Aucun Mirabeau ou Lafayette encore prêt à rejoindre le camp dit « souverain »

Par Lucien SA Oulahbib

Alors que les mauvaises nouvelles et les fausses informations s’amoncellent (échecs de la politique des sanctions, de l’injection Covid-19, de la « contre-offensive » de Kiev, le tout non contrebalancé par ladite « maladie » de Poutine, de ses supposés « 80 000 » morts en Ukraine, de la « canicule » — ce nom hygiéniste pour l’été) force est de constater néanmoins que hormis des médecins de renom, quelques sociologues et intellectuels, il n’y a guère de défections parmi les instances académiques étatiques et privées régissant la vie intellectuelle culturelle et politique de l’Occident à la différence de ce qui s’est passé à l’aube des Révolutions américaines et françaises.

D’où les attaques narquoises des nettoyeurs (les « vérificateurs ») qui ont beau jeu de jouer de l’argument d’autorité tout en établissant des corrélations farfelues entre « complotistes » de tous bords, sur une base réelle cependant, celle de cette dichotomie de plus en plus manifeste entre ceux qui cherchent la vérité (au sens ici criminologique : il y a bel et bien eu crime et non pas seulement celui du « sentiment ») et ceux qui veulent la masquer dans tous les sens du terme désormais.

Aussi n’est-il pas étonnant d’observer que les menteurs, profiteurs, affairistes, scientistes, hygiénistes sont d’un côté et forment la Secte Scientiste-Hygiéniste-Affairiste de type néonazi (manip génétique et génitale, sélection — encore ourdie — par la couleur de peau) ; alors que de l’autre se rassemblent, non sans conflits et difficultés, d’authentiques démocrates au sens fort (au-delà des courants républicanistes et monarchistes), celui du pouvoir du peuple par le peuple pour le peuple, ce que les membres de la Secte (ploutocratique en son sein) nomment désormais « populisme »…

Ainsi parfois la binarité a du bon, car elle permet, à un certain moment crucial, celui de la guerre, de clarifier les positions : en 38 et en 40, il n’y avait pas de position intermédiaire entre Hitler et Churchill, même Staline a dû choisir après 1941. Certes Franco et la Suisse ne l’ont pas fait, le premier pour des raisons idéologiques et stratégiques (la guerre civile a laissé l’Espagne exsangue), la seconde par souci de ne pas imploser en chemin tant elle est formée de trois populations (germaine, italienne et francophone), antagonistes ailleurs. Mais cela n’empêche qu’à un moment donné il faut bien cataloguer, classer, créer des systèmes d’alliance, et même prévenir, rompant en effet avec le principe westphalien, comme aurait dû le faire la France en 1936 en empêchant Hitler de remilitariser la Rhénanie, comme l’a fait l’intervention de la Russie dans le Donbass alors qu’il s’agissait d’un conflit interne à l’Ukraine, mais qui allait devenir sanglant pour les populations russophones, comme enfin l’a fait Churchill en soutenant de Gaulle alors que sa mutinerie était une affaire franco-française. Par contre et en effet, les immiscions de services secrets US et UK (coup contre Mossadegh), français (Ben Barka), belges (Lumumba), mais aussi soviétiques (soutien aux brigades rouges et à l’OLP) et israéliens (ambiguïté contre-productive quant au conflit Hamas/Fatah et cela se voit de plus en plus depuis l’abandon non justifié militairement de Gaza), ces immiscions se retournent souvent contre les initiateurs… Les cas du Tibet et de Taïwan sont à part parce que tout simplement le régime maoïste n’incarne pas la Chine authentique, autant sinon fermer les yeux sur l’intervention soviétique à Berlin-Est à Budapest à Prague et ne pas empêcher la Corée du Nord d’envahir la Corée du Sud : la vision réaliste des relations internationales est nécessairement dynamique et non pas statique et isolationniste…

Et concernant ici notre sujet, l’on voit bien qu’un Mélenchon par exemple, malgré ses positions très « westphaliennes », n’a rien d’un Mirabeau soutenant la « Cause du Peuple », mais plutôt d’un Hoxha (que d’un Tito), appendice en fait de la Secte dont il est l’un des opposants « officiels » juste pour la galerie des Glaces (pour les assoiffés du Pouvoir « whatever it takes“…)

Au niveau académique et institutionnel, rien en effet ne surnage de consistant hormis Mucchielli sur les effets secondaires de la Covid-19 (quoique inopérant sur ses analyses « anti-sécuritaires » tant il ne voit pas le côté politique scissionniste de la délinquance djihadisée encouragée par un système scolaire à bout de souffle). De son côté, l’Institut de France soutient mordicus que l’injection agit au moins sur les formes « graves » (ce qui s’est déjà révélé faux puisque les injectés meurent bien plus que les non injectés), et il n’y en a guère chez les non injectés âgés (du moins lorsqu’ils sont pris à temps ils ne débouchent pas sur du « Covid long »).

Et comme ces institutions ont également la même position de soutien scientiste aux élucubrations sur ledit « réchauffement », elles alimentent également l’alarmisme et le catastrophisme qui mettent de plus en plus sur le dos du climat des proliférations virales dont les origines naturelles sont de plus de plus sujettes à caution tant les recherches légales et illégales sur les « gains de fonction » pullulent, n’évitant pas des fuites et des accidents (in)volontaires.

Nous sommes donc de plus en plus dans un séparatisme académique similaire à celui qui a frappé les académies allemandes et russes lorsque respectivement l’eugénisme et le lyssenkisme ont dominé ces structures, le premier revenant par la bande avec la PMA/GPA, ainsi que le second via les manipulations génétiques. D’où l’idée d’un néo-eugénisme lyssenkiste fer de lance académique de la Secte SHA néonazie prête à faire des expériences génitales et génétiques au nom du “trans” (humanisme) du panhumanisme, réalisant ainsi le projet des partisans déconstructionniste de la “mort de l’homme” en particulier occidental ce bras armé du néo-eugénisme lyssenkiste ossature eschatologique néonazie de la Secte SHA.

Comment secouer cette double prise scientiste-hygiéniste-affairiste, académique et institutionnelle, sinon en créant des contre “académies” au sens grec, ce qui prolifère d’ailleurs dans les structures scolaires “hors contrat” dans des cercles gréco-judéo-chrétiens, des médias de la réinformation objective au sens non pas de dire “la” vérité, mais de faire en sorte que par la diversité des analyses un consensus se dégage peu à peu pour classer “ce qui est” près de la vie et du peuple se séparant de ce qui veut seulement “la mort de l’homme” à commencer par son immunité biologique, sa libre pensée culturelle, pour toucher à son anatomie physio psychosociologique elle-même.




L’hystérie climatique remplacera-t-elle l’hystérie covid19 ?

Par Nicole Delépine

« Un pays n’est richesse que d’hommes ».

Jean Bodin, économiste du XVIe siècle.

REFUSONS LE PRINCIPE DU PASS ENVIRONNEMENTAL DÈS MAINTENANT

Il faut bien tenir le peuple en laisse, dans la grande peur, sinon il ne laisserait pas spolier les travailleurs, les vieux, les jeunes, par les milliardaires au pouvoir mondialiste comme durant ces deux dernières années. Mais leurs croquemitaines covid et variole du singe sont de moins en moins crédibles et ces puissants commencent à le comprendre.

Alors passons vite à autre chose en attendant le vaccin miracle antiCO2, antitabac ou ozone… Que sais-je encore ? Ils vont tenter d’instaurer une nouvelle panique qui terrorisera et anesthésiera les citoyens du monde pour leur permettre de poursuivre leurs forfaitures. Ils ont bien préparé le terrain… Le moneypox dit variole du singe aurait dû faire l’affaire, mais c’est mal parti tellement sont rares les patients atteints et tant la ressemblance avec les effets secondaires du covid est frappante. Ils essaient…

LA MISE EN CONDITION DE LA CLASSE BIBERON SUR LE CHANGEMENT CLIMATIQUE

Bien des auteurs attirent notre attention sur cette nouvelle rengaine tellement enseignée aux enfants depuis plus de dix ans. Beaucoup ne savent pas lire, à la sortie de l’école, ni écrire comme en témoignent leurs tristes tweets et même parfois des remarques d’instit dans les cahiers des élèves.

Mais ils savent tous que l’Homme serait responsable du « réchauffement climatique » (mais il paraît qu’on aura froid en 2030, qui sait ?…) et qu’il faut fermer les centrales nucléaires (pourtant innocentes dans l’émission de CO2). En pratique les sectaires écolo qui ont éduqué nos jeunes rouvrent les centrales à charbon. Peu importe, il faut tout mélanger et bloquer toute réflexion via l’intoxication, les jeux, les écrans, la TV.

POURSUIVONS L’INFORMATION SUR LE COVID19 et LE CLIMAT : REMARQUONS LES PARALLÈLES DANS LA PROPAGANDE

Alors, continuons à mettre en garde contre le masque qui rend psychotique à force de le porter(([1] L’affligeante dépendance de certains Humains au Masque, outil d’enfermement : urgent de DÉMASQUER et l’imposture et le peuple ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )), et contre le pseudo vaccin anticovid inefficace et dangereux, même si de bons signaux arrivent comme le renoncement apparent de A Fischer sur la vax des enfants et les aveux de Delfraissy.(([2] Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Mais ils ne lâcheront pas prise si facilement.

Restons très vigilants, car son successeur pourrait bien nous proposer, voire imposer, un vax miracle contre la variole du singe dont vous ne risquez rien sauf si vous êtes un mâle homo (votre droit le plus entier). Cependant, comme pour le vaccin Gardasil de plus en plus fortement conseillé à tous les garçons, avec tous ses risques sous prétexte de ne pas « discriminer » les garçons homo (à risque pourtant bien faible de cancer anal), généraliser le vax contre la variole du singe — maladie bénigne qui ne touche que quelques groupes à risque — serait médicalement et éthiquement insupportable. Libre à eux de se faire vacciner s’ils le désirent.

LES MISES EN GARDE DES SCIENTIFIQUES SUR LES QUESTIONS ENVIRONNEMENTALES

Tentons de transmettre les appels à la raison de spécialistes du domaine qui crient dans le désert depuis plusieurs années dans le silence assourdissant des médias, comme pour le covid19 depuis deux ans. Le « changement climatique » sera la prochaine « hystérie pandémique » !?… nous dit Robert Bibeau.

 29 juillet 2022 Robert Bibeau 

Un directeur de CNN a été filmé en caméra cachée en train de reconnaître que la chaîne a décidé que le « changement climatique » serait la prochaine « hystérie pandémique » parce que « la peur fait vendre ».

28.29.07.2022.ToddCalender-GBad-Hysteria-climatico-English-Italiano-Spanish

Selon Charlie Chester, directeur technique de CNN :

« le public n’a plus peur du Covid-19 et les élites ne peuvent plus l’utiliser pour contrôler les masses… Les médias ont besoin d’une “histoire” avec “longévité”. »

Project Veritas a publié une série en trois parties exposant Charlie Chester admettant que CNN « inventait des histoires » pour destituer Trump.

Selon Project Veritas, ces enregistrements secrets ont été réalisés alors que Chester avait des rendez-vous sur Tinder avec un journaliste infiltré de Veritas.

Dans la vidéo, on peut entendre Chester dire que « l’histoire de Covid-19 » touche à sa fin et que CNN est prête à commencer à vendre l’histoire du « changement climatique » et à recommencer d’instiller la « peur ».

CLIQUEZ POUR VISIONNER :

Manipulation : Après le covid, le réchauffement climatique ! (lemediaen442.fr)

mise à jour le 03/08/22 place à la dictature climatique !

Quelques lanceurs d’alerte informent sur la manipulation des masses via le climat

Le physicien François Gervais s’oppose à cette manipulation que les médias diffusent. À la base de ses arguments scientifiques : le cycle de Milankovic.(([3] https://www.nice-provence.info/2020/12/07/co2-produit-par-homme-n-influence-pas-climat/)) Ses détracteurs ne paraissent pas l’innocence même en termes de conflits d’intérêts.(([4] Dans le Monde « Les contre-vérités du dernier pamphlet climatosceptique », le climatologue F-M Bréon critique le livre de F Gervais : « L’innocence du carbone ». Innocent de conflits d’intérêts ce climatologue à l’IPSL ? Financé par EDF et EIT Climate-KIC. L’européen EIT financé par Air Liquide, CEA, Danone, Engie, KLM, The Carbon Trust, Veolia, WWF, entre autres… Depuis oct 2020, FM Bréon est président de l’Afis.  Glyphosate et pesticides en tous genres, cf Elise Lucet dans Envoyé spécial, ont trouvé leur défenseur : l’Afis. Comme pour le covid19 et les précédents scandales sanitaires, les conflits d’intérêts sont au cœur du drame.))

[Transféré de LANAGR – Lutte anti-NOM et Grande Réinitialisation] sur Telegram

Sur Twitter, Telegram, et Cnews via Ivan Rioufol, également des appels au bon sens

#Climatocircus (https://t.me/climatocircustchat) —

Il y a des mois et des mois, voire des années que certains alerteurs, nous prévenaient qu’après le pass sanitaire et le pass vaccinal, les gouvernements vont tenter de nous imposer un projet de pass climatique ou pass carbone pour restreindre et contrôler toujours plus les populations.

Les médias nous faisaient passer pour des complotistes ! Voilà maintenant que des médias mainstream évoquent ouvertement un « pass climatique ». Qu’ont à dire les moutons naïfs et les pro-système qui ont traité les anti-pass et les anti-Nouvel Ordre Mondial de complotistes ?

LANAGR — Lutte anti-NOM et Grande Réinitialisation : https://t.me/lutteantinometgrandresetTchat et partage d’infos Mensonges d’États : https://t.me/mensongesdetatstchat

LES DOUZE MENSONGES DU GIEC

Grâce à Y Rioufol et son émission sur Cnews, nous avons découvert l’ingénieur polytechnicien Christian Gerondeau et son livre « religion écologique 2 » qui nous a permis d’obtenir des réponses sur les interrogations qui nous travaillent depuis longtemps, ayant une conscience diffuse de la supercherie ambiante.

Le scénario Greta Thunberg(([5] « Greta Thunberg, icône d’un écologisme naïf » (lefigaro.fr) )) nous avait éveillés aux mensonges mondialistes sur le sujet tant la mise en scène de cette enfant manipulée était énorme. Depuis lors, notre vigilance était éveillée et cette émission de Cnews et surtout la lecture du livre de C. Gerondeau ont confirmé nos doutes.

Dans son dernier livre, il revient sur le déroulement de la COP 26 de Glasgow en Novembre 2021, puis dénonce les agissements du GIEC (organisme politique qui prétend parler « au nom de la science »), les « douze contre-vérités majeures qui constituent le socle de la religion écologiste qui règne aujourd’hui en Occident.(([6] Les 12 mensonges du GIEC sur le climat (polemia.com) ))

La dernière « Conference of Parties » (COP) n’a pas entériné la « fin du charbon », les représentants indien et chinois ont obtenu la rédaction d’un texte non contraignant.

En conséquence, ces deux pays les plus peuplés du monde (et les USA) continueront à émettre sans limites réelles du CO2, contredisant définitivement les résolutions solennelles des 25 COP précédentes. On peut constater que depuis cette réunion, l’Allemagne en a profité en remettant en marche ses mines de charbon (qui nous envoie ses nuages de pollution) et que la France s’apprête à en faire de même au prétexte mensonger de punir la Russie !(([7] Centrale à charbon de Saint-Avold : une réouverture déjà prévue après trois mois de fermeture (la-croix.com) )) C’est dire la fiabilité de ces grands rounds cinématographiques qui mobilisent les médias pendant des semaines et régalent les participants de petits fours et champagne au minimum.

Le Giec, que nos médias appartenant aux milliardaires nous présentent en permanence comme une instance scientifique, n’est en réalité qu’un comité politique.

1) «  Le GIEC agirait pour le bien de l’humanité »

Ce mantra est vite démonté par l’auteur lorsque l’on découvre sa composition. Le GIEC Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat a été créé en 1988, à la demande du G7 par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Il rassemble 195 États membres par l’Organisation Météorologique Mondiale et le Programme pour l’Environnement des Nations Unies.

Comme toutes les institutions onusiennes (l’OMS par exemple), le GIEC n’est pas une association de personnes physiques, mais une association de pays : ses membres sont des nations, non des personnes physiques. Aucun individu — et en particulier aucun chercheur — ne peut être membre du GIEC « en direct » : les personnes qui siègent aux assemblées du GIEC ne font que représenter des pays membres et sont bien souvent des politiques non scientifiques.

Tous les pays membres des Nations Unies sont membres du GIEC (deux exceptions, Taiwan et le Vatican –) Il ne s’agit donc pas d’un organisme de recherche, mais d’un groupe qui effectue une évaluation et une synthèse des travaux de recherche menés dans les laboratoires du monde entier. Le GIEC effectue une revue de presse : il examine et synthétise ce qui s’est publié dans la littérature scientifique sur la question de l’influence de l’homme sur le climat (et par voie de conséquence sur le fonctionnement du climat, avec ou sans hommes).(([8] Qu’est-ce que le GIEC ? — Jean-Marc Jancovici site intéressant à consulter pour connaître les méthodes de travail du Giec, mais qui est inquiétant quand il affirme que toutes les conclusions du Giec sont des certitudes : «  On peut donc considérer que tout ce qui fait l’objet d’un consensus dans les rapports du GIEC peut être tenu pour une certitude. Il en va ainsi, en particulier, des conclusions suivantes :
« la concentration de l’atmosphère en CO2 est plus élevée qu’elle ne l’a été sur les 800 000 dernières années, cette augmentation entraîne un changement climatique dont l’une des caractéristiques (mais pas la seule) est une augmentation de la température moyenne de la planète au niveau du sol. C’est l’ampleur de ce réchauffement qui demeure un objet de débat, mais pas le fait que globalement le climat va changer et en particulier la moyenne des températures va monter ».
Or en science qui peut oublier le « doute fertile » ?))

Seuls les revues scientifiques à comité de lecture ou les travaux en cours dans les laboratoires de recherche sont pris en compte). Mais chacun a pu constater pendant la crise du covid que les revues ne sont pas financièrement indépendantes et que, comme en médecine, elles publient ce qu’elles veulent ou plutôt ce que veulent leurs financeurs. Les opposants à la thèse du réchauffement climatique qui serait uniquement lié à l’activité humaine ont le plus grand mal à se faire publier et à obtenir, qui plus est, des crédits de recherche. Or l’argent est le nerf de la guerre…

En faisant croire qu’il serait possible de se passer des énergies fossiles, le GIEC entraîne tous les pays qui le suivent sur la voie de dépenses et de contraintes inutiles aux très lourdes conséquences. Les pauvres et les plus déshérités en sont les premières victimes.

Ainsi, l’électricité, indispensable pour de multiples usages clé de sortie de la pauvreté, mais cette énergie ne peut être produite en grande quantité que par le recours à des centrales hydroélectriques, nucléaires ou thermiques et non par des sources intermittentes peu efficaces et peu durables comme les éoliennes ou les panneaux photovoltaïques.

Dans les pays en développement, les centrales à gaz ou à charbon demeurent les seules solutions réalistes. En préconisant à un pays comme l’Inde de ne pas émettre de CO2, le GIEC condamne à la famine une grande partie de sa population.

2) deuxième mensonge : le Giec et ses affidés veulent faire croire que les énergies renouvelables peuvent remplacer le pétrole et les autres énergies fossiles

Or les énergies renouvelables ne peuvent répondre au maximum qu’à 10 % des besoins énergétiques de l’humanité et non à 80 % comme l’affirme le GIEC.

En Allemagne, où plus de 300 milliards d’euros ont été dépensés pour couvrir le pays de plus de 30 000 éoliennes et de millions de panneaux photovoltaïques, ceux-ci ne lui procurent qu’un peu plus d’un tiers de son électricité, c’est à dire moins de 8 % de son énergie finale, les 92 % restants étant principalement fourni par le pétrole, le gaz naturel et le charbon.

Le but de l’UE et pays aux ordres de supprimer entièrement le recours aux énergies fossiles pour en finir avec les émissions de CO2, en 2050 ou en 2100, relève donc de l’utopie ou plutôt d’un mensonge absolu pour faire accepter au peuple ces énormes dépenses pour les éoliennes, par exemple dont on ne sait que faire trente ans plus tard et dont le démantèlement obligatoire coûte énormément d’argent. Et nous avons tous rencontré des éoliennes à l’arrêt qui défigurent la France ! Quant à leurs dangers, ils ont été bien cachés, mais les chutes et les feux deviennent visibles.(([9] Il aura fallu 4 camions de pompiers et 15 hommes pour éteindre une éolienne toute neuve ayant pris feu en Côtes-d’Armor
https://www.epochtimes.fr/cotes-darmor-eolienne-toute-neuve-feu-demande-lintervention-de-4-camions-de-pompiers-15-sapeurs-pompiers-a-bourbiac-2085354.html
👉 t.me/Epochtimesfrance
➡️ La mise en service de ce parc éolien est toute récente))(([10] 13/10/2019 « Les éoliennes, tout sauf écologique »
Découvrez ce que le lobby du vent vous cache sur les éoliennes
https://www.lanceurdalerte.info/2019/10/13/les-eoliennes-tout-sauf-ecologique/))(([11] https://arr.bzh/img/appel%20%C3%A0%20projet.pdf
NB : Le lieu d’implantation de ce projet d’éoliennes n’est pas le lieu de l’incendie, mais relativement proche.
L’actualité montre qu’ailleurs en France, des éoliennes sont implantées dans des zones Natura 2000 ou en pleine forêt, malgré les avis défavorables des conseils municipaux, des enquêtes publiques et de diverses associations locales de protection de la nature ou du patrimoine.
En effet, les éoliennes industrielles bénéficient d’une procédure spécifique pour leur implantation — dans laquelle les industriels peuvent par exemple obtenir une dérogation pour « destruction d’espèces protégées ». Et malgré les possibles recours, c’est finalement le préfet qui a le dernier mot.
‼️‼️ Plus d’infos et pétition à signer ici : https://arr.bzh/eoliennes/))

« Après la chute d’une éolienne à Plémet, c’est une éolienne de Bourbriac qui prend feu. Personne ne pourra désormais nous dire que l’énergie éolienne est sans danger. Bretagne

https://actu.fr/bretagne/bourbriac_22013/une-eolienne-en-feu-a-bourbriac-pres-de-guingamp_52957609.html »

3) un mensonge de plus pour faire peur serait le manque imminent de pétrole

Malgré les prévisions pessimistes des années 1970, les réserves connues représentent actuellement cinquante ans de consommation, sachant que les réserves réelles sont très largement supérieures.

4) le cinéma de la mer qui va nous submerger ne correspond pas à la réalité

Il s’agit d’une des peurs ancestrales de l’humanité déjà présentée dans la bible comme le « châtiment de dieu », mais les satellites constatent seulement une montée des eaux de 2 à 3 millimètres par an depuis une quarantaine d’années ; au rythme actuel il faudrait dix mille ans pour que Paris devienne enfin Paris sur mer. On va devoir attendre…

5) La température devrait s’élever dramatiquement

Cette peur, fondement central de la communication du GIEC n’est pas démontrée.

Au cours des 40 dernières années, les satellites ont relevé une croissance de l’ordre de 0,013 à 0,020° par an, ce qui conduirait à une hausse de l’ordre de 0,4 à 0,6° en 2050, si elle se poursuivait inchangée.

« De 1910 à 1940, le globe avait déjà connu pendant trente ans un rythme analogue de croissance de la température avant d’entrer dans une phase de décroissance jusqu’en 1975, à tel point que les médias unanimes et de nombreux climatologues de l’époque pronostiquaient l’arrivée imminente d’un nouvel âge glaciaire ! »

6) Les réfugiés climatiques vont-ils déferler ?

Depuis 1950, la hausse des températures dans les zones équatoriales et subtropicales a été d’environ un demi-degré Celsius !

Les migrations proviennent plutôt du vol des richesses par l’Occident, de leurs matières premières, de leurs semences, et des interventions inopportunes dans les pays africains qu’on devrait laisser libres au lieu de continuer à les pousser à suivre nos modes de vie et de raisonnement économique.

L’immigration majeure organisée par Soros et ses amis mondialistes n’a rien à voir avec le climat, mais bien avec la volonté de détruire l’Occident dont les populations sont trop réfractaires à leurs projets.

7) Le changement climatique serait responsable de toutes les catastrophes

Il n’y a qu’à tenter de regarder les abominables journaux TV lors d’une catastrophe climatique.

“Lors des nombreuses catastrophes naturelles qu’a connues l’humanité, dont beaucoup sont sorties de la mémoire collective, personne n’aurait eu l’idée de rendre responsable le « changement climatique » d’origine humaine comme le fit sans scrupules Angela Merkel au sujet des inondations en Allemagne survenues en 2021”.

En revanche silence contre la bétonisation à outrance dans les villes et les campagnes et l’assèchement des marais, qui compromettent le stockage naturel des eaux de pluie et aggravent les périodes de sécheresse.

8) Les ours blancs seraient en danger

Ces plantigrades carnivores ont failli disparaître il y a une cinquantaine d’années à cause des chasses incontrôlées auxquelles les autorités canadiennes ont mis fin en 1975 et la situation s’est normalisée. Les ours blancs existent depuis des centaines de milliers d’années et leur espèce a traversé des successions de phases glaciaires et interglaciaires.

Et peut-être n’ont-ils pas une bande à Bill Gates et Soros pour vouloir les faire disparaître par tous les moyens, famine, vax toxiques, guerre, etc.. La terre est immense et très vide dans de nombreux endroits et le mythe de la surpopulation qu’on ne pourrait pas nourrir est organisé par les milliardaires fous et psychotiques qui cherchent à faire disparaître tous les hommes qui ne leur sont pas « utiles » à leurs menus plaisirs ni adeptes de leurs coutumes.(([12] Le mythe de la surpopulation — Les Observateurs occasion de montrer, à l’aide, entre autres, de l’article consacré au malthusianisme par le « Dictionnaire du libéralisme »[1], que la surpopulation est un dogme d’une religion sans fondements.))(([13] Elon Musk déclare que « la plus grande menace » à laquelle l’humanité est actuellement confrontée est « l’effondrement de la population » (anguillesousroche.com)
Elon Musk : « La civilisation va s’effondrer » si les gens n’ont pas plus d’enfants (anguillesousroche.com) ))

9) Le CO2 serait un polluant(([14] Le grand mensonge écolo que presque tout le monde prétend croire — Aube Digitale L’affirmation fantaisiste selon laquelle le CO2 est un polluant a été inventée de toutes pièces.))

Affirmation pour le moins audacieuse et que leurs médias aux ordres ont réussi à passer dans la jeune génération élevée par les enseignants pour un bon nombre au biberon de la pseudo écologie. En conséquence des adolescents croient que les centrales nucléaires font du CO2…

Il y a trente ans, personne n’aurait osé qualifier le CO2 de polluant. Car le gaz carbonique est indispensable à la vie en tant qu’élément central de la photosynthèse. Sans CO2 les plantes n’auraient pas de feuilles qui leur permettent de respirer et de nous fournir l’oxygène qui nous est indispensable. Nous en émettons nous-mêmes à chaque respiration de même que les vaches, notre amie nourricière qu’ils voudraient faire disparaître comme ils ont commencé aux Pays-Bas suscitant la révolte des agriculteurs.

L’accroissement de la présence de CO2 dans l’atmosphère depuis les débuts de l’ère industrielle a eu deux conséquences bénéfiques, à savoir que la planète reverdit (lorsqu’on ne coupe pas tous les arbres, comme trop de maires se le permettent, dont celle de Paris) et que la productivité des récoltes est meilleure.

« Vérité n° 1 avant le pass climatique, foutre l’économie française en l’air, imposer des restrictions dans notre malheureux pays surendetté, désindustrialisé, fera plaisir aux Khmers verts, mais ne contribuera pas à la réduction des émissions de CO2…

Le monde émet 35 milliards de t de CO2, dont 10,7 pour la seule Chine et 4,7 pour les États-Unis. La France avec 0,26, représente 0,7 du total mondial, moins que le Qatar et les Émirats (dix fois moins peuplés)

Il y a 40 ans les émissions mondiales ne s’élevaient qu’à 19 milliards de t, dont 1,5 pour la Chine, 4,7 pour les États-Unis et 0,51 pour la France qui représentait alors presque 3 % du total mondial

Il n’est pas évident que les pets de nos vaches expliquent l’augmentation du gaz carbonique qui par ailleurs n’explique peut-être pas un réchauffement climatique qui lui-même n’est pas évident…

Mais tout çà c’est trop compliqué pour un journaliste, la France n’est pas responsable du CO2 pas plus que nos vaches »(([15] EN 40 ANS LA FRANCE A RÉDUIT DE MOITIÉ SES ÉMISSIONS DE CO2, la sobriété française ne sauvera pas la planète et en plus rien ne prouve que le CO2 impacte les températures… | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

10) L’écologie favoriserait l’emploi et la croissance

Énorme duperie qui a fait plier trop de communes grâce aux subventions énormes pour leur laisser installer les éoliennes qui massacrent le paysage et finalement leurs finances. Car en fin d’exploitation c’est à la commune ou au propriétaire du champ loué qui deviennent propriétaires de l’éolienne en fin de contrat, et responsables de son démontage horriblement coûteux :

« Une association du Massif central a obtenu un devis d’une société de démolition industrielle et de récupération de matériaux pour évaluer le coût du démantèlement d’une centrale éolienne. Cette société est agréée pour réaliser ce type de travaux, elle possède le certificat ISO 14 001 correspondant. Cette estimation est donc entièrement crédible. Le devis se monte à 900 000 € pour une éolienne de 3 MW »(([16] https://environnementdurable.net/documents/pdf/demantelementtotal-sn.pdf))

Arnaque grand A !

En réalité, les dépenses consenties au nom de l’illusion vaine de « sauver la planète » détruisent massivement des emplois dans le secteur industriel et n’aident jamais nos agriculteurs, surchargés de normes souvent inutiles, à survivre dignement.

11) Le GIEC serait un groupe d’experts

Le mot « expert » ne figure pas dans la dénomination anglaise (« Intergovernmental Panel on Climate Change ») du GIEC, organisme non scientifique, mais politique regroupant 195 pays dont les représentants n’ont pour la plupart aucune expertise en matière de climat.

« Depuis sa création en 1988, cet organisme a compté quatre présidents dont aucun n’était climatologue. Les deux premiers étaient météorologistes (ce qui est entièrement différent), le troisième ingénieur des chemins de fer, et le dernier économiste.

En 2021, le rapport de 4 000 pages de la co-présidente, la Française Valérie Masson-Delmotte, indique qu’il a été élaboré par 751 auteurs issus de 66 pays (existe-t-il tant d’experts qualifiés du climat répartis dans autant de pays ?), tout en citant 14 000 références et en mentionnant avoir fait l’objet de 78 007 commentaires ! En fait, les conclusions rendues publiques émanent d’un petit groupe de rédacteurs finaux qui n’ont fait que reproduire en l’aggravant le contenu des cinq rapports précédents. »

12) Les scientifiques seraient unanimes

Vous assistez depuis deux ans et demi à la pseudo-unanimité des scientifiques dans le domaine du Covid et vous en voyez les monstrueuses conséquences d’appauvrissement, et de mortalité à la suite des confinements et autres mesures restrictives de liberté et des complications des injections géniques appelées abusivement vaccins.(([17] Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
ARRÊTEZ LES INJECTIONS ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Ce sont les mêmes mondialistes eugénistes qui possèdent les médias et censurent tous les avis contradictoires sur les réseaux sociaux.

Nous devons boycotter Facebook et autres Instagram qui intoxiquent la jeunesse entre autres et font le black-out sur de sérieux scientifiques qui dénoncent les mensonges.

« Depuis la création du GIEC, de nombreux scientifiques ont dénoncé et continuent à dénoncer ses affirmations. Ainsi, en 2019, 500 scientifiques, parmi lesquels des titulaires de Prix Nobel, ont adressé au Secrétaire Général des Nations-Unies une déclaration restée sans réponse, intitulée “Il n’y a pas d’urgence climatique”. »

Les six paragraphes sont les suivants :

  • 1/ Le climat terrestre a toujours varié 
  • 2/ Le réchauffement actuel est beaucoup plus lent qu’annoncé 
  • 3/ La politique climatique repose sur des modèles inadaptés 
  • 4/ Le CO2 est la nourriture des plantes, la base de toute vie sur terre
  • 5/ Le réchauffement climatique actuel n’a pas accru les désastres naturels
  • 6/ La politique doit respecter les réalités scientifiques et économiques

Le moment est venu de faire appel à la science, la vraie, celle qui repose sur des faits et non des hypothèses. D’après l’article de Johan Hardoy 07/06/2022(([18] Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

BATTONS NOUS CONTRE LE PASS CLIMATIQUE AUSSI FORTEMENT QUE CONTRE LE PASS SANITAIRE SON FRÈRE !

Nos libertés n’existent que tant que nous les défendons.
Si on accepte une restriction de celles-ci,
quel qu’en soit le prétexte,
nous ne savons pas si on les récupérera un jour.
Vive la liberté !

⁦@nstweetfr‬⁩

Aujourd’hui, on commence à parler de pass climatique, ce qui est complètement fou quand on sait que China Coal, une entreprise de charbon basée à Pékin, a émis à elle seule plus de 3,8 milliards de tonnes de CO2 en 2020, soit plus que l’ensemble des pays européens la même année. pic.twitter.com/74xZXP90ZL‬‬‬‬‬‬





Le langage secret des arbres


[Source : www.kla.tv/13743]

Dans une conférence passionnante, l’ingénieur Erwin Thoma, en tant que forestier, montre à quel point nous, les humains, sommes semblables aux arbres. Cela s’applique à la fois à l’individu et à la communauté. Découvrez quels principes de vie des arbres sont également à la base de notre coexistence. En répondant à cela, les multiples problèmes de l’humanité pourraient probablement être résolus – mais voyez par vous-même !

[Voir aussi :
La vie sociale des plantes
et
« Les plantes sont extraordinaires : c’est un modèle décentralisé dont tous les membres participent à la décision »]

Transcription

Ivo Sasek: « Nous arrivons maintenant au dernier orateur et j’ai voulu le placer là pour atterrir en douceur. C’est un homme qui m’impressionne beaucoup, beaucoup. Quand je l’ai entendu – je ne sais même plus dans quel contexte, on me recommande toujours beaucoup de personnes – j’ai été tellement fasciné par ce qu’il disait que j’ai tout de suite essayé de le gagner, mais ça n’a pas été si facile. Parce qu’aujourd’hui chez lui il aurait dû sortir le bois. C’était un peu dur, mais il a finalement laissé son travail pour être ici avec nous aujourd’hui. »
« Et tout ce que je peux dire de cet homme qui est assis là en bas… C’est un homme, quand il parle, alors après tu entends parler les arbres. Qui est cet homme ? On parle du Dr Erwin Thoma. Il nous en dira plus. S’il vous plaît, le voici. On verra à l’écran qui il est et je le prie de monter ensuite. »

Erwin Thoma, ingénieur
Un pionnier et expert très demandé dans le domaine de la connaissance des arbres et de la recherche sur le bois.
Né en 1962, a grandi en Autriche
Il est marié, a 3 enfants adultes

Formation
Formation de garde forestier
En 1985, il est devenu le plus jeune garde forestier autrichien en prenant en charge une région montagneuse isolée du Tyrol.
Plusieurs années d’apprentissage ont suivi, qui l’ont conduit dans l’industrie forestière et l’industrie du bois en Europe.

Activité
1990 Fondation de sa propre entreprise de transformation du bois, une entreprise pionnière qui fabrique des bâtiments en bois massif.
1998 Fondation de son centre de recherche et de développement pour la transformation de bois naturel.
La même année, dépôt d’un brevet international pour une méthode spéciale de construction en bois. Cette évolution a fondamentalement fait progresser la technique de la construction en bois.
Différents développements ont fait de lui un spécialiste reconnu du bois naturel dans toute l’Europe. Plusieurs universités européennes s’intéressent à ses développements.
Il a reçu de nombreux prix pour les maisons qu’il a construites, dont le prix de l’Innovation à Salzburg et la seule certification classe Or « Cradle to Cradle » à ce jour pour un matériau de construction.
Erwin Thoma transmet ses connaissances dans des émissions de télévision, des conférences et neuf livres, dont cinq sont des best-sellers. Ses livres ont été traduits en dix langues avec un tirage total d’environ 500 000 exemplaires.
Des reportages au Japon, aux Etats-Unis et dans toute l’Europe l’aident à établir un réseau international avec des architectes, des experts en construction et des représentants de la science et de l’économie.

Son thème aujourd’hui : « Le langage secret des arbres »

Ivo Sasek : Bienvenue !
Je ne sais pas ce qui va venir aujourd’hui, mais je ne souhaite qu’une chose : la petite histoire avec la résine, le papa avec la canette… c’était si mignon ! On peut apprendre tellement de choses de lui, j’en ai fait l’expérience, c’est vraiment impressionnant ! Bonne chance, bonne chance !

Erwin Thoma : Merci, cher Ivo, pour cette invitation et bonjour à tous, mesdames et messieurs.
Je suis si heureux de pouvoir faire pour finir un voyage avec vous dans un monde complètement différent. Aujourd’hui nous avons tant entendu parler des intérêts, du pouvoir, de la manipulation, des stratégies… dont on a besoin – de toute sorte de choses. Et j’aimerais maintenant voir avec vous comment y faire face dans un monde complètement différent du nôtre.

De quelle manière cela se manifeste dans la création, dans la nature ? Que faites-vous avec les participants les plus faibles du jeu, de la vie ? Que faites-vous pour assurer l’avenir de plusieurs générations ? Et ce voyage, je voudrais l’effectuer avec vous auprès des arbres et dans la forêt.
Maintenant, vous pourriez penser : Il a une tête de bois, car qu’est-ce que la forêt et les arbres ont à voir avec de tels sujets, avec des stratégies sur la façon dont nous, les humains, devrions rendre la terre juste et bonne ? Mais vous verrez bientôt que quand on s’intéresse aux arbres, alors on peut faire ce qu’on veut, on atterrit inévitablement dans les secrets profonds de la vie. C’est toujours comme ça quand on va dans la création.

Et regardez ceci : Qu’est-ce qu’un arbre ? Chacun d’entre vous a déjà vu un arbre et l’a touché, l’a étreint ou autre chose. Un arbre est une masse lourde. C’est quelque chose d’impressionnant. Les arbres font partie des êtres vivants les plus anciens de la terre, ils sont là depuis cent fois plus longtemps que les humains. On parle de 500 millions d’années. Et hier, nous avons vu de si beaux arbres, des épicéas et des sapins d’un diamètre de trois quarts de mètre et peut-être 30 à 40 mètres de haut. Un tel arbre, avec ses branches et ses aiguilles, peut peser jusqu’à dix tonnes. D’où viennent ces dix tonnes ?
Après tout, ça a été autrefois une graine de la taille d’une tête d’épingle qui est tombée au sol et aujourd’hui ce sont dix tonnes qui se tiennent là. D’où vient cette matière ? C’est quoi, ce bois, ce personnage ?
En cours de biologie, quand j’allais au lycée, le professeur nous a dit que les arbres poussent en puisant des nutriments dans le sol. Et nous pensions que le bois était du sol transformé. Mais ça ne colle pas. Si les 10 tonnes venaient de la terre, il devrait y avoir un gros trou, et ce n’est pas le cas. Mais je peux vous expliquer exactement ce qu’il en est : Un tel sapin… il y a exactement 0,5 % de la masse du sapin qui provient du sol. Le reste est de l’air et un peu d’eau transformée. Chaque arbre est un miracle. Et c’est là que toutes les explications scientifiques s’arrêtent déjà ! Chaque arbre est de l’air, qui se matérialise devant nos yeux, qui devient matière.

Quand un petit arbre commence à pousser, alors il fait exactement ce que nous avons tous fait en premier. En tout premier… Quelle est la première chose quand la vie commence ? Respirer ! C’est la bonne réponse. La mauvaise réponse que j’entends souvent est : crier. Mais la première est de respirer, de respirer, aahhhh. Et cet air est la nourriture de l’arbre.

Car les arbres ont réalisé la plus grande invention de la vie sur terre, la couleur verte. Ils ne sont pas verts par hasard. Ce vert est capable de filtrer l’énergie solaire, la lumière du soleil, de telle sorte qu’un mélange de rayonnement très spécial prédomine à l’intérieur de la feuille et dans l’aiguille ; et si le CO², le gaz de l’air circule là-dedans, alors il se décompose et l’arbre a gagné du carbone, carbone à partir duquel il peut construire son corps. Et il fait la même chose avec l’H²O, avec l’eau. Il se décompose aussi et l’arbre a de l’hydrogène. Et un arbre est une composition chimique d’hydrocarbures, avec très peu d’oligo-éléments et les oligo-éléments ont une fonction importante ; ils ne sont pas importants pour la masse, mais ils ont la fonction importante de donner aux molécules leur détermination. Ils en font des cellules spécifiques. Ils déterminent si elles deviennent une partie de l’écorce, un morceau de bois ou un morceau de feuille ou quelque chose d’autre. C’est jusque là que l’explication scientifique au niveau moléculaire est connue sous sa forme la plus brève.

Quand même, comme je l’ai dit, si on continue à se demander et à dire : qui contrôle ça ? Qui a eu cette idée ? Comment est-ce possible ? – Il n’y a plus de réponse en science. Vous devez chercher dans la religion ou dans la philosophie, mais je ne veux pas aller plus loin aujourd’hui, tout le monde peut chercher cette réponse lui-même. Bien sûr, en fin de compte, il doit y avoir une explication par rapport à la création.

Mais ce qui est passionnant pour moi, c’est de comparer l’arbre avec l’humain. Et j’aimerais d’abord faire la comparaison matérielle. Mesdames et messieurs, lorsque je prends le microscope électronique et que je prélève un tout petit morceau de votre corps, une cellule, puis que je la décompose et l’examine, c’est très surprenant : les blocs de construction qui composent notre corps sont exactement les mêmes que ceux qui composent l’arbre. Ils sont juste composés un peu différemment. Les oligo-éléments sont positionnés différemment.

Alors quand quelqu’un me dit : « Tu as une tête de bois », ce n’est pas du tout une insulte, il faut alors lui répondre : Bien sûr que c’est une tête de bois, mais Dieu merci – S’il vous plaît, oui, je suis content de l’applaudissement. Mais comme ça, ça n’ira pas, Parce qu’Ivo a pu apporter son message en une minute et si vous applaudissez toujours, je n’aurai jamais fini en une heure. Faisons donc ainsi, applaudissons à la fin si c’est possible. Mais si ce n’est pas possible… bon… faites comme vous pouvez. Donc, il ne s’agit pas de moi ici. Je suis un outil qui a un message à délivrer. Il ne s’agit vraiment pas de moi.

Retournons à la tête de bois. La différence, c’est que certains très petits atomes sont placés différemment. Je voudrais vous donner un exemple impressionnant de la façon dont nous sommes reliés, inséparablement reliés avec la nature, avec la création. Je vous ai dit que cette substance miracle qui fait la forêt, qui fait que tout cela prospère et se développe, c’est la chlorophylle, le colorant vert. Quand vous regardez une molécule de chlorophylle au microscope, vous voyez une structure magnifique. La meilleure comparaison c’est peut-être avec les cristaux de neige. Une merveilleuse structure géométrique avec carbone-hydrogène, carbone-hydrogène, arrangés de façon géométrique. Proche du centre il y a un anneau d’atomes d’azote et tout au milieu, assez étrangement, un seul atome de magnésium. Ce magnésium, c’est si peu par rapport à la masse totale, comme si je mettais un grain de sel sur une table. Ce n’est pas important pour la masse. C’est très peu. Pourtant, c’est au milieu. Ça a donc sûrement un sens.

Si nous faisons une expérience maintenant… et la chlorophylle est très importante, parce que sans la chlorophylle, les humains ne pourraient pas exister. Toute vie organique s’est développée grâce à ça. C’est très proche du secret de la création d’un point de vue scientifique. Si je retire maintenant ce magnésium au milieu et le remplace par un atome de fer, je n’ai rien changé à la masse de la structure globale. C’est si peu que ça n’a pas d’importance, c’est insignifiant. Mais une fois que j’ai mis le fer à la place du magnésium, toute la structure devient rouge, et je n’ai plus de chlorophylle, j’ai de l’hémoglobine, notre sang. Nous sommes si semblables, si voisins, si proches des arbres. Et je peux maintenant vous apporter plein d’exemples de ce genre dans les domaines de la chimie, de la physique et de la biologie.

Donc si quelqu’un dit : Je vis ici comme le seul et l’unique, et mon égo s’enfle et c’est moi qui façonne tout, c’est une grande erreur ! Vous pouvez faire ce que vous voulez. Nous sommes reliés à la Terre ! Nous sommes un organisme ! Nous, les humains… et les humains sont un organisme relié à la terre.
Et même si je vois de tels fantasmes de pouvoir. Oubliez ça. Bien sûr que cela existe. Mais il s’agit là de développements indésirables qui s’effondrent naturellement à nouveau. Je n’en doute pas. Biologiquement. Voila ! Il est important que nous le sachions.

Et je voudrais donner encore quelques exemples au sujet de l’arbre et l’homme. Peut-être une autre différence importante. Quand je vois un arbre tout petit dans la forêt, ou quand j’en plante un – j’en ai personnellement planté des milliers – alors il se passe quelque chose de vraiment passionnant : Un petit arbre qui commence sa vie sait dès le premier jour ce qu’il veut dans ce monde, et il le sait durant toute sa vie. C’est à mes yeux la plus grande différence avec nous, les humains.

Un arbre sait : « Je dois grandir vers le haut et je dois étendre mes bras, mes branches, ma couronne, mes feuilles pour que le soleil brille sur moi. Alors je peux accomplir toutes mes tâches. J’ai besoin de la lumière du soleil. L’air est là, l’eau est là, tout est déjà là. » Et c’est ce qu’ils veulent d’abord.

Ainsi, au début de leur vie, ils participent à une compétition, parce qu’il y en a toujours beaucoup dans la forêt. La nature est toujours gaspilleuse. Il y a toujours beaucoup de graines. Et puis elles poussent vers le haut. Et puis il y a ces théoriciens de l’économie de marché libérale qui disent : la concurrence règle tout, parce que dans la nature aussi tout est basé sur la concurrence. C’est une erreur tellement fatale qui nous conduit à de faux développements dans l’économie.

Parce que, dans les bois, il y a une compétition, mais seulement très, très brièvement. Il y a une petite course. Et quand les arbres sont en haut, plus un ne pense à étendre son pouvoir. Le point où toute compétition prend fin est celui où la vie de l’individu est assurée. Dès qu’un arbre est grand, il le sait dans sa cellule la plus profonde : nous allons tous mieux si nous fraternisons totalement.

La forêt sait : les tempêtes arrivent, il y aura la sécheresse, il y aura la foudre, il y aura le feu de forêt, il pourra y avoir le bostryche. Il y aura tant de défis à relever. Nous ne pouvons les surmonter que si nous sommes fraternels, aussi fraternels que possible. Cela signifie que la concurrence, l’illusion que la nature nous met en concurrence… c’est-à-dire – si quelqu’un dit une telle chose – soit il n’a aucune idée de la vie, soit il poursuit certains intérêts. De toute façon, ce n’est pas vrai. Biologiquement ce n’est pas plausible. Et Gerhard Wisnewski a dit une belle phrase. Il a dit : « La vie, c’est de l’organisation. » C’est vrai. La vie, un corps organique vivant a besoin d’organisation à l’intérieur et à l’extérieur.

L’organisation ne fonctionne que s’il y a une transmission de l’information. S’il y a communication. Dans notre cas des arbres, s’il y a le langage des arbres. C’est la très grande erreur suivante : nous, les humains, nous allons dans la forêt et nous disons souvent : Nous allons dans la forêt parce que c’est silencieux. Mais c’est seulement parce qu’on ne comprend pas ce qui se passe, que c’est si silencieux. Il se passe plus de choses dans les bois qu’entre nous les humains.

Commençons par la croissance du petit arbre. Un petit arbre est planté ou tombe au sol sous forme de graine et commence à pousser. Nous avons déjà entendu dire qu’il a besoin d’eau et d’air, mais il a besoin de ces 0,5 % d’oligo-éléments. Ces substances régulatrices, c’est ce dont il a besoin. Comment les obtient-il ? Ils sont dans le complexe de l’humus. Et un arbre est… c’est aussi une idée fausse très répandue… une racine n’est pas un travailleur de la mine. La racine ne peut rien prendre du sol. Rien, rien, rien, pas un seul atome. Rien ! La racine a besoin de quelqu’un qui reçoit une commande, et qui extrait du sol et apporte à la racine exactement le matériel dont l’arbre a besoin à ce moment-là. Elle a besoin de quelqu’un pour faire ce travail. Et ce « quelqu’un » ce sont les micro-organismes.

Juste pour avoir une image : En moyenne, dix à onze millions de micro-organismes vivent dans une cuillère à café de sol forestier. Ce n’est même pas concevable pour notre bon sens. Il y en a tellement. Ces micro-organismes ne font rien d’autre de toute leur vie, avec ces oligoéléments : ils savent qu’aujourd’hui il a besoin de fer, demain de magnésium parce qu’il fait de la chlorophylle, après-demain du calcium, du potassium, du manganèse, toutes sortes de choses ; ces oligo-éléments, ils les obtiennent de la terre et les portent à la pointe des racines les plus proches. Je vous pose la question : « Sont-ils stupides ? » Travailler toute la vie pour rien ? Vous feriez ça, vous ?

Mais ne vous inquiétez pas. Ils ne le font pas pour rien non plus. Les micro-organismes sont payés royalement. Ce sont tous des drogués et ils reçoivent de l’arbre quelque chose qui n’existe nulle part ailleurs. Là-bas, dans le monde obscur. Cela n’existe nulle part. Et c’est – je vais commencer par la formule chimique – pour ceux qui travaillent dans ce domaine… C’est C6 (du carbone), H12 (de l’hydrogène), 06 (de l’oxygène). C’est exactement ce qu’a cet arbre là-haut. Et pour qui s’y connaît en chimie, c’est du sucre. Alors dans la photosynthèse là-haut il ne fabrique pas que des cellules de bois, mais il produit aussi beaucoup de sucre en été, lorsque le soleil brille et que la sève coule. Et il transporte du sucre vers le bas et le distribue aux micro-organismes. Chaque fois qu’ils fournissent quelque chose, ils reçoivent une goutte de sucre pour ça. Et c’est pour ça qu’ils travaillent. C’est une symbiose. C’est une grande coopération. Et ils savent aussi qu’un seul n’y arrivera jamais. Nous devons travailler ensemble et communiquer. Ils ont besoin de savoir ce dont l’arbre a besoin. Il y a beaucoup de grandes recherches formidables en biologie à ce sujet.

Si quelqu’un va dans la forêt… si je vais dans la forêt et que je prends une hache, ce que je fais souvent comme forestier et… je marque un arbre. Parce que je dis que l’arbre doit disparaître, parce qu’il est déjà si gros et pourrait s’effondrer. Puis je fais un trou dans le tronc pour que le forestier puisse le trouver et le couper. C’est une blessure, un trou comme ça, et l’arbre le sent tout de suite. Et dans ce cas-là, quelque chose de très étrange arrive. En quelques minutes, en plein été pendant la période de croissance – si ça se passe en été – il arrête complètement sa croissance. Il a reçu le message : « Il y a une blessure. C’est dangereux. Les spores fongiques, les virus, les bactéries peuvent pénétrer, ils pourraient mettre ma vie en danger par la pourriture et des choses semblables. » Ainsi, il arrête immédiatement de pousser vers haut. Il arrête de fabriquer des cellules et utilise toute sa force pour guérir cette blessure. Et le plus étonnant, c’est qu’après dix minutes des milliards de créatures du sol savent qu’il y a une blessure là-haut, qu’il y a maintenant besoin de quelque chose d’autre et ils amènent d’autres substances depuis le complexe d’humus à l’extrémité des racines. Chers auditeurs, plus vous regardez profondément dans la nature, plus vous vous agenouillez devant les miracles de la création de la vie. C’est tellement génial. Il n’y a rien de plus fantastique. ça, c’était sur le sujet de la communication. Ou, quand il fait très chaud en été, un orage souffle dans une vallée montagneuse et la foudre frappe un arbre – c’est désastreux – c’est des forces incroyables. J’en ai fait l’expérience. Cela paraît incroyable mais je me suis tenu moi-même une fois sous un tel arbre et j’ai heureusement survécu. A ce moment-là, je me suis levé et j’ai dit : « Seigneur, tu as encore quelque chose à faire avec moi », – car en temps normal tu serais mort. Ça déchire l’arbre complètement, à l’intérieur, et des lambeaux s’envolent. C’est une force prodigieuse. Si ça arrive et que tu reviens le lendemain au même endroit, c’est étrange. Le lendemain, des milliers et des milliers de bostryches tournent autour de cet arbre voué à la mort, parce qu’il n’a plus de forces. Je me suis souvent demandé… Je n’ai jamais vu là-bas un tel insecte et là soudain, un de ces arbres est faible et malade, et alors ils sont là. C’est la police sanitaire de la forêt. Leur devoir est d’enlever le malade pour que ça n’aille pas plus loin. Ils sont là le lendemain, puis ils s’introduisent dans les arbres qui ont tous un pouvoir défensif incroyable. Les premiers qui s’introduisent, ils reçoivent dans la figure plein de résine, ça les englue et ils étouffent. De cette façon la nature maintient l’équilibre écologique. Mais ils savent qu’il est faible, qu’il ne peut pas le supporter. Nous sacrifions les mille premiers et les autres peuvent se multiplier et nous en avons un million de plus. C’est comme ça que ça marche.

Et dès que le premier arbre de la forêt est attaqué par le bostryche, il se passe quelque chose de passionnant. Tout l’entourage reçoit le message : « Ici il y a une attaque de bostryches » et bien qu’on prétende qu’ils sont en concurrence et qu’ils passent leur vie à jouer des coudes, comme nous le faisons dans l’économie, les arbres environnants arrêtent de pousser immédiatement. Ils ne disent pas : « Hourra ! Maintenant il y en a un de moins, nous avons plus d’espace ! » Ils arrêtent de pousser, ils cessent la concurrence et ensemble, ils produisent exclusivement des substances de défense contre les bostryches. Incroyable !

Quand le premier arbre sur un flanc de montagne signale : « Je manque d’eau, ça devient sec » – c’est un grave danger de mort. S’il constate que ses réserves d’eau s’épuisent, il le signale à tous les autres et dès qu’ils reçoivent le message, ils disent ensemble sur tout le flanc de montagne concernée : « Freinons la croissance de 20, 25 ou 30 %, et rétrécissons dans cette même proportion nos pores et ensemble ralentissons tout ensemble. »

Et puis il y a la surveillance. Ils s’observent l’un l’autre, et si le lendemain déjà dix arbres disent : « Nos réserves deviennent rares également », alors ils descendent encore plus bas jusqu’à la croissance zéro. Il y a sûrement des arbres qui dans cette situation se tiennent encore debout dans un creux humide et qui pourraient dire « Je peux en profiter, maintenant je pousse vers le haut », mais ils ne le font pas. Ils veillent à s’en sortir ensemble. Cette attitude n’a pas besoin d’explications. Je n’ai pas besoin de philosopher là-dessus, c’est évident. Tu regardes seulement. C’est fantastique, je vous dis.

Et puis il y a une autre question passionnante, pour que je puisse répondre à la fin à la question d’Ivo. Si ces cellules des arbres – je viens de l’industrie de la recherche sur le bois – je suis un entrepreneur et j’ai réalisé plus de 1 000 projets de construction en bois dans plus de 30 pays au cours des dix dernières années. Et je suis à l’aise dans le monde de la technologie, mais je m’intéresse toujours autant à tout ce qui se cache encore derrière. Et je me suis toujours demandé, cette cellule de l’arbre, c’est un tel miracle, la communication, le langage des arbres. Avant je dois dire comment ça marche, cette communication dans la sécheresse et tout ça. Vous ne savez probablement pas comment ils communiquent : Eh bien, par Internet, c’est clair. Vous riez. Internet est une invention de la forêt. Chaque arbre possède plusieurs souches de champignons souterrains et on estime que chaque arbre possède environ 30, 40 ou 50 kilomètres du meilleur système de mycélium de champignons du sol forestier. Le sol forestier est ultra réticulé avec des filaments de champignons qui nous sont invisibles. Et tout comme notre corps peut envoyer des impulsions électriques à travers le système nerveux, les arbres peuvent envoyer des impulsions biochimiques d’arbre en arbre le long des filaments fongiques. Exactement le même système. Il ne fonctionne pas aussi vite que l’électrique, mais s’il prend quelques minutes au lieu de quelques millisecondes, cela n’a pas d’importance dans la forêt.

C’est assez rapide. C’est l’Internet de la forêt. C’est comme ça qu’ils communiquent. Ils communiquent donc de façon biochimique par le biais du système fongique. Les champignons que nous cueillons pour manger ne sont qu’un petit phénomène de ce vaste monde souterrain de champignons. Et ils communiquent par l’intermédiaire de molécules odorantes qu’ils envoient dans le vent et que le suivant prend ensuite en charge. Et ils parlent aussi par des molécules odorantes aux autres animaux. Quand le coléoptère arrive, ils envoient immédiatement des molécules odorantes à tous les oiseaux qui aiment manger des coléoptères. Pour que les oiseaux sachent : « Il s’est concentré ici, vous n’avez pas à faire d’efforts, ici vous pouvez avoir le ventre plein et moi je serai libéré. » C’est ce qu’on appelle l’équilibre écologique.

Alors vous voyez (… je pourrais parler jusqu’à la nuit. Il faut vraiment que j’arrête maintenant).
Mais je veux vous montrer : la nature est si géniale. Nous n’avons rien besoin de changer. Au contraire, nous devons nous efforcer de préserver ces merveilleux systèmes, et tout ira bien. Nous n’avons pas besoin d’intervenir comme le Créateur, nous ne sommes pas le Créateur. On n’est pas assis sur la cabine du carrosse de la nature, nous en sommes les bénéficiaires autorisés à récolter et à conserver. Nous le sommes vraiment. Voilà pour le langage des arbres. J’ai écrit tout un livre. Il se trouve à la table de littérature, il s’appelle « Le langage secret des arbres ». Et vous pouvez tout lire à ce sujet, comment ça marche.

Mais les analogies avec la vie humaine sont fantastiques. Et j’ai aussi travaillé avec des scientifiques là-dessus. Et je me suis toujours posé la question qui m’a tant fasciné : « Si une cellule de l’arbre est si incroyablement semblable à notre cellule humaine, pourquoi la cellule de notre corps, si ça se passe très, très bien fonctionne 100 ans, et ensuite c’est fini ? » Quand je sais qu’il existe des arbres qui vont durer des milliers d’années. Le plus vieil arbre connu de la science a 9 600 ans. Quelle sagesse ces êtres ont-ils acquise pour faire fonctionner des cellules de la même substance de base pendant des millénaires ? Imaginez si nous pouvions élucider le mystère aujourd’hui et ensuite préparer une grosse marmite d’élixir miracle, et que tout le monde en ramène une canette à la maison ! Et tu appliques ça sur le visage et demain tu te regardes dans le miroir et tu as l’air d’avoir 17 ans. J’ose douter que ce soit bon pour notre psychisme. Mais au moins, ce serait fascinant. Mais comme vous pouvez le constater, il y a une quantité incroyable de sagesse, de connaissance et d’expérience dans la forêt qui peut être bénéfique pour nous, les humains. Il y a une quantité incroyable là-dedans.

C’était juste une petite introduction philosophique. Je veux être aussi concret que possible et ne pas me contenter de rester dans la théorie, parce que tout cela a beaucoup à voir avec notre vie, avec ma vie, avec la vôtre, avec la vie de vos enfants et de nos descendants. Cela a énormément à voir avec nous. La vie, le devenir, le va-et-vient des arbres. Cela a beaucoup à voir avec nous. Parce que nous, les humains, comme nous l’avons si bien entendu aujourd’hui – Hagen, tu l’as si bien présenté – nous sommes dans une impasse dans plusieurs domaines. Toutes ces tentatives de s’accaparer le pouvoir sont en fin de compte un acte de désespoir. Je suis plein de pitié pour les gens qui consacrent leur vie à de telles choses, c’est une action désespérée. Et quand je regarde l’économie en tant qu’entrepreneur, je secoue la tête.

Comme vous l’avez entendu, ma première profession, ma première formation, c’était forestier. Et je disais : « C’est le travail de mes rêves, d’être forestier. » Et j’ai eu la chance d’être le plus jeune garde forestier d’Autriche. A un peu plus de 20 ans, j’étais déjà garde forestier. J’étais le seul à l’époque. Mais c’était une coïncidence qui n’avait rien à voir avec mon efficacité, mais avec des circonstances complètement autres. C’est une coïncidence si j’étais jeune… et j’ai commencé comme garde forestier… Pour la première fois, ils n’avaient trouvé personne pour une fonction pour laquelle d’habitude de nombreuses personnes se bousculent, personne pour ce poste dans la région montagneuse du Karwendel au Tyrol. Et la raison pour laquelle ils n’en ont pas trouvé, c’est que le chalet du forestier se trouvait à 80 km du bureau régional et qu’en hiver, vous étiez ensevelis sous la neige pendant des semaines. Il n’y avait pas encore de paravalanches. Quand l’avalanche arrivait, ils fermaient simplement la vallée et il fallait subsister seul.
Et j’ai eu beaucoup de chance… je suis marié depuis presque 40 ans… et j’ai eu beaucoup de chance que ma femme, juste avant cela, au moment où elle était amoureuse de moi (les jeunes filles doivent être très attentives maintenant, il faut être très prudent) – elle m’a dit à ce moment-là : « J’irai partout avec toi. » Imaginez un peu ça. Et dès qu’elle l’a dit, j’ai entendu dire qu’il y avait un poste de garde forestier pour lequel ils ne trouvaient pas de fou. Et j’ai postulé et j’ai été transféré là-bas.

Et nous voilà tous les deux devant la maison du forestier au milieu de la forêt et il n’y avait pas d’électricité. C’était une situation d’autarcie, et c’était merveilleux ! Pour moi, c’était un rêve parce que je passais toute la journée dans la forêt et j’ai pu me réaliser loin de la bureaucratie. En hiver, il faisait sombre, nous avions un enfant chaque année – c’était un temps merveilleux.

Et dans le chalet forestier, en plus d’expériences pleines d’humour, j’ai pu faire des expériences très profondes. J’étais un jeune technicien, un ingénieur et j’étais convaincu de la technologie. J’ai vu comment en utilisant les méthodes moyenâgeuses des travailleurs forestiers sont morts au travail. J’ai vu des accidents de travail quand ils descendaient le bois de la montagne avec un traîneau. C’était très, très difficile et laborieux. Et puis il y a eu les machines – un vrai soulagement. Et au début, nous avons trouvé que ces machines étaient une bénédiction. Et j’ai essayé de mettre la technologie là-dedans. Et c’était un peu comme si cette vision du monde devait être ébranlée seulement par la technologie, il fallait toujours que je fasse des expériences.

Par exemple, un jour, deux hommes sont venus me voir et m’ont dit : « Nous sommes deux luthiers et nous avons entendu dire qu’au Moyen Age les grands maîtres de la lutherie ont trouvé leur bois dans les hautes vallées du Karwendel. » Ils m’ont demandé si j’étais prêt à chercher de tels arbres avec eux. Alors je me suis dit : « Ça a l’air intéressant, je ne connais cela que par ouï-dire, alors j’y vais et je regarde ». Et quand nous sommes allés là-haut dans une de ces vallées, ils m’ont expliqué qu’il faut un arbre à violon qui a poussé très tranquillement, très bien et donc dans les montagnes. Et les meilleurs arbres qui ont telles mutations génétiques, qui n’ont pas de ligne droite, qui ont telles fibres ondulées, c’est extrêmement difficile et rare à trouver.
Je me suis dit « Bon, on va bien voir ce que ça va donner ! »

Puis ils ont commencé à cogner sur les arbres là-haut dans la forêt et à écouter. Pour moi, c’était toujours le même « toc, toc ». Je n’ai pas entendu de différence. Et puis je me suis ennuyé. Je suis ensuite allé ailleurs et après quelques heures je suis revenu, ils étaient tout excités et ils m’ont dit : « Nous avons trouvé un arbre qui pourrait être bon. » Alors j’ai dit : « Eh bien, je vais jeter un coup d’œil. » Je suis descendu sur la route où était ma vieille VW coccinelle et j’ai sorti la tronçonneuse, j’ai pris une hache et des cales, je suis remonté et j’ai coupé dans le tronc de l’arbre. J’ai fait une entaille. Comme l’arbre était très ancien, il s’est écroulé.

De toute façon je devais faire des coupes à cet endroit, et ça n’avait pas d’importance, ça allait. J’ai fait l’entaille d’abattage, j’ai fait la coupe d’abattage, je l’ai coincé et à un moment donné, la cime a commencé à trembler. Puis l’arbre se penche, il se tient à la fin seulement sur un petit morceau de bois… Et il bascule. Et dans ces moments-là, quand toi, un petit bonhomme avec une scie bruyante, tu abats un être vivant, c’est toujours – pour moi – un moment où je rentre en moi. J’étais très calme et j’ai essuyé la sueur de mon front et j’ai regardé : Waow. Et tous les deux se sont agenouillés immédiatement et ont regardé la coupe, les anneaux de croissance de l’arbre. Parce que les anneaux annuels de croissance sont son journal intime. C’est là qu’il écrit toute sa vie.

Vous pouvez voir ce qu’il a vécu. Vous voyez, par exemple, s’il n’a pas eu de lumière quand il était petit parce que le père était trop puissant et n’a pas laissé le garçon grandir. Alors… les couronnes… puis ils végètent et n’ont aucune chance. C’est pourquoi il est si important que les vieux arbres de la forêt s’en aillent. Ce n’est que lorsque les grands arbres sont enlevés que les jeunes arbres ont une chance – c’est un processus naturel. Ou… vous voyez, s’il y a eu la famine, la sécheresse, vous voyez, si le sol a commencé à glisser, parce que tout cela se reflète. Il doit fabriquer du bois de réaction, subvenir à ses besoins, etc. Et tous ces processus sont mauvais parce qu’ils créent une tension dans le bois. Il n’y avait rien de cela avec cet arbre – c’était parfait ! Et la fibre était si ondulée – je n’arrivais pas à y croire, je me suis dit : « Comment peuvent-ils entendre ça ? » Mais c’était comme ça. Et ils l’ont regardé, ils étaient plus qu’heureux, et je leur ai vendu un morceau de bois. Ils sont repartis en voiture, ravis, et puis je n’y ai plus pensé. Ma tâche était de vendre le bois par 1 000 mètres cubes à la grande industrie. Et pas de si petites sections. C’était juste un hobby pour moi.

Un an plus tard, on frappe à nouveau à la porte… les deux mêmes personnes se tiennent de nouveau devant ma porte d’entrée. Je les ai reconnues et je leur ai dit : « Si vous voulez encore chercher du bois de violon cette année, alors partez seul et je viendrai plus tard… » Ils ont dit « Non ». « Nous ne sommes pas ici pour chercher du bois, nous sommes venus vous remercier. Parce que le tronc, c’était parfait. » Et ils m’ont expliqué que normalement il faut stocker le bois pendant dix ans avant qu’on puisse vraiment fabriquer des violons.

Mais ils ont pu tirer un grand nombre d’ébauches et ils ont déjà fait un violon d’une seule pièce. Et le violon était finalement si merveilleux qu’ils n’arrivaient pas à le croire. J’étais un peu débordé parce que je pensais… (à l’époque, il n’y avait ni e-mail ni fax) – j’ai dit : « Vous auriez pu écrire une carte postale et pas venir si loin. »
Mais ils ont dit : « Non. Nous avons décidé de vous remercier par un concert. » Ils ont sorti le violon de la voiture et un deuxième. Je suis entré dans la maison, je suis allé chercher ma femme, les enfants et le chien – ils se tenaient tous là – et puis ils ont commencé à jouer tous les deux.

Et je me suis dit : « Waow » – J’étais toujours seul dans la forêt, en été, en hiver, on y entend tant de voix. Chaque jour est différent dans la forêt. C’est pas seulement l’humidité de l’air qui change, le vent, la pluie, la neige, le gel, le dégel, c’est toujours différent ! Mais je me suis dit : « Cette voix de l’arbre que j’ai moi-même – moi-même – abattu, je ne me serais jamais attendu à cela. » Et ils jouaient du violon, au milieu de la forêt, et je me suis dit : « C’est un autre monde. » Et puis nous les avons invités à manger. Et ils m’ont expliqué : « Un violon c’est rien de plus qu’un demi kilo de bois, mais mis dans la meilleure forme. Avec tout l’amour, avec toute l’expérience, avec toute la maîtrise, que les gens ont acquis au fil des siècles. »

Puis je me suis dit : « S’ils n’étaient pas venus, j’aurais amené cet arbre – cet arbre merveilleux – dans une grande scierie et ils l’auraient coupé en planches et ils l’auraient mis quelque part. » Aucune valeur ajoutée ! Aucune valorisation ! Je leur ai dit ça, ils ont ri et ils ont dit : « Oui, la valeur ajoutée dans notre secteur c’est énorme ! » Si vous considérez un violon de Stradivarius ou de Guarnerius, de ces grands maîtres, il a aujourd’hui du poids, il vaut cent fois plus en or qu’un demi kilo de bois. Alors je me suis dit : « Oh mon Dieu, j’envoie des arbres à l’usine de panneaux d’aggloméré, ils transforment les arbres en déchets dangereux ! » Et moi qui pensais vivre à l’époque moderne où tout s’était amélioré. Et j’ai commencé à douter de ce que nous faisions.

Et puis il y avait grand-père dans notre famille. C’était un charpentier de 80 ans. Et à cinq ans, Florian (qui se tient maintenant à la table de littérature) a commencé l’école. Puis j’ai dit – bien que ça aurait été inimaginable il y a quelques années… J’ai quitté mon poste d’Etat sûr et j’ai pris cette décision avec mon grand-père : Nous deux – il avait plus de 80 ans, j’en avais 26 ou 27 – nous allons fonder une entreprise. Je voulais découvrir le secret des arbres. Dans mon cœur, il y avait simplement cet appel : je dois aller dans la nature ! Et contre tout bon sens, j’ai suivi cet appel du cœur.

Ce n’était pas si drôle. Si tu es père de jeunes enfants et responsable de nourrir la famille et que tu dis : « Je lance une action à hauts risques » et je n’ai ni plan d’affaires, ni…, rien du tout, seulement grand-père comme conseiller d’entreprise. Alors grand-père a dit : « Attention ! si nous deux on travaille ensemble, il faut que tu prennes le bois dans sa meilleure forme. » C’est là que j’ai pensé : « Oui, oui, oui, dans la meilleure forme, c’est logique, il faut prendre un bon arbre ». Il a dit « Non, non. Il faut récolter le bois de lune au bon moment. »

Je n’étais pas à l’aise avec ça. Parce que j’ai étudié la sylviculture, lui, non. Et ils ne m’ont pas dit que c’était important. J’ai eu de la chance, lui, il n’a pas eu de chance. J’ai pu faire la formation que je voulais. Il était orphelin quand il avait 7 ans. Après la fin de la Première Guerre mondiale, il a appris le métier de charpentier avec grande difficulté. Et puis il s’est retrouvé en Russie, sur le front de l’Est. C’était sa vie, pas de formation. L’année dernière, en Crimée, j’ai visité les endroits où il avait dû passer, où tous ses camarades sont morts. Terrible ! Quelle chance nous avons, de vivre dans une telle paix.

Et j’étais un peu arrogant à l’époque et je me suis dit : « Grand-père et le bois de lune. Oublie ça, ésotérisme, ça ne va pas du tout. » Mais il a été têtu (je résume) jusqu’à ce qu’il me force à récolter mon premier lot de bois de lune. En hiver, nous coupons les arbres en janvier dans la neige profonde. J’étais là, j’ai écrit le « T » pour Thoma sur chaque arbre, pour qu’il puisse être envoyé à notre petite scierie. Alors nous avons déjà commencé à construire une petite scierie. Et à la nouvelle lune, j’ai dit : « Ça y est. Les quelques centaines de mètres que nous avons coupés sont stockés dans l’alpage. Parce que, maintenant, la lune change. » Et grand-père a dit : « Je ne peux plus rien faire d’autre. » Et certains bûcherons disaient : « Oui, oui, oui, les vieux ont raison. C’est un bon point. » Et les autres souriaient. Et c’est comme ça qu’on a fait.

Au printemps, en mai, le bois se trouvait encore sur l’alpage. J’ai vérifié. Les bûcherons ont continué à travailler après que moi, j’avais arrêté. Mais un voisin a coupé le bois par la suite. Et il l’a aussi stocké sur l’alpage – 50 m plus loin. Au printemps, les bostryches sont venus et ils sont allés sans exception dans le bois voisin. Et le mien a été épargné. Puis je me suis retrouvé dans l’alpage et je me suis dit : « Je suis une personne lucide et le coléoptère n’a pas de placebo. Le bostryche aurait dû envahir les deux piles de bois, s’il était là. » Mais il ne l’a pas fait. Alors je me suis dit : « Grand-père, tu sais des choses dont je n’ai aucune idée.» Et je me suis humilié et je lui ai dit : « Grand-père, je n’y croyais pas. » Puis il m’a dit : « Tu seras surpris, tu verras que le champignon n’entrera pas là-dedans. »

Nous sommes donc arrivés à la conclusion que ce bois dure des années, des décennies, des siècles plus longtemps quand il est intégré dans une construction, et qu’on n’a pas besoin d’une goutte de ce produit toxique pour préserver le bois, si on travaille comme ça. Et puis j’ai réalisé quel trésor le vieil homme m’a donné. Et puis là seulement, j’ai réalisé qu’il n’y a bien sûr aucun intérêt à enseigner aux jeunes techniciens dans les écoles comment l’industrie chimique ne fait pas d’affaires, c’est logique. Il y avait des dons de cette industrie précisément dans toutes les salles de classe, pour que ça puisse être enseigné. Waow !

Et puis j’ai commencé à écrire des choses et je les ai écrites parce que j’ai dit : « Pour les enfants, les petits enfants, ils seront grands un jour, peut-être que ça les intéressera. » Et j’ai écrit un journal intime.

Un jour, un éditeur est venu me voir. Il voulait acheter un plancher. Pas une maison à l’époque, un petit plancher. Et nous avons entamé la conversation et nous avons également abordé le sujet du « bois de lune ». Et alors je lui ai expliqué et je lui ai raconté comme je vous le raconte maintenant. Et j’ai feuilleté mes notes parce que je voulais lui montrer exactement d’où venait le bois pour son plancher. Alors il regarde, écoute, écoute et dit : « M. Thoma, vous devez écrire un livre. C’est très intéressant. » Et j’ai ri et j’ai dit à l’époque : « Je suis une tête de bois. Je ne sais pas écrire un livre. » Alors il dit : « Vous avez écrit un livre. Le manuscrit, il est posé là. » « Ce n’est pas un manuscrit, c’est mon journal pour les enfants, mais pas pour un livre. » Alors il dit : « Mais il suffit de le formuler pour pouvoir le lire comme un texte en continu, alors vous avez un livre merveilleusement intéressant. » Je me suis dit : « Ce n’est peut-être pas une mauvaise idée, puisque moi aussi, je l’ai eue en cadeau de mon grand-père. » J’y ai réfléchi et j’ai dit : « Pourquoi pas ? Je vais y réfléchir. »

Quelques jours plus tard, je vais voir mon comptable pour clarifier certaines questions comptables et après, nous avons pris un café et il me dit : « Comment ça va ? » On a parlé et j’ai dit : « Tu sais, c’est drôle, je crois que je vais écrire un livre. » Alors il rit et dit : « Mais qu’est-ce que tu veux écrire, comme livre ? » Alors je lui ai raconté l’histoire, il a écouté en silence, puis il a dit : « Écoute, maintenant je te dis quelque chose : je t’ai accompagné dans les années fondatrices les plus difficiles. Peu de jeunes entrepreneurs survivent à un tel risque. Et tu as de la chance que ton grand-père t’ait donnée des connaissances si spéciales. C’est un avantage de savoir-faire, c’est une longueur d’avance. Il faut le protéger, le défendre, il faut mettre ça dans un coffre-fort, pas dans un livre. Tu veux écrire un livre pour que tout le monde t’imite ? Tu es fou ? » Alors je me suis dit : « Il a raison aussi. » « Qu’est-ce que je dois faire maintenant ? » J’étais complètement déstabilisé et je suis rentré chez moi. Et je me suis dit : « Qu’est-ce que je dois faire ? »

Si vous ne savez plus, mes chers amis, s’il vous plaît, s’il vous plaît, si vous ne savez plus comment avancer, allez dans le silence ! Peu importe comment, que vous alliez dans la prière ou non, peu importe. Mais allez dans le silence. Et c’est ce que j’ai fait. J’en ai parlé à ma femme et j’y ai réfléchi. Et en étant assis sous un arbre, je me suis dit : « Que fais-tu, arbre, pour réussir comme ça ? » Je me suis dit : « Oui, c’est ça ! » Savez-vous quel est l’arbre qui a le plus de succès ? L’arbre qui a le plus de succès, c’est celui qui donne le plus de son savoir, de ses plus grandes richesses ! Et le perdant, c’est celui qui accumule ses richesses. Toujours, toujours, toujours, toujours !

Vous vous souvenez de l’histoire avec le sucre ? Le sucre, c’est l’or de la forêt ; avec le sucre on peut tout obtenir dans le monde des plantes. Tout, tout le sol travaille pour toi si tu as du sucre. Et l’arbre qui donne le plus, donne le plus, donne le plus, il reçoit le plus en retour. C’est vraiment comme ça. Et quand je l’ai fait… plus tard, quand ma fille a commencé à étudier la gestion d’entreprise, j’ai participé à temps partiel et j’ai étudié l’économie. Et là, c’est le contraire, que j’ai appris. Tu y apprends plein de choses, mais exactement le contraire. Mais à l’époque, je n’ai fait qu’en rire parce que je savais déjà mieux. Je vais être bref, j’ai décidé d’écrire le livre parce que je me suis dit : « A quoi bon ? Qu’est-ce que je suis censé amasser maintenant ? Ces connaissances, c’est grand-père qui m’en a fait cadeau ; moi aussi, j’en fais cadeau. » Si je ne l’avais pas fait, je ne serais pas là. Je ne serais pas là. Vous n’avez aucune idée de ce qui s’est passé.

La première chose, c’est ceci : le livre est sorti, c’était complètement non-professionnel. Je n’avais aucune idée de ce que c’est, l’écriture, je n’en avais vraiment aucune idée. Le livre est sorti et ça a été un best-seller ; nous avons tout de suite vendu les 100 000 premiers exemplaires. Un nombre incroyable, incroyable. Et j’ai reçu une avalanche, une avalanche de lettres, de retours, venant de forestiers, de bûcherons, de menuisiers, de vieux maîtres charpentiers, d’ébénistes, qui ont écrit : « Nous sommes si heureux que quelqu’un transmette cette expérience et maintenant nous vous écrivons ce que nous avons vécu. » J’ai reçu une bibliothèque de connaissances qu’on ne peut acheter nulle part dans le monde. C’était le premier remerciement. C’est incroyable.

En même temps, j’ai été attaqué dans les termes les plus forts. L’industrie chimique et la grande industrie des panneaux d’aggloméré sont arrivées et ont dit : « Bois de lune, si tu vends cinq mille livres, ça nous est égal, mais si tu vends cent mille livres, les clients commencent à nous en demander. Ça, ça ne nous plaît pas. » Alors ils ont donné un ordre de commande pour des études qui proclament que le bois de lune c’est n’importe quoi. Ça, c’est du lourd ! Si tu veux survivre en tant qu’entrepreneur et qu’il y a une étude officielle selon laquelle c’est de la fumisterie et que tu trompes les gens, ça tu dois d’abord y survivre. C’était une épreuve amère, mais vous le savez que si on survit à une épreuve, c’est qu’elle était bonne. Et savez-vous comment nous avons survécu à cela ? C’est ce qui a été le plus drôle. Après des nombreuses lettres positives, on nous a demandé si nous voulions recevoir une délégation du Japon. Alors je me suis dit : « Je ne connais le Japon que par la géographie, mais qu’ils viennent s’ils veulent. » Alors les gens sont venus du Japon et le chef de la délégation était un moine bouddhiste, un petit homme, enveloppé dans un tissu orange et ils avaient des interprètes avec eux, ils étaient très bien préparés et ils ont posé beaucoup de questions sur ce que nous faisons. Alors j’ai dit : « S’il vous plaît, je dois vous demander pourquoi vous êtes venus ». Alors l’homme me dit qu’il est le directeur du monastère, qui est le plus ancien bâtiment en bois sur terre. Il s’agit d’un bâtiment en bois vieux de 1 650 ans, de pagodes (un temple en forme de tour de quatre à cinq étages) et de bâtiments de ce genre. Et dans le monastère il y a des documents exacts sur la façon dont le bois a été récolté, à quel moment il a été récolté, comment il a été séché et traité. Et c’est 100 % cohérent avec ce que j’ai décrit dans le livre. Et ils ont été tellement surpris que quelqu’un en Europe ait écrit quelque chose comme ça, qu’ils ont décidé de rencontrer cette personne. C’est là que j’ai été stupéfait. J’étais assis là et j’ai dit : « La seule chose que je peux dire à ce sujet, c’est que le grand-père, il n’était sûrement jamais allé au Japon. »

Oui, oui… ça fait rire, mais en même temps j’ai été catégoriquement exclu de tous les appels d’offre dans mon pays d’origine, l’Autriche. Nous n’avons pas eu la chance de trouver du travail et le moine me dit au moment de l’adieu : « Ce que vous faites est bien. » J’ai dit : « Pourquoi ? » Alors il a dit : « Parce que vous travaillez d`une façon qui ne laisse aucune trace sur Terre. » Cela m’a beaucoup touché, parce que notre grande préoccupation était de batir une maison de manière à ce qu’elle soit encore bonne pour les générations à venir. En d’autres termes : qu’elle soit complètement exempte de déchets et d’ordures, qu’elle ne dégage aucun gaz chimique. Les colles utilisées dans l’industrie du bois sont toutes hautement toxiques. Il faut que ça dégage. Nous avons tout remplacé par des fixations en bois. Et nous avons tellement souffert de ce que ce travail, qui nous a menés à la limite de nos forces, ne soit pas apprécié. Et puis les Japonais arrivent et l’apprécient. Eh bien, ça a fait chaud au cœur. Puis il m’a dit : « A cause de cela, je vais vous soutenir. » Je l’ai remercié mais il y avait encore le Thomas incrédule en moi qui s’est dit : « C’est joliment dit… Mais tu ne me soutiendras pas du tout, parce que je ne te reverrai plus jamais. » Mais je ne l’ai pas dit, bien sûr.

Deux semaines plus tard, j’ai reçu un appel d’un éditeur de Tokyo – ce n’est pas qu’il voulait, il devait traduire mon livre en japonais et le mettre sur le marché, si j’étais d`accord. Bien sûr que je l’étais. La traduction en japonais a été la toute première traduction de mes livres. Et deux ans plus tard, j’avais plus de maisons dans le lointain Japon que dans mon pays natal, l’Autriche. Et tous les clients japonais, tous sans exception, avant que nous prenions une planche entre nos mains, avaient transféré d’avance en toute confiance 100 % de l’argent et pas une seule fois ils n’ont négocié une remise. C’était incroyable. Et avec cet élan, qui est venu de la générosité, nous avons pu développer l’ensemble de l’entreprise et j’ai construit mon centre de recherche.

Et là j’ai su, là je l’ai vécu moi-même, là Thomas l’incrédule s’est converti, là j’ai su que ça marche ! La création fonctionne quand tu fais de l’hygiène de l’âme. Si tu fais en sorte de garder dehors toutes ces bêtises. Et si tu te tournes du côté où il y a la vie, ça fonctionne. Là tu seras porté. Je n’ai pas grand-chose… Ivo, je connais si peu de ta vie. Mais quand je regarde ce qu’il y a ici, tu ne l’aurais pas imaginé au début. Tu es porté. Mais il faut avoir le courage de faire le pas et de dire : « Je m’engage. » Alors tu seras porté.

Oui, le bois de lune ! Mais là, bien sûr, c’était juste le début. C’est à ce moment-là que nous avons réalisé… alors pour moi, ces attaques étaient extrêmement précieuses ! J’ai pardonné à tous les agresseurs du fond du cœur et je leur en suis reconnaissant aujourd’hui. Ils sont des outils, sans le savoir. Parce qu’ils m’ont appris que la science et les connaissances anciennes doivent être réunies. Qu’il n’y a pas d’opposition, qu’il s’agit de laisser entrer la nature dans la vie. Et de ne pas dire : « Je suis membre du parti de la nature ou du parti… ». Il n’y a rien de tel ! Nous sommes une unité !

Et j’ai réalisé ceci : Nous devons faire de la recherche, de la recherche, de la recherche.
Puis nous avons dit : tous les produits chimiques dehors ! En premier nous avons développé des murs en bois massif assemblés mécaniquement.

Puis j’ai fait les premiers tests de résistance au feu. Au début des années 90, les meilleures constructions en bois les plus résistantes du monde pouvaient résister 30 minutes aux flammes expérimentales dans les laboratoires d’essai – elles ont obtenu la certification F 30 (= résistance au feu pendant 30 minutes). Mais avec nos murs et nos plafonds épais le mazout dans le brûleur s’est épuisé après deux heures pendant le premier essai au feu en laboratoire. Ensuite, ils ont dû répéter le test et nous avons été les premiers au monde à recevoir la certification F 180 : trois heures de sécurité incendie. Après trois heures, tout est déjà évacué depuis longtemps ! On ne peut pas faire ça avec du béton armé. Parce que quand il brûle à 1 000 degrés, après une demi-heure à une heure, le fer dans le béton armé est recuit et il s’effondre. Et ça, nous y sommes arrivés avec du bois !

Puis dans les années 90 et surtout après le tournant du millénaire, il y a eu cette campagne d’isolation. C’est toujours le même truc ! Le but est juste, bien sûr ! C’est juste, bien sûr, que nous ne devons pas piller du pétrole quelque part pour le transporter, avec tous les risques, dans le monde entier – et ensuite le brûler, seulement pour chauffer nos maisons. C’est bien trop précieux. Mais expliquer aux gens que pour économiser de l’énergie, ils doivent envelopper toutes les maisons avec des polystyrènes toxiques, dans lequel les maisons moisissent et dont personne ne peut plus se débarrasser… une vraie saleté, c’est de la folie ! C’est de la folie !

Etant de vrais marginaux, nous avons toujours dit : nous ne faisons jamais de publication, jamais ! D’abord construire, parce qu’alors personne ne peut dire « Ça ne marche pas ! » En parler seulement après. En tant que vrais marginaux, soutenus par des gens formidables, l’EPF Zurich (Ecole polytechnique fédérale de Zurich), nous avons toujours très bien travaillé avec les universités suisses (ici il y a encore un peu plus d’indépendance qu’ailleurs, il faut le dire) – nous avons construit les premières maisons autonomes en énergie ! Je construis une maison pour tous ceux qui le veulent, une maison qui se chauffe et se refroidit toute l’année ! Jamais plus froid que 18 degrés et jamais plus chaud que 24 degrés ! Sans que tu aies besoin d’un poêle ! Seulement avec le soleil qui brille sur le toit et avec la chaleur accumulée dans l’épaisseur du bois. Le bois isole plus d’un mois ! C’est ce que nous avons développé ! C’est ce que la nature nous offre, ça marche !

Tout comme l’a dit Barbara (l’oratrice précédente) : « Je n’ai pas besoin de Ritaline, je peux m’en sortir différemment ». Mesdames et messieurs, je n’ai pas besoin d’isolation ! La crise énergétique n’est pas un problème pour moi. Nous n’avons pas de crise énergétique. Pas du tout ! Nous avons des mauvais concepts ! C’est tout !

J’ai dû et j’ai pu construire cinq usines dans ma vie ! Et je me souviens quand nous avons construit la première usine, je me suis dit : Maintenant, nous devons la faire très grande, parce que si nous construisons des hôtels ou… Au début, nous avons construit des maisons individuelles, ensuite des bâtiments de 4 étages, puis nous avons construit la première maison du centre-ville à Hambourg, bâtiment classe 5, uniquement avec du bois, seulement avec du bois. Et on a apporté tous les certificats de sécurité incendie et on a fait les hôtels en bois les plus silencieux du monde. Puis nous avons eu la merveilleuse commande de construire une université à Moscou… nous avons fait de grandes choses. Et puis ça a pris de l’ampleur. Alors je me suis dit : « C’est comment maintenant ? Maintenant, nous avons besoin de grandes usines, de grands halls, beaucoup plus grands qu’ici, et il y a de grosses machines à l’intérieur – est-ce que je dois aussi puiser dans le réseau et l’énergie nucléaire ? Si je fais ça, j’atterris dans l’impasse de la dépendance ». Ma plus grande usine, où nous construisons le plus grand nombre de maisons, c’est au nord de Bâle en Allemagne, donc près de Fribourg/Lahr dans la Forêt-Noire. Là tout fonctionne à l’énergie solaire ! Avec le soleil qui brille sur le toit ! Tout fonctionne, toutes les machines fonctionnent ! N’importe quoi ! Chaque maison qui sort d’une telle usine si elle doit être enlevée, peut être démontée,… elles durent 500 ans, elles durent aussi longtemps que ça… Et si elle doit être enlevée rien n’est jeté, ce sera à nouveau une maison ! On peut dévisser les murs, ça retourne à l’usine, le robot perce les goujons qui maintiennent tout ensemble – il prend planche par planche – et il construit la maison suivante avec.

Les matières premières ne manquent pas, Mesdames et Messieurs ! Pour moi c’est scandaleux – SCANDALEUX – qu’on fasse peur en prétendant que la pénurie règne sur terre ! C’est le mauvais tour le plus méchant qui soit. La terre, la terre, la création, la création de Dieu est un lieu d’abondance et de joie ! Sortez au printemps et regardez un cerisier. Le cerisier a la tâche de porter disons 1 000 cerises. S’il avait été chez McKinsey [consultant en gestion] et s’il avait appris, il aurait fait pousser exactement 1 020 fleurs. Parce que tout le reste, c’est du gaspillage. Mais il a 100 000 fleurs s’il veut 1 000 cerises. Ou plus encore ! Il y en a en abondance ! Assez pour tout le monde !

Et c’est comme ça que ça marche ! Maintenant, je vais vous dire quelque chose. On nous dit par exemple : « Oui, maintenant nous avons trop peu de bois ou trop peu de manganèse ou trop peu de ressources minières, car tout le monde aimerait avoir un téléphone portable ». Passons à un autre exemple. Vous savez ce que c’est avec les déchets électroniques ! Vous savez ce qu’on va faire avec ça ? Dans une tonne de déchets électroniques, la proportion en poids de ressources minières est environ dix fois plus élevée que dans le minerai du Congo, où il est extrait comme matière première. Mais on ne récupère rien ! Nous déversons les déchets électroniques quelque part à Rotterdam ou à Bremerhaven sur un vieux cargo, nous les expédions sur la côte de l’Afrique de l’Ouest ou ailleurs, là où les gens sont sans défense et nous jetons tous les déchets toxiques sur un tas. Et les plus pauvres des pauvres en tirent peut-être encore un câble de cuivre, mais tout le reste est perdu ! Nous avons atterri dans l’impasse de l’économie du gaspillage et du jetable. Dans mes études d’économie, j’ai appris ceci : « Quand on commence un nouveau produit, il faut commencer au tout début, tout d’abord faire une étude de marché ». Disons que je fais un rasoir électrique. (Je vais consciemment quitter ma branche maintenant.) Je vais devoir faire une étude de marché : Qui achète ce rasoir, qui l’achètera ? Et qu’en est-il de sa mémoire ? Quand le rasoir électrique peut-il être hors service pour que le consommateur en achète un nouveau sans se fâcher ? Ensuite, dans le cas du rasoir, vous arrivez à la conclusion que s’il tombe en panne après deux ans, le consommateur n’achète plus la marque, s’il tombe en panne après cinq ans, il l’achètera à nouveau. Et donc il faut faire construire le rasoir électrique par les techniciens de façon à ce qu’il soit hors service après cinq ans. C’est ce qu’on appelle l’obsolescence programmée, l’usure planifiée. C’est un scandale ! Pas de stratégie marketing, c’est scandaleux ! C’est voler l’avenir des enfants ! C’est ainsi que nous fonctionnons dans l’économie.

Mais quand je regarde dans les bois – là, c’est tout à fait différent ! Chaque fourmi construit sa maison de telle sorte que, lorsqu’elle s’en va, tout est réutilisé par la colonie suivante. Il n’y a pas d’ordures, pas d’ordures !
On nous dit que nous sommes trop nombreux sur cette terre. Que nous allons arriver au point où les matières premières ne vont plus suffire. C’est un calcul très simple :

Nous sommes actuellement sept milliards de personnes, avec un poids moyen de disons… 70 kg, moins en Asie et un peu plus ici. 7 x 7 = 49. Il y a donc 500 millions de tonnes de personnes vivantes qui se promènent sur terre. Pour l’instant, tout va bien.
Les biologistes peuvent calculer le poids de toutes les fourmis et termites qui se promènent. C’est incroyable. Le monde des insectes est toujours sous-estimé, ils pèsent 6 à 7 fois plus que nous, les humains. Incroyable !

Avez-vous déjà entendu quelqu’un dire : « Les fourmis, ces sales bêtes, elles mangent tout, c’est beaucoup trop, maintenant les ressources s’épuisent. » Non, bien sûr que non, parce que ces animaux vivent une économie circulaire. Ils conçoivent chaque produit de manière à ce que tout puisse être réutilisé.

Et si nous avions construit des villes il y a cent ou cinq cents ans à partir de maisons où tout pouvait être démonté et réutilisé, alors je n’aurais plus besoin d’une forêt comme fournisseur de matières premières. Alors je ne courrais jamais le risque que la forêt soit pillée.

Mais quand je vais dans les bois à la manière d’Ikea, que je transforme tout en panneaux agglomérés, que je conçois les meubles pour qu’ils puissent être cassés au premier déménagement, pour que le client doive en acheter de nouveaux et que les déchets soient un fardeau pour ceux qui doivent les éliminer… mais de toute façon le public paie… alors, la question des ressources se pose.

Je vous l’ai expliqué en détail parce que je vous le dis : Dans ce monde, il n’y a aucune raison d’avoir peur, aucune.
Et il y a une autre loi très importante, et maintenant j’en viens à mon dernier chapitre :

Une loi très importante dans la nature à l’extérieur, près des arbres, il n’y a rien de tel que l’idéologie ou la morale, il n’y a rien de tel. Tout est aussi décentralisé que possible. Et là dehors, toute expérience est permise. Il n’y a personne qui dise : « Horreur, ne fais pas ça, parce que c’est mauvais quand tu baisses ton pantalon ou que tu fais autre chose ». Il n’y a rien de tel. Mais inversement, pour que tout soit permis, la responsabilité incombe toujours à celui qui le fait.
Un manager qui expérimente quelque chose et qui dit que c’est les autres qui payeront les pots cassés, ça n’existe pas. Tout le monde peut tout essayer, mais c’est chacun qui en porte la responsabilité. Et quelque chose d’étrange en est sorti, c’est du moins ce que j’ai observé : Le mieux, c’est toujours ce qui sert la vie de tous. Ce qui sert la vie de tous, c’est ce qui va réussir – et ça, c’est incroyable.

Et maintenant, j’en viens au sujet de la « santé », parce que la santé c’est évidemment quelque chose d’important pour les gens. Le matériau bois a une influence très pertinente et impressionnante sur notre santé, car il a été créé ainsi.

L’arbre a énormément à voir avec notre santé.

J’ai écrit le livre : « Le langage secret des arbres » et j’ai ensuite rencontré par hasard un des chercheurs en médecine les plus renommés et les plus respectés d’Autriche, un certain professeur Maximilian Moser, qui avait sa chaire à la faculté de médecine de Graz. Et pendant ce temps – nous étions impliqués là-dedans – il y a eu des expériences pour voir sur le plan physiologique ce qui arrive à un être humain s’il vit, travaille ou dort dans une maison en bois – ou dans une maison construite commercialement à partir de plaques de plâtre et de matériaux synthétiques comme nous les connaissons. Les résultats ont été impressionnants !

Au début, nous avons fait deux chambres à coucher : l’une en bois et l’autre en imitation bois, en stratifié, c’est-à-dire en plastique qui ressemble au bois.
Toute personne qui dort dans du bois pur économise le travail du cœur d’une heure entière en une nuit. Les habitants de Graz étaient des spécialistes de la mesure du système nerveux végétatif. Ils avaient également mis au point une nouvelle procédure. Toute personne qui dort ou travaille dans une pièce en bois a de meilleures chances de guérison quand il est malade, il a un système nerveux végétatif renforcé, une meilleure concentration, et ainsi de suite. Incroyable !

J’ai été fasciné par ces expériences et au passage j’ai parlé de cela à mon éditeur de l’époque du livre « Le langage des arbres ». Ensuite rien ne pouvait plus l’arrêter. Il a dit : « Erwin, j’ai besoin que tu m’écrives un livre sur le bois et la santé. »

J’étais très réticent parce que je disais : « Hannes, je ne suis pas médecin. Je ne me sens pas appelé à écrire sérieusement sur le sujet de la santé. On ne peut pas faire ça si on n’est pas médecin. Je n’ai pas assez de connaissances de base. »

Bien sûr, il n’était pas satisfait de cela. Un jour, il m’a dit : « Maintenant, tu vas m’écrire ce livre. » « Pourquoi ? » « J’ai reçu l’accord du professeur Moser, il fera pour toi la rédaction sur tout ce qui est médical. Et ainsi tu as derrière toi toute l’Université de Graz – la faculté de médecine la plus renommée. » J’ai dit : « Waow, c’est génial ! C’est une grande opportunité. Si ça tient, je le ferai. »

Puis nous nous sommes rencontrés à la rédaction de Salzbourg. J’ai posé une condition : « Cher Professeur Moser, si c’est ainsi que cela doit être, alors vous devez répondre aux questions les plus stupides que je puisse poser en tant que profane. J’ai besoin, pour ainsi dire, que tout ce qui est dans le livre soit prouvé médicalement et scientifiquement. » Il a dit oui.

Et une nouvelle aventure a commencé.

J’ai grandi de façon très rustique quand j’étais enfant. Je ne veux pas comparer cette époque avec celle d’aujourd’hui, c’est impensable. Nous avons grandi très différemment des enfants d’aujourd’hui. Imaginez : si aujourd’hui un instituteur de maternelle disait aux enfants : « Chers enfants, aujourd’hui nous allons jouer toute la journée sur le tas de fumier. » On ne peut pas faire ça. Les conditions d’hygiène étaient complètement différentes.
Nous étions à la ferme, nous avons dû beaucoup travailler, tout était complètement différent. Mais de cette enfance, j’ai ramené des souvenirs et je les ai emportés avec moi. Je m’en suis souvenu… nous avons toujours une petite ferme à la maison aujourd’hui. Et quand j’étais enfant, je devais souvent travailler avec des chevaux, il n’y avait pas de tracteur chez le voisin. Et j’aimais aller avec les chevaux et regarder comment deux chevaux qui ne s’aimaient pas s’approchaient trop. Une jument a pris son élan et l’autre en a vraiment reçu une. Elle était ferrée, et ça a fait une plaie béante à l’épaule avec de la chair qui pendait.

Sérieusement, si un cheval comme celui-là a une septicémie, il meurt rapidement. Malgré tout, personne n’a appelé le vétérinaire, ça aurait été beaucoup trop cher. A la place, la grand-mère est allée dans l’étable, a pris une boîte sale en fer blanc, qui se trouvait toujours dans l’étable. Elle l’a ouverte et il y avait à l’intérieur une pommade faite maison avec de la résine. Ils l’ont appliquée sur la plaie et une semaine plus tard, le cheval était de nouveau prêt à travailler. La terrible blessure a été guérie sans problème.

Peu de temps avant mon entrée à l’école, le chien de la cour m’a profondément mordu le mollet. Mais avant, moi, j’avais essayé quelque chose avec le chien. Et il y a eu la même procédure. Bon s’il te plaît, ne le prends pas mal. Si je vois une telle blessure chez un enfant aujourd’hui, je vais chez le médecin. Mais personne ne m’amenait chez le médecin à l’époque. Ils ont étalé la pommade sur moi, elle m’a guéri. Cette pommade de résine, elle était omniprésente.

Le point culminant a été lorsque grand-père, âgé de plus de 80 ans, s’est blessé. C’était toujours notre coutume, le samedi nous avions chez notre grand-mère café et gâteaux. C’est là qu’ils se réunissaient. Ce samedi-là, grand-père était encore dans l’atelier comme si souvent et il finissait quelque chose ; et nous nous sommes déjà assis dans la cuisine avec le café. Soudain la porte s’ouvre, grand-père sort de l’atelier, il a glissé, sa main dans la raboteuse, dans la tête de fraisage. Il ne s’est pas coupé les doigts comme ça arrive normalement, mais il s’est taillé tout le muscle à la base du pouce. C’était une entaille énorme, ça saignait terriblement.

Il apparaît dans la cuisine et dit à grand-mère : « Muatta, hiaz brauch i a Soim. » [Mère, maintenant, j’ai besoin de la pommade.] Il saignait tellement et nous étions choqués, bien sûr, et on s’est levé d’un bond : « Tout de suite ! Le médecin d’urgence. » Un autre a dit : « Pas le médecin d’urgence, emmène-le à l’hôpital, il doit être recousu. » et grand-père n’a pas paniqué, il est resté calme. Il m’a dit : « Non, non ! Vous n’avez pas besoin d’appeler qui que ce soit, parce que moi, je ne monterai pas dans la voiture. » Et à ce moment là, grand-mère est arrivée ; vous savez ce qu’elle avait dans les mains ? Et je pensais que je devais l’empêcher, parce que c’était clair pour les chevaux, mais pour les humains ?

Je pensais que s’il avait une septicémie, un empoisonnement du sang, il était mort. Un vieil homme comme ça ne peut pas faire ça. Mais on ne pouvait pas l’en empêcher. Il a mis la pommade sur la blessure et après 14 jours, la plaie avait guéri sans complications. Je n’en reviens pas !

Et c’est ce que j’ai dit au professeur. J’ai dit : « Max, qu’est-ce que tu en dis ? Est-ce que les gens avaient un meilleur système immunitaire et que nous sommes affaiblis aujourd’hui ? Comment c’est possible ? Il n’y avait pas d’hygiène dans le soin de ces plaies. » Alors il m’a dit : « Tu as la recette ? » Moi : « Bien sûr que j’ai la recette, parce que ma femme est pharmacienne et aussi du côté de la naturopathie. Elle avait l’habitude de préparer des pommades et de faire toutes ces choses. Elle l’a appris. »

J’ai toujours été Thomas l’incrédule. Quand je me blessais, je courais à la pharmacie. J’utilisais la pommade pour les animaux, mais j’ai acheté de la Bétadine et du Merfen à la pharmacie quand je me faisais mal.
Je lui ai dit ça pour qu’il ne me soupçonne pas d’être sur une mauvaise voie. Je lui ai aussi donné la recette, au grand professeur.

Lors de la réunion suivante, il dit : « Erwin, c’est quelque chose de spécial avec la résine. » « Pourquoi ? » « Imagine, on a examiné la résine de mélèze dont tu parles. Et cette substance tue les bactéries, les champignons et les virus dans une plus grande mesure (c’est-à-dire qu’elle tue tous les agents pathogènes) que tout autre médicament disponible dans l’industrie pharmaceutique. »

J’ai dit : « Quoi ? ? ! Max, toi, tu es le grand spécialiste de médecine traditionnelle. Tu formes des médecins et tu dis ça ? »
Il dit : « Erwin, c’est comme ça. Et je vais te dire autre chose : cette recette que la nature a trouvée est si complexe qu’on ne peut pas la recréer synthétiquement. Ce n’est pas un truc pour faire des affaires. Ça ne marche pas. Mais c’est très efficace ! » Moi : « Max, dans ma scierie – notre entreprise a grandi pendant ce temps-là et parce que personne ne fait plus le bois de lune, nous avons construit notre propre scierie – il y a assez de résine de mélèze. En une heure, j’en ai déjà un seau plein. Je le fais comme Panoramix dans Astérix et Obélix – je la mets dans un seau et tout le monde reçoit la pommade – c’est super. On peut aider les gens ainsi ! » Il m’a écouté et m’a dit : « Écoute, tu vas rester sagement avec tes maisons en bois. » « Pourquoi ? » il répond : « Si tu penses que tu vas entrer dans une stratégie d’affaires de l’industrie pharmaceutique, tu ne seras pas heureux. Ne t’y aventure pas ! »

J’ai compris ce bon conseil tout de suite et je me suis dit : « J’ai déjà eu un tel combat derrière moi. » Et j’ai demandé : « Et qu’est-ce qu’on fait alors ? » Il m’a dit : « Tu m’as raconté l’histoire des Japonais : Le savoir peut être transmis. »
Puis nous avons écrit la recette de la pommade de mélèze dans le livre « La médecine douce des arbres ».
Vous ne pouvez pas imaginer – il est arrivé exactement la même chose qu’avec le bois de lune à l’époque. J’ai mon propre dossier à la maison – et il faut le dire pour sauver l’honneur des médecins – des médecins praticiens de tous bords, qui m’ont envoyé des rapports sur leurs expériences avec la pommade :

Une ORL de Munich m’a écrit : Elle a un grand cabinet à Munich et pour la première fois, elle a pu guérir complètement une mycose d’oreille tenace.
J’ai reçu une lettre d’un chirurgien. Il opère tous les jours et plus de 90 % de ses patients ont une cicatrisation satisfaisante. Près de 10 % ont des problèmes. Il peut les résoudre presque tous avec cette pommade. Imaginez-vous ça !
Et c’est de ça qu’il s’agit ! Il ne s’agit pas d’aller au combat maintenant et de combattre quelque chose. Il suffit d’accepter ce qui nous est donné jour après jour.
Je vous souhaite tout cela de tout mon cœur. Merci beaucoup ! Je vous souhaite le meilleur !

Applaudissement

Thoma : Merci

Applaudissement

Ivo : Merveilleux. On rattrape maintenant tout ce qu’on a dû supprimer.

Ivo : OK, pour résumer, on pourrait t’écouter pendant des heures. L’enseignement de l’école autant que de l’église nous dit qu’on peut discourir sur tout mais jamais plus de 20 minutes. La philosophie ou, que sais-je, la psychologie dit qu’on ne peut pas être attentif plus de 20 minutes. Tu es le dernier conférencier, ça fait au moins une heure et demie que tu parles, et c’est la fin d’une journée incroyablement dense en information. On a absorbé chaque mot, tu l’as vu à notre réaction. Je te souhaite énormément de succès pour ton avenir, afin que beaucoup puissent en profiter. Merci beaucoup pour ces secrets.

Thoma : Merci. On va se revoir

Ivo : Nous nous reverrons. Merci beaucoup !




« Il faut manipuler 2 émotions pour obtenir une soumission psychique » – Ariane Bilheran, Vincent. Pavan

[Source : epochtimes.fr]

Ariane Bilheran est docteur en psychopathologie, psychologue clinicienne et philosophe. Spécialiste de l’étude des manipulations, de la perversion, de la paranoïa et du harcèlement, elle a écrit de nombreux ouvrages et donné plusieurs conférences en lien avec ces sujets au cours de sa carrière.

 Vincent Pavan est maître de conférences et chercheur en mathématiques à l’université d’Aix-Marseille, département Polytech. Ses recherches portent notamment sur la théorie cinétique et l’équation de Boltzmann.

Il y a quelques mois, Ariane Bilheran et Vincent Pavan ont publié « Le Débat interdit – Langage, Covid et totalitarisme » aux éditions Guy Trédaniel.

Un ouvrage qui interroge la façon dont la langue, la logique et la science ont été dévoyées et perverties par le pouvoir politique, les médias ainsi que certains médecins et scientifiques pour exercer une contrainte psychique sur la population dans le cadre de la crise sanitaire.

 «  J’avais identifié que nous avions affaire à ce qu’on appelle un peu vulgairement une psychose de masse, c’est-à-dire un délire, une croyance totalement dénuée de rapport avec la réalité de l’expérience. Il fallait remonter aux premiers principes de ce délire paranoïaque, comprendre sur quoi il se fonde  », explique Ariane Bilheran.

 «  Il est très important de revenir aux racines du délire paranoïaque, que ce soit d’ailleurs pour l’individu ou pour le collectif, pour en saisir la nature et, surtout, le mensonge. C’est ce que nous avons fait en interrogeant les conditions d’exercice de la science. Nous avons fait un travail d’épistémologie et de condition philosophique, de philosophie des sciences. » Dès que l’on comprend qu’il y a eu une corruption de la science, et en particulier des mathématiques, une imposture frauduleuse dès le départ, on comprend aussi que toute la suite ne tient pas debout  », poursuit la philosophe.

Un constat que partage Vincent Pavan :

«  J’ai été bouleversé de me rendre compte que les mathématiques qui, normalement, sont une discipline très précise, très rigoureuse, ont été complètement dévoyées, qu’elles ne servaient pas à décrire le réel mais, au contraire, à créer l’illusion de façon totalement délirante.  »

 «  Ce discours mathématique dévoyé, ce discours scientiste, servait à la fois une idéologie politique et également un comportement psychique de nature sans doute paranoïaque ou pervers.  »

 «  Nous voulions comprendre l’articulation entre le discours scientiste et la façon dont il était récupéré par l’idéologie pour manipuler et faire en sorte que tout le monde avance dans le sens du délire  », observe le mathématicien.

 S’ils se sont attachés à mettre en lumière la façon dont les mathématiques et la science ont fait l’objet d’une instrumentalisation politique pendant la crise, Ariane Bilheran et Vincent Pavan ont également analysé la façon dont la langue et les discours ont été manipulés, corrompus et avilis afin de subjuguer la population et de justifier les mesures politiques prises dans le cadre de l’épidémie.

 «  Nous avons analysé la logique, la rationalité́ et, bien sûr, la question de l’utilisation de la langue pour créer le lavage de cerveau, ou, pour reprendre un terme de Mao, la rectification de la pensée  », souligne Ariane Bilheran.

 « Tous les phénomènes manipulateurs empruntent le chemin d’une imposture, d’une perversion au nom de la langue pour réussir à semer le doute, la confusion et entrainer l’autre dans sa propre histoire, c’est-à̀-dire dans une histoire où l’on voudrait qu’il soit prisonnier », ajoute-t-elle.

Dans le cadre de leur analyse de la corruption du langage, Ariane Bilheran et Vincent Pavan se sont notamment appuyés sur les travaux de Victor Klemperer, écrivain et philologue allemand victime des persécutions nazies qui a étudié les ressorts de la propagande du régime hitlérien et la façon dont la langue fut manipulée pour asseoir l’idéologie totalitaire du IIIe Reich.

 «  Dans le phénomène totalitaire, il y a la question de la censure de la liberté d’expression. Il y a des mots qui deviennent dangereux, que l’on n’a plus le droit de prononcer, et il y a des mots qui sont sanctifiés, que nous devons au contraire intégrer dans la nouvelle religion  », précise Ariane Bilheran

Pour les auteurs du « Débat interdit », les champs politique et médiatique n’ont d’ailleurs pas hésité à recourir à des mécanismes de manipulation bien connus en psychologie pendant l’épidémie liée au virus Sars-CoV-2, certaines méthodes employées s’apparentant, selon eux, à une forme de « torture psychologique ».

 «  Pour coloniser quelqu’un psychiquement, il faut rentrer chez lui. Pour rentrer chez lui, il faut créer un choc, il faut créer ce que l’on appelle une effraction psychique, une effraction traumatique, c’est-à̀-dire le sentiment d’une imminence de mort pour soi ou pour autrui. Cela a été́ largement agité dans les médias de masse  », explique Ariane Bilheran.

 «  Pour soumettre également quelqu’un, il faut réussir à créer ces chocs de façon répétée, sur la durée, en laissant des moments d’accalmie pour que la personne ait la sensation que c’est terminé. Ce sont des méthodes de torture psychologique  », ajoute-t-elle.

D’après Vincent Pavan, plusieurs médecins et scientifiques intervenus dans les médias ont joué un rôle néfaste en entretenant la peur à travers des prédictions alarmistes reposant sur des modèles et des données erronés :

 «  Il y a eu une manipulation de la parole scientifique, de la parole médicale qui s’apparente à une torture psychologique. En racontant des choses complétement fausses, en dehors de toutes les règles usuelles de prise de parole de la science ou de la médecine, on a plongé́ les gens dans une angoisse très importante.  »

 «  Tous les médecins de plateaux télé qui ont annoncé l’apocalypse ont participé à cette confusion mentale. Des personnes qui, normalement, doivent être dans la modération, dans la mesure, dans le soin, jamais dans le sensationnalisme, ont joué́ le rôle de prédicteurs d’apocalypse », poursuit le mathématicien.

Si les auteurs estiment que la gestion de la crise a mis en lumière la déconnexion entre la science et le réel, ils soulignent que les décisions prises et les discours tenus dans le cadre de l’épidémie révèlent aussi « un parti pris idéologique très puissant », la volonté de mettre en place une nouvelle organisation sociale dans laquelle l’homme serait privé de son humanité et de son identité propre afin d’être soumis à une logique techno-sanitaire.

 «  Ce qui est important, c’est de bien voir qu’il y a une véritable idéologie derrière. Elle s’impose de manière sournoise à travers la langue. L’étude de la langue dit souvent énormément de choses sur l’idéologie souterraine qui anime les décideurs, les idéologues, les propagandistes  », explique Vincent Pavan.

 «  On veut réduire l’individu à un QR code, le mettre dans des banques de données, le réduire à un flux d’informations. C’est comme cela que l’on voit l’individu de demain […]. Dans la société́ du futur, c’est l’algorithme optimal qui donnera le mode d’organisation de la société́, et si vous n’êtes pas d’accord, vous faites partie des gens qui n’auront vraisemblablement plus le droit de vivre en société.  »

Pour Vincent Pavan, cette idéologie sous-jacente est notamment caractérisée par l’hubris et le transhumanisme  :

 « Il y a cette idée que nous allons vers le futur homme-machine pour sauver l’individu, défini par son information et sa mémoire. L’augmentation de l’homme par la biotechnologie fait partie des moyens de le débarrasser des scories de son corps. »

 «  Le surhomme doit être créé pour aller vers une société́ optimale. Les mathématiques sont censées nous guider vers cette société optimale que seul l’ordinateur pourrait calculer en disposant de tous les paramètres. Dans les sociétés totalitaires, c’est toujours l’ensemble qui prime sur l’individu, et si la solution optimale pour l’ensemble nécessite que l’on se passe de certains, on le fera. Il y a cette idée des « inutiles », chère à Yuval Noah Harari(([1] « Le Covid est capital parce que c’est ce qui convainc les gens d’accepter, c’est ce qui légitime la surveillance biométrique totale », Yuval Noah Harari, conseiller principal de Klaus Schwab et leader du Forum économique mondial)), que l’on voit d’ailleurs à travers la suspension des personnels non vaccinés, qui sont considérés non essentiels alors que l’hôpital hurle du manque de moyens, que les pompiers se battent contre les incendies, etc… On les laisse en dehors car, refusant la biotechnologie que l’on veut leur imposer, ils ne peuvent prétendre au statut d’homme augmenté qui seul pourra, à l’avenir, permettre de constituer une société meilleure, optimale à tous les niveaux.  »

«  La division de la société́ entre des surhommes et des sous-hommes est aujourd’hui totalement assumée », ajoute Ariane Bilheran, « C’est quelque chose qui, à mon avis, doit poser question. La logique totalitaire est une logique de division, une logique de sacrifice de ceux qui, pour une raison ou pour une autre, ne peuvent pas accéder au nouveau stade du surhomme tel qu’il va être défini selon l’idéologie du moment.  »

 «  Dans la pensée paranoïaque, le corps humain est un objet inerte, une gestion statistique de corps infectés, non-infectés, l’individu est réduit à un cas. Il n’y a pas d’interactions complexes, les êtres humains sont réduits à des corps et à des chiffres, ce qui légitime l’utilisation de QR Codes et notre asservissement, voire une éventuelle éradication future, puisque s’il y a trop de chiffres dans l’équation, il faut bien les supprimer.  »

Pour Ariane Bilheran, la gestion de la crise sanitaire a ainsi consacré «  l’ambition de traiter les êtres humains comme des unités mathématiques  ».

 «  Cela traduit une société́ terrifiée par la vie, qui cherche à se maintenir dans la survie. La vie suppose des prises de risque et de l’aventure, c’est aussi de l’imprévu, de l’accident, du mouvement ; et c’est aussi la maladie et la mort.  »

Et la philosophe de conclure :

«  Je crois que la masse a rarement raison. Quand nous sommes témoins de phénomènes collectifs qui s’emballent, nous devons garder une certaine distance afin d’analyser ce qui se passe avant d’accepter d’y rentrer.  »

Epoch Times France


[Voir aussi :
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19]


À propos d’Ariane Bilheran :

Après avoir intégré l’Ecole Normale Supérieure (Ulm), Ariane Bilheran a choisi d’ajouter à sa formation initiale de lettres classiques un double cursus en troisième cycle de philosophie et de psychologie.

 Son doctorat de psychopathologie a porté sur la temporalité psychique dans la psychose.

 Ariane Bilheran exerce une activité de psychologue (consultations, formations, supervisions, diagnostics souffrance au travail) et enseigne la psychologie clinique à l’Université de Provence. Elle dirige également la société Sémiode, un cabinet de conseil et d’études de sémiologie et d’anthropologie culturelle.

 Depuis 2015, Ariane Bilheran réside en Amérique du Sud où elle poursuit son activité clinique ainsi que son travail de recherche et d’écriture, tout en consacrant une part de son temps à des actions agricoles et humanitaires.

Titre, Diplôme :
Normalienne (Ulm), Master Lettres Classiques, Philosophie et Psychologie.

Fonction actuelle :
Psychologue, Dirigeante de la société Sémiode.

Pour suivre Epoch Times France :

 Voir notamment les autres articles d’Ariane Bilheran [+ Vidéos] :

Référence :




Idriss Aberkane, la science peut-elle être humaine ?

Par Alain Tortosa

Cher monsieur Aberkane, le battage sur les réseaux sociaux à propos de votre interview accordée à l’Express(([1] ExpressGate : l’entretien d’Idriss Aberkane avec l’Express en exclusivité sur FranceSoir
https://www.youtube.com/watch?v=0Bi_1-BzY88)) a excité ma curiosité et conduit à regarder(([2] Pour être honnête, je n’en ai regardé que 55 minutes, ce qui me semblait suffisant pour me forger une opinion.)) ce fameux entretien que vous avez eu avec deux de leurs journalistes.

Mon propos, monsieur Aberkane, s’articulera en deux temps, un premier sur la forme et un second sur le fond.

En préambule, vous ne me connaissez pas bien sûr, monsieur Aberkane (bon j’arrête le M. Aberkane dont vous avez largement usé pour déstabiliser les journalistes), mais si vous prenez le temps de lire quelques-uns de mes écrits(([3] Https://7milliards.fr)), vous constaterez que je ne suis certainement pas du côté de la caste journalistique.

Vous (je suppose) et moi savons que dans leur immense majorité ceux-ci sont des lâches qui préfèrent leur paye à leur dignité, des corrompus qui ont vendu leur âme au diable ou des débiles qui croient être des génies de l’Olympe.
Ceci pour préciser que je ne les porte pas dans mon cœur et ainsi ne pas me faire de procès d’intention.
Je précise aussi ne pas avoir lu l’article de l’Express.

La forme

Ce serait vous faire affront que de vous considérer naïf.
Nous connaissons le « travail » de l’Express depuis des années et encore plus depuis la crise Covid.

Faisant le reproche aux journalistes de ne pas avoir fait un minimum de recherches sur Google pour connaître leur sujet, il me semble évident que vous, à la différence, avez fait ce travail les concernant.

Alors une première question se pose :

« Pourquoi avoir accepté cette interview ? »

J’estime que ce serait vous faire offense de penser que vous auriez pu imaginer bénéficier d’un travail neutre, objectif ne trahissant aucune de vos pensées ou de vos travaux.

Qui pourrait imaginer un travail honnête et sérieux de leur part (je souligne une fois de plus, le mépris que j’ai à leur encontre).

Dès lors, accepter leur proposition d’interview indique un objectif « autre ».

D’entrée de jeux vous procédez à la mise en scène… je pourrais dire la scène du crime.

  • Vous savez que vous êtes largement plus intelligent que vos interlocuteurs.
  • Vous savez que leur bagage scientifique est plus que léger.
  • Vous savez qu’ils travaillent mal et se croient en mission.

Afin de les « détendre », vous leur expliquez que :

« Tout ce que vous allez dire sera utilisé contre vous. »

Ainsi que :

« Vous allez être enregistrés ET diffusés. »

Notons qu’à ce stade je ne comprends pas pourquoi les journalistes acceptent ou plutôt si, je comprends, ils sont idiots et inconscients du piège qui va se refermer sur eux.

Et ce que vous aviez certainement planifié se produit, un jeu de massacre…

D’aucuns pourraient y voir narcissisme, méchanceté, « vengeance » (ils l’ont bien mérité).
Nombre de vos propos sont d’une extrême violence à leur encontre, quand bien même ils ne sont que vérité objective.
J’ai été mal à l’aise à de très nombreuses reprises et ressenti une méchanceté gratuite.

Je pourrais vous imaginer alors « légitimement » narcissique, mais je pense que votre démarche était uniquement « scientifique ».
De la science, de la logique froide et sans émotions…

J’ai pu assister à une démonstration (facile), prouvant, si cela était encore nécessaire, que les journalistes étaient incompétents, de mauvaise foi, imbus d’eux-mêmes et surtout du côté du « bien ».
De fait je ne comprends pas vraiment l’intérêt de piétiner des fourmis.
Si d’aventure cette action avait un fond émotionnel alors la victoire n’eût pas été auréolée de gloire.

J’imagine mal Novak Djokovic se réjouir d’une victoire contre un enfant handicapé de 5 ans.

D’autre part, si l’objectif était une démonstration purement scientifique sans état d’âme alors ici aussi, il m’est difficile d’y voir autre chose qu’une banalité…
OK, l’eau chaude ça brûle, OK les glaçons sont froids, mais quel intérêt de le redémontrer ?

En fait il faut attendre la fin de l’interview pour que vous annonciez que vous faites une enquête sur l’Express et qu’effectivement ces journalistes en sont les cobayes.

Cette interview semble de fait un acte politique.

Mais le problème des débats politiques est qu’aucun des camps ne change d’opinion lors d’un débat.

  • Les « pour » Idris pourront se réjouir d’une mise à mort qui ne serait que « justice » au regard du mal qu’ils nous font. Une preuve de plus de leur malhonnêteté et absence de dignité.
  • Les « contre » verront en Idris un être froid narcissique qui fait des attaques personnelles gratuites pour « masquer son incompétence » (je vous rappelle que je n’ai pas lu la publication de l’Express qui ne m’apporterait rien).

Je reste sur ma faim, pourquoi vouloir enfoncer une porte ouverte ?

Le fond

La science serait au service de l’homme.

Comment ne pas bondir de sa chaise face à de tels propos ?
L’histoire du monde regorge d’exemples où la science est au service de la destruction, de la souffrance, de la suppression des libertés, du mal, et j’en passe…

Rappelez-moi….

  • C’est bien les scientifiques qui ont inventé des armes de plus en plus létales du lance-pierres à la bombe atomique ?
  • C’est bien les scientifiques qui ont dessiné les plans des chambres à gaz et mis au point le zyklon b dans les camps ou l’agent orange au Vietnam ?

Je pourrais bien évidemment en écrire des pages et des pages.

Aujourd’hui c’est la science, la 5G, la miniaturisation qui permet le contrôle facial, les QR codes et demain la dictature climatique.

Vous auriez beau jeu de me rappeler que sans la science, il n’y aurait pas de scanner ou d’IRM pour diagnostiquer des cancers…
Cancers fabriqués par la science avec la pollution, les additifs chimiques, la suppression des cycles naturels et l’enfermement des fourmis dans des gratte-ciel sans nature ?

Je serais personnellement plus modeste sur l’apport de la science à l’homme.

Oui la science m’apporte un confort matériel, je ne suis pas dans la savane à manger des baies ou chercher à tuer un mammouth.
Mais ce « confort » est-il un apport en termes de liberté et de bien-être ?

Je suis un esclave de la technologie, un esclave d’internet, du téléphone, de la télé, de l’ordinateur, de la voiture, de l’électricité, de l’eau chaude, des normes, des lois, etc.

Les monstres qui dominent ce monde ont bien compris qu’ils nous tenaient par les c… avec le crédit, l’endettement à vie, mais surtout la peur de perdre ce confort uniquement matérialiste et sans âme.

Dieu a été remplacé par Satan !

Selon vous un domaine de la neuroscience serait valide au prétexte que l’U.S. Air Force aurait dépensé un demi-milliard en recherche et développement pour des casques vendus 400 000 dollars l’unité.

En premier lieu, je vous sais gré d’avoir reconnu que si ce casque était efficace pour le pilote il l’était aussi contre les humains qu’il aide à tuer.
De ce fait, j’en reviens encore sur « la science est-elle bonne pour l’homme » ?

En second lieu, vous semblez déduire que ce casque bourré de neuroscience serait « bon » pour le pilote.

Ce raccourci me semble tout du moins audacieux.
Au mieux, il retarde l’insupportable.
Si grâce à celui-ci le pilote peut accomplir des actions ou des missions autrefois impossibles ou tenir deux heures au lieu d’une, je ne vois pas le bénéfice personnel.
En l’occurrence, le pilote n’est qu’une interface (à ce jour encore utile) et rien de plus.
Bref, ce casque est au service du Pentagone, des politiques, des va-t-en-guerre et certainement pas du pilote.

La démonstration affirmant que si l’on dépense des milliards dans un domaine c’est qu’il est efficace me semble fort étrange.

Rappelons une blague racontée par M Attali (cf. mon ouvrage(([4] 7 milliards d’esclaves et demain ?))) dans laquelle des juifs achètent puis revendent des pantalons à une jambe. Un catholique fait remarquer le problème en affirmant que ces pantalons sont invendables. Et le juif de répondre que ces pantalons ne sont pas faits pour être portés, mais pour être achetés et vendus.

Plus récemment on pourrait se référer aux injections contre le Covid pour lesquelles les fabricants savaient, avant même de commencer, qu’un vaccin à ARN messager sur un virus qui ne fait que muter, qui plus est avec une vaccination durant l’épidémie, ne pourrait qu’augmenter les mutations et rendre le produit inefficace.
Cela ne les a pas empêchés d’écouler des milliards de doses d’un produit inefficace et dangereux.

Les exemples ne manquent pas comme l’escroquerie freudienne ou pasteurienne.

Je m’étonne donc de cette affirmation :

« Si c’est étudié et vendu, c’est que ça marche ».

  • Le fabricant de casques n’en a que faire, il voit un marché fort juteux.
  • Les militaires qui soutiennent le projet y voient une étoile de plus sur leur uniforme.
  • Les politiques sont des héros pour protéger les Américains.
  • La corruption permet de soudoyer des scientifiques pour affirmer l’efficacité.

Ceci peut durer jusqu’à (concernant ce casque je n’ai pas d’infos) jusqu’à la mise au grand jour du scandale.
Non, le succès d’une méthode n’apporte en rien la preuve de son efficacité, la vérité ne se mesure pas en quantité.

Les neurosciences pourraient soulager au quotidien.

Selon le site techno-science(([5] https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Neurosciences.html)):

« Les neurosciences correspondent à l’ensemble de toutes les disciplines biologiques et médicales qui étudient tous les aspects, tant normaux que pathologiques, des neurones et du système nerveux.

Les neurosciences étudient le développement, la structure et le fonctionnement du système nerveux, du niveau moléculaire au niveau psychologique, avec les méthodes et les moyens des sciences biologiques (biologie, biochimie, pharmacologie, anatomie et physiologie) et sciences médicales (neurologie, neuropsychologie et psychiatrie) et des sciences psychologiques (psychologie cognitive). »

Nous voyons ici que le champ est très large.

Personnellement quand j’entends neuroscience, coaching, développement personnel, j’entends aussi manipulation des pensées et des cerveaux.

Le terme de « développement personnel » est fort étrange… pourquoi faudrait-il que les humains bénéficient d’un enseignement de développement personnel induit par autrui ?

Pourquoi faudrait-il que nous soyons plus « performants » ?

Vous avez cité un exemple concret (si j’ai bien compris) d’une personne ayant des difficultés à se lever le matin et se motiver pour aller au travail.
Personnellement si quelqu’un me dit ça j’en déduis qu’il n’est pas heureux, pas rempli dans sa vie et que ce travail factuellement nourricier ne nourrit pas son âme.

Mes propos suivants illustrent peut-être mon ignorance, mon incompréhension totale des neurosciences, mais je pense que nombreux sont ceux qui pourraient être dans mon cas.

J’ai compris, déduit, que les neurosciences pouvaient aider cette brave personne à trouver une motivation et peut-être même un plaisir à se lever le matin pour aller au travail.

Dans ce cas de figure, la neuroscience ne serait pas une forme de « guérison », mais un « antidouleur »…
« Tu as mal à la tête ? Prends une aspirine ! »

Pire encore si cette personne malheureuse au travail devenait heureuse alors la neuroscience serait vraiment de la manipulation mentale.

La douleur de cette personne au quotidien n’est-elle pas bonne pour lui ?
N’est-elle pas un signal émotionnel envoyé par son cerveau pour lui dire qu’il ne peut pas rester ainsi ?
A-t-il besoin d’un coaching pour accepter l’inacceptable ou d’une thérapie (qui relève aussi des neurosciences) pour se trouver lui-même et enfin partir faire bûcheron au Canada ?
Encore faut-il que ce désir de devenir bûcheron et de passage à l’acte ne soit pas induit par le thérapeute.

Attention, je ne nie pas l’existence de souffrances et de biais cognitifs. Une personne en relation avec un manipulateur sera moins encline à en être victime si elle a connaissance de leur existence, la capacité de les détecter et un amour propre/narcissisme suffisamment développé pour s’en protéger.

La société ne veut pas d’hommes libres, mais uniquement des esclaves dociles.
De fait, elle ne peut que valoriser des méthodes de manipulation mentale visant à les maintenir à l’état de moutons dociles et certainement pas de développement personnel.

D’autre part, a-t-on le droit moral de modifier le cerveau d’un individu quand bien même cette modification se traduirait par une diminution ou une suppression de ses souffrances ?

La neuroscience serait-elle l’héritage high-tech des électrochocs barbares du 20e siècle ?

Ici encore il est légitime de se reposer la question quant à savoir si la science est bonne pour l’homme ou pas.

C’est bien les neurosciences qui ont converti en mouton la population au point qu’elle demande à porter un masque, à être confinée, à réclamer un passeport pour aller au restaurant ou s’injecter une substance expérimentale douteuse y compris aux enfants et aux femmes enceintes !

Il est intéressant de voir à quel point la science a été enterrée, anéantie durant cette crise au profit de « neurosciences » et d’outils toujours plus performants de manipulation mentale des individus.

Cette destruction de l’humain n’eut pas été possible sans le concours de « scientifiques » délirants, mégalomanes ou corrompus.

Celui qui pense, qui doute, qui se pose des questions est devenu le « complotiste », le « fou », le « dangereux » et même « l’antisémite » que l’on sort de son chapeau comme le véhicule prioritaire au Mille-Bornes.

On est arrivé à faire croire au peuple en semaine n qu’il ne fallait surtout pas s’asseoir sur une plage au risque de répandre la mort et en semaine n+1 qu’il ne fallait surtout pas bouger sur une plage et rester statique.
Le drame est que des forces de l’ordre sont là pour obéir comme les soldats qui faisaient monter des juifs dans des trains.
Aujourd’hui encore les soignants sont suspendus sous prétexte qu’ils n’ont pas fait de faux pass comme leurs collègues alors même que preuve est faite depuis longtemps que l’injection vaccinale n’empêche pas les contaminations.

Le peuple est-il debout pour dire « non » alors même que l’on ferme des services faute de soignants ?
Les collègues prétendument vaccinés sont-ils debout pour réclamer leur réintégration ?
Bien sûr que non !

Peut-on oser parler de progrès de l’humanité grâce à la science ?

Ah, il est toujours possible de sortir le couplet sur « ce n’est pas l’outil qui est bon ou mauvais, mais son usage ».

Je suis bien d’accord qu’une puce RFID (ou mieux) implantée sur chaque humain pourrait rendre l’enlèvement d’enfants impossible et nous permettrait de ne plus perdre nos clefs.

Et encore, je suis bien naïf, les plus grands pédophiles de notre planète auront la possibilité de débrancher les liaisons vers les serveurs grâce à d’autres complices pédophiles et dans un silence assourdissant des médias.

Nos « bons » médias comme l’Express sont là pour nous rappeler que l’ennemi est le Covid, la variole du singe, Poutine ou le fameux réchauffement climatique causé par le méchant CO2 !
La suppression définitive de nos droits nous sauvera de l’apocalypse, amen !

Tout le reste n’est que délire, il ne faut surtout pas réveiller les moutons qui ne demandent qu’une chose, ne pas avaler la pilule rouge(([6] Cf. Matrix))!

Mais dans les faits, cette puce a pour unique vocation de nous espionner, nous tracer, nous contrôler et réduire encore plus nos libertés.
Il en est de même de la suppression de l’argent liquide si pratique au quotidien et si pratique pour nous contrôler.
Le scientifique ne peut pas se réfugier derrière « je ne suis pas responsable de l’usage liberticide de mon invention » de même que l’enseignant en neurosciences ne peut se dédouaner de l’usage qu’en fera un psychopathe qu’il aura formé.

Le narcissisme, la soif de pouvoir, la corruption mènent le monde et les scientifiques seront toujours les pions des forces du mal.
Il y aura toujours un scientifique corrompu, narcissique ou naïf pour concevoir le plus immonde et un enculé pour l’utiliser.

Les progrès de la science rendent l’homme de plus en plus « inutile » et les pourritures en sont bien conscientes.
Qu’elles sont les inventions qui auraient été créées si chaque scientifique s’était posé la question
« Est-ce bon pour l’humanité ou cette invention peut-elle (et donc va-t-elle) être utilisée contre l’homme ? »

Je crains qu’il ne fût pas resté grand-chose…

Demain l’intelligence artificielle sonnera-t-elle la fin de l’humanité ?
C’est plus que probable si elle n’est pas purement et simplement interdite et condamnée.

Je vous rappelle que les lois de la robotique d’Asimov qui devaient nous protéger ont été bafouées depuis bien longtemps par les militaires qui utilisent des robots avec une composante décisionnelle autonome pour tuer des humains !

Alors personnellement je veux croire en l’humain plus qu’en la science qui doit être sévèrement contrôlée et limitée.
La science est froide, logique, elle n’a pas d’états d’âme, pas d’émotions, ni conscience.

Cette mise à mort des journalistes dans l’interview me fait penser au personnage de Spock dans Star Trek.
Il est ultra intelligent (comme vous, en tous les cas largement plus que moi), il a une logique scientifique sans faille (probablement comme vous).

Mais Spock est double, sa partie vulcaine est dénuée d’émotions, purement logique, purement scientifique.
Pour autant l’intérêt du personnage est dans son humanité, son illogisme et les émotions qu’il ressent.
C’est cette part humaine qui lui permet de ne pas être un monstre (et parfois inversement en cas de troubles émotionnels).

Toutes les saloperies du monde commises avec la complicité des scientifiques ne sont possibles que par leur sang vulcain…
Si l’empathie était de ce monde, s’ils avaient accès à l’ensemble des émotions humaines, alors le monde serait moins pourri.

Merci.

Alain Tortosa

7 août 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220807-idriss-la-science-a-t-elle-une-ame.pdf





Le mépris néoléniniste et macroniste pour la souveraineté populaire

Par Lucien SA Oulahbib


En France comme en Chine, à Gaza, en Algérie, à Cuba, au Venezuela et ailleurs, la frange néoléniniste de la Secte SHA (scientiste, hygiéniste, affairiste) n’a que mépris pour la liberté, la justice, l’égalité des sexes, sinon elle ne soutiendrait pas des groupes factieux et des régimes fantoches qui au sein de ces pays non seulement les nient, mais les combattent.

Sa gesticulation actuelle de plus en plus centrale sur le changement de sexe ou le plus de droits « sociaux » ne sont (faute de mieux — son plan « pouvoir d’achat » n’étant qu’une galéjade hypocrite) que des paravents à la fois scientistes et technicistes. En effet, d’une part opter pour la manipulation génitale c’est renforcer l’emprise des Folamour et leur « blocage de puberté » ; d’autre part agiter le paravent de « l’égalité sociale » pour les sexes n’est qu’un cache-sexe existant depuis des lustres (les femmes russes soviétisées conduisaient des tracteurs dans les années 20), alors qu’en France même l’on soutient l’inégalité de fait entre les sexes en soutenant l’islam dans ses courants les plus rétrogrades qui textuellement (et le texte, sacralisé, fait office de loi-cadre constitutionnelle) refusent dans « l’intime » des foyers que s’applique dans les faits la loi française.

Quant à la frange macroniste de la Secte, elle ne fait comme d’habitude qu’accentuer l’agenda de plus en plus crapuleux et bien sûr mensonger manipulant santé et météo pour faire croire que nous vivons à l’époque de la peste et d’une fin de monde inéluctable si nous ne nous repentons pas alors qu’il fait moins chaud qu’en 1911 (la chaleur y était en continu et non pas en dents de scie) et que les morts actuels en santé — hors vieillesse et accidents — tiennent bien plus du refus d’observer qu’ils résultent surtout d’une syndémie aux causes et principes volontairement ignorés par les Autorités de plus en plus à la solde sordide de cette Secte cynique et sanguinaire.

Et plus les effets de la matière historique mise en mouvement accéléré par des apprentis sorciers ayant ainsi ouvert sa boîte de Pandore broient de plus en plus tout sur leur passage, plus l’incompétence, l’ignorance, la bêtise, l’avidité, mais aussi la malignité maléfique qui fait office d’intelligence (ainsi l’hypocrisie du “passe sanitaire” bientôt “climatique” en est le sommet), se dévoilent dans toute leur horreur.

Et pourtant le peuple, happé par ses phares idéologiques multiformes, accepte quoique passivement son joug, du moins la frange qui vote, une minorité en fait (38,5 % à la dernière élection présidentielle française) imposant au reste de la population une régression morale intellectuelle technique jamais vue.

En effet, la mise à l’écart d’une technologie comme le nucléaire dans sa forme la plus aboutie (les surgénérateurs), le refus d’admettre la complexité synergique du corps humain en symbiose avec son environnement, au profit d’une vision datée de la physique humaine (à l’exception des progrès faits en matière chirurgicale orthopédique et d’imagerie), et le refus également d’analyser la complexité des relations humaines sédimentés par des circuits claniques et culturels ancestraux en décalage conflictuel avec ceux d’aujourd’hui, ayant émergé dans les mégalopoles modernes, montrent déjà l’inanité fondamentale d’une pseudo-élite qui ne mérite même plus d’être nommée telle tant elle n’en est plus que l’ombre vorace.

Il est dommage que “nous” perdions encore du temps à les entendre débiter leur ineptie sur le sexe des anges (avec ambassadeur) alors que tout s’effondre, comme si la fascination animale pour la soumission était maintenant la valeur centrale de l’humain domestiqué. Mais la puissance brute fait jouir, y compris au moment même où on l’a dénonce – oxymore favori de la gauche qui dénonce le viol, mais le promeut lorsqu’il est fait par les “libérateurs” non blancs que l’on s’empressera d’ailleurs de protéger de mesures politiques “disproportionnées” mettant en danger “leur vie privée et familiale”, preuve du mépris incommensurable qu’ont ces gens se sachant intouchables au sens non pas hindou, mais sacral du terme.

Retour à la Barbarie.




Révolution sanitaire au Costa Rica ?

[Source : arianebilheran.com]

Interview de Marco au Costa Rica

Par Ariane Bilheran

Témoignage de Marco Albertazzi

Le nouveau gouvernement du Costa Rica vient de supprimer le caractère obligatoire des injections expérimentales contre le COVID, et d’exiger des investigations juridiques sur les contrats passés par le gouvernement antérieur avec les multinationales des vaccins.

Dans ce contexte, j’ai souhaité recueillir le témoignage de Marco Albertazzi, qui est une figure clé de la résistance costaricaine, un homme pugnace et inspirant, qui par sa foi soulève des montagnes.

Marco est administrateur d’entreprise.

Il termine son master en Business et Administration.

Il fut le premier à s’exposer publiquement, allant marcher devant la Maison Présidentielle, pour informer la population sur les mensonges, la corruption et les manipulations de masse. Muni de sa pancarte, il interpellait les passants : « Quelle pandémie ? Quelle pandémie ? Où avez-vous vu une pandémie ? ».

Tout le monde le prenait alors pour un Diogène fou…

En ce jour historique du 3 août 2022, la résistance qu’il a levée à lui tout seul au Costa Rica a emporté sa première grande victoire.

Propos recueillis par Ariane Bilheran, normalienne, philosophe, docteur en psychopathologie
https://www.arianebilheran.com


Pouvez-vous me décrire comment s’est formée la résistance au Costa Rica, avec quelles ambitions ? Je suppose qu’au début vous n’étiez pas nombreux à avoir le courage d’affronter la politique sur la « pandémie » ? Quels obstacles avez-vous rencontrés ? Vous m’aviez parlé de répression, comment cela s’est-il passé ?

Après des abus, des restrictions et des impositions de la part du gouvernement, des décisions absolument incongrues par rapport à ce que nous vivions, et face à l’inaction des dirigeants politiques pour protéger les personnes bafouées, le 13 juillet 2020, je suis sorti seul dans la rue pour dénoncer cette pandémie devant la Maison Présidentielle, en me fondant sur des données biostatistiques et épidémiologiques qui n’étaient tout simplement pas en accord avec le message donné par le gouvernement de la République.

Ensuite, j’ai cherché des gens qui avaient des pages Facebook, Twitter, Instagram, et qui manifestaient leur désaccord avec la politique menée. J’ai contacté des médecins, des avocats, des psychologues, des infirmiers, des biologistes, et d’autres professions pour organiser le Mouvement pour la Santé et la Liberté. Je m’y consacre sans pause depuis 2020.

Nous nous sommes réunis et nous avons organisé des actions, des manifestations, différentes modalités de protestation. Nous avons subi des représailles inouïes. Dès le 13 juillet 2020, les attaques commencèrent contre moi, puis contre ceux qui me rejoignaient : selon la presse et les fonctionnaires du gouvernement, nous étions des négationnistes, les théoriciens du complot, etc. Quant à eux, ils continuaient d’exiger les fermetures et les confinements, des mesures restreignant la liberté, et de violer les droits de l’homme tels que la dignité et la liberté des êtres humains, la liberté de parole, le travail, la vie, la sécurité, le droit de ne pas être traités comme des esclaves, cruellement ou de manière dégradante, entre autres. Nous avons subi des répressions policières très violentes.

Lorsque les substances expérimentales sont sorties, nous avons été informés des risques qu’elles pouvaient produire. Nous avons alors commencé à alerter la population, ce qui nous a valu le titre « d’antivaccins » auprès des médias alignés sur la politique du gouvernement. Cependant, nous n’avons jamais cessé de parler des bons traitements qui pourraient aider les gens à surmonter le COVID, et de mettre en garde contre les risques des injections.

Pour avoir dénoncé ces abus, j’ai même été assigné à résidence (en arrestation à mon domicile) durant trois mois après que nous nous fûmes rendus dans un hôpital exiger des explications, puisqu’un enfant était retenu en otage pour être vacciné, ce que le personnel de l’hôpital a fait par la force, en frappant même sa mère enceinte lorsqu’elle essaya de le protéger des infirmières de l’hôpital. Le jour où nous sommes allés à l’hôpital pour défendre cet enfant et soutenir sa mère, la répression policière a été terrible : les policiers ont frappé des enfants, des personnes âgées, des femmes, à des médecins, dont la docteur Jimena Campos. Le but était d’intimider et d’attaquer le mouvement.

Qu’est-ce qui vous a donné le désir et la force de résister ?

Mon indignation devant la violation des droits humains, les gens écrasés, piétinés par le gouvernement, la police, l’abus de pouvoir, les gens arrêtés pour réclamer le droit d’aller travailler et alimenter leur famille. Je suis chrétien, et la Bible nous enseigne que, comme fils de Dieu, je dois défendre la vérité et la justice, et simplement je ne pouvais pas me taire. J’ai pensé que si David avait vaincu Goliath, et si Moïse avait vaincu Pharaon, je pouvais moi aussi, avec l’aide de Dieu, vaincre ces fous qui ont causé tant de torts à la population du Costa Rica. Il fallait de la vaillance et de la bravoure, lever la voix pour réveiller les consciences, et ne pas se taire. Face aux attaques, il ne fallait pas non plus se laisser faire.

Désormais au Costa Rica, vous avez remporté une victoire : la vaccination n’est plus obligatoire. Pouvez-vous me dire comment vous avez obtenu ce grand succès, qui l’est non seulement pour le Costa Rica, mais aussi pour le monde entier ? Vous donnez un sacré exemple.

Le Président actuel a tenté de supprimer l’inoculation obligatoire, mais les membres de la Commission nationale de vaccination et d’épidémiologie ont refusé. Après enquête, nous avons découvert que les nominations de cette Commission avaient expiré et que, par conséquent, tous les accords conclus par elle depuis 2020 étaient illégaux ! De même, conformément à la loi, nous avons demandé une copie certifiée des procès-verbaux de la Commission, et nous avons vu les insanités qui avaient été décidées alors que les membres savaient pleinement qu’ils faisaient le mauvais choix. Ils ont agi avec malice contre le peuple. Cela a conduit à une plainte pénale déposée hier (le 3 août) contre tous les membres de la Commission.

Quel est votre conseil pour les défenseurs des libertés dans les autres pays, qui essaient d’obtenir le même résultat que vous au Costa Rica ?

Battez-vous ! Exposez personnellement les décideurs et les promoteurs corrompus de ces politiques liberticides (photo, numéro d’identification, poste qu’ils occupent, etc.) afin que les gens puissent les identifier… qu’ils ressentent la pression (cela a fait démissionner un membre de la Commission). Déposez des plaintes pénales avec des preuves ! Examinez les procès-verbaux des Commissions qui ont pris les décisions des enfermements, des inoculations obligatoires, et de toutes les mesures contre les droits de l’homme et les libertés fondamentales, afin de pouvoir engager des actions en justice sur la base de ces preuves.

Frappez à toutes les portes.

N’abandonnez surtout pas.

Ne cédez pas à la fatigue.

Quel est votre prochain objectif ?

Continuer maintenant à exposer au public les effets néfastes de ces inoculations, poursuivre en justice les personnes qui ont obligé les citoyens à recevoir ces substances, mais aussi les employeurs (entreprises) qui ont harcelé, contraint, discriminé, suspendu et licencié leurs employés parce qu’ils ne voulaient pas subir ces injections, afin que cela ne se reproduise plus jamais, et m’attaquer aux mensonges de la variole du singe.

Pour contacter Marco :

Marco Albertazzi
Coordinateur général
Movimiento Por La Salud Y La Libertad (Mouvement pour la santé et la liberté)

direccion@movlibertadcr.com |+ (506) 6050-9992

Rencontre entre Marco Albertazzi et Ariane Bilheran le 30 juin 2022 :




Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »

[Source : profidecatholica.com]

« Nous sommes gouvernés par les membres d’un lobby mondial de conspirateurs criminels qui nous disent directement que leur plan est de nous éliminer, et pendant tout ce temps, nous sommes assis ici à nous demander pourquoi nous devons porter des masques dans les bus et pas dans les restaurants ».

Monseigneur Carlo Maria Vigano.

(LifeSiteNews) – Note de l’éditeur : Ce qui suit est la transcription d’une interview vidéo que l’archevêque Carlo Maria Viganò a donnée à Armando Manocchia de Byoblu TV.

Armando Manocchia : Votre Excellence, [ici en Italie] nous sommes maintenant en faillite économique et financière, où la dette publique dépasse maintenant 2,7 milliards d’euros. À mon avis, le problème est la faillite morale et éthique non seulement de la classe dirigeante, mais aussi d’une partie importante de la population. Que pouvons-nous faire pour reconstruire un tissu social qui inclut un sens éthique et moral ?

Mgr Viganò : La faillite est le résultat inévitable de multiples facteurs. Le premier est le transfert de la souveraineté monétaire des nations individuelles à un organisme supranational tel que l’Union européenne. La Banque centrale européenne est une banque privée qui prête de l’argent à des taux d’intérêt aux États membres, les forçant à s’endetter perpétuellement. Je rappelle, en passant, que la Banque centrale européenne est officiellement détenue par les banques centrales des nations qui en font partie ; par conséquent, puisque les banques centrales sont contrôlées par des sociétés privées, la BCE elle-même est essentiellement une société privée, et agit comme telle.

Le deuxième facteur est le seigneuriage, c’est-à-dire le revenu que la Banque centrale tire de l’émission de monnaie pour le compte de l’État, qui emprunte auprès d’elle non pas pour le coût matériel de l’impression des billets, mais pour leur valeur nominale : un vol au détriment de la communauté, car l’argent appartient aux citoyens et non à un sujet privé composé de banques privées.

Le troisième facteur réside dans la politique économique et financière de l’Union européenne, qui impose des prêts à intérêt en octroyant les fonds que les différentes nations ont préalablement versés. L’Italie, qui est un contributeur net, se retrouve donc à devoir anticiper des milliards sur lesquels non seulement elle ne perçoit pas d’intérêts, mais qui lui sont rendus à usure comme s’ils n’étaient pas les siens.

Le quatrième facteur est dû aux politiques fiscales misérables des récentes administrations [italiennes], sur ordre péremptoire de la Troïka, à savoir le Fonds monétaire international, la Commission européenne et la Banque centrale européenne, qui sont les créanciers officiels des pays membres. L’importante exonération fiscale des grands groupes financiers et commerciaux et le harcèlement des petites entreprises sont à la base de l’appauvrissement progressif du pays et de l’échec de nombreuses activités, avec pour conséquence l’augmentation du chômage et la création d’une main-d’œuvre bon marché. Et n’oublions pas que c’est toujours l’Union européenne qui impose les soi-disant réformes, basées sur un faux récit — pensez au réchauffement climatique ou à la surpopulation — avec le chantage des prêts qu’elle a consentis aux pays membres : l’égalité des sexes et d’autres horreurs ont été introduites dans les législations nationales sans aucune consultation des citoyens, sachant même très bien qu’ils étaient contre.

Enfin, l’action subversive de l’Agenda 2030 de l’ONU — c’est-à-dire la Grande Réinitialisation du Forum économique mondial — a pour objectif déclaré le transfert de la richesse des nations et des individus vers de grands fonds d’investissement gérés par la mafia mondialiste. Cette opération subversive doit être dénoncée et poursuivie par les magistrats, car elle constitue un véritable coup d’État silencieux contre la collectivité.

Je tiens cependant à préciser que l’aspect économique n’est qu’un moyen pour atteindre des objectifs bien plus inquiétants, comme le contrôle total de la population mondiale et son asservissement : si les citoyens sont privés de l’accès à la propriété ; si on les empêche d’avoir la liberté d’entreprendre ; si le chômage endémique est causé et augmenté par l’immigration incontrôlée et les urgences sanitaires, réduisant le coût du travail ; si les Italiens sont harcelés par des impôts exorbitants ; si on pénalise la famille traditionnelle en rendant pratiquement impossible à deux jeunes de se marier et d’avoir des enfants ; si l’on détruit l’éducation dès l’école primaire et que l’on crée un vide culturel en frustrant le talent des individus ; si l’on annule l’histoire de notre terre natale et que l’on nie le glorieux héritage qui a fait la grandeur de l’Italie au nom de l’inclusion et du renoncement à notre identité nationale, à quoi peut-on s’attendre, sinon à une société sans avenir, sans espoir, sans envie de se battre et de s’engager ?

Pour reconstruire le tissu social, il est d’abord essentiel d’avoir conscience du coup d’État en cours, réalisé avec la complicité des gouvernants et de toute la classe politique. Comprendre que nous avons été spoliés de nos droits inaliénables par une organisation criminelle internationale est le premier pas indispensable à faire. Une fois que cela sera compris, surtout par le côté sain des institutions et du pouvoir judiciaire, il sera possible de juger les traîtres qui ont rendu possible ce coup d’État silencieux, en les bannissant à jamais de la scène politique. Évidemment, l’Italie devra retrouver sa souveraineté, d’abord en quittant l’Union européenne.

A. Manocchia : Dans cette œuvre de reconstruction, dans laquelle l’Alliance antimondialiste que vous avez initiée jouera un rôle décisif, quelles seront les premières initiatives à lancer ?

Mgr Viganò : Il faudra mettre en œuvre un projet clairvoyant et de grande envergure, qui a pour but la formation intellectuelle, scientifique, culturelle, politique et même religieuse de la future classe dirigeante, en la dotant de la capacité de jugement critique et de solides références morales. Il faudra créer des écoles et des fondations d’où émergera une classe dirigeante de citoyens vertueux, de gouvernants honnêtes, d’entrepreneurs qui sauront concilier les exigences légitimes du profit avec les droits des travailleurs et la protection des consommateurs.

Ceux qui occupent des fonctions publiques, comme tout citoyen honnête, doivent être conscients qu’ils sont responsables devant Dieu de ce qu’ils font, et qu’ils doivent faire passer le bien commun avant l’intérêt personnel, s’ils veulent se sanctifier dans le rôle que le Seigneur leur a assigné et mériter le paradis. Nous devons éduquer les enfants et les jeunes à l’honnêteté, au sens du devoir et de la discipline, à la pratique des vertus cardinales comme conséquence cohérente des vertus théologales ; à la responsabilité de savoir que le bien et le mal existent, et que notre liberté consiste à nous mouvoir dans la sphère du Bien, parce que c’est ce que Dieu a voulu pour nous. Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande, a dit Notre Seigneur (Jn 15,14). Et cela vaut également pour les affaires publiques, où la moralité a été remplacée par la corruption, la recherche du profit personnel, l’abus des lois, la trahison des citoyens et le lâche asservissement à des puissances hostiles. Prenons un exemple de l’allégorie du bon gouvernement, représentée par Ambrogio Lorenzetti dans les salles du Palazzo Comunale de Sienne : nous y retrouverons cette simplicité de principes qui inspirait et guidait les pouvoirs publics dans les communes italiennes [Comuni] du XVe siècle.

A. Manocchia : En Italie, la culture apolitique des 50 dernières années a produit une classe dirigeante corrompue, et maintenant, peut-être précisément à cause de cela, nous avons un régime totalitaire. Notre cher et merveilleux pays subit les effets les plus négatifs de son histoire. Il ne semble plus faire partie de l’Europe ou de l’Occident. Les citoyens, les personnes individuelles, ne comptent plus pour rien. Les politiciens d’abord, puis les gouvernements, et maintenant des nations entières sont soumis aux diktats de l’agenda mondialiste du Nouvel Ordre Mondial. En plus de la corruption mentionnée ci-dessus, y a-t-il une corrélation avec le fait que l’Italie a été historiquement le berceau du christianisme et le centre de l’Église catholique ?

Mgr Viganò : Mais c’est évident ! La fureur mondialiste frappe surtout, de manière impitoyable et cruelle, les nations catholiques, contre lesquelles elle continue de sévir depuis des siècles pour effacer leur Foi, leur identité, leur culture et leurs traditions. Ce sont précisément les pays catholiques — l’Italie, l’Espagne, le Portugal, l’Irlande — qui ont le plus souffert de l’attaque de l’élite maçonnique, qui favorise en revanche les nations protestantes dans lesquelles la franc-maçonnerie a régné sans partage pendant des siècles. Avec la Révolution française, la monarchie capétienne a été détruite ; avec la Première Guerre mondiale, l’Empire austro-hongrois, également catholique, a été détruit, ainsi que l’Empire russe orthodoxe. La Seconde Guerre mondiale a détruit la monarchie de Savoie, qui a d’abord été complice du « Risorgimento », puis sa victime. Le changement de régime n’est pas une innovation récente, bien au contraire !

Il y a des pays qui ne tolèrent pas que des nations catholiques soient prospères et compétitives, indépendantes et en paix, parce que ce serait la preuve qu’il est possible d’être de bons chrétiens, d’avoir des lois bonnes et justes, des impôts équitables, des politiques pro-famille, la prospérité et la paix. Il ne doit y avoir aucun terme de comparaison. C’est pourquoi ils veulent non seulement la misère de la population, mais aussi sa corruption, la laideur des vices, l’égoïsme cynique du profit, l’asservissement aux passions les plus basses. Un peuple sain d’esprit et de corps, libre, indépendant et fier de son identité est redoutable, car il ne renonce pas facilement à ce qu’il est et ne se laisse pas subjuguer sans réagir. Un peuple qui honore le Christ comme son Roi sait que ses gouvernants se considèrent comme ses vicaires, et non comme des despotes obéissant à ceux qui les enrichissent ou leur donnent du pouvoir.

N’oublions pas que la Révolution française a arraché la couronne royale à Jésus-Christ, opposant les prétendus « droits de l’homme et du citoyen » aux droits souverains de Dieu. Des droits qui, libérés du respect de la loi morale naturelle, incluent aujourd’hui l’avortement, l’euthanasie (même des pauvres, comme c’est le cas aujourd’hui au Canada), le « mariage » avec des personnes du même sexe, le « mariage » avec des animaux, et même le « mariage » avec des choses inanimées (vous avez bien compris : il y a des propositions de lois approuvant ces choses faites par les 5 Stelle [parti politique italien]), la théorie du genre, l’idéologie LGBTQ et tout le pire qu’une société sans principes et sans foi peut revendiquer. La laïcité de l’État n’est pas une conquête de la civilisation, mais plutôt un choix délibéré de barbarisation du corps social, auquel on impose la prétendue neutralité du gouvernement par rapport à la religion, qui est en fait un choix religieux d’athéisme militant et anticatholique. Et lorsque la manipulation des masses ne parvient pas à les forcer à faire certaines « réformes », le chantage des fonds européens prend le relais : [fonds] accordés uniquement à ceux qui obéissent aux diktats de l’UE. En substance, ils détruisent d’abord l’économie et suppriment la souveraineté monétaire nationale et l’autonomie de décision en matière fiscale et économique, puis lient l’aide à l’acceptation d’un modèle de société corrompu et égoïste dans lequel aucune personne honnête ne voudrait vivre. « L’Europe nous demande de le faire ! » – c’est-à-dire un lobby de technocrates qui n’est élu par personne et qui s’inspire de principes totalement inconciliables avec le droit naturel et avec la foi catholique.

Mais si l’État profond a entrepris d’effacer la religion catholique de la vie publique des nations et de la vie privée des citoyens, il faut reconnaître que l’Église profonde a également apporté sa propre contribution à cette sécularisation, depuis le Concile Vatican II, au point de cautionner le sécularisme pourtant condamné par le Bienheureux Pie IX et de reléguer la doctrine de la royauté sociale du Christ à une dimension symbolique et eschatologique. Après soixante ans de dialogue avec la mentalité du monde, Jésus-Christ n’est plus Roi même de l’Église catholique, tandis que Bergoglio renonce également au titre de son Vicaire et préfère passer son temps à jouer avec la Pachamama à Saint-Pierre.

A. Manocchia : La psychopandémie créée avec art a produit des psychoses, des paniques, des terreurs et des souffrances physiques et mentales qui ont laissé une trace indélébile, de graves troubles sociaux, ce qui ne s’était jamais produit de cette manière dans l’histoire de l’humanité. Ils ont réduit l’homme à l’état de zombie. Quel est le message que l’on peut transmettre face à cette conformation et ce formatage imposés de la population ?

Mgr Viganò : Vous avez utilisé à juste titre le terme de « formatage » qui, dans un certain sens, rappelle précisément la Grande Réinitialisation inaugurée par la psycho-pandémie et qui se poursuit aujourd’hui avec la guerre et l’urgence énergétique. Nous devons nous demander ce qui a pu conduire des nations entières à apostasier leur Foi, à effacer leur identité sans remords, à oublier leurs traditions, en se laissant façonner sur le modèle de l’idée anglo-saxonne du melting pot. Cette question s’applique tout particulièrement à notre chère Italie, défigurée par des décennies de subordination idéologique, d’une part à la gauche française ou au communisme soviétique, d’autre part au libéralisme américain « néo-con ». Aujourd’hui, nous constatons que le communisme chinois et le libéralisme mondialiste ont fusionné au Forum économique mondial de Davos, menaçant le monde entier et notre pays en particulier.

Bien sûr, la Seconde Guerre mondiale a créé les conditions de la colonisation de l’Italie, selon un modèle consolidé que nous voyons encore aujourd’hui adopté par l’OTAN : détruire, bombarder et raser les dictatures réelles ou présumées, afin de les remplacer par des régimes fantoches au service d’intérêts étrangers. Redécouvrir la fierté d’affirmer son identité et sa souveraineté est une étape essentielle pour la rédemption de l’Italie et la reconstruction de tout ce qui a été détruit. C’est pourquoi je considère que le modèle de la multipolarité est une perspective intéressante pour combattre le Léviathan mondialiste qui nous menace aujourd’hui dans tous les aspects de la vie quotidienne.

La défaite de l’État profond par les forces saines au sein des États-Unis d’Amérique sera la prémisse d’une coexistence pacifique des nations, sans qu’il y ait une nation qui se considère supérieure et légitimée à soumettre les autres. C’est pourquoi Donald Trump a été évincé par fraude électorale de la présidence des États-Unis, en le remplaçant – encore un changement de régime – par un personnage si corrompu qu’il est incapable de gouverner sans être manœuvré.

A. Manocchia : Peut-on dire que l’Occident est en crise parce qu’il rejette Dieu et la loi naturelle, et surtout parce qu’il sous-estime la valeur de la vie et a commis une énorme erreur d’un point de vue moral, économique et social qui a conduit à la dérive éthique actuelle et au déclin moral ?

Mgr Viganò : Je ne pense pas que l’on puisse parler d’une « erreur » ; il s’agit plutôt d’une fraude, d’une trahison réalisée par ceux qui, en position de pouvoir, ont décidé, par culpabilité, de transformer l’Italie en une colonie en partie de l’Allemagne (en ce qui concerne l’économie), en partie de la France (en ce qui concerne la culture), en partie des États-Unis (en ce qui concerne la politique internationale) et en partie de toute l’Union européenne (en ce qui concerne la politique fiscale et les soi-disant réformes). Nous sommes toujours soumis à quelqu’un, alors que notre pays a montré à plusieurs reprises dans l’histoire – dans des périodes beaucoup plus difficiles et troublées – qu’il pouvait très bien rivaliser avec les grandes puissances étrangères.

Le problème fondamental est que les gouvernements que nous avons eus – depuis la monarchie savoyarde – ont été entièrement manœuvrés par la franc-maçonnerie, décidant des réformes, déclarant les guerres, traçant les frontières et stipulant les traités toujours et uniquement sur les ordres des Loges. Des parlementaires maçonniques notoires, des ministres francs-maçons, des professeurs d’université maçonniques, des francs-maçons primaires, des officiers supérieurs maçonniques, des éditeurs francs-maçons et des évêques francs-maçons ont obéi au serment d’allégeance à la Grande Loge et trahi les intérêts de la Nation italienne. Aujourd’hui, la franc-maçonnerie se sert de son « bras séculier », le Forum de Davos, qui établit l’ordre du jour des Nations unies, de l’Organisation mondiale de la santé, de l’Union européenne, des diverses fondations « philanthropiques », des partis politiques et de l’église bergoglienne.

Mais le fait que ce coup d’État soit si vaste et ramifié n’implique pas qu’il soit moins réel ; en effet, la situation actuelle est très grave précisément parce qu’elle implique des centaines de nations qui sont en fait gouvernées par une seule élite de conspirateurs criminels. D’autre part, il n’est pas nécessaire de parler de « théories de la conspiration » : il suffit d’écouter ce que le principal architecte du Grand Reset, Klaus Schwab, a déclaré le 23 mai alors qu’il s’exprimait au Forum de Davos : « L’avenir ne se construit pas tout seul : c’est nous [du Forum économique mondial] qui allons construire l’avenir. Nous avons les moyens d’imposer le monde que nous voulons. Et nous pouvons le faire en agissant comme une “partie prenante” dans les communautés et en collaborant les uns avec les autres ».

La crise ukrainienne fait également partie de ce plan : « Avec le bon récit, nous utiliserons la guerre pour vous rendre vert ». Le conseiller de Schwab, Yuval Noah Harari – qui résume tous les « talents » de l’intellectuel woke en tant qu’Israélien, homosexuel, militant végétalien des droits des animaux, anti-Poutine et anti-Russie, ainsi que farouchement contre Trump – est allé jusqu’à déclarer sans vergogne : « Dans dix ans, tout le monde aura un implant cérébral et une vie éternelle dans le domaine numérique… Google et Microsoft décideront quel livre nous devons lire, qui épouser, où travailler et pour qui voter… ». Harari est l’auteur de divers essais, dont « Sapiens », « Des animaux aux dieux », « Une brève histoire de l’humanité (2011) « Homo Deus », « Une brève histoire du futur » (2015). C’est le délire absurde de l’homme transhumain qui pense pouvoir vaincre la mort et se transformer en dieu.

L’escroquerie réalisée contre le peuple italien a été celle de lui faire croire, à partir du XIXe siècle, que c’était sa volonté de se libérer du joug de la tyrannie des différents États italiens pré-unification, sous l’égide des souverains piémontais obéissant à la franc-maçonnerie ; que c’était sa volonté de se rebeller contre l’autorité des Souverains légitimes au nom de la  » liberté « sans comprendre qu’il serait soumis à des corrompus bien pires ; que c’était leur volonté de se débarrasser de la monarchie savoyarde dans l’immédiat après-guerre pour mettre en place à sa place la République italienne ; que c’était leur volonté d’adhérer à l’Union européenne avec le mirage de l’Eldorado [qu’elle conduirait à la richesse et à la prospérité], pour découvrir ensuite quelle supercherie tout cela représentait. Et qui se cachait derrière ces revendications de liberté, de démocratie, de progrès ? Toujours et uniquement la franc-maçonnerie, avec ses serviteurs infiltrés partout.

Le moment est peut-être venu pour les Italiens de commencer à décider de leur avenir sans qu’il soit dicté par de véritables traîtres, et pour que les traîtres soient jugés pour ce qu’ils sont – des conspirateurs criminels – en les excluant à jamais de la politique et de toute possibilité d’interférer dans la vie du pays. Que les magistrats et les policiers se souviennent que très bientôt ceux qui ont soutenu ce régime dictatorial seront considérés comme des collaborateurs et condamnés comme tels. Un sursaut de dignité et d’honneur de leur part dès maintenant serait encore crédible.

A. Manocchia : Pourquoi l’Occident, si riche en histoire et en culture, ne considère-t-il pas les effets de cette attitude qui contredit et nie la loi naturelle ? Comment est-il possible à l’homme rationnel de la nier ?

Mgr Viganò : L’homme est rationnel, oui. Mais il est aussi soumis aux passions, à la concupiscence, aux séductions du monde. Ce n’est que dans la vie de la grâce surnaturelle que l’homme est aidé par Dieu pour se conserver dans l’amitié avec Dieu et être capable d’agir dans le bien. Mais que nous a appris le mouvement tant célébré du romantisme, sinon que la raison doit céder au sentiment et que la volonté ne peut pas gouverner les passions, que « le cœur ne se commande pas », alors que c’est le contraire qui est vrai ? Là aussi, nous voyons comment, avec les opérations de manipulation des masses relativement banales – à partir de Giuseppe Verdi, de tous les opéras et romans – la perception du devoir moral dans le peuple et dans la bourgeoisie a été effacée, pour la remplacer par l’asservissement à l’irrationnel et à la passion momentanée, avec tous les dégâts qui en ont découlé.

À l’origine de la négation de la loi naturelle, il y a le relativisme, considérant toutes les idées comme acceptables et légitimes, niant l’existence d’un principe transcendant inscrit dans l’homme par le Créateur. L’histoire, la culture et l’art deviennent alors des phénomènes à analyser dans une clé sociologique ou psychologique et ne sont plus ce qui constitue une civilisation. Mais attention : ceux qui nient Dieu comme Créateur et Rédempteur ne le font pas pour permettre à ceux qui ne sont pas chrétiens de pratiquer leur religion, mais plutôt pour empêcher ceux qui sont chrétiens de façonner la société selon les principes de la doctrine sociale et du bien commun. Derrière tout cela, il y a des gens qui détestent Notre Seigneur.

La question que vous me posez, Dr Manocchia, devrait alors être : « Pourquoi les serviteurs de Satan devraient-ils cesser de détester tout ce qui ressemble de près ou de loin au Christ, puisqu’ils l’ont toujours fait ? ». Penser que nous pouvons dialoguer avec un ennemi qui veut nous détruire est soit irresponsable, soit criminel : il y a des ennemis qui doivent être vaincus sans aucun scrupule puisqu’ils sont dévoués au mal.

La faute de l’Occident est d’avoir cru les mensonges de la Révolution – qui était aussi une Grande Réinitialisation – de s’être laissé entraîner dans un tourbillon de rébellion et d’apostasie, de violence et de mort. Mais n’est-ce pas finalement ce qui est arrivé à Adam et Eve lorsqu’ils se sont laissés tenter par le Serpent ? Déjà à l’époque, la promesse de Satan était manifestement fausse et mensongère, mais Adam et Eve ont succombé aux paroles du tentateur – Vous serez comme des dieux ! – et ils ont découvert qu’ils avaient été trompés.

Qu’est-ce que nous, Occidentaux, pensions pouvoir obtenir en coupant la tête des rois, des nobles et des prélats ? Que pensions-nous pouvoir améliorer, avec des personnages comme Fouchet, Danton, Robespierre et tout le fatras d’assassins corrompus qui était censé remplacer ceux qui étaient guillotinés ? L’un d’entre nous a-t-il vraiment pensé qu’autoriser le divorce était un progrès ? Ou que donner à la mère le droit de tuer l’enfant qu’elle porte dans son ventre était une conquête de la liberté ? Ou que le fait d’empoisonner les personnes âgées dans leur sommeil ou les malades ou les pauvres est un signe de civilisation ? Y a-t-il quelqu’un qui soit honnêtement convaincu que l’ostentation des vices les plus abominables est un droit fondamental, ou qu’une personne peut changer de sexe, modifiant de façon grotesque ce que la Nature a déjà décidé ? Ceux qui acceptent ces horreurs le font uniquement parce que ces horreurs sont imposées comme un modèle de « civilisation » et de « progrès », et ceux qui les acceptent veulent suivre la masse sans se distinguer.

Le problème est que l’homme contemporain est le fils de la Révolution, inconsciemment endoctriné au « politiquement correct », au relativisme, à l’idée qu’il n’y a pas de vérité objective et que toutes les idées sont également acceptables. Cette maladie de la pensée est la première cause du succès des adversaires, car beaucoup de gens s’allient à l’acceptation de leurs principes sans comprendre que ce sont précisément ces idées qui ont permis de transformer notre société [de manière si destructrice].

L’asservissement à l’Union européenne — et à son idéologie infernale — n’a été qu’une des dernières étapes par lesquelles l’Italie a reçu le coup de grâce. C’est pourquoi, lorsque j’entends des éloges de la Révolution, de la Déclaration des droits de l’homme, des Lumières, du Risorgimento et de l’Expédition des Mille [un moment patriotique légendaire dans l’histoire de la réunification italienne en 1860], je frémis : le mondialisme est la métastase de toutes les erreurs modernes, que seule l’Église — depuis ses débuts — a su condamner avec clairvoyance. Et en effet, si le mondialisme a connu une accélération, nous le devons précisément au fait que, depuis Vatican II, la hiérarchie s’est transformée d’ennemi juré de la conspiration maçonnique en son allié zélé.

A. Manocchia : L’Occident subit un déclin démographique constant et irrépressible, avec toutes les conséquences que cela implique. La « Vulgate » actuelle soutient qu’il s’agit d’un phénomène inquiétant pour l’Humanité, car il entraînera une plus grande pauvreté. Le déclin démographique serait-il la principale cause du déclin économique ? Ce phénomène ne semble pas préoccuper les gouvernements des pays occidentaux. Pourquoi en est-il ainsi, à votre avis ?

Mgr Viganò : Nous savons, de l’aveu explicite des mondialistes, que leur objectif principal est de réduire de façon drastique la population mondiale. Le ministre italien de la transition écologique Roberto Cingolani — qui, par coïncidence, vient de la société Leonardo [aérospatiale, défense et sécurité] — affirme que la planète est « conçue » pour pas plus de trois milliards de personnes. Qu’il ait la bonté de nous expliquer comment il propose d’éliminer la différence, et surtout qui ne l’a jamais autorisé — avec son gouvernement, l’Union européenne, l’ONU, l’OMS et toute la mafia mondialiste — à décider motu proprio de procéder dans cette direction avec l’avortement, l’euthanasie, les pandémies, les sérums expérimentaux, les guerres, les famines et l’homosexualité de masse. Qui les a nommés « cavaliers de l’Apocalypse » ? Qui a approuvé leur projet par un vote populaire, en supposant qu’un tel projet puisse jamais être proposé à l’approbation des citoyens d’une nation ?

Je ne suis donc pas surpris que les dirigeants occidentaux ne s’inquiètent pas de la baisse de la natalité, dont les données pour notre pays sont largement compensées par la présence de nombreux citoyens extracommunautaires, beaucoup plus prolifiques que les Italiens. La diminution de la population est le résultat des prémisses qui ont été fixées précisément dans ce but, tout comme les confinements ont servi à détruire l’économie déjà prostrée par la concurrence des multinationales et la fiscalité injuste. En bref, nous sommes gouvernés par les membres d’un lobby mondial de conspirateurs criminels qui nous disent directement que leur plan est de nous éliminer, et pendant tout ce temps nous sommes assis ici à nous demander pourquoi nous devons porter des masques dans les bus et pas dans les restaurants.

A. Manocchia : Ceux qui n’acceptent pas les théories nihilistes et néo-malthusiennes, peut-être parce qu’ils sont fidèles aux principes du christianisme, risquent-ils d’être écartés des postes de pouvoir ?

Mgr Viganò : Mais c’est évident : ceux qui ne soutiennent pas le récit psychopandémique, la théorie du genre, l’idéologie LGBTQ, le libéralisme collectiviste du Forum économique mondial, le Nouvel Ordre Mondial et la grande religion universelle sont ostracisés, délégitimés et passés pour des fous ou des criminels. Toute voix discordante est inconfortable lorsque le pouvoir est basé sur la violence psychologique et la manipulation de masse. Cela arrive au médecin qui n’accepte pas les protocoles de Speranza, à l’enseignant qui ne discrimine pas les non-vaccinés, au journaliste qui rapporte la vérité sur les néonazis ukrainiens, au curé qui ne veut pas se faire vacciner, au cardinal qui dénonce l’asservissement du Vatican à la dictature chinoise.

A. Manocchia : Parler de la vie et de la loi naturelle signifie aussi parler de la colonne vertébrale de la société, la famille. Outre la baisse de la natalité, quelles sont les conséquences de la crise économique sur la famille ?

Mgr Viganò : La famille est certainement au centre de l’attaque des mondialistes. La famille, c’est la tradition, l’identité, la foi, l’aide et le soutien mutuels, la transmission des principes et des valeurs. Famille signifie père et mère, chacun avec son rôle spécifique, irremplaçable et non interchangeable, aussi bien dans la relation mutuelle entre les époux que dans l’éducation des enfants, ainsi qu’envers la communauté. Famille signifie religion vécue, religion qui se communique à travers les petits gestes, les bonnes habitudes, la formation de la conscience et du sens moral.

Vous comprenez bien que frapper la famille conduit indéfectiblement à la dissolution du corps social, qui par nature est incapable de remplacer le rôle de la famille. C’est ainsi que nous avons : le divorce, l’avortement, le « mariage » homosexuel, l’adoption d’enfants par des célibataires ou des couples irréguliers, la déchéance de l’autorité parentale pour des raisons idéologiques, l’élimination des grands-parents et de la parenté de la vie domestique, les conditions de travail des mères qui ne leur permettent pas d’accomplir les tâches familiales, la pénalisation des femmes mariées ou ayant des enfants lorsqu’elles cherchent un emploi, l’endoctrinement des enfants dès l’école primaire. Dans ce domaine aussi, une action courageuse et déterminée est nécessaire pour la défense de la famille naturelle et pour la protection des droits des parents dans l’éducation de leurs enfants, qui ne sont pas la propriété de l’État.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque.

[Voir aussi :
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

Life Site News : https://www.lifesitenews.com/opinion/abp-vigano-freemasonry-is-using-the-who-and-the-bergoglian-church-to-advance-its-global-coup/




L’affligeante dépendance de certains Humains au Masque, outil d’enfermement : urgent de DÉMASQUER et l’imposture et le peuple !

Par Nicole Delépine

Pourquoi ne se débarrassent-ils pas de la muselière ?

Alors que la loi santé précise qu’une obligation généralisée n’est plus envisageable sans discussion préalable par les députés, le ministre se débrouille pour continuer à nous l’imposer alors que l’épidémie est terminée, les traitements précoces reconnus et l’inefficacité du masque de la population évidente !(([1] L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([2] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) SON RÔLE PROPRE EST DÉMASQUÉ.

Constamment réactivée, l’obligation du port du masque provoque un retour du traumatisme. Ce masque n’est pas seulement une fausse protection, mais bien une poursuite de la destruction de notre Humanité, vers le transhumanisme.

Plus grave encore qu’en première analyse :

« L’obligation du port généralisé du masque est emblématique de la gestion de la “pandémie”. Cette contrainte n’est pas de nature sanitaire et témoigne d’un hors sens. C’est un commandement se présentant, en même temps, comme une loi et la destruction de celle-ci. Elle est le passage à l’acte d’une sortie du Politique. 

Les raisons de l’obligation peuvent se résumer au fait que, sans elle, il n’y aurait aucun signe manifeste de “l’extrême gravité » supposée de la covid. La centralité du port du masque réside dans le fait, qu’en nous rappelant constamment la « pandémie », la contrainte nous place dans le regard du pouvoir nous confisquant notre intime ».(([3] Coronavirus. Ceci n’est pas un masque ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation Par Jean-Claude Paye et Tülay Umay, 13 avril 2021))

« L’obligation devient alors une loi suprême conditionnant notre “liberté” et instituant un rapport négatif avec soi et avec l’autre. Elle nous enjointde renoncer à notre vie d’humain. Le réel de la mort n’étant plus canalisé par la culture, il recouvre la totalité de l’existence.

Ainsi, le masque corona n’est pas l’articulation du symbolique et du réel. Il n’est donc pas un masque, car il n’est pas voilement. »(([4] « La pulsion de mort est la structure même de la pandémie. Générique et universelle, elle se « fonde sur une détresse physiologique et sur la rage impuissante » de l’infans, de celui qui ne peut parler. Elle empêche tout libre arbitre et induit une acceptation généralisée du port du masque. Cette pulsion devient la revendication d’un idéal qui est d’échapper à la condition humaine et ainsi l’acceptation d’un passage vers le transhumanisme. » CQFD))

« Quelque chose du Réel est capturé : le désir de relation. Dès lors, les gens qui mettent le masque ne portent pas la parole, mais le cri de celui qui est devenu personne. Ils exhibent à la fois le rejet de l’autre et ce qui en résulte, leur propre anéantissement ».

« Le port du masque corona produit une perte de “l’appétence symbolique”, de ce désir de relation se manifestant en dehors de la satisfaction des besoins élémentaires de la survie. La “rencontre primordiale avec l’autre” est une poussée pulsionnelle, celle de la pulsion de vie, essentielle dans la mise en place d’un lien avec l’extérieur. »

Ce désir naturel, cette pulsion de vie, est aujourd’hui attaqué par le port du masque et sa pérennisation après la suppression de la loi d’urgence et de tout danger de ce petit virus témoigne clairement de son instrumentalisation par le pouvoir mondialiste, eugéniste et transhumaniste. L’homme normal doit disparaître à leurs yeux et ils en utilisent leurs moyens.

« Le port du masque corona entraîne une indifférenciation du moi et du non-moi, du sujet et de l’objet. (…).  De cette indifférenciation, résulte une fusion avec les choses elles-mêmes. Le masque corona permet ainsi l’installation d’une structure schizophrénique, où l’individu s’identifie avec les objets du discours. Il devient son masque ». 

Ainsi le pouvoir médiatique des milliardaires prend prise sur l’Humain via l’outil MASQUE.

LE MASQUE, UN OUTIL DE POUVOIR SANITAIREMENT NUISIBLE(([5] Les masques sont inutiles et dangereux ! Stop aux mensonges médiatiques ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation mise à jour de la bibliographie internationale fin juin 2022))

La parution d’arrêtés (d’une légalité discutable, les juristes approfondissent) autorisant un pharmacien, médecin ou établissement de santé à l’imposer, dès le vote de la loi française supprimant l’état d’urgence le 26 juillet 22, le même jour, démontre la volonté certaine en tant qu’OUTIL du pouvoir pour poursuivre la mise en condition des populations.

Ne doutons pas que des prétextes tels que la pollution, l’ozone ou le monstre du Lockness serviront aux dirigeants pour ne pas lâcher son très efficace collaborateur, la muselière.

Ce ne serait que moyennement grave, si ce bout de tissu infecté et infectant de divers miasmes ne maintenait pas la population globale dans la peur et donc dans la soumission aux instances dirigeantes. Malgré les nombreuses preuves mondiales de l’inefficacité du masque contre les virus et son danger de diffusion des bactéries et champignons (en particulier chez les personnes fragiles, cancéreuses, immunodéprimées primaires ou secondaires aux injections géniques, etc.), l’attraction du chiffon perdure pour des raisons que les psychiatres éclaireront en nous aidant à comprendre le fonctionnement.

« Le monde à travers un masque n’est pas le même. Il est inconfortable, étrange et en décalage avec notre normalité. »(([6] Le monde à travers un masque : l’impact psychologique — Nos Pensées (nospensees.fr) ))

Il peut être amusant et terrible à la fois de lire des réflexions de psychanalyste pendant le covid19 à propos du masque :

« Il se joue ainsi un étrange jeu autour du masque dans les cabinets et nous le savons le langage est aussi non verbal. Ce corps nous parle beaucoup avec l’objet masque ! Il y a ceux qui le portent facilement, ceux qui l’oublient, ceux qui ne viendront pas aussi et qui peut être prendront l’option de la ligne comme espace de liberté crée, ceux qui en parlent avec de la colère de se sentir enfermé, étouffé et objectivé et ceux qui le tordent dans tous les sens comme s’il voulait se l’arracher du visage comme si cette double peau les dérangeait. D’autres qui ne le voient plus.

Il y a aussi ceux qui, “par hasard” au moment d’ouvrir la porte du cabinet, viennent juste de casser leur masque en le mettant. Bel acte manqué non ?

C’était le cas de cette patiente, qui dans la vie, ne supportait plus le masque du simulacre. Devant la porte, son masque avait craqué. C’était donc une bonne chose et nous en avons parlé.

Et de cette autre qui réalise devant ma porte qu’elle “est partie sans”, lâchant prise pour la première fois sur tant d’interdits surmoïques.

Bravo ! Devant la porte du cabinet oui, les masques tombent comme les actes manqués se multiplient depuis toujours. Masqué(e) et démasqué(e) à la fois. »(([7] Masque et acte manqué — Psychologue.net))

La peur est incrustée après ces mois de manipulation et il est difficile d’en sortir comme le navrant spectacle de conducteurs masqués seuls dans leur voiture, de jeunes gens qui courent sur une plage, masque collé par la sueur et la canicule, et pire encore : Pelosi qui affronte les avions chinois pour atterrir à Taiwan et sort masquée sur le tarmac de l’aéroport. De sa part peur ou manipulation ? Quelle tristesse !

ATTENTION ! MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID SÉRIEUX, LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS RÉIMPOSER LE MASQUE

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ».

Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité. Informons voisins et amis encore dans la peur du risque pour eux-mêmes de ce chiffon infectant et déshumanisant. Ne prenons pas à la légère sa prolongation au-delà des infections dont les antibiotiques viendront à bout, les troubles induits vers la schizophrénie et la psychose ne doivent pas être sous-estimés. Nous en voyons déjà les dégâts chez certaines personnes normales avant tout covid et devenues très « spéciales » et sourdes à tout raisonnement.

LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID(([8] France – L’AFNOR prouve que le masque « grand public » recommandé par le gouvernement est une véritable escroquerie. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))(([9] Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/
L’obligation de porter un masque a causé plus de décès COVID, conclut une étude (anguillesousroche.com) ))

« Les inconvénients et risques comprennent qu’un masque en tissu devient un milieu de culture pour une grande variété d’agents pathogènes bactériens et un collecteur d’agents pathogènes viraux ; étant donné l’environnement chaud et humide et la source constante, où les tissus pour la maison sont hydrophiles alors que les masques médicaux sont hydrophobes ».(([10] Face Masks, Lies, Damn Lies, and Public Health Officinals: “A Growing Body of Evidence” | PDF | Randomized Controlled Trial | Infection (scribd.com) Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges et responsables de la santé publique : « Un nombre croissant de preuves »
Un nouveau mantra vil est sur les lèvres de tous les responsables de la santé publique et de tous les politiciens de la campagne mondiale pour imposer un masquage universel au grand public :
« il y a un nombre croissant de preuves ».
Cette phrase propagandiste est un vecteur conçu pour atteindre cinq objectifs principaux :
• Donner la fausse impression qu’un bilan des preuves prouve désormais que les masques réduisent la transmission du COVID-19 ;
• Assimiler à tort les commentaires faits dans des lieux scientifiques avec des « preuves » ;
• Masquer le fait qu’une décennie de preuves de niveau politique prouve le contraire : que les masques sont inefficaces contre les maladies respiratoires virales ;
• Masquer le fait qu’il existe désormais une preuve d’observation directe que les masques en tissu n’empêchent pas l’exhalation de nuages ​​de particules d’aérosol en suspension (dessus, dessous et à travers les masques) ;
• Détourner l’attention des méfaits et risques connus considérables dus aux masques faciaux, appliqués à des populations entières.))

L’expérience mondiale a confirmé cette affirmation du Pr Rancourt de décembre 2020.

Jacinda Ardern « déconcertée » par la montée en flèche des infections COVID en Nouvelle-Zélande, pays où le masque est obligatoire (anguillesousroche.com)

Les pays non masqués sont moins infectés

La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes ».(([11] https://www.bbc.com/news/health-59895934))

Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.

Une étude prospective randomisée menée au Danemark auprès de 6 000 participants(([12] Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine
https://www.acpjournals.org/doi/full/10.7326/M20-6817?s=09&journalCode=aim
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32829745/)) a également révélé que :

« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.

L’OMS A TRAHI LA SCIENCE

Un « faire voir »

C’est bien dans le cadre d’un « faire voir » que l’OMS recommande de porter le masque, alors qu’en même temps, il reconnaît que ce dispositif ne permet pas d’arrêter le virus et de protéger celui qui le porte. L’avantage que l’organisation voit dans cette incitation réside dans la modification des comportements des populations, qui sont encouragées à fabriquer elles-mêmes leur propre masque et de prendre ainsi activement part à leur destruction ».(([1] L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

L’OMS,(([13] Attention l’OMS veut manipuler à nouveau le monde via le moneypox (monkeypox) | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) dont le rôle pervers et toxique dans cette crise Covid est bien démontré, a annulé le 5 juin 2020 plus d’une décennie de décisions d’organismes de santé publique à travers le monde qui ne recommandait pas de masques pour la population en général.

L’OMS a fait sa recommandation 2020 sur l’intervention médicale préventive des masques faciaux pour l’ensemble de la population mondiale en reconnaissant :

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée de masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité et il y a des avantages et des inconvénients potentiels à prendre en compte ».

L’OMS et les responsables locaux de la santé publique entravent le progrès scientifique, en promouvant des « études observationnelles » sans essais contrôlés, plutôt qu’en protégeant la santé publique. Il devrait être très préoccupant pour tous que le prétexte de l’OMS « d’un recueil croissant de données d’observation sur l’utilisation des masques par le grand public dans plusieurs pays » s’est transformé dans le mantra « un nombre croissant de preuves », qui se retrouve sur les lèvres de pratiquement tous les agents de santé publique et les maires des villes du pays. »

Ce mantra d’« un nombre croissant de preuves » est avancé comme la fausse justification miracle des lois de masquage draconiennes, dans des circonstances réelles dans lesquelles :

  • Il n’y a eu AUCUNE nouvelle étude randomisée soutenant le masquage
  • Toutes les nombreuses études randomisées passées ne soutiennent pas le masquage

Aucun des dommages connus du masquage n’a été étudié (application sur l’ensemble de la population générale).

C’est le contraire de la politique fondée sur la science.

Les politiciens et les responsables de la santé publique mettent en œuvre le pire modèle décision qui puisse être appliqué dans une société qui se prétend rationnelle et démocratique : des mesures préventives forcées sans fondement scientifique, tout en ignorant imprudemment les conséquences.

Denis Rancourt prouve dès 2020 qu’il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir le masquage forcé sur la population générale, et que toutes les études médicales de la dernière décennie indiquent le contraire : NE PAS recommander le masquage forcé de la population générale.

Rappelons en synthèse détaillée dans de nombreux articles que les obligations de masque facial pour toute la population provoquent :

  • – inconfort généralisé,
  • – troubles de la respiration,
  • – troubles de la vision (p. ex. buée sur les lunettes),
  • – communication altérée,
  • – distanciation sociale psychologique,
  • – irritation cutanée et infections,
  • – expression de soi altérée,
  • – exposition prolongée à des cultures bactériennes à proximité des yeux, du nez et de la bouche,
  • – la collecte et l’administration possibles d’agents pathogènes viraux qui, autrement, ne seraient pas inhalés, et
  • – amplification possible de la fraction granulométrique de l’aérosol expiré des particules infectieuses.

Le mantra « de plus en plus de preuves » est totalement mensonger(([14] revue de la littérature scientifique par Denis Rancourt concernant l’(in)efficacité mesurée des masques pour réduire le risque de transmission des maladies respiratoires virales, article publié le 11 avril 2020 chez ResearchGate, intitulé « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science pertinente à la politique sociale de COVID-19 ». lu quelque 400 000 fois sur ResearchGate, publié dans plusieurs lieux et objet de nombreux articles de commentaires et d’interviews. Ils ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas.))

Le port du masque est particulièrement nuisible chez l’enfant à risque de troubles d’apprentissage. Restons vigilants dans la crainte de mauvaises idées à la rentrée dans l’enseignement(([15] Cavadini, T., Fort, M., Pascalis, O., & Gentaz, É. (2022). Quels sont les effets du port du masque sur la reconnaissance des visages et des émotions chez les enfants et les adultes ? Apports des recherches. A.N.A.E., 176, 113-125.))(([16] Discussions autour des effets du port du masque — Psychologie du Développement Sensori-Moteur, Affectif et Social — UNIGE))(([17] Impact of lip-reading on speech perception in French-speaking children at risk for reading failure assessed from age 5 to 7 | Cairn.info)). Protégeons-les de l’injection génique inutile et toxique, mais aussi du port du masque que voudraient possiblement nous imposer les enfermistes à la rentrée de septembre 2022.

Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ! | FranceSoir rappel d’un article d’août 2020. Ils savaient ! Il est très illogique et extrêmement grave de réclamer des masques pour les enfants, car ils ne contaminent pas les autres. C’est totalement aberrant de réclamer des masques pour les enfants en classe alors que, contrairement aux épidémies de grippe, l’école ne constitue aucunement un lieu de propagation du Covid19 (9) et qu’en cas de grippe qui se transmet fréquemment par les enfants à l’école jamais ceux-ci n’ont été soumis à pareille obligation ni d’ailleurs aux vaccins antigrippal.

Sur les plus de 3700 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid répertoriés par PubMed le 17/8/2020 et les 70 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.(([18] • Weiyong Liu .et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
• Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2
• Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
• Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. • JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648
• Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.
• Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
• Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23;35(11)
• LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9
• Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
• Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
• Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.
• Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020 ; 58 : 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics
• Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com))

Ces articles confirment tous, sans exception, que le Covid 19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, que les enfants de moins de 19 ans ne sont pas contaminés par les camarades d’école, mais habituellement par les parents à domicile, qu’ils ne contaminent pas les adultes et que le confinement des enfants et l’arrêt des activités scolaires sont responsables de troubles psychologiques comportementaux et sociaux fréquents, en plus d’une incidence évidente sur leur scolarité. TOUS CES ARTICLES ONT ÉTÉ CONFIRMÉS PAR L’EXPÉRIENCE MONDIALE.

N’oublions jamais : le masque est une technique d’enfermement

« Le traitement réservé actuellement à notre corps fait immédiatement penser à la technique d’enfermement utilisée au bagne de Guantanamo. Ce camp inaugure une nouvelle exhibition, non du corps, comme dans l’ancien régime ou dans la mise au travail du début du capitalisme, mais de son image, plus précisément une négation de l’image du corps.

Non seulement les yeux des prisonniers étaient masqués par des lunettes opaques, mais leur nez et leur bouche étaient recouverts par un masque chirurgical. Le corps du prisonnier est confisqué, non pas pour le soumettre, mais pour qu’il reste enfermé en lui-même. Rien ne doit détourner l’esprit du prisonnier d’un enfermement, devant être perçu comme n’ayant ni début et surtout ni fin ».

Par rapport à la réception, sans condamnation explicite, des images de Guantanamo, l’embrigadement dans la « guerre contre le coronavirus » est une étape supplémentaire dans le renoncement de notre humanité. (…)

Dans la « guerre contre le coronavirus » bien nommée par le président macron en mars 2020 et entérinée par le terme « commando » que devrait créer le nouveau ministre de la Santé, le langage militaire est omniprésent, et il n’y a plus de distinction intérieur/extérieur. Cette fusion d’ordre psychotique existe, non seulement au niveau individuel, mais aussi sociétal.

La fabrication de la psychose est depuis longtemps une préoccupation de nos dirigeants. Les techniques de privation sensorielles appliquées à Guantanamo permettaient de fabriquer des individus psychotiques en deux jours. Ces techniques étaient une application directe des recherches de psychologues comportementalistes, dont Donald O. Hebb de l’université McGill au Québec.(([19] in « Un taxi pour l’enfer », fim documentaire américain réalisé par Alex Gibney, 2007))

Démasquer la pulsion de mort

Le principe d’identité se loge essentiellement sur le visage, le port du masque se présente comme une donnée originaire, porteur d’un trouble obsessionnel compulsif empêchant toute inscription de l’autre.

Si le visage rend possible le lien social, le masque corona est un dévoilement qui dérobe les traits de son porteur. Il « lève le verrou du moi et laisse libre cours au jaillissement de la pulsion ».

Le port du masque corona, comme support de l’appareillage pulsionnel, est au cœur du dispositif « sanitaire ». Il a pour fonction la décomposition du corps symbolique, l’annihilation de ce qui fait de nous des êtres humains.

Le port du masque empêche toute rupture avec le discours du pouvoir et permet l’éternel retour du traumatisme. Il est un fétiche se substituant à toute symbolisation.

Or symboliser, c’est déjà établir une distance avec l’injonction surmoïque et exister comme un « nous », c’est refuser d’être « pris un par un » dans cette guerre contre le genre humain et ainsi contrer une « attaque du collectif à travers les individus » par Jean-Claude PayeTülay Umay dont il faut lire l’article in extenso.

En conclusion, l’usage du masque, au-delà des multiples inconvénients physiques, sociétaux, éducatifs, etc., que nous avons rapidement perçus comme maltraitance tant chez les enfants que chez les adultes est bien plus que cela.

Il est l’outil de la perversité consciente des dirigeants qui nous persécutent, veulent nous déshumaniser et le font en pleine conscience.

L’arrêté autorisant sa poursuite dans les hôpitaux, publié le même jour que la suppression de la loi d’urgence covid le 26 juillet 2022 en est une tragique démonstration. Ils savaient, ils savent et devraient rapidement comprendre que nous savons aussi, et que leurs regrets, voire remords, récents tels ceux de JF Delfraissy et d’A Fischer ne suffiront pas à les absoudre de leurs gravissimes décisions qui ont ruiné de trop nombreuses vies et en gâcheront encore tant les effets délétères de toutes leurs décisions liberticides vont s’étaler sur des décennies, tant par leurs conséquences psychologiques que par les complications à long terme des injections géniques.





Inventer des diagnostics pour dissimuler les dommages causés par les vaccins — une escroquerie aussi vieille que la vaccination elle-même

[Source : childrenshealthdefense.org]

Les personnes blessées par les vaccins COVID-19 ne s’en rendent peut-être pas compte, mais le fait de prétendre que les blessures et les décès post-vaccinaux ne sont que de « tristes coïncidences » — loin d’être propre aux vaccins pandémiques — est une ruse aussi vieille que la vaccination elle-même.

Par Children’s Health Defense

Les soi-disant « vérificateurs de faits » doivent redoubler d’efforts pour trouver des moyens de nier le fait indéniable que les vaccins COVID-19 causent des blessures et décès à grande échelle.

Les promoteurs de la vaccination et les médias qui les soutiennent ont poussé les tactiques de dissimulation jusqu’à l’absurde, par exemple en faisant passer à la trappe la vague de crises cardiaques mortelles et de décès pendant la nuit chez des athlètes et des jeunes adultes à un état fortuit appelé diversement « syndrome de mort subite de l’adulte » ou « syndrome de mort subite arythmique » (SMSA).

Ce que les personnes blessées par le vaccin COVID-19 ne reconnaissent pas nécessairement, cependant, c’est la prétention que les blessures et les décès post-vaccinaux ne sont que de « tristes coïncidences ».   Loin d’être propre aux vaccins pandémiques, ce prétexte est aussi vieux que la vaccination elle-même.

Facilités par la sémantique bien aiguisée et des statistiques et des absurdités, la stratégie principale des responsables de la santé publique pour perpétuer leur fiction est de professer l’innocence — en faisant des déclarations sans fondement sur la sécurité des vaccins, d’une part, et d’autre part, se déclarant « déconcerté » par des maux qui émergent à la suite de la mise en œuvre de la vaccination.

De 1899 à 2022, les choses ont-elles changé ?

Dans un livre d’une étonnante franchise et clairvoyance intitulé « The Fallacy of Vaccination » [« Le caractère fallacieux de la vaccination », ou encore « La fausse idée de la vaccination »], publié en 1899, le Dr Alexander Wilder attirait l’attention sur la « conviction croissante » des « penseurs et observateurs plus profonds » que la vaccination était non seulement « totalement inutile en tant que moyen de prévention », mais qu’elle était « en fait le moyen de disséminer à nouveau la maladie là où elle est pratiquée ».

Wilder a noté que « chaque fois qu’un vaccinateur ou un groupe de vaccinateurs se lance dans une croisade de vaccination, il s’ensuit très généralement un certain nombre de décès dus à… des maladies provoquées par l’opération…».

Wilder a également dénoncé la suppression et la dissimulation des effets et événements indésirables des vaccins et des décès, décrivant les pressions exercées par un collègue médecin sur ses « confrères professionnels pour qu’ils tardent à publier les cas mortels de variole après vaccination » et décrivant d’autres manigances qui nous semblent trop familières aujourd’hui :

« De temps en temps… un décès par vaccination est publié, et immédiatement on s’efforce assidûment de faire croire qu’il est dû à une autre cause. Les statistiques de la variole, qui prétendent distinguer les personnes vaccinées des personnes non vaccinées, sont trop souvent peu fiables. De nombreuses personnes qui ont été vaccinées sont faussement déclarées comme non vaccinées.

Même lorsque la mort survient à la suite d’une vaccination, la vérité est dissimulée et le cas est présenté comme une scarlatine, une rougeole, un érysipèle [infection bactérienne de la peau], ou une autre maladie “masquée”, afin d’éviter un interrogatoire trop serré ».

L’intentionnalité de la suppression semblait évidente à Wilder, qui ajoutait : « Tout autre argument est accueilli par un silence impassible, et par un concert apparent d’intentions visant à exclure soigneusement toute discussion sur le sujet dans les journaux médicaux et publics, et à dénoncer tous ceux qui s’y opposent ».

Un tel tour de passe-passe a été pleinement exposé lors de la récente réunion axée sur Novavax du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

Dans le compte-rendu habilement résumé du live-blog par l’interniste Dr Meryl Nass – un membre de la Children’s Health Defense –  Nass a noté que le CDC avait falsifié les données relatives à la COVID-19 pour cacher les taux d’hospitalisation et de décès beaucoup plus élevés chez les personnes vaccinées contre la COVID-19 que chez les personnes non vaccinées.

Heureusement pour le CDC, a noté M. Nass, les seuls tableaux qui n’étaient pas « à jour au jour le jour » étaient ceux présentant le statut vaccinal par rapport au résultat.

Cependant, malgré le « charabia » du CDC, a souligné Nass, l’agence n’a pas pu cacher le taux plus élevé de myocardite chez les hommes vaccinés par ARNm dans la semaine suivant la deuxième dose – 75,9 fois plus élevé chez les jeunes de 16 à 17 ans et 38,9 fois plus élevé chez les jeunes de 18 à 24 ans.

Polio : un autre exemple de « charabia ».

Avec l’État de New York a récemment signalé un cas de « polio dérivée d’un vaccin », et les scientifiques britanniques ont déclaré un « incident national » après avoir prétendument trouvé des « séquences génétiques » de poliovirus à Londres, il semble que les autorités de santé publique se préparent à ressusciter la polio comme le croquemitaine du jour.

À première vue, la concession selon laquelle presque tous les cas modernes de polio paralytique sont iatrogènes (médicalement) causés par le vaccin oral contre la polio – partagée par pas moins que l’Organisation mondiale de la santé et le CDC – semble d’une franchise inattendue et rafraîchissante.

Cependant, les autorités de santé publique n’ont pas l’intention de concéder que l’histoire officielle de la poliomyélite (où « myélite » désigne une inflammation de la moelle épinière) est par ailleurs plus trouée qu’un fromage suisse.

Il y a, et il y a toujours eu, de nombreuses preuves pour suggérer que l’empoisonnement, que ce soit par l’arséniate de plombLE DDT ou plus tard, les ingrédients toxiques dans les vaccins contre la polio eux-mêmes, est l’explication la plus crédible des symptômes paralytiques et des décès qui ont été étiquetés « polio ».

[Voir :
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio]

En fait, Bernard Greenberg, l’une des premières sommités de la santé publique, président fondateur du département de biostatistique de l’école de santé publique de l’université de Caroline du Nord, a témoigné devant le Congrès que la vaccination contre la polio avait « en fait augmenté les cas de polio » et que « l’utilisation abusive des méthodes statistiques avait fait croire le contraire ».

Greenberg faisait référence à un changement dans les critères de diagnostic pour la « poliomyélite paralytique », mis en œuvre au milieu des années 1950, qui a commencé à exiger au moins 60 jours de symptômes paralytiques pour obtenir le diagnostic, contre seulement 24 heures auparavant.

Comme Greenberg n’a pas hésité à le souligner, la victoire revendiquée par les premiers vaccins contre la polio, qui ont commencé à être administrés à peu près à la même époque, était totalement imméritée.

De nos jours, la « paralysie flasque aiguë » et la « myélite flasque aiguë », dont le tableau clinique est pratiquement identique, sont considérées comme des maladies infectieuses identiques à la polio, sont les diagnostics de choix pour les paralysies infantiles qui apparaissent dans le monde entier, y compris aux États-Unis.

Dans des pays comme l’Inde où des dizaines de milliers d’enfants ont développé une paralysie flasque aiguë, les médecins ont explicitement établi un lien entre cette affection et la vaccination orale contre la polio. Mais des décennies de rapports publiés associent également la paralysie avec d’autres vaccins pour enfants comme les vaccins contre la coqueluche et les vaccins contenant de l’aluminium.

En fait, les rapports historiques d’inflammation de la moelle épinière, incluant non seulement la poliomyélite mais aussi d’autres formes de myélite, suivent de près avec les tendances de la vaccination pédiatrique, et avec l’augmentation simultanée de la pratique de l’injection pédiatrique.

Les générations précédentes de médecins ont même décrit les cas de polio qui suivaient des injections pédiatriques comme des « paralysie par provocation », tandis que les générations plus récentes de cliniciens ont noté la similitude entre la « polio » et les blessures par injection appelées « névrite traumatique ».

Dans le calendrier vaccinal actuel des enfants américains, les données d’essais cliniques ou de post-commercialisation associent 17 vaccins différents à la « myélite », l’« encéphalomyélite », l’« encéphalomyélite aiguë disséminée » et/ou à la « myélite transverse ».

La myélite transverse a également fait son apparition avec les vaccins COVID-19.

En contournant l’explication évidente

Depuis l’époque de la « polio », il existe de nombreux autres exemples de diagnostics destinés à obscurcir plutôt qu’à élucider la vaccination comme cause de maladie et de décès et que d’éclairer les personnes qui en souffrent.

Il s’agit notamment des troubles du spectre autistique (TSA) et du syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN).

Parmi les causes environnementales avancées comme déclencheurs plausibles des troubles neuro-immunitaires étiquetés « TSA », l’empoisonnement aux métaux lourds – principalement par la vaccination – est l’une des causes les plus fréquentes.

Des articles de référence méticuleux publiés en 2004 et 2012 ont démontré de forts parallèles entre les effets cérébraux de l’intoxication au mercure et la pathologie cérébrale des TSA. Des articles ultérieurs ont fourni des preuves similaires en ce qui concerne l’aluminium.

En ce qui concerne le SMSN, le diagnostic est entré en vogue à peu près au même moment (au début des années 1970) où la charge vaccinale des enfants aux États-Unis a doublé.

Bien que le calendrier vaccinal des années 1970 semble limité par rapport aux normes actuelles, les jeunes enfants de cette décennie ont non seulement commencé à recevoir 13 vaccins au lieu de sept, mais ils sont également passés d’une seule injection à deux en même temps, y compris cinq injections de diphtérie-tétanos-coqueluche (DTC) et de vaccin antipoliomyélitique oral – tous deux retirés du marché américain en raison de leur profil d’effets indésirables inquiétant.

Les décès dus au SMSN, qui par définition touchent des « nourrissons apparemment normaux et en bonne santé », et les décès de tout-petits classés dans la catégorie « décès soudains et inexpliqués dans l’enfance » surviennent généralement « en étroite association temporelle après la vaccination », neuf décès sur dix dus au SMSN se produisant à peu près en même temps que les visites de routine à deux et quatre mois.

Néanmoins, les scientifiques continuent de déclarer que ces morts imprévisibles « échappent à toute compréhension scientifique ».

La tromperie continue

Malheureusement, des personnes blessées par un vaccin sont souvent enrôlées dans cet artifice.

Ayant désespérément besoin d’aide, elles découvrent qu’elles ne peuvent accéder aux couloirs de la médecine qu’à condition d’autocensurer toute discussion sur la vaccination en tant que source de leurs problèmes de santé et d’accepter des explications « idiopathiques » ou « génétiques », ou de se rabattre sur l’un des quelque 70 000 codes de la Classification internationale des maladies-10 (CIM-10) — tout en évitant l’infime poignée de codes relatifs aux « effets indésirables des vaccins et des substances biologiques ».

Un nouveau code CIM concernant les « nouvelles maladies d’étiologie incertaine ou d’utilisation urgente » a été désigné pour les « vaccins COVID-19 provoquant des effets indésirables à usage thérapeutique, non spécifiés ». Toutefois, il reste à voir si les professionnels de la santé seront assez courageux pour l’utiliser.

Pendant ce temps, comme The Exposé l’a satiriquement rapporté le 24 juillet, « On a l’impression qu’il ne se passe pas une semaine sans que l’on entende parler de la réémergence ou de l’émergence d’une maladie ou d’un malaise » — y compris une « mystérieuse » épidémie d’hépatite chez les enfants, le phénomène SMSA, la variole du singe et, bien sûr, la polio.

Toutes ces épidémies, notent les journalistes, « surviennent « par coïncidence » après que des millions de personnes dans le monde se sont vu injecter un vaccin expérimental à ARNm COVID-19 ».

Comme l’illustrent les récents rapports de New York et du Royaume-Uni sur la polio induite par les vaccins, ces menaces, qu’elles soient réelles ou imaginaires, sont susceptibles de mobiliser encore davantage l’hostilité envers les non-vaccinés – y compris les communautés new-yorkaises farouchement ostracisées il y a quelques années pour avoir rejeté les vaccins contre la rougeole pour des raisons religieuses.

De plus, le spectre d’une résurgence de la polio sera utilisé pour haranguer le nombre croissant de parents qui, pour une raison ou une autre, ont de plus en plus tendance à reporter la vaccination pour leurs enfants.

En bref, il serait naïf de s’attendre à ce que les autorités fassent bientôt des progrès en matière de vérité.




Les vilains mensonges Covid

[Source : lewrockwell.com]

Par  Ron Paul, MD

Après deux ans de tyrannie gouvernementale sans précédent au nom de la lutte contre un virus, les principaux instigateurs de cette infamie se promènent en liberté, écrivent des livres et prétendent ouvertement qu’ils n’ont jamais dit les choses qu’ils ont clairement dites encore et encore.

Prenez par exemple la coordinatrice à la Maison-Blanche de la réponse de Trump contre la Covid, Deborah Birx. Elle était, comme le souligne Jeffrey Tucker du Brownstone Institute dans un article récent, l’architecte principale de la désastreuse politique de « verrouillage » qui a détruit plus de vies que la Covid elle-même. Mme Birx savait que le verrouillage d’un pays en réponse à un virus était une mesure radicale qui ne serait jamais approuvée. Alors, comme elle l’admet dans son nouveau livre, elle a menti à ce sujet.

Elle a fait miroiter à la Maison-Blanche l’idée farfelue de « quinze jours pour ralentir la propagation », tout en sachant qu’il n’y avait aucune preuve que cela aurait un tel effet. Comme elle l’écrit dans son nouveau livre, Silent Invasion, « Je n’avais pas encore les chiffres sous les yeux pour justifier une prolongation, mais j’avais deux semaines pour les obtenir ».

Elle jouait la carte du temps sans aucune preuve. Il s’avère qu’elle détruisait également la vie de millions d’Américains. L’hystérie qu’elle a créée a entraîné la destruction d’innombrables entreprises, d’innombrables suicides, des dépressions majeures, des dépendances à la drogue et à l’alcool. Elle a conduit à d’innombrables décès dus à des retards dans le traitement d’autres maladies. Elle pourrait s’avérer être l’erreur la plus meurtrière de l’histoire de la médecine.

Comme elle le révèle dans son livre, elle voulait en fait isoler chaque personne aux États-Unis ! Écrivant sur le nombre de personnes qui seraient autorisées à se rassembler, elle a déclaré : « Si j’avais insisté pour qu’il y en ait zéro (ce qui était en fait ce que je voulais et ce qui était requis), cela aurait été interprété comme un “verrouillage” — la perception que nous travaillions tous si dur à éviter. »

Elle voulait empêcher les rencontres même entre seulement deux personnes. Comment est-il possible qu’une personne comme celle-ci ait pu acquérir autant de pouvoir sur nos vies ? Un virus et nous devenons soudainement la Chine communiste ?

La semaine dernière, dans une interview à Fox News, elle a de nouveau révélé l’étendue de sa traîtrise. Après avoir passé des mois à exiger sans relâche que tous les Américains reçoivent les vaccins Covid, elle a révélé que les « vaccins » n’étaient pas du tout des vaccins !

« Je savais que ces vaccins n’allaient pas protéger contre les infections », a-t-elle déclaré à Fox. « Et je pense que nous avons exagéré l’importance des vaccins. Et cela a fait que les gens se sont ensuite inquiétés du fait que cela ne va pas protéger contre les maladies graves et les hospitalisations. »

Alors quand l’a-t-elle su ? Le savait-elle lorsqu’elle a déclaré à ABC, fin 2020, que « c’est l’un des vaccins les plus efficaces que nous ayons dans notre arsenal contre les maladies infectieuses ? Et c’est donc la raison pour laquelle je suis très enthousiaste à propos de ce vaccin » ?

Si elle savait depuis le début que les « vaccins » n’étaient pas des vaccins, pourquoi ne nous l’a-t-elle pas dit ? Parce que, comme elle l’admet dans son livre, elle pense qu’il est normal de mentir aux gens pour leur faire faire ce qu’elle veut.

Elle admet avoir employé un « subterfuge » contre son patron — le président Donald Trump — pour mettre en œuvre les politiques de Covid auxquelles il s’opposait. Il ne faut donc pas s’étonner qu’elle ait menti au peuple américain sur l’efficacité des piqûres antiCovid.

La grande question maintenant, après ce qui semble être un tsunami de blessures liées aux vaccins, est de savoir si quelqu’un sera forcé à payer pour les mensonges et le subterfuge. Quelqu’un sera-t-il tenu de rendre compte des vies perdues à cause de l’arrogance des Birx et des Faucis de ce monde ?




COVID, VIH, VARIOLE, Monkeypox… Ces virus adorent qu’on les aide à muter

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Le scénario de la Covid recommence avec le Monkeypox et des vaccins dix fois plus dangereux que le Pfizer, autorisés sans essais…

Face à l’augmentation des cas de variole du singe en France, la vaccination préventive contre maladie a été élargie le 8 juillet, les télétoubibs annoncent la cata… Attendons la présentation des gestes barrières ??

Le MPX n’est pas un agent pathogène susceptible de devenir une MST dans la population hétérosexuelle. La raison en est que les personnes infectées peuvent la transmettre efficacement à d’autres pendant environ 4 semaines au maximum, puis l’éliminer et devenir essentiellement immunisées à vie.

~ 50 % symptomatiques et ne se livrant pas à des relations sexuelles ~50 % de taux d’attaque (transmission lors de l’exposition) — > MPX ne se propage que dans les réseaux où les gens ont > 1 partenaire sexuel/semaine.

Dans sa forme actuelle, il est très peu probable que MPX devienne une MST en dehors de certains cercles HSH. Les MST sont définies par leur principale voie de transmission (le sexe), mais plus encore, par leur capacité à provoquer des infections à long terme, l’hôte restant infectieux pour les autres pendant des décennies.

Vont-ils tous nous piquer contre la variole du singe ? Mêmes les anciens vaccinés avant82 ?

@NiusMarco

·Je rappelle qu’en raison des risques de myocardites des vaxcons covid et monkeypox il faut attendre 4 semaines entre les 2. ACAM 2000 c’est 5,7 myocardites pour 1000. C’est 10x plus de « chance » que d’avoir 2 bons numéros au loto 🤦(0,5 %) Des tarés

https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/71/wr/mm7122e1.htm

On autorise d’abord et on fait ensuite une étude observationnelle en population générale sans passer par des essais cliniques :

https://www.ema.europa.eu/en/news/ema-recommends-approval-imvanex-prevention-monkeypox-disease

Le bénéfice/risque ne résiste pas à l’analyse. Même le vieux vaccin antivariolique n’est pas miraculeux et les effets secondaires sont connus et nombreux. La piste des antiviraux est ancienne et si les molécules nouvelles sont coûteuses et inefficaces. D’autres pistes sont bien connues

Le monkeypox ne demande qu’à muter et les manipulations inquiètent…

https://www.science-et-vie.com/les-chroniques-de-science-et-vie-tv/on-a-recree-le-virus-de-la-variole-60600.html

Il aura fallu attendre des mois pour que la Haute Autorité de Santé (HAS) se décide enfin le 8 juillet à définir noir sur blanc les « groupes les plus exposés au virus » de la variole du singe. Soit « les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les personnes trans qui sont multipartenaires, les personnes en situation de prostitution, les professionnels exerçant dans les lieux de consommation sexuelle ».

Au total, quatre poxvirus peuvent infecter l’homme : le monkeypox virus (MXV), le virus de la variole (VARV), le cowpoxvirus (CXV) ou variole de la vache et le virus de la vaccine (VACV) longtemps assimilé au précédent.

La première épidémie non africaine de variole du singe est survenue en 2003 aux USA où elle a été importée depuis le Ghana par plusieurs espèces de rongeurs sauvages, dont le rat de Gambie

Une transmission interhumaine est également possible. En Europe et Amérique du Nord, la maladie atteint surtout de jeunes adultes de sexe masculin et plus fréquemment les homosexuels et bisexuels. Ainsi, le cas d’un sauna du centre de Madrid (aujourd’hui fermé) où les utilisateurs avaient des relations sexuelles.

Ceux qui ont jadis été vaccinés contre la variole présentent pour certains encore des anticorps (immunité humorale) croisés efficaces contre la variole du singe de l’ordre de 10 ans plus tard.

La contagion peut se produire par contact étroit avec la peau ou les muqueuses (yeux, nez, bouche, organes génitaux…), rapports sexuels, face à face avec un positif et contact avec des sécrétions, du sang, des objets (p. ex. vêtements, literie, articles d’hygiène) contaminés par un patient.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, s’est dit « inquiet », jeudi 21 juillet, de l’augmentation du nombre de cas de variole du singe lors de l’ouverture de la réunion du Comité d’urgence, demandant conseil aux experts avant de trancher sur l’accession au plus haut niveau d’alerte de l’organisation.

1) LES MANIPULATEURS SE PRÉPARENT À RENDRE LA MONKEYPOX PLUS LÉTALE

Les médecins savent bien qu’on ne vaccine pas quelqu’un susceptible d’avoir déjà le virus en lui… Vont-ils à un moment se réveiller et réviser leurs classiques ? Faire autant d’études pour en arriver là ça devient grotesque ! Vacciner les cas contact (qui incubent la maladie) rend la maladie mortelle.

Hélène Banoun le rappelle avec justesse

@BanounHelene

La monkeypox, peu létale, va devenir sans doute + sévère si on vaccine les contacts comme le recommande la HAS https://has-sante.fr/jcms/p_3340378/fr/avis-n2022-0034/sespev-du-20-mai-2022-du-college-de-la-haute-autorite-de-sante-relatif-a-la-vaccination-contre-la-variole-du-singe-monkeypox-virus… Incubation 5 à 21 j Vacc entre 4 et 14 j après contact La vaccination des contacts pour la variole rendait la variole encore + mortelle

https://www.aimsib.org/2020/09/06/vaccinez-les-tous-confinez-les-ensemble-le-triste-exemple-de-1974/

idem avec la rougeole https://xiahepublishing.com/2472-0712/ERHM-2022-00018… Banoun H. Measles and Antibody-Dependent Enhancement (ADE): History and Mechanisms. Explor Res Hypothesis Med. Rougeole et facilitation dépendante des anticorps (ADE) : historique et mécanismes7

Bernard Guennebaud rappelle les heurts et malheurs du confinement et de la vaccination systématique des sujets contacts s’agissant non pas de l’entourage des malades atteints de la variole dans les années 1970. Cet article représente la suite logique des deux premiers de la série (*) (**) et vise à faire comprendre qu’en matière sanitaire les solutions à l’emporte-pièce brutales, généralisées et intuitives sont rarement génératrices des succès espérés. Nos formidables élites vont-elles se souvenir des erreurs passées ou replongeront-elles dans les mêmes ornières ?

Éradication de la variole, la désastreuse vaccination des sujets contacts :

[

]

Deux nouveaux concepts, les « effets Buchwald »

Dr. Gerhardt Buchwald, 1920-2009

Une hypothèse va permettre d’en proposer une explication : le vaccin antivariolique utilisé au cours de la campagne d’éradication et avant posséderait ce que j’appelle « les effets Buchwald » du nom du médecin allemand Gerhard Buchwald qui l’affirma courageusement et sans ambages à la télévision allemande le 2 février 1970, en pleine épidémie d’importation dans l’hôpital de Meschede où il y eu 20 cas et alors que le gouvernement s’apprêtait à vacciner au moins 200 000 personnes ([6] p. 44) :

« Sur la première chaîne de télévision publique allemande, (ARD) à l’émission Report, j’ai lancé un avertissement contre ces vaccinations. À la fin du reportage, j’ai dit que l’élève infirmière Barbara Berndt, 17 ans, n’était pas décédée suite à la variole, mais suite à la vaccination antivariolique administrée peu de temps avant. »

Cette élève infirmière avait été vaccinée de façon obligatoire deux fois auparavant puis elle avait reçu une nouvelle vaccination le 16 ou 17 janvier après la déclaration d’un foyer de variole dans l’hôpital de Meschede. Elle décédera le 29 janvier 1970, d’une variole hémorragique 12 jours après cette vaccination. G. Buchwald décrit dans son livre les cas de quatre femmes qui moururent en Allemagne de variole hémorragique peu de temps après avoir reçu une vaccination à l’occasion d’une importation de variole.

Toutes avaient reçu deux vaccinations antivarioliques auparavant et les délais écoulés entre la dernière vaccination et les décès sont entre 10 et 14 jours. La détermination et la lucidité de ce médecin m’ont conduit à proposer de nommer « effets Buchwald » le phénomène qu’il avait bien identifié même si cela était déjà connu un siècle auparavant comme on le verra.

Premier effet Buchwald : chez une personne non immunisée, la vaccination pendant la période d’incubation ou quelques jours auparavant aggravera la maladie. Collectivement, cet effet se manifestera par un accroissement des formes graves et de la mortalité chez les malades (létalité).

Second effet Buchwald : chez une personne immunisée (par une ancienne vaccination ou une ancienne variole) la même vaccination déclenchera la maladie qu’elle aurait sinon évitée. Collectivement cet effet se manifestera par une amplification des épidémies.

Il devient alors possible d’énoncer le théorème de Buchwald :

Après l’importation d’un cas, la vaccination des vrais contacts avec un vaccin doté du second effet Buchwald déclenchera des épidémies dans des populations même immunisées à 100 %.

2) Depuis des milliers d’années, le virus de la variole n’a cessé de muter et de devenir plus méchant avant son éradication (?)

Il faut remonter loin dans le temps: tout commence par une étude sur le mouvement des populations vikings à la fin du premier millénaire. Un projet connexe voit alors le jour, dont l’objectif est d’évaluer la présence d’ADN de la variole sur les restes de 1867 individus. Les scientifiques identifient ainsi 11 personnes du nord de l’Europe, de l’ouest de la Russie et du Royaume-Uni, qui seraient mortes de la maladie entre l’an 603 et l’an 1050.

Avant cette étude, les traces génétiques les plus anciennes de la variole provenaient du corps partiellement momifié d’un jeune enfant lituanien décédé au 17siècle. La découverte de cet ADN sur des individus de l’époque viking prouve donc que la maladie faisait déjà des ravages 1000 ans plus tôt.

Par ailleurs, les résultats indiquent que le virus qui circulait chez les Vikings ne serait pas un ancêtre de la variole moderne, mais plutôt son petit frère. Ils partageraient en effet un parent commun, qui aurait circulé il y a au moins 1700 ans, c’est-à-dire avant la chute de l’Empire romain. Ce qui confirme d’ailleurs ce que nous savons de l’histoire de la variole: des sources en décrivaient des cas en Inde au 7e siècle et en Asie Mineure au 10e siècle.

Mais depuis quand la variole s’attaque-t-elle à l’humain ? Un des auteurs de l’étude, interrogé par la revue Nature, a analysé les restes de plusieurs individus ayant vécu à l’âge de Bronze, c’est-à-dire il y a entre 10 000 et 13 000 ans. Il n’a trouvé aucune trace de variole.

Le chercheur estime que la maladie aurait commencé à circuler pour de bon il y a 3000 à 4000 ans. Des lésions semblables à celles occasionnées par la variole seraient d’ailleurs visibles sur des momies égyptiennes vieilles de 3000 ans, dont celles du pharaon Ramsès V.

La variole fait partie d’une grande famille, les poxvirus, qui ont pour origine un ancêtre commun qui pouvait apparemment infecter plusieurs hôtes différents. Avec le temps, ce virus se serait spécialisé pour s’attaquer seulement à certaines espèces. C’est ainsi que le virus de la variole en serait venu à préférer l’humain.

Étrangement, la variole ancienne et la variole moderne auraient inactivé des gènes différents. Les deux « frères » auraient donc trouvé chacun leur façon de se reproduire chez l’humain. Certains experts soulignent que ces variations entre les deux génomes signifient que la maladie était probablement différente à ses débuts: elle était peut-être plus répandue, mais moins sévère.

https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/2020/08/20/retour-aux-origines-variole

La variole, responsable de 300 millions de morts au XXe siècle, a été déclarée éradiquée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le 8 mai 1980, au terme d’une campagne de vaccination massive.

3) UNE HISTOIRE COMPARABLE POUR LE VIH QUI A PU PROFITER DE LA VACCINATION DE MASSE CONTRE LA VARIOLE POUR MUTER ET DE L’ARRÊT DE CETTE VACCINATION POUR EXPLOSER

En 1987, on a envisagé la possibilité que « l’épidémie de SIDA ait été déclenchée par la campagne de vaccination de masse qui a éradiqué la variole ». Un article du Times l’a suggéré, citant un « conseiller de L’OMS » anonyme avec « je crois que la théorie du vaccin contre la variole est l’explication de l’explosion du SIDA ».,

On pense maintenant que le vaccin contre la variole provoque de graves complications chez les personnes qui ont déjà un système immunitaire altéré, et L’article du Times a décrit le cas d’une recrue militaire atteinte du « VIH dormant » qui est décédée dans les mois qui ont suivi sa réception. Mais aucune citation n’a été fournie concernant les personnes qui n’avaient pas auparavant le VIH.

Actuellement, le VIH est considéré comme une contre-indication au vaccin contre la variole à la fois pour une personne infectée et pour ses partenaires sexuels et les membres du ménage.

En revanche, un article de recherche a été publié en 2010 suggérant que c’était peut-être l’éradication réelle de la variole et la fin ultérieure de la campagne de vaccination de masse qui ont contribué à l’émergence soudaine du VIH. La théorie était la possibilité que la vaccination contre la variole « pourrait jouer un rôle en fournissant à une personne un certain degré de protection contre l’infection à VIH et/ou la progression de la maladie., »

En se basant sur l’histoire naturelle du VIH et son extension en Afrique, Raymond Weinstein et ses collègues ont proposé l’hypothèse que le déclin des réponses immunologiques à la variole, lié à une éradication de la maladie et à l’arrêt des vaccinations, pourrait être associé à l’explosion du VIH.

La phase épidémique commença à la fin des années 1970-début des années 1980. C’est en Afrique noire que l’on a relevé le plus grand nombre de sous-types du virus VIH-1, phénomène marquant l’ancienneté de la circulation des virus.

Pour vérifier cette hypothèse, les chercheurs ont pratiqué des analyses sanguines auprès de 10 participants vaccinés contre la variole et 10 non vaccinés, et ont exposé leurs cellules au VIH in vitro.

Malgré le petit nombre de participants, les auteurs ont décelé des différences entre les deux groupes quant à la résistance à l’infection au VIH. Les patients vaccinés seraient quatre fois plus résistants au VIH que les non-vaccinés.

Il semble que le VIH ne soit pas parvenu à se multiplier ou à un niveau très faible dans les cellules des patients vaccinés contre la variole. Ces résultats suggèrent que la vaccination antivariolique pourrait être adaptée pour conférer une protection significative contre l’infection au VIH.

Indépendamment des effets du vaccin contre la variole lui-même, son utilisation en pratique en Afrique fait partie des catégories d’injections non stériles qui ont pu contribuer à la propagation et à la mutation des virus de l’immunodéficience.

Et oui le VIH mute et deviendrait plus méchant comme en témoigne un variant détecté au Bénélux.

Le virus du VIH est en constante évolution, de telle sorte que chaque personne infectée en présente une version légèrement différente, ce qui n’a la plupart du temps pas d’importance. Mais le variant découvert comporte lui plus de 500 mutations. 

Ce variant répond en effet aux traitements existants, et est en déclin depuis 2010. « Il n’y a pas de raison de s’alarmer », a assuré à l’AFP Chris Wymant, chercheur en épidémiologie à l’Université d’Oxford et auteur principal de cette étude, publiée ce jeudi 3 février dans la revue Science.

Mais cette découverte pourrait aider à mieux comprendre comment le virus du VIH, à l’origine de la maladie du sida, attaque les cellules.

Ces travaux démontrent également qu’un virus peut bien évoluer pour devenir plus virulent :

Un article scientifique synthétise les mécanismes spécifiques qui conduisent à des maladies graves après des injections (cancer, thromboses, Guillain Barré, Alzheimer), mécanismes qui n’existent pas après une infection par le virus :
https://pgibertie.com/2022/07/25/un-article-scientifique-synthetise-les-mecanismes-specifiques-qui-conduisent-a-des-maladies-graves-apres-des-injections-cancer-thromboses-guillain-barre-alzheimer-mecanismes-qui-n/… 
via @giberpa




LE GRAND JURY révèle l’agenda pour la domination mondiale

NOTE DE COPYRIGHT

Ce document [PDF. Voir plus bas] contient une sélection des informations les plus importantes présentées au cours de la deuxième journée de la procédure modèle du Grand Jury, dirigée par le comité d’enquête Corona de l’avocat, le Dr Reiner Fuellmich.

Il n’y a aucun droit d’auteur sur ces informations et, en fait, chaque lecteur est encouragé à diffuser ces informations à grande échelle sous la stricte condition qu’elles ne soient pas vendues à des fins lucratives.

Des copies imprimées de ce document peuvent être obtenues sur le site Web suivant :
StopWorldControl.com/jury

Ce document fait partie de la première des cinq sessions du grand jury.

Les autres sessions seront également disponibles en format imprimable.

Traduction française par Dawid E.R. et google translate, pour cogiito.com

CONTENU

GRAND JURY
Présentation des preuves pour crimes contre l’humanité
PAGE 3

LA CITY DE LONDRES
L’élite Britannique et leur agenda pour la domination mondiale
PAGE 6

MANIPULATION PSYCHOLOGIQUE
Contrôler les esprits de la population pour changer leur comportement
PAGE 33

ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ
L’OMS a été mis en place pour fonctionner comme un gouvernement mondial unique
PAGE 54

CONCLUSION
Entités privées s’emparent du monde
PAGE 81

RESOURCES
More information about the criminal elite
PAGE 86

[Traduction de la page 86 :

Assurez-vous de consulter les ressources critiques suivantes qui en révèlent beaucoup plus sur les entités criminelles qui prévoient de réduire l’humanité en esclavage. Ces ressources fournissent plus d’informations, ce qui vous permet de résister à leurs plans et d’aider à construire un monde meilleur de liberté, de bonté et de vérité.

MONOPOLY

Le documentaire MONOPOLY – Who Owns the World (MONOPOLY – Qui possède le monde ?) est un documentaire brillant et éblouissant que tout le monde devrait regarder dans ce contexte. Ce film montre toutes les preuves de la façon dont pratiquement tout ce qui existe dans notre monde est détenu par un très petit groupe de personnes super riches. Nombreux sont ceux qui ont fait l’éloge de ce documentaire, le qualifiant d’incontournable pour toute l’humanité et d’un des meilleurs documentaires de tous les temps. Monopoly peut être visionné ici :
StopWorldControl.com/monopoly
[Version française :
Qui possède le monde ?]

LA CHUTE DE LA CABALE

Il s’agit de la meilleure ressource au monde pour en savoir plus sur l’identité de ces oligarques criminels et sur le type de crimes qu’ils commettent depuis des siècles. Il existe deux séries : la série originale Fall of the Cabal [La chute de la Cabale], qui expose les horreurs indicibles infligées à l’humanité – et en particulier aux enfants. La suite continue avec plus d’informations sur qui ils sont, quel genre d’organisations ils dirigent, et ainsi de suite. Ces séries changent la vie et doivent être vues par tous ceux qui veulent aider à mettre fin à ces crimes cruels et à construire un monde d’espoir pour nos enfants. Regardez The Fall of the Cabal ici :
StopWorldControl.com/cabal

RONALD BERNARD

Le témoignage de ce courageux dénonciateur est l’un des plus choquants et des plus révélateurs de tous les temps. Une fois que Ronald a accédé aux plus hauts niveaux du monde financier, il a été invité à participer au sacrifice d’enfants. Il a découvert que la plupart de ceux qui opèrent aux plus hauts niveaux, sont impliqués dans une religion appelée Luciférianisme. Ronald n’a pas pu le faire et s’en est éloigné. En conséquence, il a été physiquement torturé pour s’assurer qu’il ne révélerait aucun de leurs noms au monde. Dans la vidéo suivante, il confirme une grande partie de ce qui est dit par les dénonciateurs dans le résumé du Grand Jury. À voir absolument pour tous ceux qui veulent construire un monde meilleur.

Regardez Ronald Bernard ici :
StopWorldControl.com/bernard

RAPPORT SUR LA MORT PAR LES VACCINS

Le Vaccine Death Report est le rapport le plus complet et le plus détaillé au monde sur les destructions innommables causées par la thérapie génique expérimentale, faussement commercialisée sous forme de vaccins. Des millions de personnes sont déjà mortes, et des centaines de millions sont handicapées à vie. Et ce n’est que la première vague de dévastation à court terme. À long terme, les effets dépasseront toute imagination. Il s’agit véritablement de la pire attaque contre la race humaine de tous les temps. Téléchargez le rapport sur les décès dus aux vaccins ici :
StopWorldControl.com/report
[Version française :
Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français !]

L’ÂGE DES CYBORGS

L’une des réalités les plus inquiétantes révélées au cours de ce Grand Jury est la manière dont les oligarques prévoient de soumettre l’ensemble de l’humanité à un système sans précédent de contrôle total de nos esprits et de nos émotions. Nous préparons un documentaire qui montrera des dizaines de ces criminels parlant ouvertement de ce programme d’éradication complète du libre arbitre, de la libre pensée et de la libre émotion. Il s’agira du plus important cri d’alarme de l’humanité, de notre époque. Si ces psychopathes parviennent à réaliser leur projet fou, tout le monde sera un esclave contrôlé, dans son esprit, son âme et son corps. La 5G joue un rôle clé à cet égard, ainsi que l’oxyde de graphène, qui est ajouté aux vaccins, à l’eau potable, aux chemtrails, à la nourriture, aux compléments alimentaires, aux produits pour femmes, aux couches, etc. Une fois que le public sera suffisamment saturé d’oxyde de graphène, il pourra être contrôlé par la 5G. Inscrivez-vous à nos courriels gratuits pour rester informé de ce documentaire à venir, et pour recevoir d’autres informations critiques qui vous aideront à défendre votre vie.

Inscrivez-vous ici : StopWorldControl.com]

[Voir aussi les 8 vidéos du Grand Jury :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]




REVUE DE PRESSE DU 23 JUILLET 2022

Par MF

ÉDITO
Immunité biologique versus immunité juridique

Si un vaccin est approuvé aux USA pour les enfants, son fabricant ne peut être poursuivi pour les effets indésirables qu’il provoque, qu’il s’agisse d’adultes ou d’enfants, et même si ce produit n’assure pas la protection avancée, d’où la course à l’approbation pour les laboratoires déjà en selle, tandis que Valneva voit ses contrats annulés en Europe et au Royaume-Uni, pour cause de retard à l’AMM : deux poids deux mesures.

L’immunité acquise avec Omicron reste forte contre les sous-variants, et les masques une fois de plus se révèlent inutiles et dangereux, comme en témoigne le désastre de leur utilisation en Nouvelle-Zélande.

Les vaccinés affichent une surmortalité toutes causes, y compris avec une explosion de la mort subite de l’adulte. Mais les caciques de la HAS et de l’Académie de médecine aux conflits d’intérêts bien connus ont conforté le gouvernement dans son refus de réintégrer les soignants suspendus, malgré un été sous tension dans tous les services d’urgence.

Quant à l’OTAN s’il considère l’esprit humain comme un nouveau domaine de guerre, la manipulation est visible pour les esprits éveillés et selon le Pr Perronne, le mensonge ne durera pas éternellement. Exemple au Royaume-Uni où l’on a découvert les morts cachés sous le tapis du groupe non vacciné alors qu’ils sont décédés après la première dose de « vaccin ».

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La HAS dit non à la réintégration des soignants suspendus

https://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/infectiologie/le-gouvernement-suit-lavis-de-la-has-et-dit-non-la-reintegration-des-soignants-non-vaccines

Hélas, sur des arguments dont on sait qu’ils sont faux (l’efficacité n’est pas au rendez-vous, ni contre la contamination, ni contre les formes graves et décès).

Pour comprendre cette décision, il faut en connaître les auteurs et leurs conflits d’intérêts

Exemple, le Pr Aubier, membre de l’Académie de médecine

https://www.transparence.sante.gouv.fr/pages/infosbeneficiaires/?refine.id_beneficiaire=45432

À ce niveau-là, tout s’explique.

France, le seul pays au monde, avec l’Italie, à maintenir la suspension des soignants et pompiers

https://pgibertie.com/2022/07/22/la-protection-vacxxxinale-a-disparu-meme-en-france-seul-pays-au-monde-avec-litalie-a-maintenir-lobligation-pour-soignants-et-pompiers/

Malgré l’absence de protection des injections contre les formes graves.

La forfaiture du gouvernement et de ses alliés

https://pgibertie.com/2022/07/23/non-reintegration-des-soignants-et-pompiers-non-vaccines-la-forfaiture-du-gouvernement-et-de-ses-allies-verifiez-vous-memes-les-stats-qui-le-prouvent/

Les non-vaccinés représentent le quart de la population française et « seulement » 15 % des cas et décès. « Affirmer, en juillet 2022 que les injections protègent les plus vulnérables, c’est du même ordre que présenter le Médiator comme l’invention médicale du siècle et le tabac comme un produit efficace contre le cancer ».

Les statistiques de la DREES parlent toutes seules

France — pour la première fois les statistiques officielles révèlent l’absence de protection vaccinale contre les formes graves

https://pgibertie.com/2022/07/22/pour-la-premiere-fois-en-france-les-statistiques-officielles-revelent-que-la-protection-vaccxxinale-contre-les-formes-graves-n-existe-pas/

et

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/rapport-vaccinesnon-vaccines

« 5 décès par 10 millions pour les vaccinés et 4 pour les non-vaccinés. » Pour autant on ne sait pas de quoi sont décédées ces personnes, dont le diagnostic est « avec Covid » et non « du Covid ».

Lettre d’une étudiante en médecine au Conseil de l’Ordre

On souhaite qu’un jour prochain quand le bon sens aura réintégré les institutions, hôpitaux et facultés de médecine, cette jeune étudiante puisse reprendre ses études interrompues avec un courage moral qui force le respect.

ÉTRANGER

Les actions de l’OTAN pour le contrôle de l’opinion publique

https://fr.sott.net/article/40404-Propagande-operations-psychologiques-et-guerre-cognitive-Les-actions-de-l-OTAN-pour-le-controle-de-l-opinion-publique

« Elle a mis en place dès avril 2020 une structure dédiée à l’étude de ce qu’ils appellent “l’infodémie”, et lancé dès avril 2020 l’Information Network for Epidemics (EPI-WIN) » ; « En mai 2020 elle fait passer la résolution WHA73.1 qui affirme que le contrôle des infos non conformes est un point essentiel dans la lutte “contre le Covid”, impose aux États de produire des contenus conformes et prendre des mesures contre les infos non conformes. »

« L’esprit humain est désormais considéré comme un nouveau domaine de guerre ». « Les armées développent déjà des armes neurologiques qui visent le système nerveux et les capacités cognitives. Des expérimentations dans ce sens sont très certainement menées actuellement en Amérique latine avec la DARPA. »

L’UE abandonne Valneva

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/22/lue-abandonne-valneva/

Annulation quasi totale de la commande, car l’AMM a tardé à venir (l’appréciation de l’urgence n’est pas la même selon le laboratoire concerné).

ROYAUME-UNI — les morts cachés sous le tapis

https://pgibertie.com/2022/07/16/en-soulevant-le-tapis-on-a-retrouve-planques-des-milliers-de-morts-victimes-de-la-premiere-dose/

Ces morts survenues après la première injection avaient été comptabilisées dans le groupe des non-vaccinés.

ROYAUME-UNI — près de 19 millions de citoyens non vaccinés

Depuis avril 90 % des décès dus au Covid se trouvent chez les triple-vaccinés.

JUSTICE

Les sénateurs refusent la signification par huissier du courrier de l’association Bon Sens

Déni de considération des citoyens et refus d’entendre ce qu’ils ne veulent pas savoir.

ITALIE — décision historique contre la vaccination obligatoire

Décision largement argumentée autant juridiquement que scientifiquement.

USA — les familles s’unissent pour dénoncer les protocoles hospitaliers qui ont conduit à la mort de leurs proches

https://www.epochtimes.fr/nous-allons-obtenir-justice-les-familles-sunissent-pour-denoncer-les-protocoles-hospitaliers-douteux-qui-ont-conduit-a-la-mort-de-leurs-proches-2070225.html

« Les détails des récits présentés par les familles dont des proches sont décédés à l’hôpital en raison de ce qu’elles appellent les “protocoles mortels” sont étrangement similaires.Ils ont terrifié ces personnes en les maltraitant émotionnellement et psychologiquement” »

COVID

Immunité naturelle acquise avec Omicron forte contre les sous-variants

https://www.aubedigitale.com/limmunite-naturelle-acquise-avec-omicron-est-forte-contre-les-autres-sous-variants-etude/

« Des scientifiques du Qatar ont constaté que la protection conférée par la résistance au COVID-19 était forte contre les plus récents sous-variants du virus, y compris celui qui domine actuellement aux États-Unis. »

TRAITEMENTS ET MESURES

Les masques sont INUTILES et DANGEREUX, l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-masques-sont-inutiles-et-dangereux-lexperience-desastreuse-de-la-nouvelle-zelande/

Inutiles, car les virus sont 5000 fois plus petits que les trous des masques, dangereux, car ils augmentent la contamination au lieu de la diminuer et provoquent des troubles cutanés, respiratoires, psychologiques et neurodéveloppementaux chez les enfants.

INJECTIONS

La FDA approuve l’utilisation d’urgence de Novavax

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/19/la-fda-approuve-lutilisation-durgence-du-vaccin-de-novavax/

Pour les réticents aux vaccins à ARNmessager… mais pas de réelle étude de pharmacovigilance pour ce vaccin qui injecte la fameuse Spike, toxique.

Les vaccins anti-Covid sont inefficaces et toxiques pour les enfants

https://pgibertie.com/2022/07/18/la-biologiste-helene-banoun-accuseles-vaccins-covid-sont-inefficaces-et-toxiques-pour-les-enfants/

« L’efficacité a été mesurée uniquement selon la méthode de l’‘immunobridging », c’est-à-dire sur le taux d’anticorps observé après les injections et non sur la capacité du vaccin à empêcher une infection par le virus. Aucun enfant déjà naturellement immunisé par une infection antérieure n’a été infecté : ceci démontre l’efficacité à 100 % de l’immunité naturelle. »

Mais alors, pourquoi s’acharner à vouloir vacciner les enfants ?

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/22/que-cache-la-marche-forcee-de-la-vaccination-covid-des-enfants-par-laurent-aventin/

Selon l’avocat Robert Kennedy Jr, aux USA, “quand les ‘vaccins’ sont autorisés pour les enfants, les produits pharmaceutiques sont exempts de toute responsabilité et les producteurs ne peuvent être poursuivis en justice, ils sont de fait protégés par le gouvernement fédéral par une loi”.

EFFETS INDÉSIRABLES

La mort subite de l’adulte, bien pratique pour cacher les effets indésirables des injections

https://www.lavieensante.com/2022-07-07-syndrome-de-la-mort-subite-de-adulte/

« Les chiffres sont si inquiétants qu’en Australie, par exemple, le Melbourne Baker Heart and Diabetes Institute met en place un nouveau registre de MSA « pour obtenir davantage d’informations » sur ce phénomène. »

Surmortalité des personnes vaccinées contre le Covid

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/18/lavocat-todd-callender-associe-a-la-direction-dun-groupe-dassurance-denonce-la-surmortalite-des-personnes-vaccinees-contre-covid-par-laure/

Toutes les formes de maladies parmi ceux qui ont reçu les injections contre Covid montent en flèche.”

En Angleterre et au Pays de Galles, près de 10 000 décès excédents non covid au cours des 2 derniers mois, en grande partie dus à des troubles vasculaires et cardiaques

https://dailysceptic.org/2022/07/19/excess-non-covid-deaths-approach-9500-in-last-11-weeks/

Les personnes vaccinées et contaminées contagieuses plus longtemps que les non-vaccinées

https://www.israelnationalnews.com/news/356245

les données du ministère israélien de la santé montrent que dans la population plus âgée (plus de 60 ans), le fait d’avoir reçu un plus grand nombre de vaccins COVID est souvent lié à une plus grande probabilité d’être infecté par le COVID.”

BELGIQUE — le risque d’être hospitalisé pour le Covid est plus important pour les vaccinés que les non-vaccinés

Autrement dit “efficacité négative” !!

La 4e dose est la pire de toutes !

https://pgibertie.com/2022/07/20/on-sait-maintenant-que-la-quatrieme-dose-est-la-pire-de-toutes-deux-plus-plus-de-risques-detre-contamine-pour-100-000-habitants/

Comme le montrent les données canadiennes, 20 fois plus de décès par million de personnes pour les 4 doses et plus que pour les 0 dose.

RÉSISTANCES

Touche pas à mon Doc !

https://www.aimsib.org/2022/07/23/touche-pas-a-mon-doc-et-plus-de-qr-code-pour-decider-de-qui-ils-soignent/

“Les services de la Sécurité Sociale épluchent les ordonnances des médecins (Ivermectine, Azythromycine) et des centaines de médecins sont convoqués par les Conseils de l’Ordre pour répondre de ces prescriptions. Et demain, est-ce que les médecins seront encore indépendants ?”

CSI n° 63, 21 juillet 2022, avec Marc Girardot



Un regard différent sur les contre-vérités Covid”

Faut s’réveiller, chanson de Xavier Domingue

… “les droits d’l’homme aujourd’hui sont bien bafoués
le crédit social est planifié
on est manipulés…”

Le mensonge ne durera pas éternellement

https://www.profession-gendarme.com/exclu-360-le-professeur-perr0nne-balance-tout-c0vid-masque-vaxxin-bill-gates-la-verite-va-eclater/

Le Pr Perronne revient sur toutes les mesures absurdes, inutiles et dangereuses prises dans l’épidémie de Covid-19 et croit en l’éveil des consciences pour que cette folie cesse.

Un témoignage du nord de l’Inde

https://reinfocovid.fr/temoignage/nouvelles-du-nord-de-linde/

Je pourrais allonger la liste de choses impensables dont je fus pourtant témoin. J’arrête là, car le peu de personnes à qui je me confie restent incrédules quant à mes propos ; celles et ceux qui me croient sont comme nous : non vaccinés, voire non testés.”

USA, la vérité en train d’éclater

https://www.youtube.com/watch?v=tKhrlllTLms
Jean-Dominique Michel, interviewé par Pierre Barnérias



Un directeur de CNN surpris par une caméra cachée en train d’admettre que le changement climatique est la « prochaine pandémie » pour contrôler les masses

[Source : anguillesousroche.com]

Un directeur de CNN a été filmé en caméra cachée en train d’admettre que la chaîne a décidé que le « changement climatique » serait la « prochaine pandémie » parce que, selon lui, « la peur fait vendre ».

Selon Charlie Chester, directeur technique de CNN, le public n’a plus peur du Covid-19 et les élites ne peuvent plus l’utiliser pour contrôler les masses. Selon le directeur, les médias ont besoin d’une « histoire » avec « longévité ».

Project Veritas a publié une série en trois parties exposant Charlie Chester admettant que CNN « inventait des histoires » pour destituer Trump.

Selon Project Veritas, ces enregistrements secrets ont été réalisés alors que Chester avait des rendez-vous sur Tinder avec un journaliste infiltré de Veritas.

Dans la vidéo, on peut entendre Chester dire que « l’histoire de Covid-19 » touche à sa fin et que CNN est prête à commencer à vendre l’histoire du « changement climatique » et à instiller la « peur ».

Lorsque le journaliste sous couverture a demandé à Chester de définir la propagande, il a répondu : 

« Par exemple, vous pouvez façonner la perception d’un peuple entier sur n’importe quoi, selon la façon dont vous le faites. Il suffit de forcer une histoire pour aider votre plateforme, vous savez ? »

« Une histoire de type pandémie que nous allons battre à mort, mais qui a une longévité, vous voyez ce que je veux dire ? Comme si c’était la fin définitive de la pandémie. Elle va se réduire à un point où elle ne sera plus un problème. Le changement climatique prendra des années, donc [CNN] pourra en faire une bonne promotion. »

[Voir aussi :
Une journaliste de NBC se lamente : « Les gens ne nous font pas confiance, ils ne nous croient pas »
Comment les médias sont achetés et corrompus
Journalisme et vérité font-ils bon ménage dans les grands médias ?
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Médias français : que devient l’objectivité ?
Les médias au service de la dictature
La chute des grands médias et les plus gros mensonges qu’ils ont racontés en 2021
La confiance dans les médias « mainstream » est en chute libre
Norbert Bolz, scientifique des médias, répond à la question : a-t-on raison de dire « Je ne crois plus les médias » ?
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Jordan Peterson prédit la mort des médias grand public
et le dossier Climat]




ARRÊTEZ LES INJECTIONS !

« Un film d’horreur » selon les démissionnaires des agences de santé américaines(([1] U.S. Public Health Agencies Aren’t “Following the Science,” Officials Say (commonsense.news)
Marty Makary M.D., M.P.H. and Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Jul 14 22
Dr. Marty Makary is a Johns Hopkins professor and public policy researcher. He is a member of the National Academy of Medicine, writes for the WSJ and the Washington Post, and is author of the NYT bestselling book, The Price We Pay.
Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Consultant epidemiologist with Florida Department of Health, PM&R physician in Northern California, mom of four and Danish-American dual citizen.))

Par Nicole Delépine

« Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. »

Les agences de santé publique des États-Unis ne « suivent pas la science », disent des responsables démissionnaires. « Les gens reçoivent de mauvais conseils et nous ne pouvons rien dire. »

Voici en résumé ce que racontent les fonctionnaires des agences de santé des USA qui n’en peuvent plus de tant de mensonges depuis deux ans mettant en péril la vie de leurs concitoyens.

« Les appels et les SMS sont implacables. À l’autre extrémité se trouvent des médecins et des scientifiques aux plus hauts niveaux des NIH(([2] https://www.nih.gov

Official website of the National Institutes of Health (NIH). NIH is one of the world’s foremost medical research centers. An agency of the U.S. Department of Health and Human Services, …)), de la FDA et du CDC. Ils sont diversement frustrés, exaspérés et alarmés par l’orientation des agences auxquelles ils ont consacré leur carrière ».

Les hauts responsables conscients n’en peuvent plus ! « C’est comme un film d’horreur que je suis obligé de regarder et je ne peux pas fermer les yeux », a déploré un haut responsable de la FDA. »

Ils ont toléré longtemps, très longtemps, peut-être naïfs au début, mais vite conscients du rôle pervers qu’on leur faisait jouer. Mais pour comme nos pompiers suspendus sans salaire (alors que la France brûle, nos médecins et personnel soignant également écartés de leur fonction avec mépris, diffamation et sans salaire, ni RSA), démissionner est un acte difficile parfois quasiment impossible. Nos « malgré nous » injectés parce que devant continuer à payer la maison, nourrir les enfants et… de plus, faire cesser les drames avec le conjoint, la famille, d’un autre avis, pour ne pas divorcer, ne pas couper tout lien, comprennent bien ce qu’ont ressenti les fonctionnaires des agences américaines qui parlent aujourd’hui comme probablement voudraient le faire ceux des agences européennes qui se taisent encore par peur…

Ils ont tout toléré, mais l’attaque frontale des nourrissons en a fait exploser un certain nombre. Ces enfants et a fortiori nourrissons qui ne risquent RIEN du covid et qu’on voudrait nous forcer à injecter.

La goutte d’eau a fait craquer ce médecin de la FDA qui fait référence à deux développements récents au sein de l’agence :

— comment, en l’absence de données cliniques solides, l’agence a-t-elle autorisé les vaccins Covid pour les nourrissons et les tout-petits, y compris ceux qui avaient déjà le Covid ?

— deuxièmement, le fait que quelques mois auparavant, la FDA a contourné ses experts externes pour autoriser les injections de rappel pour les jeunes enfants.

« Ce médecin n’est pas seul. Au NIH, les médecins et les scientifiques se plaignent auprès de nous d’un moral bas et d’un manque de personnel : le Centre de recherche sur les vaccins des NIH a vu beaucoup de ses scientifiques principaux partir au cours de la dernière année, y compris le directeur, le directeur adjoint et le médecin en chef ».

Il semble bien que le bateau NIH n’ait plus de capitaine et que de très nombreux postes soient à pourvoir, y compris des emplois de haut niveau. Le CDC(([3] Center for disease control and prevention: officiel dans chaque état et un fédéral
Centers for Disease Control and Prevention (cdc.gov) )) a connu un exode similaire.

Bien que les bénéfices aient été élevés, « le moral est bas », selon un haut responsable du CDC. « Les choses sont devenues si politiques, pourquoi sommes-nous là ? » Un autre scientifique du CDC dit : « J’étais fier de dire aux gens que je travaille au CDC. Maintenant, je suis gêné. »

Pourquoi gênés ? Leur travail n’a plus rien à voir avec la science, la vraie, celle du doute légitime, celle des données non truquées au gré des ordres du ministère, etc.

Une réponse détaillée a été reçue par les auteurs. Les fonctionnaires ne supportent plus « que les dirigeants de leurs agences utilisent des données faibles ou erronées pour prendre des décisions de santé publique d’une importance cruciale ».

« Que de telles décisions sont motivées par ce qui est politiquement acceptable pour les gens à Washington ou pour l’administration Biden. Et qu’ils se concentrent comme des myopes sur un virus plutôt que sur la santé globale ».

LA LIMITE ENFIN DÉPASSÉE ?

Mais trop c’est trop et toucher aux enfants est peut-être enfin la limite qu’on ne peut franchir.

On l’a longtemps espéré en France comme aux USA devant le confinement invraisemblable d’enfants innocents du covid, devant le port du masque devant des nourrissons qui ne savent plus ce qu’est un nez une bouche après 18 mois d’adultes muselés devant eux, des petits en maternelle qui n’apprennent plus à parler, des enfants en élémentaire qui n’apprennent plus à lire, etc. On espérait que la population réagirait, enfin…

La politique officielle de santé publique concernant les enfants et le Covid a fait craquer les employés des agences. Voici ce qu’ils résument :

« Premièrement, ils ont exigé que les jeunes enfants soient masqués dans les écoles. Sur ce point, les agences se sont trompées. Des études convaincantes ont révélé plus tard que les écoles qui masquaient les enfants n’avaient pas de taux de transmission différents. Et pour le développement social et linguistique, les enfants ont besoin de voir les visages des autres.

Viennent ensuite les fermetures d’écoles. Les agences avaient tort — et de manière catastrophique. Les enfants pauvres et minoritaires ont subi une perte d’apprentissage avec une baisse de 11 points des scores en mathématiques et une baisse de 20 % des taux de réussite en mathématiques. Il existe des dizaines de statistiques de ce genre. »

« Ensuite, ils ont ignoré l’immunité naturelle. Encore une fois, c’est faux. La grande majorité des enfants ont déjà eu le Covid, mais cela n’a fait aucune différence dans les obligations globales pour les injections infantiles.

« Et maintenant, en rendant obligatoires les vaccins et les rappels pour les jeunes en bonne santé, sans données solides à l’appui, ces agences ne font qu’éroder davantage la confiance du public ».

ET LA HONTE MONTA ENCORE ET ENCORE ET LE POUVOIR SE RETROUVA DE PLUS EN PLUS SEUL

Une scientifique du CDC :

« Le CDC n’a pas réussi à équilibrer les risques de Covid avec d’autres risques liés à la fermeture des écoles ». Les pertes d’apprentissage, les exacerbations de la santé mentale étaient évidentes dès le début et celles-ci se sont aggravées à mesure que les directives insistaient pour garder les écoles virtuelles. Les directives du CDC ont aggravé l’équité raciale pour les générations à venir. Il a SACRIFIE cette génération d’enfants. »

confirmant les données de notre livre « Les enfants sacrifiés du covid »(([4] Fauves éditions))

Un responsable de la FDA :

« Je ne peux pas vous dire combien de personnes à la FDA m’ont dit : “Je n’aime rien de tout cela, mais j’ai juste besoin de prendre ma retraite. »

LA POURSUITE DES MENSONGES POUR IMPOSER LE VAX AUX PETITS

Fin juin, le CDC a vigoureusement recommandé les vaccins Covid à ARNm pour 20 millions d’enfants de moins de cinq ans. Le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a déclaré que les vaccins Covid à ARNm devraient être administrés à tous les patients de six mois ou plus « parce qu’ils sont sûrs et efficaces. »

TERRIBLES MENSONGES DONT ELLE POURRAIT ÊTRE UN JOUR OBLIGÉE DE RÉPONDRE DEVANT LES TRIBUNAUX.

Cette recommandation radicale était basée sur des données « extrêmement faibles et peu concluantes » fournies par Pfizer et Moderna.

LES NOUVEAUX MENSONGES DE PFIZER ET MODERNA ET LA SOUMISSION COUPABLE DES AGENCES

« Commencez par Pfizer. En utilisant un vaccin à trois doses chez 992 enfants âgés de six mois à cinq ans, Pfizer n’a trouvé aucune preuve statistiquement significative de l’efficacité du vaccin. Dans le sous-groupe d’enfants âgés de six mois à deux ans, l’essai a révélé que le vaccin pourrait entraîner une réduction de 99 % du risque d’infection, mais qu’ils pourraient également avoir un risque accru de 370 % d’être infectés. En d’autres termes, Pfizer a rapporté une gamme d’efficacité vaccinale si large qu’aucune conclusion n’a pu être déduite. Aucune revue médicale réputée n’accepterait des résultats aussi bâclés et incomplets avec un échantillon aussi petit. Plus précisément, ces résultats auraient dû faire réfléchir ceux qui sont en charge de la santé publique. »

Avis d’un haut responsable du CDC — expert dans l’évaluation des données cliniques — il a plaisanté : « Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. » parlant du vax Pfizer chez les jeunes enfants en bonne santé et de son efficacité supposée.

Pour Moderna — l’étude sur 6 388 enfants avec deux doses — n’étaient pas plus convaincante. Contre les infections asymptomatiques, ils ont revendiqué une très faible efficacité vaccinale de seulement 4 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans. Ils ont également affirmé une efficacité de 23 % chez les enfants âgés de deux à six ans, mais aucun des deux résultats n’était statistiquement significatif et aucun n’avait le moindre intérêt pour les enfants puisqu’ils ne souffraient de rien. Contre les infections symptomatiques, le vaccin de Moderna a montré une efficacité statistiquement significative, mais l’efficacité était faible : 50 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans et 42 % chez les enfants âgés de deux à six ans.

UNE GIFLE À LA SCIENCE

Durée de la protection ? Inconnue « Il semble criminel que nous ayons émis la recommandation de donner des vaccins Covid à ARNm aux bébés sans bonnes données. Nous ne savons vraiment pas encore quels sont les risques. Alors, pourquoi le pousser si fort ? » selon un médecin du CDC.

Un haut responsable de la FDA a ressenti la même chose : « Le public n’a aucune idée de la gravité de ces données. Il ne passerait pas la barre pour toute autre autorisation ».

Et pourtant, la FDA et le CDC l’ont fait passer.

Le bon sens existe encore, ce qui explique pourquoi seulement 2 % des parents américains d’enfants de moins de cinq ans ont choisi de se faire vacciner contre le Covid, et 40 % des parents des zones rurales disent que leurs pédiatres n’ont pas recommandé le vaccin Covid pour leur enfant.

ESPÉRONS QUE LES EUROPÉENS ET EN PARTICULIER LES FRANÇAIS NE SACRIFIERONT PAS LEURS ENFANTS AUX SIRÈNES DU PRÉSIDENT ET DE LEURS AFFIDÉS MÉDIATIQUES MERCENAIRES DE PFIZER

La propagande terrorisante des médias reprend avec vigueur appliquant l’injonction présidentielle(([5] https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-quon-dramatise-un-peu-emmanuel-macron-et-ses-ministres-jouent-le-tout-pour-le-tout_474389)) répétitive « Il faut qu’on dramatise un peu pour que tout le monde se vaccine ». Et pourtant l’épidémie est de fait terminée. Il faut absolument joindre nos députés, sénateurs pour leur dire qu’on ne veut pas de mauvaise surprise à la rentrée comme une injonction de vacciner les enfants innocents du covid et à risque de l’injection expérimentale.(([6] Appel aux Sénateurs — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Et sans hésiter informer aussi les médias dont le rôle est capital dans la manipulation des citoyens.(([7] https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juillet-2022/160722-lettre-ouverte-a-julien-dray-ex-elephant-socialiste-sur-les-dangers-et-linefficacite-des-injections-anticovid-dr-nicole-delepine/))

Les français commencent à comprendre, devant le nombre d’accidents vaccinaux graves, ou moins dramatiques, mais gênant la vie de tant de voisins, parents, amis ou collègues toujours absents, car fatigués infectés, sans endurance comme en témoignent les coureurs du Tour de France 22.

Les recommandations de vaccins Covid basées sur le peu de preuves transmises par ces agences.

En mai 2022, le manque de preuves cliniques pour les injections de rappel chez les jeunes a créé une tension à la FDA.

La Maison-Blanche l’a promu durement avant même que les régulateurs de la FDA n’aient vu des données. Une fois qu’ils ont vu les données, ils ont découvert qu’aucun bénéfice clair contre les maladies graves chez les personnes de moins de 40 ans n’a été démontré.

DES DÉMISSIONS OCCULTÉES EN FRANCE

Les deux principaux régulateurs des vaccins de la FDA — le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause — avaient quitté l’agence l’année dernière en raison de pressions politiques pour autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes.

Après leur départ, ils ont expliqué pourquoi les données ne justifiaient pas une large autorisation de rappel, arguant dans le Washington Post que « la pression pour des boosters pour tout le monde pourrait en fait prolonger la pandémie », citant des préoccupations selon lesquelles le renforcement basé sur une variante obsolète pourrait être contre-productif.

Quel dommage que ces informations n’aient pas réussi à atteindre nos journaux télévisés !

« C’était comme si nous étions un outil politique » selon un scientifique du CDC. « Il y a un silence, une réticence pour les scientifiques de l’agence à dire quoi que ce soit. Même s’ils savent qu’une partie de ce qui est dit de l’agence est absurde. »

ON SE CROIRAIT EN URSS AU BON VIEUX TEMPS OU EN RDA SOUS LA STASI

Les gens avaient l’impression de ne pas pouvoir parler librement, même à l’interne au sein de leurs agences.

« Vous êtes étiqueté en fonction de ce que vous dites. Si vous en parlez, vous en souffrirez, j’en suis convaincu », selon un membre du personnel de la FDA. Une autre personne a ajouté : « Si vous parlez honnêtement, vous êtes traité différemment. »

Et ainsi ils restent silencieux, se parlant en privé ou en groupes de texte sur Signal.

Nos lecteurs français nous diront-ils combien d’entre eux dans leurs entreprises ne se parlent plus que par « signal » dont on voit chaque jour les correspondants augmenter….

L’IMMUNITÉ NATURELLE, GRAND SUJET TABOU AUX USA COMME EN EUROPE

Pourquoi vacciner les enfants déjà une certaine immunité contre la maladie en l’ayant rencontrée, et qui de toute façon sont innocents du covid, ne font pas de maladie grave et ne transmettent pas ?

En février 2022, 75 % des enfants aux États-Unis avaient déjà une immunité naturelle contre une infection antérieure. Cela pourrait représenter plus de 90 % des enfants aujourd’hui étant donné l’omniprésence d’Omicron depuis lors.

Les propres recherches du CDC montrent que l’immunité naturelle est meilleure que l’immunité vaccinée et une étude récente du New England Journal of Medicine en Israël a remis en question les avantages de la vaccination des personnes précédemment infectées.

La Suède n’a jamais offert la vaccination aux enfants de moins de 12 ans. La Finlande limite les vaccins Covid aux enfants de moins de 12 ans à haut risque. L’Institut norvégien de santé publique a déclaré « l’infection antérieure offre une protection aussi bonne que le vaccin contre la réinfection ». Le Danemark a annoncé le 22 juin que sa recommandation de vacciner tous les enfants de moins de 16 ans était une erreur. « Les vaccinations n’étaient pas principalement recommandées pour le bien de l’enfant, mais pour assurer le contrôle de la pandémie », a déclaré Søren Brostrøm, chef du ministère danois de la Santé.

La réponse officielle de la santé publique au Covid a sapé la croyance du public dans la parole publique elle-même aux USA, mais aussi dans les pays européens dont la France.

Les dirigeants du CDC, de la FDA et des NIH et des agences européennes et mondiales devraient accueillir favorablement les discussions internes — voire les dissensions — basées sur les preuves. La science naît de la confrontation entre ce que l’on croit (les hypothèses) et les faits avérés. Nier les faits au profit d’une croyance érigée en dogme relève d’une attitude religieuse anti-scientifique.

Faire taire les médecins, ce n’est pas « suivre la science ».





Charte d’éthique professionnelle des journalistes (France)

[Source : snj.fr]

Il s’agit ici de la dernière version de la Charte de déontologie, fondatrice de la profession, adoptée par le Comité national en mars 2011, pour le 93e anniversaire du SNJ.

Télécharger la Charte de déontologie 1918/38/2011


Le droit du public à une information de qualité, complète, libre, indépendante et pluraliste, rappelé dans la Déclaration des droits de l’homme et la Constitution française, guide le journaliste dans l’exercice de sa mission. Cette responsabilité vis-à-vis du citoyen prime sur toute autre.

Ces principes et les règles éthiques ci-après engagent chaque journaliste, quelles que soient sa fonction, sa responsabilité au sein de la chaîne éditoriale et la forme de presse dans laquelle il exerce.

Cependant, la responsabilité du journaliste ne peut être confondue avec celle de l’éditeur, ni dispenser ce dernier de ses propres obligations.

Le journalisme consiste à rechercher, vérifier, situer dans son contexte, hiérarchiser, mettre en forme, commenter et publier une information de qualité ; il ne peut se confondre avec la communication. Son exercice demande du temps et des moyens, quel que soit le support. Il ne peut y avoir de respect des règles déontologiques sans mise en œuvre des conditions d’exercice qu’elles nécessitent.

La notion d’urgence dans la diffusion d’une information ou d’exclusivité ne doit pas l’emporter sur le sérieux de l’enquête et la vérification des sources.

La sécurité matérielle et morale est la base de l’indépendance du journaliste. Elle doit être assurée, quel que soit le contrat de travail qui le lie à l’entreprise.

L’exercice du métier à la pige bénéficie des mêmes garanties que celles dont disposent les journalistes mensualisés.

Le journaliste ne peut être contraint à accomplir un acte ou exprimer une opinion contraire à sa conviction ou sa conscience professionnelle, ni aux principes et règles de cette charte.

Le journaliste accomplit tous les actes de sa profession (enquête, investigations, prise d’images et de sons, etc…) librement, a accès à toutes les sources d’information concernant les faits qui conditionnent la vie publique et voit la protection du secret de ses sources garantie.

C’est dans ces conditions qu’un journaliste digne de ce nom :

  • • Prend la responsabilité de toutes ses productions professionnelles, même anonymes ;
  • • Respecte la dignité des personnes et la présomption d’innocence ;
  • • Tient l’esprit critique, la véracité, l’exactitude, l’intégrité, l’équité, l’impartialité, pour les piliers de l’action journalistique ; tient l’accusation sans preuve, l’intention de nuire, l’altération des documents, la déformation des faits, le détournement d’images, le mensonge, la manipulation, la censure et l’autocensure, la non vérification des faits, pour les plus graves dérives professionnelles ;
  • • Exerce la plus grande vigilance avant de diffuser des informations d’où qu’elles viennent ;
  • • Dispose d’un droit de suite, qui est aussi un devoir, sur les informations qu’il diffuse et fait en sorte de rectifier rapidement toute information diffusée qui se révèlerait inexacte ;
  • • N’accepte en matière de déontologie et d’honneur professionnel que la juridiction de ses pairs ; répond devant la justice des délits prévus par la loi ;
  • • Défend la liberté d’expression, d’opinion, de l’information, du commentaire et de la critique ;
  • • Proscrit tout moyen déloyal et vénal pour obtenir une information. Dans le cas où sa sécurité, celle de ses sources ou la gravité des faits l’obligent à taire sa qualité de journaliste, il prévient sa hiérarchie et en donne dès que possible explication au public ;
  • • Ne touche pas d’argent dans un service public, une institution ou une entreprise privée où sa qualité de journaliste, ses influences, ses relations seraient susceptibles d’être exploitées ;
  • • N’use pas de la liberté de la presse dans une intention intéressée ;
  • • Refuse et combat, comme contraire à son éthique professionnelle, toute confusion entre journalisme et communication ;
  • • Cite les confrères dont il utilise le travail, ne commet aucun plagiat ;
  • • Ne sollicite pas la place d’un confrère en offrant de travailler à des conditions inférieures ;
  • • Garde le secret professionnel et protège les sources de ses informations ;
  • • Ne confond pas son rôle avec celui du policier ou du juge.

Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (article XI)  :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la Loi. »

Constitution de la France (article 34) : « La loi fixe les règles concernant les droits civiques et les garanties fondamentales accordées aux citoyens pour l’exercice des libertés publiques ; la liberté, le pluralisme et l’indépendance des médias. »

Déclaration des devoirs et des droits des journalistes (Munich, 1971) : le SNJ, qui fut à l’initiative de la création de la Fédération Internationale des Journalistes, en 1926 à Paris, est également l’un des inspirateurs de cette Déclaration qui réunit l’ensemble des syndicats de journalistes au niveau européen.




Lettre ouverte à Julien Dray le « baron noir », éditorialiste à Cnews, ex-éléphant socialiste, sur les dangers et l’inefficacité des injections antiCovid

Par Nicole et Gérard Delépine

Julien Dray(([1] Toujours dans le combat il vient de créer un nouveau mouvement « réinventez » :
Julien Dray lance le mouvement « Réinventez ! » (20minutes.fr)
INFLUENCEUR
L’ancien député socialiste souhaite « réécrire un projet de société » dont les idées pourront être utilisées par les autres partis.)) à Paris en 2016.
— JULIEN DE FONTENAY/JDD

Cher Julien Dray(([2] Selon WIKIPEDIA Julien Dray — Wikipédia (wikipedia.org) Julien Dray, né le 5 mars 1955 à Oran (Algérie française), est un homme politique français. D’abord militant trotskiste, à la Ligue communiste révolutionnaire, il rejoint en 1981 le Parti socialiste. Il est l’un des fondateurs de SOS Racisme. Député de la dixième circonscription de l’Essonne de 1988 à 2012, il a été conseiller régional d’Île-de-France de 1998 à 2021.)), homme politique, éditorialiste omniprésent sur Cnews, es-tu conscient de l’inefficacité et des risques du vaccin et du pass ? Le 14 juillet 2022, tu morigénais les quelques députés socialistes qui ont refusé prolonger la tyrannie sanitaire et les pass, car « tout de même le vaccin a été efficace contre les formes graves ».

Or tu aurais dû te féliciter qu’enfin des députés élus par le peuple aient le courage de les représenter et de faire jaillir dans l’hémicycle la réalité du terrain : l’inutilité du vax et des mesures liberticides qu’il a justifiées et surtout ses innombrables toxicités que les politiques de terrain constatent de plus en plus. Bravo à leur union bigarrée comme les Français ! Et que celle-ci résiste aux pressions sans nom qu’ils subissent sûrement (([3] Les libertés d’opinion et d’expression limitées drastiquement par les censures internationales et nationales | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) depuis quelques jours !(([4] Bravo aux députés qui ont refusé la prolongation du pass vaccinal ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Aide-les au lieu de les accabler !

L’importance des médias pour façonner l’opinion et singulièrement les personnes âgées privées des informations d’internet et scotchées à BFM ou CNews (qui comme par hasard auraient fait réélire E. Macron)nous conduit à revenir sur tes propos réitérés pour favoriser le pass et les vax, et à tenter d’attirer ton attention sur les faits réels : les dangers des passes couplés à l’inefficacité et à la toxicité du vaccin antiCovid.(([5] La catastrophe vaccinale du Pérou démontre encore qu’il faut stopper ces injections expérimentales. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Si tu veux reconstruire une nouvelle génération, il ne faut pas l’emmener dans le mur via la perte d’esprit critique et des libertés et plus encore de la santé, vu les conséquences dramatiques des injections.

« J’ai assez fait pour les autres en croyant à chaque fois que j’allais les influencer. Je n’y crois plus et personne ne me donne plus envie de l’influencer », explique l’ex-député socialiste qui a inspiré la série Baron noir. « J’ai décidé de ne plus perdre mon temps dans les batailles internes du Parti socialiste, dans les refondations, dans les combinaisons », précise-t-il.

« J’ai passé l’âge de jouer aux Lego »(([6] Gauche : Julien Dray lance le mouvement « Réinventez ! » (20minutes.fr) ))

Alors cher Julien, si tu ne joues plus aux Lego, résiste aux manipulations du pouvoir et des affidés de Big Pharma. Aide la population à sortir ceux qui le peuvent encore des mesures liberticides inutiles et des effets toxiques des injections qui ne protègent de rien et même pas des formes graves ni de la mort.

NON LE VAX NE PROTÈGE PAS DES FORMES GRAVES

Mantra des éditorialistes depuis plusieurs mois sur toutes les chaînes progouvernementales et même les autres qui font semblant d’être indépendantes (…), la fausse idée de la prévention des formes graves par l’injection génique a pourtant été démentie régulièrement par les FAITS AVÉRÉS. Mais il est vrai que les OPINIONS PERSONNELLES ont depuis bien longtemps remplacé la réalité qui déplairait au pouvoir.

Non, les vaccins ne protègent ni des formes graves ni de la mort et fragilisent les triple injectés

Covid-19 : les injections vaccinales multiples favoriseraient les infections. Un bilan. — Strategika

« Pénuries de main-d’œuvre

Par ailleurs, si, ces dernières semaines, les hôpitaux et les compagnies aériennes manquent cruellement de personnels, cela n’est pas dû à une pénurie salariale, mais à l’absentéisme massif occasionné par les arrêts maladie des salariés affectés par le Covid-19. Pourtant, dans ces deux secteurs sensibles, l’ensemble des salariés est multi-injecté, c’est-à-dire triplement vacciné.

Ce phénomène de l’arrêt de travail massif pour cause de maladie n’a jamais été observé auparavant. Tout se passe comme si la vaccination à base ARN-m était devenue un vecteur de pathologies, un agent pathogène. En particulier avec les injections vaccinales répétées, responsables de l’amenuisement du système immunitaire. »

Alors que Le tiers monde est protégé — par sa pauvreté et sa résistance du dogme vaccinal immunisé par ses expériences passées. Ils ont déjà beaucoup donné !

Que penses-tu, Julien Dray des appels répétés du conseil mondial de la santé ?(([7] Vaccins antiCovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé))

Une injection génique qui ne protège de rien et entraîne beaucoup de désastres : un nouveau témoignage, au hasard des milliers qui s’accumulent sur internet de tous pays :

Un guitariste a perdu huit de ses doigts(([8] https://childrenshealthdefense.org/defender/guitarist-jeff-diamond-jj-vaccine-rfk-jr-podcast/)) Il veut le faire savoir pour que cela cesse, enfin !

Un guitariste qui a perdu 8 doigts après le vaccin de J & J dit à RFK, Jr. : Les gens doivent être tenus responsables. Sur un épisode récent de « RFK Jr. The Defender Podcast », a décrit le guitariste Jeff Diamond qui a été amputé de huit doigts et qui a perdu sa voix chantante après avoir développé des caillots sanguins environ une semaine après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson contre la Covid-19.

Julien Dray, tu rappelais que le parti socialiste aurait décidé que « la seule solution au Covid était le vaccin ». Mais sur quelle planète vit-il et à qui se fit-il quand tant de grands professeurs dont D Raoult, C Perronne qui n’étaient pas des antivax ont donné tant d’informations sur les faits réels comme aussi les Prs Laurent Toubiana, Laurent Muchielli et tant d’autres ? Ton cher PS que tu as pourtant quitté regarde-t-il parfois les données de l’OMS ? INFORME-LES au lieu de leur faire confiance !

Nous rappelons ci-après les faits établis et publiés sur ce qui s’est vraiment passé dans le monde réel et sommes à ton entière disposition pour en discuter, camarade de longues décennies au cours desquels nos chemins ont dû se rencontrer, ne serait-ce qu’à l’UNEF(([9] Nos coordonnées sur notre site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer.
https://t.me/DrDelepine sur Telegram.)). Nous parions sur ton honnêteté.

Les chiffres de l’OMS montrent que les pass n’ont nulle part permis de ralentir l’épidémie

Que ce soit en France :

Ou en Roumanie :

Ou en Israël :

Ou dans l’ensemble des pays d’Europe dont la plupart (25/27) constatant cette inefficacité ont supprimé les pass nationaux :

Il n’y a guère que Malte et la France qui font encore semblant d’y croire et demandent encore le certificat numérique européen. Et bien sûr E. Macron pour « emmerder les Français », Braun, Olivier Veran et malheureusement toi-même, Julien Dray.

Les chiffres de l’OMS montrent aussi que les vaccins n’ont pas permis de ralentir l’épidémie

Cela a d’abord été constaté en Israël champion des injections Pfizer :

Puis en Grande-Bretagne, championne des injections AstraZeneca :

Mais aussi en France :

Et dans le reste du monde :

Car ce sont les pays les plus vaccinés qui souffrent des recrudescences les plus vives de l’épidémie et des chiffres les plus élevés de contaminations cumulés :

Comment Julien, peux-tu encore publiquement prétendre que les pseudo vaccins seraient la solution au Covid ? Informe-toi aux sources indiscutables et ne répète pas la propagande du gouvernement dont les objectifs, contrairement à toi ne sont pas l’Homme, mais bien les bénéfices de Big Pharma et les ukases de Davos et Cie ?

Les chiffres de l’OMS montrent aussi que les vaccins n’ont pas permis de diminuer la mortalité

Ce sont les pays les plus vaccinés qui totalisent les plus fortes mortalités par million :

Les chiffres montrent aussi que l’interdiction des traitements précoces a été catastrophique

En 2020 d’après l’OCDE (https://data.oecd.org/fr/pop/population-agee.htm), les pourcentages de population à risque (plus de 65 ans) du Japon, de l’Italie, du Portugal et de la France s’élevaient respectivement à 29 %, 23 % 22 % et 20 % et celle des Algériens de plus de 60 ans à 26 %

(https://www.algerie-eco.com/2020/03/12/pres-de-11-millions-dalgeriens-sont-ages-de-60-ans-et-plus/). L’âge ne représente donc pas un facteur de pronostic plus favorable du Japon ou de l’Algérie.

L’Italie, le Portugal et la France ont interdit les traitements précoces et imposé les vaccins ; le Japon a autorisé les traitements précoces et l’Algérie a utilisé le protocole Raoult. L’interdiction des traitements précoces a abouti à une mortalité 10 à 15 fois plus élevée soit en France à un excès de mortalité d’environ 120 000.

L’interdiction des traitements précoces pour imposer les pseudo vaccins et les prescriptions de Rivotril nous ont coûté 120 000 morts de trop !

Julien Dray, tu es un homme intelligent et cultivé, expérimenté. Alors pourquoi nies-tu les faits avérés que chacun peut vérifier par internet sur le site de l’OMS à https://Covid19.who.int/ ou celui de l’université John Hopkins https://OurWorldinData. Org/coronavirus ?

Quelles qu’en soient les raisons, tes « certitudes » et déclarations actuelles sont dignes d’un inquisiteur du moyen âge défendant la religion des pseudo vaccins et ressemblent trop à celles des services de communication de Pfizer. Comme tu n’es pas médecin, je n’ose pas croire que tu puisses avoir des liens avec l’industrie pharmaceutique contrairement à notre nouveau ministre de la Santé, F. Braun.(([10] François Braun, un parfait Playmobil sous contrôle au ministère de la Santé, par Éric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))(([11] Pour résoudre le problème des urgences, François Braun veut les supprimer la nuit ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

S’il te plaît, Julien Dray, réveille-toi, ouvre les yeux et considère les faits, rien que les faits. Rester négationniste, c’est faire injure à ton intelligence et à tes combats passés et tenaces, même si parfois erronés, mais toujours pour ce que tu pensais être le mieux pour l’avenir de l’Humanité.





Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales

[Source : Jeanne traduction]

📍1:55 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge – Portugal
Résumé de la session précédente

📍5:28 ▪︎ Reiner Fuellmich, avocat – Allemagne & Etats-Unis

📍39:53 ▪︎ Dipali Ojha, avocate – Inde

📍45:35 ▪︎ Dexter Ryneveldt, avocat – Afrique du Sud

📍1:20:07 ▪︎ Virginie de Araujo-Recchia, avocate – France

📍2:08:15 ▪︎ Michael Swinwood, avocat – Canada

📍2:35:04 ▪︎ Ana Garner, avocate – Etats-Unis

📍3:03:32 ▪︎ Leslie Manookian, ex banquière d’investissement, présidente et fondatrice du Health Freedom Defense Fund – Etats-Unis




Vidéos précédentes en ordre chronologique décroissant

Jour 7

📍00:13 ▪︎ Viviane Fischer, avocate – Allemagne
Introduction

📍00:47 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
Résumé de la session précédente

📍06:49 ▪︎ Matthias Desmet, jusqu’à récemment maître de conférences en psychothérapie psychanalytique au département de psychanalyse et de consultation clinique de l’université de Gand, auteur de « La Psychologie du Totalitarisme » – Belgique
Les mécanismes de la « formation de masse », processus typique des régimes totalitaires. Pourquoi les gens adhèrent et pourquoi leur est-il presque impossible d’en sortir ?

📍1:22:15 ▪︎ Mark Crispin Miller, professeur de médias, de culture et de communication à l’université de New York, spécialiste de la propagande – Etats-Unis
Le rôle de la propagande dans les systèmes totalitaires, comment elle est utilisée et comment elle fonctionne.




Jour 6

📍01:28 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 5e session

📍07:13 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de mise en esclavage de l’humanité à travers les modifications génétiques et le « développement durable »

📍42:40 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:11:33 ▪︎ Matthew Ehret, journaliste, conférencier et fondateur de la Canadian Patriot Review.
Poursuite de l’exposé de Patrick Wood

📍1:43:40 ▪︎ Questions à Matthew Ehret

📍1:55:39 ▪︎ Ilana Rachel David, citoyenne israélienne
Israël, la population juive encore une fois victime d’expérimentations médicales et de répression.

📍2:18:06 ▪︎ Questions à Ilana Rachel David

📍2:28:18 ▪︎ Avital Livny, citoyenne israélienne, réalisatrice du documentaire The Testimonies Project
Face à l’inaction des israéliens, Avital décide de réaliser elle-même un documentaire afin d’informer son peuple et les peuples du monde de la réalité de ce qu’il se passe en Israël, la même chose que chez nous.

📍2:54:49 ▪︎ Questions à Avital Livny

📍3:12:55 ▪︎ Vera Sharav, juive allemande survivante des camps nazis, fondatrice de l’organisation sans but lucratif « Alliance for Human Research Protection », opposée fermement à l’industrie pharmaceutique responsable en grande partie de ce qu’ils s’est passé dans les années 30-40 et de ce qu’il se passe aujourd’hui.
Le parallèle établi entre la seconde guerre mondiale et ce qu’il se passe dans le monde occidental et la grippe espagnole.

📍3:43:04 ▪︎ Questions à Vera Sharav

📍4:07:08 ▪︎ Conclusion




Jour 5

📍00:13 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 4e session

📍03:23 ▪︎ Reiner Füllmich,docteur en droit, avocat, Allemagne
Introduction

📍05:52 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de réorganisation scientifique du système socio-économique

📍40:50 ▪︎ Interview en caméra cachée de Chris Cole, haut responsable de la FDA, sur le projet du gouvernement étasunien (Biden) d’instaurer les injections anti-covid de façon permanente.

📍45:30 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:16:45 ▪︎ Vidéo : florilège de déclarations sur l’Internet des corps (IoB) tenues par des acteurs de la « 4e révolution industrielle »

📍1:25:20 ▪︎ Leslie Manookian, ancien cadre dirigeant d’institutions financières, auteure et productrice de documentaires, directrice du Health Freedom Defense Fund (association qui lutte contre l’injustice en matière de santé), formée à l’homéopathie, USA
La « pandémie de Covid », paravent pour la démolition contrôlée de notre système politique et économique

📍1:54:20 ▪︎ Questions à Leslie Manookian

📍2:35:56 ▪︎ 3 Videos de victimes des 💉
🎞 Video #1: à Nashville, Tennessee (USA), une infirmière a contracté une paralysie de Bell
🎞 Video #2: une femme est atteinte de convulsions
🎞 Video #3: à Johannesburg (South Africa), une femme a développé de l’amphisème ainsi que des problèmes articulaires.
(
 Explications du phénomène ici : https://bit.ly/3INJTyU)

📍2:42:13 ▪︎ Björn Pirrwitz, juriste & expert financier, Allemagne, Roumanie
Démolition du système financier : nature du système, origine et principales étapes du processus, conséquences de la crise de 2008 et aperçu du nouveau système

📍3:12:34 ▪︎ Questions à Björn Pirrwitz

📍3:31:50 ▪︎ Christian Kreiss, professeur d’économie et ancien banquier d’affaires, Allemagne, Costa Rica
Seule une démarche spirituelle nous permettra de sortir de la nouvelle crise du capitalisme qui se cache derrière le Covid.
… (interruption de l’exposé du prof. Kreiss à cause d’un problème de connexion internet)

📍3:54:00 ▪︎ Leslie Manookian

📍3:59:39 ▪︎ Patrick Wood

📍4:03:49 ▪︎ Ana Garner, avocate, USA

📍4:07:41 ▪︎ Reprise de l’exposé du prof. Kreiss

📍4:16:49 🎞 Video #4: Yuval Harari parle du « piratage du comportement des êtres humains »

📍4:19:10 ▪︎ Commentaires de Leslie Manookian, An Garner et Dexter L-J. Ryneveldt

📍4:21:42 ▪︎ Conclusion




Jour 4

📍00:13 ▪️ Introduction

📍01:00 : Video #1 : Bill Gate$

📍03:29 : Video #2 : Terrance Munsamy, 40 ans, Durban, Afrique du Sud, victime de l’ 💉 modRNA,

📍06:55 ▪️ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal : Résumé de la 3e session

📍11:47 ▪️ 1. Les injections anti-covid ▪️

📍11:53 ▪️ Alexandra Henrion-Caude, docteure en génétique, ancienne directrice de recherches, France
Aperçu général des problèmes

📍28:24 ▪️ Questions au dr Henrion-Caude

📍47:10 ▪️ Vanessa Schmidt-Krüger, docteure en biologie, spécialisée en biologie moléculaire et cellulaire ainsi que dans les maladies cardio-vasculaires, Allemagne
Intérêt des vaccins contre les coronavirus ?

📍47:50 : 1e partie : un taux de léthalité nettement inférieur au taux officiel

📍50:12 : 2e partie : nous possédons déjà une forte immunité croisée contre tous les coronavirus !

📍1:00:47 : 3e Partie : les 💉 sont inefficaces et inutiles !

📍1:08:38 ▪️ Deanna McLeod, directrice de Kaleidoscope Strategic Inc., formation en immunologie et psychologie, Canada
Conception, mise en oeuvre et résultat des essais cliniques Pfizer

📍1:39:17 ▪️ Prof. em. Sucharit Bhakdi, docteur en médecine, microbiologiste, immunologiste et épidemiologiste, Allemagne

📍2:00:51 ▪️ Dr. Mike Yeadon, biologiste, immunologiste, toxicologue, biochimiste, ancien directeur scientifique du département maladies respiratoires chez Pfizer et ancien vice président de Pfizer, UK / USA
Quelle pouvait être l’intention pour vouloir fabriquer un « vaccin » 1) à partir de la pire des parties possibles du virus SARS-COV-2 et 2) dans un délai totalement insuffisant pour en garantir la standardisation et la sécurité ?

📍2:32:15 ▪️ Prof. Dr. Antionietta Gatti, physicienne et bio-ingenieure, nano-pathologiste, Italie
Composition chimique inattendue des injections expérimentales anti-covid

📍2:56:07 ▪️ Prof. em. Arne Burkhardt, docteur en médecine, anatomopathologiste, Allemagne
Autopsie des personnes décédées et étude histologique des complications en lien avec les injections anti-covid

📍3:33:11 ▪️ Prof. em. Dr. Ing. Werner Bergholz, professeur en ingénierie électrique et en gestion de la qualité et du risque, Allemagne
Injections covid-19 et conformité aux règles de contrôle qualité

📍3:51:40 ▪️ Questions

📍4:06:45 ▪️ Virginie de Araujo Recchia, avocate, France: Conclusion

📍4:13:39 ▪️ 2. La guerre psychologique ▪️

📍4:14:20 ▪️ Meredith Miller, coach & auteure spécialisée dans les traumatismes, USA
Principes du syndrôme de Stockholm et de la dissonance cognitive

📍4:37:44 ▪️ Ariane Bilheran, philosophe, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, France
Une dérive totalitaire qui repose sur le délire paranoïaque

📍5:13:48 ▪️ Questions

📍5:49:00 ▪️ Conclusion




Jour 3

📍 Introduction – début à 7:37

📍 Astrid Stuckelberger – 7:37 à 44:05
Les conflits d’intérêt autour du test PCR entre Drosten, la Charité de Berlin, GAVI, l’OMS.

📍 Ulrike Kämerrer – 44:05 à 1:31:44
Le fonctionnement et le rôle exacts du test PCR.

📍 Sonia Pekova – 1:31:44 à 2:13:29
Les différents génomes du virus, l’interdiction d’utiliser ses propres tests covid en République Tchèque et le trafic des résultats.

📍 Bryan Ardis – 2:13:29 à 3:19:45
Le Remdesivir, ou comment les hôpitaux ont littéralement tué des gens avec un « traitement » supposé les sauver.

📍 John O’Looney – 3:19:47 à 3:44:13
Directeur de pompe funèbre, il observe qu’il n’y a pas eu de surmortalité avant le début des campagnes d’injection ; alors qu’après la campagne elle a augmenté de 300% au Royaume-Uni. Il témoigne également de son séjour à l’hôpital où ils ont essayé de le tuer.

📍 Shankara Chetty – 3:44:47 à la fin
L’expérience d’un médecin généraliste Sud Africain, l’omerta sur les réels traitements.




Jour 2

📍Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

📍Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19eme siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

📍Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covis 19 n’est qu’une continuité, nous dit il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendu de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

📍Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

📍Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.

crime contre lhumanitégrand juryhistoire et géopolitiquereiner fuellmichtribunal




Jour 1

Procédure du Grand Jury par le Tribunal D’opinion Publique des Peuples
Renforcer la conscience publique par le droit naturel
L’injustice faite à un seul est une injustice faite à tous

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons par la présente une enquête criminelle sur le modèle de la procédure du Grand Jury des États-Unis.
Cette enquête du Grand Jury sert de modèle de procédure légale pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles des Crimes contre l’Humanité du COVID-19 à ce jour contre les « leaders, organisateurs, instigateurs et complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.
Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans le cadre d’un plan commun visant à commettre des crimes contre l’humanité, et tous les actes criminels de ce type condamnés par les différentes communautés de jurés dans le monde.

Cette enquête est menée par le peuple, par le peuple et pour le peuple et sera désignée sous le nom de « Tribunal d’opinion publique des peuples ».
N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel.
Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal, et le bien du mal.

L’allégation est que les gouvernements du monde sont passés sous l’influence de structures de pouvoir corrompues et criminelles.
Ils se sont concertés pour mettre en scène une pandémie qu’ils planifiaient depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses déclarations de faits et d’une opération psychologique socialement élaborée dont les messages ont été transmis par les médias d’entreprise.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccinations » qui, entre-temps, se sont avérées ni efficaces, ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causés à la population mondiale se mesurent en quadrillions de dollars.

Les avocats énumérés ci-dessous, avec l’aide d’un certain nombre de scientifiques et d’experts très respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal,
mèneront cette enquête de grand jury et fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête du « Tribunal populaire de l’opinion publique » est double : D’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations contre certaines des figures de proue pénalement et civilement responsables de ces Crimes contre l’Humanité.
Et d’autre part, il s’agit – en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique – de créer une prise de conscience sur l’effondrement réel du système actuel, détourné, et de ses institutions, et, par conséquent la nécessité pour les peuples eux-mêmes de reprendre leur souveraineté, et la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette pandémie en refusant de s’y conformer, et la nécessité de lancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin de rétablir la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions.



Transcription complète

Grand Jury – Session 1

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich — Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha — Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont   malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




RothschildGate : Macron dans la tourmente

[Source : off-investigation.fr via planetes360.fr]

Un second témoin confirme le versement de « bonus » en « Angleterre »

Un mois après la diffusion de « Patrimoine de Macron : où sont passés les millions ? », le président de la République n’avait pas réagi au témoignage selon lequel une partie des émoluments lui ayant été promis pour son rôle dans le rachat de la branche nutrition infantile de Pfizer par Nestlé en 2012 (pour un montant de 9 milliards d’euros) aurait été provisionnée dans un « trust » anonyme en Grande-Bretagne. L’hypothèse que chez Rothschild and co, les associés-gérants soient parfois rémunérés sous forme de « bonus » versés en Grande-Bretagne, à ce jour démentie par la banque, nous a été confirmée par une seconde source.

Suite à la diffusion de notre documentaire, une seconde source a souhaité témoigner auprès de Off investigation. Rencontrée à plusieurs reprises à Paris, elle nous a indiqué qu’un de ses proches, associé-gérant chez Rothschild (aux « fusions-acquisition », comme Emmanuel Macron en 2012) percevait depuis plusieurs années d’importants revenus versés en France, mais aussi des « bonus » liés aux opérations de fusion-acquisitions auxquelles il avait été associé versés, eux, « en Angleterre ». Et donc pas fiscalisés en France. Vérification faite, le banquier évoqué par cette seconde source est bien associé-gérant chez Rothschild, c’est un français résidant à Paris, en charge des fusions-acquisitions, et ce depuis plusieurs années. Ce second témoignage recoupe donc en partie celui de notre première source. Plus proche de la banque, cette dernière apportait une précision de taille : ces « bonus » versés « en Angleterre » par Rothschild and co seraient parfois provisionnés dans un trust anonyme basé dans les Îles anglo-normandes. Particulièrement embarrassantes pour Emmanuel Macron, nos révélations et ces deux témoignages ont été accueillies par un surprenant silence présidentiel. 

Pas de démenti d’Emmanuel Macron

Dès le 23 mars 2022, soit six jours avant la diffusion de notre documentaire, nous interrogions l’Élysée par mail à propos des 720 000 euros de BIC déclarés par Emmanuel Macron pour 2012 dans les termes suivants :

« Ce montant intègre-t-il l’ensemble des commissions qu’il a perçues sur le Deal Pfizer/Nestlé ? Sinon, quels sont les montants perçus par Emmanuel Macron sur cette opération ? Sur ces montants, combien ont été fiscalisés en France ? Et combien à l’étranger ? ». 

L’Elysée ne nous apportait aucune réponse. Le 25 mars, nous insistions par téléphone auprès de l’Elysée sur la gravité des affirmations de notre témoin. Sans obtenir de réponse. 

Suite à la diffusion, le Président de la République a persisté à ne démentir aucun des faits rapportés dans notre documentaire : 

  • – Il n’a pas nié avoir échappé durant plusieurs années au paiement de l’impôt sur la fortune grâce à des estimations immobilières que le fisc a jugé « sous évaluées » en 2015. Il n’a pas démenti avoir été redressé fiscalement pour les années 2013 et 2014.
  • – Il n’a pas démenti que dans ses déclarations de patrimoine adressées à la HATVP en 2014 et 2017, il avait omis de mentionner à son actif une somme de 350 000 euros mise à la disposition de son épouse pour qu’elle puisse rénover sa maison du Touquet. Ce bien appartenant en propre à Brigitte Macron, elle lui devait pourtant cette somme (à moins qu’il ne lui ait accordé une « libéralité », ce dont Emmanuel Macron n’a jamais fait état). Dans ses déclarations, Emmanuel Macron avait en revanche inscrit ces 350 000 euros à son passif, pour les avoir empruntés au Crédit Mutuel fin 2011. S’il avait mentionné la créance de 350 000 euros sur son épouse, son patrimoine n’aurait pas été de 308 000, mais de 658 000 euros. Voire 808 000 euros si on retient la somme de 500 000 euros dévolus aux travaux du Touquet évoquée par le « camp Macron » auprès du Journal du Dimanche en 2017. 
  • – Il n’a pas démenti que les travaux dans la maison du Touquet et le remboursement de ses dettes avaient été financés respectivement (au moins en partie) par les 350 000 euros empruntés fin 2011 au Crédit Mutuel et par la vente de son appartement parisien pour un montant de 980 000 euros en 2015. Et non pas par les millions qu’il avait gagnés chez Rothschild, comme il l’affirmait sur France 2 dans l’Émission politique le 6 avril 2017. 
  • – Il n’a pas démenti que la gratification convenue pour son rôle clé dans le rachat de la branche nutrition infantile de Pfizer par Nestlé en avril 2012 ait pu se composer d’un premier montant versé en France en 2012 sous forme de « bénéfices industriels et commerciaux » (BIC) et d’un second provisionné dans un « trust » anonyme (un instrument juridique opaque représenté par un prête-nom) comme ce serait généralement le cas pour les associés-gérants de Rothschild and co selon notre source. Suite à la diffusion de notre enquête, une source anonyme au sein de son équipe de campagne s’est contentée de déclarer à l’AFP : « pas de fraude, pas de faits, pas de preuves ». 

La prudence de Rothschild and co

Durant toute notre enquête, à l’exception d’un mail qu’Olivier Labesse, le communicant de Rothschild and co, nous a adressé le 17 février 2022 pour nous indiquer que concernant les montants perçus par la banque lors du « deal » Pfizer/Nestlé, « les honoraires versés à l’entreprise pour une opération de conseil, quelle que soit sa nature, sont du ressort du client. Ils n’ont donc pas vocation à être rendus publics », la banque Rothschild and co s’est murée dans le silence. 

Le mardi 8 mars 2022, par l’intermédiaire d’Olivier Labesse, nous demandions à connaître le montant perçu par Emmanuel Macron dans le « deal » Pfizer/Nestlé. Pas de réponse. 

Le vendredi 25 mars 2022, nous adressions à Olivier Labesse le mail suivant :

« Dans le “deal” Pfizer/Nestlé, M Macron aurait reçu une part significative de sa rémunération dans un “trust” basé à l’étranger. Certain que vous comprendrez l’importance de cette demande, je vous serais reconnaissant de bien vouloir demander une dernière fois à la banque Rothschild sa version des faits concernant la rémunération de M Emmanuel Macron dans le “deal” Pfizer/Nestlé et territoire de versement des honoraires de ses associés-gérants. »

Pas de réponse. 

Ce même 25 mars 2022 à 14 h 39, nous adressions à Olivier Labesse le texto suivant :

« Bonjour M Labesse, notre enquête évoque des honoraires versés à M Macron dans un “trust” à l’étranger pour le “deal” Pfizer/Nestlé. Rothschild ne souhaite pas répondre ? »

Pas de réponse. 

Le 30 mars, au lendemain de la diffusion de notre documentaire, Olivier Labesse se contentait de nous transmettre par téléphone une « déclaration » à « porter à la connaissance de nos lecteurs et abonnés » : « Rothschild and co dément formellement les informations selon lesquelles les banquiers en France seraient rémunérés à l’étranger. Les banquiers en France sont rémunérés en France ». Ces éléments de langage bien tardifs transmis aussi à l’AFP sont à accueillir avec prudence pour au moins trois raisons. 

D’abord, comme l’indiquait François Henrot, célèbre associé-gérant nommé « special senior advisor » par David de Rothschild en juillet 2021, à la banque Rothschild and co, « on apprend l’art de la négociation, mais on apprend aussi (…), et cela peut être utile en politique, à communiquer, à raconter des histoires… une histoire (…) on y apprend des techniques, pas de manipulation de l’opinion, mais de… un petit peu ». Rothschild and co aurait-elle cherché à manipuler certains confrères pour limiter l’impact de notre documentaire ? Premier constat : si Olivier Labesse a contacté plusieurs journalistes pour affirmer que la banque « démentait » nos informations, Rothschild and co n’a en réalité publié aucun démenti officiel sur son site suite à la diffusion de notre enquête. 

La « déclaration » selon laquelle les « banquiers en France » seraient « rémunérés en France » est un démenti laissant peu de traces. Pourquoi la banque Rothschild, qui a publié une dizaine de communiqués depuis deux mois, n’en a-t-elle publié aucun pour démentir que ses associés gérants recevraient parfois des « bonus » versés à l’étranger ? 

Suite à la diffusion de notre enquête, un fiscaliste interrogé par l’hebdomadaire Marianne confirmait que les associés travaillant pour les banques d’affaires « sont souvent dans une logique de fragmentation de leurs rémunérations » (comme la répartition 80 %-20 % évoquée par notre témoin). Ils profiteraient en effet de leur statut « à mi-chemin entre le salariat et de mandataire social pour créer en parallèle une société — une holding dans le jargon — qui percevra l’intéressement sur les deals auxquels ils participent ». De sorte que l’argent perçu « soit taxé à impôt sur les sociétés plutôt qu’à l’impôt sur le revenu et aux cotisations sociales ». Un témoignage recoupant partiellement celui de notre première source, qui indiquait que les associés gérants de Rothschild créaient des « petites sociétés ». 

Dans Alternatives économiques, un banquier d’affaire ayant souhaité conserver l’anonymat recoupait le témoignage de notre source sur un autre point : il confirmait que le versement d’une partie des émoluments à Jersey, Guernesey ou l’île de Man dans un but d’optimisation fiscale était une pratique courante de certaines banques d’affaires : « Lorsque j’ai failli travailler pour une banque suisse dont je tairai le nom, on m’a proposé ce genre de montage salarial qui m’aurait permis d’être payé dans une île anglo-normande afin de réduire mes impôts ».

Le 1er avril 2022, après qu’un second témoin proche d’un associé gérant de Rothschild and co nous ait confirmé qu’au sein de la célèbre banque, des « bonus » étaient parfois versés « en Angleterre », nous demandions donc à Olivier Labesse de nous confirmer :

  • – que tous les émoluments des associés-gérants de Rothschild and co leur était bien versés via Rothschild and co
  • – que si certaines rémunérations sont versées via d’autres sociétés, ces sociétés sont toutes basées en France
  • – que les rémunérations ne sont jamais versées via des sociétés basées à l’étranger 
  • – que le « deal » Pfizer/Nestlé a bien été conclu et signé en France. À la mise en ligne de cet article, Rothschild and co n’avait répondu à aucune de ces questions.

Malaise à Bercy  

Le 23 mars 2022, nous posions au ministère des Finances la question suivante : 

« Dans les années 2000, les banques Lazard et Rothschild & co ont négocié des accords fiscaux particuliers avec la Direction générale des Impôts concernant la fiscalisation des revenus de leurs associés gérants (M&A). Les opérations de fusions-acquisitions étant des activités transnationales, ces accords permettent qu’une partie de la rémunération des associés gérants soit fiscalisée à l’étranger afin notamment d’éviter les doubles impositions dans les pays concernés. Pouvez-vous nous confirmer les dates où ces accords ont été passés ? 
– Avec la banque Lazard ? 
– Avec la banque Rothschild ? »

Dans la foulée, un responsable du service de presse du ministère des Finances nous répondait : « Les rescrits fiscaux nominatifs (particuliers ou entreprise) ne sont pas publics et sont couverts par le secret fiscal. C’est à l’entreprise concernée de communiquer sur ces informations ». Bercy ne démentait donc pas un article de Challenges révélant en 2012 que le 30 mars 2005, la Direction générale des impôts ait accepté — contre l’engagement de faire de Paris le « European hub » du groupe Lazard — que les revenus des associés gérants de cette banque (concurrente de Rothschild) en provenance de Lazard New-York (LAZ-MD Holdings et Lazard Group) soient traités en bénéfices industriels et commerciaux, avec un crédit d’impôt prévu dans une convention franco-américaine ». Selon l’un des négociateurs de l’accord interviewé en 2012 par Challenges, il aboutissait « à une très large exonération » des revenus des associés gérants de Lazard. 

Bercy ne démentait pas non plus l’authenticité du rescrit fiscal d’août 2007 (une sorte de note à l’usage des contribuables) cité dans notre enquête. Ce rescrit indiquait que pour certaines sociétés franco-britanniques, « la quote-part des revenus correspondant à l’activité du limited liability partnership exercé au Royaume-Uni par l’intermédiaire d’une base fixe située dans cet État » n’était « pas imposable en France ». 

Suite à la diffusion, le ministère des Finances n’a pas réagi auprès de Off-investigation. Mais suite à une question du député François Ruffin (La France insoumise) demandant à Bercy si un accord existait avec la banque Rothschild pour « défiscaliser hors de France les revenus de ses associés gérants», les services de Bruno Le Maire sortaient de leur silence pour déclarer : “Il n’existe aucun rescrit fiscal (accord entre l’administration et une entreprise, ndlr) entre Bercy et la banque Rothschild pour défiscaliser hors de France les honoraires des associés-gérants”. Dont acte. Mais sur Twitter, L’AFP présente ces rescrits comme des « accords entre l’administration et une entreprise ». En réalité, les « rescrits fiscaux » ne sont pas toujours des « accords entre Bercy et une entreprise ». Ce sont des sortes de notes à l’usage des contribuables pour leur indiquer comment interpréter les textes de loi ou les décrets. Ils ne sont donc pas forcément destinés à une entreprise. Ils peuvent être généraux, comme c’est le cas du rescrit de 2007 que nous évoquons dans notre enquête. En clair, la banque Rothschild n’a pas forcément besoin d’un « rescrit fiscal » qui lui serait spécifiquement destiné pour profiter de la mansuétude accordée le 30 mars 2005 aux associés-gérants de la banque Lazard. On voit d’ailleurs mal pour quelles raisons une défiscalisation partielle des revenus accordés aux associés-gérants de Lazard aurait pu être refusée aux associés-gérants de Rothschild, sauf à introduire une surprenante discrimination entre banques d’affaires. Par ailleurs, il est probable que Bercy n’ait en effet jamais autorisé explicitement que les revenus des associés gérants soient « défiscalisés hors de France ». Selon nos sources, Bercy a juste accepté que seule, une partie des émoluments des associés-gérants des banques d’affaires soient fiscalisés en France. Les éléments de langage d’une source anonyme au sein du ministère des Finances nous sont donc apparus peu convaincants. 

Le ministère des Finances en conflit d’intérêts?

Autre fait qui interroge : Entre 2005 et 2007, au moment ou selon Challenges et notre source, Bercy autorisait les banques Lazard et Rothschild à ne fiscaliser en France qu’une partie des revenus de leurs associés gérants, la porosité entre la banque Rothschild et le ministère des Finances atteignait des sommets. Nicolas Sarkozy ? Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie de mars à novembre 2004, il avait choisi comme directeur de cabinet François Pérol, qui deviendra l’un des plus influents associés-gérants de Rothschild and co entre 2005 et 2007, avant que Nicolas Sarkozy ne le nomme secrétaire général adjoint de l’Élysée en mai 2007. Jean-François Copé, ministre du Budget de 2005 à 2007 ? Il était proche de Grégoire Chertok, autre célèbre associé-gérant de Rothschild. Après l’avoir incité à entrer en politique via la Fondapol, un think tank libéral dirigé par Dominique Reynié, Copé le choisira comme témoin de son second mariage, fin 2011. Thierry Breton, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie de 2005 à 2007 ? Quand il est parti enseigner aux États-Unis, après son départ du gouvernement en mai 2007, il fut recruté comme « conseiller senior » de Rothschild and co, rejoignant à cette occasion l’important réseau de conseillers internationaux de la banque, dont l’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder ou encore l’ancien patron de Coca-Cola, Douglas Daft. 

Contacté par Off investigation, le conseiller en communication de Thierry Breton, devenu commissaire européen sur proposition d’Emmanuel Macron, minimise en précisant que l’ancien ministre chiraquien ne s’était mis au service de Rothschild and co que durant « quelques mois » et que c’était « parallèlement à une activité d’enseignant à la Harvard business school ». Interrogé sur les concessions accordées par Bercy aux banques d’affaires quand il dirigeait le budget, Jean-François Copé ne nous avait pas répondu à la publication de cet article.

La HATVP et le PNF aux abonnés absents

Suite à notre enquête, plusieurs responsables politiques ont réagi. Christian Jacob, président des Républicains, a estimé sur Twitter :

« Les accusations sont graves. Le président de la République a-t-il menti sur son patrimoine ? Toute la lumière doit être faite sur cette affaire. Il en va de la crédibilité de la parole publique et de la classe politique tout entière ».

Quant à Nicolas Dupont Aignan, il déclarait le 6 avril sur Public Sénat : 

« Il y a un président de la République qui devrait faire l’objet d’une enquête du parquet financier sur son patrimoine personnel, sur ses déclarations de patrimoine et sur l’affaire McKinsey. Et il n’y a rien »

Suite à cette déclaration, le Parquet national financier annonçait avoir ouvert le 31 mars une « enquête préliminaire » pour « blanchiment aggravé de fraude fiscale », suite au rapport du Sénat sur l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques. Mais rien n’indique que cette enquête visant notamment Mc Kinsey s’intéressera au patrimoine d’Emmanuel Macron.

Quant à la haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), elle s’est contentée de nous indiquer début 2022 qu’elle n’avait rien à ajouter à ses courriers en 2017 dans lesquels elle avait estimé « la Haute Autorité n’a révélé aucun élément de nature à remettre en cause le caractère exhaustif, exact et sincère de la déclaration d’Emmanuel Macron »Pas sûr que la réélection du champion d’En Marche n’incite la HATVP et la justice à se montrer plus sourcilleuses…




Covid-19 : les injections vaccinales multiples favoriseraient les infections

[Source : les7duquebec.net]

Par Khider Mesloub. 

De vague en vague – de dose en dose

Curieusement, depuis la réapparition de la pandémie de Covid-19, au lendemain de chaque levée des restrictions, de chaque déconfinement, après quelques semaines de « Liberté » recouvrée, certains scientifiques, des charlatans et/ou des experts, médecins stipendiés par la grande pharmacopée interviennent dans les médias pour préparer psychologiquement la populace à une énième vague de contamination provoquée par le surgissement d’un nouveau variant (sic) contre lequel les vaccins de Big Pharma ne peuvent rien… et allons-y d’une nouvelle dose coûteuse et inutile selon Michèle Rivasi :

Vaccins Covid-19 | Ce matin, en commission COVI (de l’Union européenne) j’ai interpellé la commissaire européenne à la transparence sur la demande d’un groupe de pays.

Depuis quelques semaines, selon les médias, les pays occidentaux, en particulier européens, dont 80 % de la population adulte sont pourtant vaccinés, enregistreraient une augmentation des « cas » de contamination, preuve irréfutable que les vaccins ARN ne marchent pas.

Selon ces organes de presse «gouvernementalement» informés et généreusement subventionnés, donc contaminés par l’idéologie sécuritaire et belliciste dominante, on assisterait à une nouvelle flambée de contaminations, observée notamment au Portugal. En Allemagne. Et depuis peu, en France. La majorité des personnes contaminées est pourtant totalement vaccinée (!!!)

Certains de ces pays européens, outre l’injection d’une quatrième dose de l’inopérant vaccin ARN-messager, envisageraient de rétablir les mesures restrictives de «distanciation sociale» (sic) pour soi-disant «juguler la propagation du virus»… mesures qui depuis deux ans n’ont pourtant pas fonctionné. D’aucuns, comme au temps du début de la pandémie bidon ou comme en Chine actuellement, préconisent l’instauration d’un nouveau confinement (dément), mesure moyenâgeuse par excellence, comme la définit le professeur Didier Raoult.

Par suite, devant le rebond des contaminations, statistiquement fabriqué, les gouvernants s’apprêteraient, suivant les conseils pécuniairement avisés de Pfizer et Astra à ordonner, dans une fuite en avant vaccinale, la généralisation de la quatrième injection (dose). Et, rebelote, ces gouvernants lancent, en l’espace de 18 mois, la quatrième campagne de vaccination… coûteuse et inutile.

Visiblement dans ces pays atlantistes, malgré une couverture «vaccinale» de plus de 80% de la population adulte, sévirait toujours une flambée de «cas» que Big Pharma prendrait pour prétexte pour fourguer sa drogue vaccinale sans se préoccuper le moins du monde des effets secondaires de ces concoctions meurtrières comme le souligne la docteure Nicole Delépine :
Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé (Nicole Delépine) — les 7 du Québec.

Pourtant, on se souvient qu’au début de la pandémie on nous affirmait que, pour être immunisé contre la Covid-19 et « reprendre une vie normale », il suffirait que la majorité de la population ait obtenu ses deux doses. Puis ce fut trois doses… et aujourd’hui ce sont les quatre doses… ce qu’Israël et l’Islande ont pourtant expérimenté sans succès(([1] Islande, l’effondrement du narratif du Covid :
Des nouvelles révolutionnaires venant d’Islande : L’effondrement du narratif du Covid ? | #Politique | Kla.TV 
En Islande on en revient aux principes de l’immunisation naturelle.))

La « protection » fugace

On se rappelle également que les marchands pharmaceutiques affirmaient qu’avec l’administration de ces deux doses de vaccin la protection serait assurée à plus de 90 % pour une très longue durée. Après seulement quelques mois, on découvrait que leur efficacité était d’à peine 39 %. Pire : les deux doses ne protégeraient de la maladie qu’une petite fraction des vaccinés, et pour seulement quatre mois au plus. Malgré cet échec vaccinal, sans s’appuyer sur aucune étude clinique réévaluée, les marchands des laboratoires pharmaceutiques avaient recommandé l’injection d’une troisième dose… sans se préoccuper des effets secondaires mortels.(([2] voir : 
Risques spécifiques à l’âge et au sexe de myocardite et de péricardite à la suite de vaccins à ARN messager Covid-19 | Nature Communications 
et Canada : Surmortalité observée au New Brunswick (Canada) en fin 2021 : la ministre de la Santé s’inquiète | FranceSoir))

Actuellement, avec la nouvelle vague épidémique médiatiquement prophétisée, les autorités sanitaires préconisent, pour garantir une meilleure protection selon la terminologie propagandiste usitée, l’injection d’une quatrième dose… avant la cinquième…

Comment croire que cette quatrième injection serait plus efficace que les trois premières ? Pour quel motif les gouvernants des pays atlantistes, notamment la France et le Canada, incitent-ils à ce rappel vaccinal sans aucun argument scientifique ni aucun essai clinique à l’appui?

Une chose est sûre, exhibée comme le remède miracle contre la Covid-19, aujourd’hui la vaccination à base ARN-m peut être considérée comme un échec médical cuisant. En effet, la vaccination contre le coronavirus était présentée comme le «nouveau Graal» de la médecine moderne, en lieu et place de la thérapeutique médicale curative et des traitements médicamenteux prophylactiques, décriés, considérés désormais comme des méthodes moyenâgeuses en matière de soins.

Des « fatwas gouvernementales » avaient même été édictées contre des médecins désireux, dans le respect de leur serment d’Hippocrate, de soigner scientifiquement leurs patients ou prescrire quelque traitement médicamenteux antiviral. Seule la « potion magique vaccinale » ARNm était censée guérir le malade atteint du Covid-19. Voire redonner des forces à l’économie malmenée par le virus, selon les imposteurs gouvernementaux, et non pas par les mesures politiques destructrices décrétées par les gouvernements. L’injection de deux doses d’ARN-messenger allait permettre aux « citoyens » de recouvrer leur liberté longtemps confinée, mise sous cloche despotique, et à la société de renouer avec son fonctionnement normalisé.

Aujourd’hui, après deux années d’expérimentation, malgré l’injection de trois doses, la vaccination n’a pas tenu ses promesses. Ni concrétisé ses prometteuses prouesses. Elle a laissé place à la méfiance, la défiance. À la controverse. À la répugnance.

« Ce que l’on observe, c’est que les cas qui sont hospitalisés sont plutôt les plus de 60 ans, notamment avec des facteurs de comorbidité, et surtout les plus de 80 ans », a déclaré à BFMTV Bruno Lina, virologue et membre du Conseil scientifique. Autrement dit, c’est au sein de la population la plus vaccinée que l’on enregistre le grand nombre d’hospitalisations. En dépit de cette flambée d’hospitalisation des vaccinés, les tenants des injections vaccinales à répétition recommandent l’administration de la quatrième dose. Selon plusieurs sources, les publics les plus âgés, pourtant multi-injectés, ont actuellement un taux d’incidence deux fois plus élevé que les mineurs, absolument pas vaccinés. Ainsi, la vaccination n’évite aucunement la contamination. Ni la transmission. Ni l’hospitalisation. Ni la mort.

Les cobayes humains

Quand les dissidents pointent du doigt l’inefficacité des vaccins ARN-m, les partisans de la vaccination rétorquent qu’ils protègent de la forme grave. Cet argument est discutable, pour ne pas dire fallacieux. Si la mortalité a certes baissé, elle est imputable à l’amenuisement de la virulence des virus et non à la vaccination (comme il survient chaque fois en pandémie virale). Comme chacun le sait, tous les virus (bactéries et autres parasites), dans tous les contextes épidémiques, au fil du temps, par suite de leurs multiples mutations, perdent de leur virulence en s’adaptant à leurs hôtes, tout comme ils finissent par aboutir à une atténuation de leur contagiosité et, par conséquent, de leur létalité. Aussi, les nouveaux variants sont, automatiquement, moins dangereux et moins infectieux que le virus d’origine.

Donc, dans le cas du Covid-19, la diminution de la mortalité ne peut être imputée à la vaccination. D’autant plus que les nouveaux vaccins mis sur le marché, élaborés à la hâte, sont toujours au stade de l’essai clinique, c’est-à-dire en phase expérimentale. En médecine, un essai clinique est une recherche biomédicale menée chez l’humain, avec pour objectif d’améliorer les connaissances et le traitement des maladies. En d’autres termes, avec les vaccins ARN-m, nous en sommes encore à la phase d’évaluation de l’efficacité et de la tolérance du produit sauf que cette fois… les cobayes expérimentaux sont quelques milliards d’humains sacrifiés par les gouvernements stipendiés.

Ainsi, la vaccination de la majorité de ces populations occidentales n’a permis ni de diminuer le rythme de la propagation du virus ni de réduire les formes graves nécessitant la réanimation. Sans aucun doute, les vaccins ARN-m ne protègent ni de la contamination, ni de l’hospitalisation, ni du décès. Ni de la transmission du virus.

Les dangereux vaccins

Assurément, les vaccins ARN-m semblent avoir une médiocre efficacité contre la Covid-19. Pire : ces produits commerciaux accéléreraient, selon certains experts, les mutations du virus. Et pour cause. Les vaccins ARN-m semblent avoir la particularité de sélectionner des mutations résistantes du fait qu’ils ne décodent que la seule protéine Spike (donc un unique site de reconnaissance), contrairement à un vaccin de type inactivé entier (élaboré notamment par le laboratoire Sinovac) capable de coder une multitude. Autrement dit, les vaccins à ARN-m favoriseraient, selon les spécialistes, l’apparition de mutations résistantes, c’est-à-dire la multiplication de variants. Comme le reconnaissait, dès l’année dernière, le chercheur de l’Institut Pasteur, Frédéric Tangy, spécialiste des vaccins : « Vacciner plus en plus de monde, dans le contexte présent, va faire naître d’autres variants résistant aux réponses immunitaires naturelles ».

À cet égard, le choix des gouvernements occidentaux, à l’instigation des laboratoires pharmaceutiques, d’acquérir exclusivement les nouveaux vaccins ARN-m, réputés pour leur spécificité de favoriser la création de mutants, interpelle. Par ce choix stratégique vaccinal ARN-m à l’efficacité médiocre, les gouvernements occidentaux entretiendraient-ils délibérément la pandémie par sa pérennisation opérée par la réapparition de nouveaux variants, nécessitant ainsi, au grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques, des campagnes de rappel de vaccination quasi semestrielles pour une longue période, afin d’enrichir les Big Pharma, mais également pour justifier l’instauration de la dictature sanitaire-sécuritaire, bouclier du programme du Grand Reset actuellement mis en œuvre ?(([3] Voir L’impérialisme, la phase finale du capitalisme mondialisé — les 7 du Québec.))

À la vérité, selon les médecins, l’actuel variant Omicron (et ses dérivés, déclinés sous les noms successifs BA.1, BA.2, BA.3, BA.4, BA.5) ne provoquerait qu’un gros rhume. Une chose est sûre, depuis l’année dernière la diminution du nombre de décès a été relevée dans tous les pays. Tout comme le nombre de contaminations virulentes.(([4] Voir à cet effet le dernier rapport statistique que nous avons publié : 
Rapport mensuel de situation Covid planétaire/ 2 juillet 2022 (Dominique Delawarde) — les 7 du Québec.))

Pour preuve de l’inefficacité des vaccins contre le coronavirus, la publication d’une étude israélienne dans Science et Magazine. Selon Science Magazine parue le 26 août 2021, relayant une étude effectuée en Israël, être contaminé par le Covid-19 confère une immunité plus grande qu’un vaccin. En effet, la protection immunitaire naturelle développée après l’infection par le Covid est 13 fois plus efficace contre le virus que l’administration du vaccin Pfizer. Autrement dit, le système immunitaire humain est plus puissant pour résister au virus, selon cette étude israélienne. « Les données récemment publiées montrent que les personnes qui ont déjà eu une infection par le SRAS-CoV-2 étaient beaucoup moins susceptibles que les personnes vaccinées et jamais infectées d’attraper Delta, d’en développer des symptômes ou d’être hospitalisées avec un Covid-19 grave», rapportait Science Magazine.

Selon le magazine, « Il s’agit de la plus grande étude d’observation dans le monde réel à ce jour pour comparer l’immunité naturelle et induite par le vaccin au SRAS-CoV-2». « Cette analyse a démontré que l’immunité naturelle offre une protection plus durable et plus forte contre les infections, les maladies symptomatiques et les hospitalisations dues à la variante Delta », avaient déclaré les chercheurs israéliens.

Néanmoins, il convient de souligner que l’étude avait également montré que toute protection est limitée dans le temps. La protection offerte par l’infection naturelle diminue au fil du temps, tout comme la protection induite par les vaccins. Tout comme les virus, au fil du temps, perdent leur virulence, c’est-à-dire leur contagiosité et leur létalité diminuent considérablement. Comme chacun le sait, un virus est toujours en mutation. C’est sa nature. C’est une loi de l’évolution. Qui plus est, le virus n’a pas intérêt à tuer son hôte, car en le tuant il disparaît également. En tout état de cause, l’homme est porteur d’anticorps, qui sont la réponse immunitaire aux antigènes des différentes souches d’un virus.

[Note de Joseph :
Cependant la théorie virale n’a jamais été démontrée selon une démarche véritablement scientifique et lorsqu’on l’aborde sous un tel angle, elle apparaît en fait fallacieuse.
Voir en particulier les articles suivants extraits du dossier Vaccins et virus :
Le mythe de la contamination épidémique
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Démontage de la théorie virale
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
L’invention du SARS-CoV-2 (article très technique)
L’enterrement de la théorie virale
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
Ebola : briser les mensonges et la supercherie.
Ces articles concourent à largement démontrer la fausseté de la théorie virale.
Si un nombre plus important de médecins se penchaient sérieusement sur de tels articles et acceptaient de remettre en question ce qu’on leur a enseigné à l’université sous la large influence de Big Pharma, après l’enterrement de la théorie virale, viendrait celui de la vaccination et d’une bonne partie de la médecine allopathique actuelle, puis l’effondrement des mesures sanitaires partout dans le monde, pierre angulaire de l’édification du Nouvel Ordre Mondial. Et sans cette pierre angulaire, celui-ci s’effondrerait à son tour.]

Les vaccins — les variants — la contamination

Selon les spécialistes honnêtes, ce sont bien les vaccins ARN-m qui favoriseraient ces mutations, contrairement au discours gouvernemental accusant, hier, les non-vaccinés d’être responsables de la propagation de la pandémie dans les pays pourtant massivement vaccinés, et, aujourd’hui, les vaccinés eux-mêmes du fait de leur supposé relâchement en matière de protection. Paradoxalement, à chaque échec des campagnes de vaccination, illustrée par la résurgence des cas, les autorités incriminent systématiquement les « citoyens », accusés de faire preuve de négligence en matière de protection sanitaire, mais ne remettent jamais en cause les vaccins. Elles n’appellent ni à reconsidérer la politique vaccinale ni à réexaminer la gestion sécuritaire de la crise sanitaire. Et pour cause. La première permet un enrichissement faramineux des Big Pharma, la seconde offre une opportunité d’infléchissement autoritaire des pouvoirs publics.

Pour autant, d’après une étude japonaise, les injections répétées de vaccins à ARN-m multiplieraient les anticorps facilitants, conduisant inéluctablement à des infections de formes sévères. En effet, avec chaque nouvelle injection, en raison de la multiplication des anticorps facilitants, les copies du virus augmenteraient la charge virale des vaccinés, contrairement aux non-vaccinés.

De fait, la vaccination à rappels multiples favoriserait, elle-même, l’émergence de l’infection. En effet, comme ne cessent de le soutenir, depuis le début de la pandémie, les docteurs Nicole et Gérard Delépine, la généticienne Alexandra Henrion-Claude, le professeur Christian Perronne et le professeur Didier Raoult (tous anathématisés, calomniés), pour ne citer que les scientifiques célèbres, les injections multiples des vaccins anti-Covid-19 ne favorisent pas que la production d’anticorps neutralisants contre la protéine spike du virus SARS-CoV-2. Certains anticorps dirigés contre cette protéine spike peuvent être facilitants, c’est-à-dire qu’ils peuvent au contraire faciliter l’infection des personnes injectées/vaccinées, selon un phénomène appelé ADE (« antibody-dependent enhancement » ou facilitation de l’infection dépendante des anticorps).(([5] Voir : Résultats de recherche pour « delepine » — les 7 du Québec 
et Résultats de recherche pour « perronne » — les 7 du Québec 
et Résultats de recherche pour « raoult » — les 7 du Québec.))

Par ailleurs, ces injections vaccinales multiples peuvent également provoquer une infection aggravée des personnes injectées/vaccinées (en cas d’infection ultérieure par un variant du SARS-CoV-2) via un phénomène plus large appelé ERD («enhanced respiratory diseases» ou facilitation des maladies respiratoires) qui ne dépend pas nécessairement de la production des anticorps facilitants.

Les récentes études montrent des signes cliniques plus marqués après infection que chez les personnes non vaccinées. La preuve par l’Allemagne. La revue « eugyppius » a publié une carte établie le 28 juin 2022 par l’Institut Robert-Koch (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) intitulée : «Omicron BA.5 préfère les Allemands de l’Ouest hyper vaccinés et masqués et évite l’ancienne RDA.» Dans cette carte, la revue dévoile l’existence, en matière de conduite politique et réceptivité psychologique, d’une démarcation prononcée entre l’ex-Allemagne de l’Est et l’ex-Allemagne de l’Ouest, héritage de la division territoriale, étatique et idéologique du pays entre 1945 et 1989 au cours de la guerre froide:  «Les Allemands de l’Est ont une expérience directe de la propagande gouvernementale et se sont montrés plus résistants à la campagne de vaccination que les Occidentaux. Leur récompense, après avoir été beaucoup dénigrés par les médias d’État, est maintenant un niveau plus élevé d’immunité naturelle et un taux plus faible d’infection par le BA.5, qui semble préférer les populations vaccinées.».

Pénuries de main-d’œuvre

Par ailleurs, si, ces dernières semaines, les hôpitaux et les compagnies aériennes manquent cruellement de personnels, cela n’est pas dû à une pénurie salariale, mais à l’absentéisme massif occasionné par les arrêts maladie des salariés affectés par le Covid-19. Pourtant, dans ces deux secteurs sensibles, l’ensemble des salariés est multi-injecté, c’est-à-dire triplement vacciné. Ce phénomène de l’arrêt de travail massif pour cause de maladie n’a jamais été observé auparavant. Tout se passe comme si la vaccination à base ARN-m serait devenue un vecteur de pathologies, un agent pathogène. En particulier avec les injections vaccinales répétées, responsables de l’amenuisement du système immunitaire.

Au reste, du fait de la résistance des derniers variants (BA.4 et BA.5) aux anticorps neutralisants, et de l’émergence continue de nouveaux variants, la vaccination à rappels multiples engendrerait un risque sérieux d’atteinte à l’immunité naturelle des patients.

En effet, une vaccination contre la Covid-19 avec de nombreux rappels induirait, selon les scientifiques, notamment le défunt Luc Montagnier, un syndrome d’immunodéficience acquise ou SIDA (celui-ci est un syndrome immunitaire indépendant du VIH) chez les multi-injectés/ vaccinés. Par ailleurs, le dérèglement de l’immunité innée se traduirait également par un dérèglement de l’immunité adaptative/acquise, c’est-à-dire à un dérèglement généralisé du système immunitaire.(([6] Voir : Résultats de recherche pour « montagnier » — les 7 du Québec.))

En d’autres termes, les injections vaccinales répétées, dépassant le seuil critique, conduisent inévitablement à un dérèglement de l’immunité innée, et à l’apparition de potentiels troubles auto-immuns. Cette diminution des défenses immunitaires se traduit par une dangerosité accrue pour les vaccinés et un portage viral toujours plus fort.

De toute évidence, combattre la pandémie de Covid-19 à coups de doses de rappel des vaccins actuels n’est pas une stratégie fiable ni viable. Aussi, comme le recommandent les experts honnêtes soucieux réellement de la santé publique, notamment japonais, dans l’attente de l’adaptation du vaccin au nouveau variant, autrement dit en attendant que la composition du vaccin soit mise à jour, pour éviter les mutations générées par les vaccinations à répétition, il serait plus prudent de favoriser une autre médication. Effectivement, comme le prouve l’expérience actuelle, la multiplication des injections avec des vaccins fondés sur la souche originelle du virus n’a aucune utilité médicale, sinon d’enrichir les laboratoires pharmaceutiques.(([7] Voir : Résultats de recherche pour « Izambert » — les 7 du Québec.))

Or, en dépit de l’échec de la vaccination et, surtout, des risques du dérèglement de l’immunité naturelle, les laboratoires pharmaceutiques, au lieu d’adapter leur vaccin au variant Omicron (ou ses sous-variants), incitent les populations à l’injection d’une quatrième dose avec les mêmes vaccins élaborés pour la primitive souche du coronavirus apparue fin 2019. Car il faut écouler les stocks.

Le contexte pandémique sous le capitalisme

Quand la santé du capital prime celle de l’être humain, l’injection de manipulation scientifique, administrée à haute dose dans le corps social, devient la norme. Tel est le contexte pandémique actuel financièrement instrumentalisé par les multinationales du médicament. Alors que les vaccins ARN-m sont toujours en phase d’essai clinique, malgré leur l’échec patent à enrayer le virus, notamment contre le variant Omicron et ses dérivés, et les risques de dérèglement l’immunité naturelle, les laboratoires pharmaceutiques persévèrent dans leur politique de préconisation de l’injection d’une quatrième (cinquième dans certains pays abonnés aux vaccins ARN-m de Pfizer) dose.

Les profits sont au rendez-vous

Une chose est sûre, à ce stade expérimental, avec ces vaccins ARN-m, le seul effet bénéfique concrètement observé est d’ordre financier. Le chiffre d’affaires de l’entreprise américaine Pfizer a bondi de 95 % en 2021, atteignant 81,3 milliards de dollars, et dégageant 22 milliards de bénéfices. BioNTech : 19 milliards de chiffres d’affaires et 10 milliards de bénéfices. Moderna : 20 milliards de chiffres d’affaires et 12 milliards de bénéfices. À eux trois, ces trois groupes pharmaceutiques ont réalisé 65 000 dollars de bénéfices par minute. Avec l’augmentation du prix de vente décidée, la quatrième injection est assurée de croître de 50% les bénéfices des laboratoires pharmaceutiques.

Le tiers monde est protégé-immunisé par sa pauvreté

Pour conclure. Comment expliquer qu’en Asie et en Afrique, sans mesures de restrictions, ni de protection sanitaire (masques, solutions et gels hydroalcooliques pour se désinfecter les mains, gestes barrières, etc.), ni aucune injection vaccinale, pour l’Afrique, la faiblesse du nombre de contaminations et de décès dans ces deux continents (qui représentent les 2/3 de l’Humanité) ? Par l’innocuité du coronavirus ? Comment interpréter la surmortalité liée au Covid-19 officiellement enregistrée par les États occidentaux et leurs pays satellites (qui totalisent 70% des 6 millions de décès dans monde) ? Par la surestimation du nombre de décès attribués au Covid-19, surtout quand on apprend que plus de 99% des morts liés au virus étaient atteints d’une autre maladie grave, de comorbidité ? Comment analyser cette disparité de la mortalité devant ce virus à géographie variable ? À croire que ce virus mute en fonction des États, flambe au gré des orientations politiques et économiques des dirigeants, tue statistiquement selon la volonté des gouvernements, ressuscite invariablement au rythme de la multiplication des vaccinations imposées dans les pays atlantistes ! En complémentaire : les Big Pharma fourguent leurs vaccins aux pays africains : Michèle Rivasi – Vaccins Covid-19 | Quelle est la vision… | Facebook 

Khider MESLOUB




Lettre ouverte à Mr Le Député Fabien Roussel et à ses collègues : le pseudovaccin antiCovid est dangereux et inutile, il faut l’interdire

Par Dr Gérard Delépine

Non, Monsieur le Député, le pseudo vaccin ne réduit ni le risque de porter le virus (ce qui n’a aucune incidence), ni les contaminations, ni les formes graves. Il faut écouter les vrais scientifiques, ceux qui ne sont pas liés aux laboratoires pharmaceutiques et qui basent leurs conclusions sur les seuls faits établis au lieu de croire en des simulations biaisées.

Ce graphique publié par l’OMS sur https://Covid19.who.int/ montre que les vaccinations n’ont pas réduit les contaminations, mais ont au contraire été suivies par une accélération de l’épidémie :

D’ailleurs, comme nous, vous devez connaître parmi vos proches de nombreuses personnes totalement vaccinées et qui ont été malades du Covid parfois même à plusieurs reprises.

De plus, cette injection expérimentale est à l’origine de nombreux effets secondaires, dont des décès rapides, des maladies neurologiques comme certaines maladies de la vache folle, de perturbations hormonales majeures et de risque d’atteinte de la fertilité à plus ou moins long terme. La diminution de l’immunité personnelle qui s’aggrave avec les doses successives entraîne une fragilité des personnes sources d’infections répétées et d’augmentation du nombre de cancers.

Les collègues médecins du monde entier, dont de grands scientifiques et chercheurs, multiplient les appels pour un moratoire mondial auxquels vous ne pourrez rester indifférent, si comme nous le pensons, vous ne voulez que le bien de l’Humanité et singulièrement des électeurs qui vous ont fait confiance.

Votre tweet(([1] « @AvecRoussel
Le vaccin fonctionne. Le vaccin réduit le risque de porter le virus. Le vaccin permet de réduire la contagiosité. Il faut écouter les scientifiques ». sous réserve que ce tweet soit authentique.)) témoigne d’une désinformation dont vous avez été victime comme tant d’autres et que nous tentons de combattre comme beaucoup en publiant les FAITS AVÉRÉS, malgré la censure qui rend leur accès difficile et malgré la propagande permanente répétant les opinions de médecins trop liés aux laboratoires pharmaceutiques.

La réponse d’Antoine Léaument à votre tweet est justifiée. Espérons qu’il sera entendu :

« J’ai interpellé aujourd’hui le ministre de la Santé. Je lui ai dit qu’il FAUT réintégrer les soignants suspendus. Puisqu’être vacciné n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus, à quoi bon continuer avec cette absurdité ? »

@ALeaument · 5 juil.

Quelques rappels parmi les démonstrations quotidiennes de l’inefficacité des pseudo vaccins :

La vaccination n’a pas évité aux Péruviens de mourir de Covid

La propagande vaccinale prétend que la vaccination protégerait des formes graves et de la mort. Mais à la lumière des chiffres de l’OMS, l’exemple du Pérou montre qu’une telle affirmation est mensongère. La mortalité Covid cumulée a doublé au Pérou depuis la vaccination qui a pourtant concerné plus de 85 % des habitants, dont plus de 95 % des personnes à risques. Au 15 juin 2022, le nombre de morts attribuées au Covid dépasse les 200 000, infligeant à ce pays le plus vacciné d’Amérique du Sud le taux de mortalité le plus élevé de tous les pays du monde (6700 par million).

À l’opposé, les pays africains qui ont traité précocement par antipaludéens et très peu vacciné ont quasi complètement évité les formes graves et les morts Covid. Leurs mortalités cumulées ne dépassent pas les 200 par million !

Mais le vax inutile est aussi dangereux

Il augmente les fausses couches de façon drastique tant en UE comme la dia en témoigne qu’aux USA :

Les cancers augmentent de façon spectaculaire, comme les médecins militaires américains l’ont signalé depuis des mois demandant eux aussi un arrêt de ces injections expérimentales :

Mr Le Député, ne prenez pas le risque d’envoyer vos concitoyens à l’injection de trop, car vous en supporteriez au moins la responsabilité morale. L’histoire tragique de Céline Dion et de Justin Bieber, entre autres vedettes qui avaient exigé la preuve des injections pour assister à leur concert, est terrible.(([2] Entretien avec le Pr Chossudovsky : les stars qui ont promu le vax et qui en sont victimes devraient aider à la campagne pour stopper cette injection dangereuse — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

« Céline Dion et Justin Bieber, mêmes destins tragiques après injections anti-Covid. Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes, loin de la vraie médecine et probablement trop proches des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre, peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser leur vie, en tous cas d’ores et déjà leur vie d’artiste ?

Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination antiCovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans — qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux. On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par Big Pharma et/ou affidés.

Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal. » (…)

Dre Nicole Delépine
Extrait de l’article : Les destins tragiques de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber vont-ils ouvrir les yeux de leurs fans ? Mondialisation.ca, le 12 juin 2022.

Et que direz-vous de la hausse de la mortalité globale constatée et publiée par l’Office National des Statistiques anglais beaucoup plus transparent que nous ?

Cette augmentation de la mortalité hors Covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse globale d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancer.

Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)(([3] https://www.zinfos974.com/Mortalite-38-par-rapport-a-2019-la-plus-forte-augmentation-de-France_a184422.html)), aux USA(([4] https://resistance-mondiale.com/un-rapport-de-la-fda-revele-que-la-mortalite-toutes-causes-confondues-est-plus-elevee-chez-les-vaccines
https://www.epochtimes.fr/pourquoi-le-nombre-de-deces-a-t-il-augmente-de-40-aux-etats-unis-par-rapport-a-lannee-derniere-1932664.html
Il y a eu une augmentation inattendue de 40 % des « décès toutes causes » en 2021 :
https://www.kusi.com/there-was-an-unexpected-40-increase-in-all-cause-deaths-in-2021/)) en Allemagne(([5] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/22/des-medecins-allemands-confirment-a-nouveau-la-correlation-entre-vaccin-et-surmortalite/))(([6] L’expérience anglaise démontre l’augmentation de la mortalité globale chez les vaccinés antiCovid — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) et plus globalement en Europe(([7] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/19/explosion-de-la-surmortalite-hors-Covid-19-en-europe/)).

Cette surmortalité des vaccinés, tant Covid que non Covid, apparaissant quelques mois après les injections nécessite en urgence des analyses approfondies et, en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid.

La négation de ce paradoxe prépare un scandale bien plus grave que celui du médiator, du Vioxx, ou du sang contaminé…

Lisez l’appel du conseil mondial de la santé :

Vaccins antiCovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)





Énarques ou prolos, qui sont les plus cons ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Eric Verhaeghe

Cette semaine, ma productivité pour le Courrier a baissé, car j’ai occupé deux soirées à des missions « de terrain ». Jeudi, j’ai participé aux vingt ans de ma promotion d’ENA. Vendredi, j’ai écumé les bars d’Abbeville, dont je suis un habitant intermittent. Deux lieux, deux événements, deux populations, deux ambiances. Et, en rentrant chez moi, je n’ai pas eu de peine à comprendre dans quel camp se trouvaient les plus cons.

Parfois, le passage d’un extrême à l’autre permet d’éclairer brutalement des aspects invisibles de la réalité. C’est en glissant d’un milieu à son contre-milieu que les ombres apparaissent sur des visages trop lisses, trop connues, et qu’une profondeur de champ inattendue se dégage sur ce que l’on croyait connaître. 

C’est un peu l’expérience qui m’est arrivée cette semaine, et qui explique que j’ai moins écrit pour le Courrier ces derniers jours. Jeudi soir, je participais à Paris à l’événement marquant le vingtième anniversaire de promotion d’ENA. Ce pince-fesses avait lieu dans un hôtel particulier du seizième arrondissement. Le lendemain soir, j’écumais les bars d’Abbeville, petite sous-préfecture de la Somme dont le député est François Ruffin. 

Cette confrontation des extrêmes donne au fond une belle photographie des divergences, des distances, des incompréhensions, qui fracturent notre pays. 

L’énarque, ce funambule en suspens qui n’a pas vérifié son harnais

Fêter les 20 ans de ma promotion ENA était, c’est vrai, une corvée, dont je me suis dispensé il y a dix ans, et à laquelle je me suis collé cette année par curiosité.

Je suis sorti de l’ENA en 2002, à une époque où l’on pouvait encore croire au destin de l’Europe et de l’euro, au progrès de la démocratie, et à quelques petites naïvetés de ce genre. Vingt ans plus tard, l’Europe est en guerre, les finances publiques sont en ruine, la zone euro est en quasi-récession, et l’abstention record illustre les tensions propres à notre démocratie : c’était le moment de prendre la température de la caste. 

Sans enthousiasme, donc, je me suis cherché un costume à peu près correct pour rejoindre mes anciens petits camarades et voir à quoi ils ressemblent désormais. Et le résultat m’a, je dois le dire, un peu consterné. 

Pour donner un tableau général de ce que j’ai vu, je dirais avec une petite paresse facile que l’événement se situait entre la scène de ripaille de E la nave va de Fellini et une soirée de voeu à la Chancellerie de Hitler en janvier 1943, c’est-à-dire quelques semaines avant la défaite de Stalingrad. Tout le monde affiche une mine réjouie, évoque les bons souvenirs, dresse un tableau épique et picaresque des grandes victoires engrangées, de la prospérité du pays retrouvée grâce au NSDAP, et surtout, les mouches à merde qui posent les questions qui fâchent sur les signaux de plus en plus nombreux d’une défaite imminente sont considérées au mieux comme de grossiers personnages, au pire comme des ennemis à fusiller dans la cour séance tenante. 

Bref, une soirée énarchique n’existe que comme célébration des grandes victoires remportées par la caste mondialisée sur l’obscurantisme, et toute forme d’esprit critique expose au bannissement. 

Combien de temps la béatitude peut-elle durer ? Je n’ai rencontré, ce soir-là, que peu de camarades prêts à reconnaître que la fête aurait peut-être une fin… plus rapide qu’ils ne l’imaginent. 

Triomphe de la platitude et de la cécité

Je ne me souviens plus de tout quant aux détails de ma scolarité à l’ENA (il me faudrait plus de temps pour rassembler mes souvenirs, sans doute), mais j’ai conservé intact la diatribe de l’une de mes camarades sortant de Sciences-Po et finalement sortie au Conseil d’Etat, dont la carrière a connu un bond spectaculaire grâce à François Hollande dont elle fut conseillère à l’Elysée. L’impétrante ne connaissait pas bien la différence entre Flaubert et Balzac et même, disons-le, confondait allègrement les deux. 

Ce flou culturel m’a toujours paru illustrer assez bien le niveau moyen des énarques, qui sont (parfois) de bons chefs d’atelier bureaucratiques, mais qui ont une culture limitée aux petites fiches ingurgitées au kilomètre à Sciences-Po. J’ai d’ailleurs toujours eu l’intime conviction qu’il fallait payer la petite fiche ingurgitée par le science-pipoteur de base au même tarif qu’une gâterie déroulée par une Brésilienne au bois de Boulogne : ils deviendraient tous très riches dès le plus jeune âge, se détourneraient en masse de la carrière bureaucratique, et libéreraient ainsi le pays d’une infestation toxique. 

De cette réduction massive de l’individu à un simple utilitarisme bureaucratique, on en trouve les preuves partout. Nous devions être moins de dix à ne pas porter, parmi les hommes, un complet bleu ou gris totalement passe-partout. Et, si je fais le compte de ma soirée, un seul de mes camarades a osé me parler de son opposition à la politique étrangère suivie par Emmanuel Macron.

Massivement, l’énarchie aujourd’hui applique de façon zélée la politique gouvernementale, dans ses pires excès, sans se poser de questions métaphysiques. Certes, il y a bien des jeux de carrière, certains sont plus républicains ou plus socialistes que le Président, comme Vichy comptait des adeptes de Darlan, de Laval, ou de Bousquet. Mais, de même qu’aucun ne remettait en cause le Maréchal, aucun énarque aujourd’hui, parmi ceux qui sont en fonction dans l’active, n’exprime publiquement, sereinement, honnêtement, le moindre malaise vis-à-vis du naufrage en cours, considérant même que l’affaire est entre de bonnes mains, et que nous tenons le bon bout. 

Les trois sphères de l’ENA aujourd’hui

De façon étonnante, quand même, il me semble que la morphologie générale de l’ENA a changé significativement en vingt ans. C’est peut-être une impression trompeuse, mais, sous l’effet des changements globaux, la biologie mute. 

L’immense majorité des énarques (90% d’entre eux, pourrions-nous dire, à grosses mailles) exerce, vingt ans après sa sortie d’école, des fonctions subalternes de plus en plus marginalisées par la mondialisation. Il faut ici comprendre à quoi correspond la montée en puissance des Mc Kinsey et consorts : la définition stratégique de l’action publique est confisquée par la caste, et ceux qui en étaient chargés autrefois sont de plus en plus réduits au rôle de simples exécutants de feuilles de route définies ailleurs. 

La règle de ces 90% est d’obéir aux ordres sans se poser de question. J’ai désespérément tenté d’obtenir d’un camarade juge administratif la moindre réflexion critique sur la soumission générale et silencieuse du corps auquel il appartient aux pires excès du macronisme, je n’ai obtenu que du déni mordicus, un sourire sardonique et une demande timide d’indulgence pour le jour où tout cela se terminera mal. Mais sa réponse ostinée est : “j’obéis, et je ne peux qu’obéir”. 

Plus teigneux sont les anciens cadors du système qui n’ont pas bien négocié le virage de la mondialisation : les conseillers d’Etat devenus des dinosaures d’un vieux droit français balayé par l’Europe et les Etats-Unis, les inspecteurs des finances mal à l’aise en anglais, qui doivent se contenter de postes bidons de “chef de la mission d’audit interne de truc ou de machin”, qui sont autant de chômeurs déguisés à 15.000€ nets par mois, confortables donc, mais d’autant plus arrogants et haineux qu’ils sont aigris par leur progressive mise sur la touche. On en compte trois ou quatre par promotion, et ceux-là sont dangereux car leur ressentiment les bouffit de haine contre les “riens” de la France ordinaire, taxés de tous les maux. 

Enfin, j’ai dénombré une poignée de vainqueurs, de membres réels de la caste mondialisée, qui fréquentent les forums de Davos, les réunions de Bilderberg, les instances onusiennes où l’argent coule à flot pour acheter les dernières résistances au système. 

Mais, sur une cohorte de cent personnes, s’ils sont cinq, c’est déjà énorme, et peut-être même ne compte-t-on parmi eux qu’un ou deux oligarques réel(s). 

Les progrès fulgurants de l’atlantisme

Je manquais peut-être de lucidité il y a vingt ans, mais il me semble quand même que, en 2002, j’eusse anticipé beaucoup plus de résistance assumée et ouverte à l’ordre américain que je n’en ai vu ou entendu jeudi soir. Face à la manipulation américaine en Ukraine ou mondialiste sur le coronavirus, je crois bien que, au moins dans mes souvenirs, une part plus importante d’élèves aurait protesté ou aurait même contesté. 

Désormais, l’attitude la plus audacieuse est de se taire, d’éviter le sujet, de ne pas voir qu’à force de prétendre que la France n’est plus rien, ils ont eu gain de cause : l’énarchie est devenue la force la plus active pour dissoudre la nation dans un bain de multilatéralisme et de mondialisme où nous nous pesons plus rien. 

Avec beaucoup de naïveté, l’un ou l’autre est venu m’expliquer qu’aucun pays n’était libre, et que l’ordre américain était le bon, à condition d’être débarrassé de Trump, bien entendu. Ceux-là osent dire ce que les autres font mine de ne pas savoir, par confort, par facilité, par paresse : qu’ils ne sont plus rien, qu’ils ont cassé le jouet qui a fait leur carrière, leur prospérité, leur rang social. Au fond, la France disparaît, et ils se sentent honorés de pouvoir éteindre la lumière en partant. 

Bouffée d’oxygène à Abbeville

Le lendemain, heureusement, je suis parti à Abbeville, et fait exceptionnel, j’y étais sans ma fille. J’ai donc proposé à ma femme d’écumer les soirées d’Abbeville en couple débutant, en quelque sorte. 

Je profite de cette occasion pour mentionner les très sympathiques soirées du vendredi à la Brasserie Alsacienne à Abbeville, devant le marché couvert. Chaque vendredi, on y danse le disco dans une ambiance bon enfant où les habitués vous accueillent à bras ouverts et se souviennent de vous d’une semaine à l’autre. 

Ma femme en a profité pour faire la connaissance de Gégé, célébrité locale qui fête ses cinquante ans aujourd’hui, et qui anime avec beaucoup de bonne humeur et de bienveillance la vie locale. C’est l’un des plaisirs de la vie abbevilloise, que de humer les premières effluves de notre bon Nord, où les gens se mélangent par-delà leurs différences, et se respectent sans se préoccuper des classes sociales auxquelles ils appartiennent. 

Comme nous étions dans la soirée “j’écume les bars”, j’ai ensuite emmené ma femme au Saint-Pierre, où les tribus de la jeunesse abbevilloise se rassemblent avant d’aller en boîte de nuit. En commandant un rhum arrangé pour moi, une bière pour ma femme attablée dans la petite salle d’à-côté, un jeune homme regarde mon alliance et me dit : “avec ça au doigt, tu ne vas pas pouvoir rester longtemps. Madame va te faire ton affaire si tu rentres trop tard”. 

La fascinante intelligence de Sullivan, rencontré au bar

Ce gaillard est un petit blondinet avec une barbichette de salafiste. Ce doit être la mode. Il a vingt-six ans, le regard rieur et taquin des petits gars de chez nous. Je plaisante avec lui et je vais retrouver ma femme avec mes verres à la main. Quelques minutes plus tard, le gaillard arrive dans la même salle, me voit assis à côté de ma femme et s’esclaffe. 

Il s’assied à côté de ma femme, en m’expliquant qu’il la trouve vraiment très belle et vraiment plus jeune que moi. Il se présente : il s’appelle Sullivan. Il est du coin. Son père ne l’a pas gâté avec un prénom pareil. Il n’en est pas à sa première bière, et son groupe de copains et de copines, dont aucun n’a trente ans, le regard entre admiration, stupeur et amusement de le voir se coller aux “vieux” de l’assistance. 

Sullivan commence à raconter sa vie. Il a passé cinq ans dans l’armée. Il a fait des missions, notamment au Mali. Il se souvient d’y avoir accroché deux frères combattant dans les rangs d’AQMI, dont un gamin de douze ans, blessés, qu’ils ont emmené à l’hôpital de campagne. Le petit de douze ans s’est pris un éclat de grenade, et la gangrène a vite gagné. Le chirurgien a demandé au grand frère dans le lit à côté s’il pouvait amputer le petit pour éviter qu’il ne meure. Le grand frère a refusé : un handicapé ne sert à rien dans une famille islamiste du désert. Alors le chirurgien français a laissé mourir le petit, sous les yeux de Sullivan qui aidait à faire des pansements. 

Quand Sullivan est revenu, sa fiancée l’a quitté. Sullivan fait la fête malgré tout, mais il se réveille souvent la nuit. Il a peur du noir. Il a besoin d’allumer la lumière. Il ne sait pas pourquoi le sommeil l’a quitté. L’armée lui a parlé des troubles post-traumatiques. Il ne sait pas trop, mais il a va aller voir un psychothérapeute parce qu’on lui a dit que ça pourrait lui faire du bien. 

Sullivan ne doute pas de quelque chose : de son goût pour une société où l’on honore l’héritage des anciens et où l’on honore ce qu’ils ont fait de bien. Et lui, dont la France a été le combat, il sent bien que le combat qu’on mène en Ukraine, ce n’est pas le nôtre. 

“Je suis un intuitif”, dit-il. “Et là, je sens bien que l’Ukraine, ce n’est pas notre combat. On ne fait pas la guerre pour nous là-bas, mais pour autre chose. Je ne sais pas quoi, mais pour autre chose. “

Il n’y a pas de haine chez Sullivan, ni d’idéologie, ni de dogme. Il y a des intuitions guidées par la liberté de conscience et le sens sincère du bien. Ce qu’on appelait à une époque la foi du charbonnier. 

Obéissance de la caste et liberté du peuple

Je ne pouvais évidemment m’empêcher de confronter ici les deux images extrêmes, et extraordinairement contradictoires, d’une caste imbue d’elle-même, hypnotisée, dépersonnalisée, qui ne “sent” rien et s’imagine connaître la réalité, sans jamais chercher à la comprendre, face à un peuple ordinaire resté extraordinairement libre et sincère, à la recherche de sa vérité dans une dense forêt de propagande officielle. 

Il est beau ce peuple qui s’appuie sur ses intuitions, il est grand, il est prometteur. C’est sur lui que nous devons nous appuyer pour combattre la fausse monnaie de la caste, qui prétend que les vessies sont en réalité des lanternes. 

“Les masses françaises sont analphabètes”, disait Zemmour récemment. Je voudrais terminer ce reportage par un éloge de l’analphabétisme et de l’illettrisme. Pour être intelligent, je crois bien qu’il ne faut savoir ni lire ni écrire. L’éducation, parce qu’elle est le lieu de l’hégémonie propagandiste, est un obstacle, au fond, pour réussir notre rapport au monde, aux choses, et à la vérité. 

Bon voilà, en fait, les cons ne sont pas ceux qu’on croit. 




La dérive sectaire s’accentue (Raoult, Pays-Bas, C19, déficits…)

Par Lucien SA Oulahbib

Plus cette Secte immonde s’enfonce dans l’échec de plus en plus patent, plus elle s’arcboute sur l’ignoble, tel Hitler qui au fond de son bunker en refusant de capituler condamnait le peuple allemand à sa destruction totale sous les bombardements alliés faute soi-disant de ne pas lui avoir obéi aveuglément. Aujourd’hui un nouveau rapport à charge contre Raoult vient de sortir. Il va jusqu’à le menacer de poursuites pénales, car ce dernier aurait prescrit des remèdes dits non recommandés, alors qu’il n’existe aucune plainte de patients en la matière. Bien au contraire, il y a pléthore de poursuites contre des membres de cette Secte suite aux effets secondaires de ses injections farfelues et bien peu recommandables (en tout cas inopérantes). Pourtant, la Secte persiste opiniâtrement, jusqu’à l’obsession entêtée, fiévreuse (tels ces criminels qui donnent, non pas un, mais dix, vingt, trente coups de couteau) à promouvoir cette saleté injectable au vu de ses effets secondaires et malgré la preuve patente désormais de sa totale inefficacité y compris pour les formes dites graves.

Nous nageons donc de manière croissante en plein délire scientiste, hygiéniste, affairiste organisé de plus en plus visiblement par des charlatans, des menteurs et des vicieux. Ceux-ci attendent en effet le dernier moment concernant le départ à la retraite de Raoult pour lui ternir son image en le traitant de vulgaire délinquant et trafiquant qui distribuerait à la sauvette des médicaments que nombre de pays ont cependant adoptés (ce qui leur a permis d’éviter les rebonds et d’autres aggravations qui aujourd’hui explosent, mais qui sont effacées par des catégorisations hasardeuses comme « mort mystérieuse » et autres corrélations imbéciles — telles que faire trop de jardinage ou de sport — qui pourraient induire des troubles cardiaques chez les moins de quarante ans…).

Une autre idée fixe qui fait rage également consiste à faire croire que les dix pour cent de contribution de l’Europe (0,9 pour la France) aux émissions de gaz dits à effet de serre (la première étant la… vapeur d’eau) nécessite dans l’urgence la destruction de la moitié du cheptel (à commencer par les Pays-Bas), au même titre que les moteurs thermiques réduits au silence d’ici une douzaine d’années quand ils sont neufs. C’est bien la preuve même que le pouvoir a été confié à des illuminés qui ricanent sans doute de leurs méfaits dans les alcôves de la Secte lorsqu’il s’agit de psalmodier entre-soi les versets quotidiens de cette anti-Bible rassemblant des rapports aussi farfelus que honteux (sachant que sans gaz à effet de serre, il n’y aurait plus de vie sur Terre : -18° au lieu des 15 de moyenne), montrant du doigt l’espèce humaine à l’instar de ces prophètes de malheur qui condamnent l’Humanité parce que leur ego démesuré n’aura pas été reconnu à sa juste valeur.

Et l’effet narcisse du média sur ces créatures malignes lorsqu’elles se voient à la une les amène à vouloir sans cesse en rajouter, jusqu’à par exemple enchaîner des cinq colonnes à la une sur une « 7e vague » fabriquée de toutes pièces par des injections facilitantes qui excitent un moment quelques anticorps avant de disparaître telles ces boissons gazeuses qui donnent l’impression de rafraîchir alors qu’elles ne font qu’en injecter l’illusion (et beaucoup de sucres).

Et d’ailleurs tout est de plus en plus enveloppé de propos doucereux, sucrés, ouatés qui appâtent, à l’instar de ces kidnappeurs d’enfants et leur sac de friandises. Et tous les égotistes illuminés, frustrés, abandonnés, furieux aussi de voir leur vie s’effilocher au fil des secondes gâchées par tant d’aigreur vont s’empresser de remettre leur muselière en bons esclaves sado-maso qui attendent leur Bergé afin d’être redistribués dans les réseaux interlopes du marché intertextuel des animaux savants.

On pourrait en rire alors que c’est à pleurer. Comment se fait-il que des ignorants aussi veules continuent à caracoler ainsi tout en (se) dépensant sans compter, façon Colin-Maillard coquin, dans les jardins de Versailles (alors que tout s’effondre à l’extérieur de leur cocon), sinon parce qu’ils correspondent bien, en effet miroir, à toute une faune de ratés vendus, collabos, aigris, obsédés, esseulés dont personne ne veut sauf les salles d’attente pour hypocondriaques revanchards des émissions confitures en veux tu en voilà.

C’est Tartuffe au royaume des merveilles se transformant au fur et à mesure en palais des horreurs (façon Disney Destroy). Leurs malades imaginaires pullulant tels les escargots (berk berk berk) aussitôt que la pluie médiatique les a arrosés jusqu’à plus soif de fausses nouvelles estampillées pourtant « vraies », et même sous de vrai-faux noms comme AFP, Reuters, Bloomberg, repris par des feuilles de chou avariées façon Libé, le Monde, la BBC, CNN, le NYT, le Figaro pour lequel Beaumarchais doit sans doute se retourner dans sa tombe par honte d’observer dans quel état erre désormais ce journal qui ose encore se réclamer de lui.

Comment arrêter ces forcenés ?… Ce n’est pas en leur faisant relire Foucault comme le croient Finkielkraut et Onfray que cela changera quelque chose, bien au contraire puisqu’il a été leur mentor en disant tout et son contraire, le terme « biopouvoir » par exemple ne signifiant en aucun cas que la médecine a pris le pouvoir, mais que ce dernier est détenu par des êtres vivants imposant leurs jeux de vérité dans des rapports de forces permanents. Foucault reprend ainsi l’antienne marxiste bégayée par Bourdieu réduisant le « pouvoir » au seul « rapport de forces » alors qu’il est aussi question de force des rapports : ce qui inclut également charisme et autorité à persuader et diriger selon des compétences acquises et révélées comme l’a bien analysé Max Weber. Or nous sommes bien loin du compte. Les gens actuellement au pouvoir ne s’y trouvent que par l’emploi de manipulations mentales qui surfent sur la destruction de tout esprit critique depuis bien une cinquantaine d’années, lorsqu’un Sartre s’extasia devant des meurtriers qui se prétendaient libérateurs (suivant ici Genet plutôt que Camus) tout en traitant tout « anticommuniste » de « chien » (alors qu’il était devenu lui-même le chien de garde du soviétisme maoïsé) le vrai néo-libéralisme, c’est-à-dire précisément ce que nous vivons aujourd’hui (tout pour la Secte, rien pour les porteurs de sandales, le populo), mais façon Warhol : en décalcomanie.




Mesures « sanitaires » : en 2015, Claire Séverac nous alertait de la guerre mondiale contre les peuples

[Source : lemediaen442.fr]

Après des études à Sciences Po, Claire Séverac a fait une carrière dans la musique aux États-Unis. Particulièrement sensible aux scandales liés à la santé et à l’environnement (vaccination, virus H1N1, pesticides, affaire du sang contaminé…), elle décide d’enquêter. Elle découvre que les maux dont nous souffrons ne sont pas dus au hasard ni à la fatalité, mais plutôt à un plan organisé par une poignée de « banksters » prêts à tout pour contrôler le monde.

Claire Séverac rassemble en 2011, dans Complot Mondial contre la santé, les preuves de tous les dommages causés à notre santé avec la nourriture, les médicaments, les pesticides, avec les noms des coupables, leurs méthodes. 
En 2012, elle écrit, avec Sylvie Simon, La coupe est pleine (nos enfants sont plus précieux que le CAC 40) sur la manipulation et la désobéissance civique.


Son dernier ouvrage, La guerre secrète contre les peuples (préface de Pierre Hillard, éditions Kontre Kulture), sort en 2015. Pendant trois ans, Claire Séverac a décrypté des centaines de documents, recoupé des discours, fouillé dans les archives et les sites d’organisations internationales, d’ONG ou encore d’institutions gouvernementales. Trois ans d’enquête qui prouvent l’existence des chemtrails, le danger des ondes, les mensonges du réchauffement climatique qui est une guerre climatique, le transhumanisme…

Extrait du livre « La Guerre secrète contre les peuples » de Claire Séverac

Plus ou moins tenus secrets, des projets mondiaux revêtent un alibi humanitaire : la faim dans le monde, le réchauffement climatique, la santé, l’écologie, la sécurité… Nul doute que tout ce qui se trame autour du covid-19 l’aurait intéressée au plus haut point, elle qui s’était scandalisée de l’attitude des grands laboratoires, leur reprochant de nous pourrir l’existence avec des médicaments loin d’être efficaces, dont les effets secondaires laissent toujours à désirer. Les ouvrages qu’elle a laissés témoignent de ses combats et aussi des oppositions qui se manifestaient autour d’elle. Pourtant Claire Séverac ne manquait pas de soutiens comme Pierre Hillard et la cancérologue Nicole Delepine, qui fut responsable de la pédiatrie à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches avant que le service soit fermé par la ministre Marisol Touraine. Déjà, en 2015, l’État décidait à notre place de notre santé (vidéo ci-dessous).

Claire Séverac est décédée le jour de Noël 2016, après trois mois de maladie. Elle gênait beaucoup trop de monde et son décès assez rapide est difficilement explicable. Elle était certaine d’avoir ingéré un poison à l’occasion des conférences qu’elle donnait dans toute la France depuis la sortie en septembre 2015 de son livre sur les chemtrails (abréviation de chemical trailers). Elle pensait au polonium, un poison indétectable même au compteur Geiger, et à un cancer digestif aussi fulgurant qui avait effectivement peu de chances d’être naturel. Sa mort a été aussi rapide que celle d’un autre gêneur, François-Xavier Verschave, qui, lui, contrariait les intérêts de la Françafrique dans ses livres-enquêtes Noir silenceNoir procès et Noir Chirac (éditions Les Arènes).




Comment agir dans la démesure (Ukraine, santé, sécurité…) ?…

Par Lucien SA Oulahbib

La gabegie bat donc son plein. L’ignorance crasse aussi. Malgré des mots ronflants et des airs savants, ceux de chiens du même nom. No comment, donc ?… Il n’y aurait en effet plus rien à dire sinon la redondance ne constatant rien d’autre qu’elle-même avec cet adage désormais célèbre : pourquoi n’y a-t-il rien plutôt que quelque chose ?… (Jean Baudrillard)

Mettons qu’il faille « les » prendre au sérieux : le moindre chiffre avancé sera nié, et s’il s’agit d’une source officielle son interprétation sera décriée, et si cela ne suffit pas il faudra s’en prendre à la source en scrutant si elle a bien toutes les appellations académiques, peu importe si ses vérificateurs n’en ont pas l’once du quart.

Ceci est là le comportement, non seulement de la mauvaise foi, mais aussi de l’obsessionnel à tendance paranoïde, ou comment voir par exemple des « conspirationnistes » partout jusqu’à faire croire que ces derniers fomenteraient quelque chose alors qu’ils tendent seulement de questionner, donc douter… Comme si les accusateurs voulaient voiler leur intolérance en la matière… Ou faire taire tout soupçon, jusqu’à laisser croire que les complots et les conspirations n’auraient jamais existé dans l’Histoire, sinon ceux issus de têtes dérangées provenant d’un univers parallèle aux confins de l’ère Covid-19…

De même, il n’y aurait jamais eu de sécheresses, de tornades, d’incendies. Tous ces mots auraient été inventés récemment par le fameux “GIERC” (sorte de dieu Baal reconstitué). Et si d’aucuns de ses prêtres ou redresseurs de torses veulent donner l’apparence d’une justification du haut de la pyramide médiatique, ils parleront alors d’une augmentation ou d’une baisse de la “fréquence”, la première étant climatique, la seconde sanitaire alors que ces variations sont toujours saisonnières et ne peuvent être calculées que sur des périodes significatives, mais peu importe pour ces Canada dry et leur double effet Kiss cool.

Le criminel accuse toujours la victime d’être la première fautive : trop femme, trop riche, pas assez homme, ceci ou cela, etc.

Dans les affaires actuelles il y a pléthore d’exemples : comment se fait-il que des zéros pointés osent tenir leurs propos non seulement fallacieux, mais honteux sur ce qui se passe « vraiment » dans la région du Donbass, alors que les civils y sont pilonnés H24 par les armes que leurs maîtres procurent à leurs sbires sur place ? Ont-ils perdu tout sens de la mesure en traitant l’armée russe de « génocidaire » alors que ceux qu’ils soutiennent pratiquent ce qu’il faut bien appeler des crimes de guerre en bombardant ainsi à l’aveugle (et ne parlez pas de Bucha, où en est l’enquête d’ailleurs ?) ?

Faut-il donc écraser toute tentative séparatiste par les bombes et les assassinats alors qu’il existait des accords en bonne et due forme depuis 2014, mais jamais respectés ? Si oui, bombardons la Corse et la Nouvelle-Calédonie, via l’OTAN qui plus est, pour aller plus vite.

Ne parlons pas de cette autre manipulation qui appelle « cas » des personnes non malades, mais testées positives pour quelque chose qui reste un gros rhume s’il est soigné de façon précoce pour les plus fragiles [ou qui n’ont pas le moindre symptôme d’une maladie]. Un « cas » était autrefois un malade, et non pas quelqu’un ayant pu croiser tel virus. Par conséquent, utiliser le même vocable est là aussi fallacieux, et surtout trompeur, jusqu’à faire dire que toute personne en bonne santé est un « asymptomatique » qui s’ignore alors qu’à l’instar des intempéries il y a des oscillations et des autorégulations qui se font à chaque instant au vu des milliards de virus que nous croisons [ou plutôt créons ?(([1] Voir L’enterrement de la théorie virale]))] en permanence ; tout en sachant que se masquer pour s’en protéger revient juste à réintroduire de la pensée magique dans une époque ayant prétendu avoir dépassé celle des talismans et des grigris (même en salle d’opération il a été démontré que le masque est inopérant). Et à l’heure actuelle personne ne sait comment la contamination(([2] [Voir Le mythe de la contamination épidémique])) s’effectue. Aucune étude sérieuse ne l’a démontré sinon par des modélisations hasardeuses extrapolant des « si » à l’infini…

Idem pour la “sécurité” : alors que les (faux) princes qui nous gouvernent n’arrivent plus à prononcer les mots femme, homme, père, mère, comment pourraient-ils le faire pour différencier des crimes, des vols et des viols, surtout lorsqu’ils proviennent d’espèces protégées comme les migrants et les politiciens ?…

La moindre critique vous taxe vite fait de “transphobe” et de “raciste” ce qui fait que par exemple les femmes se voient attaquées de tous les côtés : par des trans peu scrupuleux qui leur piquent leurs places dans les compétitions féminines, par les djihadistes qui les somment de ne pas moufter, tandis que les gens dits colorés se voient conspués par les islamophiles lorsqu’ils veulent s’insérer dans la société qui les accueillent, les instruisent, les soignent, les protègent au-delà des aléas puisqu’il n’est pas dit que venant ainsi de l’étranger l’on puisse ainsi sans coup férir lorgner les meilleures places alors que déjà lorsque l’on vient du village/bloc/clan d’à côté cela suscite des jalousies et autres aigreurs…

Il y a donc bien péril en la demeure. Et seulement énoncer jusqu’à plus soif, comme le fait Edgar Morin, que “là ou est le péril croit aussi ce qui sauve” (Hölderlin) ne peut pas réellement aider – surtout si tout est fait pour que rien ne puisse croître justement, comme une sorte de stratégie de la terre brûlée que l’on voit de plus en plus dans l’enseignement (bannissement du doute et du croisement des sources), dans les médias (haro sur la vérification et refus d’admettre la disputatio), dans la technologie de pointe comme le nucléaire…

Et toucher le fond en ces matières a pourtant bien été atteint… Aussi il semble bien qu’il faille passer à autre chose puisqu’il n’y a plus (que le) rien.




L’agonie de l’Occident

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

Sergueï Lavrov avait l’habitude de comparer l’Occident à un prédateur blessé. Selon lui, il ne faut pas le provoquer car il serait pris de folie et pourrait tout casser. Il convient plutôt de l’accompagner au cimentière. L’Occident ne l’entend pas ainsi. Washington et Londres mènent une croisade contre Moscou et Pékin. Ils rugissent et sont prêts à tout. Mais que peuvent-ils entreprendre vraiment ?

Comme Rome, l’Empire anglo-saxon s’effondre de par sa propre décadence.

Cet article fait suite à :
 1. « La Russie veut contraindre les USA à respecter la Charte des Nations unies », 4 janvier 2022.
 2. « Washington poursuit le plan de la RAND au Kazakhstan, puis en Transnistrie », 11 janvier 2022.
 3. « Washington refuse d’entendre la Russie et la Chine », 18 janvier 2022.
 4. « Washington et Londres, atteints de surdité », 1er février 2022.
 5. « Washington et Londres tentent de préserver leur domination sur l’Europe », 8 février 2022.
 6. « Deux interprétations de l’affaire ukrainienne », 15 février 2022.
 7. « Washington sonne l’hallali, tandis que ses alliés se retirent », 22 février 2022.
 8. « Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens », 5 mars 2022.
 9. « Une bande de drogués et de néo-nazis », 5 mars 2022.
 10. « Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens », 8 mars 2022.
 11. « Ukraine : la grande manipulation », 22 mars 2022.
 12. « Le Nouvel Ordre Mondial que l’on prépare sous prétexte de guerre en Ukraine », 29 mars 2022.
 13. « La propagande de guerre change de forme », 5 avril 2022.
 14. « L’alliance du MI6, de la CIA et des bandéristes », 12 avril 2022.
 15. « La fin de la domination occidentale »,19 avril 2022.
 16. « Ukraine : la Seconde Guerre mondiale ne s’est jamais terminée », 26 avril 2022.
 17. « Washington espère rétablir son hyper-puissance grâce à la guerre en Ukraine », 3 mai 2022.
 18. « Le Canada et les bandéristes », 10 mai 2022.
 19. « Une nouvelle guerre se prépare pour l’après défaite face à la Russie », 24 mai 2022.
 20. « Les programmes militaires secrets ukrainiens », 31 mai 2022.
 21. « Ukraine : quiproquos, méprises et incompréhensions », 7 juin 2022.
 22. « La Pologne et l’Ukraine », 14 juin 2022,
 23. « L’idéologie des bandéristes ukrainiens », 21 juin 2022.
 24. « Le sabordage de la paix en Europe », 28 juin 2022.

Le président Joe Biden et le Premier ministre Boris Johnson lors du sommet du G7 à Elmau (Allemagne).

Les sommets du G7 en Bavière et de l’Otan à Madrid devaient annoncer la punition par l’Occident du Kremlin pour son « opération militaire spéciale en Ukraine ». Mais, si l’image donnée a mis en avant celle de l’unité des Occidentaux, la réalité atteste de leur déconnexion des réalités, de leur perte d’audience dans le monde et en définitive de la fin de leur suprématie.

Alors que les Occidentaux se persuadent que l’enjeu est en Ukraine, le monde le voit affronter le « piège de Thucydide »(([1] Destined For War : Can America and China escape Thucydides’s Trap ?, Graham T. Allison, Houghton Mifflin Harcourt (2017).)). Les relations internationales continueront-elles à s’organiser autour d’eux ou deviendront-elles multipolaires ? Les peuples jusqu’ici soumis s’affranchiront-ils et accéderont-ils à la souveraineté ? Sera-t-il possible de penser autrement qu’en termes de domination globale et de se consacrer au développement de chacun ?

Les Occidentaux ont imaginé un narratif de l’« opération militaire spéciale » russe en Ukraine qui fait l’impasse sur leur propre action depuis la dissolution de l’Union soviétique. Ils ont oublié leur signature de la Charte de la Sécurité européenne (dite aussi déclaration d’Istanbul de l’OSCE) et la manière dont ils l’ont violée en faisant adhérer un à un presque tous les anciens membres du Pacte de Varsovie et une partie des nouveaux États post-soviétiques. Ils ont oublié la manière dont ils ont changé le gouvernement ukrainien en 2004 et le coup d’État par lequel ils ont placé au pouvoir à Kiev des nationalistes bandéristes en 2014. Ayant fait du passé table rase, ils accusent la Russie de tous les maux. Ils refusent de remettre en question leurs propres actes et considèrent, qu’à l’époque, ils sont passés en force. Pour eux, leurs victoires font le Droit.

Pour préserver ce narratif imaginaire, ils ont déjà fait taire les médias russes chez eux. On a beau se prétendre « démocrates », il vaut mieux censurer les voix discordantes avant de mentir.

Ils abordent donc le conflit ukrainien, sans contradiction, en se convaincant qu’ils ont le devoir de juger seuls, de condamner et de sanctionner la Russie. En faisant chanter de petits États, ils sont parvenus à obtenir un texte de l’Assemblée générale des Nations-unies qui semble leur donner raison. Ils envisagent maintenant de démanteler la Russie comme ils l’ont fait en Yougoslavie et ont tenté de le faire en Iraq, en Libye, en Syrie et au Yémen (stratégie Rumsfeld/Cebrowski).

Pour ce faire, ils ont commencé à isoler la Russie de la Finance et du Commerce mondial. Ils ont coupé son accès au système SWIFT et aux Lloyds, l’empêchant d’acheter et de vendre tout autant que d’assurer son transfert de marchandise. Ils pensaient ainsi provoquer son effondrement économique. De fait, le 27 juin 2022, la Russie s’est avérée incapable d’honorer une dette de 100 millions de dollars et l’agence de notation Mody’s l’a déclarée en défaut de paiement.(([2] « Government of Russia : Missed coupon payment constitutes a default », Moody’s, June 27, 2022.))

Mais cela n’a pas eu l’effet escompté : tout le monde sait que les réserves de la Banque centrale russe regorgent de devises et d’or. Le Kremlin a payé les 100 millions, mais n’a pas pu les transférer en Occident du fait des sanctions occidentales. Il les a placés sur un compte bloqué où ils attendent leurs débiteurs.

Pendant ce temps, le Kremlin qui n’est plus payé par les Occidentaux s’est mis à vendre sa production, notamment ses hydrocarbures, à d’autres acheteurs, particulièrement à la Chine. Les échanges ne pouvant plus être effectués en dollars le sont en d’autres monnaies. Par conséquent, les dollars que leurs clients utilisaient d’habitude refluent vers les États-Unis. Ce processus avait déjà commencé il y a plusieurs années. Mais les sanctions unilatérales occidentales l’ont brutalement accéléré. L’énorme quantité de dollars qui s’accumule aux USA y provoque une hausse des prix massives. La Réserve fédérale fait tout son possible pour la partager avec la zone euro. La hausse des prix se propage à grande vitesse sur tout le continent ouest-européen.

La Banque centrale européenne n’est pas un organisme de développement économique. Sa mission principale est de gérer l’inflation à l’intérieur de l’Union. Constatant qu’elle ne peut absolument pas ralentir la brusque hausse des prix, elle tente de l’utiliser pour diminuer sa dette. Les États membres de l’Union sont donc invités à compenser, par des baisses d’impôts et des allocations, la baisse du pouvoir d’achat de leurs « citoyens ». Mais c’est un cercle sans fin : en aidant leurs citoyens, ils se lient les pieds et les mains à la Banque centrale européenne, ils s’enchaînent un peu plus aux dettes US et s’appauvrissent encore.

Il n’y a pas de remède à cette inflation. C’est la première fois en effet que l’Occident doit éponger les dollars que Washington a imprimé avec insouciance durant des années. La hausse des prix en Occident correspond au coût des dépenses impériales des trente dernières années. C’est aujourd’hui et aujourd’hui seulement que l’Occident paye ses guerres de Yougoslavie, d’Afghanistan, d’Iraq, de Libye, de Syrie et du Yémen.

Jusqu’à présent les États-Unis tuaient tous ceux qui menaçaient la suprématie du dollar. Ils ont pendu le président Saddam Hussein qui la refusait et ont pillé la Banque centrale iraquienne. Ils ont torturé et lynché le guide Mouamar el-Kadhafi qui préparait une nouvelle monnaie panafricaine et ont pillé la Banque centrale libyenne. Les sommes gigantesques amassées par ces États pétroliers ont disparu sans laisser de traces. On a seulement vu des GI’s embarquer des dizaines de milliards de dollars emballés dans de grands sacs-poubelles. En excluant la Russie des échanges en dollar, Washington a lui-même provoqué ce qu’il redoutait tant : le dollar n’est plus la monnaie de référence internationale.

La majorité du reste du monde n’est pas aveugle. Elle a bien compris ce qui se passe et s’est précipitée au Forum économique de Saint-Pétersbourg, puis a tenté de s’inscrire au sommet virtuel des Brics. Elle réalise —un peu tard— que la Russie a lancé le « Partenariat de l’Eurasie élargie », en 2016 et que son ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, l’avait solennellement annoncé à l’Assemblée générale de l’Onu, en septembre 2018(([3] “Remarks by Sergey Lavrov to the 73rd Session of the United Nations General Assembly”, by Sergey Lavrov, Voltaire Network, 28 September 2018. « Onu : naissance du monde post-occidental », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 2 octobre 2018.)). Durant quatre ans, quantités de routes et de chemins de fer ont été construits pour intégrer la Russie dans les réseaux des nouvelles « routes de la soie », terrestres et maritimes, imaginés par la Chine. Il a donc été possible de déplacer en quelques mois les flux de marchandise.

Le reflux des dollars et le déplacement des flux de marchandise provoquent une hausse plus marquée encore du prix des énergies. La Russie, qui est l’un des premiers exportateurs d’hydrocarbures au monde, a vu ses revenus augmenter considérablement. Sa monnaie, le rouble, ne s’est jamais aussi bien portée. Pour y faire face, le G7 a fixé un prix plafond du gaz et du pétrole russe. Il a ordonné à la « communauté internationale » de ne pas payer plus cher.

Mais la Russie ne va évidemment pas laisser les Occidentaux fixer les prix de ses produits. Ceux qui ne veulent pas les payer aux prix du marché ne pourront pas les acheter et aucun client n’a l’intention de se priver pour faire plaisir aux Occidentaux.

Le G7 tente d’organiser, au moins au plan intellectuel, sa suprématie(([4] « Communiqué des chefs d’Etat et de gouvernement du G7 d’Elmau », Réseau Voltaire, 28 juin 2022.)). Cela ne fonctionne plus. Le vent a tourné. Les quatre siècles de domination occidentale sont terminés.

En désespoir de cause, le G7 a prit l’engagement de résoudre la crise alimentaire mondiale que sa politique a provoqué. Les pays concernés savent ce que les engagements du G7 veulent dire. Ils attendent toujours le grand plan de développement de l’Afrique et autres miroirs aux alouettes. Ils savent que les Occidentaux ne peuvent pas produire les engrais azotés et qu’ils empêchent la Russie de vendre les leurs. Les aides du G7 sont uniquement des pansements sur des jambes de bois chargés de les faire patienter et de ne pas remettre en question les principes sacrés du libre-échange.

Le sommet de l’Otan à Madrid était une manifestation d’unité et de puissance. Mais ses Etats membres étaient convoqués pour signer ce que Washington et Londres avaient décidé pour eux. Leur unité n’était qu’une forme de servitude dont beaucoup songeaient à s’affranchir.

La seule option possible pour le sauvetage de la domination occidentale, c’est la guerre. Il faut que l’Otan parvienne à détruire militairement la Russie comme jadis Rome avait rasé Carthage. mais c’est trop tard : l’armée russe dispose d’armes bien plus sophistiquées que l’Occident. Elle les a déjà expérimentées depuis 2014 en Syrie. Elle peut à tout instant écraser ses ennemis. Le président Vladimir Poutine a exposé devant ses parlementaires, en 2018, les progrès stupéfiants de son arsenal.(([5] “Vladimir Putin Address to the Russian Federal Assembly” by Vladimir Putin, Voltaire Network, 1 March 2018. « Le nouvel arsenal nucléaire russe rétablit la bipolarité du monde », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 6 mars 2018.))

Le sommet de l’Otan de Madrid était une belle opération de communication(([6] « Ce qu’il faut retenir du Sommet de l’OTAN 2022 à Madrid », Réseau Voltaire, 29 juin 2022.)). Mais ce n’était que le chant du cygne. Les 32 États membres ont proclamé leur unité avec le désespoir de ceux qui craignent de mourir. Comme si de rien n’était, ils ont d’abord adopté une stratégie pour dominer le monde durant les dix prochaines années, désignant la « croissance » de la Chine comme un sujet de préoccupation(([7] « OTAN 2022 Concept Stratégique », Réseau Voltaire, 29 juin 2022.)). Ce faisant ils ont admis que leur but n’est pas d’assurer leur sécurité, mais bien de dominer le monde. Ils ont alors ouvert le processus d’adhésion de la Suède et de la Finlande et envisagé de s’approcher de la Chine avec, pour commencer, une possible adhésion du Japon.

Le seul incident, rapidement maîtrisé, aura été la pression turque qui a contraint la Finlande et la Suède à condamner le PKK(([8] “Turkiye, Sweden, Finland Memorandum”, Voltaire Network, 28 June 2022.)). Incapables de résister, les États-Unis ont lâché leurs alliés, les mercenaires kurdes en Syrie et leurs leaders à l’étranger.

Sur ce, ils ont décidé de multiplier par 7,5 la Force d’action rapide de l’Otan, en la faisant passer de 40 000 à 300 000 hommes, et de la stationner à la frontière russe. Ce faisant ils ont violé une fois de plus leur propre signature, celle de la Charte de la Sécurité en Europe, en menaçant directement la Russie. En effet, celle-ci n’a pas la possibilité de défendre ses immenses frontières et ne peut assurer sa sécurité qu’en veillant à ce qu’aucune force étrangère n’installe de base militaire à ses frontières (stratégie de la terre brûlée). D’ores et déjà, le Pentagone fait circuler des cartes prospectives du démantèlement de la Russie qu’il espère mettre en œuvre.

L’ancien ambassadeur russe à l’Otan et actuel directeur de Roscosmos, Dmitry Rogozin, leur a répondu en publiant sur son compte Telegram les coordonnées de tir des centres de décisions de l’Otan, salle du sommet de Madrid comprise(([9] « La Russie menace les centres de décision occidentaux », Réseau Voltaire, 28 juin 2022.)). La Russie dispose de lanceurs hypersoniques, pour le moment impossibles à intercepter, qui peuvent porter une charge nucléaire en quelques minutes sur le siège de l’Otan à Bruxelles et sur le Pentagone à Washington. Pour qu’il n’y ait pas de méprise, Sergueï Lavrov a précisé, faisant allusion aux Straussiens, que les décisions martiales de l’Occident n’étaient pas prises par les militaires, mais au département d’État US. C’est lui qui serait la première cible.

La question est donc : les Occidentaux joueront-ils le tout pour le tout. Prendront-ils le risque d’une Troisième Guerre mondiale pourtant déjà perdue, juste pour ne pas mourir seuls ?





Les 10 mystères de la guerre d’Ukraine

[Source : Le Saker Francophone]

Par Emmanuel Leroy

Théâtre de Marioupol le 9 mai 2022
  1. Pourquoi l’armée russe a t-elle attaqué le 24 février 2022 ?
  2. Pourquoi les Russes attaquent-ils à 1 contre 2 ?
  3. Pourquoi les Russes ont-ils lancé l’assaut contre Kiev et Kharkov ?
  4. Que s’est-il passé à Tchernobyl ?
  5. Que s’est-il passé à Energodar ?
  6. Quid des laboratoires biologiques US ?
  7. Où sont passés les 50 officiers français de Marioupol + autres officiers de l’OTAN) ?
  8. Que s’est-il passé à Boutcha ?
  9. Que s’est-il passé à Kramatorsk ?
  10. L’île aux serpents.

Lancée dans la nuit du 23 au 24 février 2022, l’opération militaire spéciale, puisque c’est comme cela que les Russes l’ont appelée, recèle comme tout ce qui touche à la Russie, une bonne part de mystère et de nombreuses questions restées sans réponse. Nous allons tenter de répondre à certaines d’entre elles, ou du moins formuler des hypothèses, car il est bien évident qu’à ce stade des opérations et du brouillard de guerre qui l’environne, il est tout à fait impossible de répondre catégoriquement et on peut même affirmer qu’à l’issue de ce conflit – qui peut encore durer très longtemps – il est probable que certaines de ces questions ne connaîtront pas de réponses claires avant longtemps, si tant est qu’elles en reçoivent jamais. Mais cela n’empêche pas d’imaginer quelques réponses, quitte à soulever d’autres questions que d’autres essayerons de résoudre un jour.

Pourquoi l’armée russe a t-elle attaqué le 24 février 2022 ?

Pour ceux qui suivent le dossier du Donbass depuis les origines, c’est-à-dire depuis le coup d’État du Maïdan de 2014, la bonne question serait plutôt : pourquoi les Russes ont-ils tant tardé à intervenir pour mettre un terme à ce conflit qui n’a jamais cessé depuis 2014 ? En effet, nombreuses sont les personnalités politiques et militaires qui en Russie même, critiquent le Kremlin pour n’avoir lancé l’opération spéciale qu’en 2022 alors que l’armée ukrainienne avait été battue à plate couture en février 2015 et qu’elle n’existait virtuellement plus à cette date après la cinglante défaite de Debaltsevo. La réponse la plus plausible à cette question est que la Russie n’était pas suffisamment forte en 2015 pour encaisser le contrecoup des sanctions infernales qui n’auraient pas manqué de lui être infligées comme elles le sont aujourd’hui. Il est probable qu’en 2015 l’économie russe n’aurait pas été assez résiliente pour résister à l’étranglement des sanctions. De même à cette époque l’architecture financière de la Russie était encore rudimentaire et trop dépendante de l’Occident pour faire face aux coupures du système Swift et à l’arrêt quasi complet des exportations vers l’Europe. De plus, on peut ajouter qu’en 2015, la restauration de la puissance de l’armée russe n’était pas achevée (le discours de Poutine sur les nouvelles armes russes date de 2018) et il est probable que la Russie ne s’estimait pas prête à un conflit ouvert avec l’OTAN si celui-ci avait éclaté à cette date.

Les Russes ont affirmé (sans preuve dirimante pour l’instant) avoir saisi des documents dès les premiers jours de l’opération qui prouveraient que l’armée ukrainienne se préparait à donner l’assaut contre le Donbass dans les premiers jours de mars. Ce qui est établi c’est que l’état-major de Kiev avait positionné sur la ligne de front du Donbass depuis le printemps 2021 environ la moitié de son armée (plus de 150 000 hommes) et que ces troupes d’assaut étaient constituées des meilleures divisions de l’armée ukrainienne.

Le blogueur états-unien Moon of Alabama, spécialiste de géopolitique, affirme que

l’entrée de la Russie en Ukraine le 24 février 2022 visait très certainement à prévenir l’assaut de l’armée ukrainienne dans le Donbass. Le rapport du 15 février de la mission spéciale de surveillance de l’OSCE en Ukraine a enregistré 41 explosions dans les zones de cessez-le-feu. Ce chiffre est passé à 76 explosions le 16 février, 316 le 17 février, 654 le 18 février, 1413 le 19 février, un total de 2026 les 20 et 21 février et 1484 le 22 février. Les rapports de mission de l’OSCE ont montré que la grande majorité des points d’impacts de l’artillerie se situaient du côté séparatiste de la ligne de cessez-le-feu.

Ma conviction personnelle est que l’armée ukrainienne a bien tenté l’assaut contre les républiques de Donetsk et de Lugansk en avril 2021 mais que cette tentative a été brisée par l’emploi massif de techniques de guerre électronique par les Russes qui a littéralement coupé toutes les communications radio des forces ukrainiennes et provoquant de ce fait ce que l’on pourrait appeler un véritable déni de guerre. Il a fallu près d’un an pour l’OTAN et pour l’armée ukrainienne pour rebâtir un système de communication que les Russes ne pouvaient plus inhiber. Et c’est ainsi qu’intervient la mise à disposition « miraculeuse et gratuite » du réseau satellitaire STARLINK d’Elon Musk au bénéfice de Kiev – opérationnel dès le début du conflit, et sans doute bien avant – et qui a sans doute considérablement gêné l’état-major russe dans les premières semaines de l’opération et probablement aujourd’hui encore.

Pourquoi les Russes attaquent-ils à 1 contre 2 ?

Tous les spécialistes militaires vous diront que l’on n’attaque jamais avec un ratio inférieur à deux contre un, voire trois contre un de préférence, pour espérer pouvoir l’emporter. Dans le cas présent, les Russes semblent avoir lancé l’opération avec environ 150 000 hommes sur 4 secteurs différents (Kiev et Kharkov au nord, le Donbass à l’est et Kherson au sud) et cela sur une ligne de front de 2500 km). Pour mémoire, lors de la campagne de France en mai 1940, et sur un front beaucoup plus réduit, l’Allemagne attaque avec 137 divisions et un total de 2 750 000 hommes. Rien que les forces armées ukrainiennes dans le Donbass disposent d’un nombre d’hommes équivalent à l’ensemble des forces russes engagées dans l’opération. Alors pourquoi lancer l’assaut dans ces conditions ce qui a littéralement sidéré les états-majors occidentaux ?

Première observation, même si l’armée russe est indubitablement la première armée d’Europe, et de loin avec près d’un million d’hommes affectés à la défense du territoire, les forces opérationnelles de l’armée de terre ne dépassent pas 300 000 hommes et il serait très hasardeux de dégarnir toutes les frontières de la Fédération de Russie pour les engager massivement sur le théâtre ukrainien si l’OTAN décidait par exemple, d’actionner son valet japonais du côté des Kouriles. Les Russes n’ont pas oublié la leçon de 1905.

Deuxième observation, on a le sentiment que la décision d’intervention est prise dans la précipitation, probablement dans le but d’agir en premier dans une guerre préemptive afin d’éviter le massacre de populations civiles dans le Donbass dans le cas où les forces armées ukrainiennes (FAU) auraient lancé l’offensive. On se rappelle que les populations civiles du Donbass commencent à être évacuées massivement quelques jours avant le 24 février.

3ème observation, il s’agit pour les Russes d’une opération militaire spéciale et non pas d’une guerre ce qui interdit la mobilisation générale et le réveil du traumatisme de la Grande Guerre patriotique de 1941 avec ses 27 millions de morts toujours à vif dans l’esprit des Russes. La raison de ce choix politique est probablement que les dirigeants russes sont parfaitement conscients que cette guerre n’est pas une guerre contre l’Ukraine mais une guerre contre le Système occidental dans toutes ses composantes et qu’il est impératif de garder des forces sur le front économique afin de ne pas voir s’effondrer la Russie face aux sanctions occidentales. Mais il est bien clair que ce pari reposait sur une guerre courte et décisive et que sa prolongation, encouragée de toutes ses forces par l’OTAN, verra inéluctablement la transformation de cette opération militaire spéciale en situation de guerre stricto sensu avec toutes les conséquences qui en découleront, y compris pour les alliés de Kiev.

Pourquoi les Russes ont-ils lancé l’assaut contre Kiev et Kharkov ?

Bien évidemment, l’irruption des forces russes au nord sur les secteurs de Kiev et de Kharkov a contribué à fixer une part notable de l’armée ukrainienne dans cette zone ce qui a permis de soulager les fronts est et sud de l’opération. C’est un des arguments avancés par les propagandistes pro-russes pour justifier a posteriori la validité de ce choix stratégique. Si la prise rapide de tout le littoral sud qui a permis de sécuriser la péninsule de Crimée entre Kherson et Novoazovsk et de sanctuariser la mer d’Azov pourrait justifier la mise en place de cette stratégie, en revanche sur le front du Donbass, la résistance féroce des FAU jusqu’à aujourd’hui ne justifiait pas le sacrifice de milliers de soldats russes dans les batailles sanglantes à Irpin, Soumy, Kharkov et Tchernikov, d’autant moins que ces secteurs furent abandonnés quelques semaines après pour opérer une réaffectation des forces russes dans les opérations du front du Donbass.

Bien que cela ait été nié, on ne peut exclure que l’état-major général de l’armée russe ait été abusé sur l’état moral de l’armée ukrainienne et que la prise rapide de Kiev – peut-être avec des complicités internes qui auraient été déjouées par l’OTAN et le SBU – était escomptée de manière à provoquer un effondrement rapide de la résistance ukrainienne. Si cette hypothèse est vraie, on ne peut que constater qu’elle fut un dramatique échec dont la conséquence sera probablement d’aboutir à une guerre longue dont l’Ukraine sera la principale perdante.

Que s’est-il passé à Tchernobyl ?

La centrale nucléaire de Tchernobyl située à une centaine de kilomètres au nord de Kiev est occupée dès le 24 février par les troupes aéroportées russes en provenance de la frontière biélorusse toute proche. Le contrôle de ce site industriel ne présente aucun intérêt stratégique ni pour l’assaut sur la capitale ukrainienne, ni même dans le déroulé de l’opération militaire spéciale car l’essentiel des efforts de contre-attaque des FAU durant le mois de mars se dérouleront plus au sud pour la reprise de l’aérodrome Antonov de Kiev et de la ville adjacente de Gostomel. Contrairement à ce qu’affirme Wikipédia, il n’y a pas eu véritablement de « bataille de Tchernobyl » car les soldats ukrainiens et les forces de sécurité présentes sur place se sont rendues très vite quasiment sans résistance et semblent même avoir collaboré, au moins partiellement, avec les forces d’occupation.

Néanmoins, les Russes resteront sur place jusqu’au 29 mars en établissant quelques éléments de défense autour de la centrale, notamment en creusant des tranchées sur la périphérie sud. Qu’est-ce qui a poussé l’armée russe à envoyer quelques-unes de ses meilleures troupes sur un site hautement contaminé ? L’hypothèse la plus vraisemblable est qu’elle avait en projet d’empêcher les Ukrainiens de fabriquer une bombe nucléaire « sale » élaborée à partir de déchets radioactifs. Cette conjecture complotiste doit être examinée à l’aune des déclarations de Volodymir Zelensky le 18 février 2022 lors de la 58ème conférence de Munich sur la sécurité où il déclare très clairement que l’Ukraine est prête à remettre en question son statut de puissance non-nucléaire en menaçant de dénoncer le Mémorandum de Budapest. Le régime de Kiev avait-il déjà commencé à travailler à la mise au point d’une bombe atomique à partir des déchets radioactifs de la centrale de Tchernobyl ? On ne peut pas l’exclure, ni l’affirmer non plus, mais la question suivante au sujet de la prise de contrôle de la centrale d’Energodar apportera peut-être quelques éclaircissements.

Que s’est-il passé à Energodar ?

Ville située sur la rive gauche du Dniepr au sud de Zaporijia, Energodar est une cité moderne sur laquelle a été construite la plus puissante centrale nucléaire d’Europe. Comme Tchernobyl, la ville et la centrale d’Energodar passent sous contrôle russe – malgré le démenti du maire Dmitri Orlov – dès le 26 février. Dans un article daté du 25 mai 2022 le journaliste étatsunien du Wall Street Journal Laurence Summer affirme que le chef de l’AIEA (Agence internationale de l’Energie Atomique) Rafael Rossi aurait déclaré à Davos que la centrale nucléaire recelait 30 tonnes de plutonium et 40 tonnes d’uranium enrichi. Selon le degré d’enrichissement de ce dernier, il aurait été assez simple pour l’Ukraine de reconstituer tout un stock d’armes nucléaires avec le soutien occidental, ce qui était un risque que les Russes ne pouvait pas tolérer. Ce qui est sûr, c’est que dès le 4 mars, les forces spéciales ukrainiennes – peut-être assistées de SAS britanniques – tentent de reprendre le contrôle de la centrale afin d’empêcher le transfert en Russie des stocks de plutonium et d’uranium.

Selon le chercheur Thierry Meyssa:

 « le plutonium est vendu entre 5 000 et 11 000 $ le gramme. 30 tonnes achetées au prix coûtant, cela représente 150 milliards de dollars. Le prix de l’uranium dépend de son degré d’enrichissement. À moins de 5 %, il ne peut être utilisé qu’à usage civil et doit atteindre au moins 80 % pour un usage militaire. Ignorant son degré d’enrichissement, on ne peut évaluer son prix. La saisie par la Russie de ce stock non-déclaré rembourse probablement l’ensemble des sanctions prises contre elles. »

Le président du Réseau Voltaire poursuit : 

« L’information dont nous disposons soulève plusieurs questions : depuis quand l’Ukraine, qui avait cédé à la Russie tous ses stocks de l’époque soviétique, détient-elle ces matériaux ? D’où viennent-ils et qui les a payés ? Subsidiairement : quel est le taux d’enrichissement de l’uranium et qui l’a enrichi ? ».

Ces questions restent en suspens et ne manquent pas d’interroger sur le rôle réel qu’a joué l’AIEA dans cette affaire.

Quid des laboratoires biologiques US ?

Dès la chute de Viktor Yanukovitch en 2014, l’OTAN renforce son emprise sur l’Ukraine et met en place un réseau d’une trentaine de laboratoires biologiques dont des documents récupérés par l’armée russe dès le début des opérations exposent qu’y étaient réalisées « des expériences extrêmement dangereuses visant à renforcer les propriétés pathogènes de la peste, de l’anthrax, de la tularémie, du choléra et d’autres maladies mortelles en recourant à la biologie de synthèse ». Les États-Unis, après avoir nié l’existence de ces laboratoires, ont affirmé qu’il s’agissait d’un programme visant à détruire les armes biologiques que l’Union soviétique aurait fabriquées et stockées en Ukraine. Pour la Russie au contraire, le Pentagone faisait sous-traiter en Ukraine – comme il le fait également en Géorgie, au Kazakhstan et ailleurs – des recherches sur des vecteurs biologiques interdits par la Convention sur l’interdiction des armes biologiques de 1972.

Malgré les tentatives américaines d’effacer toutes traces de ces recherches en ordonnant la destruction des souches et des documents y afférents dès le début de l’invasion, des sources russes affirment que des expériences auraient été menées sur des malades mentaux à l’hôpital psychiatrique n° 1 (dans la ville de Streletchyé, oblast de Kharkov) et qu’un agent tuberculeux aurait été manipulé pour infecter la population du district de Slavianoserbsk (République populaire de Lougansk). Ce qui semble avéré également serait la participation de Hunter Biden, fils du Président US, dans ces expériences comparables aux pires abominations nazies.

En effet, selon des médias états-uniens :

Environ un an après que les fonds d’investissement de Hunter Biden ont investi de l’argent dans Metabiota, des représentants de la société ont assisté à une réunion en octobre 2016 impliquant des responsables militaires américains et leurs homologues ukrainiens pour discuter de « la coopération dans la surveillance et la prévention des maladies infectieuses particulièrement dangereuses, y compris les maladies zoonotiques en Ukraine et dans les pays voisins ». Les contrats gouvernementaux corroborent également la relation de travail entre Metabiota, les laboratoires ukrainiens et le département américain de la Défense, l’entreprise ayant reçu une subvention de 18,4 millions de dollars de l’agence américaine en 2014.

Alors ? Complotisme ? Propagande russe ? Hystérie ? Nous vous laissons juge.

Où sont passés les 50 officiers français de Marioupol + autres officiers de l’OTAN) ?

La présence de milliers d’occidentaux dans les rangs de l’armée ukrainienne et cela bien avant le début du conflit, est parfaitement documentée : Instructeurs de l’OTAN, mercenaires, conseillers divers, forces spéciales… et il est même établi que notre Gendarmerie nationale a fourni quelques instructeurs aux FAU et peut-être même au régiment Azov, au moins durant l’année 2021.

Alors d’où vient cette rumeur sur la présence d’officiers français à Marioupol ? Dès la mi-mars 2022, l’encerclement de la ville est achevé et des rumeurs font déjà état de la présence de nombreux occidentaux (Canadiens, Britanniques, Américains, Français, Israéliens…) présents aux côtés des FAU et du célèbre régiment Azov qui défendent la ville. Le 30 mars, alors que les bruits enflent sur la présence de soldats français (des photos trouvées sur les réseaux sociaux montrent des insignes de la Légion étrangère française et des bérets verts trouvés dans les ruines de la ville), on apprend que le général Eric Vidaud, directeur du renseignement militaire est brutalement limogé alors qu’il n’est en poste que depuis 7 mois.

Durant tout le mois d’avril des pressions très fortes sont exercées par les occidentaux contre les Russes (le président français en première ligne sur ce sujet) pour obtenir un couloir humanitaire afin d’évacuer les « civils » de Marioupol. Devant le refus obstiné des Russes de laisser partir, non pas les civils mais les gros poissons (on a parlé d’un général canadien et d’un amiral US) enfermés dans l’usine Azovstal, plusieurs opérations de sauvetage par hélicoptères et même par voie maritime seront tentées et aboutiront toutes à des échecs sanglants. Selon les sources, entre 2 et 8 hélicoptères seront abattus lors des tentatives d’extraction. Lors de l’une d’entre elles, deux officiers français auraient été retrouvés morts dans la carlingue calcinée d’un des aéronefs.
Alors d’où vient cette rumeur sur la présence des 50 officiers français de Marioupol ?
L’affaire prend véritablement de l’ampleur lorsque le Secrétaire général du parti nationaliste turc VATAN, Özgür Bursal?, tient une conférence de presse au siège de son parti à Ankara le vendredi 22 avril 2022 en annonçant que « Macron avait laissé mourir plus de 50 officiers français en Ukraine ». Le Turc affirme tenir cette information de source russe de haut niveau.

Il est évident que ce type de révélation à quelques jours de la présidentielle française aurait eu un impact direct sur l’issue du scrutin et qu’il était crucial pour l’Élysée de maintenir le couvercle sur cette affaire, au moins jusqu’à l’issue de l’élection.

Quoi qu’il en soit, le 18 mai les derniers défenseurs d’Azovstal commencent à se rendre après deux mois de siège et de nombreuses vidéos circulent sur la Toile montrant le spectacle de la reddition. Si une photo présente de manière présumée l’amiral US Eric Olson (affirmation démentie par les médias aux ordres mais ni confirmée ni infirmée par l’armée russe), plus aucune trace de mercenaires ou d’officiers occidentaux n’apparaît dans la presse russe officielle. Seules les rumeurs continuent de plus belle sur les réseaux sociaux. Et parmi celles-ci, l’une d’entre elles affirme que les officiers de l’OTAN qui voulaient se rendre ont été exécutés par les fanatiques du régiment Azov qui ne voulaient pas entendre parler de reddition. Ce qui est certain, c’est que plusieurs centaines de cadavres (certaines sources parlent de plus de 200 corps) ont été retrouvés dans les sous-sols de l’usine dans des camions frigorifiques qui ne fonctionnaient plus. Des Français font-ils partie du lot ? Seuls les Russes ont la réponse à cette question. Sont-ils au contraire sortis vivants et feront-ils l’objet d’âpres négociations entre l’OTAN et le Kremlin lorsque la diplomatie reprendra ses droits ? Seul l’avenir nous le dira, peut-être…

Que s’est-il passé à Boutcha ?

Avec l’affaire de Boutcha, nous entrons clairement dans la propagande de guerre de bas étage et qui paradoxalement se démonte aujourd’hui plus facilement, grâce en partie aux réseaux sociaux, que les histoires de bébés crucifiés aux portes des granges par l’armée prussienne en 1914.

Il faut dire que dans cette affaire, la précipitation et l’amateurisme des faussaires ont permis d’éventer rapidement la supercherie.

Tout d’abord la chronologie même des événements ne colle pas avec la réalité : le 30 mars les soldats russes évacuent la ville et dès le lendemain, le 31 mars, le maire de Boutcha hilare devant une caméra, le confirme et précise même qu’il n’a aucun mort à déplorer dans sa ville ce dont il se réjouit, bien évidemment. Le même jour, les néo-nazis du régiment Azov entrent dans Boutcha et le 4 avril est publiée dans le New-York Times une photo satellite datée du 19 mars, qui montre une rue jonchée de cadavres. La photo, diffusée aux médias occidentaux, a été présentée comme preuve d’un « crime de guerre commis par les troupes russes en Ukraine ». Mais des experts établiront que la photo n’a pas été prise le 19 mars, quand l’armée russe se trouvait encore dans la ville mais le 1er avril, deux jours après qu’elle l’ait évacuée. La date et l’heure exacte de l’image ont été calculées par le programme SunCalc sur la base de l’inclinaison du soleil au-dessus de l’horizon et donc de la direction des ombres. Dans l’image satellite publiée par le New York Times, l’angle du Soleil est de 42 degrés. Cela signifie que la photo satellite a été faite à 11h57 GMT le 1er avril.

Par la suite, les expertises réalisées dans le cadre de l’enquête internationale chargée de démontrer la réalité du prétendu crime de guerre commis par la Russie, concluront au fait que la plupart des cadavres de Boutcha présentaient des blessures par des fléchettes contenues dans des obus utilisés par l’armée ukrainienne alors que les autorités de Kiev affirmaient que tous les civils avaient été exécutés avec des armes automatiques.

Fin de la manipulation et silence radio désormais sur les médias de grand chemin au sujet du « massacre de Boutcha ».

Que s’est-il passé à Kramatorsk ?

Dans cette autre affaire de manipulation où un missile a été lancé le 8 avril 2022 sur la gare de Kramatorsk juste après que les autorités ukrainiennes aient annoncé que des trains d’évacuation étaient à disposition des habitants et où une foule importante de civils était assemblée dans la gare (plusieurs dizaines de morts). Il y a là deux objectifs qui sont poursuivis : outre la volonté de présenter un agresseur russe commettant des crimes de guerre aux yeux de l’opinion publique mondiale, il y avait la volonté d’empêcher les populations du Donbass de quitter les villes où elles servent de bouclier humain aux FAU en les décourageant de partir par le train (pour les nombreuses familles qui ne disposent pas de véhicules).

Là encore, à l’heure des réseaux sociaux, après l’effet d’annonce, il est plus facile de faire circuler l’information et quelques minutes après l’attentat, une photo est reprise sur la Toile où l’on peut voir très nettement le numéro de série du missile Tochka-U (?91579 en russe) qui a frappé la gare ferroviaire. Ce missile provient d’un stock clairement identifié comme appartenant à l’armée ukrainienne. Seules les FAU disposent de missiles Tochka-U. L’armée russe n’utilise plus cette arme depuis 2019. Les Républiques Populaires de Donetsk et de Lugansk ne l’ont jamais utilisée. Il s’agit là de manière plus qu’évidente d’un crime de guerre accompli par le régime de Kiev contre sa propre population dans le but de blâmer la Russie.

Seuls ceux qui ne connaissent pas le degré de haine et de mépris dans lequel sont tenus les habitants du Donbass par les militants nationalistes et suprémacistes ukrainiens pourront s’étonner de voir une armée tirer délibérément sur son « propre » peuple.

L’île aux serpents (Ile Zmeiny)

Cet îlot minuscule situé en Mer Noire à une cinquantaine de kilomètres des côtes ukrainiennes et roumaines est d’une importance stratégique majeure dans le conflit actuel car la possession de ces arpents de terre permet à celui qui les contrôle de verrouiller l’accès à Odessa, c’est-à-dire au seul port dont dispose encore Kiev et surtout de surveiller toute la partie ouest de la Mer Noire où deux pays de l’OTAN sont présents, Bulgarie et Roumanie, cette dernière étant particulièrement active dans le conflit, notamment dans le cadre de la future très probable agression de l’OTAN contre la République Moldave du Dniestr, entité séparatiste pro-russe mieux connue sous le nom de Transnistrie et située entre la Moldavie et l’Ukraine.

Au-delà de l’intérêt stratégique pour le contrôle de cette île, il y a eu également des rumeurs sur la présence d’un laboratoire biologique sur l’île des Serpents mais les sources disponibles ayant relaté l’information sont plutôt sujettes à caution.

En revanche, la volonté de l’OTAN de reprendre le contrôle de cette île à tout prix découle clairement des moyens engagés – et perdus -. Petite chronologie des événements :

Dès le matin de l’offensive, le 24 février 2022, l’île est prise par la marine russe. Le récit de la prise de cet îlot stratégique sera l’occasion du premier bobard de guerre car selon le ministère ukrainien de la défense, les treize garde-frontières présents sur l’île auraient résisté jusqu’à la mort en refusant l’ultimatum d’un navire russe qui leur demandait de se rendre. Mais deux jours plus tard, la diffusion sur la Toile des photos de la reddition des gardes-frontières contraint les autorités ukrainiennes à annoncer que leurs soldats sont bien en vie et ont été capturés par les Russes. Une image satellite prise le dimanche 27 mars 2022 par Maxar Technologies montre l’île des Serpents dont certains bâtiments sont endommagés, ainsi qu’un navire de débarquement de classe Ropoutcha de la marine russe ancré près de l’île. Des frappes militaires russes ont donc bien eu lieu, mais d’ampleur limitée, en préalable à l’occupation de l’île. Fin mars 2022, les garde-frontières ukrainiens (il y en avait 82 et non pas 13) ont été libérés lors d’un échange contre des prisonniers russes détenus par l’Ukraine.

Le communiqué du Ministère de la Défense russe publié le 9 mai 2022 (date anniversaire de la victoire de l’Union soviétique contre l’Allemagne) fait état des faits suivants :

Selon les informations mises à jour, 6 hélicoptères Mi-8 et Mi-24 ont été détruits pendant la nuit près d’Artsiz dans la région d’Odessa près de l’aérodrome militaire de Chervonoglinskoe par des missiles de haute précision Onyks du système de missiles côtiers Bastion. …

Le 7 mai, sur ordre direct de Zelensky, l’état-major ukrainien, avec l’implication directe de conseillers américains et britanniques, a planifié une provocation majeure pour s’emparer de l’île de Zmeiny.

Au cours des deux derniers jours, le régime de Kiev a fait plusieurs tentatives désespérées d’assauts aériens et maritimes sur l’île de Zmeiny, qui est importante pour le contrôle de la partie nord-ouest de la mer Noire.

La provocation ukrainienne a été déjouée grâce à l’action compétente d’une unité des forces armées russes sur l’île. L’ennemi a subi de lourdes pertes.

4 avions ukrainiens, dont 3 Su-24 et 1 Su-27, 3 hélicoptères Mi-8 avec des parachutistes à bord, et 1 hélicoptère Mi-24 ont été abattus en vol pendant que l’armée repoussait les attaques contre l’île de Zmeiny.

En deux jours, 29 drones ukrainiens ont été abattus en vol, dont 8 drones d’attaque Bayraktar TB-2. De plus, 4 drones Bayraktar ont été abattus cet après-midi.

Par ailleurs, trois bateaux d’assaut amphibies ukrainiens blindés transportant du personnel de la marine ukrainienne ont été détruits lors d’une tentative de débarquement dans la nuit du 8 mai.

Suite à la provocation irréfléchie de Zelensky, plus de 50 saboteurs ukrainiens ont été tués en mer et sur la côte lors du débarquement et des tentatives de consolidation sur l’île.

24 corps de militaires ukrainiens morts ont été abandonnés sur le rivage de l’île de Zmeiny.

Côté russe, les pertes sont également sensibles puisqu’au moins deux navires de la Flotte de la Mer Noire ont été coulés (probablement par les missiles sol-mer ou air-mer) soit à proximité immédiate de l’île, soit au large de celle-ci.

Il est peu probable que les restes archéologiques du temple d’Achille découvert sur cette île pélagienne soient la raison principale des moyens très lourds engagés par les deux parties pour conserver ou reprendre le contrôle de ce bout de terre aride. Sa position-clé à une époque où les radars, la guerre électronique et les missiles à capacité stratégique jouent un rôle majeur dans la conduite de la guerre, suffit largement à expliquer l’intérêt majeur que représente ce bout de terrain situé aux confins des frontières de l’OTAN dans la guerre en cours entre la Russie et l’Occident.

Enfin pour conclure et au rebours de certains propagandistes pro-russes exagérément optimistes, et malgré les succès tactiques de l’armée russe obtenus dans le Donbass depuis son repositionnement du mois d’avril et son indubitable supériorité aérienne et de capacité d’artillerie, la lenteur extrême de l’avancée russe sur le front est et la stagnation quasi complète sur les autres fronts démontrent que le Kremlin ne pourra échapper à une mobilisation générale s’il veut l’emporter. La guerre d’Ukraine est une guerre existentielle pour la Russie comme pour l’Occident. Nous n’en sommes qu’au début et les peuples d’Europe n’ont pas fini de souffrir. Sursum corda !

Emmanuel Leroy

Président de l’Institut 1717 – Pour une nouvelle alliance franco-russe




Optogénétique – la voie planifiée vers un contrôle sans faille de nos cerveaux ?

[Source : Kla.tv]



Des efforts sont déployés dans le monde entier pour installer dans le cerveau humain des interfaces sans fil, c’est-à-dire des outils de communication, entre le cerveau et l’ordinateur. L’optogénétique est l’une des méthodes les plus ambitieuses à cet égard. Aujourd’hui, plus de 1 000 laboratoires dans le monde, dont certains appartenant à des organisations gouvernementales, travaillent sur différentes méthodes optogénétiques.

Qu’est-ce que l’optogénétique ?

L’optogénétique est une combinaison de méthodes génétiques et optiques permettant de provoquer des événements dans des cellules cibles, des tissus ou des êtres vivants complexes à l’aide d’une lumière LED.
L’optogénétique est déjà utilisée aujourd’hui dans le monde entier à des fins très diverses, par exemple pour des applications biomédicales et le traitement de maladies neuronales.
L’un des avantages de l’optogénétique est qu’elle ne nécessite potentiellement aucune intervention chirurgicale, mais seulement une injection de thérapie génique. Certaines protéines sensibles à la lumière sont emballées dans un virus et injectées à l’endroit prévu du cerveau, où il infecte différentes cellules. Grâce à ces protéines photosensibles, il est alors possible d’exciter ou d’immobiliser de manière ciblée certains réseaux neuronaux par la lumière LED.

En d’autres termes, la lumière LED permet d’effacer et d’écraser des souvenirs ainsi que de contrôler et d’influencer rapidement et avec précision les cellules cérébrales et musculaires – et donc les sentiments, les pensées, les mouvements du corps et les comportements.
L’optogénétique ne nécessite donc que de la lumière LED qui irradie les neurones du cerveau.
L’irradiation se fait par exemple à travers la voûte du cerveau ou par des nano-LED implantées dans le corps.

Parallèlement à la recherche optogénétique, un forum LED a lieu chaque année, où se rencontrent des personnalités du secteur international de l’éclairage. Les thèmes abordés lors de ce forum sont par exemple l’utilisation de micro-LED, qui sont importantes pour améliorer l’émission de lumière pour l’optogénétique. Ou encore l’Internet des objets et l’objectif d’intégrer un capteur dans chaque lampe à LED afin d’assurer la transmission numérique des données via la lumière LED. Il est intéressant de noter que parmi les intervenants du forum LED, on trouve des personnes très proches aussi bien du Forum Economique mondial (FEM) que du Club de Rome. Par exemple, en 2019, Andreas Huber, l’actuel directeur général du Club de Rome Allemagne, y a présenté un exposé.

Le Club de Rome est considéré comme le plus grand groupe de réflexion de l’élite pour un nouvel ordre mondial, qui voit la solution aux problèmes mondiaux dans une réduction drastique de la population. C’est également ce club qui a soutenu la création du FEM de Klaus Schwab. Le FEM, quant à lui, fait avancer un nouvel ordre mondial avec le projet de « Great Reset ».

Le FEM considère donc l’optogénétique comme l’une des technologies les plus importantes. Ainsi, il est écrit sur leur page d’accueil, je cite :

« Notre cerveau est composé de milliards de cellules appelées neurones, et ces neurones communiquent entre eux via des circuits neuronaux. L’optogénétique nous permet pour la première fois de manipuler les messages que ces neurones s’envoient les uns aux autres. Cette technique pourrait éventuellement être utilisée pour manipuler les souvenirs, les émotions et les pensées… »

Étant donné que de hauts responsables politiques de la Commission européenne, comme Ursula von der Leyen, entretiennent des liens d’amitié étroits avec le FEM, il n’est pas surprenant que la Commission européenne s’enthousiasme également pour l’optogénétique :

« Même si nous n’en sommes pas conscients, les cellules nerveuses sont essentielles à notre capacité de comprendre notre environnement et d’interagir avec lui. Grâce à l’optogénétique, ces cellules peuvent désormais être contrôlées par la lumière avec une grande précision. »

C’est également la Commission européenne qui a introduit en 2009 l’interdiction controversée des ampoules à incandescence et qui a ainsi rendu possible une utilisation sans faille des diodes électroluminescentes LED.

Chers spectateurs, il est extrêmement préoccupant que des cercles de personnes comme le Club de Rome ou le FEM s’enthousiasment pour des technologies comme l’optogénétique. Des cercles de personnes voient comme solution aux problèmes mondiaux la réduction de la population ou le « Great Reset ». Un « Great Reset » dont l’objectif, selon le FEM, est qu’en 2030, nous ne possédions plus rien et soyons malgré tout heureux.

Peut-être heureux grâce à la manipulation optogénétique appliquée ?

de maf.

Sources / Liens :

Optogenetik:

Optogenetik ohne operativen Eingriff:

LED mit Sensor

LED- Forum und nahe stehende Personen zum WEF:

Andreas Huber:

Club of Rome, WEF:

Europäische Kommission:

Ticket:
SE-449




Ukraine : Non, l’armée russe n’a pas bombardé un centre commercial bondé à Krementchouk

[Source : donbass-insider.com]

Par Christelle Néant

Le 27 juin 2022, l’armée russe a bombardé une usine transformée en entrepôt militaire à Krementchouk, ce qui a provoqué l’incendie du centre commercial qui se trouvait à côté. Sans surprise, l’Ukraine et les Occidentaux ont accusé l’armée russe d’avoir bombardé directement le centre commercial, sauf que les vidéos filmées sur place prouvent que la version russe est vraie.

Malgré les démystifications systématiques et de plus en plus rapides, l’Ukraine continue de propager de fausses informations sur les « crimes de guerre » de l’armée russe. Après l’énorme mensonge de Boutcha, puis de la gare de Kramatorsk, après les fausses accusations de viols sur enfants démenties par l’ex-médiatrice ukrainienne aux droits de l’homme, voici maintenant l’affaire du bombardement du centre commercial de Krementchouk.

Le 27 juin 2022, l’armée russe mène une attaque aérienne à longue portée contre des entrepôts situés dans l’usine de machines routières de Krementchouk, contenant des armes et munitions fournies à l’Ukraine par les États-Unis et plusieurs pays européens. L’usine en question se trouve aux coordonnées suivantes : 49°04’25.1″N 33°25’37.4″E.

D’après le ministère de la Défense russe l’explosion des munitions qui se trouvaient dans l’entrepôt a provoqué un incendie dans le centre commercial désaffecté se trouvant à proximité.

Le jour même le Président ukrainien, Volodymyr Zelensky annonce que plus d’un millier de civils étaient prétendument dans le centre commercial au moment du bombardement, et accuse l’armée russe d’avoir délibérément visé cette infrastructure civile.

Problème, très vite cette version prend l’eau façon Titanic. Les vidéos publiées pendant que l’incendie fait rage montrent très peu de voitures sur le parking, mais aussi une absence totale de femmes et d’enfants ! Comment peut-il y avoir un millier de personnes dans un centre commercial avec très peu de voitures devant et sans femmes ni enfants ? C’était le jour réservé aux hommes sans voiture ?

https://twitter.com/Idelija2/status/1541434461769924608



Or, si on regarde sur Google Maps, le centre commercial et plusieurs magasins qui s’y trouvent sont marqués comme temporairement ou définitivement fermés, et il n’y a aucun avis de moins de 4 mois ! En clair, il semble que plus personne ne vient dans ce centre commercial depuis le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine, alors que Krementchouk n’est pas sur la ligne de front. Cela expliquerait pourquoi il n’y avait quasiment pas de voitures et pas de clientes !

Centre commercial de Krementchouk
Avis de fermeture
Avis de fermeture
Avis

De plus, si les vidéos montrent un manque flagrant de femmes et d’enfants, il y a, par contre, beaucoup d’hommes, et surtout beaucoup d’hommes en uniforme militaire et en armes ! Or Krementchouk est loin du front. S’il y a autant de soldats ukrainiens en armes à cet endroit, c’est qu’il y a une infrastructure militaire à proximité !

Or l’armée russe a indiqué que des entrepôts de l’usine voisine ont été transformés en zone de stockage pour des armes et des munitions occidentales ! Et que ce sont ces entrepôts qu’elle a bombardés. Chose que d’autres vidéos ont prouvé sans l’ombre d’un doute.

Ainsi, une vidéo filmée dans l’usine en question montre clairement un beau cratère, prouvant que l’endroit a bien été bombardé.

Or une vue par drone du centre commercial de Krementchouk, et une photo de la façade arrière (photo d’illustration de l’article) montre que ce dernier a brûlé, mais il n’y a pas de cratère d’impact !



Encore mieux, en voulant en rajouter une couche dans le pathos et la désinformation, le faussaire en série Anton Guerachtchenko s’est filmé dans un des magasins (à 44 secondes ci-dessous), et on peut y voir des bouteilles d’alcool en verre parfaitement debout et intactes !

Or, si une bombe ou un missile largué par un avion avait touché le centre commercial, l’onde de choc aurait envoyé par terre toutes ces bouteilles !

Et la cerise sur le gâteau a été la vidéo de caméras de surveillance d’un parc bordant un lac situé près de l’usine.

La vidéo censée prouver que l’armée russe a bombardé le centre commercial de Krementchouk prouve en fait le contraire. En effet si on regarde une carte on s’aperçoit que ce qui se trouve près du parc et du lac (3) c’est l’usine (2) et pas le centre commercial (1) qui est à plus de 400 m de l’endroit que l’on voit être bombardé dans la vidéo.

Usine, lac et centre commercial de Krementchouk

Sur la vidéo on voit clairement un point de repère facile à identifier : le kiosque qui se trouve sur le lac (entouré en rouge ci-dessous). Or à 17 secondes puis à 43 secondes on voit clairement que c’est la zone entourée en jaune qui est bombardée, et pas du tout le centre commercial qui est à 500 m de là ! On voit même la boule de feu à 1 min 01 et 1 min 21 !

Petit lac derrière l'usine

Et si on regarde les dégâts de près, on se rend compte que le centre commercial a brûlé par l’arrière ! C’est-à-dire justement par sa façade qui est face à l’usine !

En clair, l’explosion des munitions situées dans l’usine a projeté des matériaux enflammés sur le centre commercial de Krementchouk, qui a pris feu, et sa destruction n’est pas dû à un bombardement direct de l’armée russe. Un endroit de stockage qui a été choisi à cause du fait que l’usine est directement reliée au réseau ferroviaire (lignes pointillées blanches et grises ci-dessous), très pratique pour transporter des munitions et des armes lourdes !

Lignes ferroviaires entre l'usine et le centre commercial de Krementchouk

D’ailleurs une des lignes de chemin de fer visibles sur la carte apparaît sur la quatrième photo du tweet ci-dessus, entre le centre commercial et l’usine.

Cette énième catastrophe est due au fait que depuis le début de la guerre, l’armée ukrainienne utilise des infrastructures civiles ou des zones résidentielles comme zones de stockage, de déploiement ou de tir !

Au lieu de relayer bêtement les communiqués de presse de Kiev sur le fait que la Russie aurait bombardé un centre commercial bondé à Krementchouk, les médias occidentaux feraient bien de souligner qu’installer des unités militaires dans des écoles en fonctionnement, des postes de tir dans des hôpitaux ou des appartements, ou des entrepôts de munitions dans des usines ou des centres commerciaux est une violation de la convention de Genève, et qu’en procédant ainsi, l’armée ukrainienne porte l’entière responsabilité de la destruction des infrastructures civiles qu’elle a elle-même transformées en cibles militaires !

Addendum : Une vidéo est apparue suite à la publication de mon article, montrant l’arrivée d’un deuxième missile. Sauf que la vidéo montre bien que le missile a touché les rails menant à l’usine qui se trouvent juste derrière le centre commercial. Ce qui est confirmé par des images satellites datant du 28 juin et montrant un joli cratère au niveau des rails qui servaient à amener du matériel militaire. C’est ce là que l’incendie s’est très certainement propagé au centre commercial.



Christelle Néant




En Angleterre la vaccination anti-covid est suivie d’une augmentation de mortalité toutes causes confondues au-delà de 6 mois après l’injection

Par le Dr Gérard Delépine

Alors que nos politiques veulent renouveler le scénario connu des cas qui augmentent pour justifier des mesures coercitives inefficaces :

1)- il importe de rappeler qu’actuellement en France, il n’y a pas d’épidémie(([1] Même Cnews avec Pascal Praud l’avoue)).

La Propagande martèle « 50 000 nouveaux cas par jour ». Ce ne sont que des cas, des tests positifs qui ne signifient pas que les testés portent des virus, ni qu’ils seront malades, ni qu’ils peuvent transmettre le virus(([2] Rita Jaafar et al Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne par polymérase quantitative et des cultures cellulaires positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère Maladies infectieuses cliniques, volume 72, numéro 11, 1er juin 2021
https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491))(([3] https://nouveau-monde.ca/le-test-covid-est-une-immense-arnaque/))(([4] https://nouveau-monde.ca/linventeur-du-test-pcr-avait-bien-dit-que-celui-ci-ne-permet-pas-de-savoir-si-vous-etes-malade/)) Chez une personne sans symptôme, un test positif est faux dans 97 % des cas ; cela a été démontré scientifiquement et reconnu par la justice portugaise(([5] https://crlisboa.org/wp/juris/processo-n-o1783-20-7t8pdl-l1-3/)). Pour suivre une épidémie, on ne doit se fier qu’au nombre des malades.

Or dans la semaine du 20 au 26 juin 2022 le réseau sentinelle ne recensait que 52 malades/100 000 habitants bien au-dessous du seuil d’alerte reconnu pour la grippe (173 cas pour 100 000 habitants) et celui de la diarrhée aiguë par gastro-entérite (194 cas pour 100 000 habitants). Il persiste une circulation de virus, mais pas d’épidémie !

2)- Il faut se souvenir que les confinements(([6] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID–19: COVID WinsNov 1, 2020))(([7] Rabail Chaudhry a A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464))(([8] Thomas Meunier1Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf)), les couvre-feux, les masques(([9] https://ripostelaique.com/les-masques-sont-inutiles-et-dangereux-stop-aux-mensonges-mediatiques.html))(([10] Henning Bundgaard et al Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers: A Randomized Controlled Trial Ann Intern Med. 2021 Mar;174(3):335-343. doi: 10.7326/M20-6817. Epub 2020 Nov
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991)) et les autres privations de liberté — inefficaces contre le Covid — ont été responsables de nombreuses victimes collatérales par défaut de soins, d’une épidémie de troubles psychiatriques et d’une crise économique majeure qui ne fait que commencer ;

3)- que les pass sanitaires puis vaccinaux n’ont pas permis de ralentir le rythme des contaminations(([11] https://nouveau-monde.ca/stop-aux-pass-chantages-inefficaces-sur-la-maladie-et-sources-de-mefiance-contre-la-vaccination/)) et qu’ils ont été abandonnés pour cela par la quasi-totalité des pays qui les ont instaurés ;

4)- que les vaccins n’empêchent ni d’être contaminé, ni de transmettre le virus, ni de faire une forme grave(([12] https://nouveau-monde.ca/bilan-catastrophique-des-injections-anticovid-et-manipulation-mediatique/));

5)- que par ailleurs la vaccination est dangereuse. Et il faut impérativement convaincre les triples injectés de jeter leurs dés et donc de refuser cette aberrante quatrième dose, si vous voulez sauver, au moins pour un certain temps, vos proches injectés.

Les données officielles du gouvernement britannique (chiffres publiés par l’Office for National Statistics) montrent que la vaccination anti-COVID augmente le risque de décès de covid 19 et la mortalité hors covid au bout de cinq mois.(([13] New UK Gov. report confirms COVID Vaccination significantly increases the risk of Death and kills hundreds of thousands after five monthsBY THE EXPOSÉ ON JUNE 2, 2022
https://expose-news.com/2022/06/02/uk-gov-confirms-covid-vaccination-kills-thousands-after-5-months/))

Et pourtant Boris Johnson n’est pas devenu complotiste.

La première injection de Covid-19 a été administrée en Angleterre le 8 décembre 2020.

Après quelques mois il est apparu que les doubles vaccinés avaient davantage de risques d’attraper le Covid que les non-vaccinés :

plus de risques d’être hospitalisés :

Et aussi davantage exposés au risque de mourir de covid :

5 mois plus tard, les vaccinés ont commencé à souffrir d’une augmentation de mortalité toutes causes confondues. Cette tendance s’est aggravée progressivement depuis mai 2021.

Cette tendance est plus marquée chez ceux qui ont reçu les injections de Covid-19 en premier. (Les Anglais, les plus âgés).

En mai 2021, les vaccinés de 70-79, 80-89 et les 90 ans et plus avaient un taux de mortalité plus élevé que les non-vaccinés du même âge.

Le graphique suivant montre les taux de mortalité standardisés selon l’âge pour 100 000 années-personnes par statut vaccinal et groupe d’âge pour le mois de mai 2021 :

La tendance s’est poursuivie en juin 2021 avec les 60-69 ans vaccinés rejoignant le groupe du taux de mortalité le plus élevé :

Et encore en juillet avec les 50-59 ans rejoignant le club du taux de mortalité le plus élevé :

Ces données indiquent que les injections de Covid-19 prennent environ 5 mois pour augmenter la mortalité des vaccinés toutes causes confondues

Les plus récentes publications de l’ONS (juin 2022) confirment qu’en décembre 2021 et janvier 2022 la mortalité toutes causes confondues des vaccinés est supérieure à celle des non-vaccinés !

Cette augmentation de la mortalité hors covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancers.

Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)(([14] https://www.zinfos974.com/Mortalite-38-par-rapport-a-2019-la-plus-forte-augmentation-de-France_a184422.html)), aux USA(([15] https://resistance-mondiale.com/un-rapport-de-la-fda-revele-que-la-mortalite-toutes-causes-confondues-est-plus-elevee-chez-les-vaccines))(([16] https://www.epochtimes.fr/pourquoi-le-nombre-de-deces-a-t-il-augmente-de-40-aux-etats-unis-par-rapport-a-lannee-derniere-1932664.html))(([17] Il y a eu une augmentation inattendue de 40 % des « décès toutes causes » en 2021
https://www.kusi.com/there-was-an-unexpected-40-increase-in-all-cause-deaths-in-2021/)) en Allemagne(([18] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/22/des-medecins-allemands-confirment-a-nouveau-la-correlation-entre-vaccin-et-surmortalite/)).

Cette surmortalité apparaissant quelques mois après injection nécessite des analyses approfondies et en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid





Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022

Par le Dr Gérard Delépine

Depuis deux ans, nous subissons une propagande permanente pour les « vaccins covid » qui a débuté avant même qu’ils n’existent et les agences sanitaires ont, pour la plupart, affirmé que leur balance avantage/risque était favorable bien avant que leurs essais ne soient terminés et qu’elles ne disposent de données publiées et vérifiables.

Cette revue factuelle, basée sur les données officielles de l’OMS avant et depuis les campagnes de vaccination, vise à vérifier la pertinence de leurs avis.

Au 28 juin 2022, plus de 12 milliards d’injections ont été réalisées sur près de la moitié de la population mondiale. En l’absence de résultats officiels des essais phase 3 qui ne se termineront qu’en 2023, on peut déjà évaluer l’efficacité des injections en analysant l’évolution de l’épidémie avant et depuis les grandes campagnes d’injections.

Critères objectifs d’efficacité d’un vaccin

L’efficacité réelle d’un vaccin se juge à la qualité et à la durée de protection individuelle qu’il confère aux vaccinés (impossibilité d’attraper la maladie) et à sa capacité de prévenir la diffusion virale dans la population (arrêt de propagation de la maladie). Les autres critères (taux d’anticorps, atténuation des symptômes) ne sont que de mauvais substituts parfois utilisés par les fabricants pour masquer le manque d’efficacité réelle.

La réelle efficacité de certains vaccins classiques a assuré leur bonne réputation. Ainsi une seule dose de vaccin contre la fièvre jaune suffit pour conférer une protection à vie contre la maladie à 99 % des sujets vaccinés. De même la vaccination antivariolique, alliée aux mesures d’isolement et d’endiguement classiques, a protégé les vaccinés de ce fléau mortifère, et permis l’éradication de la maladie pour laquelle il n’existait heureusement pas de réservoir animalier.

À l’opposé, certains vaccins sont peu efficaces comme celui contre la grippe dont le virus mute facilement et change chaque année obligeant les fabricants à parier sur la souche qui sévira l’hiver prochain. Lorsqu’ils perdent leur pari, le vaccin réalisé, inadapté à la souche dominante, est très peu efficace.

Les injections anti-covid protègent-elles les vaccinés ?

La folle propagande des fabricants reprise par l’OMS et la plupart des gouvernements et médias prétendait que l’efficacité atteignait 95-97 %(([1] https://www.20minutes.fr/sante/2996451-20210311-coronavirus-vaccin-pfizer-efficace-97-contre-cas-symptomatiques-selon-etude))(([2] https://www.lepoint.fr/sante/covid-19-le-vaccin-pfizer-biontech-serait-efficace-a-97-pour-les-cas-symptomatiques-11-03-2021-2417384_40.php)) même si certains journalistes avertissaient(([3] https://www.huffingtonpost.fr/entry/covid-des-vaccins-a-90-efficaces-ce-que-ca-veut-direet-surtout-pas-dire_fr_5fb40691c5b6d891cd7b7bcd)):

« ces entreprises de biotechnologie ont besoin de s’affirmer, de montrer leur réussite quitte à donner des résultats enthousiasmants avant que les essais soient terminés. »

Les mensonges se sont poursuivis de nombreux mois avec un article de passeport santé(([4] Passeport santé Coronavirus : une personne vaccinée peut-elle transmettre le virus ? 1 avril 2021)) paru un premier avril 2021 et claironnant les propos de la directrice du CDC, Rochelle Walensky, osant prétendre :

« les personnes vaccinées ne sont pas porteuses du virus (et) ne tombent pas malades ».

Mais les faits ont rapidement démenti cette propagande publicitaire.

Dès juillet 2021, l’exemple du porte-avions Queen Elizabeth dont tous les marins avaient reçu les deux doses censées les protéger, et dont un grand nombre (plus de 100 sur 1300 marins) a souffert du covid dans la semaine qui a suivi une courte escale montre que les vaccinés ne sont pas protégés.

D’innombrables témoignages de malades du covid malgré une vaccination complète ont depuis fleuri dans les médias (([5] https://sante.journaldesfemmes.fr/maladies/2763989-temoignage-covid-malgre-vaccin/))(([6] https://www.marieclaire.fr/covid-19-vaccination-contamination,1374847.asp))(([7] https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/temoignages-contamines-malgre-le-vaccin-je-me-suis-dit-il-fallait-que-ca-tombe-sur-moi-e0f887f0-f098-11eb-b6b9-482c631f8039))(([8] https://www.dhnet.be/actu/sante/vaccines-mais-malgre-tout-infectes-par-le-covid-l-entre-deux-doses-la-periode-la-plus-risquee-608054059978e21698d3b97e)) et ont été observés dans l’entourage de chacun d’entre nous confirmant définitivement que les pseudo vaccins ne protègent pas de la maladie.

Fabricants et gouvernants ont été obligés de concéder que « les vaccins ne protègent pas à 100 % ». Mais curieusement, au lieu de reconnaître l’échec de leur stratégie purement vaccinale et d’en changer pour les traitements précoces qui ont fait leurs preuves en Inde(([9] https://nouveau-monde.ca/que-nous-a-appris-linde-sur-le-traitement-du-covid/)), Algérie(([10] Traitement du Covid-19 à la chloroquine en Algérie : Efficacité « quasi totale », assurent des spécialistes https://www.algerie-eco.com/2020/04/25/traitement-du-covid-19-a-la-chloroquine-en-algerie-efficacite-quasi-totale-assurent-des-specialistes/))(([11] https://ripostelaique.com/le-succes-de-lalgerie-face-au-covid-confirme-lefficacite-du-protocole-raoult.html)), Madagascar(([12] https://nouveau-monde.ca/pseudo-vaccins-ou-artemisine-les-seychelles-versus-madagascar/)) ou en Afrique(([13] https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/senegal/ces-pays-africains-qui-ont-decide-de-continuer-a-soigner-le-covid-19-avec-l-hydroxychloroquine_3983239.html))(([14] https://nouveau-monde.ca/lafrique-test-geant-pour-la-chloro quine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/)) ils ont conseillé de nouvelles injections promettant que ces dernières « seraient plus efficaces »(([15] https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-moderna-affirme-que-son-nouveau-candidat-vaccin-de-rappel-est-efficace-contre-les-sous-variants-d-omicron_AD-202206220738.html))(([16] https://www.capital.fr/economie-politique/covid-19-vers-un-troisieme-rappel-vaccinal-pour-les-plus-fragiles-1439620))(([17] https://www.marieclaire.fr/covid-19-efficacite-troisieme-dose,1417788.asp)). Mais depuis lors, on a pu observer des covid19 sévères après 4 injections(([18] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-pourquoi-peut-on-etre-infecte-malgre-4-doses-de-vaccin-et-le-respect-des-gestes-barrieres-b65194ea-ae68-11ec-9246-65b3a25ae7f9)). Tous vaccinés, mais pas protégés.

Les injections anti-covid évitent-elles la diffusion de la maladie ?

Un autre slogan publicitaire du gouvernement, diffusé par tous les médias et la sécurité sociale faisait appel à l’altruisme : « vaccinez-vous pour protéger les autres »(([19] https://www.ameli.fr/essonne/assure/actualites/la-vaccination-contre-le-covid-19-pour-se-proteger-et-proteger-les-autres))(([20] https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/coronavirus-se-faire-vacciner-protege-t-il-aussi-les-autres-du-virus-7800955136)). Il a aussi été propagé par le ministre Blanquer(([21] Sur France Info le 28 juillet 2021)). « Quand vous êtes vacciné, vous ne risquez pas de continuer à contaminer les autres ». Mais cette affirmation est totalement démentie par l’expérience en vie réelle. Les vaccinés transmettent en effet la maladie autour d’eux. La pseudo vaccination s’est révélée totalement incapable de protéger les autres parce qu’elle ne stoppe pas les transmissions.

Les données de l’OMS du 21 juin 2022 montrent clairement que malgré plus de 12 milliards de doses injectées à plus de 45 % de l’humanité, le nombre de nouveaux cas a été multiplié par 6 depuis les pseudos vaccinations.

La presque totalité des agences sanitaires des pays qui ont obtenu les plus hauts pourcentages d’injectés ont d’ailleurs officiellement reconnu qu’atteindre l’immunité collective par la vaccination était illusoire.

Contrairement à ce que craignait l’OMS, ce ne sont pas les non-vaccinés qui sont responsables de cette envolée de l’épidémie, car elle s’observe avant tout dans les pays champions des injections, alors que les pays ou continents peu vaccinés comptent dix à cent fois moins de cas par million d’habitants.

En France, 84 % des personnes, âgées de 12 ans ou plus, auraient été entièrement vaccinés (solidarites-sante.gouv.fr) et à des taux très élevés pour certaines tranches d’âge : 92 % à 94 % des 60-69 ans, 100 % (?) des 70-74 ans. Les experts des plateaux télé, Olivier Veran, et plusieurs membres du Conseil scientifique dont A Fischer(([22] https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/coronavirus-l-immunite-a-90-possible-pour-le-debut-de-l-automne-selon-alain-fischer-7900058661)) ont promis qu’un tel niveau assurerait une immunisation collective. Ils se sont trompés (ou nous ont trompés ?). Même Simon Cauchemez, avocat infatigable des vaccinations, a reconnu :

« même si 100 % des Français recevaient les injections, le virus pourrait continuer à circuler à bas bruit ».

Prétendre que les injections anti-covid protègent les autres est tout simplement mensonger.

Les injections anti-covid protègent-elles des formes graves ?

Après avoir dû reconnaître que les pseudo vaccins n’évitaient ni d’attraper la maladie ni de la transmettre, les autorités et les médias ont prétendu qu’ils protégeraient des formes graves.

Or l’incidence des formes graves peut être facilement estimée en analysant les mortalités Covid publiées. Les données officielles de l’OMS montrent que la mortalité mondiale cumulée qui s’élevait à 1,7 million après dix mois d’épidémie sans vaccins a été multipliée par 3,5 depuis la généralisation des injections anti-covid, passant à 6,2 millions en 18 mois.

Les campagnes d’injection n’ont nulle part diminué la mortalité Covid et semblent même au contraire l’avoir favorisé dans certains pays !

Car ce ne sont pas les pays les moins vaccinés qui ont le plus souffert. La mortalité covid a surtout augmenté dans les pays les plus vaccinés !

Dans de nombreux pays ou territoires comme Gibraltar, les Seychelles ou la Mongolie, la vaccination paraît même avoir aggravé la mortalité !

Prétendre que les injections anti-covid protègent des formes graves et de la mort est tout simplement mensonger.

Globalement, on ne trouve donc aucun avantage à une pseudo vaccination incapable de protéger le vacciné de la maladie, incapable de prévenir les transmissions et incapable d’éviter les formes graves ni la mort par Covid.

Par des simulations mensongères, les coupables se glorifient de leurs erreurs.

L’OMS et l’équipe de modélisateur de l’Impérial College de N. Ferguson ont créé la panique en affirmant par une prophétie biaisée(([23] Imperial College COVID-19 Response Team Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020
DOI: https://doi.org/10.25561/77482)) que l’épidémie allait tuer en masse et que les hôpitaux allaient être submergés de malades, sauf si on confinait les populations pendant au moins 18 mois et si on vaccinait tout le monde.(([24] Les dessous du rapport classé secret défense de Ferguson et le confinement Economie Matin 28 avril 2020
http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine))

Il est maintenant démontré et admis par tous les scientifiques indépendants des laboratoires pharmaceutiques et des gouvernants que les confinements n’ont sauvé personne(([25] Eran Bendavid, Christophe Oh, Jay Bhattacharya, John PA Ioannidis Évaluation des effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture des entreprises sur la propagation de la COVID-19
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/eci.13484)), mais ont causé un grand nombre de décès prématurés (victimes collatérales) par défaut de soins(([26] https://www.divulgation.fr/manipulations-gouvernance-mondiale/mortalite-et-confinements-ces-chiffres-quon-ne-veut-pas-voir/)), troubles psychiatriques, crise économique(([27] https://www.capital.fr/economie-politique/mortalite-elevee-et-effondrement-de-leconomie-la-double-peine-de-la-france-1370581))(([28] L’arrêt économique pourrait tuer plus que le coronavirus, avertissent les experts https://www.telegraph.co.uk/global-health/science-and-disease/economic-shutdown-could-kill-coronavirus-experts-warn/)), chômage, appauvrissement…

Quelques mois plus tard, les enfermistes ont prétendu, à l’aide d’une nouvelle modélisation autoglorificatrice(([29] Seth Flaxman, Swapnil Mishra, Axel Gandy Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature. (2020)
https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7)), que « le confinement aurait sauvé 3 millions d’Européens et en particulier 70 000 Suédois et plus de 400 000 Allemands » en ignorant que ces deux derniers pays n’avaient pas confiné !(([30] Delépine – Comment se gargariser d’avoir sauvé virtuellement plus de 3 000 000 d’européens. Toute honte bue !
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/comment-se-gargariser-d-avoir-225132)) Pour se glorifier ainsi, ils ont comparé le nombre de décès covid observés dans le monde réel à celui de leur prédiction apocalyptique qui surestimait par 10 le risque réel. Ils ont ainsi transformé leur colossale erreur de prédiction en un gigantesque miracle de sauvés virtuels.

La même technique frauduleuse a été utilisée par les mêmes auteurs pour prétendre que la vaccination aurait sauvé 20 millions de personnes dans le monde en 2021(([31] Oliver Watson, COVID-19 vaccines are estimated to have prevented 20 million deaths worldwide in the first year of the vaccine program, modelling study finds
[https://www.eurekalert.org/news-releases/956782
ou https://www.healthcarehygienemagazine.com/covid-19-vaccines-estimated-to-have-prevented-20-million-deaths-worldwide-in-the-first-year-of-the-vaccine-program-study-finds/])). Article scandaleusement publié par le Lancet et utilisé sans modération par l’OMS, les médias et les gouvernements vaccinolâtres pour se glorifier de leur stratégie perdante.

Lorsqu’on se rappelle qu’en 2020 avant tout traitement, l’épidémie avait été accusée de 1,7 million de morts, on comprend mal comment elle aurait pu en 2021, en l’absence de vaccin, en tuer 22 millions au lieu des 3,7 millions réellement observés.

D’autant que l’Afrique et ses 1,3 milliard d’habitants très peu vaccinés (<5 %) ont très peu souffert de la maladie en 2021 (163 000 décès) tandis que l’Europe et les USA et leurs 778 millions d’habitants très vaccinés (>80 %) regroupaient l’essentiel des victimes (1 348 000 morts).

Treize fois moins de morts par million d’habitants en Afrique ! Si le ridicule tuait encore, les auteurs de cet article et ceux qui le diffusent, auraient du souci à se faire…

P.Gibertie a eu raison de qualifier ce mensonge éhonté de l’Imperial College de Fake news du siècle(([32] P Gibertie Fake du siècle : Non les vaccins n’ont pas évité 20 millions de décès 24 juin 2022
https://pgibertie.com/2022/06/24/fake-du-siecle-non-les-vaccs-nont-pas-evite-20millions-de-deces/))!

Inefficaces, les injections covid sont de plus dangereuses !

Depuis la mise sur le marché, les gouvernants et les agences prétendent que les vaccins sont sans danger niant ainsi leurs propres données de pharmacovigilance publiées par Eudra vigilance, et Vaers.

Ainsi au 23 avril 2022, EudraVigilance recensait 43 898 décès survenus après injections dans des circonstances qui rendent un lien de causalité possible et 45 316 au 4 juin 2022.

Dire qu’il avait suffi de 53 décès pour stopper la vaccination contre la grippe H1N1 !

Les fabricants de vaccins qui assuraient que leurs produits étaient sans risques ont exigé et obtenu des gouvernements qu’ils ne puissent pas être poursuivis pour les complications vaccinales. Après avoir payé les doses, nos impôts vont être mis à contribution pour indemniser les victimes des injections comme cela commence déjà en Australie : le « Sydney Morning Herald » rapporte qu’environ 10 000 Australiens réclament au gouvernement une indemnisation après avoir subi d’importants effets secondaires à cause du vaccin anticovid(([33] https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/covid-les-effets-secondaires-du-vaccin-vont-couter-cher-a-laustralie-1364543)) et la facture pourrait s’élever à plusieurs millions de dollars australiens.

Globalement la balance avantages/risques des injections Covid penche nettement en défaveur des injections.

Aucune efficacité réelle d’une durée utile et toxicité parfois mortelle ne font pencher la balance avantages/risques nettement du côté des risques.

Cette inefficacité des injections anticovid rappelle qu’elles ne sont pas des vaccins selon Pasteur (elles ne contiennent ni antigènes ni anatoxines), mais des médicaments génétiques, produits qui n’avaient jamais été utilisés jusqu’ici contre des maladies infectieuses et qui justifiaient donc une extrême prudence. Mais le principe de précaution a été bafoué pour le seul bénéfice des actionnaires des laboratoires pharmaceutiques.

Des bénéfices colossaux et des liens d’intérêts

Au prix moyen de 20 euros, les 12 milliards de doses déjà injectées ont représenté un gain de 240 milliards d’euros pour les fabricants et distributeurs des pseudo vaccins. En 2021 le chiffre d’affaires de Pfizer a bondi de 95 % atteignant 81,3 milliards de dollars, et son bénéfice net a plus que doublé, à 22 milliards de dollars(([34] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/pfizer-a-double-son-benefice-net-en-2021-a-22-milliards-de-dollars-1385415)). Pour 2022 la firme prévoit un chiffre d’affaires global compris entre 98 et 102 milliards de dollars.

Cette manne lui permet de financer d’innombrables lobbyistes, des cabinets de conseil qui orientent les décisions publiques, des sociétés savantes, des experts des agences sanitaires, de nombreux professeurs leaders d’opinion, des médecins de plateaux télé, des journalistes mainstream, et les décodeurs de prétendues fake news(([35] D’après libération qui est sorti du partenariat avec Facebook en mars 2021, a donné des chiffres : officiellement 236 000 dollars en 2019. Chaque article débunké était payé entre 800 à 1000 euros. Le Monde et l’AFP aux cellules de fact-checking beaucoup plus importantes ne pipent mot, mais nul doute que pour l’agence de presse qui se targue d’être le « principal réseau de fact-cheking dans le monde », cela se chiffre en millions.)) (c’est-à-dire toutes les informations qui pourraient nuire aux ventes) et même parfois peut-être de corrompre les décideurs politiques.

Laurent Mucchielli a bien montré(([36] « Derrière l’idéologie de la vaccination intégrale, trafics d’influence et phénomènes de cour
https://nouveau-monde.ca/derriere-lideologie-de-la-vaccination-integrale-trafics-dinfluence-et-phenomenes-de-cour/)) qu’en France les conflits d’intérêts, et leur rôle particulièrement important dans la gestion de l’épidémie de Covid, font l’objet d’un déni et même d’un tabou.

On peut donc craindre que le récit gouvernemental de la crise Covid ne soit pas prêt de changer malgré les évidences scientifiques actuelles. Mais la vérité est têtue et finira par triompher.

Pour terminer, nous citerons quelques extraits de l’enquête participative d’Agoravox(([37] https://www.agoravox.fr/enquete-agoravox-vaccinations.pdf)) sur l’obligation vaccinale réalisée en 2007, mais d’une grande pertinence actuelle :

« La vaccination pouvant induire des effets, la criminalisation de l’insoumission vaccinale, telle qu’elle est imposée en France, nous semble abusive — et contre-productive.

Elle serait peut-être acceptable si une totale transparence était apportée sur les ratios bénéfices/risques, si une communication authentique était menée sur les effets indésirables, si les autorités recherchaient systématiquement à recenser ces effets contraires et si elles acceptaient d’indemniser les victimes sur présomption raisonnable de lien (et non en présence de preuve) entre maladie et vaccin, du moins lorsque la vaccination est obligatoire (DTP et HB pour les professionnels de santé).

Il faudrait en effet inverser la charge de la preuve de l’innocuité de chaque acte vaccinal, charge qui devrait incomber totalement à celui qui l’impose. Le doute doit bénéficier à celui qui subit, non à celui qui impose comme c’est le cas aujourd’hui.

L’autorité, parce qu’elle ordonne le vaccin, ne doit pas se contenter de déclarer une absence de preuve entre la maladie d’une victime et un vaccin pour se dédouaner de sa responsabilité. Elle ne doit pas demander au malade de prouver le lien entre sa maladie et le vaccin pour prendre son cas en considération.

Ainsi, toute déclaration étayée de maladie associée à un vaccin devrait être présumée recevable. À charge pour le médecin et le laboratoire, s’ils le peuvent, de trouver l’autre cause de la maladie, seul moyen rationnel d’innocenter le vaccin.

Le bénéfice pour la collectivité (des vaccins obligatoires) n’est pas si certain. Un nouveau bilan comparé des risques et des bénéfices nous paraît donc indispensable à établir, avec des scientifiques indépendants et intégrant (pour les infirmer ou les confirmer) les arguments de tous y compris des contestataires. »





Crypto : la spéculation des pauvres !

[Source : laminutedericardo.com]




[Voir aussi :]

Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée

La marque de la bête existe et a été brevetée par Microsoft. EXTRAITS.

CRYPTO-MONNAIES: Qui tire les ficelles ?… Olivier Delamarche Balance TOUT !

Entre véritable révolution technologique et manipulation de marché à peine déguisée, qu’en est-il vraiment de la situation sur les crypto monnaies ? Quels dangers pouvons-nous rencontrer sur cette nouvelle classe d’actif numérique ? Réponse avec Olivier Delamarche.
(Vidéo < 10 min)

Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?

Depuis quelques semaines, le bitcoin ne cesse d’affoler les compteurs. La valeur de la cryptomonnaie la plus célèbre du monde a même dépassé les 60 000 dollars au cours du mois de mars 2021, du jamais-vu dans l’histoire récente des cryptomonnaies.
Cette tendance favorable peut s’expliquer par plusieurs facteurs : tout d’abord, la crise sanitaire et les différents plans de relance à travers le monde et ensuite l’arrivée d’investisseurs qualifiés de « traditionnels ». L’extrême volatilité de la crypto de Nakamoto, ne semble donc plus décourager les investisseurs. Certains même n’hésitent pas à parler d’or digital ou encore d’étalon Bitcoin.
La comparaison entre l’actif numérique et l’or en matière de référence de valeur est de plus en plus entendue dans le monde de l’investissement.

La disparition du cash est en marche : cryptomonnaies et destruction des libertés

Nous sommes à peine entrés dans l’automne (financier), que de nombreuses déclarations émanant de plusieurs institutions nous informent que la disparition de l’argent liquide va encore s’accélérer.
L’establishment financier européen commence à habituer les populations aux profondes transformations qui vont avoir lieu grâce à cette crise post pandémique.




Justin Bieber & Céline Dion victimes du « vaccin » Covid? avec Michel Chossudovsky et Nicole Delépine

[Source : mondialisation.ca]

Par Dre Nicole Delépine et Prof Michel Chossudovsky

« Céline Dion et Justin Bieber, mêmes destins tragiques après injections anti-covid. Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes loin de la vraie médecine et probablement trop proche des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre, peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser sa vie, en tous cas dors et déjà leur vie d’artiste.

Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination anticovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans – qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux . On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par big pharma et/ou affidés.

Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal. « (…)

Dre Nicole Delépine
Extrait de l’article : Les destins tragiques de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber vont-ils ouvrir les yeux de leurs fans?Mondialisation.ca, le 12 juin 2022.

Michel Chossudodovsky s’entretient avec Dre Nicole Delépine, pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France.



Voir également la vidéo sur le site de LUX MÉDIA