Pierre Hillard : « Davos a choisi Macron pour plonger la France dans le chaos. »

[Voir aussi :
L’atomisation de l’Homme et de l’Humanité]




Les 6 moments les plus dérangés de la réunion de Davos 2024 du FEM

[Source : vigilantcitizen.com]

Par Vigilant Citizen

Si vous vous demandez pourquoi la tête du diable figure sur l’image de tête de cet article, c’est parce qu’elle faisait littéralement partie du décor de Davos 2024. J’aurais aimé plaisanter. En fait, j’aimerais plaisanter à propos de tout ce qui est dit dans cet article. Voici les 6 moments les plus dérangés de Davos 2024.

Contrairement à la plupart des médias traditionnels, je ne vais pas vous faire perdre votre temps en tournant autour du pot : le Forum économique mondial (FEM) est une organisation parasitaire et illégitime dirigée par des individus non élus qui tentent de remodeler le monde… de la pire façon qui soit. Il est difficile d’exagérer les objectifs néfastes de cette organisation qui se targue de « pénétrer les gouvernements » comme une sorte de cancer tout en promouvant des slogans insensés tels que « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » (mon article The Top 10 Creepiest and Most Dystopian Things Pushed by the FEM [Les 10 choses les plus effrayantes et les plus dystopiques prônées par le FEM] donne un bon aperçu des objectifs à long terme de cette organisation).

Ignorer ces monstres serait bénéfique pour la santé mentale, mais c’est tout simplement impossible. En effet, les réunions annuelles de Davos parviennent toujours à convoquer des personnes capables de réaliser les rêves du FEM, comme des chefs d’État, des PDG de méga-entreprises et des représentants d’ONG mondiales telles que l’Organisation mondiale de la santé.

Et aussi : Un sorcier qui souffle sur le visage des gens.

Lorsque ces invités participent à des panels et prêchent leur évangile mondialiste, deux questions viennent à l’esprit : pourquoi ont-ils tous l’air si suffisants et si admiratifs de leur propre intelligence ? Leur air de supériorité en dit long sur leur état d’esprit par rapport aux masses. Mais surtout, pourquoi leurs sujets conduisent-ils inévitablement à moins de liberté, moins de qualité de vie et plus de contrôle orwellien ?

La réponse est très simple : leur but ultime est un gouvernement mondial dystopique où les masses sont réduites à une sous-espèce qui n’a droit qu’à une quantité limitée de liberté et de ressources, tout en étant soumise à une surveillance constante et à des interventions pharmaceutiques. En d’autres termes, ils essaient de nous transformer en bétail.

Pour concrétiser cette vision cauchemardesque, le FEM procède par étapes. Année après année, l’organisation tente constamment de normaliser de nouvelles idées farfelues. Ensuite, il utilise des crises telles que le COVID-19 pour les concrétiser. Leur devise secrète : ne jamais gaspiller une bonne crise.

Davos 2024 a présenté, une fois de plus, une foule d’idées effrayantes et radicales qui ont toutes un point commun : elles mènent directement à un nouvel ordre mondial dystopique. Et non, je ne suis pas un « conspirationniste », les mots « Nouvel Ordre Mondial » ont été littéralement prononcés à Davos. Plusieurs fois.

Voici les 6 faits les plus marquants de Davos 2024. Pourquoi le top 6 ? Parce que le logo du FEM contient trois 6.

Tout est dans votre visage.

No6 Tapisserie dérangée

Avant même de parler de ce qui s’est dit à Davos, nous devons nous pencher sur le symbolisme. Le slogan de ce site est « Les symboles gouvernent le monde » et, une fois de plus, l’état d’esprit véritable et non filtré du FEM a été mieux exprimé par un seul élément de « décoration » que par des milliers de mots.

Voici une capture d’écran d’une discussion à Davos à laquelle participait l’ancien Premier ministre britannique Theresa May :

Pourquoi y a-t-il une représentation du diable sur le mur de gauche ?

Theresa May et ses amis discutaient dans une pièce décorée de la Tapisserie de Walthamstow, une grande peinture murale créée en 2009 par l’artiste contemporain travesti Grayson Perry.

La tapisserie de Walthamstow.
L’artiste : Grayson Perry. Il semble être un individu bien équilibré.

Il se passe beaucoup de choses insensées dans cette tapisserie mais, pour résumer, elle représente une femme donnant naissance à un bébé dont la traînée de sang mène directement… dans la bouche du diable.

Face au diable, des personnages ressemblant aux Rois mages.
De même : Est-ce la Vierge Marie qui s’agenouille et offre l’Enfant Jésus au diable ?
Nos dirigeants discutent de l’avenir du monde dans des salles décorées de cette merde.

La tapisserie est remplie de noms de sociétés réelles telles que Nestlé, Vodaphone, Nike, Microsoft et Glaxo Smith Kline. On peut dire que l’œuvre d’art évoque les entreprises et le matérialisme qui affectent tous les aspects de notre vie et nous conduisent à une existence impie.

Cependant, comme la plupart de ces entreprises sont représentées au FEM, cette tapisserie prend un sens très littéral. Il ne s’agit plus d’un commentaire social, mais d’un plan d’action. Et elles en sont fières.

Ceci étant dit, voyons ce qui a été discuté à Davos.

No5 La maladie X et le traité sur les pandémies

Le panel sur la maladie X à Davos.
Le titre alternatif de la session :
« Faire peur aux gens pour qu’ils acceptent le traité de l’OMS sur les pandémies ».

Lorsque ces gens du FEM se remémorent les années COVID, leurs yeux se transforment en cœur. Les fermetures drastiques, les masques obligatoires, l’orgie de vaccins… de si bons souvenirs. À Davos 2024, le FEM a organisé une discussion sur la maladie X, une maladie hypothétique qui pourrait entraîner une nouvelle pandémie mondiale.

Parmi les panélistes figuraient Tedros Ghebreyesus (directeur général de l’Organisation mondiale de la santé), Roy Jakobs (PDG de Phillips Healthcare) et Michel Demaré (président du conseil d’administration d’AstraZeneca). En d’autres termes, les invités étaient des personnes qui profiteraient grandement d’une nouvelle pandémie.

Le FEM savait ce qu’il faisait lorsqu’il a imaginé la maladie X. Les panélistes eux-mêmes ont admis qu’elle était « accrocheuse » et qu’ils espéraient qu’elle attirerait l’attention des médias sociaux. Et c’est ce qui s’est passé. Elle a agacé et terrifié les gens qui sont maintenant convaincus que le FEM est déjà en train de planifier une autre pandémie.

L’ancienne secrétaire adjointe au Trésor des États-Unis pour les affaires publiques, Monica Crowley, a posté sur X :

« Juste à temps pour les élections, une nouvelle contagion pour leur permettre de mettre en œuvre un nouveau traité de l’OMS, de verrouiller à nouveau, de restreindre la liberté d’expression et de détruire davantage de libertés ».

Dans sa déclaration d’ouverture, Tedros Ghebreyesus a souligné que le terme « maladie X » a été inventé en 2018 et qu’il était censé être un nom provisoire pour une maladie inconnue. Il a également ajouté que le COVID était la première maladie X.

Bien que la maladie X soit considérée comme inconnue, l’OMS a bizarrement déclaré qu’elle pourrait être 20 fois plus mortelle que le COVID. D’où vient ce chiffre étrangement spécifique ?

L’objectif de ce panel est très simple : Normaliser l’idée que les gouvernements démocratiquement élus ne devraient pas avoir leur mot à dire en cas de pandémie. Au lieu de cela, ce sont des entités mondiales composées de mondialistes non élus, comme l’OMS, ainsi que des sociétés pharmaceutiques privées, qui devraient prendre les décisions et court-circuiter les gouvernements.

Pour ce faire, M. Ghebreyesus a exhorté les pays à signer le traité de l’OMS sur les pandémies avant la date limite de mai 2024. M. Ghebreyesus a déclaré :

« Il s’agit d’un intérêt mondial commun, et des intérêts nationaux très étroits ne devraient pas entrer en ligne de compte. »

Relisez attentivement la citation ci-dessus. Ces mots exacts seront utilisés encore et encore pour justifier un gouvernement mondial. N’importe quelle excuse sera suffisante pour utiliser ces mots (par exemple, le changement climatique).

Au cours des derniers mois, des critiques ont mis en garde contre le fait que le traité juridiquement contraignant de l’OMS céderait la souveraineté nationale à cette organisation mondiale et qu’il ne s’agissait de rien de moins qu’une prise de pouvoir. Une lettre publiée par le groupe de pression Advancing American Freedom (AAF) a déclaré :

« La proposition de l’OMS de consolider le pouvoir et d’éroder la souveraineté des États-Unis d’Amérique par le biais du traité de préparation à la pandémie de l’OMS est insoutenable et soulève des questions sérieuses et importantes concernant l’indépendance d’action des États-Unis et leur capacité à répondre aux pandémies mondiales ».

En réponse aux critiques, M. Tedros a déclaré :

« Certains prétendent que l’accord sur la pandémie et le RSI céderont leur souveraineté à l’OMS et donneront au secrétariat de l’OMS le pouvoir d’imposer des restrictions ou des mandats de vaccination aux pays. Vous savez que ce sont des fake news, des mensonges et des théories du complot ».

Je ne sais pas, Tedros. D’habitude, quand vous dites « fake news » et « théories du complot », c’est parce que vous essayez d’écarter les vérités qui dérangent… comme le fait que vous essayez d’instaurer un Nouvel Ordre Mondial.

À ce propos :

No4 Nouvel Ordre Mondial

Ceux qui affirment qu’une élite mondiale cherche à créer un nouvel ordre mondial sont généralement taxés de « théoriciens du complot ». Mais que se passe-t-il lorsque l’élite mondiale discute en toute décontraction d’un Nouvel Ordre Mondial littéral au vu et au su de tous ? Que se passe-t-il alors ? Quand la théorie du complot devient-elle un fait confirmé ?

Jake Sullivan, conseiller à la sécurité nationale de Joe Biden, a participé à l’une des discussions de Davos 2024. Il ne s’agit pas d’un inconnu. Il a été directeur de la politique du président Barack Obama, conseiller à la sécurité nationale du vice-président Biden et chef de cabinet adjoint de la secrétaire d’État Hillary Clinton au département d’État des États-Unis. M. Sullivan a également été conseiller principal du gouvernement fédéral américain lors des négociations sur le nucléaire iranien et conseiller politique principal de la campagne présidentielle de Mme Clinton en 2016.

En d’autres termes, il a travaillé avec les mondialistes les plus puissants du monde. Voici un extrait de leur discussion sur le Nouvel Ordre Mondial.

En réponse à la question du modérateur demandant si nous entrons dans un nouvel ordre mondial, M. Sullivan a déclaré : « L’ère de l’après-guerre froide est terminée :

« L’ère de l’après-guerre froide s’est achevée et nous sommes au début de quelque chose de nouveau. Nous avons la capacité de façonner ce nouvel ordre et, au cœur de celui-ci, se trouveront de nombreux principes et institutions fondamentaux de l’ordre existant, adaptés aux défis auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui ».

Le FEM adore nous dire que nous sommes le « début de quelque chose de nouveau ». Bien sûr, tout cela n’est que de la propagande. S’il n’y avait pas de « défis » générés par les médias, tels que le COVID et le réchauffement climatique, le FEM ne saurait pas comment promouvoir sa nouvelle ère. La devise de l’élite est « L’ordre à partir du chaos ». Elle génère le chaos pour instaurer un nouvel ordre.

Pour l’élite, un nouvel ordre mondial serait sans nations ni élections démocratiques. Si vous pensez que j’exagère, voici une vidéo de Klaus Schwab fantasmant sur des implants cérébraux rendant les élections inutiles à Davos 2017. Cela ne s’invente pas.

À quoi ressemblerait donc un nouvel ordre mondial dirigé par le FEM ? La Chine communiste est un laboratoire pour les politiques totalitaires mondialistes et son système de crédit social y est actuellement testé. Sans surprise, plusieurs invités à Davos ont appelé à la mise en place d’une technologie qui rendrait une telle chose possible au niveau mondial.

No3 Le contrôle numérique

Vous souvenez-vous des passeports vaccinaux lors du COVID ? Vous savez, cette époque où des millions de personnes sont soudain devenues des citoyens de seconde zone et ont été interdites de voyage et d’accès aux espaces publics parce qu’elles refusaient de se faire injecter un produit pharmaceutique ? C’était une erreur malsaine et odieuse, n’est-ce pas ?

Pas selon Davos. Pour eux, COVID était un test et ils veulent le rendre permanent. Lors de la session de Davos intitulée « Fixing Healthcare, Digitally » (« La réforme des soins de santé passe par le numérique »), la commissaire européenne chargée de la santé et de la sécurité alimentaire, Stella Kyriakides, a fait l’éloge des passeports vaccinaux en les présentant comme un exemple de ce qu’il faudrait faire à l’avenir.

Kyriakides a souligné avec désinvolture que tout ce projet a été repris par l’OMS, qui est, une fois de plus, une organisation mondialiste qui opère en dehors des gouvernements nationaux. Est-ce normal ?

Comme pour s’assurer que nous comprenions bien que Davos, c’est l’élite qui parle aux masses, le FEM a fait venir la Reine des Pays-Bas pour chanter les louanges de l’identité numérique. Pourquoi elle en particulier ? Je n’en sais rien. Autant faire venir la Reine des cœurs d’Alice au pays des merveilles tant qu’on y est.

Mais écoutons ce que Son Altesse a à dire sur les cartes d’identité numériques.

La reine Maxima a déclaré qu’une carte d’identité numérique biométrique devrait être nécessaire pour obtenir des services financiers, pour s’inscrire à l’école, « pour savoir qui s’est fait vacciner ou non » et pour obtenir des subventions gouvernementales.

Il n’est pas nécessaire d’être Nostradamus pour comprendre qu’une telle technologie pourrait facilement transformer la société en dystopie. Avec un tel système en place, une personne non vaccinée pourrait facilement être « débancarisée » et se voir refuser des subventions gouvernementales. En Chine, les personnes qui critiquent le système voient leur score de crédit social pénalisé. Cela pourrait-il se produire avec une carte d’identité numérique ?

Ces situations hypothétiques pourraient sembler paranoïaques… si le FEM ne passait pas autant de temps à se plaindre de la liberté d’expression.

No2 Censurer les critiques

Un thème récurrent des discussions du FEM est, ironiquement, la restriction de la liberté d’expression. Tout ce qui va à l’encontre de leur agenda est considéré comme de la « désinformation » et doit être éradiqué. À Davos 2024, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a déclaré que la lutte contre la « désinformation » était la principale préoccupation du FEM.

Bien sûr, la désinformation est un mot de code pour tout fait ou opinion qui va à l’encontre de leur discours. Plus loin dans la vidéo, elle fait l’éloge de la loi sur les services numériques (Digital Services Act) qui contrôle et surveille les « discours de haine » — un terme qui ne cesse de s’élargir pour englober, une fois de plus, tout ce qui va à l’encontre de leur discours.

Dans une autre vidéo étonnante, une rédactrice en chef du Wall Street Journal déclare littéralement qu’ils avaient l’habitude de « posséder les informations »… jusqu’à ce que ces sources alternatives ennuyeuses arrivent.

De la manière la plus ironique qui soit, ce qu’elle a dit n’est rien d’autre que de la « fake news » (fausse nouvelle). Les sources d’information grand public sont plus que jamais opaques, malhonnêtes et axées sur des objectifs précis. Plusieurs d’entre elles se sont transformées en véritables machines de propagande où l’« information » n’est jugée bonne que si elle sert un programme. Avez-vous regardé NBC News récemment ? Je veux dire, sérieusement.

No1 Inventer des mots

Dans ce dernier épisode de la folie du FEM, une panéliste souhaite que l’« écocide » soit considéré comme un crime grave. OK. Cela semble fou. Mais qu’est-ce qui pourrait être considéré comme un « écocide » ? La femme mentionne… la pêche et l’agriculture. OK. C’est VRAIMENT fou.

Oui, vous avez bien entendu. Jojo a comparé l’agriculture et la pêche à un génocide et elle veut que ces personnes soient punies sur le plan pénal. Comme nous l’avons vu plus haut, le FEM est spécialisé dans la création de pentes extrêmement glissantes. Et c’est encore le cas ici.

Jojo n’a pas été invitée au hasard. Ses opinions extrêmes représentent les objectifs à long terme du FEM. Si vous avez suivi l’actualité ces dernières années, vous avez probablement remarqué que l’élite mène une guerre totale contre les agriculteurs, en particulier en Europe. Tout cela n’est pas le fruit du hasard. Le FEM se sert de « l’environnement » pour vilipender la pêche, l’agriculture et l’élevage, tout en élaborant des politiques visant à détruire leurs moyens de subsistance.

Ces politiques sont suivies d’un accaparement massif des terres par les mégacorporations et les larbins mondialistes tels que Bill Gates. Le but ultime : faire en sorte que les humains se nourrissent d’insectes et de « produits alimentaires » hautement transformés et à peine digestibles.

Ce sont eux qui mangeront de délicieux steaks. Pas nous.

En conclusion

Cette année encore, le FEM a mis en évidence les objectifs à long terme de l’élite mondiale. Alors qu’ils aiment truffer leurs discours de mots tels que « liberté », « démocratie » et « prospérité », leurs politiques conduisent à l’exact opposé. Dans les exemples ci-dessus, nous avons vu des discussions sur la prise en charge par l’OMS de la réponse aux pandémies au niveau mondial, la mise en œuvre d’une carte d’identité numérique mondiale qui contrôlerait tous les aspects de la vie, la censure des opinions divergentes sur Internet, les implants cérébraux qui rendent les élections inutiles et, enfin, la transformation de l’agriculture en un crime grave comparable à un génocide. Cela ressemble-t-il à « la liberté, la démocratie et la prospérité » ? Ou à la folie totale ?

Regardez la tapisserie satanique décrite plus haut. C’est la vie qu’ils veulent pour vous.




Les fissures commencent à apparaître à Davos

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Simplicius Le Penseur — Le 2 février 2024 — Source Dark Futura

Le WEF 2024 à Davos — la principale retraite des mondialistes — s’est tenu du 15 au 19 janvier. À bien des égards, il s’agissait d’un événement particulier, car c’était le premier conclave de ce type où les élites affichaient une peur et une appréhension palpables face à la direction que prend la société et au retour de bâton d’une humanité de plus en plus défiante.

Officiellement, le climat et la désinformation ont dominé l’ordre du jour de leur programme, qui a été sponsorisé sous le titre « Reconstruire la confiance ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Qu’est-ce qui peut bien amener les élites à penser qu’elles ont rompu notre confiance ? se demande-t-on. Il apparaîtra clairement dans leurs moindres gestes au cours du déroulement du symposium que les élites sont terrifiées par les troubles qu’elles ont elles-mêmes créés.

Voici le rapport complet qu’ils ont publié à la veille de la convocation. L’ensemble est modelé sur la hiérarchie des risques suivante, montrant les perspectives à deux ans et à dix ans des risques, classés dans l’ordre :

Il est clair qu’à court terme, c’est la désinformation qui leur donne le plus de fil à retordre. Cela est dû, selon eux, au fait que les deux prochaines années seront riches en élections mondiales cruciales au cours desquelles la désinformation jouera un rôle de premier plan. Pour les perspectives à dix ans, ils battent naturellement les bongos du climat à pleines dents, car cela reste leur plus savant filon.

Dès les premières pages, ils commencent par admettre que la majorité des participants pensent que le modèle mondial unipolaire cessera de dominer au cours de la prochaine décennie :

Ces risques transnationaux deviendront plus difficiles à gérer à mesure que la coopération mondiale s’érodera. Dans l’enquête de cette année sur la perception des risques mondiaux, deux tiers des personnes interrogées prévoient qu’un ordre multipolaire dominera au cours des dix prochaines années, les puissances moyennes et les grandes puissances établissant et appliquant — mais aussi contestant — les règles et normes actuelles.

Le manque de conscience de soi des élites est cependant toujours stupéfiant. En lisant ces pages, on est surpris de constater que toutes les raisons invoquées pour expliquer pourquoi le monde se dirige vers ces eaux troubles pointent directement vers la mauvaise gestion des affaires mondiales par les élites elles-mêmes. Par exemple, ils pensent que le monde se précipite vers cette multipolarité « dangereusement instable » parce que la confiance dans les institutions occidentales, en particulier dans le leadership mondial, s’est érodée. Se sont-ils posé la question de savoir pourquoi il en est ainsi ?

Depuis plusieurs décennies, les États-Unis et leurs vassaux des Nations unies ont écrasé le monde en développement, menant sans relâche la guerre, la terreur et le chaos partout où ils le jugeaient bon. Les pays du Sud sont restés silencieux, attendant leur heure, uniquement parce qu’ils n’avaient pas la capacité de résister correctement. Mais maintenant qu’ils ont acquis cette capacité, nous sommes censés oublier le déchaînement vertigineux de l’Occident et l’étalage flagrant de son hypocrite « État de droit » et de ses « règles fondées sur l’ordre » ?

Ils se rapprochent d’un semblant de conscience de soi dans la section suivante, où ils citent les milliardaires non élus propulsés à de nouveaux sommets de pouvoir et d’influence par l’ère de l’IA comme une source d’inquiétude particulière :

Cela intervient juste après l’annonce que Microsoft vient de franchir le seuil des 3 000 milliards de dollars de capitalisation boursière, dépassant ainsi Apple pour redevenir la « société la plus précieuse » du monde. Apple et Microsoft représentent à eux deux plus de 13 % de l’ensemble du S&P 500.

Nous avons pu constater de visu le pouvoir que Bill Gates a exercé au cours de son ascension vers une sorte d’influence politique mondiale non élue. L’article du WEF craint à juste titre que le caractère « autoréférentiel » de la croissance des start-ups de l’IA permette aux entreprises qui réalisent des percées dans ces technologies, qui incluent l’informatique quantique, d’exercer de vastes pouvoirs en vertu de l’omniprésence de leurs technologies « à double usage et à usage général ».

La capitalisation boursière de Microsoft, qui s’élève à 3 000 milliards de dollars, représente une masse d’argent plus importante que le PIB de la majorité des pays de la planète. Une entreprise unique exerçant un tel pouvoir ne peut être comparée qu’à la Compagnie des Indes orientales des années 1600-1800, qui disposait de sa propre armée privée et pouvait facilement écraser des nations entières.

Mais venons-en à l’aspect le plus intéressant du conclave de cette année : la révolte tranquille des globalistes.

Cette année, on a enfin eu le sentiment que les technocrates globalistes n’étaient plus tous sur la même longueur d’onde. De tels groupes fonctionnent comme un sous-produit de la forte pression exercée sur le groupe pour qu’il se conforme à l’orthodoxie établie. Divers mécanismes permettent de maintenir l’uniformité, depuis les incitations commerciales jusqu’aux menaces pures et simples, en passant par le kompromat. Ainsi, lorsque les globalistes commencent à se révolter contre les leurs, remettant en cause le discours, rompant avec le sacro-saint ordre du jour, il s’agit d’un moment décisif de « rupture de barrage ».

La dernière retraite de Davos a été marquée par plusieurs cas de ce genre. Le plus médiatisé est le grand discours de Javier Milei sur la destruction du monde, qu’il a qualifié de « [planter] les idées de liberté dans un forum contaminé par l’agenda socialiste 2030 ».

En substance, il a prétendu avoir assisté à la réunion du WEF dans le seul but de subvertir les globalistes de l’intérieur. Faites-en ce que vous voulez — je suis moi-même assez ambivalent sur Milei, avec un fort penchant pour le scepticisme. Mais il est indéniable que son discours — en particulier la dernière partie — a servi de moment de raclement de gorge aux étatistes et aux globalistes présents.

Le plus remarquable est que, sur la grande scène du WEF lui-même, il a rejeté de manière significative le mandat du « changement climatique », ou le fait que les humains soient responsables de tout changement naturel dans l’environnement. On ne s’attendait pas à ce que cette déclaration soit prononcée à la tribune de l’institution la plus importante du monde en matière de changement climatique.

Le reste de sa polémique était terne, puisqu’il s’est attardé sur ce terrible cheval de bataille qu’est le « socialisme », le considérant comme le principal cheval de bataille de l’élite du WEF, se positionnant ainsi commodément comme le grand iconoclaste audacieux.

En réalité, Schwab et ses semblables ne se soucient pas le moins du monde de ce type d’encadrement sémantique — ils sont experts dans l’art de coopter et de s’approprier n’importe quel système pour parvenir à leurs fins. Si vous leur donnez le contrôle d’un pays « socialiste », ils utiliseront leur dirigeant fantoche pour imposer des obligations de haut en bas via la « planification centrale » qui correspond à leur agenda ; donnez-leur un pays « capitaliste de libre marché », et ils utiliseront leurs vastes sociétés transnationales pour déraciner et capturer toutes les industries, en les intégrant dans le méga-monopole mondial. En d’autres termes, ce n’est pas un système contre l’autre, c’est l’humanité contre une cabale d’élites financières contrôlant le système bancaire occidental et, par extension, toutes les entreprises et industries.

Prochain sur la liste de la révolte sans précédent de Davos : Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone.

Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone, déclare à la foule de Davos que les États-Unis ne sont pas prêts pour quatre années supplémentaires de déficits de 2 000 milliards de dollars de Biden, d’invasion de 8 millions de clandestins et d’un ratio dette/PIB de plus en plus élevé. Il a raison.

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il est suivi par le PDG de JPMorgan Chase, Jamie Dimon, qui déclare de manière très pressante :

« Si vous ne contrôlez pas les frontières, vous allez détruire notre pays ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

C’est ce fil X qui a le mieux rendu compte de l’étonnante évolution de l’esprit du temps :

Il y a ici quelque chose d’extrêmement important qui n’est pas reconnu, mais ceux qui savent lire entre les lignes s’en rendent compte et cela effraie les gens : Des éléments de la classe de Davos **se préparent à faire défection vers le mouvement Trump/populiste**.

Le monde actuel est terrifiant pour la classe Davos. Tout va mal, les populistes sont entrés dans le sanctuaire intérieur et disent ouvertement « vous êtes le problème, votre malheur est proche », et on a le sentiment que le système néolibéral international est au bord de l’abîme.

L’économie — qui est ce qui maintient à flot l’ordre international dirigé par les États-Unis (c’est-à-dire l’ordre néolibéral, alias l’empire américain) pour l’instant — est en train de se dégrader. Même si Trump devait *perdre* l’élection présidentielle, il est entendu que la situation se dégraderait.

Et ils ne pensent pas que Trump va perdre. Ces personnes, aussi désemparées qu’elles puissent être, voient également les sondages d’opinion et sentent où vont les choses.

Ce sentiment de malheur imminent crée BEAUCOUP de panique et de déni dans les cercles Démocrates et néolibéraux. Les élections sont impossibles à gagner, les voler à nouveau est plus difficile cette fois-ci parce que tout le monde a compris…

La légitimité de leur système (« méritocratie »/règle de l’expert) s’effondre (« adultes dans la pièce » est désormais une blague), l’environnement international ne peut pas tenir (voir : Ukraine, Israël, Taïwan, la mer Rouge, etc.), la coalition arc-en-ciel à l’intérieur commence à se déchirer elle-même…

Les Démocrates et les néolibéraux — qui ont passé 8 ans à se convaincre et à convaincre tout le monde que Trump était un dictateur imminent — sont convaincus qu’Orange Hitler est sur le point de s’emparer du Reichstag. Et à ce stade, Trump a dit : « Et puis merde, je serai le monstre que vous pensez que je suis ».

Mais voilà : tandis que les Démocrates et les progressistes crient que leur navire est en train de couler et que l’eau glacée les attend, certains centristes néolibéraux à la tête froide regardent les canots de sauvetage et se disent « … en fait, il y a peut-être une issue ici ».

Les membres de la classe de Davos n’en sont pas à leur premier coup d’essai. Ces financiers et hommes d’affaires ont vécu l’ascension de Poutine et la purge des oligarques, Xi faisant de même et imposant des « exigences » aux entreprises désireuses d’accéder au marché, etc.

Aujourd’hui, un bon nombre d’entre eux croient *véritablement* qu’une répétition de ces événements pourrait être à l’ordre du jour pour les États-Unis. Désireux de survivre, certains d’entre eux seront prêts à passer un accord avec le diable. Surtout s’il leur dit « signez maintenant ou sinon ».

« Et si je ne m’inscris pas ? », se disent-ils. « Est-ce que je veux VRAIMENT prendre le risque d’être sur la liste de merde de l’administration Trump ? ». Dans un environnement populiste et anti-élite ? Dans un contexte de récession/dépression imminente ? Dans un environnement mondial de plus en plus multipolaire ? »

Donc, si vous êtes un type de la classe Davos — dans la finance, le capital-investissement, les entreprises multinationales, certains types de think tank/académiques/à but non lucratif qui dépendent des connexions politiques — votre instinct est de SURVIVRE à tout prix. Si cela implique un accord avec le populiste, alors…

L’OP s’inspire de ce nouvel article de Bloomberg :

https://www.bloomberg.com/news/articles/2024-01-19/davos-sees-the-global-economy-settling-into-strange-new-dynamic

Les six membres du panel ont été chargés de résumer l’ambiance à Davos après une semaine où les participants ont eu tendance à donner un visage courageux aux perspectives mondiales, en accentuant la probabilité qu’une récession profonde sera probablement évitée malgré un resserrement monétaire sans précédent pour maîtriser l’inflation.

L’article résume l’ambiance comme étant tendue, les élites inquiètes invoquant même ouvertement la possibilité que le dollar soit détrôné en tant que monnaie de réserve mondiale :

« Si nous ne résolvons pas ce problème (les questions budgétaires), quelque chose va arriver au dollar », a-t-il déclaré. « Si les États-Unis ne parviennent pas à se ressaisir sur le plan budgétaire, à un moment donné, les gens feront ce qu’ils ont fait à la livre sterling et au florin néerlandais il y a des années. »

Certains ont continué à porter des « masques de bravoure », mais d’autres ont exprimé leur incrédulité face à ce qui se passe :

Ken Rogoff, professeur à l’université de Harvard, s’est inquiété de ce que« la situation géopolitique ne ressemble à rien de ce que j’ai pu voir au cours de ma vie professionnelle ».

Enfin, le président de la Heritage Foundation, Kevin Roberts, a couronné la désillusion du WEF en assénant aux technocrates aux yeux écarquillés sa marque unique d’incision éloquente :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

La polémique de Roberts est ce que celle de Javier Milei aspirait à être. Il a donné la parole aux élites fatiguées, les déshabillant précisément sur les questions que tous les autres ont si peur d’aborder. La vérité, c’est qu’une grande partie des élites globales — même celles qui sont ostensiblement globalistes — ne sont pas d’accord avec les changements les plus extrêmes de ces derniers temps. Elles savent simplement qu’elles doivent porter la cruche d’eau pour BlackRock et consorts afin d’éviter certaines « pénalités » sociales et d’entreprise.

C’est pourquoi il y a de fortes chances que nous assistions dans les années à venir à une sorte de réorientation : les plus raisonnables d’entre eux reviendront du côté de la rationalité. Dans cette optique, la réunion de Davos pourrait être considérée comme l’un des premiers moments canaris dans la mine pour l’orientation des choses.

Les élites sont stratifiées comme tout le reste, ce qui signifie que les contingents les plus radicaux et les plus marginaux continueront à porter la lance de l’avant-garde pour avancer sur de nouveaux territoires. C’est pourquoi, malgré les fractures évidentes et la nervosité qui envahit leur classe pour la première fois, les ultra-radicaux parmi eux ont continué à faire avancer leurs plates-formes extrêmes.

La dernière menace prototypée à Davos est la « maladie X » :

Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus, a été accosté par un journaliste intrépide alors qu’il se rendait à la soirée de Schwab :

« Quand allez-vous lancer la maladie X ? »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Naturellement, l’objectif de cette génération de la peur est de nous ébranler suffisamment pour empêcher l’encre de sécher sur les approbations des thérapies géniques à l’ARNm par le biais de l’éternel « stratagème de la tension sans fin », ainsi que de préparer la table psychologique à l’éventualité d’une nouvelle fausse pandémie pour nous bloquer à un autre point clé, permettant de dissimuler une nouvelle fraude financière ou électorale historique.

Comme à l’accoutumée, l’agenda climatique a occupé la première place de l’événement. Certains des piliers reconnaissables qui ont inlassablement fait grimper le rocher frauduleux sur la colline pendant des années ont à nouveau alimenté le chœur :

Le gagnant de l’assaut le plus flagrant contre la rationalité a été le banquier suisse Hubert Keller pour sa conférence sur les effets néfastes du café sur l’environnement, avec l’implication que ceux qui ont une conscience devraient en boire beaucoup moins (sans parler de l’implication encore plus grave que les élites viendront un jour prendre tout notre café) :

« Chaque fois que nous buvons du café, nous rejetons du CO2 dans l’atmosphère. »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Sans blague !

Et pendant que ces dandys minaudant se livraient à des tête-à-tête dans les salles perverses de l’Imaginarium de Klaus Schwab, dans les zones interdites de leurs demesmes, les hordes opprimées étaient entrées dans une frénésie bacchanale ; le rite parisien, en particulier, était un offertoire d’abats pour les siècles à venir :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Macron, pendant ce temps, cosplayait avec les rois suédois, indifférent au cri de l’âme de son peuple :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Juxtaposition évocatrice ! [NDRL En français dans le texte original anglais.]

Les condamnations ne se sont pas limitées au café, mais, comme d’habitude, à l’ensemble de l’approvisionnement alimentaire, qui, selon l’élite, « carbonise la planète » :

L’information d’entreprise s’est jointe à l’incursion malthusienne chorégraphiée. Cette séquence classe effectivement les enfants dans la catégorie des accumulateurs de carbone :

Un lobbyiste de l’environnement a déclaré mardi aux téléspectateurs de la chaîne d’information britannique GB News que le fait d’avoir des enfants pose un « problème moral » en raison de la quantité de carbone qu’ils produiront au cours de leur vie.

Donnachadh McCarthy a affirmé que les gens devraient avoir moins d’enfants, et qu’avoir un seul enfant est « formidable ».

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Entre-temps, les capitales européennes se sont embrasées — les supermarchés du Paris dystopique se sont vidés en raison des grèves généralisées des agriculteurs :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Aujourd’hui encore, alors que les dirigeants européens se réunissaient au sommet de l’UE à Bruxelles, la dévastation régnait autour d’eux ; une statue de l’industriel John Cockerill a été symboliquement déboulonnée juste devant le parlement :

Des balles en caoutchouc et des canons à eau ont été déployés contre des centaines d’agriculteurs européens qui manifestaient devant le bâtiment du Parlement européen à Bruxelles ce jeudi. Les agriculteurs ont lancé des œufs, des feux d’artifice et des incendies à proximité du bâtiment, tout en exigeant que les dirigeants européens cessent de les punir en leur imposant davantage de taxes et de coûts pour financer un soi-disant« programme vert ».

Mais ne vous inquiétez pas, la Maison Blanche montre l’exemple en remplaçant John Kerry par un nouveau tsar du climat plus « sain » :

https://www.reuters.com/world/us/white-houses-podesta-replace-kerry-us-climate-envoy-wash-post-2024-01-31/

N’êtes-vous pas tout simplement soulagé de voir que certaines des plus brillantes personnalités de cette administration sont affectées aux tâches les plus urgentes ?

Mais le dernier point le plus troublant mis en avant par les globalistes concerne la « désinformation ». Ce qui est le plus frappant, c’est que leur ton correspond à l’urgence exprimée sur d’autres questions évoquées plus haut. Ici aussi, ils ont manifesté une crainte croissante de perdre la guerre des récits et d’aliéner la population.

Cela s’est produit à la suite de licenciements massifs dans l’ensemble des médias d’information et de l’industrie de la publication et de l’impression :

Taylor Lorenz l’a expliqué dans un document d’explication largement diffusé et à regarder absolument :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

ZeroHedge en a également parlé :

Tout le monde tombe !

BuzzFeed et Vice Media, deux anciens chouchous des médias numériques dont la taille et la pertinence ont diminué ces dernières années, sont susceptibles de devenir encore plus petits.

BuzzFeed, dont les actions ont perdu plus de 97 % de leur valeur depuis son entrée en bourse en 2021, cherche à vendre ses sites de cuisine, Tasty et First We Feast, selon des personnes au fait de la situation. Par ailleurs, Fortress Investment Group, qui a repris Vice en faillite l’année dernière, est en pourparlers pour vendre son site Refinery29, axé sur le style de vie des femmes, ont indiqué d’autres personnes.

Quel est donc le problème, exactement ? Pourquoi l’ensemble du secteur est-il en train de « s’effondrer », comme l’a dit Lorenz ? Et pourquoi les élites font-elles soudain preuve d’une conscience de soi aussi rare et inhabituelle dans leur horreur d’être remplacées ?

Le symposium du WEF a tenté de résoudre le dilemme :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il admet que, pour une fois, les gens exigent de leur journalisme qu’il rende des comptes. Ils veulent savoir comment leurs informations sont sourcées, d’où elles viennent et pourquoi. Et ce, après des années pendant lesquelles les organes d’information des grandes entreprises ont considéré leur liberté comme acquise et ont totalement érodé leur propre fiabilité en prenant des raccourcis, en contournant les règles et en suivant généralement des « règles non écrites » hautement contraires à l’éthique et politisées. Cela inclut les nouvelles normes modernes telles que les « sources anonymes » paresseuses qui remplacent les fuites politisées évidentes, et d’autres choses de ce genre.

Mais le problème le plus important est bien sûr la nouvelle prédominance des médias sociaux et des médias alternatifs, un sujet que j’ai largement abordé dans cet article :

En particulier depuis que Musk a abaissé les garde-fous en rachetant X, l’information [presque] libre circule sans être entravée par les reliques obsolètes des médias d’entreprise. C’est principalement pour cette raison que le consortium de Davos a placé la « désinformation » en tête de liste de ses ennemis à court terme.

L’ignoble dame Von Der Leyen le souligne dans son discours :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il n’est donc pas surprenant qu’elle cite la mise en œuvre par l’UE de la « loi sur les services numériques » comme le summum de la maîtrise de ce fléau existentiel qu’est la « liberté d’expression » et qui les a tant ébranlés. La loi sur les services numériques est un sujet que j’ai également abordé :

https://darkfutura.substack.com/p/censorship-clampdowns-redux-eu-dsa

Sans parler de l’anticipation des mesures de répression massives qui ne manqueraient pas d’arriver, tant la confiance de l’establishment avait été érodée.

Après tout, faut-il s’étonner que des gens comme eux n’arrivent pas à comprendre pourquoi plus personne ne les prend au sérieux ?

Ce qui précède n’est pas une blague, soit dit en passant. Plusieurs grands noms de l’information ont récemment dénoncé le laxisme de la censure chinoise à l’égard de leur poule aux œufs d’or, Israël : NYTimes et CNN notamment. Avez-vous jamais pensé que vous vivriez assez longtemps pour voir la propagande orwellienne à l’envers prendre une tournure telle qu’elle reproche à la Chine d’être trop libre ?

Les personnes qui nous ont fait la leçon sur les dangers de lire en dehors des lignes sont maintenant terrifiées que nous les ayons ignorées et que nous continuions à penser par nous-mêmes.

C’est le problème de ces globalistes : pour cacher leurs crimes, ils doivent continuer à doubler la mise, mais cela demande toujours plus d’efforts et une complexité croissante dans la mise en relation de points improbables et absurdes et dans la gymnastique de l’excuse. C’est un peu comme la théorie de la relativité et la vitesse de la lumière : plus on se rapproche de la vitesse, plus les besoins en énergie deviennent ridiculement irréalistes.

On a de plus en plus l’impression que les élites atteignent un niveau asymptotique, et que l’absurdité de leurs concoctions superposées est sur le point d’éclater.

Simplicius Le Penseur

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Davos tue l’agriculture pour financer la guerre

[Source : Chaîne officielle TVL]

Pourquoi la paysannerie est-elle en phase terminale ? Qui tire les ficelles du monde agricole, le plus gros marché mondiale (7 000 milliards $) ? Après les manifestations de colère légitime des agriculteurs, Jean-François Auzolle, ingénieur centralien, apporte une série d’explications que les grands médias prennent bien soin de cacher. Le problème est ancien et global. À l’origine : la capitalisation primitive, de puissantes fortunes qui s’organisent entre elles pour chasser en meutes. Les paysans ayant toujours été à leurs yeux une variable d’ajustement. Mais comme il faut que tout le monde mange et que « business is business », le coût doit être le plus faible possible (les insectes arriveront bientôt dans les assiettes). La guerre en Ukraine et ses milliards de débouchés n’attendent pas. Par ailleurs, la maîtrise du foncier étant l’objectif ultime (comme Bill Gates et ses 100 000 hectares aux États-Unis), cette caste cherche par tous les moyens à empêcher les agriculteurs de capitaliser. Jean-François Auzolle revient en détail sur la PAC, le rôle de la FNSEA, les lois Egalim et surtout décrypte les dessous d’une organisation dont les cerveaux sont aujourd’hui les invités du Forum économique mondial de Klaus Schwab… (Des informations complémentaires seront mises en ligne sur lefalotier.fr à compter du 21 février)

[NDLR : concernant le Glyphosate,
voir https://www.mnhn.fr/fr/actualites/le-glyphosate-est-il-nefaste,
https://www.linternaute.com/actualite/societe/3925110-a-quel-point-le-glyphosate-est-il-dangereux-ce-que-dit-vraiment-la-science/,
https://theconversation.com/impacts-du-glyphosate-sur-la-sante-et-lenvironnement-ce-que-dit-la-science-75946,
https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/pesticides-pourquoi-les-effets-du-glyphosate-sur-la-sante-sont-ils-encore-controverses-3703305]




Le discours du président argentin a été froidement accueilli à Davos

[Source de la transcription en français : legrandcontinent.eu
Transcription en anglais : eurasiareview.com]

Bonjour, merci beaucoup : je suis ici aujourd’hui pour vous dire que l’Occident est en danger. Il est en danger parce que ceux qui sont censés défendre les valeurs de l’Occident sont cooptés par une vision du monde qui, inexorablement, conduit au socialisme, et par conséquent à la pauvreté. Malheureusement, au cours des dernières décennies, motivés par certains désirs bienveillants d’aider les autres et d’autres par le désir d’appartenir à une caste privilégiée, les principaux dirigeants du monde occidental ont abandonné le modèle de la liberté pour différentes versions de ce que nous appelons le collectivisme.

Nous sommes ici pour vous dire que les expériences collectivistes ne sont jamais la solution aux problèmes qui affligent les citoyens du monde, mais qu’elles en sont au contraire la cause. Croyez-moi, il n’y a personne de mieux placé que nous, Argentins, pour témoigner de ces deux questions. Lorsque nous avons adopté le modèle de la liberté — en 1860 —, nous sommes devenus en 35 ans la première puissance mondiale, tandis que lorsque nous avons embrassé le collectivisme, au cours des cent dernières années, nous avons vu comment nos citoyens ont commencé à s’appauvrir systématiquement, jusqu’à tomber au 140e rang mondial. Mais avant d’entamer cette discussion, il serait important, tout d’abord, d’examiner les données qui montrent que non seulement le capitalisme de libre entreprise est un système possible pour mettre fin à la pauvreté dans le monde, mais qu’il est aussi le seul système moralement souhaitable pour y parvenir.

Si l’on regarde l’histoire du progrès économique, on constate que, de l’an 1 à l’an 1800 environ, le PIB mondial par habitant est resté pratiquement constant pendant toute la période de référence. Si l’on regarde un graphique de l’évolution de la croissance économique au cours de l’histoire de l’Humanité, on obtient un graphique en forme de crosse de hockey, une fonction exponentielle, qui est restée constante pendant 90 % du temps et qui augmente de manière exponentielle à partir du XIXe siècle. La seule exception à cette histoire de stagnation se situe à la fin du XVe siècle avec la découverte de l’Amérique. Mais à part cette exception, pendant toute la période comprise entre l’an 1 et l’an 1800, le PIB mondial par habitant a stagné.

Or non seulement le capitalisme a généré une explosion de richesses dès son adoption en tant que système économique, mais si l’on examine les données, on constate que la croissance s’est accélérée tout au long de la période.

Pendant toute la période comprise 1 et 1800, le taux de croissance du PIB par habitant est resté stable, autour de 0,02 % par an. À partir du XIXe siècle, avec la révolution industrielle, le taux de croissance passe à 0,66 %. À ce rythme, le doublement du PIB par habitant nécessiterait 107 années de croissance

Maintenant, si l’on considère la période entre 1900 et 1950, le taux de croissance s’accélère pour atteindre 1,66 % par an. Et si nous prenons la période entre 1950 et l’an 2000, nous constatons que le taux de croissance est de 2,1 % par an, ce qui signifie que nous pourrions doubler le PIB mondial par habitant en seulement 33 ans. Cette tendance, loin de s’arrêter, est toujours d’actualité. Si nous prenons la période entre 2000 et 2023, le taux de croissance s’est encore accéléré pour atteindre 3 % par an, ce qui signifie que nous pourrions doubler notre PIB par habitant dans le monde en seulement 23 ans.

Si l’on considère le PIB par habitant de 1800 à nos jours, on constate qu’après la révolution industrielle, le PIB mondial par habitant a été multiplié par plus de 15 — générant une explosion de richesse qui a permis à 90 % de la population mondiale de sortir de la pauvreté. N’oublions jamais qu’en 1800, près de 95 % de la population mondiale vivait dans une pauvreté abjecte, alors que ce chiffre est tombé à 5 % en 2020, avant la pandémie.

La conclusion est évidente : loin d’être la cause de nos problèmes, le capitalisme de libre entreprise en tant que système économique est le seul outil dont nous disposons pour mettre fin à la faim, à la pauvreté et à la misère dans le monde. Les preuves empiriques sont incontestables. C’est pourquoi, parce qu’il ne fait aucun doute que le capitalisme de libre marché est supérieur en termes de production, la doxa de gauche a attaqué le capitalisme pour ses problèmes de moralité, parce qu’il est, disent ses détracteurs, injuste.

Ils disent que le capitalisme est mauvais parce qu’il est individualiste et que le collectivisme est bon parce qu’il est altruiste, avec l’argent des autres, et qu’ils luttent donc pour la « justice sociale ». Mais ce concept, qui est devenu à la mode dans le premier monde au cours de la dernière décennie, est une constante du discours politique dans mon pays depuis plus de 80 ans. Le problème est que la justice sociale n’est pas seulement injuste, mais qu’elle ne contribue pas non plus au bien-être général. Au contraire, c’est une idée intrinsèquement injuste, parce qu’elle est violente. Elle est injuste parce que l’État est financé par les impôts et que les impôts sont prélevés de manière coercitive : est-ce que l’un d’entre nous peut dire qu’il paie des impôts volontairement ? Cela signifie que l’État est financé par la coercition et que plus la charge fiscale est élevée, plus la coercition est grande — et moins il y a de liberté.

Les partisans de la justice sociale partent de l’idée que l’ensemble de l’économie est un gâteau qui peut être partagé différemment, mais ce gâteau n’est pas donné, c’est une richesse qui est générée dans ce qu’Israël Kirzner appelle un « processus de découverte ». Si le bien ou le service offert par une entreprise n’est pas désiré, cette entreprise fait faillite, à moins qu’elle ne s’adapte à la demande du marché. Si elle fabrique un produit de bonne qualité à un prix attractif, elle se portera bien et produira davantage. Le marché est donc un processus de découverte dans lequel le capitaliste trouve la bonne direction au fur et à mesure. Mais si l’État punit le capitaliste pour avoir réussi et le bloque dans ce processus de découverte, il détruit ses incitations, ce qui a pour conséquence qu’il produira moins et que le gâteau sera plus petit, au détriment de la société dans son ensemble. Le collectivisme, en inhibant ces processus de découverte et en entravant l’appropriation de ce qui a été découvert, lie les mains de l’entrepreneur et l’empêche de produire de meilleurs biens et d’offrir de meilleurs services à un meilleur prix.

Comment se fait-il alors que le monde académique, les organisations internationales, la politique et la théorie économique diabolisent un système économique qui a non seulement sorti 90 % de la population mondiale de la pauvreté la plus extrême, et ce de plus en plus rapidement, mais qui est aussi juste et moralement supérieur ?

Grâce au capitalisme de libre entreprise, le monde est aujourd’hui au mieux de sa forme. Dans toute l’histoire de l’Humanité, il n’y a jamais eu de période de plus grande prospérité que celle que nous vivons aujourd’hui. Le monde d’aujourd’hui est plus libre, plus riche, plus pacifique et plus prospère qu’à n’importe quel autre moment de notre histoire.

C’est vrai pour tout le monde, mais c’est particulièrement vrai pour les pays libres — ceux qui respectent la liberté économique et les droits de propriété des individus. Les pays libres sont en effet douze fois plus riches que les pays répressifs, le décile inférieur de la distribution des pays libres vit mieux que 90 % de la population des pays répressifs, ils comptent 25 fois moins de pauvres dans le format standard et 50 fois moins dans le format extrême, et, comme si cela ne suffisait pas, les citoyens des pays libres vivent 25 % plus longtemps que les citoyens des pays répressifs.

Cependant, pour comprendre ce que nous défendons ici, il est important de définir ce dont nous parlons lorsque nous parlons de libertarianisme. Pour le définir, je reprends les mots du plus grand héros de la liberté de notre pays, Alberto Benegas Lynch, qui dit : « Le libertarianisme est le respect sans restriction du projet de vie d’autrui, fondé sur le principe de non-agression, en défense de la vie, de la liberté et de la propriété des individus. Ses institutions fondamentales sont la propriété privée, les marchés libres de toute intervention de l’État, la libre concurrence, la division du travail et la coopération sociale. Où l’on ne peut réussir qu’en servant son prochain avec des biens de meilleure qualité ou à meilleur prix. »

En d’autres termes, le capitaliste, l’entrepreneur qui réussit, est un bienfaiteur social qui, loin de s’approprier la richesse des autres, contribue au bien-être général. En bref, un entrepreneur qui réussit est un héros.

C’est le modèle que nous proposons pour l’Argentine du futur. Un modèle basé sur les principes fondamentaux du libertarianisme : la défense de la vie, de la liberté et de la propriété. Si le capitalisme de libre entreprise et la liberté économique ont été des outils extraordinaires pour mettre fin à la pauvreté dans le monde, et si nous sommes aujourd’hui au meilleur moment de l’histoire de l’Humanité, il convient de se demander pourquoi je dis que l’Occident est en danger.

Je dis que l’Occident est en danger précisément parce que dans les pays où nous devrions défendre les valeurs du marché libre, de la propriété privée et des autres institutions du libertarianisme, des sections de l’establishment politique et économique, certaines à cause d’erreurs dans leur cadre théorique et d’autres par ambition pour le pouvoir, sont en train de saper les fondements du libertarianisme, d’ouvrir la porte au socialisme et de les condamner potentiellement à la pauvreté, à la misère et à la stagnation. Car il ne faut jamais oublier que le socialisme est toujours et partout un phénomène appauvrissant, qui a échoué dans tous les pays où il a été tenté. Ce fut un échec économique, un échec social, un échec culturel. Il a tué plus de 100 millions d’êtres humains.

Le problème essentiel pour l’Occident aujourd’hui est que nous devons non seulement affronter ceux qui, même après la chute du mur [de Berlin] et les preuves empiriques accablantes, continuent à lutter pour un socialisme appauvrissant, mais aussi nos propres dirigeants, penseurs et universitaires qui, dans un cadre théorique erroné, sapent les fondements du système qui nous a donné la plus grande expansion de la richesse et de la prospérité de notre histoire.

Le cadre théorique auquel je fais référence est celui de la théorie économique néoclassique, qui conçoit un instrument qui, sans le vouloir, finit par servir à l’ingérence de l’État, au socialisme et à la dégradation de la société. Le problème des néoclassiques est que, puisque le modèle dont ils sont tombés amoureux ne correspond pas à la réalité, ils attribuent l’erreur à de prétendues défaillances du marché au lieu de revoir les prémisses de leur modèle. Sous prétexte d’une prétendue défaillance du marché, on met en place des réglementations qui ne font que générer des distorsions dans le système des prix, qui entravent le calcul économique, et donc l’épargne, l’investissement et la croissance.

Ce problème réside essentiellement dans le fait que même les économistes prétendument libertariens ne comprennent pas ce qu’est le marché, car s’ils le comprenaient, il deviendrait rapidement évident qu’il n’y a pas de défaillance du marché. Le marché n’est pas une courbe d’offre et de demande sur un graphique. Le marché est un mécanisme de coopération sociale où les droits de propriété sont échangés volontairement. Par conséquent, compte tenu de cette définition, la défaillance du marché est un oxymore. La défaillance du marché n’existe pas.

Si les transactions sont volontaires, le seul contexte dans lequel il peut y avoir une défaillance du marché est celui de la coercition. Et le seul à pouvoir exercer une coercition généralisée est l’État, qui a le monopole de la violence. Par conséquent, si quelqu’un considère qu’il y a une défaillance du marché, je lui recommande de vérifier s’il y a une intervention de l’État au milieu. Et s’il constate qu’il n’y a pas d’intervention de l’État au milieu, je lui suggère de refaire l’analyse parce qu’elle est définitivement erronée. La défaillance du marché n’existe pas.

Les structures concentrées de l’économie sont un exemple des prétendues défaillances du marché décrites par les néoclassiques. Cependant, sans les fonctions de rendements d’échelle croissants, dont les structures concentrées de l’économie sont la contrepartie, nous ne pourrions pas expliquer la croissance économique de 1800 à aujourd’hui. C’est intéressant. À partir de 1800, alors que la population a été multipliée par plus de 8 ou 9, le produit par habitant a été multiplié par plus de 15. En d’autres termes, il existe des rendements croissants qui ont permis de ramener l’extrême pauvreté de 95 % à 5 %. Cependant, cette présence de rendements croissants implique des structures concentrées, ce que l’on pourrait appeler un monopole.

Comment se fait-il que quelque chose qui a généré tant de bien-être pour la théorie néoclassique soit une défaillance du marché ? Économistes néoclassiques, sortez de votre boîte : lorsque le modèle échoue, ne vous fâchez pas contre la réalité, mais contre le modèle — et changez-le.

Le dilemme auquel est confronté le modèle néoclassique est qu’il prétend vouloir perfectionner le fonctionnement du marché en s’attaquant à ce qu’il considère comme des défaillances, mais ce faisant, non seulement il ouvre la porte au socialisme, mais il compromet également la croissance économique. Par exemple, réglementer les monopoles, détruire leurs profits et détruire les rendements croissants détruirait automatiquement la croissance économique.

En d’autres termes, chaque fois que l’on veut corriger une supposée défaillance du marché, inexorablement, parce que l’on ne sait pas ce qu’est le marché ou parce que l’on est tombé amoureux d’un modèle qui a échoué, on ouvre la porte au socialisme et on condamne les gens à la pauvreté.

Cependant, face à la démonstration théorique que l’intervention de l’État est néfaste et à la preuve empirique qu’elle a échoué — parce qu’il ne pouvait en être autrement — la solution que les collectivistes proposeront n’est pas plus de liberté, mais plus de réglementation, générant une spirale descendante de réglementation jusqu’à ce que nous finissions tous plus pauvres et que la vie de chacun d’entre nous dépende tout à fait d’un bureaucrate assis dans un bureau luxueux.

Face à l’échec retentissant des modèles collectivistes et aux avancées indéniables du monde libre, les socialistes ont été contraints de changer de programme. Ils ont abandonné la lutte des classes fondée sur le système économique et l’ont remplacée par d’autres prétendus conflits sociaux tout aussi nuisibles à la vie collective et à la croissance économique. La première de ces nouvelles batailles fut la lutte ridicule et contre nature entre les hommes et les femmes.

Le libertarianisme a déjà établi l’égalité entre les sexes. La pierre angulaire de notre credo dit que tous les hommes sont créés égaux, que nous avons tous les mêmes droits inaliénables accordés par le Créateur, parmi lesquels la vie, la liberté et la propriété. La seule chose que cet agenda du féminisme radical a engendrée, c’est une plus grande intervention de l’État pour entraver le processus économique, en donnant des emplois à des bureaucrates qui n’ont rien apporté à la société, que ce soit sous la forme de ministères de la Femme ou d’organismes internationaux dédiés à la promotion de cet agenda.

Un autre conflit soulevé par les socialistes est celui de l’homme contre la nature. Ils affirment que les êtres humains endommagent la planète et qu’elle doit être protégée à tout prix, allant même jusqu’à préconiser des mécanismes de contrôle de la population ou l’agenda sanglant de l’avortement.

Malheureusement, ces idées néfastes ont imprégné notre société. Les néomarxistes ont réussi à coopter le bon sens occidental. Ils y sont parvenus en s’appropriant les médias, la culture, les universités et, bien sûr, les organisations internationales. Ce dernier cas est le plus grave, car il s’agit d’institutions qui ont une énorme influence politique et économique sur les pays qui composent ces organisations multilatérales.

Heureusement, nous sommes de plus en plus nombreux à oser élever la voix. Parce que nous voyons que, si nous ne combattons pas ces idées de front, le seul destin possible est que nous aurons de plus en plus d’État, de réglementation, de socialisme, de pauvreté, de [manque] liberté et, par conséquent, un niveau de vie plus bas.

L’Occident s’est malheureusement déjà engagé dans cette voie. Je sais qu’il peut sembler ridicule à beaucoup de dire que l’Occident s’est tourné vers le socialisme. Mais ce n’est ridicule que dans la mesure où l’on se limite à la définition économique traditionnelle du socialisme, qui stipule qu’il s’agit d’un système économique dans lequel l’État possède les moyens de production. Cette définition devrait, à mon avis, être adaptée aux circonstances actuelles. Aujourd’hui, les États n’ont pas besoin de contrôler directement les moyens de production pour contrôler tous les aspects de la vie des individus. Avec des outils tels que l’émission monétaire, l’endettement, les subventions, le contrôle des taux d’intérêt, le contrôle des prix et les réglementations visant à corriger les prétendues « défaillances du marché », ils peuvent contrôler le destin de millions d’êtres humains.

C’est ainsi que nous en arrivons au point où, sous des noms ou des formes différents, la plupart des offres politiques généralement acceptées dans la plupart des pays occidentaux deviennent des variantes collectivistes. Qu’ils se déclarent ouvertement communistes, fascistes, nazis, socialistes, sociaux-démocrates, nationaux-socialistes, démocrates-chrétiens, néokeynésiens, progressistes, populistes, nationalistes ou mondialistes.

Au fond, il n’y a pas de différences substantielles : tous défendent l’idée que l’État devrait diriger tous les aspects de la vie des individus. Tous défendent un modèle contraire à celui qui a conduit l’Humanité aux progrès les plus spectaculaires de son histoire.

Nous sommes venus ici aujourd’hui pour inviter les autres pays occidentaux à retrouver le chemin de la prospérité. La liberté économique, un gouvernement limité et le respect sans restriction de la propriété privée sont des éléments essentiels à la croissance économique. Ce phénomène d’appauvrissement provoqué par le collectivisme n’est pas un fantasme. Il ne s’agit pas non plus d’un fatalisme. C’est une réalité que nous, Argentins, connaissons très bien depuis au moins cent ans.

Parce que nous l’avons déjà vécue. Nous l’avons vécue. Parce que, comme je l’ai déjà dit, depuis que nous avons décidé d’abandonner le modèle de liberté qui nous avait rendus riches, nous sommes pris au piège d’une spirale descendante qui nous appauvrit chaque jour davantage.

Nous le vivons déjà. Et nous sommes ici pour vous avertir de ce qui pourrait arriver si les pays occidentaux qui se sont enrichis grâce au modèle de liberté continuent sur cette route de la servitude.

Le cas argentin est la démonstration empirique que, quelle que soit votre richesse, quelles que soient les ressources naturelles dont vous disposez, quel que soit le niveau de qualification de la population, quel que soit son niveau d’éducation, quels que soient les lingots d’or qui se trouvent dans les coffres de la banque centrale, si vous prenez des mesures qui entravent le développement de l’économie, vous risquez de vous retrouver dans une impasse. Si vous prenez des mesures qui entravent le libre fonctionnement des marchés, la libre concurrence, les systèmes de prix libres, si vous entravez le commerce, si vous portez atteinte à la propriété privée, la seule destination possible est la pauvreté.

C’est pourquoi, pour conclure, je voudrais laisser un message à tous les hommes d’affaires présents ici et à ceux qui nous suivent depuis le monde entier.

Ne vous laissez pas intimider ni par la caste politique ni par les parasites qui vivent de l’État. Ne vous soumettez pas à une classe politique qui ne cherche qu’à se perpétuer au pouvoir et à maintenir ses privilèges.

Vous êtes des bienfaiteurs sociaux. Vous êtes des héros. Vous êtes les créateurs de la période de prospérité la plus extraordinaire que nous ayons jamais connue. Que personne ne vous dise que votre ambition est immorale. Si vous gagnez de l’argent, c’est parce que vous offrez un meilleur produit à un meilleur prix, contribuant ainsi au bien-être général.

Ne cédez pas à l’avancée de l’État. L’État n’est pas la solution. L’État est le problème lui-même.

Vous êtes les véritables protagonistes de cette histoire, et sachez qu’à partir d’aujourd’hui, vous avez l’Argentine comme alliée inconditionnelle.

Merci beaucoup et vive la liberté, putain.

Le discours original (en espagnol) :




Les climatosceptiques en augmentation — Davos tremble et veut la censure

[Source : medias-presse.info]

[Illustration : Le changement climatique perd des adeptes]

Par Francesca de Villasmundo

Un sondage a révélé un scepticisme considérable parmi le jeune public à l’égard de l’alarmisme climatique, une évolution qui a suscité une inquiétude et une colère au sein de l’appareil mondialiste : pour les partisans d’une action climatique urgente « il est déjà trop tard », l’agriculture pollue, il n’y a plus de combustibles fossiles, etc. : bref, le programme de dépeuplement sous prétexte de « lutter contre le CO2 ».

Un tiers des adolescents rejettent les discours sur le climat qui mettent l’accent sur une catastrophe mondiale imminente

Le blog bien informé Blondet et friends révèle cette étude alarmante pour les Khmers verts, enfants idéologiques des Khmers rouges de triste mémoire, ils ont juste changé de couler, mais prônent la même société de surveillance, de contrôle et de privation que les marxistes pur jus.

« L’étude, explique Maurizio Blondet, a été publiée le 16 janvier par leCenter for Countering Digital Hate(CCDH), une organisation de gauche poursuivie en justice par Elon Musk pour avoir lancé une “campagne de peur” visant à éloigner les annonceurs de X, anciennement Twitter.

L’étude révèle une augmentation significative entre 2018 et 2023 du contenu YouTube exprimant l’un des trois points de vue suivants : “les solutions climatiques ne fonctionneront pas”, “la science du climat et le mouvement climatique ne sont pas fiables”ou “les impacts du réchauffement climatique sont bénéfiques ou inoffensifs”.

Les chercheurs ont également découvert qu’environ un tiers des adolescents (l’audience prédominante sur YouTube) ont des opinions telles que “les politiques climatiques causent plus de mal que de bien”ou considèrent “le changement climatique comme un canular pour contrôler et opprimer les gens”.

Les résultats, que le CCDH qualifie d’alarmants et de “surprenants”, suggèrent qu’il existe un rejet croissant des discours sur le climat qui mettent l’accent sur une catastrophe mondiale imminente.

Le groupe dit trouver cette tendance inquiétante et exhorte les grandes plateformes technologiques comme YouTube à censurer les contenus qui “contredisent le consensus scientifique faisant autorité”sur le changement climatique. »

Les Khmers verts fustigent un « nouveau négationnisme climatique »

« Les chercheurs du CCDH ont collecté les transcriptions de plus de 12 000 vidéos publiées sur 96 chaînes YouTube entre 2018 et 2023, puis ont analysé le contenu des récits sur le changement climatique. Par exemple, le contenu exprimant l’opinion selon laquelle “la science du climat et le mouvement climatique ne sont pas fiables”est passé de 23 % à 35 %, tandis que le discours selon lequel “les impacts du réchauffement climatique sont bénéfiques ou inoffensifs”est passé de 4 % à 6 %. Ce changement, qualifié de “nouveau déni”, constitue désormais la majorité (70 %) des contenus climatosceptiques sur YouTube.

« L’étude révèle également que 33 % des adolescents pensent que “les politiques climatiques causent plus de mal que de bien”et 30 % pensent que “on ne peut pas faire confiance à la science du climat et au mouvement climatique”. “La propagation du nouveau déni climatique pourrait avoir un impact catastrophique sur l’action climatique”, a déclaré le CCDH dans un communiqué dans lequel le groupe appelle Google, propriétaire de YouTube, à intensifier sa politique de démonétisation et d’affaiblissement des contenus climatosceptiques.

« Charlie Cray, stratège principal chezGreenpeace USA, a fait une déclaration similaire dans une déclaration concernant l’étude : “Les négationnistes du climat ont désormais accès à un large public mondial via les plateformes numériques. Les laisser saper progressivement le soutien du public à l’action climatique, en particulier auprès des jeunes téléspectateurs, pourrait avoir des conséquences dévastatrices sur l’avenir de notre planète”. »

Faut-il être étonné si à Davos cette année, le sujet de la censure des réseaux sociaux et plateformes internet est revenu plusieurs fois sur la table ? Que l’information autre que celle estampillée correcte circule, c’est la nouvelle grande peur des bien-pensants…

Cette étude conforte les plus de 1 600 scientifiques et professionnels qui ont récemment signé un engagement déclarant qu’il n’y a « pas d’urgence climatique ».

Pourtant, rappelle fort à propos Blondet and Friends :

« En fait, plus de 1 600 scientifiques et professionnels informés ont récemment signé un engagement déclarant qu’il n’y a “pas d’urgence climatique”, arguant que les modèles erronés et la rhétorique alarmiste ont étouffé la réalité scientifique au nom de l’argent et du pouvoir. Les signataires comprennent des lauréats du prix Nobel, des physiciens théoriciens, des météorologues, des professeurs et des scientifiques environnementaux du monde entier. Le changement climatique, ou “l’urgence climatique”, comme de nombreux militants insistent pour l’appeler, est devenu un cri de ralliement mondialiste de plus en plus fort ces dernières années ».

Et ce « terrorisme climatique » comme il est dénommé dans l’article ci-dessus, a été « explicitement repris à Davos » souligne Blondet : « l’ancien vice-président Al Gore a mis en garde contre les “bombes à pluie” et les océans “en ébullition” dans un discours émouvant sur le changement climatique lors d’une réunion des élites mondiales au Forum économique mondial en Suisse l’année dernière. Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a prononcé un discours tout aussi alarmiste lors de l’événement, affirmant que “nous flirtons avec un désastre climatique” et que “chaque semaine apporte avec elle une nouvelle histoire d’horreur climatique”. »

Mais cette année, révèle le journaliste Blondet :

« la directive était encore plus extrême : l’agriculture et la pêche doivent être considérées comme des crimes environnementaux, car ce sont des formes d’écocide. C’est ce qu’a déclaré Jojo Mehta, fondateur deStop Ecocide Now, à qui le Forum économique mondial a donné la parole. Au cours de son discours, l’activiste a évoqué l’idée de considérer comme des crimes les effets secondaires écologiques dérivant d’activités telles que l’agriculture, la pêche et la production d’énergie. Il espère en outre la création d’une nouvelle catégorie pénale internationale d’écocide »pour prévenir les « dégâts massifs et la destruction de la nature ». Alors que les catastrophes telles que les marées noires et les fusions nucléaires ont jusqu’à présent été considérées comme des formes d’écocide, Mehta suggère d’étendre ce crime également aux fonctions nécessaires de l’humanité également. »

Quand on vous dit que les ayatollahs du climat sont des communistes travestis, leurs délires messianistes d’un meilleur des mondes « vertueux » sans agriculture, ni pêche, ni énergie, préludes à la dépopulation de la terre, et confinant à la haine de l’humanité, vous le prouvent.




Moscou va donner la priorité au plan de marquage du bétail de la planète approuvé à Davos

[Source : edwardslavsquat]

[Crédit image : weforum.org (site du Forum Économique Mondial)]

Source : Président russe Vladimir Poutine

Par Edward Slavsquat

L’expression « infrastructure publique numérique » [IPN] est un euphémisme amical de lézard de l’espace qui signifie « vous allez être marqué au fer rouge et vous allez aimer ça ». Vous avez probablement lu les joies de l’IPN en parcourant les sites web des Nations Unies, du Forum Économique Mondial, de la Fondation Rockefeller, de la Fondation Bill et Melinda Gates et d’autres réservoirs bienveillants de l’altruisme international qui se consacrent à la création d’un monde sûr, pratique, équitable, inclusif et extrêmement durable.

Voici comment le Programme des Nations Unies pour le Développement décrit l’IPN :

L’infrastructure publique numérique (IPN) est un moyen partagé de parvenir à de nombreuses fins. Elle est un catalyseur essentiel de la transformation numérique et contribue à améliorer la prestation des services publics à grande échelle. Bien conçue et mise en œuvre, elle peut aider les pays à atteindre leurs priorités nationales et à accélérer la réalisation des Objectifs de Développement Durable [de l’Agenda 2030].

Les gouvernements, les donateurs, le secteur privé et la société civile ont l’occasion de la façonner — rejoignez-nous !

Voici maintenant la définition de la Fondation Rockefeller :

L’IPN est une approche numérique qui permet des fonctions essentielles à l’échelle de la société afin de promouvoir la croissance économique et sociale pour tous, et pas seulement pour ceux qui ont les moyens d’y accéder.

Ses utilisations immédiates sont nombreuses : paiements d’urgence aux réfugiés climatiques via les téléphones portables, accès immédiat à la télésanté et aux dossiers, carte d’identité numérique qui accélère l’accès aux prestations sociales, etc.

Voici comment la Fondation Bill & Melinda Gates explique cette initiative numérique salutaire :

Lorsque COVID-19 a accéléré la transformation numérique à l’échelle mondiale, il a mis en évidence la différence entre une infrastructure numérique forte et une infrastructure numérique faible. Les pays disposent d’une fenêtre étroite pour s’assurer qu’ils disposent de réseaux numériques qui offrent de manière sûre et efficace des opportunités économiques et des services sociaux à tous les résidents. C’est ce que l’on appelle l’infrastructure publique numérique.

Enfin, le Forum Économique Mondial a donné son point de vue sur l’IPN :

L’infrastructure publique numérique est essentielle pour relever d’importants défis mondiaux tels que le changement climatique et la nécessité de disposer de finances publiques réactives et efficaces. […]

Une approche axée sur l’infrastructure et utilisant les IPN nous promet d’imaginer un avenir numérique inclusif qui exploite le pouvoir de la société, des gouvernements et des entreprises, tout en étant innovant, adapté au contexte et évolutif pour servir les gens et notre planète.

Les IPN dans le domaine de l’identification et des paiements ont considérablement raccourci la courbe d’adoption et d’inclusion.

Si l’on supprime la salade de mots superflus des citations ci-dessus, la philosophie qui sous-tend l’IPN peut être résumée comme suit :

Les étiquettes pour le bétail ne sont pas seulement sûres et pratiques, elles sont un droit de l’homme.

Si je souligne ce point, c’est parce que Vladimir Poutine a annoncé, lors du sommet du G20 de novembre, que le « développement de l’infrastructure publique numérique » était une « priorité » pour la Fédération de Russie.

Source : Kremlin.ru
Président de la Russie | Les événements | Structure | Vidéo et photo | Documentation | Contacts | Recherche
Je tiens à souligner que la Russie accorde une attention prioritaire au développement de l’infrastructure publique numérique et au renforcement de la sécurité de l’information. D’ailleurs, nous fournissons déjà la plupart des services gouvernementaux à la population par voie électronique.
En tant que participant responsable aux efforts mondiaux de lutte contre le changement climatique, la Russie prévoit d’atteindre la neutralité carbone au plus tard en 2060. À cette fin, tous les outils disponibles et efficaces sont utilisés pour réduire les émissions de gaz à effet de serre : l’énergie nucléaire, l’hydroélectricité, l’augmentation de la capacité d’absorption des forêts, les technologies respectueuses de l’environnement dans tous les secteurs de l’économie.

Bien sûr, il est important de se rappeler que la promotion inconditionnelle de l’IPN par Moscou est très bonne et antimondialiste, tandis que les documents de politique générale de la Fondation Rockefeller détaillant comment l’IPN rendra le monde plus « équitable » sont très mauvais et diaboliques. Il est évident que Moscou s’empresse de mettre en œuvre des projets d’IPN en Russie afin d’empêcher les mondialistes de mettre en œuvre des projets de l’IPN en Russie [😁]. Moscou utilise exactement la même stratégie pour combattre les mauvais clot-shots [mauvaises coagulations (suite aux injections)] et les mauvaises CBDC par de bons clot-shots et de bonnes CBDC.

Mais revenons-en à l’IPN.

L’excellent universitaire et économiste russe Valentin Katasonov a récemment publié un article sur ce nouveau projet « d’infrastructure » mondial et sur les raisons pour lesquelles l’IPN sera probablement l’acronyme de l’année 2024. (Vous vous souvenez peut-être des commentaires avisés de M. Katasonov sur le rouble numérique). Son dernier article d’opinion sur l’IPN a été publié par au moins trois médias en langue russe (Zavtra, un site de médias alternatifs conservateurs de droite, Katyusha.org, nos amis orthodoxes patriotes, et Business Gazeta, le site d’information économique le plus rouge de Russie).

L’article se trouve ci-dessous. Bonne lecture.

IPN sera-t-il le nom du « camp de concentration numérique » mondial ?

par Valentin Katasonov, 15 décembre 2023

L’année dernière, l’une des abréviations anglaises les plus utilisées dans les médias russes était CBDC (Central Bank Digital Currency [Monnaie numérique des banques centrales]). Notre intérêt particulier pour la CBDC est dû au fait que la loi sur le rouble numérique a été adoptée au cours de l’été de cette année et que la Banque de Russie a commencé à introduire progressivement ce rouble numérique dans nos vies.

Je n’exclus pas que l’année prochaine, en 2024, une autre abréviation anglophone prenne la première place en termes de popularité — IPN, qui signifie Infrastructure Publique Numérique [Digital Public Infrastructure, ou DPI, en anglais]. Pour la majorité de nos concitoyens, le sujet de l’IPN est encore terra incognita [terre inconnue ou territoire inconnu]. Mais la mise en œuvre du projet IPN pourrait être si rapide que l’année prochaine, les citoyens pourraient perdre le sommeil à cause de cette mystérieuse IPN. Cela peut avoir le même effet de choc sur les gens que, par exemple, la soi-disant pandémie de Covid qui a balayé le monde entier, y compris la Russie, en 2020.

Le projet d’introduction de l’IPN a été lancé au plus haut niveau. Il est mené sous les auspices du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), de la Fondation Bill et Melinda Gates et de la Fondation Rockefeller, avec le soutien de l’Union Européenne, du FMI et du Forum Économique Mondial (FÉM) de Davos.

Le Guide de l’Infrastructure Publique Numérique (IPN) des Nations Unies (PNUD) indique que le projet comporte trois volets principaux :

« En général, il existe trois principaux types de protocoles qui facilitent l’infrastructure publique numérique : l’identité numérique, les paiements numériques et l’échange de données. En ce qui concerne la première composante (l’identification numérique), il s’agit d’une carte d’identité numérique. »

Et plus loin sur le site du PNUD, on peut lire :

« Ces trois protocoles sont généralement requis pour la plupart des transactions de services numériques, telles que la délivrance de permis, de licences ou la fourniture de dossiers, qui nécessitent souvent de vérifier l’identité de l’utilisateur, d’assurer l’échange de données entre les agences et les utilisateurs, et enfin d’autoriser les paiements en ligne. »

Voici d’autres extraits du site web du PNUD :

« En donnant la priorité à ces trois protocoles, les gouvernements locaux peuvent préparer le terrain pour le développement réussi d’un écosystème complet de services numériques afin de répondre aux besoins uniques de leur communauté. »

En ce qui concerne la question de l’identité numérique, le site indique spécifiquement ce qui suit :

« Cette identité numérique détermine les produits, les services et les informations auxquels nous pouvons accéder ou, à l’inverse, ce qui nous est interdit. »

Tout est très franc. L’accès aux biens publics sera différencié en fonction du statut social de la personne, probablement dans l’esprit du roman de Huxley « Le meilleur des mondes », où tous les habitants du « Meilleur des mondes » sont divisés en castes. Il est probable que le comportement de chaque individu jouera également un rôle, notamment à l’aide de notations sociales attribuées à chaque individu (ce sont les camarades chinois qui ont le plus progressé dans ce sens).

J’ai déjà beaucoup écrit sur cette composante de l’IPN qu’est la CBDC. J’ai récemment publié un livre sur ce sujet : Digital currencies: from Bitcoin to CBDC: “Masters of money” want to become “masters of the world” [Monnaies numériques : du Bitcoin à la CBDC : les « maîtres de l’argent » veulent devenir les « maîtres du monde »] (M. : Tion, 2023).

Même avant l’apparition du projet IPN, j’ai dit que la CBDC est une partie importante d’un projet plus global et général visant à construire un camp de concentration numérique mondial et que tous les détails du projet global nous sont encore inconnus. Aujourd’hui, il semble que nous puissions enfin voir comment le puzzle appelé « camp de concentration numérique mondial » est en train d’être assemblé à partir de pièces individuelles. Son nom est IPN [ou DPI en anglais].

Quant à la CBDC, au cours des derniers mois, certains des secrets de ce projet ont également commencé à être révélés. Les banques centrales de dizaines de pays du monde entier ont déjà annoncé l’année dernière qu’elles commençaient à préparer et à mettre en œuvre des projets de monnaie numérique. Mais en même temps, elles ont déclaré qu’il s’agissait exclusivement de monnaies numériques nationales. Et que la CBDC n’était qu’un ajout aux deux formes existantes de monnaie — liquide et non liquide. Mais cette année, de nombreux signes indiquent déjà qu’une monnaie numérique mondiale unique sera créée au fil du temps et que la CBDC n’est pas un troisième type de monnaie, mais le seul qui remplacera à terme à la fois l’argent liquide et la monnaie scripturale traditionnelle.

En novembre 2023, le festival international de la fintech s’est tenu à Singapour. La directrice générale du Fonds Monétaire International (FMI), Kristalina Georgieva, y a prononcé un discours. Elle a appelé les États à « continuer à se préparer à la mise en œuvre » des CBDC et des plateformes de paiement connexes à l’avenir. La directrice exécutive a noté que les CBDC sont mieux à même que l’argent liquide et les transferts bancaires traditionnels d’assurer la durabilité dans les économies avancées et d’améliorer l’accès aux services financiers dans les communautés sous-bancarisées. Elles parlent plus ouvertement de l’avenir des CBDC en Chine : elles ne cachent pas que le yuan numérique non seulement peut, mais doit, à l’avenir, remplacer les types de monnaie traditionnels, principalement le yuan en espèces.

Ces derniers mois, divers sites web consacrés à l’IPN ont commencé à apparaître comme des champignons après la pluie. Voici, par exemple, un site appelé CDPI. Il s’agit d’une ressource d’information sur le développement de l’IPN, appelée Center for Digital Public Infrastructure (Centre pour l’infrastructure publique numérique). Le site est en grande partie constitué de publicité. Il est impossible de comprendre qui sont les développeurs du projet, qui sont les clients et qui finance le développement.

Le site web explique ce qu’est l’IPN :

« L’infrastructure publique numérique est une approche visant à résoudre les problèmes socio-économiques à grande échelle, en combinant des interventions technologiques minimalistes, la gouvernance publique/privée et l’innovation dynamique du marché. Parmi les exemples courants, citons l’Internet, les réseaux mobiles, le GPS, les systèmes d’identité vérifiables, les réseaux de paiement interopérables, l’échange cohérent de données, les réseaux de découverte et d’exécution en boucle ouverte, les signatures numériques, etc. »

Comme on le voit, le projet IPN vise à intégrer tout ce qui a été développé et peut encore l’être dans les différentes sphères de la vie publique, et est lié aux technologies numériques et à l’information numérique.

Seules deux personnes « mises en avant » sur le site web du CDPI sont apparemment très impliquées dans le sujet de l’IPN. L’une d’entre elles est Nandan Nilekani, un entrepreneur et milliardaire indien étroitement associé au milliardaire américain Bill Gates. Il a acquis une renommée mondiale en faisant don, en 2017, de la moitié de sa fortune à la Bill and Melinda Gates Charitable Foundation. Le milliardaire indien présente le projet comme suit :

« L’infrastructure publique numérique consiste à créer un modèle de croissance fondé sur la technologie qui soit collaboratif, équitable et qui démocratise les opportunités à l’échelle de la population. Le centre IPN peut aider les pays à progresser plus rapidement dans cette voie. »

Le deuxième personnage est Bill Gates lui-même. Apparemment, il est la figure principale de l’organisation CDPI. Sur la page d’accueil du site, il s’adresse aux utilisateurs avec ces mots inspirants :

« Tout comme nous avons construit des routes, des autoroutes et des aéroports au 20e siècle, nous devons maintenant construire une infrastructure numérique ouverte, accessible et qui donne du pouvoir à tout le monde. »

À en juger par de nombreux signes, nous entendrons parler de [Bill Gates] en 2024 aussi souvent que nous avons entendu parler de lui, par exemple, en 2020-2021, lorsqu’il poussait de toutes ses forces l’idée d’une vaccination universelle de l’humanité, et d’une vaccination accompagnée de l’identification numérique de chaque habitant de la planète.

De nombreux observateurs et experts de l’IPN appellent les principaux moteurs du projet les Nations Unies (PNUD) et Bill Gates (la Fondation qui porte son nom). Ce projet a reçu le nom officieux de « 50-in-5 » [« 50 en 5 »]. Cela signifie que les Nations Unies et Bill Gates prévoient de créer des infrastructures publiques numériques complètes dans 50 pays sur une période de cinq ans. En d’autres termes, si nous comptons à partir de 2023, en 2028, des camps de concentration numériques à part entière devraient être construits dans cinquante pays du monde. Et à plus long terme, un monde unique sera créé à partir de camps de concentration numériques individuels.

Quand la campagne « 50 en 5 » a-t-elle commencé ? Le site web du PNUD indique la date exacte du début de la campagne : le 8 novembre 2023. La communauté mondiale n’a pas encore pleinement pris conscience de cet événement historique. […]

Il y a d’autres participants au projet NPI. Ainsi, lors du sommet B20 (Business-20) qui s’est tenu en Inde en août, l’entrepreneur et milliardaire Nandan Nilekani, déjà cité plus haut, a pris la parole. Il est considéré comme le premier architecte indien de l’identité numérique. Lors du sommet, l’homme d’affaires s’est vanté du chemin parcouru par l’Inde dans la mise en place d’une infrastructure publique numérique. Il a ajouté que d’autres pays pourraient suivre son exemple et utiliser l’IPN pour tout ce qui concerne les passeports vaccinaux, la perception des impôts et le paiement des péages routiers, l’adaptation au changement climatique et la transition vers une économie circulaire.

Et lors de la session de printemps (2023) du FMI et de la Banque Mondiale, ce milliardaire indien a déclaré que pour construire une « société correcte » dans le nouveau monde, seuls trois outils sont nécessaires : chaque membre de cette société devrait avoir une carte d’identité numérique ; tout le monde devrait avoir un compte bancaire ; tout le monde devrait avoir un smartphone. Cela suffit pour construire toute l’infrastructure numérique de la société, c’est-à-dire, dans un langage moins politiquement correct, un camp de concentration numérique.

[NDLR Cela correspond à la mise en place de la mythique ou apocalyptique Marque de la Bête sans laquelle il ne sera plus possible d’acheter et de vendre. Ceci sera probablement réalisé dans la pratique par le transhumanisme de l’Homme grâce aux vaxins graphénisés qui le rendront partie intégrante de l’Internet de Corps avec la proche 6G et permettent déjà l’apparition d’un identifiant numérique unique sous forme d’adresse MAC, pour Media Access Control.
En d’autres termes :
Marque de la Bête = Graphène des vaxins + 6G + CBDC + Identité numérique mondiale + Crédit social]

Le Forum Économique Mondial (FÉM), qui a commencé à être oublié de manière imméritée après la fin abrupte de la pandémie dite de Covid, apporte également une forte contribution à la construction de l’IPN. En novembre de cette année, le FÉM a proposé son plan d’introduction de « cartes d’identité numériques ». En outre, la menace d’un réchauffement brutal de la planète, les prévisions de nouvelles pandémies, l’imminence d’une famine mondiale et d’autres menaces globales ne laissent pas de temps pour l’escalade. Le FÉM estime que l’identification numérique de tous les habitants de la planète devrait être achevée d’ici 2030.

Les observateurs et les experts qui ont commencé à suivre le sujet de l’IPN notent que si la mise en œuvre du projet commence à déraper, les organisateurs de la campagne auront très probablement recours à un moyen déjà éprouvé : l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) annoncera le début d’une nouvelle « pandémie », avec toutes les conséquences qui en découlent pour les droits de l’homme et les libertés.

PS — L’auteur d’un article récent (publié par Tsargrad) sur le thème de l’IPN a suggéré de donner un autre nom, plus exact, au projet : GDCC — « global digital concentration camp » [camp de concentration numérique mondial].




La Grande Dictature de Davos

Un invité de Fox News résume PARFAITEMENT en une minute l’agenda de la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial :

« Le FÉM est une organisation politique fanatique qui utilise la peur et la manipulation, comme l’hystérie Covid, comme le canular du réchauffement climatique, pour faire croire aux gens qu’ils [les gens de l’élite derrière le Forum de Davos] sont les sauveurs, alors qu’en réalité, tout ce que vous faites, c’est les aider à atteindre leur objectif, qui est en fait un mouvement fasciste public-privé mondial, et la fusion du grand gouvernement, de la grande technologie et du grand argent, pour créer une élite technocratique dirigeante, qui, comme par hasard, est la leur ».

« Ils veulent créer un féodalisme 2.0, dans lequel nous sommes des serfs et où ils sont les seigneurs qui nous gouvernent… C’est ce qu’ils visent. »




Des Nahel et de l’État davosien, qui nous menace le plus ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Modeste Schwartz

Au moment où on découvre que l’assassin de Nahel avait été décoré par le préfet Lallement pour son zèle dans les tabassages de Gilets Jaunes, on ne peut plus faire l’économie d’une clarification des principes : un libertarien peut-il applaudir la violence de l’État ?


Il y a des français qui pensent que Macron avait raison d’instituer, sur ordre de Davos, un « passe sanitaire », pour nous exposer à l’AVC climatique protéger de la grippe. Soyons clair : je n’écris pas plus pour eux que pour les raëliens. Qu’ils lisent Bouzou !

Mais que dire à ceux qui ont protesté contre le passe, et trouvent néanmoins normal que la police puisse tirer sur des prévenus qui ne la menacent pas ?

On pourrait, pragmatiquement, leur citer l’exemple des pays (avant tout : des USA) où les politiques de tolérance zéro — tout comme la catastrophique guerre contre la drogue ont systématiquement mené à des résultats diamétralement opposés à ceux que faisaient miroiter les démagogues sécuritaires.

Eric Verhaeghe a choisi la voie de la logique, en les appelant à faire preuve de cohérence dans l’application des principes. Mais sont-ils vraiment incohérents — ou simplement hypocrites ?

Qui nous protégera de nos protecteurs ?

Car il y a un énorme non-dit dans cette affaire — qui est un non-dit ethnique. Beaucoup de Gaulois, convaincus que le grand remplacement (qui est indéniable) est une invasion « arabo-islamique », considèrent que la « sévérité » policière dont ils font les frais (par exemple, sous leurs gilets jaunes) et un certain « laxisme » reproché aux mêmes administrations face « aux racailles » seraient les deux faces d’une même médaille.

On pourrait ergoter longtemps sur l’exactitude de cette perception de la situation politico-sociale.

Étant pour ma part — à partir de prémisses fort éloignées de celles d’un Zemmour — aussi arrivé à la conclusion que le mondialisme actuel veut la disparition des Blancs, j’éviterai d’ergoter, préférant raisonner ainsi, cyniquement :

Admettons qu’une communauté, post-nationale, ethnique — la nôtre — soit en proie à l’hostilité de diverses maffias : la plupart, locales, ethniques, désorganisées et peu armées ; et l’une d’entre elles, omniprésente, omnisciente et armée jusqu’aux dents : l’État. Je laisse à chaque gaulois doué de raison le soin de décider laquelle de ces maffias il souhaite désarmer en premier en vue de maximiser ses chances de survie.




Le cirque de Davos

[Source : Vivre sainement]




ANDRÉ BERCOFF humilie JULIEN PAIN sur son interview ratée de KLAUS SCHWAB

[Source : TRED]

https://youtu.be/JWjn9edw1_s



Le Forum Économique Mondial de Davos est-il le nouveau Sodome et Gomorrhe ?

[Source : globalresearch.ca]

Par Peter Koenig

Le Forum Économique Mondial (FEM) a atteint un nouveau paroxysme. Il est apparemment devenu une plaque tournante pour la prostitution de haut vol et à prix élevé, pardon, « Services d’escorte ». Comme jamais auparavant. Ceci est amplement couvert par les médias internationaux. À quelques exceptions près, les grands médias suisses restent muets. Pourquoi ?

Pourquoi la Suisse accueille-t-elle toujours ce nouveau Sodome et Gomorrhe ? Poliment appelé le Chaos de Davos ? Les citoyens de Davos détestent de plus en plus la réunion du FEM. Cela détruit non seulement leur tranquillité, mais aussi leur plaisir et leurs affaires en matière de sports d’hiver. Les touristes restent à l’écart.

Ils ne veulent pas être confrontés à 5 000 — ou plus — policiers et militaires. « Pour la sécurité » bien sûr. Regarder un canon de fusil à chaque coin de rue n’est pas agréable.

Au cours des deux à trois dernières décennies — depuis l’ascension néolibérale sur l’humanité — toute imposition désagréable sur les peuples du monde est, en effet, « pour leur propre sécurité », et par inférence, « pour leur propre bien ». Cela fait taire tout critique. Et ça se répète si souvent qu’on commence à y croire.

Des plaisirs simples comme sentir un melon
ou presser un fruit seront mal vus
et pourraient même devenir une chose du passé.

Que le FEM ait été une attraction pour les putains de haut vol, qui maintenant pour mieux se fondre dans les participants réguliers du WEF, apparaissent dans une tenue d’affaires élégante n’est pas nouveau. Mais le WEF 2023 a atteint de nouvelles dimensions.

Cette nouvelle Haute Escorte et les thèmes de plus en plus dystopiques qui accompagnent la sexomanie des magnats du FEM pourraient signaler la phase finale du FEM. Le monde serait un endroit bien meilleur sans lui, et sans les oligarques et les mastodontes financiers comme BlackRock et coll. — envahissant Davos qui soutiennent et financent amplement le FEM.

Sans parler des millions d’argent des contribuables suisses que le gouvernement dépense pour soutenir les réunions annuelles du FEM et la protection policière et militaire.

Cet homme, Klaus Schwab, un mégalomane qui ressemble à un fantôme venu de l’espace et qui parle comme un monstre haïssant l’humanité est si impopulaire dans le monde qu’il semble lui-même n’en avoir aucune idée.

Son impopularité est peut-être mieux reflétée par le commentaire d’un lecteur après le discours de Schwab lors de la récente réunion du G20/B20 à Bali : « Je souhaite que Klaus Schwab obtienne tout ce que les gens dans le monde lui souhaitent… » N’en dites pas plus. Tout est embouteillé dans ces quelques mots. Voir ceci.

Ne serait-ce pas le moment de disparaître gracieusement et de laisser le FEM s’effondrer sans bruit — et disparaître ? Après 52 ans et 53 réunions de Davos, suffisamment de dégâts ont été causés. S’en aller !

Le FEM aura-t-il une fin bien méritée à la manière de Sodome et Gomorrhe — comme le montre l’histoire religieuse ?

Alors que l’élite mondiale prétend s’attaquer aux plus grands problèmes du monde — y compris l’inégalité entre les sexes —, le sommet de Davos alimente une montée en flèche de la prostitution. Les services d’escorte et de sexe sont en plein essor à Davos où les titans politiques et financiers se réunissent lors de la 53e édition annuelle du FEM du 16 au 21 janvier 2023.

Selon le Daily Mail :

Les prostituées se réunissent à Davos pour la rencontre annuelle de l’élite mondiale — où la demande de services sexuels explose pendant le sommet économique.
 Les prostituées font état d’une forte augmentation de leur activité pendant le rassemblement annuel des dirigeants.
 Des escortes sont réservées dans les hôtels des délégués, aux côtés des dirigeants d’entreprise.
 Les travailleurs du sexe s’habillent en tenue d’affaires et côtoient l’élite mondiale.

L’élite mondiale qui s’attaque aux plus grands problèmes de la planète, dont l’inégalité entre les sexes, au sommet de Davos, alimente une hausse de la prostitution dans la station balnéaire suisse.
La demande de travail sexuel monte en flèche chaque année à l’occasion de la réunion des dirigeants mondiaux et des magnats du monde des affaires, venus du monde entier pour se frotter les uns aux autres.
Des escortes sont réservées dans les mêmes hôtels que les grands patrons et leurs employés pendant les cinq jours du sommet, qui a débuté le 16 janvier.

Capture d’écran du Daily Mail

Le harcèlement sexuel par des hommes riches au FEM est « si courant » qu’il est conseillé aux femmes invitées de ne pas assister seules aux événements, a rapporté l’EXPRESS autrichien.

Selon un rapport de 2020 du UK Times, les femmes — même si elles sont des participantes accréditées au FEM — sont « régulièrement harcelées » par les hommes qui dominent le conclave. En effet, l’événement a commencé cette année-là à avertir les femmes de ne pas sortir seules après la tombée de la nuit, « parce que si quelque chose arrive avec un grand PDG, qui va être cru ? Toi ou eux ? »

Le personnel féminin du FEM à Davos a été averti de se méfier des politiciens et des magnats des affaires.

Comme l’a dit une escorte de luxe, « Croyez-moi, vous ne voulez pas entrer en litige avec eux. »

Pour plus de détails, voir ici et ici et ici.

Maintenant sur une note plus sérieuse. La critique et même le ridicule de l’approche dictatoriale et dystopique du FEM des problèmes du monde ont atteint en 2023 un nouveau sommet. Bien que les mots « démocratie » et « liberté » soient toujours au premier plan, ils ne sont guère appliqués. Ils ne sont que l’acte de propagande incessante pour quelque chose qui ne l’est pas. Et comme Goebbels, le ministre de la Propagande d’Hitler le disait déjà il y a près de 80 ans :

« Si un mensonge est assez souvent répété, il devient la vérité ».

Cette fausse vérité a lavé le cerveau de presque tous les citoyens occidentaux. Nous sommes progressivement réduits en esclavage tout en continuant à croire que nous vivons dans une démocratie. Le FEM fait partie du flot continu de la propagande, mais aussi un maître tyran, en la personne de Klaus Schwab et de son conseiller principal israélien, « You inutile eaters », M. Yuval Noah Harari.

La Suisse se vantant de « démocratie », s’ils étaient sérieux, ils auraient expulsé Schwab et le FEM il y a des années, voire arrêté Schwab pour crimes contre l’humanité.

Le président ukrainien Zelenskyy et son épouse ont été invités à prendre la parole au FEM, plutôt pour mendier plus d’argent et d’armes afin de « vaincre » la Russie. Eh oui, l’OTAN, aidez-nous s’il vous plaît et faites de nous un membre de votre clan de guerre. Le couple a dénigré la Russie et en particulier le président Poutine, mensonge après mensonge, après misérable mensonge.

D’autres crimes de guerre ont été commis par le régime Zelenskyy, qui a massacré son propre peuple dans la région du Donbass et ailleurs juste pour qu’il puisse blâmer les Russes pour le bain de sang. Les journalistes sur place qui ont vu la vérité ont été menacés de se taire, sinon. Plusieurs ont « disparu ».

D’un point de vue démocratique, le président Poutine aurait également dû être invité à présenter sa vérité. Il n’a pas été invité. Avec sa présence, le FEM aurait pu créer une plate-forme pour la paix. Le FEM fidèle à son énoncé de mission — « engagé à améliorer l’état du monde » — aurait pu parrainer des négociations de paix.

Au lieu de cela, Schwab et les hauts responsables politiques qu’il a invités ont facilité l’envoi de plus d’armes, de plus de machines à tuer, à l’Ukraine, sans aucune stratégie pour mettre fin à la guerre, de sorte que ce gouvernement dystopique soutenu par un leadership dystopique des États-Unis et de l’UE continue à donner au pays le plus corrompu d’Europe une aide inconditionnelle à la guerre, en envoyant sans cesse, sans aucun critère de « fin en vue », des canons, des chars et des missiles, en continuant à encourager Zelensky à se battre jusqu’au bout, jusqu’au dernier Ukrainien, pour ainsi dire.

Ainsi, Schwab et tous les autres livreurs d’armes de l’UE / de l’OTAN / des États-Unis ne deviennent-ils pas des meurtriers par association et ne devraient-ils pas être arrêtés immédiatement et jugés ?

À long terme, ou peut-être déjà à court terme, le FEM pourrait devenir un fardeau pour la Suisse. C’est déjà un fardeau pour la Suisse — et pour le monde.

En parlant de dystopie et de « fardeau », pour quiconque doit écouter ces absurdités, écoutez le ridicule de John Kerry, ancien vice-président américain et maintenant envoyé spécial pour l’environnement aux États-Unis. Les mots de Kerry, « Un groupe restreint d’êtres humains ont un plan pour “sauver la planète” et ses presque extra-terrestres ». Voir cette courte vidéo :

Pour l’amour de Dieu, empêchons-le de « sauver la planète » !

Le rédacteur en chef du « Weltwoche » (journal suisse), Roger Koeppel, résume l’événement FEM 2023 dans son Daily Special comme étant dépressif, donnant l’impression que nous vivons les pires moments de notre vie, que l’humanité se dirige rapidement vers une apocalypse climatique, surtout lorsqu’on écoute la marionnette des États-Unis et du WEF, le secrétaire général de l’ONU Guterres. Comment peut-il avoir oublié que depuis environ 30 ans, nous écoutons le même récit — « Nous sommes juste avant l’effondrement climatique final » — et pendant 30 ans, l’effondrement n’a pas eu lieu… Voir ceci (en allemand), vous pouvez également voir ci-dessous :

De la façon dont le FEM occidental et le cirque du mensonge évoluent, il est fort possible que l’apocalypse prédite par Guterres se produise sous une forme reflétant la légende biblique de Sodome et Gomorrhe.


Peter Kœnig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans dans le monde entier. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur de Implosion — An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press — 1er novembre 2020).
Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non résident de l’Institut Chongyang de l’Université Renmin de Pékin.

L’image en vedette provient du FEM

La source originale de cet article est Global Research
Copyright © Peter Kœnig, Global Research, 2023




Davos ou la guerre ?…

Par Lucien SA Oulahbib

« Capri, c’est fini ». En gros, la mode est morte, « Davos, c’est fini », cela ne se « passe plus » là. Davos, c’est has been. Musk l’a bien compris, les N° 1 des pays qui comptent également, à part la fausse rebelle suédoise qui est obligée de se faire embarquer par des acteurs policiers pour faire croire encore à un enjeu. Or, même les personnes qui animent en sous-main la Secte n’y vont plus ou alors si peu ou encore invités si seulement si suite SPA et Escort girl/boy y sont inclus….

D’où la nécessité à nouveau de faire peur avec le prochain énième variant (préfabriqué lui aussi ?). Et bien sûr, les intempéries, mais celles-ci ne semblent pas suivre les modèles, ce qui est ingrat. Ou alors la guerre à outrance avec la Russie, sauf que l’Allemagne traîne des pieds ou du moins le fait croire par pudeur, un non qui pourrait dire oui au détour d’une décision en haut lieu exigeant l’escalade…

Peu importe. Soit Davos, soit la guerre. Et au milieu, une réforme improbable des retraites. Irréel. Soit Davos et les milliards à foison pour nous transformer en cyborg, les sans-dents sous réalité virtuelle, les sectaires sous cellophane médiatique ayant la permission carbone d’influencer ici et là ; soit la guerre et les milliards dépensés en vue de fabriquer encore plus de bombes et de missiles en attendant les premières destructions en représailles si l’escalade se confirme. D’un côté donc, les soumis injectés en permanence, désormais sous casque virtuel ; de l’autre, l’élite globale sautant de ville en ville ce qu’il y a d’important (méta) physiquement à visiter…

L’écart cependant s’avère de plus en plus grandissant entre ce qui se passe réellement sur le terrain et ce qui en est montré médiatiquement : banal. Ce qui l’est tout de même moins c’est bien l’écart qui s’aggrave sans trop d’effets convulsifs alors que même un élastique se casse à force de s’étirer, bref pourquoi ne « pète-t-il pas » ?…

Une hypothèse (déjà indiquée par ailleurs) : intuitivement tout le monde sent bien que « Capi, c’est fini » à gauche comme à droite, extrême compris. D’où la spirale du vide que les Gilets Jaunes ont cru combler ; mais comme il s’agit d’un Triangle des Bermudes très spécial, ils ont été absorbés ou du moins fragmentés, illustrant par là qu’un vide symbolique politique civilisationnel ne disparaît pas du jour au lendemain, d’autant plus que tous ces corps morts de la Secte SHAA encore présents dans les médias, le pouvoir, un peu partout persistent et signent à déployer leurs métastases mortifères qui leur permettent de se cramponner quoiqu’il en coûte.

Et comme les supposés remplaçants se chamaillent, s’excluent les uns les autres, bref reproduisent les mêmes tics que ceux qu’ils dénoncent, « nous » ne sommes pas vraiment sortis de l’impasse…

D’où la lente et inexorable chute en enfer, et, pour l’instant, le purgatoire : comme revoir au ralenti ou en accéléré les occasions manquées, les possibles rendus impossibles par bêtise, manque de courage, incommensurabilité entre ce qu’il faudrait faire et le manque évident d’hommes et de moyens émergeant là où ils devraient être. Tragédie, farce. Le tourbillon est lui bien en place. Vertige de l’absurde et de son abîme.

En attendant Godot : Davos ET la guerre.




N’ayez pas peur, le Grand Reset de Davos n’aura pas lieu !

[Publié initialement sur RL]

Par Nicole Delépine

Merci à la mathématicienne et enseignante Karen Brandin, pour son nouvel appel à sauvetage des jeunes actuellement sacrifiés sur tant de plans, en particulier éducatifs, mais aussi sociaux, culturels, etc..

La tribune https://nouveau-monde.ca/des-machines-et-des-profs/ appelle à écho par des témoignages et propositions d’autres professeurs, mais aussi d’élèves, parents, intellectuels, artisans, ouvriers, etc. afin que se lève un grand mouvement de protestation et surtout de reconstruction, sur des bases fondamentales, de l’ÉCOLE, que de nombreux « vivants » connaissent encore et ont animé, et seraient encore capables rapidement de remettre sur pied.

La grande table rase du Grand Reset n’est pas inéluctable et n’aura pas lieu(([1] « Ce projet est le Great Reset (réinitialisation) selon lequel il faut rebondir sur le Covid, pour révolutionner l’économie, la société et gouvernance du monde. Comme, hors du monde occidental, personne ne prend au sérieux ces perspectives, c’est un véritable programme d’autodestruction que les auteurs veulent imposer à l’Europe. L’auteur s’attache à démonter une à une les hypothèses et les propositions de Davos, le principal danger qui menace aujourd’hui le monde » Le Grand Reset n’aura pas lieu – broché – Roland Hureaux – Achat Livre ou ebook | fnac.))

Au moins si nous le décidons.

Contrairement à ce que voudraient les défenseurs du Grand Reset et singulièrement les milliardaires de Davos qui pensent qu’en se protégeant avec 5000 policiers pour 2500 participants, ils auront les moyens de faire taire près de huit milliards d’individus sur terre (même en ayant sacrifié un bon nombre via les injections volontairement funestes), ILS SE TROMPENT.

Non, il faut que chacun d’entre nous arrête de croire que le pire est inévitable, inéluctable et que l’ancien monde civilisé (si riche de différents types de civilisations) va nécessairement disparaître, parce que quelques sbires richissimes déversant leurs milliards sur quelques fous faciles à trouver qui déboulonnent statues et monuments l’ont décidé, tout en tentant de se protéger eux-mêmes et leurs familles des dangers diffusés largement sur les populations.

Rappelons à cette occasion que Bill Gates n’a jamais vacciné ses enfants et que les participants à Davos viennent en jet privé piloté par des pilotes indemnes de l’injection covid(([2] Un pilote révèle : L’élite veut être pilotée par des pilotes non vaccinés – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) )). On a eu récemment la confirmation de distribution d’injections anticovid via des lots répertoriés et différents dont certains réservés à l’élite étaient, semble-t-il, sans effet(([3] https://nouveau-monde.ca/la-drole-de-repartition-des-injections-selon-catherine-austin-fitts/)).

Comme l’explique clairement Roland Hureaux (ibid 1), il ne faut pas confondre prévision avec prophétie autoréalisatrice qui conduit à penser qu’on ne peut plus rien faire, qu’ils sont « trop forts » qu’ils vont forcément gagner… et donc effacer de la terre toutes ces « bouches inutiles » et rester entre eux, entre pervers narcissiques pour profiter des biens de ce monde.

Quelle suffisance et quelles vanités, qui leur font oublier le principe de réalité ! Non, vouloir tuer des milliards de personnes avec une injection poison n’a pas marché, même si elle a réussi à en supprimer des millions et en rendre handicapés à vie d’autres millions… Ils peuvent espérer l’injecter dans quelques années via des poissons « vaccinés » ou les disperser via des nuages déversés par des avions complices ou trompés, ils ne pourront qu’échouer. Le génome constitué en milliards d’années avant de devenir celui d’un humain est probablement beaucoup plus solide que ces disciples de Satan ne l’imaginent.

Il ne suffit pas d’être cruel pour être efficace sur de larges populations. Les chimères chinoises n’ont pas survécu plus que les hommes-chèvres ou autre invention maléfique.

Le projet du Grand Reset consistait à faire disparaître tout ce qui existait « avant » : nos cultures, nos monuments, tout notre patrimoine,(([4] Qu’y gagne Mme Bachelot ancienne ministre de la Santé puis de la « culture » pour oser envisager de détruire nos églises pour dix milliards d’euros ? Son poste peut-être ? Quelle tristesse !… Nos églises sont notre culture bimillénaire et cette tentation qui rappelle celle des talibans en Syrie et ailleurs fait trembler l’athée que je suis car cela n’a aucun rapport avec nos croyances ou non-croyances, mais avec le patrimoine de l’Humanité comme les pyramides égyptiennes ou les temples chinois, etc.)) notre Histoire, jusqu’à l’héritage de nos grands écrivains et penseurs, de Victor Hugo à Stendhal, etc……..Qui est cet animateur de radio cancel qui souhaitait détruire le château de Versailles ?

Cette volonté de faire disparaître ce qui existait avant elles est la marque des idéologies totalitaires et des extrémistes religieux : chrétiens des premiers siècles qui ont martelé les fresques de la religion pharaonique, islamistes d’Afghanistan qui ont dynamité les bouddhas de Bamiyan, nazis qui ont brûlé les livres…

L’outil théorie du genre de la cancel culture pour détourner l’attention

Et la « cancel culture » venue directement des USA n’a d’autre objectif que de faire disparaître, familles, homme, femme, enfant. L’épouvantable « théorie du genre » qui agresse nos enfants(([5] « la théorie du genre agresse nos enfants, appel à la résistance » coll. avenir de la culture.)) se répand comme une peste intellectuelle depuis quelques années et s’introduit dans nos écoles. Des militants fanatiques tentent d’imposer chez nos jeunes enfants l’idée que le sexe de naissance n’a aucune importance et que dès le plus jeune âge, il appartiendrait à chacun de décider d’être femme ou homme, en fonction de l’envie du moment et que ce serait possible sans les informer que le taux de suicide des transgenres atteint 40 % (20 fois plus élevé que celui de la population hétéro sexuelle).

Il existe aux USA des « camps » transgenres pour petits garçons et, surtout dans le monde occidental dont la France, se multiplient les structures dites médicales qui consistent à prendre en charge un petit dès 3 ou 4 ans pour aller dans le sens de son désir présent, quitte à le mutiler définitivement par des gestes chirurgicaux abusifs et des injections hormonales dont les effets ne seront pas ou très peu réversibles. Business is business et de l’idéologie woke bien adaptée au marketing médical financièrement très rentable.

Comme pour l’ensemble des conséquences de l’idéologie woke, rien n’est perdu et nous devons refuser la prophétie autoréalisatrice que nous imposent les médias aux ordres, eux aussi très bien subventionnés. Près de quatre milliards d’euros de subventions à l’audiovisuel public selon le récent coup de gueule de Cyril Hanouna sur C8 menacé par la ministre de la « Culture » franco-libanaise qui prévoit de le priver d’antenne. Car bien évidemment le wokisme ne peut s’imposer qu’à l’aide d’une propagande et d’une censure forcenée dont RT France et France Soir sont déjà des victimes expiatrices. Mais la prise en main de Twitter par Elon Musk a jeté un sacré pavé dans la mare.

Ainsi comme le suggère Karen Brandin, défendons nos enfants, et adolescents et exigeons de revenir à un enseignement de qualité dispensé par des humains capables de « sentir » et ressentir le vécu de l’élève pour le mettre sur la bonne voie. À l’évidence cette résistance à la négation de l’humain dans l’acquisition du savoir doit se développer, tant dans les matières dites scientifiques que pour la philosophie et l’histoire géographie, et bien évidemment les langues étrangères, mais aussi les langues mortes dont ceux qui ont pu en bénéficier (avant notre génération de boomers…) en disent tant de bien. Et ce ne semble pas être que de la nostalgie.

Nicole Delépine





Le PDG de Pfizer rase les murs à Davos

[Source : Quantum Leap Traduction]






Missile « russe » à Dnipro : manip erreur terreur… Davos ?

Par Lucien SA Oulahbib

Bizarre, avez-vous dit Bizarre ? Au moment même où le mixte OTAN-Zelensky subit quelques revers irréparables (toujours niés cependant par ce dernier) apparaît, de façon opportune et en cinq colonnes à la une, le bombardement immédiatement étiqueté « russe » d’un immeuble de civils, tout en oubliant d’indiquer qu’il n’y a pas de source indépendante venant confirmer ou infirmer cette « nouvelle » (voir ici à 51:58 l’idée d’un missile tiré plutôt par la DCA de Zelensky). Celle-ci s’apparente pour le moment et du fait même que ce n’est pas vérifié bien plus à de la propagande (façon 1984) bien connue par ailleurs à l’encontre de l’armée israélienne qui le subit en permanence…

La même désinformation se déploie donc de plus en plus et au fur et à mesure que la triste réalité émerge : l’OTAN anglo-saxonne perd à nouveau, et lourdement, mais tente de sauver la face en maintenant ses positions et même en les renforçant sur le plan médiatique.

Il était en fait important à la veille de l’ouverture de Davos qu’apparaisse une belle dichotomie qui ne peut que faire taire toutes les hésitations et pudeurs : La Russie de Poutine est un monstre, l’ultime preuve étant cet immeuble civil frappé lourdement alors qu’il n’avait aucun intérêt stratégique… D’où la nécessité d’armer lourdement les Zelensky boys et, à terme, d’entrer en guerre de plus en plus immersive (déjà des AWACS sont présents en Roumanie) contre cet ennemi du genre humain que serait devenu non seulement Poutine, mais tout le peuple russe qui au fond mériterait bien d’être nucléairement vitrifié comme le réclament de plus en plus certains illuminés.

Comme il a été dit antérieurement l’escalade s’accélère, il faut donc se demander non pas s’il y aura un point de non-retour, mais quand s’imposera-t-il à tous…




Bilan et perspectives de la Secte SHAA (Davos 2023)

Par Lucien SA Oulahbib

1) Définitions ; 2) Bilans ; 3) perspectives

1) SHAA : Secte Scientiste Hygiéniste Affairiste Alarmiste

1/a : Secte

À la différence de la Caste qui regroupe des individus cooptés selon divers critères, la Secte y ajoute le fait d’être ouverte à tous à partir du moment bien sûr où ses principes sont non seulement sus, mais crus (au sens d’être reliés — relegere — dans un ordre imposé, souverain, au sens de Carl Schmitt, sur [auf] toute vérité : césure ami/ennemi). Par contre il est interdit d’en sortir sous peine de perdre non seulement toutes ses positions, mais aussi d’être vilipendé, poursuivi, jusqu’à ce que mort sociale s’ensuive (voire suicide assisté), surtout si le « poste » occupé (le point d’intersection dans la Matrice) était important au sens de croiser plusieurs fils d’influence jusqu’à faire réseau ayant un poids donné. En un mot l’apostasie est interdite dans la Secte alors que sortir d’une caste marginalise seulement sans autre stigmatisation qu’une perte de privilèges.

1/b : Scientiste

Scientiste ne désigne pas le terme de « scientifique » comme dans sa traduction anglaise, mais plutôt l’idée, réductrice, que seul le consensus serait le critère abouti de vérité en matière de certitude logique (saisir la composition de tout réel — d’imaginaire à matériel), alors que le consensus n’en est qu’un des buts rationnels (donner plus de sens au monde et donc le partager) surtout à plus long terme, le temps que le filtre historique ait fait le tri. Ainsi du temps de Galilée il y avait « consensus » pour considérer que c’était plutôt le soleil qui tournait autour de la terre ; ou au XVIIe siècle que le « phlogistique » expliquerait le phénomène de la combustion…

Ce terme de scientisme désigne donc plutôt une confusion entre ce qui est devenu certain au fil du temps (où la Certitudo) et ce qui reste encore provisoire nécessitant débat entre opinions, points de vue, etc.) (où la Disputatio) ; aussi l’idée de « croire » à « la » Science, à « la » Médecine (comme dans Le malade imaginaire magistralement analysé par Molière – qui ne fait hélas toujours pas partie du Panthéon) s’avère être un oxymore en ce sens où il s’agit de prouver en science que  tel procédé à la fois fonctionne et prévoit que dans les mêmes conditions initiales le résultat attendu corresponde, et non pas que les prévisions, seules, fassent office de preuve : en un mot, seules les observations vérifiables comptent en dernière instance (climat compris) ; en aucun cas les modélisations seules, car celles-ci présupposent d’une part des moyennes qui, d’autre part, ne tiennent pas en compte d’éléments au départ epsilon mais qui tel le battement d’aile d’un papillon peut induire à terme (par addition incrémentale ou infinitésimale démultipliée) la catastrophe (au sens de René Thom). Ainsi qui aurait pu penser que l’assassinat de l’archiduc autrichien allait aboutir à la conflagration non seulement de 1914, mais aussi de 1939 jusqu’à sa résurgence actuelle dans le conflit OTAN-Russie (tout en sachant qu’il s’agit de gradations, intégrations par paliers et non pas de corrélations directes) ? Ou que la manipulation génique d’un « virus » en vue d’un gain de fonction ait pu créer les conditions d’un « Grand Reset » comme le déclament, eux-mêmes, certains membres de la Secte ?…

1/c : Hygiéniste

Prosaïquement, il s’agit de l’idée, scientiste (réductrice, supra) qu’en saisissant puis éradiquant un phénomène pathogène dans sa « racine » on puisse l’épurer, et ce de manière strictement exogène (politique du « zéro covid »), c’est-à-dire sans tenir compte des capacités intrinsèques de l’organisme touché par ce pathogène à réagir. Certes, cette  « idée » peut se comprendre d’une part lorsque l’élément pathogène est isolable et repérable et d’autre part lorsque l’organisme touché a besoin d’être aidé pour se défendre, d’où de plus en plus la constatation que c’est bien l’hygiène et non pas l’hygiénisme qui en écartant les éléments empoisonnant bien plus l’organisme que le fortifiant a permis d’asseoir sur de meilleures bases ce que Claude Bernard appelait « le silence des organes » même si cette formule doit être bien sûr complexifiée en musique des organes (ou la compréhension du biotope et de sa cosmologie, supra). Mais cela n’a aucun sens lorsque d’une part il serait prétendu qu’on puisse se substituer à cette capacité, naturelle, de défense et d’anticipation (bien savoir manger, se reposer, aimer) et que d’autre part il serait sous-estimé que ce phénomène pathogène est lui-même l’intersection d’autres phénomènes en inter-rétro-action avec tout un biotope, sans parler de son environnement strictement physico-chimique (et pour une grande part cosmique d’où l’influence — encore à découvrir — de notre univers en expansion sur la création atomique permanente composant nos cellules, ces microcosmes…). Pour preuves enfin, les approches délétères de ladite « crise sanitaire » d’aujourd’hui bien résumées par les analyses d’un Perronne et de diverses autorités interviewées dans le seul organe de presse encore lisible en France à savoir FranceSoir

1/d : Affairiste

Encore plus succinctement, se dit de toute activité humaine dont le but s’avère uniquement logiquement lucratif écartant tout côté rationnel c’est-à-dire faisant en sorte que les moyens justifient la « fin » pensée non plus en termes de bien commun public, etc., mais uniquement en termes de gain narcissique dépassant alors tout égocentrisme et égoïsme vers un égotisme exacerbé au sens non pas stendhalien, mais démesuré du terme : s’étalant  ainsi sans vergogne sur tous les étals des miroirs médiatiques et/ou des écuries d’Augias et autres salons bien plus épicés que feutrés, mais à la mode ; tout en sachant que certains vampires détestent la lumière, surtout lorsqu’ils sont dans leur état initial… Tout cela aboutissant à un pouvoir d’achat incommensurable, certains segments de la Secte dépassant de loin le budget annuel d’un État (en perdition) comme la France… Comment dans ces conditions ne pas comprendre, surtout en ces périodes de basse eau éthique (la croyance idéologique l’ayant remplacé définitivement) que des Dorian Gray pullulent partout, mais avec, de plus en plus, un visage d’ange ?…

1/e : Alarmiste

Relevons seulement (tant la « vraie » littérature sur ce sujet est de plus en plus abondante) l’énormité des catastrophes annoncées (des villes inondées, la biodiversité en péril, des morts par millions) et qui justifient l’actuelle campagne régressive/répressive à l’encontre du moteur thermique (alors que le moteur électrique est loin d’être « propre ») et sert bien plus à conditionner façon expérience de Milgram, à l’instar des catastrophes dites sanitaires (bien plus syndémiques et « plandémiques » qu’endémiques)… Avec comme conséquences l’accroissement de l’anxiété, le refus de procréer désormais en Occident, le suicide larvé en un mot posé comme plaisir ultime…

2) Bilans

Même s’il est toujours aléatoire d’établir des congruences vérifiables entre des séries d’événements qui semblent distincts les uns des autres, il s’avère qu’en situation systémique liée à l’intégration à la fois mondialiste (échanges divers depuis la Renaissance) et globaliste (division internationale du travail liée au poids grandissant du modèle de la Firme qui n’est pas seulement un concept des Guignols), les interactions coordonnées entre plaques financières, économiques et politiques sont décelables, déjà dans leur accélération, avec les sommes astronomiques en jeu, les effets de pouvoir et de prestige qui en résultent… avec les débordements occurrents, déductibles, malgré les bonnes volontés dites « anti-corruption », mais toujours contournées parce que l’eau affairiste arrive toujours à ses fins lorsque les limites eschatologiques traditionnelles (dont la probité éthique) se sont effondrées. Celles-ci sont remplacées maintenant par la croyance scientiste (supra) dans l’absolutisme totalitaire, mais maquillé et malaxé dans de l’eau de rose médiatique, ce qui a beaucoup de succès parce que tout un chacun reste obnubilé dans l’ensemble par les courbes esthétisées des prédictions multiformes et leurs contreparties boursières et/ou fiscales (la Présidente de la Commission européenne gagnant plus de 36 000 euros par… mois). Chaque élément de la blockchain mise en place espère pouvoir tirer son épingle numérique du jeu avant qu’il ne soit trop tard (trop star : étoile filante, supernova puis trou noir…).

D’où l’accord de principe à accélérer dans « l’horreur » affairiste (supra) via le démembrement des nations, genres, corps débités en segments cibles particules… Quitte à articuler les crises : sanitaire, climatique, guerrière, avec à chaque fois la montée aux extrêmes : effondrement du système immunitaire en vue, du système énergétique donc économique, enfin amorce vers la guerre totale au sens théorisé par Clausewitz…

3) Perspectives

Les courants idéologiques de la Secte SHAA (si rétrogrades dans leur agressivité à l’instar d’un Cohn-Bendit de plus en plus pathétique) entrecroisent encore dans leur apparence plastique tout un faux progressisme idéaliste et un pseudo libéralisme purement logique ou affairiste (supra) alors qu’ils ont désormais bel et bien failli (aucun intellectuel de renom pour le premier courant, hormis peut-être un Emmanuel Todd qui semble avoir découvert à nouveau l’eau tiède récemment ; ne parlons pas du second enferré dans ses chiffres et courbes…), mais telle la lumière des étoiles mortes qui nous arrive encore aujourd’hui, ces courants idéologiques, ayant abandonné l’esprit scientifique et créatif au sens goethien (articulant art et science) sont devenus, depuis longtemps au fond (depuis peut-être les années 30 avec la montée en puissance de la notion de propagande dans la communication) les courroies de transmission chics (soft et smart power) de la Secte SHAA tant celle-ci par les pouvoirs immenses et globaux, l’argent prodigieux, le prestige mondial qu’elle détient (tout en contrôlant nombre de places institutionnelles ou retraites dorées) apparaît comme ce dernier « horizon indépassable » que Sartre crut voir dans le marxisme-léninisme puis maoïste, ses descendants l’apercevant aujourd’hui dans cet entrecroisement hybride actuel entre ces deux courants autrefois ennemis aujourd’hui interchangeables celui du nihilisme antirationnel démembrant avec la froideur de « l’expert » policier l’intériorité singulière des corps (nations, genres, organes) tout en restaurant leur façade façon village « BFMkine ».

La perspective serait alors de contrecarrer leur nouvelle Tour de Babel… Comment ?… Surtout à l’ère du narcissisme affairiste exacerbé… Néanmoins une chose semble sûre :  la Secte aurait mangé tout son pain blanc.




Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos

[Source : reseauinternational.net]

Par F. William Engdahl

Il est important de comprendre qu’il n’y a pas une seule idée nouvelle ou originale dans le programme de la fameuse Grande Réinitialisation de Klaus Schwab pour le monde. Son programme de la Quatrième Révolution industrielle n’est pas non plus le sien, pas plus que sa prétention à avoir inventé la notion de capitalisme des parties prenantes n’est fondée. Klaus Schwab n’est guère plus qu’un agent de relations publiques habile pour un programme technocratique mondial, une unité corporatiste du pouvoir des entreprises avec le gouvernement, incluant l’ONU, un programme dont les origines remontent au début des années 1970, et même avant. La Grande Réinitialisation de Davos n’est qu’un plan actualisé d’une dictature dystopique mondiale sous le contrôle de l’ONU, dont l’élaboration remonte à plusieurs décennies. Les acteurs clés étaient David Rockefeller et son protégé, Maurice Strong.

[Voir aussi :
Quelques autres articles évoquant Maurice Strong :
Racines nazies de la famille royale britannique ?
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La « Grande Réinitialisation » de Davos arrive
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
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Etc.
D’autres articles autour de ces sujets peuvent être trouvés à partir des thèmes Réinitialisation, Klaus Schwab, Nouvel Ordre Mondial, Bill Gates et Transhumanisme ou par recherche avec des mots clefs appropriés comme « Agenda 2030 ».]

Au début des années 1970, il n’y avait sans doute personne de plus influent dans la politique mondiale que feu David Rockefeller, alors surtout connu comme président de la Chase Manhattan Bank.

Créer le nouveau paradigme

À la fin des années 1960 et au début des années 1970, les cercles internationaux directement liés à David Rockefeller ont lancé un éventail éblouissant d’organisations d’élite et de groupes de réflexion. Parmi ces organisations, citons le Club de Rome, le 1001 : A Nature Trust, lié au World Wildlife Fund (WWF), la conférence de Stockholm des Nations unies sur la Journée de la Terre, l’étude du MIT intitulée « Limits to Growth » et la Commission trilatérale de David Rockefeller.

Le Club de Rome

En 1968, David Rockefeller a fondé un groupe de réflexion néo-malthusien, le Club de Rome, avec Aurelio Peccei et Alexander King. Aurelio Peccei, était un cadre supérieur de la société automobile Fiat, propriété de la puissante famille italienne Agnelli. Gianni Agnelli de Fiat était un ami intime de David Rockefeller et un membre du comité consultatif international de la Chase Manhattan Bank de Rockefeller. Agnelli et David Rockefeller étaient des amis proches depuis 1957. Agnelli est devenu un membre fondateur de la Commission trilatérale de David Rockefeller en 1973. Alexander King, chef du programme scientifique de l’OCDE, était également consultant auprès de l’OTAN. C’était le début de ce qui allait devenir le mouvement néo-malthusien « les gens polluent ».

En 1971, le Club de Rome a publié un rapport profondément erroné, « Limits to Growth » (Les limites de la croissance), qui prédisait la fin de la civilisation telle que nous la connaissions en raison de la croissance rapide de la population, associée à des ressources fixes comme le pétrole. Le rapport concluait que sans changements substantiels dans la consommation des ressources, « le résultat le plus probable sera un déclin plutôt soudain et incontrôlable à la fois de la population et de la capacité industrielle ». Il s’appuyait sur des simulations informatiques bidon réalisées par un groupe d’informaticiens du MIT. Il énonçait une prédiction audacieuse : « Si les tendances actuelles de croissance de la population mondiale, de l’industrialisation, de la pollution, de la production alimentaire et de l’épuisement des ressources se poursuivent sans changement, les limites de la croissance sur cette planète seront atteintes au cours des cent prochaines années ». C’était en 1971. En 1973, Klaus Schwab, lors de sa troisième réunion annuelle des chefs d’entreprise à Davos, a invité Peccei à Davos pour présenter « Limits to Growth » aux chefs d’entreprise réunis.

En 1974, le Club de Rome a déclaré avec audace : « La Terre a un cancer et le cancer, c’est l’homme ». Puis : « Le monde est confronté à un ensemble sans précédent de problèmes mondiaux interdépendants, tels que la surpopulation, les pénuries alimentaires, l’épuisement des ressources non renouvelables (pétrole), la dégradation de l’environnement et la mauvaise gouvernance ». Ils ont fait valoir que :

« Une restructuration “horizontale” du système mondial est nécessaire… des changements radicaux dans la strate normative — c’est-à-dire dans le système de valeurs et les objectifs de l’homme — sont nécessaires pour résoudre les crises énergétique, alimentaire et autres, c’est-à-dire que des changements sociaux et des changements dans les attitudes individuelles sont nécessaires pour que la transition vers une croissance organique ait lieu. »

Dans son rapport de 1974, « Mankind at the Turning Point » (L’humanité à la croisée des chemins), le Club de Rome affirme en outre que :

« L’interdépendance croissante entre les nations et les régions doit alors se traduire par une diminution de l’indépendance. Les nations ne peuvent être interdépendantes sans que chacune d’elles renonce à une partie de sa propre indépendance, ou du moins en reconnaisse les limites. Le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour une croissance organique durable et un développement mondial fondé sur une répartition mondiale de toutes les ressources finies et un nouveau système économique mondial.

Telle était la formulation initiale de l’Agenda 21 de l’ONU, de l’Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation de Davos en 2020.

David Rockefeller et Maurice Strong

L’organisateur de loin le plus influent du programme de « croissance zéro » de Rockefeller au début des années 1970 était l’ami de longue date de David Rockefeller, un pétrolier milliardaire nommé Maurice Strong. Le Canadien Maurice Strong a été l’un des principaux propagateurs de la théorie scientifiquement frauduleuse selon laquelle les émissions de CO2 d’origine humaine provenant des véhicules de transport, des centrales au charbon et de l’agriculture sont à l’origine d’une hausse spectaculaire et accélérée de la température mondiale qui menace « la planète », ce que l’on appelle le réchauffement de la planète.

En tant que président de la conférence de Stockholm des Nations unies organisée en 1972 à l’occasion de la Journée de la Terre, Strong a promu un programme de réduction de la population et d’abaissement du niveau de vie dans le monde entier afin de “sauver l’environnement”. Strong a énoncé son programme écologiste radical : “Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité de provoquer cela ?” C’est ce qui se passe actuellement sous le couvert d’une pandémie mondiale hyper médiatisée.

Strong était un choix curieux pour diriger une initiative majeure de l’ONU visant à mobiliser l’action sur l’environnement, car sa carrière et sa fortune considérable s’étaient construites sur l’exploitation du pétrole, comme un nombre inhabituel des nouveaux défenseurs de la « pureté écologique », tels que David Rockefeller ou Robert O. Anderson de l’Aspen Institute ou John Loudon de Shell.

Strong avait rencontré David Rockefeller en 1947 alors qu’il était un jeune Canadien de dix-huit ans ayant abandonné ses études secondaires et, à partir de ce moment-là, sa carrière est devenue liée au réseau de la famille Rockefeller. Grâce à sa nouvelle amitié avec David Rockefeller, Strong, à l’âge de 18 ans, se voit confier un poste clé aux Nations Unies sous la direction du trésorier de l’ONU, Noah Monod. Les fonds de l’ONU sont gérés de manière assez pratique par la Chase Bank de Rockefeller. C’était un exemple typique du modèle de “partenariat public-privé” que Strong allait déployer — le gain privé du gouvernement public.

Dans les années 1960, Strong était devenu président de l’énorme conglomérat énergétique et compagnie pétrolière de Montréal connu sous le nom de Power Corporation, alors propriété de l’influent Paul Desmarais. Power Corporation aurait également été utilisée comme caisse noire politique pour financer les campagnes de certains politiciens canadiens tels que Pierre Trudeau, le père de Justin Trudeau, le protégé de Davos, selon la chercheuse d’investigation canadienne Elaine Dewar (Elaine Dewar, op cit. p. 269-271).

Sommet de la Terre I et Sommet de la Terre de Rio

En 1971, Strong est nommé sous-secrétaire des Nations unies à New York et secrétaire général de la conférence du Jour de la Terre, la Conférence des Nations unies sur l’environnement humain (Sommet de la Terre I), qui se tiendra à Stockholm, en Suède. Cette année-là, il est également nommé administrateur de la Fondation Rockefeller, qui finance le lancement du projet de Journée de la Terre à Stockholm (Elaine Dewar, op. cit. p.277). À Stockholm, le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) est créé avec Strong à sa tête.

En 1989, Strong est nommé par le secrétaire général des Nations unies à la tête de la Conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement de 1992 ou CNUED (« Sommet de la Terre de Rio II »). Il y a supervisé la rédaction des objectifs de l’ONU en matière d’« environnement durable », l’Agenda 21 pour le développement durable qui constitue la base de la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab, ainsi que la création du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU. Strong, qui était également membre du conseil d’administration du WEF de Davos, s’était arrangé pour que Schwab soit l’un des principaux conseillers du Sommet de la Terre de Rio.

En tant que secrétaire général de la conférence de l’ONU à Rio, Strong a également commandé au Club de Rome un rapport intitulé « La première révolution mondiale », rédigé par Alexander King, qui admettait que l’affirmation du réchauffement de la planète par le CO2 n’était qu’une ruse inventée pour forcer le changement :

« L’ennemi commun de l’humanité est l’homme. En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement de la planète, les pénuries d’eau, la famine et d’autres choses semblables feraient l’affaire. Tous ces dangers sont causés par l’intervention de l’homme, et ce n’est que par un changement d’attitude et de comportement qu’ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même ».

Le délégué du président Clinton à Rio, Tim Wirth, a admis la même chose en déclarant : « Nous devons nous occuper de la question du réchauffement de la planète. Même si la théorie du réchauffement climatique est fausse, nous ferons ce qu’il faut en termes de politique économique et de politique environnementale »1.

À Rio, Strong a introduit pour la première fois l’idée manipulatrice de « société durable » définie par rapport à cet objectif arbitraire d’élimination du CO2 et des autres gaz dits à effet de serre. L’Agenda 21 est devenu l’Agenda 2030 en septembre 2015 à Rome, avec la bénédiction du Pape, avec 17 objectifs « durables ». Il déclare entre autres :

“La terre, en raison de sa nature unique et du rôle crucial qu’elle joue dans l’établissement humain, ne peut être traitée comme un actif ordinaire, contrôlé par des individus et soumis aux pressions et aux inefficacités du marché. La propriété foncière privée est également un instrument principal d’accumulation et de concentration des richesses et contribue donc à l’injustice sociale… La justice sociale, la rénovation et le développement urbains, la fourniture de logements décents et de conditions saines pour la population ne peuvent être atteints que si la terre est utilisée dans l’intérêt de la société dans son ensemble”.

En bref, la propriété foncière privée doit être socialisée pour « la société dans son ensemble », une idée bien connue à l’époque de l’Union soviétique, et un élément clé de la Grande Réinitialisation de Davos.

À Rio en 1992, où il était président et secrétaire général, Strong a déclaré :

« Il est clair que les modes de vie et de consommation actuels de la classe moyenne aisée – impliquant une forte consommation de viande, la consommation de grandes quantités d’aliments surgelés et de plats préparés, l’utilisation de combustibles fossiles, d’appareils électroménagers, de la climatisation des maisons et des lieux de travail, et de logements en banlieue – ne sont pas durables ».

Strong n’a pas tenu compte de son propre appel. Ce que Strong n’a pas dit à ses alliés écologistes à Rio, c’est qu’il avait également fait un achat important de la Colorado Land and Cattle Company, auprès du marchand d’armes saoudien et actif de la CIA, Adnan Khashoggi.

À cette époque, Strong était au cœur de la transformation de l’ONU en un véhicule permettant d’imposer furtivement un nouveau fascisme technocratique mondial, en utilisant des avertissements alarmants sur l’extinction de la planète et le réchauffement climatique, en fusionnant les agences gouvernementales avec le pouvoir des entreprises dans un contrôle non élu de presque tout, sous le couvert frauduleux de la « durabilité ». En 1997, Strong a supervisé la création du plan d’action qui a suivi le Sommet de la Terre, l’Évaluation de la diversité mondiale, un plan directeur pour le déploiement d’une Quatrième Révolution industrielle, un inventaire de toutes les ressources de la planète, la façon dont elles seraient contrôlées et comment cette révolution serait réalisée.

À cette époque, Strong était co-président du Forum économique mondial de Davos de Klaus Schwab. En 2015, à la mort de Strong, le fondateur de Davos, Klaus Schwab, a écrit : “Il était mon mentor depuis la création du Forum : un grand ami ; un conseiller indispensable ; et, pendant de nombreuses années, un membre de notre conseil de fondation”.

Manifest Destiny : Democracy as Cognitive Dissonance

Avant d’être contraint de quitter l’ONU en disgrâce à la suite d’un scandale de corruption lié au programme « Food-for-Oil » en Irak, Strong était membre du Club de Rome, administrateur de l’Aspen Institute, administrateur de la Fondation Rockefeller et de la Fondation Rothschild. Strong était également directeur du Temple occulte de la compréhension du Lucifer Trust (alias Lucis Trust), situé dans la cathédrale Saint-Jean-le-Dieu de New York, « où les rituels païens consistent notamment à escorter les moutons et le bétail jusqu’à l’autel pour la bénédiction ». Ici, le vice-président Al Gore a prononcé un sermon, tandis que les fidèles se dirigeaient vers l’autel avec des bols de compost et des vers… ».

Telle est l’origine sombre du programme de la Grande Réinitialisation de Schwab, selon lequel nous devrions manger des vers et ne pas avoir de propriété privée afin de « sauver la planète ». Ce programme est sombre, dystopique et destiné à éliminer des milliards d’« humains ordinaires ».

source : F. William Engdahl

traduction Réseau International




Le directeur général d’Alibaba présente son outil de crédit social écologique au Forum de Davos

[Source : Nexus]

En mai 2022, avait lieu une session du Forum économique mondiale intitulée « Perspectives stratégiques : Consommation responsable ». À cette occasion, le directeur général d’Alibaba et ancien vice-président de la banque Goldman Sachs, John Michael Evans, a parlé du développement d’un outil de suivi de l’empreinte carbone individuelle.

Selon le Forum économique mondial (WEF) :

« d’ici 2030, la classe mondiale des consommateurs dépassera les 5 milliards de personnes et les dépenses devraient atteindre près de 100 000 milliards de dollars, soit une croissance de 50 % depuis 2020 »

Dans ces conditions, comment les membres du Forum envisagent-t-ils l’avenir ?

◆ Toujours moins de vie privée ?

Dans un monde à la population croissante, « quels sont les nouveaux modèles commerciaux, les politiques et les incitations nécessaires pour faire progresser la consommation de manière responsable et inclusive pour une planète et des personnes plus saines ? ». C’est pour répondre à cette question que le WEF a invité, entre autres, John Michael Evans, le directeur général d’Alibaba. M. Evans a profité de cette discussion pour parler du développement d’un nouvel outil, par son groupe. Celui-ci permettra de calculer au plus près l’empreinte carbone des utilisateurs de leur plateforme. En effet, ils auront un tracker individuel permettant de savoir, par exemple, « où ils voyagent, comment ils voyagent, ce qu’ils mangent, ce qu’ils consomment », explique-t-il.

◆ Bons points et mauvais points ? 

Mais ce n’est pas tout, M. Evans explique qu’avec leur logiciel de cartographie AMAP, équivalent de Google Maps ou Waze, ils vont permettre aux gens de :

« calculer le meilleur itinéraire, et le plus efficace, ainsi que le moyen de transport le plus efficace. Ensuite, s’ils profitent de ces recommandations, nous leur donnerons des points bonus qu’ils pourront échanger ailleurs sur notre plateforme. Ainsi, ils sont incités à faire le bon choix, même si on leur offre la possibilité de faire le mauvais choix. »

Le monde est-il aussi binaire que cela ? N’y a-t-il que de bons et de mauvais choix ? N’y a-t-il pas de nuances ? Ce qui est bon pour M. Evans est-il bon pour tout le monde ? Cet outil sera sûrement un bon moyen d’habituer les populations à un crédit social à la chinoise.

Image principale par Weforum




Bien comprendre ce que Schwab et la clique de Davos nous préparent

[Source : RL]

Par Alain Falento

Il est difficile de développer un argumentaire associant le Forum de Davos, l’U.E, la Covid et le pass sanitaire sans être taxé immédiatement de complotiste ou de conspirationniste d’extrême droite.
Et je dois admettre pour une fois qu’ils ont entièrement raison. En effet il n’y a aucun complot ou aucune conspiration dans cette affaire pour la bonne raison que rien n’est tenu secret. Toutes les informations concernant ces projets sont disponibles pour peu qu’on ait connaissance de leur existence et l’envie de se plonger dedans. Nous sommes devenus tellement insignifiants à leurs yeux qu’ils ne se donnent même plus la peine d’une discrétion minimale.

[Voir aussi les nombreux articles sur Klaus Schwab,
sur la Réinitialisation (ou Great Reset),
sur Davos,
sur l’Agenda 2030…]

Edgar Degas disait : « à partir de quarante ans, on a la gueule qu’on mérite ».
Si l’on applique cette maxime à Klaus Schwab, la sanction est terrible. Nous ne sombrerons pas dans la facilité en franchissant le point de Godwin, mais il faut bien avouer que la tentation est grande dans ce cas précis. Surtout quand il est de notoriété publique que Schwab a grandi au sein d’une famille dans laquelle, pour être poli, on n’était pas opposé à l’idéologie du Troisième Reich au-delà du raisonnable.
Klaus Schwab est un vieil allemand de 84 ans, qui arrive tout naturellement en fin de vie. Il est une sorte de caricature de riche retraité germanique, avec toute la morgue qui les caractérise, qui considère que le monde a commencé à sa naissance et se terminera sa mort.
Klaus Schwab n’est autre que le fondateur de Forum de Davos, cet événement international qui a lieu chaque année dans cette station de ski suisse éponyme.

Chaque année, pendant une semaine, l’hyper-classe mondiale (milliardaires, politiciens de haut rang, chefs d’états, représentants de l’U.E, CEO de banques et grands capitaines d’industrie) vient montrer les muscles et rappeler aux prolos qui tient le couteau dans le sens du manche.
Pendant une semaine, Davos est l’endroit où il faut être et surtout être vu. Sous les yeux d’employés tout contents d’avoir été sélectionnés pour assister à l’événement, les décideurs viennent se livrer à de la prospective économique et sociale.
Le forum de Davos est également à la prostitution ce que la période estivale est au vendeur de glace. Toutes les escorts du monde y accourent, trainant derrière elles un cortège de petits escrocs et de détrousseurs en tout genre.

Même si ce n’est pas l’objet de cet article, il convient de préciser que ce qui se dit au Forum de Davos est extrêmement intéressant car c’est là que se construisent les idéologies qui seront appliquées et détermineront notre avenir. Rappelons-nous que c’est dans les années soixante dix que les concepts de « mondialisation » et de « globalisation » furent initiés dans ce Forum de Davos, avec toutes les conséquences douloureuses que nous subissons aujourd’hui.

Depuis la pandémie de Covid 19, l’hyper-classe a pris conscience que le système qu’elle a mis en place, basé sur la dette et la mondialisation, court à sa perte. Mais bien loin de se remettre en question et de laisser la place à d’autres plus capables, ils nous expliquent sans sourciller qu’il est temps de passer à un nouveau paradigme (c’est comme cela que l’on dit « changer d’avis » dans les milieux autorisés).

Dans un livre d’une médiocrité inouïe, « La Grande réinitialisation », qui ressemble plus à une éructation de bout de comptoir au Narvalo qu’à un essai philosophico économique, Klaus Schwab se fait le porte-parole de cette hyper classe et nous décrit en détail le monde dystopique qu’il nous réserve.
Tout d’abord, M. Schwab propose d’enfermer tout le monde pendant trois années consécutives pour mettre fin à l’épidémie de Covid 19.

Ensuite il acte le fait que les dettes, publiques et privées, sont devenues insoutenables dans le monde occidental. Par conséquent il nous propose de supprimer les nations et de les remplacer par un Gouvernement Mondial dans lequel siègeraient bien entendu lui et ses amis de l’hyper-classe. Toute forme d’élection serait bien entendu supprimée. Il faut laisser les savants gérer la situation.

En ce qui nous concerne, Schwab et ses amis proposent ni plus ni moins que de supprimer la propriété privée ainsi que toute forme de liberté individuelle. Pour ce faire ils envisagent un contrôle social total via une numérisation complète de la société, jusqu’au moindre recoin de notre existence. Le slogan est d’ailleurs déjà prêt : « Vous ne posséderez plus rien, mais vous serez heureux ».

A ceux qui seraient tentés de considérer que ce ne sont que des élucubrations d’un vieillard égoïste et sénile, je me permettrais de conseiller de bien réfléchir à ce à quoi ressemble déjà notre réalité.
Pendant plusieurs années, nous avons vécu en Europe sous le joug d’un passe sanitaire. Tout individu refusant de s’y soumettre s’est vu ostracisé, exclus des transports, du système de santé et même parfois licencié.
Vous aurez tous remarqué que, bien que suspendu, ce passe vaccinal n’a cependant pas disparu. Il est même question de sa réactivation prochaine.

En réalité ce qui importe dans ce passe vaccinal, c’est plus sa technologie que son utilisation. Tous les passes vaccinaux, dans les différents pays de l’U.E, ont en effet été construits dans le sens d’une interopérabilité entre états.
Le développement de cette technologie s’inscrit dans la continuité d’une Directive Européenne qui décrète une digitalisation à marche forcée de tous les états européens, dans tous les domaines publics et privés. La création d’un porte-document numérique a donc été lancée.

D’ici 2024 il a été demandé à tous les pays de l’U.E de mettre en place une identité numérique (ce que la France s’est bien entendu empressée de faire). Il est précisé que, pour votre bien être et votre sécurité, pourront être ajoutés à ce porte document numérique toute forme de pièces relatives à son détenteur (dossier médical, permis de conduire, dossier fiscal, impôts, etc.).
Tout ceci n’est pas de la science-fiction, ni ne relève du complotisme. C’est écrit noir sur blanc dans le projet de Directive de la Commission Européenne. Et il faut se rappeler que de par les traités européens elle sera donc automatiquement transcrite en droit français. Il est impossible de s’y opposer.

Si cela en restait là, la situation serait déjà bien au-delà ce qui est supportable et constituerait une atteinte aux libertés individuelles d’une ampleur jamais observée dans notre pays. Mais c’est bien mal comprendre l’Hyper-classe et son excroissance l’U.E que de s’imaginer qu’ils allaient en rester là.
Une fois cette identité numérique complète mise en place, il vous resterait encore une liberté fondamentale : dépenser comme bon vous semble ce qu’il vous reste de revenu après impôts. Or Klaus Schwab vous l’a dit, c’est terminé la belle vie pour vous les gueux ! VOUS ne posséderez plus rien, mais vous serez heureux.

Vous ne le savez peut-être pas, mais depuis 2019, la BCE, à l’instar de presque toutes les autres banques centrales, s’est lancée dans le développement d’une Monnaie Numérique De Banque Centrale (MNBC) qui sera mise en circulation dans les plus brefs délais.
Que l’argent liquide soit appelé à disparaître, tout le monde a bien compris que cela arriverait. Mais pour quelle raison créer une monnaie numérique alors que nous avons des déjà des cartes de crédit et que l’argent déposé sur notre compte est déjà numérique dans les faits ?

Pour répondre à cette question il faut se pencher sur la nature exacte et les propriétés de cette MNBC. Un détail aurait dû alerter les observateurs avertis de ces technologies : il est prévu que le porte document d’identité numérique dont nous avons parlé précédemment puisse également être utilisé comme portefeuille numérique et moyen de payement !

Il semble que la BCE a simplement omis de préciser un petit détail qui à son importance quant à cette MNBC ; en effet, en plus d’être numérique, cette monnaie est aussi programmable.
C’est-à-dire que contrairement à une carte de crédit, l’utilisation de cette monnaie numérique pourra être conditionnée au profil du détenteur.

Vous êtes en retard sur le contrôle technique de votre véhicule ? Vous ne pourrez pas acheter de carburant à la station-service. Toutes les formes de restrictions administratives les plus vicieuses pourront vous être appliqués sous forme de restriction à la consommation, comme l’interdiction d’acheter une petite chopine pendant la période de Ramadan par exemple.

D’un point de vue économique c’est beaucoup plus grave. En réalité cette Monnaie numérique programmable ne peut plus être considérée comme une monnaie à part entière. Sans vous le dire, on aura ainsi converti vos euros en tickets de rationnement à la tête du client, suivant des critères qui vous échapperont totalement.
En réalité nous nous dirigeons tout droit vers une économie de rationnement qui ne dit pas son nom, où toutes les brimades et punitions possibles et imaginables pourront être appliquées à tout citoyen en un clic de souris.
Si vous pensez que tout ceci n’est que du complotisme ou du conspirationnisme, malheureusement la réalité va très bientôt dépasser la fiction. Le gouvernement commence déjà, tout doucement, à nous préparer un rationnement énergétique.

Quant à Klaus Schwab, il est très sensible à l’écologie et à la préservation de la Nature. Après avoir sillonné la planète en avion et dégusté les mets les plus délicats dans tous les palaces du monde pendant toute sa vie, il en a conclu que polluer ce n’est pas bien. Alors vous les crasseux, en attendant de déterminer comment seront recyclés les déchets humains que vous êtes, après vous avoir spolié de vos biens et de vos droits, on va commencer par vous empêcher de polluer davantage.

Il a donc annoncé cette semaine avoir conclu un accord avec Mastercard pour le développement d’une carte de crédit programmable qui tiendrait compte du bilan carbone du détenteur et pourrait ainsi l’empêcher d’acheter de la viande ou un billet d’avion en cas de dépassement du crédit alloué.

Alain Falento




Davos, nid de vipères

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

Klaus Schwab, un ingénieur et économiste allemand né le 30 mars 1938 à Ravensbourg en Allemagne, fonde avec l’aide d’un puissant réseau en 1971 le Symposium Européen du Management à Davos en Suisse, qui devient en 1987 le Forum Économique Mondial (World Economic Forum) ou Forum de Davos, fondation « à but non lucratif » dont le siège est à Genève (info tirée en partie de Wikipédia).

Pendant des années, le Forum a poursuivi un agenda global de libération de l’économie doublé d’un travail de sape afin de modifier à son avantage les règles du commerce mondial. Il a été aidé en cela par de très nombreux organismes, groupements, associations, groupes d’influences, « philanthropes »… qui aspirent au même objectif. Ils seraient fastidieux de les citer tous, car de plus, des personnes faisant partie de ces réseaux ont infiltré (on dirait chez les trotskistes, ils ont fait de l’entrisme) un grand nombre d’organismes de premier plan pour les orienter de l’intérieur en les colonisant. Nous citerons quand même un organisme où cela est flagrant, l’OMS dont son principal donateur est Bill Gates par l’intermédiaire de sa Fondation. Bill Gates qui à de très gros intérêts dans le domaine des vaccins était présent cette année à Davos. Profitons de l’occasion pour faire remarquer qu’Ursula Von Der Leyen, la présidente de la Commission Européenne dont son époux travaille pour Pfizer y était aussi, à notre sens c’est très révélateur… et devinez où était Albert Boula le PDG de Pfizer, l’homme dont la société a le record du monde, et de loin, des amendes pour fraudes et magouilles des entreprises pharmaceutiques ? 
https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/historique-judiciaire-pfizer/

Le Forum de Davos réunit en principe en janvier de hauts dirigeants d’entreprises, des responsables politiques, comme de soi-disant intellectuels ou des personnalités influentes des médias. Cette année après le Forum virtuel de 2021 la réunion a eu lieu fin mai sans la Russie et la Chine. Selon les médias dominants, l’absence de la Russie est due au fait que la Russie a attaqué l’Ukraine et qu’elle a été exclue pour cette raison. Ce panel élitiste, composé de nantis, assiste à des interventions sur des sujets divers allant de l’économie, à la finance, « à la santé »… comme à l’intelligence artificielle ou IA. Ce sujet tenant particulièrement à cœur à son fondateur Klaus Schwab, comme à un de ses principaux collaborateurs le dénommé Yuval Harari. Ce dernier étant l’auteur du livre Homo Deus encensé par tous les psychopathes de la planète. Voyez le bonhomme présentant son œuvre à l’Élysée avec un Macron ravi.

L’hebdomadaire Le Point à l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage 21 leçons pour le XXI siècle en en fait « Le penseur du siècle. »

Mais lissez les commentaires des lecteurs sur ses bouquins et vous comprendrez rapidement que l’on a affaire à une escroquerie de bas étage. Tant que vous y êtes, jetez aussi un œil sur le livre qu’a commis en 2020 Klaus Schwab avec un collaborateur The Great Reset, La Grande Réinitialisation. Les commentaires des lecteurs sont là aussi très instructifs sur le niveau intellectuel des auteurs.

Parallèlement aux réunions, le forum publie un certain nombre de rapports économiques et implique ses membres dans différentes initiatives liées à des secteurs pour lui prioritaires. La fondation consacre une grande partie de son budget à l’organisation de différentes rencontres qui cherchent entre autres à influencer les décisions des politiques à travers le monde. Elle n’a en fait qu’un seul but : prendre par le haut le contrôle de la planète en court-circuitant la démocratie et la population.

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/27/klaus-schwab-en-plein-delire-megalomaniaque-lavenir-est-construit-par-nous-une-puissante-communaute-ici-dans-cette-salle/

Liste des participants 2022 :

https://www.aubedigitale.com/decouvrez-les-mondialistes-voici-la-liste-complete-des-participants-a-davos-2022/

La véritable raison de l’absence de la Russie

Comme les médias grands publics et les journalistes complices, ou ceux qui ne font pas leur travail, ne vous le diront pas, en fait, l’absence de la Russie trouve son origine dans le gigantesque clash, que l’on peut qualifier dès maintenant d’historique, qui a opposé deux conceptions du monde antinomiques lors du Forum virtuel de la fin janvier 2021.

Le président Schwab en compagnie de notre Macron national ayant eu la bonne idée de donner ensemble leurs conclusions sur les leçons qu’ils tiraient de l’épidémie de coronavirus et sur la façon dont ils envisageaient l’avenir.

Ci-dessous le duo dans ses œuvres.

Remarquez que le site officiel de l’Élysée précise bien que l’intervention de Macron est faite dans le cadre de l’agenda de Davos organisé par le World Economic Forum. Cet aveu montre d’une façon irréfutable la perfidie de ce traître à la république.

Réponse cinglante de Vladimir Poutine. Vidéo provenant d’une salle Lumineuse du Kremlin. (Pour ceux qui savent voir.)

http://kremlin.ru/misc/64938/videos/4711

Conclusion

Nous sommes dans une guerre de l’information et les médias comme les journalistes collabos ou qui ne font pas leur métier participent à une gigantesque manipulation. Le peuple est berné par des gens sans foi ni loi ou des ignorants. Les conséquences sont énormes, les dégâts considérables. Nous ne leur pardonnerons jamais.

Bonus : infos de dernière minute

Exclusif : Klaus Schwab contre la Russie




La DGSE s’est rendue à Davos et a découvert le vrai SPECTRE

[Source : jovanovic.com]

Par Pierre Jovanovic

Le SPECTRE de James Bond est là, et ne se cache même pas. Leur président Klaus Schwab et tous ses obligés n’ont qu’un seul motto, leur fameux « bbb » ou 666, mais présenté au public comme build back better.

Dès lors vous comprenez bien mieux toutes les allusions faites par Emmanuel Macron « la bête de l’événement est là », son jet-ski signé 666, les 666 jours (et pas un de plus) de confinement du Canada, etc., etc. je vous ai donné ici un nombre incalculable d’exemples.

Entre eux, tous ces gens finissent leurs mails par l’abréviation « bbb » et le répètent à l’envi en public, regardez bien cette vidéo qui vaut vraiment le coup d’œil, sachant que Bill Gates y figure en bonne place, mais pas que :

Point intéressant soulevé par Robert Kennedy Jr, est que c’est en fait Washington qui finance une très grande partie de l’organisation du Forum de Davos, alors que tout le monde pensait qu’il s’agissait de financements strictement privés :

« @open_the_books found that US taxpayers ponied up $60 million over the last 8 years to support the #WorldEconomicForum, which is hosting the 2022 meeting of the world’s billionaire business elite in #Davos.

It was mostly through the State Department’s USAID; taxpayers paid $16 million to support the WEF Grow Africa program, which facilitated trade partnerships between agricultural businesses and African governments. Another $43 million went to WEF’s Global Alliance for Trade Facilitation program, to «boost competitiveness and business conditions, which are key drivers of inclusive economic growth and poverty reduction» in developing countries »

Constat tout simple : si Washington finance (et depuis le débit donc) cette réunion des milliardaires et politiques « bien choisis conformes Young Leader » c’est tout simplement parce que les Américains sont en fait derrière le rideau de l’organisation, laissant à Klaus Schwab la lumière des médias et l’accueil des invités.

Et parmi ces derniers, dans la catégorie des invités « french », surprise, chers lecteurs, le directeur de la DGSE Bernard Emié s’y est rendu (pour la promotion du nouveau site de la DGSE, le lien ici ?), accompagné par François Villeroy de Galhau (gouverneur Banque de France). Bien entendu, ce dernier n’a pas pu s’empêcher de clamer publiquement son mépris des Français :

« L’inflation causée par le conflit en Ukraine est le prix à payer pour défendre nos valeurs » et aussi de mentir en promettant de « ramener l’inflation à 2 % en 2024 »

Fallait oser. Villeroy de Galhau n’a pas hésité à publiquement révéler que Macron et lui n’ont pas eu d’état d’âme à sacrifier l’économie de la France au profit de celle de l’Ukraine !!! Extrait de l’interview :

« Franceinfo : le monde économique a aussi un rôle à jouer dans le conflit en Ukraine ?

François Villeroy de Galhau : depuis le premier jour de l’invasion de l’Ukraine, les Européens et les démocraties en général ont fait un choix économique courageux. Nous savions que cela signifierait moins de croissance, plus d’inflation, mais d’une certaine façon, c’est le prix à payer pour défendre nos valeurs, pour défendre l’Ukraine et sa liberté. Il y a eu aussi un appel à l’aide, déjà à très court terme, sur la situation financière de l’Ukraine. Il se trouve que j’ai participé la semaine dernière à une réunion du G7 en Allemagne et la somme de 19 milliards d’euros pour aider l’Ukraine a déjà été réunie, c’est plus que ce qui était espéré. Je crois que la mobilisation est déjà très forte et c’est un cas où, en faveur de la démocratie, de la solidarité, de la paix, nous acceptons de payer un prix économique »

Lire ici la suite de l’interview France Info.

Incroyable ! Bernard Emié est-il notre James Bond, ou plutôt Coplan ? ou est-ce un traître « à la Macron » ? Le WEF est bien le SPECTRE, puisque Schwab l’a confirmé lui-même lors du discours d’ouverture :

Au moins les choses sont claires. Voici trois années, le même Schwab se ventait dans une vidéo de Harvard (ou Princeton ?) d’avoir infiltré presque tous les gouvernements du monde grâce à son programme de Young Leaders, qui avait très précisément identifié à l’avance aussi bien macron que Trudeau.

Commentaire d’un lecteur :

« La clique de Davos veut prendre le pouvoir, elle en a les moyens et peut acheter tous les gouvernements et toutes les organisations mondiales. Légitimité démocratique ? Ils n’en ont cure, ils sont riches et peuvent tout se permettre (croient-ils). »

Et pour bien montrer que cette fois Klaus Schwab et ses « amis » n’ont plus à se cacher, et encore moins à dissimuler leurs intentions, observez cette dame qui peint des demi-cercles (comme les OOO du logo de Davos) avec ses fesses…

Un hommage à Yves Klein ?

Pour animer les débats, une jeune femme peint avec un pinceau dans ses fesses (?) et ce serait amusant si ce n’était tragique, mais n’oubliez pas, c’est aussi un clin d’œil à Zelensky qui jouait du piano debout, un humour très apprécié dans les pays de l’Est voir la vidéo de la jeune Lempicka en herbe ici.

Curieux de savoir si notre espion en chef et notre banquier central ont assisté à ce « happening » d’art très… concentrique !

Cependant Bernard Emié, Mr DGSE a dû être plus intéressé par la « keynote » du marionnettiste en chef, George Soros, 90 ans, venu donner ses instructions au nom du « deep state » américain.

Si les Chinois avaient toujours été sa (lire : celle des Américains) cible favorite, cette fois Soros a ajouté la Russie et Poutine dans sa liste des « grands méchants » à abattre parce que « la civilisation pourrait ne pas y survivre », oubliant au passage que ce sont justement [les Américains] qui avaient balancé 2 bombes atomiques sur le Japon alors qu’une seul aurait largement suffi.

En bon hypocrite, il a expliqué que l’Union Européenne a été mise en place pour empêcher une nouvelle guerre, oubliant, là aussi, que c’est Washington qui a demandé à Zelensky de pousser les Russes à bout (la patience de Moscou a duré 8 ans — quand même). Mais le plus fou de ses déclarations se trouve dans cette phrase :

« Artificial Intelligence is particularly good at producing instruments of control that help repressive regimes and endanger open societies… Covid-19 helped legitimize instruments of control because they are really useful in dealing with the virus (…) In an open society, the role of the state is to protect the freedom of the individual; in a closed society the role of the individual is to serve the rulers of the state ».
[« L’intelligence artificielle est particulièrement douée pour produire des instruments de contrôle qui aident les régimes répressifs et mettent en danger les sociétés ouvertes…. Covid-19 a aidé à légitimer les instruments de contrôle parce qu’ils sont vraiment utiles pour faire face au virus (…) Dans une société ouverte, le rôle de l’État est de protéger la liberté de l’individu ; dans une société fermée, le rôle de l’individu est de servir les dirigeants de l’État ».]

Cela vous montre que le vieux grigou est parfaitement informé de tout ce que Davos-Washington veulent mettre en place dans les années à venir, objectif 2030. Au passage, Soros s’est félicité du succès incroyable remporté par toutes ses associations à interférer dans le fonctionnement des gouvernements opposés à ces directives (exemple : la Hongrie, Pologne, etc.) et aussi de ses actions sur les réseaux sociaux.

« The rapid development of AI has gone hand in hand with the rise of social media and tech platforms. These conglomerates have come to dominate the global economy. They are multinational and their reach extends around the world ».
[« Le développement rapide de l’IA est allé de pair avec l’essor des médias sociaux et des plateformes technologiques. Ces conglomérats en sont venus à dominer l’économie mondiale. Ils sont multinationaux et leur portée s’étend au monde entier ».]

Cerise sur le gâteau, au passage il a même félicité Emmanuel Macron !

C’est vous dire à quel point notre président (ou plutôt le leur) exécute le programme Soros à la lettre ! lire ici sa conférence

PS : comme Davos avait organisé avec des années d’avance la pénurie alimentaire à venir (les lois ont été votées d’avance pour permettre la commercialisation) merci à notre lecteur David qui nous a fait parvenir une photo des premières délices que Davos-Washington va proposer à manger aux gueux, toujours à cause de Vladimir Poutine !!!

Il faut le voir pour le croire !

PS2 : Notez que chaque année, tous ces gens atterrissent à Davos avec leur avion privé, mais leur empreinte carbone ne compte pas étant donné qu’ils ont 20 millions de dollars ou d’euros sur leur compte bancaire, et vous non ! Raison pour laquelle, Davos veut vous interdire d’utiliser votre vieille Renault ou Peugeot diesel.

PS3 : Dans James Bond, si l’organisation qui veut mettre l’Humanité en esclave s’appelle SPECTRE, dans Les Hommes d’UNCLE, l’organisation similaire s’appelle THRUSH… « In the UNCLE novels written by David McDaniel, TRUSH stands for the Technological Hierarchy for the Removal of Undesirables and the Subjugation of Humanity » autrement dit la Hiérarchie technologique pour le retrait des Indésirables et la Subjugation de l’Humanité… Chers lecteurs, clairement on y est.

PS4 : Ajoutons que la série BD des Barracuda (années 1960-1972), deux super agents combattent les manipulateurs du WAM qui, lui, tient pour Guerre Contre l’Humanité ou War Against Mankind. Les écrivains sont bien des visionnaires. Aujourd’hui le WEF de Klaus Schwab est bien la supra-organisation internationale qui a infiltré tous les gouvernements pour contrôler les populations et se débarrasser des improductifs. Le Covid-19 ayant nettoyé la population de tous les malades et/ou faibles, ma liste des licenciements s’est bien arrêtée ! 

Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.quotidien.com 2008-2022




L’ONU et Davos veulent accélérer la mise en place de « l’Agenda 2030 »

[Source : insolentiae.com]

Par Charles Sannat

Cela semble fleurer bon le complotisme lorsque l’ONU annonce la signature d’un accord entre le Forum de Davos et l’Organisation des Nations Unies pour l’accélération de la mise en place de ce que l’on appelle « l’Agenda 2030 », pourtant, il n’y a pas de quoi crier au complot qui serait caché puisque tout est dit et annoncé dans la vidéo ci-dessous.



Quant à l’agenda 2030 il a son propre site internet dans lequel vous trouverez toutes les informations pour savoir exactement à quelle sauce vous serez mangé dans les 8 prochaines années… au mieux, car cet agenda est en pleine accélération, ce qui est logique compte tenu de la crise ouverte avec la Russie et de la guerre en Ukraine.

L’Agenda 2030 n’a rien de complotiste, c’est une réalité.

Il est même décliné pays par pays, et vous trouverez ci-dessous le lien pour aller sur le site qui reprend notamment la feuille de route de l’Agenda 2030 pour notre pays [La France].

Vous pouvez lire tout cela dans le détail sur ce site totalement officiel ici.

[Feuille de route pour la France :]

En gros l’Agenda 2030, c’est aussi un peu le « grand Reset » et la nécessité de passer d’un modèle de société à un autre en espérant que cette transition fonctionne… parce que si elle échoue, ce sera très compliqué.

Charles SANNAT

[Voir aussi :
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
But des Agendas 21 et 2030
Pourquoi le Great Reset est l’Agenda du Chaos….
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le Forum économique mondial publie un guide sur la façon de contraindre et de manipuler le public pour imposer le vaccin Covid-19
Pénuries alimentaires dans six mois – Les mondialistes nous disent ce qui va se passer ensuite
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos]

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Certains le connaissent, d’autres pas. Pourtant, son rôle est majeur au sein du Forum économique mondial, puisqu’il en est le conseiller principal. Yuval Noah Harari est un écrivain et historien israélien, auteur du best-seller « Sapiens », ouvrage qui ajoute la science à l’histoire de notre humanité entière. En 2018 déjà, avant la pandémie mondiale, il évoquait les concepts de l’homme numérique de demain. Cet homme serait celui que l’on pourrait « pirater », pour lequel la vie n’aurait plus de sens réel. Les dirigeants devraient alors tout mettre en œuvre pour remédier à cela, notamment grâce aux jeux vidéos et aux médicaments. Le bras droit de Klaus Schwab s’est également fait connaître avec son second tome : « Homo Deus ».

[Voir aussi :
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
L’eugénisme, l’inavouable projet « scientiste » des philanthropes de la finance
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le futurisme illusoire des universitaires de l’ordre global libéral]



L’Homme : Homo sapiens ou une créature divine ?

Considéré comme l’un des livres fétiches de Barack Obama, l’ancien président des États-Unis, « Sapiens » (une brève histoire de l’humanité) est un ouvrage publié par Yuval Harari, en France, en 2015. Dans cet ouvrage, il retrace l’évolution de l’espèce humaine à travers la révolution cognitive, agricole et scientifique. La quatrième partie du livre, qui concerne la révolution scientifique (débutant au XVIᵉ siècle selon lui), est particulièrement intrigante. Elle permet de comprendre les avancées technologiques et scientifiques qui permettraient à l’homme de devenir un quasi-Dieu. 

« Les humains sont en train de développer des pouvoirs encore plus grands que jamais auparavant, nous sommes réellement en train de quérir des pouvoirs divins de construction et de destruction, nous sommes vraiment en train d’améliorer les humains en Dieu », écrit-il.

Interrogé chez France Soir lors d’un « Défi de la vérité », Laurent Alexandre exposait lui-même son point de vue quant à ces prouesses. Il utilisait le terme de « coup d’État numérique » pour évoquer le pouvoir détenu par les géants de la technologie. Un pouvoir immense, affirmait-il, mêlant à la fois la technologie, la science et la politique.

Vers un système de gouvernance mondiale par la surveillance de masse ?

Si les notions de « Grande réinitialisation » ou de « système de gouvernance mondiale » promues par le Forum de Davos sont encore souvent qualifiées de « thèses conspirationnistes », elles ont un objectif commun : transformer notre société en un monde meilleur. Mais quels sont les enjeux de ces aspirations ?

La surveillance semble être une clef de voute du projet. À ce sujet, Yuval Harari, le bras droit de Klaus Schwab, énonçait avec vigueur : « Nous voyons maintenant des systèmes de surveillance de masse, même dans les pays démocratiques qui, jusque-là, les avaient rejetés […]. Avant la surveillance était hors de notre corps, maintenant elle rentre dans notre corps. » Peu importe que l’on aime ou non la science-fiction, des questions se posent. D’autant plus que l’instauration du passe vaccinal et la démocratisation des QR codes ont été au cœur de l’actualité internationale pendant deux ans.

Il allait jusqu’à déclarer que « Les humains sont désormais des animaux que l’on peut pirater. » Il explique que pour pirater un être humain, deux choses suffisent : « Beaucoup de puissance de calcul et beaucoup de données, plus particulièrement, des données biométriques. » Rappelons que la Commission européenne prévoit d’instaurer un système de reconnaissance faciale internationale, qui remplira justement une gigantesque base de données. Pour l’instant, seuls les citoyens ayant commis une infraction pénale seraient concernés.

Par ailleurs, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a de profondes ambitions, depuis 2021, pour développer le plus rapidement une identité numérique européenne. Le projet consiste à rendre numériques tous les documents administratifs pour les conserver en ligne. Il serait possible d’y accéder de manière « sûre » et « transparente », selon l’Union européenne.

Voir aussi : L’UE dévoile un plan pour un nouveau portefeuille d’identité numérique

En France, Emmanuel Macron s’intéresse de près au « métaverse européen », un nouvel univers numérique (et futuriste) dont la société pourrait profiter. Rien d’étonnant étant donné qu’il était reconnu comme « habitué de Davos » par Klaus Schwab lui-même, le 24 janvier 2018.

Lire aussi : Pourquoi Emmanuel Macron fait-il du « métaverse européen » un point essentiel de son programme?

Peut-on tuer le mensonge ?

Au cours des réunions annuelles du Forum de Davos, Yuval Harari répétait à l’envi combien il est simple de faire croire aux mensonges : « Si vous répétez un mensonge assez souvent, les gens penseront que c’est la vérité et plus le mensonge est gros, mieux c’est », martelait-il lors d’une interview de l’émission TED, en février 2017. Les mensonges, il a même appris à vivre avec : « Les fake news nous entourent depuis des milliers d’années : prenez la Bible, par exemple ».

Pour résoudre ce problème, « la prochaine étape, c’est la surveillance qui va entrer dans notre corps », relate-t-il, un regard plein d’entrain. Et pour cela, l’épidémie de Covid-19 semble avoir ouvert une brèche. Si bien que Yuval Harari affirme que l’argument sanitaire « convainc les gens d’accepter, c’est ce qui est légitime : la surveillance biométrique totale ».

Rappelons que toutes les vidéos sont disponibles sur le site officiel du FEM.




Macron, le meilleur ami de Davos

[Source : planetes360.fr]

Emmanuel Macron a-t-il échoué dans la mission qui lui a été confiée ? Tout dépend si l’on se place du côté du peuple ou du côté des élites mondialisées qui l’ont mis en place. Car depuis 2012, lorsqu’il est arrivé à l’Elysée comme conseiller spécial du président Hollande, Emmanuel Macron n’aura eu de cesse de servir les intérêts des « gnomes de Davos », comme les appelle Roland Hureaux. Dans son dernier ouvrage « L’homme qui n’aimait pas la France », cet ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure et de l’ENA souhaite rappeler aux Français tout le mal qu’Emmanuel Macron a fait à leur pays : dépossession industrielle, explosion de la dette publique, ouverture à l’immigration, déliquescence de l’ordre public, effacement diplomatique, matraquage fiscal des classes moyennes, recul considérable des libertés fondamentales… Ce n’est pas de la maladresse, mais une attitude parfaitement posée exprès. Pourquoi ?




La Liste des 92 Français présents en janvier 2020 à Davos sur les 2300+ invités, vient de fuiter !

[Source : qactus.fr]

La liste confidentielle de tous les participants au Forum économique mondial 2020 de Davos dévoilée.

Publié le 20.1.2021 par David Yanofsky

Des banquiers de Goldman Sachs aux bureaucrates des Nations unies, les délégués sont descendus à Davos, en Suisse, pour la réunion annuelle 2020 du Forum économique mondial (WEF).

La conférence, qui en est à sa cinquantième édition, est un rendez-vous permanent pour les personnes les plus puissantes du monde, qui y discutent des problèmes les plus urgents de l’économie mondiale – ou du moins leur donnent l’impression que c’est ce qu’ils font.

Au cours des dernières années, le WEF a fait connaître les participants à des degrés divers. Parfois, il a gardé la liste privée, l’a publiée dans son intégralité ou l’a publiée en excluant certains groupes de personnes.

Cette année, le WEF a rendu publique sa liste sans les noms des participants et a invoqué la loi européenne sur la protection des données, connue sous le nom de GDPR, pour justifier cette décision. Cette liste comprend des informations démographiques par personne, non liées à des informations identifiables. Une liste séparée avec les noms est fournie à la presse présente ; elle comprend des instructions pour ne pas divulguer les noms des participants.

Les informations concernant les participants de cette année nous ont été transmises de manière anonyme via notre portail Secure Drop. Elles correspondent, par leur nom, à la liste de 2 784 personnes mise à la disposition des journalistes. Cependant, les informations que nous avons reçues contiennent plus de détails sur les participants que Quartz n’en a jamais vu et révèlent, d’une manière jamais divulguée auparavant, comment le WEF catalogue et classe les puissants de ce monde.

Nous avons inclus deux parties de cette rubrique ici, la catégorisation de 1 à 7 de chaque délégué en fonction de son titre et de son affiliation, et une brève description du type de poste qu’il occupe actuellement. Le Forum économique mondial a refusé de commenter la liste ou l’objectif de la catégorisation.

Institutionnels

  • Bruno Le Maire, Ministre de l’économie & des finances
  • Jean-Yves Le Drian, Ministre des affaires étrangères
  • Muriel Pénicaud, Ministre du travail
  • Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’état chargée de l’Industrie
  • Brune Poirson, Secrétaire d’état à l’écologie
  • François Villeroy de Galhau, Gouverneur de la Banque de France
  • Bernard Emié, Directeur de la sécurité extérieure
  • Jean Todt, représentant la Fédération Internationale de l’Automobile
  • Renée Mauborgne & Peter Zemsky, représentants L’INSEAD, la star des écoles de management
  • Denise Burnet, conseillère spéciale pour la France auprès du WEF/Davos

Médias

  • Yannick Bolloré & Arnaud de Puyfontaine, Président et DG de Vivendi (Médias), CA 16 Md€
  • Stuart Williams, PDG de l’AFP, Agence France Presse (entreprise française) + Aurélia End, Responsable édition économie
  • Sylvie Kaufman, Redac’Chef de Le Monde + Isabelle Chaperon, éditorialiste
  • Nicolas Barré, Redac’Chef des Les Échos + Jean-Marc Vittori, éditorialiste
  • Philippe Mabille, Redac’Chef de La Tribune
  • Fabrice Node-Langlois, Redac’Chef de Le Figaro, édition internationale
  • Stephen Carroll, Responsable édition affaires à France 24
  • Jean-Paul Chapel, éditorialiste à France 2
  • Stanley Pignal, Correspondant France pour The Economist
  • Isabelle Kumar, Journaliste Euronews
  • Hedwige Chevrillon, Editorialiste BFM TV
  • Jennifer Schenker, Redac’Chef « The Innovator »

Conseil & communication

  • Arthur Sadoun et Maurice Lévy, PDG et Président de Publicis Groupe, première agence de communication mondiale, côté au CAC40, CA de 9 Md€
  • Jean-Marc Ollagnier, DG France de Accenture (ex Arthur Andersen), une des plus grandes entreprise de Conseil juridique & technologique américaine
  • Domenico Azzarello, DG France de Bain & Company (chargé en France du déconfinement), grande entreprise de Conseil américaine
  • Pierre Cailleteau, Responsable France de Lazard, Cabinet de conseil et gestion d’actifs
  • Alexandre de Rothschild, Président de Rothschild & Co, Cabinet de conseil et gestion d’actifs
  • Alain Couttolenc, Responsable développement chez Ipsos, Institut de sondage, conseil et analyses

Gestion de Fonds, Banques & Assurances

  • Thomas Buberl & Garance Wattez-Richard, DGs d’AXA, CA 102 Md€
  • François Riahi & Jean Rabyn DGs de Natixis (ex Banque Populaire & Caisse d’Epargne), CA 10 Md€
  • Frédéric Oudea, DG Société Générale, CA 25 Md€
  • Alain Rauscher, DG de Antin (ex BNP), fonds qui gère 18 Md€ d’actifs
  • Virginie Morgon, DG de Eurazeo, fonds qui gère 22 Md€ d’actifs
  • André-François-Poncet et David Darmon, DGs de Wendel, fonds qui gère 9 Md€ d’actifs
  • Pascal Cagni, DG de Business France, fonds pour les startups françaises
  • Fatoumata Ba, DG de Janngo, fonds pour les startups africaines
  • Alena Fargere, DG France de Global Shapers, fonds d’innovation
  • Thiery Déau, DG de Meridiam, fonds de développement en infrastructures

Industriels

  • Chantal Gaemperle, VP de LVMH (industrie du luxe), 1er au CAC40, Capitalisée à 346 Md€, CA 45 Md€
  • Paul Hudson & David Loew, DGs de Sanofi (médical), 4ème au CAC40, CA 36 Md€
  • Julie Kitcher & Grazia Vittadini, VP & Dir technique d’Airbus (constructeur aéronautique), 7ème au CAC40, CA 50 Md€
  • Jean-Pascal Tricoire, Philippe Delorme et Sandrine de Guio, PDG et VPs de Schneider Electric (équipementier réseaux électriques), 8ème au CAC40, CA de 27 Md€
  • Benoit Potier, DG d’Air Liquide (chimiste), 9ème au CAC40, CA 20 Md€
  • Jean-Dominique Senard, Président de Renault-Nissan (constructeur auto), 55 Md€ CA
  • et quatre associés : Clotilde Delbos, Véronique Sarlat-Depotte, Jose Vicente De Los Mozos Obispo et Olivier Murguet
  • Eric Trappier, DG de Dassault Aviation (constructeur aéronautique), CA 7 Md€
  • Jean-Marc Germain, DG de Constellium (métalurgiste), CA 5 Md€
  • Christel Bories, DG d’Eramet (métalurgiste), CA 2 Md€

Approvisionnements

  • Patrick Pouyanné et Vincent Granier, DGs de TOTAL (carburants et stations), cotée 5ème au CAC40, avec un CA de >200 Md$
  • Paulo Almirante, Gwenaelle Huet, J-P Clamadieu, Isabelle Kocher : DGs et Présidents d’ENGIE (électricité & gaz), CA de 60 Md€
  • Rodolphe Saade, PDG de CGA CGM (Fret maritime), CA 31 Md€
  • Bertrand Camus & J-L Chaussade, PDG et Président de SUEZ (Gestion de l’eau), CA 17 Md€
  • Jérôme Pécresse, mari de Valérie, PDG de GE Renewable Energy (Electricité), CA 10 Md€

Services

  • Alain Roumilhac, DG France de Manpower (agences d’interim)
  • Christophe Catoir, DG France & Europe du Nord pour Adecco (agences d’interim)
  • Jean-Philippe Courtois, DG France de Microsoft (Editeur de logiciels)
  • Bernard Charlès & Florence Verzelen, DG et VP de Dassault Systèmes (Editeur de logiciels de CAO)
  • Christophe Danzin, Responsable développement à LUMA Arles, Musée d’art contemporain
  • Micheline Engel, Inconnue, désignée « Philantrope »

Start-ups

  • Jeremy Jawish, DG de Shift Technology : logiciel de détection de fraudes à l’assurance
  • Pierre-Yves Frouin, DG de BioSerenity : logiciel et outils de suivi médical numérique
  • Pascal Gauthier, DG de Ledger : logiciels de sécurisation des cryptomonnaies, producteur du fameux mini-coffre fort USB éponyme
  • Philippe Corrot, DG de Mirakl : logiciel de gestion des places de marché
  • Pierre Dubuc, DG de OpenClassRooms : solutions d’éducation à distance
  • Jean-Stéphane Arcis, DG de TalentSoft : logiciel de gestion des ressources humaines
  • Georges Lotigier, DG de Vade Secure : logiciel de cybersécurité et vérification d’emails
  • Jonathan Cherki, DG de Contentsquare : logiciel d’analyse prédictive par IA des mouvements de souris et gestes tactiles
  • Antoine Hubert, PDG de Ÿnsect, société de fabrication de produits alimentaires à base d’insectes pour les animaux, bientôt l’homme

Commentaires

Malgré ce déploiement impressionnant de personnes très haut placés, étonnement, bon nombre des grandes entreprises françaises sont absentes ! On pense aux distributeurs Carrefour, aux banques Crédit Agricole, BNP, BPCE aux industriels Peugeot/PSA, Saint Gobain, Bouygues ou Vinci…

Et paradoxalement, on trouve des invitations pour des dirigeants des start-ups, entreprises d’innovation qui annoncent bien la couleur du NWO ! Mais elles ne sont qu’une petite poignée parmi les dizaines de Start-up du NEXT40, ou des « Licornes » françaises déjà en passe de devenir grandes (Capitalisation >1 Md €)

Qu’est-ce qui peut bien expliquer la participation de certains acteurs et pas d’autres ?

Source




Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Edouard Husson

Le Forum Economique Mondial promeut la « Coalition mondiale pour la sûreté numérique » (Global Coalition for Digital Safety). Au moment où l’efficacité et le danger pour la santé des vaccins contre le SARS-COV2 en phase expérimentale sont de plus en plus discutés sur les réseaux sociaux du monde entier, le Forum de Davos passe à l’offensive pour tenter de coordonner la censure des gouvernements et celle des grandes plateformes de la Big Tech. Ce raidissement est bien entendu un signe de panique, mais vu la dispersion des forces de la liberté, il pourrait signifier aussi l’avènement d’un monde où nous ayons le choix entre le néo-fascisme façon Davos et le néo-maoïsme de la Chine continentale.

« La pandémie représente une fenêtre rare, mais étroite d’opportunité pour repenser, réimaginer et réinitialiser notre monde »
Klaus Schawb, Président et fondateur du Forum Économique Mondial [de Davos]

Qy’y a-t-il de commun entre Anna Bergström, CEO de Netclean, Dame Melanie Dawes, CEO d’Ofcom, Iain Drennan, directeur exécutif de la WeProtect Global AllianceMykhailo Fedorov, Vice-Premier ministre ukrainien, Julie Inman Grant, commissaire australienne à la sécurité numérique, Courtney Gregoire, Chief Digital Safety Officer de Microsoft, Tan Kiat How, Ministre de la Communication, de l’Information et du Développement National de Singapour, Maggie Louie, fondatrice et CEO d’Otto, Victoria Nash, Professeur Associé et directrice de l’Oxford Internet Institute, Susan Ness, Distinguished Fellow du German Marshall Fund of the United States,  Zunaid Ahmed Palak, Ministre de L’information et des Technologies de la Communication du Bengladesh,  Charlotte Petri Gornitzka, directrice des partenariats de l’UNICEF,  Johnny G. Plate,  Ministre de la Communication et de l’Information de la République d’Indonésie, Chris Priebe, fondateur et CEO de Two Hat Security, Joanna Rubinstein, ancienne présidente de la World Childhood Foundation,?  Ils sont les coordinateurs – et le visage avenant, politiquement correct –  d’une Global Coalition for Digital Safety mise en place par le Forum Economique mondial (WEF).

L’enfer est pavé de bonnes intentions

Sur le site du WEF, on lit ces lignes, signées Courtney Gregoire: 

« La technologie offre des outils pour apprendre, jouer, se connecter et contribuer à la résolution de certains des plus grands défis du monde. Mais les menaces à la sûreté digitale sont nombreuses. Le Forum économique mondial étant particulièrement bien placé pour accélérer la collaboration public-privé nécessaire pour faire progresser la sécurité numérique à l’échelle mondiale, Microsoft est impatient de participer et de contribuer à l’élaboration de solutions de la société tout entière à ce problème de la société tout entière ».

Ces termes qui n’engagent à rien cachent en fait une volonté de contrôle mondial de l’information, telle qu’exprimée par le Forum Economique Mondial à propos….des vaccins contre le COVID 19. Lisons par exemple cet extrait d’un autre article paru sur le site internet du WEF

« L’un des principaux défis de la sécurité en ligne est la prolifération de la désinformation en matière de santé, notamment en ce qui concerne les vaccins. Des recherches ont montré qu’un petit nombre de personnes influentes sont responsables de la majeure partie du contenu anti-vaccination sur les plateformes sociales. Ce contenu semble toucher un large public. Par exemple, une étude du King’s College de Londres a révélé qu’une personne sur trois au Royaume-Uni (34 %) dit avoir vu ou entendu des messages décourageant le public de se faire vacciner contre le coronavirus. L’impact de ces messages dans le monde réel devient maintenant plus clair.

La recherche a également montré que l’exposition à la désinformation était associée à une baisse de l’intention de se faire vacciner. En fait, les informations erronées à consonance scientifique sont plus fortement associées à une baisse de l’intention de se faire vacciner. Une étude récente menée par l’Unité de recherche comportementale de l’Institut de recherche économique et sociale (ESRI) a montré que les personnes qui sont moins susceptibles de suivre la couverture médiatique du COVID-19 sont plus susceptibles d’hésiter à se faire vacciner. Au vu de ces résultats, il est clair que l’écosystème médiatique a un rôle important à jouer pour lutter contre la désinformation et atteindre le public afin d’améliorer les connaissances sur le vaccin ».

« L’élite globale » est devenue la première source de théories complotistes

Sur le site du Forum Economique Mondial, toujours, on trouve la référence à une étude du Center for Countering Digital Hate, présentée comme « scientifique« , qui affirme que la critique des vaccins développés contre le COVID 19 est le fait d’une douzaine, pas plus, d’influenceurs sur les réseaux sociaux: 

« Douze personnes seulement sont à l’origine de près des deux tiers du contenu anti-vaccins qui circule sur les plateformes de médias sociaux. Cette nouvelle analyse du contenu posté ou partagé sur les médias sociaux plus de 812 000 fois entre février et mars révèle comment un petit groupe d’anti-vaxxers déterminés est responsable d’un raz-de-marée de désinformation – et montre comment les plateformes peuvent y remédier en faisant respecter leurs normes »

On peut difficilement imaginer théorie du complot plus flagrante ! Comme s’il n’y avait pas des milliers de médecins à travers le monde que leur serment d’Hippocrate amène à recommander la prudence face à des vaccins expérimentaux. Comme si le droit n’était pas du côté de ceux qui disent qu‘aucune vaccination obligatoire n’est légale tant que les vaccins sont encore en phase expérimentale. Comme si le site de l‘Agence Européenne de Médicament [Ndlr : le site EudraVigilance qui dépend de l’EMA] ne recensait pas un nombre inquiétant de décès (1500) [plus de 17 500 au début juillet, sachant que seulement moins de 1 à 10 % des effets secondaires y sont rapportés.] et de séquelles graves (150 000) [plus de 1 500 000] consécutifs à la vaccination contre le COVID. Comme si la base de données publiques Transparence Santé ne permettait pas de voir que les 100 signataires de la tribune du Journal du Dimanche en faveur de la vaccination généralisée totalisent 8,8 millions d’intérêts liés à l’industrie pharmaceutique

Mais Klaus Schwab et son réseau sont-ils capables de considérer qu’un point de vue différent du leur relève d’autre chose que d’une conspiration contre leur prétention à faire le bien à la planète? Se souviennent-ils cette époque, pas si lointaine, où il existait des régimes politiques au sein desquels une droite et une gauche, incarnées en un ou plusieurs partis, confrontaient leur point de vue en espérant obtenir une majorité des suffrages?  Cela s’appelait la démocratie. 

La convergence des néo-fascistes et des néo-maoïstes au sein du Forum Économique Mondial

Heureusement, nous disposons des décryptages de quelques esprits libres. Eric Verhaeghe, fondateur et président du Courrier des Stratèges a publié un Dictionnaire du Great Reset. Je recommande aussi la remarquable étude de Joel Kotkin, The Rise of Corporate-State tyranny (l’avènement de la tyrannie de l’Etat allié aux grandes entreprises) dans laquelle cet universitaire californien décrit l’avènement d’un véritable néo-fascisme en Occident : 

« Une convergence entre les deux superpuissances du monde est en train de se produire. Aux États-Unis, à mesure que la propriété et le pouvoir se consolident, la « diffusion du pouvoir », si essentielle à la démocratie, s’érode et l’autocratie se développe naturellement. Seuls les acteurs au plus haut niveau possèdent le poids et la motivation nécessaires pour influencer la politique. Ce puissant front consiste en une nouvelle alliance entre les grandes entreprises, Wall Street, et la cléricature progressiste du gouvernement et des médias.

Son programme comporte plusieurs objectifs. Du côté des entreprises, nous assistons à l’émergence d’un capitalisme de « parties prenantes », qui embrasse implicitement les priorités de l’État et celles des progressistes en général, comme un moyen de plaire aux régulateurs, aux plus réveillés parmi leurs employeurs et, dans une certaine mesure, à leur propre conscience. En cela, elles ressemblent aux entreprises des États autoritaires – comme l’Italie de Mussolini, l’Allemagne d’Hitler et la Chine d’aujourd’hui – où l’accumulation de capital privé est autorisée, mais où la dissidence par rapport aux normes convenues de l’académie des médias et du gouvernement, autrefois le privilège des individus et des entreprises, est maintenant largement interdite ».

Le fascisme de l’entre-deux-guerres, né dans l’Italie de Mussolini et porté à son maximum de nocivité dans l’Allemagne hitlérienne, a sombré dans la fascination pour l’aventurisme militaire et la revanche de la Première Guerre mondiale et sa « victoire volée ». Le néo-fascisme, qui met l’Etat au service des très grandes entreprises et se finance par la fiat currency poussée à l’extrême, ne commet pas les mêmes erreurs: il se présente comme pacifique, inclusif, antiraciste et sa fascination pour l’eugénisme se pare des atours du choix individuel transhumaniste tandis que la composante écologiste, facette méconnue du IIIè Reich, est mise en avant plus que de raison. Jonah Goldberg en avait proposé un tableau extraordinaire dans un livre intitulé Liberal Fascism et paru en janvier 2008. 

Ce néo-fascisme a besoin d’un contrôle de l’information. Et il le confier aux entreprises de la Big Tech. Au sein du Forum de Davos, comme l’a montré John Laughland, cette élite occidentale néo-fasciste rencontre l’élite néo-maoïste de la Chine de Xi Jingping. On ignore souvent que le Forum de Davos tient depuis des années une session annuelle à Pékin. 

Face à la convergence des deux néo-totalitarismes, les forces de la liberté sont dispersées, peu organisées et souvent naïves sur la détermination et la dangerosité de leurs adversaires. 


Commentaire d’un lecteur de l’article (MC) sur le site source :

MC dit :6 juillet 2021 à 23 h 11 min

Je complète… Nous rendons publique la plainte et nos découvertes au niveau mondial et nous vous incitons à vous associer à l’action du CSAPE [Ndlr : voir Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité] en déposant également plainte avant que la situation ne devienne irréversible pour cause d’absence de résistance effective. Il s’agit de l’avenir de l’humanité dont nos enfants.

Vous pouvez prendre connaissance de la plainte jointe. Après avoir découvert les informations révélées, toutes factuelles, vous serez certainement convaincus de la nécessité d’agir.

Dans ce cas le CSAPE peut vous aider dans la démarche.

VOUS POUVEZ TÉLÉCHARGER LA PLAINTE ET LA NOTE DE DIFFUSION ICI :
https://drive.google.com/drive/folders/15p8urv_iJT3EisYYZ-_mPND4PNbqeHMM?usp=sharing




L’étau se resserre sur la clique de Davos

Par Jean-Michel Grau

Rappelons en préambule que le procès intenté contre le Dr Drosten par l’avocat allemand Reiner Fuellmich a pour but de le poursuivre pour crimes contre l’humanité, pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, qui a amené les gouvernements occidentaux à prendre toutes les décisions ravageuses de confinements, couvre-feux, distanciations sociales et port du masque obligatoire. En préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient presque tous positifs, même avec des traces infimes de virus, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Voici le résumé traduit de la dernière communication du Docteur Fuellmich du 11/01/2021. (1)


« Les auditions menées par le Comité Covid de Berlin depuis le 10.07.2020 d’une centaine de scientifiques, d’experts médicaux, d’économistes, de juristes et de personnes de renommée internationale ont révélé que le scandale Covid19 n’a en aucun cas porté sur la santé. La dangerosité de ce prétendu nouveau virus correspond à celle d’une grippe, selon les études du professeur John Ioannides de l’université de Stanford, mais aussi selon l’évaluation de l’OMS. De plus, les tests PCR du Dr Drosten, que la direction de l’OMS sous contrôle financier de la Chine et de la Fondation Bill & Melinda Gates a recommandé comme norme mondiale de référence pour la détection des infections, ne conviennent en aucun cas à la détection des infections. »

« Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent. »

« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes. »

« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal”. »

« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires. »

Le krach financier de septembre 2019 dont presque personne n’a parlé

« À ce jour, il faut partir du principe que ce que nous appelons la clique de Davos (dirigée par Klaus Schwab, ndt) composée d’élites d’entreprises et d’élites politiques autoproclamées qui collaborent intensivement depuis au moins 20 ans dans le cadre des réunions de l’organisation privée du World Economic Forum (WEF) a menacé de donner l’alerte en septembre 2019. Car en septembre 2019, il y a eu un autre krach financier, encore plus grave que la crise financière de la Lehman il y a 12 ans. Cela n’a été rapporté que très brièvement, entre autres de manière très argumentée dans le journal DIE ZEIT, puis le reportage sur cette crise a complètement disparu. »

« Une fois de plus, tout le système financier a été au bord de l’effondrement, car il menaçait de dévoiler que pendant au moins 20 ans, il n’avait servi qu’à piller les contribuables au profit de sociétés agissant comme des mafieux, c’est-à-dire en transférant les actifs des citoyens vers les sociétés. Le meilleur exemple est celui de la fraude fiscale appelée CumEx (2)des financiers opérant en bandes organisées, qui sont restées sans sanction jusqu’à ce jour, grâce auxquelles les banques, les entreprises et les super-riches se sont fait rembourser deux ou trois fois des impôts qu’ils n’avaient payés qu’une seule fois. »

« Ainsi les financiers ont-ils collecté pendant de nombreuses années un total d’environ 38 milliards d’euros par le biais de la fraude fiscale. Cela est passé inaperçu, car le soutien politique pour faire advenir cela venait des politiciens eux-mêmes,qui avaient été rendus dociles par les élites des entreprises fraudeuses au cours des 20 dernières années au moins, en particulier par le biais des réunions privées du WEF. Le fait que le pouvoir judiciaire allemand n’ait rien pu faire montre combien ces financiers sont capables de dominer la politique jusque dans les tribunaux. »

« Nous constatons depuis longtemps, notamment dans le cadre de nos actions en responsabilité des banques pour le financement de l’immobilier bon marché, que quelque chose ne va pas. Car là aussi, il est apparu que la complicité de l’ancien patron de la Deutsche Bank, Josef Ackermann avec Angela Merkel était telle que non seulement il la rencontrait régulièrement à Davos, mais encore allait même jusqu’à fêter son 60e anniversaire directement dans le bureau de la chancelière. Ainsi, avait-il un accès direct aux tribunaux pour la politique et avait-il fait des juges des garçons de courses à sa disposition. Ce n’est que de cette manière que l’on peut expliquer que les juges allemands ont repris aveuglément dans leurs jugements l’affirmation de la Deutsche Bank selon laquelle il était habituel pour elle d’accorder des prêts à des personnes sans contrat de prêt si elles en faisaient la demande, dans l’espoir qu’un jour un contrat de prêt approprié serait conclu, car l’octroi d’un prêt à la demande d’un emprunteur potentiel conduit à la conclusion d’un contrat de prêt. Mais au moment où le contrat de prêt était conclu, la Deutsche Bank ne disposait pas des documents requis pour une conclusion effective du contrat, de sorte qu’aucun tribunal n’a pu constater que le contrat avait été réellement conclu en mettant l’argent à disposition, car sinon la Deutsche Bank aurait coulé comme une pierre ! »

« Aucun d’entre nous n’a tenu compte du fait que la Deutsche Bank est une composante importante du blanchiment d’argent de la clique de Davos, et qu’aujourd’hui, nous avons affaire à une petite élite d’entreprises totalement corrompues qui ne s’arrête devant rien. »

« Paul Schreyer décrit très bien dans son rapport “Pandemic-Planspiele” l’imbrication toujours plus étroite des élites d’entreprises avec les élites politiques depuis au moins 20 ans. (3) Il y décrit également comment ces élites tentent délibérément depuis des années, non seulement de conserver leur pouvoir illégitime, mais de l’étendre à l’infini à l’aide de mécanismes de contrôle massifs et inhumains, avant que les objets de ces mécanismes de contrôle, à savoir nous, ne le remarquent et puissent se révolter contre lui. »

« Le professeur Rainer Mausfeld explique à son tour, dans sa conférence “Pourquoi les agneaux se taisent-ils”, comment la politique depuis de nombreuses années (et sans que le public le remarque) met en scène à plusieurs reprises la peur et la panique pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement. » (4)

« Catherine Austin Fitts, ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquier d’affaires, explique dans “Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown” (5) comment ces “élites” sont en train de mettre en œuvre la prise de contrôle économique des richesses de toute la classe moyenne, car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement. Certains universitaires supposent même un pourcentage inférieur. »

« Cela suppose que les petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, soient fermées par le confinement, de sorte que ces entreprises ne peuvent plus obtenir de revenus, et donc plus payer leurs crédits. L’aide est annoncée, mais elle est en réalité versée avec parcimonie ou pas du tout. Ensuite — cela ne s’applique pour l’instant qu’aux États-Unis — des émeutes sont organisées dans ces régions, qui entraînent une destruction supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues en urgence. De ce fait, des investisseurs privilégiés sur le plan fiscal, à savoir ceux de la clique de Davos, reprennent ces entreprises quasi gratuitement. »

Les litiges juridiques maintenant

« Comme vous le savez, un certain nombre d’institutions et de cabinets d’avocats du monde entier se sont concertés pour dénoncer le contexte décrit ci-dessus avec l’aide des tribunaux et pour demander ensuite aux bailleurs de fonds et aux entreprises responsables d’indemniser les nombreuses victimes des confinements consécutifs au test du Dr Drosten. »

« Les litiges juridiques qui se déroulent actuellement dans le monde entier résultent essentiellement d’une planification conjointe approfondie des scientifiques et des juristes concernés. Car le fait que le test Drosten recommandé par l’OMS dans le monde entier ne puisse pas détecter les infections, et qu’il n’y ait pas d’infections asymptomatiques, donc pas de pandémie, tout au plus une pandémie de test PCR, est d’une importance capitale pour la conclusion de tous les litiges menés dans le monde entier, afin de faire s’écrouler partout le château de cartes des fraudeurs pandémiques. Cela signifie que tout ce qui est établi aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Italie, en France et ailleurs dans ce contexte avec l’aide de témoins et d’experts, peut être utilisé comme preuve dans tous les tribunaux du monde. »

Notre procès des tests PCR contre le Dr Drosten ainsi que les procès ultérieurs

« Le procès contre Drosten sera terminé dans les prochains jours et sera ensuite également déposé auprès du tribunal de grande instance de Berlin. Nous travaillons avec un groupe d’avocats pour préparer un certain nombre d’autres procès qui feront jurisprudence, mais surtout, parce que c’est plus rapide et moins coûteux. Nous obtiendrons ainsi un recours collectif allemand : les avis permettront de mettre sous pression les marionnettes visibles comme Drosten et Wieler, mais aussi les fonctionnaires de Leopoldina, y compris les personnes responsables auprès des autorités des ordres de quarantaine. »

Poursuite du procès des tests PCR à New York

« Les collègues américains du “Robert F. Kennedy Jr’s Childrens Health Defense group” ont déposé une plainte pour tests PCR frauduleux à New York le 16/12/2020, conseillés par les mêmes experts que nous pour un certain nombre de plaignants dont on peut lire le procès en anglais. » (6)

Le procès collectif canadien

« Le recours canadien va devenir un recours collectif international pour toutes les victimes de confinements suite aux tests PCR falsifiés du Dr Drosten.

Les collègues canadiens dirigés par Michael Swinwood ont déposé une action collective début janvier. Le recours collectif est composé d’Indiens et, entre autres, d’un groupe de propriétaires de petites entreprises et d’un représentant des handicapés.

Ce recours, contrairement à tous les autres recours introduits jusqu’à présent, décrit également le contexte historique des structures de pouvoir construites au cours des années derrière la clique de Davos mentionnée plus haut. Voir le procès canadien qu’on peut lire en anglais. » (7)

Jugements au Portugal

« Un premier jugement d’une cour d’appel du Portugal a déjà déclaré de façon spectaculaire que les tests PCR — tout comme leur inventeur, le prix Nobel Kary Mullis l’a souligné à maintes reprises — ne sont pas capables de détecter des infections ou même des maladies.

Ce jugement concerne quatre touristes allemands, dont l’un a été testé positif, ce qui a été considéré comme infectieux par les autorités sanitaires, tout comme par la fausse science allemande et les autorités administratives qui les suivaient aveuglément, entraînant une assignation à résidence jugée inconstitutionnelle par le tribunal, confirmant ainsi le tribunal de première instance. »

« Ce jugement invalide toutes les décisions des tribunaux administratifs allemands, qui ne pouvaient pas ne pas reconnaître dans les décisions d’urgence que les tests PCR ne peuvent pas détecter les infections, mais pensaient néanmoins, en agissant en véritables tribunaux de république bananière par un viol flagrant de la loi, qu’ils devaient suivre les fausses déclarations sanitaires qui mettaient l’accent sur les tests PCR frauduleux entraînant une surcharge accrue du système de soins de santé. »

Action en nullité pour cause de vaccin interdit et plainte constitutionnelle d’un juge allemand pour cause de destruction de la démocratie et de l’État de droit

« Parallèlement à toutes ces actions juridiques, la collègue italienne Dr Renate Holzeisen travaille avec notre aide et celle des experts sur un recours en annulation contre la Commission européenne en raison de l’approbation de vaccins non testés et très dangereux, en ce qui concerne les fabricants Pfizer/Biotech et Moderna, vaccins de facto interdits pour cause d’expériences génétiques sur les humains. De plus, en Italie, les procureurs antimafia, puissants et très bien formés, enquêtent, entre autres, sur l’OMS et ses gouverneurs italiens. En France, une plainte est par ailleurs en cours d’examen devant la Cour des droits de l’homme. »

« En outre, un juge allemand, avec lequel nous sommes en contact, a déposé une plainte constitutionnelle contre les mesures aveugles du gouvernement allemand qui détruisent la démocratie et l’État de droit. Cette Cour constitutionnelle peut être sollicitée par n’importe qui. »

« Nous continuerons à informer en permanence, y compris par des vidéos si nécessaire, sur les développements juridiques. Dans le même temps, nous devons tous nous efforcer de mettre les faits réels à la disposition du plus grand nombre de personnes possible. »

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Dr. Reiner Fuellmich


Notes

  1. fuellmich.com/news/mandanten-information-nr-03-corona-schadensersatzklage/
  2. fr.wikipedia.org/wiki/CumEx_Files
  3. youtube.com/watch?v=SSnJhHOU_28 (vidéo en allemand)
  4. youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w (vidéo en allemand)
  5. youtube.com/watch?v=MSAnq7HOmYs&feature=youtu.be (vidéo en allemand)
  6. fuellmich.com/wpcontent/uploads/content/newsletter/download/20210110/FILE_STAMPED_CO MPLAINT.pdf
  7. fuellmich.com/wp-content/uploads/content/newsletter/download/20210110/FINAL_statement-of- claim-A.pdf

Résumé et traduction du texte du Dr Fuellmich : Jean-Michel Grau




Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”

[Source : Nous sommes partout]

Le Forum 2021 de Davos (World Economic Forum) s’est tenu virtuellement du 25 au 29 janvier, avec pour sujet principal la fameuse « pandémie » et sa solution économique le “Great Reset” (Grande réinitialisation) qui mènera l’humanité, bon gré mal gré vers un “New normal” [Une « nouvelle normalité »].


Rédaction NSP
KLARA VON KUSTNITZ

Loin d’être, comme le prétendent les médias aux ordres, une théorie du complot et un fantasme d’extrême-droite, la théorie du Great Reset est au contraire directement issue des réflexions du forum mondial de l’économie de Davos 2020 et parfaitement résumée dans l’ouvrage de son fondateur Klaus Schwab Covid-19 la Grande Réinitialisation (Ed. Forum Publishing). Schwab, qui cosigne l’ouvrage avec Thierry Mailleret, dit Milton Peel, ancien  collaborateur de Jacques Attali,  est un fervent sioniste,  membre du groupe Bilderberg,  et en a d’ailleurs annoncé le lancement le 3 juin 2020 avec à ses côtés, entre autres, le prince Charles, la Bill & Melinda Gates Foundation, Antonio Guterres secrétaire général de l’ONU et haut-commissaire des Nations-Unies aux réfugiés, Kristina Georgieva  directrice du FMI, Nicolas Stern “économiste du climat”, le PDG de Mastercard et autres banquiers, des personnalités démocrates, gauchistes et bien sûr pro Joe Biden. Le ton était donné, on allait causer pognon, virus, climat et migrations.

Bill Gates, Nostradamus de la pandémie

En 2015, lors d’une Conférence TED (Technologie Entertainment and Design), Bill Gates avait mis le monde en garde contre les conséquences désastreuses d’une éventuelle pandémie. Quatre ans plus tard en 2019, le centre américain John Hopkins, largement financé par le milliardaire “philanthrope”, organise un exercice de simulation de pandémie fictive de coronavirus  nommé EVENT 201

[Voir aussi :
L’OMS, Bill Gates et les vaccins.
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19.
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme.
Le bon virus au bon moment.
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset ».
Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!.]

Curieusement, en 2019, la pandémie est là et le coronavirus en même temps. Naturellement, les complotistes de tous poils — dont nous ne sommes évidemment pas — n’ont pas manqué de conclure qu’entre les oiseaux de mauvais augure de Event 201 et la volonté de rendre réelle la pandémie, il n’y avait qu’un pas. Nos lecteurs jugeront.

En tous cas, à Davos en 2020, les économistes, dignitaires bien pensants, européistes convaincus, démocrates forcenés, ont clairement établi le plan qui nous frappe actuellement. Ce plan est d’ailleurs fidèlement suivi par l’Union Européenne avec la France et l’Allemagne en tête et n’est rien d’autre que le programme de Joe Biden.

Davos 2021: du Great Reset 2020 au New Normal 

Appliquer le plan du Great Reset ou Grande Réinitialisation a bien sûr un but clairement défini : transformer la société et l’humanité pour arriver à une nouvelle situation post-crise: le New Normal. Le “New Normal” est une expression inventée par l’écrivain de science-fiction Robert A. Heinlein dans son roman The moon is a harsh mistress (Révolte sur la Lune), roman considéré comme libertarien. Dans cette “nouvelle normalité”, l’humanité qui a survécu à la crise , vit dans le tout-numérique et le sans-contact dans un monde déshumanisé, métissé et transgenre, asservi à une idéologie sanitaire, climatique et sociétale. Une oligarchie toute-puissante règne sur des populations abruties par les drogues légales et réduites en esclavage par un revenu conditionné aux idées “conformes”.

Le terme de “New Normal” revient régulièrement dans les paroles d’Emmanuel Macron lors de son grand oral du 26 janvier face à Klaus Schwab. Nous vous invitons à consulter le calendrier ci-dessous puis à visionner la video de l’intervention du Président de la république française. Celui-ci y déroule le plan à la perfection jusqu’à ce jour et la pandémie et le climat en sont les deux fils rouges — et parfaits alibis des financiers —  qui mèneront inéluctablement vers leur “nouvelle normalité”.https://www.youtube.com/embed/4mml-GYM39A

Le calendrier

Vous découvrirez ci-dessous un résumé de ce plan de “réinitialisation individuelle” que l’oligarchie veut nous imposer pour maintenir ses bénéfices dans une ère post-capitaliste. Un commentaire explicatif en italique aidera nos lecteurs à mieux comprendre et à voir à quel moment de ce diabolique projet nous nous situons.

  • 2019, apparition de la pandémie (Il s’agit de créer la peur, excellent moyen de manipuler les foules)
  • Début de l’ère de la surveillance sanitaire (Application stop-Covid, traçage numérique, utilisation de drones, fichage de l’état-civil dans les restaurants) 
  • Diminution du ratio vie privée/vie publique (Le pouvoir commence à passer outre les droits individuels)
  • Surveillance accrue, politique sécuritaire (Grâce à la peur générée par le virus, la surveillance ne sera pas contestée)
  • Explosion des problèmes mentaux (Dépressions, suicides, violences. Le plan précise que l’enfermement (confinement) provoquera l’émergence des fake-news et des théories du complot)
  • Internement psychiatrique des opposants politiques
  • Faillite de l’économie sans aucun redémarrage possible  (Licenciements, récession, chômage de masse)
  • Études sur un possible vaccin (Rien ne sera plus “comme avant” et le chômage augmentera tant que le vaccin ne sera pas administré à tous)
  • Crise des liquidités (Les entreprises ne sont plus solvables, innombrables faillites, les banques sont en danger)
  • Début de l’ère de l’automatisation  (Innovations techniques lucratives pour les banques mais jeunes sans emploi, vieux remplacés par des machines, millions de chômeurs en plus)
  • Début de l’ère du sans-contact (La distanciation imposée par la peur permet l’automatisation prévue: 75 % des commerces de détail ferment, 86% des restaurants, 59% des sociétés de divertissement disparaissent.)
  • Fin de la tyrannie du P.I.B., décroissance forcée (Augmentation de la fiscalité)
  • Prise de contrôle gouvernemental des entreprises privées
  • Contrôle sanitaire et dictature du “climat”, le Grand Alibi (Les idéologies du “climat et de la pandémie” créent la peur, peur personnelle et peur pour la planète)
  • Montée en puissance et enrichissement exponentiel de Big Pharma (Développement des technologies de la santé et du bien-être) 
  • Surveillance accrue par IA (Intelligence artificielle) et IoT (Intelligence des objets)
  • Ère du tout numérique et du “tout-distant” (Economie sans-contact, télémédecine, livraison par drones, paiements mobiles, éducation virtuelle, cryptomonnaie, fin de l’hégémonie du dollar)
  • Enrichissement exponentiel des entreprises qui investissent dans les infrastructures énergétiques progressistes ( Adhésion des consommateurs par la propagande climatique, la colère organisée des “militants” écologistes et la politique de la terreur de la pollution)
  • 4ème révolution industrielle, 5G
  • Ère du” comportement adéquat” et punition des entreprises non-conformes (Climat, diversité, augmentation des troubles sociaux — BLM, antifas, LGBT, écologistes, féministes — pour faire pression)
  • Légalisation des psychotropes (Une population abrutie par le cannabis “récréatif” se révolte rarement)
  • Rupture des chaînes commerciales et d’approvisionnement (Dévastation immédiate, émeutes de la faim)
  • Effondrement des prix du pétrole (Fin des énergies fossiles polluantes)
  • Déstabilisation des pays du Sud à destination touristique, troubles sociaux, guerres civiles, famines (Dictature sanitaire, impossibilité de voyager sans vaccin)
  • Migration massive de réfugiés “climatiques”(Conséquences des famines dans les pays du Sud)
  • Ère de la distanciation sociale  totale (Même les réunions de famille obligatoires en virtuel par le règne de la peur des pandémies)
  •  Revenu universel et Assistance sociale universelle, conditionnés à un “crédit social” (Le mal-pensant ou le réfractaire au vaccin est exclu du revenu, de l’aide, du travail et éventuellement interné en HP ou en camp d’isolement)
  • Alternance des périodes de confinement et de déconfinement sous prétexte de santé et de décarbonisation (Politique de la peur pour obtenir l’adhésion des masses par “contagion comportementale”)
  • Plan de relance lié à la dictature écologique
  • Diminution drastique de la population mondiale (Guerres, pandémies, vaccins, famines) jusqu’au chiffre d’occupation correcte de la planète estimé par le plan: un milliard d’êtres humains, et pourquoi pas diminuer encore?
  • 2035 Résolution du problème de la surpopulation (Merci les philanthropes et leur idéologie malthusienne qui nous fait irrésistiblement penser aux Georgia Guidestones qui suggèrent de maintenir l’humanité en dessous d’un seuil de 500 millions.)
  • New Normal (le monde modifié d’après la crise) 

[Voir aussi : Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial]

Derrière tous ces braves philanthropes, les Big Three [Les trois gros] (BlackrockVanguard et State Street) qui détiennent près de 90% des entreprises du S&P500, c’est-à-dire ont des intérêts énormes dans les médias, Big Pharma et les GAFAM.  A savoir que les actifs de Blackrock sont gérés par l’intelligence artificielle via son logiciel Aladdin qui lui a permis de prendre les rênes de la FED et est donc clairement au sommet de la pyramide du Great Reset.

[Voir aussi :
2020 : Le règne des marchands du Temple…
Les 4 firmes qui possèdent les USA]

Finalement, chers lecteurs, il ne nous reste plus qu’à devenir Amish pour faire échouer le plan et éviter d’être “réinitialisés”…

“C’est un triomphe pour la science car au moins nous sommes parvenus à stabiliser quelques chose : à savoir, l’estimation de la capacité d’accueil de la planète, c’est-à-dire un milliard de personnes. Quel triomphe ! D’un autre côté, voulons-nous en arriver là ? Je pense que l’on peut faire bien mieux.” 

(Hans Joachim Schellnhuber, climatologue, Conférence de Copenhague,2009)

En cas de réincarnation, je souhaiterais revenir sous la forme d’un virus mortel, afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation.” 

(Prince Philip — père du prince Charles – 1988, Deutsche Presse-Agentur).


Source: Faits & documents N° 487,488 et 489




Discours de Vladimir Poutine au forum de Davos 2021 – L’homme ne doit pas être un moyen, mais un but de l’économie

[Source : Donbass Insider]

Le Président russe Vladimir Poutine a participé à distance au Forum annuel de Davos, qui a lieu cette année du 25 au 29 janvier 2021. Cette année, le principal sujet de discussion est la nouvelle situation mondiale suite à la pandémie de coronavirus. Vladimir Poutine a réitéré ses déjà nombreux appels à la coopération internationale pour résoudre les problèmes les plus graves, mais aussi à résoudre le problème du creusement des inégalités sociales dans le monde, afin d’éviter que les tensions que créent ces inégalités ne finissent pas déboucher sur une instabilité et un conflit globaux. Il parle aussi des dangers que peut représenter le passage au tout robotique et informatique ainsi que le poids excessif de certaines sociétés numériques dans la vie politique des États.


Cher M. Schwab, cher Klaus ! Chers collègues !

J’ai assisté à de nombreux événements organisés par M. Schwab dans les années 90. Klaus vient de se rappeler que nous nous sommes rencontrés en 1992. Au cours de mon travail à Saint-Pétersbourg, j’ai assisté à plusieurs reprises à ce forum consultatif. Je tiens à vous remercier pour l’occasion qui m’est donnée aujourd’hui d’apporter mon point de vue à la communauté des experts, qui se réunit sur cette plateforme mondialement reconnue grâce aux efforts de M. Schwab.

Tout d’abord, Mesdames et Messieurs, je tiens à vous souhaiter à tous la bienvenue au Forum économique mondial.

Il est agréable de constater que cette année, malgré la pandémie, malgré toutes les restrictions, le forum poursuit encore ses travaux. Bien qu’il soit en ligne, il fonctionne toujours et donne aux participants l’occasion de partager leurs évaluations et leurs prévisions dans le cadre d’une discussion ouverte et libre, ce qui compense en partie le manque de communication directe entre les dirigeants, les représentants des entreprises mondiales et le public, qui s’est accumulé au cours des derniers mois. Tout cela est important à un moment où nous avons tant de questions difficiles auxquelles il faut répondre.

Le forum de cette année est le premier de la troisième décennie du XXIe siècle, et la plupart de ses thèmes portent, bien sûr, sur les profonds changements qui se produisent sur la planète.

En effet, il est difficile de ne pas remarquer des transformations fondamentales dans l’économie, la politique, la vie sociale et la technologie mondiales. La pandémie de coronavirus que Klaus vient de mentionner, et qui est devenue un sérieux défi pour l’ensemble de l’humanité, n’a fait que stimuler et accélérer les changements structurels, dont les conditions préalables étaient déjà réunies depuis longtemps. La pandémie a exacerbé les problèmes et les déséquilibres accumulés jusqu’alors dans le monde. Il y a tout lieu de croire qu’il existe des risques d’escalade des conflits. Et ces tendances peuvent se manifester pratiquement dans tous les domaines.

Bien sûr, il n’y a pas de parallèles directs dans l’histoire. Mais certains experts – je respecte leur opinion – comparent la situation actuelle avec les années 30 du siècle dernier. Vous pouvez être d’accord ou non avec cette situation. Mais à de nombreux égards, en termes d’ampleur et de nature complexe et systémique des défis et des menaces potentielles, certaines analogies sont néanmoins justifiées.

Nous assistons à une crise des modèles et des outils de développement économique antérieurs. La stratification sociale s’intensifie, tant au niveau mondial que dans les différents pays. Nous en avons déjà parlé. Mais cela entraîne à son tour une forte polarisation de l’opinion publique, provoque la croissance du populisme, du radicalisme de droite et de gauche et d’autres extrêmes, et aggrave et exacerbe les processus politiques internes, y compris dans les pays leaders.

Tout cela affecte inévitablement la nature des relations internationales et n’y apporte ni stabilité ni prévisibilité. Les institutions internationales s’affaiblissent, les conflits régionaux se multiplient et le système de sécurité mondial se dégrade.

Klaus a mentionné ma conversation d’hier avec le président des États-Unis et l’extension du traité sur la limitation des armes stratégiques. C’est certainement un pas dans la bonne direction. Néanmoins, les conflits se multiplient, comme on dit. Comme on le sait, l’incapacité et le manque de volonté de résoudre en substance de tels problèmes au XXe siècle ont conduit à la catastrophe de la Seconde Guerre mondiale.

Bien sûr, un tel conflit mondial « brûlant » est désormais, je l’espère, impossible, en principe. Je l’espère vraiment. Cela signifierait la fin de la civilisation. Mais, là encore, la situation peut évoluer de manière imprévisible et incontrôlable. Si, bien sûr, rien n’est fait pour l’empêcher. Il est possible que nous devions faire face à un véritable bouleversement du développement mondial, avec une lutte de tous contre tous, avec des tentatives de résoudre les conflits latents par la recherche d’ennemis « internes » et « externes », avec la destruction non seulement des valeurs traditionnelles (que nous chérissons en Russie), telles que la famille, mais aussi des libertés fondamentales, y compris le droit au choix et à la vie privée.

Permettez-moi de noter ici que la crise sociale et de valeurs se transforme déjà en conséquences démographiques négatives, à cause desquelles l’humanité risque de perdre des continents civilisationnels et culturels entiers.

Notre responsabilité commune aujourd’hui est d’éviter une telle perspective, semblable à une sinistre dystopie, pour assurer un développement sur une trajectoire différente, positive, harmonieuse et créative.

À cet égard, je m’attarderai sur les principaux défis auxquels, à mon avis, la communauté mondiale est actuellement confrontée.

Le premier est d’ordre socio-économique.

Oui, à en juger par les statistiques, même en dépit des crises profondes de 2008 et 2020, la période des quarante dernières années peut être qualifiée de succès, voire de super succès pour l’économie mondiale. Le PIB mondial en parité de pouvoir d’achat a doublé en termes réels par habitant depuis 1980. C’est assurément une évolution positive.

La mondialisation et la croissance intérieure ont entraîné une forte reprise dans les pays en développement, permettant à plus d’un milliard de personnes de sortir de la pauvreté. Ainsi, si l’on prend un niveau de revenu de 5,5 dollars par personne et par jour (à parité de pouvoir d’achat), la Banque Mondiale estime qu’en Chine, par exemple, le nombre de personnes à faible revenu est passé de 1,1 milliard en 1990 à moins de 300 millions ces dernières années. C’est assurément un succès pour la Chine. Et en Russie, de 64 millions de personnes en 1999 à environ 5 millions aujourd’hui. Et nous pensons qu’il s’agit également d’un progrès dans notre pays dans la direction principale, soit dit en passant.

Néanmoins, la question principale, dont la réponse permet dans une large mesure de comprendre les problèmes actuels, est de savoir quelle était la nature de cette croissance mondiale, qui en a le plus profité.

Bien sûr, comme je l’ai déjà dit, à bien des égards, les pays en développement ont bénéficié de la demande croissante pour leurs produits traditionnels et même pour de nouveaux produits. Cependant, cette intégration dans l’économie mondiale n’a pas seulement eu pour résultat des emplois et des recettes d’exportation. Mais aussi des coûts sociaux. Y compris un écart important dans les revenus des citoyens.

Qu’en est-il des économies développées, où le niveau moyen de richesse est beaucoup plus élevé ? Aussi paradoxal que cela puisse paraître, les problèmes de stratification ici dans le monde développé ont été encore plus profonds. La Banque Mondiale estime que si 3,6 millions de personnes vivaient avec moins de 5,50 dollars par jour aux États-Unis en 2000, elles étaient 5,6 millions en 2016.

Au cours de la même période, la mondialisation a entraîné une augmentation significative des profits des grandes multinationales, principalement des entreprises américaines et européennes.

D’ailleurs, en ce qui concerne les citoyens, la tendance dans les économies développées de l’Europe est la même qu’aux États-Unis.

Mais encore une fois, quand il s’agit des bénéfices des entreprises, qui en profite ? La réponse est connue, elle est évidente – un pour cent de la population.

Et que s’est-il passé dans la vie du reste des gens ? Au cours des 30 dernières années, dans certains pays développés, le revenu de plus de la moitié des citoyens en termes réels a stagné, n’a pas augmenté. Mais le coût de l’éducation et des services de santé a augmenté. Et savez-vous de combien ? Trois fois.

Cela signifie que des millions de personnes, même dans les pays riches, n’ont pas vu la perspective d’une augmentation de leurs revenus. Et ils doivent faire face à plusieurs problèmes, comment se maintenir et maintenir leurs parents en bonne santé, comment offrir aux enfants une éducation de qualité.

Il y a aussi une accumulation de personnes qui, en fait, ne sont pas employées. Par exemple, l’Organisation internationale du travail estime qu’en 2019, 21 % des jeunes du monde, soit 267 millions de personnes, n’ont ni étudié ni travaillé nulle part. Et même parmi les actifs (voici un chiffre intéressant, des chiffres intéressants), même parmi les actifs, 30 % vivent avec des revenus inférieurs à 3,2 dollars par jour à parité de pouvoir d’achat.

Ces distorsions du développement socio-économique mondial sont le résultat direct des politiques menées dans les années 1980, souvent de manière grossière et dogmatique. Ces politiques étaient basées sur le soi-disant « consensus de Washington ». Avec ses règles non écrites, donnant la priorité à une croissance économique basée sur la dette privée avec une déréglementation et des impôts peu élevés sur les riches et les entreprises.

Comme je l’ai dit, la pandémie de coronavirus n’a fait qu’exacerber ces problèmes. L’année dernière, la chute de l’économie mondiale a été la plus importante depuis la Seconde Guerre mondiale. En juillet, les pertes sur le marché du travail équivalaient à près de 500 millions d’emplois. Oui, la moitié d’entre eux avaient été récupérés à la fin de l’année. Mais cela représente tout de même près de 250 millions d’emplois perdus. C’est un chiffre important et très alarmant. Rien qu’au cours des neuf premiers mois de l’année dernière, les pertes de revenus du travail dans le monde se sont élevées à 3,5 trillions de dollars. Et ce chiffre ne cesse de croître. Cela signifie que les tensions sociales sont en hausse.

Dans le même temps, la reprise après la crise n’est pas facile. Si, il y a 20 ou 30 ans, le problème pouvait être résolu en stimulant la politique macroéconomique (et c’est d’ailleurs ce qu’ils font encore), aujourd’hui, de tels mécanismes sont pratiquement épuisés, ils ne fonctionnent pas. Leurs ressources sont pratiquement épuisées. Ce n’est pas une affirmation infondée de ma part.

Ainsi, selon les estimations du FMI, le niveau de la dette agrégée des secteurs public et privé est proche de 200 % du PIB mondial. Et dans certaines économies, il a dépassé 300 % du PIB national. Pendant ce temps, les taux d’intérêt sont proches de zéro dans les économies développées. Et dans les principales économies émergentes, ils sont à des niveaux historiquement bas.

[NdNM : la dette auprès des banques privées était déjà irremboursable depuis au moins quelques décennies. Que se passe-t-il habituellement lorsqu’un prêteur sur gages ne se fait pas rembourser par un joueur malavisé qui a tout perdu au Casino ? Il envoie ses gros bras ! Ces derniers finissent généralement par se faire rembourser d’une manière ou d’une autre, éventuellement en accaparant certains de ses biens matériels, ou bien en tuant l’imprudent. Que risquent de faire les actionnaires des banques centrales à l’occasion de la Grande Réinitialisation ? Il y a de fortes chances qu’ils ordonnent à leurs hommes de paille de saisir une partie importante des possessions nationales des nations endettées : terrains, bâtiments, entreprises… et même le bétail humain qui deviendra leur esclave. L’alternative serait une guerre mondiale permettant la liquidation d’une bonne partie de la population.

Voir aussi :
Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation,
Pour tous ceux qui veulent éviter de se laisser formater par le modèle du Forum Économique Mondial selon une «Grande réinitialisation» censée être induite par le coronavirus,
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19,
Du confinement à la Grande réinitialisation,
Klaus Schwab et sa prise d’otages de masse 2.0,
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux,
La mort de la propriété privée,
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme,
Great reset : c’est pour bientôt !,
La mondialisation… en marche — 9 alertes rouges,
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
• et Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »]

Tout cela rend la stimulation de l’économie par les outils traditionnels au détriment de l’augmentation des prêts privés pratiquement impossible. L’assouplissement dit quantitatif, qui ne fait qu’augmenter, gonfle la « bulle » de la valeur des actifs financiers et conduit à une stratification supplémentaire de la société. Et l’écart croissant entre l’économie « réelle » et « virtuelle » (d’ailleurs, j’en entends souvent parler par les représentants de l’économie réelle de nombreux pays, et je pense que les participants à la réunion d’aujourd’hui issus du monde des affaires seront également d’accord avec moi) est une menace réelle, porteuse de chocs graves et imprévisibles.

Certains espoirs de pouvoir « redémarrer » l’ancien modèle de croissance sont liés à la rapidité du développement technologique. En effet, les 20 dernières années ont jeté les bases de ce que l’on appelle la quatrième révolution industrielle, qui repose sur l’utilisation généralisée de l’intelligence artificielle, des solutions automatisées et de la robotique. La pandémie de coronavirus a considérablement accéléré ces développements et leur mise en œuvre.

Cependant, ce processus génère de nouveaux changements structurels, je pense tout d’abord au marché du travail. Cela signifie que sans une action gouvernementale efficace, de nombreuses personnes courent le risque d’être au chômage. Et c’est souvent ce qu’on appelle la classe moyenne. Or c’est la base de toute société moderne.

Et cela est lié au deuxième défi fondamental de la décennie à venir – le défi sociopolitique. La croissance des problèmes économiques et des inégalités divise la société, génère l’intolérance sociale, raciale et ethnique, et cette tension éclate même dans les pays dont les institutions civiles et démocratiques apparemment bien établies sont conçues pour aplanir et réprimer ces phénomènes et ces excès.

Les problèmes socio-économiques systémiques génèrent un tel mécontentement du public qu’ils nécessitent une attention particulière, qu’ils exigent que ces problèmes soient résolus de manière concrète. La dangereuse illusion qu’ils peuvent être ignorés, négligés, mis sur le côté est lourde de conséquences. Dans ce cas, la société sera toujours divisée, tant politiquement que socialement. Parce que pour les gens, les raisons d’être mécontents ne sont en fait pas des spéculations, mais de véritables problèmes qui concernent tout le monde, quelles que soient les opinions, y compris politiques, auxquelles on n’adhère. Ou auxquelles on pense tenir. Et ce sont les vrais problèmes qui génèrent le mécontentement.

Je voudrais souligner un autre point fondamental. Les géants technologiques modernes et, surtout, numériques ont commencé à jouer un rôle de plus en plus important dans la société. On en parle beaucoup aujourd’hui, notamment en relation avec les événements qui se sont déroulés aux États-Unis pendant la campagne électorale. Et ce ne sont plus des géants économiques quelconques ; dans certains domaines, ils sont en concurrence de facto avec les États. Leur audience se chiffre en milliards d’utilisateurs qui passent une partie importante de leur vie au sein de ces écosystèmes.

Du point de vue des entreprises elles-mêmes, leur position de monopole est optimale pour organiser les processus technologiques et commerciaux. C’est peut-être juste, mais le public se pose une question : dans quelle mesure un tel monopole correspond-il exactement à l’intérêt public ? Où se situe la limite entre le succès des entreprises mondiales, les services et les prestations demandés, la consolidation des données personnelles et les tentatives de gérer grossièrement, à sa guise, la société, de se substituer aux institutions démocratiques légitimes, en fait, d’usurper ou de limiter le droit naturel des gens à décider eux-mêmes comment vivre, quoi choisir, quelle position exprimer librement ? Nous l’avons tous vu récemment aux États-Unis, et tout le monde comprend ce dont je parle maintenant. Je suis sûr que la grande majorité des gens partagent cette position, y compris ceux qui participent à la conférence avec nous aujourd’hui.

Enfin, le troisième défi, ou plus précisément la menace évidente à laquelle nous pourrions être confrontés au cours de la prochaine décennie, est une nouvelle aggravation de l’ensemble des problèmes internationaux. Après tout, les problèmes socio-économiques intérieurs non résolus et croissants peuvent nous inciter à chercher un responsable pour tous les problèmes et à rediriger l’irritation et le mécontentement de nos citoyens. Et nous pouvons déjà le voir, nous pouvons sentir que le niveau de la politique étrangère, de la rhétorique de propagande augmente. Nous pouvons nous attendre à ce que la nature des actions concrètes devienne plus agressive, y compris la pression sur les pays qui ne sont pas d’accord avec le rôle de satellites obéissants et dirigés, l’utilisation de barrières commerciales, les sanctions illégitimes et les restrictions dans les sphères financières, technologiques et de l’information.

Ce jeu sans règles augmente de manière critique les risques d’utilisation unilatérale de la force militaire – c’est-à-dire le danger du recours à la force sous n’importe quel prétexte farfelu. Il multiplie la probabilité de nouveaux « points chauds » sur notre planète. C’est un tout qui ne peut que nous inquiéter.

Dans le même temps, chers participants au Forum, malgré un tel enchevêtrement de contradictions et de défis, nous ne devons certainement pas perdre notre vision positive de l’avenir et devons rester engagés dans un programme constructif. Il serait naïf de suggérer quelques remèdes miracles universels pour les problèmes évoqués. Mais nous devons tous essayer d’élaborer des approches communes, rapprocher nos positions le plus possible et identifier les sources de tensions mondiales.

Je voudrais répéter ma thèse : la cause fondamentale de l’insoutenabilité du développement mondial est, dans une large mesure, l’accumulation des problèmes socio-économiques. Par conséquent, la question clé aujourd’hui est de savoir comment élaborer la logique des actions afin non seulement de restaurer rapidement les économies et les secteurs mondiaux et nationaux touchés par la pandémie, mais aussi de garantir que cette restauration soit durable à long terme et ait une structure qualitative qui aide à surmonter le poids des déséquilibres sociaux. Il est clair que, compte tenu des contraintes de politique macroéconomique déjà mentionnées, la poursuite du développement économique dépendra davantage de la relance budgétaire, les budgets des gouvernements et les banques centrales jouant un rôle clé.

En fait, nous observons déjà de telles tendances dans les pays développés, et dans certains pays en développement également. Le rôle croissant des États dans la sphère socio-économique au niveau national exige évidemment une plus grande responsabilité et une coopération interétatique étroite sur l’agenda mondial également. Dans divers forums internationaux, on peut entendre des appels constants à une croissance inclusive, à la création de conditions permettant d’atteindre un niveau de vie digne pour chaque personne. C’est la bonne chose à faire, et notre travail commun va absolument dans la bonne direction.

Il est absolument clair que le monde ne peut pas s’engager sur la voie de la construction d’une économie qui fonctionne pour un million de personnes ou même un « milliard doré ». C’est tout simplement une position destructrice. Un tel modèle est par définition non viable. Les événements récents, notamment les crises migratoires, l’ont confirmé une fois de plus.

Il importe maintenant de passer d’une déclaration générale à l’action, de diriger les ressources et les efforts réels pour parvenir à la fois à la réduction des inégalités sociales au sein des différents pays et à la convergence progressive du niveau de développement économique des différents pays et régions de la planète. Il n’y aura alors pas de crise migratoire.

Le sens, l’importance d’une telle politique, destinée à assurer un développement durable et harmonieux, est évident. Qu’est-ce que c’est ? C’est la création de nouvelles opportunités pour chacun, des conditions pour le développement et la réalisation du potentiel humain, indépendamment de l’endroit où il est né et vit.

Et je vais ici présenter quatre grandes priorités. Pourquoi je les considère comme des priorités. Peut-être que je ne dirai rien d’original. Néanmoins, puisque Klaus m’a permis d’exprimer la position de la Russie, ma position, je le ferai volontiers.

Premièrement. Une personne doit avoir un environnement de vie confortable. Il s’agit du logement et des infrastructures accessibles : transport, énergie, services publics. Et, bien sûr, le bien-être environnemental, il ne doit jamais être oublié.

Deuxièmement. Une personne doit être sûre qu’elle aura un emploi, qui lui procurera un revenu en constante augmentation et, par conséquent, un niveau de vie décent. Elle devrait avoir accès à des mécanismes efficaces d’apprentissage tout au long de la vie, aujourd’hui c’est absolument nécessaire, lui permettant de développer et de construire sa carrière, et après son achèvement d’obtenir une retraite et un paquet social décents.

Troisièmement. Une personne doit être sûre qu’elle recevra des soins médicaux efficaces et de qualité lorsqu’elle en aura besoin, que le système de soins de santé lui garantit en tout cas l’accès à un niveau moderne de services.

Quatrièmement. Quel que soit le revenu familial, les enfants doivent avoir la possibilité de recevoir une éducation décente et de réaliser leur potentiel. Chaque enfant a ce potentiel.

C’est la seule façon de garantir le développement le plus efficace de l’économie moderne. Une économie où l’homme n’est pas un moyen, mais un but. Et seuls les pays qui pourront progresser dans ces quatre domaines (ils ne sont pas exhaustifs, je n’ai dit que l’essentiel), mais seuls les pays qui pourront progresser au moins dans ces quatre domaines, assureront un développement durable et inclusif.

Ce sont les approches qui sont au cœur de la stratégie que mon pays, la Russie, met également en œuvre. Nos priorités s’articulent autour de l’individu, de sa famille, et visent le développement démographique et la préservation de la nation, l’amélioration du bien-être des personnes et la protection de leur santé. Nous nous efforçons de créer les conditions d’un travail digne et efficace et d’un entrepreneuriat réussi, afin d’assurer la transformation numérique comme base du mode technologique de l’avenir de tout le pays, plutôt que d’un groupe étroit d’entreprises.

Nous voulons concentrer les efforts du gouvernement, des entreprises et de la société civile sur ces tâches et mettre en place une politique budgétaire stimulante dans les années à venir.

Nous sommes ouverts à la coopération internationale la plus large possible pour atteindre nos objectifs nationaux de développement et nous pensons qu’une coopération sur l’agenda socio-économique mondial aurait un impact positif sur l’atmosphère générale des affaires mondiales également, tandis qu’une interdépendance dans le traitement des questions urgentes acttuelles ajouterait à la confiance mutuelle, ce qui est particulièrement important et urgent de nos jours.

De toute évidence, l’ère associée aux tentatives de construction d’un ordre mondial centralisé et unipolaire, cette époque est révolue. En fait, elle n’a même pas encore commencé. Seule une tentative a été faite dans ce sens. Mais cela aussi est passé. Un tel monopole était tout simplement intrinsèquement contraire à la diversité culturelle et historique de notre civilisation.

La réalité est que différents pôles de développement avec leurs propres modèles originaux, systèmes politiques et institutions sociales ont émergé dans le monde et se sont fait connaître. Et aujourd’hui, il est extrêmement important de construire des mécanismes de coordination de leurs intérêts, afin que la diversité et la concurrence naturelle des pôles de développement ne se transforment pas en anarchie et en une série de conflits prolongés.

À cette fin, nous devons notamment travailler au renforcement et au développement des institutions universelles qui ont une responsabilité particulière pour assurer la stabilité et la sécurité dans le monde et pour élaborer les règles de conduite de l’économie mondiale et du commerce.

J’ai déjà déclaré plus d’une fois que beaucoup de ces institutions traversent des moments difficiles. Nous en parlons constamment lors de différents sommets. Bien sûr, ces institutions ont été créées à une autre époque, c’est clair. Il peut être objectivement difficile pour elles de relever les défis d’aujourd’hui. Toutefois, je voudrais souligner que ce n’est pas une raison pour les rejeter, sans rien offrir à la place. D’autant plus que ces structures ont une expérience unique et un grand potentiel, largement inexploité. Il ne fait aucun doute qu’elles doivent être soigneusement adaptées aux réalités actuelles. Mais il est encore trop tôt pour les jeter à la poubelle de l’histoire. Nous devons travailler avec elles et les utiliser.

Parallèlement, il est bien sûr important d’utiliser des formats d’interaction nouveaux et supplémentaires. Je fais ici référence au phénomène du multilatéralisme. Bien sûr, il peut aussi être compris de différentes manières. Il peut s’agir soit de faire valoir ses intérêts, en donnant un semblant de légitimité aux actions unilatérales alors que les autres n’ont qu’à hocher la tête pour approuver. Ou bien il s’agit d’une véritable unification des efforts des États souverains pour résoudre des problèmes spécifiques dans l’intérêt commun. Dans ce cas, nous pouvons parler du règlement des conflits régionaux, de la création d’alliances technologiques et de nombreux autres domaines, y compris la formation de couloirs transfrontaliers de transport et d’énergie, etc.

Chers amis, Mesdames et Messieurs !

Vous comprenez qu’il existe un vaste champ de travail commun. De telles approches multilatérales fonctionnent vraiment. La pratique montre qu’elles fonctionnent. Permettez-moi de vous rappeler que dans le cadre du format Astana, la Russie, l’Iran et la Turquie font beaucoup pour stabiliser la situation en Syrie et aident maintenant à établir un dialogue politique en Syrie. Bien sûr, avec d’autres pays. Nous le faisons ensemble. Et ce n’est généralement pas sans succès, je tiens à le souligner.

Par exemple, la Russie a entrepris des efforts de médiation actifs pour mettre fin au conflit armé dans la région du Haut-Karabakh, dans lequel les peuples et les États proches de nous – l’Azerbaïdjan et l’Arménie – ont été impliqués. Dans le même temps, nous avons cherché à suivre les principaux accords conclus au sein du groupe de Minsk de l’OSCE, en particulier entre ses coprésidents – la Russie, les États-Unis et la France. C’est également un très bon exemple de coopération.

Comme vous le savez, une déclaration trilatérale entre la Russie, l’Azerbaïdjan et l’Arménie a été signée en novembre. Et il est important qu’elle soit, dans l’ensemble, mise en œuvre de manière cohérente. Nous avons réussi à arrêter le bain de sang. C’est la chose la plus importante. Nous avons réussi à arrêter l’effusion de sang, à obtenir un cessez-le-feu complet et à entamer le processus de stabilisation.

La communauté internationale et, sans aucun doute, les pays impliqués dans la résolution de la crise doivent maintenant aider les zones touchées à relever les défis humanitaires que sont le retour des réfugiés, la reconstruction des infrastructures détruites et la protection et la restauration des monuments historiques, religieux et culturels.

Ou un autre exemple. Je voudrais souligner le rôle de la Russie, de l’Arabie saoudite, des États-Unis et d’un certain nombre d’autres pays dans la stabilisation du marché mondial de l’énergie. Ce format est devenu un exemple productif d’interaction entre des pays ayant des points de vue différents, parfois même complètement opposés, sur les processus mondiaux et leurs propres visions du monde.

Dans le même temps, bien sûr, il y a des problèmes qui concernent tous les États sans exception. La coopération dans l’étude et le contrôle de la pandémie de coronavirus en est un exemple. Récemment, plusieurs variantes de ce que l’on sait être une maladie dangereuse ont fait leur apparition. Et la communauté internationale doit créer les conditions permettant aux scientifiques et aux spécialistes de travailler ensemble pour comprendre pourquoi et comment les mutations du coronavirus se produisent et comment les différentes souches diffèrent les unes des autres. Et bien sûr, nous devons coordonner les efforts du monde entier, comme l’a demandé le secrétaire général de l’ONU et comme nous l’avons demandé lors du sommet du G20 il n’y a pas si longtemps, afin d’unir et de coordonner les efforts du monde entier pour lutter contre la propagation de la maladie et accroître la disponibilité des vaccins contre le coronavirus dont nous avons tant besoin. Nous devons aider les nations qui ont besoin de soutien, y compris les nations africaines. Je parle de l’intensification des tests et de la vaccination. Nous constatons que la vaccination de masse est désormais accessible principalement aux citoyens des pays développés. Alors que des centaines de millions de personnes dans le monde n’ont même pas l’espoir de bénéficier d’une telle protection. Dans la pratique, cette disparité peut représenter une menace générale, car, comme on le sait et comme on l’a dit à maintes reprises, l’épidémie continuera à se prolonger et des poches incontrôlables persisteront. Elle n’a pas de frontières.

Il n’y a pas de frontières pour les infections et les pandémies. Nous devons donc tirer les leçons de la situation actuelle et proposer des mesures visant à accroître l’efficacité du système de surveillance de l’apparition de ces maladies dans le monde et de l’évolution de ces situations.

Un autre domaine important dans lequel nous devons coordonner notre travail, voire celui de la communauté internationale dans son ensemble, est la protection du climat et de la nature de notre planète. Je ne vais rien dire de nouveau ici non plus.

Ce n’est qu’ensemble que nous pourrons progresser dans la résolution de problèmes aussi graves que le réchauffement climatique, la déforestation, la perte de biodiversité, l’augmentation des déchets, la pollution des océans par les plastiques, etc, et trouver le meilleur équilibre entre les intérêts du développement économique et la préservation de l’environnement pour les générations actuelles et futures.

Chers participants du forum ! Chers amis !

Nous savons tous que la concurrence, la rivalité entre les pays dans l’histoire du monde n’a pas cessé, ne cesse pas et ne cessera jamais. En fait, les divergences et les conflits d’intérêts sont aussi une chose naturelle pour un organisme aussi complexe que la civilisation humaine. Toutefois, à des moments critiques, cela ne nous a pas empêchés, mais au contraire, nous a encouragés à unir nos efforts dans les directions les plus importantes et les plus décisives. Et il me semble que nous vivons précisément une telle époque.

Il est très important d’évaluer honnêtement la situation, de se concentrer non pas sur des problèmes mondiaux imaginaires mais bien réels, d’éliminer les déséquilibres qui sont d’une importance capitale pour l’ensemble de la communauté internationale. Et alors, j’en suis sûr, nous pourrons réussir, relever les défis de la troisième décennie du XXIe siècle avec dignité.

J’aimerais terminer ici et vous remercier pour votre patience et votre attention.

Merci beaucoup.

Vladimir Poutine

Source : Site officiel du Kremlin

Traduction par Christelle Néant pour Donbass Insider




La « Grande Réinitialisation » de Davos arrive

[Source : Réseau International]

par F. William Engdahl.

Pour ceux qui se demandent ce qui va se passer maintenant que la « pandémie » de Covid19 a pratiquement paralysé toute l’économie mondiale, propageant la pire dépression depuis les années 1930, les dirigeants de la plus grande ONG mondialiste, le Forum Économique Mondial de Davos, viennent de dévoiler les grandes lignes de ce à quoi nous pouvons nous attendre. Ces personnes ont décidé d’utiliser cette crise comme une opportunité.

Le 3 juin dernier, le Forum Économique Mondial de Davos (FEM) a dévoilé, via son site web, les grandes lignes de son prochain forum qui se tiendra en janvier 2021. Ils l’appellent « La Grande Rréinitialisation ». Il s’agit de profiter de l’impact stupéfiant du coronavirus pour faire avancer un agenda très spécifique. Il est à noter que cet agenda s’inscrit parfaitement dans un autre agenda bien précis, à savoir l’Agenda 2030 des Nations Unies de 2015. Le paradoxe du plus important forum mondial de grandes entreprises, celui qui a fait avancer l’agenda de mondialisation des entreprises depuis les années 1990 et qui adopte maintenant ce qu’ils appellent le développement durable, est énorme. Cela nous donne un indice que cet agenda ne correspond pas tout à fait à ce que le FEM et ses partenaires affirment.

La Grande Réinitialisation

Le 3 juin, le Président du FEM, Klaus Schwab, a publié une vidéo annonçant le thème annuel pour 2021, « La Grande Réinitialisation ». Il semble qu’il ne s’agisse de rien de moins que de promouvoir un programme global de restructuration de l’économie mondiale selon des lignes très spécifiques, qui ne ressemblent étonnamment pas à celles préconisées par le GIEC, par la Suédoise Greta et ses amis du monde des affaires comme Al Gore ou Larry Fink de Blackwater.

Il est intéressant de noter que les porte-parole du FEM situent la « réinitialisation » de l’économie mondiale dans le contexte du coronavirus et de l’effondrement de l’économie industrielle mondiale qui en découle. Le site web du FEM déclare : « Il y a de nombreuses raisons de poursuivre une grande réinitialisation, mais la plus urgente est le COVID-19 ». La Grande Réinitialisation de l’économie mondiale découle donc du covid19 et de « l’opportunité » qu’il représente.

En annonçant le thème de 2021, le fondateur du FEM, Schwab, a ensuite déclaré, en changeant habilement l’ordre du jour : « Nous n’avons qu’une seule planète et nous savons que le changement climatique pourrait être la prochaine catastrophe mondiale avec des conséquences encore plus dramatiques pour l’humanité« . Le sous-entendu est que le changement climatique est la raison sous-jacente de la catastrophe de la pandémie de coronavirus.

Pour souligner son programme vert « durable », le FEM accueille ensuite le futur roi d’Angleterre, le prince Charles. Se référant à la catastrophe mondiale du covid19, le prince de Galles déclare : « S’il y a une leçon essentielle à tirer de cette crise, c’est que nous devons placer la nature au cœur de notre fonctionnement. Nous ne pouvons tout simplement pas perdre plus de temps ». Aux côtés de Schwab et du Prince se trouve le Secrétaire Général de l’ONU, Antonio Guterres. Il déclare : « Nous devons construire des économies et des sociétés plus égales, plus inclusives et plus durables, qui soient plus résistantes face aux pandémies, au changement climatique et aux nombreux autres changements mondiaux auxquels nous sommes confrontés ». Notez son discours sur les « économies et sociétés durables » – nous y reviendrons plus tard. La nouvelle Directrice du FMI, Kristalina Georgieva, a également approuvé « La Grande Réinitialisation ». Parmi les autres reinitialisateurs du FEM, citons Ma Jun, Président du Comité des Finances Vertes de la Société Chinoise de Finance et de Banque et membre du Comité de Politique Monétaire de la Banque Populaire de Chine ; Bernard Looney, PDG de BP ; Ajay Banga, PDG de Mastercard ; Bradford Smith, Président de Microsoft.

Ne vous y trompez pas, la Grande Réinitialisation n’est pas une idée impulsive de Schwab et ses amis. Le site web du FEM déclare : « Les confinements du COVID-19 s’atténuent peut-être progressivement, mais l’anxiété concernant les perspectives sociales et économiques du monde ne fait que s’intensifier. Il y a de bonnes raisons de s’inquiéter : un fort ralentissement économique a déjà commencé, et nous pourrions être confrontés à la pire dépression depuis les années 1930. Mais, si cette issue est probable, elle n’est pas inévitable ». Les promoteurs du FEM ont de grands projets : « Le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. En bref, nous avons besoin d’une « Grande Réinitialisation » du capitalisme« . C’est énorme.

Des changements radicaux

Schwab nous en dit plus sur l’agenda à venir : « Un des points positifs de la pandémie est qu’elle a montré à quelle vitesse nous pouvons apporter des changements radicaux à nos modes de vie. Presque instantanément, la crise a forcé les entreprises et les particuliers à abandonner des pratiques longtemps considérées comme essentielles, depuis les voyages aériens fréquents jusqu’au travail au bureau ». Ce sont censés être des points positifs ?

Il suggère que ces changements radicaux soient prolongés : « L’agenda de la Grande Réinitialisation aurait trois axes principaux. Le premier orienterait le marché vers des résultats plus équitables. À cette fin, les gouvernements devraient améliorer la coordination… et créer les conditions d’une « économie des parties prenantes… » Elle comprendrait « des modifications de l’impôt sur la fortune, la suppression des subventions aux combustibles fossiles et de nouvelles règles régissant la propriété intellectuelle, le commerce et la concurrence« .

Le deuxième volet de l’Agenda de la Grande Réinitialisation garantirait que « les investissements fassent progresser les objectifs communs, tels que l’égalité et la durabilité ». Ici, le chef du FEM déclare que les récents budgets de relance économique énormes de l’UE, des États-Unis, de la Chine et d’ailleurs doivent être utilisés pour créer une nouvelle économie, « plus résistante, équitable et durable à long terme ». Cela signifie, par exemple, la construction d’infrastructures urbaines « vertes » et la création d’incitations pour les industries afin d’améliorer leurs résultats en matière de mesures environnementales, sociales et de gouvernance« .

Enfin, la troisième étape de cette Grande Réinitialisation consistera à mettre en œuvre l’un des projets favoris de Schwab, la quatrième révolution industrielle : « La troisième et dernière priorité de l’Agenda de la Grande Réinitialisation est d’exploiter les innovations de la quatrième révolution industrielle pour soutenir le bien public, notamment en relevant les défis sanitaires et sociaux. Pendant la crise du COVID-19, des entreprises, des universités et d’autres ont uni leurs forces pour développer des diagnostics, des thérapies et d’éventuels vaccins, établir des centres d’essai, créer des mécanismes de traçage des infections et fournir des services de télémédecine. Imaginez ce qui pourrait être possible si des efforts concertés similaires étaient déployés dans tous les secteurs« . La quatrième révolution industrielle comprend les biotechnologies d’édition de gènes, les télécommunications 5G, l’intelligence artificielle, etc.

L’Agenda 2030 des Nations unies et la Grande Réinitialisation

Si nous comparons les détails de l’Agenda 2030 de l’ONU de 2015 avec la Grande Réinitialisation du FEM, nous constatons que les deux s’accordent très bien. Le thème de l’Agenda 2030 est un « monde durable », c’est-à-dire un monde où règnent l’égalité des revenus, l’égalité des sexes, les vaccins pour tous, sous l’égide de l’OMS et de la Coalition pour les Innovations en matière de Préparation aux Épidémies (CEPI), qui a été lancée en 2017 par le FEM en collaboration avec la Fondation Bill & Melinda Gates.

En 2015, les Nations Unies ont publié un document intitulé « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le Développement Durable ». L’administration Obama ne l’a jamais soumis au Sénat pour ratification, sachant que ce serait un échec. Pourtant, il est en train d’être mis en œuvre à l’échelle mondiale. Il comprend 17 objectifs de développement durable, prolongeant ainsi un Agenda21 antérieur. Les 17 objectifs incluent « mettre fin à la pauvreté et à la faim, sous toutes leurs formes et dimensions… protéger la planète de la dégradation, notamment par une consommation et une production durables, en gérant de manière durable ses ressources naturelles et en prenant des mesures urgentes pour lutter contre le changement climatique… Il appelle à une croissance économique durable, à une agriculture durable (OGM), à une énergie durable et moderne (éolienne, solaire), à des villes durables, à une industrialisation durable… Le mot durable est le mot clé. Si nous creusons un peu plus, il est clair qu’il s’agit d’un mot de code pour une réorganisation de la richesse mondiale par des moyens tels que des taxes punitives sur le carbone qui réduiront considérablement les voyages en avion et en voiture. Le monde moins développé ne s’élèvera pas au niveau des pays développés, mais à l’inverse, les civilisations avancées doivent voir leur niveau de vie baisser pour devenir « durables ».

Maurice Strong

Pour comprendre le double langage de la durabilité, il faut remonter à Maurice Strong, un pétrolier canadien milliardaire et ami proche de David Rockefeller, l’homme qui a joué un rôle central dans les années 1970 pour l’idée que les émissions de CO2 dues à l’homme rendaient le monde non durable. Strong a créé le Programme des Nations Unies pour l’Environnement et, en 1988, le Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) pour étudier exclusivement l’émission de CO2 provoquée par les humains.

En 1992, Strong a déclaré : « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-ce pas notre responsabilité d’y parvenir ? » Au Sommet de la Terre de Rio, Strong a ajouté la même année : « Les modes de vie et de consommation actuels de la classe moyenne aisée – impliquant une consommation élevée de viande, l’utilisation de combustibles fossiles, d’appareils électroménagers, d’air conditionné et de logements de banlieue – ne sont pas durables« .

La décision de diaboliser le CO2, l’un des composés les plus essentiels à la survie de toute vie, humaine et végétale, n’est pas le fruit du hasard. Comme le dit le Professeur Richard Lindzen, physicien de l’atmosphère au MIT, « le CO2 a des attraits différents pour chaque personne. Après tout, qu’est-ce que c’est ? – Ce n’est pas un polluant, c’est le produit de la respiration de chaque créature vivante, c’est le produit de la respiration de toutes les plantes, c’est essentiel pour la vie des plantes et la photosynthèse, c’est le produit de toutes les combustions industrielles, c’est le produit de la conduite automobile – je veux dire, si jamais vous vouliez un point de levier pour tout contrôler, de l’expiration à la conduite automobile, ce serait un rêve. C’est donc une sorte d’attrait fondamental pour la mentalité bureaucratique« .

N’oublions pas que l’exercice de New York sur les pandémies, l’événement 201 du 18 octobre 2019, a été curieusement bien planifié et coparrainé par le Forum Économique Mondial et la Fondation Gates. Il était basé sur l’idée que « ce n’est qu’une question de temps avant qu’une de ces épidémies ne devienne mondiale – une pandémie aux conséquences potentiellement catastrophiques. Une pandémie grave, qui devient « l’Evénement 201″, nécessiterait une coopération fiable entre plusieurs industries, gouvernements nationaux et institutions internationales clés ». Le scénario de l’Événement 201 prévoyait « l’apparition d’un nouveau coronavirus zoonotique transmis de la chauve-souris au porc et à l’homme, qui finit par se transmettre efficacement d’homme à homme, entraînant une grave pandémie ». L’agent pathogène et la maladie qu’il provoque sont largement inspirés du SRAS, mais il est plus transmissible dans le cadre communautaire par des personnes présentant des symptômes bénins« .

La déclaration du Forum Économique Mondial de faire une Grande Réinitialisation est à tout point de vue une tentative à peine voilée de faire avancer le modèle dystopique « durable » de l’Agenda 2030, un « New Deal vert » mondial dans le sillage des mesures de lutte contre la pandémie de Covid19. Leurs liens étroits avec les projets de la Fondation Gates, avec l’OMS et avec les Nations Unies laissent penser que nous pourrions bientôt être confrontés à un monde bien plus sinistre après la fin de la pandémie de Covid19.

source : https://journal-neo.org

traduit par Réseau International




Le programme d’automatisation cachée de l’élite de Davos

[Source : Les Crises]

Le programme d’automatisation cachée de l’élite de Davos. Par Kevin Roose

Source : The New York Times, Kevin Roose, 25-01-2019

Cette année, le Forum économique mondial de Davos, en Suisse, où les positions publiques des chefs d’entreprise sur l’impact de l’automatisation sur les travailleurs ne correspondaient pas aux opinions qu’ils partageaient en privé. Laurent Gillieron/EPA, via Shutterstock

Par Kevin Roose

Le 25 janvier 2019

DAVOS, Suisse – Ils ne l’admettront jamais en public, mais beaucoup
de vos patrons veulent des machines pour vous remplacer dès que
possible.

Je le sais parce que, depuis une semaine, je me suis mêlé à des
dirigeants d’entreprises lors de la réunion annuelle du Forum économique
mondial à Davos. Et j’ai remarqué que leurs réponses aux questions sur
l’automatisation dépendent beaucoup de qui écoute.

En public, de nombreux cadres se tordent les mains sur les conséquences négatives que l’intelligence artificielle et l’automatisation pourraient avoir pour les travailleurs. Ils participent à des tables rondes sur la construction d’une « I.A. centrée sur l’homme » pour la « Quatrième Révolution industrielle » – Davos parle pour l’adoption par les entreprises de l’apprentissage machine et d’autres technologies avancées – et parlent de la nécessité de fournir un filet de sécurité aux personnes qui perdent leur emploi en raison de l’automatisation.

Mais dans un cadre privé, y compris lors de réunions avec les
dirigeants des nombreuses sociétés de conseil et de technologie dont les
vitrines animés bordent la Promenade de Davos, ces dirigeants racontent
une autre histoire : Ils se précipitent pour automatiser leurs propres
forces de travail afin de garder une longueur d’avance sur la
concurrence, sans se soucier de l’impact sur les travailleurs.

Partout dans le monde, les dirigeants dépensent des milliards de
dollars pour transformer leurs activités en opérations allégées,
numérisées et hautement automatisées. Ils ont soif de marges
bénéficiaires élevées que l’automatisation peut leur procurer, et ils
voient l’I.A. comme un ticket en or pour réaliser des économies,
probablement en leur permettant de réduire le nombre de services de
milliers de travailleurs à quelques dizaines à peine.

« Les gens cherchent à atteindre de très gros chiffres », a déclaré
Mohit Joshi, le président d’Infosys, une société de technologie et de
conseil qui aide d’autres entreprises à automatiser leurs opérations. «
Auparavant, ils avaient des objectifs supplémentaires de 5 à 10 pour
cent de réduction de leur main-d’œuvre. Maintenant, ils disent :
“Pourquoi ne pouvons-nous pas le faire avec 1 % des gens que nous avons
?” »

Peu de cadres américains admettront vouloir se débarrasser des
travailleurs humains, un tabou dans l’ère de l’inégalité d’aujourd’hui.
Ils ont donc dressé une longue liste de mots à la mode et d’euphémismes
pour masquer leurs intentions. Les travailleurs ne sont pas remplacés
par des machines, ils sont « libérés » de tâches pénibles et
répétitives. Les entreprises ne licencient pas des travailleurs, elles «
subissent une transformation numérique ».

Une enquête réalisée en 2017 par Deloitte a révélé que 53 % des entreprises avaient déjà commencé à utiliser des machines pour effectuer des tâches auparavant effectuées par des humains. On s’attend à ce que ce chiffre grimpe à 72 % d’ici l’an prochain.

L’obsession de l’élite entrepreneuriale pour l’I.A. a été lucrative pour les entreprises spécialisées dans « l’automatisation des processus robotiques », ou R.P.A. [R.P.A.: Robotic Process Automation NdT]. Infosys, qui est basée en Inde, a enregistré une augmentation de 33 % de ses revenus sur un an dans sa division numérique. L’unité « solutions cognitives » d’IBM, qui utilise l’I.A. pour aider les entreprises à accroître leur efficacité, est devenue la deuxième activité de l’entreprise, affichant 5,5 milliards $ en revenus au dernier trimestre. La banque d’investissement UBS prévoit que l’industrie de l’intelligence artificielle pourrait valoir jusqu’à 180 milliards de dollars l’année prochaine.

Kai-Fu Lee, l’auteur de « AI Superpowers » et un cadre en technologie depuis longtemps, prévoit que l’intelligence artificielle va éliminer 40 % des emplois dans le monde en 15 ans. Dans une entrevue, il a déclaré que les chefs de la direction subissaient d’énormes pressions de la part des actionnaires et des conseils d’administration pour maximiser les profits à court terme, et que le passage rapide à l’automatisation en était le résultat inévitable.

Les bureaux du fabricant d’électronique taïwanais Foxconn de Milwaukee, dont le président a déclaré qu’il prévoyait de remplacer 80 % des travailleurs de l’entreprise par des robots dans cinq à dix ans. Lauren Justice pour le New York Times

Les
bureaux du fabricant d’électronique taïwanais Foxconn de Milwaukee,
dont le président a déclaré qu’il prévoyait de remplacer 80 % des
travailleurs de l’entreprise par des robots dans cinq à dix ans. Lauren
Justice pour le New York Times

« Ils disent toujours que c’est davantage que le cours de l’action », dit-il. « Mais à la fin, si tu merdes, tu te fais virer. »

D’autres experts ont prédit que l’I.A. créera plus de nouveaux
emplois qu’elle n’en détruira, et que les pertes d’emplois causées par
l’automatisation ne seront probablement pas catastrophiques. Ils
soulignent qu’une certaine automatisation aide les travailleurs en
améliorant leur productivité et en les libérant pour leur permettre de
se concentrer sur des tâches créatives plutôt que routinières.

Mais à une époque de troubles politiques et de mouvements anti-élites
de la gauche progressiste et de la droite nationaliste, il n’est
probablement pas surprenant que toute cette automatisation se fasse
discrètement, hors de la vue du public. À Davos cette semaine, plusieurs
cadres supérieurs ont refusé de dire combien d’argent ils avaient
économisé en automatisant des tâches auparavant effectuées par des
humains. Et personne n’était prêt à dire publiquement que le
remplacement des travailleurs humains est leur but ultime.

« C’est la grande dichotomie », a déclaré Ben Pring, directeur du
Centre pour l’avenir du travail chez Cognizant, une société de services
technologiques. « D’un côté », dit-il, « les dirigeants soucieux du
profit veulent absolument automatiser autant que possible. »

« D’un autre côté », a-t-il ajouté, « ils font face à un retour de bâton dans la société civile. »

Pour avoir une vision sans fard de la façon dont certains dirigeants américains parlent de l’automatisation en privé, il faut écouter leurs homologues en Asie, qui souvent ne font aucune tentative pour cacher leurs objectifs. Terry Gou, président du fabricant taïwanais d’électronique Foxconn, a déclaré que l’entreprise prévoit de remplacer 80 % de ses employés par des robots au cours des cinq à dix prochaines années. Richard Liu, le fondateur de la société chinoise de commerce électronique JD.com, a déclaré lors d’une conférence d’affaires l’an dernier : « J’espère que mon entreprise sera un jour entièrement automatisée. »

L’un des arguments couramment avancés par les cadres supérieurs est que les travailleurs dont les emplois sont éliminés par l’automatisation peuvent être « requalifiés » pour occuper d’autres emplois dans une organisation. Ils donnent des exemples comme Accenture, qui a prétendu en 2017 avoir remplacé 17 000 emplois de back-office [Le back-office (service d’appui, ou post-marché, selon la terminologie officielle française, ou encore arrière-guichet selon l’Office québécois de la langue française) est l’ensemble des activités de supports, de contrôle, d’administration d’une entreprise NdT] sans licenciement par la formation d’employés pour travailler autre part dans l’entreprise. Dans une lettre adressée aux actionnaires l’an dernier, Jeff Bezos, directeur général d’Amazon, a déclaré que plus de 16 000 magasiniers d’Amazon avaient reçu une formation dans des domaines très en demande comme les soins infirmiers et la mécanique aéronautique, l’entreprise couvrant 95 % de leurs dépenses.

Mais ces programmes peuvent être l’exception qui confirme la règle. Il y a beaucoup d’histoires de recyclage réussi – les optimistes citent souvent un programme au Kentucky qui a formé un petit groupe d’anciens mineurs de charbon à devenir programmeurs informatiques – mais il y a peu de preuves que cela fonctionne à grande échelle. Un rapport du Forum économique mondial de ce mois-ci estime que sur les 1,37 million de travailleurs qui devraient être complètement remplacés par l’automatisation au cours de la prochaine décennie, seulement un sur quatre pourra être requalifié avec profit dans les rangs du secteur privé. Les autres devront probablement se débrouiller seuls ou compter sur l’aide du gouvernement.

A Davos, les cadres tendent à parler de l’automatisation comme d’un
phénomène naturel sur lequel ils n’ont aucun contrôle, comme les
ouragans ou les vagues de chaleur. Ils affirment que s’ils
n’automatisent pas le travail le plus rapidement possible, leurs
concurrents le feront.

« Ils seront éjectés s’ils ne le font pas », a déclaré Katy George,
associée principale de la société d’experts-conseils McKinsey &
Company.

L’automatisation du travail est un choix, bien sûr, rendu plus
difficile par les exigences des actionnaires, mais c’est toujours un
choix. Et même si un certain degré de chômage causé par l’automatisation
est inévitable, ces cadres peuvent choisir comment les gains de
l’automatisation et de l’I.A. sont répartis, et s’ils doivent donner aux
travailleurs les bénéfices supplémentaires qu’ils en tirent, ou les
amasser pour eux et leurs actionnaires.

Les choix faits par l’élite de Davos – et la pression qu’elle subit
pour agir dans l’intérêt des travailleurs plutôt que dans le leur –
détermineront si l’I.A. est utilisée comme un outil pour augmenter la
productivité ou pour infliger de la souffrance.

« Le choix n’est pas entre l’automatisation et la non-automatisation
», a déclaré Erik Brynjolfsson, directeur de l’Initiative sur l’économie
numérique du MIT. « C’est entre utiliser la technologie d’une manière
qui crée une prospérité partagée ou plus de concentration des richesses.
»

Kevin Roose est chroniqueur pour Business Day et rédacteur général pour le New York Times Magazine. Sa chronique « The Shift » examine l’intersection de la technologie, des affaires et de la culture.

Source : The New York Times, Kevin Roose, 25-01-2019

Traduit par les lecteurs du site www.les-crises.fr. Traduction librement reproductible en intégralité, en citant la source.




Les élections sont-elles toutes truquées ?




Mondialisme et Sacrifice

[Source : arcaluinoe.info]

Par Sylvain Durain

Chers amis,

C’est un plaisir et un honneur de pouvoir m’exprimer devant vous aujourd’hui, lors de ce Congrès. Malgré mon absence physique, soyez assurés de ma présence spirituelle à vos côtés. Je tiens à remercier les organisateurs de cet événement majeur et en particulier Iurie Roșca pour son invitation. J’espère être des vôtres pour une prochaine session de ce Forum, qui travaille pour le maintien et la survie de notre civilisation si précieuse et si malmenée.

Pour cela, il faut connaître en profondeur les principes de nos ennemis et des grands mouvements qui se mettent en place.

J’aimerais donc vous parler d’un sujet que je connais bien et sur lequel je travaille depuis plus d’une décennie qui est celui du retour du sacrifice humain, en lien avec le Mondialisme. En analysant cette thématique, une idée-force s’est imposée à moi : le mondialisme se base sur le concept de la régénération du monde. Idée présente dans la kabbale avec les Sephirot, dans l’islam par le tawhid qui oblige à une vision moniste du monde. Cette conception est de retour de manière faussement laïcisée chez nos dirigeants, qu’ils soient dans les différents gouvernements ou à Davos. Il faut que l’Ancien Monde meure pour accoucher enfin du nouveau.

Ce monde, étant pour eux imparfait, fait face à des crises qui créent du désordre. Ce désordre n’est en soi pas mauvais puisqu’il permettra, in fine, la création et l’avènement d’un nouvel ordre. C’est le noyau, c’est le cœur nucléaire de la pensée mondialiste ici résumé en quelques mots. L’ordo ab chaos, grande idée ésotérique, nous dirige aujourd’hui. Les termes de « Great Reset », ou de « Grande réinitialisation », ne sont rien d’autre que des actualisations de ce concept.

Je vous propose trois parties pour illustrer mes propos. D’abord, le progressisme perçu comme un retour en arrière. Ensuite, la guerre comme sacrifice sanglant. Enfin, la grande réinitialisation mondiale comme projet final de la modernité.

Le progressisme, un retour en arrière

L’idée du progrès n’est pas nouvelle, et n’est d’ailleurs pas négative en soi. En effet, le christianisme, fondation de notre civilisation, nous permet une sortie du monde archaïque en nous donnant un libre arbitre qui, s’il est bien utilisé, permet une forme de progrès dans nos vies. Ainsi, la médecine, la science, la technique, toutes les grandes avancées humaines positives sont le fruit de cette idée.

Mais ce n’est plus cette idée du progrès positif qui nous est imposée. C’est celle du progressisme matériel et idéologique dans un but messianique de l’homme nouveau. Si la Révolution française exigeait la rupture des liens avec le Ciel, avec Dieu, la révolution actuelle, via le transhumanisme, exige la rupture avec nos liens biologiques. En clair, tout doit disparaître, les hommes, les femmes, les parents, les enfants, rien n’existe en dehors de notre désir. Nous sommes devenus, selon les chantres de ces mouvements, des hommes-dieux. Tels des nouveaux Adam individuels et narcissiques, nous pourrions ainsi donner vie à ce que nous désirons, simplement en le nommant.

Ce désir est également une clé pour comprendre le Mondialisme. Je n’ai pas le temps de rentrer dans les détails, je ne prendrai qu’un seul exemple : les transitions de genre. Cette folie est, je n’ai pas peur des mots et je le crierai aussi longtemps que Dieu me prêtera vie, un sacrifice humain moderne. Selon la logique aristotélicienne, un être est en état de puissance avant d’être en acte. Ici, un jeune enfant de sexe masculin est un homme en puissance, il le sera en acte après sa pureté. En bloquant son développement, la société, que je n’ai pas peur de qualifier ici de satanique, détruit l’acte avant ce développement. L’avenir est empêché, c’est un avortement nouveau, hors du corps de la femme, qui détruit le corps de l’enfant déjà né. C’est ce désir de mort qui est induit dans le cerveau de nos jeunes. Le désir étant mimétique, il est très dangereux de manipuler ainsi la jeunesse de nos nations si fragiles.

Dans le monde archaïque, les sacrifices humains avaient lieu après ce que René Girard a nommé des crises sacrificielles. Dans ce monde préchrétien, basé sur l’ordo ab chaos, se produisait une indifférenciation généralisée et la fin des hiérarchies naturelles. Ainsi, le désir mimétique se propageait dans la communauté, chacun voulant l’objet du pouvoir, la même femme, le même destin. Pour sortir de ce chaos, on désignait un bouc-émissaire, nous passions alors d’une guerre du tous contre tous à une guerre du tous contre un. Ce bouc-émissaire était ensuite déifié, jusqu’au retour d’un prochain chaos dans une vision cyclique de l’histoire l’humanité qui ont donné les mythes de l’antiquité.

Mais, de nos jours, rien n’a changé. Ou plutôt, tout est de retour. Aujourd’hui, l’indifférenciation est totale, les hiérarchies sont tombées. L’homme est indifférencié à la femme, les enfants sont indifférenciés aux parents, idem pour les professeurs et les élèves. Plus grave encore, l’individu est indifférencié à Dieu, chacun se fabriquant sa petite religion individuelle. Rendez-vous compte cher amis, aujourd’hui en France, 49 % des catholiques ne croient plus au paradis, 64 % d’entre eux ne croient même plus à l’enfer. Près de 20 % des Français se disent sans religion, 7 % de ces Français croient en un dieu personnel. La transcendance est niée, seule l’immanence est sur un piédestal dangereux.

Contrairement au projet des Lumières, la sécularisation de l’Europe de l’Ouest se termine, nous en verrons la fin. Elle n’aura été, in fine, qu’un mouvement profondément anticatholique tant les sectes de tout poil fleurissent et prospèrent. Les protestants, l’islam pour l’Europe, le judaïsme radical pour Israël, c’est encore une fois la force de la démographie qui fait loi. Dans 25 ans, l’Europe sera à nouveau un continent religieux, mais à quel prix. La montée de religions basées sur l’absence du sacrifice de Dieu n’aura qu’une conséquence logique : le retour du sacrifice humain. Si Dieu ne se sacrifie plus pour les hommes, les hommes se sacrifieront pour de faux dieux. L’inauguration du tunnel de Saint Gothard, en Suisse, est une belle illustration du retour des religions archaïques et de la violence qu’elles sous-tendent.1

En attendant, ce sont des nouvelles religions primitives qui reviennent. Je pense ici au mythe de Gaïa, la déesse mère, qui serait en danger de mort à cause de ces mauvais fils : nous les hommes. Cette mère toute puissante exige alors des sacrifices, les hommes blancs catholiques doivent disparaître, ils seraient le cancer de la Terre qui souffre. Cette religion, à travers des figures comme Greta Tunberg, amène la jeunesse dans la pire des voies. Celle de la mort. On rejette son rôle biologique en refusant de donner la vie, en refusant de se marier, en refusant de se soumettre aux bases de la Loi Naturelle. Rendez-vous compte, 30 000 vasectomies ont été pratiquées en 2022 contre seulement 2000 en 2010 en France. En 10 ans, la religion gaïatique, à travers ce que j’ai nommé un matriarcat sacrificiel, a détruit la psyché de la jeunesse européenne et a permis un « grand remplacement sacrificiel » qu’il faudrait combattre. La nature ayant horreur du vide, ce qui est faible est remplacé par ce qui est fort.

Les innocents, comme dans les religions archaïques, sont les premiers touchés. La montée des dérives pédocriminelles, l’avortement généralisé et même désormais inscrit dans la Constitution de la République française, mais aussi les enfants français qui se font assassiner par des étrangers récidivistes, la pauvre Lola victime visiblement d’un sacrifice rituel maghrébin. Rien ne nous est épargné, rien n’est épargné à notre avenir qu’incarne notre jeunesse.

Ainsi, nous le voyons bien chers amis, le progressisme n’est pas le progrès, mais il est un gigantesque retour en arrière, les moyens techniques en plus. Ce retour est celui qui nous ramène aux pratiques primitives des désignations de bouc-émissaires et des pratiques de sacrifices humains. La grande différence, nous sommes tous des boucs-émissaires potentiels, nous sommes tous livrés au Moloch mondialiste, et tout ceci pour un soit-disant « Bien ».

Ce qui se cache derrière le mal nommé « wokisme », c’est tout ceci. La mort du corps, la haine du corps même, car la haine de l’Incarnation. En effet, dès les premiers temps de lutte contre le Christ, le corps était désigné comme l’ennemi du bien. Dieu s’étant incarné en homme, par l’union hypostatique, Satan, dans sa jalousie, s’agite pour combattre le corps humain préféré par Dieu. C’est le grand projet de toutes les gnoses, le corps est une prison de laquelle il nous faut nous échapper pour nous libérer.

La guerre comme sacrifice sanglant

La guerre est désormais partout. A nos portes, à tous les coins de rue, en Ukraine, en Asie Mineure, en Afrique, partout. Ces guerres ont aussi un lien avec le retour du sacrifice humain. En effet, elles prennent leurs sources dans la Révolution française, encore elle, mère de tous les maux modernes. Rappelons, rapidement, les tenants sacrificiels de cette étape majeure du Mondialisme. La mort du Roi de France, alors considéré comme le Lieutenant du Christ, c’est-à-dire comme celui tenant place matérielle au vrai Roi de France, le Christ lui-même, est un sacrifice rituel. Le sang du Christ, ici encore dans une vision satanique du monde, coule à nouveau et renouvelle le monde. Les révolutionnaires, en agissant de la sorte, réouvre une époque de cycles dirigés par l’ordo ab chaos. Après le Roi, devait suivre le peuple. Ce que l’on a nommé la Terreur est la suite logique avec le sacrifice de centaines de milliers d’enfants innocents, de femmes, de curés, de gens du peuple. Il faut renouveler le peuple pour le renouveler le monde.

La montée aux extrêmes dont parlait Clausewitz est en réalité une conséquence du désir mimétique, encore lui. Ce mimétisme, au cœur de notre humanité, est une chance, car il permet d’imiter Dieu à travers le Christ et viser ainsi à la sainteté. Mais le monde moderne met tout en place pour créer un désir biaisé, un mimétisme négatif.

Le cas du 7 octobre en est une belle et funeste illustration. Le crime de guerre du Hamas, possiblement largement permis par le pouvoir israélien, montre comment ce mimétisme, quand il est allié à une spiritualité, mène aux pires horreurs humaines. Netanyahu cite ainsi « la prophétie d’Isaïe » pour sa vengeance inhumaine. Là encore, régénérer le peuple à des fins messianiques, dans un silence diplomatique assourdissant. Des centaines de milliers de morts, en majorité des enfants.

À ce titre, rappelons que la guerre industrialisée de 1914-1918 a, quelque part, sanctifié la République. Le sang du peuple a coulé pour la déesse républicaine, elle a trouvé ses héros et assis alors sa légitimité dans l’histoire. Le sang des Ukrainiens a-t-il pour objet de sanctifier l’OTAN, en mal de reconnaissance et dont on annonçait la mort depuis de nombreuses années ? Ce serait aux dirigeants de répondre.

La grande réinitialisation mondiale comme projet final de la modernité

Nous le voyons, chers amis, le projet de grande réinitialisation mondiale n’est qu’une étape supplémentaire du grand projet satanique de régénération révolutionnaire des peuples. En économie, pour le grand manitou du Forum Économique Mondial, ce sont les mêmes principes qui dirigent. Basé sur l’économiste Joseph Schumpeter, c’est l’idée de la création destructrice2 qui est promue. En effet, les petits commerces, les indépendants, les entreprises familiales, toutes ces

édifications du travail populaire ne rentrent pas dans les bonnes cases, il faut donc les faire disparaître. Pas d’inquiétude nous dit Klaus Schwab, une économie détruite créera automatiquement une économie nouvelle grâce au numérique et aux nouvelles technologies. C’est la fameuse nouvelle révolution de l’ère post-moderne dont Laurent Alexandre nous vante également les mérites. Tout ce qui est incarné doit disparaître, tout doit devenir mouvant, virtuel, impalpable. Encore une fois il faut détruire pour reconstruire.

Notre corps, en analogie avec notre monde imparfait, n’est qu’une prison. Quelle mauvaise création que celle de Dieu pour les transhumanistes, car nous allons mourir un jour ! Implant de puces, connexion de la conscience à des interfaces numériques, c’est le projet final de la modernité, celui qui nous fera enfin changer d’époque. Après avoir détruit l’espace et le temps, la biologie et la transcendance, nous serions enfin heureux, pour le « Bien » de « l’Humanité », dans une sorte de Matrix ultra technologique. Notre corps, inutile, sera détruit et notre esprit pourra ainsi vaguer à des occupations éternelles dans le néant. Ce serait alors la victoire du Chaos sur l’Ordo, la fin du cycle infernal, mais surtout une victoire de la Mort sur la Vie.

La vie éternelle, dans le christianisme, existe bel et bien, mais se trouve aux antipodes de cela. Ces projets transhumanistes sont des singeries du projet divin. Notre âme est éternelle oui, mais est vouée, en finalité, à retourner au Créateur, à retourner à Dieu après l’expérience humaine. Il n’y a que Dieu qui crée ex nihilo, l’homme n’est qu’une créature et ne sera jamais le créateur d’un nouveau dieu. Ni lui, ni la machine, ni une version hybride ne pourront égaler Dieu. Comme me le répétait mon regretté ami Jacques Carbou, auteur du livre La Mécanisation de l’esprit3, « restons optimistes, ils ne peuvent rien contre le Ciel. »

Mon temps est compté, j’aurais eu mille choses à vous dire, mais je me dois de conclure. Si une idée devait rester de mon intervention, je vous demande de garder celle-ci à l’esprit : le sacrifice humain est de retour, car nous ne pratiquons plus la sainte messe, dans laquelle le Christ se sacrifie à nouveau, de manière non sanglante, dans le renouvellement de son Sacrifice sanglant. Derrière ces attaques, c’est donc le Christ qui est visé, comme toujours, Lui qui est le Chemin, la Vérité et la Vie. Sa Passion doit inspirer notre combat et notre persévérance. Chers amis, maintenons le cap, et poursuivons notre travail. Je vous adresse, à tous, l’expression de toute ma considération. En union de prières.







Élections et centrisme exterminateur

[Publication initiale : dedefensa.org]

Par Nicolas Bonnal

Il faut gouverner au centre et il faut diaboliser le reste, le rejeter dans les limbes. On en revient comme toujours aux années Giscard, ce vrai inspirateur de Macron, bien plus que l’autre initié Mitterrand.

Comme a dit un crétin à l’indéboulonnable Ruth K. : « Il y a deux partis diaboliques dans cette élection ».

Les deux satanistes qu’il faudrait exterminer — que l’on exterminerait comme des non-vaccinés dans un monde meilleur — ce sont les extrêmes, c’est-à-dire la droite et la gauche, ou pour mieux dire la vraie droite et la vraie gauche (comme disait notre ami Shamir en 2016 quand on espérait un choc entre Trump et Sanders). Ce qui est gentil, ce qui est bon, ce qui est catho-crétin-démocrate et petit vieux, libéral-social-mondial à la sauce Draghi, et UDF au bon vieux sens du terme, c’est Macron, Sunak, Biden, Leyen et tout le reste. Scholz sera remplacé par la catho CDU qui sera encore plus centriste que lui : plus de guerre, plus d’insectes, plus de contrôle numérique, plus de racisme antirusse ou chinois, plus de tout cela, et plus d’obéissance au parapluie US. Car on n’en sort pas de ce centre qui est un cercle dantesque de l’enfer métapolitique occidental. Je crois qu’on en parlait déjà aux heureux temps de la Révolution : le marais on disait. Hitler aussi était le centriste du NSDAP entre les féodaux, les nationalistes et les Strasser : on a vu où ça mène le centre. Un coup à gauche (URSS), un coup à droite (France-occident). D’ailleurs l’idole des jeunes Poutine est aussi un centriste dénoncé comme tel par Paul Craig Roberts : avec ses ronds de jambe, il nous mène rondement à la troisième guerre mondiale. Chez lui c’est German Graf qui triomphe, pas le simulacre Douguine. Et les leaders des Brics ? Des centristes aussi : Modi, Lula, les émirats, ils adorent eux aussi écouter l’ONU, les labos, les GAFAM, le FMI…

Dans le journal Haaretz présumé de gauche (en fait c’est centre-gauche comme Libé ou Le Monde, ou le Guardian UK acheté par Fink et les fonds de pension US et bien calmé depuis), on lisait ces jours-ci :

« De Farage à “l’effet Gaza” : les extrémistes de la politique sectaire décideront-ils des élections britanniques ?

Xénophobes de droite et renégats de gauche, torrents de TikToks, “guerrier intergalactique” et campagne pour un vote musulman coordonné : les candidats indépendants et marginaux à travers le Royaume-Uni espèrent attirer des électeurs éloignés de la politique dominante. Ils pourraient avoir un impact le 4 juillet… »

Le renégat de gauche on l’a compris c’est celui qui manifeste contre CE QUI NE SE PASSE PAS à Gaza (car plus on est centriste plus on est hypnotisé ou anesthésié contre toutes sortes de phénomènes, la pauvreté, la pollution à l’éolienne, le prix de la caisse électrique, le nombre de migrants, les guerres folles et innombrables de l’OTAN, les règlements de Bruxelles, etc.). Je rappelle que Biden est tout sauf de gauche. Il incarne le centre : pas de sexe, pas de religion (cf. Bergoglio), pas de nation, pas de race, pas de variété, mais un bon gros monde sous commande milliardaire et techno-US. D’ailleurs la femelle Gates le soutient pour la prochaine campagne avec les labos pharmaceutiques (remarquez, le vrai/faux rebelle Trump ne fut pas très fameux, mais c’est une autre histoire).

Répondons à Haaretz donc. Oui, depuis quand des extrémistes devraient-ils voter ? Les musulmans sont fâchés avec Sunak et les conservateurs, comment pourrait-on leur accorder le droit de vote ? Idem le génocide et l’infanticide de Gaza est une manifestation d’humanisme centriste, comme Hiroshima ou le reste, comme le confinement ou la vaccination globale obligatoire, il faut en prendre acte. La très humaniste et « national-sioniste » chaîne CNews (j’ai gardé le bandeau) avait fait venir le maire de Nice pour lui demander comment on pouvait se débarrasser des non-vaccinés (ils voulaient dire quoi : les asphyxier, les égorger, les manger ?) que ne lui demande-t-on de nous débarrasser à ce maire des non-électeurs de Macron ? Voilà où nous en sommes avec ces centristes. Ils sont le centre de la Terre. Voyez des immortels comme Bourlanges ou comme Bayrou, voyez le centriste Schwab de Davos, plus bourgeois moliéresque et technophile que jamais, le modèle de Paul Nizan : il est le centre du monde, le reste doit crever, fût-ce à l’article 16 comme les médias nous l’ont déjà appris tout guillerets, eux qui sont nourris de la graisse de contribuables-endettés et protégés par les grippeminauds milliardaires (eux sont victimes d’une cabale de jaloux ! Voyez l’émission sur YouTube !).

Martyanov nous apprenait ce matin que le centriste (car russophobe et démocrate quelque chose, chrétien, crétin ou social) Danemark imposait de facto les insectes dans nos assiettes. Car pourquoi se gêner ? Il faut se débarrasser de l’humanité diabolique comme des partis diaboliques, et rappelait, comme fait la presse, que sous la pluie le réchauffement veille et que nous contribuons par notre respiration (tiens, tiens…) au réchauffement climatique.

J’ai parlé de Nizan et je reprends mon texte :

« Après Nizan se montre visionnaire. Le bourgeois-Jules-Verne, coincé dans son avion, son building ou son condominium, voit le monde comme une émission de télé-réalité. Comme dans le sketch des Guignols qui nous montrait un Balladur effrayé de ces gens qu’il voyait des fois à la télé, et qui étaient des Français… Nizan annonce ici Debord et sa société du spectacle, il annonce aussi le monde des écrans où tout est vu à distance :

« Tout ferme bien. Les événements lui parviennent de loin, déformés, rabotés, symbolisés. Il aperçoit seulement des ombres. Il n’est pas en situation de recevoir directement les chocs du monde. Toute sa civilisation est composée d’écrans, d’amortisseurs. D’un entrecroisement de schémas intellectuels. D’un échange de signes. Il vit au milieu des reflets. Toute son économie, toute sa politique aboutissent à l’isoler. » »

Quelle vision que cet écran, soixante ans avant notre intégrale invasion par les écrans d’ordinateurs et de smartphones qui nous disent maintenant comment nous devons vivre et surtout mourir.

La campagne électorale en France risque de déboucher sur une sanglante dictature centriste : les gilets jaunes et leurs milliers de mutilés à côté ce sera une Garden party (relisez Marx et mes textes sur la Seconde République pour rire), Mais il ne faut pas en effet laisser les extrêmes s’ébattre — ni voter — ni respirer. Relisons La Fontaine alors :

« Grippeminaud leur dit : Mes enfants, approchez,
Approchez, je suis sourd, les ans en sont la cause.
L’un et l’autre approcha ne craignant nulle chose.
Aussitôt qu’à portée il vit les contestants,
Grippeminaud le bon apôtre
Jetant des deux côtés la griffe en même temps,
Mit les plaideurs d’accord en croquant l’un et l’autre.
Ceci ressemble fort aux débats qu’ont parfois
Les petits souverains se rapportant aux Rois
. »

Car ce centrisme de « nonagénaire génocidaire » comme je l’ai appelé (Soros, Rothschild, Gates, Bergoglio, Fink, Warren Buffett, etc.) n’a pas de plomb dans l’aile, s’il est centriste en diable avec ses petits macroncitos (comme on dit en Espagne) ou Young Leaders asexués aux affaires.

Qui a dit qu’il fallait vomir les tièdes ? Et pourquoi ? Pensez-y…

Sources :

https://www.wsj.com/articles/BL-WHB-1322

https://smoothiex12.blogspot.com/2024/06/generally-speaking.html

https://www.dedefensa.org/article/nizan-et-les-caracteres-de-notre-tyrannie-bourgeoise

http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/chabelap.htm

https://www.biblegateway.com/passage/?search=Apocalypse%203%2CApocalipsis%203&version=LSG;NVI