France — L’injustice de la suspension des pompiers et des soignants

[Source : Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie]

Rémy Chabbouh, sapeur pompier à la caserne de Saint-Priest à Lyon et secrétaire national du syndicat Sud SDIS, témoigne de son désarroi face aux lois sanitaires toujours en vigueur pour les professionnels de santé :

Vidéo de Yoyo [incluse dans celle ci-dessus] :




The Big Reset – Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie

[Source : Infos et Culture via PG]

Liste des participants : Rashid Buttar, Christian Perronne, Heiko Schöning, Chinda Brandolino, Nadiya Popel, Wolfgang Wodard, Alexandre Juving-Brunet, Alexandra Henrion-Caude, Alfonso Longo, Carlos Vara De Rey, Cristina Martin Jiménez, Luis Miguel Benito, Carlos Astiz, Fernando Lopez Mirones, Gerard Guillaume, German Sarlangue, Grégory Catteau, Javier Villamor, Jean-Dominique Michel, Jon Ander Etxebarria, Louis Aubouin, Luc Montagnier, Michel Maffesoli, Oscar Aguilera, Pablo Campra, Pierre Jovanovic, Pierre Barnérias, Vincent Pavan, Steve Ohana, Valérie Bugault, Xavier Azalbert, Reiner Fullmich. Thebigresetmovie, le 11/09/22 – Version française.






Documentaire : Consentement non éclairé

[Sources : Quantumleap]

Un regard approfondi sur le récit du Covid 19, qui le contrôle et comment il est utilisé pour injecter une nouvelle technologie non testée dans presque chaque personne sur la planète.
Ce film explore notre récente perte des droits de l’homme tout en évoquant l’impact dévastateur des mandats et l’histoire très émouvante de la perte d’un être cher.
Écoutez la vérité de médecins et de scientifiques qui n’ont pas peur de s’opposer à Big Pharma et à l’élite qui profite de ces mandats.


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[ou sur Odysee : ]






À propos de C. Perronne l’Express ment, l’Express ment énormément !

Par Gérard Delépine

Dans un article du 13 septembre 2022, Bruno Coutier via AFP et par Victor Garcia titrent dans l’Express : « Antivax, idole de l’extrême droite : Christian Perronne. »

S’agit-il d’une énorme bourde par absence totale d’enquête sur son engagement médical ou d’un mensonge délibéré visant à décrédibiliser ce professeur qui a consacré toute sa vie à la lutte contre les maladies infectieuses ?

Non, Monsieur Garcia, le professeur Christian Perronne n’est pas un antivax !

Il a au contraire a consacré la majeure partie de sa vie au traitement des maladies infectieuses et en particulier à la promotion des vaccins1 . Qu’on partage partie ou totalité de ses positions vis-à-vis des différents vaccins, il est inadmissible de déformer et trahir sa pensée à travers des articles grand public dans lequel il n’a même pas pu s’exprimer !

Pour le vérifier, il suffit de revoir la liste de ses articles scientifiques

En 1985, sa thèse de doctorat porte sur le traitement de l’endocardite expérimentale à Staphylococcus aureus (grave infection du système circulatoire atteignant le cœur).

Il a écrit près de 150 articles 2 dans des revues à comité de lecture qui analysent le traitement des maladies infectieuses, les médicaments antirétroviraux du sida, la place des vaccins dans la prévention des infections respiratoires 3, la recherche sur un vaccin contre le virus H5N14, sur le traitement de la tuberculose5 et sur la maladie de Lyme6entre autres.

L’accuser d’être un antivax constitue donc une grossière calomnie !

Les innombrable fonctions qu’il a exercées témoignent de ses compétences et de ses positions pro-vaccinales

Il a dirigé (en tant que Directeur-adjoint) le Centre national de référence sur la tuberculose et les mycobactéries de l’Institut Pasteur de Paris, jusqu’en 1998.

En 2009, il a exercé comme vice-président du groupe « European advisory group of experts on immunisation » (E[T]AGE), qui conseille la politique vaccinale de l’Organisation mondiale de la santé dans la Région européenne de l’OMS dans le but de faciliter et d’accélérer les réalisations en matière d’éradication, d’élimination et de contrôle des maladies évitables par la vaccination.7

ll a présidé jusqu’en 2016 la Commission maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique (HCSP)

Il a participé à des groupes de travail à l’agence du médicament (ANSM).

Président du collège des enseignants de maladies infectieuses et tropicales (CMIT), cofondateur et ancien président de la Fédération française d’infectiologie.

Président de groupes de travail élaborant des recommandations basées sur les preuves du traitement antibiotique des infections respiratoires à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM, ex-AFSSAPS)

Président de la section maladies transmissibles du Conseil supérieur d’hygiène publique de France de 2001 à 2007.

Membre du conseil scientifique de l’Institut de recherche en microbiologie et maladies infectieuses (IMMI, INSERM) jusqu’en 2013.

Président du Conseil national des universités (CNU), sous-section Maladies infectieuses et tropicales.

Dans le milieu médical il était unanimement respecté pour ses connaissances et pour ses qualités de modérateur jusqu’à ce qu’il dénonce publiquement les erreurs de la stratégie anticovid du gouvernement.

Comment Bruno Coutier, l’AFP, Victor Garcia et l’Express peuvent-ils être aussi ignorants de ses activités dédiées en permanence aux traitements des maladies infectieuses et à la vaccination ? Comment osent-ils le traiter d’antivax ?

Aucun des prétendus experts que les « Check news » citent parfois dans leurs calomnies envers C. Perronne ou D. Raoult n’a de pareilles références scientifiques.

C. Perronne est-il de droite ?

C Perronne était un médecin respecté du sérail jusqu’au jour où il a osé démentir le narratif covid officiel8 9. Du jour au lendemain il a été présenté comme d’« extrême droite, de complotiste ou d’antisémite ».

Personnellement je n’en sais rien et ne dispose d’aucun élément pour en juger, mais l’ayant connu dans son hôpital R Poincaré, à Garches je suis totalement surpris de telles accusations qui ne correspondent absolument pas à son comportement de l’époque. Ses calomniateurs ne fournissent d’ailleurs aucun fait précis qui conforterait leurs accusations.

De toute manière, les opinions politiques des personnes n’ont aucun intérêt dans un débat scientifique qui doit seulement prendre en compte les faits avérés et de manière contradictoire.

Bruno Coutier et Victor Garcia ne respectent pas l’éthique du journalisme

Les qualificatifs « extrême droite, complotiste » sont systématiquement utilisés par les médias aux ordres pour décrédibiliser les gêneurs sans que leurs calomniateurs n’apportent jamais de faits qui le démontrent.

Que C. Perronne soit défendu par des leaders de droite prouve seulement que ceux de gauche refusent de protéger les donneurs d’alerte qui osent mettre en doute la propagande gouvernementale et c’est bien triste.

Ces calomnies de caniveau discréditent l’AFP, l’Express, Bruno Coutier, Victor Garcia et tous ceux qui les diffusent. Ils ne respectent pas l’éthique du journalisme10 suivie et respectée par la grande majorité des professionnels de l’information et en particulier : le respect de la personne et de sa vie privée — la vérification des faits et des sources, le principe de la liberté de l’information et de l’expression, la condamnation de la diffamation.

Oui la chloroquine aurait pu éviter plus de 25 000 morts de covid en France !

Dans ce même article de l’Express, l’auteur prétend « qu’aucune étude n’avait démontré ne serait-ce que 1 % d’efficacité ». Manifestement, n’étant pas médecin il ignore comment rechercher les articles scientifiques (ou ne sait pas lire l’anglais médical ?).

Au 18/9/2022 sur le sujet covid-hydroxychloroquine Pubmed référençait 3549 articles dont un grand nombre démontrait l’efficacité du traitement par HCQ en soulignant l’importance de la précocité du traitement pour prévenir la mortalité11, l’efficacité du traitement précoce par HCQ chez les patients ambulatoires12, l’efficacité et la bonne tolérance de ce même traitement en prévention du covid chez les travailleurs de la santé à haut risque en Inde.13

Au-delà des articles, les faits avérés, que chacun peut vérifier facilement en tapant sur son ordinateur « OMS covid Dashboard » « OurWorldinData covid cases per million » ou « OurWorldinData covid deaths per million » confirment l’efficacité de la chloroquine en population réelle.

Après plus de deux ans et demi d’évolution de l’épidémie, la mortalité cumulée observée constitue le critère de jugement le plus pertinent pour estimer l’efficacité des stratégies adoptées.

La comparaison entre l’Algérie qui a adopté le protocole Raoult dès le début, et la Tunisie, la France, les USA, la Belgique et l’Italie qui ont appliqué la stratégie du tout vaccin est éloquente : 155 morts covid par million d’habitants en Algérie contre 2300/M en France, 15 fois moins en Algérie !

Les populations française et algérienne partagent des facteurs de risques covid (âge, obésité, diabète) comparables. La France est mieux équipée en hôpitaux que l’Algérie. Si on avait appliqué le protocole Raoult ce n’est pas 25 000, mais plus de 130 000 morts de covid que nous aurions pu éviter !

La task force Covid indienne a conseillé la chloroquine en thérapie préventive pour les soignants, les familles de malades et en traitement précoce pour les malades. À l’issue de la première vague, malgré le manque d’hôpitaux, de médecins, l’Inde recensait dix fois moins de cas covid que la France :

Et après deux ans d’épidémie, l’inde compte six fois moins de morts par millions que la France :

L’AFP, l’Express, Bruno Coutier, Victor Garcia paraissent ignorer les données officielles de l’OMS ! Ils se contentent de réciter le crédo officiel. Il serait temps qu’ils s’intéressent aux faits avérés du monde réel et qu’ils les présentent impartialement comme les journalistes qu’ils étaient certainement jadis.

Maintenant que la médecine est devenue un business administré par l’état, où l’obéissance, la docilité, et la bêtise aveugle règnent en maître, Perronne et les autres médecins qui restent fidèles au serment d’Hippocrate (qui avaient l’esprit critique et croyaient à la pensée logique) n’y ont plus leur place.

Espérons, dans l’intérêt des malades qu’ils la retrouveront bientôt.


1 https://www.francesoir.fr/culture-livres/perronne-covid-et-charge-politique

2 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=perrone+c

3 Perronne C. The role of vaccination in the prevention of lower respiratory tract infections]. Rev Mal Respir. 2009 Apr;26(4):475-7. French. doi : 10.1016/s0761-8425(09)74059-8. PMID : 19421107.

4 Bresson JL, Perronne C, Launay O, Gerdil C, Saville M, Wood J, Höschler K, Zambon MC. Safety and immunogenicity of an inactivated split-virion influenza A/Vietnam/1194/2004 (H5N1) vaccine: phase I randomised trial. Lancet. 2006 May 20;367(9523):1657-64. doi : 10.1016/S0140-6736 (06) 68656-X. PMID : 16714186

5 Avec François Denis, Mycobacterium tuberculosis et mycobactéries atypiques, Paris, Elsevier Masson, 2004 (ISBN 978-2-7381-4997-8, BNF 39144965).

6 La Vérité sur la maladie de Lyme : infections cachées, vies brisées, vers une nouvelle médecine, Paris, éditions Odile Jacob, 2019, 2e éd., 336 p. (ISBN 2738150543, BNF 45836447) 11, 19, 23, 30, 47.

7 Perronne C, Adjagba A, Duclos P, Floret D, Houweling H, Le Goaster C, Lévy-Brühl D, Meyer F, Senouci K, Wichmann O. Implementing efficient and sustainable collaboration between National Immunization Technical Advisory Groups: Report on the 3rd International Technical Meeting, Paris, France, 8-9 December 2014. Vaccine. 2016 Mar 8;34(11):1325-30. doi : 10.1016/j.vaccine.2016.01.063. Epub 2016 Feb 6. PMID : 26859237

8 Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? : Covid-19 : l’union sacrée de l’incompétence et de l’arrogance, Albin Michel, 2020 (ISBN 978-2226455185) 46, 47, 54.

9 Décidément, ILS n’ont toujours rien compris ! : Covid-19, celui qui dit la vérité doit être exécuté…, Paris, Albin Michel, 2021, 288 p. (ISBN 978-2226461339 et 2226461337).

10 https://www.isfj.fr/actualites/202103-ethique-journalistique/

11 . Accinelli RA, Ynga-Meléndez GJ, León-Abarca JA, López LM, Madrid-Cisneros JC, Mendoza-Saldaña JD. Hydroxychloroquine / azithromycin in COVID-19: The association between time to treatment and case fatality rate. Travel Med Infect Dis. 2021 Nov-Dec;44:102163. Doi

12 parution2021Le traitement ambulatoire précoce du COVID-19 avec HCQ+AZ comme norme de soins est associé à une très faible mortalité, et HCQ+AZ améliore la survie au COVID-19 par rapport à d’autres régimes. Citation DataReviews in Cardiovascular Medicine, ISSN : 2153-8174, Vol : 22, Numéro : 3, Page : 1063-107, l’efficacité du même traitement en préventif chez les travailleurs de la santé en Inde

13 Stricker RB, Fesler MC. Hydroxychloroquine Pre-Exposure Prophylaxis for COVID-19 in Healthcare Workers from India: A Meta-Analysis. J Infect Public Health. 2021 Sep;14(9):1161-1163. doi: 10.1016/j.jiph.2021.08.001. Epub 2021 Aug 5. PMID : 34391171 ; PMCID : PMC8340552.




Le grand remplacement des médecins : les « chatbots »

IL FAUT FINIR PAR APPELER UN CHAT, UN CHAT !

Vous êtes triste, déprimé, révolté, agacé, fatigué, douloureux, nauséeux, anorexique ou boulimique, hagard, impuissant devant l’aveuglement de trop de citoyens devant la violence et la puissance mortifère des quelques milliers de milliardaires qui gouvernent le monde occidental. Ils sont menés par Bill Gates, l’informaticien, Tedros le patron de l’OMS, non-médecin au passé éthiopien sulfureux1, Fauci le MR Vaccin des USA2 depuis 50 ans et bientôt retraité tout de même (l’État profond s’effondrerait-il ?), le pouvoir politique américain, et évidemment la présidente de la Commission européenne non élue qui régente les pays soumis de l’UE et quelques autres leurs effecteurs, les dirigeants des pays européens

Le refus de la réintégration des soignants non injectés est cohérent avec l’ensemble du « projet »

Les psychiatres formés sont débordés par les vagues de suicides chez les adultes, mais aussi chez les enfants. Bien sûr, vous pouvez piocher dans les milliers de « thérapeutes » en tous genres disponibles sur le net, de formations et valeurs diverses et variées et qui ont l’avantage, n’étant pas soignants, de ne pas être interdits d’exercice pour refus d’injection expérimentale et leurs actes non remboursés par la sécurité sociale, donc beaucoup moins persécutés que les psychiatres formés à l’université par l’assurance-maladie.

Évidemment vous y trouverez de bons psychothérapeutes bien formés (dont certains actes reconnus et remboursés), mais aussi beaucoup de plus ou moins farfelus aux méthodes et pratiques diverses, mais dont une caractéristique trop fréquente est leur sentiment de supériorité, leurs incompétences médicales, leur rejet extrême de la médecine traditionnelle qui a failli certes, mais guéri des millions de patients depuis un siècle… On plonge dans le délire.

Danger, donc, mais en attendant le rendez-vous donné par un vrai professionnel dans six mois pour un premier contact pour votre ado cassé par le confinement, les cours en visio, les discours dissonants des radios, et la peur, terrible peur véhiculée par leurs enseignants manipulés par leur rectorat, parfois la terreur de l’avenir, que ferez-vous ?

Le pouvoir mondialiste a tout prévu

Manifestement depuis plusieurs années, l’obsession des pouvoirs politiques occidentaux n’était pas de former de meilleurs docteurs et assez nombreux praticiens, mais bien de les REMPLACER ». Il ne faut pas croire que la réduction drastique du numerus clausus était une « erreur » politique. Non, le scénario a consisté à progressivement priver les médecins de leur pouvoir médical en les soumettant à une administration prétentieuse et incompétente dans les soins, mais obéissante, dirigée le plus souvent par des énarques apparemment frustrés de ne pas être médecins, et parallèlement à en diminuer le nombre et la qualité (remplacement des enseignants cliniciens par des « savants » biologistes ou épidémiologistes, ou « médecins » de santé publique n’ayant jamais écouté un cœur ni palpé un foie…).

La première étape, « invisible » pour le peuple, a été d’embaucher dans des conditions précaires des médecins venus d’ailleurs, de formation plus ou moins bonne. Surtout leurs principaux défauts aux urgences, leur lieu d’accueil privilégié, étaient leur manque de maîtrise du français et donc du contact humain avec le public. Notons que cette difficulté aurait pu et dû être comblée rapidement avant embauche par un apprentissage intensif de la langue, comme cela se pratique partout pour les expatriés.

Mais les bureaucrates au pouvoir ne souhaitaient manifestement pas qu’ils comprennent les maux de leurs consultants, surtout pas tout ce qui pouvait concerner la médecine de l’âme.

ÉTAPE PRÉLIMINAIRE : HABITUER ET CONDITIONNER LES MALADES AUX ROBOTS SOIGNANTS3

On nous parlait de robots au lit du malade remplaçant fièrement, dans les congrès médicaux de démonstration, les infirmiers absents, déprimés et maintenant interdits d’exercice sous prétexte de refus d’injection expérimentale dangereuse et inefficace. Nous rigolions plus ou moins, vaguement inquiets.

Le robot s’avançait dans le couloir de l’hôpital pour prendre la tension artérielle du vieux monsieur et apporter le repas à la vieille dame. On a OSÉ nous présenter ces machines comme des progrès ! Naïfs, des téléspectateurs ont regardé, ébahis, le malade dans sa triste chambre d’hôpital et mal fagoté dans sa chemise blanche inadaptée, être distrait par un petit robot sympathique, mais terriblement inhumain.

Les fous de la connexion seraient-ils dispensés (avec bonne conscience ?) de visite à la grand-mère en fin de vie ou à la vieille tante qui sent mauvais, voire au petit frère cancéreux sans cheveux et décharné ?

Ne vous inquiétez pas, le gouvernement veille à remplacer les soins palliatifs longs et coûteux par une euthanasie acceptée rapide — quand vous sentez gêner tout le monde et qu’on vous a suffisamment culpabilisé sur le coût de vos soins., vous la demandez cette finale piqûre et ils oseront parler de « consentement libre et éclairé ». Oui éclairé sur la cruauté du monde…

« LES ROBOTS-INFIRMIERS : UN RÉEL PROGRÈS MÉDICAL ?

Présenté à Tokyo en 2011, le voilà maintenant arrivé sur le marché depuis novembre 2013 : le robot-infirmier de Panasonic, Hospi. Si son écran HD affiche un large sourire, sa commercialisation ferait en revanche plutôt grincer des dents. Après le robot qui réalise les prises de sang, cette nouvelle invention incarne-t-elle l’avenir du monde médical ou sa déshumanisation programmée ?

UNE AIDE MÉDICALE

Tout d’abord mis en place et étudié dans un des hôpitaux du groupe Panasonic, Hospi a su convaincre le personnel soignant d’Osaka. Malgré son poids important (120 kg), il a su se faire apprécier de ses “collègues” en les délestant de certaines tâches fastidieuses. Il sait gérer la programmation de la distribution des médicaments à heures fixes en les déposant aux infirmières. Mieux encore, un modèle permettrait de laver les cheveux du patient de façon semi-automatique !

Un gain de temps très appréciable pour les infirmières qui avouent avoir ainsi été déchargées de diverses tâches ingrates grâce à ces assistants, elles pourraient de ce fait mieux assurer leurs rôles de soin et de surveillance auprès des malades.

Hospi et ses camarades prototypes robotisés seraient des assistants médicaux parfois même “plus patients que les infirmières” selon Roselind Picard : ils n’hésitent pas, par exemple, à répéter inlassablement et autant de fois que nécessaire les recommandations et prescriptions faites aux malades, contrairement aux personnels soignants, malheureusement trop souvent débordés. Le personnel précise toutefois qu’il ne croit pas que les robots vont un jour remplacer médecins et infirmières…

Pourtant le robot Hospi n’a-t-il pas été créé, selon son concepteur, pour répondre à un manque de personnel au Japon ?

ET SI LE ROBOT REMPLAÇAIT L’INFIRMIÈRE

Si la technologie a rendu de nombreux services médicaux, notamment dans le domaine de la chirurgie, doit-on pour autant estimer que l’on puisse répondre à une surcharge continue de responsabilités et de travail du personnel hospitalier en lui offrant un amas de circuits intégrés ? Un manque cruel de main-d’œuvre causé par un désamour de la profession d’infirmier pourrait-il trouver réponse grâce à un service robotisé ?

Et le patient dans tout cela ? Sa dignité, son besoin d’écoute et de réconfort, la magie d’un sourire, d’un regard compatissant, d’une main tendue… N’oublions pas que les soins infirmiers découlent en effet des deux faces du concept soigner : traiter la maladie, et prendre soin de la personne ».

Il y a quelques années, en 2008 précisément, on craignait les bracelets d’identification risquaient de « chosifier » le malade en lui ôtant son identité. Pourtant, depuis octobre 2012, son usage s’est généralisé. Le malade ne deviendrait-il plus à l’avenir qu’un numéro, un dossier, une pathologie ? (…)»

OUI, ON AVAIT RAISON DE LES CRAINDRE CES BRACELETS QUI NOUS TRANSFORMENT EN VEAUX D’ABATTAGE et n’ont pas évité certaines erreurs. L’étape suivante a été le pass, le QR CODE pour aller boire un café au pub du coin ou entrer au cinéma et oui, les veaux comme les appelait de Gaulle n’ont pas moufté…

« Infirmières, infirmiers, en hôpitaux, en cliniques ou en libéral, vous qui pratiquez ce métier par amour de l’autre et de son bien-être, laisserez-vous un robot rassurer ou réconforter votre patient ? »

Et d’où vient le désamour du métier si ce n’est le management financier déshumanisé à visée de rentabilité ?

On remplace les soignants par les robots, alors qu’en même temps, comme dirait E. M., il y aurait trop d’humains sur terre… Mais qu’on s’empresse de faire disparaître via des refus de soins, des injections de Rivotril et des pseudovaccins expérimentaux toxiques, mais aussi des guerres… Eugénisme, quand tu nous tiens… LES ROBOTS SERONT-ILS PLUS OBÉISSANTS que ces médecins pourtant globalement très soumis ?

ÂPRES LES SOIGNANTS ROBOTISES, LES MÉDECINS :

MON PSY EST UN CHATBOT4

ATTENTION, cette image n’est pas un rêve d’eurocrate en délire nocturne, mais bien un projet « sérieux » de nos bureaucrates jaloux de l’Humanité de (certains) médecins dignes d’Hippocrate et non remplaçables par une machine même dotée d’intelligence artificielle.

Les chatbots, vous connaissez ? Ces logiciels — appelés également agents conversationnels — qui dialoguent avec leurs utilisateurs et dont le moteur est l’intelligence artificielle (ou IA). Si l’on ne peut encore dire qu’ils sont partout, ces enfants du high-tech investissent déjà de multiples domaines. Et notamment celui de la santé mentale. Mis à l’épreuve du réel lors des confinements liés à la pandémie de Covid, les psys chatbots ont ainsi pu mesurer leur pertinence et leur efficacité. Imaginez.

Vous — disons plutôt l’un de vos patients — traversez un moment difficile. Petite déprime passagère ou prémisses d’une authentique dépression ? Vous prenez votre smartphone et cliquez sur l’appli dédiée (Woebot, Mon Sherpa ou Sayana). Un psy synthétique vous prend alors en charge : « Comment vous sentez-vous ? Vous pouvez me répondre en mots ou en émoticônes… », propose-t-il. La suite de cette conversation est alors le produit d’une analyse sémantique fine de vos propos, où chacune des réponses de la machine est prédéterminée et déclenchée par des situations « si-alors ».

LES BOTS DU QUOTIDIEN : RAS-LE-BOL

Finalement, que vous appeliez votre banque, une agence de voyage ou immobilière, les administrations des impôts ou des assurances publiques ou privées, vous avez pris l’habitude, contraints et forcés, de converser avec ces inhumains, en tapant sur la touche 1,2 3, etc., et en recommençant dix fois parce que le robot bogue et repasse l’interrogatoire en boucle…

MAIS APPELER UN CHATBOT PSYCHIATRE, il fallait y penser et oser !5

« Mais il y a mieux. Les psys chatbots du type de Therabot arrivent. Cette application sur le point d’être testée pour la première fois dans un essai contrôlé randomisé se distingue en effet des générations précédentes en cela qu’elle est alimentée par une intelligence artificielle générative.

Autrement dit, Therabot peut utiliser les données et la documentation existantes pour développer des actions et des réponses originales, et pas seulement parcourir un arbre de décision. Un fonctionnement qui fait dire à certains qu’un début de conscience anime la machine. À voir… Car aussi sophistiquées soient-elles, ces aides électroniques ne remplaceront pas de sitôt la prise en charge en chair et en os par des psychiatres aguerris. Tout au plus pourront-elles pallier la pénurie croissante de professionnels et faire entrer dans le parcours de soins certains patients encore rétifs à s’y inscrire. »

Didier Doukhan

Alors vous révolterez-vous ?

Les cabines dites de télémédecine se répandent, semble-t-il, avec l’assentiment des patients ou au moins de suffisamment de citoyens pour les rentabiliser. Votre pharmacie a-t-elle installé un de ces gadgets ? Formidable, le rendez-vous du généraliste le jour même, et du spécialiste en trois jours ! Que demande le peuple ?

« Comment ça marche ? Durant la téléconsultation, le médecin guide le patient en vidéoconférence pour effectuer les prises de constantes physiologiques (tension artérielle, saturation en oxygène, pouls, la température frontale) et examens médicaux qu’il juge nécessaires au diagnostic en utilisant un panel de dispositifs médicaux assemblés.

La cabine médicale connectée est ergonomique favorisant l’autonomie du patient lors de sa téléconsultation. Elle est également munie d’une vitre teintée garantissant la confidentialité des échanges entre le patient et le médecin.’

À l’intérieur, un écran assure la vidéotransmission des échanges avec le téléconsultant. En suivant ses instructions, le patient manipule des dispositifs connectés : tensiomètre, thermomètre, stéthoscope, otoscope, balance, dermatoscope, oxymètre et, bientôt, un spiromètre pour mesurer les capacités respiratoires si nécessaire. Autant d’outils permettant d’aboutir à un diagnostic puis une ordonnance médicale si nécessaire.

La cabine médicale est entièrement insonorisée et équipée d’un système de ventilation. »6

Combien faudra-t-il de retards diagnostiques, d’erreurs rattrapables ou non, et de constats de la déshumanisation de ces pratiques pour que les citoyens les désertent, les rendant non “rentables”… La visite chez le médecin apportait toute une dimension humaine réconfortante au-delà de l’examen clinique indispensable aux patients isolés. Qui depuis la cabine pourra passer une main chaleureuse dans le dos de son patient en le raccompagnant à la porte du cabinet ?

Combien d’accidents pour la voiture automatique ?

On comprend bien sûr que la maltraitance du malade par ces techniques à distance n’est pas dans les préoccupations du pouvoir politique eugéniste et transhumaniste actuel. Le confinement quasi mondial et prolongé a manifestement été conçu dans la volonté de nous conditionner à toutes ces techniques connectées tant dans l’enseignement que dans la médecine. Il nous a obligés à accepter ces techniques à distance qui sont, il est vrai, parfois “mieux que rien” avec les avantages en exergue de la visio : “Avantages de la Visio : La prise en charge supposée identique à celle effectuée en cabinet, nous dit-on, ce qui est de fait faux. Il manque le contact direct, le toucher par une poignée de main réconfortante ou une embrassade de fin de consultation tant appréciée des patients. Le Respect des gestes barrières qui peut encore en rassurer certains et sans masque. Ce qui est essentiel en thérapie afin d’être à l’écoute du langage non verbal et mieux comprendre les émotions.

Problèmes de santé ou de déplacement, pas d’arrêt ou de pause dans la prise en charge thérapeutique.

Mais qu’en pensent les citoyens dont les yeux s’entrouvrent enfin ?

Comme a dit le médecin suspendu qui accompagnait le député Dupont Aignan à la manifestation de défense du Pr Perronne et des soignants suspendus, la volonté réelle du gouvernement est de nous remplacer par des robots :





Triste anniversaire. N’oublions pas les soignants et pompiers suspendus

Par Gérard Delépine

Le 15 septembre 2021, est entrée en vigueur l’obligation vaccinale pour certaines professions, excluant de leur vocation des milliers de soignants, d’ambulanciers et de pompiers vaccinoprudents sans indemnité, ni droit au chômage et à toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Cette obligation pseudo vaccinale n’a jamais eu le moindre intérêt médical

Il n’y a aucun article démontrant que les professionnels concernés constitueraient des vecteurs de transmission significatifs. Durant l’année 2020 (sans pseudo vaccins) les analyses des cas de contaminations nosocomiales répertoriés1 2 3ont surtout mis en cause les contacts mal protégés de malades de covid avec les autres : conditions d’attente aux urgences, ventilations insuffisantes des salles d’hospitalisation, l’utilisation inappropriée de l’équipement de protection individuelle chez les patients à haut risque…

Il est démontré (et même reconnu par le ministère) que les pseudo vaccins sont incapables de limiter les transmissions et de protéger les contacts. Les données de l’OMS ont même largement confirmé que les contaminations avaient été accélérées après les campagnes de vaccinations aussi bien en France :

Que sur l’ensemble du globe :

Comment des pseudo vaccins incapables d’empêcher les transmissions auraient-il pu protéger les contacts des professionnels qui, sans vaccin, ne contaminaient pas ? Que l’Académie de Médecine et la Haute Autorité de Santé aient pu prétendre qu’il fallait prolonger cette obligation démontre simplement qu’elles ont abandonné toute indépendance et se comportent en agences de justification des décisions de E. Macron, même lorsqu’elles sont contraires aux données acquises de la science.

L’argument avancé par la HAS : « les données de sécurité et d’efficacité en vie réelle des vaccins contre la Covid-19 autorisés en France sont en faveur de la vaccination en contexte Omicron » est du plus haut ridicule lorsqu’on observe l’échec total des pseudo vaccins contre ce variant en France, tel qu’il apparaît dans les données officielles de l’OMS.

Cette obligation vaccinale n’est qu’un acte extrême de censure

Les soignants et les pompiers chassés de leur profession ne sont pas des anti-vaccins : ils avaient jusqu’alors accepté tous les vaccins qu’on leur avait proposés et imposés, et avaient vacciné largement autour d’eux. En 2020, ils ont défendu les valeurs du soin au point d’être considérés, un temps donné, comme nos héros.

Ce sont des vaccino prudents qui ont rapidement compris que les injections n’étaient pas des vaccins (ils ne contiennent aucun antigène extrait du sars-cov2 ni aucune anatoxine), qu’il s’agissait de médicaments expérimentaux (les essais phase 3 ne seront pas terminés avant 2023) issus d’une technologie jamais utilisée en pathologie infectieuse et que leur mise sur le marché beaucoup trop rapide (10 mois au lieu de 10 ans) avait négligé les règles habituelles des essais de sécurité.

De plus, les professionnels ostracisés avaient constaté la mauvaise tolérance des injections chez leurs collègues très tôt vaccinés, mauvaise tolérance qui avait conduit la HAS à recommander de ne pas vacciner en même temps tous les soignants d’un même service pour ne pas perturber le fonctionnent dudit service. Ils avaient aussi observé les nombreuses complications post vaccinales : thromboses, accidents vasculaires, péricardites chez leurs patients à leur cabinet ou dans leurs ambulances et/ou véhicules de secours.

Il ne fallait pas qu’ils puissent témoigner de leurs constatations !

Les conditions de cette exclusion créent un précédent d’une extrême brutalité, invraisemblable en démocratie

Et totalement disproportionnées. Même si le ministre estimait qu’il fallait exclure des soins ces professionnels vaccino prudents, les conditions qu’on leur a appliquées sont totalement disproportionnées : pourquoi les priver des allocations chômage et du RSA sinon pour prendre leur famille en otage ? Vaccinez-vous, ou bien vous et vos enfants serez SDF !

De telles mesures n’avaient jusqu’ici été utilisées que par les pires régimes dictatoriaux, qu’ils soient communistes (contre leurs opposants politiques) ou nazis (contre les juifs, opposants, tziganes, etc..).

En ne protestant pas et en laissant se créer un tel précédent contre notre contrat social, les syndicats français, au-delà de la honte de ne pas les avoir défendus, ont pris le risque que la mesure soit utilisée contre les travailleurs dans d’autres conflits au cours desquels E. Macron déciderait « d’emmerder » ses opposants.

Cette obligation a dramatiquement aggravé le manque de soignants et de pompiers

Le manque de soignants n’est pas nouveau. En 2018, la Drees avait en effet constaté dans un rapport que les recrutements ne compensaient pas les départs et que le recul de l’âge de départ à la retraite ne suffirait pas à compenser les cessations d’activité. 

L’obligation vaccinale a directement exclu de la profession au moins 15 000 professionnels expérimentés considérés comme héros lors de la première vague. Mais elle a de plus incité beaucoup de médecins à prendre leur retraite plus tôt que prévu et dissuadé de nombreux futurs soignants de s’engager dans une profession aussi maltraitée par le gouvernement.

Le manque de soignants n’a jamais atteint de tels sommets en France et peut provoquer l’effondrement du système de santé4. L’Organisation mondiale de la santé prévient : 

« le remplacement des médecins partis à la retraite et des autres soignants sera un défi majeur pour les gouvernements et les autorités sanitaires dans les prochaines années ».5

On constate aujourd’hui les conséquences de cette exclusion de soignants pour les malades. À l’AP-HP, 1 000 postes d’infirmiers vacants et 18 % de lits fermés dans les hôpitaux de Paris6. Plus de 100 services d’urgence ferment la nuit. Et les déserts médicaux se multiplient même dans les zones où l’on ne manque ni d’école ni de commerces ni de spectacles comme la banlieue parisienne proche.

Le président Macron vient récemment de prétendre que l’exclusion des soignants n’a pas changé grand-chose à la pénurie de soignants et qu’il n’y a donc pas de raison de les réintégrer. Mais l’enquête du sénat7 vient de prouver que : le ministère n’avait pas de données en temps réel » sur le nombre de soignants ! Comme d’habitude le président vit dans son monde virtuel et affirme ce qu’il veut être sa vérité alors que les Français souffrent dans le monde réel.

Si on veut retrouver des soignants, il faut réintégrer les vaccino prudents injustement exclus, ce qui renflouera le pool global et sera un signe de changement de comportement envers les professionnels en poste, limitant ainsi l’épidémie de démissions et de suicides.





C à vous, Commission européenne, soignants suspendus : l’action de pervers narcissiques

Par Lucien SA Oulahbib

Tout montre, à observer dans cette vidéo la présidente de la Commission européenne se laver frénétiquement les mains, le degré, innommé, d’idée fixe, d’obsession méticuleuse de type obséquieux, ou le trait caractéristique du pervers narcissique optant plutôt pour un rituel magique (et forçant autrui à l’imiter), puisqu’il n’existe aucune preuve tangible démontrant que cette frénésie permettrait d’éradiquer « le » virus alors que se laver les mains avant de se mettre à table, de toucher un malade, lorsque l’on rentre chez soi, ou que l’on « sent » ses mains salies, est chose apprise depuis… l’enfance… (Idem rien ne prouve que le « masque » soit utile y compris en salle de chirurgie comme il a été démontré récemment, chaque maille étant l’équivalent en espace d’un terrain de football et la taille du virus celui du ballon…).

L’une des preuves par excellence de cet état avancé de perversion narcissique réside dans cette suspension des « soignants » car de deux choses l’une : soit il s’agit d’un impératif médical impérieux que de les injecter et dans ce cas, en cas de refus, il faut les LICENCIER sur le champ, ce qui leur permet de pouvoir s’inscrire à Pôle Emploi et de toucher quelques indemnités ; or, ce n’est pas le cas, ce qui est pervers. Car il s’agit dans ce cas bien plus d’une punition de type obsessionnel narcissique que d’une mesure hygiénique préventive.

Il y a d’ailleurs bien là une contradiction, mais ces gens n’en ont cure, d’autant plus que toute une littérature dérivant de cette perversion narcissique comme le déconstructionnisme anti-psychanalytique (le rhizome Blanchot-Bataille-Foucault-Deleuze par exemple, voir I, A, la question de la contradiction) appuie cette dérive de plus en plus paranoïaque : ou comment voir des complotistes partout que l’on tente de pourfendre et de désigner à la vindicte publique au lynchage médiatique à la mort sociale en leur jetant des sorts avec des mots maudits, “extrême droite, raciste, antisémite”, ayant remplacé les mots “hérétique, satanique, impur”.

Les preuves de cette perversion narcissique pullulent désormais à la façon d’une marée descendante laissant apparaître la chose dans toute son horreur : ainsi les propos proprement délirants du porte-parole du gouvernement français ou de la présidente de la commission européenne à propos, respectivement, de Raoult et de ce qui se passe entre le régime de Kiev et celui de Moscou, sans parler des propos également diffamatoires des propagandistes de grand chemin (comme un certain Patrick C sévissant sur C à vous) montrent bien, c’est désormais un cas d’école pour la tératologie criminelle à venir, que nous vivons en effet une “grande bascule” (dixit un pervers en chef français bien connu) déployant une volonté méticuleuse perverse de destruction totale, se servant pour ce faire de la santé du climat, des frontières au sens large (sexes et nations).

Le tout au nom du Bien, bien sûr, mais qui n’a plus rien à voir avec celui de Platon ou de la Bible ou de n’importe quel autre discours soucieux de paix réelle, d’harmonie, de respect des différences civilisationnelles se nourrissant mutuellement de techniques permettant de les renforcer, de les affiner au quotidien, au-delà du conflit, permanent (polemos). Nous avons basculé dans la monstruosité.




Au pays des Droits de l’Homme, on a enfermé des bien-portants au nom du Bien !

[Source : Virginie Joron]




SMS entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer : la Cour des comptes européenne tire la sonnette d’alarme

[Source : bvoltaire.fr]

Par Marie-Camille Le Conte

Nouveau rebondissement dans l’affaire des SMS échangés entre la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, et le PDG de Pfizer-BioNTech, le Grec Albert Bourla. Dans un communiqué publié ce 12 septembre, la Cour des comptes européenne pointe du doigt l’opacité des échanges entre les deux personnalités, lorsque celles-ci avaient négocié les termes d’un contrat d’une certaine envergure, entraînant la commande de 1,8 milliard de doses de vaccins, facturés à 35 milliards d’euros.

Étonnamment — ou pas —, il semblerait que certains ne se satisfassent pas de régler cette facture plutôt salée sans en connaître les tenants et les aboutissants. C’est un journaliste du New York Times, tout d’abord, qui s’était penché sur la question en avril 2021. Celui-ci avait demandé à la Commission européenne l’accès public aux SMS et autres textes relatifs à l’échange conclu entre les deux compères. Vœu qui n’avait été qu’à moitié exaucé, puisque la Commission avait déclaré n’avoir identifié aucun SMS. Le Médiateur européen s’était alors saisi de l’affaire et les conclusions de l’enquête avaient révélé que la Commission n’avait pas explicitement demandé au bureau personnel du président de rechercher les SMS. En janvier 2022, le Médiateur avait conclu à un cas de « mauvaise administration », déclarant que :

« L’accès aux documents de l’UE est un droit fondamental. Bien qu’il s’agisse d’une question complexe pour de nombreuses raisons, les pratiques administratives de l’UE doivent évoluer et se développer avec l’époque dans laquelle nous vivons et les méthodes modernes que nous utilisons pour communiquer. » 

Rebelote, donc, pour la Commission européenne, sommée de repartir en chasse pour dénicher les précieux messages de sa présidente. Le 27 juin 2022, l’institution daigne enfin se fendre d’un communiqué pour justifier ses agissements. Si elle se défend de toute mauvaise administration, l’institution reconnaît tout de même les difficultés rencontrées pour récupérer les messages de la présidente, du fait de leur durée de vie limitée. Et de promettre que, désormais, ils mettront tout en œuvre pour adapter leurs techniques aux nouvelles technologies.

En juillet 2022, un nouveau rapport du Médiateur tire la sonnette d’alarme : « Un an après la demande initiale d’un journaliste, la Commission n’a toujours pas précisé s’il existe des messages signalés comme concernant d’importantes transactions d’achat de vaccins et si le public a le droit de les voir », précise le communiqué. Un flottement que le Médiateur analyse comme « un signal d’alarme pour toutes les institutions de l’UE », et pour cause : une procédure dont les délais sont plus qu’indéfinis, pour un contrat d’une ampleur telle… il y a de quoi se poser des questions sur le fonctionnement de ces institutions et sur leur véritable utilité.

Près de trois mois plus tard, rien de nouveau sous le soleil. Un délai qui n’est pas pour plaire à la Cour des comptes européenne – après tout, on parle d’argent -, qui hausse le ton à son tour dans un communiqué publié ce 12 septembre. L’instance regrette ainsi « que la Commission [n’ait] pas encore procédé à un examen approfondi ni à une analyse comparative de ce processus afin d’en tirer des enseignements pour l’avenir ». Faisant écho à cette semonce Michèle Rivasi, députée verte européenne, sort du silence et dénonce le manque de transparence des relations entre la présidente et le PDG, alors même qu’il s’agit du « plus gros contrat d’achats de vaccins d’Europe »

« D’ordinaire, la Commission européenne donne toujours accès à l’information demandée par la Cour des comptes, même lorsque les autres institutions n’y ont pas droit. Dans cette affaire des SMS, c’est la première fois qu’elle refuse de transmettre à la Cour les rapports demandés. » 

L’élue enjoint, de plus, le parquet européen à se saisir de l’affaire ; il y va, selon elle, de la « confiance des citoyens dans les institutions européennes ».

Contactée par Boulevard Voltaire, la députée RN Virginie Joron, de son côté, abonde : 

« Il y a suspicion sur cet achat massif de doses avec un laboratoire Pfizer, qu’on voit aujourd’hui devenir le numéro un dans l’accès aux vaccins. On se retrouve avec une espèce de monopole qui nous oblige à nous tourner vers Pfizer pour nous faire vacciner, avec des tarifs exponentiels. C’est de l’argent public, lorsqu’on dit à tous les États membres de faire des nettoyages contre la corruption, la première règle, c’est de se l’appliquer à soi-même : on parle de milliards d’euros. » Et de poursuivre : « Elle n’a pas appliqué la procédure, c’est le seul contrat et c’est le plus gros, c’est un scandale. Avec les députés, on va continuer à demander à ce qu’elle rende des comptes. » 

La députée rappelle, en outre, que la présidente de la Commission européenne jouit d’une légitimité toute relative : élue avec 383 voix pour et 327 contre, Ursula von de Leyen a été nommée de justesse.

De quoi fragiliser encore davantage le lien de confiance entre les Français et ces institutions européennes, dont le fonctionnement opaque n’est pas pour rassurer.




REVUE DE PRESSE DU 15 SEPTEMBRE 2022

Par MF

ÉDITO
Le début du bon sens commence au Danemark ?

Un frémissement se fait jour, du Danemark à la marine américaine, reconnaissant que la maladie Covid ne présente pas de risque pour les enfants et adultes de moins de 50 ans, ou renonçant à l’obligation vaccinale pour certains personnels, tandis qu’en France les « suspendus » sont toujours sans ressource depuis un an, que l’inefficacité des vaccins n’a d’égale que la corruption et la fraude qui les entourent, et que la chasse aux lanceurs d’alerte se poursuit.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Le Pr Perronne, marqueur de la répression gouvernementale

« Dans le monde tordu du COVID, Perronne est forcément un dissident. Il croit que l’on peut soigner sans vacciner. Il croit que la bureaucratie passe après l’intelligence. Il croit que l’intérêt général précède les turpitudes politiques ».

La répétition générale a eu lieu en 2009

https://www.aimsib.org/2022/09/11/la-pseudo-pandemie-grippale-de-2009-en-france-etait-une-repetition-generale/

«  la « gestion » de la grippe A(H1N1)v s’est appuyée sur une menace sanitaire exagérée pour organiser de grandes manœuvres sanitaires, financières, politiques et militaires dont l’ampleur et le coût collectif restent encore à préciser ».

ÉTRANGER

Danemark, avant 50 ans les vaccins anti-covid ne sont plus recommandés

https://www.francesoir.fr/societe-sante/danemark-le-vaccination-anti-covid-n-est-plus-recommandee-aux-moins-de-50-ans#.YyIUkxlsUgk.twitter

« Les personnes âgées de moins de 50 ans n’encourent généralement pas de risque particulièrement élevé de faire une forme grave de la maladie/les enfants et les adolescents contractent rarement des formes graves de la maladie grâce au variant Omicron du Covid-19 ».

USA – la marine renonce à l’obligation vaccinale pour son personnel

https://www.aubedigitale.com/la-marine-americaine-renonce-discretement-a-la-vaccination-obligatoire-des-seals/

« Le gouvernement américain persiste à refuser de reconnaître l’immunité naturelle comme un statut acceptable pour l’armée ou les employés fédéraux, bien que leurs tentatives d’imposer la preuve de la vaccination (passeports vaccinaux) aient de toute façon échoué. »

USA – les fausses informations du CDC sur la sécurité des vaccins

https://www.anguillesousroche.com/coronavirus/la-directrice-des-cdc-admet-que-lagence-a-donne-de-fausses-informations-sur-le-suivi-de-la-securite-du-vaccin-covid-19/

Le « manque global de transparence des CDC est inacceptable, en particulier à la lumière des déclarations incohérentes des CDC sur cette question ».

JUSTICE

Soignants suspendus, un an sans salaire

https://www.francesoir.fr/societe-sante/suspendus-les-professionnels-de-sante-sans-salaire-depuis-le-15-septembre-2021

« Un an après la suspension des soignants non vaccinés contre le Covid-19, de nombreux Français n’ont pas conscience de leurs conditions de vie, certains pensant qu’ils ont été réintégrés suite l’abolition du passe sanitaire. Une ignorance qui s’explique par le silence des grands médias à ce sujet. »

La justice examine la plainte de Didier Raoult contre Karine Lacombe

https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-la-justice-examine-la-plainte-de-didier-raoult-contre-l-infectiologue-karine-lacombe-ae4f1308-3040-11ed-9e46-e8e99a9e99a0

INJECTIONS

Pas de protection contre les formes graves

https://reinfocovid.fr/science/efficacite-du-vaccin-contre-une-forme-grave-le-deces/

« Au niveau mondial… l’évolution du nombre de décès n’est pas impactée significativement par l’introduction des vaccins. Le discours qui consiste à répéter que les vaccins protègent des formes graves, ici le décès, n’est pas fondé. Au bout de 18 mois, et des milliards de doses administrées, le doute n’est plus permis. »

EFFETS INDÉSIRABLES

La preuve des lésions provoquées par les vaccins à ARNm

https://www.epochtimes.fr/preuve-irrefutable-que-les-vaccins-a-arnm-provoquent-des-lesions-vasculaires-et-organiques-etude-2108059.html

« Cette étude, de par le type de colorants qu’ils utilisent, apporte la preuve irréfutable que la protéine spike va partout – le cœur, les ovaires, le foie, la rate – et dans une moindre mesure, les testicules »

MAIS :

« Ceux qui ont attiré l’attention sur les dangers que représentent ces injections Covid ont été largement censurés et tournés en dérision. »

RÉSISTANCES

CSI n°71 du 15 septembre 2022



« Invité : Jean Dominique MICHEL membre du CSI, pratique l’anthropologie depuis 25 ans. Il intervient en santé publique auprès d’universités et de hautes écoles Sujet : Les mesures de confinement : est-elle la plus grande erreur de santé publique de l’histoire ? »

Colloque de Lisbonne, corruption et fraude dans la crise Covid

https://coroinfo.wordpress.com/2022/09/11/corruption-et-fraude-dans-la-crise-covid-depuis-2020-colloque-des-10-et-11-septembre-2022/

« Le tableau complet reflétera le rôle de la corruption dans la dérive totalitaire, la fraude qui permet la manipulation des masses et l’obtention de leur consentement.
Il est donc essentiel d’y voir clair, et l’enjeu de cette conférence est de
fournir des outils pour un discernement plus aiguisé. »




France — Pourquoi le gouvernement pousse-t-il à l’euthanasie ?

Une nouvelle loi sur l’euthanasie ? Pourquoi faire ?

Par Nicole Delépine

Chômage, retraites, ouverture des mines de charbon ? Tant de sujets qui dérangent et que le décès de la reine Élisabeth II ne pourra pas masquer éternellement. Alors parlons d’autre chose en relançant un sujet qui clive facilement si on sait le présenter astucieusement. Technique classique, mais très utilisée depuis cinq ans au moins.

L’euthanasie sans consentement a été quasiment légalisée de fait par le duo Veran Philipe en 2020.1

Avons-nous déjà effacé de nos mémoires ces dix mille personnes disparues de nos vies sans un au revoir, via le Rivotril imposé par la main de robots obéissants, complices et victimes à la fois ? Ils osent nous reparler d’euthanasie !

Une nouvelle fois, le marronnier réapparaît, alors que le système de santé s’écroule, que les urgences sont fermées au moins la nuit dans certaines villes, dont certaines importantes, que des soignants sont suspendus, sans salaire, que les suicides se multiplient, que les Français s’inquiètent du froid de l’hiver, et de la pénurie alimentaire, ou de la guerre en Ukraine ou en Arménie, une nouvelle fois on ressort le sujet de la fin de vie.

Marronnier cache-sexe, combien de lois sur ce sujet en moins de 20 ans ? Facile d’émouvoir, facile de rallier tous ceux qui ont vu souffrir des proches, tous ceux qui s’imaginent savoir ce qu’ils voudraient ou voudront, alors qu’ils sont encore en bonne santé. N’oubliez jamais que vous ne saurez jamais d’avance ce que vous ressentirez quand votre heure approchera vraiment.

Comment oser parler de l’euthanasie après le décret Philipe-Veran de mars 2020 qui a entraîné près de 10 000 décès de vieillards et personnes âgées présents dans les EHPAD ou en hospitalisation à domicile non demandé par les victimes ni par leurs proches, sans oublier certains handicapés jeunes auxquels on avait enlevé leur bouteille d’oxygène et de surcroît ces « euthanasiés » d’office ont été privés d’adieux à leurs proches ? Peut-on oublier l’horreur inhumaine ?

Après le refus de trop nombreux médecins d’aller examiner à domicile les patients suspects de covid, et leur refus trop fréquent de leur prescrire autre chose que du doliprane, après l’injection mortelle de Rivotril à trop de patients abandonnés, et à l’extorsion du consentement à une injection expérimentale à répétition, comment peut-on imaginer qu’un malade puisse faire confiance aux médecins ? Une telle trahison trop répandue de leur serment d’Hippocrate a brisé la confiance des malades envers les médecins.

Les autorités veulent utiliser l’euthanasie pour détourner la conversation et faire oublier les nombreux sujets qui fâchent (réforme des retraites, réforme de l’assurance chômage, rationnements voulus par nos gouvernants qui ont saboté le nucléaire pour récupérer les vois des verts et imposé des sanctions contre la Russie pour faire plaisir à l’OTAN et à Ursula) ont-elles pensé à l’effet boomerang si suffisamment de personnes rappellent ces meurtres prémédités de nos vieillards, sur circulaire puis décret envoyé aux médecins de garde fin mars 2020 ? Et comment oublier aussi les nombreuses euthanasies de petits patients cancéreux en fin de parcours depuis les années deux mille, sans grande médiatisation ni discussion  ? Comment faire comme si tout cela n’avait pas existé ?

Qui pourra donner un droit de vie ou de mort à la gent médicale après ce déshonneur collectif qui sévit depuis deux et demi sous la crise covid et qui a pour très longtemps élevé un mur de méfiance, voire de défiance entre patient et médecin, même avec ceux qui ont été fidèles, car comment faire la différence a priori ?

Fin de vie : le Comité d’éthique juge possible une « aide active à mourir » (orange.fr)2

13 septembre 2022

Le Comité d’éthique s’était jusqu’alors s’était prononcé contre une modification de la loi Claeys-Leonetti datant de 2016 et interdisant l’euthanasie et le suicide assisté.

« Après 20 années de lois et débats en France sur la fin de vie, le Comité d’éthique a rendu mardi 13 septembre son avis sur ce sujet difficile. “Si une nouvelle loi sur la fin de vie devait être discutée en France, il existe une voie pour une application éthique d’une aide active à mourir” », a déclaré lors d’une conférence de presse Alain Claeys, l’un des rapporteurs de cet avis. Cependant, « cette évolution supposerait certaines conditions strictes avec lesquelles il apparaît inacceptable de transiger », a immédiatement tempéré le membre du CCNE, dont le rôle est purement consultatif. (..)
Dans la foulée, Emmanuel Macron a annoncé le lancement d’une large consultation citoyenne sur la fin de vie, en vue d’un possible nouveau « cadre légal » d’ici la fin 2023.

Une convention citoyenne, organisée par le Conseil économique, social et environnemental, sera « constituée dès octobre » et rendra ses conclusions en mars, a indiqué l’Élysée dans un communiqué. Des débats seront aussi organisés dans les territoires « afin d’aller vers tous les citoyens » et le gouvernement engagera un « travail concerté et transpartisan » avec les parlementaires, a ajouté la présidence.

L’avis du CCNE constitue donc une première étape vers une telle évolution, même si l’institution l’assortit de nombreuses prévenances. Le comité estime ainsi qu’une nouvelle loi ne saurait uniquement se concentrer sur le sujet de l’euthanasie ou de l’aide active à mourir. « On ne comprendrait pas une loi uniquement axée sur ce sujet, car aujourd’hui on sait très bien qu’il y a des situations inacceptables sur (la mise en œuvre des) soins palliatifs », a déclaré M. Claeys. Le comité plaide donc aussi pour accélérer les efforts en faveur des soins palliatifs, une position qu’il avait déjà tenue dans de précédents avis.

Il marque toutefois une rupture avec ses positions passées en jugeant possible d’introduire dans la loi une aide active à mourir. Jusqu’alors, il s’était prononcé contre une modification de la loi Claeys-Leonetti datant de 2016 et interdisant l’euthanasie et le suicide assisté. Désormais, le Comité accepte d’établir un cadre éthique pour envisager de légaliser de telles mesures.Une éventuelle « assistance au suicide doit accompagner la volonté de la personne », mais il « faut s’assurer que cette demande soit ferme, éclairée, constante et motivée », a expliqué Régis Aubry, autre rapporteur de l’avis.

La position du Comité n’apparaît néanmoins pas unanime : certains de ses membres ont émis des réserves quant à la mise en place d’une aide active à mourir. « Cet avis a fait débat au sein du CCNE comme je suppose dans la société française », a admis M. Claeys. »

Nous avons en tant que cancérologue, pédiatre et coll. longuement réfléchi à ce difficile sujet qui ne devrait pas être jeté en pâture à des fins politiciennes en quelques mois pour masquer d’autres réformes majeures comme celle des retraites ou de l’assurance chômage.

Le dilemme reste identique aux réflexions que nous publiions en 2013.

D’un côté des familles sincères et démunies qui ont vu souffrir leurs proches sans réponse à leur demande de fin de cette vie qu’ils ne supportaient plus, sans l’aide expérimentée d’un médecin dans le secret et l’intimité du cabinet, comme depuis toujours avant cette période de judiciarisation délirante de la médecine.

De l’autre, tous ceux qui instrumentalisent le profond drame qui se joue parfois pour en faire un argument politique et rameuter quelques voix tout en diminuant le prix des retraites, en diminuant la durée des séjours hospitaliers coûteux et en libérant des lits d’hôpitaux devenus si rares depuis que nos gouvernants sabotent l’hôpital trop coûteux à leur goût.

Déjà en 1993 beaucoup d’euthanasies n’étaient pas pratiquées à la demande explicite du patient. Voici ce que j’écrivais 3:

« 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient selon l’Ined.

Toutes les questions concernant la fin de vie ne sont pas solubles dans celles relatives à l’euthanasie, loin s’en faut »

Douleur, compassion, liberté de choix du patient, dignité, respect de la volonté de l’autre (qui sera moi demain)… Tous ces bons sentiments sonnent bien et pourraient conduire à un consensus extorqué pour légaliser l’euthanasie comme si elle ne l’était pas déjà tolérée en pratique.

On nous dira que c’est pour avaliser ce qui se passe dans l’ombre et éviter les risques pour les bonnes âmes qui s’y livrent dans la nuit de l’hôpital… Justement lorsqu’on « aide » quelqu’un à mourir, ce doit être un choix longuement pesé et le risque moral, médicolégal et éthique doit persister et être assumé, seul rempart à la banalisation du meurtre.

Il ne faut pas banaliser le fait de « tuer » dans notre société, car achever un mourant est bien « tuer ». Si on franchit la limite sans même sans apercevoir, la déliquescence de la société et son humanité sont menacées. La porte est rouverte aux wagons de bestiaux, aux camps pour handicapés ou opposants, aux expériences médicales sur ces « sous hommes » déchets humains selon l’expression des années 1930 pour les cancéreux incurables, des infirmes voire à l’extermination de catégories gênantes, bref, au fascisme qui rode toujours » ceci fut écrit en 1993. La preuve de la déshumanisation de notre société s’est affichée avec l’interdiction de soigner les malades discriminés sur leur âge et leur handicap, et pour tous l’interdiction d’utiliser les médicaments peu chers et efficaces comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine et antibiotiques. Et pour tous aussi l’exigence d’injections expérimentales d’une substance génique dont les effets toxiques étaient prévisibles et maintenant démontrés. Et vous confieriez votre vie à une corporation médicale, pharmaceutique, soignante (qui a injecté le poison) et qui a failli largement et longuement… Encore aujourd’hui on refuse au patient de l’Ivermectine. Et certains confrères dénoncent le collègue qui soigne à l’ordre qui le poursuit alors qu’il n’a pas poursuivi les médecins de plateau qui nous pas déclaré leurs liens d’intérêt comme la loi anticorruption l’exige…

Encore aujourd’hui des médecins et soignants sont interdits de travail et de RSA ou chômage pour désobéissance et aucune grève générale des soignants qui réglerait le problème en quelques jours n’éclate même un an plus tard, alors que le mythe de l’efficacité du pseudovax a explosé. ET VOUS FERIEZ CONFIANCE ?

Déjà trop d’euthanasies en France la mort précipitée dans un cas sur deux ! Elle concerne principalement les malades souffrant de cancer. Ce nombre important de fins de vie « accélérées » dont un nombre non négligeable sans l’accord du patient même conscient interpelle. Les gouvernements et en miroir les soignants voire les familles ont pris l’habitude de décider de ce qui est bon pour le malade. On a l’habitude d’entendre dans les réunions hospitalières qui se permettent de décider de la vie ou de la mort des individus au nom d’une collégialité toute puissante : « cette vie ne vaut pas la peine d’être vécue » (et la leur ?). Ou bien « pourquoi réanimer cette enfant handicapée ? » (Entendu hier : ce sont des faits quotidiens dans les hôpitaux). Faut-il avoir un QI minimum pour avoir le droit de vivre, de rire, de jouer, d’aimer et d’être aimé ? On utilise la souffrance des familles pour les amener à prendre la décision qu’ont choisie les médecins en leur faisant croire que c’est eux qui la prennent. Perversion, peur des responsabilités ? On fait croire à une famille qu’un patient jeune doit être amputé pour se sortir d’un épisode infectieux qui met sa vie en jeu (sans l’avis de son orthopédiste référent qui le suit depuis 13 ans). On le dit à la jeune fille intubée, ventilée qui fait comprendre que dans ces conditions il faut abréger sa vie… De quel droit imposer des souffrances psychologiques de ce type à une adolescente et à sa famille. Est-ce là le monde médical dont nous rêvions quand nous avons choisi les études de médecine ?

Ne faut-il pas chercher d’autres explications à cette véritable mise en condition pour légaliser l’euthanasie après avoir mis en exergue les soins palliatifs en les opposant de fait aux soins curatifs qu’ils ont fini par écourter même lorsqu’il existe encore des possibilités de traitement potentiellement curatif ?

L’argument pour légaliser l’euthanasie est le même qu’on entendait il y a quelques années pour développer les soins palliatifs de façon autonome. Car pallier la douleur des gens avait toujours fait partie du travail des cancérologues en combinaison avec les soins à visée curatrice. Les isoler comme une entité à part revenait à faire admettre l’arrêt brutal des soins curatifs. Or si ces soins palliatifs ont été développés, le traitement de la douleur a été contrôlé, chacun sait maintenant dans le milieu du cancer traiter la douleur, même s’il reste parfois des situations difficiles (par exemple les douleurs neurologiques peu sensibles aux morphiniques). Dans les situations résistantes à la morphine et ses dérivés d’autres médicaments sont utiles (Laroxyl, Rivotril, Neurontin etc..) et à la limite la sédation (diminuer la vigilance et endormir le patient par des anesthésiques) est possible et utilisée de façon fréquente et ne doit pas signifier euthanasie. Cependant le patient doit avoir le choix et être informé : celui-ci préfère parfois tolérer une certaine douleur plutôt que de perdre contact avec la réalité et ses proches. Quand on souffre, c’est qu’on est vivant et certains le réclament haut et fort malgré la mode ambiante.

Alors pourquoi ces campagnes depuis la fin des années 1990 pour mettre en avant les soins palliatifs et les mettre en concurrence avec le traitement du cancer par exemple ? On avait vite compris à l’époque que la morphine coûte quelques euros et la chimiothérapie des centaines. Maintenant, comme si cela ne suffisait pas de ne plus soigner les gens pour leur pathologie, mais seulement les « accompagner », la bataille de l’euthanasie commence…

Des raisons pas si nobles en faveur de l’euthanasie motivent peut-être certains de ses promoteurs. Les soins palliatifs seraient encore trop coûteux. Les hôpitaux seraient « encombrés » de patients vieux, fatigués, malades peut-être incurables (cela est vite décrété et souvent au moins partiellement faux). Les établissements hospitaliers sont en déficit. Il faut réduire les coûts, donc les hospitalisations, d’autant que les moyens ou longs séjours nécessitent beaucoup de personnel soignant et que ce sont les emplois qui coûtent cher. Alors, accélérer les fins de vie en le présentant comme un choix humain et compassionnel, n’est-ce pas une belle idée de gestionnaires qui ne veulent pas avouer ses raisons profondes à la population. Les citoyens ne le découvrent que lorsque leur proche est en cause. Et encore seulement les plus vigilants qui ne se laissent pas tromper par le discours de compassion ambiant.

La mise à mal du système de santé depuis les années 1990 avec les ARS, les SROS, les différentes réformes et plans successifs (plan cancer, plan hôpital 2003-2007, et finalement la loi Hôpital patients santé territoire de 2009 dite HPST qui achève la casse de l’hôpital et la mainmise des gestionnaires pour ériger l’hôpital-entreprise).

Quant a commencé la grande vague de médiatisation pour la diminution « nécessaire » des dépenses de santé vers les années 1995 pour soi-disant « sauver » la sécurité sociale (dont il s’agissait de fait de préparer la privatisation pour rendre à la Bourse les milliards d’euros qui y échappent encore), les fusions d’hôpitaux, les fermetures des petites maternités et des hôpitaux de proximité ainsi que la fermeture de milliers de lits de psychiatrie ont modifié radicalement le paysage du système de santé.

Le coût pour la Sécurité sociale des six derniers mois de vie

Les analyses publiées pour l’établissement du SROS en 1995 (schéma régional d’organisation sanitaire) ont rapidement montré que les dépenses de santé d’un patient pendant ses six derniers mois de vie équivalaient aux sommes qu’il avait consommées dans le reste de sa vie.

Quoi de plus simple que d’imaginer « raccourcir » ces six mois de vie par les soins palliatifs d’abord et l’arrêt des traitements coûteux de chimiothérapie au prétexte d’obstination déraisonnable puis l’euthanasie passive ou active, mais toujours discrète inavouée, innommée ou innommable. On préfère la notion d’aide, de sédation un peu poussée qui raccourcira la vie mais « pour le bien du patient ». La loi Léonetti a encadré ces pratiques en les dégageant du risque médicolégal. Cela devrait être bien suffisant vu déjà les dégâts en termes d’autorisation que se donnent les équipes médicales sur la vie et la mort des malades. L’image de Dieu personnifié n’est jamais loin du médecin et la différence bien connue entre un médecin et dieu est que Dieu ne se prend pas pour un médecin.

Effets pervers d’une loi bien équilibrée dans les textes, mais dont l’application dépasse déjà ses buts. Les équipes se réunissent et se croient légitimes pour décider de la vie du patient, de la sédation qu’il nécessite pour pallier sa douleur. De fait c’est à lui de décider, mais à personne d’autre. Et l’on connaît maintenant la grande infériorité et l’incohérence des décisions prises en collectivité [6], l’abus de faiblesse des équipes médicales sur les familles auxquelles elles font accepter la décision du staff qui passe pour motivée, objective et raisonnable. Notre vie ne tient qu’à un fil surtout en réanimation ou en oncologie. Vous avez intérêt à avoir comme famille et/ou personne de confiance des gens non influençables qui vous aiment et n’attendent pas l’héritage.

Et puis la Tarification à l’activité s’en est mêlée (célèbre T2A).

Mis en place dans les hôpitaux progressivement depuis le début du nouveau siècle, il s’avéra rapidement que seuls les « actes » payaient (pose de cathéter central, fibroscopie, biopsie, ponction, etc., interventions évidemment).. Règne et dogme du quantitatif, cette tentative a priori saine de payer les hôpitaux en fonction du travail fourni réellement eut rapidement ses effets pervers et fut détournée de ses objectifs.

Il apparut vite que toutes les activités humaines auprès du patient n’étaient pas « valorisées ». La toilette d’un malade devait se faire rapidement, plus question de passer du temps avec lui ni de bavarder, de l’écouter, le consoler, le cajoler. Fini l’infirmière autorisée à nurser son patient devenu client. Quant aux médecins vissés sur leur siège devant l’ordinateur pour récupérer les protocoles à appliquer à la maladie qu’ils devaient traiter, ils oubliaient trop souvent que cette maladie survenait chez un être humain à prendre en charge globalement.

Ainsi malgré la rentabilité exigée de plus en plus du personnel, il fallut réduire la durée des séjours « en court séjour » habituel et en soins palliatifs. Ils devinrent non rentables, pas plus qu’en long séjour ou en maison de retraite médicalisée. Il fallut « raccourcir » la durée des hospitalisations en soins palliatifs aussi et on m’expliqua clairement quand je me renseignais pour un proche qu’au-delà de douze jours le malade devait être sorti… Retour à domicile ? Parfois exceptionnellement. Sinon… Nombre d’entre eux probablement réclameraient l’euthanasie avant qu’on ne les mette franchement à la porte. Ils sauraient se tenir et s’effacer à temps. On tournerait autour d’eux et de leurs familles leur demandant de trouver un autre point de chute… Ils seraient conditionnés et surtout se sentiraient de trop, gênants, pesant sur la société et leurs proches… Même dans les services d’oncologie pédiatrique, des adolescents en soins entendent « qu’ils creusent le trou de la sécu ». Mais personne n’avoue jamais avoir prononcé une parole pareille…

Alors que signifie une demande d’euthanasie si tant est qu’elle existe, sinon une sensation d’être un poids pour la société ou/et sa famille. Une société digne de ce nom traite mieux ses malades, ses parents, ses enfants, et ne les pousse pas au suicide, au nom de la compassion et de la dignité.

Un exemple : en service d’oncologie de court séjour à l’hôpital public une journée d’hospitalisation avec comme diagnostic principal ; soins palliatifs (Z515) rapporte à l’hôpital environ 1400 euros payés par la sécurité sociale ; deux jours environ 2400, de quatre à douze jours de l’ordre de 4400 euros. Toute journée supplémentaire ne sera payée que 200 euros. Il vaudra mieux « libérer le lit » rapidement et y traiter un patient, ou plutôt une pathologie, plus rentable comme une septicémie chez un malade en aplasie (trop peu de globules blancs) où 5 jours rapporteront plus de dix mille euros à l’hôpital. Et étant donné la pression des gestionnaires médecins et administratifs qui nous donnent des objectifs financiers d’activité à remplir… le sort du malheureux malade est oublié. Parfois les soignants essaient de prolonger le séjour possible en prescrivant quelques actes qui le rentabiliseront et permettront de s’autoriser à le garder un peu, telle une pose de cathéter central chez un sujet cachectique par ailleurs en arrêt de soins. Quid de sa souffrance au bloc, dans les couloirs sur le brancard ? Celui-là va vite demander qu’on en finisse. On n’est pas à une contradiction près dans les services. On fait comme on peut. Pour la défense des soignants au centre de ce cercle infernal, soulignons que les distorsions psychiques liées aux injonctions paradoxales deviennent permanentes et causent de grandes souffrances qui mènent souvent au suicide des médecins et cadres, à de nombreuses dépressions chez les soignants et à l’abandon de la profession.

En résumé comme l’écrivait le professeur Lucien Israël dans « la Vie jusqu’au bout », la demande d’euthanasie est rare, exceptionnelle même chez les patients adultes et âgés gravement malades, mais correctement pris en charge. Elle correspond le plus souvent à une dépression profonde en rapport avec la perte de l’estime de soi liée à la façon dont vous êtes traité. Des couches à l’arrivée du malade avant même de savoir s’il est continent, économiseront du temps soignant, mais transformeront la personne âgée valide en incontinent, plus ou moins confus (les somnifères de la nuit sans modération) en quelques jours. La honte effacera l’envie de vivre.

Puisque notre société marchande rêve d’indicateurs, elle pourrait prendre comme indice de la maltraitance dans nos hôpitaux le nombre de demandes véritables d’euthanasie.

Au-delà du caractère transgressif du tabou de tuer qui contribuerait à déstabiliser un peu plus une société psychologiquement fragile et à la faire basculer subrepticement dans la barbarie, il faut que les futurs patients (nous tous) se rendent compte des dangers de donner quitus à tous ceux qui pratiqueraient l’euthanasie à la demande. Vous connaissez tous l’état de faiblesse d’un malade couché dans son lit face au médecin debout, fier et droit dans ses bottes pleines de certitudes. La fragilité de leurs familles effondrées par la maladie (pour ceux qui aiment le condamné) désireuses de faire cesser les souffrances de leur proche et encore plus les leurs ou, dans le cas contraire, pressés d’être débarrassés du fardeau et éventuellement de récupérer l’héritage, complètent le tableau. Pas d’angélisme, pas de garde-fou possible. Et ne parlez pas de procédures. Aucun papier ne peut protéger les malades même pas d’eux-mêmes, car les intentions affichées quelques mois ou semaines plutôt étaient des paroles de bien portants et en tous cas pas de mourants. Au seuil de la mort, seule la famille, parfois de bonne foi, exige que l’on respecte les « directives anticipées ». La plupart des mourants souhaiteraient qu’elles soient perdues. Certes on m’opposera tel ou tel rare cas, je ne le nie pas. Chaque patient, chaque situation est différente, mais dans les cas exceptionnels, le dialogue singulier médecin — patient permet de résoudre le dilemme dans le secret du cabinet et en assumant ses responsabilités comme cela a toujours été le cas.

Les situations impossibles et insupportables médiatisées largement sont des constructions politiques ou sociétales utilisant des personnes en souffrance. Leur cas particulier aurait dû et pu être résolu par leurs médecins personnels comme d’autres le sont et le furent dans le silence médiatique depuis toujours. Rien à voir avec une loi qui banaliserait l’acte de tuer et qui favoriserait toutes les dérives médicales familiales, politiques.

L’euthanasie peut être un business aussi comme l’est déjà en Suisse l’assistance au suicide dont le coût est d’au moins 10 000 euros pour le séjour fatal de trois jours. Avant même qu’elle ne soit légalisée, trop de patients meurent sédatés, donc inconscients alors que ces moments riches sont souvent l’occasion de relations irremplaçables entre parents, enfants, d’échanges forts de confidences, de révélations de secrets de famille quand ils ne sont pas volés par l’Hypnovel. De quels droits les en priver, sans leur consentement ? Combien de parents révoltés d’avoir trouvé leur enfant sédaté qui ne s’est jamais réveillé à leur retour auprès d’eux après une absence de quelques minutes à leur chevet. Ils se sentent privés à jamais d’un dernier échange avec leur malade. De quel droit ?

Je ne prétends pas détenir la vérité sur ce difficile sujet, car il n’en existe pas une seule ; chaque malade est unique, chaque maladie est différente, chaque environnement familial aussi, comme chaque demande d’euthanasie. Ma contribution se borne à faire remarquer plusieurs choses à verser au débat indispensable avant toute législation dangereuse en soi. Les soins coûtent chers et les politiques ont intérêt objectif à raccourcir les hospitalisations et diminuer la masse de personnes qui nécessiteront des soins à domicile prolongés. Le vieillissement de la population pose le problème en termes clairs : augmentation de la dépendance et de son coût. Faut-il le résoudre par l’absurde (supprimer les dépenses en supprimant les malades) ?

L’euthanasie a été établie comme loi par Hitler dans le cadre de la suppression des handicapés et de l’eugénisme régnant (Action T4)4. Cet antécédent doit nous faire réfléchir.

La loi Léonetti a déjà abouti malgré elle à la multiplication des euthanasies selon l’Institut national d’études démographiques (Ined), pratiquées en France sans l’accord ni la volonté du patient comme le cite le rapport Sicard de 20125, faut-il aller plus loin ? Le minimum serait d’éviter d’utiliser ce sujet à des fins politiciennes. Il est trop facile de manipuler les foules à l’évocation de la mort.

Je citerai, en conseillant sa lecture, le rapport sur la fin de vie de 20116. Il présente une série d’observations à inscrire dans la durée. Les analyses qui y figurent devront être lues dans leur évolution, année après année, pour mieux réaliser l’ampleur de l’évolution professionnelle, culturelle et sociétale autour de ces questions essentielles pour notre démocratie. Il est en effet indispensable pour une démocratie, et ceci particulièrement dans une période de grandes contraintes économiques, de savoir réaliser un « arrêt sur image » pour réfléchir collectivement sur la valeur et le sens de la vie humaine (la vie individuelle, mais aussi la vie collective) de manière à toujours garantir le respect des personnes les plus vulnérables. Arrêt sur image indispensable. »

« Les partisans de l’euthanasie se gargarisent de mots dont ils dévoient la signification »

Et réfléchissons aussi à la position de M Houellebecq en 2021 lors d’une xième discussion au parlement pour étendre la loi Leonetti.7

Michel Houellebecq fait clairement partie des opposants à ce projet de loi. « Personne n’a envie de mourir », expose-t-il dans une lettre publiée par Le Figaro. « Personne n’a envie de souffrir », non plus. Mais, surtout , « on peut éliminer la souffrance physique », ce qui, selon l’écrivain, vient clore le débat. Sur ce point, Michel Houellebecq justifie : « Début du XIXe siècle : découverte de la morphine ; un grand nombre de molécules apparentées sont apparues depuis lors. Fin du XIXe siècle : redécouverte de l’hypnose ; demeure peu utilisée en France. »

« La supposée méconnaissance de ces sujets par le grand public (qui plébiscite le droit à l’euthanasie, selon les dernières études) provoque, considère-t-il, “une polarisation caricaturale du débat, réduit à la question Préférez-vous qu’on vous aide à mourir ou passer le restant de vos jours dans des souffrances épouvantables ?” Souffrances surmontables, donc, selon lui, par la morphine et l’hypnose, notamment. Soulignant l’utilisation récurrente des termes de “compassion” et de “dignité” par les défenseurs du projet, Houellebecq écrit : “Les partisans de l’euthanasie se gargarisent de mots dont ils dévoient la signification à un point tel qu’ils ne devraient même plus avoir le droit de les prononcer.”

Un pays qui légalise l’euthanasie “perd, à mes yeux, tout droit au respect” (…) »

Alors que dire aujourd’hui dans une société de plus en plus totalitaire et de moins en moins humanisée ? Feront-ils leurs directives anticipées dans une télécabine de supermarché ?

Mon souci n’est pas le principe pour les situations de souffrances insurmontables et où les vrais médecins dans le secret du cabinet ont toujours pu ou su faire le nécessaire (le médecin de campagne était plus pragmatique…).

 Le sujet est celui d’une loi qui va permettre tous les excès au nom de la liberté qui ne sera que celle des accompagnants et pire des docteurs qui comme avec le Rivotril n’auront aucun scrupule pour le grand-père riche qui fatigue ni pour le handicapé jeune dans sa chaise roulante qui encombre un lit…

De toute façon c’était déjà la pratique trop courante dans beaucoup d’hôpitaux et ce ne pourra que l’aggraver.

Nous l’avons vécu, vu en gériatrie dès les années 80, en oncologie pédiatrique et adulte, de plus en plus depuis les années 2000 avec des “protocoles” bien rodés au lit du malade en HAD bien avant le covid.

 Je l’ai tant vu faire par les pédiatres “modernes” qui depuis 2002 pratiquaient des euthanasies chez des enfants déclarés incurables par eux et pas forcément en réalité (on en a remis en forme !! [voir mon livre de 2000 “neuf petits lits au fond du couloir”]) et sans évidemment l’avis du patient. Des parents furent intarissables sur le sujet 8 après avoir vécu les propositions des pédiatres “d’aider leur enfant”.

 J’avais ouvert le livre par l’histoire d’une jeune fille adressée en chirurgie et finalement euthanasiée par les anesthésistes en accord avec la mère sous prétexte que la vie à venir ne serait pas sympathique [problème d’une paralysie des membres chez une adolescente de 17 ans]. Doit-on tuer tous les paraplégiques sans leur avis ? La Maman l’aimait, et ne s’en est jamais remise.

Le premier danger des soins palliatifs est l’abandon du traitement curatif possible, mais méconnu ou méprisé

Un petit gars de dix ans avec une seule métastase mal située sur la carène ; l’intubation permet à la radio de thorax de redevenir normale, mais le chirurgien appelé par le réanimateur dit que cette localisation est difficile et qu’il ne pourra pas enlever la tumeur. Le réanimateur débranche la machine, l’enfant décède ni son père ni moi-même en réunion dans un autre hôpital [avant le temps du portable] n’auront eu notre mot à dire ni pu lui dire au revoir…

Dans des circonstances comparables, un chirurgien thoracique a opéré une jeune fille en imposant une pneumonectomie sur poumon normal : elle a vécu 25 ans de plus et mis au monde un garçon. Elle est décédée d’une infection pulmonaire…

La notion d’incurabilité est très incertaine…

Combien de patients déclarés inopérables sans avoir vu de chirurgien ? Il faut le chercher… Je dis souvent qu’il y a très peu de malades inopérables et seulement des malades pour lesquels on n’a pas trouvé le chirurgien adéquat pour cette localisation, pour ce type d’intervention… Il faut le chercher parfois à l’étranger…

Pas de chirurgie possible => palliatif
Chirurgie réalisable => curatif

La nuance est capitale et ne dépend que de la vision d’hommes plus ou moins compétents et tenaces. Bien d’autres exemples alimenteraient des volumes entiers.

ALORS POUR L’EUTHANASIE LÉGALISÉE PAR UNE LOI

 Si vous trouvez une solution compatible avec ce dilemme, véritable liberté versus abus de pouvoir, je suis preneuse… attention aux dérives surtout en ce monde pré totalitaire

 J’ai été formée par le PR Leon Schwartzenberg à Villejuif, dans les années 80, qui défendait et pratiquait l’euthanasie à la demande éclairée de ses patients qu’il connaissait très bien. Il disait qu’il se mettait en avant pour protéger les docteurs ou familles qui seraient poursuivies si elles avaient agi en conscience, mais qu’il ne fallait en aucun cas légiférer ! J’ai aussi eu le privilège d’être formée par Lucien Israël, le premier cancérologue à se battre chez les patients confrontés aux cancers du poumon… Lui aussi était très vigilant sur ce qu’une loi générerait.

 Donnez-nous la solution… Quant aux “directives anticipées, ‘ce ne sont que des protections juridiques pour l’hôpital ou le médecin, et des discours de bien portants dont, je vous l’assure, beaucoup ne les reconnaissent plus quand l’heure arrive… Prudence !

Écoutez pour conclure le discret professeur d’éthique médicale à la faculté parisienne, le 13 SEPT 2022 :

Emmanuel Hirsch : « L’acte d’euthanasie est un meurtre »

Le professeur d’éthique médicale université, Paris-Saclay, Emmanuel Hirsch, dans l’émission Morandini Live : « Il ne faut pas légiférer ou banaliser l’acte d’euthanasie qui est un meurtre ».

Tout est dit !

Dissimuler le meurtre sous des arguments médicaux9

« Faut-il désormais légaliser l’euthanasie — l’acte de mort sous forme d’injection létale exécuté par un médecin — et estimer que nous serons alors parvenus au terme d’un parcours législatif ? Notre confrontation personnelle à la mort sera-t-elle enfin apaisée et digne des valeurs de notre démocratie ? Pourrons-nous affirmer que nous aurons instauré une méthode du ‘bien mourir’ là où les conditions du ‘mal mourir’ hantaient notre conscience collective, sans avoir la lucidité de reconnaître que, face à la maladie grave ou à un handicap qui altère l’autonomie, c’est le sentiment de ‘mort sociale’ qui incite bien souvent à préférer anticiper la mort plutôt qu’à poursuivre une vie ou une survie indigne d’être vécue ? »


1 Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? — AgoraVox le média citoyen

2 Les membres sont désignés par le président de la République de même que son président. ils ne représentent donc pas la profession médicale soumise au dilemme de l’euthanasie.

3 Publication sur Économie Matin — 2013 :  | Publication sur le site du média : 
L’euthanasie, ou la réduction radicale des dépenses de santé Nicole Delépine

4 Nazisme : Aktion T4, la mise à mort des « inutiles »
https://www.geo.fr/voyage/nazisme-aktion-t4-la-mise-a-mort-des-inutiles-161366

5 Rapport Sicard — Penser solidairement la fin de vie
https://ethique.unistra.fr/master-ethique/ressources-documentaires/ressources-en-ligne/rapport-sicard-penser-solidairement-la-fin-de-vie/

6 Observatoire national de la fin de vie : rapport 2011 — Fin de vie : un premier état des lieux
https://www.vie-publique.fr/rapport/32311-observatoire-national-de-la-fin-de-vie-rapport-2011-fin-de-vie-un

7 Le plaidoyer de Michel Houellebecq contre l’euthanasie — Le Point

8 Nicole Delepine — Soins palliatifs et oncopédiatrie

9 Fin de vie : « Légiférer sur l’euthanasie n’est pas une urgence politique » (lemonde.fr)




Non je ne veux pas savoir !

Le goût acide de la liberté et de la « pilule rouge1 »

Par Alain Tortosa

La quête de vérité est un débat sans fin qui anime les hommes depuis la nuit des temps.
Tandis que certains vouent leur existence à cet idéal impossible, d’autres, au contraire passent leur temps à la fuir de peur de n’être rattrapés.

Le choix plus ou moins conscient de l’illusion

Une des scènes les plus intéressantes du film Matrix2 premier volet se déroule dans un restaurant.
Le traître nous explique ses motivations en « mangeant » un steak alors qu’il se trouve dans la Matrice et non dans le monde réel.
Il explique avoir connaissance du fait que ni sa viande, ni son goût, ni sa texture n’existent, mais fait le choix de rester dans ce monde d’illusions en toute conscience.

De très nombreuses personnes qui ont adhéré (durant un temps) au narratif Covid, ressentent qu’il y a « quelque chose qui cloche », que le monde qui est décrit par les médias serait une illusion.

Ils ont de très nombreux indices, ils touchent du doigt des contradictions flagrantes et pourtant refusent catégoriquement d’en savoir plus.

L’absence de discours cohérent comme interrogation

Vous souvenez-vous du masque inutile mais indispensable ?
Vous souvenez-vous des plages dynamiques ou statistiques ?
Vous souvenez-vous du confinement qui devait réduire à néant l’épidémie ?
Etc.

Le dernier exemple de manipulation m’est venu d’une vidéo de Maître Di Vizio qui se faisait l’écho des médias sur la « déroute de l’armée russe face à l’offensive ukrainienne ».
Si vous regardez LCI, vous avez droit toute la journée à Poutine qui vit ses derniers instants et d’une armée russe à l’agonie face à Zelensky3 le Churchill des temps modernes.

Cela m’a fait penser à l’armée Irakienne qui était décrite comme la 2ème armée du monde avec ses armes chimiques prêtes à être déversées sur l’occident par Saddam Hussein.

Si cette armée russe est nullissime au point de se faire balayer par l’armée ukrainienne (ne riez pas c’est pathétique), comment Poutine et son armée pourraient constituer une menace vis à vis des européens ?
Je connais des personnes qui ont peur « pour de vrai » de l’arrivée des chars russes sur les Champs Élysées.

  • Alors soit cette armée russe est la deuxième armée du monde et les ukrainiens n’ont strictement aucune chance. Il faudrait de fait arrêter toute aide militaire pour que le conflit cesse immédiatement pour épargner des morts inutiles…
  • Soit l’armée russe est à ce point nullissime au point qu’elle achèterait des munitions à la Corée du Nord (re fou rire dans la salle) et il n’y a strictement aucune raison d’en avoir peur. BHL est convaincu de cette hypothèse et affirme qu’elle est « foutue ».

Ceci pour dire que les incohérences ne manquent pas dans la petite histoire du monde.

Pour autant le leitmotiv des hypnotisés est principalement « laissez-moi dans l’ignorance ».

Tout comme ce personnage du film, ils font le choix de demeurer (ainsi que leur famille) dans une illusion, dans un monde de « faisons comme si ».

Globalement ils vivent dans une forme de présent qu’ils espèrent immuable et ce alors même que les médias passent leur temps à répéter que le pire est à venir.

« Laissez-moi tranquille, ne me dites rien, je ne veux pas savoir, je ne veux pas être bouleversé, je veux continuer à faire semblant, la vérité serait trop angoissante, etc. »

Un faux sentiment de sécurité

Il est évident que la réalité dans Matrix n’est pas glamour, en l’occurrence un monde apocalyptique dirigé par des machines qui utilisent les êtres humains comme source d’électricité.
Si l’objectif du traître est de ne pas être angoissé ou disons « raisonnablement angoissé » et d’avoir un confort bourgeois alors il est évident que la « vie » dans la Matrice est plus agréable.

Une « vraie » matrice, n’est-il pas ce qui est proposé par Facebook et son Metavers4 ou dans le film « Ready player one5 » de Spielberg ?

Qu’en est-il de notre monde actuel ?

Si l’on fait le choix d’ouvrir les yeux sur sa réalité, sur les fausses épidémies, le Grand Reset, un objectif qui voudrait l’asservissement des peuples, la dictature chinoise, la diminution de la population mondiale, la fausse crise climatique, la fausse crise énergétique, etc., il devient bien difficile de faire semblant que tout va bien et d’imaginer que les médias relatent la réalité.

Continuer à ignorer les menaces réelles qui nous entourent revient à faire la politique de l’autruche.
Une conduite les yeux fermés sur l’autoroute se termine inexorablement par un accident mortel.
N’en est-il pas de même en ignorant la réalité du monde ?!

La réalité tangible de la menace face à l’imaginaire

Les fumeurs se pensent « immortels » au même titre que les non-fumeurs.
Si le risque de cancer des poumons puis du décès prématuré ne relevait pas de la statistique, alors seuls les suicidaires fumeraient encore.
Typiquement le genre d’information qui est à la fois connue et à la fois de l’ordre de la « légende urbaine ».

Il en est de même des vaccins classiques et des injections expérimentales Covid.
L’aveuglé accepte l’idée qu’il puisse y avoir des effets secondaires, il peut même accepter l’idée que des enfants meurent des injections ou que des femmes deviennent stériles.

Mais ici encore, cette donnée relève de la statistique, « c’est les autres qui meurent, les autres qui deviennent stériles »… comme pour la cigarette.
Le danger n’est donc pas vécu comme réel mais théorique.

Quand la réalité devient la fiction et inversement

C’est d’autant plus cocasse que ces mêmes covidistes qui ne croient pas à la dangerosité réelle du masque, des confinements, des qr-codes ou à la dangerosité des injections Covid ne doutaient pas de la gravité « d’un virus inconnu et mortel ».

  • Un virus qu’ils n’ont vu que dans les médias ou dans le discours d’autrui.
  • Un virus qui ne devenait « réel » que par des masques obligatoires.
  • Un virus qui ne devenait « réel » que par des tests PCR sur des personnes en bonne santé.
  • Un virus qu’ils auraient pris pour une grippe totalement banale sans le concours des médias et du gouvernement.

Le plus incroyable s’est produit lorsqu’un voisin ou parent a développé des symptômes, cette fois-ci bien réels, suite à l’injection expérimentale.
C’est alors que ces effets réels ont été vécus comme imaginaires.

« Ce n’est pas le vaccin mais la douche, le sport, le sédentarisme, le chaud, le froid, les vitamines, etc. (rayez la mention inutile) qui a provoqué l’avc ».

Il en est de même avec Poutine où la menace est considérée comme « réelle » alors qu’il s’agit d’un conflit armé débuté en 2014 dont personne n’avait entendu parler et qui ne touche pas la France.
Menace dont nous pouvons nous « protéger » en mettant un embargo sur l’énergie russe selon nos hommes politiques.

Et dans le même temps, voir le litre de carburant passer factuellement à 2,20€ ce qui est une menace bien réelle.
Pesant sur les finances actuelles du ménage, mais aussi futures du fait de l’inflation et du chômage de masse qui va se produire.

Cette réalité factuelle étant presque vécue comme un non-événement alors même que les Gilets jaunes étaient descendus dans la rue pour un litre à 1€50 !

L’apothéose de la fantasmagorie est sans doute l’élection présidentielle .

Nous disposons pour M. Macron du bilan d’un Président qui a factuellement :

  • Détruit le système de santé.
  • Suspendu (encore aujourd’hui) sans salaire des soignants et des pompiers alors que la France brûlait.
  • Détruit l’hôpital public.
  • Supprimé le parlement.
  • Supprimé les droits de l’homme (masque, confinement, pass sanitaire,…)
  • Mis en place un apartheid avec d’un coté les « bons » citoyens et de l’autre les « moins que rien » qui refusaient l’injection expérimentale et que l’on emmerde selon les mots du Président.
  • Pris des mesures économiques contre son peuple comme l’embargo contre la Russie.
  • Divisé les Français.
  • Et j’en passe.

En face nous avions Mme Marine Le Pen :

  • Jamais élue Présidente de la république.
  • Contre le passe sanitaire et vaccinal.
  • Pour la réintégration des personnels exclus.
  • Contre les sanctions stupides contre la Russie qui « croule aujourd’hui sous le cash »6
  • Contre l’Europe technocratique anti démocratique.
  • Pour les référendums.

Et que c’est-il passé ?
Emmanuel Macron a battu Marine Le Pen !
Un Président pour lequel on pourrait résumer ses allocutions par « une phrase, un mensonge ».

Batiste Foisy7 le disant plus élégamment :

« Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment. »

Pourquoi Marine a-t-elle été battue ?

  • Parce qu’elle « faisait peur ».
  • Qu’elle « menaçait les libertés et les droits de l’homme ».
  • Qu’elle était « d’extrême droite ».
  • Qu’elle était « pro-russe et une ennemie de la France ».
  • Qu’elle allait « fracturer l’unité nationale ».
  • Qu’elle allait « avoir dans ses mains le bouton de l’arme nucléaire ».
  • Etc.

Le récit imaginaire, la peur irrationnelle, la propagande médiatique a été plus forte que la réalité d’un bilan catastrophique et inédit pour l’économie et les droits de l’homme.

Nous voyons donc que pour les humains, ou tout du moins les covidistes, la menace n’est absolument pas corrélée au réel mais à une fable.

Le seul moteur est l’adhésion à un récit servi tout cuit, quand bien même il est totalement déconnecté du fait.

Le bonheur est dans la Matrice ? Paradoxe des univers angoissants

Les hypnotisés sont-ils pour autant heureux et épanouis ?
J’entends qu’il faudrait définir le bonheur ce qui est impossible.

Mais sans entrer dans des pensées philosophiques qui pourraient s’apparenter à de la masturbation intellectuelle, je ne le pense pas.

Sont-ils rassurés pour l’avenir et leurs enfants ? Certainement pas !
Nous pouvons même affirmer sans crainte que la vie dans la Matrice n’est pas un long fleuve tranquille.
Et pourtant, ils ne veulent surtout pas en sortir, pourquoi ?

Perfusion permanente d’angoisse

C’est là le paradoxe de notre époque.
L’humain fuit les situations angoissantes alors même que le monde qui lui est conté l’est de plus en plus.

Si l’Europe des années 60 a tué les conflits militaires (sur nos terres), elle a en revanche fabriqué une succession de dangers et d’angoisses.

Nous avons eu :

  • La crise énergétique sur le Pétrole.
  • Le chômage et l’absence d’avenir pour nos enfants. Même les bacs +10 n’ont plus la garantie de trouver un travail décent.
  • La pollution.
  • Le réchauffement climatique.
  • Les virus mortels.
  • Etc.

Et l’on vient de nous ressortir du placard le remake de « les chars russes sur les Champs-Élysées ! »

Alors même que notre enc…, que notre cher Président nous répète que nous sommes en guerre, que c’est la fin de l’abondance (Parle-t-il du fromage de Haute-Savoie ?), cela n’empêche pas une majorité (hum) d’électeurs de le reconduire à la tête du pays.

Celui qui nous rassure et nous inquiète devient de fait celui qui sème factuellement le chaos.

Avions-nous connu de pareilles angoisses sous la 5e république avant Macron ? Non !
Avions-nous connu un tel recul des libertés et de la démocratie avant Macron ? Non !
Avions-nous connu une telle destruction de l’économie avant Macron ? Non !

Et alors même qu’il ne promet que le pire, les Français ne sont pas dans la rue et le considèrent comme un « bon » Président qui « fait ce qu’il peut » pour nous protéger dans un monde terrible.

Alors qu’il n’offre QUE de l’angoisse, celle-ci devient paradoxalement rassurante pour les hypnotisés.

Notre Président serait ainsi un « destructeur protecteur » !

Il est le pompier pyromane qui interdit aux pompiers non vaccinés d’intervenir tandis qu’il fait venir de l’étranger des pompiers au statut vaccinal inconnu.
Il est celui qui amène le chaos et nous dit qu’il n’y est pour rien et que demain sera un enfer, enfer qui de bien entendu, serait tellement pire sans lui.

Nous sommes à ce point manipulés et perfusés de dangers qui nous menacent que nous piétinerions l’homme providentiel qui nous montrerait qu’un autre (notre) monde serait possible.

La démocratie, le mur infranchissable

J’ai pensé de tout temps que nous vivions une mascarade démocratique et je souffrais de vivre dans une dictature au point d’avoir publié en 2018 le livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? ».

Croyez bien qu’à cette époque il était beaucoup plus difficile de tenir un discours de « dictature » alors que notre société avait la couleur et le goût de la démocratie.

J’ai parcouru depuis un chemin semé de douleurs et mon monde de 2018 était un monde de bisounours à coté de celui que je perçois aujourd’hui.

Nous sommes formatés dans l’idée que nous sommes les « gentils », nous vivons dans une France et une Europe « démocratiques ».
Il nous est quasiment impossible de ressentir le fait que la France soit devenue une vraie dictature tant elle est décrite comme le pays des Droits de l’homme.

Autant nos concitoyens peuvent entendre qu’un pays africain ou d’Amérique latine est une dictature, no problem, autant l’affirmer pour un État européen relève de la folie !
Dans l’imaginaire collectif, une dictature est un pays dans lequel les opposants politiques sont torturés et éliminés, de fait « nous sommes donc bien en démocratie ».

Pour autant nous disposons d’éléments objectifs prouvant que nous ne le sommes plus :

  • Le coup d’État du referendum de 2005 pour la constitution européenne.
  • L’impossibilité pour les candidats du frexit8 d’avoir leurs 500 signatures pour se présenter.
  • Le coup d’État de 2020 assignant les français à résidence sans procès ni condamnation.
  • La censure des réseaux sociaux et des médias pour les vaccins, la crise sanitaire, la crise ukrainienne ou la crise climatique (il n’y a QUE du consensus dans les médias subventionnés).
  • Une 5e république qui a supprimé les pouvoirs du parlement et donné la majorité décisionnelle à une minorité qui obtient une « majorité » grâce à la pirouette des élections à 2 tours.
  • Des votes au parlement à 15h00 qui dérangent et que l’on refait à 3h00 du matin pour obtenir une autre décision.
  • La suppression du parlement lors de la crise sanitaire et la création d’un « conseil de défense » totalement opaque au seul bénéfice du Président.
  • Des corrompus non élus qui décident de notre sort en Europe.
  • Etc.

Ici encore les hypnotisés de la démocratie ne vont pas prendre chacun de ces faits réels pour les placer dans un dossier à charge, mais trouver les éléments de langage pour le dédouaner et les rendre anecdotiques.

Hier les Droits de l’homme faisaient passer l’individu avant l’intérêt de la nation,
Aujourd’hui, la « nouvelle démocratie » glorifie son sacrifice au profit (propagande) du groupe.
L’interdit devient de fait le garant des libertés individuelles et la preuve que nous sommes en démocratie.

Il n’est pas possible de remettre en question le récit national « nous sommes une démocratie avec des élections libres ».
Seul un « non-citoyen », un « ennemi du peuple » pourrait tenir de tels propos.

Surtout n’apprenons pas de l’Histoire !

Imaginez le pauvre juif un peu lucide dans les années 1930 qui disait :

« Nous sommes en dictature, cela va mal se terminer »

A-t-il été entendu ?
La communauté juive a reçue combien de dizaines d’alertes durant cette période ?
Et à chaque fois le même refrain « ça va s’arranger, tu exagères ! »
Même devant l’entrée des chambres à gaz à coté des cheminées fumantes et de la puanteur certains n’y croyaient toujours pas9 !

La réalité factuelle du monde n’est pas de nature à modifier les croyances.

C’est probablement notre erreur à nous les « complotistes » de penser que si nous amenons la preuve de la vérité de nos propos alors l’aveugle retrouvera la vue.

« L’autre » n’est pas comme nous

Ah ils peuvent bénir les médias :

« Vous n’avez pas à penser par vous-même, vous n’avez pas à vous forger votre propre opinion critique, vous n’avez qu’à convertir notre propagande en Vérité. »

Le principe est le même depuis que le monde est monde.
Comment voulez-vous obtenir d’un soldat qu’il tue son voisin s’il se rappelle qu’il est un humain comme lui avec une famille et des enfants ?

Il est indispensable de le déshumaniser et vous convaincre qu’il n’est pas comme vous, qu’on peut l’emmerder10, qu’on peut le priver du droit d’aller au restaurant, qu’on peut et même que l’on doit le priver de son travail surtout si son travail est au service de la communauté !

« L’autre est dangereux pour autrui. »
« L’autre est manipulateur. »
« L’autre voit des complots partout. »
« L’autre est stupide, il vit dans un monde simple,… »
« L’autre est égoïste, il ne pense qu’à lui. »
« L’autre vit dans un monde imaginaire. »
« L’autre est de mauvaise foi. »
« L’autre est paranoïaque. »
« L’autre n’ouvrira jamais les yeux, vous ne pourrez pas lui faire entendre raison. »
« L’autre est un malade mental. »

Et quand cela ne suffit plus, servons-nous du génie de la lampe et affirmons comme François Cluzet que « l’autre », moi-même , mes amis, « est antisémite ».

Qui irait discuter avec un manipulateur pervers qui plus est antisémite ?

L’impossible débat

J’ai essayé de débattre, essayé d’ouvrir les yeux, mais c’est peine perdu face à celui qui ne veut pas sortir de la Matrice.
Je n’ai jamais pu établir un dialogue avec eux.

Cela termine pas des « pff », des « allez on parle d’autre chose », des « que vous êtes con », des « on ne peut pas parler avec vous », des « vous n’êtes pas un spécialiste », des « vous allez aussi me dire que la Terre est plate » ou « de toutes les façons vous resterez dans votre délire », etc.

Ce qui me différencie d’eux, entre autres, c’est que je suis prêt à changer d’avis.
J’ai passé des centaines d’heures, des mois à essayer de prouver que je me trompais et que le Covid existait (plus aujourd’hui pour être honnête) en tant que nouvelle maladie plus mortelle que la grippe.

J’ai même essayé de savoir si la Terre était plate11.
Je suis disposé à réviser toutes mes croyances si l’on me fournit des éléments scientifiques de nature à me le faire croire.
Mais eux vivent dans la foi.

Avant de débuter toute discussion il faudrait pouvoir leur poser la question :

« Es-tu prêt à prendre le risque de voir tes croyances (par exemple sur le Covid) s’effondrer et découvrir que ton monde est construit sur une montagne de mensonges ? »

L’ignorance et le mensonge !

La société, l’éducation, les médias, les loisirs, les émissions TV…
TOUT est fait pour vous maintenir dans l’ignorance ou plutôt dans une réalité alternative.

Depuis la crèche on apprend au bébé à obéir, ne pas de poser de questions et s’abreuver de « Vérité ».

Celle-ci nous est déroulée et nous devons y adhérer si nous voulons être membres à part entière de cette belle société.

Il ne saurait y avoir d’opinions, de réflexions, de divergences et encore moins de preuves selon lesquelles il pourrait exister une vérité alternative.

Prenons l’exemple des Ovnis (sujet que je n’ai pas encore étudié).
Si vous l’abordez lors d’un dîner en France, ce sera probablement l’occasion d’une bonne rigolade.
Et ce alors même qu’il existe des commissions sénatoriales aux USA qui discutent sérieusement du sujet !

Ici, dès lors que les médias mainstream disent la même chose, c’est qu’il y a « consensus » sur le sujet.
Douter, poser des questions, ne relève QUE de la débilité et du complotisme !

Ceci devrait être de nature à vous éveiller car :

La représentation médiatique d’un événement comme faisant consensus est de nature à introduire le doute.

En sciences dures, en économie, en médecine, en biologie, en écologie, en climatologie, en histoire, il n’y a JAMAIS de consensus !
Et comme disait le professeur Raoult que je ne porte pas particulièrement dans mon cœur.

« Le consensus c’est Pétain12 ! »

Interdire le débat (comme nous avons pu le vivre dans le cadre du Covid) constitue une preuve de la manipulation de la vérité.

Un fait qui ne peut être débattu13 ne relève plus du fait, de la réalité, de la science, de l’histoire, mais de la foi, de la mythologie, de la doxa, de la manipulation, de la propagande, etc.

Le mensonge répété qui devient vérité

Imaginons que je pose la question suivante à un covidiste convaincu et que celui-ci me réponde sincèrement :

« Est-ce que le Covid était une nouvelle maladie dangereuse pour laquelle il n’y avait aucun traitement, etc. ? »

Nous connaissons tous sa réponse : « Oui bien sûr ! »

Si j’ajoute alors ; « Comment le sais-tu ? »
La réponse sera « Parce que tout le monde l’a dit, les médias, les médecins, les politiques, l’OMS,… »

Moi : « Les politiques qui passent à la télé ? Les médecins qui passent à la télé ? »
Lui : « Oui mais pas qu’eux.., mon médecin, mon infirmière, ma pharmacienne, tout le monde ! »

Moi : « Mais ton médecin, ton infirmière, ta pharmacienne, comment ont-ils construit cette « vérité ?» ».
Lui : « Ils ont dû étudier le sujet ! »

Moi : « Tu penses qu’ils ont lu des études scientifiques, qu’ils ont étudié les statistiques internationales, qu’ils ont écouté les arguments de leurs collègues qui pensaient différemment, qu’ils ont passé des heures ou qu’ils se sont contentés d’écouter les médias, les autres collègues, etc ? »
Lui (si il est honnête) : « Je ne sais pas, je ne suis pas certain qu’ils aient le temps. »

Il pourrait ensuite vous rétorquer que vous n’êtes pas épidémiologiste (eux non plus), que vous n’avez pas la compétence (eux non plus), que l’on n’écrit n’importe quoi sur Internet (eux aussi), etc.

[Note de Joseph : la plupart des gens qui utilisent un ordinateur ne sont pas du tout des informaticiens, sont incapables d’écrire une ligne de code dans quelque langage informatique que ce soit, mais savent pourtant utiliser un logiciel et même constater certains de ses bugs. N’importe qui sans handicap majeur et ayant passé son permis de conduire peut utiliser une automobile et constater ses problèmes éventuels de conduite, voire même être capable en étudiant le manuel de découvrir lui-même leur cause. Il n’est pas indispensable de l’avoir fabriquée ni d’être garagiste. De même, avec simplement un esprit suffisamment observateur, un minimum de connaissances, de logique et de bon sens, n’importe qui peut se rendre compte lorsqu’une théorie, comme la virale, connaît des bugs plus ou moins problématiques. L’argument de la spécialité ou de l’expertise est purement rhétorique, mais pas scientifique. Il s’apparente à l’argument d’autorité.]

Nous voyons bien que la répétition à l’infini d’un mensonge en fait une vérité indiscutable.

Plus une croyance est ancrée, plus elle devient une vérité.
Plus elle est une vérité et plus elle est ancrée.

Ne croyez pas que le matraquage médiatique et sociétal que nous subissons soit de l’ordre du hasard.
Le mensonge répété des milliers de fois devient cette vérité, raison pour laquelle il est si difficile de réviser ses croyances.

Si je vous dis que l’efficacité des vaccins (y compris classiques) n’a jamais été prouvée ou que l’éradication de la Polio relève au mieux du mythe et au pire de la manipulation, vous aurez d’autant plus de mal à le croire que vous avez entendu le contraire depuis votre naissance.

Tolstoï disait à juste titre :

« Les sujets les plus difficiles peuvent être expliqués à l’esprit le plus lent s’il n’en a pas déjà formé une idée ; mais la chose la plus simple ne peut être expliquée à l’homme le plus intelligent s’il est fermement persuadé qu’il sait déjà, sans l’ombre d’un doute, ce qui se trouve devant lui14. »

Trop grosse ?

Alors me voici devant un croyant et je lui dis :

« Si vous prenez la pilule rouge voici ce qui peut vous tomber dessus »

Vous allez pouvoir vous pencher et étudier les sujets suivants :

  • L’assassinat de JFK.
  • La marche de l’homme sur la Lune.
  • Le 11 septembre.
  • Le Covid (existence, dangerosité, traitements, confinement, masque, vaccin,…)
  • Les virus.
  • La victoire de Biden sur Trump.
  • Brigitte Macron.
  • La guerre en Ukraine.
  • L’industrie du sucre et le cholestérol.
  • La crise de l’énergie.
  • Paperclip ou le recrutement de scientifiques Nazis par les USA.
  • Le réchauffement climatique.
  • Les éoliennes.
  • Mk Ultra.
  • Les chemtrails.
  • Le nucléaire.
  • Les petits gris (extra-terrestres supposés méchants).
  • Les voitures électriques.
  • Les ovnis.
  • La Terre plate.
  • Les réseaux pédophiles et les élites.
  • Les vaccins.
  • Etc. Etc. Etc.

(Lorsque j’écris cette liste je ne peux m’empêcher de penser au gentil Julien Pain de France Info qui fait du fact-checking en nous démontrant par affirmations successives que tout ce qui précède n’est que délire et qu’il ne saurait être question d’y prêter foi.
Si ce monsieur faisait son métier au lieu d’être au service du Ministère de la Vérité, il organiserait des débats contradictoires en invitant des spécialistes opposants à la doxa et en leur donnant un temps de parole équivalent.
Dans les faits celui qui rompt le consensus est banni d’antenne.)

Si vous désobéissez, si vous allez étudier par vous même alors vous allez pouvoir dire (définitivement) adieu à ce monde où la vérité était exclusivement répandue par les médias et ainsi basculer dans un autre monde plus proche de celui cité par Coluche.

« La seule chose exacte dans le journal, c’est la date. »

Prendre la pilule rouge c’est se retrouver contraint d’ouvrir les yeux sur d’autres vérités entremêlées de théories plus que bizarres.
J’ai volontairement persillé ma liste de quelques théories à priori loufoques afin que chacun puisse se faire son opinion.
Mais n’espérez quand même pas utiliser tous vos doigts pour additionner le nombre de sujets délirants indiqués ci dessus.

Point de label « garanti sans fake news ! »

Nous sommes d’accord qu’il existe des théories d’illuminés, soit.
Mais aussi des vérités issues d’un travail colossal de recherche, de statistiques, d’études médicales ignorées, d’expériences scientifiques, de faits avérés qui sont volontairement dissimulés au public.

Nous en sommes à un stade d’omerta et de mensonges que même les données officielles issues des agences de suivi des effets secondaires des injections relèvent officiellement du complotisme !

Lorsque vous aurez avancé dans votre cheminement, vous aurez acquis l’intime conviction qu’il n’existe aucun média officiel de confiance pour vous dire lesquelles sont réelles et lesquelles sont du délire.

Rejeter ou gober tout serait folie

Plus vous allez avancer dans vos recherches…
Plus vous allez lire d’informations sérieuses et recoupées…
Plus vous avancerez dans votre cheminement…

Et plus vous allez découvrir que certaines théories qui peuvent sembler folles à priori, reposent sur des éléments d’une extrême robustesse.
Tandis que d’autres appartiendront (définitivement ?) à des délires non prouvés.

Ces révélations vous seront d’autant plus « folles » que les médias mainstream vous auront déjà martelé qu’elles relèvent du complotisme et de la folie et qu’il ne faut surtout pas y prêter foi.

Par exemple :

« Le 11 septembre. »
« L’homme sur la Lune. »
« L’éradication de la Polio par les vaccins. »

Quel être humain raisonnable pourrait douter de ces trois « vérités15 ».

Il vous suffit simplement d’étudier les faits pour parvenir à votre intime conviction.

Nous vivons dans un monde où il serait à la fois irresponsable de croire la vérité issue des médias et tout aussi irresponsable de ne pas se poser la question concernant une thèse à priori folle « et si cette théorie à priori délirante était vraie ? »

Du travail, du travail, du travail

Il est possible de s’appuyer sur les recherches de personnes de confiance mais pour autant il sera vital de s’assurer qu’elles apportent des sources fiables à leurs affirmations.
Quant on observe le travail colossal qui a été produit ces derniers mois ou années, il serait idiot de ne pas en profiter.
Il existe notamment d’excellentes vidéos qui résument parfaitement chaque dossier particulier.

Quand bien même, la vérité n’arrivera jamais sur un plateau, il sera nécessaire d’avoir un certain investissement intellectuel et en temps pour vous forger votre propre opinion.

Le scientifique sera toujours perdant dans une conversation de comptoir (comme chez Hanouna).
Il suffit de quelques secondes pour affirmer une connerie, une énorme contrevérité.
En revanche, il faut des minutes, des heures ou des jours pour démontrer qu’elle en est une.
C’est là la différence entre l’affirmation et la démonstration.

Raisons pour lesquelles les « journalistes » font mouche à la télé.
Ils ne font qu’affirmer sans jamais démontrer.
Et lorsqu’ils « vérifient » l’information, ils ne font que reprendre les affirmations d’un tiers, toujours sans la moindre démonstration.

Point de non-retour

Que vous soyez un apprenti complotiste ou 4e dan, il y aura systématiquement un avant et un après.
Il est impossible de retourner dans l’innocence dans laquelle vous baigniez depuis votre enfance.
La pilule rouge est définitive et il faut être en capacité d’en assumer les conséquences.

Raison pour laquelle de nombreuses personnes qui pressentent l’arnaque freinent des 4 pieds pour rester dans l’illusion.

Violence de la pilule rouge

Elle sera d’autant plus violente que vous aurez des années d’aveuglement ou de naïveté.

Je m’adresse ici aux résistants de la première heure (nommés complotistes).
Placez-vous dans l’esprit de celui ou celle qui a cru que ce virus était une peste noire, que les confinements ou le masque sauvent des vies, qu’il n’existe aucun traitement et que le « vaccin » expérimental sauve des vies.
Essayez de vivre la violence de la révélation.

Quid des aveuglés ou de moi-même sont dans la meilleure situation ?

Vous qui me lisez et qui avez avalé cette pilule êtes bien conscients de la facture à payer lorsque l’on s’éloigne de plus en plus de la Matrice.

  • Une désillusion.
  • Une perte de confiance dans l’espèce humaine constituée principalement de spectateurs hypnotisés et d’une poignée de monstres (dont certains vouent un culte à Satan).
  • Une angoisse du lendemain avec l’attente d’un messie (ou pas) qui ne viendra peut-être jamais.
  • Une innocence perdue.
  • Une perte de repères. « Mais qu’est-ce qui est vrai dans ce qui m’a été transmis ? »
  • Des interrogations perpétuelles qui ne doivent pas tourner à la paranoïa.
  • Le risque de ne plus croire en rien.
  • Etc.

Bien entendu, si mon répertoire téléphonique s’est vidé de personnes que je pensais être des amis (que je retrouverai peut-être un jour, qui sait), cette dictature au grand jour m’a apporté la chance de découvrir des amis sincères avec qui nous partageons tellement.

Sans la dictature mondiale il est peu probable que j’aurais eu la chance de les rencontrer.
Mais ici encore à quel prix ?
Vais-je aller jusqu’à dire « merci Macron » ?

Nous sommes vraiment dans le film Matrix avec d’un coté le monde qui nous est raconté tous les jours dans les médias et de l’autre des complots (dont certains peuvent faire sourire) et des horreurs qui semblaient relever uniquement de fictions hollywoodiennes.

Ici encore je comprends celles et ceux qui veulent pouvoir échapper à la vérité et qui sont contraints de minimiser jours après jours l’horreur de la réalité.

Coupable ou victime ?

Une question inévitable se présentera pour l’amateur de pilule rouge :

« Comment ai-je pu être assez aveugle pour gober ce flot de mensonges (il ne s’agit pas de dissimulations mais de mensonges) médiatiques ou étatiques ? »

Qu’allez-vous dire au père ou à la mère qui a fait pression sur son enfant pour qu’il s’injecte une substance expérimentale pour « retrouver la vie d’avant » ?

Ce n’est pas faute d’avoir essayé de les alerter, mais ils ont préféré écouter les médias mainstream plutôt que nos « délires complotistes ».

Nous avions pourtant tout annoncé depuis le début.

Lorsque la vérité commencera à être publique, aussi bien les coupables que les victimes chercheront à se dédouaner.
Le « on ne savait pas » sera une porte de sortie classique.
Si vous reprenez mes textes vous verrez que c’est une contre vérité, le « on ne savait pas » est une distorsion de la réalité pour échapper à sa propre responsabilité ou culpabilité.

Devons-nous écrire sur la notice des lave-linges ou des micro-ondes « ne pas y mettre de chats » ?

Pourtant il n’est pas possible de mettre sur un même plan de culpabilité la victime d’une escroquerie ou d’un viol avec la culpabilité de l’escroc ou du violeur.
Il existe un gouffre entre ces « culpabilités ».

Toutes celles et ceux qui ont cru ou croient encore tous ces mensonges en payent le prix et parfois un prix exorbitant.

Que dire de ceux qui se sont fait injecter uniquement pour continuer à faire du sport et qui se battent aujourd’hui contre des effets secondaires qu’ils garderont peut-être à vie ?
Et je ne parle pas de ceux qui ne sont plus là pour en parler et qui méritent à minima une justice posthume.

Il n’en demeure pas moins vrai que plus les mois défilent et plus la responsabilité de celles et ceux qui refusent toujours d’ouvrir les yeux ira grandissante.

Il existe un moment où le semblant confort de la matrice sera balayé par la réalité.
Réalité à ce jour inconnue du grand public mais qui pour autant commence à se faire entendre dans des médias mainstream étrangers et même à la commission européenne.

Pour résumer :

Nous avons pu voir que le choix de prendre la pilule rouge n’avait rien d’anodin mais surtout, comme pour un vaccin, le retour en arrière n’est pas possible.

Mais avons-nous le choix ?

Pouvons-nous faire autrement pour nous sauver ou sauver nos enfants ?

Il est impossible d’influer sur sa vie si la base est fantasmagorique.
Le seul et unique moyen d’agir est de combattre la réalité quand bien même elle est horrible.
La pilule rouge devient de fait indispensable si l’on ne veut pas être une marionnette, un jouet et un esclave dans les mains des puissances occultes de ce monde.

Merci.

Alain Tortosa
15/09/2022
https://7milliards.fr/tortosa20220915-je-ne-veux-pas-savoir.pdf





La Fondation Rockefeller investit des millions dans le projet Mercury afin de soumettre les peuples à la vaccination

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Un groupe de milliardaires « philanthropes » américains consacrent des millions de dollars à la recherche en psychologie comportementale pour inciter à se faire vacciner contre le covid-19. Il s’agit d’une énorme opération de communication appelée Projet Mercury. Son slogan est « Ensemble, nous pouvons construire un environnement d’information plus sain ».


Certains mauvais esprits ont décrit ce projet comme de la propagande, du nudging (une méthode d’influence discrète), de la publicité. Il faut dire que Mercure est le dieu romain du commerce et des voleurs. L’objectif du projet Mercury est que chacun ait l’illusion de vouloir librement se faire vacciner, alors que ce sont des procédés marketing qui l’ont convaincu. Notons que le jeu de mots « con vaincu » indique une sacrée défaite de la pensée. L’intérêt du projet Mercury serait, lors de la prochaine pandémie programmée, d’éviter des méthodes musclées (confinement, pass sanitaire), jugées incompatibles avec la paix sociale.

La Fondation Rockefeller — du nom du philanthrope bien connu — a financé le projet Mercury à hauteur de 7,2 millions de dollars en novembre 2021. La National Science Foundation (une agence « indépendante » du gouvernement américain) a apporté 20 millions de dollars supplémentaires. Les autres partenaires sont le Conseil de recherche en sciences sociales (SSRC), la Fondation Robert Wood Johnson, Craig Newmark Philanthropies et la Fondation Alfred P. Sloan. La Fondation Rockefeller est partenaire, membre du conseil d’administration et donateur de GAVI, aux côtés du WEF, de la Fondation Bill & Melinda Gates et de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, qui a accueilli l’événement 201 (simulation de la propagation d’un coronavirus juste avant la véritable pandémie de covid-19).

Convaincre la clientèle de la prochaine pandémie

Les fonds soutiendront des universitaires américains. Selon Décoder l’éco, les pauvres seraient les premiers à se méfier des vaccins, donc les premiers à convaincre (voir à 22’53 de cette vidéo). La plupart des chercheurs sont donc dans des pays au faible niveau de vie : en Afrique du Sud, Bolivie, Brésil, Côte-d’Ivoire, Ghana, Haïti, Inde, Kenya, Malawi, Mexique, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Sierra Leone, Tanzanie et Zimbabwe. On suppose que, grâce à la Fondation Rockefeller, ces chercheurs auront accès à de meilleurs revenus que leurs compatriotes. Les recherches, sur trois ans, ont pour objectif d’adapter les récits sur les bienfaits de la vaccination covid aux différents milieux ethniques et politiques pour les convaincre de se faire vacciner.

De surcroît, convaincre les pays pauvres d’accepter les vaccins dont les pays développés ne veulent pas pourrait éviter le dépassement des dates de péremption. En France, McKinsey a oublié ce malencontreux problème de date de péremption. Mérite-t-il le milliard versé par les Français ? Conséquence de cette imprévoyance : Covax (Bill Gates) a distribué au Nigeria 2,6 millions de doses d’AstraZeneca, dont 500 000 venant de France avec une durée de vie de cinq à sept semaines. Plus d’un million de doses polluantes ont dû être enfouies dans la décharge de Gosa, près d’Abuja, capitale du Nigeria.

La manipulation des masses par les cabinets-conseils en France

Les ministères ont entièrement délégué les appels d’offres à l’Union des Groupements d’Achats Publics. Le 13 août 2022, un accord a été signé avec divers cabinets-conseils pour 375 millions d’euros sur 4 ans. Ce sont les cabinets-conseils qui, depuis 1990, ont trouvé la meilleure politique de santé pour la France : réduire le nombre de lits d’hôpitaux. Pourquoi ne pas continuer ? Certes, mais à condition d’employer leurs techniques de manipulation, afin de convaincre que réduire le nombre de lits est la solution aux problèmes créés par ces irresponsables qui tombent malades. À ce sujet, voir et revoir l’inoubliable déclaration de Jean Castex.

B. A.-BA de manipulation des masses

Chomsky nous explique les bases de la manipulation de masse. Nul doute que McKinsey et sa marionnette présidentielle s’en sont inspirés.

1. La stratégie de la distraction. Détourner l’attention du vrai problème. Le dernier exemple de détournement de la pensée, nous le devons à Emmanuel Macron. Il a trouvé la solution au manque de lits : une grande consultation sur l’euthanasie, et tellement moins coûteuse que des soins palliatifs qui encombrent les lits d’hôpitaux.
2. Créer des problèmes puis offrir une solution. François Braun, ministre de la Santé, a avoué devant le Sénat que la variole du singe est une arme chimique (le bon terme serait plutôt « biologique ») et que son vaccin est secret défense ! De là à penser que le coronavirus serait d’une origine similaire, il a fallu un prix Nobel pour oser évoquer cette hypothèse. Les médias, bien plus compétents que lui, l’ont d’ailleurs traité de complotiste, de savant fou controversé, etc.
3. Faire accepter l’inacceptable progressivement. Emmanuel Macron le 27 décembre 2020 : « Je l’ai dit, je le répète : le vaccin ne sera pas obligatoire. Ayons confiance en nos chercheurs et médecins. Nous sommes le pays des Lumières et de Pasteur, la raison et la science doivent nous guider. » Après ces belles paroles, le 18 août 2021, la vaccination est devenue obligatoire pour les soignants.
4. La stratégie du différé. Pour faire accepter une décision impopulaire, la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans l’avenir. Macron annonce « la fin de l’abondance », « des évidences » et « de l’insouciance ». De la même façon que les vaccins étaient présentés comme « sûrs et efficaces », la prochaine politique de restrictions et d’inflation est justifiée ainsi : « Il faut d’abord raisonner en se demandant si c’est efficace et utile ».
5. S’adresser au public comme à des enfants en bas âge. (Regarder les médias pour les exemples.)
6. Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion. (Regarder les médias pour les exemples.)
7. Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise. (Regarder les médias pour les exemples.)
8. Encourager le public à se complaire dans la médiocrité. Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte… (Hanouna sur TPMP, McFly et Carlito à l’Élysée, etc.).
9. Remplacer la révolte par la culpabilité. Voir l’intervention de Sarah Saldmann à propos des Français en arrêt de maladie (c’est quoi ces feignasses ?)
10. Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes. Là on touche à l’arrogance de classe. On est loin du proverbe paysan, Nul ne me connaît mieux que moi-même, mais en pleine théorie marketing. Voir là.

Sur la théorie de la manipulation, les amateurs de BD peuvent se plonger dans Manipulator, par Makyo, éditions les arènes BD.

Le but de la manipulation de masse est : comment mieux entourlouper. Rendre les foules plus libres et plus heureuses sans arnaque (métaverse, illusions) n’a donné lieu à aucune théorie. Un projet de ce genre ne semble pas intéresser les fondations philanthropiques. À contempler leurs merveilleux sites et leurs équipes souriantes, on se demande pourquoi, avec tant de moyens, de bienveillance et d’intelligence déployés, le monde n’est pas devenu meilleur.

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Les injections sont-elles sûres et efficaces ?

[Source : Décoder l’éco ou @decoderleco]

[Vidéos réalisées avec Kairos]

Aucune hécatombe Covid-19 nulle part en Europe, ni en 2020, ni en 2021



Absence de saturation hospitalière par la Covid-19



Absence d’un « déferlement » de malades par rapport aux épisodes « grippaux », mais épidémie de tests



Le moteur même de la fraude : l’utilisation de codes spécifiques par les hôpitaux de façon à produire les « bonnes » statistiques



Le socle de l’idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination



Tour des causes de décès depuis le début de la crise sanitaire

À l’aide des rapports du Sénat, de Santé Publique France, de l’ATIH et des statistiques de décès de l’INSEE pour découvrir le lien entre les mesures et les hausses de mortalité.



Analyse des injections pour voir ce qu’il se cache derrière le mot « efficace »



Analyse des injections pour voir ce qu’il se cache derrière le mot « sûr »



[Voir aussi :
dossier Vaccins et virus]




L’arme du climat, une guerre invisible

[Source : Citizen Light]

Luc, pilote d’hélicoptère, enquête depuis 20 ans sur ces traînées qui quadrillent le ciel et en changent la couleur.

[Voir aussi :
La maîtrise de la météo – une guerre secrète
Chemtrails (documentaire)
Documentaires pour les jours de pluie sur la géo-ingénierie et les chemtrails
Documentaire sur les chemtrails
Chemtrails : une collection de photos probantes ?
Géoingénierie : Un expert révèle que les Chemtrails sont bien réels
Est-ce qu’on joue à rendre la météo folle ?]




Les cadres de la Silicon Valley mettent leurs enfants dans cette école déconnectée

[Source : LLP]

Tous les professionnels du secteur le savent, il n’y a absolument plus aucun doute autour de la dangerosité des écrans lors de l’apprentissage scolaire ! C’est d’une grande stupidité, on le sait depuis maintenant des années, des milliers d’études ont été réalisées, Monsieur Michel Desmurget l’a très bien expliqué dans son excellent livre « TV Lobotomie ».

Nous apprenons aujourd’hui dans cette courte chronique sur BFM que les hauts cadres de la Silicon Valley qui sont en train de digitaliser la planète en poussant à consommer toujours plus d’écrans, envoient leurs enfants dans une école totalement déconnectée, car ils connaissent parfaitement le danger des pixels virtuels (d’autant que l’année scolaire doit coûter très très cher).

[NDLR : sans compter les effets nocifs des champs électriques et des ondes Wi-Fi, Bluetooth, 4G, 5G… qui accompagnent l’usage de tels matériels électroniques.
Voir le dossier 5G et ondes pulsées.]

Il n’y a rien de mieux pour un enfant que le monde réel, un stylo/crayon/feutre et une feuille, un morceau de craie et sa brosse, d’entendre les bruits de tous ses outils, sentir leurs odeurs, le cerveau humain d’un enfant ne peut fonctionner correctement qu’avec ces millions de stimuli quotidiens. Croire que l’on va avoir des enfants plus intelligents, car ils manipulent aisément une tablette et d’une terrible naïveté, d’une impardonnable stupidité.




France — L’appel à l’aide d’un éleveur au bord du gouffre

[Source : Ligne Droite]

Stéphane Cortial et Chantal Maurin, éleveurs de poules, dénoncent l’excès du principe de précaution dans l’élevage qui ont abouti à l’abattage de 6 000 poules pour rien. Ils sont accompagnés de Eddie Puyjalon, ancien conseiller régional, président du Mouvement pour la Ruralité.




Non vaccinée, la chanteuse Zaz contrainte d’annuler sa tournée au Canada

[Source : Nexus]

Dans un message publié sur sa page Facebook, le 9 septembre 2022, la chanteuse Zaz annonce à ses fans canadiens devoir annuler sa tournée Organique Tour en raison des restrictions sanitaires toujours en vigueur dans ce pays.

Après trois ans d’absence, Zaz a opéré son grand retour en 2021 avec un cinquième album. Mais ayant fait le choix de ne pas se faire vacciner contre la Covid-19, Zaz ne pourra assurer sa tournée au Canada.

◆ Trois ans d’absence

Dépassée par sa notoriété, Zaz a expliqué, en février 2022, sur Europe 1 le besoin qu’elle a eu de faire une pause :

« J’avais une saturation de Zaz, je voulais même qu’elle meure et je voulais changer de nom […] j’ai mangé ce que j’avais à manger, c’était incroyable de vivre tout ça, sauf que je ne me suis jamais arrêtée. Si je le faisais, c’était un mois, mais en un mois tu n’as pas le temps de digérer. »

Cette pause lui a permis de préparer son nouvel album Isa, et de repartir sur les routes avec son Organique Tour. Mais elle a été contrainte d’annuler certaines dates.

◆ Les restrictions Covid continuent

Alors qu’elle devait notamment se produire au Théâtre du Palais municipal, à La Baie, puis deux fois à Québec, en septembre, la chanteuse a annoncé avec tristesse devoir annuler ces dates. « Mes cher(e)s cousines et cousins québécois(es), je vous annonce avec une grande tristesse que je ne pourrai malheureusement pas venir honorer mes concerts prévus en septembre en raison des mesures sanitaires toujours en application au Canada », a-t-elle écrit sur Facebook, vendredi 9 septembre.

◆ Pas de vaccination par respect pour elle-même

Toujours sur sa page Facebook, l’interprète de Je veux a expliqué ne pas vouloir se faire vacciner par conviction :

« Je suis quelqu’un d’intègre, je ne peux pas être qui je suis et chanter ce que je chante si je fais l’inverse de ce que mon corps, mon cœur et mon âme ressentent. J’ai fait le choix de ne pas me faire vacciner. » Et d’ajouter : « Je ne peux pas dire oui quand je ressens non. Ce serait bafouer ce que je suis, ne pas me respecter… Je respecte le choix de chacun et j’ai aussi mon libre arbitre à ce sujet. J’en décevrais peut-être certains mais je sais que beaucoup me comprendront. »

Image principale par Radio Canada




De jeunes adultes meurent en nombre record et ce n’est pas du Covid

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Rapeepat Pornsipak/Shutterstock]

PAR JENNIFER MARGULIS ET JOE WANG

Le Dr John Campbell, professeur en soins infirmiers, lance l’alerte suite à une vague de décès inexpliqués. Selon les chiffres officiels examinés par lui, le nombre de décès est beaucoup plus important que ce qu’on admet communément. Il a examiné les moyennes des cinq à sept dernières années, ainsi que d’autres bien antérieures au Covid. Un grand nombre de ces décès en surplus surviennent parmi les jeunes adultes, dont certains sont initialement en parfaite santé.

Sur sa chaîne YouTube comptant 2,44 millions d’abonnés, le Dr Campbell a récemment partagé certaines statistiques officielles. Ces chiffres montrent que de jeunes personnes en bonne santé continuent à mourir dans des proportions insolites. Elles ne meurent pas du Covid.

Une semaine après avoir été publiée le 28 août, sa vidéo intitulée « Excess deaths, the data » [Surplus de la mortalité : les chiffres, ndt.], a été visionnée plus de 916.000 fois et a suscité plus de 20.000 commentaires.

Généralement, les articles de presse sur la mort d’athlètes, d’acteurs et de célébrités de renom ne rapportent qu’une facette de l’histoire.

Un champion de VTT en parfaite santé meurt à 37 ans

Durant son émission, le Dr Campbell a évoqué un de ces cas : le champion de VTT Rab Wardell. Le 21 août, Wardell a remporté le championnat d’Écosse de VTT, à Dumfries et Galloway, dans les Hautes Terres du Sud. Deux jours plus tard, l’homme de 37 ans est officiellement « mort dans son sommeil », victime d’une crise cardiaque. Sa fiancée s’est exprimée le lendemain de sa mort sur les médias sociaux. Elle a essayé de le maintenir en vie en pratiquant un massage cardiaque jusqu’à l’arrivée des ambulanciers :

« Je ne comprends toujours pas ce qui s’est passé. Si c’est réel, pourquoi est‑il parti maintenant – si sain et heureux ? », a tweeté Katie Archibald le 24 août.

« Il a fait un arrêt cardiaque alors que nous étions allongés dans le lit. J’essayais et essayais [de le maintenir en vie], et les ambulanciers sont arrivés au bout de quelques minutes, mais son cœur s’est arrêté et ils n’ont pas pu le ranimer », a‑t‑elle poursuivi.

« Le mien s’est arrêté avec lui. Je l’aime tellement et j’ai besoin de lui ici avec moi. J’ai tellement besoin de lui ici, mais il est parti. Je ne peux pas décrire cette douleur. »

Une tendance inquiétante

En analysant les données, le Dr Campbell montre que ces témoignages dans les médias font partie d’une tendance extrêmement inquiétante de surmortalité.

Les statistiques confirment un nombre de décès bien plus élevé qu’à l’habitude – au moins 1000 par semaine rien qu’au Royaume‑Uni. Ces décès en surplus ne sont pas dus au Covid‑19.

Selon le Parlement écossais, la surmortalité a augmenté de 11% au cours du dernier semestre. On s’attendait à un pic de mortalité hivernale dû au Covid. Mais au cours des six derniers mois, une fois le pic hivernal passé, la surmortalité est restée considérable.

Cette surmortalité apparaît dans tous les groupes d’âge, y compris chez les jeunes adultes en bonne santé.

Décès soudains chez les athlètes

Le Dr Campbell cite une étude publiée en juin 2022 dans The European Journal of Preventive Cardiology, selon laquelle 80% des morts subites chez les jeunes athlètes surviennent chez des personnes qui n’ont pas de symptômes préalables ou d’antécédents familiaux de maladie cardiaque.

Sans aucun symptôme initial, il n’est pas possible de dépister les personnes vulnérables.

Les décès excédentaires inattendus pourraient dépasser les décès dus au Covid

Selon le professeur Carl Heneghan, directeur du Center for Evidence Based Medicine de l’université d’Oxford, au Royaume‑Uni, la surmortalité a sensiblement commencé à suivre une tendance à la hausse vers la fin du mois d’avril 2022.

Ces décès excédentaires sont associés à des problèmes de circulation sanguine, au diabète ou au cancer selon le gouvernement britannique. Mais, comme le Dr Campbell s’empresse de le souligner, cela n’explique pas le facteur précipitant.

« Le schéma est similaire dans de nombreux autres pays. »

Si cette tendance se poursuit, ces décès excédentaires dépasseront ceux du Covid‑19 d’ici la fin de l’année.

Le Dr Campbell et de nombreuses autres personnes, dont Carl Heneghan, appellent désormais à une enquête nationale et internationale sur cette surmortalité, en utilisant les données des certificats de décès et les diagnostiques médicaux, ainsi que les examens post‑mortem effectués par des pathologistes spécialisés dans la découverte des causes sous‑jacentes des décès inattendus.

« Nous devons savoir pourquoi il en est ainsi. Cela devrait vraiment être fait de toute urgence. »

Comme il l’a mentionné dans des vidéos antérieures, en tant que professeur en soin infirmier, le Dr Campbell a préconisé des protocoles d’hygiène plus sensés face au Covid. À l’origine, il recommandait les vaccins.

Dans ses vidéos, le Dr Campbell n’annonce pas avec une certitude absolue le facteur de la surmortalité : il se contente de partager les chiffres. Il encourage les spectateurs à examiner les statistiques médicales par eux‑mêmes, à rester informer de l’évolution scientifique et à garder un œil critique.

20.000 commentaires associent les complications et les décès aux vaccins

Entretemps, les commentaires sous ses vidéos montre qu’on soupçonne la campagne mondiale de vaccination Covid d’être à l’origine de toutes ses morts excédentaires.

Un internaute, Marko Hart, écrit :

« Un très bon ami à moi est mort deux jours après son 40e anniversaire, cinq jours après sa deuxième injection. Un type en très bonne santé avec plusieurs marathons. Il est mort d’une crise cardiaque chez lui après avoir être sorti de la salle de sport une demi‑heure plus tôt. Aucune autopsie n’a été pratiquée même si sa femme en a fait la demande. C’est arrivé il y a sept mois ici, en Suède. Tu nous manques Michael. »

Un autre, sous le nom de « DonTheFurious », décrit une randonnée extrêmement difficile après avoir reçu son premier vaccin. Il connaissait bien le parcours pourtant et l’avait déjà fait trois fois par le passé. Cette fois‑ci, sa poitrine était lourde et il pouvait sentir un goût acide sous sa langue. Arrivé à l’étape finale, il s’est évanoui, a fait une chute de 30 mètres et a été découvert inconscient par le chien d’un randonneur. Il a dû être transporté par avion à l’hôpital.

« Lorsque j’ai expliqué aux médecins que je soupçonnais le vaccin d’être à l’origine de ce malaise, ils ont refusé d’envisager cette possibilité », écrit‑il. « Leur raisonnement est que je me suis évanoui à cause d’un coup de chaleur/déshydratation ».

L’homme est âgé de 38 ans sans antécédents de problèmes cardiaques.

Un troisième, Joe Macdonald, écrit : 

« Une de mes amies est décédée l’année dernière d’une insuffisance cardiaque après avoir reçu sa deuxième injection de vaccin Covid‑19, elle était en bonne santé, âgée d’une trentaine d’années, et n’avait aucun problème de santé sous‑jacent… Les médecins n’ont pas pu trouver la raison de sa soudaine insuffisance cardiaque et lorsque nous leur avons demandé si l’injection de Covid‑19 était la raison de sa mort, ils n’ont pas voulu faire de commentaire et ont refusé de discuter davantage sur le fait que les vaccins Covid‑19 pouvaient être une cause sous‑jacente possible. »

Toutes les histoires de ces internautes restent anecdotiques, ces récits de complications après la vaccination, ou ceux de décès soudains survenus de manière inexpliquée parmi leurs amis ou proches pourtant en parfaite santé – toujours est‑il que sous une vidéo, on en décompte des milliers.

[Voir aussi :
Surmortalité post boosters — pourquoi ce silence médiatique ? STOPPONS L’INJECTION EXPÉRIMENTALE !
Surmortalité en Europe chez les jeunes depuis cet été : pourquoi le Sénat refuse-t-il de publier les données de mortalité post-vaccinale ?
Des médecins allemands confirment à nouveau la corrélation entre vaccin et surmortalité
Surmortalité hors Covid-19 en Europe]

Matières étrangères dans le sang

Des travaux scientifiques récemment publiés pourraient contribuer à expliquer l’augmentation du nombre de décès excessif. Comme le décrit une étude de 60 pages publiée en août dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, une équipe de médecins italiens a étudié le sang de 1006 patients auxquels on a injecté des vaccins à ARNm COVID‑19 et qui ont ensuite consulté un médecin pour différents symptômes. Des corps étrangers ont été trouvés dans 94% de leur sang. Bien d’autres études rejoignent leurs conclusions.

[Voir aussi :
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays]

Ces résultats concordent avec l’expérience de nombreux professionnels chargés de préparer les corps pour les rites funéraires. Plusieurs embaumeurs de par le monde ont observé de nombreux « caillots fibreux et caoutchouteux de grande taille », assez longs, à l’intérieur des cadavres qu’ils préparaient pour l’enterrement. On ne sait pas encore si la cause de ce qui semble être un nouveau trouble de la coagulation est l’infection au Covid‑19, les vaccins contre le Covid‑19, les deux, voire autre chose.

Plus terrible qu’il n’y paraît ?

Le Dr Campbell a également souligné qu’au cours des deux dernières années, un grand nombre de personnes officiellement mortes de vieillesse naturellement et d’autres causes naturelles sont mortes du Covid. Le Covid a touché de manière disproportionnée les adultes plus âgés et ceux ayant des problèmes de santé sous‑jacents. Comme ces personnes sont déjà décédées, les taux de surmortalité devraient logiquement être devenu plus bas que ceux des années antérieures au Covid.

C’est pourtant l’inverse, au lieu d’observer une baisse des décès non liés au Covid, ces décès sont en hausse.

Par conséquent, l’augmentation de la surmortalité est d’autant plus terrible. Selon le Dr Campbell, les États‑Unis ont plus souffert, cumulativement, de la surmortalité que tout autre pays. Toute mort inutile est tragique. Mais une surmortalité de cette ampleur, en particulier chez les jeunes, est un sujet de préoccupation nationale et internationale.




Coronavirus — La stratégie utilisée : celle du cheval de Troie

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

C’est un cheval de Troie qui trompe nos esprits et nos corps, dans le but de rendre possible la réalisation de l’agenda mondialiste sur la mutation du Génome humain dont la finalité est celle d’un contrôle radical de toutes les populations du Globe !

Le fameux virus n’a jamais été isolé dans une partie quelconque du corps humain : celui qui prétend le contraire serait bien incapable d’apporter les preuves scientifiques d’une telle affirmation qui serait tout à fait mensongère !

L’absence physique comme l’isolement du virus ou le séquençage de ce théorique SARS-CoV-2 est une fraude spectaculaire à toute épreuve, car elle est de plus cautionnée par des virologues qui, bien entendu, ont été grassement financés par le complexe médico-pharmaceutique…

On doit également signaler plus de deux siècles d’impostures : un historien comme Marc Menant, a édité chez Plon en 2022 une étude approfondie sur « L’inquiétante histoire des vaccins ». La critique historique permet aujourd’hui de connaître dans le détail l’imposture de Pasteur avec laquelle commençait ce comportement sectaire de la médecine allopathique… Je recommande vivement la lecture de ce livre de Marc Menant qui remet les pendules à l’heure sur la vérité scientifique et historique concernant les vaccins.

Les virus pathogènes n’ont jamais été clairement identifiés : lorsqu’on nous bombarde les modèles graphiques du « coronavirus », les gens ne se rendent pas compte que cette représentation imagée du virus est née d’une image générée par un ordinateur. Les médias du monde entier ont ensuite divulgué cette représentation qui passe pour la visibilité du virus invisible afin d’alimenter le délire hystérique et la peur pathologique…

Les populations ont réellement été prises en otages, car les virologues n’isolent pas le virus en ajoutant « qu’ils le font » et ne sont pas troublés par le fait que la « guerre » actuelle contre l’humanité repose entièrement sur cette fraude scientifique flagrante !

Lorsque les autorités imposent « l’isolement », cet isolement repose intégralement sur la violation et la volonté délibérée de tromper les personnes ainsi maltraitées !

La prémisse de l’existence du virus est établie sur un mensonge et son affirmation continue confirme l’existence d’un virus inexistant…

La virologie prospère sur cette affirmation, car sans elle il n’y aurait pas de virus, pas de virologie pas de tests PCR positifs non plus et donc pas de Jackpot pour Big Pharma…

Il est clair que tout ce qui va à l’encontre du récit « officiel » de l’État mafieux se voit censuré impitoyablement par les commis du système, ainsi que par les médias inféodés. Les agences de sécurité terrorisent toutes les personnes qu’elles prétendent protéger !

Tout l’appareil d’État est dédié actuellement au service de cette fraude virologique.

Il est possible de trouver l’explication de la fraude scientifique sur le site NIH.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/#affiliation-1

Il n’existe pas de consensus sur la meilleure façon d’effectuer et d’interpréter les expériences quantitatives de PCR en temps réel (qPCR).

Les chercheurs qui ont prétendu avoir « isolé » le virus ont fait une déclaration mensongère, car aucun d’entre eux n’a été capable d’en apporter la preuve. Fan Wu a choisi un coronavirus de chauve-souris « in silico », comme le modèle qui permettrait de créer le WH-Human 1 ou SARS-CoV-2. « In silico » signifie une méthode d’étude réalisée par ordinateur qui analyse des données et axiomatise des phénomènes biologiques générés par la bio-informatique.

Des fragments d’ADN permettent de reconstruire peu à peu un contig. Un contig est une séquence génomique continue et ordonnée générée par l’assemblage des clones d’une bibliothèque génomique. Puis, l’assemblage des contigs entre eux permet d’obtenir un « scaffold » ou une sorte d’échafaudage de virus. Lorsque des millions de fragments uniques ont été trouvés, des programmes informatiques prennent le relais pour reconstituer le génome basé sur des paramètres définis par le programme utilisé… Les virologues ne travaillent pas avec un génome complet puisqu’ils ne travaillent pas avec un virus complet, c’est là qu’est essentiellement la tromperie… Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et disent ensuite que cela constitue la preuve de l’existence d’un virus donné ! La seule chose qui existe, c’est le séquençage d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance « inconnue » ! Il n’y a aucune preuve que le « génome » in silico qui en résulte existe réellement dans la nature ou même qu’il ait quoi que ce soit à voir avec un virus ! Cette falsification opérée par une fausse science a permis aux politiciens de se transformer en dictateurs et en tyrans, cette version généralisée de l’isolement du virus donnant l’occasion aux politiciens de violer nos libertés.

Le chercheur chinois Fan Wu s’est révélé être un imposteur tout comme cet autre chercheur Peng Zhou ! Fan Wu a été le premier inventeur du SARS-CoV-2 après avoir envoyé un échantillon extrait du liquide pulmonaire d’un patient, directement au séquençage sur deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques appelés « lit ».

Dans cet échantillon il y avait des millions de fragments génétiques du patient lui-même, d’innombrables microbes et pour finir l’air pollué que le patient avait respiré…

C’est à partir de cette « soupe » génétique à la chinoise qu’il a prétendu reconstituer 384 096 contigs sur Megahit et 1,32 million de contigs sur Trinity ! À partir de là Fan Wu a choisi la plus longue séquence, celle de 30 474 nucléotides qui correspondait à 89,1 % au génome in silico du coronavirus de la chauve-souris le SL-CoVZC45 inventé en 2018 !

Conclusion : un génome qui était aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssin est devenu le modèle utilisé pour la conception de l’amorce de la méthode RT-PCR pour détecter le CORONAVIRUS, dont l’existence n’a pas encore été démontrée !

Un autre médecin chinois, le Dr Zunyou rétablissait l’équilibre rompu par son collègue. Il démontrait durant toute l’année 2020 que personne n’avait jamais prouvé l’existence du SARS-CoV-2, qui n’avait encore jamais été isolé. De plus, dire que le SARS-CoV-2 avait croisé des espèces animales et humaines sur le marché de Wuhan était une affirmation pour le moins fantaisiste, cocasse ou délirante !

Le Dr Zunyou expliquait pourquoi les gens mourraient, pourquoi le test PCR était un non-sens, inutile, trompeur, abusif ; Il expliquait comment les chiffres des morts par « COVID-19 » étaient falsifiés et les raisons pour lesquelles ce mensonge était imposé à la population mondiale ! De nombreux scientifiques ont été largement payés pour affirmer qu’ils avaient isolé le SARS-CoV-2. Il fallait ajouter que ces scientifiques peu scrupuleux, avaient torturé, déformé, inversé le sens du verbe « isoler ». 

Ce sont ces gens qui ont fourni le modèle de verrouillage à l’Occident, où Bill Gates, le CDC (Centers for Disease Control and Prevention), et l’OMS ont fait l’éloge du Régime chinois et y ont adopté leur stratégie de confinement, étant certains que de cette manière ils détruiraient assurément les économies nationales et locales ainsi que des centaines de millions de vies !

Une opération « couverte » !

Toute cette histoire, qui serait la même pour tous, était basée sur la vente d’une affaire de virus ! La communication sur cette histoire unanime de virus non encore isolé, dont l’existence n’était toujours pas prouvée, a été orchestrée par Anser. C’est Anser qui a été l’entreprise majeure de la communication sur la campagne de peur autour de la COVID-19.

http://www.anser.org/about/

Comme vous le voyez, cette société de communication n’a pas son site Internet sécurisé : on pouvait s’attendre à un https://

Ainsi, ni la FDA (Food and Drug Administration), ni le CDC (centre américain pour le contrôle des maladies) n’ont la preuve que la COVID-19 existe et encore moins que le SARS-CoV-2 existe !

Cette fraude monumentale a été récompensée par la Fondation Bill & Melinda Gates, en 2020, par 900.000 dollars donnés aux deux institutions américaines. Or, 14 des 19 co-auteurs de cette fraude étaient affiliés à la Fondation Bill & Melinda Gates !

L’Université Fudan au titre de l’INV-006277, 2021 = 300.000 dollars

Le CDC chinois recevait au titre de l’INV-005832 = 600.000 dollars

Peng Zhou faisait partie de ceux qui disaient avoir « isolé le virus responsable de la COVID-19 », mais ce virus était resté entièrement théorique. Pourtant, la Fondation Bill & Melinda Gates n’hésitait pas à donner à l’Académie chinoise des sciences à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention pour les travaux sur la COVID-19, en 2020, et dans le cadre de l’INV-006377, de 359.820 dollars avec les conditions de la destination suivante : « soutenir le développement d’une plateforme de tests de dépistage, de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation des produits de lutte contre la pandémie de COVID-19. »

La liste des imposteurs s’est considérablement allongée, au fur et à mesure que les financements étaient gracieusement offerts à tous ceux qui défendaient le narratif mensonger de la propagande sur la « crise pandémique » et les « vaccins » !

Sous prétexte du devoir de protéger « les autres », de la « responsabilité » humaine et de la « conscience morale », comme des « obligations sanitaires », ce mensonge criminel allait pénétrer les consciences encore vulnérables, aidé par la peur, afin que beaucoup d’entre nous finissent par accepter de recevoir dans leur corps une substance dont la nature réelle était absolument inconnue ! Les Gouvernements, sachant parfaitement quel en était le but réel soigneusement caché aux peuples, n’avaient pas besoin de contrôler les laboratoires pharmaceutiques, comme Pfizer qui avait pourtant été condamné à des milliards de dollars d’amendes pour fraude marketing ! 

La « pandémie de la COVID-19 » a été la plus grande escroquerie de toute l’histoire sanitaire du monde. Le SARS-CoV-2 n’a toujours pas été isolé, ses petits frères les « Variants » n’existent que dans les ordinateurs, les banques de gènes, dans le Cloud et dans l’esprit abusé d’innocentes personnes qui se laissent volontiers tromper par leurs « élites » politiques…

L’histoire de la COVID-19 est une véritable guerre déclarée contre l’humanité et menée par Anser, Fors Marsh, Palantir, propageant cette escroquerie planétaire à travers Big Pharma avec ses bailleurs de fonds et ses facilitateurs comme le FEM, L’OMS, La Fondation Bill & Melinda Gates, les conglomérats technologiques, les médias inféodés au système, les Gouvernants complices, certaines Universités comme celle de Chapel Hill, EcoHealth Alliance ainsi que l’Imperial College London…

Le 11 mars 2020, l’OMS inventait une « pandémie » inexistante, sous l’influence du généreux donateur Bill Gates !

Le docteur Astrid Stuckelberger de la Faculté de Médecine de Genève, experte en santé publique à l’OMS, dévoilait sur L’Info en question #73, le 4 novembre 2021, que Bill Gates et ses associés étaient à l’origine de ce plan de « vaccination létale mondiale » et qu’ils savaient parfaitement ce qu’ils faisaient !

C’est pourquoi, les Instituts de pharmacovigilance de certains pays, avaient beau alerter les gouvernements du désastre qui se déroulait dans l’ombre, suite aux « vaccinations » anti-Covid-19, cela ne changeait absolument rien aux décisions prises, car le but était bien de détruire une bonne partie de l’humanité « inutile » et en surnombre, comme de pouvoir achever le plus tôt possible le programme élaboré par le Nouvel Ordre Mondial sur le Tout numérique (y compris la monnaie) et le passage au transhumanisme. 

Tout a commencé en 2011/2012, avec le plan d’Action Mondial pour les Vaccins (GVAP) du SAGE. 194 États membres de l’OMS ont approuvé ce plan. Il s’agissait de donner un accès plus équitable aux vaccins pour éviter des millions de décès avant 2020 !

Or, le GVAP est le résultat des travaux d’experts sur la vaccination : les dirigeants de la Fondation Bill & Melinda Gates, l’Alliance GAVI, l’UNICEF, l’OMS, Universités, fabricants, agences mondiales, société civile, médias et secteur privé…

Les signataires de ce plan Mondial de Vaccination sont : le Dr Seth Berkley responsable de GAVI, fonctionnant grâce au généreux donateur, la Fondation Bill & Melinda Gates, encore elle ! Le Dr Christophe Elias, Président de Global Development Program de la Fondation Bill & Melinda Gates, encore elle ! Le Dr Margaret Chan, Directeur Général de l’OMS dont le sponsor principal et majoritaire est la Fondation Bill & Melinda Gates, encore elle ! Le Dr Antony Fauci, directeur du NIAID américain.

Ces gens-là veulent absolument « vacciner » la totalité de la population mondiale, pour la contrôler (sauf eux-mêmes) ; Ils sont donc prêts à inventer tous les « faux variants » que vous voulez, du moment que cela permet d’entretenir la peur, le traumatisme du confinement et du masquage dans le but de jeter les braves gens sur les seringues des génocidaires…

L’escroquerie vaccinale est au cœur de ces crimes contre l’humanité. Sur le site de l’OMS, vous trouvez des « techniques de l’évaluation du virus » alors qu’il n’y a strictement rien sur son séquençage ! Faut-il encore en rajouter pour ouvrir les yeux des traumatisés de la propagande !?

L’hécatombe est énorme : les chiffres officiels ne recensent pas les effets collatéraux destructeurs comme les pertes d’emploi pour cause de non-vaccination, les nombreux suicides d’étudiants, des entrepreneurs, des soignants, des forces de l’ordre et des enfants…

Au 15 septembre 2021, le Yellow Card, Grande-Bretagne, signale 1.204.555 événements d’effets destructeurs sur les personnes « vaccinées », 1662 décès suite aux « vaccins » anti-covid.

Au 25 septembre 2021, l’AEM (Agence Européenne du Médicament) signalait 2.690.019 effets indésirables graves sur la santé de gens « vaccinés » et 26.061 décès, 30.402 handicaps irréversibles…

Au 1er octobre 2021, le VAERS (USA) totalisait 2.826.646 effets indésirables et 16.310 décès dus aux « vaccins ».

Les statistiques publiées en France démontrent que c’est une pathologie cardiaque associée aux symptômes grippaux qui entraîne 73% des décès.

https://fr.statista.com/statistiques/1183996/victimes-coronavirus-comorbidite-france/

Le 20 septembre 2021, à l’Institut de pathologie de Reutlingen en Allemagne, les professeurs Walter Lang et Burkhardt présentaient une enquête qu’ils avaient réalisée sur 10 décès de personnes ayant reçu le « vaccin » anti Covid-19, le Cominarty de Pfizer : les décès étaient liés aux « vaccins ». Les substances inoculées avaient provoqué des maladies auto-immunes rares pour trois d’entre eux.  L’une des maladies auto-immunes était si rare qu’il a fallu qu’ils regardent de près l’image numérisée : il s’agissait de la maladie auto-immune de Hashimoto. Puis, ils ont également trouvé une vascularité leuco clastique entraînant des saignements cutanés. Puis le syndrome de Sjögren qui est une inflammation de la salive et des glandes lacrymales… etc. Ils ont observé de même que les lymphocytes inondaient les cellules en les détruisant massivement. Ils ont observé des images qui montraient une accumulation de lymphocytes dans une grande variété de tissus (muscle cardiaque, foie, rein, rate et utérus) ; du coup ces tissus étaient massivement attaqués par les lymphocytes donnant à voir une série de follicules lymphocytaires dans des endroits inappropriés comme le tissu pulmonaire… Ils ont également remarqué des détachements de cellules endothéliales, des amas de globules rouges provoquant des thromboses, ainsi que des cellules géantes qui s’étaient formées autour de corps étrangers piégés. Une véritable tempête lymphocytaire avait annihilé la fonction immunitaire externe combinée à une inflammation et à une destruction des tissus par les lymphocytes et la réaction auto-immune prolongée… ! Ces injections à ARNm sont une bombe immunologique à retardement, concluait le Professeur Arne Burkhardt, pathologiste.

De plus, des images d’objets non biologiques étaient trouvées dans le liquide vaccinal injecté. C’est l’appareil immunitaire des personnes « vaccinées » qui s’attaque aux tissus de ces personnes ! Ces « vaccins » déclenchent donc des maladies auto-immunes qui peuvent très bien ne pas se manifester avant des années. Les professeurs allemands concluaient en disant qu’il fallait s’attendre à une explosion des cancers dans les années à venir.

Jean-Yves Jézéquel

À suivre

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




La poliomyélite n’a pas été éradiquée par la vaccination, mais par le traitement des eaux !

Une propagande marchande intense prétend en permanence que la vaccination permet d’éradiquer toutes les maladies infectieuses et cite en exemple la poliomyélite1. Les médias instrumentalisent même un cas récent de poliomyélite survenu à New York pour appeler à la re vaccination et justifier l’état d’urgence décrété par le maire de New York.

Pourtant ce cas de poliomyélite est dû à la vaccination orale par un virus vivant qui a retrouvé sa virulence ! La méconnaissance des mécanismes de la propagation de la maladie par les médias s’affiche sans fard lorsqu’ils prétendent : « la vaccination est le seul moyen d’éradiquer cette maladie ».

Ce rappel de l’état de la science sur la transmission du virus et les limites de la vaccination anti-poliomyélite s’impose donc, particulièrement en cette période où l’éducation nationale prétendrait instruire les enfants sur « les vaccins ».

Mode de propagation de la poliomyélite

La poliomyélite est due à un entérovirus qui se multiplie dans les intestins des personnes infectées qui l’excrètent ensuite. La contamination des personnes saines se fait par voie féco orale : par la bouche en ingérant de l’eau ou des aliments contaminés par les selles d’un porteur du virus. Il n’y a pas de réservoir animal connu de ce virus.

Pour empêcher toute diffusion de la maladie, il suffit d’interrompre la chaîne de transmission. La protection individuelle consiste à ne boire que de l’eau potable. La protection d’une population repose sur la distribution généralisée d’eau potable et sur le traitement des eaux usées pour éliminer les virus avant de remettre l’eau en circulation. En cas d’impossibilité de recevoir de l’eau potable, il suffit de stériliser l’eau disponible en la faisant bouillir, comme l’énorme majorité des villages africains par exemple l’applique.

Prétendre que « la vaccination est le seul moyen d’éradiquer cette maladie » constitue donc une grossière contre-vérité témoignant d’une ignorance totale des données scientifiques ou du désir de tromper ses lecteurs pour faire vendre des vaccins (corruption marchande ?).

Les vaccins anti-poliomyélite et l’apparition de poliovirus circulants dérivés d’un vaccin

Dans les années 1950, la distribution d’eau potable n’était pas généralisée et la poliomyélite représentait une angoisse pour les familles. La mise sur le marché du vaccin poliomyélitique injectable (VPI) développé par Jonas Salk a été un soulagement général. Il est totalement sûr, mais son coût de production et la logistique associée à son utilisation en ont longtemps limité la diffusion à certains pays développés comme la France. Depuis que la qualité de l’eau de boisson est soigneusement contrôlée et l’assainissement des eaux usées assuré ce vaccin n’a plus aucune utilité pour les Français sauf pour ceux qui vont visiter les pays d’endémie, car même si un malade revient de ces pays il ne peut plus transmettre le virus.

Le vaccin poliomyélitique oral (VPO) a été développé par Albert Sabin, également dans les années 1950. Le VPO est d’un coût très abordable et facile à administrer, car il ne nécessite pas d’injection, il confère une bonne immunité générale et une immunité locale au niveau de l’intestin, réduisant par conséquent la transmission du poliovirus sauvage.

Mais comme il s’agit d’un virus vivant, il peut muter, induire la maladie chez certaines personnes vaccinées et établir des chaînes de transmission dans les pays où les conditions d’assainissement des eaux sont mauvaises. Ces variants baptisés « poliovirus circulants dérivés d’un vaccin » (PVDVc) ont été à l’origine d’épidémies de poliomyélite dans plusieurs pays tout particulièrement en Afrique où l’OMS venait à peine d’annoncer fièrement l’éradication de la poliomyélite qualifiant cet évènement d’« historique ».

Poliomyélite vaccinale

Selon des données de l’OMS, 1 271 cas de PVDVc ont été enregistrés dans le monde entre 2010 et 2015 avec une recrudescence actuelle : 96 cas de PVDVc en 2017, 104 en 2018 368 en 2019, 348 pour les 8 premiers mois de 2020.

Depuis 2018, il dépasse celui des poliovirus sauvages. La plupart des flambées de PVDVc ont été observées en Afrique, les autres se situant au Pakistan, aux Philippines, en Birmanie, en Ukraine, en Inde et au Laos. C’est pourquoi, en avril 2016, l’OMS2 a recommandé de remplacer le vaccin Sabin trivalent (types 1, 2 et 3) par le vaccin antipoliomyélitique oral à virus vivant atténué bivalent (types 1 et 3).

En Inde3, au moins 3 lots de vaccin oral contre la poliomyélite contenant 150 000 flacons ont été trouvés contaminés par le virus vaccinal polio de type 2.

Des pédiatres et statisticiens indiens ont mis en évidence une corrélation statistiquement très significative entre les campagnes de vaccination et la survenue de flambée de paralysie flasque non polio dans leur pays4 :

« Le programme d’éradication de la poliomyélite a réussi à réduire considérablement la propagation mondiale de cette maladie, ce qui a été réalisé grâce à l’utilisation de la vaccination par le VPO. Tout en louant cet énorme effort d’éradication, notre observation soutient l’hypothèse selon laquelle la fréquence d’administration de la poliomyélite pulsée5 est directement ou indirectement liée à l’incidence de la paralysie flasque non poliomyélitique »

Il et particulièrement choquant de voir les autorités de de New York, de Londres ou d’Israël instrumentaliser un cas de poliomyélite pour pousser à la vaccination alors que ce cas est la conséquence du vaccin oral administré dans un pays où la distribution d’eau potable et l’assainissement ne sont pas assurés.

Prétendre que le vaccin antipolio serait sans risque est donc contraire aux faits constatés.

Comment éradiquer la poliomyélite sans risque ?

Pour éradiquer la poliomyélite définitivement, il suffit de couper la chaîne de transmission du virus par l’eau contaminée. L’exemple en a été donné dans les pays riches où la consommation exclusive d’eau potable et l’assainissement des eaux usées a définitivement banni le risque d’épidémie de poliomyélite, succès abusivement attribué aux vaccins.

Dans les pays où la distribution d’eau potable est assurée, il n’y a plus de polio. Dans les pays sans eau potable, la polio persiste malgré les vaccins (Afghanistan et Pakistan).

Nous écrivions en 2018 : En France métropolitaine, en 2018, pour un enfant (…)6 on risque d’attraper la poliomyélite est nul, aussi puisque le virus a disparu de notre pays depuis plusieurs décennies, et qu’il ne peut se transmettre que par voie féco-orale, autrement dit par la contamination de la nourriture ou des boissons par les excréments d’un porteur de virus. La transmission de la maladie est donc impossible si on respecte les règles d’hygiène minimales (lavage des mains et des fruits et légumes) et qu’on utilise une eau potable. Ce n’est pas le vaccin qui a vaincu la poliomyélite en Occident, mais bien l’hygiène et les compagnies d’assainissement des eaux. D’ailleurs les rares cas de poliomyélite observés dans ces vingt dernières années en Europe sont dus au virus du vaccin lui-même qui a retrouvé sa virulence.7

Plutôt que consacrer des sommes considérables à la vaccination antipolio, l’OMS devrait s’efforcer d’assurer la distribution universelle d’eau potable et d’assainir les eaux usées. On obtiendrait ainsi l’éradication de la polio, mais en plus celle des autres maladies transmises par les eaux souillées : choléra, typhoïde, dysenterie, hépatite A…

L’eau potable est plus efficace que les vaccins contre les maladies à transmission oro fécale !





Pourquoi le pouvoir politique est-il malade ?

[Source : Ariane Bilheran Officiel]

[Voir aussi :
« Il faut manipuler 2 émotions pour obtenir une soumission psychique » – Ariane Bilheran, Vincent. Pavan
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Harcèlement des lanceurs d’alerte : un appel collectif pour défendre le droit d’informer
Totalitarisme occulte
Résister à la dérive totalitaire
Chroniques du totalitarisme – Psychopathologie du totalitarisme
Le clivage médiatique de l’Humanité]




Harcèlement des lanceurs d’alerte : un appel collectif pour défendre le droit d’informer

[Source : coroinfo]

Cet article collectif est destiné à alerter la population et les responsables politiques sur un processus larvé de répression, mené par l’État français contre de nombreux lanceurs d’alerte critiques du narratif officiel sur le covid.

Au-delà de la répression de masse devenue banale dans ce pays (traque des citoyens pendant les rétentions de masse, censure, « suspensions » abusives, violences contre les manifestants…), nous assistons de plus en plus à une répression ciblée qui repose sur les moyens de l’État, ceux des contribuables, pour harceler des citoyens qui dérangent.

Les citoyens visés peuvent être des universitaires lanceurs d’alerte, ou des citoyens militants : des parents membres d’associations de défense des enfants contre les maltraitances institutionnelles établies au prétexte du covid sont convoqués par les services sociaux à la demande de plusieurs départements, à la suite d’obscurs « signalements », des chercheurs qui ont osé interroger les annonces officielles se retrouvent menacés sur le plan professionnel, on observe également des contrôles fiscaux aussi intempestifs que sévères, des sanctions financières, des pressions sur l’entourage, des calomnies publiques trop organisées en réseau pour ne pas être organisées… Cela, en France, pays décrit comme un “état de droit” par certains observateurs.

La méthode utilisée combine la censure par tous les moyens afin que l’opinion publique ne puisse pas les entendre, la calomnie, les menaces et le harcèlement administratif. Parce que les lois, le droit sont du côté des lanceurs d’alerte, l’État répressif utilise des moyens détournés, déjà utilisés par le passé contre d’autres lanceurs d’alerte, mais employés cette fois de manière beaucoup plus systématique.

Car dans ce qu’on appelle une « démocratie », les citoyens ont le droit de critiquer, ils ont même le droit à la satire, à la caricature, à l’ironie. En clair, ils ont le droit à la  « liberté d’expression ». Ils ont le droit de penser et de dire des choses qui sortent du cadre de la propagande et les citoyens ont le droit d’être informés.

Des représailles touchent pourtant plusieurs personnes qui émettent un autre discours sur la crise qui nous occupe en en ? dénonçant notamment la corruption, dont Vincent Pavan, Ariane Bilheran, Virginie de Araujo-Recchia, Emmanuelle Darles, Olivier soulier, etc. Certains par pudeur ne souhaitent pas exprimer publiquement leur situation personnelle mais nous constatons entre autres :

Calomnies, harcèlement privé par insultes et menaces, contrôles fiscaux sévères et harcèlement fiscal, pertes de salaire, clôture arbitraire et inopinée des comptes bancaires, perte d’accès à la sécurité sociale pour soi et ses proches, suspensions, etc.

Prenons plusieurs exemples :

  • Vincent Pavan : l’universitaire subit des sanctions professionnelles y compris sur le plan des rémunérations, avec interdiction d’enseigner.
  • Ariane Bilheran comme son entourage subissent régulièrement des pressions (ex. : menaces de mort au moment de sa dénonciation des textes de l’OMS), qui se sont fortement accentuées depuis le covid avec par exemple l’intervention des services fiscaux ou le fichage mensonger sur des sites calomnieux.
  • Emmanuelle Darles fait face à deux procédures disciplinaires en cours à l’Université, doublées d’atteintes à la vie privée, le tout dans un contexte délétère.
  • Maître Virginie De Araujo-Recchia est aussi victime de harcèlement administratif, ce qui a été jusqu’à une garde-à-vue avec saisie de matériel, ainsi que d’intimidations dans sa vie privée.
  • Olivier Soulier qui s’est vu qualifier de « gourou antivax » et ses coordonnées privées ont été diffusées dans un média de masse.

Pourquoi est-il aujourd’hui nécessaire de dénoncer ? Il ne s’agit pas de cas personnels, mais d’attaques contre la société dans son ensemble : si seule la parole du pouvoir compte et que plus personne n’ose poser de questions sur la place publique ni critiquer ou débattre, qu’adviendra-t-il de ceux qui n’osent pas parler ? Qui posera des limites quand les foudres d’un pouvoir à la dérive s’abattront sur eux ? Ce qui finira par arriver au rythme où vont les choses.

Cette répression mesquine n’en est pas moins extrêmement violente et elle se pare de la légitimité de l’État, celui qui est censé nous protéger tous. Elle est un problème majeur pour nous tous car elle montre que nous sommes en train de nous enfoncer dans l’obscurantisme comme dans des sables mouvants.

Ce glissement progressif vers le totalitarisme n’est pas terminé mais il avance : aujourd’hui l’exécutif se soucie-t-il des lois ? De la constitution ? Des principes généraux du droit ? De la réalité ?

Les attaques personnelles contre les lanceurs d’alerte, de manière à les éliminer du paysage social, préfigurent toujours une répression généralisée contre toute dissidence puis contre le peuple tout entier de façon arbitraire, et même bien souvent une guerre classique, de ces guerres sales qui pourrissent un pays pendant des générations. On l’a vu avec les dictatures en Amérique latine, les Nazis, l’URSS, les Khmers Rouges, le Rwanda, la Syrie…




REVUE DE PRESSE DU 10 SEPTEMBRE 2022

Par MF

ÉDITO
La vérité qui dérange, une crise médicale sans précédent

Force est de constater que les scientifiques qui dénoncent les mensonges dans le discours officiel font l’objet d’attaques administratives et juridiques sans relâche, alors que les preuves s’accumulent du nombre et de la gravité des effets indésirables graves en particulier chez les jeunes, que Pfizer rétropédale tout en poursuivant sa tactique de diffusion, que le Royaume-Uni utilise un discours ambivalent envers les femmes enceintes et qu’on meurt moins du Covid en Roumanie qu’en France, parce qu’on y soigne précocement les malades !

POLITIQUE et SOCIÉTÉ

Les décisions du procès de Nuremberg, une brûlante actualité

C’est un code légal JURIDIQUE de droits humains et pas seulement un code de déontologie médicale destinée uniquement à des médecins.

La grande illusion

https://www.francesoir.fr/opinions-editos/la-grande-illusion

Un consensus défini par les experts pour notre bien, ou celui du nouveau monde défini par le « métaverse » et la redéfinition des mots, illustration de la perversité du système.

Panneaux anti-vaccins Covid à Toulouse

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/panneaux-antivaccins-toulouse-emmanuelle-darles-vincent-pavan

un effet indésirable grave pour 100 injections.

Promotion de la vaccination anti-covid à l’école

https://www.francesoir.fr/politique-france/promotion-de-la-vaccination-anti-covid-ecole

« Bien que les auteurs prétendent vouloir “accueillir avec bienveillance” les interrogations des enfants, pour “y apporter des réponses scientifiques”, ils se retiennent de donner la matière nécessaire. »

D’un professeur à l’autre, la disparition totale de tout esprit critique

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/conseil-scientifique-delfraissy-autran

Brigitte Autran a fondé Corevac en 2012, un consortium visant explicitement à « lier la recherche académique à l’industrie du vaccin ». Et dit des contre-vérités sur la réelle efficacité et innocuité des vaccins anticovid.

Lettre ouverte à Mr Michel ONFRAY

Un appel à la reconnaissance du danger des injections et à reconnaître ses erreurs quand on a une notoriété.

ÉTRANGER

Allemagne, le gouvernement botte en touche sur les décès d’enfants post-covid

https://www-anonymousnews-org.translate.goog/gesundheit/corona-todesfaelle-bei-kindern-seit-impfbeginn-vervierfacht

Le texte est en français : Les décès par corona chez les mineurs sont actuellement sept fois plus fréquents, mais le gouvernement refuse de dire si les décédés avaient été vaccinés.

CANADA — la 5e dose

https://www.francesoir.fr/politique-monde/quebec-legault-lance-cinquieme-dose-vaccin-covid

« Le Québec poursuit sur la voie de la vaccination alors que plusieurs études démontrent la dangerosité des vaccins et que de plus en plus d’effets secondaires sont répertoriés »

ISRAËL – comment le gouvernement a dissimulé les effets des injections géniques

« Israël n’a commencé à recueillir des données de sécurité qu’un an après le début du programme de vaccination. Ils ont rassemblé des données sur 6 mois et ont découvert que les vaccins n’étaient pas sûrs, alors ils ont menti au monde entier à ce sujet ».

Une histoire de corruption, pure et simple.

ROYAUME-UNI – abandon de la vaccination chez les femmes enceintes et allaitantes

https://pgibertie.com/2022/08/29/dans-sa-derniere-mise-a-jour-de-lautorisation-provisoire-le-gouvernement-britannique-abandonne-la-vaccination-des-femmes-enceintes-et-allaitantes/

« document mis à jour le 16 août dernier dans la plus grande discrétion du gouvernement britannique : Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant de recevoir ce vaccin. »

Et

https://www.francesoir.fr/societe-sante/royaume-uni-vaccin-covid-deconseille-femmes-enceintes

« Il n’est pas possible, à l’heure actuelle, de fournir des garanties suffisantes quant à la sécurité d’utilisation du vaccin chez les femmes enceintes »

USA – le CDC fait son mea culpa sur la gestion de la crise Covid

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/08/31/le-cdc-fait-son-mea-culpa-sur-la-gestion-de-la-crise-covid-pendant-que-des-generaux-francais-preparent-lopinion-publique-a-la-guerre-par-laurent-aventin/

« Nous sommes responsables de certaines erreurs assez dramatiques et publiques – des tests aux données, en passant par la communication. »

USA – la démission inattendue d’Anthony Fauci

https://www.francesoir.fr/politique-monde/fauci-demissionne-bilan-controverse

« N’hésitant pas, tout au long de la crise, à vanter les mérites des vaccins, Anthony Fauci a suivi (sinon dessiné) la ligne catastrophiste et coercitive de l’Occident. Avec une influence toute particulière sur l’ensemble du monde. »

USA – la censure se poursuit

https://www.francesoir.fr/politique-monde/l-association-de-robert-kennedy-jr-censuree-par-facebook-et-instagram

« La maison mère de Facebook et Instagram, Meta, a supprimé le 18 août les comptes de l’influente organisation américaine Children’s Health Defense, dirigée par l’avocat Robert Kennedy Jr. »

USA – Rockefeller investit dans la propagande pro vaccinale

https://uncutnews.ch/verfeinerung-der-impf-propaganda-rockefeller-stiftung-will-dass-verhaltenswissenschaftler-ueberzeugendere-covid-impf-erzaehlungen-ausarbeiten/

« la Fondation Rockefeller (ainsi que d’autres organisations à but non lucratif) a injecté des millions de dollars dans un projet de sciences comportementales visant à comprendre pourquoi de larges groupes de personnes à travers le monde refusent de se faire vacciner… Les projets financés fourniront des preuves de ce qui fonctionne — et de ce qui ne fonctionne pas — dans des lieux et pour des groupes spécifiques afin d’augmenter le recours à la vaccination Covid-19, y compris ce qui est faisable sur le terrain et a le potentiel d’être rentable à grande échelle »

JUSTICE

Le Pr Raoult répond aux accusations de l’IGAS et des ministres

https://www.francesoir.fr/le-professeur-didier-raoult-repond-aux-accusations-de-l-igas-et-des-ministres

« La procureure de Marseille, Dominique Laurens, a annoncé lundi soir, à l’AFP, l’ouverture d’une information judiciaire sur les dysfonctionnements de l’IHU-MI au temps où le Pr Didier Raoult en avait la direction ».

L’acharnement continue contre l’IHU qui a soigné les malades du Covid.

Référé de Bon Sens contre Bill Gates, audience le 22 septembre 2022

https://www.francesoir.fr/politique-france/refere-de-bonsens-contre-bill-gates-audience-aura-lieu-22-septembre

« De l’aveu même de M. Gates le 3 mai, les vaccins contre la Covid-19 sont inefficaces en ce qu’ils n’empêchent pas la transmission du virus entre individus, but premier d’un vaccin. »

« M. Bill Gates a menti volontairement aux millions de téléspectateurs de France 2 le 6 mai 2022 lorsqu’il a affirmé que les vaccins contre la Covid-19 sont “d’excellents vaccins” qui fonctionnent ».

Réaction 19 porte plainte contre la vaccination Covid

« Mise en danger de la vie d’autrui et tromperie sur les « vaccins » Covid » 

Défense juridique des médecins qui ont soigné

https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/defense-medecins-convoques-me-joseph

« la liberté de prescrire est clairement reconnue par le Code de la santé publique, dans sa partie législative comme dans sa partie réglementaire »

ET

https://www.aimsib.org/2022/08/28/pas-touche-a-la-liberte-de-prescription-des-medecins/

L’Ordre des médecins va-t-il sanctionner le Pr Perronne ?

« Un des rares « pontes » de la médecine à avoir dénoncé la politique des masques, questionné la pertinence et la fiabilité des tests Covid ou à s’être indigné du lobbying intensif des laboratoires. »

Une nouvelle attaque contre le Dr Umlil, pharmacien de l’hôpital de Cholet

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/amine-umlil-alertes-verifiees

« On me reproche d’avoir manqué à mon devoir de réserve et de neutralité »/ » Toutes mes alertes finissent par être vérifiées »

Le président de Réinfo Liberté suspendu par son université

https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/il-fallait-faire-un-exemple-vincent-pavan

« Depuis près de deux ans, l’Université dans laquelle il donne cours lui reprochait ses prises de positions sur la gestion de la crise sanitaire. Ses analyses l’ont mené à évaluer de manière objective une incohérence scientifique et en vertu de son statut d’enseignant-chercheur, il s’est opposé à l’obligation du port du masque. »

Plainte de Maitre Carlos Brusa contre le ministre de l’éducation PAP NDIAYE pour propagande vaccinale des enfants

et

https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2022/08/260822-MED-au-ministre-de-l-education-PAP-NDIAYE.pdf

Les enfants encore une fois victimes d’une propagande vaccinale déguisée en information pédagogique.

TRAITEMENTS

Mortalité Covid en France 40 % supérieure à la Roumanie

« Le développement des soins ambulatoires est essentiel pour faire face et réduire la mortalité. »

INJECTIONS

Pfizer demande l’approbation d’un nouveau booster

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/08/25/pfizer-demande-lapprobation-dun-nouveau-booster-a-la-fda/

« Les données concernant le nouveau vaccin ciblant la souche BA.5 élaboré par l’alliance Pfizer/BioNTech proviennent uniquement des essais réalisés sur les souris les données sur les souris ne vont en aucun cas permettre de prédire ce que l’on verra chez l’homme.»

Pfizer, un rétropédalage par crainte de procès ?

Corée, un nouveau vaccin, basé sur les nanotechnologies

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/08/24/le-coreen-sk-bioscience-soumet-a-lema-une-demande-dautorisation-de-mise-sur-le-marche-de-son-vaccin-skycovion/

6 vaccins ont déjà été approuvés par l’EMA (agence européenne du médicament).

Essai sur l’homme du vaccin Tonix à base de variole du cheval

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/08/23/essai-sur-lhomme-du-candidat-vaccin-anti-covid-de-tonix-a-base-de-variole-du-cheval-par-laurent-aventin/

Tonix, la partie visible de ce que cache la recherche biologique.

Adaptation des nouveaux vaccins pour l’automne

https://www.aimsib.org/2022/09/04/adaptation-des-vaccins-covid-19-pour-lautomne-2022/

La FDA reconnaît implicitement que les vaccins actuels n’empêchent pas les formes graves de Covid.

Les injections sont expérimentales et ne sont pas des vaccins

« Les essais de phase 3 ne sont pas terminés et les pseudo-vaccins ne sauvent pas des vies ! »

Les vaccinés plus longtemps contagieux que les non-vaccinés

https://www.francesoir.fr/les-vaccines-contre-covid-contagieux-plus-longtemps-que-vaccines-etude

Selon une étude publiée le 21 juin 2022 par le New England Journal of Medicine.

EFFETS INDÉSIRABLES

Crise médicale mondiale sans précédent

https://pgibertie.com/2022/09/11/une-crise-medicale-internationale-sans-precedent-dans-lhistoire-de-la-medecine-lancement-petition-mondiale/

Pétition qui alerte les professionnels de santé sur tous les E. I. y compris graves et mortels.

Les embaumeurs trouvent des structures fibreuses, toutes causes de décès confondues

https://www.theepochtimes.com/embalmers-have-been-finding-numerous-long-fibrous-clots-that-lack-post-mortem-characteristics_4696015.html

« Il ne s’agit pas de caillots post-mortem normaux… qui pourraient avoir été à l’origine des décès, empêchant la circulation… La protéine spike peut… former une configuration différente, contribuant à la formation de structures étroites, semblables à des cordes… De nombreuses cordes sont nécessaires pour obstruer un vaisseau. »

Du « jamais vu » auparavant..[avant 2021]

« Ils ne sont même pas morts du COVID. Ils meurent de crises cardiaques soudaines, d’accidents vasculaires cérébraux, de cancers. On dirait que peu importe de quoi ces gens meurent de nos jours, tant ils ont les mêmes anomalies dans leur sang. »

Étude rétrospective de l’impact de la vaccination sur les décès Covid

https://reinfocovid.fr/science/etude-retrospective-de-limpact-de-la-vaccination-covid-19-sur-levolution-du-nombre-cumule-de-deces-covid-19/

« Incapacité des vaccins à limiter la mortalité COVID-19 chez les plus fragiles, en dépit des messages répétés du Ministère de la Santé. »

L’heure de vérité

Échantillons de révélations, enquêtes publiques, procès, dénonciations d’experts.

Effets inquiétants sur le sang dans une étude allemande

https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccins-anti-covid-une-etude-allemande-rapporte-des-effets-inquietants-sur-le-sang

“éléments métalliques indésirables de ‘dimensions inadmissibles selon les bonnes pratiques industrielles’ c’est-à-dire au-delà de 0,22 μm.”

Syndrome de mort subite de l’adulte

Des jeunes gens en bonne santé qui ne se réveillent pas, et toujours pas de corrélation avec les injections, quand on ne veut pas voir.

Surmortalité, ce que disent les données d’Euromomo

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/que-disent-les-donnees-de-mortalite-d-euromomo

“Les classes d’âge 0-14 ans et 15-44 ans présentent une plus forte augmentation de la mortalité que les autres tranches d’âge pour l’année 2022 par rapport aux années précédentes”

Effondrement de la natalité 9 mois après les injections

https://pgibertie.com/2022/09/01/la-vaccination-cest-bon-pour-les-affaires-mais-pas-pour-les-bebes-effondrement-de-la-natalite-9-mois-apres-le-debut-des-injections/

« Une baisse significative des naissances caractérise le premier semestre 2022. Dans 15 pays, cette baisse est supérieure à 4 %, et dans 7 pays, supérieure à 10 %. »

https://ansm.sante.fr/uploads/2022/08/01/20220801-covid-19-vaccins-fiche-de-synthese-28072022-2.pdf

RÉSISTANCES

CSI n° 68du 25 août



les antihistaminiques dans le traitement de la Covid

CSI n° 69 du 1er septembre



Emmanuelle Darles, l’impact des mesures anti-covid sur les enfants.

CSI n° 70 du 8 septembre



Artemisia annua ; résultats de la recherche actuelle et présentation quelques plantes ayant également un fort potentiel thérapeutique par Bernard SUDAN, toxicologue

Effets secondaires des vaccins, avec Louis Fouché



Niveau de corruption et de mensonges sidérant, démontré dans ce live. Il faut protéger les jeunes !




Il faut parler du déclin du Québec

[Source : libremedia.ca]

Déclin démographique, déclin du français, déclin culturel, déclin de la vie sociale et familiale : tous ces mouvements sont liés, observe le rédacteur en chef Jérôme Blanchet-Gravel. 

Éditorial

Par Jérôme Blanchet-Gravel

Il me semble que le déclin du Québec dans sa globalité devrait être un thème central de la présente campagne électorale, celui du français n’étant qu’un des symptômes parmi d’autres de notre essoufflement collectif.

Au-delà des aspects techniques soulevés par les partis pour améliorer (sauver…?) les systèmes de santé et d’éducation, il faut réfléchir sérieusement à l’avenir de notre collectivité, l’avancée de l’anglais allant de pair avec notre baisse d’appétit pour la vie. 

Des mouvements simultanés  

Déclin démographique, déclin du français, déclin culturel, déclin de la vie sociale et familiale : ce n’est pas un hasard si ces mouvements ont lieu en même temps. Il y a dans cette simultanéité quelque chose qui ne ment pas sur notre désenchantement. 

[Voir aussi :
Réenchanter le monde]

Je suis toujours étonné d’entendre des commentateurs ne pas faire le lien entre ces phénomènes, comme si une nation déjà en perte de vitesse pouvait se permettre d’interdire les liens sociaux et familiaux pendant deux ans.

Comme si une nation encore en partie brisée par la conquête britannique pouvait se permettre d’aller jusqu’à abolir symboliquement Noël, l’une de ses dernières traditions, dans un monde où un divertissement uniforme tend à noyer la culture véritable. Et la diversité.

Le sociocide de la pandémie 

Il faut espérer que la gestion de la pandémie n’ait pas été le coup fatal porté à une nation qui n’a plus beaucoup de force d’attraction auprès d’immigrés qui ressentent bien sa fatigue et le vide d’une vie menée au rythme d’un réglementarisme intolérant et de l’absence de traditions, ce qui encore une fois va ensemble. 

À lire aussi : Au Québec, la religion des règles
 

En ce sens, l’adhésion au sanitarisme pourrait avoir été l’une des plus graves erreurs des nationalistes, dont la plupart ont vu dans l’État un sauveur sanitaire devant jouer son rôle de protecteur des citoyens comme dans le champ culturel. 

Avant la bureaucratie sanitaire, il y avait la bureaucratie linguistique, comme si l’État était le gardien d’une grande réserve faunique à maintenir sous respirateur artificiel. 

C’est sans doute pour cette raison qu’autant de souverainistes se recyclent dans l’écologisme : le peuple québécois n’est-il pas toujours présenté comme une espèce en voie d’extinction ?

Aurions-nous pu décider de continuer à croître organiquement comme individus et comme peuple, au lieu de nous limiter aux bons engrais de l’État-tuteur ?

Il y a dans cette multiplication des règles des signes évidents de détresse. On croirait que les Québécois cherchent à se raccrocher à un ordre rassurant mais vide, alors qu’ils sont dans les faits en train de perdre le contrôle de leur destinée.

À lire aussi : Le Québec de 2040, une province-hôpital de langue anglaise ?

Tel que l’a suggéré Philippe Labrecque dans ces pages, il n’est pas impossible que le Québec de demain soit une « province-hôpital de langue anglaise », ce qui n’est guère réjouissant pour quiconque aspire à vivre dans une société dynamique et culturellement attrayante. 

Le tabou de la natalité

Devant un tel vieillissement de la population, la question de l’immigration est régulièrement posée, mais jamais celle de la natalité, excepté au Parti conservateur du Québec qui entend l’encourager davantage.  

La natalité est l’un des grands tabous québécois, mais aussi de l’Occident dans son ensemble. Avoir des enfants est maintenant vu comme une entrave à l’épanouissement de la femme, mais aussi à celui des adultes en général. Au fond, les enfants dérangent. 

Signe d’une vision essentiellement utilitaire et consumériste, récemment, François Legault a laissé entendre qu’il comptait se satisfaire d’une toute petite place dans le monde pour le Québec, en autant qu’il reste un endroit agréable à vivre, bien que de plus en plus périphérique.

Le Québec en retrait 

« Ce qui est important, c’est d’avoir une qualité de vie pour les personnes qui habitent au Québec », a laissé tomber le Premier ministre en annonçant que son gouvernement maintiendrait le seuil d’immigration à 50 000 nouveaux arrivants par année.

En autant que les gens puissent continuer à profiter l’été de leur piscine, et encore, avec les rationnements écologiques à l’horizon. 

« On est 8,6 millions d’habitants : je pense que c’est une taille qui permet quand même d’offrir des services de qualité », a ajouté François Legault en rappelant que le Québec recevait par habitant plus d’immigrés que les États-Unis et la France.

Offrir des « services de qualité » : un projet de société ?




Devenez la Force qui se dressera quand le vent de l’Histoire va souffler

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

[Voir aussi :
Résilience et Résistance pour la France
Franc Libre et tournée CSP : point de situation
La résistance truffée d’espions ?
Comment s’unir]

[Note de Joseph : d’un point de vue eschatologique, nous avons affaire aux quatre cavaliers de l’Apocalypse. Les mesures sanitaires amènent la maladieLes mesures économiques (notamment contre la Russie) amènent la famineLes mesures pour la paix amènent la guerreLes médias amènent la peur. Et le tout produit la mort des corps et des âmes.]




La maîtrise de la météo – une guerre secrète

[Source : Kla.tv]

Bien qu’il n’existe aucune preuve solide que la Terre se réchauffe réellement, on veut nous faire croire que l’utilisation extrême de produits chimiques est urgente pour refroidir notre planète. Les traînées croisées dans le ciel, appelées chemtrails, sont de fausses « traînées de condensation ». Elles empêchent la formation naturelle de nuages. Des escadrilles entières d’avions civils et militaires bloquent ou affaiblissent le développement naturel des nuages et le perturbent en répandant des composés chimiques toxiques et dangereux.

[Voir aussi :
Chemtrails (documentaire)
Documentaires pour les jours de pluie sur la géo-ingénierie et les chemtrails
Documentaire sur les chemtrails
Chemtrails : une collection de photos probantes ?
Géoingénierie : Un expert révèle que les Chemtrails sont bien réels
Est-ce qu’on joue à rendre la météo folle ?]

Transcription

Les événements météorologiques tels que ceux que nous vivons actuellement en Europe depuis des semaines et des mois en raison de la sécheresse prolongée ne sont pas, comme beaucoup peuvent encore le penser, des événements séculaires. Bien que ce soit difficile à croire, ce sont des pièces de puzzle planifiées de longue date dans le cadre des plans de bouleversement visant à dominer et à contrôler le monde entier et le cosmos. Le phénomène des traînées de condensation des avions, qui apparaissent souvent de manière croisée dans le ciel, sont des interventions dans le système climatique. Ce qu’on appelle des chemtrails font partie des mesures de géo-ingénierie destinées à lutter contre le réchauffement climatique. Depuis plus de vingt ans, des catastrophistes ont entrepris de contrôler les événements météorologiques. Ces manipulations de la météo font le jeu de l’économie pour la domination et le contrôle des ressources mondiales. De plus, c’est une affaire rentable pour les spéculateurs, qui peuvent réaliser en un rien de temps des bénéfices faramineux sur les marchés financiers internationaux. Kla.TV résume pour vous, chers téléspectateurs, les aspects du documentaire « Géo-ingénierie solaire – la guerre secrète » que chacun devrait connaître.

Le mot chemtrails [traînées de condensation chimiques] est d’origine militaire et se trouve dans le « Space Preservation Act » une loi sur la protection de l’espace. En 2002, un membre du Congrès américain a présenté un projet de loi visant à abandonner toutes les armes non-conventionnelles, y compris les chemtrails. Par armes non-conventionnelles, on entend des armes développées dans le but, d’une part, de nuire à l’espace ou aux écosystèmes naturels ou au climat, et d’autre part, de détruire une population ou une région cible sur Terre ou dans l’espace. Le projet de loi a certes été approuvé, mais avec des coupes draconiennes. La référence à une quelconque arme non-conventionnelle a été supprimée.

Aujourd’hui, ces chemtrails en particulier peuvent être considérés comme des pratiques illégales de géo-ingénierie. Un document déposé en 1996 et intitulé « Programme national », recommandé pour la modification moderne de la météo, est considéré à ce jour comme une preuve accablante de l’existence de changements climatiques et météorologiques massifs. Il devrait être un signal d’alarme fort pour ceux qui continuent à nier l’existence des chemtrails. Le document révèle en détail de nombreux programmes de modification de la météo aux Etats-Unis. Il est également question d’une commission spéciale chargée de coordonner les mesures destructrices de géo-ingénierie du gouvernement avec les autorités, les indépendants et les universités.

Le documentaire poursuit : « En 1995, l’US Navy a entrepris une vaste étude comprenant des dizaines de documents sur des techniques spécifiques de conception d’un contrôle global. Ce document est connu sous le nom de « Owning the Weather in 2025 », c’est-à-dire la maîtrise de la météo d’ici 2025. L’étude prétend n’être que théorique, mais après avoir consulté les diagrammes et les images, nous en avons déduit que dès 1995, les opérations de contrôle climatique et météorologique étaient déjà intégrées dans une phase d’implémentation avancée [implémenter : introduire, mettre en œuvre quelque chose]. En fait, notre ciel est strié, opaque et brumeux depuis au moins 1995. »

Que se passe-t-il exactement lorsque des avions répandent des chemtrails ?

Les chemtrails se composent du carburant d’aviation ordinaire [kérosène] et d’un additif. Edward Teller, l’inventeur de la bombe à hydrogène, a proposé lors d’un congrès sur le changement climatique qui s’est tenu en Sicile en 1997 d’utiliser des additifs dans le carburant de l’aviation civile. Depuis lors, ces produits chimiques ne sont plus seulement épandus par les avions militaires, mais aussi par les avions de passagers. Les avions de ligne qui présentent des traînées de condensation remarquablement longues et plus ou moins stables volent à des altitudes basses et très basses, où il est en fait totalement impossible de former de la condensation. C’est un fait prouvé et irréfutable que des additifs ont été ajoutés au carburant des avions. Le physicien Penna Corrado décrit qu’il n’y a pas grand-chose à calculer pour étudier la différence entre les chemtrails et les traînées de condensation. Il existe des livres et des textes de météorologie qui expliquent bien que les traînées de condensation sont des phénomènes qui se produisent à des altitudes de 8 000 m, avec des températures d’au moins – 40°C et une humidité d’au moins 60%. Alors pourquoi les traînées apparaissent-elles malgré tout ?

Elles apparaissent parce qu’elles sont produites artificiellement ! Il ne s’agit pas de condensation, mais de la combustion de ces additifs dans le kérosène. Cela entraîne la formation de fausses traînées de condensation et la chute de polymères [substance chimique composée de macromolécules] sous la forme de fins filaments – comme une toile d’araignée.

Les analyses de ces substances ont révélé la présence de baryum, d’aluminium, de manganèse et d’une série d’autres éléments. Les biologistes précisent qu’il ne s’agit pas d’éléments normaux de l’atmosphère. Ils confirment : « Les « chemtrails » sont un phénomène artificiel ! Le baryum provoque de gros problèmes de capacité de régénération musculaire et endommage le cœur ainsi que les organes internes. L’aluminium est un métal neurotoxique qui a un impact négatif sur le système nerveux. Il contribue à la démence et déclenche des maladies comme l’Alzheimer et le Parkinson. On a également trouvé du dibromure d’éthylène, un insecticide classé dangereux pour la santé par l’Agence de protection de l’environnement. Ces produits, répandus par les avions civils et militaires, chutent assez rapidement vers le sol. Ils ont été clairement identifiés comme des polymères qui s’enchaînent en filaments. En 2012 déjà, ces fibres ont été analysées par un laboratoire français agréé et les résultats ont été consignés dans un rapport d’analyse. Ce sont des organismes polymères complexes à base de produits chimiques de synthèse. Il faut retenir qu’elles constituent une menace pour la santé publique et une pollution de l’environnement. »

Quatre échantillons analysés contenaient différents composés : des produits de synthèse toxiques. Trois d’entre eux contenaient du DEHP, un plastifiant redoutable qui affecte le système hormonal et peut être dangereux pour la reproduction.

Les conséquences de la géo-ingénierie illégale se font sentir sur les populations : Les maladies neurodégénératives, les accidents vasculaires cérébraux et les tumeurs se sont aggravés au cours des dix dernières années.

Mais à qui profite l’« arme climatique » de la géo-ingénierie ?

Le va-et-vient incessant des avions dans le ciel peut être expliqué comme une activité dans laquelle les responsables tels que les compagnies aériennes, les multinationales pharmaceutiques, les laboratoires de recherche, l’industrie de l’armement, les centres universitaires, etc. ont des intérêts différents. L’objectif principal est de créer, par le biais des éjections, une atmosphère adaptée aux exigences militaires et civiles dans le domaine de la communication sans fil. L’oxygène et la vapeur d’eau dans l’atmosphère affaiblissent les conditions de communication radio, la qualité de réception des satellites, des radars, du GPS, du WiFi des antennes relais. La géo-ingénierie doit permettre d’améliorer les communications radio.

Contrôler les phénomènes météorologiques signifie maîtriser l’économie et contrôler les ressources. Par exemple, les récoltes peuvent être endommagées ou détruites en raison d’une sécheresse prolongée ou de fortes pluies. Mais par ailleurs, les multinationales de l’agroalimentaire développent des semences génétiquement modifiées qui peuvent survivre dans les zones de sécheresse !!!

D’énormes profits sont également réalisés en spéculant sur les marchés financiers. Alors que les entreprises doivent faire face à des crises inattendues, il y a tout un tas de gens qui s’enrichissent en bourse à un rythme incroyable. La planification et le conditionnement des prix et de l’offre sont le moyen de réaliser des bénéfices exorbitants. La géo-ingénierie illégale est un gâteau géant. Sa valeur est astronomique. Après que l’ouragan Katrina a dévasté la Louisiane, des millionnaires appartenant au « cercle junior » de Bush ont remporté des marchés aux enchères pour reconstruire les usines.

Quels sont donc les défis auxquels nous sommes confrontés et comment pouvons-nous agir ?
Nous devons tout d’abord comprendre que s’opposer uniquement à cela revient à se préoccuper uniquement des générations futures. Nous devrions plutôt essayer d’impliquer des biologistes, des médecins, des pharmaciens, des écologistes, des politiciens sérieux et sincères, et leur demander de contribuer à la résolution des problèmes avec toutes leurs connaissances et compétences. Il faut mettre un terme à cette évolution illégale et ne plus permettre la dissimulation. La géo-ingénierie est une pollution aussi importante que celle de l’amiante, mais elle est 10 000 fois plus forte et s’étend à presque toute la planète. De plus, toute une série de comités jouent un rôle important dans la mise en œuvre de ces programmes de géo-ingénierie, pour laquelle les membres et les scientifiques de renom diffusent constamment de la propagande. Il est urgent de les démasquer, ainsi que les négationnistes professionnels payés par l’État et par ceux qui créent les crises et tirent ensuite de la misère de gigantesques profits. Nous devons donc atteindre le plus grand nombre de personnes possible, à commencer par nos voisins, nos parents et nos amis. Car il ne s’agit pas seulement de notre santé, mais surtout de la santé et de la vie des générations futures et de notre belle Terre, qui est manipulée de façon systématique et artificielle par l’homme.

de wou/avr/jtb

Sources / Liens

Geoengineering- Der geheime Krieg
https://odysee.com/@BehindTheMatrix:7/Solares-Geoengineering—Der-geheime-Krieg-(2015):e

Erklärung „exotische Waffen“ Text – H.R.2977 – 107th Congress (2001-2002): Space Preservation Act of 2001 | Congress.gov | Library of Congress Was ist Geoengineering? Geoengineering-Governance | Umweltbundesamt
https://www.umweltbundesamt.de/themen/nachhaltigkeit-strategien-internationales/umweltrecht/umweltvoelkerrecht/geoengineering-governance#was-ist-geoengineering

Zusätzliche Sendungen: Wetterpatente: Wo die Katastrophenmacher hocken
www.kla.tv/19915

Wird das Wetter verrückt gespielt?
www.kla.tv/23225

Dokumentarfilm: The Dimming – Kriegswaffe Wettermanipulation
www.kla.tv/19334

Wer die Nahrungsmittelversorgung kontrolliert, kontrolliert die Menschen
www.kla.tv/23292




Pandémie de suicides

Lettre ouverte à Philippe Richard du journal Ouest-France

Par Jacques Sauzeau

Bonjour Monsieur,

Votre article du six septembre intitulé « Avec la pandémie de Covid-19, les gestes suicidaires ont fortement augmenté, surtout chez les jeunes » rappelle à juste titre que la politique sanitaire menée depuis plus de deux ans a eu des effets dramatiques sur l’équilibre psychique de très nombreux jeunes et enfants. C’est bien qu’aujourd’hui vous en parliez et que l’observatoire national du suicide le signale. Néanmoins il faut savoir que des spécialistes tirent la sonnette d’alarme depuis longtemps. Voici une vidéo dans laquelle en 2021, Marie Estelle Dupont, psychothérapeute, fait part de sa colère et de sa révolte devant l’explosion des tentatives de suicide et l’hospitalisation de nombreux jeunes et enfants.

Deux autres spécialistes de renom international eux aussi s’efforcent d’alerter le pouvoir, les médias et les politiques sur les effets destructeurs de la politique sanitaire actuelle. Nicole et Gérard Delépine tous deux scientifiques (Nicole oncologue et pédiatre ; Gérard oncologue, chirurgien et statisticien) décrivent avec une précision « chirurgicale » les dégâts physiques et psychiques de la politique actuelle. Leur ouvrage remarquable intitulé « Les enfants sacrifiés du covid — Isolement, masques et vaccins » (Fauves éditions) nous apprend que des enfants de 9 ans et parfois moins se sont suicidés, ce qui est du jamais vu auparavant. On y apprend aussi que ce sont les pays les plus vaccinés (statistiques à l’appui) qui comptent le plus de décès. Exemple : Madagascar dont la population est seulement vaccinée à 2 % compte 50 fois moins de morts que la France ! Bien d’autres faits jamais mentionnés dans les médias sont également décrits.

Actuellement 17 000 scientifiques internationaux demandent l’arrêt de toute vaccination devant l’explosion des décès et des effets graves. Les citoyens sont en droit d’être inquiets. Beaucoup, opposés aux vaccins actuels, demandent à être soignés avec des traitements efficaces. Des pays entiers ont été soignés avec efficacité (il suffit de contacter le couple Delépine pour savoir lesquels.

Vous n’êtes pas sans savoir que la presse est très décriée actuellement ; 70 % des citoyens ne lui accordent plus leur confiance. Toutefois, quelques rares journalistes commencent à dire la même chose que les prétendus « complotistes » disent depuis longtemps. Pujadas a osé dire que ce sont les pays les plus vaccinés qui comptent le plus de dégâts. Rioufol et Praud ont osé évoquer les nombreux effets graves des vaccins. Compliments à eux.

Un autre fait très important a récemment été signalé par le couple de médecins Delépine, à savoir les très nombreux suicides dans le personnel médical désespéré face à cette crise sanitaire sans précédent. Vous pouvez trouver ce texte ici. Personne ne parle de ce drame dans la presse. Pourquoi ?

Espérons que des décisions raisonnables vont être prises pour stopper ce désastre et que la médecine va retrouver une efficacité salvatrice.

Bien à vous,

Jacques Sauzeau




Surmortalité post boosters — pourquoi ce silence médiatique ? STOPPONS L’INJECTION EXPÉRIMENTALE !

[Surmortalité post boosters1]

Par Nicole Delépine

Attention à la rentrée et à la volonté aveugle de nos dirigeants de poursuivre les injections toxiques et inefficaces, ne serait-ce que pour suivre aveuglément les ordres de la Commission européenne, non élue et non compétente en médecine qui veut écouler ses énormes stocks de pseudo vaccins et poursuivre le programme de dépopulation qui n’est plus caché par personne.

Le ministre de la santé « nouveau » aurait dit que pour résoudre le problème des urgences, il suffirait de « vacciner » plus de monde. A-t-on bien entendu ? Et pendant ce temps-là les citoyens des pays injectés continuent à compter leurs malades (de maux inexpliqués…) et leurs morts qui évidemment n’ont aucun rapport avec l’injection… Combien d’enterrements inattendus… une nouvelle pathologie inconnue ? Bah ! voyons, comme disaient certains.

Dans 29 pays, il est apparu une corrélation entre les injections de rappel anti covid et un excès de mortalité globale (du premier semestre 2022) par rapport aux années antérieures. Ce doit être le mauvais œil ou le mauvais alignement des planètes. Les gens vont-ils ouvrir les yeux, enfin ?

Prouvé : les rappels causent un excès de morts

Notre croque-mort national tenait chaque soir un décompte du nombre de décès attribués covid. Alors, pourquoi les morts de l’injection expérimentale appelée à tort « vaccins » sont-ils invisibles sur nos médias ?

Quelque chose de bizarre se passe et on ne le trouve nulle part dans les nouvelles ! Regardez un JT de 20 h : rien sur rien…

Beaucoup plus de personnes meurent maintenant que durant les années précédant la vaccination sans raison évidente et cette surmortalité est largement ignorée par les médias. Où sont les trackers de la télévision qui gardent une trace des décès quotidiens en excès ? Et ce qui est étrange, c’est que cela ne se produit pas seulement dans un pays, cela se produit en même temps dans de nombreux pays qui ont beaucoup vaccinés. Dans ces pays les gens meurent plus que la normale et personne ne semble savoir pourquoi ni vouloir en rechercher les causes.

Vous pourriez dire que c’est à cause de covid que nous assistons à tous ces décès en excès… Mais non. Trop de gens meurent et ce n’est pas à cause de covid.2

Quelque chose d’autre en est la cause ! Nous avons été soumis à de nombreuses restrictions et fermetures au cours des dernières années soi-disant pour éviter des décès. Maintenant, trop de gens meurent et personne ne semble se poser de questions ou même désirer d’en parler. Silence, on tourne et on enterre. Et bien non, ça ne tourne pas rond du tout… ce sont les vrais croque-morts qui alertent. Ils n’ont jamais vu cela.

Cet été, en Grande-Bretagne, il y a eu 10 355 décès toutes causes confondues en (Angleterre/Pays de Galles) en une semaine (Semaine 32) ! Ce sont presque 1000 de plus que la normale et en seulement une semaine ! Par rapport à la moyenne sur 5 ans, il s’agit d’une augmentation statistiquement significative (=qui ne peut pas être attribuée au hasard) de 10,1 %.

En Norvège, il y a également eu une augmentation massive du taux de mortalité, avec 18% de décès supplémentaires au premier trimestre 2022 par rapport à la même période en 2021, et aussi en Allemagne, en Suisse, etc.

Si nous examinons la surmortalité chez les enfants âgés de 0 à 14 ans à travers l’Europe, il y a eu une augmentation HORRIFIANTE de 1101% de la surmortalité jusqu’à présent cette année par rapport à la même période en 2021. POURQUOI ?

L’analyse statistique montre qu’il existe en 2022 une CORRÉLATION EXTRÊMEMENT FORTE entre les rappels des pseudo vaccins et les décès. Cette surmortalité globale constitue un signal d’alarme et un élément de réflexion qui doivent être analysés plus finement. Nous devons chercher plus loin pour mieux comprendre la causalité. Et en attendant, protégez vos proches, vos amis.

« Quel est le mécanisme sous-jacent entre la surmortalité en 2022 et les injections de rappel ? Pourrait-il s’agir de décès immédiatement après les vaccinations et les injections de rappel ? Se pourrait-il que les boosters n’offrent plus de “protection contre la mort”, mais augmentent plutôt les chances de mourir de Covid ? Pourrait-il s’agir de taux de réinfections plus élevés chez les personnes boostées ? » 

Les chiffres officiels montrent qu’il existe une association statistiquement significative très forte entre la surmortalité en 2022 et l’utilisation des rappels COVID.

RELATION PROUVÉE : Boosters COVID et surmortalité en 2022 dans l’article suivant :

https://igorchudov.substack.com/p/proven-relationship-covid-boosters

Les données de M. Plothe sont choquantes. Il partage des diapositives de ses graphiques sur un large éventail d’effets des « vaccins », surmortalité, mais aussi baisses de fertilité.

EN 2022 UNE SURMORTALITÉ TOUTES CAUSES CONFONDUES EST OBSERVÉE DANS TOUS LES PAYS APÔTRES DE LA PSEUDO VACCINATION ANTI COVID

Cette surmortalité n’est pas observée dans les pays qui ont échappé aux injections forcées et multiples : ni en Afrique, ni à Madagascar, ni en Inde, pays peu vaccinés.

La cinétique de la surmortalité suit celle des rappels de vaccination. De tels faits avérés justifient des recherches de causalité urgentes, mais le silence des médias permet aux gouvernements d’éluder le problème. Combien faudra-t-il de morts supplémentaires pour qu’enfin les médias et les citoyens se saisissent enfin du problème ?

Il faut cesser ces injections inutiles au moins pendant plusieurs années afin d’en faire un bilan objectif, mais ce n’est manifestement pas le souci des dirigeants occidentaux.3


1 https://igorchudov.substack.com/p/proven-relationship-covid-boosters

2 Nos autorités le crieraient bien fort pour inciter encore à plus de piqûres et de rappel encore et encore…

3 Au contraire, le plan des globalistes du World Economic Forum de Klaus Schwab est en train de se réaliser sous nos yeux : faire baisser la population mondiale, comme ne cesse de le réclamer Bill Gates et compagnie depuis plus de 2 décennies.




Covid-19 « Vaccin Tueur », Verrouillage, Crise économique et sociale : crimes contre l’humanité

[Source : mondialisation.ca]

Les deux piliers stratégiques de l’agenda Covid-19 sont :

  • le verrouillage [confinement] : un acte de guerre économique et sociale qui a déclenché un processus mondial d’appauvrissement, de marginalisation sociale et de désespoir ;
  • le « vaccin » ARNm Covid qui a entraîné une tendance mondiale à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

Vidéo : Michel Chossudovsky et Caroline Mailloux






« Vacciner » un enfant contre le covid nécessite l’accord des deux parents

Par Nicole Delépine

Merci encore aux députés et sénateurs qui ont mis fin à la scandaleuse loi d’urgence sanitaire !

La suppression de cette négation de notre démocratie a entraîné la suppression de nombreuses mesures dérogatoires du droit commun et en particulier celle qui permettait à un parent de faire « vacciner » son enfant contre l’avis de l’autre, ainsi que le rappelle la Direction Générale de la Santé :

« DGS-Urgent n° 2022-73 : Évolution du formulaire d’autorisation parentale nécessaire à la vaccination contre la Covid-19 de toutes les personnes mineures

À la suite de la promulgation de la loi du 30 juillet 2022 mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie liée à la Covid-19, l’autorisation des deux parents est à nouveau nécessaire pour la vaccination de toutes les personnes mineures, en vertu du principe posé aux articles 371-1 et 372 du code civil, sauf impossibilité pour l’un des deux parents de recueillir l’accord de l’autre parent. »

Ainsi si un seul des deux parents n’est pas dupe des mensonges d’état prétendant que la pseudo vaccination anti-covid serait utile et sans danger, il peut à nouveau protéger son enfant.

Rappelons en effet que :

Les enfants ne risquent rien du covid (3 fois moins que de la grippe saisonnière).1 2 3

Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission.4 5 6 7 8 9 10 11 12

Les pseudo vaccins actuels n’empêchent pas d’attraper la covid :

Les pseudo vaccins n’évitent pas les transmissions.

Les pseudo vaccins n’évitent pas les formes graves :

Les pseudo vaccins exposent les enfants qui les reçoivent à de nombreuses complications dont des myocardites.

Les enfants n’ont rien à gagner des pseudo vaccins, leurs proches non plus.

Les pseudo vaccins anti-covid n’auraient jamais dû être autorisés chez l’enfant car leur balance avantage/risque est très fortement défavorable.

Protégez votre enfant, refusez les pseudo vaccins anti-covid !


1 Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020

2 LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China — the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9

3 Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020

4 Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology,
https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001

5 Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648

6 Shu Yang Early estimation of the case fatality rate of COVID-19 in mainland China: a data-driven analysis Annals of Translational Medicine, Vol 8, No 4 February 2020 Page 5 of 6

7 Intervention Team CDC COVID-19. Coronavirus Disease 2019 in Children—US February 12th April 2. MMWR Morb Mortal Wkly Rep. 2020 10 avril ; 69 (14) : 422-426 doi: 10.15585 / mmwr.mm6914e4.

8 Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.

9 Benjamin Lee and William V. Raszka COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879; DOI :
https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879

10 http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-grands-parents-peuvent-aller-chercher-leurs-petits-enfants-lecole-et-les

11 [5] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903

12 Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020;146(2):
https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576




Le vrai prix des biens de consommation

Nucléaire, énergie, sécurité, ce que les médias ne vous diront pas
Pénuries d’électricité ? La grande arnaque !

Par Alain Tortosa

Au commencement de l’argent, celui-ci se voulait une facilitation du troc.

Il n’était pas toujours facile de pouvoir échanger son blé contre une brouette si une des parties n’en avait pas besoin.
Ainsi fut inventée la monnaie dans le but de faciliter les échanges.

La valeur d’un bien étant conditionnée au labeur nécessaire pour l’obtenir, mais aussi de la rareté du produit.
Viennent ensuite des paramètres de plus en plus complexes comme l’économie d’échelle où la spécialisation, etc.

Comment se fabrique un prix ?

De nos jours le prix d’un produit est déconnecté de la réalité productive même si l’apparence peut parfois être trompeuse.

Si vous êtes un chef d’entreprise, vous pourriez me dire que le prix de votre produit est la somme :

  • Du prix d’achat des matières ou produits le composant,
  • Du coût des frais fixes (loyers, énergie, salaires).
  • De la marge bénéficiaire.
  • Des taxes et autres impôts.
  • Etc.

Mais même ceci est totalement faux, car votre prix final va être impacté à la fois par le marché (la concurrence), mais aussi par le prix que le client est prêt à considérer comme « acceptable ».

C’est ainsi que le prix public de certains produits peut être multiplié par 2, 5, 10, 100 ou même plus.

Tandis que pour d’autres ce sera l’inverse et vous devrez vendre votre lait à perte.

Même produit, différents prix

Comment expliquer que le prix d’un litre d’essence en Hongrie soit à 1,30 € tandis qu’il est de 1,80 € en France ?
Vous pourriez me dire que c’est les taxes. Oui… mais non.

Par exemple le site, l’Internaute1 a comparé le prix d’une cannette de coca au restaurant dans divers pays.
Le prix oscille entre 30 centimes en Inde et 3€ en France.

Ici encore, vous pourriez me rétorquer que c’est logique, car les salaires, loyers, etc. sont différents selon les pays, soit, mais…

Si la cannette n’est pas à 3 euros en Inde, ce n’est pas parce que les gentils commerçants indiens ne veulent pas escroquer leurs gentils clients, mais parce que le consommateur indien bouderait le produit qui serait inaccessible.

D’un point de vue comptable ou des charges fixes, une chambre d’hôtel coûte la même chose en basse saison sur la côte atlantique que le 15 août.
C’est même plutôt l’inverse, car un fort taux d’occupation permet des économies d’échelle.

Pourtant la nuit est facturée 3 fois plus cher en plein été uniquement parce qu’il y a plus de demande que d’offre et qu’il est admis par les vacanciers que ce soit plus cher.

Il y a ce facteur d’acceptation.
En octobre 100 % des chambres ne sont pas encore louées pour le mois d’août suivant. Et pourtant le propriétaire a déjà fixé son tarif habituel, soit 3 fois la somme hivernale.

Mais qui vérifie que l’établissement est plein pendant le mois d’août ?
Si tous les hôteliers affichent un prix identique alors rien ne leur interdit de garder un prix fort quand bien même la moitié des hôtels seraient vides.

De l’importance des trusts et des accords de non-concurrence.
Vous ne verrez jamais deux sociétés d’ascenseur se faire la guerre sur les contrats de maintenance afin de ne pas détruire la poule aux œufs d’or.

« Ce qui est cher est de qualité » et « ce qui est rare est cher »

Plus le prix est élevé et plus le produit est considéré comme ayant de la valeur.
Une Ferrari produite par millions et au prix d’une Twingo perdrait toute valeur ajoutée.

Pour une chaussure2 Air Jordan vendue 140€, le prix de production chez nos esclaves du tiers monde serait de 12€.
Vous pourriez me rétorquer qu’il faut bien payer le transport, les intermédiaires, etc.

Pourtant il est possible de trouver en France des chaussures neuves à 10€ en incluant le transport et les marges de tout le monde.
Imaginons que le coût soit de 0€ (je ne suis, hélas, pas loin de la vérité au regard du prix d’achat de quelques centimes et de la piètre qualité) nous pouvons dès lors affirmer qu’à marge identique, une Jordan pourrait se vendre 10 + 12 = 22 € en France !

Ce qui rendrait le produit sans le moindre intérêt aussi bien pour le fabricant que pour le client !

Le prix du carburant

Revenons un peu à notre essence3, nous voyons qu’au Venezuela, en Iran ou en Libye, le prix du litre est inférieur à 5 centimes (si ! Si ! C’est sérieux).

Ces pays producteurs ont fait le choix de faire profiter la population au lieu de la taxer.
D’autres comme la Norvège la vendent une fortune à leur peuple… il n’y a pas de petits profits.

En 2018 (avant la super escroquerie Poutine), un litre4 de sp95 coûtait environ 1,53€ le litre à la pompe et le prix du carburant arrivé en France ET raffiné était de 31% soit 47 centimes.

Comme vous pouvez le penser, ce tarif de 47 centimes est déjà un tarif d’escrocs qui inclut les marges colossales de Total aussi bien à la production qu’au raffinage ! (cf. quelques centimes à la pompe au Venezuela)

Notons que le coût du transport5 est marginal, estimé entre 5 et 10% de la marge brute du pétrole, soit peanuts.

Et pourquoi n’y a-t-il pas de concurrence sur le marché du pétrole ?
Tout simplement parce que les pays ont créé ou rejoint l’Opep6 qui, pays par pays, organise la production et donc la pénurie afin que le prix ne s’effondre jamais.
Tout ceci avec l’accord des États alors même qu’ils pourraient légiférer pour l’interdire.

Je n’ai jamais entendu l’Organisation Mondiale du Commerce annoncer qu’elle allait dissoudre l’OPEP.

Je précise que l’on nous bassine avec le pic de production depuis les années 1970.
Ce pic se veut le jour à partir duquel la production d’hydrocarbure ira à la baisse du fait de l’épuisement des ressources.
Cela fait plus de 50 ans qu’on nous le promet dans 2 ou 5 ans et cela fait 50 ans que la production ne fait que croître.
Il y a de fortes raisons de penser que ce pic de production n’existera jamais (des siècles) et que c’est un mythe.
Mythe entretenu à la fois par les écologistes pour nous faire croire que nous n’avons de choix que de passer à l’éolienne ou à la bougie, mais aussi par les industriels, car ce qui est rare est cher.

Escroquerie écologique qui nous vend du photovoltaïque ou de l’éolienne pour alimenter les voitures électriques7
Petite anecdote, la Californie a voté une loi annonçant la fin des voitures thermiques en 2035 tandis que le gouvernement local a appelé les propriétaires des voitures électriques à ne pas les recharger pour ne pas saturer le réseau électrique8

À propos des éoliennes je ne résiste pas au plaisir de vous dire que lorsque vous en voyez quelques tourner en l’absence totale de vent, cela ne relève pas d’un trouble visuel.
Afin de ne pas trop énerver le voisinage, il semble d’usage de les faire fonctionner à l’envers :

de l’électricité est injectée dans leur turbine pour les faire tourner.
Bien entendu ce gaspillage énergétique et cette manipulation sont justifiés autrement9.

Je suis incurable, dès que j’entends le mot « énergies renouvelables », je monte au créneau.

Je rappellerai donc que si les Allemands sont si dépendants du gaz russe c’est du fait de la fermeture de leurs centrales nucléaires sous la pression de la secte verte pro-dictature.
Gazprom10 a soutenu financièrement des ONG « écologistes » pour la construction de parcs éoliens et la fermeture de centrales nucléaires.
Je le rappelle pour la nième fois, non seulement les éoliennes ne sont pas renouvelables (utilisation de matières fossiles et terres rares), non seulement elles ne sont pas recyclables, mais surtout :

Elles fonctionnent peu la nuit, elles ne fonctionnent pas par grand froid (dans des pays comme l’Allemagne, quelle bonne idée !) et obligent donc à avoir des centrales thermiques au gaz qui tournent au ralenti, 24 heures sur 24 pour pouvoir être mises en route instantanément pour palier le manque de vent.

La mondialisation des prix

Pourquoi sommes-nous impactés en France par l’embargo russe (fou rire dans la salle pour le mot « embargo ») ou par le prix des tomates à Bogota ?

Nous devons cela principalement à Reagan qui a mis fin au peu de régulation qui existait encore11.
Le prix des matières premières, fer, aluminium et aussi de l’énergie (pétrole, charbon…), mais aussi les denrées alimentaires sont fixés au niveau mondial.

Cela veut dire que les prix sont désormais totalement déconnectés du coût réel de production mais uniquement le fruit d’une offre et d’une demande.

Si la demande mondiale sur le lait augmente alors l’éleveur français verra le prix d’achat de son lait augmenter et vice-versa.
L’exemple n’est pas parfait, car le lait liquide n’est pas un produit très transportable et donc le cours sera plutôt national, mais en revanche le lait en poudre ou le beurre le sont.

Le prix d’un produit agricole n’est même plus dépendant des aléas climatiques sur la planète, mais de la spéculation.
Spéculation qui peut même jouer sur le prix actuel du blé en pariant sur la prochaine récolte que l’on présumera bonne ou pas.

Notre monde est à ce point « merveilleux » qu’il est possible de spéculer sur des sécheresses et des famines.

Donc si aujourd’hui la moutarde est (était?) hors de prix ou introuvable en France, cela n’est pas directement lié aux stocks disponibles mais au bon vouloir des spéculateurs.
Certains ayant un pouvoir financier colossal.
Sans compter la contagion des marchés.
Si les prix augmentent alors tout le monde va acheter et cela va faire exploser les prix et inversement.
Les intermédiaires et les détaillants en profiteront aussi pour augmenter leurs marges toujours au détriment du client.

Prix de l’électricité et conflit ukrainien

En France nous avons décidé que le prix de l’électricité serait indexé sur le prix européen.

Ce même prix de l’électricité est lui-même indexé sur le prix de l’électricité fabriquée par des centrales thermiques et donc gaz et pétrole.

Ce qui est extraordinaire dans un pays ou plus de 75% de l’électricité était d’origine nucléaire (68% environ de nos jours depuis la dictature « verte »).

Pour « lutter contre la Russie » (version officielle) les fossoyeurs de la France et de l’Europe ont décidé de mettre en place un embargo sur le gaz et le pétrole russe.

Aubaine pour les marchés !

  • Qui dit embargo fait croire « pénurie ».
  • Qui dit « pénurie » entraîne une augmentation de la demande et des prix.

En réalité, seul le téléspectateur de BFM ou LCI peut croire qu’il y a un embargo.

Il n’y a évidemment ni embargo ni pénurie sur le marché mondial.
La Chine12, l’Inde, ou les Émirats arabes (pour ne citer qu’eux) ont augmenté leurs achats d’hydrocarbures ou gaz russe.
Russie qui croule désormais sous le cash grâce aux sanctions13.

Ces pays nous le revendent à prix d’or14, capitalisme oblige.

Et l’électricité dans tout ça ?
Le MWh15 est passé de 85€ à 1000€ en 1 an !

Pourquoi ?

  • Parce que le prix du gaz a augmenté uniquement par spéculation.
  • Parce que le prix du pétrole a augmenté en suivant le prix du gaz uniquement pas spéculation.
  • Parce que le prix de l’électricité a augmenté en suivant le prix des hydrocarbures.

Notre électricité nucléaire est-elle plus chère à produire depuis le début de la guerre entre l’Ukraine (les USA) et la Russie en 2014 ?

Bien sûr que non !

Le pétrole et le gaz sont-ils plus difficiles à produire, plus rares qu’avant la guerre alors même qu’il n’y a aucun embargo mondial ?
Absolument pas !

C’est exactement le même processus qui se produit avec la moutarde et nos importations de moutarde ukrainienne qui sont marginales.

Production d’électricité et de gaz en France

Le gaz16 représente 6 % de notre électricité, probablement à cause du parc éolien et des centrales nucléaires à l’arrêt.
Il permet de répondre rapidement à un accroissement temporaire de la demande.
Le gaz russe17 dans tout ceci ne représente que 17 % de nos achats !
De fait, il ne représente que 1 % de notre production électrique.
Et ce serait de nature à entraîner des coupures ou nous contraindre à ne plus nous chauffer ?

Hélas ! de nombreux Français ignorent cette réalité et gobent cette escroquerie.

Bilan production, importations, exportations

En 2020 la France a exporté18 77,8 TWh et importé 34,6 TWh.
Ce qui veut dire que nous avons 43,2 TWh de surproduction, de « marge »
La consommation totale était de 460Twh en 2020 (473 TWh19 en 2019), soit un excédent de 9 %.

Et ces 9% ne compenseraient pas la perte de 1% de gaz russe ?

Je ne peux résister et me dois de rajouter une couche « écologique ».

  • Si d’aventure il y avait un changement du climat mondial.
  • Si d’aventure ce changement était anthropique (dû à l’homme).
  • Si d’aventure la cause en était le CO2 (je vous rappelle que la quantité de CO2 dans l’air20 est de 0,04%).

Il se trouve que les centrales nucléaires rejettent 0% de CO2 et qu’elles sont donc « écolos » !

À noter que la température sur Terre serait de -18°C sans l’effet de serre21.

« Maintenance » des installations nucléaires françaises

28 des 56 réacteurs nucléaires français étaient à l’arrêt22 à la mi-août.
Les dernières nouvelles parlent plutôt de 32 réacteurs en sommeil.

Reporterre23 nous alertait déjà en septembre 2020 :

«  Sur 56 réacteurs, 24 sont actuellement à l’arrêt, soit près de la moitié. Les causes dépassent largement la fermeture récente de Fessenheim. La sécheresse, les avaries techniques d’EDF et le décalage d’opérations de maintenance à cause du Covid-19 ont profondément bousculé la gestion des centrales nucléaires. »

Ces 24 réacteurs arrêtés en 2020 n’ont pas empêché la France d’exporter 43 TWh cette même année.

Nous en avons actuellement 32 à l’arrêt deux ans plus tard, soit seulement 8 de plus.

D’autre part Reporterre24 précise que pour cette année :

« Sur les 56 réacteurs nucléaires en service que compte la France, 31 étaient arrêtés lundi 5 septembre (2022) : 16 pour maintenance ou maintenance courante, 14 pour des contrôles relatifs au problème de corrosion sous contrainte et deux pour économie de combustible, “afin d’optimiser leur disponibilité cet hiver” »

Cela veut dire qu’il n’y a déjà strictement aucun problème pour en relancer 18 sur 32 !

Il est précisé :

« D’après le calendrier envoyé par EDF à Reporterre, 26 des 31 réacteurs arrêtés au lundi 5 septembre devraient redémarrer d’ici le 25 décembre 2022. »

Quand bien même il y aurait un petit optimisme sur le calendrier, il semble évident que le nombre de réacteurs remis en route sera important !

Et oui, les réacteurs sont à l’arrêt pendant l’été, rien d’anormal25 !

« Les arrêts des réacteurs pour maintenance sont habituellement effectués pendant le printemps et l’été »

Les centrales nucléaires c’est comme les chauffe-eau au gaz ou les conduits de cheminée, on fait le ramonage ou la maintenance avant la saison froide.

Jouer sur la peur en affichant leur fermeture naturelle en été n’est que manipulation des masses.

Les réacteurs nucléaires ont produit26 379,5 TWh en 2019 (en tenant compte des arrêts pour maintenance). Ce qui correspond à une moyenne de 6,8 TWh par réacteur.

La surproduction en 2020 de 43,2 TWh correspond donc à l’équivalent de plus de 6 réacteurs.
Nous avions en 2020 une marge de production de 6 réacteurs !

Fukushima, sécurité nucléaire et danger du nucléaire, il faut raison garder

Revenons un instant sur l’accident de la centrale de Fukushima27.
À la différence des centrales françaises, celle-ci n’avait qu’un seul circuit d’eau dédié à la fois au refroidissement et à la production de vapeur pour les turbines.

En France il y a 2 circuits isolés avec un échangeur.
L’eau qui est chauffée par le réacteur est radioactive dans un circuit fermé (dans l’enceinte de confinement) tandis que le circuit qui fait tourner les turbines (à l’extérieur du bâtiment) n’est pas radioactif.

Les ingénieurs japonais avaient calculé une hauteur de vague de 9 mètres alors qu’il aurait fallu 14 mètres pour se protéger des tsunamis.
C’est la vague qui a noyé le système de refroidissement28 et détruit toutes les alimentations électriques qui n’étaient pas étanches.

À la différence de Tchernobyl, le système d’arrêt du réacteur a immédiatement fonctionné et il ne demeurait plus qu’un problème d’évacuation de la chaleur.

Le danger qui demeurait était le risque de fusion causé par la température extrême dans le réacteur.

À Fukushima, ils ont dû envoyer de l’eau de mer dans le réacteur pour le refroidir.
Cette eau combinée aux éléments radioactifs a entraîné la fabrication d’hydrogène qui a, par la suite, provoqué une explosion.
La grande différence entre Fukushima et Tchernobyl étant l’existence d’une enceinte de confinement.

Il est à noter qu’une petite partie du combustible s’est retrouvée sans eau, ce qui a provoqué un début de fusion et d’évaporation de matière radioactive.

Le nucléaire est-il dangereux ?

Un travailleur29 est reconnu décédé des suites de l’accident au Japon tandis que 4 autres sont reconnus malades.
En 2017, une dizaine de travailleurs30 parmi les milliers d’ouvriers du site étaient décédés, mais pour des causes diverses indépendantes de la radioactivité, comme des crises cardiaques ou des accidents.

En revanche, le Tsunami31 a officiellement provoqué 18 000 morts et disparus.

Une étude publiée en 2021 sur l’incidence de Cancer32 à Fukushima entre 2008 et 2015 (l’accident datant de 2011) n’a fait apparaître aucun changement significatif. Il faudra suivre l’affaire mais je vous invite à lire le chapitre de mon ouvrage consacré à Hiroshima.

Une autre étude s’est penchée sur les cancers de la thyroïde33 chez les enfants de Fukushima entre 2011 et 2017 soit jusqu’à 6 ans après la catastrophe.

Leurs conclusions étaient :

« Les différences régionales de dose de rayonnement n’étaient pas associées à un risque accru de cancer de la thyroïde chez les enfants de Fukushima dans les 4 à 6 ans suivant l’accident de la centrale nucléaire.

L’obésité peut être un facteur important pour un suivi ultérieur à Fukushima. »

En 2016 le charbon34 aurait provoqué la mort prématurée de 23 000 personnes uniquement en Europe !
Bien évidemment, tout le monde s’en fout !

Ce sang est sur les mains des « écologistes » allemands et des politiques corrompus qui ont fait fermer les centrales nucléaires entraînant mathématiquement la réouverture de centrales à charbon et au gaz.

Imaginez 23 000 morts dus à la centrale de Tricastin dans la vallée du Rhône ! Cela se traduirait par une révolution !

23 000 ce n’est rien à côté des 366 000 personnes qui seraient mortes en Chine35 en 2013 du fait des particules fines.

En 2018 on estimait que les énergies fossiles36 provoquaient 8 millions de morts par an, soit largement plus que le faux Covid.

Corrosion des centrales nucléaires françaises, il faut raison garder

J’ignore la raison principale ou la vraie raison qui a conduit à l’arrêt des 14 centrales pour corrosion.

Lors de visites de maintenance, on s’est aperçu qu’il y avait des microfissures dans un des circuits dit RIS37.
Ces RIS ou « circuits d’injection de sécurité » ont pour vocation de ne jamais être utilisés sauf en cas de grave accident.

Pour pallier le problème de perte de liquide dans le circuit primaire les centrales françaises ont non seulement un circuit primaire séparé, mais aussi le fameux RIS (utilisé dans toutes les centrales du monde).
Les RIS (il y en a plusieurs pour des redondances de sécurité) sont des réservoirs d’eau borée38 reliés au circuit primaire qui permettent de le réalimenter pour refroidir le réacteur dans le cas de perte d’eau.

Pourquoi de l’eau borée ?
Parce que le bore absorbe les neutrons et contrôle (ralentit) la réaction nucléaire.
Pour autant, le problème est et demeure la température.
Elle est de l’ordre de 400 à 500° et c’est la raison pour laquelle il faut absolument un système de refroidissement.
Le circuit primaire, l’échangeur et le circuit secondaires doivent pouvoir fonctionner pendant des mois après l’arrêt du réacteur jusqu’à l’obtention d’une température « acceptable ».

Pour qu’il y ait une catastrophe nucléaire due à une perte d’eau du circuit primaire, il faudrait que le réacteur soit au sec, que les deux RIS ne soient pas en mesure d’injecter de l’eau, que le circuit d’aspersion soit défaillant, que le circuit secondaire ne refroidisse plus (avec de l’eau ou de l’air), que les barres de combustible fondent et enfin que l’enceinte de confinement (le seul endroit qui contient de la matière radioactive) soit compromise.

Actuellement, il s’agirait de microfissures détectées par radiographie ou par ultrason dans des tuyaux en acier inoxydable de 30 cm de diamètre et d’une épaisseur de 3 cm !

Il y aurait aussi ce phénomène de corrosion dans certains circuits secondaires (non radioactifs).
J’entends qu’il est plus que raisonnable de les inspecter régulièrement, de remplacer des sections ou des coudes qui pourraient présenter un risque, mais de là à projeter des millions de morts…

Je précise que ce problème de corrosion n’est pas un problème de vieillissement car il semble apparaître QUE sur les nouvelles centrales. Ce serait donc un problème à la construction, problème qu’il est assez facile de résoudre.

Alors :

  • Sont-elles fermées parce qu’il y a un vrai problème ?
  • Sont-elles fermées pour vérifier s’il pourrait y avoir un problème ?
  • Sont-elles fermées pour une maintenance somme toute « normale » ?
  • Sont-elles fermées pour des raisons politiques (lobbies écolos, etc.) ?

Et surtout, vont-elles être redémarrées en temps et en heure, comme promis par le président d’EDF ?

N’oublions pas que notre « cher » Président avait promis la fermeture de 14 réacteurs39 d’ici 2035.

Cet effet d’annonce a eu des conséquences sur la filière et sur les investissements mais aussi sur la formation de personnels spécialisés bien que le nucléaire militaire (sous-marins, etc) ait continué à se développer en parallèle.

La filière pourrait ainsi souffrir de tensions dans les personnels comme il y a des tensions dans les hôpitaux suite à des décisions purement politiques.

Gaz, nucléaire, production, le principe de réalité permet donc de couper court à ce délire économique et énergétique qui nous est promis.

Risque de pénurie ?

Celle-ci relève bien d’une grande mystification et c’est un marronnier comme la rentrée des classes ou la saturation des réas à l’automne.

20 Minutes40 titrait en 2016 (il y a 6 ans!).

« Avec 21 réacteurs nucléaires à l’arrêt, la France va-t-elle manquer d’électricité cet hiver ? »

On vend de la peur tous les ans avec ce faux problème.

Alors la France pourrait-elle vraiment manquer d’électricité ?

Nous avons vu que si nous perdions l’intégralité du gaz russe sans compensation, nous aurions une perte de production de 1% alors même que nous sommes excédentaires de 9%.
Nous avons vu qu’il n’y aucun problème de production nucléaire et aucun problème pour les remettre en route.

La seule cause de pénurie ne pourrait être QUE politique

  • Si d’aventure l’Allemagne n’achète plus de gaz russe et ne compense pas par du pétrole, du charbon ou du gaz en provenance d’autres pays.
  • Si d’aventure la France fournit à l’Allemagne des quantités colossales et abusives d’électricité.
  • Si d’aventure la décision politique est prise de ne pas rouvrir les centrales à l’arrêt pour maintenance ou à l’arrêt parce que l’on est censé les fermer pour « sauver la planète » du réchauffement climatique.

Il serait effectivement envisageable de manquer d’électricité.
Et il suffirait alors de changer de Président pour retrouver la surproduction !

À qui profite le crime ?

Je ne suis pas dans le secret des Dieux et comme d’habitude il peut exister des intérêts convergents, concomitants ou divergents sur cette crise de l’énergie.

  • Elle est un moteur puissant de la peur et de la sidération.
  • Elle fait partie du plan du Grand Reset pour nous réduire en esclavage.
  • Elle est un des maillons de la lutte contre le « réchauffement climatique » et la mise en place du futur passe-carbone.
  • Elle permet donc d’accélérer la fin des droits de l’homme et d’installer la dictature mondiale pour des dizaines d’années.
  • Elle permet aux producteurs d’énergie d’accroître leurs fortunes colossales grâce à la peur et la spéculation.
  • Elle rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres (vive le libéralisme !).
  • Elle permet de renforcer Poutine et la Chine (ce qui n’est pas du goût de tout le monde).
  • Elle permet de relancer la filière nucléaire (tuée arbitrairement par Fukushima) garante d’une énergie dé-carbonée, d’une indépendance énergétique et d’une énergie peu onéreuse (quoi qu’en disent les manipulateurs de chiffres).

Retour à l’augmentation des prix

Le « ça augmente » constaté par le consommateur n’a donc pas de sens.
On lui en confère un parce que le blé ou l’électricité augmentent et qu’il « faut » le répercuter sur le prix de vente.
Alors même que cette augmentation n’en a pas d’un point de vue productif mondial.

Il n’y aucune raison pour que le gazole du tracteur soit plus cher.
Il n’y a aucune raison pour que le blé français coûte plus cher à produire et soit donc plus cher à la vente.

La « noblesse » du sacrifice de l’individu au profit d’un grand tout

D’un point de vue politique, tout ceci est présenté comme un acte altruiste, le sacrifice au service des autres (comme les injections expérimentales).

Il devient « noble » qu’une mère au foyer ne soit plus en mesure de nourrir ses enfants dès lors que la cause l’est aussi, « lutter contre le dictateur Poutine ».

Vous et moi savons que tout ceci n’est qu’une vaste escroquerie.

Mais imaginons un instant que ce soit vrai, où est la noblesse dans l’autodestruction de son pays, de son capital productif, de son autonomie alimentaire, de son autonomie énergique (centrales nucléaires) et de la capacité de sa population à vivre dignement ?

Pouvez-vous me citer une guerre, un conflit dans lequel les riches ne sont pas devenus plus riches et les pauvres plus pauvres ?

Les famines se déclenchent principalement dans les pays pauvres (et peut être bientôt chez nous) non pas par la diminution « naturelle » (climatique) des productions agricoles mais :

  • Soit par la suppression des cultures vivrières (exemple : manioc) au profit de cultures d’exportation (haricot vert). Le comble étant l’utilisation de terres nourricières pour produire du « bio » carburant.
  • Soit par la spéculation sur les matières premières (exemple : cacao) qui privera les autochtones de la capacité financière à se les procurer.

Je rappelle à celles et ceux qui l’ignorent (cf mon ouvrage) qu’il suffirait de 10 milliards par an pendant 10 ans pour éradiquer (probablement définitivement) la faim dans le monde.

Le marché amasse actuellement des fortunes colossales sur notre dos de moutons dociles ou ignorants.

Dans un monde « normal », il n’y avait aucune raison pour que les nectarines coûtent une fortune cet été.

Mais ultralibéralisme oblige, chacun cherche à augmenter ses marges, ses profits, du producteur au détaillant.

Nous sommes les dindons de la farce, les imbéciles qui regardent les prix augmenter et qui se disent « qu’est-ce qu’on y peut ? ».

Noirceur

Où sont donc les politiques qui nous promettaient un monde meilleur, plus égalitaire et avec moins de souffrances ?

Les Français ont (officiellement) choisi de replacer à la tête du pays un homme qui nous explique année après année que l’avenir est horrible, et ce avec le concours zélé des journalopes.

  • Le pire est à venir.
  • Les prix de l’énergie vont exploser.
  • On va avoir des coupures de gaz et d’électricité (mais pourquoi donc?).
  • Les ménages devront se laver à l’eau froide, prendre une douche par semaine.
  • Ils devront se chauffer à 17°c, abandonner leur voiture puis perdre leur emploi.
  • Pour mourir dans quelques années du fait du réchauffement climatique.

Mais pour quoi (en 2 mots) ?

La réponse d’un point de vue économique et social est :

« Pour rien ! »

Il suffit aux maîtres du monde de claquer des doigts pour que la crise disparaisse en quelques heures.
Il suffit que des hommes politiques au service de leur pays (il y en a?) sifflent la fin de la partie et disent à tous les protagonistes : « vous reprenez les marges que vous aviez avant la crise !»
Et c’est tout…

Il n’y a aucun élément objectif pour créer une crise économique.

  • Ni virus.
  • Ni conflit armé.
  • Ni réchauffement climatique qui mettrait en danger l’avenir de l’homme.

La révolte, c’est pour quand ?

Mais pour cela, ce n’est pas en écrivant ce texte que les murs vont bouger !
Ce n’est pas en se fabriquant sa petite vie à l’abri du système dans un îlot de bonheur que les murs vont bouger !

Ce que d’aucuns appellent « solidarité » (d’un petit groupe) peut s’envisager comme « égoïsme ».

Devons-nous crever pour aider une Europe ou une Allemagne qui est trop conne pour avoir fermé les centrales nucléaires et trop conne en refusant d’acheter du gaz russe ?
Devons-nous par « solidarité » crever avec elle ?

Nous avons fait bouger les murs un tout petit peu aux dernières élections législatives.
Et pourtant nous n’avions pas les candidats du renouveau et de la liberté que nous désirions.

Malgré cela, en votant pour des professionnels de la politique, en votant pour ces candidats qui vivent du système, les murs ont un peu tremblé.

Naïfs sont ceux qui croient que si Macron avait eu la majorité absolue à la chambre nous en serions au même point.
Les masques seraient là, le passe sanitaire aussi et le passe climatique aurait déjà été voté.

Il nous faut profiter de cette petite accalmie, de cet œil du cyclone, pour partir ou repartir au combat dans l’union !
La classe moyenne de certains pays n’arrive plus à vivre dignement et se nourrir !
Les peuples en Europe (anglais, allemand, italiens, etc.) n’en peuvent plus !
Ils n’en peuvent plus de cette caste politique qui nous conduit à la dictature mondiale, à notre appauvrissement, et à la fin de nos libertés.

En France la dictature utilise encore la planche à billets pour nous museler.
Miraculeusement le litre d’essence et passé de 2,2 euros à 1,50 euro alors même que l’embargo russe est toujours présent.
Le gouvernement a acheté la paix sociale à l’école en augmentant les enseignants qui n’hésiteront pas à obliger à nouveau la muselière si elle était obligatoire.

Nous voyons bien une forte augmentation du prix des denrées alimentaires mais la baguette n’est pas à 100 euros.
Pourtant si l’hyperinflation arrive elle passera à 100 ou même à 1000 euros.
Mais là il sera probablement trop tard.

Alors la dictature a prévu le coup, elle s’est bien débrouillée pour dire que si nous bougeons, la loi martiale sera promulguée et que cela terminera dans un bain de sang.

Mais n’avez-vous pas compris que si nous nous levons, ils n’auront de choix que de s’exiler dans un pays lointain pour éviter d’avoir leur tête au bout d’un pic ?

Allons-nous être aussi paralysés et stupides que les peuples opprimés à travers l’histoire ?
Allons-nous attendre, ne rien faire, dire que ça va passer ou qu’il n’y a rien à faire ?
Allons-nous dire « il est hors de question que je manifeste avec machin car il est d’extrême droite ou trotskiste » ?
Allons-nous faire passer les ego avant l’objectif présent qui est de détruire cette dictature mondiale qui n’est qu’une dictature de chiffons ?

Vous n’entendez pas le bruit des bottes ?

Qu’attendons-nous donc pour harceler pacifiquement les médias du monde entier et leur montrer que nous sommes du côté de la justice, que nous allons gagner et qu’ils doivent choisir leur camp ?

L’AFP est à nous, pas à une minorité de pourritures !

Allons-nous laisser Radio-France41 être officiellement la voix de la dictature climatique stalino-libérale ?

Le gouvernement est à notre service, il n’est pas là pour diriger mais entériner les décisions du peuple, de la majorité du peuple et non d’une minorité au pouvoir.

Il est à notre service et non l’inverse.

NON !

Merci

Alain Tortosa

6 septembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220906-prix-produits-energie-penurie-arnaque.pdf

Notes et références



France — François Braun, nouveau ministre de la Santé face aux urgences

[Source : contrepoints.org]

Par Bernard Kron

Les drames aux urgences ont rebondi avant l’été avec le retour massif à l’hôpital des malades non covid. En 2019 les services d’urgences connaissaient déjà la crise la plus grave depuis plus de 10 ans avec 25 000 000 passages par an. Il n’était pas rare de rester 12 heures sur un brancard avant d’être pris en charge. Désertées par les malades paniqués par la covid pendant la pandémie elles connaissent un nouvel afflux alors que 20 % des lits sont fermés faute de personnels.

[Note de Joseph : la situation des urgences et des services de Santé en général au Québec est très voisine de la française, pour des causes également similaires.]

François Braun, ancien Président de Samu-Urgences de France n’a jamais été ni élu, ni militant politique. Il va donc agir en technicien sauf si il est empêché par une mauvaise feuille de route.

Le malaise hospitalier est extrêmement profond avec un été à hauts risques du fait des pénuries de personnels. Au moins 120 services sont en détresse. Le personnel manque et fatigue, ce qui impose des fermetures. Pour l’instant le bilan de l’été est mitigé car on ne sait pas encore quels appels au SAMU n’ont pas abouti et s’il y a eu des morts par retard de prise en charge.

La liste est longue des hôpitaux en difficultés.

Gilbert Mouden, infirmier anesthésiste et représentant du personnel Sud Santé Sociaux a expliqué qu’« aux urgences du CHU de Bordeaux, les patients seront accueillis par deux bénévoles de la Protection civile et un agent de sûreté. » Par manque de personnels soignants, l’hôpital de Bordeaux a décidé de fonctionner en mode dégradé le soir et la nuit car « environ 40 % des médecins urgentistes sont sur le départ ou en arrêt de travail en lien avec des burn-out. »

Le service des urgences de l’hôpital de Arles, qui accueille environ 36 000 patients par an, fonctionne avec 40 % d’intérimaires pour combler les postes de médecins vacants.

Dans le Puy-de-Dôme, le Rhône, la Sarthe, la Corse, la Mayenne, la Vendée… les services d’urgence s’organisent en conséquence entre fermetures complètes du service ou uniquement la nuit.

À l’hôpital de Laval la situation est aussi « effrayante ». Depuis mars, les urgences sont fermées par tranches de 12 heures. Seules les urgences vitales seront prises en charge.

Élisabeth Borne a retenu les 41 propositions de la mission flash qui avait été confiée au futur ministre pour sauver les urgences. Elle avait souligné « trois axes forts» ciblés pour une durée de trois mois. Elles feront l’objet d’une évaluation à la fin septembre pour envisager leur devenir.

Les défis immédiats et urgents sont considérables. La pénurie de soignants est dramatique.

« Les soignants sont tracassés et fracassés. Par une sélection ubuesque en première année, par un Externat où ils font plus de travail subalterne que de la vraie formation, par un internat trop tardif et pas assez encadré. Épuisés, le suicide ou l’abandon de ces métiers en sont la conséquence. » Blouses Blanches colère noire.

La réorganisation des urgences, une priorité

À l’hôpital, un « électrochoc » sur les moyens et les effectifs est réclamé à cor et à cris. Sans changer de fond en comble l’organisation hospitalière, rien ne sera possible.

La solution ? Lutter contre le covid ! « Le ministre pense qu’une des solutions passe par la vaccination massive ». Il est pro vaccin pour tous et pro pass. Très inquiétant pour le projet de loi du 11 juillet car l’efficacité de la quatrième dose est fugace et annonce la cinquième dose.

Un signal contradictoire pour ce vaccinolâtre pourrait être donné : réintégrer les soignants suspendus. Cela se posera avec acuité si les soignants vaccinés refusaient la quatrième dose.

Le Service d’Accès aux Soins

Madame Borne a expliqué aux soignants hospitaliers :

« Ce que je souhaite, c’est que chacun puisse prendre le réflexe du 15 et ne pas venir systématiquement aux urgences. C’est impossible que l’hôpital et les urgences puissent faire face à tous les besoins de soins des Français […] Cette bonne orientation, on l’a vu ici, c’est la clé pour ne pas mettre une trop forte pression sur les services d’urgences cet été ».

La Première ministre se trompe mais elle est là pour mettre en musique le Ségur de la Santé.

Le Service d’accès aux soins lancé dans le cadre du Pacte pour la refondation des urgences et réaffirmé lors du Ségur de la santé, est une lourde erreur.

Son objectif est de répondre à la demande de soins vitaux, urgents et non programmés partout et à toute heure, grâce à une chaîne de soins lisible et coordonnée entre les acteurs de santé de l’hôpital et de la ville d’un même territoire.

Le SAS a peine à décoller. Sur les 22 sites pilotes désignés par le ministère de la Santé, nombreux sont ceux qui rencontrent des difficultés organisationnelles ainsi qu’un manque cruel d’effectifs.

Certains médecins engagés dans des projets ont même décidé de mettre fin à leur participation, dénoncent les rémunérations insuffisantes actées dans le cadre de l’avenant 9 à la convention médicale en juillet dernier.

C’est une totale utopie faute de personnels suffisants, bien formés et de soignants disponibles pour les recevoir. De nouveaux drames au SAMU ne vont pas manquer de sortir en automne après un été difficile.

Bed manager et revalorisation des gardes

Le poste de bed manager a été créé pour éviter l’attente sur un brancard : ce professionnel fait au quotidien l’inventaire des lits, renseigne les services sur la disponibilité en lits des établissements du territoire, et anticipe les besoins pour le week-end ou les jours fériés. 

À l’hôpital, une revalorisation de 50 % de la rémunération des gardes de nuit des médecins va être expérimentée sur trois mois. L’intersyndical Action Praticiens Hôpital (APH) réclamait un doublement de la rémunération des gardes (600 euros brut). Les majorations de nuit pour les autres soignants seront doublées.

Incitation tarifaire

Les Unions régionales des professionnels de santé ont appellé à la mobilisation tous les professionnels de santé.

La majoration de 15 euros pour encourager les médecins généralistes libéraux à accueillir des soins non programmés, la revendication de la majoration de 15 euros pour les consultations de patients extérieurs au cabinet a été acceptée, lorsque ceux-ci sont adressés par le 15. Les maisons médicales de garde pourront également être ouvertes le samedi matin, avec des consultations majorées de 15 euros.

La régulation médicale par les médecins libéraux sera revalorisée à 100 euros de l’heure cet été et les praticiens bénéficieront d’une couverture assurantielle garantie par les établissements de santé.

Les déserts médicaux

En ville, la question des déserts médicaux s’est imposée lors de la campagne présidentielle. Des arbitrages délicats sont réclamés sur la liberté d’installation et le conventionnement sélectif.

Agnès Firmin-Le Bodo, ministre déléguée chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé, a « toujours été contre » la contrainte à l’installation.

Elle promet d’associer les représentants des élus locaux, les Unions régionales de santé, les professionnels de santé, les associations de patients et les agences régionales de santé mais aussi de travailler main dans la main avec sa collègue Caroline Cayeux, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales.

Il faudrait revenir à un internat régional pour éviter des mesures coercitives qui seraient contre-productives. Rien ne pourra se faire sans réformer les études de médecine et l’internat.

Les études de médecine sont trop longues et trop théoriques. L’internat de médecine générale est trop tardif et pas assez formateur. Le prolonger d’une année pour envoyer les internes dans les déserts médicaux serait une fausse bonne idée. Il faut au contraire le rendre accessible dès la cinquième année. Il y aurait ainsi davantage de médecins mieux formés sur le marché, probablement plus de 10 000 en trois ans.

Comment en sommes-nous arrivés là ?

Les raisons sont anciennes.

Les cliniques privées et les médecins libéraux participaient à la prise en charge des urgences. Beaucoup ont fermé. Les contraintes et une tarification insuffisante les en ont détournés.

Six millions de Français n’ont plus de médecin traitant. Ils affluent aux urgences pour le moindre bobo. La quasi gratuité fait le reste.

La complémentarité public/privé a été détruite depuis 1996. Les cliniques regroupées dans des chaînes ne sont plus intéressées par les urgences avec une tarification en moyenne quatre fois inférieure pour les actes non programmés par rapport à l’hôpital.

Quelles solutions ?

Tout devrait commencer par la formation des médecins lors du deuxième cycle. La culture de l’urgence s’apprend. Elle ne doit pas reposer sur les seuls urgentistes. Les médecins généralistes devraient savoir suturer et immobiliser une fracture.

Comme c’était le cas pour les générations précédentes, les internes devraient être formés à leur prise en charge. Rien ne les prépare à la fonction d’interne.

Les docteurs junior ne seront en responsabilité qu’en quatrième année. Il faudra donc attendre un an avant que leur formation leur permette de s’occuper des urgences. Quel retard !

L’État a essayé de tuer les cliniques mais c’est l’hôpital qui meurt !




Lettre ouverte à Mr Michel Onfray, philosophe et polémiste

Par DR Gerard Delépine

Monsieur,

Ce fut un immense plaisir de vous entendre sur Cnews sur l’émission de Yvan Rioufol, le dimanche 4 septembre 2022, plaider avec détermination et éloquence pour la sortie de l’Europe de Maastricht. Ce fut un ravissement de vous entendre défendre une ligne politique souverainiste cohérente en cette période où tant de politiques se comportent en girouettes, mais toujours pro Maastricht, pour plaire aux électeurs d’après les sondages biaisés dont nous abreuvent les médias dominants.

Créer un mouvement d’union large pour le Frexit qui se présenterait aux élections européennes donnerait enfin de l’espoir à la majorité des classes populaires et devrait les motiver pour sortir de l’abstention où les a enfermés jusqu’à présent l’absence d’alternance politique crédible.

Mais pour être totalement crédible, il est nécessaire que vous constatiez et admettiez votre erreur lorsque vous avez réclamé une « obligation vaccinale » anti-covid comme Ursula von der Leyen le demandait. On peut comprendre que vous ayez « cru » en un médicament abusivement qualifié « vaccin » présenté comme « la solution » à la crise covid. Je ne conteste pas non plus votre droit à vous le faire injecter, mais votre célébrité utilisée dans cette manipulation mondiale nous a attristé, effondré.

Ce traitement est expérimental, car ses essais phase 3 ne sont pas terminés (ils le seront peut-être en 2023). Imposer une obligation pour un médicament expérimental est contraire au code de Nuremberg(([1] https://famous-trials.com/nuremberg/1903)), base de l’éthique médicale depuis 1946(([2] https://nouveau-monde.ca/les-decisions-du-proces-de-nuremberg-sont-dune-brulante-actualite/)), mais aussi à la déclaration d’Helsinki de l’Association Médicale Mondiale(([3] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/)), et à la convention d’Oviedo(([4] https://www.coe.int/en/web/bioethics/oviedo-convention)), texte juridique contraignant que la France a signé et transposé en droit national.

L’avis du conseil de l’Europe du 27 janvier 2021(([5] https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-004802_FR.html)) l’a rappelé en demandant instamment aux États membres et à l’Union européenne de :

« s’assurer que les citoyens sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ne souhaite pas le faire personnellement » et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

L’absence de consentement libre et éclairé pour un traitement expérimental a, en effet, été le principal motif de la condamnation des médecins nazis lors du procès de Nuremberg.

Je suis médecin, j’ai exercé en France près de 50 ans. De principe je ne suis ni pro ni anti-vaccin. J’ai toujours défendu les vaccins efficaces sans danger qui permettent d’éviter les maladies graves. Je suis contre les vaccins inutiles et contre les vaccins insuffisamment étudiés comme celui contre la dengue (qui a causé des centaines de morts aux Philippines), comme le vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer invasif du col) et, pour l’instant, contre les pseudos vaccins Covid dont l’efficacité prétendue est contredite par les données officielles de l’OMS.

Les données officielles de l’OMS confirment en effet que loin d’éradiquer la maladie les campagnes de vaccination ont été suivies d’une accélération des contaminations (rythme mensuel de nouveaux cas par million multiplié par 3).

Cet échec des pseudo vaccins n’est pas dû aux non-vaccinés comme tente de le faire croire la propagande dominante, car les données officielles de l’OMS montrent que ce sont les pays très vaccinés qui souffrent de cette explosion de contaminations.

L’inefficacité totale des pseudo vaccins à prévenir les transmissions, maintenant prouvée, enlève toute justification à une éventuelle obligation vaccinale. De même les vaccins ne sont pas efficaces contre les formes graves, car les mortalités n’ont pas diminué depuis les vaccins.

Toutes les données présentées, officielles et publiées par l’OMS, démentent formellement la propagande officielle de la prétendue utilité des injections anti-covid. L’acceptation apparente des injections par la population a été extorquée par des mensonges permanents sur la nature et l’efficacité des pseudovaccins et des chantages répétés d’une violence extrême excluant des catégories de professionnels de leur sacerdoce et les discriminations exercées contre les vaccino prudents :

car la sécurité alléguée des vaccins n’a pas été confirmée, bien au contraire. De nombreux médecins le craignaient d’emblée, car leur élaboration a utilisé des techniques nouvelles jamais employées en infectiologie, a souvent sauté les étapes de sécurité :

pas d’études animales sérieuses, essai mélangeant phase 2 et 3, trop peu de sujets dans les essais, études sur des sujets en bonne santé de 18 à 55 ans qui ne constitue pas la population pour laquelle le vaccin pouvait être utile), recul de suivi ridicule (quelques semaines) et leur mise sur le marché trop rapide.

De même leurs indications, qui pouvaient se discuter pour les personnes à risques (pour lesquels existaient d’emblée des traitements précoces efficaces) n’auraient jamais dû concerner la majorité de la population (les moins de 65 ans) qui ne risquait presque rien et les enfants qui ne risquaient rien du tout. De ce point de vue, les chiffres actuels des organes officiels de surveillance des accidents vaccinaux (VAERS aux USA et Eudravigilance en Europe) sont angoissants et confirment qu’on aurait dû appliquer le principe de précaution tant que les essais n’étaient pas terminés.

Compte tenu de ces données, il paraîtrait utile que vous reveniez sur votre position passée sur l’obligation pseudo vaccinale (que d’ailleurs aucun pays démocratique n’a imposée). Étant donné la propagande actuelle pour un xième booster, et surtout pour l’injection des jeunes selon les préconisations de la Commission européenne que le gouvernement français suit rigoureusement, et par ailleurs votre célébrité, vous pourriez aider à protéger singulièrement les enfants et les jeunes.

Il est toujours difficile de reconnaître ses erreurs passées, mais une telle attitude grandit ceux qui en sont capables. La Première ministre norvégienne, Erna Solberg, a reconnu à la télévision que le confinement était inutile et qu’elle l’avait décrété par peur ; elle a été félicitée pour cela par ses compatriotes. Merci de l’imiter !

Je regrette d’avoir été aussi long, mais l’énoncé des faits avérés est nécessaire tant les mensonges officiels sont permanents. Je reste à votre disposition pour vous fournir tout renseignement que vous pourriez désirer sur ce problème. En vous souhaitant beaucoup de succès dans vos projets.

Bien à vous.

DR Gerard Delépine, chirurgien orthopédiste cancérologue et statisticien