Bascule au Moyen-Orient : la Chine prend la main

[Source : Chaîne officielle TVL]

L’Arabie saoudite et l’Iran décident de s’unir. Après 6 ans de rupture diplomatique, les deux pays au cœur de la production mondiale de pétrole ont conclu un accord diplomatique le 10 mars dernier grâce au parrainage de Pékin (et de Moscou). Un tremblement de terre dans les relations internationales qui rebat les cartes. Le Moyen-Orient était, depuis 1945, sous l’autorité des États-Unis, mais la région opère un tournant à 180 degrés. En effet, en novembre 2022, Riyad avait déjà refusé d’augmenter sa production d’hydrocarbure à la demande des États-Unis. En mai 2022, la Capitale saoudienne avait aussi refusé d’avaliser les sanctions occidentales contre la Russie. De cela, la Chine semble la grande gagnante : les contrats sur le pétrole, autrefois libellés en dollar, se font maintenant aussi an Yuan. Pourquoi les États-Unis n’ont-ils rien vu venir ? Comment sunnites et chiites ont-ils surmonté leurs différents ? Comment le gouvernement israélien va-t-il réagir ? Comment les économies européennes, restées dans la roue des États-Unis, vont-elles pouvoir faire face à cette nouvelle donne ?

Conséquence immédiate de l’accord Iran/Arabie saoudite, une trève de deux mois a été décretée entre les autorités yéménites, soutenues par l’Arabie saoudite, et les milices houthis, épaulées par l’Iran.

Le géophysicien Bertrand Scholler, ingénieur des mines et diplômé de l’École nationale supérieure du pétrole et des moteurs, répond à toutes les questions dans « Politique & Eco ».






Selon Idriss Aberkane, vos enfants n’utiliseront plus Google

[Source : Idriss J. Aberkane]

Une génération a connu Facebook, l’autre est allée sur Snapchat, puis encore sur Instagram, et enfin sur Tiktok… mais Google, le bon vieux moteur de recherche qui a survécu à toutes les crises y compris la bulle Internet en 2001 et la révolution du smartphone en 2008, peut-il demeurer pertinent maintenant que ChatGPT réalise et surtout ORGANISE l’équivalent d’une centaine de ses requêtes en moins d’une minute ? Oui, Google est en panique, et ce n’est pas moi qui le dit, c’est Google lui-même. On fait le point dans cette vidéo.

[Voir aussi :
D’après le physicien Philippe Guillemant, l’IA GPT-4 est une mystification annonciatrice d’une maladie
Suspendre les développements en Intelligence artificielle n’est pas suffisant. Il faut tout arrêter
Une psychologue contre la machine
L’intelligence artificielle est diabolique
Intelligence artificielle : l’humanité en danger ?
Un neuroscientifique avertit que la génération actuelle d’IA est sociopathe
L’asservissement par l’intelligence artificielle — Le Putsch transhumaniste]






TROIS ANS D’AVENTURE COVID résumés en 1600 mots

[Source : newsletter.micheldogna.fr]

Par Michel Dogna

Pour comprendre quelque chose de logique au sac d’embrouilles de la sombre histoire Covid, il faut aller juste à l’essentiel des évènements factuels et oublier le narratif superficiel et stérile des médias pour égarer les esprits. Même si je commets quelques erreurs dans le méli-mélo historique cela ne change rien sur le fond de ma démarche.

[Voir aussi :
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »,
La « maladie mystérieuse » de Wuhan est le mensonge fondamental de la Covid
et le dossier Vaccins et virus]

ÉPISODE 1 : Préparation panique mondiale

En 2019 la ville de Wuhan en Chine où siège le laboratoire de sécurité virale P4, est secrètement désignée pour être le lieu de lancement expérimental d’une épidémie par coronavirus. Toute la population reçoit préalablement un faux vaccin antigrippe obligatoire (chargé d’oxyde de graphène). Ceci sera dévoilé plus tard factures en main par la journaliste scientifique américaine Karen Kingston. En même temps, une installation de 10 000 antennes relais 5G est effectuée à travers la ville (détail important)

En janvier 2020 des passants à Wuhan tombent par terre çà et là dans la rue, foudroyés par une mort subite – des images parlant d’un virus mystérieux nommé (C 19) passent dans les journaux du monde entier qui donnent l’alerte d’une possible pandémie. En même temps, il tombe sur le sol des milliers d’oiseaux et d’insectes morts en plein vol. Silence radio sur ce détail…

La presse annonce une terrible grippe par un coronavirus ayant pour origine des chauves-souris et des pangolins infectés vendus sur le marché. Logiquement quand on est terrassé par une grippe, on est au fond de son lit et non pas en train de se promener dans la rue, et on ne meurt pas subitement…

Or en 2011 l’Institut Pasteur avait déposé deux brevets d’un « vaccin » type ARNm contre une maladie épidémique dont on ne connaissait pas encore l’existence (BIZARRE !)… ceci à partir d’un coronavirus SRAS2 OGM donc n’existant pas dans la nature, une chimère signée Microsoft donnant une grosse grippe pulmonaire. L’insertion confidentielle d’oxyde de graphène n’apparaîtra que dans un brevet chinois et pas dans le brevet US.

ÉPISODE 2 : Que s’est-il réellement passé à Wuhan ?

En fait le « fog » de la 5G émettrice d’une onde mortifère associée au graphène du faux vaccin ARNm a transformé les gens en antennes de réception ambulantes. Mais il ne fallait pas que cela se sache afin de capter l’attention du public vers le seul corona C19 qui a servi de faux drapeau – et tout le monde (y compris les scientifiques) s’est engouffré dans ce miroir aux alouettes. Le but était de créer une panique générale face à un faux ennemi : le C19, ce qui allait faire accepter un vaccin qui tue.

Le principe est toujours le même :
Effrayer les gens avec une vraie ou fausse maladie afin de leur proposer un « remède miracle » qui va les abîmer et rentabiliser à vie les uns ou tuer les autres.

J’ai appris tout cela en détail quelques mois plus tard par un laboratoire de recherche indépendant, ce qui m’a valu la perte de plusieurs milliers d’abonnés… J’ai expliqué que la 5G a été chargée de la fréquence 60 gigahertz (milliards de hertz) qui est la fréquence de résonance de l’oxygène – or sous cette forme excitée l’hémoglobine du sang ne peut plus s’y combiner pour le véhiculer, d’où asphyxie partielle ou complète des victimes injectées vivant sous rayonnement 5G. Depuis divers labos indépendants ont totalement confirmé cette information.

ÉPISODE 3 : Pourquoi tant de morts subites – retards ?

La propriété de supraconductibilité électrique et surtout magnétique bien connue du graphène nanométrique agit sur les globules rouges puisqu’ils contiennent du fer et les collent tous Nord/Sud comme tous les aimants, formant de grands vers en tortillons dans les circuits sanguins. Ils peuvent créer ainsi des bouchons dans des coins stratégiques comme le cœur (d’où embolies cardiaques), dans le cerveau (d’où AVC embolie cérébrale), ou dans les poumons (d’où embolie pulmonaire) .

Et ce n’est pas tout, car ce graphène nanométrique est sous forme de microscopiques lames de rasoir qui blessent à la fois les globules rouges et les parois des vaisseaux. Les plaquettes arrivent alors en masse pour cautériser les millions de microblessures, ceci créant autant de microcaillots qui épaississent le sang jusqu’à le transformer en « confiture ». Là, c’est danger de mort imminent !

Les autopsies de ces victimes montrent des sites vasculaires dévastés avec un mélange de caillots et de débris de vaisseaux impressionnants.

Et c’est pour cela qu’il convient surtout pour les vaxés de se faire établir d’urgence un D dimer (je le répète sans cesse) par un laboratoire médical qui va mesurer la viscosité du sang, la valeur en UI ne devant pas dépasser 10 fois votre âge (50 ans = 500 Ui). Mais qui parle de cela ? Quelques médecins hors pistes émancipés de la doxa officielle…

ÉPISODE 4 : De faux vaccins destructeurs

La Quinta Culumna observatoire espagnol de la santé publique suite à l’analyse de « vaccins » Pfizer et Moderna n’y a trouvé aucune trace de souche vaccinale de Covid – normal puisque ce virus chimère n’a jamais pu être capturé ni isolé. Ce n’est donc pas un vaccin.

Par contre en plus du graphène, ils ont trouvé de PROTÉINE SPIKE et de l’HYDROGEL DARPA qui sont deux poisons codants du génome.
La spike pénètre dans les cellules et les fait travailler à sa propre reproduction dans tout l’organisme. Ensuite elle détruit le programme immunitaire pour le remplacer par une réaction auto-immune de septicémie générale gravissime en cas d’attaque virale.

L’hydrogel facilite la pénétration cellulaire de la spike et inhibe la glande pinéale qui est un relais des informations cosmiques.

NOTA : Il est curieux qu’aucun des ténors virologues et épidémiologistes contestataires, à part Le Dr Astrid Stükelberger, ne parle de ces trois responsables majeurs de l’hécatombe qui sévit depuis 3 années parmi les vaxés. Font-ils face à une terrible omerta ?

ÉPISODE 5 : la découverte de 3 lots de vaccins

Il est légitime de se poser la question : pourquoi tout le monde n’est pas handicapé, voire terrassé, après avoir été injecté d’un ou plusieurs de ces poisons ? La réponse est simple : si tout le monde était touché, la relation avec le vax serait évidente. Or les analyses d’échantillonnages montrent l’existence de 3 lots :

  • Lots n° 1 ne contenant que du sérum physiologique ;
  • Lots n° 2 sous dosés en poisons (vous risquez d’être malade) ;
  • Lots n° 3 à dose maximum (vous risquez la mort prématurée).

C’est donc la roulette russe !!! Sauf pour les politiques et collabos patentés qui ont bénéficié des lots n° 1.

ÉPISODE 6 : Des mesures criminelles tous azimuts

Alors que Bill Gates préconisait l’éradication de 90% de l’humanité, Il a imposé un « vaccin » pour protéger les gens
(BIZARRE !)
C’est ainsi que :

  • Dans les EHPADS on a « protégé » les vieux en les liquidant au REMDEVISIR
  • Dans les hôpitaux on a massacré les grippés par corona aux paracétamols
  • L’on a confiné chez eux des milliers de grippés sans soins
  • L’on a interdit tous les médicaments reconnus efficaces contre le C 19
  • L’on a obligé les gens au port d’un port d’un masque inadapté aux virus et catastrophique pour les enfants à l’école
  • L’on a obligé les gens à se soumettre à un test PCR non fiable et discriminatoire
  • L’on a puni les médecins qui guérissaient leurs patients avec des traitements retirés des pharmacies en France
  • Les médias ont menti sur tous les chiffres en inversant les résultats et en cachant les succès flagrants des pays non alignés sur l’OMS

NOTA : les 20% des Français qui ont refusé le vax maudit n’ont présenté aucun des symptômes courants parmi les vaxés.

ÉPISODE 7 : Une histoire sans fin

Pourquoi régulièrement une nouvelle épidémie ? Tout simplement en raison du fait que le Covid étant un montage chimérique, donc non issu de la nature, doit muter sans cesse jusqu’à retrouver son statut d’origine, ainsi que l’a expliqué le Pr Luc Montagnier. Pour chaque mutation épidémique soi-disant plus dangereuse que jamais (tel le Marburg), il faut logiquement un nouveau vax, mais c’est du cinéma puisque nous avons vu que l’on n’a jamais pu isoler le virus.

Par contre, c’est une bonne occasion pour vous mettre une recharge supplémentaire des 3 poisons qui tuent, du moins pour ceux qui n’ont toujours pas compris que l’on s’est payé leur tête depuis le départ… et que le risque pour leur vie est cumulatif.

À noter que l’Afrique qui s’est dissociée délibérément du joug OMS depuis le départ [à part quelques pays, dont la Tunisie et l’Afrique du Sud, qui en ont scrupuleusement suivi les directives et ont eu beaucoup plus de morts par million d’habitants que les autres (voir https://nouveau-monde.ca/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/)], a été très peu touchée par cette pandémie, non pas virale mais vaccinale [NDLR En toute rigueur, la mortalité relevée dans les divers pays du monde affectés a démarré avant la campagne de vaccination massive. Cependant, elle a chronologiquement accompagné le déploiement de la 5G (voir Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur)] et utilise massivement l’artemisia annua millénaire.

ÉPISODE 8 : Mort de la cabale et libération des peuples !

Une grande partie des Français se réveille enfin, précédée comme d’habitude par le peuple américain de Trump. La population se rend enfin compte qu’elle a été mortellement trompée. Il n’y a que les profiteurs collabos qui ne réclament pas la démission de Macron, ce malade mental qui est moqué par la plupart des pays étrangers.

Sur le plan mondial, ceux qui suivent autre chose que télé mensonges peuvent constater que la cabale satanique, OTAN comprise, est en pleine décomposition, que son dernier recours par une guerre nucléaire mondiale est avorté et qu’elle a définitivement perdu la partie.

Comme nous l’avions prévu, 2023 nous offre la libération des peuples par la grande sagesse stratégique des 3 mousquetaires sauveurs que j’ai toujours soutenus : TRUMP – POUTINE – XI JINPING. (Honni soit qui mal y pense). Ne vous inquiétez pas des mesures socio-culturelles et bancaires catastrophiques qu’on nous promet, elles ne pourront pas aboutir.

[NDLR Michel Dogna se montre particulièrement optimiste, trop peut-être, au moins en termes de délais.]

La mise en place d’un nouveau monde de Lumière est en cours.
Participez-y plutôt que de rester les yeux rivés sur votre rétroviseur.






Macron sociopathe ?! Essai de profiling d’un président à la dérive

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

Nous ne le cachons pas : l’exercice est périlleux. La tentation a en effet existé de tout temps de dévoyer le débat politique en psychiatrisant les opposants ou même ses adversaires.

Ce fut en particulier, de sinistre mémoire, un trait caractéristique des régimes totalitaires. On se souvient ainsi comment Andreï et Elena Sakharov furent séquestrés en hôpital psychiatrique et médiqués à grands coups de neuroleptiques pour leur apprendre à critiquer le régime soviétique.

Plus récemment, Shirin Hatam, éminente juriste de l’organisation en santé mentale que je dirigeais alors, a rédigé une excellente analyse pour critiquer le recours à des étiquettes psychopathologiques pour qualifier Donald Trump – et croyez-moi, ses propres convictions politiques n’inclinaient aucunement dans le sens de celles du magnat de l’immobilier new-yorkais. Son point était de rappeler que nul ne doit ni ne peut juridiquement souffrir de discriminations du fait d’un diagnostic psychiatrique.

  • Pour lire « Trump et les droits des personnes souffrant de troubles psychiques » dans Le Temps : cliquer ici.

On a aussi vu, lors du diligent travail de propagande mené par les médias mainstream contre l’opposition à la politique sanitaire absurde et destructrice qui nous était imposée, certains titres avoir recours à des pseudo-études scientifiques pour dénigrer un peu plus les opposants. On a ainsi entendu que les gens qui refusaient de porter le masque (parfaitement inutile et nocif pour la santé) étaient des « narcissiques », des « personnalités antisociales » sinon « borderline ».

C’est dire s’il convient de prendre des précautions avant de s’aventurer sur ce terrain même sur lequel je prends ici la responsabilité de vous inviter.

Il importe malgré tout de ne pas être aveugle quant la réalité des risques liés aux caractéristiques psychopathologiques des personnalités avides de pouvoir ou y ayant accédé.

L’usage frénétique et malhonnête de l’éthique de « complotiste » par la presse corrompue a réalisé le travail de sape attendu des bons repères anthropologiques et culturels à cet égard.

  • Pour lire « Complotiste » : une étiquette manipulatoire  sur Anthropo-logiques : cliquer ici.
  • Pour lire « Misère de l’anticomplotisme » par Christian Ferrié, docteur en philosophie et en sciences politiques : cliquer ici.

Avant cette manipulation soigneusement orchestrée, il était non seulement de notoriété publique mais faisait même partie de notre bagage culturel ancestral que la recherche compulsive du pouvoir était en elle-même pathologique. Les obsédés dont il est question ayant comme particularité de n’avoir ni scrupules ni vergogne et donc d’être prêts à tout pour se hisser au pouvoir. Puis, une fois qu’ils y sont parvenus, pour s’y maintenir.

Le paradoxe du pouvoir

L’autre processus incontournable est que l’accession à des positions de pouvoir tend à faire perdre un ensemble de compétences utiles pour y accéder. Cela été abondamment étudié dans le domaine de la neuropsychologie sous la dénomination de « paradoxe du pouvoir » : l’exercice du pouvoir isole, tend à faire perdre l’empathie et même une capacité d’écoute élémentaire de tout point de vue divergent. Ce que décrit depuis longtemps l’entourage d’Emmanuel Macron…

  • Pour lire « Power Causes Brain Damage » sur Atlantico (en anglais) : cliquer ici.
  • Pour lire Emmanuel Macron “n’écoute personne”, le président s’isole au grand dam de ses soutiens dans Gala (si, si!) : cliquer ici.

Le vénérable Lord Acton avait troussé à la fin du XIXe siècle cette petite formule que nous avons tous entendue  :

Il existe donc une difficile réalité psychopathologique impliquée dans les réalités du pouvoir et a fortiori lorsque son exercice dérape dans des formes d’autoritarisme, de violence et même d’absolutisme.

C’est hélas la configuration dans laquelle se retrouve actuellement la France.

Le président actuel montre en effet -c’est ce que je montre dans l’analyse qui suit- un ensemble de caractéristiques propres aux profils les plus dangereux que l’on qualifie aujourd’hui de « sociopathes ». La sociopathie est une structure de la personnalité ainsi qu’un état d’esprit caractérisé par ce que les criminologues appellent désormais la tétrade noire.

Il s’agit de la combinaison de quatre traits principaux qui sont :

  • le narcissisme : « moi seul existe, les autres ne sont que des marionnettes sur la scène de mon monde » ;
  • le machiavélisme : « je suis prêt à toutes les manipulations et ne suis jamais engagé en aucune manière par ma parole ni les principes éthiques ou déontologiques qui prévalent » ;
  • la psychopathie, soit l’absence totale d’affect vis-à-vis des émotions des autres, en particulier l’expression de la douleur ;
  • le sadisme, c’est-à-dire la jubilation à infliger de la souffrance ou de l’humiliation à autrui.

Albert Jacquard nous avait averti, il y a une trentaine d’années, que nous étions en train de construire une société dangereuse : la compétition à outrance, qui s’est progressivement instaurée au détriment de la coopération comme mode par défaut de tous nos systèmes sociaux, tend à privilégier l’accession au pouvoir de profil sans foi ni loi, prêts à marcher sur les autres ou à user de tous les coups tordus pour arriver à leurs fins. Ainsi que de profils conformes, ceux qui ne prendront jamais aucun risque pour défendre l’éthique, la vérité ou l’honneur, excellant de ce fait dans la banalité du mal.

Force est de constater que c’est la situation qui prévaut aujourd’hui en France comme dans d’innombrables pays.

Le Conseil constitutionnel est composé d’un certain nombre de repris de justice ou de personnes ayant trempé dans des scandales extrêmement graves. Le gouvernement compte un nombre de « mis en examen » sans précédent. Le « président de la république » se comporte comme un autocrate complètement isolé et replié sur lui-même, de l’aveu même de ses propres troupes, avec des manières qui sont celles d’une petite frappe de banlieue. La violence d’état, verbale comme physique, avec le mensonge, sont devenus le registre banal de la clique au pouvoir.

Ajoutez à l’équation que l’État est infiltré par des intérêts économiques étrangers, par le biais de cabinets de conseil qui se sont vus attribuer des mandats faramineux pour se substituer à l’administration et aux corps constitués. Ainsi que l’existence d’une véritable « mafia d’état », pseudo élite privilégiée dont le but, depuis longtemps, est la préservation de ses propres intérêts et privilèges sans plus d’égards pour le bien commun et l’intérêt public.

  • Pour voir la présentation du livre « La mafia d’état » par Vincent Jauvert aux éditions du Seuil : cliquer ici.
  • Pour voir la présentation du livre « Les Infiltrés » de Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre  aux éditions Allary : cliquer ici.

Une vaillante capitaine de police vient d’indiquer dans une interview à QG, un média libre : « nous ne sommes plus une police républicaine mais un bras armé du gouvernement. »

  • Lien vers l’interview «Police: se taire ou dégager» sur Quartier Interdit : cliquer ici.

La représentation nationale, en pleine faillite politique et morale, passant son temps à se chamailler sur des chiffons idéologiques brandis par le pouvoir en guise de détournement d’attention (comme la prochaine figuration de Marianne Schiappa dans Playboy) le peuple est laissé sans protection et sans défense face aux abus violents et illégaux du pouvoir macronien.

Les ministres en vue montrant les mêmes traits de caractère que ceux de la psychopathologie présidentielle, il nous faut oser l’hypothèse que nous faisons désormais face à un système gouvernemental  pervers, violent et dangereux.

C’est ce que je me suis permis de décrypter à votre attention dans la vidéo qui suit.

Si ce constat n’est évidemment pas rassurant, il avait accessoirement déjà été dessiné par un psychiatre italien, le Pr Adriano Segatori, dont je fais figurer deux éclairages à la suite de ma présentation.

Donner de l’intelligibilité aux choses reste une priorité absolue si nous voulons entretenir l’espoir d’un sursaut civique et citoyen, d’un réveil de la conscience populaire pour ne pas nous laisser maltraiter plus avant de la manière odieuse et profondément illégitime qui est mise en œuvre par la clique au pouvoir.

« Macron est un psychopathe », l’analyse d’un psychiatre italien

Qui est vraiment Emmanuel Macron ? par Adriano Segatori






3 ans après Trump : un monde à la « dignité retrouvée » ?

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Philippe Sauro-Cinq-Mars

Donald Trump est devenu aujourd’hui le premier président inculpé au criminel en raison d’une affaire de versement illicite d’argent de campagne à la pornstar [vedette du porno] Stormy Daniels lors de l’élection de 2016. Il a plaidé non coupable à sa comparution à New York et maintenant, le processus judiciaire se met en branle dans une véritable course contre-la-montre à l’approche des élections de 2024.

Cette accusation sans précédent dans l’histoire américaine, trois ans après la défaite du président controversé et sa quasi-disparition de l’espace public, fait désormais remonter à la surface les dissensions qui étaient communes entre 2016 et 2020. De part et d’autre du spectre, on retombe dans les insultes et les accusations de trahison.

De nombreux journalistes spéculent donc aujourd’hui sur le fait que Trump tentera de gagner du temps en allongeant le plus possible les procédures, en espérant être réélu avant leurs conclusions et bénéficier à nouveau de l’immunité présidentielle. Aucune mention n’est faite, cependant, sur les avantages politiques que peuvent tirer les démocrates de cette inculpation, et en quoi, de leur côté, ils chercheront logiquement à accélérer un verdict qui pourrait le rendre inéligible.

Encore une fois, on souligne à grands traits le support « irrationnel » des partisans du président déchu et on analyse avec gravité les comparaisons possibles avec les communautés sectaires. Dans un contentement à peine caché, la caste journalistique en profite pour malmener encore davantage les pro-Trump et les accuse de soutenir aveuglément leur champion. Il s’en trouvera peu pour souligner, cependant, que l’opposition acharnée, voire psychotique à Donald Trump relève de la même irrationalité, et n’est en ce sens qu’un effet miroir du support inconditionnel des trumpistes.

Et dans tout ce cirque, il faudra un jour avoir le courage de prendre un pas de recul et d’analyser honnêtement l’évolution politique des dernières années. Joe Biden avait promis le « retour de la décence » dans la politique américaine… Est-ce réellement le cas, ou ne sommes-nous pas au contraire dans une situation qui s’est nettement dégradée depuis le retour des démocrates ?

Le pire crime d’un président américain ?

On peut quand même se le demander : est-ce que ce qui est reproché à Donald Trump est réellement le pire crime qu’un président américain ait jamais commis ? Après tous ces scandales de soi-disant collusion avec la Russie, de « quiproquo » avec le président ukrainien, de « tentative de coup d’État », ce n’est qu’une vulgaire histoire de versement d’argent à une pornstar pour acheter son silence qui justifie l’inculpation de l’ancien président ? Vraiment ?

On peut comprendre que la chose relève du droit international et non de la justice américaine, mais il est difficile de ne pas penser au mensonge des armes de destruction massive en Irak utilisé par George W. Bush pour démarrer une guerre qui a profondément déstabilisé le monde et causé des centaines de milliers, voire des millions de morts. Et qu’en est-il des scandales ayant secoué l’administration Obama, avec son usage barbare de drones contre des populations civiles (et même des citoyens américains), ses programmes de surveillance par la NSA, etc.

Assange, Snowden ou Manning pourront vous en parler… Les véritables crimes des présidents, ils n’intéressent habituellement personne et on enferme plutôt ceux qui les dévoilent.

Dans tout ce brouillage médiatique qui fait du trumpisme la pire tare de la société occidentale, on passe aussi constamment sous silence des éléments beaucoup plus inquiétant de la politique américaine des dernières années dans le camp démocrate.

Qu’est-il advenu du scandale des emails d’Hillary Clinton, qui faisait preuve d’une négligence quasi criminelle dans la manipulation d’informations classifiées ?

Qui pour s’insurger que les démocrates aient mis la campagne Trump de 2016 sous écoute en créant un dossier bidon avec un de leurs collaborateurs, Christopher Steele ? Vous allez me dire qu’instrumentaliser les services de renseignement et espionner une campagne adverse serait moins grave que de conclure une entente à l’amiable avec une pornstar ?

La réalité, c’est que le système américain est gargantuesque et tellement puissant que le nombre de scandales possibles est incalculable. Des crimes, parfois d’une gravité extrême, il s’en commet dans les deux camps depuis des lustres… Et tout ça est bien connu. C’est pourquoi, habituellement, les présidents américains bénéficient d’une sorte d’immunité ; en temps normal, jamais, on n’aurait osé poursuivre un président pour une raison aussi ridicule que ce « scandale » du paiement à Stormy Daniels.

Ne pas voir le caractère politique de ces accusations, c’est aussi « sectaire » que de supporter aveuglément Donald Trump.

Censure de l’opposition

Maintenant, au-delà de la technicalité de cette nouvelle saga judiciaire pour Donald Trump, peut-on réellement dire que les Américains — et par extension le monde occidental — ont bénéficié de sa déchéance et de la prise du pouvoir par Biden en 2020 ? Le monde a-t-il réellement retrouvé sa dignité ?

Il faut quand même le dire ; quoiqu’on pense de « l’insurrection » du 6 janvier — qui s’apparente bien plus à une manifestation ayant dégénéré grâce à des négligences évidentes en termes de sécurité — Joe Biden a été assermenté devant un Washington occupé par l’armée, au même moment où on faisait disparaître complètement le président précédent des plateformes web et donc, de facto, de l’espace public.

Revirez ça comme vous voudrez, mais la comparaison avec une « république de banane » n’est pas venue de nulle part.

Les Twitter Files, dévoilés par Elon Musk après son achat de Twitter, ont démontré le niveau de coordination des démocrates avec ces géants du web… Il est difficile de prétendre à l’innocence.

Beaucoup de gens ont donc pensé, pendant trois ans, que Trump avait perdu en influence, alors qu’en réalité, il était simplement censuré partout. Cette censure et cette « culture de la cancellation [effacement, annulation] » souvent associée au wokisme est encore un enjeu qui inquiète une bonne part de la population. Et les accusations de complotisme pendant la pandémie n’ont fait que renforcer cette culture où s’éteint peu à peu la liberté d’expression.

Bref, s’il peut exister un tel niveau de coordination entre les médias et certaines factions politiques pour faire taire un président sortant, on peut s’imaginer ce qui est fait pour influencer l’opinion publique. Trois ans après Trump, dans cet occident de censure et de répression du débat, il est difficile d’y voir un « retour de la décence ».

Une économie au bord de la récession

Un élément, aussi, qu’on semble avoir bizarrement oublié, c’est la situation économique envieuse dans laquelle on se trouvait sous l’ère Trump en comparaison avec la situation catastrophique d’aujourd’hui.

Évidemment, on pourra toujours renvoyer la faute à la pandémie, qui a bouleversé le monde entier et qui a évidemment eu des impacts énormes sur l’économie. La chaîne d’approvisionnement a été déstabilisée, on a imprimé trop d’argent pour soutenir des populations entières qui ne travaillaient plus, on a dépensé des fortunes en mesures d’urgences précipitées, et évidemment, le climat de paralysie sociale était peu propice aux affaires.

Tout cela était attendu, mais nous en sommes sortis, de cette pandémie, et la reprise se fait attendre.

Biden, ainsi que beaucoup de ses homologues, dont Justin Trudeau, ne parvient pas à redémarrer complètement l’économie. L’inflation continue de monter et l’occident flirte avec la récession.

D’autant plus que les priorités ne sont plus vraiment à la reprise autant qu’à notre implication dans la guerre en Ukraine contre la Russie ou à nos objectifs de réductions de GES…

Un monde en guerre

On dira bien ce qu’on veut de Donald Trump, on pourra même dire qu’il était ami avec des dictateurs indéfendables comme Poutine ou Kim Jong-Un, mais d’un point de vue international, sa présidence a réglé plus de problèmes qu’elle en a causé. Trump n’a déclenché aucune guerre, il a surtout cherché à en terminer.

Lorsqu’il est arrivé au pouvoir, nous étions en pleine guerre contre l’État Islamique, avec des attentats réguliers un peu partout dans le monde, il s’est donc assuré d’annihiler cet état terroriste pendant sa première année. Le reste de sa présidence, il préférait les coups d’éclat, une salve de missiles semblable à celle des Russes en Syrie, la MOAB sur les Talibans en Afghanistan, le déplacement de la flotte américaine vers la Corée du Nord, etc. À la place d’enlisements militaires coûteux, il créait ainsi des symboles, des évènements géopolitiques pour marquer un point.

Il a alors promu une approche plus décentralisée, assumant en quelque sorte le caractère multipolaire du monde, promettant aux nations du monde de ne plus intervenir dans leurs régions si elles prenaient un peu plus leurs responsabilités en termes de terrorisme et de sécurité internationale.

Les anti-Trump primaires pourront bien refuser de le reconnaître, mais un certain optimisme régnait à l’international, et Trump était plutôt apprécié pour sa franchise et sa volonté pour les États-Unis d’être moins interventionnistes. Tout comme ils respectaient sa franchise lorsqu’il devait répondre avec force à une menace.

Même alors qu’il était visé par des soupçons de collusion avec la Russie, il a quand même osé tendre la main à Poutine pour chercher à établir une relation plus cordiale lors de leur rencontre à Helsinki.

En ce sens, on pourrait dire que la deuxième moitié des années dix étaient probablement l’apogée de « l’ouverture du monde » ; jamais les gens n’avaient autant voyagé dans l’histoire de l’humanité, et la situation politique et économique était particulièrement enviable.

Aujourd’hui, nous sommes à des années-lumière de cette situation. Nous sommes retournés dans des logiques de guerre froide et de compétition féroce, on sent l’Occident perdre l’initiative face à des puissances montantes et le cynisme politique semble partout l’emporter.

D’abord, la pandémie a eu pour effet de forcer la Chine à montrer ses vraies couleurs et son côté prédateur, et pourtant, nos gouvernements semblent complètement paralysés face à elle. Nous ne cessons de découvrir de nouvelles infiltrations de sa part, faisant craindre qu’elle influence nos politiciens au point de nous faire tomber sous son modèle totalitaire de « crédit social » d’ici peu. Les nouveaux développements technologiques ne font qu’augmenter cette peur dans la population.

D’autre part, nous sommes enlisés dans une guerre interposée contre la Russie en Ukraine, au point où, dans les derniers jours, les Russes ont déplacé des ogives nucléaires en Biélorussie. Si notre soutien au peuple ukrainien est vénérable, il faudra tout de même réaliser que mois après mois, la situation mondiale n’a fait que se dégrader, au point de craindre au déclenchement d’une troisième guerre mondiale…

D’autant plus que les rapports énergétiques sont déterminants dans cette guerre et que l’Europe s’est retrouvée en crise énergétique, alimentant encore davantage les problèmes économiques et l’instabilité mondiale. La Russie disposait alors du gros bout du bâton, ayant la main sur le robinet de gaz de l’Europe, et en cherchant à jouer les durs, les Occidentaux se sont fortement affaiblis.

Et malgré tout, dans cette situation catastrophique, ils trouvent le moyen de s’enfoncer encore davantage en s’imposant une transition énergétique prématurée qui consolide leur fragilité énergétique.

Wokisme et sénilité

Ainsi, ce « retour de la décence » post-Trump est beaucoup plus un « retour de l’aveuglement volontaire ». En aucun cas, sur aucun dossier, on ne pourrait affirmer qu’une présidence Biden a amélioré l’état du monde ou des États-Unis. Nous avons simplement renoué avec les pires tendances de la dégénérescence occidentale et censuré l’opinion contraire — i.e. le trumpisme.

La « guerre culturelle » contre les woke, si elle est sur toutes les lèvres, s’enlise elle aussi grâce au soutien tacite des démocrates et des institutions avec les pires factions d’extrême gauche de la société américaine. Les démocrates de Biden, qui sont bien prompts à accuser les républicains de tentative de coup d’État pour une manif qui dégénère, n’avaient pourtant aucun problème à soutenir des émeutes de Black Lives Matter où les pillages, les incendies et les violences étaient généralisés.

De manière générale, la culture occidentale continue de s’enfoncer dans des querelles raciales, identitaires ou relatives aux expressions de genre, et fait de l’Occident une blague à l’international. Il n’y a pas plus privilégié comme comportement que l’emballement des revendications individuelles toutes plus farfelues les unes que les autres qui émanent de la culture woke.

Et d’un autre côté, la grosse préoccupation de l’époque étant l’environnement, les gouvernements font une surenchère de mesures extrêmement contraignantes pour les populations, leur imposant la « sobriété énergétique » ou autres taxes ou quota de consommation, qui appauvrit l’Occident et le rend plus fragile d’un point de vue énergétique. Tout ça pendant que la Chine a le pouvoir d’effacer tous leurs efforts en quelques jours seulement.

***

Bref, 3 ans après Trump, nous avons un monde moins libre, moins performant économiquement, plus instable et guerrier, et plus woke et déconnecté. L’idée d’un « retour de la décence » qui était promise par Biden, n’est plus seulement éloignée ; nous en sommes à des années-lumière ! Et c’est dans ce contexte, de gens sérieux et proprets, de journaleux gravissimes et de castes politiques intouchables, qu’on nous informe avec passion que Donald Trump, le paria, est inculpé pour avoir payé le silence d’une pornstar quelque part pendant sa campagne en 2016…

Excusez mon français, mais « who cares? » [« qui s’en soucie ? »]. Nul n’est au-dessus de la loi, évidemment, et les politiciens ne doivent pas enfreindre les lois électorales, mais faire de cette affaire l’enjeu déterminant de la carrière politique d’un président aussi influent et controversé tient carrément de la caricature… Seulement un acharnement pathologique contre le personnage peut mener à ce cirque de politicaillerie de bas étages.



Philippe Sauro-Cinq-Mars

Diplômé de science politique à l’Université Laval en 2017, Philippe Sauro Cinq-Mars a concentré ses recherches sur les effets du post-modernisme sur les mouvements politiques contemporains. Il est l’auteur du livre « Les imposteurs de la gauche québécoise », publié aux éditions Les Intouchables en 2018.




L’opposition contrôlée, selon Stanislas Berton

[Source : medias-presse.info]

Tribune de Stanislas Berton

« Il viendra beaucoup de faux prophètes, et ils séduiront beaucoup de gens. »

Matthieu 24 : 11

Dans le cadre de cette guerre hors limites fondée sur l’infiltration plutôt que l’invasion et qui vise à détruire les nations occidentales de l’intérieur, il est nécessaire de présenter un des outils les plus redoutables utilisé par le système mondialiste pour maintenir son pouvoir : l’opposition contrôlée.

Comme nous l’avons expliqué dans notre essai consacré au mondialisme, le système économique, financier et politique mondial se trouve contrôlé par de puissantes dynasties familiales dissimulant leur pouvoir derrière des institutions présentées comme neutres ou philanthropiques, telles que le Forum Économique Mondial (WEF), le Council on Foreign Relations (CFR) ou encore l’Open Society Foundation de George Soros, chargées en réalité de mettre en application le projet mondialiste ainsi que de placer ses agents à des postes clés.

Considérant appartenir à une caste « d’élus » chargés de diriger une humanité assimilée à du bétail, cette oligarchie a développé au fil des siècles une véritable science du contrôle et de la manipulation des masses afin de développer son influence et conserver son pouvoir. Sachant que toute puissance visible finit toujours par être contestée ou attaquée, la meilleure protection ne consisterait-elle pas à dissimuler la source réelle du pouvoir et de prétendre que celui-ci se trouve détenu par des individus qui n’en posséderaient qu’un simulacre ?

Le meilleur moyen d’empêcher toute révolte ne serait-il pas, d’une part, de « fixer » l’attention du public sur le jeu électoral et de l’autre, de créer une opposition destinée à canaliser la colère populaire pour mieux la neutraliser ? Pour être sûr de gagner à tous les coups, la meilleure méthode ne serait-elle pas d’avoir plusieurs chevaux dans la course ? Grâce travaux de l’historien Anthony Sutton, nous savons par exemple aujourd’hui que les grandes sociétés financières de Wall Street participèrent au financement du mouvement bolchevique aussi bien qu’à celui du parti nazi…

Au sein des démocraties occidentales, la première forme de contrôle utilisée par l’oligarchie consiste à placer à la tête des formations politiques de premier plan, et donc en position d’éligibilité, des candidats sélectionnés en amont par les instances mondialistes, mis en avant par les médias qu’elles contrôlent et placés face à une « opposition » chargée d’entretenir la fiction du pluralisme ou de l’alternance.

Pour satisfaire chaque « segment de marché électoral », l’offre politique se trouve ainsi déclinée entre mondialistes d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite et d’extrême droite qui, malgré d’apparentes divergences de façade se rejoindront en réalité sur l’essentiel, c’est-à-dire la disparition des peuples, des cultures, des nations historiques et l’adhésion à une modernité qui place l’Homme au centre de toute chose et prétend faire de lui l’égal de Dieu. Pour obtenir la preuve de l’existence d’un tel système, il suffit de s’intéresser aux programmes de recrutement ou de formation mondialistes tels que les Young Global Leaders de la French-American Foundation et de constater que la totalité des dirigeants politiques européens et français des dernières décennies, de Nicolas Sarkozy à Emmanuel Macron à François Hollande ou Arnaud Montebourg sont passés par ceux-ci. Une preuve supplémentaire de cette collusion pourra être apportée par la progression imperturbable de l’agenda mondialiste, indépendamment de la « couleur » politique du parti au pouvoir ou encore le ralliement systématique des candidats ou partis « d’opposition » autour du candidat « progressiste ». Ce contrôle total du champ politique institutionnel a ainsi permis d’éviter toute contestation réelle du projet mondialiste et contribué à structurer la pensée et le discours autour de ses postulats philosophiques et politiques fondamentaux.

La deuxième forme de contrôle politique exercée par les mondialistes est moins connue, mais bien plus dangereuse. Elle consiste à créer une fausse opposition située, en apparence, hors du système et chargée de canaliser la colère du peuple tout en étant capable de servir comme « roue de secours » au cas où une trop forte pression populaire imposerait une « remise à plat » des institutions ou une « rénovation » de la classe politique.

Les méthodes qui président à la création d’une opposition contrôlée sont toujours à peu près les mêmes : un leader d’opposition est créé de toutes pièces ou habilement « retourné » ; il est attaqué par le système, parfois emprisonné ou traduit en justice ce qui lui permet de gagner en crédibilité et de renforcer son statut d’opposant. Il va ensuite créer une organisation « dissidente » à but politique ou engagée sur un sujet particulier. Cette organisation aura pour objectif de repérer les résistants, de contrôler l’accès à l’information et de tuer dans l’œuf toute initiative pouvant représenter une menace réelle pour l’oligarchie mondialiste. L’opposition contrôlée occupe toujours le terrain, dénonce, s’agite, manifeste, mais son activité ne débouche jamais sur une prise réelle du pouvoir ou une remise en cause profonde du statu quo.

À titre d’exemple, aux États-Unis, de nombreuses organisations « patriotes » furent créées pour prouver la fraude électorale suite à la « victoire » de Joe Biden à l’élection présidentielle de 2020. Ces organisations mobilisèrent des milliers de citoyens, multiplièrent les actions en justice et récoltèrent des millions de dollars pour réaliser des audits comme celui du comté de Maricopa. Dans ce cas précis, après de nombreuses annonces, le rapport final ne fut jamais présenté au public et l’équipe de « cyber ninjas » chargée de l’organisation finit tout simplement par disparaître dans la nature avec les données de l’audit… De la même manière, nous savons aujourd’hui que parmi les personnes ayant participé à la marche du 6 janvier sur le Capitole se trouvaient des membres de groupes radicaux officiellement « pro-Trump » dont les chefs étaient en même temps informateurs pour le FBI…

En France, Emmanuel Macron et Assa Traoré, égérie indigéniste, ont en commun d’avoir été tous les deux salariés des Rothschild, le premier par la banque et la seconde via la fondation du même nom. Dans un autre registre, des échanges de SMS et des enregistrements téléphoniques ont révélé une coordination et une collusion entre des dirigeants de la France « Insoumise » et Emmanuel Macron dans le cadre de ce « théâtre » démocratique précédemment évoqué. Plus récemment, l’affaire, totalement passée sous silence, du fiasco français des « convois de la liberté » porte toutes les marques d’un sabotage mené par une opposition contrôlée, selon le même schéma ayant contribué en 2018-2019 au noyautage et à la neutralisation du mouvement des Gilets Jaunes.

Ces quelques exemples permettent de comprendre la réalité de l’opposition contrôlée et du danger que ce stratagème représente dans le cadre de la guerre contre le totalitarisme mondialiste. Ceci étant dit, comment détecter et lutter contre les personnes ou les organisations susceptibles de faire partie de l’opposition contrôlée ?

Commençons tout d’abord par rappeler que le contrôle d’une organisation s’exerce toujours via son chef ou le premier cercle de ses dirigeants. Une structure d’opposition contrôlée peut être ainsi dirigée par des traîtres tout en étant peuplée de militants sincères croyant de bonne foi lutter contre le système ou défendre la cause que l’organisation est supposée défendre. Ceci étant dit, l’appartenance à l’opposition contrôlée peut être détectée par les réponses aux questions suivantes :

  • — Le mondialisme et son contrôle des institutions est-il publiquement mentionné ou son existence est-elle rejetée comme une théorie du complot ? Des sujets majeurs comme la fraude électorale, la pédophilie d’élite ou le trafic d’êtres humains sont-ils publiquement évoqués ? Les restrictions liées au Covid sont-elles dénoncées comme des attaques sans précédent sur nos libertés et rattachées au projet de Great Reset du Nouvel Ordre Mondial ?
  • — D’où proviennent les fonds qui financent le mouvement ou l’organisation ? Quelle est la source des revenus du dirigeant ? Celui-ci manifeste-t-il un amour excessif de l’argent ou des biens matériels ? Son engagement ou ses prises de paroles sont-elles toujours conditionnées à des paiements ou à des rémunérations ? Pourquoi la Bible dit-elle que « l’amour de l’argent est la source de tous les maux » ? (1 Timothée 6 : 10)
  • — Le dirigeant ou chef politique possède-t-il par son histoire familiale, ses amis, ses études ou ses réseaux professionnels des liens avec l’État profond ou des structures du pouvoir mondialiste ? A-t-il participé à des programmes comme celui des Young Leaders ? A-t-il bénéficié de financements ou de bourses d’études émanant d’institutions mondialistes ? Qui est son conjoint ? Quel rôle joue-t-il ? La médiatisation de l’homme ne sert-elle pas à cacher le pouvoir de la « femme » ? Pourquoi Q nous invite-t-il à « suivre les femmes » (follow the wives) ?
  • — Les mœurs du dirigeant sont-elles saines ? Mène-t-il une vie dissolue ? Est-il un déviant sexuel ? A-t-il défendu la pédophilie ? Est-il un consommateur régulier de drogues ? A-t-il une histoire d’abus sexuels ou de violences faites aux femmes ?
  • — Le dirigeant ou l’organisation rejettent-ils la foi catholique, jusqu’à contester l’apport objectif de la religion chrétienne en Occident ? Sont-ils liés à des sociétés secrètes ou à des puissances étrangères ? Font-ils référence à des croyances occultes ou à des spiritualités « alternatives » ? Si le dirigeant se prétend catholique, exprime-t-il des positions tranchées sur l’avortement ou l’euthanasie ou refuse-t-il d’être « clivant », prône la synthèse ou « l’adaptation aux réalités de notre époque » ?

[Note de Joseph : quand on voit au moins ce qu’est devenue l’Église Catholique Romaine de nos jours, avec notamment un faux pape (puisqu’étant jésuite, il n’a pas le droit de l’être. Voir aussi : Rien que la vérité sur la « démission » de Benoît XVI), mais vrai mondialiste à sa tête, et ses nombreux scandales de pédophilie, on peut probablement éliminer le critère du catholicisme comme indicateur de virginité. Voir aussi :
À la vitesse de la lumière Bergoglio entraîne l’Église catholique dans sa chute.
L’Église du Christ était faite d’Hommes et non de pierres, le terme signifiant « assemblée de fidèles ».
Les piliers de l’Enseignement du Christ sont : Amour, Pardon, Charité et Humilité. Si de nombreux saints ont basé leur vie sur cet enseignement, qu’en est-il de la hiérarchie catholique romaine avec son luxe ostentatoire ?]

Pour résumer, peut être considéré comme suspect :

  • — toute défense du supranationalisme, sous toutes ses formes, contre le fait national
  • — tout financement ou lien professionnel/privé avec des structures mondialistes
  • — tout rejet violent du catholicisme et de l’héritage chrétien de la France
  • — toute défense des postulats philosophiques de la modernité contre la Tradition

Pour finir, s’il convient de faire preuve de lucidité sur l’existence de l’opposition contrôlée, cette prise de conscience ne doit pas conduire à la paranoïa, au refus de l’engagement et à l’interprétation du moindre élément concordant comme une preuve absolue. D’une part, parce que l’erreur, la bêtise et l’incompétence demeurent toujours des explications possibles. D’autre part, parce que certaines personnes peuvent changer de camp ou « retourner leur veste », pour sauver leur peau. Et enfin, parce même identifiée comme telle, l’opposition contrôlée peut être utilisée, jusqu’à un certain point, dans la guerre contre le mondialisme.

Dans cette guerre de l’ombre, la prudence doit être la règle et pour espérer triompher, les patriotes et les dissidents doivent faire preuve de discernement, se poser les bonnes questions et développer, pour eux-mêmes ou leurs organisations, une véritable culture du renseignement.

Pour le reste, Dieu seul connaît le secret du cœur de chaque homme. Dans Son infinie miséricorde, il a néanmoins envoyé un avertissement extrêmement clair à ceux qui servent le « prince du mensonge » et cherchent ainsi à tromper le peuple :

« Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. C’est pourquoi tout ce que vous aurez dit dans les ténèbres sera entendu en pleine lumière, et ce que vous aurez dit à l’oreille dans le secret de vos chambres sera prêché sur tous les toits. »

(Luc 12 : 2)



Pour aller plus loin :




La gauche « nouvelle normalité »

[Source : off-guardian.org]

Par CJ Hopkins

Je suis donc allé à Londres pour parler à la gauche… non, pas « la gauche » à laquelle vous pensez probablement. Pas la gauche masquée et arborant un drapeau ukrainien. Pas la gauche ségrégationniste qui utilise des pronoms [comme « iel »]. Pas la gauche du WEF, de l’OMS, du FBI, de la CIA, du DHS et du MI6. Pas la gauche de la nouvelle normalité capitaliste mondiale. L’autre gauche. La gauche de la vieille école. La gauche « qui nie le Covid, qui théorise la conspiration, qui aime Poutine et qui est d’extrême droite ».

Nous étions environ 150 et nous nous sommes réunis dans une « église homophobe » à Islington. Oui, Islington, qui est plus ou moins le siège britannique de la gauche « Nouvelle Normalité ». Nous nous en moquions. « Qu’ils viennent nous chercher », disions-nous. Ils ne sont pas venus. C’était un samedi. Ils étaient probablement en train de faire du shopping ou de traquer des antisémites imaginaires. Nous sommes donc allés de l’avant et avons fait ce que nous avions à faire.

Notre « truc » était une conférence vaguement basée sur l’opposition de gauche au FEM [Forum Économique Mondial] et à ses diverses visions dystopiques de notre avenir… vous savez, manger les insectes, ne rien posséder, être heureux, ce genre de choses. J’ai été invité par le groupe Real Left [la gauche réelle, ou la vraie gauche] à participer à une table ronde avec Fabio Vighi, professeur de théorie critique à l’université de Cardiff. Nous n’avons pas beaucoup parlé du FEM. Nous avons surtout parlé du capitalisme mondial, du totalitarisme et de la « nouvelle gauche normale ».

Voici les grandes lignes de ce que j’ai dit à la conférence.

*

Pour comprendre ce qui est arrivé à la gauche (c’est-à-dire comment elle est devenue la nouvelle gauche normale), il faut comprendre l’histoire du capitalisme mondial au cours des 30 dernières années environ.

En fait, il faut remonter un peu plus loin, au début du 20e siècle, lorsque le grand jeu idéologique était encore en cours. À l’époque, le capitalisme, qui avait renversé les aristocraties, était en marche, transformant le monde en un grand marché. Il était contesté par deux idéologies opposées, le fascisme et le communisme. Elles se sont affrontées. Pour faire court, le capitalisme a gagné.

Le capitalisme mondial (« GloboCap ») est né. Aujourd’hui, le monde n’est plus qu’un grand monde capitaliste mondial. C’est le cas depuis le début des années 1990. GloboCap n’a pas d’adversaires extérieurs, il n’a donc rien d’autre à faire que Clear and Hold [Liquider et Tenir], c’est-à-dire éliminer les poches de résistance interne et mettre en œuvre l’uniformité idéologique. C’est ce qu’elle fait depuis 30 ans, d’abord dans l’ancien bloc soviétique, puis dans le cadre de la « guerre mondiale contre la terreur », et enfin dans nos soi-disant « démocraties occidentales », comme nous venons d’en faire l’expérience personnelle pendant la phase de choc et d’effroi du déploiement de la nouvelle normalité, et comme nous continuons à en faire l’expérience, bien que de manière un peu moins dramatique.

En d’autres termes, GloboCap devient totalitaire. Voilà ce qu’est la nouvelle normalité. Ce n’est pas le totalitarisme de votre grand-père. Il s’agit d’une nouvelle forme de totalitarisme capitaliste mondial. Elle présente un certain nombre de caractéristiques familières : suspension des droits constitutionnels, propagande officielle, escouades de tueurs à gages, censure, symboles omniprésents de conformité idéologique, restrictions gratuites de la liberté de mouvement et d’autres aspects de la vie quotidienne, haine et persécution des « Untermenschen » [Sous-hommes] officiels, ségrégation, criminalisation de la dissidence, violence collective, autodafé de livres, simulacre de procès, etc. Ce n’est pas ce genre de totalitarisme.

Pour le comprendre (ce qu’il serait bon de faire), il faut comprendre l’idéologie du capitalisme mondial, ce qui n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît. Le capitalisme mondial n’a pas d’idéologie… ou plutôt, son idéologie est la « réalité ». Lorsque vous n’avez pas d’adversaires idéologiques, vous n’avez pas besoin d’idéologie. Vous êtes fondamentalement Dieu.

La « réalité » est ce que vous dites qu’elle est, et quiconque n’est pas d’accord est un « négateur de la science », ou un « théoricien du complot », ou un « désinformateur », ou un autre type d’« extrémiste » délirant. Vous n’avez pas besoin de débattre d’idéologie avec qui que ce soit, car vous n’avez pas d’adversaires idéologiques. La société est divisée en deux groupes fondamentaux : (a) les « gens normaux », qui acceptent la « réalité », et (b) les « déviants » et les « extrémistes », qui ne l’acceptent pas.

Vos opposants politiques et idéologiques sont pathologisés et délégitimés de manière préventive. Après tout, qui s’opposerait à la « réalité », si ce n’est les menteurs et les cliniquement fous ?

Oui, bien sûr, il existe des conflits politiques et idéologiques intra-muros dans les limites de la soi-disant « normalité », tout comme il existe une concurrence intra-muros entre les entreprises mondiales, mais il est impossible de remettre en question le système idéologique lui-même, parce qu’il n’y a pas de terrain à l’extérieur duquel monter une attaque. C’est probablement la chose la plus difficile à accepter pour la plupart d’entre nous. Il n’y a pas de territoire idéologique en dehors du capitalisme mondial, il n’y a pas de « dehors ». Il n’y a pas d’« extérieur ». Il n’y a pas d’adversaires extérieurs. Il n’y a que des insurrections et des opérations de contre-insurrection.

Le reste est une compétition intra-muros.

Il y a une autre chose que nous devons comprendre à propos de l’idéologie capitaliste mondiale, et cela ne va pas faire plaisir à mes lecteurs conservateurs, libertaires ou gauchistes, mais c’est essentiel pour comprendre le nouveau capitalisme mondial. Mais c’est essentiel pour comprendre la nouvelle gauche normale et la forme du paysage idéologique actuel. Je vais essayer de rester aussi simple que possible et de ne pas me perdre dans un tas de charabia post-structuraliste.

Vous êtes prêts ? D’accord, c’est parti.

Le capitalisme est une machine à décoder les valeurs. Il décode la société des valeurs despotiques (c’est-à-dire les valeurs religieuses, les valeurs racistes, les valeurs socialistes, les valeurs traditionnelles, toutes les valeurs qui interfèrent avec les flux de capitaux sans entrave… le capitalisme ne fait pas de distinction). C’est ainsi que le capitalisme (ou la démocratie si vous êtes choqués) nous a libérés d’une « réalité » despotique dans laquelle les valeurs émanaient des aristocraties, des rois, des prêtres, de l’Église, etc. En fait, il a transféré l’émanation et l’application des valeurs des structures despotiques au marché, où tout est essentiellement une marchandise.

Alors, hourra… le capitalisme nous a libérés du despotisme ! J’en suis reconnaissant. Je ne suis pas un grand fan du despotisme. Le problème, c’est que ce n’est qu’une machine. Et elle n’a pas d’interrupteur. Et maintenant, elle domine la planète entière sans opposition ni restriction d’aucune sorte. Elle fait donc ce pour quoi elle a été conçue : dépouiller les sociétés de leurs valeurs despotiques, faire de tout et de chacun une marchandise, établir et imposer l’uniformité idéologique, neutraliser les poches de résistance interne.

La grande majorité de ces résistances sont réactionnaires. Je ne dis pas cela au sens péjoratif. La majeure partie de l’opposition à la nouvelle normalité provient de la droite politique traditionnelle, de personnes qui tentent de préserver leurs valeurs, c’est-à-dire de les empêcher d’être décodées par la machine à décoder les valeurs de GloboCap. Beaucoup de ces gens ne voient pas les choses de cette façon, parce qu’ils ne veulent pas admettre que ce à quoi ils résistent, c’est le capitalisme mondial, alors ils lui donnent d’autres noms comme « capitalisme de connivence », « corporatisme » ou « marxisme culturel ». Je ne me soucie pas vraiment du nom qu’ils lui donnent, sauf lorsqu’ils l’appellent « communisme », ce qui leur donne l’air extrêmement stupide.

Le fait est que ces personnes constituent une force réactionnaire qui s’oppose à la progression du capitalisme mondial et de son idéologie, qu’elles sachent ou non à quoi elles résistent. La Russie est une autre force réactionnaire de ce type, du moins dans la mesure où elle tente de défendre ce qui reste de sa souveraineté nationale. La Syrie et l’Iran sont deux autres exemples. Toutes ces forces réactionnaires sont intégrées dans le système GloboCap et résistent en même temps à son absorption. La dynamique est complexe. Il ne s’agit pas d’un dessin animé ou d’un film hollywoodien avec des « bons » et des « méchants ».

Quoi qu’il en soit, le champ de bataille se présente comme suit : GloboCap mène son opération « Clear-and-Hold », tandis que les réactionnaires (« populistes ») s’y opposent. Et c’est tout. Ce sont les seules forces significatives sur le champ de bataille, à l’heure actuelle.

Ce qui nous amène à l’état lamentable de la gauche.

La gauche — et j’entends « la gauche » au sens large, c’est-à-dire les libéraux, les gauchistes sérieux et les gauchistes de Brooklyn — se trouve dans une double contrainte idéologique. Soit elle s’aligne sur une GloboCap de plus en plus totalitaire, soit elle s’aligne sur le contrecoup réactionnaire.

Ils ne peuvent pas s’aligner sur les réactionnaires, parce que beaucoup d’entre eux sont… eh bien, vous savez, quelque peu bigots, ou ils croient en Dieu, ou ils s’opposent à ce que les drag-queens se frottent sur les enfants. Beaucoup d’entre eux possèdent plusieurs armes à feu (c’est-à-dire les réactionnaires, pas les drag queens) et font flotter des drapeaux américains géants devant leur maison (ou n’importe quel drapeau qu’ils arborent en Grande-Bretagne). Beaucoup d’entre eux ont voté pour Donald Trump, ou pour le Brexit, ou pour l’AfD ici en Allemagne, ou pour le Rassemblement national en France, ou pour Les Frères d’Italie. Il ne s’agit pas de personnes qui écoutent la BBC/NPR. Ce ne sont pas des gens qui utilisent des pronoms. Ce sont des gens de la classe ouvrière qui font peur.

La gauche s’est donc alignée sur GloboCap qui, après tout, continue à décoder toutes ces valeurs despotiques désagréables (c’est-à-dire le racisme et d’autres formes de bigoterie), à s’opposer aux dictateurs et aux fanatiques religieux, et à répandre la « démocratie » sur toute la planète. Vous pourriez penser que je suis facétieux. Ce n’est pas le cas. Le capitalisme mondial continue de le faire. Ce que je soutiens, comme tous les libéraux et les gauchistes.

Le problème, c’est qu’à mesure que le capitalisme mondial continue à faire cela, et qu’il en fait grand cas, il devient également totalitaire. Il ne décode pas ces valeurs despotiques par pure bonté d’âme. Ce qu’il fait, c’est établir une uniformité idéologique. Le problème, c’est qu’elle n’a pas d’idéologie. Tout ce qu’elle sait faire, c’est décoder les valeurs, transformer les sociétés en marchés et tout ce qu’elles contiennent en marchandises sans valeur. Ce qu’elle fait de manière totalitaire. Les nazis appelaient ce processus « Gleichschaltung » [Mise au pas, égalisation, égalité des chances], la synchronisation de tous les éléments de la société selon l’idéologie officielle. C’est ce qui se passe actuellement au niveau mondial.

GloboCap a entamé la transition d’une « réalité » d’idéologies concurrentes, d’États-nations souverains, de cultures et de valeurs vers une nouvelle « réalité » supranationale, post-idéologique, éventuellement transhumaine et mondialisée, et le message est le suivant : « vous êtes avec nous ou contre nous ».

La nouvelle gauche normale est évidemment avec GloboCap. Les gauchistes de la nouvelle normalité le nieront furieusement, alors qu’ils réclament une censure accrue de la dissidence et qu’ils acclament de véritables nazis au pied du mur.

Tout comme la droite « populiste » ne peut accepter le fait que ce à quoi elle s’oppose est une forme de capitalisme, la gauche néo-normande ne peut accepter le fait qu’elle s’aligne sur une nouvelle forme de totalitarisme. C’est littéralement inconcevable pour eux. Vous pouvez leur montrer des captures d’écran de leurs posts et Tweets dans lesquels ils appelaient à enfermer les « non vaccinés » dans des camps, et des photos de l’époque où ils formaient des foules fanatisées et menaçaient les gens qui ne chantaient pas leurs slogans, et ils vous regarderont comme si vous aviez perdu la tête.

*

Nous sommes donc un peu dans l’embarras. C’est en gros ce que j’ai dit à la conférence de Londres. J’aimerais avoir un plan d’action brillant à proposer. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Il est probable que personne n’en ait à ce stade. Après tout, la nouvelle normalité ne fait que commencer.

Cela dit, s’il y a une chose dont je suis sûr, c’est que si vous ne voulez pas finir par manger les insectes, ne rien posséder et être heureux dans votre ville surveillée par l’IA pendant 15 minutes en attendant que votre application de crédit social mette à jour votre carnet de vaccination afin que vous puissiez accéder à votre compte CBDC et effectuer un nouveau paiement minimum sur votre dette de carte de crédit qui ne cesse de s’alourdir, ce serait probablement une bonne idée d’essayer de comprendre ce qui est en train de se passer.

Ou peut-être pas. Qu’est-ce que j’en sais ? Je ne suis qu’un vieux « gauchiste d’extrême droite ».






Viktor Orban déclare la guerre à l’Union Européenne et soutient publiquement Donald Trump

[Source : lecourrier-du-soir.com]

Par Cheikh Dieng

Un clin d’œil qui témoigne du climat de tension qui existe entre Viktor Orban, Premier ministre de la Hongrie et l’Union Européenne. En effet, ce lundi 3 avril, à quelques heures de la comparution très médiatisée et très attendue de Donald Trump dans un tribunal de New York, le Premier ministre hongrois, qui s’est violemment opposé aux sanctions imposées à la Russie, a tenu à apporter un soutien de taille à l’ancien président américain qui risque gros dans cette affaire.

Sur son compte Twitter, il publie une vieille photo où on le voit serrer la main à Trump. Le tout suivi d’un message : Continuez à vous battre, M. Le Président ! Nous sommes avec vous. » Si, pour le moment, les chefs d’État de l’UE se gardent de commenter ce soutien apporté à Trump par le dirigeant d’un pays membre, il est certain que ce geste pourrait exacerber, dans un futur proche, le climat déjà très délétère entre Budapest et Bruxelles.






La « maladie mystérieuse » de Wuhan est le mensonge fondamental de la Covid

[Source : off-guardian.org]

Par Kit Knightly

Récemment, alors que j’effectuais des recherches pour notre nouvelle édition de 40 faits [voir : 40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »], je suis tombé sur cet article du magazine Time, que j’avais apparemment manqué lors de sa première publication et qui m’avait en quelque sorte échappé au cours des trois années suivantes, centrées sur la Covid.

L’article démontre que, dès le début, la narration Covid était une construction psychologique qui n’a jamais eu de sens interne.

Il se concentre sur les travaux du Dr Zhang Yongzhen, virologue chinois, et sur la manière dont lui et son équipe ont (prétendument) isolé le virus Sars-Cov-2 et séquencé son génome. L’article présente Zhang comme un héros dont la « bravoure » a alerté le monde sur une nouvelle menace effrayante.

[Voir notamment :
L’invention du SARS-CoV-2
et La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2]

Ce n’est qu’une histoire, bien sûr, une fiction narrative plutôt que du journalisme, mais elle révèle un aspect essentiel du déploiement de l’opération psychologique de lutte contre la pandémie.

Le mensonge fondamental, le péché originel : Les origines « mystérieuses » de la Covid.

Toute opération psychologique présente une faiblesse sous-jacente — une couture irrégulière où le mensonge fabriqué est relié de force à l’inéluctable réalité.

Dans le cas du 11 septembre, il s’agit d’une simple question de physique : des dommages asymétriques ne peuvent entraîner un effondrement symétrique. Dans le cas de JFK, il s’agit du nombre présumé de balles ayant causé un nombre connu de blessures, ainsi que de la tête du président qui s’est déplacée vers l’arrière et vers la gauche.

Souvent, l’objectif principal de la propagande qui l’accompagne est de détourner l’attention de ces idées inconciliables. Placez une lentille sélective déformante sur certaines réalités physiques codées en dur qui oblige les gens à remettre en question des choses qu’ils ne remettraient jamais en question d’habitude :

  • Ce n’était pas vraiment des explosions — mais ça y ressemblait.
  • Sa tête n’est pas vraiment partie en arrière — elle en avait juste l’air.

… Vous voyez ce que je veux dire.

Pour la « covid », cette déconnexion fracturée peut être localisée très précisément à Wuhan en décembre 2019.

La chronologie présumée de la « découverte » de la Covid est assez bien connue, mais voici un bref récapitulatif :

  • À la mi-décembre 2019, 4 personnes ont été admises à l’hôpital de Wuhan pour une pneumonie. À la fin du mois, ce nombre était passé à 27.
  • Un médecin anonyme décide que cette pneumonie est « mystérieuse » et envoie un échantillon d’un patient au Dr Zhang du Centre clinique de santé publique de Shanghai pour analyse.
  • Le Dr Zhang analyse ce seul échantillon, provenant d’un seul des 27 patients prétendument atteints de pneumonie, trouve immédiatement un « nouveau coronavirus » et décide aussitôt qu’il doit être la cause de ce « mystère ».

Cette histoire et la chronologie des événements qui ont suivi rapidement — du séquençage à la modélisation, en passant par la mise au point des tests — posent de nombreux problèmes.

Mais le plus étrange est la question à laquelle le récit officiel ne tente même pas de répondre :

pourquoi cherchaient-ils à tout prix [un nouveau virus] ?

C’est la rupture avec la réalité.

Pourquoi ce médecin, dans cet hôpital, a-t-il soudain décidé qu’il y avait un mystère qui nécessitait une explication ?

Qu’est-ce qui a permis de distinguer ces quelques patients des 450 millions d’autres personnes qui contractent une pneumonie chaque année ?

L’article du Time affirme vaguement que cette pneumonie était « particulière », d’autres publications contemporaines l’ont appelée « pneumonie mystère ». Ils n’expliquent jamais vraiment la nature de ce « mystère ».

L’OMS l’a qualifiée de pneumonie « d’étiologie inconnue », tandis que le CDC a déclaré qu’il s’agissait d’une « maladie atypique de type pneumonie qui ne répond pas bien aux traitements standard ». Or, le « traitement standard » de la pneumonie est l’administration d’antibiotiques si l’on pense qu’il s’agit d’une bactérie, ou le repos au lit et l’administration de liquides si l’on pense qu’il s’agit d’une maladie virale. Dans la grande majorité des cas, la maladie s’améliore d’elle-même en quelques semaines… tout comme la « Covid ».

Certains articles ont fait remarquer que la « pneumonie mystérieuse » était symptomatiquement unique, sans jamais entrer dans les détails. Mais nous savons maintenant que ce n’est pas vrai. Les symptômes de la « Covid » n’ont jamais été différents de ceux de la majorité des maladies respiratoires courantes.

L’OMS a même déclaré dans son communiqué de presse initial, le 8 janvier 2020 :

Les symptômes rapportés par les patients sont communs à plusieurs maladies respiratoires, et la pneumonie est fréquente pendant la saison hivernale.

Cette phrase est tout à fait vraie… ce que l’on appelle la « pneumonie covid » est tout simplement une pneumonie.

Alors pourquoi les médecins chinois ont-ils considéré qu’elle valait la peine d’être examinée de nouveau ?

Pourquoi a-t-on pensé que cette pneumonie parfaitement normale devait avoir une cause anormale ?

Tout cela n’a aucun sens. Rien de tout cela n’a jamais eu de sens.

Vous pouvez continuer à chercher la réponse, à demander « pourquoi ont-ils pensé que cette pneumonie était différente ? », et ne rien trouver d’autre qu’un enchevêtrement d’affirmations vagues qui ne résistent à aucune forme d’analyse.

Ce médecin n’avait aucune raison de penser que ces patients souffraient d’autre chose que d’une infection respiratoire saisonnière normale.

[NDLR Questionnements à mettre éventuellement en parallèle avec le scénario évoqué dans l’article Covid et Donald Trump : que s’est-il réellement passé lorsque Trump est passé de « l’immunité collective » au « verrouillage » complet ? publié par Guy Boulianne.]

Ses actions présumées ne sont pas celles d’une personne rationnelle dans la vie réelle, mais le comportement scénarisé d’un acteur qui doit remplir une fonction particulière pour une seule raison — pour que le reste du film puisse se dérouler.

Nous en revenons à ce grand mensonge, à l’invitation à suspendre notre incrédulité et à accepter une contradiction dans les termes, tout comme le 11 septembre et l’attentat contre JFK.

Pour le récit de la « pandémie », c’est la même chose :

« La Covid peut ressembler à la grippe, se ressentir et agir comme cette dernière — mais elle est en fait spéciale et différente ».

Ce sera toujours le point faible lorsque l’on invente simplement une nouvelle maladie.

Qui plus est, ils ont toujours su que ce serait le point faible de leur histoire, et ils se sont donc empressés de l’aborder. Ils avaient besoin d’accélérer l’existence de leur « nouvelle maladie » pour la découvrir, la nommer, la séquencer, la publier et pouvoir la tester… tout cela en moins de trois semaines.

C’était rapide, « très, très rapide », reconnaît Zhang dans le Time. Trop rapide, en fait. Ils ont gâché la fin, révélé le tueur avant même que le meurtre n’ait eu lieu.

Le monde a évolué très rapidement au cours des trois dernières années, au point d’être presque méconnaissable, et si vous voulez comprendre comment tout cela a commencé, vous devez remonter dans le temps. Avant les vaccins et les ventilateurs, avant les passeports et les PCRs, avant Pfizer, Fauci et les courbes aplaties… il faut revenir au tout début.

[Il faut remonter] jusqu’à Wuhan, en Chine, en décembre 2019, là où, nous dit-on, un médecin a vu quatre cas de pneumonie stéréotypée et les a qualifiés de « mystérieux », et où un virologue a commencé à chercher quelque chose dont il n’avait aucune raison de penser qu’elle existait, et l’a trouvée par hasard.

Cet article fait partie de notre série « Covid — Trois ans après ».






Covid-19 : Un milliardaire veut vendre aux enchères du « sperme non-vacciné »

[Source : 20minutes.fr]

[Illustration : Guo Wengui assure avoir en stock près de 6.000 ovules et « quelques millions de spermatozoïdes » de donneurs non-vaccinés. — SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA]

OR BLANC — Ce proche de Steve Bannon a promis de demander une lettre d’un avocat pour certifier la non-vaccination du donneur

La bourse aux idées étranges. Un milliardaire chinois en exil, proche des réseaux trumpistes, veut organiser en juin, une vente aux enchères en ligne de « sperme non-vacciné ».

Guo Wengui assure avoir en stock près de 6.000 ovules et « quelques millions de spermatozoïdes » de donneurs non-vaccinés. Ces enchères d’un nouveau genre incluront aussi « son propre sperme, bien sûr », a-t-il précisé.

Pourquoi du sperme d’homme non-vacciné ? Parce que les spermatozoïdes d’hommes n’ayant pas reçu d’injection contre le Covid-19 seraient la réponse à une théorie complotiste, qui assure que les vaccins causent une stérilité massive.

Proche de Steve Bannon

Guo Wengui, dont l’exil doré aux Etats-Unis a été perturbé par son arrestation mi-mars pour fraudes présumées, compte organiser ces enchères en juin sur le réseau social conservateur Gettr. « Du sperme et des ovules de nos camarades de combat seront mis aux enchères sur notre plateforme Gettr entre le 1er et le 6 juin », a annoncé Guo Wengui en février. Traqué par la Chine, où il est accusé de fraudes financières, le magnat est un proche de l’ancien conseiller de Donald Trump, Steve Bannon.

Mais son arrestation pourrait bien faire dérailler ses plans. Le magnat est accusé d’avoir orchestré une fraude complexe visant à extorquer plus d’un milliard de dollars à des milliers de personnes qui le suivent en ligne.

Que ces enchères aient lieu ou pas, elles ont déjà fait sensation sur Gettr, des fans du milliardaire y voyant l’occasion de « sauver l’avenir de l’humanité » ou assurant que le sperme d’homme non-vacciné est « le futur Bitcoin ». « Ces enchères reposent, de façon plus large, sur des faux arguments selon lesquels les vaccins anti-Covid ont nui à la fertilité », déclare à l’AFP John Gregory, de l’organisme de surveillance de l’information NewsGuard.

« Les auteurs de désinformation sur le vaccin propagent cette affirmation, alors que de nombreuses études médicales montrent que les vaccins n’ont pas d’impact négatif sur la fertilité des hommes et des femmes. »

Le mouvement du « sang pur »

Guo Wengui n’a pas précisé comment le liquide serait testé ou expédié. Mais il a promis d’utiliser des « méthodes scientifiques » et de demander une lettre d’un avocat pour certifier la non-vaccination du donneur.

Le projet s’inscrit dans le mouvement dit « du sang pur », qui affirme à tort que le vaccin contre le Covid-19 contamine le corps. Ceux qui y croient évitent donc à tout prix les transfusions sanguines de personnes vaccinées mais également leur sperme, ou même leur lait maternel. Ces théories fumeuses ont un potentiel lucratif, qui a éveillé l’intérêt de certains militants anti-vaccins.

Le sperme d’homme non-vacciné a même été surnommé « le nouvel or blanc » par un utilisateur de Gettr enthousiasmé. Des tasses et t-shirts « sperme non-vacciné disponible » peuvent aussi être achetés sur Amazon et eBay.






Des mensonges, des absurdités et des folies partout

[Source : businessbourse.com]

L’auteur et journaliste de renom James Howard Kunstler (JHK) s’est rebellé et a souligné que le public américain se fait raconter un mensonge après l’autre par les médias corrompus, par le gouvernement et par la communauté médicale. Ce genre de mensonge, selon JHK, est une pure trahison de la part de toutes les parties, concernant les 600 millions d’injections d’armes biologiques que sont les vaccins contre le CV19, le système bancaire en ruine, sans oublier la guerre en Ukraine. Commençons par le génocide lié aux vaccins contre le Covid-19. Voici ce que JHK dit :

« Ils prétendent qu’ils n’ont eu aucun effet secondaire grave, car ils ignorent leurs propres statistiques, et ils ne veulent pas dresser un tableau réaliste pour que le public américain ne puisse pas voir quelles ont été les conséquences de leur programme de vaccination… Je ne pense pas qu’ils puissent en masquer la réalité encore longtemps. Il y a tout simplement trop de gens qui connaissent trop de personnes qui ont été blessées ou tuées par les vaccins. Le problème fondamental est que la malhonnêteté vous place dans une position de faiblesse, et que la vérité vous place dans une position de force. Finalement, si vous n’êtes pas honnête avec vous-même et les autres personnes autour de vous, tout le monde va finir par le savoir. Ils sont obligés d’amplifier les récits qui sont manifestement faux, et très bientôt, je pense que les gens vont être super énervés de la façon dont tout cela s’est passé. »

Avec la crise bancaire, JHK dit que le mensonge selon lequel tout est sous contrôle va également être exposé. Voici ce que JHK dit :

« Lorsque vous êtes obligé de rapidement sortir vos dépôts comme ce fut le cas à la “Silicon Valley Bank”, ils sortent leurs actifs en dessous de leur valeur supposée et ils deviennent insolvables. J’imagine qu’il y a beaucoup de dégâts qui vont s’intensifier très prochainement, et nous n’avons pas vu beaucoup d’action dans le racket des produits dérivés jusqu’à présent, et ce sera un gros problème quand cela se produira à cause des contrats complètement imprudents qui ont été faits. C’est vraiment un mauvais pari, et les personnes qui ont fait ce pari ne peuvent pas rembourser les pertes, et tout cela est vraiment un désastre qui est à la surface et qui va arriver très bientôt. »

JHK dit que la soi-disant réinitialisation va se produire, mais pas comme Klaus Schwab le souhaite. Tout deviendra extrêmement local, et JHK dit ceci :

« L’aspect social de la vie aggravera tout cela. »

Les mensonges sur l’Ukraine et la guerre perdue déclenchée par l’OTAN sont résumés par JHK :

« Rétrospectivement, tout le monde peut très bien comprendre pourquoi Donald Trump voulait tout simplement téléphoner à Zelensky au sujet des activités de la famille Biden en Ukraine. L’ensemble du portefeuille de l’Ukraine n’est qu’un gros sac de merde. À cause de ces activités, il y a une guerre contre le peuple, et cela inclut une guerre contre Donald Trump. Ils essaient par tous les moyens de le chasser du terrain de jeu… Je pense qu’il est prudent de dire que le gouvernement américain n’est pas votre ami. »

En conclusion, voici ce que JHK dit :

« C’est une période de l’histoire extrêmement perverse socialement et politiquement. J’ai grandi dans la période hippie. C’était assez fondé par rapport au délire et à la folie sans fondement dans lesquels ce pays est impliqué maintenant. Le fait qu’il y ait un débat sur l’heure de passage du conte drag queen pour les enfants est incroyable… C’est quoi ce cirque ? Un homme qui imite délibérément une femme à tous points de vue… C’est censé être bon pour les enfants et ne pas leur faire peur ? Il y a une folie uniforme à travers la culture, et on demande aux gens d’avaler des histoires de plus en plus absurdes. C’est là où nous en sommes aujourd’hui. On nous demande d’avaler des idées absurdes les unes après les autres. »



Source : usawatchdog.com


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Où va-t-on ?

Par Henry Roure

Je suis persuadé que les Français dans leur immense majorité savent, au fond d’eux-mêmes, qu’il faudra modifier le système de retraite et allonger l’âge où l’on se retire de la population active. Ils savent que l’allongement de la durée de vie, de manière homothétique, proportionnelle, augmente la nécessité de travailler plus longtemps. Dans leur refus catégorique et global de la réforme, concoctée par les gestionnaires gouvernementaux, je subodore qu’ils rejettent tout autre chose. Leur révolte s’adresse à un système et surtout au personnage qui l’incarne. En 6 ans, il a laminé la puissance française. Il a élargi les lèvres des blessures infligées, déjà, par ses deux prédécesseurs, mais pire, il a ouvert d’autres plaies, commettant faute sur faute et erreur après erreur.

Ce fidèle du capitalisme étatsunien ne pouvait que dégrader toute idée de Patrie, de grandeur et de vertu. Son but était d’offrir une population qu’il aurait décérébrée et dénaturée, à titre d’exemple catalyseur, à un dispositif étranger, centralisé et déjà totalitaire. Il y a du nihilisme dans cette pensée. Nietzsche écrivait que « Le nihilisme est non seulement la croyance que tout mérite de périr, mais qu’il faut détruire ». Le peuple lui-même, n’étant dans son idée, qu’une masse, une glaise, que l’on peut modeler dans la forme souhaitée. Ce mépris de la France dans sa nature profonde est devenu insupportable au peuple français qui a fini par comprendre que son existence était en jeu.

L’agitation autour des retraites est à la fois exemplaire de ses souhaits, mais aussi, de l’expression d’une nation rétive. Au début, souvenez-vous, il s’agissait de mettre progressivement à terre, le principe de la retraite par répartition, où s’expriment concrètement la solidarité et la fraternité du peuple français. L’énorme fonds de pension étatsunien BlackRock s’était proposé de gérer le futur système… Il s’agissait de confier l’intimité des Français au plus grand gestionnaire d’actifs au monde, disposant d’environ 6 500 milliards de dollars. Larry Fink, le président de ce gigantesque outil capitaliste étatsunien, a été reçu à l’Élysée et à Matignon dès juin 2017, avant même que les représentants de l’AFG, l’association française de gestion des actifs, n’y soient conviés. Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, s’est ensuite rendu aux États-Unis pour, à nouveau, le rencontrer. Le 26 octobre 2017, le président et son gouvernement ont reçu solennellement les dirigeants de BlackRock. Le ton était donné !

J’ajoute, pour simple rappel, que le 14 juillet 2017, le président étatsunien Trump fut invité à assister au défilé. J’avais écrit à l’époque un papier auquel j’avais donné le titre de Deux Américains à Paris. Des freins divers ayant empêché que le projet de destruction du système traditionnel de retraites n’aboutisse, le chef de l’État actuel s’est rabattu sur une société de contrôle étatsunienne, à la réputation sulfureuse, impliquée dans de nombreux scandales par le monde, McKinsey. Cette firme étatsunienne a mené de soi-disant expertises, que l’administration nationale, disposant de services de vérification, de contrôle et de proposition beaucoup plus honnêtes et efficaces, aurait conduites et même avait conduites, sans que ce travail eût engagé un centime de plus des finances publiques. Précisons que les relations entre BlackRock et McKinsey sont étroites. Ainsi l’ancienne représentante de McKinsey à Londres, Sandy Boss, est à la tête de l’engagement actionnarial de BlackRock. Cette bizarrerie relationnelle n’était, en fait, qu’une confirmation de l’attachement washingtonien du président actuel. Rappelons-nous qu’à l’époque où, venu de la banque Rothschild, il devenait ministre des Finances, il cédait la partie énergie d’Alstom, un de nos fleurons industriels, à la société étatsunienne General Electric. Il offrait donc, à un évident impérialisme étranger, une autorité sur notre filière nucléaire.

Les Français ont engrangé ces informations au fil de l’actualité. Pour la plupart ils n’ont pas analysé les faits, mais ils ont parfaitement compris que la France n’était pas défendue par le plus haut responsable politique du pays. D’autres turpitudes se sont amoncelées n’entraînant aucune conséquence pour les responsables. Il y eut la débâcle sanitaire, lors de la période COVID, mettant en lumière un étrange partenariat avec les firmes pharmaceutiques étatsuniennes où exerce M. von der Leyen, le mari de ce personnage, non élu, qui au nom de l’UE voudrait décider de tout à notre place. Il y eut l’idée de partager le siège permanent de la France au conseil de sécurité des Nations unies avec l’Allemagne, puis de le remettre à l’UE. Il y eut les mensonges sécuritaires et l’acceptation d’une immigration massive et la condamnation de l’expression « grand remplacement ». C’était logique, pour lui, ni l’histoire, ni la culture françaises n’existent. Il l’a dit et il a même condamné son propre pays pour crime contre l’humanité. Il a d’ailleurs, pour continuer sans doute à banaliser le pays à la tête duquel il a été mis, ruiné nos relations avec les pays africains francophones. Ils représentaient pourtant un sérieux atout de notre dimension mondiale. Dans la même veine, il a offensé la langue française en violant l’article 2 de la Constitution, s’exprimant, dès qu’il le pouvait, dans la langue des États-Unis ou encore, en contribuant à dénaturer l’Organisation Mondiale de la Francophonie en promouvant la candidature à sa présidence, d’une Ruandaise anti-française. Il a disloqué le corps préfectoral et surtout le corps diplomatique sur lequel repose encore notre action politique dans le monde… Mettant un indigéniste au ministère de l’Éducation Nationale, il a ainsi confirmé que la formation des générations futures ne devait pas chercher l’excellence, mais plutôt la massification. Pour complaire à l’Allemagne, il a longtemps abondé dans l’opprobre gauchiste sur notre filière nucléaire. Elle brillait pourtant et s’avérait un des piliers de notre puissance. Sans réflexion géopolitique, il nous a entraînés à la suite des États-Unis et de l’OTAN, dans le soutien invraisemblable à l’Ukraine, un pays corrompu où nous n’avons aucun intérêt. Il a réussi ainsi à dénaturer notre dissuasion nucléaire. La seule raison invoquée fut la défense du Droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, droit par ailleurs refusé aux populations russes et russophones de Crimée et du Donbas, mais hier accordé aux musulmans du Kosovo, terre d’origine des Serbes. Je n’insisterai pas sur le refus peureux de traiter les questions de l’immigration et de l’insécurité, qui lui est étroitement liée. Je pourrais ajouter bien d’autres actions de même fond idéologique. Il ne faut donc pas s’étonner du rejet populaire de ce projet de loi, même si le Parlement l’a adopté. L’âge de départ à la retraite n’est que le prétexte immédiat, un motif offert, pour rassembler tous les mécontentements.

Dire que l’on ne veut pas travailler « plus » est une affirmation synthétique. En réalité les Français préciseraient volontiers « dans les conditions actuelles ». L’action étatique ne leur promet aucun enthousiasme. Elle est banalement technocratique et gestionnaire. Ils ne trouvent de ferveur commune que dans quelques brillantes équipes sportives ; bien piètre succédané. Il n’existe aucune incitation pour les fédérer, aucun but transcendant, aucun objectif national qui encouragerait à s’investir collectivement. Notre peuple a besoin d’orgueil et de rêve. Il faut malheureusement constater que l’UE n’est que le songe d’une minorité et le cauchemar de beaucoup. Il est manifeste, aussi, que mener la politique de minorités extrémistes ou délirantes, finit par contrevenir aux idées de l’immense majorité.

Le peuple est malheureux et il cherchera de plus en plus un refuge dans des mirages.
Le peuple français est un peuple solide, difficile à manipuler longtemps. Le président actuel s’est déjà heurté au rejet de son attitude et de sa politique. Ainsi déjà, les Gilets jaunes se sont levés, au motif de contester l’augmentation des prix des carburants. La spontanéité du mouvement et son absence de structure confirment que cette révolte allait bien au-delà de ce qui n’était qu’un prétexte. Les Français commençaient à comprendre la manipulation dont ils avaient été victimes lors des élections présidentielles. Désormais, ils ont parfaitement compris les objectifs des barons qui les gouvernent.

Je ne suis pas un procureur ; je suis un simple citoyen pour le moins inquiet de ce qu’il constate et anxieux pour l’avenir de son pays.

Henri ROURE




« La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie »

Message de Mgr Viganò au Congrès fondateur du Mouvement International Russophile (MIR) – Moscou, le14 mars 2023

[Voir aussi :
L’humanité s’organise pour contrer définitivement le dictat mondialiste (sur le MIR)
La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò
Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

[Source : medias-presse.info]

Chers amis, c’est pour moi une grande joie de pouvoir vous adresser un bref message à l’occasion de la constitution du Mouvement International des Russophiles.

Le Manifeste de cette association commence par un mot qui semble avoir disparu du vocabulaire occidental : amitié. Dans ce cas, c’est l’amitié pour les Russes, partagée par tant de personnes à travers le monde, et l’amitié des Russes envers les autres peuples, dans cet esprit de fraternité qui trouve son fondement dans la reconnaissance de nous-mêmes comme enfants de l’unique Père éternel et frères en Notre Seigneur Jésus-Christ.

Lorsque l’Empire Romain d’Occident perdit son rôle politique sous la pression des invasions barbares, le relais passa à Constantinople. Et lorsque l’Empire Romain d’Orient est également tombé avec la conquête de Byzance par Mehmed II, c’est Moscou qui a sauvé son héritage religieux et politique, avec ses Saints et ses Rois. La crise actuelle nous montre l’effondrement d’un Occident corrompu, dans lequel il n’y a pas de Pape Léon le Grand pour sauver son avenir, mais qui a encore un destin, s’il recouvre sa mission providentielle et reconnaît ce qui l’unit à la mission de la Russie.

Les événements récents nous ont montré que l’athéisme matérialiste qui a dévasté l’Empire Russe et le monde depuis 1917 – comme l’a annoncé la Très Sainte Vierge Marie à Fatima – s’est aujourd’hui unit au libéralisme dans l’idéologie mondialiste, qui sous-tend le projet délirant du Nouvel Ordre Mondial.

Un projet infernal, comme l’a souligné à juste titre le Président Vladimir Vladimirovič Poutine dans un récent discours [cf. https://nouveau-monde.ca/vladimir-poutine-la-russie-suspend-sa-participation-au-traite-start/], dans lequel la haine de la civilisation chrétienne veut créer une société d’esclaves inféodés à l’élite de Davos. Une société dystopique, sans passé et sans avenir, sans Foi et sans idéaux, sans culture et sans art, sans pères et mères, sans famille et sans État, sans enseignants et guides spirituels, sans respect pour les personnes âgées et sans espérance pour nos enfants. Nous ne pouvons pas être surpris qu’après avoir déchristianisé le monde occidental, cette élite considère la Russie comme un ennemi à renverser. La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie, et rassemble autour d’elle toutes les Nations qui n’entendent pas se soumettre à la colonisation de l’OTAN, de l’ONU, de l’OMS, de la Banque Mondiale, du Fond Monétaire International et cette ensemble de Fondations qui ont pour but l’endoctrinement des masses, la manipulation de l’information, la création de « printemps colorés » pour déstabiliser les gouvernements légitimement élus et semer le chaos, les guerres et la misère comme instrumentum regni [l’instrument du royaume]. La récente farce pandémique – menée avec des méthodes criminelles que je n’ai pas hésité à dénoncer depuis le début de l’année 2020 – a été suivie de nouvelles urgences – y compris la crise ukrainienne – délibérément provoquées dans le but de détruire le tissu social et économique des Nations, de décimer la population mondiale, de concentrer le contrôle entre les mains d’une oligarchie que personne n’a élue et qui a perpétré un véritable coup d’État mondial, dont tôt ou tard elle sera appelée à répondre devant le monde.

Les théoriciens de ce coup d’État ont des noms et des visages, à commencer par George Soros, Klaus Schwab et Bill Gates. Ceux qui déclarent aujourd’hui la Russie ennemie, considèrent aussi les Européens, les Américains, les Australiens et les Canadiens comme ennemis, et les traitent comme tels, les persécutant et les appauvrissant.

Mais alors que les émissaires du Forum Économique Mondial dans les gouvernements occidentaux peuvent légiférer contre le bien de leurs propres citoyens et tenir les dirigeants mondiaux entre leurs mains, ce  changement de régime qui a réussi dans d’autres États s’est arrêté aux frontières de la Russie. D’autre part, la fraude électorale de 2020 aux États-Unis d’Amérique était également indispensable pour empêcher la confirmation du Président Donald Trump, tout comme en 2013 l’État profond et l’Église profonde ont réussi à faire démissionner le pape Benoît XVI et à élire une personne agréée par le Nouvel Ordre Mondial, le jésuite Jorge Mario Bergoglio.

Votre engagement doit certainement promouvoir les relations d’amitié de la Russie avec tous les peuples, selon ce principe de multipolarité qui, dans une sage vision politique à long terme, est le meilleur moyen de combattre l’unipolarisme mondialiste.

Mais cette amitié, ces relations de concorde et de coopération mutuelle, ne peuvent ignorer la dénonciation du coup d’État perpétré contre l’humanité par de dangereux subversifs dont le but déclaré est l’établissement d’une tyrannie infernale dans laquelle la haine de Dieu et de l’homme créé à son image, la maladie, la mort, l’ignorance, la pauvreté, la violence, l’égoïsme, la corruption règnent en maîtres. C’est le royaume de l’Antichrist. Ce Léviathan doit être identifié et combattu, avec une action qui implique tous les peuples libres, tout d’abord en rejetant les points programmatiques de l’Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation par des initiatives communes. Nous avons besoin d’une Alliance antimondialiste qui rende aux citoyens le pouvoir qui leur a été enlevé, et aux Nations la souveraineté érodée et cédée au lobby de Davos. En cela, le rôle de la Fédération de Russie sera décisif, de même que le message que le Mouvement International des Russophiles apportera aux peuples d’un Occident qui a besoin d’être à nouveau fier de sa Foi et orgueilleux de la civilisation à laquelle les Saints Cyrille et Méthode ont également contribué.

Nous sommes en train de mener une bataille historique : demeurons sous le manteau de la Très Sainte Vierge, la glorieuse Nikopèia, avec l’Archange Saint Michel. La victoire appartient au Christ et à ceux qui se tiennent sous la sainte bannière de la Croix.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

14 mars 2023

© Traduction de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò

Le message vidéo de Mgr Viganò en italien




Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène

[Source : xochipelli.fr]

Par Xochi

Tous ceux qui ne sont pas enclins à confronter la vérité du génocide vaccinal, au parfum d’oxyde de graphène — parce qu’ils ont les viscères trop perméables — peuvent, toujours, considérer que ce dossier présente un spectre d’antioxydants qui, pour la plupart, ont été validés à l’encontre du tableau de symptômes dénommés Covidiens.

Aujourd’hui, la mission de tout être humain, qui se respecte, c’est de guérir quotidiennement la Nature, en lui, qui est perpétuellement assaillie par les vecteurs génocidaires de la Techno-Culture Transhumaniste. La question est, maintenant, de savoir si toute personne refusant de confronter la vérité du génocide vaccinal est, authentiquement, capable de « se guérir ».

Tous ceux qui sont enclins à se réveiller peuvent, aisément, commencer à concevoir que la Mafia Pharmacratique n’a pas attendu d’agrémenter les injections anti-CoqueVide/19, avec de l’oxyde de graphène, pour contaminer les « vaccins », depuis de nombreuses années, avec une foultitude de nécro-nano-particules — et autres adjuvants.

[Voir aussi :
Comprendre le graphène
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Comment éliminer l’oxyde de graphène des vaxins]

Et j’en profite, pour rendre hommage, de nouveau, au pharmacien Serge Rader — décédé, en Guadeloupe, en mai 2021, dans des circonstances relativement mystérieuses — dont les traductions[606] [607] ont permis de découvrir les analyses de l’association italienne Corvelva, en 2017, concernant un certain nombre de vaccins conventionnels de la Mafia Pharmacratique. Ces révélations ont été dénommées « VaccineGate » et elles, furent, bien évidemment, complètement étouffées par les médias à la solde de la Mafia Pharmacratique. Serge Rader est également l’auteur de l’ouvrage « Vaccins — Oui ou Non ? : Les analyses et les photos au microscope électronique de substances contenues dans les vaccins ».

[Voir aussi :
Serge Rader, ancien pharmacien, s’exprime sur la « vaccination » anticovid19]

Ce présent dossier a été, partiellement, traduit en Espagnol : Fuentes de antioxidantes para destruir la corona necro-molecular del óxido de grafeno.[1622]

Aujourd’hui, le vecteur de l’Ennemi, c’est la graphénisation par le biais du Syndrome de la Couronne Nécro-Moléculaire — en l’occurrence, la Spike de l’Oxyde de Graphène.

Aujourd’hui, la vaccination graphénisante représente, très clairement, la ligne de démarcation entre, d’une part, ceux qui optent pour le suicide collectif et, d’autre part, ceux qui veulent survivre, et vivre en Paix, dans la Beauté qui Vient.

Caveat. Je n’ai pas inclus le Cannabis, dans cet essai, car je voulais rédiger un article spécial à ce sujet, mais je n’ai pas le temps.


Sommaire

Le Glutathion
La Cystéine
La Glycine
L’Acide glutamique
La N-AcétylCystéine
La Mélatonine
La Vitamine D et la Fortification du Système Endocannabinoïde
La Vitamine C
La Nicotine et le Tabac
Les Artémisias
Les Plantes médicinales très antioxydantes
Le Charbon de Bois Activé
Les Zéolithes
Les Micro-Organismes efficaces du Professeur Teruo Higa
Le Dioxyde de Chlore
Le Zinc
L’Acide shikimique
Les Protocoles Anti-Graphène
Autres Substances antioxydantes et réductrices de l’Oxyde de Graphène


Le Glutathion

Le glutathion constitue la protéine de jouvence — par excellence. C’est un protecteur cellulaire, un adaptogène, un antioxydant, un détoxifiant, un promoteur du système dénommé immunitaire, un nutriment essentiel, une substance énergisante, anti-vieillissement et médicinale…

La supplémentation, ou la stimulation de la production endogène, de glutathion est conseillée pour ces diverses conditions ou pathologies : lactation, stress, performances athlétiques, détoxication, fatigue, épilepsie, troubles du sommeil, maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer…), maladies cardiaques, digestion, troubles rénaux, pathologies stomacales et intestinales, maladies pulmonaires, traumatismes, brûlures, hépatites, diabètes, sinusites, problèmes d’audition, etc., etc.

La supplémentation directe en glutathion n’est pas très métabolisable et disponible — car il est détruit, en grande partie, par les sucs digestifs.

Pour une sélection et une analyse des divers produits de supplémentation de glutathion proposés dans le commerce, voir les articles du site de médecines naturelles, Doctonat.[1343] [1344]

Un adulte en bonne santé possède, environ, 10 grammes de glutathion dans le corps. L’apport quotidien, provenant de l’alimentation, constitue seulement de 1 à 1,5 % du glutathion corporel total en circulation.

Le glutathion est le principal antioxydant dans l’organisme. Il en existe deux formes : le glutathion réduit (GSH) — qui est la forme biologiquement active — et le glutathion oxydé (GSSG). Dans les cellules et les tissus sains, le glutathion réduit représente plus de 90 % du glutathion total. Le ratio de glutathion réduit/glutathion oxydé constitue l’un des marqueurs les plus essentiels du stress oxydatif.

Sur le site du gouvernement US, PubMed, il existe plus de 100 000 articles en référence au glutathion. L’élévation, dans l’organisme, du taux de glutathion a été cliniquement validée dans le soulagement des pathologies suivantes : tous les cancers, maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer…), asthme, brûlures, cataractes, maladies dénommées auto-immunes, pathologies du foie, du cœur, des reins, des poumons, du système digestif, la sclérose en plaques, l’hépatite, l’épilepsie, les problèmes dermatologiques, les tumeurs, les glaucomes, les fibromyalgies, les grippes…

Même si l’apport quotidien de glutathion, au travers de l’alimentation, est faible, il participe, néanmoins, à la détoxication quotidienne des intestins, car ce sont les cellules de l’intestin qui, en premier, le métabolisent — et, plus particulièrement, les cellules de la lumière de l’intestin. De ce fait, sa présence dans les intestins permet, également, d’améliorer l’absorption globale de tous les nutriments.

Chez le nouveau-né, le lait maternel constitue la seule source de glutathion — parce qu’il est composé, à 60 %, de lactosérum extrêmement riche en cystéine. Le lait maternel perd 80 % de son glutathion après deux heures de réfrigération ou de congélation et il perd 73 % de son glutathion après deux heures de température ambiante.

Les fruits et légumes qui contiennent le plus de glutathion sont les suivants par ordre d’importance : avocats et asperges (avec près de 30 mg/100 g) ; noix et pommes de terre (avec 15 mg/100 g) ; épinards et gombos (avec près de 12 mg/100 g) ; brocolis, tomates, melons, carottes, pamplemousses, oranges, courges, fraises, pastèques, papayes, piments, pêches (entre 5 et 10 mg/100 g) ; citrons, mangues, bananes, choux, concombre, piments immatures, pommes, raisins (entre 3 et 5 mg/100 g).[1268] En ce qui concerne le glutathion dans les viandes de poulet, de bœuf, de porc, de veau, etc., elles en possèdent, en moyenne, de 13 à 30 mg/100 g — en fonction des viandes et en fonction des processus de cuisson.

Les taux de glutathion, présentés ci-dessus, concernent des fruits et des légumes qui sont consommés crus. En effet, la cuisson détruit une bonne partie de cet antioxydant.

Le reste du glutathion s’élabore, dans le corps, à partir de trois acides aminés : la cystéine, l’acide glutamique et la glycine. Ainsi, pour augmenter le taux de glutathion dans le corps, il est, surtout, conseillé de consommer des aliments qui contiennent une abondance de ces trois acides aminés — qui en sont les précurseurs.

Il est à signaler, d’ailleurs, que le glutathion est utilisé comme méthode « écologique » pour « réduire » l’oxyde de graphène ainsi qu’il l’est explicité dans l’étude, de 2011, intitulée « One-step reduction of graphene oxide with l-glutathione ».[268]

Cette réduction de l’oxyde de graphène, par le glutathion, est, également, explicitée dans l’étude, de 2021, intitulée « Reaction between Graphene Oxide and Intracellular Glutathione Affects Cell Viability and Proliferation ».[269] En fait, lors de ce processus, l’oxyde de graphène est transformé en oxyde de graphène réduit tandis que le glutathion (C10H17N3O6S), sous l’effet de l’oxydation du graphène, se transforme en disulfure de glutathion (C20H32N6O12S2).

La Cystéine

La cystéine est un acide aminé soufré. C’est l’élément constitutif le plus essentiel de ces trois acides aminés, car elle contribue au groupe sulfhydryle du glutathion — d’où l’abréviation de celui-ci en GSH pour Glutathion SulfHydryle.

Il existe diverses études portant sur la réduction (écologique) de l’oxyde de graphène avec la cystéine.[270] [271] [1491]

Dans l’apport quotidien de nourriture, elle constitue le facteur limitant en ce qui concerne un taux élevé de glutathion dans l’organisme. En effet, elle doit se présenter sous une forme qui puisse survivre le transit de la bouche aux cellules — à savoir qu’elle doit être incluse dans une plus grosse molécule.

En fonction des sources nutritionnelles, l’apport quotidien conseillé, de cystéine/méthionine, pour un adulte de 70 kgs, est d’environ de 1200 à 3000 mg.

La cystéine endogène. La cystéine peut être produite par l’organisme à partir d’un autre acide aminé soufré : la méthionine. La méthionine est l’un des 22 acides aminés protéinogènes, et l’un des 9 acides aminés essentiels (à savoir ne provenant que de la nourriture).

On trouve, principalement, de la méthionine dans : toutes les viandes et poissons, les œufs, les produits laitiers, le quinoa, l’amarante à grains, le sarrasin, le sésame, les noix du Brésil, les graines de chanvre/cannabis. Il s’en trouve également dans les haricots secs, et autres légumineuses, mais en trop petite quantité, généralement, pour qu’elle puisse contribuer, de façon conséquente, à la production endogène de cystéine.

La métamorphose de la méthionine, en cystéine, requiert un processus relativement laborieux impliquant la présence de certains enzymes et vitamines B. Ce processus s’avère facilement perturbé lorsqu’il prévaut des maladies du foie et autres faiblesses du système métabolique.

De plus, on ne peut pas considérer la méthionine comme la source principale de cystéine, afin d’élaborer le glutathion, car elle se transforme, également, en homocystéine — un acide aminé non protéinogène dont l’excès, dans l’organisme, peut induire des maladies cardio-vasculaires graves : athérosclérose, infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux, thromboses, etc.

La cystéine exogène. La cystéine est présente dans tous les aliments hautement protéinés : viandes, poissons, fruits de mer, produits laitiers, œufs, quinoa, avoine, amarante à grains… Elle se trouve, également, en moindres quantités dans certains légumes tels que : brocolis, chou de Bruxelles, piments doux, oignons, ail, graines de tournesol, dattes, graines de chanvre/cannabis, levure de bière, germes de blé, beurre d’amande, champignons Shiitake.

Une portion de 100 grammes de porc, bœuf, poulet contient 350 mg de cystéine. Une portion de 100 grammes d’avoine en contient 100 mg. Une portion de 100 grammes d’œuf en contient 290 mg. Une portion de 100 grammes de graines de tournesol en contient 390 mg. Une portion de 100 grammes de gruyère en contient 300 mg. Une portion de 100 grammes de lentilles en contient 180 mg.

En fait, c’est le petit lait, le lactosérum, qui recèle le plus de cystéine, car il contient diverses protéines sériques très riches en cystéine : β-lactoglobuline, α-lactalbumine, sérum albumine, lactoferrine et immunoglobulines. Le lait cru contient de 5 à 10 % de protéines dont la caséine constitue 80 % et le petit lait 20 %.

Il existe diverses méthodes de réduction de l’oxyde de graphène par le biais des bactéries lactiques telles que Lactococcus lactis[1465], Lactobacillus plantarum[1466].

Il existe une étude, de 2020, sur l’action thérapeutique du petit lait à l’encontre du CoqueVide/19 — donc à l’encontre de l’oxyde de graphène.[1467]

La Glycine

La glycine est produite, dans le corps, à partir des acides aminés sérine et thréonine. En sus d’être l’un des trois composants du Glutathion, elle participe, également, à l’absorption harmonieuse du calcium ainsi qu’à l’édification d’un système immunitaire robuste. C’est un acide aminé important pour la santé de la prostate.

La glycine est présente dans les aliments suivants : viandes, poissons, fruits de mer, produits laitiers, œufs, légumineuses et noix, amandes, noisettes, bananes séchées, oranges, choux, algues, asperges, épinards…

L’Acide glutamique

L’acide glutamique, en sus d’être l’un des trois éléments constitutifs du glutathion, est une molécule clé dans le métabolisme cellulaire et, également, le neurotransmetteur excitateur le plus abondant dans le cerveau. C’est un acide aminé non essentiel, car il est, également, produit par l’organisme. Il en existe deux formes : une forme liée, en tant que composant de protéines, et une forme libre.

Le lait maternel contient 10 fois plus d’acide glutamique que le lait de vache.

L’acide glutamique libre est présent dans les aliments suivants : produits laitiers non pasteurisés, algues, fruits de mer, poissons, viandes, sauce fermentée au soja, champignons.

Les légumes qui en contiennent le plus sont : sojas, petits pois, graines de courges et de tournesols, arachides, amandes, pistaches, oignons, lentilles, tomates, choux, etc.

La N-AcétylCystéine

En juillet 2020, la FDA, aux USA, initia un processus de prohibition de la N-Acétylcystéine et menaça de poursuites légales sept grandes sociétés de compléments alimentaires.[477] En mai 2021, le géant Amazon a décidé de discontinuer tout produit contenant de la N-Acétylcystéine.[478] Aujourd’hui, aux USA, la FDA n’a pas encore prohibé officiellement[480] la N-Acétylcystéine.

La N-Acétylcystéine (NAC) est un dérivé synthétique — qui n’existe, donc, pas dans la Nature — de la cystéine. La cystéine est un précurseur du glutathion, l’un des deux antioxydants les plus puissants dans le corps.

Pourquoi, donc, la FDA tente-t-elle de prohiber la N-Acétylcystéine (qui possède de très nombreuses qualités thérapeutiques) dans les compléments alimentaires, alors qu’elle est utilisée, aux USA, depuis 57 années — en tant que remède et en tant que complément alimentaire ?

Pour mémoire, la recherche sur la N-Acétylcystéine produit 549 études listées sur le site Clinicaltrials.gov du gouvernement US.[479]

Tout simplement parce que la N-Acétylcystéine constitue le troisième traitement (allopathique) des symptômes du dénommé CoqueVide/19 — à la suite de l’Hydroxychloroquine et de l’Ivermectine. Ces deux dernières substances ont été interdites par l’OMS, et/ou leurs valets politiques corrompus, afin que la FDA, et les Agences de Sécurité Européenne, donnent des autorisations d’urgence à des injections, prétendument « expérimentales », jusqu’en 2023.

Les études sur le traitement du CoqueVide/19 avec la N-Acétylcystéine ont commencé à émerger au printemps 2020. Une première étude a été publiée, en avril 2020, dont l’intitulé est : « N-acetylcysteine: A rapid review of the evidence for effectiveness in treating COVID-19 ».[484]

Trois études ont, ensuite, été publiées, durant l’été 2020 : « Efficacy of N-Acetylcysteine (NAC) in Preventing COVID-19 From Progressing to Severe Disease »[476] ; « Rationale for the use of N-acetylcysteine in both prevention and adjuvant therapy of COVID-19 » [485] ; « N-acetylcysteine as a potential treatment for novel coronavirus disease 2019 ».[487]

Une autre étude, intitulée « N-Acetylcysteine to Combat COVID-19: An Evidence Review », fut publiée, en novembre 2020, afin de mettre en exergue les qualités thérapeutiques de la N-Acétylcystéine à l’encontre du CoqueVide/19. Les conclusions de cette étude sont que la N-Acétylcystéine possède les fonctions les suivantes : elle est antivirale (pour ceux qui croient aux virus pathogènes) ; elle est immuno-modulatrice ; elle réduit l’émergence des pneumonies ; elle fait baisser la mortalité en soignant les poumons.[482]

Une autre étude fut publiée, en avril 2021, qui est intitulée « The efficacy of N-Acetylcysteine in severe COVID-19 patients: A structured summary of a study protocol for a randomised controlled trial ».[483]

Une autre étude fut publiée, en juin 2021, qui est intitulée « A pilot study on intravenous N-Acetylcysteine treatment in patients with mild-to-moderate COVID19-associated acute respiratory distress syndrome ».[486]

Voici un extrait de l’introduction de l’une des études pharmacologiques — préconisant l’usage de la N-Acétylcystéine à l’encontre du CoqueVide/19 — afin de présenter l’identité, et donc les fonctions, de la N-Acétylcystéine.

« La N-Acétylcystéine fut introduite dans les années 1960 comme remède mucolytique dans le cas de maladies respiratoires chroniques. Elle se caractérise par une fiche de sécurité bien établie et elle est encore communément utilisée, oralement, à raison de doses de 600 mg/jour en tant que mucolytique. Dans le cadre hospitalier, elle est également utilisée comme antidote aux overdoses de paracétamol (avec des formulations contenant jusqu’à 150 mg/kg) et sous mode nébulisé chez les patients souffrant de maladie broncho-pulmonaire aiguë (pneumonie, bronchite, trachéo-bronchite). La N-Acétylcystéine rend les muqueuses bronchiques moins visqueuses. In vitro, les dérivés de la cystéine agissent en cassant les liaisons disulfure entre les macromolécules — ce qui induit une réduction de la viscosité des muqueuses.

Cependant, à des doses supérieures (≥ 1200 mg), la N-Acétylcystéine agit, également, comme antioxydant au travers de mécanismes complexes qui peuvent combattre des conditions de stress oxydatif. La N-Acétylcystéine est un dérivé de l’acide aminé naturel, la cystéine, qui sert de précurseur à la synthèse du glutathion dans le corps avec une activité antioxydante. Cela permet de réduire la formation de cytokines pro-inflammatoires telles que la IL-9 et la TNF-α et cela possède, aussi, des propriétés vasodilatatrices en accroissant les taux de GMP (guanosine monophosphate) cycliques et en contribuant à la régénération du facteur relaxant dérivé de l’endothélium. C’est ce mécanisme potentiel antioxydant qui a suscité de l’intérêt de par la pandémie actuelle du Covid-19 et de par son utilité thérapeutique potentielle dans les communautés ». Traduction de Xochi.[484]

Le dosage conseillé est de 1200 à 2400 mg par jour — sur un estomac vide.

Suite à la prescription sauvage de Paracétamol — pour soulager les symptômes Covidiens ou prévenir les effets adverses post-vaccinaux — c’est, également, la N-Acétylcystéine qui permet de soigner la toxicité au paracétamol dans le corps. 512]

Il est à noter, de plus, que le paracétamol (qui est le médicament allopathique le plus prescrit en France) réduit les taux de glutathion, dans le foie, de 70 à 80 %.[490] Par conséquent, de par le fait que, déjà, l’oxyde de graphène détruit le glutathion dans le corps, il semble suicidaire de continuer à prescrire le paracétamol, avant et après les injections anti-CoqueVide/19, afin d’en atténuer les effets secondaires ainsi que certains pharmaciens le conseillent — telle que Marianne Gazzano, pharmacienne biologiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris[488] ou tel que le psychopathe, Alain Fisher, en charge de la stratégie vaccinale de la PharMacronie.[1116]

Voir, à ce sujet, l’article très éclairant, intitulé « Pas de paracétamol dans la Covid, erreur thérapeutique majeure ! », qui a été publié par la rédaction de l’AIMSIB, fin août 2021.[1555]

Alerte : la plus grande partie de la N-Acétylcystéine, disponible sur le marché, provient de Chine. Elle est confectionnée à partie de soies de porcs, de plumes de volaille… et de cheveux humains — qui sont récupérés chez les coiffeurs. Il est donc important de vérifier, avant tout achat, la provenance et l’origine physique de ce complément alimentaire.

Alerte : l’usage fréquent de la N-Acétylcystéine, sans supervision médicale, n’est pas très conseillé, car elle peut provoquer la manifestation de : vomissements, diarrhées, douleurs épigastriques, brûlures d’estomac, saignements rectaux, dyspepsie, nausées, etc.

La Mélatonine

La mélatonine est sécrétée par la glande pinéale du cerveau (épiphyse) de la tombée de la nuit à la levée du jour. La mélatonine est réputée synchroniser les oscillateurs périphériques et permet, ainsi, une organisation harmonieuse des fonctions biologiques au travers des rythmes circadiens. La mélatonine constitue une substance thérapeutique primordiale en ce qui concerne sa détoxification des radicaux libres, son action antioxydante, les troubles psychiatriques, les problèmes cardio-vasculaires, les pathologies du système de reproduction, les dysfonctions neuronales, les troubles gastro-intestinaux, les septicémies, etc.

La mélatonine est un antioxydant qui, de plus, joue un rôle dans l’activation d’autres antioxydants. La capacité de la mélatonine d’accroître le taux de glutathion dans le corps — en particulier dans les tissus du foie, du cerveau, des muscles et du sérum sanguin — a été validée scientifiquement.

Une requête, sur le site PubMed du ministère de la Santé US, avec les termes « Melatonin » et « Covid », renvoie vers 128 études — pour les seules années 2020 et 2021.[1307] Selon ces études, dont certaines cliniques, la mélatonine est très efficace à l’encontre du tableau de symptômes du CoqueVide/19 : inflammations, oxydation, problèmes respiratoires, tempêtes de cytokines, anxiétés, troubles du sommeil, delirium, fibroses pulmonaires, problèmes cardiaques, myocardites[1308], problèmes neurologiques[1309], troubles du rythme circadien[1310], apoptosis, perméabilité des vaisseaux sanguins, etc.

Une étude, d’octobre 2020, intitulée « Melatonin restores neutrophil functions and prevents apoptosis amid dysfunctional glutathione redox system », a mis en exergue les capacités de la mélatonine a régénérer le niveau de glutathion dans le corps. [1311]

Comme de nombreux scientifiques ne peuvent pas s’empêcher de jouer avec le feu, il existe, même, quelques études sur la faisabilité de véhiculer, prétendument plus efficacement, de la mélatonine dans le corps… en la fusionnant avec des nanoparticules solides aux lipides ou des nanoparticules polymériques.[1312] [1314] Il existe, par exemple, une étude récente, de 2020, proposant un traitement anticancéreux composé de doxorubicine et de mélatonine véhiculées par des nanoparticules de graphène et de magnétite (Fe3O4).[1313]

Par exemple, une étude allemande, publiée en juin 2020, a mis en exergue les capacités thérapeutiques de la mélatonine à l’encontre des inflammations pulmonaires. « Les capacités protectrices de la mélatonine ont été mises en exergue en raison, principalement, de ses propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. Cette protection a été validée dans des pathologies aussi diversifiées que : inflammations allergiques des voies aériennes, lésions pulmonaires aiguës induites par des toxines ou des radiations, pathologies respiratoires telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive, apnées obstructives du sommeil, syndrome néonatal de détresse respiratoire, asphyxie et dysplasie broncho-pulmonaires, problèmes respiratoires induits par une septicémie, fibroses pulmonaires idiopathiques et hypertension pulmonaire ? Les résultats prévalant ont été une protection ou une amélioration grâce à la mélatonine conjointement à une réduction de l’expression et de la libération de cytokines pro-inflammatoires, telles que IL-1β, IL-2, IL-6, IL-8 et TNFα, qui est souvent explicitée de par l’interférence avec les récepteurs de type toll, l’inhibition de l’activation de l’inflammasome NLRP3 et la suppression des signaux NF-κB ». Traduction de Xochi.[1315]

Selon Stephen Harod Buhner, dans son ouvrage « Herbal Antivirals », les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines TNF-α incluent : Sureau (Sambucus nigra), Réglisse (Glycyrrhiza glabra), Gingembre officinal (Zingiber officinale), Kudzu (Pueraria montana), Polygale de Virginie (Polygala tenuifolia), la Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baicalensis), Poivre de Chine (Houttuynia cordata), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum).

Selon Stephen Harod Buhner, les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines IL-1β incluent : Scutellaire du Baikal (Scutellaria baikalensis), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum), Kudzu (Pueraria lobata), Sénéga chinois (Polygala tenuifolia). Les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines IL-6 et IL-8 incluent : Pastel des Teinturiers (Isatis sp.), Scutellaire du Baikal (Scutellaria baikalensis) et Astragale (Astragalus membranaceus). Sont, également, très bénéfiques, pour ces types de tempêtes de cytokines, les champignons Cordyceps.

Selon Stephen Harod Buhner, les plantes médicinales permettant de moduler la protéine NF-κB (impliquée dans la réponse immunitaire et les tempêtes de cytokines) incluent : Astragale (Astragalus membranaceus), Réglisse (Glycyrrhiza glabra), Gingembre officinal (Zingiber officinale), Kudzu (Pueraria montana), Scutellaire du Baikal (Scutellaria baikalensis), Poivre de Chine (Houttuynia cordata), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum).

La mélatonine est synthétisée à partir de la sérotonine qui est, elle-même, constituée à partir du tryptophane, un acide aminé essentiel, que l’on trouve, principalement, dans : poissons, produits laitiers, céréales, viandes, légumineuses noix et graines, chocolat, fruits…[1481]

La Vitamine D et la Fortification du Système Endocannabinoïde

En 1918/1920, alors que des dizaines de millions de personnes mouraient de pneumonie bactérienne — et non point d’une grippe prétendument espagnole — les médecins prirent conscience que le taux de mortalité était considérablement diminué lorsque les patients étaient installés au grand air (de par la capacité purificatrice intrinsèque de l’Atmosphère Vivante) et au Soleil — à savoir en situation de réception de Vitamine D.

Voir l’étude, publiée par Richard Hobday, intitulée « The Open-Air Treatment of Pandemic Influenza ».[1316] [1317]

Aujourd’hui, c’est une centaine d’études, rédigées en 2020 et 2021, portant sur le soulagement des symptômes Covidiens à l’aide de la Vitamine D3, qui ont été analysées dans une méga-étude intitulée « Vitamin D for Covid-19: real-time meta analysis of 101 studies ».[1320] Selon PubMed, il existe, en fait, des centaines d’études portant sur les relations entre la Vitamine D et le CoqueVide/19.[1321]

Je ne puis que conseiller une étude, de 2017, qui est intitulée « Vitamin D supplémentation to prevent acute respiratory tract infections: systematic review and meta-analysis of individual participant data ». Cette étude met, strictement, en lumière que la supplémentation en Vitamine D réduit l’incidence des « grippes », et autres pathologies respiratoires, de 50 %.[1318]

Que se passe-t-il, de plus, donc, lorsqu’un Coup d’État assigne toute une population à résidence, en tout début de printemps, avec interdictions de promenades ? Il s’ensuit, tout simplement, qu’à la sortie de l’hiver (sans vitamine D de par l’inclinaison du Soleil et des jours courts), cette population ne peut bénéficier des largesses de notre étoile, le Soleil, dispensant une générosité de vitamine D — au fil des semaines croissantes en intensité solaire.

Vers la fin de sa vie, le philosophe Rudolf Steiner — après avoir gaspillé 20 années à promouvoir la soupe christo-centrique — donna l’un de ses cycles de conférences, les plus authentiquement païens, qui fut intitulé « Le Cours aux Agriculteurs » et qui fut à l’origine de l’Agriculture Biodynamique. Ce Cours aux Agriculteurs fut offert, en 1924, suite à la requête de paysans, Suisses et Allemands, effarés que leurs sols agricoles soient complètement oxydés par les intrants chimiques. En effet, l’Agriculture chimique avait déjà sévi, en Europe, depuis 1844 — l’année de publication du « Précis de Chimie » de Justus Liebig-Möser.

Le déficit en Vitamine D tue… d’autant plus que cela fait plus d’un siècle que l’agriculture industrielle, et excessivement toxique, produit une alimentation dont le ratio Omega 3/Omega 6 est de 1/12 à 1/15 alors qu’il devrait être de 1/1 à 1/3. Il en résulte, alors, une oxydation de l’organisme induisant moult pathologies et cancérisations.

Depuis janvier 2011, et la publication dans la revue Nature des recherches réalisées par une équipe Français, nous savons qu’une déficience en acides gras Omega 3 invalide totalement le fonctionnement harmonieux du système des endocannabinoïdes.[1403]

« Les cannabinoïdes affectent puissamment les réseaux neuronaux et ils jouent des rôles neuro-modulateurs essentiels au niveau du système immunitaire et des systèmes nerveux central et périphérique dans le corps humain. Nos corps produisent naturellement des cannabinoïdes (endocannabinoïdes) et les utilisent dans toutes les parties du corps où ils participent aux communications intracellulaires. Les cannabinoïdes (endo- ou ecto-) jouent des rôles modulateurs au niveau des neurotransmetteurs tels que GABA, 5 HT, glutamate, acétylcholine, noradrénaline et dopamine, à partir d’un certain nombre de structures du système nerveux central telles que le cervelet, l’hippocampe, le striatum, la substance grise et le cortex. Ils agissent tel un mécanisme autorécepteur présynaptique en modulant le GABA tout autant que l’acide glutamique dans le système neuronal. Les récepteurs au glutamate induisent, en fait, la synthèse d’endocannabinoïdes en réponse à des indices environnementaux (ou internes) afin de réguler la libération de GABA et les niveaux de système. La production d’endocannabinoïdes altère l’architecture neurocognitive, stimulant la plasticité neuronale et les réponses aux perturbations environnementales. Durant des périodes de stress intense, ils sont généralement produits en très forte quantité ». Stephen Harrod Buhner. Plant Intelligence and the Imaginal Realm. Traduction de Xochi.

C’est le Professeur Raphael Mechoulam de l’Université Hébraïque de Jérusalem — celui-là même qui a impulsé toute la recherche israélienne sur le cannabis thérapeutique depuis 1962 — qui, en 1964, a découvert le principe actif principal du cannabis, le THC. C’est le Professeur Raphael Mechoulam, de nouveau, qui découvrit l’existence du système des cannabinoïdes endogènes — ou endocannabinoïdes — lorsque son équipe isola, en 1992, l’Anandamine — une dénomination résolument védique ! Notons, en effet, que cette appellation est dérivée du terme Sanskrit Ananda, signifiant « joie, félicité suprême ». Dans le corps humain, le système des endocannabinoïdes est vraisemblablement le système physiologique le plus important pour le maintien de la santé humaine. Il garantit l’homéostasie.

Selon l’INSERM, « Dans les pays industrialisés, les régimes alimentaires se sont appauvris en acides gras essentiels depuis le début du XXe siècle. Ainsi, le rapport entre les quantités d’acides gras polyinsaturés Oméga 6 et d’acides gras polyinsaturés Oméga 3 dans les rations alimentaires n’a cessé d’augmenter au cours du XXe siècle. Ces acides gras sont des lipides “essentiels”, car l’organisme ne peut les synthétiser de novo. Ils doivent donc être apportés par le régime alimentaire ».

Ainsi, d’une part, le système des endocannabinoïdes est totalement dysfonctionnel chez une grande partie des êtres humains tandis que l’alimentation industrielle est architoxique et de plus en plus dépourvue des constituants les plus élémentaires pour la santé de l’humanité — tel qu’un ratio adéquat d’acides gras Omega 3. D’autre part, les Autorités — sous le prétexte insensé de nous protéger contre nous-mêmes — ont criminalisé une source avérée de cannabinoïdes naturels, le Cannabis, depuis les années 1940, pour protéger les industriels du papier, du nylon, des fertilisants de synthèse, etc., et maintenant pour protéger les Cartels de la Pharmacie.

D’ailleurs, en avril 2021, le squatter menteur de l’Élyséele Guide du Coviet Suprême — a décidé de lancer force répressions policières contre « la consommation de drogue » : « On se roule un joint dans son salon et à la fin on alimente la plus importante des sources d’insécurité… » Sans plaisanter ? C’est le même Macron pour lequel, en juillet 2019, la légalisation du Cannabis pouvait devenir une proposition de sa campagne présidentielle pour 2022. C’est le même Macron qui, le 4 septembre 2016, déclarait : « Cannabis : je crois que la légalisation a une forme d’efficacité ».

La Vitamine C

La Vitamine C a été validée, de très nombreuses fois, comme extrêmement thérapeutique à l’encontre du tableau de symptômes du CoqueVide/19… tout autant que comme réducteur « vert » de l’oxyde de graphène.

Une étude clinique a mis en valeur une augmentation de 50 % du taux de glutathion, chez des personnes en bonne santé, à la suite d’une prise de 500 mg de Vitamine C, quotidiennement, pendant deux semaines. Caveat : la Vitamine C, tout comme la Vitamine E, agit en tant que co-facteur, et non pas en tant que source principale, dans la production de glutathion : à savoir qu’ils n’agissent qu’en cas de présence des trois acides aminés que sont la cystéine, la glycine et l’acide glutamique.

À l’encontre du CoqueVide/19, elle a été prescrite en très hautes doses par intraveineuse[1451] [1452] [1453] et a été utilisée ainsi dans de nombreux pays.

Les très hautes doses signifient de 50 à 200 milligrammes par kilo de poids.

En tant que réducteur non toxique de l’oxyde de graphène, elle a été validée lors de diverses études[1455] [1456] [1457] dont une de 2018, intitulée « Green reduction of graphene oxide by ascorbic acid ».[1454]

La Nicotine et le Tabac

Le fait que la nicotine participe à l’inactivation de l’oxyde de graphène — et donc à la protection du système neuronal — est d’autant plus intelligible que de nombreuses études ont prouvé que les fumeurs étaient protégés à l’encontre de le symptomatologie dénommée CoqueVide/19.

Pour mémoire, voici quelques extraits de ce que j’ai présenté, en avril 2021, dans ma très longue monographie médicinale sur le Tabac, « Les Qualités extrêmement médicinales et Enthéogéniques des Tabacs ».[590]

La dernière étude, en date, vient d’être publiée, dans la Revue Nature, le 10 septembre 2021. « Inhibiting SARS-CoV-2 infection in vitro by suppressing its receptor, angiotensin-converting enzyme 2, via aryl-hydrocarbon receptor signal ».[1483] [1484]

Au printemps 2020, des chercheurs chinois s’aperçurent très rapidement, que le pourcentage de fumeurs de Tabac dans les hôpitaux chinois, accueillant les patients supposément atteints par le CoqueVide/19, était très faible — à savoir, environ 6 %.[659] [660] [661] [662] [663] Il s’avéra que la situation était identique aux USA, en Allemagne (avec 6 %)[664] et en France (avec 5 %)[665]. En effet, aux USA, le CDC rapporta un taux minime de 1,3 % de fumeurs parmi les patients hospitalisés pour cause de CoqueVide/19[667] — alors que les hôpitaux de New York rapportaient un taux de fumeurs de l’ordre de 5,2 %.

Le 20 avril 2021, une équipe de chercheurs, en Inde, a publié une étude affirmant, de même, que les fumeurs de ce pays étaient très peu impactés par la grippette Covidienne.[669] Certains chercheurs suggérèrent, même, et continuent de le suggérer, que la nicotine pharmaceutique pourrait être considérée comme une thérapie privilégiée dans le traitement de toutes les pneumonies cataloguées sous la dénomination CoqueVide/19. [713] [714] [715]

En fait, la nicotine promeut la survie des neurones et protège donc à l’encontre des Maladies d’Alzheimer ou de Parkinson, en dégradant ou en inhibant le gène SIRT6 qui code pour la protéine sirtuine 6 — une histone de la famille des sirtuines.[1404] [1405] [1406]

Diverses études ont mis en lumière le fait que les chances de contracter la Maladie de Parkinson sont inversement proportionnelles à la quantité de Tabac fumé. Il est, ainsi, estimé que les fumeurs de Tabac ont 50 % de chances en moins de succomber à cette pathologie.

Une étude récente, de 2019, a mis en exergue que des gommes à mâcher, à base de Nicotine, augmentaient la pression sanguine, en l’espace de 10 min, chez les patients souffrant de la Maladie de Parkinson — dont la moitié, généralement, sont sujets à de l’hypotension.

Selon les recherches d’une équipe de l’Université de Caroline du Nord, le Tabac désactiverait le gène NOS2A, en diminuant ainsi la destruction cellulaire. Ce gène est présent dans toutes les cellules et sa fonction est de générer de l’oxyde nitrique.

Il est à noter que la nicotine, la caféine et la niacine — toutes substances ayant la capacité de diminuer l’impact de ces pathologies — se caractérisent par leur capacité de liaisons au fer. Ainsi, une étude récente, de 2019, a mis en exergue que, dans le cas de toxicité induite par une teneur élevée en fer et en manganèse, provoquant des troubles neurodégénératifs, la nicotine possède une capacité neuroprotectrice en protégeant les cellules dopaminergiques — à savoir en chélatant ces métaux en excès.[1407]

Dans la lutte contre la graphénisation, le Tabac constitue une thérapie de première ligne. C’est pour cela que les ayahuasqueros, les guérisseuses, les hommes-médecine, les femmes-Bison Blanc et autres shamanes, dans les trois Amériques, soufflent le Tabac : afin de purifier l’atmosphère matérielle, à savoir physique et psychique.

D’ailleurs, le processus chamanique consistant à souffler la fumée du Tabac, sur toutes les parties du corps des patients, n’est pas sans rappeler les pratiques Asiatiques de moxibustion par le biais desquelles les points d’acupuncture sont chauffés grâce à des moxas — confectionnés avec de l’Artemisia argyi, de l’Artemisia vulgaris, ou d’autres plantes médicinales. En effet, l’un des produits de la combustion des moxas est la fumée de moxa qui possède des propriétés antimicrobiennes et dont les applications thérapeutiques ont été validées dans le cas de blessures infectées, de vaginites, de prolapsus utérins, de verrues, de fistules anales, etc.

Les Artémisias

En mars 2020, j’écrivis au très sympathique Professeur Didier Raoult afin de m’enquérir de ce qu’il pensait de l’usage des Artemisias — des plantes antipaludiques millénaires — dans la mesure où il promouvait l’hydroxychloroquine, un médicament antipaludique, pour soulager le tableau de symptômes du CoqueVide/19.

Le Professeur Didier Raoult ne m’a jamais répondu. Au mois de mars 2020, au sujet de l’arnaque des Tests de positivité/négativité, qui étaient très promus, d’ailleurs, par le Professeur Didier Raoult, je posais les questions suivantes : Quels Tests ???? Puisque le Coronavirus ID/2019 n’existe pas… ? S’agit-il d’un immense théâtre de dupes avec des histoires imbriquées les unes dans les autres et toutes aussi FAKE les unes que les autres ? Afin de générer une pléthore de dissonances cognitives, au sein de la population, en en accroissant d’autant la psychose ?

Au vu des prises de position du Professeur Didier Raoult — sur les sujets criminels des tests PCR, des injections et de la mythologie pernicieuse des Variants du CoqueVide/19 — il fait, résolument, partie de l’Opposition contrôlée. N’est-ce pas affligeant ?

Les Artemisias font partie des Plantes Médicinales Maîtresses : elles sont extrêmement antioxydantes, anti-inflammatoires et anti-cancers — en sus d’être antimicrobien, antiparasitaire, etc. Artemisia annua est l’un des plantes médicinales les plus antioxydantes et anti-inflammatoires de la planète.

Je renvoie le lectorat vers mes diverses monographies médicinales sur les Artemisia, rédigées en 2018 : « Pour prévenir et guérir la Malaria : les Armoises d’Artémis ou les vaccins chimériques de la Pharmacratie ? Dossier n° 1 »[1283] ; « Pour prévenir et guérir la Malaria : les Armoises d’Artémis ou les vaccins chimériques de la Pharmacratie ? Dossier n° 2 »[1284] ; « L’Artemisia annua dans la Pharmacopée Familiale »[1282].

Il existe quelques dizaines d’études (publiées en 2020 et 2021) portant sur les capacités extrêmement thérapeutiques de l’Artemisia annua à l’encontre des symptômes du CoqueVide/19 — donc, à l’encontre des symptômes de l’empoisonnement au graphène : “Artemisia and Artemisia-based products for COVID-19 management: current state and future perspective”, “An overview of the anti-SARS-CoV-2 properties of Artemisia annua, its antiviral action, protein-associated mechanisms, and repurposing for COVID-19 treatment”, etc., etc.[1408] [1409] [1410] [1411] [1412] [1413] [1414] [1415] [1416].

Il existe, même, une étude de 2018, « Facile synthesis of graphene via reduction of graphene oxide by artemisinin in ethanol »[1417] portant sur la réduction de l’oxyde de graphène avec de l’artémisinine — l’une des substances les plus actives de certaines espèces d’Artemisia… Car Artemisia afra n’en contient pas malgré qu’elle soit éminemment antipaludique.

Cette étude sur la réduction de l’oxyde de graphène avec de l’artémisinine contient de magnifiques photos d’oxyde de graphène.

Les Plantes médicinales très antioxydantes

Je vais tout d’abord présenter les Plantes médicinales, ou les complexes de Plantes médicinales, émanant de diverses pharmacopées, qui ont été validées efficaces à l’encontre de l’ensemble des symptômes de ce qui a dénommé « CoqueVide/19 » — donc, très vraisemblablement, à l’encontre du tableau de symptômes générés par l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.

La Réglisse est, médicinalement, efficace à l’encontre de la Covidette (de même qu’à l’encontre de toutes les grippes et grippettes) selon une pléthore d’études récentes et publiées, depuis 2020, en Chine, en Italie, en Allemagne, en Inde, en Turquie, en Corée… So Sweet![695] [696] [697] [698] [699] [701] [702]

Une étude chinoise, publiée en mai 2020, a mis en exergue que la liquiritine, de la Réglisse, inhiberait le développement, du prétendu CoqueVide/19, en se faisant passer pour de l’interféron de type 1.[703]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de décembre 2020, sur les Réglisses : « Les Réglisses : une Panacée Suprêmement Médicinale ».[1269]

La Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baikalensis) s’avère, médicinalement, efficace à l’encontre de la Covidette (comme à l’encontre de toutes les grippes et grippettes) selon une pléthore d’études récentes publiées, depuis 2020, en Chine, et ailleurs.[704] [705] [706] [707]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de novembre 2020, sur les Scutellaires : « Les Qualités médicinales des Scutellaires ».[1270]

En 2020, le gouvernement chinois a promu six complexes de la Médecine traditionnelle Chinoise[710] [711] pour lutter contre la Pandémie Covidienne, donc à l’encontre la couronne nécro-moléculaire d’oxyde de graphène. Le premier complexe est dénommé « Lianhua Qingwen JiaoNang ». En hommage à la médecine traditionnelle chinoise multimillénaire, voici la recette, car ce complexe médicinal qui peut, même, servir pour les grippes diverses et variées ou pour tout problème pulmonaire ou respiratoire.[712]

Le « Lianhua Qingwen JiaoNang » contient : Isatis indigotica, Forsythia suspensa, Lonicera japonica, Rhodiola rosea, Glycyrrhiza glabra, Ephedra sinica, Houttuynia cordata, Dryopteris crassirhizoma, Pogostemon cablin, Rheum officinale, Prunus armeniaca, Mentha haplocalyx et Gypse.

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de novembre 2020, sur les Isatis : « Les Qualités Extrêmement médicinales du Pastel des Teinturiers ».[1271]

Le second complexe se nomme « Granules de Jinhua Qinggan » et il fut développé lors de la fausse pandémie de grippe de 2009.

« Jinhua Qinggan » est constitué par la somme de deux complexes traditionnels. Le premier est une décoction dénommée « Maxing Shigan » mentionnée dans le Traité « Shanghan Lun » de Zhang Zhongjing — au 3 ème siècle. « Maxing Shigan » est constitué de Glycyrrhiza glabra (Réglisse), Ephedra sinica (Ephedra chinois), Prunus armeniaca (Noyau d’abricot), et Mentha haplocalyx. Le second est la « Poudre de Yinqiao » mentionnée dans le Traité « Wenbing Tiaobia » de Wu Jutong — en 1798. « Yinqiao » est constitué de Ephedra sinica (Ephedra chinois), Lonicera japonica (Chèvrefeuille du Japon), Forsythia suspensa, Platycodon grandiflorus (Campanule à grands fleurs), Arctium lappa (Grande Bardane), Mentha haplocalyx, Lophatherum gracile, Schizonepeta tenuifolia, Phragmites communis, Glycyrrhiza glabra (Réglisse) et Glycine soya (Soja).

Le troisième complexe se nomme « Injection de Xuebijing ». Il est, même, référencé par l’organisation Cochrane afin de traiter l’empoisonnement au paraquat — un toxique très violent de la multinationale criminelle Syngenta.[1273]

« L’injection de Xuebijing » est composée des espèces médicinales suivantes : Salvia miltiorrhiza, Angelica sinensis, Carthamus tinctorius, Ligusticum wallichi et Paeonia rubra.

Au-delà des plantes médicinales promues en Chine, durant la fausse pandémie, il existe une très grande diversité d’espèces de plantes médicinales antioxydantes dans la Médecine traditionnelle chinoise. Une étude, de 2003, intitulée « Antioxidant activity and phenolic compounds of 112 traditional Chinese medicinal plants associated with anticancer » décline 112 espèces médicinales possédant une activité antioxydante et des composés phénoliques.[1274]

Voici quelques-unes de ces espèces médicinales chinoises cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe : Artemisia annua, Artemisia argyi, Arctium lappa, Lonicera japonica, Dianthus superbus, Terminalia chebula, Carthamus tinctorius, Chrysanthemum indicum, Isatis indigotica, Trichosanthes kirilowii, Juglans regia, Prunella vulgaris, Salvia miltiorrhiza, Scutellaria baicalensis, Scutellaria barbata, Cinnamomum cassia, Astragalus mongholicus, Glycyrrhiza uralensis, Magnolia officinalis, Schisandra chinensis, Polygonum multiflorum, Polygonum cuspidatum, Portulaca oleracea, Punica granatum, Paeonia lactiflora, Rosa chinensis, Rubia cordifolia, Houttuynia cordata, Hyoscyamus niger, Solanum nigrum, Lycium barbarum, Camellia sinensis, Angelica sinensis, Foeniculum vulgare, Curcuma longa, Zingiber officinale.

Je renvoie le lectorat vers mes monographies médicinales, de 2018, sur les Artemisia.[1282] [1283] [1284] Au sujet des capacités des plantes (et des médications) antipaludiques, il est à signaler une étude, d’août 2021, intitulée « Profound and persistent disparity in COVID-19 mortality rates between USA/Western Europe and sub-Saharan Africa: A crossover effect of antimalarial drugs? »[1291]. Cette étude présente l’hypothèse selon laquelle la mortalité attribuée aux symptômes du CoqueVide est très basse en Afrique subsahélienne (par rapport à l’Europe de l’Ouest et de l’Amérique du Nord) de par le fait que ces pays se soignent, communément, à l’encontre de l’impact de la malaria — soit avec des plantes médicinales (telles que Artemisia annua ou Artemisia afra), soit avec des médications conventionnelles anti-malariales (telle que l’Hydroxychloroquine).

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de juin 2020, sur les Angéliques : « Les Angéliques : des Messagères de la Terre pour Réanimer les Terriens ».[1285]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de février 2019, sur les Dianthus : « Les Oeillets, et autres Dianthus, dans la Pharmacopée et dans la Magiacopée Familiales ».[1286]

Une autre étude, de 2003, intitulée « Antioxidant and anti-inflammatory activities of selected Chinese medicinal plants and their relation with antioxidant content » décline 44 espèces médicinales possédant une activité antioxydante.[1278]

Voici quelques-unes de ces espèces médicinales chinoises cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe — non mentionnées dans l’étude précédente : Leonurus japonicus, Artemisia vulgaris, Sanguisorba officinalis, Pogostemon cablin, Platycodon grandiflorus.

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de juin 2020, sur les Leonurus : « Les Qualités médicinales des Leonurus aux Queues de Lions ».[1281]

Une étude, de 2005, intitulée « Antioxidant Capacity of 26 Spice Extracts and Characterization of Their Phenolic Constituents »[1287] a analysé le potentiel antioxydant de 26 épices ou plantes condimentaires — de divers continents. Les espèces en possédant le plus sont les suivantes, par ordre décroissant : Syzygium aromaticum (Clou de girofle), Cinnamomum zeylanium (Cannelle de Ceylan), Origanum vulgare (Origan), Cinnamomum cassia (Cannelle de chine), Salvia officinalis (Sauge officinale), Thymus vulgaris (Thym officinal), Laurus nobilis (Laurier noble), Rosmarinus officinalis (Romarin officinal), Mentha canadensis (Menthe du Canada) et Ocimum basilicum (Basilic).

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de décembre 2017, sur les Basilics et Tulsi : « Tulsis et autres Vérités Basilico-moléculaires pour se libérer de la Terreur Pharmacratique ».[1288]

Les plantes médicinales, de la Pharmacopée ayurvédique, possédant une activité antioxydante sont, également, très nombreuses. En voici quelques-unes cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe : Withania somnifera (Ashwagandha), Centella asiatica, Asparagus racemosus, Bacopa monnieri, Curcuma longa (Curcuma), Camellia sinensis (Thé), Cinnamomum verum (Cannelle), Emblica officinalis, Ocimum tenuifolium (Tulsi), Terminalia bellerica, Zingiber officinalis (Gingembre).[1289]

Concernant le Camellia sinensis, il existe une étude de 2020, portant sur une méthode « écologique » de réduire l’oxyde de graphène avec du thé vert.[1419]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de février 2018, sur le Withania : « L’Ashwagandha : une pharmacopée millénaire, naturelle et très puissante ».[1290]

Il existe, d’ailleurs, une étude, de 2016, portant sur une méthode « écologique » de réduire un composé d’oxyde de graphène/oxyde de fer/palladium avec un extrait de Withania coagulans — une espèce d’importance médicinale, et économique, en Inde — qui, tout comme Withania somnifera, possède de fortes capacités antioxydantes. Les Withania sont les Ginsengs de l’Inde.[1496]

Le Charbon de Bois Activé

Nous invitons le lectorat à consulter deux excellents articles de Jean-Baptise Loin dont le dernier, qui porte sur le charbon traditionnel japonais, est intitulé — à très juste titre : « Le plus puissant des charbons actifs adsorbe les nanoparticules ».[1292] [1293] En ce qui concerne ce présent dossier, le charbon actif est thérapeutique en ce qui concerne les pollutions vaccinales et médicamenteuses ; la purification des voies sanguines, hépatiques, intestinales, digestives et urinaires ; l’accumulation des métaux lourds, nanoparticules et autres isotopes radioactifs.

Certaines études préconisent, dans des cas d’intoxication aiguë, d’administrer une très grosse dose dans l’heure qui suit l’empoisonnement — par exemple, une injection vaccinale. Dans ce cas, la posologie est de 0,5 à gramme par kilo de poids corporel — donc, à savoir, environ 50 grammes pour un adulte.[1294]

Tout comme pour les zéolithes, et autres formes d’argiles, il est fortement conseillé de manipuler les charbons de bois actifs avec une cuillère en bois ou en plastique — et non pas en métal — afin de ne pas désactiver les vertus thérapeutiques de ces substances.

Si le Charbon de bois activé est efficace dans le traitement des eaux usées, afin de les décontaminer de la présence de nanoparticules, il en est de même pour le corps de la Terre ou le corps humain. Il existe une étude récente, publiée en 2021, dont l’intitulé est : « Preparation of biochar and biochar composites and their application in a Fenton-like process for wastewater decontamination: A review ».[1295]

Avec le charbon de bois activé, nous avons une substance naturelle, à base de carbone, qui est extrêmement médicinale et qui nous permet de lutter contre l’empoisonnement généré par des formes, non naturelles, et synthétiques, de carbone — à savoir tous les produits industriels à base de graphène.

Il est à signaler, d’ailleurs, que les scientifiques ne possèdent aucune limite dans leurs expérimentations criminelles. Il existe, même, des études portant sur des composés de biochar (charbon actif) enrobé d’oxyde de graphène — prétendument pour éliminer le strontium, le chromium, le plomb, le cuivre — et même le biocide atrazine.[1296] [1297] [1298] [1299] [1300]

Les Zéolithes

Les Zéolithes constituent des substances éminemment thérapeutiques pour décontaminer le corps animal ainsi que le sol des jardins et des champs. En effet, les Zéolithes constituent des substances médicinales extrêmement efficaces, et antioxydantes, pour éliminer les radicaux libres, les métaux lourds et les isotopes radioactifs. Il existe trois sortes principales de zéolithes : fibreuse, feuillée ou cristalline. L’usage médical concerne la zéolithe cristalline qui contient des quantités élevées de clinoptilolithe.

Au printemps 2011, à la suite du désastre nucléaire de Fukushima, j’ai proposé mes traductions de quelques textes ayant trait à leur action thérapeutique : « Zéolithes médicinales pour se Décontaminer et se Déshalluciner le Mental ».[716]

« La zéolithe est une roche cristalline étonnante qui est capable d’adsorber et d’absorber de nombreux types différents de gaz, d’humidité, de pétrochimiques, de métaux lourds et d’éléments faiblement radioactifs et une multitude de composés divers. Les canaux dans la zéolithe pourvoient de très larges surfaces sur lesquelles des réactions chimiques peuvent prendre place. Les cavités et les canaux à l’intérieur de la zéolithe peuvent occuper jusqu’à 51 % de son volume. La zéolithe peut adsorber et absorber de larges quantités de substances, tels que des ions ou des molécules gazeuses.

La zéolithe se caractérise par une structure extrêmement dure, microporeuse et en nid d’abeille. Ces cavités et ces canaux constituent des ouvertures en lesquelles des minéraux ou des métaux lourds peuvent se lier. L’atome de silice possède une charge électrique neutre tandis que l’atome d’aluminium possède une charge électrique négative : il en résulte des sites chargés au sein de la structure cristalline. Le processus d’équilibrage, qui est à l’œuvre afin de maintenir la neutralité électrique dans la clinoptilolithe, attire des minéraux de charge positive tels que le calcium, le magnésium, le potassium, le sodium et le fer. Ces cations communs (à savoir des ions chargés positivement) peuvent être aisément déplacés par des métaux lourds (tels que le cadmium, le mercure, le nickel et l’arsenic) pour être ensuite délogés du corps. La zéolithe possède une affinité élevée pour piéger le plomb, le cadmium, l’arsenic, le mercure et d’autres métaux potentiellement dangereux. Au travers du processus d’échange de cations, la zéolithe peut abaisser l’exposition totale aux métaux lourds chez un individu. Cela permettrait d’influer, de manière conséquente, sur la réduction de certains cancers et de pathologies cardiaques.

L’ingestion de la zéolithe peut être comparée à la consommation d’argile considérée, dans la médecine traditionnelle, comme un remède pour diverses maladies. En raison des propriétés d’échanges d’ions, la zéolithe peut modifier le contenu ionique, le pH, la capacité de protection des sécrétions gastro-intestinales et affecter le transport au travers de l’épithélium intestinal. La zéolithe peut avoir également une influence positive sur la flore bactérienne et la résorption des vitamines et des oligoéléments. » Nature’s Heavy Metal Detoxifier. 2006. Dr Howard Peiper. Traduction de Xochi.

Les Micro-Organismes efficaces du Professeur Teruo Higa

On peut, également supputer que certaines soupes de micro-organismes — tels que les micro-organismes efficaces du Professeur Teruo Higa — soient capables de désintégrer l’oxyde de graphène, et autres formes de carbone/graphène, s’ils sont capables de digérer les métaux lourds dans le sol

Cf. l’étude, de 2017, intitulée « Biodegradation of graphene oxide-polymer nanocomposite films in wastewater » portant sur la dégradation d’oxyde de graphène par les micro-organismes des eaux usées.[1156]

Le Dioxyde de Chlore

Il existe, de plus, de par le monde un très grand nombre de thérapeutes prescrivant du dioxyde de chlore à l’encontre des symptômes, prétendument Covidiens. Au Mexique, par exemple, le Dr Pedro Chávez est le président d’une organisation, la Comusav, regroupant 5000 médecins, dont l’objectif est de soigner tous ceux souffrant de symptômes, prétendument Covidiens, avec le dioxyde de chlore.[686]

En Espagne, le célèbre exposant du dioxyde de chlore est le pionnier Josep Pamies — à Ballaguer. Et si le dioxyde de chlore fonctionne à l’encontre du CoqueVide/19… c’est qu’il fonctionne à l’encontre de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.

J’invite le lectorat à consulter le dossier d’Andreas Kalcker sur les diverses méthodes de préparation du dioxyde de chlore :[1621]

Andreas Kalcker est l’auteur de l’ouvrage « Salud Prohibida », de 400 pages, aux Éditions Voedia.

Le dioxyde de chlore est juste le gaz de réaction du chlorite de sodium (NaClO2) activé avec un acide, qui est très soluble dans l’eau et s’évapore à 11 °C.

Le MMS est le mélange de chlorite de sodium (NaClO2) activé avec de l’acide citrique qui contient du chlorite de sodium et est de pH acide. MMS C’est le nom que Jim Humble a donné au mélange de chlorite de sodium (NaClO2) activé par l’acide citrique, à l’époque.

Le CDS est une solution aqueuse concentrée de 0,3 % (3000 ppm) de dioxyde de chlore gazeux, sans teneur en chlorite de sodium (NaClO2) dans la solution et a un pH neutre.

Selon Andreas Kalcker, on peut trouver à l’heure actuelle 1326 études scientifiques sur le dioxyde de chlore dans PubMed, où la plupart d’entre elles se concentrent sur la sécurité de la toxicité en consommation. Il existe relativement peu d’articles qui étudient l’efficacité thérapeutique à ce jour.

Le Zinc

Les chercheurs de la Quinta Columna ont découvert que le graphène détruit le zinc dans le corps humain… ce qui n’est pas une bonne nouvelle, car lorsque le zinc est déficient, le corps humain ne possède pas les enzymes adéquates pour synthétiser le glutathion.

Ils ont, également, mis en exergue qu’il existe de nombreuses études analysant le dysfonctionnement érectile de personnes qui ont été supposément contaminées par le CoqueVide/19.[592] [593] [594] [595] [596] Certains auteurs tentent d’expliquer que ce dysfonctionnement érectile Covidien pourrait être induit par un blocage de la circulation sanguine vers le pénis ; ou induit par du stress, de l’anxiété et de la dépression provoquées par le virus ; ou induit par un mauvais état de santé généralisé provoqué par des complications Covidiennes.[591] En fait, ce dysfonctionnement érectile est induit par l’empoisonnement au graphène.

L’Acide shikimique

L’acide shikimique peut, également, être utilisé pour réduire l’oxyde de graphène : il possède une activité antioxydante, anticoagulante et anti-inflammatoire.

Depuis l’émergence de la fausse pandémie — et l’hystérie concernant le protéine Spike du coronavirus inexistant — de nombreux articles, commentaires et vidéos ont évoqué l’utilisation des aiguilles de conifères afin d’en extraire l’acide shikimique.

Une étude intitulée « Content Analysis of Shikimic Acid in the Masson Pine Needles and Antiplatelet-aggregating Activity » a mis en valeur son potentiel anticoagulant du sang : il inhibe, en effet, l’agrégation plaquettaire, la thrombose artérioveineuse et la thrombose cérébrale.[1443] Selon cette étude, le Pin (Pinus Massoniana), le Thuya d’Orient (Platycladus orientalis) et la Badiane de Chine (Illicium verum) contiennent de l’acide shikimique, respectivement, à hauteur de 5,71 %, 1,74 % et 8,95 %.

Dans les conifères, on trouve une abondance d’acide shikimique :

Dans les Pins : par exemple, Picea koraiensis, Picea meyeri, Pinus elliottii[1517] et Pinus banksiana qui sont les espèces de pins chinois les plus médicinales en ce qui concerne l’extraction de l’acide shikimique.[1509] Pin de Mason (Pinus massoniana)[1514]. Pin rouge du Japon (Pinus densiflora)[1510]. Pin Mugo (Pinus mugo)[1511]. Pin Sylvestre (Pinus sylvestris)[1512]. Pin Chilgoza (Pinus gerardiana)[1513]. Pin d’Armand (Pinus armandi)[1515]. Pin du Yunnan (Pinus yunnanensis)[1516]. Pin blanc (Pinus strobus)[1518]. Pin maritime (Pinus pinaster)[1519]. Pin de Meyer (Picea meyeri)[1521]. Epicea bleu (Picea pungens)[1522]. Epicea blanc. (Picea glauca)[1522]. Pin rouge (Pinus resinosa)[1523].

Dans les Thuya : par exemple, Thuya d’Orient (Platycladus orientalis).[1520]

Dans les Cèdres : par exemple, Cédre de l’Himalaya (Cedrus deodara)[1508].

L’acide shikimique se trouve, également, dans : les graines de Fenouil (Foeniculum vulgare), les graines de Coquelicot rouge (Papaver rhoeas) ; les graines et l’écorce d’Anis étoilé ou Badiane de Chine (Illicium verum) ; les graines, les feuilles et l’écorce de la Badiane Japonaise (Illicium anisatum) ; les feuilles d’Absinthe (Artemisia absynthium)[1444] ; l’écorce et les graines de Liquidambar (Liquidambar styraciflua)[1445] ; dans les tubercules du Topinambour (Helianthus tuberosus) ; dans les rhizomes de l’Iris des marais (Iris pseudoacorus) ; dans le phloème du Thuya géant (Thuya plicata) ; dans les Dattes (Phoenix dactylifera) ; dans les tubercules du Dahlia (Dahlia variabilis) ; dans les fruits du Pommier microcarpe de Sibérie (Malus baccata) ; dans les fruits du Poirier (Pyrus communis) ; dans les fruits des Groseillers (Ribes sp.) ; dans les feuilles de Ginkgo (Ginkgo biloba) ; l’écorce et les feuilles de Magnolia (Magnolia grandiflora) ; dans toutes les parties du Poivre de Chine (Houttuynia cordata) ; dans les tiges et feuilles du Saxifrage araignée (Saxifraga stolonifera) ; dans les graines de l’Arjuna (Terminalia ajurna) ; dans toutes les parties du Pistachier (Pistacia lentiscus) ; dans les feuilles de Consoude (Symphytum officinalis) ; dans toutes les parties de l’Agastache (Agastache urticifolia) ; dans les feuilles de l’Inule (Inula helenium) ; dans toutes les parties du Millepertuis (Hypericum sp.) ; dans les feuilles du Gymnema sylvestre (Gymnema sylvestris) ; dans les graines du Myrobalan noir (Terminalia chebula) ; dans les fleurs et feuilles de la Grande Camomille (Tanacetum parthenium) ; dans le jus de feuilles du Blé (Triticum aestivum) ; dans les parties aériennes de la Chélidoine (Chelidonium majus) ; dans les racines de Carotte (Daucus carota) ; dans les feuilles de Vératre vert (Viratrum viride) ; dans les fruits du Schisandra (Schisandra chinensis).[1449]

Parmi toutes ces espèces végétales, les plus grandes quantités d’acide shikimique se trouvent dans les Badianes, dans les Pins, dans le Poivre de Chine.

On trouve, également, de l’acide shikimique dans les graines germées de légumineuses, Haricots, Mung, Soja, Luzerne…

C’est, peut-être, en partie, en raison de la présence de cet acide shikimique que l’oxyde de graphène peut être réduit avec l’eau de trempage des Mung Bean (Vigna radiata).[1423]

Selon l’étude « Shikimic acid: review of its analytical, isolation, and purification techniques from plant and microbial sources »[1446], les feuilles de Consoude contiendraient 12,5 % de leur poids sec en acide shikimique, les feuilles de Ginkgo 10 %, les feuilles d’Agastache à feuilles d’ortie 8,5 %.

Il existe une étude, de 2018, sur la réduction de l’oxyde de graphène avec l’acide shikimique : « Green Synthesis of Reduced Graphene Oxide Nanosheets Using Shikimic Acid for Supercapacitors ».

Selon un brevet déposé en 2015, « Isolation and Purification of Shikimic Acid »[1447], l’acide shikimique se trouve non seulement dans les feuilles d’Agastache urticifolia mais, également, dans les feuilles d’Agastache rugosa et d’Agastache foeniculum.

Les Agastaches constituent des Plantes médicinales maîtresses et je renvoie le lectorat vers ma monographie intitulée « Les Agastaches pour soigner la malaria, la dépression, les cancers, les hépatites ».[1448]

Les Protocoles Anti-Graphène

Le protocole anti-CoqueVide/19 — donc, en vérité, le protocole anti-Graphène — proposé par le site de la Médecine Fonctionnelle comprend : la curcumine, la Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baikalensis), le Sureau (Sambucus nigra), la Réglisse (Glycyrhiza sp.), la Chirette verte (Andrographis paniculata), une Astragale (Astragalus membranaceus), la Mélatonine, les Vitamines A, C et D, le Zinc, la Quercétine, la Lutéoline, la N-Acétylcystéine, le Resveratrol, le Gallate d’épigallocatéchine, le Palmitoylethanolamide, les Champignons médicinaux (Shiitake, Lentinula edodes; Lion’s Mane, Hericium erinaceus; Maitake, Grifola frondosa; Reishi, Ganoderma lucidum), la berbérine et les β-glucanes.[707] [708] [709]

Selon une étude, de 2014, il est possible de réduire l’oxyde de graphène avec les champignons Ganoderma.[1418]

Le protocole du Dr Vladimir Zelenko comprend la quercétine, la vitamine D3, la vitamine C, le zinc, l’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine.[1301] C’est ce médecin US qui a introduit l’Hydroxychloroquine auprès du président Trump.

Dr Vladimir Zelenko, un médecin juif orthodoxe d’origine ukrainienne, a été complètement censuré par les GAFAM[1319] parce qu’il affirme que les injections anti-CoqueVide/19 constituent un vecteur de génocide global. Le Dr Vladimir Zelenko a même évoqué, dernièrement, le génocide, et donc l’Holocauste, du Peuple d’Israël — par le biais des injections anti-CoqueVide/19 — devant un comité de rabbins juifs orthodoxes anti-vaccinalistes… que Rudy Reichstadt, le conspirationniste[1131], qualifierait, assurément, de rabbins « anti-sémites » et complotistes.[1129] [1130]

Très récemment, lorsqu’interviewé par Stew Peters, aux USA, le Dr Vladimir Zelenko a déclaré que le CoqueVide/19 : « est une arme biologique conçue pour isoler l’Humanité et pour induire une peur pathologique et pathogénique qui est, subséquemment, instrumentalisée par les financiers afin de manipuler le comportement humain et de l’entraîner dans une course d’actions irrationnelles. » Il est convaincu que le CoqueVide/19 ne représente aucune menace, car c’est une psyops — à savoir, une opération psychologique spéciale. Pour lui, l’objectif est de génocider des milliards d’individus.[1302]

[Voir aussi :
Dernier message du Dr Vladimir Zelenko (1973-2022)
En souvenir du Dr Valadimir Zelenko : médecin, scientifique, activiste
Dr Zelenko : « C’est l’heure du choix. »
Qui sont les responsables de la crise mondiale Covid-19 ?
Dr Vladimir Zelenko : « C’est un génocide »
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français !]

Autres Substances Anti-Oxydantes et réductrices de l’Oxyde de Graphène

Le Chénopode blanc (Chenopodium album). Une étude, de juin 2020, a été publiée portant sur la réduction de l’oxyde de graphène au moyen d’un extrait de Chénopode blanc. [1485]

Le Chénopode blanc possède de fortes capacités antioxydantes et il existe une pléthore d’études le démontrant.[1486] [1487] [1488] [1489]

L’Hespéridine. Selon l’Institut de Cardiologie de Montréal — et selon une étude égyptienne publiée en novembre 2020 — l’hespéridine, un bioflavonoïde, constituerait un puissant anti-CoqueVide/19 !![693] [694] On trouve de l’hespéridine dans les pétales de Dahlia, dans les Citrus et dans la Menthe poivrée.

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale sur les Dahlias : « Les Qualités médicinales des Dahlias »[1524]

L’hespéridine possède des propriétés neuro-protectrices, anti-inflammatoires, antioxydantes, anti-athérosclérotiques, cardioprotectrices, anti-carcinogéniques, anti-mutagéniques, antidiabétiques, anti-hyperlipidémiques, anti-hypertensives, veinotoniques.

Le Raifort. Dans le registre de la dégradation de l’oxyde de graphène par la myéloperoxydase, et d’autres peroxydases[1157] [1158] on peut signaler la peroxydase du raifort[1160].

L’Oxyde nitrique. Une étude a été récemment publiée, en août 2021, qui s’intitule « Clinical efficacy of nitric oxide nasal spray (NONS) for the treatment of mild COVID-19 infection » qui affirme que l’oxyde nitrique, ou monoxyde d’azote, en spray nasal, est capable de détruire la charge Covidienne de 95 % en 24 heures et de 99 % en 72 heures.[1150] Si on laisse de côté le fait que personne ne puisse déterminer la charge virale d’un virus inexistant, il reste à s’enquérir du fait de savoir si le monoxyde d’azote permet de désintégrer l’oxyde de graphène dans le corps.

Selon une étude récente, de 2020, intitulée « Nitric oxide-dependent biodegradation of graphene oxide reduces inflammation in the gastrointestinal tract », c’est le cas.[1153] L’oxyde nitrique peut participer à la biodégradation de l’oxyde de graphène.

Il existe quelques études — telles que « The green reduction of graphene oxid »[1420] ou « Green reduction of graphene oxide by aqueous phytoextracts »[1426] — qui font le point sur les diverses méthodes « vertes » (à savoir non polluantes et non toxiques) de réduire l’oxyde de graphène.

Il est à noter que, selon cette étude, l’un des agents réducteurs les plus rapides est l’épinard, Spinacia oleracea.[1525]

L’épinard a, déjà, fait parler de lui, en octobre 2016, dans l’étude intitulée « Nitroaromatic detection and infrared communication from wild-type plants using plant nanobionics » — publiée dans Nature. Il s’agit d’un domaine dénommé nano-bioniques végétales dont la mission est d’insérer des fonctions, non-originelles, dans des plantes en les interfaçant avec certaines nanoparticules. En l’occurrence, il s’agit d’une étude portant sur un épinard, manipulé génétiquement, qui se transforme en pré-concentrateur autopropulsé, en plate-forme de communication infrarouge, etc. — et qui peut envoyer des messages à un téléphone mobile.[1527] Tout va bien ?

Il paraîtrait, même, que les épinards, ainsi génétiquement modifiés avec des nanoparticules, seraient capables de nous prévenir au niveau du « changement climatique ».[1528] Si cette étude était récente, on pourrait croire qu’il s’agisse d’un cas désespéré de CoqueVide psychiatrique…

Au fait, les nanoparticules insérées dans les épinards, branchés sur téléphone mobile, sont à base de graphène — et plus spécifiquement de nanotubes de carbone.[1529]

Les substances, plantes, minéraux, etc., capables d’opérer cette réduction y sont déclinés. En voici une liste partielle afin d’initier de nouvelles pistes de recherches quant à la destruction, dans l’organisme, des diverses formes de graphène :

Glutathion, cystéine, valine, lysine, alanine[1433], bicarbonate de soude, bêta-carotène, dopamine[1482] [1462], acide caféique[1422], racines de carottes sauvages[1429], caséine, mélasse[1460], cannelle, clou de girofle, eau de noix de coco[1501], curcumine, acide formique, jus de raisin, thé vert[1425], vitamine C[1427] [1428], mélatonine[1430], zinc, acide oxalique, jus de grenade[1502], eau de rose, levures nutritionnelles, urine de vache[1436], feuilles d’Érable du Japon (Acer palmatum) ; feuilles du Platane d’Orient (Platanus orientalis), feuilles de Pomme Cannelle (Annona squamosa).[1450]

Il est, également, possible de réduire l’oxyde de graphène avec de l’amidon : de pomme de terre, de patate douce ou bien de maïs.[1459] Et avec du resvératrol[1463] que l’on trouve dans : raisins, arachides crues, mûres, myrtilles, cassis, framboises, canneberges, fèves de cacao, pistaches, Renouée du Japon (Polygonum cuspidatum/Fallopia japonica). Ainsi qu’avec de l’acide fulvique.[1526]

Ainsi que les espèces botaniques suivantes : Terminalia chebula (Myrobalan noir), Hibiscus sabdariffa (Oseille de Guinée), Spinacia oleracea (Épinard), Ginkgo biloba (Arbre aux quarante écus)[1432], Colocasia esculenta (Oreilles d’Éléphant), Citrus sinensis (Oranger)[1431], Prunus serrulata (Cerisier), Magnolia grandiflora (Magnolia), Salvadora persica (Arak)[1434], Citrus grandis (Pamplemousse), Tamarindus indica (Tamarinier)[1435], Salvia spinosa.[1500]

De plus, il existe d’autres études pour réduire l’oxyde de graphène, avec diverses espèces végétales : de 2014, avec l’eau de trempage des Mung Bean (Vigna radiata)[1423] ; de 2019, avec l’Ortie (Urtica sp.)[1421] ; de 2020, avec les écorces du fruit de citron lime (Citrus hystrix)[1424] ; avec les feuilles d’Eucalyptus [1490] ; avec le Gros Thym Antillais (Plectranthus amboinicus)[1494] ; l’extrait de Radis (Raphanus sativus)[1495] ; le jus de Figues (Ficus carica)[1497] ; l’extrait d’Oignon (Allium cepa)[1498] ; l’extrait de Chou-Rave (Brassica oleracea var. gongylodes)[1499] ; l’extrait de Tridax procumbens[1461].

Il existe une méthode « écologique » de réduire l’oxyde de graphène par le jus de l’espèce Calotropis gigantea.[1492] Il fait d’ailleurs signaler que Calotropis gigantea, tout comme Calotropis procera, possède des qualités antioxydantes. Calotropis procera constitue, de plus, une plante antipaludique en Afrique de l’Ouest. J’aime beaucoup cette Famille des Apocynacées (anciennement Asclépiadacées) et je possède, d’ailleurs, une belle collection de photos d’Asclepias, des USA, que je n’ai pas eu le temps de toutes mettre en ligne.[1493]

Il n’est nul besoin de préciser que si toutes ces espèces végétales sont utilisées pour réduire l’oxyde de graphène, c’est qu’elles ont été amplement étudiées, in vitro ou in vivo, depuis de nombreuses années, pour leurs capacités extrêmement antioxydantes. Il en est ainsi, du jus de Figue, de l’extrait d’Oignon, de l’extrait de Chou-Rave, de l’Épinard, etc., etc.




L’anglo-sionisme et la confédération européenne

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Batiushka

Introduction : Les origines de l’anglo-sionisme

Lorsque j’ai découvert le Saker en 2014, j’ai tout de suite découvert son terme de génie « anglo-sionisme ». Après tout, c’est exactement ce dont il s’agit. C’est l’anglo-sionisme qui empoisonne le puits européen depuis plus de 300 ans. Les banquiers qui ont quitté Venise pour Amsterdam, puis se sont installés à Londres, après avoir financé leur agent, le sanguinaire anglo Cromwell, et ont ainsi placé la monarchie anglaise sous le contrôle des banquiers-commerçants (« parlementaires »), en fondant la Banque d’Angleterre en 1694 et en soudoyant les Écossais pour qu’ils s’unissent en 1707, étaient sionistes.

C’est ainsi qu’est né l’anglo-sionisme. Les Anglos étaient les commerçants de l’impérialisme britannique et les sionistes étaient les banquiers de l’impérialisme britannique, quelle que soit leur nationalité. Bien sûr, il y a eu des mélanges, certains anglos devenant banquiers et certains sionistes devenant commerçants, allant par exemple jusqu’à se rendre aux Caraïbes pour le commerce des esclaves, dont la famille de l’ancien Premier ministre britannique Cameron a tiré des millions. Et l’arrière-arrière-grand-père de M. Cameron était un banquier juif allemand qui est devenu citoyen britannique en 1871. Le monde est petit.

L’Anglo-Sionisme en Europe

De tout cela est né le système politique anglo-sioniste. En général, le parti de droite (les Tories) était composé d’Anglos, le parti de gauche (aujourd’hui appelé Labour) était composé de Sionistes, bien qu’il y ait eu des exceptions ; par exemple, le Premier ministre juif Disraeli, était dans le parti de droite. Ce système a perduré au Royaume-Uni jusqu’à aujourd’hui, où, sans surprise, on parle de la civilisation « judéo-chrétienne ». Ainsi, les ministres du régime Blair, prétendument travaillistes, étaient presque tous écossais, homosexuels et juifs.

Lorsque l’ultra-tory Blair, « fils de Thatcher », a été renvoyé après avoir fait son devoir, un homme appelé Jeremy Corbyn a fini par devenir le chef du parti travailliste. Contrairement à Blair, il était en fait de gauche, un socialiste convaincu. Par conséquent, il était naturellement pro-palestinien et a été immédiatement qualifié d’« antisémite » par la presse britannique anglo-sioniste. Ils se sont débarrassés de lui par le biais d’intrigues, notamment en l’incitant à être anti-Brexit (deux tiers de ses partisans, sa colonne vertébrale de la classe ouvrière, étaient pro-Brexit et ont donc, contre toute attente, mais sans autre choix, voté Tory pro-Brexit). Corbyn a été remplacé par un millionnaire de l’establishment appelé Starmer, qui ressemble à une découpe en carton d’un Tory. Comment a-t-il obtenu ce poste ? Tout simplement parce qu’il est marié à une juive et que ses enfants sont donc juifs.

Cependant, le même système a été exporté dans toute l’Europe. En Union soviétique, l’idéologue de la Troisième Internationale était Bronstein (Trotsky) qui voulait une révolution mondiale. En Roumanie, l’homme qui a remplacé Ceausescu en 1989 était un Juif. L’actuel dirigeant roumain est un Allemand. La situation en Ukraine est bien connue, du milliardaire marchand d’armes Porochenko (de son vrai nom Walzman) à l’acteur millionnaire Zelensky (son nom est probablement une traduction de Gruen). En France, le lobby sioniste est fort depuis le 19e siècle. Bien que l’actuel président français Macron soit français, il est un banquier de Rothschild. Le franco-sionisme. Il existe des dizaines d’autres exemples à travers l’Europe au cours des 300 dernières années, en particulier depuis Napoléon.

L’anglo-sionisme aux États-Unis

Cependant, le principal bastion de l’anglo-sionisme est sans aucun doute les États-Unis, que les banquiers de Londres ont sérieusement colonisés pendant la Première Guerre mondiale, notamment lors du tournant de 1916, lorsqu’il est devenu évident pour l’organisation de la Table ronde qu’il n’y aurait qu’un seul vainqueur, ni l’Allemagne, ni la Grande-Bretagne, mais les États-Unis. Dès que la Russie a été retirée de l’équation par les banquiers américains via leurs agents britanniques et les traîtres russes à Petrograd au début de 1917, les premières troupes américaines sont apparues en France moins d’un mois plus tard. Tout avait été planifié à l’avance.

Aujourd’hui, aux États-Unis, le parti républicain représente les anglos et le parti démocrate les sionistes. Le milliardaire Trump, comme Bush, est un WASP nationaliste anglophone typique : L’Amérique d’abord. En revanche, Biden est un sioniste typique, tout comme Obama et Clinton avant lui, mais tout à fait différent de Kennedy. Un accident électoral, il devait bien sûr être éliminé. Et il l’a été.

Pendant 250 ans, les anglos et les sionistes ont travaillé ensemble aux États-Unis, ils avaient les mêmes intérêts personnels — l’argent et le pouvoir. Cependant, il y a maintenant des discussions entre eux concernant l’Ukraine. Déjà la moitié des républicains anglophones veulent quitter l’Ukraine. C’est trop coûteux et ils veulent sauver les États-Unis (et leur propre fortune) de ses multiples blessures auto-infligées, juste au cas où ils sombreraient. Mais les sionistes pensent de la même manière de leur point de vue. Il n’y a qu’une seule solution.

L’Ukraine

Les Anglos voulaient l’Ukraine afin de vaincre leur rival traditionnel, la Russie. Cependant, pour les sionistes, l’Ukraine avait un autre objectif, celui de détruire l’Europe blanche, le même objectif qu’ils avaient en fomentant la Première et la Deuxième Guerre mondiale, afin d’assurer la domination sioniste du monde — le « globalisme ». Tous les néoconservateurs ne sont pas des Wolfowitz, des Kagans et des Nulands. Beaucoup sont des anglos. Aujourd’hui, nous constatons déjà que les Républicains commencent de plus en plus à soutenir Zaluzhny, le commandant militaire de Kiev, tandis que les Démocrates soutiennent toujours le juif Zelensky, mais hésitent maintenant.

À l’origine, les Républicains voulaient affaiblir la Russie. Les Républicains sont nationalistes, les Russes aussi. Ils commencent à comprendre que la Russie ne veut pas recréer l’empire soviétique ou un autre type d’empire, qu’elle veut seulement protéger les Russes, pas envahir d’autres pays. En tout cas, ils ne vont pas affaiblir davantage la Russie par le biais de l’Ukraine. Tout ce qu’ils ont fait jusqu’à présent, c’est de renforcer la Russie. L’Ukraine n’a pas rempli son rôle. Quant aux sionistes, ils sont heureux de tuer le plus grand nombre possible d’Européens blancs, en particulier les Russes et les Ukrainiens, mais ils veulent avant tout le pouvoir mondial.

Les intérêts des anglos et des sionistes coïncident. Car si les Russes ne veulent finalement pas de la puissance mondiale, alors le vrai rival est la Chine, qui a une vraie puissance mercantile. Par conséquent, le pivot vers la Chine, où il y a de l’argent réel. Une fois que les États-Unis auront perdu en Ukraine, et Kadyrov prédit avec confiance que ce sera fini d’ici la fin de 2023, les États-Unis tourneront leur attention vers la Chine. Mais c’est déjà le cas. C’est d’ailleurs le but du spectacle de ballons. La Chine est une option beaucoup plus intéressante pour les profiteurs, qu’ils soient anglos ou sionistes. Mais où cela laisse-t-il l’Europe ignorante ?

Les démons de l’Europe

Un spectre hante depuis longtemps l’Europe, ou plutôt deux spectres, ou plutôt deux légions de démons : Les démons unionistes et les démons nationalistes, les forces centripètes et centrifuges, qui ont tous deux reçu l’ordre strict de ne jamais permettre l’unité dans la diversité.

Les unionistes sont représentés par toutes les grandes institutions supranationales, qui n’ont aucun compte à rendre et qui sont si violentes, corrompues et tyranniques, dont les mains trempées de sang ont tourmenté l’Europe depuis plus de 2000 ans : l’Empire romain païen, le « Saint Empire romain » barbare franc, la papauté centraliste « réformée » avec ses « croisades » et son « unité » médiévale tyrannique, Napoléon, Hitler et l’UE. Ces tourments sortent tous exactement du même chaudron unioniste, bouillant d’amour du pouvoir, de cupidité et de haine pour l’État-nation et les petites gens. Les démons dansent autour du chaudron, jubilant de manière infernale devant les immenses souffrances et le bain de sang qu’ils ont causés aux innocents depuis deux millénaires.

Toujours les mêmes victimes.

Les nationalistes sont représentés par les guerres et les massacres entre les Allemands et les Wends, les Anglais, les Gallois et les Écossais, les cités-États de l’Italie médiévale, les principautés de la Rus médiévale, par la guerre de Cent Ans anglo-française, les guerres de « religion » d’Europe centrale, les Normands et les Anglais, les Turcs et les Grecs, les Anglais et les Irlandais, les Russes, avant et après 1917, les Polonais, les Finlandais, les Lettons, les Géorgiens et les Ukrainiens, les Suédois et les Finlandais, les Allemands et les Français, les Français et les Bretons et Corses, les Danois et les Norvégiens, les Grecs et les Bulgares et Macédoniens, les Autrichiens et les Serbes, les Serbes et les Bulgares et Croates, les Espagnols et les Basques et Catalans, les Tchèques et Slovaques, les Hongrois et les Roumains, les Ukrainiens et les Carpates, l’UE et le Brexit, le Grexit, le Nexit, le Frexit, etc., et par tous ces autres interminables conflits d’intimidation entre grands voisins et petits voisins, entre capitales et provinces. Un de ces conflits se déroule en ce moment même en Ukraine, avec déjà des centaines de milliers de morts. Ces tourments aussi sortent tous exactement du même chaudron nationaliste, bouillant d’amour du sang et de haine de l’Unité. Les démons dansent autour du chaudron, jubilant de façon infernale devant l’immense souffrance et le bain de sang qu’ils ont causés aux innocents depuis deux millénaires.

Toujours les mêmes victimes.

Vaincre les démons

Le plus dangereux dans l’histoire de l’Europe n’est pas la stupidité suicidaire des Européens, mais lorsque des étrangers aggravent la situation en s’immisçant. Par exemple, dans une certaine mesure, dont l’étendue exacte fait encore l’objet de débats, l’élite britannique dans son île était responsable de l’ingérence en Europe continentale et donc de la création de la Première et de la Deuxième Guerre mondiale. Cependant, l’Europe moderne est une invention des États-Unis. Cette Union, construite sur le sang de plus de 600 000 de ses citoyens, a voulu créer une Union similaire en Europe. Le résultat est l’UE et son anneau d’étoiles captives :

Un anneau pour les gouverner tous, un anneau pour les trouver. Un anneau pour les rassembler tous et les lier dans l’obscurité, au pays du Mordor, là où se trouvent les ombres.

Plus clairement, le dernier conflit en Ukraine est le résultat de l’ingérence du tyran mondial, qui se présente comme le« gendarme du monde », les États-Unis. Comme les États-Unis sont en train de perdre dans ce conflit, et de perdre très gravement, que se passera-t-il lorsque le tyran mondial américain aura disparu de la scène, non seulement de l’Ukraine, mais de l’Europe en général ? Après tout, le départ des États-Unis d’Europe semble inévitable dans la génération à venir, peut-être pour le centenaire de l’occupation américaine de l’Europe en 2045, si ce n’est bien avant.

Les actuels États-Unis d’Europe conçus par les Unionistes, l’UE, qui est sur le point de s’effondrer avec ses démons de l’Unionisme, retomberont-ils dans les nationalismes mesquins et les massacres intertribaux comme avant ? Les Européens devront-ils à nouveau obéir aux démons du nationalisme ? Les Européens ne pourraient-ils pas enfin apprendre à vivre en paix après deux mille ans d’ingérence dans la vie des autres Européens et, pire encore, après mille ans d’ingérence dans la vie des non-Européens ? Qu’est-ce qui pourrait remplacer l’unionisme et le nationalisme ?

Conclusion

Il ne peut y avoir de paix en Europe, tant que l’Est et l’Ouest de l’Europe ne s’accepteront pas mutuellement sur un pied d’égalité. Et le seul axe qui peut unir l’Europe est l’axe Moscou-Berlin-Paris, celui qui a été perturbé avant 1914. Cet axe est le seul qui puisse aussi faire entrer Budapest, Bucarest, Belgrade, Athènes, Varsovie, Stockholm, Rome, Madrid et même Londres, même si cette dernière doit d’abord renverser par la violence son Establishment brutal, même quand les USA l’auront lâchée. Et nous y incluons Vilnius, Riga et Tallinn. Les Baltes n’aiment peut-être pas les Russes à cause de l’occupation soviétique, mais c’était il y a longtemps et les Baltes, contrairement à leurs élites fantoches, n’aiment pas l’occupation américaine qui l’a remplacée et le fait d’être obligés de s’exiler à l’étranger simplement pour vivre.

Pour garantir la paix en Europe et éviter l’unionisme et le nationalisme, il faut une Confédération européenne, de Moscou à Berlin, de Paris à Londres. Les autres se rassembleront autour d’eux. Si une telle Confédération peut être conçue avec soin, elle pourrait atteindre cet équilibre tant recherché d’unité dans la diversité dont l’Europe a besoin. Pendant trop longtemps, l’Europe a été du mauvais côté de l’histoire, par ses impulsions suicidaires consistant à inviter ses ennemis à entrer. Il est temps d’arrêter de s’asseoir sur la barrière américaine et de l’escalader. C’est par la coopération avec Moscou, plutôt que par le conflit, que l’on ouvrira la porte aux ressources et à toute l’Eurasie et que l’on cessera cet isolationnisme insensé qui, depuis mille ans, a fait de l’Europe le siège de l’orgueil ethnocentrique et de la violence agressive.

Batiushka

Recteur orthodoxe russe d’une très grande paroisse en Europe, il a servi dans de nombreux pays d’Europe occidentale et j’ai vécu en Russie et en Ukraine. Il a également travaillé comme conférencier en histoire et en politique russes et européennes.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Aux États-Unis, de plus en plus de grands journaux rapportent les manquements et manipulations des autorités durant la crise sanitaire

[Source : covidhub.ch]

Newsweek publie les 10 mensonges officiels sur le Covid

Si vous êtes opposé depuis belle lurette aux discours officiels sur la « pandémie », vous n’apprendrez peut-être rien de nouveau…

…la nouveauté, c’est en fait que Newsweek, un magazine leader d’opinion dans le monde, publie le point de vue d’un chercheur réputé en santé publique à la Hoover Institution de Stanford, Scott W. Atlas, sous le titre : La réponse américaine au Covid a été basée sur des mensonges. (en anglais).

Pour de nombreux observateurs comme le mathématicien Igor Chudov, une telle publication, le 8 mars 2023, a la valeur d’un « changement sismique ». Elle suit d’ailleurs la parution, le 22 février, d’une prise de position signée par deux autres opposants prestigieux, les Pr Jay Bhattacharya et Martin Kulldorff, intitulée: Il nous faut une Commission Covid (en anglais).

Voici, énumère Scott Atlas :

« les 10 plus grands mensonges – connus depuis des années pour être faux (…) – répandus par les responsables américains de la santé publique, les officiants élus et non élus et les universitaires désormais discrédités :

  1. Le coronavirus SARS-CoV-2 a un taux de mortalité plusieurs fois supérieur à celui de la grippe.
  2. Tout le monde a un risque important de mourir de ce virus.
  3. Personne n’a de protection immunologique, car ce virus est complètement nouveau.
  4. Les asymptomatiques sont les principaux moteurs de la propagation.
  5. Le confinement – fermer les écoles et les entreprises, bloquer les gens chez eux, stopper les soins médicaux non Covid et supprimer les déplacements – arrêtera ou éliminera le virus.
  6. Les masques protégeront tout le monde et arrêteront la propagation.
  7. Le virus est connu pour être d’origine naturelle, et prétendre qu’il provient d’un laboratoire est une théorie du complot. [Note de Joseph : voir cependant C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! et le dossier Vaccins et virus pour une remise en question de la théorie virale.]
  8. Les enseignants courent un risque particulièrement élevé.
  9. Les vaccins Covid arrêtent la propagation de l’infection.
  10. La protection immunitaire ne peut venir que d’un vaccin. »

Enfin, Scott Atlas demande des enquêtes et des excuses. Il reconnaît également que les enquêtes risquent d’être fausses :

« Mais pour s’assurer que cela ne se reproduise plus jamais, les chefs de gouvernement, les fonctionnaires, les universitaires et conseillers influents qui entretiennent souvent des conflits d’intérêts, doivent être tenus pour responsables. Personnellement, je reste très sceptique sur le fait que toute enquête ou commission gouvernementale puisse éviter la politisation. Indépendamment de leur intention, toutes ces enquêtes dirigées par le gouvernement seront au moins perçues comme politiquement motivées et leurs conclusions seront catégoriquement rejetées par beaucoup. Ces enquêtes doivent cependant se poursuivre, ne serait-ce que pour rechercher la vérité, pour enseigner à nos enfants que la vérité compte et pour se souvenir de G.K. La leçon essentielle de Chesterton selon laquelle « le bien est le bien, même si personne ne le fait. Le mal est le mal, même si tout le monde ne le voit pas. »

(Right is right, even if nobody does it. Wrong is wrong, even if everybody is wrong about it.)

Sur Scott W. Atlas : 

Scott W. Atlas, MD, est chercheur principal en politique de la santé à la Hoover Institution de l’Université de Stanford, codirecteur du Global Liberty Institute, membre fondateur de l’Académie des sciences et de la liberté de Hillsdale et auteur de A Plague Upon Our House: My Fight at the Trump White House to Stop Covid from Destroying America (Bombardier Press, 2022) (Un fléau sur notre maison. Mon combat à la Maison Blanche de Trump pour empêcher le Covid de détruire l’Amérique)




Les vérités bien cachées sur la guerre d’Ukraine orchestrée par les Khazars

[Source : numidia-liberum via profession-gendarme.com]

Par Biblicism Institute

La vérité sur le conflit avec la Russie. Et la mort imminente du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale

 « En temps de guerre, la vérité est si précieuse, qu’elle doit toujours être protégée par un rempart de mensonges. »

Winston Churchill

Le conflit actuel entre les États-Unis et la Russie est dû à une raison simple : les Ashkénazes, également connus sous le nom de Juifs ashkénazes. Ils ont de nombreux comptes à régler avec la Russie.

[Note de Joseph : Tant que l’Humanité se polarisera sur le corps, sur la personnalité et/ou sur la prétendue « race » au détriment de l’esprit ou de l’âme, les conflits existeront.
D’un point de vue eschatologique, la destinée de l’Humanité est de sortir du matérialisme qui d’après plusieurs traditions découle d’une influence non humaine, celle des dieux serpents, des démons, des dragons ou encore des anges déchus. En termes plus modernes ou ufologiques, on parle plutôt d’entités intraterrestres ou extraterrestres, comme des Reptiliens ou des Dracos. Le chef de tels êtres a été désigné comme étant le roi ou le prince de ce monde, et dénommé Satan, Lucifer ou le Diable par les chrétiens. Et bien entendu, s’il est réel, l’Humanité abandonnée à elle-même n’aura quasiment aucune chance de se libérer tant et aussi longtemps qu’une masse critique d’êtres humains ne transcendera pas sa nature animale pour atteindre sa dimension divine ou bien sans le concours d’êtres hors du commun tels que le Christ si jamais il revient. Car notamment ce Satan joue sur l’orgueil, la peur de la mort, les désirs sexuels, le besoin de sécurité… des individus pour les éloigner de leur âme et en faire des psychopathes narcissiques, les meilleurs serviteurs humains qu’il puisse trouver. Et ces derniers ne se trouvent certes pas seulement parmi les élites ashkénazes ou khazares, même s’ils peuvent s’y trouver de manière plus concentrée qu’ailleurs parce que le prince de ce monde aurait jeté son dévolu sur cette branche humaine particulière. Aucune ethnie, aucune idéologie, aucune religion, aucun mouvement humain n’est à l’abri. Et des victimes des actes de tels individus alors coupés de leur dimension divine se trouvent partout.]

Vengeance 1

Permettez-moi de transmettre un peu de tableaux chronologiques alors que nous nous plongeons dans le fond du conflit.

Les Ashkénazes sont les descendants des Gentils (Goy) Ashkénazes, les Japhetites :

« Les fils de Japhet étaient Gomer, Javan… Les fils de Gomer : Ashkenaz, Riphath et Togarmah. » Genèse 10:2,3

« Par ceux-ci étaient les îles des Gentils divisées dans leurs terres ; chacun selon sa langue, selon sa famille, selon sa nation. » Genèse 10:5

C’est un peuple turc résilient et itinérant. Les Ashkénazes ont le don de se réinventer. Ils sont d’abord apparus dans les annales mondiales en tant que Scythes ou Sakadéens, selon la phonétique régionale, et ils étaient réputés notoirement barbares,

« En qui il n’y a ni Grec, ni Juif, ni Circoncision, ni Prépuce, ni Barbare, ni Scythe, ni esclave, ni libre ; mais Christ y est tout, et en tous.. » Colossiens 3 : 11

Le mot Scythe ou Sakadéen vient du mot Saka — avec sa racine verbale iranienne Sak, signifiant errer. L’Empire iranien, alors nommé Parthie et attenant à la Scythie, a influencé ce mot.

Les Scythes ont colonisé l’Eurasie centrale qu’ils ont conquise avec leur frère Gentil Togarmath et divers autres cousins, s’étendant sur une vaste étendue de terre qui englobait, mais sans s’y limiter, des parties de la Turquie et de l’Iran actuels. Leur frère Gentil, Riphath, ainsi que les descendants de leur oncle Javan se sont installés en Grèce.

Plus tard, ils se sont réinventés et se sont installés sur une terre qu’ils appelaient Khazaria — du mot Qasar, avec sa racine turque Qaz, signifiant errer — suite à l’éclatement de l’empire des steppes de la Turquie occidentale. Ensuite, le pays s’est converti en masse au judaïsme/pharisaïsme, entre 740 et 920 apr. J.-C., juste pour rester indépendant des deux empires concurrents de l’époque, le christianisme et l’islam.

« Le judaïsme était la religion qui faisait le plus de prosélytisme », a expliqué l’historien juif Shlomo Sand. « La conversion de masse la plus importante s’est produite au 8e siècle, dans l’immense royaume Khazar entre les mers Noire et Caspienne. »

(([1] Comment fut inventé le peuple juif
Antisionisme/antisémitisme : Shlomo Sand adresse une lettre ouverte à Macron, « inculte politique> »
L’Ancien Testament et le génocide))

Puis, Sviatoslav Ier de Kiev détruisit la Khazarie vers 1048 et l’absorba dans la Russie de Kiev, un territoire qui deviendra plus tard une partie de l’Empire russe.
Dans la Russie impériale, les Ashkénazes étaient étroitement contrôlés et enfermés dans la zone de résidence, qui, selon Wikipédia, « était une région occidentale de l’Empire russe avec des frontières variables qui existaient de 1791 à 1917 où la résidence permanente des Juifs était autorisée, et au-delà de laquelle la résidence juive, permanente ou temporaire, était pour la plupart interdite. »

Un traitement pour lequel les Ashkénazes — alias le peuple « Jamais oublier, jamais pardonner », sauf lorsqu’ils commettent eux-mêmes des crimes contre l’humanité — n’ont jamais disculpé la Russie.

Juifs ashkénazes khazars 1878

Attendant leur heure, ils ont nourri leur haine et comploté leur vengeance avec une nouvelle réinvention. Ils sont devenus le pouvoir derrière les odieux bolcheviks qui ont pris le contrôle du gouvernement russe dans les années 1910, tué 66 millions de chrétiens, dont 200 000 membres du clergé chrétien, et détruit 40 000 églises.(([2] Document le plus controversé de l’histoire d’Internet : L’histoire cachée de la mafia khazare incroyablement perverse
– « L’antisémitisme » en Union soviétique
Comment les juifs de Harvard pillent la Russie
En 1994, les juifs Chabad ont comploté pour exterminer les Slaves (partie 2)
Journaliste israélien : Les pires meurtriers du XXe siècle étaient Juifs !
La Clé du Mystère (Partie 4). LE COMMUNISME, MOYEN DE CONQUÊTE JUIVE
– Le rôle juif dans la révolution bolchevique
– LECTURE ESSENTIELLE. La Controverse de Sion
Les juifs russes considèrent les goyim comme leur propriété
– Poutine et ses juifs (partie 1)
Poutine et ses juifs (partie 2)
Que disent Jésus, Einstein, Voltaire, Soljenitsyne, Goethe, Liszt sur l’antisémitisme ?
Russie. Le « meurtre rituel juif » de la famille impériale russe
– Russie. Les atrocités inimaginables commises par les Juifs bolcheviques contre les Gentils : des preuves irréfutables.
Soljenitsyne condamne l’influence juive sur le peuple russe
Vladimir Poutine : « 80 à 85 % des bolcheviques au pouvoir en URSS étaient juifs. »))

Soljenitsyne avec Poutine

« Vous devez comprendre que les principaux bolcheviks qui ont pris le contrôle de la Russie n’étaient pas des Russes », a révélé le célèbre écrivain chrétien russe Alexandr Soljenitsyne. « Ils détestaient les Russes. Ils détestaient les chrétiens. Poussés par la haine ethnique, ils ont torturé et massacré des millions de Russes sans la moindre once de remords humains. Ceci ne doit pas être surestimé. Le bolchevisme a commis le plus grand massacre humain de tous les temps. Le fait que la majeure partie du monde ignore et ne se soucie pas de cet énorme crime est la preuve que les médias mondiaux sont entre les mains des perpétrateurs ».

La grande majorité de ces bolcheviks vicieux étaient des juifs ashkénazes tels que Vladimir Lénine, Léon Trosky, Lev Kamenev, Gregory Zinoviev, Yakov Sverdlov et Grigory Sokolnikov. Ils ont été financés par des banquiers ashkénazes de New York et de Londres(([3] STUPÉFIANT. La City de Londres, aux mains des juifs, est le centre mondial de blanchiment de l’argent sale)), tels que Rothschild Bank et Jacob Schiff of Kuhn and Loeb & Co. qui ont eux-mêmes défendu l’idéologie destructrice de l’ashkénaze Karl Marx, et ont trouvé rentable d’investir dans la conquête désastreuse de la Russie par les communistes, tout en gagnant des dollars dans le processus en pillant le pays via des agents bien placés qui seront plus tard connus sous le nom d’« oligarques ».

L’ensemble de l’empire soviétique russe s’est effondré en 1991. Ainsi, les Ashkénazes ont réussi à mettre la Russie à genoux.

Le Round 1 de la vengeance a ainsi été accompli.

Vengeance 2

La Khazarie chevauchait l’Ukraine et la Crimée

Aujourd’hui, la Russie est sous le feu des critiques pour le conflit en Ukraine. Un conflit déclenché par la néoconservatrice ashkénaze Victoria Nuland au département d’État américain, avec son mari ashkénaze Robert Kagan(([4] – La guerre sans fin : une juteuse affaire de famille (sioniste)
–  Une revenante : Victoria Nuland)) travaillant en arrière-plan via des organisations puissantes telles que Project for a New American Century, la Brookings Institution et le Council on Foreign Relations. L’ashkénaze George Soros a également contribué financièrement à la « révolution » ukrainienne de Maïdan.

« De nombreux participants aux manifestations » EuroMaidan « de Kiev étaient membres d’ONG financées par Soros et / ou ont été formés par les mêmes ONG dans les nombreux ateliers et conférences parrainés par la Fondation internationale de la Renaissance (IRF) de Soros et ses divers instituts d’Open Society. et fondations », a écrit William F. Jasper dans The New American. « L’IRF, fondée et financée par Soros, se vante d’avoir donné » plus que toute autre organisation donatrice « à la » transformation démocratique « de l’Ukraine. »

En d’autres termes, les Ashkénazes — ou les néo-et-vrais-cons [néoconservateurs] américains qui sont majoritairement juifs — aiguillonnent l’ours russe en excitant le chien américain. Le chien ne peut pas vraiment refuser de réagir parce que le groupe de pression juif AIPAC le tient par la laisse, soudoyant à la fois les républicains (Trump inclus) et les démocrates, qui ne sont que des putains politiques prêtes à trahir leur pays et à risquer la paix du monde. Et rappelez-vous, l’AIPAC est contrôlé par de puissants chefs d’entreprise américains ashkénazes. Découvrez comment les Juifs ashkénazes ont conquis l’Occident.

Leur seul but est de détruire à nouveau la Russie en allumant un incendie dans son ventre, l’Ukraine. Un incendie qu’ils prévoient de propager en Russie proprement dite par la guerre économique et militaire — un peu comme ce qu’ils ont fait à l’Allemagne avec le boycott économique de 1933 suivi d’un conflit militaire total. Pourquoi ?

1. Parce que la Russie a eu le culot de se relever de ses cendres encore chaudes induites par les Ashkénazes.

2. Parce que la Russie a eu la témérité d’arrêter leurs agents mafieux bien placés connus sous le nom d’« oligarques », dont beaucoup ont fui le pays vers l’Israël de l’apartheid(([5] Israël est un refuge sûr pour les escrocs juifs
–  Comment les pédophiles juifs se cachent de la justice en Israël
–  La Maffia israélienne. Trafic d’organes humains et Pédophilie
–  Les malfrats israéliens dépouillent des milliers d’Américains et d’Européens, grâce à des gouvernements complices
–  À quel point la guerre contre la Russie est-elle juive ? Soyons honnêtes sur ceux qui en font la promotion)), à partir duquel ils ne peuvent plus violer la Russie et voler ses ressources pour enrichir encore plus l’élite juive.

3. Parce que la Russie a eu l’audace d’entraver la guerre américaine contre la Syrie, qui a été orchestrée par l’AIPAC au profit d’Israël, un ignoble pays d’apartheid qui escroque encore et encore le peuple américain.

4. Parce que, comme l’explique David Sant, « la position de la Russie en tant que membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU avec droit de veto est une épine dans la patte de la bête atlantiste depuis la guerre froide. La volonté de la Russie d’utiliser son armée pour défendre ses alliés en Syrie, en Ukraine et en Arménie présente un facteur de risque incontrôlable pour l’hégémonie (sioniste) anglo-américaine. Ils ne peuvent pas le tolérer. La Russie a utilisé son veto au Conseil de sécurité à plusieurs reprises pour bloquer le bellicisme américain. »

5. Parce que la Russie menace la domination juive ashkénaze du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale et émise par la Réserve fédérale contrôlée par les juifs : un monopole que la Russie est en train de défaire avec sa réémergence mondiale inattendue, en particulier en Europe, en Asie et au Moyen-Orient où le commerce avec la Russie contourne le dollar américain. Un tel retour de l’ours russe est quelque chose que l’élite juive essaie d’empêcher depuis la dissolution de l’Union soviétique. Ils ont été implacables dans leurs efforts pour maintenir le pays en érigeant des murs économiques et, plus tard sous Poutine, des sanctions paralysantes pour empêcher un tel scénario. Anuradha Chenoy explique :

« … Le gouvernement des États-Unis, en tant qu’émetteur de la monnaie de réserve mondiale, ne s’intéresse qu’à une chose : la prolifération du dollar américain. Ce seul fait est tout ce qu’il faut saisir pour vraiment comprendre la politique étrangère américaine.

Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Cela signifie que le gouvernement américain, en collusion avec la Réserve fédérale, a la capacité d’imprimer le dollar américain à volonté… et peut exporter son inflation vers le reste des nations du monde. Toute nation qui souhaite s’engager dans le commerce international, y compris l’achat de matières premières telles que le gaz naturel ou le pétrole, doit maintenir d’énormes réserves de dollars américains pour ses achats.

Le monde, en effet, agit comme une éponge pour absorber l’inflation américaine, permettant au gouvernement américain d’accumuler des déficits obscènes qui permettent un budget militaire massif et enrichissent une très petite partie de la population américaine au détriment non seulement de la population mondiale, mais aussi de la classe ouvrière américaine.

Quant à toute nation qui veut se libérer du dollar américain, nous ne savons que trop bien ce que les États-Unis lui réservent… C’est là qu’intervient la Fédération de Russie. Si l’on veut vraiment comprendre pourquoi l’establishment américain déteste la Russie sous Vladimir Poutine, il suffit de comprendre le rôle du dollar dans le monde. La Russie est une menace directe pour la prolifération du dollar américain.

Pour sa part, la Fédération de Russie est devenue assez résiliente au cours des 20 dernières années et beaucoup moins sensible à toute pression ou influence extérieure… La Russie est une nation souveraine qui n’est pas intimidée par les États-Unis.

Les États-Unis ne peuvent pas simplement lancer une frappe militaire contre la Fédération de Russie comme ils l’ont fait en Irak et en Libye et dans de nombreux autres pays qui ont rejeté l’hégémonie du dollar. La Russie a désormais le pouvoir d’empêcher la prolifération du dollar américain. Pour revenir à l’analogie de l’éponge : la Russie réduit la taille de l’éponge. Cela laisse le gouvernement américain avec un nombre de plus en plus petit de pays vers lesquels exporter l’inflation en dollars. Plus l’éponge devient petite, plus la politique étrangère américaine devient désespérée, alors que les dirigeants américains essaient par tous les moyens de préserver leur emprise sur la puissance mondiale… »

…. Tout cela au profit d’une petite élite juive et de leur pays d’apartheid qui leur sert de refuge au cas où les choses cesseraient soudainement d’aller dans leur sens. L’apartheid israélien n’existe pas en tant que foyer pour tous les Juifs à cause du soi-disant antisémitisme mondial, comme ils le prétendent, mais c’est :

a) le protecteur de la Réserve fédérale contrôlée par les Juifs — l’agence d’espionnage d’Israël, le Mossad, espionne les politiciens américains et les fait chanter avec leur linge sale, en même temps que l’AIPAC les soudoie sans vergogne, assurant ainsi la domination juive sur le dollar américain, la monnaie de réserve actuelle du monde ;

b) l’exécuteurchargé de détruire tout pays qui refuse d’utiliser le système financier judéo-américain et son dollar fiduciaire comme principal outil de commerce ;

c) le sanctuaire pour les criminels élitistes juifs — en particulier lorsqu’il y aura une véritable révolution américaine, similaire à ce qui s’est passé en Russie sous Poutine, qui cible les oligarques juifs détruisant l’économie américaine pour s’enrichir.

Par conséquent, parce que la Russie est une menace pour l’emprise de l’élite juive américano-ashkénaze sur le pouvoir mondial, elle est ciblée. Et ce qui suit a été lancé :

1) une guerre économique de la terre brûlée contre le pays afin de le détruire intérieurement ;

2) l’OTAN empiétant sur les frontières de la Russie, contrairement aux accords précédents, pour mieux lui faire la guerre dans un futur proche ;

3) les dirigeants juifs ukrainiens et leurs bataillons néonazis commettant des crimes de guerre et le nettoyage ethnique des Russes dans la région ukrainienne du Donbass en quête d’indépendance, qui est habitée principalement par des Russes, afin d’inciter la Russie à une opération militaire pour protéger ses compatriotes russes là-bas, puis les vilipender et imposer des sanctions économiques plus paralysantes.

La vengeance Round 2 est en cours.

Vengeance 3

Après la destruction de la Khazarie, un grand nombre d’Ashkénazes se sont dispersés à l’Est et à l’Ouest à travers l’Europe et se sont réinventés en tant que Juifs errants ou Juifs errants (Khazars/Sakadéens ou Scythes). Cette étiquette n’avait rien à voir avec un désir de Palestine, mais un désir de Khazarie ou peut-être un désir d’une nouvelle terre, n’importe quelle nouvelle terre. Voici un extrait de Wikipédia :

« En 1903, Theodore Herzl a présenté le programme de l’Ouganda britannique [comme foyer juif] au sixième congrès sioniste à Bâle.

À la fin des années 1930, la Ligue sioniste britannique a envisagé un certain nombre d’autres endroits où une patrie juive pourrait être établie. La région de Kimberley en Australie a été envisagée jusqu’à ce que le gouvernement Curtin (en fonction : 1941-1945) rejette la possibilité.

Avec le soutien du Premier ministre de Tasmanie de l’époque, Robert Cosgrove (en poste depuis 1939), Critchley Parker proposa une colonie juive à Port Davey, dans le sud-ouest de la Tasmanie. Parker a arpenté la région, mais sa mort en 1942 a mis fin à l’idée.

L’oblast autonome juif créé dans l’Extrême-Orient russe en 1934 représentait une approche soviétique pour fournir une patrie juive. »

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un grand nombre se sont assimilés à contrecœur dans toutes les Amériques. Cependant, la grande majorité a émigré en Palestine où ils ont créé de nombreux groupes terroristes tels que Irgun, le Stern gang, et Haganah.. Ils ont terrorisé la population palestinienne, tué des milliers de personnes et forcé des centaines de milliers de personnes à quitter leurs maisons et à se réfugier dans les pays arabes voisins. Par conséquent, ils ont volé la Palestine et l’ont rebaptisée Israël afin de se réinventer en tant qu’Hébreux et tromper les chrétiens crédules en Occident.

« Il est certain qu’il n’y a pas de continuum ethnique ou racial entre les israélites bibliques et les Khazars (ashkénazes) qui dirigent l’État juif », a écrit Gilad Atzmon, écrivain et musicien juif.

Dans leurs pays d’adoption en dehors d’Israël, y compris les États-Unis et l’Europe, les Ashkénazes sont devenus des puissances financières et influentes, non pas parce qu’ils sont juifs — au fond, la majorité d’entre eux ne sont vraiment pas religieux du tout et s’en fichent — mais parce que ce sont des rapaces avisés. Ils ont beaucoup appris de leur errance à travers l’histoire. Ce sont les ultimes nomades.

Était-ce dans l’esprit de Poutine ?

Se pourrait-il qu’après deux échecs idéologiques successifs sous les formes du communisme et la destruction actuelle au ralenti du sionisme en Israël, quelque part au plus profond de l’esprit des dirigeants ashkénazes purs et durs se trouve un plan pour une nouvelle réinvention ?

Cette réinvention sera-t-elle la reconquête de leur Khaganat Khazar — une terre située au plus profond de la Russie et englobant l’Ukraine et la Crimée ? Est-ce pour cela que Poutine a soudainement rattaché la Crimée à la Russie ?

Se pourrait-il que le plan des Ashkénazes soit de reprendre et de réinstaller leur ancienne Khazarie après la chute probable de l’apartheid Israël ? Est-ce la raison pour laquelle le président dûment élu de l’Ukraine a été destitué de force en 2014 afin d’installer un gouvernement fantoche avec un nouveau Premier ministre nommé Arseni Iatseniouk, qui, selon The Guardian, essayait de cacher ses racines juives ?

Arseni Iatseniouk a ensuite été remplacé par un autre Juif, Volodymyr Groysman, avec un président juif sniffeur de coke [une tantouse idole des télévisions occidentales] Volodymyr Zelensky, un comédien cochon et grossier (voir la vidéo ci-dessous), qui aurait été « élu » (qui a volé 850 millions de dollars au Trésor ukrainien) ; faisant ainsi de l’Ukraine à ce moment-là le seul pays au monde, en dehors d’Israël de l’apartheid, dont le président et le Premier ministre étaient tous deux juifs, indiquant ainsi la direction vers laquelle le pays se dirigeait. D’ailleurs, Zelensky ne s’en cache pas, il a déclaré :

« L’Ukraine deviendra le Grand Israël ».

[Comment Zelensky, à gauche, joue du piano]

Wayne Madsen explique la conspiration derrière ce concept ukrainien du Grand Israël :

« L’histoire explosive du Times of Israël sur les racines khazares des Ashkénazes a également révélé qu’Israël, sachant qu’un État palestinien est inévitable, compte tenu de la pression croissante de l’Europe, se prépare à transférer des colons ashkénazes de Cisjordanie en Ukraine. Les recherches avancées d’Israël en génétique ont abouti à l’établissement d’une lignée ADN directe entre les Ashkénazes d’Israël et les Khazars qui ont été dispersés à travers l’Europe centrale et orientale après que la Russie a conquis l’empire khazar au 11e siècle…

En Ukraine, le soi-disant “deuxième Israël” (le magnat milliardaire juif ukrainien), Ihor Kolomoisky et Kiev ont enrôlé un certain nombre d’anciens membres des Forces de défense israéliennes dans leurs bataillons de volontaires, y compris le bataillon (nazi) Azov. L’une des unités israéliennes est connue sous le nom de “Casques bleus de Maïdan” et est commandée par un Israélien utilisant le pseudonyme “Delta”. Si Israël n’avait pas intérêt à étendre son influence en Ukraine, il pourrait facilement empêcher ces unités de se rendre en Ukraine…

Certains russophones du Donbass se méfient des intentions des pro-israéliens au sein du gouvernement de Kiev. Curieusement, Kolomoisky a recruté un certain nombre de néonazi de l’ouest de l’Ukraine et d’Europe pour combattre dans ses bataillons dont les organisations de droite ont toujours souscrit à l’idée d’une future “bataille royale” entre la Russie et les restes de la Khazarie en Israël, en Ukraine, en Pologne et dans la République de Géorgie pour venger la défaite de la Khazarie au XIe siècle face à l’Empire russe. »

Il est tout à fait possible que les Israéliens ne soient pas seulement intéressés par la vengeance et la réinstallation des voleurs de terres juifs (c’est-à-dire des colons) de la Cisjordanie de Palestine dans une région du Donbass ethniquement nettoyée et exempte d’indigènes russes, en particulier lorsque l’establishment juif d’Israël a juré qu’il n’y aura jamais d’État palestinien, et encore moins d’expulser les voleurs de terres juifs des terres volées en Cisjordanie.

Leur plan ouvertement discuté pour que les voleurs de terres israéliens se « réinstallent » en Ukraine pourrait être une couverture pour le but plus néfaste de reconquérir l’ensemble de leur Khaganat Khazar où une grande partie de la population juive d’Israël de l’apartheid, en particulier ceux qui n’ont pas de double passeport de leurs pays d’origine, migrera une fois que la Grande Guerre éclatera au Moyen-Orient.

« En regardant en arrière dans l’histoire, il faut admettre que ces terres sont les anciennes terres ancestrales de la Khazarie juive, c’est-à-dire Israël, capturées par la Rus’ de Kiev (l’ancien État de Russie avec la capitale à Kiev) au Xe siècle », a pontifié il y a 25 ans le rabbin Menahem Mandel Schneerson, un aspirant Messie trompeur. « Les Slaves sont des hôtes temporaires sur ces terres et sont susceptibles d’être expulsés. Nous reviendrons sur ce territoire et construirons la Grande Khazarie — l’État juif — sur ces terres fertiles de la même manière qu’il y a 50 ans, nous avons créé Israël, en évinçant les Palestiniens. Les Israéliens s’installeront partiellement ici et nous chasserons le bétail slave loin au nord, au-delà de Moscou. Il y aura un petit Territoire du Nord, une réserve avec une population compacte — une réserve, comme les réserves indiennes en Amérique. »

Mais les Juifs ashkénazes seraient-ils d’accord avec juste l’Ukraine — moins la Crimée, le Donbass et le Sud (tous les territoires russes avant 1922, habités par des Russes de souche et récemment annexés à la Russie proprement dite par vote populaire) — comme nouvelle base à partir de laquelle ils projetteraient de détruire leur perpétuel ennemi russe, ainsi que tous les autres ennemis imaginaires, et de préserver leur emprise sur le système financier mondial en utilisant leur émission par la Réserve fédérale de dollars américains fiduciaires comme monnaie de réserve mondiale incontestée ?

Vengeance Round 3 ? Niet.
ET L’ARROGANCE S’ARRÊTE ICI

La cabale juive contrôlant le monde financier occidental pensait que la patience russe face à leur agression incessante en Ukraine pour déstabiliser leur pays était une faiblesse, et donc une erreur de calcul.

« C’est un fait qu’au cours des 30 dernières années, nous avons patiemment essayé de parvenir à un accord avec les principaux pays de l’OTAN concernant les principes d’une sécurité égale et indivisible en Europe », a déclaré Poutine en février 2022. « En réponse à nos propositions, nous avons invariablement été confrontés soit à des tromperies cyniques et à des mensonges, soit à des tentatives de pression et de chantage, tandis que l’alliance nord-atlantique continuait de s’étendre malgré nos protestations et nos inquiétudes. Sa machine militaire est en mouvement et, comme je l’ai dit, s’approche de notre frontière même. »

Maintenant, la Russie a agi, et après une longue hibernation, l’ours s’est réveillé avec fureur. Poutine a ordonné à son armée de libérer la région du Donbass des Ukronazis et de démilitariser et dénazifier entièrement l’Ukraine (c’est-à-dire que la région du Donbass sera coupée de l’Ukraine et deviendra indépendante tandis que l’Ukraine doit être ramenée dans l’orbite de la Russie et loin du contrôle juif).

Le Juif nazi-sioniste immoral :
le président ukrainien Zelensky,
Secteur Droit, au défilé de la « fierté gay »

« L’opération militaire spéciale du président Poutine pour défendre le peuple du Donbass contre une offensive générale imminente du régime néonazi de Kiev est non seulement pleinement justifiée en droit international par l’article 51 de la Charte des Nations Unies, mais elle est pleinement cohérente avec la praxis militaire et la doctrine de la légitime défense des États face à une menace imminente émanant d’un État voisin ou de forces ennemies », explique Heinz Dieterich, directeur du Centre des sciences de la transition (CTS) de l’Université métropolitaine autonome à Mexico et coordinateur du World Advanced Research Project (WARP).

Et si les conspirateurs sionistes/néocons et leurs politiciens occidentaux achetés et payés n’ont pas clairement compris le message, Poutine a fait cette déclaration sans équivoque :

« Je voudrais maintenant dire quelque chose de très important pour ceux qui pourraient être tentés d’interférer dans ces développements de l’extérieur. Peu importe qui essaie de nous barrer la route ou, a fortiori, de créer des menaces pour notre pays et notre peuple, ils doivent savoir que la Russie réagira immédiatement, et les conséquences seront telles que vous n’en avez jamais vu dans toute votre histoire. Peu importe comment les événements se déroulent, nous sommes prêts. Toutes les décisions nécessaires à cet égard ont été prises. J’espère que mes paroles seront entendues. »

« J’ai vu la prospérité des méchants… Leur force est ferme… L’orgueil leur sert de collier ; La violence les couvre comme un vêtement… C’est ainsi que sont les méchants — toujours sans souci alors qu’ils continuent d’amasser des richesses… Sûrement (Seigneur) Tu les places sur un sol glissant… Comme ils tombent soudainement et sont détruits, complètement emportés par des terreurs ! » Psaume 73:2,4,6,12,18,19

CONCLUSION : LA RUSSIE ET LE $ US

La Russie est dans le collimateur des barons voleurs juifs (alias les « élites » occidentales) depuis plus d’un siècle, et sa survie même dépend de sa capacité à repousser de toutes ses forces.

En fait, en affrontant les supplétifs néonazis ukrainiens formés par Israël de cette cabale juive satanique qui espère soumettre le monde et détruire le fondement chrétien de la civilisation occidentale, la Russie ne se bat pas seulement pour elle-même, mais pour l’Occident et toute l’humanité.

« La dictature des élites occidentales vise toutes les sociétés, y compris les citoyens des pays occidentaux eux-mêmes », a déclaré Poutine.

« C’est un défi pour tous. Ce renoncement complet à ce que signifie être humain, le renversement de la foi et des valeurs traditionnelles et la suppression de la liberté en viennent à ressembler à une “religion à l’envers” — le pur satanisme. Dévoilant de faux messies, Jésus-Christ a dit dans le sermon sur la montagne : “C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.” Ces fruits vénéneux sont déjà évidents pour les gens, et pas seulement dans notre pays, mais aussi dans tous les pays, y compris de nombreuses personnes dans le monde. Ouest lui-même. »

Avec une victoire de la Russie commencera la destruction du système financier par lequel cette mafia juive contrôle et influence le monde. Le Russe Andrei Bezrukov, membre du Présidium du Conseil de politique étrangère et de défense, est d’accord :

« Je veux dire que l’Occident a réussi à nous entraîner dans cette guerre. Peu importe comment nous avons essayé de résister, c’est leur victoire tactique. Ils ont réussi à heurter deux nations fraternelles l’une contre l’autre.

De cela, nous pouvons tirer la conclusion suivante — maintenant nous avons été pratiquement contraints, surtout après le dernier paquet de sanctions, dans une position où nous n’avons pas d’autre choix que de restructurer totalement notre économie, notre système financier et, en substance, notre politique intérieure.

Le fait est qu’en gagnant tactiquement et en réussissant à nous quereller avec le peuple ukrainien — la guerre, naturellement, est le niveau ultime de querelle — ils n’ont pas compris qu’en faisant cela, ils ont totalement détruit le système même qu’ils avaient construit dans le monde. Ce n’est pas encore visible, mais dans quelques mois, leurs chaînes financières coupées, leurs messages idéologiques brisés et leur système de sécurité brisé deviendront apparents. »

Bloomberg semble être du même avis et conclut comme suit :

« Expulser la Russie du système mondial critique — qui gère 42 millions de messages par jour et sert de bouée de sauvetage à certaines des plus grandes institutions financières du monde — pourrait se retourner contre lui, faisant grimper l’inflation, poussant la Russie à se rapprocher de la Chine et protéger les transactions financières de l’examen minutieux de l’Occident. Cela pourrait également encourager le développement d’une alternative SWIFT qui pourrait éventuellement nuire à la suprématie du dollar américain. »

Et lorsque le FMI se joint au chœur selon lequel les sanctions contre la Russie pourraient se retourner contre la position du dollar américain dans le monde, alors la situation devient vraiment grave.

« Le premier directeur général adjoint du FMI, Gita Gopinath, a averti que les sanctions occidentales contre la Russie, et plus précisément la confiscation des réserves libellées en dollars et en euros détenus par la Banque centrale russe, pourraient se retourner contre eux en rendant les autres banques centrales étrangères plus réticentes à détenir une si grande quantité de leurs propres réserves de change en dollars et en euros », a écrit Zero Hedge.

Prenant les choses d’un cran, Poutine a officiellement décrété qu’à partir du 1er avril 2022, la Russie n’acceptera que des roubles, de l’or ou des bitcoins comme paiement pour les exportations d’énergie vers des pays « inamicaux ».

« Si Poutine applique sa demande d’accepter uniquement les roubles, l’or ou le bitcoin pour les exportations d’énergie, le dollar perd instantanément une utilité significative dans le monde », a écrit Mike Adams. « Les pays qui souhaitent acheter de l’énergie à la Russie — qui comprend la plupart des pays européens — devront d’abord acheter des roubles, puis échanger des roubles contre de l’énergie. Cela donne aux roubles un soutien instantané aux matières premières… La dernière décision de Poutine menace l’avenir même de la monnaie dollar (fiat) et pourrait signifier le début de la fin pour le dollar. »

« Celui qui creuse une fosse y tombera et celui qui roule une pierre, elle retombera sur lui. » Proverbes 26:27


ADDENDA
Un rapide récapitulatif des sionistes ukrainiens

Par Pepe Escobar

Seuls les cerveaux morts à travers l’OTANstan — et il y en a des hordes — ne sont pas au courant de Maidan en 2014. Pourtant, peu de gens savent que c’est alors le ministre ukrainien de l’Intérieur Arsen Avakov, ancien gouverneur de Kharkov, qui a donné le feu vert à un groupe de 12 000 paramilitaires pour matérialiser des hooligans de football de la Sect 82 qui ont soutenu le Dynamo Kiev. C’est ainsi qu’est né le bataillon Azov, en mai 2014, dirigé par Andriy Biletsky, alias le Führer blanc, et ancien chef du gang néonazi des patriotes d’Ukraine.

Avec l’agent de l’OTAN Dmitro Yarosh, Biletsky a fondé Pravy Sektor, financé par le parrain de la mafia ukrainienne et milliardaire juif Ihor Kolomoysky (plus tard le bienfaiteur de la méta-conversion de Zelensky de comédien médiocre à président médiocre).

Il se trouve que Pravy Sektor était farouchement anti-UE — dites-le à Ursula von der Lugen — et politiquement obsédé par l’idée de relier l’Europe centrale et les pays baltes dans un nouvel intermarium sordide. Surtout, Pravy Sektor et d’autres gangs nazis ont été dûment formés par des instructeurs de l’OTAN.

Biletsky et Yarosh sont bien sûr des disciples de Stepan Bandera, collaborateur nazi notoire de la Seconde Guerre mondiale, pour qui les Ukrainiens purs sont proto-germaniques ou Scandinaves, et les Slaves sont Untermenschen.

Azov a fini par absorber presque tous les groupes néonazis en Ukraine et a été envoyé pour lutter contre le Donbass — leurs acolytes gagnant plus d’argent que les soldats réguliers. Biletsky et un autre dirigeant néonazi, Oleh Petrenko, ont été élus à la Rada. Le Führer blanc était autonome. Petrenko a décidé de soutenir le président Porochenko. Bientôt, le bataillon Azov a été incorporé en tant que régiment Azov à la Garde nationale ukrainienne.

Ils se sont lancés dans une campagne de recrutement de mercenaires étrangers — avec des personnes venant d’Europe occidentale, de Scandinavie et même d’Amérique du Sud.

Cela était strictement interdit par les accords de Minsk garantis par la France et l’Allemagne (et aujourd’hui de facto disparus). Azov a mis en place des camps d’entraînement pour adolescents et a rapidement atteint 10 000 membres. Erik « Blackwater » Prince, en 2020, a conclu un accord avec l’armée ukrainienne qui permettrait à son équipe renommée, Academi, de superviser Azov.

Ce n’est nul autre que la sinistre distributrice de biscuits Maidan, la virago Vicky « Fuck the EU » Nuland, qui a suggéré à Zelensky — tous deux, soit dit en passant, juifs ukrainiens — de nommer le nazi avoué Yarosh comme conseiller du commandant en chef des forces armées ukrainiennes, le général Valerii Zaluzhnyi. L’objectif : organiser une guerre éclair sur le Donbass et la Crimée — la même guerre éclair dont le SVR, les renseignements étrangers russes, a conclu qu’elle serait lancée le 22 février, propulsant ainsi le lancement de l’opération Z.

Tout ce qui précède montre qu’en Ukraine, il n’y a aucune différence entre les néonazis blancs et les al-Qaïda/ISIS/Daesh de couleur brune. Ainsi les néonazis sont tout aussi « chrétiens » que les takfiris salafistes djihadistes d’ISIS sont « musulmans ».

Lorsque Poutine a dénoncé une « bande de néo-nazis » au pouvoir à Kiev, l’humoriste (qui sait jouer du piano avec son sexe et qui sait danser en tenue cuir et avec des talons hauts, d’où son succès en Occident) a répondu que c’était impossible car il était juif. Absurdité. Zelensky et son patron Kolomoysky, à toutes fins pratiques, sont des sionistes.

Alors même que des branches du gouvernement des États-Unis admettaient les néonazis retranchés dans l’appareil de Kiev, la machine Exceptionnaliste (US) a tout simplement fait disparaître le bombardement quotidien du Donbass pendant 8 ans. Ces 14 000 victimes civiles n’ont jamais existé.

SOURCE : State of the Nation


NOTES de H. Genséric




L’ignorance devient-elle totalitaire ?

[Source : arretsurinfo.ch]

Elle prend de plus en plus les aspects d’un totalitarisme médiatique occidental.

Par Patrick Lawrence

Les médias grand public ne nous informent plus

Lorsqu’il s’agit de savoir comment les médias mainstream nous informent sur le monde dans lequel nous vivons, on est obligé de constater qu’ils ne le font pas. Je viens de citer trois processus récents, tous liés à l’information publique d’importance suprême. Les grands quotidiens et les grandes chaînes de télévision en ont tout de même observé le mutisme presque total. Les rares exceptions sont celles qui misent sur leur distorsion et dissimulation.

Nous sommes désormais arrivés à constater que ces médias ne se sont pas seulement égarés mais qu’ils ont bel et bien cessé de considérer comme leur mission principale de nous informer sur le monde dans lequel nous vivons. Depuis 2001 – je justifierai dans un instant le choix de cette date – les médias se sont fixés pour objectif de créer une réalité alternative dans laquelle notre rôle, à savoir, nous les lecteurs et les téléspectateurs, est celui de se faire entourlouper. L’intention, poursuivie de concert par les médias et les institutions qu’ils prétendent couvrir, est de créer un état d’ignorance totale.

Au printemps 2013, après de nombreuses décennies passées dans les médias d’entreprise, j’ai rédigé mes premiers commentaires pour la publication indépendante Salon, à une époque où elle pouvait encore être prise au sérieux. Quelque temps auparavant, j’étais arrivé à la conclusion que plus rien de valable ne pouvait être obtenu au sein du mainstream des médias américains. Il fallait soit se retirer, soit renoncer à son intégrité. Au fond, je suis arrivé trop tard avec cette décision.

Mais quelque part, dans l’optimisme tenace caractérisant maint chroniqueur, sommeillait l’idée que le jour des comptes arriverait, un jour où les lumières se rallumeraient et où une sorte de processus de guérison ou de récupération commencerait. Les éditeurs, les directeurs d’antenne, les rédacteurs, les producteurs, les reporters – tous reprendraient conscience de l’idée qu’ils poursuivent un objectif suprême et qu’ils doivent le servir en son statut de pôle de pouvoir indépendant. Mais hélas, cette pensée s’est largement dissipée entre temps.

Le cas Twitter-Gate

A la mi-décembre Elon Musk, le nouveau patron de Twitter, a commencé à publier des mémos internes montrant noir sur blanc dans quelle mesure la plateforme de médias sociaux avait collaboré avec le Federal Bureau of Investigations [FBI] pour censurer les comptes de dissidents, de personnes de tous bords s’opposant à la doctrine libérale orthodoxe. Pour retracer la chronologie du mieux possible, mon cas peut servir d’exemple. Au cours de l’année passé, mon compte Twitter@thefloutist a été durablement bloqué parce qu’il figurait sur l’une des listes que le FBI remettait couramment à Twitter lorsqu’il ordonnait ses suppressions massives.

Le destin du « rapport Gerth » sur l’escroquerie du Russiagate

J’ai mentionné à d’autres occasions déjà la mise à nu, par Jeff Gerth, de la corruption des médias du début à la fin pendant l’escroquerie du Russiagate – un terme que j’aime puisqu’il en dit long.(([1] Thenation.com  du 30/05/19)) Et là encore, depuis le début du scandale, ils étaient nombreux parmi nous autres à  savoir que la presse et les diffuseurs dans les chaînes radio et télévision travaillaient en étroite collaboration avec la hiérarchie du Parti démocrate et diverses institutions gouvernementales – l’appareil de sécurité nationale, les forces de l’ordre, la Maison Blanche d’Obama – pour créer et entretenir ce coin de réalité alternative que j’ai mentionné. Le rapport Gerth était néanmoins stupéfiant pour nous tous, car il donnait une tournure définitive à l’affaire.(([2] Consortiumnews.com  du  7/02/23)) Cette affaire est classée, me suis-je dit en le lisant jusqu’au bout.

Le rapport de Seymour Hersh sur l’opération militaire clandestine des États-Unis aboutit à la destruction des gazoducs Nord-Stream

Le niveau extraordinaire dans les détails – littéralement, concrètement, en dollars et centimes – qui caractérise le rapport de Seymour Hersh sur la manière dont le régime Biden a planifié et mené l’opération clandestine de destruction des gazoducs du Nord Stream à  l’aide d’explosifs sous-marins a eu un effet similaire lorsque Hersh l’a récemment publié sur Substack.(([3] Seymourhersh.substack)) Pour moi, tout s’est déroulé de la même manière que celle pratiquée quant aux fichiers Twitter et au rapport de Gerth: la culpabilité de Washington est apparue en évidence auparavant déjà, mais les faits présentés ont soudé leurs véracité de manière irréfutable. Il n’y avait plus besoin de spéculer ou de s’expliquer.

…  et tout s’est passé sous silence

C’est donc arrivé, arrivé trois fois dans un laps de temps assez court. Quelle en est la signification pour nous autres, citoyens et chroniqueurs traités en dupes? Le moins que l’on puisse dire: nous ne nous trouverions pas au point où nous en sommes si nous étions une société honnête envers nous-même.

Personne au FBI, au ministère de la Justice, à la Maison Blanche de Biden, aucun ancien fonctionnaire de l’administration Obama ne s’est exprimé sur les révélations des fichiers Twitter. Personne au Congrès, n’a exercé une pression implacable sur Twitter et d’autres plateformes de médias sociaux pour qu’ils renforcent leurs programmes de censure. Personne ne s’est senti obligé de le montrer du doigt. Les grands quotidiens et les chaînes d’information ne se sont en aucun moment penchés sur le fait des fichiers de Twitter. NPR(([4] (( National Public Radio (NPR) est une coopération de stations radio non-commerciales indépendantes, autant sur le les plans financier que légal (n.d.l.r.) )), la seule exception que j’ai pu trouver, a publié un article lamentable attribuant les documents Twitter à la prétendue détermination de Musk à répandre des « théories du complot». Quel manque de sérieux!

Mercredi matin, Glenn Greenwald a demandé sur son fil Twitter prompt: «Vous souvenez-vous qu’il y a trois semaines, la Columbia Journalism Review a publié un réquisitoire accablant, en quatre parties, sur les mensonges en série et l’insouciance des médias d’entreprise qui ont fait avancer l’affaire du Russiagate – écrit par un journaliste du «New York Times» récompensé d’ailleurs par le prix Pulitzer – témoignage que tout le monde a ignoré?»(( [5] https://twitter.com/ggreenwald/sta-tus /1625595631413633045 ))

« Bien installés sur leurs selles, ils continuent comme si rien n’était »

En l’espace de quelques semaines, l’une des grandes histoires de notre époque, lourde de conséquences, se retrouve engloutie dans les vagues du non-sens quotidien alors qu’il s’agissait de «se souvenir». Pendant des années, je me suis demandé comment les médias grand public réagiraient si la vérité sur l’affaire du Russiagate était enfin révélée, me disant qu’ils disparaîtraient discrètement par la porte de côté. Tout au contraire, dans ce cas aussi, ils ne prennent pas la peine de filer: ils restent confortablement assis sur leurs selles continuant comme d’habitude, sans qu’aucune idée de responsabilité n’ait la chance de perturber leur indolence routinière.

En ce qui concerne le remarquable rapport de Sy Hersh, eh bien, il est balayé par les représentants du gouvernement d’un revers de main le qualifiant d’« erroné» ou de «fiction», les médias grand public ne le mentionnant même pas. C’est donc ainsi qu’un Mack Truck(([6] Mack Trucks est un producteur américain de camions lourds renommés de leur apparence touffue (n.d.l.r.) )) se retrouve sous le tapis.

Seymour Hersh : « Entre-temps, la presse américaine grand public s’intéresse avant tout aux ragots médiatiques »

L’autre jour, Hersh a posté à ses abonnés une note qui résume bien la situation. Se référant au «New York Times» et au «Washington Post», Hersh écrit:

«Aucun de ces deux journaux n’a encore dit un mot sur l’histoire du pipeline, même pas pour citer le démenti de la Maison Blanche sur ma couverture. Les médias américains ont également ignoré les demandes officielles des représentants de la Russie et de la Chine sollicitant une enquête complète concernant l’histoire du pipeline. (Je ne peux m’empêcher de souligner qu’un journaliste du ‹Times› m’a appelé le jour où l’histoire du pipeline est parue. Je lui ai dit que je ne donnerais pas d’interviews. Il m’a demandé si je voulais bien répondre à une question. J’ai accepté. Il m’a demandé à combien de publications j’avais proposé l’histoire du pipeline avant d’arriver à ‹Substack›. De tels propos ridicules sont le signe que la presse mainstream américaine est désormais plus intéressée par les ragots médiatiques que par la sécurité nationale ou les questions de guerre et de paix).»

Il ne nous reste plus qu’à tirer des conclusions d’un nouveau genre – des conclusions aussi clairement noires et blanches que les preuves solides qu’Elon Musk, Jeff Gerth et Sy Hersh nous ont présentées concernant la nature du pouvoir officiel et médiatique et son exercice. Selon moi, six points sont de toute première importance.

« Le gouvernement américain s’est entièrement engagé dans un régime de sans lois »

Un, le gouvernement américain s’est entièrement engagé dans un régime de sans lois, tant sur le plan international que sur le plan intérieur. Il s’agit d’une attitude fondamentalement défensive, ce qui la rend d’autant plus dangereuse. J’attribue cela aux événements de 2001, lorsque le déclin de l’empire américain ne pouvait plus être nié – en privé, même si ce n’é tait pas le cas en public.

« Les médias américains dissimulent l’anarchie du gouvernement »

Deux, les médias mainstream américains s’efforcent par leurs moyens à eux de dissimuler cette anarchie officielle. Sinon, comment Washington pourrait-il diriger ainsi un empire mondial tout en cachant sa vulnérabilité si efficacement au public américain?

« L’industrie de la désinformation fonctionne désormais sans limites »

Trois, ce que nous appelons aujourd’hui l’industrie de la désinformation a évolué au cours de la dernière demi-douzaine d’années et fonctionne désormais sans restriction apparentes. Au cœur de cette entreprise malveillante se trouve la relation souvent anticonstitutionnelle entre les entreprises de médias, notamment les plateformes de médias sociaux, et de différentes parties de l’État administratif. Le Russiagate a été une combinaison de désinformation, de mensonges légalement opposables dans le cas de certains fonctionnaires et d’omissions. Le silence des médias en réaction au rapport Hersh équivaut à  une désinformation par omission.

« Exclusion du public américain »

Quatre, aujourd’hui le gouvernement américain opère dans un état d’isolement presque total vis-à-vis du public américain. Alors que les médias américains permettent cette réclusion, ils jouissent en même temps d’une pareille immunité, voire d’impunité. Les deux institutions, celle couverte et celle qui devrait les couvrir eux, se sentent plus à l’abri dans leur indifférence à l’égard de l’opinion publique, à un degré que je ne n’aurais jamais cru possible, et ceci dans notre république pourtant vive.

Rien que de la violence nue ?

(Quatre A) En matière d’impunité, Jeff Gerth a publié 24 000 mots. Je n’ai pas compté ceux de Hersh, mais Sy, disons, est généreux quand il s’assoit pour écrire. Il est raisonnable de nous demander si nous avons atteint le point terrible de l’histoire où le pouvoir nu, le pouvoir de la violence seule, aura retiré au langage son propre pouvoir à elle. Jusqu’à aujourd’hui – la restriction est essentielle – nous nous trouvons en effet face à cette réalité, du moins dans les limites où le langage est en effet en mesure de discipliner le pouvoir et de demander des comptes à ceux qui l’exercent de manière corrompue.

Le brouillage a été diaboliquement efficace

Cinq, l’annihilation des trois rapports dont il est question ici a été diaboliquement efficace, laissant la majorité des Américains dans l’ignorance des faits dont ces rapports font état. La plupart des «croyants» du mythe «Russiagate» que je connais ne sont pas conscient du fait que tout ce qu’ils croyaient être vrai a été réfuté. Mais ceux qui ne sont pas conscients d’un événement, ne s’en soucient guère. C’est cet état que j’appelle l’ignorance totalisée.

« De la crotte sur le mur »

Sixième et dernier point: il n’y a pas de précédent dans l’histoire américaine pour notre situation. Notre passé n’est pas celui à nous illuminer la voie. Un de ces matins, Seymour Hersh a intitulé sa lettre aux abonnés «The Crap on the Wall» [«La crotte sur le mur»], la concluant en ces termes: «Restez en phase. Nous n’en sommes qu’au début…»
En effet. •

Patrick Lawrence

*Patrick Lawrence, de longue date correspondant à l’étranger, notamment pour l’« International Herald Tribune», est chroniqueur, essayiste, auteur et conférencier. Titre de son dernier livre: «Time No Longer: Americans after the American century». Yale 2013. Sur Twitter, Lawrence était accessible sous @thefloutist avant d’ê tre censuré sans commentaire. 

(Traduction de l’anglais Horizons et débats)
Source : Scheerposts


L’escroquerie sur l’existence d’un « Russiagate » et son démantèlement par le « rapport Gerth »

 Donald Trump et Hillary Clinton pendant l’élection présidentielle de 2016. (Gage Skidmore/Wikimedia Commons)

Stephen Cohen, décédé en 2020, spécialiste de la Russie et Professeur aux universités de Princeton et de New York, anciennement membre du Council on Foreign Relations,s’est prononcé, en 2019, au sujet du scandale «fait maison», monté par les médias et connus sous le terme «Russiagate», en ces termes: «L’affirmation selon laquelle le Président américain Donald Trump aurait été compromis par le Kremlin et que ce dernier aurait contribué à le faire entrer à la Maison Blanche est le pire scandale politique de l’histoire américaine et le plus frauduleux (vu le manque de preuves réelles).»

Les médias mainstream y ont largement contribué avec leurs fausses affirmations, leurs mensonges, désinformations, camouflages et distorsions. Toutes les histoires relatives au prétendu Russiagate ainsi que le dossier de l’ancien collaborateur des services secrets britanniques Christopher Steele, établi à la demande d’Hillary Clinton, se sont révélés être de pures fictions mensongères. Le rapport du procureur spécial Robert Mueller («Mueller Report») n’a débouché sur aucune inculpation du parquet contre Donald Trump, malgré les énormes efforts déployés dans ce but. Il n’y a cependant pas eu d’excuses de la part des médias qui ont tout fait pour divulguer les mensonges; par contre, leurs affirmations non prouvées sur des prétendus accords secrets ont été renforcées, même dans les médias de renom sérieux, au temps jadis.

Jeff Gerth, journaliste indépendant ayant travaillé pendant trois décennies comme reporter d’investigation pour le «New York Times», a publié, le 30 janvier 2023 (dans «Columbia Journalism Review», publication de la Columbia University Graduate School for Professional Journalism), une série de quatre articles présentant les résultats de ses recherches d’un an et demi sur le complexe dénommé Russiagate, notamment en ce qui concerne les médias. Ses recherches, complétées par une documentation exhaustive, ont confirmé entièrement les critiques à l’encontre de la campagne, formulées en public. Patrick Lawrence en a fait le point, dans un article précédent, en ces termes : «[Dans son analyse] Gerth démasque […] la lâche complicité des médias américains qui ont fabriqué, de toutes pièces, toutes les absurdités répandues sur l’existence d’une collusion de Donald Trump avec la Russie pendant sa candidature contre Hillary Clinton lors des élections présidentiel

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Tremblements de terre en Turquie-Syrie, conflit en Ukraine, et plandémie Covid : une « campagne de meurtres de masse »

Selon la sénatrice roumaine Diana Iovanovici-Șoșoacă

[Source : profession-gendarme.com.
NDLR Traduction partiellement révisée]

[Photo : ALEXANDRU DOBRE / MEDIAFAX FOTO]

Interview

Večernje Novosti (VN) : Vous êtes le premier homme politique en Europe qui, dès le 8 février, au Parlement roumain, a déclaré les événements étranges entourant le tremblement de terre en Turquie. Veuillez répéter ces observations pour les lecteurs de Večernje Novosti.

[Voir aussi :
Selon la sénatrice Diana Ivanovici Șoșoacă au Parlement roumain,
la Turquie a été victime d’une arme sismique]

La sénatrice Diana Iovanovici-Șoșoacă (SDIS) : J’ai montré dans ma déclaration politique au Sénat roumain le lien de continuité entre la campagne de meurtres de masse à travers de prétendues pandémies et le besoin imminent d’injection de vaccins non testés qui tuent des gens, en fait des crimes contre l’humanité, et le déclenchement de guerres qui établiraient la terreur et une peur terrible parmi les gens, détruisant leur psychisme et leur résistance, dans le but de réduire la population mondiale, de restaurer les pôles de pouvoir et de changer les frontières, ainsi que les changements économiques dans le monde entier.

Mais tout est devenu encore pire lorsque nous avons assisté à la production de tremblements de terre sur mesure ou contrôlés, en fait une attaque contre la Turquie par les plus grands dirigeants du monde qui n’aimaient pas le fait d’être confrontés à Recep Tayyip Erdoğan, le président de la Turquie.

De plus, sa position de neutralité et de médiateur dans la guerre ukraino-russe a profondément perturbé, d’autant que la Turquie est la deuxième puissance militaire au sein de l’OTAN. Sa position de bloquer l’adhésion de la Suède à l’OTAN, mais aussi son discours de Davos, notamment, ainsi que son geste de partir en pleine conférence de presse, défiant Schwab, n’est pas resté sans écho dans le monde dur et froid des dirigeants mondiaux. Mais personne ne pensait qu’il serait nécessaire que tant de gens meurent, tués d’une manière aussi ignoble, uniquement pour que les puissants du monde démontrent leur pouvoir. Et ce n’était qu’un avertissement, car ce n’était pas la région la plus peuplée de Turquie.

Il y a eu 150 répliques d’un tremblement de terre dévastateur, le deuxième plus important que le premier, sans éclosion, la zone étant artificiellement stimulée. On sait que les armes géologiques existent depuis très longtemps, mais elles ont été utilisées jusqu’ici sans faire trop de victimes, probablement pour des expérimentations.

Si nous regardons attentivement la carte des pipelines en Turquie, nous verrons que ce pays est géré par des gazoducs et des oléoducs, qui sont en fait l’un des objectifs : leur destruction.

Il est à noter que les cartes présentées sur toutes les chaînes de télévision ont montré qu’il n’y avait pas un épicentre, mais une ligne tectonique avec des milliers de tremblements de terre. Et je suis le seul politicien au monde qui a eu le courage de montrer que le président Erdogan a été puni pour son courage, sa dignité et son honneur et pour sa proximité avec la Fédération de Russie, en fait une position de neutralité et de médiation pour la paix.

De plus, le tremblement de terre avait pour but de détourner l’attention des gens de la guerre en Ukraine, où déjà des représentants de nombreux pays ont commencé à vociférer contre le despotisme et les ordres donnés par le président Zelensky, comme s’il dirigeait le monde et que quelqu’un avait l’obligation d’envoyer des armes et de participer à sa guerre où il a sacrifié son propre peuple et détruit tout son pays.

VN : D’où viennent vos informations et est-il vraiment vrai que les gazoducs et les oléoducs ont été fermés immédiatement après l’impact ?

SDIS : Au sein du parti SOS Roumanie, j’ai créé un Conseil des sages composé des meilleurs spécialistes de différents secteurs, y compris scientifique et militaire. L’analyse a été faite avec l’aide, entre autres, d’un général spécialisé dans les armes technologiques, le seul qui se trouvait au centre HAARP en Alaska : le général Emil Streinu. Je tiens à informer vos lecteurs, le peuple serbe, dont je me sens très proche, et que j’estime beaucoup pour son courage et sa verticalité, que HAARP n’est même pas le dernier système d’arme géophysique ! Entre-temps, des armes encore plus avancées de ce type sont apparues, dont je ne peux cependant pas parler, celles-ci étant strictement secrètes et non encore révélées au public.

Les gazoducs et les oléoducs ont été fermés AVANT le tremblement de terre, les Turcs ont probablement appris qu’ils allaient recevoir un coup et voulaient éviter une catastrophe encore plus grande ou peut-être que l’équipement de détection des tremblements de terre les avait avertis.

Il existe de tels systèmes et nous avons en Roumanie ceux qui annoncent les tremblements de terre en haute mer avec 50 secondes d’avance. En fait, de nombreuses voix en Turquie ont admis qu’il s’agissait d’un tremblement de terre atypique. Après que ma déclaration ait atteint tous les méridiens du monde, étant très populaire en Turquie, beaucoup de gens m’ont donné raison : c’était un tremblement de terre provoqué ! De plus, les agences de renseignement turques enquêtent sur l’implication d’un État étranger dans les tremblements de terre, et il existe également une déclaration officielle à cet effet.

VN : Quelles sont les intentions de ceux qui ont utilisé des armes géophysiques ?

SDIS : L’utilisation d’armes géophysiques est le moyen de l’État parallèle mondial pour arrêter les dirigeants qui s’opposent à leur suprématie, comme le cas du président turc Recep Tayyip Erdoğan, mais aussi les populations qui sont indépendantes et ne montrent aucune dépendance vis-à-vis de l’Occident.

Vous avez connu en Serbie la colère de l’Occident et les attaques de l’OTAN diabolique, pour vous bombarder la nuit de Pâques, avec l’inscription « Joyeuses Pâques » sur les bombes ! C’est quelque chose que vous ne devez jamais pardonner et oublier et une leçon doit être donnée à ces tueurs (moi, pour ma part, je n’oublierai pas et ne pardonnerai pas ce moment) ! Pourtant, vous continuez à mener une politique indépendante et courageuse, c’est pourquoi vous méritez toute l’admiration. Je vous ai toujours admiré pour la verticalité et la fierté de défendre vos valeurs et principes et, surtout, la souveraineté et l’indépendance de la Serbie, et je vous ai souvent loué comme exemple pour le peuple roumain. Mais si les années précédentes, la puissance mondiale utilisait des armes conventionnelles pour punir les pays libres, elle est maintenant passée à un tout autre niveau, et ces attaques ne peuvent plus être contrées. Ils peuvent, tout au plus, être vengés, avec le même type d’armes que les États ont développées, mais les citoyens n’ont pas été informés.

De plus, il est même difficile et dangereux de révéler ces armes et de les porter à l’attention du public, comme je l’ai fait par le biais de ma déclaration au Sénat roumain le 8 février. Quiconque fait la lumière sur ces sombres machinations prend un gros risque, un risque majeur (j’ai supposé la même chose que M. le général Streinu qui a dû subir trois tentatives d’assassinat l’année dernière seulement)… De plus, c’est choquant pour les gens simples qui ne sont pas informés correctement lorsqu’ils doivent faire face à une vérité irréfutable. Mais la Vérité nous rendra libres !

VN : Comment voyez-vous la guerre en Ukraine et pourquoi les élites occidentales n’entendent-elles même pas le mot trêve ou négociations ?

Les ministres de la Défense de l’Ukraine et de la Russie sont d’accord : la guerre en Ukraine est entre l’OTAN et la Russie

SDIS : cela dépend de ce que vous voyez en Occident. L’Occident européen est trompé parce qu’il est dirigé par des incapables et des incompétents, esclaves des USA et de l’OTAN, en fait avec une mentalité d’esclave, sans aucun principe, des mondialistes qui n’ont pas connu la normalité dans leur vie, des illustres faiseurs de rien payés par le travail et la sueur des Européens, alors qu’ils vivent dans les hauteurs et n’ont aucune idée de ce qui est en bas.

Mais il ne s’agit pas seulement de l’Occident européen, nous parlons de l’Empire américain qui, pendant la majeure partie des 200 dernières années, n’a fait que détruire et se précipiter sur des pays indépendants et souverains et les annuler complètement : Ursula Von Der « Lier » ne pleurait pas pour les enfants en Afghanistan, en Irak, en Libye, dans le Golfe, etc. (Il n’y a que quelques petites exceptions des présidents des États-Unis qui n’ont pas eu de guerres et de crimes pendant leur mandat : par exemple, Donald Trump, s’il était maintenant le président des États-Unis, nous n’aurions pas de telles horreurs dans le monde).

En fait, personne n’a bondi pour ces gens. Ces Occidentaux, qui se croient des empires, ne souhaitent pas la paix, mais ils veulent conquérir de nouveaux territoires et ressources. En fait, ce n’est pas l’Occident, c’est l’Empire Mondial mondialiste qui veut rediviser les pays et tracer des frontières à sa guise sans tenir compte de l’histoire et des peuples, comme il essaie aussi de le faire au Kosovo ou dans notre Transylvanie. Quand l’Occident a-t-il cherché la paix ? L’Occident n’a-t-il pas attisé la première et la Seconde Guerre mondiale, et maintenant il veut nous jeter dans la troisième ?

L’Empire mondial mondialiste veut une soumission et une colonisation complètes, comme il l’a fait en Afrique, en Asie et dans les Amériques, il y a quelques centaines d’années. Celui qui s’y oppose doit être puni, et s’il ne se calme pas, voire détruit. Et l’Occident n’a jamais pu s’accrocher à la Russie et au monde slave. Ce n’est pas la première fois qu’ils essaient de faire de la Russie une colonie européenne. Napoléon a essayé, Hitler a essayé, et cela signifiait leur fin.

Cette guerre est provoquée par l’Occident en encerclant et en enfermant la Russie dans un piège, l’OTAN se rapprochant des frontières russes et armant et transformant l’Ukraine en un État anti-russe. L’Occident brise des morceaux de votre pays, bloque votre commerce, vous met sur toutes sortes de listes noires, vous entoure de bases militaires, puis réagit « innocemment » : mais pourquoi vous mettez-vous en colère ? Mais vous, en Serbie, malheureusement, vous connaissez très bien ces politiques occidentales. J’ai dit à plusieurs reprises en Roumanie, dans mes déclarations publiques, que je ne peux pas oublier comment l’OTAN, qui prétend être une organisation défensive, a bombardé la Serbie lors de la Pâque orthodoxe en 1999, tuant des citoyens innocents avec des bombes sur lesquelles on pouvait lire en anglais : Happy Easter !, ce qui signifie « Joyeuses Pâques » !. Est-ce de ces personnes que nous devons attendre la paix ?

Il y a une guerre contre l’orthodoxie à cet égard, et ce n’est pas un hasard si les peuples orthodoxes sont considérés comme des ennemis par l’Occident, car ils veulent détruire la dernière Église vivante, qui a maintenu ses traditions et sa spiritualité non affectées par l’athéisme moderne !

Ce n’est pas seulement une guerre contre la Russie, mais aussi contre l’orthodoxie, la famille traditionnelle et les anciennes valeurs humaines. C’est une guerre qui se déroule à tous les niveaux. Regardez la pression qui est mise sur vous à travers le Kosovo, juste pour vous forcer à rejoindre les sanctions anti-russes.

Et de Vienne, nous recevons maintenant des messages indiquant que la Roumanie ne sera admise à Schengen que si elle reconnaît l’indépendance du Kosovo !

Et la Serbie est attaquée maintenant, comme le sont tous les pays qui s’opposent à l’hégémonie occidentale, tout comme la Turquie a été attaquée ! Je vous promets que je m’opposerai en Roumanie à la reconnaissance de l’indépendance du Kosovo, car je le sais trop bien : le Kosovo, c’est la Serbie ! Mais pour voir quel genre de chantage l’Occident pratique contre nous, les peuples orthodoxes ! En fait, c’est inciter les frères à se détester. Nous devrions être ici une oasis de fraternité, de paix et d’amour orthodoxe. Cela les dérange. En fait, le pôle balkanique doit être restauré d’urgence, à tout prix, afin de défendre nos pays, nos peuples, l’Orthodoxie, notre histoire, nos valeurs, notre mémoire et nos principes millénaires.

Les Balkans ont toujours été une force et toujours une poudrière. Pour échapper à cette force, l’Occident a détruit l’unité des Balkans et poussé les citoyens à des guerres interethniques. Divide et impera [diviser pour régner]. Reconnaître le Kosovo signifierait de sérieux problèmes pour la Roumanie, mais aussi pour l’Espagne et d’autres États qui ont des problèmes avec les zones qui deviendront indépendantes. Tous les dirigeants de ces petites régions ethniques devraient comprendre que L’UNION FAIT LE POUVOIR. Divisés, nous sommes perdus. Ensemble, nous avons un avenir !

Comment l’Occident pourrait-il rechercher la paix puisqu’il a provoqué ce conflit et qu’il le maintient par tous les moyens, politiques, diplomatiques, économiques et militaires ? Comment peuvent-ils mettre la main sur les terres agricoles et les immenses ressources de l’Ukraine sinon en en chassant les habitants et en jetant le pays à la faillite ? Comment l’Ukraine paiera-t-elle les prêts et le soutien de l’Occident ? Avec tout ce qu’il a et avec tout ce qu’il est ! Et, malheureusement, nous payons aussi en dommages collatéraux.

VN : Qui a besoin d’une guerre terrible ?

SDIS : Je l’ai déjà dit : L’Empire Mondial mondialiste. Tout d’abord, les grandes entreprises internationales et les fonds d’investissement, qui sont déjà maîtres de tout ce que possède l’Ukraine, y compris de ses dettes nationales. Deuxièmement, l’État parallèle mondial qui peut ainsi pousser plus loin son programme, soumettant les populations, les appauvrissant et leur interdisant les droits les plus élémentaires au nom de la guerre. Regardez la censure et les abus qui existent en Europe au nom de la guerre.

Regardez l’inflation, l’appauvrissement de la population. Tout cela pour la « noble » cause de la guerre. Tout comme elle l’était dans la plandémie (et j’appelle intentionnellement la pandémie « plandémie » parce qu’il s’agissait d’un plan similaire conçu pour la brutalisation et l’assujettissement des citoyens), la guerre sert l’État parallèle mondial à tous les niveaux : elle s’empare des ressources, elle vole les économies de la population par l’inflation, et il annule les droits des citoyens. Qu’un seul essaie de parler de paix ! Il est immédiatement mis à l’index et transformé en « ennemi du peuple ». Au contraire, ceux qui incitent à la guerre, à la destruction, à la perte de vies humaines sont des « héros ».

Et il les utilise pour faire autre chose : produire des armes. Ils se débarrassent de toutes les vieilles armes qu’ils donnent à Zelensky, et ils produisent à grande échelle de nouvelles armes de pointe, il suffit de regarder aux États-Unis combien d’argent est donné au budget de la défense et comment les Américains sont descendus dans la rue pour protester. Je veux dire, il y a tellement de pauvres, de gens finis, de sans-abri, de gens affamés là-bas, et vous, l’État américain, vous gaspillez de l’argent pour des armes ?

De plus, il utilise les États-Unis pour détruire ses concurrents : l’UE. LES ÉTATS-UNIS n’ont pas besoin de l’UE. Mais parce qu’au niveau de l’UE, nous n’avons que des dirigeants incapables et incompétents, ils ne se rendent pas compte qu’ils se sont suicidés, non seulement politiquement, mais économiquement et socialement, car l’UE se dissout d’elle-même, comme cela arrivera avec l’OTAN. Nous vivons dans un monde à l’envers, où la doctrine officielle obligatoire prétend que la paix est un mal, tandis que la guerre est un bien ! Je ne me soumets pas à ces directives et j’ai pris le risque de dire la vérité !

VN : Comment les citoyens et les politiciens roumains voient-ils la guerre. Les Roumains envisagent-ils de faire la guerre en Ukraine contre les Russes ?

SDIS : Les citoyens et les politiciens de la Roumanie sont dans des camps opposés, comme de nombreuses fois dans l’histoire. Les Roumains ne souhaitent pas la guerre, mais ne font que constater avec étonnement la manière dont l’Ukraine persécute notre minorité roumaine, ferme nos églises, persécute nos prêtres et, plus récemment, détruit notre delta du Danube. La Roumanie a accueilli les réfugiés ukrainiens à bras ouverts et a dépensé des sommes énormes pour les héberger et leur fournir des services gratuits partout, bien que beaucoup de ces réfugiés soient plus riches que les Roumains ordinaires et défient l’opinion publique dans leurs voitures de luxe, traitant les Roumains avec mépris.

Au lieu de servir leur peuple, les politiciens roumains sont les marionnettes de l’empire mondialiste mondial. Tout ce que disent Bruxelles, l’OTAN et les États-Unis est accompli par nos politiciens sans la moindre objection. Si on leur demande d’impliquer la Roumanie dans la guerre, ils exécutent immédiatement, car ils n’iront pas au front et leurs enfants ne seront pas envoyés y mourir !

Les Roumains ne veulent pas la guerre, c’est clair, et c’est le message que je reçois des centaines de milliers de Roumains qui m’écrivent et me parlent dans la rue lors de mes visites à travers le pays.

Les Roumains ne veulent pas entendre parler de guerre ou de leurs traîtres politiciens, dirigés de l’extérieur du pays par des maîtres qui sont prêts à les jeter dans la guerre. J’ai réagi durement chaque fois que les faux dirigeants roumains étaient sur le point de pousser la Roumanie dans cette voie, et jusqu’à présent j’ai réussi à éviter cette voie désastreuse, car les Roumains étaient à mes côtés et m’ont soutenu dans mes efforts.

En fait, 4 jours après le début de la guerre, nous avons initié la seule démarche globale : la neutralité pour la Roumanie, la paix de Bucarest, demandant à toutes les ambassades des États voisins et des belligérants, des pays membres de l’OTAN et de Bruxelles d’essayer de conclure la paix en la Maison du Peuple de Bucarest, le Palais du Parlement.

Étonnamment, le seul pays qui nous a reçus, moi et trois autres députés qui ont rejoint ma démarche (à comprendre : 4 sur 466 députés), c’est la Fédération de Russie. Évidemment, on nous a fait « peuple de Poutine », on nous a insultés, on m’a demandé d’être fichée pour haute trahison, j’ai été et je suis toujours interdite sur toutes les chaînes de télévision grand public en Roumanie. Le 8 mars 2022, nous avons fait descendre les Roumains dans la rue et empêché les traîtres de la direction roumaine d’envoyer des armes en Ukraine. Cela a continué et continue à ce jour, et ma réplique est que si je suis « poutiniste », parce que je veux la paix, alors, parce qu’ils veulent la guerre, ils sont hitlériens.

Mais nous ne savons pas ce que l’avenir nous réserve, car les pressions sur la Roumanie augmentent, et avec ses dirigeants lâches actuels, le sort du pays est en jeu. Je me battrai jusqu’au bout, au prix de ma vie s’il le faut, pour que la Roumanie ne soit pas entraînée dans cette guerre ! À voir la pression qu’il y a, les deux dernières télés qui ont encore le courage de m’inviter à parler viennent d’être verbalisées à cause de ma présence dans leur studio, alors elles essaient de m’enfermer de toutes parts parce que je suis la seule politicienne roumaine qui se bat contre la guerre et veut garder son pays à l’écart du conflit.

VN : Vous étiez aussi contre la vaccination forcée. Comment voyez-vous les conséquences de la pandémie aujourd’hui ?

SDIS : La vaccination forcée ou coercitive faisait partie du plan d’assujettissement et de contrôle de la population, mais aussi d’anéantissement du débat public et de l’esprit critique et civique du peuple. Félicitations à tous ceux qui ont résisté à la pression et qui ont été un modèle de liberté pour le monde entier, comme c’est le cas de votre grand joueur de tennis Novak Djokovic, qui est un héros mondial pour son courage et un symbole de la Serbie qui a résisté à l’Occident pression. Il y avait une blague en Roumanie disant que Djokovic et moi serions cousins !

Maintenant, il est démontré que la vaccination tue et il y a de plus en plus de cas dits de « morts subites », auxquels s’ajoutent d’autres conséquences négatives que le temps confirmera. J’ai lutté contre la vaccination en Roumanie et j’ai préservé de nombreux Roumains de ce fléau, et maintenant ceux qui étaient sceptiques sur les informations dont je disposais et sur mes avertissements publics ont commencé à me rendre justice. Malheureusement, dès que la masse critique de citoyens s’est formée pour rejeter les politiques criminelles dans la plandémie, l’État parallèle mondial a poussé les choses à la guerre afin qu’ils puissent avoir un autre moyen de soumettre les gens et de leur faire oublier la pandémie.

Pour mes actions contre les restrictions, les abus et la vaccination forcée dans la pandémie, j’ai subi des répercussions inimaginables, depuis la violence physique au Parlement, dans la rue de la part de la police, avec les gardes dans les hôpitaux (parce que j’ai sauvé des gens de l’intubation forcée et grâce à de mon intervention ils sont encore vivants), jusqu’à la sanction parlementaire. Je suis le seul député du monde démocratique (si vous pouvez appeler cela une démocratie !) sanctionné pour des déclarations et des opinions politiques, avec la suppression du droit de représenter le Sénat dans les actions officielles pendant 3 mois — ce que j’ai annulé en justice. Je suis aussi le citoyen roumain le plus lourdement condamné à des amendes : 30 000 euros. Ils ont essayé de prendre ma maison, ils ont menacé mes enfants, ils ont essayé de monter un dossier criminel contre mon fils.

Également, ils ont envoyé un journaliste italien expert des troupes de l’OTAN, Goracci, pour m’inscrire dans un dossier pénal, j’ai été attaquée dans mon propre cabinet, mon mari m’a défendu des soi-disant journalistes employés par la chaîne de télévision RAI 1 et maintenant il est en procès et ils essaient de le faire condamner. Je suis sous le coup de plus de 13 affaires pénales pour avoir contrecarré la lutte contre les maladies et arrêté la vaccination.

Mon fils a été expulsé de l’équipe de football et n’a pas été autorisé à jouer dans la Coupe de Roumanie, malgré le fait qu’il soit footballeur professionnel et la liste est longue. Ma fille de 10 ans a été forcée de s’inscrire dans une école privée, parce qu’elle n’était plus acceptée dans les écoles publiques de l’État, etc.

Je ne regrette rien ! Les conséquences de la pandémie en Roumanie ne sont pas comme en Occident, parce que nous étions quelques voix qui ont réveillé les gens et ne les ont pas laissés aller dans les hôpitaux. Nous les avons convaincus de ne pas se faire vacciner, et tous ceux qui ont pris soin d’eux-mêmes à la maison ont survécu.

En Roumanie, le vrai pourcentage de vaccination est de 12,5 %. [Beaucoup de] ceux qui sont déclarés vaccinés ne le sont que sur papier. Même les médecins ne voient pas les conséquences. On ne sait pas ce que contient le vaccin, mais seulement que le grand médecin lauréat du prix Nobel Luc Montagner avait raison : les vaccinés mourront en grand nombre. Je souhaite qu’au moins les enfants vaccinés soient vaccinés avec de l’eau, pas avec ce vaccin expérimental.

Après ces années d’horreur, qui rappelaient la période nazie, nous avons des souvenirs terribles : des sacs en plastique noir dans lesquels les gens étaient jetés et ensuite mis directement dans la tombe sans service religieux, sans famille à proximité (ce qui était considéré comme un contact) et devaient rester en isolement ; des enfants qui sont morts étouffés par la muselière (parce que cet objet n’était pas un masque), qui ont développé des allergies et des maladies pulmonaires à cause de cela ; des gens tués après des jours dans les hôpitaux, intubés en vain. J’ai découvert moi-même comment ils sont tués et j’ai rempli des centaines de plaintes pénales.

Des personnes âgées condamnées à une amende pour être allées acheter du pain, des enfants détruits à cause de l’école en ligne, des enfants qui se sont suicidés à cause de l’état d’urgence obligeant les gens à rester à la maison, des personnes âgées tuées dans des maisons de retraite, des enfants vaccinés de force dans les centres de placement parce que personne ne pouvait les défendre. Toute cette expérience nazie est restée dans notre mémoire, répétant des moments terribles du passé, évidemment sous une autre forme, avec d’autres armes, non conventionnelles.

VN : Vous avez des racines serbes, qui avez-vous en Serbie et visitez-vous notre pays ?

SDIS : Je m’appelle IOVANOVICI et mon père est originaire de Macédoine, de Skopje, et ils se sont battus contre le système. Ils ont caché leurs origines pour qu’on ne puisse pas les retrouver. Je ne savais pas grand-chose d’eux, et je ne connais pas la langue. Mes parents ont divorcé quand j’avais un an. Je n’ai jamais visité ni la Macédoine ni la Serbie, même si j’aimerais beaucoup le faire. Je peux seulement dire que je vous admire de tout mon cœur pour ne pas vous être laissé piétiner, pour avoir réagi et défendu l’orthodoxie. J’aimerais que l’Église de Roumanie ait la même attitude que votre Église lorsqu’il y avait les parades de promiscuité à Belgrade. J’espère pouvoir visiter la Serbie et la Macédoine cette année.

D’ici là, j’admire votre ténacité et votre amour de la terre et des gens ! Un peuple fier comme devraient l’être tous les peuples des Balkans ! Et honnêtement, je vais vous accorder le but : reconstruisons le pôle balkanique ! Unis nous vaincrons !


La source originale de cet article est Global Research
Copyright © Sén. Diana Iovanovici Sosoaca et Večernje Novosti, Global Research, 2023
Source : Global Research




« Fuites de laboratoire » et murs de briques

[Source : off-guardian.org]

Par Catte Black

L’histoire du « covid était une fuite de laboratoire » a toujours été un récit officiel détourné qui renforçait la réalité de la « pandémie » tout en apparaissant comme une « alternative » supprimée.

Vous savez, une de ces « alternatives supprimées » qui finissent dans le WSJ [Wall Street Journal].

Elle va maintenant être utilisée pour enterrer définitivement tout espoir que 2020-21 nous réveille à la pleine réalité moderne de la géopolitique.

Vous vous souvenez du spectacle grotesque de dirigeants mondiaux supposément opposés sur le plan idéologique, tous au même diapason, faisant la promotion d’une « pandémie » inexistante, donnant les mêmes conseils, tenant le même discours ?

Oui, ils préféreraient que vous ne vous en souveniez pas…

Vous rappelez-vous comment, tout à coup, il est devenu si évident de savoir ce qu’ils étaient tous ?

Des petits acteurs, avec leurs répliques soigneusement écrites pour eux, se précipitant pour faire ce qu’on leur demandait de faire par des forces dont nous avions jusqu’alors à peine réalisé qu’elles étaient opérationnelles ?

Ils avaient soudain l’air si petits et ridicules, n’est-ce pas, avec leurs masques et leurs costumes de danger biologique. Parlant d’une seule voix — qui n’appartenait à aucun d’entre eux.

Nous pouvions voir qu’ils n’étaient que des employés obéissant à la ligne de conduite d’une entreprise.

Chacun d’entre eux. Est et Ouest. Gauche et droite. Poutine et Biden. Trump et Xi. Toutes les différences oubliées. Toutes les rivalités mises de côté.

Juste pour vendre un mensonge.

Et tuer des gens avec des « solutions » à un problème dont ils savaient qu’il n’existait pas.

Rappelez-vous le choc de la prise de conscience — mon Dieu, ils sont littéralement tous dans le même bateau et ne prétendent même pas le contraire.

Rappelez-vous comment cela a commencé à nous réveiller — comme nous ne l’avions jamais été auparavant ?

Nous avons dû abandonner tous nos « héros » parce qu’ils nous ont tous abandonnés. Ou ont montré clairement qu’ils n’avaient jamais vraiment été avec nous.

Ils ont pris l’effrayant covid et ont fait la queue pour lire le script covid et nous ont forcés à faire face au fait qu’ils n’avaient jamais été ce que nous pensions qu’ils étaient.

Que le monde, en fait, n’a jamais été ce que nous pensions qu’il était.

Je pense que le Covid était censé lancer un tout nouveau récit géopolitique. Je pense que ce devait être la fin des « conflits » et le début du « rassemblement » du monde pour faire face à une « menace commune ».

Et je pense que, comme de bons petits acteurs, nos dirigeants mondiaux et nos médias apprivoisés ont tous reçu de nouveaux scripts et de nouvelles motivations. « OK, les gars, dans cette scène, vous n’êtes plus des ennemis. Vous voyez que les êtres humains doivent travailler ensemble pour surmonter de terribles menaces existentielles… »

Le plan consistait à mettre en place ce monde de cauchemar communautaire de la nouvelle normalité avant que nous puissions réagir — ou même avoir une idée de ce qui se passait.

C’était l’Agenda 2030 en un temps record. Six mois, pas dix ans. Une fuite en avant audacieuse au lieu de la lenteur habituelle.

C’était fou.

Et ça n’a pas marché.

Le facteur de peur n’a jamais été assez élevé. L’inexistence évidente de la « menace » est devenue trop claire trop rapidement pour un trop grand nombre [de personnes].

Il y a eu un retour de bâton. Ils ont dû s’arrêter et battre en retraite.

Et aujourd’hui, la nouvelle normalité n’est encore qu’une prison à moitié construite.

Ils y travaillent toujours, mais ils sont revenus à la lenteur et à la régularité, ainsi qu’à l’objectif 2030. Une « pénurie », un acte de censure, une minuscule nouvelle incursion législative à la fois.

En attendant, ce qu’ils attendent VRAIMENT de nous, c’est que nous arrêtions tous de penser à ce que nous venons de voir.

Ce n’est pas arrivé !

Vous n’avez pas vu des dirigeants mondiaux supposés autonomes et diamétralement opposés cesser soudainement d’être autonomes et opposés — comme par magie.

Vous ne les avez pas vus adopter des personnages totalement nouveaux sur commande et commencer docilement à vendre les mêmes mensonges sur la pandémie, et à éliminer leurs populations avec les mêmes mesures de confinement et les mêmes vaccins toxiques inutiles.

On n’a pas eu l’impression qu’ils étaient tous du même côté, qu’ils travaillaient pour les mêmes objectifs.

Vous n’avez pas eu un aperçu de ce qui se passe derrière le rideau.

Vous n’avez pas eu l’occasion de voir à quel point la politique mondiale est superficielle et performative.

La nouvelle normalité ? Je vous en prie. C’était juste l’ancienne normalité, OK ? Et franchement, nous vous serions reconnaissants d’arrêter d’utiliser cette expression.

La Grande Réinitialisation ? C’était quoi ça ? Un gros hamburger de rien du tout, c’est tout.

NON. Vous vous êtes trompé. Vous imaginez des choses. Vous êtes un théoricien de la conspiration.

La politique mondiale n’est pas performative. Les conflits ne peuvent pas tous être éteints en une seconde quand ça devient pratique de le faire. Et toute impression qu’ils le peuvent est purement accidentelle/imaginaire.

En fait, regardez là-bas — une guerre a commencé ! Et nous ne pouvons pas l’arrêter ou la prévenir !

Vous voyez, tout est bien normal.

Oh et OK — soupir… — « covid » était une fuite de laboratoire d’arme biologique…

Nous sommes forcés de l’admettre.

C’était ces fichus Russes.

Ou peut-être ces affreux amerloques.

Ou les Chinois.

Ou peut-être les Iraniens.

Ou peut-être ISIS, je suppose.

Ou Israël.

Choisis ton côté. N’importe lequel. Lequel nous importe peu.

Du moment que vous oubliez totalement la leçon la plus importante que vous n’aurez jamais à apprendre sur la nature de la géopolitique.

Parce que si tu t’en souviens, nous sommes plutôt foutus, et tu pourras te libérer.

Et ce n’est pas ce que nous voulons, n’est-ce pas ?

Quelle terrible conséquence involontaire de notre petit pari fou de covidés ce serait !

Un monde éveillé et libre ! Horrible.

Non, garçons et filles (et « autres »), ne jouez pas avec ces bêtises.

Revenez simplement à ce que vous connaissez.

L’ancien spectacle. Les chansons familières.

Gardez juste votre siège dans notre théâtre.

Vous savez que vous le voulez vraiment. C’est chaud ici. Et c’est plutôt rassurant.

Continuez à acheter notre délicieux pop-corn, continuez à regarder nos spectacles. Applaudissez les gentils que vous avez choisis, sifflez les méchants que vous avez choisis.

Tout ce qu’on vous demande, c’est de ne jamais — jamais — remarquer ce mur de briques au fond.

Ou si vous le remarquez, détournez le regard et faites semblant de ne pas le voir.

Et au fait, avez-vous déjà pensé que même si les prisons ne sont pas libres, elles sont charmantes et sûres.

Juste une pensée à vous laisser — pour référence future.




L’hégémonie américaine et ses périls

[Source : english.news.cn]

[Illustration : le Capitole et un panneau stop sont vus à Washington D.C., aux États-Unis, le 13 février 2020. (Xinhua/Liu Jie)]

BEIJING, 20 février (Xinhua) — L’hégémonie américaine et ses périls

Sommaire

  • Introduction
  • I. L’hégémonie politique : un poids à ne pas négliger
  • II. L’hégémonie militaire — L’usage inconsidéré de la force
  • III. Hégémonie économique — Pillage et exploitation
  • IV. Hégémonie technologique — Monopole et répression
  • V. Hégémonie culturelle — Diffusion de faux récits
  • Conclusion

Introduction

Depuis qu’ils sont devenus le pays le plus puissant du monde après les deux guerres mondiales et la guerre froide, les États-Unis ont agi avec plus d’audace pour s’ingérer dans les affaires intérieures d’autres pays, poursuivre, maintenir et abuser de leur hégémonie, favoriser la subversion et l’infiltration, et mener délibérément des guerres, portant ainsi préjudice à la communauté internationale.

Les États-Unis ont élaboré un manuel de jeu hégémonique pour mettre en scène des « révolutions de couleur », provoquer des conflits régionaux et même lancer directement des guerres sous couvert de promouvoir la démocratie, la liberté et les droits de l’homme. S’accrochant à la mentalité de la guerre froide, les États-Unis ont intensifié la politique des blocs et alimenté les conflits et les confrontations. Ils ont poussé à l’extrême le concept de sécurité nationale, abusé des contrôles à l’exportation et imposé des sanctions unilatérales aux autres. Ils ont adopté une approche sélective du droit et des règles internationales, les utilisant ou les rejetant comme bon leur semble, et ont cherché à imposer des règles qui servent leurs propres intérêts au nom du maintien d’un « ordre international fondé sur des règles ».

Ce rapport, en présentant les faits pertinents, cherche à exposer l’abus d’hégémonie des États-Unis dans les domaines politique, militaire, économique, financier, technologique et culturel, et à attirer davantage l’attention de la communauté internationale sur les périls des pratiques américaines pour la paix et la stabilité mondiales et le bien-être de tous les peuples.

Un garçon se tient dans les ruines causées par les frappes aériennes américaines
dans le district de Sangin de la province de Helmand, en Afghanistan, le 23 août 2022.
(Photo de Saifurahman Safi/Xinhua)

I. L’hégémonie politique — Jeter son poids par-dessus bord

Les États-Unis tentent depuis longtemps de modeler les autres pays et l’ordre mondial avec leurs propres valeurs et leur propre système politique au nom de la promotion de la démocratie et des droits de l’homme.

◆ Les exemples d’ingérence des États-Unis dans les affaires intérieures des autres pays abondent. Au nom de la « promotion de la démocratie », les États-Unis ont pratiqué une « doctrine néo-Monroe » en Amérique latine, ont fomenté des « révolutions de couleur » en Eurasie et ont orchestré le « printemps arabe » en Asie occidentale et en Afrique du Nord, apportant le chaos et le désastre à de nombreux pays.

En 1823, les États-Unis ont annoncé la Doctrine Monroe. Tout en vantant une « Amérique pour les Américains », ils voulaient en réalité une « Amérique pour les États-Unis ».

Depuis lors, les politiques des gouvernements américains successifs à l’égard de l’Amérique latine et de la région des Caraïbes ont été marquées par l’ingérence politique, l’intervention militaire et la subversion des régimes. Depuis 61 ans d’hostilité et de blocus à l’égard de Cuba jusqu’au renversement du gouvernement Allende au Chili, la politique américaine à l’égard de cette région repose sur une maxime : ceux qui se soumettent prospèrent, ceux qui résistent périssent.

L’année 2003 a marqué le début d’une succession de « révolutions de couleur » — la « révolution des roses » en Géorgie, la « révolution orange » en Ukraine et la « révolution des tulipes » au Kirghizstan. Le Département d’État américain a ouvertement admis avoir joué un « rôle central » dans ces « changements de régime ». Les États-Unis se sont également immiscés dans les affaires intérieures des Philippines, en chassant le président Ferdinand Marcos Sr en 1986 et le président Joseph Estrada en 2001 par le biais des « révolutions du pouvoir populaire ».

En janvier 2023, l’ancien secrétaire d’État américain Mike Pompeo a publié son nouveau livre Never Give an Inch : Fighting for the America I Love. Il y révèle que les États-Unis ont comploté pour intervenir au Venezuela. Le plan consistait à forcer le gouvernement Maduro à conclure un accord avec l’opposition, à priver le Venezuela de sa capacité à vendre du pétrole et de l’or pour obtenir des devises étrangères, à exercer une forte pression sur son économie et à influencer l’élection présidentielle de 2018.

◆ Les États-Unis font deux poids deux mesures en matière de règles internationales. Plaçant leur intérêt personnel au premier plan, les États-Unis se sont éloignés des traités et organisations internationaux, et ont placé leur droit national au-dessus du droit international. En avril 2017, l’administration Trump a annoncé qu’elle couperait tout financement américain au Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) au prétexte que l’organisation « soutient ou participe à la gestion d’un programme d’avortement coercitif ou de stérilisation involontaire. » Les États-Unis ont quitté l’UNESCO à deux reprises, en 1984 et en 2017. En 2017, ils ont annoncé quitter l’accord de Paris sur le changement climatique. En 2018, ils ont annoncé leur sortie du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, invoquant le « parti pris » de l’organisation contre Israël et son incapacité à protéger efficacement les droits de l’homme. En 2019, les États-Unis ont annoncé leur retrait du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire afin de chercher à développer sans entrave des armes avancées. En 2020, ils ont annoncé leur retrait du traité « Ciel ouvert ».

Les États-Unis ont également été une pierre d’achoppement pour le contrôle des armes biologiques en s’opposant aux négociations sur un protocole de vérification pour la Convention sur les armes biologiques (CIAB) et en empêchant la vérification internationale des activités des pays en matière d’armes biologiques. Seul pays en possession d’un stock d’armes chimiques, les États-Unis ont à plusieurs reprises retardé la destruction de ces armes et sont restés réticents à remplir leurs obligations. Ils sont devenus le principal obstacle à la réalisation d’un « monde sans armes chimiques ».

◆ Les États-Unis assemblent de petits blocs grâce à leur système d’alliances. Ils ont imposé une « stratégie indo-pacifique » à la région Asie-Pacifique, en créant des clubs exclusifs comme les Five Eyes, la Quad et l’AUKUS, et en forçant les pays de la région à prendre parti. Ces pratiques visent essentiellement à créer une division dans la région, à attiser la confrontation et à saper la paix.

◆ Les États-Unis portent un jugement arbitraire sur la démocratie dans d’autres pays et fabriquent un faux récit de « démocratie contre autoritarisme » pour inciter à l’éloignement, la division, la rivalité et la confrontation. En décembre 2021, les États-Unis ont organisé le premier « Sommet de la démocratie » qui a suscité les critiques et l’opposition de nombreux pays pour avoir tourné en dérision l’esprit de la démocratie et divisé le monde. En mars 2023, les États-Unis accueilleront un autre « Sommet pour la démocratie », qui restera mal accueilli et ne trouvera à nouveau aucun soutien.

Un véhicule militaire américain passe devant la zone de Tal Tamr
dans la campagne de la province de Hasakah, dans le nord-est de la Syrie,
le 14 novembre 2019. (Str/Xinhua)

II. L’hégémonie militaire — le recours injustifié à la force

L’histoire des États-Unis est caractérisée par la violence et l’expansion. Depuis leur indépendance en 1776, les États-Unis ont constamment cherché à s’étendre par la force : ils ont massacré des Indiens, envahi le Canada, mené une guerre contre le Mexique, déclenché la guerre américano-espagnole et annexé Hawaï. Après la Seconde Guerre mondiale, les guerres provoquées ou lancées par les États-Unis ont inclus la guerre de Corée, la guerre du Vietnam, la guerre du Golfe, la guerre du Kosovo, la guerre d’Afghanistan, la guerre d’Irak, la guerre de Libye et la guerre de Syrie, abusant de leur hégémonie militaire pour ouvrir la voie à des objectifs expansionnistes. Ces dernières années, le budget militaire annuel moyen des États-Unis a dépassé 700 milliards de dollars américains, soit 40 % du total mondial, plus que les 15 pays derrière eux réunis. Les États-Unis ont environ 800 bases militaires à l’étranger, avec 173 000 soldats déployés dans 159 pays.

Selon le livre America Invades : How We’ve Invaded or been Militarily Involved with almost Every Country on Earth, les États-Unis ont combattu ou ont été militairement impliqués dans presque tous les 190 pays reconnus par les Nations unies, à trois exceptions près. Ces trois pays ont été « épargnés » parce que les États-Unis ne les ont pas trouvés sur la carte.

◆ Comme l’a dit l’ancien président américain Jimmy Carter, les États-Unis sont sans aucun doute la nation la plus belliqueuse de l’histoire du monde. Selon un rapport de l’université Tufts, « Introducing the Military Intervention Project: A new Dataset on U.S. Military Interventions, 1776-2019 », les États-Unis ont entrepris près de 400 interventions militaires dans le monde entre ces années, dont 34 % en Amérique latine et dans les Caraïbes, 23 % en Asie de l’Est et dans le Pacifique, 14 % au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, et 13 % en Europe. Actuellement, ses interventions militaires au Moyen-Orient et en Afrique du Nord ainsi qu’en Afrique subsaharienne sont en augmentation.

Alex Lo, un chroniqueur du South China Morning Post, a souligné que les États-Unis ont rarement fait la distinction entre la diplomatie et la guerre depuis leur fondation. Au XXe siècle, ils ont renversé les gouvernements démocratiquement élus de nombreux pays en développement et les ont immédiatement remplacés par des régimes fantoches pro-américains. Aujourd’hui, en Ukraine, en Irak, en Afghanistan, en Libye, en Syrie, au Pakistan et au Yémen, les États-Unis répètent leurs vieilles tactiques en menant des guerres par procuration, de basse intensité et par drones.

◆ L’hégémonie militaire américaine a provoqué des tragédies humanitaires. Depuis 2001, les guerres et opérations militaires lancées par les États-Unis au nom de la lutte contre le terrorisme ont fait plus de 900 000 morts, dont environ 335 000 civils, des millions de blessés et des dizaines de millions de déplacés. La guerre d’Irak de 2003 a provoqué la mort de quelque 200 000 à 250 000 civils, dont plus de 16 000 directement tués par l’armée américaine, et a laissé plus d’un million de personnes sans-abri.

Les États-Unis ont créé 37 millions de réfugiés dans le monde. Depuis 2012, le nombre de réfugiés syriens a été multiplié par dix à lui seul. Entre 2016 et 2019, 33 584 décès de civils ont été documentés dans les combats syriens, dont 3 833 tués par les bombardements de la coalition dirigée par les États-Unis, la moitié étant des femmes et des enfants. Le 9 novembre 2018, le Public Broadcasting Service (PBS) a rapporté que les frappes aériennes lancées par les forces américaines sur Raqqa ont tué à elles seules 1 600 civils syriens.

La guerre qui a duré deux décennies en Afghanistan a dévasté le pays. Au total, 47 000 civils afghans et 66 000 à 69 000 soldats et policiers afghans sans lien avec les attentats du 11 septembre ont été tués dans des opérations militaires américaines, et plus de 10 millions de personnes ont été déplacées. La guerre en Afghanistan a détruit les bases du développement économique de ce pays et a plongé le peuple afghan dans la misère. Après la « débâcle de Kaboul » en 2021, les États-Unis ont annoncé qu’ils allaient geler quelque 9,5 milliards de dollars d’actifs appartenant à la banque centrale afghane, une mesure considérée comme un « pur pillage ».

En septembre 2022, le ministre turc de l’Intérieur Suleyman Soylu a déclaré lors d’un rassemblement que les États-Unis ont mené une guerre par procuration en Syrie, transformé l’Afghanistan en champ d’opium et en usine d’héroïne, plongé le Pakistan dans la tourmente et laissé la Libye dans des troubles civils incessants. Les États-Unis font tout ce qu’il faut pour voler et asservir le peuple de tout pays disposant de ressources souterraines.

Les États-Unis ont également adopté des méthodes effroyables en temps de guerre. Au cours de la guerre de Corée, de la guerre du Viêt Nam, de la guerre du Golfe, de la guerre du Kosovo, de la guerre d’Afghanistan et de la guerre d’Irak, les États-Unis ont utilisé des quantités massives d’armes chimiques et biologiques ainsi que des bombes à fragmentation, des bombes à air comprimé, des bombes au graphite et des bombes à l’uranium appauvri, causant d’énormes dommages aux installations civiles, d’innombrables victimes civiles et une pollution durable de l’environnement.

Ne vous attendez pas à faire des affaires avec les gars que je n’aime pas, où que vous soyez !
(Juridiction au bras long)

III. Hégémonie économique — Pillage et exploitation

Après la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont dirigé les efforts visant à mettre en place le système de Bretton Woods, le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, qui, avec le plan Marshall, ont formé le système monétaire international centré sur le dollar américain. En outre, les États-Unis ont également établi une hégémonie institutionnelle dans le secteur économique et financier international en manipulant les systèmes de vote pondérés, les règles et les arrangements des organisations internationales, notamment l’« approbation à la majorité de 85 % », ainsi que leurs lois et réglementations commerciales nationales. En profitant du statut du dollar en tant que principale monnaie de réserve internationale, les États-Unis collectent essentiellement le « seigneuriage » du monde entier ; et en utilisant leur contrôle sur les organisations internationales, ils contraignent les autres pays à servir la stratégie politique et économique de l’Amérique.

◆ Les États-Unis exploitent les richesses du monde à l’aide du « seigneuriage ». La production d’un billet de 100 dollars ne coûte qu’environ 17 cents, mais les autres pays doivent débourser 100 dollars de biens réels pour en obtenir un. Il a été souligné, il y a plus d’un demi-siècle, que les États-Unis jouissaient d’un privilège exorbitant et d’un déficit sans larmes créé par leur dollar, et qu’ils utilisaient ce billet de papier sans valeur pour piller les ressources et les usines des autres nations.

◆ L’hégémonie du dollar américain est la principale source d’instabilité et d’incertitude dans l’économie mondiale. Pendant la pandémie de COVID-19, les États-Unis ont abusé de leur hégémonie financière mondiale et ont injecté des milliers de milliards de dollars sur le marché mondial, laissant les autres pays, notamment les économies émergentes, en payer le prix. En 2022, la Fed a mis fin à sa politique monétaire ultra-facile et s’est tournée vers une hausse agressive des taux d’intérêt, provoquant des turbulences sur le marché financier international et une dépréciation substantielle d’autres devises telles que l’euro, dont beaucoup sont tombées à leur plus bas niveau depuis 20 ans. En conséquence, un grand nombre de pays en développement ont été confrontés à une forte inflation, à une dépréciation de leur monnaie et à des sorties de capitaux. C’est exactement ce que le secrétaire au Trésor de Nixon, John Connally, a fait remarquer un jour, avec une autosatisfaction, mais une précision acérée, que « le dollar est notre monnaie, mais c’est votre problème. »

◆ Grâce à leur contrôle sur les organisations économiques et financières internationales, les États-Unis imposent des conditions supplémentaires à leur aide aux autres pays. Afin de réduire les obstacles à l’afflux de capitaux américains et à la spéculation, les pays bénéficiaires sont tenus de faire progresser la libéralisation financière et d’ouvrir les marchés financiers afin que leurs politiques économiques s’alignent sur la stratégie américaine. Selon la Review of International Political Economy, parallèlement aux 1 550 programmes d’allégement de la dette accordés par le FMI à ses 131 pays membres entre 1985 et 2014, pas moins de 55 465 conditions politiques supplémentaires avaient été attachées.

◆ Les États-Unis suppriment volontairement leurs opposants par la coercition économique. Dans les années 1980, pour éliminer la menace économique que représentait le Japon, et pour contrôler et utiliser ce dernier au service de l’objectif stratégique américain consistant à affronter l’Union soviétique et à dominer le monde, les États-Unis ont utilisé leur puissance financière hégémonique contre le Japon, et ont conclu l’accord du Plaza. En conséquence, le yen a été poussé à la hausse, et le Japon a été pressé d’ouvrir son marché financier et de réformer son système financier. L’Accord du Plaza a porté un coup dur à la dynamique de croissance de l’économie japonaise, laissant le Japon avec ce qui a été appelé plus tard « trois décennies perdues. »

◆ L’hégémonie économique et financière de l’Amérique est devenue une arme géopolitique. Doublant les sanctions unilatérales et la « juridiction du bras long », les États-Unis ont promulgué des lois nationales telles que la loi sur les pouvoirs économiques en cas d’urgence internationale, la loi globale Magnitsky sur la responsabilité en matière de droits de l’homme et la loi Countering America’s Adversaries Through Sanctions Act, et ont introduit une série de décrets pour sanctionner des pays, des organisations ou des individus spécifiques. Les statistiques montrent que les sanctions américaines contre les entités étrangères ont augmenté de 933 % entre 2000 et 2021. À elle seule, l’administration Trump a imposé plus de 3 900 sanctions, soit trois sanctions par jour. Jusqu’à présent, les États-Unis avaient ou ont imposé des sanctions économiques à près de 40 pays à travers le monde, dont Cuba, la Chine, la Russie, la RPDC, l’Iran et le Venezuela, affectant près de la moitié de la population mondiale. Les « États-Unis d’Amérique » se sont transformés en « États-Unis des sanctions ». Et la « juridiction de longue portée [ou au bras long] » a été réduite à rien d’autre qu’un outil permettant aux États-Unis d’utiliser les moyens de leur puissance étatique pour supprimer les concurrents économiques et interférer dans le commerce international normal. Il s’agit là d’une grave entorse aux principes de l’économie de marché libérale dont les États-Unis se sont longtemps targués.

Ne pousse pas sur MON TERRAIN DE JEU. Ce n’est pas de NIVEAU !

IV. Hégémonie technologique — Monopole et suppression

Les États-Unis cherchent à décourager le développement scientifique, technologique et économique des autres pays en exerçant un pouvoir de monopole, des mesures de suppression et des restrictions technologiques dans les domaines de haute technologie.

◆ Les États-Unis monopolisent la propriété intellectuelle au nom de la protection. Profitant de la position de faiblesse des autres pays, notamment des pays en développement, en matière de droits de propriété intellectuelle et de la vacuité institutionnelle dans les domaines concernés, les États-Unis engrangent des bénéfices excessifs grâce au monopole. En 1994, les États-Unis ont fait avancer l’Accord sur les aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC), imposant un processus et des normes américanisés en matière de protection de la propriété intellectuelle, dans le but de consolider leur monopole sur la technologie.

Dans les années 1980, pour contenir le développement de l’industrie japonaise des semi-conducteurs, les États-Unis ont lancé l’enquête « 301 », ont renforcé leur pouvoir de négociation dans les négociations bilatérales par le biais d’accords multilatéraux, ont menacé d’accuser le Japon de pratiquer un commerce déloyal et ont imposé des droits de rétorsion, obligeant le Japon à signer l’accord américano-japonais sur les semi-conducteurs. En conséquence, les entreprises japonaises de semi-conducteurs ont été presque totalement exclues de la concurrence mondiale, et leur part de marché a chuté de 50 % à 10 %. Pendant ce temps, avec le soutien du gouvernement américain, un grand nombre d’entreprises américaines de semi-conducteurs ont saisi l’occasion et se sont emparées de parts de marché plus importantes.

◆ Les États-Unis politisent, militarisent les questions technologiques et les utilisent comme outils idéologiques. Dépassant le concept de sécurité nationale, les États-Unis ont mobilisé le pouvoir de l’État pour supprimer et sanctionner l’entreprise chinoise Huawei, ont restreint l’entrée des produits Huawei sur le marché américain, ont coupé son approvisionnement en puces et en systèmes d’exploitation, et ont contraint d’autres pays à interdire à Huawei d’entreprendre la construction de réseaux 5G locaux. Ils ont même convaincu le Canada de détenir sans raison la directrice financière de Huawei, Meng Wanzhou, pendant près de trois ans.

Les États-Unis ont inventé un grand nombre d’excuses pour réprimer les entreprises chinoises de haute technologie compétitives au niveau mondial et ont inscrit plus de 1 000 entreprises chinoises sur des listes de sanctions. En outre, les États-Unis ont également imposé des contrôles sur la biotechnologie, l’intelligence artificielle et d’autres technologies de pointe, renforcé les restrictions à l’exportation, resserré le filtrage des investissements, supprimé les applications de médias sociaux chinoises telles que TikTok et WeChat, et fait pression sur les Pays-Bas et le Japon pour qu’ils limitent les exportations de puces et d’équipements ou de technologies connexes vers la Chine.

Les États-Unis ont également pratiqué la politique du deux poids deux mesures à l’égard des professionnels de la technologie liés à la Chine. Pour mettre sur la touche et supprimer les chercheurs chinois, depuis juin 2018, la validité des visas a été raccourcie pour les étudiants chinois se spécialisant dans certaines disciplines liées aux hautes technologies, des cas répétés se sont produits où des universitaires et des étudiants chinois se rendant aux États-Unis pour des programmes d’échange et des études ont été refusés de manière injustifiée et harcelés, et une enquête à grande échelle sur les universitaires chinois travaillant aux États-Unis a été menée.

◆ Les États-Unis solidifient leur monopole technologique au nom de la protection de la démocratie. En construisant de petits blocs sur la technologie, tels que l’« alliance des puces » et le « réseau propre », les États-Unis ont apposé les étiquettes « démocratie » et « droits de l’homme » sur la haute technologie, et ont transformé les questions technologiques en questions politiques et idéologiques, de manière à fabriquer des excuses pour leur blocus technologique contre d’autres pays. En mai 2019, les États-Unis ont enrôlé 32 pays à la Conférence de Prague sur la sécurité de la 5G en République tchèque et ont publié la Proposition de Prague dans le but d’exclure les produits 5G de la Chine. En avril 2020, le secrétaire d’État américain de l’époque, Mike Pompeo, a annoncé le « 5G clean path », un plan conçu pour construire une alliance technologique dans le domaine de la 5G avec des partenaires liés par leur idéologie commune sur la démocratie et la nécessité de protéger la « cybersécurité ». Ces mesures, en substance, sont les tentatives des États-Unis de maintenir leur hégémonie technologique par le biais d’alliances technologiques.

◆ Les États-Unis abusent de leur hégémonie technologique en menant des cyberattaques et des écoutes. Les États-Unis ont depuis longtemps la réputation d’être un « empire de pirates informatiques », blâmé pour ses actes de cybervol effrénés dans le monde entier. Ils disposent de toutes sortes de moyens pour mettre en œuvre des cyberattaques et une surveillance omniprésentes, notamment en utilisant les signaux de stations de base analogiques pour accéder aux téléphones portables afin de voler des données, en manipulant des applications mobiles, en infiltrant des serveurs en nuage [comme le sont iCloud et OneDrive] et en volant par le biais de câbles sous-marins. La liste est longue.

La surveillance américaine ne fait pas exception. Tout le monde peut être la cible de sa surveillance, qu’il s’agisse de rivaux ou d’alliés, voire de dirigeants de pays alliés comme l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel et plusieurs présidents français. La cybersurveillance et les attaques lancées par les États-Unis telles que « Prism », « Dirtbox », « Irritant Horn » et « Telescreen Operation » sont autant de preuves que les États-Unis surveillent de près leurs alliés et partenaires. Ces écoutes des alliés et des partenaires ont déjà suscité une indignation mondiale. Julian Assange, le fondateur de Wikileaks, un site web qui a révélé les programmes de surveillance américains, a déclaré qu’il ne fallait pas « s’attendre à ce qu’une superpuissance mondiale de surveillance agisse avec honneur ou respect. Il n’y a qu’une seule règle : il n’y a pas de règles ».

Tout le monde aime les États-Unis !
Et ce n’est définitivement PAS ma marionnette qui parle.

V. L’hégémonie culturelle — La diffusion de faux récits

L’expansion mondiale de la culture américaine est un élément important de sa stratégie extérieure. Les États-Unis ont souvent utilisé des outils culturels pour renforcer et maintenir leur hégémonie dans le monde.

◆ Les États-Unis incorporent les valeurs américaines dans leurs produits tels que les films. Les valeurs et le mode de vie américains sont un produit lié à ses films et émissions de télévision, ses publications, son contenu médiatique et les programmes des institutions culturelles à but non lucratif financées par le gouvernement. Il façonne ainsi un espace culturel et d’opinion publique dans lequel la culture américaine règne et maintient son hégémonie culturelle. Dans son article The Americanization of the World, John Yemma, un universitaire américain, a exposé les véritables armes de l’expansion culturelle américaine : Hollywood, les usines de conception d’images sur Madison Avenue et les chaînes de production de Mattel Company et Coca-Cola.

Il existe différents véhicules que les États-Unis utilisent pour conserver leur hégémonie culturelle. Les films américains sont les plus utilisés ; ils occupent désormais plus de 70 % des parts de marché mondiales. Les États-Unis exploitent habilement leur diversité culturelle pour séduire les différentes ethnies. Lorsque les films hollywoodiens s’abattent sur le monde, ils crient les valeurs américaines qui leur sont liées.

◆ L’hégémonie culturelle américaine ne se manifeste pas seulement par une « intervention directe », mais aussi par une « infiltration médiatique » et comme « une trompette pour le monde. » Les médias occidentaux dominés par les États-Unis jouent un rôle particulièrement important dans la formation de l’opinion publique mondiale en faveur de l’ingérence des États-Unis dans les affaires intérieures des autres pays.

Le gouvernement américain censure strictement toutes les entreprises de médias sociaux et exige leur obéissance. Elon Musk, PDG de Twitter, a admis le 27 décembre 2022 que toutes les plateformes de médias sociaux collaborent avec le gouvernement américain pour censurer les contenus, a rapporté Fox Business Network. L’opinion publique aux États-Unis est soumise à l’intervention du gouvernement pour restreindre toutes les remarques défavorables. Google fait souvent disparaître des pages.

Le ministère américain de la Défense manipule les médias sociaux. En décembre 2022, The Intercept, un site d’investigation américain indépendant, a révélé qu’en juillet 2017, Nathaniel Kahler, un responsable du commandement central américain, a demandé à l’équipe de politique publique de Twitter d’augmenter la présence de 52 comptes en langue arabe sur une liste qu’il a envoyée, dont six devaient être prioritaires. L’un des six comptes était consacré à la justification des attaques de drones américaines au Yémen, notamment en affirmant que les attaques étaient précises et ne tuaient que des terroristes, et non des civils. Suite à la directive de Kahler, Twitter a placé ces comptes en langue arabe sur une « liste blanche » pour amplifier certains messages.

◆Les États-Unis pratiquent deux poids deux mesures en matière de liberté de la presse. Ils suppriment brutalement et réduisent au silence les médias d’autres pays par divers moyens. Les États-Unis et l’Europe interdisent l’accès de leurs pays aux principaux médias russes, tels que Russia Today et Sputnik. Des plateformes telles que Twitter, Facebook et YouTube restreignent ouvertement les comptes officiels de la Russie. Netflix, Apple et Google ont supprimé les chaînes et les applications russes de leurs services et de leurs magasins d’applications. Une censure draconienne sans précédent est imposée aux contenus liés à la Russie.

◆Les États-Unis abusent de leur hégémonie culturelle pour instiguer une « évolution pacifique » dans les pays socialistes. Ils mettent en place des médias d’information et des tenues culturelles ciblant les pays socialistes. Ils déversent des quantités stupéfiantes de fonds publics dans les réseaux de radio et de télévision pour soutenir leur infiltration idéologique, et ces porte-parole bombardent les pays socialistes dans des dizaines de langues avec une propagande incendiaire jour et nuit.

Les États-Unis utilisent la désinformation comme un fer de lance pour attaquer d’autres pays et ont construit une chaîne industrielle autour d’elle : des groupes et des individus inventent des histoires et les colportent dans le monde entier pour tromper l’opinion publique avec le soutien de ressources financières presque illimitées.

Conclusion

Alors qu’une cause juste gagne à son champion un large soutien, une cause injuste condamne son poursuivant à être un paria. Les pratiques d’hégémonie, de domination et d’intimidation consistant à utiliser la force pour intimider les faibles, à prendre aux autres par la force et les subterfuges, et à jouer à somme nulle, causent un grave préjudice. Les tendances historiques de paix, de développement, de coopération et d’avantages mutuels sont inéluctables. Les États-Unis ont écrasé la vérité par leur puissance et piétiné la justice pour servir leurs intérêts personnels. Ces pratiques hégémoniques unilatérales, égoïstes et régressives ont suscité des critiques et une opposition croissantes et intenses de la part de la communauté internationale.

Les pays doivent se respecter mutuellement et se traiter sur un pied d’égalité. Les grands pays doivent se comporter d’une manière digne de leur statut et prendre l’initiative de poursuivre un nouveau modèle de relations d’État à État, fondé sur le dialogue et le partenariat, et non sur la confrontation ou l’alliance. La Chine s’oppose à toute forme d’hégémonisme et de politique de puissance, et rejette toute ingérence dans les affaires intérieures des autres pays. Les États-Unis doivent faire un sérieux examen de conscience. Ils doivent examiner d’un œil critique ce qu’ils ont fait, abandonner leur arrogance et leurs préjugés, et renoncer à leurs pratiques hégémoniques, dominatrices et d’intimidation.




La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò

[Source : medias-presse.info]

I – L’entretien de Mgr Viganò retranscrit à partir de la vidéo que vous trouverez en fin de texte

[Par Mgr Viganò]

Dans une intéressante intervention sur la chaîne américaine Fox News intitulée The Church of Environmentalism (ici), le journaliste Tucker Carlson a souligné une contradiction qui a peut-être échappé à beaucoup, mais que je trouve extrêmement révélatrice.

Carlson rappelle que la Constitution américaine interdit la religion d’État, mais depuis un certain temps les gouvernements démocrates ont imposé au peuple américain le culte mondialiste, avec son agenda green, ses dogmes woke, ses condamnations avec la cancel culture, ses prêtres de l’OMS, les prophètes du World Economic Forum. Une religion à tous égards, totalitaire non seulement pour la vie des individus qui la pratiquent, mais aussi dans la vie de la Nation qui la confesse publiquement, en adopte les lois et les sentences, s’en inspire dans l’éducation et dans toute action gouvernementale.

Au nom de la religion mondialiste, ses adeptes exigent que tous les citoyens se comportent conformément à la morale du Nouvel Ordre Mondial, acceptant sans critique et avec une attitude de soumission pieuse à l’autorité religieuse, la doctrine définie ex cathedra par le Sanhédrin de Davos.

Aux citoyens, il n’est pas demandé de partager les motivations qui justifient les politiques sanitaires, économiques ou sociales imposées par les gouvernements, mais un assentiment aveugle et irrationnel, qui va bien au-delà de la foi. Pour cette raison, il n’est pas permis de contester la psychopandémie, de critiquer la gestion de la campagne de vaccination, d’argumenter l’absence de fondement des alarmes climatiques, d’opposer l’évidence de la provocation de l’OTAN envers la Fédération de Russie avec la crise ukrainienne, de demander des enquêtes sur l’ordinateur portable de Hunter Biden ou sur la fraude électorale qui a empêché le Président Trump de rester à la Maison Blanche, ou de refuser de voir des enfants corrompus par des obscénités LGBTQ.

Après trois ans de folies incompréhensibles pour un esprit rationnel mais amplement justifiables dans une perspective de fidéisme aveugle, la proposition formulée par une clinique américaine de demander aux patients de renoncer à une partie de l’anesthésie pour réduire leur trace de dioxyde de carbone et « sauver la planète » (ici) ne doit donc pas être lue comme un prétexte grotesque pour réduire les dépenses hospitalières au détriment des patients, mais comme un acte religieux, comme une pénitence à accepter volontairement, comme un acte éthiquement méritoire. Le caractère pénitentiel est indispensable dans cette opération de conversion forcée des masses, car elle contrebalance l’absurdité de l’action par la récompense d’un bien promis : en portant le masque (qui ne sert à rien) le fidèle-citoyen a fait son propre geste de soumission, s’est « offert » à la divinité (l’État ? la collectivité ?) ; une soumission confirmée par l’acte tout aussi public de la vaccination, qui a représenté une sorte de « baptême » dans la foi mondialiste, l’initiation au culte.

Les grands-prêtres de cette religion en viennent à théoriser le sacrifice humain avec l’avortement et l’euthanasie : un sacrifice requis par le bien commun, pour ne pas surpeupler la planète, ne pas alourdir la santé publique, ne pas être un fardeau pour la sécurité sociale. Même les mutilations auxquelles sont soumis ceux qui professent la doctrine du Genre et la privation des facultés de reproduction induite par l’homosexualisme ne sont rien de plus que des formes de sacrifice et d’immolation de soi, de son corps, de sa santé, jusqu’à la vie elle-même (en assumant, par exemple, une thérapie génique expérimentale manifestement dangereuse et souvent mortelle).

L’adhésion au mondialisme n’est pas facultative : le mondialisme est la religion d’État, et l’État « tolère » les non-pratiquants dans la mesure où leur présence n’empêche pas la société d’exercer ce culte. Bien davantage, dans sa présomption d’être légitimé par des principes « éthiques » pour imposer aux citoyens ce qui représente un « bien » supérieur et incontestable, l’État oblige également les dissidents à accomplir les actes fondamentaux de la « morale mondialiste », en les punissant s’ils ne se conforment pas à ses préceptes.

Manger des insectes et non de la viande ; s’injecter des drogues au lieu de mener une vie saine ; utiliser l’électricité au lieu de l’essence ; renoncer à la propriété privée, à la liberté de circulation ; subir contrôles et limitations des droits fondamentaux ; accepter les pires déviations morales et sexuelles au nom de la liberté ; renoncer à la famille pour vivre isolé, sans rien hériter du passé et sans rien transmettre à la postérité ; effacer son identité au nom du politiquement correct ; renier la Foi chrétienne pour embrasser la superstition woke ; conditionner son travail et sa subsistance au respect de règles absurdes : ce sont autant d’éléments destinés à faire partie de la vie quotidienne de l’individu, une vie basée sur un modèle idéologique que, à y regarder de plus près, personne ne veut et que personne n’a demandé et qui ne justifie son existence qu’avec l’épouvantail d’une apocalypse écologique non prouvée et indémontrable. Cela viole non seulement la tant vantée liberté de religion sur laquelle cette société est fondée, mais veut nous conduire pas à pas, inexorablement, à rendre ce culte comme exclusif, comme le seul admis.

« L’église de l’environnementalisme » se définit comme inclusive mais ne tolère pas la dissidence et n’accepte pas d’affronter dialectiquement ceux qui remettent en question ses diktats. Ceux qui n’acceptent pas l’anti-évangile de Davos sont ipso facto hérétiques et doivent donc être punis, excommuniés, séparés du corps social, considérés comme ennemis publics ; il faut les rééduquer par la force, à la fois par un martèlement incessant des médias et par l’imposition d’une stigmatisation sociale et de formes réelles d’extorsion du consentement, en commençant par celui « informé » pour se soumettre contre son gré à l’obligation vaccinale et en continuant avec la folie des soi-disant « villes de 15 minutes », d’ailleurs anticipées en détail dans les points programmatiques de l’Agenda 2030 (qui sont finalement des canons dogmatiques, au contraire).

Le problème avec ce phénomène inquiétant de superstition de masse est que cette religion d’État n’a pas été imposée de facto seulement aux États-Unis d’Amérique, mais s’est répandue à toutes les nations du monde occidental, dont les dirigeants ont été convertis au verbe mondialiste par le grand apôtre de la Grande Réinitialisation, Klaus Schwab, autoproclamé « pape » et donc investi d’une autorité infaillible et incontestable. Et comme dans l’Annuario Pontificio nous pouvons lire la liste des cardinaux, évêques et prélats de la Curie Romaine et des diocèses répartis dans le monde entier, de même sur le site du Forum Économique Mondial, nous trouvons la liste des « prélats » du mondialisme, de Justin Trudeau à Emmanuel Macron, découvrant que non seulement les présidents et les Premiers Ministres de nombreux États appartiennent à cette « Église » mais aussi de nombreux fonctionnaires, des chefs d’organismes internationaux et de grandes multinationales, des médias. À ceux-ci, il faut ajouter les « prédicateurs » et les « missionnaires » qui œuvrent pour la diffusion de la foi mondialiste : acteurs, chanteurs, influencers, sportifs, intellectuels, médecins, enseignants. Un réseau très puissant, très organisé, répandu non seulement au sommet des institutions, mais aussi dans les universités et les tribunaux, dans les entreprises et les hôpitaux, dans les organismes périphériques et les municipalités locales, dans les associations culturelles et sportives, de sorte qu’il est impossible d’échapper à l’endoctrinement même dans une école primaire provinciale ou dans une petite communauté rurale.

Il est déconcertant – vous le reconnaîtrez – que dans le nombre de convertis à la religion universelle, nous puissions également compter des représentants des religions du monde, et parmi eux même Jorge Mario Bergoglio – que les Catholiques considèrent comme le chef de l’Église de Rome – avec tout le train des ecclésiastiques qui lui sont fidèles. L’apostasie de la Hiérarchie Catholique en est venue à vénérer l’idole de la Pachamama, la « Mère Terre », personnification démoniaque du mondialisme « amazonien », œcuménique, inclusif et durable. Mais n’est-ce pas John Podesta lui-même qui a préconisé l’avènement d’un « printemps de l’Église » qui remplacerait la doctrine par un vague sentimentalisme écologiste, trouvant promptement l’exécution de ses espoirs dans l’action coordonnée qui a conduit à la démission de Benoît XVI et à l’élection de Bergoglio ?

Ce à quoi nous assistons n’est rien d’autre que l’application à l’inverse du processus qui a conduit à la propagation du Christianisme dans l’Empire Romain puis dans le monde entier, une sorte de vengeance de la barbarie et du paganisme sur la Foi du Christ. Ce que Julien l’Apostat a essayé de faire au IVe siècle, c’est-à-dire restaurer le culte des dieux païens, est aujourd’hui poursuivi avec zèle par de nouveaux apostats, tous unis par une « fureur sacrée » qui les rend aussi dangereux qu’ils sont convaincus de pouvoir réussir dans leurs intentions en raison des moyens inouïs dont ils disposent.

En réalité, cette religion n’est rien d’autre qu’une déclinaison moderne du culte de Lucifer : la récente performance satanique aux Grammy Awards sponsorisée par Pfizer n’est que la dernière confirmation d’une adhésion à un monde infernal qui jusqu’à présent avait été gardé sous silence parce qu’il était encore considéré comme inavouable. Ce n’est pas un mystère que les idéologues de la pensée mondialiste sont tous indistinctement antichrétiens et anticléricaux, significativement hostiles à la morale chrétienne, ostensiblement opposés à la civilisation et à la culture que l’Évangile a façonnées en deux mille ans d’Histoire. Non seulement : la haine inextinguible envers la vie et envers tout ce qui est l’œuvre du Créateur – de l’homme à la nature – révèle la tentative (presque réussie, bien que délirante) de modifier l’ordre de la Création, de modifier les plantes et les animaux, de changer même l’ADN humain par des interventions de bio-ingénierie, de priver l’homme de son individualité et de son libre arbitre, le rendant contrôlable et même manœuvrable par le transhumanisme. Au fond de tout cela, il y a la haine de Dieu et l’envie pour le sort surnaturel qu’Il a réservé aux hommes qu’Il a racheté du péché par le Sacrifice de la Croix de Son Fils.

Cette haine satanique s’exprime dans la détermination de rendre impossible aux Chrétiens la pratique de leur religion, de voir leur principes respectés, de pouvoir apporter leur contribution à la société et, finalement, dans la volonté de les amener à faire le mal, ou du moins de faire en sorte qu’ils ne puissent pas faire le bien, encore moins le répandre ; et s’ils le font, de déformer leurs motivations originelles (amour de Dieu et du prochain) en les pervertissant à des fins philanthropiques ou écologistes pitoyables.

Tous les préceptes de la religion mondialiste sont une version contrefaite des Dix Commandements, leur inversion grotesque, un renversement obscène. En pratique, ils utilisent les mêmes moyens que l’Église a utilisés pour l’évangélisation, mais dans le but de damner les âmes et de les soumettre non pas à la Loi de Dieu, mais à la tyrannie du diable, sous le contrôle inquisitoire de l’anti-église de Satan. Dans cette perspective, s’insère également la signalisation des groupes de fidèles catholiques traditionnels de la part des services secrets américains, confirmant que l’inimitié entre la lignée de la Femme et celle du Serpent (Gn 3, 15) est une réalité théologique en laquelle les ennemis de Dieu croient avant tout, et que l’un des signes de la fin des temps est précisément l’abolition du Saint Sacrifice et la présence de l’abomination de la désolation dans le temple (Dn 9, 27). Les tentatives de supprimer ou de limiter la Messe traditionnelle unissent l’église profonde et l’état profond, révélant la matrice essentiellement luciférienne des deux : parce que les deux savent très bien quelles sont les Grâces infinies qui se déversent sur l’Église et sur le monde avec cette Messe, et ils veulent les empêcher afin qu’elles n’entravent pas leurs plans. Ils nous le montrent eux-mêmes : notre combat n’est pas seulement contre les créatures de chair et de sang (Ep 6, 12).

Les remarques de Tucker Carlson mettent en évidence la tromperie à laquelle nous sommes quotidiennement soumis par nos dirigeants. L’imposition théorique de la laïcité de l’État a servi à éliminer la présence du vrai Dieu des institutions, tandis que l’imposition pratique de la religion mondialiste sert à introduire Satan dans les institutions, dans le but d’établir ce Nouvel Ordre Mondial dystopique dans lequel l’Antichrist prétendra être adoré comme un dieu, dans son délire fou de remplacer Notre Seigneur.

Les avertissements du Livre de l’Apocalypse sont de plus en plus concrets, d’autant plus que le plan de soumettre tous les hommes à un contrôle qui empêche toute possibilité de désobéissance et de résistance se poursuit : ce n’est que maintenant que nous comprenons ce que signifie ne pas pouvoir acheter ou vendre sans le laissez-passer vert, qui n’est rien d’autre que la version technologique de la marque avec le chiffre de la Bête (Ap 13, 17).

Mais si tout le monde n’est pas encore prêt à reconnaître l’erreur d’avoir abandonné le Christ au nom d’une liberté corrompue et trompeuse qui cachait des intentions inavouables, je crois qu’aujourd’hui beaucoup sont prêts – psychologiquement avant même que rationnellement – à prendre acte du coup d’État par lequel un lobby de dangereux fanatiques parvient à prendre le pouvoir aux États-Unis et dans le monde, déterminé à faire n’importe quel geste, même le plus téméraire, afin de le maintenir.

Comme par un jeu de la Providence, la laïcité de l’État – qui en soi offense Dieu parce qu’elle Lui refuse le culte public auquel Il a un droit souverain – pourrait être l’argument pour mettre fin au projet subversif de la Grande Réinitialisation. Si les Américains – et avec eux les peuples du monde entier – savent se rebeller contre cette conversion forcée, exigeant que les représentants des citoyens rendent des comptes aux détenteurs de la souveraineté nationale et non aux dirigeants du Sanhédrin mondialiste, il sera peut-être possible de mettre un terme à cette course vers l’abîme. Mais pour ce faire, il faut prendre conscience qu’il ne s’agira que d’une première phase dans le processus de libération de ce lobby infernal, qui doit être suivie de la réappropriation des principes moraux propres au Christianisme qui constituent les fondements de la Civilisation occidentale et la défense la plus efficace contre la barbarie du néopaganisme.

Pendant trop longtemps, les citoyens et les fidèles ont subi passivement les décisions de leurs dirigeants politiques et religieux, face à l’évidence de leur trahison. Le respect de l’autorité est fondé sur la reconnaissance d’un fait « théologique », c’est-à-dire de la Seigneurie de Jésus-Christ sur les personnes, les nations et l’Église. Si ceux qui détiennent l’autorité dans l’État et l’Église agissent contre les citoyens et contre les fidèles, leur pouvoir est usurpé et leur autorité nulle et non avenue. N’oublions pas que les dirigeants ne sont pas les propriétaires de l’État et les maîtres des citoyens, tout comme le Pape et les évêques ne sont pas les propriétaires de l’Église et les maîtres des fidèles. S’ils ne veulent pas être comme des pères pour nous ; s’ils ne veulent pas notre bien et au contraire ils font tout pour nous corrompre dans le corps et l’esprit, il est temps de les chasser de leurs positions et de les appeler à rendre des comptes pour leur trahison, leurs crimes, leurs mensonges scandaleux.

Carlo Maria Viganò, Archevêque
16 février 2023

© Traduction [NDLR Transcription, ici, car la vidéo est déjà en français ?] de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò

[Voir aussi :
Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

II – La vidéo de Mgr Carlo Maria Viganò en français pour MPI :




Le plan pour détruire les États-Unis

[Source : RI]

Par Mike Whitney

Aux États-Unis, nous avons un problème d’oligarques, et il est bien plus important que celui auquel Poutine a été confronté lorsqu’il est devenu président en 2000. L’Occident tout entier est désormais aux prises avec des élites milliardaires qui ont la mainmise sur les médias, l’establishment politique et toutes nos institutions importantes. Ces dernières années, nous avons vu ces oligarques étendre leur influence des marchés, de la finance et du commerce à la politique, aux questions sociales et même à la santé publique. L’impact de ce groupe sur ces autres domaines d’intérêt a été tout simplement stupéfiant. Les élites de l’establishment et leurs médias ont non seulement soutenu sans réserve le Russiagate, la destitution de Trump, les émeutes de BLM et le fiasco du 6 janvier, mais ils ont également contribué à l’hystérie du Covid et à la multitude de mesures répressives imposées au nom de la santé publique. Ce que nous aimerions savoir, c’est dans quelle mesure ce groupe participe activement à l’élaboration d’autres événements visant à transformer la République américaine en un système plus autoritaire ?

En d’autres termes, les injections obligatoires, les confinements forcés, la censure agressive mise en place par le gouvernement, les élections présidentielles douteuses, les incendies d’usines de transformation alimentaire, les déraillements de trains, les attaques sur le réseau électrique, les émeutes BLM-Antifa, les spectacles de drag-queens pour les écoliers, l’attention maniaque portée aux questions de genre et les procès publics à grand spectacle ne sont que des incidents aléatoires survenant spontanément au cours d’une période de grands changements sociaux ou sont-ils, en fait, la preuve d’une opération furtivement orchestrée par des agents de l’État agissant pour le compte de leurs bienfaiteurs de l’élite ? Nous savons déjà que le FBI, le DOJ [Département de la Justice] et les agences de renseignement étaient directement impliqués dans le Russiagate – qui était une attaque secrète contre le président en exercice des États-Unis. La question n’est donc pas de savoir « si » ces agences sont activement impliquées dans d’autres actes de trahison, mais plutôt dans quelle mesure ces actes ont un impact sur la vie des Américains ordinaires, sur notre politique et sur le pays. Mais avant de répondre à cette question, jetez un coup d’œil à cette citation tirée d’une récente interview du colonel Douglas MacGregor :

« J’ai lu un document rédigé par George Soros il y a plus de dix ans, dans lequel il parle spécifiquement de cette guerre totale qui serait finalement menée contre la Russie parce qu’il a dit que c’était « le dernier État nationaliste qui repose sur une base de culture chrétienne orthodoxe avec l’identité russe en son centre. Il faut l’éliminer ». Je pense donc que les responsables occidentaux et les responsables de Washington pensent qu’ils ont réussi à détruire l’identité des peuples européens et américains, que nous n’avons aucun sens de nous-mêmes, que nos frontières ne sont pas défendues, que nous n’opposons aucune résistance aux migrants du monde en développement qui nous écrasent comme si nous leur devions une vie et que nos lois ne comptent pas. Jusqu’à présent, je dirais que c’est une évaluation précise de ce que nous avons fait. Et je pense que c’est une grande victoire pour George Soros et les mondialistes, les anti-nationalistes ; ceux qui veulent des frontières ouvertes qu’ils appellent une « société ouverte » parce que vous vous retrouvez avec rien, une masse amorphe de gens qui luttent pour survivre et qui sont réduits aux plus bas niveaux de subsistance … (Soros) va même jusqu’à dire combien il serait utile que ce soit les Européens de l’Est qui perdent la vie dans ce processus et non les Européens de l’Ouest qui ne veulent tout simplement pas accepter les pertes. Ce n’est pas une question mineure. C’est le genre de pensée qui est si destructeur et si maléfique, à mon avis, que c’est ce à quoi nous avons réellement affaire dans nos propres pays et je pense que Poutine le reconnaît ».(([1] Douglas Macgregor, « Une énorme offensive », YouTube, 11:20 minute.))

La variole du mouton est toujours ignorée

La raison pour laquelle j’ai transcrit ce commentaire de MacGregor est qu’il résume les perceptions d’un grand nombre de personnes qui voient les choses de la même manière. Il exprime la haine que les milliardaires mondialistes éprouvent envers les chrétiens et les patriotes, qu’ils considèrent tous deux comme des obstacles à leur objectif d’un gouvernement mondial unique sans frontières. MacGregor aborde ce phénomène en relation avec la Russie, que Soros considère comme « le dernier État nationaliste qui repose sur un socle de culture chrétienne orthodoxe avec l’identité russe en son centre ». Mais la même règle pourrait être appliquée aux manifestants du 6 janvier, n’est-ce pas ? N’est-ce pas la véritable raison pour laquelle les manifestants ont été raflés et jetés dans le goulag de Washington. Après tout, tout le monde sait qu’il n’y a pas eu d’« insurrection » ni de « suprémacistes blancs ». Les manifestants ont été enfermés parce qu’ils sont des nationalistes (patriotes) qui sont l’ennemi naturel des mondialistes. La citation de MacGregor l’expose noir sur blanc. Les élites ne croient pas que les nationalistes puissent être persuadés par la propagande. Ils doivent être éradiqués par l’incarcération ou pire. N’est-ce pas le message sous-jacent du 6 janvier ?

L’autre message sous-jacent du 6 janvier est que les gens ordinaires ne sont plus autorisés à contester l’autorité des personnes au pouvoir. Encore une fois, la légitimité politique aux États-Unis a toujours été déterminée par les élections. Ce que le 6 janvier indique, c’est que la légitimité ne compte plus. Ce qui compte, c’est le pouvoir, et la personne qui peut vous faire arrêter pour avoir remis en question son autorité a tout le pouvoir dont elle a besoin. Regardez cet extrait d’un post sur Substack par l’analyste politique Kurt Nimmo :

« Klaus Schwab, élève du criminel de guerre Henry Kissinger, est un mentor pour les sociopathes avides de pouvoir et narcissiques. La « Grande Réinitialisation » du WEF est conçue pour transformer le monde en un camp de concentration social appauvri, où les serfs démunis « ne possèdent rien », ce qui, dans la plus pure tradition orwellienne, les libérera…

Je défie les gens d’enquêter sur l’initiative de redéfinition mondiale du WEF. Selon le Transnational Institute des Pays-Bas, cette « initiative » propose :

« une transition de la prise de décision intergouvernementale vers un système de gouvernance multi-acteurs. En d’autres termes, ils marginalisent furtivement un modèle reconnu où nous votons pour des gouvernements qui négocient ensuite des traités qui sont ensuite ratifiés par nos représentants élus avec un modèle où un groupe auto-sélectionné de « parties prenantes » prend des décisions en notre nom.

En d’autres termes, les « parties prenantes » des grandes entreprises transnationales décideront où vous vivez, ce que vous mangez (insectes et mauvaises herbes), comment vous vous reproduisez (ou pas ; les enfants produisent des émissions de carbone), et ce que vous pouvez leur « louer », ou ne pas être autorisé à louer si vous vous plaignez d’un cartel « économique » mondialiste non élu qui conduit l’humanité au servage, à la pauvreté mondiale et à la dépopulation ».(([2] « Le WEF appelle à la destruction de la classe moyenne des États-Unis », Kurt Nimmo sur Geopolitics.))

Ce que Nimmo veut dire, c’est que ces élites milliardaires sont maintenant si puissantes qu’elles peuvent ouvertement dire qu’elles vont « s’éloigner de la prise de décision intergouvernementale » (c’est-à-dire du gouvernement représentatif) pour adopter un système de « gouvernance multipartite ». Si je ne me trompe pas, il s’agit là d’une déclaration sans ambiguïté d’une nouvelle forme de gouvernement supranational, dans lequel seules les parties prenantes milliardaires ont un droit de vote sur les politiques mises en œuvre. Mais n’est-ce pas déjà ainsi que les choses fonctionnent ? Sur un grand nombre de sujets, qu’il s’agisse de l’ESG, des monnaies numériques, des passeports vaccinaux, de l’IA, de la recherche sur les gains de fonction, des villes de 15 minutes, du transhumanisme ou de la guerre avec la Russie, les décisions sont toutes prises par une poignée de personnes dont nous savons peu de choses et qui n’ont jamais été élues.

Et cela nous ramène à notre question initiale : Combien de ces événements bizarres (de ces dernières années) ont été imaginés et mis en œuvre par des agents de l’État profond pour faire avancer l’agenda élitiste ?

Cela semble être une question impossible, car il est difficile de trouver un lien entre ces événements très différents. Par exemple, quel est le lien entre une heure pour enfants animée par une drag queen et, disons, l’explosion d’une bombe incendiaire dans une usine de transformation alimentaire en Oklahoma ? Ou l’exploitation politique incessante des questions de genre et les procès publics du 6 janvier ? S’il y avait un lien, nous le verrions, non ?

Pas nécessairement, car le lien n’a peut-être rien à voir avec l’incident lui-même, mais plutôt avec son impact sur les personnes qui le vivent. En d’autres termes, tous ces événements pourraient avoir pour but de générer la peur, l’incertitude, l’anxiété, l’aliénation et même la terreur. Les agences de renseignement ont-elles déjà lancé de telles opérations de déstabilisation ?

En fait, elles l’ont fait à de nombreuses reprises. Voici un extrait d’un article qui vous aidera à comprendre où je veux en venir. Il s’agit d’un article de The Saker intitulé « Opération Gladio : la guerre secrète de l’OTAN pour le fascisme international ». Voyez si vous remarquez des similitudes avec la façon dont les choses se déroulent aux États-Unis depuis quelques années :

« Yves Guerin-Serac : le grand maître des Black Ops à l’origine de l’opération Gladio… a rédigé les manuels d’entraînement de base et de propagande que l’on peut à juste titre décrire comme l’ordre de bataille de Gladio. (…)

Guerin-Serac était un héros de guerre, un agent provocateur, un assassin, un poseur de bombes, un agent de renseignement, un catholique messianique et le grand maître intellectuel de la « stratégie de la tension », essentielle au succès de l’opération Gladio. Guerin-Serac a publié via Aginter Press le manuel Gladio, y compris Notre activité politique dans ce qui peut être décrit à juste titre comme le premier commandement de Gladio :

« Notre conviction est que la première phase de l’activité politique doit être de créer les conditions favorisant l’installation du chaos dans toutes les structures du régime… À notre avis, le premier geste que nous devons faire est de détruire la structure de l’État démocratique sous le couvert d’activités communistes et pro-soviétiques… D’ailleurs, nous avons des gens qui ont infiltré ces groupes ».

Guerin-Serac poursuit :

« Deux formes de terrorisme peuvent provoquer une telle situation [effondrement de l’État] : le terrorisme aveugle (commettre des massacres sans discernement qui font un grand nombre de victimes), et le terrorisme sélectif (éliminer des personnes choisies) (…)

Cette destruction de l’État doit se faire sous le couvert d’« activités communistes ». Ensuite, il faut intervenir au sein de l’armée, du pouvoir juridique et de l’Église, afin d’influencer l’opinion publique, de proposer une solution et de démontrer clairement la faiblesse de l’appareil juridique actuel. L’opinion populaire doit être polarisée de telle sorte que nous soyons présentés comme le seul instrument capable de sauver la nation ».

La violence anarchique et aléatoire devait être la solution pour provoquer un tel état d’instabilité et permettre ainsi la mise en place d’un système entièrement nouveau, un ordre autoritaire mondial. Yves Guérin-Sérac, qui était un fasciste ouvert, ne serait pas le premier à utiliser des tactiques de faux drapeau qui ont été imputées aux communistes et utilisées pour justifier un contrôle policier et militaire plus strict de la part de l’État ».(([3] « Operation Gladio : La guerre secrète de l’OTAN pour le fascisme international », The Saker.))

Je répète : la première phase de l’activité politique doit consister à créer les conditions favorisant l’installation du chaos dans toutes les structures du régime… Cette destruction de l’État doit se faire sous le couvert d’activités (communistes)… L’opinion populaire doit être polarisée de telle sorte que nous soyons présentés comme le seul instrument capable de sauver la nation.

En d’autres termes, l’objectif de l’opération est de perturber complètement toutes les relations et interactions sociales, de cultiver des sentiments d’incertitude, de polarisation et de terreur, de trouver un groupe qui puisse servir de bouc émissaire pour le vaste effondrement de la société et, ensuite, de se présenter (les élites) comme le meilleur choix pour rétablir l’ordre.

Des fermetures liées au changement climatique déguisées en Villes de 15 minutes dans le cadre de l’Agenda 2030 des Nations unies
Votre gouvernement poursuit son projet d’implanter des villes de 15 minutes près de chez vous. Ces villes, créées dans le cadre de l’Agenda 2030 des Nations unies, sont en fait des lieux de confinement liés au changement climatique.
En combinant une carte d’identité numérique, un crédit carbone et un jeton programmable de monnaie numérique de la banque centrale (CBDC), vous obtenez la recette parfaite pour créer une prison numérique à ciel ouvert.
« L’ère du libre arbitre est terminée »

Est-ce là ce qui se passe ?

C’est très possible. Tout cela pourrait faire partie d’une grande stratégie visant à « effacer l’ardoise » afin de « passer d’un système de décision intergouvernemental » à un système de « gouvernance multipartite ».

Cela pourrait expliquer pourquoi il y a eu une telle attaque vicieuse et soutenue contre notre histoire, notre culture, nos traditions, nos croyances religieuses, nos monuments, nos héros et nos fondateurs. Ils veulent remplacer notre idéalisme par des sentiments de honte, d’humiliation et de culpabilité. Ils veulent effacer notre passé, nos valeurs collectives, notre héritage, notre engagement envers la liberté personnelle et l’idée même des États-Unis [NDLR D’où l’intérêt de la « Cancel Culture », la culture de l’effacement]. Ils veulent tout raser et tout recommencer [NDLR par le « Great Reset » ou Grande Réinitialisation]. C’est leur plan de jeu fondamental.

La destruction de l’État est menée sous le couvert d’événements apparemment aléatoires qui répandent le chaos, exacerbent les divisions politiques, augmentent les incidents de désordre public et ouvrent la voie à une restructuration violente du gouvernement.

Ils ne peuvent pas construire un nouvel ordre mondial tant que l’ancien n’est pas détruit.

source : The Unz Review

traduction Réseau International





Le Nouvel Ordre Mondial, une opportunité offerte par la crise sanitaire

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Cela n’a échappé à personne. Sous couvert de réponse à l’urgence sanitaire, les démocraties et leurs économies ont été suspendues partout sur la planète pour être remplacées par des modes de gouvernance autoritaires, secrets et de type militaire.

Progressivement, l’on a découvert un « coup d’état mondial » en cours, une prise de contrôle de la société entière par une élite globale, dont la partie visible est représentée au Forum économique de Davos. Son objectif affiché, est de « saisir l’opportunité de la pandémie pour effectuer un grand reset planétaire vers la 4ème révolution industrielle », soit une société de surveillance et de contrôle par la technologie. Une tentative de transformer l’OMS en un organe de gouvernance mondial, qui serait légitimé par le motif de l’urgence sanitaire est bien en cours.

Peut-on parler d’un nouvel ordre mondial ?

Commençons par une citation: le 23 novembre 2022, au « World Government Summit », lors du sommet du gouvernement mondial, Macron a appelé à la constitution d’un ordre mondial unique.  « Êtes-vous du côté des États-Unis ou de la Chine ? Parce que maintenant, progressivement, beaucoup de gens aimeraient voir deux ordres dans ce monde. C’est une énorme erreur, même pour les États-Unis et la Chine. Nous avons besoin d’un nouvel ordre mondial unique » !

Il faut donc en parler publiquement, puisque les chefs d’état ne s’en privent pas et qu’il est indispensable de dénoncer cette atteinte à la souveraineté des peuples. Le projet n’est certes pas nouveau, l’on pourrait remonter aux empires, ou plus récemment à la politique de l’après-guerre avec la mise en place des organisations internationales et les objectifs des politiques américaines et brittaniques.

Mais en ce qui concerne l’instrumentalisation du domaine de la santé comme arme de stratégie politique, c’est avec la notion de la lutte internationale contre le sida que les choses ont commencé à se mettre en place. Et d’après Robert F. Kennedy, Jr qui en a retracé l’historique dans son livre « Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma: leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », c’est la rencontre et l’alliance entre Bill Gates et Anthony Fauci en 2010 qui a initié la stratégie de vaccination à l’échelle mondiale. D’abord avec le programme de « la décennie des vaccins », ensuite avec le Global Health Security Agenda.

La ligne de temps de l’urgence sanitaire

Lancé en novembre 2014, l’agenda de la sécurité sanitaire global (Global Health Security Agenda) a été précipité par deux facteurs: d’une part les révélations du lanceur d’alerte du CDC William Thompson qui a avoué noir sur blanc avoir commis une fraude scientifique majeure pour dissimuler le lien entre l’autisme et la vaccination. Et d’autre part, la réponse à cette nouvelle sur les réseaux sociaux qui ont été inondés de témoignages de victimes ayant subis des dommages vaccinaux.

Ces évènements qui ont provoqué une véritable panique au sein du cartel des vaccins (et des gouvernements) ont suscité l’élaboration et la mise en oeuvre d’un plan ayant pour objectif de renverser les accusations et de passer à une contre-offensive pour imposer la vaccination à l’échelle planétaire. Etant donné que la plupart des démocraties avaient bétonné les principes du libre choix du patient dans leur constitution ou dans leurs lois sur la santé, l’urgence sanitaire représentait le seul moyen de faire tomber ces obstacles aux obligations vaccinales.

Au sortir de cette première réunion à la Maison Blanche à laquelle participaient l’OMS, différentes organisations onusiennes et les ministres de la santé d’environ 40 pays, la Californie, l’Italie, le Portugal (et sans doute la France) furent désignés comme pays pilotes pour tenter d’étendre les obligations vaccinales, en partant d’une campagne internationale axée sur les dangers du grand retour de la rougeole.

En 2016, lors de la campagne présidentielle aux Etats-Unis, le sujet fut au coeur des débats, notamment suite à la sortie du film Vaxxed qui relayait les aveux de Thompson. Trump prônait la liberté vaccinale et l’ouverture d’une enquête sur les effets secondaires présidée par Robert F. Kennedy, Jr., tandis que Clinton répétait inlassablement que « la terre est ronde, le ciel est bleu et les vaccins sont sûrs ».

En novembre, à la veille de la victoire de Trump, Obama signa avec Bill Gates un gigantesque financement pour lancer le programme du GHSA à l’échelle planétaire. Ensuite Gates fit rapidement comprendre à Trump qu’il devait abandonner toute idée d’étudier la sûreté des vaccins.

En 2017, le débat sur la vaccination qui était particulièrement animé en France, fut complètement passé sous silence durant la campagne électorale, alors que le nouveau gouvernement devait obligatoirement se prononcer sur l’extension des obligations vaccinales. Ce fut l’année du combat des fake news et des lois de censure, prônées par l’Union européenne et adoptées par une majorité d’états membres.

L’année suivante, à Mar del Plata, le G20 décida d’investir massivement dans la préparation aux futures pandémies. Dans les semaines suivant cette réunion au sommet, l’Argentine fut le premier pays à instaurer une politique refusant l’accès aux documents administratif et à l’éducation, aux non-vaccinés. En décembre, le conseil de l’Europe vota une recommandation à l’union sur la vaccination avec l’objectif de vacciner tous les citoyens, tout au long de la vie et de lancer un programme de passeports vaccinaux à l’échelle européenne.

Début 2019, ce plan mondial de la vaccination (voir l’article « la prophétie Nexus »), et de la mise en place d’un agenda de contrôle par une surveillance à l’échelle planétaire, sous prétexte d’une urgence sanitaire, était déjà palpable .

L’on pouvait identifier des narratifs communs à tous les pays, alors qu’ils étaient clairement déconnectés de la situation épidémiologique locale. L’on retrouvait aussi les mêmes « incidents », les même phrases dans la bouche des politiques – « il est inacceptable de mourir de la rougeole » – et des propositions de lois identiques étaient votées partout, en même temps. L’on a donc assisté aux répétitions du choeur international de guignols (les chefs d’état) que la pandémie a offert au monde avec des slogans comme « aplatir la courbe », « tous ensemble », « la nouvelle norme » et « Build back better ».

Le choeur des guignols de Davos

2019, mise en place de l’agenda de la pandémie et du nouvel ordre mondial

Si, comme le prétendent aujourd’hui certains scientifiques, le virus de la pandémie était déjà en circulation dès mars 2019 (partons de l’hypothèse qu’il existe ou que son existence ait été déclarée à divers niveaux décisionnels), il a bien pu servir à accélérer la mise en place d’une série d’instruments ayant pour objectif d’opérer une prise de contrôle mondial au profit de l’élite de Davos.

[NDLR L’existence de virus pathogènes, dont celle d’un supposé SRAS-CoV-2 est de plus en plus contestée par de véritables scientifiques non inféodés à Big Pharma, dont l’équipe allemande autour du professeur Stefan Lanka.
Voir le dossier Vaccins et virus.]

En juillet, l’ONU a signé un accord de coopération avec le Forum économique mondial sur la mise en place de l’agenda 2030. Cet acte constitue d’une certaine manière un aveu du fait que les chefs d’état de la planète se considèrent au service des milliardaires, plutôt qu’à celui du peuple qu’ils représentent.

A côté de cette étape politique, le 22 août, lors de la réunion annuelle des banques centrales à Jacksonhole, Blackrock a présenté le programme de réforme économique qui serait mis en oeuvre sous couvert de réponse à la pandémie. Cette opération (ea. ruiner l’économie, siphonner la trésorerie des gouvernements, imposer des emprunts exorbitants et opérer un gigantesque transfert de la manne publique aux mains des privés) a connu un coup d’accélérateur, en mars 2020, le jour de la déclaration de la crise sanitaire par le directeur de l’OMS.

Au mois d’octobre a eu lieu la grande répétition générale nommée Event 201, permettant aux différents acteurs de cette offensive en partenariat public et privé d’accorder leurs violons.

L’on pourrait encore citer toute une série d’éléments pour compléter ce tableau. Tout indique qu’en réalité, d’une certaine manière, une forme de gouvernance mondiale était déjà là. Sinon comment expliquer que 190 pays aient abandonné leurs programmes nationaux de réponse aux urgences sanitaires, pour adopter en l’espace de quelques jours un discours et des politiques identiques et inédites?

Le gouvernement mondial est déjà là, mais il cherche à se légitimer

Progressivement, l’on voit les différentes pièces du puzzle s’assembler. Dans le monde occidental, tout le monopole de la richesse est concentrée dans trois grands groupes d’investissements : Blackrock, Vanguard et State Street. A elles seules, ces compagnies et leurs principaux actionnaires peuvent imposer des politiques de gouvernance à tout le système économique, tant dans le secteur public que privé.

L’agenda durable et les politiques du FEM sont adoptées par les banques centrales et imposées aux gouvernements, parfois via l’adoption des politiques globales européennes, mais aussi dans des accords bilatéraux directs. Exit la volonté du peuple.

Petit à petit ce pouvoir invisible se dévoile, ou du moins ses exécutants. D’ailleurs, Klaus Schwab ne craint plus de se vanter publiquement d’avoir infiltré les cabinets de la majorité des gouvernements.

L’on imagine à quel point cela doit être frustrant de se dire que l’on possède tout un royaume, mais que l’on ne peut y faire exécuter sa volonté de manière directe. Il semble pourtant logique qu’une mafia mondiale aspire à se reposer en installant un système de gouvernance par la technologie, avec la possibilité constante d’en modifier les règles dans un mode de gouvernance « agile ». (c’est à dire, basé sur la persuasion qu’il existe des données « objectives » censées justifier tous les caprices de l’élite).

Le nouvel ordre mondial cherche à se rendre visible et à se légitimer, en utilisant l’urgence sanitaire pour créer un bureau de décision central et supranational au sein de l’OMS. Ces efforts se déroulent sur deux voies parallèles: la révision du Règlement sanitaire international et la négociation d’un « traité pandémies ».

[Pour soutenir Senta Depuydt,
voir sur son site]




OMS et Nouvel Ordre Mondial

[Source : anthropo-logiques.org via RI]

Je suis profondément heureux de re-publier ici, avec son aimable autorisation, une nouvelle analyse magistrale de ma consœur Françoise Bloch au sujet de ce qui se trame à l’OMS et du rôle que d’aucuns aimeraient voir jouer à cette organisation profondément corrompue au sein du Nouvel Ordre Mondial…

Avec cet argument a priori imparable : si c’est pour la santé des populations, de quel droit oserait-on s’opposer aux décisions de cet organisme ?

Les manœuvres pour soumettre les pays aux décisions contraignantes (diktats) de l’OMS se déroulent déjà au grand jour depuis quelques années. Si les Occidentaux apparaissent soumis à cet agenda totalitaire mondial, la bonne surprise est venue à plusieurs reprises du reste du monde, à qui évidemment on ne la fait pas quand il s’agit d’imposer de nouvelles formes d’impérialisme.

Ceci advient à un moment où l’organisation n’en finit pas de se discréditer. En dépit de la quasi-absence de nouveaux cas, par exemple, l’OMS vient de reconduire la « variole du singe » comme urgence sanitaire internationale… Une urgence sanitaire sans cas est une innovation intéressante de plus dans le registre du théâtre de l’absurde… mais certainement pas de la santé publique !

Quant au très douteux scientifique Jeremy Farrar (directeur du Wellcome Trust), il vient, à peine élevé à la dignité de Chief Scientist de l’OMS, de proposer qu’on renonce aux investigations quant à l’origine du Sars-CoV-2 — question en effet sans importance ! Il s’en est ensuite défendu, sachant à quel point le sujet est chaud : pas moins de dix chimères de coronavirus de chauve-souris ont été produites dans le laboratoire de Wuhan après que Barack Obama ait interdit les recherches sur les gains de fonction sur les virus — le Sars-CoV-2 apparaissant désormais bien, comme l’avait dit très vite le Pr Luc Montagnier, un produit d’ingénierie du vivant…

Au-delà de ces vilaines péripéties se déploie un réel problème de fond : la volonté de subordonner de manière contraignante la souveraineté sanitaire des pays à une organisation internationale connue aujourd’hui comme étant LA plus corrompue au monde.

Françoise Bloch, en observatrice avertie, nous livre un article de haute tenue décrivant les risques et les enjeux de cette pièce maîtresse du dispositif de gouvernance mondiale en voie d’imposition par des pouvoirs étatiques mafieux. Engagés dans de véritables « crimes d’état contre la démocratie » selon le terme consacré par le professeur de sciences politiques américain Lance de Haven Smith…

Jean-Dominique Michel

[Mise à jour.
Voir aussi :
« Le Traité sur les pandémies de l’OMS instaurera un État mondial, policier, médical et scientifique », selon Francis Boyle, professeur de droit
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-traite-sur-les-pandemies-e-l-oms-instaureront-un-etat-mondial-policier
et
Un avocat révèle les projets de pouvoir de l’OMS]

La clef de voûte du Nouvel Ordre Mondial passe-t-elle par de nouvelles prérogatives attribuées à l’OMS ?

Par Françoise Bloch[1]

« Qui écoute un témoin le devient à son tour…
Cela reste important de délivrer un message, pas seulement pour le peuple juif, mais pour la noblesse de l’être humain »

Elie Wiesel[2]

« Aujourd’hui plus que jamais, la conception de l’être vivant comme machine est indissolublement liée au fait que nous vivons dans une société capitaliste et industrielle : elle reflète ce que les instances qui dominent la société voudraient que le vivant soit, afin de pouvoir en faire ce que bon leur semble. »

Bertrand Louart[3]

Préambule

Selon Hannah Arendt[4]:

« Ce n’est que dans la mesure où il pense, et cela veut dire dans la mesure où il est sans âge — un “il” ou un “je” et non un “quelqu’un” comme le nomme si justement Kafka — que l’homme dans la pleine réalité de son être concret vit dans cette brèche entre le passé et le futur. Cette brèche n’est pas un phénomène moderne, peut-être même pas une donnée historique, mais va de pair avec l’existence de l’homme sur la terre. Il se peut bien qu’elle soit ce chemin frayé par la pensée, ce petit tracé de non-temps que l’activité de la pensée inscrit à l’intérieur de l’espace-temps des mortels (…). Ce petit non-espace-temps au cœur même du temps (…) peut seulement être indiqué, mais ne peut être ni transmis ou hérité du passé ; chaque génération nouvelle et même tout être humain nouveau en tant qu’il s’insère lui-même entre un passé infini et un futur infini, doit le découvrir et le frayer laborieusement à nouveau ».

J’ai donc essayé, durant ma vie y compris depuis ces trois ans de délire covidien, de me frayer ce chemin entre un passé et un avenir encore inconnu, mais que d’aucuns semblent vouloir écrire pour nous… en prolongeant un passé qu’ils se sont employés à reprendre à leur compte… pour leurs propres intérêts, n’ayant jamais su s’en détacher et voir que l’humain n’est pas qu’une « mécanique à réparer » ou à « perfectionner ». Les deux idéologies du 20e siècle, nées des conceptions scientistes du 18e et dont le capitalisme a finalement triomphé, n’ont su voir dans la vie et l’humain que la matérialité au point de désormais vouloir en faire un robot. Les hommes ne sont pas des machines que l’on peut télécommander par l’intelligence artificielle et autres béquilles technologiques même si celles-ci les fascinent. Il leur arrive même d’avoir une conscience et de penser dans cet espace-temps qui échappe aux soi-disant « élites mondialistes » dont les projets fous nous conduisent à un totalitarisme sanitaire et militaire si nous n’y prenons garde… et dont une partie est déjà en place, mais qu’ils accélèrent.

******

D’abord il nous faut faire un constat

De ces trois ans de « covidisme délirant », totalement déconnecté de la réalité de la situation et d’ailleurs de toutes les pratiques judicieuses et scientifiquement éprouvées en cas d’épidémie virale respiratoire voire de pandémie, mais fut simplement une « expérimentation d’ingénierie sociale », conçue et préparée de longue date[5].

Depuis l’arrivée du SRAS-CoV-2, nous pouvons énumérer les méthodes de manipulation de l’information qui ont été utilisées : essais cliniques falsifiés et données inaccessibles ; études truquées et en conflits d’intérêts ; dissimulation des effets secondaires à court terme des « injections géniques » nommées à tort « vaccins » et méconnaissance totale des effets à long terme de leur injection ; composition douteuse des « produits injectés » ; méthodes de test inadéquates ; gouvernements et organisations internationales corrompus ; médecins soudoyés ou menacés, voire interdits d’exercer leur métier ; dénigrement de scientifiques de renom ; interdiction de tout traitement alternatif efficace ; méthodes sociales liberticides et création de boucs émissaires — les non-vaccinés — pour diviser la population, monter les citoyens les uns contre les autres, et créer la discorde au sein des familles au point de pousser des enfants et adolescents au suicide ; utilisation par les gouvernements de techniques de modification du comportement et d’ingénierie sociale pour imposer l’enfermement, les masques et l’acceptation des injections ; censure des médias indépendants et discours planétaires uniformes, véhiculés par les médias les plus puissants du monde (trois agences de presse — AP, Reuters, AFP — toutes rachetées par des financiers et subventionnées, fournissant de quoi alimenter leurs articles)… et amplification du numérique à des fins de contrôle de la population.

Et pour conclure :

« En soutenant et en sélectionnant uniquement un côté de l’information scientifique tout en supprimant les points de vue alternatifs, et avec des conflits d’intérêts évidents, les gouvernements et les médias grand public ont constamment désinformé le public. Par conséquent, les lois de vaccination validées de manière non scientifique, issues de la science médicale contrôlée par l’industrie, ont conduit à l’adoption de mesures sociales pour la protection supposée de la santé publique, mais qui sont devenues de graves menaces tout à la fois pour la santé, les droits et les libertés des populations touchées »[6].

Après ce constat d’évidence

Fait par de nombreux chercheurs indépendants[7] et de citoyens et citoyennes éclairés, nous avons, de facto, vécu une expérimentation sociale, une forme particulière d’ingénierie sociale, longuement mûrie et préparée, que les « nouveaux maîtres du monde », à savoir les « élites mondialistes » auto-programmées et l’OMS, leur façade, considèrent finalement comme « réussie » puisque la grande majorité des citoyens — principalement occidentaux — ont consenti aux mesures préconisées y compris les plus coercitives. Car d’autres pays comme une bonne partie de l’Amérique latine, l’Égypte, plusieurs pays africains, la plupart des États indiens et y compris la Chine ont eu recours à des remèdes dits ancestraux — l’Artémisia annua par ex. — ou qui avaient fait leurs preuves scientifiquement. On peut donc constater que cette « expérimentation » n’a pas encore complètement atteint l’objectif visé par l’OMS et ses financeurs[8]. Elle a juste préparé ceux qui, sidérés et manipulés, n’ont pas pu ni su y résister : il s’agit désormais de contraindre tous ceux qui n’ont pas appliqué le « dispositif » ou qui ne l’ont pas atteint afin qu’ils se conforment au déroulement des prochains épisodes, c’est-à-dire l’objectif visé par ces élites mondialistes… et leurs complices : un contrôle totalitaire sur leurs vies au prétexte de prendre soin de leur santé… et de leur sécurité… par équité bien sûr ! En cela, malheureusement, l’OMS et ses complices trouvent chez certains ONG et partis politiques — essentiellement de gauche, « écologistes » et tiers-mondistes — des alliés objectifs au prétexte d’aide au développement et d’aide internationale aux pays les plus démunis financièrement. On reste stupéfait devant un tel aveuglement technophile, purement idéologique.

*****

Voyons maintenant les « préparatifs » de l’OMS en vue d’atteindre cet objectif — qui se veut mondial, question « d’équité », paraît-il — lors de l’Assemblée mondiale de la santé en mai 2023 : va-t-on vers un totalitarisme sanitaire et militaire ?

Pendant nos interrogations bien sûr légitimes sur ce que nous avons vécu parfois comme sidération et souvent comme maltraitance et le soin que nous apportons à en traiter les effets, de préférence avec bienveillance, l’OMS poursuit son agenda mondialiste, sous l’influence de ses financeurs à savoir les soi-disant « élites mondialistes » (dont bien sûr la Fondation Gates et la GAVI) réunies annuellement au Forum Économique Mondial (WEF) à Davos[9] par une intense activité de groupes de travail ; ceci d’autant plus que lors de l’Assemblée mondiale de la santé de 2022, plusieurs États membres, dont plusieurs africains, se sont opposés aux modifications du Règlement sanitaire international (RSI). Rappelons que, déjà en 2021, Urmie Ray dénonçait les dangers d’une mainmise accrue de l’OMS sur la santé mondiale[10]. Plusieurs groupes de travail — dont les membres sont cooptés — se sont déjà réunis plusieurs fois, en vue de :

  • – élaborer un nouveau traité, accord ou convention sur la prévention, la préparation et l’intervention en cas de pandémie[11],
  • – modifier le Règlement sanitaire international (RSI)
  • – amplifier les outils technologiques afin de poursuivre « une stratégie mondiale pour la santé numérique » (sic) censée façonner l’avenir de la santé mondiale[12].

Les nouvelles prérogatives que l’OMS cherche à se voir attribuer nous annoncent-elles la mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial de type totalitaire ? De nombreuses voix, essentiellement américaines, mais, quoique de façon moins audible, aussi européennes, s’élèvent pour dénoncer ce « coup d’État » qui militariserait la santé comme elle l’est déjà, depuis des décennies aux USA. Raison pour laquelle les Américains sont peut-être plus avertis des risques encourus puisqu’ils vivent déjà, sur leur territoire, leur accélération depuis la présidence de G. W. H. Bush durant laquelle la « guerre bioterroriste » a été conçue et lancée à travers diverses opérations : Dark Winter, Eco Global Health Security Initiative, Atlantic Storm et Event 201, que Monika Karkowska a déjà fort bien analysées[13].

Ainsi, le journaliste et chercheur indépendant James Roguski[14] dévoile, en s’appuyant sur un document interne de l’OMS[15], les effets qu’auraient les amendements proposés par l’OMS, dont ceux :

  • – de modifier la nature générale de l’Organisation mondiale de la santé, qui passerait d’une organisation consultative se contentant de formuler des recommandations à un organe directeur dont les proclamations seraient juridiquement contraignantes. (Article 1)
  • – d’étendre considérablement le champ d’application du RSI pour inclure des scénarios qui ont simplement un « potentiel d’impact sur la santé publique »
  • – de chercher à supprimer « le respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes. » (Article 3)
  • – de donner au directeur général de l’OMS le contrôle des moyens de production par le biais d’un « plan d’allocation de produits de santé » afin d’obliger les États-parties à fournir des produits de réponse à la « pandémie » dont la définition serait modifiée, selon ses instructions. (Article 13A)
  • – de donner à l’OMS le pouvoir d’exiger des examens médicaux, des preuves de prophylaxie, des preuves de vaccination et de mettre en œuvre la recherche des contacts, la quarantaine et bien sûr le traitement. (Article 18)
  • – d’instituer un système de certificats sanitaires mondiaux sous forme numérique ou papier, comprenant des certificats de test, des certificats de vaccin, des certificats de prophylaxie, des certificats de guérison, des formulaires de localisation des passagers et une déclaration sanitaire du voyageur. (Articles 18, 23, 24, 27, 28, 31,35, 36 et 44 et annexes 6, 7 et 8)
  • – de rediriger des milliards de dollars non spécifiés vers le complexe industriel d’urgence des hôpitaux pharmaceutiques sans aucune responsabilité. (Article 44A)
  • – de permettre la divulgation de données personnelles sur la santé. (Article 45)
  • – d’augmenter considérablement la capacité de l’OMS à censurer ce qu’elle considère comme de la désinformation et de la mésinformation. (Annexe1, page 36)
  • – de créer une obligation de construire, de fournir et de maintenir une infrastructure RSI aux points d’entrée. (Annexe 10)

Quelque peu réconforté par la 4e séance[16] de ce groupe de travail, puisque ses critiques auraient été entendues (!), J. Roguski en oublie que les modifications apportées au RSI ne sont qu’une partie du processus engagé.

Francis Boyle[17] élargit le propos

Expert en armes biologiques et professeur de droit international à l’Université de l’Illinois, il avait déjà été, en 1989, le rédacteur d’un rapport dénommé « Biological Weapons Anti-terrorism Act », présenté devant le Congrès US sous la présidence de G.H.W. Bush[18]. Récemment interviewé par « The Defender » au sujet des dernières propositions faites par l’OMS lors de négociations internes qui ont eu lieu à Genève du 6 au 13 février[19], il va nettement plus loin et soupçonne ces nouvelles prérogatives que veut s’attribuer l’OMS de revêtir toutes les composantes d’un « état totalitaire mondial de police médicale et scientifique » : celles-ci « pourraient violer le droit international et enlever toute souveraineté aux États en matière de politique de santé tout en s’assurant d’un contrôle sur la population mondiale par la mise en place de technologies numériques » ; tout ceci en vue d’atteindre « la stratégie mondiale de santé numérique » (sic), avec en vedette les GAFAM, l’IA, le contrôle accru des gouvernements et des citoyens qu’un autre groupe de travail étudie[20] en collaboration étroite avec le GHSI (Global Health Security Initiative)[21]. Très récemment, le Dr Mercola[22] annonce la nomination (fin décembre 2022) par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à la tête du GHSI, de son directeur — « un scientifique fou » — : le Dr Ferrar. On apprend que le Dr Ferrar était directeur, de 2013 à février 2023, du Wellcome Trust, complice de la dissimulation de l’origine du SRAS-CoV-2. Et que le Wellcome Trust et son directeur font partie du réseau technocratique mondialiste et du mouvement eugéniste moderne. Lorsque le SRAS-CoV-2 est apparu, M. Farrar a fondé Wellcome Leap, qui est en fait le DARPA de la santé mondiale (Defense Advanced Research Projects Agency, c. à d. une agence du département de la défense US). Cet organisme se concentre entièrement sur la recherche transhumaniste afin d’ouvrir la voie à la quatrième révolution industrielle. M. Farrar et le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, font par ailleurs partie d’un petit réseau mondial très soudé qui travaille en coulisse pour influencer la santé, la finance et la gouvernance mondiales… En coulisse donc.

Pour Francis Boyle, tous ces « préparatifs » qui brouillent les cartes entre « transparence relative et opacité » donnent toutefois une « cohérence » à l’ensemble des « préparatifs » que l’OMS compte faire voter par les États membres en mai 2023, mais ne doivent pas être analysés séparément même si tout est fait « pour noyer le poisson » et les faire apparaître comme séparés. Pris ensemble, ils vont dans le sens d’un pouvoir accru que l’OMS s’attribuerait y compris celui de contrôler l’application par les États de ses directives (mais aussi bien sûr le contrôle des citoyens du monde entier, ramenés au niveau d’enfants obéissants dans le meilleur des cas). De son rôle consultatif, la direction de l’OMS aurait désormais un rôle impératif dès lors que les 2/3 des États membres lui auraient donné un blanc-seing.

Et de préciser : le cadre du RSI de 2005 « permettait déjà au directeur de l’OMS de déclarer une urgence de santé publique dans n’importe quel pays, sans le consentement du gouvernement de ce pays, bien que le cadre exige que les deux parties tentent d’abord de parvenir à un accord ». « Selon le même document de l’OMS, les recommandations du comité d’examen du RSI et du groupe de travail des États membres sur les amendements au RSI de 2005 seront communiquées au directeur général de l’OMS, Tedros Adhanson Ghebreyesus, d’ici mi-janvier ». Cependant M. Boyle remet en question la légalité des documents susmentionnés, citant par exemple que le traité proposé par l’OMS viole la Convention de Vienne sur le droit des traités qui a été ratifiée en 1969 et que M. Boyle a décrite comme « le droit international des traités pour tous les États du monde »[23].

Il explique en outre la différence entre le dernier traité sur les pandémies et les propositions de modification du RSI : « Le traité sur les pandémies de l’OMS créerait une organisation internationale distincte, alors que les modifications proposées au RSI fonctionneraient dans le contexte de l’OMS telle qu’elle existe aujourd’hui ». Cependant, a-t-il déclaré « après avoir lu les deux documents, il s’agit d’une distinction sans différence. L’un ou l’autre, ou les deux, mettront en place un État policier médical et scientifique totalitaire mondial sous le contrôle de Tedros et de l’OMS, organisation de façade pour les CDC, que dirigeait Tony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, l’industrie de la guerre biologique et le gouvernement communiste chinois qui paie une partie de leurs factures… Soit ils obtiennent les règlements, soit ils obtiennent le traité, mais les deux sont existentiellement dangereux. Ce sont des documents vraiment dangereux… et insidieux ». Le Pr Boyle précise « n’avoir jamais lu de traités et de projets d’organisations internationales aussi complètement totalitaires que le règlement du RSI et le traité de l’OMS, car l’un et l’autre mettent en place un État policier médical et scientifique totalitaire qui échappera au contrôle des autorités nationales étatiques et locales » (et a fortiori aux citoyens) ; « … pour autant que je puisse en juger par leur lecture, ils sont, l’un et l’autre, conçus spécifiquement pour contourner les autorités nationales, étatiques et locales en matière de pandémies, de traitement de pandémies et de vaccins ».

Enfin, venons-en à Katherine WATT[24]

Dans un document qui retrace, année après année, une bonne partie des débats autour de la santé et de ses liens avec le DOD (département de la défense US) depuis le début du 20e siècle, elle montre que dès le début du siècle dernier, les élites américaines avaient, à plusieurs reprises, eu le projet de mettre en place un Nouvel Ordre mondial, velléités auxquelles seul Roosevelt, en 1933, avait — provisoirement — mis un terme. En outre, les élites US dès les années 20-30 avaient des projets de dépeuplement qui furent de nouveau approuvés en 1975 sous la présidence de G. Ford, dans le droit fil des théories eugénistes de la fin du 19e siècle que nous aborderons sommairement ultérieurement. Elle constate qu’aux USA, dès la fin des années 70 « la santé publique a été militarisée »[25] et que le personnel militaire a été utilisé comme « sujets » de recherches (ou plus exactement comme « cobayes ») pour les armes biologiques et chimiques, et que dans le prolongement de cette décision, « tout micro-organisme vivant, fabriqué par l’homme, a été considéré comme un objet brevetable (loi votée sous la présidence de Reagan en 1980) — ce que David Martin a très bien démontré[26] et contre quoi il nous mettait en garde — et qu’en 1986, sous la même présidence Reagan, « fut accordée aux fabricants de vaccins une immunité juridique pour les blessures et les décès causés par leurs produits » ; enfin que le HHS (le département de la santé et des services sociaux), dirigé par le Dr Fauci avait des liens structurels non seulement avec les multinationales pharmaceutiques, mais avec le Département de la Défense (DOD) en vue d’une guerre biologique et bioterroriste, toutes choses analysées par Monika Karbowska[27]. Lors d’une conférence de presse sur le déploiement en cours d’armes biologiques[28], K. Watt précise que de fait, depuis des années, « est utilisé un langage portant sur la santé publique afin de mener à bien une campagne militaire » dont nous avons d’ailleurs vu l’usage qu’en a fait, en France, le Président Macron, durant la crise dite du Covid, en s’entourant d’un Conseil de guerre constitué de militaires dont les propos furent tenus secrets. Je la cite :

“Ce que le Département de la défense et l’OMS ont l’intention de faire — ils sont allés assez loin pour cela sans pour autant atteindre leurs objectifs —, c’est de faire du monde entier leur terrain géographique : ils ciblent toute la population du monde, la durée de leur campagne et les armes qu’ils utilisent sont d’abord informationnelles, c’est-à-dire la propagande et la censure, les deuxièmes sont psychologiquesterreur et terrorisme — qui consistent à dire aux gens qu’ils doivent avoir peur en permanence et qu’ils doivent écouter le gouvernement, et enfin le 3e volet, les armes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires qui sont appelées dans leurs campagnes « vaccins pharmaceutiques », mais qui sont en fait des toxines et des agents pathogènes”.

Ensuite, K. Watt soulève les éléments juridiques et les aspects économiques et financiers qui permettent de mettre en place tout cet arsenal de mesures. Elle en conclut que ce projet dure depuis fort longtemps et que sont à la manœuvre des banquiers mondialistes et de nombreuses organisations apparentées qui cherchent à prendre le contrôle total des êtres humains par le biais de programmes bancaires et militaires. Tout ceci remonte au mieux aux années d’avant la 1re guerre mondiale, puis fut repris après la seconde, le nazisme ayant en partie échoué à éliminer une grande partie de la population mondiale (à l’exception tout de même des 60 millions de morts dont 26 à 28 millions de Soviétiques qui repoussèrent l’armée allemande, contribuant à lui faire perdre la guerre, et la quasi-totalité des juifs d’Europe !). « Les produits pharmaceutiques, grâce à l’immunité juridique qui les frappe, permettent le déni des intentions visées : ils peuvent atteindre l’objectif de tuer beaucoup de gens sans que leurs empreintes digitales soient partout »… à l’aide d’outils technologiques[29]… dont la 5 G !

[Voir aussi :
Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant
et
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

« Les contraintes financières passent par la Banque des Règlements internationaux (BRI) qui contrôle toutes les banques centrales et les institutions financières puis, tout du long, par les États, les gouvernements nationaux, locaux, municipaux, les écoles et les hôpitaux. Si vous vous conformez à ce qu’ils vous disent de faire, vous obtiendrez les moyens financiers pour ce dont vous avez besoin, pour gérer votre entreprise ou avoir un emploi et si vous ne consentez pas, ils peuvent vous couper tout ceci et c’est par là que tout a été réalisé. » En gros, précise, K. Watt : « C’est ce que nous avons déjà pu constater et vivre durant l’année 2021 et ladite « crise du Covid ».

Puis elle analyse tous les aspects juridiques qu’elle a repérés pour détourner les lois interdisant les armes chimiques et biologiques. Tous ces produits le sont à des fins “prophylactiques, protectrices ou défensives, cette dénomination étant fausse puisque tous ces produits biologiques sont agressifs, toxiques et mortels”, en sus d’être grandement inefficaces, comme nous l’avons constaté durant la crise du SRAS-CoV-2 et son cortège d’effets indésirables, pour la plupart censurés.

[Voir aussi :
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?
Nanotechnologie et « vaccins »
À quel point les virus sont-ils morts ?
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !]

Elle considère que l’OMS est la pierre angulaire de tous ces dispositifs et, selon elle, elle “n’est pas une organisation de santé, mais une organisation militaire, le bras militaire du gouvernement mondial unique que les élites essaient de mettre en place”. “Les amendements qu’ils veulent apporter au RSI visent à l’aggraver en exigeant des gouvernements nationaux la mise en place de mesures plus contraignantes et coercitives en cas d’épidémie de maladies transmissibles et le prétexte utilisé, formulé par les banquiers, est de protéger les entreprises des désagréments provoqués par les épidémies. Mais la vraie raison est le transfert des prérogatives des États Nations à l’OMS et à la BRI”.

Tous ces chercheurs américains en appellent à stopper le traité sur les pandémies et les modifications apportées au RSI, voire incitent leur pays à sortir de l’OMS. Peu de chance qu’ils soient entendus puisque les USA sont à la manœuvre depuis des années… sauf lorsque Trump voulut suspendre le financement US de l’OMS… mais certainement pas pour les mêmes raisons !

Ces éclaircissements, sous forme de révélations, nous éclairent désormais sur qui sont “les nouveaux maîtres du monde” à savoir les soi-disant élites mondialistes, essentiellement américaines, comme la plupart des multinationales pharmaceutiques et les banques à l’exception de la Banque des Règlements internationaux, la BRI, créée à Bâle en 1930, laquelle chapeaute toutes les banques centrales. On comprend aisément que la Suisse soit partie prenante de tous ces préparatifs et explique certainement la raison pour laquelle Genève accueille la plupart des Organisations internationales[30] dont l’immunité fut votée en 1945 par le Congrès US sous la présidence de Harry S. Truman ! La dernière en date, adoubée en 2015 par le Conseil fédéral Suisse comme Organisation internationale avec l’immunité juridique et les avantages y afférents, fut le WEF (Forum économique mondial) de Klaus Schwab[31] dont les modalités furent revisitées en 2020.

En conséquence et conclusion… toujours provisoire :

Si ces préparatifs de l’OMS aboutissaient, il en serait fini de la souveraineté des États comme des traités internationaux dont deux d’entre eux me semblent particulièrement importants : le Code de Nuremberg et les Protocoles d’Oviedo puisqu’il s’agit bien, dans tous ces “préparatifs”, de crimes contre l’humanité comme l’a démontré le Grand Jury sous la direction de Reiner Fuellmich et Viviane Fischer, et d’eugénisme dont je rappelle quelques éléments historiques.

[Voir aussi :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

L’eugénisme, théorie qui a prévalu à partir du milieu du 19e siècle en Occident, visait un programme de sélection artificielle pour produire une race humaine supérieure en s’appuyant sur la théorie de l’hérédité de W. Galton et sur celle de Darwin, appliquées aux êtres humains. Furent ainsi pratiquées, entre autres sous le nazisme, des expériences médicales sur l’humain, menées sur des détenus dans les camps de concentration (mais aussi sur les malades mentaux et les enfants). La plupart de ceux qui les pratiquèrent étaient médecins et, pour certains, professeurs d’Université, parfois même chercheurs réputés des expérimentations sur l’humain. Une toute petite partie d’entre eux (23 dont 20 médecins et une femme qui “officiait” comme médecin au camp de Ravensbrück[32]) furent traduits, en 1947, devant l’un des douze Tribunaux de Nuremberg, dont l’un, spécifique, concerna les seuls médecins[33].

[Voir aussi :
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
L’eugénisme, l’inavouable projet « scientiste » des philanthropes de la finance
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019]

De ces procès de Nuremberg est né le Code de Nuremberg qui établit une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 — août 1947), lesquels précisent les conditions auxquelles doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme “acceptables”. De là furent édictées des lois éthiques encadrant la pratique biomédicale[34].

Ces principes éthiques furent constamment remis en cause par les USA. L’OMS et les autorités politiques et sanitaires, notamment dans les pays occidentaux, s’en sont exonérées pendant ladite crise du SRAS-Cov2et ne fut pas plus tenu compte de la Convention et des Protocoles d’Oviedo[35] (avril1997), le seul instrument juridique international contraignant. Cette Convention-cadre et ses protocoles visent à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine. Refuser de se faire injecter des produits toxiques ne relève donc pas d’un “égoïsme” qui fut prêté aux “non-vaccinés”, mais bien d’une question éthique qui concerne toute l’humanité.

[Voir aussi :
Qu’est-ce que l’éthique en médecine ?]

Hannah Arendt dont l’œuvre gigantesque sur le totalitarisme fait référence[36] — que reprend à son compte Ariane Bilheran[37] — lors d’un dernier entretien réalisé par “les Crises” en 1973[38], jette un regard rétrospectif sur le nazisme, la banalité du mal, la raison d’État dont la sécurité nationale est issue et qui justifie les pires crimes, l’arrogance des puissants, et sur la peur que l’on ne s’avoue que rarement avoir, mais qui n’est que la peur de l’imprévu et de l’imprévisible fait de contingences, mais est surtout la peur de la liberté, celle en particulier de penser. Aurions-nous si peur d’être libres de penser par nous-mêmes de manière critique ? Et répondant à la question : qu’est-ce que la liberté de penser ? elle ajoute :

« Elle ne repose que sur la conviction que chaque être humain, en tant qu’être pensant, peut réfléchir aussi bien que moi, et peut former son propre jugement s’il le veut. (…) La seule chose qui peut vraiment nous aider, c’est vraiment de réfléchir. Réfléchir, cela signifie de toujours penser de manière critique. Et penser de manière critique, cela signifie que chaque pensée sape ce qu’il y a en fait de règles rigides et de convictions générales. Tout ce qui se passe lorsqu’on pense est soumis à un examen critique. C’est-à-dire qu’il n’existe pas de pensée dangereuse, pour la simple raison que le fait de penser est en lui même une entreprise très dangereuse. Mais ne pas penser est encore plus dangereux. Je ne nie pas le fait que réfléchir est dangereux, mais ne pas réfléchir, c’est plus dangereux, encore. »

[Voir aussi :
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »]

Il en est de la grande Histoire comme des histoires singulières, les mythes et les fables qui nous sont contés cachent souvent des secrets inavouables et n’ont pas grand-chose à voir avec la réalité toujours plus complexe. Ces “fables” se transmettent ainsi de génération en génération… qui les reprennent à leur compte. Ainsi Enzo Traverso dans son ouvrage sur « la violence nazie, une généalogie européenne »[39] fait-il remonter cette violence et l’extermination industrielle des juifs… et des Tziganes — les oubliés de l’Histoire comme le furent les colonisés — … à 250 ans, c’est-à-dire à l’épisode de la Terreur de 1793 lors de la Révolution française qui inventa la guillotine, aux guerres coloniales et aux abattoirs de Chicago créés au milieu du 19èmesiècle[40]. Jacques Pauwels, historien hétérodoxe, fait aussi tomber quelques fables qui nous furent contées — tout au moins pour ceux qui voulaient bien les croire —… et plus précisément celle que l’Europe aurait été sauvée par les Américains, “le pays de la Démocratie et de la Liberté[41].

De fait, les grands industriels américains (Ford, ITT, IBM, General Motors, Petroleum Oil, etc.), loin d’être antinazis, étaient racistes et eugénistes. Pour maximiser leurs profits que la grande dépression des années 20-30 avait fait chuter et lutter contre « les Rouges »c’est-à-dire les ouvriers — auxquels la Révolution bolchévique avait fait germer l’espoir d’un monde plus juste et égalitaire, ils collaborèrent avec Hitler puis changèrent d’alliance en mars 1941, après avoir voté un « prêt-bail » à la Grande-Bretagne… et à l’URSS, à charge pour eux d’un remboursement ultérieur : « une victoire hitlérienne aurait alors asséché l’abondante source de bénéfices que générait le “prêt-bail” (…) et celle sur l’URSS aurait été désastreuse pour leurs profits ». Ces élites US arborèrent alors la casquette de l’antifascisme, mais elles restèrent anticommunistes dans leur cœur » et racistes. De surcroît, l’arrestation de tous les opposants syndicaux, socialistes, et communistes allemands, dès la première heure de l’arrivée d’Hitler au pouvoir, et conduits en camps de concentration, firent plier les ouvriers qui, travaillant à l’économie de guerre dans les usines allemandes, se soumirent à des salaires de misère quand ils furent payés. Double objectif atteint pour ces « élites » qui s’enrichirent à tout va sous le nazisme : « l’incessante quête de profit amena les hommes d’affaires, et en tout premier lieu les chefs des grandes et puissantes entreprises à créer et à manipuler le régime nazi et à lui faire déclencher une guerre mondiale, afin de concrétiser ses objectifs »jusqu’à ce que ce régime ne leur convienne plus. Triste constat qui s’est prolongé durant le 20èmesiècle et se perpétue d’ailleurs actuellement avec les multiples guerres menées sous drapeau occidental : les alliances que les « élites » économiques et financières nouent servent toujours leurs profits. Évidemment à lire, ces ouvrages décoiffent quelque peu nos croyances qui sont transmises de génération en génération. Il semble qu’elles aient la vie dure. Qui n’a pas travaillé son histoire est condamné à la revivre… Il en est des histoires singulières comme de la Grande Histoire ! Si l’Histoire ne repasse jamais les plats, dit-on, il arrive qu’elle les resserve sous d’autres apparats !

Toutefois et heureusement, chaque jour nous apporte son lot de révélations ! dont celle du PDG de Moderna, pris « les doigts dans la confiture »[42] quand il a avoué, d’abord en aparté, puis au dernier Forum économique mondial à Davos, que les « vaccins » étaient prêts, en 2019, bien avant le déclenchement de l’épidémie de Sras-Cov2. La vérité finit toujours par être découverte : ces révélations font prendre conscience à certains États que leur souveraineté est en jeu et qu’il serait bon qu’ils s’opposent aux manœuvres de l’OMS et de ses complices, telle récemment l’Australie[43].

Espérons qu’ils seront suivis par d’autres États, mais surtout que les citoyens, les premiers concernés par le « Nouvel ordre mondial » que nous promeuvent l’OMS et les soi-disant élites mondiales rassemblées au Forum économique mondial (WEF), en y mettant tous les atours pour les séduire, comprendront que leur avenir est en jeu comme celui de leurs enfants. La seule « résilience » individuelle ne pourra pas panser leurs plaies quand, de facto, tout totalitarisme a toujours visé un effondrement sociétal tel que les élites l’ont prévu cette fois encore. Étrange rapprochement entre la résilience requise des habitants, contraints de vivre dans des zones contaminées après un accident nucléaire et celle qu’on leur suggère d’avoir pour « s’adapter » voire « consentir » à un totalitarisme sanitaire et militaire tel que prévu par l’OMS ! N’oublions pas que l’OMS collabore aussi étroitement avec l’AIEA et le Conseil de Sécurité et que la « radiophobie » fut évoquée concernant la peur ressentie par les habitants vivant en zones contaminées par les retombées de l’accident de Tchernobyl et que l’idéologie de la résilience peut être, en elle-même, au service de l’acceptabilité sociale de ce qui produit les nuisances[44]. Thierry Ribault rappelle, de façon symptomatique, qu’en France, la loi portant sur la question environnementale de 2021 a été nommée « loi climat et résilience », tandis que le déploiement de moyens militaires lors de la crise sanitaire de laCovid-19 a été dénommé « Opération résilience ». L’idéologie de la résilience est en fait considérée par Thierry Ribault « comme une sorte de nouvelle religion d’État, dans laquelle toutes les situations qui suscitent de la vulnérabilité sont considérées comme des opportunités de rebond et d’adaptation. Il s’agit ainsi d’une forme de justification de l’ordre des choses, puisqu’elle promeut un “faire avec” tout en individualisant la responsabilité de la catastrophe. »

Maisil serait souhaitable que les citoyens n’oublient pas que leur vie dépend de leur capacité à transcender la peur — même si celle-ci est parfois salutaire et a des raisons d’être ressentie quand de telles folies technophiles sont mises en œuvre — on peut aussi en avoir face à un avenir qui ne saurait se déduire du passé, mais qui reste à inventer. D’autres manières d’être ensemble — de se loger, de se nourrir, de s’aimer, de s’entraider, de donner, etc. — sont déjà expérimentées, rien n’empêche de s’y inscrire afin d’inventer, pour le bien commun de l’humanité, d’autres manières de vivre ensemble y compris de prendre soin de notre santé et de celle des autres. Là réside l’espoir d’un autre monde possible que celui que ces « élites » nous ont préparé de longue date et qui de toute manière s’effondrera… les crises, dont la crise écologique, le traversant, étant multiples.

La société n’est qu’une construction imaginaire[45] : rien ne nous empêche d’en imaginer une autre ! Certains s’y emploient et devraient être encouragés et rejoints au lieu d’être stigmatisés. L’important est le chemin, la voie[46] et pas uniquement l’objectif. Il est vrai que pour résister, il faut de la force d’âme, une des quatre vertus cardinales sur lesquelles repose la vie morale[47]. Il faut aussi du courage pour s’y engager ainsi qu’une intelligence du cœur, toutes vertus que les « soi-disant « élitesmondialistes » ignorent. Cette intelligence du cœur vient de notre conscience, celle de notre profonde interdépendance à l’égard des autres dans toute la diversité qui les constitue… et de la compassion que l’on est capable de ressentir face aux souffrances qu’ils endurent.

S’agissant du respect dû à chaque humain, Marcel Hénaff[48] montre que seul le don affronte cette question, car il implique la reconnaissance de l’autre et sa considération[49], c’est-à-dire ce en quoi autrui nous oblige inconditionnellement ; mais que l’argent a le pouvoir de détruire cette exigence et le lien qui unit les hommes entre eux. Il peut infiniment corrompre. Quant à la justice, je laisse le mot de la fin à Camus : « Il n’y a ni justice ni liberté possible tant que l’argent est roi ». Vaste sujet qui serait trop long à traiter dans cet article, mais qui le fut ailleurs[50].


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Trump confirme que les USA ont poussé à la guerre en Ukraine

Original anglais :
https://rumble.com/v2ads6g-trump-now-were-teetering-on-the-brink-of-world-war-3..html



Quelles sont les structures de pouvoir qui gouvernent le monde ?

[Source : kla.tv]

Interview avec David ICKE, janvier 2023

Les faillites, la guerre en Ukraine, les nouvelles lois contre la désinformation et la nouvelle loi sur le partage des charges en Allemagne, tout cela fait-il partie d’un tout ? Dans cette interview, David Icke, connu pour avoir fait de nombreuses prédictions sur la politique mondiale qui se sont réalisées, relie certains points pour nous et montre l’issue des événements mondiaux actuels. Attachez votre ceinture et profitez de cette interview intéressante !

[Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Transcription

David Icke ! Nous sommes très honorés aujourd’hui de discuter avec David Icke ! David, merci beaucoup d’avoir accepté cette interview !

Icke : C’est un plaisir, Daniel !

Interviewer : Eh bien, je suppose que la plupart de nos téléspectateurs vous connaissent ! Pour ceux qui ne vous connaissent pas, nous pouvons faire une très courte biographie. Peut-être devrions-nous aller directement sur la page de Wikipédia. Que dit Wikipédia ?

Icke : C’est assez long, n’est-ce pas ? Et beaucoup d’informations sont inexactes!

Intervieweur : Oh, absolument ! J’allais quand même lire la première phrase.

Icke : Eh bien, allez-y alors !

Interviewer : Il est dit que David Vaughan Icke est un théoricien du complot anglais et un ancien footballeur et animateur de radio sportif. Souhaitez-vous ajouter quelque chose à cela ?

Icke : Eh bien, je ne suis pas un théoricien du complot ! Je suis un chercheur indépendant conspirationniste. Et qu’est-ce qu’un conspirationniste ? C’est quelqu’un qui se demande si l’autorité vous dit la vérité ou non. C’est aussi simple que ça ! Et bien sûr, le terme « théoricien du complot » vient de la CIA pour ce qui est de son utilisation généralisée dans les années 1960, lorsqu’ils essayaient de discréditer les gens qui ne croyaient pas qu’une balle utilisée pour l’assassinat de Kennedy faisait demi-tour. Et donc, il est maintenant utilisé et répété comme une métaphore, laquelle ne dit pas la vérité – propagande, désinformation. Et je vais vous en donner un exemple personnel, car le 6 novembre, je devais parler à Amsterdam lors d’un rassemblement pour la paix. Et quand l’annonce a été faite que j’allais parler là-bas, cela a fait tout un tollé cousu de fil blanc, bien sûr, qu’on ne devait pas me permettre d’y aller parce que j’étais un antisémite, j’étais un négationniste de l’holocauste etc. Et cela a en quelque sorte créé la fureur parmi les classes « vertueuses ». Tout cela est absurde, mais…

Interviewer : Puis-je intervenir ? Qu’est-ce que le sémitisme ou l’antisémitisme ont à voir avec un discours anti-guerre ? Ou bien est-ce qu’ils sont juste en train de sortir quelque chose de votre passé ?

Icke : Oh, ils ne le sortent pas de mon passé. Ils le sortent tout court. Parce que si vous avez quelqu’un qui dit quelque chose que vous ne voulez pas que les gens entendent et que c’est raisonnable et justifiable dans les faits, alors vous ne le prenez pas pour ce qu’il dit, vous inventez ce qu’il ne dit pas. Là où je veux en venir en termes de théoricien du complot… finalement c’était 24 heures, pas 48 heures avant que je sois censé parler – en fait, j’étais déjà sur la côte Est de l’Angleterre en attendant de traverser le tunnel sous la Manche jusqu’à Amsterdam – le gouvernement Néerlandais a annoncé que, parce que je constituais une menace pour la société, j’allais être banni non seulement des Pays-Bas, mais aussi de 25 autres pays européens. Cela signifie de nombreux autres pays en plus, car les Pays-Bas font partie de ce qu’ils appellent le groupe Schengen de pays qui partagent une politique frontalière commune. Donc quand vous êtes banni, vous êtes également banni par eux. Mais d’autres pays, y compris l’Amérique, utilisent les critères de Schengen pour – eh bien, ils le font quand ça les arrange – pour empêcher d’autres personnes d’entrer dans leur pays et c’est la même chose avec d’autres pays du monde. Donc, alors que je suis assis ici, je suis banni des grandes voies du monde. Mais là où je veux en venir en termes de théoricien du complot, c’est que des gens merveilleux aux Pays-Bas, des avocats, pensaient que ce qui se passait était inacceptable et ils ont donc défié le gouvernement devant les tribunaux et ce qui s’est passé – j’étais au procès – ils ne voulaient même pas me laisser entrer aux Pays-Bas pour comparaître devant le tribunal, je représentais un tel danger ! Et l’avocat du gouvernement a abandonné l’accusation d’antisémitisme en entier et de négation de l’holocauste et tout ça parce qu’il ne pouvait pas la maintenir. Donc, ce qu’ils ont fait, c’est de dire que j’étais anti-gouvernemental et en étant anti-gouvernemental, c’est-à-dire que je disais que le gouvernement ment, ce que le gouvernement néerlandais, comme tous les gouvernements, mais surtout le gouvernement néerlandais, fait à bien des égards par réflexe, que j’étais une menace pour la démocratie. Et puis, c’est là le problème, quand le juge – bien évidemment que ça allait arriver – a rendu son jugement, il a dit que le gouvernement avait raison de m’interdire parce qu’il était clair que j’étais un théoricien du complot. Et donc nous avons maintenant une situation où, si vous défiez le gouvernement de dire la vérité, vous êtes qualifié de théoricien du complot et si vous êtes un théoricien du complot, vous pouvez être banni de 26 pays européens.

C’est donc la voie qui est suivie et c’est la raison pour laquelle toute cette histoire du théoricien du complot et de la théorie du complot est si importante parce qu’elle devient centrale pour justifier de faire taire la dissidence. Donc, même à ce niveau, ces premières lignes de la page Wikipédia n’ont aucun sens en termes de réalité, mais encore une fois, la plupart de ce qui se trouve sur Wikipédia n’en a pas.

Interviewer : Oui, je pense qu’il est temps d’enterrer ce terme si nous le pouvons. Parce que, je veux dire, pourquoi avons-nous même le mot « conspirer » en anglais ? Vous savez, s’il existe une telle chose que la conspiration, si les gens conspirent, le ciel nous interdit de théoriser à ce sujet, n’est-ce pas ?

Icke : Oui, et la plupart de ce que les gens avaient décrit comme une théorie du complot, s’est avéré vrai avec le temps.

Intervieweur : Exactement !

Icke : Bien sûr, il y avait des théories du complot, où vous dites : Eh bien, en regardant les preuves, il semble que ça pourrait être ça, c’est justement ça, d’accord. Mais une grande partie est en réalité prouvable à partir des preuves et au cours des décennies- comme je le dis -, à tel point que c’était une théorie du complot qui s’avère être de plus en plus vraie, et c’est la raison pour laquelle ils veulent la discréditer bien sûr, si ce n’était pas vrai, ils n’auraient pas de problème avec ça. Ce qui leur pose problème, c’est le fait qu’elle est vraie. Ce que nous voyons, et c’est la société en général, c’est la façon dont elle est structurée : tout est inversé, tout est à l’envers. Et il n’y a pas de plus grand exemple de cela que les termes de propagande et désinformation sont des termes injurieux pour des personnes qui produisent des preuves crédibles. Des termes utilisés par des personnes qui mentent 24 heures sur 24, et même dans leur sommeil probablement. Nous ne devons donc pas nous soucier des étiquettes et nous énerver à cause des étiquettes. Nous devons juste continuer à marteler ce que nous disons parce que, vous savez, en fin de compte, ce qui pousse les gens à envisager d’autres possibilités, plus que toute autre chose, c’est leur propre expérience. Et depuis le tournant de l’ère Covid, ce que les gens ont expérimenté, c’est la suppression de la liberté à un rythme de plus en plus rapide. Et c’est ce qui les terrifie. Ce que j’ai dit il y a des décennies, c’est que le plan était – et c’est pourquoi ils ont introduit les nombreuses manières, les nombreuses raisons d’avoir Internet – parce qu’ils voulaient finalement une situation où personne ne verrait ou n’entendrait jamais quoi que ce soit qui n’ait pas été approuvé par le gouvernement, je veux dire carrément « 1984 » [1984 = Un roman dystopique écrit par George Orwell décrivant la vie d’un non-conformiste dans un État totalitaire]. Et c’est là où nous allons, je veux dire que nous avons une législation en cours d’examen au parlement britannique, appelée « projet de loi sur la sécurité en ligne » qui est conçue pour supprimer davantage le fondement-même de la liberté d’expression, et des lois similaires sont en cours dans le monde entier. La raison pour laquelle cela se produit – nous revenons au fondement de tout cela – c’est que l’autorité nous ment, elle nous ment à une échelle d’une telle ampleur peut-être jamais vue auparavant. Et parce qu’elle ment, elle ne supporte pas les interrogations. Donc, toute l’idée de la censure est d’arrêter cette analyse.

Interviewer : Oui, je ne comprends pas pourquoi ceci n’est pas plus évident pour tout le monde. Théoricien du complot signifie maintenant quand vous allez devant un tribunal, quand vous avez un procès en Hollande et qu’ils disent qu’on vous accuse d’être anti-gouvernemental. Quelle constitution dans le monde occidental, ou probablement même dans le monde, a écrit que vous ne pouvez pas être anti-gouvernemental ? C’est scandaleux !

Icke : Oui, et l’histoire, vous savez, c’est que nous sommes allés au tribunal avec ça et nous allons continuer, mais nous sommes allés au tribunal avec ça sans penser que nous allions gagner tout en sachant que nous n’allions probablement pas gagner, parce que c’était évident, c’est la façon dont le système est ficelé maintenant : ce sont les mécanismes de contrôle de l’autorité gouvernementale, ce ne sont que des illusions. Et donc on savait bien que ce juge de district aux Pays-Bas n’oserait pas aller à l’encontre du gouvernement. Et donc il a pris une décision et un jugement ridicule que parce que j’étais un « théoricien du complot », c’était justifié que je sois banni de 26 pays européens. Et il était d’autant plus d’accord avec les gens intelligents qui voient cela comme un outrage qu’il ne l’aurait été d’aller à l’encontre du gouvernement qui l’emploie et qu’il aurait bousculé à ses risques et périls. C’est ainsi que cela fonctionne, tout le système est ficelé. Et je ne dis pas que tous les juges sont corrompus, même si beaucoup d’entre eux le sont, corrompus pas nécessairement dans le sens de prendre de l’argent, mais corrompus en termes de corruption morale en ce sens qu’ils prendraient des décisions en fonction de ce qui est bon pour eux plutôt que de ce qui est bon pour la justice. Et c’est, à mon avis, ce qui s’est manifestement passé dans ce cas.
C’est la même chose partout dans le monde, c’est la même chose que ce que vous voyez en Amérique. Vous savez, j’ai été stupéfait quand j’ai entendu pour la première fois l’expression « le juge est un démocrate » [démocrate = membre du parti démocrate aux États-Unis], « le juge est un républicain » [républicain = membre du parti du parti républicain aux États-Unis]. C’est quoi, ça ? Qu’importe le parti des politiciens, et pourquoi devons-nous le savoir de toute façon ? Quelle en est la pertinence ? Si vous êtes un juge au sens propre du terme, vous prenez des décisions sur la preuve, pas sur votre conviction politique et une fois que vous avez une affaire comme c’est si souvent le cas en Amérique, si c’est un juge démocrate, on connaît le verdict. Ou s’il y a une scission démocrate-républicain à la Cour suprême, vous saurez quelle sera la scission. Et bien la justice a disparu, c’est terminé, c’est fini, c’est une illusion. Et ce que nous avons vu, décennie après décennie, ce sont de plus en plus de sources d’information, les sources de la justice étant occupées par ce que j’appelle cette « secte mondiale » [Secte = groupe ayant une idéologie exclusive généralement avec des pratiques rituelles, le symbolisme et une forte dévotion à une cause, un programme ou à un être] qui est finalement derrière les événements mondiaux et non les politiciens absents aujourd’hui, disparus demain que nous sommes censés croire qui sont derrière les événements mondiaux, ce sont les hommes de main ; c’est tout ce qu’ils sont.

Interviewer : Oui, je pense que leur prochaine étape sera probablement, puisque le truc de l’antisémitisme n’a pas fonctionné, d’attaquer le gouvernement. J’espère que cela échouera, mais je pense que la prochaine chose qu’ils serviront sera la vieille rengaine selon laquelle plus nous avançons dans cette guerre, plus nous apportons aide et réconfort à l’ennemi : Ils ne veulent pas qu’on s’exprime contre la guerre.

Icke : Non. Et l’histoire, c’est qu’ils introduisaient en fait la loi antiterroriste dans cette équation. Et je vais vous dire autre chose aussi – ce qui m’a même surpris. Vous savez, j’ai dit qu’en fin de compte, il y a une force non humaine « dans l’ombre ». Je le dis depuis très longtemps. Et alors que l’agenda du monde devient de plus en plus manifestement anti-humain, de plus en plus de gens commencent à dire : « Eh bien, attendez, il n’est peut-être pas si fou ! » Mais ce qui m’a stupéfié, c’est que, dans le jugement du département de l’immigration des Pays-Bas selon lequel je ne devrais pas être autorisé à entrer, le jugement original que j’ai reçu deux jours avant l’événement, incluait le fait que parce que j’ai dit ‘une force non-humaine est derrière les événements humains’ – c’était une raison supplémentaire pour être banni parce que j’ai déshumanisé le putain de gouvernement.

Et comme je l’ai dit, pourquoi déshumaniserais-je le gouvernement alors qu’il le fait lui-même avec brio sans aucune aide de ma part, en déshumanisant la population ! N’oublions pas que c’est le gouvernement néerlandais dirigé par cet homme de main du Forum économique mondial Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas, qui cherche à s’emparer des terres de trois mille agriculteurs néerlandais à cause – je cite – de la politique en matière de changement climatique. Et étant donné que les Pays-Bas représentent en valeur le deuxième plus grand exportateur de nourriture au monde, comment cela va-t-il se passer pour l’humanité ? Parce que – ce réseau passant par ces politiciens déshumanise l’humanité et dit maintenant que nous allons interdire ce type parce qu’il nous déshumanise, ils le font eux-mêmes, ils n’ont pas besoin de moi.

Intervieweur : C’est vrai. J’aimerais, si possible, passer à la plandemie qui, apparemment, n’est pas encore terminée. Ça continue, Elle fait toujours rage. Avons-nous suffisamment de preuves médico-légales pour traduire en justice les auteurs de l’arnaque au Covid ? Quelles sont certaines des pièces les plus accablantes que nous ayons, quelles sont certaines des choses que nous pourrions faire ressortir qu’ils ne pourraient pas réfuter ?

Icke : Eh bien, nous en avons… nous en avons déjà en ce qui concerne le faux vaccin. Vous savez, il y a des choses qui vous font ouvrir les yeux quand vous êtes à la recherche de la vérité. Vous êtes donc prêt à aller là où se trouvent les preuves, là où les informations vous mènent. Et c’est ce que font essentiellement ce que nous appelons les médias alternatifs, ils recherchent la vérité, et je ne suis pas toujours d’accord avec eux – je suis d’accord avec le fait qu’ils l’ont trouvée – mais je suis d’accord avec la plupart d’entre eux. Mais c’est une prise de conscience qui donne à réfléchir lorsque vous sortez de cette arène et que vous parlez avec des gens qui n’obtiennent leur point de vue qu’à travers les médias grand public, comment un nombre faramineux de personnes sont mortes après avoir reçu l’injection et ont eu leur santé détruite, combien peu les gens réalisent réellement qu’il en est ainsi– en raison du contrôle de l’information grand public – J’ai parlé à des gens : ils disent : « J’ai été injecté. » – « Eh bien, étiez-vous au courant de ceci, étiez-vous au courant de cela ? » – « Non ! Je n’ai jamais su cela ! » – Quoi ? Donc, il y a ce clivage massif entre les gens qui vont chercher des informations, qui scannent les rapports du VAERS [VAERS = Vaccine Adverse Event Reporting System of the US-Government], le système de la « carte jaune », qui est la même chose en Grande-Bretagne, et regardez tous les jeunes qui s’effondrent après avoir été injectés, un nombre qui n’a jamais existé auparavant. Vous constatez maintenant les décès excessifs dans le monde entier qui ont été provoqués depuis le déploiement (des vaccins) en 2021, particulièrement en 2021. Et pourtant, un nombre important de personnes n’en n’ont pas conscience. Si cette information était présentée à un tribunal public, signalée de façon adéquate, alors un nombre gigantesque de personnes du système seraient en prison. Et, vous savez, à ce stade, quand vous parlez d’une poursuite judiciaire : il y a une stupidité irréfléchie, une stupidité aveugle où des gens comme les médecins et les infirmières, les politiciens et tout ça qui devraient mieux savoir, leur travail est d’être informés, mais au lieu de cela, en fin de compte et si vous creusez un peu plus, ils croient simplement une poignée de fonctionnaires, et ils croient que ce que les gens leur disent est la réalité – c’est-à-dire que cette injection arrêtera la transmission (du virus)… et ainsi de suite. Il y a ce niveau de stupidité où vous croyez simplement ce qu’on vous dit et vous le faites sans poser de questions.

Interviewer : Je ne sais pas si j’appellerais cela de la stupidité ou de l’ignorance volontaire. Mais le résultat est le même, non ?

Icke : Oui, eh bien stupidité ou ignorance volontaire, fondamentalement, si vous acceptez ce que l’autorité vous dit sans poser de questions, vous choisissez d’être ignorant. C’est un choix. Donc, vous êtes à ce niveau, mais c’est le « mais » maintenant. Il y a une multitude de preuves qui sont sorties – notamment grâce à l’expérience personnelle des gens. Eh bien, il y a eu un sondage récemment dans lequel, vous savez, un énorme pourcentage d’Américains croient qu’ils connaissaient quelqu’un dont la santé avait été endommagée par l’injection ou qui avait été tué par l’injection. C’était une expérience personnelle de ce qu’ils ont vu et de leurs interactions quotidiennes, et ce qu’on leur dit est complètement différent. C’est là que je veux en venir. La preuve est maintenant là. Ils connaissent le carnage et les morts que cela a causés et pourtant ils continuent à dire aux gens de se faire injecter. Vous voyez par les baisses spectaculaires du nombre de personnes qui font cela à quel point l’expérience personnelle et peut-être l’examen d’autres preuves en dehors du courant dominant commencent de plus en plus à avoir un impact sur leurs actions plutôt que de simplement croire le gouvernement sans contester. Mais si vous savez et qu’ils le savent, cette ignorance n’est plus une défense. Si vous savez ce qui s’est passé et que vous insistez toujours, ce n’est pas de l’ignorance, c’est de la psychopathie. Et vous savez, l’une des choses les plus difficiles que j’ai fait circuler au cours de ces presque 30, 33 dernières années, c’est l’ampleur du mal auquel nous avons affaire. Le mal pour moi, ma définition du mal est l’absence d’amour. Et si vous regardez ce qu’on appelle le test Hare du nom du gars qui l’a développé, le test Hare de la psychopathie, si vous avez suffisamment de traits du test Hare, vous devenez officiellement un psychopathe. Les deux principaux traits sont le manque d’empathie et le manque de compassion, ce sont des manifestations d’un manque d’amour, et ils se manifestent en ce que nous appelons le mal.
Et si vous avez un manque d’empathie, de cette capacité de vous mettre dans les sensations et l’expérience de ce que vous faites ressentir et vivre aux autres, vous ne pouvez pas vous mettre à leur place et donc comprendre l’impact que vous avez sur eux, alors vous n’avez pas de limites. Il n’y a plus de limites. Parce que vous n’avez aucune conséquence émotionnelle, alors vous savez : l’empathie, pour moi en tout cas, c’est le mécanisme de sécurité du comportement humain. Si vous avez de l’empathie qui limite vos actions parce que vous avez un résultat émotionnel suivant ce que vous faites aux gens, je dirais juste à tous ceux qui disent encore qu’ils ne feraient jamais ça : Imaginez si vous n’avez pas cette capacité empathique sécurisée et qu’il n’y ait aucune conséquence émotionnelle pour vous, peu importe ce que vous avez fait, c’est-à-dire, des niveaux extrêmes de psychopathie, cela signifierait non seulement qu’ils ne feraient jamais cela mais ils se tireraient d’affaire en faisant ça. C’est ce qui se passe avec ces gens. Donc, cette difficulté qu’ont les gens à imaginer l’ampleur du mal auquel nous avons affaire fait que lorsqu’on le pointe du doigt, on entend : Oh non, ils ne feraient jamais ça. Personne ne ferait ça. Non, tu ne ferais pas ça !
Ils le feraient. Ils le font!

Intervieweur : Exact ! Oui. Nous n’arrivons pas à nous mettre dans leur esprit psychotique.

Icke : Oui.

Interviewer : En parlant d’empathie, je me souviens quand j’étais petit, qu’il y avait cette émission de radio en Amérique appelée « CBS Mystery Theatre » et il y avait une émission qui était vraiment bonne, elle s’appelait « Le bouton chinois ». En avez-vous déjà entendu parler ?

Icke : Non, je n’en ai jamais entendu parler. De quoi s’agissait-il ?

Interviewer : C’était un peu… je ne sais pas comment c’est arrivé. Dans cette histoire, un Américain ou un Britannique appuyait sur un bouton et vous deveniez millionnaire. Mais un Chinois mourrait quelque part. C’était donc un test de votre empathie. Je pense que nos dirigeants aujourd’hui sont constamment le « bouton chinois ». Ils n’ont aucune empathie.

Icke : Il y a un ajout intéressant à cela. Vous l’avez probablement vu lorsqu’ils ont fait cette expérience pour voir si les gens feraient ce qu’on leur disait de faire simplement parce que quelqu’un de l’autorité le leur avait dit.

Interviewer : Oui, les expériences de Milgram.

Icke : Oui. Vous savez, quand vous appuyez sur ce bouton et que vous entendez quelqu’un crier. Quelqu’un en blouse blanche leur dit de le faire et ils le font, vous savez ?

Interviewer : Ils utilisent le choc électrique jusqu’à la mort, c’est fou !

Icke : Oui, mais il est intéressant que nous nous soyons lancés là-dedans, car si vous mettez ces deux mentalités ensemble, vous avez la raison pour laquelle quelques-uns contrôlent le monde. Vous avez quelques personnes – ils ne sont pas si peu nombreux que les gens le pensent – j’ai lu que le nombre de psychopathes dans le monde est d’environ 4 %. Je pense que cela ne peut être qu’une blague ; il doit y en avoir beaucoup plus. Mais bien sûr, c’est loin d’être la majorité. Vous avez donc la mentalité psychopathe qui n’a aucune empathie et qui fait juste ce qu’elle veut sans conséquences émotionnelles, et vous avez ceux qui appuient sur le « bouton chinois ».

intervieweur : Oui.

Icke : – et puis vous avez les autres, la grande majorité, ils sont moins nombreux maintenant qu’ils ne l’étaient, mais ils sont toujours la majorité, qui feront ce que l’autorité leur dit, simplement parce que l’autorité le leur dit et vous mettez ces deux mentalités ensemble et c’est comme ça que tout au long de l’histoire humaine, quelques-uns ont toujours contrôlé le plus grand nombre.

Intervieweur : Oui. David, vous avez mentionné comment les gens qui recherchent des informations et veulent découvrir des choses ont un état d’esprit, puis les autres qui ne veulent rien savoir à ce sujet, en ont un autre et des gens comme vous et moi sommes surpris de voir à quel point les gens ne savent pas. Mais ensuite, vous avez mentionné les athlètes qui s’effondrent… et il y a beaucoup de mecs dans les pubs qui regardent les matchs de football et je suis sûr que vous connaissez le cas de Damar Hamlin, le quart-arrière de la NFL qui est tombé l’autre jour. Quand les gens voient ça – je veux dire que vous parlez (d’environ) des dizaines de millions de personnes qui regardent ça en direct, il se fait frapper, se lève, ajuste son casque, et tombe en arrière, c’est comme les footballeurs, comme les basketteurs. Connaissez-vous le concept stop au crime – le concept orwellien d’arrêt au crime où vous entraînez votre esprit à ne pas avoir de mauvaises pensées. Je me demande si cela se passe dans l’esprit des gens dans le stade et à la maison. Quand ils voient ça, ils se disent : « Ok, il se passe quelque chose ici mais je sais ce que je ne suis pas censé penser – je vais être un théoricien du complot fou si je pense qu’il y a un lien avec le vaccin ”… Je pense que les gens s’engagent vraiment dans cet stop au crime.

Icke : Oui, et je pense que vous avez raison – et je pense qu’il y a une autre motivation qui est due au nombre incroyable de personnes qui ont pris le faux vaccin – ce n’est pas vraiment un vaccin, selon les critères précédents. C’est donc une autre façon d’évacuer le sujet – en gros, c’est une version de « change de sujet – je ne veux pas en parler, je ne veux pas y faire face ». Vous savez, vous avez soulevé un sujet important, car comme je l’ai dit plus tôt, c’est extraordinaire de rencontrer des gens qui, après tout ce temps et toutes ces preuves, n’ont aucune idée de l’existence de ces certitudes ou de ce qui se passe. Mais parce que les médias grand public n’en parlent pas, parce que les médias grand public sont contrôlés par cette secte, tout comme la Silicon Valley. Mais les sportifs professionnels sont le talon d’Achille parce qu’ils tombent souvent en direct devant les yeux du public, et vous ne pouvez pas le cacher parce que quand un footballeur ou un joueur de hockey ou un basketteur tombe et s’effondre, c’est relaté, ça doit être signalé. Ils cacheront pourquoi c’est arrivé, mais ils le relateront. Et les chiffres viennent de grimper en flèche depuis le déploiement du faux vaccin. Et c’est un domaine qu’ils n’ont pas été en mesure de dissimuler – ils peuvent dissimuler la cause, mais pas l’événement réel – et cela a réveillé beaucoup de gens. Et, vous savez ce à quoi les gens qui ne connaissent pas du tout ce sujet pourraient réfléchir ? C’est : Se pourrait-il que seuls les sportifs professionnels subissent ces conséquences ? Non, bien sûr que non ! Oh, vous savez que nous avons ce vaccin et il ne tue et ne mutile que les sportifs professionnels. Non bien sûr que non. Mais c’est juste un domaine qu’ils ne peuvent pas cacher. Alors, qu’est-ce qui se passe d’autre au sein de la population. Et la réponse est : « la même chose » ! Mais, vous savez, je comprends tout à fait cela, vraiment. Mais si vous avez eu deux, trois, quatre faux vaccins et que vous commencez à voir ce qui arrive aux personnes qui en ont eu, cela ne se produisait pas auparavant dans les mêmes quantités, alors bien sûr vous contournez le sujet pour ne plus en parler. Parce que nous parlons d’une autre question – la différence entre ce qui se fait dans les médias alternatifs et ce qui se fait dans les médias grand public et l’autorité – c’est une question très très importante. Et, j’ai vécu cela tellement de fois, que de dire aux gens ce qu’ils veulent entendre est la chose la plus facile au monde. La chose la plus facile au monde parce que leur porte s’ouvre déjà. Ils veulent penser que ce que vous leur dites est vrai. Vous parlez à des vendeurs professionnels. Vous savez, ils sont formés pour glaner dans les conversations avec leurs clients potentiels ce que le client pense et comment ils voient la vie parce qu’ils commencent alors à être d’accord avec eux ou à dire des choses comme « Oh, nous sommes comme vous, je suis d’accord avec vous » – et c’est comme ça que vous obtenez ce lien avec eux. Cela aide simplement à vendre votre produit. Donc, dire aux gens ce qu’ils veulent entendre est la chose la plus facile au monde. Dire aux gens ce qu’ils ne veulent pas entendre est la réelle difficulté car ils ont fermé et verrouillé leur entendement. Ils ne veulent pas croire que c’est vrai, et c’est là le défi. Et donc, quand l’autorité arrive et dit, « Oh non, avez-vous entendu les excuses qu’ils mettent en avant pour tous ces jeunes souffrant de malformations cardiaques ? Oh mon Dieu, l’absurdité dans leur désespoir est incroyable ».

Intervieweur : C’est le Commotio cordis. [Commotio Cordis = une perturbation rare du rythme cardiaque qui se produit à la suite d’un coup dans la zone directement au-dessus du cœur]

Icke : Oui, si vous prêtez l’oreille, vous ne le voulez pas vraiment parce que vous avez eu les vaccins, vous ne voulez vraiment pas faire face aux possibilités, alors vous croirez aux absurdités parce que c’est ce que vous voulez entendre. Et, vous savez, vous obtenez cela aussi de façon intéressante dans les médias alternatifs, dans certains domaines, où certaines personnes ont une idée de ce qui est et veulent croire que c’est vrai. Et puis, quand vous contestez que ce n’est peut-être pas vrai, vous savez, vous êtes aussi attaqué par des gens de l’arène alternative. Et vous savez, c’est ce que je vis en ce moment, et j’en ai déjà fait l’expérience. Parce que je n’ai pas mordu au battage médiatique de Trump et je ne mords absolument pas au battage médiatique d’Elon Musk. Et le fait est, bien sûr, que les gens aimeraient croire que ce type – c’est-à-dire Trump – se met là, devant, et qu’il dit toutes les bonnes choses et qu’il veut défier la tyrannie et c’est formidable de croire que ce type Musk se met là, qu’il est vraiment un intransigeant de la liberté d’expression et qu’il n’a pas un autre programme en arrière-plan. Mais si nous voulons remettre en question la société dominante, nous devons tout remettre en question et voir si cela résiste à un examen minutieux. Et encore une fois, parce que vous ne voulez pas croire que ce n’est pas ce qui semble être, on vous rejette. Mais, vous savez, si vous allez vraiment sur le long terme, et si vous êtes vraiment à fond dans la recherche de la vérité, quelle qu’elle soit, alors vous faites ce que vous pensez être nécessaire et juste et non ce que vous pensez que vous amener plein d’amis. C’est la dernière chose que vous devrez faire si vous voulez la vérité.

Intervieweur : Oui, tout à fait. J’aimerais parler brièvement d’Elon Musk un peu plus tard. Je veux en finir avec les trucs de la plandémie Covid. Vous savez, quand vous dites que les gens ont ces raisons pour ne pas vouloir voir ce qui se passe – c’est assez drôle, ils doivent souffrir un peu de dissonance cognitive parce que comme vous l’avez dit, la demande pour les rappels, le premier, le deuxième et un autre troisième rappel est très faible. Et donc leurs actions parlent plus fort que leur réticence à en parler. Comme s’ils ne voulaient pas en parler parce qu’ils ne veulent pas le reconnaître. Mais dans leurs actions, ils vous montrent, peut-être inconsciemment, – oui, vous avez peut-être raison, je vais faire attention.

Icke : Oui, et c’est une bonne chose, comme je dis… si vous essayez de comprendre pourquoi les gens font des choses, vous devez vous mettre à leur place. Et je comprends parfaitement pourquoi les personnes injectées ne veulent pas savoir ce qui arrive aux autres personnes vaccinées. Je comprends tout à fait cela. Oui tu as absolument raison. Bien qu’ils n’y croient peut-être pas ouvertement, ils n’y croient peut-être même pas personnellement, ils n’en auront plus. Et donc, vous savez à bien des égards, mis à part ceux que vous ne persuaderez jamais que l’autorité leur ment, à part eux, nous avons à peu près gagné l’argumentation en ce qui concerne l’injection, en termes de leur action, sinon leur adhésion sincère qu’ils ont été arnaqués.

Intervieweur : Oui, c’est vrai. J’imagine qu’à partir de maintenant, il n’y aura plus trop de joueurs de la NFL qui recevront d’autres rappels. Et une anecdote intéressante de ce match où Damar Hamlin est tombé. La première histoire de l’actualité était, « Eh bien, les officiels ont jugé sage, prudent d’arrêter le jeu. » Ils n’ont jamais fait ça dans l’histoire du football NFL. Vous avez entendu parler des matchs de football américain, il y a toujours une ambulance au bord de la route… parce qu’il y a des commotions cérébrales, toutes sortes de choses se passent tout le temps. Et puis le jeu continue. Et c’est donc ce qu’ils ont dit qui s’est passé. Mais j’ai lu quelque chose, d’accord, c’était dans les commentaires, donc je ne peux pas corroborer, je ne sais donc pas si c’est vrai, mais j’ai lu quelque chose qui disait : Les joueurs ont refusé de revenir sur le terrain et de jouer. Et cela me parait logique. Parce que le joueur vedette des Buffalo Bills, un gars nommé Josh – je ne connais pas son nom de famille – lui et un joueur vedette étaient les deux seuls à ne pas avoir reçu l’injection. Je veux dire que le joueur quart-arrière est le capitaine de l’équipe. Je me demande donc s’ils se sont réunis et ont dit nous ne reviendrons pas sur ce terrain.

Icke : Oui, eh bien, vous savez, tout ce truc à propos de prendre l’injection et de ne pas avoir l’injection était une vraie séparation des chemins, si vous voulez, entre des gens qui pensent vraiment par eux-mêmes et qui s’en tiennent à ce qu’ils croient – et ceux qui seront influencés soit en ne remettant pas en question sans réfléchir tout ce que l’autorité leur dit ou tant d’autres, tant d’autres, peut-être même la majorité en fait, qui ont eu l’injection parce qu’ils ne voulaient pas les conséquences de ne pas avoir l’injection. Et ceux qui sont restés convaincus que non, je suis très sceptique à ce sujet, je ne l’ai pas reçue, ce sont eux maintenant qui bénéficient du fait qu’ils ne l’ont pas eue. Et il y a eu presque une sorte de revirement parce que ceux qui ne l’avaient pas, bien sûr, c’était moi compris, vous compris, j’en suis sûr, ils ont été attaqués, fustigés, diabolisés, accusés de tuer des gens et tout ça. Et l’un des grands moments charnières, je pense de toute façon, certainement en Europe, j’en suis sûr, qui a également imprégné l’Amérique quand, au Parlement européen avant Noël, un membre néerlandais du Parlement européen a interrogé la responsable de Pfizer sur leurs essais pour voir si le faux vaccin arrêtait la transmission, et il s’est avéré qu’elle a admis que ces essais n’avaient jamais été effectués. Ils ne savaient pas si cela arrêtait la transmission. Donc, ce qu’ils faisaient, c’était nous mentir et l’imposer aux gens avec des conséquences sur les emplois etc. Et cela inclut bien sûr les sportifs sur la base du « cela arrêtera la transmission sinon vous mettriez d’autres personnes en danger », alors que Pfizer n’avait jamais fait d’essais pour voir si c’était le cas. Parce que l’injection n’a rien à voir avec la santé. Cela a à voir en fait avec des agendas beaucoup plus profonds, des agendas beaucoup plus sinistres, sombres et démoniaques. Et cela a mis beaucoup de gens très en colère, certainement en Europe. Quand ils ont pensé que la raison-même pour laquelle ils avaient pris l’injection, – on m’a leur avait dit que c’était la raison,- s’avère non seulement fausse, mais beaucoup l’ont même testé pour savoir que ce n’était pas vrai bien qu’ils nous aient dit que c’était vrai.

Et, vous savez, si les gens réfléchissent, il y a deux choses : ils vous ont dit de vous faire injecter, et vous donnent disent les conséquences si vous ne le faites pas – sur la base de quelque chose qu’ils savaient ne pas être vrai. Et ils ont vu les conséquences des gens qui ont été injectés sur la base de quelque chose qui n’était pas vrai, et pourtant ils vous disent toujours de le faire. Maintenant, pensez-y et réfléchissez à l’ampleur de la psychopathie – et du mal pur qu’il faut pour faire ces deux choses ensemble parce que c’est ce que l’autorité a fait. Et vous savez, les prisons n’existent pas vraiment pour contenir le nombre de personnes qui devraient y rester pour le reste de leur vie, ces gens comme Bill Gates qui ont sciemment menti à l’échelle mondiale pour un programme profondément sombre et sinistre. Et cet homme devrait non seulement être en prison, mais il devrait être forcé de se réincarner sans fin pour terminer sa sentence sanglante.

Interviewer : En quoi devrait-il être forcé de se réincarner ?

Icke : Eh bien, comme quelqu’un l’a dit un jour dans une émission comique, connaissant ma chance dans la vie, si la réincarnation existe, je reviendrai en tant que moi-même. Je pense donc que la pire réincarnation possible pour Bill Gates serait de revenir encore et encore en tant que Bill Gates. Se réveiller tous les matins et se rendre compte que vous êtes toujours Bill Gates, cela doit sûrement être le pire cauchemar.

Intervieweur : Exact ! Eh bien, pour en finir avec la partie Covid, nous avons donc la preuve, nous avons les preuves médico-légales. C’est très clair. S’il était présenté devant un tribunal, ce serait une victoire. Maintenant, on ne va pas nous remettre les clés des portes de La Haye [La Haye = la Cour internationale de justice siégeant à La Haye, Pays-Bas], la Cour suprême ne va pas accepter cette preuve. Les autorités ne veulent pas l’entendre. Quel genre de lieu public, comment devrions-nous nous y prendre si nous ne pouvons pas entrer par les moyens légaux, je veux dire devrions-nous aller avec les moyens semi-légaux ? Devrions-nous aller à l’union des étudiants d’Oxford et avoir un débat ? Où apporteriez-vous cette évidence au public, pas juste sur Bitchute et sur Odysee, et je ne mentionnerai même pas Youtube, car ce ne sera pas là.

Icke : Non, ce ne sera pas là, non. Mais ce qu’il faut faire, tout d’abord, …la censure n’est pas une expression de pouvoir. C’est une expression de vulnérabilité.

Interviewer : Oui !

Icke : Parce que je ne veux censurer personne. Je suis heureux que ce que je dis soit débattu ouvertement et que d’autres personnes aient une opinion différente parce que je suis convaincu que je peux soutenir ce que je dis. Ceux qui ne peuvent pas soutenir ce qu’ils disent, et ce culte et toutes ses expressions mondiales savent qu’ils ne le peuvent pas. Ils doivent censurer les points de vue, les opinions et les preuves alternatifs, car ils savent que cela détruirait les leurs. Donc, tout d’abord, ils n’en viennent pas à la censure en situation de force, mais de faiblesse. Et le fait qu’ils élèvent constamment le niveau de censure signifie qu’ils sont de plus en plus préoccupés par le nombre de personnes qui commencent à s’éveiller à ce qui se passe réellement. Peut-être pas la vue d’ensemble, mais certains niveaux de celle-ci. Assez pour que la panique tombe chez les gens quand ils comprennent que les forces qui contrôlent le monde ne sont pas celles qu’ils voient et qu’on leur dit de croire. Mais en termes de politique en ce qui concerne cette voie, tout est cousu de fil blanc. Je vous donne un exemple de ce pays, la Grande-Bretagne. Nous avons un gouvernement conservateur, l’équivalent de vos républicains, qui a supervisé la catastrophe de la débâcle du Covid. Cela a conduit au faux vaccin. Les partis d’opposition, appelés le Parti travailliste – votre équivalent des démocrates ont dit non pas que la politique du Parti conservateur était fasciste, mais qu’elle n’était pas assez fasciste. Donc, quand ce gouvernement conservateur, maintenant avec ce type Rishi Sunak, un autre homme de main du Forum économique mondial, sera démis de ses fonctions à un moment donné, il devra être remplacé par le Parti travailliste. Et le parti travailliste fera à la Grande-Bretagne tout ce que les démocrates font à l’Amérique. Mêmes politiques, tout pareil. Donc, en termes de choix politique, il n’y en a pas. Et tout s’écroule quand on se rend compte que la politique n’est pas là pour le changer. La politique est là pour perpétuer ce qui devrait être changé. Et donc si vous regardez les jours où la royauté régnait sur tout, et il y a une raison pour laquelle c’était aussi le cas, vous aviez un roi ou une reine imposant sa volonté à la population via les hommes de main dans les armées, etc. Et puis quand l’humanité a rejeté cela, parce que c’était vraiment trop voyant, évidemment les quelques-uns contrôlant les masses…

Interviewer : Oui, les gens savaient qui blâmer.

Icke : Ils pouvaient voir qu’ils étaient sous le contrôle d’un monarque. Donc, finalement, vous avez eu ce mouvement de la monarchie vers la politique, eh bien, nous l’avons toujours eu dans ce pays de manière stupéfiante, et donc, ce culte qui remonte à très loin a dû trouver, sans se cacher, un moyen de remplacer le contrôle de la monarchie par une forme de contrôle qui semblait donner le pouvoir au peuple mais qui ne l’a pas fait. Et donc ils ont créé cette structure de partis politiques. Et c’est comme ça que ça fonctionne. Il y a normalement deux partis politiques qui ont une chance de former un gouvernement, parfois trois, mais normalement deux dans l’exemple classique de l’Amérique . Et ce sont des hiérarchies, ce sont des pyramides. Et quand vous entrez dans la pyramide, si vous progressez dans la pyramide, alors vous devez être aligné avec ce que la hiérarchie de la pyramide, le parti, veut que vous soyez. Donc, si vous y allez, disons que vous voulez vous présenter comme député au Parlement britannique, vous allez du côté du parti de la circonscription locale et vous devez vous vendre à eux. Et vous vous vendez en répétant ce que le parti de la hiérarchie veut que vous croyiez et que vous soyez. Et puis au fur et à mesure que vous entrez, si vous voulez être rebelle et aller à l’encontre de la ligne du parti, eh bien ça va tant que vous survivez, mais vous n’allez pas entrer au gouvernement, vous n’allez pas entrer dans la hiérarchie du parti. Si vous voulez entrer dans la hiérarchie du parti, alors ce que vous devez faire est de rester en ligne avec ce que la hiérarchie du parti veut que vous soyez – et la hiérarchie du parti est composée de très peu de personnes. Et cela se produit aussi bien avec le parti au pouvoir qu’avec le parti d’opposition. Et la clé pour comprendre la politique, c’est que quand vous arrivez au sommet de ces deux pyramides où ces partis sont apparemment en opposition, alors la prochaine étape … vous emmène dans l’ombre, ils répondent tous les deux aux mêmes maîtres. Et donc, si vous regardez l’exemple américain, vous avez ce type qui s’appelle Mitch McConnell ? [Mitch McConnell = Chef de la minorité au Sénat américain, membre du Parti républicain] Le soi-disant républicain qui est absolument aligné avec les politiques démocrates parce que les hiérarchies répondent au même maître. Au sein du parti républicain en Amérique, vous aurez des rebelles – mais des rebelles dans le classement de Capital Hill, si vous voulez, vous n’aurez pas de rebelles au sommet de la hiérarchie. Et ce sont les non-rebelles qui accèdent généralement à ces positions de pouvoir. Nous venons d’en avoir un autre avec McCarthy [Kevin McCarthy = actuel président de la Chambre des représentants des États-Unis, membre du Parti républicain] dans la Chambre qui, encore une fois, est vraiment un républicain.

Interviewer : … oh, ils l’ont forcé à faire toutes sortes de concessions.

Icke : Oh, c’est super que quelqu’un ou quelques personnes aient eu le courage ainsi que la lucidité de penser que nous avons ici une chance de tirer quelque chose de la situation et pas seulement d’approuver la ligne du parti. C’est une métaphore fantastique pour l’ensemble du système et la population en général en termes de ce que nous pouvons faire et où nous pouvons aller. Cela dépend à quel point vous le voulez. Maintenant, vous savez, ces gens qui se sont levés et ont dit que nous n’allions pas voter sans concessions pour McCarthy comme président de la Chambre, ils savaient qu’ils seraient en quelque sorte diabolisés – et ils l’ont été, par des idiots et ils savaient qu’ils allaient être très impopulaires mais ils l’ont quand même fait. Et c’est ce qu’on doit faire ! Si on ne le fait pas, si on baisse simplement les bras et qu’on se dit « Je ne suis pas d’accord avec ça, mais quelles seront les conséquences pour moi si je dis ou si je fais quelque chose à ce sujet ? » … alors tout ce que vous faites est de permettre aux psychopathes de l’emporter, c’est comme ça que ça se passe. Donc, si vous regardez la politique de la manière que j’ai décrite, c’est fondamentalement une forme de monarchie, mais c’est une forme cachée de monarchie. Là où ce n’est pas si évident, c’est quand ils vous disent que vous avez le pouvoir de décider pour qui voter tous les quatre ou cinq ans ou peu importe. Mais en fait, vous votez pour des masques sur le même visage. C’est ce pour quoi vous votez, avec des exceptions honorables. Et ce que nous voyons en ce moment, et j’ai été stupéfait, je dois dire, quand je suis arrivé pour la première fois en Amérique et que le vote électronique arrivait, je pensais  » Pardon ? le vote électronique ?! » Comment peut-on savoir au juste ? Et donc, c’est très… Je veux dire, vous n’êtes pas censé remettre en question la dernière élection où Biden a été élu. Je veux dire, quelle a été l’élection la plus manifestement biaisée que j’aie jamais vue ? Et donc ce qu’ils font maintenant, c’est qu’ils passent au niveau supérieur où ils manipulent non seulement qui ils veulent au pouvoir en manipulant la perception du public. En fait, ils sabotent les élections. Donc, les gens qui étaient en Arizona – des gens comme Kari Lake [Kari Lake = candidat républicain au poste de gouverneur de l’Arizona, États-Unis aux élections de 2022] par exemple et d’autres qui défendaient ce qu’ils croyaient être juste et qui repoussaient ce culte – c’est-à-dire l’agenda – ils n’étaient pas seulement ciblés par les démocrates, ils étaient ciblés par leur propre parti, des gens comme Mitch McConnell en termes de financement etc. Parce que c’est un État à parti unique partout dans le monde, mais nous devons penser que c’est un État à deux partis, sinon nous réaliserions que c’est juste une autre tyrannie qui a remplacé la tyrannie de la monarchie. Et donc la question se pose : si nous voulons faire quelque chose à propos de ce qui se passe, au lieu de nous tourner vers la politique, nous devons regarder la calculatrice. Nous avons besoin de voir huit milliards de personnes se voir imposer la direction de leur monde et de leurs vies dictées par littéralement, une poignée de personnes – par rapport aux huit milliards. C’est ainsi que c’est possible – c’est pourquoi ça a été possible tout au long de l’histoire humaine. Pourquoi est-ce possible ? En raison du consentement de milliards de personnes à côté de quelques-uns. Et tout au long de l’histoire de l’humanité, les quelques-uns ont contrôlé les masses ; parce que les masses ont consenti aux quelques-uns et obéi aux quelques-uns, ils ont fait ce que les quelques-uns leur ont dit, ou parce qu’ils ne voulaient pas le faire mais craignaient les conséquences de ne pas le faire, alors ils le font quand même. C’est ainsi que tout a fonctionné. Le complot s’effondrerait si les gens arrêtaient de ne pas remettre en question l’autorité et insistaient pour que tout ce que l’autorité leur dit soit remis en question et justifié par les preuves… S’ils étaient déterminés et disaient : « Quand je vois que ce n’est pas bien, je ne vais pas le faire », et ils rejoindraient alors le troisième groupe qui a mis fin à toutes les tyrannies de l’histoire, et ce sont les vrais opposants qui voient qu’on leur ment et qui refusent de coopérer avec l’autorité qui leur ment.

Interviewer : Oui, je pensais que nous pourrions passer à un nouveau sujet. Kla.TV est une organisation suisse-allemande et la majorité de nos auditeurs seront germanophones et je pense qu’ils seront vraiment intéressés par votre opinion sur un nouveau sujet à venir en parlant de la question de la restructuration de la dette en Allemagne, une nouvelle loi est en préparation appelée la « loi sur le partage des charges ». Elle entre en vigueur le 1er janvier 2024 et l’idée est que les déficits qu’ils ont accumulés sont si élevés… pendant l’ère Covid… toutes les dépenses qui ont eu lieu pendant l’ère Covid – ils vont devoir payer la note et donc dans cette loi sur la restructuration de la dette, ils vont l’imposer directement aux gens et cela va devenir une taxe massive. Et je veux dire qu’elle menace de mettre en faillite toutes sortes de personnes. Je suppose qu’aux États-Unis, on procède d’une manière un peu différente, on dévalorise simplement l’argent qu’on dépense sans fin. Mais en Allemagne, apparemment, ce ne sera qu’un impôt direct pour toutes les dettes qu’ils ont contractées. Et mon équipe m’a envoyé une note et m’a dit : en bref, nous nous dirigeons vers une dépossession totale analogue au Great Reset de Klaus Schwab « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ». J’aimerais entendre votre commentaire là-dessus.

Icke : Eh bien, j’ai une expression que j’utilise depuis des décennies : Voyez le résultat et vous verrez le chemin. Si vous ne connaissez pas le résultat prévu, les événements quotidiens, y compris des choses comme celle-ci, semblent être aléatoires et sans lien avec tout le reste – alors qu’en réalité ils ne sont pas aléatoires et qu’ils sont connectés à tout le reste. Voyons donc le résultat : je décris depuis des décennies la structure sociétale qui est prévue pour nous si nous continuons comme nous le faisons, et je l’ai appelée « la société des jeux de famine ». Je l’appelais autrement avant, mais quand les films Hunger Games sont sortis, ils symbolisaient tellement cette société qu’ils lui ont donné le nom. Donc, si vous regardez la structure de la société Hunger Games, vous avez des gens dans ce qu’ils appellent le Capitole, dans le luxe absolu high tech et le reste de la société n’était pas seulement dans la pauvreté et la servitude, servant les intérêts de quelques-uns, ils étaient divisés en secteurs et les différents secteurs n’étaient pas autorisés à interagir avec les autres secteurs. Compartimentation de cette population. Et alors, comment créez-vous cette situation ? Eh bien, soit les quelques-uns sont en situation de dépendance, soit les masses sont en situation de dépendance vis-à-vis des quelques-uns, donc contrôlées. Dépendance veut dire contrôle. Ensuite, il faut détruire les moyens de subsistance et l’accès à un revenu indépendant de la population. Et la structure de cette société Hunger Games, (peut-être vous la reconnaissez) ressemble à ceci : au sommet, vous avez les moins de 1 % qui contrôlent la richesse, les ressources et l’accès aux ressources. Ils contrôlent l’accès à la nourriture, ils contrôlent l’accès à toutes les bases de la survie humaine. Au bas de cette pyramide des « jeux de famine », se trouve essentiellement le reste de la population en servitude, qui dépendent, pour les bases de la survie, des quelques personnes au sommet. Et entre les deux, il est prévu qu’il y ait éventuellement une fusion de la police et de l’armée dans un État policier et militaire pour imposer la volonté des quelques-uns sur le plus grand nombre et empêcher le plus grand nombre de se rebeller contre le petit nombre. Examinons donc l’histoire récente sur cette base et sur ce que vous venez de décrire en Allemagne. Les fermetures ont été faites pour cibler les petites et moyennes entreprises, et même les plus grandes entreprises qui n’appartiennent pas à la secte. Les formidables sociétés appartenant à la secte comme Amazon et Facebook et toutes les autres se sont très bien comportées bien sûr pendant la période de confinement. Mais beaucoup d’entreprises ont cessé leurs activités et bien d’autres depuis. Vous avez donc créé une situation de dépendance parce que vous détruisez la petite entreprise et vous détruisez l’accès à l’emploi dans la petite entreprise. Vous créez la dépendance. Ce que vous faites alors, c’est suivre un canular extraordinaire appelé changement climatique causé par l’homme. Et vous dites que vous allez remplacer les combustibles fossiles par des énergies dites renouvelables comme l’éolien, le solaire. Vous savez que vous ne pouvez pas faire ça.

Interviewer : N’oubliez pas d’inclure les voitures électriques qui roulent… avec des combustibles fossiles.

Icke : Oui exactement ! J’ai parlé avec quelqu’un l’autre jour, il s’agissait de voitures électriques, et j’ai demandé : Selon vous, qu’est-ce qui produit l’électricité que vous mettez dans votre voiture ? Mais c’est l’échelle de la manipulation mentale que les gens n’associent pas à l’électricité – ils associent l’électricité de leur maison aux combustibles fossiles, « vous devez réduire votre consommation d’électricité pour sauver le monde du changement climatique ». Mais ils ne feront pas le lien avec l’électricité utilisée par leur voiture. Je veux dire que c’est l’échelle de la manipulation mentale. C’est finalement ça : la manipulation mentale est à la base de tout, vous gonflez artificiellement le coût de l’énergie à travers vos politiques de lutte contre le changement climatique. Ensuite, comme l’a fait Biden, vous fermez les pipelines et vous ciblez les combustibles fossiles afin qu’une fois de plus, vous augmentiez le coût de l’énergie en affectant l’approvisionnement.

Interviewer : Excusez-moi, non seulement on a fermé des pipelines, mais on les a aussi fait exploser.

Icke : Oh oui, j’y viens, oui, exactement, ce qu’on fait, c’est qu’on déclenche une guerre en Ukraine alors que l’Europe peut obtenir du gaz naturel de la Russie via un oléoduc. On ne veut pas que l’Europe reçoive du gaz naturel, on veut mettre en place la société du jeu de famine, on veut que le prix de l’énergie soit disproportionné, soit plus important, parce que lorsqu’on augmente le prix de l’énergie, on augmente le prix de tout parce que tout à un moment donné a besoin d’énergie pour être produit et transporté. En même temps, on utilise le confinement pour démanteler la chaîne mondiale de production alimentaire. Parce que lorsqu’on contrôle la nourriture, on contrôle les gens. Lorsqu’on contrôle l’accès à la nourriture, on contrôle les gens. Nous avons donc maintenant Bill Gates, le revoici ! en tant que plus grand propriétaire de terres agricoles en Amérique et vous avez le forum économique mondial contrôlé par Mark Rutte aux Pays-Bas, ciblant 3 000 agriculteurs néerlandais pour détruire leurs moyens de production faisant partie du deuxième plus grand exportateur de nourriture dans le monde. Donc tout cela est lié et c’est lié à la création d’une dépendance. Et ce qu’ils veulent faire, c’est créer une situation où les gens n’ont pas la capacité de subvenir à leurs besoins parce qu’ils démantèlent cette capacité systématiquement. Et puis ils veulent se manifester, c’est déjà en train de se produire. Et ils disent : La seule façon de régler cela est d’avoir un revenu garanti, où nous vous donnerons une certaine somme d’argent – ce sera une somme dérisoire – chaque mois, pour les nécessités de la vie. Mais si vous voulez défier le gouvernement et que vous voulez avoir une vision différente de ce qui se passe, eh bien, vous n’aurez pas votre revenu garanti. Et alors, qui vous le donnera ? Parce que nous avons démantelé votre capacité à gagner votre vie. Ajoutez à cela que l’intelligence artificielle prend de plus en plus d’emplois normalement occupés par des personnes. Et on a cette situation où les gens ne pourront pas gagner leur vie et qu’est-ce qu’ils vont devenir ? 100 % dépendant de toute autorité qui exigera une conformité totale. Donc, si vous ne ciblez pas seulement les pauvres et ce que nous appelons en Grande-Bretagne les classes ouvrières, vous allez cibler chaque personne de la société qui n’est pas liée à votre secte, qui forme la grande majorité, la majorité écrasante, vous ne devrez pas seulement les empêcher de gagner leur vie, ceux qui ont déjà accumulé des richesses, vous devrez également vous en débarrasser. Et donc ce qui s’est passé en Allemagne, ce qui s’est passé partout dans le monde, et encore une fois, une fois que les gens comprennent « Voyez le résultat et vous verrez le chemin » – toutes ces choses se relient de manière assez évidente. La raison pour laquelle, si vous vouliez de l’argent avant le Covid, le canular du Covid, pour des choses qui le méritaient, c’était « Ah non, non, ben vous savez, on aimerait bien le faire mais il n’y a pas d’argent. » Toujours de l’argent pour les guerres bien sûr mais non, il n’y avait pas d’argent pour ceci, pas d’argent pour les sans-abris, pas d’argent pour ceci, pas d’argent pour cela. Mais une fois que le canular du Covid a été enclenché, l’argent n’était plus un problème dans la réponse au Covid. Partout dans le monde, tout le monde y jetait de l’argent. Des sommes d’argent incroyables. Pourquoi ? Parce qu’une autre façon de détruire l’économie et l’accès indépendant des gens à un moyen de subsistance est que l’inflation monte en flêche. Quiconque a de l’argent à la banque, dont la valeur diminue tout le temps à cause de l’inflation et toute personne ayant un revenu fixe comme un retraité ou autre, la même chose leur arrive. Vous écrasez la population avec ces moyens. Alors, qu’est-ce qu’ils font maintenant – et nous avons un Premier ministre en Grande-Bretagne, appelé Rishi Sunak, qui était chancelier de l’Échiquier en charge des finances du pays et qui a distribué tous ces chèques monstrueux à l’époque du Covid comme l’ont fait d’autres pays. Et il est maintenant le premier ministre qui dit « oh non, nous allons avoir des difficultés économiques pour la population à cause de l’impact de ce que j’ai fait ». En réalité, il n’a pas dit cela bien sûr, et c’est partout comme ça. Et ce que vous avez décrit en Allemagne est un exemple classique de ce qui se passe partout. Donc, vous créez le problème et ensuite vous proposez la solution qui consiste à dévaster économiquement la population pour faire avancer votre programme vers la société des « jeux de famine ». Donc toutes ces choses sont liées et ce qu’ils veulent – et ils en parlent tous, et quand ils en parlent tous comme une chorale partout dans le monde, ces soi-disant dirigeants mondiaux, vous savez que c’est l’agenda qui est décrit. Ils veulent se débarrasser de l’argent. J’ai écrit un livre en 1992 intitulé « La rébellion des robots » et j’y ai dit que le plan est de se débarrasser de l’argent liquide et de n’abriter qu’une monnaie électronique qui serait mondiale. Et ce qu’ils cherchent à faire maintenant, c’est d’avoir cette monnaie numérique qui leur permet de tout contrôler. Vous n’avez pas votre propre argent, vous ne pouvez pas avoir une économie monétaire parce que cela a disparu, vous ne pouvez plus utiliser d’argent liquide. Et encore une fois, le Covid est l’arnaque qui continue toujours, si vous vous souvenez : pratiquement immédiatement, lorsque le canular du Covid a commencé, Tedros [Tedros Ghebreyesus = directeur général de l’Organisation mondiale de la santé] à l’Organisation mondiale de la santé, qui n’est qu’un homme de main pour Gates qui est un homme de main pour les Rockefeller qui sont des hommes de main pour le culte – il a dit que vous pouviez attraper le Covid en…

Interviewer : … touchant de l’argent liquide.

Icke : De l’argent liquide, oui. Maintenant, cela n’avait bien sûr rien à voir avec la santé, c’était une arnaque pour se débarrasser de l’argent liquide. Et vous savez, il y avait des gares avec de petits kiosques en bois pour boire un café, où vous leur remettiez juste de l’argent liquide, ils ne voulaient vraiment rien d’autre que du liquide. Et après, très peu de temps après, ils disaient qu’ils ne prenaient que les cartes pour une tasse de café ! À cause de la peur d’avoir le Covid à cause de l’argent liquide ! Bien sûr, c’était un non-sens, c’était un mensonge, ce ne sont que des mensonges. Maintenant, ils veulent se débarrasser de l’argent liquide, c’est pourquoi c’est la mode des guichets automatiques, c’est la raison pour laquelle les agences bancaires ferment, afin que tout soit en ligne, que tout soit numérique. Parce qu’alors ils ont le contrôle total de votre argent. Et le plan, cela se produit déjà dans des endroits comme la Chine, c’est que si vous faites des infractions par exemple, l’une de ces caméras peut vous identifier, c’est le plan de l’IA, alors l’amende sera simplement ponctionnée sur votre compte. C’est ce qu’ils concoctent. Ils peuvent essentiellement effacer votre accès à l’argent – si vous êtes un dissident du système et si vous contestez le système, ils peuvent simplement fermer votre compte. Et si les gens disent … « Non, c’est tiré par les cheveux » – Allôoo ! Justin Trudeau, Camionneurs, Canada. [Regardez notre interview de Hugh Hunter, un habitant d’Ottawa, expliquant la situation des camionneurs : www.kla.tv/21785] Vous savez ce qui s’est passé. Et ce n’était qu’un avant-goût de ce qui est prévu partout. Donc, cette situation en Allemagne correspond parfaitement à ce programme que je viens de décrire, car il vise la capacité de la population à survivre et à payer ses factures.

Parce que l’idée est que cela n’est pas censé se produire. Vous n’êtes pas censé pouvoir vivre votre vie et payer vos factures, mais plutôt être complètement dépendant du gouvernement pour votre survie. C’est le plan. Et si nous continuons simplement à observer cela, alors cela arrivera mais pas forcément. Huit milliards ne peuvent être contrôlés par une poignée de gens que si les huit milliards y consentent. C’est tout.

Interviewer : C’est vrai, David, et vous terminez souvent vos vidéos par « Okay, levons-nous et faisons quelque chose à ce sujet ! » Un de mes blogs Substack préférés [Substack = une plate-forme Internet où les écrivains peuvent publier directement à leur public. Il n’a pas encore censuré les voix dissidentes] est un gars qui termine chaque message avec « Ne vous conformez pas. Parlons donc des solutions ». Je veux savoir ce que cela signifie concrètement dans votre esprit « Ne pas se conformer » ?

Icke : Eh bien, si quelque chose est clairement fait pour vous asservir de quelques manières que ce soit, alors vous ne le faites pas. Vous savez, ils se sont imposés dans ce pays au printemps 2020 et ils ont dit : « Vous devez garder vos distances sociales, ne sortez qu’une heure par jour, et vous devez porter, au fur et à mesure que l’été se déroule, vous devez porter une couche sur le visage, une couche faciale partout où vous allez à un moment donné. Et vous ne pouvez pas voyager ». Moi, je n’ai rien fait de tout cela. Je n’ai pas fait de distance sociale. Si quelqu’un voulait me fuir dans la rue, c’était son choix. Mais je n’avais pas peur d’eux donc je n’allais pas faire ça. Je sortais quand je voulais. J’ai voyagé, je suis allé à de gigantesques rassemblements à Londres et je n’ai jamais porté de couche faciale et je ne le ferai jamais, je préférerais mourir. Alors imaginez… – il y a quelques 60 millions de personnes dans les îles britanniques – imaginez si même un quart d’entre eux faisaient la même chose et refusaient de faire l’une de ces choses parce qu’elles étaient manifestement absurdes et qu’elles étaient évidemment une arnaque, alors ces ordres n’auraient pas été applicables.

Intervieweur : C’est vrai… même pas un quart des gens, j’ai entendu dire qu’il faudrait à peu près entre 13 et 20 %.

Icke : Oui. Voici un excellent exemple. Lorsque le gouvernement britannique a introduit le confinement la première fois, une poignée de personnes sont sorties pour protester. Et parce qu’il y en avait une poignée, la police s’est déplacée et les a arrêtées. En août 2020, il y avait 35 à 40 000 personnes à Trafalgar Square, j’y ai moi-même parlé. Il y avait tant de monde qu’ils ne pouvaient pas empêcher que cela se produise. Ensuite, 40 ou 45 000 autres personnes se sont présentées à la manifestation suivante. Et au printemps 2021, il y avait tellement de monde dans ces manifestations à travers Londres, je veux dire des centaines de milliers, que la police qui venait juste d’arriver et d’arrêter les premiers manifestants, se tenait juste debout sur le côté de la rue à nous regarder passer. Parce qu’il y avait tellement de gens qui disaient « Nous ne nous conformons pas », les autorités ne pouvaient rien y faire. Et c’est une telle métaphore de ce dont je parle. Et pour arrêter cela, ils doivent diviser et gouverner la population et obtenir de grandes divisions de la population pour attaquer, diaboliser et condamner ceux qui cherchent à protéger la liberté de la population. C’est pourquoi l’accent a été mis sur ces prétendus anti-vax, les négationnistes du Covid etc., parce que si nous nous réunissons en nombre quelconque – et vous avez raison, on est loin d’être la majorité, je veux dire, si nous attendons la majorité, franchement nous pourrions attendre longtemps. Mais cela n’a rien à voir avec la majorité, c’est juste qu’on a besoin d’un grand nombre de personnes dans chaque pays qui disent simplement : « Non, on va arrêter de faire ça, nous ne sommes pas d’accord de nous faire asservir de la sorte ». Si quelqu’un sort de la Maison Blanche ou de Downing Street [Downing Street = résidence officielle et bureaux du Premier ministre britannique et d’autres représentants du gouvernement] et dit « nous avons eu une discussion et c’est ce qui va se passer ». Si suffisamment de personnes disent : « nous ne le ferons pas », Ils n’auront aucun pouvoir ! Ils n’ont pas de pouvoir ! Le pouvoir qu’ils ont est le pouvoir que la population leur donne sous la forme A) d’un consentement incontesté, et B) d’une acceptation qui ne veut pas consentir, mais qui a trop peur de ne pas se conformer. Ces deux mentalités sont la seule chose qui ait jamais permis à quelques-uns de contrôler le plus grand nombre et c’est toujours l’équation. Et si on veut… et c’est encore ce que les gens disent, on ne peut rien faire. Mais bien sûr qu’on peut faire quelque chose ! Huit milliards de personnes ne peuvent pas être contrôlées par une poignée de gens, c’est impossible sans le respect des huit milliards. La réponse est devant nous, mais les gens doivent s’informer pour qu’ils réalisent qu’on leur ment, avoir une paire de ….. pour ne pas consentir par peur, et rejoindre les groupes d’opposants, les vrais opposants, et ce nombre augmente tout le temps, qui disent « Non, nous ne participons pas à nos propre asservissement ». Et si les gens faisaient juste cela, ils réaliseraient non seulement où se trouve le pouvoir, mais que c’était le cas depuis le début. Je vais vous donner un exemple rapide. Margaret Thatcher, le Premier ministre britannique, était considérée comme la Dame de fer et invincible. Et puis elle a sorti quelque chose qui s’appelle la poll tax vers la fin de son mandat de premier ministre, et c’était vers la fin du mandat de premier ministre à cause de ce qui s’est passé, cette dame de fer invincible, (qui pensait) « J’ai le pouvoir. » Et ce que la poll tax a fait, c’est qu’elle a non seulement affecté la classe ouvrière, les pauvres, mais aussi la classe moyenne, qui est différente de votre classe moyenne. Notre classe moyenne a un peu plus d’argent que votre classe moyenne, vous voyez ce que je veux dire. C’est juste une description différente. Mais ce que (cette taxe) a fait, c’est qu’elle a uni deux groupes qui ne se seraient normalement pas mis ensemble. Donc c’était comme, « oh, ça affecte la classe ouvrière, je suis de la classe moyenne, ça ne m’affecte pas. » « Oh, c’est la classe moyenne, ça ne m’affecte pas, je suis de la classe ouvrière », ça a affecté les deux. En conséquence, de mémoire, un très, très grand nombre de personnes a dit : « Nous ne paierons pas. Nous refusons de la payer ». Et j’ai en fait été impliqué dans le premier procès, qui a eu lieu en bas de la rue où ils ont essayé d’engager des poursuites contre les gens qui ne voulaient pas payer, et cela s’est terminé en queue de poisson, c’est une longue histoire, mais leur poursuite a été un véritable fiasco à la première audience.

Intervieweur : Je ne connais pas cette expression « en queue de poisson ».

Icke : Ca a mal tourné.

Interviewer : C’est devenu compliqué.

Icke : Ça a mal tourné pour le gouvernement, ils n’ont rien eu. C’est ce qui s’est passé. Mais ce que je dis, c’est que le refus de ces deux groupes normalement divisés mais désormais unis sur ce point signifiait non seulement que la taxe en question a été supprimée, mais elle a tellement blessé l’image de la « Dame de fer » de Margaret Thatcher qu’elle a démissionné très rapidement après. Et cela montre juste que vous êtes le vrai pouvoir. Le pouvoir de la Dame de Fer était là avec le consentement de la population et de la peur de ne pas se conformer. Une fois que ce groupe uni a dit « nous ne coopérons pas », c’était fini. Et vous savez, quand les gens me disent : « on ne peut rien faire, qu’est-ce qu’on peut faire ? » Et je dis juste : « Oh mon Dieu, procurez-vous une calculatrice. » Mettez huit milliards, enlevez les gens qui savent très bien ce qu’ils font, enlevez les hommes de main du gouvernement qui imposent et administrent ce que quelques-uns veulent faire, enlevez la police, enlevez les forces de l’ordre, enlevez l’armée, déduisez cela maintenant des huit milliards. Il reste la meilleure partie des huit milliards. La réponse est donc là. Mais il faut avoir le choix de faire en sorte que la réponse se produise en disant simplement « je ne le fais pas ». « Non » est le mot le plus puissant dans n’importe quelle langue, à partir du moment où nous défendons notre point de vue « Non, on ne va rien m’imposer et ma liberté ne sera pas supprimée si je ne me plie pas à ce que vous me dites de faire ».

Intervieweur : Excellent, eh bien, soulignons ce point important, et terminons cette interview.




Quand les théories du complot font partie du complot

[Source : Jérémie Mercier]

Dans cet entretien avec Icaros, auteur du blog https://coronacircus.com/ et contributeur d’une « freedom cell » (cellule de liberté) dans les montagnes suisses, nous explorerons la piste selon laquelle certains « complotistes » et certaines « théories du complot » peuvent parfois sans le savoir participer à une subversion permettant à terme la mise en place d’un « nouvel ordre mondial ».

[NDLR Les points de vue exposés sont bien sûr largement discutables, puisque pour la plupart ils relèvent d’hypothèses ou de théories.]






Entrevue intégrale de Mila Aleckovic (docteur en psychopathologies) pour comprendre ces psychopathes qui nous gouvernent

[Source : MediainfociteTV]

Les sujets abordés au cours de cette entrevue avec Dr Mila Aleckovic :

  • les techniques de manipulation des populations ;
  • la guerre psychologique — la « psychiatrie noire » ;
  • la crise sanitaire est un programme préparatoire à la 3e guerre mondiale ;
  • les caractéristiques du profil psychopathe ;
  • est-ce que certaines maladies mentales peuvent être le résultat « d’influences démoniaques » ;
  • quels sont les types de personnes qui ont la capacité de résister et quels sont les attributs pour pouvoir mener le combat auquel nous faisons face ?

[Voir aussi :
Chroniques du totalitarisme – Psychopathologie du totalitarisme,
Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective,
Comment fonctionne le contrôle mental réel,
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous,
L’art de la guerre,
Dépopulation
et liens inclus]






Que ferait Trump s’il arrivait à la présidence ?

Par Nicole Delépine

Les annonces de Trump sur ses projets pour les modifications du système d’éducation du peuple américain paraissent intéressantes, ainsi que traduire ce qui se passe aux USA et qui va arriver irrémédiablement en Europe et singulièrement en France.

Elles sont exposées via Radio Canada et Alexis Cosette et son interprétation personnelle toujours source de réflexion et de débat.

https://odysee.com/@Radio-Quebec:a/anti-communisme:8

Voici le sujet de cette vidéo que vous pourrez écouter sur odyssée, même en France contrairement à Rumble (censuré).

« Propositions radicales en réaction aux mesures actuelles de Joe Biden proposées par la gauche radicale (marxisme culturel) et contre ce contrôle mondial. »

Pour Radio-Canada, c’est la culture qui fait la politique. Les mondialistes ont compris cela et aux USA infiltrent la famille par leurs enfants via l’école tandis que la CIA et la FDA censurent sévèrement les faits et opinions qui ne confortent pas la vision du monde qu’ils veulent nous imposer. En Europe les institutions européennes, les agences, l’agence européenne du médicament (EMA), etc. font la même chose tandis que la Cour Européenne des Droits de l’Homme empêche toute justice indépendante dans les pays de l’UE, etc.. La corruption fait le reste.

Ce phénomène d’infiltration par les mondialistes remonte à l’époque du Président Kennedy, et les années soixante après la Seconde Guerre mondiale. La prise de conscience par JF Kennedy patriote, sur le danger de l’infiltration de la bureaucratie par le mouvement mondialiste lui a coûté la vie. L’ennemi fonctionne par infiltration. JFK qui a tenté de les arrêter a été assassiné comme le sera son frère Robert.

Trump et les patriotes américains tentent à nouveau de stopper les mondialistes et se focalisent actuellement sur la défense des enfants contre l’enseignement qui les endoctrine.

Extraits du discours de Donald Trump (à écouter)

Propositions qui pourraient servir d’exemple pour notre système d’éducation français contaminé par les choix des bobo gauchistes de NY et de Californie, copiés-collés par nos gouvernements depuis quarante ans avec une recrudescence à l’heure actuelle.

Donald Trump « désire supprimer le financement des écoles qui mettent en avant le racisme systémique, la théorie du genre et la discrimination entre “races”. Le “socialisme” collectiviste enseigné à l’école est hostile au pays et ressemble à une nouvelle religion ». Dès le premier jour de l’arrivée en poste de l’administration Trump, il souhaite sortir les radicaux qui polluent nos écoles, les enseignants à cheveux verts, mal fagotés et sales, sectaires et partisans, et qui ont infiltré le ministère d’éducation. Il veut par exemple supprimer les shows de drag queen vulgaires et proches de la pornographie imposées aux petits enfants actuellement.

Il souhaite « mettre un terme aux quotas raciaux dans les universités très injustes pour les Asiatiques ».

Il désire « interdire aux hommes devenus femmes trans de s’entraîner et de jouer dans les équipes de femmes et de partager leurs vestiaires et toilettes ». Pour Trump, « Il n’y a que deux sexes : xy et xx. Le reste est dans la tête ».1

L’équipe de Trump veut adopter une charte des droits parentaux.

Des parents qui sauront exactement ce qui sera enseigné à l’école, et pourront redresser le tir si nécessaire. L’opacité actuelle ne permet plus aux parents de protéger leurs enfants.2 Les directeurs d’école devront être élus par les parents qui pourront les révoquer s’ils ne donnent pas satisfaction, en particulier sur le contenu des enseignements.

Ainsi Trump souhaite « retourner aux fondamentaux, apprendre à lire, écrire, compter aux enfants et garder la neutralité de l’école. Les parents pourront reprendre le contrôle en cas de nomination de Trump ».

Alliance entre le capitalisme financier3 et les progressistes

Les compagnies capitalistes sont toutes dans le « progressisme » et tout cela a commencé depuis un siècle. Graduellement l’infiltration de l’école, de l’église et de la famille se propage. « La grande marche à travers les institutions » est censée pervertir la famille, l’école, le système d’éducation.

Théorisée par l’école de Frankfort pour lesquels la famille serait le noyau central du fascisme.

Ils voudraient remettre en cause tout cela par l’« hégémonie culturelle » d’où les évolutions post 1968.

On voit l’infiltration dans les universités, les écoles depuis des décennies aux USA et surtout depuis les années 2000 en France4.

Mais les forces de la famille traditionnelle sont solides, car la nature refait surface

Les mondialistes voulaient créer une peur mondiale pour imposer leur pouvoir planétaire : cela apparaît dans le club de Rome dès 1975. Mais Klaus SCHWAB ET GRETA ONT ÉCHOUÉ ils ont utilisé une peur structurante : la peur de la pandémie pour imposer la destruction des droits fondamentaux, la démocratie, l’humanité de l’individu propre et les classes moyennes. Le combat contre les élites de Davos, de l’OMS, via Bill Gates et nos dirigeants est en passe de faire échouer leur scénario. Les peuples commencent à voir clair malgré les tentatives de raviver la peur par changement climatique, et la guerre en Ukraine.

La discrimination est inacceptable pour les mondialistes sauf pour les quelques membres de l’élite : Bill Gates explique qu’il a droit à son jet privé puisqu’il est l’élite. Cependant leur projet était de supprimer la propriété privée pour le vulgus pecum, comme le montrent en France les critiques sur la maison particulière et leurs propriétaires qui voient leurs taxes foncières s’envoler alors que les impôts sur les dividendes n’augmentent pas.

Le mondialisme s’est donné une respectabilité qu’ils n’avaient pas sous Staline. Un rebranding du communisme. Le FEM est le point oméga : mélange de capitalisme financier tout puissant et plèbe rationnée.

L’État providence est une apparente bonne idée, mais qui finit mal et devient totalitaire, dit comment vivre, contrôle nos faits et gestes (cf. la Chine), etc.. Comme l’ONU finit par l’OMS qui force l’ouverture des frontières et impose le faux vax toxique partout. Cession graduelle des prérogatives des États.

TRUMP représente les patriotes américains qui tentent d’écraser les mondialistes. Y arriveront-ils ?


1 S’il était dans un lycée canadien, il serait arrêté comme ce jeune de 16 ans.

2 En France de nombreux parents se plaignent de ne pas savoir ce qui va être exposé. Par exemple une séance d’éducation sexuelle est programmée en 6e : l’enfant revient et explique qu’on lui a conseillé et enseigné la masturbation et mis des doutes sur son identité sexuelle. Ce devrait être interdit, alors que c’est entré dans le programme scolaire. En maternelle, on donne aux petits des poupées transgenres (poupées habillées en fille, mais avec un zizi).

3 À différencier du capitalisme industriel.

4 Illustrée par l’interdiction de conférences d’intellectuels (y compris de gauche ou d’extrême gauche), à science po par exemple.




Entretien avec Alexandre Douguine, le philosophe « le plus dangereux d’Occident »

[Source : geopolitika.ru via strategika.fr]

Pouvons-nous revenir sur la tentative d’attentat contre vous, tentative qui a coûté la vie à votre fille Daria le 20 août dernier ? Pourquoi vouloir assassiner un philosophe et une jeune femme innocente dont le seul tort était d’être la fille d’un philosophe ? C’est la première fois depuis Socrate et Sénèque qu’on attente à la vie des philosophes en Occident. Comment expliquer ce crime ?

Comme vous l’avez dit, je suis philosophe et ma fille était aussi une philosophe. Elle n’a jamais participé à des actions militaires et n’a jamais eu d’engagement sur le front. La seule raison, c’est ma position patriotique et mon opposition à la politique hégémonique de l’Occident. Avant cet attentat, on m’avait désigné comme le « philosophe le plus dangereux pour l’Occident ». J’ai été jugé si dangereux que moi et ma fille, qui était la plus belle part de moi-même, devions être assassinés.

Je crois qu’aujourd’hui le danger est devenu vraiment grand pour des gens comme moi. Pourtant, je n’ai fait rien contre l’Ukraine, je n’ai pas financé la guerre, je n’ai pas participé à la décision de lancer l’opération militaire spéciale, qui a été prise uniquement par notre président. Je suis simplement loyal à mon pays, à ma patrie, car je pense qu’il est nécessaire de défendre sa souveraineté contre l’agression de l’Occident. Mais ce n’est pas moi qui ai décidé comment on devait réagir, quelles étaient les lignes rouges à ne pas franchir, comment on devait répondre aux menaces de l’OTAN. Je crois que j’ai été choisi comme cible parce que mes idées sont opposées à la domination des globalistes et parce que je critique la dictature libérale. Cet acte odieux montre que celle-ci est vraiment devenue terroriste. Cet attentat est d’ailleurs unique. Depuis l’intervention russe en Ukraine, c’est le seul attentat terroriste qui a eu lieu contre les civils sur le territoire russe et qui a été quasiment fêté en Occident.

En Europe, beaucoup de gens ont condamné cet assassinat, comme le pape, qui m’a transmis ses condoléances. Des millions de gens qui étaient peut-être réservés à mon égard ont été touchés par ce crime. Mais d’un autre côté de très nombreux représentants officiels de haut niveau l’ont approuvé et l’ont considéré comme le prix que je devais payer pour la guerre que la Russie mène en Ukraine.

Tuer sur le front est une chose. Mais s’attaquer à des gens innocents, dont le seul crime consiste à avoir une vision critique de la politique globaliste ultralibérale, est une autre chose. Ce passage des mots à l’action criminelle est à mon avis très sérieux parce que cela signifie que plus personne n’est en sécurité quand il critique les globalistes. C’est le signe qu’une nouvelle dictature arrive, la dictature libérale. J’ai toujours dénoncé la nature totalitaire du libéralisme. Mais aujourd’hui, la nouveauté est que celui-ci est devenu terroriste. Et cela alors que j’ai été peu actif au moment du déclenchement de l’opération spéciale. J’ai exprimé mes opinions, mais je ne suis pas beaucoup intervenu sur la scène publique et n’ai pas participé à la propagande russe en faveur de cette opération. Au contraire, je suis resté plutôt en marge et je n’étais en aucun cas au centre de la lutte idéologique contre l’Ukraine. Ce qui rend d’autant plus étonnant cet acte de la part de l’Ukraine.

Justement, où en est l’enquête aujourd’hui ?

L’enquête a montré que l’Ukraine était impliquée. C’est une femme originaire d’Ukraine qui a commis ce crime, qui est lié aux services secrets militaires et dont l’ordre est venu de Zelensky lui-même. (Cette implication a été reconnue par les États-Unis. Voir Guerre en Ukraine. Assassinat de Daria Douguina : l’Ukraine pointée du doigt par les États-Unis, Courrier international, 6 octobre 2022, NDA).

Mais c’est assez étrange puisque, comme je l’ai dit, je n’ai pas joué de rôle, même symbolique, dans cette campagne militaire. Si on a décidé d’organiser un attentat contre moi et de tuer ma fille, les raisons doivent être ailleurs. Non pas à Kiev, qui a été utilisée et instrumentalisée. La terroriste ukrainienne qui a accompli ce crime a été un instrument dans les mains de gens beaucoup plus haut placés dans le système de l’OTAN. MI 6 ou CIA, c’est difficile à dire. Je ne crois pas que les Ukrainiens aient eu de vraies raisons, dans ce cas précis, de s’en prendre à moi.

N’est-ce pas dû au fait qu’en Europe et dans les milieux atlantistes, on vous considère comme un champion de l’eurasisme et que cette doctrine fait de vous une cible parce que vous déconstruisez le discours hégémoniste de l’Occident et sa prétention à vouloir régenter le monde ? En quoi cet eurasisme est-il si dangereux qu’on doive assassiner celui qui le promeut ? Pourquoi faites-vous si peur à l’Occident ?

L’eurasisme est la théorie du monde multipolaire. Il propose une structure alternative à l’ordre mondial libéral. Il vise à s’émanciper de l’unipolarité, de la mondialisation, de l’Occident comme centre autoproclamé de la civilisation postmoderne, et à établir un dialogue entre les différentes civilisations, parmi lesquelles figure l’Eurasie. Les autres grands espaces de civilisation indépendants sont la Chine, l’Inde, l’Afrique, l’Amérique latine et le monde arabo-musulman bien sûr. La vision eurasiste diminue le rôle et le pouvoir de l’Occident. Elle affirme la liberté et le droit des autres civilisations d’exister en toute indépendance, et cela non seulement pour la Russie, mais pour l’ensemble du monde.

Je pense que l’Occident globaliste, unipolaire, hégémonique, ne tolère pas cette multipolarité dont la branche russe est le fer de lance. La croissance des autres pôles et notamment de la Russie, qui devient de plus en plus indépendante et qui lutte pour sa souveraineté, accroît la crise si bien que la confrontation devient de plus en radicale. Cette évolution dramatique est manifeste depuis quelques années. Je suis un des promoteurs de cette vision multipolaire, car je crois que toute civilisation a le droit de choisir sa voie en toute indépendance.

Pouvez-vous revenir sur les origines du concept d’eurasisme ? Il n’est pas tout à fait nouveau dans l’histoire russe des idées.

L’eurasisme est la continuation de la théorie des slavophiles, qui considéraient que la Russie n’était pas un pays européen, mais une civilisation particulière, qui résulte à la fois d’éléments occidentaux et d’influences orientales, asiatiques. Cette double influence est à la base d’un ensemble autonome axé sur des traditions propres, à savoir la tradition de Byzance et de l’orthodoxie d’un côté, et la tradition héritée des Mongols de l’autre. L’empire de Gengis Khan s’inscrit dans la grande histoire des empires des steppes touranien.

Les eurasistes du début du XXe siècle ont redécouvert l’importance de cet héritage mongol et de l’influence de l’Extrême-Orient. L’empire fondé par Gengis Khan rassemblait des dizaines de peuples et de cultures différentes et il a servi de modèle dans la construction de l’empire supranational russe. Les princes de Moscou, qui ont revendiqué cet héritage, s’en sont beaucoup inspirés.

L’autre influence, notamment sur le plan religieux, est venue de Byzance et de l’orthodoxie, qui ont développé l’idée du Katechon, de l’empereur qui, dans la tradition du basileus byzantin, possédait une dimension eschatologique, métaphysique. C’était à l’empereur que revenait la mission d’empêcher le diable, l’Antéchrist, d’accaparer l’entier du pouvoir temporel sur terre. Le Katechon est « celui qui retient » le destin du monde, qui fait exister le monde et l’empêche de sombrer dans le néant. Il repousse l’avènement de l’Antéchrist qui voudrait régner sans partage sur l’humanité en semant le chaos. Telle est la mission religieuse et métaphysique de l’empire spirituel héritée de Byzance et de l’orthodoxie.

Quant au grand empire touranien, mongol et des autres conquérants qui venaient des profondeurs de l’Asie (Timur et son Empire, nommé officiellement « Touran » [NDLR ou encore Empire timuride ou timouride]), il a fourni le cadre d’une organisation politique et sociale qui permet à des peuples d’origines, de langues et de religions différentes de cohabiter ensemble avec harmonie.

C’est ce double héritage qui a formé en fin de compte la conscience géopolitique, historique et civilisationnelle de la Russie. C’est grâce à lui que la Russie n’est pas seulement un pays, mais une civilisation à part entière.

L’Occident présente souvent cette conception du monde comme étant une sorte de suprémacisme russe, une vision grand-russe dominatrice et raciste par rapport aux autres nations et aux autres cultures. Que répondez-vous à ces critiques ?

C’est tout à fait faux. Si j’étais raciste, fasciste, nationaliste, suprémaciste, je le confesserais volontiers. Mais je suis à l’exact opposé puisque le monde multipolaire que je défends est tout le contraire du suprémacisme, quel qu’il soit, américain, russe ou autre. Je pense que toutes les civilisations, et notamment les cultures dites archaïques, traditionnelles ou basées sur des valeurs prémodernes ou antimodernes, sont aussi valables que la civilisation moderne occidentale, technologiquement développée, séculaire, athée et matérialiste. Je récuse toute hiérarchie entre les civilisations, tout suprémacisme et tout racisme. Je défends le droit de n’importe quelle civilisation, celle de la Russie comme les autres, à être elle-même. Et je défends donc le droit de l’Occident à être lui-même et à défendre ses propres valeurs postmodernes, ultralibérales ou wokistes si tel est son vœu. Chaque société humaine a droit à sa propre identité. Je suis tout à fait d’accord pour que les Chinois aient leurs propres particularités et leurs propres valeurs, de même que les musulmans, les Africains, etc. Si c’est leur choix, c’est très bien. Mais ce n’est pas une raison pour les tuer ou les éliminer. C’est l’Occident globaliste assassin qui empêche les autres civilisations d’être elles-mêmes. Nous, nous luttons pour notre droit à affirmer pacifiquement nos particularités et à développer notre voie sans être assassinés.

Ce reproche semble en effet d’autant plus étrange que la Russie, pour ceux qui se donnent la peine de la connaître, est un pays beaucoup plus multiracial, multiethnique et multiculturel que la plupart des pays occidentaux, qui reposent sur une conception de la nation beaucoup plus exclusive, États-Unis compris.

Je suis l’ennemi absolu du racisme, et du racisme blanc en particulier, parce que ce dernier a été à la base du suprémacisme et de l’hégémonie occidentale. Il faut absolument décoloniser les esprits de cette empreinte politique et idéologique. Il faut soutenir les efforts des peuples du monde qui cherchent à s’affranchir du racisme colonial et néocolonial du globalisme occidental.

Dans ce sens, je suis aussi l’ennemi des nationalistes. Je suis critiqué fortement par les nationalistes, car je ne suis pas favorable à la nation. La nation est une invention occidentale, moderne, bourgeoise et artificielle. Alors que je suis favorable à une organisation traditionnelle de la société humaine, avec des États différents et diversifiés, qui serait fondée sur une hiérarchie spirituelle et la primauté de l’aristocratie de l’esprit sur la domination exclusive de l’économique. Je suis anti-matérialiste et anti-bourgeois parce que je crois que le triomphe de la bourgeoisie a été une issue fatale. La bourgeoisie a usurpé le pouvoir aux autres membres du tiers état. La partie la plus importante du peuple a toujours été composée par les paysans et non par les bourgeois. Or c’est la petite minorité bourgeoise qui s’est emparée du pouvoir et l’a accaparé au détriment de la majorité du peuple. Elle a perverti la hiérarchie sociale non seulement vis-à-vis des classes supérieures, mais aussi des classes inférieures en confisquant le pouvoir aux paysans, aux artisans, aux ouvriers, aux corporations. L’avènement de la bourgeoisie a été une pathologie, une régression et non pas un progressisme. Je déteste la bourgeoisie. Je suis anti-capitaliste et anti-nationaliste.

J’ai écrit des milliers de pages et une douzaine de livres pour critiquer le racisme, le nationalisme, le colonialisme et toute forme de domination d’une élite particulière, d’un type de société ou d’un pays sur les autres. Et cela vaut même pour la Russie. Je n’approuve pas toute l’histoire de la Russie et notamment celle du nationalisme russe. Comme eurasiste, je pense qu’on doit respecter, cultiver, soutenir les identités qui ne partagent pas les valeurs orthodoxes au sein de la grande union eurasienne. On doit accepter les différents peuples et conserver leurs particularités à l’intérieur de l’ensemble plus vaste dont la Russie n’est qu’une partie, même si c’est la plus grande.

En conclusion, je suis aussi antilibéral parce que j’estime que le libéralisme est devenu la troisième forme d’idéologie totalitaire de l’histoire moderne.

Vous êtes croyant et orthodoxe pratiquant, mais vous êtes néanmoins opposé à la suprématie de l’orthodoxie au sein du monde eurasien ?

Toute suprématie est raciste. Chacun a sa propre vérité. Il convient d’être fort et indépendant pour conserver cette vérité, mais on ne doit rien imposer aux musulmans, aux autres chrétiens, aux athées ou aux « progressistes ». Si les gens veulent se convertir, c’est leur choix personnel et l’État ne doit pas insister pour leur faire changer de religion.

Cela étant dit, l’orthodoxie est l’axe de notre société, de notre conscience. Cette religion a formé notre culture, notre civilisation et le noyau du peuple russe.

Venons-en à votre critique du libéralisme. Pourquoi jugez-vous cette forme de pensée et d’organisation sociale comme totalitaire ? En quoi le libéralisme serait-il la troisième forme du totalitarisme moderne ? Et quelle serait cette quatrième théorie politique souhaitable qu’il conviendrait d’établir pour mettre fin à ces trois formes de totalitarisme ?

Je crois que l’Occident moderne a été dans l’erreur dès le départ. Je ne parle pas de l’Occident traditionnel, sacré, chrétien, qui est une autre chose. Ma critique se concentre sur la modernité occidentale, car je crois que cette modernité — et sur ce point je suis tout à fait d’accord avec Hannah Arendt qui a dit que cette modernité était totalitaire dès le départ — à tendance dictatoriale s’est explicitement manifestée et démontrée dans le communisme qui est une théorie née en Occident autour de la classe prolétarienne, dans le fascisme qui est aussi une théorie née en Occident, mais axé sur la nation, mais également, d’une manière un peu plus voilée, dans le libéralisme.

Aujourd’hui le communisme et le fascisme ont disparu, si bien que la nature totalitaire de la modernité occidentale s’exprime désormais principalement dans le libéralisme. Or la modernité libérale est profondément hégémonique, raciste, suprémaciste, coloniale. Elle considère ses valeurs comme des valeurs universelles applicables à l’ensemble de l’humanité. Aujourd’hui les libéraux se comportent de façon totalitaire en voulant imposer leurs normes LGBT+ et de genre, le mariage pour tous, le wokisme, l’ultracapitalisme comme les seules valeurs universelles possibles. J’accuse ce libéralisme-là d’être un nouveau fascisme en voulant imposer à tout prix ses propres normes à l’ensemble de l’humanité. Ce n’est qu’une manière de prolonger les comportements racistes et coloniaux du passé.

Ce que j’appelle la Quatrième théorie politique consiste à contrer ce totalitarisme libéral globaliste et à dépasser la conception politique occidentale selon laquelle on ne peut choisir qu’entre trois systèmes politiques : communisme,

fascisme ou

libéralisme.

Vous n’avez pas d’autre choix que ces trois options. Si vous n’êtes ni communiste, ni fasciste, ni libéral, vous n’avez pas de place dans ce monde. Il n’y a pas d’espace pour vous. D’ailleurs, les libéraux traitent de « fascistes » tous ceux qui ne sont pas d’accord avec eux, ce qui est contradictoire avec le principe même du libéralisme.

La Quatrième théorie politique n’est pas un autre « isme ». C’est un mode opératoire, une lutte pour conserver une indépendance de pensée par rapport à ce que l’Occident moderne veut rendre obligatoire. C’est une invitation à développer une pensée politique indépendante. Si vous voulez le faire dans le cadre de la religion orthodoxe, c’est parfait. Si vous voulez le faire au sein de la religion musulmane, du confucianisme ou toute autre école de pensée, c’est très bien aussi.

La Quatrième théorie politique est le contraire du dogmatisme. C’est la multipolarité, la lutte contre les dogmes néfastes de la modernité, comme celui du libre marché et du capitalisme comme seule forme possible d’organisation économique. Je n’ai pas de problème à ce qu’on soit capitaliste, mais à condition qu’on puisse aussi être anti-capitaliste si on le souhaite. On doit considérer tous les gens et toutes les idées.

La même chose vaut pour la démocratie libérale. Si des pays veulent s’organiser selon les principes de la démocratie libérale, c’est très bien. Mais si d’autres y sont opposés, cela ne devrait pas poser de problème non plus. La démocratie libérale n’est pas une valeur absolue. Or l’Occident se conduit comme si le capitalisme et la démocratie libérale étaient des valeurs absolues, universelles, applicables à tous les hommes. Il se comporte comme si les gens opposés à ce point de vue étaient des criminels, des terroristes et des cibles à détruire. Ce n’est pas une affirmation subjective, mais un fait : ceux qui n’adhèrent pas à cette vision du monde sont éliminés comme on l’a fait en tuant ma fille. Une fois de plus, ce meurtre est la confirmation de la nature terroriste du libéralisme tel que le conçoit l’Occident collectif actuel.

L’Occident a-t-il encore la capacité d’imposer ses vues ? N’est-il pas déjà affaibli ? Comment jugez-vous les chances de réussite de votre quatrième théorie politique ?

À l’époque de Trump, j’avais pensé que l’Occident pourrait pacifiquement accepter la multipolarité et continuer à construire son identité en se limitant à son espace propre, l’espace atlantiste, et éviter par là la Troisième guerre mondiale. Mais avec les fanatiques extrémistes tels que Joe Biden, Georges Soros et les Démocrates américains qui ont saisi le pouvoir aux États-Unis en 2021, le monde se trouve au bord de l’abîme. Ces globalistes sont prêts à sacrifier l’humanité pour imposer leurs idées. Ils ne veulent pas reconnaître qu’il existe aussi un non-Occident, d’autres civilisations en dehors d’eux et que ces civilisations-là rejettent leur hégémonie. Les prémices pour une organisation multipolaire du monde existent. Mais encore faut-il que des gens comme Trump, ou les vrais libéraux historiques, ceux qui reconnaissent aux autres le droit d’exister et de vivre côte à côte avec eux, l’emportent. Dans un tel cas, l’Occident continuerait à jouer un rôle très important, mais non plus hégémonique et totalitaire.

Mais avec Biden, je pense qu’on est entré dans une ère de catastrophe, car l’Occident est décidé à lutter à tout prix contre la multipolarité. Ce qui est très dangereux parce que la Russie a la volonté de résister et de lutter pour défendre sa civilisation. La Chine sera la prochaine cible et les autres suivront si on laisse faire les globalistes.

Aujourd’hui en Occident, ceux qui ne partagent pas cette vision hégémonique totalitaire se trouvent dans la même situation que les Juifs dans l’Allemagne nazie. Ils sont persécutés, ils sont accusés d’être « terroristes ». Ceux qui protestent risquent désormais leur vie (comme le montre par exemple le site ukrainien Myrotvorets qui a dressé une liste de plusieurs dizaines de milliers de noms d’Occidentaux critiques vis-à-vis à Kiev à abattre, NDA) parce qu’on a affaire à un système totalitaire qui détruit ses propres membres et parfois même ses propres dirigeants quand ils s’opposent à l’ordre globaliste. Le cas de Trump qui a été traité de « fasciste » et qui a été censuré par les réseaux sociaux quand il était président en est un exemple.

C’est un problème que seuls les Occidentaux peuvent résoudre. Quant à nous, nous luttons pour nous-mêmes. Nous aimerions que l’Occident accepte notre singularité et nous souhaitons vivre en paix avec les autres dans un monde multipolaire, mais on ne nous donne pas la chance.

Comment voyez-vous le conflit en Ukraine dans cette perspective ? Comme un clash de civilisations ainsi que l’avait prédit Huntington ? Pensez-vous que la Russie sera capable d’atteindre ses objectifs d’indépendance dans ce contexte de guerre frontale avec l’Occident par Ukraine interposée ?

La guerre en Ukraine est beaucoup plus difficile qu’on ne le pensait au début de l’opération militaire. Ce conflit ressemble à la guerre de Crimée au XIXe siècle. À l’époque, derrière la Turquie qui était assez faible, s’est dressée une grande coalition d’ex-ennemis de la Turquie qui se sont soudain ligués derrière elle par russophobie, formant une force difficile à vaincre.

Nous sommes aujourd’hui mis à l’épreuve et la Russie ne peut pas vaincre immédiatement. Mais il est important de savoir que nous ne pouvons pas perdre cette guerre, car il s’agit de l’existence même de notre pays. Nous sommes coincés, en quelque sorte : on ne peut pas perdre, mais c’est très difficile de vaincre. Et cela rend la situation dramatique, et peut-être catastrophique, parce que la Russie combattra jusqu’à la fin et que cette fin peut être l’apocalypse nucléaire. C’est une issue qui devient de plus en plus palpable. Comme la Russie ne peut rien accepter d’autre que la victoire dans cette guerre, cela rend la situation critique au niveau mondial.

Pour le reste, ce qui est en jeu n’est pas l’Ukraine, mais l’équilibre global de la sécurité mondiale entre la Russie et l’Occident. C’est une guerre de civilisation. La Russie n’avait rien contre l’Ukraine en tant qu’État national indépendant. Une Ukraine de ce type aurait été un pont entre nous et l’Europe, ouverte sur nous parce que la moitié de la population ukrainienne était russe d’origine, même si ce n’est plus le cas aujourd’hui, et ouverte sur l’Europe puisque l’autre moitié de l’Ukraine est pro-occidentale. Comme pour la Belgique ou la Suisse, qui sont formées de deux ou trois peuples d’identité et de culture différentes, il aurait été parfaitement possible de construire une Ukraine fédérale. Mais cette opportunité historique a été perdue et finalement l’État ukrainien est devenu fasciste, ultranationaliste et russophobe. Il s’est transformé en fer de lance du combat contre la Russie, ce que nous ne pouvions accepter sans réagir. C’est pourquoi cette guerre a éclaté. Elle n’était pas voulue par nous, mais comme elle avait déjà commencé dans le Donbass, nous n’avons pas eu d’autre choix que d’y aller et de gagner à tout prix.

Et quand nous disons à tout prix, c’est à tout prix. Poutine l’a rappelé, car il comprend parfaitement que si on perd cette guerre, on perdra tout et que la Russie n’existera plus parce qu’on voudra la diviser et la vassaliser.

À cet égard, il est intéressant de noter que dans la justification cynique des sanctions européennes qui ont été prises après l’assassinat de ma fille, j’ai été accusé de fournir le fondement théologique de l’intervention militaire russe. Cela figure de façon très officielle dans les documents européens. Cette référence à mon rôle « théologique » est surprenante sous la plume d’Européens qui par ailleurs répudient toute forme de théologie et de religion et ne jurent que par la sécularisation.

Mais peut-être ont-ils raison pour une fois. Je pense en effet que cette guerre possède une dimension religieuse, spirituelle, métaphysique. La Russie lutte pour être ce qu’elle est. À défaut elle ne peut plus exister en tant que telle et ne survivrait que sous la forme d’une colonie occidentale. Cette lutte ne se déroule d’ailleurs pas que sur le plan extérieur, mais elle est aussi intérieure à la Russie. C’est un retour aux racines spirituelles de la Russie.

Je pense que l’Occident pourrait vivre et être en sécurité en acceptant l’existence d’un monde multipolaire. Mais celui-ci constituerait un danger pour les colonialistes et les extrémistes qui ont usurpé le pouvoir. Leur domination et leur survie dépendent de leur capacité à diaboliser la Russie, la Chine et les autres nations qui leur résistent. Mais ils ne représentent pas l’Occident tout entier et il reste une chance pour que l’Europe accepte une Russie neutre et indépendante à ses côtés, car la Russie ne cherche pas à conquérir l’Europe.

Comment peut-on voir le futur de la Russie dans ces conditions ? Que devrait-elle faire pour opérer cette transition vers l’indépendance et la multipolarité ?

Il faut recourir ici à l’analyse de Gramsci. Gramsci a évoqué la question du césarisme par rapport à l’hégémonie. L’hégémonie pénètre dans la société de manière totale, directe et indirecte, politiquement, culturellement, grâce aux intellectuels, à l’éducation, mais aussi à l’économie, aux marchés et à la consommation. C’est ainsi que l’hégémonie libérale démocratique, gouvernée par les lois du capital, s’est mise en place. Le but de cette hégémonie, c’est de tuer toute forme d’indépendance de la société pour créer un gouvernement mondial totalitaire.

Selon Gramsci, on peut lutter contre cette hégémonie de deux manières. Pour lui, la meilleure manière de la combattre était le communisme. Mais ce n’est pas mon avis, car je pense que le communisme n’est qu’une variante de cette hégémonie, sur le plan culturel notamment. Son analyse formelle reste néanmoins pertinente.

Pour moi, la bonne manière de lutter contre l’hégémonie, c’est la multipolarité, la construction d’un monde multiple et donc anti-hégémonique. L’hégémonie est par définition unipolaire dans tous les domaines, économique, culturel, social, informatique, civilisationnel, idéologique, spirituel, scientifique, éducationnel, etc. On doit donc lutter contre elle sur chaque plan et à tous les niveaux. Capitalisme, non ! Démocratie libérale non ! Politique du genre, non ! Cancel culture, non ! Gouvernement mondial, non ! Scientisme transhumaniste, non ! Toutes les thèses de l’hégémonie doivent être systématiquement contrées afin de construire une contre-hégémonie.

Mais pour Gramsci, il existe encore une autre méthode pour lutter contre l’hégémonie, qu’il appelle « le césarisme ». Lequel consiste à accepter certains éléments de l’hégémonie, mais à en refuser d’autres, et notamment de céder en fin des comptes le pouvoir à une puissance extérieure. Il insiste à la fois sur l’indépendance et sur le réalisme, qui fait qu’on accepte de reprendre certains éléments de l’hégémonie tels que le capitalisme et certaines formes de démocratie libérale, mais avec un certain degré de pouvoir autoritaire de façon à ne pas laisser aux dirigeants hégémoniques extérieurs la possibilité de s’emparer du pouvoir politique à l’intérieur du pays.

Cela peut engendrer de la corruption et du népotisme, comme on peut le voir dans la Russie actuelle. On peut dire que le régime de Poutine est de type césariste. Il accepte beaucoup de choses de l’hégémonisme occidental, mais rejette ce qui menace son propre pouvoir. C’est un césarisme, mais ce n’est pas une contre-hégémonie. En fait, le moment de la contre-hégémonie arrive maintenant en Russie parce que la guerre en Ukraine ne permet plus de maintenir cet équilibre césariste entre emprunts à l’hégémonie occidentale et souveraineté de la Russie. Quand on est en guerre, on ne peut pas être à moitié d’accord avec son ennemi.

Pour la Russie, l’heure de vérité est donc en train d’arriver. La seule manière de vaincre dans la guerre contre l’Occident en Ukraine, c’est d’accepter la contre-hégémonie comme idéologie. Les derniers discours de M. Poutine y ont d’ailleurs fait allusion. Des lois ont été introduites pour défendre les valeurs traditionnelles et instaurer le primat de l’esprit sur la matière. L’État commence à reconnaître l’importance de ces valeurs idéalistes. L’introduction de facteurs idéalistes dans la politique de l’État marque la fin du matérialisme absolu. L’État change de sens. Ce n’est plus un État libéral, c’est un État chargé d’une mission, sacré, un « royaume » au sens métaphysique. Ce qui se produit aujourd’hui en Russie, c’est la transformation du césarisme en contre-hégémonie au sens de Gramsci.

Considérons maintenant les autres civilisations. Vous avez notamment exprimé votre admiration pour les civilisations chinoise et africaine. Qu’est-ce que vous admirez dans la civilisation chinoise ? Et dans la civilisation africaine, considérée avec mépris par l’Occident ?

J’ai étudié l’histoire des civilisations dans un ouvrage nommé « Noomakhia » qui fait 24 volumes. Je suis impressionné par leur richesse et leur pluralité. La civilisation chinoise est exemplaire dans le sens où elle réussit à concilier modernité et tradition. J’ai été professeur à l’université de Fudan à Shanghai et j’ai bien étudié la Chine. La grande civilisation confucianiste se base sur la primauté de la culture, qui structure les relations entre l’individu et l’État. С’est le génie caché de la culture chinoise que d’avoir su créer un équilibre entre l’individu et le collectif, entre la personne humaine et l’État. L’antique tradition confucianiste est la clé pour comprendre le maoïsme et le capitalisme à la chinoise. L’originalité du capitalisme chinois est de se baser sur la solidarité et non pas sur la compétition. On ne cherche pas la lutte les uns contre les autres, mais à agir en parfaite harmonie avec à l’autre. On ne se fonde pas sur l’égoïsme individuel, mais sur une sorte de trans-solidarité de l’initiative privée.

Ainsi, un grand oligarque chinois Eric Li m’a dit que, quand il est invité à une réunion communiste, il suit la ligne du parti parce qu’il se sent redevable à son égard. Il se sent reconnaissant à État d’avoir pu créer ses richesses. Il sait ce n’est pas lui, tout seul dans son coin, qui a pu les réunir. Il est conscient que celles-ci lui ont été accordées par la communauté, par l’État, la collectivité et qu’il doit donc les utiliser à bon escient pour développer le pays et maintenir l’harmonie sociale. Le capitalisme chinois n’est pas occidental. Il est le fruit d’une culture propre dont le parti communiste est partie prenante. De ce point de vue, la Chine est un exemple de succès. Elle a réussi à conjuguer les principes du capitalisme et ceux de la culture orientale pour créer la Chine moderne.

Le cas de l’Afrique est différent. L’Afrique possède une grande richesse de cultures qu’elle ignore trop souvent. Quand elle a commencé la décolonisation, elle a voulu imiter l’Occident. Elle a importé le capitalisme, le socialisme, le nationalisme, le communisme, qui n’ont été en fait qu’une perpétuation de la colonisation, car il s’agissait d’appliquer des théories fabriquées par les puissances coloniales pour se développer, alors qu’il aurait fallu au contraire s’en émanciper. Elle a continué à puiser dans l’imaginaire et les principes du colonisateur occidental.

Aujourd’hui l’Afrique doit entrer dans une nouvelle phase, commencer une décolonisation profonde et revenir aux origines de la conscience africaine indépendante, qui est très multiple et multipolaire. L’Afrique n’est pas homogène. Elle compte d’innombrables peuples, cultures, langues et ethnies différentes et il faut respecter chacune d’entre elles. Les frontières postcoloniales ont cassé de vastes ensembles et séparé des ethnies et des cultures en deux pour créer des nations artificielles qui ont ensuite lutté entre elles et ont empêché l’émergence d’une conscience panafricaine. Je crois que la richesse de la culture africaine doit être revendiquée à nouveau. Et nous devons accepter les valeurs africaines en tant que telles, comme elles existent aujourd’hui, et non pas seulement quand l’Afrique sera développée. Cette dichotomie entre tradition et modernité, entre cultures prétendument archaïques et cultures modernes, est un point de vue que l’Occident utilise pour deviser et dominer est à rejeter.

Ce développisme, ce progressisme forcé est un racisme. Il faut laisser les peuples africains se développer comme ils veulent, selon leur propre voie, avec leurs propres valeurs, en harmonie avec leurs propres cultures. Il y a tant de principes et de traditions admirables à redécouvrir. Au lieu de vouloir coloniser à nouveau, on devrait aider l’Afrique à s’affirmer et prendre le temps de contempler ses richesses humaines.

La culture islamique est une autre source d’inspiration, comme celle de l’Inde ou de l’Amérique latine, qui n’est ni européenne, ni libérale, ni asiatique. Elles cherchent à s’exprimer aussi. On doit les laisser s’affirmer et se construire en toute indépendance et non pas en leur imposant des préceptes préfabriqués, prêts à porter ou imposés. Les Russes peuvent d’ailleurs y contribuer, mais sans imposer leurs propres visions.

C’est la grande différence entre l’Occident et nous. Pour nous Russes, l’Autre a le droit d’être Autre. Nous ne voulons pas que les autres soient comme nous-mêmes. Nous n’exigeons pas qu’ils soient à notre image. Pour l’Occidental, l’Africain, le Latino-Américain ne sont respectables que lorsqu’ils ne sont plus africains ou latino-américains et qu’ils se sont occidentalisés en adoptant les coutumes européennes, de la manière de s’habiller aux théories du genre. C’est seulement au moment où l’Autre s’est acculturé et a adopté le costume de la modernité européenne qu’il est accepté. Il faut que l’Autre soit comme blanc, laïc, postmoderne, athée, LGBT compatible pour être reconnu.

Cette incapacité à trouver la juste attitude par rapport à l’Autre est le péché capital de l’Occident.

Vous êtes en train de publier un nouveau livre qui devrait paraître cette année et qui s’appelle « Être et Empire ». De quoi s’agit-il ?

Ce livre porte sur l’ontologie de l’empire, l’empire étant entendu non pas comme une organisation politique, mais comme entité métaphysique. J’analyse la notion d’empire depuis la Mésopotamie, Sumer, Ur, Babylone et comment le concept d’empire a été intégré dans le judaïsme, par la Grèce après Alexandre le Grand, puis par Rome, le christianisme avec Constantin et l’Empire byzantin, jusqu’aux empires modernes occidentaux et russe.

Comme je l’ai mentionné plus haut, il faut savoir que tout empire comporte un aspect eschatologique, une dimension métaphysique puisque chacun d’eux se trouve confronté à sa propre fin, et donc à la fin du monde. D’où l’importance vitale des questions dynastiques dans les anciennes monarchies et des élections dans les empires libéraux.

Si on applique cette idée d’empire métaphysique à l’histoire des civilisations, on constate que l’idée impériale est toujours vivante et vivra jusqu’à la fin de l’histoire. Même quand il s’agit d’empire à rebours comme l’empire américain. Des historiens comme Niall Ferguson acceptent de plus en plus l’idée d’un empire américain. Les États-Unis, qui se sont posés comme anti-impérialistes au moment de leur création, apparaissent en effet de plus en plus comme une parodie d’empire, un contre-empire qui veut imposer le royaume universel des valeurs LGBT, wokistes, ultra capitalistes.

Il est intéressant de constater que la Russie redécouvre cette mission katéchonique de l’empire traditionnel. C’est la guerre entre ces deux conceptions de l’empire qui se déroule aujourd’hui sous nos yeux. Elle est à mon avis plus importante que la guerre pour les ressources naturelles, le gaz ou le pétrole. Il s’agit d’une confrontation métaphysique dans lequel l’empire joue le rôle de moteur caché de l’histoire. L’empire de Nabuchodonosor avait déjà été confronté à cette idée de fin, de disparition, comme l’avait prophétisé le prophète Daniel.

L’empire est le ressort caché de l’histoire humaine, son horloge. En étudiant son évolution, on peut savoir à quelle étape de développement, à quel moment historique nous sommes arrivés. Aujourd’hui, il est minuit moins une seconde. Nous sommes à la veille d’un basculement. L’idée de l’empire eschatologique se réveille et se redresse. Il ne s’agit pas d’une forme politique particulière, mais c’est une clé pour comprendre l’horloge de l’histoire.

Pouvez-vous revenir sur cette idée de Katechon, qui n’est pas familière à un public occidental ayant perdu ses références religieuses?

Le terme de Katechon est repris de la seconde épître de Saint-Paul aux Thessaloniciens dans laquelle il parle de la fin du monde. Il y est dit que le diable ne triomphera pas tant que celui qui retient le monde sera présent. C’est très important. Les traditions catholique et orthodoxe ont appliqué cette idée à la figure de l’empereur (conjointement avec le pape dans la tradition catholique romaine). L’empereur n’est donc pas seulement un chef politique temporel, mais une figure sacrée qui est l’adversaire de l’Antéchrist.

Carl Schmitt a développé cette idée en la transposant à la structure de l’État. Pour lui, l’État recèle une dimension katéchonique. Il repose sur un fondement métaphysique. Carl Schmitt a sorti ce terme de la théologie pour l’appliquer à la politologie moderne dans son livre « Le Nomos de la terre » publié en 1947.

Des auteurs italiens comme Giorgio Agamben et Massimo Cacciari (philosophe et ancien maire de Venise issu du Parti communiste italien) en particulier, l’ont ensuite utilisé dans une eschatologie de gauche. Ils l’ont introduit dans la doctrine politique de la gauche qui considère que le katechon fait obstacle au progrès. Ils pensent que la notion de katechon est non seulement importante pour les traditionalistes comme moi, mais aussi pour les gens de gauche qui le perçoivent comme un obstacle au développement d’une religion séculière de gauche.

Pour moi en tout cas, la notion de Katechon est centrale. J’ai fondé une revue et un site qui portent ce nom. Il appartient à notre héritage, à nos valeurs, et correspond à l’idée de Moscou troisième Rome développée dès le XVe siècle après la chute de Constantinople. Pour certains anti-modernistes, la guerre en Ukraine revêt d’ailleurs un caractère multipolaire et katechnique.

Une dernière question pour conclure. Pourquoi cette anti-modernité radicale ? N’y a-t-il rien à sauver à vos yeux dans la modernité actuelle ?

La modernité est un processus. Si on suit ce processus, on arrivera au dépassement de l’Homme par la Machine, à l’avènement de personnalités asexuées et à la reproduction du genre humain sans intervention humaine. Cela parce que l’individualisme, qui est le moteur de la modernité, le sécularisme, l’athéisme et la négation de la tradition nous mènent directement à la déshumanisation. Nous n’en sommes pas conscients, car nous jugeons la modernité à partir des critères de la modernité elle-même et des valeurs modernes.

Mais si nous la jugeons avec les yeux de la tradition, nous arriverions à percevoir la chute, la dégradation, la déshumanisation croissante et nous verrions comment l’humanisme, poussé à ses extrémités, mène à la déshumanisation.

Le transhumanisme et la politique des genres qui détruit la famille et impose des types humains étranges, joints à la croyance dans la toute-puissance du progrès technique, conduisent à une issue fatale. Si l’on déconstruit la modernité, on constaterait qu’un chemin erroné a été pris dès le début de l’épanouissement de la civilisation occidentale avec l’atomisme, le matérialisme, le rejet d’Aristote et de la métaphysique, le nominalisme et le développement de la physique Newtonienne, qui ont abouti à une vision complètement fausse de la nature de l’homme et du cosmos. En détruisant la dimension sacrée de l’Homme et de la Nature, on arrive à une déshumanisation totale. Le matérialisme individualiste d’aujourd’hui est la phase terminale de ce processus. Ce n’est pas le produit d’un excès ou d’une déviation, mais le résultat d’une logique implacable. Il faut donc casser cette logique infernale et prendre un autre chemin. C’est pourquoi il convient de rejeter toute la modernité, et pas seulement tel ou tel de ses aspects.

La tradition est un retour aux racines. Ce n’est pas un retour au passé, mais une redécouverte de l’éternité. La modernité a commencé avec la négation de l’éternité. L’éternité n’existe pas pour elle-même. Il est essentiel de redécouvrir la dimension éternelle de l’être. L’éternité n’est pas non plus une durée indéfinie, c’est une autre dimension de l’être, perpendiculaire à la ligne du temps, à la fois verticale et transversale. Elle n’appartient pas seulement au passé, mais aussi au présent et au futur. Il faut redécouvrir la dimension tridimensionnelle de l’être avec l’aide des poètes, des mystiques, des philosophes et des théologiens. Les comptables et les managers ne peuvent nous aider dans cette tâche. Faute de quoi, nous céderons aux injonctions mortifères de la civilisation moderne telle que la propose l’Occident.




Cerveaux d’enfants manipulés et théorie du genre : le pire de la « cancel culture » et la circulaire de septembre 2021

Par Nicole Delépine

« Nous allons défaire le culte de l’idéologie du genre
et réaffirmer que Dieu a créé deux genres — appelés hommes et femmes »
— Président Donald J Trump

L’héritage laïque serait potentiellement LGBTQIphobe ? ce monde devient fou et on se demande jusqu’à quel point les dirigeants veulent détruire l’humanité, son histoire, ses liens avec son passé, etc. Suicide collectif, mais choisi par quelques-uns seulement, avec la volonté de l’imposer à des milliards d’individus…

Au lieu d’apprendre à lire, à compter et un minimum d’histoire et du monde, un peu de géographie et de botanique, etc., les enfants sont soumis à un matraquage sur des questions qu’ils ne se posent pas.

Qu’est — ce dont que ce « transactivisme républicain »1 que veut nous imposer le ministère de l’Éducation nationale (qui n’est plus et pour cause le ministère de l’INSTRUCTION nationale) et soutenu par le Conseil d’État qui depuis de nombreuses années ne fait que valider toutes les décisions gouvernementales. Pourquoi cette formation proposée aux enseignants, webinaire sur « la lutte contre les LGBTIphobies » où l’on apprend soudain que « l’héritage laïque » est « potentiellement LGBTIphobe ». Des formations sur la nécessaire autorité des enseignants ne seraient-elles pas plus utiles ?

La cancel culture [culture de l’annulation] veut nous imposer la suppression des statues de notre récit national, détruire des églises trop coûteuses, faire jouer Blanche Neige par une actrice d’origine africaine, etc.. Mais perturber le cerveau des petits dans leur plus jeune âge est le plus insupportable de cette mode qui finira par passer, mais après combien de dégâts ?

Les adultes devraient pouvoir se défendre, mais modeler des cerveaux en formation est une autre entreprise de démolition, de manipulation beaucoup plus perverse. Vers les années 2014, des polémiques sur la théorie du genre étaient apparues et la ministre de l’Époque Mme Najaud Belkacem avait affirmé qu’il n’en était rien et que ceux qui racontaient cela étaient… des complotistes. Malheureusement depuis l’arrivée de nouvelles équipes au pouvoir, une accélération rapide se fait jour depuis trois ans, profitant probablement de la sidération liée aux mesures coercitives de la mystification covid19 pour mettre en place l’opération.

Nous sommes bien obligés d’aborder le sujet, de nous opposer à la manipulation des petits enfants et des adolescents avant que les drames ne se multiplient2. D’après l’association Homosexualité et socialisme 67 % des trans de 16 à 26 ans ont « déjà pensé au suicide » et 34 % ont déjà fait « une ou des tentatives » et contrairement à ce que l’association pro LGBT prétend, ce ne sont pas les discriminations qui en constituent la cause principale, mais la déception qu’entraînent les traitements et mutilations qui ne leur ont apporté aucun soulagement. Or les nombreux opposants à cette « théorie » maintenant devenue « pratique » sont muselés3 et interdits d’antenne médiatique. Et pourtant ne serait-ce pas aux parents, familles de choisir « l’éducation » de leurs petits. Si nous laissons faire, combien d’années faudra-t-il avant que des pères se retrouvent en prison, comme au Canada ou aux USA précurseurs habituels de nos mœurs, pour avoir refusé la transition d’un enfant mineur4 ?

Comme pédiatre, nous avions appris qu’après la petite enfance et la découverte des différences entre le corps du petit garçon et celui de la petite fille, venait une période dite de latence pendant laquelle les problèmes de sexe n’étaient pas à l’ordre du jour, environ entre trois et douze ans. Et voilà que selon le bon plaisir de quelques humains perturbés, il faudrait interférer dans cette période de construction silencieuse ?

L’activisme trans à l’éducation nationale

L’ancien Institut National de la Recherche Pédagogique, devenu Réseau Canopé, invitait récemment les écoliers à « déconstruire la parenté », tout en recherchant la signification des préfixes « hétéro », « homo », « trans », « cis », « inter » et « bi ». On s’étonne de la perte de repères de ces très jeunes adolescents devenus violents, mais on les a privé de père, en tous cas de père ayant conservé l’autorité, tant depuis des années on détruit la famille, le respect, l’autorité. De même l’enseignant est dépossédé de son droit d’autorité, et donc non respecté, ni écouté. Isolés dans leurs angoisses, nos enfants sont perdus et comme si cela ne suffisait pas il faudrait leur expliquer à l’école qu’ils ne sont finalement pas une fille, ou un garçon et que, comme a dit notre ancienne ministre de la Santé, le père peut très bien être la tante, etc.

Tant qu’on n’aura pas mis d’ordre dans les têtes des pseudoélites dirigeantes, la violence, le désespoir, les suicides ne pourront que se multiplier pour ces jeunes auxquels on refuse le b a ba des de l’éducation, de l’amour du père et de la mère, et qu’on tente de détruire ce que la famille ordinaire peut leur apporter.

Le délire woke à l’école

On apprend dans une circulaire du 29 septembre de 2021 du ministère de l’Éducation (au Bulletin officiel) intitulée « Pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire ».

Pourquoi n’en a-t-on pas parlé ? Le cinéma covid19 visait-il à dissimuler de nombreuses modifications capitales (chômage, retraites, immigration, eugénisme, etc.) pour notre pays dont celui-ci ? Cette circulaire qui s’impose aux enseignants s’attache presque exclusivement à la « transidentité », partant du postulat que « la transidentité est un fait qui concerne l’institution scolaire ».

Le plus extraordinaire dans cette circulaire est que « l’identité de genre s’établit par simple déclaration de l’élève ».

« La prise en considération de l’identité de genre revendiquée de la part d’un ou d’une élève ne doit pas être conditionnée à la production d’un certificat ou d’un diagnostic médical ou à l’obligation d’un rendez-vous avec un personnel de santé ».

Dès ce « coming out » (terme de la circulaire), « l’établissement scolaire doit être attentif à garantir les conditions d’une transition revendiquée — c’est-à-dire la possibilité d’être et de demeurer identifié et visible comme une personne transgenre ».

Le plus incroyable est la mise à l’écart des parents de mineurs :

« Les parents peuvent être tenus à l’écart : “une communication avec les représentants légaux ne doit se faire qu’avec l’accord explicite de l’élève.”

S’ils s’opposent à la transition, les parents récalcitrants font l’objet de discrètes menaces : “Dans les cas où le mineur apparaît en situation de danger dans son environnement familial ou de vie, il peut être décidé de rédiger et transmettre une information préoccupante à la cellule départementale de recueil des informations préoccupantes (Crip) ou de faire un signalement judiciaire auprès du parquet des mineurs”.

Pour accompagner ce changement, l’établissement scolaire substitue le prénom d’usage, de manière cohérente et simultanée, dans tous les documents qui relèvent de l’organisation interne (listes d’appel, carte de cantine, carte de bibliothèque, etc.) ainsi que dans les espaces numériques (ENT, etc.)”. Des professeurs qui usent du prénom d’état civil peuvent faire l’objet de rappels à l’ordre. Enfin, l’élève pourra faire convoquer ses parents s’ils s’opposent à ce changement de prénom ».

L’intimité et le problème des toilettes au choix de l’enfant : « l’établissement peut autoriser l’élève à utiliser les toilettes et vestiaires conformes à son identité de genre », et « à occuper une chambre dans une partie de l’internat conforme à son identité de genre ». Il suffira ainsi qu’un garçon ou une fille déclare appartenir à l’autre sexe pour pouvoir être autorisé à en fréquenter les toilettes, les vestiaires et le dortoir au risque d’importuner leurs légitimes utilisateurs. C’est d’ailleurs parfois le cas dans les prisons françaises5 !

« Les choix relatifs aux toilettes, aux vestiaires et aux dortoirs doivent également, dans la mesure du possible, s’appliquer lors des déplacements, sorties et voyages scolaires ».

« Il appartient également aux personnels de l’éducation nationale de s’assurer que l’expression de genre des élèves n’est pas remise en cause ou moquée et que les choix liés à l’habillement et à l’apparence sont respectés ».

Évidemment toute mise en cause de cette circulaire et de ses conséquences potentiellement dramatiques est taxée de transphobie comme toute discussion sur la guerre en Ukraine de poutinisme, ou sur les injections, d’antivax. 50 ans après 1968, nous avons atteint l’antithèse d’« il est interdit d’interdire ».

Aujourd’hui et sous le joug des leaders de l’époque qui ne retrouvent plus la plage sous les pavés, il est interdit de penser, de s’exprimer si on n’accepte pas à 120 % l’idéologie au pouvoir, et sans discuter.

Et l’obsession de la transphobie conduit à la médicalisation de tout ! Une phobie est une affection psychique par nature irrépressible et aboutit à des gestes médicamenteux dangereux pour les enfants ou adolescents transformés en malades à vie, par les conséquences de la chirurgie lourde parfois à deux sens successifs (transition femme homme puis homme femme si déçue) et des traitements hormonaux qui ne sont pas sans risque.

On peut aussi être perturbé par les conseils du ministère d’inviter les militants associatifs LGBT+ dans les établissements, tout en interdisant aux opposants de s’exprimer y compris à l’université. Certains adolescents ont raconté leurs troubles après la visite d’un trans dans leur classe.

La validation par le Conseil d’État

Un parent d’élève qui opposait à la circulaire du Ministère de l’Éducation a référé au Conseil d’État la loi qui stipule « aucun citoyen ne pourra porter de nom ni prénom autres que ceux exprimés dans son acte de naissance ». Par décision du mercredi 28 septembre 2022, le Conseil a refusé d’annuler la partie de la circulaire permettant aux élèves transgenres de porter à l’école le prénom de leur choix.

Le Conseil d’État estime en effet que l’usage d’un autre prénom par les élèves ne concernait que la « vie interne de l’établissement » et rappelle que seul le prénom inscrit à l’état civil reste utilisé pour les épreuves des diplômes nationaux.

L’enfant, juridiquement incapable, se voit doté du pouvoir de contraindre les adultes dès lors qu’il parle de genre.

Selon F Rastier (ibid 1) :

« la nomination reste un invariant anthropologique majeur, conférer à l’enfant le pouvoir d’effacer la trace de filiation conférée par ses parents et d’imposer un nouveau prénom fait de lui un self-made-man, concrétisation de l’individualisme absolu prôné par l’idéologie managériale. Le message est clair : le ressenti a force de loi ou plutôt transcende la loi ».

Cette volonté farouche de faciliter la vie d’enfants qui seraient trans sur leur simple propre déclaration forcément acceptée par l’entourage et les familles (sous peine de se voir poursuivis par les services sociaux) se développe à l’éducation nationale pour convaincre du « progressisme » de cette institution.

Mais vous remarquerez qu’il n’est jamais question du ressenti, du vécu, des traumatismes subis par les autres enfants qu’on n’a même plus le droit d’appeler « normaux » et qu’il faut nommer « cis » pour faire bien et se montrer politiquement correct.

Que pense le petit garçon dont le professeur homme le vendredi revient habillé en femme le lundi et qu’il doit lui dire « madame » au lieu de monsieur, sans broncher ? Ou quand c’est leur camarade Baptiste qu’ils vont devoir appeler Henriette le lundi, tout cela le plus « normalement du monde »6. En effet, ils vont rapidement comprendre qu’il est interdit d’avoir la moindre critique de cette nouvelle pensée, au risque de se faire rabrouer et traiter d’homophobe ou de transphobe. Les témoignages d’enfants troublés à la maison le soir sont nombreux et inquiétants et les atteintes psychologiques sont en forte hausse.

Pourquoi ce wokisme politique envahit-il notre vie quotidienne et celle de nos petits ?

Même la littérature enfantine catholique s’en fait la complice ! Cette pseudo-ouverture d’esprit tente d’imposer de nouvelles normes qui voudraient effacer la différence entre homme et femme, fait taire la grande majorité des enfants et adultes menacés de se faire traiter d’homophobes, d’« extrême droaate » et autres joyeusetés, et condamner les hésitants à choisir la cause « moderne ou progressiste » et se lancer dans une autoagression aux conséquences définitives par des opérations chirurgicales mutilantes, sorte de scarification XXL, et par des traitements hormonaux toxiques tant sur le plan psychologique que somatique avec son cortège d’effets secondaires connus (à court et moyen terme) et inconnus à long terme.

Entre autres exemples, les androgènes donnés il y a deux décennies pour stopper la croissance précoce d’enfants petits ont entraîné des cancers du foie. Nous y reviendrons dans un article plus détaillé tant les effets indésirables de la panoplie médicamenteuse honteusement prescrite à des enfants innocents et des parents soumis et terrorisés sont importants et cachés par les médecins complices de ce jeu de Satan. Pour qui se prennent-ils ? Le mythe de Faust est d’actualité…


1 Aspects du transactivisme républicain, du ministère de l’Éducation au Conseil d’ÉtatObservatoire du décolonialisme (decolonialisme.fr) par François Rastier, Directeur de recherche honoraire au CNRS, membre du Laboratoire d’analyse des idéologies contemporaines (LAIC).

2 Les suicides de ceux qui ont subi une « transition » sont beaucoup plus fréquents que dans la population habituelle, sans parler des souffrances de ceux qui ne sont pas passés à l’acte.

3 En quelques semaines, Caroline Éliacheff et Céline Masson ont été empêchées de présenter leur livre « La fabrique de l’enfant transgenre » à l’Université de Genève, à la rencontre Citéphilo de Lille, dans une salle municipale à Paris, dans une association à Lyon, au Café Laïque à Bruxelles, etc. (ibid 1)

4 Dans des pays qui judiciarisent la prétendue transphobie, des parents ont été condamnés pour « mégenrage », parfois à la prison (ainsi, un facteur de Vancouver s’est-il vu infliger six mois de détention, sur plainte de sa fille).

5 Sauf récemment en Écosse une femme transgenre emprisonnée pour viol d’autres femmes a finalement été incarcérée dans une prison pour homme.

6 Il ne faut pas le « mégenrer » !




« Primum non nocere » : que nenni ! Un coup d’État politico-financier sous prétexte sanitaire ?

Par Catherine Teilhet, retraitée des services informatiques de la Ville de Paris.

2020-2021

2022




Les stratagèmes totalitaires des génocidaires mondialistes, partie 1

[Illustration : source]

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Par Kelleigh Nelson

31 janvier 2023

Peu importe les droits que vous avez en vertu de la Constitution des États-Unis, si le gouvernement peut vous punir pour avoir exercé ces droits. Et peu importe les limites que la Constitution impose au pouvoir des représentants du gouvernement, s’ils peuvent dépasser ces limites sans aucune conséquence négative.

Thomas Sowell

Les gens ont ce qu’ils méritent. Quel que soit le parti politique, si les gens soutiennent les candidats qui promeuvent l’holocauste des vaccins, il y aura 200 millions d’Américains morts d’ici 2030. S’ils soutiennent les candidats qui encouragent la crise de la chaîne d’approvisionnement, il n’y aura plus de diesel pour transporter la nourriture des fermes aux épiceries. Et si les gens soutiennent les candidats qui fournissent des milliards de dollars aux voyous et terroristes néonazis du bataillon Azov en Ukraine, vous aurez droit à une Troisième Guerre mondiale lorsque Poutine en aura assez. Peu importe pour qui vous votez si votre candidat est un maniaque du génocide mondial.

Steven Fishman

Aimez votre pays, mais ne faites jamais confiance à son gouvernement.

Robert A. Heinlein (1907-1988), écrivain américain.

Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités peuvent vous faire commettre des atrocités.

Voltaire, écrivain français

Les bolchevistes étaient une faction marxiste révolutionnaire d’extrême gauche, fondée par Vladimir Lénine, qui s’est séparée avec les mencheviks du Parti ouvrier social-démocrate russe marxiste, un parti politique socialiste révolutionnaire formé en 1898. En 1917, deux révolutions ont eu lieu dans l’Empire russe. La première a renversé la monarchie impériale et la seconde a placé les bolcheviks au pouvoir après une guerre civile sanglante.

Le fascisme a dominé de nombreuses régions d’Europe entre 1919 et 1945. NAZI signifie Parti ouvrier allemand national-socialiste. Les nazis ne sont pas de droite, ils sont d’extrême gauche, mais les qualifier d’extrême droite persiste à cause des imbéciles et des amateurs qui souhaitent étiqueter toute personne à droite du centre comme un fasciste. C’est ce qu’ils ont fait à Donald Trump, et aussi frauduleux que cela puisse être, le mensonge répétitif s’est installé. (Des nuances de Joseph Goebbels) Trump est beaucoup de choses, mais fasciste n’en fait pas partie.

Lénine, Staline, Hitler et Mao n’ont pas eu leur pareil pour assassiner leur propre peuple et les peuples européens, même si d’autres ont été tout aussi cruels et délibérés dans l’extinction de millions de personnes. 100 millions de personnes serait-il un chiffre proche de celui des personnes assassinées ? Peut-être, mais je parierais que c’est beaucoup plus.

Aujourd’hui, des totalitaires du monde entier sont impatients de réduire en esclavage les survivants de leur dernier massacre de dépeuplement. L’anéantissement de la création de Dieu a toujours été le but de ceux qui sont possédés par le mal. Leur excuse a toujours été que la population dépasserait la production de nourriture. Cependant, les progrès réalisés au fil du temps ont prouvé que c’était faux. Les objectifs d’aujourd’hui sont à la fois la dépopulation et la pénurie de nourriture, et ils veillent aux deux afin de réaliser leurs aspirations et leurs prédictions.

Forum économique mondial

Il n’y a pas de normalité chez ceux qui sont attirés par la conquête et la révolution mondiales. Les sympathisants sont attirés par les membres ordinaires et viennent grossir leurs rangs. Pensez à ceux du Parti républicain qui sont membres du Forum économique mondial. Vous voulez que j’en cite quelques-uns ? Elise Stefanik, Dan Crenshaw, Darrell Issa, Debra Fischer, Eric Holcomb, Michael McCaul, Pat Toomey, Roger Wicker et bien d’autres. Kevin McCarthy, qui n’aurait jamais dû être nommé président de la Chambre des représentants, assiste à toutes les réunions du FEM et a dîné avec Klaus Schwab. De nombreux politiciens du Parti démocrate stalinien sont également membres du FEM. Ce sont des traîtres à leur pays et des traîtres à leurs serments d’office.

Schwab et son principal conseiller, Yuval Noah Harari, sont les deux hommes qui conduisent actuellement les États-nations dans leur monde de domination dystopique complète sur les masses. Ils ont infiltré tous les gouvernements et ont réussi à amener les dirigeants gouvernementaux dans le giron du FEM. L’économie malthusienne de Schwab et Harari est tout droit sortie du manuel de la dépopulation de Maurice Strong. Strong, père du réchauffement climatique et de l’Agenda 21 des Nations unies, sans doute le plan le plus important et le plus secret pour la transformation du monde, était l’ami et le mentor de Klaus Schwab.

La durabilité et les villes à croissance intelligente sont maintenant partout aux États-Unis. Mais il existe des projets plus ambitieux. Le milliardaire américain Marc Lore a entrepris de construire une ville du futur qui incarne l’équité, la diversité et l’inclusion. Telosa City devrait être construite dans une région désertique des États-Unis, probablement l’Utah, et son coût est estimé à 400 milliards de dollars. Oui, toujours le même plan : nous entasser tous dans une zone urbaine pour vivre ensemble dans ce qu’ils croient être une utopie. Voici le plan :

America’s INSANE New City Of The Future

Dans cet article, Mastering the Future : The Megalomaniacal Ambitions of the WEF, Michael Rectenwald écrit :

« De peur que nous n’imaginions que le FEM et ses réunions ne représentent que les délires grandioses de quelques clowns inefficaces, il convient de noter que le “capitalisme des parties prenantes” du FEM — introduit en 1971 par Klaus Schwab, le fondateur et président du FEM, dans Modern Enterprise Management in Mechanical Engineering a été adopté par l’ONU, par la plupart des banques centrales, ainsi que par les principales entreprises, banques commerciales et gestionnaires d’actifs du monde. Le capitalisme des parties prenantes est désormais considéré comme le modus operandi du système économique mondial. »

L’agriculture, le changement climatique, la durabilité, la crise alimentaire, l’approvisionnement en eau, les crises économiques, les catastrophes naturelles, les virus et tout ce que Strong a exposé dans son tome de l’Agenda 21 de l’ONU font partie du plan du FEM pour dominer le monde et ses habitants.

Klaus Schwab explique (en anglais) l’agenda de la Grande Réinitialisation en 15 minutes.

[Voir aussi :
Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos
L’ONU et Davos veulent accélérer la mise en place de « l’Agenda 2030 »
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
But des Agendas 21 et 2030
Pourquoi le Great Reset est l’Agenda du Chaos….
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le Forum économique mondial publie un guide sur la façon de contraindre et de manipuler le public pour imposer le vaccin Covid-19
Pénuries alimentaires dans six mois – Les mondialistes nous disent ce qui va se passer ensuite
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos]

Rectenwald termine son article par cette déclaration :

« En bref, avec l’agenda de Davos, nous sommes confrontés à une campagne concertée et coordonnée visant à démanteler les capacités de production dans les domaines de l’énergie, de la fabrication et de l’agriculture. Ce projet, dirigé par les élites et qui leur profite, équivaut au plus grand bond en arrière de l’histoire. S’il n’est pas arrêté et inversé, il conduira à un désastre économique, notamment à une réduction spectaculaire de la consommation et du niveau de vie. Et il entraînera presque certainement une augmentation de la faim dans le monde développé et des famines dans le monde en développement. Le président du FEM, Schwab, pourrait surpasser le président Mao. Si nous le laissons faire. » 

Ceux qui siègent au conseil d’administration de cette gigantesque abomination tyrannique et ce qu’ils ont prévu pour nous sont les mêmes acteurs qui s’y emploient depuis des décennies.

Le plan du Parti nazi

L’histoire du Parti nazi peut être racontée en termes de nouvelles formations au sein du mouvement, chacune devenant plus vicieuse et cruelle. Pensez au Nouvel Ordre Mondial, qui est devenu l’Agenda 21/2030 des Nations unies et qui est maintenant devenu la Grande Réinitialisation. Tous les objectifs sont les mêmes, mais le fait de changer les noms pour différentes générations empêche les gens de comprendre que, quel que soit le nom, nous sommes confrontés au même mal diabolique et qu’à chaque changement, les génocidaires deviennent plus maniaques. Ajoutez-y les principes du marxisme et du fascisme et vous aurez une image claire de ce à quoi l’humanité est confrontée.

Hannah Arendt explique dans son livre, Les Origines du totalitarisme (NDT : version anglaise), page 368 :

« Un autre avantage du schéma totalitaire est qu’il peut être répété indéfiniment et maintient l’organisation dans un état de fluidité qui lui permet d’inclure constamment de nouvelles couches et de définir de nouveaux degrés de militantisme.

« Les SA, les stormtroopers (fondés en 1922), ont été la première formation nazie censée être plus militante que le parti lui-même ; en 1926, les SS ont été fondés en tant que formation d’élite des SA ; après trois ans, les SS ont été séparés des SA et placés sous le commandement de Himmler ; il n’a fallu que quelques années supplémentaires à Himmler pour répéter le même jeu au sein des SS. »

Tous plus militants les uns que les autres, les SS ont d’abord créé les troupes de choc, puis les formations à tête de mort (unités de garde pour les camps de concentration) qui ont ensuite fusionné pour former la Waffen-SS, et enfin le bras exécutif de la « politique de population négative » et leur bureau des questions de race et de réinstallation. Soldiers of Destruction—SS Death Head Division, écrit par Charles Sydnor, Jr, donne au lecteur une image claire des atrocités et du mal perpétrés par la SS-Division Totenkopf.

Le mal mondial nous confronte à un nouveau titre et à une nouvelle menace, et cette fois, la majorité des gouvernements sont dans le coup, y compris les États-Unis.

Tout comme l’Ukrainien Zelensky.

Volodymyr Zelensky

Avant de devenir président de l’Ukraine, Zelensky était un comédien. On le voit dans une vidéo portant des talons hauts et faisant une danse gay érotique avec trois autres hommes. Et au cas où vous l’auriez oublié, voici Volodymyr Zelensky avec un ami, faisant semblant de jouer du piano avec son pénis.

Matériel présidentiel ? Je ne pense pas.

Jim Hoft du Gateway Pundit a récemment rapporté que les officiels ukrainiens ont gaspillé 100 milliards de dollars de l’Unipartisme américain en voitures de sport, manoirs, vacances de luxe, etc. L’argent de nos impôts au travail. En fait, c’est du papier sans valeur et sans aucune garantie. Notre président illégitime estime donc qu’il peut continuer à imprimer des dollars sans valeur et que les Américains paieront avec une inflation exorbitante.

L’Amérique a envoyé plus de 100 milliards de dollars à l’Ukraine, ainsi que des tonnes d’équipements militaires grâce à la reprise par Biden du Lend Lease Act de la Seconde Guerre mondiale. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le marxiste Harry Hopkins, qualifié de co-président de FDR, vivait dans la chambre Lincoln de la Maison-Blanche. Il était en charge du programme de prêt-bail à la Russie.

Extrait du livre de Diana West, American Betrayal, chapitre 5 :

« Victor Kravchenko était un fonctionnaire soviétique qui a fait défection en Amérique. Il avait été au siège soviétique de Lend Lease à Washington. Après la guerre, il a témoigné devant le Congrès que l’opération soviétique Lend Lease dont il a fait défection et qui était située à seulement trois pâtés de maisons de la Maison-Blanche était la commission soviétique d’espionnage, de vol et de saccage. Ils ont réussi à voler le plus grand nombre possible de secrets industriels et militaires. »

Lien

La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a déclaré sans ambages, dans de nouvelles remarques, que les alliés occidentaux mènent une guerre contre la Russie. Les États-Unis et l’Allemagne ont déclaré qu’ils enverraient des chars à l’Ukraine. L’Allemagne envoie également trois bombardiers B2.

En décembre, Volodymyr Zelensky est devenu le premier dirigeant étranger en temps de guerre depuis Winston Churchill en décembre 1942 à s’adresser à une session conjointe du Congrès américain. Au moins, Sir Winston s’est présenté en costume, Zelensky a porté son sweat-shirt. Peut-être ne possède-t-il pas de costume, puisqu’il s’est présenté à Davos en tee-shirt. Pelosi a déposé un baiser sur la joue du fasciste.

L’Ukraine a remplacé le COVID. C’est un pays de corruption fasciste et les Bidens et ses copains, y compris les Républicains, ramassent le butin.

Les retraités ukrainiens qui sont arrivés aux États-Unis après le déclenchement de la guerre totale pourront recevoir la pension du Supplemental Security Income (SSI) du gouvernement. C’est ce qu’a annoncé l’Office of Refugee Resettlement du ministère américain de la Santé et des Services sociaux. Le SSI est une pension gouvernementale versée aux personnes à faible revenu âgées de plus de 65 ans et aux personnes handicapées. Lien

Financer des fascistes pendant que les Américains souffrent. Où est l’indignation ? !

Le bataillon fasciste Azov a été immédiatement intégré à l’armée ukrainienne par Zelensky. En fait, il a déclaré la même chose dans son interview il y a quelque temps sur Fox, mais sa déclaration a été supprimée. Apparemment, les médias ne veulent pas que nous sachions que nous finançons les descendants directs des nazis d’Hitler pour qu’ils combattent avec la Russie.

Zelensky est membre du FEM, et l’Ukraine possède déjà une forme de système de crédit social. Il a été rapporté l’année dernière qu’il avait suivi la Chine et combiné la surveillance des citoyens par le gouvernement et les entreprises. Ce système donne aux citoyens un « score » qui peut restreindre la capacité des individus à entreprendre des actions — comme l’achat de billets d’avion, l’acquisition de biens ou l’obtention de prêts — en raison de leurs comportements. Ce système est en cours d’élaboration pour fonctionner en Amérique.

Le colonel Douglas MacGregor nous dit que l’Ukraine est en train de regarder l’anéantissement en face :

Notre vie privée fait partie du passé, le quatrième amendement est foutu, tout comme le premier, et le deuxième est une cible de choix. La Déclaration des droits est en lambeaux, mais bien sûr, le dernier candidat à la magistrature nommé par Biden, ne pouvait même pas nommer un seul de nos dix droits garantis par Dieu. Duh !

La Russie de Poutine

À la fin du mois d’août 2022, la Russie avait détecté plus de 50 biolabs gérés par les États-Unis près de ses frontières, et elle prévoyait de présenter les preuves à l’Office des Nations unies à Genève au début du mois de septembre.

Vous vous souvenez de Victoria Nuland ? Elle était sous-secrétaire d’État aux affaires politiques et a témoigné devant une audience de la commission des affaires étrangères du Sénat sur l’Ukraine le 8 mars 2022 à Washington, DC. Elle a déclaré : « L’Ukraine a des “installations de recherche biologique”, elle craint que la Russie ne les saisisse. »

Le Pentagone a admis le jeudi 9 juin 2022 qu’il a exploité 46 biolabs en Ukraine manipulant des agents pathogènes dangereux, après avoir précédemment rejeté les accusations comme de la propagande russe.

Peut-être…

[Concernant les recherches en biolabs, voir :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
et la vidéo suivante en anglais entre 2:54 et 14:26 :
Biotoxines]

Le 22 septembre 2022, Konstantin Kosachev, vice-président du Conseil de la Fédération, a déclaré que les biolabs gérés par le Pentagone en Ukraine poursuivent des objectifs militaires, prouvés par des preuves irréfutables.

Poutine n’est pas satisfait de ces armes biologiques du DoD près de sa frontière ni du fait que Zelensky voulait rejoindre l’OTAN qui engage ses membres à se défendre mutuellement.

Vladimir Poutine n’est pas Zelensky.

Le 23 juin 2007, Der Spiegel a publié une interview d’Alexandre Soljenitsyne. Alexandre s’était vu offrir un prix par Gorbatchev dans le passé, puis un prix par Eltsine. Les deux ont été refusés. Mais lorsqu’un prix lui a été proposé par Vladimir Poutine, il a accepté. Voici ce qu’il a déclaré dans cette interview :

En acceptant le prix, j’ai exprimé l’espoir que l’amère expérience russe, que j’ai étudiée et décrite toute ma vie, soit pour nous une leçon qui nous préserve de nouvelles ruptures désastreuses.

Vladimir Poutine — oui, il était un officier des services de renseignement, mais il n’était pas un enquêteur du KGB, ni le chef d’un camp du goulag. Quant au service dans les services de renseignement étrangers, il n’est négatif dans aucun pays — il attire même parfois les louanges. George Bush père n’a pas été beaucoup critiqué pour avoir été l’ancien chef de la CIA, par exemple.

Avant la mort d’Alexandre Soljenitsyne, Poutine l’a rencontré et Soljenitsyne a dit à Poutine ce qui devait être changé, plus de contrôle local, moins de contrôle central.

Le dirigeant russe a écouté. Soljenitsyne est mort le 3 août 2008, quelques mois avant son 90e anniversaire. Deux semaines plus tard seulement, il a été annoncé que la Grande Rue communiste de Moscou (ulitsa Bolshaya Kommunisticheskaya) allait être rebaptisée « rue Alexandre Soljenitsyne », un honneur accordé par décret personnel du président Poutine.

Joseph Pearce écrit ce qui suit dans son article Soljenitsyne et Poutine :

En octobre 2010, il a été annoncé que L’Archipel du Goulag deviendrait une lecture obligatoire pour tous les lycéens russes. Lors d’une rencontre avec la veuve de Soljenitsyne, Poutine a décrit L’Archipel du Goulag comme une « lecture essentielle ». « Sans la connaissance de ce livre, il nous manquerait une compréhension complète de notre pays et il nous serait difficile de penser à l’avenir. »

Que faut-il dire de plus ? Dans la Russie de Vladimir Poutine, le plus grand classique de la littérature anticommuniste est désormais une lecture obligatoire dans tous les lycées de la nation. Si l’on pouvait en dire autant des lycées des États-Unis, nous n’aurions pas l’ignorance historique et politique endémique qui a conduit à la sympathie généralisée pour le communisme chez les jeunes Américains. À la lumière de ce qui précède, et à la lumière de l’admiration évidente de Poutine pour Soljenitsyne, n’essayons pas de prétendre que la Russie est une nation communiste. Nous n’avons pas besoin d’aimer Vladimir Poutine. Nous n’avons pas besoin de l’admirer. Mais nous devons reconnaître que la Russie a tourné la page sur les maux du socialisme, alors que nous risquons d’embrasser ces mêmes maux.

Et pourtant, nos politiciens américains communistes/fascistes veulent faire de lui l’ennemi alors que nous finançons massivement le véritable adversaire.

Conclusion

Dans la deuxième partie, nous examinerons les plans à venir des oligarques dystopiques pour l’ensemble de l’humanité.

© 2023 Kelleigh Nelson — Tous droits réservés

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