REVUE DE PRESSE DU 13 MARS 2023

Par MF

ÉDITO
TOUJOURS SUSPENDUS

Depuis plus de 540 jours sans AUCUNE rémunération d’aucune sorte, soignants, pompiers et autres personnels se sont réunis à Lyon le 11 mars, nombreux et solidaires, tandis que Monaco va réintégrer les suspendus le 27 mars, que tout le discours sur le Covid s’effondre avec la mise en évidence de la fraude scientifique et de la manipulation des gouvernements et des médias et que les scandales éclatent au sujet du refus de repositionner les molécules anciennes et sûres comme l’Ivermectine. Le Covid ne faisant plus recette, la France mise maintenant sur le Gardasil, ce vaccin qui a déjà montré son extrême toxicité, mais pas son efficacité, mettant en danger les vies des enfants à travers une obligation à peine déguisée.

Et comme le diable se cache dans les détails, il faut écouter l’intervention de Jarnac, qui nous apprend que « LES CONSULTATIONS SONT INUTILES ». Que celui qui a des oreilles pour entendre entende (Bible, Matthieu 13.9).

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La HAS persiste et signe

Plus de primo-vaccination, mais maintien des rappels dont on sait à quel point ils sont inefficaces et dangereux, et promotion d’une double injection anticovid/grippe dont on ignore les possibles effets indésirables et l’efficacité.

Le quotidien des soignants suspendus

https://actu.fr/normandie/avranches_50025/avranches-soignants-suspendus-ces-professionnels-de-sante-temoignent-de-leur-quotidien_57857630.html

« Cécile, aide-soignante suspendue : “Aujourd’hui, j’ai dû vendre ma maison. On prend du retard pour les factures. Heureusement, j’ai trouvé quelqu’un qui me loge gracieusement avec mes deux enfants”. »

Mais Monaco réintègre ses soignants suspendus !

https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/alpes-maritimes/menton/monaco-suspend-l-obligation-vaccinale-et-reintegre-ses-soignants-non-vaccines-contre-le-covid-2728798.html

« La décision à partir du lundi 27 mars. Le gouvernement monégasque a aussi allégé les exigences sanitaires comme l’isolement des personnes positives et les tests PCR pour les cas contacts. »

ET

https://www.francesoir.fr/societe-sante/monaco-reintegre-les-soignants-suspendus

« Excellente nouvelle pour les 53 personnels concernés, mais trop tard pour réintégrer les soignants qui ont déjà démissionné ou qui ont été licenciés ».

ÉTRANGER

ÉQUATEUR — Victoire contre le ministère de la Santé

https://uncutnews.ch/in-ecuador-geschieht-etwas-wunderbares/

« Les combattants de la liberté en Équateur ont gagné une importante victoire contre le ministère de la Santé, qui doit désormais rendre publics les contrats passés avec les fabricants de vaccins »

Royaume-Uni — Comment les autorités ont terrorisé la population

« Les “Lockdown files” publiés par The Telegraph secouent l’opinion publique, mettant en cause l’ex-ministre Matt Hancock qui terrorisait exagérément la population pour obtenir sa docilité. »

Et

https://www.mondialisation.ca/confinement-fermetures-des-ecoles-port-du-masque-the-daily-telegraph-devoile-des-messages-whatsapp-compromettants-des-responsables-britanniques/5675624

« Les échanges démontrent que plusieurs décisions concernant différents aspects de la lutte contre la pandémie ont été prises sans raison suffisante, parfois de manière contradictoire. »

USA — Manipulations des autorités pendant la crise sanitaire

« La nouveauté, c’est en fait que Newsweek, un magazine leader d’opinion dans le monde, publie le point de vue d’un chercheur réputé en santé publique à la Hoover Institution de Stanford, Scott W. Atlas, sous le titre : la réponse américaine au Covid a été basée sur des mensonges. »

USA — Rebondissement dans l’affaire des « Fauci mails »

https://www.francesoir.fr/societe/etats-unis-un-article-scientifique-majeur-sur-l-origine-du-covid-fausse-par-anthony-fauci

« Le 26 février, le quotidien économique américain The Wall Street Journal a annoncé que le Département de l’Énergie des États-Unis considère désormais la fuite de laboratoire comme l’origine du Covid-19la plus probable. La commission parlementaire dirigée par Brad Wenstrup tiendra sa première audience sur la question ce mercredi 8 mars. »

COVID

La vraie létalité du Covid chez les moins de 70 ans

On avait annoncé 3 à 4 %, c’est 0,095 % et même 0,034 % pour les moins de 60 ans

Le meilleur vaccin au monde contre la Covid c’est… Omicron !

« Il a vacciné 70 à 90 % de la population. Le même scénario qu’en 1890 ! »

TRAITEMENTS ET STRATÉGIES

IVERMECTINE, le plus gros scandale sanitaire de l’histoire

https://www.covid-factuel.fr/2023/02/24/ivermectine-andrew-hill-le-plus-gros-scandale-sanitaire-de-lhistoire/

Combien de morts auraient pu être évitées si on avait soigné précocement les malades avec un médicament qui avait fait la preuve de son efficacité et de son absence de dangerosité ?

Les masques, une preuve supplémentaire de leur inefficacité

https://www.libre-media.com/article/les-masques-completement-inutiles-selon-une-nouvelle-etude

Quelle que soit la catégorie, les masques sont aussi inutiles qu’inefficaces (étude Cochrane, Oxford, janvier 2023)

INJECTIONS

Le collectif américain Réseau d’actions accuse Pfizer d’avoir menti

https://www.francesoir.fr/societe/un-collectif-accuse-pfizer-d-avoir-menti-sur-les-resultats-d-une-etude

« Certains rongeurs utilisés dans une étude précoce de Pfizer auraient développé des effets secondaires à court terme, ou seraient même décédés, ce que le laboratoire a caché »

Les victimes oubliées de l’essai Pfizer et l’étude cachée du gouvernement israélien

« Naomi Wolf écrit dans la préface de son livre “Pfizer Documents Analysis Report” que la vaccination contre le Covid-19 “a probablement commis un crime contre l’humanité d’une ampleur sans précédent”. L’étude israélienne montre que le vaccin augmente progressivement le risque de décès au fil du temps, avec un pic 4 mois après la vaccination. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Les vaccins à ARNm ne sont ni sûrs ni efficaces, mais dangereux

« Les vaccins COVID-19 provoquent plus d’effets secondaires que n’importe quel autre vaccin. Non seulement la protéine de pointe produit des effets secondaires indésirables, mais l’ARNm et les nanoparticules en produisent également. »

Effets secondaires des injections

« Le poison tue et personne ne bouge en France, pire des citoyens sont privés de statut social pour avoir refusé de se faire injecter, et pourtant les articles se multiplient décrivant syndrome de Guillain-Barré, syncopes, thromboses, maladies auto-immunes, etc.. »

Explosion de turbo-cancers

Dr Krüger, hôpital de Kalmar en Suède, spécialiste du cancer du sein :

« Les cas de tumeurs cancéreuses à croissance rapide, les “turbo-cancers”, se sont multipliés, en particulier chez les jeunes femmes qui étaient moins touchées par de telles tumeurs auparavant. La taille des tumeurs a également changé. Auparavant, il était inhabituel pour le Dr Krüger de trouver une tumeur de 3 cm. Maintenant, elle voit régulièrement des tumeurs de 4 cm, 8 cm, 10 cm et parfois même 12° cm, et même une tumeur de 16 cm qui remplissait tout un sein. Elle a également observé des cas de tumeurs multiples, c’est-à-dire des tumeurs qui se développaient dans plusieurs organes de la même personne. Dans les mois qui ont suivi la vaccination, une patiente a développé des tumeurs dans le sein, le pancréas et les poumons. »

Responsabilité des vaccins anticovid dans l’apparition de maladies neurodégénératives

Pronostic glaçant :

« Nous supposons que l’âge d’apparition des maladies neurodégénératives au niveau de la population diminuera à l’avenir dans les pays où la couverture vaccinale a été élevée »

APRÈS COVID

Le Gardasil, la nouvelle aubaine des laboratoires… et un nouveau scandale en marche

« Nulle part la vaccination n’a fait régresser les cancers invasifs et que, parfois, paradoxalement, la vaccination anti-HPV est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif du col de l’utérus » 

Et

https://www.aimsib.org/2023/03/12/gardasil-episode-6-aucune-preuve-quil-previenne-le-cancer-du-col-de-luterus-au-contraire/

« La principale cause de cette augmentation continue semble être l’augmentation des cancers associés aux souches non vaccinales. En effet, de nouvelles preuves suggèrent que la vaccination contre le PVH rend les femmes plus sensibles que leurs homologues non vaccinées aux génotypes de PVH non couverts par le vaccin. »

Épisodes précédents :

https://www.aimsib.org/2023/02/05/gardasil-episode-1-deja-le-debut-de-la-fin/

https://www.aimsib.org/2023/02/12/gardasil-episode-2-de-vioxx-a-gardasil-comment-faire-confiance-a-merck/

https://www.aimsib.org/2023/02/19/gardasil-episode-3-devastateur-et-pourtant-17-ans-sans-proces-pourquoi/

https://www.aimsib.org/2023/02/26/gardasil-episode-4-mais-au-fait-le-gardasil-cest-fait-avec-quoi/

https://www.aimsib.org/2023/03/05/episode-5-gardasil-des-essais-cliniques-truques/

Le covid ne fait plus recette, qu’importe, on dégaine en hâte un nouveau fléau qui menace nos préados et pourrait, quel hasard, permettre à certains industriels d’engranger de belles recettes…

L’occasion pour un dirigeant de signer l’arrêt de mort de la médecine : discours de Jarnac (deuxième vidéo) à 2 min 55 s :

« Pour supprimer les consultations/les consultations sont inutiles »

https://www.charentelibre.fr/politique/macron-a-jarnac-une-quarantaine-d-opposants-a-la-reforme-des-retraites-presents-live-et-video-14237319.php

ou (à 2 min 48 s, son de meilleure qualité) :

RÉSISTANCES

CSI n° 94 du 9 mars 2023

https://crowdbunker.com/v/LCJaHZfB

Invité : Pr Jean-Paul Bourdineaud, docteur en biologie cellulaire et microbiologie.
Sujet : Critique définitive de l’article du Lancet prétendant que les vaccins génétiques auraient évité jusqu’à 20 millions de décès.



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Aux États-Unis, de plus en plus de grands journaux rapportent les manquements et manipulations des autorités durant la crise sanitaire

[Source : covidhub.ch]

Newsweek publie les 10 mensonges officiels sur le Covid

Si vous êtes opposé depuis belle lurette aux discours officiels sur la « pandémie », vous n’apprendrez peut-être rien de nouveau…

…la nouveauté, c’est en fait que Newsweek, un magazine leader d’opinion dans le monde, publie le point de vue d’un chercheur réputé en santé publique à la Hoover Institution de Stanford, Scott W. Atlas, sous le titre : La réponse américaine au Covid a été basée sur des mensonges. (en anglais).

Pour de nombreux observateurs comme le mathématicien Igor Chudov, une telle publication, le 8 mars 2023, a la valeur d’un « changement sismique ». Elle suit d’ailleurs la parution, le 22 février, d’une prise de position signée par deux autres opposants prestigieux, les Pr Jay Bhattacharya et Martin Kulldorff, intitulée: Il nous faut une Commission Covid (en anglais).

Voici, énumère Scott Atlas :

« les 10 plus grands mensonges – connus depuis des années pour être faux (…) – répandus par les responsables américains de la santé publique, les officiants élus et non élus et les universitaires désormais discrédités :

  1. Le coronavirus SARS-CoV-2 a un taux de mortalité plusieurs fois supérieur à celui de la grippe.
  2. Tout le monde a un risque important de mourir de ce virus.
  3. Personne n’a de protection immunologique, car ce virus est complètement nouveau.
  4. Les asymptomatiques sont les principaux moteurs de la propagation.
  5. Le confinement – fermer les écoles et les entreprises, bloquer les gens chez eux, stopper les soins médicaux non Covid et supprimer les déplacements – arrêtera ou éliminera le virus.
  6. Les masques protégeront tout le monde et arrêteront la propagation.
  7. Le virus est connu pour être d’origine naturelle, et prétendre qu’il provient d’un laboratoire est une théorie du complot. [Note de Joseph : voir cependant C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! et le dossier Vaccins et virus pour une remise en question de la théorie virale.]
  8. Les enseignants courent un risque particulièrement élevé.
  9. Les vaccins Covid arrêtent la propagation de l’infection.
  10. La protection immunitaire ne peut venir que d’un vaccin. »

Enfin, Scott Atlas demande des enquêtes et des excuses. Il reconnaît également que les enquêtes risquent d’être fausses :

« Mais pour s’assurer que cela ne se reproduise plus jamais, les chefs de gouvernement, les fonctionnaires, les universitaires et conseillers influents qui entretiennent souvent des conflits d’intérêts, doivent être tenus pour responsables. Personnellement, je reste très sceptique sur le fait que toute enquête ou commission gouvernementale puisse éviter la politisation. Indépendamment de leur intention, toutes ces enquêtes dirigées par le gouvernement seront au moins perçues comme politiquement motivées et leurs conclusions seront catégoriquement rejetées par beaucoup. Ces enquêtes doivent cependant se poursuivre, ne serait-ce que pour rechercher la vérité, pour enseigner à nos enfants que la vérité compte et pour se souvenir de G.K. La leçon essentielle de Chesterton selon laquelle « le bien est le bien, même si personne ne le fait. Le mal est le mal, même si tout le monde ne le voit pas. »

(Right is right, even if nobody does it. Wrong is wrong, even if everybody is wrong about it.)

Sur Scott W. Atlas : 

Scott W. Atlas, MD, est chercheur principal en politique de la santé à la Hoover Institution de l’Université de Stanford, codirecteur du Global Liberty Institute, membre fondateur de l’Académie des sciences et de la liberté de Hillsdale et auteur de A Plague Upon Our House: My Fight at the Trump White House to Stop Covid from Destroying America (Bombardier Press, 2022) (Un fléau sur notre maison. Mon combat à la Maison Blanche de Trump pour empêcher le Covid de détruire l’Amérique)




Dossier adrénochrome

L’adrénochrome, substance satanique qui consisterait à boire du sang de bébés torturés, n’existe pas, les médias en sont certains !

Toute personne normale ou naïve n’a jamais entendu parler de ce machin, ce qui est tout à fait logique.

Moi, pourtant complotiste diplômé, en avais entendu parler, mais je n’avais pas enquêté profondément.

TPMP1

Si je vous en parle aujourd’hui c’est suite à un invité sur TPMP dont l’intervention a fait grand bruit.

Celui-ci a non seulement affirmé que le « produit » ne relevait pas du mythe, mais qu’il était utilisé par des « grands » de ce monde. Cyril Hanouna a bien entendu mis fin extrêmement vite à l’émission lorsque le nom de Macron a été prononcé. Il y a depuis un tollé médiatique général pour dénoncer ces propos « complotistes et délirants » tenus à une heure de grande écoute sur une chaîne de la TNT.

Un produit chimique sans histoire !

Selon Wikipédia2, l’adrénochrome est un produit issu de l’oxydation de l’adrénaline. Point.

Je n’ai pas cherché à savoir ni pourquoi ni comment, cela n’étant pas le sujet du jour.

Un mythe ?

Le mythe voudrait que des satanistes (célébrités, maîtres du monde et autres détraqués), boivent du sang de glande pinéale de bébés préalablement longuement torturés avant d’être mis à mort. Le produit permettrait de rajeunir, mais serait aussi une puissante drogue extrêmement addictive au point que celui qui aurait goûté une fois au « nectar » ne pourrait plus s’en passer.

Ceci est totalement nié par toutes les publications mainstream et a fait l’objet d’un article sur factuel de l’AFP3. Note humoristique, ceux-ci ont affiché un énorme FAUX… en rouge sang.
Autre site faisant un fact-checking, mais en anglais (voir le lien4).

Mythe dont la genèse serait le film « Las Vegas parano » !

Selon la version officielle, les complotistes auraient fait de ce « délire » une « vérité » issue d’une scène du film. Dans cette scène, un des protagonistes prend de l’adrénochrome. Il n’est nullement question d’adrénaline oxydée comme c’est clairement dit dans le film. Nous pouvons entendre dans la version française :

« Glande provenant d’une opération sur un humain encore vivant. »

ou

« Il m’a proposé du sang humain disant que ce serait la plus grande défonce de ma vie. »
« Je lui ai dit que je préférais quelques centilitres d’adrénochrome pur. »
« Ce gars (qui a fourni la drogue) a été coincé pour viol sur mineurs. »

Vous pouvez voir la scène5 en question si vous le désirez.

Une présentation tout autre que celles de Wikipédia et autres doxas !

Selon un site aujourd’hui supprimé et dont il est encore possible de lire le contenu au 6 janvier 2019 grâce à Web archive :

« Le composé Adrénochrome (C9H9NO3) est synthétisé par l’oxydation de l’adrénaline, provenant du sang d’enfants humains. ADRENOCHROME est le produit le plus pur du marché, récolté dans des conditions strictement réglementées auprès de notre chaîne d’approvisionnement internationale d’enfants donneurs6. »

Et de préciser :

« Depuis des temps immoraux, le sang est lié à la jeunesse, à la vitalité et à l’immortalité. Le sang des enfants et des vierges, en particulier, a longtemps été converti pour ses propriétés vivifiantes — à la fois comme offrande sacrificielle et comme substance à boire rituellement. La mythologie et l’histoire vénèrent chacune les propriétés symboliques et matérielles du sang. Ils le dépeignent comme un élixir de vie, libéré au moment de la mort. L’effusion de sang, à la fois symbolique et rituelle, est inextricablement liée à l’acquisition de connaissances sur le salut, la vie éternelle et la relation de l’humanité avec le Divin. Outre sa dimension spirituelle, la nature viscérale du sang l’aligne sur la soif de pouvoir et de richesse sur notre plan terrestre. Les propriétés physiques et spirituelles du sang sont indiscernables, liées par le sang à travers un cycle de mort et de renaissance. L’histoire humaine est cyclique et le sang est le ciment qui relie tout. L’adrénochrome est le composé chimique de formule moléculaire C9H9NO3 synthétisé à partir de l’oxydation de l’adrénaline dans le sang. C’est un puissant élixir rajeunissant et psychotrope récolté à partir de la glande pinéale des enfants donneurs.

Alors que les niveaux élevés de consommation d’adrénochrome resteront limités aux échelons supérieurs de la société, le composé chimique sera enfin mis à la disposition d’une clientèle plus large via la pièce ADC7 »

Il nous est impossible de savoir si ce texte a été rédigé par des blagueurs, des fils de putes qui en font ou faisaient le commerce ou par des complotistes voulant donner vie à un mythe.

Une vidéo détaillant la pratique.

Il est possible de regarder (si elle n’a pas été encore censurée) cette vidéo de 1 h 57.
« Adrénochrome, l’autre nerf de la guerre8 » publié par Black Bond en janvier 2023.

Ici encore chacun sera libre de se faire sa propre opinion : Faits, délires, mélanges des deux ?

La vidéo est présentée ainsi :

« Dans cet épisode extrêmement riche, nous plongeons au cœur du business le plus important pour le culte satanique qui contrôle le monde. Ce business c’est celui de l’adrénochrome et de nos enfants. C’est un sujet qui est vaste et complexe, et vous allez voir dans cet épisode que les personnes qui gravitent autour de cette industrie, se donnent un mal fou, pour acquérir l’une des commodités les plus prisées au monde. »

On y parle :

« D’enfants torturés, violés assassinés puis consommés, offrande aux divers dieux. »
« De sang adrénalisé par la peur, une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. »
« De culte pédophile dans tous les pans de la société. »
« Ils se servent de nos enfants pour assouvir leurs désirs les plus pervers. »
« On pourrait croire que ce cela relèverait du mythe comme cherchent à nous faire croire les factcheckers. »

Je ne prétends pas prouver quoique ce soit, mais poser des questions.
Un tel culte est-il crédible, plausible ou avéré ?

Le culte de la jeunesse

Le doute n’est pas permis. La vieillesse est présentée par la société comme une maladie et nous devons tout mettre en œuvre pour nous en protéger. « Vieux » est devenu une insulte. Il y a quelques décennies on commençait à l’être à partir de 50 ans, aujourd’hui traiter de « vieux » une personne de 70 ou 75 ans est inapproprié. Peut-être le sommes-nous après 80 ans, et encore !

La chirurgie esthétique

Le magazine 20 minutes9 nous dit : On découvre également que Josiane Balasko s’est faite refaire le nez, « pour éviter de vieillir en ressemblant à Coluche », que Véronique Sanson s’est faite lifter, qu’Axelle Red se fait injecter du Botox et que Ségolène Royal a opté pour un réalignement des dents.

Une obsession de la jeunesse éternelle

Basta media10 titrait en 2018 :

« Ces milliardaires et multinationales qui investissent dans la quête d’immortalité et de jeunesse éternelle. »
Et de préciser : « Des start-up se lancent dans des transfusions de sang de patients jeunes vers des personnes plus âgées dans le but de prolonger la vie. Des grandes fortunes ou des multinationales, comme Google-Alphabet, investissent dans des biotechnologies pour identifier les gènes de longévité et ralentir le vieillissement. D’autres mènent des expérimentations pour dupliquer le cerveau dans des machines. L’industrie de la cryoconservation — congeler un organisme en attendant un hypothétique remède contre la mort — connaît un succès grandissant. Tous partagent l’ambition transhumaniste : créer un être humain à la longévité décuplée, voire immortel. Sans aucune réflexion sur les conséquences sociales. Une enquête extraite de l’ouvrage Au Péril de l’humain, coécrit par Agnès Rousseaux, journaliste de Basta!. »

Le ton est donné !

Transfusions sanguines dans des cliniques suisses11

Certaines pratiques ne relèvent pas du délire complotiste quand bien même je les pense délirantes. Johnny Hallyday révélant le secret de sa vitalité : des séjours réguliers dans une clinique privée suisse spécialiste de la régénération, dont l’adresse lui avait été donnée par Zidane.

« C’est formidable. On vous enlève du sang, on l’oxygène et on vous le remet… Zidane y va deux fois par an et je le comprends… Selon les connaisseurs, le top du top est la Clinique La Prairie, à Montreux. Paul Niehans, fut en effet le pionnier la thérapie cellulaire. Une véritable cure de jouvence consistant en des injections de cellules fraîches prélevées sur le foie de fœtus de moutons. »

Nous avons là une démonstration qu’il existe un marché pour rester jeune.

Une base « scientifique » ?

Du sang de jeunes pour rajeunir

En 2014 Le Figaro Santé12 publiait un article « Les secrets de l’éternelle jeunesse se cachent dans le sang » :

« Une expérience menée sur des souris ravive la discussion scientifique autour du rajeunissement. Cette étude montre que la transfusion de sang de souris jeunes rajeunit les organes de plus vieux rongeurs. »
« En reliant les systèmes sanguins d’une souris jeune et d’une plus âgée, Rando et son équipe avaient déjà noté un rajeunissement des muscles et du foie de la vieille souris. » « Nous avons observé que les vieilles souris à qui avait été administré du plasma de jeunes souris pouvaient repérer plus facilement la plate-forme cachée et commettaient moins d’erreurs en la cherchant, raconte le Pr Villeda »
« La prochaine étape sera de passer à des expérimentations chez l’homme pour vérifier l’innocuité et l’efficacité de l’élixir de jouvence identifié chez les souris »

Des produits à base de cellules de fœtus avortés

Cette fois-ci c’est Le Parisien13 qui nous éclairait.
Vous noterez que je prends soin de citer des sources non complotistes !

« Un antirides à base de fœtus humain. »
« Une crème antirides commercialisée aux États-Unis est fabriquée à partir des cellules d’un fœtus humain provenant d’un avortement. Ce qui provoque la polémique outre-Atlantique. »

J’espère que vous comprenez pourquoi la société est si encline à promouvoir l’avortement, c’est un marché titanesque.

Il existe donc une base plus ou moins scientifique qui prouverait que le sang de personnes jeunes et les cellules de fœtus permettraient de se protéger de la vieillesse ou même de rajeunir.

Des enfants disparus ?

Si vous voulez produire de l’adrénochrome, il va vous falloir de la « matière première » !

Le monde est à ce point « merveilleux » qu’il n’existe aucun fichier, aucune statistique officielle sur les enfants disparus et non retrouvés. Et je vous parle ici uniquement des pays riches et développés.

« En 2017, 1328 disparitions inquiétantes d’enfants ont été signalées14 ».

Je ne sais pas ce qu’ils pensent par « inquiétantes ».

« Ce chiffre de disparitions inquiétantes grossit année après année : en 2016, on n’en comptabilisait que 687, contre 1328 en 2017. »
« Cela pourrait vouloir dire que les forces de l’ordre ont tendance à être plus vigilantes, à ne pas tout de suite penser à une simple fugue, et donc à lancer des recherches de plus grande ampleur », analyse Anne Larcher. »
« Nous aimerions être capables de créer un fichier qui nous en dirait plus. »

Le Bien Public précise :

« Ces enfants disparus et jamais retrouvés15 »
« Environ 400 disparitions inquiétantes de mineurs par an sont signalées. Très peu d’enfants disparaissent sans laisser aucune trace. Les associations réclament la création d’un fichier qui n’existe pas. »

En Suisse ce n’est pas mieux :

Selon la fondation Missing Children16 :

« Toutes les 2 minutes, un enfant est porté disparu sur le territoire européen. »

Bien entendu, une écrasante majorité est retrouvée, néanmoins :

« No data, no problem! » On pourrait le croire, mais la réalité quotidienne de Missing Children Switzerland et les dernières disparitions d’enfants en date ont démontré que notre pays n’échappe pas au phénomène. De plus, notre système en la matière est lacunaire, à l’image de l’Alerte Enlèvement qui n’a jamais été déclenchée. Le manque de volonté des autorités helvétiques et la particularité du système fédéral font que nous n’avons toujours pas de statistiques officielles sur la disparition des mineurs en Suisse. C’est pourquoi nous travaillons sans relâche à obtenir ces chiffres. Les autorités comme les habitants doivent réaliser que la Suisse n’est pas épargnée par la problématique des disparitions d’enfants. Sans l’appui de statistiques officielles, ce phénomène reste invisible.

L’association précise :

« En Inde, près de 96 000 enfants disparaissent chaque année. »

Vous pouvez imaginer que la police ne passe pas des années à essayer de les retrouver.

Si vous arrivez à m’expliquer pourquoi ces données (faciles à mettre en œuvre) n’existent pas, ce serait avec plaisir !

Il y a donc de la « matière première », des enfants disparaissent chaque année dont certains ne sont jamais retrouvés et cela ne semble pas une préoccupation première.

Des réseaux pédophiles ?

Pour faire simple, en France ou en Suisse cela ne semble pas ou peu exister, sans doute une exception liée à la « bonne santé mentale des citoyens » ?

Le pédophile français semble donc très solitaire et égoïste, il n’aime pas partager.

Dans Heidi News17 nous pouvions lire en 2020 :

« Les réseaux pédophiles au cœur des thèses complotistes. »

« Des enfants seraient enlevés dans le monde entier et donnés en pâture aux élites : voilà la théorie cardinale des complotistes, mystérieusement incarnée à Genève par le cas « Marco » (prénom modifié). »

Je précise que le slogan du journal est « Le journalisme de précision qui répond à vos questions »

France-Inter18 en 2021 :

« On ne mesure pas forcément l’importance que peut avoir la pédocriminalité dans les fantasmes complotistes. Elle y tient une place particulière pour plusieurs raisons. »

Ou le site Debunkers19

« L’étrange obsession des complotistes pour les pédophiles. »

Je pourrais en citer pendant des pages.

Mais en Allemagne20 c’est peut-être une autre paire de manches.

En 2021 « Allemagne : un réseau pédophile de plus de 400 000 membres démantelé. »

« Après de longs mois d’enquête sur le darknet, la police a annoncé lundi 3 mai être venue à bout de ce réseau, considéré comme l’un des plus grands du monde

On a quand même de la chance en France d’être à l’abri de plein de trucs.

Sans parler de l’affaire Epstein que les médias français n’ont pas réussi à masquer totalement.

« Lors d’une conférence de presse mercredi, Denise George a indiqué avoir ordonné une enquête sur Jeffrey Epstein peu après sa prise de fonctions, en mai 2019. Celle-ci a montré que le financier avait organisé un « vaste réseau de traite d’être humains, et d’abus sexuels de jeunes femmes et de mineures ici, aux îles Vierges21 ». »

Il y a donc des pédophiles, des réseaux pédophiles et des personnes haut placées qui en goûtent, n’en déplaise à nos médias corrompus.

Des gros tarés ?

Si vous voulez des personnes qui boivent le sang de glandes pinéales de bébés ou d’enfants torturés et violés, il nous faut de sacrés malades mentaux.

Michel Bouffioux22 a écrit

« Ces criminels psychopathes qui ne sont pas resocialisables. »

« Quelle est la prévalence de la psychopathie dans la société ? »

« Cela représente environ 0,5 % à 3 % de la population générale. Mais tous les psychopathes ne sont pas violents physiquement. Il y a aussi des tricheurs, des fraudeurs, des menteurs pathologiques… Il y en outre des « psychopathes sociaux ». Ce sont des personnes totalement dénuées d’empathie, comme leurs alter ego qui se trouvent internés ou emprisonnés, sauf qu’elles parviennent à s’insérer dans la société en exerçant leur violence de manière sournoise, voire en l’utilisant comme un outil de pouvoir, de manipulation et de domination. »

« Il s’agit de personnes qui n’hésitent pas à en écraser d’autres dans le milieu professionnel et familial, avec une absence totale de remords et un recours permanent à la manipulation et au mensonge. N’ayant pas accès à leurs émotions, elles sont étrangères à tout sentiment de culpabilité et incapables de s’inscrire dans la perspective d’autrui. »

« Ces psychopathes souffrent-ils eux-mêmes de leur état mental ?
Nullement. Des recherches montrent qu’ils sont plutôt protégés de maladies comme la dépression. Il ne s’agit certainement pas de personnes anxieuses. »

Des tarés violeurs de bébés et/ou qui les torturent ?

Voici quelques titres de la presse :

  • « Vendée : Un père jugé pour le viol de son bébé de quinze jours23. »
  • « Les parents du bébé violé et décédé ont été mis en examen24. »
  • « Un homme âgé de 23 ans a été mis en examen pour le viol d’un nourrisson de 5 mois25. »
  • « Le père de famille de 34 ans repéré sur le darknet pour la consultation de sites pédopornographiques. En garde à vue, il a avoué le viol d’un de ses enfants26 (10 mois). »
  • « Bébé torturé et tué à Lunel : le couple a refait ses terribles gestes27. »
  • « Six personnes jugées pour “torture et barbarie sur un enfant de deux ans28. »
  • « Trafic d’organes : double énucléation d’un enfant en Chine29. »
  • « Une opération coordonnée par INTERPOL ciblant le trafic de migrants et la traite d’êtres humains a donné lieu à 121 arrestations dans 25 pays, déclenchant 193 nouvelles enquêtes. Les autorités ont lancé l’offensive contre des groupes criminels organisés soupçonnés de faire franchir des frontières à des hommes, des femmes et des enfants asiatiques à des fins d’exploitation et/ou de profit30. »

Vous en voulez encore ou j’arrête ?

Des sacrifices d’enfants au 21e siècle ?

Vous allez penser que j’ai fumé la moquette.

« Ce type de pratique remonte à la préhistoire ou aux Incas. »

Pourtant ce n’est pas moi, mais RFI31 qui l’affirme :

« Chaque jour, les journalistes de The Punch publient des faits divers plus stupéfiants les uns que les autres. Les “cultistes” y ont la part belle. Ce sont des individus qui recherchent des victimes pour pratiquer des sacrifices humains afin d’assurer leur succès dans les affaires ou en politique. »

« La découverte en mars 2014 d’un vaste charnier consacré aux sacrifices humains ou à l’utilisation des restes humains à des fins de magie noire à Ibadan (grande ville située à 130 kilomètres de Lagos) a semé l’émoi dans les populations. Cette affaire révélée par The Sunday Tribune a fait grand bruit : outre les cadavres démembrés et les crânes, des prisonniers enchaînés et affamés ont également été retrouvés par la police. »

Ah, mais, suis-je bête, c’est en Afrique, les occidentaux, eux, sont civilisés !

« États-Unis : une sataniste de 19 ans avoue “au moins” 22 meurtres32. »
« La police enquête sur le meurtre de quatre Américains aux corps démembrés33. »

Alors existe-t-il des rituels mettant en œuvre l’adrénochromie ?

Témoignages, preuves ?

Si cette pratique existe, vous comprendrez bien qu’elle ne peut être pratiquée par un individu seul. Il faut un réseau pour se procurer des enfants et pour faire disparaître les corps. Des complicités dans le monde judiciaire, politique, médiatique, etc. sont indispensables dans les plus hautes sphères, l’affaire Epstein en est une illustration. Il n’y qu’à voir comment les médias mainstream balayent non seulement l’adrénochrome, mais aussi les réseaux pédophiles. Karl Zéro34 se fait cracher dessus par tous les médias depuis des années.

L’affaire Hampstead35 :

En Angleterre, année 2014, deux enfants de 8 et 9 ans, Alisa et Gabriel Dearman dénoncent des (et leurs) viols d’enfants et des crimes rituels de bébés. Fait exceptionnel, il est possible de visualiser (en anglais que l’on peut mettre en français avec la traduction automatique) les interrogatoires de plusieurs heures des enfants diffusés par la police. Alisa décrit avec froideur, moult détails et méthode comment les enfants étaient violés et les bébés assassinés.

Les vidéos sur le sujet sont disponibles sur le groupe Docus qui Dérangent36.
Par la suite les enfants se rétracteront et diront qu’ils ont tout inventé. Je vous laisse juge de la crédibilité de ce retournement de situation.
L’affaire s’est terminée sur la BBC37 avec une interview « émouvante » de ce « pauvre père en larmes faussement accusé d’avoir violé et prêté ses enfants » sous la bienveillance de la journaliste.

« Il n’y avait donc pas de réseau pédophile satanique à Hampstead ! »

Nous avons de source sûre (mainstream) :

  • Une pratique de sacrifices de bébés largement décrite (mais non prouvée).
  • Un culte de la jeunesse, mais aussi de l’immortalité dans la société.
  • Des célébrités et des gens riches prêts à tout pour le demeurer.
  • Une base « scientifique » sur les « vertus » du sang de jeunes et des cellules d’embryons.
  • Des milliers d’enfants disparus chaque année qui ne réapparaissent jamais.
  • Des réseaux pédophiles impliquant des puissants de ce monde.
  • De vrais psychopathes comme dans les films.
  • De la traite d’humains.
  • Des trafics d’organes sur personnes encore vivantes.
  • Des bébés torturés.
  • Des violeurs de bébés.
  • Des rituels de sacrifices d’humains au 21e siècle.
  • Des témoignages réfutés.

Et les médias dans leur ensemble SAVENT que des sacrifices d’enfants torturés
dans le but de boire le sang de leur glande pinéale n’existent pas !

Il ne sont pas à dire que cela n’a jamais été prouvé, non, ils SAVENT que c’est faux et affirment que l’adrénochromie n’existe pas et relève uniquement de délires complotistes si possible antisémites !

Le Parisien38 résume admirablement bien la situation :

« Une théorie complètement fantaisiste, mais tenace sur les réseaux sociaux. »

Je ne résiste pas au plaisir de vous citer leurs conclusions, comme quoi on peut même rire avec des sujets horribles :

« L’adrénochrome n’est pas un médicament, il ne possède pas d’AMM (Autorisation de Mise sur le Marché), et n’a donc pas d’utilisation médicale », insiste Bernard Basset.

Imparable, comment voulez-vous ensuite que des malades mentaux satanistes l’utilisent alors qu’il n’a pas d’AMM ?!

À moins que les labos n’aient torturé des bébés puis testé si le sang de leur glande pinéale devenait addictif ? Il faudrait leur demander.

Je reste sans voix devant de telles démonstrations !

Merci

Alain Tortosa39.
11 mars 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230311-adrenochrome-mythe-ou-pas.pdf





Détransition, conséquence d’une épidémie factice et de diagnostic de « dysphorie de genre » surestimé

Par Nicole Delépine

Les enfants sacrifiés de la théorie du genre : arrêtez le Trans train comme en Suède

Les lobbies, la mode, le business conduisent beaucoup d’adolescents qui se sentent mal dans leur peau (ce qui est bien normal à cet âge) à se laisser convaincre que leurs soucis viennent d’une erreur de « genre », idée induite par la publicité mensongère à tous niveaux : cinéma, télévision et malheureusement école, y compris chez les très jeunes, âge de la plus grande facilité de la manipulation.

Certains tentent parfois de revenir en arrière : on les appelle les détransitionneurs !

[Voir aussi :
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan
Devenir « trans » mène trop souvent au suicide : informez familles et candidats pour leur sécurité
Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie]

Un acteur britannique, influenceur sur les réseaux raconte sur une TV américaine son parcours.1

« L’influenceur Oli London, 32 ans, révèle qu’il est en train de revenir d’une femme coréenne à un homme britannique — et dénonce les écoles pour avoir “normalisé le changement de genre” et enseigné aux enfants “à idolâtrer les hommes faibles comme Harry Styles”.

L’influenceur britannique a suscité la controverse après s’être identifié comme “transracial” et avoir dépensé plus de 271 000 dollars pour ressembler à des pop-stars coréennes.

London a déclaré que les guerres culturelles américaines sur le genre et les écoles ont laissé les gens confus sur le sujet.

Les enfants apprennent dès leur plus jeune âge, dès l’âge de cinq ans dans certains cas, qu’il n’y a pas de mal à changer de sexe, qu’il n’y a pas de mal à porter une jupe, qu’il n’y a pas de mal à ce qu’un garçon utilise des toilettes neutres quand cela met les filles en danger »

La pub et les réseaux sociaux, les influenceurs et même la publicité gouvernementale en France, la peur d’être poursuivi pour transphobie des familles et des médecins psychiatres en cas de refus immédiat du souhait de l’enfant (politique pro affirmative d’emblée),2 conduisent trop de candidats à foncer d’emblée dans le TGV de la transition, sans avoir le droit, de fait, à une période suffisante de maturation de leur décision. Qui sont finalement les victimes si ce ne sont ces enfants pris en otage de la mode ?

Nouvelle normalité

La question n’est pas qu’un certain nombre de personnes se sentent d’un autre sexe que celui de leur corps visible, cela a toujours existé, mais de façon très minoritaire.

Le problème est lorsque des personnes arrivant au pouvoir politique affirment que c’est « la nouvelle normalité » et tentent de marginaliser tous ceux qui ne ressentent pas cette différence.

La nouvelle culture portée par un petit groupe puissant surreprésenté parmi nos dirigeants occidentaux3 4 5 6 et lobbies auprès des parlements, conduisent à des erreurs de diagnostic chez des enfants ou jeunes en mal être qu’il eut été nécessaire d’écouter longuement ainsi que leurs familles et proches, avant de s’engager dans un long parcours du combattant qui le plus souvent ne les satisfait pas d’après leurs témoignages. D’où ce nouveau chapitre de l’histoire de la théorie du genre, les détransitionneurs.7

Le transgenrisme a pris une dimension politique aux USA et par contamination habituelle, en UE

Rachel Levine, ministre de Biden est transgenre : « Les enjeux de représentation sont devenus centraux » (marianne.net) « La question des transgenres était déjà au centre de la campagne de 2015-2016. »8 Nommée ministre adjointe de la Santé par Joe Biden, Rachel Levine « représente un choix historique » a écrit Joe Biden en annonçant sa nomination comme ministre adjointe de la Santé. Jusqu’alors directrice de la Santé de l’État de Pennsylvanie, Rachel Levine devrait devenir la première responsable fédérale transgenre. Un choix hautement politique, entre lutte contre l’épidémie de Covid-19 et sur représentation des minorités. »Elle officie au sein d’« Equality Pennsylvania », organisation pour le droit des personnes LGBT.

LE DROIT DES PERSONNES TRANSGENRES FORTEMENT POLITISÉ

« Elle représente un choix historique et extrêmement qualifié pour aider à mener les politiques de santé de notre administration », s’est enthousiasmé Joe Biden, ajoutant qu’elle « apportera le leadership ferme et l’expertise cruciale dont nous avons besoin pour guider les gens à travers cette pandémie, peu importe d’où ils viennent, leur race, religion, orientation sexuelle, identité de genre ou leur handicap. »

0,6 % DE LA POPULATION ADULTE AMÉRICAINE

« Joe Biden fait comprendre que les personnes transgenres constituent une part importante de notre pays » a réagi Mara Keisling, directrice exécutive du National Center for Transgender Equality. Joe Biden avait nommé Shawn Skelly, une vétéran trans, dans son équipe de transition.

« Les personnes transgenres représenteraient 0,6 % de la population adulte des États-Unis, mais leurs revendications résonnent plus fortement dans le débat public. 9

Les associations mettent régulièrement en avant leur situation précaire. Selon le National Center for Transgender Equality, 29 % des personnes transgenres aux États-Unis vivraient dans la pauvreté ».

LA REPRÉSENTATION DES MINORITÉS, STRATÉGIE POLITIQUE

Les politiques de tous pays sont rarement désintéressés. Chez les démocrates aux USA la représentation des minorités est devenue une réelle stratégie politique dominante.

« La communication sur l’identité sert à donner des gages à certaines clientèles électorales et surtout à la gauche du parti », reconnaît Lauric Henneton, maître de conférences à l’Université de Versailles Saint-Quentin, « on peut imaginer que c’est une version américaine du “en même temps”. »

On peut comprendre que des politiques tentent de se trouver de nouvelles clientèles et quoi de mieux de chercher dans les minorités, voire les extrêmes minorités.. Mais combien de victimes converties trop rapidement à un changement de genre alors que leur état relevait d’une autre pathologie (ou pas) ou d’un mal être transitoire ?

J’ÉTAIS SÛR : JE SUIS UN GARÇON

Charlie Evans est né femme, a vécu comme un homme pendant dix ans et est maintenant une femme à nouveau. Elle met en garde contre les décisions précoces et incontestées.

Le « detransitioner » de Manchester est un combattant déterminé contre le changement de sexe trop rapide. Elle parle très ouvertement de ses expériences personnelles. Elle a fondé le Detransition Advocacy Network. Elle a parlé lors de la « Lesbian Strength March » à Leeds.10

« Je savais que j’étais un garçon parce que j’aimais les voitures, les camions, la boue et les boîtes — et les filles. Je savais que j’étais un garçon parce que je n’agissais pas comme une fille. Rien chez moi ne semblait girly, et l’idéologie trans dit que tout le monde ressent son genre. Je ne me sentais pas comme une fille.

Je savais que j’étais un garçon parce que je répondais aux critères de la dysphorie de genre : une forte aversion pour les jouets et les vêtements typiquement féminins ; amis principalement masculins ; sentir que mes sentiments et mon comportement étaient typiques d’un garçon ; le désir d’être traité comme un garçon ».

Tous l’ont conforté dans son changement de genre tout de suite, amis comme les thérapeutes qu’il a consultés ! Comme si une fille n’avait pas le droit d’être finalement « un garçon manqué » pendant son enfance !

EN SUÈDE, PRÉCURSEURS EN UE DES TRANSITIONS MÉDICOCHIRURGICALES, ILS METTENT LE FREIN : ARRÊTEZ LE TRANS-TRAIN 11!

28 avril 202112 de Christine Westerhaus

Dans la Suède libérale, le débat trans a fait rage sur les faux diagnostics et une nouvelle loi scandaleuse. Les médecins et les parents étaient en colère. La femme trans Aleksa Lundberg s’est également rangée du côté des critiques, déclarant :

« Quelque chose ne va pas fondamentalement. »

Alors qu’une nouvelle loi devait faciliter la chirurgie chez les mineurs, y compris sans l’accord des parents la polémique a permis de réagir.

Mais au fil des ans, des doutes se sont accrus en elle quant à savoir si elle faisait toujours la bonne chose. Surtout avec ses patientes.

« Ces dernières années, de plus en plus de filles biologiques sont venues à notre cabinet. Beaucoup d’entre elles avaient d’autres diagnostics tels que l’autisme, les troubles de l’alimentation ou le trouble de stress traumatique.Néanmoins, on s’attendait à ce que nous répondions aux souhaits de ces patients en matière de traitement de changement de sexe. »

En 2019, Sämfjord a quitté son emploi.

« J’avais peur d’infliger des dommages irréversibles aux jeunes. »

Dans l’équipe KID de l’hôpital universitaire Karolinska, les cas avaient explosé depuis la création de l’équipe en 2000, passant de cinq à dix par an à 200 par an, la plupart d’entre eux étant des filles.

Des psychologues et des médecins, des parents, mais aussi des centres de conseil trans et des soi-disant détransitionnaires se sont plaints de la négligence avec laquelle les filles de 14 ans de l’hôpital universitaire ont été amputées des seins, sans qu’aucune autre cause de leur malaise avec leur propre corps n’ait été suffisamment clarifiée ou même traitée.

Dans le documentaire, elle se sent « comme un cobaye », explique une jeune femme qui s’est laissée transformer en homme trans.

« Ils expérimentent avec des jeunes sans preuves scientifiques. C’est irresponsable et cela me met en colère ! »

Dans Svenska Dagbladet, C Gillberg, psychiatre à Göteborg, a averti que les traitements hormonaux et chirurgicaux sur les enfants étaient « une grande expérience » qui pourrait potentiellement devenir « l’un des plus grands scandales médicaux du pays ».

Les parents ont également pris la parole. À 16 ans, la plus jeune fille de Jannika Häggström a dit à sa mère qu’elle était un homme. La mère a refusé de consentir au traitement de changement de sexe. À l’âge de 18 ans, la fille adulte a été amputée des seins et a pris de la testostérone.

« À l’âge de 20 ans, à peine deux ans plus tard, elle a réalisé que tout cela n’était qu’une idée fixe. »

En 2018, Häggström a créé le « Gender Identity Challenge Sweden » (GENID) avec d’autres parents pour protéger parents et enfants

Le Suédois avait observé une tendance inquiétante :

« Presque aucune mère ou père n’ose refuser à son enfant le consentement à des interventions chirurgicales. Ce souhait n’est plus guère remis en question, car de nombreux parents rapportent que leurs enfants ont rompu le contact avec eux parce que d’autres jeunes trans leur ont conseillé de le faire sur Internet. »

D’autres parents avaient indiqué que le « Bureau de protection de la jeunesse » les avait contacté car ils avaient refusé de s’adresser à l’enfant avec le « pronom correct ». PRESSION INSUPPORTABLE DES BUREAUCRATES AU SERVICE DES POLITIQUES.

Le réseau compte une centaine de membres. « Nous voulons empêcher les médecins de continuer à faire des expériences sur nos enfants », explique Jannika Häggström.

« Les opérations et les traitements hormonaux sont une expérience, il n’y a pas d’études scientifiques à long terme sur les conséquences de telles interventions. Les jeunes ne peuvent donc pas donner leur consentement éclairé. »

GENID exige un âge minimum de 25 ans pour les interventions chirurgicales.

Finalement, le gouvernement suédois a arrêté le « Trans Train ». Elle a chargé l’Agence d’évaluation des technologies de la santé d’examiner les données sur l’augmentation du nombre d’adolescents atteints de dysphorie de genre. Résultat : Il existe très peu de données, tant sur les raisons de l’augmentation que sur les risques ou les bénéfices des traitements hormonaux et des chirurgies.

Un rapport de l’autorité nationale de la santé a révélé qu’une fille sur trois âgée de 13 à 17 ans souffrant de dysphorie de genre avait reçu un diagnostic de trouble anxieux et qu’un autre tiers souffrait de dépression. Un sur cinq souffrait de TDAH et un sur sept d’autisme. Enfin, une analyse de l’autorité sociale suédoise « Socialstyrelsen » est arrivée à la conclusion :

« Il y a plus d’inconvénients que d’avantages possibles à abaisser l’âge minimum pour la chirurgie de conversion sexuelle. »

« Lorsque les adolescents voient le changement de sexe comme une solution à leurs problèmes d’identité pendant la puberté, quelque chose ne va pas », explique Aleksa Lundberg femme de 39 ans, de Stockholm qui vit en tant que femme depuis près de 20 ans. »

« Quand je me suis réveillé et que j’ai réalisé que j’avais perdu une partie importante de mon sens sexuel, ce fut un véritable choc pour moi»

Elle dit qu’elle déciderait différemment aujourd’hui.

« J’ai réalisé que j’étais en fait un homme gay féminin qui sentait qu’il devait changer son corps pour être accepté. »

Autre chose est devenu clair pour elle :

« Les jeunes fondent leur décision pour ou contre le traitement sur les histoires ensoleillées que nous, les personnes trans, racontons dans les médias. Et j’ai caché une partie importante de mon histoire aux gens. » 13

DE PLUS EN PLUS DE FEMMES DEVIENNENT DES HOMMES

Il y a 30 ans, il y avait 3 000 transsexuels en Allemagne, aujourd’hui il y en a 24 000. De plus en plus de femmes fuient vers le sexe opposé. Pourquoi ? Battage médiatique pour les jeunes femmes ou néoféminisme en panne d’idées ?

Lea venait d’avoir 16 ans, et a présenté sa solution au problème à ses parents. « Elle nous a expliqué qu’elle détestait son corps féminin et qu’elle était en fait un garçon. » La mère était consternée. Sur Internet, elle a constaté que de nombreux parents ressentent la même chose qu’elle. Le phénomène a même récemment eu un nom : « Rapid Onset Gender Dysphoria » (ROGD).14

TRANS EST UNE TENDANCE15

« DETRANSITIONNEURS » : DES ADOLESCENTS REGRETTENT LEUR CHANGEMENT DE SEXE ET DÉNONCENT DES DIAGNOSTICS DE DYSPHORIE DE GENRE TROP HÂTIFS, QUI FERAIENT FI DE CERTAINES PATHOLOGIES16.

Les personnes qui regrettent leur transition sexuelle seraient en nombre croissant, d’après un avis de l’Académie de médecine :

« Le risque de surestimation diagnostique est réel, comme en atteste le nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant détransitionner. Il convient donc de prolonger autant que faire se peut la phase de prise en charge psychologique ».

Un député britannique dévoile sa transidentité et dit avoir été victime de chantage et de viol.

« En France, on sait par ailleurs que le nombre de mineurs qui ont souhaité changer de sexe a été multiplié par vingt sur la même période », selon Arnaud Alessandrin, sociologue spécialiste de la transidentité à Bordeaux, et certains regrettent.

Ces « détransitionneurs » peuvent être classés en deux catégories, selon le sociologue : « Il y a ceux qui ont été opérés lorsqu’ils étaient majeurs, ont été surdiagnostiqués et le regrettent. Ils représentent entre 1 et 2 % de la population trans ». Puis, les plus jeunes qui ont suivi un traitement hormonal. « Entre 20 et 40 % de ces jeunes disent ensuite que cela ne leur convient pas ».

Un chiffre considérable qui devrait faire réfléchir les partisans de la transition rapide.

Des diagnostics de dysphorie de genre trop hâtifs ignoreraient certaines pathologies responsables du mal être du mineur.

« Parmi les adolescentes qui détransitionnent, on se rend compte que souvent, une autre pathologie antérieure à la transition était en cause, comme l’anorexie, la boulimie, l’autisme », indique Nicole Athea, gynécologue au Parisien.

« Que peut-on décider quand on a 15 ans, qu’on est dans une situation de souffrance psychologique et bien souvent sous l’emprise d’une idéologie trans ? »17

Transgenrisme : « De jeunes détransitionneurs viennent nous apporter le récit de leur parcours »18

Attaquées dans un article sur Mediapart sur la question de la prise en charge des mineurs qui se déclarent transgenres, Caroline Eliacheff et Céline Masson, codirectrices de l’Observatoire La Petite Sirène19, répondent.

« Cliniciennes auprès d’enfants et d’adolescents depuis plusieurs décennies nous récusons ce procès en légitimité. C’est à ce titre qu’avec d’autres partenaires de différentes disciplines, nous avons créé l’Observatoire des discours idéologiques sur l’enfant et l’adolescent (Petite Sirène — l’OPS).20 »

De nombreux témoignages de parents et de détransitionneurs attestent d’une prescription hormonale trop rapide, en dépit de troubles psychiques avérés.

Il est important de savoir comment est éclairé le consentement du jeune et de ses parents concernant les traitements, leurs effets secondaires, leur éventuelle irréversibilité et notamment le risque d’infertilité.

Sont-ils informés de la permanence incertaine de l’identité de genre d’un enfant ou d’un adolescent et, qu’à ce jour, aucun critère fiable ne permet de dire qui persistera et qui changera d’avis ? Sont-ils informés des alternatives au traitement médical telles que la psychothérapie et l’attente bienveillante que préconisent actuellement la Suède et la Finlande ? (Après avoir été les pionniers des pratiques chirurgicales de transformations sexuelles.)

Les parents savent-ils que de nombreux experts (Genspect)21 déconseillent la transition sociale totale des enfants soulignant que cela concrétiserait ce qui pourrait n’être que « transition temporaire ? »

INFLUENCE DES RÉSEAUX SOCIAUX

À Paris, 30 à 50 % d’enfants persistent dans leur identité inversée alors dans d’autres équipes, notamment celle du Pr Zucker au Canada, 70 à 90 % d’enfants retrouvent une harmonie avec leur sexe quand ils sont pris en charge autrement.

Toutes les publications qui affirment une amélioration après traitement hormono-chirurgical ont été jugées de « très faible fiabilité » et court-termistes.

En revanche, la sursuicidalité pendant toute la vie des personnes trans est bien démontrée (43 % soit dix fois plus que la population hétérosexuelle) et sert même d’argument (discutable) pour dénoncer la discrimination dont les trans sont l’objet alors pourtant, que d’autres minorités sexuelles (homosexuels et bisexuels) ou autres, tout autant discriminées, ne souffrent heureusement pas d’un taux de suicide aussi élevé.

LE CONFINEMENT LIÉ AU COVID A LARGEMENT AMPLIFIÉ LA SUREXPOSITION AUX RÉSEAUX SOCIAUX

Dans l’accélération récente du phénomène, il faut sans nul doute analyser la part terrible de l’invraisemblable confinement imposé à une grande partie du monde, folie organisée qui a abouti à une augmentation majeure des troubles psychiques et singulièrement chez les plus jeunes. 

Le confinement lié au Covid a largement amplifié la surexposition aux réseaux sociaux.

« C’est là que les jeunes s’endoctrinent, s’autodiagnostiquent et acquièrent le vocabulaire et les codes pour convaincre leurs parents et les médecins ; c’est là qu’un avenir meilleur leur est promis s’ils s’éloignent de leurs parents, forcément transphobes si ceux-ci émettent la moindre réticence ; c’est là qu’ils adhèrent à leur nouvelle communauté qui les encourage dans leur détermination et les héroïse. »

Ils étaient perdus, isolés à la suite des mesures coercitives de la plandémie covid, ils deviennent membres d’un groupe chaleureux, qui les comprend et au passage les manipule et les utilisent : ils trouvent le nom de médecins complices qui prescrivent des hormones à la première consultation ou s’en procurent sur Internet. Ils y trouvent même le nom de chirurgiens (parfois même indiqués par nos grands centres de référence !) pratiquant des mastectomies

Ces mutilations sexuelles sont souvent voilées par des euphémismes tels que torsoplastie ou encore « chirurgie du haut » (les médecins reprenant à leur compte le vocabulaire trans) — opérations autorisées en France avant dix-huit ans avec l’accord des deux parents et réalisées dans des cliniques privées, à Paris et en province.

LES DÉTRANSITIONS

Il est bien sûr très difficile d’en établir le nombre, car les services spécialisés ne les voient pas forcément et ne tiennent pas forcément à mettre en exergue les échecs de leurs pratiques discutables, mais fort lucratives.22

« Les détransitionneurs ont rarement envie de revoir les médecins qui les ont traités et estiment-ils souvent, mal traités. »23

Ces jeunes gens découvrent qu’ils sont toujours aussi malheureux, qu’ils ont été soignés de leur mal-être en dépit du bon sens (bon nombre se découvrent simplement homosexuels ou bisexuels), et/ou qu’ils étaient en réalité atteints de troubles psychiatriques bien plus lourds (autisme, psychose, traumatismes, etc.) que la dystrophie de genre présumée qui les a conduit à des mutilations irréversibles et à des traitements hormonaux inutiles et potentiellement dangereux.24

La vraie médecine prend du temps et doit avant tout ne pas nuire.

Quand un mineur mal dans sa peau se croit atteint de dystrophie de genre, il faut l’écouter patiemment, le rassurer sur l’amour et le respect qu’on lui porte et la solidité des liens parents-enfant, lui expliquer les conséquences avérées d’une transition sexuelle complète (traitement à vie, mutilations irréversibles, stérilité) et promouvoir un accompagnement psychologique prudent. L’écoute, le dialogue, l’information, le refus de décisions hâtives irréfléchies et le temps parviennent à rassurer 75 % à 90 % des adolescents qui se croient trans sous la pression.

Cette prudence dans l’usage de traitements qui nous a toujours guidés dans notre pratique pédiatrique, cancérologique et chirurgicale sauvera de nombreux mineurs et permettra peut-être d’éviter un scandale sanitaire à venir.





Ponce Pilate à la Maison Blanche : Les États-Unis, l’Ukraine, la Chine, la Russie et les prophéties orthodoxes russes

[Source : lesakerfrancophone.fr]


Par Batiushka − Le 5 février 2023 − Source The Saker Blog

Avant-propos

La seconde moitié de cet essai répond à un commentateur qui a écrit : « Batiushka, faites-nous savoir comment lire vos prophéties ». Il y a là un malentendu fondamental. Toutefois, avant d’en arriver là, examinons le tableau d’ensemble des événements géopolitiques, après quoi seulement la seconde moitié deviendra pertinente.

PREMIÈRE PARTIE : Les États-Unis et leur guerre perdue en Ukraine

La guerre par procuration menée par les États-Unis contre la Russie par l’intermédiaire des idiots utiles de l’élite ukrainienne n’avait pas tant pour but de détruire la Russie que d’affaiblir la Chine par le nord. Pour les États-Unis, la Chine est le seul véritable rival sur la scène mondiale. Elle dépasse les États-Unis en termes de PNB, elle envahit l’Afrique et l’Australie. La Chine est la principale nation productrice des BRICS et de l’OCS, qui remplacent/ont remplacé le club des vassaux américains du G7. La Corée et le Japon tomberont également aux mains de la Chine et, franchement, tout le Pacifique occidental aussi. Pour les États-Unis, la Russie n’est qu’un moyen d’atteindre la Chine. La Chine est la superpuissance et Taïwan est l’Ukraine de la Chine. Après presque un an de guerre par procuration en Ukraine, l’élite américaine a réalisé que son Grand Jeu en Ukraine était une erreur. Attaquer par le biais de l’Ukraine ne détruira ni la Russie, ni, surtout, la Chine, ce qui est le véritable objectif.

L’Ukraine était censée être une attraction secondaire, mais elle est devenue une distraction très sérieuse, épuisant de précieuses ressources militaires dans une campagne longue et infructueuse. La guerre en Ukraine détruit également l’Occident sur le plan économique par le biais de ses sanctions anti-russes suicidaires. Les États-Unis hubristiques ont totalement sous-estimé la Russie, comme on pouvait déjà le voir dans l’affirmation arrogante d’Obama le 25 mars 2014, selon laquelle la Russie n’était qu’« une puissance régionale ». Les précieuses ressources militaires américaines pourraient être utilisées plus efficacement pour « contenir » la Chine, le véritable rival. La panique et le désespoir s’emparent maintenant des États-Unis. L’Ukraine doit être abandonnée comme la patate chaude qu’elle est. Puisque même les néoconservateurs ont maintenant compris que l’Ukraine dévastée ne présente aucun intérêt réel pour eux, ils doivent trouver un moyen de sauver la face.

Les États-Unis laisseront tomber l’Ukraine parce qu’elle est corrompue, qu’elle ne se bat pas bien, qu’elle continue à perdre des équipements, et porteront leur attention sur « le véritable ennemi », la Chine. Actuellement, il est question que le directeur de la CIA, M. Burns, offre à la Russie 20 % de l’Ukraine en échange de la paix – en d’autres termes, plus ou moins le territoire qu’elle détient déjà ! Il s’agit peut-être d’un faux drapeau (en russe ‘утка’, un canard, qui est la traduction du « canard » français signifiant la même chose). Mais le simple fait que cette histoire existe prouve que Washington est en train de tester l’eau pour les réactions, d’observer les ondulations après avoir jeté sa pierre dans le « bassin aux canards » et envisage de se débarrasser de l’Ukraine. Il s’agit bien sûr d’une offre ridicule pour tenter de soudoyer la Russie. La Russie va supprimer l’Ukraine en tant que menace. Totalement. Et il existe d’autres preuves très solides pour affirmer cela.

Les États-Unis et la Chine

Toute une séquence d’événements dramatiques concernant les intentions des États-Unis à l’égard de la Chine s’est déroulée depuis 2019. Le premier a été l’apparition de la Covid-19. Une expérience pour une arme biologique américaine du centre virologique de Wuhan qui s’est retournée contre elle à cause d’une fuite ? Qui sait ? Ce que nous pouvons dire avec certitude, c’est que l’opération Covid-19 implique les États-Unis et la Chine. Puis, en deuxième étape, est venue une autre opération des États-Unis et de la Chine – le « Quad », le « Dialogue quadrilatéral indo-pacifique« , sérieusement mis à jour en mars 2021. Il s’agissait d’un pacte conclu il y a des années entre l’Australie, l’Inde, le Japon et les États-Unis, maintenu par des discussions entre eux et des exercices militaires conjoints d’une ampleur sans précédent.

Cet arrangement diplomatique et militaire était une réponse agressive à la puissance économique et militaire croissante de la Chine. En effet, les Chinois ont réagi au Quad en protestant auprès de ses membres, l’appelant avec justesse « l’OTAN asiatique ». Après une période de tergiversations australiennes, le Quad a été relancé en 2017. Enfin, dans cette déclaration commune de mars 2021, intitulée « L’esprit du Quad », les membres du Quad ont décrit « une vision commune pour un Indo-Pacifique libre et ouvert (= contrôlé par les États-Unis) » et un « ordre maritime fondé sur des règles (= contrôlé par les États-Unis) dans les mers de Chine orientale et méridionale ». Le Quad a ensuite tenu une réunion « Quad Plus » à laquelle ont participé, comme on pouvait s’y attendre, des représentants de la Corée du Sud et de la Nouvelle-Zélande et, de manière surprenante, du Vietnam. Les intentions étaient claires.

Six mois plus tard, le 15 septembre 2021, est intervenue la troisième étape, AUKUS, le « pacte de sécurité«  entre l’Australie, le Royaume-Uni et les États-Unis pour la région indo-pacifique. En vertu de ce pacte, les États-Unis et le Royaume-Uni aideront l’Australie à acquérir des sous-marins à propulsion nucléaire. (Peut-être les Britanniques fourniront-ils la superglue pour réparer les boulons autour des réacteurs nucléaires) ? Le pacte AUKUS prévoit une coopération dans les domaines suivants : cybernétique avancée, intelligence artificielle, capacités sous-marines, guerre électronique, innovation et partage d’informations. La formation de l’AUKUS en 2021 a réduit les Français à une fureur aveugle car ils avaient perdu une énorme commande australienne de plusieurs dizaines de milliards d’euros pour des sous-marins nucléaires, qui n’ont pas besoin de superglue britannique. Enfin, le 2 août 2022, survient l’escalade de la phase 4, la « visite » de Pelosi, la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, à Taïwan et ses menaces à la Chine. Il s’agissait d’une déclaration claire de guerre froide.

Le pivot des États-Unis vers la Chine en 2023

En novembre dernier déjà, le porte-parole de l’État américain, le New York Times, avait signalé que le complexe militaro-industriel américain ne pourrait pas soutenir le rythme et l’ampleur des fournitures militaires à Kiev. Cette information faisait suite à des avertissements répétés concernant les faibles stocks de munitions aux États-Unis et à d’autres rapports indiquant que les États-Unis étaient à court d’armes à fournir au régime de Kiev. En janvier dernier, le secrétaire d’État américain à la Marine, Carlos del Toro, a déclaré que les États-Unis pourraient bientôt devoir choisir entre répondre à leurs besoins minimaux en matière de sécurité nationale ou à ceux de l’Ukraine. Ensuite, la RAND Corporation, l’un des principaux groupes de réflexion du Pentagone, a déconseillé la poursuite de la guerre par procuration menée par les États-Unis contre la Russie en Ukraine, ce qui signifie que les États-Unis doivent mettre fin à la guerre dès que possible. En d’autres termes, les États-Unis doivent mettre fin à la guerre au plus vite, car une longue guerre dégraderait les capacités américaines face à la Chine.

Pour couronner le tout, un mémo du général Minihan de l’armée de l’air, qui a fait l’objet d’une fuite à la fin du mois de janvier 2023, indique que les États-Unis devraient être prêts à mener une guerre conventionnelle contre la Chine d’ici 2025. En d’autres termes, les États-Unis doivent trouver un moyen de se retirer de leur guerre par procuration en Ukraine en 2023, afin d’utiliser 2024 pour se préparer à la guerre contre la Chine en 2025. Viennent ensuite les événements absurdes des premiers jours de février, l’énorme dirigeable chinois, identifié comme un « ballon espion », flottant à 18 km dans les airs. (Curieux, pourquoi utiliser une technologie des années 1950, un ballon/avion géant, alors que les satellites chinois survolent les zones sensibles en permanence ? Après tout, la Chine a atterri sur la face cachée de la lune, ce qui n’est pas le cas des États-Unis).

Quoi qu’il en soit, quelle que soit la vérité, ce dirigeable a servi de prétexte à l’annulation du voyage du secrétaire d’État Antony Blinken à Pékin, qui avait pour objectif la « détente » sino-américaine. Dès le lendemain, le 4 février, Pékin annonçait qu’elle renforçait ses relations avec la Russie. Pas de détente de ce côté-là. Puis vint le courageux pilote de chasse américain qui, dans un vaillant combat aérien, parvint à abattre le méchant dirigeable oriental avec un seul missile. Des médailles pour tout le monde ! Il est clair que les génies de la Maison Blanche sont pressés de mettre en place leur stratégie de sortie de l’Ukraine pour sauver la face. Menacés par un dirigeable géant, ou peut-être par une flotte entière comme dans un film d’ovnis des années 1950, les États-Unis doivent se recentrer sur la Chine et oublier la lointaine Russie, qui n’a jamais été intéressée que par l’Ukraine (en fait, à l’origine, par une petite partie de l’Ukraine russe à l’est et au sud, bien qu’elle ait été forcée par la politique américaine à neutraliser le tout). Passons maintenant aux prophéties orthodoxes russes concernant tout cela, des prophéties que je connais depuis des décennies, mais qui n’avaient guère de sens jusqu’à ces dernières années.

DEUXIÈME PARTIE : Le christianisme orthodoxe

Tout d’abord, des excuses. Je sais que la plupart des lecteurs de ce site ne sont pas des chrétiens orthodoxes russes, pas des chrétiens orthodoxes, peut-être pas des chrétiens d’aucune sorte, et peut-être même pas des croyants d’aucune sorte. Veuillez suspendre votre incrédulité pendant quelques minutes. Je n’ai pas l’intention d’essayer de vous convertir. Je ne suis qu’un messager. Je veux juste expliquer comment la plupart des orthodoxes russes voient les événements géopolitiques actuels. Tout d’abord, des faits statistiques : 200 millions de personnes appartiennent à l’Église orthodoxe. Sur ces 140 millions, 70% sont des orthodoxes russes, bien que, cette Église étant multinationale, seuls environ 100 millions d’entre eux sont des Russes ethniques, beaucoup d’autres vivent ou vivaient en Ukraine.

Autre remarque : la plupart des orthodoxes russes pratiquants restent en dehors de la manipulation artificielle et absurde « gauche/droite » de la politique occidentale, inventée pour faire croire aux zombifiés qu’ils vivent dans des démocraties et ont des choix démocratiques. Certes, la grande majorité des orthodoxes sont des conservateurs sociaux, ce qui fait de nous, aux yeux des Occidentaux, des gens de droite (« fascistes »), mais nous sommes aussi pour la justice sociale, la santé et l’éducation gratuites, ce qui fait de nous, aux yeux des Occidentaux, des gens de gauche (« socialistes »). Tout le contraire des néoconservateurs, qui sont des libéraux sociaux et des libéraux économiques, des LGBT qui prônent plus de capitalisme en mode loi de la jungle, et sont anti-famille et anti-nation. Comme les Chinois et les autres non-occidentaux, nous sommes pour des politiques pro-famille et pro-nation qui unissent le peuple. Cela explique à la fois le président Poutine, son parti « conservateur » appelé « Russie unie » et sa politique nationale de réunification de la Russie en Ukraine, ainsi que les politiques de « marché libre socialiste » du parti « communiste » chinois.

L’Église orthodoxe compte 1 000 évêques. 400 d’entre eux appartiennent à l’Église orthodoxe russe. Toutefois, les évêques orthodoxes les plus respectés se trouvent probablement en Serbie et en Ukraine, pays persécutés, et non en Russie. Une fois que l’Église orthodoxe russe aura été débarrassée des américanisés corrompus qui se trouvent en son sein, elle deviendra un rival spirituel inégalable pour les États-Unis. Car si certains traîtres peuvent avoir du pouvoir dans l’Église, ils n’ont aucune autorité dans l’Église. Ceux qui ont l’autorité dans l’Église, qui ont le respect et la révérence du peuple, sont les saints et les justes et ceux qui sont considérés comme des saints, des anciens et des justes, dont quelques-uns sont évêques, la plupart ne le sont pas, et dont certains ont fait des prophéties.

Sur les prophéties

Nous devons maintenant faire très attention à distinguer les prophéties des canulars et des fraudes des personnes qui cherchent à attirer l’attention et à gagner de l’argent. N’importe quel fraudeur peut se lever le matin et dire : « J’ai reçu un message sur l’avenir, j’ai fait un rêve sur l’avenir, et on m’a dit ceci et cela ». Non, je parle de paroles prononcées par ceux qui ont l’autorité depuis des décennies et des générations, qui sont vénérés pour leur vie humble, de saints ou d’anciens qui seront déclarés saints par le peuple, s’ils ne l’ont pas déjà été. En d’autres termes, nous ne parlons pas de l’idiotie de George Bush « Dieu m’a dit d’envahir l’Irak ». Nous parlons du spirituel.

Il faut ajouter ici que toutes les prophéties authentiques sont conditionnelles. Les prophéties ne sont que des avertissements, dont les échéances peuvent être repoussées de centaines, voire de milliers d’années. Les gens peuvent changer leurs habitudes et la réalisation des prophéties est alors reportée. Les prophéties restent vraies, mais leur application peut être retardée, en fonction des réactions humaines aux avertissements qu’elles contiennent. Ne doutez jamais que les gens peuvent regretter, revenir en arrière et changer. Mais ne doutez jamais non plus que les prophéties se réaliseront, s’il n’y a pas de changement de comportement une fois l’avertissement lancé.

Revenons maintenant au commentateur qui a demandé : « Batiushka, dites-nous comment lire vos prophéties ». Tout d’abord, je n’ai pas de prophéties. Je ne suis en aucun cas un prophète. Mais je connais des prophéties qui sont pertinentes ici. Celles par exemple de saint Séraphin de Sarov (+ 1833), de saint Jean de Cronstadt (+ 1908), de saint Aristocleus l’Athonite (+ 1918), de l’archevêque Théophan de Poltava (+ 1940), de saint Séraphin de Vyritsa (+ 1949), l’ancien Séraphin de Belgorod (+ 1982), avec la bénédiction duquel j’agis, saint Paisios l’Athonite (+ 1994), que j’ai rencontré, l’ancien Nikolaï Guryanov (+ 2002), que je vénère, et l’ancien Jonas d’Odessa (+ 2012), sur la tombe duquel je prie.

Prophéties

Voici quelques-unes de leurs prophéties : Saint Jean de Cronstadt a dit que « la délivrance de la Russie viendra de l’Est ». À la fin de sa vie, saint Aristocleus a dit que « la fin viendra par la Chine. Il y aura une explosion extraordinaire et un miracle sera révélé par Dieu ». L’archevêque Théophane de Poltava a déclaré qu’il devait y avoir un tsar prédestiné par Dieu et que la restauration de l’orthodoxie en Russie provoquerait la haine du monde, qui « prendra les armes contre la Russie ». Cela a été confirmé par l’aîné Nicholas Guryanov, qui a prédit que le président Poutine sera remplacé par un tsar, comme l’avait également prédit saint Paisios l’Athonite.

L’aîné Iona, bien-aimé des orthodoxes d’Odessa, a déclaré : « Après moi, il y aura une Pâques sanglante, une Pâques affamée et une Pâques victorieuse ». Bien sûr, comme pour toutes les prophéties, les interprétations varient. Une Pâques sanglante se réfère-t-elle à 2022, une Pâques affamée à 2023 et une Pâques victorieuse à 2024 ? Certains disent qu’une Pâques victorieuse peut se référer à 2023. Si seulement il pouvait en être ainsi… Saint Seraphim de Sarov a prédit que :

« Vers cette époque, les évêques deviendront si impies qu’ils surpasseront dans leur impiété les évêques grecs de l’époque de Théodose le Jeune, de sorte qu’ils ne croiront même plus au dogme principal de la foi chrétienne… On commencera à prêcher la repentance mondiale ».

Vous pouvez rejeter tout cela comme une absurdité, si vous le souhaitez. Mais vous devrez quand même admettre qu’il y a de curieuses coïncidences. Et que ce n’est pas un non-sens pour les chrétiens orthodoxes, russes ou non. Nous voyons que la Maison Blanche ne pense qu’en termes de suprématie mondiale par la force et que, pour elle, la véritable bataille du 21e siècle n’est pas entre les États-Unis et la Russie, utilisant l’Ukraine comme son « incident du Tonkin », mais entre les États-Unis et la Chine utilisant Taïwan comme son « incident du Tonkin ». Pour nous, une Russie purifiée sera le véritable rival, car c’est là que se trouve le potentiel spirituel. La Chine n’a que le potentiel industriel. Ce que les laïcs américains ne comprennent pas, c’est que la domination à long terme du monde ne passe pas par le pouvoir séculier, qui n’est qu’à court terme, mais par le pouvoir spirituel, qui est à long terme. La Maison Blanche est comme le gouverneur romain Ponce Pilate qui a demandé au Christ : « Qu’est-ce que la vérité ? » parce qu’il avait un esprit séculier. Il n’y avait pas de réponse à sa question parce qu’il avait posé la mauvaise question. Il regardait la réponse en face. Sa question aurait dû être : « Qui est la Vérité » ? Et nous sommes là, à éviter l’Armageddon nucléaire et nous continuerons à le faire, aussi aveugle que soit Ponce Pilate.

Batiushka
Recteur orthodoxe russe d’une très grande paroisse en Europe, il a servi dans de nombreux pays d’Europe occidentale et j’ai vécu en Russie et en Ukraine. Il a également travaillé comme conférencier en histoire et en politique russes et européennes.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Un journaliste britannique montre comment la CIA a joué un rôle « direct » dans la création de Google

[Source : strategika.fr]

Par Emily Mangiaracina

Source : lifesitenews.com – 27 février 2023
https://www.lifesitenews.com/news/british-journalist-shows-how-the-cia-played-a-direct-role-in-the-creation-of-google/
Traduction : Strategika

Google « a fondamentalement commencé comme un projet de la CIA », selon le journaliste et auteur de Propaganda in the Information Age, Alan MacLeod, qui a averti que les liens des géants de la technologie avec les agences de renseignement posent de gros problèmes pour la liberté d’information ainsi que pour la liberté d’expression.

MacLeod, qui a mené des recherches approfondies sur les liens entre l’organisation de sécurité nationale et les grandes entreprises technologiques, a expliqué à la journaliste Whitney Webb, sur le podcast Unlimited Hangout, comment une enquête menée par le Dr Nafeez Ahmed a révélé que la CIA et l’Agence de sécurité nationale (NSA) « finançaient » les recherches de Sergey Brin à l’université de Stanford, qui ont « produit Google ».

« Non seulement cela … mais le superviseur de Brin était une personne de la CIA. L’a CIA’agence a donc directement contribué à la création de Google. Jusqu’en 2005, la CIA détenait des actions de Google, qu’elle a finalement vendues », a déclaré MacLeod à Webb.

Écoutez le podcast complet et étonnant ici : podcast here

M. Ahmed a expliqué que M. Brin et son cofondateur, Larry Page, ont mis au point « l’élément central de ce qui est finalement devenu le service de recherche de Google », »grâce au financement de l’initiative de bibliothèque numérique (DLI) », un programme de la National Science Foundation (NSF), de la NASA et de la DARPA.

En outre, l’initiative MDDS (Massive Digital Data Systems) de la communauté du renseignement, un projet parrainé par la NSA, la CIA et le directeur du renseignement central, « a fourni à Brin un financement de départ, qui a été complété par de nombreuses autres sources. »

Brin et Page rendaient « régulièrement » compte au Dr Bhavani Thuraisingham et au Dr Rick Steinheiser, qui étaient « des représentants d’un programme de recherches sensibles de la communauté du renseignement américain sur la sécurité de l’information et l’exploration des données ».

Ahmed a affirmé que l’implication des agences de renseignement dans la naissance de Google est profondément intentionnelle : elles ont « nourri les plateformes web que nous connaissons aujourd’hui dans le but précis d’utiliser la technologie … pour mener [une] « guerre de l’information » mondiale – une guerre visant à légitimer le pouvoir de quelques-uns sur le reste d’entre nous ».

Dans ses propres recherches, MacLeod a constaté que les liens de la CIA avec Google se poursuivent aujourd’hui, car « il y a des dizaines et des dizaines d’exemples » d’anciens agents de la CIA qui travaillent aujourd’hui chez Google, « qui sont parachutés à des postes d’extrême importance. »

Les anciens employés de la CIA se retrouvent souvent dans des rôles de « confiance et de sécurité », qui ont une énorme influence sur la gestion de la soi-disant « désinformation » et des « discours de haine. » On peut citer, entre-autres, Jacqueline Lopour, Ryan Fugit et Nick Rossman.




Biocontrôle : du cauchemar à la réalité

[Source : LHK]

Par Vincent Held

Dans Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques (1968), Philip K. Dick imaginait une société dans laquelle tout un chacun se verrait implanter un « organe d’humeur » pouvant être activé à distance et permettant de moduler ses émotions d’un simple coup de télécommande. Des techniques de contrôle mental entretemps passées de la fiction à la réalité… et que le World Economic Forum contemple avec une certaine gourmandise.

Dès 1956, le Time Magazine avait consacré une publication à la science alors déjà fort prometteuse du « biocontrôle » :

« Une horreur bien connue des amateurs de science-fiction, c’est l’esclave dont les pensées et les actions sont régies par un gadget électronique greffé dans son cerveau. Il pourrait y avoir une part de vérité dans cette fiction affirme l’ingénieur électricien Curtiss R. Schafer, qui conçoit et développe des instruments électroniques pour la Norden-Ketay Corp. de New York. L’électronique, pense-t-il, pourrait épargner beaucoup de travail aux endoctrineurs et aux contrôleurs de la pensée du futur. […]

Le biocontrôle est la nouvelle science du contrôle des processus mentaux, réactions émotionnelles et perceptions sensorielles par des signaux bioélectriques. […] Déjà, grâce au biocontrôle, les scientifiques ont changé le sens de l’équilibre des gens. Et ils ont fait en sorte que des animaux avec le ventre plein aient faim – ou qu’ils aient peur quand ils n’ont rien à craindre. »

L’optogénétique, une méthode de biocontrôle aujourd’hui technologiquement dépassée…

[Voir aussi :
Optogénétique – la voie planifiée vers un contrôle sans faille de nos cerveaux ?]

C’est donc bien à des techniques de ce type que faisait référence le célèbre conseiller présidentiel américain Zbigniew Brzezinski dans son livre d’anticipation technologique sur La révolution technétronique (1970) :

Selon certains, la conduite humaine peut être prédéterminée et soumise à un contrôle délibéré.[…] Parlant d’un avenir se situant dans quelques décennies au plus, un expérimentateur en contrôle de l’intelligence [le Dr. David Krech] affirmait [devant le Congrès, en 1968] :

« Je prévois le temps où nous aurons les moyens et donc, inévitablement, la tentation de manipuler le comportement et le fonctionnement intellectuel de tout un chacun par la manipulation environnementale et biochimique du cerveau. »Testimony by Dr. D. Krech, Government Research Subcommittee of the Senate Government Operations Committee, as reported by The New York Times, April 3, 1968, p. 32;

On notera qu’ici, l’appréciation « dans quelques décennies au plus » est le fait de Zbigniew Brzezinski lui-même. Le Dr. Krech, pour sa part, avait exprimé lors de la même allocution (en 1968, donc) le sentiment « qu’une telle évolution pourrait intervenir d’ici 5 à 10 ans » à peine.(([1] DAVID KRECH, 68, DIES; PSYCHOLOGY PIONEER, New York Times, 1977))

Quoiqu’il en soit, quarante années ont passé et il semblerait bien que ces technologies cauchemardesques puissent aujourd’hui être déployées à grande échelle. Et de façon furtive, qui plus est.

Biocontrôle et « armes neurotechnologiques » : les avertissements du Prof. Giordano

Pour nous en assurer, prêtons l’oreille à ce qu’affirmait en 2019 le Prof. James Giordano, professeur en « Neurologie & Biochimie » à l’Université de Georgetown et consultant de l’establishment militaire américain sur les questions de « neuroéthique ».

« Il y a plein d’autres choses [que les armes à énergie dirigée] qui peuvent venir secouer et cogner votre cerveau. Mieux on comprend le fonctionnement du cerveau à un niveau très granulaire, et plus on est capable de développer certains types de médicaments spécifiques qui non seulement peuvent améliorer et optimiser les performances de nos troupes, mais aussi amoindrir – et même dans certains cas manifester des changements profondément morbides – dans les troupes [adverses]. […] Une des choses que l’on peut aussi faire, c’est la neuromodulation transcraniale, c’est-à-dire traverser le crâne pour moduler le fonctionnement en réseau (node network activity) du cerveau en vue d’optimiser les performances de certaines personnes-clés […] ou alors on peut également faire cela contre des personnes hostiles – ou peut-être même belligérantes. On peut aller plus loin encore, et implanter certaines interfaces cerveau-machine [dans le cerveau]. Il y a beaucoup de programmes de la DARPA […] dont l’un des plus connus est le programme N3 pour « Neuromodulation neurochirurgicale non-invasive » […] L’idée ici étant de placer des électrodes de taille minimale en réseau dans le cerveau via une intervention minimale, afin d’être capables de lire et écrire dans les fonctions cérébrales – en temps réel et à distance. Les États-Unis ne sont pas les seuls à mener [ce type de projets]. »

Et de préciser que ces armes neurologiques pourraient être à l’avenir employées contre l’adversaire, aussi bien pour le rendre plus malléable et positif vis-à-vis de soi-même (« notion de militarisation positive »), que pour « affaiblir voire même dans certains cas anéantir sa capacité et sa volonté de se battre ».

[Voir aussi :
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction]

« Ces agents [neurologiques] vont soit changer les pensées, la volatilité et les penchants pour la violence et l’agression des individus, ou alors leur infliger une morbidité, des dysfonctionnements et/ou une mortalité de manière à réduire [leur capacité] d’engagement dans son ensemble. »

Cette publication scientifique de 2021 précise que les nanorobots en question peuvent « traverser la barrière hémato-encéphalique », « reconnaître la cible spécifique » y compris « dans les parties internes éloignées et inaccessibles du cerveau » et « libérer une cargaison minuscule mais létale de médicaments ou de nanoparticules pour tuer les cellules cancéreuses ».

Or, rien ne semble plus s’opposer au déploiement massif des neurocapteurs miniaturisés qui doivent permettre le biocontrôle « non-invasif » de nos cerveaux…

« Il a été annoncé officiellement il y a quelques semaines que l’on peut désormais aérosoliser les nanomatériaux – et on peut aller encore plus loin. On peut créer de petites unités robotiques d’échelle nanométrique contrôlables [à distance] – et elles aussi peuvent être aérosolisées pour créer un nano-essaim de matériaux qui vont pénétrer dans l’organisme et s’intégrer dans toutes sortes de membranes de mucus – n’importe où, dans la bouche, le nez, les oreilles, les yeux – pour ensuite passer dans le système vasculaire pour causer des caillots. Ça peut passer dans le système vasculaire du cerveau ou directement se diffuser dans le cerveau – et être militarisé (weaponized). Et cela peut se faire de telle manière que leur présence soit presque impossible à détecter. »

La peu ragoûtante « attaque de nanorobots » du dernier James Bond ne semble donc pas devoir grand-chose à l’inventivité des scénaristes…

« Plus tôt cette année [2013, donc], des chercheurs chinois ont annoncé le développement de robots de la taille d’une cellule qui pourraient être utilisés dans l’administration ciblée de médicaments. […] Les chercheurs du Georgia Institute of Technology ont mené des modélisations et des simulations informatiques qui montrent que le matériau peut constituer une bonne antenne à l’échelle nécessaire pour relier les nanomachines au monde extérieur. Les antennes mesureraient environ un micron de long et 10 à 100 nanomètres de large. »

Afin d’éviter tout malentendu, nous préciserons ici que le Prof. Giordano appelle à une réflexion préalable poussée et à une prudence extrême dans le maniement de ces technologies, qu’il compare volontiers à des « armes de destruction massives ». Et dont il considère qu’un emploi inconsidéré pourrait « salir l’honneur » des États-Unis, voire mener à ce que l’on « se coupe la gorge à soi-même ».

Or, il paraît évident que ce qui peut être réalisé grâce à des nanorobots « aérosolisés » peut également l’être via des nanorobots injectés. Ce qui, par rapport aux « épandages par drones » et autres vecteurs d’aérosols envisagés par le Prof. Giordano, peut en outre présenter l’immense avantage de ne pas exposer inutilement à la contamination les « agents » qui mènent l’opération.

Il peut dès lors être intéressant de relever que le World Economic Forum, grand promoteur d’injections vaccinales en tous genres, s’intéresse lui aussi à « poser des capteurs artificiels » dans nos cerveaux en vue de créer « de nouveaux systèmes de création de valeur » pour l’économie 4.0.

Quatrième Révolution industrielle : la connectivité cérébrale au programme

« Les technologies de la Quatrième Révolution industrielle […] peuvent s’immiscer dans l’espace jusque-là privé de notre esprit en lisant nos pensées et en influençant notre comportement. »Klaus Schwab in Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution, 2018

En 2016 déjà, le World Economic Forum avait manifesté son intérêt pour le fait de « manipuler des circuits neuronaux individuels », quitte à modifier génétiquement certains neurones de façon ciblée.

« Imaginez si nous pouvions utiliser l’optogénétique ou une technologie similaire pour obtenir l’entrée d’un capteur artificiel dans notre cerveau. En principe, nous pourrions non seulement restaurer la fonction, mais nous pourrions améliorer nos fonctions actuelles. »

Il serait dès lors possible de « manipuler les souvenirs, les émotions et les pensées », pour le plus grand profit des heureux propriétaires de ces cerveaux connectés.

Deux ans plus tard, Klaus Schwab précisait ses ambitions dans un livre qui aura reçu bien peu de publicité :

« Les neurotechnologies nous permettent de mieux influer sur la conscience et les pensées. Ceci inclut un décodage affiné de ce que l’on pense grâce à de nouveaux produits chimiques et des interventions qui peuvent influencer nos cerveaux pour y corriger les erreurs ou en améliorer le fonctionnement. […] Des technologies spécialisées telles que les microélectrodes modernes sont capables d’enregistrer l’activité d’un neurone individuel – ou de l’activer, quand on en a besoin. […] Pouvoir « lire et écrire dans » le cerveau va créer de nouvelles industries et de nouveaux systèmes de création de valeur… »

Les « cerveaux augmentés » feraient bel et bien partie intégrante des « opportunités de la 5G », si l’on en croit cette présentation produite en 2018 par le consortium SwissCognitive, dont la Confédération suisse est partie prenante.

Il est ainsi fascinant de constater que les « armes neurotechnologiques » sur les dangers desquelles le Prof. Giordano tente d’attirer l’attention sont pleinement intégrées, en tant que « nouveaux systèmes de création de valeur », aux projets du World Economic Forum pour la « Quatrième Révolution industrielle ». Et que la 5G semble bel et bien être appelée, dans ce contexte, à jouer un rôle essentiel dans l’exploitation des nouvelles « interfaces cerveau-machine » annoncées par le Prof. Schwab…

De telle sorte que l’on comprend déjà un peu mieux cette fameuse citation du gourou de Davos : « La Quatrième Révolution industrielle mènera à une fusion de l’identité physique, numérique et biologique ».

Quant à savoir s’il pourrait y avoir a un lien entre ces évolutions technologiques quelque peu dystopiques et les campagnes de vaccination de masse si agressivement promues depuis le début de la pandémie covidienne par les puissants relais politiques du World Economic Forum, la question nous semble être encore ouverte.

Vincent Held


Notes & Références




La crise du covid expliquée aux naïfs

[Source : Ma France]

Démantèlement de l’arnaque Covid sur CNews avec Pierre Chaillot.






USA — Une vidéo ruine le scénario démocrate de l’attaque du Capitole

Vidéo plus longue, en anglais :




« Morts subitement » — Comment Google nous éclaire sur cette réalité ?

Par Alain Tortosa

Cela fait désormais des mois que les groupes Telegram ou Facebook dits « complotistes » relayent le décès anormal de personnes en bonne santé qui sont mortes soudainement.

Des profils souvent jeunes et sportifs, qui a priori, n’avaient aucune raison de décéder sans maladie connue.

Ce nombre est totalement extra-ordinaire et il est tout aussi extraordinaire de constater que les médias mainstream ne font jamais le lien avec les injections expérimentales appelées « vaccin » ou s’empressent de nier cette éventualité.

J’invite mes lecteurs à se régaler de tous les articles de presse qui disent à quel point le sport, la sieste, la douche, la conduite, les poux et que sais-je encore, sont désormais sources d’accidents vasculaires ou cardiaques.

Et comme ce n’est pas non plus une hécatombe, il est peut-être trop tôt pour que cette surmortalité impacte profondément les statistiques annuelles (même si cela commence à se voir).

Mais partons de l’hypothèse que cette augmentation de mortalité soit statistiquement invisible ou non pertinente.

La question qui vient à l’esprit est :

« Nous voyons de nombreuses morts subites,
mais peut-être qu’il en est de même toutes les années
et que ni nous ni les médias n’y prêtions attention les années précédentes. »

Je me suis donc demandé s’il y avait une évolution de l’utilisation sur Internet du terme « mort subitement » ces dernières années ou si c’était relativement constant.

J’ai donc fait la recherche du terme exact (présence des guillemets) « die suddenly » et « died suddenly » sur Google sur plusieurs années consécutives.

Notons que l’on ne peut pas accuser Google, champion de la censure, d’être pro-complotiste.

Si vous cherchez les mots « die suddenly » et « died suddenly ».

  • Sur la période du 1er janvier 2018 au 1er janvier 2019 vous obtenez 6 800 résultats1 vs 46 200.
  • Sur la période du 1er janvier 2019 au 1er janvier 2020 vous obtenez 6 170 résultats2 vs 52 700.
  • Sur la période du 1er janvier 2020 au 1er janvier 2021 vous obtenez 6 550 résultats3 vs 57 700.
  • Sur la période du 1er janvier 2021 au 1er janvier 2022 vous obtenez 6 700 résultats4 vs 65 700.
  • Sur la période du 1er janvier 2022 au 1er janvier 2023 vous obtenez 11 300 résultats5 vs 122 000.

Et enfin

  • Sur la période du 1er janvier 2023 au 28 février 2023 vous obtenez 5 670 résultats6 vs 87 200 sur 2 mois.

Il est plus qu’intéressant de constater que le nombre de résultats évolue relativement peu entre l’année 2018 et 2021.

Puis le nombre d’occurrences de « died suddenly » double quasiment en 2022.

Doublement est peut-être un peu exagéré.

Nous assistons sur les résultats Google à une augmentation de 69 % entre 2021 et 2022
pour « die suddenly » et de 82 % pour « died suddenly » !!!

Point encore plus interrogeant, les deux premiers mois de 2023 comportent quasi le même nombre de citations que lors des années complètes précédentes !

Les covidistes pourraient nous rétorquer que l’accroissement extraordinaire du nombre de citations serait uniquement dû à « l’hystérie des complotistes ».

Ce serait nier le fait que Google n’indexe pas ou peu ces sites qui sont renvoyés en fond de grille ou même désindexés.

J’ai donc fait une recherche identique en me limitant au site du New York Post sur « died suddenly » afin d’éliminer le facteur « complotiste » :

  • 2020 : 26 résultats.
  • 2021 : 48 résultats.
  • 2022 : 67 résultats.

Et les deux premiers mois de l’année 2023 donnent 23 résultats qui, en extrapolant, fourniraient 138 décès sur l’année 2023 soit deux fois plus que pour 2022, résultat totalement hallucinant.

Nous pouvons imaginer que les journalistes n’inventent pas ces morts subites.

Rechercher sur un seul média est forcément limité, car ces « morts soudaines » et forcément isolées sont répertoriées principalement par la presse locale.
« Un joueur de l’équipe de foot décède pendant le match » et intéressera peu des médias nationaux ou internationaux à moins que cela ne touche des personnalités.

J’ai découvert un point encore plus intéressant en interrogeant le site de CNN.
Pour ceux qui l’ignorent, CNN est une sorte de BFM américain, 100 % pro-doxa « nous allons tous mourir du Covid, vive la Sainte Ampoule ! »

  • 2020 : 41 résultats.
  • 2021 : 41 résultats.
  • 2022 : 42 résultats.

Étonnamment stable, non ?

Et que 5 pour les deux premiers mois de 2023, ce qui donnerait 30 morts subites pour l’année 2023 selon CNN, soit moins que les années précédentes !

Le phénomène de morts subites n’existe donc pas sur CNN et irait plutôt en baisse.

Spectateurs de CNN vous pouvez continuer à vous injecter la Sainte Ampoule, il ne se passe strictement rien !
Monde merveilleux, non ?

Si en revanche je me place de l’autre côté de l’échiquier avec la chaîne Fox News, beaucoup plus critique vis à vis des mesures sanitaires comme du « vaccin », les résultats parlent d’eux-mêmes :

  • 2020 : 19 résultats
  • 2021 : 20 résultats
  • 2022 : 76 résultats, plus de trois fois plus que l’année précédente !
  • Et 22 pour les deux premiers mois de 2023, ce qui donnerait presque le double pour l’année 2023.

Ici encore, il est relativement peu probable que des journalistes de Fox News inventent des morts subites.

Donc, si d’un côté on peut tenter de minimiser la réalité de l’augmentation en évoquant une utilisation du terme amplifiée par des sites Internet complotistes, le raisonnement inverse peut être proposé en affirmant que les grands sites les plus référencés relayent pas ou peu cette information.

Et comme un journal comme le NY Post, mais aussi Fox News fait aussi apparaître une très forte augmentation des décès soudains, comparables aux résultats globaux de Google, il est possible d’affirmer que le phénomène est réel.

En regardant les résultats sur Facebook où d’un côté on pourrait imaginer une plus grande présence complotiste, mais où l’on sait que ceux-ci ont une moindre visibilité du fait des algorithmes et sont aussi régulièrement censurés, les résultats sont les suivants :

Facebook « died suddenly » toujours selon Google :

  • 2020 : 1 220 résultats.
  • 2021 : 1 190 résultats.
  • 2022 : 2 400 résultats.
  • Et, encore plus intéressant, les deux premiers mois de 2023 avec 1 400, soit plus de la moitié de l’année 2022 (déjà exceptionnelle) en seulement deux mois.

La seule conclusion possible est qu’il se passe quelque chose de statistiquement représentatif
dans le domaine des « morts subites d’adultes ».

Cela se retrouve donc aussi bien sur Google dans sa globalité, que sur le NY Post ou sur Fox news et sur Facebook, mais étrangement PAS du tout sur CNN !

Le covidiste ira de son réchauffement climatique ou de la guerre en Ukraine pour les justifier.
Et nous y verrons les résultats des injections massives chez une population jeune et en bonne santé, information censurée notamment par CNN et les médias mainstream.

Information si bien corrélée par Pierre Chaillot dans son livre « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels7 » aux éditions de l’Artilleur.

Merci

Alain Tortosa8
28 février 2023
https://7milliards.fr/tortosa2023028-died-suddenly-google.pdf





Comment Bill Gates et Jeff Bezos veulent entrer dans votre cerveau

[Source : michelledastier.com]

[Illustration : Tom Oxley, PDG et fondateur de Synchron.
Ryan Lash/TED via Synchron]

Par Michelle d’Astier de la Vigerie

Bill Gates et Jeff Bezos sont-ils en train de doubler Neuralink, la startup concurrente fondée par Elon Musk ?

Bill Gates a rejoint ses forces avec Jeff Bezos (Amazon) en décembre 2022 pour investir au total la somme massive de 75 milliards de dollars dans Synchron.

  • La startup a l’ambition de commercialiser le premier implant cérébral permettant de communiquer avec les ordinateurs par la pensée.
  • L’originalité du Synchron Switch — en cours de tests cliniques — est qu’il se pose de manière peu invasive, via les vaisseaux sanguins.
  • La startup a déjà commencé des tests sur des humains.

Ces dernières années on a beaucoup entendu parler de Neuralink, une startup fondée par Elon Musk pour créer la première vraie interface machine implantée dans le cerveau. De quoi nous rapprocher du « rêve » (ou du cauchemar, c’est selon) de pouvoir interagir avec tout ce qui nous entoure par la pensée.

Mais alors que des histoires assez sombres de tests ratés sur des singes font surface côté Neuralink, deux autres illustres milliardaires américains s’intéressent désormais également à la question. Bill Gates (co-fondateur de Microsoft) et Jeff Bezos (patron de Amazon) ont ainsi investi 75 milliards de dollars dans une startup aux objectifs similaires, baptisée Synchron.

Synchron pourrait être la première firme à commercialiser ce type d’implant cérébral

La différence, c’est que Synchron existe depuis 2012, et était déjà l’un des noms les plus en vue de cette industrie naissante. En août 2020, la FDA, l’agence américaine du médicament, a accordé à l’implant de Synchron le label « Appareil permettant de réaliser une avancée majeure » (Breaktrough Device en anglais) — un label réservé aux avancées médicales ayant le potentiel de révolutionner le traitement de handicaps ou de maladies engageant le pronostic vital.

Synchron a en effet déjà développé un implant cérébral avec pour but initial de transformer la vie de patients atteints de paralysie et autres maladies dégénératives. Synchron représente l’un des plus grands espoirs pour les patients atteints de sclérose latérale amyotrophique, aussi appelée maladie de Charcot.

Cette maladie neurologique dégénérative se développe de manière progressive. Elle affecte un nombre croissant de cellules nerveuses dans le cerveau et la moelle épinière. Les neurones malades contrôlent les muscles volontaires qui sont utilisés pour parler, manger, marcher et respirer. La dégradation puis la mort de ces neurones entraînent une perte progressive de la capacité de la personne à contrôler ses muscles volontaires.

Il n’existe actuellement aucun traitement réel. Un implant comme celui de Synchron peut permettre de contourner des zones entières de neurones malades, et faire retrouver une certaine motricité aux patients équipés. Le Synchron Switch a déjà pu être testé in vivo sur des humains : trois patients américains et quatre supplémentaires en Australie ont bénéficié du dispositif, à date.

Bien sûr, on imagine que Bill Gates et Jeff Bezos sont également sensibles à l’argument de l’implantation non invasive via les vaisseaux sanguins… qui autoriserait sans doute plus facilement l’implantation de dispositifs semblables dans le cerveau de personnes saines, simplement dans le but de contrôler leurs ordinateur, smartphone et autres appareils électroniques par la pensée.

[Voir aussi :
https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/jeff-bezos-et-bill-gates-parient-sur-les-implants-cerebraux-avec-synchron-1889742]


MAV :… et permettre aux ordinateurs de contrôler notre pensée ? Car cela marche souvent dans les deux sens, ces « technologies » ! Jusqu’où Dieu va-t-il encore supporter que l’homme détruise sa création ? Cela a déjà commencé avec la génétique, sous prétexte, comme toujours, de le faire pour le bien de l’homme ! Et maintenant le cerveau ? Bien sûr, le contrôle du cerveau et la manipulation des pensées, cela existe depuis la nuit des temps [NDLR Peut-être pas quand même, à moins de considérer l’intervention d’entités non humaines (extraterrestres ou démoniaques, par exemple)]. Mais une transformation irréversible, tout autant que dans les manipulations génétiques ? Cela sent vraiment la fin !




Comment éliminer l’oxyde de graphène des vaxins

[Source : profession-gendarme.com.
+ Liens vers articles complémentaires sur Nouveau Monde]

Surtout commencer à diminuer l’exposition aux O.E.M. [ondes électromagnétiques (Wi-Fi, 4G, 5G, Bluetooth…)]

Comment éliminer l’oxyde de graphène du corps, l’ingrédient dangereux et non divulgué des vaccins COVID-19 !

L’oxyde de graphène, une substance toxique pour l’homme, a été trouvé dans les « vaccins » Covid 19, dans l’approvisionnement en eau, dans l’air que nous respirons à travers les chemtrails, et même dans notre alimentation.
L’oxyde de graphène interagit et est activé par les fréquences électromagnétiques (« EMF »), en particulier la gamme plus large de fréquences trouvées dans la 5G qui peut causer encore plus de dommages à notre santé. Les symptômes de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et de la maladie des rayonnements électromagnétiques sont similaires à ceux décrits comme Covid.

La bonne nouvelle est que, maintenant que l’oxyde de graphène a été identifié comme un contaminant, il existe des moyens d’éliminer l’oxyde de graphène de notre corps et de restaurer votre santé. Il s’agit d’une approche holistique consistant à utiliser simultanément plusieurs méthodes différentes pour obtenir le meilleur effet. Y compris des suppléments spécifiques pour dégrader l’oxyde de graphène dans le corps et contrôler les CEM dans l’environnement pour minimiser l’activation de l’oxyde de graphène.

Ces informations proviennent de plusieurs sources et sont basées sur des études scientifiques. Les liens sont référencés ci-dessous.

Comprendre le glutathion !

Le glutathion est une substance fabriquée à partir des acides aminés : glycine, cystéine et acide glutamique.
Il est produit naturellement par le foie et est impliqué dans de nombreux processus de l’organisme, notamment la formation et la réparation des tissus, la fabrication des produits chimiques et des protéines nécessaires à l’organisme et au système immunitaire. Nous avons une réserve naturelle de glutathion dans notre corps. C’est ce qui nous donne un système immunitaire fort.

Lorsque les niveaux de glutathion sont élevés dans le corps, nous n’avons aucun problème et notre système immunitaire fonctionne bien. Mais lorsque la quantité d’oxyde de graphène dans le corps dépasse la quantité de glutathion, cela provoque l’effondrement du système immunitaire et déclenche une tempête de cytokines. La façon dont l’oxyde de graphène peut croître rapidement pour dépasser le glutathion dans le corps est par excitation électronique. C’est-à-dire des champs électromagnétiques qui bombardent le graphène pour l’oxyder, ce qui déclenche rapidement la maladie.

À l’âge de 65 ans, les niveaux de glutathion chutent drastiquement dans le corps. Cela peut expliquer pourquoi la population la plus touchée par le Covid-19 est celle des personnes âgées. Les niveaux de glutathion sont également très bas chez les personnes souffrant de maladies préexistantes telles que le diabète, l’obésité, etc. De même, les niveaux de glutathion sont très élevés chez les nourrissons, les enfants et les athlètes. Cela peut expliquer pourquoi le Covid-19 n’a pas touché ces personnes.

L’oxyde de graphène, lorsqu’il est oxydé ou activé par des fréquences électromagnétiques spécifiques, dépasse la capacité du corps à créer suffisamment de glutathion, ce qui détruit le système immunitaire et provoque la maladie.
En cas de maladie (comme les symptômes de Covid et toutes les « variantes »), il est nécessaire d’augmenter les niveaux de glutathion dans le corps afin de faire face à la toxine (oxyde de graphène) qui a été introduite ou activée électriquement.

Les patients Covid intubés aux soins intensifs guéris en quelques heures lorsqu’ils sont traités avec du glutathion et du NAC, exemple de Ricardo Delgado :

« Nous avons vu des essais cliniques avec des centaines de patients qui étaient aux soins intensifs, sous respirateur et intubés, pratiquement au bord de la mort. Avec des pneumonies bilatérales causées par la propagation de l’oxyde de graphène et le rayonnement 5G ultérieur dans les plaques pulmonaires. Eh bien, cette coloration diffuse chez ces patients est symétrique, ce qui n’arriverait pas avec un agent biologique puisque ce serait plutôt asymétrique, comme par exemple lorsqu’il y a une infection à pneumocoque, non ? Eh bien, dans ce cas, une tache diffuse apparaît généralement dans une partie du poumon, mais pas dans une autre, pas dans les deux de manière symétrique.
Ainsi, lorsqu’ils sont traités avec du glutathion par voie intraveineuse directe — ou même par voie orale — ou avec de la N-acétylcystéine (NAC) à des doses de 600 mg ou plus, les personnes en quelques heures ont commencé à récupérer leur saturation en oxygène »

Ricardo Delgado, La Quinta Colmuna

La N-acétylcystéine (« NAC ») est un supplément qui amène le corps à produire du glutathion, il est connu comme le précurseur du glutathion et amène le corps à sécréter du glutathion de manière endogène, tout comme il le fait lorsque vous faites du sport intensément. La NAC provient de l’acide aminé L-cystéine et est utilisée par le corps pour fabriquer des antioxydants. Les antioxydants sont des vitamines, des minéraux et d’autres nutriments qui protègent et réparent les cellules contre les dommages.

Vous pouvez obtenir du NAC sous forme de supplément ou de médicament sur ordonnance.
Le zinc en combinaison avec le NAC est des antioxydants essentiels utilisés pour dégrader l’oxyde de graphène.
Ricardo Delgado déclare qu’avec ces deux antioxydants, il a personnellement aidé des personnes atteintes de magnétisme après l’inoculation. C’est chez les personnes avec deux doses de Pfizer qui sont devenues magnétiques et après ces suppléments elles n’ont plus ce symptôme.

D’autres suppléments qui peuvent être pris pour aider à l’élimination de l’oxyde de graphène sont :

  • Astaxanthine
  • Mélatonine
  • Chardon Marie
  • Quercétine
  • Vitamine C
  • Vitamine D3

Pour plus d’informations sur ces suppléments pour l’élimination de l’oxyde de graphène, lien pour recevoir la liste produits qui détoxifient.

Comprendre le lien entre EMF, 5G, oxyde de graphène, hydrogels et Covid !

L’oxyde de graphène est activé par les champs électromagnétiques, en particulier les fréquences faisant partie du spectre 5G. Tous les matériaux ont ce qu’on appelle une bande d’absorption électronique. Une bande d’absorption est une gamme de longueurs d’onde, de fréquences ou d’énergies dans le spectre électromagnétique qui sont caractéristiques d’une transition particulière de l’état initial à l’état final dans une substance. Il s’agit d’une fréquence spécifique au-dessus de laquelle une substance est excitée et s’oxyde très rapidement. Les fréquences transmises aux êtres humains qui ont une accumulation d’oxyde de graphène dans leur corps peuvent provoquer une multiplication très rapide de l’oxyde de graphène, rompant l’équilibre du glutathion et provoquant une tempête de cytokines en quelques heures.

L’oxyde de graphène est l’ingrédient principal des hydrogels brevetés DARPA. Ce sont ces hydrogels qui se trouvent dans les injections Covid, les écouvillons de test PCR et les masques. Un hydrogel conducteur est un matériau de type polymère qui a des qualités et des applications substantielles.

Ils développent différents types d’hydrogels conducteurs qui sont utilisés dans de nombreuses choses, dans notre nourriture, notre eau et injectés dans notre corps dans les vaccins. Les hydrogels conducteurs contiennent des nanotechnologies qui se verrouillent sur votre ADN et peuvent être contrôlées par des capteurs 5G.
Ils permettent la collecte et la manipulation de l’ADN. Les hydrogels conducteurs permettent le suivi et le traçage des êtres humains.

Il existe des milliers d’études et d’articles scientifiques évalués par des pairs sur les hydrogels conducteurs.
Nous avons dressé une courte liste de certaines études relatives comme documentation de sauvegarde.

Résumé des caractéristiques de l’hydrogel et de la nanotechnologie à points quantiques

C’est à partir de ces études que nous pouvons résumer certaines des caractéristiques des hydrogels conducteurs.
Caractéristiques des hydrogels conducteurs : autorécupération, conductivité électrique, transparence, résistance au gel, étirement, autoguérison, réactivité aux stimuli, ce qui signifie qu’il fait certaines choses lorsque la 5G le frappe (ou d’autres fréquences d’ailleurs).

Nous sommes entourés de rayonnement EMF provenant des téléphones portables (ou téléphones portables), des téléviseurs et du Wi-Fi. De nombreuses zones activent également la 5G et des enquêtes ont été menées montrant la corrélation entre les réseaux 5G et les épidémies de Covid dans une zone.

Pour vous protéger au mieux contre l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et l’activation de l’oxyde de graphène dans votre corps, il est nécessaire de faire plusieurs choses pour limiter votre exposition aux CEM.

Voici quelques suggestions sur la façon de procéder : ne vivez pas dans une ville avec beaucoup de tours si vous pouvez l’aider, éteignez votre Wi-Fi la nuit et restez à l’écart des compteurs intelligents et autres appareils intelligents si possible. Une autre option consiste à utiliser des produits de protection EMF tels que des dispositifs d’énergie orgonique pour aider à transformer le rayonnement EMF afin d’atténuer les effets nocifs.

Énergie d’orgone, protection EMF et oxyde de graphène !

Étant donné que l’oxyde de graphène est activé par les CEM, vous souhaitez créer une barrière protectrice dans votre environnement immédiat qui atténue les CEM afin qu’elle n’active pas l’oxyde de graphène. Dans les années 1930, une découverte a été faite qui peut être appliquée aujourd’hui pour aider à la protection contre les champs électromagnétiques.

Au cours d’une série d’expériences, le regretté Dr Wilhelm Reich a découvert que des échantillons vivants placés dans des conteneurs faits de couches alternées d’acier et de matière organique non conductrice étaient capables d’exploiter une « énergie cosmique » saine de l’environnement. Il appela cette énergie « orgonique ». Ces accumulateurs d’orgone avaient la capacité de : conserver les échantillons de sang pendant de plus longues périodes ; faire germer des semis de plantes plus sains ; et, soulager la douleur de ses patients qui étaient assis à l’intérieur.

Aujourd’hui, au lieu d’utiliser des feuilles d’acier et de plastique, nous utilisons un composite composé d’un mélange d’oxyde de fer, d’acier, de laiton, de shungite et de poudres de cristal enrobées de résine époxy. Le résultat final est un harmoniseur capable de transformer les champs sans fil nocifs des tours cellulaires, des compteurs intelligents, des smartphones, du routeur Internet et de votre télévision, en une énergie plus bénéfique pour vous, vos plantes et vos animaux de compagnie.

Les effets de ce phénomène scientifique ont été reproduits et bien documentés dans des études menées par l’Université de Pennsylvanie et le laboratoire de recherche microscopique Heraclitus.

Ressemblance frappante entre le test sanguin de Reich et les récents échantillons de sang d’oxyde de graphène EMF !

L’étude la plus frappante à la lumière des découvertes récentes de l’oxyde de graphène se trouve dans le « Reich Blood Test » réalisé par le Heraclitus Microscopic Research Laboratory. Dans ce test, ils montrent l’efficacité de l’énergie orgonale sur le sang. Ils ont prélevé deux échantillons de sang et en ont placé un dans une boîte de contrôle et l’autre dans une boîte d’énergie d’orgone. Au fil du temps, ils ont pris des photos microscopiques des échantillons de sang et ont constaté que l’échantillon d’énergie orgonale était capable de maintenir sa force vitale pendant une plus longue période (c’était comme la fontaine de jouvence pour le sang).

Lorsqu’un globule rouge présente des défauts et commence à mourir, il peut développer ce qu’on appelle la formation d’acanthocytes, où de multiples projections épineuses de longueurs variables dépassent de la cellule.
Les images ci-dessous montrent à quoi cela ressemble quand une cellule sanguine meurt.

Test sanguin expérimental Reich — Désintégration du sang

Des cellules sanguines en décomposition se transformant en ce que le Dr Reich a appelé des « bions » à partir des travaux de test sanguin du Reich effectués par Hericlitus Labs.

La cellule la plus saine a une membrane plus solide entourée d’une lumière bleue. Cette lumière bleue est en fait la force vitale ou « Aura » de la cellule. C’est ce que le Dr Reich a appelé l’énergie « orgonique ». Au fur et à mesure que la cellule meurt et se désintègre, la paroi de la membrane forme des saillies pointues qui en sortent.

Les nanoparticules à base d’oxyde de graphène utilisées dans les injections Covid sont conçues pour pénétrer la membrane des cellules afin d’y faire pénétrer l’ARNm. Cette pénétration constante de la paroi de la membrane cellulaire pourrait être à l’origine de ces déformations de la membrane.

Selon A Laboratory Guide to Clinical Hematology de l’Open Education of Alberta :

« La formation d’acanthocytes se produit à la suite de défauts membranaires héréditaires ou acquis. Les défauts qui provoquent un déséquilibre entre le cholestérol membranaire et la teneur en lipides affectent la capacité des globules rouges à se déformer, ce qui entraîne une membrane plasmique plus rigide. »

Vous trouverez ci-dessous trois photos prises à partir d’analyses sanguines récentes [mises à jour le 1er octobre 2021] du Dr Robert Young.

Sa conclusion est que ce que nous voyons dans ces cellules sanguines provient de l’effet de l’empoisonnement aux rayonnements électromagnétiques, l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.
Il appelle la formation des membranes des cellules sanguines “l’effet corona” et “l’effet des protéines Spike”.

Cela semble identique au comportement des cellules sanguines mourantes dans l’expérience Reich Blood Test.
Ce que nous voyons ici, ce sont des cellules qui ont été empoisonnées et qui meurent. Nous voyons également la formation de la protéine de pointe dans la dernière diapositive.

Une découverte frappante se trouve dans le Reich Blood Test qui montre comment les dispositifs d’énergie orgonique ralentissent et arrêtent cette décomposition des cellules sanguines. Cela montre, au niveau cellulaire, comment les dispositifs énergétiques orgonaux protègent le corps humain des CEM nocifs.

La diapositive ci-dessous montre les résultats du test sanguin Reich. L’échantillon de gauche est celui qui se trouvait à l’intérieur de la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de mort et de décomposition cellulaire est de 5 %.
L’échantillon de droite est celui qui n’était pas dans la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de dégradation est de 50 %.

De toute évidence, l’énergie de l’orgone fait quelque chose pour aider à préserver la force vitale et la santé du sang.

P.S. Ndlr : À la fin du mois de juillet 2022, nous disposerons d’une Chambre à Ondes scalaires qui permettra de syntoniser les produits détoxifiant le Graphène afin d’avoir un résultat amplifié !

[NDLR L’existence de l’orgone et des ondes scalaires est très controversée et pour l’instant nullement reconnue par la science universitaire.]

Les Ondes scalaires semblent proches des ondes Orgoniques !

Pour obtenir plus d’informations sur les produits neutralisant le Graphène et les Protéines Spikes, et la Chambre à Ondes scalaires, contacter filibert82@yahoo.fr.

Source : https://expose-news.com/2022/07/15/how-to-remove-graphene-oxide-the-dangerous-undisclosed-ingredient-in-covid-vaccines-from-the-body/




Tête à Tête entre le Professeur Perronne et Maître Carlo Brusa

[Source : videos.reaction19.fr]

Excellente interview du professeur Péronne sur la pseudo pandémie Covid 19, sur la manipulation des gouvernements (notamment celui de la France), sur le rôle très néfaste des grands groupes pharmaceutiques…
Note optimiste en fin d’interview ; il pense que tout ce système mafieux va s’effondrer.

Durée 1 h 17, mais ça vaut le coup d’écouter.

Jacques Amiot.

[À partir de 2:50]






Le camp du « bien »

[Source : jeune-nation.com]

[Illustration d’entête :
Le ministère de l’Intérieur en feu après les bombardements de l’Otan sur Belgrade. Y. Kontos/Sygma/Getty Images]

Par le Général Dominique Delawarde

1ere partie : Son leadership, 3 décennies d’accomplissement, la loi du plus fort

Dans tous les conflits qui ont agité l’histoire, il y a toujours eu un camp du bien et un camp du mal absolu. C’est du moins ce qu’il ressort des grandes déclarations politiques et de la marteau-thérapie médiatique que l’on peut observer dans les camps qui s’opposent. En fin de conflit, l’histoire est écrite par le vainqueur. Celui-ci traduit souvent ses adversaires devant un tribunal en charge de condamner et de faire exécuter les chefs du camp des perdants. Les camps du bien et du mal sont alors parfaitement identifiés au regard de l’histoire.

La guerre en Ukraine n’échappe pas à cette règle universelle. Si l’on en croit les politiques et les médias occidentaux s’exprimant en parfaite connivence, le camp du bien serait le nôtre : USA-UE-OTAN-G7, le camp du mal serait le camp qui s’oppose au nôtre, quel qu’il puisse être.

En ce qui me concerne, le gavage politico-médiatique s’appuyant sur des narratifs douteux est loin de me suffire pour me faire une opinion sur le camp qui serait celui du bien. Je préfère me référer aux accomplissements de ce camp sur quelques décennies et vérifier que ce camp est dirigé par des gens recommandables avant de me prononcer.

C’est cette analyse menée depuis l’effondrement de l’Union soviétique, que je vous propose de partager avec moi, ci-après.

Le présumé camp du bien est aujourd’hui dirigé par une élite aux pratiques politiques et morales pour le moins douteuses

Aucun de mes lecteurs ne contestera que le présumé « camp du bien » est aujourd’hui dirigé par les États-Unis d’Amérique. La gouvernance du « camp du bien » est donc aujourd’hui assurée par une petite élite états-unienne qu’il nous appartient d’évaluer.

En trois vidéos très courtes, faisons donc connaissance avec des spécimens très caractéristiques du leadership du « camp du bien » : le nôtre.

1 – Lors d’une conférence à San Francisco en 2007, donc bien avant Maïdan et la crise qui s’en est suivie, le général US Wesley Clark, ancien commandant en Chef de l’OTAN, nous présente en cinq minutes les « gentils néoconservateurs » états-uniens et leur « Projet pour un Nouveau Siècle d’hégémonie américaine ». Ce projet est un projet très agressif qui annonce des changements de régime, des guerres, du chaos dans plusieurs pays, pour les placer dans l’orbite états-unienne. Le côté russophobe du projet ne peut échapper à un auditeur de bonne foi, alors même que la Russie n’était pas en état de poser le moindre problème à l’époque. (vidéo de 5 mn)

https://www.youtube.com/embed/vE4DgsCqP8U

C’est ça le leadership du camp du bien ?

2 – En 22 secondes, Madeleine Albright, une gentille néoconservatrice US, Secrétaire d’État états-unienne à l’époque, assume la mort de 500 000 enfants irakiens sur une télévision américaine en disant : « c’était un choix difficile, mais ça en valait la peine ». S’apercevant avec le recul qu’elle venait de dire une énormité, elle s’en est excusé quelques heures plus tard, mais sa véritable nature s’était exprimée sans honte et sans complexe devant la caméra …. (Vidéo 22 sec)

https://www.youtube.com/embed/CYrPvRk0j-8

Il faut rappeler aux non initiés que, lors de la première guerre du Golfe en 1991, guerre conduite avec l’aval de l’ONU, mais déjà sous prétexte mensonger, avéré aujourd’hui, (l’affaire des couveuses du Koweït), les forces américano-britanniques avait largué de l’uranium appauvri sur l’Irak, entraînant la mort de dizaine de milliers d’irakiens soumis à l’embargo sur les médicaments.(([1] https://www.courrierinternational.com/article/2003/03/06/les-enfants-meurent-par-milliers))

C’est ça le leadership du camp du bien ?

Certes, Madeleine Albright est allé rejoindre en enfer son maître Lucifer et n’est donc plus en mesure de nuire à l’humanité, mais sa fille spirituelle, la gentille néoconservatrice Victoria Nulland, rendue célèbre par son cri du cœur « Fuck the EU », et par son magnifique coup d’état de Maïdan de 2014 en Ukraine, pour seulement 5 milliards de dollars, est montée en grade pour la remplacer aux Affaires étrangères US.

https://www.youtube.com/embed/YYpze1WDVAA

C’est ça le leadership du camp du bien ?

3 – Le 15 avril 2019, le Secrétaire d’État US Mike Pompéo fait une déclaration surprenante devant les étudiants de l’université H&M :

« J’ai été directeur de la CIA et nous avons menti, triché, volé. C’était comme si nous avions eu des stages entiers de formation pour apprendre à le faire. Ceci nous rappelle la gloire de l’expérience américaine ».(([2] https://www.france-irak-actualite.com/2020/04/mike-pompeo-et-l-arme-du-mensonge.html))

C’est ça le leadership du camp du bien ? Très à l’aise et décomplexé , en tout cas…

On pourrait multiplier les exemples tant la perversité politique et morale de la petite élite néoconservatrice états-unienne qui détient la réalité du pouvoir aux USA et qui, par conséquent, dirige le camp du bien « US-UE-OTAN-G7 », n’a aucune limite.

Mais jetons maintenant un coup d’œil rapide aux principales réalisations du «camp du bien» sur les trois dernières décennies.

Depuis l’effondrement de l’ex-Union Soviétique, les principales réalisations du présumé « Camp du Bien » ont été calamiteuses et sanglantes pour la planète

Nous nous limiterons à cinq épisodes dont le lecteur devrait se souvenir.

1 – En avril 1989, l’affaire du faux charnier de Timisoara sert de catalyseur à la révolution roumaine. Un narratif mensonger, relayé pendant 6 semaines par la meute médiatique occidentale, parvient à faire tomber le dernier régime communiste en Europe de l’Est. Les médias s’excusent ensuite de « leur erreur », mais le coup est gagnant. Ce type de narratif mensonger visant à emporter la décision va devenir la règle dans l’espace médiatique occidental.

L’action concertée et « en meute » de ces médias mainstream va être facilitée, désormais, par une concentration toujours plus grande aux mains de quelques milliardaires d’obédience néoconservatrice et mondialiste. Ceux qui contrôlent l’opinion par la manipulation et l’émotion finissent donc par contrôler le monde. (vidéo 2 mn)(([3] https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/s872352_001/affaire-du-faux-charnier-de-timisoara- un-fiasco-mediatique))

Bien sûr, cette révolution n’a pas été terrible pour ce qui est des pertes en vies humaines ( seulement 1 100 morts et 3 300 blessés) mais ce qui est calamiteux, c’est cette évolution de l’espace médiatique occidental vers toujours plus de mensonges, de manipulations, de concentration au main d’un petit nombre, dans le but de prendre et garder le contrôle des populations en leur faisant gober n’importe quoi.

C’est une triste évolution qui a plus que jamais le vent en poupe dans le camp du bien à la grande satisfaction des hommes politiques au pouvoir.

2 – La première guerre d’Irak de 1990-1991, sous le prétexte mensonger des « couveuses du Koweït », conçu et mis en œuvre par la CIA, et sous le prétexte réel de l’invasion du Koweït.

Le 25 juillet 1990, Saddam Hussein rencontre l’ambassadrice américaine à Bagdad, April Glaspie. Duplicité ou non, celle-ci, bien au fait de ce qui se prépare (« nous constatons que vous avez amassé des troupes nombreuses à la frontière »), lui laisse entendre que les USA n’interviendraient pas dans un conflit opposant deux pays arabes. Saddam Hussein interprète les propos de l’ambassadrice US comme un feu vert. S’est-il fait rouler dans la farine par son allié américain qui l’avait instrumentalisé pour faire la guerre à l’Iran de 1980 à 1988 ? En tout cas, c’est bien la CIA qui a concocté le faux prétexte des couveuses…

Comme pour Timisoara, les médias occidentaux ont relayé le faux prétexte et menti en meute pour obtenir le déclenchement de cette guerre.

La vérité a fini par se savoir, après que ces mensonges aient atteint leurs buts, à savoir le vote d’une résolution à l’ONU et l’entrée en guerre du « camp du bien » qui avait trompé l’opinion.(([4] https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=Les+couveuses+du+Koweit))

Si l’on ajoute les morts survenues lors des opérations militaires, un peu plus de 100 000, et les morts indirects, liés aux suites de la guerre et aux conséquences de l’utilisation de l’uranium appauvri et des embargos sur les médicaments, le bilan oscille entre 500 000 et 1 million de morts, selon les sources.(([5] https://www.courrierinternational.com/article/2003/03/06/les-enfants-meurent-par-milliers))

Cet uranium appauvri, arme « sale » utilisée sans modération et sans véritable nécessité par les anglo-saxons sur les populations irakiennes ont eu des conséquences de long terme sur ces populations, mais aussi un effet boomerang sur les soldats non avertis de la coalition du camp du bien.

Outre l’uranium appauvri, les sanctions économiques et les embargos, y compris sur les médicaments, sont devenues des armes de guerre privilégiées du camp du bien, parce qu’ils tuent beaucoup plus que n’importe quel bombardement, et dans la discrétion, car les pertes sont étalées dans la durée, bien après les opérations militaires.

Encore une belle réalisation à l’actif du camp du bien, fondée sur la duplicité et le mensonge.

3 – Le démembrement de l’Ex Yougoslavie

Les tenants et les aboutissants de cette affaire qui va durer 9 ans, sont très mal connus de ceux qui se prétendent experts du sujet et qui réécrivent l’histoire à la gloire du « camp du bien ».

Le 5 novembre 1990, alors que les pays de l’est sont en situation de quasi faillite, le Congrès US adopte une loi sur l’octroi de moyens financiers à l’étranger (Foreign Operations Appropriations Law 101-513) décidant que tout soutien financier à la Yougoslavie serait suspendu dans les 6 mois, sans possibilité d’emprunt ou de crédit.

Cette procédure délibérée était évidemment dangereuse au point que, déjà le 27 novembre 1990, le New York Time citait un rapport de la CIA prédisant, avec justesse, qu’une guerre civile sanglante éclaterait en Yougoslavie.

C’est cette loi et la pression économique et financière US qui ont constitué la source de la division en ex- Yougoslavie, de la guerre civile et du démembrement du pays qui s’en sont suivis et qui se sont conclus par le bombardement de Belgrade par l’OTAN, sans accord de l’ONU, au printemps 1999.

Le véritable bilan humain de ce démembrement de l’ex Yougoslavie, magistralement planifié et réalisé par le chef de meute US du «camp du bien», varie, selon les sources et ce que l’on compte. Il est de 200 000 à 250 000 morts.

Avant 1990 : une république fédérale non alignée sous contrôle du « camp du bien » :

250 000 morts plus tard :

Après 1999 : une mosaïque de petits états de 23,5 millions d’habitants

Enseignements à tirer de ce magnifique cas d’école :

  • L’Arme économique et financière a été la première utilisée en 1990 et s’est avérée décisive dans l’exécution du plan de démembrement. « Nous avons provoqué l’effondrement de l’économie… »
  • Le plan n’a pu être mené à son terme qu’en obtenant la soumission de la Serbie récalcitrante par 78 jours de bombardement au printemps 1999, selon la stratégie des cinq cercles, en insistant sur les infrastructures Ces bombardements ont été justifiés par un prétexte mensonger : le faux massacre de Racak. Ils n’avaient pas l’aval de l’ONU, mais l’OTAN cherchait déjà à se substituer à l’ONU en se comportant en shérif de la planète. L’écrasante supériorité aérienne otanienne et sa crainte d’engager le combat au sol, sur le théâtre kosovar, doivent être notées dans cette affaire.(([6] https://www.monde-diplomatique.fr/2019/04/HALIMI/59723))
  • Le choix du bon moment par le camp du bien pour appliquer ce plan de démembrement, c’est à dire le moment où la Russie et la Chine, trop faibles, ne pouvaient réagir (décennie 1990-1999).

Cette opération de démembrement a provoqué une prise de conscience par la Russie et la Chine, humiliées par le bombardement de Belgrade, de ce qui pouvait leur arriver un jour. Ils ont donc tissé des alliances : OCS (2001) et BRICS (2008) qui s’avèrent très efficaces aujourd’hui en soutien de la Russie.

Par ailleurs, Poutine qui a suivi ces affaires au plus haut niveau depuis 1999 a très vite compris que ce qui était arrivé à l’ex-Yougoslavie, serait appliqué un jour à la Russie. Pendant plus de vingt ans, il a préparé son pays à une confrontation qu’il savait inéluctable alors même que le « camp du bien » autoproclamé, arrogant, dominateur et trop sûr de lui même, désarmait à tout va et que son chef de meute US étendait son contrôle vers l’Est, avançant ses fusées et ses bases militaires vers les frontières russes.

Plan de démembrement de la Russie par le « CAMP DU BIEN »

Avant démembrement : une Fédération riche en ressources de toute nature mais difficile à contrôler par le « camp du bien » et surtout empêchant de dominer le monde.

Quelques centaines de milliers ou de millions de morts plus tard (dans les deux camps)

Après démembrement : nouvelle configuration projetée des territoires russes, une mosaïque d’États plus petits, moins peuplés et plus faciles à contrôler, à exploiter et à soumettre par le camp du bien

4 – La 2e guerre d’Irak (mars 2003- décembre 2011)

Nous ne nous étendrons pas sur la 2ème guerre d’Irak fondée, elle aussi, sur un prétexte mensonger: les armes de destruction massive de Saddam Hussein qui n’existaient pas.

Chacun se souvient de la comédie jouée par Colin Powell devant le Conseil de Sécurité de l’ONU, mentant éhontément à la face du monde entier avec sa poudre de Perlin Pimpin.

De 2003 à 2011, de 150 000 à 1 millions de victimes directes ou indirectes de cette 2ème guerre d’Irak ont été décomptées, selon les sources, dont 75% à 80% de civils.(([7] https://www.lepoint.fr/monde/les-500-000-morts-de-la-guerre-en-irak-18-10-2013-1745327_24.php))

Le chef de meute US du camp du bien a mis en œuvre les nouvelles méthodes plus discrète pour tuer, indirectement bien sûr, la population civile de l’adversaire afin de contraindre le chef du camp opposé à se soumettre.

Exemples ?

– Les bombardements en application de la théorie des cinq cercles qui visent, entre autres, les infrastructures nécessaires à la survie des populations. C’est une théorie inventée aux USA, moralement discutable, et dont les états-uniens admettent mal qu’elle puisse être appliquée par d’autres qu’eux mêmes sur les théâtres de conflit. Cette stratégie avait déjà été utilisée dans les bombardements contre la Serbie.(([8] https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_des_cinq_cercles))

– Les sanctions économiques et les embargos, y compris sur les médicaments, qui deviennent des armes de guerre parce qu’ils tuent beaucoup plus que n’importe quel bombardement, et dans la discrétion, puisque les pertes sont étalées dans la durée, bien après les opérations militaires.

C’est encore là une réalisation du « camp du bien », sans aval de l’ONU, sur la base d’un mensonge, à laquelle pour une fois, la France, l’Allemagne et le Canada avaient refusé de s’associer, ce qui étaient tout à leur honneur. A l’époque, certains pays de l’OTAN avaient encore un peu d’honneur et de souveraineté.

5 – La guerre syrienne (2011-2023 ….)

Déclenchée en mars 2011 selon des techniques désormais éprouvées, cette xième révolution colorée, elle aussi concoctée par les néoconservateurs états-uniens, selon les propos même de l’ancien commandant en chef de l’OTAN, le général US Westley Clark (vidéo présentée en début d’analyse), a été conduite, comme les deux guerres d’Irak, au profit d’Israël dont des soutiens très influents dirigent les politiques étrangères états-unienne et européenne. Bilan provisoire : 500 000 morts à ce jour.

On pourrait ajouter aux exemples qui précèdent l’Afghanistan, le Yémen, la Libye, autant d’états souverains agressés par le camp du bien et/ou ses alliés au seul prétexte que leurs dirigeants et leur politique ne servaient pas les intérêts du camp du bien.

On pourrait ajouter aussi, au cours des trois dernières décennies, les innombrables ingérences US dans les affaires intérieures de dizaines de pays (tentatives de révolutions colorées, ingérences électorales, pressions économiques, visant à contraindre tel ou tel État à se soumettre aux volontés d’un État devenu voyou, car dirigé par un État profond de type mafieux qui fait la pluie et le beau temps dans les élections états-uniennes, mais aussi européennes.

Au delà de ces diverses réalisations souvent sanglantes du camp du bien, il faut bien se pencher sur les méthodes utilisées par ce camp du bien US-OTAN-UE-G7 et par les moyens dont il dispose.

Pour le camp du bien, la fin justifie les moyens. La légalité internationale importe peu. C’est la loi du plus fort et « les règles » qu’il fixe unilatéralement qui doivent s’appliquer

Pour imposer leurs « règles » au monde entier, les USA, chef du « camp du bien » se servent d’abord de deux armes redoutablement efficaces : le dollar et l’extraterritorialité autoproclamée de leur droit qui lui est attaché. Ils n’hésitent pas à sanctionner leurs adversaires mais aussi leurs alliés qui n’appliqueraient pas strictement les «règles» qu’ils sont seuls à pouvoir fixer. Certaines banques françaises, par exemple, ont dû payer des amendes de plusieurs milliards de dollars au Trésor US pour avoir osé contourner des sanctions économiques US contre l’Iran et plusieurs autres pays placés sous embargo.(([9] http://www.francetvinfo.fr/economie/entreprises/amende-de-la-bnp/))

Les USA et leurs alliés du camp du bien n’hésitent pas non plus à faire main basse sur les avoirs de leurs adversaires lorsque ceux ci (Iran, Afghanistan, Russie..) ont eu la malencontreuse idée d’en déposer dans les banques US ou dans celles des États membres de l’OTAN. « Nous avons menti, triché, volé »

Les USA n’hésitent pas non plus à s’emparer des fleurons industriels de leurs alliés les plus serviles en allant jusqu’à emprisonner en quartier de haute sécurité, sous des prétextes fallacieux, des cadres de ces entreprises pour faire chanter la direction ( Affaire Alsthom, Frédéric Pierucci). Ils vont jusqu’à corrompre les hommes politiques et les chefs d’entreprises (MaKron) pour arriver à leurs fins.

Ils vont même jusqu’à torpiller les contrats commerciaux internationaux de leurs alliés les plus fidèles pour les reprendre à leur compte et les attribuer à leurs entreprises. (Contrat de 35 milliards de $ pour les avions ravitailleurs de l’US Air Force, gagné par Airbus en 2008 et réattribué à Boeing ; contrat de 56 milliards de dollars pour les sous marins australiens annulé en Septembre 2021 pour être réattribué aux entreprises US).

Ils entretiennent un système d’écoutes téléphoniques de la NSA, révélé par Snowden pour espionner les dirigeants des grands pays alliés, découvrir leurs faiblesses, voire leurs turpitudes, établir des dossiers sur eux et les faire chanter autant que de besoin pour mieux les soumettre, et cela, sans même que les intéressés ne s’en offusquent. C’est même le contraire. Plus les dirigeants de l’UE se font tromper, cocufier, sodomiser par ceux des USA, plus ils semblent se satisfaire de la situation.

C’est tout cela qui fait l’excellence de la relation partenariale et de la cohésion au sein du « camp du bien ».

Hyperpuissance confite dans son égocentrisme, les États-Unis, chef de meute du camp du bien, usent et abusent de leur force et de leurs monopoles. En français, on appelle cela « abus de position dominante ». Pour un Américain moyen, peu habitué aux termes juridiques même les plus simples, cela se traduit par : « Pourquoi se gêner ?»

C’est ainsi qu’ils restent l’un des rares pays au monde à ne pas avoir signé et surtout ratifié la convention d’Ottawa de 1997 sur l’interdiction des mines antipersonnel.

Ils violent encore aujourd’hui la Convention de Genève de 1992 sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication, du stockage et de l’emploi des armes chimiques et sur leur destruction qu’ils ont pourtant signé et ratifié en 1997, en autorisant l’allié ukrainien, signataire de la convention, d’utiliser ce type d’armes sur le front du Donbass.

Ils violent la Convention sur l’interdiction des armes biologiques qu’ils ont signé en 1975. Et, pour le faire plus discrètement, ils délocalisent leurs laboratoires dans des pays alliés peu regardant sur la question (Ukraine)(([10] https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/03/09/des-laboratoires-biologiques- finances-par-les-etats-unis-existent-bel-et-bien-en-ukraine/ )), tout en conservant quelques laboratoire de recherche ultra-secrets sur leur territoire : (Fort Detricks).(([11] http://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=Fort+Detrik+laboratoire#fpstate=ive&vld=cid:f9fd8aff,vid:DiQ6u1wlDhI))

Pour couronner le tout, les USA, chef incontesté du camp du bien, sont le seul pays au monde à ne pas avoir ratifié la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant.(([12] https://fr.wikipedia.org/wiki/Non-ratification_de_la_Convention_relative_aux_droits_de_l%27enfant_par_les_%C3%89tats-Unis))

C’est sans doute cela la beauté et la grandeur du modèle néoconservateur et mondialiste, auquel la gouvernance de l’UE adhère désormais sans réserve, voire avec enthousiasme.

C’est ça le chef de meute US auxquels nos gouvernants ont librement (?) choisi de se rallier et qu’il nous faudrait suivre dans sa croisade russophobe en Ukraine, pour garder au camp du bien l’hégémonie mondiale .

Mais on est encore loin d’être au bout de l’analyse de ce camp du bien qui sait aller beaucoup plus loin dans l’horreur tout en donnant des leçons de morale et de bonne gouvernance au reste de la planète.

Il y a bien sûr les actions inacceptables de tortures, d’assassinat et d’humiliation sur les prisonniers de guerre irakiens incarcérés à Abu Graib ou à Guantanamo, le tout perpétré par de gentils GI’s états-uniens qui, sans honte et sans complexe ont diffusé les images de leurs forfaits sur face book et sur le net à l’attention du monde entier. Le net ayant été « nettoyé » de la plupart des vidéos les plus sordides pouvant porter atteinte à l’honneur du « camp du bien », il n’en reste plus que quelques unes, moins horribles.(([13] https://www.nouvelobs.com/photo/20160825.OBS6879/torture-humiliations-les-photos-qui-ont-revele-l-horreur-d-abou-ghraib.html))

On aurait pu imaginer qu’il s’agissait là de bavures qui seraient sévèrement sanctionnées par le Camp du bien? Eh bien non! Une des principales tortionnaires US Lynndie England, un patronyme évocateur et fièrement porté, sera condamnée à 3 ans de prison, mais n’en fera qu’un seul. Elle a pourtant exécuté elle même quelques prisonniers et s’est faite photographiée devant les cadavres. Pas cher payés les crimes de guerre perpétrés par l’US Army… Il est vrai que dans l’article paru dans The Gray Zone, le journaliste d’investigation US Seymour M. Hersh, prix Pulitzer, a révélé l’existence de « Copper Green », un programme de torture utilisé en Afghanistan, puis en Irak et approuvé par le Secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld lui-même. (un gentil néoconservateur mondialiste, cité par le général Clarck dans la première vidéo).

C’est ça le camp du bien qui donne des leçons de morale et de gouvernance au monde entier et qui hurle souvent au crime de guerre, dans des inversions accusatoires de plus en plus délirantes ?

Assez tordu pour institutionnaliser la torture, assez stupide pour se vanter sur internet et se faire prendre les doigts dans la confiture. C’est ça aussi le camp du bien.

Il est vrai que jusque là, les autorités militaires états-uniennes faisaient plutôt dans la discrétion en délocalisant la torture (comme leurs laboratoires biologiques) dans des pays peu regardants, parmi lesquels des pays de l’OTAN (Pologne, Roumanie, Lituanie) et en envoyant leurs bourreaux « opérer » sur place.(([14] https://www.liberation.fr/planete/2014/12/10/comment-la-cia-a-delocalise-ses-centres-de-torture_1160917/))

Nous avons déjà évoqué les sanctions économiques et les embargos qui peuvent être, sur la durée, beaucoup plus meurtriers que les bombardements pour les populations civiles les plus fragiles et notamment les enfants et les vieillards. C’est le cas notamment de l’embargo US sur les médicaments toujours en vigueur pour la Syrie, alors même que cette population civile vient de connaître un tremblement de terre ayant occasionné des pertes importantes et de nombreux blessés. Chacun peut voir dans ce jusqu’au boutisme enragé, stupide et contre-productif du « camp du bien », le niveau de ses qualités humaines et morales, et comprendre pourquoi ce camp du bien suscite le dégoût, le rejet et la haine sur la majeure partie de la planète.

Depuis 1990, l’appel du chef de meute US du camp du bien à des Sociétés Militaires Privées (SMP) a explosé sur tous les théâtres d’opération. Ce système n’a rien à voir avec le mercenariat dans lequel les individus sont recrutés directement par les États. Dans les SMP, ils signent des contrats avec des sociétés ayant un statut juridique et celles ci traitent avec les États.(([15] https://www.dw.com/fr/wagner-blackwater-societes-militaires-privees-smp-mode-d-emploi/a-60704920))

La simple observation des faits montre, par exemple, que les USA ont signé quelques 3 000 contrats avec des SMP entre 1994 et 2004. La plus tristement célèbre de ces nombreuses Sociétés Militaires Privées opérant pour le camp du bien est la Société US Black Water, fondée en 1997, et connue pour ses innombrables exactions et massacres commis en Afghanistan et en Irak. Mais bien sûr, l’impunité est totale, comme pour les militaires des Armées du « camp du bien ».(([16] https://www.liberation.fr/planete/2007/10/08/en-irak-blackwater-accuse-de-massacre-delibere_12437/))

Ce système des SMP est particulièrement efficace et limite les risques politiques de l’État qui l’utilise. Bien sûr le camp du bien voudrait en garder l’exclusivité et a tendance à considérer comme une « organisation terroriste » toute SMP qui ferait concurrence à celles du Camp du bien.

On notera avec intérêt que Wagner, la première SMP russe, n’a été fondée que le 1er mai 2014, peut être en réaction au coup d’État de Maïdan, mené par le « camp du bien », dans lequel certaines SMP états-uniennes avaient joué, dans l’ombre, les premiers rôles. Fondée 17 ans après les Black Waters, Wagner a donc 17 ans de retard sur Black Waters pour ce qui pourrait être présenté comme des exactions, par les narratifs toujours présumés « honnêtes » des médias du camp du bien, hélas trop souvent pris les doigts dans la confiture du mensonge.

Ce que chacun doit comprendre, c’est que les USA et leurs alliés du camp du bien ne supportent pas que Wagner, une jeune société militaire privée russe, de moins de neuf ans d’existence, puisse se distinguer par une efficacité et une éthique militaires bien supérieures à n’importe quelle SMP du camp du bien, y compris Black Water, de 17 ans son aînée. C’est la raison pour laquelle ils dénoncent cette concurrence qu’ils jugent déloyale.

Il est donc hilarant de voir les USA classer Wagner en organisation terroriste, alors que la SMP US Black Water est vraiment une organisation terroriste depuis 26 ans, tout en bénéficiant de l’immunité liée à son travail au profit du camp du bien. On est dans le traditionnel deux poids-deux mesures. Rien de bien surprenant de la part du camp du bien.

La première partie de cette « apologie » du camp du bien, que certains n’hésiteront pas à qualifier de réquisitoire, étant déjà lourde à porter et très longue, il est bon d’y mettre un terme par l’intéressante question des exécutions extrajudiciaires.

En 2014, peu après le coup d’état de Maïdan et l’annexion de la Crimée par la Russie qui s’en est suivie, un conseiller du ministre de l’Intérieur ukrainien (Anton Guerachenko) sous influence des grands services de renseignements du camp du bien (CIA, Mossad, MI6) crée une plate forme collaborative en ligne pour établir la liste des personnes à éliminer physiquement parce qu’elles s’opposent aux intérêts de l’Ukraine, mais surtout au projet néoconservateur et mondialiste qui passe par le démembrement de la Russie.

En fait ce projet est 100 % états-uniens et liste quelques 289 000 personnes dans le monde entier. C’est ce qui ressort de l’article très documenté de Bellincioni Berti du 4 Septembre 2022.(([17] https://www.profession-gendarme.com/wp-content/uploads/2022/09/Lorsque-les-services-ame%CC%81ricains-ciblent-leurs-propres-ressortissants.pdf))

L’originalité de ce projet de nature terroriste, puisqu’il a pour objet de répandre la terreur chez tous ceux qui s’opposeraient aux narratifs du camp du bien sur l’Ukraine, c’est qu’il est ouvertement soutenu par les USA, mais aussi par un silence, évidemment complice, des dirigeants actuels de l’UE qui laissent faire. Ainsi, des universitaires, des journalistes, des anciens militaires ou diplomates, des élus, sont menacés de mort parce qu’ils refusent ouvertement de se soumettre aux diktats des néocons mondialistes. Peu importe qu’ils soient eux même citoyens du camp du bien.

Certaines exécutions ont été déjà effectuées pour l’exemple, dont celle de Daria Douguine, assassinée le 20 août 2022 en Russie.

Cela montre, s’il en était encore besoin, la véritable nature des pays membres du camp du bien, dont le discours des politiques n’est plus en adéquation avec leurs actes depuis l’effondrement de l’Union Soviétique en 1990 et l’émergence dans les hautes sphères du pouvoir états-uniens d’une engeance néoconservatrice et mondialiste qui a largement essaimé dans les gouvernances des grands pays européens.

Inutile d’évoquer, pour alourdir le bilan, l’instrumentalisation du terrorisme de Daesh et d’Al Quaida, par le camp du bien, dans le seul but de faire tomber Bachar el Assad, chef d’État laïque et reconnu aux Nations Unies qui a pour seul défaut de déplaire à Israël, l’un des champions influents du camp du bien.(([18] https://mondafrique.com/fafa-nest-quune-une-girouette-face-aux-djihadistes-dal-nosra/))

Inutile d’évoquer non plus l’exécution illégale et provocatrice du général iranien Soleimani par les États-Unis qui ne reculent devant rien pour semer le chaos et la mort sur la planète.(([19] https://www.rts.ch/info/monde/11455273-lexecution-du-general-soleimani-etait-illegale-selon- une-experte-de-lonu.html))

Quels cris d’orfraie n’aurions nous pas entendus dans les médias du «camp du bien» si l’un de nos généraux avait été exécuté de la sorte par un drone iranien ?

Et oui, c’est tout cela le camp du bien…

Arrivé à ce stade de l’analyse, il est bon de faire une pose pour digérer cette première avalanche de rappels d’informations et de faits indéniables qui sera suivie d’une 2e vague, puis de l’analyse du « camp du mal » : celui qui s’oppose au nôtre.

En conclusion provisoire, je peux simplement constater que je ne me reconnais pas dans ce camp du bien, tel qu’il apparaît jusqu’à présent. Je ne comprends pas par quelle perversion éthique, morale et intellectuelle certains de mes frères d’armes ont pu offrir leur allégeance inconditionnelle à un camp du bien dont les dirigeants ont autant menti, triché, volé, tué, torturé, violé les lois internationales, nuit aux intérêts de notre pays, pour les seuls intérêts de leur chef de meute US, un chef de meute qui n’a que faire de la légalité internationale et pour lequel les règles qu’il a lui même fixées doivent s’imposer à tous.

(…) 

Tout est là : « Chacun devra, à un moment ou à un autre, choisir son camp dans cette guerre à mort ». Ce camp ne sera pas nécessairement le camp que des gouvernants de rencontre mal élus, appuyés par les médias, ont choisi pour nous.

(À suivre)

Dominique Delawarde,
le 13 février 2023.


Notes




REVUE DE PRESSE DU 23 FÉVRIER 2023

Par MF

ÉDITO
OMS, le cauchemar continue

Avec les projets d’amendements du règlement sanitaire international et le traité sur les pandémies, tandis que Die Welt reconnaît la falsification des essais de Pfizer, que le Japon indemnise un effet mortel du vaccin anti-covid, que même le Lancet admet que l’infection protège au moins autant que le vaccin ou que des études prouvent que le Professeur Montagnier avait raison. Les preuves d’effets cancérigènes s’accumulent, la natalité s’effondre et la surmortalité explose dans les pays qui ont le plus vacciné. Pendant ce temps, des médias, des élus et des états tendent vers la recherche de transparence et de justice, et les résistants à la doxa officielle écrivent des livres, manifestent et soutiennent la réflexion collective de leurs communications scientifiques sans conflits d’intérêts.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Des soignants suspendus se sont suicidés

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/des-soignants-suspendus-se-sont-suicides-elsa-ruillere

Cette suspension, sans aucune rétribution ou aide sociale possible, « c’est de la mise en danger de la vie d’autrui ».

La nouvelle normalité

http://informations-covid.e-monsite.com/blog/fin-de-l-epidemie-place-a-la-nouvelle-normalite.html

Au lieu de reconnaître les effets délétères des injections anti-covid, la HAS envisage l’extension pour certaines professions de vaccins annuels (à ARNm) contre le Covid, la grippe, la coqueluche et d’autres maladies et la vaccination contre la grippe pour les enfants de 2 à 17 ans.

Le traité sur les pandémies de l’OMS

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-traite-sur-les-pandemies-e-l-oms-instaureront-un-etat-mondial-policier

« Des textes “contraignants au regard du droit internationalqui violeront la Convention de Vienne sur le droit des Traités et qui conféreront à l’OMSdes pouvoirs dictatoriaux”. »

ÉTRANGER

ISRAËL — Un tribunal ordonne la divulgation du contrat de l’état avec Pfizer

« Énième preuve de la gigantesque escroquerie ! »

USA — Le New York Times en quête de transparence

https://www.francesoir.fr/societe-sante/sms-echanges-entre-ursula-von-der-leyen-et-albert-bourla-le-new-york-times-en-quete

« Le New York Times n’est pas seul à solliciter la justice pour forcer la main de la Commission à exécuter son obligation de transparence. Le quotidien allemand Bild a déposé une série de plaintes contre Bruxelles pour obtenir la divulgation de documents liés aux négociations avec Pfizer/BioNTech et AstraZeneca. Le parquet européen a quant à lui annoncé l’ouverture d’une enquête en octobre dernier. »

USA — Idaho, un projet de loi qui criminaliserait l’administration de vaccins anti-covid

https://francedaily.news/fr/le-nouveau-projet-de-loi-de-lidaho-criminaliserait-toute-personne-administrant-des-vaccins-a-arnm-covid-19/27364.html

L’auteur de l’article fait semblant de ne pas comprendre les fondements de ce projet, ce qui montre le déni de la gravité des effets indésirables.

JUSTICE

Personnels suspendus, demandez votre réintégration

Selon Me Carlo Brusa les dispositions de la loi du 5 août 2021 sont caduques.

La HAS envisage de lever l’obligation vaccinale chez les soignants

https://www.leparisien.fr/societe/sante/vaccination-contre-le-covid-19-la-has-envisage-de-lever-lobligation-chez-les-soignants-20-02-2023-4LCHFKJ765BAVF6RA3ODIUTCCM.php

mais pas avant fin mars !

et

https://t.palace.legal/nl3/h816fFdRNhiuEQSICLfdmg

Surtout, ne pas participer à cette pseudo-consultation ! « La HAS a d’ailleurs restreint la participation à cette “consultation” aux personnes morales uniquement. Ainsi les victimes d’effets secondaires des vaccins Covid-19 n’ont-elles pas leur mot à dire, du moins directement. »

JAPON, reconnaissance et indemnisation d’un effet mortel par le vaccin anti-covid

https://www.francesoir.fr/societe-sante/japon-mortalite-covid-professeur-masanori-fukushima-plainte

« Masataka Nagao, médecin légiste attaché à la faculté de médecine de l’université d’Hiroshima, a constaté que les personnes décédées après une injection de vaccin anti-Covid-19 présentaient une température du corps anormalement élevée. »

COVID

Le Lancet reconnaît (enfin) que l’infection protège au moins autant que le vaccin

https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-une-infection-protege-aussi-bien-qu-un-vaccin-selon-une-etude-20230218

Un article à lire avec des pincettes, car il continue d’insister sur l’intérêt de la vaccination, ou l’art de dire une chose et son contraire.

INJECTIONS

Die Welt publie un article reconnaissant ouvertement la falsification des essais de Pfizer

https://igorchudov.substack.com/p/german-press-discusses-pfizer-vaccine

« Pfizer a retiré de l’essai du vaccin Covid de nombreux patients ayant subi des effets indésirables. Il donne également des exemples de sujets Pfizer dont le décès a été dissimulé et que les contrats de Pfizer comprenaient une exonération de responsabilité, même en cas de négligence de la part de Pfizer et de “fraude ou mauvaise foi de la part de Pfizer elle-même”. »

Les vaccins inefficaces sur les contaminations dans les prisons californiennes

mais les cas augmentent chez les vaccinés.

EFFETS INDÉSIRABLES

La preuve dans 2 publications qu’une zone des vaccins ARNm contient une protéine de type prion

« Le professeur Montagnier avait raison. Ce qui est intéressant dans l’étude de janvier 2023 est le fait de ne plus trouver cette séquence de prions dans le variant Omicron. Et pour cause, selon les chercheurs français, la Nature se débarrasse de ce qui ne lui est pas naturel. »

Où sont les bébés ?

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/%20ou-sont-les-bebes-0

« Partout en Europe où nous disposons de données, la natalité s’effondre. On constate des pics de mortalité néonatale, pendant ou juste après les campagnes d’injection massives des personnes en âge de procréer. »

Les rappels contre le Covid déclenchent des métastases

https://www.lavieensante.com/2023-02-06-rappels-covid-declenchent-des-metastases/?ref=prenez-le-controle-de-votre-sante-newsletter

« Dans un article du 19 décembre 2022 paru dans Conservative Woman, le Dr Angus Dalgleish continue de discuter du phénomène de propagation rapide des cancers chez les patients qui étaient en rémission stable pendant des années avant de recevoir leurs injections de rappel contre le COVID. Il note qu’après la publication de sa lettre au BMJ, plusieurs oncologues l’ont contacté pour dire qu’ils observent la même chose dans leurs pratiques. »

OFFICIEL — Excès de mortalité toutes causes en Europe

Excès de mortalité 37 % en Allemagne, 25 % en France…

RÉSISTANCES

Les apprentis sorciers, le livre d’Alexandra Henrion-Caude

Bénéfices reversés au profit des personnels suspendus.

La science outragée

« Manipulation des chiffres, études biaisées, campagnes de dénigrement des lanceurs d’alertes et des alternatives aux injections, scandales vaccinaux passés, conflits d’intérêts et médias dominants vendus à l’industrie et au pouvoir, le dernier ouvrage du Pr Bourdineaud, La science outragée, n’épargne personne et marque la riposte de ces scientifiques sans conflit d’intérêts trop longtemps confinés dans le silence. »

CSI n° 90 du 9 février 2023

https://crowdbunker.com/v/X1781kc4TD
Invitée Christine MacKoi. Sujet « mortalité néo-natale »



CSI n° 91 du 16 février 2023

https://crowdbunker.com/v/HbaBAASN
Invitée Hélène Banoun



CSI n° 92 du 23 février 2023

https://crowdbunker.com/v/rdTfT7fG
Invité : Michel CUCCHI, docteur en sociologie, docteur en médecine et cadre de la fonction publique Sujet : Pandémies : l’impasse biosécuritaire.



Publications d’Hélène Banoun

https://www.researchgate.net/publication/368667458_Helene_Banoun_Publications_sur_la_COVID-19_liens_et_resumes

Une liste de nombre et contenu impressionnants




OMS et Nouvel Ordre Mondial

[Source : anthropo-logiques.org via RI]

Je suis profondément heureux de re-publier ici, avec son aimable autorisation, une nouvelle analyse magistrale de ma consœur Françoise Bloch au sujet de ce qui se trame à l’OMS et du rôle que d’aucuns aimeraient voir jouer à cette organisation profondément corrompue au sein du Nouvel Ordre Mondial…

Avec cet argument a priori imparable : si c’est pour la santé des populations, de quel droit oserait-on s’opposer aux décisions de cet organisme ?

Les manœuvres pour soumettre les pays aux décisions contraignantes (diktats) de l’OMS se déroulent déjà au grand jour depuis quelques années. Si les Occidentaux apparaissent soumis à cet agenda totalitaire mondial, la bonne surprise est venue à plusieurs reprises du reste du monde, à qui évidemment on ne la fait pas quand il s’agit d’imposer de nouvelles formes d’impérialisme.

Ceci advient à un moment où l’organisation n’en finit pas de se discréditer. En dépit de la quasi-absence de nouveaux cas, par exemple, l’OMS vient de reconduire la « variole du singe » comme urgence sanitaire internationale… Une urgence sanitaire sans cas est une innovation intéressante de plus dans le registre du théâtre de l’absurde… mais certainement pas de la santé publique !

Quant au très douteux scientifique Jeremy Farrar (directeur du Wellcome Trust), il vient, à peine élevé à la dignité de Chief Scientist de l’OMS, de proposer qu’on renonce aux investigations quant à l’origine du Sars-CoV-2 — question en effet sans importance ! Il s’en est ensuite défendu, sachant à quel point le sujet est chaud : pas moins de dix chimères de coronavirus de chauve-souris ont été produites dans le laboratoire de Wuhan après que Barack Obama ait interdit les recherches sur les gains de fonction sur les virus — le Sars-CoV-2 apparaissant désormais bien, comme l’avait dit très vite le Pr Luc Montagnier, un produit d’ingénierie du vivant…

Au-delà de ces vilaines péripéties se déploie un réel problème de fond : la volonté de subordonner de manière contraignante la souveraineté sanitaire des pays à une organisation internationale connue aujourd’hui comme étant LA plus corrompue au monde.

Françoise Bloch, en observatrice avertie, nous livre un article de haute tenue décrivant les risques et les enjeux de cette pièce maîtresse du dispositif de gouvernance mondiale en voie d’imposition par des pouvoirs étatiques mafieux. Engagés dans de véritables « crimes d’état contre la démocratie » selon le terme consacré par le professeur de sciences politiques américain Lance de Haven Smith…

Jean-Dominique Michel

[Mise à jour.
Voir aussi :
« Le Traité sur les pandémies de l’OMS instaurera un État mondial, policier, médical et scientifique », selon Francis Boyle, professeur de droit
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-traite-sur-les-pandemies-e-l-oms-instaureront-un-etat-mondial-policier
et
Un avocat révèle les projets de pouvoir de l’OMS]

La clef de voûte du Nouvel Ordre Mondial passe-t-elle par de nouvelles prérogatives attribuées à l’OMS ?

Par Françoise Bloch[1]

« Qui écoute un témoin le devient à son tour…
Cela reste important de délivrer un message, pas seulement pour le peuple juif, mais pour la noblesse de l’être humain »

Elie Wiesel[2]

« Aujourd’hui plus que jamais, la conception de l’être vivant comme machine est indissolublement liée au fait que nous vivons dans une société capitaliste et industrielle : elle reflète ce que les instances qui dominent la société voudraient que le vivant soit, afin de pouvoir en faire ce que bon leur semble. »

Bertrand Louart[3]

Préambule

Selon Hannah Arendt[4]:

« Ce n’est que dans la mesure où il pense, et cela veut dire dans la mesure où il est sans âge — un “il” ou un “je” et non un “quelqu’un” comme le nomme si justement Kafka — que l’homme dans la pleine réalité de son être concret vit dans cette brèche entre le passé et le futur. Cette brèche n’est pas un phénomène moderne, peut-être même pas une donnée historique, mais va de pair avec l’existence de l’homme sur la terre. Il se peut bien qu’elle soit ce chemin frayé par la pensée, ce petit tracé de non-temps que l’activité de la pensée inscrit à l’intérieur de l’espace-temps des mortels (…). Ce petit non-espace-temps au cœur même du temps (…) peut seulement être indiqué, mais ne peut être ni transmis ou hérité du passé ; chaque génération nouvelle et même tout être humain nouveau en tant qu’il s’insère lui-même entre un passé infini et un futur infini, doit le découvrir et le frayer laborieusement à nouveau ».

J’ai donc essayé, durant ma vie y compris depuis ces trois ans de délire covidien, de me frayer ce chemin entre un passé et un avenir encore inconnu, mais que d’aucuns semblent vouloir écrire pour nous… en prolongeant un passé qu’ils se sont employés à reprendre à leur compte… pour leurs propres intérêts, n’ayant jamais su s’en détacher et voir que l’humain n’est pas qu’une « mécanique à réparer » ou à « perfectionner ». Les deux idéologies du 20e siècle, nées des conceptions scientistes du 18e et dont le capitalisme a finalement triomphé, n’ont su voir dans la vie et l’humain que la matérialité au point de désormais vouloir en faire un robot. Les hommes ne sont pas des machines que l’on peut télécommander par l’intelligence artificielle et autres béquilles technologiques même si celles-ci les fascinent. Il leur arrive même d’avoir une conscience et de penser dans cet espace-temps qui échappe aux soi-disant « élites mondialistes » dont les projets fous nous conduisent à un totalitarisme sanitaire et militaire si nous n’y prenons garde… et dont une partie est déjà en place, mais qu’ils accélèrent.

******

D’abord il nous faut faire un constat

De ces trois ans de « covidisme délirant », totalement déconnecté de la réalité de la situation et d’ailleurs de toutes les pratiques judicieuses et scientifiquement éprouvées en cas d’épidémie virale respiratoire voire de pandémie, mais fut simplement une « expérimentation d’ingénierie sociale », conçue et préparée de longue date[5].

Depuis l’arrivée du SRAS-CoV-2, nous pouvons énumérer les méthodes de manipulation de l’information qui ont été utilisées : essais cliniques falsifiés et données inaccessibles ; études truquées et en conflits d’intérêts ; dissimulation des effets secondaires à court terme des « injections géniques » nommées à tort « vaccins » et méconnaissance totale des effets à long terme de leur injection ; composition douteuse des « produits injectés » ; méthodes de test inadéquates ; gouvernements et organisations internationales corrompus ; médecins soudoyés ou menacés, voire interdits d’exercer leur métier ; dénigrement de scientifiques de renom ; interdiction de tout traitement alternatif efficace ; méthodes sociales liberticides et création de boucs émissaires — les non-vaccinés — pour diviser la population, monter les citoyens les uns contre les autres, et créer la discorde au sein des familles au point de pousser des enfants et adolescents au suicide ; utilisation par les gouvernements de techniques de modification du comportement et d’ingénierie sociale pour imposer l’enfermement, les masques et l’acceptation des injections ; censure des médias indépendants et discours planétaires uniformes, véhiculés par les médias les plus puissants du monde (trois agences de presse — AP, Reuters, AFP — toutes rachetées par des financiers et subventionnées, fournissant de quoi alimenter leurs articles)… et amplification du numérique à des fins de contrôle de la population.

Et pour conclure :

« En soutenant et en sélectionnant uniquement un côté de l’information scientifique tout en supprimant les points de vue alternatifs, et avec des conflits d’intérêts évidents, les gouvernements et les médias grand public ont constamment désinformé le public. Par conséquent, les lois de vaccination validées de manière non scientifique, issues de la science médicale contrôlée par l’industrie, ont conduit à l’adoption de mesures sociales pour la protection supposée de la santé publique, mais qui sont devenues de graves menaces tout à la fois pour la santé, les droits et les libertés des populations touchées »[6].

Après ce constat d’évidence

Fait par de nombreux chercheurs indépendants[7] et de citoyens et citoyennes éclairés, nous avons, de facto, vécu une expérimentation sociale, une forme particulière d’ingénierie sociale, longuement mûrie et préparée, que les « nouveaux maîtres du monde », à savoir les « élites mondialistes » auto-programmées et l’OMS, leur façade, considèrent finalement comme « réussie » puisque la grande majorité des citoyens — principalement occidentaux — ont consenti aux mesures préconisées y compris les plus coercitives. Car d’autres pays comme une bonne partie de l’Amérique latine, l’Égypte, plusieurs pays africains, la plupart des États indiens et y compris la Chine ont eu recours à des remèdes dits ancestraux — l’Artémisia annua par ex. — ou qui avaient fait leurs preuves scientifiquement. On peut donc constater que cette « expérimentation » n’a pas encore complètement atteint l’objectif visé par l’OMS et ses financeurs[8]. Elle a juste préparé ceux qui, sidérés et manipulés, n’ont pas pu ni su y résister : il s’agit désormais de contraindre tous ceux qui n’ont pas appliqué le « dispositif » ou qui ne l’ont pas atteint afin qu’ils se conforment au déroulement des prochains épisodes, c’est-à-dire l’objectif visé par ces élites mondialistes… et leurs complices : un contrôle totalitaire sur leurs vies au prétexte de prendre soin de leur santé… et de leur sécurité… par équité bien sûr ! En cela, malheureusement, l’OMS et ses complices trouvent chez certains ONG et partis politiques — essentiellement de gauche, « écologistes » et tiers-mondistes — des alliés objectifs au prétexte d’aide au développement et d’aide internationale aux pays les plus démunis financièrement. On reste stupéfait devant un tel aveuglement technophile, purement idéologique.

*****

Voyons maintenant les « préparatifs » de l’OMS en vue d’atteindre cet objectif — qui se veut mondial, question « d’équité », paraît-il — lors de l’Assemblée mondiale de la santé en mai 2023 : va-t-on vers un totalitarisme sanitaire et militaire ?

Pendant nos interrogations bien sûr légitimes sur ce que nous avons vécu parfois comme sidération et souvent comme maltraitance et le soin que nous apportons à en traiter les effets, de préférence avec bienveillance, l’OMS poursuit son agenda mondialiste, sous l’influence de ses financeurs à savoir les soi-disant « élites mondialistes » (dont bien sûr la Fondation Gates et la GAVI) réunies annuellement au Forum Économique Mondial (WEF) à Davos[9] par une intense activité de groupes de travail ; ceci d’autant plus que lors de l’Assemblée mondiale de la santé de 2022, plusieurs États membres, dont plusieurs africains, se sont opposés aux modifications du Règlement sanitaire international (RSI). Rappelons que, déjà en 2021, Urmie Ray dénonçait les dangers d’une mainmise accrue de l’OMS sur la santé mondiale[10]. Plusieurs groupes de travail — dont les membres sont cooptés — se sont déjà réunis plusieurs fois, en vue de :

  • – élaborer un nouveau traité, accord ou convention sur la prévention, la préparation et l’intervention en cas de pandémie[11],
  • – modifier le Règlement sanitaire international (RSI)
  • – amplifier les outils technologiques afin de poursuivre « une stratégie mondiale pour la santé numérique » (sic) censée façonner l’avenir de la santé mondiale[12].

Les nouvelles prérogatives que l’OMS cherche à se voir attribuer nous annoncent-elles la mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial de type totalitaire ? De nombreuses voix, essentiellement américaines, mais, quoique de façon moins audible, aussi européennes, s’élèvent pour dénoncer ce « coup d’État » qui militariserait la santé comme elle l’est déjà, depuis des décennies aux USA. Raison pour laquelle les Américains sont peut-être plus avertis des risques encourus puisqu’ils vivent déjà, sur leur territoire, leur accélération depuis la présidence de G. W. H. Bush durant laquelle la « guerre bioterroriste » a été conçue et lancée à travers diverses opérations : Dark Winter, Eco Global Health Security Initiative, Atlantic Storm et Event 201, que Monika Karkowska a déjà fort bien analysées[13].

Ainsi, le journaliste et chercheur indépendant James Roguski[14] dévoile, en s’appuyant sur un document interne de l’OMS[15], les effets qu’auraient les amendements proposés par l’OMS, dont ceux :

  • – de modifier la nature générale de l’Organisation mondiale de la santé, qui passerait d’une organisation consultative se contentant de formuler des recommandations à un organe directeur dont les proclamations seraient juridiquement contraignantes. (Article 1)
  • – d’étendre considérablement le champ d’application du RSI pour inclure des scénarios qui ont simplement un « potentiel d’impact sur la santé publique »
  • – de chercher à supprimer « le respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes. » (Article 3)
  • – de donner au directeur général de l’OMS le contrôle des moyens de production par le biais d’un « plan d’allocation de produits de santé » afin d’obliger les États-parties à fournir des produits de réponse à la « pandémie » dont la définition serait modifiée, selon ses instructions. (Article 13A)
  • – de donner à l’OMS le pouvoir d’exiger des examens médicaux, des preuves de prophylaxie, des preuves de vaccination et de mettre en œuvre la recherche des contacts, la quarantaine et bien sûr le traitement. (Article 18)
  • – d’instituer un système de certificats sanitaires mondiaux sous forme numérique ou papier, comprenant des certificats de test, des certificats de vaccin, des certificats de prophylaxie, des certificats de guérison, des formulaires de localisation des passagers et une déclaration sanitaire du voyageur. (Articles 18, 23, 24, 27, 28, 31,35, 36 et 44 et annexes 6, 7 et 8)
  • – de rediriger des milliards de dollars non spécifiés vers le complexe industriel d’urgence des hôpitaux pharmaceutiques sans aucune responsabilité. (Article 44A)
  • – de permettre la divulgation de données personnelles sur la santé. (Article 45)
  • – d’augmenter considérablement la capacité de l’OMS à censurer ce qu’elle considère comme de la désinformation et de la mésinformation. (Annexe1, page 36)
  • – de créer une obligation de construire, de fournir et de maintenir une infrastructure RSI aux points d’entrée. (Annexe 10)

Quelque peu réconforté par la 4e séance[16] de ce groupe de travail, puisque ses critiques auraient été entendues (!), J. Roguski en oublie que les modifications apportées au RSI ne sont qu’une partie du processus engagé.

Francis Boyle[17] élargit le propos

Expert en armes biologiques et professeur de droit international à l’Université de l’Illinois, il avait déjà été, en 1989, le rédacteur d’un rapport dénommé « Biological Weapons Anti-terrorism Act », présenté devant le Congrès US sous la présidence de G.H.W. Bush[18]. Récemment interviewé par « The Defender » au sujet des dernières propositions faites par l’OMS lors de négociations internes qui ont eu lieu à Genève du 6 au 13 février[19], il va nettement plus loin et soupçonne ces nouvelles prérogatives que veut s’attribuer l’OMS de revêtir toutes les composantes d’un « état totalitaire mondial de police médicale et scientifique » : celles-ci « pourraient violer le droit international et enlever toute souveraineté aux États en matière de politique de santé tout en s’assurant d’un contrôle sur la population mondiale par la mise en place de technologies numériques » ; tout ceci en vue d’atteindre « la stratégie mondiale de santé numérique » (sic), avec en vedette les GAFAM, l’IA, le contrôle accru des gouvernements et des citoyens qu’un autre groupe de travail étudie[20] en collaboration étroite avec le GHSI (Global Health Security Initiative)[21]. Très récemment, le Dr Mercola[22] annonce la nomination (fin décembre 2022) par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à la tête du GHSI, de son directeur — « un scientifique fou » — : le Dr Ferrar. On apprend que le Dr Ferrar était directeur, de 2013 à février 2023, du Wellcome Trust, complice de la dissimulation de l’origine du SRAS-CoV-2. Et que le Wellcome Trust et son directeur font partie du réseau technocratique mondialiste et du mouvement eugéniste moderne. Lorsque le SRAS-CoV-2 est apparu, M. Farrar a fondé Wellcome Leap, qui est en fait le DARPA de la santé mondiale (Defense Advanced Research Projects Agency, c. à d. une agence du département de la défense US). Cet organisme se concentre entièrement sur la recherche transhumaniste afin d’ouvrir la voie à la quatrième révolution industrielle. M. Farrar et le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, font par ailleurs partie d’un petit réseau mondial très soudé qui travaille en coulisse pour influencer la santé, la finance et la gouvernance mondiales… En coulisse donc.

Pour Francis Boyle, tous ces « préparatifs » qui brouillent les cartes entre « transparence relative et opacité » donnent toutefois une « cohérence » à l’ensemble des « préparatifs » que l’OMS compte faire voter par les États membres en mai 2023, mais ne doivent pas être analysés séparément même si tout est fait « pour noyer le poisson » et les faire apparaître comme séparés. Pris ensemble, ils vont dans le sens d’un pouvoir accru que l’OMS s’attribuerait y compris celui de contrôler l’application par les États de ses directives (mais aussi bien sûr le contrôle des citoyens du monde entier, ramenés au niveau d’enfants obéissants dans le meilleur des cas). De son rôle consultatif, la direction de l’OMS aurait désormais un rôle impératif dès lors que les 2/3 des États membres lui auraient donné un blanc-seing.

Et de préciser : le cadre du RSI de 2005 « permettait déjà au directeur de l’OMS de déclarer une urgence de santé publique dans n’importe quel pays, sans le consentement du gouvernement de ce pays, bien que le cadre exige que les deux parties tentent d’abord de parvenir à un accord ». « Selon le même document de l’OMS, les recommandations du comité d’examen du RSI et du groupe de travail des États membres sur les amendements au RSI de 2005 seront communiquées au directeur général de l’OMS, Tedros Adhanson Ghebreyesus, d’ici mi-janvier ». Cependant M. Boyle remet en question la légalité des documents susmentionnés, citant par exemple que le traité proposé par l’OMS viole la Convention de Vienne sur le droit des traités qui a été ratifiée en 1969 et que M. Boyle a décrite comme « le droit international des traités pour tous les États du monde »[23].

Il explique en outre la différence entre le dernier traité sur les pandémies et les propositions de modification du RSI : « Le traité sur les pandémies de l’OMS créerait une organisation internationale distincte, alors que les modifications proposées au RSI fonctionneraient dans le contexte de l’OMS telle qu’elle existe aujourd’hui ». Cependant, a-t-il déclaré « après avoir lu les deux documents, il s’agit d’une distinction sans différence. L’un ou l’autre, ou les deux, mettront en place un État policier médical et scientifique totalitaire mondial sous le contrôle de Tedros et de l’OMS, organisation de façade pour les CDC, que dirigeait Tony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, l’industrie de la guerre biologique et le gouvernement communiste chinois qui paie une partie de leurs factures… Soit ils obtiennent les règlements, soit ils obtiennent le traité, mais les deux sont existentiellement dangereux. Ce sont des documents vraiment dangereux… et insidieux ». Le Pr Boyle précise « n’avoir jamais lu de traités et de projets d’organisations internationales aussi complètement totalitaires que le règlement du RSI et le traité de l’OMS, car l’un et l’autre mettent en place un État policier médical et scientifique totalitaire qui échappera au contrôle des autorités nationales étatiques et locales » (et a fortiori aux citoyens) ; « … pour autant que je puisse en juger par leur lecture, ils sont, l’un et l’autre, conçus spécifiquement pour contourner les autorités nationales, étatiques et locales en matière de pandémies, de traitement de pandémies et de vaccins ».

Enfin, venons-en à Katherine WATT[24]

Dans un document qui retrace, année après année, une bonne partie des débats autour de la santé et de ses liens avec le DOD (département de la défense US) depuis le début du 20e siècle, elle montre que dès le début du siècle dernier, les élites américaines avaient, à plusieurs reprises, eu le projet de mettre en place un Nouvel Ordre mondial, velléités auxquelles seul Roosevelt, en 1933, avait — provisoirement — mis un terme. En outre, les élites US dès les années 20-30 avaient des projets de dépeuplement qui furent de nouveau approuvés en 1975 sous la présidence de G. Ford, dans le droit fil des théories eugénistes de la fin du 19e siècle que nous aborderons sommairement ultérieurement. Elle constate qu’aux USA, dès la fin des années 70 « la santé publique a été militarisée »[25] et que le personnel militaire a été utilisé comme « sujets » de recherches (ou plus exactement comme « cobayes ») pour les armes biologiques et chimiques, et que dans le prolongement de cette décision, « tout micro-organisme vivant, fabriqué par l’homme, a été considéré comme un objet brevetable (loi votée sous la présidence de Reagan en 1980) — ce que David Martin a très bien démontré[26] et contre quoi il nous mettait en garde — et qu’en 1986, sous la même présidence Reagan, « fut accordée aux fabricants de vaccins une immunité juridique pour les blessures et les décès causés par leurs produits » ; enfin que le HHS (le département de la santé et des services sociaux), dirigé par le Dr Fauci avait des liens structurels non seulement avec les multinationales pharmaceutiques, mais avec le Département de la Défense (DOD) en vue d’une guerre biologique et bioterroriste, toutes choses analysées par Monika Karbowska[27]. Lors d’une conférence de presse sur le déploiement en cours d’armes biologiques[28], K. Watt précise que de fait, depuis des années, « est utilisé un langage portant sur la santé publique afin de mener à bien une campagne militaire » dont nous avons d’ailleurs vu l’usage qu’en a fait, en France, le Président Macron, durant la crise dite du Covid, en s’entourant d’un Conseil de guerre constitué de militaires dont les propos furent tenus secrets. Je la cite :

“Ce que le Département de la défense et l’OMS ont l’intention de faire — ils sont allés assez loin pour cela sans pour autant atteindre leurs objectifs —, c’est de faire du monde entier leur terrain géographique : ils ciblent toute la population du monde, la durée de leur campagne et les armes qu’ils utilisent sont d’abord informationnelles, c’est-à-dire la propagande et la censure, les deuxièmes sont psychologiquesterreur et terrorisme — qui consistent à dire aux gens qu’ils doivent avoir peur en permanence et qu’ils doivent écouter le gouvernement, et enfin le 3e volet, les armes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires qui sont appelées dans leurs campagnes « vaccins pharmaceutiques », mais qui sont en fait des toxines et des agents pathogènes”.

Ensuite, K. Watt soulève les éléments juridiques et les aspects économiques et financiers qui permettent de mettre en place tout cet arsenal de mesures. Elle en conclut que ce projet dure depuis fort longtemps et que sont à la manœuvre des banquiers mondialistes et de nombreuses organisations apparentées qui cherchent à prendre le contrôle total des êtres humains par le biais de programmes bancaires et militaires. Tout ceci remonte au mieux aux années d’avant la 1re guerre mondiale, puis fut repris après la seconde, le nazisme ayant en partie échoué à éliminer une grande partie de la population mondiale (à l’exception tout de même des 60 millions de morts dont 26 à 28 millions de Soviétiques qui repoussèrent l’armée allemande, contribuant à lui faire perdre la guerre, et la quasi-totalité des juifs d’Europe !). « Les produits pharmaceutiques, grâce à l’immunité juridique qui les frappe, permettent le déni des intentions visées : ils peuvent atteindre l’objectif de tuer beaucoup de gens sans que leurs empreintes digitales soient partout »… à l’aide d’outils technologiques[29]… dont la 5 G !

[Voir aussi :
Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant
et
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

« Les contraintes financières passent par la Banque des Règlements internationaux (BRI) qui contrôle toutes les banques centrales et les institutions financières puis, tout du long, par les États, les gouvernements nationaux, locaux, municipaux, les écoles et les hôpitaux. Si vous vous conformez à ce qu’ils vous disent de faire, vous obtiendrez les moyens financiers pour ce dont vous avez besoin, pour gérer votre entreprise ou avoir un emploi et si vous ne consentez pas, ils peuvent vous couper tout ceci et c’est par là que tout a été réalisé. » En gros, précise, K. Watt : « C’est ce que nous avons déjà pu constater et vivre durant l’année 2021 et ladite « crise du Covid ».

Puis elle analyse tous les aspects juridiques qu’elle a repérés pour détourner les lois interdisant les armes chimiques et biologiques. Tous ces produits le sont à des fins “prophylactiques, protectrices ou défensives, cette dénomination étant fausse puisque tous ces produits biologiques sont agressifs, toxiques et mortels”, en sus d’être grandement inefficaces, comme nous l’avons constaté durant la crise du SRAS-CoV-2 et son cortège d’effets indésirables, pour la plupart censurés.

[Voir aussi :
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?
Nanotechnologie et « vaccins »
À quel point les virus sont-ils morts ?
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !]

Elle considère que l’OMS est la pierre angulaire de tous ces dispositifs et, selon elle, elle “n’est pas une organisation de santé, mais une organisation militaire, le bras militaire du gouvernement mondial unique que les élites essaient de mettre en place”. “Les amendements qu’ils veulent apporter au RSI visent à l’aggraver en exigeant des gouvernements nationaux la mise en place de mesures plus contraignantes et coercitives en cas d’épidémie de maladies transmissibles et le prétexte utilisé, formulé par les banquiers, est de protéger les entreprises des désagréments provoqués par les épidémies. Mais la vraie raison est le transfert des prérogatives des États Nations à l’OMS et à la BRI”.

Tous ces chercheurs américains en appellent à stopper le traité sur les pandémies et les modifications apportées au RSI, voire incitent leur pays à sortir de l’OMS. Peu de chance qu’ils soient entendus puisque les USA sont à la manœuvre depuis des années… sauf lorsque Trump voulut suspendre le financement US de l’OMS… mais certainement pas pour les mêmes raisons !

Ces éclaircissements, sous forme de révélations, nous éclairent désormais sur qui sont “les nouveaux maîtres du monde” à savoir les soi-disant élites mondialistes, essentiellement américaines, comme la plupart des multinationales pharmaceutiques et les banques à l’exception de la Banque des Règlements internationaux, la BRI, créée à Bâle en 1930, laquelle chapeaute toutes les banques centrales. On comprend aisément que la Suisse soit partie prenante de tous ces préparatifs et explique certainement la raison pour laquelle Genève accueille la plupart des Organisations internationales[30] dont l’immunité fut votée en 1945 par le Congrès US sous la présidence de Harry S. Truman ! La dernière en date, adoubée en 2015 par le Conseil fédéral Suisse comme Organisation internationale avec l’immunité juridique et les avantages y afférents, fut le WEF (Forum économique mondial) de Klaus Schwab[31] dont les modalités furent revisitées en 2020.

En conséquence et conclusion… toujours provisoire :

Si ces préparatifs de l’OMS aboutissaient, il en serait fini de la souveraineté des États comme des traités internationaux dont deux d’entre eux me semblent particulièrement importants : le Code de Nuremberg et les Protocoles d’Oviedo puisqu’il s’agit bien, dans tous ces “préparatifs”, de crimes contre l’humanité comme l’a démontré le Grand Jury sous la direction de Reiner Fuellmich et Viviane Fischer, et d’eugénisme dont je rappelle quelques éléments historiques.

[Voir aussi :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

L’eugénisme, théorie qui a prévalu à partir du milieu du 19e siècle en Occident, visait un programme de sélection artificielle pour produire une race humaine supérieure en s’appuyant sur la théorie de l’hérédité de W. Galton et sur celle de Darwin, appliquées aux êtres humains. Furent ainsi pratiquées, entre autres sous le nazisme, des expériences médicales sur l’humain, menées sur des détenus dans les camps de concentration (mais aussi sur les malades mentaux et les enfants). La plupart de ceux qui les pratiquèrent étaient médecins et, pour certains, professeurs d’Université, parfois même chercheurs réputés des expérimentations sur l’humain. Une toute petite partie d’entre eux (23 dont 20 médecins et une femme qui “officiait” comme médecin au camp de Ravensbrück[32]) furent traduits, en 1947, devant l’un des douze Tribunaux de Nuremberg, dont l’un, spécifique, concerna les seuls médecins[33].

[Voir aussi :
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
L’eugénisme, l’inavouable projet « scientiste » des philanthropes de la finance
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019]

De ces procès de Nuremberg est né le Code de Nuremberg qui établit une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 — août 1947), lesquels précisent les conditions auxquelles doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme “acceptables”. De là furent édictées des lois éthiques encadrant la pratique biomédicale[34].

Ces principes éthiques furent constamment remis en cause par les USA. L’OMS et les autorités politiques et sanitaires, notamment dans les pays occidentaux, s’en sont exonérées pendant ladite crise du SRAS-Cov2et ne fut pas plus tenu compte de la Convention et des Protocoles d’Oviedo[35] (avril1997), le seul instrument juridique international contraignant. Cette Convention-cadre et ses protocoles visent à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine. Refuser de se faire injecter des produits toxiques ne relève donc pas d’un “égoïsme” qui fut prêté aux “non-vaccinés”, mais bien d’une question éthique qui concerne toute l’humanité.

[Voir aussi :
Qu’est-ce que l’éthique en médecine ?]

Hannah Arendt dont l’œuvre gigantesque sur le totalitarisme fait référence[36] — que reprend à son compte Ariane Bilheran[37] — lors d’un dernier entretien réalisé par “les Crises” en 1973[38], jette un regard rétrospectif sur le nazisme, la banalité du mal, la raison d’État dont la sécurité nationale est issue et qui justifie les pires crimes, l’arrogance des puissants, et sur la peur que l’on ne s’avoue que rarement avoir, mais qui n’est que la peur de l’imprévu et de l’imprévisible fait de contingences, mais est surtout la peur de la liberté, celle en particulier de penser. Aurions-nous si peur d’être libres de penser par nous-mêmes de manière critique ? Et répondant à la question : qu’est-ce que la liberté de penser ? elle ajoute :

« Elle ne repose que sur la conviction que chaque être humain, en tant qu’être pensant, peut réfléchir aussi bien que moi, et peut former son propre jugement s’il le veut. (…) La seule chose qui peut vraiment nous aider, c’est vraiment de réfléchir. Réfléchir, cela signifie de toujours penser de manière critique. Et penser de manière critique, cela signifie que chaque pensée sape ce qu’il y a en fait de règles rigides et de convictions générales. Tout ce qui se passe lorsqu’on pense est soumis à un examen critique. C’est-à-dire qu’il n’existe pas de pensée dangereuse, pour la simple raison que le fait de penser est en lui même une entreprise très dangereuse. Mais ne pas penser est encore plus dangereux. Je ne nie pas le fait que réfléchir est dangereux, mais ne pas réfléchir, c’est plus dangereux, encore. »

[Voir aussi :
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »]

Il en est de la grande Histoire comme des histoires singulières, les mythes et les fables qui nous sont contés cachent souvent des secrets inavouables et n’ont pas grand-chose à voir avec la réalité toujours plus complexe. Ces “fables” se transmettent ainsi de génération en génération… qui les reprennent à leur compte. Ainsi Enzo Traverso dans son ouvrage sur « la violence nazie, une généalogie européenne »[39] fait-il remonter cette violence et l’extermination industrielle des juifs… et des Tziganes — les oubliés de l’Histoire comme le furent les colonisés — … à 250 ans, c’est-à-dire à l’épisode de la Terreur de 1793 lors de la Révolution française qui inventa la guillotine, aux guerres coloniales et aux abattoirs de Chicago créés au milieu du 19èmesiècle[40]. Jacques Pauwels, historien hétérodoxe, fait aussi tomber quelques fables qui nous furent contées — tout au moins pour ceux qui voulaient bien les croire —… et plus précisément celle que l’Europe aurait été sauvée par les Américains, “le pays de la Démocratie et de la Liberté[41].

De fait, les grands industriels américains (Ford, ITT, IBM, General Motors, Petroleum Oil, etc.), loin d’être antinazis, étaient racistes et eugénistes. Pour maximiser leurs profits que la grande dépression des années 20-30 avait fait chuter et lutter contre « les Rouges »c’est-à-dire les ouvriers — auxquels la Révolution bolchévique avait fait germer l’espoir d’un monde plus juste et égalitaire, ils collaborèrent avec Hitler puis changèrent d’alliance en mars 1941, après avoir voté un « prêt-bail » à la Grande-Bretagne… et à l’URSS, à charge pour eux d’un remboursement ultérieur : « une victoire hitlérienne aurait alors asséché l’abondante source de bénéfices que générait le “prêt-bail” (…) et celle sur l’URSS aurait été désastreuse pour leurs profits ». Ces élites US arborèrent alors la casquette de l’antifascisme, mais elles restèrent anticommunistes dans leur cœur » et racistes. De surcroît, l’arrestation de tous les opposants syndicaux, socialistes, et communistes allemands, dès la première heure de l’arrivée d’Hitler au pouvoir, et conduits en camps de concentration, firent plier les ouvriers qui, travaillant à l’économie de guerre dans les usines allemandes, se soumirent à des salaires de misère quand ils furent payés. Double objectif atteint pour ces « élites » qui s’enrichirent à tout va sous le nazisme : « l’incessante quête de profit amena les hommes d’affaires, et en tout premier lieu les chefs des grandes et puissantes entreprises à créer et à manipuler le régime nazi et à lui faire déclencher une guerre mondiale, afin de concrétiser ses objectifs »jusqu’à ce que ce régime ne leur convienne plus. Triste constat qui s’est prolongé durant le 20èmesiècle et se perpétue d’ailleurs actuellement avec les multiples guerres menées sous drapeau occidental : les alliances que les « élites » économiques et financières nouent servent toujours leurs profits. Évidemment à lire, ces ouvrages décoiffent quelque peu nos croyances qui sont transmises de génération en génération. Il semble qu’elles aient la vie dure. Qui n’a pas travaillé son histoire est condamné à la revivre… Il en est des histoires singulières comme de la Grande Histoire ! Si l’Histoire ne repasse jamais les plats, dit-on, il arrive qu’elle les resserve sous d’autres apparats !

Toutefois et heureusement, chaque jour nous apporte son lot de révélations ! dont celle du PDG de Moderna, pris « les doigts dans la confiture »[42] quand il a avoué, d’abord en aparté, puis au dernier Forum économique mondial à Davos, que les « vaccins » étaient prêts, en 2019, bien avant le déclenchement de l’épidémie de Sras-Cov2. La vérité finit toujours par être découverte : ces révélations font prendre conscience à certains États que leur souveraineté est en jeu et qu’il serait bon qu’ils s’opposent aux manœuvres de l’OMS et de ses complices, telle récemment l’Australie[43].

Espérons qu’ils seront suivis par d’autres États, mais surtout que les citoyens, les premiers concernés par le « Nouvel ordre mondial » que nous promeuvent l’OMS et les soi-disant élites mondiales rassemblées au Forum économique mondial (WEF), en y mettant tous les atours pour les séduire, comprendront que leur avenir est en jeu comme celui de leurs enfants. La seule « résilience » individuelle ne pourra pas panser leurs plaies quand, de facto, tout totalitarisme a toujours visé un effondrement sociétal tel que les élites l’ont prévu cette fois encore. Étrange rapprochement entre la résilience requise des habitants, contraints de vivre dans des zones contaminées après un accident nucléaire et celle qu’on leur suggère d’avoir pour « s’adapter » voire « consentir » à un totalitarisme sanitaire et militaire tel que prévu par l’OMS ! N’oublions pas que l’OMS collabore aussi étroitement avec l’AIEA et le Conseil de Sécurité et que la « radiophobie » fut évoquée concernant la peur ressentie par les habitants vivant en zones contaminées par les retombées de l’accident de Tchernobyl et que l’idéologie de la résilience peut être, en elle-même, au service de l’acceptabilité sociale de ce qui produit les nuisances[44]. Thierry Ribault rappelle, de façon symptomatique, qu’en France, la loi portant sur la question environnementale de 2021 a été nommée « loi climat et résilience », tandis que le déploiement de moyens militaires lors de la crise sanitaire de laCovid-19 a été dénommé « Opération résilience ». L’idéologie de la résilience est en fait considérée par Thierry Ribault « comme une sorte de nouvelle religion d’État, dans laquelle toutes les situations qui suscitent de la vulnérabilité sont considérées comme des opportunités de rebond et d’adaptation. Il s’agit ainsi d’une forme de justification de l’ordre des choses, puisqu’elle promeut un “faire avec” tout en individualisant la responsabilité de la catastrophe. »

Maisil serait souhaitable que les citoyens n’oublient pas que leur vie dépend de leur capacité à transcender la peur — même si celle-ci est parfois salutaire et a des raisons d’être ressentie quand de telles folies technophiles sont mises en œuvre — on peut aussi en avoir face à un avenir qui ne saurait se déduire du passé, mais qui reste à inventer. D’autres manières d’être ensemble — de se loger, de se nourrir, de s’aimer, de s’entraider, de donner, etc. — sont déjà expérimentées, rien n’empêche de s’y inscrire afin d’inventer, pour le bien commun de l’humanité, d’autres manières de vivre ensemble y compris de prendre soin de notre santé et de celle des autres. Là réside l’espoir d’un autre monde possible que celui que ces « élites » nous ont préparé de longue date et qui de toute manière s’effondrera… les crises, dont la crise écologique, le traversant, étant multiples.

La société n’est qu’une construction imaginaire[45] : rien ne nous empêche d’en imaginer une autre ! Certains s’y emploient et devraient être encouragés et rejoints au lieu d’être stigmatisés. L’important est le chemin, la voie[46] et pas uniquement l’objectif. Il est vrai que pour résister, il faut de la force d’âme, une des quatre vertus cardinales sur lesquelles repose la vie morale[47]. Il faut aussi du courage pour s’y engager ainsi qu’une intelligence du cœur, toutes vertus que les « soi-disant « élitesmondialistes » ignorent. Cette intelligence du cœur vient de notre conscience, celle de notre profonde interdépendance à l’égard des autres dans toute la diversité qui les constitue… et de la compassion que l’on est capable de ressentir face aux souffrances qu’ils endurent.

S’agissant du respect dû à chaque humain, Marcel Hénaff[48] montre que seul le don affronte cette question, car il implique la reconnaissance de l’autre et sa considération[49], c’est-à-dire ce en quoi autrui nous oblige inconditionnellement ; mais que l’argent a le pouvoir de détruire cette exigence et le lien qui unit les hommes entre eux. Il peut infiniment corrompre. Quant à la justice, je laisse le mot de la fin à Camus : « Il n’y a ni justice ni liberté possible tant que l’argent est roi ». Vaste sujet qui serait trop long à traiter dans cet article, mais qui le fut ailleurs[50].


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Délitement de l’État-Macron et déconfiture de l’UE

[Source : observatoiredumensonge.com]

Par Daniel Desurvire

Sommaire
1°) Il n’y a pas de relent complotiste à pressentir le collectivisme dans l’idéation mondialiste
2°) La corruption, une gangrène qui gagne toutes les sphères politiques
3°) Une intrigue manichéenne où l’emprise chtonienne du pouvoir et de l’avoir l’emporte sur la morale et l’honneur
4°) Telle une razzia de barbares, la macronie, en selle sur la secte WEF, se fait le chancre de la dégénérescence des valeurs de France.

1°) Il n’y a pas de relent complotiste à pressentir le collectivisme dans l’idéation mondialiste

Je ne saurais me convaincre de prémonition autour de quelque projection d’avenir, si d’aventure il m’arrive d’avoir vu juste sur la coïncidence des faits, notamment depuis janvier 2021 avec « L’absurde traitement du Covid-19 qui préluda une manipulation tant sociale que génétique du vaccin » et la dizaine d’autres ouvrages qui suivirent aux éditions Observatoire du Mensonge. Des évènements à échoir peuvent survenir de façon prévisible, perceptible eu égard au profil singulier de certains personnages publics, ce qui n’est pas un don de clairvoyance, mais un réflexe de lucidité. C’est avec des cas d’école, tels Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen, lesquels brûlent dans la constance de leurs obsessions dominatrices et vénales, qu’apparaît lisiblement leur l’appétence du pouvoir et de l’argent.

Pour briguer de tels objectifs, tous les moyens leur sont bons. Pour preuve, un rapport venant de la médiatrice européenne Emily O’Reilly, étayé par l’expertise de deux ONG (StopAids et GHA), accable la politique vaccinale contre la Covid emmenée par Ursula von der Leyen (in, Euractiv France, Clara Bauer-Babef, 20 janv. 2023). Cette enquête dénonce sans ambages l’influence démesurée du lobbying des firmes pharmaceutiques, en particulier chez Pfizer, sur le commerce des vaccins-Covid dans l’Union, avec des marchés menés dans une opacité critique par la présidente de la Commission européenne. Des intérêts privés ont très rapidement pris le pas sur la notion de « bien commun » engagée par les décideurs européens durant la pandémie.

De fait, dès juin 2020, la Commission passa des commandes aux laboratoires, dont la précipitation laisse pantois ; à savoir qu’un délai si court entre la pandémie reconnue fin 2019 et la mise au point de ces vaccins dont les premières doses furent administrées dès 2020 ne saurait permettre de respecter les étapes cliniques de contrôle, de randomisation et d’AMM, pourtant rendues obligatoires, eu égard aux principes de précaution imposés aux produits pharmaceutiques. Dans cette précipitation, l’Agence européenne des médicaments (EMA) autorisa l’injection des produits livrés par Pfizer, Moderna, AstraZenica, Janssen, Novavax et Valneva, avec ± 70 % des adultes vaccinés, dans les États membres de l’Union, fin juillet 2021.

L’absence de transparence sur ces contrats financés par les fonds publics met en exergue des malversations vraisemblables, dont il est fait état par le secret entretenu autour des échanges de SMS entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer Albert Bourla, portant sur la négociation de commandes pour 1,8 milliard de doses de vaccins-Covid. Alors que le vice-président de la commission, Margaritis Schinas prend la défense de sa patronne en prétextant qu’un tel marché ne se négocie pas par SMS, Marc Botenga pour la commission d’enquête rétorqua, « Qu’il s’agit de prendre connaissance de l’influence de ces SMS sur la négociation ». Cette absence de coopération d’Ursula von der Leyen sur ces échanges laisse planer un doute, quant à une suspicion qui plane sur la nature de ces contrats possiblement entachés de corruption, ce que laisse entendre Rowan Dunn, coordinatrice du plaidoyer pour l’Union chez GHA.

Sous le sceau de l’urgence, l’absence de garantie des produits et la clause de non-recours en cas d’accident consécutif à cette prophylaxie d’expérience, auront permis auxdits laboratoires d’opposer la propriété intellectuelle sur leurs vaccins, dont le monopole autorise des profits considérables selon le député européen Marc Botenga de l’ONG ; « Un hold-up sur notre sécurité sociale » ! Le manque de coopération de Pfizer, lequel a emporté une très large majorité des contrats, ajouté au silence complice d’Ursula von der Leyen dans les coulisses de ces tractations, le pire apparaît envisageable en termes d’enrichissement personnel, de trafic d’influence, de concussion et de népotisme entre son époux, le Dr Heiko directeur dans une filière du Big Pharma, et l’un de ses fils David, directeur d’un cabinet-conseil McKinsey, principal intermédiaire dans ces marchés.

Les contrats d’achat des vaccins conclus entre le géant pharmaceutique Pfizer et l’exécutif européen seraient, selon l’expression des ONG*, « caviardés », rendus illisibles alors que la médiatrice de l’UE appelle à les rendre publics. StopAids* et GHA* exhortent que les négociations contractuelles, entre les firmes et les commanditaires de l’UE, soient « totalement ouvertes et transparentes, avec des processus établis, plutôt que passées par des canaux informels ». Pour preuve qu’il y a un loup dans la bergerie, puisque les textos passés entre Pfizer et la présidente de la Commission restent enfouis dans les tiroirs de la confidentialité, et ce jusqu’à que soit diligenté une enquête judiciaire. Du côté de l’Élysée, nous observons le même cas de figure avec Emmanuel Macron, qui tout seul mène sa barque dans les canaux souterrains des ententes pour dissimuler ses secrètes complicités entre McKinsey, Pfizer et Ursula von der Leyen, inférant des gesticulations inquiétantes depuis le clair-obscur de sa troublante idiosyncrasie.

Emmanuel Macron n’a certes pas la carrure d’un gestionnaire, pas plus qu’il ne semble habité d’une capacité mentale suffisante. C’est avant tout un arriviste, et même un forcené dès lors qu’il est investi dans une idéologie qui l’envahit et le phagocyte. Par exemple, parvenir à se hisser à la canopée des hommes les plus influents du monde, ou entrer dans le noyau dur de la secte WEF, correspond à ses ambitions mondialistes, où même avoir la main sur un pays comme la France semble pour lui un objectif dépassé, puisque c’est chose faite. Sauf qu’à défaut d’avoir su gérer son pays, il l’a coulé de tous les côtés depuis l’économie, l’industrie, la finance, l’éducation, le social et la politique extérieure, ainsi qu’il fut constaté par l’ensemble des observatoires et instituts indépendants, depuis le sacre présidentiel de ce dernier des rois maudits. Cet esbroufeur n’aurait vraisemblablement pas même su tenir un kiosque à journaux, car il aurait déjà pillé la caisse avant d’honorer ses factures, de la même manière qu’il le fit avec les administrations du 139 rue de Bercy et du 14 avenue Duquesne, parmi les quinze autres ministères ; tous spoliés avec la même avidité.

À SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

♣ ♣ ♣

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier :
Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE




Quelles sont les structures de pouvoir qui gouvernent le monde ?

[Source : kla.tv]

Interview avec David ICKE, janvier 2023

Les faillites, la guerre en Ukraine, les nouvelles lois contre la désinformation et la nouvelle loi sur le partage des charges en Allemagne, tout cela fait-il partie d’un tout ? Dans cette interview, David Icke, connu pour avoir fait de nombreuses prédictions sur la politique mondiale qui se sont réalisées, relie certains points pour nous et montre l’issue des événements mondiaux actuels. Attachez votre ceinture et profitez de cette interview intéressante !

[Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Transcription

David Icke ! Nous sommes très honorés aujourd’hui de discuter avec David Icke ! David, merci beaucoup d’avoir accepté cette interview !

Icke : C’est un plaisir, Daniel !

Interviewer : Eh bien, je suppose que la plupart de nos téléspectateurs vous connaissent ! Pour ceux qui ne vous connaissent pas, nous pouvons faire une très courte biographie. Peut-être devrions-nous aller directement sur la page de Wikipédia. Que dit Wikipédia ?

Icke : C’est assez long, n’est-ce pas ? Et beaucoup d’informations sont inexactes!

Intervieweur : Oh, absolument ! J’allais quand même lire la première phrase.

Icke : Eh bien, allez-y alors !

Interviewer : Il est dit que David Vaughan Icke est un théoricien du complot anglais et un ancien footballeur et animateur de radio sportif. Souhaitez-vous ajouter quelque chose à cela ?

Icke : Eh bien, je ne suis pas un théoricien du complot ! Je suis un chercheur indépendant conspirationniste. Et qu’est-ce qu’un conspirationniste ? C’est quelqu’un qui se demande si l’autorité vous dit la vérité ou non. C’est aussi simple que ça ! Et bien sûr, le terme « théoricien du complot » vient de la CIA pour ce qui est de son utilisation généralisée dans les années 1960, lorsqu’ils essayaient de discréditer les gens qui ne croyaient pas qu’une balle utilisée pour l’assassinat de Kennedy faisait demi-tour. Et donc, il est maintenant utilisé et répété comme une métaphore, laquelle ne dit pas la vérité – propagande, désinformation. Et je vais vous en donner un exemple personnel, car le 6 novembre, je devais parler à Amsterdam lors d’un rassemblement pour la paix. Et quand l’annonce a été faite que j’allais parler là-bas, cela a fait tout un tollé cousu de fil blanc, bien sûr, qu’on ne devait pas me permettre d’y aller parce que j’étais un antisémite, j’étais un négationniste de l’holocauste etc. Et cela a en quelque sorte créé la fureur parmi les classes « vertueuses ». Tout cela est absurde, mais…

Interviewer : Puis-je intervenir ? Qu’est-ce que le sémitisme ou l’antisémitisme ont à voir avec un discours anti-guerre ? Ou bien est-ce qu’ils sont juste en train de sortir quelque chose de votre passé ?

Icke : Oh, ils ne le sortent pas de mon passé. Ils le sortent tout court. Parce que si vous avez quelqu’un qui dit quelque chose que vous ne voulez pas que les gens entendent et que c’est raisonnable et justifiable dans les faits, alors vous ne le prenez pas pour ce qu’il dit, vous inventez ce qu’il ne dit pas. Là où je veux en venir en termes de théoricien du complot… finalement c’était 24 heures, pas 48 heures avant que je sois censé parler – en fait, j’étais déjà sur la côte Est de l’Angleterre en attendant de traverser le tunnel sous la Manche jusqu’à Amsterdam – le gouvernement Néerlandais a annoncé que, parce que je constituais une menace pour la société, j’allais être banni non seulement des Pays-Bas, mais aussi de 25 autres pays européens. Cela signifie de nombreux autres pays en plus, car les Pays-Bas font partie de ce qu’ils appellent le groupe Schengen de pays qui partagent une politique frontalière commune. Donc quand vous êtes banni, vous êtes également banni par eux. Mais d’autres pays, y compris l’Amérique, utilisent les critères de Schengen pour – eh bien, ils le font quand ça les arrange – pour empêcher d’autres personnes d’entrer dans leur pays et c’est la même chose avec d’autres pays du monde. Donc, alors que je suis assis ici, je suis banni des grandes voies du monde. Mais là où je veux en venir en termes de théoricien du complot, c’est que des gens merveilleux aux Pays-Bas, des avocats, pensaient que ce qui se passait était inacceptable et ils ont donc défié le gouvernement devant les tribunaux et ce qui s’est passé – j’étais au procès – ils ne voulaient même pas me laisser entrer aux Pays-Bas pour comparaître devant le tribunal, je représentais un tel danger ! Et l’avocat du gouvernement a abandonné l’accusation d’antisémitisme en entier et de négation de l’holocauste et tout ça parce qu’il ne pouvait pas la maintenir. Donc, ce qu’ils ont fait, c’est de dire que j’étais anti-gouvernemental et en étant anti-gouvernemental, c’est-à-dire que je disais que le gouvernement ment, ce que le gouvernement néerlandais, comme tous les gouvernements, mais surtout le gouvernement néerlandais, fait à bien des égards par réflexe, que j’étais une menace pour la démocratie. Et puis, c’est là le problème, quand le juge – bien évidemment que ça allait arriver – a rendu son jugement, il a dit que le gouvernement avait raison de m’interdire parce qu’il était clair que j’étais un théoricien du complot. Et donc nous avons maintenant une situation où, si vous défiez le gouvernement de dire la vérité, vous êtes qualifié de théoricien du complot et si vous êtes un théoricien du complot, vous pouvez être banni de 26 pays européens.

C’est donc la voie qui est suivie et c’est la raison pour laquelle toute cette histoire du théoricien du complot et de la théorie du complot est si importante parce qu’elle devient centrale pour justifier de faire taire la dissidence. Donc, même à ce niveau, ces premières lignes de la page Wikipédia n’ont aucun sens en termes de réalité, mais encore une fois, la plupart de ce qui se trouve sur Wikipédia n’en a pas.

Interviewer : Oui, je pense qu’il est temps d’enterrer ce terme si nous le pouvons. Parce que, je veux dire, pourquoi avons-nous même le mot « conspirer » en anglais ? Vous savez, s’il existe une telle chose que la conspiration, si les gens conspirent, le ciel nous interdit de théoriser à ce sujet, n’est-ce pas ?

Icke : Oui, et la plupart de ce que les gens avaient décrit comme une théorie du complot, s’est avéré vrai avec le temps.

Intervieweur : Exactement !

Icke : Bien sûr, il y avait des théories du complot, où vous dites : Eh bien, en regardant les preuves, il semble que ça pourrait être ça, c’est justement ça, d’accord. Mais une grande partie est en réalité prouvable à partir des preuves et au cours des décennies- comme je le dis -, à tel point que c’était une théorie du complot qui s’avère être de plus en plus vraie, et c’est la raison pour laquelle ils veulent la discréditer bien sûr, si ce n’était pas vrai, ils n’auraient pas de problème avec ça. Ce qui leur pose problème, c’est le fait qu’elle est vraie. Ce que nous voyons, et c’est la société en général, c’est la façon dont elle est structurée : tout est inversé, tout est à l’envers. Et il n’y a pas de plus grand exemple de cela que les termes de propagande et désinformation sont des termes injurieux pour des personnes qui produisent des preuves crédibles. Des termes utilisés par des personnes qui mentent 24 heures sur 24, et même dans leur sommeil probablement. Nous ne devons donc pas nous soucier des étiquettes et nous énerver à cause des étiquettes. Nous devons juste continuer à marteler ce que nous disons parce que, vous savez, en fin de compte, ce qui pousse les gens à envisager d’autres possibilités, plus que toute autre chose, c’est leur propre expérience. Et depuis le tournant de l’ère Covid, ce que les gens ont expérimenté, c’est la suppression de la liberté à un rythme de plus en plus rapide. Et c’est ce qui les terrifie. Ce que j’ai dit il y a des décennies, c’est que le plan était – et c’est pourquoi ils ont introduit les nombreuses manières, les nombreuses raisons d’avoir Internet – parce qu’ils voulaient finalement une situation où personne ne verrait ou n’entendrait jamais quoi que ce soit qui n’ait pas été approuvé par le gouvernement, je veux dire carrément « 1984 » [1984 = Un roman dystopique écrit par George Orwell décrivant la vie d’un non-conformiste dans un État totalitaire]. Et c’est là où nous allons, je veux dire que nous avons une législation en cours d’examen au parlement britannique, appelée « projet de loi sur la sécurité en ligne » qui est conçue pour supprimer davantage le fondement-même de la liberté d’expression, et des lois similaires sont en cours dans le monde entier. La raison pour laquelle cela se produit – nous revenons au fondement de tout cela – c’est que l’autorité nous ment, elle nous ment à une échelle d’une telle ampleur peut-être jamais vue auparavant. Et parce qu’elle ment, elle ne supporte pas les interrogations. Donc, toute l’idée de la censure est d’arrêter cette analyse.

Interviewer : Oui, je ne comprends pas pourquoi ceci n’est pas plus évident pour tout le monde. Théoricien du complot signifie maintenant quand vous allez devant un tribunal, quand vous avez un procès en Hollande et qu’ils disent qu’on vous accuse d’être anti-gouvernemental. Quelle constitution dans le monde occidental, ou probablement même dans le monde, a écrit que vous ne pouvez pas être anti-gouvernemental ? C’est scandaleux !

Icke : Oui, et l’histoire, vous savez, c’est que nous sommes allés au tribunal avec ça et nous allons continuer, mais nous sommes allés au tribunal avec ça sans penser que nous allions gagner tout en sachant que nous n’allions probablement pas gagner, parce que c’était évident, c’est la façon dont le système est ficelé maintenant : ce sont les mécanismes de contrôle de l’autorité gouvernementale, ce ne sont que des illusions. Et donc on savait bien que ce juge de district aux Pays-Bas n’oserait pas aller à l’encontre du gouvernement. Et donc il a pris une décision et un jugement ridicule que parce que j’étais un « théoricien du complot », c’était justifié que je sois banni de 26 pays européens. Et il était d’autant plus d’accord avec les gens intelligents qui voient cela comme un outrage qu’il ne l’aurait été d’aller à l’encontre du gouvernement qui l’emploie et qu’il aurait bousculé à ses risques et périls. C’est ainsi que cela fonctionne, tout le système est ficelé. Et je ne dis pas que tous les juges sont corrompus, même si beaucoup d’entre eux le sont, corrompus pas nécessairement dans le sens de prendre de l’argent, mais corrompus en termes de corruption morale en ce sens qu’ils prendraient des décisions en fonction de ce qui est bon pour eux plutôt que de ce qui est bon pour la justice. Et c’est, à mon avis, ce qui s’est manifestement passé dans ce cas.
C’est la même chose partout dans le monde, c’est la même chose que ce que vous voyez en Amérique. Vous savez, j’ai été stupéfait quand j’ai entendu pour la première fois l’expression « le juge est un démocrate » [démocrate = membre du parti démocrate aux États-Unis], « le juge est un républicain » [républicain = membre du parti du parti républicain aux États-Unis]. C’est quoi, ça ? Qu’importe le parti des politiciens, et pourquoi devons-nous le savoir de toute façon ? Quelle en est la pertinence ? Si vous êtes un juge au sens propre du terme, vous prenez des décisions sur la preuve, pas sur votre conviction politique et une fois que vous avez une affaire comme c’est si souvent le cas en Amérique, si c’est un juge démocrate, on connaît le verdict. Ou s’il y a une scission démocrate-républicain à la Cour suprême, vous saurez quelle sera la scission. Et bien la justice a disparu, c’est terminé, c’est fini, c’est une illusion. Et ce que nous avons vu, décennie après décennie, ce sont de plus en plus de sources d’information, les sources de la justice étant occupées par ce que j’appelle cette « secte mondiale » [Secte = groupe ayant une idéologie exclusive généralement avec des pratiques rituelles, le symbolisme et une forte dévotion à une cause, un programme ou à un être] qui est finalement derrière les événements mondiaux et non les politiciens absents aujourd’hui, disparus demain que nous sommes censés croire qui sont derrière les événements mondiaux, ce sont les hommes de main ; c’est tout ce qu’ils sont.

Interviewer : Oui, je pense que leur prochaine étape sera probablement, puisque le truc de l’antisémitisme n’a pas fonctionné, d’attaquer le gouvernement. J’espère que cela échouera, mais je pense que la prochaine chose qu’ils serviront sera la vieille rengaine selon laquelle plus nous avançons dans cette guerre, plus nous apportons aide et réconfort à l’ennemi : Ils ne veulent pas qu’on s’exprime contre la guerre.

Icke : Non. Et l’histoire, c’est qu’ils introduisaient en fait la loi antiterroriste dans cette équation. Et je vais vous dire autre chose aussi – ce qui m’a même surpris. Vous savez, j’ai dit qu’en fin de compte, il y a une force non humaine « dans l’ombre ». Je le dis depuis très longtemps. Et alors que l’agenda du monde devient de plus en plus manifestement anti-humain, de plus en plus de gens commencent à dire : « Eh bien, attendez, il n’est peut-être pas si fou ! » Mais ce qui m’a stupéfié, c’est que, dans le jugement du département de l’immigration des Pays-Bas selon lequel je ne devrais pas être autorisé à entrer, le jugement original que j’ai reçu deux jours avant l’événement, incluait le fait que parce que j’ai dit ‘une force non-humaine est derrière les événements humains’ – c’était une raison supplémentaire pour être banni parce que j’ai déshumanisé le putain de gouvernement.

Et comme je l’ai dit, pourquoi déshumaniserais-je le gouvernement alors qu’il le fait lui-même avec brio sans aucune aide de ma part, en déshumanisant la population ! N’oublions pas que c’est le gouvernement néerlandais dirigé par cet homme de main du Forum économique mondial Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas, qui cherche à s’emparer des terres de trois mille agriculteurs néerlandais à cause – je cite – de la politique en matière de changement climatique. Et étant donné que les Pays-Bas représentent en valeur le deuxième plus grand exportateur de nourriture au monde, comment cela va-t-il se passer pour l’humanité ? Parce que – ce réseau passant par ces politiciens déshumanise l’humanité et dit maintenant que nous allons interdire ce type parce qu’il nous déshumanise, ils le font eux-mêmes, ils n’ont pas besoin de moi.

Intervieweur : C’est vrai. J’aimerais, si possible, passer à la plandemie qui, apparemment, n’est pas encore terminée. Ça continue, Elle fait toujours rage. Avons-nous suffisamment de preuves médico-légales pour traduire en justice les auteurs de l’arnaque au Covid ? Quelles sont certaines des pièces les plus accablantes que nous ayons, quelles sont certaines des choses que nous pourrions faire ressortir qu’ils ne pourraient pas réfuter ?

Icke : Eh bien, nous en avons… nous en avons déjà en ce qui concerne le faux vaccin. Vous savez, il y a des choses qui vous font ouvrir les yeux quand vous êtes à la recherche de la vérité. Vous êtes donc prêt à aller là où se trouvent les preuves, là où les informations vous mènent. Et c’est ce que font essentiellement ce que nous appelons les médias alternatifs, ils recherchent la vérité, et je ne suis pas toujours d’accord avec eux – je suis d’accord avec le fait qu’ils l’ont trouvée – mais je suis d’accord avec la plupart d’entre eux. Mais c’est une prise de conscience qui donne à réfléchir lorsque vous sortez de cette arène et que vous parlez avec des gens qui n’obtiennent leur point de vue qu’à travers les médias grand public, comment un nombre faramineux de personnes sont mortes après avoir reçu l’injection et ont eu leur santé détruite, combien peu les gens réalisent réellement qu’il en est ainsi– en raison du contrôle de l’information grand public – J’ai parlé à des gens : ils disent : « J’ai été injecté. » – « Eh bien, étiez-vous au courant de ceci, étiez-vous au courant de cela ? » – « Non ! Je n’ai jamais su cela ! » – Quoi ? Donc, il y a ce clivage massif entre les gens qui vont chercher des informations, qui scannent les rapports du VAERS [VAERS = Vaccine Adverse Event Reporting System of the US-Government], le système de la « carte jaune », qui est la même chose en Grande-Bretagne, et regardez tous les jeunes qui s’effondrent après avoir été injectés, un nombre qui n’a jamais existé auparavant. Vous constatez maintenant les décès excessifs dans le monde entier qui ont été provoqués depuis le déploiement (des vaccins) en 2021, particulièrement en 2021. Et pourtant, un nombre important de personnes n’en n’ont pas conscience. Si cette information était présentée à un tribunal public, signalée de façon adéquate, alors un nombre gigantesque de personnes du système seraient en prison. Et, vous savez, à ce stade, quand vous parlez d’une poursuite judiciaire : il y a une stupidité irréfléchie, une stupidité aveugle où des gens comme les médecins et les infirmières, les politiciens et tout ça qui devraient mieux savoir, leur travail est d’être informés, mais au lieu de cela, en fin de compte et si vous creusez un peu plus, ils croient simplement une poignée de fonctionnaires, et ils croient que ce que les gens leur disent est la réalité – c’est-à-dire que cette injection arrêtera la transmission (du virus)… et ainsi de suite. Il y a ce niveau de stupidité où vous croyez simplement ce qu’on vous dit et vous le faites sans poser de questions.

Interviewer : Je ne sais pas si j’appellerais cela de la stupidité ou de l’ignorance volontaire. Mais le résultat est le même, non ?

Icke : Oui, eh bien stupidité ou ignorance volontaire, fondamentalement, si vous acceptez ce que l’autorité vous dit sans poser de questions, vous choisissez d’être ignorant. C’est un choix. Donc, vous êtes à ce niveau, mais c’est le « mais » maintenant. Il y a une multitude de preuves qui sont sorties – notamment grâce à l’expérience personnelle des gens. Eh bien, il y a eu un sondage récemment dans lequel, vous savez, un énorme pourcentage d’Américains croient qu’ils connaissaient quelqu’un dont la santé avait été endommagée par l’injection ou qui avait été tué par l’injection. C’était une expérience personnelle de ce qu’ils ont vu et de leurs interactions quotidiennes, et ce qu’on leur dit est complètement différent. C’est là que je veux en venir. La preuve est maintenant là. Ils connaissent le carnage et les morts que cela a causés et pourtant ils continuent à dire aux gens de se faire injecter. Vous voyez par les baisses spectaculaires du nombre de personnes qui font cela à quel point l’expérience personnelle et peut-être l’examen d’autres preuves en dehors du courant dominant commencent de plus en plus à avoir un impact sur leurs actions plutôt que de simplement croire le gouvernement sans contester. Mais si vous savez et qu’ils le savent, cette ignorance n’est plus une défense. Si vous savez ce qui s’est passé et que vous insistez toujours, ce n’est pas de l’ignorance, c’est de la psychopathie. Et vous savez, l’une des choses les plus difficiles que j’ai fait circuler au cours de ces presque 30, 33 dernières années, c’est l’ampleur du mal auquel nous avons affaire. Le mal pour moi, ma définition du mal est l’absence d’amour. Et si vous regardez ce qu’on appelle le test Hare du nom du gars qui l’a développé, le test Hare de la psychopathie, si vous avez suffisamment de traits du test Hare, vous devenez officiellement un psychopathe. Les deux principaux traits sont le manque d’empathie et le manque de compassion, ce sont des manifestations d’un manque d’amour, et ils se manifestent en ce que nous appelons le mal.
Et si vous avez un manque d’empathie, de cette capacité de vous mettre dans les sensations et l’expérience de ce que vous faites ressentir et vivre aux autres, vous ne pouvez pas vous mettre à leur place et donc comprendre l’impact que vous avez sur eux, alors vous n’avez pas de limites. Il n’y a plus de limites. Parce que vous n’avez aucune conséquence émotionnelle, alors vous savez : l’empathie, pour moi en tout cas, c’est le mécanisme de sécurité du comportement humain. Si vous avez de l’empathie qui limite vos actions parce que vous avez un résultat émotionnel suivant ce que vous faites aux gens, je dirais juste à tous ceux qui disent encore qu’ils ne feraient jamais ça : Imaginez si vous n’avez pas cette capacité empathique sécurisée et qu’il n’y ait aucune conséquence émotionnelle pour vous, peu importe ce que vous avez fait, c’est-à-dire, des niveaux extrêmes de psychopathie, cela signifierait non seulement qu’ils ne feraient jamais cela mais ils se tireraient d’affaire en faisant ça. C’est ce qui se passe avec ces gens. Donc, cette difficulté qu’ont les gens à imaginer l’ampleur du mal auquel nous avons affaire fait que lorsqu’on le pointe du doigt, on entend : Oh non, ils ne feraient jamais ça. Personne ne ferait ça. Non, tu ne ferais pas ça !
Ils le feraient. Ils le font!

Intervieweur : Exact ! Oui. Nous n’arrivons pas à nous mettre dans leur esprit psychotique.

Icke : Oui.

Interviewer : En parlant d’empathie, je me souviens quand j’étais petit, qu’il y avait cette émission de radio en Amérique appelée « CBS Mystery Theatre » et il y avait une émission qui était vraiment bonne, elle s’appelait « Le bouton chinois ». En avez-vous déjà entendu parler ?

Icke : Non, je n’en ai jamais entendu parler. De quoi s’agissait-il ?

Interviewer : C’était un peu… je ne sais pas comment c’est arrivé. Dans cette histoire, un Américain ou un Britannique appuyait sur un bouton et vous deveniez millionnaire. Mais un Chinois mourrait quelque part. C’était donc un test de votre empathie. Je pense que nos dirigeants aujourd’hui sont constamment le « bouton chinois ». Ils n’ont aucune empathie.

Icke : Il y a un ajout intéressant à cela. Vous l’avez probablement vu lorsqu’ils ont fait cette expérience pour voir si les gens feraient ce qu’on leur disait de faire simplement parce que quelqu’un de l’autorité le leur avait dit.

Interviewer : Oui, les expériences de Milgram.

Icke : Oui. Vous savez, quand vous appuyez sur ce bouton et que vous entendez quelqu’un crier. Quelqu’un en blouse blanche leur dit de le faire et ils le font, vous savez ?

Interviewer : Ils utilisent le choc électrique jusqu’à la mort, c’est fou !

Icke : Oui, mais il est intéressant que nous nous soyons lancés là-dedans, car si vous mettez ces deux mentalités ensemble, vous avez la raison pour laquelle quelques-uns contrôlent le monde. Vous avez quelques personnes – ils ne sont pas si peu nombreux que les gens le pensent – j’ai lu que le nombre de psychopathes dans le monde est d’environ 4 %. Je pense que cela ne peut être qu’une blague ; il doit y en avoir beaucoup plus. Mais bien sûr, c’est loin d’être la majorité. Vous avez donc la mentalité psychopathe qui n’a aucune empathie et qui fait juste ce qu’elle veut sans conséquences émotionnelles, et vous avez ceux qui appuient sur le « bouton chinois ».

intervieweur : Oui.

Icke : – et puis vous avez les autres, la grande majorité, ils sont moins nombreux maintenant qu’ils ne l’étaient, mais ils sont toujours la majorité, qui feront ce que l’autorité leur dit, simplement parce que l’autorité le leur dit et vous mettez ces deux mentalités ensemble et c’est comme ça que tout au long de l’histoire humaine, quelques-uns ont toujours contrôlé le plus grand nombre.

Intervieweur : Oui. David, vous avez mentionné comment les gens qui recherchent des informations et veulent découvrir des choses ont un état d’esprit, puis les autres qui ne veulent rien savoir à ce sujet, en ont un autre et des gens comme vous et moi sommes surpris de voir à quel point les gens ne savent pas. Mais ensuite, vous avez mentionné les athlètes qui s’effondrent… et il y a beaucoup de mecs dans les pubs qui regardent les matchs de football et je suis sûr que vous connaissez le cas de Damar Hamlin, le quart-arrière de la NFL qui est tombé l’autre jour. Quand les gens voient ça – je veux dire que vous parlez (d’environ) des dizaines de millions de personnes qui regardent ça en direct, il se fait frapper, se lève, ajuste son casque, et tombe en arrière, c’est comme les footballeurs, comme les basketteurs. Connaissez-vous le concept stop au crime – le concept orwellien d’arrêt au crime où vous entraînez votre esprit à ne pas avoir de mauvaises pensées. Je me demande si cela se passe dans l’esprit des gens dans le stade et à la maison. Quand ils voient ça, ils se disent : « Ok, il se passe quelque chose ici mais je sais ce que je ne suis pas censé penser – je vais être un théoricien du complot fou si je pense qu’il y a un lien avec le vaccin ”… Je pense que les gens s’engagent vraiment dans cet stop au crime.

Icke : Oui, et je pense que vous avez raison – et je pense qu’il y a une autre motivation qui est due au nombre incroyable de personnes qui ont pris le faux vaccin – ce n’est pas vraiment un vaccin, selon les critères précédents. C’est donc une autre façon d’évacuer le sujet – en gros, c’est une version de « change de sujet – je ne veux pas en parler, je ne veux pas y faire face ». Vous savez, vous avez soulevé un sujet important, car comme je l’ai dit plus tôt, c’est extraordinaire de rencontrer des gens qui, après tout ce temps et toutes ces preuves, n’ont aucune idée de l’existence de ces certitudes ou de ce qui se passe. Mais parce que les médias grand public n’en parlent pas, parce que les médias grand public sont contrôlés par cette secte, tout comme la Silicon Valley. Mais les sportifs professionnels sont le talon d’Achille parce qu’ils tombent souvent en direct devant les yeux du public, et vous ne pouvez pas le cacher parce que quand un footballeur ou un joueur de hockey ou un basketteur tombe et s’effondre, c’est relaté, ça doit être signalé. Ils cacheront pourquoi c’est arrivé, mais ils le relateront. Et les chiffres viennent de grimper en flèche depuis le déploiement du faux vaccin. Et c’est un domaine qu’ils n’ont pas été en mesure de dissimuler – ils peuvent dissimuler la cause, mais pas l’événement réel – et cela a réveillé beaucoup de gens. Et, vous savez ce à quoi les gens qui ne connaissent pas du tout ce sujet pourraient réfléchir ? C’est : Se pourrait-il que seuls les sportifs professionnels subissent ces conséquences ? Non, bien sûr que non ! Oh, vous savez que nous avons ce vaccin et il ne tue et ne mutile que les sportifs professionnels. Non bien sûr que non. Mais c’est juste un domaine qu’ils ne peuvent pas cacher. Alors, qu’est-ce qui se passe d’autre au sein de la population. Et la réponse est : « la même chose » ! Mais, vous savez, je comprends tout à fait cela, vraiment. Mais si vous avez eu deux, trois, quatre faux vaccins et que vous commencez à voir ce qui arrive aux personnes qui en ont eu, cela ne se produisait pas auparavant dans les mêmes quantités, alors bien sûr vous contournez le sujet pour ne plus en parler. Parce que nous parlons d’une autre question – la différence entre ce qui se fait dans les médias alternatifs et ce qui se fait dans les médias grand public et l’autorité – c’est une question très très importante. Et, j’ai vécu cela tellement de fois, que de dire aux gens ce qu’ils veulent entendre est la chose la plus facile au monde. La chose la plus facile au monde parce que leur porte s’ouvre déjà. Ils veulent penser que ce que vous leur dites est vrai. Vous parlez à des vendeurs professionnels. Vous savez, ils sont formés pour glaner dans les conversations avec leurs clients potentiels ce que le client pense et comment ils voient la vie parce qu’ils commencent alors à être d’accord avec eux ou à dire des choses comme « Oh, nous sommes comme vous, je suis d’accord avec vous » – et c’est comme ça que vous obtenez ce lien avec eux. Cela aide simplement à vendre votre produit. Donc, dire aux gens ce qu’ils veulent entendre est la chose la plus facile au monde. Dire aux gens ce qu’ils ne veulent pas entendre est la réelle difficulté car ils ont fermé et verrouillé leur entendement. Ils ne veulent pas croire que c’est vrai, et c’est là le défi. Et donc, quand l’autorité arrive et dit, « Oh non, avez-vous entendu les excuses qu’ils mettent en avant pour tous ces jeunes souffrant de malformations cardiaques ? Oh mon Dieu, l’absurdité dans leur désespoir est incroyable ».

Intervieweur : C’est le Commotio cordis. [Commotio Cordis = une perturbation rare du rythme cardiaque qui se produit à la suite d’un coup dans la zone directement au-dessus du cœur]

Icke : Oui, si vous prêtez l’oreille, vous ne le voulez pas vraiment parce que vous avez eu les vaccins, vous ne voulez vraiment pas faire face aux possibilités, alors vous croirez aux absurdités parce que c’est ce que vous voulez entendre. Et, vous savez, vous obtenez cela aussi de façon intéressante dans les médias alternatifs, dans certains domaines, où certaines personnes ont une idée de ce qui est et veulent croire que c’est vrai. Et puis, quand vous contestez que ce n’est peut-être pas vrai, vous savez, vous êtes aussi attaqué par des gens de l’arène alternative. Et vous savez, c’est ce que je vis en ce moment, et j’en ai déjà fait l’expérience. Parce que je n’ai pas mordu au battage médiatique de Trump et je ne mords absolument pas au battage médiatique d’Elon Musk. Et le fait est, bien sûr, que les gens aimeraient croire que ce type – c’est-à-dire Trump – se met là, devant, et qu’il dit toutes les bonnes choses et qu’il veut défier la tyrannie et c’est formidable de croire que ce type Musk se met là, qu’il est vraiment un intransigeant de la liberté d’expression et qu’il n’a pas un autre programme en arrière-plan. Mais si nous voulons remettre en question la société dominante, nous devons tout remettre en question et voir si cela résiste à un examen minutieux. Et encore une fois, parce que vous ne voulez pas croire que ce n’est pas ce qui semble être, on vous rejette. Mais, vous savez, si vous allez vraiment sur le long terme, et si vous êtes vraiment à fond dans la recherche de la vérité, quelle qu’elle soit, alors vous faites ce que vous pensez être nécessaire et juste et non ce que vous pensez que vous amener plein d’amis. C’est la dernière chose que vous devrez faire si vous voulez la vérité.

Intervieweur : Oui, tout à fait. J’aimerais parler brièvement d’Elon Musk un peu plus tard. Je veux en finir avec les trucs de la plandémie Covid. Vous savez, quand vous dites que les gens ont ces raisons pour ne pas vouloir voir ce qui se passe – c’est assez drôle, ils doivent souffrir un peu de dissonance cognitive parce que comme vous l’avez dit, la demande pour les rappels, le premier, le deuxième et un autre troisième rappel est très faible. Et donc leurs actions parlent plus fort que leur réticence à en parler. Comme s’ils ne voulaient pas en parler parce qu’ils ne veulent pas le reconnaître. Mais dans leurs actions, ils vous montrent, peut-être inconsciemment, – oui, vous avez peut-être raison, je vais faire attention.

Icke : Oui, et c’est une bonne chose, comme je dis… si vous essayez de comprendre pourquoi les gens font des choses, vous devez vous mettre à leur place. Et je comprends parfaitement pourquoi les personnes injectées ne veulent pas savoir ce qui arrive aux autres personnes vaccinées. Je comprends tout à fait cela. Oui tu as absolument raison. Bien qu’ils n’y croient peut-être pas ouvertement, ils n’y croient peut-être même pas personnellement, ils n’en auront plus. Et donc, vous savez à bien des égards, mis à part ceux que vous ne persuaderez jamais que l’autorité leur ment, à part eux, nous avons à peu près gagné l’argumentation en ce qui concerne l’injection, en termes de leur action, sinon leur adhésion sincère qu’ils ont été arnaqués.

Intervieweur : Oui, c’est vrai. J’imagine qu’à partir de maintenant, il n’y aura plus trop de joueurs de la NFL qui recevront d’autres rappels. Et une anecdote intéressante de ce match où Damar Hamlin est tombé. La première histoire de l’actualité était, « Eh bien, les officiels ont jugé sage, prudent d’arrêter le jeu. » Ils n’ont jamais fait ça dans l’histoire du football NFL. Vous avez entendu parler des matchs de football américain, il y a toujours une ambulance au bord de la route… parce qu’il y a des commotions cérébrales, toutes sortes de choses se passent tout le temps. Et puis le jeu continue. Et c’est donc ce qu’ils ont dit qui s’est passé. Mais j’ai lu quelque chose, d’accord, c’était dans les commentaires, donc je ne peux pas corroborer, je ne sais donc pas si c’est vrai, mais j’ai lu quelque chose qui disait : Les joueurs ont refusé de revenir sur le terrain et de jouer. Et cela me parait logique. Parce que le joueur vedette des Buffalo Bills, un gars nommé Josh – je ne connais pas son nom de famille – lui et un joueur vedette étaient les deux seuls à ne pas avoir reçu l’injection. Je veux dire que le joueur quart-arrière est le capitaine de l’équipe. Je me demande donc s’ils se sont réunis et ont dit nous ne reviendrons pas sur ce terrain.

Icke : Oui, eh bien, vous savez, tout ce truc à propos de prendre l’injection et de ne pas avoir l’injection était une vraie séparation des chemins, si vous voulez, entre des gens qui pensent vraiment par eux-mêmes et qui s’en tiennent à ce qu’ils croient – et ceux qui seront influencés soit en ne remettant pas en question sans réfléchir tout ce que l’autorité leur dit ou tant d’autres, tant d’autres, peut-être même la majorité en fait, qui ont eu l’injection parce qu’ils ne voulaient pas les conséquences de ne pas avoir l’injection. Et ceux qui sont restés convaincus que non, je suis très sceptique à ce sujet, je ne l’ai pas reçue, ce sont eux maintenant qui bénéficient du fait qu’ils ne l’ont pas eue. Et il y a eu presque une sorte de revirement parce que ceux qui ne l’avaient pas, bien sûr, c’était moi compris, vous compris, j’en suis sûr, ils ont été attaqués, fustigés, diabolisés, accusés de tuer des gens et tout ça. Et l’un des grands moments charnières, je pense de toute façon, certainement en Europe, j’en suis sûr, qui a également imprégné l’Amérique quand, au Parlement européen avant Noël, un membre néerlandais du Parlement européen a interrogé la responsable de Pfizer sur leurs essais pour voir si le faux vaccin arrêtait la transmission, et il s’est avéré qu’elle a admis que ces essais n’avaient jamais été effectués. Ils ne savaient pas si cela arrêtait la transmission. Donc, ce qu’ils faisaient, c’était nous mentir et l’imposer aux gens avec des conséquences sur les emplois etc. Et cela inclut bien sûr les sportifs sur la base du « cela arrêtera la transmission sinon vous mettriez d’autres personnes en danger », alors que Pfizer n’avait jamais fait d’essais pour voir si c’était le cas. Parce que l’injection n’a rien à voir avec la santé. Cela a à voir en fait avec des agendas beaucoup plus profonds, des agendas beaucoup plus sinistres, sombres et démoniaques. Et cela a mis beaucoup de gens très en colère, certainement en Europe. Quand ils ont pensé que la raison-même pour laquelle ils avaient pris l’injection, – on m’a leur avait dit que c’était la raison,- s’avère non seulement fausse, mais beaucoup l’ont même testé pour savoir que ce n’était pas vrai bien qu’ils nous aient dit que c’était vrai.

Et, vous savez, si les gens réfléchissent, il y a deux choses : ils vous ont dit de vous faire injecter, et vous donnent disent les conséquences si vous ne le faites pas – sur la base de quelque chose qu’ils savaient ne pas être vrai. Et ils ont vu les conséquences des gens qui ont été injectés sur la base de quelque chose qui n’était pas vrai, et pourtant ils vous disent toujours de le faire. Maintenant, pensez-y et réfléchissez à l’ampleur de la psychopathie – et du mal pur qu’il faut pour faire ces deux choses ensemble parce que c’est ce que l’autorité a fait. Et vous savez, les prisons n’existent pas vraiment pour contenir le nombre de personnes qui devraient y rester pour le reste de leur vie, ces gens comme Bill Gates qui ont sciemment menti à l’échelle mondiale pour un programme profondément sombre et sinistre. Et cet homme devrait non seulement être en prison, mais il devrait être forcé de se réincarner sans fin pour terminer sa sentence sanglante.

Interviewer : En quoi devrait-il être forcé de se réincarner ?

Icke : Eh bien, comme quelqu’un l’a dit un jour dans une émission comique, connaissant ma chance dans la vie, si la réincarnation existe, je reviendrai en tant que moi-même. Je pense donc que la pire réincarnation possible pour Bill Gates serait de revenir encore et encore en tant que Bill Gates. Se réveiller tous les matins et se rendre compte que vous êtes toujours Bill Gates, cela doit sûrement être le pire cauchemar.

Intervieweur : Exact ! Eh bien, pour en finir avec la partie Covid, nous avons donc la preuve, nous avons les preuves médico-légales. C’est très clair. S’il était présenté devant un tribunal, ce serait une victoire. Maintenant, on ne va pas nous remettre les clés des portes de La Haye [La Haye = la Cour internationale de justice siégeant à La Haye, Pays-Bas], la Cour suprême ne va pas accepter cette preuve. Les autorités ne veulent pas l’entendre. Quel genre de lieu public, comment devrions-nous nous y prendre si nous ne pouvons pas entrer par les moyens légaux, je veux dire devrions-nous aller avec les moyens semi-légaux ? Devrions-nous aller à l’union des étudiants d’Oxford et avoir un débat ? Où apporteriez-vous cette évidence au public, pas juste sur Bitchute et sur Odysee, et je ne mentionnerai même pas Youtube, car ce ne sera pas là.

Icke : Non, ce ne sera pas là, non. Mais ce qu’il faut faire, tout d’abord, …la censure n’est pas une expression de pouvoir. C’est une expression de vulnérabilité.

Interviewer : Oui !

Icke : Parce que je ne veux censurer personne. Je suis heureux que ce que je dis soit débattu ouvertement et que d’autres personnes aient une opinion différente parce que je suis convaincu que je peux soutenir ce que je dis. Ceux qui ne peuvent pas soutenir ce qu’ils disent, et ce culte et toutes ses expressions mondiales savent qu’ils ne le peuvent pas. Ils doivent censurer les points de vue, les opinions et les preuves alternatifs, car ils savent que cela détruirait les leurs. Donc, tout d’abord, ils n’en viennent pas à la censure en situation de force, mais de faiblesse. Et le fait qu’ils élèvent constamment le niveau de censure signifie qu’ils sont de plus en plus préoccupés par le nombre de personnes qui commencent à s’éveiller à ce qui se passe réellement. Peut-être pas la vue d’ensemble, mais certains niveaux de celle-ci. Assez pour que la panique tombe chez les gens quand ils comprennent que les forces qui contrôlent le monde ne sont pas celles qu’ils voient et qu’on leur dit de croire. Mais en termes de politique en ce qui concerne cette voie, tout est cousu de fil blanc. Je vous donne un exemple de ce pays, la Grande-Bretagne. Nous avons un gouvernement conservateur, l’équivalent de vos républicains, qui a supervisé la catastrophe de la débâcle du Covid. Cela a conduit au faux vaccin. Les partis d’opposition, appelés le Parti travailliste – votre équivalent des démocrates ont dit non pas que la politique du Parti conservateur était fasciste, mais qu’elle n’était pas assez fasciste. Donc, quand ce gouvernement conservateur, maintenant avec ce type Rishi Sunak, un autre homme de main du Forum économique mondial, sera démis de ses fonctions à un moment donné, il devra être remplacé par le Parti travailliste. Et le parti travailliste fera à la Grande-Bretagne tout ce que les démocrates font à l’Amérique. Mêmes politiques, tout pareil. Donc, en termes de choix politique, il n’y en a pas. Et tout s’écroule quand on se rend compte que la politique n’est pas là pour le changer. La politique est là pour perpétuer ce qui devrait être changé. Et donc si vous regardez les jours où la royauté régnait sur tout, et il y a une raison pour laquelle c’était aussi le cas, vous aviez un roi ou une reine imposant sa volonté à la population via les hommes de main dans les armées, etc. Et puis quand l’humanité a rejeté cela, parce que c’était vraiment trop voyant, évidemment les quelques-uns contrôlant les masses…

Interviewer : Oui, les gens savaient qui blâmer.

Icke : Ils pouvaient voir qu’ils étaient sous le contrôle d’un monarque. Donc, finalement, vous avez eu ce mouvement de la monarchie vers la politique, eh bien, nous l’avons toujours eu dans ce pays de manière stupéfiante, et donc, ce culte qui remonte à très loin a dû trouver, sans se cacher, un moyen de remplacer le contrôle de la monarchie par une forme de contrôle qui semblait donner le pouvoir au peuple mais qui ne l’a pas fait. Et donc ils ont créé cette structure de partis politiques. Et c’est comme ça que ça fonctionne. Il y a normalement deux partis politiques qui ont une chance de former un gouvernement, parfois trois, mais normalement deux dans l’exemple classique de l’Amérique . Et ce sont des hiérarchies, ce sont des pyramides. Et quand vous entrez dans la pyramide, si vous progressez dans la pyramide, alors vous devez être aligné avec ce que la hiérarchie de la pyramide, le parti, veut que vous soyez. Donc, si vous y allez, disons que vous voulez vous présenter comme député au Parlement britannique, vous allez du côté du parti de la circonscription locale et vous devez vous vendre à eux. Et vous vous vendez en répétant ce que le parti de la hiérarchie veut que vous croyiez et que vous soyez. Et puis au fur et à mesure que vous entrez, si vous voulez être rebelle et aller à l’encontre de la ligne du parti, eh bien ça va tant que vous survivez, mais vous n’allez pas entrer au gouvernement, vous n’allez pas entrer dans la hiérarchie du parti. Si vous voulez entrer dans la hiérarchie du parti, alors ce que vous devez faire est de rester en ligne avec ce que la hiérarchie du parti veut que vous soyez – et la hiérarchie du parti est composée de très peu de personnes. Et cela se produit aussi bien avec le parti au pouvoir qu’avec le parti d’opposition. Et la clé pour comprendre la politique, c’est que quand vous arrivez au sommet de ces deux pyramides où ces partis sont apparemment en opposition, alors la prochaine étape … vous emmène dans l’ombre, ils répondent tous les deux aux mêmes maîtres. Et donc, si vous regardez l’exemple américain, vous avez ce type qui s’appelle Mitch McConnell ? [Mitch McConnell = Chef de la minorité au Sénat américain, membre du Parti républicain] Le soi-disant républicain qui est absolument aligné avec les politiques démocrates parce que les hiérarchies répondent au même maître. Au sein du parti républicain en Amérique, vous aurez des rebelles – mais des rebelles dans le classement de Capital Hill, si vous voulez, vous n’aurez pas de rebelles au sommet de la hiérarchie. Et ce sont les non-rebelles qui accèdent généralement à ces positions de pouvoir. Nous venons d’en avoir un autre avec McCarthy [Kevin McCarthy = actuel président de la Chambre des représentants des États-Unis, membre du Parti républicain] dans la Chambre qui, encore une fois, est vraiment un républicain.

Interviewer : … oh, ils l’ont forcé à faire toutes sortes de concessions.

Icke : Oh, c’est super que quelqu’un ou quelques personnes aient eu le courage ainsi que la lucidité de penser que nous avons ici une chance de tirer quelque chose de la situation et pas seulement d’approuver la ligne du parti. C’est une métaphore fantastique pour l’ensemble du système et la population en général en termes de ce que nous pouvons faire et où nous pouvons aller. Cela dépend à quel point vous le voulez. Maintenant, vous savez, ces gens qui se sont levés et ont dit que nous n’allions pas voter sans concessions pour McCarthy comme président de la Chambre, ils savaient qu’ils seraient en quelque sorte diabolisés – et ils l’ont été, par des idiots et ils savaient qu’ils allaient être très impopulaires mais ils l’ont quand même fait. Et c’est ce qu’on doit faire ! Si on ne le fait pas, si on baisse simplement les bras et qu’on se dit « Je ne suis pas d’accord avec ça, mais quelles seront les conséquences pour moi si je dis ou si je fais quelque chose à ce sujet ? » … alors tout ce que vous faites est de permettre aux psychopathes de l’emporter, c’est comme ça que ça se passe. Donc, si vous regardez la politique de la manière que j’ai décrite, c’est fondamentalement une forme de monarchie, mais c’est une forme cachée de monarchie. Là où ce n’est pas si évident, c’est quand ils vous disent que vous avez le pouvoir de décider pour qui voter tous les quatre ou cinq ans ou peu importe. Mais en fait, vous votez pour des masques sur le même visage. C’est ce pour quoi vous votez, avec des exceptions honorables. Et ce que nous voyons en ce moment, et j’ai été stupéfait, je dois dire, quand je suis arrivé pour la première fois en Amérique et que le vote électronique arrivait, je pensais  » Pardon ? le vote électronique ?! » Comment peut-on savoir au juste ? Et donc, c’est très… Je veux dire, vous n’êtes pas censé remettre en question la dernière élection où Biden a été élu. Je veux dire, quelle a été l’élection la plus manifestement biaisée que j’aie jamais vue ? Et donc ce qu’ils font maintenant, c’est qu’ils passent au niveau supérieur où ils manipulent non seulement qui ils veulent au pouvoir en manipulant la perception du public. En fait, ils sabotent les élections. Donc, les gens qui étaient en Arizona – des gens comme Kari Lake [Kari Lake = candidat républicain au poste de gouverneur de l’Arizona, États-Unis aux élections de 2022] par exemple et d’autres qui défendaient ce qu’ils croyaient être juste et qui repoussaient ce culte – c’est-à-dire l’agenda – ils n’étaient pas seulement ciblés par les démocrates, ils étaient ciblés par leur propre parti, des gens comme Mitch McConnell en termes de financement etc. Parce que c’est un État à parti unique partout dans le monde, mais nous devons penser que c’est un État à deux partis, sinon nous réaliserions que c’est juste une autre tyrannie qui a remplacé la tyrannie de la monarchie. Et donc la question se pose : si nous voulons faire quelque chose à propos de ce qui se passe, au lieu de nous tourner vers la politique, nous devons regarder la calculatrice. Nous avons besoin de voir huit milliards de personnes se voir imposer la direction de leur monde et de leurs vies dictées par littéralement, une poignée de personnes – par rapport aux huit milliards. C’est ainsi que c’est possible – c’est pourquoi ça a été possible tout au long de l’histoire humaine. Pourquoi est-ce possible ? En raison du consentement de milliards de personnes à côté de quelques-uns. Et tout au long de l’histoire de l’humanité, les quelques-uns ont contrôlé les masses ; parce que les masses ont consenti aux quelques-uns et obéi aux quelques-uns, ils ont fait ce que les quelques-uns leur ont dit, ou parce qu’ils ne voulaient pas le faire mais craignaient les conséquences de ne pas le faire, alors ils le font quand même. C’est ainsi que tout a fonctionné. Le complot s’effondrerait si les gens arrêtaient de ne pas remettre en question l’autorité et insistaient pour que tout ce que l’autorité leur dit soit remis en question et justifié par les preuves… S’ils étaient déterminés et disaient : « Quand je vois que ce n’est pas bien, je ne vais pas le faire », et ils rejoindraient alors le troisième groupe qui a mis fin à toutes les tyrannies de l’histoire, et ce sont les vrais opposants qui voient qu’on leur ment et qui refusent de coopérer avec l’autorité qui leur ment.

Interviewer : Oui, je pensais que nous pourrions passer à un nouveau sujet. Kla.TV est une organisation suisse-allemande et la majorité de nos auditeurs seront germanophones et je pense qu’ils seront vraiment intéressés par votre opinion sur un nouveau sujet à venir en parlant de la question de la restructuration de la dette en Allemagne, une nouvelle loi est en préparation appelée la « loi sur le partage des charges ». Elle entre en vigueur le 1er janvier 2024 et l’idée est que les déficits qu’ils ont accumulés sont si élevés… pendant l’ère Covid… toutes les dépenses qui ont eu lieu pendant l’ère Covid – ils vont devoir payer la note et donc dans cette loi sur la restructuration de la dette, ils vont l’imposer directement aux gens et cela va devenir une taxe massive. Et je veux dire qu’elle menace de mettre en faillite toutes sortes de personnes. Je suppose qu’aux États-Unis, on procède d’une manière un peu différente, on dévalorise simplement l’argent qu’on dépense sans fin. Mais en Allemagne, apparemment, ce ne sera qu’un impôt direct pour toutes les dettes qu’ils ont contractées. Et mon équipe m’a envoyé une note et m’a dit : en bref, nous nous dirigeons vers une dépossession totale analogue au Great Reset de Klaus Schwab « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ». J’aimerais entendre votre commentaire là-dessus.

Icke : Eh bien, j’ai une expression que j’utilise depuis des décennies : Voyez le résultat et vous verrez le chemin. Si vous ne connaissez pas le résultat prévu, les événements quotidiens, y compris des choses comme celle-ci, semblent être aléatoires et sans lien avec tout le reste – alors qu’en réalité ils ne sont pas aléatoires et qu’ils sont connectés à tout le reste. Voyons donc le résultat : je décris depuis des décennies la structure sociétale qui est prévue pour nous si nous continuons comme nous le faisons, et je l’ai appelée « la société des jeux de famine ». Je l’appelais autrement avant, mais quand les films Hunger Games sont sortis, ils symbolisaient tellement cette société qu’ils lui ont donné le nom. Donc, si vous regardez la structure de la société Hunger Games, vous avez des gens dans ce qu’ils appellent le Capitole, dans le luxe absolu high tech et le reste de la société n’était pas seulement dans la pauvreté et la servitude, servant les intérêts de quelques-uns, ils étaient divisés en secteurs et les différents secteurs n’étaient pas autorisés à interagir avec les autres secteurs. Compartimentation de cette population. Et alors, comment créez-vous cette situation ? Eh bien, soit les quelques-uns sont en situation de dépendance, soit les masses sont en situation de dépendance vis-à-vis des quelques-uns, donc contrôlées. Dépendance veut dire contrôle. Ensuite, il faut détruire les moyens de subsistance et l’accès à un revenu indépendant de la population. Et la structure de cette société Hunger Games, (peut-être vous la reconnaissez) ressemble à ceci : au sommet, vous avez les moins de 1 % qui contrôlent la richesse, les ressources et l’accès aux ressources. Ils contrôlent l’accès à la nourriture, ils contrôlent l’accès à toutes les bases de la survie humaine. Au bas de cette pyramide des « jeux de famine », se trouve essentiellement le reste de la population en servitude, qui dépendent, pour les bases de la survie, des quelques personnes au sommet. Et entre les deux, il est prévu qu’il y ait éventuellement une fusion de la police et de l’armée dans un État policier et militaire pour imposer la volonté des quelques-uns sur le plus grand nombre et empêcher le plus grand nombre de se rebeller contre le petit nombre. Examinons donc l’histoire récente sur cette base et sur ce que vous venez de décrire en Allemagne. Les fermetures ont été faites pour cibler les petites et moyennes entreprises, et même les plus grandes entreprises qui n’appartiennent pas à la secte. Les formidables sociétés appartenant à la secte comme Amazon et Facebook et toutes les autres se sont très bien comportées bien sûr pendant la période de confinement. Mais beaucoup d’entreprises ont cessé leurs activités et bien d’autres depuis. Vous avez donc créé une situation de dépendance parce que vous détruisez la petite entreprise et vous détruisez l’accès à l’emploi dans la petite entreprise. Vous créez la dépendance. Ce que vous faites alors, c’est suivre un canular extraordinaire appelé changement climatique causé par l’homme. Et vous dites que vous allez remplacer les combustibles fossiles par des énergies dites renouvelables comme l’éolien, le solaire. Vous savez que vous ne pouvez pas faire ça.

Interviewer : N’oubliez pas d’inclure les voitures électriques qui roulent… avec des combustibles fossiles.

Icke : Oui exactement ! J’ai parlé avec quelqu’un l’autre jour, il s’agissait de voitures électriques, et j’ai demandé : Selon vous, qu’est-ce qui produit l’électricité que vous mettez dans votre voiture ? Mais c’est l’échelle de la manipulation mentale que les gens n’associent pas à l’électricité – ils associent l’électricité de leur maison aux combustibles fossiles, « vous devez réduire votre consommation d’électricité pour sauver le monde du changement climatique ». Mais ils ne feront pas le lien avec l’électricité utilisée par leur voiture. Je veux dire que c’est l’échelle de la manipulation mentale. C’est finalement ça : la manipulation mentale est à la base de tout, vous gonflez artificiellement le coût de l’énergie à travers vos politiques de lutte contre le changement climatique. Ensuite, comme l’a fait Biden, vous fermez les pipelines et vous ciblez les combustibles fossiles afin qu’une fois de plus, vous augmentiez le coût de l’énergie en affectant l’approvisionnement.

Interviewer : Excusez-moi, non seulement on a fermé des pipelines, mais on les a aussi fait exploser.

Icke : Oh oui, j’y viens, oui, exactement, ce qu’on fait, c’est qu’on déclenche une guerre en Ukraine alors que l’Europe peut obtenir du gaz naturel de la Russie via un oléoduc. On ne veut pas que l’Europe reçoive du gaz naturel, on veut mettre en place la société du jeu de famine, on veut que le prix de l’énergie soit disproportionné, soit plus important, parce que lorsqu’on augmente le prix de l’énergie, on augmente le prix de tout parce que tout à un moment donné a besoin d’énergie pour être produit et transporté. En même temps, on utilise le confinement pour démanteler la chaîne mondiale de production alimentaire. Parce que lorsqu’on contrôle la nourriture, on contrôle les gens. Lorsqu’on contrôle l’accès à la nourriture, on contrôle les gens. Nous avons donc maintenant Bill Gates, le revoici ! en tant que plus grand propriétaire de terres agricoles en Amérique et vous avez le forum économique mondial contrôlé par Mark Rutte aux Pays-Bas, ciblant 3 000 agriculteurs néerlandais pour détruire leurs moyens de production faisant partie du deuxième plus grand exportateur de nourriture dans le monde. Donc tout cela est lié et c’est lié à la création d’une dépendance. Et ce qu’ils veulent faire, c’est créer une situation où les gens n’ont pas la capacité de subvenir à leurs besoins parce qu’ils démantèlent cette capacité systématiquement. Et puis ils veulent se manifester, c’est déjà en train de se produire. Et ils disent : La seule façon de régler cela est d’avoir un revenu garanti, où nous vous donnerons une certaine somme d’argent – ce sera une somme dérisoire – chaque mois, pour les nécessités de la vie. Mais si vous voulez défier le gouvernement et que vous voulez avoir une vision différente de ce qui se passe, eh bien, vous n’aurez pas votre revenu garanti. Et alors, qui vous le donnera ? Parce que nous avons démantelé votre capacité à gagner votre vie. Ajoutez à cela que l’intelligence artificielle prend de plus en plus d’emplois normalement occupés par des personnes. Et on a cette situation où les gens ne pourront pas gagner leur vie et qu’est-ce qu’ils vont devenir ? 100 % dépendant de toute autorité qui exigera une conformité totale. Donc, si vous ne ciblez pas seulement les pauvres et ce que nous appelons en Grande-Bretagne les classes ouvrières, vous allez cibler chaque personne de la société qui n’est pas liée à votre secte, qui forme la grande majorité, la majorité écrasante, vous ne devrez pas seulement les empêcher de gagner leur vie, ceux qui ont déjà accumulé des richesses, vous devrez également vous en débarrasser. Et donc ce qui s’est passé en Allemagne, ce qui s’est passé partout dans le monde, et encore une fois, une fois que les gens comprennent « Voyez le résultat et vous verrez le chemin » – toutes ces choses se relient de manière assez évidente. La raison pour laquelle, si vous vouliez de l’argent avant le Covid, le canular du Covid, pour des choses qui le méritaient, c’était « Ah non, non, ben vous savez, on aimerait bien le faire mais il n’y a pas d’argent. » Toujours de l’argent pour les guerres bien sûr mais non, il n’y avait pas d’argent pour ceci, pas d’argent pour les sans-abris, pas d’argent pour ceci, pas d’argent pour cela. Mais une fois que le canular du Covid a été enclenché, l’argent n’était plus un problème dans la réponse au Covid. Partout dans le monde, tout le monde y jetait de l’argent. Des sommes d’argent incroyables. Pourquoi ? Parce qu’une autre façon de détruire l’économie et l’accès indépendant des gens à un moyen de subsistance est que l’inflation monte en flêche. Quiconque a de l’argent à la banque, dont la valeur diminue tout le temps à cause de l’inflation et toute personne ayant un revenu fixe comme un retraité ou autre, la même chose leur arrive. Vous écrasez la population avec ces moyens. Alors, qu’est-ce qu’ils font maintenant – et nous avons un Premier ministre en Grande-Bretagne, appelé Rishi Sunak, qui était chancelier de l’Échiquier en charge des finances du pays et qui a distribué tous ces chèques monstrueux à l’époque du Covid comme l’ont fait d’autres pays. Et il est maintenant le premier ministre qui dit « oh non, nous allons avoir des difficultés économiques pour la population à cause de l’impact de ce que j’ai fait ». En réalité, il n’a pas dit cela bien sûr, et c’est partout comme ça. Et ce que vous avez décrit en Allemagne est un exemple classique de ce qui se passe partout. Donc, vous créez le problème et ensuite vous proposez la solution qui consiste à dévaster économiquement la population pour faire avancer votre programme vers la société des « jeux de famine ». Donc toutes ces choses sont liées et ce qu’ils veulent – et ils en parlent tous, et quand ils en parlent tous comme une chorale partout dans le monde, ces soi-disant dirigeants mondiaux, vous savez que c’est l’agenda qui est décrit. Ils veulent se débarrasser de l’argent. J’ai écrit un livre en 1992 intitulé « La rébellion des robots » et j’y ai dit que le plan est de se débarrasser de l’argent liquide et de n’abriter qu’une monnaie électronique qui serait mondiale. Et ce qu’ils cherchent à faire maintenant, c’est d’avoir cette monnaie numérique qui leur permet de tout contrôler. Vous n’avez pas votre propre argent, vous ne pouvez pas avoir une économie monétaire parce que cela a disparu, vous ne pouvez plus utiliser d’argent liquide. Et encore une fois, le Covid est l’arnaque qui continue toujours, si vous vous souvenez : pratiquement immédiatement, lorsque le canular du Covid a commencé, Tedros [Tedros Ghebreyesus = directeur général de l’Organisation mondiale de la santé] à l’Organisation mondiale de la santé, qui n’est qu’un homme de main pour Gates qui est un homme de main pour les Rockefeller qui sont des hommes de main pour le culte – il a dit que vous pouviez attraper le Covid en…

Interviewer : … touchant de l’argent liquide.

Icke : De l’argent liquide, oui. Maintenant, cela n’avait bien sûr rien à voir avec la santé, c’était une arnaque pour se débarrasser de l’argent liquide. Et vous savez, il y avait des gares avec de petits kiosques en bois pour boire un café, où vous leur remettiez juste de l’argent liquide, ils ne voulaient vraiment rien d’autre que du liquide. Et après, très peu de temps après, ils disaient qu’ils ne prenaient que les cartes pour une tasse de café ! À cause de la peur d’avoir le Covid à cause de l’argent liquide ! Bien sûr, c’était un non-sens, c’était un mensonge, ce ne sont que des mensonges. Maintenant, ils veulent se débarrasser de l’argent liquide, c’est pourquoi c’est la mode des guichets automatiques, c’est la raison pour laquelle les agences bancaires ferment, afin que tout soit en ligne, que tout soit numérique. Parce qu’alors ils ont le contrôle total de votre argent. Et le plan, cela se produit déjà dans des endroits comme la Chine, c’est que si vous faites des infractions par exemple, l’une de ces caméras peut vous identifier, c’est le plan de l’IA, alors l’amende sera simplement ponctionnée sur votre compte. C’est ce qu’ils concoctent. Ils peuvent essentiellement effacer votre accès à l’argent – si vous êtes un dissident du système et si vous contestez le système, ils peuvent simplement fermer votre compte. Et si les gens disent … « Non, c’est tiré par les cheveux » – Allôoo ! Justin Trudeau, Camionneurs, Canada. [Regardez notre interview de Hugh Hunter, un habitant d’Ottawa, expliquant la situation des camionneurs : www.kla.tv/21785] Vous savez ce qui s’est passé. Et ce n’était qu’un avant-goût de ce qui est prévu partout. Donc, cette situation en Allemagne correspond parfaitement à ce programme que je viens de décrire, car il vise la capacité de la population à survivre et à payer ses factures.

Parce que l’idée est que cela n’est pas censé se produire. Vous n’êtes pas censé pouvoir vivre votre vie et payer vos factures, mais plutôt être complètement dépendant du gouvernement pour votre survie. C’est le plan. Et si nous continuons simplement à observer cela, alors cela arrivera mais pas forcément. Huit milliards ne peuvent être contrôlés par une poignée de gens que si les huit milliards y consentent. C’est tout.

Interviewer : C’est vrai, David, et vous terminez souvent vos vidéos par « Okay, levons-nous et faisons quelque chose à ce sujet ! » Un de mes blogs Substack préférés [Substack = une plate-forme Internet où les écrivains peuvent publier directement à leur public. Il n’a pas encore censuré les voix dissidentes] est un gars qui termine chaque message avec « Ne vous conformez pas. Parlons donc des solutions ». Je veux savoir ce que cela signifie concrètement dans votre esprit « Ne pas se conformer » ?

Icke : Eh bien, si quelque chose est clairement fait pour vous asservir de quelques manières que ce soit, alors vous ne le faites pas. Vous savez, ils se sont imposés dans ce pays au printemps 2020 et ils ont dit : « Vous devez garder vos distances sociales, ne sortez qu’une heure par jour, et vous devez porter, au fur et à mesure que l’été se déroule, vous devez porter une couche sur le visage, une couche faciale partout où vous allez à un moment donné. Et vous ne pouvez pas voyager ». Moi, je n’ai rien fait de tout cela. Je n’ai pas fait de distance sociale. Si quelqu’un voulait me fuir dans la rue, c’était son choix. Mais je n’avais pas peur d’eux donc je n’allais pas faire ça. Je sortais quand je voulais. J’ai voyagé, je suis allé à de gigantesques rassemblements à Londres et je n’ai jamais porté de couche faciale et je ne le ferai jamais, je préférerais mourir. Alors imaginez… – il y a quelques 60 millions de personnes dans les îles britanniques – imaginez si même un quart d’entre eux faisaient la même chose et refusaient de faire l’une de ces choses parce qu’elles étaient manifestement absurdes et qu’elles étaient évidemment une arnaque, alors ces ordres n’auraient pas été applicables.

Intervieweur : C’est vrai… même pas un quart des gens, j’ai entendu dire qu’il faudrait à peu près entre 13 et 20 %.

Icke : Oui. Voici un excellent exemple. Lorsque le gouvernement britannique a introduit le confinement la première fois, une poignée de personnes sont sorties pour protester. Et parce qu’il y en avait une poignée, la police s’est déplacée et les a arrêtées. En août 2020, il y avait 35 à 40 000 personnes à Trafalgar Square, j’y ai moi-même parlé. Il y avait tant de monde qu’ils ne pouvaient pas empêcher que cela se produise. Ensuite, 40 ou 45 000 autres personnes se sont présentées à la manifestation suivante. Et au printemps 2021, il y avait tellement de monde dans ces manifestations à travers Londres, je veux dire des centaines de milliers, que la police qui venait juste d’arriver et d’arrêter les premiers manifestants, se tenait juste debout sur le côté de la rue à nous regarder passer. Parce qu’il y avait tellement de gens qui disaient « Nous ne nous conformons pas », les autorités ne pouvaient rien y faire. Et c’est une telle métaphore de ce dont je parle. Et pour arrêter cela, ils doivent diviser et gouverner la population et obtenir de grandes divisions de la population pour attaquer, diaboliser et condamner ceux qui cherchent à protéger la liberté de la population. C’est pourquoi l’accent a été mis sur ces prétendus anti-vax, les négationnistes du Covid etc., parce que si nous nous réunissons en nombre quelconque – et vous avez raison, on est loin d’être la majorité, je veux dire, si nous attendons la majorité, franchement nous pourrions attendre longtemps. Mais cela n’a rien à voir avec la majorité, c’est juste qu’on a besoin d’un grand nombre de personnes dans chaque pays qui disent simplement : « Non, on va arrêter de faire ça, nous ne sommes pas d’accord de nous faire asservir de la sorte ». Si quelqu’un sort de la Maison Blanche ou de Downing Street [Downing Street = résidence officielle et bureaux du Premier ministre britannique et d’autres représentants du gouvernement] et dit « nous avons eu une discussion et c’est ce qui va se passer ». Si suffisamment de personnes disent : « nous ne le ferons pas », Ils n’auront aucun pouvoir ! Ils n’ont pas de pouvoir ! Le pouvoir qu’ils ont est le pouvoir que la population leur donne sous la forme A) d’un consentement incontesté, et B) d’une acceptation qui ne veut pas consentir, mais qui a trop peur de ne pas se conformer. Ces deux mentalités sont la seule chose qui ait jamais permis à quelques-uns de contrôler le plus grand nombre et c’est toujours l’équation. Et si on veut… et c’est encore ce que les gens disent, on ne peut rien faire. Mais bien sûr qu’on peut faire quelque chose ! Huit milliards de personnes ne peuvent pas être contrôlées par une poignée de gens, c’est impossible sans le respect des huit milliards. La réponse est devant nous, mais les gens doivent s’informer pour qu’ils réalisent qu’on leur ment, avoir une paire de ….. pour ne pas consentir par peur, et rejoindre les groupes d’opposants, les vrais opposants, et ce nombre augmente tout le temps, qui disent « Non, nous ne participons pas à nos propre asservissement ». Et si les gens faisaient juste cela, ils réaliseraient non seulement où se trouve le pouvoir, mais que c’était le cas depuis le début. Je vais vous donner un exemple rapide. Margaret Thatcher, le Premier ministre britannique, était considérée comme la Dame de fer et invincible. Et puis elle a sorti quelque chose qui s’appelle la poll tax vers la fin de son mandat de premier ministre, et c’était vers la fin du mandat de premier ministre à cause de ce qui s’est passé, cette dame de fer invincible, (qui pensait) « J’ai le pouvoir. » Et ce que la poll tax a fait, c’est qu’elle a non seulement affecté la classe ouvrière, les pauvres, mais aussi la classe moyenne, qui est différente de votre classe moyenne. Notre classe moyenne a un peu plus d’argent que votre classe moyenne, vous voyez ce que je veux dire. C’est juste une description différente. Mais ce que (cette taxe) a fait, c’est qu’elle a uni deux groupes qui ne se seraient normalement pas mis ensemble. Donc c’était comme, « oh, ça affecte la classe ouvrière, je suis de la classe moyenne, ça ne m’affecte pas. » « Oh, c’est la classe moyenne, ça ne m’affecte pas, je suis de la classe ouvrière », ça a affecté les deux. En conséquence, de mémoire, un très, très grand nombre de personnes a dit : « Nous ne paierons pas. Nous refusons de la payer ». Et j’ai en fait été impliqué dans le premier procès, qui a eu lieu en bas de la rue où ils ont essayé d’engager des poursuites contre les gens qui ne voulaient pas payer, et cela s’est terminé en queue de poisson, c’est une longue histoire, mais leur poursuite a été un véritable fiasco à la première audience.

Intervieweur : Je ne connais pas cette expression « en queue de poisson ».

Icke : Ca a mal tourné.

Interviewer : C’est devenu compliqué.

Icke : Ça a mal tourné pour le gouvernement, ils n’ont rien eu. C’est ce qui s’est passé. Mais ce que je dis, c’est que le refus de ces deux groupes normalement divisés mais désormais unis sur ce point signifiait non seulement que la taxe en question a été supprimée, mais elle a tellement blessé l’image de la « Dame de fer » de Margaret Thatcher qu’elle a démissionné très rapidement après. Et cela montre juste que vous êtes le vrai pouvoir. Le pouvoir de la Dame de Fer était là avec le consentement de la population et de la peur de ne pas se conformer. Une fois que ce groupe uni a dit « nous ne coopérons pas », c’était fini. Et vous savez, quand les gens me disent : « on ne peut rien faire, qu’est-ce qu’on peut faire ? » Et je dis juste : « Oh mon Dieu, procurez-vous une calculatrice. » Mettez huit milliards, enlevez les gens qui savent très bien ce qu’ils font, enlevez les hommes de main du gouvernement qui imposent et administrent ce que quelques-uns veulent faire, enlevez la police, enlevez les forces de l’ordre, enlevez l’armée, déduisez cela maintenant des huit milliards. Il reste la meilleure partie des huit milliards. La réponse est donc là. Mais il faut avoir le choix de faire en sorte que la réponse se produise en disant simplement « je ne le fais pas ». « Non » est le mot le plus puissant dans n’importe quelle langue, à partir du moment où nous défendons notre point de vue « Non, on ne va rien m’imposer et ma liberté ne sera pas supprimée si je ne me plie pas à ce que vous me dites de faire ».

Intervieweur : Excellent, eh bien, soulignons ce point important, et terminons cette interview.




Chajnantor

Un roman de Patrick Lehébel paru en septembre 2015, cinq ans avant la plandémie Covid. Prémonitoire ?

Présentation (4e de couverture)

Nous sommes en 2030. Le radiotélescope géant de Chajnantor, dans la cordillère des Andes, détecte un signal en provenance d’une planète située hors du système solaire… Ce signal est un message, un message d’origine humaine.

Débute alors, captivante et terrible, la narration d’une histoire de la Terre et des Hommes, couvrant une période allant de 2084 à 3427, date présumée de l’extinction de l’espèce humaine. Cette période, qui s’ouvre avec la naissance du narrateur, verra le monde actuel s’effondrer sur lui-même, dans les guerres et les dérèglements environnementaux. Il renaîtra, sous la forme quelque peu orwellienne d’une humanité globalisée, avançant à tâtons, sous la houlette d’un gouvernement mondial désincarné, sur la voie de manipulations génétiques semblant promettre l’immortalité pour tous… Mais Icare n’est jamais loin, et la survie de l’Humanité bientôt ne tiendra plus qu’à un fil…

Si le message a été reçu, pourquoi le futur a-t-il été ce qu’il a été ? A Chajnantor, les auditeurs de cet extraordinaire message le comprendront, mais trop tard.

À propos de l’auteur

Patrick Lehébel est né en 1959 à Saint-Nazaire, il vit aujourd’hui toujours dans la région, en Brière. Agrégé et docteur en mathématiques, il a enseigné tant en France qu’en Afrique. Il a à son actif la rédaction de plusieurs ouvrages, essais et romans. Sa principale préoccupation est l’avenir de l’Humanité, malgré son penchant avéré pour la folie autodestructrice. Patrick Lehébel utilise habilement ses connaissances scientifiques dans ses romans pour en faire de la véritable science-fiction, au sens premier du terme, rendant ainsi le récit d’autant plus prenant et crédible. Préalablement à Chajnantor, Patrick Lehébel a publié deux autres romans : Iridium Apocalypse (Edilivre, 2007) et L’Or du Kent (l’Ancre de Marine, 2012).

2030 en pleine cordillère des Andes, le radiotélescope géant de Chajnantorreçoit un signal en provenance d’une planète située hors du système solaire. Or, selon toutevraisemblance, ce message est d’origine humaine… S’ensuit alors le récit haletant de laplanète Terre d’une période allant de 2084 à 3427 par un homme qui décrit par le menu tousles événements qui ont mené l’Humanité à sa perte. D’abord un accroissement de lapopulation mondiale sans limite, faisant fi des ressources limitées de la planète, puis le désir insatiable del’Homme de vivre toujours plus longtemps, en dépit de toute éthique et du bien-êtrede l’Humanité dans son ensemble. Ce roman se lit d’une traite tant il est captivant. C’est un mélange réussi entre vulgarisation scientifique et roman d’anticipation, bref de la vraie science-fiction comme on n’en fait plus, à la façon de Jules Verne. Le sujet, qui pouvait être qualifié de vraiment novateur à la sortie du roman en 2015, peut aujourd’hui, au vu des récents événements, indubitablement être qualifié de carrément visionnaire.

Pour se procurer le livre

http://www.antigone14editions.com/livre-chajnantor-patrick-lehebel-978-2-37233-024-4.htm

https://livre.fnac.com/a9053732/Patrick-Lehebel-Chajnantor

https://www.decitre.fr/livres/chajnantor-9782372330244.html

https://www.librairie-gallimard.com/livre/9782372330244-chajnantor-patrick-lehebel/




Un directeur du NHS confirme que les hôpitaux ont menti sur la cause des décès pour créer l’illusion d’une pandémie de COVID

[Source : expose-news.com]

[NDLR NHS = National Health Service, le système de Santé au Royaume-Uni].

Avant l’arrivée de la Covid, quatre types de pneumonies additionnés constituaient la principale cause de décès au Royaume-Uni. Selon un ancien directeur des soins de fin de vie, le système de certification des décès nouvellement mis en place par le médecin légiste certifiait tous les types de décès par pneumonie comme des décès par covid-19.

Samedi, Sai, un ancien directeur des soins de fin de vie du NHS, a écrit un fil Twitter qui, entre autres, a donné un compte rendu personnel des changements apportés au système de déclaration des décès mis en œuvre dans le NHS :

« Lorsque quatre maladies différentes sont regroupées et désormais appelées covid-19, vous voyez inévitablement la covid-19 avec un taux de mortalité énorme. Les médias grand public ont fait état de l’augmentation considérable du nombre de décès dus à la covid-19 en raison de la mise en place du système des médecins légistes.

Les patients admis et mourant de vieillesse ou de maladies très courantes telles les infarctus du myocarde, l’insuffisance rénale terminale, les hémorragies, les accidents vasculaires cérébraux, les BPCO et les cancers, etc. étaient tous certifiés comme étant des covid-19 par le système des médecins légistes.

Les hôpitaux passaient du système des médecins légistes au système prépandémique quand ils le voulaient. Lorsqu’il fallait augmenter le nombre de décès dus à la covid-19, l’hôpital passait au système du médecin légiste. »

En outre, « les hôpitaux étaient incités à déclarer les décès dus à la covid-19 plutôt que les décès normaux, car le gouvernement versait aux hôpitaux des sommes supplémentaires pour chaque décès dû à la covid-19 qui était déclaré », a déclaré Sai. « Je n’ai aucun doute dans mon esprit que le gouvernement a planifié l’ensemble de la pandémie depuis 2016, lorsqu’il a proposé pour la première fois de modifier la certification médicale des décès. »

Vous pouvez lire le fil de discussion de Sai sur Twitter ICI ou sur l’application Thread Reader App ICI. Au cas où il serait supprimé de Twitter, nous avons […] joint une copie PDF […] :




Quand les théories du complot font partie du complot

[Source : Jérémie Mercier]

Dans cet entretien avec Icaros, auteur du blog https://coronacircus.com/ et contributeur d’une « freedom cell » (cellule de liberté) dans les montagnes suisses, nous explorerons la piste selon laquelle certains « complotistes » et certaines « théories du complot » peuvent parfois sans le savoir participer à une subversion permettant à terme la mise en place d’un « nouvel ordre mondial ».

[NDLR Les points de vue exposés sont bien sûr largement discutables, puisque pour la plupart ils relèvent d’hypothèses ou de théories.]






Entrevue intégrale de Mila Aleckovic (docteur en psychopathologies) pour comprendre ces psychopathes qui nous gouvernent

[Source : MediainfociteTV]

Les sujets abordés au cours de cette entrevue avec Dr Mila Aleckovic :

  • les techniques de manipulation des populations ;
  • la guerre psychologique — la « psychiatrie noire » ;
  • la crise sanitaire est un programme préparatoire à la 3e guerre mondiale ;
  • les caractéristiques du profil psychopathe ;
  • est-ce que certaines maladies mentales peuvent être le résultat « d’influences démoniaques » ;
  • quels sont les types de personnes qui ont la capacité de résister et quels sont les attributs pour pouvoir mener le combat auquel nous faisons face ?

[Voir aussi :
Chroniques du totalitarisme – Psychopathologie du totalitarisme,
Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective,
Comment fonctionne le contrôle mental réel,
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous,
L’art de la guerre,
Dépopulation
et liens inclus]






Quand le brouillard de la guerre commence à se dissiper…

[Source : Cf2R.org via profession-gendarme.com]

Éditorial d’Éric Denécé N° 62/février 2023

Fin juillet 2022, lors d’une intervention consacrée à la manipulation de l’information en temps de guerre(([1] https://dialoguefrancorusse.com/medias/guerre-en-ukraine-information-et-realite-avec-eric-denece-et-pierre-conesa/)), je déclarais qu’il était difficile d’analyser aussi finement que l’on pouvait le souhaiter le conflit en cours en Ukraine, les causes réelles de son déclenchement et d’identifier formellement les auteurs de crimes de guerre, car je sais d’expérience, en tant qu’ancien analyste du renseignement, que les faits rapportés par les médias et la plupart des observateurs en temps réel sont toujours partiels, approximatifs ou biaisés, que les différents belligérants rivalisent de désinformation et que les véritables explications n’apparaissent que plus tard, à l’issue du conflit… voire parfois jamais !

Nous en avons aujourd’hui l’illustration, car des faits nouveaux — c’est-à-dire des événements qui étaient « invisibles » en temps réel par les analystes, si ce n’est par une partie des belligérants — sont peu à peu portés à notre connaissance, un an après le début de ce déplorable conflit. Évidemment, il convient d’être prudent même si les sources sont crédibles et qu’elles sont déjà en partie recoupées. Toutefois, ces révélations nous paraissent suffisamment fondées pour que nous les prenions en considération. À partir de celles-ci, il est dès lors possible d’avoir une nouvelle lecture des événements et de donner du sens à des faits et des décisions dont on ne saisissait pas jusqu’alors la logique.

Les deux récentes révélations qui modifient la donne sont :

– les déclarations concordantes de l’ancien Premier ministre israélien Naftali Bennett, de l’économiste américain Jeffrey Sachs(([2] Consultant spécial du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres ; il a figuré à plusieurs reprises dans le classement des personnalités les plus influentes du monde de Time Magazine.)) et des médiateurs turcs(([3] https://www.middleeasteye.net/fr/actu-et-enquetes/ukraine-turquie-israel-russie-guerre-efforts-diplomatie-mediation-negociations)), selon lesquelles le gouvernement ukrainien a été à très proche, fin mars 2022, de signer un accord avec la Russie pour mettre un terme au conflit ;

– l’article de Seymour Hersh décrivant la manière dont les États-Unis ont procédé pour conduire l’opération de sabotage des gazoducs Nord Stream 1 et 2 et les conclusions d’un procureur allemand chargé de l’enquête.

[Voir aussi :
Comment les États-Unis ont détruit le gazoduc Nord Stream
et
Attaque terroriste du Nord Stream : Le complot s’épaissit]

La rupture des négociations

Des négociations se sont ouvertes, en mars 2022, quelques jours après le déclenchement de l’offensive russe en Ukraine, à l’initiative d’Israël. Dans une longue interview accordée à la chaîne Channel 12, le 4 février 2023(([4] https://www.i24news.tv/fr/actu/conflit-en-ukraine/1675587804-je-ne-tuerai-pas-zelenski-avait-promis-vladimir-poutine-a-naftali-bennett
https://fr.timesofisrael.com/bennett-assure-que-poutine-lui-a-promis-de-ne-pas-tuer-zelensky/
https://youtube.com/watch?v=qK9tLDeWBzs%3Ffeature%3Doembed)), l’ancien Premier ministre de l’État hébreu, Naftali Bennett(([5] Comme plusieurs de ses prédécesseurs à ce poste, Naftali Bennett est un ancien officier des forces spéciales, ayant servi successivement au sein des sayerot Matkal et Maglan.)), a révélé de nombreux détails sur les coulisses de cette médiation.

Il a expliqué que Moscou et Kiev étaient alors disposés à faire d’importantes concessions et qu’une trêve semblait possible : « Je prétends qu’il y avait de bonnes chances de parvenir à un cessez-le-feu » a-t-il affirmé, ajoutant que Poutine acceptait de renoncer aux exigences de « dénazification » et de désarmement de l’Ukraine, tandis que Zelensky consentait à ne plus demander l’adhésion de son pays à l’OTAN. De plus, à l’occasion de sa rencontre avec Vladimir Poutine, Bennett lui a demandé « Comptez-vous assassiner Zelensky ? ». Le chef d’État russe lui a alors promis qu’il n’éliminerait pas son homologue ukrainien.

« Tout ce que j’ai fait était coordonné avec les États-Unis, l’Allemagne et la France », a expliqué l’ancien chef du gouvernement israélien. Avant d’entreprendre cette démarche, il avait en effet contacté Joe Biden, son secrétaire d’État Antony Blinken, son conseiller à la Sécurité nationale Jake Sullivan, ainsi que le chancelier allemand Olaf Scholz pour leur proposer d’être un « canal de communication » entre Poutine et Zelensky. Bennett ajoute que la médiation d’Israël « a été coordonnée dans les moindres détails avec les États-Unis, la France et l’Allemagne », qui ont finalement pris les décisions finales. Il affirme en effet que les négociations ont été rompues par les pays occidentaux qui « ont bloqué » le processus, alors même que Bennett avait « l’impression qu’ils voulaient tous les deux [Zelensky et Poutine]un cessez-le-feu ».

Ces révélations sont particulièrement importantes et permettent de comprendre que Zelensky ne décidait de rien, qu’il a accepté de se voir dicter ses décisions par les Occidentaux, et que ce sont ces derniers qui ont refusé la signature d’un cessez-le-feu. Seul bémol, Bennett semble donner à la France et à l’Allemagne une importance que nous ne sommes pas sûrs qu’elles aient eue dans ce conflit(([6] En effet, depuis les déclarations d’Angela Merkel (décembre 2022) corroborées par François Hollande, nous savons que les Européens, à la demande de Washington, n’ont jamais souhaité voir appliquer les accords de Minsk qu’ils avaient signé en juin 2014.)), dont l’impulsion et la direction reviennent aux Américains.

Les Britanniques sont bien sûr également intervenus dans cette décision. Selon l’ex-Premier ministre d’Israël, « Boris Johnson a préconisé des mesures plus radicales. Macron et Scholz sont plus pragmatiques. Et Biden a soutenu les deux approches(([7] https://www.youtube.com/watch?v=qK9tLDeWBzs)) ». Au final, il observe qu’ils ont fait le choix de la position la plus radicale, c’est-à-dire celle des Britanniques.

Ainsi, aucune issue n’a pu être trouvée en raison de la « décision de l’Occident de continuer à frapper Poutine », de ne pas négocier et de faire passer un message aux autres États « voyous dans le monde », notamment à la Chine en raison de ses intentions vis-à-vis Taïwan a affirmé Bennett.

Israël n’a pas été le seul État ayant tenté une médiation entre les deux parties, la Turquie s’est également investie afin que le dialogue soit maintenu entre Moscou et Kiev. Et après des débuts de négociations difficiles(([8] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1867918/guerre-ukraine-rencontre-diplomatique-turquie-negociations.)), il semble là aussi que les pourparlers n’ont pas été loin d’aboutir.

Le 20 mars, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, assure que la Russie et l’Ukraine sont « proches d’un accord » et Ibrahim Kalin, le porte-parole de la présidence turque, déclare dans un entretien au quotidien Hurriyetque les deux parties négocient sur six points : la neutralité de l’Ukraine, le désarmement et les garanties de sécurité, la « dénazification », le retrait des obstacles à l’utilisation de la langue russe en Ukraine, le statut de la région séparatiste du Donbass et le statut de la Crimée(([9] https://www.lefigaro.fr/flash-actu/pourparlers-la-turquie-assure-que-la-russie-et-l-ukraine-sont-proches-d-un-accord-20220320)).

Le 29 mars, les délégations russe et ukrainienne se retrouvent à Istanbul pour un nouveau round de négociations(([10] https://www.lavoixdunord.fr/1159206/article/2022-03-29/direct-ukraine-nouveau-round-de-negociations-istanbul-entre-moscou-et-kiev
https://www.leparisien.fr/international/negociations-entre-lukraine-et-la-russie-un-premier-pas-diplomatique-mais-29-03-2022-LPQFQOSECJEXHK4M6SLU25AJ2I.php
https://www.leprogres.fr/defense-guerre-conflit/2022/03/29/guerre-en-ukraine-la-nouvelle-session-de-pourparlers-devrait-debuter-a-istanbul)). Le Kremlin qualifie alors les pourparlers de « significatifs » entre les deux pays(([11] https://information.tv5monde.com/info/negociations-entre-l-ukraine-et-la-russie-moscou-souffle-le-chaud-et-le-froid-450818)). Ce même jour, le vice-ministre russe de la Défense, Alexandre Fomine, annonce officiellement le retrait, à compter du 1er avril, des forces russes de la région de Kiev et du nord de l’Ukraine. Moscou présente ce repli comme un gage de bonne volonté dans le cadre des pourparlers avec Kiev. Le 29 mars toujours, Zelensky reconnaît voir des signaux « positifs » dans les négociations russo-ukrainiennes en Turquie, mais déclare que son pays n’a pas pour autant l’intention de relâcher ses efforts militaires(([12] AFP29 mars 2022.)).

Le 30 mars, malgré les réserves du camp occidental, le négociateur en chef ukrainien estime que les conditions sont désormais « suffisantes » pour une rencontre au sommet entre Poutine et Zelensky(([13] https://www.lorientlejour.com/article/1295195/negociations-substantielles-entre-moscou-et-kiev-en-turquie.html)). L’Ukraine se dit prête à adopter un statut neutre en échange de garanties sur sa sécurité, une proposition apparemment bien accueillie par Moscou qui confirme réduire son activité militaire autour de Kiev. Mais dans la soirée, tout bascule : le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, estime que les négociations n’ont donné lieu à « aucune avancée »(([14] https://www.lemonde.fr/international/article/2022/03/30/guerre-en-ukraine-dans-les-negociations-comme-sur-le-terrain-kiev-tente-de-reprendre-la-main_6119733_3210.html)), sans que l’on sache lequel des deux camps est à l’origine de cette impasse.

Jeffrey Sachs(([15] https://www.youtube.com/watch?v=ySNyAaw4VE)) a révélé récemment le rôle essentiel de Biden et de la petite cellule de néoconservateurs qui l’entoure — Victoria Nulland (sous-secrétaire d’État pour les Affaires politiques), Jake Sullivan (conseiller à la Sécurité nationale) et Anthony Blinken (secrétaire d’État), principalement — dans cette décision lourde de conséquences pour le peuple ukrainien. Il affirme que Russes et Ukrainiens en étaient alors à la septième ou huitième version d’un document final que devaient signer les deux parties lorsque les négociations ont été subitement interrompues par un revirement de Zelensky.

Selon Sachs, c’est la visite de Biden en Europe à partir du 23 mars — afin de participer à trois sommets internationaux à l’OTAN, au G7 et à l’Union européenne —, puis en Pologne, le 26(([16] https://www.rfi.fr/fr/amériques/20220323-le-président-américain-joe-biden-en-europe-pour-une-série-de-sommets-internationaux.)), qui sonne le glas des négociations et explique le changement de position de Zelensky. Depuis Varsovie, le président américain s’est montré particulièrement intransigeant à l’égard de Moscou et s’est livré à de violentes attaques verbales contre Poutine(([17] https://www.lemonde.fr/international/article/2022/03/26/guerre-en-ukraine-joe-biden-reaffirme-en-pologne-que-l-accord-de-defense-collective-de-l-otan-est-un-devoir-sacre_6119294_3210.html)), le qualifiant de « boucher », déclarant « il ne peut pas rester au pouvoir » et réitérant son soutien indéfectible à l’Ukraine(([18] https://www.midilibre.fr/2022/03/26/en-visite-en-pologne-joe-biden-qualifie-poutine-de-boucher-et-reitere-son-soutien-indefectible-a-lukraine-10196320.php)).

Les Russes auraient alors compris que les Occidentaux ne voulaient pas leur permettre de profiter d’une victoire presque acquise et qu’ils allaient devoir faire face à une guerre longue, ce qui n’était probablement pas dans leurs plans initiaux. Est-ce pour cette raison qu’ils ont pris la décision de retirer leurs forces du nord de l’Ukraine pour les redéployer dans le Donbass ou s’agissait-il vraiment d’un geste de bonne volonté l’égard de Kiev dans le cadre des négociations ? Nul ne le sait. Toujours est-il qu’après que les négociations sous les auspices israéliens et turcs aient été bloquées par les Occidentaux, tout dialogue va être définitivement interrompu lorsque Kiev va accuser Moscou — à tort ou à raison — des atrocités de Boutcha(([19] En dépit d’affirmation péremptoires de nombreux médias, les résultats des enquêtes internationales — auxquelles ont participé les gendarmes de l’Institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale (IRCGN) — sur l’identification des auteurs de ces horribles crimes de guerre n’ont pas encore été rendues publiques.)).

Le sabotage des gazoducs

Seymour Hersch est une référence incontestée du journalisme d’investigation américain. Lauréat du prix Pulitzer en 1970, les nombreuses affaires qu’il a révélées durant sa carrière — du massacre de My Lai en 1968 à la véritable façon dont s’est déroulée l’élimination de Ben Laden et aux vraies raisons de la guerre en Syrie(([20] The Killing of Osama Bin Laden, Verso, 2016.)) — font de lui un homme immensément respecté dans les milieux médiatique et politique d’outre-Atlantique. Sa force est de disposer de sources d’une grande qualité — acteurs engagés au cœur du conflit ou proches des centres de décision — et ses articles sont toujours fondés et très sérieux. Ce journaliste chevronné ne se livre jamais à des conjectures gratuites. L’article qu’il a récemment publié mérite donc toute notre attention(([21] https://seymourhersh.substack.com/p/how-america-took-out-the-nord-stream)).

Hersh y décrit précisément l’opération conçue et conduite par la CIA, avec l’aide de la Norvège(([22] Rappelons que l’actuel secrétaire général de l’OTAN est Jens Stoltenberg, un ancien Premier ministre norvégien et qu’Oslo est le premier concurrent de la Russie sur le marché du gaz en Europe…)) pour saboter les gazoducs Nord Stream 1 et 2. En juin 2022, à l’occasion d’un exercice naval de l’OTAN en mer Baltique, des plongeurs norvégiens ont installé des explosifs sur les gazoducs et les ont dotés d’un dispositif de mise à feu à distance. C’est un avion de patrouille maritime norvégien qui déclenchera l’explosion, trois mois plus tard, le 26 septembre, en larguant une bouée acoustique. Seymour Hersh déclare que la décision de saboter les gazoducs, véritable acte de guerre, a été prise en secret par le président américain Joe Biden et son entourage sans en référer au Congrès, afin d’empêcher Moscou de gagner des milliards de dollars grâce aux ventes de gaz naturel à l’Europe.

Évidemment, les autorités américaines ont dénoncé l’article de Seymour Hersh. La porte-parole du Conseil de sécurité nationale, Adrienne Watson, l’a qualifié de « fiction complète » et celui de la CIA « de complètement et totalement faux ». Pour sa part, le ministère norvégien des Affaires étrangères a déclaré : « Ces affirmations sont fausses ». En toute logiquela réaction des autorités américaines et norvégiennes ne pouvait être qu’un démenti(([23] Sans surprise, Hersh s’est vu aussitôt qualifié de de « théoricien du complot » sur sa page Wikipedia !)). Mais il ne convainc guère, car les informations fournies par le journaliste dans son article sont particulièrement précises et plausibles, et l’on on voit mal qui d’autre que Washington avait intérêt à ce sabotage, d’autant qu’un procureur allemand vient de confirmer qu’il n’y avait aucune preuve contre la Russie dans ce dossier(([24] https://www.francesoir.fr/politique-monde/aucune-preuve-ne-lie-la-russie-au-sabotage-des-gazoducs-nord-stream-selon-le)).

Un nouvel éclairage sur les événements

Si comme nous le croyons ces informations sont avérées, cela conduit à éclairer d’un jour nouveau les événements passés et les responsabilités respectives des acteurs impliqués dans ce conflit. Nous formulons donc les hypothèses suivantes qu’il conviendra de confirmer ou d’infirmer.

– L’« opération spéciale » russe a initialement atteint son but : faire plier le régime de Kiev. En dépit de revers militaires localisés et de pertes non négligeables, il devient possible de considérer qu’elle a été une réussite au cours des cinq premières semaines du conflit, car elle a contraint les Ukrainiens à des négociations immédiates qui ont été proches d’aboutir. Cela remet en cause les analyses de nombreux experts et des médias occidentaux qui l’ont hâtivement qualifié d’échec, ou ceux qui ont cherché faire croire — comme la Pologne — qu’il s’agissait d’une invasion de l’Ukraine… prélude à celle de l’Europe !

Tout s’inverse lors du voyage de Biden en Europe, fin mars 2022. Les Occidentaux — c’est-à-dire les Américains et les Britanniques — poussent Zelensky à poursuivre la guerre qui aurait alors pu s’arrêter rapidement, certes aux conditions russes, lesquelles se limitaient alors à la neutralité de l’Ukraine, au Donbass et à la Crimée (il n’était alors pas question de Kharkov, Kherson ou Zaporija ; ces nouvelles revendications de Moscou ont été formulées suite au revirement ukrainien).

– Cela démontre de manière indiscutable que les États-Unis sont les vrais responsables de la poursuite de la guerre avec la complicité du gouvernement Zelensky, qui n’est qu’un pion dans leur stratégie. Le « héros » de Kiev, soutenu par la frange ultranationaliste du régime, n’a pas hésité à sacrifier son propre peuple et l’avenir de son pays pour plaire à ses mentors occidentaux.

Ainsi, depuis avril 2022, nous assistons donc bien à une guerre américano-russe par Ukrainiens interposés qui été relancée par Washington pour essayer d’affaiblir — sans succès — la Russie, et dans laquelle les États européens se sont laissés entraîner par russophobie, suivisme ou stupidité confondante.

– C’est là une nouvelle illustration de l’insignifiance des Européens et de leur soumission totale à Washington au détriment de leurs propres intérêts. Si la France se voit reléguée à un rôle de figurant dans cette crise, en dépit des pathétiques gesticulations de son président, c’est surtout l’Allemagne qui paie le prix fort dans ce conflit. En effet, elle a été victime d’un véritable acte de guerre de la part de son allié et protecteur américain avec les sabotages de gazoducs. Mais en dépit du fait que cette opération ait des conséquences désastreuses pour l’économie d’outre-Rhin, ni le gouvernement de Berlin, ni les parlementaires, les médias ou la population n’ont bronché, se couchant littéralement devant Washington qui a ainsi atteint l’un de ses objectifs : couper définitivement l’Allemagne de la Russie en provoquant une rupture irréconciliable entre les deux États ; et réduire l’influence croissante de Berlin en Europe et son poids économique au sein du camp occidental.

Voilà qui change bien des choses quant à notre perception de ce conflit et aux responsabilités des acteurs. Ainsi est mise en lumière la double dimension du piège machiavélique tendu par les néoconservateurs Américains :

– rendre la pression sur le Donbass insupportable pour la Russie afin de la pousser à intervenir militairement en Ukraine(([25] Éric Denécé, « Ukraine : la guerre des Spin Doctors américains », Éditorial n° 58, février 2022, (https://cf2r.org/editorial/ukraine-la-guerre-des-spin-doctors-americains/).)), de la décrédibiliser sur le plan international et de la couper de l’Europe de l’Ouest ;

– ne pas lui permettre de parvenir à une victoire après ses succès initiaux et l’entraîner dans une guerre longue pour l’affaiblir durablement.

En refusant une sortie négociée du conflit à l’avantage de Moscou en mars 2022, les Américains ont prolongé et aggravé le conflit. Toutefois celui-ci a évolué dans un sens qu’ils n’avaient pas prévu, car ils avaient parié sur un écroulement économique de la Russie. Mais cela ne s’est pas produit, pas davantage que la défaite de l’armée russe sur le terrain ou la mise au ban unanime de Moscou par la communauté internationale. Pire, un nouveau système économique et financier est en train de se mettre en place, qui menace l’hégémonie politique et monétaire de Washington.

Une nouvelle fois, les Américains se révèlent être de piètres stratèges et de vrais apprentis sorciers. Leur stratégie d’affaiblissement de la Russie s’est transformée en une guerre existentielle pour le maintien de leur domination sur le monde. Le piège qu’ils ont tendu pourrait bien se refermer sur eux.





Des centaines de millions de personnes découvrent ce qui se passe réellement dans le monde

[Source : stopworldcontrol.com]

Bienvenue dans le plus grand mouvement de tous les temps, où des centaines de millions — et bientôt des milliards — de personnes, de toutes les nations du monde, se réveillent à ce qui se passe réellement dans le monde. Rien de tel ne s’est jamais produit depuis la nuit des temps, où d’innombrables individus sincères, intelligents, conscients et attentifs, issus de toutes les cultures, ouvrent simultanément les yeux pour voir la vérité et commencent à travailler ensemble pour un monde meilleur.

Que se passe-t-il ?

Depuis des siècles, notre monde est dirigé par des familles astronomiquement riches, appelées les « royaux », les « élites », les « 1% », la « classe supérieure », la « noblesse », etc. Il y a quelques siècles à peine, ils régnaient au grand jour, vivant luxueusement dans leurs châteaux élevés et exaltés, tandis que le reste de la population était pauvre et travaillait dur dans ses fermes, pour enrichir davantage ces familles « nobles ».

Avec l’émergence de la démocratie et des élections, les tyrans ont dû changer de stratégie pour maintenir leur emprise sur l’humanité. Ils se sont installés dans l’ombre de la société, d’où ils ont poursuivi leurs opérations de contrôle du monde. Cette fois, cependant, la majorité de la population n’en a plus conscience, car tout ce qu’elle voit, ce sont des gouvernements dits « démocratiques ». Le citoyen moyen est loin de savoir que ses gouvernements « démocratiquement élus » ne sont rien d’autre qu’un théâtre de marionnettes pour le public, tandis que les véritables dirigeants ne montrent jamais leur visage à la télévision.

En fait, rien n’a changé. Il est évident que les lignées qui ont toujours régné sur la terre, n’ont jamais cédé leur pouvoir à des « paysans » comme vous et moi.

Ils ont conçu des méthodes raffinées de manipulation des élections, pour positionner leurs marionnettes dans les gouvernements supposés « démocratiques ». De cette façon, ils pouvaient rester au pouvoir, alors que les gens pensent qu’ils vivent dans des démocraties.

Ces dirigeants ont également cherché à obtenir le contrôle total des grands médias, afin de manipuler le flux d’informations et de maintenir les masses dans une ignorance totale de la situation réelle de notre monde. Tant qu’ils peuvent convaincre l’humanité que tout va bien, ils peuvent continuer à jouer leur jeu.

L’année où tout a commencé à changer…

planned pandemic protest berlin

En 2020, quelque chose s’est produit, qui a annoncé l’aube d’une nouvelle ère. La plupart d’entre vous savent que la pandémie n’était pas un événement naturel mais une opération stratégiquement orchestrée. Le but était de mettre en place de nouveaux systèmes de surveillance et de contrôle, de détruire la classe moyenne par des lockdowns, afin que toutes les richesses soient transférées aux méga-corporations qui restaient ouvertes pendant les lockdowns.

Le but de ces fermetures était de renforcer la domination des dirigeants, qui possèdent les méga-corporations, tout en éliminant la classe moyenne, qui devenait une menace pour leur monopole. C’est pourquoi les grands supermarchés sont restés ouverts, alors que toutes les petites épiceries ont dû fermer. Des millions de petites entreprises ont fait faillite, tandis que des billions de dollars ont été gagnés par les grandes entreprises, pendant les fermetures.

Mais leur opération criminelle n’est pas passée inaperçue. En fait, elle a déclenché le plus grand réveil de tous les temps, qui allait annoncer le début de leur fin.

Des milliers de scientifiques, de médecins, d’avocats, de chefs d’entreprise et de citoyens intelligents parmi les meilleurs au monde ont vu la fraude qui se déroulait. Ils ont observé comment tous les traitements pour le covid étaient supprimés, comment tous les bons médecins qui ne jouaient pas le jeu étaient censurés, comment les médias poussaient constamment à l’hystérie folle, et comment les gouvernements mentaient à longueur de journée. Des mandats sans fondement, comme les confinements destructeurs, les masques nocifs, la distanciation antisociale et les injections forcées de substances toxiques non testées, ont forcé des centaines de millions de personnes à ouvrir les yeux et à commencer à voir ce qui se passe dans notre monde.

censored covid-19

Lorsque la véritable science est supprimée et que la propagande antiscientifique est mise en avant, toute personne intelligente sait que le mal est à l’œuvre.

Des centaines de millions de personnes sont désormais conscientes de l’existence de structures de pouvoir criminelles dans notre monde, qui infligent des souffrances indicibles à l’humanité afin d’accroître leur propre pouvoir et leur richesse.

Beaucoup d’entre nous ont également observé comment les candidats politiques les moins populaires de nos pays ont gagné massivement face aux candidats les plus populaires. Ceux qui n’avaient qu’une poignée de partisans lors de leurs quelques rassemblements ont soi-disant gagné contre les candidats qui rassemblaient des millions de personnes lors de leurs nombreux rassemblements. Cette fraude électorale flagrante a réveillé beaucoup d’entre nous, car nous avons réalisé que la démocratie n’existait pas et que les marionnettes d’entités criminelles étaient positionnées pour diriger nos nations.

En bref, un nombre croissant de personnes dans le monde commence à voir ce qui se passe réellement dans notre monde et prend des mesures pour mettre fin à ces opérations criminelles.

Un réveil mondial qui renverse le cours des choses

StopWorldControl.com a été créé pour servir de plate-forme à la poursuite de cette prise de conscience. Nous donnons la parole à des scientifiques, des avocats, des médecins et toutes sortes d’experts de premier plan, qui n’ont pas vendu leur âme pour de l’argent, mais qui sont restés fidèles à leur vocation de servir l’humanité.

En plus d’exposer les mécanismes maléfiques, nous offrons également un espoir pour l’avenir, en révélant les développements prometteurs qui émergent et qui remplaceront les systèmes corrompus. Des méthodes libératrices pour l’énergie, la santé, la banque, l’agriculture, etc. Nous voulons promouvoir ces développements qui sont créés par de bonnes personnes qui rêvent d’un monde qui ne soit pas dirigé par des tyrans.

Les secrets des Nations Unies

UN-FR

Notre première production disponible dans votre langue est LES SECRETS DES NATIONS UNIES. Ce documentaire révélateur montre comment l’ONU est en fait une organisation criminelle, utilisée par des oligarques avides de pouvoir pour voler l’humanité.

C’est un film à voir absolument pour tout le monde. Il explique pourquoi il y a tant de pauvreté, de guerre, de souffrance et de dettes dans notre monde, et qui est derrière tout cela.

StopWorldControl.com n’est pas une plateforme d’information, qui vous montrera des nouvelles tous les jours. Nous sommes une ressource indépendante du temps pour l’humanité, pour vous montrer les vérités les plus critiques qui vous ouvriront les yeux et vous permettront de faire partie d’un monde meilleur. Nous vous demandons d’utiliser nos ressources comme un outil pour réveiller d’autres personnes. Lorsque vous voyez des informations que vous connaissez déjà, ne pensez pas « C’est de l’histoire ancienne ». Non, ce n’est pas vieux. 80% de l’humanité est encore complètement inconsciente, et nous avons besoin de votre aide pour les atteindre.

Comprenez que ce que vous recevrez de nous est un outil efficace pour ouvrir les yeux des autres. Veuillez donc le partager largement.

L’ignorance du public est la clé du succès des tyrans. Lorsque les gens prennent conscience de la situation réelle de notre monde, ils passent de l’obéissance aveugle à la résistance intelligente. C’est pourquoi les tyrans sont terrifiés par la vérité. Lorsqu’un nombre critique de personnes sera conscient du système mondial de corruption, les tyrans perdront leur pouvoir. Par conséquent, s’il vous plaît, partagez nos productions.

Notre objectif est de vous équiper pour devenir un changeur de monde, qui participera à la plus grande transformation de tous les temps.

L‘ère sombre des siècles de suppression de l’humanité par de riches familles tyranniques touche à sa fin, et nous jouons tous un rôle dans cette transformation mondiale. Le pouvoir reviendra aux personnes qui ont le courage de se lever et de construire un monde où les enfants sont en sécurité, où les familles s’épanouissent, où les gouvernements sont tenus responsables, où les juges sont justes et où les richesses sont équitablement réparties. C’est possible, si nous faisons tous notre part.

Je vous encourage à regarder LES SECRETS DES NATIONS UNIES, si vous ne l’avez pas encore fait, et à l’envoyer à vos amis, votre famille, vos voisins, vos collègues. 

Envoyez-le en particulier aux autorités locales, car ce sont elles qui ont le plus besoin de se réveiller. Utilisez ce lien pour regarder et partager ce film emblématique à grande échelle :

REGARDEZ « LES SECRETS DES NATIONS UNIES »

PS : contrairement aux médias d’information criminels, nous ne sommes pas financés par des multimilliardaires pour tromper l’humanité. Nous comptons sur le soutien de personnes comme vous, qui veulent nous aider à révéler la vérité qui libère le peuple. Veuillez envisager de devenir un partenaire de cette grande mission mondiale. Utilisez ce lien pour devenir un partenaire de Stop World Control.




La religion du carbone

Par Paul Deheuvels, Membre de l’Institut
paul.deheuvels@sfr.fr
Présentation, Société de Calcul Mathématique SA, 9 février 2023

1. Le dogme officiel du carbone émerge

L’idée que les émissions de CO2 dues à la combustion de combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz, lignite…) contribuent à augmenter les températures terrestres est due au Suédois Svante Arrhenius, prix Nobel de chimie 1903. Dans son livre majeur1, il affirma que le CO2 fait monter les températures par effet de serre, et ne vit que des avantages, tant à l’élévation des taux atmosphériques de CO2, qu’à l’augmentation des températures. Les thèses d’Arrhenius, longtemps restées dans l’oubli, ont été reprises dans les années 50 par l’océanographe américain Roger Revelle2. Ce dernier montra en 1957 que l’essentiel du CO2 d’origine anthropique (dû à l’activité humaine) était absorbé par les océans, et n’influait qu’à la marge au réchauffent planétaire. Il émit la conjecture que le taux de CO2 atmosphérique pourrait basculer vers une augmentation soudaine, propre à faire monter les températures, si la consommation industrielle de combustibles fossiles croissait brutalement, au point de ne plus être compensée par l’absorption océanique. Revelle continua à soutenir la thèse d’un réchauffement climatique dû aux émissions industrielles de CO2, en convertissant à ses idées le futur vice-président des États-Unis Al Gore, qui fut son élève à l’université d’Harvard de 1967 à 1969. Les idées de Revelle restèrent lettre morte du fait que, contrairement à ses prédictions, l’évolution des températures de 1950 à 1975 fut orientée à la baisse3. La présence d’aérosols d’origine volcanique dans l’atmosphère a, peut-être, compensé l’influence des émissions de CO2, et ce, durant un quart de siècle. Jusqu’en 1987, la croyance majoritaire des scientifiques était que le monde se dirigeait vers une nouvelle glaciation. C’est ainsi qu’en 1983, le climatologue britannique Hubert Lamb4, dans la première édition de son livre sur le climat, prévoyait une baisse annuelle des températures de -0,15 °C, jusqu’en 2015. Si cette prédiction s’était avérée exacte, de 1983 à 2023, on aurait observé en 40 ans une baisse des températures colossale5 de -6 °C (de -4,8 °C en se limitant à l’horizon de 2015). La perspective du nouvel âge glaciaire qui en aurait découlé ne pouvait qu’affoler les experts américains, qui ont mis en place plusieurs groupes de travail gouvernementaux6 destinés à étudier ces questions.

C’est ainsi que, de manière paradoxale, l’intérêt des autorités américaines pour le réchauffement climatique fut issu de la crainte d’un refroidissement majeur (qui ne s’est jamais produit, heureusement).

Dès 1987, plusieurs commissions d’étude sur le climat étaient opérationnelles aux États-Unis, dont le Goddard Institute de la NASA. On consultera à ce sujet les commentaires historiques du Ch.4 du livre d’Olivier Postel Vinay7, et ceux du Ch.2 du livre de 2021 de Christian Gérondeau8.

Le point de bascule dans l’opinion américaine eut lieu en 1988 où les États-Unis connurent la pire sécheresse caniculaire observée depuis le « Dust Bowl » de 1930. Aux USA, l’été 1988 fut torride, avec un pic de chaleur le 25 juin coïncidant avec l’audition par le Congrès des États-Unis du climatologue en chef de la NASA (National Aeronautics and Space Administration), James Hansen. Ce dernier dirigeait, depuis 1981, le Goddard Institute for Space Studies [GISS], au sein de la NASA. Hansen avait une formation d’astronome, et avait émis la thèse que les températures très élevées (460 °C) de la planète Vénus étaient dues entièrement aux fortes concentrations de CO2 présentes dans son atmosphère (il y a 250 000 fois plus de CO2 dans l’atmosphère de Vénus que sur la Terre). Il s’imaginait que l’augmentation des taux de CO2 dans l’atmosphère terrestre pourrait aboutir, comme pour Vénus, et toutes proportions gardées, à des températures excessives. En juin 1988, alors que les climatiseurs n’arrivaient pas à réguler la température dans la salle de réunion du Congrès des États-Unis, Hansen n’eut pas de peine à convertir ses auditeurs aux thèses de Revelle, à savoir de l’existence d’un réchauffement climatique brutal dû aux émissions industrielles de CO2. Notons qu’aucune canicule ne fut constatée en Europe durant cette période, et que ces événements météorologiques extrêmes furent limités au continent américain. Hansen avait perdu toute prudence scientifique, en affirmant, notamment, devant les membres du Congrès « qu’il était certain à 99 % sur la base des 2000 stations d’enregistrement dans le monde, que les gaz à effet de serre, et notamment le CO2, étaient à l’origine du réchauffement ». Le fait qu’il est impossible de prouver comme de réfuter de telles assertions atteste clairement du caractère dogmatique de la « religion du climat ». Celle-ci sévit depuis l’origine comme l’une des plus grandes erreurs que l’humanité ait connues, avec des conséquences incalculables.

La machine était en marche. Elle avait été préparée en 1985 par la Conférence de Villach (Suisse), sous l’égide de l’Organisation Météorologique Mondiale [OMM] et du département de l’environnement des Nations Unies [PNUE-UNEP] dont le but affiché était d’« étudier le rôle du CO2 et des autres gaz à effet de serre sur les variations du climat ». Les organisations mondiales étaient alors influencées par des personnalités comme le météorologiste suédois Bert Bolin et l’homme d’affaires canadien Maurice Strong. Bert Bolin fut l’animateur principal de la Conférence de Villach qui prédit9 une élévation probable de la température de 4,5 °C dans la première moitié du XXIsiècle, assortie à d’une élévation des océans de 1,5 m. Elle conclut à l’urgence de « mettre en œuvre une politique internationale de réduction des émissions de gaz à effet de serre destinée à minimiser les changements climatiques et la montée des eaux marines ». Maurice Strong, quant à lui, était un autodidacte complet, ayant arrêté ses études à 14 ans et fait fortune dans l’industrie pétrolière. Partisan d’un gouvernement mondial, proche de David Rockefeller de la Commission Trilatérale, du Groupe de Bilderberg et du Club de Rome, il se trouva à 44 ans mis à la tête du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (United Nations Environment Program) [PNUE-UNEP], qu’il quitta en 1983 pour diriger la Commission Mondiale sur l’Environnement et le Développement, mieux connue sous le nom de « Commission Brundtland10 », dans laquelle il retrouva Bert Bolin. Le 30 mars 1987, sous l’influence de Maurice Strong, était publié le « Rapport Brundtland » qui affirmait, sans preuve, que « le recours aux combustibles fossiles pourrait, dès le début du XXIsiècle, avoir suffisamment augmenté la température moyenne de la planète pour bouleverser les zones de production agricole, inonder les villes côtières du fait de l’élévation du niveau de la mer, et mettre à mal les économies nationales ». Le rapport Brundtland affirmait, de surcroît, « qu’une action internationale vigoureuse était nécessaire pour réduire les volumes de CO2 émis par l’usage des combustibles fossiles ».

Comme on peut le constater par ces faits, dès 1988, s’est installée une « religion du climat », basée sur des prévisions alarmistes invérifiables :

  1. la température allait monter de +4 °C à +6 °C d’ici 2100 (un horizon suffisamment lointain pour rendre cette prévision invérifiable) ;
  2. le niveau de la mer allait monter de plusieurs mètres d’ici 2100 ;
  3. l’ensemble de ces événements serait provoqué par le rejet dans l’atmosphère de CO2 issu de la combustion des « combustibles fossiles ».

Force est de constater que les organismes internationaux au sein de l’ONU n’ont fait que répéter sans preuve les affirmations (1-2-3) qui ont été à chaque fois démenties par les observations.

Nous ne parlerons pas ici des mécanismes naturels (indépendants des rejets anthropiques de CO2) responsables de l’évolution du climat. On peut citer, parmi ceux-ci, les cycles d’activité solaire, comme les cycles de Milankovitč, qui expliquent (en partie) les variations du climat par les variations périodiques de l’excentricité, de l’inclinaison et de la précession de l’orbite terrestre autour du soleil11. D’autres facteurs sont le cycle de Schwab (d’une durée de 11 ans), et les cycles séculaires de Gleissberg. On notera que le petit âge glaciaire s’est produit pendant l’occurrence du grand minimum de Maunder (de 1645 à 1715) durant lequel l’activité solaire fut réduite, avec peu de taches solaires présentes. L’ensemble de ces mécanismes naturels, en association avec les rejets dans l’atmosphère de cendres volcaniques et de SO2 créant des aérosols diminuant l’ensoleillement (et faisant baisser les températures) font paraître les thèses du GIEC comme un salmigondis primitif.

Il est parfaitement clair que le fait de prendre comme seule cause des variations climatiques les rejets anthropiques de CO2 est manifestement contraire à la vérité. Parmi les livres majeurs décrivant les mécanismes naturels de l’évolution du climat, il faut citer, tout particulièrement, l’ouvrage best-seller de Fred, S. Singer et Dennis T. Avery, qui s’est vendu à des centaines de milliers d’exemplaires, depuis sa publication en 2007. Son titre se passe de commentaires : « Unstoppable global warming every 1500 years », Rowman & Litltlefield Publishers, New York.

Ceci étant, le fondement de la « religion du climat » évoquée plus haut, a abouti, en novembre 1988 à la naissance du GIEC-IPCC12, dirigé, durant les 9 années suivantes par Bert Bolin, qui proclama sans réserve le dogme officiel attribuant le réchauffement climatique à l’activité humaine par le biais de rejets de « gaz à effet de serre » (principalement de CO2). L’historique de cette construction administrative est décortiqué dans les livres de Jean-Michel Bélouve13 et Christian Gérondeau (2021)14. Officiellement, le GIEC fut créé à la demande du G7/815 réuni du 19 au 21 juin 1988 à Toronto (Canada). La déclaration économique ayant suivi cette rencontre a requis la « création d’une commission intergouvernementale sur les changements climatiques mondiaux, placée sous les auspices du Programme des Nations Unies sur l’Environnement et de l’Office Mondial de Météorologie ». Les artisans politiques de la création du GIEC au sein du G7/8 furent Ronald Reagan, président des Etats Unis, agissant dans la lignée du Rapport Hansen présenté en juin 1988 devant le Congrès des Etats Unis, et Margaret Thatcher, premier ministre de la Grande Bretagne. Cette dernière menait alors une guerre totale contre l’exploitation du carbone fossile, et plus spécifiquement contre les syndicats de mineurs de charbon. Cette lutte fut émaillée par la grande grève des mineurs de 1984-85 et le démantèlement des mines anglaises qui s’en suivit. Aux côtés de Ronald Reagan, Mme Thatcher a orienté le développement initial du GIEC vers la recherche de la culpabilité du carbone dans l’évolution du climat. Or, comme nous le verrons plus loin, celle-ci est toute relative16. Par la volonté de Ronald Reagan et de Margaret Thatcher, le GIEC n’est donc pas un organisme à dominance scientifique. Il est contrôlé par les représentants des états, et ses avis demeurent dépendants des gouvernements qui le subventionnent.

Peu après la fondation du GIEC, l’Organisation des Nations Unies créa un organisme officiel associé au GIEC, la CCNUCC (Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques). Cet organisme réunit chaque année depuis 1995 les représentants des états (193 en 2022) composant les Nations Unies dans des « COP » (Conference of Parties) destinées à encadrer les engagements des états sur le changement climatique. Le GIEC lui-même publie des rapports d’évaluation (Assessment Report [AR]). Les premiers de ceux-ci furent publiés en 1990 (AR1, complété en 1992), 1995 (AR2, révisé en 1998) et 2001 (AR3). Les quatrième, cinquième et sixième rapports d’évaluation furent publiés, respectivement en 2007 (AR4), 2013-2014 (AR5), et 2021-2022 (AR6). À ces rapports généraux s’ajoutent des rapports spéciaux [SR]. Le dernier de ceux-ci, le SR15, publié en 2019, a été approuvé en 2018 par les 193 gouvernements composant l’ONU. Il comprend plusieurs affirmations sans preuve, dont nous reprenons les principales. Il envisage deux horizons pour une élévation de température de +1,5 °C ou +2 °C en 2100, par rapport à la période de référence (dite préindustrielle) de 1850-1900. Le rapport SR15 estime que le réchauffement observé jusqu’en 2016 a été de +0,87 °C ≈ +0,9 °C. Une simple soustraction montre que les deux hypothèses du GIEC correspondent à des élévations de température, respectivement, de 0,6 °C et 1,1 °C, en 2100 par rapport à 2023. Dans le 1er cas, il prévoit une élévation du niveau des océans en 2100 comprise entre 26 et 77 cm. Dans le 2cas, cette élévation serait comprise entre 36 cm et 87 cm. Ces chiffres paraissent démesurément pessimistes. Dans l’hypothèse maximaliste, retenue par S. E. Koonin17, d’une montée du niveau des océans de 3 mm par an, en l’absence de toute limitation des émissions anthropiques de CO2, le niveau de la mer par rapport à 2023 ne monterait de pas plus que de 24 cm en 2100.

Pour ce qui est des températures, la situation est plus complexe. L’évolution dépend de modèles mathématiques, et les rapports du GIEC font référence à quelques dizaines de modèles, comparés entre eux par des évaluations croisées dénotées CMIP (Coupled Models Intercomparison Project). Le CMIP4 (resp. CMIP5, CMIP6) comparait entre eux les modèles du rapport AR4 (resp. AR5, AR6) du GIEC. Ces comparaisons font apparaître des divergences accablantes. Alors que les modèles d’évolution des températures sont censés décrire et expliquer le réchauffement observé au XXsiècle, ils divergent mutuellement d’environ 3 °C, soit trois fois la valeur du réchauffement observé. De ce fait, les modèles pris en compte par le GIEC pour décrire l’évolution des températures jusqu’en 2100 n’ont aucune crédibilité.

Nous citons ici la p.125 du Ch.4 du livre de S. Koonin18 :

« Nous n’avons pas la moindre idée de ce qui provoque l’échec des modèles, incapables de nous dire pourquoi le climat a changé pendant des décennies. C’est profondément troublant, car le réchauffement observé au début du XXsiècle est comparable à celui que nous avons observé à la fin du XXsiècle, réchauffent que les rapports d’évaluation du GIEC attribuent avec une “confiance élevée” aux influences humaines ».

Nous pouvons conclure ici, en premier lieu, que les prévisions d’élévation de température en 2050 ou 2100 du GIEC n’ont aucun caractère de certitude, et en deuxième lieu, que l’attribution de leur origine à l’élévation du CO2 anthropique est infondée. De ce fait, la recommandation du GIEC de réduire à zéro (la neutralité carbone) les émanations anthropiques de CO2 en 2050 pour limiter l’accroissement des températures en 2100 à +1.5°C est du « grand n’importe quoi ». C’est une affirmation gratuite qu’il n’est pas possible, en l’état actuel des connaissances, de confirmer ni d’infirmer. Le problème est que de nombreux gouvernements (comme ceux de l’Union Européenne) ont pris à la lettre ces recommandations, au prix d’un véritable suicide économique et industriel.

Pour illustrer les erreurs développées dans les premiers rapports AR1-2-3 du GIEC, il convient d’évoquer l’affaire du graphe en « crosse de hockey » ou « courbe de Mann » (MBH98 et MBH99) proposé en 1998, par Michael E. Mann et ses co-auteurs, Raymond S. Bradley et Malcolm K. Hughes [MBH]. Ce graphe se veut décrire l’évolution des températures de la planète durant les 1000 dernières années19. La « crosse de hockey » présente une température stable de l’an 1000 jusqu’à 1950, suivie par une élévation brutale et d’allure catastrophique de 1950 à 2000. C’est parfaitement conforme au « dogme climatique » qui, précisément, prétend lutter contre le réchauffement brutal des températures prédit par Roger Revelle en 1957. D’un point de vue factuel, la « courbe de Mann » a stimulé la volonté des autorités américaines, d’intervenir pour contrer la catastrophe climatique qui surviendrait si l’élévation des températures se poursuivait, au-delà des années 2000, en suivant la partie droite de la « crosse de hockey ». Il s’avère que la courbe de Mann est grossièrement fausse, et basée sur des erreurs statistiques importantes. Ceci a été amplement démontré en 2006 par le « Rapport Wegman »20 et d’autres études similaires.

La courbe de Mann ignore tout particulièrement le « petit âge glaciaire » (little ice age) de 1600 à 1900, ainsi que « l’optimum médiéval » (medieval warm period) de 900 à 1300. Ces fluctuations sont visibles dans le graphe amélioré ci-dessous. Pour mémoire, l’optimum médiéval est une période de températures élevées observées au moyen-âge, et attestée historiquement par quantité de témoignages (colonisation du Groenland, culture de la vigne en Norvège…). À l’inverse, le petit âge glaciaire a été caractérisé par des températures très froides durant tout le XVIIIsiècle, où la Seine gelait régulièrement. On estime que les fluctuations de température moyenne associées à ces périodes sont de l’ordre de 1 °C. On imagine sans peine l’impact qu’aurait eu une baisse de température voisine de 5 °C, si les prévisions du climatologue britannique Hubert Lamb avaient été exactes (voir plus haut).

On comprend l’énergie développée par les tenants de la religion du climat pour valider la courbe de Mann ». En effet, les fluctuations de température de l’optimum médiéval et du petit âge glaciaire se sont produites en dehors de toute production industrielle de CO2 ! Si on admet leur existence, on contredit l’affirmation, répétée à l’envi dans les rapports du GIEC, que le réchauffement observé dans l’ère industrielle est sans précédent.

La température était véritablement glaciaire durant le XVIIIsiècle ; pour en témoigner, on mentionne souvent la charge des hussards du général Pichegru, qui prit d’assaut le 21 janvier 1795 la flotte hollandaise immobilisée dans la mer gelée. On admettra sans peine qu’il fallait une sérieuse baisse des températures par rapport à la moyenne pour faire en sorte que la mer gèle aux Pays-Bas, sur une épaisseur suffisante pour supporter une charge de cavalerie. Or, sur la courbe en crosse de hockey, on ne voit rien !

La polémique autour des travaux de Mann, Bradley et Hugues a culminé avec la querelle qu’ils ont eue avec le climatologue canadien Timothy (Tim) Ball. Ce dernier avait élaboré un graphe de températures donnant la part belle à l’optimum médiéval, et montrant, en particulier que l’élévation des températures postérieure à 1950 était négligeable par rapport aux variations de la période médiévale. Mann a poursuivi Tim Ball en justice et a perdu son procès en 2019, étant incapable de produire les données à partir desquelles il avait fabriqué son graphe en forme de crosse de hockey.

Il ressort de ces développements que la création du GIEC, comme ses premiers travaux, reposant sur la « courbe de Mann », ont été basés sur des interprétations inexactes de données mal documentées. En particulier, l’affirmation que le réchauffement climatique observé depuis 1950 est « sans précédent » est loin d’exprimer une vérité admise par le plus grand nombre de climatologues.

Dans ses rapports AR1-6, le GIEC a développé une théorie visant à montrer que la concentration de gaz carbonique (CO2) dans l’atmosphère était le facteur explicatif principal de l’évolution des températures. À l’appui de ces affirmations se trouve la concomitance des variations du taux atmosphérique de CO2 et des températures.

En fait, il faut être prudent dans l’affirmation qu’il existe une causalité entre le taux atmosphérique du CO2 (à l’instant t) et la température (au même instant t). Lorsqu’on observe des concomitances entre deux chroniques temporelles, cela ne signifie pas pour autant que la variation de l’une influe sur l’autre. Le graphe ci-dessous, dû à François Gervais21 compare, pour la période 1980— 2005, la température moyenne T(t) (trait continu) terrestre à chaque instant t (sur une échelle annuelle), à la variation annuelle ϑ(t) – ϑ(t-1) du taux ϑ(t) de CO2, décalée de 6 mois, soit ϑ(t+1/2) – ϑ(t-1/2). Avec un choix d’échelle convenable pour T(.) et ϑ(.), on constate que les courbes se superposent. On en déduit que le taux de CO2 mesuré aux instants t+1/2 = t+6 mois et t-1/2 = t-6 mois semble lié à la température à l’instant t. Mais, si tel est bien le cas, c’est la température à l’instant t qui influe sur le taux de CO2 à l’instant t+1/2, et non l’inverse !

Ceci veut dire, si ce raisonnement était correct, que la variation des températures (par des mécanismes naturels) provoquerait la variation du CO2 (et non l’inverse)22. De ce fait, toute la construction du GIEC s’effondrerait. Toutefois, il faut distinguer les variations du taux de CO2 issues de phénomènes naturels, qui pourraient très bien se déduire des variations de la température, des variations de CO2 d’origine anthropique, qui elles, ne dépendent que de l’activité humaine. Il faut retenir de ceci que la réalité des dépendances entre le CO2 et la température est plus complexe que ne laissent entendre les modèles du GIEC.

2. La manipulation développée par le GIEC

Depuis sa fondation en 1988, le GIEC a développé une doctrine qui n’a pas significativement évolué depuis les discours alarmistes de James Hansen, Bert Bolin et Maurice Strong, résumés dans le « Rapport Brundtland » de 1987. Il affirme que l’émission anthropique (due aux activités humaines) de CO2, si elle persiste aux mêmes niveaux que ceux qu’on observe aujourd’hui, ne pourra qu’aboutir à des élévations catastrophiques de la température, comme +6 °C en 2100, une élévation des océans de plusieurs mètres, et d’autres conséquences désastreuses pour les populations humaines (famines, migrations, submersion de régions habitées, etc.).

Le GIEC estime que, pour limiter la hausse des températures à 2 °C à l’horizon 2100, il faudrait, d’ici à 2030, faire baisser les émanations anthropiques de CO2 de 30 %, et, pour limiter cette même hausse à 1,5 °C, il faudrait faire baisser, d’ici 2030, les émanations anthropiques de CO2 de 55 %. Or, ces estimations sont complètement fantaisistes.

Tout au long de chacun de ses 6 rapports, le GIEC n’a pas cessé de faire des prédictions alarmistes qui se sont révélées, à chaque fois, complètement fausses. En 2007, un prix Nobel de la Paix a été attribué à l’ancien vice-président des États-Unis (et élève de Roger Revelle à Harvard) Al Gore. À l’évidence, l’attribution de ce prix Nobel est due à l’impact sur l’opinion publique du film documentaire de Davis Guggenheim « Une vérité qui dérange », diffusé en 2006. Ce film est un outil de propagande remarquablement bien fait et convaincant, qui réalise la promotion d’Al Gore, en préparation de sa campagne sur le réchauffement planétaire. Le problème est que ce documentaire est truffé d’affirmations mensongères et de prévisions alarmistes qui lui enlèvent toute crédibilité. Il a été suivi, en 2017, par « Une suite qui dérange », qui a eu moins de succès, et qui demeure aussi mensonger qu’« Une vérité qui dérange ». Parmi les énormités de ces documentaires, on retiendra la fonte annoncée pour 2016 des neiges du Kilimandjaro (il ne s’est rien passé), et l’élévation du niveau des océans de 6 m d’ici 2100 (la meilleure prévision actuelle est de 24 cm). Dans ces documentaires, comme dans les livres du même sujet, Al Gore préconise la mise en place d’un marché mondial des émissions de CO2 dans l’esprit de celui qui fut installé par la suite dans l’Union Européenne. D’une certaine manière, Al Gore est l’inventeur du marché du carbone et de la taxe carbone (voir plus loin). Il est regrettable que ces actions, aussi nuisibles qu’elles soient, aient été justifiées par une collection de mensonges et de prédictions hasardeuses.

Celles-ci ont été mises en évidence dans de nombreux livres.

Par exemple, Drieu Godefridi23 qualifie le GIEC, p.106 de son livre de 2010 de « la plus grande mystification de la science moderne ». Il énumère tout un ensemble de recommandations présentes dans les rapports du GIEC (« governments should consider the following »), qu’il qualifie de TIICE (taxer, interdire, inciter, contraindre, éduquer). La plupart d’entre elles devraient nous paraître familières en 2023. C’est ainsi que le rapport AR4 (2007) du GIEC recommande (Voir Godefridi (2010), p.59) de :

  • Imposer des limites de vitesse plus rigoureuses sur autoroute ;
  • imposer le covoiturage ;
  • rendre les transports publics plus accessibles, voire gratuits ;
  • subventionner les véhicules « écologiquement performants »
  • réduire les accès des véhicules aux centres-ville ;
  • promouvoir les biocarburants ;
  • instaurer des jours sans voiture (dans une « optique éducative ») ;
  • taxer les émissions de CO2 ;
  • augmenter les taxes sur le carburant des véhicules individuels ;
  • taxer de manière différenciée les véhicules en fonction de leurs émissions de CO2. (National Aeronautics and Space Administration).

On reste abasourdi par la suite que les États ont donnée, servilement, à ces recommandations, dont la plupart ne semblent aucunement liées, ni de près, ni de loin, aux variations climatiques. À titre d’exemple, les ZFE (zone à faibles émissions) ont été instituées en France à la suite de la Loi « Climat et Résilience » de 2021. On se rend compte que les recommandations du GIEC à partir de 2007 n’ont plus grand-chose à voir avec le contrôle des températures par le biais de la réduction des émanations industrielles de CO2.

La plus grande absurdité dans les actions du GIEC est atteinte dans l’accord de Paris. Il s’agit d’un traité international juridiquement contraignant et adopté « à main levée » en conclusion de la COP21 à Paris, le 12 décembre 2015 par 196 représentants d’états participant à la réunion. Il vise à réduire les émissions de CO2 pour aboutir au niveau zéro (objectif de neutralité carbone) dès 2030. Le but ultime de cet accord est de limiter le réchauffement climatique à +1.5°C en 2100. Aucune justification ne permet de croire que cette finalité soit atteinte par cette mesure.

3. Une série de catastrophes économiques et industrielles dues à l’action du GIEC

L’ambition, affichée par le GIEC, de réduire à zéro les émanations industrielles de CO2 d’ici 2030 si possible, et 2050 dans le pire des cas, est totalement utopique. Elle implique un véritable suicide industriel, propre à faire disparaître nombre d’activités. L’exemple le plus édifiant est celui des automobiles à moteur thermique (essence ou diesel).

Le 27 octobre 2022, les eurodéputés et les 27 états membres de l’Union Européenne ont abouti à un accord sur une législation européenne qui interdit la vente de véhicules neufs (voitures et camionnettes) à essence ou diesel dès 2035. Les véhicules hybrides sont également concernés, pour que seules les voitures électriques soient autorisées sur le marché neuf à partir de 2035. Le but affiché est que tous les véhicules circulant en Europe d’ici2050 soient à zéro émission de CO2. Un objectif intermédiaire est que les véhicules neufs voient les émissions de CO2 réduites d’au moins 55 % par rapport à ce qui était admis en 1990. Il semble que les instances dirigeantes de l’Europe aient ignoré l’existence de véhicules industriels, tout comme les marchés africains et asiatiques où l’usage de véhicules électriques est incongru. Par cette mesure, on aboutit donc à une destruction industrielle majeure d’entreprises européennes qui bénéficiaient jusque-là d’une prééminence mondiale.

Le cas des véhicules automobiles n’est qu’une composante de la feuille de route européenne « Fit for 55 ». Ce paquet juridique vise à « placer l’Europe à l’avant-garde du combat climatique », en imposant l’objectif d’une réduction d’au moins 55 % des émissions nettes de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 1990. On peut se poser ici une question toute bête : « qu’est-ce qu’on y gagne ? ». Fit for 55 comprend 13 ensembles de mesures juridiquement contraignantes (directives et règlements) qui concernent notamment la mise en place d’une taxe carbone aux frontières de l’Union européenne, le renforcement du marché européen du carbone, et, tout particulièrement, les :

  • Refonte du marché du carbone et nouveau marché du carbone pour le transport routier, le bâtiment et le transport maritime.
  • Mécanisme d’ajustement carbone aux frontières.
  • Fin des quotas de carbone gratuits pour l’aviation.
  • Création d’un fonds social pour le climat pour accompagner la transition.
  • Renforcement des puits de carbone naturels.
  • Doublement de la part des énergies renouvelables.
  • Refonte de la fiscalité de l’énergie.
  • Réduction de la facture énergétique des bâtiments.
  • Réduction des émissions des voitures neuves (fin de vente des voitures thermiques en 2035).
  • Déploiement d’infrastructures de distribution des carburants alternatifs.
  • Augmentation de la part des carburants durables pour l’aviation.
  • Incitation à l’utilisation de carburants durables dans le secteur maritime.
  • Répartition des efforts climatiques entre États membres.

Ces mesures sont actuellement en cours de discussion au sein de la Commission Européenne, et devraient devenir des actes législatifs applicables à tous les états membres d’ici 2024. Elles ont été adoptées pour l’essentiel, les 27 et 28 juin 2022 selon les agendas suivants :

(a) Mesures à l’ordre du jour du Conseil des ministres de l’Énergie du 27 juin 2022 :

  • – Directive sur les énergies renouvelables.
  • – Directive relative à l’efficacité énergétique.

(b) Mesures à l’ordre du jour du Conseil des ministres de l’Environnement du 28 juin 2022 :

  • – Directive sur le système d’échange de quotas européen (ETS pour Emissions Trading System).
  • – Directive sur le système d’échange de quotas européen pour l’aviation (ETS aviation).
  • – Règlement sur le partage de l’effort entre États membres (ESR pour Effort Sharing Regulation).
  • – Règlement sur les émissions et absorptions de carbone par la forêt et les terres (LULUCF pour Land Use, Land Use Change and Forestry).
  • – Règlement sur les émissions de CO2 des véhicules légers neufs.
  • – Règlement établissant un fonds social pour le climat.

Le paquet législatif « Fit for 55 » ne représente qu’un objectif intermédiaire, avant un nouveau renforcement législatif visant à atteindre la neutralité carbone complète en 2050.

La suppression des véhicules thermiques n’est qu’une partie des « directives climatiques » mises en place par l’Union Européenne. Plus inquiétant encore est l’ensemble des mesures de performance énergétique, pour les logements anciens, concrétisées par le nouveau diagnostic de performance énergétique (DPE) qui renseigne sur la performance énergétique et climatique d’un logement ou d’un bâtiment (étiquettes A à G), en évaluant sa consommation d’énergie et son impact en termes d’émissions de gaz à effet de serre. Le nouveau DPE interdit l’installation de certains types de chauffage (dont le fuel et le gaz), et rend impossible la location de logements classés E (à partir de 2034), F (à partir de 2028) ou G (à partir de 2025). Ces mesures sont extrêmement pénalisantes pour les propriétaires bailleurs, qui ont le choix entre des travaux coûteux de remise aux normes énergétiques et la mise en vente de leurs logements classés comme « passoires thermiques ». Ils provoquent déjà de grandes difficultés à trouver des logements à louer. Notons qu’un bel immeuble haussmannien en pierre de taille, chauffé au fuel, est typiquement considéré comme une passoire thermique, ce qui, à l’évidence, relève de l’abus. Il en est de même des châteaux et monuments historiques.

Le marché du carbone est un ensemble de dispositions réglementaires mises en place depuis 2015 pour contrôler la diffusion des gaz à effet de serre par les entreprises. Au départ, la plupart des entreprises ont reçu des allocations gratuites de quotas égales à l’estimation administrative des gaz à effet de serre émis. Par la suite, les entreprises pourront échanger des quotas d’émission de gaz à effet de serre de gré à gré, ou dans le cadre d’un marché public. Chaque quota, correspondant à l’émission d’une tonne de CO2, a un coût variable, actuellement voisin de 80 € (en 2022). Au marché des quotas d’émission se rajoute la taxe carbone imposée sur les combustibles et les carburants. Actuellement, elle est de l’ordre de 10 € la tonne. Son objectif affiché est de « réduire les émissions de gaz à effet de serre » en augmentant le coût de la production et de la consommation du pétrole, gaz naturel et charbon.

Le bilan carbone est obligatoire depuis 2022 pour les entreprises de plus de 50 salariés. Il vise à quantifier la globalité des émissions de gaz à effet de serre, directes ou indirectes, dans la perspective de la réduction des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2050.

L’ensemble de ces mesures sont à la fois coûteuses, inutiles et réductrices. Quelle est leur finalité ? Lorsqu’on sait que la réduction à zéro (physiquement impossible) des émanations anthropiques de CO2 par la France n’aboutirait qu’à une baisse de température de 0,05 °C24, on se pose légitimement la question de l’utilité réelle de cette « usine à gaz ». Tout ça pour ça !

4. Quelques commentaires factuels

Deux constats sont indéniables :

– La température moyenne25 de la planète a augmenté d’environ 0,7 °C de 1850 (date considérée généralement comme le « début de l’ère industrielle ») à 2010 ;

– Durant les 160 ans (de 1850 à 2010), les émissions anthropiques de CO2 ont fortement augmenté. La concentration de CO2 dans l’atmosphère est passée, dans cette même période, de 280 ppm (parts par million, soit 0,028 %) à 380 ppm (410 ppm en 2019).

Le GIEC interprète ces deux constats par trois postulats :

– L’augmentation de la concentration de CO2 dans l’atmosphère serait le principal responsable du réchauffement de la planète (par divers mécanismes physiques, dont celui de l’« effet de serre », décrit par Arrhénius (voir plus haut)).

– Les activités humaines émettrices de CO2 (et dans une moindre influence d’autres gaz à effet comme le méthane CH4) seraient les principales responsables de l’augmentation de la concentration atmosphérique de CO2.

– Le réchauffement de la planète, s’il se poursuivait, pourrait aboutir à une situation catastrophique (fonte des calottes glaciaires, élévation du niveau des océans, températures caniculaires, famines, vagues d’immigration…).

En conclusion, le GIEC considère qu’il faut limiter, autant que faire se peut, les émissions de CO2 pour « sauver la planète », en allant jusqu’à la « neutralité carbone » en 2050. Le fait d’aboutir à zéro émission nette de CO2 en 2050 est présenté par le GIEC comme une condition nécessaire pour limiter la hausse des températures en 2100 à 2 °C. Depuis le début les rapports AR1-6 du GIEC constituent un festival d’erreurs et de contre-vérités (voir, par exemple, les livres de Godfredi (2010)26, Gérondeau (2022)27. Toutes les prédictions faites dans les différents rapports du GIEC se sont révélées fausses.

Ces trois postulats comme le raisonnement logique qui les sous-tend sont extrêmement contestables, constellées d’affirmations contradictoires et entachées d’erreurs majeures.

5. Quelques données factuelles sur le taux de CO2 atmosphérique

La concentration atmosphérique de CO2 est mesurée de manière assez précise depuis 1958 à l’observatoire du Mauna Loa à Hawaï (la « courbe de Keeling »).

Depuis 2019 le taux de CO2 dans l’atmosphère croît de manière régulière (environ 2,3 ppm/an) à partir du niveau de 410 ppm en atteint en 2019. Si cette évolution persistait, on aboutirait à un taux de CO2 présent dans l’atmosphère en 2100 de 577 ppm (= 410 + (2.3 x 77) ppm). Selon les différents modèles présentés dans la littérature scientifique, en l’absence de toute réduction des émanations anthropiques de CO2 un tel taux aboutirait à un réchauffement en 2100 compris entre 0,47 °C et 0,1 °C (voir le tableau p.207 dans le livre de 2013 de François Gervais28). La « sensibilité climatique » est définie par le réchauffement induit par le doublement du taux de CO2 dans l’atmosphère (passage de 400 ppm à 800 ppm). Dans son livre de 2022, François Gervais énumère pp.45-49, non moins de 110 articles scientifiques qui évaluent tous la sensibilité climatique à un niveau inférieur ou égal à 1 °C (et parfois, beaucoup moins).

On arrive aujourd’hui à bien évaluer la part de CO2 présente dans l’atmosphère terrestre due aux émissions anthropiques. On se sert pour cela du dosage dans le CO2 des isotopes 12C et 13C du carbone. L’isotope 13C représente environ 1,1 % de la totalité du carbone, le reste étant principalement du 12C. Or les « combustibles fossiles » comprennent davantage de 13C que de 12C. En mesurant le rapport des isotopes présents dans l’atmosphère29, on arrive à en déduire la part anthropique du CO2. La conclusion est que le CO2 anthropique reste très longtemps dans l’atmosphère terrestre. 60 % (resp. 40 %) du CO2 émis sera encore présent dans les 20 ans (resp. 100 ans) qui suivent. Ceci mène à la conclusion qu’il est illusoire de vouloir stabiliser la concentration du CO2 pour limiter son influence sur le réchauffement. La seule stratégie qui pourrait s’avérer efficace est l’arrêt total d’émissions de CO2 dans le monde entier, cette action étant physiquement impossible.

En conclusion, force est de constater que les recommandations du GIEC sont infondées, irréalistes, et basées, depuis l’origine, sur un festival de mensonges et d’inexactitudes. On revient aux idées initiales d’Arrhenius (1910) et de Revelle (1957), à savoir que l’augmentation du CO2 atmosphérique est une bonne chose, et que celle-ci ne peut qu’influer à la marge sur l’augmentation des températures. On consultera les ouvrages additionnels suivants qui commentent ces conclusions avec un luxe de détails.30 31 32 33

Il importe que les décideurs politiques et industriels prennent conscience de la manière dont ils ont été abusés par le GIEC et ses apprentis sorciers. Il n’est, sans doute pas trop tard pour revenir en arrière, mais chacun sait la difficulté, pour de grands organismes de reconnaître leurs erreurs, une fois que celles-ci ont été commises. Un grand incendie a été allumé, et il détruira la maison de la cave au grenier.


1 Arrhenius, S. (1910). L’Évolution des Mondes (traduction française de T. Seyrig). Librairie Polytechnique Ch. Béranger, éditeur, Paris.

2 Revelle, R. et Suess, H.E. (1957). Carbon dioxide exchange between atmosphere and ocean and the question of an increase of atmospheric CO2 during the past decades. Telus, 9 (1). 18-27.

3 Voir : Schneider, S.H. et Rasool, S.I. (1971). Atmospheric carbon dioxide and aerosols : effects of large increases on global climate. Science, 173, 138-141.

4 Lamb, H.H. (1995). Climate History and The Modern World, 2nd ed., Routledge, Londres.

5 Pour mémoire, l’ordre de grandeur estimé des variations de température ayant abouti à l’« optimum médié-val » et au « petit âge glaciaire » est de ±1 °C.

6 Dont le Goddard Institute au sein de la NASA.

7 Postel-Vinay, O. (2015). La comédie du climat — Comment se fâcher en famille sur le réchauffement climatique. Éditions J.C. Lattès, Paris.

8 Gérondeau, C. (2021). La religion écologiste — Climat, CO2, hydrogène : la réalité et la fiction. L’Artilleur, Paris.

9 Les prédictions de la Conférence de Villach se trouvèrent complètement en contradiction avec les faits. Par exemple, en 2023, l’élévation moyenne annuelle du niveau des océans est de l’ordre de 3 mm. À ce rythme, il faudrait 500 ans pour observer une élévation de 1,5 m (voir Koonin, S.E. (2021), p.216). Pour ce qui est de la température, sous l’hypothèse d’une continuation à l’identique des émanations de CO2, l’élévation de température serait (Voir Gervais, F. (2013) p.207) de 0,77 ± 0,3 °C. On est très loin des +4,5 °C.

10 La Commission Brundtland, au sein de l’ONU, a été présidée de 1983 à 1987 par l’ancienne première ministre de Norvège, Gro Harlem Brundtland. Elle a inventé le concept de « développement durable ».

11 Voir : Crowley, T. et North, J. (1991). Paleoclimatology, Oxford.

12 GIEC = Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat ↔ IPCC = Intergovernmental Panel on Climate Change. Notons que le titre original (en anglais) de l’IPCC ne parle pas d’experts. De ce fait, le GIEC=IPCC est gouverné par des représentants d’états composant l’ONU.

13 Bélouve, Jean-Michel (2009). La Servitude Climatique — Changement Climatique, Business et Politique — La Véritable Histoire du Changement Climatique. Michel Bénard, Éditeur, 86 380 Vendeuvre du Poitou. Le livre de Jean-Michel Bélouve est remarquable à plus d’un titre. Il a été constamment réédité depuis 2009 et reste aujourd’hui disponible en librairie. Sa postface fait une mention digne d’intérêt « Jean-Michel Bélouve a attendu d’être à la retraite pour publier ses écrits ». Ce commentaire fait une allusion indirecte au fait qu’en matière de climat et de CO2 une impitoyable « chasse aux sorcières » frappe les « climato-sceptiques », terme générique qualifiant ceux qui mettent en doute les dogmes de la « religion du climat ».

14 Gérondeau, C. (2021). La religion écologiste — Climat, CO2, hydrogène : la réalité et la fiction. L’Artilleur, Paris.

15 Le G7 est un forum annuel réunissant chaque année les représentants du Canada, de la France, de l’Allemagne de l’Italie, du Japon, du Royaume-Uni et des États-Unis. L’adjonction de la participation de l’Union Européenne en fait le G8.

16 Voir : Gervais, François (2013). L’innocence du Carbone — L’Effet de Serre Remis en Question, Albin Michel, Paris.

17 Voir le Ch.8 de Koonin, S. E. (2021). Climat, la part d’incertitude. L’Artilleur, Paris.

18 Koonin, S. E. (2021). Climat, la part d’incertitude. L’Artilleur, Paris.

19 Mann, M. E., Bradley, R.S. et Hughes, M. K. (1998). Global-scale temperature patterns and climate forcing over the past six centuries. Nature 392 779-787.

20 Wegman, E. et al. (2006). Ad hoc committee report on the « hockey strick » global climate reconstruction. Report on request of Joe Barton of the United States House Committee on Energy and Commerce.

21 Voir p.32 dans le livre de Gervais, François (2013). L’innocence du Carbone — L’Effet de serre remis en Question, Albin Michel, Paris.

22 Ce point de vue est confirmé par l’article récent de Harde, H. (2019). What humans contribute to atmospheric CO2 : comparison of carbon cycle models with observations. Earth Sciences. 8(3), pp. 139-159. Citons les pp.139-140 de cet article : « We show that human activities have a minor influence on the CO2 increase in the atmosphere, while the main contribution has to be explained by naturel effects, particularly the temperature, which is responsible for more than 85% of the CO2 increase since the industrial revolution. Therefore, not CO2 but primarily native impacts control any observed climate change. »

23 Godefridi, D. (2010). Le GIEC est mort, vive la science. Texquis.

24 Voir p.207 dans le livre : Gervais, F.(2013). L’innocence du carbone, Albin Michel, Paris.

25 La notion de « température moyenne » est physiquement impropre. Pour alléger notre présentation, nous la tiendrons néanmoins pour acquise.

26 Godfredi, D. (2010). Le GIEC est mort, vive la science, Texquis, Paris.

27 Gérondeau, C. (2022). Les 12 mensonges du GIEC — La religion écologiste 2, L’Artilleur, Paris.

28 Gervais, F. (2013). L’innocence du carbone, Albin Michel, Paris.

29 Voir p.95 dans Koonin, S.E. (2021). Climat, la part d’incertitude. L’Artilleur, Paris

30 Gérondeau, C. (2021). La religion écologiste — Climat, CO2, hydrogène, la réalité et la fiction — Des lois pour rien. L’Artilleur, Paris.

31 Gérondeau, C. (2022). Les douze mensonges du GIEC, La religion écologiste 2 — l’écologie contre le développement. L’Artilleur, Paris.

32 Gérondeau, C. (2022). La voiture électrique et autes folies, La religion écologiste 3 — L’aveu implicite d’Elon Musk. L’Artilleur, Paris.

33 Gervais, F. (2017). Merci au CO2 — Impact climatique et conséquences — Quelques points de repère. L’Artilleur, Paris.




La France est dans la rue. Il faut l’entendre et l’écouter

Par Nicole Delépine

 « Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés »1

Ce que le gouvernement et bon nombre de parlementaires et éditorialistes ne veulent pas entendre du tout c’est que la pénibilité du travail, forte depuis toujours dans certains métiers comme le bâtiment, les égoutiers, etc. s’est accrue dans d’autres domaines par le biais du harcèlement, comme la santé, l’école, la sécurité sociale, etc., et même les entreprises privées aux mains des énarques ou sous-énarques passant du privé au public et inversement.

La volonté autocratique des dirigeants depuis le règne de Thatcher suivi par Mitterand en 1983 a donné la main aux technocrates ne connaissant rien aux métiers proprement dits et demandant du rendement, du chiffre, des tableaux Excel comme tous le résument, en toute inhumanité.

Ils ne comprennent pas pourquoi les métiers d’infirmières, de professeurs ou de médecins jadis tant prisés font aujourd’hui fuir, indépendamment même des salaires. Appliquer la méthode Ford, le taylorisme à une clinique ou un service médical en hôpital est une incongruence.

Faites le test si vous devez être hospitalisé, vous allez voir au moins sept personnes avant d’arriver dans votre chambre où votre infirmière pourra peut-être vous dire ce qui vous arrivera avec un peu de chance… Mais à jeun le lendemain matin, on vous apportera un petit déjeuner par erreur de transmission ou on vous donnera un anticoagulant avant votre opération. « C’était écrit dans le logiciel » (qui n’a pas été mis à jour). Oui travailler dans ces conditions-là devient épuisant, et l’idée de rester plus longtemps dans cette atmosphère délirante est insupportable pour énormément de salariés conscients de la perte de sens de leur métier et l’impossibilité de le pratiquer correctement.

Rappelez-vous les morts d’Orange, suicides… :

« Orange, ex-France Télécom, son ancien PDG, Didier Lombard, et six autres cadres et dirigeants ont été condamnés pour “harcèlement moral”, près de dix ans après une crise sociale durant laquelle plusieurs dizaines de salariés se sont suicidés. »2

À l’hôpital, c’est aussi le harcèlement des soignants par les administratifs :3

« Après le suicide d’un cardiologue, l’AP-HP et quatre responsables de l’hôpital Georges-Pompidou mis en examen pour “harcèlement moral”. Le professeur Jean-Louis Mégnien s’était défenestré en 2015. Des collègues avaient rapporté qu’il était victime de harcèlement et qu’un avertissement sur sa souffrance n’aurait pas été pris en compte ».

Les épuisements, les burn-out4, ont participé à ce que les travailleurs n’imaginent plus comment aller jusqu’à 64 ans, alors que quand nous travaillions dans des conditions normales, le problème ne se posait pas, au moins dans les professions autrefois protégées. Avec la chance d’avoir un métier magnifique de médecin pédiatre, je suis partie à 68 ans, mais vraiment ma situation n’était pas comparable à celle de mes confrères dans les dernières années, harcelés par leur « cadre », changeant de planning tous les deux jours, et devant éviter de s’attacher aux enfants malades pour avoir l’air professionnel. La folie s’est emparée de notre société déshumanisée sur diktat des puissants et soumission du peuple.

De nombreux livres ont été écrits sur le sujet emblématique du harcèlement au travail, dans le silence intersidéral des médias et trop souvent l’indifférence des syndicats. (Comme nous l’avons vécu à Avicenne et Garches…) « Je vous soutiendrais bien mais je ne veux pas perdre mon logement à l’hôpital ». S’ils se réveillent aujourd’hui, ne nous en plaignons pas et unissons-nous même si quelques-uns d’entre eux ont voté EM sous manipulation médiatique, cela ne change rien !

 « Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés ». Ces mots, tirés de la fable de Jean de La Fontaine « Les animaux malades de la peste », Marie Pezé psychologue clinicienne et psychanalyste les a choisis comme titre à son ouvrage consacré à la souffrance au travail » dès 2005.

Résumé (extraits) : Marie Pezé a ouvert la consultation Souffrance et travail en France à Nanterre en 1997 première d’une vingtaine qui ont vu le jour un peu partout en France. Pendant treize années elle y a reçu des patients aux profils les plus divers du cadre sup à la simple secrétaire de l’aide-soignante au chef comptable tous ceux que l’on appelle les « Ressources humaines ». (…)

Marie Pezé dresse ce constat terrible : les troubles liés au travail se généralisent et s’aggravent ; (..) l’hyperproductivisme devient la règle de fonctionnement dans toutes les entreprises fragilisant l’ensemble des salariés. Ce livre est d’abord une galerie de portraits : Agathe l’aide-soignante qui veut par-dessus tout préserver la sécurité des patients hospitalités, Solange l’assistante de direction propulsée sur un plateau téléphonique qui tente de se plier aux exigences contradictoires du management, Serge le cadre sup qui ne sent vivant que dans la surcharge de travail, François juriste d’entreprise qui a tenté de se suicider sur son lieu de travail parce qu’il « n’y arrivait pas ». (..)

La notion de harcèlement seule n’explique pas pourquoi certaines personnes comme Solange consentent à des situations intenables, ou encore que la solitude voire la folie comme dans le cas d’Agathe, sont le lot de ceux qui veulent défendre un travail bien fait ; ou encore qu’une rationalisation excessive conduit à un tel appauvrissement du travail effectué que les individus concernés peuvent se mettre à adopter des conduites criminelles.5

Elle a poursuivi son travail d’alerte avec d’autres livres comme en 2014 :

« Le travail occupe la moitié de l’espace de nos vies d’adultes, sinon beaucoup plus. Et travailler, c’est travailler sa vie.

Pour le meilleur, quand le travail nous permet d’enrichir notre savoir, de construire notre place dans le monde, d’être reconnu par ceux à qui nous sommes utiles. Quand il nous permet de nous émanciper socialement, d’être autonome, de vivre de nos choix.

Pour le pire, quand le travail est vide de sens, quand il contraint nos corps, quand il appauvrit notre fonctionnement mental. Pour le pire quand nous gagnons de quoi nous loger ou de quoi nous nourrir. Quand nous y apprenons la rivalité, la haine et la peur de l’autre, puisqu’on nous dit qu’il n’y a pas de place pour tout le monde. »6

Les suicides des soignants, comme ceux des agriculteurs7 et des policiers 8 font parfois l’objet de quelques articles vite oubliés.

« Dans son métier d’agriculteur, on peut se sentir oppressé. Oppressé par le mauvais temps, la maladie de ses animaux. Oppressé par la fatigue, la liste longue comme le bras des choses à faire. Oppressé par ses banquiers, ses dettes à combler. Mais rien n’oppresse autant que le regard, inquisiteur, de tous ceux qui attendent le faux pas, l’erreur, pour nous blâmer. »

Le Dr Éric Henry, Président de l’association Soins aux Professionnels de Santé, dressait un bilan alarmant de l’état psychologique des professionnels de la santé9.

« Qu’ils soient aides-soignant(e) s, infirmier(e)s, psychologues, médecins, le quotidien des professionnels de santé est marqué par des conditions de travail favorisant leur isolement, des contraintes administratives réduisant la part consacrée au soin, mais aussi par le sentiment persistant d’un travail empêché au détriment de la santé des Français. Ne nous étonnons pas qu’ils soient parmi les populations les plus touchées par les troubles du sommeil, l’épuisement émotionnel et les conduites addictives…

La santé de nos soignants est un enjeu de société pour lequel il n’existe aujourd’hui que peu de réponses des pouvoirs publics. Ainsi, le projet de loi de santé présenté à l’Assemblée nationale ne comporte aucun volet de prévention des risques liés à la dégradation de l’activité des soignants. Quelle réponse apporter aux professionnels en souffrance ? ».

La médecine a perdu son sens avec la taylorisation du soin (depuis les années 90 et aggravation progressive)

Comme le rappelait L. Degos en 200210, il faut soigner une malade et non une maladie. Appliquer à tous les malades des protocoles nationaux à la chaîne au lieu de leur fournir des soins adaptés à leur singularité a fait perdre tout leur sens à nos beaux métiers, leur efficacité, leur humanité, leur raison d’être. Chaque malade est unique, chaque malade est différent comme le sont aussi leur maladie et leurs réactions aux médicaments. Nous l’avons maintes fois relaté dans nos livres.

Et ce ne sont pas les multiples audits des cabinets de conseil qui amélioreront les choses. Aussi comparer l’âge des départs en retraite dans d’autres pays n’a peut-être pas autant de sens qu’on pourrait le penser a priori.

Regardons notre pays épuisé, méprisé, agacé, insulté, surmené. Oui, une grande majorité d’entre nous, y compris chez les retraités, refusent le passage en force de cette réforme non aboutie. Les manifestations généralisées dans grandes et petites villes reflètent les souffrances accumulées pendant plusieurs décennies et la cocotte-minute qui risque d’exploser si personne n’entend. L’argent magique n’existe plus que pour l’étranger (Pakistan, Ukraine…). Les enseignants doivent financer leurs photocopies et les tribunaux sont toujours encombrés faute de moyens.

FAITES CONNAÎTRE LE RAS-LE-BOL DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE À LA BUREAUCRATISATION DU TRAVAIL

https://www.change.org/p/retraites-non-%C3%A0-cette-r%C3%A9forme-injuste-et-brutale-reformesdesretraites

Nous sommes tout près d’un million de signataires ! Atteignons le million en partageant au maximum sur vos réseaux et listing mails la pétition ci-dessous.

Le gouvernement a annoncé le report de l’âge de la retraite à 64 ans avec un allongement accéléré de la durée de cotisation.

Cette mesure est injustifiée : le rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) l’indique clairement, le système de retraites n’est pas en danger. Il n’y a aucune urgence financière

Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs, et plus particulièrement ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, et ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.

Ce projet gouvernemental n’a rien d’une nécessité économique, c’est le choix de l’injustice et de la régression sociale.

Renforcer notre système de retraites nécessite en revanche des mesures de progrès et de partage des richesses.

D’autres solutions sont possibles ! Je soutiens la mobilisation intersyndicale et je m’oppose à cette réforme : « je signe la pétition »

Vos données ne feront l’objet d’aucune collecte, ni d’aucun traitement de notre part.

La demande de don faisant suite à la signature de cette pétition n’émane pas des organisations syndicales mais de la plateforme change.org sur laquelle est hébergée celle-ci.

ET quelques images témoignages de la journée du 11 février en France qui a mis beaucoup de gens dans la rue.

https://t.me/neodia

ÉCOUTONS-LES

https://t.me/s/ioRetraites
[Heure du Québec. Ajouter 6 heures pour la France]

Combien de temps le gouvernement restera-t-il sourd à la volonté du peuple ?

Les députés continueront-ils longtemps à trahir leurs électeurs en croyant que ceux-ci auront oublié à la prochaine élection ?





Communiqués du Capitaine Alexandre Juving-Brunet

[Source : soutienaucapitaine.fr via Profession Gendarme]

Vous pouvez retrouvez l’ensemble des communiqués et écrits ci-dessous [et d’autres], ainsi que les originaux manuscrits sur le site de soutien au Capitaine Alexandre Juving-Brunet sur le lien suivant https://soutienaucapitaine.fr/ rubrique « Communiqués ».

[Voir aussi :

Sur le comité de soutien à Alexandre Juving-Brunet par le général André Coustou

Toutes les nouvelles concernant le capitaine Juving-Brunet

Soutien au Capitaine Alexandre Juving-Brunet]

Moi, Capitaine Alexandre Juving-Brunet,

Je déclare, au travers de mon avocat être actuellement poursuivi et mis en examen pour différents chefs dont celui d’escroquerie en bande organisée. Ma garde à vue de 48h a été suivie d’une incarcération sans qu’à date aucune personne n’ait porté plainte contre moi dans le cadre du projet de la monnaie associative « Le Franc Libre ». Au service de l’Etat mais surtout du Peuple Français durant 12 ans de gendarmerie puis au renseignement militaire (D.R.S.D.), je ne conçois mon existence qu’au service de mes concitoyens. Je réfute toutes ces accusations diligentées par le ministère public et ne ferai aucun obstacle à la manifestation de la Vérité qui est … la devise du parti politique dont je suis toujours le président, PDF – Le Peuple de France,

Vérité qui est le préalable à la liberté qui fonde l’essence française et à laquelle le Peuple aspire profondément pour marcher vers sa souveraineté.

Vive le Peuple de France !
Vive la France !

Alexandre Juving-Brunet

Début Janvier

Françaises, Français, souscripteurs,
adhérents et soutiens,

Chers amis,

Voici ma seconde déclaration officielle suite à ma mise en examen et ces quarante premiers jours d’une injuste incarcération à cette date.

Les annonces télévisées et autres interventions de querelleurs, médecins ou généraux de plateaux, à défaut d’une expertise impartiale, ne font que confirmer les intuitions que nous partageons mais aussi la légitime détermination que chaque citoyen français devra prouver après avoir suffisamment médité puis accepté la triste situation dans laquelle se retrouvent la France et son peuple.

Nous voyons se lever tous les jours le voile sur un train ininterrompu de trahisons, train piloté par des imposteurs qui propulse la France vers un abîme certain. Ces imposteurs, traites et agents d’entreprises mais surtout de puissances étrangères ont été placés, protégés et rendus pénalement irresponsables en raison d’un système qu’ils ont progressivement démantelé. La loi n’a pas arrêté la valse des impostures et donc n’arrêtera pas leur sabotage délibéré et commandé afin de neutraliser notre puissance publique qui était le seul rempart citoyen à cette guerre des Etats profonds contre les Etats-Nations.

Autrefois un sabotage monétaire par le contrôle puis la neutralisation de la banque de France, suivi d’un sabotage institutionnel en vidant la Constitution de sa quintessence citoyenne, ont conduit au sabotage industriel et maintenant artisanal du cœur vivant de notre tissu économique en voie de déchirement.

Ils ont contribué à l’empoisonnement de toutes nos ressources naturelles et ont pillé notre patrimoine technologique, laissant des Français abandonnés à eux-mêmes, sans sécurité, ni soin, ni soutien, ni espoir.

Sacrifiés sur l’autel du profit. Je le répéterai ici : au moyen d’inductions de comportements créées par le conditionnement médiatique qu’ils contrôlent, les commanditaires du Nouvel Ordre Mondial ont mis en place un contre-système par l’infiltration, la subversion et enfin le parasitage de l’appareil d’Etat afin de le neutraliser et le détourner de son rôle légal et légitime de sauvegarde du peuple français et de ses intérêts.

Le Président comme le gouvernement, sont des agents de puissances étrangères qui auront un jour à répondre de leurs trahisons si et seulement si le peuple français se lève d’un seul homme son cœur battant à l’unisson. La système-parasite s’abreuve de la vitalité de ce pays et le rejettera comme un vulgaire cadavre si nous le laissons faire. Il doit tomber car il est contre-nature. Il doit tomber car il est anti-démocratique. Il doit tomber car il représente l’inverse de tout ce qui définit la France et son peuple.

Le mensonge permanent, aliment des injonctions paradoxales présidentielles comme ministérielles, est son instrument de prédilection. « France » n’est ni le synonyme de menteur et encore moins de perversion. Le Franc devenu Français par le baptême ou le sang versé a consacré près de quatre-vingts générations à l’honneur, la droiture, la loyauté, la force, l’intelligence de l’esprit, du cœur et du corps et enfin la transmission.

Quatre-vingts générations qui cheminant entre vice et vertu ont construit puis légué une des plus glorieuses civilisations terrestres, terre sacrée d’élection de Christ, deuxième Jérusalem, chantre de la Vérité et de la Liberté, arbitre de la Beauté de l’Homme sans cesse tiraillé dans son libre-arbitre entre le vice et la vertu, la laideur ou le sublime, la vie et la mort. On ne juge un arbre qu’à ses fruits. Et le chêne « France » arbore encore sa solide majesté.

Du moins l’est-il encore car de son écorce millénaire, de son feuillage protecteur et de sa sève nourricière, son futur ne dépend que du cœur de ceux qui l’habitent et doivent le transmettre sans en avoir scié les branches ou le tronc.

Chers amis, nous serons demain ce que nous ferons, pas ce que nous spéculerons. C’est à nous désormais de préparer notre futur, de nous en saisir pour le penser, le modeler puis le léguer. Beaucoup parmi nous ont vendu leur liberté à ces agents contre une sécurité précaire : leurs illusions confortables seront bientôt balayées aussi sûrement qu’ils ont confié leurs destins à des traites-fossoyeurs.

Les bonnets rouges avaient grogné, les gilets jaunes sonné l’alarme dans un indécent ricanement généralisé de rentiers publics comme privés, parfaitement inconscients de la légitimé de cette colère. Le ricanement cesse désormais et vire à la stupeur alors que toutes les strates de la société sont touchées et bientôt menacées dans leurs certitudes bourgeoises de confort éternel. Du plus haut aristocrate politique, médiatique ou financier jusqu’au citoyen le plus démuni, le Vent de l’Histoire soufflera pour tous.

Aux autres qui s’insurgent et dressent le même constat sans agir concrètement, vous subirez aussi fortement ce Vent quand il se lèvera car vos actions quotidiennes n’auront pas créé les liens humains nécessaires à notre survie puis notre rebond, fatalement collectifs. Vous l’aurez compris : nul ne sortira d’un tube cathodique ou d’une diode de votre téléviseur pour venir vous sauver dans votre bureau, votre salon ou votre atelier. Les plateaux télévisés ne sont que des empilements fragiles de constats tièdes et de spéculations inutiles. La Providence vous appartiendra quand votre cœur et votre esprit rallumés lanceront vos corps dans l’action collective qui seule détient la clé.

Individu debout dans une multitude fraternelle, de nos misères éparpillées enfin rassemblées en une foule généreuse, solidaire et désespérée, c’est alors la lueur de l’espoir qui brillera au bout de l’ultime impulsion de survie : la révolution va bientôt renaître.

Elle renaitra parce qu’ils l’auront provoquée par leur cupidité, leur arrogance, et surtout l’injustice dont ils s’échappent avec morgue. L’issue n’est qu’une fatale impasse. Dos au mur, subir ou résister. Se soumettre ou se rebeller. Alors en attendant cet inexorable tour d’un astre sur lui-même, je ne peux malheureusement pas vous aider dans ma situation actuelle. J’en suis infiniment triste. A l’exception de manifestations ou de structuration de C.S.P., nous devons interrompre pour l’instant toute initiative liée au Franc Libre pour laisser la justice établir la Vérité de nos intentions.

A la lecture de centaines de lettres reçues, je suis très ému de constater combien vous avez tous saisi le sens de notre action politique collective, aujourd’hui stoppée. Voilà quelle sera alors ma seule directive : patientez je vous prie tout en consolidant vos liens citoyens déjà établis.

Via mes avocats coordonnés par Maître Bertozzi, le général André Coustou et ma fiancée qui doivent tous travailler en bonne intelligence pour m’aider, vous pourrez recevoir des informations voire participer à des manifestations de soutien qui constituent également une clé importante de mobilisation afin d’engager un bras de fer avec les vrais commanditaires de cette mise en examen : un système politique à bout de souffle qui choisit de pourchasser ses opposants farouches plutôt que de mobiliser l’institution judiciaire pour la protection des français en tous lieux et en tous temps.

Dieu reconnaitra les siens, et les courageux Français épris de justice reconnaîtront les traitres.

Aussi, je finirais en vous souhaitant pour cette nouvelle année qu’à cœur battant, vous cheminiez vers cette vérité et cette liberté qui vous ouvriront les portes de nos bonheurs individuel et collectif.

Nous Français sommes les grands peuples réunis en Nation de la liberté donc de la vie. La vie c’est la liberté alors incarnez-la.

Vérité, liberté, Souveraineté.
Vive les peuples de France, vive la France !

Capitaine Alexandre Juving-Brunet.

le 18 Janvier 2023.

Déclaration officielle du Capitaine
A. Juving-Brunet .

Des mouvements sociaux de janvier 2023

Revenant vers vous chers amis depuis le fond de ma cellule, mon esprit bouillonne et mon cœur se serre malgré le réconfort de quelques 1580 lettres reçues à ce jour de France mais aussi du monde.

Ces lettres qui m’ont fait sourire, rire, parfois m’émouvoir sont des cadeaux précieux, fleurs germées de semailles d’espoir lentement dispersées durant ces deux dernières années. Merci à vous tous, nous sommes une grande famille de valeurs.

Ce sera donc la plume qui vous rencontrera aujourd’hui, la vidéo m’étant depuis 60 jours interdite dans mon action politique et citoyenne alors que l’incendie social s’allume indiscutablement cette même semaine quand toutes les oligarchies davocratiques se réunissent en Suisse pour débattre de notre futur et préparer l’agenda pour les 20 prochaines années. Autrement dit, les mouvements sociaux ne sont que des stigmates ravivés et des colères immédiates des échos de discussions lointaines dans des enceintes où la démocratie est absente.

Vingt ans plus tard, ces discussions d’un gotha ultra-libéral deviennent des feuilles de route obligatoires de marionnettes politiques divorcées de toute raison d’Etat.

Sinon comment expliquer cet entêtement suicidaire à imposer la réforme des retraites quand le peuple français s’y oppose à plus de 80% ?

Les mensonges d’un soi-disant programme présidentiel allumés tels des contre-feux n’ont pas duré une semaine : la Vérité d’une manipulation électorale grossière, digne d’une démocrature selon André Bercoff, pourtant dénoncée par toute une opposition légitime mais interdite de plateau médiatique donc bâillonnée, fait son chemin en rappelant qu’une dernière fois, les Français auront été trahis dans les fumées du barrage républicain dressé face à un épouvantail faussement patriote car euro-otano-compatible.

L’illusion perfide règne, la Vérité est absente, l’Humanité étouffe. Pas de débat d’idées, pas de contradiction, un dogme progressiste et « vivrensembliste » hors sol asphyxiant la démocratie jusqu’à son trépas : j’y ai consacré une vidéo d’après 2ème tour.

J’ai jadis partagé une intuition forte avec vous tous lors des conférences des derniers mois. Le système actuel, bâti sur un humanisme perverti en individualisme-roi et protégé des colères sociales par un matérialisme corrupteur et stérilisateur de nos plus belles vertus de solidarité, de partage et de courage ; ce système donc verra son effondrement complet à rebours de toute logique naturelle, étant justement à l’envers de l’ordre naturel ancestral.

L’ordre naturel des choses et des êtres, dans une société saine, consiste tout d’abord à poser les conditions imprescriptibles de l’intégrité physique, morale et intellectuelle d’un individu en lien obligatoire avec sa communauté de naissance et d’adoption, allant de sa famille, de son environnement immédiat jusqu’à sa Nation. La sauvegarde des acquis matériels ne venant qu’après ces considérations ; la Vie étant la clé de voûte sacrée de ce type de société.

Aujourd’hui, la laideur, l’oisiveté, le mépris, l’égoïsme sont érigés en standard de société : un sacre du Vice donc une mort prochaine inexorable. Et la crise sanitaire artificiellement créée et propagée, loin de détruire ce système ancestral dans lequel nous ne vivons plus actuellement, n’a fait que démontrer que nous vivons justement dans un système qui se préoccupe plus du bien matériel que de l’Homme qui l’a pensé et produit par son génie.

Voilà pourquoi, cet épisode de Covid vite enterré n’est qu’un rai de lumière perçant le voile d’un système faussement humaniste, mais réellement opposé à l’Homme et à la Vie, en témoignera l’effondrement de notre natalité.

Pourquoi ce détours, chers amis et quel rapport avec les mouvement sociaux liés à la réforme des retraites ?

Voyez-y simplement que le peuple français s’est majoritairement rangé du côté de la force lui garantissant non pas sa liberté mais sa sécurité avec au passage la profanation du Saint des Saints : le « sanctum » c’est-à-dire la santé. Les Français, ce « sanctum », ils l’ont abandonné à des apprentis-sorciers qui les ont transformés en cobaye réel contre une prospérité illusoire.

On a troqué de la matière vile contre de l’esprit incarné. Et c’est cela qui détruit toute logique naturelle, valeurs et droits inclus. Donc à quoi bon travailler, cotiser et partir en retraite pour jouir d’une vie aliénée car la liberté a disparu et la Vie compromise par nos lâchetés et renoncements ?

La pulsion de vie est euthanasiée au profit de l’instinct de consommation : le diable en boit du petit lait. Le Covid n’a pas retardé la réforme des retraites comme cela nous l’est claironné. Il a simplement servi de retardateur d’une explosion financière d’un système humainement déséquilibré donc condamné à mort, pavant la voie à un grand test d’acceptation sociale nécessaire pour maintenir le contrôle des démocratures.

Si la Vie a pu être si facilement manipulée et condamnée à grand renfort d’induction comportementale médiatique, alors comprenez bien que le Pouvoir sait désormais, après analyse de tous les indicateurs de grégairisme béat (masques interdits puis obligatoires, auto-attestations, injections non-certifiées à des millions de cobayes sans responsabilité pénale), qu’il peut pousser les jeux sur ce qui est moins important que votre santé : votre portefeuille.

Pourtant stupeur ! Le Français se cabre, le syndicaliste réapparait après un coma de deux longues années, l’éditorialiste a la fièvre, le gouvernement doute et le président voyage.

Qu’on ne touche pas à l’idole post-moderne de la retraite. Car oui, cette réforme est d’une perfidie extrême. Dans un pays intentionnellement désindustrialisé par les Davocrates qui ont acquis des fortunes sans limite sur le dos de la commande ou de la dette publique, dans un pays quaternarisé où même nos ingénieurs voient avec inquiétude se dresser une concurrence de matière grise globalisée, un pays enfin où l’agriculture est poussé au suicide et le travailleur à l’euthanasie du chômage de masse, voilà nos brillants esprits viciés du capitalisme qui les nourrit vouloir défendre doctement le principe de travailler plus longtemps pour sauver notre régime par répartition hérité du Conseil National de la Résistance, et non pas de cet autre acronyme de CNR dévoyé et perverti du pantin Macron, bien décidé à sucer et vider le sens de tous nos symboles en bon élève bien noté parmi les « Global Shapers ».

Ces élites biberonnées par le capitalisme carnassier chaperonné par le rejeton d’un ancien officier nazi producteur de lance-flammes, un certain Klaus Schwab. Les pompiers-pyromanes ont leur mentor.

Travailler plus longtemps est un mensonge plus odieux encore que « Arbeit Macht Frei ». Car entre la courte espérance de vie des travailleurs manuels rongés par la pénibilité et le travailleur tardif bac+5 en poche, l’un comme l’autre sont condamnés.

Aux forçats des ateliers, des chantiers ou de la logistique, finir à 64 ans le corps démoli ne vous fera guère profiter statistiquement de plus de 10 ans de fin de vie douloureuse.

Pour les agents privés occupant des postes de conception ou d’encadrement, en démarrant une carrière professionnelle à 23 ans (bon élève/ Bac + 5), il faudra travailler bien au-delà des 64 ans pour disposer d’une retraite pleine (64-23 = 41 ans). Le bon sens en trompe l’œil, il ne s’agit pas d’une réforme mais d’une disparition programmée de la retraite avec en ligne de mire les profiteurs de crise. Ici, les fonds par capitalisation de type Black Rock, dont le président a reçu la légion d’honneur par Macron, qui poussent en coulisses les feux de cette réforme.

Pourquoi ? Tout simplement parce que les Français seront obligés de panacher toujours plus leur régime de retraite par répartition avec de la retraite par capitalisation c’est-à-dire du fonds de pension. Infine, faire main basse sur la finance française. Et nous parlons ici de centaines de milliards rien que pour la France.

Autrement dit, quand la branche pharmaceutique de Davos « Big Pharma » s’est suffisamment engraissée sur le corps décharné de notre bien public, c’est au tour des fonds de pension de se joindre au bal des vautours de ce démantèlement complet des systèmes sociaux et de solidarité : santé, emploi, prévoyance, tout y passera.

Il ne manquera plus qu’une bonne inflation artificielle de l’agroalimentaire ou de l’électricité pour vider nos poches dégarnies et creuser de préoccupation nos visages émaciés. Alors les peuples du Monde, désenchantés et misérables, n’auront plus la force de résister au dernier temps de cette tragédie humaine en trois actes. Quand seront définitivement tombées nos libertés puis notre prospérité, seule demeurera bien qu’affaiblie notre intégrité physique qui sera sacrifiée sur l’autel de la guerre qu’ils préparent de toute leur folie. Car la guerre seule, cette tragédie, permettra de gommer toutes les perfidies et trahisons comme elle le fit toujours des sociétés ruinées par les oligarchies depuis trois siècles.

Cette tragédie, c’est le suicide de la fraternité européenne dont fait partie intégrante la Russie au profit exclusif du chef de file de l’Empire occidental, des Etats-Unis d’Amérique infiltrés et subvertis par l’Etat profond premier. La guerre prochaine de la Russie avec l’OTAN fera l’objet d’une déclaration dédiée.

Vérité, Liberté, Souveraineté.
Vive la France !

Capitaine Alexandre Juving-Brunet.




Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan

Par Nicole Delepine, pédiatre cancérologue, et Gérard Delépine, chirurgien cancérologue

Définitions1

  • Femme trans : personne née de sexe masculin, mais qui s’identifie comme femme.
  • Homme trans : personne née de sexe féminin, mais qui s’identifie comme homme.
  • Transvesti(e)/crossdresser: personne qui adopte, la plupart du temps ou épisodiquement, un code vestimentaire et un rôle socio-sexuel qui diffèrent de son sexe de naissance. Une grande partie des personnes travesties vit au quotidien dans le genre qui correspond à leur sexe biologique.

CEUX QUI SOUHAITENT CHANGER DE GENRE PHYSIQUEMENT SUBISSENT UNE TRANSITION MÉDICOCHIRURGICALE

Les étapes de la transition de genre (assistée par des traitements hormonaux et gestes chirurgicaux) comprennent d’abord la préparation psychologique qui vise à éliminer les psychoses, les dépressions, et à tenter d’expliquer aux candidats trans les conséquences des interventions médicochirurgicales. Cette phase durait en général de deux ans, mais elle semble se raccourcir (business du genre ?).

Lorsque le psychiatre juge le patient prêt et qu’il n’y a pas de contre-indications (risque d’accident cardiovasculaire, obésité, diabète sévère, hypertension, etc.), l’hormonothérapie peut débuter, complétée plus ou moins rapidement par des interventions chirurgicales.

Les femmes qui veulent devenir des hommes trans peuvent demander l’ablation des seins (mastectomie) dès le début de la prise d’hormones mâles.

Chez les hommes désirant devenir femmes trans, l’augmentation mammaire chirurgicale doit attendre que la taille des seins se soit bien stabilisée par l’imprégnation hormonale. Certains se satisfont de ces changements ou de l’hormonothérapie, mais d’autres vont recourir à la chirurgie reconstructrice. En France, les transitions dans le sens homme vers femme sont aujourd’hui environ deux fois plus fréquentes que l’inverse.

RÉASSIGNATION GÉNITALE. LE LONG ET PÉNIBLE PARCOURS DU CHANGEMENT DE SEXE2

EXEMPLES DE PROCÉDURES DE CHIRURGIE GÉNITALE3

Homme vers femme

Construire un vagin : la vaginoplastie4 est une chirurgie complexe qui dure entre 2 et 4 heures et nécessite souvent une hospitalisation de 2 semaines. Aux USA, l’opération coûte au moins 20 000 dollars et en France, entre 7000 et 15 000 euros5 pris en charge à 100 %, dans la limite du tarif de remboursement de la Sécurité sociale, à condition que la personne soit reconnue comme bénéficiaire de l’ALD (affection de longue durée) par la sécurité sociale (alors que la dystrophie de genre n’est pas considérée comme une maladie).

Elle commence par l’ablation des testicules et de la verge dont la peau sert à tapisser les parois du néo vagin (il est parfois nécessaire d’avoir recours à une greffe complémentaire) positionné dans le périnée entre la prostate et le rectum. Durant ces manipulations la peau qui sert à former la paroi du vagin perd son innervation. Le clitoris est reconstruit à partir des tissus du gland, mais la taille du gland est largement rétrécie diminuant d’autant son innervation et sa sensibilité.

Le néo vagin ne dispose pas de mécanisme automatique de nettoyage ou de lubrification. Il habituellement nécessaire de prolonger les soins après l’opération avec l’utilisation d’un dilatateur vaginal dont le but est de stabiliser ou d’élargir la cavité.

Après la vaginoplastie, si la patiente suit les indications postopératoires (notamment des exercices ou rapports sexuels réguliers pour maintenir l’espace créé pour accueillir le vagin), un partenaire sexuel peut ne pas s’apercevoir de la transformation subie. Il est cependant conseillé de l’en informer.

Il faut savoir que la prostate reste en place pour éviter toute incontinence urinaire et que parfois, après la première opération, une seconde intervention à visée esthétique peut être envisagée.

La chirurgie pelvienne peut être complétée par la mise en place d’implants mammaires et d’une féminisation faciale et de l’ablation de la pomme d’Adam.

Femme vers Homme

L’ablation de l’utérus (hystérectomie) et des ovaires (ovariectomie) était obligatoire en France pour bénéficier d’un changement d’état-civil, jusqu’au 18 novembre 2016. Cette ablation pourrait éviter un risque de cancer sous hormonothérapie à long terme.

Pour construire un phallus, deux interventions sont possibles : la métoïdioplastie et la phalloplastie.

La métoidioplastie consiste à allonger et à renforcer le clitoris, qui s’est hypertrophié grâce à l’hormonothérapie, pour créer un phallus. Cette intervention qui dure en moyenne 3 heures donne une apparence masculine des organes génitaux, rend possible une miction en position debout et une excitation sexuelle, mais sans possibilité de rapport avec pénétration, car le néophallus, de petite taille, ne permet pas d’érection6.

La phalloplastie7 consiste à construire un pénis en utilisant de la peau et des tissus provenant des lèvres ou d’autres sources (autogreffes libres d’avant-bras, cuisse, ou abdomen),

habituellement complétée par la construction d’un scrotum à l’aide de la peau et des tissus des lèvres. Il s’agit d’une intervention longue (4 à 10 heures souvent à deux équipes) et complexe dont le coût peut s’élever à 35 000 euros8.

Pour assurer une certaine rigidité, une prothèse pénienne est incluse, avec une pompe pour permettre l’érection. Le modèle — le mécanisme et la longueur de l’implant pénien — sera choisi en fonction de l’anatomie. L’implant pénien obtient sa rigidité par l’activation de la pompe normalement localisée dans le scrotum. La rigidité obtenue rend possibles les relations sexuelles avec pénétration. Cette intervention peut être effectuée 6 mois après la construction de l’urètre. Les deux poches scrotales fabriquées avec la peau des lèvres sont garnies de prothèses testiculaires.

Parmi les complications qui peuvent survenir à la suite d’une opération aussi lourde que la phalloplastie, on note des infections, un rejet de la greffe de peau entraînant la perte de la prothèse, nécrose, sténose, ainsi que des caillots de sang. Il faudra dans certains cas une nouvelle intervention9.

RÉSULTATS ESTIMÉS 10

Selon les sites internet favorables à cette chirurgie, on peut avoir une estimation des résultats très variable, d’autant qu’il semble bien que les opérés non satisfaits n’en informent leur premier chirurgien que dans 30 % des cas lorsqu’ils décident d’une détransition.

Le taux de réussite de la chirurgie génitale transgenre varie et peut dépendre de plusieurs facteurs, notamment l’état de santé général de l’individu, l’expérience et le niveau de compétence du chirurgien, ainsi que les techniques spécifiques utilisées au cours de la procédure.

La vie sexuelle d’un homme trans est difficile. Il ne peut éjaculer et doit, pour avoir une érection, actionner une prothèse pénienne avec la pompe, dissimulée dans l’un des testicules reconstruits. L’apparence finale reste différente de celle d’un phallus naturel.

Les hommes et femmes trans peuvent l’un et l’autre ressentir un plaisir sexuel, mais n’ont définitivement plus la possibilité de procréer.

Ici des taux estimés :

Taux de réussite des chirurgies génitales transgenres MTF

Procédure Taux de réussite
Vaginoplastie 80 % — 90 %

Taux de réussite des chirurgies génitales transgenres FTM

Procédure Taux de réussite
Phalloplastie 65 % — 85 %
Métoidioplastie 86 % — 91 %
Hystérectomie et ovariectomie Environ 95 %

Les rechutes après l’opération des organes génitaux transgenres ne sont pas exceptionnelles et doivent être prévenues au moins en partie par des soins postopératoires bien surveillés (hygiène, propreté, hydratation, repos, etc..).

Chaque individu est différent et la récupération peut varier pour chaque individu.

En France, où en est la chirurgie de réassignation sexuelle ?

Une opération chirurgicale réussie est une opération donnant une apparence anatomique et une fonctionnalité similaires au sexe opposé choisi. En France, la majorité des chirurgies de réattribution sexuelle sont réalisées à l’institut hospitalo-universitaire de Lyon considérée comme un « centre de référence et d’excellence » en la matière.

L’opération n’est pas sans danger, les diabètes, l’obésité, certains problèmes de circulation sanguine peuvent augmenter les risques de complications lors de l’anesthésie et les complications postopératoires. Un traitement hormonal doit également être poursuivi après l’opération.11

LES COMPLICATIONS POSTOPÉRATOIRES 12

Après aidoiopoëse, aussi appelée vaginoplastie, elles sont fréquentes. Ces complications peuvent être fonctionnelles ou esthétiques et concerner toutes les parties anatomiques constituant la néovulve : vagin, urètre, clitoris, petites et grandes lèvres.

COMPLICATIONS IMMÉDIATES

Rectales La plaie rectale survenant immédiatement en peropératoire lors de la création du néovagin, entre le rectum en arrière et les voies urinaires en avant, rare (2 %)

Hémorragiques Les suites opératoires sont très fréquemment suivies d’hémorragies du site opératoire, imputables aux saignements itératifs des reliquats de corps spongieux derrière la muqueuse urétrale et autour du méat urinaire, malgré l’hémostase peropératoire.

Infectieuses Une fièvre associée à un écoulement vaginal purulent dans les suites opératoires traduit une infection vaginale (10 %), qui doit être traitée par antibiothérapie adaptée aux résultats des cultures. Une fièvre associée à des urines troubles traduit une infection urinaire type prostatite (1,6 %), qui doit être traitée par antibiothérapie adaptée.

Urinaires Un échec de retrait de la sonde urinaire peut survenir dans la semaine qui suit l’intervention : se traduisant par l’absence de reprise mictionnelle avec rétention urinaire vésicale, dépistée après retrait de la sonde (4 % des cas), le plus souvent imputable à l’œdème et l’inflammation urétrale postopératoire dans la région de résection du bulbe, et nécessite une repose de la sonde pour 15 jours supplémentaires.

Cicatrisation La peau tapissant le vagin peut s’extérioriser « en doigt de gant » lors du premier pansement et du retrait du conformateur souple.

COMPLICATIONS À MOYEN ET LONG TERME

Cavité vaginale

La majorité des problèmes de cicatrisation postopératoire concerne la néo-cavité vaginale :

« la pérennisation de ce nouvel orifice est directement liée à l’observance de la patiente concernant ses dilatations. Il est fondamental que la patiente respecte les consignes postopératoires, qui peuvent varier en fonction de chaque patiente et également en fonction des habitudes de l’opérateur : que ce soit le port du conformateur souple diurne et nocturne au début (au minimum 2 mois en postopératoire, et en règle plutôt 4 mois, afin que la majorité de la peau tapissant le vagin ait cicatrisé), ou encore le rythme des dilatations pluriquotidiennes en début de période postopératoire, il est fondamental d’expliquer à chaque patiente ses consignes postopératoires et de la revoir fréquemment surtout au début afin de contrôler avec elle que tout se déroule bien.

Ceci constitue une véritable éducation thérapeutique, débutée pendant les jours d’hospitalisation postopératoires immédiats. La patiente est ainsi revue en consultation jusqu’à obtention d’une cicatrisation totale vaginale, mais également jusqu’à l’obtention de résultats esthétiques, fonctionnels et anatomiques satisfaisants pour la patiente. Diverses complications peuvent survenir : perte de profondeur du vagin, ou diminution du diamètre de la cavité vaginale (17,8 %) ».

Le fait d’avoir un vagin tapissé de peau et pas de muqueuse ne protège en rien contre la contraction d’infections sexuellement transmissibles : mycoses, condylomes (HPV), chlamydia, syphilis, herpès, HIV .

Les femmes Trans opérées au niveau génital doivent être sensibilisées à la nécessité de l’utilisation des préservatifs, seul moyen d’éviter la transmission des maladies sexuellement transmissibles.

La survenue d’une fistule urétro-vaginale (1,5 % des cas) traduite par l’émission d’urine par le vagin lors des mictions ou d’une fistule vaginorectale (1,5 % des cas) révélée par l’émission de selles par le vagin lors de la défécation imposent une réintervention.

Complications clitoridiennes Les problèmes les plus fréquents sont les douleurs clitoridiennes neurogènes, spontanées ou à la pression, à type de décharges ou de brûlures (90 %).

La chirurgie de transformation génitale homme vers femme est presque toujours suivie de complications, qu’elles soient de nature hémorragique, esthétique ou fonctionnelle. Les patientes doivent en être soigneusement informées en préopératoire. Une éducation thérapeutique ainsi qu’un suivi rapproché durant toute la durée de la cicatrisation sont fondamentaux pour accompagner les patientes, dépister et traiter ces complications si nécessaire.13

L’épidémie de transgenrisme arrive en France

Comme dans de nombreux pays, les chiffres des patients déclarés trans augmentent14. La propagande réitérée dans la presse officielle, les émissions télévisées, les visites scolaires d’associations militantes proLGBTQ+, la littérature enfantine y compris à l’école, etc.15, et les questionnements soumis aux enfants dès leurs plus jeunes années, le lobby déployé sur les réseaux sociaux fréquentés par les jeunes accroissent le phénomène. Tout adolescent qui exprime une souffrance, un mal être si fréquent à cet âge est rapidement orienté vers la solution « genre ».

La normalisation du concept trans conduit les enfants qui considèrent qu’il existe biologiquement uniquement femme et homme à se sentir eux — mêmes anormaux. Des gouvernements militants imposent ce choix par la force comme au Canada où un jeune homme de 16 ans s’est fait arrêter dans son lycée pour avoir affirmé qu’il n’existe que deux sexes. Cette propagande woke est un autre sujet16. Nous y reviendrons.

Les demandes d’accès à la chirurgie

Les interventions d’ablation des seins ou des parties génitales ont été multipliées par quatre entre 2012 et 2020 en France. Il faut rester très prudent et demander aux parents beaucoup de vigilance face aux questions de leurs enfants sur la transidentité ou leur mal-être. Les parents et tous les adultes proches des candidats à des interventions mutilantes devraient entourer leurs enfants et leurs jeunes adultes de très près, pour faire la balance avec les réseaux sociaux militants qui font croire aux petits qu’ils sont indépendants, forts et responsables et que leur mal être disparaîtra après leur « affirmation trans ».

Trop souvent les familles ne sont pas au courant, d’autant que certains gestes comme l’ablation des seins autorisée après 16 ans peuvent être banalisés vis-à-vis d’eux et interdiront tout allaitement en cas de détransition secondaire.

Notons que ces chirurgies mutilantes restent en nombre relativement faible malgré leur augmentation en pourcentage et que la surreprésentation de ces personnes trans dans les médias et les élites risque de faire prendre un phénomène très marginal pour un problème de santé publique. Le récapitulatif de la Sécurité sociale donne des chiffres objectifs17 :

Le caractère addictif de l’usage excessif des réseaux sociaux

est néfaste au développement psychologique et intellectuel des jeunes et responsable d’une part très importante de la croissance du sentiment d’incongruence de genre, mode fort lucrative pour certains. Soulignons que la maturation cérébrale ne serait acquise qu’à 25 ans. Combien de décisions irréversibles avant cet âge autorisées par la « médecine » qui a oublié que l’essentiel est de ne pas nuire ?

Certains rappellent que l’âge en deçà duquel le mineur ne peut prendre la responsabilité pour ses propres actes apparaît se modifier arbitrairement selon le thème abordé : avortements, traitements pour maladies sexuellement transmissibles, etc. Les débats autour du traitement hormonal des mineurs transgenres et des chirurgies doivent donc tenir compte de ces considérations éthiques afin de pouvoir mieux les aider.18

MAIS LE VOYAGE VERS L’AUTRE SEXE EST irrémédiable, SURTOUT APRÈS CHIRURGIE

Et certains s’en mordent les doigts et l’attestent. Ils parlent d’autoroute de la transition à sens unique dans laquelle on les a embarqués à toute vitesse au nom du choix privilégié « affirmatif » respectant le désir « immédiat » de l’enfant ou du jeune sans tenir compte de l’avis de la famille, ni même d’un psychologue ou d’un médecin.

Certains voudraient revenir en arrière, mais c’est quasiment impossible. Ils essaient :

on les appelle alors « les détransitionneurs ». Ils n’ont pas trouvé la solution à leur mal être, se sont trompés et souvent disent avoir été trompés.

Les regrets sont divers.

« Beaucoup d’hommes trans parlent du fait qu’on ne peut pas pleurer avec une forte dose de testostérone dans le corps, et cela m’a aussi affectée ».

Dans le Parisien (3/5/2022) : « Anna, adolescente, mal dans sa peau, découvre sur Internet la transidentité et s’y retrouve. Ses parents la soutiennent. Après quelques rendez-vous médicaux qu’elle qualifie elle-même « d’expéditifs », elle commence la testostérone à 14 ans, devient Sacha, et subit une mastectomie (ablation des seins) à 16 ans. À 19 ans, sa descente aux enfers commence. Elle n’apprivoise pas « ce nouveau sexe ». Elle regrette et réalise qu’elle est bien une femme, mais au torse plat et à la voix grave. Elle arrête les hormones. Ses règles sont revenues, elle espère alors que sa fertilité ne sera pas définitivement altérée. Le plus intéressant dans son témoignage, qu’elle déplore : « à aucun moment les raisons profondes qui me poussaient à changer de sexe n’ont été abordées. On m’a mis sur des rails ». Elle réalise que « la puberté, ce n’est pas la période idéale pour faire de tels choix ».

L’ENFANT ROI, UN ENFANT FINALEMENT ABANDONNÉ…

Ce bon sens devrait être expliqué à tous les acteurs de la prise en charge de ces patients et avant tout aux parents qui au nom de l’enfant-roi ont oublié leur rôle protecteur (y compris de jeunes adultes). Ils devraient montrer les limites, en général, et dans ce cas du questionnement de genre de l’enfant. L’enfant-roi est de fait devenu un enfant abandonné…

Il faut rappeler l’affaire Keira Bell… La dysphorie de genre, symptôme de souffrance et non cause

Au Royaume-Uni, l’affaire Keira Bell a défrayé la chronique et mis ce douloureux sujet sur le devant de la scène. Cette jeune femme, devenue homme trans, a porté plainte contre la clinique qui l’avait prise en charge. Elle soutient qu’elle n’avait pas la capacité de consentir, même si c’est elle qui avait réclamé d’accéder à cette transition médicale.

« Plus ma transition avançait, plus je réalisais que je n’étais pas un homme et que je ne le serais jamais. En mûrissant, j’ai compris que la dysphorie de genre était un symptôme de ma misère générale, et non sa cause ».

Elle a perdu son procès, mais en première instance, la Haute Cour de Londres avait donné un coup d’arrêt aux prescriptions de bloqueurs de puberté chez les enfants, estimant qu’avant 13 ans « il est hautement improbable qu’un enfant soit compétent pour consentir à l’administration d’inhibiteurs de puberté », et qu’avant 16 ans, ils ne peuvent prendre ce traitement que s’ils en comprennent les conséquences immédiates et à long terme.

S’adressant aux parents, elle leur recommande la vigilance face aux questions de leurs enfants sur la transidentité ou leur mal-être (…)

Évidemment, la difficulté ne réside pas tant dans la qualité de l’information donnée et reçue, mais dans la capacité des enfants à comprendre et évaluer ces informations, à concevoir la portée de telles décisions qui feront d’eux des patients à vie.

Comment, par exemple, mesurer la conséquence de la perte de fertilité alors même qu’on est encore loin de tout désir d’enfant ?

Keira Bell partage son histoire sans fard. « Cinq ans après avoir entamé ma transition médicale pour devenir un homme, j’ai commencé le processus de détransition. Beaucoup d’hommes trans parlent du fait qu’on ne peut pas pleurer avec une forte dose de testostérone dans le corps, et cela m’a aussi affectée : je ne pouvais pas libérer mes émotions. L’un des premiers signes que je redevenais Keira a été que — heureusement, enfin — j’étais capable de pleurer. Et j’avais beaucoup de raisons de pleurer. »

DES ASSOCIATIONS DE DÉTRANSITIONNEURS

Sont nées aux États-Unis, au Canada, en Belgique, Angleterre, Suède… En France, une tribune de l’Express a lancé un CRI D’ALERTE de plusieurs associations de professionnels de l’enfance ainsi que cinquante personnalités — médecins, intellectuels, psys, magistrats, sociologues, militantes féministes — d’horizons de pensées très différents, comme Élisabeth Badinter, Jean-Pierre Winter, Chantal Delsol, René Frydman ou encore Xavier Emmanuelli :

« Il est urgent d’informer le plus grand nombre de citoyens, de tous métiers, de tous bords, de tous âges, sur ce qui pourrait bien apparaître demain comme un des plus grands scandales sanitaire et éthique, que nous aurions regardé arriver sans mot dire : la marchandisation du corps des enfants. » (ibid 2)19 20

EN RÉSUMÉ BEAUCOUP DE DÉCEPTIONS

Certaines approches considèrent que ces interventions chirurgicales améliorent sensiblement la qualité de vie des personnes transgenres si elles sont bien faites et non obligatoires.

Une étude réalisée par des militants suédois trans sur 2 679 personnes pétend qu’une transition médicale a effectivement un effet positif sur la qualité de vie et la santé mentale des personnes transgenres.

Mais l’examen de plus de 100 études médicales internationales de personnes transgenre opérées par l’université de Birmingham (Arif) a conclu qu’il n’était pas possible de se prononcer sur l’efficacité des chirurgies sur la santé mentale des personnes transgenres, une partie d’entre elles restant dépressives et même suicidaires après l’opération.

Globalement les résultats ne sont habituellement pas à la hauteur des espoirs initiaux des trans et font parfois l’objet de plainte en justice21 et de déception qui peuvent même aggraver le risque de suicide22. Les témoignages de personnes regrettant leur changement de sexe effectué à un âge précoce se multiplient dans les pays où ces procédures ont été autorisées.

Les nombreuses interventions chirurgicales entraînent des mutilations irréversibles pour des résultats esthétiques la plupart du temps discutables et une fonction souvent peu satisfaisante. L’homme trans ne peut avoir d’érection qu’avec un implant pénien et un système de pompe et subit le manque de sensation tactile du néophallus. La peau du néo vagin de la femme trans est insensible et le risque de rétrécissement progressif impose habituellement l’utilisation de dilatateurs vaginaux, pour le reste de la vie.

Les articles rapportant des séries monocentriques écrits par des chirurgiens qui vivent de cette activité sont constamment élogieux et plaident pour la supériorité de leur technique personnelle, mais le nombre même de ces techniques (phalloplastie à partir d’un lambeau d’avant-bras, de grand dorsal ou des grandes lèvres..) et l’absence de consensus prouve que ces problèmes ne sont pas résolus. Jeffrey B. Friedrich et ses collègues analysant les résultats de cinquante études23 relatives à la phalloplastie estiment à près de 40 % le risque de complications urétrales.

CONTRAIREMENT AUX LUNETTES ET PROTHÈSES AUDITIVES, AUX FAUTEUILS ROULANTS DE QUALITÉ, ETC. TOUTES CES INTERVENTIONS MUTILANTES SONT REMBOURSÉES À 100 %

Une opération de changement de sexe est remboursée à 100 % par la Sécurité Sociale. Elle est irréversible, et entraîne une prise de traitement à vie. Mais pour les patients et le commun des mortels si c’est remboursé à 100 %, ce ne peut pas être mal24 ! (comme c’est le cas pour les injections géniques anticovid aux innombrables victimes).

Et on trouve des noms de chirurgiens dans les grands centres qui donc inspirent aussi confiance. Et ces personnes s’autorisent la mutilation de mineurs : le nom de chirurgiens (parfois même indiqués par nos grands centres de référence) pratiquant des mastectomies — mutilations sexuelles souvent voilées par des euphémismes tels que torsoplastie ou encore « chirurgie du haut » (les médecins reprenant à leur compte le vocabulaire trans) — opérations autorisées en France avant dix-huit ans avec l’accord des parents et réalisées dans des cliniques privées, à Paris et en province25 26

Dans une grande majorité des cas, le changement de sexe au niveau de l’État Civil se fait rapidement (une demi-année à une année).

EST-CE BIEN RAISONNABLE ?

Mutiler des personnes fragiles, perturbées et donc facilement manipulables, particulièrement enfants et adolescents, jeunes adultes, est-ce éthique ? Au nom des bons sentiments, n’est-ce pas de la maltraitance institutionnelle instrumentalisée par les marchands d’espoir aux forts bénéfices financiers ?

Il faut aider ces personnes en souffrance, mais leur éviter d’être victimes d’une soi-disant bienveillance de charlatans profitant de leur détresse et les conduisant dans un tunnel d’interventions réparatrices sans fin jusqu’à leur mort (parfois accélérée par le suicide)27.

Il serait indispensable que les proches des candidats à la chirurgie les accompagnent de très près, sans se laisser influencer par la mode actuelle de la prépondérance de « l’affirmatif ». Les spécialistes trans sont essentiellement des militants souvent doublés de marchands de fait, et malheureusement l’idéologie régnante en Occident muselle les familles qui risquent de se voir calomnier (pour transphobie), voire poursuivre en justice. D’où l’existence nécessaire de regroupements de familles qui, sans interdire à leurs proches ces transitions, les informent correctement et fassent la part de la publicité idéologique et financière. Malheureusement l’habitude est d’envoyer directement au « spécialiste » qui est finalement quasiment toujours un idéologue et non à un psychologue lambda neutre qui pourra secondairement si nécessaire l’adresser à une équipe adaptée.

Il est capital que la législation ne permette pas les blocages hormonaux des mineurs28 qui risquent de les rendre infertiles à vie en démarrant un traitement non anodin à un âge où se projeter dans l’avenir d’adulte est impossible. Comme l’aventure d’Artoise qui se fait ligaturer les trompes à 23 ans fait réagir sur le fait qu’elle aurait peut-être aimé avoir un enfant quand elle approchera de la quarantaine. 29

L’académie de médecine a attiré l’attention en 2022 à propos de la médicalisation de la dysphorie de genre chez les mineurs :

« Si, en France, l’usage de bloqueurs d’hormones ou d’hormones du sexe opposé est possible avec autorisation parentale sans conditions d’âge, la plus grande réserve s’impose dans cet usage, compte tenu des effets secondaires tels que l’impact sur la croissance, la fragilisation osseuse, le risque de stérilité, les conséquences émotionnelles et intellectuelles et, pour les filles, des symptômes rappelant la ménopause. »

« Quant aux traitements chirurgicaux, notamment la mastectomie autorisée en France dès l’âge de 14 ans, et ceux portant sur l’appareil génital externe (vulve, pénis) il faut souligner leur caractère irréversible. »

Concluons avec l’interrogation de ce désormais homme dont les seins ont été enlevés :

(extrait) « L’été avant la terminale, il se fait retirer les seins sous anesthésie générale. “J’étais obsédé par l’idée de pouvoir passer l’épreuve de sport au bac en respirant” (c’est-à-dire sans bandage compressif de la poitrine). Après l’opération, le lycéen a désormais 16 ans, un corset postopératoire, des comprimés antidouleur à gogo et, soudain, des questions l’assaillent. »

« Il y avait comme une voix bizarre en moi. Un truc qui me demandait : Est-ce que tu détruis ta vie ? Est-ce que tu détruis ton corps ? »30

[Voir aussi :
Devenir « trans » mène trop souvent au suicide : informez familles et candidats pour leur sécurité]





La Reine des Neiges, plus grand complot de l’histoire ?

Par Alain Tortosa

Il existe des crimes ignorés de tous, mais celui-ci est sans doute le plus odieux, loin devant les millions de morts de guerres provoquées dans le but d’enrichir les pourritures.

J’ai longuement hésité à vous éclairer sur cet événement historique, mais je vous sais désormais suffisamment matures pour encaisser l’horrible « Vérité ».

Les complotistes 5e dan auront compris que je parle ici non pas de JFK ou du 11 septembre, mais de Elsa et Anna, personnages emblématiques de « la Reine des Neiges » du « merveilleux » studio Disney1.

Le fait est que les complots les plus immondes sont souvent là, sous nos yeux, et qu’ils passent généralement inaperçus tant ils sont énormes.

Mes propos peuvent provoquer chez certains un rire moqueur, ce fameux ricanement qui empêche de grincer des dents et de se forger sa propre opinion.

Mais je ne vais pas vous laisser en haleine plus longtemps.

Les plus pointus d’entre vous auront compris que Disney a volontairement inversé les prénoms de Elsa et Anna.

Je peux imaginer votre stupéfaction, voire votre désarroi, votre réticence ou votre recul.

Mais essayez de résister au rejet ou au dégoût inspiré par mon « affirmation délirante ».

Rappelez-vous votre première fois, quand on vous a dit que JFK avait été assassiné par la CIA ou que l’homme n’était jamais allé sur la Lune.
Vous aviez alors sans doute réagi « sainement » et balayé ces affirmations « débiles ».

Ceux qui sont allés au-delà de l’apparence ont appris que si un complotiste vous dit :

« Les petits pois sont des émetteurs mis au point par les habitants du 4e système solaire en partant de la gauche de la galaxie d’Andromède afin de modifier l’axe de la terre. »
Il est raisonnable de l’écouter avant de se marrer.

Combien de théories du complot se sont révélées exactes depuis l’introduction de la fête du Covid et de la fête du réchauffement climatique ?

Aucune bien évidemment !

Je ne vais pas vous faire languir plus longtemps et voici donc la « Vérité révélée » :

« La Reine des Neiges aurait dû s’appeler Anna, tandis que sa sœur était de toute évidence une Elsa. »

Je sais, la révélation peut être violente, mais il en est de toutes théories du complot.

Rejet, moquerie, réflexion puis… évidence2 !

Je me devais de l’exposer au grand jour au péril de ma vie pour rassurer celles et ceux qui s’en doutaient :

« Non vous n’êtes pas fous, non vous n’êtes pas seuls. »
« Oui c’est probablement le plus grand complot de tous les temps ! »

Au-delà des mots, voici des preuves pour les plus incrédules, mais néanmoins curieux…

Je précise pour les factcheckers que ma source est au-delà de tout soupçon,
J’ai choisi Le Figaro et non un vulgaire torchon complotiste comme France-Soir.
(Organe subversif qui, je le rappelle, ne prend pas ses sources directement auprès de l’AFP, mais mène ses propres enquêtes.)

Et comme le dit le grand Julien Pain :

« Si ce n’est pas dans le journal, c’est probablement une fakenews »

Je me suis donc enquis de la signification officielle des prénoms.

Que lit-on pour Elsa ?

« Sous un abord réservé et doux, Elsa a un caractère joyeux, sociable et chaleureux. Dynamique et sûre d’elle, elle a besoin d’être le centre d’intérêt et a tendance à diriger son petit monde et à le materner3. »

Cela pourrait faire rire si ce n’était pas si dramatique !

La reine des neiges, dénommée officiellement « Elsa », serait ainsi « joyeuse, sociable » et — encore plus délirant — « chaleureuse » ?

Il y a des limites à la fourberie.

Attendez, la fille fuit le monde, ne veut voir personne, se construit un château de glace, gèle tout ce qu’elle touche et elle serait « chaleureuse » ?!

Comment Disney a-t-il pu oser tromper des millions d’enfants innocents à travers le monde en affirmant que :

« La reine des neiges est chaleureuse ! »

Mais quel mépris de l’humain, quel irrespect pour les enfants.

Le genre d’ignominie qui pourrait faire passer les mesures anti-covid en direction des enfants pour une rigolade.

Bon certains n’enlèveront peut-être jamais leur masque, hurlent quand papi ou mamie veulent les embrasser, ne savent toujours pas lire à 8 ans, hurlent la nuit, tandis que d’autres se sont suicidés.
Je ne nie pas ces quelques petits désagréments, mais ils demeurent globalement bon-enfant et anodins au regard de l’immonde virus qui menaçait toutes les personnes grabataires ou en fin de vie.

Mais merde, il faut raison garder !
Soyons un tant soit peu raisonnables, c’est peanuts, à coté du scandale de la Reine des Neiges et du traumatisme induit par cette supercherie.

Je vous rappelle aussi, bandes de complotistes, que ces mesures anti-covid ont évité des milliards de morts sur la planète et peut-être même l’extinction de l’espèce !
Il ne faudrait quand même pas l’oublier !

Non seulement ces complotistes sont stupides, mais en plus ils sont ingrats.

D’un autre côté, était-ce bien nécessaire, quand on sait que nul ne pourra survivre au réchauffement climatique, quelles que soient les mesures dictatoriales mises en œuvre ?

Bon, j’arrête de me distraire et je reviens à l’essentiel.

Nous faire croire qu’il existe une pandémie mondiale, passe encore, mais là !

Et ce n’est pas tout, je poursuis avec le prénom Anna :

« Anna est une personne intelligente, curieuse et cultivée. C’est simple, lorsqu’elle est passionnée, elle s’investit de tout son être. Un brin perfectionniste, elle a horreur de la médiocrité et du désordre. Dotée d’un sixième sens, Anna se trompe rarement dans ses choix4 ».

La petite sœur de la Reine des Neiges, officiellement dénommée Anna, « intelligente » et avec « horreur du désordre » ?
Ceci pourrait faire rire si ce n’était consternant.

Je vous passe le « se trompe rarement » quand on sait qu’elle tombe immédiatement amoureuse de la première raclure qu’elle croise.

Bref il suffit d’avoir un peu de jugeote et de bon sens pour s’apercevoir immédiatement de la supercherie qui va bien au-delà de l’homme sur la lune.

Tout homme, femme, iel ou amphibien de bonne foi ne peut que se rallier à l’évidence.

« Elsa a pour vrai prénom Anna et inversement ! »

À la lumière de ces faits, nul doute que vous êtes désormais acquis à ma théorie à moins d’être adhérent de « Renaissance5 ».

La question que l’on pourrait se poser est :

« Comment Disney, avec la complicité des maîtres du monde,
a pu nous (vous) endormir au point que le complot ne nous saute pas à la gueule ? »

La raison en est simple, nous sommes manipulés depuis des dizaines d’années, voire des siècles.

La Première Guerre mondiale dans le but de se faire un maximum d’argent et étouffer les velléités des travailleurs, des esclaves à réclamer des droits ?
Ridicule ! Nous savons tous que l’assassinat de machin en est la cause.

La Deuxième Guerre mondiale pour… (pardon je ne peux pas l’écrire là, c’est du « délire » hors catégorie).

L’homme sur la Lune ?

Je vous le dis, plus c’est gros et plus ça passe !
Imaginez que pour la lune, les gars sans ordinateur et avec un module recouvert de papier aluminium tenant avec du scotch ont réussi à passer la ceinture mortelle de radiation de Van Allen sans dommages.
Alors que la station spatiale (certains pensent que c’est aussi un fake) actuelle est en orbite basse pour s’en protéger.
Le plus drôle est sans doute lors de conversations en direct depuis la lune et sans délai de transmission.
La situation est d’autant plus risible quand on voit que 60 ans après la prétendue marche, des scientifiques essayent désespérément de résoudre les innombrables problèmes pour y « retourner ».
Bon je critique, mais ce complot-là est quand même un des plus drôles.

Je plaisante, vous vous en doutez, décidément vous n’avez aucun humour.
Nous sommes allés sur la Lune, il y a des images et des vidéos qui le prouvent !

Le monde reste bien étrange et mystérieux au demeurant.
Vous vous rappelez de ce grand singe énervé au sommet de l’Empire State Building qui donnait des baffes à des avions ? Sale affaire…

L’assassinat de JFK par un gars qui passait par là et qui a inventé la balle qui change de direction ?
Je vous rassure, il n’avait pas de complices, aucun lien avec la CIA, aucun lien avec la volonté de Kennedy de tuer l’État profond, aucun lien avec son opposition à la guerre du Vietnam, etc.
C’est une non-affaire, un non-événement.

Notons que la CIA a inventé le terme de « complotiste » à ce moment-là, non pas pour dénigrer celles et ceux qui se posaient des questions, mais faire gagner du temps aux imbéciles !
Je ne vois pas pourquoi il faudrait dépenser son énergie à convaincre des débiles que la terre n’est pas plate.
La meilleure chose à faire est de ne pas les écouter et les discréditer pour le bien de tous et sauver la démocratie.

En fait ces complotistes sont comme les virus (qui n’existent pas ?) ils sont contagieux et s’attaquent aux plus faibles.
Personnellement je ne m’en plains pas, ils sont mes seuls lecteurs assidus.

Le Vietnam, ben oui, si les méchants niakoués n’avaient pas attaqué un bateau fantôme on n’en serait jamais arrivé là…
Et puis c’était une guerre juste.

Le 11 septembre ?
Attention chasse gardée, en parler risquerait de vous brûler les ailes.
(Admirez au passage le calembour avec les ailes, ailes, avions, 11 septembre, boum, brûler les ailes).

Franchement qui pourrait douter ?
Nous savons tous que des tours qui n’ont même pas été touchées peuvent s’effondrer à la vitesse de la chute libre !
Arrêtons de rigoler et redevenons sérieux un instant.
Il faudrait vraiment que les organisateurs soient des pourritures pour tuer sciemment des innocents et provoquer une guerre en Irak ou en Afghanistan.

Hormis la Reine des Neiges, il n’existe donc aucun complot mis en œuvre par les enculés de l’ombre qui nous dirigent.

Sérieusement, tous ces prétendus événements n’avaient qu’un but (et la liste est bien plus longue que mes quelques exemples) :

« Détourner notre attention du grand projet et troubler nos esprits pour Elsa et Anna ! »

J’invite celles et ceux qui désirent occuper leurs longues soirées d’hiver pour s’informer sur des complots à consulter le fil Telegram « docus qui dérangent6 » sur lequel je cherche à faire une liste la plus exhaustive possible de documentaires interdits de mainstream.

Dénigrer la parole critique, la faire passer pour folie, irresponsabilité, d’extrême droite et, cerise sur le gâteau, antisémite, ceci afin que tout questionnement relève de la psychiatrie !

Réfléchissons un peu !

Il est évident que cette demande de réflexion ne s’adresse pas aux complotistes, chacun ses limites.

Le grand philosophe humaniste Rudy Reichstad disait si justement :

« Le complotisme est l’opium des imbéciles »

Sommes-nous en dictature et qu’avons-nous à envier à l’ex-URSS ?

Nous avons :

  • Les campagnes de dénigrement.
  • La Pravda comme média.
  • Le Ministère de la Vérité.
  • La censure.
  • L’interdiction de médias comme RT ou Rumble.
  • L’interdiction d’exercer son métier pour certains résistants.
  • Une interdiction de vous présenter aux élections si vous avez un discours d’opposant, cf. Asselineau.
  • Des élections truquées.
  • Des œuvres interdites.
  • Une réécriture constante de l’histoire.
  • Une inversion de l’accusation.
  • Des prisonniers politiques.
  • Etc.

Pour que cela colle mieux avec le cadre de l’ex-URSS, nous sommes en train de transformer la France et l’Europe en zone du tiers-monde.

Nos gentils gouvernants ont introduit le chèque énergie, le chèque carburant.
À quand les tickets de rationnement ?

Il ne manque que le Goulag que certains grands pays visionnaires et nostalgiques comme l’Australie ou la Nouvelle-Zélande avaient initié pour le Covid.

Mais à quoi bon faire des camps lorsque l’on peut transformer un grand scientifique en paria de la société au point que l’évocation de son nom provoque l’hilarité générale chez « les gens bien » ?

Le plus important pour les complots, c’est de bien préparer la population.
Plus c’est énorme, plus ça passe !

Je vous ai apporté une démonstration magistrale.
Qui, hormis vous, se doute désormais de l’existence du complot « opération Reine des Neiges » ?

Tous les (prétendus) complots qui ont suivi n’avaient qu’un objet : détourner l’attention pour camoufler l’indicible !

Vous savez c’est comme faire croire qu’il existe des laboratoires qui manipulent des virus, font du gain de fonction afin de focaliser les complotistes et éviter qu’ils ne découvrent le pot aux roses, « les virus n’existent pas ! ».

Ne lisez surtout pas mon dernier texte sur le sujet, vous risqueriez le fou rire ou la contamination.

« Virus », des décennies d’escroqueries7 ?
Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Je plaisante encore une fois.

« Vous et moi savons sans le moindre doute que les virus existent,
qu’ils sont méchants, et que les vaccins aussi ils existent et qu’ils sont efficaces. »

L’objet étant encore de nous détourner du complot Elsa et Anna !

Covid, guerre en Ukraine, réchauffement climatique, ne sont QUE le nouvel arbre pour masquer la forêt.

Il était indispensable de poursuivre les (prétendus) complots après la Reine des Neiges afin d’éviter que quiconque ne se penche sur le sujet.

Toutes les précautions doivent être prises lorsqu’il s’agit de complotistes.

Rappelez-vous du petit Rudy « les complotistes sont complètement débiles »

Quoi de mieux qu’une prétendue fausse pandémie au virus dont la réalité reposait sur des masques dans la rue et des tests permettant de faire croire à des personnes en bonne santé qu’elles étaient malades ?

Notons que ce petit exercice fort ludique au demeurant, a permis aux milliardaires d’être plus riches, aux pauvres d’être plus pauvres et aux psychopathes d’introduire une dictature sanitaire « pour notre bien ».
Avec comme cerise sur la gâteau un espoir de meurtre de masse et un effondrement de la natalité.
Ce que certains nomment avec justesse et honnêteté une « épidémie de coïncidences8 ».

Mais au cas où des illuminés se pencheraient sur le complot de la Reine des Neiges et afin de ne pas permettre aux gueux de souffler…
Vous enchaînez alors avec une guerre des USA contre la Russie (débutée en 2014) dans une partie du monde dont strictement personne de normalement constitué n’a à foutre.
Franchement qui savait précisément où se trouvait l’Ukraine avant la guerre et capable de citer les pays limitrophes.
Quant au Donbass, rigolons… en plus ils parlent russe, bien fait pour leur gueule !

Non, il n’y a que les gens « bien », ceux qui s’achetaient des bébés volés ou par GPA de force qui savaient où se trouvait ce merveilleux pays que nous devons défendre jusqu’à la mort afin de commémorer le grand Stepan Bandera9 !

Précisons que 74 % des Ukrainiens auraient une opinion positive de leur « héros » appelé « M. Propre » du fait de ses talents dans le nettoyage ethnique.
Il faut dire que liquider 100 000 Polonais durant la 2e guerre mondiale était un bon score.

Si avec ce texte j’échappe à l’internement psychiatrique, c’est à désespérer de l’institution (qui a tant fait pour nous ces derniers mois).

Les avantages de la guerre en Ukraine sont multiples comme :

  • Faire main basse par les USA sur les richesses minières de l’Ukraine.
  • Rendre l’Europe encore plus dépendante des USA.
  • Faire tourner l’industrie de l’armement qui souffrait un peu.
  • Transformer l’Europe en pays sous-développé pour asseoir l’hégémonie des USA.
  • Détourner l’attention des gueux.
  • Et surtout maintenir le bon peuple dans la peur.
  • Etc.

Force est de constater qu’il y a quelques lézardes dans le mur.
Le plan de la CIA ne se déroule pas totalement sans accroc.

Heureusement, je ne lis pas tous les délires sur les réseaux sociaux.
Je rappelle à celles et ceux qui veulent bouffer du Poutine 24 h/24 de regarder LCI.
Depuis le mois de février, l’armée russe est aux abois, depuis février elle n’a pas de missiles, depuis février elle ne fait que perdre du terrain.
À se demander si les Ukrainiens ne seraient pas arrivés à Vladivostok.
Et ne parlons pas de leur économie, elle aussi aux abois grâce à nos sanctions !

Je dis ça, mais je suis un peu taquin quand même.
Reconnaissons la présence de francs succès médiatiques.

Rendez-vous compte :

  • Poutine a saboté ses propres gazoducs pour priver les Européens de gaz oubliant qu’il pouvait fermer le robinet.
  • Il a même bombardé la centrale nucléaire qu’il contrôlait pour faire accuser les gentils Ukrainiens.
  • Il a fait sauter le seul pont qui reliait la Crimée à la Fédération de Russie pour empêcher son invasion par des Ukrainiens qui passeraient par la Russie.

Et les médias osent nous dire qu’il faudrait avoir peur du personnage ?
Non, ne vous étonnez pas si on le retrouve écrasé par un camion télécommandé par lui-même.

Le plus merveilleux, au sens mystique du terme, est que tout ceci passe comme une lettre à la poste !

Écoutez le gouvernement et vous saurez que les sanctions contre la Russie fonctionnent parfaitement et que la victoire de Zelenski n’est qu’une question de minutes.
Le fait que les prévisions de croissance du FMI soient deux fois plus importantes en Russie qu’en zone euro est une preuve indéniable du succès de l’opération !

Ce n’est que moral et ce n’est pas des putains de petits cons de français qui vont nous faire chier parce que leur essence est à 2 euros et que tous les prix s’envolent !

Je vous rappelle que tout ceci est pour soutenir l’Ukraine quand bien même la Russie est à 90 % autosuffisante pour nourrir sa population et qu’elle vend son pétrole et son gaz à d’autres pays !

Il en va de la dignité des Européens et du monde libre !

Chaque sanction qui fragilise les Européens et enrichit Poutine est un pas vers sa chute !

Nous devons tenir coûte que coûte, il ne pourra en sortir gagnant !

J’espère que vous réalisez à quel point le complot Reine des Neiges est une affaire d’État.
Risquer l’avenir de l’Europe et peut-être même une Troisième Guerre mondiale dans l’unique but de nous le cacher !

Si ce n’est pas une preuve, il vous faut quoi ?

Vous savez, ce qu’il y a de bien avec les grands enculés du monde et autres Soros, c’est qu’ils n’hésiteraient pas à rayer un pays pour éviter des embouteillages à l’aéroport !

Attendez, j’ai oublié de vous parler du coup de maître du réchauffement climatique…

Chapeau bas, les pourritures, je dois vous dire « bravo » !

Arriver à faire croire à la population mondiale et même à des scientifiques que le CO2 serait la cause de tous les maux relève du génie absolu !
N’oublions pas que le CO2 est source de vie sur terre s’il en est.

La contagion est partout, même si nos bons médias font tout pour discréditer les « climato-sceptiques ».

Il n’y a pas que le bobo parisien qui utilise son vélo le dimanche matin pour aller acheter sa baguette, qui croit que les panneaux Métro en ville sont des succursales souterraines de Rungis, prend uniquement des taxis électriques puis est catastrophé par la fin du monde lors de dîners végans, et passe ses vacances en Floride, qui soit le seul préoccupé par le sujet !
Non, des Français presque « normaux » renoncent à emménager dans le sud de la France, certains vont même jusqu’à vendre leur bien méridional pour aller dans des terres moins hostiles comme le nord de la France, future Riviera française s’il en est.

Aller jusqu’à modifier le climat pour camoufler le complot Reine des Neiges, il fallait oser !

À ce propos.
Au regard des records de températures hivernales.
De -50 °C en Chine.
De -43 °C au Mont Washington10, dans l’État du New Hampshire aux USA.
Ou de la calotte polaire qui se reformerait à un rythme inédit.

Il me fallait réagir énergiquement !

« Nous nous excusons pour l’interruption momentanée du réchauffement climatique,
nous ne manquerons pas de vous informer dès son rétablissement ! »

Toute personne un tant soit peu cultivée et suffisamment cortiquée, donc non complotiste, sait parfaitement que des températures exceptionnellement basses constituent la preuve absolue d’un réchauffement climatique !

Le réchauffement est d’autant plus dramatique que les températures sont basses !

Nous l’avons lu dans le journal scientifique dit « journal de Mickey ».
L’association des climato-réalistes11 devrait le lire plus souvent et arrêter de raconter n’importe quoi.

« La vérité est dans le Giec, mes frères, nous allons tous mourir. »

Le coupable est connu, le Mal c’est l’homme, il y a consensus sans faille parmi les scientifiques qui ont droit à la parole.

Le WEF a pu le confirmer lors du forum de Davos.
Vous savez les gentils petits gars qui ne pensent qu’aux autres.
Ils donnent même du travail au personnel navigant des compagnies aériennes privées en choisissant les pilotes exclus non vaccinés.
Ils sont gentils de faire bosser ces pourritures de non-vax quand même.
Rassurez-vous, les 2000 vols depuis et vers Davos ont été intégralement compensés carbone12 !

Je vous rappelle qu’il n’y a que les idiots de complotistes pour imaginer qu’il n’y aurait pas de réchauffement global à l’échelle de la planète ou que celui-ci serait naturel, notamment du fait de variations de l’orbite terrestre autour du soleil ou de son inclinaison.

À ce titre j’informe les enseignants qu’ils devront patienter un petit peu avant d’aborder le moyen-âge avec leurs élèves.
Les livres d’histoire sont actuellement à la réimpression (ainsi que ceux qui affirment qu’il y a des hommes et des femmes) pour effacer le réchauffement climatique, appelé optimum climatique, au début du moyen-âge vers l’an 1000.
Période qui a été propice à l’agriculture, à l’économie et aux habitants…
Et ce à la différence du petit âge glaciaire qui a suivi provoquant malheur, maladies et famines.
Ce « petit incident » n’étant pas vraiment compatible avec le narratif actuel, la « science » se devait de l’effacer.

Les maîtres du monde ne sont pas si nuls côté promotion de la fin du monde.

Il faut dire « qu’ils ont quand même la petite conne handicapée pour hurler à l’ONU. »
« Actrice écervelée totalement débile qui bénéficie d’une mise en scène de fausses arrestations en Allemagne pour “activisme écologique13” ».

Pardon, pardon, je me suis emballé, sans doute un retard sur ma dose de rappel qui provoque en moi un effet de manque.
Je voulais parler de « la gentille Greta scientifique de haut rang, amoureuse de son prochain, préoccupée uniquement par la souffrance humaine dont l’objectif est de faire de la Terre un paradis glacé ».

Comme vous le voyez, je ne me suis pas éloigné du sujet Elsa et Anna !
Qui, après tout ce cirque, pourrait encore se focaliser sur le complot de la Reine des Neiges ?

Mais attention, ces psychopathes sont prêts à tout pour l’enterrer au plus profond des abysses, jamais la moindre pause !

Voici que l’Institut Pasteur, au-delà de tout soupçon s’il en est14, vient de découvrir un nouveau virus perfide qui s’attaque à notre foie, ou notre foi, je ne sais pas encore.

Je me dois de reprendre les termes utilisés par le président du Conseil Scientifique en son temps, Jean-François Delfraissy :

« On a affaire à un virus diabolique et beaucoup plus intelligent qu’on le pense15 »

J’imagine qu’il n’était pas l’auteur de cette phrase savante inspirée de l’inquisition.
Mais l’esprit est là :

« Protégeons-nous du Malin mes frères »

Cocasse quand on pense que les maîtres du monde vénèrent plus Satan que le Christ, mais passons.

J’en reviens donc à ce nouveau virus dont le nom suffit à faire trembler les vieilles filles encore pucelles, j’ai nommé le « circovirus16 »

Sa simple évocation me glace d’effroi et me fait songer à ce chef-d’œuvre du cinéma que vous connaissez tous :

« Les clowns tueurs venus de l’espace17 »

Que je recommande vivement à mes amis érudits.

J’ai pu me procurer en exclusivité une photo du nouveau virus tueur d’enfants innocents et de vieux obèses, que voici :

Mais ne croyez pas que la terreur légitimement inspirée par ce nouveau coronavirus satanique soit de nature à me faire oublier l’ignominie du complot de la Reine des Neiges !

Vous me prenez pour qui, vous pensiez que lassé, j’allais lâcher l’affaire ?

Quelques lecteurs à l’esprit aiguisé par le grand Julien Pain pourraient me rétorquer la fameuse question coup de poing utilisée par les plus grands limiers qui nous éclairent jour après jour.

J’invite celles et ceux qui veulent se pencher sur le travail pointu de Julien, mais aussi être lynchés lors d’un dîner végan organisé par des bobos parisiens en mal de spiritualité, à lire la publication indiquée en note de bas de page18.

Nous en arrivons tout naturellement à la fameuse question du « pourquoi, pourquoi ce complot disnèque ? »

Je vais immanquablement me prendre la même question posée pour le Covid !

« D’accord ton virus il est peut-être gentil, mais alors pourquoi tout le monde ment ? »

Dans Gotlib, « Rubrique à brac » le « scientifique » de la doxa dit à celui qui réfléchit ou qui émet l’hypothèse que la Terre tourne sur elle-même :

« Alors là mon cher vous êtes en pleine science-fiction19 »

Lorsque je prouvais à mes interlocuteurs incrédules que cette « maladie » n’avait rien d’exceptionnel, données officielles à l’appui, qu’elle se traitait, que le masque était inutile et dangereux et j’en passe.

La question suivante était de mise :

« Mais qui, pourquoi et dans quel but ? »

Je prends un risque inconsidéré en écrivant le mot « qui » dans la phrase précédente.

Je vous rappelle qu’une manifestante contre la dictature arborant une pancarte « mais qui ? » avait été condamnée à 6 mois de prison avec sursis20.

Ça en dit long sur l’état de notre « démocratie » et une l’élite dirigeante…
Le complot est trop énorme pour des honnêtes gens qui croient encore que ni les monstres ni les réseaux pédophiles n’existent !

« Comment les politiques, les journalistes, les médecins de plateaux,
l’OMS, Bill le généreux et j’en passe, pourraient être tous de connivence et pour quel dessein ? »

Précisons qu’il y a à la fois « connivence », mais aussi « profonde débilité ovine » de la part des exécutants.

Il est ainsi logique de se poser la même question pour ce terrible complot de Disney :

« Pourquoi inverser les prénoms ? »

Je ne dispose pas de la réponse, n’étant pas dans le secret des monstres.

Imaginez les pauvres enfants déboussolés pour qui le monde perd toute logique ?

Ici encore, afin de brouiller les pistes, une stratégie identique a été mise en œuvre avec le Covid.

Le lundi le masque était inutile et dangereux et le mardi il devenait vital même dans la rue !
Le plus merveilleux est qu’une vérité devenait un mensonge au gré de la météo !

Je ne vais pas revenir sur tous les exemples pittoresques tant il y en a :

  • Un virus qui tantôt s’attaque aux personnes assises sur la plage et tantôt à celles qui bougent.
  • Un virus qui saute sur les piétons, mais épargne les personnes en vélo.
  • Un virus qui vous choppe debout, mais pas assis.
  • Un virus qui adore les petits commerces, mais déteste les grands magasins.
  • Un virus qui n’est dangereux qu’à certaines heures.
  • Un virus qui fuit les métros bondés, mais n’épargne pas le randonneur en montagne qu’il faut appréhender avec un hélicoptère.

De quoi passer d’excellentes soirées en famille.
Je devrais inventer un jeu de société, je n’ai pas encore le nom, mais « Le Convid » serait peut-être pas mal.

Moins drôle nous avons eu les enfants en bonne santé, sans le moindre symptôme, psychopathes de l’ombre, cherchant à tuer papi et mamie alors qu’ils étaient « activement » protégés par un masque « efficace » et un vaccin encore plus « efficace » qui ne nécessite qu’un rappel tous les 6 mois !

Dans ce monde délirant le vrai devient faux et inversement.
L’inversion accusatoire est perpétuellement utilisée.

Un cauchemar dans lequel on impose aux enfants de se sacrifier pour leurs grands-parents.
Version officielle si l’en est, car la réalité était toute autre.

Ces mêmes grands-parents ont été :

  • Parqués « pour leur bien ».
  • Interdits de visites « pour leur bien ».
  • Interdits de repas en famille « pour leur bien ».
  • Interdits de sorties « pour leur bien ».
  • Interdits de câlins « pour leur bien ».
  • Interdits de soins « pour leur bien ».
  • Interdits d’aller à leurs obsèques ou aux obsèques d’un conjoint « pour leur bien ».
  • Masqués « pour leur bien ».
  • Injectés de force « pour leur bien ».
  • Et certains terminés au Rivotril « pour leur bien » !

Mais pas uniquement un monde de sécurité sanitaire.

Non, un monde aux possibilités infinies dans lequel la biologie n’existe plus.
Les garçons ne sont plus des garçons, les filles ne sont plus des filles.
Les noirs ne sont plus des noirs, les blancs ne sont plus des blancs.

Sans compter le culte d’Orwell avec « la liberté c’est l’interdit » cf. le Covid ou « la guerre c’est la paix », cf. l’Ukraine.

Nous vivons dans ce monde d’espoir et de paix mes bien chers frères…

Rouler en véhicule thermique ou manger de la viande devient criminel, tandis que manger des insectes, injecter des femmes enceintes, des enfants et même des bébés avec une substance expérimentale tout aussi inefficace que toxique, relève du bien.
Bien aussi d’interdire à un enfant de faire du sport s’il n’a pas le poison dans son corps.

Mais aussi un monde aux dangers inédits !

  • Faire du sport.
  • Faire ses lacets.
  • Prendre une douche chaude ou froide.
  • Regarder trop la télé.
  • Manger des céréales.
  • Jardiner.
  • Dormir trop ou pas assez.
  • Les freinages brusques en voiture.
  • Être anxieux à l’adolescence.
  • Manger 2 saucisses par semaine.
  • Le changement climatique.
  • Boire de l’eau debout.
  • Etc.

Toutes ces actions peuvent provoquer une mort soudaine21, « naturelle ».

J’ai même lu dans Magicmaman qu’un enfant de 12 ans était décédé d’un arrêt cardiaque à cause de poux !

Vive Satan, gloire à lui, mes frères !

Une inversion totale des valeurs à mettre en parallèle avec l’inversion des prénoms d’Elsa et Anna !

Un monde dans lequel celui qui défend des libertés, rappelle l’inviolabilité du corps, du libre arbitre, du consentement éclairé, de la différence homme, femme, du droit à la vie, du droit à l’innocence pour les enfants, du droit à la dignité, est comparé à un violeur, un tuer ou un antisémite tandis que celui qui censure, dénigre, interdit de vivre, interdit de travailler, devient le défenseur des droits et de la démocratie.

L’objectif est toujours le même, troubler les esprits afin que l’on ne réalise pas que cette inversion de prénoms, cette inversion des valeurs est totalement délirante, échappant à toute logique « logique » !

J’en reviens ainsi au fameux « pourquoi ? » qui m’est si souvent rapporté pour tous les complots précédents et futurs y compris pour celui de la Reine des Neiges.

Le « pourquoi », ou plutôt l’absence de réponses étant l’argument permettant de balayer la réalité du « complot ».

Sous-entendu que n’ayant ni sens ni connaissance de leurs auteurs, il ne saurait exister.

Ma réponse est alors toujours la même :

Si vous vous rendez sur une scène de crime avec du ketchup du sol au plafond, une tronçonneuse dans la tête de la victime et que vous dites alors :

« Qui est le meurtrier ? »

Puis

« Quel est le mobile du meurtre ? »

Si d’aventure le policier présent vous répond :

« Je ne connais ni l’auteur ni le mobile. »
« je ne connais ni ceux qui tirent les ficelles ni leurs objectifs. »

Allez-vous déduire que le meurtre n’a pas eu lieu ?

L’absence de coupable n’est pas de nature à remettre en question le meurtre sur une scène de crime.

Il en est de même pour la Reine des Neiges ou le Covid.

Le fait que nous disposions uniquement de preuves de manipulation ou de mensonges est de nature suffisante pour prouver que « complot il y a » quand bien même nous n’aurions pas toutes les réponses.

Détourner l’attention est de ce fait indispensable.

C’est ainsi que les Français sont dans la rue pour défendre les retraites.
Alors que concomitamment nous perdons chaque jour un peu plus nos libertés, l’économie est aux abois, les inégalités n’ont jamais été aussi importantes et des psychopathes cherchent à provoquer une 3e guerre mondiale pour leur bénéfice personnel.

Rendez-vous compte que des lycéens et étudiants luttent pour leur retraite tout en portant un masque !
Des enfants contaminés par la plandémie Covid et la plandémie climatique s’inquiètent du nombre de trimestres acquis pour prétendre à une retraite à taux plein !

Le gouvernement ne peut que se réjouir de l’efficacité de sa diversion et de l’immobilisme des moutons sur les points essentiels.

Ces stratégies ultra efficaces ont permis à Disney de camoufler LE complot.
Et afin que la vérité ne sorte pas, il est possible que l’héroïne de la Reine des Neiges III soit transexusuel-le-s-x-z-w.

Sachez que je risque ma vie en vous dévoilant de tels secrets.

Si d’aventure mon corps devait être retrouvé inanimé dans une baignoire, sachez que je ne me lave strictement jamais et que ce sera un meurtre !

Merci pour votre attention.

Alain Tortosa22
6 février 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230206-complot-disney-reine-neiges.pdf





Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?

Du confort des croyances au choc de la vérité

Par Jamila BURET, ingénieure, docteure en physique, professeure universitaire

« Vous ne réalisez pas à quel point il est difficile d’exposer la vérité dans un monde rempli de gens qui ne sont pas conscients de vivre dans le mensonge ».

Edward Snowden

Cet article propose un survol de la « crise Covid », avec trois ans de recul et une masse énorme de données diffusées sur les canaux alternatifs d’information alors que dans les médias mainstream les journalistes-perroquets se contentent de répéter la même antienne.

Avec pour but de trouver un fil conducteur qui apporte une cohérence à une suite d’événements inhabituels, à des mesures liberticides sans fondement et souvent absurdes, au déchaînement d’un matraquage médiatique sans précédent, qui ont débouché sur une situation sanitaire, sociale, économique et psychologique catastrophique.

Et à l’arrière-plan, le désir de contribuer à ouvrir les yeux de ceux qui refusent encore de regarder la réalité en face.

La crise Covid que nous venons de vivre a eu des répercussions tous azimuts.

Mesures liberticides inédites (masques, tests PCR, confinements, couvre-feux, pass vaccinal…), peur diffusée par les médias grand public, choc de la perte de proches emportés par la maladie, souvent par manque de soins puisque, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, on a interdit aux médecins de soigner leurs patients, et, pire encore, on a administré aux malades des substances nocives ou mortelles (Rivotril, Remdesivir, paracétamol).

Tout cela a induit un profond bouleversement auquel est venu s’ajouter le forcing de la vaccination et ses conséquences pour les récalcitrants qui ont perdu leur emploi, et pour les vaccinés dont certains en sont morts ou subissent des effets indésirables multiples parfois terriblement handicapants.

Malgré toutes ces vicissitudes, la majeure partie de la population continue à faire confiance aux autorités et aux informations mensongères qu’elles diffusent sur les médias mainstream ; parce qu’elle ne peut pas ou qu’elle ne veut pas voir le tableau d’ensemble : la manipulation et la prise de contrôle de la population.

Ce refus de voir ce qui nous dérange et nous sort de notre confort est inhérent aux humains qui ne veulent surtout pas renoncer à leurs croyances sous peine de crise existentielle trop douloureuse.

Il existe cependant une petite minorité, dotée d’un esprit critique et d’analyse plus développé que la moyenne, qui, au gré des événements, se pose des questions et se met en quête de vérité. Ces chercheurs de vérité (scientifiques, anthropologues, médecins, statisticiens, etc.) ont produit continûment, depuis le début de la « crise sanitaire », une masse impressionnante d’informations alternatives, diffusées et mises à la disposition du public à travers des canaux alternatifs d’information créés par des militants (« gardiens de l’humanité ») pour contourner la censure pratiquée par les réseaux sociaux traditionnels (YouTube, Facebook, Twitter).

Et c’est un aspect positif très important de la crise Covid : le dévoilement progressif des mensonges distillés par les autorités, les institutions et leurs représentants ; mensonges relayés et diffusés par les médias mainstream financés par les États et par quelques milliardaires.

Étapes de la prise de conscience

« Une révolution est toujours l’aboutissement d’une lente évolution ».

Cette parole très juste d’un sage indien s’applique parfaitement au dévoilement des mensonges relatifs à la crise Covid.

C’est la succession d’événements anormaux apparus dès le début de la crise sanitaire qui a semé le doute dans certains esprits :

  • — Virus nouveau, maladie encore inconnue, et d’emblée on l’annonce comme très contagieuse et mortelle.
  • — À peine une quarantaine de cas déclarés et l’OMS annonce officiellement une pandémie de Covid-19.
  • — Matraquage immédiat et inouï des médias : décompte quotidien des décès, des « cas »,
  • — Apparition de nouveaux concepts (cas positif, cas asymptomatique, cas contact, cluster, gestes barrière, distanciation sociale, confinement).
  • — Application des mesures coercitives avec un contrôle policier sans précédent.

La peur se propage et s’amplifie au sein de la population ; mais les chercheurs se mobilisent et débusquent les événements antérieurs destinés à lancer « l’opération Covid » (Agenda 21, Event 201, Jeux militaires de Wuhan, dépôts de brevet bien avant 2019, test raté de la grippe H1N1…).

En quelques mois, grâce au travail bénévole acharné de nombreux médecins, scientifiques, lanceurs d’alerte, les remises en cause se succèdent :

  • de la gravité de la maladie (analogue à une grippe)
  • de la non-existence de traitements efficaces
  • de l’origine du virus
  • de l’efficacité des masques et des confinements
  • de l’utilité des tests PCR
  • des statistiques officielles

Puis la propagande vaccinale se met en branle, orchestrée par les médias : des vaccins nouveaux, produits à la va-vite, jamais expérimentés sur les humains ; mais dont on déclare d’emblée une efficacité supérieure à 90 %. Présentés comme une grande innovation technique, puisque l’antigène destiné à provoquer la production d’anticorps n’est pas injecté directement comme dans les vaccins classiques, mais fabriqué par les cellules du corps des vaccinés.

Ce vaccin « exceptionnel » est annoncé comme l’unique solution pour enrayer la pandémie et retrouver « la vie d’avant ».

D’énormes moyens sont mis en place pour vacciner le plus grand nombre, en un temps record.

Mais, au vu du grand nombre de récalcitrants, on passe au forcing à grand renfort de pass vaccinal : plus d’accès au travail, aux commerces, aux loisirs, si l’on n’est pas vacciné !

Balayé, le consentement libre et éclairé du citoyen avant tout acte médical, pourtant clairement établi par divers traités et conventions (Nuremberg, Helsinki, Oviedo…).

Le plan d’ensemble de « l’opération Covid » devient plus clair : l’interdiction de traitements éprouvés et efficaces n’avait d’autre but que de justifier la vaccination, tout comme le gonflement artificiel des « cas » à grand renfort de tests PCR sans signification.

En effet, un vaccin ne se justifie que dans le cas d’une maladie à forte mortalité, pour laquelle n’existe aucun traitement efficace, et le vaccin doit avoir prouvé son efficacité et son innocuité.

Or, aucune de ces conditions n’est remplie dans le cas du Covid !

Mais alors, pourquoi un tel acharnement à vacciner le plus grand nombre, avec un maximum de doses et de boosters, en un temps record, alors que les vaccins étaient encore en phase 3 d’expérimentation ?

À grand renfort de mensonges et de chantages !

Car on peut désormais faire le bilan de cette opération « vaccination » de masse :

  • Elle n’a pas arrêté la pandémie ni empêché les cas graves et les décès ;
  • Elle n’a pas renforcé l’immunité des vaccinés ;
  • Elle a causé des effets indésirables multiples et souvent très graves dans des proportions jamais atteintes avec les vaccins classiques.

Les populations vaccinées ont servi de cobayes aux fabricants de vaccins pour la phase 3 des essais cliniques ; plus tard, on découvrira que les phases 1 et2 ont été bâclées et leurs résultats falsifiés !

Effets des vaccins

La majorité des médecins ne pense même pas à chercher un lien éventuel entre le tableau clinique des patients et le vaccin anti-Covid ; d’où une très grande sous-estimation des effets indésirables (EI).

Étant donnés le nombre et la diversité actuels des EI, tout médecin sérieux devrait inclure dans le questionnaire préalable du patient, des questions sur la vaccination : nombre et date des doses, marque du vaccin, effets ressentis après les injections, immédiats et différés.

Morts subites d’adultes

Elles sont en général déclarées d’origine inconnue quand elles ne se produisent pas immédiatement après l’injection. Pourtant, de nombreuses études statistiques ont établi une surmortalité évidente en 2021 et 2022 dans les pays à fort taux de vaccination. En Allemagne, on signale dix fois plus de morts subites qu’en 2021 ; aux États-Unis, 40 fois plus de fausses couches et de mort-nés (les fœtus ont des crises cardiaques dans l’utérus) !

https://www.Covidhub.ch/10-fois-plus-de-morts/

https://www.Covidhub.ch/40-fois-plus-de-morts-nes/

Des vidéos montrant l’effondrement subit de personnes en pleine action affluent sur le Net : présentateurs télé, athlètes, mais aussi jeunes lycéens et sportifs. Au point qu’un documentaire « Died suddenly » a été consacré à ce phénomène !



Et il y a aussi toutes les morts différées, survenues quelques semaines ou plus après les injections. Les compagnies d’assurance américaines ont d’ailleurs alerté sur une augmentation du nombre des décès en 2021 et 2022, jamais enregistrée auparavant.

https://www.kairospresse.be/morts-dans-les-ecoles/

https://expose-news.com/2023/02/03/8x-increase-child-excess-deaths-europe-c19-vaccine/

Effets indésirables

Depuis que des médicaments et des vaccins sont utilisés à grande échelle dans le monde, jamais on n’a relevé une telle proportion et une telle variété d’effets indésirables qu’avec les injections anti-Covid. La liste en est très longue : cécité, surdité, éruptions cutanées, paralysies, thromboses, atteintes cardiaques, AVC, cancers, maladies auto-immunes, fausses couches, troubles du cycle menstruel…

Dans des pays à très fort taux de vaccination comme la Finlande, on enregistre des records d’infertilité.

Malgré la sous-estimation des EI, de nouveaux ne cessent d’apparaître : ainsi, des fœtus et des nourrissons, dont les mères enceintes ont été injectées, sont victimes d’AVC hémorragiques !

Découvertes sur les injections antiCovid

Le nombre et la gravité des EI, la diffusion des résultats d’autopsies et le témoignage de thanatopracteurs

effarés par la longueur (plusieurs dizaines de centimètres) et la consistance fibreuse inhabituelles des caillots retirés des artères et des veines des cadavres, tout cela ne pouvait qu’inciter les scientifiques à chercher à comprendre ces effets.

En fait, dès le début de la maladie Covid, les symptômes inhabituels présentés par les malades, totalement différents de ceux des autres maladies à coronavirus et dépassant largement la sphère ORL et les voies respiratoires, ont fortement intrigué les médecins.

Très vite, des chercheurs ont explicité le mécanisme d’action de la protéine spike qui permet au virus de pénétrer la cellule pour l’infecter et qui induit une hyperinflammation pouvant conduire au fameux « orage de cytokines » et au syndrome de détresse respiratoire aiguë (ARDS) avec coagulation et enfin à la mort.

https://www.francesoir.fr/societe-sante-opinions-tribunes/en-faisant-produire-la-proteine-spike-par-les-cellules-vacciner

Ainsi, les effets pathogènes du virus SARS-Cov2 sont dus essentiellement à l’activité de sa protéine spike de surface qui, qu’elle soit associée au virus SARS-Cov2 ou seule, est capable de déclencher les mêmes processus inflammatoires, et ce dans tous les organes et les tissus où existent ces récepteurs.

Et c’est justement cette même protéine spike que les vaccins géniques (à ARNm et à ADN) font produire en grande quantité (incontrôlée) dans l’organisme du vacciné !

On injecte donc, sous le nom rassurant de vaccin, un produit dangereux, qui va faire fabriquer par les cellules du corps, une protéine hautement toxique, ayant exactement les mêmes effets inflammatoires que dans le Covid.

Et les fabricants de vaccins ne peuvent prétendre ignorer les effets de la protéine spike puisque, en 2004 et 2005, des études sur l’infection par le MERS-CoV et le SARS-CoV-1 avaient déjà montré que les vaccins basés sur la protéine spike entière induisaient une forte réponse inflammatoire immunitaire dans de nombreux organes ; pendant que d’autres études concluaient qu’il était très difficile de vacciner contre les coronavirus.

Le choix de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid a donc été le pire choix possible, au point que l’on peut se demander si c’est une simple coïncidence

https://www.francesoir.fr/societe-sante/Covid-et-spike-syndrome-ne-pas-confondre

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/Covid-19-spike-arn-et-vaccins-et-si-lancait-les-etudes-prealables

Analyses d’échantillons de vaccins

Des témoignages troublants, dans des vidéos circulant sur le Net, montrent des effets magnétiques étranges chez les personnes vaccinées : des objets métalliques divers restent accrochés sur le bras au niveau du site de l’injection ou sur le torse ; des adresses MAC (Media Access Control) apparaissent sur Bluetooth en présence de personnes vaccinées.

Cela a incité des équipes de scientifiques à entreprendre l’analyse au microscope d’échantillons des différents vaccins anti-Covid. Les résultats obtenus sont si inattendus et déroutants que l’on se croirait en pleine science-fiction et la première réaction est de mettre en doute leur authenticité et l’honnêteté des chercheurs.

Cependant, de plus en plus d’études bien documentées apparaissent en provenance de plusieurs pays, présentant des images et des vidéos réalisées avec des microscopes très sophistiqués, avec des détails précis sur le mode opératoire, au point qu’il est impossible de continuer à rejeter en bloc tous ces résultats.

Les premiers à publier leurs résultats furent les scientifiques de la Quinta Columna, un groupe de scientifiques hispanophones dont « l’objectif est de montrer la réalité aussi inconfortable que soit la Vérité… sans préjugés ni conflits ».

Leur découverte principale est la présence dans les vaccins anti-Covid d’oxyde de graphène toxique pour les humains. Sur leur site (laquintacolumna.net), on peut télécharger leurs rapports techniques sur le sujet, ainsi qu’un recueil de plus de 60 publications scientifiques sur les propriétés et la toxicité de l’oxyde de graphène en biologie humaine. Leur dernière vidéo, mise en ligne sur la chaîne Odysee le 19 janvier 2023, « Nouvelles images de l’injection Pfizer », montre des structures quadrangulaires, du graphène et des nanotubes de carbone.

Un autre groupe, le COMUSAV (Coalition Mondiale pour la Santé et la Vie ; site : comusav.com), a réalisé un documentaire, « Bluetruth », qui présente les résultats de leurs recherches : présence d’oxyde de graphène dans le sang des vaccinés ; adresses MAC détectées dans différentes expériences, dont une dans un cimetière.

Pour eux, il est évident que les vaccinés émettent des ondes et ils l’expliquent par l’autoassemblage des particules de graphène à l’intérieur du corps, pour former des circuits électroniques nanométriques.

Ils relient leurs découvertes à un ensemble de projets existant depuis des décennies (Intra body Nano-Network ; carbon nanotubes linking neurones ; …) ayant pour objectifs le contrôle neuronal, la stimulation de la sécrétion des neurotransmetteurs, la modulation neuronale.



http://politikus.unblog.fr/2022/02/02/argentine-des-chercheurs-exposent-la-nanotechnologie-trouvee-dans-les-vaccins/

Une vidéo postée sur la chaîne Odysee.com, en janvier 2023, présente les travaux du Dr David Nixon de Melbourne sur les « Structures d’autoassemblage présentes dans les injections Covid-19 vues au microscope ». Disposant d’un matériel très sophistiqué, il a obtenu des images d’une qualité exceptionnelle.

Le Dr Nixon a filmé en continu pendant tout un week-end un échantillon de « vaccin » Pfizer et, en accélérant le film, a découvert l’autoassemblage et le désassemblage de cristaux carrés semblables à des puces électroniques reliées par des rubans, sensibles au rayonnement électromagnétique.

Son interprétation est que l’on est en présence d’une technologie très avancée ; que l’hydrogel des « vaccins », qui est une matière programmable et intelligente, contient les matériaux et le plan d’assemblage des structures observées.



https://www.laprensa.com.ar/523511-Vacunas-Covid-estado-actual-de-los-conocimientos.note.aspx

Plusieurs autres vidéos vont dans le même sens, mais l’une d’entre elles présente une nouvelle démarche encore plus étonnante. Un producteur américain de télé et de films, Del Bigtree, a donné son sang de non vacciné au laboratoire du Dr Ryan Cole qui l’a observé au microscope après y avoir ajouté une goutte de l’un des vaccins anti-Covid à ARNm. Dans le cas du produit Pfizer, le sang s’est décoloré et les globules rouges ont involué et sont devenus flasques donc probablement incapables de transporter l’oxygène.



On peut en conclure que des composants inconnus des « vaccins » agissent directement sur le sang des vaccinés, provoquant les EI, essentiellement coagulation du sang et inflammation. La protéine spike n’existant pas dans le « vaccin », elle ne peut pas être à l’origine de ces réactions !

Ce qui est frappant dans toutes ces analyses, c’est que les « vaccins » semblent contenir des produits dont les fabricants n’ont jamais signalé l’existence et qui n’ont pas leur place dans un vaccin !

Il n’est plus question d’ARNm ni de protéine spike. D’ailleurs, certains chercheurs ont signalé l’absence d’ARNm dans les échantillons qu’ils ont analysés.

Même si ces découvertes sont étranges et difficiles à accepter, il s’agit d’expériences réelles photographiées et filmées. Que l’on puisse ou non les expliquer pour le moment n’est pas le problème. Le problème est que ces « ingrédients », s’ils existent, ne devraient pas être injectés à un être humain à son insu.

Or les autorités sanitaires ont accordé une AMM conditionnelle à ces « produits » géniques et autorisé une expérimentation vaccinale à grande échelle, inédite dans l’histoire de l’humanité. Ce qui déjà pose problème !

Du fait de leur inefficacité et surtout leur dangerosité, ces produits ne devraient même pas porter le nom de vaccin !

Pire que cela, ils devraient être retirés immédiatement du marché vu les dégâts à court, moyen et long terme qu’ils ont causés ou vont causer. Et ceux qui les ont conçus, fabriqués, qui se sont enrichis grâce à leur vente, ceux qui en ont fait la promotion, qui les ont injectés de force, tous devraient être jugés et condamnés !

Pourtant, la grande majorité de la population qui n’est informée que par les médias officiels est tenue dans l’ignorance totale de l’inefficacité des « vaccins » et de la gravité de leurs EI. Elle continue donc à y croire ainsi qu’à la bienveillance des gouvernants !

« Les masses n’ont jamais eu soif de vérité. Elles se détournent des évidences qui ne sont pas à leur goût et préfèrent glorifier l’erreur si celle-ci les séduit. Celui qui peut apporter l’illusion est facilement leur maitre ; celui qui tente de détruire l’illusion est toujours leur victime ».

Gustave Le Bon

Vaccins anti-Covid ou arme biotechnologique ?

Le choix de faire fabriquer la protéine spike toxique par les cellules du corps des vaccinés témoigne déjà d’une intention malveillante !

Remarquons toutefois qu’un nombre toujours croissant de scientifiques remet en cause la présence d’ARNm dans les « vaccins » donc la production de la spike dans le corps des vaccinés, ainsi que l’existence même du SARS-CoV-2 (voir Note en bas de l’article).

De toute façon, les découvertes de plus en plus nombreuses et convaincantes d’oxyde de graphène, de puces électroniques et de nano-objets non identifiés, dans les échantillons de « vaccins », sont largement suffisantes pour accréditer l’hypothèse d’une arme biotechnologique.

Une toute récente information semble étayer cette hypothèse. Lors d’une conférence de presse sur le déploiement militaire en cours d’armes biologiques, tenue le 24 janvier 2023 aux USA, l’une des participantes, Katherine Watt (assistante juridique de Pennsylvanie et chercheuse en droit) a partagé ses récentes découvertes. Elle a rapporté entre autres que Pfizer, en avril 2022, a déposé une motion pour rejeter la plainte d’une lanceuse d’alerte, Brooke Jackson, au titre de la loi sur les fausses allégations : « Ce n’est pas un vaccin, mais un prototype du ministère de la Défense (DoD) ; nous n’étions aucunement obligés de procéder à des essais cliniques valides ni de prouver l’efficacité ou la sécurité du produit à qui que ce soit. »

En octobre 2022, le gouvernement US a approuvé ce point de vue, disant que les essais cliniques n’ont jamais été nécessaires pour que le DoD paie les contractants pour la production et la distribution des armes biologiques sous le nom Covid-19.



https://www.Covidhub.ch/le-pentagone/

Si l’on continue à penser qu’il s’agit d’un vrai vaccin, le fil conducteur des événements de cette crise pourrait être l’appât du gain des grands groupes pharmaceutiques. Cependant, les pressions énormes exercées sur les populations, l’implication des gouvernements, des agences de santé, de l’OMS, des médias, de même que la similitude et la simultanéité étonnantes des mesures à l’échelle mondiale, ne peuvent qu’inciter à chercher des instances situées très au-dessus de Big Pharma et ayant des intentions bien plus vastes que la soi-disant protection contre un virus par la « vaccination ».

Le Nouvel Ordre Mondial (NOM)

L’un des dévoilements de « l’opération Covid » est celui de l’oligarchie mondiale à l’œuvre depuis des siècles. (Oligarchie : régime politique dans lequel la souveraineté appartient à une classe restreinte et privilégiée).

Une caste « d’élus » qui considère qu’elle a le droit divin de gouverner la planète et dont l’objectif est d’établir une gouvernance mondiale de nature totalitaire et technocratique.

Pour y parvenir, au milieu du 20siècle, cette oligarchie s’est organisée à travers la création de différents groupes restés longtemps très peu connus sauf de quelques initiés : Groupe Bilderberg (créé en 1954) ; Club de Rome (1968) ; Trilatérale (1973) ; Forum Economique Mondial (1971) ; Dolder club. Elle contrôle également l’Organisation des Nations Unies, l’OMS, la Banque Mondiale, le FMI, la CIA, etc.

Agissant d’abord dans le plus grand secret, entourée d’un luxe de précautions, elle œuvre désormais au grand jour et annonce clairement son jeu dans des publications (Agendas 21 et 2030, livres de Karl Schwab), sur les sites web et dans les vidéos diffusées de réunions du FEM à Davos.

Le site du FEM est particulièrement riche en informations sur ses objectifs, son organisation, ses moyens humains. Son thème officiel est d’améliorer l’état du monde !

La réunion annuelle tenue à Davos regroupe des oligarques, de grands banquiers, des patrons de multinationales, de puissants responsables politiques, des intellectuels influents.

Fondée en 2005, la communauté des Young Global Leaders regroupe plus de 750 dirigeants du monde entier âgés de moins de quarante ans.

En 2007, à la Harvard Kennedy School, Klaus Schwab, le « gourou » de Davos, a affirmé : » Avec mes Young Leaders, nous avons pénétré tous les gouvernements de la planète » !

Corruption des élites, subversion des institutions, manipulation et infantilisation des populations, mainmise sur les médias mainstream, omniprésence des cabinets-conseils, tout est fait pour que son agenda se déploie.

Agenda clairement détaillé dans les livres de Klaus Schwab : ‘’Covid19 : The great reset’’ ; « La 4e révolution industrielle ».

Dépopulation, transhumanisme, contrôle de la population, monnaie numérique, accumulation des richesses par élimination des PME et des artisans, tels sont quelques-uns des axes principaux de cet agenda ; et les « crises » programmées, tout comme les guerres, ne sont que les outils pour y parvenir !

https://www.foxnews.com/video/6319623313112

Le choix criminel de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid ainsi que les nanotechnologies insérées subrepticement dans ces produits (et cela se confirme chaquejourdavantage), la surmortalité et la baisse drastique de la natalité dans les pays à fort taux de vaccination, tout cela s’inscrit dans l’axe dépopulation de l’agenda des mondialistes.

Une info de dernière minute concerne Hexa-X, le projet 6G de l’Union européenne (la technologie LED au service du contrôle social), dans lequel sont engagées 22 entreprises dirigées par Nokia.

Le président de Nokia, à la dernière réunion du FEM à Davos, a affirmé que, d’ici 8 ans, les smartphones seraient intégrés au corps des humains. Grâce à la 6G, définie comme un réseau neuronal, l’homme fusionné avec l’ordinateur pourra être contrôlé et manipulé !

Autres sources

Site « nouveaumonde.ca » : très riche en articles (voir dans la rubrique « Dossiers ») :

https://nouveau-monde.ca/implants-numeriques/

https://nouveau-monde.ca/vaccins/

Nouvelles images de graphène dans le vaccin antigrippe « Chiromas » de GSK 26/01/2023 :
https://www.flickr.com/photos/196008055@N06/albums/72177720304513633/


Note ()

Tout comme pour les nanotechnologies découvertes dans les vaccins anti-covid, nous ne pouvons plus continuer à ignorer et rejeter les travaux et publications d’un grand nombre de chercheurs sérieux et compétents qui contestent l’isolement et la caractérisation des virus, mettant en cause la méthodologie utilisée par les virologues qui n’a rien d’une démarche scientifique. Le rôle pathogène attribué aux virus est à revoir complètement car on a inversé la cause et l’effet.

À quel point les virus sont-ils morts ?

L’invention du SARS-CoV-2

Démontage de la théorie virale

Ce que les virologues, les infectiologues et autres microbiologistes prennent pour des virus pathogènes est naturellement produit par les cellules ou les tissus vivants lorsqu’ils sont agressés par exemple par des toxines chimiques, par des champs électriques artificiels ou par des ondes électromagnétiques pulsées comme celles du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G.

Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G

Ajoutons que d’autres scientifiques incriminent la présence de micro parasites, naturels ou artificiels, aussi bien dans la maladie covid que dans les effets indésirables des vaccins. Cela expliquerait l’efficacité de plusieurs traitements antiparasitaires pour soigner les malades : ivermectine, hydroxychloroquine, artemisia.






France — Retraite à 64 ans ? Fausse question et monumentale manipulation de masse !

[Source : les7duquebec.net]

Par Bernard GERMAIN

J’en ai déjà vu des manipulations politiques, mais celle-là dépasse tout ce qu’on peut imaginer !

Les Français vont payer cher d’avoir écouté, en avril 2022, ceux qui leur ont fait voter Macron « pour empêcher que le fascisme n’arrive au pouvoir en France ».

En acceptant de suivre les consignes de vote des partis de gauche — en fait l’extrême gauche — puisque la gauche classique n’existe plus (pour mémoire Hidalgo [PS] 1,74 %), des syndicats et des associations « progressistes », sans oublier la droite « républicaine », les Français ont accepté sans réfléchir de réélire un homme qui annonçait tranquillement qu’il allait détruire la France et de nombreuses « conquêtes sociales », dont les retraites.

Pourtant, les Français avaient sous les yeux le bilan catastrophique de Macron pour son premier quinquennat (2017-2022). Cela aurait dû les alerter. Mais voilà, ils n’ont rien voulu voir ni entendre et ont accepté de se plier à ces directives qui amènent aujourd’hui à une monumentale manipulation.

Dans peu de temps, ils vont connaître le prix pour cette tragique absence de réflexion ! Et cette réforme des retraites n’est que le début de ce qu’ils vont subir.

Quelques éléments vont permettre de me faire comprendre.

Tout d’abord, Macron avait ouvertement dans son programme annoncé la retraite à 65 ans.

Les syndicats, les partis de « gôche », les associations progressistes, etc. le savaient donc pertinemment.

Pourtant ils ont tous appelé à voter Macron. Pas un n’a manqué à l’appel.

Aujourd’hui Macron applique son programme. En quoi est-ce une surprise ?

Les syndicats, les partis de « gôche », les associations progressistes, etc. sont confrontés aux conséquences de leur vote. Et ils s’indignent de cette réforme ?

Bande de tartuffes !

Par ailleurs, même l’apparence de combat « contre la réforme à 64 ans » est un piège diabolique.

Pendant que les syndicats, les partis de « gôche » et les associations progressistes amusent la galerie avec l’âge de départ à « 64 ans », ils font silence sur le vrai problème : combien touchera le salarié qui part en retraite ?

Et ça ce n’est pas dit dans la chanson, or c’est l’élément essentiel. Cet élément porte un nom : la Loi Touraine, votée en 2014. Sous le quinquennat de François Hollande, donc par la « gôche ».

Que dit la Loi Touraine ?

C’est très simple : pour partir à la retraite avec un taux plein, c’est-à-dire une retraite complète, il faut un certain nombre d’annuités, en fait un certain nombre de trimestres cotisés.

La Loi Touraine a prévu un échéancier qui rajoute un trimestre de cotisation tous les trois ans jusqu’en 2035. À cette date, il faudra 43 ans de cotisations soit 172 trimestres.

Au moment où un salarié demande à bénéficier de sa retraite (aujourd’hui à 62 ans) il faut AUSSI qu’il ait le nombre de trimestres suffisants. Sinon, il aura une « décote » c’est-à-dire une réduction du montant de sa retraite en fonction du nombre de trimestres manquants.

Personne ne dit au Français que c’est le problème principal ! Évidemment puisque c’est la « gôche » qui a fait voter cette mesure parfaitement antisociale.

Ajoutons que se battre pour laisser la retraite à 62 ans est un attrape-nigaud. Pourquoi ?

Parce qu’avec la Loi Touraine, si vous partez à 62 ans, vous aurez beaucoup plus de difficulté à avoir le nombre de trimestres nécessaires pour avoir une retraite à taux plein puisque le poteau d’arrivée est reculé tous les trois ans.

Donc, si on ne remet pas en cause la Loi Touraine, on va rendre impossible très vite la possibilité d’avoir suffisamment de trimestres au moment du départ. Le salarié aura donc AUTOMATIQUEMENT une décote.

Et plus les années passent, plus le nombre de trimestres nécessaires augmente. Donc plus la décote sera sévère si on laisse l’âge légal de départ à 62 ans.

La question centrale devient donc :

« Acceptez-vous de partir à 62 ans, avec une décote qui ramènera le montant de votre retraite à la portion congrue ? Décote qui augmentera d’autant plus que les années passent ».

Dit autrement, acceptez-vous de partir à 62 ans avec une retraite qui ne vous permet pas de vivre et dont le montant sera de plus en plus bas, au fur et à mesure que s’applique la Loi Touraine ?

Il faut le dire clairement pour que tout le monde comprenne bien :

Sans remise en cause de la Loi Touraine, revendiquer le maintien de départ à 62 ans, c’est amener les gens à partir en retraite avec une pension de plus en plus faible !

S’ils refusent de partir à 62 ans, avec une retraite amputée, il faudra qu’ils travaillent plus pour annuler ou réduire au maximum la décote. 62 ou 64 ans n’est donc pas le vrai problème !

C’est là qu’on se rend compte de l’escroquerie monumentale de la « gôche », des syndicats et autres associations « progressistes », qui est en train de se réaliser sous vos yeux.

Nombre de Français l’ont déjà compris puisque l’âge moyen de départ est actuellement de 62 ans et 10 mois.

Quant aux comptes de la retraite qui seraient un « gouffre financier », le COS (Comité d’Orientation des retraites) a publié récemment qu’après avoir été déficitaires pendant plusieurs années, ils ont été excédentaires de 900 millions d’€ en 2021 et 3,2 milliards en 2022.

Ce n’est que dans quelques années que les comptes seraient de nouveau déficitaires.

Comment les empêcher de replonger dans le rouge ?

En faisant baisser le chômage ce qui permettra de faire rentrer plus de cotisations.

Mais là on retombe sur un autre « avantage » d’avoir voté Macron.

Ce dernier détruit consciencieusement notre appareil productif, ce qui va empêcher le chômage de baisser.

Sans parler des milliards qu’il jette allègrement par les fenêtres (1 milliard pour que l’Afrique du Sud baisse sa production de charbon, 300 millions d’€ versés chaque mois à l’Ukraine, les milliards dépenser pour accueillir et financer une immigration dont plus de 55 % ne travaillent pas, les fraudes aux aides sociales qui coûtent des dizaines de milliards selon Charles Prats de la Cour des Comptes, etc.).

Bref, un véritable carnage pour nos finances publiques, dont seulement 10 à 15 milliards d’€ suffiraient pour régler le problème des retraites. Ce qui pourrait être aisément réalisé vu ce que Macron jette comme argent par les fenêtres.

Pour en revenir à la réforme, au final, Élisabeth Borne a annoncé la fin des « négociations ». Elle a accepté de limiter l’âge de départ à 64 ans au lieu de 65 ans, pour satisfaire les Républicains indépendants d’Éric Ciotti, et s’assurer leurs votes au Parlement.

Mais elle a aussitôt annoncé qu’en contrepartie des 64 ans, elle allait accélérer l’application de la Loi Touraine.

Donc ce sera sans doute un trimestre de plus à faire, tous les deux ans et non tous les trois ans.

Pour les Français, ce sera ainsi salade et dessert !

Recul de l’âge de départ et aggravation des conditions de départ avec une décote qui sera difficilement évitable, sauf à accepter de travailler jusqu’à 65 ans, 66 ans ou plus !

Certains n’avaient peut-être pas compris que la « gôche » est le pire ennemi du peuple, maintenant ils savent ! S’ils acceptent de voir ce qu’ils ont sous les yeux.

Les manifestations appelées le 31 janvier et les glapissements de tous ces manipulateurs ne sont là que pour faire un écran de fumée afin que les Français aient le plus de difficultés à voir la situation réelle et qui en sont tous les véritables coupables.

Ajoutons pour faire bonne mesure que quelques événements politiques récents donnent vraiment la nausée.

Nous citerons en premier lieu l’élection partielle dans la Marne qui s’est déroulée hier.

Pour le second tour, il y avait deux candidates. Une RN et une Renaissance (Macron).

La LFI (NUPES de Mélenchon) ayant été éliminée dès le premier tour.

Pour le second tour, la NUPES a appelé à voter pour la candidate de Macron, « afin de faire barrage au fascisme ». Comme d’habitude.

Dimanche, le résultat est tombé, c’est la candidate de Macron qui est élue, grâce à la NUPES.

Donc un député de plus qui votera la réforme des retraites.

Oui, grâce à la NUPES, il y a un député de plus pour Macron, alors que la NUPES prétend combattre la réforme et appelle la population à se mobiliser contre !

Cette NUPES est réellement pourrie jusqu’à la moelle.

Autre exemple pitoyable, Hidalgo fera fermer la mairie de Paris « en solidarité avec le mouvement social » le 31 janvier.

Elle a soutenu la réforme Touraine, mise en place par les élus PS, mais fait aujourd’hui semblant de défendre les salariés contre la réforme Macron.

Encore une qui manipule allègrement la population en faisant croire qu’elle défend les salariés alors qu’elle fait partie de ceux qui sont responsables du bourbier dans lequel nous sommes tombés.

Cette Hidalgo et ses semblables sont vraiment des êtres amoraux.

Comme je viens de vous le démontrer, la manipulation de masse à laquelle nous assistons est absolument monumentale.

Si le peuple ne se réveille pas et n’accepte pas de voir ce qu’il a sous les yeux, au lieu d’accepter de se faire manipuler, la note sera salée au moment de faire le bilan du second quinquennat de Macron.

S’il arrive à la fin de son deuxième mandat…




Résistants de tous bords, unissons-nous

[Publié initialement sur RL]

Par Nicole Delépine

Chers résistants de tous bords, il faut sortir de l’isolement, de l’entre-soi, de la sinistrose, des anathèmes, du sectarisme. Unissons-nous enfin !

Contre l’apartheid des manifestants qui auraient voté Macron

Pourquoi parler de « théâtre » lorsque des millions de gens arpentent les petites et grandes villes de France à l’occasion d’un nouvel ukase prévu par le gouvernement, éventuellement par un 49-3 si nécessaire, par un cavalier législatif (inconstitutionnel ?) et dans un cadre d’injonctions multiples comme l’injection des enfants et le mépris permanent des interlocuteurs comme celui de Véran chez Hanouna envers un restaurateur et envers Bercoff sur Sud Radio.

Certes les dirigeants des syndicats ont appelé à voter E. Macron, mais pourquoi les confondre avec les millions de manifestants qui tentent de s’exprimer en l’absence de politiques (sauf de rares exceptions) capables de les représenter, ces derniers bien silencieux et oscillants dans leurs déclarations molles. Faut-il même les isoler ?

Effectivement, comme beaucoup nous nous sentons peu, voire pas représentés et même ceux qui ont fait lever beaucoup d’espoir chez les souverainistes pendant la présidentielle oublient le mot Frexit dans leurs diatribes et continuent à l’oublier malgré la corruption flagrante et les trahisons de l’UE. L’espoir était bien modéré vu leurs positions ambiguës pendant la crise covid et leur soumission de fait à l’enfermement et l’empoisonnement des populations. En dehors des manifestations hebdomadaires organisées par F. Philippot contre les mesures gouvernementales aberrantes, combien de protestations audibles des soi-disant opposants, qui sont restés cachés dans leur cabane sans appel à le soutenir ?

FREXIT ET SORTIE DE L’OTAN

Pourtant là est bien le nœud du débat. Tant que von der Leyen — malgré le scandale Pfizer qui grossit de plus en plus — est aux manettes et que le président lui est soumis, que peut-on espérer, sans révolte populaire audible et générale, la grogne reconnue par tous étant bien insuffisante ?

Nous aussi avons du mal à pardonner certaines paroles comme la « vaccination obligatoire » prônée par Onfray et si peu dénoncée par ses amis, le pass sanitaire « qui ne gênait pas » Zemmour, le silence de mort sur McKinsey de Marine lors de son entretien avec EM. Pourquoi ? Mais peut-on les exclure de nos réflexions et de nos actions pour autant ? L’erreur est humaine (même déshumanisante dans le cas du covid) et seule la persévérance dans l’erreur est impardonnable. Ne multiplions pas les ghettos !

Seul F. Philippot a d’emblée sauvé l’honneur — mais dans le silence assourdissant des médias ainsi que des médias alternatifs qui auraient dû le soutenir au quotidien — il a dénoncé l’arnaque du covid19 et ramé avec Asselineau, Poisson et un peu plus tard Dupont Aignan. Pourquoi furent-ils si peu entendus, y compris par Zemmour, et pas d’union pour la présidentielle ? La politique n’est-elle finalement qu’une querelle d’ego cherchant à suivre les meilleurs sondages pourtant aux mains des puissants ?

Alors refuser au citoyen lambda de défiler en toute sincérité, n’est-ce pas faire preuve de sectarisme odieux, celui qu’on ne supporte pas chez les députés Nupes et tant d’autres qui ne serrent pas la main des députés RN ?

Soyons différents, tolérants, ouverts, conscients de la manipulation que nous subissons tous, et rejoignons les manifestants qui n’ont pas trouvé les moyens de se faire entendre. Ne les méprisons pas selon la mode actuelle initiée par le pouvoir, ne les ignorons pas ! Seule une belle manif, de plus en plus importante jour après jour, peut éviter à chacun de sombrer dans le désespoir, la dépression, et le contact d’autrui dans le même état peut réconforter. Participons à ces réunions populaires et profitons-en pour discuter de l’ensemble des problèmes actuels en distribuant des tracts que nous devrions préparer à l’avance, et nous les partager au lieu, aussi, de les mépriser !

– Par exemple refuser absolument toute injection potentiellement mortelle à nos enfants, mais aussi nos vieux parents en EHPAD (la soumission généralisée pendant plus de deux ans est suspecte, devons-nous bannir de nos entretiens tous ceux qui se sont fait intoxiquer par l’emprise bien organisée des dirigeants et de leurs complices médiatiques et ont laissé faire en regardant Netflix ?)
Rappelez — vous que les papiers d’alerte et d’information sur le sort des vieux abandonnés, isolés, enfermés sans droit de visite (contrairement aux prisonniers), et les enfants privés d’école et de leurs copains et premiers amours, les sportifs privés de piscine, etc. furent dans les moins lus, sur les médias mainstream, mais aussi alternatifs. Demandez-vous pourquoi, et s’il ne faut pas juger ces complices du désastre par indifférence, dont certains d’entre nous ou de vos amis, comme vous jugez aujourd’hui les manifestants, dont quelques-uns ont peut-être voté Nupes et même Macron.
Personne n’est pur dans cette histoire… et un pur trouve toujours un plus pur qui l’épure (pensez à Quatennens et son combat sans nuances « pour les femmes » qui s’est retourné contre lui…).

– Refuser effectivement cette réforme dite des retraites, IMPOSÉE PAR BRUXELLES et sans avis réel du peuple.

Que vous vous retrouviez dans certaines mesures ou pas, peu importe ! L’absence de débat à l’Assemblée suffisamment long par exemple est insoutenable, et le peuple méprisé à chaque interview télévisée des puissants est inacceptable. Où est l’urgence ?
E. Macron nous expliquait lui-même en 2019 que reculer l’âge de la retraite au-delà de 62 ans n’avait pas de sens dans un pays où les seniors ne trouvent plus de travail ? Les ordres de Bruxelles et de Black Rock et Van Guard ont dû changer ! Et nous tomberions dans le panneau comme certains LR pressés de rejoindre le pouvoir macroniste ? On ne sait jamais, un petit marocain…

Dans l’immédiat évidemment le plus urgent est l’opposition forte, répétitive, quotidienne à notre implication dans la guerre en Ukraine potentiellement à risque de destruction nucléaire de la planète, guerre qui ne nous concerne pas et ruine un peu plus la France chaque jour avec de nombreux cadeaux financiers, ou sous forme symbolique de vieux chars, pendant que nos hôpitaux longtemps abandonnés sont maintenant sacrifiés, le refus de réintégrer les suspendus contre la position mondiale étant le symbole parfait du choix du gouvernement.
Distribuer des tracts dans les manifestations serait utile, car trop de gens ne savent pas qu’ils sont privés de chômage comme de RSA et que nombre d’entre eux ont fini par se suicider, ou aller travailler à l’étranger où paradoxalement ils sont mieux rémunérés.

Pourquoi rester emmuré dans ces certitudes, telles que les manifestants seraient des « traitres » ou des hypocrites parce qu’ils ont voté EM (peu en réalité, vu les 52 % d’abstentionnistes !). Allons-nous prôner l’apartheid des votants potentiels de EM, comme il a fait des non-vax, soutenus par des gens bien-pensants sur l’injection près de vous, et refuser de les côtoyer comme le jeune député Louis ou même une plus mûre Mathilde Panot ?

Ce délire de diviser pour régner mis en musique par les dirigeants serait-il contagieux ? Ont-ils vraiment réussi à nous diviser avec leurs jeux quotidiens de pseudo racisme, de couleur de peau, de genre, de musique voire de cinéma ? Les interdictions de conférences en fac à des intellectuels réputés de gauche auraient-elles contaminé l’ensemble de la population ?
Alors oui, des désespérés, et en particulier des jeunes, ont cru en la Nupes et se sont fait berner, comme par le refus sectaire de voter la motion référendaire attribuée au RN, de Sandrine Rousseau (à laquelle bien trop de médias, y compris alternatifs, font trop d’honneur et trop de publicité, il faudrait l’ignorer ?). Devons-nous rester au niveau de ces quelques exceptions devenues vedettes par la grâce des médias mainstream et alternatifs ?

Il faut nous unir, nous réunir, voir ce que nous avons en commun et le crier haut et fort. L’importance des combats (contre la guerre, contre les mesures coercitives, contre les réformes dictées par Bruxelles) qui nous unissent exige que nous dépassions ce qui nous divise.

Et le résultat de ces grèves et manifestations apparaît positif : écoutons Philippot toujours clairvoyant et si peu entendu (pourquoi ?). Il est évident que devant la colère populaire, de nombreux députés prêts à soutenir E. Borne vont probablement jouer les absents, voire les opposants pour les plus courageux après la rencontre avec leurs électeurs qu’ils ne voudraient pas perdre.

Florian Philippot
@f_philippot⁩

Aujourd’hui Macron n’a que 265 voix à l’Assemblée pour faire passer la réforme des retraites, il lui en faut 289 !

Son échec serait un coup terrible pour le macronisme, mais aussi pour l’UE qui le surveille de très près !
Alors ne rien lâcher ! Ça dépasse les retraites !

Oui, l’ampleur de ces manifestations dépasse les retraites… Pourquoi l’ignorer ?

La situation actuelle de cobélligérance dans la guerre en Ukraine nous mène à la catastrophe nucléaire après laquelle la destruction de nos écoles, hôpitaux, services publics et la submersion migratoire ne seraient plus que vieux souvenirs pour les quelques survivants en haillons. Souvenons-nous d’Hiroshima et Nagasaki dont les bombes n’étaient que des bombinettes par rapport à l’arsenal actuel.
Alors oui, comprenons et soutenons les manifestants et embauchons-les, en même temps, à l’occasion pour les manifestations contre la guerre en Ukraine dont on aimerait que nos politiques s’emparent et appellent à les rejoindre. Fabriquons des milliers de tracts anti-guerre anti-injections, anti-totalitarisme de l’UE, pour le Frexit, pour les citoyens privés de manifestations par leur âge, leur fatigue, leurs handicaps ou leur aveuglement, et distribuons-les !

Le monde fonce vers la 3e guerre mondiale. Certains y ont intérêt et nous y mènent coûte que coûte ! Il est temps que toutes les forces de Paix s’unissent et appellent à la désescalade avant qu’il ne soit trop tard !

L’ennemi c’est la politique macroniste ! Unissons-nous pour la vaincre, et stopper son pouvoir autocratique, ses réformes et son escalade guerrière.

Nicole Delépine




« Virus », des décennies d’escroqueries ?

Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Par Alain Tortosa

Le Covid est-il le mensonge de trop ?

Préambule :

J’invite les lecteurs qui chercheraient des éléments de « preuve » aux thèses ou interrogations introduites dans ce texte à se référer à mes précédentes publications et notamment :

« Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus1 ? »

(document de 23 pages).

« Gober sans questionner. Quid de la preuve de l’existence des virus ? Postulats de Koch et Rivers2. »

Vous pouvez aussi vous procurer le livre :

« Virus mania. »
« Virus Mania – Corona/Covid-19, rougeole, grippe porcine, grippe aviaire, cancer du col de l’utérus, SARS, ESB »
« Comment l’industrie médicale invente sans cesse des épidémies et réalise des milliards de dollars de bénéfices à nos dépens3 »

Ainsi que celui de Marc Menant :

« L’inquiétante histoire des vaccins4 »
« Une éclairante et nécessaire histoire d’éminents chercheurs et de leurs impostures dûment établies, dont la première, celle du légendaire, du mythique Pasteur ! Car tout commence avec lui. »

Je précise ne pas être devenu « antivax ».

Je suis anti-obligations, anti-ségrégation, antiapartheid, anti-destruction de l’économie, anti-destruction du vivre-ensemble, anti-paranoïa, anti-destruction des droits de l’homme, anti-suppression du libre arbitre, anti-dictature sanitaire (ou autre), anti-ministère de la Vérité, anti-réécriture de l’histoire, anticorruption de la science, etc.

Les « vaccins » relevant de la foi en l’absence de preuves du contraire, je ne suis pas anti-foi.

  • Libre à chacun de croire, la foi ne relevant ni de la science ni de la preuve.
  • Libre aux croyants de croire, libre à eux de s’injecter ce que je pense être des placebos (pour le croyant) toxiques.

En revanche, obligation pour eux de ne pas faire de prosélytisme et de respecter les non-croyants dont je fais partie.

Ce faisant, je vais pouvoir déverser mes questions ou « vérités » qui, elles, ont le mérite de ne pas faire consensus, à la différence de la doxa.

Aux débunkers de me prouver le contraire et non de se contenter de l’affirmer ou de citer un témoin qui l’affirmerait !
Produisez les études et statistiques qui démontent mes propos.
Je précise :

« Produisez les études indépendantes dans lesquelles les auteurs n’ont aucun conflit d’intérêts. »

Nous connaissons tous les centaines d’études publiées sur l’innocuité du tabac et financées plus ou moins directement par son industrie.
Je rappelle aussi à mes lecteurs que la commercialisation du « vaccin » anti-Covid a été faite sur les seules données fournies par les laboratoires pharmaceutiques et donc en l’absence totale d’études indépendantes.
Je rappelle que Pfizer a été condamné par le passé à des milliards de dollars pour tromperie, corruption, et manipulation.

Voici donc une liste non exhaustive

Ma première question étant donc :

  • Comment les autorités sanitaires ont-elles pu commercialiser et généraliser à l’ensemble du public des produits en phase expérimentale sur une technologie elle aussi expérimentale sur les seules données de laboratoires largement condamnés par le passé pour mensonges ?

  • Comment les autorités ont-elles pu rendre obligatoire ou introduire une extorsion de consentement sur ces injections expérimentales ?
  • Comment être certain de l’existence de « virus » alors qu’aucun n’a jamais été isolé « proprement » ?
  • Comment peut-on avoir la preuve de leur existence et de leur mode de reproduction ou de destruction des cellules vivantes dès lors que cela n’a jamais pu être observé (in vivo) ?
  • Les photos ou animations de « virus » ne sont que des créations artistiques.
  • Comment peut-on affirmer avoir vu des « virus » dès lors que la méthode d’isolation oblige l’utilisation de cellules de singes ou autres, de produits toxiques et autres antibiotiques qui permettraient de faire apparaître ces cadavres de cellules nommés « virus » ?
  • Comment être certain de leur existence, de leur pathogénicité dès lors que les postulats de Koch n’ont JAMAIS été vérifiés (cf. mon texte) ? Raison pour laquelle les débunkers affirment que ces postulats ne sont ni utiles ni « éthiques » ? (Il ne serait ainsi pas « éthique » de rendre malade une personne en bonne santé en lui injectant un « virus » isolé, mais en revanche il est « éthique » de « vacciner » des milliards de personnes avec une substance dont ni le principe actif, ni l’efficacité n’ont été prouvés.)
  • Comment peut-on affirmer l’existence de certains « virus » dès lors qu’ils n’ont jamais pu être isolés (par la méthodes de « la soupe » biologique ou autres méthodes) ?
  • Comment avoir la preuve de l’existence du « virus » du SIDA dès lors qu’il n’a jamais été observé ?
  • Le « virus » de l’hépatite G n’a jamais pu être isolé non seulement in vivo, mais aussi in vitro (en laboratoire). Jamais vu, jamais isolé… Cela gêne-t-il pour affirmer son existence ? En rien !
  • Comment avoir la preuve que ces prétendus « virus » seraient pathogènes dès lors que l’on n’a jamais pu voir le processus théorique in vivo ?
  • Comment pouvons-nous les désigner comme coupables de provoquer des symptômes, des maladies pour lesquelles ils sont réputés, alors que cela n’a jamais été prouvé ?
  • Comment peut-on les accuser de créer des pandémies par contagion dès lors que les études n’ont jamais pu prouver la réalité de la contamination par des « virus » ?
  • Comment des personnes asymptomatiques, qui ne toussent pas, qui ne crachent pas, dont les « virus » ne sont pas détectables dans la bouche au point de faire un PCR au fond de la gorge par une amplification de matériel génétique, pourraient contaminer qui que ce soit ? L’asymptomatique contaminateur par un virus aérien est une nouveauté du 21e siècle.
  • Existe-t-il des études en double aveugle de cette contamination par des personnes asymptomatiques qui provoquerait des malades symptomatiques à leur contact ? La réponse est non, bien entendu.
  • Où les « virus » respiratoires passent leurs vacances en été ? D’aucuns disent qu’ils « circulent à bas bruit », mais comment pourraient-ils survivre jusqu’à l’hiver prochain sans rendre malade leur hôte alors qu’ils ont obligation de se reproduire pour survivre, qu’ils sont combattus par le système immunitaire de leur hôte et contraints d’en contaminer d’autres pour survivre ? A-t-on des preuves de ces théories ? (Au moyen-âge, peu de personnes prenaient l’avion pour se reposer aux Bahamas.)
  • Comment les laboratoires de type Wuhan pourraient manipuler des « virus » s’ils n’existent pas ?
  • Comment pourrait-il exister des « gains de fonctions » sur des « virus » qui n’existent pas ?
  • Pourquoi ces laboratoires qui manipulent des « virus » existent ? Ils ont probablement plusieurs objectifs :
  • Comment avoir la preuve que le « SARSCoV-2 » existe vraiment s’il n’a jamais été observé ?
  • L’inventeur du test PCR a avoué que son invention est totalement bancale et permet de trouver n’importe quoi.
  • Comment le prétendu code génétique — de ce « virus » issu de deux malades chinois présentant des symptômes et — reconstitué par tests PCR successifs et collage par un logiciel de séquences génétiques pourrait être pertinent ?
  • Comment affirmer l’existence du Covid alors que les études n’ont pas permis d’éclairer sur un ensemble de symptômes pouvant le différencier de maladies existantes ?
  • Comment expliquer la disparition de la grippe en 2020 au profit du Covid ? Une année sabbatique dans les îles avant de revenir en pleine forme ?
  • Comment ne pas avouer que le Covid est simplement la codification utilisée (imposée politiquement ou économiquement par rémunération supérieure dans les hôpitaux et en cabinet libéral) à la place de toutes les maladies respiratoires et donc qu’il n’existe pas en tant que tel ?
  • Comment affirmer qu’un patient est « Covid » uniquement en se contentant de correspondances positives à quelques parties du prétendu code génétique du « SARSCoV-2 » via des tests PCR quand bien même il serait asymptomatique ? (Et ce contrairement aux directives de l’OMS qui précisent bien que le test PCR peut être un accompagnant diagnostic et certainement pas se suffire à lui-même.)
  • Comment y trouver une pertinence alors que les spécialistes affirment que le « virus » aurait muté et que celui d’origine n’existerait plus ?
  • Comment croire en l’existence et à l’exactitude du code génétique de la protéine Spike qui aurait été isolée par les mêmes principes de PCR et de comparaison à des bases existantes ?
  • Comment ignorer le fait historique que Pasteur était un escroc, un menteur, un tricheur ? Qui n’est pas allé en prison grâce à un soutien politique, l’idée étant que si Pasteur était dénigré, les Allemands rafleraient le marché de l’escroquerie.
  • Comment croire en l’efficacité des « vaccins » dès lors qu’aucun n’a permis d’éradiquer la moindre maladie ?
  • Comment se servir aujourd’hui encore de la prétendue éradication de la variole par les « vaccins » alors même que l’OMS précise que la campagne de vaccination fut un échec et que celle-ci a pu être éradiquée par l’isolement des malades symptomatiques ?
  • La polio était-elle causée par un « virus » ou liée à un empoisonnement au DDT ?
  • A-t-elle été éradiquée par un « vaccin » ou par l’arrêt de l’utilisation du DDT ? (Et est-elle apparue suite à son utilisation ?)
  • Comment affirmer l’efficacité, mais aussi l’innocuité des « vaccins », dès lors qu’il n’existe aucun essai en double aveugle versus placebo le prouvant ?
  • Pourquoi les vaccins bénéficient-ils d’un mode dérogatoire de mise sur le marché avec moins de contraintes que pour un médicament alors qu’il est censé ne pas pouvoir être « enlevé » ?
  • Comment préconiser le « vaccin » Covid alors qu’il n’existe aucune preuve de son efficacité en termes de contamination et que le nombre de décès dans le groupe injecté était supérieur à celui du groupe témoin selon les données Pfizer ?
  • Comment Moderna aurait-il pu créer un « vaccin efficace » contre le « SARSCoV-2 » dès lors que selon son représentant, ils ont fabriqué celui-ci informatiquement à partir de la séquence « officielle » fournie par les Chinois et qu’ils ne l’ont jamais eu dans les mains pour sa fabrication ? (Et donc sans vérifier si les données chinoises étaient exactes.)
  • Dès lors que le code génétique de la Spike est au pire imaginaire et au mieux totalement aléatoire, car une juxtaposition de séquences hypothétiques par test PCR. Et en partant de l’hypothèse théorique que la Spike existerait, comment serait-il possible que sa séquence génétique soit identique à celle du « vrai virus » ? « Virus » qui selon la théorie tout aussi non vérifiée muterait régulièrement. Les mutations étant elles-mêmes détectées par d’autres tests PCR sur d’autres séquences. Comment serait-il alors possible de créer une séquence ARNm qui ferait produire la « vraie » Spike par un « vaccin » ?
  • Si le « vaccin » contient de l’ARNm, par quel miracle pourrait-il faire générer la « bonne » Spike dont le génome connu relèverait plus de la loterie que de la science ? La plus forte probabilité serait alors qu’il fasse fabriquer n’importe quoi par nos cellules. L’autre hypothèse la plus raisonnable serait qu’il ne contienne strictement aucune séquence ARNm.
  • Pourquoi différents laboratoires ou le même laboratoire n’ont pas extrait eux-mêmes le génome du SARS-CoV-2 et le code génétique de la Spike à partir de la même souche ? (Et ce en utilisant différents logiciels de « Lego » et différentes amorces ?) Si cette méthodologie ne relève pas du hasard pour ne pas dire de l’escroquerie, le génome obtenu serait alors exactement le même et permettrait d’apporter un élément de preuve sur la fiabilité du processus. Il faudrait ensuite reproduire l’expérience avec plusieurs malades afin de déterminer s’ils souffrent tous du « SARS-CoV-2 ».
  • Comment ces « vaccins » pourraient-ils (encore) contenir de l’ARNm au moment de l’injection dès lors qu’ils exigeaient à leurs débuts une conservation à -80 °C et que les brins d’ARNm sont réputés extrêmement fragiles et se décomposent très vite ?
  • Comment peut-on affirmer que les patients bénéficient de la même injection, du même produit dès lors qu’il est de notoriété publique que l’ARNm aurait une tendance à se recombiner ? La probabilité que le « vaccin » génère la même Spike ou même une Spike relève de la loterie.
  • Les vidéos qui circulent montrant le contenu d’un « vaccin » ARNm ne semblent pas contenir la moindre capsule d’ARNm.
  • Comment les « vaccins » dit classiques, ceux censés contenir du « virus » atténué par un procédé magique, pourraient avoir une « efficacité » dès lors qu’ils ne provoquent aucune réponse immunitaire ni production d’anticorps par l’organisme en cas d’injection seule ?
  • Comment serait-il possible de prouver leur efficacité et non l’efficacité d’une autre substance dans le « vaccin » dès lors qu’il est impossible d’isoler des « virus » dans leur « soupe » ?
  • Comment affirmer l’action d’un « vaccin » dès lors que les adjuvants sont indispensables pour provoquer cette fameuse « réponse immunitaire » ? Dans le cas d’un « vaccin » dit classique, c’est l’aluminium qui est couramment utilisé.
  • L’aluminium est un produit extrêmement toxique et à l’origine d’effets secondaires graves.
  • Comment prouver que les anticorps détectés sont la conséquence du « virus atténué » dans le « vaccin » et ne seraient pas des déchets issus de la défense de l’organisme face à l’empoissonnement du système sanguin par l’aluminium et les autres adjuvants toxiques utilisés dans le « vaccin » ?
  • Dans le cadre du « vaccin » Covid, l’adjuvant principal serait le graphène dont la toxicité serait inédite dans l’histoire des « vaccins ». Graphène qui est officiellement interdit dans l’alimentation humaine.
  • Les effets secondaires et les décès dus au « vaccin » ne seraient-ils que les conséquences de l’empoisonnement aux nouveaux adjuvants et non au prétendu ARNm ?
  • Comment peut-on affirmer que l’on retrouve de la Spike vaccinale dans tel ou tel organe dès lors que l’on utilise le test PCR comme preuve de sa présence ?
  • Le « Covid », ainsi nommé, se contente de « tuer » des personnes en fin de vie, malades ou très âgées, mais épargne totalement les personnes jeunes en bonne santé. En revanche le « vaccin » tue des jeunes sans antécédents médicaux si l’on en croit les données officielles. De fait si la prétendue « Spike SARS-CoV-2 » était nocive, elle devrait tuer non seulement les « vaccinés », mais aussi les « malades du Covid ». Dans cette hypothèse, les jeunes en bonne santé devraient aussi mourir du Covid, ce qui n’est pas le cas. Deux hypothèses :
  • Je ne sais pas si le corps humain apprendra à se défendre contre ces nouveaux adjuvants, mais il est possible que leurs effets inédits aussi bien directs que sur l’infertilité ou les fausses couches soient le fruit de la première « rencontre » entre le poison et les humains. Il serait alors possible que le corps apprenne à se défendre contre ces nouveaux agresseurs.
  • Pourquoi ces questions relèvent du « complotisme » ou du « délire » et n’ont pas de réponses ?
  • Pourquoi n’y a-t-il pas débat ?
  • Pourquoi les spécialistes et scientifiques qui défendent d’autres thèses sont muselés et ne peuvent pas s’exprimer dans des médias mainstream ?

Pour résumer :

  • Pas de preuve de l’existence des virus, de la contagion et de leur dangerosité. On tombe malade par des empoisonnements et d’autres processus qu’il est interdit d’étudier depuis plus d’un siècle.
  • Qui dit « pas de virus » et donc « pas de contamination » dit bien évidemment, pas de « vaccins » possibles. Ni même de gestes barrière, de masques, de confinements, de tests PCR, de passe sanitaire, etc.
  • Toutes les grandes maladies de ce monde ont diminué avant le début de la commercialisation des « vaccins ».
  • Une industrie pharmaceutique, dont les bénéfices sont supérieurs à ceux de l’industrie pétrolière, construite sur un mensonge, une escroquerie.
  • L’affirmation de l’allopathie, de la maladie, du médicament pour combattre l’ennemi extérieur et la maladie ? Baliverne !
  • L’existence du « virus » permet d’entretenir la peur, l’existence de l’ennemi invisible et ainsi contrôler les masses par des mesures liberticides les plus délirantes.
  • Des facultés de médecine ou de pharmacie sponsorisées par l’industrie qui transmettent le mensonge génération après génération sans la moindre remise en question. Il n’y a pas que des corrompus, mais des répétants. Ceci relève uniquement de la foi, du dogme et non de la science.
  • La main mise de l’industrie dans toutes les sphères de pouvoir y compris à la tête de l’OMS. L’impossibilité pour un chercheur de faire la moindre étude sans financement de l’industrie. Il devient de fait impossible de tester l’efficacité d’une molécule ou d’un « vaccin ».
  • Un train fou lancé impossible à arrêter sans des conséquences apocalyptiques ! « Les gars, on se fout de votre gueule depuis plus d’un siècle. On vous a menti, trompé, injecté des substances toxiques inutiles et inefficaces. On a fait taire les voix discordantes. Le silence a été acheté. Tout ce que vous pensez sur la médecine est faux. Votre savoir repose sur un Pasteur qui aurait eu sa place en prison. Toute notre vie nous avons étudié des chimères. Oubliez tout, on recommence ! »
  • Une chasse aux sorcières qui balaye toutes les théories alternatives et les méthodes de soin naturelles.
  • Une classe politique stupide, naïve, complice et corrompue.
  • Des médias larbins, lâches, consensuels, mais aussi corrompus.

Bienvenue au 21e siècle !

Merci

Alain Tortosa5.
5 février 2023
Https://7milliards.fr/tortosa20230205-virus-decennies-escroquerie.pdf





Cerveaux d’enfants manipulés et théorie du genre : le pire de la « cancel culture » et la circulaire de septembre 2021

Par Nicole Delépine

« Nous allons défaire le culte de l’idéologie du genre
et réaffirmer que Dieu a créé deux genres — appelés hommes et femmes »
— Président Donald J Trump

L’héritage laïque serait potentiellement LGBTQIphobe ? ce monde devient fou et on se demande jusqu’à quel point les dirigeants veulent détruire l’humanité, son histoire, ses liens avec son passé, etc. Suicide collectif, mais choisi par quelques-uns seulement, avec la volonté de l’imposer à des milliards d’individus…

Au lieu d’apprendre à lire, à compter et un minimum d’histoire et du monde, un peu de géographie et de botanique, etc., les enfants sont soumis à un matraquage sur des questions qu’ils ne se posent pas.

Qu’est — ce dont que ce « transactivisme républicain »1 que veut nous imposer le ministère de l’Éducation nationale (qui n’est plus et pour cause le ministère de l’INSTRUCTION nationale) et soutenu par le Conseil d’État qui depuis de nombreuses années ne fait que valider toutes les décisions gouvernementales. Pourquoi cette formation proposée aux enseignants, webinaire sur « la lutte contre les LGBTIphobies » où l’on apprend soudain que « l’héritage laïque » est « potentiellement LGBTIphobe ». Des formations sur la nécessaire autorité des enseignants ne seraient-elles pas plus utiles ?

La cancel culture [culture de l’annulation] veut nous imposer la suppression des statues de notre récit national, détruire des églises trop coûteuses, faire jouer Blanche Neige par une actrice d’origine africaine, etc.. Mais perturber le cerveau des petits dans leur plus jeune âge est le plus insupportable de cette mode qui finira par passer, mais après combien de dégâts ?

Les adultes devraient pouvoir se défendre, mais modeler des cerveaux en formation est une autre entreprise de démolition, de manipulation beaucoup plus perverse. Vers les années 2014, des polémiques sur la théorie du genre étaient apparues et la ministre de l’Époque Mme Najaud Belkacem avait affirmé qu’il n’en était rien et que ceux qui racontaient cela étaient… des complotistes. Malheureusement depuis l’arrivée de nouvelles équipes au pouvoir, une accélération rapide se fait jour depuis trois ans, profitant probablement de la sidération liée aux mesures coercitives de la mystification covid19 pour mettre en place l’opération.

Nous sommes bien obligés d’aborder le sujet, de nous opposer à la manipulation des petits enfants et des adolescents avant que les drames ne se multiplient2. D’après l’association Homosexualité et socialisme 67 % des trans de 16 à 26 ans ont « déjà pensé au suicide » et 34 % ont déjà fait « une ou des tentatives » et contrairement à ce que l’association pro LGBT prétend, ce ne sont pas les discriminations qui en constituent la cause principale, mais la déception qu’entraînent les traitements et mutilations qui ne leur ont apporté aucun soulagement. Or les nombreux opposants à cette « théorie » maintenant devenue « pratique » sont muselés3 et interdits d’antenne médiatique. Et pourtant ne serait-ce pas aux parents, familles de choisir « l’éducation » de leurs petits. Si nous laissons faire, combien d’années faudra-t-il avant que des pères se retrouvent en prison, comme au Canada ou aux USA précurseurs habituels de nos mœurs, pour avoir refusé la transition d’un enfant mineur4 ?

Comme pédiatre, nous avions appris qu’après la petite enfance et la découverte des différences entre le corps du petit garçon et celui de la petite fille, venait une période dite de latence pendant laquelle les problèmes de sexe n’étaient pas à l’ordre du jour, environ entre trois et douze ans. Et voilà que selon le bon plaisir de quelques humains perturbés, il faudrait interférer dans cette période de construction silencieuse ?

L’activisme trans à l’éducation nationale

L’ancien Institut National de la Recherche Pédagogique, devenu Réseau Canopé, invitait récemment les écoliers à « déconstruire la parenté », tout en recherchant la signification des préfixes « hétéro », « homo », « trans », « cis », « inter » et « bi ». On s’étonne de la perte de repères de ces très jeunes adolescents devenus violents, mais on les a privé de père, en tous cas de père ayant conservé l’autorité, tant depuis des années on détruit la famille, le respect, l’autorité. De même l’enseignant est dépossédé de son droit d’autorité, et donc non respecté, ni écouté. Isolés dans leurs angoisses, nos enfants sont perdus et comme si cela ne suffisait pas il faudrait leur expliquer à l’école qu’ils ne sont finalement pas une fille, ou un garçon et que, comme a dit notre ancienne ministre de la Santé, le père peut très bien être la tante, etc.

Tant qu’on n’aura pas mis d’ordre dans les têtes des pseudoélites dirigeantes, la violence, le désespoir, les suicides ne pourront que se multiplier pour ces jeunes auxquels on refuse le b a ba des de l’éducation, de l’amour du père et de la mère, et qu’on tente de détruire ce que la famille ordinaire peut leur apporter.

Le délire woke à l’école

On apprend dans une circulaire du 29 septembre de 2021 du ministère de l’Éducation (au Bulletin officiel) intitulée « Pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire ».

Pourquoi n’en a-t-on pas parlé ? Le cinéma covid19 visait-il à dissimuler de nombreuses modifications capitales (chômage, retraites, immigration, eugénisme, etc.) pour notre pays dont celui-ci ? Cette circulaire qui s’impose aux enseignants s’attache presque exclusivement à la « transidentité », partant du postulat que « la transidentité est un fait qui concerne l’institution scolaire ».

Le plus extraordinaire dans cette circulaire est que « l’identité de genre s’établit par simple déclaration de l’élève ».

« La prise en considération de l’identité de genre revendiquée de la part d’un ou d’une élève ne doit pas être conditionnée à la production d’un certificat ou d’un diagnostic médical ou à l’obligation d’un rendez-vous avec un personnel de santé ».

Dès ce « coming out » (terme de la circulaire), « l’établissement scolaire doit être attentif à garantir les conditions d’une transition revendiquée — c’est-à-dire la possibilité d’être et de demeurer identifié et visible comme une personne transgenre ».

Le plus incroyable est la mise à l’écart des parents de mineurs :

« Les parents peuvent être tenus à l’écart : “une communication avec les représentants légaux ne doit se faire qu’avec l’accord explicite de l’élève.”

S’ils s’opposent à la transition, les parents récalcitrants font l’objet de discrètes menaces : “Dans les cas où le mineur apparaît en situation de danger dans son environnement familial ou de vie, il peut être décidé de rédiger et transmettre une information préoccupante à la cellule départementale de recueil des informations préoccupantes (Crip) ou de faire un signalement judiciaire auprès du parquet des mineurs”.

Pour accompagner ce changement, l’établissement scolaire substitue le prénom d’usage, de manière cohérente et simultanée, dans tous les documents qui relèvent de l’organisation interne (listes d’appel, carte de cantine, carte de bibliothèque, etc.) ainsi que dans les espaces numériques (ENT, etc.)”. Des professeurs qui usent du prénom d’état civil peuvent faire l’objet de rappels à l’ordre. Enfin, l’élève pourra faire convoquer ses parents s’ils s’opposent à ce changement de prénom ».

L’intimité et le problème des toilettes au choix de l’enfant : « l’établissement peut autoriser l’élève à utiliser les toilettes et vestiaires conformes à son identité de genre », et « à occuper une chambre dans une partie de l’internat conforme à son identité de genre ». Il suffira ainsi qu’un garçon ou une fille déclare appartenir à l’autre sexe pour pouvoir être autorisé à en fréquenter les toilettes, les vestiaires et le dortoir au risque d’importuner leurs légitimes utilisateurs. C’est d’ailleurs parfois le cas dans les prisons françaises5 !

« Les choix relatifs aux toilettes, aux vestiaires et aux dortoirs doivent également, dans la mesure du possible, s’appliquer lors des déplacements, sorties et voyages scolaires ».

« Il appartient également aux personnels de l’éducation nationale de s’assurer que l’expression de genre des élèves n’est pas remise en cause ou moquée et que les choix liés à l’habillement et à l’apparence sont respectés ».

Évidemment toute mise en cause de cette circulaire et de ses conséquences potentiellement dramatiques est taxée de transphobie comme toute discussion sur la guerre en Ukraine de poutinisme, ou sur les injections, d’antivax. 50 ans après 1968, nous avons atteint l’antithèse d’« il est interdit d’interdire ».

Aujourd’hui et sous le joug des leaders de l’époque qui ne retrouvent plus la plage sous les pavés, il est interdit de penser, de s’exprimer si on n’accepte pas à 120 % l’idéologie au pouvoir, et sans discuter.

Et l’obsession de la transphobie conduit à la médicalisation de tout ! Une phobie est une affection psychique par nature irrépressible et aboutit à des gestes médicamenteux dangereux pour les enfants ou adolescents transformés en malades à vie, par les conséquences de la chirurgie lourde parfois à deux sens successifs (transition femme homme puis homme femme si déçue) et des traitements hormonaux qui ne sont pas sans risque.

On peut aussi être perturbé par les conseils du ministère d’inviter les militants associatifs LGBT+ dans les établissements, tout en interdisant aux opposants de s’exprimer y compris à l’université. Certains adolescents ont raconté leurs troubles après la visite d’un trans dans leur classe.

La validation par le Conseil d’État

Un parent d’élève qui opposait à la circulaire du Ministère de l’Éducation a référé au Conseil d’État la loi qui stipule « aucun citoyen ne pourra porter de nom ni prénom autres que ceux exprimés dans son acte de naissance ». Par décision du mercredi 28 septembre 2022, le Conseil a refusé d’annuler la partie de la circulaire permettant aux élèves transgenres de porter à l’école le prénom de leur choix.

Le Conseil d’État estime en effet que l’usage d’un autre prénom par les élèves ne concernait que la « vie interne de l’établissement » et rappelle que seul le prénom inscrit à l’état civil reste utilisé pour les épreuves des diplômes nationaux.

L’enfant, juridiquement incapable, se voit doté du pouvoir de contraindre les adultes dès lors qu’il parle de genre.

Selon F Rastier (ibid 1) :

« la nomination reste un invariant anthropologique majeur, conférer à l’enfant le pouvoir d’effacer la trace de filiation conférée par ses parents et d’imposer un nouveau prénom fait de lui un self-made-man, concrétisation de l’individualisme absolu prôné par l’idéologie managériale. Le message est clair : le ressenti a force de loi ou plutôt transcende la loi ».

Cette volonté farouche de faciliter la vie d’enfants qui seraient trans sur leur simple propre déclaration forcément acceptée par l’entourage et les familles (sous peine de se voir poursuivis par les services sociaux) se développe à l’éducation nationale pour convaincre du « progressisme » de cette institution.

Mais vous remarquerez qu’il n’est jamais question du ressenti, du vécu, des traumatismes subis par les autres enfants qu’on n’a même plus le droit d’appeler « normaux » et qu’il faut nommer « cis » pour faire bien et se montrer politiquement correct.

Que pense le petit garçon dont le professeur homme le vendredi revient habillé en femme le lundi et qu’il doit lui dire « madame » au lieu de monsieur, sans broncher ? Ou quand c’est leur camarade Baptiste qu’ils vont devoir appeler Henriette le lundi, tout cela le plus « normalement du monde »6. En effet, ils vont rapidement comprendre qu’il est interdit d’avoir la moindre critique de cette nouvelle pensée, au risque de se faire rabrouer et traiter d’homophobe ou de transphobe. Les témoignages d’enfants troublés à la maison le soir sont nombreux et inquiétants et les atteintes psychologiques sont en forte hausse.

Pourquoi ce wokisme politique envahit-il notre vie quotidienne et celle de nos petits ?

Même la littérature enfantine catholique s’en fait la complice ! Cette pseudo-ouverture d’esprit tente d’imposer de nouvelles normes qui voudraient effacer la différence entre homme et femme, fait taire la grande majorité des enfants et adultes menacés de se faire traiter d’homophobes, d’« extrême droaate » et autres joyeusetés, et condamner les hésitants à choisir la cause « moderne ou progressiste » et se lancer dans une autoagression aux conséquences définitives par des opérations chirurgicales mutilantes, sorte de scarification XXL, et par des traitements hormonaux toxiques tant sur le plan psychologique que somatique avec son cortège d’effets secondaires connus (à court et moyen terme) et inconnus à long terme.

Entre autres exemples, les androgènes donnés il y a deux décennies pour stopper la croissance précoce d’enfants petits ont entraîné des cancers du foie. Nous y reviendrons dans un article plus détaillé tant les effets indésirables de la panoplie médicamenteuse honteusement prescrite à des enfants innocents et des parents soumis et terrorisés sont importants et cachés par les médecins complices de ce jeu de Satan. Pour qui se prennent-ils ? Le mythe de Faust est d’actualité…


1 Aspects du transactivisme républicain, du ministère de l’Éducation au Conseil d’ÉtatObservatoire du décolonialisme (decolonialisme.fr) par François Rastier, Directeur de recherche honoraire au CNRS, membre du Laboratoire d’analyse des idéologies contemporaines (LAIC).

2 Les suicides de ceux qui ont subi une « transition » sont beaucoup plus fréquents que dans la population habituelle, sans parler des souffrances de ceux qui ne sont pas passés à l’acte.

3 En quelques semaines, Caroline Éliacheff et Céline Masson ont été empêchées de présenter leur livre « La fabrique de l’enfant transgenre » à l’Université de Genève, à la rencontre Citéphilo de Lille, dans une salle municipale à Paris, dans une association à Lyon, au Café Laïque à Bruxelles, etc. (ibid 1)

4 Dans des pays qui judiciarisent la prétendue transphobie, des parents ont été condamnés pour « mégenrage », parfois à la prison (ainsi, un facteur de Vancouver s’est-il vu infliger six mois de détention, sur plainte de sa fille).

5 Sauf récemment en Écosse une femme transgenre emprisonnée pour viol d’autres femmes a finalement été incarcérée dans une prison pour homme.

6 Il ne faut pas le « mégenrer » !