L’utopie sociétale confrontée au principe de réalité du monde ultralibéral. L’illusion d’un nouveau monde post-Covid

Par Alain Tortosa

La dictature dans laquelle nous vivons est vécue par certains comme une opportunité inédite de changer le monde de demain…

Pour autant de nombreux projets me semblent totalement utopiques. Je ne suis en rien opposé à une utopie ou un idéal de société, mais j’ai l’intime conviction qu’il faudrait des dizaines, voire des centaines d’années pour y parvenir…

J’ai relevé ici plusieurs « solutions » qui sont parfois présentées pour prendre un nouveau départ :

La monnaie nationale

On a une forte tendance à associer la notion de souveraineté à la notion de monnaie. Elle est un outil qui permet de jouer sur les paramètres de la compétitivité ou de l’inflation. En augmentant votre masse monétaire, vous aurez une dévaluation de la monnaie et une inflation. Vos exportations seront facilitées et les importations plus chères.

Pour dire simplement :
Imaginons que votre pays possède 10 kg de blé et que la masse monétaire est de 100 euros. Si vous doublez la masse monétaire, comme la richesse matérielle du pays sera la même, vous aurez 10 kg de blé pour 200 euros. Donc pour 100 euros vous ne pourrez avoir que 5 kg de blé. Il y a eu dévaluation de la monnaie et une inflation de 100%. Vos produits seront donc deux moins chers à l’exportation, mais deux fois plus à l’importation.

Dans ce cas de figure extrême, c’est la population qui aura financé la relance de l’économie par l’inflation et donc la diminution du pouvoir d’achat.

De plus c’est une solution fort limitée dans le temps, car le bénéfice concurrentiel sera plus ou moins annihilé par le surcoût des importations qui se traduira par une augmentation des prix en interne et donc une diminution de l’avantage concurrentiel.

Il est important de noter que vous n’êtes pas libres de spéculer librement sur votre monnaie. Il faut des accords avec les autres pays… Si vous faisiez donc trop marcher la planche à billet les autres pays pourraient vous exclure du système monétaire international.

Cette solution est d’autant plus limitée que nous n’avons aucune indépendance économique. Ni énergétique, ni autosuffisance alimentaire, ni production industrielle…

Bref la monnaie est un petit levier qui permet de booster artificiellement une économie, mais à l’efficacité marginale dans le monde dans lequel nous vivons.

Les risques de récession, de crise économique mondiale sont très importants.

L’Europe

L’Europe est souvent désignée comme étant la cause de tous nos maux. Nous sommes effectivement soumis à de très nombreuses lois ou traités européens. Imaginer que nous serions libres en quittant l’Union Européenne est pour le moins naïf. Il existe des centaines, voire des milliers d’accords, de traités, de normes internationales qui entravent nos libertés au-delà du cercle européen. Les Britanniques ont quitté l’Union Européenne, non sans mal, car la négociation a duré des mois pour définir les accords commerciaux, administratifs, juridiques, etc. liant les deux.

Il était évidemment impossible pour eux de n’avoir aucun traité avec l’Union Européenne. Résultat des courses, les Britanniques ont des obligations aussi bien financières que normatives ou autres pour pouvoir pénétrer le marché européen. Le seul droit dont ils disposent est de se soumettre aux directives européennes ou de renoncer à ce marché, ce qui serait une catastrophe économique pour leur pays. De fait, j’ai l’intime conviction que la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne ne s’est pas traduite par une réelle augmentation de son indépendance. Nous sommes dans de la pure politique politicienne et électoraliste, dans du symbole, mais factuellement cela ne change probablement pas grand-chose.

Il faut voir aussi que l’Europe est le grand bouc émissaire.. Quand il y a une embellie en France, le gouvernement se l’attribue, mais dès lors qu’il y a problème sociétal ou économique, c’est toujours la faute à l’Europe en oubliant que la France a voté ces mêmes lois ou directives européennes. Les pro-frexit se servent aussi du Covid et des vaccins pour souligner l’avantage d’être en dehors alors même que la Hongrie a été totalement libre de négocier en direct l’achat de vaccins chinois.

Dès lors qu’un pays européen est contraint d’être en relation économique avec l’Europe, il est certainement plus en capacité de peser sur les décisions prises en Europe en étant membre de l’Union que s’il est un simple partenaire commercial.

J’ai donc l’intime conviction que la France pourrait accroître son indépendance en augmentant son pouvoir décisionnel sur l’Europe plutôt qu’en la quittant politiquement (maispaséconomiquement).

L’argent dette

Régulièrement le mythe de l’annulation de la dette revient sur le devant de la scène et encore plus avec la crise du Covid.

Avant d’aborder le sujet, je voudrais faire un rappel sur le fonctionnement de l’argent dette. L’argent dette, que les banques d’affaires peuvent pratiquer, permet de prêter de l’argent qu’elles ne possèdent pas. Le principe est simple et je vais l’illustrer par un exemple :

  1. Vous êtes une entreprise de travaux publics.
  2. Vous voulez construire un pont qui va relier 2 régions isolées.
  3. Vous demander un prêt de 1 milliard à une banque.
  4. La banque fabrique une ligne de dette de 1 milliard sans avoir cet argent.
  5. Vous payez des intérêts.
  6. Vous construisez votre pont et mettez en place un péage.
  7. Vous remboursez la banque.
  8. Lorsque la dette est remboursée, la banque supprime l’existence de cet argent dette.

L’intérêt de l’argent dette est double:

  • Permettre de financer des travaux dans le monde réel.
  • Ne pas augmenter la masse monétaire… Cet argent n’existe que pendant la durée du prêt.

Le problème principal se produit dès lors que la banque émet trop d’argent dette et qu’elle se retrouve avec trop d’impayés.

Quelles possibilités s’offrent pour l’annulation de la dette ?

Le mythe de tout le monde doit à tout le monde. C’est beaucoup plus compliqué, car des États, des banques, des entreprises, des particuliers (oudesfondsdepensions), prêtent de l’argent et s’attendent à le récupérer. Rappelez-vous de l’emprunt russe qui a ruiné de nombreux épargnants.

Quelles solutions ?

  • Augmenter votre masse monétaire.
    Dans ce cas de figure, cela va se traduire par une dévaluation et une forte inflation.
    Cela revient à ponctionner de façon invisible l’argent des épargnants. Ils ont toujours 10000 euros sur leur livret, mais celui-ci a le pouvoir d’achat de 5 000 euros.
    En fait la dette est remboursée par l’épargne privée ponctionnée par l’inflation.
  • Ne rembourser que les intérêts.
    Cette option présente l’inconvénient de laisser de l’argent dette jamais remboursé.
    Plus cette masse monétaire augmente et plus le risque d’insolvabilité du préteur augmente. Dans l’hypothèse où une banque a prêté trop d’argent, elle ne pourra plus en prêter et donc sera condamnée à mort.
    Plus il y aura d’argent dette non remboursé et plus la valeur de l’argent s’effondrera. Cette solution n’est pas viable à long terme surtout en grande quantité.
  • Négocier un troc pour annuler la dette.
    « J’efface ta dette, mais en échange tu me donnes tes ports pour 40 ans. »
    «Tu me donnes 10000 hectares de terres que j’utiliserai pour nourrir ma population. »
    «Tu seras obligé de m’acheter mon pétrole pendant 40 ans. »
    « Tu m’autorises à installer mes missiles dans ton pays .»…
    L’annulation se traduira par une vente des biens de la famille ou une perte d’indépendance.
  • Refuser de rembourser la dette sans négociation.
    Imaginons qu’un fond de pension américain ait prêté de l’argent à l’état français moyennant intérêts. Un paysan du Dakota du Sud n’aura plus de pension de retraite ni de capital, il sera obligé de vendre sa maison et ses biens et sera ruiné…
    Au-delà du fait que ce n’est pas moral, cela va entraîner une récession dans le pays. Et si c’est une banque, la banque va peut-être faire faillite.
    Le risque de crise économique mondiale sera d’autant plus important que la dette effacée sera importante.
    D’autre part, la note de confiance de votre pays va s’effondrer… ici encore les représailles peuvent être multiples.
    • Vous n’aurez plus le moindre prêt ou à un taux délirant avec des garanties délirantes. C’est d’autant plus une folie que votre budget annuel est (toujours)en déficit.
    • Les autres pays vont mettre en place des droits de douane pour les produits que vous exportez, ainsi vous serez contraint de baisser vos prix de vente et donc la dette sera supportée par les entreprises qui exportent.
    • Il est possible qu’il y ait des embargos sur les importations.

Bref ce serait la solution rêvée pour amener le pays à la ruine ou la perte d’autonomie.

Le référendum ?

Là encore de quoi parlons-nous ? Dès lors qu’il s’agit de poser une question au peuple alors même que la marge de manœuvre du pays est quasi nulle, cela n’est que démagogie politique. Comme je l’ai rappelé, aucun pays n’a la moindre liberté décisionnelle dans ce monde ultra-libéral. J’en reviens à la question du « frexit»… cela ne se traduirait dans les faits par aucune augmentation de marge de manœuvre dans un pays sans la moindre indépendance économique ou productive. Alors parlons-nous de référendum qui donnerait un pouvoir au peuple ou d’une parodie et d’un simulacre de démocratie participative.

La parole à quel peuple ?

La crise du Covid a illustré à quel point le peuple était servile et demandait à être « irresponsable ». Il est visiblement prêt à gober n’importe quel mensonge du moment qu’il est répété par des autorités. Pour le faire taire, il n’y a qu’à acheter son silence à coups de milliards.
« Du pain et des jeux » cela ne date pas d’hier.

Dès lors qu’une majorité du peuple n’a pas le moindre sens critique, pas la moindre éducation aux droits de l’homme et à l’importance des libertés. Ajoutons le fait qu’il n’a aucune éducation économique et ne connaît absolument pas les rouages de l’ultralibéralisme et de l’économie internationale… Comment espérer le voir faire des choix libres et éclairés ? Nous avons vu à quel point il a été facile à la finance internationale de faire élire notre pantin de président…

De fait, il me semblerait totalement irresponsable de donner au peuple le pouvoir de décider sans auparavant lui fournir une éducation et un sens critique… et donc j’affirme que le référendum d’initiative populaire est à la fois une illusion, une manipulation, mais aussi extrêmement dangereux.

Le vrai pouvoir dans les mains des lobbys et de la corruption

Nous sommes politiquement paralysés et quiconque accéderait demain au pouvoir n’aurait strictement aucune marge de manœuvre au-delà du symbolique ou de la manipulation des masses.

Quitter l’Euro, l’Europe ou vouloir effacer la dette sont des chimères qui conduiraient à faire un simple échange standard de nos chaînes et probablement pas à notre avantage.

Le pouvoir a toujours été et est toujours dans les mains de l’argent. Il est dans les mains des banques d’affaires et d’entreprises dont le chiffre d’affaires dépasse le PIB de plusieurs États.

C’est aujourd’hui uniquement le lobbyisme et la corruption généralisée qui dirigent le monde.

Lobbying contre lobbying

Retrouver de la démocratie et du pouvoir politique ne peut se faire qu’en luttant contre la corruption. Nous devons donc créer un lobbying « propre » dont l’objet serait de contrer le lobbying ultra- libéral au niveau mondial, européen, et français. Le problème du lobbying « propre » est qu’il ne lutte pas à armes égales, ne disposant pas de réseaux ni des milliards de dollars dédiés à la corruption qui est présente à TOUS les niveaux. Et c’est là que le politique peut et doit intervenir en imposant des règles éthiques et des lois pour lutter efficacement contre la corruption. Ne pensons pas que cela serait facile étant donné qu’il est impossible d’accéder à des responsabilités sans disposer de la puissance financière d’un appareil et des lobbys.

Je ne suis pas certain qu’il soit possible pour un français d’accéder au poste de Président de la République sans bénéficier de l’argent de la corruption et des cercles. En revanche je ne doute pas que les puissances de l’argent feraient tout pour empêcher une personne intègre de pouvoir y accéder…

Merci.

Alain Tortosa.

24 avril 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210423-economie-utopie.pdf




Cauchemar ou manipulation en Inde ? Les Indiens sont-ils victimes de fêtes religieuses, de variants ou de la vaccination ?

Par Alain Tortosa

Les journaux français tournent en boucle et nous alertent sur une situation devenue incontrôlable. Le «journal» Le Monde(([1] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/19/c-est-un-cauchemar-en-inde-new-dehli-reconfinee-face-a-la-flambee-de-l-epidemie-de-covid-19_6077269_3244.html)) titrait le 19 avril :

« C’est un cauchemar : en Inde, New Delhi reconfiné face à la flambée de l’épidémie de Covid-19. »

Analysons les données du gouvernement indien à Delhi…(([2] https://www.covid19india.org/state/DL))

La ville compte un peu moins de 20 millions d’habitants.

Il y a eu officiellement 900 000 positifs en ville depuis le début de la crise, soit 4,6% de la population qui a croisé le virus.

À titre de comparaison, la France comptait au 21 avril un cumul de 8% de positifs(([3] https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees)) soit presque deux fois plus qu’à Delhi, la fameuse ville au bord du gouffre !

Cela s’est traduit par un total de 12 638 décès à Delhi sur 2 saisons, soit 638 décès par million d’habitants.

Manipulation numéro 1

Le taux de mortalité à Delhi du Covid est de 638. Il est de 132 pour l’ensemble de l’Inde(([4] https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&pickerSort=asc&pickerMetric=location&hideControls=true&Metric=Confirmed+deaths&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=true&Align+outbreaks=false&country=FRA~IND))

Et de 1487 en France !

Il y a donc plus deux fois plus de décès en France par habitant qu’à Delhi et dix fois plus de décès en France qu’en Inde…

À nombre de morts par habitant équivalant, la France devrait compter aujourd’hui plus d’un million de décès du Covid !

Les «vrais» malades

Les autorités sanitaires indiennes font la différence entre les personnes positives et les cas « actifs », les malades actuels, j’imagine.

Si l’on se réfère à cette donnée, il y avait au 20 avril, 85 575 Covid « active » à Delhi soit 0,43% de la population !

Autre donnée intéressante, le taux de patients « actifs» ramené au nombre cumulé de personnes positives qui est de 9,5%… donc sur 100 positifs, 9 sont actuellement infectés !

Mais hier sur 86 000 tests effectués, 28 395 se sont révélés positifs !

Manipulation numéro 2

Cela correspond à un taux de positivité de 32,82% pour un échantillon de 0,44% de la population.

Ce qui a permis à un «journaliste »de Cnews de déclarer le 21 avril à 11h10 :

« À New Delhi, un habitant sur trois est positif ! ».

Cette affirmation est mathématiquement vraie, mais relève d’une totale manipulation.

En premier lieu, 28 395 positifs correspondent à 0,14% de la population !

Enfin, si l’on se réfère à la seule donnée intéressante, soit le nombre total de cas actifs, il n’y a que 0,43% de la population qui serait malade actuellement à Delhi !

Ce taux de positivité de 33% ne reflète absolument pas la situation de Delhi qui, je le répète, ne compte que 0,43% de malades !

Les décès à Delhi

Comme indiqué en début de document, le nombre de décès à Delhi et en Inde est faible, voir ridiculement faible par rapport à la France.

Mais il y a néanmoins une hausse exponentielle du nombre de décès journaliers qu’il est possible de visualiser sur la courbe suivante :

Entre le 6 février et le 21 mars 2021, l’épidémie avait totalement disparu de Delhi pour prendre depuis une forme visiblement exponentielle à partir du 10 avril.

Pourquoi cette augmentation ?

Les médias ne manquent pas de parler de variants et même désormais de «variantsdoublementmutants»et bien sûr du relâchement de la population pour expliquer le phénomène !

Je vous rappelle une règle d’or édictée par la Sainte Église du Coronavirus qui dit que :

« Lorsque l’épidémie de Covid empire c’est toujours la faute à la population et que lorsque celas’améliore, c’est grâce aux mesures gouvernementales. »

Pour illustrer la culpabilité du public, un article extraordinaire a même été publié dans le BMJ(([5] https://www.bmj.com/content/372/bmj.n854))

Cet article s’étonnait de l’augmentation des cas malgré la campagne de vaccination… question pour le moins pertinente.

Et voici quelles étaient les conclusions :

Le coupable désigné est le Kumbh Mela.(([6] https://www.tourmyindia.com/kumbhmela/bathing-dates.html))

Cette fête religieuse réunit des millions de fidèles qui se purifient dans le Gange. Voici les dates en 2021 ;

Covid-19: India sees new spike in cases despite vaccine rollout

Le début des festivités a eu lieu le 14 janvier alors même que les décès à Delhi n’ont repris que le 22 mars pour devenir réellement importants à partir du 10 avril soit plus de 3 mois après.

Je vous rappelle que lors de la vraie épidémie en France en mars 2020 le délai médian entre la contamination et le décès était d’environ 20 jours.

Manipulation numéro 3

Le nombre de décès à Delhi ne peut s’expliquer par les fêtes religieuses, car ils se produisent 60 jours après le début des fêtes et deviennent importants 90 jours après.

En 2020, la première vague de Covid a eu lieu à Delhi le 11 mai, rien entre janvier et mai. Bref l’hypothèse des fêtes est totalement ridicule et d’autant plus que j’ai du mal à imaginer les gestes barrières et le changement de masque tous les 4 heures dans une ville surpeuplée de 20 millions d’habitants.

Raison garder

Le «cauchemar»à Delhi rapporté par les «journalistes».

Une étude de 2015 estime que 80 personnes meurent chaque jour, soit 29 000 par an à Delhi, de la pollution.(([7] https://www.downtoearth.org.in/news/delhi-loses-80-lives-to-air-pollution-every-day-says-study-50222))

Si l’on compare cette donnée aux 10 536 décès du Covid en 2020 à Delhi, on constate que le Covid représenterait un tiers des décès dus à la pollution (36%)!

Le taux de mortalité8 en 2019 est de 7,29 décès pour 1 000 habitants à Delhi, soit 144 400 morts. 10% des décès soit 14 400 morts sont par septicémie selon les dernières données officielles (cequirenseigneassezbiensurl’hypothèseridiculedesgestesbarrièresàDelhi). 1,4 fois plus de morts par septicémie que du Covid !

Manipulation numéro 4

L’augmentation du nombre de décès à Delhi ne peut s’expliquer par un relâchement des gestes barrières dès lors qu’il y a plus de décès par septicémie en temps normal que par Covid ! La notion de gestes barrières en Inde est totalement ridicule !

La vaccination

Big Pharma fait tout pour empêcher médias et scientifiques corrompus de poser, ne serait-ce que l’hypothèse, que l’augmentation des décès pourrait être causée par la vaccination.

Pour autant, dès lors que les «vaccins» seraient efficaces contre la souche du mois de mars 2020, il serait logique qu’ils bloquent principalement le virus d’origine et qu’ils soient moins performants

(([8] http://des.delhigovt.nic.in/wps/wcm/connect/4ac53080409a01a58f3ebfa50c073453/vital_annual_19.pdf?MOD=AJPERES&lmod=-108668931&CACHEID=4ac53080409a01a58f3ebfa50c073453&Annual%20Report%20of%20Registration%20of%20Births%20and%20Deaths%20in%20Delhi%202019))

pour les variants…

La vaccination ne peut donc QUE favoriser l’émergence de variants… Regardons la courbe des vaccinations journalières à Delhi.

La vaccination à Delhi débute à la mi-janvier pour atteindre 5% de vaccinés vers le 20 mars, période qui correspond au début de la recrudescence des décès.

Le 10 avril, alors que la courbe de décès journaliers devient exponentielle, nous assistons au pic du nombre de doses journalières administrées soit 105 918 doses.

À cette date, 10% des habitants sont vaccinés.

Autre point intéressant :

Le nombre de vaccinations journalières n’a cessé de diminuer depuis, aussi bien à Delhi que dans toute l’Inde.

Sommes-nous dans l’hypothèse d’une pénurie de vaccins (alors même que l’Inde produit son proprevaccin et que la situation devient « dramatique ») ou les autorités auraient-elles pris conscience d’une dangerosité potentielle de son vaccin qui au lieu de sauver des vies, provoquerait des variants et des morts ?

Que conclure provisoirement sur la situation en Inde ?

  • L’hypothèse des célébrations religieuses ou du relâchement des gestes barrières est totalement honteuse et ridicule.
  • L’augmentation des cas et des décès est parfaitement corrélée avec la montée en puissance de la vaccination et l’arrivée d’un nouveau variant indien.
  • Les autorités ont étrangement ralenti la campagne de vaccination.

Quid d’autres pays à forte vaccination ?

  • La Hongrie a connu une explosion de son taux de mortalité dès lors que 6% de la population a été vaccinée par le vaccin chinois (vaccin classique). Son taux de mortalité a doublé depuis la vaccination massive.
  • Le Brésil voit apparaître une explosion de son taux de mortalité le 3 mars quand le pourcentage de vaccinés dépasse les 4,36% de la population. Le vaccin est aussi un dérivé du vaccin chinois.
  • L’Inde a ce même problème avec son propre vaccin qui est aussi un vaccin classique.

Il est donc intéressant de constater que dans ces 3 cas nous avons affaire à des vaccins classiques.

Dangerosité ou innocuité des thérapies géniques expérimentales ?

Nous ne constatons pas de liens entre la vaccination et la mortalité en France, pays dans lequel les « vaccins» administrés sont ARN messager ou adénovirus OGM.

« Est-ce à dire que les thérapies géniques à ARN messager seraient à court terme moins létales ? »

Il est extrêmement difficile de répondre à cette question :

  • Nous voyons par exemple qu’Israël truque ses données de mortalité sur le site Euromomo.
  • La France a fait le choix de vacciner plutôt des personnes à risque, et donc à espérance de vie réduite, avec de l’ARN messager et il n’y a pas encore une vaccination de masse pour les personnes jeunes et en bonne santé dont, je le rappelle, le risque de décès du Covid est NUL ! À la différence de l’Inde où la population est jeune, âge médian 26 ans.
  • 90% des morts du Covid en France sont des faux morts, des personnes décédées positives au Covid ou même avec un soupçon de Covid.

Partons de l’hypothèse de 300 morts officiels par jour.

Nous pouvons déduire que 30 personnes (et même moins) sont réellement décédées du Covid par jour.

Doublons la mortalité du fait de thérapies géniques massives dans une population jeune…

Il n’y aurait que 60 décès au total… et cette augmentation, si elle était répercutée, se traduirait par 10% de plus de décès journaliers (300+30=330parjour).

Avec la fluctuation des faux morts, il est très possible qu’elle soit alors totalement statistiquement invisible.

Mais dès lors que la vaccination passera à une vaccination de masse pour une population en bonne santé, rien ne dit que le drame ne se produira pas. Nous constatons que le nombre de morts des 20 à 29 ans a doublé en France depuis début janvier.

Pour résumer la situation indienne:

  • Il y a une augmentation réelle de la mortalité.
  • Pour autant, l’Inde déplore officiellement deux fois moins de décès que la France.
  • Cette augmentation ne peut PAS s’expliquer par les fêtes religieuses ou une diminution des gestes barrières
  • L’accroissement du nombre de morts coïncide parfaitement avec la montée en puissance de la vaccination.
  • Étrangement, l’Inde a fortement diminué sa campagne de vaccination depuis 10 jours.
  • Des pays qui vaccinent avec des vaccins classiques comme le Brésil ou la Hongrie subissent ce même «hasard»de calendrier.
  • Les pays qui ont fait le choix de l’ARN messager ne semblent pas subir le problème. Soit parce que les thérapies géniques seraient moins dangereuses.

Soit parce qu’ils vaccinent essentiellement des personnes âgées à risque. Soit parce que les effets dévastateurs apparaîtront à plus long terme.

Soit parce que les autorités des pays concernés manipulent les données et camouflent les décès.

Alors que nous pouvions imaginer le contraire, se vacciner aujourd’hui avec un produit plus

« classique » semble pour le moins totalement déraisonnable.

Je vous rappelle qu’aucun vaccin contre des coronavirus n’a jamais fonctionné et que les essais de vaccins contre les coronavirus sur les animaux ont été dévastateurs.

Merci.

Alain Tortosa.

21 avril 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210421-inde-cauchemar-ou-manipulation.pdf





Le GOUVERNEMENT SOMMÉ de s’EXPLIQUER sur ses ERREURS

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

SYNDICATS ET PROFESSIONNELS ATTAQUENT LE GOUVERNEMENT

Récemment, les professionnels se sont manifestés à travers le Collectif de Syndicats et Associations de Professionnels Européens (CSAPE).
Le CSAPE a construit un dossier juridiquement et scientifiquement très argumenté. Il démontre que la population est mise en danger par des mesures manifestement disproportionnées imposées sans aucune base factuelle. Est également souligné le fait que les populations du monde ont servi de cobayes aux expérimentations des laboratoires. Les gouvernements ont voulu les presser à n’importe quel prix dans l’espoir d’arrêter la pandémie très vite, ce qui, dans le cas de plusieurs pays – la France en tête – est un fiasco monumental puisqu’au bout de plus d’un an, on en est toujours au même point. De plus, le choix s’est porté de préférence sur des modificateurs de génome nouveaux et sans recul expérimental, technique dont les effets secondaires mal anticipés et méconnus commencent seulement à apparaître.

LA GRAVE ACCUSATION  DES PROFESSIONNELS

« La population est à l’évidence confrontée à une expérimentation généralisée, sur son intégrité physique et mentale, sans son consentement avisé en violation du droit international avec participation complaisante et active du gouvernement qui de surcroît abuse de mesures liberticides sur fond de situations anxiogènes répétitives, de manipulations par la peur en travestissant les faits, et de maltraitance par l’empêchement de la médecine d’Hippocrate.

Les dernières déclarations gouvernementales relatives à de prétendus « variants », (principe mutagène de tout type de corona), relèvent de la même stratégie de tromperie envers la population pour maintenir à des fins inavouables une urgence sanitaire dont la nécessité n’est délibérément pas démontrée.

Cette expérimentation généralisée sur une population maintenue dans l’ignorance par tromperie constitue un crime contre la dignité humaine et un crime contre l’humanité.

Elle vous (les membres du gouvernement) expose personnellement à des poursuites gravissimes, dont il ne saurait être fait état d’une quelconque immunité aussi bien pour le chef de l’Etat que pour son administration« .

C’est en résumé l’accusation portée par le CSAPE.

Le 3 mars, il a donné quinze jours au gouvernement pour se justifier par des documents, et non par des déclarations lénifiantes et larmoyantes, faute de quoi des plaintes seront déposées auprès d’organismes internationaux (ONU et Cour Pénale Internationale), européens (Cour Européenne des Droits de l’Homme et Cour Européenne de Justice), ainsi qu’en France, auprès de la Cour de Justice de la République (qui pourra mettre le président en accusation s’il n’est pas réélu en 2022).

La mise en demeure faite au gouvernement lui permettra de se justifier s’il peut prouver sa bonne foi et sa compétence dans le traitement de la pandémie, mais cela peut aussi se retourner contre lui car CSAPE a des arguments  bien documentés par des preuves écrites et des faits incontestables comme le bilan de la France en morts par million d’habitants, l’un des plus élevés au monde.

LE GOUVERNEMENT DOIT RÉPONDRE À DES QUESTIONS PRÉCISES :

  • A-t-il recherché les responsables français et leur niveau de responsabilité dans l’invention du virus ?
    L’étude des brevets pris par l’Institut Pasteur dès les années 2000 montre que l’on y travaillait sur le coronavirus qui a donné SARS puis Covid. Avaient-il à cette période en stage des chercheurs chinois qui auraient pu voler des souches, comme ils l’ont fait à l’Institut de Recherche de Winnipeg au Canada, pour créer le coronavirus MERS, cause de 800 morts en Arabie saoudite puis, véhiculé par des chameaux en Syrie ?
  • Seront-ils poursuivis en justice pour négligence ou corruption ?
  • Va-t-il poursuivre le Conseil scientifique où siègent une majorité de gens ayant des liens financiers avec les laboratoires industriels et qui ont donné de fausses informations ayant déclenché des mesures disproportionnées impactant les libertés fondamentales ?
  • Va-t-il poursuivre l’OMS et l’Institut Pasteur pour fausses informations ayant déclenché des mesures disproportionnées impactant les droits inaliénables et fondamentaux de la population ?
  • Va-t-il poursuivre tous les responsables à l’origine de ce crime en tant qu’expérimentation générale sur la population ?
    Le gouvernement est soupçonné d’avoir voulu expérimenter le degré de résistance de la population à des ordres stupides comme le port du masque en plein air, le confinement –inefficace comme l’a dit Macron au JDD-, ou la vaccination des bébés, et son acceptation pour mettre en circulation de pseudos vaccins contenant des nanoparticules métalliques  comme en ont Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Pour le moment, le résultat montre que les Français anesthésiés sont prêts à accepter n’importe quelle mesure totalitaire.
  • Va-t-il procéder à l’abrogation immédiate des contraintes liées au test RT-PCR ?
    Contraintes sociales et médicales alors que tous les pays asiatiques ont informé qu’ils étaient mal dosés en France (40% au lieu de 15%) et donc très imprécis. Exception faite de la Chine, qui fournit à la France les produits nécessaires à leur fabrication.
  • Va-t-il cesser d’imposer l’obligation du port du masque ?
    De nombreuses études ont démontré qu’il est totalement inutile en bord de mer, en montagne, en zones rurales excepté conversation rapprochée ; inutile en famille où les rapprochements sont inévitables et de toute façon, s’il y a des virus, tout le monde les porte déjà ; peu utile en général car aucun masque à l’exception des masques professionnels FFP3 n’est vraiment étanche (étude du M.I.T), les masques chirurgicaux n’étant faits que pour protéger le patient opéré des postillons du personnel médical.
  • La dernière question n’en est pas une. Nous demandons l’abrogation immédiate du couvre-feu et tout autre type de mesure de confinement qui ne sont en réalité qu’une mise en résidence surveillée spécifiquement restrictive des libertés.

Pour importer le document complet du CSAPE => CLIQUEZ ICI

Le CSAPE a envoyé cette mise en demeure le 2 mars par L.R.A.R. à Jean Castex, premier ministre. Il lui donnait quinze jours pour répondre et, à ma connaissance, il n’y a pas eu de réponse. Le gouvernement a donc choisi de faire la sourde oreille. Il fallait s’y attendre, il ne veut surtout pas que sa politique sanitaire absurde soit remise en cause et s’il tient bon un an, la présidentielle de 2022 réglera le problème.

LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES ET EUROPÉENNES NE BOUGERONT PAS

Mais le CSAPE pourrait bien mettre sa menace à exécution : alerter l’ONU, la CPI, l’Europe etc.

Hélas, l’ONU est solidement verrouillée par Bill Gates. Il la finance, et la Chine la contrôle grâce aux pays qu’elle tient à la gorge par les prêts remboursables qu’elle leur a consenti et font qu’elle détient la majorité à l’ONU.

L’Europe ne réagira pas non plus, l’Europe et sa Commission de fonctionnaires est dominée par l’Allemagne d’Angela Merkel.  Sa consigne est « Suivons la Chine« .

Tous les pays qui ont suivi la Chine sont dans une situation aussi mauvaise que la France : la Belgique, l’Espagne, l’Italie, l’Angleterre, les USA…
Tous ces pays ont eu un taux de mortalité par million d’habitants supérieur à ceux qui ont en quelque sorte « laissé faire », comme les pays d’Afrique, l’Inde… Mais aussi la Suède et la Biélorussie où le confinement a été refusé et qui n’ont pas plus de morts que la moyenne de l’U.E. Il y a eu chez les Occidentaux un très net manque de réflexion intelligente et d’organisation à tous les niveaux, France, U.E, ONU.

D’autres pays s’y sont pris d’une façon beaucoup réfléchie que les Occidentaux : les pays d’Asie du Sud-Est comme le Vietnam, Singapour, Taïwan et plusieurs autres, qui ont un nombre de morts inférieur à mille quand nous dépassons les cent mille, et ce sans arrêter leur économie.

Finalement  la plainte du CSAPE, si elle n’aboutit pas, aura servi à alerter avec des arguments solides les Français sur la corruption de plus en plus voyante de leur administration et du gouvernement.

LA PRESSE EST DIVISÉE

Sur le reste, la presse est divisée. Yuval Noah Harari, historien israélien constate dans Le Courrier de l’UNESCO, que Covid est une épidémie des plus bénignes avec un taux de mortalité inférieur à 1 % (0,2 % en France) quand la grippe de 1918 a tué 10% de la population et la peste noire de 1347-1351 au minimum 25%.

CSAPE a raison de reprocher au gouvernement d’avoir surdramatisé Covid pour apeurer la population et en tirer profit en édictant des mesures liberticides qui renforcent son pouvoir d’oppression et de contrôle.

Mais aussi d’avoir donné à l’administration l’autorité sur des domaines où elle est totalement incompétente, voire nuisible quand elle n’est pas de surcroit vendue au secteur privé international (en Europe elle est classée au 15ème rang pour la corruption, pas rouge mais orangée). Elle a interdit des médicaments antiviraux efficaces pour privilégier les tests géniques expérimentaux baptisé à tort « vaccins », beaucoup plus chers et non validés par les essais de niveau 3 sur l’homme en principe obligatoires, les « vaccins » de Pfizer, Moderna et d’AstraZeneca. Leurs méfaits secondaires commencent seulement à se manifester et leur degré de nocivité réel ne pourra être connu que dans quelques années.

Un article de Valeurs Actuelles (le seul hebdomadaire libre parce que non subventionné) souligne qu’en interdisant aux médecins de prescrire des médicaments connus pour être efficaces contre les virus, et en obligeant à une vaccination aléatoire, l’administration et le gouvernement ont pris la responsabilité de dizaines de milliers de morts qui n’auraient pas dû être.

Et personne ne se soucie de ce que ces pseudos vaccins  contiennent des nanoparticules métalliques dont Bill Gates a dit qu’il suffira de les programmer pour prendre le contrôle des individus « vaccinés ». Comme voulait le faire la Chine pour compléter son arsenal de surveillance permanente de ses citoyens. Elle a, dans ce sens heureusement pour les Chinois, raté sa campagne de vaccination avec Sinovac. Non que Sinovac soit un mauvais vaccin, au contraire. Mais à vouloir donner ou vendre en priorité des vaccins à deux milliards Africains et à l’Inde (qui a les siens), plus 1,3 milliard de Chinois, le Parti communiste a vu trop grand et les usines n’arrivent pas à fournir.

(…)

L’Imprécateur
19 avril 2021




Le Signe de la Bête

[Source : Radio Québec]




[Voir aussi : La religion de l’Antéchrist]




3ème vague, comique de répétition ?

Par Alain Tortosa

« Le confinement commence à porter ses fruits! »

LCI

Je m’étais juré de ne plus m’intéresser aux chiffres, tant ceux-ci sont mensongers ou biaisés.

J’avais apporté les preuves dans un précédent texte que la fameuse « 2e vague » était totalement planifiée et mensongère sans remettre en question le fait qu’il y a des malades en automne.

Mais quand j’ai entendu ce jour, 19 avril, sur LCI une « journaliste » annoncer que le confinement commençait à faire ses effets, je n’ai pu m’empêcher de vérifier si c’était une escroquerie de plus (ou pas).

Toutes les données suivantes sont issues du site geodes.santepubliquefrance.fr

Intéressons-nous d’abord au nombre de tests effectués par jour.

Nous voyons sur les courbes fournies sur le site Geodes un cycle de forme identique qui se reproduit de semaines en semaines depuis le 25 mai 2020.

Il y a :

  • Un énorme creux le dimanche.
    Le dimanche c’est sacré, épidémie ou pas épidémie !
    Les soignants sont héroïques mais il faut quand même les ménager le WE.
  • Un pic le lundi (qui rattrape des chiffres du dimanche).
    Il faut dire qu’on a la forme pour démarrer la semaine après un bon WE de repos.
  • Une petite chute en milieu de semaine.
    Il faut bien souffler un peu après le travail éreintant du lundi.
  • Puis une ré-augmentation jusqu’au vendredi et ainsi de suite.

Si nous traversions une vraie pandémie, nous pourrions nous demander pourquoi les tests ne sont pas quasi constants d’un jour à l’autre, y compris le dimanche, jour de repos dominical du virus, comme tous les « vrais » spécialistes pourront vous le confirmer.

Regardons maintenant la période de la fameuse 3e vague…

Plusieurs observations pour le moins « étranges ».

La première est que le gouvernement, même s’il met en place des campagnes de dépistage dans telle ou telle ville, ne peut maîtriser pleinement le nombre de tests qui vont être effectués dans une journée sauf exceptions.

Par exemple on observe un pic délirant à Noël avec une publicité mise en place pour vérifier que l’on n’allait pas contaminer mamie qui mangeait dans la cuisine.

Cela s’est naturellement traduit par un pic de positifs, preuve en est du ridicule du taux d’incidence.

Si il y avait corrélation entre le nombre de tests et les hospitalisations, il y aurait dû avoir une vague terrible au lendemain de Noël, preuve en est que le nombre de tests et le taux d’incidences ne sont que des outils au service de la manipulation des masses et de la dictature sanitaire.

Je le répète depuis le début de la crise, si nous avions voulu connaître réellement l’évolution de la

maladie, il eu suffit de tester un échantillon représentatif des français chaque semaine…

Mais je m’égare…

Revenons à la fameuse 3e vague, à ce point « hors de contrôle » que notre « gentil » président a du recourir au 3e dernier confinement pour « empêcher les cadavres de joncher à nouveau les rues » comme lors de la première vague…

Le nombre de tests effectués pour la 3e vague.

Nous constatons sue le graphique ci dessous que le pic du nombre de tests de la 3e vague a eu lieu le 29 mars, soit 2 jours avant la prise de parole du Président de la République nous annonçant le 3e confinement…

Pouvez-vous m’expliquer, alors que la politique de « lutte » est toujours la même, et qu’elle est censée fonctionner, le fameux « tracer, détecter, isoler,… plume dans le cul »

… m’expliquer que le nombre de tests n’a alors cessé de diminuer depuis, passant de 697 951 le lundi 29 mars à 489 736 le lundi 12 avril, soit une baisse de 30%, revenant au nombre identique à ceux pratiqués un mois auparavant !

Il m’aurait semblé plutôt logique, étant donné que tous les corrompus ou en quête de notoriété nous disaient que les hôpitaux étaient saturés, que nous allions à la catastrophe, qu’il faudrait bientôt ventiler des patients dans des boucheries charcuteries, faute de place,… que les français terrorisés se fassent tester de plus en plus, non ?!

Et bien pas du tout !

On va tous crever à cause des variants, les réas sont saturées de jeunes sans comorbidités et on décide de diminuer les campagnes de tests ?!

Donc pour résumer à propos du nombre de tests durant la fameuse « 3e vague » que nous subissons et que le réseau sentinelle n’a toujours pas constaté…

  • Le nombre de tests entre le 30 décembre et le 5 mars est demeuré constant autour de 400 000 chaque lundi.
  • Ce nombre, énorme, correspond au pic du nombre de tests de la fameuse 2e vague.
  • « Bizarrement » l’épidémie n’a pas totalement reculée depuis la 2e vague…
  • Puis entre le 5 mars et le 29 mars, le nombre de tests journaliers explose passant de 400 000 à 700 000 par jour soit quasi le double !

Heureusement qu’ils sont « gratuits »!

  • Et alors que la situation devenait incontrôlable, le nombre de tests journaliers n’a fait que baisser depuis le 29 mars pour passer de 700 000 à 490 000 lundi dernier.

Je ne prends pas trop de risques en pariant que cela va encore baisser pour se stabiliser à nouveau aux alentours de 400 000 afin de ne pas nous dé-confiner trop vite et nous continuer à nous « vendre » la vaccigénie…

A propos de la vaccigénie, l’opération commerciale faisant de la thérapie AstraZeneca un produit dangereux est un succès total !

La population en serait à réclamer la thérapie génique ARN messager expérimentale pour des raisons de « sécurité »

Voici donc le graphe du nombre de tests effectués depuis le début de la « 3e vague »

Nombre de tests,
tous âges

La fameuse augmentation inquiétante du nombre de cas notamment chez les 10-19 ans ?

Nombre de tests
10-19 ans

Si vous regardez le nombre de tests effectués dans cette tranche d’âge, celui-ci est passé de 42865 tests le 1er mars à 127 131 le 30 mars soit une augmentation de 196% !!!

Et « bizarrement » le taux d’incidence a aussi « explosé » chez les jeunes ?!

Nous voyons aussi que le nombre de tests a énormément diminué depuis (les écoles étant fermées, difficile de tester les enfants en masse).

Prenons maintenant la tranche d’âge des 80 à 89 ans qui est la population à risque est qui, en toute logique, devrait bénéficier de la plus grande attention côté tests.

Nous voyons que le nombre de tests est relativement identique depuis le début de l’année avec plutôt une diminution progressive jusqu’au 8 mars et une remontée jusqu’au 6 avril où le gouvernement décide de les diminuer à nouveau histoire de « prouver »que le confinement commence à porter ses fruits…

D’un coté on fait exploser le nombre de tests chez les 10-19 ans et on les laisse constant ou on les diminue chez les 80-89 ans et on vous parle ensuite d’une 3e vague qui touche beaucoup plus les jeunes !

Tests 80 à 89 ans

Si vous comparez avec les autres tranches d’âges vous verrez que le pic du nombre de tests pour toutes les tranches d’âge est entre le 30 mars et le 6 avril…

Non seulement le nombre de tests se met à baisser étrangement au moment de la décision du 3e confinement mais les pics se produisent à-peu-près au même moment pour toutes les tranches d’âge.

Intéressons-nous au taux d’incidence… qui est le nombre de personnes positives pour 100 000 habitants.

Et oh miracle ! Que voyons-nous apparaître ?

Tests 60-69 ans

Le taux d’incidence est la courbe ci dessous.

Si vous aviez encore des doutes pour la corrélation directe entre le nombre de tests effectués et le taux d’incidence, j’espère que ces deux graphiques lèvent l’ambiguïté.

Taux d’incidence tous âges

Nous voyons donc que le gouvernement, en manipulant artificiellement le nombre de tests, manipule bien le taux d’incidence…

Mais quid des personnes hospitalisées ?

Si vous étiez très naïfs, vous pourriez me dire que l’on peut influencer le nombre de tests et le taux d’incidence mais pas les hospitalisations.

J’en déduirais que vous n’avez pas lu mon dossier sur la 2e vague.

Voici donc la courbe de personnes nouvellement hospitalisées pour cette 3e vague.

Hospitalisations journalières

Le pic de personnes hospitalisées se produit le lendemain du pic de tests chez les personnes entre 40 et 90 ans… Il y a donc une corrélation directe entre le nombre de tests effectués et les hospitalisations…

Notre gouvernement a donc du flair, il a su à partir de quel jour il n’était plus nécessaire d’augmenter le nombre de tests car les hospitalisations allaient commencer à baisser.

Et les soins critiques ?

Le lendemain du pic de tests correspond au pic du nombre d’hospitalisations et le pic du nombre d’admissions en soins critiques aussi au lendemain du pic de tests !

Admissions en soin critique

Si ça c’est pas de l’optimisation !

Le lundi tu es testé (peut-être même asymptomatique) et le mardi tu es en réa !

Mais les morts me direz-vous ?

Et bien pour les décès le gouvernement dispose d’un self-service dans lequel il peut se servir à volonté !

Je vous rappelle que malgré les annonces indiquant que des personnes de plus en plus jeunes sont menacées, l’âge médian des décès demeure de 85 ans.

Sachant qu’il y a environ 1500 morts par jour en France, il est facile d’en affecter deux ou trois cents au pôle Covid !

Je dis cela mais c’était sans compter sur la « vaccination ».

Le risque est avéré que plus on vaccinera de personnes jeunes et en bonne santé, dont le risque de décès du Covid est NUL, plus le nombre de jeunes décédés de la vaccination et affectés bien évidemment aux variants du Covid, pourrait augmenter…

Mais je ne résiste pas au plaisir de vous montrer les dernières données de mortalité.

Nombre de décès quotidiens

Comme je vous l’ai dit, la donnée est plus fluctuante et dépend du niveau d’angoisse que l’on cherche à transmettre au public.

Néanmoins vous constaterez que le dernier pic de décès remonte étrangement au 7 avril soit le lendemain du pic des tests !

Le gouvernement a ainsi optimisé le processus au point que le lundi vous êtes testé positif et le mardi vous êtes décédé… Et après on dira que les français sont mal organisés !

Voilà…

Je remercie donc tous les membres du gouvernement, les ministres, les médecins médiatiques mais aussi les journalistes pour cette nouvelle blague qui fait bien rigoler… et qui est là pour nous vendre du passeport vaccinal !

Passeport vaccinal qui sera bien entendu « l’outil de la liberté » … Quand je vous dis « Une phrase du gouvernement, une vanne »!

Tout est bidon, nous le savions et en voici un nouvel épisode. Merci.

Alain Tortosa.

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210419-3eme-vague-bidon.pdf

Ps : je vous invite à reprendre les données sur le site du gouvernement.




Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement

[Source : Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com)]

Cher(e) ami(e) de la Santé,

La désinformation fait rage, depuis le premier jour de l’épidémie.
Dans mes lettres, je vous ai beaucoup parlé : 

  • Des traitements oubliés ou diabolisés, malgré leur efficacité (vitamine D, ivermectine, protocole Raoult, etc.)
  • Des vaccins, de leurs effets indésirables et de l’efficacité (peu convaincante) de l’expérimentation israélienne.

Aujourd’hui, je voudrais encore vous parler d’autres mensonges.
En commençant par l’expérience suédoise :

Mensonge 1 : l’expérience suédoise serait une “catastrophe” 

Ce qui s’est passé en Suède est un énorme caillou dans la chaussure des idéologues de la Covid-19.
Car la Suède a pris le contre-pied de la plupart des autres pays occidentaux : 

  • La Suède n’a jamais confiné sa population ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses écoles (ni imposé de masque aux enfants) ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses restaurants ;
  • La Suède n’a jamais imposé le masque dans les magasins, et encore moins à l’extérieur.

Résultat ? 

  • Un peu moins de morts de la Covid-19 par habitant qu’en France et beaucoup de pays européens ; 
  • Moins de morts, toutes causes confondues, que la moyenne européenne (7,7 % de surmortalité contre 16 % en Belgique)
  • Et une économie deux fois moins dévastée : – 3 % du PIB en 2020, contre -7 % dans la zone euro [1] ;

Bien sûr, les Suédois ont respecté les consignes générales de distanciation sociale. Ils se sont moins déplacés et ont beaucoup télé-travaillé.
Certes, il y avait aussi quelques restrictions obligatoires. En décembre dernier, les rassemblements de plus de 8 personnes ont été interdits et les masques introduits dans les transports en commun. Récemment, certains restaurants ont dû fermer un peu plus tôt que d’habitude, à 20h30.

Mais globalement, les Suédois ont continué à vivre une « vie normale », tout au long de l’épidémie.

Ils n’ont pas eu à subir d’absurdes consignes totalitaires, comme les masques à l’extérieur, le confinement obligatoire à domicile, ou la fermeture des écoles primaires.
Et le résultat est là. Sur l’épidémie, la Suède est dans la moyenne de la plupart des pays européens.

Regardez, par exemple, l’évolution du nombre de morts par habitant en Suède (en rouge) et en Allemagne (en bleu) depuis octobre dernier – l’Allemagne ayant confiné cet hiver, contrairement à la Suède :

Vous voyez que l’évolution est très similaire, alors que les restrictions étaient très différentes, notamment en termes de masques et de fermeture des restaurants et des commerces.
Au total, le bilan sanitaire de la Suède est « moyen », comme les autres, faute d’avoir fait de la prévention et du traitement précoce.
Mais socialement, économiquement et mentalement, la Suède a fait beaucoup mieux.
Certains objecteront que la Suède a eu beaucoup plus de morts que ses voisins norvégiens et finlandais, qui ont imposé de lourdes restrictions. C’est vrai, mais la Suède est culturellement plus proche de nombreux pays européens que de ses voisins – et en termes d’urbanisation, Stockholm est comparable à Marseille. 
La Suède est aussi beaucoup plus ouverte aux vents internationaux : au moment de la première épidémie, lorsque la Norvège et la Finlande ont confiné, le nombre d’infections était déjà environ 10 fois supérieur en Suède ! [2]
Bref, à tous points de vue, la Suède s’en est globalement mieux sortie que les pays européens qui ont imposé des mesures restrictives ou qui ont confiné. 
Et pourtant, la situation suédoise a été systématiquement caricaturée.
Prenez le « soit-disant » journal de référence, Le Monde, le 1er janvier dernier : « Les choix faits par la Suède et leur bilan humain catastrophique suscitent l’incompréhension des voisins du pays et la stigmatisation des Suédois. » [3]

Autre exemple similaire, dans le très populaire journal 20 minutes : « Chiffres catastrophiques, comparaison douloureuse avec les voisins nordiques, aveu d’échec royal… Le modèle suédois résonne aujourd’hui comme une défaite pour le pays. » [4]
C’est le refrain mensonger qu’on a entendu à la télé et à la radio, 24h sur 24.
J’ai même entendu plusieurs fois Cyril Hanouna dire dans son émission de grande écoute que « la Suède a essayé l’immunité collective et cela a été une catastrophe ».
C’est de la désinformation pure et simple.
Et cela rejoint celle d’Emmanuel Macron, à l’automne dernier.

Mensonge 2 : « 400 000 morts si on ne fait rien » (Emmanuel Macron)

Souvenez-vous de son allocution du 3 novembre 2020. Pour justifier le reconfinement, Emmanuel Macron avait sorti un argument hallucinant :

« Nous pourrions – certains le préconisent – ne rien faire, assumer de laisser le virus circuler. C’est ce qu’on appelle la recherche de « l’immunité collective » c’est-à-dire lorsque 50, 60% de la population a été contaminée.

Le Conseil Scientifique a évalué les conséquences d’une telle option. Elles sont implacables : d’ici quelques mois c’est au moins 400 000 morts supplémentaires à déplorer. »

Ce chiffre farfelu venait de modélisations mathématiques totalement déconnectées de la réalité [1], et qui se sont révélées fausses systématiquement.
On l’a d’ailleurs vu en février dernier, quand le président Macron a refusé de reconfiner, à juste titre.
Contrairement aux prédictions apocalyptiques, il n’y a pas eu d’explosion du nombre de cas et de décès dans la France entière.
Certes, il y a en ce moment une circulation soutenue du virus dans quelques départements précis, mais pas d’augmentation exponentielle ou d’explosion insoutenable pour l’hôpital.
Et surtout, répétons-le : il n’y a pas en ce moment plus de morts que d’habitude en France !

Je sais que cela paraît difficile à croire, vu le discours catastrophiste ambiant.
Mais en janvier, il y a eu moins de morts qu’en janvier 2017 (mois de grosse grippe).
En février, il y a eu moins de morts qu’en février 2019 (pic de grippe cette année-là).
Bref, les premiers mois de cette année sont totalement comparables à des mois de grosse grippe. 
Il n’y a donc aucune surmortalité démesurée, en ce moment, qui justifierait le catastrophisme politique et médiatique.

Il faut dire qu’environ 30 % de la population française a déjà été infectée, ce qui empêche toute forme d’explosion exponentielle des contaminations.
C’est un fait : quand une personne sur trois ne peut plus être infectée, cela freine énormément les contaminations.
Quand beaucoup de personnes vulnérables ont déjà été hospitalisées, cela diminue fortement la charge sur l’hôpital.
C’est ce qu’on appelle « l’immunité collective » ou « l’immunité de troupeau ».

Quand beaucoup de personnes ont été infectées, l’épidémie risque peu de s’emballer.
C’est comme cela qu’a disparu la grippe espagnole, sans vaccin, ni masque : après une grande vague à l’automne-hiver 1918-1919, la saison suivante a été beaucoup plus épargnée :

[Ndlr : ceci dans le cadre de la théorie virale. Mais l’on peut opposer à celle-ci la théorie du « terrain » pour laquelle il est naturel qu’une « épidémie » disparaisse d’elle-même lorsque le corps des êtres humains affectés par des éléments toxiques (y compris éventuellement des ondes électromagnétiques, surtout pulsées, ou des déficiences nutritionnelles qui en sont les causes réelles) n’y est plus confronté ou parce qu’il parvient à s’y adapter au moins partiellement. Dans le cadre de cette autre théorie que la virale, il n’y a donc pas du tout d’immunité de groupe, mais seulement une disparition des causes de la maladie ou une relative adaptation au moins temporaire à ces causes. Et la « grippe » refaisait régulièrement son apparition chaque hiver, jusqu’à ce qu’on la rebaptise « covid-19 », parce que le froid fait partie des causes agressives contre le corps et ses cellules. Le seul fait indubitable dans les « épidémies » est l’existence d’une relative simultanéité dans le temps (mais pas nécessairement proximité dans l’espace géographique) de symptômes similaires (ou parfois même pas similaires ou très nombreux et variables d’un individu à l’autre, comme dans le cas de la « Covid-19) que l’on regroupe sous le terme d’une maladie particulière. Le reste relève essentiellement de l’interprétation de ce fait. La théorie virale l’explique par une prétendue contagion de virus, mais celle-ci n’a jamais été réellement démontrée, puisque notamment l’on n’a jamais eu le moyen d’isoler le moindre virus, sachant que lorsque les virologues disent « isoler » un virus, ils ne font que réaliser une opération de séquençage informatique à partir d’une soupe génétique de tissus prétendument infectés. Voir :
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La théorie des germes : Une erreur fatale
La théorie des exosomes contre celle des virus
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Dr Thomas S Coman (anglais)
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19.]

Et en 1920, le virus de la grippe espagnole n’a plus fait de dégât particulier : il n’a pas disparu, mais il a rejoint les virus hivernaux habituels, parce que les populations avaient largement acquis une immunité.
De même, après deux grosses vagues de la Covid-19, il est évident que nous sommes largement immunisés, et que les pics exponentiels sont derrière nous.
Mais presque personne ne vous le dit. On dirait qu’il faut absolument continuer à vous angoisser.
Serait-ce parce qu’il y a des vaccins à vous vendre ?

À propos de vaccins, voici l’un de mensonges les plus extravagants qu’on ait entendu :

Mensonge 3 : les vaccins produiraient une immunité supérieure à l’infection

D’abord, on a essayé de vous faire croire que l’infection n’était pas forcément immunisante.
Il serait donc possible d’avoir des ré-infections, notamment à cause des variants.
C’est faux.
Les ré-infections sont extrêmement rares, même avec les variants britanniques ou sud-africains.
Et même en cas de réinfection, il y a toutes les raisons de penser que la deuxième infection est moins sévère que la première.
Bref, une infection crée une immunité solide et durable.

Grâce à de nombreuses publications scientifiques parues en janvier 2021, cela a fini par être reconnu largement.
Mais étrangement, on a continué à vacciner ceux qui ont déjà été infectés.
Alors que cela ne sert à rien.
Alors qu’on nous répète matin et soir qu’on manque de doses de vaccin.
Alors que cela pourrait même causer de gros risques pour la personne vaccinée (j’y reviendrai dans une prochaine lettre).

Donc, vacciner les personnes déjà infectées n’a strictement aucun sens… à part remplir les poches des laboratoires pharmaceutiques.
Mais cela permet de maintenir une illusion : celle que les vaccins seraient plus efficaces que l’infection elle-même.
Cette idée a été largement propagée, alors qu’elle est absurde. 

Je rappelle que les vaccins ne portent que sur une seule protéine du virus, alors que l’infection permet de créer une mémoire immunitaire sur tous ses éléments (épitopes, en termes virologiques).
L’infection crée aussi une immunité mucosale (dans le nez) alors que le vaccin injecté ne peut créer qu’une immunité humorale (dans le plasma et la lymphe). 
Il est donc évident que, sauf exception, l’infection produit une immunité plus importante et plus durable que la vaccination.
C’est encore plus évident face aux variants : avec les vaccins actuels, il suffit que la protéine visée par le vaccin mute, pour qu’ils deviennent inefficaces.

C’est ainsi qu’on sait désormais avec certitude que le vaccin AstraZeneca est totalement inefficace contre le variant sud-africain.
Alors que l’infection naturelle, elle, reste très efficace contre tous les variants connus.
Il est donc ahurissant qu’on vaccine les personnes déjà infectées, et qu’on ait pu mentir sur l’efficacité de l’infection naturelle.

Avec les vaccins, on est même arrivé à un mensonge encore plus énorme :

Mensonge 4 : les vaccins permettront le « zéro covid », via une « immunité collective »

C’est la cerise sur le gâteau de la désinformation.
D’abord, on a diabolisé l’idée « d’immunité collective », acquise naturellement.
Puis, avec l’arrivée des vaccins, on vous a promis une « immunité collective » vaccinale
Et on vous a promis la « sortie du cauchemar » et le « retour à la vie normale » grâce à la vaccination. 
Mais c’est totalement faux.

Même si les vaccins étaient aussi efficaces qu’on le dit (ce qui est loin d’être avéré), ils ne peuvent pas produire d’immunité collective solide.
Ce n’est pas (seulement) moi qui le dit, mais la prestigieuse revue scientifique Nature, qui vient de publier un éditorial cinglant à ce sujet. [6]

Selon Nature, l’immunité collective vaccinale est impossible pour 5 raisons : 

  • « Il n’est pas avéré que les vaccins empêchent la transmission » : je vous le dis depuis le début, et le « Monsieur vaccin » du gouvernement (Pr Fischer) l’a reconnu, il n’y a aucune preuve que les vaccins empêchent les contaminations – il y a même plutôt des preuves que les vaccins accroissent les transmissions, dans les 2-3 premières semaines après la première dose ;
  • « La distribution des vaccins est inégale dans le monde » : comme il n’y a pas assez de doses pour tout le monde, beaucoup de pays en développement ne sont pas près d’être vaccinés. Donc même si les vaccins étaient efficaces, ils ne pourraient stopper la transmission mondiale du virus ;
  • « Les nouveaux variants changent l’équation de l’immunité collective » : oui, les variants mettent à mal l’immunité collective vaccinale, mais beaucoup moins l’immunité collective naturelle, pour les raisons déjà évoquées ;
  •  « L’immunité ne durera pas éternellement » : c’est vrai pour l’immunité naturelle, qui a probablement une efficacité de plusieurs années (comme pour les autres coronavirus), mais c’est encore plus vrai pour l’immunité acquise par la vaccination, qui pourrait ne durer que quelques mois ;
  • « Les vaccins pourraient changer les comportements » : selon Nature, il sera difficile d’expliquer aux vaccinés qu’ils doivent continuer à porter le masque et à se distancier socialement – et pourtant, d’après les auteurs de l’article, ce serait nécessaire, pour atteindre le zéro Covid puisque les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %.

Conclusion de l’épidémiologue Stefan Flasche, cité par Nature : « il est très peu probable d’atteindre l’immunité collective avec les vaccins seuls ».

Et il ajoute : « Il faut donc apprendre à vivre avec le virus », qui n’est pas près de disparaître.

C’est évident – et c’est ce que je vous dis depuis le début. 
La Covid-19 n’est pas la peste. Il faut vivre avec. 
Il faut la prévenir avec la vitamine D, et la soigner avec l’ivermectine.
Il faut rouvrir le pays, et arrêter de vivre cloîtré.

Souvenez-vous de cette intervention magistrale du Pr Raoult, à l’automne dernier : 

« Je pense que ce pays vit une erreur dramatique, qui est la dramatisation perpétuelle. 
Qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a un virus ?
Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ». [7]

Oui, les autorités sont devenues folles. Les médias ont suivi, comme un troupeau bêlant. Et leur irrationalité a contaminé la moitié de la population, placée dans un état de psychose.
Mais cette « folie » fait les affaires des fabricants de vaccin, qui se préparent à nous vacciner et revacciner, de la naissance à la mort, tous les 6 mois. 
Sous la contrainte du fameux « passeport vert » à venir.

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : Il est de plus en plus clair que les mensonges de l’épidémie de grippe A H1N1 de 2009 étaient une sorte de « répétition générale » de la folie actuelle.

Je vous en avais déjà parlé au printemps dernier, au moment où le scandale du remdésivir de Gilead commençait à rappeler celui du Tamiflu : https://www.sante-corps-esprit.com/roselyne-bachelot-se-moque-de-nous/

Mais la preuve la plus manifeste porte sur les vaccins, avec cette vidéo incroyable de Roselyne Bachelot en 2009, face au Dr Marc Girard.

Regardez-là vite avant qu’elle ne soit censurée, c’est édifiant : https://www.dailymotion.com/video/xb5jdz

J’en profite, bien entendu, pour souhaiter de tout cœur à Mme Bachelot une très rapide convalescence. 
Mais on ne m’empêchera pas de dire que son cas est révélateur du drame de la vaccination à outrance et irréfléchie !

Figurez-vous que Mme Bachelot a été vaccinée le 17 mars, trois jours avant d’annoncer qu’elle était positive à la Covid-19.[8]

Cela veut dire qu’elle était en train d’incuber le virus au moment de la vaccination, ce qui est la pire des configurations possibles !
Car on sait bien qu’il ne faut surtout pas donner de vaccin pendant une infection !
Cela s’applique aux humains… et même aux chevaux, comme le montre ce communiqué récent de spécialistes, à propos d’un autre vaccin :

« Pour les chevaux exposés qui peuvent être en phase d’incubation, la vaccination est déconseillée et n’aurait que peu d’effet ; sur un cheval malade, la première injection risque de n’entrainer aucune réponse immunitaire, voire de déclencher plus rapidement la maladie. » [9]

Dans le cas des nouveaux vaccins contre le coronavirus, on a même la preuve incontestable que la vaccination en cours d’infection est dangereuse.
Car la première dose des vaccins ARN supprime temporairement une partie du système immunitaire (les lymphocytes T), celle qui nous protège contre l’aggravation de la maladie ! 
Si vous ne me croyez pas, regardez ce graphique tiré des phases 1 et 2 de test du vaccin de Pfizer – la suppression des lymphocytes T est évidente aux jours 1 à 3, par rapport au placebo en bleu [10] :

Bref, je suis vraiment désolé pour Madame Bachelot, mais son cas est malheureusement représentatif de ce qu’il ne faut surtout pas faire : se vacciner sans faire de test PCR préalable ! 

Au passage, c’est une des explications de l’explosion de décès dans les pays qui ont vacciné très rapidement [11] : ceux qui étaient en « incubation » au moment du vaccin ont eu des formes plus graves que s’ils n’avaient pas été vaccinés.
Il est fou qu’une ancienne ministre de la Santé ait été aussi mal informée.
Mais c’est aussi le signe qu’il n’y a peut-être pas de « malice » au sommet de l’Etat : les ministres comme Olivier Véran pourraient être eux aussi victimes de l’énorme désinformation orchestrée par Big Pharma !

Sources

[1] https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-europe-mortality-idUSKBN2BG1R9

[2] necpluribusimpar.net/why-did-more-people-die-of-covid-19-in-sweden-than-in-other-nordic-countries-it-probably-had-little-to-do-with-policy/

[3] https://www.lemonde.fr/international/article/2020/12/31/en-suede-les-habitants-ont-la-coronaskam-la-honte-de-la-strategie-du-pays-face-au-covid-19_6064872_3210.html?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1609489405

[4] https://www.20minutes.fr/monde/2948915-20210109-coronavirus-fin-definitif-modele-suedois

[5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32908300/

[6] https://www.nature.com/articles/d41586-021-00728-2

[7] https://www.lalibre.be/international/europe/echange-tendu-entre-didier-raoult-plus-que-jamais-sur-de-lui-et-david-pujadas-mais-vous-etes-devenus-tous-cingles-5f996efd7b50a6525b9bc594

[8] https://www.24heures.ch/hospitalisee-roselyne-bachelot-est-sous-oxygenotherapie-renforcee-964349822758

[9] https://respe.net/foyers-dherpesviroses-type-1-hve1-communique-de-presse-03-03-2021/

[10] https://www.nature.com/articles/s41586-020-2639-4

[11] www.sante-corps-esprit.com/loccident-est-il-en-train-de-se-tirer-une-balle-dans-le-pied-avec-les-vaccins-anti-covid/




La Chine et la Russie lancent une « économie mondiale de la résistance ».

[Source : Le Saker Francophone]

Par Alastair Crooke – Source [anglaise] Strategic Culture

L’Art de la guerre de Sun Tzu (vers 500 avant J.-C.) conseille : « Se prémunir contre la défaite est entre nos mains ; mais l’occasion de vaincre l’ennemi est fournie par l’ennemi lui-même… C’est pourquoi le combattant intelligent impose sa volonté et ne permet pas que la volonté de l’ennemi lui soit imposée ».

Telle est l’essence de la résistance chinoise – une stratégie qui a été pleinement dévoilée à la suite des pourparlers d’Anchorage ; des pourparlers qui ont fait taire toute personne qui, à Pékin, pensait encore que les États Unis trouverait un modus vivendi avec Pékin dans sa quête effrénée de primauté sur la Chine.

Même si c’était déjà visible auparavant, ce n’est qu’aujourd’hui, après Anchorage, que l’on voit la Chine se permettre de répondre durement et que les États-Unis ont la ferme intention de bloquer l’ascension de la Chine.

Si l’on suppose que cette initiative de « résistance » se résume à une sorte de « coup de poing » contre Washington – en sapant les ambitions iraniennes de Biden, pour se venger de l’Amérique qui crie haut et fort aux « crimes de guerre » (« génocide » au Xinjiang) -, on passe totalement à côté de son importance. La portée du pacte avec l’Iran dépasse de loin le commerce et l’investissement, comme l’a souligné un commentateur des médias d’État chinois : « En l’état actuel des choses, cet accord (le pacte avec l’Iran) va totalement bouleverser le paysage géopolitique dominant dans la région ouest-asiatique, soumise depuis si longtemps à l’hégémonie des États-Unis ».

Voici donc l’essence de la formule « un combattant intelligent cherche à imposer sa volonté » : la Chine, la Russie ou l’Iran n’ont pas besoin d’entrer en guerre pour y parvenir ; ils se contentent « d’appliquer cela ». Ils vont le faire – tout simplement. Ils n’ont pas besoin d’une révolution pour le faire, et ils n’ont aucun intérêt à combattre l’Amérique.

Qu’est-ce donc que ce « cela » ? Il ne s’agit pas seulement d’un pacte de commerce et d’investissement avec Téhéran, ni d’une simple entraide entre alliés. La « résistance » réside précisément dans la manière dont ils essaient de s’entraider. Il s’agit d’un mode de développement économique. Il représente la notion selon laquelle toute ressource génératrice de rente – monopoles bancaires, fonciers, ressources naturelles et infrastructures naturelles – devrait appartenir au domaine public afin de répondre aux besoins fondamentaux de tous – gratuitement.

L’alternative consiste simplement à privatiser ces « biens publics » (comme en Occident), où ils sont fournis à un coût maximal financiarisé – y compris des taux d’intérêt, des dividendes, des frais de gestion et des manipulations pour optimiser le gain financier.

« Cela » veut alors dire une approche économique véritablement différente. Pour donner un exemple : L’extension du métro de la Deuxième Avenue à New York a coûté 6 milliards de dollars, soit 2 milliards de dollars par mile – le transport urbain de masse le plus cher jamais construit. Le coût moyen des lignes de métro souterraines en dehors des États-Unis est de 350 millions de dollars par mile, soit un sixième du coût de celui de New York.

En quoi ce « cela » change-t-il tout ? L’élément le plus important du budget d’une personne est aujourd’hui le logement, à hauteur de 40 % du budget, ce qui reflète simplement le prix élevé des maisons, basé sur un marché alimenté par la dette. Imaginez que cette proportion soit plutôt de 10 % (comme en Chine). Supposons également que l’enseignement public soit peu coûteux. Dans ce cas, vous êtes débarrassé de la dette liée à l’éducation et de ses intérêts. Supposons que vous ayez des soins de santé publics et des infrastructures de transport à bas prix. Vous aurez alors la capacité de dépenser. Vous deviendrez une économie à faible coût et, par conséquent, vous connaîtrez la croissance.

Un autre exemple : Le coût de l’embauche de personnel de R&D en Chine représente un tiers ou la moitié du coût comparable aux États-Unis, de sorte que les dépenses technologiques de la Chine sont plus proches de 1 000 milliards de dollars par an (en termes de parité de pouvoir d’achat), alors que les États-Unis ne consacrent que 0,6 % de leur PIB, soit environ 130 milliards de dollars, à la R&D fédérale.

À un certain niveau, « cela » est donc un défi stratégique pour l’écosystème occidental. Dans un coin du ring, les économies stagnantes de l’Europe et de l’UE, hyper-financiarisées et axées sur la dette, dans lesquelles l’orientation stratégique et les « gagnants et perdants » économiques sont déterminés par les grands oligarques, et dans lesquelles les 60% luttent et les 0,1% prospèrent. Dans l’autre coin du ring, une économie très mixte dans laquelle le Parti fixe un cap stratégique pour les entreprises d’État, tandis que d’autres sont encouragés à innover et à faire preuve d’esprit d’entreprise dans le moule d’une économie dirigée par l’État (quoique avec des caractéristiques taoïstes et confucéennes).

Socialisme contre capitalisme ? Non, il y a longtemps que les États-Unis ne sont plus une économie capitaliste ; c’est à peine encore une économie de marché aujourd’hui. C’est devenu, de plus en plus, une économie rentière, depuis qu’elle a quitté l’étalon-or (en 1971). Cette sortie forcée des États-Unis de la « fenêtre de l’or » leur a permis, grâce à la demande mondiale de titres de créance américains (obligations du Trésor), de se financer gratuitement (à partir de l’excédent économique mondial). Le Consensus de Washington garantissait en outre que les afflux de dollars à Wall Street, en provenance du monde entier, ne seraient jamais soumis à des contrôles de capitaux, et que les États ne pourraient pas utiliser leur propre monnaie, mais devraient emprunter en dollars à la Banque mondiale et au FMI.

Et cela signifiait essentiellement emprunter au Pentagone et au Département d’État en dollars américains, qui étaient en fin de compte les « exécutants » du système, comme le note le professeur Hudson. L’évolution du système financier américain vers une entité qui privilégie les actifs « réels », tels que les hypothèques et les biens immobiliers qui offrent un certain « loyer », plutôt que d’investir directement dans des entreprises spéculatives, signifie également que les jubilés de la dette sont interdits. (Les Grecs peuvent raconter l’expérience de ce que cela implique, dans les moindres détails).

Le fait est que, sur le plan économique, la sphère hyper-financiarisée des États-Unis se rétrécit rapidement, car la Chine, la Russie et une grande partie de l’« île mondiale » se tournent vers les échanges dans leur propre monnaie (et n’achètent plus de bons du Trésor américain). Dans une « guerre » entre systèmes économiques, l’Amérique commence donc du mauvais pied.

Il y a un siècle, Halford Mackinder affirmait que le contrôle du « Heartland », zone qui s’étend de la Volga au Yangtze, permettrait de contrôler « l’île du monde », terme qu’il utilisait pour désigner l’Europe, l’Asie et l’Afrique. Plus d’un siècle plus tard, la théorie de Mackinder résonne alors que les deux principales nations à l’origine de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) la transforment en un système d’interrelations reliant un bout de l’Eurasie à l’autre. Ce n’est pas si nouveau, bien sûr. Il s’agit simplement de la renaissance de l’ancienne économie basée sur le commerce du cœur de l’Eurasie, qui s’était finalement effondrée au 17e siècle.

Alastair Macleod note que les commentateurs ne parviennent généralement pas à comprendre « pourquoi » cet essor en Asie occidentale : « Ce n’est pas dû à la supériorité militaire, mais à la simple économie. Alors que l’économie américaine souffre d’un résultat inflationniste post-blocage et d’une crise existentielle pour le dollar – l’économie chinoise va connaître un boom grâce à l’augmentation de la consommation intérieure … et à l’augmentation des exportations, conséquence de la stimulation de la demande des consommateurs par l’Amérique [grâce au plan de relance économique de Biden, d’une valeur de 1900 milliards, NdT] et de l’explosion du déficit budgétaire ».

Voilà, explicitement dit, l’argument de Sun Tzu ! « L’opportunité de vaincre l’ennemi est fournie par l’ennemi lui-même ». Il y a à Washington (et dans une certaine mesure en Europe aussi), une faction qui entretient un désir émotionnel pathologique de guerre contre la Russie, provenant en grande partie de la conviction que les Tsars (et plus tard Staline), étaient antisémites. Leur émotion est celle de la haine et de la colère, et pourtant ce sont eux qui sont en grande partie responsables du rapprochement entre la Russie et la Chine. Cette situation, ainsi que la propension de l’Amérique à sanctionner le monde, a donné leur chance à la Chine et à la Russie.

L’idée sous-jacente est toutefois que, même pour l’UE, la périphérie du Rimland est moins importante que l’île-monde de Mackinder. Il fut un temps où la primauté britannique, puis américaine, l’emportait sur son importance, mais ce n’est peut-être plus le cas. Ce qui se passe ici est le plus grand défi jamais lancé à la puissance économique et à la suprématie technologique américaines.
Pourtant, cette Realpolitik économique n’est que la moitié de l’histoire du lancement par la Chine et la Russie d’une « économie mondiale de résistance ». Elle a également un cadre géopolitique parallèle.

C’est à ce dernier aspect, très probablement, que le responsable chinois faisait référence lorsqu’il a déclaré que l’accord avec l’Iran « bouleverserait totalement le paysage géopolitique dominant dans la région de l’Asie occidentale qui a si longtemps été soumise à l’hégémonie des États-Unis ». Notez qu’il n’a pas dit que l’accord bouleverserait les relations de l’Iran avec les États-Unis ou l’Europe, mais l’ensemble de la région. Il a également laissé entendre que les initiatives de la Chine libéreraient l’Asie occidentale de l’hégémonie américaine. Comment cela ?

Dans une interview accordée la semaine dernière, le ministre des affaires étrangères Wang Yi a exposé l’approche de Pékin vis-à-vis de la région de l’Asie occidentale :

Le Moyen-Orient a été un haut lieu de brillantes civilisations dans l’histoire de l’humanité. Pourtant, en raison de conflits et de troubles prolongés dans l’histoire plus récente, la région a sombré dans une dépression sécuritaire… Pour que la région sorte du chaos et jouisse de la stabilité, elle doit s’affranchir de l’ombre de la rivalité géopolitique des grandes puissances et explorer indépendamment des voies de développement adaptées à ses réalités régionales. Elle doit rester imperméable aux pressions et aux ingérences extérieures et suivre une approche inclusive et réconciliatrice pour construire une architecture de sécurité qui tienne compte des préoccupations légitimes de toutes les parties … Dans ce contexte, la Chine souhaite proposer une initiative en cinq points pour assurer la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient :

Premièrement, prôner le respect mutuel … Les deux parties doivent respecter la norme internationale de non-ingérence dans les affaires intérieures des autres … il est particulièrement important que la Chine et les États arabes fassent front commun contre la calomnie, la diffamation, l’ingérence et la pression au nom des droits de l’homme … [l’UE devrait prendre note].

Deuxièmement, défendre l’équité et la justice, s’opposer à l’unilatéralisme et défendre la justice internationale… La Chine encouragera le Conseil de sécurité à délibérer pleinement sur la question de la Palestine afin de réaffirmer la solution à deux États… Nous devons défendre le système international centré sur les Nations unies, ainsi que l’ordre international fondé sur le droit international, et promouvoir conjointement un nouveau type de relations internationales. Nous devrions partager notre expérience en matière de gouvernance … et nous opposer à l’arrogance et aux préjugés.

Troisièmement, la non-prolifération … Les parties doivent … discuter et formuler une feuille de route et un calendrier pour que les États-Unis et l’Iran recommencent à respecter le JCPOA. Il est urgent que les États-Unis prennent des mesures substantielles pour lever leurs sanctions unilatérales à l’encontre de l’Iran, ainsi que leur juridiction de longue durée sur des tiers, et que l’Iran reprenne le respect réciproque de ses engagements nucléaires. Dans le même temps, la communauté internationale devrait soutenir les efforts des pays de la région en vue d’établir au Moyen-Orient une zone exempte d’armes nucléaires et d’autres armes de destruction massive. [Y compris et surtout Israël, NdT]

Quatrièmement, favoriser conjointement la sécurité collective… Nous proposons d’organiser en Chine une conférence de dialogue multilatéral pour la sécurité régionale dans le Golfe (Persique)….

Et cinquièmement, accélérer la coopération pour le développement… ».

Eh bien, la Chine fait une entrée spectaculaire au Moyen-Orient, et défie les États-Unis avec un programme de résistance. Le ministre des affaires étrangères, Wang, lorsqu’il a rencontré Ali Larijani, conseiller spécial du guide suprême Khamenei, a tout formulé en une seule phrase : « L’Iran décide en toute indépendance de ses relations avec les autres pays, et n’est pas comme certains pays qui changent de position en un coup de fil ». Ce commentaire résume à lui seul la nouvelle éthique du « guerrier loup » : les États doivent conserver leur autonomie et leur souveraineté. La Chine prône un multilatéralisme souverainiste pour secouer « le joug occidental ».

Wang n’a pas limité ce message politique à l’Iran. Il venait de tenir les mêmes propos en Arabie saoudite, avant d’arriver à Téhéran. Il a été bien accueilli à Riyadh. En termes de développement économique, la Chine avait auparavant associé la Turquie et le Pakistan au plan du « corridor » – et maintenant l’Iran.

Comment les États-Unis vont-ils réagir ? Ils vont ignorer le message d’Anchorage. Ils vont probablement poursuivre leurs efforts. Ils testent déjà la Chine à propos de Taïwan et préparent une escalade en Ukraine, pour provoquer la Russie.

Pour l’UE, l’entrée de la Chine dans la politique mondiale est plus problématique. Elle tentait de tirer parti de sa propre « autonomie stratégique » en érigeant les valeurs européennes en porte d’entrée de son marché et de son partenariat commercial. En réalité, la Chine dit au monde de rejeter toute imposition hégémonique de valeurs et de droits étrangers.

L’UE est coincée au milieu. Contrairement aux États-Unis, elle n’est pas en mesure d’imprimer l’argent qui lui permettrait de relancer son économie contaminée par le virus. Elle a désespérément besoin de commerce et d’investissement. Or, son principal partenaire commercial, et sa source de technologie, vient de lui dire (comme elle l’a dit aux États-Unis) d’abandonner son discours moralisateur. Dans le même temps, le « partenaire sécuritaire » de l’Europe vient d’exiger le contraire : que l’UE le renforce. Que peut-elle faire ? sinon s’asseoir et observer… (en croisant les doigts pour que personne ne fasse quelque chose d’extrêmement stupide).

Alastair Crooke

Traduit par Wayan, relu par Hervé pour le Saker Francophone




Coronavirus : Les utilisateurs de Facebook vaccinés contre le Covid-19 seront mis en avant sur le fil d’actualité

[Source : 20minutes.fr]

[Illustration : Le logo du réseau social Facebook. — SOPA Images/SIPA]

De nombreux pays ont entamé leur campagne de vaccination contre le coronavirus et Facebook souhaite accompagner leurs efforts. Le réseau social propose depuis ce jeudi deux filtres sur ce thème à ajouter à sa photo de profil.

Ces filtres permettent aux utilisateurs d’indiquer qu’ils ont été vaccinés et d’encourager leurs amis à se faire vacciner à leur tour. Les filtres ont été conçus en partenariat avec le département américain de la Santé et des Services sociaux, indique Facebook dans un communiqué relayé par Ouest France.

L’influence des proches

Les mots sont sans ambiguïté : « Faisons-nous vacciner » et « J’ai reçu mon vaccin contre le Covid-19 ». Facebook ira ensuite plus loin en mettant les personnes vaccinées en avant sur le fil d’actualité de leurs amis. « Nous savons que les gens sont plus susceptibles de se faire vacciner lorsqu’ils voient beaucoup de proches en qui ils ont confiance qui le font », indique Facebook.

Le réseau social américain s’appuie sur des études scientifiques qui montrent « l’impact important des normes sociales sur l’attitude des gens » en matière de santé. Après un test concluant au Royaume-Uni, les filtres sont maintenant disponibles partout dans le monde.




Québec — VÉRIFICATION : Toujours pas de troisième vague d’hospitalisations ou de décès

[Source : quebecnouvelles.info]

Le gouvernement Legault a choisi de serrer la vis aux Québécois et d’imposer des nouvelles mesures, invoquant le spectre d’une troisième vague. Les données ne corroborent pas cette affirmation. 

Les données de décès démontrent qu’il n’y a aucune nouvelle vague de décès COVID au Québec présentement. 

Les hospitalisations ont augmentée légèrement en Avril mais demeurent très basse et semblent être à nouveau à la baisse. 

La moyenne des hospitalisations COVID à travers tout le Québec sur les 7 derniers jours est de 67 hospitalisations. Ces 67 hospitalisations COVID sur une population de plus de 8 million de Québécois sont utilisées pour justifier les mesures autoritaires du gouvernement Legault et le besoin de confiner. 

En date du 16 avril, 90 % des ainés québécois de 80 ans et plus ont été vaccinés. 86.3 % des 70-79 ans ont étés vaccinés, ainsi que plus de la moitié de 60-69 ans. 

Alors que la majorité du globe est revenu à la normalité ou en voie d’y retourner, le Québec utilise le spectre d’une “troisième vague” pour maintenir la population sous des mesures excessives et sans fondement scientifiques. Pourtant, les données démontrent clairement qu’il n’y a pas de troisième vague d’hospitalisations et de décès. 




Cette vitamine montre que la science est MANIPULÉE au plus haut niveau contre les remèdes naturels

[Source : Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com)]

Par Xavier Bazin

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Message de Jeanne, une fidèle lectrice :

« Bonjour Xavier, j’apprécie vos lettres, mais est-il vraiment possible que la science soit aussi manipulée que vous le dites ?  

J’ai un peu de mal à croire que tant de revues médicales et de chercheurs soient vendus à Big Pharma, non ? » 

Oui Jeanne, je comprends tout à fait que ce soit difficile à croire.

Je ne dis pas du tout que tout le monde est « vendu » – il y a énormément de scientifiques de bonne foi, qui ne se rendent pas compte de ce qui se passe.

Mais il est clair que la science médicale est manipulée.

Et je vais vous en donner une preuve EXTRAORDINAIRE aujourd’hui, avec la vitamine C.

Je vous conseille vraiment de lire ce qui suit.

Peut-être pensez-vous encore que l’article frauduleux du Lancet sur l’hydroxychloroquine était un « accident de parcours », un malheureux hasard.

(Je rappelle quand même que 96 000 dossiers médicaux avaient été purement et simplement inventés pour faire croire à la dangerosité de l’hydroxychloroquine).

Peut-être pensez-vous que l’étude récente soi-disant défavorable à l’ivermectine a été publiée de bonne foi dans le prestigieux journal JAMA.

(Alors que sur plus de 20 études randomisées prouvant l’efficacité de l’ivermectine, c’est l’une des seules qui ne trouve pas d’effet probant – pour une raison simple : l’ivermectine a été testée sur des personnes jeunes et en bonne santé, qui ont guéri toutes seules !).

Peut-être avez-vous déjà oublié que le remdésivir, le médicament hors de prix et inefficace de Gilead, avait au départ obtenu plusieurs études favorables, publiées dans de grands journaux médicaux.

(Il a fallu que les Chinois, puis l’Organisation mondiale de la Santé, réalisent des études indépendantes pour prouver que ce médicament ne valait rien).

Bref, si vous croyez encore qu’on peut faire confiance, les yeux fermés, au « consensus scientifique » tel qu’il s’étale dans les grands journaux médicaux, lisez bien ce qui suit.

Car ce qui s’est passé sur la vitamine C est tout simplement hallucinant.

Vous êtes bien assis ? Regardez cette étude incroyable sur la vitamine C

Il y a quelques années, un des plus grands médecins au monde, le Pr Marik, a découvert que des injections de doses massives de vitamine C avaient un effet extraordinaire sur les patients victimes de septicémie, en soins intensifs.

Ceux qui recevaient des injections de vitamine C dès leur entrée en réanimation étaient beaucoup moins nombreux à mourir que les autres !

Donc si les médecins réanimateurs du monde entier utilisaient cette substance peu coûteuse, la vitamine C, des milliers de vies pourraient être sauvées.

Qui pourrait avoir intérêt à cacher une information aussi salvatrice ?

Dans un monde normal, personne, bien sûr. 

Et pourtant, regardez-bien ce qui s’est passé.

Suite à la découverte du Pr Marik, une grande étude a été publiée dans le prestigieux Journal of the American Journal Association (JAMA) [1].

Il s’agissait d’une étude randomisée, en double aveugle et multicentrique.

Bref, en termes de sérieux et de fiabilité, on ne peut pas faire mieux.

167 patients admis en réanimation pour septicémie ou détresse respiratoire ont été tirés au sort :

  • La moitié ont reçu des perfusions de vitamine C ;
  • La moitié ont reçu un placebo (une perfusion sans substance active).

Conclusion des chercheurs : la vitamine C ne marche pas.

En tout cas, c’est ce qu’ils écrivent noir sur blanc, dans le résumé (« abstract ») de l’étude :

« Dans cette étude préliminaire, les perfusions de vitamine C pendant 96 heures n’ont pas amélioré de façon significative le score de dysfonction des organes, ni altéré les marqueurs de l’inflammation et de lésions vasculaires ».

Je rappelle que 99 % des scientifiques se contentent de lire le résumé des études.

Donc, si on s’arrête là, on en conclut que la vitamine C en perfusion ne marche pas, et on passe à autre chose.

Maintenant, apprêtez-vous à être SURPRIS.

En réalité, ce sur quoi l’étude n’a pas trouvé d’efficacité de la vitamine C, c’est uniquement sur des « biomarqueurs », comme le « taux de thrombomoduline ».

Mais qu’en est-il de son effet sur la survie des patients ? Ou sur leur durée d’hospitalisation ?

N’est-il pas plus important de savoir si les patients ont été sauvés… plutôt que de faire des analyses sanguines ? 

Alors regardons ensemble ce qu’il en est.Il faut aller au fond de l’article pour découvrir ce magnifique graphique [2] :

Il s’agit de l’effet de la vitamine C sur la MORTALITÉ.

En bleu, vous voyez que le placebo aboutit à une mortalité totale de 45 %.

En orange, vous voyez que les perfusions de vitamine C conduisent à seulement 30 % de mortalité.

Cela fait un tiers de morts en moins, et c’est un résultat statistiquement significatif !

Cela veut dire que si on soigne 1 000 malades similaires, la vitamine C permettrait d’en sauver 150 !!!

Magnifique non ? Ce n’est pas tous les jours qu’on obtient un tel effet en médecine !

Et pourtant, les auteurs de l’étude et l’éditeur du Journal ont enterré cette découverte et expliqué, dans le résumé, que la vitamine C ne servait à rien !!!

C’est purement et simplement criminel.

En réalité, cette étude confirme l’efficacité de la vitamine C sur tous les aspects cliniques :

  • Moins de temps passé en réanimation par le groupe vitamine C (significatif)
  • Et moins de temps passé à l’hôpital au total (15 jours seulement contre 22 jours pour le placebo, également significatif statistiquement).

Donc vous avez une étude très positive sur ce qui est le plus important pour le patient : 

  • Le nombre de jours passés à l’hôpital ;
  • Le nombre de jours passés en réanimation ;
  • Et la survie (il me semble que ça compte un peu de ne pas mourir, non ?).

Mais la conclusion officielle, la conclusion du « consensus scientifique , c’est que la vitamine C ne « marche pas » !!!

Vous rendez-vous compte ?

Après avoir lu ceci, pouvez-vous encore croire que ces grands journaux sont de « bonne foi », quand il s’agit de molécules naturelles, non brevetables ? 

Ce qui se passe en ce moment n’est que la face émergée d’un iceberg de désinformation scientifique, qui sévit depuis des années !

Et ils recommencent avec la vitamine C, cette fois sur la Covid !

Vous allez voir que la mauvaise foi est sans borne.

Récemment, des chercheurs ont voulu savoir si des comprimés de vitamine C (et de zinc) peuvent avoir un effet contre la Covid-19 [3], quand on avale ces micronutriments très tôt, dès les premiers symptômes.

C’est une bonne idée, si l’étude est réalisée honnêtement.

Problème : ils ont choisi des patients relativement jeunes (45 ans en moyenne), donc qui guérissent tout seuls pour la plupart, sans problème particulier.

Comme je vous l’ai déjà dit, c’est un moyen évident d’obtenir un résultat non significatif, donc non probant, surtout avec seulement 50 patients par groupe testé !

Dès le départ, donc, la méthode était faussée.

Et sans surprise, l’étude conclut que ces compléments alimentaires n’ont « pas d’efficacité ». 

Pour enfoncer le clou, le JAMA a même publié un « commentaire » de l’étude réalisée par deux grands professeurs de médecine, qui pourfendent la « fausse mode » des micronutriments en compléments alimentaires.

Résultat : tous les idiots utiles (scientifiques et journalistes) ont pu claironner que la vitamine C et le zinc « ne servent à rien ».

C’est évidemment faux : la seule conclusion honnête des résultats proposée, c’est que l’étude n’est pas probante, dans un sens ou un autre, faute de patients en nombre suffisant.

Mais il y a pire.

Vous allez voir qu’il y a, en plus, deux ÉNORMES manipulations. 

Les chercheurs ont volontairement SABOTÉ leur étude pour l’empêcher de prouver l’efficacité de la vitamine C !

Quand on regarde les chiffres avec précision, on réalise que les patients sous vitamine C ont guéri un jour plus tôt que ceux du groupe placebo.

Le résultat n’est pas significatif statistiquement, car l’étude ne comportait pas assez de patients.

Mais si l’on avait testé la vitamine C sur davantage de patients, on aurait pu aboutir à un résultat significatif.

Et c’est là que ça devient à peine croyable.

Figurez-vous que les chercheurs ont arrêté l’étude en cours de route !!!

Initialement, ils avaient prévu de faire des groupes de 100 patients, et non des groupes de 50.

Mais ils ont arrêté l’étude en cours de route, soi-disant pour « futilité »… alors que les groupes vitamine C étaient en train de prouver leur efficacité sur la réduction des symptômes !

Cela ne vous fait pas penser à l’étude française Discovery, arrêtée pour les mêmes raisons absurdes (« futilité »), au moment où le groupe traité par hydroxychloroquine avait 31 % de morts en moins par rapport au groupe placebo [4] ?

De même, dans le cas de cette étude sur la vitamine C, l’arrêt de l’essai clinique en cours de route est extrêmement suspect, car contraire au protocole scientifique fixé au départ.

On peut penser que l’objectif était d’éviter de devoir révéler au monde entier qu’une banale vitamine a une réelle efficacité sur les symptômes de la Covid-19.

Et ce n’est pas tout. 

Les auteurs sont allés jusqu’à cacher des résultats favorables à la vitamine C, dans leur propre étude !

Regardez la diminution des symptômes dans le groupe vitamine C (en rouge) par rapport au placebo (en bleu) :

On voit bien qu’entre les jours 5 et 10, il y a une très forte amélioration du groupe vitamine C.

Puis, après 20 jours, il y a moins de différences, car la plupart des patients ont eu le temps de guérir spontanément, avec ou sans vitamine C.

Mais des scientifiques indépendants ont ré-analysés les données et montré que la vitamine C accélère la guérison de 70 %, un résultat significatif statistiquement… mais caché par les auteurs [5] !

Ces mêmes scientifiques honnêtes ont aussi montré que parmi les patients ayant des symptômes pendant longtemps, ceux qui avaient pris de la vitamine C avaient guéri trois jours plus tôt, ce qui n’est pas négligeable.

Bref, cette étude est globalement favorable à l’efficacité de la vitamine C !

Mais la conclusion du « consensus scientifique » est exactement inverse ! 

Cette étude a permis à certains « pontes » de conclure avec autorité que la vitamine C ne marche pas… en avançant comme « preuve » que cela a été publié dans un journal prestigieux comme le JAMA !

Mais c’est faux, il suffit de regarder l’étude en détail !

(Quant au zinc, le sabotage est peut-être encore plus flagrant : figurez-vous que le groupe ayant reçu du zinc en plus de la vitamine C comprenait 29 % de diabétiques, contre 9 % seulement dans le groupe placebo – or on sait bien que les diabétiques ont plus de risques de complications).

Bref, j’espère que vous voyez la gravité de la situation.

On ne peut pas faire confiance au « résumé » (abstract) des grands articles publiés dans des journaux prestigieux dans deux cas :  

  • Quand ils concernent des molécules anciennes et peu coûteuses, a fortiori naturelles ;
  • Quand elles concernent des molécules innovantes hors de prix, avec des études financées ou organisées par les laboratoires pharmaceutiques.

Dans ces deux cas, il faut aller voir et décortiquer le contenu précis de l’étude.

C’est ce que j’essaie de faire pour vous, car j’en ai le temps et l’énergie.

Mais la plupart des médecins et journalistes n’en ont pas le temps… et de toute façon, cela leur paraît inutile car ils font confiance au « résumé ».

Et voilà comment on a un faux consensus scientifique sur l’inefficacité de l’hydroxychloroquine…

… et une absence de consensus scientifique sur la vitamine D ou l’ivermectine, malgré des preuves massives et évidentes d’efficacité !

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : j’ai rassemblé toutes mes réflexions dans un livre explosif : Big Pharma démasqué – de la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle la face noire de notre système de santé.

Il sortira le 22 avril aux éditions Trédaniel, je vous en reparlerai prochainement (c’est une publicité totalement assumée car je ne toucherai aucun centime sur ce livre, mes droits d’auteurs seront intégralement reversés à la Fondation Hippocrate, qui défend une médecine intégrative, c’est à dire l’alliance du meilleur des médecines naturelles et conventionnelles).


Sources

[1] https://www.jem-journal.com/article/S0736-4679(20)30029-9/fulltext

[2] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6777268/

[3] https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2776305

[4] www.sante-corps-esprit.com/ma-bombe-sur-letude-discovery-ne-plait-pas-a-tout-le-monde-voici-ma-reponse/

[5] https://www.researchsquare.com/article/rs-289381/v1

[6] Par ailleurs, on ne sait même pas si les patients ont reçu 50 milligrammes de zinc élémentaire – une dose adéquate – ou seulement 7 milligrammes – une dose ridicule – car les auteurs parlent de « 50 mg de zinc gluconate », ce qui peut vouloir dire 50 mg de zinc « sous sa forme gluconate », ou bien 50 mg de « zinc gluconate », qui ne contient que 7 mg de zinc.




De l’art de la manipulation, de la pensée unique… et de l’usage du mot « complotiste »

Par Alain Tortosa

Concernant l’utilisation répétée et généralisée du mot « complotiste »

Celui-ci ne fait qu’apporter la preuve indirecte que ledit « complotiste » énonce des propos qui sont, sinon justes, tout du moins dignes d’intérêt.

En effet, le terme « complotiste » a une visée double :

  • Celui de discréditer en amont les opinions divergentes.

Mais aussi et surtout :

  • Décharger autrui de l’obligation morale de lecture et de réflexion pour construire sa propre opinion.

Et donc faire passer le message :

« Je t’annonce que les propos suivants ne sont que délires et que tu n’as pas à les lire. »

Mais pire encore :

«Tu ne devrais pas les lire, car tu pourrais être manipulé et induit en erreur. Tu es donc dédouané du devoir de t’informer avant de juger pour construire ta propre opinion. »

Ceci constitue une preuve que l’intention manipulatrice vient, non pas du prétendu « complotiste », mais de celui qui utilise le terme pour discréditer toute hypothèse alternative.

Cela peut se résumer autrement en disant que si les propos dudit « complotiste » n’étaient que « délire », il suffirait de le laisser s’exprimer librement et toute personne censée en prendrait conscience et ce serait terminé, le soufflet retomberait.

Une autre « justification » de l’usage reviendrait de fait à affirmer que le peuple est trop stupide pour comprendre, qu’il faut donc le mettre sous tutelle et le protéger malgré lui. Il faut donc l’empêcher de réfléchir, ce qu’il ne sait pas faire, par nature, et donc l’empêcher de construire sa propre opinion qui ne pourrait qu’être erronée. Nous déduisons qu’il faut évidemment lui retirer toute prérogative et il serait logique en premier lieu de lui supprimer le droit de vote. Ce qu’a fait en gros la 5e république…

Donc tout journaliste qui traite autrui de « complotiste » est en train de dire indirectement que les propos dudit complotiste sont pour partie vrais (et donc subversifs) ou d’affirmer que la démocratie ne saurait exister pour un peuple incapable d’avoir les « bonnes » pensées et de faire les « bons » choix.

La vérité serait statistique ou issue des autorités de pouvoir ou reconnues

La théorie voudrait que « plus c’est répété, plus c’est vrai ». Un mensonge dit par une personne seule est un mensonge, mais s’il est répété par des milliers de personnes il devient une Vérité. Cela est concomitant avec une autre croyance qui dirait que plus l’information est issue d’une autorité reconnue et plus elle est au-dessus de tout soupçon.

De fait, quand par exemple l’OMS, l’Agence Européenne du Médicament ou l’INSERM diffusent le même conte, cette uniformité de discours en fait une Vérité incontournable. Or le devoir de tout journaliste ou de tout scientifique est de douter de la vérité et enquêter sans a priori.

Un autre point qu’il ne faut pas négliger est le conformisme et le besoin d’appartenance. Si l’OMS le dit et que j’ai la croyance que c’est une entité respectable, alors j’aurai naturellement tendance à penser qu’ils émettent une Vérité. Commencer à penser ou dire le contraire me placerait en porte-à-faux et dans une position inconfortable sans compter le risque de dénigrement ou d’excommunication…

Nous assistons de fait au décès de la science.

Et pourtant, la seule démarche scientifique face à un chercheur qui affirmerait que la Terre est plate serait d’écouter ses arguments et de lui demander d’apporter les éléments de preuve qui lui permettent d’avancer cette théorie.

Si d’aventure son hypothèse était totalement ridicule, il ne serait pas difficile d’exposer les contre-arguments et l’auteur de la théorie de la Terre plate serait discrédité.

À propos des institutions au-delà de tout soupçon.

Prenons l’exemple de l’OMS

Quiconque s’est un peu penché sur le sujet sait que l’OMS pose problème.

  • La fondation Bill et Melinda Gates est un des plus grands contributeurs, plus que la plupart des états membres. Fondation elle-même soutenue et financée par l’industrie pharmaceutique et le Gavi qui est un lobby mondial pour la vaccination.
  • Les laboratoires pharmaceutiques sont représentés dans les instances décisionnelles.

Le sous-financement de l’OMS la rend directement dépendante des lobbies. Il serait donc déraisonnable, voire irresponsable, de s’appuyer sur son seul nom pour en déduire la véracité scientifique et objective de ses discours.

L’Union Européenne

Ici encore le lobbying dans l’Union est un secret de polichinelle. Les milliards des lobbyistes coulent à flots et nous assistons à un jeu de chaises musicales entre les postes dans l’industrie et les postes au sein de la commission. Nous avons eu la preuve de l’absence totale d’indépendance pour l’autorisation de mise sur le marché des thérapies dites « vaccinales ». Thérapies qui ont pu bénéficier d’une autorisation temporaire parce qu’il n’existe, officiellement, aucun traitement contre le Covid. Qui dit « traitement » dit donc adieu aux « vaccins » ou en tous les cas, retarde leur arrivée de plusieurs années du fait de l’interdiction de court-circuiter toutes les sécurités. Ne nous étonnons donc pas de l’absence de traitement proclamée dès le déb ut de l’épidémie et de l’annonce que « seuls les vaccins nous permettront d’éradiquer le fléau ».

Comment ne pas se questionner aussi dès lors que les autorisations de mise sur le marché des dits produits ont été accordées sur les seules données des industries pharmaceutiques.

L’industrie pharmaceutique

Les scandales se succèdent d’année en année et les milliards de dollars d’amendes aussi bien pour falsification de données, mensonges, publicité mensongère et corruption massive de politiques ou de médecins.

Dès lors que cette industrie pèse sur l’OMS et est en capacité de faire autoriser ses produits expérimentaux sur simple présentation de ses données, comment ne pas s’interroger ?

Les scientifiques et la recherche (INSERM, Pasteur,…)

La survie financière et la possibilité pour des scientifiques de faire des recherches sont rendues quasi impossibles sans un partenariat public/privé du fait du désengagement progressif de la force publique. Seules les études qui peuvent avoir une rentabilité commerciale sont menées.

Existe-t-il encore une science ? Combien d’études sont publiées sans que les auteurs aient reçu une rémunération directe ou indirecte de l’industrie pharmaceutique ? Qui pourrait ainsi croire que le financeur ou le « mécène » n’est pas celui qui insuffle la ligne directrice et donc la Vérité ?

Bref! tout ceci pour affirmer ou rappeler qu’il faudrait être fou ou corrompu pour s’appuyer sur le seul nom d’une institution pour en déduire la véracité de ses propos.

Le dénigrement par le consensus, le doute et le dévoiement du principe de précaution

La dictature sanitaire utilise à la fois le consensus et le doute pour mettre à mort la science.

D’un côté, le consensus :

Le discours est à ce point biaisé que lors d’un débat entre une personne qui adhère à la doxa et un scientifique qui doute, le message passé par le Ministère de la Vérité sera par exemple : «Il y a un consensus sur l’efficacité du port du masque » alors même que la seule existence de celui qui critique constitue une preuve de l’absence de consensus.

La Vérité imposée par les autorités sanitaires et leurs complices médiatiques est qu’il y a « consensus » parmi les scientifiques qui ont accès aux médias nationaux et puis c’est tout ! Tous les autres sont donc naturellement qualifiés de « complotistes » et il est de fait inutile, voire dangereux, de les intégrer comme pensée divergente. Ainsi le « consensus » n’est pas brisé étant donné que seules les opinions conformes sont crédibles.

De l’autre côté, le doute :

Toute affirmation qui n’irait pas dans le sens de la Vérité imposée sera dénaturée par une introduction perverse du doute.

Cette méthode est d’autant plus perverse que le doute est LA démarche de base de la science. Prenons l’exemple de l’Ivermectine. De nombreuses études issues de scientifiques indépendants au-delà de tout soupçon arrivent à la conclusion que le produit est efficace pour lutter contre le Covid et qu’il faut donc l’intégrer dans l’arsenal des mesures possibles.

(Je vous rappelle que s’il était efficace les « vaccins » n’auraient pas pu bénéficier d’une AMM)

Que font celles et ceux qui voient les « vaccins » comme étant des sauveurs ou plutôt une manne financière ? Ils inondent la presse scientifique « d’études » qui concluent que le médicament est inefficace ou dangereux. Il y a donc un doute que l’on peut naïvement croire légitime qui s’installe… Au point que si les études (bidons) deviennent majoritaires, le doute disparaît et la « preuve » que le produit est finalement inefficace et dangereux s’impose. Mais est-ce un doute raisonnable et honnête ou un doute biaisé induit par des chercheurs qui auraient des conflits d’intérêts ou même carrément véreux ?

Abordons maintenant le dévoiement du principe de précaution

Le « Primum non nocere » [d’abord, ne pas nuire] est parti aux oubliettes.

Si celui-ci était de mise alors nous n’aurions connu :

  • Ni confinement.
  • Ni masques obligatoires.
  • Ni commerces ou loisirs fermés.
  • Ni maltraitances envers les enfants.
  • Ni Remdesivir.
    Etc.
  • Ni « vaccins ».

Il y aurait eu une évaluation préalable de chaque mesure et certainement pas un déploiement à l’échelle de nombreux pays… Une partie de la population aurait été confinée, mais pas l’autre et nous aurions pu évaluer l’efficacité de la mesure et éventuellement prendre la décision de l’étendre ou pas. De même que pour les masques, les traitements et les « vaccins »…

Il y aurait eu aussi débat sur le fait de savoir si « la fin justifie les moyens » et si au nom d’une efficacité nous pouvons nous asseoir sur les droits de l’homme !

Mais ici l’industrie pharmaceutique a décidé unilatéralement l’inverse !

Le principe de précaution a été dévoyé en arguant que nous étions face à la peste noire.

« Les masques ne servent peut-être à rien, ils sont peut-être dangereux, mais par précaution il faut les porter ! »

« Les vaccins sont expérimentaux, ils sont peut-être dangereux, nous ne connaissons pas les effets à long terme, mais par précaution il faut les injecter, même à une population qui ne craint strictement rien du virus ! »

En revanche, un traitement avec des molécules quasi gratuites qui existent depuis plus de 50 ans, dont les effets à court et long terme n’ont aucun doute doivent, elles, être découragées et interdites au nom du principe de précaution ! Imaginez que l’on puisse sauver gratuitement des vies, quelle horreur !

Deux poids, deux mesures !

La manipulation par détournement des chiffres

Prenons par exemple l’âge médian des décès de 85 ans et considérons que cette donnée gouvernementale est réelle quand bien même des décès autres, par exemple de cancer, sont attribués au Covid. Il est possible de dire que cette donnée constitue une preuve que le Covid ne peut entraîner une hécatombe chez les jeunes… sinon l’âge médian serait bien inférieur !

Mais il est aussi possible d’utiliser cette donnée pour faire peur et ainsi dire que le Covid tue aussi des personnes jeunes ! Si cette affirmation largement usitée dans les médias demeure exacte, elle en devient pour le moins une manipulation de la réalité. Santé Publique France indique que seuls 2% des décès concernent des per sonnes de moins de 65 ans et sans pathologies graves connues. Cela représenterait moins de 2000 décès !

Mais ici encore la manipulation est possible en disant « et si c’était vous ou vos enfants ? » oubliant par exemple de préciser qu’il y a plus de risque de décéder en s’étouffant ou frappé par la foudre pour une personne en bonne santé que de décéder du Covid.

C’est de même nature que d’énoncer tous les jours le nombre de décès du Covid sans les mettre en

perspective par rapport au nombre total de morts journaliers, de décès par maladie, de suicides…

Je pourrais aussi citer les réanimations dont le taux de réanimation qui est fourni est un faux, car il divise le nombre total de personnes en soin critique (19 000 lits) par le nombre de lits de réanimation (5400 lits). Ou ignorer le fait que ces fameuses saturations sont systémiques et qu’elles n’ont strictement rien à voir avec le Covid. Et d’autant plus que les chefs de service DOIVENT remplir leur lit de réanimation afin de conserver des budgets ou réclamer de nouveaux lits.

En conclusion

Se faire traiter de « complotiste » est aujourd’hui une récompense. Il n’est ni plus ni moins que la confirmation que vous êtes une personne qui se pose des questions qu’il ne faut surtout pas écouter.

S’il faut tout faire pour que le « peuple des inutiles » écoute le moins possible les « complotistes », c’est la preuve que le pouvoir est terrorisé par le réveil du peuple. La censure grandissante et les calomnies prouvent que la dictature est de plus en plus inquiète de voir le peuple découvrir qu’on lui ment, comme jamais, depuis plus d’un an.

L’épidémie de Covid n’est pas plus grave que les épidémies d’infections respiratoires aiguës des années précédentes et elle l’est d’autant moins dans les pays qui n’ont pas INTERDIT les traitements. Le masque porté dans une population générale n’a jamais limité une épidémie alors que ses contre-indications pour la santé physique, psychique et sociétale sont bien réelles. Il n’est là que pour terroriser, tester la capacité d’un peuple à tout gober par la peur et rendre visible une épidémie dont nous ignorerions l’existence sans les médias et les mesures dictatoriales.
« Tiens, elle a été un peu rude la grippe cette année ! »
Les confinements d’une population générale sont totalement inefficaces et contre-productifs comme nous le savons depuis des siècles.

La lutte contre un virus ne se résume pas à prendre du paracétamol ! On n’enferme pas les gens, on ne les prive pas de contacts, sauf si on veut les détruire physiquement ou psychiquement.

Et manipuler le peuple pour lui faire croire qu’un vaccin pourrait être efficace contre un virus qui ne fait que muter…
« Vaccin » qui favorise en toute logique les mutations en bloquant principalement la souche d’origine.
« Vaccins » qui ont pu être commercialisés en échappant aux mesures de sécurité face à «l’urgence ».
« Vaccins » que l’on ose nommer ainsi alors même qu’ils n’empêchent ni de tomber malade, ni les contaminations.

Le pire est que :

  • L’on ose parler de vaccination solidaire alors que la preuve n’est toujours pas là pour dire qu’ils protègent autrui
  • L’on ose parler de rapport bénéfice/risque favorable pour une population en bonne santé pour laquelle le risque de décès est statistiquement NUL
  • L’on ose aujourd’hui parler de vacciner des enfants alors que 0 enfant en bonne santé est décédé de cette gentille grippe, gentille, car à la différence de la vraie grippe qui tue chaque année en France des dizaines d’enfants, le gentil Covid les a totalement épargnés.

Et des personnes qui se prétendent « journalistes » n’ont pour seul argument que de traiter de complotiste toute personne qui réfléchit, qui reg arde les chiffres, analyse ce qu’il se passe dans d’autres pays et lit des études scientifiques indépendantes !

Mais profitez donc de la controverse, écoutez celles et ceux qui ne sont pas hypnotisés ou corrompus et nourrissez-vous de leur savoir !

Vous, « journalistes », n’avez-vous plus aucune conscience ni courage ? Aucune déontologie ? Aucune soif d’enquêter ? Aucune soif de réfléchir et faire réfléchir ? Aucune soif de vérité ?

Comment vivez-vous le fait de n’être que des photocopieurs branchés sur l’AFP ? Méprisable !

Merci

Alain Tortosa

Le 11 avril 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210411-journaliste-complotiste-science.pdf




Ils osent tout… C’est même à ça qu’on les reconnaît !!!

Par Jean

Second communiqué des Gilets Jaunes de la Victoire(([1] Premier communiqué :
http://www.profession-gendarme.com/les-peuples-et-les-etats-pietines-les-complotistes-ne-se-cachent-meme-plus/))

[Illustration : De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’Infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.
Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it]

Les comploteurs et leurs maîtres ont lancé à l’automne 2019 leur attaque qu’ils veulent définitive contre les Peuples et les Etats pour nous dissoudre dans la mondialisation. Les spadassins que l’on voit s’agiter sur les plateaux TV et dans la presse, ne sont que les mercenaires d’une caste composée de financiers et de milliardaires qui veulent nous contrôler et nous asservir. Leurs armes sont, les pouvoirs qu’ils détiennent, la peur du virus, et la vaccination. Ils sont dans l’obligation absolue de poursuivre leur plan sous peine de perdre la face. Pour cela, ils doivent, coûte que coûte, « ad infinitum » continuer à mettre la pression sur la population avec ce virus qui n’est qu’un prétexte amplifié par des médias subventionnés et des journalistes, dont la plupart sont au-dessous de tout. Toute cette clique entretient depuis plus d’un an la terreur sanitaire, le plus souvent avec des mensonges, des omissions, et des manipulations les plus grossières(([2] Le seuil épidémique a été modifié en juillet 2020 par les autorités sanitaires françaises sans que la population en soit avertie. (FranceSoir) Une preuve irréfutable d’une manipulation à grande échelle.)). Le confinement perpétuel est indispensable à ceux qui tirent les ficelles, c’est pour cela qu’ils vont prolonger l’état d’urgence et serrer de plus en plus la vis. Notamment pour bloquer les instances judiciaires afin d’éviter une cascade de procès qui risque de leur être fatal(([3] https://nouveau-monde.ca/la-bataille-judiciaire-bat-son-plein-refere-contre-les-confinements-et-couvre-feux/)), ou, par exemple, quand ceci va être déposé dans un tribunal international honnête(([4] https://nouveau-monde.ca/maitre-carlo-brusa-devoile-toute-la-supercherie-du-covid/)).

Selon eux il n’existe qu’une seule solution pour nous sortir de la crise covidienne, la « vaccination(([5] https://nouveau-monde.ca/oui-les-vaccins-sont-experimentaux-contrairement-a-ce-que-lafp-et-j-mansour-affirment-dans-leur-fast-check/)) (([6] https://www.cielvoile.fr/2021/03/l-ancien-vice-president-de-pfizer-a-l-aflds-il-est-tout-a-fait-possible-que-cela-soit-utilise-pour-une-depopulation-a-grande-echelle)) (([7] https://www.nexus.fr/actualite/billet-dhumeur/finalite-vaccination-guillemant/?fbclid=IwAR3n_IBxCm1Ah_LrRIyfHR8SEm3V9i6LUP5UMnB4alws3ts80YgQYRKQEEs#.YBHxv9OnByY.facebook)) (([8] https://nouveau-monde.ca/il-denonce-la-fausse-pandemie-orchestree-par-bill-gates/)), alors qu’il est maintenant abondamment prouvé qu’il existe des traitements très efficaces et à bas coûts. Par exemple : l’ivermectine(([9] https://planetes360.fr/dr-tess-lawrie-avis-aux-populations-du-monde-entier-livermectine-fonctionne/)) et le protocole Raoult avec son hydroxychloroquine qui a fait ses preuves notamment en Afrique. Mais ces solutions ne sont pas leur solution, vous comprenez ? Eux, ce qu’ils cherchent à tout prix avec l’alibi de la « vaccination », c’est d’injecter dans votre corps des composants qui n’ont rien à y faire.

Ce qui est le plus clair et le plus manifeste dans cette kabbale c’est que le dialogue n’existe plus depuis longtemps, seul subsiste les décisions autoritaires prises unilatéralement par un pouvoir qui est maintenant devenu ainsi, peu à peu, une dictature totalitaire. Ce pouvoir cherche à régenter entièrement nos vies. Ses décisions nous sont quasiment imposées par un pilonnage médiatique incessant. Malheur à ceux qui écoutent toute la journée BFMTV, dont son directeur Marc-Olivier Fogiel a osé dire « Dès qu’on a entendu ce que racontaient les rassuristes, on a fait en sorte de ne jamais plus les inviter. Nous sommes très vigilants sur cette crise pour éviter les fake news. »

Voyons un peu ce que ce sordide personnage considère comme étant une fake news, une seule info suffira : https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/

Une paille, ce qui fait une moyenne de plus de 300 médecins par département !!!!! Fogiel n’est assurément pas un démocrate, toute cette engeance est du même tonneau.

Ceux d’entre nous qui ne se sont pas encore rendu compte que la quasi-totalité des informations objectives et vraiment nécessaires sont en fait censurés, devraient commencer dès maintenant à sérieusement réfléchir

Peter de Berlin : Quelque chose se passe sous nos yeux, mais nous ne le voyons pas ! — PLANETES360

Le confinement dans la caverne, une méthode qui a fait déjà fait ses preuves dans le passé pour préparer et faire démarrer les pires guerres qu’a connu l’humanité.

Dans le plan initial, Klaus Schwab le président fondateur du Forum de Davos (Forum Économique Mondial), misant sur un virus nettement plus violent et mortel, avait prévu un lockstep total sur l’ensemble de la planète. C’est-à-dire plus personne dans les rues. Tous les pays devaient être confinés et rester confinés en permanence, avec masques comme une muselière à perpétuité pour les gueux. Ceci est confirmé par le sinistre polonais de la santé(([10] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/04/09/comme-attali-et-schwab-le-ministre-polonais-de-la-sante-promet-des-decennies-de-tyrannie-sanitaire/)) qui ne doute de rien. Heureusement pour nous, le virus à fait pschitt… et maintenant ils se retrouvent fort démunis, puisqu’entre autres, la Chine, depuis septembre 2020(([11] http://www.amb-chine.fr/fra/zgzfg/t1817634.htm , 22 septembre 2020, Conférence de presse de Lu Shaye, Ambassadeur de Chine en France.)), la Russie, la Turquie, plusieurs états américains … ont levé les restrictions sanitaires et ont donc remis en route leur économie. Vladimir Poutine leur faisant, en prime, l’affront de botter le cul du président Schwab en plein Forum virtuel du Davos 2021(([12] https://nouveau-monde.ca/discours-de-vladimir-poutine-au-forum-de-davos-2021-lhomme-ne-doit-pas-etre-un-moyen-mais-un-but-de-leconomie/)), une info, comme beaucoup d’autres, que l’on se garde bien de vous transmettre, et une déculottée cuisante qui les a certainement mis en fureur.

Ne pouvant plus faire marche arrière, malgré que le bateau fuit de toute part, ils continuent obstinément leur sinistre plan comme les créatures pitoyables qu’ils sont, mais d’une manière ou d’une autre ils sont faits comme des rats… ce n’est qu’une question de temps.


La suppression envisagée de l’ENA (École Nationale d’Administration) est un signe fort qui doit montrer clairement aux aveugles que Macron a bien choisi de trahir son pays et sa population pour donner le plein pouvoir sur nos vies et celles de nos enfants au cartel du Nouvel Ordre Mondial.


Ne vivez plus dans la peur, ne soyez plus des êtres passifs, réagissez, venez respirez l’air du large…(([13] TEASER – Vers un Grand Reset national anti-Davos ? — Avec Valérie Bugault))
La peur va changer de camps, bientôt nous les submergerons.


Notes




Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?

[Source : ⚡️ BITCOIN, PIÈGE À CONNE ? SORTIR DE LA BULLE AVANT QUE LA FINANCE NE VOUS PLUME (geopolitique-profonde.com)]

BITCOIN, PIÈGE À CONNE ? SORTIR DE LA BULLE AVANT QUE LA FINANCE NE VOUS PLUME

Par Marc Gabriel Draghi

Depuis quelques semaines, le bitcoin ne cesse d’affoler les compteurs. La valeur de la cryptomonnaie la plus célèbre du monde a même dépassé les 60 000 dollars au cours du mois de mars 2021, du jamais-vu dans l’histoire récente des cryptomonnaies. 

Le succès du Bitcoin

Cette tendance favorable peut s’expliquer par plusieurs facteurs : tout d’abord, la crise sanitaire et les différents plans de relance à travers le monde et ensuite l’arrivée d’investisseurs qualifiés de « traditionnels ». L’extrême volatilité de la crypto de Nakamoto, ne semble donc plus décourager les investisseurs. Certains même n’hésitent pas à parler d’or digital ou encore d’étalon Bitcoin.

La comparaison entre l’actif numérique et l’or en matière de référence de valeur est de plus en plus entendue dans le monde de l’investissement.

Cette frénésie actuelle autour du bitcoin des grands acteurs « institutionnels » a débuté de manière significative avec l’année 2020 et l’instauration progressive de la crise sanitaire.

La société américaine PayPal (l’hégémonique plateforme de service de paiement en ligne) autorise désormais les paiements en bitcoin sur sa plateforme. Ce qui représente une consécration pour la plus célèbre des cryptos.

Ensuite, le discours de la fin d’année 2020, de Larry Fink, patron de BlackRock, a également acté le poids croissant du bitcoin et son intérêt pour le plus gros gestionnaire d’actifs au monde comme monnaie alternative au dollar…

Ainsi, le 20 janvier 2021, l’ancienne filiale de Blackstone, premier gestionnaire d’actifs mondial a officiellement inclus des produits dérivés du bitcoin dans la liste des actifs éligibles à deux de ses fonds d’investissement.

Enfin, le très médiatique et iconique patron de Tesla, Elon Musk, a de son côté, carrément fait grimper le cours du cryptoactif de 33 % en février 2021 quand il a fait l’acquisition de plus de 1.5 milliard de Bitcoin et qu’il a communiqué sur cette initiative.

On constate donc qu’au cours de l’année 2020 et en ce premier semestre 2021, il s’est véritablement passé quelque chose (en tout cas politiquement et stratégiquement) autour du bitcoin. Cependant, ce succès et cette tendance soulèvent évidemment plusieurs questions.

Bitcoin et alt season en bulle
Cette pièce existe-elle vraiment ?

Cryptomonnaies et Great Reset

En effet, alors que nous avons entamé une phase extraordinaire de décroissance programmée (le fameux Great Reset), on constate depuis quelques mois une recrudescence d’attention vers les cryptomonnaies. Dans ce contexte particulier (pré-effondrement), les cryptomonnaies (plus particulièrement le bitcoin) sont en train d’être présentées comme la solution numéro 1 au péril financier qui se dresse devant nous.

Mais n’en déplaise à certains, les comportements « médiatiques » de BlackRock et Musk qui n’hésitent pas à clamer haut et fort leurs investissements sur le bitcoin semblent davantage s’apparenter à des tentatives de manipulation de marchés, plutôt qu’à une exclamation de joie désintéressée. Et à y regarder de plus près, il semble bien que ce soient les grands acteurs financiers et leurs échos médiatiques qui font concrètement le jeu des cryptomonnaies et du bitcoin en particulier.

N’oublions pas que depuis presque une décennie les médias nous expliquent à longueur de journée que le bitcoin est un succès et qu’il existe un engouement. Dans le même temps, les grands acteurs du monde financier n’ont eu de cesse de souffler le chaud et le froid sur ce cryptoactif. Et au final, ils ont participé à cette promotion de manière avérée (principe du bad et good buzz). Plusieurs exemples d’articles de journaux comme Les ÉchosLa Dépêche ou France Tv Info, peuvent nous permettre de justifier cet argument.

Et si le succès du Bitcoin est indéniable, l’engouement actuel (fabriqué) autour de cette cryptomonnaie ne doit rien au hasard, car les politiques de surliquidités des banques centrales et l’inflation qui arrivent à grands pas ont tout fait pour rompre la confiance qu’ont les investisseurs dans les actifs et devises traditionnels. Chacun cherche désormais à protéger son épargne et sortir le plus possible son capital du système financier mondial agonisant et sous perfusion.

Et il n’est pas impossible que les cryptodevises, qui sont donc de plus en plus présentées (presque officiellement) comme des actifs crédibles face aux périls de notre système financier moribond, fassent en réalité partie du piège…

La valeur du bitcoin

Car même si a priori le bitcoin peut paraître séduisant, plusieurs caractéristiques et signes peuvent nous permettre de douter légitimement face à cette technologie numérique.

Tout d’abord, le bitcoin a connu un succès rapide après sa création, le 31 octobre 2008. En effet, seulement de 2 ans après son lancement, le site Wikileaks acceptait les dons en bitcoin, lui conférant un nouveau statut d’outil libertaire.

C’est à cette occasion que le grand public prît connaissance de l’émergence d’une cryptomonnaie qui était encore jusque-là très confidentielle (principalement connue des geeks américains). À partir de cet évènement, plusieurs projets de cryptomonnaies et blockchain commencèrent à voir le jour dans la foulée de ce succès.

Le 10 juin 2011, le bitcoin se situait déjà aux alentours de 28 euros et moins de deux ans après (des corrections sont intervenues entre temps) le cours avait atteint les 287 euros en avril 2013, puis les 1240 dollars à la fin de cette même année. L’or digital était donc lancé !

Certes à un moment où les grandes banques centrales ont commencé à faire fonctionner la planche à billets (politiques de QE), on peut comprendre qu’une monnaie émise de pair à pair, qui ne nécessite pas de banque centrale et qui est utilisable au moyen d’un réseau informatique décentralisé, a de quoi faire rêver les plus dissidents et retors d’entre nous…

Cette technologie qui utilise les principes de la cryptographie et associe l’utilisateur aux processus d’émission et de règlement des transactions a forcément l’apparence d’un véritable outil démocratique, à une époque où la contrainte et la surveillance généralisée sont grandissantes.

Mais malheureusement pour nous, les cryptomonnaies et les systèmes de Blockchain sont en vérité des illusions, pour ne pas dire purement et simplement des escroqueries à plus ou moins long terme.

Là où l’on devrait ramener nos systèmes économiques et financiers vers un peu de concret et les faire pencher davantage vers le travail véritable (création de valeur ajoutée), cette technologie nous pousse en réalité vers une fuite en avant en direction de la numérisation et la virtualisation du monde.

De ce constat, on peut en conclure que le mécanisme financier du bitcoin est d’ailleurs simple : une performance exceptionnelle qui ne repose sur rien !

Certains m’opposeront l’argument que la valeur du bitcoin repose au contraire, sur la technologie Blockchain, qui semble être une révolution technologique à elle seule, mais nous répondrons à cet argument un peu plus tard, quand nous évoquerons sa fiabilité et le rôle de la fonction de hachage SHA-256.

En réalité le problème principal et donc de fond du bitcoin (et des cryptomonnaies en général) repose sur leur nature même.

À l’inverse de l’or (à qui il est comparé actuellement), le bitcoin n’a évidemment pas de valeur intrinsèque et sa reconnaissance n’est pas universelle. De plus, de manière encore plus concrète l’accès à un bitcoin nécessite de l’électricité, une connexion internet, une plateforme d’exchange pour en acquérir, une wallet, un code d’accès à celle-ci, etc. ce qui ne facilite pas son « universalisation ». On peut donc d’ores et déjà indiquer objectivement que ce n’est pas simple de « posséder » un Bitcoin, à la différence d’une pièce d’argent métal que l’on a dans la proche.

De même, ces « cryptos » que l’on qualifie abusivement de monnaies ne sont en aucun cas des monnaies au sens légal du terme. Il serait même plus approprié d’utiliser les termes cryptoactifs, car ces « coins » (pièces de monnaie numériques en français) s’apparentent davantage à des actions, produits obligataires … qu’à une véritable monnaie. De plus, même celles qui se disent éthiques et vertueuses sont uniquement créées pour la spéculation. Le terme monnaie accolé à « crypto » vise d’ailleurs à subvertir le concept de monnaie et à habituer le grand public à cette conception viciée de l’objet monétaire.

En réalité, ce que certains qualifient de cryptomonnaie (comme le bitcoin) ne possède pas du tout l’ensemble des caractères fonctionnels d’une convention (un accord de volonté conclu entre des personnes pour créer, modifier, éteindre, ou transférer des obligations). En aucun lorsque vous possédez un Bitcoin, vous êtes face à la dimension d’une norme impérative (règle de droit à laquelle personne ne peut déroger). Nous ne sommes donc pas en présence d’un objet monétaire au sens légal du terme.

C’est cette absence de caractère conventionnel/légal des cryptomonnaies qui explique le fait qu’il est très compliqué d’acheter son pain et de payer ses impôts en bitcoin, même si certains acteurs sont désormais favorables à cet outil.

De surcroît l’extrême volatilité du bitcoin ne permet pas non plus d’affirmer qu’il pourrait être une unité de mesure.

Concrètement et pour ne pas tourner autour du pot, le Bitcoin est en réalité un gigantesque schéma de Ponzi qui ne repose que sur la confiance d’une communauté.

D’ailleurs la notion de communauté est primordiale dans la plupart des projets de cryptomonnaies. Pour la quasi-totalité des cas, il faut simplement que les investisseurs continuent à remplir le gouffre, jusqu’à ce que la musique stoppe. Le transfert de richesse est réalisé au final quasiment à sens unique (vers celui qui a produit le token : jeton d’authentification et qui a fait la levée de fonds / ICO). C’est -à-dire celui qui a vendu un produit qui possède une valeur réelle proche de zéro.

Au regret de perturber les investisseurs naïfs, il n’y a malheureusement aucune réalité économique ou financière derrière les cryptomonnaies actuelles : seulement une valeur de convenance entre parties. La valeur de l’actif réside simplement dans la croyance de celui qui va acheter cette cryptodevise. Certes, comme à la roulette ou à une partie de poker, il peut vous arriver de gagner, mais au final c’est toujours le Casino qui remporte la partie sur le long terme. Le véritable gagnant (celui qui s’enrichit) est celui qui a son nom sur le jeton…

Et vous imaginez bien que si le Bitcoin (qui est la cryptomonnaie de référence) est un Ponzi, ces semblables (qui sont automatiquement de moins bonnes qualités pour plusieurs raisons que l’on va détailler), sont elles aussi des fraudes à plus ou moins grande échelle.

Mais alors qu’est-ce qui permet de dire qu’une cryptomonnaie (et en particulier le Bitcoin) est un Ponzi numérique sophistiqué?

Le premier argument est un argument de bon sens, mais il est fondamental de le présenter, car chaque citoyen mature politiquement devrait comprendre ce constat simple lié à l’observation et à la réflexion sur la question monétaire.

Cet argument consiste à répéter que cette monnaie virtuelle n’a aucune valeur intrinsèque (en elle-même), et qu’elle ne vaut fondamentalement rien sur le temps long. Mais alors quelle différence les monnaies fiat actuelles ont-elles avec le Bitcoin, me direz-vous ?

Le billet imprimé par la BCE ou le dollar de la Réserve fédérale sont fondamentalement dans la même situation, selon plusieurs adeptes de cryptos.

Mais en réalité, pas tout à fait (voire même pas du tout), puisque nos monnaies fiat modernes reposent quand même (et ce n’est pas rien) sur une garantie de la banque centrale et surtout de la nation (communauté de producteurs) qui a choisi cette monnaie pour ses échanges.

Et même si pour les monnaies fiat créées ex nihilo (depuis les accords des changes flottants 1971 et de la Jamaïque 1976) nous sommes également en présence d’une fraude (Argent-Dette), celle-ci est bien plus complexe et elle ne repose pas totalement sur rien. La valeur d’une monnaie fiat repose quand même sur le droit, une obligation, donc l’État et en définitive la force (monopole de la violence physique légitime comme le disait le sociologue Max Weber) ce qui n’est pas rien et ce qui est encore concret (demandez aux Gilets jaunes).

Cette démonstration peut également s’appliquer au dollar, qui au niveau mondial, reste encore la monnaie internationale de référence, non pas parce que l’économie US est la plus productive), mais parce que l’ensemble des nations du monde redoutent le complexe militaro-industriel américain (la force) qui pèse encore très lourd dans la géopolitique mondiale. Un autre facteur (sa grande liquidité sur le marché international des devises) permet également de justifier la conservation de son statut. Il existe donc une gradation dans entre ces deux escroqueries qui résident en particulier sur la notion de garantie (qui est tout de même un aspect fondamental).

En effet, quelqu’un qui vous vend une Twingo dans un garage en vous faisant croire que c’est une Mercedes ne commet pas le même méfait que celui qui vous vend une photo de Mercedes sur internet, en vous faisant croire qu’il vous vend la voiture… Dans le premier cas, vous aurez davantage de chance de vous déplacer à 50km/h sans produire un effort physique énorme…

Plus concrètement, le jour où vous ne pouvez plus acheter/vendre/posséder de bitcoin, personne ne sera responsable. Par contre le jour où il n’y a plus de monnaie, plus d’accès au compte en banque, les responsables existent et vous pourrez toujours aller en chercher certains et leur demander des comptes… Ce qui semble beaucoup plus difficile à faire avec le cas de l’ectoplasme nippon…

Bitcoin et altcoin : comment investir ?

Qu’est-ce qu’une monnaie ?

C’est d’ailleurs tout l’intérêt que pose la question du Bitcoin et des cryptomonnaies. En réalité, les actifs numériques nous interrogent sur le rôle de la monnaie elle-même.

Il y a quelques semaines, lors d’un échange avec l’excellent Dr Louis Fouché du collectif RéinfoCovid et l’universitaire spécialiste de l’histoire de la monnaie Jean-Michel Servet, nous avons essayé d’apporter des réponses à cette question, à l’invitation de la plateforme de débat « Prenez Place ».

Dans ce débat, il a été avancé par mes contradicteurs (Fouché-Servet) un élément pertinent indiquant que : « la monnaie était vraisemblablement un outil qui avait pris différentes formes à travers l’histoire ». Et cette forme pouvait, selon eux, « varier en fonction de l’époque, mais qu’il existait cependant une constante notamment le fait que l’objet-monnaie reflétait presque toujours le zénith (technique ou technologique) de ce qu’une communauté d’individu savait produire ou échanger »

Cette analyse est très intéressante, car elle est au cœur de la question monétaire moderne et des interrogations relatives au cas du bitcoin en particulier. Car nous sommes bien avec le Bitcoin et la Blockchain face à un outil technologique très avancé.

Malheureusement pour moi, cette vision énoncée dans le débat n’a pas pu faire l’objet d’une réponse développée et argumentée de ma part en raison des contraintes de temps inhérentes à ce genre d’exercice (débat entre 4 personnes sur des questions précises, en l’occurrence la notion de commun).

Par cet article sur le Bitcoin et la Blockchain, il me paraît donc essentiel d’apporter une précision sur la notion d’objet monétaire.

Ainsi, dans cette vidéo de l’Acte 1 de Prenez Place, comme dans mon livre d’ailleurs, j’ai tenté d’expliquer que l’outil monétaire possédait plusieurs facettes que je synthétise pour ma part avec cette définition relativement simple et ancienne qui consiste à dire que : la monnaie au sens classique du terme, est le morceau de métal précieux produit en série et estampillé par la cité.

Et même si le côté métallique de la monnaie est désormais officiellement désuet, on retrouve dans cette définition historique, de manière implicite, les fonctions essentielles de l’objet monnaie (à savoir être une réserve de valeur, un intermédiaire/ moyen d’échange, une unité de mesure, mais surtout une marque de souveraineté : une norme impérative de droit).

Et pour se faire un avis sur le Bitcoin, les monnaies numériques, mais aussi sur nos « bouts de papier » et cartes bleues actuels (les monnaies fiat et scripturales), il est primordial d’avoir cette ancienne conception de la monnaie dans un coin de notre tête.

Pour faire le lien directement avec le Bitcoin et la cryptomonnaie, on peut déjà dire que l’Euro ou le Dollar, qui sont encore émis par les banquiers centraux, ont au moins encore (plus pour très longtemps) le mérite (par rapport au bitcoin) d’être un morceau de papier qui reste difficile à reproduire par une entité qui ne dispose pas du droit de le faire. Et quand il est dans votre main ou dans votre poche, il reste assez difficile à faire disparaître…

Contrairement à ce que m’a opposé le Dr Fouché (disciple du penseur Jacques Ellul) l’outil par essence est bien neutre. C’est la technique qui, elle, peut, ne pas être neutre. Il est donc important de ne pas faire l’amalgame entre les notions d’outils, d’objets techniques ou encore de fonction d’usage et d’action complémentaire. Pour l’outil monétaire, il n’existe évidemment pas d’intention intrinsèque particulière à l’outil. La monnaie sert d’abord à mesurer et échanger des biens. L’usage pour la quasi-totalité des outils (les plus basiques : ne nécessitant pas de technique spécifique) est totalement neutre. Par exemple pour une hache, sa fonction d’usage est de couper (du bois ou autre chose) et pour un marteau c’est d’enfoncer/écraser. Cette conception de neutralité de l’outil se retrouve dans les analyses et observations d’Aristote dans la plupart de ses ouvrages (Éthique à Nicomaque, la Politique, Économie, etc.) Ainsi, pour ne pas se perdre dans la question monétaire, il est donc important de ne pas sur interpréter la notion de fonction d’usage d’un outil.

Cependant l’argument du docteur Fouché est néanmoins juste lorsqu’il s’agit d’un outil technique numérique ou en réalité la donnée (la data), l’information est l’élément essentiel de la technologie. Contrairement à ce que l’on pourrait croire de manière intuitive, une Kalachnikov n’a en réalité pas pour fonction première de tuer, elle est d’abord construite pour tirer des balles efficacement, et rien n’empêche son utilisateur de tirer en l’air, sur une cible, ou dans les jambes… Sa fonction extensive (complémentaire) est évidemment de tuer, mais elle n’est pas dans l’ADN premier de cet outil (malgré les apparences). C’est l’entraînement (la technique) qui permettra à l’usager (le tireur) de parachever son intention. Pour la monnaie en réalité c’est la même chose.

La monnaie en tant qu’outil n’est ni bonne ni mauvaise. C’est son utilisation (comme pour la hache qui peut couper du bois ou des têtes) qui induit sa finalité d’usage.

Comme je l’ai brièvement évoqué dans le débat, en termes de réflexion économique, il est donc nécessaire de partir de ce postulat (neutralité de l’objet monnaie) et de retenir qu’il existe deux conceptions monétaires opposées (les autres n’étant que des subdivisions de ces 2 catégories) :

– La première, celle d’Aristote (la bonne) consiste à considérer la monnaie comme un instrument de mesure, un intermédiaire et la norme supérieure organisant le bien commun, c’est-à-dire un moyen d’échange qui vise à échanger des biens (valeur ajoutée, richesses : récompense du travail) dans l’intérêt d’une collectivité (société) et en vue de la consolidation du bien commun.

– Puis, la seconde, celle de Jacques Attali et ses pantalons à une jambe par exemple, voit l’Argent (la monnaie) comme la finalité de l’échange (bien en lui-même). Ce qui compte c’est « d’être riche », que ça rapporte beaucoup, qu’il existe « un retour sur investissement maximal ».

Cette conception (celle de notre temps) sacralise l’appât du gain, la chasse aux profits et l’objet monétaire en lui-même. Celle-ci est en réalité la matrice monétaire de notre époque moderne. Mais elle est aussi en définitive la conception proposée par le bitcoin qui est seulement un actif spéculatif. Il y a dans le bitcoin, une adoration d’un objet vide de valeur réelle, qui est encore bien plus dangereux que la célèbre auri sacra fames (maudite soif de l’or).

L’or baisse : le Bitcoin monte

D’ailleurs, ceux qui adoptent la conception aristotélicienne se rapprochent souvent de solutions monétaires liées à l’argent métal ou à l’or, car bien qu’étant improductifs, ces actifs sont des étalons de valeur neutres (personne ne les créés), concrets et difficilement manipulables quand il s’agit d’or et d’argent physique.

Cependant dans cette période de troubles financiers, contre toute attente, l’or depuis quelques mois (la rentrée 2020) baisse, alors que le bitcoin lui a continué son ascension de manière considérable. Mais alors comment peut-on expliquer cet état de fait ?

Nous le savons, le marché de l’or est manipulé depuis des décennies, pour ne pas dire des siècles désormais. Le simple fait de s’intéresser au « fixing » du prix du métal jaune suffit à valider l’argument.

Ces manipulations du cours de l’or (mais aussi de l’argent) sont la conséquence des comportements des grandes banques internationales, des démonétisations officielles et successives de l’argent (fin du XIXe) et celle de l’or (1971-76) et de la création du marché de l’or et de l’argent papier (certains ETF).

Face à ce contexte de baisse (correction) du métal jaune, réputé comme l’actif anti-fragile par excellence, le bitcoin tend à être vendu et imposé dans la sphère médiatique comme une nouvelle valeur refuge, au même titre que la relique barbare (l’or) dans cette période de grande instabilité financière.

Géopolitique de l'Or
Les banques centrales ont-elles du Bitcoin ?

Les origines du Bitcoin

Mais pour poursuivre notre critique de fond, nous pouvons affirmer que la structuration/conception du bitcoin pose elle-même question. La source de la crypto/blockchain la plus célèbre est réellement et fondamentalement problématique.

Pour commencer, le créateur de la première blockchain : le bitcoin, est un parfait inconnu. Ainsi, selon le peu d’informations dont nous disposons, ce monsieur se nommerait Satoshi Nakamoto.

Cet individu de nationalité japonaise serait un mathématicien, programmeur, cryptographe et révolutionnaire dans l’âme, et nous aurait même donné sa date de naissance exacte le 5 avril 1975. Cependant, à l’heure actuelle, il est tout simplement impossible de savoir s’il s’agit bien d’une seule personne ou au contraire d’un groupe de personnes. Ce Nakamoto qui n’a jamais donné aucun signe de vie et n’a jamais prouvé son existence est également le créateur du forum bitcointalk (communauté).

Selon la légende officielle, il posséderait quand même plus d’un million de bitcoins comme l’indique le site businessinder et en décembre 2017, sa fortune était déjà estimée à 19,4 milliards de dollars…

D’ailleurs, dans un dernier message public de la fin de l’année 2010, Nakamoto aurait cessé d’être actif et aurait quitté le projet Bitcoin, pour passer à autre chose…

Il aurait donc confié le « bébé » à un certain Gavin Andresen (américain) développeur en chef du bitcoin, travaillant à créer selon ses propres termes une « monnaie pour l’Internet » sécurisée et stable. Ce dernier est d’ailleurs diplômé de Princeton (université de l’Yvy League) et serait même allé présenter le projet dans les bureaux de la CIA comme il l’a déclaré dans un tweet étrange de juin 2011.

Gavin Andresen, le bitcoin et la CIA

À la tête de la fondation Bitcoin jusqu’en 2017, il a ensuite rejoint le projet BitcoinCash (une cryptomonnaie issue du Bitcoin) par la suite. Évidemment cet étrange mystère autour du « créateur » a pour conséquence d’énormes spéculations sur l’identité de Nakamoto. D’ailleurs son origine nipponne est même sérieusement remise en cause par la qualité de son anglais et l’absence totale de publications en japonais…

La Blockchain et la NSA

Mais ce n’est pas tout, une hypothèse pas totalement farfelue fait de Satoshi Nakamoto une création de la National Security Agency (renseignement américain). Le japonais serait donc un personnage fictif présenté au grand public par l’agence de renseignement américaine, ou au moins une personne travaillant pour elle. « Absurde théorie du complot ! » diront certains adeptes de la très subventionnée « conspiracywatch », mais quand on connaît les origines (pourtant officielles) de la « crypto-currency », l’hypothèse est loin d’être surréaliste.

Concrètement, il est tout aussi crédible de dire que le créateur du bitcoin est la NSA que d’affirmer vigoureusement que Nakomoto est une vraie personne.

D’ailleurs, bien avant la création du bitcoin, un document intitulé : « How to make a mint : The cryptography of anonymous electronic cash » publié en 1997, détaille étrangement la structure et la fonction de la monnaie virtuelle.

Et l’auteur de ce petit document se trouve être le Bureau de la recherche et de la technologie de la sécurité de l’information de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA).

En définitive, par l’intermédiaire de ce document, l’agence de renseignement américaine a donc réellement détaillé la structure future des cryptomonnaies, bien avant la fin de l’année 2008. En réalité le Bitcoin a réussi là où le concept de b-money, imaginé par Wei Dai en 1999, et le bitgold, de Nick Szabo en 2005 ont échoué.

Une grande partie du protocole de la monnaie virtuelle est même détaillée dans le document cité ci-dessus, y compris les techniques d’authentification des signatures, l’élimination des contrefaçons de cryptocoin par l’authentification des transactions et plusieurs caractéristiques qui permettent l’anonymat et l’impossibilité de retracer les transactions. Le document souligne aussi le risque important de blanchiment d’argent qui peut être aisément réalisé avec cet actif numérique.

La date officielle de création du Bitcoin (31 octobre 2008) en pleine crise financière des Subprimes et son succès en pleine défiance du grand public envers le monde de la finance (le mouvement OccupyWall Street lancée en 2011) sont également étranges.

Évidemment, le lien entre la NSA et la technologie de la blockchain ne s’arrête pas à la rédaction d’un document technique sur la cryptomonnaie.

L’agence de renseignement américaine est surtout le créateur du hash SHA-256 dont dépendent toutes les transactions Bitcoin et des autres cryptomonnaies (toutes basées sur ce système) dans le monde.

Ainsi, l’intégrité du bitcoin dépend d’une fonction de hachage appelée SHA-256, qui a été conçue, développée par la NSA et publiée par le National Institute for Standards and Technology.

Contrairement à ce qu’avancent les adeptes du bitcoin, la Blockchain (comme tout support numérique) n’est pas inviolable. En effet, comme l’a expliqué un spécialiste en cryptographie Matthew D. Green de l’Université John Hopkins, il n’est pas impossible de prendre le contrôle du réseau.

Néanmoins selon lui, pour arriver à cela il faudrait procéder rapidement sur le SHA-256, avec de gros moyens techniques et des actions crédibles et détectable pour falsifier les transactions. Officiellement, cela n’est jamais arrivé et il faudrait une grosse structure (un service de renseignement ?) pour réussir à réaliser cette opération.

Ainsi, comme tout outil numérique la blockchain est manipulable et il serait donc possible de falsifier les transactions si le hachage SHA-256 développé par la NSA disposait d’une méthode détournée pour déchiffrer le cryptage.

Il est à noter que jusqu’ici aucune activité frauduleuse n’a officiellement été détectée par aucun chercheur. D’ailleurs si tel avait été le cas et si cela avait été su, le bitcoin aurait déjà été liquidé par les investisseurs qui auraient fui cet actif déjà très volatile. Cependant quand on examine le cours du bitcoin depuis 2014 et les réactions (nombreuses) qu’il suscite, on constate que certains experts expriment leurs doutes sur le fait qu’il n’est jamais subi de manipulations

D’ailleurs, le 15 août 2010 un certain Jeff Garzik avait déjà repéré une faille dans le système. Une sorte de « bloc étrange » comme il le désigne dans le forum bitcointalk : avait été identifié par ses soins. Ainsi, il y a plus d’une décennie, une faille dans le protocole (ou une intervention) avait permis la génération de 92 milliards de bitcoins ! Cette erreur avait pu être corrigée et la Blockchain était revenue à son état antérieur afin de liquider ces nouveaux bitcoins issus de cette création frauduleuse.

Les adeptes du bitcoin, n’apprécient généralement pas qu’on leur rappelle ce petit épisode qui n’a jamais vraiment été expliqué de manière convaincante (malgré de multiples tentatives). En outre, une manipulation du cours du bitcoin, voire même une spoliation de millions de bitcoins pourrait être réalisée et semble du domaine du possible.

Et pour cela, sans même aller sur terrain de l’argumentation de la fiabilité de la blockchain, le cours du bitcoin est par principe manipulable puisque le créateur du bitcoin possède à lui seul entre 900 000 et 1.1 million de bitcoins. Certains observateurs avisés expliquaient déjà en 2018 que Satoshi Nakamoto (ou l’entité derrière ce personnage) possédait un stock d’environ 980 000 bitcoins…

Rajoutez à cela, les acquisitions de mastodontes comme Musk/Tesla ou encore BlackRock qui en 2018 dépassait déjà les 6 000 milliards d’actifs sous gestion, et vous obtenez un cours potentiellement manipulable « au carré/puissance 2 »… BlackRock qui est devenu, à l’occasion de la crise du Coronavirus un organe du gouvernement américain (ou l’inverse), fait désormais la pluie et le beau temps sur les marchés internationaux et peut donc totalement et sans aucun problème, jouer avec le cours du bitcoin…

Il ne nous est donc pas très difficile de conclure qu’il est très probable qu’une cryptomonnaie comme le bitcoin, serve d’une certaine manière à prendre le contrôle d’une partie importante de la masse monétaire mondiale alors que le système de la monnaie fiduciaire/dette s’effondre sur lui-même. La dimension de piège politique/financier à propos du bitcoin n’est évidemment pas à écarter.

Une monnaie numérique remplaçant nos vieux billets et évitant une fuite vers l’or et l’argent métal serait une solution idéale pour l’oligarchie apatride de Wall Street et de la City. Le bitcoin, en plus d’habituer les gens par la culture d’investissement numérique qu’il répand, similaire à la numérisation des devises, sert probablement de prétexte à l’oligarchie financière.

Cash et cryptomonnaie
Tangible ou pas tangible ?

La fausse opposition au Bitcoin des banques centrales et des banques commerciales

On le constate de plus en plus au fil des mois, il existe une opposition formelle à la monnaie virtuelle alors que dans l’ombre s’organise une adhésion de fond parmi les grands acteurs et les institutions du secteur financier comme l’attestent les différentes réactions sur le bitcoin.

En effet, la Réserve fédérale américaine (FED) n’a pas hésité à déclarer (à la stupeur des experts) que « des monnaies virtuelles comme le bitcoin étaient légitimes ».

Pourtant en utilisant sciemment le terme « monnaie », la banque centrale américaine se tirait une belle balle dans le pied quand on pense à sa propre fonction (battre la monnaie pour les États-Unis). À moins que les gens de la Réserve fédérale en disant cela aient une idée derrière la tête…

Plusieurs banques centrales, dont la Banque de France, avaient, elles, été jusque-là plus prudentes dans leurs déclarations concernant le Bitcoin, faisant preuve d’une grande hypocrisie : « La Banque de France met en garde contre l’utilisation du bitcoin, soulignant que ce genre de devise n’est pas régulé, et réclamant une intervention des autorités pour mettre un terme à certaines transactions illicites. »

Une déclaration qui était pour le moins totalement inepte… Car qui sont les autorités dont elle parle ? Ne serait-ce pas le rôle d’une banque centrale ? Ne seraient-ce pas les missions des autorités de marché ? Serait-ce la division financière du parquet qui doit intervenir ? Qui a la mission d’assurer la protection des investisseurs ?

La Banque Centrale européenne avait, quant à elle, étrangement (en pleine crise de l’Euro) travaillé sur un rapport d’octobre 2012, ou l’hostilité envers les cryptomonnaies ne transparaissait pas vraiment…

La Banque des Règlements internationaux de Bâle et la Banque d’Angleterre quant à elles, ont lancé officiellement la phase d’instauration des monnaies numériques de banque centrale au cours de l’année 2020.

En réalité, dans cette grande pièce de théâtre, personne n’agit vraiment. Seuls les Chinois ont interdit l’usage et même le minage du bitcoin, et les Russes l’ont aussi très vite déclaré illégal.

Pour les Chinois, cela s’explique d’une manière assez simple : c’est la nation la plus en avancée dans l’instauration de sa monnaie (yuan) numérique de banque centrale (CBDC) et dans l’expérience de crédit social dont les mesures sanitaires occidentales (covipass/gestes barrières, attestations, amendes pour non-respect, etc.) semblent se rapprocher de semaine en semaine.

Pour la Russie, il y a fort à parier que les services de renseignements russes savent qui se cache derrière le bitcoin, comme ils connaissent déjà l’état de santé délicat du président américain Joe Biden.

D’ailleurs, il est aussi possible (pour des objectifs complètement différents) que les actions des deux leaders des BRICS soient justifiées également par leur politique respective d’achat important d’or métal depuis plusieurs années. L’or ou le Bitcoin, a priori, il faut choisir, et ces deux grandes puissances semblent avoir choisi…

Autres preuves que les cryptomonnaies sont des fraudes : désormais les grandes banques anglo-américaines investissent massivement dans les cryptomonnaies. À commencer par la JP Morgan and Chase de Jamie Dimon qui est devenue récemment (2019) la première banque à créer sa propre cryptocurrency. Cette dernière repose sur la même technologie de blockchain avec pour seul détail qu’elle est indexée sur le dollar. Les investisseurs peuvent donc utiliser cet actif numérique dans le cadre de transferts d’argent instantanés entre des comptes institutionnels de grands investisseurs, d’autres banques, et de grandes entreprises clientes de JP Morgan.

De même pour le « Boss » de la Bank of America Bryan Moynihan, qui a lui aussi déclaré au cours de la même année (2019) dans une interview que son institution déposait de nombreux brevets sur cette nouvelle technologie qu’était la blockchain. Preuves que les grandes banques ne sont pas du tout hostiles à cette tendance de digitalisation/numérisation monétaire…

Le FMI aime ça !

D’ailleurs, même le Fonds Monétaire International aime le concept de monnaie virtuelle. Pourtant, face à cette révolution monétaire, on aurait pu légitimement s’attendre à ce que le l’institution basée à Washington joue un rôle d’éventuel opposant face à cette révolution technologique « d’émancipation ». Bien au contraire le FMI version Christine Lagarde et maintenant Georgieva ne considère pas du tout le Bitcoin comme un problème.

En 2017, devant la Banque d’Angleterre, la grande Christine avait même déclaré qu’ « Il n’y a pas si longtemps, certains experts ont fait valoir que les ordinateurs personnels ne seraient jamais adoptés, et que les tablettes ne seraient utilisées que comme de coûteux plateaux à café. Je pense donc qu’il ne serait pas sage de rejeter les monnaies virtuelles. »

Des rumeurs ont même circulé par la suite, indiquant carrément que c’était le FMI qui était à l’origine du bitcoin ou que le bitcoin visait à détruire les grandes banques centrales à son profit… Rien n’est impossible, mais seul l’avenir nous le dira.

Ce qui est certain, et on le constate avec la crise/dictature sanitaire du Coronavirus, le bitcoin et les cryptomonnaies vont servir de marchepied aux monnaies numériques de banque centrale (CBDC) et à l’élimination de l’argent liquide.

Monnaie numérique et fin du cash

En réalité, il est surtout avéré que la technologie « Blockchain » a été construite (ou reprise c’est selon) pour détruire définitivement l’argent liquide.

Une réunion de banquiers et grands dirigeants relatée par un article du journal Bloomberg intitulé : « Inside the Secret Meeting Where Wall Street Tested Digital Cash » nous a d’ailleurs informé qu’une centaine de dirigeants des grandes institutions financières anglo-américaines (représentants du Nasdaq, de Citigroup, de Visa, de Fidelity, de Fisery et de Pfizer…) s’était tenue en 2016 à New York dans les bureaux de Times Square Nasdaq Inc.

Avec le recul et la crise du Coronavirus on peut légitimement se poser la question de la présence des dirigeants de Pfizer (entreprise pharmaceutique qui se trouve être le plus grand vendeur de vaccin anti-covid) à cette réunion…

Bitcoin, numérisation et traçage
Un petit vaccin peut-être ?

Lors de cette réunion privée, une société avait même présenté une technologie qui transforme les dollars américains en actifs numériques purs. C’est la promesse de la Blockchain, ou le système lourd actuel sujet aux erreurs qui prend des jours pour transférer de l’argent est remplacé par un mécanisme à la rapidité quasi instantanée. Cette technologie révolutionnaire est destinée à changer les pratiques liées à l’argent et a constitué la première étape vers une société sans liquide.

La technologie des monnaies numériques a donc été sélectionnée pour nous amener vers une dictature financière universelle.

Par sa nature informatique : la monnaie virtuelle sera tout simplement facile à créer et à voler. Et bien qu’elle repose sur une somme d’algorithmes complexes, la technologie Blockchain qui semble être anonyme et décentralisée est au contraire bien plus susceptible d’être spoliée qu’une pièce d’or ou d’argent présente au fond d’un coffre. Vision archaïque, mais de bon sens, que les « pros-crypto » n’hésiteront pas à dénigrer, car elle remet leur démarche dans le concret.

D’ailleurs grâce au terrorisme international, le gouvernement américain a depuis longtemps accès à des données financières par le biais de SWIFT dans le cadre de la prétendue lutte contre le terrorisme. Et même si l’on sait que la crypto-currency sert déjà de « monnaie d’échange » pour les diverses activités de financement et blanchiment entre la pègre, les mouvements terroristes mafieux, certaines grandes multinationales et agences gouvernementales, la technologie Blockchain rendra la traçabilité parfaite et seuls les grands groupes mafieux (qui contrôlent) cet outil, auront la chance (le luxe) de ne pas être traçable (comme le dit si bien Jacques Attali).

Ce système de monnaie virtuelle va aussi enterrer à coup sûr, le mouvement de résurgence des systèmes financiers, basé sur les métaux précieux, qui après la chute du dollar hégémonique, laissera naturellement la place à une crypto monnaie mondiale divisée probablement dans un premier temps en CBDC continentale (peut être portée par le FMI, avec son phénix/DTS).

En conclusion, mis à part si vous savez que vous pouvez faire un gain à court terme, évitez de vous lancer dans les cryptomonnaies, car elles amènent avec elles, un monde construit sur l’illusion numérique et l’asservissement.

Illusion et captation de la rébellion

Au contraire, nous devons prioritairement nous battre pour reconnecter l’Argent (la monnaie) avec le Travail productif afin de rester dans le monde réel. C’est bien l’extrême virtualisation et mathématisation du monde qui amène le gouvernement perpétuel des usuriers.

Il ne faut surtout pas imiter les parasites (traders, grands banquiers, etc., dans leur quête de la pierre philosophale virtuelle…), mais au contraire travailler concrètement en ayant conscience de l’effondrement prochain. Comme le dit si bien le Dr Fouché, il faut faire de cette crise, une chance, une opportunité, pour nous changer nous-mêmes. Mais ne nous leurrons pas en plus de ce travail personnel, il nous faudra aussi nous mettre en colère pour aller chercher les marchands du Temple… La passivité même consciente nous conduira à l’esclavage.

Et pour ne pas subir le cataclysme qui vient, il va nous falloir impérativement nous remettre au travail en tournant vers les activités réellement productives et enfin militer pour la reprise du contrôle de notre monnaie (souveraineté) en adossant celle-ci à un (des) étalon qui a lui-même une valeur intrinsèque (l’or, l’argent, le cuivre, le palladium…).

Le Silver Squeeze et le WallStreetBet, mouvement de fond bien plus intéressant que les épisodes rigolos Gamestop, démontrent qu’il existe des solutions concrètes que Wall Street et la City abhorrent (acquisition d’or et d’argent physiques par les masses et retour au Bimétalisme pour les nations).

Pour vous en convaincre, dites-vous bien que vous ne verrez jamais BlackRock, JP Morgan, Barclays ou Goldman Sachs vous crier que les perspectives d’investissement sur l’argent métal sont intéressantes avec de vastes campagnes publicitaires et de communication dans les médias…

Au final, n’oublions pas que la seule valeur d’une monnaie réside en réalité, sur le travail et la richesse des producteurs qui s’assemblent et se servent de cet objet pour échanger.

L’or et l’argent métal sont malheureusement encore une fois, les seules monnaies valables pour se préserver de l’effondrement qui vient et pour lutter collectivement contre la dictature numérique et sanitaire de l’oligarchie financière… Nos ancêtres (bien plus sages que nous) ont utilisé en priorité ces métaux comme objet monétaire pendant des millénaires, dîtes-vous bien qu’il doit bien y avoir une raison à cela…

Enfin, si vous persistez encore avec les cryptos et le bitcoin, essayez de sortir avant la captation définitive (par une interdiction, un bug, etc.) Car lorsque la petite musique cessera, que le silence numérique fera de vous des petits Bernie Madoff, qui après avoir bien joué, seront à la fin, privés de liberté (financière et politique), plus personne au fond de votre cellule, ne viendra vous sauver, car il sera trop tard.

Dans ce « Monde d’Après » totalitaire et virtuel, dans lequel nous serons presque tous enfermés, il nous arrivera probablement de regretter le temps où nous aurions pu abattre cette douce illusion, prémices de ce système diabolique (Blockchain/Bitcoin/CBDC), que nous avons cru pouvoir maîtriser à notre avantage…

Marc Gabriel Draghi


[Voir aussi :




Israël comme laboratoire et fer de lance du Nouvel Ordre Mondial

[Source : Rabbi Nahman de Breslev]

Analyse de la situation économique et sociale en Israël et dans le monde à l’heure de la Covid, dans une perspective qui évoque le plan des élites satanistes.




Le contrôle mental au temps du Covid

[Source : Anthropo-logiques (anthropo-logiques.org)]

Présentation par Jean-Dominique Michel :

C’est une grande joie pour moi d’accueillir sur ce blog un nouveau texte du Dr Frédéric Badel. Cet auteur nous avait déjà gratifiés de deux excellents articles sur la manipulation mentale que l’on doit bel et bien observer dans la gestion catastrophique de la crise sanitaire en Occident.

Les lectrices et lecteurs désireux d’en savoir plus ou de creuser cette question pourront bien sûr se tourner vers les travaux de Mme Ariane Bilheran, docteure en psychopathologie, ou la suite d’entretiens donnés à Ema Krusi par M. Philippe Bobola, physicien, biologiste, anthropologue et psychanalyste, sur le thème de l’ingénierie sociale.

Ici, le Dr Badel pose des questions qui sont hélas reléguées hors de la sphère publique – ce qui est non seulement dommage mais aussi hautement dommageable.

Avec une conclusion pas chouette à laquelle tous les esprits un peu avertis sont déjà parvenus : nous sommes non seulement maltraités mais aussi délibérément manipulés par nos gouvernements.


LE CONTRÔLE MENTAL

Par Frédéric BADEL

Comment parvient-on à faire porter le masque à toute une population sans qu’aucune preuve ne soit apportée d’une quelconque utilité du port de celui-ci ? Comment en vient-on à proposer le principe d’un passeport vaccinal pour un virus peu létal, mutant, qui tue essentiellement des personnes de plus de 80 ans ?

Et comment se fait-il que ces propositions, solutions ou injonctions déclenchent si peu de réactions auprès des populations concernées ?

Certaines techniques de manipulation de masse permettent d’expliquer l’évolution rapide des contenus de pensée à l’échelle de la population et l’adhésion d’une grande partie de cette population à un nouveau programme.

La manipulation de masse ne date pas d’hier. Les outils pour la mettre en place se sont modernisés et ont gagné en rapidité. La manipulation va permettre de disséminer à grande échelle une propagande visant à modifier les repères et les croyances habituels, puis à les remplacer par de nouveaux, sans qu’aucune supercherie ne soit détectée.

De nos jours, la propagation rapide de la propagande d’État est réalisée via la télévision qui reste l’outil d’information quotidien principal pour une majorité de Français. Cette véritable « institution » qu’est cet outil de communication et d’information occupe généralement une place centrale dans un salon ou une pièce où sont pris les repas. La télévision capte les regards et les conversations. Des expériences datant de la fin des années 60 (Thomas Mulholland, Herbert Krugman) montrent qu’après seulement une minute d’écoute, l’activité cérébrale du spectateur se modifie et passe de fréquences bêta à des fréquences alpha. Ce passage signe l’émoussement de la pensée logique et critique pour une détente proche de l’hypnose, ce qui peut expliquer bien des endormissements devant la télé. La propagande va donc employer l’activité hypnotique de cet outil omniprésent.

La télé propose actuellement des programmes en continu. Deux éléments sont utilisés :

– La répétition d’informations identiques 

La répétition d’informations identiques auprès de populations en état semi hypnotique permet de mieux ancrer ces informations dans le cerveau. La population recevant les mêmes informations acquiert un mode de pensée unique qui crée une pression sociale, peer pressure, un mécanisme d’auto-régulation du peuple par lui-même. Une fonction naturelle de l’homme est en effet de se calquer inconsciemment sur le modèle social ; à l’échelle de l’individu, un nouveau modèle s’installe pour correspondre à la pensée dominante. L’instinct grégaire et l’obéissance à la règle transforment les citoyens en gardiens de l’ordre établi.

– La généralisation de programmes ne faisant pas intervenir la réflexion

La généralisation de programmes ne faisant pas intervenir la réflexion, la diffusion de programmes de télé-réalité faisant appel à la distraction, permettent de détourner l’attention et d’abêtir le peuple en l’éloignant des vrais problèmes sociaux.

Les programmes proposent donc une alternance d’informations inquiétantes et de programmes aliénants permettant la détente.

La télé est le média le plus performant pour conditionner les populations. Les journaux, débats d’idées lors de rencontres par exemple sont moins performants car non hypnotiques. Les lecteurs ou auditeurs gardent un esprit critique, une réflexion, qui permettent plus difficilement d’accéder au subconscient pour y introduire de nouveaux concepts.

Le matraquage médiatique télévisuel utilise certaines stratégies visant à favoriser la modification des croyances. L’ingénierie sociale s’est développée dès les années 30 et plus particulièrement après-guerre. Elle a connu une accélération avec l’arrivée de la télévision qui a permis de s’introduire rapidement dans tous les foyers.

Sur une population hypnotisée, le but est d’effacer progressivement certains programmes mentaux existants et les remplacer par de nouveaux. Comme sur un ordinateur.

– La stratégie des chocs

La stratégie des chocs a pour objet d’initier et maintenir un chaos social. Le choc créé par une annonce, une image, un commentaire peut provoquer un état de sidération (se rappeler le visionnage en boucle d’images du world trade center). Les images d’hôpitaux submergés, de malades évacués par convois spéciaux, les commentaires alarmants spéculant sur le nombre de morts à venir, les messages sonores, ont favorisé le conditionnement sur un modèle pavlovien.  Les chocs successifs ont été distillés de façon aléatoire et assez rapprochée. Les masses, par conditionnement progressif, ont attendu avec anxiété le choc suivant fourni par les interventions de l’exécutif.

Les chocs successifs ont été accompagnés d’une stratégie visant à faire croire que les sacrifices étaient douloureux mais nécessaires et que tout irait mieux demain. Cette stratégie a permis d’amplifier la cohésion sociale autour du narratif officiel.

Elle a été accompagnée également d’un outil particulièrement redoutable de manipulation qu’est l’infantilisation. Par exemple, s’autoriser à soi-même un déplacement à moins d’un kilomètre de son domicile, pour une durée limitée, à condition de porter un masque est infantilisant, humiliant et très conditionnant ; cela place le gendarme en chacun de nous et oblige à la transgression en conscience. Les demandes stupides imposées font partie de la charte de coercition de Biderman.

– La stratégie des petits pas

Depuis les premières annonces, insensiblement, les libertés ont été réduites. Une bonne annonce pour la population aujourd’hui réside dans l’absence de privations nouvelles. Un an après le début de la crise, nous sommes en état d’urgence, sous le coup d’un couvre-feu, avec surveillance des frontières, tests systématiques et sous la menace d’une vaccination obligatoire. Insensiblement, nos libertés se réduisent, le gouvernement réglant avec habileté le curseur pour minimiser les risques de sortie de l’hypnose.

Les techniques utilisées, une fois la peur instillée pour obtenir le chaos, consistent à fausser volontairement la réflexion en l’orientant de façon délibérée vers de nouveaux concepts ou un nouveau langage. Dans un temps ultérieur, un sauveur pourra proposer un ordre nouveau pour résoudre la crise.

Le gouvernement au cours de la crise sanitaire a utilisé largement des techniques visant à faire croire que la situation était entièrement nouvelle :

– Un néo-langage

La notion de cluster est apparue dès le début de la crise. La population découvrant ce mot lui a attribué la tonalité émotionnelle dramatique du moment et l’a conservée. En résumant, cluster égale danger. Les clusters se sont multipliés, véhiculant avec eux la peur. Il en a été de même pour le patient zéro, les tests PCR, les plateaux montants, les variants etc. La présentation pseudo-scientifique, donc crédible, de ces notions a bâti jour après jour un monde effrayant.

– des pseudo concepts

« Le monde d’après » : quelques semaines à peine après le début de l’épidémie, la présentation du « monde d’après » a été utilisée pour donner une coloration dramatique à la virose. Le monde d’après renvoie dans l’inconscient aux grandes catastrophes, qu’elles soient naturelles, atomiques ou virales, dont raffolent les films catastrophes. Ce concept élimine de fait tout retour possible à l’ordre ancien.

« Il va falloir vivre avec le virus » :  le public non averti a pensé que nous n’avions pas, jusqu’à présent, à vivre avec les virus de façon durable, que ceux-ci disparaissaient après les épidémies, et qu’il ne nous restait donc plus comme espoir que la vaccination pour nous en débarrasser, (puisqu’il n’existe officiellement en France aucun traitement).

« Objectif zéro covid ». En contradiction avec le concept précédent, il rend impossible toute sortie de crise. La présence côte-à-côte de ces deux énoncés rend compte du non-sens, très prisé dans la communication gouvernementale. L’objectif étant irréalisable, il prépare le concept suivant.

« La seule sortie de crise possible est la vaccination » : cette affirmation court-circuite des questions de bon sens sur la nécessité d’un tel traitement, ses conditions d’élaboration etc. Couplée à la menace de pérennisation des restrictions de déplacement auxquelles la vaccination pourrait mettre un terme, beaucoup pensent à se vacciner, permettant sans le savoir qu’une telle mesure soit mise en place. En effet, sans vaccination massive, le passeport sanitaire ou un équivalent serait impossible. On se situe clairement ici dans la fabrique du consentement.

Ces procédés ne permettent pas de débattre des vrais sujets de façon sereine et confisquent toute discussion constructive. La sidération des esprits ne permet plus à chacun de rétablir le sens commun qui aurait permis de demander par exemple :

  • « comment avons-nous fait avec les épidémies précédentes ? »
  • ou « pourquoi parler si tôt d’un monde d’après ou d’une guerre pour un virus ? »,
  • « pourquoi se précipiter sur la recherche d’un vaccin sans savoir si un vaccin est une solution pour l’épisode actuel ? »
  • « pourquoi de nombreux pays disposent-ils d’un traitement ? ».

Les questions de fond qui permettraient de construire une réflexion structurée et argumentée ont donc soigneusement été éludées.

Néo-langage et pseudo-concepts, renouvelés à l’envi, permettent de maintenir la terreur et de supprimer le sens de l’information.  Progressivement, un fait ou une situation seront nommés par des mots galvaudés détournés de leur signification première.

De ce nouveau langage ont disparu les mots « soigner » et » malades » puisqu’il faut disjoindre le concept d’épidémie de l’idée de malades à soigner. L’épidémie devient une épidémie de cas positifs à isoler et de contacts à identifier. Le peuple passe d’une peur d’être malade à une peur d’être « positif », voire « contact » et accepte docilement les tests et les isolements.

– L’exaltation de certaines valeurs morales : la solidarité et le sens de l’éthique

Le port du masque, tout comme la vaccination, deviennent des actes dont on peut être fier car ils sont philanthropes. Ils sont même filmés par les médias pour être mieux mis en valeur.

Les confinements, les fermetures d’établissements, le déclin de l’économie, les dépressions, les suicides, les retards de prise en charge d’autres pathologies, sont justifiables car nous protégeons les personnes fragiles. L’hypnose des écrans permet d’éluder la catastrophe sanitaire créée par ces mesures prétendument salvatrices. En protégeant les plus fragiles, la vie de millions de personnes est estropiée sans que cela ne pose de problème de logique.

Ce chaos social est organisé par une « cellule » (ici conseil de défense, conseil scientifique) proposant de façon non transparente les mesures liberticides à mettre en place. De façon arbitraire, sans recours à des arguments scientifiques pourtant disponibles, sans tenir compte des nombreuses voix qui s’élèvent pour dénoncer l’inefficacité et la nocivité de ces mesures, cette cellule n’a pas hésité à faire varier l’intensité des chocs délivrés à toute la population, confinements et couvre-feux alternant, sans que personne ou presque ne s’interroge plus réellement sur le terme de ces mesures. Cette cellule a usé des non-sens pour déconnecter encore plus la population de tout raisonnement (combien de débats sur le port du masque debout, assis, les distances de sécurité, et combien de mesures ineptes comme la fermeture des espaces conviviaux en préservant l’accès aux lieux les plus fréquentés).

Les chocs successifs permettent d’anéantir la capacité de réflexion des masses et de les sidérer, d’effacer tous les repères antérieurs. Sur ce fond de turbulence, de désorganisation, il est possible de greffer n’importe quel programme visant à résoudre le chaos et à proposer/ organiser/ imposer le retour au calme.

Le programme actuel est un programme de terreur dont le scénario est basé sur la propagation d’un ou plusieurs virus.

La transe hypnotique dans laquelle est plongée une partie du peuple ne permet plus de rectifier l’information par l’observation. Le monde chaotique proposé à l’écran est entré dans le subconscient de chacun et il est sans cesse renforcé par les mesures visibles au quotidien, telles le port du masque.

Sur la table rase cognitive réalisée en peu de temps par la puissance médiatique et les techniques de manipulation mentale, un nouveau monde apparaît dans lequel il est nécessaire de se protéger de tout, quitte à dissoudre les libertés fondamentales.

Des comportements qui auraient été jugés aberrants hier règnent en règle sociale établie aujourd’hui. Les meilleurs gardiens de ces nouvelles règles sont les personnes ayant subi ce lavage de cerveau. Une manipulation réussie laisse croire à la masse manipulée qu’elle a elle-même décidé de son comportement. Elle passe d’un monde à un autre en traversant une crise déclenchée et résolue par d’autres (stratégie du pyromane).

Le monde d’après se met en place comme annoncé. Le virus en a été le prétexte, la manipulation des masses le moyen. Aujourd’hui, et sans contrôle ou presque, les gens portent le masque y compris dans les zones où il n’est pas obligatoire, ils se reprennent entre eux pour non-respect de la règle, il est normal que les enfants portent des masques à l’école, que les plus vieux soient isolés en Ehpad, le passeport vaccinal ne choque plus que la moitié de la population et est considéré comme une sortie de crise possible, voire souhaitée.

En résumé, nous avons connu une épidémie saisonnière dont le traitement politique et médiatique a permis de réduire nos droits fondamentaux, de bousculer tous les repères antérieurs et d’instaurer de nouvelles normes, en décalage complet avec la réalité.

La puissance de feu de la dyade politico-médiatique a fabriqué le consentement.

Note : la charte de coercition de Biderman définit 8 critères de torture. Les techniques sont employées par les parents ou conjoints maltraitants, les sectes, et à grande échelle tous les régimes totalitaires ; elles permettent de créer l’asservissement et de briser toute résistance.

Une comparaison avec les mesures prises pour la crise est instructive.

  • Isolement (privation du soutien social qui donnerait la capacité de résister),
  • Monopolisation de la perception (effets recherchés, fixer l’attention sur une situation difficile, éliminer les informations en compétition),
  • Épuisement induit,
  • Menaces (pour induire l’impuissance et augmenter la soumission),
  • Indulgences occasionnelles (empêche l’accoutumance aux privations, stratégie des chocs).
  • Démonstration de toute puissance,
  • Dégradation,
  • Demandes stupides imposées (pour développer la soumission).

Frédéric BADEL




Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !

Quand l’académie de médecine nous confirme que les décodeurs du Monde devraient démissionner s’ils avaient la moindre dignité !

Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !

Par Alain Tortosa

Cela fait des mois que nous disons que les écouvillons utilisés pour les tests PCR peuvent être dangereux pour la santé et qu’il est important de faire attention à leur utilisation, surtout pour les enfants.

Toutes les publications que nous faisons et faisions sur Facebook ou Tweeter étaient ou sont encore censurées au motif que c’est une « désinformation ».

Ces réseaux sociaux dictatoriaux se basaient notamment sur les fameux décodeurs du « journal » « Le Monde ».

Rappelons que ce « grand » organe de « presse » « indépendant » a été subventionné par la fondation Bill Gates depuis des années à hauteur de quelques millions d’euros.

Que nous disait cette usine à manipulation des masses en juillet avec l’aide de médecins, au mieux incompétents, au pire corrompus :

« Coronavirus : non, les tests PCR ne mettent pas le cerveau en danger »

(([1] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/07/21/coronavirus-non-les-tests-pcr-ne-mettent-pas-le-cerveau-en-danger_6046826_4355770.html)) — Le Monde 21 juillet 2020.

Et de rajouter :

« L’utilisation d’écouvillons pour aller effectuer des prélèvements au fond du nez n’est pas une nouveauté : cette méthode est utilisée depuis des années pour rechercher d’autres virus, ce qui donne un certain recul sur sa sécurité. »

« Dans tous les cas, l’écouvillon ne touche pas la barrière hémato-encéphalique, contrairement à ce qu’affirme la rumeur. Il touche la partie supérieure du pharynx, derrière la fosse nasale, comme on peut également le voir dans cette vidéo (c’est pourquoi on parle d’un prélèvement nasopharyngé). »

« Un écouvillonnage n’entre pas au contact de la barrière hémato-encéphalique, il faudrait qu’il franchisse la muqueuse et l’os du crâne pour l’atteindre ! », rappelait récemment Daniel Dunia, directeur de recherche en neurovirologie au CNRS, à 20 Minutes. »

L’objet de la publication est de bien prouver au public que l’écouvillon ne présente aucun danger (barrière hémato-encéphalique ou pas)

En septembre 2020 j’alertais sur le fait qu’il n’existait pas d’études sur le danger des écouvillons et que cela me semblait totalement délirant.

La seule étude que j’avais trouvé comparait des écouvillons 3d avec des écouvillons classiques et de conclure :

«L’épistaxis (saignement de nez) est survenue immédiatement ou peu après le retrait de l’écouvillon chez 5,0 % des employés testés avec l’écouvillon 3D et chez 8,3 % des employés testés avec l’écouvillon commercial »

Notez que 8 % de saignement de nez ce n’est pas rien !

Et voici que l’académie de médecine vient à notre secours, une fois n’est pas coutume

« Les prélèvements nasopharyngés ne sont pas sans risque »

(([2] https://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2021/04/Les-pr%C3%A9l%C3%A8vements-nasopharyng%C3%A9s-ne-sont-pas-sans-risque-1.pdf)) — 8 avril 2021

Et de préciser…

« Devant la multiplication et la répétition des prélèvements, parfois effectués dans des conditions inadaptées, il importe de rappeler les précautions à observer et les risques encourus. Si certaines complications peuvent être considérées comme bénignes (désagrément, douleur ou saignement), de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines, notamment des brèches de l’étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite ».

(([3] Sullivan CB et al. Cerebrospinal Fluid Leak After Nasal Swab Testing for Coronavirus Disease 2019. JAMA Otolaryngol Head Neck Surg. 2020 dec 1 ; 146(12):1179-1181.))

« De plus, l’Académie nationale de médecine recommande :
de réserver la pratique des prélèvements nasopharyngés aux professionnels de santé formés pour la réalisation de ce geste dans des conditions techniques rigoureuses ;
chez les enfants, de privilégier les prélèvements salivaires pour leur sécurité et leur acceptabilité… »

Les décodeurs du Monde vont-ils censurer l’académie de médecine ?

Vont-ils faire leur mea-culpa et présenter des excuses ?

Ne soyons pas naïfs, ils vont continuer à nous manipuler comme ils le font depuis le début de la crise.

Réveillons-nous !

Merci.

Alain Tortosa.
Auteur du livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210408-ecouvillon-danger.pdf




Covid-19 : échec de l’approche occidentale

[Source : Réseau Voltaire]

Par Thierry Meyssan

L’épidémie de Covid-19 touche le monde entier, toutefois sa mortalité varie de 0,0003 % en Chine à 0,016 % aux États-Unis, c’est-à-dire plus de 50 fois plus. Cette différence peut s’expliquer par des particularités génétiques, mais surtout par des différences d’approche médicale. Elle atteste que l’Occident n’est plus le centre de la Raison et de la Science.

 y a un an déjà, l’épidémie de la Covid-19 arrivait en Occident, via l’Italie. Aujourd’hui, nous en savons un peu plus sur ce virus, cependant, malgré les connaissances, les Occidentaux persistent à l’appréhender de manière erronée.

1- Qu’est ce qu’un virus ?

La Science est par définition universelle : elle observe et échafaude des hypothèses pour expliquer des phénomènes. Cependant elle s’exprime dans des langues et des cultures différentes qui sont sources de quiproquos lorsqu’on ne connait pas leurs spécificités.

Ainsi, les virus sont des êtres vivants selon la définition européenne de la vie, mais de simples mécanismes selon la définition anglo-saxonne de la vie. Cette différence culturelle induit des comportements chez chacun d’entre nous. Pour les Anglo-Saxons, il convient de détruire les virus, tandis que pour les Européens il s’agissait —jusqu’à l’année dernière— de s’adapter à eux.

Je ne dis pas que les uns sont supérieurs ou inférieurs aux autres, ni qu’ils sont incapables d’agir d’une manière différente de celle induite par leur culture. Je dis simplement que chacun appréhende le monde d’une manière qui lui est propre. Nous devons faire un effort pour comprendre les autres et nous n’en sommes véritablement capables que si nous sommes ouverts à cela.

Certes, l’Occident est un ensemble politique plus ou moins homogène, mais il est composé d’au moins deux cultures très différentes. Alors même que les médias ne cessent de minorer ces différences, nous devons toujours en être conscients.

Si l’on pense que les virus sont des êtres vivants, on doit les comparer à des parasites. Ils cherchent à vivre au détriment de leur hôte et surtout pas de le tuer, car ils en mourraient eux-mêmes. Ils tentent de s’adaptent à l’espèce hôte en variant jusqu’à ce qu’ils trouvent un moyen d’habiter en elle sans la tuer. Les variants de la Covid-19 ne sont donc pas les « cavaliers de l’Apocalypse », mais de très bonnes nouvelles conformes à l’évolution des espèces.

Le principe du confinement de populations saines a été édicté par le secrétaire à la Défense états-unien, Donald Rumsfeld, en 2004. Il ne s’agissait pas de lutter contre une maladie, mais de provoquer un chômage de masse pour militariser les sociétés occidentales [1]. Il a été diffusé en Europe par le docteur Richard Hatchett, alors conseiller Santé du Pentagone et aujourd’hui président de la CEPI. C’est lui qui, à propos de la Covid-19, a inventé l’expression « Nous sommes en guerre ! », reprise par le président Macron.

De même, si l’on pense que les virus sont des êtres vivants, on ne peut pas accorder de crédit aux modèles épidémiques développés par le professeur Neil Ferguson de l’Imperial College London et ses disciples, comme Simon Cauchemez du Conseil scientifique de l’Élysée. Par définition, la croissance d’aucun être vivant n’est exponentielle. Chaque espèce s’autorégule en fonction de son environnement. Tracer la courbe du début d’une épidémie puis l’extrapoler est une absurdité intellectuelle. Le professeur Fergusson a passé sa vie à prédire des catastrophes qui ne sont jamais survenues [2].

2- Que faire face à une épidémie ?

Toutes les épidémies ont historiquement été combattues avec succès par un mélange de mesures isolant les malades et augmentant l’hygiène.

Lorsqu’il s’agit d’une épidémie virale, l’hygiène ne sert pas à combattre le virus, mais les maladies bactériennes qui se développent chez les malades du virus. Par exemple, la grippe espagnole, qui sévit dans les années 1918-20, est une maladie virale. Il s’agissait en fait d’un virus bénin, mais dans le contexte de la Première Guerre mondiale, les très mauvaises conditions d’hygiène permirent le développement de maladies bactériennes opportunistes qui tuèrent en masse.

D’un point de vue médical, l’isolement ne s’applique qu’aux malades et à eux seuls. Jamais dans l’histoire, on n’a confiné de population saine pour lutter contre une maladie. Vous ne trouverez aucun ouvrage médical de plus d’un an, n’importe où dans le monde, envisageant une telle mesure.

Les confinements actuels ne sont des mesures ni médicales, ni politiques, mais administratives. Ils ne visent pas à diminuer le nombre de malades, mais à étaler leur contamination dans le temps, de manière à ne pas congestionner certains services hospitaliers. Il s’agit de compenser la mauvaise gestion des institutions de santé. La plupart des épidémies virales durent trois ans. Dans le cas de la Covid-19, la durée naturelle de l’épidémie sera prolongée de la durée administrative des confinements.

Les confinements pratiqués en Chine n’avaient pas plus de raison médicale. C’étaient des interventions du Pouvoir central contre les erreurs de Pouvoirs locaux, dans le contexte de la théorie chinoise du « mandat du Ciel » [3].

Le recours, par une population saine, à des masques chirurgicaux pour lutter contre un virus respiratoire n’a jamais été efficace. En effet, jusqu’à la Covid-19, aucun des virus respiratoires connus se transmet par les postillons, mais par aérosol. Seuls les masques à gaz sont efficaces. Il est bien sûr possible que la Covid-19 soit le premier germe d’un nouveau genre, mais cette hypothèse rationnelle est fort peu raisonnable [4]. Elle avait été envisagée pour la Covid-2 (le « Sars »), mais a déjà été abandonnée.

Il importe de préciser que la Covid-2 n’a pas simplement touché l’Asie en 2003-04, mais aussi l’Occident. Il s’est agi d’une épidémie au même titre que la Covid-19 en 2020-21. Elle est aujourd’hui soignée avec de l’interféron-alpha et des inhibiteurs de protéases. Il n’existe pas de vaccin.

3- Peut-on soigner une maladie que l’on ne connaît pas ?

Même sans connaître un virus, on peut et l’on doit toujours soigner les symptômes qu’il provoque. C’est non seulement un moyen pour soulager les malades, mais aussi une condition pour apprendre à connaître cette maladie.

Les responsables politiques occidentaux ont fait le choix de ne pas soigner la Covid-19 et de miser la totalité de leurs budgets sur les vaccins. Cette décision va à l’encontre du serment d’Hippocrate auquel chaque médecin occidental s’est engagé. Bien sûr de nombreux médecins occidentaux poursuivent leur activité, mais en se faisant le plus discret possible, faute de quoi ils sont menacés de sanctions ordinales et administratives.

Plusieurs traitements médicamenteux sont pourtant administrés avec succès dans les pays non-occidentaux.
- Dès le début de l’année 2020 —c’est-à-dire avant que l’épidémie ne touche l’Occident—, Cuba a montré que certains malades pouvaient être soignés et guéris avec de petites doses d’Interféron Alfa 2B recombiné (IFNrec). La Chine a construit en février 2021 une usine pour produire ce médicament cubain à grande échelle et l’utilise depuis pour certains types de malades [5].
- La Chine a également utilisé un médicament anti-paludéen, le phosphate de chloroquine. C’est à partir de cette expérience que le professeur Didider Raoult a utilisé de l’hydroxychloroquine dont il est un des meilleurs connaisseurs mondiaux. Ce médicament est utilisé avec succès dans de nombreux pays n’en déplaise aux fake news grotesques du Lancet et des médias dominants selon qui ce médicament banal, administré à des milliards de patients, serait un poison mortel.
- Les États qui ont fait le choix inverse des Occidentaux, c’est-à-dire ceux qui ont privilégié les soins plutôt que les vaccins, ont collectivement mis au point un cocktail de médicaments bon marché (dont l’hydroxychloroquine et l’ivermectine) qui soigne massivement la Covid (voir encadré). Les résultats sont si spectaculaires que les Occidentaux mettent en doute les chiffres publiés par ces États, au premier rang desquels la Chine.

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Extrait d’un document confidentiel suisse. Les médicaments cités peuvent être vendus sous des noms de marque différents selon les pays.

- Enfin le Venezuela a commencé la distribution massive du Carvativir, un médicament issu du thym, qui donne également des résultats spectaculaires. Google et Facebook (et pendant un moment Twitter) censurent toute information à ce sujet avec autant de zèle que le Lancet a tenté de discréditer l’hydroxychloroquine.

4- Comment cette épidémie finira-t-elle ?

Dans les pays qui utilisent les réponses médicales exposées plus haut, la Covid-19 est toujours présente, mais l’épidémie est déjà finie. Les vaccins ne sont proposés qu’aux personnes très exposées.

En Occident, où l’on refuse de soigner les malades, la seule solution paraît de vacciner la totalité de la population. De puissants lobbys pharmaceutiques poussent à l’usage de masse de vaccins coûteux plutôt qu’à celui de médicaments bon marché pour des malades mille fois moins nombreux. On assiste alors à une rivalité meurtrière entre les États pour s’emparer des doses disponibles au détriment de leurs alliés.

Durant quatre cent ans, l’Occident était à la poursuite de la Raison. Il était devenu le héraut de la Science. Aujourd’hui, il n’est plus raisonnable. Il conserve de grands scientifiques, comme le professeur Didier Raoult, et une avancée technique, ainsi que l’attestent les vaccins à ARN messager, mais n’a plus la rigueur pour raisonner scientifiquement. Encore faut-il distinguer les régions d’Occident : les pays anglo-saxons (Royaume-Uni et États-Unis) ont été capables de fabriquer des vaccins à ARN messager, pas l’Union européenne qui a perdu son inventivité.

Le centre du monde s’est déplacé.

Thierry Meyssan


[1] « Le Covid-19 et l’Aube rouge », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 avril 2020.

[2] « Covid-19 : Neil Ferguson, le Lyssenko libéral », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 avril 2020.

[3] « Covid-19 : propagande et manipulation », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 20 mars 2020.

[4] « Panique et absurdité politique face à la pandémie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 7 avril 2020.

[5] « Le monde après la pandémie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 17 mars 2020.




Me Brusa publie les preuves de la mafia covidiste

[Source : Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

[Photo : Me Brusa brandit ses documents.]

par Jacques Chassaing [Ndlr : avec quelques ajustements cosmétiques par Nouveau Monde]

Incroyable, mais vrai, le ministère de la Santé avoue que le vaccin ne sert à rien. Un retraité de 83 ans, vacciné contre le Covid, a saisi le Conseil d’État au motif de vouloir désormais aller partout librement, puisque vacciné. Sa requête a déclenché le mémoire ad hoc en défense du ministère de la Santé. Et là, surprise, Olivier Véran avoue l’inefficacité de la vaccination. Du lourd et même du très lourd qui a déclenché la colère du fondateur de Réaction 19 : « mais alors, pauvre ministre, tu es en train de faire la danse des sept voiles pour que les gens s’empoisonnent, alors que toi même tu expliques que tout ceci ne sert à rien! »

L’avocat Carlo Alberto Brusa était au bord de l’apoplexie lors de son direct sur YouTube qui restera dans les annales de la mortelle dictature politico sanitaire. 



(à partir de 50’) de la vidéo :

« le ministère de la Santé a répondu que pour le moment il est prématuré de différencier les règles entre les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées. 

Le ministre de la Santé énonce ses arguments sur les règles relatives aux limitations de circulation selon que les personnes ont reçu ou non des doses de vaccin: « L’efficacité partielle des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition de nouveaux variants ».

Autrement dit, souligne Me Brusa :

« vous avez non seulement un problème avec l’efficacité, mais en plus en ajoutant les variants, c’est encore plus compliqué. De fait, ce qui est normalement une des qualités du vaccin, disparaît totalement.

Autre affirmation du ministre de la Santé : « Les personnes vaccinées sont celles qui sont les plus exposées aux formes graves et au décès, en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de la réinfection post vaccinale, ou de la virulence d’un variant. »

Le sang de Me Brusa n’a fait qu’un tour :

« si tu dis que les personnes vaccinées sont celles qui sont les plus exposées…quelle est la garantie… »

Très énervé, l’avocat poursuit :

« de surcroît, le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers »

On se rappellera utilement que les propos du Dr Vincent Reliquet allaient dans ce sens dans l’article publié ici, le 10 mars 2021 : La vaccination Covid est inefficace et dangereuse pour les non vaccinés
(https://ripostelaique.com/la-vaccination-covid-est-inefficace-et-dangereuse-pour-les-non-vaccines.html)

Me Brusa répète les écrits du ministre Véran : « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers ». 

il  constate : 

« mais donc, ce n’est pas un vaccin. Un vaccin c’est ce qui permet d’être immunisé et de ne pas transmettre le virus aux tiers. Et là, ils nous disent exactement le contraire, donc ce n’est pas un vaccin »

L’avocat s’indigne :

« c’est le ministre qui le dit, c’est gravissime » Puis, citant encore le mémoire : « l’impact de la vaccination sur la population n’est pas encore connu ». 

Brusa est alors dans tous ses états :

« mais alors, pauvre ministre, tu es en train de faire la danse des sept voiles pour que les gens s’empoisonnent, alors que toi même tu expliques que tout ceci ne sert à rien! »

La mafia du vaccin est en lien avec l’État-prison-Macron

C’est un sacré coup de pied qu’a mis Me Brusa dans la mafia internationale qui grenouille autour de l’affaire Covid, avec pour son objectif d’ inoculer n’importe quel produit dit « vaccin » pour asservir les peuples à un nouvel ordre mondial.

« vous allez voir où le fric tourne. » Au premier tableau de chasse, sont épinglés :

Georges Soros, Bill Gates, Thierry Breton, Olivier Véran, Emmanuel Macron, François Bayrou (appelé à s’expliquer sur  étrange agenda des prochains confinements prévus et programmés), Atos, BlackRock, Vanguard Group, BioNtech, ARNMessager, Pfizer, Microsoft, Winterthur, AXA…

« Monsieur Thierry Breton, le monsieur nettoyeur d’ATOS qui a détruit Bull, société française d’informatique, qui a été PDG  de la société ATOS, est le commissaire européen qui a lancé le passeport vert, passeport vaccinal. Or il y a conflit d’intérêts. ATOS, spécialisée dans le contrôle aux frontières par le numérique, gère le K1 code pour le voyage… »

(à 44’13)

« Edouard Philippe a été nommé administrateur de ATOS, son grand ami Thierry Breton nommé commissaire européen, et monsieur vaccin… la toile d’araignée se complique quand vous allez voir qui est chez ATOS : le Vanguard Group des connexions Pfizer, Glaxo… »

Me Brusa se livre alors à la démonstration de toutes les implications, actionnariats et capitaux de ces sociétés et remonte jusqu’à la Fondation Georges Soros qui détient plusieurs portefeuilles.

« aujourd’hui plusieurs fortunes mondiales sont gérées par BlackRock, par Vanguard Group et la Fondation Bill et Mélinda Gates, qui sont également actionnaires de Pfizer… qui sont aussi les actionnaires d’ATOS lesquels veulent nous imposer les fameux codes de reconnaissance. 

On continue : Glaxo n’est pas actionnaire de Pfizer, mais il y a des liens. On continue… et on va remonter jusqu’au laboratoire Wuhan. Vous en saurez plus lors du prochain numéro » 

(48’18)

Ne donnez pas votre accord pour que vos enfants soient testés

« et vous, directrices et directeurs d’école, vous n’avez pas à faire les larbins de la santé, ça ne rentre pas dans vos fonctions. Vous n’avez pas le droit de communiquer les informations personnelles de vos élèves. Il n’existe aucune disposition légale … »

(41’)

« Macron et sa gueule enfarinée »

Il a sang chaud cet Italien d’avocat lorsqu’il s’adresse au président Macron :

« il aime tellement être le Jupiter de la situation… mais avec sa gueule enfarinée, on est dans les menaces constantes… ils prennent les gens pour des cons avec les lits de réanimation. Vous avez plusieurs catégories de ces lits… mais quand on vous parle de taux d’occupation, on ne prend que les lits qui existaient à la base… Me Di Vizio l’a developpé. 

Il faut réagir parce que le but est de nous garder dans une position d’esclavage pour que la piquouze puisse être administrée. Aujourd’hui, il suffit que vous disiez non au poison! C’est à vous de dire non!»

(à 56’).

Il a aussi le tutoiement facile :

« et toi préfet, tu n’as pas besoin de faire un caca nerveux, et toi en tant que maire tu n’as pas besoin d’interdire de mesurer l’oxymétrie… »

(à 16,59’)

Quand un maire de plus participe activement à la répression Macron

On sait que l’association Réaction19 a lancé l’opération Oxymètre, qui consiste depuis plusieurs semaines à collecter les données respiratoires modifiées par le port obligatoire du masque des enfants. Les adultes sont également concernés.

Grande est la collusion avec le pouvoir de ces nombreux maires qui soutiennent la dictature sanitaire, y compris les pions de mairies fleuries des zones rurales.

Rappelons au passage qu’aucun des candidats et leurs listes soi-disant apolitiques aux dernières municipales, ne se sont levés pour dénoncer la manipulation du premier et du second tour. Il faut dire que ces maires se sont empressés de voter le mix de leur impunité avec l’impunité des criminels de l’Etat-Macron : 
https://ripostelaique.com/candidats-du-criminel-macron-le-28-juin-restez-chez-vous.html 
et https://ripostelaique.com/le-conseil-constitutionnel-confirme-limpunite-des-criminels-detat.html

Réaction19 révèle qu’un maire vient de prendre un arrêté interdisant aux parents d’élèves le recueil des données oxymétriques devant l’école. Ce fait s’ajoute à l’action des préfets, des policiers et de l’Education nationale mobilisés pour que les taux d’oxygénation du sang des enfants masqués obligatoirement ne soient pas mesurés.

Me Brusa va mettre en ligne la mise en demeure globale adressée au ministre de l’Education nationale et l’arrêté municipal de ce maire sera attaqué (à 16’).

Ce qu’il a dit, il va l’écrire 

Tous les contenus des documents allégués par Me Brusa seront bientôt disponibles sur le site de Réaction 19 (infos réservées aux 70 000 adhérents à l’association).

De plus, l’avocat va notifier le mémoire en défense précité :

«  à tous les parlementaires, à tous les médecins et Conseils de l’ordre pour qu’ils comprennent qu’ils sont en train de jouer avec la vie des gens avec un produit dangereux qui porte le nom de vaccin. Nous ne devons pas être des cobayes! Le ministre de la Santé est passé aux aveux judiciaires et juridiques de l’inefficacité de ce qui est vendu comme l’espoir de sortie, et ils le savent très bien … »

(54’)

La vidéo publique du live censurée quelques heures après, devient subitement privée : 19 h 10 le Direct : la covid 19 une maladie mentale ! des infos des infos ! (https://youtu.be/inc3NsYpla0)

Me Brusa part en province pour la cause

A partir d’aujourd’hui, Me Brusa entame des déplacement en régions pour amplifier le combat anti totalitarisme covidiste.

Outre Toulon, La Seyne-sur-Mer, Six-Fours-les-Plages, Rennes, Quimperlé (avec la députée Martine Wonner), Aurillac, Nancy, la Saône & Loire (vraisemblablement à Mâcon), Bordeaux, Toulouse, Biarritz, le Nord (Dunkerque ou Lille ou Roubaix), Montpellier, Grenoble, Marseille, Avignon, l’avocat ira en Belgique, à la Guadeloupe, et peut-être en Martinique.

L’association Réaction19 met en œuvre tous les moyens juridiques et judiciaires dans toutes les actions individuelles et collectives, ayant un lien avec les mesures législatives, décrétales et réglementaires, prises par les autorités françaises, de l’Union Européenne et du monde, pour lutter contre la pandémie de la COVID19 : https://reaction19.fr

Rien ne va plus pour Francis Lalanne

Petit entrefilet pour signaler que le poète militant, encerclé par les CRS dans un théâtre d’Avignon, a reçu l’assurance d’un prompt et prochain soutien de Me Brusa.

Décidément Francis Lalanne s’est lourdement trompé en imaginant l’imminence du ralliement de la police à la cause du peuple opprimé. Sans compter que le docteur Jean-Paul Hamon réclame son incarcération pour délit de bisous pour tous.
Cf https://ripostelaique.com/alexandra-henrion-caude-et-lalanne-chantent-le-temps-de-cerises.html 
et https://putsch.media/20210330/actualites/societe/video-le-dr-jean-paul-hamon-sur-francis-lalanne-pourquoi-on-le-colle-pas-au-trou-ce-mec-alors-que-des-mecs-sont-en-train-de-claquer-en-rea/

Jacques CHASSAING

IMPORTANT : Tous les liens et renvois mentionnés dans cet article constituent des éléments factuels corroborés, à l’appui des opinions et des faits exprimés par l’auteur Jacques Chassaing, ici, ainsi que dans tous les articles qu’il signe.




Covid, une opération des pouvoirs sionistes et financiers

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Parlons de choses sérieuses parce que les événements qui se produisent depuis un an, ne se prêtent ni à la légèreté ni à la plaisanterie.

Le premier point que je souhaite aborder dans l’article d’aujourd’hui, concerne les attaques incroyables sur nos libertés. Tout comme le 11 septembre a permis l’abject Patriot Act qui fait de chaque citoyen américain un individu sous haute surveillance sous prétexte de « lutter contre le terrorisme‘, l’opération Covid est la phase suivante.

Ce virus dont nous savons grâce au Prix Nobel de Médecine Luc Montagnier, qu’il a été produit en laboratoire, n’est rien d’autre qu’une arme biologique à visée terroriste. Mais cette fois à grande échelle puisque presque tous les pays du monde sont visés.

Alors la première question qui vient à l’esprit c’est : mais qui a donc fait ça ? Et pourquoi ?

Avant de vous faire part de mon idée sur la question, idée que beaucoup d’entre vous connaissent déjà si vous me lisez régulièrement, je ne peux m’empêcher de repenser à la manière dont Poutine a fait face au problème en dénonçant l’échec probable du Nouvel Ordre Mondial et à cette déclaration fracassante du colonel à la retraite Vladimir Kvachkov [Ndlr: voir Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation] du GRU (renseignement militaire russe) sur le coronavirus. Le colonel Kvachkov n’est pas n’importe quel péquin insignifiant car c’est un ancien du Centre d’études de défense et stratégiques de l’état-major général des forces armées russes. Il ne parle pas à la légère car on ne peut pas s’offrir ce luxe dans une situation aussi grave. Il faut donc le prendre au sérieux.

Je le cite : « Le phénomène des coronavirus, la soi-disant « pandémie » – et laissez-moi vous dire – il n’y a pas de pandémie, tout ça, c’est un gros mensonge. – Il doit être considéré comme une opération spéciale, stratégique et mondiale. Ce sont des exercices des pouvoirs sionistes et financiers qui manipulent en coulisse le monde pour le contrôle de l’humanité. Ils veulent réduire notre liberté et accroître leur contrôle politique. Le coronavirus et la crise financière qui ont immédiatement éclaté sont inextricablement liés. Une première tentative mondiale de retirer des droits politiques (des gens) a eu lieu le 11 septembre 2001, puis il y a eu une déclaration de guerre à l’humanité déguisée en guerre contre le terrorisme. Maintenant, ils ont besoin d’une autre excuse pour une prise de contrôle de l’humanité. Le coronavirus a été lancé par les puissances sionistes et financières mondiales dans le but de limiter les droits politiques et de faire peur aux gens.

« Le coronavirus a une origine artificielle; c’est déjà prouvé scientifiquement. Nous recevons une propagande d’information psycho-politique spéciale, une opération des médias de masse mondialistes au service des pouvoirs en coulisse qui créent cette terreur. “Ils” scrutent et recherchent qui obéit et qui ne n’obéit pas pas. De plus, les relations économiques sont passées de l’économie réelle à la bulle financière de l’économie virtuelle, qui doit maintenant être dégonflée. En Chine, ils ont une faction patriotique et une autre de pro-américains dont le seul intérêt est le fric, [les traîtres] qui ont essayé d’utiliser le coronavirus à Wuhan [jusqu’à ce que le président Xi mette fin aux enfermements]. Et puis ça a commencé en Europe. L’Europe et la Chine sont deux adversaires géo-économiques des USA. Et c’est là qu’ils ont d’abord injecté ce virus. »

« Un autre objectif est de réduire la population mondiale. Ils pensent qu’il y a trop de gens ordinaires [Ils veulent] 100 millions de leur propre genre et peut-être 1 milliard de serfs pour les servir. Tant que nous ne nous débarrasserons pas des parasites internes qui nous gouvernent, nous ne résisterons pas aux autres parasites. »

Dans ces trois paragraphes nous avons la réponse possible à nos deux questions : qui et pourquoi. Certains douteront et d’autres verront dans ces déclarations du colonel Vladimir Kvachkov, la seule explication plausible à ce que nous subissons depuis un an.

Maintenant l’autre question c’est : mais pourquoi notre gouvernement ne nous protège pas de ces criminels ? La réponse est simple. Voyons qui a choisi Macron et qui a financé son accession au pouvoir et nous comprendrons pourquoi.

Sans revenir en détail sur chaque point et en allant à l’essentiel, Macron a été choisi par le groupe Bilderberg, groupe réunissant les puissants de ce monde et tenant à le rester. Le deal c’est « tu fais tout ce qu’on te dit et on fera de toi le Président de la France. En contre partie de ta participation à nos plans, tu pourras même en profiter pour t’enrichir autant que tu voudras puisque tu bénéficies du privilège de la fonction et que tu es intouchable vu que tu es protégé par l’immunité. » Et Macron a répondu selon ses propres mots : « Banco !« 

Macron n’est ni un moine bouddhiste, ni un jésuite. Il n’a aucune attache spirituelle d’aucune sorte, n’a aucune moralité, est dépourvu de tout scrupule puisqu’il considère comme quantité négligeable « ceux qui ne sont rien ». Sa vie, son parcours démontrent que la seule chose qui l’intéresse c’est de devenir riche et puissant. Il est donc le complice idéal des mondialistes, car lui-même semble obsédé par le projet messianique du gouvernement mondial de Jacques Attali et de tous les sionistes, à qui le grand rabbin Schneerson a demandé d’agir pour accélerer la venue du « Mechia’h« .

Et comme l’explique en détail Youssef Hindi dans ses écrits sur les origines du sionisme messianique, pour que cette venue puisse se produire, la mise en place du Nouvel Ordre Mondial est un préalable.

Alors, que va-t-il se produire dans un futur proche ?

Un peu partout, les peuples divisés entre les crédules qui font encore confiance aux gouvernements criminels obéissant aux ordres de ces « illuminés » (Illuminati ?) et les éveillés qui ont parfaitement compris ce qui est en train de s’accomplir sous nos yeux, vont provoquer une scission qui ne pourra aboutir qu’à des désordres, des affrontements, peut-être même une insurrection ou une guerre civile.

Pourquoi Attali semblait si sûr de lui quand il a déclaré qu’il y aurait une révolution en France avant 2022 ?

Attali n’est ni prophète ni devin, mais a cette faculté étrange d’annoncer des catastrophes auto-réalisatrices. C’est un agent du Nouvel Ordre Mondial qui est parfaitement informé du plan criminel mis en place par ceux qui ont déclenché l’opération Covid. Et il sait aussi que la partie du peuple qui prend conscience de ce qui se passe, va réagir et peut-être même violemment. Voilà pourquoi il a fait cette prédiction. D’ailleurs cette déclaration est bien antérieure à l’opération Covid. Il savait donc déjà tout et avait envisagé tous les scénarios possibles car on peut faire confiance à ces gens, experts en manipulation des masses pour prévoir chaque détail du plan.

Attali comme tous ceux qui se rendent complices de cette opération criiminelle savent que s’ils échouent, leurs sorts seront peu enviables. C’est donc un pari risqué. Mais compte tenu qu’ils sont le vrai pouvoir et qu’ils disposent de complicités dans les institutions, dans les médias et des forces de police et de généraux traîtres à la nation au sein de l’armée, ils pensent être capables de mater une insurrection ou une révolution et continuer à rester les « Maîtres » du pays.

Donc, le désordre et la violence sont le scénario le plus probable et c’est pour l’éviter que la vaccination est utilisée. Le nombre de victimes de ces vaccins qui provoquera une vraie pandémie ne fera qu’augmenter, la peur et la psychose aussi et on compte sur ce stratagème pour maintenir les populations sous pression et soumises, à travers les confinements et autres mesures extrêmes pour éviter une révolte du peuple.

Machiavélique n’est-ce pas ?

J’ai pour habitude de dire ce que je m’applique à moi-même : espérons le meilleur tout en étant prêts à affronter le pire. Et si le pire n’est pas toujours probable, il est souvent possible.

Je vous laisse méditer sur tout ça…

Bonne semaine à tous.




L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Mordechai Sones – Le 25 mars 2021

America’s Frontline Doctors (AFLDS) s’est entretenu avec l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, pour connaître son point de vue sur le vaccin COVID-19, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, les autorités de réglementation, etc.

D’emblée, le Dr Yeadon a déclaré :

« Je suis bien conscient des crimes contre l’humanité perpétrés contre une grande partie de la population mondiale.

Je ressens une grande peur, mais je ne suis pas dissuadé de donner un témoignage d’expert à de multiples groupes d’avocats compétents comme Rocco Galati au Canada et Reiner Fuellmich en Allemagne.

Je n’ai absolument aucun doute sur le fait que nous sommes en présence de produits maléfiques (ce n’est pas une décision que j’ai déjà prise en 40 ans de carrière de chercheur) et dangereux.

Au Royaume-Uni, il est tout à fait clair que les autorités sont déterminées à administrer des « vaccins » au plus grand nombre possible de personnes. C’est de la folie, car même si ces agents étaient légitimes, la protection n’est nécessaire que pour les personnes présentant un risque particulièrement élevé de mourir du virus. Chez ces personnes, on pourrait même argumenter que les risques valent la peine d’être supportés. Et il y a certainement des risques qui sont ce que j’appelle « mécanistes », c’est-à-dire intégrés dans la façon dont ils fonctionnent.

Mais toutes les autres personnes, celles en bonne santé et âgées de moins de 60 ans, peut-être un peu plus, ne meurent pas du virus. Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas déterminé.

Il ne serait sage à aucun moment de faire ce qu’ils ont déclaré avoir l’intention de réaliser.

Puisque je le sais avec certitude, et que je sais que ceux qui le dirigent le savent aussi, nous devons nous interroger : Quel est leur motif ?

Bien que je ne le sache pas, j’ai de fortes réponses théoriques, dont une seule est liée à l’argent et ce motif ne fonctionne pas, car on peut arriver au même quantum en doublant le coût unitaire et en donnant l’agent à deux fois moins de personnes. Dilemme résolu. Donc c’est autre chose.

Sachant que, par population entière, il est également prévu que les enfants mineurs et éventuellement les bébés soient inclus dans le filet, et c’est ce que j’interprète comme un acte maléfique.

Il n’y a aucune justification médicale à cela. Sachant comme je le sais que la conception de ces « vaccins » aboutit, dans le corps des destinataires, à l’expression de la protéine spike, qui a des effets biologiques indésirables propres qui, chez certaines personnes, sont nocifs (déclenchement de la coagulation du sang et activation du « système de complément » immunitaire), je suis déterminé à souligner que ceux qui ne sont pas à risque de ce virus ne devraient pas être exposés au risque d’effets indésirables de ces agents. »

AFLDS : La décision de la Cour suprême d’Israël de la semaine dernière annulant les restrictions de vol du COVID disait : « À l’avenir, toute nouvelle restriction sur les voyages à destination ou en provenance d’Israël doit, en termes juridiques, reposer sur une base complète, factuelle et fondée sur des données. »

Dans une conférence que vous avez donnée il y a quatre mois, vous avez dit que

« La durée la plus probable de l’immunité contre un virus respiratoire comme le SRAS-CoV-2 est de plusieurs années. Pourquoi est-ce que je dis cela ? Nous disposons en fait des données relatives à un virus qui a balayé certaines parties du monde il y a dix-sept ans, le SRAS, et souvenez-vous que le CoV-2 du SRAS est similaire à 80 % au SRAS, donc je pense que c’est la meilleure comparaison que l’on puisse fournir.

Les preuves sont claires : ces immunologistes cellulaires très intelligents ont étudié toutes les personnes qui avaient survécu au SRAS il y a 17 ans et sur lesquelles ils ont pu mettre la main. Ils ont prélevé un échantillon de sang et ont vérifié s’ils réagissaient ou non au SRAS original, et ils l’ont tous fait ; ils avaient tous une mémoire cellulaire T robuste et parfaitement normale. En fait, ils étaient également protégés contre le CoV-2 du SRAS, car ils sont très similaires ; c’est une immunité croisée.

Je dirais donc que les meilleures données existantes indiquent que l’immunité devrait être robuste pendant au moins 17 ans. Je pense qu’il est tout à fait possible qu’elle dure toute la vie. Le style des réponses des cellules T de ces personnes était le même que si vous aviez été vacciné et vous revenez des années plus tard pour voir si cette immunité s’est maintenue. Je pense donc que la preuve est vraiment forte que la durée de l’immunité sera de plusieurs années, voire de toute une vie. »

En d’autres termes, une exposition antérieure au SRAS – c’est-à-dire à une variante similaire au CoV-2 du SRAS – confère une immunité au CoV-2 du SRAS.

Le gouvernement israélien invoque de nouveaux variants pour justifier les confinements, les annulations de vols, les restrictions et la délivrance de passeports verts. Compte tenu du verdict de la Cour suprême, pensez-vous qu’il soit possible de prévenir les futures mesures gouvernementales en fournissant des informations précises sur les variants, l’immunité, l’immunité collective, etc. aux avocats qui contesteront ces futures mesures ?

Yeadon :

« Ce que j’ai décrit en ce qui concerne l’immunité contre le SRAS est précisément ce que nous observons avec le SRAS-CoV-2. L’étude provient de l’un des meilleurs laboratoires dans son domaine.

Donc, en théorie, les gens pourraient tester leur immunité aux cellules T en mesurant les réponses des cellules dans un petit échantillon de leur sang. De tels tests existent, ils ne sont pas « à haut débit » et ils sont susceptibles de coûter quelques centaines de dollars chacun à grande échelle. Mais pas des milliers. Le test dont j’ai connaissance n’est pas encore disponible dans le commerce, mais fait l’objet de recherches uniquement au Royaume-Uni.

Cependant, je pense que l’entreprise pourrait être incitée à fournir des kits de test « pour la recherche » à grande échelle, sous réserve d’un accord. Si vous deviez vous arranger pour tester quelques milliers d’Israéliens non vaccinés, cela pourrait être une arme à double tranchant. D’après l’expérience d’autres pays, 30 à 50 % des gens étaient déjà immunisés et environ 25 % ont été infectés et sont maintenant immunisés.

Personnellement, je ne voudrais pas avoir affaire aux autorités selon leurs propres termes : vous êtes soupçonné d’être une source d’infection jusqu’à preuve du contraire. Vous ne devriez pas avoir à prouver que vous ne représentez pas un risque pour la santé des autres. Ceux qui ne présentent pas de symptômes ne sont jamais une menace pour la santé des autres. Et dans tous les cas, une fois que ceux qui se sentent concernés par le virus sont vaccinés, il n’y a tout simplement aucun argument pour que quelqu’un d’autre ait besoin d’être vacciné. »

[AFLDS :] Ma compréhension d’un « vaccin fuyant » est qu’il ne fait qu’atténuer les symptômes chez les vaccinés, mais n’arrête pas la transmission ; il permet donc la propagation de ce qui devient alors un virus plus mortel.

Par exemple, en Chine, on utilise délibérément des vaccins non étanches contre la grippe aviaire pour éliminer rapidement les troupeaux de poulets, car les personnes non vaccinées meurent en trois jours. Dans le cas de la maladie de Marek, dont ils devaient sauver tous les poulets, la seule solution était de vacciner 100 % du troupeau, car tous les non-vaccinés couraient un risque élevé de mourir. L’utilisation d’une fuite de vaccin est donc dictée par l’intention, c’est-à-dire qu’il est possible que l’intention soit de causer un grand tort aux personnes non vaccinées.

Les souches les plus fortes ne se propagent généralement pas dans une population car elles tuent l’hôte trop rapidement, mais si les personnes vaccinées ne sont atteintes que de maladies moins graves, elles transmettent ces souches aux personnes non vaccinées qui contractent des maladies graves et meurent.

Êtes-vous d’accord avec cette évaluation ? De plus, êtes-vous d’accord avec le fait que si les non-vaccinés deviennent les personnes sensibles, la seule solution est une prophylaxie par HCQ [Hydroxychloroquine] pour ceux qui n’ont pas déjà eu le COVID-19 ?

Le protocole Zelenko fonctionnerait-il contre ces souches plus fortes si c’est le cas ?

Et si beaucoup de personnes ont déjà l’ancienne « immunité de 17 ans contre le SRAS » mentionnée plus haut, cela ne les protégerait-il pas contre un super-variant ?

[Yeadon :]

« Je pense que l’histoire de Gerrt Vanden Bossche est très suspecte. Il n’y a aucune preuve que la vaccination conduise ou conduira à des ‘variants dangereux’. Je crains qu’il ne s’agisse d’une sorte de ruse.

En règle générale, les variants se forment très souvent, régulièrement, et ont tendance à devenir moins dangereux et plus infectieux avec le temps, à mesure qu’ils s’équilibrent avec leur hôte humain. Les variants ne deviennent généralement pas plus dangereux.

Aucun variant ne diffère de la séquence originale de plus de 0,3 %. En d’autres termes, tous les variants sont identiques à 99,7 % au moins à la séquence de Wuhan.

C’est une fiction, et une fiction diabolique, que les variants soient susceptibles d' »échapper à l’immunité ».

Non seulement c’est intrinsèquement improbable — car ce degré de similitude entre les variants signifie qu’il n’y a aucune chance qu’une personne immunisée (que ce soit par une infection naturelle ou par la vaccination) soit rendue malade par un variant — mais c’est également soutenu empiriquement par des recherches de grande qualité.

Les recherches auxquelles je fais référence montrent que les personnes qui se remettent d’une infection ou qui ont été vaccinées possèdent TOUTES un large éventail de cellules immunitaires qui reconnaissent TOUS les variants.

Cet article montre que la reconnaissance moléculaire étendue par le système immunitaire rend les minuscules changements dans les variants non pertinents.

Je ne saurais trop insister : Les histoires autour des variants et du besoin de vaccins complémentaires sont FAUSSES. Je crains qu’il y ait une raison très maligne derrière tout cela. Elle n’est certainement pas étayée par les meilleures méthodes d’étude de l’immunité. Les affirmations manquent toujours de substance lorsqu’on les examine, et utilisent diverses astuces, comme la manipulation des conditions pour tester l’efficacité des anticorps. Les anticorps sont probablement assez peu importants dans la protection de l’hôte contre ce virus. Quelques « expériences naturelles » ont été réalisées sur des personnes qui ne peuvent malheureusement pas produire d’anticorps, mais qui parviennent à repousser le virus avec succès. Il est certain qu’elles se portent mieux avec des anticorps que sans. Je mentionne ces rares patients parce qu’ils montrent que les anticorps ne sont pas essentiels à l’immunité de l’hôte, de sorte qu’un test inventé dans un laboratoire sur les anticorps et les variants de virus modifiés ne justifie PAS le besoin de vaccins complémentaires.

Les seules personnes qui pourraient rester vulnérables et avoir besoin d’une prophylaxie ou d’un traitement sont celles qui sont âgées et/ou malades et qui ne souhaitent pas recevoir de vaccin (ce qui est leur droit).

La bonne nouvelle est qu’il existe de multiples choix possibles : l’hydroxychloroquine, l’Ivermectine, le budésonide (stéroïde inhalé utilisé chez les asthmatiques), et bien sûr la vitamine D orale, le zinc, l’azithromycine, etc. Ces traitements réduisent la gravité à tel point que ce virus n’aurait pas eu besoin de devenir une crise de santé publique. »

[AFLDS :] Pensez-vous que la FDA fait un bon travail de régulation des grandes entreprises pharmaceutiques ? De quelle manière les grandes entreprises pharmaceutiques contournent-elles l’autorité de réglementation ? Pensez-vous qu’elles l’ont fait pour l’injection d’ARNm ?

[Yeadon :]

« Jusqu’à récemment, j’avais une grande estime pour les régulateurs mondiaux des médicaments. Lorsque j’étais chez Pfizer, et plus tard PDG d’une biotech que j’ai fondée (Ziarco, rachetée plus tard par Novartis), nous avons eu des échanges respectueux avec la FDA, l’EMA et la MHRA du Royaume-Uni.

Des interactions toujours de bonne qualité.

Récemment, j’ai remarqué que la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) avait accordé une subvention à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) ! Est-ce que cela peut être approprié ? L’agence est financée par des fonds publics. Ils ne devraient jamais accepter de l’argent d’un organisme privé.

Voici donc un exemple où le régulateur britannique est en conflit d’intérêts.

L’Agence européenne des médicaments n’a pas exigé certaines choses, comme l’a révélé le « piratage » de ses dossiers lors de l’examen du vaccin Pfizer.

Vous pouvez trouver des exemples sur le « Comité Corona » de Reiner Fuellmich en ligne.

Je ne crois donc plus que les régulateurs soient capables de nous protéger. L »approbation’ n’a donc aucun sens.

Le Dr Wolfgang Wodarg et moi-même avons adressé une pétition à l’EMA le 1er décembre 2020 sur les vaccins génétiques. Ils nous ont ignorés.

Récemment, nous leur avons écrit en privé, les mettant en garde contre les caillots sanguins, ils nous ont ignorés. Lorsque nous avons rendu publique notre lettre, nous avons été complètement censurés. Quelques jours plus tard, plus de dix pays ont interrompu l’utilisation d’un vaccin en invoquant des caillots sanguins.

Je pense que les grosses sommes d’argent de l’industrie pharmaceutique et de la BMGF créent un environnement où dire non n’est pas une option pour l’organisme de réglementation.

Je dois revenir sur la question des « vaccins complémentaires » (piqûres de rappel) et je crains que tout ce récit ne soit exploité et utilisé pour acquérir un pouvoir inégalé sur nous.

S’IL VOUS PLAÎT, avertissez chaque personne de ne pas s’approcher des vaccins complémentaires. Ils ne sont absolument pas nécessaires.

Comme ils ne sont pas nécessaires, mais qu’ils sont fabriqués par des entreprises pharmaceutiques et que les autorités de réglementation se sont tenues à l’écart (pas de tests de sécurité), je ne peux que déduire qu’ils seront utilisés à des fins néfastes.

Par exemple, si quelqu’un souhaite blesser ou tuer une proportion importante de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettront.

Je pense qu’il est tout à fait possible que ces systèmes soient utilisés pour une dépopulation à grande échelle. »

https://www.americasfrontlinedoctors.com/exclusive-former-pfizer-vp-to-aflds-entirely-possible-this-will-be-used-for-massive-scale-depopulation/



Stratégie du Chaos Contrôlé

[Source : krystalstarcenter.com]

[Ndlr : L’hypothèse d’une influence non humaine derrière une telle stratégie n’enlève pas pour autant à la pertinence de l’analyse.]

Par Lisa Renee

Aujourd’hui, trop de personnes de bon cœur dans le monde accordent à leurs dirigeants et décideurs corrompus le bénéfice du doute, en invoquant l’incompétence ou la compassion pathologique lorsqu’ils tentent d’expliquer la destruction et le déclin rapidement croissant de leur culture occidentale dans les grandes villes soumises au programme du Chaos Contrôlé. La destruction systématique et méthodique des ressources naturelles et des cadres culturels civilisés, la destruction ou la dissimulation de beaux chefs-d’œuvre de l’art et de la littérature, et la décimation intentionnelle d’artefacts et d’antiquités mettant en évidence les âges précédents d’une culture humaine éclairée n’est pas un accident. Le Chaos Contrôlé est basé sur la soumission des individus à des méthodes sophistiquées de Manipulation Psychologique globale conçues pour réformer et réprimer la conscience de masse, en Façonnant de Faux Récits qui détruisent l’Unité et l’Empathie au sein de l’humanité. Les stratégies de division et de domination encouragent les divisions, les conflits et le chaos entre les groupes opposés afin d’empêcher la formation d’alliances fortes et l’unification qui pourraient remettre en cause le pouvoir du Contrôleur ou du Dirigeant. Cela s’étend aux entités négatives, telles que les groupes Lucifériens ou Sataniques, qui exercent un contrôle supplémentaire sur leurs représentants humains qui ont été socialement conçus pour mener à bien leur programme de division et de conquête de la race humaine.

Comprendre les motivations de l’élite du pouvoir en place signifie comprendre leurs croyances spirituelles et idéologiques liées à l’utilisation du chaos contrôlé contre leur opposition, qui est essentiellement d’inciter continuellement au chaos et à la division afin de contrôler le reste des habitants de la terre. Le chaos contrôlé, c’est comprendre le rôle de la théorie du chaos qui est utilisée dans la prise de décision militaire, lors de la planification de tactiques de division et de conquête visant tout groupe, toute population ou toute nation. Le Chaos contrôlé est utilisé à la fois comme une stratégie de guerre spirituelle sur le front métaphysique par des forces obscures non physiques, et comme un outil de désinformation et une tactique d’affaiblissement basé sur la propagande et visant les masses du monde physique. Il s’agit d’une stratégie globale de domination de la Terre sur tout le spectre (full spectrum domination), menée par les forces des EANs [Ndlr: Entités Aliénigènes (ou non-humaines) Négatives, à l’image des « démons » ou des « Archontes » dans certaines traditions religieuses ou culturelles, ou encore des Reptiliens dans des théories plus récentes relevant du domaine ufologique.], qui utilisent des contrôleurs humains sur le terrain qui ont eu accès à des richesses et des ressources illimitées de la planète afin de gérer le reste d’entre nous dans un Chaos Contrôlé.

En détruisant méthodiquement la cohésion et l’unité qui existent au sein de tout groupe, organisation, État ou nation ciblé, le groupe est affaibli par la division interne et le chaos, ce qui fait que des forces organisées extérieures qui utilisent des tactiques de chaos contrôlé peuvent intercepter et imposer facilement le contrôle des ressources du groupe. Dans le cadre d’une étude de cas, la destruction d’un état puissant pourrait être souhaitée par des sociétés multinationales, des syndicats du crime et des institutions qui ont l’intention d’obtenir un contrôle agressif sur les ressources financières, militaires et informationnelles de cet état. Les stratégies consisteraient notamment à saturer la propagande de la culture de la mort dans la population en renforçant les comportements destructeurs, tels que l’augmentation du dénuement et du nombre de sans-abri, la distribution gratuite de seringues d’héroïne, la promotion de la misère sexuelle pour réduire le taux de natalité et augmenter le taux de mortalité. Lorsqu’il y a indifférence à la souffrance, à la misère et au dénuement des autres, les gens deviennent suicidaires et perdent leur volonté de vivre. Cela agit comme un mécanisme d’euthanasie générale pour faciliter une stratégie eugénique ou tuer dans la culture ciblée.

Une autre étude de cas permettant d’observer les stratégies de chaos contrôlé en action, comme l’utilisation de la modification du climat pour provoquer le chaos, est mise en évidence par l’activité récente de l’Ouragan Florence sur la côte est. Dane Wigington, de GeoengineeringWatch.org, a attiré l’attention du public sur ce sujet avec son récent article et la vidéo ci-dessous.

« L’ouragan Florence infligera-t-il le niveau de dommages catastrophiques prévu ? L’immobilisme « prévu » de Florence sera-t-il, dans une certaine mesure, parallèle au scénario de l’Ouragan Harvey ? Ou bien un changement de direction et un affaiblissement de la tempête au cours de la dernière heure diminueront-ils une partie ou une grande partie des impacts prévus ? Dans les deux cas, l’ingénierie climatique est la partie essentielle de l’équation qui n’est reconnue par aucune source officielle. Bien que la nature engendre de plus en plus d’ouragans / cyclones en raison du réchauffement rapide des mers, les opérations massives d’ingénierie climatique mondiale (et les technologies associées) sont de plus en plus capables de manipuler et de diriger de telles tempêtes. Dès le début, les météorologues savaient que l’Ouragan Florence suivrait une trajectoire presque rectiligne vers une région spécifique de la côte est des États-Unis. Comment le savaient-ils ? Parce qu’ils lisent un script qui leur est transmis de haut en bas de l’échelle. Un script qui, en fin de compte, provient de l’entrepreneur en génie climatique Raytheon, qui effectue toute la modélisation pour le National Weather Service (NWS) et la National Oceanic and Atmospheric Administration NOAA (les deux agences gouvernementales sont soumises à un bâillon fédéral illégal). Les guerres météorologiques continuent de s’intensifier dans le monde entier, l’Ouragan Florence n’est qu’un exemple de manipulation des ouragans et des cyclones. On prévoit que le Super-Typhon Mangkhut deviendra probablement la tempête la plus puissante depuis que l’on a commencé à tenir des registres. Mangkhut touchera les Philippines et même Hong Kong. Les grands médias Américains vont-ils même en parler ? Combien d’autres problèmes d’actualité mondiale seront omis en raison de la couverture de l’Ouragan Florence ? Cela fait-il partie de l’agenda mis en place ? Bien que d’innombrables formes d’activité humaine déciment et fassent dérailler le système climatique, les programmes de géo-ingénierie sont le plus grand facteur de perturbation du climat. La couverture continue des médias mainstream concernant les opérations illégales d’ingénérie climatique en fait des complices de ces crimes. Le reportage vidéo de 5 minutes ci-dessous fournit des informations sur l’Ouragan Florence et sur certains des programmes potentiels qui se cachent derrière la manipulation de cette tempête. L’Ouragan Florence, la Géo-Ingénierie de Destruction Massive et de Distraction (Dane Wigington) »

Instiguer et semer un chaos continu, particulièrement par le biais de catastrophes naturelles ou de situations d’urgence, dépasse la capacité de soutenir un mode de vie durable et perturbe la stabilité et la cohésion nécessaires pour rétablir l’ordre dans le désordre. Le déracinement des populations, la création de réfugiés et les migrations massives sont des outils de déstabilisation et de guerre psychologique, en prenant le contrôle de ces zones par l’incitation au chaos tout en détruisant la culture locale. Lorsque l’environnement naturel et la beauté de la terre sont détruits, tels que les arbres, les plantes et les animaux, cette décimation produit un effet de Déshumanisation et de démoralisation sur les personnes qui y vivent. Vivre dans une terre désolée et stérile à cause de la pauvreté abjecte, de la guerre et des événements cataclysmiques n’est pas très souhaitable pour faire évoluer la conscience et développer la culture locale, cela produit des valeurs primitives et de la barbarie. En conditionnant la propagande du chaos contrôlé continu comme un mode de vie semé comme la Culture de la Mort mondiale, elle atteint les objectifs des Contrôleurs de diverses manières.

  • Vivre sur le terrain de la guerre psychologique des stratégies de chaos mondial contrôlé freine la croissance de la conscience humaine, exploite les émotions négatives primitives et neutralise la volonté intérieure de créer et de se développer davantage de manière positive qui contribue à la société, personnellement et professionnellement. (invoque la peur, de la division à la confusion).
  • Il détruit le développement des liens de communication entre les personnes, augmentant la compartimentation et la déconnexion de la vision de la somme plus importante des parties mobiles, supprimant l’accès à l’information qui permet aux personnes et aux groupes de voir l’ensemble du tableau. (ignorance contre intelligence, semer la division et la confusion).
  • Elle réduit la capacité des gens ordinaires à influencer les événements dans les structures de pouvoir et de contrôle, en promouvant des valeurs barbares et primitives comme étant acceptables, tout en fermant les médias indépendants et alternatifs. (déshumanisation et démoralisation, ignorance contre intelligence).
  • Augmente la bureaucratie, répand le gaslighting par de faux récits, sème la croyance illusoire qu’il faut plus d’argent pour tout résoudre, augmente l’esclavage de la dette et favorise la corruption et les comportements criminels. (accablement et usure, démoralisation).
  • Détruit les progrès de l’enseignement supérieur et contrecarre les véritables découvertes scientifiques, élimine la possibilité de poursuivre les voies d’un développement supérieur de l’humanité vers des technologies libres et ouvertes qui élimineraient la guerre, le carburant et les économies basées sur les catastrophes. (ignorance contre intelligence, division contre confusion).
  • Cache un ciblage spirituel secret et une persécution qui vise à freiner l’expansion de la conscience, nous bombardant de négativité, tout en réprimant la vérité et les attributs Krystiques dans les personnes Eveillées, car tous les médias et les piliers de contrôle de la société sont utilisés pour nous soumettre spirituellement, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. (invoquer la peur, semer la division et la confusion, la démoralisation).

Les stratégies du Chaos Contrôlé et l’incitation intentionnelle aux forces du chaos dans le monde en général sont également liées à l’Idéologie Satanique générale et à ses principes les plus élevés. Les individus qui sont des occultistes modérés ou extrêmes dans leurs différentes branches du système de croyance satanique pratiquent également les mêmes stratégies de division et de conquête afin de prendre l’avantage et d’opprimer les masses, par Manque d’Empathie et de compassion pour le sort des autres. Le Satanisme favorise la montée de maîtres manipulateurs et de personnalités sociopathes pour exploiter toute la faiblesse psychologique et émotionnelle de l’homme à des fins personnelles. Pour l’occultiste Satanique, l’attaque psychique et la Magie Noire sont conçues pour siphonner l’énergie de l’âme afin de produire une faiblesse spirituelle ainsi que la préméditation de stratégies complexes qui visent à détruire leur opposition à tout prix. C’est pourquoi de nombreux Satanistes sont des maîtres de la propagande, utilisant des tromperies complexes à des fins de manipulation psychologique pour tenter d’endoctriner le public dans diverses formes d’Idéologie Satanique de modéré à extrême au travers des médias mainstream contrôlés.

(Source: Propaganda, Hurricane Florence, Geoengineering Mass Destruction, Dane Wigington GeoengineeringWatch.org)

→ Voir Principes de base de la Guerre Psychologique.

Auteur : Lisa Renee, energeticsynthesis.com




Barbier révèle enfin le complot Covid !

[Source : zonefr.com]

Eric Montana

Par Eric Montana

Christophe Barbier le « Conseiller médias » de Macron, dans un élan de sincérité lâche le morceau dans son dernier livre « Les Tyrannies de l’épidémie » (éditions Fayard) : « L’angoisse a été organisée par l’administration et le pouvoir politique pour que les gens se tiennent à carreaux. Et cela a marché ! »

Dans l’article d’hier intitulé « Le Pouvoir redoute une explosion sociale« , ma consoeur Brigitte Bouzonnie comparait la situation sociale à une « cocotte minute qui bouillonnne ras la marmite. »

Et au risque de me tromper, je dirais que nous sommes plutôt proches d’une insurrection car les manifestations ne servent à rien, qu’elles sont interdites et violemment réprimées. Depuis 2 ans les défilés chantants n’ont produit que des blessés, des éborgnés, des mutilés. Pour rien !

Ce Pouvoir mafieux a réduit nos libertés au strict minimum, nous a conditionnés et manipulés avec une pandémie qu’il fait durer plutôt que de la traiter, privilégie la vaccination aux traitements préconisés par les plus grands virologues, tente de faire passer pour des charlatans tous les scientifiques, médecins, infectiologues qui décrivent la gestion du Covid comme absurde et infondée, ne tient même pas compte des mises en garde de l’ONU, fait le contraire de ce que préconise l’OMS et comble du cynisme,  continue à maintenir la population dans un climat de peur et de psychose digne des pires dictatures.

Alors on trompe l’opinion à coups de sondages truqués en tentant de faire croire qu’une majorité de Français serait favorable au confinement, au couvre feu, à la vaccination et à toutes les mesures décidées par ce gouvernement qui est sans doute le plus impopulaire que nous ayons eu depuis longtemps.

Jamais de mémoire d’homme, le parti d’un Président de la République n’a enregistré une telle claque dans des élections municipales où il a atteint péniblement, 2,6% des votes exprimés. Les chiffres en disent plus que les mots.

Qui peut croire que Macron dit la vérité ? Qui peut encore avaler la propagande mensongère des médias quand on sait qu’ils appartiennent tous à ceux qui ont financé sa campagne et l’ont mis au pouvoir ?

Des médias jusqu’à la censure des réseaux sociaux américains, nous sommes gavés de désinformation, gavés de mensonges, gavés de manipulations jusqu’à l’indécence. Et le résultat c’est que l’opinion publique est au bord de l’explosion, ce qui démontre que personne ne croit plus ni à la sincérité des médias et encore moins à l’honnêteté des politiques. Si les Français se plient aux mesures liberticides de ce gouvernement ce n’est pas par peur du virus mais par peur des amendes, des poursuites judiciaires, de la répression extrême que Macron exige.

Quelle est la réalité ? Dans un sondage paru en 2020 depuis disparu des radars de Google, la presse s’était faite écho d’un sondage qui a provoqué une onde de choc à l’Elysée : 91% des Français ne font plus confiance à ce gouvernement ! Macron a résolu le problème en faisant appel à un autre institut de sondage où le fils de son épouse Brigitte Trogneux est aux commandes. On n’est jamais mieux servi que par soi-même… mais les Français ne sont pas dupes… Ce président sait parfaitement que sans la police, il serait probablement lynché par le peuple et c’est la raison pour laquelle il accorde aux forces de la répression tout ce qu’elles demandent…

La vaccination est selon les propres aveux de la chaîne d’infos italienne RAI News, un échec total en France comme en Italie. Les gens ne sont pas stupides, ils s’informent sur les médias indépendants sur Internet et découvrent les conséquences tragiques de cette vaccination chez ceux qui étaient fiers d’être les « champions » : Israël, Royaume Uni, Chili. Le nombre de morts que l’on tente de minimiser et de faire passer en dégâts collatéraux, en pertes et profits, est infiniment supérieur aux morts que l’on attribue au virus lui-même puisque la moyenne est de 13 à 15% de décès et complications graves pour la vaccination contre 0,03% pour le Covid ! Ca fait une sacrée différence !

Et puis chaque jour qui passe apporte son lot de révélations. Bien sûr il y a le Grand Reset mais aussi la corruption habituelle mais révélée des instances européennes, des chantres de la vaccination liés aux labos, les témoignages bidonnés de médecins vendus, les faux chiffres des hospitalisés, les reportages truqués où on utilise des figurants jouant les malades du Covid pour les besoins de la propagande. Avec ce gouvernement, on assiste au pire !

Et même ce pauvre Christophe Barbier le « Conseiller médias » de Macron, dans un élan de sincérité lâche le morceau dans son dernier livre Les Tyrannies de l’épidémie (éditions Fayard) : « L’angoisse a été organisée par l’administration et le pouvoir politique pour que les gens se tiennent à carreaux. Et cela a marché ! »

Merci de cet aveu qui confirme tout ce que les complotistes s’échinent à dire depuis un an ! Nous méritons respect et reconnaissance.

Cette psychose collective a donc été organisée aussi pour mettre un terme aux Gilets Jaunes et éviter l’explosion sociale. Le Covid a servi d’alibi à ce pouvoir assassin pour mettre en oeuvre les mesures liberticides les plus abjectes qu’un gouvernement pouvait décréter. L’urgence sanitaire a servi d’excuse au pire crime contre l’humanité car nos anciens ont été euthanasiés et enterrés dans l’anonymat, les familles ne pouvant même pas organiser de funérailles pour leurs êtres chers, accusés d’être contaminés et dangereux.

C’est proprement dégueulasse ! Il n’y a pas de mots pour décrire le dégoût qu’inspire ce pouvoir criminel ! Il n’y a pas de mots pour décrire la rage que nous éprouvons tous.

Chaque jour nous apprenons que des plaintes sont déposées par des avocats pour homicide volontaire donc pour crime, pour assassinat ! Le nombre de victimes de cette campagne de vaccination menée à marche forcée est hallucinant et Macron ne pourra pas le dissimuler indéfiniment car il est le principal responsable, le vrai coupable de cette boucherie de masse.

Cela fait un an que je m’évertue à dire et à écrire que le virus est une arme biologique fabriquée en laboratoire et génétiquement modifiée donc l’opération Covid est criminelle, elle masque d’autres objectifs, elle est utilisée pour nous faire peur et nous réduire au silence ! Cela fait un an que je tente à ma modeste échelle d’avertir l’opinion publique, preuves à l’appui, avec tant d’autres journalistes indépendants et lanceurs d’alerte. Cela fait un an que je diffuse les messages d’alerte des esprits éveillés, des scientifiques, des virologues, de grands avocats comme Robert F. KennedyReiner FuellmichCarlo BrusaVirginie de Araujo-Recchia, Rocco Galati, Dominic Desjarlais, Fabrice Di Vizio.

[Ndlr : voir aussi sur Nouveau Monde, le dossier Avocats dans le menu en haut du site.]

Je ne sais plus comment faire pour que tous ensemble nous réagissions enfin et mettions un terme à ce cauchemar.
Je suis à bout de forces, j’ai fait ma part, j’ai pris tous les risques que l’on peut prendre en tant qu’être humain pour tenter d’informer du mieux que j’ai pu mes frères humains. A part des ennuis, je n’ai rien à gagner car personne ne me paye pour écrire ce que je publie. Je le fais car ne pas dire la vérité quand on la connait, serait un acte lâche.

J’ai au fond de moi la conviction que le futur de mes enfants sera atroce si je ne fais rien. C’est surtout pour eux et pour tous les enfants de France que je manifeste ma colère, mes indignations et que je suis prêt à mourir sur les barricades s’il le faut.

Si nous sommes des parents dignes de ce nom, si nous sommes des êtres humains dignes de notre humanité, si nous sommes un peuple attaché à la liberté et à la dignité, nous avons l’impérieux devoir de nous mobiliser, de nous unir et d’agir pour que ce pouvoir criminel soit stoppé et jugé dans un Nuremberg II !

Selon Macron « la vaccination est une priorité nationale »…

Les sondages sont catastrophiques ? Qu’à cela ne tienne, Macron a la solution

Image

Amazon.fr – Les tyrannies de l’épidémie – Barbier, Christophe – Livres




Vaccination Covid – L’illusion puis l’extorsion du consentement éclairé

Par Alain Tortosa

Les Français seraient soudainement devenus majoritairement favorables à la vaccination Anti-Covid ?
Je ne disserterai pas sur la réalité de cette affirmation étant donné que nous ne pourrons pas savoir si elle est mensongère ou pas.

Je vous rappelle que tout acte médical, d’autant plus pour un vaccin, doit donner lieu à un consentement libre et éclairé :

  • Libre de contraintes.
  • Éclairé sur la maladie et sa dangerosité.
  • Éclairé sur les traitements disponibles.
  • Éclairé sur l’innocuité du « vaccin ».
  • Éclairé sur l’objectif de cette thérapeutique.
  • Éclairé sur l’efficacité de la mesure face aux alternatives.
  • Éclairé sur le rapport bénéfice vs risque.

Examinons l’ensemble de ces points afin de déterminer si tout français dispose des informations nécessaires et suffisantes pour pouvoir donner un consentement libre et éclairé à sa vaccination.

–L’absence de contraintes.

Depuis plusieurs mois, médias, politiques, personnels médicaux médiatiques ne font que nous répéter que nous n’en sortirons que par le vaccin.

Nous entendons sans cesse que c’est le vaccin ou la prison.
Pour autant, il est dit aussi qu’une fois vaccinés, nous devrons continuer à porter un masque et respecter les gestes barrières, alors qu’il nous est matraqué quasi 24h sur 24 que ces fameux « vaccins » sont « les instruments de la liberté ».

Ceci sans parler du fameux passeport vaccinal qu’il faudra sans doute appeler « passe sanitaire » afin de ne pas heurter les sensibilités.

Passeport vaccinal présenté aussi comme un « instrument de la liberté » !
La France s’apprête ainsi à mettre en place des dizaines de milliers de postes-frontière au sein du territoire et on ose parler de « liberté » ?!

Nous sommes donc ici dans une extorsion assumée du consentement.

«Tu es libre de ne pas te vacciner, mais tu seras plus ou moins assigné à résidence et interdit d’activités. »

Le terme « sanitaire » est employé pour nous tromper et nous laisser entendre que la vaccination ne sera pas rendue obligatoire.
Il sera théoriquement possible, dans un premier temps, d’autoriser les personnes dites « guéries » et les personnes avec un test PCR négatif récent à pouvoir aussi accéder à une vie sous surveillance. Ne nous leurrons pas, cela ne durera qu’un temps… Trop compliqué, trop sujet à faux documents…

Et d’autant plus que la doxa affirme que le vaccin ne peut être faillible.

Tout cluster dans une assemblée comportant des personnes vaccinées et des personnes non vaccinées sera automatiquement « causé » par les non-vaccinés qui seront désignés comme les « coupables ».
Le « passe sanitaire » deviendra de fait obligatoirement un « passe vaccinal » qui sera par la suite logiquement étendu pour tous les vaccins existants, voire même au patrimoine génétique.

Une autre forme de suppression de la liberté de choix porte sur la surreprésentation de la dangerosité supposée du virus et de l’absence supposée de traitements efficaces ou d’alternatives. Donc dès lors que vous dites à une personne que sa vie est menacée par un virus, qu’il n’y a pas de traitements, que c’est le vaccin ou la roulette russe de la mort… je ne vois guère de liberté.

Ici encore tous les jours les médias nous disent « vous rigolerez moins quand vous serez en réanimation » à propos de personnes « coupables » de ne pas respecter gestes barrières et autres pattes de lapin liberticides.

Il n’y a aucune liberté de consentement.
Nous vivons une extorsion totale de consentement basée sur le chantage à la mort et le chantage aux libertés.

–Éclairage sur la maladie et sa dangerosité

Il va de soi que je dois être parfaitement informé de la dangerosité de la maladie afin de pouvoir jauger du rapport bénéfice versus risque et prendre la décision de me vacciner ou pas.
Il ne s’agit pas de connaître la gravité générale de la maladie, en l’occurrence du Covid, mais de la dangerosité du Covid ME concernant.

Ici encore médecins médiatiques et journalistes ne font que décrire un tableau d’une noirceur extrême.
Sans compter que les données de taux d’incidence, d’hospitalisations, de réanimations et de décès fournis par Santé Publique France ne sont pas seulement erronées, mais des FAUX comme j’ai pu longuement l’exposer et le prouver dans mes précédents textes !

À les écouter, quiconque peut se retrouver en réanimation et mourir de cette maladie, quel que soit son état de santé.
Les chiffres de mortalité officiels, environ 100 000 en France, sont totalement déconnectés de la réalité.
De très nombreuses personnes décédées positives ou avec soupçon de Covid ont été étiquetées Covid sous recommandations de l’OMS.
Le pourcentage de personnes décédées du Covid et non décédées AVEC le sars-cov2 est probablement de moins de 5 000 en France.
L’âge médian des décès ne fait que reculer depuis le début de la crise passant de 82 ans à 85 ans au fil des mois, prouvant par la même l’absence de rajeunissement significatif des décès malgré les variants.
Les décès chez les moins de 65 ans sans comorbidités sont inférieurs à 2 000 (98% des personnes décédées de moins de 65 ans ont des comorbidités lourdes), ce qui veut dire que d’un point de vue statistique le risque de mourir du Covid chez une personne en bonne santé est NUL et moindre que de mourir en tombant d’un escalier ou de s’étouffer en mangeant !

Ainsi 99,9% de la population française a survécu à ce « fléau » et selon l’INSEE la mortalité des moins de 70 ans a été moindre en 2020 qu’en 2019.
Cette maladie ne tue quasiment pas, elle se contente de diminuer l’espérance de vie de personnes très âgées et/ou avec des comorbidités très graves.

Afin de nous manipuler encore plus, le compteur de décès n’a pas été réinitialisé (généralement en novembre) comme cela se fait chaque année pour la grippe…

Enfin, si l’on se réfère au réseau Sentinelle, il est possible de constater que le nombre de décès en 2020 de maladies respiratoires aiguës (IRA) est quasi identique au nombre de décès d’IRA en 2 019. Mais en 2020 toutes les IRA (et même d’autres pathologies) ont été qualifiées de Covid quand bien même elles n’étaient pas causées par le Sars-cov2 !

D’autre part, comme je vais le développer dans la suite de mon texte, la gravité d’une maladie doit toujours être mise en balance avec les traitements disponibles, et dans ce domaine la tromperie a été et est encore grandiose.

L’éclairage sur la maladie et sa dangerosité est totalement noirci et mensonger !

–Éclairage sur les traitements disponibles

Scandale international à lui tout seul !
Rendez-vous compte que nous commençons seulement aujourd’hui à évoquer les traitements en France.

Au mois de mars 2020 et encore à ce jour, le traitement officiel du Covid était le paracétamol !

Il faut que le patient soit hospitalisé et à l’article de la mort pour commencer une prise en charge sérieuse.

Quand bien même les antibiotiques ne seraient pas la panacée face à un virus comme cela nous est répété depuis des années…
Il n’en demeure pas moins vrai que si vous êtes médecin, que vous êtes en mars 2020 face à un virus inconnu (entre parenthèses il n’est pas du tout inconnu au mois de mars, les études chinoises sont déjà publiées depuis le mois de février ainsi que l’efficacité de l’hydroxychloroquine), allez-vous, comme demandé par les autorités de santé, dire à votre patient de rester chez lui, de prendre du paracétamol, puis se rendre aux urgences si son état de santé se dégrade vrai ment ?!
Ou allez-vous faire simplement votre métier et lui proposer un traitement, probablement en premier lieu un antibiotique à large spectre ?!

Je ne reviendrai pas non plus sur l’absence totale de politique préventive pour les personnes à risque.
Sans compter sur le scandale de l’hydroxychloroquine, devenue mortelle du jour au lendemain après 70 ans d’existence alors même que plus de 20 000 Français en consomment tous les jours !
Et ne parlons pas du Remdesivir à la toxicité connue qui lui, a été adoubé par les agences européennes et la France puis commandé en masse.
Tandis que Didier Raoult était menacé par le conseil de l’ordre, Karine Lacombe, financée en partie par Gilead, recevait quant à elle la Légion d’honneur !

Vitamine D, zinc, Azytromicine, Ivermectine… sont ignorés ou mis au placard tandis que les anticorps monoclonaux qui eux aussi sont expérimentaux, dangereux, et hors de prix, sont officiellement présentés comme une lueur d’espoir.

Alors même que la maladie ou le décès sont intimement liés aux défenses immunitaires, non seulement nous vivons l’absence totale de campagne visant à booster celles-ci, non seulement rien n’est prévu pour les personnes à risque, mais qui plus est, la solution la plus préconisée a été l’enfermement des personnes les plus faibles, l’interdiction de respirer (hormis derrière un masque en plastique) et l’interdiction de faire du sport !

Mais quel imbécile lobotomisé par la peur ou corrompu pourrait penser que l’objectif du gouvernement est ou était notre santé ?!

L’éclairage sur la prévention et les traitements disponibles est totalement prohibé,
voire pénalisé, par les autorités de santé.

–Éclairage sur l’innocuité du vaccin

Ici encore l’information est indispensable pour déterminer le rapport bénéfice versus risque et donc de la nécessité de se faire vacciner.

Le matraquage médiatique est totalement criminel !

Dans la réalité, une phase III de mise au point d’un vaccin a pour objectif d’augmenter petit à petit, de monter en puissance, pour mesurer les effets secondaires.
Pour un vaccin classique, celle-ci dure entre 5 et 10 ans avant de passer à la phase IV de commercialisation.
Les autorités de santé se sont assises sur cette donnée sous prétexte que nous étions dans une « urgence mortelle ».
Rappelez-les vous que ce Sars-cov2 est censé terrasser n’importe qui et qu’il est censé n’y avoir aucun traitement selon les autorités.

L’AMM [Autorisation de Mise sur le Marché] conditionnelle des vaccins Anti-Covid était précisément conditionnée à l’absence de traitements disponibles.
Ne vous étonnez donc pas qu’il n’y ait pas eu et qu’il n’y ait jamais le moindre traitement officiel, car cela tuerait la poule aux œufs d’or et empêcherait la création du passeport vaccinal puis du crédit social.

Alors pour nous « rassurer », il nous a été asséné jour après jour que les milliards injectés (goutte d’eau dans l’océan des bénéfices de l’industrie pharmaceutique) permettaient de faire plus de tests et donc d’accroître rapidement le degré de sécurité.

Je suis probablement très bête, mais je ne vois pas comment l’argent peut permettre de s’acheter du temps et d’autant plus pour déterminer l’innocuité d’un médicament à long terme, à 5 ou 10 ans et même plus.

Qui peut me garantir l’absence de maladie auto-immune ou de cancer et autres modifications de mon patrimoine génétique dans 10 ou 20 ans aussi bien pour moi-même que pour ma descendance ?

Le plus extraordinaire est que l’on demande ce temps pour des vaccins classiques, mais que celui-ci ne serait pas important pour des thérapies géniques expérimentales à ARN messager comme le Pfizer BioNTech ou l’AstraZeneca qui est un vaccin expérimental OGM.

Certains se réjouissent de la mise au point de la vaccigénie BioNTech en moins d’un an, mais dans les faits, les premiers essais sur l’homme ont eu lieu fin avril 2020, soit un mois après le début de la collaboration entre Pfizer et BioNTech !

Rions un peu…
Je suis néanmoins « heureux » de constater que les vaccins auront permis le retour des décès en France et dans le monde d’autres pathologies que le Covid.
Alors même qu’une personne décédée, écrasée par un camion, pouvait être étiquetée Covid et qu’il n’y avait que des décès du Covid depuis des mois, voici que la vaccination provoque par miracle l’effet inverse !

Désormais, toute personne vaccinée qui décède ne peut que mourir de vieillesse ou de comorbidités parce que les « vaccins sont sûrs ».
Le décès d’un jeune homme de 24 ans en pleine santé récemment ne peut PAS être causé par le vaccin AstraZeneca !

«Ne doutons pas de la sécurité de ces produits mis au point et commercialisés dans des délais records, pour lesquels la plupart des verrous de sécurité façonnés au fil des années ont sauté » !

L’autorisation de mise sur le marché des vaccins Covid en France est issue directement de l’autorisation de mise sur le marché en Europe ce qui pourrait faire rire ou pleurer.

Et l’Europe s’est basée UNIQUEMENT sur les données fournies par les industriels alors même qu’elle aurait très bien pu étudier les effets et l’efficacité des vaccins parallèle ment aux fabricants !

Je ne résiste pas au « plaisir » de rappeler que Pfizer a négocié en 2009 la somme de 2,3 milliards de dollars d’indemnité pour éviter un procès pour publicité mensongère et corruption massive de médecins.
Pour AstraZeneca, c’est 500 millions de dollars d’indemnité pour éviter un procès pour avoir volontairement caché les effets secondaires d’un médicament qui augmentait les risques de diabète !
Et pour Johnson & Johnson c’est 8 milliards d’amende en 2019 pour avoir caché qu’un de ses médicaments pouvait faire pousser la poitrine chez les hommes !
Sanofi, 25 millions de dollars pour corruption en 2018 ! Je pourrais ainsi continuer pendant des pages !

Et il faudrait les croire lorsqu’ils affirment que les vaccins ne présentent pas de danger ??!!

Le dernier exemple d’effets secondaires avec le vaccin AstraZeneca pourrait faire sourire sinon grincer des dents.
Le « vaccin » pourrait engendrer des thromboses et des caillots de sang qui, mal situés, pourraient être mortels.
Plusieurs pays européens stoppent les vaccinations.
Après l’arrêt par l’Allemagne, la France a bien été obligée de suspendre aussi. Les médecins médiatiques crient alors à l’excès de prudence !!! Si, si !!!
Des enquêtes commencent à être menées sur les décès suspects et … deux jours après, alors même que les enquêtes sont encore en cours, l’agence européenne annonce que le vaccin ne présente aucun danger et que les vaccinations peuvent reprendre !
De qui se moque-t-on ?
C’est tout aussi ridicule que les annonces de Pfizer qui affirment l’efficacité de leur vaccigénie contre les variants avec quelques heures de recul.

En résumé toute personne qui se vaccine participe à un essai de phase III de produits commercialisés par des industries largement condamnées par le passé.

Il n’y a strictement aucun éclairage concernant l’innocuité des vaccins
aussi bien de la part des autorités sanitaires que des médecins médiatiques .

–Éclairage sur l’objectif de la thérapeutique vaccinale

Il est indispensable de savoir pourquoi se vacciner et les bénéfices attendus.
Les produits actuellement appelés « vaccins » contre le Covid, ne sont pas des vaccins, soit du fait de la technologie utilisée, soit parce qu’ils ne sont pas des vaccins au sens de « empêcher d’être malade » ou « bloquer la propagation d’un virus ».
Au point que pour Pfizer (et les autres aussi, il me semble), le blocage de la transmission du virus n’a même pas été évalué pour la mise sur le marché.

À la question « ces médicaments empêchent-ils de tomber malade ? » La réponse est non.
Au mieux, ils empêchent d’avoir une forme grave de Covid.
Cela peut éventuellement présenter un intérêt pour les profils qui font des formes graves, mais certainement pas pour les personnes en bonne santé dont le risque de faire une forme grave est quasi nul !
Plus grave encore, les vaccins contre le Covid mis au point pour les souches de l’année dernière engendreraient un risque d’anticorps facilitant.
De fait, les personnes vaccinées pourraient faire des formes plus graves que si elles ne l’étaient pas.

À la question « Ces médicaments bloquent-ils la propagation du virus ? »
La réponse est : Nous ne le savons pas et cela n’a pas été testé dans les études.
Un point qui tendrait à prouver l’inefficacité serait le nombre de personnes devenues positives au Covid alors qu’elles étaient vaccinées.
De plus, alors même que les essais sur l’homme ont débuté il y a plus de 10 mois, la réponse à cette question n’existe toujours pas !

Enfin, les vaccins favoriseraient les variants.
Les pays qui ont vu émerger le plus de variants semblent être les pays dans lesquels la vaccination a été la plus importante.
Ceci est totalement logique… les vaccins étant plus efficaces contre les premières souches, ils auront plus tendance à les bloquer que les mutations.
De fait, les personnes vaccinées auraient tendance à laisser plus passer les mutations, et ceci d’autant plus que ces produits ne bloqueraient pas les transmissions.
Phénomène qui a peu de chance de se produire avec les personnes immunisées naturellement pour lesquelles le système immunitaire a une bien plus grande flexibilité que le vaccin pour lutter contre les variants.

Il n’y a pas d’éclairage du public sur le fait que les vaccins n’empêchent pas de tomber malade, qu’ils empêchent peut-être de ne pas faire de formes graves pour les personnes qui n’en font pas, que les personnes à risque peuvent faire des formes plus graves qu’elles auraient eu et que les vaccins pourraient favoriser les mutations, raisons pour lesquelles il est d’usage de ne pas vacciner pendant une épidémie, mais avant, et enfin que rien ne prouve qu’ils bloquent la transmission du virus.

– Éclairage sur l’efficacité supérieure des vaccins face aux alternatives

Il ne s’agit pas uniquement de connaître le rapport bénéfice versus risque de la vaccination, mais d’évaluer non seulement l’efficacité de la vaccination, mais aussi d’évaluer l’efficacité par rapport aux alternatives.
Je n’ai pas connaissance de la moindre étude sur l’évaluation de la vaccination et de son efficacité dans la lutte contre l’épidémie et la mortalité.
Et ce d’autant plus que la plupart des personnes décédées du Covid le seraient même sans le Covid.

D’autre part, les « spécialistes » nous disent qu’il faudrait atteindre 70% d’immunité vaccinale pour bloquer l’épidémie.
Mais c’est tout simplement mathématiquement IMPOSSIBLE !
En imaginant une efficacité du vaccin à 90% ce qui est totalement ridicule, et en vaccinant 80% de tous les Français dès la naissance, nous arriverions péniblement à 72% d’immunité vaccinale.

80% de personnes vaccinées est d’autant plus utopique du fait des irréductibles et des personnes qui ne peuvent pas être vaccinées pour raisons médicales.
Donc, laisser croire que l’on pourra parvenir à une immunité vaccinale de masse, et d’autant plus que les variants se succèdent et vont se succéder, relève d’une manipulation de la population et d’un mensonge d’État.

Ajoutons que le discours officiel en vient toujours à affirmer l’efficacité vaccinale versus… rien du tout.
À la base, nous voyons bien que des pays comme la Suède qui n’ont pas tué les droits de l’homme et l’économie n’ont pas eu plus de morts par habitant que les pays qui ont le plus confiné et mis en place une dictature, comme la France.
Preuve en est de l’efficacité de l’immunité naturelle de masse que l’OMS a bizarrement supprimé de ses sites depuis le mois de novembre.
Donc « rien » est déjà peut-être plus efficace que la vaccination.

Enfin, il faudrait pouvoir évaluer l’efficacité de la mesure vaccinale de masse, aussi bien en termes d’hospitalisation que de mortalité, versus une politique de prévention et de traitement des personnes à risque, aussi bien d’un point de vue préventif que curatif.

Les études (honnêtes) sur l’efficacité vaccinale contre le Covid ne verront probablement jamais le jour parce que cela irait totalement à l’encontre des intérêts de l’industrie pharmaceutique et aussi de tous celles et ceux qui visent à limiter de plus en plus les droits de l’homme.

Il n’y a aucun éclairage sur le fait que la stratégie vaccinale est peut-être,
voire probablement, totalement inefficace pour lutter contre le Covid,
et que cela n’a jamais été étudié, ni comparé à d’autres stratégies.

–Éclairage sur le rapport bénéfice vs risque

Celui-ci est la synthèse des questions posées précédemment.

  • Mes droits seront-ils les mêmes que les personnes non vaccinées ?
  • Quelle est ma probabilité d’attraper le Covid ?
  • Quel est mon risque de faire un Covid grave ?
  • Quels sont les traitements possibles préventifs ?
  • Quels sont les traitements possibles curatifs et leur efficacité ?
  • Quels sont les dangers à court terme du vaccin ?
  • Quels sont les risques à long terme du vaccin ?
  • Mon vaccin sera-t-il solidaire pour prévenir la transmission ?
  • Mon vaccin sera-t-il à risque de faciliter les variants ?

À la lumière de toutes ces données, du chantage au vaccin qui est constant.
À la lumière de l’absence totale d’informations objectives sur la maladie, ses dangers, ses traitements.
À la lumière de l’absence totale d’informations sur l’efficacité vaccinale.
À la lumière de l’absence totale d’informations sur les dangers des vaccins.

Je peux affirmer, sans risque d’erreurs, que personne sur la planète qui s’est fait vacciner n’a bénéficié des informations légitimes et d’un consentement libre et éclairé…

Merci

Alain Tortosa.

Auteur du livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

Le 25 mars 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210325-extorsion-consentement-vaccination.pdf

Autres textes sur https://7milliards.fr




Quelles stratégies de défense face à la dictature ?

Par Alain Tortosa,

Notre rapport à la dictature, à la révolte et à la soumission.

Adhésion, compromis, auto-trahison, intransigeance, renoncement… ?

Quelles stratégies de défense face à la dictature ?

Prenons par exemple l’obligation du port du masque…

Nous pouvons :

–Adhérer à la menace du virus mortel

Dans ce cas de figure le port du masque sera non seulement une contrainte acceptable, mais de plus sera en accord avec nos valeurs et, qui plus est, valorisé par la dictature, mais aussi auto-valorisé.

« Qu’est-ce que je suis une personne bien quand même ! Je protège les autres ! » Précisons que 2020 a été l’année de la solidarité, fini l’égoïsme… (ne rions pas).

–Le compromis

À la différence de « l’adhésion plénière », nous allons renoncer à une partie de nos désirs, mais sans renier nos valeurs.
Le profil sera celui d’une personne modérée dans ses croyances, considérant que le port du masque « ce n’est pas génial », mais pour autant « pas si grave ».
Pour lui, il ne menace pas outre mesure la santé de son porteur… et plus encore, « il sauve des vies ».
Ce renoncement n’en est pasun, car il est « choisi » (sur des données mensongères. Nous sommes dans la manipulation et dans l’extorsion du consentement) et aussi bien « diplomatique » qu’« intelligent », car ce « choix » demeure totalement compatible avec nos croyances.
Ici encore je pourrai m’auto-valoriser en constatant ma « sagesse » et mon « sacrifice » au service de la collectivité !
Ce sera quand même beaucoup plus flamboyant de s’en convaincre que d’adhérer par lâcheté et par confort comme le fait une grande partie de la population.

–L’auto-trahison sous couvert de compromis

Ah, il fait mal celui-ci!
À la différence du compromis, nous allons aussi renoncer à une partie de nos désirs, mais en essayant de nous auto-convaincre que cela relève d’un « choix » stratégique, de la diplomatie ou de l’intelligence.
Alors même que nous trahissons plus ou moins, consciemment ou pas, nos valeurs !
Le profil sera celui d’une personne qui considère que le masque relève de la muselière, de la maltraitance, et qu’il est totalement inefficace pour lutter contre cette « épidémie ».

Un exemple éclairant est celui du port du masque pour nos enfants.
Nous allons accepter qu’ils le portent (le plus mal possible) en cherchant à nous convaincre que ce n’est pas si grave pour eux aussi bien pour leur état de santé physique que psychique. Nous allons aussi nous réfugier derrière nos impossibilités diverses (et réelles) de retirer nos enfants de l’école ou de nous opposer de pied ferme…
Nous allons ainsi faire notre possible pour nous « acheter une conscience » quand bien même nous nous mentirions à nous-même et nous trahirions nos valeurs.
Ceci est d’autant plus dévastateur pour notre moi qu’il nous renvoie à la notion de limite.
« Où est ma limite ? Vais-je accepter qu’ils soient vaccinés, qu’ils aient un passeport sanitaire, une puce RFID ? »

Un autre exemple, moins douloureux, est de décider de porter le masque sous le nez.
De cette façon, je peux respirer, j’échappe à la contravention (sauf exception) et je peux me convaincre que je suis dans une forme de résistance face à l’oppresseur en regardant tous les « moutons masqués jusqu’aux oreilles ».
Néanmoins, je suis aussi conscient d’obéir en partie à un arbitraire auquel je n’adhère absolument pas et que cette obéissance que je peux penser « intelligente » et
« pragmatique » relève aussi de ma lâcheté.

–Les intransigeances

L’intransigeant se divise en 2 groupes, l’intransigeant héroïque et l’intransigeant fuyant.

  • L’intransigeant héroïque

Il ne transige pas avec ses valeurs et ne met pas de masque, jamais !
Il fréquente les lieux publics, les transports, les magasins tel un super héros.
Son attitude de confiance totale ou guerrière peut lui permettre d’échapper à la police politique, mais c’est quand même très très risqué…

  • L’intransigeant fuyant

Lui non plus ne transige pas avec ses valeurs, mais à la différence de l’intransigeant héroïque, celui-ci abandonne le terrain à l’ennemi.
Je vous avoue humblement que je rentre dans cette catégorie.
Il ne fréquentera que des lieux dans lesquels le risque est limité afin de ne pas s’opposer directement à la police de Vichy.
De fait, il aura une forte tendance à l’auto-confinement.
Si ses valeurs « anti-masque » sont totalement préservées par son attitude, en revanche il pourra vivre l’abandon de terrain aux ennemis comme une forme de trahison de ses valeurs. Il aura tendance à ne pas se trouver extrêmement courageux de ne pas monter au front et d’attendre qu’autrui le fasse pour lui.
En ce sens, il n’est pas seul au club. Nous sommes des millions à être opposés à la dictature et il n’y a pas grand monde dans la rue alors même que les réseaux sociaux ne nous permettront jamais d’en sortir.

–Le renoncement à la lutte

C’est celui qui fait le plus mal à son estime de soi.
Le renoncement à la lutte, « je pense que le masque est inefficace et maltraitant » et pourtant j’obéis, je le mets parfois ou tout le temps…
Imaginez l’état de délabrement de notre conscient ou de notre inconscient.
Bien entendu, nous essaierons de nous rassurer en pensant qu’il n’y a rien à faire, que la guerre est perdue d’avance…
Nous passerons notre cerveau en mode survie, mais à quel prix !

Efficacité de chaque mode de « défense », de fonctionnement, face à la dictature

Je ne reviendrai pas sur l’adhésion ou sur le renoncement ni même sur le compromis consenti qui ne
participent pas à la lutte contre la dictature…

Restent les autres options :

–L’auto-trahison

Dans ce mode de lutte, la dictature n’est pas, ou peu, au fait que je n’adhère pas à ses lois iniques.
Soit elle l’ignorera totalement pendant que mes enfants portent le masque, soit elle verra des petits signes comme un masque sous le nez.
La plupart des spectateurs endormis par la propagande verront en nous, probablement, une personne irresponsable et sans le moindre respect pour les autres, plutôt qu’une forme de résistance.

Je rappelle pour celles et ceux qui l’ignoreraient encore que le port du masque n’a strictement aucune visée sanitaire, mais celle de rendre visible une épidémie dont nous ignorerions totalement l’existence sans les médias et le masque obligatoire.
De fait, le porter sous le nez, voir même sur le cou, rend quand même la menace fantôme visible et c’est l’essentiel.
S’il y avait un virus mortel et que le masque présentait la moindre efficacité, toute personne qui le porterait mal, fumerait, mangerait, etc. serait immédiatement verbalisée et condamnée pour mise en danger de la vie d’autrui.
Ceci confirme qu’il n’est qu’un objet de notre soumission.

Pour rendre la mesure de résistance face à l’oppresseur efficace, il faudrait qu’une écrasante majorité le porte mal pour y voir un symbole de résistance.
Je pourrais dire qu’il en est de même de retirer ses enfants de l’école.
Si le geste est isolé, cela arrange plutôt Vichy qui se débarrasse d’un problème devenu invisible. En revanche, si 10% des élèves sont retirés, le pouvoir rigolera beaucoup moins.

–L’intransigeant héroïque

Il a le mérite d’être totalement en accord avec ses valeurs, mais pour autant son action héroïque peut s’apparenter parfois plus à de la connerie… la frontière entre le débile et le héros est souvent bien mince.
Bref d’un point de vue de lutte contre la dictature, ici encore, seul le nombre rendra le message efficace.

–L’intransigeant qui se réfugie dans ses quartiers

Il est évident que son action ne dérange pas le moins du monde la dictature, ici encore, tant qu’elle reste isolée.
En revanche si des centaines de milliers de personnes limitaient au maximum leur consommation, abandonnaient le terrain de la consommation, ce vide et cette perte de PIB ne sauraient demeurer inaperçus et seraient de nature à vraiment mettre des bâtons dans les roues à la dictature

Nous voyons donc ici que notre façon d’appréhender la dictature n’a que peu d’effet pour lui faire obstacle et que finalement la méthode employée importe relativement peu.
Ici encore, seul le nombre sera de nature à lui causer souci…

On se focalisera donc sur la méthode qui est le plus en accord avec nos valeurs afin de pouvoir continuer à nous regarder dans un miroir dans quelques années lorsque nos enfants et nous-mêmes serons devenus des zombis au service d’une dictature.
Je vous rappelle que les personnes qui n’auront connu que la dictature et qui auront été formatées dès le plus jeune âge comme les enfants, penseront naturellement que tout ceci est « normal ».

Vous êtes-vous posé la question de votre appartenance à une des catégories citées et de sa compatibilité avec vos valeurs ?

L’indispensable compromis ?

Il est d’usage de dire qu’une guerre (avec des militaires) se termine toujours autour d’une table de négociation et donc avec des compromis… et que l’on aurait pu éviter la phase barbarie.
Que nenni !…
L’objectif même du conflit armé est de supprimer autant que faire se peut la négociation.

Le vainqueur décide et le vaincu cède…

C’est ainsi que les conditions de la reddition en 1918 étaient tellement inacceptables pour les Allemands qu’elles ont largement participé à la montée du nazisme et de la Seconde Guerre mondiale.

De l’intérêt donc de la guerre et de l’épreuve de force pour éviter le compromis.

Plus nous serons visibles sur le théâtre des opérations, soit par la chaise vide (retirés du monde capitaliste), soit sur le terrain par la désobéissance civile, et plus nous serons en mesure de faire céder la dictature et retrouver des libertés.

Il va s’en dire que tant que nous continuerons notre petite guerre uniquement sur des réseaux sociaux en jouant au jeu du chat et de la souris de la censure…
Tant que nous nous focaliserons sur ce qui nous sépare et non ce qui nous rassemble, plus la dictature demeurera tranquille pour les prochains mois et prochaines années.

Le dos rond et autres compromissions

Nous avons vu que dans le cadre du port du masque au quotidien, la désobéissance unitaire n’était pas de nature à perturber la dictature. S’opposer pour s’opposer ne présente pas, ou peu, d’efficacité, dès lors que l’on ne conceptualise pas parfaitement l’objectif. Je le dis encore, l’héroïsme face à un ak47 relèverait plus de la connerie que de la bravoure. Pour autant, la réflexion me semble indispensable et je vais pour cela évoquer le problème des manifestations.

Attitude face à la dictature et manifestations (regroupements)

Nous sommes passés d’un régime déclaratif « je vous annonce que… » à un régime d’autorisation
«voulez-vous bien que »… preuve en est, pour ceux qui l’ignoreraient encore, que la France est bien une dictature.

Aujourd’hui, pour être autorisé à manifester, vous devez, à minima, vous engager à respecter ce contre quoi vous vous battez. En clair, vous devez porter un masque, respecter la distanciation et utiliser du gel. Une manif légale contre le système ne saurait se différencier de passants dans la rue…

C’est un peu comme si vous vous engagiez à obliger tous les manifestants d’un mouvement pour la promotion du véganisme à manger un hot-dog au début du rassemblement ! Obliger le port du masque dans un mouvement qui dénonce le port du masque est tout aussi délirant…

Dans la vie, nous avons parfois le choix entre le calcul, la politique et l’intransigeance… Les données sont pourtant limpides… si vous refusez de cocher que vous ferez appliquer la dictature, alors votre manifestation sera interdite — fin de l’épisode.

Si vous déclarez faire respecter les lois de Vichy, mais que vous ne mettez pas en œuvre les moyens permettant de faire respecter cesdites lois, alors l’État fasciste aura toute liberté de vous poursuivre et de vous faire condamner au prétexte que VOS manifestants n’ont pas respecté les règles.

Celles et ceux qui veulent manifester deviennent de fait dans l’obligation de renier certaines de leurs valeurs afin de pouvoir accéder à un espace où la lutte est possible. Imaginez une manifestation pro végane avec des manifestants tenant un hot-dog dans la main. Ce n’est pas plus ridicule que des manifestants anti-masque avec des masques !

Je vous rappelle que je pense que la lutte passe par la rue et la sortie des réseaux sociaux.

Afin de ne pas prendre parti, je vais faire une pirouette et me projeter dans le futur.

Dès lors que la contestation commencera à vraiment inquiéter Vichy, celle-ci sera obligée de restreindre encore plus les conditions de manifestation.

Un moyen le plus simple dans un premier temps sera d’obliger un test PCR négatif pour tous les manifestants et dans un deuxième temps une vaccination obligatoire.

Vous pourriez en rire ou penser que je suis dans la démesure, mais j’imagine que vous serez nombreux à penser que ce sera la réalité dans quelques semaines ou quelques mois. S’il y a un peu plus d’un an nous vous avions décrit notre présent, personne ne l’aurait cru.

Au même titre que pour le hot-dog, allons-nous nous faire vacciner pour manifester contre la vaccination ?

Vous voyez bien qu’il y a une limite et qu’il est donc légitime de se poser la question quant au franchissement de la ligne jaune de nos valeurs dès aujourd’hui… Cette ligne jaune est-elle franchie dès lors que l’on accepte de se plier à l’obligation du port du masque et des gestes barrières dans une manifestation ?

Tout en étant bien conscient que le « fou » qui ose déclarer une manif (fou au sens héroïque) devra bien se protéger et donc demander aux manifestants de respecter l’irrespectable. Je vous avoue bien humblement ne pas avoir le courage de ce « fou » et encore une fois je comprends évidemment que le déclarant est dans l’obligation de « composer avec la dictature » pour ne pas être piétiné par l’arbitraire.

Alors existe-t-il une alternative ? Est-il raisonnable d’anticiper l’inéluctable ?

La solution serait-elle de se passer de permission pour nous réunir ?

Sommes-nous aujourd’hui plus protégés, plus à l’abri de la violence d’État, en nous réunissant dans la rue avec un Ausweis d’autorisation de manifestation (tout en sachant pertinemment que nous ne respecterons pas à la lettre nos engagements écrits) ?

Je ne suis ni juriste ni obergruppenführer, de fait ma réponse sera purement théorique. Si le risque de se réunir par milliers dans la rue sans autorisation nous exposait principalement au dispersement par les forces du mal, cela ne serait pas forcément contre-productif pour réveiller les Français…

Même le fait d’avoir un refus de manifestation pour n’avoir pas coché que l’on obligerait le port du masque pourrait aussi être un outil de lutte contre la dictature. Ce refus pourrait être brandi tel un étendard :

« La police de Vichy interdit une manifestation anti-masque pour non-respect du masque ! »

Bref, je n’ai pas de réponses (définitives), mais je ne suis pas certain que le mode déclaratif soit le plus efficace ni le plus protecteur. Il l’est peut-être encore un peu aujourd’hui, mais si demain un test PCR négatif devient obligatoire alors le débat ne sera plus de mise.

Le carnaval non déclaré de Marseille du 21 mars, réunissant plusieurs milliers de participants, n’est— il pas une preuve que c’est à nous de reprendre nos droits et notre liberté et qu’il est illusoire de demander à la dictature de nous l’accorder via des autorisations qui n’en sont pas ?

Petit bémol, comme à l’accoutumée la réaction politique, médicale et des journalistes a été hystérique pour nous laisser croire que cette fête allait être source de clusters… le mensonge se perpétue.

Merci

Alain Tortosa. 21 mars 2021

Auteur de l’ouvrage « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

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Il est temps de se souvenir de qui nous sommes

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Frédéric Vidal, pour FranceSoir

Le clivage qui s’installe dans la société française depuis un an n’est pas qu’une question de politique et de vision de l’avenir, mais révèle deux conceptions de la vie de l’homme, dont la divergence impose désormais un choix.

Liberté, Égalité, Fraternité ?

N’y a-t-il plus d’intelligence dans ce pays, n’y a-t-il plus de bon sens ? L’épuisement spirituel de la population et le matérialisme forcené inculqué depuis l’après-guerre ont-ils conduit la population française à son point de non retour… ou son point de rupture ? Y a-t-il encore la place pour un sursaut salvateur ou bien la peur et la servilité l’ont-elles emporté ?

L’état d’esprit des Français laisse apparaître que désormais plusieurs réalités se côtoient dans notre pays, selon le niveau d’information et la conscience de chacun, divisant et brouillant la société, les familles, les amis…

Entre ceux qui ont plus ou moins calqué leur opinion sur le narratif uniforme matraqué  par les radios et les télévisions et ceux qui ne leur accordent plus la moindre confiance et ont cherché la vérité ailleurs, la société française, jusqu’au cœur des familles, parfois des couples, s’est divisée à l’ombre d’un minuscule virus.

Un clivage qui semble s’étendre chaque jour un peu plus, dressant les uns contre les autres et profitant à ceux qui concentrent toujours plus de pouvoir et d’argent, comme le montrent l’inexistence politique du Parlement, les salaires croissants des élus et les comptes en banques des GAFA et de Big Pharma durant cette année de misère grandissante du peuple, particulièrement des jeunes et des étudiants condamnés à la soupe populaire.

La détresse de la jeunesse est très préoccupante. Jusqu’à quand des parents vont-ils continuer à envoyer leurs enfants dans des écoles démentes où trois jetons leur sont donnés par des fonctionnaires zélés pour choisir entre respirer ou pisser ? D’où les enfants bâillonnés sortent parfois avec des saturations en oxygène autour de 83 %, soit un état d’hypoxie sévère, là où l’on doit s’inquiéter des conséquences sous les 95 % ?

Les artisans, les entrepreneurs vont-ils continuer à se laisser mourir parce que ce sont les ordres ? La peur du gendarme et de l’amende a-t-elle plus de force que l’instinct de survie pour eux et leurs familles ?  Est-ce que quelqu’un a encore un peu de lucidité et de courage dans ce pays ?

Tout le monde va-t-il continuer à croire qu’il y a une pandémie qui justifie cette folie, alors que les chiffres de l’INSEE démontrent qu’il n’y a pas plus de morts en France en 2020 que les années précédentes ? Et comme l’a précisé depuis le Pr Raoult, qu’il y en a moins en 2020 chez les moins de 65 ans qu’en 2019 ?

Le taux de mortalité du COVID tous âges confondus est de 0,05 % environ, c’est un fait. Alors s’il n’y a pas de vraie raison sanitaire à la dictature qui s’installe, n’est-il pas temps de s’interroger sur les véritables motivations d’une telle opération et sur les objectifs réels du contrôle et de l’asservissement des populations ?

C’est perdre son temps et rajouter à la confusion que de tenter de chercher des explications logiques à une politique volontairement incohérente. Il est tout aussi inutile de se perdre en conjectures sur l’incompétence des uns et les revirements des autres. Tout ceci est inspiré des techniques de manipulation mentale bien connues (voir le manuel Kubark déclassifié par la CIA). 

Alors combien de temps encore soumis et insoumis vont-ils se focaliser sur les ombres de la caverne de Platon ?

Toutes ces mesures à l’encontre de la vie ont raturé une France faite de défaillances d’entreprises et par effet domino de leurs sous-traitants, de files de jeunes sans espoir d’avenir devant l’aide alimentaire, de taux de suicides alarmants, d’une séparation physique des gens jusque dans les familles, de couvre-feux absurdes ne reposant sur aucun argument censé, de masques dangereux pour la santé, comme vient encore de le démontrer un rapport allemand sur la santé des enfants, ainsi que de confinements à répétition dont on sait a minima désormais l’inefficacité sanitaire.

Les Français trop crédules vont-ils chercher plus d’ivresse encore à boire les mensonges éhontés d’une presse collaborant à des intérêts partisans qu’ils dissimulent ? Les démonstrations ne manquent pourtant pas de l’arrogance et du mépris des castes influentes vis à vis du bas-peuple, des sans-dents, des gilets jaunes. Cette question de la croyance en la bienveillance ou la malveillance au pouvoir est cruciale. Elle est l’une des clés du sursaut possible en chacun, le coup d’arrêt fatal à la naïveté.

Il est convenu désormais que lorsqu’on évoque les coulisses de ces forces qui ont pris pouvoir sur la vie de chacun, on soit alors immédiatement traité de complotiste délirant, voire dangereux. Sans doute les présidents Eisenhower et Kennedy étaient-ils aussi des complotistes délirants. Car qui connaît le discours d’Eisenhower du 17 janvier 1961 lorsqu’il a quitté le pouvoir ? En voici un extrait particulièrement d’actualité :

« Dans les assemblées du gouvernement, nous devons donc nous garder de toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel. Le risque d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. Nous ne devrions jamais rien prendre pour argent comptant. Seule une communauté de citoyens prompts à la réaction et bien informés pourra imposer un véritable entrelacement de l’énorme machinerie industrielle et militaire de la défense avec nos méthodes et nos buts pacifiques, de telle sorte que sécurité et liberté puissent prospérer ensemble. »

Car qui connaît le discours de J.F. Kennedy à New York le 27 avril 1961, qui demandait en vain son aide à la presse et dont voici un extrait :

« […] Car nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence par l’infiltration plutôt que l’invasion, la subversion plutôt que les élections et l’intimidation au lieu du libre arbitre. C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable, elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements, économiques, scientifiques et politiques. Leurs ramifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres, on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas; aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est révélé. Elle conduit la guerre froide, en bref, avec une discipline de guerre qu’aucune démocratie n’espérerait jamais vouloir égaler… C’est pourquoi le législateur athénien décréta comme criminel tout citoyen se désintéressant du débat… Je sollicite votre aide dans l’immense tâche qui est d’informer et d’alerter le peuple américain avec la certitude qu’avec votre aide l’homme deviendra ce pour quoi il est né libre et indépendant.  »

Je ne sais pour ma part quel dysfonctionnement peut expliquer qu’il y a tant de gens éduqués, pour croire ce qu’on leur dit sans rien remettre en question. Sans doute faut-il y deviner les barrières d’une programmation de souche auxquelles se greffent le carcan de leur éducation et parfois leur simple intérêt cupide. Il se confirme que l’essentiel du bon sens et de la réaction à ce qui se joue vient des couches sociales les moins éduquées, les moins formatées peut-être, alors que le modèle de la dystopie hante nombre des plus diplômés. De quoi se faire traiter de populiste en plus de complotiste.

Car est jusque-là populiste celui qui aime le peuple, lui reconnaît sa légitimité et son bon sens culturel, issu d’une longue histoire de celles qui forge et nourrit l’esprit d’une nation. Car est désormais complotiste ou conspirationniste celui qui se pose des questions et cherche la vérité au lieu d’accepter la ligne officielle qui révèle les apprentis dictateurs.

Les seuls vrais conspirateurs sont ceux qui conspirent contre les peuples. Et ils accusent ceux qui les dévoilent d’être ce qu’ils sont eux-mêmes, c’est une technique aussi vieille que l’homme.

La responsabilité de la presse aujourd’hui dans ce mécanisme de manipulation des masses est majeure. Elle est impardonnable et lorsque cette folie sera brutalement interrompue, car je crois qu’elle le sera, la presse telle qu’on l’a connue ne s’en relèvera pas. Elle disparaîtra au profit d’une presse plus citoyenne et seront confrontés à leurs responsabilités ceux qui ont fait ce qu’elle est devenue.

Certains ont fait le pari de se ranger du côté des puissants pour assurer leur intérêt personnel mais n’ont pas compris l’éphémérité du pouvoir, ni ne saisissent l’impermanence des cycles de l’histoire. Ils n’ont pas mieux perçu l’aspect eschatologique de ce que vit la planète en ce moment, ils n’ont pas la vision globale de ce qui se joue parce qu’ils sont ignorants de l’aspect spirituel de cette guerre déclarée à l’humanité. Ils n’en mesurent pas les finalités profondes et s’arrêtent à la seule perception de leur logique et de leur expérience matérialiste. Ils demeurent insensibles aux aspects plus élevés auxquels les appelle plus que jamais leur condition humaine.

Ils ont vécu dans un monde qu’ils croient inusable dans son fonctionnement, n’ayant croyance que de ce qu’ils ont appris d’un passé si bref et d’une éducation biaisée. Leur conscience se limite pour le moment à ce contexte et ils n’entendent pas encore son appel à l’ouverture et à l’expansion.

Dans ce monde d’imposture où sont adulés et portés au pinacle les indignes et où sont diffamés et persécutés les justes, toutes les valeurs sont inversées. On peut raisonnablement voir le combat planétaire actuel comme une formidable opportunité d’étendre sa conscience et reprendre individuellement et collectivement sa souveraineté en tant qu’être vivant, égal à tout être vivant, et non assujetti par force ou par délégation à des pouvoirs iniques et profondément corrompus.

Le nouveau clivage ne se résume pas seulement à mon sens au mondialisme contre le souverainisme, mais avant tout au matérialisme contre le spiritualisme, ce qui, je le précise, ne signifie pas le religieux, mais la reconnaissance pour ce qu’elle est de la dimension spirituelle de l’être, qui est un sentiment partagé par une majorité d’hommes peuplant ce monde.

Comme le disait le philosophe théologien Pierre Theillard de Chardin : « Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine ». C’est je crois cette dimension de l’homme qui est appelée à s’éveiller comme jamais en ces jours, qui pourraient aussi devenir les plus sombres si cette lumière ne jaillit pas en chacun.

Je suis de ceux qui mesurent la vraie richesse de l’humanité à la reconnaissance et au partage généreux et bienveillant de ses différences, certainement pas à leur castration dans une soupe mondialiste uniforme et insipide. Je crois en une humanité extraordinairement diverse et créative et pour autant unie dans un schéma plus grand que la somme de ses parties. C’est ce qu’il lui appartient désormais de cultiver sous tous ses climats et toutes ses particularités culturelles et ethniques, dans le respect et la conscience au sens large du Vivant.

Cela pointe la polarité opposée au monde ultra-matérialiste promu par les transhumanistes rêvant de fondre la machine et l’homme dans une vision démente de sa transcendance. Le danger n’a jamais été aussi grand de voir s’accomplir cette folie par la dictature mondiale qui se répand depuis un an dans le déni de trop de gens encore. Et c’est pourquoi dans cette phase la polarisation ne fait que croître.

Je suis intimement convaincu que c’est là le véritable enjeu de tout ce qui se joue en ce moment. Que cette crise sans précédent dans notre histoire est l’opportunité unique et brève de décider le monde que nous choisissons désormais, pas celui que nous subissons par peur, résignation ou sentiment d’impuissance depuis trop longtemps. Nous sommes les puissants, tous ensemble.

C’est cette conscience de la force d’un peuple uni dans sa quête de liberté, d’égalité et de fraternité qui effraie les injustes. C’est ce qu’ils s’acharnent à étouffer dans la confusion, la censure et la répression.

Que ce prétexte du COVID ne serve pas que le camp des censeurs ultra-matérialistes, mais qu’il serve avant tout celui de ceux qui souhaitent la conscience avant la science.

Sans doute est-il enfin temps de se souvenir de qui nous sommes. Et de reprendre les rênes de nos destinées et de notre condition au sein du creuset alchimique de nos vies, à la lumière d’une dimension de nous-mêmes plus vaste que ce qui nous a jusque-là limités.

Le jeu planétaire aujourd’hui peut se voir comme le temps de la moisson de nos expériences. Et il n’est pas trop tard pour en décider la richesse. Même sur le tard, toute conscience qui s’éveille et se tourne vers sa souveraineté est un diamant dans l’escarcelle de l’humanité.

Nous et nos enfants serons riches ou pauvres demain de ce que nous avons décidé aujourd’hui. C’est notre choix.

Auteur(s): Frédéric Vidal, pour FranceSoir


[Voir aussi :




MONTREZ-NOUS DES IMAGES !

Par Alain Tortosa

Sauf preuves explicites et documentées qui me seraient fournies…
J’affirme qu’il n’y a AUCUNE saturation des services de réanimation en France…
(Le « aucune » est un effet de style, il y a probablement quelques services dont la saturation a été sciemment organisée.)

Préambule :

Je vous rappelle que :

  • Le taux d’incidence est un FAUX, car il comptabilise des personnes officiellement positives et non des malades et de plus qu’il est directement influencé par le nombre de tests pratiqués.
  • Le nombre de personnes hospitalisées est un FAUX comme cela est reconnu dans les documents officiels du gouvernement qui comptabilise une personne asymptomatique positive au Sars-Cov2 et donc ne souffrant pas de Covid, et hospitalisée pour une appendicite dans la liste des personnes hospitalisées.
  • Le nombre de personnes en réanimation n’est pas connu.
    Seul le nombre de personnes en soin critique (réanimation + soin intensif + unité de surveillance) est fourni et nous ne savons pas si la pathologie qui les a menés en réanimation est le Covid ou pas.
  • Le taux de réanimation indiqué par l’État est un FAUX.
    Au 20 mars 2021, le gouvernement affiche qu’il y a 4246 personnes en réanimation en France, ce qui est FAUX.
    Il y aurait en fait 4246 personnes en soin critique.
    Le gouvernement ose écrire que le taux d’occupation des lits de réanimation est de 83,9 % alors même que le taux d’occupation des lits de soin critique n’est que de 22 %.
  • Le nombre de décès dus a u Covid est un FAUX.
    Les instructions écrites de l’OMS sont de comptabiliser comme décès du Covid des personnes en phase terminale de cancer avec soupçon de Covid.

La guerre de l’image

Guerre du Vietnam et guerre du golf.

  • Guerre du Vietnam : 60 000 soldats américains décédés versus environ 1,5 million de Vietnamiens.
  • Guerre en Irak (la première) : 400 soldats environ vs environ 200 000 Irakiens.

Qu’est-ce qui différencie ces 2 guerres ?

Vous pourriez me répondre que les Américains ont perdu la première, mais gagné la 2e…

À cela, je vous rétorquerais que d’un point de vue militaire, les USA n’ont pas perdu la guerre du Vietnam…
Et même s’il y a d’autres facteurs, celle-ci a été principalement perdue, selon moi, d’un point de vue médiatique
La presse était présente pour couvrir totalement et librement, le conflit.
Au point que l’opinion américaine a été totalement choquée de voir la réalité de la guerre, la barbarie qu’elle représente, fait à mon avis unique dans l’histoire des conflits armés.

Les Américains ont à ce p oint intégré le problème que nous n’avons pas vu d’images durant la guerre du golf.
Les seules images que nous fournissait l’armée américaine étaient des images de « jeux vidéo » dans lesquels nous voyions un missile faire exploser un bâtiment.
Pas la moindre image au sol !

C’est dire la différence d’impact psychologique entre les morts visibles, les enfants déchiquetés et les morts théoriques qui ne sont qu’une succession de chiffres…
Il suffit ainsi de basculer d’un modèle à l’autre pour manipuler l’opinion publique.

Les épidémies de grippe

Chaque année nous avons droit sur les médias nationaux à nos petits reportages sur les services d’urgence saturés par l’épidémie de grippe.
Nous avons alors la « chance » de voir un couloir d’hôpital avec un ou deux patients sur des brancards et un personnel médical ou un chef de service nous expliquant qu’il manque de lits et de moyens à cause de la « pourriture d’État » qui ne fait que fermer des lits…
… et ce, alors même que les dépenses de santé ne font qu’exploser.

Cela nous permet, lorsque nous sommes accoudés au comptoir en buvant notre café, de dire à quel point le gouvernement est nul.
Mais, soyons honnêtes, dans les faits, vous et moi n’en avons strictement rien à foutre…

« L’épidémie » de Covid

« Nous sommes en guerre », a déclaré à maintes reprises le chef de l’État.

Je suis obligé de mettre des guillemets au mot « épidémie », car, au même titre que la guerre du golf, je n’ai presque pas vu d’images de la « guerre du Covid » qui m’a été racontée, mais pas montrée.

Pendant la vraie épidémie, en mars, de la grippe 19, j’ai pu assister à la conférence de presse de l’état-major des armées sanitaires qui nous faisait le rapport quotidien des pertes de la journée, mais très peu d’images.
Nous avons bien vu par-ci par-là une image d’une personne âgée ou obèse intubée.
Il y a bien eu également quelques tentatives de manipulation en nous montrant des camions frigorifiques censés déborder de cadavres.
Mais dans les faits, pas grand-chose…
Et ne croyez pas que je ne regarde pas les BFM et autres France info depuis le mois de mars, ce qui devrait me valoir une médaille, vous en conviendrez.

Pourquoi une telle absence d’images ?

Quand on connaît le poids des images…
Quand on sait qu’elles participent activement à la victoire ou à la défaite d’une guerre, imaginez…
Ajoutons le fait que les journalistes sont totalement dénués de conscience.
Ils sont prêts à vous faire des gros plans sur le cadavre de Diana.

N’oubliez pas que les médias TV sont des médias d’images et qu’ils ne vivent que de l’image.

L’image est tellement essentielle qu’ils envoient un journaliste devant le palais de l’Élysée uniquement pour nous dire qu’il ne sait strictement rien alors même qu’il aurait très bien pu faire sa déclaration d’ignorance en studio…
L’image est vitale pour eux et pourtant la crise du Covid est principalement racontée par les médias audiovisuels par des images en studio ou dans des bureaux via webcam… étrange non ?

Le récit gouvernemental et médiatique

Selon nos élites et leurs esclaves…

  • Une pandémie « biblique » s’est abattue sur la planète, au point d’être contraints d’arrêter quoi ? Non seulement les libertés, mais aussi la vie !
  • Il existe une partie de la population à ce point « débile et dégénérée » qu’elle n’y croit pas…
  • L’adhésion à toutes les mesures dictatoriales est « vitale » pour s’en sortir.
    Je vous rappelle que selon le discours officiel, chaque remontée de l’épidémie a été causée par « l’irresponsabilité » de certains, un « irrespect » du port du masque et des gestes barrière.
    «L’éminent spécialiste » Martin Blachier, « exempt de conflits d’intérêts », avait même déclaré que si tous les Français respectaient les consignes nous pourrions nous débarrasser définitivement du fléau e n 15 jours (sic). C’est dire…
  • Le vaccin est « l’unique voie » pour en sortir et le succès de la campagne de vaccination dépend totalement de l’adhésion…
  • Des médecins et des chefs de service « au-delà de tout soupçon » nous expliquent tous les jours que « les variants touchent un public de plus en plus jeune, qui plus est sans comorbidité », c’est dire si la menace ne fait que croître !

Et pas d’images ? On se moque de qui ?

Cela me fait penser à celles et ceux qui pensent que personne n’est jamais allé sur la lune.
Dans ma grande naïveté, je pense qu’il suffirait de montrer des films en live du LEM et des 180 tonnes d’objets laissés officiellement par la NASA lors des différentes missions lunaires pour mettre fin à la polémique…
Au contraire, une loi a été votée aux USA afin de protéger les sites et interdire toute interaction !

Dans le même esprit, il me semble plus facile de filmer des services de réanimation que d’envoyer une nouvelle mission sur la Lune…

  • Pourquoi ne voyons-nous pas toute la journée des reportages dans des réanimations surchargées ?
  • Pourquoi ne voyons-nous pas des personnels hospitaliers ou des infirmiers « épuisés » interrogés dans ces services ?
  • Pourquoi les chefs de service ne profitent-ils pas de la crise pour nous montrer le tiers-monde à l’hôpital ?
  • Pourquoi ne voyons-nous pas des journalistes filmant dans tous les services des hôpitaux afin de clouer le bec aux impies et nous montrer la saturation des services ?
  • Pourquoi ne voyons-nous pas les personnels médicaux sans emploi, du fait de la fermeture de certains services, soulager l’hôpital dans les services Covid qui devraient avoir trop de personnels ?
  • Pourquoi ne voyons-nous pas tous les jours des images de personnes jeunes, en bonne santé (comme ils le disent), sans comorbidités apparentes, sous oxygène ou sous respirateur ?
  • Pourquoi voyons-nous toute la journée des journalistes et des invités blablater sur les plateaux, mais pas d’images ?

Pourquoi ne pas nous montrer ces images dans tous les hôpitaux de la région parisienne qui sont officiellement « au bord du gouffre » ?

Vous avez des hypothèses ?

  • Pour respecter la vie privée des personnes filmées ? Il suffit de les flouter.
  • Pour ne pas faire dans le sensationnalisme ? Je pourrais en rire…
  • Parce que ces charognes de journalistes n’y penseraient pas et qu’ils préféreraient filmer un chef de service devant sa webcam ? Vous aurez du mal à me convaincre…

Il n’y aurait QUE des avantages à nous prouver que la situation est grave ou même catastrophique pour nous inciter à nous injecter leurs poisons.

  • Que les services d’urgence sont saturés dans les zones à « fort taux d’incidence » par des patients Covid ou autres…
  • Qu’il n’y a presque plus de places dans les lits de réanimation de ces régions.
  • Qu’il n’y a pas de services totalement désertés dans un hôpital alors que le service Covid de ce même hôpital serait saturé et que les autres hôpitaux publics ou privés de la ville subissent la même saturation,
  • Et de plus nous montrer la liste des patients en nous indiquant leur âge et leurs comorbidités.

Si vous — les responsables qui nous mentent depuis des mois sur les chiffres (preuves à l’appui) — me montriez ce que je demande, alors je pourrais commencer à vous croire…

L’absence d’images qui ne pourraient que convaincre les Français est une preuve indiscutable et irréfutable que vous nous mentez sur la saturation supposée des services de réanimation.

En ne fournissant pas ces données légitimes, VOUS reconnaissez implicitement votre mensonge et la manipulation de tous les Français…

Merci.

Alain Tortosa. 20 mars 2021.

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210320-fausse-epidemie.pdf




Le monde peut-il encore éviter une guerre entre les États-Unis et la Russie?

[Source : Strategika 51]

Loin des diversions médiatiques ou les futilités absolues des réseaux sociaux, la montée en puissance des capacités d’une frappe fulgurante contre la Russie en Europe orientale continue à une cadence soutenue.

La crise économique et financière mondiale, l’effondrement total de la propagande occidentale et la faillite du système politique US ne laissent à l’État profond qu’une option. La pire de toutes: une escalade de la politique hostile contre la Russie, laquelle ne peut aboutir qu’à un affrontement. D’abord par proxy. Puis direct. Avec des conséquences fort désastreuses pour l’ensemble des protagonistes et des retombées catastrophiques pour le système de sécurité collectif.

En réalité, le leadership russe, tout comme son homologue US, est préparé à cette ultime éventualité. La seule variante est de savoir qui le premier va perdre son sang-froid et la maîtrise du jeu de dupes pour dévoiler son intention finale. Tous les éléments laissent entendre que c’est l’actuelle équipe à la Maison Blanche qui va déclencher les hostilités et mener ouvertement une campagne hostile d’une ampleur inédite contre Moscou. Peu importe le prétexte avancé, que ce soit la reprise d’éléments de guerre psychologique basés essentiellement sur l’accusation d’une ingenrence russe dans les élections présidentielles US et par voie de conséquence une ingérence russe visant le sabotage de la démocratie parfaite et exceptionnelle (l’image ne tient pas mais la symbolique est un élément à charge) ou encore le blocage de la guerre en Syrie, la paralysie de l’Ukraine, l’accès de la marine de guerre en Méditerranée, la guerre des vaccins et les pertes occasionnées aux Big Pharma par une soi-disant contre-propagande russe visant à décrédibiliser les vaccins occidentaux, l’alliance avec la Chine, la percée russe en Afrique australe et occidentale, etc. Le prétexte de l’ingérence russe dans des présidentielles US chaotiques et dignes d’une république bananière (le terme a été lancé par l’ex-président George Bush Junior) de quatrième ordre sera probablement utilisé par l’État profond qui a désigné Joe Biden pour relancer un conflit “dur” avec la Russie. Cela permettra de camoufler la faillite du système politique US, totalement obsolète et corrompu sous les bruits de bottes et le tonnerre d’une guerre symétrique d’envergure mondiale.

Une guerre avec la Russie n’est pas un expédient aisé, loin s’en faut, c’est même une voie suicidaire. Mais l’Empire n’a plus d’options alternatives. Sa narration ne suscite plus d’adhésion comme le démontre l’échec de l’ingénierie sociale en Syrie ou encore au Myanmar en dépit d’efforts colossaux. La manipulation autour du nouveau coronavirus a achevé le peu de crédibilité qu’avait son appareil médiatique auprès de ses propres populations. L’épisode du Capitole n’est pas clos. A force de vouloir supprimer la symbolique de cet incident inhérent au déclin des nations, ce ne seront pas des manifestants dans une ambiance bon enfant qui vont menacer le siège du pouvoir législatif américain mais des missiles hypersoniques à têtes nucléaires tactiques multiples et indépendantes. Le scénario de l’horloge sonnant minuit n’a jamais été aussi proche du réel.

Le monde pourra t-il éviter une guerre entre les États-Unis et la Russie avant qu’il ne soit trop tard?

Le cycle entamé laisse entrevoir des épisodes pires que celux des années précédentes. La plupart des pays se préparent à la guerre. La Chine, longtemps adepte du profil bas et effacé, d’une politique étrangère sort basée sur le développement économique, est maintement persuadée de l’inéluctabilité de cette éventualité. Et cette évaluation n’est pas en relation avec le statut de Taïwan ou les îlots de la mer de Chine méridionale mais avec une perception assez lucide des intentions réelles de ses adversaires.

L’Etat profond à court de moyens, veut venger ses revers en diabolisant Vladimir Poutine comme il l’a fait avec tout chef d’État dont la posture est jugée non-conforme et hostile aux intérêts de l’Empire. C’est un schéma usé et dangereux. Le retour des bellicistes à Washington fut marqué par une manœuvre très mal habile visant à supprimer toute référence au passé d’une caste vivant essentiellement de la guerre. Prétendre la naïveté est un moyen de diversion et dé-concentration.

La paix mondiale n’existe plus. Le cycle d’airain vient tout juste de commencer.




De l’État profond au gouvernement mondial

[Source : Site officiel de Valérie Bugault (valeriebugault.fr) via reseauinternational.net]

par Valérie Bugault et Pierre Bergerault – TVL

Valérie Bugault, docteur en droit, ancien avocat fiscaliste, reconvertie dans la géopolitique juridique et économique.

Vous êtes l’auteur de plusieurs ouvrages « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie » co-écrit avec Jean Rémy, « La nouvelle entreprise », « Les raisons cachées du désordre mondial » et « Demain dès l’aube… le renouveau » tous édités chez Sigest.

1) « La géopolitique est conçue comme l’étude des stratégies d’approche, d’attaque et de défense militaire d’un État vis-à-vis d’un ou de plusieurs autres ». Cette définition est-elle toujours de mise ?

Cette notion, la « géopolitque », a évolué deux fois au cours des dernières décennies sans d’ailleurs que les analystes en soient toujours clairement conscients :

  • À partir de la seconde GM et en particulier à partir de la signature des accords de Bretton Woods, le terrain de la « géopolitique » s’est déplacé du champ de bataille militaire vers le champ de bataille économique et monétaire et
  • Depuis quelques mois, nous assistons à une seconde évolution de la « géopolitique ». Le terrain économique et financier est en effet en cours de déplacement vers le terrain juridique. Le « droit » existait auparavant mais il n’était pas perçu comme enjeu majeur. Il était perçu comme un simple moyen d’action car les finalités du droit n’étaient plus discutées depuis trop longtemps. On arrive aujourd’hui à un moment particulier de l’Histoire où le droit va devenir, il faudrait dire « redevenir », le véritable champ de bataille, supplantant le domaine monétaire et économique, pour devenir le véritable enjeu de la géopolitique moderne.

En effet, outre sa fonction d’être un moyen d’action politique, le « Droit » en tant que « système » véhicule une culture, une conception du monde et de la vie en commun. Les décennies qui viennent verront la confrontation des systèmes de droit en raison du nécessaire renouveau politique.

Le « droit anglo-saxon » et le « droit continental » véhiculent une conception antagoniste de la vie en Société. Le droit britannique est, depuis le XVIe siècle, conçu comme une arme règlementaire au profit des puissants tandis que le droit continental traditionnel s’est développé, jusqu’à l’avènement du Code civil de 1804, comme un art politique : l’art d’améliorer la vie du groupe (c’est-à-dire de la Société), le moyen de pacifier les relations interpersonnelles en imposant aux « hommes de l’art » la recherche de justice.

Alors que le droit civil est le seul « Droit » à véhiculer le concept de justice, de vie en commun et in fine de civilisation, ce dernier est, malheureusement, en voie de fusion-absorption par le système britannique commercialiste.

Pour la France, et par extension pour le monde, l’enjeu majeur des prochaines décennies sera de réinitialiser notre droit civil en tant que « droit commun », lui-même développé autour du droit naturel.

2) « De façon subreptice et sournoise depuis le XVIIIe siècle, nous sommes collectivement entrés dans une ère qui interdit le libre arbitre humain au profit exclusif des puissances financières qui se sont emparées réellement et anonymement du pouvoir ». Comment ce changement de paradigme s’est-il opéré ? 

Ce changement de paradigme s’est opéré par la double prise de contrôle monétaire et politique par les puissances d’argent.

La prise de contrôle monétaire s’est faite de façon directe par la centralisation de la gestion monétaire dans les mains des banquiers au moyen de la création de « banques centrales ».

La prise de contrôle politique fut plus sournoise ; elle s’est réalisée par l’avènement et la généralisation d’un système politique axé autour du parlementarisme représentatif et d’une pseudo séparation des pouvoirs (qui est en réalité une disparition du pouvoir politique), dans lequel la vie politique a été captée par les « partis politiques ». Or, les partis obéissent à ceux qui les financent, ce qui a permis d’établir :

  • L’omnipotence hégémonique et anonyme des puissances financières et
  • La disparition des contrepouvoirs internes, qui devraient normalement structurer la vie politique.

3) Le contrôle de l’or opéré par les banquiers changeurs du Moyen-âge se terminera, dites-vous par un gouvernement mondial dictatorial de nature technocratique entièrement dirigé par les puissances financières dominantes. Que répondre à ceux qui voient là une vision simpliste, affirmant que toutes les nations n’ont pas intérêt à se fondre dans une structure mondiale ? 

Aucun peuple, aucune Nation, n’a « intérêt » à se fondre dans une structure globale dominée par les financiers. La volonté populaire n’entre pas en ligne de compte car tout est organisé de façon opaque, par le biais du mensonge, on fait passer des choses en prétendant qu’elles sont l’inverse… Ce pouvoir hégémonique s’est toujours imposé sans demander l’avis des peuples, par la corruption, l’illusionnisme et le mensonge !

À partir du moment où la vie politique est captée par les puissances financières – ce qui est vrai de la très grande majorité des pays du monde – l’intérêt commun des dirigeants à se fondre dans une structure mondiale dominée par les financiers est de facto, par principe, établi. Seuls des incidents mineurs lié à l’existence d’intérêt personnel des uns ou des autres doivent être contournés par les globalistes afin d’établir leur projet de gouvernement mondial totalitaire.

4) Au-delà d’imposer leur empire politico-financier, vous affirmez que les tenants d’un Nouvel Ordre Mondial souhaitent édicter une religion mondiale. Quels en seraient les dogmes ?

Je ne suis pas spécialiste des religions mais il me semble que cette religion existe déjà en filigrane : culte de l’argent, concurrence de tous contre tous, métissage de tous les monothéismes en un seul magma synthétique (sur le modèle des produits financiers).

La laïcité aura été un moyen de détruire le pouvoir spirituel en Europe et non, comme on pourrait le croire, un moyen de neutralité bienveillant. Or, faire disparaître le pouvoir spirituel a eu en réalité à la fois pour cause et pour conséquence de faire disparaître tout contrepouvoir politique à la toute-puissance des financiers.

Un autre moyen de destruction du pouvoir spirituel aura été l’exacerbation des antagonismes entre les trois monothéismes. La « religion mondiale » aura été imposée par la manipulation à l’extrême des anciens monothéismes en montant les uns contre les autres. Les dominants financiers ont utilisé, une fois de plus (on ne change pas une méthode qui marche), le principe de bonne politique consistant à « diviser pour mieux régner ».

En montant les religions les unes contre les autres, ils réussissent à créer un vide spirituel dans lequel ils vont engouffrer leurs propres croyances, qu’à vrai dire je ne suis pas sûre qu’il faille appeler « religion ». En effet, lesdites croyances ressemblent plus à la domination du mal absolu qu’à une quelconque spiritualité véhiculant des principes de « vie en commun » que les religions traditionnelles portent en elles. Peut-on appeler « religion » une croyance de quelques hommes qui consiste à :

  • Estimer que la population mondiale ne doit pas dépasser 500 millions d’âmes (Georgia Guidestones) ;
  • Pirater le fonctionnement intime (génétique) du vivant (Trans humanisme) pour permettre la vie éternelle à ceux qui resteront sur cette terre ?

Alors même que toutes les religions ont, jusqu’à ce jour, respecté le droit naturel supérieur, une croyance en la toute-puissance de l’homme, censé devenir éternel, ne me semble, après réflexion, pas devoir être désigné du terme de « religion ». Cela ressemble davantage à une secte sataniste qu’à une religion stricto sensu.

5) Pourquoi voyez-vous dans le droit anglo-saxon et la City de Londres l’alpha et l’oméga de cette volonté mondialiste ?

L’émancipation en 1531 de la papauté par le roi Henri VIII d’Angleterre au moyen de la création de l’église réformé (à mi-chemin entre protestantisme et catholicisme) sous la houlette de l’archevêque de Cantorbéry, nommé par le Roi, a modifié fondamentalement la façon de concevoir le droit en Angleterre. Le droit anglais est devenu l’apanage du seul pouvoir temporel (cf. pour le catholicisme l’équivalent de 1531 est 1929 et les Accords du Latran), autrement dit, un simple instrument de puissance dans les mains du détenteur du pouvoir temporel, d’abord identifié par le Roi puis par les puissances financières.

Le développement des visées impériales britanniques, cristallisées sous Cromwell (1599-1658) par l’établissement d’un « Commonwealth républicain » [Cf. wikipedia.org/wiki/Oliver_Cromwell], a acté la suprématie du pouvoir économique et monétaire sur le pouvoir politique.

La puissance financière est à l’origine du développement de l’empire britannique et le droit fut son arme de domination. C’est précisément cette conception, très affairiste et utilitariste, du « droit » qui s’est imposée sur la scène internationale tout au long des XIXe et surtout XXe siècles. Nous sommes ici dans un contresens par rapport à ce que signifie traditionnellement la notion de « Droit », ce type de normes est un « droit » qui n’est ni « droit » ni du « Droit ».

6) Vous dites que le droit anglo-saxon aurait pris le pas sur notre droit continental mais en quoi ce droit continental est-il différent du droit anglo-saxon ?

Tous les développements juridiques sur la personne, les rapports de l’individu au groupe, à la puissance et à l’autorité ont été formalisés, conceptualisés par les grands légistes de droit canon (penseurs catholiques) tout au long du Moyen-âge et en particulier au haut Moyen-Âge avec Saint-Augustin, puis, à partir du XIe siècle avec l’évêque Fulbert (1006 – 1028), le Décret de Gratien 1140, Saint Thomas d’Aquin (1225 – 1274) au XIIIe siècle… [Cf. cairn.info/la-formation-de-la-pensee-juridique-moderne ; cours.unjf.fr/repository/coursefilearea ; books.openedition.orgjstor.org/stable]. Le droit canon ou, plus précisément, son métissage avec les apports structurels du droit romain, est à l’origine du développement de « la civilisation européenne ».

Or, le droit britannique s’est, à partir de 1531, émancipé des apports du droit développé sur le modèle ci-dessus décrit pour se fonder sur la suprématie maritime et commerciale propre à servir le développement impérial et les intérêts financiers dominants qui le supportait.

À la même époque, le droit continental est, tout au contraire, resté fondé sur un droit commun de nature civile issu de l’équilibre des forces entre pouvoir temporel et pouvoir spirituel. Les choses ont commencé à changer sur le continent européen à partir de la Révolution française – qui a beaucoup affaibli l’Église catholique – jusqu’à 1929, date des accords du Latran, qui correspond, en Europe et pour le monde catholique, à ce que fut l’année 1531 pour l’Angleterre : la soumission définitive et radicale du pouvoir spirituel, via Mussolini, au pouvoir financier mené par la City.

Tout au long des XIXe et XXe siècles, la puissance de l’empire britannique n’a fait que croître pour finalement se transférer dans l’empire américain, lequel a utilisé les mêmes armes monétaire, économique et juridique en les déployant partout dans le monde grâce à sa puissance de frappe militaire et financière.

C’est la raison pour laquelle toutes les institutions internationales ou supranationales nées au cours du siècle passé – parées pour la façade et très hypocritement de vertus humanistes ou d’une prétendue pacification du monde – n’auront finalement été que des appendices, des projections mondiales, de la puissance financière des banquiers globalistes apatrides (BRI, FMI, banque mondiale, OCDE, ONU, Union européenne, OMC, OMS…).

7) Comment se traduit concrètement cette soumission du droit continental au droit anglo-saxon ?

Cette soumission s’est réalisée, au fur et à mesure du temps, en quatre grandes étapes, qui furent des attaques en règles contre le Droit continental traditionnel :

  • La première attaque est d’ordre institutionnel, elle concerne la méthodologie du droit avec l’instauration d’un parlement dont la seule mission est de « créer » du droit, ce qui va à l’encontre de la mission traditionnelle du droit continental, qui comportait des règles simples et peu nombreuses.
  • La 2ème attaque est d’ordre conceptuel : avènement de la théorie pure du droit d’Hans Kelsen (1881 – 1973) qui impose un droit positif émancipé des principes du droit naturel [Cf. wikipedia.org/wiki/Hans_Kelsen].
  • La 3ème attaque est à nouveau d’ordre institutionnel : avènement des institutions européennes, dominées par le « principe réglementaire » issu des multinationales et véhiculé (ne l’oublions pas !) par les pouvoirs exécutifs des principales puissances économiques de l’Union. Ce système aggrave considérablement et à dessein la confusion des genres entre « règlementation professionnelle » et « Droit ».
  • La 4ème et dernière attaque est à nouveau d’ordre conceptuel : il s’agit de « moderniser le droit français », c’est-à-dire qu’il s’agit de transformer le droit civil en droit commercial (sur le modèle du droit de propriété économique) de façon à le rendre compatible avec le droit anglo-saxon, d’essence commercialiste. Il s’agit aussi de financiariser et opacifier ce nouveau « droit commun commercial ». Ce qui se traduit en termes de droit positif par toujours plus :
    • d’anonymat capitalistique et contractuel,
    • d’irresponsabilité juridique des dirigeants et décideurs réels,
    • de disparition de la corrélation entre responsabilité et pouvoir,
    • d’accaparement,

La disparition « de fait » (de facto) des libertés, inhérente à la domination économique, deviendra, par un glissement appelé (par les partisans du globalisme) « réalisme juridique », une disparition « de droit » (de jure). C’est ainsi que l’hégémonie financière se traduira fatalement, tôt ou tard, en droit positif par la suppression :

  • de la liberté d’expression,
  • de la propriété privée.

8) Vous évoquez l’intrusion de la fiducie en droit français à la fin des années 2000 grâce à une pression sur les élus de la République… En quoi consiste l’opération de la fiducie ?

Il s’est agi de permettre sur le territoire français des opérations patrimoniales faisant intervenir trois personnes différentes : le constituant, le fiduciaire et le bénéficiaire.

Techniquement, l’intervention d’une tierce personne gestionnaire, appelée trustee ou fiduciaire, permet de rendre discrètement anonyme le nom du bénéficiaire réel des opérations réalisées sous fiducie. La fiducie introduit une dose supplémentaire de confusion dans la responsabilité juridique qui incombe aux décideurs économiques. Le droit français était beaucoup plus clair sur les responsabilités lorsque les parties à un contrat d’organisation patrimoniale étaient identifiées clairement comme cédant et cessionnaire d’un bien ou d’un droit, ou comme bénéficiaire et débiteur d’une sûreté. La fiducie introduit un degré d’opacité dans la responsabilité juridique en matière de gestion patrimoniale. Ce n’est pas un hasard si les dominants financiers ont utilisé le trust et non le droit civil français pour organiser le contrôle et la circulation des capitaux dans le monde entier.

Politiquement cette intrusion répondait aux besoins de la liberté de circulation des capitaux imposée par l’ordre économique mondial, c’est-à-dire par les tenanciers des paradis fiscaux anglo-saxons. L’opération s’inscrivant, rappelons-le, dans le contexte de la disparition des paradis fiscaux à comptes numérotés, qui étaient des « corsaires juridiques » sous contrôle de certains États, au profit des paradis terrestres hébergeant des trusts anonymes. Pour être tout à fait claire, on identifie ici un plan organisé et prémédité, que l’on pourrait appeler « complot », puisque l’intervention de la fiducie, en France en 2007, a précédé les grandes manœuvres géopolitiques lancées par l’OCDE en 2009, avec Nicolas Sarkozy en tête de pont, tendant à liquider les paradis fiscaux fondés sur les comptes numérotés. « L’a-France » est, très souvent, dans le wagon de tête des félonies politico-juridiques ; mais elle n’est pas la locomotive de ces manœuvres.

L’intervention de la fiducie par la loi Marini du 19 février 2007, qui est une modification législative majeure, s’inscrit dans le contexte de la vague scélérate de « modernisation du droit français » consistant à rendre le droit civil compatible avec le droit anglo-saxon d’essence commercialiste.

Enfin, il faut remarquer la concomitance historique entre la trahison juridique que fut l’introduction, le 19 février 2007, de la « fiducie » en droit français et la trahison politique que fut la signature, le 13 décembre de la même année, du Traité de Lisbonne par les chefs d’État ou de gouvernement des 27 États membres de l’Union européenne. Rappelons que cette Trahison politique fut actée par les parlementaires français en 2009, lesquels ont ratifié ce traité signé en 2007 alors même que le peuple français avait rejeté, en mai 2005, la Constitution européenne, version initiale quasi identique dudit Traité. Nous avons ici, soit dit en passant, une magnifique application – un cas d’école – du fait que le principe du parlement dit représentatif existe à la seule fin de domestiquer la volonté populaire (ce que dénonçait déjà en son temps Jean-Jacques Rousseau !).

La trahison juridique n’est jamais très éloignée de la trahison politique ; ces deux « félonies » fonctionnent en osmose.

9) Drôle de découverte : La République française est, selon « société.com », site web d’informations légales sur les entreprises françaises, enregistrée à l’INSEE d’une façon similaire à une entreprise commerciale. Qu’est-ce que cela signifie ? (un numéro SIREN (100000017), numéro SIRET, réservé aux entreprises (10000001700010), un numéro de TVA intracommunautaire (FR15100000017))

Cela signifie que nous sommes anglo-saxonnisés !

Cela signifie que nos institutions civiles et politiques ont vocation à devenir, sur le modèle britannique, des institutions commerciales, ce qu’elles n’ont historiquement, politiquement et philosophiquement JAMAIS été ni dans notre pays, ni sur le continent européen, ni dans tous les pays ayant adopté notre système de droit continental.

À cet égard, je voudrais rappeler que la dénonciation, à grands cris, par le milieu des affaires, de « l’extraterritorialité du droit américain » qui veut mettre la main sur les multinationales dites françaises et le mutisme intégral de ce même milieu face à la colonisation forcée de notre droit par le droit anglo-saxon a quelque chose de grotesque qui s’apparente aux « Précieuses ridicules » de Molières.

Ce deux poids deux mesures des milieux des affaires, qui poussent des cris d’orfraie et appellent dans un cas au « patriotisme économique » alors que, dans l’autre cas, ils s’écrasent littéralement pour ne pas dire qu’ils rampent en pratiquant même la surenchère des mesures, est finalement assez comique à observer ! Les acteurs économiques, qui ont eux-mêmes trahi et vendu leur « système de droit », appellent ce dernier à la rescousse dès qu’ils sentent, sur eux-mêmes, les premiers effets de leur trahison ! Rappelons que « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes ».

L’hypocrisie endémique, liée à l’esprit de collaboration, traditionnellement très prisée des « dirigeants français », a définitivement condamné les milieux juridiques français à finir, sauf improbable sursaut, dans les poubelles de l’histoire…

10) « Les puissances financières anonymes ont juridiquement développé un système économique mondial de type monopolistique qui leur permet de capter et contrôler toutes les technologies ; technologies qui deviennent, dans leurs mains, des armes employées contre les peuples ». Au-delà de la censure qu’utilisent les GAFAM, jusqu’où ces armes peuvent être utilisées ?

Levons une ambiguïté : ce système est couramment appelé, à tort, capitaliste. À tort car il ne s’agit pas, et ne s’est jamais agi, d’une idéologie mais d’une volonté d’hégémonie politique des banquiers, ce qui est très différent.

Le terme « capitalisme » organise une confusion volontaire en parant une volonté bancaire hégémonique d’oripeaux intellectuels qui a permis de justifier :

  • le développement de l’anonymisation des décideurs ;
  • le développement subséquent de la déresponsabilisation juridique des décideurs ;
  • le développement de la dérégulation, c’est-à-dire de la disparition du « droit » remplacé par de la simple « règlementation » adossée à l’idéologie de la « liberté du Commerce ». Une fois encore la liberté du commerce ne signifie qu’une seule chose : la mise en esclavage des petites entités économiques par les grosses ;
  • la création d’énormes conglomérats économiques appuyés sur les banques et dont la seule vocation est l’accaparement des richesses ;

Le terme même de « capitalisme » est une escroquerie destinée à justifier intellectuellement, c’est-à-dire à cacher aux yeux de tous par de savantes constructions fondées sur des postulats erronés ou biaisés, l’accaparement opéré par les puissances financières. OR, l’accaparement est incompatible avec la civilisation. Toutes les civilisations de l’Histoire humaine ont lutté contre l’accaparement. Et justement, le « capitalisme » a rendu l’accaparement légal et légitime !!!

On se situe avec le prétendu « capitalisme » qualifié de « liberté » dans le même rapport d’illusionnisme et de domination qu’avec le « parlementarisme représentatif » qualifié de « démocratie » : une imposture pure et simple !

11) Les dominants financiers, dites-vous, n’ont jamais caché leur volonté et motivation génocidaires. Volonté que vous désignez sous l’appellation de « dette de sang ». Expliquez-nous ?

Plus exactement, j’ai dit que, depuis l’avènement du Club de Rome, les dominants financiers ne cachent plus leur volonté génocidaire.

Par ailleurs, il faut se souvenir qu’au-delà du génocide, il est surtout question du lien indéfectible entre développement des puissances financières et esclavagisme des masses. À titre d’exemple : l’État du Delaware aux États-Unis n’a accepté (et il fut le dernier État à le faire) de renoncer à l’esclavage que pour devenir un « paradis fiscal ». La dette est un puissant moyen de domination car, comme l’a si bien dit Napoléon : « La main qui donne est au-dessus de celle qui reçoit ».

Une fois que vous êtes englués dans les liens de la dette, vous ne pouvez plus rien refuser à votre/vos créancier(s), surtout si ce dernier s’est arrangé pour contrôler le pouvoir législatif de façon à organiser son anonymat !

Tout cela n’a pu se produire que parce que le concept de « personne morale » (sic), organisée sur le modèle capitaliste Britannico-hollandais (en opposition au modèle de la participation ou de la cogestion), est intervenu pour cacher le nom véritable des quelques personnes physiques qui contrôlaient in fine ce système organisé par le « droit » dans un ballet très structuré de clair/obscur.

12) Pourquoi dites-vous qu’il est inutile de dénoncer un gouvernement des juges »? (sous la dépendance du pouvoir en place, en l’occurrence le pouvoir financier)

Car c’est en réalité l’intégralité de l’appareil d’État qui est au service, via le partis politiques, du pouvoir financier ! Le prétendu pouvoir des juges fait partie intégrante du pouvoir exécutif et donc de l’appareil d’État. Parler de « gouvernement des juges » c’est vraiment l’arbre qui cache la forêt ! L’imposture politique élevée au niveau de « grand art », du pur illusionnisme !

13) Pour vous, la contestation de l’actuel pouvoir français, illégitime, dictatorial et outrancier, est nécessaire et même indispensable. Que pensez-vous de la gestion gouvernementale du covid ?

Plus précisément, je dis que l’intégralité de l’appareil d’État est aux mains des puissances financières. Nos institutions politique ont organisé consciencieusement, bien que discrètement, la disparition de tout contrepouvoir interne.

L’absence de contrepouvoir interne, initiale et consubstantielle à nos institutions, a été mise en évidence par la disparition du contrepouvoir politique externe que constituait l’existence d’un « bloc de l’Est ». IL FAUT maintenant LE CONSTATER.

Or, une organisation politique sans contrepouvoir est antinomique non seulement avec une quelconque démocratie, avec la liberté individuelle et collective mais aussi et surtout avec le concept même de CIVILISATION.

Les mesures législatives et règlementaires prises, à l’occasion de la crise covidique, par les « autorités chargées de la gestion du territoire français » (il ne s’agit pas à proprement parler de personnel politique puisque les « gouvernements » ne sont plus des « entités politiques ») s’inscrivent évidemment dans cette tendance lourde de la toute puissance financière.

14) Vous jugez la contestation du pouvoir nécessaire pour ne pas nous voir imposer le fameux Great Reset ? Quelle définition donnez-vous à ce projet d’agenda proposé par le président du Forum économique mondial, Klaus Schwab ? (projet monétaro-politique) ; Pour faire face à cette Grande Réinitialisation, à ce gouvernement mondial, vous proposez de remettre les institutions politiques et étatiques au service de la population, vaste programme. Mais avant cela, comment amener cette population à prendre conscience de sa servitude ? (Modèle financiariste contre modèle politique)

Le forum de Davos via son directeur Klaus Schwab, lequel s’est récemment fait l’écho officiel (à grand renfort médiatique) du « Great Reset », est le dernier avatar de la prise de pouvoir mondiale par les puissances financières globalistes. Cette prise de pouvoir, qui s’inscrit dans une dimension historique pluri-centenaire, arrive aujourd’hui à maturité.

Dans ce contexte, le seul moyen pour les peuples, de s’opposer à l’inéluctabilité de leur mise en esclavage, est de reprendre le contrôle de leurs institutions, lesquelles sont aujourd’hui fondées sur l’imposture politique. Retrouver des institutions politiques signifie mettre fin à l’hégémonie mondiale des puissances financières. C’est aussi simple que cela. Mais pour y arriver, il faut avoir une vision claire des forces en présences et des enjeux civilisationnels qui en découlent.

Les gens doivent prendre l’habitude de raisonner par eux-mêmes, de confronter leurs intérêts et ne plus se laisser manipuler par l’avalanche de « mots » dépourvus de sens que les dominants financiers leur imposent, générant volontairement une variété infinie de « maux » politiques et sociaux. Lorsque les politiques, médias ou « sachants » universitaires et autres experts de plateaux parlent de « liberté », il faut aujourd’hui comprendre « servitude ». La liberté, lorsqu’elle existe, n’a pas besoin d’être mentionnée à tout bout de champ. On ne parle des choses que lorsqu’elles ont disparu !

Il est temps d’instaurer une organisation sociétale dans laquelle tous les intérêts catégoriels traversant la Société seront politiquement représentés. Ce qui signifie qu’il est temps de se séparer de nos systèmes politiques actuels, pures impostures politiques, dans lesquels les seuls intérêts politiquement représentés sont, via les partis politiques, les intérêts financiers supérieurs. Je renvoie les auditeurs intéressés à mes travaux sur la rénovation institutionnelle (voir mon site internet et mes différents ouvrages), c’est-à-dire à ma proposition de réinitialisation de l’État telle qu’elle figure sur mon site et telle qu’elle est décrite dans mes différents articles.

15 et 16) Vous avez récemment lancé sur votre blog un cercle de réflexion que vous avez appelé « Révoludroit » pour « un droit au service des humains ». Qu’est-ce que c’est ? Vous dites qu’il faut réactualiser les fondamentaux du Droit, avec une réforme du droit civil (contrat, responsabilité, famille, respect du vivant), économique (droit de l’entreprise à nouveau compris comme une institution et réhabilitation de la monnaie) et pénal. Quelle forme devra prendre cette réforme ?

L’ambition à terme est de faire de RévoluDroit une école de droit alternative. Cette initiative a également pour vocation de préparer l’avenir institutionnel et juridique.

RévoluDroit s’adresse principalement aux juristes afin de rétablir un système de droit digne de ce nom, fondé sur un droit commun (le droit commun est civil ou n’est pas !) adossé au droit naturel, lequel doit être réévalué à l’aune de nos connaissances, scientifiques et humaines, actuelles.

Mais RévoluDroit s’adresse également à toute personne qui pourrait organiser des débats, physiques ou dématérialisés, afin de diffuser dans le public la réforme des institutions et de l’entreprise que j’ai élaborées et que je préconise hautement de mettre en œuvre. L’enjeu de cette mise en œuvre est, n’ayons pas peur de le dire, la survie de l’humanité.

Les auditeurs pourront trouver sur mon site internet, en première page, le schéma de la nécessaire réforme institutionnelle.

Quant à la, non moins nécessaire, réforme de l’entreprise, elle correspond à mon travail de thèse, vulgarisé dans mon livre « La nouvelle entreprise ». Il s’agit, in fine, de mettre en musique juridique le concept de « participation » qui, rappelons-le, trouve sa première manifestation dans la doctrine sociale de l’Église élaborée au XIXe siècle. Cette réforme est tout à fait fondamentale car elle seule permettra de rétablir l’équilibre entre les rapports de force, équilibre que l’imposture du « capitalisme » a volontairement rompu à la seule fin – et les français doivent enfin le comprendre – d’hégémonie politique des puissances financières.

Il n’y a que des perdants à ce jeu de dupe que les puissances financières dominantes appellent fallacieusement « capitalisme » et qui ne sert qu’à monter une partie de la population (ceux qui détiennent un peu d’argent) contre l’autre (ceux qui ne détiennent que leur force de travail). Finalement tout le monde appartient forcément, à un moment ou à un autre, à la catégorie des perdants du « capitalisme », y compris, et peut-être en premier lieu, les grands capitaines d’industrie qui se sont tous plus ou moins fait vampiriser par le jeu de la haute finance prédatrice.

Ce jeu, appelé « capitalisme » est un jeu de dupe pour plusieurs raisons :

  1. Il habille d’honorabilité des pratiques de pures prédations non seulement économiques mais aussi et surtout humaines avec le brevetage et la commercialisation du vivant ;
  2. Il fait passer pour « la liberté », ce qui n’est que la « liberté du commerce », qui se traduit par la simple loi du plus fort dans la savane capitalistique et financière ;
  3. Il est instable par nature: les règles du jeu sont toujours susceptibles de changer brutalement en fonction du seul intérêt, bien compris, des seules puissances financières dominantes. Les partisans des petites crypto-monnaies privées risquent, bientôt, de le découvrir à leur dépens. Car lorsque les dominants financiers décideront de mettre fin à ce qu’il faut considérer comme une expérimentation grandeur nature, toute l’armada juridique de répression de l’émission de fausse monnaie est prête à être mis en œuvre. A minima, ces cryptomonnaies ne pourront plus être converties en monnaies légales. Ce qui, d’ailleurs, peut s’avérer être à double tranchant pour le pouvoir actuel. Néanmoins, le pouvoir en place aura, fatalement, le dernier mot car il contrôle, politiquement et militairement, l’émission énergétique nécessaire au concept de cryptomonnaie.

En conclusion, j’insiste lourdement sur le fait que toutes les catégories – y compris les chefs d’entreprises (petites et moyennes) et les gens ayant fait des « économies » (plans d’épargnes, assurances-vie…) – ayant cru bénéficier de ce jeu fallacieusement appelé « capitalisme » se retrouveront immanquablement flouées à un moment où à un autre. Il est temps de le comprendre !

Il est surtout temps de changer de paradigme socio-politique, de passer de l’imposture à la réalité, de passer de la domination à la protection du vivant, de passer de l’excès de division à la réinitialisation de la vie en commun, c’est-à-dire de « retrouver le chemin de la civilisation ». Rejoignez RévoluDroit pour préparer la suite…




Le passeport sanitaire est-il un prélude à l’apartheid ?

Par Alain Tortosa

Celui-ci s’inscrit totalement dans l’optique de séparation des peuples et de la création de castes.

La quête de la sécurité, objet de notre asservissement

Depuis des dizaines d’années, la dictature nous est vendue au nom de la fameuse « sécurité ».

Dans les années 1970, il était possible de fumer dans des avions, dans des trains, dans des restaurants.

Le casque n’était pas obligatoire en moto ni même les ceintures de sécurité dans les autos. Il n’y avait pas de radars sur les routes… Il était possible de se baigner à ses risques et périls avec un drapeau rouge et la mer démontée… Et qui aurait eu l’idée de mettre un casque pour faire du ski ?

Toutes ces libertés, que vous avez le droit de considérer aujourd’hui comme « irresponsables » sont grignotées d’années en années pour notre « bien » et notre « sécurité ».

Rendez-vous compte qu’il y a sur la planète plus de caméras de surveillances que d’humains tout ça pour notre « sécurité » et demain ce sera la « 5G » !

Il n’existe plus d’imprévus, plus de hasards, plus de catastrophes ou de morts naturelles…

Dans cette société folle où l’accident a disparu, il n’y a plus que des « responsables ».

Ce monde est à ce point fou et délirant, qu’un ouragan dévastateur n’est plus une catastrophe naturelle, mais directement induite par l’activité humaine et le fameux réchauffement climatique, outil merveilleux au service de la dictature !

C’est donc au nom de cette « sécurité » que les hommes demandent de plus en plus leur asservissement.

Et nous arrive un virus conduisant à la généralisation de la paranoïa

Chance, opportunité ou travail en laboratoire, voici qu’un gentil virus nous est arrivé en 2020. Rendez-vous compte qu’il avait d’odieux, de tuer des humains, alors même que la mort naturelle est devenue quasi interdite dans nos sociétés modernes où tout événement doit être maîtrisé.

Alors, erreur de fabrication ou pas, ce gentil virus ne tuait quasi personne et, de plus, sa nature darwinienne, faisait qu’il agissait par sélection naturelle, faisant perdre quelques semaines ou quelques mois d’espérance de vie à des personnes proches du décès, aux défenses immunitaires défaillantes.

Qu’à cela ne tienne, les autorités de « santé », notre « ami » Bill, l’OMS, les politiques et les « gentils » médecins corrompus nous ont bien sûr lavé le cerveau tous les jours depuis un an, nous mentant et nous expliquant que le « fléau » n’épargnait personne, pas même les enfants !

Nous voyons sur nos écrans quasi tous les jours des chefs de service sans la moindre conscience oser nous dire qu’ils placent en réanimation des personnes jeunes et en bonne santé alors que ce n’est que pur mensonge statistique. Et pourquoi ? Pour avoir plus de budget ? Obtenir de nouveaux lits de réanimation, une promotion ?

Vaste question…

Ce virus n’était pas, de fait, suffisamment mortel et surtout trop sélectif pour faire paniquer la population mondiale.

Pour faire de nous des esclaves terrorisés, décérébrés et obéissants, il était vital de faire de tout humain un psychopathe qui s’ignore et une menace pour tous les autres.

Les autorités, dans leur plus grande ignominie, n’ont donc pas hésité à mettre en scène des petits-enfants responsables de la mort de leurs grands-parents.

Vous, moi, mon voisin et même des nouveau-nés sommes devenus des porteurs asymptomatiques qui s’ignorent, pouvant propager la mort. Le délit de bonne santé était généralisé !

Comment accepter une telle « incertitude », un tel « risque » pour nos vies dans un monde aseptisé où tout doit être sous contrôle et sécurisé ?

Pas au 21e siècle !

C’est ainsi que le port du masque a été imposé pour rendre réelle et visible une épidémie dont vous et moi ignorerions encore l’existence sans cette manipulation mondiale.

En 2019 l’évocation d’un port du masque obligatoire, en tout lieu et en toute circonstance pour la population générale, vous aurait fait sourire et vous vous seriez moqué de l’auteur d’une telle « blague ».

Aujourd’hui, vous voyez des jeunes de 15 ans qui le portent partout et tout le temps, qui ne cherchent même pas à tricher et qui trouvent « normal » le fait de porter cette muselière qui relève de la patte de lapin d’un point de vue épidémiologique.

La paranoïa a donc été installée …

Associée à l’escroquerie du « vaccin »

Et oui, quoi de plus approprié qu’un vaccin mondial pour sauver la planète !

Le génie du marketing et de la manipulation est tel que nous avons fait de ces substances expérimentales, non testées comme il se doit… Substances qui, de plus, pourraient favoriser les variants et des formes plus graves de maladie grâce aux anticorps facilitant ET, cerise sur le gâteau, qui n’empêche pas la contagion.. Et pourtant l’injection du produit a été transformée par la propagande en « un geste solidaire » !

Alors même que le risque de mourir de ce virus est statistiquement nul pour une personne en bonne santé (même âgée) et ceci d’autant plus qu’elle reçoit un traitement…
…Les autorités et les médecins corrompus n’hésitent pas à parler d’un rapport bénéfice vs risque favorable pour ces médicaments expérimentaux et une population non concernée par la maladie !

Et comme nous sommes dans une « démocratie qui respecte les droits de l’homme », si si, ne riez pas, la vaccination n’est pas « obligatoire » en France.

Elle n’est pas « obligatoire », mais en revanche le chantage au vaccin est devenu non seulement nécessaire, mais « moral » !

Nous avons d’un côté le « bon » français, celui qui se vaccine « pour les autres », même si le vaccin ne protège pas, ce qui est officiel, et d’un autre côté, le « mauvais français », « l’égoïste », le « jaune » qui ne pense qu’à lui et qui va encombrer les réanimations qui débordent déjà.

Rendez-vous compte que par son « irresponsabilité », ce fumier de « jaune » va prendre la place d’un « bon » français qui sera privé d’un lit de réanimation « mérité » comme il se doit… Certains « idéalistes » nostalgiques du régime de Vichy regretteront que nous ne puissions pas laisser les « jaunes » crever sur le bord du trottoir, et ce « pour l’exemple ».

J’en profite au passage pour vous rappeler l’escroquerie de la notion de « vaccin solidaire ».
En quoi le « bon » français vacciné risquerait de partir en réanimation et en quoi il pourrait être mis en danger par un non-vacciné, à moins d’avouer que son « vaccin » est inefficace et donc une vaste escroquerie ?!

Alors, ce fameux passeport vaccinal est-il un outil de justice ?

Nous sommes devenus comme les conducteurs d’une voiture avec son bonus / malus. Il devient de fait « normal » de « protéger » et récompenser le « bon » français en l’autorisant par exemple à aller au restaurant avec son gel, sa distanciation et son masque, ce que certains appellent « retrouver ses libertés », tandis que le « jaune », le « mauvais » français devrait être assigné à résidence ad vitam æternam pour ne pas exposer les « bons »…

Pour nous endormir, on nous parle désormais de « Passeport sanitaire », mais plus de « passeport vaccinal » ! À cela je répondrais simplement par « Mon cul ! »

D’aucuns se moquent de nous en nous laissant croire que ce sera un passeport sanitaire et non pas un passeport vaccinal comme l’a confirmé ces jours-ci le commissaire européen Thierry Breton en indiquant qu’il y aurait les vaccinés, les guéris et les PCR négatifs…

Un test PCR négatif de moins de trois jours, qui finira tôt ou tard par devenir un test PCR négatif de moins de 10 minutes, permettrait d’aller au resto.

Pour illustrer mon propos, je me permets un bref retour en arrière… Chaque fois qu’il y a un de ces fameux « clusters de positifs », on vous explique qu’il est le fruit de l’irrespect des mesures sanitaires, pour la simple raison qu’une fausse science ne peut pas se tromper.
« Le masque est efficace », on vous l’a assez dit, non ?
Donc s’il y a des clusters c’est qu’il est « mal utilisé »… ben voyons…

Donc demain, par axiome, il aura été décidé que :

« le vacciné protège la population » et ne peut PAS, de fait, être un vecteur de propagation.
Donc si d’aventure dans un lieu dans lequel sont présents vaccinés et non vaccinés, il y a un cluster celui-ci ne pourra QUE être causé par les non-vaccinés. CQFD.

Les reportages de « bons » Français vaccinés ou de « Von Barbier » ne manqueront pas de nous rappeler que « c’est à cause des « jaunes » qu’il y a eu un cluster », ou « à quoi bon se vacciner si c’est pour être mis en danger et contaminés par des « jaunes » !».

Donc à très court terme, après la mise en œuvre du passeport, les non-vaccinés ne seront plus admis dans des lieux recevant du public !

Il est impossible que la masse des vaccinées, avec l’aide de la propagande, accepte d’être en

présence et menacée par des non-vaccinés…

Quelques mois devraient donc se passer entre la dictature « douce » et la dictature « dure »

Le discours officiel finira par être :

« Je serais protégé dans un restaurant, mais alors… »
« Pourquoi accepter d’être mis en danger dans un bus ? »
« Pourquoi accepter d’être mis en danger au supermarché ? »
« Pourquoi accepter d’être mis en danger à l’école ? »
« Pourquoi accepter d’être mis en danger à son travail ? »
« Pourquoi accepter d’être mis en danger n’importe où ? »

Donc au nom de quelle logique le passeport vaccinal ne serait-il pas obligatoire PARTOUT ?

Si le passeport vaccinal est moral et acceptable au restaurant, il en sera de même partout !

De fait, quasi tout le monde acceptera de se faire vacciner pour pouvoir échapper à l’assignation à résidence et continuer à vivre !

Et je ne parle pas uniquement des moutons terrorisés, mais aussi d’une majorité de résistants…

Qui a protégé ses enfants du masque et les a retirés de l’école ? 0,2%, 0,5% de la population ?

Alors, ne pas prendre l’avion si on n’est pas vacciné, on s’en fout…
À la rigueur, le train ou le bus, on peut accepter et prendre la voiture.
Le supermarché interdit aux non-vaccinés est encore acceptable grâce aux drives…

Mais quand on va vous dire que vos enfants ne pourront plus aller à l’école s’ils ne sont pas vaccinés contre le Covid, vous direz quoi ?
Combien de parents ont refusé les 11 vaccins obligatoires en France ?

Et vous, allez-vous alors vacciner vos enfants et ne pas vous vacciner ?
Combien d’entre vous qui avez un crédit, qui avez besoin de nourrir vos enfants, allez avoir le courage ou la possibilité de vous faire licencier pour sauver la démocratie, votre santé ou celle de vos enfants ?

C’est facile d’être un héros sur papier, mais un peu moins avec un pistolet sur la tempe !

Aujourd’hui, des soignants se font vacciner à la pelle en France par peur du licenciement ou d’être mis dans un placard même si le vaccin n’est pas encore obligatoire, alors imaginez s’il l’était !

Fiction ? Délire complotiste ? Il n’y a qu’à voir ce qu’il se passe dans la « démocratie israélienne » ou un employeur pourrait licencier un employé non vacciné !

Bref si le passeport vaccinal est mis en œuvre pour les restaurants il le sera tôt ou tard pour TOUTES les activités humaines…

Et au même titre que nous trouvons totalement logique et évident de mettre une ceinture de sécurité au volant, nous trouverons totalement logique et évident de disposer d’un passeport sanitaire pour tout déplacement toujours au nom de la fameuse « sécurité ». Et il en sera de même lorsqu’une puce RFID ou un dispositif similaire nous sera implanté dans le bras afin de connaître tous nos déplacements…

C’est quoi la suite ? Assignation à résidence, camps d’internement ou apartheid ?

C’est le nombre qui décidera… si le nombre de personnes non vaccinées est relativement faible alors l’État pourra se contenter d’assigner à résidence les « jaunes » que nous serons.

En revanche, si nous sommes nombreux, et si, hélas, nous n’avons pas réussi à déjouer l es plans immondes de l’Ausweis sanitaire, alors l’État n’aura pas de choix de créer l’apartheid.

Sans compter que l’apartheid peut être une merveilleuse opportunité de croissance et de nouveaux marchés pour le libéralisme.

Pour le coup, aussi bien les « bons » Français qui ne voudront pas fréquenter les « jaunes », que nous, les « jaunes » qui voudront pouvoir vivre « librement », serions satisfaits..

Avez-vous envie de fréquenter des restaurants avec passeport vaccinal, masque et gel à volonté ? Pas moi.

Si nous avions droit à nos restaurants libres, nos cinémas libres, nos écoles libres, nos bus libres, nos supermarchés libres, nos centres de soin libres, moi je signe immédiatement… dès lors que la dictature sanitaire sera encore présente.

merci.

Alain Tortosa.

16 mars 2021.

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210316-passeport-vaccinal.pdf




Lucien Cerise — Apartheid sanitaire et stratégie du langage pour manipuler la population

[Source : France Liberté via Les 7 du quebec]

Au Canada comme en France, aux États-Unis et en Europe on constate une recrudescence des maladies mentales parmi la population tétanisée, causée par les mesures de répression sociale : confinement, isolement, couvre-feu, apartheid sanitaire,  terrorisme pandémique et propagande alarmiste des gouvernements désemparés. Lucien Cerise explique le lien de causalité entre cette  propagande gouvernementale alarmiste et la recrudescence des pathologies mentales. (Robert Bibeau)

https://youtu.be/-gYfbzZ9Jgo

Lucien Cerise a une formation en sciences humaines et sociales, avec une spécialisation dans le langage et l’épistémologie. Il est aussi spécialiste des sciences comportementales et de l’ingénierie sociale. Il a écrit plusieurs ouvrages dont:
« Gouverner par le chaos », Max Milo
« Neuro-pirates » Kontre Kulture

  1. L’Apartheid sanitaire
    Quelles sont aujourd’hui les principales menaces sur l’intégrité humaine (au niveau physique, mental et psychique) et particulièrement dans le contexte du terrorisme viral?
  2. La linguistique et sémantique du pouvoir gouvernemental et présidentiel pour manipuler et hypnotiser l’opinion
    Dans l’histoire de la philosophie, remontant à la Grêce antique, il y a une guerre silencieuse mais mortelle entre Réalistes et Nominalistes vous pouvez nous expliquer de quoi il s’agit?



Dr Mark Trozzi, le seul médecin honnête et courageux en Ontario qui respecte le serment d’Hippocrate : « Nous sommes manipulés ! »

[Source : Guy Boulianne]

Je m’appelle Mark Trozzi. Je suis médecin. J’ai obtenu mon diplôme en 1990 de l’Université de Western Ontario. Je pratique la médecine d’urgence depuis vingt-cinq ans et j’ai été de garde dans plusieurs unités d’urgence depuis le début de la soi-disant « pandémie », y compris une salle d’urgence spécialement désignée pour le COVID-19. Je suis professeur avancé de traumatologie de la vie au College of Surgeons of America, et j’occupe des postes d’enseignant à Sunnybrook Health Sciences dans le Advanced Life Support Department, ainsi qu’à l’Université Queen’s et à l’Université d’Ottawa.

Ce qui suit sont mes observations et opinions. Je suis tenu par mes convictions personnelles et religieuses de parler ouvertement et honnêtement. Je n’ai pas le pouvoir de vous dire « la vérité », mais je partagerai mes expériences honnêtes, mes perceptions et mes résumés de centaines d’heures de recherche sur le sujet du covid-19.

Au début de cette « pandémie », j’étais prudent et donc méticuleux avec l’utilisation du masque N95, le lavage des mains, l’isolement social et la distanciation, etc. J’ai étudié la science des coronavirus et j’ai été profondément impliqué dans de nombreux exercices des urgences pour modifier notre pratique de manière profonde pour faire face au « virus tueur » qui nous a été annoncé. Cependant, diverses choses m’ont vite fait considérer que nous étions trompés et manipulés. Voici quelques-unes :

La première vague

La « première vague » de la « pandémie » a été absolument la période la plus calme de ma carrière. J’ai travaillé très dur et été très occupé au cours des vingt-cinq dernières années aux urgences. Cependant, tant dans mon service d’urgence régulier que dans mon service d’urgence « désigné COVID-19 », il n’y avait presque pas de patients et presque pas de travail. J’ai eu plusieurs longs quarts de travail à l’urgence sans un seul patient. Pendant ce temps, quand j’allais à l’épicerie locale, le public de propagande, que Dieu les bénisse, me conduisait à l’avant de la ligne de distance antisociale, me remerciant pour tout ce que je traversais en tant que médecin d’urgence de première ligne. Ils croyaient que les urgences et les hôpitaux étaient pleins de patients mourant de covid, et que je devais être épuisé et risquer de mourir moi-même à cause de l’exposition. J’ai commencé à contacter des médecins et des amis partout au Canada et aux États-Unis, et j’ai trouvé le même schéma : des hôpitaux vides,

Enquête précoce

Au début de mes études, j’ai étudié le zinc et l’hydroxychloroquine, qui, sur la base d’une bonne physiologie, peuvent véritablement aider les rares personnes très atteintes de ce virus du rhume. J’ai été surpris que ce traitement ait été simplement écarté et rejeté par la plupart de la communauté médicale.

Préoccupations précoces

Dr. Mark Trozzi

En recherchant l’Organisation mondiale de la santé, de l’ONU, j’ai appris que la dictature chinoise (RPC) avait soutenu un ******* communiste « Dr » Tedros, à la tête de l’OMS, et j’ai appris comment la RPC avait été impliquée dans la libération du virus, la couverture pendant des semaines, la disparition et la suppression des médecins et scientifiques chinois honnêtes, la propagation du virus dans le monde (épargnant Pékin où vit l’élite de la RPC), et les abus dramatiques du peuple chinois dans son verrouillage au bon moment, qui a été filmé et transmis au monde pour créer la panique qui nous a tous poussés à abandonner nos économies et nos droits civils.

Les renards gardent le poulailler

J’ai appris comment l’administrateur en chef de la santé publique du Canada, le Dr Tam, siège au comité de surveillance de l’OMS avec le Dr Tedros, ce qui en fait essentiellement un agent ******; et je l’écoutais souvent – ******* dissertations aux Canadiens concernant le covid-19.

Ma perception de la situation

Je perçois qu’à tous les niveaux, l’administration hospitalière n’a apparemment eu d’autre choix que de se soumettre au déploiement descendant sans fin de la part des gouvernements, de nouvelles règles, protocoles et procédures discutables. Mes conversations honnêtes avec mes collègues au sujet de mes recherches et observations sont devenues un problème. Pris dans ce dilemme, un administrateur important que je respecte énormément, m’a dit que « mes pensées mettaient les autres mal à l’aise et rendaient difficile de garder tout le monde motivé et conforme » à tous les nouveaux protocoles et restrictions. Sympathique à la triste situation, j’ai maintenu ma position clinique en promettant de « me mordre la langue chaque fois que je pensais que j’allais parler du COVID-19 » à l’hôpital. C’était finalement impossible pour moi d’un point de vue éthique, et je me suis récemment retiré des urgences pour éviter les conflits.

Ai-je déjà vu un patient Covid-19 ?

Je n’ai jamais vu un patient atteint du COVID-19. J’ai vu des tests PCR positifs chez des personnes asymptomatiques, et j’ai vu des gens être emprisonnés chez eux et isolés de leur famille et de leurs amis. Mes recherches sur le test PCR m’ont convaincu personnellement qu’il est trompeur, manipulable et utilisé pour drainer l’argent et la dette future des contribuables sans fin, afin d’enrichir considérablement les criminels mêmes qui dirigent ce scandale. Ma province à elle seule a effectué environ 50 000 tests PCR par jour. Pendant ce temps, notre gouvernement fédéral apporte des centaines de milliers de doses d’injections expérimentales potentiellement dangereuses de matériel génétique viral modifié, les qualifiant de « vaccins » et les faisant gérer par l’armée. Est-ce raisonnable pour une maladie virale principalement bénigne et non mortelle ?

La suppression de l’information ?

J’ai observé la suppression des médecins et des scientifiques qui ont effectué des études sur les anticorps sériques, dont les résultats ont montré que le virus était beaucoup plus répandu, mais généralement non mortel, et asymptomatique ou très léger dans la plupart des cas, et que dans de nombreuses régions, nous avions probablement déjà atteint l’immunité naturelle du troupeau d’ici l’été 2020.

Regardez cette étude réalisée à Wuhan même, qui montre que le virus y a été fait avant le 1er juin 2020, deux mois seulement après la fin de leur bref verrouillage, et que personne ne le propageait, pas même les très rares personnes avec un test PCR « positif. » (Et ils n’étaient pas malades).

La Chine

J’ai remarqué qu’après le verrouillage théâtral de la Chine, ils sont rapidement retournés aux affaires comme d’habitude, alors que toutes nos économies étaient gelées, ils ont acquis un contrôle énorme sur le marché mondial. Cela semble une stratégie formidable mais maléfique !

Manipulation politique des travailleurs de la santé

J’ai l’impression que beaucoup de choses que nous avons apprises à la faculté de médecine sur les maladies infectieuses ont été écartées et remplacées par des listes en constante expansion de mandats souvent ******* par des responsables de la santé publique. Les médecins, les infirmières et les enseignants sont particulièrement importants pour le succès de cette tromperie COVID-19, car nous sommes des leaders dans la société et les gens font confiance à nos conseils. Il n’est donc pas surprenant que je trouve que la liberté d’expression et de pensée a été très supprimée dans nos rangs. Plutôt que d’endurer les punitions de la dissidence, nous pouvons choisir de faire l’expérience des avantages à courte vue comme des jours extrêmement calmes aux urgences, en remplaçant notre travail pratique traditionnel par des sessions Zoom à domicile, et accéder à une variété de nouveaux codes COVID-19 *******. À un moment donné, il existait une option pour gagner plus d’argent que ce que je gagne normalement en travaillant dans une salle d’urgence occupée,

De nombreux facteurs de motivation positifs et négatifs sont utilisés pour manipuler les médecins, les infirmières et les enseignants canadiens, afin de participer par inadvertance à cette grande tromperie covid, mais cela détruit notre société. Pour reprendre une métaphore du Titanic : « même les suites de luxe du Titanic se retrouvent au fond de l’océan quand il coule ». En outre, une grande partie de ce qui est fait, y compris les injections génétiques virales expérimentales, semble violer le code de Nuremberg concernant l’expérimentation médicale avec le plein consentement éclairé des participants. Les médecins et les infirmières doivent prendre des décisions difficiles. Ma carrière d’urgentologue m’a toujours donné l’occasion de pratiquer mes convictions religieuses et éthiques d’honnêteté et de gentillesse, tout en gagnant bien ma vie. Maintenant, maintenir la carrière que j’aime exigerait de participer à la tromperie,

Je sympathise avec tous mes collègues médecins et infirmières. Nous sommes tous victimes de l’abus de covid.

Enquête plus approfondie

J’ai recherché et perçu comment les oligarques corrompus semblent avoir planifié ce crime contre l’humanité. Cette planification comprenait l’événement 201 qui était une simulation d’une pandémie corona menée par la Fondation Bill & Melinda Gates, le Forum économique mondial et l’Université Johns Hopkins en octobre 2019, et la planification de simulation d’épidémie virale 2010 de la Fondation Rockefeller appelée « Opération Lockstep ». Ces deux projets décrivaient comment une épidémie virale serait utilisée pour instaurer un système autoritaire avec la perte de nos droits de l’homme et de nos libertés. J’ai également observé comment leurs cohortes dans les grandes technologies comme Google, Facebook, Twitter et YouTube ont travaillé pour nous censurer et nous tromper tous; c’est une véritable propagande.

Concernant l’utilisation des masques faciaux :

Le port forcé de masques par la plupart de la population mondiale n’est pas unanimement soutenu par la vraie science. Ces masques nuisent considérablement à notre santé psychologique, sociale, dermatologique, dentaire et oto-rhino-laryngotique. Bien que je sois généralement en bonne santé, les masques m’ont donné des éruptions cutanées et des symptômes nasaux chaque fois que je devais les porter pendant des périodes prolongées, qui disparaissent chaque fois que je ne les porte pas pendant quelques jours. Ce que je trouve le plus dérangeant, c’est l’élimination des expressions faciales, et donc une interaction sociale visuelle normale.

Concernant les vaccinations Covid-19 :

L’histoire des tentatives passées de vaccins contre les coronavirus, a révélé des effets secondaires très dangereux sur des modèles animaux, et les efforts ont été abandonnés. Pourquoi prendrions-nous un vaccin dangereux pour une maladie généralement bénigne, contre laquelle nous développons de toute façon une immunité collective ? Le déploiement actuel de « vaccins » expérimentaux coûteux et accélérés enterre les contribuables dans une dette sans fin envers les riches et puissants méchants de cette histoire. Pourtant, nous, les gens qui ont été emprisonnés et maltraités dans ce scandale, sommes manipulés pour prendre de nouvelles injections étranges, dans l’espoir de retrouver une partie de notre liberté. De plus, les soi-disant « vaccins » ne sont pas des vaccins (sauf si nous changeons la définition des vaccins). Ce sont plutôt des injections de gènes du virus Corona. Voir la section « Ce n’est pas un vaccin ».

Décisions difficiles

Récemment, j’ai pris des décisions personnelles difficiles : abandonner un revenu et une sécurité personnelle, pour choisir une voie éthique et honnête, qui peut contribuer à un résultat vrai et juste, et au retour de notre société libre et des libertés civiles. Je crois que nous en sommes presque tous victimes, peu importe où nous en sommes sur la voie de la récupération de la vérité.https://archive.org/embed/experimental-m-rna-gene-therapy-covid-19


Thérapie génique expérimentale d’ARNm Covid-19

Voici la définition de : « vaccin ».

« Une préparation d’un agent pathogène affaibli ou tué, tel qu’une bactérie ou un virus, ou d’une partie de la structure de l’agent pathogène qui, lors de son administration à un individu, stimule la production d’anticorps ou l’immunité cellulaire contre l’agent pathogène mais est incapable de provoquer une infection grave. » — Le dictionnaire American Heritage® de la langue anglaise, 5e édition

Pour plus de définitions du « vaccin », visitez : medical-dictionary.thefreedictionary.com/vaccine.

Vaccin-ARN

Ainsi, un vaccin signifie une injection ou une dose avalée d’une bactérie, d’un virus ou d’un autre organisme infectieux affaibli, mort ou fragmenté, contre laquelle vous essayez de vous immuniser. Bien que l’injection soit morte ou trop faible pour provoquer une maladie grave, elle présente au système immunitaire certaines des marques de surface du parasite, également appelées « antigènes ». Cela permet à votre corps de préparer des anticorps et des défenses cellulaires contre le parasite, donc si à l’avenir, vous le rencontrez, votre système immunitaire le tuera rapidement sans que vous ne tombiez malade. C’est une grande science vieille de 150 ans attribuée à son fondateur Louis Pasteur.

Maintenant : veuillez vous référer à la page 11 sur l’un ou l’autre des briefings EAU « vaccin » covid (Moderna ; Pfizer) pour trouver dans la section 4.1 Composition du vaccin : « Le vaccin contient un ARN messager nucléosidique modifié (modRNA) codant pour la glycoprotéine de pointe virale (S ) du SRAS-CoV-2. » ou « Le vaccin contient un acide ribonucléique messager synthétique (ARNm) codant pour la glycoprotéine de pointe stabilisée avant fusion (S) du virus SARS-CoV-2. »

Par conséquent, ces nouvelles injections sont du matériel génétique covid-19. Ils sont une partie modifiée du code génétique du virus covid-19, annoncé pour entrer dans vos cellules, interagir avec et utiliser vos ribosomes qui ne produisent normalement que les parties complexes ou « protéines » de votre propre cellule en fonction de votre code génétique et de votre ARN messager. Naturellement, à l’intérieur de vos cellules, vos ARN messagers amènent vos nombreuses conceptions de protéines naturelles à partir de leur copie papier dans votre ADN, aux ribosomes de vos cellules en dehors du noyau. Par conséquent, votre ARN messager transporte normalement des éléments de votre code génétique de votre ADN qui se trouve dans les noyaux de vos cellules, à vos ribosomes, qui lisent les codes et produisent votre machinerie cellulaire appelée « protéines ».

Cependant, lorsque les ribosomes sont engagés par l’injection d’ARN messager viral, vos cellules commencent à produire une partie du virus : la « glycoprotéine de pointe du SRAS-CoV-2 ». C’est donc là qu’elle commence à avoir une relation avec les vaccins, mais c’est très différent. Ici, vos propres cellules contiennent des gènes viraux, qui les dirigent pour dépenser des nutriments et de l’énergie pour produire et pomper des copies d’une partie du virus covid-19 dans votre circulation. L’argument de vente optimiste ici est que vous vous retrouvez avec certaines parties du virus covid-19 flottant dans votre corps pour, espérons-le, stimuler une réponse immunitaire saine.

D’autre part, cette injection de gène viral hautement expérimentale comporte des risques inconnus et de graves préoccupations, y compris celles expliquées ici par le Professeur Dolores Cahill.




L’obligation vaccinale pour les soignants est-elle justifiée ?

Par Dr Gérard Delépine

Depuis maintenant près de 3 semaines, le gouvernement et les médias s’agitent pour promouvoir une obligation vaccinale chez les soignants alors qu’il n’existe aucune preuve que le vaccin est capable d’empêcher les transmissions de la maladie, ni que les médecins contaminent leurs malades, ni que les vaccins sont sans risque et enfin que l’obligation d’un traitement expérimental est contraire à la déclaration d’Helsinki.

Il montre ainsi une fois de plus son autoritarisme et l’absence de logique médicale de sa stratégie basée sur la peur.

Mais reportons-nous aux faits démontrés, et en particulier les données publiées par l’OMS.

Les vaccins paraissent incapables d’éviter les transmissions

Les maigres données fournies par les laboratoires sur les résultats phase 3 ne démontrent pas que les vaccins soient capables de diminuer les contagions. Et leurs résultats finaux ne seront pas connus au plus tôt, avant 2023.

L’évolution de l’épidémie dans les 3 pays champions de la vaccination constitue donc les seules données objectives actuellement disponibles pour l’analyse. Pour l’instant, elles montrent que les vaccins n’empêchent pas la contagion et même peut-être les augmentent transitoirement.

Les Émirats Arabes Unis représentent le champion arabe de la vaccination commencée le 23 décembre 2020 avec plus de 40 % de sa population vaccinée depuis cette date. D’après les courbes OMS du 11 mars 2021, a été suivie d’une augmentation considérable (+200 %) des contaminations journalières, leur nombre passant de 1226 cas le 23/12 à 6688 le 18/2 avant de se stabiliser au double d’avant la vaccination.

Après neuf mois d’épidémie, les EAU comptaient 1955

Israël représente actuellement le champion de la vaccination Pfizer en nombre de citoyens vaccinés. La vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

L’augmentation des contaminations n’a été amoindrie que depuis le reflux global de l’épidémie dans tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas. Et dans l’immédiat de mars, l’incertitude plane en Israël(([1] i24NEWS 28 février 2021,)) : « le coefficient de reproduction en hausse, l’épidémie en passe de se propager ». De plus le vaccin ne paraît pas non plus protéger les vaccinés longtemps des contaminations puisque B. Netanyahou a déclaré le 1/3(([2] I 24)) : « Il est important de dire que le vaccin est efficace pendant une période limitée. Nous nous préparons au scénario pessimiste, selon lequel il faudra renouveler les vaccins tous les six mois ».

La Grande-Bretagne est le second champion de la vaccination. Au 1er mars 2021, un total de 21 322 717 doses de vaccin avait été administré. Commencée le 4 décembre, la vaccination a été suivie pendant 6 semaines d’une augmentation considérable (+300 %) des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 1 674 138 contaminations. 3 mois après le démarrage de la campagne de vaccination, le 11 mars 2021, ce chiffre est passé à 4 229 002 cas confirmés (+165 %).(([3] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3235868/fr/strategie-de-vaccination-contre-la-covid-19-place-du-covid-19-vaccine-astrazeneca))

Ce n’est qu’après le déclin mondial de l’épidémie que le nombre quotidien des contaminations a baissé en Grande-Bretagne.

Cette évolution immédiatement défavorable du nombre des contaminations après vaccination dans les 3 pays champions de la vaccination suggère que le vaccin est incapable de prévenir la transmission de la maladie.

D’ailleurs cette incertitude sur la capacité de prévenir la transmission par le vaccin Astra Zeneca est reconnue par la haute autorité de santé. « Au vu des données limitées à ce jour sur l’impact de la vaccination avec le vaccin d’Astra Zeneca sur le risque de transmission du SARS-CoV-2, la HAS insiste sur la nécessité de maintenir l’ensemble des gestes barrières et des mesures de distanciation sociale ».

Alors, pourquoi vouloir imposer ce vaccin, soi-disant pour protéger les autres ?

Les médecins et les infirmières ne contaminent pas les malades

La recherche sur PubMed des articles répondant aux mots clefs « Nosocomial Covid » le 12/3/2021 permet de lister 613 publications.

Si elles insistent sur le risque de contamination que courent les soignants et les patients hospitalisés au contact des malades du Covid19, aucun article ne rapporte la contamination d’un patient par un médecin ou une infirmière en France. Il faut certainement y voir là l’effet de la conscience professionnelle de ces soignants qui arrêtent de travailler au moindre soupçon de Covid débutant. Il faut aussi souligner l’importance des garanties de maintien de salaire des personnels au contact des personnes fragiles en cas d’arrêt maladie.

Dans les Ehpad suédois, le personnel souvent peu qualifié et mal payé ne l’était plus s’il arrêtait de travailler. Pour cette raison, beaucoup de ces personnes peu qualifiées préféraient travailler même quand elles se savaient malades, entraînant des foyers mortifères de contamination. La sécurité a un coût ; ne pas maintenir le salaire complet de ces personnels en cas de maladie peut aboutir à des catastrophes sanitaires.

La retenue de salaire du jour de carence aux soignants malades après la vaccination dans certains hôpitaux et la perte de la prime d’assiduité participent peut-être aussi à la réticence des soignants français à se faire vacciner.

Le personnel soignant français n’est pas un facteur d’infection nosocomiale, mais la surcharge et la promiscuité dans certains hôpitaux pourrait l’être. Rouvrir des lits où ils manquent cruellement chaque hiver constitue une nécessité sanitaire malheureusement ignorée par nos dirigeants. Et parlons de l’ensemble des lits de médecine interne, d’infectiologie, etc. et sortons de la polémique sur les lits de réanimation qui n’auraient pas diminué !

Néanmoins cent mille lits au moins ont disparu en vingt ans et le service de réanimation ne travaille pas sur une île déserte, les patients ne trouvant pas de lits en médecine atterrissent parfois en réa pour bénéficier d’un personnel soignant suffisant et la sortie de réa nécessite aussi des lits de médecine interne pour récupérer les patients améliorés, mais pas encore sortants.

Les discussions sur les TV des lits de réa qui n’ont pas diminué sont hors sol de la réalité quotidienne de l’hôpital et de son fonctionnement. Le personnel soignant a diminué drastiquement au bénéfice des administratifs (oui le budget est stable relativement au PIB, mais l’important est de savoir à quoi on attribue l’argent). Les lits permettant l’accueil précoce et à proximité des malades et les hôpitaux locaux ont disparu, fermés au bénéfice des grandes machines bureaucratiques à essais que sont les centres hospitaliers universitaires concentrés dans les grandes villes.

Oui le nombre de lits de réa est stable en chiffre absolu (si on compte tous ses versants : unité de soins continue, de soins intensifs et enfin de réanimation qui permet de jouer sur les tarifications à l’activité afin que les lits lucratifs soient à peu près toujours pleins (donc « saturés »)… mais a diminué de plus de 10 % si on le ramène à la population ce qui explique que les réa soient constamment saturées chaque hiver depuis 10 ans. La manipulation quotidienne utilisant ce nombre de lits de « réa » est une imposture. Le mal hospitalier est réel, plus profond et plus complexe que ces explications quotidiennes de médecins loin du malade et pire d’éditorialistes loin de la réalité.

Les vaccins actuels sont expérimentaux

Un traitement est expérimental tant que les essais phase trois n’ont pas été terminés, analysés, publiés et validés par les agences sanitaires. Et que des médecins indépendants des firmes pharmaceutiques aient pu vérifier la pertinence et la cohérence des données fournies. Actuellement aucun des vaccins anticovid19 mis sur le marché ne satisfait à ces exigences de sécurité. Ils sont donc tous expérimentaux.

Le plus avancé, celui de Pfizer, aura son essai phase 3(([4] Les candidats vaccins qui semblent suffisamment efficaces après les essais animaliers et les essais humains phase1 et2 poursuivent leur développement en phase III. A ce stade, le nouveau vaccin est comparé à l’absence de vaccin. Les personnes reçoivent, de façon aléatoire, soit un placebo supposé inerte, soit le vaccin en cours d’évaluation afin de mesurer son efficacité et sa toxicité.)) terminé dans deux ans, en 2023, d’après le site gouvernemental américain qui enregistre tous les essais sur l’homme (clinical trials.gov à https://clinicaltrials.gov/ct2/home).

Ces vaccins expérimentaux ont d’ailleurs été mis sur le marché avec une autorisation temporaire dite conditionnelle qui ne deviendra définitive qu’après l’examen par les agences des résultats définitifs des résultats des essais phase 3.

Il faut espérer que d’ici là les vaccinations par ces médicaments expérimentaux n’auront pas causé trop de victimes.

Les vaccins actuels ne sont pas sans risques

Les vaccins trop rapidement mis sur le marché ont été suivis de complications dont certaines non décrites dans les rapports préliminaires remis aux agences telles que des syndromes grippaux sévères (obligeant 25 % à 40 % des soignants vaccinés à s’arrêter de travailler), des désordres hématologiques et aussi des morts par accidents cardiaques, thromboses, accidents vasculaires… Comme d’habitude les promoteurs des vaccins nient tout lien de causalité. Il est vrai que démontrer un lien de causalité n’est jamais facile et que dans une affaire récente(([5] En juin 2017, la justice européenne a estimé que la responsabilité d’un vaccin dans le développement d’un effet secondaire grave pourrait être reconnue même en l’absence de certitude scientifique.)) la Cour européenne de justice a pour cette raison jugé qu’un faisceau d’indices graves et concordants suffit à déterminer la responsabilité du vaccin.

Le vaccin Astra Zeneca que l’on veut imposer aux soignants a été refusé par la Suisse et vient d’être suspendu par les agences sanitaires de 9 pays européens et l’Afrique du Sud montrant bien que son efficacité et son innocuité sont douteuses.

L’utilisation d’un médicament expérimental constitue une expérience médicale, même si elle est autorisée par les agences du médicament

La différence avec les essais officiels c’est que la vaccination à grande échelle qui se déroule actuellement n’offre pas les précautions normalement prises en cas d’essai validé par les comités de protection des personnes. Les vaccinés ne sont pas enregistrés comme faisant partie d’un essai et ne bénéficient pas d’une surveillance médicale renforcée comme cela est obligatoire dans les essais cliniques déclarés. Leurs complications ne sont donc pas recensées de manière systématique et les résultats de cette vaccination ne sont pas évalués ni publiés contrairement aux essais traditionnels.

Il est certes admis par la convention d’Helsinki(([6] L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains, y compris la recherche sur du matériel biologique humain et sur des données identifiables. La Déclaration est conçue comme un tout indissociable. Chaque paragraphe doit être appliqué en tenant compte de tous les autres paragraphes pertinents. Conformément au mandat de l’AMM, cette Déclaration s’adresse en priorité aux médecins.)) (([7] https://www.espace-ethique.org/ressources/charte-declaration-position/declaration-dhelsinki)) que, faute d’interventions avérées, le médecin puisse recourir à une intervention non avérée si, selon son appréciation professionnelle, elle offre une chance de sauver la vie, ou préserver la santé du patient. Mais dans tous les cas, le consentement éclairé du patient est indispensable et les nouvelles informations doivent être enregistrées et, le cas échéant, rendues publiques.

Or ce n’est pas le cas, car les informations concernant les vaccins sont sévèrement censurées dans de nombreux pays dont la France(([8] Il y a 3 jours une de mes vidéos a été supprimée de YouTube alors qu’elle ne faisait état que d’informations vérifiées et accessibles ; et mon épouse fait l’objet d’une plainte par le conseil de l’ordre parce qu’elle ne répétait pas la propagande de l’état.)) (([9] France soir a vu son compte Twitter supprimé et une ministre demander de l’exclure des organes de presse)), empêchant tout débat démocratique. Leurs complications ne sont découvertes que si les médias indépendants les révèlent. C’est uniquement par les journaux que l’on a appris la mort, après vaccination de nombreux pensionnaires d’Ehpad en France et à l’étranger et l’hospitalisation du Premier ministre australien Greg Hunt, admis à l’hôpital seulement un jour après avoir reçu une dose du vaccin Oxford/Astra Zeneca Covid(([10] selon plusieurs sources dont le New Daily et le Daily Expose deux sites en ligne. Et la censure quotidienne des médias par YouTube, Facebook ou Twitter devient le jeu à la mode. Mettre rapidement les vidéos susceptibles d’être censurées sur odyssee.com ou planete360 pour pouvoir les retrouver quand les puissants du jour les supprimeront. Puissants du jour, morts demain, ils signent leur faire-part de disparition dont seule la date nous est inconnue. Twitter qui permet la suppression de comptes informatifs se voit supplanté par Telegramm et FB par Signal et bien d’autres. La vérité a toujours raison même si elle prend l’escalier au lieu de l’ascenseur. Le totalitarisme perd toujours, le problème est le nombre de victimes évitables.

Obliger sans consentement libre à être traité par un vaccin expérimental reprend l’attitude de certains médecins nazis

Xavier Bioy, professeur d’université à Toulouse-1 s’insurge à l’AFP de cette comparaison. « C’est très fort : on compare des scientifiques avec des médecins nazis qui mettaient de l’acide dans les plaies des pauvres détenus qui se faisaient torturer dans les camps ».

Il a manifestement oublié que les médecins nazis ont pratiqué de très nombreux essais de vaccins sur les déportés : vaccination contre le paludisme (février 1942 à avril 1945 à Dachau : 1100 cobayes humains et nombre inconnu de victimes). Vaccination contre le typhus par Eugen Haagen au Camp de Natzwiller. Vaccinations contre le typhus exanthématique, le paludisme, la fièvre jaune (485 cobayes humains), la gangrène gazeuse (15 victimes), la dysenterie, l’hépatite, la tuberculose, menées par Erwin Ding-Schuler et Waldemar Hoven au camp de Buchenwald. Comment un universitaire spécialiste de l’éthique peut-il avoir oublié ces faits historiques qui ont précisément conduit à l’élaboration du code de Nuremberg ?

En 1947, les médecins nazis plaidaient pour leur défense « dans un État totalitaire en temps de guerre, il n’y a pas de responsabilité personnelle ; c’est la nécessité d’État qui se substitue à la volonté individuelle, et il n’y a pas de consentement qui vaille : ni des médecins expérimentateurs ni des sujets ; dans ces circonstances, l’intérêt de la science au service de la défense de la Nation prime sur celui de l’individu. » Mais L’absence de consentement éclairé des vaccinés a valu à ces scientifiques nazis la condamnation à mort.

Depuis mars 2020 nous sommes paraît-il, en état de guerre, dans un état de plus en plus totalitaire et cette défense de médecin injectant un vaccin expérimental sans consentement éclairé n’est pas plus recevable aujourd’hui qu’hier.

Comment peut-on envisager de rendre obligatoire un vaccin expérimental, inutile pour le vacciné, dont on n’a pas démontré qu’il pouvait protéger les autres alors qu’il entraîne des complications qui ont justifié son retrait dans 9 pays européens et dans de nombreux pays lointains ?

Vacciner les volontaires après une information loyale, oui. Obliger les autres quels qu’ils soient est criminel !

Enfin, il convient de signaler la position claire du conseil de l’Europe

TOUTE OBLIGATION DE VACCINATION anticovid EST DÉSORMAIS ILLÉGALE *

PAR DÉFAUT LE CONSEIL DE L’EUROPE (à ne pas confondre avec l’UE) auquel appartiennent TOUS les États européens, à l’exception du Belarus, du Kosovo et du Vatican qui est le parrain de la Cour européenne des DROITS DE L’HOMME a décidé́ le 27.01.2021 dans sa résolution 2361/2021, entre autres, que personne ne peut être vacciné contre sa volonté́, sous la pression.

Les 47 États membres sont invités à̀ signaler avant la vaccination que la vaccination n’est pas obligatoire et que les personnes non vaccinées ne doivent pas subir de discrimination.

La discrimination est également expressément interdite en cas de risques sanitaires existants ou si une personne ne souhaite pas être vaccinée.

Les fabricants de vaccins sont tenus de publier toutes les informations sur la sécurité́ des vaccins. Avec cette résolution, la plus importante organisation de défense des droits de l’homme en Europe a désormais établi des normes et des obligations, ainsi que créé des lignes directrices en vertu du droit international, qui doivent être appliquées par les 47 États membres, y compris l’UE en tant qu’organisation.

Les discriminations, par exemple sur le lieu de travail ou les interdictions de voyager pour les personnes non vaccinées, sont donc légalement exclues.

Dans toute procédure judiciaire, contre toute autorité́, tout employeur, tout fournisseur de voyages, tout responsable de maison, etc.


*Perma | pace.coe.int [Cependant, cette résolution n’est pas contraignante]




La fraude des anticorps

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Par Rosemary Frei

Depuis des mois, le monde se concentre sur les tests PCR du nouveau coronavirus, le traçage des contacts et la vaccination.

Entre-temps, une autre partie importante du complexe biomédical Covid a reçu beaucoup moins d’attention : l’utilisation d’anticorps pour détecter, diagnostiquer et traiter l’infection par le nouveau coronavirus.

Des centaines de tests d’anticorps ont été approuvés à ces fins depuis janvier 2020. Et des centaines d’autres sont sur le point de commencer à être commercialisés sous peu.

Cela fait partie de la ruée vers l’or du secteur biomédical : dès l’été dernier, les anticorps étaient en passe de devenir le produit médical le plus lucratif, avec un revenu mondial qui devrait atteindre près d’un demi-billion de dollars d’ici 2024. Il n’est pas rare que les marges bénéficiaires soient de l’ordre de 67 %.

Des géants de l’industrie pharmaceutique tels qu’AstraZeneca, Novartis, GlaxoSmithKline et Eli Lilly sont parmi les entreprises qui s’emparent des plus gros morceaux du marché des anticorps contre les nouveaux coronavirus. Et certaines des agences gouvernementales les plus musclées, dont l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses d’Anthony Fauci et l’Agence des projets de recherche avancée de la Défense américaine, font partie des acteurs (voir, par exemple, l’avant-dernière section de cet article, sur les anticorps utilisés pour traiter le Covid).

Pratiquement toutes les études et tous les supports marketing relatifs au Covid reposent sur l’hypothèse que les scientifiques ont formellement et correctement identifié la présence du nouveau coronavirus (également appelé SARS-CoV-2) dans le matériel avec lequel ils travaillent.

Le travail d’identification est généralement confié à des anticorps qui sont censés se lier au nouveau coronavirus. On suppose que ces anticorps sont capables de repérer le virus et seulement le virus parmi tous les autres organismes et substances qui l’entourent.

Malheureusement, il s’avère que les anticorps ne le font que rarement (voire jamais). Cela est dû, entre autres, à une vérification insuffisante de la précision avec laquelle les anticorps ciblent le virus par les entreprises qui fabriquent et vendent ces produits. Et il y a encore moins de vérification par les organismes gouvernementaux de réglementation.

Faisons un tour de table pour découvrir quelques unes des principales caractéristiques du paysage de l’industrie des anticorps, qui se caractérise par sa complexité et son budget important.

Peut-on créer des anticorps qui ne se lient qu’à un type de virus ou à un autre ?

Les anticorps sont des éléments minuscules et bien adaptés de notre système immunitaire. L’une de leurs principales fonctions est de rechercher les virus et les bactéries susceptibles de déclencher des maladies. Les anticorps interagissent avec ces microbes et participent au processus viral en contrôlant leur prolifération.

Depuis des millions d’années, les humains et nos ancêtres fabriquent des anticorps dans notre corps pour gérer les infections. Puis, il y a quelques décennies, des entreprises se sont lancées dans la découverte et la manipulation d’anticorps, en partenariat avec des laboratoires universitaires.

Il existe deux grandes catégories d’anticorps. La première est celle des anticorps “polyclonaux”. Il s’agit d’anticorps qui se lient à une variété de substances et/ou d’organismes différents.

L’autre catégorie est celle des anticorps monoclonaux. Comme leur nom l’indique, le clonage est impliqué dans leur création. On identifie d’abord un anticorps spécifique à une séquence particulière d’acides aminés (les acides aminés sont les éléments constitutifs des protéines) d’intérêt – par exemple, un anticorps provenant d’une protéine à la surface d’un virus ou d’une bactérie -. Ensuite, la cellule du système immunitaire qui a produit cet anticorps est “clonée” en laboratoire. Ainsi, chaque ensemble d’anticorps monoclonaux se lie à cette séquence particulière d’acides aminés.

J’ai envoyé un courriel à l’un des principaux experts mondiaux anglophones en matière d’anticorps monoclonaux, le professeur Clifford Saper de la Harvard Medical School, afin d’obtenir des éclaircissements sur ce point. Je lui ai demandé s’il est vrai que, comme la plupart des personnes qui prétendent commercialiser des anticorps, il est possible de créer un anticorps monoclonal spécifique (c’est-à-dire qui se lie) à un seul type de virus ou à un seul autre type d’organisme.

M. Saper a répondu :

Non, il n’existe pas d’anticorps monoclonal qui, parce qu’il est monoclonal, ne reconnaisse qu’une seule protéine ou qu’un seul virus. Il se liera à toute protéine ayant la même séquence (ou une séquence très similaire).

Cette déclaration de M. Saper implique que toute tentative d’utiliser un anticorps monoclonal pour vérifier la présence du nouveau coronavirus entraînera un taux élevé de résultats faussement positifs. C’est-à-dire qu’ils indiqueront que le nouveau coronavirus est détecté alors qu’en fait il ne l’a pas été. En effet, il est très probable que l’anticorps monoclonal se lie à autre chose que le virus (c’est ce qu’on appelle une “réaction croisée”).

(Je recommande cet article de Saper, et celui-là et celui-là co-écrit par le professeur de pathologie de Yale David Rimm, à tous ceux qui souhaitent en savoir plus sur la validation des anticorps).

Et en fait, la grande majorité des anticorps et des anticorps monoclonaux commercialisés comme étant spécifiques au nouveau coronavirus ont été développés il y a des années pour détecter le SRAS-CoV-1. Ils ont ensuite été simplement reconvertis pour identifier le SARS-CoV-2 – avec très peu de contrôles, voire aucun, pour savoir s’ils présentent également une réaction croisée avec d’autres organismes ou substances.

J’ai demandé à Zhen Lu de confirmer cette réaffectation. Elle est la responsable marketing pour l’Amérique du Nord de Sino Biological, une société basée à Pékin qui développe et vend, entre autres, des centaines d’anticorps. Lu m’a répondu par e-mail : “Oui, les anticorps sont reproposés [sic]”.

J’ai également vérifié et reçu la confirmation de Pratiek Matkar, un cadre supérieur de BenchSci, une société de bases de données d’anticorps. Et pour voir par moi-même, je me suis connecté à la base de données de BenchSci (Matkar m’a accordé un compte d’invité), j’ai sélectionné tous les anticorps pour le nouveau coronavirus, et j’ai cherché à savoir quels organismes avaient été utilisés dans les tests de réactivité croisée pour eux. Seul le SRAS-CoV-1 est apparu dans cette vérification.

Tout cela explique une chose que j’ai observée la semaine dernière : Sino Biological vient de modifier le contenu de sa page d’accueil pour la section de son site web consacrée aux anticorps contre le SARS-CoV-2. La page annonce maintenant qu’ils ont introduit de nouvelles “paires d’anticorps assortis” qui fonctionnent mieux pour trouver le virus. Cette paire se compose d’un “anticorps de capture” et d’un “anticorps de détection”.

Et ils affirment que ces paires sont plus précises pour trouver le nouveau coronavirus : qu’elles…

ont une spécificité élevée sans réactivité croisée avec le MERS-CoV, [ou avec les coronavirus humains communs] 229E, NL63, HKU1, [et] OC43.

La seule façon dont je peux interpréter cela est la suivante : ils savent que les anticorps qu’ils commercialisent depuis des mois comme étant spécifiques au nouveau coronavirus se lient à d’autres choses, comme les coronavirus humains communs.

Comment les anticorps sont-ils utilisés dans les tests pour le nouveau coronavirus ?

L’un des principaux types de tests pour le virus contient des anticorps qui sont apparemment spécifiques au nouveau coronavirus. Ils sont conçus pour fonctionner de la manière suivante : si le virus est présent dans un échantillon de sang, les anticorps se lient à celui-ci et, par conséquent, le test donne un signal positif.

L’autre type de test contient des séquences de protéines du nouveau coronavirus ; si des anticorps au virus sont présents dans un échantillon de sang, ils se lient aux séquences de protéines et donnent un résultat positif.

Les fabricants sont censés procéder à des contrôles de précision de leurs kits de test avant de les mettre sur le marché. Ces contrôles consistent essentiellement en une estimation des taux de faux positifs et de faux négatifs (ce dernier est un résultat négatif lorsque l’anticorps ou la protéine en question est contenu dans l’échantillon testé par le kit).

Cependant, les entreprises effectuent ce contrôle de précision superficiel avec seulement quelques échantillons d’un petit nombre de virus – et rarement sur des bactéries ou toute autre substance biologique parmi les millions qui peuvent être présentes dans le sang.

Malgré cette validation très insuffisante et la forte incitation des entreprises à donner une bonne image de leurs produits, comme l’a documenté David Crowe [RIP] en mai dernier, les fabricants enregistrent souvent un taux significatif de faux positifs. Les faux positifs concernent tout, du virus du Nil occidental aux différents types de coronavirus humains.

En général, les entreprises et les gouvernements qualifient ce taux d’insignifiant. Il arrive cependant que les kits de test soient si mauvais qu’ils sont retirés du marché.

Par exemple, un kit de test d’anticorps vendu par une société appelée Chembio Diagnostics a été lancé le 31 mars 2020. La Food and Drug Administration (FDA) américaine lui a presque immédiatement accordé une autorisation d’utilisation d’urgence (Emergency Use Authorization, EUA). Une EUA permet aux entreprises de mettre des produits sur le marché à toute vitesse avec un minimum de surveillance. Le Brésil et l’Union européenne ont également donné leur accord pour que le test Chembio soit vendu sur leur territoire en avril et mai 2020, respectivement.

Puis, en juin 2020, la FDA l’a retiré du marché. L’agence a déclaré :

ce test génère un taux de faux résultats plus élevé que prévu.

(Notez que le tableau supérieur de la page 13 de la notice du produit pour ce test Chembio “révoqué” indique qu’il présente une réaction croisée avec le coronavirus humain 229E).

Mais en novembre 2020, le test d’anticorps Chembio a de nouveau été approuvé pour être utilisé au Brésil. Et le 14 janvier 2021, le test a été approuvé dans l’Union européenne, au Royaume-Uni et en Irlande.

Est-il identique à celui qui était si imprécis qu’il a été retiré du marché en juin dernier ? C’est difficile à dire. Il n’y a pas de notice d’utilisation que j’ai pu trouver pour ce produit. En fait, il y a très peu d’informations à son sujet sur la page web du test ; il faut en faire la demande. J’ai soumis une demande le 23 janvier et je ne l’ai pas encore reçue.

Deux des responsables de la branche de la FDA qui approuvent les dispositifs de test ont rédigé un article dans le New England Journal of Medicine du 18 février 2021. Dans cet article, les deux hommes admettent que les autorisations de la FDA pour les tests sérologiques sont trop souples.

Ils ont indiqué que la FDA a renforcé ses critères d’approbation de ces tests. Ils soulignent également les efforts déployés par d’autres agences gouvernementales pour évaluer les tests sérologiques. Mais ils ne disent pas un mot sur la nécessité d’aller vers une validation objective et approfondie des tests. Ils restent également muets sur le fait que des EUA sont toujours délivrés.

(Il convient également de noter que les listes de la FDA et de Santé Canada des 65 tests sérologiques approuvés à ce jour aux États-Unis et des 19 tests approuvés à ce jour au Canada continuent de donner la sensibilité [identification correcte des échantillons positifs] des tests par “accord en pourcentage positif” et la spécificité [identification correcte des échantillons négatifs] par “accord en pourcentage négatif”. Il s’agit de mesures relatives de la précision – c’est-à-dire comparées à d’autres tests – plutôt que d’une précision objective/absolue, et par conséquent, ce sont de piètres indicateurs en ce qui concerne la précision).

Ian Lipkin est l’une des nombreuses figures majeures du complexe biomédical Covid qui amorce la pompe du pipeline des anticorps. Il est directeur du Center for Infection and Immunity de l’Université de Columbia à New York. M. Lipkin est impliqué à haut niveau dans de nombreuses organisations mondiales, dont l’Organisation mondiale de la santé et la Fondation Bill & Melinda Gates, ainsi que dans des sociétés pharmaceutiques. (Et il est cité dans une “vérification des faits” d’un article de juillet 2020 que j’ai co-signé avec Patrick Corbett, intitulé “Nobody has died from the coronavirus” (Personne n’est mort du coronavirus). Lipkin déclare, entre autres, dans l’article de vérification des faits que “les théoriciens du complot ne sont pas persuadés par les données”.

M. Lipkin est co-auteur d’un article du 12 février 2021, dans lequel lui et son équipe affirment avoir identifié, grâce à une nouvelle technologie de micro-réseau de peptides (puce à antigènes) qu’ils ont inventée, 29 séquences d’acides aminés uniques au nouveau coronavirus. Ils affirment que des anticorps spécifiques aux séquences pourraient être créés – et que ceux-ci pourraient à leur tour être exploités “pour faciliter les diagnostics, l’épidémiologie et la vaccinologie” pour le Covid. (Le seul conflit que Lipkin et certains de ses co-auteurs révèlent dans le paragraphe “intérêts concurrents” à la fin de l’article est qu’ils ont inventé la technologie des micro-réseau de peptides décrite dans l’article).

Les anticorps utilisés pour traiter le covid sont-ils plus efficaces ?

Des anticorps sont également commercialisés pour traiter le covid. Certains sont vendus seuls (en monothérapie) et d’autres par paire. On considère qu’ils confèrent une “immunité passive”.

Les anticorps monoclonaux de type Regeneron, le casirivimab et l’imdevimab, comptent parmi les plus répandus pour le traitement des covidiens. Cette paire aurait été utilisée en octobre 2020 pour traiter le président américain de l’époque, Donald Trump. Le 21 novembre 2020, la FDA a accordé un EUA à ce combo. Il est également en cours d’examen pour approbation par Santé Canada.

J’aimerais me concentrer sur un anticorps monoclonal un peu moins connu appelé bamlanivimab. Il est utilisé à la fois seul et en tant que moitié d’une paire pour le traitement des patients présentant des symptômes du covid au début de la maladie. L’anticorps a été découvert, et son étude clinique a commencé, par l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (qui est dirigé par Anthony Fauci) et une société basée à Vancouver, en Colombie-Britannique, appelée AbCellera Diagnostics. L’anticorps est fabriqué et vendu par Eli Lilly. Il coûte plus de 1 200 dollars par flacon.

Voir aussi : Covid : quand l’ANSM danse le bambalaba avec Lilly

AbCellera est en train de développer un important réservoir d’autres anticorps. Ses capacités dans ce domaine ont été développées au cours des deux dernières années dans le cadre du programme de plate-forme de prévention des pandémies de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA).

(AbCellera a également reçu des centaines de millions de dollars du gouvernement canadien, notamment pour la construction d’une usine de fabrication d’anticorps. Et Peter Thiel, qui a cofondé PayPal et Palantir, est membre du conseil d’administration. John Montalbano est également membre du conseil d’administration de l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada et, jusqu’en 2015, il était le PDG de RBC [Banque Royale du Canada] Global Asset Management. Cette situation et une importante couverture médiatique positive ont contribué à propulser la société vers le plus grand appel public à l’épargne d’une société canadienne de biotechnologie à ce jour, le 11 décembre 2020).

Le bamlanivimab a reçu un EUA de la FDA le 9 novembre 2020, pour le traitement des covid léger à modéré. Et Santé Canada a donné une autorisation provisoire à la monothérapie le 17 novembre. Cependant, la pratique clinique au Canada n’est pas encore très avancée, peut-être en raison des résultats peu brillants des essais cliniques (voir ci-dessous).

Mais cela n’a pas dissuadé les gouvernements fédéraux canadien et américain, qui ont acheté ensemble près d’un demi-million de ces tests. Par exemple, tout récemment, le 26 février, le gouvernement américain a acheté 100 000 flacons.

La seule étude sur le bamlanivimab rendue publique avant l’approbation de la FDA le 9 novembre a été publiée le 1er octobre 2020 sur le site web de la revue en ligne bioRχiv. [Mes articles du 3 février 2021 et du 11 février 2021, respectivement sur les nouveaux variants et les documents de modélisation associés, indiquaient que la revue et sa publication sœur medRχiv ne contiennent que des articles non révisés par des pairs et ont été créés par une organisation dirigée par Mark Zuckerberg et son épouse].

L’étude a utilisé des singes rhésus et a fourni de très nombreux détails sur la façon dont l’anticorps a été découvert et examiné pour vérifier sa spécificité par rapport au nouveau coronavirus. Les chercheurs ont conclu que l’anticorps – connu à l’époque sous le nom de LY-CovV555 – a une “puissante activité neutralisante” contre le SARS-CoV-2.

Le 14 janvier, j’ai envoyé un courriel à l’auteur principal de cet article, Bryan Jones. Il est chercheur au sein du programme de recherche en biotechnologie de Lilly. J’ai demandé à Jones où se trouvait dans leur article la preuve que l’anticorps était spécifique au SARS-CoV-2 (et donc qu’il ne se liait pas à autre chose qu’au nouveau coronavirus ou en plus de celui-ci).

Il a répondu rapidement, comme suit :

Bien que nous ayons déterminé que LY-CoV555 est spécifique au SARS-CoV-2 (et ne se lie pas à la protéine de pointe du SARS-CoV), cela n’est spécifié ou détaillé dans aucune des figures ou tableaux [dans le document].

M. Jones m’a indiqué plusieurs parties de l’article et des documents complémentaires publiés avec celui-ci qui, selon lui, montrent, par extrapolation indirecte, que l’anticorps est spécifique au nouveau coronavirus.

Ce n’est pas vraiment convaincant.

Puis, le 22 décembre, une étude publiée dans le New England Journal of Medicine a mis en doute l’utilité du bamlanivimab chez les personnes hospitalisées après avoir reçu un diagnostic covid. L’article notait que fin octobre, l’étude avait été interrompue parce que l’anticorps n’aidait pas plus les patients que le placebo.

Mais cela n’a pas dissuadé Lilly. Le 21 janvier 2021, la société a publié un communiqué de presse concernant une étude sur le bamlanivimab chez les résidents et le personnel des maisons de retraite. Ils ont affirmé que leurs recherches ont montré que l’anticorps “réduisait significativement le risque de contracter un COVID-19 symptomatique”.

Cependant, ils n’ont pas fourni beaucoup d’informations à l’appui de leurs affirmations. L’étude n’a pas été publiée dans un journal ou présentée lors d’une réunion scientifique/médicale. Et il n’y a pas de précisions sur la date à laquelle elle sera publiée.

Malgré cela, le même matin où le communiqué a été envoyé par Lilly, des articles élogieux sont apparus dans les principaux médias, affirmant que l’étude montrait que le bamlanivimab semble réduire de manière significative les symptômes du covid chez les personnes âgées fragiles.

Par exemple, un article de Bloomberg a été publié à 8 heures du matin le 21 janvier avec le titre “Eli Lilly Antibody Cuts Covid-19 Risk Up to 80% in Nursing Home Study” (Les anticorps d’Eli Lilly réduisent le risque de Covid-19 jusqu’à 80% dans une étude sur les maisons de retraite). L’article a été repris dans de nombreux autres médias tels que le Globe & Mail.

L’article citait le directeur scientifique de Lilly, Daniel Skovronsky, qui disait :

Il s’agit d’une situation urgente. Si une épidémie se déclare dans les maisons de retraite et que les gens n’ont pas encore reçu le vaccin, cela pourrait être un moyen de les protéger avant qu’ils ne l’obtiennent.

Et le 21 janvier, un article du New York Times rédigé par la journaliste scientifique chevronnée Gina Kolata cite un expert en vaccins de l’hôpital pour enfants de Boston, Ofer Levy, qui n’était pas l’un des scientifiques impliqués dans l’étude :

Je ne vois ici que des points positifs. C’est une victoire.

Kolata a également rapporté que Lilly prévoit de demander à la FDA un EUA pour le bamlanivimab pour la prévention du Covid chez les personnes âgées fragiles, en se concentrant sur les personnes dans les maisons de retraite et les foyers de soins de longue durée.

En parallèle, Lilly envisage d’utiliser le bamlanivimab en combinaison avec un autre anticorps monoclonal appelé etesevimab. Une étude sur cette combinaison chez les personnes atteintes de covidémie légère ou modérée a été publiée le 21 janvier 2021. Les résultats indiquent qu’elle ne réduit pas les symptômes, mais seulement la charge virale des personnes.

Cela n’a pas dissuadé Lilly non plus ; les médias en parlent comme d’un résultat très positif. Et la FDA aussi : le 9 février, l’agence a publié un EUA pour la combinaison des deux anticorps pour le traitement du COVID léger ou modéré.

Le 16 février, un article publié ce jour-là sur bioRχiv indiquait que le bamlanivimab ne neutralisait pas les variantes sud-africaine et brésilienne du nouveau coronavirus.

Je laisse le dernier mot à Scott Adams

Le créateur de bandes dessinées Dilbert Scott Adams fait cette observation à la page 13 de son livre Loserthink :

Une chose que je peux dire avec certitude, c’est que c’est une mauvaise idée de faire confiance à la majorité des experts dans tout domaine impliquant à la fois une certaine complexité et de grosses sommes d’argent.

Cela résume parfaitement la situation en ce qui concerne les anticorps du nouveau coronavirus.

Méfiez-vous, suivez l’argent et restez à l’écoute.

Mise à jour du 5 mars 2021

Le 22 février 2021, la FDA américaine a publié une nouvelle directive stipulant que les vaccins n’auront pas besoin de tests supplémentaires avant d’être approuvés pour être utilisés contre les nouvelles variantes – au lieu de cela, le gouvernement s’appuiera sur des tests d’anticorps pour déterminer qui a besoin d’un de ces “rappels”. Le 4 mars 2021, les gouvernements du Canada, du Royaume-Uni, de l’Australie, de Singapour et de la Suisse ont suivi le mouvement. Cela montre pourquoi la fraude concernant les anticorps est un élément clé de l’histoire du Covid. Je publierai dès que possible une vidéo et un article complémentaires à ce sujet.

Source : https://off-guardian.org/2021/03/06/the-antibody-deception/
Traduction par https://cv19.fr




COVID : avec une première class action, les nuages s’accumulent sur la tête de nos élites

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Hervé Coulaud

Début d’une class action, une première en France, visant le gouvernement et les ARS dans leur gestion de la première vague de la Covid-19. Cette procédure est destinée à recevoir des réponses sur le peu d’efficacité dans la conduite de l’action gouvernementale. Une class action permet à un groupe de citoyens et d’associations de se regrouper pour faire poids afin de mener une action en justice. L’action collective qui a sollicité l’audience de ce mercredi 3 mars 2021, au tribunal de grande instance de Paris, est la première du genre en France sur le thème du Covid-19.

Les Français ont connu successivement le manque de masques, puis le manque de tests, puis la pénurie des doses de vaccin. Ce fiasco résulte des hésitations et des déficits dans la gestion logistique de la crise par Macron, Buzyn, Véran et consorts qui risquent désormais ce qu’ils ont depuis des mois essayé d’éviter à tout prix, l’évocation devant les tribunaux de leurs attaques contre le bien-être des citoyens et les libertés fondamentales de notre République.

Un ensemble de mesures idiotes ou prises à contre-temps qui a conduit à la décrédibilisation de la fonction politique, et qui scelle par le credo du « quoi qu’il en coûte » l’abaissement de la France dans le classement mondial des puissances.

Qui est à l’origine de cette action ?

Comme l’évoque le journal « Le Parisien », une soixantaine de personnes morales et civiles se sont lancées dans cette class action – ses instigateurs évoquent même le nombre de 600 en comptant chaque membre des cinq associations représentées, comme Handi-Social, l’AR2S et l’UPGPS.

Les personnes civiles sont des proches de résidents d’Ehpad et de foyers pour personnes handicapées. Au total, 23.518 personnes ont apporté leur contribution sur le site « N’oublions rien » créé pour l’occasion, afin d’assurer notamment les frais de justice. Pour le moment, cette action collective se concentre sur la première vague, jusqu’au 30 juin 2020, « mais on prévoit évidemment d’étendre nos requêtes », fait savoir la dirigeante Sabrina Deliry.

Signe du malaise l’audience débute par la tentative de l’avocat de l’ARS Ile de France d’obtenir un énième renvoi d’audience

Pourtant la présence de nombreux médias révèle que la presse a senti qu’un vrai désir de transparence était bien présent dans l’opinion publique.

En effet on reste coi face au mensonge et la manipulation permanente des chiffres annoncés dans les média mainstream jusqu’alors, multipliés par 3 aux dires de certains professionnels de santé au plus près du terrain qui constatent au quotidien qu’ils ne sont pas le reflet de la réalité qu’ils vivent jour après jour dans les hôpitaux.

Maître Lèguevaques ainsi que les personnes ayant participé à cette “class action » ont pu rappeler la raison de cette assignation. Il demande comment, alors que le gouvernement avait prétendu réquisitionner tous les masques, des millions sont soudainement arrivés dans la grande distribution afin d’être vendus massivement ? Pourquoi, si les stocks étaient constitués pendant le confinement, n’ont-ils pas été réquisitionnés ?

Concernant le tri des malades, l’ARS Ile-de-France a-t-elle donné une échelle de sélection pour aider le personnel de santé à choisir entre soigner et laisser mourir, faute de moyens et selon des critères morbides ?

Les familles veulent également demander des preuves à certains organismes quant à leur transparence dans la gestion de la crise qui a été particulièrement mortelle dans les Ehpad

Car beaucoup de questions subsistent quant à la gestion de la crise dans les maisons de retraite. Sabrina Deliry explique à « France 3 Paris IDF » :

« Résultat : le 9 mars, ils ont confiné totalement les EHPAD, et ont interdit totalement les visites. Donc les familles étaient interdites, mais en parallèle le personnel ne portait pas de masques. C’est quoi cette hypocrisie ? »

L’action des plaignants se concentre sur trois points principaux :

  1. Comprendre la pénurie de masques au début de la crise. La démarche a notamment pour but d’obtenir la date exacte de l’arrivée sur le territoire national de masques achetés par les enseignes Carrefour et Leclerc.
  2. Lever le doute sur des soupçons de « choix thérapeutique » et de « tri des malades » sur des critères discriminatoires comme celui de l’âge.
  3. Faire la lumière sur des suspicions d’euthanasie.

Aucun argument, aucun élément sur le fond n’a été fourni par la défense

Pendant deux heures les avocats se sont surpassés pour exceller dans le jargon technique, technocrate et juridique afin de ne jamais discuter du fond et des choses qui étaient demandées.

Pendant deux heures, tout a été fait pour perdre le tribunal et l’auditoire dans une rhétorique pseudo argumentée et ainsi ne jamais réellement discuter d’éléments précis.

Pendant deux heures, tous les vices de procédures, même mineurs, ont été mentionnés pour noyer les poissons.

Enfin le président annonça la fin de l’audience dès qu’on commença à parler d’éléments concrets, sans doute certaines personnes ne se sentant plus réellement à l’aise ?

Les parties ont choisi une procédure civile qui a pour but de rassembler des preuves en obtenant la publication de documents et d’informations ou en sollicitant des expertises en vue d’éventuelles poursuites.

Toutes les institutions qui ont été visées lors de l’audience, dont l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), l’Agence régionale de santé (ARS) d’Île-de-France, la Ville de Paris, les douanes ou les groupes Carrefour et Leclerc, ont plaidé l’irrecevabilité de ce référé.

Rendez-vous le 9 juin donc, pour la décision. La justice se hâte lentement. Aura-t-on enfin des éléments factuels pour comprendre cette crise sanitaire ? Impossible à ce jour de le dire.

Une première étape pour quoi faire ?

L’objectif est d’obtenir des preuves matérielles permettant aux familles et associations de rassembler des preuves matérielles afin de constituer des dossiers. Une fois que les familles auront ces documents, quand il y aura des fautes et des responsabilités démontrées, chacun Français concerné sera libre d’assigner en justice jusqu’au plus haut niveau de l’Etat, sans se faire écraser par des lobbys hyperpuissants comme ceux des Ehpad.

La question du dédommagement n’intervient pas à cette étape de l’action. Quand un proche est décédé est qu’on vous cache des choses, la colère ne s’apaise pas. Or jusqu’à aujourd’hui les arrêtés qui emprisonnent nos aînés dans les EPHAD ont eu pour effet de priver les gens d’adieux à leurs parents. Le temps est venu désormais d’apaiser cette colère et d’identifier les fautes pour ne pas qu’elles se reproduisent à l’avenir.

Comme le fait remarquer le journal Sud-Ouest, plusieurs procédures ont été engagées contre des ministres devant la Cour de justice de la République (CJR), seule instance habilitée à les juger dans l’exercice de leurs fonctions, notamment pour «abstention de combattre un sinistre».

Par ailleurs, 365 plaintes visant des responsables de l’administration ont été déposées depuis le 24 mars au pôle santé publique du tribunal de Paris et dans le cadre de la gestion de la crise de la Covid-19, le parquet de Paris a ouvert quatre informations judiciaires…à suivre !