci n’apparaissent à la fin de l’expérience.

Après cette étape d’isolement réussi des phages, on procède à la caractérisation biochimique décisive des phages. Seule cette caractérisation biochimique de leur composition permet de reconnaître de quel type de phage il s’agit, car les différents phages ont souvent la même apparence. Pour ce faire, l’isolat, la bande obtenue par centrifugation densité-gradient et composée de phages, est divisé en deux parties. Une partie est utilisée pour déterminer la taille, le type et la composition de l’acide nucléique du phage et l’autre partie, dans un autre examen, est utilisée pour déterminer le nombre, la taille et la composition des protéines du phage. Ces analyses sont devenues des techniques standard simples depuis les années 70, que tout étudiant en biologie apprend depuis à maîtriser dès les premiers semestres de son cursus.

Ces études sont appelées la caractérisation biochimique du phage. Dans presque tous les cas, ces connaissances ont été et sont publiées en une seule fois, car un phage a une structure très simple et l’étude de la composition de ses quelques composants est facile. Ici les expériences de contrôle sont la tentative infructueuse de détecter quelque chose de manière biochimique avec des fluides de bactéries qui ne produisent pas de phages. De cette manière, l’existence d’environ deux mille espèces différentes de phages a été scientifiquement prouvée.

La centrifugation à gradient de densité est la méthode standard prescrite scientifiquement pour prouver l’existence des virus.

Bien que cette méthode soit présentée dans presque tous les manuels de microbiologie comme une méthode d’isolement des virus, elle n’est jamais utilisée dans les expériences visant à prouver l’existence de virus pathogènes.

Tube à centrifuger avec des petites billes à gradient avec en surface un échantillon comprenant des virus et des fragments de cellules Tube à centrifuger avec des bandes constituées de virus et de fragments de cellules à la fin de la centrifugation En prélevant la bande constituée de virus, le virus est isolé et purifié des composants cellulaires

Sur l’apparente détection de virus pathogènes

Contrairement aux « phages », correctement désignés comme des mini spores incomplètes et éléments constitutifs des bactéries, les supposés virus pathogènes chez l’homme et l’animal n’ont jusqu’à présent jamais pu être vus dans un homme, un animal ou leurs fluides corporels, ni être isolés de ceux-ci comme des phages et donc non plus caractérisés biochimiquement. Jusqu’à présent, aucun des chercheurs concernés n’a remarqué cela.

Sans se rendre compte que l’on n’avait pas vu et isolé les virus pathogènes présumés chez aucun être humain ou animal, car l’utilisation du microscope électronique et de la biochimie ne s’est normalisée que lentement après 1945, on a appliqué dès 1949 aux virus humains et animaux la même idée que pour les phages pour soi-disant les multiplier. John Franklin Enders, né en 1897, fils d’un banquier fortuné qui après ses études a travaillé deux ans dans des confréries, puis comme agent immobilier, a ensuite étudié quatre ans les langues avant de se reconvertir dans la virologie bactérienne qui le fascinait.

Il a simplement transféré ces idées et concepts qu’il avait appris pour la détection des phages aux virus présumés pathogènes chez l’homme. Avec ses interprétations erronées, non scientifiques et non étayées par des essais de contrôle, il a induit en erreur la médecine infectieuse « virale ». Il est important de savoir que, comme de nombreux infectiologues, Enders travaillait également pour l’armée, qui était et est toujours la victime de la peur de la contagion. C’est principalement l’armée qui a cru et répandu l’idée qu’il existait, en plus des armes chimiques, des armes biologiques sous forme de bactéries et de virus, ce qui n’est pas le cas.

En 1949, Enders a publié qu’il avait réussi à cultiver et à multiplier le virus présumé de la polio sur un terrain de cellules tissulaires dans un tube à essai. Le milieu d’experts américain y a cru d’emblée. Enders a simplement donné des fluides de personnes diagnostiquées avec la polio sur des cellules tissulaires qu’il avait prétendument stérilisées au préalable, et a prétendu que les cellules mouraient sous l’effet du virus, que celui-ci se multipliait ainsi et qu’on pouvait en tirer le vaccin. À cette époque, des épidémies de poliomyélite, définies comme une « paralysie flasque », se produisaient souvent en été et étaient interprétées comme le résultat de la présence du virus de la polio. La vaccination devait permettre d’éradiquer le virus présumé. Après l’introduction de la vaccination antipoliomyélitique, ces phénomènes ont été appelés, entre autres, sclérose en plaques, puisque la poliomyélite avait été prétendument « éradiquée » par la vaccination.

Enders et ses collègues ont stérilisé les cellules tissulaires afin d’exclure que des bactéries ne tuent les cellules. Ce à quoi il n’a pas pensé, c’est que la stérilisation et le traitement des cellules en vue d’une prétendue infection ultérieure tuaient les cellules. Il a immédiatement assimilé la mort de ces cellules tissulaires à la présence et à l’action du virus de la polio, sans qu’aucun virus n’ait été alors, ni encore aujourd’hui, isolé et caractérisé. Les expériences de contrôle nécessaires, qui auraient prouvé que la stérilisation et la préparation des cellules à l’infection tuent les cellules tissulaires dans l’éprouvette n’ont jamais été menées, ni alors ni de nos jours. Pour cette « performance », lui et ses collègues ont reçu le prix Nobel de physiologie/médecine en 1954.

En 1954, Enders a introduit la même technique pour la multiplication apparente du virus de la rougeole. Comme il a reçu la même année le prix Nobel pour le virus présumé de la polio, tous les chercheurs croient encore aujourd’hui que sa technique est scientifiquement valide. Toutes les idées actuelles sur la rougeole reposent sur cette technique. Les vaccins contre la rougeole ne sont donc pas constitués de virus, mais de particules mortes de cellules rénales de singe ou de cellules cancéreuses humaines utilisées à cet effet. Là encore, à ce jour, aucune expérience de contrôle n’a été menée qui aurait prouvé que ce sont les conditions de l’expérience qui entraîne la mort des cellules.

Ne serait-ce que pour la raison de l’absence d’expériences de contrôle, sa technique et toutes les affirmations et mesures qui en découlent concernant la rougeole ne peuvent être affirmées comme scientifiques. Plus encore : les déclarations et les expériences d’Enders et de ses successeurs ne permettent pas, en toute objectivité, de conclure autrement que, dans toutes les démarches qu’ils entreprennent, il est toujours clair que l’on constate et examine des composants et des propriétés de cellules d’éprouvette mourantes, qui sont interprétés à tort comme des composants et des propriétés du présumé virus de la rougeole.

L’exemple du virus de la rougeole

Les déclarations suivantes s’appliquent à tous les virus dits pathogènes chez l’homme et l’animal. Les six publications présentées par le plaignant (les six études présentées par le Dr Barden, représentant l’Institut Robert Koch — NdT) dans le cadre du procès sur le virus de la rougeole, au lieu d’une seule publication, décrivent de manière pédagogique et idéale les différentes étapes de la dérive vers la croyance en un virus de la rougeole. La première publication est celle d’Enders, publiée en 1954 sous le titre « Propagation d’agents cytopathogènes dans des cultures tissulaires provenant de patients atteints de rougeole » dans la revue spécialisée Proc Soc Exp Biol Med. 1954 Jun ; 86 (2) : 277-286. Cette publication est, comme toutes les autres publications du procès, disponible sur Internet.

Dans cette expérience, Enders et ses collègues réduisent drastiquement la solution nutritive et ajoutent aux cellules des antibiotiques tueurs de cellules juste avant d’ajouter des liquides soi-disant infectés. La mort des cellules qui s’ensuit est assimilée à la présence et, en même temps, à l’isolement du virus présumé de la rougeole. Aucune expérience de contrôle n’a jamais été menée pour exclure que le retrait de la solution nutritive et l’administration d’antibiotiques puissent être à l’origine de la mort des cellules. Pourtant ce n’est pas seulement évident du point de vue actuel. L’aveuglement d’Enders et de ses collègues peut s’expliquer par le fait qu’ils voulaient aider les gens, que l’hystérie virale s’intensifiait avec la guerre et la guerre froide, qu’Enders et ses collègues n’avaient aucune idée de la médecine et s’étaient retrouvés dans une course contre l’Union soviétique et d’autres pays pour la mise au point du vaccin contre la rougeole.

Une telle pression pour réussir peut également expliquer que lui et tous ses successeurs aient oublié leurs propres restrictions et avertissements de 1954, car ils avaient observé que les cellules meurent également dans une certaine mesure, même si elles sont traitées normalement (sans être « infectées » — NdT). Ils ont expliqué cela par l’action de virus et de facteurs inconnus. Ces faits et ces avertissements ont tout simplement été ignorés. Dans la deuxième publication du procès (la 2étude présentée par le plaignant — NdT), celle de 1959(([4] Bech V, Magnus Pv. Etudes sur le virus de la rougeole dans les cultures de tissus de singes. Acta Pathol Microbiol Scand. 1959 ; 42 (1) : 75-85.)) — voir à ce sujet et à propos de tous les autres mes observations du 2 février 2015 sur www.wissenschafftplus.de/blog/de — pour cette raison les auteurs constatent que la technique introduite par Enders n’est pas appropriée pour « isoler » le virus de la rougeole. Cette réfutation, elle aussi, non seulement n’est pas discutée par tous les spécialistes qui se sont succédé, ce qui est un devoir scientifique, mais elle est même ignorée.

Dans la troisième publication du procès(([5] Nakai M, Imagawa DT. Réplication du virus de la rougeole en microscopie électronique. J. Virol. Février 1969 ; 3 v (2) : 187–97.)), les auteurs photographient des composants typiques à l’intérieur de cellules et les interprètent comme étant le virus de la rougeole. Ils n’isolent pas de virus. Ils ne déterminent pas non plus, pour des raisons inexplicables d’un point de vue actuel, la composition chimique de ce qu’ils font passer pour un virus dans une autre expérience. En lisant la courte partie consacrée aux méthodes, il est clair qu’aucune centrifugation à gradient de densité, la technique standard pour isoler les virus, n’a été effectuée. Ils ont simplement centrifugé des cellules mortes au fond d’un tube à essai. Convaincus que des virus devaient être présents, l’accumulation de ces fragments reconnaissables — sans déterminer leur composition chimique — a été mal interprétée comme étant des virus. La manière dont les expériences ont été menées ne peut qu’aboutir à la conclusion que des composants cellulaires ont été interprétés à tort comme étant des virus. C’est exactement la même chose dans les quatrième(([6] Lund GA, Tyrell, DL, Bradley RD, Scraba DG. La longueur moléculaire de l’ARN du virus de la rougeole et l’organisation structurelle des nucléocapsides de la rougeole. J. Gen. Virol. Septembre 1984 ; 65 (Pt 9) : 1535–42.)) et sixième(([7] Daikoku E, Morita C, Kohno T, Sano K. Analyse de la Morphologie et de l’Infectivité des particules de virus de la rougeole. Bulletin de l’Osaka Medical College. 2007 ; 53 (2) : 107–14.)) publications du procès.

La cinquième(([8] Horikami SM, Moyer SA.Structure, Transcription, et Replication of Meas-
les Virus. Curr Top Microbiol Immunol. 1995; 191: 35–50.)) publication du procès est un travail de synthèse et décrit la recherche d’un consensus sur les molécules d’acide nucléique issues des cellules mortes qui sont censées constituer le matériel génétique du virus de la rougeole, également appelée génome du virus. Il en ressort clairement que des dizaines de groupes de travail travaillent chacun de leur côté sur de courts morceaux de molécules cellulaires spécifiques en suivant un modèle prédéfini et les ont assemblés mentalement et sur le papier en une pièce entière. Mais en réalité cet assemblage réalisé mentalement n’a jamais été vu dans son intégralité et n’a jamais été isolé à partir d’un virus, parce qu’un virus de la rougeole n’apparaît ni chez l’homme ni dans l’éprouvette.

À propos de cette publication, il est à noter que l’expert dans le cadre du procès sur la rougeole a déclaré que l’étalon-or, à savoir le matériel génétique entier du virus, y était présenté. De toute évidence, l’expert n’a pas lu cette publication. Les auteurs de cette publication constatent que dans ce domaine on ne sait pas grand-chose si ce n’est rien, que la composition et les fonctions exactes du patrimoine génétique du virus de la rougeole doivent encore faire l’objet d’études et qu’il faut donc recourir à des modèles d’autres virus pour parvenir à un consensus sur la structure et les fonctions du patrimoine génétique du virus de la rougeole.

Il est très facile pour tout le monde de reconnaître que dans aucune de ces publications, mais aussi dans toutes les autres publications sur le « virus de la rougeole » et les virus pathogènes, aucune expérience de contrôle n’a jamais été réalisée. Jamais la centrifugation à gradient de densité n’a été utilisée, mais seulement la centrifugation de fragments de cellules sur le fond d’un tube à essai. Ce processus, qui sert à recueillir tous les composants présents à partir d’un liquide, est appelé « pelletisation ». Ainsi, la seule conclusion que l’on peut tirer de ces publications et de toutes celles concernant les « virus pathogènes » c’est que des composants et les propriétés de cellules ont été mis en évidence et non un virus. Aucune autre interprétation n’est possible d’un point de vue logique et scientifique.

Une réfutation expérimentale et scientifique, au sens positif du terme, des affirmations concernant l’existence du virus de la rougeole, qui s’applique à son tour à tous les virus dits pathogènes, sera présentée dans le prochain numéro WissenschafftPlus.

Nous renvoyons ici à un article sur les virus dits géants(([9] Voir WissenschafftPlus n° 1/2014.)), des acides nucléiques enveloppés que l’on trouve en masse dans la mer et chez des organismes très simples. Ils sont, comme tous les phages des bactéries, non seulement inoffensifs, mais ont des fonctions bénéfiques. Ceux-ci sont également isolés par centrifugation à gradient de densité, ce qui prouve leur existence. C’est pourquoi nous avons choisi de présenter visuellement cette technique fondamentale pour la détection des virus dans cette contribution.

Il convient également de mentionner le travail de synthèse déterminant du professeur Lüdtke(([10] Histoire des débuts de la recherche sur les virus. Travail de synthèse du professeur Karlheinz Lüdtke. Reprint 125 du MAX-PLANCK-INSTITUT FÜR WISSENSCHAFTSGESCHICHTE, 89 pages, 1999.)) qui fait autorité en la matière. Il a démontré que dans les premiers temps de la virologie, la majorité des virologues arrivaient toujours à la conclusion que ce qu’ils avaient d’abord interprété comme un virus s’avérait être un composant des cellules utilisées et était la conséquence de l’expérience et non sa cause. Ce n’est que grâce à la découverte et à la description des phages et grâce au dogme selon lequel l’acide nucléique est le matériel génétique de toutes les cellules et des virus qu’un consensus s’est formé sur le fait que de tels « virus » devaient également exister chez l’homme et l’animal.

Le dogme selon lequel l’acide nucléique est une substance héréditaire a été révoqué en 1992 par la communauté scientifique et également en 2008(([11] Patrimoine génétique en dissolution. Die ZEIT du 16.6.2008. Voir à ce sujet les articles publiés dans WissenschafftPlus depuis 2003.)) pour une partie de l’opinion publique allemande. Le dogme de l’existence de virus pathogènes est par contre toujours en vigueur.

Le groupe australien de Perth(([12] http://www.theperthgroup.com)), composé d’Eleni Papadopulos-Eleopulos (décédée en mars 2022 — NdT), Val Turner et John Papadimitriou, a démontré de manière scientifiquement argumentée qu’il n’existe aucune preuve de l’existence du VIH. C’est Eleni Papadopulos-Eleopulos qui, depuis 1992, m’a encouragé et soutenu scientifiquement à accepter le fait, à apprendre le contexte et à diffuser l’information selon laquelle et pourquoi il n’existe pas de virus pathogène. Je lui adresse, à elle et à son équipe, mes plus vifs remerciements et tout mon respect.

Traduction Jean Bitterlin le 23 août 2022

Sources :




Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION

[Source : VA Plus]

L’idéologie transgenre qui émane de la théorie queer d’indifférenciation des sexes et des genres pousse-t-elle les personnes atteintes de dysphorie de genre vers des remèdes irréversibles et dangereux ? Diagnostics trop rapides, bloqueurs de puberté, prescription d’hormones très tôt, chirurgies de transition souvent lourdes de conséquences… Des détransitionneurs, des médecins, des sociologues s’inquiètent et alertent déjà sur des remèdes médicaux à haut risque, appliqués souvent sous le poids émotionnel des patients et sous la chape idéologique de mouvements politiques. C’est l’objet du livre de Pauline Quillon, journaliste et auteur de « Enquête sur la dysphorie de genre : bien comprendre pour aider les enfants »


Un TRANSGENRE raconte sa DÉTRANSITION




Affaire Cohen et Lina, l’association E3M cherche plutôt des vrais journalistes

[Source : aimsib.org]

Dans ce déferlement d’anti-démocratie qui écrase tout l’occident depuis bientôt trois ans, on comprend que rien n’aurait été possible si le journalisme libre avait tenu le cap de la liberté des opinions ainsi que du respect des Lois. Hélas, notre presse européenne s’est largement et immédiatement laissée bâillonner sans la moindre velléité de résistance, c’est ainsi. Didier Lambert, Président de l’Association E3M(([1] https://www.asso-e3m.fr/)), vous en donne un étonnant exemple ici : quand des médecins se font prendre la main dans le sac de la corruption/compromission par leurs instances ordinales et qu’ils sont condamnés pour leurs actions répréhensibles, comment réagit la presse nationale française ? Bonne lecture.  


Par Didier Lambert

Une société est-elle en danger lorsque ses experts sont sous influence de l’industrie, et la majorité de ses médias muets sur le lobbying ou la corruption en cours ? C’est tout l’enjeu de cette affaire révélée par les sanctions infligées à deux personnalités du monde de la santé.

Deux leaders d’opinion sanctionnés par la justice – Les faits

Deux éminents leaders d’opinion dans le domaine de la vaccination, Robert Cohen (en haut) et Bruno Lina (en bas) viennent de recevoir un avertissement de la Chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins.

Ils sont intervenus dans plusieurs médias pour défendre la présence d’aluminium dans les vaccins, mais sans mentionner leurs liens d’intérêts, très importants, avec l’industrie pharmaceutique liée aux vaccins (avec aluminium bien sûr). Or, la loi les oblige à cette transparence (voir le communiqué E3M(([2] Nous avions demandé que les Pr Lina et Cohen soient condamnés non seulement pour leurs liens d’intérêts non déclarés, mais aussi pour « manque de prudence dans leurs propos » (ce que prévoit la loi), dans la mesure où ils exonèrent l’adjuvant aluminium, ainsi que les vaccins contre le papillomavirus, de tout effet indésirable grave. La Chambre disciplinaire n’y fait pas référence pour le Pr Cohen, et blanchit le Pr Lina sur ce point. Le fait que la Chambre, bien que présidée par un juge du Conseil d’Etat, soit composée de médecins élus par le Conseil de l’Ordre, n’est sans doute pas étranger à cette décision.)) du 20 juillet 2022).

Les faits se sont déroulés début 2017 et cette date n’est pas anodine.

En 2016, se tenait la concertation citoyenne sur la vaccination, pilotée par le Pr Fischer. Cette concertation fut un simulacre de démocratie.

Les jurys citoyens et professionnels de santé, mis en place pour exprimer la volonté populaire, ont voté contre l’élargissement de l’obligation vaccinale (à 75%) et demandé à l’unanimité la mise à disposition de vaccins sans aluminium. De plus, ils n’ont pas voulu encourager la vaccination contre le papillomavirus (HPV), objet de nombreuses critiques. Le « comité Fischer » est passé outre l’avis des jurys, préconisant dans son rapport du 30 novembre 2016 l’élargissement de l’obligation vaccinale à 11 pathologies et l’extension de la vaccination HPV aux jeunes garçons, sans remettre en cause la présence d’adjuvants à base de sels d’aluminium.

(Lire le rapport E3M, publié en février 2017, intitulé Concertation nationale sur la vaccination : un échec dangereux pour la santé publique et la démocratie.)

Au cours de l’année 2017, certains leaders d’opinion, et particulièrement les Pr Cohen et Lina, se sont répandus dans les médias, encourageant la ministre de la Santé à appliquer le rapport du Pr Fischer. E3M n’a ciblé que 3 interviews dans sa plainte, parmi de nombreuses autres. Leurs interventions médiatiques répétées ont bien évidemment eu une influence dans l’appréhension des risques par les médias, qui ont pu ensuite « rassurer » l’opinion publique…

Le 5 juillet 2017, la ministre Agnès Buzyn annonçait qu’elle proposerait à la représentation nationale d’élargir l’obligation vaccinale à 11 pathologies. Le projet de loi fut débattu début novembre 2017. Pour emporter l’adhésion des parlementaires, la ministre, soutenue par le rapporteur de la Commission des Affaires Sociales de l’Assemblée Nationale, Olivier Véran, s’appuya sur les résultats de la « concertation citoyenne ».

En outre, elle n’hésita pas à diffuser plusieurs fausses informations, ce qu’E3M dénonça dans un communiqué, malheureusement très peu relayé dans la presse alors même qu’il s’agissait d’une manipulation de l’opinion.

L’Assemblée Nationale, puis le Sénat, votaient ensuite ces mesures, et le 1er janvier 2018 se mettait en place l’obligation vaccinale contre 11 pathologies, avec des vaccins contenant pour la plupart des sels d’aluminium. En 2020, la vaccination contre le HPV des garçons âgés de 11 à 14 ans intégrait le calendrier vaccinal, le Gardasil et le Cervarix contenant un adjuvant aluminique…

Ce rappel du déroulé des événements met en évidence le fait que la présence médiatique des leaders d’opinion Cohen et Lina répondait à un objectif clair : soutenir la politique vaccinale définie par le Pr Fischer et promue par la ministre de la Santé Agnès Buzyn. Seul problème : ces « experts » avaient caché leurs liens (très importants) avec l’industrie pharmaceutique. Nous les avons exposés à la lumière dans notre communiqué du 29 juillet 2022.

Conflits d’intérêts = danger pour la santé et pour la démocratie

« Savoir qui parle, pour permettre de distinguer les vessies de la communication des lanternes de l’information, n’est pas un point de détail en matière d’information et particulièrement d’information de santé » 

(Formindep(([3] Formindep = association de lutte contre les conflits d’intérêts dans le monde médical)) – 2009).

Rappelons en effet que tout lien d’intérêt, même minime, génère une relation de subordination ou tout au moins de connivence entre l’entreprise et le bénéficiaire des versements.

Le président de l’Ordre des médecins lui-même précise en outre que « plus le nombre de liens spécifiques établis avec un industriel dans le cadre d’actions concordantes sera important, plus la question de l’indépendance du praticien se posera avec acuité »

(Patrick Bouet – 2016).

« Les études montrent que les leaders d’opinion jouent un rôle majeur en crédibilisant les messages des laboratoires (…). Cela s’inscrit dans une « stratégie globale d’influence » de la part de l’industrie pharmaceutique, comme l’indique l’IGAS dans un rapport de 2007 »

(Prescrire – 2008).

Cela est d’autant plus important que « les leaders d’opinion des firmes pharmaceutiques irriguent et contrôlent, sous la dénomination d’experts, l’ensemble du milieu sanitaire, la formation des étudiants, la formation continue des professionnels, l’expression médiatique vers le public et les usagers de soins, les décisions et la direction des agences sanitaires, les cabinets ministériels, etc. »

(Formindep – 2011).

« Ces liens d’argent savamment entretenus par les laboratoires pharmaceutiques avec le monde de la médecine sont à l’origine de conflits d’intérêts qui entachent la plupart des scandales sanitaires », rappelle Stéphane Horel

(Le Monde, 2020).

La confession, tardive mais lucide, du PDG de Lilly

« J’ai vendu mon âme au diable », reconnaît John Virapen, ancien PDG du laboratoire Lilly en Suède, dans son livre traduit, préfacé et commenté par le Pr Philippe Even en 2014(([4] John Virapen – Médicaments effets secondaires : la mort – Editions du Cherche-Midi, 2014.)). Quelques extraits illustrent ce terrible aveu qui ne peut nous laisser indifférent :

« Les leaders d’opinion ne s’appuient pas nécessairement sur des preuves irréfutables et vont parfois jusqu’à en fabriquer ou en sélectionner de fausses. Les soi-disant leaders d’opinion (…) sont payés pour donner et diffuser un avis favorable sur les médicaments, d’abord oralement, à la tribune des congrès organisés et financés pour cela par l’industrie pharmaceutique, et surtout par écrit dans les journaux scientifiques largement commandités par l’industrie (aucun ne peut survivre sans elle).»

« Savez-vous qu’il y a sur le marché des médicaments dont l’autorisation n’a été obtenue que par la corruption financière des experts ? J’ai aussi corrompu des décideurs politiques ou de la haute administration de santé. Les autorités sont corruptibles, les experts sont corruptibles et les médecins aussi. Et comme ils sont corruptibles, quelques-uns, qui se trouvent à un moment donné dans une position décisionnelle clé, sont corrompus ».

« Ces médecins étaient de ceux qu’on appelle les leaders d’opinion, choisis et financés par nous en raison de leur complaisance pour diffuser les avis les plus favorables sur nos nouvelles molécules, donc évidemment pas en les convainquant de leurs qualités, mais tout simplement en les payant. Très cher. »

« Ne croyez pas une seconde que les compagnies pour lesquelles j’ai travaillé soient des cas isolés et je ne suis pas moi-même un cas isolé. Tout le système fonctionne de cette façon et les bénéficiaires de ces enveloppes ne sont pas non plus, et très loin de là, des cas isolés. C’est une pratique quotidienne dans l’industrie pharmaceutique. Une pratique de marketing normale. »

Des médias bien silencieux

Aucun journaliste digne de ce nom ne peut ignorer la pratique du lobbying par l’industrie pharmaceutique. Les journalistes spécialisés en santé et les journalistes d’investigation connaissent les actes de corruption dévoilés par John Virapen, mais aussi la « fabrique du mensonge »(([5] Voir le livre éponyme de Stéphane Foucart paru en avril 2014 aux éditions Gallimard Folio.)), une pratique de l’industrie visant à contrer une science qui pourrait les empêcher de poursuivre leurs activités.

Le communiqué de presse que nous avons diffusé le 29 juillet 2022 a été repris par la presse spécialisée (APMnews, Quotidien du Médecin, JIM, Hospimedia), avec relai par des médias Lyonnais du fait de la notoriété du Pr Lina dans sa région (Fr3, Lyon capitale, Tribune de Lyon). Nous nous en réjouissons, même si le contenu de certains articles nécessiterait une réponse, voire un débat.

Mais aucun média généraliste national ne s’en est fait l’écho, à notre connaissance. Aucun article de fond n’a été publié. N’est-il pourtant pas question de transparence, d’information « libre et non faussée » des citoyens, des sujets de la plus haute importance en démocratie ? N’est-il pas important d’informer le public que, pour la première fois, une sanction a été appliquée en application de l’article L 4113-13 du Code de Santé Publique, qui vise justement à protéger les citoyens de l’influence de l’industrie pharmaceutique ?

Nous pourrions imaginer que les rédactions soient toutes en vacances… Mais sans doute est-il plus juste de l’écrire au singulier :

Il y a une vacance totale du journalisme sur le sujet de la vaccination et nous le constatons depuis 2018.

Auparavant, les communiqués d’E3M étaient régulièrement repris dans la presse écrite, E3M ou les chercheurs spécialisés sur le sujet étaient invités dans des émissions radios ou sur des plateaux de télévision. Bref, le sujet « aluminium vaccinal » était un sujet de société, ce qui est logique dans la mesure où toute la population est concernée par cet acte de santé publique !

Depuis 5 ans, les portes de quasiment tous les médias se sont refermées.

https://www.sciencedirect.com/
science/article/abs/pii/S1568997219301090?via%3Dihub

Et pourtant, le dernier article scientifique de l’équipe INSERM des Pr Gherardi et Authier et de la Dr Crépeaux, publié en 2019 dans une revue à comité de lecture, présente « des preuves épidémiologiques, cliniques et expérimentales comme quoi l’EM/SFC [Encéphalomyélite Myalgique / Syndrome de Fatigue Chronique] constitue un type majeur d’effet indésirable des vaccins, en particulier ceux contenant des adjuvants aluminiques particulaires peu dégradables » (Version originale – Version française). Parmi les adhérents d’E3M malades d’EM/SFC, 96% sont en invalidité, dont les ¾ en invalidité totale. De plus, d’autres pathologies pourraient être induites par les adjuvants aluminiques, sous réserve d’études complémentaires (scléroses en plaques, scléroses latérales amyotrophiques, troubles du neurodéveloppement…). Un sujet secondaire qui ne justifie pas une information large du public ?

De l’aluminium vaccinal à la crise de la Covid

Ce silence des médias recouvre maintenant la crise du Covid.

  • Comment la plupart des journalistes ont-ils pu accepter sans sourciller, sans questionner, sans enquêter que le gouvernement interdise aux médecins généralistes de prendre en charge leurs patients avec des traitements de première intention,
  • Comment admettre qu’il impose des mesures de confinement de toute la population,
  • Comment accepter qu’il rende obligatoire (ne jouons pas sur les mots) l’injection de vaccins expérimentaux dont on ne connaissait rien notamment sur les effets indésirables à moyen et long terme, comme nous l’avons écrit à plusieurs reprises (rappel de la position d’E3M), et ceci sans débat parlementaire ?
  • Comment ont-ils pu ne pas analyser d’un œil critique les essais menés par les fabricants avant la mise sur le marché ?
  • Pourquoi n’ont-ils pas réclamé la composition précise de ces vaccins, alors que des effets indésirables graves et nombreux leur sont imputables, nécessitant que soient compris au plus vite les processus physiologiques qui pourraient les expliquer, notamment pour soigner les malades ?
  • Pourquoi n’ont-ils pas interrogé la décision du gouvernement de suspendre des personnels non-vaccinés et de les laisser sans aucun revenu ?
  • Comment ont-ils pu se taire face aux actes de censure menés tant par les pouvoirs publics (vis-à-vis de scientifiques et professionnels de santé) que par les GAFAM (fermeture de comptes, blocage de vidéos, etc.) ?

Nous-mêmes sommes aussi visés par cette censure, puisque Youtube a bloqué notre documentaire L’aluminium, les vaccins et les deux lapins…, ainsi que des interviews de chercheurs dont le Pr Christopher Exley, spécialiste international de la toxicité de l’aluminium.

Silence total de la presse, aucun média n’a relayé notre communiqué. Tout ceci est littéralement inconcevable… Il y a 50 ans, on entendait Il est interdit d’interdire. Le retour de balancier est brutal !

Le réveil des journalistes est urgent, il en va de notre démocratie

E3M serait-elle devenue complotiste et anti-vaccinale ? Non, simplement et comme toujours, elle utilise son bon sens, s’appuie sur l’analyse des faits, notamment scientifiques, et reste habitée par une volonté profonde de justice.

Il est indispensable de connaître les éventuels liens d’intérêts de ceux qui passent par les médias pour nous convaincre de la justesse de leur analyse, de leur position, de façon à ne pas prendre « des vessies pour des lanternes ». Nous demanderons à l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) qu’elle fasse respecter la loi et veille à ce que les journalistes interrogent leurs invités sur leurs éventuels liens d’intérêts.

Dans le domaine qui est le nôtre (adjuvant aluminique), nous resterons vigilants à ces déclarations préalables à toute intervention médiatique et nous n’hésiterons pas à engager (avec le soutien de tous ceux qui veulent être à nos côtés) de nouvelles procédures.

Mais les médias doivent réagir sans tarder. L’argent qu’ils reçoivent de l’État les oblige à une éthique irréprochable et ils se doivent de respecter la Charte de déontologie de Munich. C’est leur rôle, lorsqu’ils reçoivent un expert, d’éclairer les lecteurs, auditeurs, téléspectateurs sur son degré d’indépendance vis-à-vis des lobbies ! Sinon, ils sont complices de désinformation. Ils doivent en outre diffuser et expliquer les analyses de TOUTES les parties prenantes, y compris bien évidemment celles qui expriment une analyse critique de l’action gouvernementale ou institutionnelle.

Nous interpellons les journalistes : vous devez retrouver au plus vite votre liberté de pensée et de parole, imposer dans vos rédactions la prise en compte des opinions minoritaires, favoriser la pluralité du débat, vérifier les sources de vos interlocuteurs. Et si quelqu’un cherche à vous en empêcher, les citoyens seront à vos côtés.

Il en va de notre démocratie. Tout simplement.

Didier Lambert
Président E3M
Membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance ANSM de septembre 2019 à juin 2021
Août 2022

Pour soutenir l’action d’E3M : https://www.vaccinssansaluminium.org/faire-un-don/

Notes et sources




Paquet d’ondes radio

[Source : maisonsaine.ca]

Par : Arthur Firstenberg

Traduit de https://www.cellphonetaskforce.org/wp-content/uploads/2022/08/Radio-Wave-Packet.pdf

[PDF en Français :
https://cellphonetaskforce.org/wp-content/uploads/2022/09/Paquet-dondes-radio.pdf
ou ici]

Première publication : septembre 2001 – Mis à jour en août 2022 pour tenir compte de la technologie actuelle

Sommaire

  1. Quelques effets biologiques des ondes radio
  2. Morbidité et mortalité dues aux technologies sans fil
  3. Maladie des ondes radio
  4. Références 

[Ndlr : l’auteur utilise ici « ondes radio » au sens large, car il inclut les micro-ondes.]

QUELQUES EFFETS BIOLOGIQUES DES ONDES RADIO

1 μW/cm2 = 10 000 μW/m2  https://www.slt.co/Downloads/Education/RFConversionTable.pdf

Densité de puissance (μW/cm2) Effets biologiques rapportés Références
0,0000000000001 Structure génétique altérée chez E. Coli Belyaev 1996
0,0000000001 Seuil de la sensibilité humaine Kositsky 2001
0,000000001 Modification de l’EEG chez les sujets humains  Bise 1978
0,0000000027 Stimulation de la croissance chez Vicius fabus (haricots) Brauer 1950
0,00000001  Effets sur le système immunitaire chez la souris  Bundyuk 1994
0,00000002 Stimulation de l’ovulation chez les poulets Kondra 1970
0,000005 Effet sur la croissance cellulaire chez la levure  Grundler 1992
0,00001  Réflexe d' »évitement » conditionné chez le rat  Kositsky 2001
0,000024 Vieillissement prématuré des aiguilles de pin Selga 1996
0.000024 Réduction des anneaux de croissance des arbres Balodis 1996
0,0004 100 mètres d’un routeur Wi-Fi domestique   
0,0017  Diminution de la germination des graines dans les pins Selga 1996
0,002  Troubles du sommeil, tension artérielle anormale, nervosité, faiblesse, fatigue, douleurs des membres, douleurs articulaires, troubles digestifs, moins d’écoliers promus étude contrôlée à proximité d’un émetteur d’ondes courtes. Altpeter 1995, 1997 
0,0027 Inhibition de la croissance chez Vicius fabus (haricots) Brauer 1950
0,004 100 mètres d’un téléphone cellulaire 2G, 3G ou 4G à puissance maximale  
0,01 100 mètres d’un routeur Wi-Fi commercial ou extérieur  
0,01 à 0,1 1 mile d’une tour cellulaire 2G, 3G ou 4G  
0,06 Modification de l’EEG, perturbation du métabolisme glucidique, hypertrophie des surrénales, modification des taux d’hormones surrénales, modifications structurelles du foie, de la rate, des testicules et du cerveau chez les rats blancs et les lapins. Dumanskij 1974 
0,06 Ralentissement du cœur, modification de l’EEG chez le lapin Serkyuk, reported in McRee 1980
0,1 Augmentation de la mélatonine chez les vaches  Stark 1997
0,1 à 1,8  Diminution de la durée de vie, troubles de la reproduction, anomalies structurelles et de développement chez les lenticules.  Magone 1996
0,13  Diminution de la croissance cellulaire (cellules épithéliales humaines de l’amnios)  Kwee 1997 
0,168 Stérilité irréversible chez la souris  Magras 1997
0,2 Leucémie infantile jusqu’à 12 km d’une tour de télévision  Hocking 1996
0,3  Altération de la fonction motrice, du temps de réaction, de la mémoire et de l’attention des écoliers, et modification du rapport de masculinité des enfants (moins de garçons) Kolodynski 1996 
0,4 Rupture de la barrière hémato-encéphalique par les téléphones portables  Eberhardt 2008
0,6   Modification de l’efflux d’ions calcium du tissu cérébral Dutta 1986
0,6 Arythmies cardiaques et parfois arrêt cardiaque (grenouilles)  Frey 1968
0-4 Modification de l’activité des globules blancs chez les écoliers Chiang 1989
1 Maux de tête, vertiges, irritabilité, fatigue, faiblesse, insomnie, douleurs thoraciques, difficultés respiratoires, indigestion (humains- exposition professionnelle) Simonenko 1998 
1 Stimulation des globules blancs chez les cobayes Shandala 1978
2 (seuil inférieur inconnu) Effets auditifs : cliquetis, bourdonnements, gazouillis, sifflements ou sons aigus. Frey 1963, 1969, 1971, 1973, 1988, Justeson 1979, Olsen 1980, Wieske 1963, Lin 1978
2 Perte de mémoire chez les rats exposés aux téléphones portables  Nittby 2009
5  Leucémie, mélanome de la peau et cancer de la vessie à proximité d’un émetteur TV et FM  Dolk 1997
5 Modifications biochimiques et histologiques dans les tissus du foie, du cœur, des reins et du cerveau  Belokrinitskiy 1982
8 Exposition de la tête et de la poitrine à un ordinateur portable sans fil posé sur une table   
10 Mitochondries et noyaux des cellules endommagés dans l’hippocampe du cerveau.  Belokrinitskiy 1982a
10 Altération de la mémoire et du temps de réaction visuelle chez les personnes vivant à proximité des émetteurs.  Chiang 1989
10 Diminution de la taille de la portée, augmentation du nombre de mort-nés chez les souris  Il’Chevich (rapporté par McRee 1980)
10 Redistribution des métaux dans les poumons, le cerveau, le cœur, le foie, les reins, les muscles, la rate, les os, la peau et le sang.  Shutenko 1981
150 Exposition de la tête et de la poitrine par tout téléphone cellulaire sur table   
1 000 Limite d’exposition du corps entier de la FCC FCC 2018, Racini 2015
17 000 Exposition des organes génitaux par un ordinateur portable sans fil posé sur un genou   
20 000 Exposition du cerveau par un téléphone portable posé sur la tête  

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées]

MORBIDITÉ ET MORTALITÉ DUES AUX TÉLÉPHONES CELLULAIRES ET À LA TECHNOLOGIE SANS FIL

FLORE ET FAUNE

Les trembles

Dans un laboratoire d’arrière-cour situé au pied des Rocheuses, où les trembles déclinaient et refusaient d’arborer leurs couleurs à l’automne, Katie Haggerty a décidé de voir ce qui se passerait si elle protégeait certains d’entre eux des ondes radio. Après seulement deux mois, ses semis protégés étaient 74 % plus longs et leurs feuilles 60 % plus grandes que celles de ses semis non protégés ou de ses semis protégés par un écran factice. Et à l’automne, seuls les semis protégés affichaient les couleurs vives qui font la réputation des trembles. (Haggerty 2010)

Oiseaux chanteurs

À l’université allemande d’Oldenburg, des scientifiques, choqués de constater que les oiseaux chanteurs migrateurs qu’ils étudiaient n’étaient plus capables de s’orienter vers le nord au printemps et vers le sud-ouest en automne, ont décidé de voir ce qui se passerait s’ils protégeaient une volière des ondes radio. Soudain, les oiseaux ont pu s’orienter vers le nord au printemps pour la migration. (Engels et al. 2014)

Amphibiens

Sur la terrasse d’un appartement du cinquième étage à Barcelone, à un pâté de maisons d’une tour de téléphonie cellulaire, Alfonso Balmori a décidé de tester sa conjecture selon laquelle les ondes radio pourraient être responsables du déclin et de l’extinction de tant d’espèces d’amphibiens dans le monde. Pendant deux mois, il s’est occupé de deux bassins identiques de têtards, dont l’un était protégé des ondes radio par une fine couche de tissu. Le taux de mortalité dans le réservoir non protégé était de 90 %, et de seulement 4 % dans le réservoir protégé. (Balmori 2006)

Abeilles à miel

Un professeur de l’université Panjab, en Inde, a décidé de vérifier son hypothèse selon laquelle la technologie sans fil pourrait être responsable de l’effondrement des colonies d’abeilles. Elle a placé des téléphones portables dans deux des quatre ruches et les a allumés deux fois par jour pendant 15 minutes à chaque fois. Après trois mois, il n’y avait plus ni miel, ni pollen, ni couvain, ni abeilles dans les deux colonies équipées de téléphones portables. (Sharma et Kumar 2010)

Elle a ensuite décidé de découvrir ce qui se passait dans l’hémolymphe des abeilles, qui est le nom de leur sang. Elle a constaté que la respiration cellulaire était pratiquement paralysée. Après seulement dix minutes d’exposition à un téléphone portable, les abeilles ne pouvaient pratiquement plus métaboliser les sucres, les graisses ou les protéines. (Kumar et al. 2011)

Souris

Dans le village grec de Chortiatis, au troisième étage de l’école primaire publique, six paires de souris ont été accouplées et observées pendant cinq grossesses. Les trois premières grossesses ont produit une moyenne de cinq rejetons par femelle. Ensuite, toutes les souris sont devenues stériles et n’ont plus donné naissance à aucun rejeton. Depuis la fenêtre de la salle de classe, à environ un kilomètre de là, on pouvait voir une ferme d’antennes au sommet du mont Chortiatis, qui diffusait au total environ 300 kW de puissance.

Six autres couples de souris ont été élevés dans une réserve naturelle, le Refuge de la Vie Hypaithrios, situé sur la montagne. Ces souris n’ont eu en moyenne qu’un seul nouveau-né par grossesse dès le début, et ont été stériles dès la troisième grossesse. Il a été prouvé que la stérilité était permanente et irréversible. (Magras et Xenos 1997)

Fourmis

Marie-Claire Cammaerts, de l’Université libre de Belgique, a amené des milliers de fourmis dans son laboratoire, a placé un téléphone à clapet de modèle ancien sous leurs colonies et les a observées marcher. Lorsque le téléphone ne contenait pas de batterie, il ne les affectait pas du tout. La batterie seule ne les affectait pas non plus. Mais dès que la batterie a été placée dans le téléphone – même si le téléphone était toujours éteint – les fourmis se sont mises à courir d’avant en arrière avec vigueur, comme si elles essayaient d’échapper à un ennemi qu’elles ne pouvaient pas voir. Lorsqu’elle a mis le téléphone en mode veille, la frénésie des fourmis s’est encore accrue. Lorsqu’elle a finalement allumé le téléphone, elles ont toutes ralenti.

Mme Cammaerts a ensuite exposé une nouvelle colonie de fourmis à un smartphone, puis à un téléphone sans fil. Dans chaque cas, leur vitesse de changement de direction a doublé ou triplé en une ou deux secondes, tandis que leur vitesse de marche réelle a considérablement ralenti. Après avoir été exposées pendant trois minutes, elles ont eu besoin de deux à quatre heures avant de retrouver une apparence normale. D’autres fourmis, après avoir été exposées à un routeur WiFi pendant trente minutes, ont mis six à huit heures pour récupérer, et certaines ont été retrouvées mortes quelques jours plus tard. Lorsqu’elle a placé un téléphone à clapet en mode veille sous le nid des fourmis au lieu de leur zone de recherche de nourriture, les fourmis ont toutes immédiatement quitté leur nid, emportant avec elles leurs œufs, leurs larves et leurs nymphes. (Cammaerts et Johansson 2014)

Rats

L’équipe du neurochirurgien Leif Salford de l’Université de Lund en Suède a exposé des rats à un téléphone portable ordinaire, une seule fois pendant deux heures, et les a sacrifiés 50 jours plus tard. Les rats exposés ont subi des dommages cérébraux permanents à la suite de cette seule exposition, même lorsque le niveau de puissance du téléphone a été réduit au centuple. (Salford et al. 2003)

Vaches

Lorsque les tours de téléphonie cellulaire ont été installées dans toute l’Amérique en 1996, des agriculteurs ont signalé que des animaux de ferme étaient soudainement malades et mouraient, et que leur progéniture était née avec le cou et les pattes palmés à l’envers. (Hawk 1996). Wolfgang Löscher et Günter Käs, recevant des rapports similaires en Allemagne, ont visité ces fermes et examiné ces vaches. Les vaches mouraient de troubles cardiaques et

Les vaches mouraient d’un collapsus cardiaque et circulatoire aigu avec des saignements de plusieurs organes. Lorsque les vaches malades étaient déplacées dans un endroit éloigné, elles recouvraient la santé. (Löscher et Käs 1998)

Mouches à fruits

Dans le cadre d’une expérience scientifique, Alexander Chan, 15 ans, du lycée Benjamin Cardozo de Queens, New York, a exposé quotidiennement des larves de drosophiles à un haut-parleur, un écran d’ordinateur ou un téléphone portable pour observer leur développement. Les mouches qui ont été exposées au téléphone portable n’ont pas développé d’ailes. (Serant 2004)

Graines de cresson

Pour une autre expérience de foire scientifique, une équipe de cinq filles de troisième année à Hjallerup, au Danemark, a rempli douze plateaux de 400 graines de cresson chacun. Elles ont placé six plateaux dans une fenêtre à côté de trois ordinateurs portables et de deux routeurs WiFi, et six plateaux dans une fenêtre similaire mais sans ordinateur ni routeur. Au bout de 6 jours, aucune des graines irradiées n’avait germé, et beaucoup d’entre elles n’ont jamais germé. Après 12 jours, les germes du contrôle étaient deux fois plus gros que ceux situés à côté des ordinateurs portables et des routeurs. (Nielsen et al. 2013)

Plants de poivre

Des scientifiques de l’Université de Gaza ont cultivé 100 plants de poivron dans des conditions identiques, sauf que la moitié d’entre eux ont été arrosés quotidiennement avec de l’eau du robinet qui avait séjourné dans un flacon en verre pendant une heure à côté d’un routeur WiFi, et l’autre moitié avec de l’eau du robinet qui avait séjourné dans un flacon en verre identique mais pas à côté d’un routeur. Les plantes cultivées avec de l’eau irradiée étaient pâles et rabougries. Après 200 jours, les plantes témoins étaient 25 % plus longues, leurs tiges 5 % plus épaisses et leurs racines 40 % plus longues que les plantes cultivées avec de l’eau irradiée. Elles pesaient également 90 % de plus, avaient 74 % de feuilles en plus, étaient 12 % plus humides, fleurissaient et fructifiaient plus tôt, et produisaient des fruits 38 % plus gros. (Alattar et Radwan 2020)

Animaux munis de colliers émetteurs

Les mammifères munis de colliers émetteurs, notamment les lapins, les campagnols, les lemmings, les blaireaux, les renards, les cerfs, les élans, les tatous, les loutres de rivière et les loutres de mer, ont souffert d’une augmentation de la mortalité, d’une diminution de la capacité à creuser, d’une perte de poids, d’une réduction des niveaux d’activité, d’une augmentation de l’autogestion, d’une modification des interactions sociales et d’un échec de la reproduction. (Mech et Barber 2002)

Dans une étude sur les élans, les veaux sans aucune marque d’oreille et les veaux avec des marques d’oreille simples avaient une mortalité de 10 %, tandis que les veaux avec des marques d’oreille contenant des émetteurs avaient une mortalité de 68 %. La seule différence était les ondes radio. (Swenson et al. 1999)

Dans une autre étude, les colonies de campagnols aquatiques qui contenaient des femelles marquées par radio ont donné naissance à quatre fois plus de mâles que de femelles. Les chercheurs ont conclu qu’il était probable qu’aucune des femelles radio-identifiées n’ait donné naissance à une progéniture féminine. (Moorhouse et Macdonald 2005)

La maladie des ondes radio chez l’humain

Au cours des années 1950, des cliniques ont été créées à Moscou, Leningrad et dans d’autres villes d’Union soviétique et d’Europe de l’Est pour étudier et traiter des milliers de travailleurs souffrant d’une nouvelle maladie professionnelle – une maladie qui a également été signalée aux États-Unis mais qui n’y a été ni étudiée ni traitée. Cette nouvelle maladie a été baptisée maladie des ondes radio. Ces patients fabriquaient, inspectaient, réparaient ou utilisaient des équipements à micro-ondes. Certains travaillaient dans des installations radar, d’autres pour des stations de radio ou de télévision, ou des compagnies de téléphone. D’autres encore faisaient fonctionner des appareils de chauffage et d’étanchéité à radiofréquence utilisés dans un nombre croissant d’industries à l’aide d’une technologie mise au point pendant la Seconde Guerre mondiale.

Ces travailleurs n’étaient exposés aux rayonnements micro-ondes que pendant les heures de travail. Et ils étaient exposés à des niveaux de rayonnement inférieurs à ceux auxquels le grand public est exposé aujourd’hui pendant des heures par jour, voire tout le temps, à partir de leurs téléphones portables et autres appareils sans fil.

Les patients de ces cliniques souffraient de maux de tête, de fatigue, de faiblesse, de troubles du sommeil, d’irritabilité, de vertiges, de troubles de la mémoire, de dysfonctionnements sexuels, d’éruptions cutanées, de perte de cheveux, de diminution de l’appétit, d’indigestion et, parfois, de sensibilité à la lumière du soleil. Certains ont eu des palpitations cardiaques, des douleurs lancinantes dans la région du cœur et un essoufflement après un effort. Beaucoup ont développé une instabilité émotionnelle, de l’anxiété ou de la dépression, et quelques-uns ont souffert de manie ou de paranoïa.

À l’examen physique, ils présentaient une acrocyanose (doigts et orteils bleus), un odorat altéré, des sueurs, des tremblements, des réflexes altérés, des pupilles de taille inégale, des arythmies cardiaques, un pouls et une tension artérielle instables. Ils présentaient des EEG et des ECG anormaux et, à un stade avancé, des signes de privation d’oxygène au niveau du cœur et du cerveau. Certains ont développé des cataractes. Les analyses de sang ont révélé une hyperactivité de la thyroïde, un taux élevé d’histamine, un taux élevé de sucre dans le sang, un taux élevé de cholestérol et de triglycérides, une augmentation des protéines sanguines, une diminution du rapport albumine-globuline, une diminution des plaquettes et des globules rouges, et un nombre anormalement élevé ou faible de globules blancs.

Bien qu’environ 15 % seulement des travailleurs des micro-ondes se soient plaints de leur maladie, et que 2 % seulement aient cessé de travailler (Sadchikova 1960, Klimková-Deutschová 1974), les travaux de laboratoire ont révélé des anomalies chez la majorité des travailleurs. Le cholestérol sanguin était élevé chez 40 % des travailleurs des micro-ondes (Klimkova-Deutschova 1974), les triglycérides étaient élevés chez 63 % d’entre eux (Sadchikova et al. 1980), la glycémie à jeun était augmentée chez 74 % (Klimkova-Deutschova 1974) et 70 % présentaient une activité thyroïdienne anormale. (Smirnova et Sadchikova 1960 ; Drogichina 1960). Des changements cardiaques objectifs ont été trouvés chez 18% à 35% des travailleurs des micro-ondes, selon la durée du travail.

En raison du grand nombre de publications sur la maladie des ondes radio provenant de l’Union soviétique et de l’Europe de l’Est, un échange scientifique entre les États-Unis et l’URSS sur la recherche sur le rayonnement micro-ondes a été lancé au milieu des années 1970. Le gouvernement américain a chargé le Dr Zorach Glaser de répertorier la littérature scientifique mondiale (articles de journaux, livres, comptes rendus de conférences) sur les effets biologiques et sanitaires des radiofréquences et des micro-ondes. A la fin des années 1970, la bibliographie de Glaser comprenait 5 083 documents (Glaser 1984).

Au cours des années 1960 et 1970, l’ophtalmologue Milton Zaret, sous contrat avec l’armée et l’armée de l’air américaines, a examiné les yeux de milliers de militaires et de civils travaillant dans des installations radar aux États-Unis et au Groenland. Il a constaté qu’un grand nombre d’entre eux développaient des cataractes. La plupart de ces cataractes étaient causées par l’exposition chronique de l’œil à des rayonnements d’une densité de puissance d’environ un milliwatt par centimètre carré – un niveau qui est régulièrement dépassé par chacun des 15 milliards de téléphones cellulaires utilisés aujourd’hui (Birenbaum et al. 1969 ; Zaret 1973).

Au cours de ces années, le biologiste américain Allan Frey a découvert que le rayonnement micro-ondes endommageait la barrière hémato-encéphalique (Frey et al. 1975), et il a prouvé que les humains et les animaux pouvaient entendre les micro-ondes (Frey 1961). Frey, l’un des chercheurs américains les plus actifs des années 1960 et 1970, a rendu des rats dociles en les irradiant à une densité de puissance de 50 microwatts par centimètre carré (Frey et Spector 1976). Il a modifié des comportements spécifiques à 8 microwatts par centimètre carré (Frey et Wesler 1979). Il a modifié le rythme cardiaque de grenouilles vivantes à 3 microwatts par centimètre carré (Frey et Eichert 1986). À seulement 0,6 microwatts par centimètre carré, soit 15 fois moins que les niveaux couramment rencontrés aujourd’hui à une distance normale de fonctionnement d’un ordinateur portable sans fil, il a provoqué des arythmies dans le cœur des grenouilles, et parfois l’arrêt des battements, en synchronisant les impulsions de micro-ondes à un moment précis du rythme cardiaque (Frey et Seifert 1968). Les travaux de Frey ont été financés par la marine américaine.

En 1977, Paul Brodeur, dans son livre The Zapping of America, a averti que la prolifération des tours à micro-ondes et des installations radar mettait en danger la santé publique. Mais comparé à aujourd’hui, les installations de micro-ondes et de radio étaient encore très rares.

Lorsqu’en 1977, Apple a vendu ses premiers ordinateurs personnels (câblés), l’exposition à des niveaux élevés de rayonnement électromagnétique s’est étendue à la population générale, et les maladies électromagnétiques ont cessé d’être uniquement des maladies professionnelles. Cette année-là, les décès dus à l’asthme aux États-Unis, qui étaient en baisse constante depuis des décennies, ont commencé à augmenter pour la première fois.

En 1981, le représentant Al Gore a présidé la première d’une série d’audiences du Congrès américain sur les effets sanitaires des terminaux d’affichage vidéo (câblés). Ces auditions ont été organisées parce que deux rédacteurs en chef du New York Times, de jeunes hommes âgés de 20 à 30 ans, avaient développé des cataractes ; la moitié de tous les employés de l’UPI et de l’AP interrogés se plaignaient de problèmes visuels ou de maux de tête ; un nombre inhabituel de bébés présentant des malformations congénitales étaient nés d’employés du Toronto Star ; et des groupes de fausses couches se produisaient parmi les opératrices de terminaux vidéo partout aux États-Unis et au Canada.

L’industrie de la presse a été la première industrie à être transformée par la technologie informatique. Au cours des auditions menées en 1981 par la Commission des sciences et de la technologie de la Chambre des représentants, Charles A. Perlik, Jr, président de la Newspaper Guild, a déclaré que si ses membres avaient su que les terminaux numériques pouvaient produire des émissions dangereuses, « nous n’aurions pas tranquillement permis la transformation d’un lieu de travail essentiellement bénin en un lieu dangereux ». En 1985, l’auteur canadien Bob DeMatteo a publié un livre populaire intitulé Terminal Shock : The Health Hazards of Video Display Terminals.

Au milieu des années 80, Olle Johansson, un neuroscientifique de l’Institut Karolinska de Stockholm, a découvert une nouvelle maladie de peau. Depuis, seules les personnes qui travaillaient devant des écrans d’ordinateur en étaient atteintes, il l’a baptisée dermatite des écrans. Ces patients se plaignaient souvent aussi de symptômes neurologiques tels que perte de mémoire, fatigue, insomnie, vertiges, nausées, maux de tête et palpitations cardiaques – les mêmes symptômes neurologiques que ceux décrits trois décennies plus tôt par les médecins soviétiques – mais comme la spécialité de Johansson était les maladies de la peau, il a étudié la peau des opérateurs informatiques. Ses sujets allaient de ceux qui ne présentaient que des rougeurs et des démangeaisons à ceux qui avaient des lésions cutanées graves et défigurantes.

Au milieu des années 1990, l’industrie des télécommunications s’est lancée dans un projet qui devait exposer le monde entier à des micro-ondes à une échelle inimaginable. Ils prévoyaient de placer un téléphone cellulaire et un ordinateur sans fil dans les mains de chaque homme, femme et enfant sur Terre – et de parsemer notre monde d’un si grand nombre d’antennes de radiodiffusion que ces téléphones et ordinateurs fonctionneraient dans chaque maison et chaque bureau, dans chaque rue, dans chaque pays, sur la plus haute montagne et dans la vallée la plus profonde, sur chaque lac et dans chaque parc national, zone de nature sauvage et refuge pour la faune, sans exception. Ainsi, au cours des décennies suivantes, chaque être humain est devenu une source de rayonnement micro-ondes où qu’il aille. Et les niveaux ambiants de rayonnement ont été multipliés par mille ou plus, partout sur la Terre.

Les chercheurs ont commencé à établir une corrélation entre des symptômes tels que les troubles du sommeil, la fatigue, les pertes de mémoire, les maux de tête, la dépression, les vertiges et les tremblements – les mêmes symptômes que ceux signalés aux médecins soviétiques et américains un demi-siècle auparavant – et l’utilisation des téléphones portables et la proximité des tours de communication. En 2007, des équipes de scientifiques de 14 pays ont conclu que la santé de pas moins des trois quarts de la population de la Terre était considérablement affectée par la technologie sans fil (Haugsdal 1998, Hocking 1998, Cao 2000, Oftedahl 2000, Chia 2000, Sandström 2001, Santini 2002, Navarro 2003, Santini 2003, Zwamborn 2003, Wilén 2003, Oberfeld 2004, Bortkiewicz 2004, Al-Khlaiwi 2004, Salama 2004, Meo 2005, Preece 2005, Waldmann-Selsam 2005, Szykjowska 2005, Balikci 2005, Balik 2005, Hutter 2006, Abdel-Rassoul 2007).

D’autres scientifiques ont rapporté que les téléphones portables provoquaient de l’eczéma (Kimata 2002), la cécité (Ye et al. 2001), l’asthme infantile (Li et al. 2001), la maladie d’Alzheimer (Salford et al. 2003, Şahin et al. 2015), la surdité (Oktay et Dasdag 2006, Panda et al. 2011, Velayutham et al. 2014, Mishra 2010, Mishra 2011) et la sclérose en plaques (İkinci et al. 2015).

Le terme « hypersensibilité électromagnétique » (« EHS ») a été inventé parce qu’aucune autorité sanitaire d’aucun pays occidental n’admet que les rayonnements électromagnétiques ont un quelconque effet sur la santé d’une personne normale. L’EHS désigne donc les personnes qui ont découvert par hasard ce qui les rend malades, et qui ont cru à la fiction selon laquelle elles sont anormales et différentes de tout le monde.

Signes et symptômes d’EHS

Neurologiques : maux de tête, étourdissements, nausées, difficultés de concentration, pertes de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, tremblements, spasmes musculaires, engourdissements, picotements, altération des réflexes, douleurs musculaires et articulaires, douleurs aux jambes et aux pieds, symptômes de type « grippe », fièvre. Les effets plus graves comprennent des convulsions, une paralysie, une psychose et un accident vasculaire cérébral.

Cardiaque : palpitations, arythmies, douleur ou pression dans la poitrine, pression sanguine basse ou élevée, rythme cardiaque lent ou rapide, essoufflement et crises cardiaques.

Respiratoire : sinusite, bronchite, asthme et pneumonie.

Dermatologiques : éruption cutanée, sensibilité extrême au toucher, démangeaisons, brûlures, bouffées vasomotrices.

Ophtalmologiques : douleur ou sensation de brûlure dans les yeux, pression dans ou derrière les yeux, détérioration de la vision, flotteurs, cataractes.

Auditif : Gazouillis, bourdonnements, sifflements dans les oreilles et perte d’audition.

Reproduction : Diminution du nombre et de la mobilité des spermatozoïdes, menstruations anormales, infertilité ;

Fausses couches ; anomalies congénitales.

Hématologique : Anémie, glycémie élevée, plaquettes faibles, globules blancs faibles ou élevés, cholestérol élevé.

Autres : troubles digestifs ; douleurs abdominales ; transpiration ; hypertrophie de la thyroïde ; épuisement des surrénales ; douleurs testiculaires/ovariennes ; dysfonctionnement sexuel ; sécheresse des lèvres, de la langue, de la bouche, des yeux ; lèvres gonflées ; gorge enflée ; grande soif ; déshydratation ; urines fréquentes ; saignements de nez ; hémorragies internes ; anomalies du système immunitaire ; redistribution des métaux dans l’organisme ; perte de cheveux ; ongles cassants ; douleurs dentaires ; détérioration des plombages ; odorat altéré ; sensibilité à la lumière.

Altération du métabolisme et conséquences de l’obésité, du diabète, des maladies cardiaques et du cancer

Les ondes radio interfèrent avec le transport des électrons dans les mitochondries de chaque cellule. Cela prive les cellules d’oxygène et nuit à leur capacité à métaboliser les sucres, les graisses et les protéines, tout comme Kumar et al. (2011) l’ont démontré chez les abeilles (voir ci-dessus). Il en résulte les pandémies modernes d’obésité, de diabète, de maladies cardiaques et de cancer. Ces maladies sont également des aspects de la maladie des ondes radio. Voir The Invisible Rainbow d’Arthur Firstenberg : A History of Electricity and Life, chapitres 11, 12 et 13.

Le niveau de puissance n’est pas pertinent

Comme le montre le tableau au début de ce document, les niveaux d’exposition ne sont pas pertinents lorsqu’il s’agit d’ondes radio. On constate des effets biologiques à 10 W/cm2, à 0,01 W/cm2, à 0,00001 W/cm2, à 0,00000001 W/cm2 et à 0,0000000000001 W/cm2.

Comme l’a écrit Allan Frey, les organismes vivants utilisent les champs électromagnétiques (CEM) pour tout, de la communication cellulaire au fonctionnement du système nerveux. « Les champs électromagnétiques ne sont pas une substance étrangère aux êtres vivants comme le plomb ou le cyanure. Avec les substances étrangères, plus la dose est grande, plus l’effet est grand – une relation dose-réponse. » Au lieu de cela, a-t-il dit, un être vivant est comme un récepteur radio. « Le signal CEM que la radio détecte et transpose dans le son de la musique est presque incommensurablement faible. » De même, même un signal radio incommensurablement faible peut interférer avec les fonctions biologiques. (Frey 1990, 1993)

Le Dr Ross Adey, de l’école de médecine de l’université de Loma Linda, a écrit que nos cellules « chuchotent » entre elles avec des signaux électromagnétiques. Il a déclaré que les CEM agissent au niveau atomique et qu' »un seuil pourrait ne pas exister » pour les effets des ondes radio. (Adey 1993)

Le biophysicien Neil Cherry, de l’université Lincoln en Nouvelle-Zélande, a écrit que les signaux radio « peuvent interférer avec les cœurs, les cerveaux et les cellules à des intensités extrêmement faibles, proches de l’exposition zéro » (Cherry 2000). Il a ensuite présenté des « preuves concluantes » que « le niveau d’exposition sans danger est de zéro ». (Cherry 2001)

Pour certains effets, il existe même une relation dose-réponse inverse, c’est-à-dire que plus le niveau d’exposition est faible, plus le dommage est important. En d’autres termes, plus le signal externe s’approche de la force infinitésimale des signaux internes de notre corps, plus il est reconnu par l’organisme, et plus il interfère avec la vie.

Ainsi, l’équipe de Leif Salford à l’université de Lund a constaté que les plus grands dommages à la barrière hémato-encéphalique se produisaient à la plus faible dose de rayonnement (réduite dix mille fois), et non à la plus forte dose. (Persson 1997).

De nombreux chercheurs, dont Carl Blackman de l’Agence américaine de protection de l’environnement, ont découvert que le rayonnement des micro-ondes provoque l’écoulement du calcium hors des cellules du cerveau. Pour cet effet, ces chercheurs ont trouvé des fenêtres de puissance d’effet maximal, c’est-à-dire que l’effet diminue à la fois à des niveaux inférieurs et supérieurs (Blackman 1980, 1986 ; Bawin 1977 ; Dutta 1986 ; Kunjilwar et Behari 1993). Et ce sont les fenêtres de puissance les plus faibles, et non les plus élevées, qui ont le plus d’effet : l’effet à un DAS de 0,0007 W/kg était quatre fois plus important que celui à un DAS de 2,0 W/kg (Dutta 1986).

Maria Sadchikova et ses collègues soviétiques ont régulièrement rapporté dans les années 1960 et 1970 que parmi les personnes exposées professionnellement au rayonnement micro-ondes, les plus malades étaient celles exposées aux niveaux les plus bas, et non les plus élevés. (Sadchikova 1960, 1974).

Igor Belyaev, de l’Université de Stockholm, a trouvé un effet génétique qui se produisait à des fréquences spécifiques. L’ampleur de l’effet ne changeait pas avec le niveau de puissance sur 14 ordres de grandeur, jusqu’à 0,00000000001 microwatts par centimètre carré. (Belyaev 1996)

Nikolai Kositksy et ses collègues de Kiev, en Ukraine, ont réaffirmé que les signaux radio externes interfèrent avec les signaux internes de notre corps et que c’est le contenu informationnel des ondes radio, et non leur niveau de puissance, qui est nocif. Ils ont passé en revue 40 ans de recherches menées en Union soviétique et ont conclu : « Les effets biologiques associés à ces interactions ne dépendent pas de la puissance de l’énergie transportée dans l’un ou l’autre système, mais de l’information qui y est transportée. » (Kositsky 2001)

Ainsi, la plupart des effets des ondes radio sur notre corps ne sont pas causés par leurs niveaux de puissance mais par leurs fréquences, leurs largeurs de bande, leurs pulsations, leurs formes d’onde et tous les autres attributs qui leur permettent de transporter des informations et les rendent utiles aux téléphones portables et aux ordinateurs. C’est la nature cohérente du rayonnement et de l’information qu’il transporte qui tue. Et donc la lumière (LiFi) et tout autre porteur de la même information est tout aussi nocif, tout comme les lasers. Un laser est une lumière cohérente.

Nous avons évolué sans micro-ondes et sans rayonnement cohérent. Le rayonnement micro-ondes du Soleil n’est pas cohérent, n’est pas centré sur une fréquence particulière, varie au total de .0000001 W/cm2 à 0,0001 W/cm2 lorsque le Soleil est le plus actif, et nous n’y sommes exposés que pendant la journée ; la nuit, seules les micro-ondes des étoiles, beaucoup plus faibles, atteignent la Terre.

Les êtres vivants ne devraient jamais entrer en contact, ou se trouver à proximité, d’une source de rayonnement cohérent, ou d’une source de rayonnement micro-ondes. Ni le WiFi, ni le Bluetooth, ni les moniteurs pour bébés, ni les fours à micro-ondes, ni les téléphones portables. Pas même pour quelques secondes. Les téléphones portables, en raison de leur omniprésence et de leur proximité avec le corps, sont de loin les plus nocifs pour la santé, la société et la planète.

Nombre de personnes souffrant de :

Des troubles de la tête : 4 milliards (Stovner 2022)

Douleurs chroniques : 2 milliards (Antunes 2021)

Maladies du cerveau : 1,3 milliard (American Brain Foundation 2022)

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Arthur Firstenberg

Arthur Firstenberg

Arthur Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner les prétentions gouvernementales et industrielles concernant la soi-disant innocuité des champs électromagnétiques. (CEM) De 1978 à 1982, ce diplômé en mathématiques de l’Université Cornell a fréquenté l’Irvine School of Medicine (Université de la Californie). C’est là qu’une surdose de rayons X a anéanti sa carrière médicale. Depuis 30 ans, il est chercheur, consultant et conférencier sur les effets des CEM sur la santé et l’environnement, ainsi que praticien de plusieurs arts de la guérison.
Il est l’auteur du livre The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life, par Arthur Firstenberg, AGP Press, 2017, 559 pages.
Quiconque s’intéresse aux effets de l’électricité, y compris celle des phénomènes météorologiques, sur la biologie humaine se passionnera pour ce livre. Avec ses 135 pages de références, c’est probablement l’ouvrage grand public le plus complet mais aussi le plus original publié à ce jour sur les effets des CEM. Arthur est aussi webmestre de l’excellent site cellphonetaskforce.org




États-Unis — Un raid de la police fédérale contre des fermiers amish accusés de ne pas passer par les circuits traditionnels de distribution

[Source : breizh-info.com]

Aux États-Unis également, l’État fédéral cherche à contrôler toujours plus sa population. Récemment, la ferme biologique de M. Miller à Bird-in-Hand, en Pennsylvanie, a été perquisitionnée par des agents fédéraux armés. Ils ont exigé que la ferme, tenue par des membres de la communauté amish, cesse ses activités et les autorités ont décidé de paralyser économiquement l’entreprise en lui infligeant plus de 300 000 dollars d’amendes.

Le gouvernement indique que la ferme ne respecterait pas les exigences réglementaires fédérales en matière d’alimentation. Pourtant, comme l’indique le responsable de la ferme, tous les animaux de la ferme ont une alimentation entièrement biologique et ne mangent que des plantes sauvages, des fleurs et des insectes dans leurs pâturages.

Une petite ferme Amish contre le gouvernement fédéral

La ferme, située dans un village amish isolé de Bird-in-Hand, en Pennsylvanie, existe depuis près de 30 ans. Elle fonctionne selon des pratiques agricoles vieilles de plusieurs siècles. Sa ferme n’utilise pas d’électricité, pas de tracteurs, pas de diesel, pas d’essence, et produit des rendements exceptionnels entièrement naturels que les gens sont prêts à payer le prix fort pour acheter.

Cependant, un juge fédéral a statué que malgré son marché fermé réservé à ses membres, il doit avoir des inspecteurs de l’USDA pour ses processus d’abattage de bœuf et de bovins. Miller ne veut pas utiliser les antibiotiques pharmaceutiques réglementés et obligatoires, ni les autres processus réglementaires exigés par l’USDA. Le patron de la ferme avait attiré l’attention des autorités fédérales pour la première fois en 2016, lorsque la Food and Drug Administration a déclaré avoir identifié la Listeria dans des échantillons du lait cru de Miller ; l’agence a constaté que la Listeria était génétiquement similaire à la bactérie trouvée chez deux personnes qui ont développé une listériose — dont l’une est décédée — après avoir consommé du lait cru.

Les avocats du gouvernement affirment que Miller fait preuve d’une « volonté singulière et historique de bafouer les lois fédérales d’application générale sur la sécurité alimentaire adoptées démocratiquement “. Plus précisément, il s’est opposé au droit de regard des services d’inspection et de sécurité alimentaire de l’USDA, qui doivent s’assurer que la viande et la volaille vendues dans le commerce sont sûres, saines et correctement étiquetées et emballées.

M. Miller avait auparavant accepté de faire appel à un abattoir inspecté par le gouvernement fédéral pour traiter sa viande, mais il a cessé de le faire parce qu’il s’opposait à l’utilisation d’acide citrique antimicrobien. Miller affirme que les réglementations et les inspections rendent les aliments moins sûrs, et non plus sûrs.

Michael Yoder, journaliste et client de longue date de la ferme d’Amos Miller et a suivi de près l’affaire pour un journal local. ‘Je pense qu’ils veulent utiliser Amos comme un exemple’, a déclaré Yoder.

Il explique que le gouvernement veut s’assurer que d’autres agriculteurs ne tentent pas de reproduire ce que la ferme de Miller a réussi à faire.


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« Miller vend sa viande et ses produits laitiers directement au consommateur, sans que le gouvernement ne joue le rôle d’intermédiaire. Le gouvernement n’a pas autant de contrôle sur ce type d’opération », explique Yoder « Amos Miller m’a expliqué que parce que sa ferme n’utilise pas d’engrais chimiques, d’herbicides ou de semences brevetées, qui sont principalement fabriqués par des géants de l’industrie ayant des liens étroits avec le gouvernement, ces derniers utilisent le pouvoir du gouvernement pour le faire fermer ».

« Les entreprises américaines prennent le pouvoir et placent des gens au sein de notre gouvernement… Elles ont le gouvernement de leur côté et font en sorte qu’il soit plus difficile pour les agriculteurs d’être des agriculteurs », a déclaré Amos Miller.

M. Miller fait valoir que parce qu’il vend à ce qu’il appelle un « club alimentaire privé » et non au marché libre, certaines règles et réglementations du gouvernement fédéral ne s’appliquent pas à lui. Les clients achètent de la viande et des produits laitiers de sa ferme explicitement parce que sa nourriture n’est pas traitée et fabriquée dans des installations industrielles géantes, mais qu’elle est cultivée, nourrie et traitée ici même, sur la terre.

« Certains viennent de Floride, de Californie, de Caroline du Nord, en fait de tout le pays parce qu’ils recherchent des aliments à forte densité nutritionnelle comme la viande crue et le lait de bufflonne cru… et ils nous font confiance parce que nous gardons nos animaux dans les pâturages et qu’ils peuvent voir la couleur de la graisse du bœuf et la couleur distincte du lait… cette couleur provient de la densité nutritionnelle des animaux qui se nourrissent d’herbe« , a expliqué Miller à Rebel News.

M. Miller, qui prépare les aliments comme Dieu l’a voulu selon lui, fournit tout, du bœuf et du fromage nourris à l’herbe au lait cru et aux œufs biologiques, à un club alimentaire privé comptant près de 4 000 membres. Il risque désormais, en plus de l’amende colossale, une peine de prison potentielle pour avoir simplement exercé sa liberté religieuse de cultiver des aliments conformément à ses croyances.

Amos, bien qu’il ait été perquisitionné par des marshals américains armés et qu’il risque des centaines de milliers de dollars d’amendes, a expliqué que les agriculteurs doivent rester forts. « Nous, les agriculteurs, devons rester unis et forts, et nous ne pouvons pas nous contenter de suivre les règles et règlements du gouvernement« , a-t-il ajouté.

Une pétition a été lancée pour soutenir la ferme et la solidarité entre Amish mais aussi entre fermiers alternatifs s’organise.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




L’enquête australienne Covid 2.0

[Sources : @Q…uestions @Roms17]

L’enquête COVID 2.0 est une enquête multipartite et non parlementaire qui s’est tenue le 17 août 2022. L’enquête COVID 2.0 fait suite à l’enquête COVID «Under Question», qui avait pour but d’examiner les violations de la relation médecin-patient et la mainmise des organismes de réglementation de la santé et des médicaments en Australie.

Des témoins d’horizons divers ont présenté des preuves personnelles et scientifiques choquantes et révélatrices. La journée d’interrogatoire, de 8h à 19h30, a été diffusée en direct et les enregistrements de tous les témoins sont disponibles.
Source vidéo➡️ https://rumble.com/v1guy41-covid-inquiry-2.0-1-introduction-and-welcome.html

Introduction avec le Sénateur Malcolm Roberts



Contexte et Données avec Brook Jackson

Brook Jackson était directrice régionale de «Ventavia Research Group». Cette société a été engagée par Pfizer pour fournir trois sites de test de phase 3 pour l’essai du vaccin.
Ses tâches consistaient notamment à s’assurer que les rapports d’événements indésirables graves étaient soumis en temps voulu.
Elle trouve énormément d’anomalies qu’elle signale à FDA et se fait licencier 6 heures plus tard.






Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion

[Source : Civitas]

[Voir aussi :
UDT Civitas 2022 : transcription de la conférence de Mgr Viganò et de ses réponses aux questions des participants]

[Voir aussi :
Une emprise sur l’Humanité
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]




Cyber-naufrage (le djihad du néant)

[Source : LHK]

« La disparition progressive des temps (subjonctif, passé simple, imparfait, formes composées du futur, participe passé…) donne lieu à une pensée au présent, limitée à l’instant, incapable de projections dans le temps.
La généralisation du tutoiement, la disparition des majuscules et de la ponctuation sont autant de coups mortels portés à la subtilité de l’expression.

Supprimer le mot “mademoiselle” est non seulement renoncer à l’esthétique d’un mot, mais également promouvoir l’idée qu’entre une petite fille et une femme il n’y a rien.

Moins de mots et moins de verbes conjugués c’est moins de capacités à exprimer les émotions et moins de possibilités d’élaborer une pensée.

Des études ont montré qu’une partie de la violence dans la sphère publique et privée provient directement de l’incapacité à mettre des mots sur les émotions.

Sans mot pour construire un raisonnement, la pensée complexe chère à Edgar Morin est entravée, rendue impossible.

Plus le langage est pauvre, moins la pensée existe.

L’histoire est riche d’exemples et les écrits sont nombreux de Georges Orwell dans 1984 à Ray Bradbury dans Fahrenheit 451 qui ont relaté comment les dictatures de toutes obédiences entravaient la pensée en réduisant et tordant le nombre et le sens des mots.

Il n’y a pas de pensée critique sans pensée. Et il n’y a pas de pensée sans mots.

Comment construire une pensée hypothético-déductive sans maîtrise du conditionnel ? Comment envisager l’avenir sans conjugaison au futur ? Comment appréhender une temporalité, une succession d’éléments dans le temps, qu’ils soient passés ou à venir, ainsi que leur durée relative, sans une langue qui fait la différence entre ce qui aurait pu être, ce qui a été, ce qui est, ce qui pourrait advenir, et ce qui sera après que ce qui pourrait advenir soit advenu ? Si un cri de ralliement devait se faire entendre aujourd’hui, ce serait celui, adressé aux parents et aux enseignants : faites parler, lire et écrire vos enfants, vos élèves, vos étudiants.

Enseignez et pratiquez la langue dans ses formes les plus variées, même si elle semble compliquée, surtout si elle est compliquée. Parce que dans cet effort se trouve la liberté. Ceux qui expliquent à longueur de temps qu’il faut simplifier l’orthographe, purger la langue de ses “défauts”, abolir les genres, les temps, les nuances, tout ce qui crée de la complexité sont les fossoyeurs de l’esprit humain. Il n’est pas de liberté sans exigences. Il n’est pas de beauté sans la pensée de la beauté ».

Christophe Clavé

Cyber-naufrage (le djihad du néant)

Par Slobodan Despot

Nous raisonnons, nous analysons, nous « cherchons », mais nous ne pensons plus. Une science du contrôle et de la communication a transformé le réel en un ensemble de séquences narratives dont il est défendu de s’écarter. D’où ce sentiment que nous avons parfois d’être embarqués à bord d’un train fou.

«Nous n’avons jamais été aussi peu préparés à une catastrophe évidente comme une montagne ; c’est parce que les gens qui sont aux manettes l’ont fait advenir par des actes combinés de malice et de stupidité.»

James Howard Kunstler

Liliane Held-Khawam a récemment eu l’excellente idée de présenter et de republier une réflexion dévastatrice sur la nature de la cybernétique comme science et comme idéologie.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/31/la-guerre-livree-a-lhumanite-la-cybernetique-article-de-stephane-zagdansk/

Un essai de Stéphane Zagdanski, paru en novembre 2021, est tiré du Séminaire sur «La Gestion génocidaire du Globe». «La Cybernétique à l’assaut de l’Homme» est une mise en garde d’une extrême violence contre une religion scientifique qui rêve de se substituer à Dieu et qui manifeste une haine absolue de tout ce qui est vivant, «animal», inquantifiable. Zagdanski souligne — comme nous le faisions en 2020 — que «la crise pandémique contemporaine et sa réaction idéologique qu’est le sanitarisme même sont impensables sans la Cybernétique».
Comme les autres phénomènes de la société industrielle avancée:

« Définie par son fondateur Norbert Wiener en 1948, dans son essai éponyme, comme : “Contrôle et communication dans l’animal et la machine”, la Cybernétique s’est déployée de manière si hégémonique qu’il n’est plus aujourd’hui un domaine intellectuel, social, politique, économique, scientifique, technologique ou idéologique qui n’y soit asservi. »

Stéphane Zagdanski

HAINE DU VIVANT

Je ne vais pas reproduire ici le texte de Zagdanski in extenso, mais il faut le lire. Il n’est pas une phrase, dans cette description d’un «assaut» concerté contre l’être humain, qui ne perturbe les idées reçues et qui ne provoque la réflexion.

«Le mot “cybernétique” est de la même étymologie grecque que “gouvernail“ et “gouverner“ : kubernetikè. La Domination planétaire tire ainsi le plus imparable parti de la Cybernétique, qui n’est pas tant la science des ordinateurs que la modalité moderne, mathématiquement assistée, de ce que Heidegger nomme la Führung, c’est-à-dire la direction impulsée par les «chefs» (les Führers), et de sa doublure d’animosité et d’annihilation à l’encontre de l’animal.»

Stéphane Zagdanski

Pourquoi ce désir d’annihilation?

À cause de la supériorité physique de l’animal sur l’homme, témoignant d’une perfection échappant à tout contrôle et à tout simulacre. Par extension, la part naturelle (ou divine) de l’homme doit elle aussi être annihilée.

«L’irrégulier, l’incertain, le miracle et l’imprévisible sont ses pires ennemis. Et ce que cette science qui se veut exacte vise à son insu, c’est d’emblée ni plus ni moins ce qu’il y a de plus imprévisible au monde: l’inspiration, soit la vraie pensée créatrice qui n’a rien à voir avec l’intelligence, artificielle ou pas.»

Stéphane Zagdanski

(…)

Nous retombons sur le diagnostic à l’emporte-pièce du Dr Peterson : nous sommes dérangés et (littéralement) dégénérés.

Mis en demeure de réfléchir pour de bon, l’homme cybernétique produit des raisonnements d’un simplisme infantile, s’immerge dans la dérive émotionnelle et bafoue les lois élémentaires de la logique et de l’argumentation. Il n’est pas programmé pour ça. Sa pensée vivante a été laissée en jachère. Et l’ironie suprême, c’est que les plus estropiés, souvent, sont justement les mieux «instruits», comme le relève Zagdanski:

«Le point aveugle de ces maniaques, c’est leur concept de base, ce qu’ils appellent “l’intelligence”. Car leur conception de l’“intelligence” n’est jamais remise en question par les promoteurs de l’IA, qui proviennent tous toujours du même sérail mathématico-scientifique (le MIT principalement), capable de bien des choses (ils envoient des hommes sur la lune et des drones sur Mars), mais de penser créativement, jamais. (…) C’est de la caboche de ces centaines d’intelligents utiles du MIT qu’est issue l’immonde figure du monde dans lequel nous sommes engeôlés aujourd’hui.»

Stéphane Zagdanski

[Voir aussi :
Une emprise sur l’Humanité]

À BROUTER DU FOIN

Il y a quelques années encore, ou même en 2020 lorsque nous essayions de comprendre l’avalanche de bêtise engendrée par le Covid à la lumière de la révolution technologique, ce texte eût semblé partial et excessif. Mais aujourd’hui, l’«immonde figure du monde» où nous sommes «engeôlés» nous impose sa grimace de quelque côté que nous tournions le regard — et si nous ne la voyons pas à l’heure qu’il est, c’est que nous ne sommes déjà plus du côté des spectateurs, mais du spectacle. Les illustrations abondent ces derniers temps, notamment dans les propositions d’économie d’énergie pour «faire la nique à Poutine» (comme celle consistant à favoriser la transition vers l’automobile électrique par la taxe carbone sans se demander d’où vient le courant !). Mais nous nous contenterons de deux cas exemplaires de cette semaine.

Le ministre allemand de la Santé, Karl Lauterbach (celui qui ressemble à une autruche hystérique ayant avalé une seringue de travers), déclare en substance que la vaccination protège du Covid d’autant mieux qu’elle ne marche pas! L’argument est que les personnes piquées développent rapidement des symptômes et restent à la maison, tandis que les personnes non piquées développent des symptômes plus lentement — bref, elles sont plus résistantes.
Ensuite, la perle de la semaine, du mois et peut-être du siècle. La désormais légendaire Liz Truss, favorite à la succession de Boris Johnson, était interrogée par un journaliste :

«Confronté à cette tâche (recourir aux armes nucléaires), je me sentirais physiquement malade. Et vous,qu’est-ce que cela vous fait?» «L’air plutôt impassible», rapporte la presse, Liz Truss répond: «Je crois que c’est une tâche importante du Premier ministre et j’y suis prête.»

Le journaliste, un peu choqué, insistant pour avoir son sentiment, elle répète, mécaniquement: «Je suis prête.» Dans la vidéo de l’entretien, on entend l’audience applaudir… Qu’y a-t-il de commun entre ces deux déclarations, outre leur tonitruante bêtise et leur sidéral déni de réalité?

L’insensibilité à la situation concrète en premier lieu. La conclusion logique au sujet des vaccins, qui sauterait aux yeux de n’importe quelle personne dotée de bon sens, est écartée a priori par le «compétent» Lauterbach.
Des esprits suspicieux vous diront que tout cela n’est que comédie, que ces gens savent très bien ce qu’ils font et qu’ils vous prennent pour des bourriques, que de toute façon ils ne sont que des acteurs sans aucun pouvoir chargés d’amuser la galerie. Je ne le pense pas, à l’exception éventuelle de ce dernier point. En effet, ces maniaques du contrôle ne contrôlent rien à l’échelon stratégique qui est le leur, d’où leur obsession, calamiteuse, du micromanagement jusqu’à l’absurde. Pour le reste, hélas, je crains qu’ils ne croient vraiment à leurs calembredaines. Ces gens sont souvent bardés de diplômes prestigieux, ont passé la moitié de leur vie à «étudier», ou plutôt à prouver leur conformité aux canons idéologiques en place, mais ils sont irrémédiablement stupides. Stupides «à brouter du foin», comme l’on dit chez les paysans du Valais.

  • • Notule. Ayant travaillé dans une période de ma vie dans le milieu politique, j’ai pu m’en assurer de première main. J’y ai croisé des armées d’apparatchiks rusés, habiles, éloquents, capables de machinations balzaciennes, mais des esprits qui pensent, très rarement. Leur trajectoire en politique est généralement météorique et conflictuelle, car elle perturbe gravement le système. De manière générale, il me semble que les derniers politiques capables de penser par leur propre tête ont quitté la scène au tournant des années 2000. Ils avaient reçu une éducation humaniste dans une civilisation précybernétique.

Ceci nous amène au second exemple, le cas Liz Truss. Je suis convaincu que si l’on avait posé la
même question à une serveuse de restaurant ou à un mécanicien automobile, ces personnes auraient refusé de répondre ou au moins exigé des précisions: «dans quelle situation?»

De fait, l’usage de l’arme nucléaire est extrêmement codifié et la réponse à la question du journaliste ne peut se résumer à oui-non. Un État doté d’une force de dissuasion doit faire savoir qu’il ripostera immanquablement, si, et seulement si, il fait face à une menace existentielle. Envisager d’agir en «première frappe», en revanche, est un jeu dangereux qui peut très mal se terminer. C’est pourquoi le contexte est essentiel. Il y a quelques mois, les Britanniques avaient été pris d’hystérie lorsqu’une télévision russe a montré l’effet d’un missile «Sarmat» (hypersonique et inarrêtable) sur leur île: en quelques minutes, elle disparaîtrait de la surface de la Terre. Au lieu de les faire réfléchir, de telles mises en garde n’ont conduit qu’à… Liz Truss!

Avec sa déclaration, elle a fait savoir au monde que le Royaume-Uni allait probablement être gouverné par une idiote irresponsable. Et le plus préoccupant, avec ce dérapage, est qu’il a été applaudi par l’assemblée!

COMME SUR DES RAILS

Ces bouffons à grelots ne sont pas des cas marginaux, ce sont des ministres et des représentants typiques de l’élite dirigeante — et nous n’irons pas égrener le bestiaire étasunien, ce serait une encyclopédie. Que leur pouvoir soit réel ou non, ils occupent le haut du panier, avec voitures et avions de fonction, présence médiatique continue, secrétariats pléthoriques, honneurs et prébendes. Pourtant, leur dogmatisme répétitif et buté fait penser à l’obstination d’une tondeuse robotique confrontée à un obstacle imprévu (encore que certaines tondeuses «savent» le contourner). Par mimétisme social, toute la pyramide descendante règle son comportement sur eux, même si elle n’en pense pas moins: quand le pacha zézaye, le sous-fifre s’invente un défaut de prononciation, on le sait depuis Molière et Gogol. Ces cas spectaculaires ne sont que les symptômes irréfutables d’une société devenant incommensurablement stupide, travaillant contre la raison, contre l’humain et contre elle-même. En l’occurrence, il s’agit d’une stupidité non pas spontanée, mais apprise, donc enseignée. La lecture des maniaques cybernéticiens, ou celle des observateurs aigus comme Roszak ou Zinoviev, nous permet de pointer, parmi bien d’autres facteurs, une colossale erreur système, inscrite dans la «science» même qui organise la société de l’information.

Lorsque Lauterbach invente son justificatif ubuesque pour les vaccins, lorsque Truss balance son «je suis prête!» sans avoir vraiment entendu la question, ces gens réagissent en réalité comme des machines cybernétiques: contrôle et communication! Chacun s’aligne sur un «narratif», autrement dit un scénario mécanique inspiré par le consensus général et mis au point par des équipes de communicants. Ici, le salut sans alternative par les vaccins, là, le scénario imposé par Boris Johnson et ses maîtres néoconservateurs d’une guerre à outrance et sans alternative contre la Russie.

À l’intérieur de ce canevas, des adaptations tactiques sont possibles, mais la ligne générale est immuable, quoi qu’il arrive. Ce ne sont plus des êtres pensants, ce sont des bolides lancés sur des rails, sans frein, sans voie de dégagement et sans marche arrière. Là où règne la communication, là où le message crée la réalité, là où les spin doctors sont les ventriloques des élus, la raison n’est plus aux commandes. Elle cède le pas au volontarisme inflexible et aveugle de la cybernétique.

Slobodan Despot, Antipresse

Infos complémentaires//AJOUTS LHK

États-Unis : La députée Jackie Walorski travaillait
avec Anne Heche pour mettre fin au trafic sexuel d’enfants.
Walorski a été tuée dans un accident de voiture
la semaine précédant celle Anne Heche (11.08.22)
qui s’était récemment exprimée
sur « l’épidémie » de trafic sexuel d’enfants à Hollywood.



Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres

[Source : numidia-liberum]

Les professionnels de la santé qui approuvent les hormones sexuelles croisées et les bloqueurs de la puberté chez les enfants seront tenus responsables de la maltraitance des enfants et de fautes professionnelles médicales. Les professionnels de la santé qui poussent les chirurgies transgenres et les mutilations génitales sur leurs patients seront bientôt l’objet d’une vague de poursuites judiciaires.

Ci-dessus, lors d’une émission de la BBC destinée aux jeunes
sur la transition de genre.
Voir des parents furieux critiquer l’émission de changement de sexe de la BBC « dommageable » destinée aux enfants de six ans

Prenez par exemple Jay Langadinos, 19 ans. En mai 2010, cette femme australienne a demandé l’aide professionnelle d’un psychiatre nommé Dr Patrick Toohey. Après une seule rencontre, le psychiatre a programmé Jay pour un traitement hormonal et deux interventions chirurgicales majeures pour lui enlever les seins et l’utérus. L’endocrinologue de Jay, le professeur Ann Conway, craignait que Jay soit « très jeune » et ait donc besoin « d’un bilan psychiatrique approfondi avant de se lancer dans un traitement hormonal ».

Mais le psychiatre Dr Patrick Toohey n’a pas fourni d’évaluation psychiatrique approfondie et n’a pas pris le temps d’écouter son patient. Après une seule rencontre, il prescrit des hormones synthétiques, forçant Jay à développer des caractéristiques sexuelles masculines secondaires. Les chirurgies de mutilation ont suivi peu de temps après, en commençant par une double mastectomie. Alors que Jay n’avait que 22 ans, son psychiatre a approuvé une hystérectomie, écrivant qu’il n’y avait pas de « contre-indication psychiatrique à procéder à l’hystérectomie dans le cadre de la transition sexuelle ».

Une décennie plus tard, Jay ne s’identifie pas comme un homme, une hypothèse qui lui a été imposée à un jeune âge. Aujourd’hui, elle poursuit le psychiatre pour négligence professionnelle.

Les jeunes qui ont été mutilés dans le transgenre commencent à revenir à eux-mêmes

À l’âge de dix-neuf ans, Jay dit avoir dit au médecin qu’elle souffrait de phobie sociale, mais ce problème a été ignoré. Si les psychiatres prenaient un peu de temps et s’attaquaient à la racine du problème, alors l’hormonothérapie et les chirurgies sexo-spécifiques ne seraient même pas envisagées. Les hormones et les procédures que Jay a subies ont finalement causé une ménopause précoce, une altération du fonctionnement psychologique, une profonde anxiété et une dépression. Elle voulait finalement avoir des enfants, mais ne le pouvait pas. Maintenant, elle tient le médecin responsable de ne pas lui avoir recommandé d’obtenir un deuxième avis avant que l’hystérectomie ne soit pratiquée.

Les sentiments, les envies et les pensées de la jeunesse sont complexes et éphémères, mais rien de tout cela ne doit les définir pour la vie — à moins que cela ne soit poussé trop loin. Le genre de naissance est sacré et doit être préservé et affirmé en premier. Jay se souvient avoir été confus au sujet de sa sexualité et de son sexe après être allé en ligne et avoir appris la dysphorie de genre.

« En raison de la définition de la dysphorie, j’ai pensé : » C’est ce que j’ai. « J’ai décidé que je devais être transgenre à cause de l’inconfort que j’avais dans mon corps », a déclaré Langadinos.

Mais après avoir tiré une conclusion erronée sur son identité, elle n’a pas été guidée dans la bonne direction. Lorsqu’elle a cherché une aide psychiatrique, elle a été affirmée dans sa confusion et encore plus persuadée d’accepter une identité qui n’était pas vraiment la sienne. Au fur et à mesure que le traitement hormonal a pris effet, cela l’a rendue encore plus malheureuse, et elle a cherché d’autres changements pour se « réparer » et trouver une sorte de bonheur intérieur.

« Au fur et à mesure que mon malheur grandissait, j’ai senti que la cause de mon malheur était parce que je n’étais pas un homme, donc la réponse était de changer encore plus mon corps », a déclaré Langadinos. « J’ai eu une dépression, je n’ai pas pu fonctionner pendant une année entière. Je ne pouvais pas sortir du lit. J’aurais aimé savoir à l’époque à quel point j’avais mal et pourquoi. »

Des professionnels de la santé commencent à dénoncer la maltraitance sexuelle des enfants et les mutilations génitales

Les victimes de la transition de genre se lèvent et racontent leurs histoires. Ces expériences de première main motivent davantage de professionnels de la santé à défendre les enfants qui sont la proie du trans-activisme, des délires de genre, des hormones synthétiques et des mutilations génitales. Le Dr Quentin Van Meter, président de l’American College of Pediatricians, a qualifié les bloqueurs de la puberté de « maltraitance des enfants » dans une interview avec LifeSiteNews.

« Si vous interrompez cela avec clairement l’intention de ne jamais le faire aller dans la direction que la nature a voulue, avec des mâles biologiques devenant des mâles adultes et des femelles biologiques devenant des femelles adultes, si vous interrompez cela, vous créez essentiellement un état de maladie incurable », a déclaré Van Meter. « Et en plus de cela, le but est clairement dans la grande majorité des enfants qui obtiennent des bloqueurs de puberté, ils ne seront pas autorisés à traverser leur propre puberté naturelle. Ils seront retenus puis recevront des hormones sexuelles croisées (cross-sex). »

Le Dr Van Meter a déclaré que les bloqueurs de la puberté sont une porte d’entrée vers la mutilation chirurgicale de parties saines du corps et qu’ils ont de nombreux effets secondaires à court et à long terme.

« C’est donc un tapis roulant. Et une fois que ce patient est placé sur le tapis roulant de bloqueurs de la puberté, ils sont transportés le long de la chaîne de montage vers les hormones sexuelles croisées. Et puis à la fin, avoir la possibilité de faire une intervention chirurgicale pour mutiler leur corps pour apparaître comme le sexe opposé. »

Sources :

Un exemple : « J’ai subi un lavage de cerveau par la communauté trans »
La victime, désignée le nom de Shape Shifter, 32 ans, est né homme, est passé à femme, mais est ensuite revenu 

  • Les chirurgies l’ont laissé sans pénis, tandis que son «néo-vagin» a entraîné une foule de problèmes médicaux
  • Shape Shifter continue d’avoir les cheveux longs et de se maquiller, car il dit qu’il aime arborer une apparence féminine  
  • S’adressant à Blaire White, 28 ans, elle-même transgenre, Shape avertit les autres qui pourraient envisager de faire la transition de bien réfléchir à leurs options à l’avance
  • Il pense que ceux qui sont maintenant en transition sont rejetés par la communauté médicale et souvent considérés comme des « patients difficiles ». 
  • Shape pense que beaucoup de gens envisageraient de se faire opérer en premier lieu s’ils connaissaient les complications possibles et les regrets qui peuvent s’ensuivre
  • Mais il pense que ce serait «mauvais pour les affaires» si les chirurgiens faisaient allusion à de telles réalités

Un détransitionneur a raconté comment il avait subi un «lavage de cerveau» pour subir une opération de changement de sexe après s’être cru être une femme piégée dans le mauvais corps.
Sous le nom de Shape Shifter, l’homme de 32 ans qui vit dans le Massachusetts a grandi dans un pays musulman des Balkans où même être gay était mal vu, mais il croyait que s’il devenait une femme, il se sentirait enfin heureux avec lui-même.
Il a reçu une lettre de recommandation de Fenway Health dans le Massachusetts, qui, selon lui, a été reprise par des militants pro-trans biaisés.
La chirurgie elle-même a été réalisée par le Dr Sherman Leis du Philadelphia Center for Transgender Surgery. Leis est considéré comme le chirurgien de changement de sexe le plus expérimenté des États-Unis.
Mais peu de temps après la fin de l’opération en 2015, au milieu de la vingtaine, Shape Shifter s’est rapidement rendu compte qu’il avait commis une terrible erreur et qu’il n’était qu’un homosexuel qui aimait se présenter de manière féminine.
Les procédures qu’il a subies — qui incluent l’ablation de son pénis et la création d’un « néo-vagin » — sont irréversibles.
Ils l’ont laissé avec de l’ostéoporose, une scoliose, un «vagin» que son corps croit être une blessure et qu’il essaie de refermer, ainsi qu’une foule de problèmes de santé mentale, notamment la dépression et une baisse de la libido. 
Shape Shifter croyait que faire le premier pas vers une femme le rendrait enfin heureux dans son propre corps.
Mais il a fini par se sentir encore plus déprimé qu’avant l’opération, réalisant finalement qu’il était simplement un homme qui aimait exprimer sa féminité. 

Il porte toujours du maquillage et a les cheveux longs, mais dit que les hommes comme lui doivent être encouragés à se sentir à l’aise dans leur féminité, sans se sentir obligés de faire une transition médicale.  

Par James Gordon pour Dailymail.com (extraits)


Le rejet des LGBT augmente en Russie pendant qu’il diminue en Amérique

Alors même que l’Amérique s’effondre, la Russie renforce son sens des valeurs familiales traditionnelles…

Il y a quelques années, je parlais à une femme des raisons pour lesquelles ma famille avait quitté l’Amérique et déménagé en Russie. Je lui ai parlé de la tendance des homosexuels à persécuter les chrétiens, et j’ai dit qu’en Amérique, les choses ne font qu’empirer.

Sa réponse ? Elle a dit: « Bientôt nous viendrons dans un pays près de chez vous ! »

Elle croyait vraiment que si l’Amérique descendait en enfer, alors la Russie devait aussi tomber en enfer. Elle ne pouvait tout simplement pas imaginer la possibilité qu’une nation puisse se repentir et faire de meilleurs choix que l’Amérique.

J’ai entendu des commentaires similaires de la part d’autres personnes à de nombreuses reprises. Les gens voient le déclin moral en Amérique progresser à une vitesse vertigineuse. Ils ne le contestent pas. Mais pour une raison quelconque, ils sont centrés sur l’Amérique dans leurs hypothèses géopolitiques. S’il y a une tendance négative en Amérique, ils supposent (sans preuve) que les mêmes choses négatives se produisent partout dans le monde.

Le mythe : « Si ça se passe en Amérique, ça doit se passer partout ! »

La vérité : la Russie et l’Amérique évoluent dans des directions opposées.

L’Amérique a jeté à terre les valeurs familiales traditionnelles, tandis que la Russie revient à ses racines, de plus en plus traditionnelle sur les questions liées au mariage et à la famille.

Selon des sondages d’opinion menés par le Centre Levada, ces dernières années, la tendance en Russie a été fermement opposée à la communauté homosexuelle, choisissant plutôt de soutenir le mariage traditionnel et les valeurs familiales traditionnelles.

Un sondage de 2019 a révélé que 47 % des Russes étaient favorables à l’égalité des droits pour les homosexuels et les lesbiennes, un peu moins que les 51 % qui avaient soutenu l’égalité des droits en 2005. Le sondage de 2019 indiquait que 43 % des Russes étaient opposés à l’égalité des droits pour les homosexuels. .

Deux ans plus tard, des recherches en 2021 ont révélé que les chiffres se sont considérablement améliorés. Aujourd’hui, seulement un tiers des Russes (33 %) pensent que les homosexuels et les lesbiennes devraient avoir les mêmes droits que les autres citoyens russes. Cet indicateur a nettement diminué par rapport à 2019. Et 59 % pensent que les homosexuels et les lesbiennes ne devraient pas avoir les mêmes droits — une augmentation notable depuis 2019.

Bref, voici la tendance — lorsqu’on demande aux Russes s’ils soutiennent l’égalité des droits pour les homosexuels, ils répondent ainsi :

2019 — Oui (47 %) — Non (43 %)
2021 — Oui (33 %) — Non (59 %)

Sans aucun doute, c’est une amélioration très encourageante.

Pendant ce temps, 25 ans de sondages Gallup en Amérique ont révélé une tendance écrasante à la débauche et à la destruction des familles traditionnelles :

Ces sondages ont été réalisés en Amérique, au cours des années 1996 à 2022. Lorsqu’on a demandé aux Américains s’ils soutenaient l’égalité des droits pour les homosexuels, ils ont répondu ainsi :

1996 — Oui (27 %) — Non (68 %)
2019 — Oui (63 %) — Non (36 %)
2021 — Oui (71 %) — Non (28 %)

Ainsi, les tendances pour la Russie et l’Amérique sont diamétralement opposées. Alors même que l’Amérique s’effondre, la Russie renforce son sens des valeurs familiales traditionnelles.

Fr. Joseph Gleason 




Plainte contre le ministre de l’Éducation PAP NDIAYE pour propagande vaccinale auprès des enfants

[Source : reaction19.fr]




Fauci et le Quotidien du médecin font la publicité pour un vaccin contre la variole du singe sans efficacité démontrée

Par Dr Gérard Delépine

Dans un éditorial du « New England Journal of Medicine »(([1] H. Clifford Lane and Anthony S. Fauci Monkeypox—Past as Prologue
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMe2210535)) repris par « le quotidien du médecin »,(([2] Elsa Bellanger Variole du singe, une épidémie limitée aux HSH ? La « ressemblance frappante » avec le VIH exige la vaccination, avertit le Dr Fauci Le quotidien du médecin 25/08/2022)) le Dr Fauci, grand responsable de l’échec catastrophique de la stratégie covid US, reprend son rôle de représentant de commerce des fabricants de vaccins et n’hésite pas à proclamer à propos de la variole du singe : la « ressemblance frappante avec le VIH exige la vaccination ».

Comment peut-il comparer la variole du singe, maladie parfaitement bénigne, au Sida qui a tué plus de 32 millions de personnes dans le monde ?

Comment peut-il recommander un vaccin qui n’a pas prouvé qu’il était efficace contre la variole du singe ?

Comment peut-il invoquer le Sida pour exiger la vaccination alors que cette maladie représente le modèle d’échec de la vaccination ?

Comment peut-il oublier de rappeler aux personnes à risque que le meilleur traitement est la prévention par l’hygiène ?

Comparer la variole du singe au sida est inapproprié.

L’un tue, l’autre pas. À ce jour, le Sida a tué plus de 32 millions de personnes dans le monde. Au contraire en Occident la variole du singe est une maladie bénigne comparable aux fièvres éruptives bénignes de l’enfant. D’après le dernier rapport de l’OMS(([3] OMS Multi-country outbreak of monkeypox External Situation Report 4, published 24 August 2022
Data as received by WHO national authorities by 5 p.m. CEST, 22 August 2022.)), sur plus de 41 000 malades recensés en Europe et aux USA on ne comptait au 27/8/2022 que 4 décès (0,01 %) et ces décédés souffraient déjà de maladies potentiellement mortelles comme le Sida ou des problèmes cardiaques.

Aucun vaccin n’a prouvé son efficacité contre la variole du singe, humaine

D’après le centre de contrôle gouvernemental des maladies infectieuses américain (CDC) :

« aucune donnée n’est actuellement disponible sur l’efficacité clinique ou l’efficacité des vaccins JYNNEOS ou ACAM2000 dans l’épidémie actuelle. »

« Étant donné que nos connaissances sur l’efficacité de ces vaccins dans l’épidémie actuelle sont limitées, les personnes vaccinées doivent continuer à prendre des mesures pour se protéger contre l’infection en évitant tout contact étroit, peau à peau, y compris le contact intime, avec une personne qui a la variole du singe. »(([4] https://www.cdc.gov/poxvirus/monkeypox/considerations-for-monkeypox-vaccination.html))

De plus les vaccins de seconde génération ne sont pas dénués de risque :

« Risque documenté de myocardite après la réception des vaccins ACAM2000 et risque inconnu de myocardite après JYNNEOS. »(([5] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/recs/grade/JYNNEOS-orthopoxvirus-primary-pq1-2))

« La prévalence incertaine de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ou d’autres formes d’immunosuppression dans les zones d’endémie du monkeypox présente un risque de complications vaccinales graves, notamment l’eczéma vaccinatum(([6] Reed JL, Scott DE, Bray M. Eczema vaccinatum. Clin Infect Dis. 2012 Mar; 54(6):832-40

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22291103/)) et la vaccine évolutive. Ce dernier effet indésirable entraîne généralement la mort par la réplication incontrôlée du virus de la vaccine.(([7] Bray M, Wright ME. Progressive vaccinia. Clin Infect Dis. 2003 Mar 15; 36(6):766-74. doi: 10.1086/374244. Epub 2003 Feb 20. PMID : 12627361.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12627361/))

IMVAMUNE est un vaccin antivariolique de troisième génération qui a été testé chez des personnes infectées par le VIH et chez des personnes atteintes de dermatite atopique lors de six essais cliniques publiés qui ont démontré sa sécurité dans ces maladies. Contre le monkeypox, l’efficacité d’Imvamune a été démontrée sur des animaux, mais elle n’a jamais été l’objet d’essais randomisés chez l’homme. Imvamune reste donc expérimental, même si les agences ont autorisé sa mise sur le marché.

En France, l’objectif de l’expérimentation vaccinale, qui doit durer une quinzaine de jours, vise notamment à tester la logistique d’un vaccin anti-variole qui doit être maintenu à -80 °C puis, une fois décongelé, ne peut être conservé que pendant quinze jours dans les réfrigérateurs.(([8] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/variole-du-singe/vrai-ou-fake-la-campagne-de-vaccination-contre-la-variole-du-singe-est-elle-trop-lente-pour-controler-l-epidemie-comme-l-affirme-sandrine-rousseau_5305306.html))

Comment Fauci, Sandrine Rousseau et de si nombreuses associations(([9] https://www.leparisien.fr/societe/sante/variole-du-singe-dans-une-tribune-elus-et-associations-reclament-une-commission-denquete-02-08-2022-NLP3WGMYSFDXBJSVYEVULEIVHE.php)) peuvent-ils affirmer que la vaccination permettrait de juguler l’épidémie alors qu’il n’est pas démontré qu’elle soit efficace ?

Comment peut-on invoquer l’exemple du Sida pour exiger la vaccination contre la variole du singe ?

Le Sida constitue un exemple flagrant d’échec total de la vaccination malgré plus de 25 ans de recherches et les millions de dollars qui lui ont été consacrés.

L’annonce récente de Moderna sur l’arrivée prochaine d’un vaccin efficace(([10] https://www.journaldugeek.com/2022/01/31/premier-essai-clinique-pour-un-tres-prometteur-vaccin-contre-le-vih/))(([11] https://www.bfmtv.com/economie/moderna-debute-les-essais-cliniques-de-son-vaccin-arnm-contre-le-vih_AV-202108180136.html)) ressemble beaucoup à celle de Biosantech du 28 octobre 2015(([12] https://www.usinenouvelle.com/article/la-fable-de-biosantech-son-vaccin-miracle-contre-le-sida-et-la-communaute-scientifique.N359960)), affirmant que son vaccin thérapeutique “élimine le sida de l’organisme” à l’issue de tests menés sur 48 personnes, sans aucune confirmation de résultat depuis cette date.

“Que l’on arrête d’avoir des annonces de vaccins miracles à répétition. C’est très déstabilisant pour les personnes touchées”, implore AIDES.(([13] https://www.aides.org/))

Prendre l’exemple du Sida pour “exiger la vaccination” contre la variole du singe est donc particulièrement inadéquat !

Si on veut protéger les personnes à risque, il faut leur répéter que la meilleure prévention est l’hygiène et en rappeler les modalités

En France 99 % des plus de 2600 malades de la variole du singe sont des homos ou bisexuels masculins comme aux USA et dans le reste du monde occidental.

La Haute Autorité de Santé énumère d’ailleurs ainsi les groupes à risque(([14] https://has-sante.fr/jcms/p_3351443/fr/monkeypox-une-vaccination-preventive-proposee-aux-personnes-les-plus-a-risque-d-exposition)):

les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les personnes trans qui sont multipartenaires, les personnes en situation de prostitution, les professionnels exerçant dans les lieux de consommation sexuelle”.

Mais pour éviter toute stigmatisation de ces communautés, les médias ne communiquent pas sur ces caractéristiques actuelles de l’épidémie. Pourtant pour éviter une panique injustifiée, il serait utile de préciser :

si vous n’appartenez pas à ces groupes à risque et si vous n’avez pas de contact avec eux, vous n’avez actuellement aucun risque d’attraper la variole du singe.”

La variole du singe, généralement bénigne, guérit le plus souvent spontanément en 2 à 3 semaines, mais au prix parfois de douleurs intenses qui peuvent même justifier l’hospitalisation. Quand on appartient à un groupe à risque, il vaut donc mieux éviter d’attraper la maladie et pour cela connaître les modes de transmission et respecter des règles d’hygiène simples.

Le contact peau à peau direct et les contacts sexuels sont les vecteurs essentiels de transmission de la maladie, mais la contamination par les draps ou vêtements infectés, quoique rare, est possible.

L’OMS par la voie du Dr Tedros(([15] https://www.bfmtv.com/sante/variole-du-singe-l-oms-conseille-aux-groupes-a-risque-de-reduire-le-nombre-de-partenaires-sexuels_AD-202207270559.html)) a clairement conseillé aux hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes — de réduire le nombre de partenaires sexuels et échanger des informations avec tout nouveau partenaire pour être en mesure de les contacter » en cas d’apparition de symptômes, pour qu’ils puissent s’isoler.

Les autorités sanitaires de San Francisco recommandent « d’éviter les contacts cutanés ou de partager son lit avec un étranger tant que l’épidémie dure ».

Celles de New York(([16] https://www.health.ny.gov/diseases/communicable/zoonoses/monkeypox/)) de :

« Demandez à vos partenaires sexuels s’ils ont une éruption cutanée ou d’autres symptômes compatibles avec le monkeypox. Évitez tout contact peau à peau avec une personne qui présente une éruption cutanée ou d’autres symptômes liés à la variole du singe ».

Grâce aux associations des groupes à risques, ces mesures de précautions sont de mieux en mieux suivies et expliquent la chute récente des nouvelles contaminations observée en juillet par santé publique France(([17] https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2022/cas-de-variole-du-singe-point-de-situation-au-23-aout-2022)) et celles recensées en Europe par l’OMS.(([18] https://www.who.int/publications/m/item/multi-country-outbreak-of-monkeypox–external-situation-report–4—24-august-2022))

Les précautions d’hygiène sont sans risque, elles ne coûtent rien et font la preuve de leur efficacité.

Contre la variole du singe plutôt que de nous faire injecter des vaccins expérimentaux, pratiquez le « Safe sex ».





Emmanuel Macron ANNONCE le pass énergétique

[Source : DIVIZIONAIR]




Le rétropédalage de Pfizer, en vue des procès ?

Par Nicole Delépine

Conscience du peuple : Pfizer publie un message sur son site qui contredit les propos de la Santé publique du Québec et du Canada (conscience-du-peuple.blogspot.com)

« Les vaccins ne sont pas indiqués pour traiter l’infection 👉ni pour réduire les complications ».

Le message selon lequel le vaccin diminuerait les « formes graves », sans cesse martelé par la Santé publique du Canada et du Québec et par Santé Publique France est FAUX.

Sur le site de Pfizer Canada, ce communiqué pourrait ressembler à une notice légale en vue de se protéger contre d’éventuelles poursuites… TROP TARD !

https://www.pfizerbiontechvaccine.ca/fr/?cmp_SEM_2022_FR :

Néanmoins le site continue à désinformer sur les effets secondaires qui seraient « rares et jamais graves » :

Doit-on leur donner les adresses des sites VAERS, MHRA, EUDRAVIGILANCE, ETC. ? Peut-on les poursuivre en justice pour désinformation grave mettant en danger la vie d’autrui… ?

PERTE DE LIBERTÉ D’EXPRESSION CHEZ LES MÉDECINS, les CHERCHEURS, les ENSEIGNANTS, etc.

Et pendant ce temps-là, le Président de Réinfo Liberté, Vincent Pavan est sanctionné par son université d’un an de suspension et de la privation de la moitié de ses traitements. « C’est angoissant pour l’honneur de l’université française », répond-il.(([1] https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/il-fallait-faire-un-exemple-vincent-pavan
Lisez absolument « le débat interdit » publié par Vincent Pavan et Ariane Bilheran.))

Cette décision vient conclure une procédure disciplinaire lancée en 2020, relative au refus de porter le masque. Elle intervient alors même que Vincent Pavan se trouve dans l’œil d’un cyclone médiatique : les panneaux jugés « antivaccins » à Toulouse, dont il est auteur avec Réinfo Covid.

COMBIEN D’ARTICLES MONTRANT NON SEULEMENT L’INUTILITÉ DU MASQUE, MAIS SA NOCIVITÉ SUR DE NOMBREUX PLANS.(([2] L’imposture du masque, outil d’enfermement — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Et des centaines de médecins sont poursuivis devant l’ordre des médecins pour avoir soigné et sauvé des patients condamnés à la mort par défaut de soins ou par euthanasie au Rivotril pour les plus âgés en EHPAD, selon les ordres du pouvoir criminel.

Jusqu’à quand les Français se laisseront-ils installer dans le nouveau fascisme de Davos et de l’OMS ?

Vera Sharav nous a bien expliqué que le génocide d’Hitler avait été précédé de neuf ans de mise en condition progressive(([3] Vera Sharav : « À moins que nous ne résistions tous, “plus jamais ça”, c’est maintenant. » — Discours — Nuremberg, le 20 Août 2022 | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)):

« L’Holocauste n’a pas commencé dans les chambres à gaz d’Auschwitz et de Treblinka. L’Holocauste a été précédé de 9 ans de restrictions progressives de la liberté individuelle et de la suspension des droits légaux et des droits civils. »

Le décor du totalitarisme criminel a été planté par une propagande nazie alarmiste et haineuse.

« Une série d’édits gouvernementaux discriminatoires et humiliants ont diabolisé les Juifs en les qualifiant de “propagateurs de maladies” et leur ont dénié leur humanité. Nous étions comparés à des poux ». (..)

La véritable maladie mentale qui a infecté l’Allemagne nazie est l’eugénisme – L’eugénisme est l’idéologie élitiste à l’origine de la plupart des génocides.

À quoi sont comparés les non-vax aujourd’hui ou ceux qui refusent d’éternels rappels, qu’il faudrait pour certains enfermés, parqués dans des caves, etc. ?

L’EFFROYABLE CATASTROPHE DES COMPLICATIONS LIÉES AU VAXX ARN

Allons-nous continuer à fermer les yeux sur nos voisins, amis et relations morts d’un AVC ou d’un cancer foudroyant, les turbo cancers qu’on n’avait jamais vus ? Hasard, coïncidence, il va falloir élargir notre vocabulaire pour nier l’évidence.. Plus on laissera faire, plus les soldats (involontaires de fait) du covidisme tomberont, victimes de leur naïveté et de leur soumission…

marco nius ⁦@NiusMarco⁩‬‬‬

Depuis le 1 er aout 3 nouveaux décès 3-11 ans déclarés par Pfizer sur Eudravigilance
1 myocardite (pas grave donc selon les covidistes, juste un décès)
1 thrombocytopénie
1 malaises divers et décès cause inconnue
Total 3-11 ans 31 décès déclarés

MÊME L’OMS LE PUBLIE. SACHONS LIRE

https://t.me/c/1509019656/5128

Et chaque jour de nouvelles victimes, du cycliste champion de VTT en Écosse mort dans son lit deux jours après son exploit au chanteur de rock britannique ZION :

« L’enquête conclut que la lésion cérébrale mortelle du chanteur de rock a été causée par le vaccin d’AstraZeneca.

Le vaccin contre la COVID-19 d’AstraZeneca a causé la “lésion cérébrale catastrophique” qui a entraîné la mort d’un chanteur de rock britannique de 48 ans deux semaines après qu’il ait reçu le vaccin, a conclu une enquête ».

Zion est mort le 19 mai 2021, malgré une intervention chirurgicale d’urgence pour tenter de traiter sa « thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par le vaccin », qui provoque des gonflements et des saignements dans le cerveau.

Après sa mort, sa fiancée, Vikki Spit, 39 ans, a déclaré qu’elle n’avait passé qu’une seule nuit sans lui en 21 ans de vie commune et que sa vie avait été « brisée en mille morceaux » par sa mort, selon le Daily Mail.

Mme Spit est la première personne au Royaume-Uni à recevoir une indemnisation pour un décès dû au vaccin contre la COVID-19.

IL SUFFIT !

Aidons Mary Holland et tous les combattants pour la liberté et le respect du code de Nuremberg si chèrement acquis

Mary Holland :

« Ceux qui ont violé le code de Nuremberg doivent être poursuivis pour crimes contre l’humanité

Au cours des deux dernières années et demie, nous avons tragiquement assisté à une attaque mondiale contre le code de Nuremberg, selon la présidente de la Children’s Health Defense, Mary Holland. Nous pouvons restaurer ce fondement de l’éthique médicale… mais seulement si nous nous unissons. »(([4] Mary Holland : Ceux qui ont violé le code de Nuremberg doivent être poursuivis pour crimes contre l’humanité | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

« Depuis plus de 75 ans, le code de Nuremberg est un phare — toutes les normes médicales et juridiques sont fondées sur lui depuis 1947.

Le code de Nuremberg est le fondement de l’éthique médicale moderne.

Le code a été intégré dans le droit fédéral et le droit des États des États-Unis, et les tribunaux américains ont reconnu le code de Nuremberg comme une norme juridique universelle et internationale — à l’instar des normes interdisant l’esclavage et la piraterie.

Le code de Nuremberg existe et est applicable même si un pays, une institution ou un individu nie sa validité.

Le consentement de l’individu est absolument essentiel dans toute expérimentation médicale. Il n’y a pas d’exception.

Tragiquement, au cours des deux dernières années et demie, nous avons assisté à une attaque mondiale contre le code de Nuremberg.

Les gouvernements, les établissements médicaux, les universités et les médias ont violé le tout premier principe et tous les autres principes des 10 points du code.

Ils ont forcé des gens à devenir des cobayes humains.

Ils ont forcé des personnes, sous peine de perdre leurs moyens de subsistance, leur identité, leur santé, leurs amitiés — et même leurs relations familiales — à prendre des injections inadéquates, expérimentales et modifiant les gènes, ainsi que des tests et des dispositifs médicaux expérimentaux.

Ceux qui ont intentionnellement, sciemment et malicieusement violé les principes du code de Nuremberg doivent être punis.

Ils doivent être dénoncés, poursuivis et punis pour crimes contre l’humanité. C’est l’une de nos tâches essentielles.

Nous devons arrêter cela. Et nous devons veiller à ce que cela ne se reproduise pas.

Le résultat de l’expérimentation de masse avec les injections contre la COVID-19 est maintenant tragiquement clair : ceux qui ont été séduits ou forcés à devenir des sujets expérimentaux courent maintenant le plus grand risque de maladie, d’hospitalisation et de mort ».

« Nous devons exiger que nous ne soyons pas soumis à des expériences. Il n’est pas trop tard — en Europe ou ailleurs.

Il est en notre pouvoir de dire : “C’est fini ! Respectez et faites respecter ce code”.

Et n’oublions pas — nous sommes en train de gagner.

Le récit selon lequel ces injections fonctionnent est terminé.

Le récit selon lequel nous devons nous confiner est terminé.

Le discours selon lequel nous devons tester les personnes asymptomatiques est terminé.

Le récit selon lequel nos “dirigeants” savent ce qu’ils font est terminé.

Laissons cela nous pénétrer — #WeAreWinning !

Pourquoi ? Parce que :

• La morale est de notre côté.
• La science est de notre côté.
• La loi est de notre côté.
• Et le code historique de Nuremberg — qui incarne la morale, la science et le droit — est de notre côté.

Nous sommes en train de gagner !

Mais la victoire finale n’est pas encore assurée. Et cela dépend de nous.

Nous avons tous des amis et des proches qui ne comprennent pas ce à quoi nous sommes confrontés. Ils ne comprennent pas où ce chemin nous mène.

Nous devons être courageux et partager nos connaissances, même si nos amis et nos proches sont réticents au début.

Le courage est contagieux. Si nous pouvons repousser les mensonges et la coercition, ils le peuvent aussi. Soyez courageux !

Si nous restons fermes, d’autres se joindront à nous. Cela se produit tous les jours.

Le rétablissement d’un monde fondé sur le code de Nuremberg est à notre portée… mais nous devons nous rassembler, comme nous le faisons aujourd’hui.

Et nous devons nous assurer que toutes les institutions honorent et appliquent le code de Nuremberg.

Nous pouvons y arriver !

S’il vous plaît, joignez-vous à moi pour dire trois fois en allemand :

Wir kriegen das hin. Wir kriegen das hin. Wir kriegen das hin.

(Traduction : Nous pouvons y arriver.) »

(([5] Note de l’éditeur : Les remarques suivantes ont été faites par Mary Holland, présidente et avocate générale de la Children’s Health Defense, le 20 août à Nuremberg, en Allemagne, lors d’un événement organisé par Action Alliance, un groupe d’activistes allemands, pour commémorer le 75e anniversaire du code de Nuremberg.))

TOUS EN FRANCE NOUS DEVONS CONVAINCRE QUE NOUS POUVONS Y ARRIVER.

STOP AUX INJECTIONS EN PARTICULIER AUX ENFANTS !




Moderna porte plainte contre Pfizer et BioNTech pour violation de brevets du vaccin à ARNm

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Pfizer et BioNTech « ont copié illégalement les brevets de Moderna » , selon un communiqué publié par Moderna le 26 août.
 DOMINICK REUTER, Joseph Prezioso / AFP]

L’entreprise américaine de biotechnologies Moderna a annoncé ce 26 août qu’elle portait plainte contre les géants Pfizer et BioNTech, pour violation de brevets sur l’ARN messager.

L’entreprise américaine est « convaincue que le vaccin Comirnaty de Pfizer et BioNTech contre le Covid-19 contrevient à des brevets déposés par Moderna entre 2010 et 2016 et couvrant la technologie fondamentale de l’ARN messager de Moderna », précise un communiqué de la firme.

Dès le début de la pandémie, les deux concurrents Pfizer/BioNTech et Moderna se sont lancés dans la course à la production des vaccins anti-covid, notamment en se basant sur la technologie à ARN messager. Le communiqué rapporte que la société américaine « estime que le vaccin COVID-19 Comirnaty® de Pfizer et BioNTech enfreint les brevets que Moderna a déposés entre 2010 et 2016 et qui couvrent la technologie ARNm fondatrice de Moderna ».

Accusant Pfizer et BioNTech d’avoir « copié cette technologie, sans l’autorisation de Moderna, pour fabriquer Comirnaty® », Stéphane Bancel, président-directeur général de Moderna, a affirmé que la firme compte poursuivre Pfizer et BioNtech en justice. « Nous intentons des poursuites pour protéger la plateforme technologique ARNm innovante que nous avons développée, pour laquelle nous avons investi des milliards de dollars et que nous avons brevetée au cours de la décennie qui a précédé la pandémie de COVID-19 », précise-t-il.

De son côté, la directrice juridique de Moderna, Shannon Thyme Klinger a assuré que Pfizer et BioNTech « ont copié illégalement les brevets de Moderna ». Et d’ajouter : « Moderna s’attend à ce que Pfizer et BioNTech dédommagent Moderna pour l’utilisation continue par Comirnaty® des technologies brevetées de Moderna ».

En revanche, le communiqué indique que Moderna :  

–       « ne cherche  pas à retirer Comirnaty® du marché » et « ne demande pas d’injonction pour empêcher sa vente future. » 

–        « ne cherche pas à obtenir des dommages-intérêts pour les ventes de Pfizer aux pays de l’AMC 9, c’est-à-dire les 92 pays à revenu faible ou intermédiaire qui font partie du système Covax. »

–       « ne cherche pas à obtenir des dommages-intérêts pour les ventes de Pfizer lorsque le gouvernement américain serait responsable de tout dommage »

–       « ne cherche pas non plus à obtenir des dommages et intérêts pour des activités survenues avant le 8 mars 2022. »

Plus précisément, Moderna accuse les géants Pfizer et BioNTech d’avoir « sciemment copié deux caractéristiques clés des technologies brevetées de Moderna », car aucune n’avait ni les connaissances ni l’expérience nécessaire en matière de développement du vaccin à ARN messager pour les maladies infectieuses. Selon les dires de Moderna, elles auraient tout simplement suivi l’exemple « en développant leur propre vaccin. »

Aux prémices de la production des vaccins, Pfizer et BioNTech ont décidé de faire passer quatre candidats vaccins différents en phase d’essai clinique. Mais peu après, les deux concurrents de Moderna se sont penchés « pour un vaccin dont la modification chimique de l’ARNm est exactement la même que celle du Spikevax® ». Sauf que cette technologie à ARN messager aurait été pensé par les scientifiques de Moderna dès 2010, et les essais sur l’homme ont été validés en 2015, et non pas par Pfizer.

Autres agissements dénoncés par Moderna : « Pfizer et BioNTech ont copié l’approche de Moderna pour coder la protéine Spike complète dans une formulation de nanoparticules lipidiques pour un coronavirus », dévoile le communiqué. À cela, la firme américaine a répliqué que les scientifiques de Moderna avaient déjà créé un « vaccin contre le coronavirus à l’origine du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), des années avant l’apparition du Covid-19. »

Le développement d’un vaccin est un long processus. S’agissant du vaccin contre le MERS, mentionné par le communiqué de Moderna, peu d’informations sont sorties. Comme le confirme le document de l’Organisation mondiale de la Santé daté du 5 août 2022 : « Aucun vaccin ou traitement spécifique n’est disponible actuellement. » Par conséquent, si Moderna affirme avoir développé un vaccin contre ce coronavirus, celui-ci n’a jamais fait l’objet d’une autorisation d’urgence pour vacciner la population. 

Depuis 2021 et la sortie de son vaccin à ARN messager puis de son antiviral, le Paxlovid, Pfizer a accumulé les plus gros bénéfices de toute son histoire. Selon Challenges« le chiffre d’affaires du laboratoire a bondi de 47 % pour atteindre 27,74 milliards de dollars »

Habitué des procès pour fraude, la plainte de Moderna peut-elle nuire encore à l’image de Pfizer ?

Voir aussi : Révélations sur des essais cliniques falsifiés par le triptyque Pfizer – Ventavia – FDA et Essais Pfizer sur le vaccin anti-covid : le rapport explosif de Christine Cotton

Pour plus d’informations sur la société Pfizer, il est possible de voir cet interview de Radio Courtoisie : « Idriss Aberkane: « Pfizer, une société multirécidiviste, a truqué ses données ! » » 




Vera Sharav nous prévient : résistons tous ; c’est maintenant ou jamais ! Mise à jour

Par Nicole Delépine

Mise à jour 2

Son discours en anglais


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Mise à jour

Entretien avec Jérémie Mercier

Alors que nous fêtions le 20 août dernier les 75 ans du Code de Nuremberg, Jérémie Mercier reçoit Vera Sharav, présidente de l’association « Alliance for Human Research Protection ». Vera Sharav, rescapée de la Shoah, milite depuis plusieurs décennies pour faire respecter les droits humains dans le cadre de la recherche médicale, une discipline sous les feux des projecteurs depuis début 2020…




Vera Sharav : « À moins que nous ne résistions tous, “plus jamais ça”, c’est maintenant. » — Discours — Nuremberg, le 20 août 2022 | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

MERCI MADAME, VOUS MÉRITEZ TOUT NOTRE RESPECT ET NOTRE RECONNAISSANCE.

LISEZ ET DIGÉREZ LE DISCOURS DE CETTE SURVIVANTE DE L’HOLOCAUSTE QUI NOUS PRÉVIENT DEPUIS DÉJÀ DEUX ANS SUR LES SIMILITUDES ENTRE L’HOLOCAUSTE D’HITLER ET CELUI DE SCHWAB.

DISTRIBUEZ-LE PARTOUT, QUE LES GENS COMPRENNENT ENFIN CE QUI ARRIVE !

L’URGENCE EST À LA PRISE DE CONSCIENCE ET À LA RÉSISTANCE.

« L’Holocauste n’a pas commencé dans les chambres à gaz d’Auschwitz et de Treblinka.
L’Holocauste a été précédé de 9 ans de restrictions progressives de la liberté individuelle et de la suspension des droits légaux et des droits civils.

Le décor a été planté par une propagande alarmiste et haineuse. »

Une série d’édits gouvernementaux discriminatoires et humiliants ont diabolisé les Juifs en les qualifiant de « propagateurs de maladies ». Nous étions comparés à des poux.

(…)

La véritable maladie virale qui a infecté l’Allemagne nazie est l’eugénisme – L’eugénisme est l’idéologie élitiste à l’origine de tous les génocides.

  • L’eugénisme est recouvert d’un manteau de pseudo-science.
  • Il a été adopté par l’establishment académique et médical ainsi que par le système judiciaire — en Allemagne et aux États-Unis.
  • Les eugénistes justifient les inégalités sociales et économiques.
    Ils légitiment la discrimination, l’apartheid, la stérilisation, l’euthanasie et le génocide.
  • Les nazis appelaient cela « nettoyage ethnique » — pour la protection du patrimoine génétique.
  • La médecine a été détournée de sa mission de guérison & a été militarisée.
    D’abord, il s’agissait de contrôler la reproduction par la stérilisation forcée ; ensuite, il s’agissait d’éliminer ceux qui étaient considérés comme des « sous-hommes » (« Untermenschen »).
  • Les premières victimes du meurtre médical ont été 1 000 enfants et jeunes handicapés allemands. Cette opération meurtrière a été étendue à environ 10 000 enfants jusqu’à l’âge de 17 ans.
  • Les victimes suivantes étaient les malades mentaux, puis les personnes âgées dans les maisons de retraite. Tous ces êtres humains ont été condamnés comme des « mangeurs sans valeur ».
  • Dans le cadre de l’opération T-4, des hôpitaux désignés sont devenus des stations d’extermination où diverses méthodes d’extermination ont été testées — y compris le Zyclon B — le gaz qui a été utilisé dans les camps de la mort. » (…)

Les victimes humaines de ce génocide sans précédent étaient 6 millions de Juifs et 9 millions d’autres personnes que les nazis ont déshumanisées en les qualifiant d’« Untermenschen » [Sous-hommes].

Le but des mémoriaux de l’Holocauste est d’avertir et d’informer les générations futures sur la façon dont une société éclairée et civilisée peut se transformer en un univers génocidaire régi par une dépravation morale absolue.

Si nous voulons éviter un autre Holocauste, nous devons identifier les parallèles actuels inquiétants avant qu’ils n’empoisonnent le tissu social.

Depuis l’ère nazie, l’étude de l’histoire et de la plupart des sciences humaines — y compris la philosophie, la religion et l’éthique — a été éclipsée par l’accent mis sur la science et la technologie utilitaires.

En conséquence, peu de gens reconnaissent les similitudes inquiétantes entre les politiques actuelles et celles du régime nazi.

En déclarant l’état d’urgence — en 1933 et en 2020 — la liberté individuelle, les droits légaux et les droits civils protégés par la constitution ont été balayés. Des décrets répressifs et discriminatoires ont suivi. »

(…)

« En 1933, les Juifs étaient la principale cible de la discrimination ; aujourd’hui, ce sont les personnes qui refusent de se faire injecter des vaccins expérimentaux issus du génie génétique qui sont visées. Hier comme aujourd’hui, les dictats gouvernementaux ont été conçus pour éliminer des segments de la population.

En 2020, les dictats gouvernementaux ont interdit aux hôpitaux de traiter les personnes âgées dans les maisons de retraite. Le résultat a été un meurtre de masse.
Les décrets gouvernementaux continuent d’interdire aux médecins de prescrire des médicaments vitaux, approuvés par la FDA ; les protocoles dictés par le gouvernement continuent de tuer.

Les médias sont silencieux — comme ils l’étaient à l’époque.
Les médias diffusent un récit unique, dicté par le gouvernement — tout comme sous les nazis. Une censure stricte réduit au silence les opinions opposées.
Dans l’Allemagne nazie, peu de personnes s’opposaient à ces idées ; celles qui le faisaient étaient emprisonnées dans des camps de concentration.

Aujourd’hui, les médecins et les scientifiques qui remettent en question le récit approuvé sont calomniés, leur réputation est détruite. Ils risquent de perdre leur licence d’exercice et de voir leur domicile et leur lieu de travail perquisitionnés par des équipes d’intervention ». (…)

« La culture génocidaire qui imprégnait le régime nazi n’a pas pris fin en 1945. Elle s’est métastasée aux États-Unis.

À la fin de la guerre, des agents du gouvernement américain ont aidé 1 600 scientifiques, médecins et ingénieurs nazis de haut rang à échapper à la justice de Nuremberg. »

Ces technocrates nazis ont facilité les opérations meurtrières des nazis. Ils étaient les partenaires d’Hitler dans les crimes contre l’humanité. Ils ont été secrètement introduits aux États-Unis dans le cadre de l’opération Paperclip. Ceci en violation des ordres explicites du président Harry Truman.

Ces criminels nazis ont été placés à des postes de haut niveau dans de grandes institutions scientifiques et médicales américaines où ils ont poursuivi leurs travaux.

Qui plus est, ces technocrates nazis ont formé une génération de scientifiques, de médecins et d’ingénieurs américains.
C’est ainsi que les méthodes nazies et le mépris immoral des valeurs humaines se sont enracinés en Amérique.

En 1961, dans son discours d’adieu à la nation, le président Dwight Eisenhower a mis en garde contre la domination croissante du « complexe militaro-industriel » dont « l’influence totale — économique, politique, voire spirituelle — se fait sentir [partout] ».

Eisenhower a averti :

« Nous devons être attentifs au danger que la politique publique devienne elle-même captive d’une élite scientifico-technologique ».

En 1979, un rapport au Président, par la Commission américaine sur l’Holocauste, présidée par Elie Wiesel, survivant d’Auschwitz, mettait en garde :

« … l’inclination à reproduire l’option nazie et à exterminer une fois de plus des millions de personnes reste une menace hideuse »

Ceux qui déclarent que les analogies avec l’Holocauste sont « hors limites » trahissent les victimes de l’Holocauste en niant la pertinence de l’Holocauste.

Le Code de Nuremberg sert de base à la recherche clinique éthique depuis sa publication il y a 75 ans.

La pandémie de Covid est exploitée comme une occasion de renverser les paramètres moraux et juridiques établis par le Code Nuremberg.

Le Code de Nuremberg est notre défense contre les expérimentations abusives. »(…)

« L’humanité est actuellement assiégée par les héritiers mondiaux des nazis.

Une bande de milliardaires mondiaux, impitoyables et interconnectés, a pris le contrôle des institutions nationales et internationales qui définissent les politiques.

Ils se sont lancés dans la mise en œuvre d’un programme diabolique :

  • Renverser la démocratie et la civilisation occidentale ;
  • Dépeupler la population mondiale ;
  • Éliminer les États-nations et établir un gouvernement mondial unique ;
  • Éliminer l’argent liquide et établir une monnaie numérique unique ;
  • Injecter des identifiants numériques et des capacités d’intelligence artificielle dans chaque être humain. Si ces objectifs deviennent une réalité, nous serons surveillés numériquement 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. »

« En mai 2022, au Forum économique mondial de Davos, Klaus Schwab, l’architecte de la Grande Réinitialisation dystopique, a déclaré :
Soyons clairs, le futur ne se produit pas tout seul ; le futur est construit par nous, une communauté puissante ici dans cette salle. Nous avons les moyens d’imposer l’état du monde”. »

« Le but ultime de ces mégalomanes est de prendre le contrôle total des ressources naturelles et financières du monde et de remplacer les humains par des robots transhumains. »

Non, nous ne sommes pas des ANIMAUX PIRATABLES

Selon le vœu de Yuval Noah Harari, Israélien formé à l’Université d’Oxford. Harari partisan du Nouvel Eugénisme et du Transhumanisme et conseiller de K Schwab grand ordonnateur du forum de Davos et du Grand Reset mondialiste.

Harari a déclaré : « Nous avons la technologie pour pirater les humains à grande échelle… »

Les transhumanistes méprisent les valeurs humaines et nient l’existence d’une âme humaine. Harari déclare qu’il y a trop de « gens inutiles ». Le terme nazi était « mangeurs inutiles ».

Lisez le discours de Vera Sharav : « À moins que nous ne résistions tous, “plus jamais ça”, c’est maintenant. » — Discours — Nuremberg, le 20 août 2022.

Diffusons le code de Nuremberg qui doit rester notre guide pour revenir à de la vraie science et de la vraie médecine.

La science, en particulier celle de la médecine​,​ est devenue la victime d’une corruption massive, idem pour les études dites « scientifiques ». 

Ils sont en train de viol​er les trait​és, les codes bioéthiques, notamment le serment d’Hippocrate, et les conventions internationales dont OVIEDO. Sous un faux prétexte ils ont déclaré une pandémie. Celle-ci ayant été déclarée pour nous imposer des sanctions liberticides ​et inédites, sans fondement​s​ scientifique​s, ​et ​qui mettent en danger notre santé, en ignor​ant totalement no​tre​ immunité naturelle.(([1] Le code de Nuremberg prise de conscience bioéthique — AgoraVox le média citoyen))(([2] Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? — AgoraVox le média citoyen))

Voici les 10 points du code Nuremberg :

Le code de Nuremberg — 1947

1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de la capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.
Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.
L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.

2. L’expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens : elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.

3. Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux, et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions de l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus l’exécution de l’expérience.

4. L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et tout dommage physique et mental, non nécessaires.

5. L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu’elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des cas où les médecins qui font les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.

6. Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.

7. On doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité ou la mort.

8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent.

9. Le sujet humain doit être libre, pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience, s’il estime avoir atteint le seuil de résistance, mentale ou physique, au-delà duquel il ne peut aller

10. Le scientifique chargé de l’expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.

Tous ceux qui violent le protocole de Nuremberg en forçant des personnes à se faire injecter un traitement expérimental quel qu’en soit le prétexte adoptent un comportement nazi et doivent être dénoncés comme tels.

Ne laissons pas se répéter l’histoire.

Résistons !
Résistons à la censure et à la désinformation permanente du gouvernement et des médias en publiant des informations sourcées sur les quelques réseaux sociaux encore libres.

Parlez avec les gens autour de vous pour les informer.
Faites et distribuez des tracts et des flyers.
Affichez la vérité partout où vous le pouvez.
Allez aux manifestations pour défendre les libertés.
Dites non à ce gouvernement totalitaire qui veut détruire notre modèle social, nous imposer des restrictions sévères et nous entraîner vers une guerre qui n’est pas la nôtre.

Résistons !





Le harcèlement des opposants ne passera pas !

[Source : anthropo-logiques.org]

« À l’avenir, les dissidents seront à l’Ouest », aurait prophétisé Alexandre Solejnitsyne. Si le propos n’est pas apocryphe, le prix Nobel avait vu juste : le totalitarisme qui a colonisé les esprits dans nos contrées l’a fait avec la facilité de l’invasion allemande contournant tranquillement la ligne Maginot pour déferler sans opposition sur Paris.

La débâcle intellectuelle, politique, philosophique et éthique est poignante : l’Occident n’est déjà plus qu’un champ de ruines en plein suicide de ses valeurs, de son identité et forcément de son histoire. Comme de sa capacité de relation avec le réel.

Le propre du déferlement totalitaire, c’est justement que l’idéologie prime la réalité. Peu importent les faits, le discours délirant des élites se suffit à lui-même. Elles peuvent dire tout et son contraire, tordre le bras autant qu’elles veulent aux données et aux faits, affirmer en rafales des mensonges éhontés, who cares ? La beauté du délire est qu’il anéantit notre humaine condition et donc précisément notre soumission au réel !

Le fait est tout sauf anodin : dans ses fonctions de ministre de la Santé, Olivier Véran avait ainsi multiplié les mensonges et les expressions honteuses sans la moindre vergogne et avec les encouragements sonores de la petite frappe qui lui tient lieu de chef (« Tiens bon, on les aura ces connards ! »).

Tout le monde se souviendra pareillement de son affirmation péremptoire devant les caméras de télévision selon laquelle dire que les injections géniques étaient en phase expérimentales était faux, « la phase III est terminée depuis longtemps », avait-il même ajouté. Ceci alors que ladite phase III vient d’être prolongée en ce qui concerne les injections Pfizer jusqu’au mois de juin 2024…

Or non seulement le gredin n’a jamais fait amende honorable (pas même n’a-t-il pris la peine de corriger son propos), il a été nommé dans la foulée « porte-parole du gouvernement ».

Quand la parole publique devient à ce point « parole de putes » (je m’excuse auprès des travailleuses du sexe, très majoritairement honnêtes, pour cette comparaison) au moins sait-on à qui nous avons à faire et donc à quoi nous en tenir.

La fureur totalitaire ne se contente pas de délirer à tout va : elle se doit d’éliminer toute opposition. Le propre de la démocratie et de la science, c’est l’importance du débat d’idées  de bonne foi et donc de la contradiction. Alors que le totalitarisme abhorre les opposants et s’acharne à les détruire.

Il commence bien sûr « subtilement » par les diaboliser. Les opposants ne sont pas ici des opposants dans le sens où l’on parlait traditionnellement de l’opposition en politique : ce sont forcément des êtres douteux, fourbes, dangereux, dont il faut se méfier au point de les priver de parole de peur qu’ils ne nous ensorcellent avec leurs arguments fallacieux !

Alors même que les élites médiatico-politiques déploient une véritable hypnose toxique depuis bientôt trois ans, c’est à les entendre de la parole de ceux qui cherchent à réinjecter du principe de réalité, des données vérifiables et du bon sens, bref de l’honnêteté qu’il faut se méfier comme de la peste. Fussent-ils accessoirement les meilleurs et les plus compétents dans leurs domaines : l’idéologie paranoïaque n’en a cure puisque le réel la contrarie.

On invente donc des experts (comme les pathétiques Rudy Reichstadt, Tristant Mendès-France, Sébastien Diéguez, Karine Lacombe ou Gilbert Deray) et peu importe qu’ils soient le ban et l’arrière-ban de la médiocrité ou de la malhonnêteté intellectuelle, ce sont évidemment à l’inverse les compétents et ceux qui ont gardé leur éthique que l’on désigne comme des « trompeurs » et des « charlatans ».

Avec toujours les mêmes étiquette fétichistes imbéciles et délétères, les favoris de la dérive en cours étant « complotiste », « d’extrême droite » et « antisémite ».

Voici un exemple de logorrhée totalitaire, scandée d’une manière propre à induire une transe dissociative chez l’auditeur, éructée en l’occurrence au micro de France-Inter par Tristan Mendès-France au sujet de l’initiative du Doctothon (un exercice pour les sceptiques est de compter le nombre de fois où il utilise -scande devrait-on dire- chacune des expressions en question) :

https://www.youtube.com/embed/yy80YHLh-2Y

Le système totalitaire doit donc impérativement désigner des ennemis (et même en inventer au besoin). Il a en effet besoin de ce danger extérieur pour entretenir la panique et justifier sa violence. Il n’y a ici pas besoin d’aller chercher bien loin. Qualifier par exemple d’ « antivax » des personnes ayant des doutes sur l’innocuité, l’efficacité et/ou la sécurité des injections géniques expérimentales est un cas d’école. C’est un tour évidemment imbécile, abusif, malhonnête et manipulatoire.

Le doute, l’esprit critique et le scepticisme sont les pierres angulaires de la démarche scientifique, l’occasion n’en est que plus belle pour les larrons : on stigmatise par cette appellation tous ceux qui restent intègres par rapport à la méthode et à l’éthique scientifique ! Dès lors le champ est libre, la haine devient un ressort banalisé et donc rendu acceptable sous les encouragements des corrompus, comme l’exemple suivant l’illustre :

https://www.youtube.com/embed/6PEZgAmX0IU

Tout ceci est d’une gravité extrême. Le rouleau compresseur paranoïaque s’attaque en effet à toute voix divergente et a fortiori salutaire, puisqu’engagée à rappeler les contours du réel et les valeurs qui doivent fonder notre vivre ensemble.

Tous les zélés complices de la dérive s’en donnent à cœur joie : la presse en premier, qui colle les étiquettes infamantes à tire-larigot, exonérée de toute déontologie comme de sa responsabilité collective. Au point de se réclamer de son inconduite et de faire porter le chapeau de ses transgressions aux opposants, comme les lamentables journaleux de l’Express s’y sont employés après s’être fait démasquer dans leur malhonnêteté et leur médiocrité par un Idriss Aberkane magistral…

https://www.youtube.com/embed/0Bi_1-BzY88

La réponse des fâcheux ne s’est donc pas fait attendre…

  • Pour lire « Affaire Aberkane : la Charte de Munich, nouveau totem des complotistes contre les médias » dans l’Ex-presse : cliquer ici.

Les attaques subies par les valeureux sont ainsi d’une brutalité inouïe, avec la complicité lâche des corps constitués soumis à la dérive totalitaire, nous l’avons souligné hier.

Voici encore pour exposer publiquement la réalité de cette ignominie un communiqué collectif auquel je m’associe, qui en révèle les procédés.

Suivi de la réponse adressée par Ariane Bilheran, normalienne, philosophe, psychologue et docteur en psychopathologie, à un obscur article intitulé « Annuaire du complotisme », sur le non moins obscur site dit de « débunkage » appelé « Bibliothèque Vigilante ». Lequel présente toutes les caractéristiques d’une énième émanation des cercles mafieux qui engagent avec force moyens des trolls et des faux experts pour leur sale besogne, jusque dans les rédactions de la presse subventionnée…

Tout ceci est certes bien nauséabond, mais il importe d’exposer sans hésitation cette boue ordurière et ceux qui la mettent en œuvre…


Le harcèlement des opposants ne passera pas !

Cet article collectif est destiné à alerter la population et les responsables politiques sur un processus larvé de répression, mené par l’État français contre de nombreux lanceurs d’alerte critiques du narratif officiel sur le Covid.

Cet article collectif est destiné à alerter la population et les responsables politiques sur un processus larvé de répression, mené par l’État français contre de nombreux lanceurs d’alerte critiques du narratif officiel sur le covid.

Au-delà de la répression de masse devenue banale dans ce pays (traque des citoyens pendant les rétentions de masse, censure, « suspensions » abusives, violences contre les manifestants…), nous assistons de plus en plus à une répression ciblée qui repose sur les moyens de l’État, ceux des contribuables, pour harceler des citoyens qui dérangent.

Les citoyens visés peuvent être des universitaires lanceurs d’alerte, ou des citoyens militants : des parents membres d’associations de défense des enfants contre les maltraitances institutionnelles établies au prétexte du covid sont convoqués par les services sociaux à la demande de plusieurs départements, à la suite d’obscurs « signalements », des chercheurs qui ont osé interroger les annonces officielles se retrouvent menacés sur le plan professionnel, on observe également des contrôles fiscaux aussi intempestifs que sévères, des sanctions financières, des pressions sur l’entourage, des calomnies publiques trop organisées en réseau pour ne pas être organisées… Cela, en France, pays décrit comme un “état de droit” par certains observateurs.

La méthode utilisée combine la censure par tous les moyens afin que l’opinion publique ne puisse pas les entendre, la calomnie, les menaces et le harcèlement administratif. Parce que les lois, le droit sont du côté des lanceurs d’alerte, l’État répressif utilise des moyens détournés, déjà utilisés par le passé contre d’autres lanceurs d’alerte, mais employés cette fois de manière beaucoup plus systématique.

Car dans ce qu’on appelle une « démocratie », les citoyens ont le droit de critiquer, ils ont même le droit à la satire, à la caricature, à l’ironie. En clair, ils ont le droit à la « liberté d’expression ». Ils ont le droit de penser et de dire des choses qui sortent du cadre de la propagande et les citoyens ont le droit d’être informés.

Des représailles touchent pourtant plusieurs personnes qui émettent un autre discours sur la crise qui nous occupe en dénonçant notamment la corruption, dont Vincent Pavan, Ariane Bilheran, Virginie de Araujo Recchia, Emmanuelle d’Arles, Olivier soulier, etc. Certains par pudeur ne souhaitent pas exprimer publiquement leur situation personnelle mais nous constatons entre autres :

Calomnies, harcèlement privé par insultes et menaces, contrôles fiscaux sévères et harcèlement fiscal, pertes de salaire, clôture arbitraire et inopinée des comptes bancaires, perte d’accès à la sécurité sociale pour soi et ses proches, suspensions, etc.

Prenons le cas de Vincent Pavan : l’universitaire subit des sanctions professionnelles y compris sur le plan des rémunérations, avec interdiction d’enseigner.

Ariane Bilheran comme son entourage subissent régulièrement des pressions (ex. : menaces de mort au moment de sa dénonciation des textes de l’OMS), qui se sont fortement accentuées depuis le covid avec par exemple l’intervention des services fiscaux ou le fichage mensonger sur des sites calomnieux.

Emmanuelle Darles fait face à deux procédures disciplinaires en cours à l’Université, doublées d’atteintes à la vie privée, le tout dans un contexte délétère.

Maître Virginie De Araujo Recchia est aussi victime de harcèlement administratif, ce qui a été jusqu’à une garde à vue avec saisie de matériel.

Pourquoi est-il aujourd’hui nécessaire de dénoncer ? Il ne s’agit pas de cas personnels, mais d’attaques contre la société dans son ensemble : si seule la parole du pouvoir compte et que plus personne n’ose poser de questions sur la place publique ni critiquer ou débattre, qu’adviendra-t-il de ceux qui n’osent pas parler ? Qui posera des limites quand les foudres d’un pouvoir à la dérive s’abattront sur eux ? Ce qui finira par arriver au rythme où vont les choses.

Cette répression mesquine n’en est pas moins extrêmement violente et elle se pare de la légitimité de l’État, celui qui est censé nous protéger tous. Elle est un problème majeur pour nous tous, car elle montre que nous sommes en train de nous enfoncer dans l’obscurantisme comme dans des sables mouvants.

Ce glissement progressif vers le totalitarisme n’est pas terminé, mais il avance : aujourd’hui l’exécutif se soucie-t-il des lois ? De la constitution ? Des principes généraux du droit ? De la réalité ?

Les attaques personnelles contre les lanceurs d’alerte, de manière à les éliminer du paysage social, préfigurent toujours une répression généralisée contre toute dissidence puis contre le peuple tout entier de façon arbitraire, et même bien souvent une guerre classique, de ces guerres sales qui pourrissent un pays pendant des générations. On l’a vu avec les dictatures en Amérique latine, les nazis, l’URSS, les Khmers rouges, le Rwanda, la Syrie…


Lettre d’Ariane Bilheran à « Bibliothèque Vigilante »

À l’attention de :

Clair Roger, Responsable de publication « Bibliothèque Vigilante »

Envoyée à :

bibliovigi@protonmail.com

Objet :

Ma fiche « Ariane Bilheran » dans votre « Index du Complotisme », https://bibliotheque-vigilante.info/index/

Pièces Jointes :

Attestation d’enseignements universitaires

Doctorat de psychopathologie clinique

Lettre publiée sur mon site

http://www.arianebilheran.com et relayée avec mon autorisation sur le site
http://www.coroinfo.wordpress.com et le blog https://anthropo-logiques.org

Cali (Colombie), le 24 août 2022

Madame, Monsieur,

Je vous écris afin de rectifier vos déclarations me concernant sur votre site, qui sont, pour leur très grande majorité, erronées. Vous pourrez ainsi vérifier mes dires, et rétablir la vérité selon les faits, puisque nous partageons ce souci commun.

Je rends également cette lettre accessible à tous sur mon site, afin que cesse la propagation de mensonges qui pourraient s’apparenter à des calomnies publiques et des diffamations contre ma personne.

Tout d’abord, vous évoquez que « je me présente comme psychologue et psychothérapeute (doctoresse en psychologie) », laissant sous-entendre que je ne le serais pas. Je suis psychologue clinicienne, et par voie de conséquence psychothérapeute, car le titre de psychologue clinicien est un diplôme professionnel d’État donnant de droit accès au titre de psychothérapeute. J’ai donc un numéro Adéli, qui garantit la détention de ce titre.

Pour votre information, en psychologie clinique et psychopathologie, j’ai deux masters, un Master Recherche, soutenu à l’Université Denis Diderot en 2004 à Paris, et un Master Professionnalisant, soutenu à l’Université d’Aix-Marseille en 2007, celui qui me donne précisément droit à exercer en tant que psychologue clinicienne et psychothérapeute.

J’ai également un Doctorat de psychologie clinique et psychopathologie (et non pas un doctorat de psychanalyse, ce qui n’existe pas en France), soutenu à l’Université Lumière Lyon II en 2007, sous la direction du Professeur Albert Ciccone (Wikipédia diffuse un nom de directeur de thèse qui est erroné : je n’ai jamais rencontré le Professeur Mohamed Lahlou… Je vous envoie le document source, pour vos archives). J’ai également enseigné à l’Université durant plusieurs années (cf. attestation jointe, si vous souhaitez rajouter cette information qui me paraît importante à faire connaître).

Pour mémoire, une majeure partie du corpus de la psychopathologie, qui soutient la psychiatrie traditionnelle, émane de la psychanalyse, laquelle est très loin de se réduire à des psychanalystes fous et incompétents, ou à Freud et Lacan, ou encore, aux calomnies dont elle est l’objet depuis des années. Par exemple, des notions passées dans la langue commune proviennent de recherches en psychanalyse sur le psychisme individuel ou celui des foules, telles que psychose, perversion, traumatisme, névrose de guerre, névrose d’abandon, refoulement, acte manqué, déni, etc.

Ensuite, vous reprenez le qualificatif de « complotiste », j’ose vous demander aimablement votre définition de ce terme.

Vous me présentez comme « proche du mouvement soralien ». Je ne suis pas « proche du mouvement soralien ». Je n’ai jamais rien eu à voir avec Alain Soral. J’ai publié un petit livre L’Internationale nazie(([1] https://www.bookelis.com/politique/52258-L-Internationale-nazie.html)), où vous pourrez vous rendre compte par vous-même de mes réflexions personnelles. J’ai donné la parole en France à Vera Sharav, dont les prises de position sont, il me semble, aux antipodes d’idées d’extrême droite.(([2] https://crowdbunker.com/v/994y7qwygL))

Vous me présentez également comme « amie du professeur Henri Joyeux ». Pour votre gouverne, je n’ai eu qu’un seul échange avec le Professeur Joyeux, concernant une newsletter dans laquelle M. Joyeux me demandait la permission de citer l’un de mes livres il y a quelques années. Je n’ai jamais eu d’autres échanges privés ou publics avec le Professeur Joyeux.

Vous me présentez ensuite comme « amie du pédopsychiatre Maurice Berger ». J’ai appartenu dans le passé à une association de psychologues de l’enfance et pédopsychiatres il y a des années, au sein de laquelle intervenait également le Professeur Maurice Berger, qui est une référence universitaire et professionnelle en matière de psychologie de l’enfance et de pédopsychiatrie. Cela ne fait pas de moi son « amie », mais tout au plus une collègue, d’autant que je n’ai plus aucun contact avec M. Berger depuis des années.

Vous parlez de « réseaux extrémistes » comme RéinfoCovid, auquel je n’appartiens pas non plus (cf. l’avertissement sur mon site(([3] https://www.arianebilheran.com/avertissement)) que je vous remercie d’avoir cité, afin que les gens se fassent une idée par eux-mêmes de vos propos à mon égard).

Vous me qualifiez de « spécialiste en manipulation », et c’est juste, vous auriez pu citer mon livre Manipulation. La repérer, s’en protéger, paru aux éditions universitaires Dunod en mars 2013. Vous voyez que ma spécialisation ne date pas d’hier mais que, contrairement à vos insinuations, je décrypte la manipulation pour aider les gens à la repérer et s’en protéger, donc à s’en libérer, et non pas dans l’intention de les manipuler.

Vous indiquez que je suis « à l’origine d’un mouvement de désinformation né en août 2018 », j’aimerais connaître sur quels fondements vous vous appuyez pour dire cela, car de mon côté, j’ai publié un livre en 2017, L’Imposture des droits sexuels, qui en est à sa cinquième édition aujourd’hui(([4] https://www.bookelis.com/sciences-humaines/51301-L-imposture-des-droits-sexuels.html)), et qui porte sur les textes de l’OMS, dans lequel j’étudie lesdits textes, et m’interroge sur le bien-fondé des références scientifiques invoquées. Je ne suis pas la seule professionnelle de santé à le faire, par exemple le pédiatre et pédopsychiatre Régis Brunod s’en est également alarmé, dans un livre intitulé Préserver l’innocence de l’enfant(([5] https://www.decitre.fr/livres/preserver-l-innocence-des-enfants-9782855541563.html)). En tant que professionnels de santé, nous sommes très inquiets de la nature de ces textes. Ce n’est pas parce que beaucoup de nos collègues choisissent de ne pas s’exprimer publiquement pour le moment qu’ils ne partagent pas nos vues, et je reçois assez de remerciements aujourd’hui pour savoir que nous sommes loin d’être isolés.

Vous notez que sur mon site personnel je partage de « fausses informations et des rumeurs complotistes », que je véhicule « mensonges et désinformation », sans rien en sourcer, j’aimerais bien que vous puissiez donner des exemples et m’indiquer en quoi il s’agit de fausses informations qui ne seraient pas sérieusement sourcées, dans ce cas je me ferai un devoir de les rectifier. Car lorsqu’il s’agit de faits (par exemple, de textes et de références promues par l’OMS), c’est aisément vérifiable. Vous citez alors Mme Marion Sigaut, en prenant le titre d’une de ses conférences pour me faire dire des propos qui sont les siens, c’est assez curieux comme procédé pour vous qui semblez si sensible à l’attribution correcte des sources. Mon approche des « droits sexuels et reproductifs » vise la protection de l’enfance, depuis une perspective professionnelle de psychologue clinicienne formée en psychologie de l’enfance et dans le développement psychique infantile.

Vous m’attribuez ensuite une citation, mais je n’ai jamais accusé l’Éducation Nationale de « pervertir nos enfants pour en faire de la chair fraîche pour les pédophiles ». J’ai au contraire toujours soutenu que ces programmes n’émanaient pas de l’Éducation Nationale, mais du ministère de la Santé, sous l’égide de l’OMS, bien qu’ils puissent se déployer au sein de l’institution scolaire, à la faveur d’un partenariat avec le ministère de la Santé lui donnant les autorisations d’accès. Avec un peu de recherche sur mon site, vous devriez pouvoir trouver à de nombreuses reprises mes déclarations sourcées.

Je n’ai pas été « exclue par mes pairs », au contraire, je reçois aujourd’hui énormément de soutiens et de reconnaissance pour mes prises de position en faveur de la protection psychique des individus, de la part de professionnels de la santé mentale, qui ont désormais bien identifié les grossiers mécanismes de manipulation mentale à l’œuvre depuis le champ politique et médiatique sur la population.

Ensuite, vous vous permettez un diagnostic sauvage sur ma personne, en indiquant que j’aurais des « travers paranoïaques ». Je vous renvoie à mon livre sur Psychopathologie de la paranoïa(([6] https://www.dunod.com/sciences-humaines-et-sociales/psychopathologie-paranoia-0)), paru chez l’éditeur universitaire Dunod, et qui en est à sa deuxième édition. Cela vous permettra peut-être de mieux maîtriser ces notions. D’autre part, s’improviser psy, comme vous le faites, pour pratiquer des diagnostics sauvages de psychose renvoie aux pires heures de la psychiatrisation des opposants de certains régimes, ce qui est un élément supplémentaire de validation de mon hypothèse concernant la dérive totalitaire en cours.

Concernant le livre Le débat interdit(([7] https://www.editions-tredaniel.com/le-debat-interdit-p-10270.html)), vous devriez le lire pour vous instruire : j’aimerais savoir d’où vous tirez l’expression du « complot de la science contre le vivant », et quelle était la contextualisation de cette phrase. Nous y déployons un raisonnement d’épistémologie systématiquement argumenté et exemplifié. Vous n’ignorez pas que j’ai une formation en philosophie morale et politique, validée en 2004 par un Master en Sorbonne, sous la direction à l’époque du Professeur Éric Blondel, ainsi qu’une solide formation en philosophie reçue à l’École Normale Supérieure Ulm, que j’ai intégrée en section Lettres en 1999.

Vous indiquez enfin que je relaie « de nombreux sites peu fiables, articles antisémites et les tribunes de quelques extrémistes comme Sputnik News ou Pravda ». J’aimerais que vous puissiez me dire où vous avez trouvé ces éléments, surtout pour ce qui concerne l’antisémitisme !! Vous dites aussi que je relaie Gilad Atzmon, que je ne connais pas, donc j’aimerais savoir quelles sont vos sources fiables. Car reprendre des mensonges émis par quelqu’un d’autre ne fait pas de l’information une information sourcée, et encore moins véridique.

En revanche, il est tout à fait exact que je publie à l’occasion des articles dans la revue L’Antipresse de Slobodan Despot, que j’apprécie pour son ouverture d’esprit, sa grande culture, sa rationalité, son intelligence et sa connaissance du phénomène totalitaire.

En conclusion, je me permets de reprendre à votre compte votre conseil : « Si possible, remontez à l’origine de l’information ! ». Je constate que vous ne m’avez pas contactée pour vérifier les données et que, ce faisant, vous avez manqué de la déontologie la plus élémentaire. Vous n’avez manifestement pas non plus recoupé les informations, ni interrogé vos sources et leur fiabilité. Je vous saurais donc gré de rectifier les informations me calomniant sur votre site, et de publier ma lettre, ce que vous ne manquerez pas de faire, puisque vous avez à cœur de lutter contre la désinformation, « pour un accès universel à une information exacte, transparente et de qualité »(([8] Source : https://bibliotheque-vigilante.info/methode/)), et « analyser, comprendre, démystifier »(([9] Source : https://bibliotheque-vigilante.info/la-redaction/)), au mieux.

Respectueusement,

Ariane Bilheran.

PS : « rationalité » s’écrit avec un seul « n ».

Il faut donc corriger votre titre « Méthode & rationnalité ».

Sources :

https://bibliotheque-vigilante.info/methode/

https://dictionnaire.lerobert.com/definition/rationalite

PS2 : je recevrai votre éventuelle réponse par retour de courrier électronique ou via le formulaire contact sur mon site http://www.arianebilheran.com/





Transformation cybernétique de l’Humanité

Un article scientifique documente des « nanosystèmes magnétiques auto-assemblés » pour les systèmes d’interface et de contrôle des biocircuits cybernétiques chez l’homme, y compris la technologie « hydrogel d’ADN »

[Source : mirastnews.net]

Par Mike Adams

La personne moyenne vivant aujourd’hui a peu idée à quel point le développement des biocircuits nanotechnologiques autoassemblés a progressé. Les soi-disant « vérificateurs de faits » (propagandistes professionnels et menteurs) induisent délibérément les gens en erreur en leur faisant croire qu’il n’existe pas de système de biocircuit autoassemblé à base de graphène qui pourrait être injecté dans des personnes et appelé un « vaccin », mais la publication la littérature scientifique présente un corpus de recherche complet et bien documenté qui montre que cette technologie est bien réelle… et a été testée dans des systèmes biologiques depuis au moins deux décennies.

Un système « d’auto-assemblage » signifie qu’une personne reçoit des instructions qui déclenchent un processus dans lequel une structure est assemblée à l’intérieur du corps, en utilisant des ressources disponibles dans le sang (comme des atomes de fer et d’oxygène). En effet, l’auto-assemblage nanotechnologique signifie qu’une micropuce n’a pas besoin d’être « injectée » dans quelqu’un, puisque les circuits peuvent être assemblés in vivo après l’injection.

[Voir aussi :
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Nanoparticules et nanotechnologies
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins]

Soit dit en passant, chaque créature biologique sur Terre est un exemple vivant d’auto-assemblage, puisque l’ADN est une nanostructure auto-assemblée. La réplication génétique est, bien sûr, un processus enraciné dans l’auto-assemblage. Ainsi, quiconque ne réalise pas que l’auto-assemblage est un phénomène réel est plutôt ignorant, même des mécanismes à l’œuvre dans son propre corps. La réplication virale est également un processus d’auto-assemblage, bien sûr.

« Une myriade de nanosystèmes magnétiques peuvent être créés en utilisant l’auto-assemblage comme outil synthétique », indique le résumé d’une étude publiée en janvier de cette année. Publié dans la revue Aggregate Open Access, il s’intitule : Self-assembled Magnetic nanomaterials: Versatile theranostics nanoplatforms for cancer.

L’article se concentre sur « les nanomatériaux magnétiques auto-assemblés (MNM) » et détaille leur utilisation en biomédecine, en écrivant :

Les champs magnétiques ont été largement utilisés pour les nanomatériaux assemblés d’agrégats unidimensionnels (1D), bidimensionnels (2D) et tridimensionnels (3D).

L’étude fait référence à l’auto-assemblage de nanoparticules d’oxyde de fer, qui peuvent présenter des propriétés magnétiques dans certaines configurations. Celles-ci sont connues sous le nom de SPION (Super Paramagnetic Iron Oxide Nanoparticles).

Le papier explique :

Cette approche pourrait être utilisée pour le processus d’assemblage d’autres MNP tels que les NP Ni, les NP Co et les NP Fe3O4. Une telle stratégie d’auto-assemblage pourrait jouer un rôle important dans la construction des DDS. (Systèmes d’administration de médicaments)

De plus, l’article fait référence à des nanoparticules cubiques auto-assemblées (nanostructures 3D fonctionnelles) en solution :

Wang et al. ont rapporté la croissance de nanofils Fe3O4 induite par le champ magnétique.[38] Par la suite, Taheri et al. ont rapporté la découverte d’un phénomène d’auto-assemblage induit par un champ magnétique intéressant de nanoparticules cubiques (NP) en solution (figures 1(A)–1(E)).

… De plus, le champ magnétique montre également leur grande capacité dans l’assemblage des NPs. L’auto-assemblage induit par un champ magnétique simplifie les étapes de fonctionnement, mais nécessite un équipement de contrôle de champ magnétique précis, ce qui augmente la dépendance vis-à-vis de l’équipement.

Ce qui ressort clairement de cette analyse, c’est que les champs magnétiques externes peuvent diriger l’auto-assemblage de nanostructures qui peuvent fonctionner comme des systèmes d’interface de biocircuit cybernétique dans le corps humain.

L’auto-assemblage de nanofils d’oxyde de fer

Une autre étude publiée en 2004 dans la revue Advanced Materials montre certaines des premières recherches sur l’auto-assemblage de nanofils d’oxyde de fer à l’aide de champs magnétiques externes.

Voir : Croissance induite par le champ magnétique de nanofils Fe3O4 monocristallins  

Des nanofils monocristallins de Fe3O4 synthétisés hydrothermiquement sous un champ magnétique sont rapportés. On montre que les cristaux carrés et hexagonaux formés dans un champ appliqué nul cèdent la place aux nanofils lorsque le champ magnétique augmente.

Et c’était il y a 17 ans.

Ce que les chercheurs ont découvert depuis lors, c’est que l’énergie requise pour initier l’auto-assemblage est étonnamment faible. Du premier article, ci-dessus :

L’interaction entre le dipôle magnétique induit et le champ externe était très faible, ce qui était de l’ordre de la force de van der Waals. Les dernières décennies ont vu les progrès de l’auto-assemblage des MNM sous champs magnétiques.

Cela signifie essentiellement que des énergies de diffusion relativement faibles peuvent induire la croissance de nanofils à l’intérieur du corps humain, étant donné que les bonnes substances sont injectées dans le corps pour commencer. La force de van der Waals décrit un phénomène de liaison intermoléculaire très faible qui est bien connu dans la science traditionnelle.

Voici une image en microscopie électronique de certains des réseaux de nanoparticules créés par des champs magnétiques externes :

Hydrogels d’ADN contrôlables magnétiquement

La même étude mentionne également des « hydrogels d’ADN », expliquant qu’ils sont « magnétiquement contrôlables ». Extrait de l’étude : (c’est nous qui soulignons)

L’ADN est considéré comme une molécule biologique génétique de base dans les systèmes vivants. Bien que les molécules d’ADN soient composées d’unités simples, différentes chaînes de désoxynucléotides et conformations flexibles peuvent être obtenues grâce à une conception et une organisation précises, qui peuvent être programmées. En d’autres termes, c’est la nature de l’auto-assemblage de l’ADN. Par exemple, Ma et al. introduit des MNP modifiés par l’ADN, des échafaudages en Y et des lieurs d’ADN dans le cadre d’hydrogels d’ADN pour construire des hydrogels d’ADN contrôlables magnétiquement.

Si vous vous demandez ce que sont les «hydrogels d’ADN», un autre article publié en 2019 révèle quelques indices : Biodétection à base d’hydrogel d’ADN

Cet article explique comment les «hydrogels intelligents» s’auto-modifient en réponse à l’organisme : (c’est nous qui soulignons)

Les hydrogels d’ADN en tant que membres spéciaux de la nanotechnologie de l’ADN ont fourni des conditions préalables cruciales pour créer des gels innovants en raison de leur stabilité, biocompatibilité, biodégradabilité et multifonctionnalité réglables. Ces propriétés ont adapté les hydrogels d’ADN pour diverses applications dans l’administration de médicaments, l’ingénierie tissulaire, les capteurs et la thérapie du cancer.

Récemment, les matériaux à base d’ADN ont suscité un intérêt considérable pour l’exploration d’hydrogels intelligents, dans lesquels leurs propriétés peuvent changer en réponse à des stimuli chimiques ou physiques. En d’autres termes, ces gels peuvent subir des transitions gel-sol ou sol-gel commutables lors de l’application de différents déclencheurs. De plus, divers motifs fonctionnels tels que les structures i-motif, les ADN antisens, les ADNzymes et les aptamères peuvent être insérés dans le réseau polymère pour offrir une capacité de reconnaissance moléculaire au complexe. Dans ce manuscrit, une discussion approfondie sera dotée de la capacité de reconnaissance de différents types d’hydrogels d’ADN et de l’alternance des comportements physico-chimiques lors de l’introduction de la cible.

Vous commencez à vous faire une idée ?

Une fois ces nanostructures assemblées à l’intérieur du corps, elles sont contrôlées par des champs magnétiques externes ou des émissions électromagnétiques, nécessitant très peu d’énergie.

Tout est réel

Ce que cette recherche démontre, c’est que :

  • La nanotechnologie auto-assemblante est réelle.
  • La nanotechnologie d’interface de biocircuit est réelle.
  • Les nanofils et nanocircuits peuvent être contrôlés par des champs électromagnétiques externes.
  • Cette technologie a été étudiée et développée pendant au moins deux décennies et est soutenue par un grand nombre de recherches publiées.
  • Il est donc possible que les « vaccins » actuels contiennent des nanotechnologies auto-assemblantes qui s’interfacent avec la biologie humaine et sont contrôlées par des diffusions externes. Cela ne prouve pas qu’un tel scénario se produise avec certitude, mais cela montre que la technologie existe et est réalisable.

Si vous n’êtes toujours pas convaincu, considérez ce texte d’une étude publiée il y a près d’une décennie, en décembre 2012 :

Systèmes d’administration à base de nanoparticules d’oxyde de fer superparamagnétique pour la biothérapie

Cette revue couvre les systèmes d’administration magnétiques récemment développés, leurs caractéristiques uniques et leur applicabilité à l’administration de produits biothérapeutiques. Étant donné que les méthodes de synthèse des SPION et l’utilisation des SPION comme agents de contraste IRM pour le diagnostic ont été largement examinées [18, 19], cette revue se concentre sur les formulations à base de SPION qui sont spécifiques à l’administration de produits biothérapeutiques. Les nanoparticules magnétiques dispersées dans des solvants organiques et des solutions aqueuses peuvent être chargées dans des liposomes, des micelles, des hydrogels et des micro/nanosphères pendant la formulation.

Tout d’abord, nous examinons les stratégies de formulation récentes pour la modification des SPION, y compris le regroupement de particules et l’encapsulation dans des hydrogels, des liposomes, des micelles et des micro-/nano-sphères. Deuxièmement, nous discutons des considérations à prendre en compte dans la conception de supports à base de SPION pour l’administration de produits biothérapeutiques spécifiques, notamment des cellules, des protéines/peptides, des gènes et des virus. En outre, nous examinons plusieurs nanoparticules magnétiques commerciales pour l’administration de produits biothérapeutiques. Enfin, nous proposons des perspectives dans les directions futures des transporteurs à déclenchement magnétique basés sur SPION pour la biothérapie, et leurs applications cliniques potentielles.

C’était il y a près d’une décennie. Imaginez ce qui a été développé et déployé au cours des années qui ont suivi.

Obtenez plus de détails dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui

Je discute plus en détail de tout cela à partir de la minute 57 dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui :

Brighteon.com/4013bbf1-6205-466e-b0a3-698fd2487412



Trouvez un nouveau podcast Situation Update chaque jour sur :

https://www.brighteon.com/channels/hrreport

Mike Adams

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Natural News




Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Laurent Aventin

Deux annonces ont circulé dans les derniers jours de ce mois d’août qui faisaient encore réagir la presse subventionnée il y a quelques mois seulement : l’Agence Européenne du Médicament (AEM) a annoncé examiner un nouveau vaccin anti-Covid faisant intervenir des nanotechnologies. D’autre part, l’un des représentants du Forum Économique de Davos a exprimé l’idée « qu’il existe des raisons solides et rationnelles de micropucer les enfants ». À leurs yeux, la population semble être prête à accepter l’inacceptable et c’est ce qui ferait la force de la troïka du Forum Économique Mondial (FEM) et de ses ambassadeurs. Récapitulatif d’une manipulation basée sur un agenda bien huilé.

L’Agence européenne du Médicament (AEM) examine un « vaccin » antiCovid à base de nanotechnologies

Un nouveau « vaccin » anti-covid, nommé Skycovion, conçu par le laboratoire pharmaceutique britannique GSK et le sud-coréen SK Bioscience (SK Chemicals selon les sources) est actuellement soumis à l’examen de l’AEM. L’information serait banale si le fabricant n’avait pas annoncé l’utilisation — et donc l’injection — de nanotechnologies introduites dans son produit.

La presse évoque plutôt l’utilisation de nanoparticules, mais il y a souvent une confusion entre nanotechnologies et nanoparticules. Ces dernières sont déjà utilisées dans les injections actuellement commercialisées comme les liposomes (enveloppe lipidique) qui protègent le matériel injecté et c’est admis par la presse grand public. Ce qui ne l’est pas – pas davantage par les fabricants de l’industrie pharmaceutique et les autorités de régulation sanitaire – c’est la présence d’oxyde de graphène auquel nous avons consacré un dossier, mais aussi de nanotechnologies destinées à créer un nanoréseau intracorporel, ce qu’on appelle un « wireless body area network » déjà utilisé en médecine de pointe.

Pour l’instant, aucune information n’est vraiment disponible sur le contenu de ce produit et il ne faut pas s’attendre à une réelle transparence tant sur la nature des nano éléments que sur leur programmation (cf. ci-dessous nanoparticules auto-assemblées) ou sur l’adjuvant utilisé. L’EMA donne pour l’instant une information à minima : 

Skycovion est un vaccin à nanoparticules autoassemblées ciblant le domaine de liaison au récepteur de la protéine de pointe du Sars-Cov 2 […], développé conjointement avec l’Institut de Conception de Protéines de l’Ecole de médecine de l’université de Washington, en combinaison avec l’adjuvant de GSK.

On sait en revanche que le vaccin a été co-financé par la Fondation Bill et Melinda Gates et la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies — (CEPI). On peut donc déjà prévoir une issue positive, car ce produit passe par Les Fourches caudines de ces deux grandes institutions incontournables pour l’obtention d’une autorisation de mise sur le marché. GSK fait par ailleurs partie de l’opération Warp Speed, il ne devrait donc pas être débouté.

Ce n’est pas la présence de nanoparticules en soi qui pose problème, mais la nature de ces particules (l’oxyde de graphène est particulièrement toxique, on pourrait le retrouver « officiellement dans ce vaccin ; l’EMA ne donne cependant aucune indication) ainsi que l’utilisation de nanotechnologies.

 L’usage de micropuces sous-cutanées couplé à la vaccination avait en revanche été démenti par la presse à un moment où il y avait confusion auprès de l’opinion publique sur ces deux technologies.

Mais voilà le Forum Économique Mondial « sort du bois » et annonce ouvertement l’utilité de la micropuce ; en réalité il prépare depuis longtemps son introduction auprès des populations avec la collaboration des autorités publiques.

Le FEM annonce la justification du micropuçage des enfants

C’est dans un article du FEM daté du 16 août 2022 qui fait l’éloge du transhumanisme et de la réalité augmentée que l’on peut lire la promotion du micropuçage présenté comme une évolution naturelle :  

Aussi effrayants que puissent paraître les implants de puces, ils font partie d’une évolution naturelle qu’ont connue autrefois les articles à porter. Les prothèses auditives ou les lunettes qui ne sont plus stigmatisées.

Bien sûr les intentions cachées restent cachées et il ne sera pas expliqué aux populations que les nanotechnologies qui ont déjà été injectées aux populations via les « vaccins » anti-Covid couplés à une micropuce sous-cutanée permettront d’influencer et de diriger leur comportement. Les progrès de la bio-informatique permettent de pirater l’esprit d’une personne, ce que la très grande majorité des citoyens considère comme de la science-fiction. Et pourtant.

Relayé par Aube digitale, le contenu de l’article du FEM précise également que la micropuce sera relayée par les influenceurs.

Cette technologie a besoin « d’un soutien, d’une vision et d’une audace appropriés », qui seront bien sûr fournis par vos suzerains technocrates, les mêmes personnes qui tentent désespérément de censurer l’internet pour ne pas être critiquées.

« La technologie d’augmentation sera utile à toutes les étapes de la vie : les enfants dans un environnement d’apprentissage, les professionnels au travail et les personnes âgées ambitieuses. Les possibilités sont multiples », écrit Philips.

« Devriez-vous implanter une puce de suivi à votre enfant ? », demande le scientifique, qui ajoute : « Il existe des raisons solides et rationnelles à cela, comme la sécurité. »

Tout est dit. Leur objectif est de prendre le contrôle des enfants. Les personnes âgées sont formatées et elles ont peu d’intérêt selon les déclarations de la caste dans le Nouvel Ordre des Barbares, la « vaccination » permet de justifier l’accès aux enfants, aux nouvelles générations, à ceux qui vont faire le monde de demain… mais comme esclaves des nouveaux maîtres.

Un agenda bien huilé dans le but de diriger la population mondiale comme du bétail

Quelle est la méthode du FEM et de ses seigneurs ?

Ils ont observé les annonces faites par les personnes éveillées dénonçant leurs activités et leur agenda au cours de la campagne de vaccination mondiale tout en dénonçant des propos complotistes. Et cela a fonctionné, leur politique mortifère a été suivie par la grès grande majorité de la population mondiale qui a reçu ces injections qui tuent et vont continuer de tuer. L’essentiel pour la Caste consiste à ne pas perdre la guerre de la communication, de l’information et donc de la manipulation des masses.

Puisque les populations ont accepté les injections — parfois sous la contrainte, mais finalement de manière aisée (69 % de la population européenne a reçu au moins une injection contre Covid au 22 août 2022, et 81 % de la population française — source The world in data), ils peuvent se permettre d’avancer en annonçant ce qui finalement ne semble pas choquer les populations : l’injection de nanotechnologies ou l’utilisation de micropuces. Le message est assez clair, « vous êtes du bétail et nous vous traitons comme des animaux d’élevage ».

En avril 2022, Le directeur général de GAVI (L’alliance mondiale du vaccin), Seth Berkley, explique que :

« la vaccination a besoin d’un coup de pouce technologique par des systèmes d’identification numériques sécurisés pouvant stocker les antécédents médicaux d’un enfant ».

Il fallait bien que ce soit le copain de Bill Gates qui l’annonce sinon cela aurait pu susciter des soupçons. Voici comment l’élite mondialiste prévoit de conduire les populations au marquage numérique grâce à l’épidémie de Covid et la vaccination.




Défense juridique des médecins convoqués pour avoir soigné. Entretien avec Me Joseph

[Source : edition.francesoir.fr]

[Illustration :  ©Me Joseph / AFP]

Par Xavier Azalbert, en collaboration avec Jean-Luc Duhamel et Héloïse Bocchio, et en partenariat avec les associations Bonsens.org, AIMSIB et le collectif Santé Justice France

Comme nous l’avait annoncé le Dr Grégory Pamart, le 14 juillet dernier, l’Ordre des médecins lance une « vaste campagne nationale », convoquant « des centaines de médecins pour avoir soigné, en conscience, des patients du Covid ». Les faits le confirment, et bien que le chiffre exact soit encore difficile à évaluer, de médecins sont convoqués devant les ordres départementaux pour s’expliquer quant au contenu de leurs prescriptions pour soigner leurs patients du Covid-19. Maître Jean-Pierre Joseph, avocat au barreau de Grenoble, nous explique la situation et livre des éléments de défense à destination des médecins convoqués.


Interview de Maître Joseph, par Xavier Azalbert, en collaboration avec Jean-Luc Duhamel et Héloïse Bocchio, et en partenariat avec les associations Bonsens.org, AIMSIB et le collectif Santé Justice France.

Qu’en est-il aujourd’hui du principe de liberté de prescrire des médecins ?

Jean-Pierre Joseph (ci-après JPJ) : Le fait pour un médecin de choisir et de prescrire des médicaments hors AMM pour soigner le covid-19 n’est ni une faute, ni un abus, ni une fraude, pas plus qu’il ne constitue un manquement déontologique.

Heureusement, car si c’était le cas, les médecins se retrouveraient aux ordres des gestionnaires des régimes obligatoires, du ministre de la Santé et/ou de l’industrie pharmaceutique.

Comme l’ont écrit de nombreux auteurs depuis des années, il semblerait qu’il existe aujourd’hui une volonté de faire disparaitre la médecine de ville. J’ai déjà expliqué dans « Les radis de la colère » (Ed. Louise Courteau 1999) pourquoi les indépendants gênent la mondialisation, et que l’objectif des grands de ce monde, était d’en  faire des salariés de la grande distribution (médecins, agriculteurs, commerçants et artisans, avocats, etc.)

Ce qu’il convient de rappeler avec force est que les médecins sont toujours libres de leurs prescription et que cela, en dépit de ce qu’avait voulu nous faire croire le ministre de la santé, Olivier Véran, est resté vrai pendant toute la soi-disant crise sanitaire, soit depuis 2020. Il s’agissait de ce que l’on a pu qualifier « d’interdiction de fait », mais en aucun cas d’une interdiction légale. En effet, la liberté de prescrire est un principe fondamental reconnu par la loi.

Pouvez-vous revenir un instant sur les faits et la liberté de prescrire ?

JPJ : Tout d’abord, la liberté de prescrire a été reconnue, en 1998, par le Conseil d’État comme principe général du droit, c’est-à-dire comme un principe placé au sommet de l’ordonnancement juridique que seuls supplantent les traités internationaux et la Constitution. En d’autres termes, il a une importance particulière dans notre droit et seule la loi peut y porter atteinte, et non un simple acte réglementaire d’un ministre (décret, arrêté).

Ensuite, la liberté de prescrire est clairement reconnue par le Code de la santé publique, dans sa partie législative comme dans sa partie réglementaire. Le principe est aussi repris dans le Code de la sécurité sociale. Bien sûr, la liberté de prescrire figure parmi les premiers articles du Code de déontologie médicale. Le texte du Code de déontologie médicale est extrêmement clair, puisqu’il prévoit ce qui suit : « Dans les limites fixées par la loi et compte tenu des données acquises de la science, le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance. Il doit, sans négliger son devoir d’assistance morale, limiter ses prescriptions et ses actes à ce qui est nécessaire à la qualité, à la sécurité et à l’efficacité des soins. Il doit tenir compte des avantages, des inconvénients et des conséquences des différentes investigations et thérapeutiques possibles ».

Ce qu’il faut également comprendre de ce texte est que la mission première du médecin, et c’est à cela que sert la liberté de prescrire, est de tout mettre en œuvre pour soigner, et idéalement guérir, son patient. Cet engagement se retrouve aussi bien dans le Serment d’Hippocrate que dans la Déclaration de Genève de l’Association médicale mondiale. Le Serment d’Hippocrate, qui constitue selon l’Ordre des médecins lui-même, « l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale », est tout à fait explicite. « Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux », y est-il écrit dès les première lignes.

Enfin, aucune loi n’étant, à ce jour, revenu dessus, le principe de la liberté de prescrire est toujours en vigueur et l’a été pendant toute la durée de la « crise » sanitaire, comme l’a confirmée le Conseil d’État, dans une ordonnance du 22 avril 2020, soit au plus fort de la « crise » sanitaire. Ainsi, selon le Conseil d’État, les recommandations du ministre de la santé (qui tentait d’interdire la prescription du Plaquénil) : « Ne font en rien obstacle (à) une prescription beaucoup plus large, sur le fondement de l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, de l’hydroxychloroquine aux patients atteints de covid-19 ». Le confrère qui avait obtenu cette importante décision, Maître Krikorian, s’en était d’ailleurs longuement expliqué dans vos colonnes comme dans un communiqué de presse et ce thème avait donné lieu à un très intéressant débat entre ce dernier, le Dr Soussi et le Dr Délépine.

Le Conseil d’État a réitéré sa position dans un arrêt du 28 janvier 2021 qui rappelle, toujours à propos du Plaquénil, que : « Son administration, si elle peut être le fait de médecins de ville, suppose ainsi non seulement le respect de précautions particulières mais également un suivi spécifique des patients, notamment sur le plan cardiaque ». Bien entendu, cela ne vaut pas que pour le Plaquénil, cela vaut pour tous les médicaments.

Dès lors, on comprend mal pourquoi réprimer des médecins qui ont prescrit des traitements dont on ne peut plus sérieusement nier aujourd’hui qu’il guérissent les patients atteints du Covid-19, c’est-à-dire des médecins qui ont répondu à la lettre à l’engagement qu’ils ont pris en prêtant serment !

Qu’en est-il pour un médecin qui refuse de prescrire ?

JPJ : On ajoutera que, pour un médecin, refuser de prescrire, outre un refus de soin, peut constituer le crime de « délaissement d’une personne qui n’est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son état physique ou psychique », une infraction prévue aux articles 223-3 et 223-4 du Code pénal. Puisque les thérapeutiques que le ministre de la Santé a tenté d’interdire sont efficaces, celui-ci et les médecins complices se rendent potentiellement coupable de délaissement ou de complicité de délaissement. Le délaissement est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende ou, s’il entraîné une mutilation ou une infirmité permanente, de quinze ans de réclusion criminelle et, s’il a provoqué la mort, de vingt ans de réclusion criminelle.

D’ailleurs, une plainte a été déposée par des médecins contre le président de l’Ordre national des médecins pour avoir empêché les médecins de prescrire les traitements reconnus comme efficaces contre le Covid-19. Un juge d’instruction est saisi.

Avez-vous des exemples qui vous permettent d’apporter un éclairage sur les dérives ?

JPJ : Pour mémoire, le scientisme dogmatique a montré ses limites par le passé, notamment après les scandales de la Thalidomide, du Distilbène, de l’amiante, du sang contaminé, du Vioxx, du Médiator, des statines, de la Dépakine, du Lévothyrox, et d’autres. Or, à chaque fois, on n’a écouté qu’une minorité de « scientifiques » croulant sous les liens d’intérêt et se prétendant détenteurs de LA Science, alors même que des milliers de médecins de terrain étaient en désaccord avec eux et on a abouti à des catastrophes sanitaires.

Nous sommes aujourd’hui dans le même cas de figure, où, alors que l’ANSM rapporte 175 000 déclarations d’effets indésirables du « vaccin », dont 42 000 classés comme « graves », les mêmes « scientifiques » répètent comme des perroquets que le lien de causalité n’est pas avéré (sans surtout rien vérifier eux-mêmes). Espérons que l’un d’entre eux ne reçoive pas, un jour, de la part d’une victime ou de l’un de ses proches, excédé par autant de mauvaise foi, un coup de poing dans la figure, accompagné d’un « coup de gueule » : « Vous avez mal ? Je n’y suis pour rien, car le lien de causalité n’est pas avéré… »

Qu’en est-il de la prescription hors autorisation de mise sur le marché ? Le traitement recommandé par les médecins de terrain pour lutter contre le Covid-19 supposait-il de les utiliser en dehors de cette indication ?

JPJ : La première précision importante est que la prescription d’une spécialité pharmaceutique en dehors des indications de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) qui lui a été délivrée par les services de l’État n’est pas illégale. Elle est simplement encadrée par le Code de la santé publique.

C’est ce que prévoit son article L. 5121-12-1. Cela a été confirmé le Conseil d’État par l’arrêt déjà cité du 28 janvier 2021 au sujet du Plaquénil. Selon le Conseil d’État, en l’absence de recommandation temporaire d’utilisation et d’alternative médicamenteuse appropriée ayant une AMM ou une ATU, le Plaquénil pouvait être prescrit pour une autre indication que celles de son AMM, à la double condition de l’absence de toute recommandation temporaire d’utilisation et de l’absence d’alternative médicamenteuse appropriée disposant d’une autorisation de mise sur le marché ou d’une autorisation temporaire d’utilisation, qu’en l’état des données acquises de la science, le prescripteur juge indispensable le recours à cette spécialité pour améliorer ou stabiliser l’état clinique de son patient. Cela vaut, bien sûr, pour tout médicament.

Ainsi, si l’on veut résumer le régime de la prescription hors AMM, on retiendra plusieurs éléments fondamentaux.

  • Premièrement, une prescription hors AMM n’est pas, en soi, illégale et elle ne peut pas caractériser, à elle seule, une faute disciplinaire du médecin prescripteur. Cela ressort d’un arrêt du 19 juillet 2011 du Conseil d’État. Le juge y précise que : « Les prescriptions de médicaments hors du champ des indications figurant dans une autorisation de mise sur le marché n’étant pas par elles-mêmes interdites, la section des assurances sociales ne pouvait, sans commettre une erreur de droit, se borner à retenir cette circonstance pour la qualifier de faute, abus et fraude au sens de l’article L. 145-1 du code de la sécurité sociale ». Ceci est essentiel à comprendre pour les médecins que l’Ordre prétend aujourd’hui sanctionner pour avoir prescrit des traitements hors AMM qui ont, de surcroît, guéri leurs patients.
  • Deuxièmement, et le Code de la santé publique est tout à fait explicite sur ce point : en l’absence d’autorisation ou de cadre de prescription compassionnelle dans l’indication considérée, la prescription hors AMM est licite à la double condition qu’il n’existe pas d’alternative médicamenteuse appropriée disposant d’une AMM ou d’une autorisation d’accès précoce et que prescripteur juge indispensable, au regard des données acquises de la science, le recours à cette spécialité pour améliorer ou stabiliser l’état clinique de son patient. Dans ce cas, l’ordonnance doit porter la mention « Prescription hors autorisation de mise sur le marché  », ce qui implique d’informer le patient que le médicament est prescrit hors AMM et de lui exposer les risques encourus, les contraintes et les bénéfices attendus du médicament.
  • Troisièmement et ce point est également crucial pour la défense des médecins aujourd’hui mis en cause, la charge de la preuve pèse sur la juridiction ordinale (chambres disciplinaires des conseils régionaux et du conseil ordre national de l’Ordre des médecins). En d’autres termes, c’est à elle de démontrer que la thérapeutique employée fait effectivement courir un risque injustifié au patient. Là encore, c’est l’enseignement d’un important arrêt du 4 septembre 2000 du Conseil d’État. On observera, à ce propos, que l’initiative des convocations des médecins ayant prescrits provient de l’administration qui a saisi les ordres médicaux, mais jamais, à ma connaissance des patients…

Comment se fait-il que les Ordres départementaux, qui convoquent aujourd’hui les médecins ayant prescrit, aient pu avoir accès à leurs prescriptions, permettant la poursuite ou l’intimidation ?

JPJ : C’est une bonne question. La chose est en effet surprenante. L’explication pourrait néanmoins être assez simple, quoique hautement critiquable.

Il semblerait, au vu des courriers de convocation que j’ai pu consulter, que les Ordres départementaux des médecins, qui exercent en principe un contrôle déontologique en premier ressort sur les médecins de leur département et sont dotés du pouvoir de saisir les chambres disciplinaires régionales, se soient appuyés sur les signalements que leur ont faits les directeurs des caisses d’assurance maladie, qui exercent aussi un contrôle mais d’ordre administratif sur les médecins.

En d’autres termes, contrôle déontologique et contrôle administratif ont été savamment mêlés pour créer une confusion et laisser croire que les Ordres pouvaient, soudain, contrôler le contenu des prescriptions des médecins !

En effet, l’article L. 162-1-19 du Code de la sécurité sociale, invoqué par nombre de courriers de convocation, est relatif au pouvoir de contrôle des médecins par les directeurs de caisses d’assurance maladie. Plus précisément, cet article autorise les directeurs de caisses à transmettre aux Ordres médicaux les « faits susceptibles de constituer des manquements à la déontologie ». Cependant, et c’est là le point-clef, ce texte ne permet aux directeurs de caisses de signaler à l’Ordre des médecins que des faits susceptibles de constituer des manquements à la déontologie et aucun autre.

Cette analyse a d’ailleurs été confirmée, à propos de la transmission aux Ordres médicaux par les directeurs de caisses de données à caractère personnel, par la Commission informatique et libertés (CNIL), dans une déclaration du 16 août 2022 relative à la « Lutte contre les fautes, abus et fraudes par l’assurance maladie obligatoire ». Il en ressort que le droit de transmettre des données personnelles aux ordres de médecins n’est octroyé aux directeurs de caisses que pour des motifs de fraude interne et les fautes, abus et fraudes, aucun autre motif de transmission n’étant recevable. Selon la CNIL : « Les organismes gestionnaires des régimes obligatoires de base de l’assurance maladie sont autorisés à mettre en œuvre des traitements de données à caractère personnel dont la finalité est la lutte contre la fraude interne et les fautes, abus et fraudes (…). UTILISATION(S) EXCLUE(S) DU CHAMP DE LA NORME : Toute autre finalité ».

Au demeurant, l’article L. 162-1-19 du Code de la sécurité sociale, qui n’a que rarement été mis en œuvre, ne l’a été, à ce jour, que pour des questions de dépassements d’honoraires ou de refus de soin (arrêté du 22 septembre 2011 portant approbation de la convention nationale des médecins généralistes et spécialistes).

On en déduit que le pouvoir de signalement, donc de transmission d’informations, des directeurs de caisses est strictement limité aux manquements déontologiques et, s’agissant des données à caractère personnel, aux fraudes internes, fautes, abus et fraudes entrant dans la définition du manquement déontologique. Or, eu égard au principe de liberté de prescrire, le contenu de la prescription hors AMM par le médecin ne constitue pas une faute déontologique.

En somme, le fait pour un médecin de choisir et de prescrire des médicaments hors AMM pour soigner le covid-19 n’est ni une faute, ni un abus, ni une fraude, pas plus qu’il ne constitue un manquement déontologique. Si c’était le cas, les médecins se retrouveraient aux ordres des gestionnaires des régimes obligatoires, du ministre de la Santé et de l’industrie pharmaceutique.

Par conséquent, les convocations de médecins sur le fondement de l’article L. 162-1-19 du Code de la sécurité sociale peuvent être, sous réserve de l’appréciation du juge, qualifiées d’illégales d’un point de vue procédural.

Dans le contexte actuel, il reste une question essentielle. Les médecins ainsi convoqués peuvent-ils compter sur l’impartialité de leur Ordre ?

JPJ : La vraie question, à laquelle le droit apporte une réponse très claire, est celle de l’impartialité des formations disciplinaires des Ordres, c’est-à-dire celles qui ont le pouvoir d’infliger des sanctions disciplinaires aux médecins (chambres disciplinaires des conseils régionaux et du conseil ordre national de l’Ordre des médecins). En effet, les membres de ces formations sont soumis au principe d’impartialité, qui est explicité par la maxime : « Nul ne peut être juge et partie ». C’est un principe à valeur constitutionnelle (article 16, Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen). L’impartialité doit être, à la fois, personnelle (ne pas avoir de préjugés personnels) et fonctionnelle (ne pas être en situation de conflit d’intérêt).

L’obligation d’impartialité des membres des juridictions ordinales a été très clairement reconnue par la Cour européenne des droits de l’Homme. Ainsi, dans une décision du 20 mai 1998, affaire Gautrin c. France, la Cour décide, à propos d’un litige opposant SOS Médecins et d’autres associations intervenants dans le même domaine, que les juridictions ordinales compétentes ne pouvaient pas être qualifiées d’impartiales. Selon la Cour, « dans cette région, interviennent dans le même domaine des associations auxquelles participent certains syndicats médicaux et conseils départementaux de l’ordre (…).  (Ce) litige dépassait le strict domaine du respect de la déontologie puisqu’il s’inscrivait dans le contexte d’une concurrence entre SOS Médecins et les autres associations d’urgentistes susmentionnées. Or la Cour observe que les membres du conseil régional ainsi que trente-deux des trente-huit membres du conseil national – lequel élit en son sein la section disciplinaire – sont des praticiens désignés directement par les conseillers départementaux (…). Ces deux organes avaient de ce fait un lien troublant avec lesdites « concurrentes » de SOS Médecins et il est compréhensible que les requérants aient suspecté leurs juges de partialité ». Il s’ensuit que « ni le conseil régional de l’Ordre des médecins d’Île-de-France ni la section disciplinaire du conseil national du même Ordre ne furent un tribunal « impartial » au sens de l’article 6 § 1 ». Bref, il y a eu violation de cette disposition.

Le Conseil d’État ne dit pas autre chose. Il relève, par exemple, dans un arrêt du 22 décembre 2017 que le fait qu’un médecin ait, au titre de ses fonctions au sein de l’ARS, été antérieurement saisi par le conseil départemental de l’Ordre des médecins des faits reprochés à l’intéressé et avait alors préconisé une inspection sur place, en en informant le conseil départemental, « est susceptible de porter atteinte à l’équité du procès et au principe d’impartialité rappelés par les stipulations de l’article 6 de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales ».

Le principe d’impartialité connaît de multiples applications, parmi lesquelles, comme il a été dit, l’interdiction des conflits d’intérêts, par exemple entre un médecin, un laboratoire pharmaceutique et le litige que ce médecin aurait à connaître au titre de membre d’une juridiction ordinale. Plusieurs outils permettent aux médecins convoqués pour avoir prescrits des traitements contre le covid-19 de s’assurer que les juges ordinaux qui ont à connaître de leur affaire sont dépourvus de conflits d’intérêts : la base de données « Transparence-santé » du ministère de la Santé, la base des « Déclarations publiques d’intérêts » du ministère en charge de la santé ou encore la base « Euro for docs », qui est une base privée.

L’actualité est d’ailleurs riche en enseignements en matière de conflits d’intérêts des médecins. Ainsi, dans un domaine proche, celui de la déclaration de leurs liens d’intérêt par des médecins avant une prise de parole dans les médias, que le prévoit l’article L. 4113-13 du Code de la santé publique, le Pr Bruno Lina et le Pr Robert Cohen ont été récemment sanctionnés par la Chambre nationale du Conseil de l’Ordre des médecins pour n’avoir pas déclarés de tels liens.


À destination des médecins convoqués, Me Jean-Pierre Joseph a rédigé une note d’information juridique qu’il intitule :
« Arguments à faire valoir en cas de convocation par l’Ordre des médecins pour avoir prescrit ».




Dogma 20 – Un Réenchantement est-il encore possible ?

Édition 20. Été 2022

Par Dr. Lucien Samir Oulahbib et Dr. Isabelle Saillot

« Enchanter, réenchanter » ne seront pas ici des termes pris dans ce sens second spécifiant qu’un côté « magique » d’enchantement ou sortilège devrait être remis en selle dans une sorte de néopaganisme prôné à nouveau par tous les extrêmes (centre compris). Surtout s’il s’agit de cette ambiguïté faisant dire à Max Weber et Thomas Nipperdey que la lutte contre la magie d’exclusion aura permis l’éclosion de la Ville et la Technique en Occident (puis un peu partout ensuite) au sens de les « libérer » de certains interdits (des quartiers réservés officiellement) et superstitions (des supposées créatures maléfiques peuplant la forêt pour en empêcher l’accès) ; mais il ne faut pas oublier aussi que ce qui s’appela alors la « modernité » ce synonyme  institutionnalisé de la « liberté », fut depuis de plus en plus pris en otage par une instrumentalisation désormais intenable :   car ni la Ville ni la Technique pas plus que la Nature peuvent être réduites à leur fonctionnalité instrumentale sauf à leur enlever ce que Mauss nommait le « hau », l’esprit enveloppant êtres et choses, cet imaginaire permettant d’y accéder comme à leur insu, s’y insérer à la façon d’un songe éveillé que relatait si bien Rimbaud, cet océan intérieur enfin fait de souvenirs et de désirs sans cesse remodelés activement comme le fit cette jeune fille nigérienne chrétienne, Deborah Samuel, qui a été lynchée puis brûlée parce qu’elle voulait que sa radio étudiante parle aussi du mauvais réenchantement qui empêchait les gens comme elle de s’exprimer,  de parler rire rêver d’un réenchantement pour lequel les êtres et les choses ne seraient pas seulement des supports d’envies et de besoins, mais des créatures transcendentales au sens de dépasser leur assemblage d’atomes et de cellules de formes et de cristallisation pour atteindre cette ineffable « légereté de l’être » de Kundera, ce « Je-ne-sais-quoi et le Presque rien » de Vladimir Yankélévitch. Observez les dans le regard et le sourire de Deborah.

Le, les, monde(s) des êtres et des choses réellement « libres » auraient été « enchantés » de la connaître. Mais pour l’instant cela saigne et abondamment comme toutes ces images et caricatures qui seront étudiées ici et qui en signifient l’ampleur.

INFORMATION : dorénavant (depuis le numéro 16, été 21…) et suite à de nombreuses demandes, DOGMA est enfin disponible en version papier, mais, pour le moment, uniquement sur le site d’Amazon.

CONTENU :

UN RÉENCHANTEMENT EST-IL ENCORE POSSIBLE ?
Dr. Lucien Samir Oulahbib, Dr. Isabelle Saillot

BEYOND ENCHANTMENT: A CLASSICAL ESCAPE FROM GLOBAL SODOM
By Marco Antonio Andreacchio

RÉENCHANTER LE MONDE
Par Joseph Stroberg

TRUE PAINTING
By Paul Rhoads

L’AFFAIRE LAËTITIA PERRAIS OU L’IMPOSSIBLE ENCHANTEMENT
Par Rachel Viviane

GLOBAL THREATS AND THEIR ORIGIN
by Dr. Oleg Maltsev

THROUGH A GLASS DARKLY: UTOPIAN ENCHANTMENTS AND LOST ILLUSIONS
by Elvira Groezinger

LE « FÉMINICIDE » COMME MEURTRE MISOGYNE ET/OU « CULTU(R)EL » ?
RÉENCHANTER LES RELATIONS HOMME-FEMME
Par Lucien Samir Oulahbib

LE YOGA DE SHANKARA
Par William Neria

CONSCIOUSNESS EXPLAINED?
By James H. Cumming

ÉNERGIE : L’EUROPE SE SABORDE ET COURT À LA CATASTROPHE
Par Jean-Jacques Nieuviaert et Michel Gay

ISRAËL ET LA NUE PESTE BRUNE
Par Liliane Messika

WALTER BENJAMIN : UNE PHILOSOPHIE DE LA RÉVOLUTION
Par David Cumin

CE QUE GEORGES BERTIN M’A APPRIS
Par Lucien Samir Oulahbib

POISSONS DE PENSÉE LIBRE PÊCHÉS DANS L’OCÉAN MÉDIATIQUE
Par Lucien Samir Oulahbib

COMMENT NIER L’INEFFICACITÉ DES INJECTIONS GÉNIQUES ET LEURS DANGERS ?
Par le docteur Nicole Delépine

LUXE EN TRANSITION.  OU SAVOIR ÊTRE LE RÉENCHANTEMENT…
Par Lucien Samir Oulahbib




Effets secondaires des poisons vaxinaux anticovid — Témoignage d’une hôtesse de l’air

[Source : Paroles d’anges]

https://youtu.be/lD9lDtj2970


[Source : Virginie Joron]




« J’ai deux gamins. Je vais disjoncter l’antenne. On veut vivre nous aussi »

[Source : zoomdici.fr via profession-gendarme.com]

[Illustration : Beaucoup de gens unis autour de la famille d’éleveur du Gaec du Coupet. Photo par Nicolas Defay]

Par Nicolas Defay

Un jour après la décision du Conseil d’État ordonnant à ne pas couper l’antenne 4G à Mazeyrat d’Allier, les éleveurs du Gaec du Coupet l’ont eux-même neutralisée. À bout de souffle, à bout de vie, ce geste de désespoir a été accompagné par une cinquantaine d’habitants et d’agriculteurs.

Vidéo en bas d’article

C’est une véritable bataille qui s’est jouée et se joue encore sur les hauteurs de Mazeyrat d’Allier. Bataille économique contre une bataille humaine. Puissants lobbys contre une simple famille. Pot en acier trempé contre un pot de terre cuite. Au bout de 13 mois ponctués de hauts et de bas, de pleurs et de souffles, d’interviews en interviews, d’audiences dans les tribunaux, 13 mois de cadavres, de vaches aveugles, de veaux prostrés, d’animaux à l’agonie…le geste de Frédéric Salgues, soutenu par ses proches, ses amis, ses voisins, ses confrères, résonne comme un véritable cri de désespoir, de colère et de survie.

L'affluence devant le relais soupçonné d'être à l'origine de l'hécatombe.
L’affluence devant le relais soupçonné d’être à l’origine de l’hécatombe.
Photo par Nicolas Defay

« Ce n’est pas lui qui a coupé l’antenne, c’est nous tous ! »

Ce vendredi 18 août, au lendemain des conclusions du Conseil d’État qui casse l’ordonnance du 13 mai du tribunal administratif de Clermont-Ferrand, jugement qui exigeait l’arrêt de l’antenne 4G pour une durée de 2 mois à partir du 23 août, l’éleveur et père de famille a mis sur off le disjoncteur du relais. 

« Aujourd’hui, on en a tous ras-le-bol, lance-t-il, la voix tremblante, devant l’attroupement rassemblé devant lui. J’ai deux gamins. Je vais disjoncter l’antenne. Ça a assez duré ».

À coté du relais soupçonné d’être à l’origine des graves nuisances sur son cheptel, il ajoute simplement : 

« On veut vivre nous aussi ».

Quelques secondes se passent alors quand une personne intervient. « Je veux dire quelque chose ! C’est nous tous qui disjonctons l’antenne. C’est tout le monde qui disjoncte. On se met tous avec ! » Les gens présents grimpent alors le fossé pour entourer Frédéric Salgues et ajouter ainsi leur visage à l’action. « Ce n’est pas lui qui a coupé l’antenne, c’est nous tous !, insiste l’un deux. Nous sommes tous avec lui ! »

« On a tout perdu. On ne peut plus tenir. Financièrement, c’est catastrophique. Moralement, on en peut plus. Faire vivre ça à nos enfants, c’est juste horrible. Là, on va la couper nous-même et on attendra que quelqu’un vienne voir ». Géraldine Salgues

Présents, les gendarmes ne se sont pas opposés à l'intervention sur le disjoncteur.
Présents, les gendarmes ne se sont pas opposés à l’intervention sur le disjoncteur.
Photo par Nicolas Defay

Les opérateurs téléphoniques et le gouvernement, grands gagnants

Dans 5 jours, l’antenne devait être arrêtée par une décision de justice datée du 23 mai pour vérifier si oui ou non elle était la cause du mal. Le 10 août, après que les 4 opérateurs téléphoniques aient fait appel de cette ordonnance, le rapporteur public s’est opposé à l’arrêt des émissions, stipulant une erreur de procédure judiciaire. Le 17 août, le couperet tombe. Le Conseil d’État suit l’analyse du rapporteur public. Les 4 opérateurs, ainsi que le Ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, Bruno Le Maire, ont alors gain de cause.

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« Mis à part un impact financier, je ne vois pas pourquoi ils s’y opposent tant »

« On laisse mourir des vaches, on laisse mourir une famille et tout le monde s’en fout, souffle Géraldine Salgues. Le tribunal administratif était de notre côté car ils avaient pris conscience d’un réel soucis. Les quatre opérateurs ne veulent pas couper l’antenne alors que le réseau marchait très bien avant qu’ils l’installent. Mis à part un impact financier, je ne vois pas pourquoi ils s’y opposent tant ».

Elle ajoute : 

« Quand elle est coupée pour maintenance, les vaches vont nettement mieux. Elles vont manger au cornadis, elles boivent, elles se chamaillent. Elles retrouvent un comportement normal ».

« Mon avenir ? Je l’envisage au jour le jour. Je ne peux plus me projeter maintenant. Je n’ai même pas les mots pour décrire ce qui nous arrive. Pour moi, arrêter l’antenne de force est la dernière solution ».

Nathan Salgues

Une vingtaine de vaches et 30 veaux sont morts de façon inexpliquée en un an.
Une vingtaine de vaches et 30 veaux sont morts de façon inexpliquée en un an.
Photo par Nicolas Defay

« Regardez comment elles vont à présent ! Regardez comment elles vivent ! »

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dossier 5G et ondes pulsées]

« J’ai eu mon bac cette année et j’en suis fier, partage Nathan Salgues, l’un des deux enfants de la famille. Mais j’avais l’objectif de m’installer ici. À présent c’est compromis. Le plus dur c’est que nous sommes persuadés que c’est l’antenne le problème. Et les opérateurs téléphoniques savent très bien pourquoi ils ne veulent pas la couper. Parce qu’ils auront d’autres problèmes ailleurs ».

Si les animaux restaient effectivement serrés contre les parois de la ferme avant que l’opération ne soit effectuée, les bêtes ont semblé reprendre consistance aussitôt le relais neutralisé. « Regardez comment elles vont à présent !, montre Géraldine Salgues. Regardez comment elles vivent ! Elles se sont toutes approchées des barrières, chose qu’elles ne font jamais quand l’antenne est en marche ».

« Depuis le début de cette affaire, force est de constater que malgré tous les efforts de chacun, malgré avoir interpellé le Préfet, le Ministre du numérique, le Ministre de l’économie, tous témoignent d’un profond déni sur le sujet. » Claude Font, FDSEA

Frédéric Salgues devant les caméras. Les médias nationaux se penchent sur l'affaire.
Frédéric Salgues devant les caméras.
Les médias nationaux se penchent sur l’affaire.
Photo par Nicolas Defay

« Si on ne cautionne pas le geste, nous le comprenons »

Claude Font, président de la FDSEA, est aussi sur place avec la Directrice du syndicat Anne Rogues et Nicolas Merle, Président des Jeunes Agriculteurs. 

« Nous sommes là pour défendre et accompagner les éleveurs du Gaec du Coupet, s’exprime-t-il. Si on ne cautionne pas le geste, nous le comprenons. »

Il termine en ces mots : 

« Et qu’on ne me parle pas du Bien Être Animal ! Le Gaec du Coupet subit des pertes innombrables sûrement dues au dysfonctionnement de l’antenne. Nous ne sommes pas contre le déploiement des relais. Mais ce que nous voulions savoir tout simplement et de façon légale c’était si, oui ou non, l’antenne était incriminée dans les nuisances à l’œuvre dans ce Gaec en très grave souffrance ! »

Vidéo ci-dessous ▼