« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs

Par Alain Nicolaï, auteur du  Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence)

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« Nous sommes en guerre. »

Macron le 16 mars 2020

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Aux naïfs qui ne se sont pas encore rendu compte que la politique de Macron et de son gouvernement(([1] Gouvernement dont il faut se demander si une partie n’est pas manipulée par Macron, de même que la plupart des députés LREM. Remarque : ce qui ne les excuse en aucun cas, puisque, en théorie, ils devraient avoir un cerveau.)), loin d’être incohérente, est en fait simplement l’exécution d’un plan machiavélique préparé de longue date par la finance (le banco-centralisme), certains milliardaires et les partisans du nouvel ordre mondial, il va être présenté dans cet article une suite d’informations cachées au grand public qui le prouvent abondamment. Il est très facile de le démontrer, puisqu’une grande partie des textes et des vidéos ci-dessous proviennent de leurs propres sources. 

Au cours de l’histoire de France on n’a jamais vu un gouvernement provoquer une dépression économique. Cette pandémie de Corona a commencé en janvier 2020, pourquoi ?  

Extrait de la conférence faite le 20/11/2020 à Berlin par Paul Schreyer, journaliste d’investigations :

On peut bien sûr se dire : il y a un virus qui apparaît, et voilà. Si nous restons dans l’explication officielle, et après, ça a suivi son cours. C’est arrivé comme le destin l’a voulu. Si nous supposons maintenant que cela ne s’est pas produit de manière aussi fatale, mais que cela a été dirigé par certains cercles, une sorte de gymnastique mentale, alors il n’est peut-être pas inintéressant d’éclaircir ce qui s’est passé en septembre 2019.

Parce que c’est à ce moment-là qu’un très gros tremblement de terre s’est produit sur les marchés boursiers. Je n’avais presque rien remarqué. A l’époque, j’y ai vaguement fait attention, c’était juste un petit événement, mais je n’avais pas suivi et ce n’est que maintenant, lors de la préparation de ma conférence, que je l’ai examiné de plus près.

Comme je l’ai déjà dit au début, je n’ai pas encore abordé ce sujet dans mon livre. Pour vous donner une idée de ce qui s’est réellement passé, je vais simplement vous montrer un court article de presse qui résume assez bien la situation. C’est un article de la « Zeit » (un journal allemand). Il a été publié en octobre 2019, et on y lit:

« Court-circuit dans le système financier. La Réserve fédérale américaine veut empêcher une défaillance totale du marché monétaire en injectant des milliards de dollars. À quel point la situation est-elle critique? »

Je vais vous lire les informations clés de l’article pour que vous compreniez ce qui se passait : « La crise est survenue du jour au lendemain. Les banques étaient à court d’argent. Les banques centrales ont injecté des centaines de milliards de dollars sur le marché monétaire, juste pour éviter le pire. Tout cela ressemble à l’apogée de la crise financière mondiale il y a onze ans — mais en fait, il s’agit de l’avant-dernier lundi. » Donc septembre 2019. « C’est à ce moment-là qu’une partie essentielle du système financier mondial était au bord de l’effondrement, et le public n’a quasiment rien remarqué. »

« Dans la nuit du 17 septembre, un certain taux d’intérêt (…) a grimpé sans prévenir : le taux qui s’applique aux banques qui veulent emprunter à court terme. Normalement, les banques sont approvisionnées en argent liquide pour un intérêt d’environ deux pour cent (…) Mais soudain, l’argent liquide y coûtait dix pour cent. (…) La dernière fois que les banquiers centraux ont dû intervenir sur marché Repo (le marché des pension) — c’est le nom de cette place financière —, c’était après la disparition de la banque d’investissement Lehman Brothers en 2008. À l’époque, la détresse de cette banque d’investissement avait déclenché un état d’urgence dans cette partie du système financier, ce qui avait presque conduit à l’effondrement de l’économie mondiale. »

J’ai trouvé cela très intéressant et je le trouve toujours très intéressant. J’ai donc essayé de vérifier ça, de jeter un coup d’œil sur les chiffres. Je suis allé sur le site de la Réserve fédérale, la Réserve fédérale américaine. Et là, j’ai trouvé le graphique suivant. (Min. 53.32 * graphique)

Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec la finance et les chiffres, ne vous inquiétez pas, ce graphique n’est pas magique. Pas aussi compliqué qu’il n’y paraît à première vue. Je vais essayer de l’expliquer brièvement : Le graphique montre le « bilan », c’est-à-dire le total des actifs de la banque centrale.

On pourrait le traduire ainsi : Le graphique montre la quantité d’argent que la Réserve fédérale apporte à l’économie américaine. Alors, combien d’obligations d’État achète-t-elle, et combien d’obligations de sociétés achète-t-elle.

Cela signifie que la Réserve fédérale crée de l’argent et le met sur le marché pour compenser le fait que les banques ne se prêtent plus d’argent parce qu’elles ont perdu confiance. C’est ce qui se passe. On pourrait nommer cela également, de manière un peu simplifiée, la courbe de température de l’économie américaine. En fait, c’est excatement ça. (*Min. 54.21).

Commençons par la gauche. En 2008, avant la crise financière, la Réserve fédérale avait des actifs totaux d’environ un trillion, 1’000 milliards de dollars. Ça a doublé en quelques semaines, à l’automne 2008. Oui, pourquoi ça a doublé ? Parce que les banques ont arrêté de se prêter de l’argent entre elles. La confiance a disparu. Et c’est à ce moment-là que la banque centrale doit intervenir, sinon le système s’effondre. C’est ce qui s’est passé.

Ce qui est intéressant, c’est qu’il n’a pas été réduit, le niveau est resté le même au cours des années suivantes. En 2010, 2011, il a été augmenté. 12,13,14, il a encore été augmenté. Ensuite, il y a eu une phase de plateau de 2015 à fin 2017. Avec une phase de plateau très élevée, quatre mille milliards, donc quatre fois le niveau d’avant la crise. Si vous regardez cela avec le recul d’aujourd’hui, vous pouvez voir que cette bulle était gigantesque. Il est clair pour nous qu’une bulle aussi importante ne peut être maintenue éternellement. À un moment donné, il faut la dégonfler ou elle va éclater. Et c’est exactement ce que la Réserve fédérale a essayé de faire à la fin de 2017. Elle a décidé de dégonfler lentement et délibérément cette bulle de manière continue. Vendre des actifs et ainsi dégonfler l’argent du système à nouveau. Et ça a bien marché pendant deux ans. De fin 2017 à fin 2019 — et là, nous allons zoomer — vous pouvez le voir à nouveau. Comment, continuellement, donc mois après mois, la banque centrale essaie de dégonfler la bulle. Et les marchés ont joué le jeu. Les investisseurs l’ont accepté.

Et en septembre 2019, quelque chose s’est produit. Je ne sais pas quoi, je ne peux pas vous le dire. Mais le fait est que la confiance dans ce marché financier, dans ce « marché repo » s’est effondrée en septembre 2019. Et cela a conduit la banque centrale à devoir changer totalement de cap. Ce qu’elle avait fait pendant deux ans, elle a dû l’inverser complètement. Il fallait recommencer à acheter. Cela a donc été un choc pour cette banque. Et vous pouvez voir, ce pic ici, n’a rien à voir du tout avec la Corona. Nous sommes en janvier 2020, et puis en mars, c’est la montée dans l’ombre de la Corona. Mais ce qui se passe ici, en octobre, novembre et décembre 2019, n’a rien à voir avec la crise de la Corona. Mais c’est le même mouvement qui s’est intensifié par la suite.

Si vous regardez ça maintenant… Oh non … D’abord, je voudrais vous montrer un rapport de janvier 2020, un rapport du 16 janvier, c’est-à-dire avant même que la Corona ne devienne le grand sujet médiatique. Le journaliste du Handelsblatt Norbert Häring a écrit un article sur cette augmentation. Et il y écrit :

« La FED a justifié son intervention — de manière peu convaincante — par une erreur de calcul temporaire de sa part (…). Il ne faut en aucun cas en conclure que les banques ne se font plus confiance. La prétendue erreur de calcul est apparemment assez persistante. Quatre mois plus tard, les prêts d’urgence (…) sont toujours disponibles en quantités illimitées, et il n’y a pas de fin en vue. 

La FED garde secrets les noms des bénéficiaires des prêts afin de ne pas les marquer d’une réputation d’indigence. (…) 

Peut-être que le boom des marchés financiers alimenté par les banques centrales est dans sa phase finale avant l’effondrement. »

Norbert Häring

Permettez-moi de replacer cela dans un contexte temporel plus large. J’ai choisi un graphique des actifs totaux de la Réserve fédérale remontant non pas à 10 ans, mais à 100 ans. C’est le nombre d’années d’existence de cette banque. (Min. 57.45 graphique) Voilà, c’est cette courbe.

C’est fait là où vous voyez dans quelle mesure la Réserve fédérale est impliquée dans l’économie américaine. Et nous voyons — nous sommes ici en 2008 — la crise financière. La dernière fois qu’une crise de cette ampleur s’est produite, c’était lors de la Grande Dépression de 1930. Les valeurs jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale ont été lentement réduites après la guerre mondiale. C’est le niveau, c’est la gravité que nous avons atteinte avec la crise financière de 2008 et aussi avec la crise qui a éclaté à nouveau en septembre 2019. C’est la dimension dans laquelle nous nous trouvons, sur le plan fiscal.

L’Event 201, l’ultime simulation basée sur les Relations Publiques

En octobre 2019, l’exercice suivant était  » l’événement 201 « . Voici l’endroit, l’hôtel où cet exercice a eu lieu. Nous voyons un hôtel chic de Manhattan, sur la 5e avenue. Et là-bas, c’est Central Park. Oui, et si vous descendez un peu la rue, à quelques rues d’ici, vous trouverez la tour Trump. C’est donc la rue la plus chère de Manhattan ici. Et cet hôtel a ouvert en 1930, en pleine crise économique, avec l’argent des grandes banques de Wall Street.

Et l’architecture de cet attique s’est inspirée de la chapelle de Versailles, la splendeur baroque de Louis XIV. C’est dans cette splendeur que les banquiers de Wall Street qui l’ont financé voulaient vivre. Ils se voyaient un peu à ce même niveau. Oui, l’hôtel est toujours là aujourd’hui. Et c’est là, à New York, qu’a eu lieu l’exercice « Event 201 », au cours duquel une pandémie de coronavirus a été répétée.

Laissez-moi vous dire qui est assis à cette table, afin que vous puissiez vous faire une idée des personnes qui répétaient : voici le modérateur du Center for Health Security (min 59:32), à côté de lui se trouve Christopher Elias. Nous l’avons vu tout à l’heure, il fait partie de la Fondation Bill Gates et a été conseiller du gouvernement fédéral, comme nous l’avons appris tout à l’heure. À sa droite, le directeur du Centre de contrôle des maladies. Ici, c’est le chef de l’agence chinoise de contrôle des maladies. Ils ont également participé à cet exercice. Et puis le vice-président de Johnson & Johnson, la plus grande société pharmaceutique du monde en termes de valeur marchande. Et elle, c’est l’ancienne vice-présidente de la CIA, elle était aussi dans ce panel. Et le monsieur en face est le président de l’agence de relations publiques Edelmann, la plus grande agence des relations publiques au monde.

Lors de cette conférence, lors de cet exercice, comme je l’ai dit, une pandémie de coronavirus a été jouée, également en termes de relations publiques.

Il est dit dans les documents relatifs à cet exercice que « les gouvernements devront travailler avec les sociétés des médias pour rechercher et développer des approches plus sophistiquées pour contrer la désinformation. Il va donc falloir développer la capacité d’inonder les médias d’informations rapides, précises et cohérentes. (…) Pour leur part, la presse devrait s’engager à faire en sorte que les messages officiels soient prioritaires et que les faux messages soient supprimés, y compris par le biais de la technologie. » Et c’est exactement ce qui se passe en ce moment même.

Voici une autre photo de cette conférence ; nous voyons l’organisatrice ici, il s’agit de la directrice du Centre pour la sécurité sanitaire, Anita Cicero. Elle est avocate. Elle a œuvré, avant de travailler pour cet institut, pour un grand cabinet d’avocats en tant que lobbyiste pharmaceutique. Elle avait trois cents avocats sous ses ordres et ses interlocuteurs comprenaient des membres de la Commission européenne, des hommes politiques du Sénat américain, auxquels elle a fait valoir les intérêts de l’industrie pharmaceutique avant de devenir ensuite vice-directrice de ce centre et d’aider à organiser des exercices comme celui-ci.

Ce que je trouve très intéressant, c’est la présentation en haut à gauche de l’image, où l’on voit comment cette crise, qui a été fictivement mise en scène, est illustrée. Vous pouvez donc voir ici un graphique, les numéros de cas, comment ils se développent. Vous pouvez voir quels pays sont touchés dans quelle mesure, vous pouvez voir comment les cours boursiers évoluent au même moment, combien de décès il y a, projeté sur les mois suivants.

M Schreyer montre l’infographie présentée lors de l’Event 201 et sa ressemblance avec celles qui nous accompagnent depuis plus d’une année.

Voir la transcription intégrale de la conférence sur le site de Liliane Held Khawam.(([2] https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/18/une-serie-de-simulations-de-pandemie-a-precede-la-crise-du-covid-19-partie-1-paul-schreyer/)) (([3] https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/21/une-pandemie-qui-survient-au-lendemain-du-crash-du-marche-des-repo-suite-et-fin-de-la-traduction-de-la-conference-de-paul-schreyer/))

À notre connaissance le premier à avoir dénoncé la crise sanitaire comme étant une manœuvre de la haute finance est un trader italien Andreas Cecchi.(([4] Version italienne et française de l’article original en partie flouté par la censure, repris par Nouveau Monde https://nouveau-monde.ca/le-bon-virus-au-bon-moment/))

Voici un court extrait de son article publié dès le 12 mai 2020 qui résume bien la situation :

« Le virus est vraiment arrivé au bon moment. S’il n’était pas arrivé, les taux d’intérêt auraient grimpé en flèche et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 milliards de milliards — estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé (en 2008). Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer.

Arrêter l’économie et donc la demande de prêts et inonder les banques de liquidités nouvelles semblait être la solution la moins dommageable. Au moins pour eux. Le slogan “tout ira bien” qu’ils ont mis dans la bouche des zombies sans tête, a servi à réitérer que tout ira bien pour eux, pas pour nous, et que pour l’instant, l’effondrement monétaire n’aura pas lieu, car ils ont arrêté l’économie en jetant tout le monde. Nous restons immobiles, immobiles dans un coin, comme dans une prison planétaire. En sauvant les REPO, les Hedge Funds et donc les fonds de pension ont également été sauvés. Pour l’instant, les retraités peuvent se reposer tranquillement. Leur pension est assurée. »


À ces manœuvres, s’ajoutent de multiples projets préparés de longue date, comme on le comprend facilement en lisant :
l’Agenda 2030 de l’ONU,(([5] Voir sur https://www.lilianeheldkhawam.com))
la déclaration de la Banque Européenne(([6] https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/covid-19-une-annulation-de-la-dette-est-inenvisageable-affirme-christine-lagarde-CNT000001wZxp0.html))
ou celle de Klaus Schwab, Président fondateur du Forum Économique Mondial(([7] https://nouveau-monde.ca/dici-2030-nous-naurons-rien-et-nous-en-serons-heureux/ Ce qui se résume ainsi : pour le remboursement des dettes créer par votre gouvernement nous saisirons tous vos biens.)) 
qui convergent tous vers la prise de pouvoir qu’ils voudraient planétaire par la caste des fascistes.

La France est bloquée et privée de liberté depuis plus d’un an alors que Plus de 90 % des décès du Covid-19 surviennent chez les plus de 65 ans (lefigaro.fr)Il n’y a vraiment que les naïfs pour croire que derrière tout ceci il n’y a pas d’intentions cachées.

L’instrumentalisation de l’épidémie de Covid 19 rappelle les heures les plus sombres de l’histoire, avec la propagande nazie qui a fait d’une nation cultivée la victime d’un des plus grands criminels de l’histoire. Mais avec ce qui se passe actuellement en France et dans de nombreux pays, à l’exception notoire de la Fédération de Russie et de la République Populaire de Chine,(([8] La Chine et la Russie lancent une « économie mondiale de la résistance ». — Nouveau Monde  États qui ne sont plus confinés et qui ont repris leur marche en avant.)) nous avons franchi un pas de plus dans l’abjection :
l’Union Européenne, les gouvernements et les chefs d’État qui trahissent leur propre population.

Pour couronner  le tout, la dernière de Macron, l’entrepreneur de démolition :

« Nous devons déconstruire notre propre histoire. »

(([9] https://www.nice-provence.info/2021/04/22/chronique-decomposition-francaise-le-retour-des-barbares/))


La devise de la République française est Liberté — Égalité  Fraternité,
pour être parfaite elle devrait être, Équité Liberté Objectivité,
car cela donne :

Équité + Liberté + Objectivité = Fraternité.

Le peuple souverain transmet son pouvoir à son Président pour le guider.

Certes Nicolas Sarkozy et François Hollande étaient des partisans du nouvel ordre mondial comme l’indiquent certaines de leurs déclarations… , mais dans les faits, le seul président qui a osé — dans le pays qui a proclamé le premier les Droits de l’homme — ouvertement briser le Pacte Républicain, est le dénommé Macron. Aussi il ne faudra pas qu’il s’étonne le jour où il en paiera le prix cash !!!!!


Notes




Quel jeu joue la Russie dans le Great Reset ? *

Par Jean-Michel Grau

À l’heure où la confrontation entre l’État profond américain et la Russie de Poutine s’avère de plus en plus probable très prochainement dans le marais ukrainien, il s’avère judicieux de se pencher sur l’alliance contre nature à la tête de l’événement Cyber Polygone consacré à la cybersécurité qui a réuni en juillet 2020 le Premier ministre russe, Mikhael Mishustin, spécialisé en ingénierie des systèmes, et le patron du Forum Économique Mondial (FEM), l’économiste Klaus Schwab, événement dans lequel les intervenants ont mis en garde contre une « pandémie » de cyberattaques mortelles qui cibleraient principalement deux secteurs économiques : la santé et la finance.(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/))

Comment interpréter une telle alliance entre le représentant le plus caricatural de la domination mondialiste et l’ennemi juré des intérêts impériaux de l’Occident, à deux doigts d’une guerre USA-Russie qui pourrait entraîner toute l’Europe dans un déluge de feu ?

Pour tenter de comprendre ce qui peut apparaître au premier abord comme un pari insensé, on reprendra l’article de « Newswars »(([2] newswars.com/cyber-polygon-2021-globalists-run-simulation-of-a-coming-cyber-pandemic-to-prepare-for-economic-reset/)) dont voici la traduction ci-dessous, que l’on commentera.

« Les mondialistes préparent le terrain pour la Grande Réinitialisation avec une prochaine simulation très médiatisée ciblant les cyberattaques contre les principales institutions financières.

Le Forum Économique Mondial (FEM) fera équipe avec le gouvernement russe et les banques mondiales en juillet prochain pour simuler une « cyberpandémie » majeure de la chaîne d’approvisionnement qui pourrait potentiellement « faire tomber tout le système ».

La simulation, appelée Cyber Polygone 2021, a été annoncée par la plus grande banque publique russe, Sberbank, en février.(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS))

« Le message clé exprimé par les experts lors du FEM et d’autres plateformes internationales est que la sécurité de la chaîne d’approvisionnement va devenir un problème majeur de cybersécurité en 2021 », a déclaré Sberbank. « La numérisation en constante expansion resserre l’interconnectivité entre les personnes, les appareils, les entreprises et les pays. Ainsi, la résilience d’un système entier dépend de la capacité de chaque maillon de la chaîne à résister à des menaces de différents grades. »

Le site web(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/)) prévient sinistrement « qu’un seul maillon vulnérable suffit à faire s’effondrer l’ensemble du système, tout comme l’effet domino », ajoutant que « le Cyber Polygone 2021 permettra aux spectateurs et aux participants d’améliorer leur cyberculture, de renforcer la résilience de leurs organisations et d’apprendre à repousser les cybermenaces à tous les niveaux. »

Le Cyber Polygone 2021 est la suite annuelle de l’événement Cyber Polygone 2020 de l’année dernière, auquel participait le Premier ministre russe Mikhail Mishustin, et des participants comme le fondateur du FEM Klaus Schwab, l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair et une vingtaine d’autres membres de l’élite politique.

120 organisations réparties dans vingt-neuf pays ont pris part à deux scénarios, Défense et Réponse, qui ont été simulés au Cyber Polygone 2020. Selon le groupe russe de cybersécurité BI.ZONE, pas moins de cinq millions de personnes auraient regardé le livestream dans plus de 57 pays.

L’un des intervenants était notamment Stéphane Duguin, PDG de l’Institut CyberPeace, qui est financé par Microsoft, Facebook et Mastercard, entre autres. L’institut prétend aider les clients à

« accroître la résilience numérique et la capacité à répondre aux cyberattaques et à s’en remettre. »

Schwab, en particulier, est un grand partisan de la Grande Réinitialisation,(([4] https://weforum.org/great-reset/)) une transition coordonnée par les mondialistes vers une économie mondiale de la Quatrième Révolution Industrielle dans laquelle les travailleurs humains deviennent de moins en moins pertinents à mesure que l’économie mondiale s’automatise.

Mais la Grande Réinitialisation ne pourra se réaliser qu’après l’effondrement total du système corrompu actuel.

L’exercice du Cyber Polygone présente des similitudes remarquables avec l’Event 201,(([5] centerforhealthsecurity.org/event201/about)) (([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) un exercice soutenu par le FEM et Bill Gates qui simulait une pandémie dévastatrice de coronavirus perturbant l’ensemble de l’économie mondiale, lancé quelques mois avant l’épidémie de COVID-19 qui s’est déroulée exactement comme prévu par l’exercice.

Et, à l’instar d’Event 201, certains se demandent si Cyber Polygone n’est pas censé avoir une qualité prédictive similaire concernant l’effondrement de l’économie mondiale.

Certains diront qu’une « cyberpandémie » est une conséquence inévitable de l’évolution rapide du monde hi-tech dans lequel nous vivons, mais il est tout de même juste de souligner que « 2021 est l’année que beaucoup ont prédite pour la destruction financière des grandes institutions qui conduira à de nouveaux systèmes économiques qui s’alignent sur la Grande Réinitialisation », a rapporté Unlimited Hangout.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

« L’effondrement inévitable du système bancaire mondial, résultant de la corruption et de la fraude hors normes qui sévissent depuis des décennies, sera probablement mené par le biais d’un effondrement contrôlé, qui permettrait aux riches banquiers et élites, comme ceux qui ont participé au Cyber Polygone, d’éviter toute responsabilité pour leur pillage économique et leurs activités criminelles. »

De plus, l’establishment de Washington, qui n’a cessé d’accuser la Russie d’avoir « piraté » l’année 2016, (l’élection de Donald Trump ndlr) ne semblait pas voir de problème à laisser le gouvernement russe sonder les infrastructures de cybersécurité du monde entier à la recherche de faiblesses.

« L’absence totale du récit du ‘pirate russe’ au Cyber Polygone ainsi que le rôle de leader de la Russie lors de l’événement suggèrent, soit qu’un changement géopolitique a eu lieu, soit que le récit du pirate russe communément déployé par les agences de renseignement aux États-Unis et en Europe est principalement destiné au grand public et non aux figures d’élite et aux décideurs politiques présents au Cyber Polygone », rapporte Unlimited Hangout.

Ce n’est pas une coïncidence si les mondialistes lancent ces simulations qui s’alignent sur leurs objectifs radicaux de transformation de la vie publique.

« Lorsque les personnes les plus puissantes du monde, comme les membres du FEM, souhaitent procéder à des changements radicaux, des crises émergent opportunément — qu’il s’agisse d’une guerre, d’un fléau ou d’un effondrement économique — qui permettent une « réinitialisation » du système, qui s’accompagne fréquemment d’un transfert massif de richesses vers le haut. »

Le moins qu’on puisse dire est que ce texte appelle plusieurs commentaires.

Tout d’abord, comme le rappelle judicieusement l’article de Newswars, l’événement Cyber Polygone dont les Russes sont doublement partie prenante dans son organisation avec la première banque publique russe Sberbank(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS)) et le Premier ministre russe Mikhael Mishustin, n’aurait-il pas un caractère prédictif, à l’instar de l’Event 201, répétition générale de la pandémie du Covid-19, prélude à son déclenchement et à l’effondrement de l’économie mondiale un an après ?

Quand on sait que le Cyber Polygone a prévu de simuler en juillet 2021 une cyberattaque mondiale entraînant un black-out total des populations avec plus d’électricité, plus d’approvisionnement, plus d’hôpitaux, plus de transports, on est en droit de se poser légitimement la question de savoir quel rôle jouent les Russes dans cette affaire ?

D’autant plus que comme chacun sait, les tensions entre l’Occident et la Russie n’ont jamais été aussi vives depuis la guerre froide, avec le sort de l’Ukraine en ligne de mire.

Quel est alors l’intérêt de la Russie de s’associer au FEM de Klaus Schwab, mais aussi à des entreprises américaines comme IBM ou encore l’ONG californienne ICANN ? Même chose pour Interpol, la BBC ou Tony Blair qui sont tous partie prenante de cet événement et par là même des défenseurs acharnés de la suprématie occidentale ?

À moins d’être un cheval de Troie, on voit mal comment la participation de la Russie au Cyber Polygone peut se justifier uniquement par la lutte contre la cybercriminalité.

Le véritable motif de la participation russe à l’organisation de l’événement Cyber Polygone ne serait-il pas tout autre ? Ne serait-ce pas plutôt une motivation financière ?

Selon Unimited Hangout,(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) « Les nouveaux systèmes économiques basés sur la numérisation, en partenariat avec les banques centrales ou gérés par elles, sont un élément clé de la Grande Réinitialisation du FEM, et de tels systèmes seraient une partie de la réponse au contrôle des masses de chômeurs récents. Ces monopoles numériques, et pas seulement les services financiers, permettraient à ceux qui les contrôlent de « couper » les rentrées d’argent d’une personne et son accès aux services si cette personne ne respecte pas certaines lois, mandats et règlements. »

On comprend déjà mieux l’intérêt de la Sberbank de participer à une telle opération. Cela suppose donc que la Banque Nationale russe, et donc l’État russe soient partie prenante dans la numérisation programmée des monnaies. Auquel cas, ils semblent, eux aussi, en assumer les conséquences, même les moins avouables.

Car la Sberbank a en ligne de mire le lancement de sa propre cryptomonnaie, le Sbercoin, un

« stablecoin » lié au rouble russe et son « écosystème » de finance numérique qu’elle a annoncé quelques semaines seulement après l’exercice Cyber Polygone 2020. Elle deviendrait ainsi la première banque au monde à lancer sa propre cryptomonnaie.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

Pour bien comprendre la portée autoréalisatrice des scénarios catastrophes du Forum économique mondial (FEM), il faut revenir sur le discours de « bienvenue » de son président fondateur Klaus Schwab lors de l’exercice Cyber Polygone de 2020 :

« Nous connaissons tous, mais n’y prêtons pas encore suffisamment attention, le scénario effrayant d’une cyberattaque globale qui mettrait complètement à l’arrêt l’approvisionnement en électricité, les transports, les services hospitaliers, notre société dans son ensemble. La crise du Covid-19 serait à cet égard considérée comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure. Nous devons nous demander dans une telle situation, comment nous avons pu laisser cela se produire alors que nous avions toutes les informations sur la possibilité et la gravité d’une attaque à risque. La cybercriminalité et la coopération mondiale devraient être au premier plan de l’agenda mondial. »

On voit ainsi clairement où Klaus Schwab veut en venir. En d’autres termes : sans traçage de la population mondiale via les vaccins, pas de cybersécurité possible. Et donc, encore une fois, le caractère autoréalisateur de cette menace s’avère d’autant plus probable qu’il fait suite à l’Event 201 qui a simulé une pandémie mondiale quelques mois avant la « pandémie » du Covid-19. Ainsi, Klaus Schwab lors de l’Event 201 ne déclarait-il pas dans sa documentation officielle(([4] https://weforum.org/great-reset/)) :

« La prochaine pandémie grave ne provoquera pas seulement de grandes maladies et des pertes de vie humaines, mais pourrait avoir des conséquences économiques et sociétales majeures en cascade qui pourraient contribuer grandement à un effondrement et à la souffrance des populations au niveau mondial. »

Il faut avoir donc à l’esprit que c’est en parfaite conscience que l’oligarchie mondialiste du Forum de Davos a planifié, déclenché et organisé la « pandémie » du Covid-19 avec la parfaite connaissance des dégâts majeurs qu’elle provoquerait au niveau économique et sociétal ainsi qu’en termes de pertes de vies humaines.

C’est dans ce contexte que s’inscrit la participation de la Russie aux événements du Cyber Polygone 2020 et 2021 pour lutter contre les « pandémies » dans le cadre du partenariat public-privé cher au Forum de Davos, promoteur de la fusion de ces deux secteurs.

Revenons maintenant à cette alliance contre nature de la Russie via sa banque publique Sberbank et le Forum Économique Mondial au sein du Cyber Polygone.

En 2020, y participait aussi IBM. Rappelons ici que les relations entre IBM et la CIA sont un secret de polichinelle, celles-ci remontant au début de la Guerre froide.(([7] wraltechwire.com/2020/11/23/ibm-lands-a-cloud-deal-with-cia-as-part-of-reported-multi-billion-dollar-contract/)) Ainsi, l’entreprise s’est tellement enracinée dans la CIA que celle-ci a récemment recruté son directeur de l’information chez IBM Federal.(([8] govconwire.com/2019/03/ibms-juliane-gallina-to-serve-as-chief-information-officer-at-cia-in-april/))

Quand on pointe les accusations répétées de l’establishment américain contre les hackers russes dans les élections américaines depuis plusieurs années, et aujourd’hui l’atmosphère de nouvelle guerre froide en Ukraine qui se réchauffe de plus en plus, cette collaboration américano-russe au sein du Cyber Polygone ne laisse pas d’étonner.

À gauche : la salle de commandement stratégique de Docteur Folamour.
À droite : la salle de commandement stratégique du Cyber Polygone.

Au final, que peut-on en conclure ?

Si l’on en croit Unlimitedhangout(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)), « l’inclusion de la Russie en tant que leader dans une initiative mondiale de cybersécurité aussi importante est un peu surprenante, surtout après que la Russie ait été le bouc émissaire de choix pour toute cyberattaque commise contre une puissance occidentale depuis plusieurs années. Pourtant, il n’y a pas eu de tollé en Occident à propos de Cyber Polygone 2020, dans lequel une société détenue majoritairement par le gouvernement russe a pu prendre directement connaissance des faiblesses en matière de cyberdéfense des grandes institutions, banques et entreprises mondiales accueillant l’exercice. »

Selon Unlimitedhangout, « la participation de Tony Blair à cet exercice a peut-être pour but de faciliter le soutien des gouvernements occidentaux alignés sur le FEM en faveur d’une inclusion encore plus grande de la Russie dans le Great Reset. Cela est dû en partie à l’effort du FEM pour amener les nations des BRICS comme la Chine ou la Russie dans le giron du Great Reset, car c’est essentiel pour le succès de leur programme à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, la Russie est le pionnier de ce nouveau modèle de systèmes financiers nationaux que le FEM soutient par la création par la Sberbank d’un monopole numérique non seulement des services financiers, mais de tous les services au sein de la Fédération de Russie. »

« Peu après le début de la crise du Covid-19 en mars 2020, Schwab a fait remarquer que la crise pandémique était exactement ce qu’il fallait pour lancer le Great Reset car elle a servi de catalyseur pratique pour commencer à remanier les économies, la gouvernance et la société sociale à l’échelle mondiale. Si les événements déstabilisateurs simulés à Cyber Polygone se produisent, il est probable que le FEM s’en félicitera également, étant donné qu’une défaillance critique du système financier mondial actuel permettrait l’introduction de nouveaux monopoles public-privé de type « écosystème numérique », comme ceux que la Sberbank est en train de mettre en place en Russie. »

« Fin 2019, quelques mois avant le début de la crise du Covid-19, le PDG de la Deutsche Bank a averti que les banques centrales ne disposaient plus d’outils pouvant répondre de manière adéquate à la prochaine crise économique. Il est certainement révélateur que des systèmes bancaires entièrement nouveaux, tels que le monopole monétaire numérique de la Sberbank, qui sera bientôt lancé, aient commencé à être développés au moment même où l’on commençait à reconnaître publiquement que les moyens traditionnels des banques centrales pour répondre aux calamités économiques n’étaient plus viables. »

« Une cyberattaque majeure, telle que celle simulée à Cyber Polygone 2020, permettrait de blâmer les pirates informatiques sans visage pour l’effondrement de l’économie, exonérant ainsi les véritables criminels financiers de toute responsabilité. De plus, en raison de la nature difficile des enquêtes sur les piratages et de la capacité des agences de renseignement à faire porter le chapeau aux autres États-nations pour les piratages qu’ils ont eux-mêmes commis, tout croque-mitaine de choix peut être blâmé, qu’il s’agisse d’un groupe de « terroristes intérieurs » ou d’un pays non aligné sur le FEM comme l’Iran ou la Corée du Nord », conclut Unlimitedhangout.

Tout cela suppose que la Russie soit entièrement d’accord avec le récit officiel sur le coronavirus et la cyberpandémie prétendument imminente. Mais qu’en sera-t-il avec le Cyber polygone planifié pour juillet 2021 ? À l’heure où la confrontation Russie-USA ne tient plus qu’à une étincelle en Ukraine, la participation russe via la Sberbank et le Premier ministre Mikhael Mishustin est-elle encore sérieusement envisagée ?

Dans un monde où les armes hypersoniques et les missiles intercontinentaux des grandes puissances pourraient provoquer le seul véritable Great Reset, la finalité du Cyber Polygone ne devrait-elle pas avant tout s’appliquer à ceux qui l’ont organisé ?

« Aujourd’hui, chaque habitant de cette planète doit envisager le jour où elle ne sera plus vivable. Chaque homme, chaque femme et chaque enfant vit sous le coup d’une épée de Damoclès atomique, suspendue par le plus fin des fils, susceptible d’être coupé à n’importe quel moment. Par accident, erreur ou folie. Les armes de guerre doivent être abolies avant qu’elles nous abolissent. »

John Fitzgerald Kennedy, discours à l’Assemblée Générale des Nations Unies, 25 septembre 1961

Y a-t-il encore un chef d’État pour relever le défi ?


* Grande réinitialisation




COVID-19, LA LUMIÈRE AU BOUT DU TUNNEL ?

Par Nicole Delépine

Selon R. Fuellmich, la lumière est au bout du tunnel.

Acceptons-en l’augure !

https://2020news.de/rede-dr-fuellmich-auf-der-kassler-demo/

Le 20 mars 2021, une grande manifestation contre les mesures anticorona du gouvernement a eu lieu à Kassel. Selon les rapports de presse, 20 000 personnes étaient présentes, plutôt 100 000 d’après les participants.

Avocat et fondateur membre du comité Corona créé à berlin en juillet 2020, Reiner Füllmich a pris la parole lors de la manifestation.

2020News publie le texte de son discours ici.

EXTRAITS LIBRES

« Comment auriez-vous réagi début 2020 si on vous avait dit que de la mi-mars à aujourd’hui 

  • non seulement les gens partout en Allemagne mais dans de grandes parties du monde porteraient des masques, y compris les enfants ?
  • En raison de soi-disant confinement, la classe moyenne allemande, ainsi que la classe moyenne de tout le monde occidental, est menacée de faillite ?
  • Des millions d’opérations, d’examens de dépistage du cancer, de mesures de rééducation et d’autres mesures médicales ont été reportés, avec des conséquences sanitaires imprévisibles pour les personnes touchées ?
  • Des milliers de personnes en phase terminale en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont obligées de mourir isolées et toutes seules sans le soutien de leurs proches ?
  • Des gens partout en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont privés de leur liberté pendant des jours et des semaines sans ordonnance du tribunal en raison de soi-disant ordonnances de quarantaine ?
  • Des gens en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont poursuivis pour avoir fêté leur anniversaire, assis sur un banc de parc, faire du jogging, chanter ?
  • Les parlements occupés par des représentants du peuple que nous élisons sont de facto impuissants et les gouvernements fédéral et des États ont adopté une série ingérable de règlements arbitraires sans aucune légitimation du peuple, dont personne ne comprend le contenu et les limites ?
  • Tous les droits démocratiques fondamentaux ont en fait été suspendus, y compris le droit démocratique fondamental le plus important, la liberté d’expression ? »

Et oui c’est ce qui est arrivé dans de nombreux pays occidentaux dont l’Allemagne et la France et de trop nombreux pays à quelques exceptions comme la Suède ou la Biélorussie en Europe qui ont résisté aux pressions du FMI (sonnantes et trébuchantes d’après le président biélorusse).

Au nom de quoi avons-nous perdu nos droits fondamentaux dans un silence sidérant ou une sidération conduisant à la soumission devant l’énormité des mensonges ne pouvant pas en être selon le citoyen de base ? Une décision commune de nombreux pays obéissants à l’OMS et au conseil sanitaire international de l’OMS[1] signé par 194 pays conduit au désastre mondial comparé par certains à une troisième guerre mondiale

Les pays signataires s’étaient mis d’accord pour appliquer les mesures décidées par l’OMS en cas de pandémie mondiale. Restait à décider qu’il y avait pandémie, ce qu’a fait l’OMS sans vergogne en changeant les critères 12 ans plutôt. Le tour était joué et les partisans d’un gouvernement mondial influencés par Bill Gates via l’OMS qu’il finance en grande partie et les puissants de ce monde occidental comme Mme Merkel que les autres pays de l’UE dont la France suivent, ont pu imposer un temps leur scénario tragique.

Combien de temps, ce sera aux peuples d’en décider.

A ce jour, il n’y a pas de réponse à cette question de la part des gouvernements, fédéral et des États, sauf l’injonction : « il y a une pandémie corona, alors faites ce que nous vous disons de faire sans poser de questions ». 

Aucune question ne peut être posée, a expressément déclaré le chef du RKI, un vétérinaire nommé Wieler, RKI soi-disant autorité fédérale supérieure qui doit suivre les instructions des gouvernements ou du ministère fédéral de la Santé.

Qu’en pense donc Maitre Reiner Fuellmich ?

La démocratie vit de manière cruciale sur la compétence morale, et la compétence morale nécessite deux choses : la capacité de poser des questions au lieu d’obéir aveuglément aux ordres, et la capacité de discuter d’autres opinions au lieu de les diffamer à tous les niveaux.

La capacité de poser des questions et la capacité de discuter sont au cœur de la liberté d’expression et donc au cœur de la démocratie.

Dans l’intérêt de qui cette attaque de notre propre gouvernement contre la démocratie, c’est-à-dire le gouvernement du peuple a -t-elle eu lieu ?  « Qui a intérêt à détruire le pouvoir du peuple, la démocratie, et à le remplacer par quelque chose qui, comme les développements de l’année dernière l’ont montré, est un régime fasciste-totalitaire ? »

Commençons par la question centrale : sur quelles conclusions reposent ces ordres destructeurs de démocratie et extrêmement préjudiciables ?

Ces trois questions spécifiques auraient dû être posées devant les parlements !

  • À quel point le prétendu nouveau virus est-il vraiment dangereux ?

Conformément à l’OMS (quoique controversée) et au respecté Prof. Dr. John Ioannidis de l’Université de Stanford : pas plus dangereux que la grippe saisonnière avec un taux de mortalité par infection de 0,14-0,26%)

  • Quels sont les effets sanitaires et économiques des mesures anti-coronavirus ?

La réponse très détaillée et précise à cette question est à la disposition du ministère fédéral allemand de l’Intérieur depuis mai 2020, sous la forme de ce que l’on appelle désormais le «papier de fausse alerte», document  rédigé par un spécialiste du ministère de l’Intérieur bien formé à l’évaluation des risques pour la protection de la population.

Et tout le monde connaît maintenant la réponse, comme décrit ci-dessus :

les effets des mesures anti-corona sont comme une troisième guerre mondiale, mais sans guerre ouverte.

  • Quelle est la fiabilité du test PCR

pour la détection des infections que C. Drosten conseiller de A.Merkel pour la santé, a développé début janvier 2020 (à un moment où lui, Wieler et les autres déclaraient encore publiquement qu’il n’y avait rien à craindre du virus corona) et l’a fait recommandé par l’OMS dans le monde entier. Fabuleuse efficacité dramatique pour trop de peuples du monde entier !

Or

« un test PCR ne peut donner aucune information sur une infection, il n’est même pas approuvé à cet effet. C’est pourquoi ce test ne dispose que d’une soi-disant autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis et non d’une véritable autorisation complète. »

Réponses à ces trois questions selon R. Fuellmich

« Issu des travaux du Comité Corona, que ma collègue Viviane Fischer et moi avons fondé avec deux autres avocats le 10 juillet 2020 et qui a été constamment dirigé par le pneumologue et ancien chef d’un service de santé de longue date, le Dr. Wolfgang Wodarg, le biologiste Prof. Dr. Ulrike Kämmerer de l’Université de Würzburg et le professeur de droit Dr. Martin Schwab de l’Université de Bielefeld. »  Ce comité a depuis interrogé une centaine de scientifiques, médecins, avocats, économistes, psychologues, psychiatres et autres respectés et de renommée mondiale.

Les dégâts sont monstrueux dignes d’une guerre mondiale

Même l’OMS a admis que le danger réel du virus ne va pas au-delà de celui de la grippe saisonnière, qui a un taux de mortalité par infection de 0,14%, et s’épuise.

Et l’écrasante majorité de ceux qui meurent ont plus de 80 ans et souffrent de maladies préexistantes graves et multiples.

Des dizaines de scientifiques ont aujourd’hui confirmé que le test de Drosten, ne permet pas de tirer des conclusions sur les infections.

Même l’OMS et l’homologue américain du RKI[2] allemand, le CDC[3], l’ont admis et ont souligné qu’un test positif ne dit rien sur le caractère infectieux de la personne testée.[4]

C’est parce que le test ne peut pas faire la distinction entre le matériel vivant et mort

Il ne peut pas non plus dire si les symptômes d’une personne ne sont pas causés par un autre agent pathogène, comme un virus du rhume ou de la grippe. Plus précisément, le CDC dit :

« La détection de l’ARN viral n’indique pas la présence d’un virus infectieux ou que Covid 19 est l’agent causal des symptômes cliniques ».  Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux.

Habituellement, au moins jusqu’à l’apparition de Coronavirus sras cov 2, les personnes sans symptômes étaient considérées comme en bonne santé et se sentaient également en bonne santé.

Soulignons que l’affirmation mensongère selon laquelle il existe des infections asymptomatiques vient également de M. Drosten. En fait, il n’y a pas du tout d’infections asymptomatiques, comme ce fut récemment une nouvelle fois démontré avec une étude de 10 millions de participants à Wuhan, provenant de partout.. La Chine l’a montré à la fin de l’année dernière[5].

Les deux affirmations (validité des tests PCR et infections asymptomatiques) sont contraires aux faits établis :

  1. a) l’affirmation selon laquelle il y a des infections asymptomatiques
  2. b) l’affirmation selon laquelle le test Drosten PCR peut détecter des infections

viennent de Drosten le conseiller d’A. Merkel et de l’OMS. Au début de 2020, il les a publiés dans deux articles qui ne répondent même pas aux normes scientifiques.

Il a publié ces fausses déclarations : or, ​​au moment de la publication sur les infections asymptomatiques, il savait que le cas cité comme exemple d’une femme chinoise visitant l’Allemagne n’était pas du tout asymptomatique. Elle avait antérieurement traité ses symptômes avec un médicament commun contre la grippe.

Et selon une interview qu’il a donnée en 2014 à Wirtschaftswoche, C. Drosten savait également qu’un test PCR positif n’a aucune valeur informative sur les infections.[6]

Reiner Fuellmich signale de surcroit en plus de graves conflits d’intérêts financiers, Drosten a un autre problème avec sa crédibilité (doutes massifs s’il est autorisé à utiliser son doctorat et poursuites judiciaires en cours). Drosten a d’autres problèmes de crédibilité car pendant la grippe porcine de 2009, comme le prophète anglais Neil Ferguson, il a averti des conséquences désastreuses et des millions de décès si une vaccination de masse n’avait pas lieu.

Ces prédictions se sont révélées complètement fausses et la grippe porcine s’est avérée être une grippe bénigne. Cependant, des vaccins avaient déjà été achetés dans de nombreux pays du monde dans des conditions qui étaient gardées secrètes jusqu’à aujourd’hui, et ils ont ensuite été utilisés (avant que tout ne soit détruit) avec pour résultat que 1300 enfants, en particulier en Scandinavie, sont gravement handicapés à vie. et souffrez de narcolepsie.

Ajoutons qu’il est remarquable que ces fausses prophéties sont identiques en Grande-Bretagne et en Allemagne et formulés par les plus hauts conseillers des états et de l’OMS. Difficile de croire à de l’incompétence.

L’avocat se demande pourquoi le gouvernement fédéral a suivi les conseils et les demandes de confinements massifs de Drosten et de son institut, qui « sans même un soupçon d’empathie ou de pitié  a ordonné ces mesures dévastatrices qui, entre autres, ont forcé les personnes en phase terminale à être isolées et seules sans soutien de leurs proches à mourir ? »

« Et pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas seulement pris note des autres opinions, mais les a-t-il rejetées comme des théories d’extrême droite, antisémites et du complot sans même les examiner, encore moins en discuter ».

Comment le gouvernement fédéral (et les gouvernements des États qui le suivent aveuglément) ont-ils sciemment et volontairement ordonné des ordonnances mortelles et dévastatrices, exigé que personne ne pose de questions, et au-delà, toutes les autres opinions scientifiques et médicales (y compris l’un des scientifiques les plus cités) dans le monde, le professeur John Ioannidis de l’Université de Stanford) a ignoré et délibérément dénigré ».

Ce dernier a déclaré 

« – que le soi-disant nouveau virus ne représente pas une menace plus grande que le virus de la grippe,
– qu’il existe des traitements efficaces qui ne coûtent pratiquement rien,
– et que les mesures dans leur ensemble causeraient les dommages les plus dévastateurs pour la santé et l’économie ? »

En résumé: quels intérêts le gouvernement fédéral représente-t-il lorsqu’il ordonne de telles mesures destructrices ?  Au nom de qui le gouvernement fédéral agit ainsi, et pour quelle raison ?

Reiner Fuellmich

« Si vous considérez que les conseillers les plus importants du gouvernement fédéral – en plus de Drosten – le Wellcome Trust et la Fondation Bill et Melinda Gates, des représentants de haut rang de l’industrie pharmaceutique de production de vaccins et de l’industrie technologique appellent tous à l’introduction d’un carte de vaccination numérique, on soupçonne qu’ici et de manière totalement irrespectueuse et empathique leurs intérêts sont représentés et non ceux du peuple allemand ».

« Un groupe d’avocats en réseau international en constante augmentation – en particulier avec le droit anglo-américain – travaille en étroite coordination pour faire la lumière et trouver des réponses aux questions de savoir qui est derrière tout cela et qui est tenu responsable.

Parce que, comme mon héros juridique Louis D. Brandeis l’a dit, la lumière du soleil est le meilleur de tous les désinfectants. Et cette lumière du soleil est la lumière au bout du tunnel que nous pouvons tous voir, et elle devient de plus en plus brillante ».

 Selon une autre interview [7] :

Il y a quelques jours, Fuellmich s’est entretenu à nouveau avec Jerm Warfare :  « Il y a de la lumière au bout du tunnel », a-t-il déclaré. « Nous avons gagné des procès et nous allons en gagner beaucoup d’autres ».
Au cours de l’interview, il a déclaré à propos de l’approche Corona : « Ce sont les pires crimes contre l’humanité jamais commis. » Les quelques personnes qui peuvent encore penser de manière indépendante, soit environ 10 à 20 % de la population, savent qu’il n’a jamais été question d’un virus ou de la santé, mais bien de la réduction de la population mondiale et de son contrôle, a-t-il déclaré.
Nuremberg 2

Les vaccins corona n’ont donc rien à voir avec la vaccination, mais font partie d’expériences génétiques, a-t-il déclaré. Fuellmich a ajouté que les joueurs en coulisses commettent de nombreuses erreurs. Par exemple, il pense que les fabricants de vaccins ne s’attendaient pas à ce que tant d’effets secondaires se produisent à ce jour.

Il a parlé à un dénonciateur qui a déclaré qu’ils avaient initialement prévu de déployer tout ce scénario seulement en 2050. Puis les personnes qui tiraient les ficelles sont devenues avides et ont décidé de mettre en œuvre les plans beaucoup plus tôt, a déclaré le dénonciateur. « Je pense que c’est la raison pour laquelle ils font tant d’erreurs », a déclaré M. Fuellmich, qui a recueilli les déclarations de plus de 100 scientifiques et experts.

L’avocat a poursuivi en disant qu’un tribunal spécial, Nuremberg 2, pourrait être nécessaire parce que l’affaire est désormais si importante qu’elle pourrait être hors de portée des tribunaux nationaux. « Nous avons les preuves. »

L’Europe : principal champ de bataille

Qui sont ces gens qui tirent les ficelles ? Selon Fuellmich, il s’agit d’un groupe de quelque 3 000 super-riches. La clique de Davos de Klaus Schwab, entre autres, appartient à ce groupe.

 Que veulent-ils ? Un contrôle total sur le peuple. « Ils corrompent les médecins, les travailleurs hospitaliers et les politiciens. Les personnes qui ne coopèrent pas sont menacées. Ils utilisent toutes sortes de techniques psychologiques pour manipuler les gens. »

Fuellmich s’est également entretenu avec un autre lanceur d’alerte, qui a expliqué pourquoi l’Europe est le principal champ de bataille de cette guerre. « L’Europe est complètement en faillite. Les fonds de pension ont été complètement pillés. C’est pourquoi ils veulent contrôler l’Europe avant que les gens ne découvrent ce qui se passe. »

Les médias grand public prétendent qu’une majorité de personnes sont en faveur de ces mesures. Selon l’avocat, ce n’est certainement pas le cas. Presque tous ses interlocuteurs en Allemagne savent que les masques, par exemple, ne sont d’aucune utilité et sont informés par les médias alternatifs. « Les vieux médias sont en train de mourir. »

Son conseil ? Diffusez la vérité et les faits autant que possible et ne gaspillez pas votre énergie avec des personnes qui tiennent absolument à être vaccinées. « Nous ne pouvons pas sauver tout le monde. Beaucoup de gens vont mourir. »

https://youtu.be/jFOb2xqqcU0
CRIME CONTRE L’HUMANITÉ Covid Dr Reiner Fuellmich Action collective Poursuite – Bing video

[1] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

[2] Robert Koch Institute

[3] Centers for Disease Control and Prevention – CDC  américain

[4] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

Sur la validité des tests PCR et

[5] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr)

[6] C. Drosten l’heure des comptes France soir N Delépine

[7] Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel (ninefornews.nl)  Homepagina » Mens en Dier » Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel
in Mens en Dier 12 april 2021




« VACCINS » : et le principe de précaution ???

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

Par MARC LE STAHLER

AVERTISSEMENT

Je n’ai pas écrit cet article pour terroriser les vaccinés et les candidats à la vaccination, mais pour combler un grave déficit d’information que la loi exige pourtant « claire et complète » et que le gouvernement interdit aux médias de donner. Ainsi d’ailleurs qu’à ses propres organismes, comme l’Agence Nationale pour la Sécurité du Médicament, censurée « pour ne pas dissuader les gens de se faire vacciner ».

Globalement le ratio profit/risque des vaccins reste très positif… En théorie, car sur le futur à plus de six mois il reste encore très aléatoire comme le Ministre de la santé lui-même en est convenu. 

Mais les premiers constats officiels sur les effets secondaires montrent qu’il peut être négatif sur certaines catégories précises de la population et notamment les bébés, les femmes « enceintes ou allaitantes », les personnes à comorbidités et les plus de 65 ans. Elles, leurs parents ou leur famille ont le droit de savoir quel risque ils prennent.

Certes, le risque de mourir du vaccin reste faible dans l’absolu, les premières évaluations du VAERS américain l’ont chiffré en décembre dernier à moins de 2,6% des cas d’effets secondaires, la ANSM française en février à moins de 1%, mais porte à 90% sur les plus de 75 ans ! 

Les effets des vaccins sur l’épidémie restent totalement imprévisibles et les vaccins ARNm sont peut-être inutiles, confesse Véran devant le Conseil d’État, pendant que Macron reconnait dans le JDD que le confinement total est plus nocif qu’utile. Mais la presse ne répète pas ces confidences. Comme elle ne parle pas de l’échec de la vaccination en Afrique du Sud, ni du jugement de « projet grotesque » formulé par Tedros Adanom Gebreyesus le D.G. de l’OMS, sur le projet Covax que Macron a fait adopter par l’Union Européenne et qui a sombré corps et biens parce que personne à la Commission européenne et à l’Élysée n’a pensé que la fabrication de milliards de doses provoque des goulets d’étranglement en capacité de production et en matières premières. Une seule entreprise allemande fabrique les petits flacons à doses qui doivent résister à -100°C pour Pfizer, Moderna et Jenssenn. Pour AstraZeneca il faut de l’adénome de chimpanzé et on ne peut pas saigner à blanc tous les chimpanzés du monde après que l’adénome de porc envisagé un moment ait montré ses limites.

L’Imprécateur

ALERTE SANTÉ ! DISPARITION DU « PRINCIPE DE PRÉCAUTION » ! 

Curieux pays que celui où le Conseil d’État ayant pour mission de conseiller le gouvernement et les Assemblées ainsi que de rendre la justice administrative, soit présidé par le Premier ministre et composé à 99 % par des hauts fonctionnaires ! Il dépend donc totalement de l’autorité de l’État et n’est en rien indépendant comme l’avait souhaité son créateur Napoléon Bonaparte, et comme il devrait l’être.

Il n’est pas surprenant que le 10 avril 2019, il ait rejeté sans les étudier deux requêtes présentées par 3047 citoyens français représentés par la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations et par l’Institut pour la protection de la santé naturelle (IPSN).

L’une demandait à ce que la vaccination ne soit pas étendue aux nourrissons, l’autre que les adjuvants sous forme de nanoparticules métalliques, notamment de l’aluminium, ne soit pas autorisés dans les vaccins. « Ces dossiers ne nous semblent pas poser de difficultés juridiques en l’état actuel des connaissances scientifiques », a déclaré le rapporteur du C.E. Rémi Decout-Paolini. Pas de débat donc sur le très légitime doute scientifique ou le principe de précaution. « Les vaccins – dont aucune institution scientifique en France et à l’étranger ne considère la dangerosité –sont efficaces »avait précisé le rapporteur, ignorant visiblement les oppositions aux nouveaux vaccins atypiques déjà nombreuses.

Vaccin AstraZeneca-Oxford,  ChAdOx1 est un adenovirus de chimpanzé

TOUT BAPTISER « VACCIN » EST UNE FAÇON DE TROMPER LES GENS

« La substance active d’un vaccin est un agent antigénique à pathogénicité atténuée par une forme tuée ou affaiblie du micro-organisme pathogène, ou par une de ses toxines » (Wikipedia).

Ce qui est présenté comme des « vaccins » par les laboratoires Pfizer-NBiotech, Moderna et AstraZeneca ne correspond pas à cette définition. Il s’agit en réalité de modificateurs géniques expérimentaux ; ils contiennent des nanoparticules métalliques décrites dans le brevet Microsoft PCT/US2019/038084 pris par Bill Gates, et un désinfectant, qui peut être comme ici du formol ou comme dans les poches de sang désinfecté des hôpitaux de l’eau de Javel.
Les nanoparticules doivent seulement, en principe, permettre d’identifier si la personne examinée a été vaccinée ou non.

En réalité elles peuvent être programmées pour bien d’autres choses, comme l’identification ou la localisation de la personne, c’est un sujet d’étude où les chercheurs chinois sont très avancés.

C’est pourquoi ceux qui refusent d’être traités comme du bétail par les Bill Gates, Klaus Schwabb et autres partisans d’un gouvernement mondial voulant gérer les peuples du Monde par l’électronique et l’Intelligence Artificielle comme le fait Xi Jinping en Chine, demandent que les vaccins n’en contiennent pas.

LA CONNAISSANCE DES EFFETS SECONDAIRES PROGRESSE

Depuis la décision manquant d’intelligence, d’attitude scientifique et de prudence du Conseil d’État du 10 avril 2019, la connaissance des effets immédiats et secondaires des vaccins a progressé. Des études ouvertement négligées par la presse et autres médias trop souvent soumis aux gouvernements ont été menées, en Israël par le Service national de Santé, en Norvège et en Allemagne par leurs équivalents, au USA par le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) et en France par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament).

Si l’on scinde les effets en effets attendus et effets constatés, ces études montrent :

=> Effets attendus : la protection des individus vaccinés contre la contamination est incertaine ; celle des non-vaccinés n’est pas non plus certaine, il y a dans tous les pays de nombreux cas de contamination après vaccination. L’efficacité de la vaccination est maintenant supposée ne venir que plusieurs semaines après les injections.

Source US VAERS (au 18 décembre)

– 112 807 vaccinés 1ère dose
– 3 150 effets secondaires enregistrés soit 2,8% dont 514 femmes enceintes

La protection globale de la société espérée par les gouvernants viendra peut-être si 80% des personnes sont vaccinées, mais pour le moment ce n’est qu’une hypothèse fondée sur la connaissance historique de vaccins qui n’avaient rien à voir avec ceux à ARNm et adenovirus.

L’arrêt total de l’épidémie viendra certainement un jour parce que c’est la loi de toutes les épidémies : elles finissent toujours par s’arrêter, mais peuvent aussi revenir naturellement des mois, des années voire des siècles plus tard.

=> Effets nocifs constatés : Certains sont immédiats, c’est-à-dire apparaissent dans les jours qui suivent l’injection et, dans la quasi totalité des cas, sont de courte durée : poussée de fièvre, crampes, douleurs musculaires… Rares sont ceux qui provoquent une mort presque immédiate dans le temps, de 24 heures à une semaine, par une coagulation brutale du sang qui provoque une thrombose, un AVC, ou une hémorragie cérébrale.

Mais ils touchent souvent des personnes jeunes réputées en bonne santé, comme cela a été constaté sur quatre infirmières, une portugaise de 23 ans, une anglaise de 42 ans et deux jeunes américaines.

Et il y a les effets nocifs. Ils provoquent des effets sanitaires graves, souvent guérissables mais parfois durables. Soit ils entrainent la mort, soit ils provoquent un handicap grave et définitif : troubles cardiaques, AVC non guéris, paralysie faciale ne touchant que la moitié du visage, grande fatigue permanente empêchant toute activité, troubles psychiatriques… Dans les effets secondaires enregistrés par l’ANSM, 24 % sont graves, un taux environ dix fois supérieur à celui des vaccins « classiques » à base de micro organismes pathogènes morts ou atténués.

LES NOUVEAUX « VACCINS » FONT L’OBJET D’UN TEST À L’ÉCHELLE MONDIALE

Il y a des différences importantes entre les vaccins comme ceux contre la rage, la varicelle, la fièvre jaune, bien connus et réputés à juste titre efficaces, et les produits à base d’ARNm ou d’adenovirus présentés comme des vaccins alors qu’il s’agit dans le premier cas de modificateurs génétiques et dans le second plutôt de sérums comme les nomme la revue « Challenges ».

L’américain Pfizer associé à l’allemand BioNTech et l’autre américain Moderna misent sur l’ARNm, technique connue depuis 2011 (premiers brevets) dont ils ont accéléré le développement avec des moyens financiers considérables ; ainsi Moderna a réussi  à mettre au point son vaccin à ARNm en 42 jours !

Il est exact qu’une fois le processus d’utilisation de l’ARNm mis au point, la mise en fabrication du vaccin est beaucoup plus rapide que celle des vaccins classiques.

Par contre, sur cette première fabrication, une grande partie du temps gagné tient à ce que les tests auxquels sont astreints les vaccins (les tests de niveau 3) n’ont pas été effectués à la demande des gouvernements pressés d’avoir les « vaccins » imprudemment annoncés comme fiables à 90% et régulièrement annoncés sur le point d’arriver en grandes quantités, ce qui n’a pas été le cas.

Et quand ils ont été testés, comme Pfizer-BioNTech et AstraZeneca-Oxford l’ont fait en Afrique du Sud avec l’accord du gouvernement, sur des Africains ignorant de quoi il s’agissait, la publication des résultats, si elle a eu lieu, est restée très confidentielle. C’est maintenant, après quelques mois, que la presse sud-africaine signale des effets secondaires arrivés tardivement, des morts, des femmes devenues stériles ou ayant avorté, des paralysies partielles.
En Afrique du Sud AstraZeneca a été déclaré fiable à 22% seulement par l’Université Witwatersrand de Johannesburg. Le gouvernement sud-africain après avoir arrêté le 7 février le programme de vaccination de sa population a aimablement proposé le 22 mars à l’Union européenne de lui revendre le stock de vaccins dont il dispose encore, un million de doses. C’est sympa, de la part d’un gouvernement qui pense que ces vaccins sont plus dangereux qu’utiles !

À l’exception du Point, de Sciences avenir et de Capital dans de courts articles, la presse française n’a pas parlé de cet échec lamentable de la vaccination de masse dans un grand pays. Au contraire, la Haute autorité de santé et la Commission européenne ont validé la continuation de la vaccination avec AstraZeneca-Oxford et les autres vaccins en prétextant que l’Afrique du Sud a un variant particulier, comme si le variant anglais ou le variant breton (que, disent les médecins, les tests n’arrivent pas à reconnaître), n’étaient pas eux aussi des variants particuliers différents de la première souche de Covid.

Le gouvernement veut au contraire accélérer la vaccination de tous dans une obsession vaccinale absurde dans la mesure où, faute du recul de plus d’un an nécessaire, personne ne peut garantir que les effets secondaires graves le seront moins à l’avenir qu’ils le sont après la première série d’injections du 15 janvier au 15 février.
Elle a causé en France (source ANSM, recensement au 19 février) 217 morts rapides et 6960 cas secondaires ayant entrainé des séquelles, AVC, thromboses, hémorragies cérébrales, paralysies partielles, covid dans sa forme dure, etc.

PERSONNE NE SAIT ENCORE SI LES VACCINS PROTÈGERONT

Personne ne peut garantir non plus, sinon en s’appuyant sur des projections informatiques ne reflétant que la conviction des informaticiens qui les ont conçues, que les vaccins protègeront durablement la population.

Ils ne protègent pas totalement les vaccinés comme le montre le nombre de cas de covid après vaccination, ils ne protègent pas non plus « les autres » comme l’a reconnu Olivier Véran en expliquant que les vaccinés doivent continuer à respecter le confinement et les gestes barrières, qu’il est important qu’ils reçoivent deux doses parce que c’est peut-être deux ou trois semaines après la seconde injection que l’immunité arriverait et qu’à long terme rien n’est  certain.

Le faible nombre de vaccinés ayant reçu la seconde dose ne permet pas d’affirmer quoi que ce soit mais cela ne gêne aucunement Olivier Véran.

D’ailleurs, après la déclaration d’Emmanuel Macron au Journal Du Dimanche, « L’Allemagne a montré que le confinement ne sert à rien » ce qui explique ses décisions actuelles pour en limiter les conséquences, non seulement économiques mais aussi psychologiques, sur une population exaspérée mais qui reste encore soumise. Les doutes qu’aurait exprimé Véran sur l’utilité des vaccins paraissent de plus en plus crédibles.

J’ai d’abord cru à une fausse annonce (fake news).
Puis je l’ai retrouvée sur le blog d’Ema Krusi https://emakrusi.com/videos/30-04 et la vidéo que vous trouverez sous la référence #30-(04.04.2021)-Le dîner de cons des vaccinés.
Elle donne comme lien-source Le Figaro. Si l’on admet que Le Figaro est sérieux, l’info est crédible.
Ainsi, Olivier Véran aurait déclaré au Conseil constitutionnel :

« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de ré-infection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. Le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la progression du virus n’est pas encore connu« .

Une aussi incroyable franchise, si elle est authentique, peut s’expliquer par ce fait peu connu : le Conseil d’État est totalement soumis au gouvernement, son président étant le premier ministre. De plus la majorité de ses membres est socialiste, comme le camarade syndiqué Véran. Il a pu penser que ses confidences sur l’inutilité de la vaccination resteraient un secret de famille.

Une déclaration du directoire d’AstraZeneca/Oxford pour défendre son vaccin n’est pas non plus très rassurante :
« Les premiers résultats semblent confirmer que la mutation du virus détectée en Afrique du Sud peut se transmettre à la population déjà vaccinée ».  https://www.sciencesetavenir.fr/sante/pourquoi-l-afrique-du-sud-met-elle-de-cote-le-vaccin-astrazeneca_151596

En effet, il est prouvé que, dans une population virale de la même famille, le virus mutant le plus résistant finit toujours par remplacer les précédents, comme le virus anglais vient de le montrer en éliminant Cov-2 qui avait éliminé Cov-1 etc.
On saura bientôt si le virus sud-africain remplace l’anglais et dans ce cas, les vaccinés donneraient raison à Ema Krusi ! Joyeuse perspective !

LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION EST DE L’HISTOIRE ANCIENNE

Source ANSM : 37 680 effets secondaires constatés au 19 février, dont 34 968 plus de 65 ans soit 93 %

Le plus surprenant est que la France, adepte du principe de précaution inscrit dans la Constitution, ne l’applique pas dans le domaine de la santé. Les Agences nationales de santé d’Israël et de la Norvège ont alerté sur le danger que la vaccination représente pour les femmes enceintes et allaitantes.
Ce risque a été confirmé par l’expérience du professeur Alain Fischer : sur dix bébés vaccinés il y a eu deux cas de leucémie dont l’un est décédé rapidement.

Et aussi pour les plus de 75 ans pour lesquels, dit la Norvège, le risque de mourir de Covid après la vaccination est quatre fois plus élevé que sans vaccination ce qu’Israël confirme sans préciser de pourcentage
.

L’Agence Nationale française pour la Sécurité du Médicament (ANSM) a publié le 5 mars un rapport dans lequel elle signale que les effets secondaires sont loin d’être négligeables et que ceux qui en sont atteints et parfois en meurent sont à plus de 90% des 65 à 100 ans.
Le gouvernement retire le rapport de l’ANSM de la circulation et en interdit la diffusion « pour ne pas dissuader les Français de se faire vacciner« .

Effectivement, si le gouvernement, les nombreux membres du corps médical achetés par les laboratoires et les médias subventionnés commencent à dire la vérité aux Français, où va-t-on ?




Ils osent tout… C’est même à ça qu’on les reconnaît !!!

Par Jean

Second communiqué des Gilets Jaunes de la Victoire(([1] Premier communiqué :
http://www.profession-gendarme.com/les-peuples-et-les-etats-pietines-les-complotistes-ne-se-cachent-meme-plus/))

[Illustration : De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’Infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.
Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it]

Les comploteurs et leurs maîtres ont lancé à l’automne 2019 leur attaque qu’ils veulent définitive contre les Peuples et les Etats pour nous dissoudre dans la mondialisation. Les spadassins que l’on voit s’agiter sur les plateaux TV et dans la presse, ne sont que les mercenaires d’une caste composée de financiers et de milliardaires qui veulent nous contrôler et nous asservir. Leurs armes sont, les pouvoirs qu’ils détiennent, la peur du virus, et la vaccination. Ils sont dans l’obligation absolue de poursuivre leur plan sous peine de perdre la face. Pour cela, ils doivent, coûte que coûte, « ad infinitum » continuer à mettre la pression sur la population avec ce virus qui n’est qu’un prétexte amplifié par des médias subventionnés et des journalistes, dont la plupart sont au-dessous de tout. Toute cette clique entretient depuis plus d’un an la terreur sanitaire, le plus souvent avec des mensonges, des omissions, et des manipulations les plus grossières(([2] Le seuil épidémique a été modifié en juillet 2020 par les autorités sanitaires françaises sans que la population en soit avertie. (FranceSoir) Une preuve irréfutable d’une manipulation à grande échelle.)). Le confinement perpétuel est indispensable à ceux qui tirent les ficelles, c’est pour cela qu’ils vont prolonger l’état d’urgence et serrer de plus en plus la vis. Notamment pour bloquer les instances judiciaires afin d’éviter une cascade de procès qui risque de leur être fatal(([3] https://nouveau-monde.ca/la-bataille-judiciaire-bat-son-plein-refere-contre-les-confinements-et-couvre-feux/)), ou, par exemple, quand ceci va être déposé dans un tribunal international honnête(([4] https://nouveau-monde.ca/maitre-carlo-brusa-devoile-toute-la-supercherie-du-covid/)).

Selon eux il n’existe qu’une seule solution pour nous sortir de la crise covidienne, la « vaccination(([5] https://nouveau-monde.ca/oui-les-vaccins-sont-experimentaux-contrairement-a-ce-que-lafp-et-j-mansour-affirment-dans-leur-fast-check/)) (([6] https://www.cielvoile.fr/2021/03/l-ancien-vice-president-de-pfizer-a-l-aflds-il-est-tout-a-fait-possible-que-cela-soit-utilise-pour-une-depopulation-a-grande-echelle)) (([7] https://www.nexus.fr/actualite/billet-dhumeur/finalite-vaccination-guillemant/?fbclid=IwAR3n_IBxCm1Ah_LrRIyfHR8SEm3V9i6LUP5UMnB4alws3ts80YgQYRKQEEs#.YBHxv9OnByY.facebook)) (([8] https://nouveau-monde.ca/il-denonce-la-fausse-pandemie-orchestree-par-bill-gates/)), alors qu’il est maintenant abondamment prouvé qu’il existe des traitements très efficaces et à bas coûts. Par exemple : l’ivermectine(([9] https://planetes360.fr/dr-tess-lawrie-avis-aux-populations-du-monde-entier-livermectine-fonctionne/)) et le protocole Raoult avec son hydroxychloroquine qui a fait ses preuves notamment en Afrique. Mais ces solutions ne sont pas leur solution, vous comprenez ? Eux, ce qu’ils cherchent à tout prix avec l’alibi de la « vaccination », c’est d’injecter dans votre corps des composants qui n’ont rien à y faire.

Ce qui est le plus clair et le plus manifeste dans cette kabbale c’est que le dialogue n’existe plus depuis longtemps, seul subsiste les décisions autoritaires prises unilatéralement par un pouvoir qui est maintenant devenu ainsi, peu à peu, une dictature totalitaire. Ce pouvoir cherche à régenter entièrement nos vies. Ses décisions nous sont quasiment imposées par un pilonnage médiatique incessant. Malheur à ceux qui écoutent toute la journée BFMTV, dont son directeur Marc-Olivier Fogiel a osé dire « Dès qu’on a entendu ce que racontaient les rassuristes, on a fait en sorte de ne jamais plus les inviter. Nous sommes très vigilants sur cette crise pour éviter les fake news. »

Voyons un peu ce que ce sordide personnage considère comme étant une fake news, une seule info suffira : https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/

Une paille, ce qui fait une moyenne de plus de 300 médecins par département !!!!! Fogiel n’est assurément pas un démocrate, toute cette engeance est du même tonneau.

Ceux d’entre nous qui ne se sont pas encore rendu compte que la quasi-totalité des informations objectives et vraiment nécessaires sont en fait censurés, devraient commencer dès maintenant à sérieusement réfléchir

Peter de Berlin : Quelque chose se passe sous nos yeux, mais nous ne le voyons pas ! — PLANETES360

Le confinement dans la caverne, une méthode qui a fait déjà fait ses preuves dans le passé pour préparer et faire démarrer les pires guerres qu’a connu l’humanité.

Dans le plan initial, Klaus Schwab le président fondateur du Forum de Davos (Forum Économique Mondial), misant sur un virus nettement plus violent et mortel, avait prévu un lockstep total sur l’ensemble de la planète. C’est-à-dire plus personne dans les rues. Tous les pays devaient être confinés et rester confinés en permanence, avec masques comme une muselière à perpétuité pour les gueux. Ceci est confirmé par le sinistre polonais de la santé(([10] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/04/09/comme-attali-et-schwab-le-ministre-polonais-de-la-sante-promet-des-decennies-de-tyrannie-sanitaire/)) qui ne doute de rien. Heureusement pour nous, le virus à fait pschitt… et maintenant ils se retrouvent fort démunis, puisqu’entre autres, la Chine, depuis septembre 2020(([11] http://www.amb-chine.fr/fra/zgzfg/t1817634.htm , 22 septembre 2020, Conférence de presse de Lu Shaye, Ambassadeur de Chine en France.)), la Russie, la Turquie, plusieurs états américains … ont levé les restrictions sanitaires et ont donc remis en route leur économie. Vladimir Poutine leur faisant, en prime, l’affront de botter le cul du président Schwab en plein Forum virtuel du Davos 2021(([12] https://nouveau-monde.ca/discours-de-vladimir-poutine-au-forum-de-davos-2021-lhomme-ne-doit-pas-etre-un-moyen-mais-un-but-de-leconomie/)), une info, comme beaucoup d’autres, que l’on se garde bien de vous transmettre, et une déculottée cuisante qui les a certainement mis en fureur.

Ne pouvant plus faire marche arrière, malgré que le bateau fuit de toute part, ils continuent obstinément leur sinistre plan comme les créatures pitoyables qu’ils sont, mais d’une manière ou d’une autre ils sont faits comme des rats… ce n’est qu’une question de temps.


La suppression envisagée de l’ENA (École Nationale d’Administration) est un signe fort qui doit montrer clairement aux aveugles que Macron a bien choisi de trahir son pays et sa population pour donner le plein pouvoir sur nos vies et celles de nos enfants au cartel du Nouvel Ordre Mondial.


Ne vivez plus dans la peur, ne soyez plus des êtres passifs, réagissez, venez respirez l’air du large…(([13] TEASER – Vers un Grand Reset national anti-Davos ? — Avec Valérie Bugault))
La peur va changer de camps, bientôt nous les submergerons.


Notes




La vérité contre la peur

[Source anglaise : LifeSite (lifesitenews.com)]

[Ndlr : Les notes et références ne font pas partie de lettre originale, mais sont ajoutées par Nouveau Monde.]

La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation

Par Mgr Carlo Maria Viganò

Cette lettre reflète dans une large mesure l’intervention que je vais donner aux participants du prochain sommet «La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation», du 30 avril au 1er mai 2021, organisé par Patrick Coffin. Cet événement vital met en vedette plus de 20 des meilleurs médecins, chercheurs et avocats du monde, et offrira une approche scientifique et sensée de la pseudo-pandémie. Tout le monde a droit au consentement éclairé.

Mgr Carlo Maria Viganò

25 mars 2021 (LifeSiteNews) — Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle encore plus inquiétante ourdie par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les prétendus vaccins reconnus inutiles et nocifs comme rien moins que miraculeux.

La réputation des entreprises pharmaceutiques

Nous savons que les géants de l’industrie pharmaceutique — AstraZeneca(([1] https://www.industriepharma.fr/amende-aux-etats-unis-pour-astrazeneca,35697)), Pfizer(([2] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/445723/pfizer-entente,
https://www.lapresse.ca/affaires/economie/200909/02/01-898108-pfizer-va-payer-une-amende-record-de-23-milliards.php)), Moderna, Johnson & Johnson(([3] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/johnson-johnson-ecope-dune-amende-de-8-milliards-de-dollars-aux-etats-unis-1138460)) — non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de test des médicaments, mais ont de plus un long historique de condamnations pour avoir précédemment causé de graves dommages à la population, en distribuant des vaccins dont il s’est avéré qu’ils provoquaient des maladies invalidantes.

Conflits d’intérêt

Nous connaissons les conflits d’intérêts(([4] http://agora.qc.ca/Documents/Conflit_dinterets–Medecine_et_conflits_dinterets_par_Josette_Lanteigne,
https://www.quechoisir.org/dossier-conflits-d-interets-en-medecine-t2687/,
https://formindep.fr/les-conflits-dinterets-en-medecine-quel-avenir-pour-la-sante-france-etats-unis-japon/
https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/)) macroscopiques qui existent entre les entreprises pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les employés de ces entreprises sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’utilisation des médicaments, et il est difficile d’imaginer qu’ils aient la liberté de faire une évaluation juste et prudente tout en continuant souvent à avoir des liens professionnels avec Big Pharma. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du soi-disant vaccin — qui a conduit certaines Nations à suspendre sa distribution(([5] https://www.rfi.fr/fr/europe/20210311-covid-19-plusieurs-pays-europ%C3%A9ens-suspendent-l-utilisation-du-vaccin-astrazeneca)) — n’est pas considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour en interdire l’adoption(([6] https://www.journaldemontreal.com/2021/03/18/le-vaccin-astrazeneca-est-sur-et-efficace)). Les récentes découvertes sur les effets secondaires(([7] https://www.fawkes-news.com/2020/12/la-fda-enumere-les-effets-secondaires.html)) graves ont été conçues pour exclure la majorité des cas et surtout pour ignorer délibérément la relation de cause à effet entre l’inoculation du vaccin et ses effets secondaires à court ou à long terme.

Déresponsabilisation contre les effets secondaires

Nous savons qu’au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population les entreprises pharmaceutiques ont exigé d’être dégagées de toute responsabilité pour les dommages que pourraient subir les patients(([8] https://blogs.mediapart.fr/le-cri-des-peuples/blog/270820/vaccin-covid-19-les-laboratoires-ne-seront-pas-responsables-des-effets-secondaires (bien qu’officiellement ce ne soit pas le cas :
https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccins-et-covid-en-cas-d-effets-indesirables-contre-qui-les-patients-pourront-ils-se-retourner-7074158
https://www.lci.fr/sante/vaccins-contre-le-covid-19-les-laboratoires-seront-ils-vraiment-decharges-de-toute-responsabilite-en-cas-d-effets-secondaires-2165265.html
https://www.leparisien.fr/societe/vaccins-une-clause-de-non-responsabilite-pour-les-labos-cinq-minutes-pour-comprendre-la-polemique-10-12-2020-8413532.php, mais :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194) )), à qui l’on demande de signer une décharge en même temps que leur consentement éclairé(([9] Cela dépend probablement des pays. Au Québec, le futur vacciné ne reçoit apparemment qu’un feuillet « Pour aider au consentement éclairé – Opération vaccination Covid-19 »
https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/fichiers/2020/20-279-23WF.pdf)). Ainsi, en plus des profits scandaleux tirés de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.

Le secret sur les clauses contractuelles

Nous savons que les termes contractuels des accords passés par les nations et par l’Union européenne avec ces entreprises pharmaceutiques sont inaccessibles et secrets : même les parlementaires et les représentants politiques ne sont pas autorisés à voir les clauses qu’ils ont dû approuver dans une boîte scellée.(([10] Cependant, certains documents ont pu partiellement fuiter :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194)) Et nous savons que ces mêmes entreprises pharmaceutiques, non seulement n’assument aucune responsabilité quant aux effets secondaires, mais déclarent même ne pas garantir leur efficacité à immuniser contre le virus. (([11] Un vaccin procurant à coup sûr l’immunité aurait 100 % d’efficacité. Or, celui qui revendique le maximum d’efficacité ne serait efficace qu’à 95 %.
https://reinfocovid.fr/science/les-vaccins-efficaces-a-95-de-pfizer-et-moderna-nous-avons-besoin-de-plus-de-details-et-de-donnees/))

L’origine chinoise du virus

(([12] En toute rigueur, l’hypothèse n’est pas définitivement prouvée, même si plusieurs indices y concourent.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/sars-cov-2-lhypothese-quil-proviendrait-dun-laboratoire-gagne-du-terrain))
Nous savons que le virus SRAS-CoV-2 a, selon toute probabilité, été produit en laboratoire, avec la complicité de la dictature chinoise. La Chine étant l’un des principaux financiers de l’OMS après la Fondation Bill & Melinda Gates, elle a pu empêcher toute enquête sur l’origine du virus ou les premiers stades de sa propagation.(([13] https://siksik.org/qui-finance-loms/))

Complicité du personnel de santé

Nous savons que chaque nation, à de très rares exceptions près, a immédiatement adopté les protocoles sanitaires les plus absurdes émanant de l’OMS, à commencer par la décision malheureuse de ne pas traiter les malades dès l’apparition des premiers symptômes et de les soumettre à une ventilation profonde une fois que le syndrome grippal a dégénéré en pneumonie bilatérale aiguë. Et cela s’est produit avec l’exécrable complicité du personnel sanitaire — des médecins au personnel hospitalier — provoquant des milliers de décès non pas à cause de la COVID, comme nous le disent les grands médias, mais à cause d’un traitement incorrect.(([14] https://nouveau-monde.ca/flavia-grosan-pneumologue-roumaine-cest-le-protocole-covid-applique-dans-les-hopitaux-qui-tue-les-malades/))

Délégitimation et boycott des traitements disponibles

(([15] Et même souvent leur interdiction pure et simple.
https://www.gatsbyonline.com/ataraxie/ce-que-cache-l-interdiction-de-vente-de-lhydroxychloroquine-420416/))
Nous connaissons également la campagne furieuse contre l’efficacité des traitements déjà existants(([16]
https://nouveau-monde.ca/laissons-les-medecins-prescrire-la-resistance-des-medecins-liberaux-sorganise/)), depuis l’utilisation de plasma hyperimmun(([17] ou convalescent.)) jusqu’à l’utilisation de médicaments que de nombreux médecins, bien que violant les normes sanitaires imposées pendant ces mois, ont jugé de leur devoir d’administrer à leurs patients, avec succès.(([18] https://reinfocovid.fr/science/ivermectine/
[19] https://cv19.fr/2020/12/18/le-traitement-du-covid-existe-azithromycine-ivermectine-hydroxychloroquine-et-les-vaccins/)) Et il n’est pas difficile de comprendre que le faible coût des traitements, le fait que beaucoup d’entre eux ne sont pas soumis à des brevets, et surtout leur efficacité immédiate dans le traitement représentent pour les entreprises pharmaceutiques et leurs complices une raison plus que suffisante pour s’y opposer et les discréditer, jusqu’à en interdire l’usage.

Un projet planifié depuis des années

(([20] https://nouveau-monde.ca/preuves-que-la-pandemie-a-ete-planifiee/
https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/5653966))
Nous savons que pour mener à bien cette opération criminelle — puisqu’il faut parler de crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple destin malheureux — il a fallu des années de planification, menées de manière systématique, afin d’affaiblir les plans nationaux de lutte contre les pandémies, de réduire drastiquement le nombre de lits dans les hôpitaux et les unités de soins intensifs(([21] https://nouveau-monde.ca/covid-et-saturation-des-hopitaux-les-plans-de-restructurations-de-lhopital-public-sur-le-banc-des-accuses/
https://www.belgiqueenbonnesante.be/fr/donnees-phares-dans-les-soins-de-sante/hopitaux-generaux/organisation-du-paysage-hospitalier/categorisation-des-activites-hospitalieres/l-evolution-du-nombre-de-lits-agrees-d-hospitalisation)), de créer une masse d’employés aveugles, sourds et muets, qui ne sont plus médecins et qui placent leur propre sécurité sur le lieu de travail avant leur devoir de soigner les malades. Le serment d’Hippocrate a été violé au nom du profit des entreprises pharmaceutiques et de la poursuite d’un projet d’ingénierie sociale.

Implication du système de santé

Nous savons que pour obtenir la complicité des médecins et des scientifiques, on a eu recours non seulement au système de corruption et de conflits d’intérêts qui existe depuis des décennies, mais aussi à la distribution de prix et de primes en espèces.(([22] https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/
https://nouveau-monde.ca/quand-la-pensee-unique-la-quete-de-notoriete-une-betise-sans-limite-la-corruption-ou-pourquoi-pas-des-menaces-menent-a-limmonde/
https://nouveau-monde.ca/pourquoi-les-scientifiques-ne-font-pas-de-science-pourquoi-lobscurantisme-est-il-la-regle/)) Pour donner un exemple, en Italie, un médecin spécialiste reçoit 60 euros par heure pour administrer des vaccins dans les centres de vaccination ; les médecins généralistes reçoivent des primes pour chaque patient qu’ils ont vacciné ; un lit en soins intensifs est payé environ 3000 euros par jour par le service national de santé. Il est évident que ni les médecins généralistes, ni le personnel hospitalier, ni les agences régionales de santé n’ont intérêt à se priver d’énormes revenus, après que la santé publique ait été démolie au cours de la dernière décennie au nom de la réduction du gaspillage imposée par l’Union européenne. Pour donner une idée, l’Italie a reçu 72 invitations de Bruxelles à fermer tous les petits hôpitaux qui, aujourd’hui, sous le prétexte de la pandémie, ont été rouverts et financés avec des fonds que l’UE alloue à titre de prêt avec des contraintes et des conditionnalités qui, en d’autres moments, auraient été jugées inacceptables. Pourtant, ces hôpitaux ont bien fonctionné, permettant d’offrir un service étendu aux citoyens, et ils ont pu éviter la propagation des maladies.

Le rôle fondamental des médias

Nous savons que des nations ont accordé des financements aux médias, en guise de contribution à l’information sur le COVID. En Italie, le gouvernement de Giuseppe Conte a alloué des sommes importantes pour que le système d’information national donne une version alignée de la pandémie, et il a censuré toute voix dissidente. La diffusion des données sur les infections et les décès a été grossièrement manipulée, suggérant que toute personne ayant un résultat positif au test doit être considérée comme malade(([24] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/04/06/coronavirus-reveillez-vous-on-se-fout-de-vous-il-y-a-des-directives-pour-surestimer-considerablement-le-nombre-de-deces-dans-tous-les-pays/
https://bam.news/tribune/lettre-ouverte-a-yves-coppieters/
https://www.francesoir.fr/societe-sante/transcription-de-la-conference-de-presse-scotus-des-medecins-de-premiere-ligne-de)), même si les asymptomatiques ne sont pas contagieux — de l’aveu même de l’OMS et des organismes analogues aux États-Unis, au Canada, en Australie, etc..(([25] https://nouveau-monde.ca/les-depistages-massifs-par-pcr-ne-servent-a-rien-stop-depistage/)) Et à côté de ces financements gouvernementaux, dans de nombreux cas, les conflits d’intérêt avec les entreprises pharmaceutiques ont pu également interférer dans les choix des diffuseurs et des journaux, d’une part parce que Big Pharma représente l’un des principaux acheteurs d’espaces publicitaires, et d’autre part parce qu’elle est présente dans le conseil d’administration des sociétés d’information. Il est difficile de croire que le rédacteur en chef d’un journal, même s’il est persuadé que la pandémie est une fraude, oserait aller à l’encontre du PDG ou priver le journal des bénéfices publicitaires de Pfizer ou Johnson & Johnson.(([26] https://nouveau-monde.ca/pourquoi-la-fondation-bill-melinda-gates-a-subventionne-le-journal-le-monde-a-hauteur-de-4-millions-de-dollars/
https://nouveau-monde.ca/covid-et-domination-planetaire-comment-bill-gates-et-ses-amis-milliardaires-se-sont-assures-le-soutien-des-medias/
https://observatoiredumensonge.com/2020/12/16/medias-francais-que-devient-lobjectivite/))

Responsabilité des médias sociaux

Nous savons qu’en plus de la complicité des médias, la machine infernale des médias sociaux, de Facebook à Twitter, de Google à YouTube, a mobilisé une opération de censure éhontée et scandaleuse, au point d’effacer les profils d’éminents scientifiques et de journalistes reconnus, pour la seule raison qu’ils n’obéissaient pas aux diktats de la narration du COVID. Même dans ce cas, il n’est pas surprenant de découvrir les relations économiques et de parenté existant entre ces multinationales colossales, qui sont devenues au fil du temps les propriétaires de l’information et les arbitres de qui a le droit à la liberté d’expression et qui ne l’a pas.(([27] Ces médias sont allés jusqu’à censurer complètement l’ancien Président des États-Unis, Donald Trump, parce qu’il ne s’alignait pas avec leur discours !))

Qui en bénéficie ?

Nous savons également qui sont les principaux bénéficiaires de la pandémie, en termes économiques : les usuriers des banques, qui ont le pouvoir de maintenir à flot les entreprises idéologiquement alignées, et en même temps de faire échouer les petites entreprises si elles constituent un obstacle gênant à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ces petites entreprises, répandues surtout sur le Vieux Continent et en particulier en Italie, constituent le tissu social et l’identité économique de nombreuses nations. Leur large diffusion dérange les multinationales de la grande distribution, d’Amazon à JustEat, qui, pendant la période de blocage, ont augmenté leurs profits de manière scandaleuse, au détriment des activités commerciales normales, car ce livre que nous avions l’habitude d’acheter à la librairie du coin doit maintenant être commandé en ligne, tout comme le déjeuner, le toner de l’imprimante et le détergent pour lave-vaisselle. Cette « nouvelle économie » s’est imposée avec arrogance en quelques semaines seulement l’année dernière, grâce à la fermeture simultanée des magasins et à l’obligation de rester à la maison qui ont été imposées aux citoyens.(([28] https://nouveau-monde.ca/la-covid-19-sourit-aux-milliardaires/))

L’éducation

Nous savons que la nécessité d’endoctriner les jeunes générations ne pouvait pas exclure de ce plan l’enseignement scolaire et universitaire, qui est aujourd’hui dispensé via « l’enseignement à distance » avec des conséquences psychologiques très graves pour les enfants et les jeunes. Cette opération jette aujourd’hui les bases pour qu’un jour l’enseignement offert via internet puisse être unifié, décidant quels professeurs sont autorisés à donner des cours et ce qu’ils doivent dire, et je ne serai pas surpris si bientôt cette forme d’enseignement aligné comprend un nombre de plus en plus restreint de professeurs : un seul professeur d’histoire pour tous les élèves d’une nation, avec un programme étroitement défini et contrôlé. Il ne s’agit pas d’une réalité lointaine, lorsque chaque élève sera obligé de se connecter en ligne et ne pourra plus faire appel à un professeur de sa propre école, mis à la retraite ou retiré de l’enseignement parce qu’il ne se conforme pas aux ordres du pouvoir. Nous ne pouvons pas non plus être surpris si les nouveaux enseignants sont des hologrammes qui élaborent des algorithmes, ou des intelligences artificielles inquiétantes qui endoctrinent des millions de jeunes dans la théorie du genre, la doctrine LGBT, et toutes les aberrations morales que nous avons anticipées ces dernières années.(([29] La technologie informatique actuelle rend ceci tout à fait possible :
https://www.etonnante-epoque.fr/deep-fake/))

Les promoteurs de la pandémie

Nous savons qui sont les théoriciens de la pandémie utilisée comme instrumentum regni (([30] un royaume d’outils)), de Bill Gates(([31] https://fr.sott.net/article/36020-Bill-Gates-dicte-aussi-et-en-toute-discretion-la-politique-alimentaire-mondiale-et-plus-encore)) à George Soros(([32] https://cogiito.com/a-la-une/les-mondialistes-utilisent-covid-19-pour-inaugurer-lagenda-2030-des-nations-unies-brave-new-world-avec-dix-ans-davance-sur-le-calendrier/)), dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé(([33] https://nouveau-monde.ca/lagenda-2030-vert-de-lonu-est-derriere-la-grande-reinitialisation-du-forum-economique-mondial-suivez-la-piste-de-largent/)) que toute mesure d’opposition est pratiquement impossible. Avec eux, nous trouvons le répertoire le plus inquiétant d’organisations dites philanthropiques et de lobbies de pouvoir, comme le Forum économique mondial avec Klaus Schwab(([34] https://nouveau-monde.ca/le-%e2%80%89great-reset%e2%80%89-nest-pas-du-complotisme/)), l’OMS(([35] https://nouveau-monde.ca/loms-veut-immuniser-le-public-contre-la-desinformation-tous-les-moyens-de-controle-et-de-persuasion-sont-mis-en-oeuvre/)) et toutes ses branches nationales, la Commission trilatérale(([36] https://aphadolie.com/2019/06/13/commission-trilaterale-a-infiltre-les-gouvernements/)), le groupe Bildeberg(([37] https://blogs.mediapart.fr/candice-vacle/blog/160819/le-pouvoir-secret-du-groupe-bilderberg-0)), le Conseil pour le capitalisme inclusif dirigé par Lady Lynn Forester de Rothschild(([38] https://www.c2montreal.com/fr/speaker/lady-lynn-forester-de-rothschild/#/)) sous la direction spirituelle de Bergoglio(([39] Le pape François.)) et, plus généralement, la phalange de multinationales, de banques et de groupes de pouvoir qui font partie du sommet des conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et les mouvements satanistes mondiaux se mobilisent également, à commencer par l’Église de Satan qui exalte l’avortement comme rituel propitiatoire pour la fin de la pandémie, exactement comme Big Pharma exige des pseudo-vaccins produits avec des fœtus avortés.

[…]

Si quelque chose ne fonctionne pas, on peut l’utiliser pour autre chose

Il faut reconnaître que l’illogisme apparent de ce que nous voyons se produire — le boycott des traitements préventifs, les thérapies erronées, les vaccins inefficaces, les confinements sans utilité(([40] https://nouveau-monde.ca/loms-confirme-que-le-test-covid-19-pcr-est-invalide-les-estimations-des-cas-positifs-sont-sans-fondement-le-confinement-na-aucune-base-scientifique/
https://nouveau-monde.ca/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/
https://nouveau-monde.ca/les-confinements-sont-catastrophiques-partout-dans-le-monde/)), l’utilisation de masques absolument inutiles(([41] https://nouveau-monde.ca/masques-tests-vaccins-prevention-actions-et-recours/
https://lesakerfrancophone.fr/mise-a-jour-des-donnees-scientifiques-recentes-concernant-la-politique-covid-19
https://nouveau-monde.ca/le-masque-un-lent-assassinat-collectif-monte-sur-des-mensonges-une-museliere-anti-sociale-pour-esclaves-consentants/)) — prend tout son sens dès lors que l’on comprend que l’objectif déclaré — vaincre la prétendue pandémie — est un mensonge, et que le véritable objectif est la planification d’une crise économique, sociale et religieuse en utilisant comme outil une pseudo-pandémie habilement provoquée. Ce n’est qu’ainsi que l’on peut comprendre la simultanéité et l’univocité des dispositions adoptées par les différentes nations, la narration alignée des médias et le comportement des dirigeants politiques. Il y a un seul scénario sous une seule direction(([42] https://nouveau-monde.ca/les-acteurs-mondiaux-peuvent-utiliser-le-coronavirus-pour-remodeler-le-monde-sans-guerre-president-de-bielorussie/
https://valeriebugault.fr/de-letat-profond-au-gouvernement-mondial-avec-pierre-bergerault-tvl)), qui utilise la collaboration et la complicité des politiciens et des gouvernants, des médecins et des scientifiques, des évêques et des prêtres, des journalistes et des intellectuels, des acteurs et des influenceurs, des multinationales et des banquiers, des fonctionnaires et des spéculateurs. Les profits et les gains y contribuent, car ils achètent et assurent la loyauté des subordonnés, mais cette guerre — ne l’oublions jamais ! — est une guerre idéologique et religieuse.(([43] https://nouveau-monde.ca/covid-19-le-port-du-masque-le-lavage-des-mains-la-separation-sociale-et-le-verrouillage-sont-des-rituels-occultes-seculaires/))

Deux mondes opposés

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation(([44] https://nouveau-monde.ca/du-confinement-a-la-grande-reinitialisation/)), c’est-à-dire le passage du monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit les méchants à la société impie et méchante qui punit les bons. Cette idée détestable d’« égalité » qui nous a été inculquée par les libres penseurs a été utilisée pour mettre sur un pied d’égalité le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, sous le prétexte de reconnaître la liberté d’expression. Aujourd’hui, elle sert à promouvoir le mal, l’injustice et le mauvais, et même à les rendre obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire le bien, la justice et la beauté. […] Nous devons donc comprendre que, si nous n’assistons pas passivement aux changements en cours et si nous ne nous laissons pas imposer l’idéologie mondialiste dans toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels, hostes publici(([45] ennemis publics.)) […]

Nul n’est prophète en son pays

Bien sûr, ce que nous voyons se produire aujourd’hui sous nos yeux aurait pu être compris et prédit depuis des années, si seulement nous avions prêté attention à ce que les théoriciens du Great Reset déclaraient en toute impunité. En réalité, ceux qui ont dénoncé ce plan, qui est actuellement en cours, ont été traités de théoriciens du complot, ridiculisés ou passés pour des fous, ostracisés par l’information grand public et criminalisés, chassés des chaires universitaires et de la communauté scientifique. Aujourd’hui, nous comprenons la clairvoyance des alarmes qui ont été lancées et la puissance du mécanisme d’organisation mis en place par nos adversaires. Au nom de la liberté, nous nous sommes habitués à nous voir privés du droit de parler et de penser, et l’effort de pathologisation de la dissidence(([46] https://nouveau-monde.ca/la-pathologisation-de-la-dissidence/)) afin de légitimer les camps de détention(([47] https://guyboulianne.com/2020/11/05/un-camp-secret-covid-19-capable-dheberger-pres-de-100-personnes-infectees-par-le-coronavirus-est-pret-a-lemploi-au-manitoba/
https://guyboulianne.com/2020/11/20/un-camp-covid-19-est-il-bati-sur-le-terrain-de-lhopital-hotel-dieu-de-saint-jerome-dans-la-region-des-laurentides-dossier-dinvestigation/
https://guyboulianne.com/2021/01/26/lallemagne-instaure-des-camps-de-detention-obligatoire-pour-les-individus-qui-enfreignent-a-plusieurs-reprises-les-mesures-de-quarantaine/)) et de limiter les mouvements sur la base du passeport sanitaire est déjà en cours.

[…]

L’Homme n’est pas un robot

Il y a cependant un élément que les conspirateurs n’ont pas pris en compte : la faiblesse humaine d’une part, et la puissance de Dieu d’autre part. La faiblesse humaine fera que certains des complices de cette conspiration ne seront pas totalement obéissants aux ordres qui leur ont été donnés, ou bien ils penseront qu’ils peuvent tirer un avantage personnel de la pseudo-pandémie en dénonçant la tricherie et la corruption. Certains penseront d’abord à leur propre intérêt, d’autres imposeront l’obligation du vaccin à n’importe qui, mais ils auront quelques scrupules lorsqu’il s’agira de vacciner leur propre enfant ou leur parent âgé. Certains craindront que la farce pandémique ne les implique d’une manière ou d’une autre dans le scandale, et ils commenceront à avouer et à parler, d’autres seront utilisés puis brutalement écartés, ce qui éveillera en eux le désir de vengeance et les conduira à révéler les dessous du plan. Petit à petit, ce colosse aux pieds d’argile s’effondrera, inexorablement, sur ses propres mensonges et ses propres crimes.

[…]

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

25 mars 2021


Notes et références




« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !

[Source : New Eastern Outlook (journal-neo.org)]

[Traduction : Le Grand Changement]

Par F. William Engdahl

La réorganisation descendante de l’économie mondiale par une cabale de technocrates corporatistes, dirigée par le groupe autour du Forum économique mondial de Davos – la soi-disant Grande Réinitialisation (Great Reset) ou l’Agenda 2030 de l’ONU – n’est pas une proposition future.
Elle est en bonne voie d’actualisation, alors que le monde reste enfermé dans un enfermement insensé pour un virus. Le domaine d’investissement le plus en vogue depuis le début des lockdowns [Ndlr : confinements et fermetures économiques] mondiaux du coronavirus est ce qu’on appelle l’investissement ESG [Ndlr : pour Environnement, valeurs Sociales et Gouvernance]. Ce jeu hautement subjectif et très contrôlé déplace de façon spectaculaire les flux de capitaux mondiaux vers un groupe restreint d’actions et d’obligations d’entreprises « approuvées ». Il fait notamment progresser le dystopique Agenda 2030 des Nations Unies ou le programme Great Reset du WEF. Cette évolution est l’un des changements les plus dangereux et les moins bien compris depuis au moins le siècle dernier. Le programme d' »économie durable » de l’ONU est réalisé en toute discrétion par les mêmes banques mondiales qui ont provoqué les crises financières de 2008. Cette fois-ci, elles préparent la grande réinitialisation du WEF de Klaus Schwab en orientant des centaines de milliards, et bientôt des milliers de milliards, d’investissements vers leurs entreprises « réveillées » triées sur le volet, au détriment de celles qui ne le sont pas, comme les compagnies pétrolières et gazières ou le charbon. Les banquiers et les fonds d’investissement géants comme BlackRock ont créé une nouvelle infrastructure d’investissement qui sélectionne les « gagnants » et les « perdants » en fonction du sérieux de l’entreprise en matière d’ESG (environnement, valeurs sociales et gouvernance). Par exemple, une entreprise obtient des notes positives pour le sérieux avec lequel elle embauche des cadres et des employés de sexe différent, ou prend des mesures pour éliminer son « empreinte » carbone en rendant ses sources d’énergie vertes ou durables pour utiliser le terme des Nations unies.

La façon dont les entreprises contribuent à une gouvernance mondiale durable est la plus vague des ESG, et pourrait inclure n’importe quoi, des dons d’entreprises à Black Lives Matter au soutien d’agences de l’ONU comme l’OMS. L’objectif central crucial des stratèges du GNE est de créer une transition vers des énergies alternatives inefficaces et coûteuses, l’utopie promise du zéro carbone. Les grandes institutions financières et les banques centrales du monde entier sont à l’origine de ce mouvement. Elles ont créé un éventail éblouissant d’organisations pour mener leur programme d’investissement vert.Plus de 100 articles scientifiques ont conclu : le CO2 a un Effet Minuscule sur le Climat !

En 2013, bien avant le coronavirus, la grande banque de Wall Street, Morgan Stanley, a créé son propre Institut pour l’investissement durable. Celui-ci s’est rapidement développé en 2015 lorsque Morgan Stanley a rejoint le comité directeur du Partnership for Carbon Accounting Financials (PCAF). Sur son site internet, ils déclarent , »Le PCAF se fonde sur la position de l’Accord de Paris sur le climat selon laquelle la communauté mondiale doit s’efforcer de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport aux niveaux préindustriels et la société doit se décarboniser et atteindre des émissions nettes nulles d’ici 2050. » En 2020, le PCAF comptait plus de 100 banques et institutions financières, dont ABN Amro, Nat West, Lloyds Bank, Barcylays, Bank of America, Citi Group, CIBC, Danske Bank et d’autres. Plusieurs des banques membres de la PCAF ont été inculpées dans des affaires de blanchiment d’argent. Elles se sentent maintenant investies d’un nouveau rôle de modèles de vertu pour changer l’économie mondiale, si l’on en croit la rhétorique. Notamment, l’ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, est un « observateur » ou un consultant du PCAF. En août 2020, le PCAF a publié un projet de norme décrivant une proposition d’approche pour la comptabilité carbone mondiale. Cela signifie que les banquiers créent leurs propres règles comptables pour évaluer l’empreinte carbone ou le profil écologique d’une entreprise.

Mark Carney s’exprime à Mansion House (Reuters)

Le rôle central de Mark Carney : Mark Carney est au centre de la réorganisation de la finance mondiale pour soutenir l’agenda vert 2030 de l’ONU derrière la Grande Réinitialisation du Forum Économique Mondial de Davos, où il est membre du conseil d’administration. Il est également conseiller du secrétaire général des Nations unies en tant qu’envoyé spécial des Nations unies pour l’action climatique. Il a décrit le plan du PCAF comme suit : »Pour atteindre le zéro net, nous avons besoin d’une transition de l’ensemble de l’économie – chaque entreprise, chaque banque, chaque assureur et chaque investisseur devra ajuster ses modèles d’affaires, développer des plans crédibles pour la transition et les mettre en œuvre. Pour les entreprises financières, cela signifie qu’elles doivent examiner plus que les émissions générées par leur propre activité commerciale. »Elles doivent mesurer et déclarer les émissions générées par les entreprises dans lesquelles elles investissent et auxquelles elles prêtent. Le travail du PCAF pour standardiser l’approche de la mesure des émissions financées est une étape importante pour garantir que chaque décision financière tienne compte du changement climatique. » En tant que gouverneur de la Banque d’Angleterre, M. Carney a joué un rôle clé dans le soutien des banques centrales mondiales à l’Agenda Vert du programme 2030 des Nations unies.  Les principales banques centrales du monde, par l’intermédiaire de leur banque faîtière, la Banque des règlements internationaux (BRI) à Bâle, ont créé un élément clé de l’infrastructure mondiale croissante qui oriente les flux d’investissement vers les entreprises « durables » et les éloigne de celles, comme les entreprises pétrolières et gazières, qu’elle juge « non durables. » Lorsque Mark Carney, alors gouverneur de la Banque d’Angleterre, était à la tête du Conseil de stabilité financière (FSB) de la BRI, il a créé en 2015 un groupe de travail sur la communication financière relative au climat (TCFD). Les banquiers centraux du FSB ont nommé 31 personnes pour former la TCFD. Présidée par le milliardaire Michael Bloomberg, elle comprenait, outre BlackRock, JP MorganChase, Barclays Bank, HSBC, Swiss Re, le deuxième réassureur mondial, la banque chinoise ICBC, Tata Steel, ENI Oil, Dow Chemical, le géant minier BHP et David Blood de Generation Investment LLC d’Al Gore.

Anne Finucane, vice-présidente de la Bank of America, membre à la fois du PCAF et de la TCFD, a fait remarquer : « Nous sommes déterminés à faire en sorte que les risques et les opportunités liés au climat soient correctement gérés au sein de notre entreprise et que nous collaborions avec les gouvernements et les marchés pour accélérer les changements nécessaires… le changement climatique présente des risques pour le monde des affaires, et il est important que les entreprises expliquent comment ces risques sont gérés. » Le vice-président de Bank of America décrit comment ils évaluent les risques dans leur portefeuille de prêts immobiliers en procédant à « une analyse des risques physiques aigus sur un portefeuille échantillon de prêts hypothécaires résidentiels de Bank of America à travers les États-Unis. Chaque propriété a reçu un score basé sur le niveau de risque associé à 12 dangers potentiels : tornade, tremblement de terre, cyclone tropical, tempête de grêle, incendie de forêt, inondation fluviale, inondation éclair, inondation côtière, foudre, tsunami, volcan et tempête d’hiver. » De même, le « risque » d’investissement des banques dans le pétrole et le gaz ainsi que dans d’autres secteurs industriels est examiné selon les critères de la TCFD de Carney. Tous les risques sont définis comme étant liés au CO2, malgré le fait qu’il n’existe aucune preuve scientifique concluante que l’émission de CO2 par l’homme est sur le point de détruire notre planète par le réchauffement climatique. Les preuves de l’activité solaire suggèrent plutôt que nous entrons dans une période de refroidissement instable, le Grand Minimum Solaire. Cela ne préoccupe pas les intérêts financiers qui vont récolter des billions de dollars au cours de la prochaine décennie. Un autre élément clé de la préparation financière de la Grande Réinitialisation, la transformation fondamentale d’une économie à forte intensité énergétique en une économie à faible intensité et économiquement inefficace, est le Conseil des normes comptables de durabilité (SASB). Le SASB affirme qu’il « fournit un ensemble de normes claires pour la communication d’informations sur la durabilité dans un large éventail de domaines… ». Cela semble rassurant jusqu’à ce que l’on regarde qui compose les membres du SASB qui donneront l’imprimatur favorable au climat.Parmi les membres figurent, outre le plus grand gestionnaire de fonds au monde, BlackRock (plus de 7.000 milliards de dollars sous gestion), les fonds Vanguard, Fidelity Investments, State Street Global, Goldman Sachs, Carlyle Group, Rockefeller Capital Management et de nombreuses grandes banques comme Bank of America et UBS.Beaucoup d’entre eux sont responsables de l’effondrement financier mondial de 2008. Que fait ce groupe-cadre ? Selon leur site web, « Depuis 2011, nous travaillons à un objectif ambitieux : développer et maintenir des normes comptables de durabilité pour 77 industries. » L’objectif est de créer un réseau d’entités financières mondiales qui contrôlent la richesse combinée, y compris les assurances et les fonds de pension, pour une valeur de 100.000 milliards de dollars. Elles fixent les règles et définiront une entreprise, voire un pays, en fonction du degré d’émission de carbone qu’elle crée. Si vous êtes propre et vert, vous pouvez potentiellement obtenir des investissements. Si vous êtes considéré comme un pollueur de carbone, comme c’est le cas aujourd’hui pour les industries du pétrole, du gaz et du charbon, les flux de capitaux mondiaux vous désinvestiront ou éviteront de vous financer. La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, l’industrie pétrolière et gazière ainsi que le charbon.

Les hydrocarbures attaqués ! La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, le secteur du pétrole, du charbon et du gaz naturel. Les analystes de l’industrie pétrolière prévoient qu’au cours des cinq prochaines années, voire moins, les flux d’investissement dans le plus grand secteur énergétique du monde vont chuter de façon spectaculaire. « Compte tenu de la place centrale qu’occupera la transition énergétique dans les perspectives de croissance de chaque entreprise, nous demandons aux entreprises de divulguer un plan expliquant comment leur modèle économique sera compatible avec une économie nette zéro », a écrit Larry Fink, président-directeur général de BlackRock, dans sa lettre aux PDG de 2021. Blackrock est le plus grand groupe d’investissement au monde, avec plus de 7.000 milliards de dollars à investir. Un autre dirigeant de BlackRock a déclaré lors d’une récente conférence sur l’énergie que « là où BlackRock va, les autres suivront ». « Pour continuer à attirer les capitaux, les portefeuilles doivent être construits autour d’actifs avantageux de base – des barils à faible coût, à longue durée de vie et à faible intensité de carbone », a déclaré Andrew Latham, vice-président de l’exploration mondiale chez WoodMac, une société de conseil en énergie. Le saviez-vous ? La mégacorporation BlackRock vient de prendre le contrôle du Trésor américain et de la Réserve fédérale. L’administration Biden tient déjà sa promesse d’éliminer progressivement le pétrole et le gaz en interdisant les nouvelles locations sur les terres fédérales et en mer, ainsi que l’oléoduc Keystone XL. Le secteur du pétrole et du gaz et ses dérivés tels que la pétrochimie sont au cœur de l’économie mondiale. Les 50 plus grandes entreprises pétrolières et gazières du monde, y compris les entreprises publiques et cotées en bourse, ont enregistré des revenus d’environ 5.400 milliards de dollars en 2015. Alors qu’une nouvelle administration Biden pousse son opposition idéologique aux soi-disant combustibles fossiles, le monde verra un déclin précipité des investissements dans le pétrole et le gaz. Le rôle des mondialistes de Davos et des acteurs financiers de l’ESG est de garantir cela.

Et les perdants seront nous. Les prix de l’énergie vont monter en flèche, comme ce fut le cas lors des récents blizzards au Texas. Le coût de l’électricité dans les pays industriels deviendra prohibitif pour l’industrie manufacturière. Mais soyez rassurés. Tout cela fait partie de la grande réinitialisation en cours et de sa nouvelle doctrine d’investissement ESG.En 2010, le chef du groupe de travail 3 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat de l’ONU, le Dr Otmar Edenhofer, a déclaré à un interviewer : »…Il faut dire clairement que nous redistribuons de facto la richesse du monde par la politique climatique. Il faut se libérer de l’illusion que la politique climatique internationale est une politique environnementale. Cela n’a presque plus rien à voir avec la politique environnementale… »Le Great Reset du WEF (Davos) n’est pas simplement une grande idée de Klaus Schwab réfléchissant aux ravages économiques du coronavirus. Elle a été planifiée depuis longtemps par les maîtres de l’argent.

F. William Engdahl, consultant en risques stratégiques et conférencier, il est diplômé en politique de l’université de Princeton et auteur de best-sellers sur le pétrole et la géopolitique, exclusivement pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook ».




Les Peuples et les États piétinés, les comploteurs ne se cachent même plus

Par Jean

Communiqué des Gilets Jaunes de la Victoire aux populations et aux politiques

De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.

Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it

Une Constitution universelle pour un État global, privatisé et financiarisé, sous les couleurs de l’Agenda 2030 de l’ONU

[Analyse de l’Agenda 2030 de l’ONU non expurgée par Liliane Held Khawam publiée le 25 septembre 2020, https://www.lilianeheldkhawam.com.]

Un jeu qui permet de prendre connaissance des transformations qui traversent notre monde
Fidèle à sa volonté de sensibiliser la population aux « objectifs de développement durable » (ODD) de l’ONU, l’association La Fonda vient de lancer « Faire ensemble 2030 », son nouveau jeu coopératif.
Il s’agit d’un outil ludique à visées pédagogiques fondé sur la résolution de défis en lien avec les ODD. L’idée consiste principalement à mettre en avant des solutions communes, des partenariats d’acteurs, dans l’esprit de l’ODD17 «  Partenariats pour la réalisation des objectifs »
Le Commissariat général au développement durable est heureux d’avoir été associé à l’élaboration de cet outil.

25 septembre 2015. Il y a tout juste 5 ans, le pape François ouvrait en personne un rassemblement historique de l’ONU à New York, qui devait marquer le 70ème anniversaire des Nations Unies. A cette occasion, l’Assemblée, forte de 160 représentants de pays, avait adopté à l’unanimité le projet de « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ».

Un Programme majeur pour un Nouveau Monde

Ce programme jette les bases du Nouveau Monde en proposant ce qui ressemble à une ébauche de Constitution universelle. Celle-ci exalte l’esprit d’universalité, et la nécessité d’un consensus – voire d’unanimité – entre les Etats, qui décident de s’unir pour gérer au mieux l’avenir du monde. D’ailleurs, cela est confirmé dès l’introduction du Programme :

« Ce Programme a une portée et une importance sans précédent. Il est accepté par tous les pays et applicable à tous, compte tenu des réalités, capacités et niveaux de développement de chacun et dans le respect des priorités et politiques nationales. Les objectifs et les cibles qui y sont énoncés ont un caractère universel et concernent le monde entier, pays développés comme pays en développement. Ils sont intégrés et indissociables et concilient les trois dimensions du développement durable».

Tout est acté au nom du développement durable et de ses déclinaisons. Pourtant, les contradictions abondent dans ce texte qui prône à la fois la politique ultralibérale de l’OMC et la redistribution des richesses, le multilatéralisme et la souveraineté des Etats, l’humanisme et le sponsoring par les firmes globales, l’accessibilité aux contrées reculées, aux biens élémentaires, sans parler de gratuité. La toute-puissance du marché unique mondial, de ses multinationales, de la finance en grand architecte, n’y est pas remise en question.

Une feuille de route pour TOUS les pays

« Le Programme de développement durable, [Agenda 2030] est un plan d’action pour l’humanité, la planète et la prospérité ». Cette première phrase du Préambule introduit un des programmes les plus déterminants du Nouveau Monde. La gestion de l’humanité et de la planète est associée à la prospérité.

Étrangement, bonheur et liberté sont présentés en tant que capacité à produire et à consommer suffisamment.

Faim, misère et désespoir doivent être combattus par la croissance du PIB des pays. 

Joseph Savès a appelé une vision économétrique du monde. Il rappelle que des régimes archaïques enrichis par de fortes rentrées liées à des particularités naturelles, telles que le pétrole, peuvent abriter des populations qui n’en bénéficient pas du tout. A l’inverse, des pays à faibles PIB comme l’Etat du Kérala en Inde du Sud, assurent à leurs populations une vie relativement équilibrée et saine.

Lecture indispensable pour comprendre les enjeux du Développement durable et sa portée sur le terrain :
https://lilianeheldkhawam.com/2020/07/10/vers-un-nouveau-paradigme-de-structure-coronale-liliane-held-khawam/

Qu’est- ce que l’Agenda 2030?

Liste des 17 objectifs ODD composent et structurent le Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030

  1. Mettre fin à la pauvreté, sous toutes ses formes, partout,
  2. Éradiquer la faim, garantir la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition, promouvoir l’agriculture durable,
  3. Garantir la bonne santé, promouvoir le bien-être de tous à tous les âges, éradiquer les principales maladies,
  4. Garantir une éducation de qualité, sans exclusion, équitable, avec possibilités d’apprentissage pour tous tout au long de la vie,
  5. Égalité des genres: parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles,
  6. Eau pure et hygiène: assurer la disponibilité et la gestion durable de l’eau et de l’assainissement pour       tous,
  7. Garantir l’accès à une énergie abordable, fiable, durable, moderne, pour tous,
  8. Travail de qualité et économie: promouvoir une croissance économique soutenue, sans exclusion, viable, le plein emploi productif, un travail décent pour tous,
  9. Innovation et infrastructures de qualité : construire des infrastructures résilientes, promouvoir l’industrialisation, sans exclusion, et durable, et encourager l’innovation,
  10. Réduire les inégalités, au sein des pays et d’un pays à l’autre,
  11. Villes et communautés durables : faire des villes et des établissements humains des endroits sans exclusion, sûrs, résilients et durables,
  12. Consommation responsable: garantir des modèles durables de consommation et de production,
  13. Agir d’urgence contre le changement climatique et ses impacts,
  14. Océans durables: préserver et utiliser de manière durable les océans, mers et ressources marines pour     le développement durable,
  15. Exploitation du sol durable : protéger, restaurer et promouvoir une utilisation durable des écosystèmes terrestres, gérer les forêts de manière durable, lutter contre la désertification, stopper et remédier à la   dégradation des terres, et mettre fin à la perte de la biodiversité,
  16. Paix et justice : promouvoir des sociétés pacifiques, sans exclusion, dans le cadre du développement durable, permettre un accès à la justice pour tous, et mettre en place des institutions efficaces,      responsables, et sans exclusion, à tous les niveaux,
  17. Renforcer les moyens de mise en œuvre et revitaliser le partenariat mondial pour le développement durable

Visuel des 17 buts

https://www.are.admin.ch/are/fr/home/developpement-durable/cooperation-internationale/agenda2030/_jcr_content/par/image/image.imagespooler.jpg/1531215589689/1024.2000/sdg_poster.png

Le visuel a muté récemment en couronne (ou coronal), coronavirus oblige

https://lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2020/09/dab07-sustainable_development_goals_tcm14-147225.jpg

Présentation stylisée par le Prince Charles et le World Economic Forum… (Article ici)

La globalisation de la Suisse actée par la présidente de la Suisse

Dans cette allocution de la présidente de la Suisse en faveur de l’Agenda 2030, nous retrouvons les mêmes arguments mis en avant par ses collègues du Conseil fédéral, soit la famine, la pauvreté, les conflits, les discriminations entre hommes et femmes, etc.

Ainsi, en 2018 déjà, son collègue Alain Berset avait appelé l’assemblée des Nations-Unies à une refonte de l’ordre mondial, qui est une invitation à remettre en question la planète définie par des Etats pour la voir comme un tout, une entité une et indivisible. Pourquoi? Pour mettre fin à la

M Berset invita l’assemblée à entrer dans le Nouveau Monde, que nous définissons comme globalisé, productif, soumis à la finance globale.

L’Agenda 2030 a été tricoté sur la base du Développement durable. Dans un rapport sur la mise en œuvre de l’Agenda 2030 par la Suisse, le Conseil fédéral écrit : 

« En Suisse, le développement durable est un objectif suprême de la Confédération et à ce titre, il est inscrit dans la Constitution fédérale. La réalisation de cet objectif passe par la promotion de la prospérité commune, de la cohésion interne et de la diversité culturelle du pays mais aussi par un engagement en faveur de la conservation durable des ressources naturelles et d’un ordre international juste et pacifique. À tous les niveaux, les autorités publiques doivent viser un juste équilibre, sur la durée, entre la capacité de régénération de l’environnement et son exploitation par l’humain. ».

Forts de ce qui précède, il ne faut pas s’étonner de retrouver une autre conseillère fédérale, Doris Leuthard, en juillet 2018 en train de remettre à l’ONU une sorte de reporting (compte-rendu) incroyablement détaillé sur la Suisse. (cf détail tout en bas)!

Les fidèles de l’Agenda 2030 récompensés par… (Vidéo ICI)

https://i.ytimg.com/vi/7nbYRFZsZ28/maxresdefault.jpg

L’insistance de la présidente suisse quant au rôle de l’OMS

Le discours de la présidente suisse met en avant le rôle central de l’OMS et sa volonté de la soutenir. La chose est d’autant plus étonnante que le monde entier est actuellement au courant de qui tient le pouvoir décisionnel de l’OMS. A relever au passage que l’actuel directeur n’est pas plus médecin (malgré son titre de docteur) que le financeur et donneur d’ordres.

https://www.who.int/images/default-source/funding/ac-and-vc-2018-2019.tmb-1920v.png?sfvrsn=823d03b4_1
On retrouve les Gates aussi bien au niveau de leur fondation que du GAVI.

L’objectif 3 de l’Agenda 2030

Garantir la bonne santé, promouvoir le bien-être de tous à tous les âges, éradiquer les principales maladies (But 3)

Les cibles de l’objectif 3
3.1: D’ici à 2030, faire passer le taux mondial de mortalité maternelle au-dessous de 70 pour 100 000 naissances vivantes
3.2: D’ici à 2030, éliminer les décès évitables de nouveau-nés et d’enfants de moins de 5 ans, tous les pays devant chercher à ramener la mortalité néonatale à 12 pour 1 000 naissances vivantes au plus et la mortalité des enfants de moins de 5 ans à 25 pour 1 000 naissances vivantes au plus
3.3: D’ici à 2030, mettre fin à l’épidémie de sida, à la tuberculose, au paludisme et aux maladies tropicales négligées et combattre l’hépatite, les maladies transmises par l’eau et autres maladies transmissibles
3.4: D’ici à 2030, réduire d’un tiers, par la prévention et le traitement, le taux de mortalité prématurée due à des maladies non transmissibles et promouvoir la santé mentale et le bien-être
3.5: Renforcer la prévention et le traitement de l’abus de substances psychoactives, notamment de stupéfiants et d’alcool
3.6: D’ici à 2020, diminuer de moitié à l’échelle mondiale le nombre de décès et de blessures dus à des accidents de la route
3.7: D’ici à 2030, assurer l’accès de tous à des services de soins de santé sexuelle et procréative, y compris à des fins de planification familiale, d’information et d’éducation, et la prise en compte de la santé procréative dans les stratégies et programmes nationaux
3.8: Faire en sorte que chacun bénéficie d’une assurance-santé, comprenant une protection contre les risques financiers et donnant accès à des services de santé essentiels de qualité et à des médicaments et vaccins essentiels sûrs, efficaces, de qualité et d’un coût abordable
3.9: D’ici à 2030, réduire nettement le nombre de décès et de maladies dus à des substances chimiques dangereuses et à la pollution et à la contamination de l’air, de l’eau et du sol
3.a: Renforcer dans tous les pays, selon qu’il convient, l’application de la Convention-cadre de l’Organisation mondiale de la Santé pour la lutte antitabac

3.b: Appuyer la recherche et la mise au point de vaccins et de médicaments contre les maladies, transmissibles ou non, qui touchent principalement les habitants des pays en développement, donner accès, à un coût abordable, à des médicaments et vaccins essentiels, conformément à la Déclaration de Doha sur l’Accord sur les ADPIC et la santé publique, qui réaffirme le droit qu’ont les pays en développement, pour protéger la santé publique et, en particulier, assurer l’accès universel aux médicaments, de recourir pleinement aux dispositions de l’Accord sur les ADPIC qui ménagent une flexibilité à cet effet

3.c: Accroître considérablement le budget de la santé et le recrutement, le perfectionnement, la formation et le maintien en poste du personnel de santé dans les pays en développement, notamment dans les pays les moins avancés et les petits États insulaires en développement
3.d: Renforcer les moyens dont disposent tous les pays, en particulier les pays en développement, en matière d’alerte rapide, de réduction des risques et de gestion des risques sanitaires nationaux et mondiaux

La Suisse derrière la création d’une fondation dédiée à l’OMS. Cadeau de 3 milliards

L’ex-chef de l’Office fédéral de la santé publique Thomas Zeltner a présenté à Genève la WHO Foundation, qui prévoit d’apporter à l’Organisation mondiale de la santé près de 3 milliards de francs d’ici à 2023. https://www.letemps.ch/monde/une-fondation-suisse-secours-financier-loms

Nul besoin de grands discours pour savoir qui va profiter de l’argent des Suisses menés bien malgré eux à l’abattoir de la faillite généralisée… Au nom du big reset exigé par les promoteurs de l’Agenda 2030!

Les liaisons dangereuses vont jusqu’à nous faire assister au versement par Gates de quelques millions à Swissmedic, l’autorité particulièrement indépendante, responsable de la mise sur le marché des vaccins et des médicaments. On soutient avec des milliards les visions hautement discutables de ces personnes privées, puis on accepte quelques petits millions.

Où commencent et où finissent les abus d’autorité et autre corruption?

Eh bien tout ceci est parfaitement illégal en démocratie, mais tout aussi parfaitement légal et exigé dans le monde de l’Agenda 2030.

https://www.20min.ch/story/swissmedic-erhaelt-millionen-von-bill-gates-280633837943

Bref, l’adhésion inconditionnelle à l’Agenda 2030 explique à elle seule le soutien inconditionnel à l’OMS ainsi que les pré-commandes à milliards d’un vaccin anti-Covid avant même d’en avoir vu les premiers effets positifs.

Nous marchons à pas forcés vers un Etat planétaire non seulement unifié, mais globalisé, où les milieux de la haute finance occupent une place de choix dans la cogouvernance de l’humanité, d’ores et déjà en place.

LHK


Remarques complémentaires

Avec la création d’une gouvernance mondiale la démocratie va disparaître, puisque c’est une élite autoproclamée qui va prendre d’autorité les décisions, comme le font actuellement Macron en France, Johnson en Grande-Bretagne, Trudeau au Canada, Draghi en Italie… et Ursula von der Leyen à la Commission européenne.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, les individus ne seront plus que des pions.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, la soumission des citoyens et des peuples sera permanente.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, la dictature sera actée et définitive.

Avec la volonté de créer une gouvernance mondiale des financiers et des technocrates sans aucune conscience montrent à tous leur profond mépris de l’humanité.

La crise sanitaire n’est donc qu’un prétexte pour déclencher la phase finale de leur complot contre les Peuples et les États.

À la lumière de ce qui précède, il est facile de comprendre pour un esprit normalement constitué que se trame dans le dos de la population un gigantesque complot contre les Peuples et les États mené par la finance et ses complices. 

Cela ne peut pas être nié, puisque de ces manigances, les médias dominants aux ordres ne vous en ont jamais parlé.

Les synonymes de complot sont conspiration et intrigue. Il est bien évident que nous sommes en présence de personnes qui se croient au-dessus des lois et qui s’estiment intouchables.

La mafia

 Mafia (XIXe siècle), mot italien désignant une société secrète, issue du sicilien, mafia, « hardiesse, vantardise », d’origine obscure. Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 463.

Définition de la mafia : En Italie, la loi Rognoni-La Torre, promulguée en 1982 pour définir l’association mafieuse dans sa spécificité (article 416bis du Code pénal), est une extension de l’article 416 définissant l’association criminelle. Le législateur postule que ce qui caractérise l’association mafieuse par rapport à la simple association criminelle est ses méthodes et, notamment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la soumission. Dès lors, est désigné comme « mafieux » tout individu qui tire profit du pouvoir d’intimidation émanant du capital de violence inscrit dans son association — quand bien même cette violence n’est pas exercée de façon systématique —, qui protège son organisation par son silence et vit dans un rapport de soumission vis-à-vis de cette institution se superposant à l’État.

La mafia comme délit :

La création, en 1982, du « délit d’association mafieuse » répond à la nécessité de fixer un phénomène social ambigu, objet d’une approche tantôt culturaliste (la mafia comme façon d’être, expression archétypale de l’être sicilien), tantôt criminologique (la mafia comme association de malfaiteurs sans rapports permanents entre eux). Or nous avons vu comment la difficulté de prouver le caractère durable du lien mafieux et de démontrer la conscience des associés quant au projet criminel de leur association rendait caduques les tentatives judiciaires d’imputer aux mafieux un délit associatif, tel que prévu par le Code Pénal. La loi Rognoni-La Torre, promulguée en 1982 pour définir l’association mafieuse dans sa spécificité (article 416bis du Code Pénal), est une extension de l’article 416 définissant l’association criminelle. Le législateur postule que ce qui caractérise l’association mafieuse par rapport à la simple association criminelle est ses méthodes et, notamment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la soumission. Dès lors, est désigné comme « mafieux » tout individu qui tire profit du pouvoir d’intimidation émanant du capital de violence inscrit dans son association — quand bien même cette violence n’est pas exercée de façon systématique —, qui protège son organisation par son silence et vit dans un rapport de soumission vis-à-vis de cette institution se superposant à l’État. Juger la mafia — Deborah Puccio-DenJuger la mafia, Deborah Puccio-Den  

À ces délits, nous ajoutons la corruption.

Le Nouvel Ordre Mondial est donc une bien une mafia, qui en dehors de tous les principes républicains et de tous les principes démocratiques veut se substituer aux États pour mettre en place un gouvernement mondial aux mains d’une élite autoproclamée.

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés. »

David Rockefeller. Discours à la Commission Trilatérale, en juin 1991 à Baden Baden, dans Matrix of Power : How the World Has Been Controlled by Powerful Men Without Your Knowledge, paru en 2000.

« Certains croient même que nous faisons partie d’une cabale secrète agissant contre les grands intérêts des États-Unis et ils représentent ma famille et moi comme des “internationalistes” ; ils vont jusqu’à prétendre que nous conspirons avec d’autres capitalistes dans le monde pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée — un seul monde, si vous voulez. Si c’est ce dont on m’accuse, je plaide coupable et j’en suis fier. »

David Rockefeller, Mémoires, Éditions de Fallois, Paris, 2006, page 475.

« Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial. »

David Rockefeller, All We Need is the Right Crisis and the People Will Accept the New World Order.– David Rockefeller, 1994, Dîner aux Nations Unies.

Conclusion

Cet Agenda 2030 de l’ONU est à mettre en relation avec plusieurs projets des mondialistes, la liste ci-dessous n’étant que très sommaire :

Banque européenne, Catherine Lagarde : 
https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/covid-19-une-annulation-de-la-dette-est-inenvisageable-affirme-christine-lagarde-CNT000001wZxp0.html 

Commission européenne : 
https://www.touteleurope.eu/actualite/la-dette-publique-des-etats-de-l-union-europeenne.html
https://www.touteleurope.eu/actualite/margrethe-vestager-il-ne-s-agit-pas-de-reconstruire-le-monde-tel-qu-il-etait-avant-le-covid.html

Forum Économique Mondial, Klaus Schwab : 
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux – Nouveau Monde

Bill Gates :
https://reseauinternational.net/bill-gates-mecene-ou-arnaqueur/

Bonus :
https://nouveau-monde.ca/les-comploteurs-demasques-macron-cheval-de-troie-du-nouvel-ordre-mondial-et-de-la-finance/

Étant donné que dans les médias dominants, ces informations ne sont pas mises en relation, et que l’essentiel se trame en coulisses, caché aux yeux du grand public, nous voulons croire que la plupart des responsables politiques ne sont pas, eux aussi, au courant de ce plan machiavélique, élaboré par des suprématistes et qui signera l’arrêt de mort de la démocratie. Aussi nous demandons aux politiques, qu’ils soient maires, députés, sénateurs ou responsables de parti, de prendre leurs responsabilités sous peine de ne pas être réélus, et de se retrouver très prochainement à la rue…

Le signe de l’infamie



Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif

Par Jean-Michel Grau

Aujourd’hui, après un an de dictature sanitaire et de mascarade généralisée, c’est bien d’un dernier appel dont il s’agit ici. Avant qu’il ne soit trop tard. Un dernier appel avant embarquement pour suicide collectif.

Cet appel, on pourrait même le qualifier d’alerte rouge, tellement il devient pressant, urgent de se bouger, de s’insurger, de se révolter pour se libérer. À l’heure où tout le monde reste encore bien sagement claquemuré chez soi en attendant le déluge.

Face à l’apathie générale et au renoncement de se battre pour s’extraire des griffes de la finance mondialiste afin de sauver nos libertés, qu’attendons-nous encore avant de nous révolter ?

Qu’il ne reste plus un seul commerce indépendant ouvert, ni une seule petite entreprise encore en état de fonctionner avant que toute notre économie soit définitivement parterre ?

Les financiers du Grand Reset du Forum de Davos qui n’ont d’autre but que de nous asservir, n’attendent plus qu’une chose : que nous soyons tous piqués comme des poulets OGM afin de tous nous contrôler pour mieux nous voler nos biens, une fois ruinés par l’arrêt total de l’économie, et nous exclamer béatement, selon le slogan cynique de leur film de propagande (([1] nouveau-monde.ca/dici-2030-nous-naurons-rien-et-nous-en-serons-heureux/)) :

« Vous ne posséderez plus rien, et vous serez heureux. »

Formidable, non ? Alors, qu’espérer encore ? Un sursis ? Un malheureux sursis ? Et après ?

« Encore quelques minutes, Monsieur le bourreau ! » Mais non, il n’y aura pas de sursis ! À part pour les quelques restaurateurs naïfs qui croient encore que les maigres subsides de l’État vont leur permettre de survivre. Mais pour combien de temps ? Car c’est bien un gigantesque suicide collectif de toute la classe moyenne qui se prépare, avec la complicité des États et de l’Union européenne à la solde de l’oligarchie financière mondialiste, orchestrée par les partenaires illuminés du Forum Économique Mondial, Klaus Schwab, Bill Gates et Jacques Attali, dont Macron, Merkel et von der Leyen ne sont que des marionnettes.

À gauche : Bill Gates, partenaire contributeur du Forum Économique Mondial :

« Les vaccins Covid19 ADN devraient nous donner un contrôle extrême sur toute la population mondiale. »

À droite : Peter Sellers dans Docteur Folamour, film du génial Stanley Kubrick décrivant un monde corrompu où toute dignité humaine est enterrée sous une pseudo-nécessité de survie, avec la volonté clairement affichée des dirigeants de préserver leur pouvoir pour se livrer ouvertement à leurs magouilles politiques, leur brutalité, leurs perversions et leurs instincts bestiaux sous l’excuse qu’ils agissent pour l’humanité. Le slogan des militaires américains « La paix est notre profession » résume assez bien l’hypocrisie générale des décideurs qui baigne ce film.

« Nos tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. »

La Boétie

Car il faut vraiment être à genoux pour accepter de voir l’œuvre de toute une vie ruinée par la fermeture de son commerce, de son restaurant, de son entreprise. À genoux aussi pour accepter la fermeture de tout ce qui fait le sel de la vie : théâtres, cinémas, opéras, salles de sport, bars, discothèques… Et combien d’autres rideaux qui se baissent jour après jour sur nos loisirs ?

Car il faut vraiment être à genoux, ensuite pour accepter sans broncher d’être bâillonnés du matin au soir, de s’asphyxier à petit feu en respirant toute la journée son propre gaz carbonique, y compris à l’extérieur, même au bord de la mer ou encore en forêt ! C’est hallucinant !

Il faut vraiment être à genoux pour accepter cet enfermement quasi permanent fait de confinements, de reconfinements et de couvre-feux, comme si nous étions en état de guerre. Mais nous ne sommes pas en guerre ! Qui peut croire encore que l’on peut faire la guerre à un virus ? Qui peut croire encore ces propos délirants de psychopathe ?

Mais le pire n’est même pas là.

Comment peut-on accepter de voir tous ces écoliers dès l’âge de 6 ans, bâillonnés avec ces abominables muselières qui ne sont rien d’autre qu’un plan machiavélique d’ingénierie sociale pour nous apprendre à devenir tous des esclaves dès le plus jeune âge ?

Qui sont ces parents assez fous, assez criminels pour accepter que leurs propres enfants s’asphyxient huit heures par jour à l’école avec ces bâillons mortifères ?

Sont-ils incapables à ce point de créer des collectifs de parents d’élèves résistants pour forcer ce gouvernement criminel à plier en retirant massivement leurs enfants de l’école et cesser du même coup d’être les victimes d’un chantage aberrant : le masque ou l’exclusion ?

Et qui sont tous ces profs pour accepter eux aussi cette mascarade mortifère ? Où sont les syndicats d’enseignants et de parents d’élèves pour défendre la bonne santé des écoliers et des élèves face à la pandémie imaginaire d’un virus dont la létalité de 0,05 % frappe principalement la population des Ephad à comorbidité âgée de plus de 80 ans ? (([2] Didier Raoult, Carnets de guerre Covid19, le plus grand scandale sanitaire du XXIe siècle, Michel Lafon))

Ne savent-ils pas que non seulement ces masques ne protègent pas des virus (c’est écrit sur la boîte), mais en plus sont de véritables nids à miasmes, surtout si on les porte 8 heures par jour, a fortiori toute la semaine ? Tous ceux qui vous diront le contraire vous mentent. Ces masques n’ont pas été conçus pour l’usage que les pouvoirs occidentaux nous imposent, mais pour le personnel médical.

Ces parents et ces profs ont-ils perdu à ce point tout bon sens, pire : tout sentiment d’humanité, à force de lavages et rinçages de cerveaux successifs administrés par les infos anxiogènes débitées H24 par toutes les chaînes d’info continue pour leur dire quoi penser ?

Ont-ils peur à ce point de l’amende de 135 euros que le sinistre de l’intérieur ne manque jamais une occasion de leur rappeler ? Se sont-ils jamais posé la question de ne pas la payer parce qu’elle est totalement injustifiée, car le port du masque ne repose sur aucun fondement scientifique et qu’il a été décidé uniquement par un conseil qui n’a de scientifique que le nom ?

Savent-ils seulement qu’il y a pléthore d’avocats prêts à plaider leur cause via les collectifs citoyens initiés par des avocats tels Maître Brusa, Maître Di Vizio, Maître Jean-Pierre Joseph ou encore Maître de Araujo-Vecchia, pour ne citer que ceux-là ? (([3] reaction19.fr/,
divizio.fr/,
bonsens.info/,
legavox.fr/blog/maitre-de-araujo-recchia/rapport-dictature-2020-terrorisme-etat-29896.htm))

N’ont-ils pas encore compris que ce pouvoir inique qui nous enferme ne tient plus que par notre peur du virus pour nous imposer le chantage des masques et des vaccins pour mieux nous asservir ?

Sont-ils devenus à ce point des robots, incapables d’autre chose qu’obéir servilement sans réfléchir, à la moindre directive liberticide aussi absurde que criminelle, que le gouvernement et l’Union européenne tentent de nous imposer depuis maintenant un an?

N’ont-ils toujours pas compris qu’il est vital d’éteindre définitivement son téléviseur pour allumer enfin son cerveau afin de découvrir sur les médias alternatifs d’internet vers quelle abomination l’UE et nos gouvernants nous mènent à marche forcée ?

Quant à ces parents qui livrent leurs enfants aux mains des labos pharmaceutiques, tel Moderna aux USA, pour qu’ils servent de cobayes à des « vaccins » qui ne sont rien d’autre que des expériences géniques, ont-ils seulement entendu parler du Dr Mengele d’Auschwitz et de ses « expériences » sur les prisonniers ? Pourquoi a-t-on établi un code de Nuremberg en 1947 ? Pour des souris de laboratoire ? À l’heure où les déboires du vaccin Astra-Zeneca s’accumulent malgré l’autorisation provisoire de mise sur le marché de l’Agence Européenne du Médicament, (([4] francais.rt.com/international/84989-astrazeneca-information-obsolete-a-pu-fausser-essai-efficacite-vaccin-anti-covid,
francais.rt.com/france/84987-nantes-vaccin-astrazeneca-covid-etudiant-24-ans-meurt-thrombose-enquete-ouverte-)) le jour où l’UE nous intimera de piquer à notre tour nos enfants pour remplacer les souris, l’accepterons-nous bien docilement ?

« C’est parce qu’il y a des moutons qu’il y a des loups. »

C’est ainsi que Rainer Werner Fassbinder résumait son film « Le droit du plus fort ». Si le grand réalisateur allemand décédé il y a bientôt 40 ans revenait maintenant parmi nous, on pourrait aisément imaginer son effarement en constatant jusqu’à quel point la société d’aujourd’hui qui affiche un égalitarisme sans vergogne, est devenue paradoxalement la plus inégalitaire qui soit, à savoir l’incarnation même de sa mise en garde du siècle dernier !

Dans cette société soudainement devenue folle sous la pression d’une clique de mondialistes corrompus, il appartient à chacun d’entre nous de chasser dès maintenant par tous les moyens, les loups du pouvoir. Après tout, ils ne sont qu’une meute affamée de pouvoir et d’argent. Le jour où nous cesserons de leur donner nos vies à manger, ils mourront.





3e confinement : une arme de destruction massive pour la présidentielle

Par Jean-Michel Grau

En ce samedi 20 mars, premier jour de printemps, notre chef d’État a décidé de fêter l’évènement à sa manière : en reconfinant pour la troisième fois.

Mais pas n’importe où : les régions Île-de-France, Hauts de France, et les départements des Alpes maritimes, de la Seine maritime et de l’Eure.

Sacré virus ! Non seulement, il est capable de se démultiplier en vagues à répétition et autres variants, justifiant autant de mesures liberticides à l’infini, mais en plus, il ne s’attaque maintenant qu’à des zones géographiques bien précises, à savoir uniquement les régions et les départements des candidats potentiels ou déclarés pour la prochaine présidentielle !

Quel merveilleux hasard ! Il est décidément très fort, ce virus !

Reprenons toutes les régions et départements confinés :

  • L’Île-de-France :
    • candidats déclarés : Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon.
    • Candidate potentielle : Valérie Pécresse.
    • Candidate très potentielle : Anne Hidalgo.
  • Les Hauts de France : candidat déclaré : Xavier Bertrand.
  • Les Alpes maritimes : candidat potentiel : Christian Estrosi.
  • La Seine maritime : candidat potentiel : Edouard Philippe.
  • L’Eure : candidat potentiel : Bruno Le Maire.

Tous ces élus des régions et départements précités sont donc des candidats potentiels ou déclarés à la prochaine présidentielle et autant de candidats susceptibles de faire de l’ombre à notre apprenti dictateur, candidat, comme chacun sait, à sa propre succession.

Le virus covid 19, en plus d’être un virus biologique, s’avère donc maintenant être un redoutable virus politique ! Il faut croire que Macron tient les Français en si peu d’estime pour s’imaginer qu’ils ne verront que du feu dans ce pitoyable stratagème, n’importe quelle personne dotée d’un cerveau en état de marche étant capable de démasquer cette énième supercherie de bas étage.

Si le théâtre, tout comme le cinéma d’ailleurs, est connu pour être l’art du mensonge, Macron est un bien piètre acteur, et Brigitte Trogneux, une bien mauvaise professeur de théâtre.

Avec ce troisième confinement à géométrie présidentielle, il nous refait le coup des vaccins, à savoir un chantage gros comme le grand Reset de Klaus Schwab (1), autrement dit :

Les confinements à répétition et la ruine de leurs administrés, voilà ce qui attend jusqu’en avril 2022, les candidats à la présidentielle, s’ils n’abandonnent pas toute velléité de se présenter.

Ou comment punir par la même occasion tous celles et ceux qui auraient l’outrecuidance de voter pour un concurrent de notre Jupiter de salle de bains qui continue du fond de sa baignoire, de découper haché menu, ce qui reste de nos libertés.

En agissant ainsi avec ce 3e confinement, Macron nous rejoue le scénario du chantage écrit pour les réfractaires aux vaccins qui ne pourront jamais plus aller au restaurant, à l’hôtel, ni dans les musées et les concerts ou encore se déplacer en train ou en avion s’ils ne se font pas vacciner.

Mais ce n’est pas tout : le 3e confinement est le scénario idéal pour renvoyer les élections régionales et départementales aux calendes grecques, la décision finale du maintien de ces élections au mois de juin devant se prendre avant le 1er avril, soit en plein confinement. Sacré virus !

Il serait plus que temps de comprendre que tous ces chantages odieux ont assez duré, sachant que les restaurants indépendants ne rouvriront jamais, les théâtres, les cinémas et autres salles de spectacle, non plus, que l’on soit vacciné ou non.

Encore une fois, tout est écrit dans le programme de Klaus Schwab pour spolier tous les biens et les richesses de la classe moyenne par la haute finance et les entreprises transnationales. (([1] Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing))

Les gens du spectacle qui occupent les théâtres peuvent toujours attendre longtemps : à moins de quitter les théâtres pour monter des barricades dans la rue, ils n’obtiendront jamais rien.

Même chose pour les restaurateurs, dont les subventions qui vont s’arrêter le 30 juin prochain ne leur permettront pas d’échapper à la faillite qui les attend, si ce n’est déjà fait.

La liberté ne s’achète pas : ni avec des vaccins, ni avec des carottes, ni avec des menaces.

On n’a pas à payer pour être libres.

L’inscription « Liberté, Égalité, Fraternité » gravée sur tous les frontons des mairies n’est pas un slogan publicitaire. Sinon, autant la remplacer par « Le pouvoir de dire oui », plus dans l’air du temps… Elle est le témoin d’un combat gagné de haute lutte, de révolution en révolution pour vivre en citoyens libres et égaux en droits, comme inscrit dans la constitution. Mais il est clair que de compromission en compromission, de renoncement en renoncement, de lâcheté en lâcheté de la part de tous les politiques qui se sont succédés dans ce pays depuis des décennies, force est de reconnaître qu’aujourd’hui, la liberté, l’égalité et la fraternité se sont évanouies.

Tout est à reconstruire dès maintenant, si l’on ne veut pas voir la démocratie disparaître à jamais dans une tyrannie mondialiste dont nous serons tous devenus les esclaves consentants.

Désormais, le retour aux libertés ne passera que par l’insurrection.





Les décisions gouvernementales n’ont d’ubuesque que l’apparence

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

Le théâtre du jeudi soir (de notre temps, c’était du samedi soir…)

Étonnée que les Français soient encore surpris des annonces en yoyo et manifestement délirantes, si on les regarde avec un œil sanitaire.

Mais pas d’étonnement pour tous ceux qui ont quitté la secte covid et ont ouvert les yeux après une sidération plus ou moins longue et la dissonance cognitive associée par les mesures volontairement contradictoires et inutiles, du masque sur la plage ou seul en forêt aux campagnes de tests PCR démontrés non fiables depuis de longs mois et multipliés dans les écoles.

Pourtant, on sait depuis près d’une année aussi que les enfants ne sont ni en danger, ni contaminants.

Alors que penser du scénario du jeudi, comme on regarde un feuilleton aux rebondissements multiples depuis des semaines. Mais le scénario est mauvais, les artistes amateurs et les conséquences tragiques. Ceux qui, curieusement, l’analysent sur le plan sanitaire ne peuvent que constater les incohérences et terminent leur discours par un sempiternel « je ne comprends pas ».

Et même si nos gouvernants ratent quelque peu la mise en scène, force est de reconnaître qu’ils suivent scrupuleusement le rapport 9 de Ferguson et les confinements successifs prévus. Pas de seconde vague en novembre, peu importe : on change la spécificité des tests (plus de CT de cycles d’amplification et donc plus de positifs) et des cas, mais Véran ne parle jamais plus que de malades même quand il ne s’agit que de cas, donc des bien-portants. Et puis, on multipliera les tests plusieurs fois par semaine chez les hospitalisés jusqu’à obtenir un positif, isoler le malade venu pour un cancer ou une infection abdominale. Privé de famille, de compréhension, de soins adéquats puisque transféré en unité covid, beaucoup mourront isolés, mal traités à tous les sens du terme et codés covid, évidemment, donc sans accompagnement ni avant ni après la mort…(([1] https://www.20min.ch/fr/story/coronavirus-ces-deces-qui-sement-le-doute-879843877850?utm_medium= et aussi les témoignages de Stéphanie bataille sur sud radio chez Bercoff))

De nombreux témoignages se multiplient atteignant même les chaînes télé, car la sidération se tassant, les familles réalisent, culpabilisent et parlent. Bref, la pseudo-seconde vague fut alimentée par toutes sortes de voies, telles les septicémies bactériennes ou à champignons provoquées par le port prolongé du masque, dont il est tabou de dire du mal, nouveau totem du pouvoir sanitaire.

La troisième vague prévue pour le confinement programmé en mars tardait à arriver, donc les tests antigéniques (encore moins fiables que les tests PCR habituels), ont été multipliés largement par notre Véran national qui a pu chaque jour depuis quelques semaines afficher des chiffres en hausse, discordant toutefois avec la courbe plate des décès. Mais qu’importe si – même des Blachier – questionnent sur les ondes officielles.  Enfin, lui et d’autres expliquent clairement aussi que si les lits de réanimation se sont remplis, c’est automatique si on en libère par exemple en supprimant les autres activités, on adapte les entrées pour remplir au moins à 90 %, ce qui est impératif pour garder son budget et son personnel.

« Il n’y a PAS de 3e vague !
Depuis le début de l’année seulement 96 morts/jour de plus que en 2019 année sans épidémie sur 2 065 morts/j en moyenne soit augmentation/2019 de + 4,6 % pondéré pour vieillissement population = + 3 % /2019
Vérifier ici : 
https://insee.fr/fr/statistiques/4923977?sommaire=4487854#figure1_radio2…Dr »

Peter Elbaz sur tweeter ce 19 mars.

Et cette réflexion de bon sens de dragonduclos :

« Nous sommes dans une situation inédite dans l’histoire médicale selon laquelle une “épidémie mortelle” n’est pas caractérisée par l’augmentation de la mortalité… »

L’application du projet OMS Davos se poursuit tant que les hommes se soumettront…

Que penser donc des mesures de confinement, dites de freinage ? Évidemment, elles ont deux portées majeures, continuer le conditionnement de la population à obéir, mais sans en faire trop car, évidemment, le Président craint à juste titre une explosion. Alors leur rendre une heure le soir, ce qui soulage effectivement, et voilà nos Français contents qui oublient tout le reste et… partent en province. Ils ont bien raison…

La deuxième conséquence majeure est la fermeture des PETITS commerces qui aboutira à la faillite de nombreux d’entre eux avec quelques suicides au passage, et réalisera ainsi l’objectif avoué, écrit dans le livre de Klaus Schwab LA DISPARITION DES TROIS QUARTS DES RESTAURANTS, BARS, ETC. AVANT JUIN 2021. Qu’on ne me parle pas de complot, les participants au forum de Davos ont parlé depuis des décennies de leur plan machiavélique fondé sur la numérisation à outrance et l’obéissance des peuples via les nouvelles technologies, leur nouveau Dieu.

Pour les plus crédules et/ou curieux, lisez le dernier livre paru en juillet 2020 et disponible gratuitement sur le web :
« Covid-19 : LA GRANDE RÉINITIALISATION ».

Vous y trouverez la disparition de la monnaie liquide et, à travers cette mesure, la perte totale de notre indépendance vis-à-vis des banques. Le passeport sanitaire en fera partie.

Ils n’ont pas encore gagné

Mais ils n’ont pas gagné encore, tous les totalitarismes s’écroulent et celui-là disparaîtra probablement avant d’être complètement développé ; il y a toujours des grains de sable qui s’accumulent progressivement pour devenir plage, voire montagne. La seule inconnue est le temps de son renversement et des victimes directes et collatérales induites par leur tentative de coup d’État mondial et sa durée.

Alors, cette épidémie de grippe comme une autre avec son lot de décès inférieur à d’autres grandes pandémies leur a donné l’occasion, provoquée ou non, de tenter d’appliquer leur projet funeste, révisé dans l’Event 2019 en novembre en utilisant leurs armes politiques via l’utilisation de mesures sanitaires que les bons peuples allaient gober, et que le FMI allait aider en donnant des subventions aux pays qui accepteraient les confinements (avouées par certains pays, probables dans les autres).

Ces confinements, couvre-feux et toutes mesures liberticides ruinant l’économie contribueraient donc à la disparition attendue des classes moyennes, transformant les individus de ces classes en esclaves modernes touchant le revenu universel (de l’ordre de 1 000 euros mensuels), ne possédant plus rien et louant appartement, machine à laver etc. avec, comme distractions, des émissions type téléréalité, etc. Certains trouvent d’ailleurs ces hypothèses alléchantes. Mais la sécurité et police à la chinoise qui l’accompagnent (car surveillent si on mérite bien ces avantages) ne nous enthousiasment guère. D’où beaucoup de grains de sable résistants.

Et le vaccin ?

Le Premier ministre a évidemment ressassé son obsession du vaccin, et innocenté l’AstraZeneca de tout péché, dont il savait que la commission de l’agence du médicament l’absoudrait… au moins un certain temps, celui d’augmenter largement les ventes. Notons que le 19 mars la HAS a précisé qu’il ne fallait pas utiliser ce vaccin chez les moins de 55 ans.

La présidente de l’EMA ne risquait pas beaucoup a priori de contrarier les labos dont elle est issue.

« Avant d’être directrice générale de l’Agence européenne des médicaments (EMA) qui vient de donner le feu vert à Astra Zeneca. Emer Cooke a travaillé à l’association européenne des groupes pharmaceutiques à Bruxelles, principal lobby de l’industrie pharmaceutique auprès de l’UE ».

(([2] @rifain_nouvelle sur Twitter (tu commences à comprendre, dit-il ?) ))

Alors, évidemment, en 48 heures (comment analyser des milliers de signalements en si peu de temps, l’EMA a tranché : “circulez il n’y a rien à voir”. Les médias devenus rapidement spécialistes de l’embolie pulmonaire nous l’ont bien expliqué. Il y en a autant chaque jour chez les citoyens normaux et les vaccinés : alors pourquoi chercher la petite bête.

« Le comité est parvenu à une conclusion scientifique claire : il s’agit d’un vaccin sûr et efficace », a déclaré la directrice exécutive de l’EMA, Emer Cooke, lors d’une visioconférence.

« Le régulateur européen, basé à Amsterdam, “a également conclu que le vaccin n’était pas associé à une augmentation du risque global d’événements thromboemboliques ou de caillots sanguins », a précisé Mme Cooke. « Ses avantages dans la protection des personnes contre le Covid-19, avec les risques associés de décès et d’hospitalisation, l’emportent sur les risques possibles ».

Curieux, déjà, ce commentaire qui devrait alerter les naïfs volontaires :

« les risques associés de décès et d’hospitalisation l’emportent sur les risques possibles ».

Sont-ils conscients, nos candidats  que même, à moins de 55 ans, on peut mourir d’un vaccin alors que la maladie  ne tue que les personnes âgées de 84 ans en moyenne et moins de 0,05 % de la population au total ?

Le problème est qu’il existe toujours des gens pour empêcher la terre de tourner en rond. Et, hop, un caillou de plus dans la chaussure de l’EMA :

Le responsable de l’enquête norvégienne confirme que le vaccin d’Astra Zeneca a provoqué des caillots sanguins rares dus à une réaction immunitaire inattendue – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le chef de l’enquête norvégienne et médecin Pal Andre Holme, qui a examiné les trois professionnels de santé hospitalisés, a confirmé que c’est bien le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca qui a provoqué les caillots sanguins rares dus à une réaction immunitaire inattendue.

Auparavant, l’un des trois agents de santé admis au Rikshospitalet de Norvège est décédé. Ils ont tous été traités pour une maladie très rare. Ils sont arrivés avec une douleur aiguë ; ils avaient des caillots sanguins dans des endroits inhabituels, comme l’estomac et le cerveau.

« De plus, ils avaient des saignements et un faible nombre de plaquettes. En collaboration avec le département d’immunologie avancée des plaquettes de l’UNN, nous avons maintenant détecté des anticorps spécifiques contre les plaquettes qui peuvent provoquer une telle réaction, dont nous avons déterminé la cause », explique le chercheur.

« Nous avons la raison. Et il n’y a rien d’autre que le vaccin qui puisse expliquer la réponse immunitaire que nous avons observée. »

Holme insiste sur le fait que ce ne sont pas les anticorps présents dans le sang en général qui posent un problème. « Nous parlons d’anticorps très spécifiques ».

« On prend le vaccin pour obtenir une réponse immunitaire à ce contre quoi on doit être protégé. On obtient alors, entre autres, le développement d’anticorps. Certains anticorps peuvent alors réagir de manière à activer les plaquettes, comme dans ces cas-là, et provoquer un caillot de sang. Et comme ces anticorps sont à la surface, ils sont éliminés de la circulation, d’où un taux de plaquettes trop faible. »

Bref, en nous gardant bien de conclure dans une affaire aussi complexe de spécialistes, il est clair que le vaccin AstraZeneca n’est pas un bonbon sans risque et qu’il serait bien qu’on prenne le temps d’attendre. Mais la Bourse est pressée.

Bien d’autres sont inquiets sur l’avenir des vaccinés, au-delà des effets immédiats.

Et des twittos s’alarment : 

« Pourquoi les #média ne parlent-ils pas des décès dû aux #vaccin après #vaccination du #Pfizer #AstraZeneca #Moderna
À ce jour nous en sommes à 3 964 décès “officiels” soit + 16,95 % 
N’oubliez pas le facteur mensonge de la part des autorités
#StopCouvreFeu #StopConfinement » 

@AileaStick

et allez vérifier sur la base de données de l’EMA des effets indésirables même si c’est un peu ardu…

En tous cas, si vous aimez les vôtres, dites-leur qu’il est urgent d’attendre…  pour les quatre vaccins actuellement injectés en France… Qui vivra verra…

Nicole Delépine





De l’État profond au gouvernement mondial

[Source : Site officiel de Valérie Bugault (valeriebugault.fr) via reseauinternational.net]

par Valérie Bugault et Pierre Bergerault – TVL

Valérie Bugault, docteur en droit, ancien avocat fiscaliste, reconvertie dans la géopolitique juridique et économique.

Vous êtes l’auteur de plusieurs ouvrages « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie » co-écrit avec Jean Rémy, « La nouvelle entreprise », « Les raisons cachées du désordre mondial » et « Demain dès l’aube… le renouveau » tous édités chez Sigest.

1) « La géopolitique est conçue comme l’étude des stratégies d’approche, d’attaque et de défense militaire d’un État vis-à-vis d’un ou de plusieurs autres ». Cette définition est-elle toujours de mise ?

Cette notion, la « géopolitque », a évolué deux fois au cours des dernières décennies sans d’ailleurs que les analystes en soient toujours clairement conscients :

  • À partir de la seconde GM et en particulier à partir de la signature des accords de Bretton Woods, le terrain de la « géopolitique » s’est déplacé du champ de bataille militaire vers le champ de bataille économique et monétaire et
  • Depuis quelques mois, nous assistons à une seconde évolution de la « géopolitique ». Le terrain économique et financier est en effet en cours de déplacement vers le terrain juridique. Le « droit » existait auparavant mais il n’était pas perçu comme enjeu majeur. Il était perçu comme un simple moyen d’action car les finalités du droit n’étaient plus discutées depuis trop longtemps. On arrive aujourd’hui à un moment particulier de l’Histoire où le droit va devenir, il faudrait dire « redevenir », le véritable champ de bataille, supplantant le domaine monétaire et économique, pour devenir le véritable enjeu de la géopolitique moderne.

En effet, outre sa fonction d’être un moyen d’action politique, le « Droit » en tant que « système » véhicule une culture, une conception du monde et de la vie en commun. Les décennies qui viennent verront la confrontation des systèmes de droit en raison du nécessaire renouveau politique.

Le « droit anglo-saxon » et le « droit continental » véhiculent une conception antagoniste de la vie en Société. Le droit britannique est, depuis le XVIe siècle, conçu comme une arme règlementaire au profit des puissants tandis que le droit continental traditionnel s’est développé, jusqu’à l’avènement du Code civil de 1804, comme un art politique : l’art d’améliorer la vie du groupe (c’est-à-dire de la Société), le moyen de pacifier les relations interpersonnelles en imposant aux « hommes de l’art » la recherche de justice.

Alors que le droit civil est le seul « Droit » à véhiculer le concept de justice, de vie en commun et in fine de civilisation, ce dernier est, malheureusement, en voie de fusion-absorption par le système britannique commercialiste.

Pour la France, et par extension pour le monde, l’enjeu majeur des prochaines décennies sera de réinitialiser notre droit civil en tant que « droit commun », lui-même développé autour du droit naturel.

2) « De façon subreptice et sournoise depuis le XVIIIe siècle, nous sommes collectivement entrés dans une ère qui interdit le libre arbitre humain au profit exclusif des puissances financières qui se sont emparées réellement et anonymement du pouvoir ». Comment ce changement de paradigme s’est-il opéré ? 

Ce changement de paradigme s’est opéré par la double prise de contrôle monétaire et politique par les puissances d’argent.

La prise de contrôle monétaire s’est faite de façon directe par la centralisation de la gestion monétaire dans les mains des banquiers au moyen de la création de « banques centrales ».

La prise de contrôle politique fut plus sournoise ; elle s’est réalisée par l’avènement et la généralisation d’un système politique axé autour du parlementarisme représentatif et d’une pseudo séparation des pouvoirs (qui est en réalité une disparition du pouvoir politique), dans lequel la vie politique a été captée par les « partis politiques ». Or, les partis obéissent à ceux qui les financent, ce qui a permis d’établir :

  • L’omnipotence hégémonique et anonyme des puissances financières et
  • La disparition des contrepouvoirs internes, qui devraient normalement structurer la vie politique.

3) Le contrôle de l’or opéré par les banquiers changeurs du Moyen-âge se terminera, dites-vous par un gouvernement mondial dictatorial de nature technocratique entièrement dirigé par les puissances financières dominantes. Que répondre à ceux qui voient là une vision simpliste, affirmant que toutes les nations n’ont pas intérêt à se fondre dans une structure mondiale ? 

Aucun peuple, aucune Nation, n’a « intérêt » à se fondre dans une structure globale dominée par les financiers. La volonté populaire n’entre pas en ligne de compte car tout est organisé de façon opaque, par le biais du mensonge, on fait passer des choses en prétendant qu’elles sont l’inverse… Ce pouvoir hégémonique s’est toujours imposé sans demander l’avis des peuples, par la corruption, l’illusionnisme et le mensonge !

À partir du moment où la vie politique est captée par les puissances financières – ce qui est vrai de la très grande majorité des pays du monde – l’intérêt commun des dirigeants à se fondre dans une structure mondiale dominée par les financiers est de facto, par principe, établi. Seuls des incidents mineurs lié à l’existence d’intérêt personnel des uns ou des autres doivent être contournés par les globalistes afin d’établir leur projet de gouvernement mondial totalitaire.

4) Au-delà d’imposer leur empire politico-financier, vous affirmez que les tenants d’un Nouvel Ordre Mondial souhaitent édicter une religion mondiale. Quels en seraient les dogmes ?

Je ne suis pas spécialiste des religions mais il me semble que cette religion existe déjà en filigrane : culte de l’argent, concurrence de tous contre tous, métissage de tous les monothéismes en un seul magma synthétique (sur le modèle des produits financiers).

La laïcité aura été un moyen de détruire le pouvoir spirituel en Europe et non, comme on pourrait le croire, un moyen de neutralité bienveillant. Or, faire disparaître le pouvoir spirituel a eu en réalité à la fois pour cause et pour conséquence de faire disparaître tout contrepouvoir politique à la toute-puissance des financiers.

Un autre moyen de destruction du pouvoir spirituel aura été l’exacerbation des antagonismes entre les trois monothéismes. La « religion mondiale » aura été imposée par la manipulation à l’extrême des anciens monothéismes en montant les uns contre les autres. Les dominants financiers ont utilisé, une fois de plus (on ne change pas une méthode qui marche), le principe de bonne politique consistant à « diviser pour mieux régner ».

En montant les religions les unes contre les autres, ils réussissent à créer un vide spirituel dans lequel ils vont engouffrer leurs propres croyances, qu’à vrai dire je ne suis pas sûre qu’il faille appeler « religion ». En effet, lesdites croyances ressemblent plus à la domination du mal absolu qu’à une quelconque spiritualité véhiculant des principes de « vie en commun » que les religions traditionnelles portent en elles. Peut-on appeler « religion » une croyance de quelques hommes qui consiste à :

  • Estimer que la population mondiale ne doit pas dépasser 500 millions d’âmes (Georgia Guidestones) ;
  • Pirater le fonctionnement intime (génétique) du vivant (Trans humanisme) pour permettre la vie éternelle à ceux qui resteront sur cette terre ?

Alors même que toutes les religions ont, jusqu’à ce jour, respecté le droit naturel supérieur, une croyance en la toute-puissance de l’homme, censé devenir éternel, ne me semble, après réflexion, pas devoir être désigné du terme de « religion ». Cela ressemble davantage à une secte sataniste qu’à une religion stricto sensu.

5) Pourquoi voyez-vous dans le droit anglo-saxon et la City de Londres l’alpha et l’oméga de cette volonté mondialiste ?

L’émancipation en 1531 de la papauté par le roi Henri VIII d’Angleterre au moyen de la création de l’église réformé (à mi-chemin entre protestantisme et catholicisme) sous la houlette de l’archevêque de Cantorbéry, nommé par le Roi, a modifié fondamentalement la façon de concevoir le droit en Angleterre. Le droit anglais est devenu l’apanage du seul pouvoir temporel (cf. pour le catholicisme l’équivalent de 1531 est 1929 et les Accords du Latran), autrement dit, un simple instrument de puissance dans les mains du détenteur du pouvoir temporel, d’abord identifié par le Roi puis par les puissances financières.

Le développement des visées impériales britanniques, cristallisées sous Cromwell (1599-1658) par l’établissement d’un « Commonwealth républicain » [Cf. wikipedia.org/wiki/Oliver_Cromwell], a acté la suprématie du pouvoir économique et monétaire sur le pouvoir politique.

La puissance financière est à l’origine du développement de l’empire britannique et le droit fut son arme de domination. C’est précisément cette conception, très affairiste et utilitariste, du « droit » qui s’est imposée sur la scène internationale tout au long des XIXe et surtout XXe siècles. Nous sommes ici dans un contresens par rapport à ce que signifie traditionnellement la notion de « Droit », ce type de normes est un « droit » qui n’est ni « droit » ni du « Droit ».

6) Vous dites que le droit anglo-saxon aurait pris le pas sur notre droit continental mais en quoi ce droit continental est-il différent du droit anglo-saxon ?

Tous les développements juridiques sur la personne, les rapports de l’individu au groupe, à la puissance et à l’autorité ont été formalisés, conceptualisés par les grands légistes de droit canon (penseurs catholiques) tout au long du Moyen-âge et en particulier au haut Moyen-Âge avec Saint-Augustin, puis, à partir du XIe siècle avec l’évêque Fulbert (1006 – 1028), le Décret de Gratien 1140, Saint Thomas d’Aquin (1225 – 1274) au XIIIe siècle… [Cf. cairn.info/la-formation-de-la-pensee-juridique-moderne ; cours.unjf.fr/repository/coursefilearea ; books.openedition.orgjstor.org/stable]. Le droit canon ou, plus précisément, son métissage avec les apports structurels du droit romain, est à l’origine du développement de « la civilisation européenne ».

Or, le droit britannique s’est, à partir de 1531, émancipé des apports du droit développé sur le modèle ci-dessus décrit pour se fonder sur la suprématie maritime et commerciale propre à servir le développement impérial et les intérêts financiers dominants qui le supportait.

À la même époque, le droit continental est, tout au contraire, resté fondé sur un droit commun de nature civile issu de l’équilibre des forces entre pouvoir temporel et pouvoir spirituel. Les choses ont commencé à changer sur le continent européen à partir de la Révolution française – qui a beaucoup affaibli l’Église catholique – jusqu’à 1929, date des accords du Latran, qui correspond, en Europe et pour le monde catholique, à ce que fut l’année 1531 pour l’Angleterre : la soumission définitive et radicale du pouvoir spirituel, via Mussolini, au pouvoir financier mené par la City.

Tout au long des XIXe et XXe siècles, la puissance de l’empire britannique n’a fait que croître pour finalement se transférer dans l’empire américain, lequel a utilisé les mêmes armes monétaire, économique et juridique en les déployant partout dans le monde grâce à sa puissance de frappe militaire et financière.

C’est la raison pour laquelle toutes les institutions internationales ou supranationales nées au cours du siècle passé – parées pour la façade et très hypocritement de vertus humanistes ou d’une prétendue pacification du monde – n’auront finalement été que des appendices, des projections mondiales, de la puissance financière des banquiers globalistes apatrides (BRI, FMI, banque mondiale, OCDE, ONU, Union européenne, OMC, OMS…).

7) Comment se traduit concrètement cette soumission du droit continental au droit anglo-saxon ?

Cette soumission s’est réalisée, au fur et à mesure du temps, en quatre grandes étapes, qui furent des attaques en règles contre le Droit continental traditionnel :

  • La première attaque est d’ordre institutionnel, elle concerne la méthodologie du droit avec l’instauration d’un parlement dont la seule mission est de « créer » du droit, ce qui va à l’encontre de la mission traditionnelle du droit continental, qui comportait des règles simples et peu nombreuses.
  • La 2ème attaque est d’ordre conceptuel : avènement de la théorie pure du droit d’Hans Kelsen (1881 – 1973) qui impose un droit positif émancipé des principes du droit naturel [Cf. wikipedia.org/wiki/Hans_Kelsen].
  • La 3ème attaque est à nouveau d’ordre institutionnel : avènement des institutions européennes, dominées par le « principe réglementaire » issu des multinationales et véhiculé (ne l’oublions pas !) par les pouvoirs exécutifs des principales puissances économiques de l’Union. Ce système aggrave considérablement et à dessein la confusion des genres entre « règlementation professionnelle » et « Droit ».
  • La 4ème et dernière attaque est à nouveau d’ordre conceptuel : il s’agit de « moderniser le droit français », c’est-à-dire qu’il s’agit de transformer le droit civil en droit commercial (sur le modèle du droit de propriété économique) de façon à le rendre compatible avec le droit anglo-saxon, d’essence commercialiste. Il s’agit aussi de financiariser et opacifier ce nouveau « droit commun commercial ». Ce qui se traduit en termes de droit positif par toujours plus :
    • d’anonymat capitalistique et contractuel,
    • d’irresponsabilité juridique des dirigeants et décideurs réels,
    • de disparition de la corrélation entre responsabilité et pouvoir,
    • d’accaparement,

La disparition « de fait » (de facto) des libertés, inhérente à la domination économique, deviendra, par un glissement appelé (par les partisans du globalisme) « réalisme juridique », une disparition « de droit » (de jure). C’est ainsi que l’hégémonie financière se traduira fatalement, tôt ou tard, en droit positif par la suppression :

  • de la liberté d’expression,
  • de la propriété privée.

8) Vous évoquez l’intrusion de la fiducie en droit français à la fin des années 2000 grâce à une pression sur les élus de la République… En quoi consiste l’opération de la fiducie ?

Il s’est agi de permettre sur le territoire français des opérations patrimoniales faisant intervenir trois personnes différentes : le constituant, le fiduciaire et le bénéficiaire.

Techniquement, l’intervention d’une tierce personne gestionnaire, appelée trustee ou fiduciaire, permet de rendre discrètement anonyme le nom du bénéficiaire réel des opérations réalisées sous fiducie. La fiducie introduit une dose supplémentaire de confusion dans la responsabilité juridique qui incombe aux décideurs économiques. Le droit français était beaucoup plus clair sur les responsabilités lorsque les parties à un contrat d’organisation patrimoniale étaient identifiées clairement comme cédant et cessionnaire d’un bien ou d’un droit, ou comme bénéficiaire et débiteur d’une sûreté. La fiducie introduit un degré d’opacité dans la responsabilité juridique en matière de gestion patrimoniale. Ce n’est pas un hasard si les dominants financiers ont utilisé le trust et non le droit civil français pour organiser le contrôle et la circulation des capitaux dans le monde entier.

Politiquement cette intrusion répondait aux besoins de la liberté de circulation des capitaux imposée par l’ordre économique mondial, c’est-à-dire par les tenanciers des paradis fiscaux anglo-saxons. L’opération s’inscrivant, rappelons-le, dans le contexte de la disparition des paradis fiscaux à comptes numérotés, qui étaient des « corsaires juridiques » sous contrôle de certains États, au profit des paradis terrestres hébergeant des trusts anonymes. Pour être tout à fait claire, on identifie ici un plan organisé et prémédité, que l’on pourrait appeler « complot », puisque l’intervention de la fiducie, en France en 2007, a précédé les grandes manœuvres géopolitiques lancées par l’OCDE en 2009, avec Nicolas Sarkozy en tête de pont, tendant à liquider les paradis fiscaux fondés sur les comptes numérotés. « L’a-France » est, très souvent, dans le wagon de tête des félonies politico-juridiques ; mais elle n’est pas la locomotive de ces manœuvres.

L’intervention de la fiducie par la loi Marini du 19 février 2007, qui est une modification législative majeure, s’inscrit dans le contexte de la vague scélérate de « modernisation du droit français » consistant à rendre le droit civil compatible avec le droit anglo-saxon d’essence commercialiste.

Enfin, il faut remarquer la concomitance historique entre la trahison juridique que fut l’introduction, le 19 février 2007, de la « fiducie » en droit français et la trahison politique que fut la signature, le 13 décembre de la même année, du Traité de Lisbonne par les chefs d’État ou de gouvernement des 27 États membres de l’Union européenne. Rappelons que cette Trahison politique fut actée par les parlementaires français en 2009, lesquels ont ratifié ce traité signé en 2007 alors même que le peuple français avait rejeté, en mai 2005, la Constitution européenne, version initiale quasi identique dudit Traité. Nous avons ici, soit dit en passant, une magnifique application – un cas d’école – du fait que le principe du parlement dit représentatif existe à la seule fin de domestiquer la volonté populaire (ce que dénonçait déjà en son temps Jean-Jacques Rousseau !).

La trahison juridique n’est jamais très éloignée de la trahison politique ; ces deux « félonies » fonctionnent en osmose.

9) Drôle de découverte : La République française est, selon « société.com », site web d’informations légales sur les entreprises françaises, enregistrée à l’INSEE d’une façon similaire à une entreprise commerciale. Qu’est-ce que cela signifie ? (un numéro SIREN (100000017), numéro SIRET, réservé aux entreprises (10000001700010), un numéro de TVA intracommunautaire (FR15100000017))

Cela signifie que nous sommes anglo-saxonnisés !

Cela signifie que nos institutions civiles et politiques ont vocation à devenir, sur le modèle britannique, des institutions commerciales, ce qu’elles n’ont historiquement, politiquement et philosophiquement JAMAIS été ni dans notre pays, ni sur le continent européen, ni dans tous les pays ayant adopté notre système de droit continental.

À cet égard, je voudrais rappeler que la dénonciation, à grands cris, par le milieu des affaires, de « l’extraterritorialité du droit américain » qui veut mettre la main sur les multinationales dites françaises et le mutisme intégral de ce même milieu face à la colonisation forcée de notre droit par le droit anglo-saxon a quelque chose de grotesque qui s’apparente aux « Précieuses ridicules » de Molières.

Ce deux poids deux mesures des milieux des affaires, qui poussent des cris d’orfraie et appellent dans un cas au « patriotisme économique » alors que, dans l’autre cas, ils s’écrasent littéralement pour ne pas dire qu’ils rampent en pratiquant même la surenchère des mesures, est finalement assez comique à observer ! Les acteurs économiques, qui ont eux-mêmes trahi et vendu leur « système de droit », appellent ce dernier à la rescousse dès qu’ils sentent, sur eux-mêmes, les premiers effets de leur trahison ! Rappelons que « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes ».

L’hypocrisie endémique, liée à l’esprit de collaboration, traditionnellement très prisée des « dirigeants français », a définitivement condamné les milieux juridiques français à finir, sauf improbable sursaut, dans les poubelles de l’histoire…

10) « Les puissances financières anonymes ont juridiquement développé un système économique mondial de type monopolistique qui leur permet de capter et contrôler toutes les technologies ; technologies qui deviennent, dans leurs mains, des armes employées contre les peuples ». Au-delà de la censure qu’utilisent les GAFAM, jusqu’où ces armes peuvent être utilisées ?

Levons une ambiguïté : ce système est couramment appelé, à tort, capitaliste. À tort car il ne s’agit pas, et ne s’est jamais agi, d’une idéologie mais d’une volonté d’hégémonie politique des banquiers, ce qui est très différent.

Le terme « capitalisme » organise une confusion volontaire en parant une volonté bancaire hégémonique d’oripeaux intellectuels qui a permis de justifier :

  • le développement de l’anonymisation des décideurs ;
  • le développement subséquent de la déresponsabilisation juridique des décideurs ;
  • le développement de la dérégulation, c’est-à-dire de la disparition du « droit » remplacé par de la simple « règlementation » adossée à l’idéologie de la « liberté du Commerce ». Une fois encore la liberté du commerce ne signifie qu’une seule chose : la mise en esclavage des petites entités économiques par les grosses ;
  • la création d’énormes conglomérats économiques appuyés sur les banques et dont la seule vocation est l’accaparement des richesses ;

Le terme même de « capitalisme » est une escroquerie destinée à justifier intellectuellement, c’est-à-dire à cacher aux yeux de tous par de savantes constructions fondées sur des postulats erronés ou biaisés, l’accaparement opéré par les puissances financières. OR, l’accaparement est incompatible avec la civilisation. Toutes les civilisations de l’Histoire humaine ont lutté contre l’accaparement. Et justement, le « capitalisme » a rendu l’accaparement légal et légitime !!!

On se situe avec le prétendu « capitalisme » qualifié de « liberté » dans le même rapport d’illusionnisme et de domination qu’avec le « parlementarisme représentatif » qualifié de « démocratie » : une imposture pure et simple !

11) Les dominants financiers, dites-vous, n’ont jamais caché leur volonté et motivation génocidaires. Volonté que vous désignez sous l’appellation de « dette de sang ». Expliquez-nous ?

Plus exactement, j’ai dit que, depuis l’avènement du Club de Rome, les dominants financiers ne cachent plus leur volonté génocidaire.

Par ailleurs, il faut se souvenir qu’au-delà du génocide, il est surtout question du lien indéfectible entre développement des puissances financières et esclavagisme des masses. À titre d’exemple : l’État du Delaware aux États-Unis n’a accepté (et il fut le dernier État à le faire) de renoncer à l’esclavage que pour devenir un « paradis fiscal ». La dette est un puissant moyen de domination car, comme l’a si bien dit Napoléon : « La main qui donne est au-dessus de celle qui reçoit ».

Une fois que vous êtes englués dans les liens de la dette, vous ne pouvez plus rien refuser à votre/vos créancier(s), surtout si ce dernier s’est arrangé pour contrôler le pouvoir législatif de façon à organiser son anonymat !

Tout cela n’a pu se produire que parce que le concept de « personne morale » (sic), organisée sur le modèle capitaliste Britannico-hollandais (en opposition au modèle de la participation ou de la cogestion), est intervenu pour cacher le nom véritable des quelques personnes physiques qui contrôlaient in fine ce système organisé par le « droit » dans un ballet très structuré de clair/obscur.

12) Pourquoi dites-vous qu’il est inutile de dénoncer un gouvernement des juges »? (sous la dépendance du pouvoir en place, en l’occurrence le pouvoir financier)

Car c’est en réalité l’intégralité de l’appareil d’État qui est au service, via le partis politiques, du pouvoir financier ! Le prétendu pouvoir des juges fait partie intégrante du pouvoir exécutif et donc de l’appareil d’État. Parler de « gouvernement des juges » c’est vraiment l’arbre qui cache la forêt ! L’imposture politique élevée au niveau de « grand art », du pur illusionnisme !

13) Pour vous, la contestation de l’actuel pouvoir français, illégitime, dictatorial et outrancier, est nécessaire et même indispensable. Que pensez-vous de la gestion gouvernementale du covid ?

Plus précisément, je dis que l’intégralité de l’appareil d’État est aux mains des puissances financières. Nos institutions politique ont organisé consciencieusement, bien que discrètement, la disparition de tout contrepouvoir interne.

L’absence de contrepouvoir interne, initiale et consubstantielle à nos institutions, a été mise en évidence par la disparition du contrepouvoir politique externe que constituait l’existence d’un « bloc de l’Est ». IL FAUT maintenant LE CONSTATER.

Or, une organisation politique sans contrepouvoir est antinomique non seulement avec une quelconque démocratie, avec la liberté individuelle et collective mais aussi et surtout avec le concept même de CIVILISATION.

Les mesures législatives et règlementaires prises, à l’occasion de la crise covidique, par les « autorités chargées de la gestion du territoire français » (il ne s’agit pas à proprement parler de personnel politique puisque les « gouvernements » ne sont plus des « entités politiques ») s’inscrivent évidemment dans cette tendance lourde de la toute puissance financière.

14) Vous jugez la contestation du pouvoir nécessaire pour ne pas nous voir imposer le fameux Great Reset ? Quelle définition donnez-vous à ce projet d’agenda proposé par le président du Forum économique mondial, Klaus Schwab ? (projet monétaro-politique) ; Pour faire face à cette Grande Réinitialisation, à ce gouvernement mondial, vous proposez de remettre les institutions politiques et étatiques au service de la population, vaste programme. Mais avant cela, comment amener cette population à prendre conscience de sa servitude ? (Modèle financiariste contre modèle politique)

Le forum de Davos via son directeur Klaus Schwab, lequel s’est récemment fait l’écho officiel (à grand renfort médiatique) du « Great Reset », est le dernier avatar de la prise de pouvoir mondiale par les puissances financières globalistes. Cette prise de pouvoir, qui s’inscrit dans une dimension historique pluri-centenaire, arrive aujourd’hui à maturité.

Dans ce contexte, le seul moyen pour les peuples, de s’opposer à l’inéluctabilité de leur mise en esclavage, est de reprendre le contrôle de leurs institutions, lesquelles sont aujourd’hui fondées sur l’imposture politique. Retrouver des institutions politiques signifie mettre fin à l’hégémonie mondiale des puissances financières. C’est aussi simple que cela. Mais pour y arriver, il faut avoir une vision claire des forces en présences et des enjeux civilisationnels qui en découlent.

Les gens doivent prendre l’habitude de raisonner par eux-mêmes, de confronter leurs intérêts et ne plus se laisser manipuler par l’avalanche de « mots » dépourvus de sens que les dominants financiers leur imposent, générant volontairement une variété infinie de « maux » politiques et sociaux. Lorsque les politiques, médias ou « sachants » universitaires et autres experts de plateaux parlent de « liberté », il faut aujourd’hui comprendre « servitude ». La liberté, lorsqu’elle existe, n’a pas besoin d’être mentionnée à tout bout de champ. On ne parle des choses que lorsqu’elles ont disparu !

Il est temps d’instaurer une organisation sociétale dans laquelle tous les intérêts catégoriels traversant la Société seront politiquement représentés. Ce qui signifie qu’il est temps de se séparer de nos systèmes politiques actuels, pures impostures politiques, dans lesquels les seuls intérêts politiquement représentés sont, via les partis politiques, les intérêts financiers supérieurs. Je renvoie les auditeurs intéressés à mes travaux sur la rénovation institutionnelle (voir mon site internet et mes différents ouvrages), c’est-à-dire à ma proposition de réinitialisation de l’État telle qu’elle figure sur mon site et telle qu’elle est décrite dans mes différents articles.

15 et 16) Vous avez récemment lancé sur votre blog un cercle de réflexion que vous avez appelé « Révoludroit » pour « un droit au service des humains ». Qu’est-ce que c’est ? Vous dites qu’il faut réactualiser les fondamentaux du Droit, avec une réforme du droit civil (contrat, responsabilité, famille, respect du vivant), économique (droit de l’entreprise à nouveau compris comme une institution et réhabilitation de la monnaie) et pénal. Quelle forme devra prendre cette réforme ?

L’ambition à terme est de faire de RévoluDroit une école de droit alternative. Cette initiative a également pour vocation de préparer l’avenir institutionnel et juridique.

RévoluDroit s’adresse principalement aux juristes afin de rétablir un système de droit digne de ce nom, fondé sur un droit commun (le droit commun est civil ou n’est pas !) adossé au droit naturel, lequel doit être réévalué à l’aune de nos connaissances, scientifiques et humaines, actuelles.

Mais RévoluDroit s’adresse également à toute personne qui pourrait organiser des débats, physiques ou dématérialisés, afin de diffuser dans le public la réforme des institutions et de l’entreprise que j’ai élaborées et que je préconise hautement de mettre en œuvre. L’enjeu de cette mise en œuvre est, n’ayons pas peur de le dire, la survie de l’humanité.

Les auditeurs pourront trouver sur mon site internet, en première page, le schéma de la nécessaire réforme institutionnelle.

Quant à la, non moins nécessaire, réforme de l’entreprise, elle correspond à mon travail de thèse, vulgarisé dans mon livre « La nouvelle entreprise ». Il s’agit, in fine, de mettre en musique juridique le concept de « participation » qui, rappelons-le, trouve sa première manifestation dans la doctrine sociale de l’Église élaborée au XIXe siècle. Cette réforme est tout à fait fondamentale car elle seule permettra de rétablir l’équilibre entre les rapports de force, équilibre que l’imposture du « capitalisme » a volontairement rompu à la seule fin – et les français doivent enfin le comprendre – d’hégémonie politique des puissances financières.

Il n’y a que des perdants à ce jeu de dupe que les puissances financières dominantes appellent fallacieusement « capitalisme » et qui ne sert qu’à monter une partie de la population (ceux qui détiennent un peu d’argent) contre l’autre (ceux qui ne détiennent que leur force de travail). Finalement tout le monde appartient forcément, à un moment ou à un autre, à la catégorie des perdants du « capitalisme », y compris, et peut-être en premier lieu, les grands capitaines d’industrie qui se sont tous plus ou moins fait vampiriser par le jeu de la haute finance prédatrice.

Ce jeu, appelé « capitalisme » est un jeu de dupe pour plusieurs raisons :

  1. Il habille d’honorabilité des pratiques de pures prédations non seulement économiques mais aussi et surtout humaines avec le brevetage et la commercialisation du vivant ;
  2. Il fait passer pour « la liberté », ce qui n’est que la « liberté du commerce », qui se traduit par la simple loi du plus fort dans la savane capitalistique et financière ;
  3. Il est instable par nature: les règles du jeu sont toujours susceptibles de changer brutalement en fonction du seul intérêt, bien compris, des seules puissances financières dominantes. Les partisans des petites crypto-monnaies privées risquent, bientôt, de le découvrir à leur dépens. Car lorsque les dominants financiers décideront de mettre fin à ce qu’il faut considérer comme une expérimentation grandeur nature, toute l’armada juridique de répression de l’émission de fausse monnaie est prête à être mis en œuvre. A minima, ces cryptomonnaies ne pourront plus être converties en monnaies légales. Ce qui, d’ailleurs, peut s’avérer être à double tranchant pour le pouvoir actuel. Néanmoins, le pouvoir en place aura, fatalement, le dernier mot car il contrôle, politiquement et militairement, l’émission énergétique nécessaire au concept de cryptomonnaie.

En conclusion, j’insiste lourdement sur le fait que toutes les catégories – y compris les chefs d’entreprises (petites et moyennes) et les gens ayant fait des « économies » (plans d’épargnes, assurances-vie…) – ayant cru bénéficier de ce jeu fallacieusement appelé « capitalisme » se retrouveront immanquablement flouées à un moment où à un autre. Il est temps de le comprendre !

Il est surtout temps de changer de paradigme socio-politique, de passer de l’imposture à la réalité, de passer de la domination à la protection du vivant, de passer de l’excès de division à la réinitialisation de la vie en commun, c’est-à-dire de « retrouver le chemin de la civilisation ». Rejoignez RévoluDroit pour préparer la suite…




Le passeport vert a-t-il encore un avenir ?

Par Jean-Michel Grau

Après la déconfiture du vaccin d’Astra-Zeneca, suspendu successivement par l’Autriche, l’Italie, l’Irlande, l’Estonie, la Lituanie, la Lettonie, le Luxembourg, le Danemark, la Norvège, l’Islande, la Bulgarie, les Pays-Bas, l’Allemagne et la France, le passeport vert a-t-il encore un avenir ?

On peut raisonnablement se poser la question à l’heure où la décision de continuer à vacciner avec ce vaccin mortifère est suspendue à l’avis de l’Agence européenne du médicament (EMA).

En effet, les effets secondaires se sont multipliés ces dernières semaines sur les personnes vaccinées dans les pays européens par Astra-Zeneca, avec les nombreux cas de formation de caillots sanguins observés, depuis le décès d’une femme de 49 ans en Autriche pour cause de mauvaise coagulation sanguine suite à l’injection de ce vaccin.

Il a, entre autres, été constaté des troubles de la coagulation intravasculaire avec parfois des embolies pulmonaires. Selon un biochimiste interrogé, « il n’est pas impossible que les composantes de ce vaccin entraînent des jambes lourdes se transformant en thromboses. » Enfin, certains parlent de « micro-arrêts cardiaques », tel ce chef de corps des sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône ayant décidé de suspendre l’injection du vaccin d’Astra-Zeneca auprès de son personnel, suite aux pertes de connaissance répétées d’un agent des sapeurs-pompiers d’Arles, 48 heures après l’injection du vaccin. (([1] medias-presse.info/le-chef-de-corps-des-pompiers-des-bouches-du-rhone-suspend-toute-vaccination-avec-astrazeneca-apres-de-nombreux-effets-secondaires-parmi-les-pompiers/140870/))

Tous ces effets secondaires inquiétants entraînant la rétractation en cascade d’un nombre croissant de pays européens de la vaccination par Astra-Zeneca n’ont pas empêché jusqu’à aujourd’hui le Premier ministre ainsi que le ministre de la santé français de clamer haut et fort qu’il fallait « avoir confiance en ce vaccin et se faire vacciner. » Sauf que, dès qu’on a su que l’Allemagne suspendait, elle aussi, le vaccin d’Astra-Zeneca « à titre préventif » après le signalement d’effets indésirables, la France qui ne peut rien décider sans l’Allemagne, lui a immédiatement emboîté le pas.

On attend maintenant la décision de l’EMA qui doit décider « si et comment les nouvelles connaissances sur ces effets indésirables se répercutent sur l’autorisation du vaccin. » Malgré les suspensions d’une quinzaine de pays d’Europe du vaccin d’Astra-Zeneca pour de graves effets secondaires tels des thromboses, l’EMA reste « fermement convaincue que les bénéfices l’emportent sur les risques » et reporte sa décision finale au 18 mars.

Cette nouvelle déconvenue pour Astra-Zeneca vient s’ajouter aux problèmes de production et de livraison que rencontrent aussi ses concurrents occidentaux Pfizer-BioNTech et Moderna. Ainsi, le laboratoire anglo-suédois a annoncé dernièrement une nouvelle baisse des livraisons dans l’UE, invoquant « des restrictions d’exportation » pour les vaccins fabriqués hors UE.

Rappelons que « le vaccin Astra-Zeneca se compose d’un virus de singe (un adénovirus), modifié génétiquement pour y intégrer une petite partie du virus contre lequel on souhaite développer une immunité » explique le Dr Steve Pascolo, immunologiste à l’Université de Zurich. (([2] topsante.com/medecine/maladies-infectieuses/zoonoses/vaccin-covid-astra-zeneka-efficacite-securite-641593))

Il faut bien savoir qu’aucun des vaccins disponibles en Europe à ce jour n’a reçu d’autorisation définitive de mise sur le marché de l’EMA, mais seulement une autorisation provisoire, que ce soit le vaccin Astra-Zeneca, le vaccin Pfizer-BioNTech ou encore le vaccin Moderna, tous encore en phase 3 d’expérimentation. Et l’on peut comprendre pourquoi !

Comme le dit la généticienne Alexandra Henrion-Claude à propos des vaccins Pfizer et Moderna :

« Je travaille depuis 12 ans sur l’ARN… Je suis très malheureuse de ce qui se passe… Administrer de l’ARN à des individus sains me paraît de l’ordre de la folie… C’est inconcevable, compte tenu de la versatilité de cette molécule, sa capacité à interagir avec une multitude de molécules… L’essai de Pfizer se terminera en 2022. D’ici là, toute personne qui se fera vacciner sera un sujet de protocole biomédical, c’est-à-dire un cobaye. » (([3] reseauinternational.net/des-dizaines-de-milliers-deffets-secondaires-plus-de-4-000-morts-en-europe/))

Un collectif de médecins du monde entier a ainsi adressé une lettre ouverte à Emer Cooke, directeur de l’Agence européenne du médicament (EMA) à Amsterdam, lui enjoignant de retirer l’approbation de l’utilisation des vaccins à base génétique jusqu’à ce qu’ils aient terminé leur phase d’expérimentation. Dans le cas contraire, l’administration des vaccins constituera une expérimentation humaine, qui entre en violation du Code de Nuremberg. (([4] nouveau-monde.ca/fr/lettre-ouverte-de-medecins-et-de-scientifiques-a-lagence-europeenne-du-medicament-sur-la-securite-des-vaccins-covid-19/))
(Passible de « Crime contre l’humanité. » Ndlr)

Pour bien comprendre ce qui se joue aujourd’hui avec le marché juteux des vaccins, il convient de savoir que l’autorisation de mise sur le marché des vaccins est conditionnée à l’absence de traitement.

On comprend mieux pourquoi les laboratoires s’évertuent à financer des études dont l’objectif est de court-circuiter tout traitement disponible et très peu onéreux comme l’hydroxychloroquine, perçu par l’industrie pharmaceutique comme une menace juridico-financière. En témoigne l’attaque démentielle dont l’hydroxychloroquine est l’objet ainsi que son promoteur le professeur Raoult qui rappelle fort à propos que cette molécule utilisée depuis 70 ans dans le monde entier a soigné des milliards de malades, dont 14000 rien qu’à Marseille.

Il faut croire que la puissance financière des labos pharmaceutiques était suffisamment forte pour financer une étude démontrant l’inefficacité de l’hydroxychloroquine et publiée illico presto dans la prestigieuse revue du Lancet qui s’est ridiculisée au passage, l’étude en question ayant été démasquée quelques jours après comme étant totalement bidon. Trop tard : notre ministre de la santé s’était déjà engouffré dans la brèche pour interdire la molécule maudite. Le mal était fait. C’est une attaque en règle dont fait l’objet l’hydroxychloroquine sur tous les plateaux télé H24 où les médecins de service collectionnent les conflits d’intérêts avec les labos. L’azithromicine, l’ivermectine et la colchicine, autres molécules à la fois efficaces et bon marché, ont ainsi eu le droit au même sort médiatico-politique. Fermez le ban. Adieu traitements, bonjour les vaccins !

Aujourd’hui, le nombre de décès officiels post vaccination recensés par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) se monte à 251 morts en France. (([5] francesoir.fr/societe-sante/deces-post-vaccination-le-droit-de-savoir)) C’est un chiffre dont personne ne veut parler, et pour cause ! Dans ce recensement, on est frappé d’apprendre que les effets indésirables des vaccins Covid, catégorie à laquelle appartiennent les décès, concernent 23% de la tranche d’âge 16-49 ans et 45% des 50-64 ans !

Dans ces conditions, peut-on encore raisonnablement parler de « passeport vert »?

Rappelons brièvement ce qu’est le passeport vert : le « passeport vert », anciennement « passeport vaccinal », puis « passeport sanitaire » est un passeport conditionnant le droit d’entrée à certains lieux (restaurants, cinémas, théâtres, musées…), à certains transports (avion, train…) à l’injection préalable d’un vaccin contre le Covid19. En d’autres termes, la promesse de devenir un citoyen de seconde zone en cas de refus de se faire piquer… Ce passeport est d’autant plus absurde qu’il risque fort d’être renouvelé chaque année vu le haut degré d’inefficacité des vaccins sur tous les variants et en revanche l’incertitude concernant leur réelle efficacité sur la transmission du virus…

Ce passeport vert, voulu par l’Europe bleue aux étoiles jaunes, s’avère ni plus, ni moins qu’un passeport discriminatoire pour créer des alpha plus et des bêta moins, version 2.0 du roman dystopique d’Aldous Huxley.

Voilà le Meilleur des Mondes que nous promet l’Union européenne si ce passeport vert voit le jour.

Un monde qui nous fait revenir 800 ans en arrière, au temps des lépreux et des pestiférés.

« Le combat contre ce passeport n’est donc pas seulement un combat pour la liberté. Il est aussi un combat pour l’égalité et pour la fraternité. » (([6] Florian Philippot, Covid-19 la grande bascule, 2021))

Pourtant, le passeport vert est bien inscrit à l’agenda européen.

C’est ce qu’a affirmé très officiellement la Commission européenne le 15 janvier 2021 par la voix de sa présidente qui explique que « ce passeport doit être mis en place avant juin pour préserver la saison touristique… » (sic) (([7] lejdd.fr/Societe/covid-19-a-quoi-va-ressembler-le-passeport-vert-que-lue-veut-mettre-en-place-des-juin-4031373))

On se demande bien comment, alors que l’écrasante majorité des infrastructures touristiques (hôtels, restaurants, bars…) sont actuellement encore fermées et que beaucoup sont déjà en quasi-faillite…

À l’heure où la stratégie des vaccins s’avère déjà être un monumental échec, comme le montre la déconfiture d’Astra-Zeneca et probablement bientôt celles de Pfizer-BioNTech et de Moderna, concernant à la fois les effets secondaires importants, la morbidité, mais aussi la production et la distribution, les concepteurs européens du passeport vert essayent encore de se raccrocher à ce qu’ils peuvent, à savoir le résultat d’un test négatif.

Mais quels tests ? Ceux de Drosten, le conseiller de Merkel dont on sait aujourd’hui qu’ils sont bidon, car faussant le protocole des tests PCR en préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, provoquant des résultats positifs dans l’écrasante majorité des cas avec des traces infimes de virus, ou bien les tests du Professeur Raoult, honni par tout l’establishment pharmaco-financier pour son franc-parler et son professionnalisme ?

Sans compter que ces passeports peuvent générer des inégalités entre les États membres en fonction de l’avancée des campagnes vaccinales, mais aussi des problèmes de confidentialité des données, de préservation du secret médical, de cybersécurité. Enfin, ces passeports seront perçus comme un chantage d’imposer la vaccination que ne manquera pas de faire remarquer l’armée d’avocats qui planche déjà sur la question.

Au-delà des ratés des vaccins, le passeport vert est-il légal ?

Voici en résumé ce que Xavier Bioy, professeur de droit public, Nicolas Hervieu, juriste en droit public, et Serge Slama, professeur de droit public ont répondu à la question de France Info. (([8] francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-passeport-vaccinal-serait-il-legal_4238285.html))

La création d’un « passeport vert » se heurte à un premier obstacle de taille, relève Xavier Bioy.

« Interdire l’accès à une longue liste de lieux ou de services publics ou privés à toute personne non vaccinée, cela revient à créer une obligation vaccinale. Problème : le vaccin contre le Covid 19 n’est pas obligatoire. »

Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public, y voit lui aussi, une incohérence juridique de taille : « Les actes quotidiens de la vie vont devoir requérir le vaccin, si bien que, en réalité, il sera obligatoire sans le dire. C’est cette incohérence, ou le caractère excessif des restrictions de la liberté d’aller et venir et de la liberté individuelle qui pose problème dans cet article du projet de loi.»

Autre écueil : le passeport vert ne peut être instauré tant qu’il existe une inégalité des citoyens face au vaccin. (Or les difficultés de production, de logistique et d’approvisionnement rencontrées par les fabricants et les producteurs de vaccins sont telles que l’on ne peut raisonnablement imaginer vacciner toute la population volontaire avant fin 2022… Ndlr)

« Il faudrait que le vaccin soit réellement accessible à tous » fait observer Serge Slama. « Tant que ce n’est pas le cas, les pouvoirs publics ne peuvent décider de permettre le retour à la vie normale à ceux qui sont vaccinés, alors que les autres seraient privés d’activités collectives, sous couvre-feu ou confinés. » « Ce serait trop discriminatoire. » appuie Nicolas Hervieu.

Autre chausse-trappe : le champ d’application. Il ne suffit pas qu’une loi dise qu’on peut exiger d’un usager ou d’un client qu’il présente la preuve de sa vaccination, encore faut-il qu’un décret détermine la liste précise des lieux et services autorisés à le faire. S’agirait-il des lieux culturels, des administrations, des transports, de tous les commerces « essentiels » comme « non essentiels » ? Dans ce dernier cas, « ce serait impossible », tranche Nicolas Hervieu.

« Vous empêchez des gens de subvenir à des besoins fondamentaux parce qu’ils ne sont pas vaccinés, donc vous les contraignez à se faire vacciner. »

Or, une fois de plus, ce vaccin n’est pas obligatoire.

Autre limite : les modalités de contrôle. « Comment prouve-t-on qu’on est vacciné, et qui peut le contrôler ? Cela touche à des données personnelles de santé qui sont particulièrement protégées. Cela pose la question de savoir si le moindre commerçant peut s’ingérer dans votre vie personnelle pour déterminer si vous êtes vacciné ou non, et si vous ne l’êtes pas, pour quelle raison. »

Le juriste met en garde contre le caractère « très intrusif » d’une telle mesure et contre « les grands risques de discriminations fondées sur la situation de santé » auxquels on expose les Français.

« Si vous n’êtes pas vacciné, vous pourriez être contraint d’indiquer au commerçant que vous avez une contre-indication, ce qui peut révéler un état de santé défaillant qui peut conduire le commerçant à adopter un certain comportement. »

« Sur ce point, c’est la justice administrative qui serait saisie par des personnes s’estimant discriminées », précise Xavier Bioy.

De son côté, Nicolas Hervieu avertit le législateur :

« C’est un terrain miné juridiquement. C’est très dangereux. »

Sans même parler du risque politique d’une mesure si décriée, conclut France Info.

Après la déconfiture prévisible des vaccins, on peut en conclure que le passeport vert qui ne repose que sur eux voit son avenir sérieusement compromis. Le Grand Reset eugéniste de Klaus Schwab et Bill Gates qui ne tient que par la vaccination généralisée afin de supprimer toute liberté pour mettre en œuvre la spoliation programmée des classes moyennes, ne tient plus qu’à un fil. Ciseaux, vite !





Plandémie – Le gouvernement belge prévoit d’imposer à ses citoyens le port d’un bracelet électronique permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements

[Source : medias-presse.info]

[Photo : Klaus Schwab, dirigeant du Forum économique mondial et promoteur du Great Reset, entouré du Roi et de la Reine des Belges, de l’ancienne Premier ministre intérimaire Sophie Wilmès et de l’actuel Premier ministre belge Alexander De Croo]

Un gouvernement se prépare à entériner un projet de loi qui l’autoriserait à imposer à ses citoyens le port d’un bracelet électronique permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements. Ce n’est pas une fake news. Cela ne se passe pas en Chine, en Corée du Nord ou en Russie.

Ce pays qui envisage de traiter ses honnêtes citoyens comme des criminels se situe dans l’Union européenne. Et non, il ne s’agit pas de la Hongrie de Viktor Orban.

Ce pays qui très tranquillement pourrait basculer dans le totalitarisme le plut complet, c’est… la Belgique, épicentre des institutions européennes, de l’OTAN et de bien d’autres organismes internationaux.

L’avant-projet de loi en question se présente comme une “loi pandémie” et pourrait fixer dans le marbre des dispositions qu’aucun état dit “démocratique” n’avait osé jusqu’ici inscrire dans son arsenal législatif.

L’idée même d’une “loi pandémie” veut faire penser que notre futur sera rythmé par des successions de “pandémies” qui deviendront notre lot habituel.

L’avant-projet de loi est porté par la ministre belge de l’Intérieur Annelies Verlinden (CD&V, parti flamand classé démocrate-chrétien) au sein d’un gouvernement fédéral de coalition qui rassemble les écologistes, les socialistes et les libéraux francophones et néerlandophones ainsi que les démocrates-chrétiens néerlandophones. Leur objectif est d’entériner la loi pandémie entre fin mars et début avril.

L’Autorité de protection des données (APD) a remis un avis extrêmement négatif concernant cet avant-projet de loi, estimant qu’il “donne lieu à une violation des principes de légalité et de prévisibilité.

L’Autorité de protection des données met en garde :

«À titre d’exemples, l’avant-projet de loi pourrait ainsi permettre d’imposer aux citoyens belges le port d’un bracelet électronique permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements ou de mettre en place des technologies de reconnaissance faciale afin d’identifier les promeneurs dans les parcs et de vérifier qu’ils ne font pas l’objet d’un ordre de quarantaine».

Cet avant-projet de loi pandémie mène en effet directement, sous prétexte sanitaire, à un impressionnant totalitarisme facilité par les outils numériques.

Les points les plus inquiétants de cet avant-projet de loi sont

  • D’imposer aux citoyens belges le port d’un bracelet électronique relié à une banque de données permettant de surveiller en temps réel leurs déplacements et le respect d’une interdiction de déplacement (ou de déplacement après une certaine heure) ;
  • De photographier les plaques d’immatriculation des véhicules quittant ou rentrant sur le territoire belge, de les relier avec la banque de données existante de la Division de l’Immatriculation des Véhicules (DIV) et d’en appréhender les propriétaires ;
  • De mettre en place des technologies de reconnaissance faciale afin d’identifier les promeneurs dans les parcs et se vérifier qu’ils ne font pas l’objet d’un ordre de quarantaine ;
  • De contrôler les déplacements des citoyens au moyen de la géolocalisation de leur téléphone mobile éventuel ;
  • De recourir à l’identification obligatoire au moyen d’un QR code sur téléphone mobile ou d’une vérification via l’empreinte digitale apposée dans la puce de l’e-ID pour contrôler le droit d’accéder à certains lieux ou transports ou pour contrôler le statut du citoyen (vacciné ou non par exemple).

Voir un tel avant-projet de loi surgir en Belgique, cœur des institutions européennes, c’est à n’en pas douter le signe que des  mesures similaires se préparent dans les autres pays de l’UE. Il faut d’ailles noter que Charles Michel, précédent Premier ministre de Belgique, est devenu le président du Conseil européen depuis 2019.

Rencontre entre Bill Gates, Charles Michel et Alexander De Croo avant que le second ne devienne président du Conseil européen et que le troisième ne devienne le nouveau Premier ministre de Belgique

Cela signifie que nous entrons bel et bien dans un nouveau monde, avec un changement complet des paradigmes politiques et sociaux au profit d’un Nouvel Ordre Mondial totalitaire qui fera la synthèse des romans d’anticipation 1984 et Le Meilleur des Mondes.

Au motif de préserver notre santé, les autorités ont choisi de définitivement nous priver de nos libertés les plus élémentaires.

Il nous reste peu de temps pour bloquer cette transformation de notre société.

Article du journal économique belge L’écho au sujet de la loi pandémie



Le Texas mène à la liberté

[Source : Entre La Plume et l’Enclume (plumenclume.org)]

Par Israël Adam Shamir

L’araignée a découvert une guêpe qui s’échappait de sa toile. Elle est furax. Comment ose-t-elle ? La guêpe avait été capturée, ligotée, empoisonnée. Elle était prête à être tuée et dévorée. Et tout à coup, la voici qui se réveille et qui déchire la toile. Espèce de Neandertalienne! s’exclame l’araignée enragée, vous finirez comme les Néandertaliens, bande de dodos, Ruphus Cucullatus éteints pour toujours !

C’est ce que Biden a dit aux habitants du Texas qui ont osé se libérer de son régime de masques. Biden, le roi des morts et son équipe étaient sûrs de tenir le monde sous leur contrôle ; ils avaient prévu de mener l’humanité à la Grande Réinitialisation, à la fin sinistre de l’Homo Sapiens, à la cruelle dystopie des esclaves masqués gouvernés par les algorithmes de Google. Mais les Texans ont changé le cours de l’histoire. Ils ont été immédiatement suivis par le Mississippi, l’Iowa, le Montana et le Dakota du Nord ; les États qui avaient voté pour Trump et pour la liberté.

La population a accueilli avec joie cette décision sage et courageuse, rapporte le Daily Mail :

Oxford, où se trouve Ole Miss, a vu les gens sortir en force, se précipiter au restaurant et envahir les magasins… En Floride, les Spring Breakers ont également abandonné les masques alors que les étudiants, bikini à l’air, s’engouffraient sur les plages et s’entassaient dans les bars de Miami et de Fort Lauderdale pour donner le coup d’envoi à leurs vacances. Et dans l’Idaho, un groupe s’est réuni pour brûler ses masques devant le Capitole pour protester contre les restrictions COVID-19 après que d’autres États aient décidé cette semaine de s’asseoir sur les ordres et de rouvrir à tout bout de champ. Un groupe d’enfants a rejoint les parents, dont plusieurs étaient armés, pour brûler des photos de Joe Biden et de Nancy Pelosi, avant de jeter leurs masques chirurgicaux au feu ».

Les gouverneurs ont condamné Biden pour son injure à Néandertal. C’est pire qu’une insulte : c’était une menace de meurtre pour les électeurs de l’Union européenne, rien de moins. Les Néandertaliens, nos ancêtres intelligents mais peu bavards, ne sont pas morts d’ennui : ils ont été exterminés par leurs cousins plus avancés. Le président américain a même menacé de « nettoyage » son propre peuple, comme les Néandertaliens ont été nettoyés. Avait-il l’intention de semer un nouveau virus à Houston pour atteindre cet objectif ? Ou bien prévoit-il de remplacer les Texans – trumpistes et déplorables – par un flot de nouveaux immigrants d’Amérique latine qui voteront pour Biden ? Pour ce faire, il a déjà ouvert les portes de la frontière mexicaine et rompu les accords que Trump avait conclus avec les Latino-Américains. Le président Trump a longuement commenté ces changements au Comité d’action politique des conservateurs à Orlando, en Floride, mais il n’est pas facile de trouver et de regarder ce discours, car YouTube en a retiré pratiquement toutes les copies qui ont été publiées. (En voici une que j’ai trouvée.) Je pense que la menace de Biden constitue une bonne raison pour déclencher sa destitution, et à défaut, pour faire sécession.

Les actes de bravoure des Texans ont été très bien accueillis. Un vent de liberté a soufflé sur le monde entier. Des Suédois placides et obéissants, récemment contraints au servage par les masques, ont protesté en faisant brûler leurs masques dans le centre de Stockholm. Les Russes ont vu pratiquement toutes leurs restrictions covidiques levées il y a quelques jours ; les théâtres et les églises fonctionnent comme d’habitude à pleine capacité. Même les Israéliens, les esclaves volontaires des Ténèbres (Exode 21:6), ont obtenu quelques jours de liberté relative (à condition d’avoir un passeport vert pour aller boire un verre) et leur aéroport a été rouvert pour un bref interlude après des mois de siège auto-imposé. Néanmoins, ils ont reçu un avertissement: ils vont devoir retourner à leur quatrième confinement dans quelques jours.

Tout le monde n’est pas content que les gens s’échappent de prison. Il faut une certaine chutzpah  pour apprécier la contemplation d’un cimetière, à la place de ce qui était jusqu’à une date récente une ville animée, mais nos seigneurs et supposés maîtres ne manquent pas de chutzpah. Le gang de Davos, la force qui est derrière les pandémies de Covid-19, dans un moment de vérité, a annoncé : « Les confinements sont en train d’améliorer doucement les villes du monde entier ». Vous avez souffert, mais ils ont apprécié !

Ils nous aiment morts. Ou presque morts. Au moins, qu’on reste là où on est au lieu de nous précipiter partout ailleurs. Le virus leur a fourni une excuse ; la prochaine fois, ils utiliseront un autre script au même effet. Le grand quotidien de fausse gauche The Guardian a déjà proposé de verrouiller le monde tous les deux ans.

En fait, les plans de nos supérieurs ne sont pas nouveaux. En septembre 1944, le secrétaire américain au Trésor, Henry Morgenthau, avait proposé de détruire toutes les capacités industrielles de l’Allemagne. Les installations industrielles devaient être détruites, les mines devaient être dévastées et comblées, les experts en production et en fabrication devaient être retirés de force de la région et mis au travail ailleurs. L’Allemagne allait devenir un État féodal agraire, avec un recul de près de mille ans.

Ce serait merveilleux pour les petites Greta tourmentées par le CO2 ! Un seul problème : le plan Morgenthau n’éliminait pas les vaches, les vaches grasses et péteuses. Dans l’Allemagne heureuse et désindustrialisée, il est vrai que peu d’entre elles auraient survécu à la famine de l’après-guerre, mais elles étaient censées continuer à produire de la viande. Ce point avait été amélioré par le coreligionnaire de Morgenthau, Theodore N Kaufmann. Dans son livre L’Allemagne doit périr, il proposait de stériliser tous les Allemands en âge de procréer, ce qui serait sûrement encore mieux que de nous confiner pour l’amour du CO2.

La Grande Réinitialisation, c’est le plan Morgenthau-Kaufmann, étendu au monde entier, et d’abord aux Européens. Les Allemands ont été sauvés de ce sinistre destin par Josef Staline, le dirigeant russe victorieux. Il n’avait aucune animosité envers les Allemands qu’il avait vaincus ; il a explicitement rejeté ces plans de vengeance judéo-américains (vous pouvez le lire dans sa correspondance avec Roosevelt) et il a procédé à la reconstruction de l’Allemagne socialiste avec son excellente industrie et son agriculture. (De nombreux Ossètes regrettent encore le démantèlement de la RDA en 1990.) Les États-Unis n’ont eu d’autre choix que de le suivre avec leur plan Marshall.

Poutine jouera-t-il le rôle de Staline et nous sauvera-t-il du grand Reset? ? Après tout, il n’y a aucun avantage, du point de vue des Resetteurs, à détruire l’Ouest si l’Est reste en sécurité. Ils veulent aller jusqu’au bout, et sauver la Russie pourrait faire avorter le plan. Poutine est un homme rusé, un maître de l’aïkido, art martial japonais qui consiste à utiliser la force de son adversaire contre lui, et il peut parfaitement sécuriser son royaume. Il penche pour les accomodements avec ses adversaires dominants, puis, lorsqu’ils sont sûrs de leur victoire imminente, il introduit un nouvel élément et retourne le jeu à son avantage.

  • Il était apparemment d’accord avec le récit covidique tel que présenté par les maîtres du discours, et au dernier moment, il a produit son vaccin Sputnik-V, annulant tous les gains de l’ennemi. Ils pensaient que la Russie allait les supplier de leur fournir le vaccin, mais il s’est avéré que c’était l’inverse. Aujourd’hui, les Européens, les Tchèques et les Hongrois ainsi que les Vénézuéliens et les Biélorusses font la queue pour obtenir le vaccin russe qui est plus sûr et plus efficace que les vaccins occidentaux. Il a déjà rapporté 25 milliards de dollars, soit plus que les exportations d’armements (11 milliards de dollars). Le vaccin russe est un vaccin traditionnel, sans technologie d’ARNm douteuse, et il fonctionne. Je ne suis pas un fan des vaccins, mais le vaccin russe semble être un moindre mal, car  les Russes ne sont pas armés face à la vaccination.
  • Il était apparemment d’accord avec le programme des Verts, qui était bel et bien destiné à ruiner la Russie, grand producteur de pétrole et de gaz ; et au dernier moment, il a déclaré que la meilleure façon de minimiser le CO2 c’est d’utiliser l’énergie nucléaire du type de celle produite par le Russe RosAtom. A l’heure actuelle, Rosatom possède le plus grand portefeuille de projets de construction de centrales nucléaires à l’étranger, dont 36 unités de production dans 12 pays. L’Inde, la Chine, la Turquie, l’Iran et le Bangladesh sont devenus les principaux clients de Rosatom. Rosatom met en œuvre le projet de construction d’une centrale nucléaire en Finlande, ainsi qu’en Hongrie et en Biélorussie. Poutine a déclaré que revenir au vent et au soleil, ce serait comme retourner vivre à l’âge des cavernes. L’énergie nucléaire est préférable pour l’avenir, alors que le pétrole et le gaz devraient suffire pour le présent.
  • Il était apparemment d’accord avec Davos, il s’est entretenu avec eux de manière polie et affable. Le leitmotiv de Davos 2021 était que la pandémie de coronavirus a changé le monde de manière irrévocable, et a prouvé l’incapacité des Etats-nations à faire face aux problèmes. Les entreprises mondiales devraient prendre le contrôle de la situation et elles le feront, et elles reconstruiront le monde en mieux. Elles préviendront les épidémies et protégeront le climat. Pourquoi devriez-vous conduire des voitures et piloter des avions, polluer l’air avec des émissions et propager des virus – restez chez vous, nous vous dirons tout et vous en montrerons autant sur une télévision intelligente en 3D avec une immersion totale dans la réalité, comme dans Matrix, qui pourrait bien s’avérer être un film prophétique.
  • Seulement voilà, à Davos, pour la première fois, Poutine a déclaré qu’il n’y avait que peu de bénéficiaires de la mondialisation ; lutter contre le virus c’est bien, mais il faut d’abord empêcher les géants de l’informatique de prendre le contrôle du monde. Ce Poutine qui avait la bouche si suave, si peu conflictuelle, et qui soudain atteint un sommet. Lisez donc l’excellent résumé de son discours à Davos par notre ami Mike Whitney, pour comprendre.
  • Une personne plus simplette, comme moi, serait immédiatement en désaccord avec les salauds et plongerait le pays dans une lutte titanesque avec une faible chance de victoire. Mais un Poutine rusé est d’accord pour commencer, et bat ensuite l’adversaire en utilisant sa force. L’ennemi devrait se méfier lorsque Poutine est d’accord avec lui.
  • Pourtant, Poutine n’est pas tout-puissant, même au cœur de Moscou. Si nous voulons retrouver une vie normale, nous ne pouvons pas compter sur la Russie ou la Chine pour nous servir la victoire sur un plat.

En Russie, la montée du régime Biden et le grand Reset ont été bien jaugés par deux hommes, et leurs évaluations diffèrent. L’un considère que c’est une agression contre la Russie, l’autre dit que c’est une agression contre nous tous, et en premier lieu contre les Américains. Le premier est important car il se rapporte à la politique réelle ; le second est encore plus important car il nous parle de notre destinée.

Le premier, c’est un conseiller de haut rang du ministre russe de la défense, Andrei Ilnitsky, dont la puissante apparition au Sénat russe (Federacii soviétique) en décembre de l’année dernière a fait sensation, lorsqu’il a dit ceci: « Klaus Schwab, au nom des multinationales, a déclaré qu’elles ne nous permettraient pas de revenir à un monde pré-Covid. Elles considèrent le Covid comme leur propre projet. Aucun État national indépendant ne sera plus autorisé à exister ; elles dirigeront le monde ». Selon lui, le virus n’est pas particulièrement mortel mais hautement contagieux, de par sa conception; l’idée serait de saper les systèmes de santé comme une ouverture vers quelque chose de pire. Il a maintenant publié deux articles politiques (ici, sur le site du ministère de la Défense, et ici, dans le journal du Parlement , tous deux en russe).

Ilnitsky compare les récentes déclarations des dirigeants et des experts américains avec le discours de Churchill à Fulton (sur le « rideau de fer ») prononcé il y a exactement 75 ans, le 5 mars 1946, le discours qui a lancé la guerre froide. La désobéissance russe au plan Marshall en 1946 et au grand Reset en 2021 s’est heurtée à une rhétorique guerrière, puis à une guerre hybride. C’est une comparaison pertinente. Le régime Biden est extrêmement agressif. Au cours du premier mois de son règne, Biden a déjà tué plus de Syriens que Trump en quatre ans. Il menace l’Iran, la Russie et la Chine, malgré ses déclarations pacifiques. Il a décidé d’annuler le retrait des troupes d’Afghanistan. Et chaque action brutale est accompagnée d’expressions traîtreuses.

Avec l’accès à la présidence de Biden, l’hypocrisie est de retour, en Amérique et sur la planète. Trump était tout sauf hypocrite ; Trump est parti et l’hypocrisie revient en force. Alors que Trump bombardait la Syrie pour le pétrole, Biden massacre les Syriens car « les États-Unis ont le droit de se défendre », et ce afin de « réduire la tension en Syrie ». Trump avait provoqué l’indignation de l’opinion publique américaine progressiste, tandis que Biden la réjouit. Un exemple typique est celui d’Amy Siskind (sur la photo), une lesbienne juive anti-Trumpist SJW, ancienne directrice de Wall Street. Elle a apprécié le bombardement de la Syrie. Elle a tweeté : « C’est tellement différent d’avoir une action militaire sous Biden. Pas de menaces niveau école primaire sur Twitter. Faites confiance à la compétence de Biden et de son équipe ».

La Russie n’avait pas eu afffaire à une équipe aussi agressive que le régime de Biden depuis les années 1950. Si Biden devait bombarder Moscou, il n’oublierait pas de dire qu’il l’a fait au nom de l’égalité des sexes. Mais un bombardement est très peu probable : La Russie est protégée par son système de périmètre « de main morte » dont la réputation égale celle du Dr Folamour. Mais l’ex-ambassadeur américain McFaul, l’amiral Charles Richard et le secrétaire d’État Anthony Blinken ont demandé que l’on fasse pression sur la Russie. Pour Ilnitsky, les plans de Schwab ne sont qu’un prélude à la véritable guerre américaine contre la Russie, à mener tout d’abord dans le cyberespace. Selon Ilnitsky, « la Russie sera confrontée à une dure confrontation avec les États-Unis. Les menaces pour notre pays seront existentielles ».

Pourquoi le régime Biden est-il si agressif ? Pour la même raison que la France révolutionnaire était  agressive. (Avec très peu de succès, l’URSS a également essayé d’être agressive juste après la révolution de 1917). Biden est une façade pour le nouveau régime planétaire des grandes entreprises. Ces régimes ont le sentiment que l’avenir leur appartient, que l’histoire leur donnera raison, et ils n’hésitent pas à imposer leur programme.

La deuxième voix, plus importante, est celle du philosophe politique russe de premier plan, Alexandre Douguine, dont le Manifeste du grand réveil contre le grand Reset (en anglais) vient de sortir, il y a quelques jours, le 3 mars, et a déjà été traduit dans de nombreuses langues. Pour Douguine, la bataille finale à venir ce n’est pas l’Occident contre l’Orient, ni les États-Unis et l’OTAN contre tous les autres, mais les libéraux contre l’humanité – y compris ce segment de l’humanité sur le territoire de l’Occident qui rejette ses propres élites mondialistes.

En un mot, Douguine propose de répondre à leur grande Réinitialisation par notre grand Réveil, par notre reconnaissance d’un terrible danger imminent. La Réinitialisation proclamée par Schwab est en marche depuis la prise de pouvoir aux États-Unis par Biden. L’objectif des Resetteurs n’est pas seulement le confinement tous azimuts, ni le pouvoir, ni notre appauvrissement ; ils visent à détruire totalement l’Homme. Il s’agit de l’étape finale du projet libéral, qui dépouille l’Homme de tous ses liens collectifs. D’abord, ils se sont débarrassés de l’Église, puis de la race, de la nation, de la classe, du sexe.

L’Église en tant que « corps mystique du Christ » a été détruite et remplacée par des clubs de loisirs créés par le libre consentement de la base… Les socialistes, les sociaux-démocrates et les communistes ont contré les libéraux avec des identités de classe, appelant les travailleurs du monde entier à s’unir pour renverser le pouvoir de la bourgeoisie mondiale. … Parallèlement aux communistes, des forces nationalistes extrêmes sont arrivées au pouvoir en Europe occidentale. Elles agissaient au nom de la « nation » ou d’une « race », opposant à nouveau l’individualisme libéral à quelque chose de « commun », un « être collectif ». En utilisant tactiquement la Russie soviétique, le capitalisme a d’abord réussi à traiter avec les régimes fascistes, et ce fut le résultat idéologique de la Seconde Guerre mondiale. La guerre froide qui s’ensuivit entre l’Est et l’Ouest à la fin des années 1980 se termina par une victoire libérale sur les communistes. Voilà comment le projet de libération de l’individu de toute forme d’identité collective est passé par une autre étape.

Après avoir vaincu l’ennemi extérieur, les libéraux ont découvert deux autres formes d’identité collective. Tout d’abord, le genre. Après tout, le genre est aussi quelque chose de collectif : soit masculin, soit féminin. Le genre devait être aboli, comme toutes les autres formes d’identité collective. La migration de masse atomise les populations en Occident en utilisant une idéologie des droits de l’homme qui s’adresse à l’individu sans tenir compte des aspects culturels, religieux, sociaux ou nationaux. Les libéraux n’avaient plus qu’un dernier pas à franchir : abolir les humains. Après tout, l’humain est aussi une identité collective, ce qui signifie qu’il doit être surmonté, aboli, détruit et que les humains doivent être remplacés – certes partiellement – par des cyborgs, des réseaux d’intelligence artificielle et des produits du génie génétique.

Une personne sans religion, sans patrie, sans peuple d’appartenance, et maintenant sans sexe accède à la Singularité, quand elle est en passe de devenir un ordinateur ou une calculatrice parmi d’autres, c’est-à-dire qu’elle cesse d’être. Douguine retrace le chemin du libéralisme depuis le nominalisme – le modèle d’Occam du début du Moyen Âge – jusqu’à Schwab. Or juste avant leur victoire complète, les Resetteurs butent sur un caillou : le grand Réveil, qui est proche.

Le grand Réveil ne concerne pas les élites et les intellectuels, mais le peuple, les masses, le peuple en tant que tel. Ce n’est pas une question d’analyse idéologique. C’est une réaction spontanée des masses qui réalisent soudainement, comme le bétail devant l’abattoir, que leur sort a déjà été décidé par leurs dirigeants et qu’il n’y a plus de place pour les gens à l’avenir. Le Grand Réveil est spontané, largement inconscient, intuitif et aveugle.

La thèse du grand Réveil ne doit pas être hâtivement chargée de détails idéologiques, qu’il s’agisse du conservatisme fondamental, du traditionalisme, de la critique marxiste du capital ou de la protestation anarchiste pour l’amour de la contestation. Le Grand Réveil, c’est quelque chose de plus organique, de plus spontané et en même temps tectonique. C’est ainsi que l’humanité se voit soudainement éclairée par la proximité de sa fin imminente. C’est pourquoi le grand Réveil nous vient de l’intérieur des États-Unis, là où l’obscurité est la plus profonde. C’est un cri qui sort de l’enfer lui-même, de cette zone où le futur noir est déjà là, en partie arrivé.

Douguine croit en la victoire de l’Homme. Nous sommes des alliés – les déplorables Américains, les populistes européens (qui doivent absolument laisser tomber le différend daté entre la gauche et la droite), les pays islamiques : La Turquie et l’Iran, la Chine géante, qui tente de s’élever sur la vague mondiale, mais s’y oppose néanmoins, et conserve son identité civilisationnelle, et enfin la Russie, avec son expérience de l’opposition mondiale à l’hégémonie. Les ennemis sont forts, mais nous sommes encore plus forts, dit-il.

Le pouvoir des mondialistes est basé sur des illusions qu’ils essaient de nous inculquer de façon maniaque. La grande réinitialisation a été proclamée par une poignée de vieux dégénérés au bord de la démence (comme Biden, le méchant ratatiné Soros, ou le gros bourgeois Schwab) et une racaille marginale et perverse. Ils tiennent les bourses et les presses à imprimer ; les escrocs de Wall Street et les drogués à l’inventivité de la Silicon Valley travaillent pour eux. Des agents de renseignement disciplinés et des généraux d’armée obéissants leur sont subordonnés. Mais cela est négligeable par rapport à l’humanité tout entière, aux gens du travail et de la pensée, aux profondeurs des institutions religieuses et à la richesse fondamentale des cultures.

La libération a déjà commencé au Texas. Leur rejet du régime des masques est la preuve que le peuple américain a compris où on veut le mener. Car Praemonitus praemunitus(([1] Ce proverbe est la devise en latin de nombreux corps d’armées dans le monde et notamment aux États-Unis, mais aussi le titre de la deuxième édition américaine des Protocoles des sages de Sion.)) : un homme averti en vaut deux.


Contacter l’auteur: israelshamir@gmail.com

Traduction: Maria Poumier

Original https://www.unz.com/ishamir/texas-leads-to-freedom/


Note




Un pas de plus au Canada vers l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial — Projet de loi C-273 : Le revenu de base universel, ou l’amorce de la Grande Réinitialisation vers le crédit social et le communisme international

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Projet de loi C-273 : Le revenu de base universel, ou l’amorce de la Grande Réinitialisation vers le crédit social et le communisme international

Tel qu’annoncé par le consultant Jean-Claude Larochelle, le 22 février 2021, la députée Julie Dzerowicz a présenté le Projet de loi C-273, le tout premier projet de loi canadien visant à instaurer un revenu de base national garanti.(([1] Jean-Claude Larochelle : « Projet de loi C-273, le tout premier projet de loi canadien pour un revenu de base universel ». Bourse technique, 7 mars 2021.)) Comme il est expliqué sur la plateforme UBI Works, c’est la première étape pour le gouvernement canadien afin de créer un revenu de base national en répondant à des questions importantes sur la meilleure façon de le mettre en place et de l’appliquer partout au Canada.

Le Projet de loi C-273 prévoit que la ministre des Finances Chrystia Freeland crée une stratégie nationale pour un revenu de base garanti, en incluant des partenariats potentiels avec les provinces, afin de déterminer la meilleure façon de structurer et de mettre en œuvre un revenu de base. Le projet de loi prévoit de soutenir des recherches spécifiques sur le revenu de base afin de déterminer comment il affecterait l’efficacité du gouvernement, comment il pourrait encourager l’esprit d’entreprise, la création d’emplois et les initiatives civiques dans une nouvelle économie, et comment il impacterait les Canadiens et nos communautés. Le projet de loi prévoit également un ensemble de normes nationales pour guider la conception et la mise en œuvre du revenu de base à travers le Canada.(([2] Chambre des communes du Canada : « Projet de loi C-273 – Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti ». Deuxième session, quarante-troisième législature, 69-70 Elizabeth II, 2020-2021. Première lecture le 22 février 2021. [PDF]))

Julie Dzerowicz s’exprime ainsi dans un communiqué de presse en date du 23 février :

« Le monde du travail est en constante évolution, nombre d’entre eux passant à l’économie des petits boulots de contrats temporaires et à court terme; et d’autres étant touchés par l’effet de l’automatisation et de l’Intelligence Artificielle. Il est important pour notre système de protection sociale de mieux refléter les besoins des Canadiens d’aujourd’hui et de demain et d’être beaucoup plus flexible dans la gestion des changements, des interruptions et des transitions de main-d’œuvre. (…) Alors que le Canada traverse cette pandémie, il planifie le post-COVID avec l’intention de dépenser 70 à 100 milliards de dollars sur trois ans pour relancer l’économie canadienne. C’est le moment idéal pour résoudre les problèmes structurels, tester des idées novatrices et mieux reconstruire nos fondements économiques et sociaux. »

(([3] Jessie Cooke : « La députée Julie Dzerowicz présente le projet de loi d’initiative parlementaire C-273 – Loi instituant une stratégie pour un revenu de base garanti ». Bureau de la députée Julie Dzerowicz, Toronto, 23 février 2021. Courriel: julie.dzerowicz.a2@parl.gc.ca | Tél.: 416-525-1949.))

Le terme revenu de base garanti est parfois utilisé de manière interchangeable avec un revenu vital garanti ou un revenu annuel garanti pour désigner un programme d’assistance sociale conçu pour aider les plus bas revenus de la société à vivre au-dessus du seuil de pauvreté en s’assurant qu’ils ont suffisamment d’argent pour subvenir aux besoins de base de la vie comme la nourriture, les vêtements et le logement. Le revenu de base universel est un autre terme utilisé par ses défenseurs. Ce terme est synonyme de « démogrant », qui englobe un modèle où tout le monde est éligible à un chèque.

La députée libérale Annie Koutrakis a déclaré que s’il y avait quelque chose à apprendre de la pandémie COVID-19, c’est qu’il fallait un programme de revenu de base.(([4] Zi-Ann Lum : « Liberal MP Says Some Cabinet Ministers ‘Very Supportive’ Of Basic Income ». HuffPost, February 25, 2021.))

Le revenu de base est une idée utopique qui remonte à 500 ans et qui a toujours été promue par des Socialistes et des Fabiens de la première heure tels que Charles FourierJohn Stuart MillBertrand RussellGeorge D.H. ColeJames MeadeJames Tobin et John Kenneth Galbraith. Elle est fondée sur l’idée que donner de l’argent à ceux qui vivent dans la pauvreté serait un moyen plus efficace de prévenir le crime qu’en punissant des individus. Floyd Marinescu est le fondateur de UBI Works, un groupe à but non lucratif qui préconise le soutien d’un revenu de base universel. Rejoignant la conférence de presse de Dzerowicz, il a déclaré : 

« Chaque crise est une tendance accélérée. Et ce que COVID nous a montré, en accéléré, aurait pu prendre de cinq à dix ans en termes d’impacts des progrès technologiques sur le marché du travail — ce qui profite à certains, mais en nuit à beaucoup d’autres. »



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L’auteur de la chaîne Grand Angle, Richard Détente, écrit : 

« Le déclin des pays de l’Occident​ n’est plus à démontrer. Les États-Unis​ et l’Europe​ sont des économies appauvries dont les systèmes politiques sont régulièrement mis à mal par les élans démocratiques des peuples. Les élites d’en haut sont en recherche active de nouvelles stratégies destinées à ré-établir une vision progressiste et solide digne de concurrencer la Chine. » 

(([5] Richard Détente : « Great Reset & Théorie monétaire moderne | Moins de liberté contre un revenu universel ? ». Grand Angle, Youtube, 7 décembre 2020.))

Le soutien au revenu de base a pris un nouvel élan pendant la pandémie avec le déploiement par le gouvernement fédéral de l’Allocation canadienne d’intervention d’urgence (CERB) de 2000 $ par mois comme moyen de fournir de l’argent aux Canadiens dont les moyens de subsistance ont soudainement été touchés par le COVID-19. Ce programme, qui a été exécuté à la fois par l’Agence du revenu du Canada et le système d’assurance-emploi, a versé 81,6 milliards de dollars à 8,9 millions de personnes entre le 15 mars et le 3 octobre, selon les données gouvernementales.

Liliane Held-Khawam écrivait le 3 septembre 2019 sur son site internet : 

« Les néolibéraux d’hier et d’aujourd’hui prônent d’une seule et même voix le revenu universel. Après les taux négatifs confiscatoires, il s’agit donc d’une nouvelle étape du concept néolibéral. Probablement l’ultime avant le reset global. Avant de vous réjouir trop de cette supposée manne, dites-vous bien que quelqu’un va payer cette masse financière. Il s’agira très certainement de nouveaux gages que votre gouvernement et/ou des dirigeants de votre collectivité territoriale vont offrir contre cette création monétaire. A moins qu’il ne s’agisse tout bêtement de la redistribution de votre épargne (y compris assurances-vie, retraites, etc.). Dans tous les cas, la Dépossession entre dans sa dernière phase. »

(([6] Liliane Held-Khawam : « Revenu universel, dernière phase avant le reset global ? Vincent Held ». Publié le 3 septembre 2019.))

L’auteure et économiste écrivait plus récemment :

« A l’heure actuelle, il est question d’un passeport vaccinal. Or, plus je me documente sur le sujet, et plus je repense au Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030. J’avais présenté celui-ci dans Coup d’Etat planétaire en tant que nouvelle Constitution planétaire d’un territoire, de frontières et d’une économie atomisés et captés par la haute finance internationale. »

« Ce document officiel est très intéressant et très important car il relègue à l’arrière-plan le passeport national. Pourtant quelque chose de plus est en train de se passer. Les nouveaux documents “officiels” émis par des corporations globalisées signifient la fin des libertés individuelles au profit de l’humain en cours de normalisation et d’uniformisation. Le Green pass n’est rien d’autres que la marche vers la définition de normes standardisées et universelles auxquelles le transhumain idéal devra répondre. La digitalisation fait que l’évaluation permanente (crédit social) sera facilitée d’autant grâce à une connectivité permanente sur fond d’hygiénisme surfait. Les résultats qu’elle indiquera lui permettra de recevoir sa pitance. Zéro carbone bien sûr. »

« Le Green Pass est le sésame qui fait entrer le terrien dans le monde de l’Agenda 2030, un monde atomisé et complexe, incompréhensible au terrien normal. Ce passeport le reliera au Green New Deal de la haute finance, dont l’Agenda 2030 est l’aboutissement d’un long processus démarré avec le président Roosevelt et la fondation de la structure supranationale, enfant de Bretton Woods. »

(([7] Liliane Held-Khawam : « Un passeport vert pour un Etat mondial numérisé ». Publié le 5 mars 2021.))

La dernière lubie des ultra-riches, réunis à Davos, est le “Great Reset”, la « grande réinitialisation ». Derrière les démonstrations d’amitié habituelles, c’est un programme mondial pour surveiller et contrôler le monde grâce à la surveillance numérique. Klaus Schwab a annoncé le Great Reset en juin 2020. Selon le journaliste William Kergroach, cela consistera à nous dépouiller de tous nos actifs privés. Le Great Reset propose une identification électronique liée à votre compte bancaire et à vos dossiers de santé, qui finira, tout simplement, par vous dicter votre vie. Mais ils préfèrent nous dire qu’il faut se débarrasser du capitalisme et de la libre entreprise. Il faut les remplacer par du « développement durable » et du « capitalisme des parties prenantes », où l’entreprise se concentre sur la satisfaction des besoins de ses employés autant que de ses clients.

« La réinitialisation affectera tout, du gouvernement, de l’énergie et des finances à l’alimentation, à la médecine, à l’immobilier, à la police, et même aux interactions entre individus. La protection de la vie privée, bien sûr, est un obstacle majeur dans ce plan. C’est pourquoi ils font tout pour nous amener à renoncer à notre vie privée. Le transhumanisme, qui nous “améliorera” avec des machines, permettra également d’orienter nos pensées. Les mondialistes ont déclenché la pandémie covid-19 pour passer outre les oppositions et nous imposer ces réformes. » 

(([8] William Kergroach : « Leur “Great Reset”, c’est quoi ? ». Riposte Laïque, 16 décembre 2020.))

La dissidence est impensable et la soumission à ce système sera obligatoire. Les Chinois expérimentent déjà ce système. On punit, là-bas, un “mauvais” citoyen en bloquant ses accès à certains endroits ou en bloquant son compte bancaire. Dans un article daté du 12 décembre 2020, William Kergroach va jusqu’à écrire : 

« Plutôt que de mettre en place un revenu minimum garanti pour des masses désœuvrées, les élites mondialistes ont décidé de faire diminuer la population mondiale. La covid n’est que le début d’une guerre bactériologique engagée contre l’humanité. On s’attaque aujourd’hui aux plus âgés, demain, on attaquera dans la masse. Pourquoi ? Parce que les ressources de la planète diminuent, parce que l’on aura de moins en moins de travail à donner aux masses, parce que cela coûte cher et que l’alternative consisterait à ce que les plus riches partagent leurs richesses. »

(([9] William Kergroach : « L’avenir est au chômage mondial, sauf si on diminue la population… ». Riposte Laïque, 12 décembre 2020.))

J’espère que le lecteur aura compris que le coup d’état mondial perpétré par les élites mondialistes et leurs larbins, c’est-à-dire les politiciens fantoches, a été réglé comme une horloge et qu’il est exécuté avec la précision d’un orfèvre. La stratégie consiste en quelques étapes : déclencher une guerre bactériologique sans fin; restreindre les allées et venues de la population; retirer l’identité et faire taire chaque individu; provoquer la fermeture et la faillite des petites et moyennes entreprises; ruiner les gens et les soumettre à quémander leur pain; éliminer une partie de la population par le biais d’une opération eugénique; inoculer dans chaque individu des particules nano-technologiques par le biais de la vaccination obligatoire; déployer les technologies de la 5G, de la robotique, de la surveillance électronique et de l’intelligence artificielle; imposer un carnet de vaccination sans lequel nul ne pourra acheter, ni vendre, ni se déplacer; emprisonner les dissidents et les récalcitrants dans des camps conçus à cet effet; offrir un revenu de base universel aux citoyens dociles selon un schéma « méritocratique ».

L’une des dernières étapes consistera à instaurer le système de « crédit social » tel qu’il existe déjà en Chine et qui enfermera les individus dans une matrice numérique dont ils ne pourront pas s’échapper, ce qui conduira infailliblement l’humanité toute entière à son asservissement total.


Projet de loi C-273 — Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti

SOMMAIRE

Le texte prévoit l’obligation pour le ministre des Finances d’établir une stratégie nationale visant à évaluer des modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans le cadre de la stratégie du Canada en matière d’innovation et de croissance économique. Il prévoit aussi l’obligation de faire rapport relativement à cette stratégie.

2e session, 43e législature,
69-70 Elizabeth II, 2020-2021

CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA

PROJET DE LOI C-273

Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti

Préambule

Attendu :

que tous les Canadiens ont le droit de voir leurs besoins essentiels satisfaits, de participer pleinement à la société et de vivre dans la dignité, quel que soit leur statut d’emploi;

que le gouvernement du Canada s’est engagé à promouvoir ces droits, notamment en réduisant les inégalités de revenu et autres disparités dans les collectivités partout au pays;

que le gouvernement du Canada s’est engagé à appuyer la main-d’œuvre du 21e siècle grâce à des structures de prestation de programmes et de services qui répondent mieux aux perturbations touchant la main-d’œuvre, ainsi qu’à un système d’aide sociale souple et adaptable;

que le gouvernement du Canada est déterminé à veiller à ce que le système d’aide sociale réponde aux besoins actuels et futurs des Canadiens et à rééquilibrer ses structures de prestation de programmes et de services afin d’optimiser la capacité des Canadiens à innover;

qu’un programme de revenu de base garanti pourrait accroître la capacité de croissance de l’économie et améliorer sa productivité;

qu’un programme de revenu de base garanti pourrait permettre à de nombreux Canadiens d’échapper à la pauvreté et leur offrirait la stabilité dont ils ont besoin pour accéder à des programmes d’études, obtenir des occasions d’emploi et réaliser leur plein potentiel,

Sa Majesté, sur l’avis et avec le consentement du Sénat et de la Chambre des communes du Canada, édicte :

Titre abrégé

Titre abrégé

1 Loi sur la stratégie nationale sur le revenu de base garanti.

Définition

Définition de ministre

2 Dans la présente loi, ministre s’entend du ministre des Finances.

Stratégie nationale

Établissement de la stratégie

3 (1) Le ministre établit une stratégie nationale visant à évaluer des modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti au Canada.

Consultation

(2) Pour établir la stratégie, le ministre consulte le ministre de l’Emploi et du Développement social, le ministre de l’Industrie, les représentants des gouvernements provinciaux responsables de l’emploi et du développement social, les chefs des collectivités et des gouvernements autochtones, les représentants des administrations municipales, des experts en matière de projets pilotes sur le revenu de base garanti, des universitaires et des intervenants clés, y compris des représentants d’organisations qui œuvrent dans les domaines du travail et de l’emploi et de l’entrepreneuriat et de l’innovation.

Contenu

(3) La stratégie comprend des mesures visant :

a) à lancer un projet pilote dans une ou plusieurs provinces afin de mettre à l’essai divers modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti;

b) à créer un cadre de normes nationales pour guider la mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans toute province;

c) à appuyer les programmes de recherche qui généreront des données pour guider la conception et la mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans chaque province, notamment par voie de collaboration avec des organisations et des institutions internationales qui possèdent de l’expérience en la matière;

d) à recueillir et à analyser des données afin d’évaluer, pour chaque modèle mis à l’essai, les éléments suivants :

(i) l’effet sur l’administration publique, notamment en ce qui concerne l’efficacité, la souplesse, le coût, la pérennité et la capacité d’adaptation des modèles de prestation de programmes et de services, de même que le potentiel d’un programme de revenu de base garanti pour ce qui est de réduire la complexité des programmes sociaux existants ou de les remplacer, de faire reculer la pauvreté et de soutenir la croissance économique,

(ii) l’effet sur les bénéficiaires et leur famille, notamment en ce qui concerne leur qualité de vie, leur santé physique et mentale, leur recours aux services de santé, de même qu’en ce qui concerne la stabilité du logement, le niveau de vie, l’alimentation, l’épargne, l’éducation, les relations sociales et la participation au marché du travail,

(iii) les bienfaits, directs ou indirects, pour le milieu de vie des bénéficiaires, notamment en ce qui concerne l’entrepreneuriat, la création d’emplois et l’action citoyenne;

e) à développer des paramètres permettant de mesurer les effets et bienfaits mentionnés aux sous-alinéas d)‍(i) à (iii).

Accords fédéro-provinciaux

4 Avec l’agrément du gouverneur en conseil, le ministre peut conclure avec le gouvernement d’une province un accord sur la collecte, l’analyse et l’échange de données dans le but de déterminer la meilleure manière de structurer et de mettre en œuvre un programme de revenu de base garanti dans la province.

Rapports au Parlement

Dépôt de la stratégie nationale

5 (1) Dans les deux ans suivant l’entrée en vigueur de la présente loi, le ministre établit un rapport énonçant la stratégie nationale et le fait déposer devant chaque chambre du Parlement dans les quinze premiers jours de séance de celle-ci suivant l’achèvement du rapport.

Publication

(2) Le ministre publie le rapport sur le site Web du ministère des Finances dans les dix jours suivant la date de son dépôt devant les deux chambres du Parlement.

Rapport

6 Dans les deux ans suivant la date du dépôt du rapport visé à l’article 5 devant les deux chambres du Parlement, le ministre établit, en consultation avec les parties mentionnées au paragraphe 3(2), un rapport faisant état des résultats de la mise en œuvre de la stratégie nationale dans chaque province et énonçant ses conclusions et recommandations, et le fait déposer devant chaque chambre du Parlement dans les quinze premiers jours de séance de celle-ci suivant l’achèvement du rapport.



RÉFÉRENCES :



Pourquoi veulent-ils nous tuer ?

Par Jean-Michel Grau

« Pourquoi veulent-ils nous tuer? »

Tel est le cri du cœur entendu lors du meeting de Florian Philippot le 26 février dernier, pour protester contre le nouveau confinement le week-end à Nice et sur le littoral des Alpes-Maritimes.

Car le confinement tue. Il tue d’abord lentement mais sûrement tous les indépendants qui ne peuvent plus travailler, qu’ils soient restaurateurs, hôteliers, gérants de bar, de café, de discothèque, de cinéma, de théâtre, de salle de spectacles, de salle de sport, qui sont poussés inexorablement vers la faillite et la ruine. Quel est leur avenir ? Le chômage et la grande pauvreté. Car beaucoup ont déjà compris qu’ils ne rouvriront plus jamais.

Le confinement tue aussi les étudiants, claquemurés dans leur chambre, qui ne peuvent même plus suivre leurs cours autrement que devant le petit écran de leur ordinateur sans voir plus personne. Beaucoup abandonnent déjà leurs études ou songent même à se suicider quand ils ne passent pas carrément à l’acte. Combien ont-ils déjà mis fin à leurs jours à l’heure où sont écrites ces lignes ?

« Nous sommes en guerre. »

C’est une mort à petit feu de toute la classe moyenne qui est sournoisement en train de se mettre en place. Un génocide anonyme et aveugle, sous prétexte d’une guerre déclarée par notre chef d’État il y a bientôt un an.

Mais une guerre contre qui ? Contre un virus, comme il l’a affirmé dans son allocution martiale du 16 mars 2020(([1]youtube.com/watch?v=GPhReeA8oKs)),

ou bien alors contre son propre peuple ?

Son peuple qui l’a élu… pour lui faire la guerre ?

Car faire la guerre à un virus n’a aucun sens. Décréter la mobilisation générale contre un être vivant de 0,12 micron apparaît proprement surréaliste.(([2]abcdust.net/quelle-est-la-taille-dun-virion-covid-19-par-rapport-au-mp10-25/?lang=fr)) Doit-on rappeler à ce général de laboratoire autoproclamé qu’il existe sur terre plus d’un million de quadrillions de virus, dont 200 seulement sont capables de provoquer des maladies chez l’homme en s’introduisant dans les cellules humaines ?(([3]nationalgeographic.fr/sciences/2020/04/il-y-plus-de-virus-que-detoiles-et-pourtant-seulement-certains-nous-affectent))

En fait, c’est inutile, car bien évidemment, il sait tout cela.

Il le sait, tout comme son ministre de la santé qui déclarait il y a encore un an, que le port du masque est inutile pour les personnes en bonne santé.(([4]dailymotion.com/video/x7sh6ng)) Le même ministre, toujours en exercice, qui déclarait cinq jours plus tard que c’est le confinement qui provoque la circulation du virus.(([5]dailymotion.com/video/x7slnvs))

Mais alors, qu’est-ce qui a bien pu justifier depuis un an, ce déploiement délirant dans tout le monde occidental au même moment, de tant de mesures liberticides, depuis les confinements à répétition, les couvre-feux, les muselières obligatoires, les gestes barrière, la distanciation sociale, l’arrêt de pans entiers de l’économie ? Tout cet arsenal de guerre pour un simple virus ? Qui peut encore croire cela, aujourd’hui, mis à part les zombies abreuvés de la propagande H24 des médias mainstream qui entretiennent la peur permanente ?

« Éteignez vos téléviseurs et rallumez vos cerveaux ! »

Revenons au meeting de Nice de Florian Philippot, le seul qui fait encore entendre sa voix dans le silence assourdissant de toute la classe politique française qui semble s’accommoder fort bien des mesures toutes plus liberticides les unes que les autres de l’État d’urgence sanitaire à perpétuité.

Voici l’essentiel de ce que Florian Philippot déclarait à Nice ce vendredi 26 février : (([6]youtube.com/watch?v=0daTzm2pW5Y))

« On est là pour imposer un esprit de liberté et de résistance face à la folie.

Je tenais à être ici, à l’épicentre de cette dictature sanitaire qui est en réalité UNE DICTATURE POLITIQUE. Car les décisions qui sont prises n’ont plus rien de sanitaire, ce sont des décisions qui sont exclusivement POLITIQUES.

Véran, Macron, Castex ont annoncé qu’ils allaient faire ce qu’ils ont annoncé comme du « cousu main ». Du « cousu main », ça veut dire qu’ils vont à la fin nous reconfiner, mais ils le font département par département, territoire par territoire, et vous, vous êtes les premières victimes de cette dinguerie ! Mais le « cousu main », ce n’est pas que ça ! C’est aussi le pass sanitaire !

Ce pass sanitaire, ça n’est pas un instrument médical, ni même seulement en lien avec le seul Covid19. Le pass sanitaire, comme dit Macron, c’est UNE RUPTURE MAJEURE DE CIVILISATION ! C’est un problème éthique majeur ! C’est nous faire entrer dans une société profondément inhumaine, profondément diabolique, profondément infernale ! Une société de zombies, où vous devrez présenter un document numérique pour aller au restaurant, pour aller au cinéma, pour prendre le train, pour prendre le métro, pour prendre le tram !

C’est la fin du secret médical. Et c’est ensuite mettre le doigt dans un sacré engrenage : car demain, rien n’empêchera d’utiliser ce pass sanitaire pour interdire l’entrée à des lieux publics à des gens, selon telle ou telle maladie, selon telle ou telle pathologie. Et vous voyez bien, dans quelle société de discrimination « légale », dans quelle société profondément INHUMAINE, INÉGALITAIRE, INJUSTE, avec des citoyens de « huitième zone » nous entrons !

Eh bien, si l’essentiel de la classe politique française est, soit complice, soit soumise, soit endormie devant ce totalitarisme rampant, « les Patriotes » seront dans la résistance, avec vous !

Tout ce qu’ils annoncent : les confinements, les couvre-feux, les fermetures, les restrictions en tout genre, cela relève du charlatanisme ! Nous savons maintenant que ces couvre-feux et ces confinements ne servent à rien sinon à tout détruire ! Les confinements détruisent tout, sauf le virus. Et quand nous le disons, nous nous fondons, nous, sur la science ! Nous avons regardé l’étude de Stanford, celle du meilleur épidémiologiste au monde, M. Ioannidis. Nous avons regardé l’étude du CHU de virologie de Toulouse, qui a démontré, chiffres à l’appui, que le couvre-feu à 18 heures AGGRAVAIT l’épidémie !

… Croyez-vous que tous ces barons locaux qui confinent les gens vivent et subissent le confinement ? Bien sûr que non ! Ils ont la dérogation ! Ils ont l’attestation ! Ils ont le précieux sésame qui leur permet, eux, de continuer à vivre normalement ! Et surtout, eux, continuent d’être payés à 100 % ! Alors que ceux qui subissent les fermetures et les restrictions sont mis dans une panade sans nom ! Et ils n’en ont manifestement rien à faire !

… Il y a des traitements, et c’est cela le non-dit. Ce sont de vieilles molécules qui ne rapportent pas un rond aux laboratoires. Les seuls traitements qu’on a autorisés depuis le début, c’était le Remdésivir de Gilead, totalement inutile, voire dangereux, voire qui provoque des variants, comme l’a dit Raoult. Mais c’est vrai que ça coûte 2300 euros la semaine de traitement…

En revanche : hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, colchicine : toutes ces vieilles molécules qui ont démontré leur efficacité contre le Coronavirus : systématiquement in-ter-dites ! INTERDICTION AUX MÉDECINS DE PRESCRIRE LIBREMENT, ce qui est une première, honteuse et scandaleuse dans l’histoire de notre pays ! »

C’est à ce moment qu’une voix se fait entendre dans le public, s’exclamant par deux fois :

« Pourquoi veulent-ils nous tuer ? Pourquoi veulent-ils nous tuer ? »

Florian Phillipot reprend:

«… Vous comprenez bien qu’on ne peut pas rester les bras croisés, à plat ventre, à nous taire!

Éteignez vos téléviseurs et rallumez vos cerveaux !

Nous ne sommes pas là pour être soumis à une politique qui nous traite moins bien que du bétail. Parce que nous sommes traités moins bien que du bétail ! C’est La Boétie qui disait :

« Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. »

Cessons d’être à genoux et levons-nous ! Soyons fiers, soyons libres, soyons dignes !

Alors, nous réclamons : la prévention, le traitement, qu’on arrête de fermer des lits et qu’on en rouvre, qu’on forme du personnel et :

NOUS DEMANDONS À CE QUE TOUT SOIT ROUVERT TOUT DE SUITE ! NOUS DEMANDONS ET NOUS EXIGEONS LE RETOUR DE TOUTES NOS LIBERTÉS TOUT DE SUITE ! ET NOUS EXIGEONS LA FIN DU MASQUE OBLIGATOIRE TOUT DE SUITE !

Revenons à l’humanité ! Revenons au bon sens ! Revenons à la raison !

Nous ne voulons pas de cette caste qui nous asservit depuis si longtemps et qui a trouvé dans ce virus le prétexte pour faire de nous des gens dominés, des gens obéissants, des gens soumis, c’est-à-dire l’inverse de ce que nous sommes, et surtout l’inverse de ce que nous voulons transmettre aux générations qui viennent. Nous n’avons pas le droit, au nom de nos ancêtres qui se sont battus pour nos libertés, nous n’avons pas le droit de leur laisser ce monde-là ! »

Et de conclure avec cette citation de Benjamin Franklin :

« Une société prête à sacrifier un peu de liberté contre un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

Avec la mise en place du pass sanitaire pour créer une société d’alpha plus et de bêta moins, il y a clairement une volonté de tuer la classe moyenne de la part des adeptes de la secte de Davos menés par Klaus Schwab et l’Union européenne. Dans cette société, les seuls gagnants seront ceux qui nous auront imposé cet esclavage forcé, à savoir l’oligarchie financière et son bras armé, l’UE, devenue entretemps, l’Union de l’Enfermement avec les confinements avant de devenir l’Union Eugéniste avec le pass sanitaire.

Car c’est bien d’un programme eugéniste dont il est question avec l’imposition des piqûres géniques, via le pass sanitaire qui n’est qu’une énième supercherie. En effet, qui peut encore croire aujourd’hui que les restaurants auxquels auront le droit d’entrer les seuls « vaccinés » rouvriront un jour ? Même chose pour les musées, les salles de spectacles, les cinémas, les théâtres, les opéras, etc.

Car la fermeture généralisée de tout ce qui faisait le bonheur de vivre encore il y a un an doit se poursuivre pour réaliser le transfert de richesses des classes moyennes à la finance mondialiste afin de se refaire une santé sur notre dos après le krach mondial à venir.

Cette spoliation de tous nos biens avec le soutien des banques centrales ne peut se faire qu’en nous imposant un revenu universel, carotte de notre soumission, une fois que nous serons tous devenus « des gens qui ne sont rien »(([7]youtube.com/watch?v=mlxXW95qeK4)) qu’on pourra éliminer sans état d’âme, puisque telle sera la destinée voulue par le forum de Davos des gens qui ne sont rien.(([8]youtube.com/watch?v=Yx8DXGJi8r4))

NOUS DEVONS RÉAGIR DÈS MAINTENANT POUR GAGNER CETTE GUERRE EN NOUS RÉVOLTANT MASSIVEMENT CONTRE CETTE CASTE MONDIALISTE POUR L’EMPÊCHER PAR TOUS LES MOYENS DE BRISER NOS VIES À TOUT JAMAIS.

« Cette guerre, on va la gagner à la fin. On la gagnera tous ensemble. »

Florian Philippot

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Reiner Fuellmich





Grand Reset : « On assiste à un transfert de richesses qui est voulu par ceux qui nous dirigent »

[Source : Epoch Times France]

Philippe Herlin est Docteur en économie du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), spécialiste des cryptomonnaies et essayiste.

Intrigué par le livre « Covid-19 : The Great Reset » coécrit par Klaus Schwab – le fondateur du Forum de Davos – et Thierry Malleret – un consultant et ancien collaborateur de Michel Rocard – paru l’été dernier, Philippe Herlin a décidé de décortiquer cet ouvrage.

Une lecture qui lui a inspiré un commentaire de quelques pages dans lequel M. Herlin s’efforce de décrypter l’idéologie portée par K. Schwab et T. Malleret.

Selon l’économiste, les auteurs du Great Reset entendent notamment profiter des bouleversements induits par la crise sanitaire pour promouvoir un projet « étatiste et socialiste » qui s’appuie sur la surveillance généralisée des populations, l’économie verte et le capitalisme de connivence.

Quels sont les véritables enjeux du Grand Reset ? Quelle est l’attitude de nos dirigeants vis-à-vis du projet porté par Klaus Schwab et Thierry Malleret ?

Esprits de Liberté a rencontré Philippe Herlin pour répondre à ces questions.




Sortir de l’instinct grégaire ?

Par Dr Nicole Delépine

« Ce n’est pas d’un vaccin pour s’immuniser contre les infections virales dont l’humanité a besoin, mais d’un vaccin contre la peur afin de s’immuniser contre la stratégie du choc et les manipulations politiques qui sont en train de l’asservir. »

Vincent Mathieu, Ph.D.

« L’instinct grégaire est animal. Il nous ravale au stade du mouton à quatre pattes, quand dans la crainte on s’aplatit, on s’agenouille comme cette petite chose qu’on tond allègrement depuis des siècles pour faire des vêtements nous réchauffant. Êtres frileux dans tous les sens du terme, que ces humains craintifs qui se cachent derrière le derrière de l’autre, collés les uns aux autres, formant une masse qui s’agglutine, tête en bas, au ras du sol, pour ignorer la clarté et la lumière que nous offre le ciel de nos propres idées. »

« Dociles, maladifs, médiocres » disait Nietzsche, parlant de ces personnes ayant gardé cet instinct bestial. Instinct nous poussant tous, plus ou moins, à courber l’échine, à redevenir des enfants marchant à quatre pattes et aussi obéissants qu’eux, par peur, « de manière aveugle et sans réflexion ». Ainsi le nazisme a pu voir le jour. Ainsi une foule a regardé une femme se faire abuser en pleine journée dans un métro bondé comme cela fut le cas à Lille récemment. C’est l’esprit d’égalité qui sous-tend probablement cet instinct primitif. Tous pareils, tous aussi poltrons et peureux, sans audace ni courage.(([1] Extrait de « à la recherche de la vérité, l’histoire de Clothilde » par Agnès Beaufeuil.))

Le plus fascinant dans la période que nous vivons est l’enthousiasme des foules et pas seulement françaises, pour se précipiter se faire tester, et pire se faire vacciner. Pourtant il faut vraiment vouloir ne pas savoir que le coronavirus de l’année 2019 est très peu mortel et en tous cas pas plus que la grippe qui n’a jamais entraîné un tel délire collectif.

Une hystérie mondiale qui continue malgré les preuves accumulées de la faible nocivité du virus, l’existence de traitements précoces efficaces, de la mascarade des tests PCR faux positifs à 97% quand ils sont utilisés en dépistage chez des gens sains, des doutes majeurs sur l’efficacité et la toxicité des vaccins dont l’expérimentation (phase 3) ne se terminera qu’en 2023.

Bizarre, bizarre, la ruée vers l’or (transformée en plomb) qui se poursuit malgré le défilé quotidien d’informations sur tel EHPAD allemand, puis norvégien ou espagnol dans lesquels un tiers des résidents autrefois bien portants sont morts très vite dans les jours ou semaines qui ont suivi l’injection vaccinale miraculeuse. Pour rejoindre le ciel plus vite ? Et bien sûr, sans recul suffisant, on ne sait que très peu de choses de ce qui pourrait se passer chez les vaccinés rencontrant le coronavirus d’ici quelques semaines. On peut être inquiet quand on connaît les expériences sur les animaux dans la tentative de vaccin contre les précédents coronavirus pathogènes, SRAS et le Mers et les décès des animaux vaccinés. Évidemment on aurait pu penser que cela rendrait prudents expérimentateurs apprentis sorciers, et citoyens cobayes, mais il n’en est rien. La puissance des médias répétant inlassablement les mêmes mensonges est fascinante et surtout inquiétante pour l’avenir de notre démocratie. Après les députés godillots (qui prolongent indéfiniment l’état d’urgence), de trop nombreux juges français qui valident sans examen réel tout ce qui vient de l’exécutif, les médias, dernier pilier de la démocratie se sont à leur tour agenouillés devant l’exécutif, empêchant le pluralisme de s’exprimer.

Pourtant les scientifiques et médecins réunis résument bien les éléments importants sur cette crise covid (suivre par exemple collectif ISOFIA sur Telegramm pour infos en temps réel).

Voici une petite synthèse.

1. Nous n’avons JAMAIS dans le passé, réussi à vacciner contre un coronavirus

Un vaccin efficace contre un coronavirus n’a jamais été mis au point. Les scientifiques ont essayé pendant des années de fabriquer un vaccin contre le SRAS et le MERS, toujours sans succès. En fait, certains des vaccins anti-SRAS ont causé une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement faire la maladie plus sévèrement que les souris non vaccinées.

2. ll faut habituellement de 5 à 10 ans pour qu’un vaccin soit entièrement mis au point, processus lent et ardu et de nombreuses années entre le développement et les essais jusqu’à l’approbation à l’usage public. Les différents vaccins pour Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. Bizarre ?

Aucun des vaccins n’a encore fait l’objet d’études appropriées. Beaucoup d’entre eux ont complètement sauté les premières études (animales en particulier), n’ont pas publié leurs données, et les études humaines tardives n’ont pas été évaluées par des pairs, ne se termineront pas avant 2023, ou ont été annulées après des « effets indésirables graves ».

3. Le « vaccin » Covid est basé sur une nouvelle technologie jamais approuvée pour utilisation sur l’homme. Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant l’organisme à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vaccins Covid sont des vaccins à ARNm.

Théoriquement, les vaccins contre l’ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent en injectant de l’ARNm viral dans l’organisme, où il se réplique dans les cellules et stimule l’organisme à reconnaître les protéines spike du virus et à produire des antigènes contre eux. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais aucun vaccin contre l’ARNm n’a jamais été approuvé avant 2020.

4. Si le vaccin entraîne des accidents ou tue, les compagnies pharmaceutiques ne peuvent pas être poursuivies. Dès le printemps 2020, de nombreux gouvernements du monde entier ont accordé aux fabricants de vaccins l’immunité contre la responsabilité civile en se référant aux lois existantes ou en rédigeant de nouvelles lois.

La Loi de préparation au public et de préparation aux situations d’urgence (PREP) des États-Unis accorde l’immunité au moins jusqu’en 2024.

La loi UE sur l’approbation des produits fait de même, et des clauses de responsabilité confidentielle ont été signalées dans les contrats conclus par l’UE avec les fabricants de vaccins.

Le Royaume-Uni est allé encore plus loin, donnant au gouvernement et à ses employés une indemnité juridique permanente pour tout préjudice causé par le traitement d’un patient pour Covid19 ou « covid19 présumé ».

Or rappelons que 99,8% des gens survivent à Covid19.

Le taux de mortalité par infection par le Sars-Cov-2 est certainement beaucoup plus faible que tous les modèles initiaux prévus. À l’origine, il était massivement excessif, l’OMS a supposé 3,4%. Des études ultérieures ont montré qu’il est beaucoup plus faible, dans certains cas même en dessous de 0,1%. Un rapport publié dans le propre bulletin de recherche de l’OMS en octobre a révélé un CFR de 0,23 %, « ou peut-être significativement inférieur »

Cela signifie que même selon l’OMS, au moins 99,77 % des personnes infectées par le virus survivront.

Pourquoi tant de hâte ?

Nous sommes enfermés de fait depuis onze mois et l’obsession de tout un chacun est de sortir de prison. L’emprise des mondialistes qui ont concocté et appliqué ce plan terrible explique probablement les réactions tout à fait extravagantes envers les tests PCR et surtout les vaccins auxquelles nous assistons.

Une grande partie de la planète a subi cet enfermement doublé de bourrage de crâne pluriquotidien, transformant des milliards d’individus en adeptes d’une « secte covid19 » dont il est terriblement difficile de s’extraire comme de toute secte. Il nous faudrait des psychiatres efficaces et compétents pour une immense thérapie de groupe.

Jusqu’où courberons-nous l’échine ?

« En tant que professionnel de la santé mentale, j’ai entendu maintes histoires de personnes qui se sont mises à genoux devant leur intimidateur en pensant retrouver la paix et la vie d’avant. La peur, la culpabilisation et l’emprise sont les armes des manipulateurs pervers. Elles mènent les gens à faire bien des courbettes et les ingénieurs sociaux le savent très bien.

Telle une personne abusée, la population se trouve-t-elle présentement tétanisée et soumise devant le harcèlement brutal du gouvernement ? »

(([2] Ces éduqués non cultivés. L’ère de la pensée unique : Menace autoritaire et gouvernement mondial | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Serions-nous atteints d’un syndrome de Stockholm ?(([3] Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique s’observant chez des otages qui vivent pendant une période prolongée avec leur(s) ravisseur(s). Le syndrome s’exprime par une sympathie et un sentiment de confiance grandissants de l’otage envers le ravisseur et une certaine hostilité ressentie à l’égard de ceux qui cherchent à combattre le ravisseur. Ce serait une manifestation inconsciente de l’instinct de survie permettant de se sentir hors de danger, mais aussi d’influer sur ses réelles chances de survie par cette fraternisation avec le ravisseur.)) Eric Fromm décrit un phénomène semblable dans son livre « la peur de la liberté ».

« Il élabore sur la façon dont le citoyen peut affectionner ou vénérer les figures autoritaires afin d’échapper à l’angoisse que provoquerait une remise en question ou une confrontation du régime politique. L’identification à la pensée dominante et l’idéalisation de ceux qui nous régentent deviennent les palliatifs à une réflexion complexe et rationnelle sur la situation sociale vécue ».

Un silence abyssal

On peut s’étonner et s’effarer de l’absence de réactions construites et raisonnées sur la gestion de cette pseudo-crise sanitaire construite depuis le début avec la mise sur le marché des tests PCR non spécifiques par le conseiller de Mme Merkel, C. Drosten actuellement poursuivi pour fausses déclarations médiatiques et conseils politiques inadaptés en Allemagne.

Les fausses prévisions des prophètes Ferguson en Angleterre et alter ego en Allemagne sur des modélisations mathématiques adaptées à la demande des politiques ont été dénoncées relativement tôt dans l’année 2020 et n’ont recueilli aucun écho ni des politiques de tous bords, ni des « intellectuels », artistes, universitaires en dehors de quelques exceptions dénommées curieusement lanceurs d’alerte.

Citons ici les révélations « colossales » de « Slobodan Despot, (8/02/2021 COVID-19)

Kolossale ! Les politiques dictaient les analyses « scientifiques » !

« La Welt-am-Sonntag du 7 février révèle qu’en mars 2020, un groupe de juristes du ministère fédéral de l’Intérieur allemand a pris contact avec diverses institutions scientifiques et médicales — dont le Robert-Koch-Institut de Berlin — et leur a demandé d’élaborer un modèle de propagation de l’épidémie sur la base de laquelle le ministère d’Horst Seehofer pourrait justifier les mesures les plus dures dans la lutte contre le coronavirus.

Dans les plus de 200 pages d’échanges par e-mail, on découvre par exemple que le secrétaire d’État Markus Kerber lui-même demande aux chercheurs de travailler à un modèle qui permette de justifier des « mesures préventives et répressives ». Selon ces échanges, les scientifiques ont rédigé, en étroite collaboration avec le ministère et en moins de quatre jours, un document astucieusement classifié « SECRET », que l’on a ensuite laissé filtrer dans la presse. La cerise sur le gâteau fut le scénario du pire prédisant un million de morts en Allemagne.

A Paris, comme à Berlin et ailleurs, pourtant, les politiques nous ont assuré qu’ils s’appuyaient sur les analyses des spécialistes — en particulier des médecins — pour prendre leurs décisions. Mais que faudra-t-il penser si l’on découvre que les analyses « scientifiques » ont été dictées — au sens propre — par les politiques eux-mêmes ? »

Idem au Québec :

« En date du 9 décembre 2020, le directeur de santé publique québécois, Dr Horacio Arruda, nous a confirmé que les directions de santé publique (DSP) au Québec n’ont pas recommandé la fermeture des lieux publics comme les restaurants et les cinémas. Ces décisions ont été totalement prises par le politique alors qu’on prétendait se baser sur des données scientifiques ».

Ces démonstrations de la tromperie monumentale changent-elles quelque chose ? Non, aujourd’hui circulent des pétitions afin que les vaccins soient accessibles à tous ! Mais ceux qui diffusent cette demande se rendent-ils compte qu’ils sont complètement captés par la « propagande vaccinale », comme pour n’importe quel objet commercial et font le jeu du gouvernement mondial qui veut nous soumettre, ne serait-ce que par le passeport vaccinal ?

« Nos intellectuels gradés semblent en effet vivre dans un monde désincarné du réel. Un monde où le simulacre est pris pour le vrai. C’est à croire qu’ils sont inconscients de l’impact des coteries oligarchiques sur la géopolitique internationale ».

(([4] Ibid. 2))

ET POURTANT il serait temps que les populations se réveillent de cette immense sidération organisée et discutent du but réel de cet abrutissement généralisé et organisé.

Ce n’est évidemment pas ce pauvre virus, mais bien le plan des milliardaires pour sortir de leur crise endémique depuis de nombreuses années et nous réduire en esclaves obéissants, pucés, dépossédés, sagement cloîtres dans des appartements loués (fin de la propriété individuelle) en échange du revenu universel minimal proposé par Hamon et cie.

« L’insécurité et l’impuissance propres à l’individu le mènent souvent à calquer sa pensée sur les idées dominantes. Sentir faire partie du groupe est parfois plus fort que le désir de trouver la vérité ».

La citation suivante de Bertrand Russell résume tout :

« Là où les enfants vont à l’école et que les écoles sont contrôlées par le gouvernement, les autorités peuvent fermer les esprits à tout ce qui est contraire à l’orthodoxie ». On leur apprend à parler et à penser pour ne blesser personne, utilisant un langage pauvre, non genré et carboneutre ».

Est-ce que le choc traumatique de la réalité va les réveiller alors que ce Grand Reset se met en place ?

Pour se remémorer le projet, écouter l’économiste Verhaeghe parler de son livre « le Grand Reset mythes et réalité ». Great Reset : mythes et réalités par Eric Verhaeghe (Vidéo) – Terre et Peuple – Résistance Identitaire Européenne

https://youtu.be/c2yfii_deGY

Petit résumé de la vidéo :

« Klaus Schwab a fondé le forum de Davos dans les années 1970 qui est une entreprise, initialement think tank de management. Thierry Malleret, le coauteur, est dans la sphère de la 2e gauche qui prétend vouloir une gauche libérale. (il cite Rocard).

Leur principe est que les grandes entreprises ont besoin de têtes pensantes. Le « soft power » est un pouvoir d’influence, ces gens n’imposent rien de fait. Ils font se rencontrer entre eux des gens qui ont besoin de se rencontrer, construisent un « mainstream » avec des personnes qui influencent les décisions des décideurs de façon feutrée.

Les idées du Great Reset : l’épidémie de coronavirus est l’occasion de mettre en place les idées qu’ils concoctaient et en particulier les idées de la quatrième révolution numérique. (voir livre de Schwab de 2017.)

On trouve dans le livre de Schwab et Malleret une compilation détaillée de toutes les technologies utilisées pour changer les comportements individuels. La surveillance généralisée, comme à Singapour, des promeneurs.

De façon explicite, les auteurs pensent que l’épidémie doit légitimer les outils de privation de la vie privée, traçage permanent savoir qui rencontre qui et en relation avec outils de reconnaissance faciale. Ce qui est prôné est Orwell 1984, la surveillance de l’individu au sens de la protection de la collectivité prioritaire sur l’individu.

Schwab prône la suppression de la propriété privée et veut imposer la location généralisée. L’économie circulaire est l’expropriation généralisée. Quelques grandes multinationales vont louer la TV, la machine à laver. Rien ne vous appartiendra plus. Outil de mort sociale, expropriation, collectivisation des biens.

Fascination de Schwab avec le dirigeant chinois invité à Davos en 2017 et cette année. Quelle est la relation d’intérêt entre KS et le président chinois ? Il faudrait investiguer dit Verhaeghe.

Néanmoins, les milliardaires et dirigeants à la tête du gouvernement mondial en gestation ne sont pas tous d’accord. Soros désapprouve les liens de KS avec le président chinois. Soros est pour la suppression des États-nations. Il finance les militants de décolonisation en France, mais reste très hostile au rapprochement avec la Chine et à l’inclination de l’Europe pour la stratégie chinoise.

Nous sommes dans une phase de décroissance du rendement du capital et donc il y a une dynamique économique du capitalisme à la suppression des frontières ; dans les syndicats des riches, il y a des divergences entre des puissants plus morcelés.

La Chine parie sur le multilatéralisme et certains pays pensent que les partenariats avec la Chine sont plus intéressants.

La question du Great Reset : où ferons-nous du profit demain ?

L’essentiel du profit est fondé sur la surconsommation, biens à obsolescence programmée et gaspillage. Cela ne pourra pas durer. Et donc, comment faire si on arrête de gaspiller ?

Chercher des substituts : transformer l’écologie en business. Ainsi, au lieu de les vendre, on va louer les biens aux gens, comme le font déjà Microsoft pour certains de ses programmes informatiques et de nombreux constructeurs de voitures. On va influencer par la pensée dominante l’économie circulaire, surveiller les gens. Œuvre d’une stratégie de faiblesse. Chant du cygne du capitalisme tel qu’on l’a connu. Ce n’est pas un modèle durable, car le totalitarisme des GAFAM est inacceptable pour les peuples.

En France, combat entre mondialistes et souverainistes ? Savoir si notre avenir passe par l’État-nation ou par une organisation comme l’UE.

Revenir à l’état nation, cela veut dire être compétitif. Il faudra 560 milliards d’euros dépensés pour le système de protection sociale en 2020. Il devrait être réduit à 400 milliards. Et pourtant ce qui a apporté la liberté est bien l’État-nation.

Ce qui est vraiment étonnant, c’est dans quelle mesure, nous, en tant que sociétés, permettons aux politiciens qui n’ont pas de qualifications en médecine de déployer des décrets draconiens.

Ces mesures sont vraiment l’intention de diviser la population pour prévenir les troubles civils parce que le système socialiste s’effondre et qu’ils avaient besoin d’une excuse pour jeter toutes les restrictions économiques par la fenêtre ».

Quand les gens se réveilleront-ils et se rendront-ils compte que tout cet ensemble de règlements, des masques(([5] Aucune preuve scientifique que les masques obligatoires pour tous diminuent les contagions et la seule étude prospective randomisée sur le sujet (pourtant réalisée par ses partisans) a été incapable de prouver qu’il servait à quelque chose !)) aux confinements(([6] Toutes les études dans le monde réel des résultats sanitaires des confinements, couvre-feux et autres restrictions concluent qu’ils n’empêchent guère la propagation des virus, n’évitent au total aucune mort virale, mais causent infiniment plus de victimes par défaut de soins, anxiété, suicide, famine…)), n’est vraiment qu’un moyen de suppression des libertés pour faire avancer le programme de l’oligarchie ?

Il ne s’agit pas de santé. Même le Washington Post, qui déteste le capitalisme, a dû admettre que les masques n’ont pas fonctionné pendant l’épidémie de grippe espagnole de 1918 où près de 3% de la population est morte(([7] Toutes les études sur les causes de mort de cette pandémie et, en particulier, celle d’Antony Fauci, ont prouvé que la « deuxième vague » n’était pas virale, mais bactérienne.)).

Voilà quelques mots extraits de la vidéo à écouter en totalité pour tous les détails. De plus en plus de personnes expriment des avis souvent différents sur le net et même parfois maintenant sur les radios et TV.

Diffusons-les en espérant faire sortir les covidiens de leur secte et pouvoir tous ensemble refaire société civilisée.


Notes




Le plus grand Nuremberg de tous les temps se prépare. Mise à jour 2: la démarche suit son cours

Par Jean-Michel Grau

[Les inscriptions sont closes depuis le 22 février.]

Aujourd’hui, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une «Class Action» sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit les responsables du scandale du Covid-19 instrumentalisé par le Forum de Davos. À ce sujet, il est utile de rappeler que Reiner Fuellmich est l’avocat qui a réussi à condamner le géant de l’automobile Volkswagen dans l’affaire des pots catalytiques trafiqués. Et c’est ce même avocat qui a réussi à condamner la Deutsche Bank comme entreprise criminelle.

Selon Reiner Fuellmich, toutes les fraudes des entreprises allemandes sont dérisoires comparées aux dommages que la crise du Covid-19 a causés et continue de causer. Cette crise du Covid-19 doit être rebaptisée «Scandale du Covid-19» et tous les responsables doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de protocoles de tests falsifiés. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid-19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Une commission d’enquête Covid-19 a été ouverte à l’initiative d’un collectif d’avocats allemands dans le but de faire un recours collectif au niveau international en utilisant le droit anglo-saxon.

Voici la traduction résumée de la dernière communication du Dr Fuellmich du 15/02/2021

« Les auditions d’une centaine de scientifiques, médecins, économistes, juristes de renommée internationale qui ont été menées par la commission d’enquête berlinoise sur l’affaire Covid-19 depuis le 10.07.2020, ont entre-temps montré avec une probabilité proche de la certitude que le scandale du Covid-19 n’était à aucun moment une affaire de santé. Il s’agissait plutôt de bétonner le pouvoir — illégitime, car obtenu par des méthodes criminelles — de la “clique de Davos” corrompue, en transférant la richesse des populations aux membres de la clique de Davos, en détruisant, entre autres, les petites et moyennes entreprises en particulier. Des plateformes comme Amazon, Google, Uber, etc. pourraient ainsi s’approprier leurs parts de marché et leurs richesses. »

État d’avancement de l’enquête du Comité Covid-19

  • a. Le Covid-19 comme tactique de diversion par les « élites » corporatistes et politiques dans le but de déplacer les parts de marché et la richesse des petites et moyennes entreprises vers des plateformes mondiales telles qu’Amazon, Google, Uber, etc.
  • b. Contribution de la taxe sur l’audiovisuel en vue de la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui offre une véritable information indépendante
  • c. Sécurisation des structures agricoles régionales
  • d. Sécurisation d’une monnaie régionale pour éviter qu’une nouvelle monnaie ne vienne « d’en haut » pour être allouée en cas de bonne conduite
  • e. Considérations psychologiques de la situation : comment en est-on arrivé là ?

Recours en annulation de l’approbation d’une vaccination, déposé contre la Commission européenne, procès à New York du statut des tests PCR, procès allemands, procès canadiens, procès australiens, procès autrichiens, procès à la Cour de Justice Internationale et à la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

« Nous avons constaté ce qui a été confirmé à maintes reprises : la dangerosité du virus est à peu près la même que celle de la grippe saisonnière, indépendamment qu’il s’agisse d’un nouveau virus (entièrement ou partiellement fabriqué) ou que nous ayons simplement affaire à une grippe rebaptisée “pandémie Covid-19”. En attendant, les tests PCR de Drosten ne sont même pas capables de nous dire quoi que ce soit sur les infections contagieuses. Pour aggraver les choses, les dommages sanitaires et économiques causés par les mesures anticovid ont été si dévastateurs qu’il faut parler d’un niveau de destruction historiquement unique. »

« Le fait qu’il n’ait jamais été question de santé est particulièrement évident, sinon que les injections de substances génétiquement expérimentales déguisées en “vaccination” causent maintenant de graves dommages, y compris des conséquences fatales, à une échelle de masse. La population mondiale a servi de cobaye à ces injections expérimentales de gènes à la fois progressivement et extrêmement rapidement. Afin de plonger la population dans la panique, des mesures de confinement dangereuses et nocives (même selon l’OMS) de port du masque obligatoire, inutile et dangereux, et de distanciation sociale, inutile et contre-productive, ont été introduites. La population était ainsi “prête” pour les injections. »

« En attendant, de plus en plus de personnes, et pas seulement des avocats — à juste titre — exigent, outre l’arrêt immédiat de ces mesures meurtrières, un contrôle juridictionnel par un tribunal international véritablement indépendant, sur le modèle des procès de Nuremberg. Un exemple de demande de ce type et un extrait émouvant d’une allocution du médecin anglais Dr Vernon Coleman peut être trouvé dans le lien suivant :(1)

En outre, une interview d’un lanceur d’alerte d’une maison de retraite berlinoise, témoigne que sur 31 personnes vaccinées là-bas, dont certaines par la force, en présence de soldats de la Bundeswehr, et dont le test était négatif avant la vaccination, 8 sont maintenant décédées et 11 sont sujettes à de graves effets secondaires. »(2)

Réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin mercredi 17/02/2021

« Dans ce contexte, une réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin aura lieu le mercredi 17.02.2021 en direct et avec de nombreux invités qui y participeront via Zoom.

Àpartir de 14 heures, l’état des lieux sera résumé. En outre, il sera question de la manière dont les contributions de la taxe sur la redevance audiovisuelle peuvent être conservées et utilisées pour la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui serve réellement la liberté d’expression, et comment les contributions déjà versées pour la propagande insensée des 11 derniers mois peuvent être récupérées par le biais d’une mise en demeure.

Il y aura des contributions et des discussions sur la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, en particulier en renforçant l’agriculture régionale ; mais aussi en créant des monnaies régionales, si nécessaire avec le retour de l’UE à la CEE, sur la manière dont on peut s’assurer que la politique de la “clique de Davos”, basée sur l’impression de monnaie à partir de rien, peut être arrêtée et qu’un retour à des monnaies stables peut être réalisé.

Mais surtout, des experts nous expliqueront comment il a pu arriver que nous nous retrouvions dans cette situation de chantage inimaginable il y a encore un an.

Dans la deuxième partie de la session, qui débutera à 19 h, des personnalités de renommée mondiale et de haut niveau commenteront l’état des litiges juridiques internationaux en cours, y compris les différentes actions collectives, comme résumé ci-dessus. Mais il sera également question de la manière dont les principaux responsables, en particulier politiques, des crimes contre l’humanité commis ici peuvent et doivent être tenus pour responsables en droit civil et pénal dans le cadre d’une nouvelle Cour internationale de justice qui sera créée conformément aux directives des procès de Nuremberg avec une distribution internationale. »

Le lien vers la session spéciale du Comité Covid annoncée ici sera disponible le 17.02.2021 via le site web du Comité.(3)

Commentaire :

Pour bien comprendre ce qui est en train de se jouer avec ce nouveau tribunal de Nuremberg pour juger la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, c’est en tirant sur le fil du mensonge du Dr Drosten pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, que tout va venir avec : les commanditaires de l’oligarchie financière, Klaus Schwab, le grand architecte de cette gigantesque prise d’otages, les politiques à la tête de l’UE, bras armé de l’exécution des directives de Drosten et de l’OMS qui ont amené tous les gouvernements occidentaux à prendre hier les décisions ravageuses de confinement, de couvre-feu, de port du masque obligatoire et de distanciation sociale et aujourd’hui de vaccins mortifères pour les plus âgés d’entre nous.

« Ce sont ces vérités qui feront tomber les masques des responsables des crimes commis. Aux politiciens qui ont eu foi dans ces personnages corrompus », dit le Dr Fuellmich, « Les faits présentés ici sont la bouée de sauvetage susceptible de les aider à rectifier le tir et à entamer le débat scientifique tant attendu du public, afin d’éviter de couler en même temps que ces charlatans criminels ».

Ensuite, à la lumière de cette dernière communication du Dr Fuellmich, deux propositions de la réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin retiennent l’attention :

  • Tout d’abord la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, ce qui apparaît quelque peu surréaliste eu égard à la situation d’aujourd’hui. Si l’on se réfère au planning du Forum de Davos de Klaus Schwab, il n’en est rien. Celui-ci a bel et bien prévu une rupture de la chaîne alimentaire dès la fin du second semestre 2021.(4)
  • Ensuite, la création de monnaies régionales. Là, il est clair que le Comité Covid de Berlin anticipe déjà le krach boursier mondial qui s’annonce et dont l’oligarchie financière du Forum de Davos à la manœuvre compte bien profiter pour mettre en place la monnaie numérique européenne dans l’attente d’une monnaie mondiale pour créer un crédit social à la chinoise dont deviendra dépendante la classe moyenne de tous les peuples ruinés par la fermeture de leurs commerces, PMI— PME, industries culturelles et touristiques, équipements sportifs, etc.

Rien que ces deux aspects de la prise d’otage 2.0 dont le monde occidental est victime depuis bientôt un an devraient en toute logique être suffisamment motivants pour nous faire comprendre définitivement que nous sommes face à un « populicide » qui ne demande qu’à nous broyer si nous restons inertes, les bras ballants sans rien faire.

C’est pourquoi il convient à chacun d’entre nous de tout mettre en œuvre dès maintenant afin que cette coalition juridique internationale puisse être opérationnelle le plus tôt possible. Pour ce faire, que toutes celles et tous ceux d’entre nous qui souhaitent rejoindre l’action collective des avocats français pour participer à cette reconquête de nos libertés se mettent déjà en contact d’ici le 21 février avec l’action collective(5)Notre survie est à ce prix ainsi que l’avenir de nos enfants.
.


Notes

(1) https://youtu.be/T3DNV7v5i74

(2) 2020news.de/whistleblower-aus-berliner-altenheim-das-schreckliche-sterben-nach-der-impfung/

(3) corona-ausschuss.de

(4) nouveau-monde.ca/fr/la-quatrieme-phase-de-schwab/

(5) francesoir.fr/opinions-entretiens/interview-me-virginie-de-araujo-recchia-avocate-au-barreau- de-paris


Pour vous associer aux recours collectifs français

Vous aviez le choix entre :

Sur le site, voir aussi les articles correspondants :

Me de Araujo-Recchia — Illégalité des mesures Covid, action collective contre l’état. Mise à jour

Maître Fabrice Di Vizio et Louis Fouché : recours en indemnisation pour les 2 confinements




Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021

Par Dr Gérard Delépine

Israël représente actuellement le champion de la vaccination Pfizer en nombre de citoyens vaccinés sur un temps court, et sa campagne de vaccination un magnifique essai de phase 3 en population réelle. Le suivi de l’épidémie dans ce pays permet ainsi de prévoir ce qui risque d’arriver chez nous si la vaccination se généralise. Cela explique l’intérêt d’une nouvelle analyse avec 2 mois de recul.

Les succès de la campagne de vaccination et ses contreparties discutables

Aujourd’hui le succès de la campagne de vaccination est indéniable avec près de 3,8 millions de personnes (44% de la population israélienne) qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais ce modèle de campagne éclair n’a été obtenu que grâce à l’acceptation d’une surfacturation des doses vaccinales et à l’engagement du gouvernement de communiquer sans limites à Pfizer les données de santé des Israéliens.

De plus, il est le résultat d’une propagande mensongère dans la population et d’un chantage au confinement qui n’ont guère respecté les règles éthiques de la déclaration d’Helsinki et les droits des personnes sur le consentement éclairé indispensable pour les traitements expérimentaux.

Quoiqu’il en soit, cette vaccination massive représente le modèle d’un essai phase 3 et remplace avantageusement les maigres données que Pfizer a publiées pour l’instant.

Critères d’évaluation

Les journaux parlent de succès sur les pourcentages de vaccinés ou le taux prétendu de protection que le vaccin conférerait d’après les communiqués du fabricant ou des caisses qui sont chargés de la vaccination alors qu’un examen objectif doit se focaliser sur deux points précis : le vaccin prévient-il les transmissions du virus ? Diminue-t-il la gravité de la maladie et tout particulièrement le risque d’en mourir ?

On dispose pour ces critères d’une source indépendante des acteurs de la vaccination : les données OMS quotidiennement mises à jour sur son site officiel consultable en tapant https://covid19.who.int/ qui précisent chaque jour pour chaque pays le nombre de contaminations et le nombre de décès attribués au Covd19.

Évolution du nombre quotidien des contaminations

La vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. La vaccination ne paraît donc pas diminuer la contagiosité des vaccinés.

Cette évolution défavorable avec augmentation des contaminations quotidiennes après vaccination suggère que le vaccin Pfizer est incapable de diminuer la transmission de la maladie. L’augmentation des contaminations n’a été amoindrie que depuis le reflux global de l’épidémie dans tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas.

Évolution de la mortalité quotidienne

En Israël, malgré un confinement strict, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le mois de janvier a établi le record mensuel de la mortalité, regroupant à lui seul près de 30% de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays. La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé.

Heureusement que la décrue mondiale de l’épidémie a limité cette évolution post vaccinale mortifère !

Comment expliquer cet échec cuisant ?

Un traitement préventif se juge à l’évolution observée de la maladie cible. En Israël, l’évolution post vaccinale précoce a été catastrophique tant sur les contaminations que sur l’évolution des formes graves.

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’un des plus probables est que la vaccination Pfizer se heurte au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsables de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021[1] :

« dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. »

ce qui soulignait aussi le risque de faire émerger un variant par une vaccination insuffisamment efficace.

« Au plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants, et l’échec de la vaccination a été tout récemment signalé par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ [2].

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue…. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Que pourrait-on conseiller aux citoyens israéliens ? Attendre et résister aux pressions et chantages pour le vaccin

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme en Israël, car complètement pollué par la situation politique actuelle. Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup sévère à la campagne électorale de B Netanyahou. Il faut donc s’attendre à ce que le gouvernement et les médias qui lui sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ[3] , quel que soit le pays
« quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou « radical ».

En l’absence de débat démocratique permettant d’évaluer rationnellement la situation, nous ne pouvons que conseiller aux Israéliens d’attendre pour se faire vacciner. Il n’y a aucune urgence pour se faire vacciner, le risque de la maladie étant minuscule pour les moins de 65 ans.

Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré et la décision de se faire vacciner ou pas pourra alors reposer sur des données consolidées. C’est peut-être ce que veut éviter le ministre de la santé israélien, avec sa volonté d’imposer le port d’un badge de couleur pour forcer ses compatriotes à se faire vacciner.

Alors que les boutiques sont accessibles à tous, les accès aux salles de sport ou encore aux salles de spectacles seront limités aux personnes ayant un « pass vert » (un passeport vaccinal), un sésame délivré par une application, destiné aux personnes ayant reçu les deux doses du vaccin. Disponible dès le 23 février, ce passeport vaccinal permettra aussi les voyages vers Chypre, à la suite d’un accord entre les deux pays. La mise en place d’un droit de passage, et d’accès à certains services, lié à la vaccination est dénoncée par pas mal d’experts, qui y voient une atteinte dangereuse à la liberté.[4]

Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou plus souvent maintenant des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, voire pour les férus d’histoire plus jeunes (il en reste) l’obligation du port d’un badge de couleur (ouf ce n’est pas une étoile, ouf elle n’est pas jaune !) par un gouvernement juif est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable.

Elle rappelle l’avertissement de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans « la résistible ascension d’Arturo Ui » : « le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde » et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal :

« le mal ne réside pas dans l’extraordinaire, mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves. »

Espérons que la majorité de la population israélienne qui n’a probablement pas la mémoire courte saura RÉSISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

Les mesures dites sanitaires veulent tuer la démocratie.

La tentation totalitaire, particulièrement frappante au pays des survivants de la Shoah, est bien évidemment mondiale dans le cadre de la prise en main en cours de la population mondiale par la clique de Davos et l’application du plan explicité clairement dans le livre de Klaus Schwab sur covid19 et Grand Reset, paru en juillet 2020, impossible à traiter de complotiste.

Ainsi de nombreux gouvernements, dont le nôtre, essaient de faire croire à la population fragilisée par la sidération liée à la grande mascarade Covid, que le passeport vaccinal nous libérera des chaînes qu’ils nous ont imposées et qu’ils resserrent chaque jour, alors que l’épidémie disparaît partout et complètement indépendamment des mesures liberticides présentes ou pas.

Comme depuis des millénaires, les virus vivent leur vie et les épidémies finissent assez brutalement comme celles du MERS et du SRAS pour les deux cousins de notre Covid19, n’ayant pas laissé aux labos le temps de trouver et imposer un vaccin rentable.

Manifestement suffisamment de données permettent d’affirmer que le vaccin ne protège pas de la contagion, ni les vaccinés, ni les autres, et nos dirigeants avouent d’ailleurs qu’ils poursuivront port du masque et distanciation, chez les vaccinés et les autres (Véran il y a peu de jours, y compris dans les EHPADs si quelques pensionnaires ne sont pas vaccinés !).

Le passeport ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire (et l’accepter ne représente qu’un signe de soumission) dont le but est une société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels nourris à la coopération franco-chinoise, comme les Veran, et bien d’autres reconnus comme « Young leaders franco-chinois. Mais si ce modèle leur convient, qu’en pensera la société française une fois réveillée de son cauchemar covidien ? Les camps, passeport vaccinal, isolement autoritaire que nous préparent les médias seront-ils acceptés sans bruit et sans violence ?

Pour terminer, méditons la tirade du secrétaire général de l’ONU le 22 FÉVR. qui fut diffusée à juste titre sur les réseaux sociaux (mais si peu relayée à la TV) :

“Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG.

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU
Conseil des droits de l’homme du 22 février 2021
Source : Site de l’ONU

Le chef de l’Organisation des Nations Unies ajoute, notamment :

“Des défenseurs des droits humains, des journalistes, des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures — ou le manque de mesures — prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques.”

Devrons-nous regagner dans la rue nos libertés ignoblement confisquées ?


Notes

[1] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021

[2] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Laetitia. Atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021
Published Online February 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0

[3] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021 ; 372 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.n314

[4] Passeport vaccinal sur TV liberté
https://www.youtube.com/watch?v=DzZTsBbwpo0




Pour en finir avec le National Economic Security and Recovery Act (NESARA) qui conduit les gens à accepter docilement la Grande Réinitialisation

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Il y a très longtemps que j’y songeais et j’ai maintenant décidé d’écrire un article pour en finir avec l’arnaque du « National Economic Security and Recovery Act » (NESARA) qui conduit les gens non avertis à accepter docilement le plan des globalistes de la Grande Réinitialisation (Great Reset). Cet ensemble de propositions de réformes économiques préparées entre 1980 et 1990 par Harvey Francis Barnard partaient d’une bonne intention. Par contre, elles ont vite été récupérées par des gens sans scrupules, — reliés au mouvement New Age —, afin de tromper le monde et l’amener à croire en une réforme bienfaitrice pour l’humanité. En fait, elle amène les gens à faire confiance et à adopter aveuglément le remise à zéro promue par les élitistes du Forum économique mondial (FEM).

C’est pour cette raison que j’en ai assez de ces gens qui manipulent leur auditoire en propageant des mensonges ou des demi-vérités. Ici, l’ignorance n’est pas une excuse puisque lorsqu’on ne maîtrise pas son sujet, on ne peut prétendre l’enseigner aux autres. Je prends pour exemple les frères jumeaux Daniel et Eric Tadros qui partagent la plupart du temps des informations biaisées et souvent erronées. Cela ne les empêchent nullement de quémander de multiples dons comme pour les récompenser de leur paresse intellectuelle. Il faut souligner que les personnes qui promeuvent d’une façon ou d’une autre le projet NESARA – en fait – font le jeu d’une fraude financière reconnue depuis longtemps.

Le « National Economic Security and Recovery Act » (NESARA) est désormais utilisé à des fins d’opération psychologique et vise à faire adopter la Grande Réinitialisation (Great Reset) de Klaus Schwab. Le 11 Novembre 2016, la socialiste danoise Ida Auken écrivait sur le site internet du FEM :

« Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun appareil ni aucun vêtement. (…) Tout ce que vous considérez comme un produit est maintenant devenu un service. »


National Economic Security and Recovery Act (NESARA)

Dr Harvey Francis Barnard

Le « National Economic Security and Recovery Act » (NESARA) était un ensemble de propositions de réformes économiques pour les États-Unis suggérées au cours des années 1990 par le Dr Harvey Francis Barnard. Barnard a affirmé que les propositions, qui comprenaient le remplacement de l’impôt sur le revenu par une taxe de vente nationale, la suppression des intérêts composés sur les prêts garantis et le retour à une monnaie bimétallique, entraîneraient une inflation de 0% et une économie plus stable. Les propositions n’ont jamais été présentées au Congrès.

NESARA est depuis devenu plus connu comme le sujet d’une théorie de type sectaire promue par Shaini Candace Goodwin, également connue sous le nom de “Colombe de l’Unité” (Dove of Oneness), qui a affirmé que la loi avait en fait été adoptée avec des dispositions supplémentaires telles que la Loi sur la sécurité économique nationale et la réforme, puis réprimé par l’administration George W. Bush et la Cour suprême. Les courriels de conspiration de Goodwin ont été traduits en plusieurs langues et ont un grand nombre de fans en ligne.

Harvey Francis Barnard est né le 22 septembre 1941. Il est retourné dans la région de Baton Rouge, en Louisiane, après une absence de 20 ans en tant que conseiller pédagogique auprès de l’industrie de l’énergie dans des villes à travers les États-Unis. Il a appliqué son doctorat en théorie des systèmes à l’économie dans son livre publié, « Draining the Swamp ». Il a proposé des modifications du système monétaire et fiscal pour favoriser l’accession à la propriété et l’équité pour les contribuables. Il a succombé à une insuffisance cardiaque le mercredi 18 mai 2005 dans un hôpital local.

Nous pouvons lire sur le site Web de Signature Book Printing, Inc. : « Le Dr Harvey F. Barnard écrit sur l’argent mais n’est pas un économiste, sur la banque mais n’est pas un banquier, sur le droit mais n’est pas un avocat, sur la morale mais n’est pas un ministre, sur l’histoire mais n’est pas un historien, sur la société mais n’est pas sociologue, et sur la politique mais n’est pas un politicien. Il a commencé sa carrière en tant que dépanneur de systèmes, la personne que vous appelez pour « réparer » quand il est en panne. Au cours des trente dernières années, il a travaillé en tant que consultant technique enseignant des techniques de dépannage de grands systèmes à une variété de clients. Sa recherche d’une cause profonde et des solutions aux problèmes américains a commencé à la fin des années 60. »


National Economic Security and Recovery Act (NESARA) from Éditions Dédicaces

Proposition de réforme monétaire

Harvey F. Barnard, diplômé de la Louisiana State University en philosophie des systèmes et consultant et enseignant en ingénierie, a créé la proposition NESARA à la fin des années 1980 et au début des années 1990. Il a imprimé 1000 copies de sa proposition, intitulée « Draining the Swamp: Monetary and Fiscal Policy Reform » (1996) et a envoyé des copies aux membres du Congrès, croyant qu’elle passerait rapidement sur ses mérites.

Basé sur une théorie selon laquelle la dette est le premier facteur économique inhibant la croissance de l’économie, et l’intérêt composé le « mal moral » numéro un et la raison de la dette, Barnard a fait plusieurs autres tentatives au cours des années 1990 pour attirer l’attention politique sur les problèmes qu’il voyait dans l’économie américaine, et sa proposition de reprise économique basée sur les causes profondes qu’il a déterminées. Après que ceux-ci n’aient pas abouti, il a décidé en 2000 de libérer la proposition dans le domaine public et de la publier sur Internet.

Barnard a créé l’Institut NESARA en 2001 et a publié la deuxième édition de son livre en 2005, sous le titre « Draining the Swamp: Monetary and Fiscal Policy Reform ». Le 29 juillet 2002, on pouvait lire sur le site internet de NESARA : « Le projet de loi n’a pas été promulgué, n’a pas été présenté au Congrès et n’a pas encore reçu de numéro de suivi. Numéro de projet de loi : Aucun. Les membres du Congrès soutenant publiquement le projet de loi : Aucun. » Il est toujours possible de consulter le projet NESARA sur la plateforme d’archivage « Internet Archive ».

Shaini Goodwin, la Colombe de l’Unicité

Cadence «Shaini» Goodwin

Peu de temps après que Barnard a publié NESARA sur Internet, une femme connue sous le nom de “Dove of Uneness” (Colombe de l’Unicité) a commencé à publier à ce sujet sur des forums Internet. La “Colombe de l’Unité” a été plus tard identifiée comme étant Cadence «Shaini» Goodwin, une ancienne élève de la Ramtha’s School of Enlightenment (RSE), qualifiée dans les médias de “reine cyberculte”. Ramtha’s School of Enlightenment est une secte spirituelle américaine New Age près de la ville rurale de Yelm, à Washington.

L’école a été créée en 1988 par JZ Knight, qui prétend canaliser un être de 35000 ans appelé Ramtha l’Éclairé. Les enseignements de l’école sont basés sur ces sessions de canalisation.

Shaini Goodwin était une fille sombre et extravertie, originaire d’une petite ville de l’État de Washington. Quelques décennies plus tard, elle était une consultante en informatique divorcée et sans succès vivant avec sa mère dans sa maison mobile. Vers la fin des années 1990, elle a commencé à devenir active sur les forums de discussion en ligne de Omega Trust (probablement comme l’un des investisseurs prometteurs) sous le nom de Dove.

Lorsque Barnard a publié en ligne son texte NESARA au format PDF, il a été rapidement repris par Goodwin qui avait maintenant une nouvelle carotte à pendre devant les victimes de l’arnaque Omega, toujours pleines d’espoir. Goodwin a créé son propre logo et a lancé un site Web copieur, nesara.us, où elle a réinterprété la proposition de Barnard et ajouté des fonctionnalités toujours plus extravagantes et séduisantes telles qu’une nouvelle « monnaie arc-en-ciel » soutenue par des métaux précieux et affirmant qu’il y avait au moins 50 « programmes de prospérité » qui commenceraient à être distribués dès que la « loi secrète NESARA » serait officiellement annoncée. Plus la paix mondiale et l’énergie alternative gratuite.

Le faux logo NESARA par Dove of Oneness

Selon le site internet de Goodwin, le projet de loi NESARA a langui au Congrès avant d’être finalement adopté par une session secrète en mars 2000 et signé par le président Bill Clinton. On prétend que la nouvelle loi devait être appliquée à 10 heures du matin le 11 septembre 2001, mais que les ordinateurs et les données (des bénéficiaires des billions de dollars des « fonds de prospérité ») ont été détruits au deuxième étage d’un des tours du World Trade Center à New York pendant les attaques terroristes. Il semblerait qu’un ordre de bâillon antérieur émis par la Cour suprême avait interdit à toute source officielle ou privée d’en discuter, sous peine de mort.

Goodwin a fait référence aux « Chevaliers blancs », la plupart d’entre eux étant des hauts fonctionnaires militaires, qui luttent depuis pour faire appliquer la loi malgré l’opposition du président George W. Bush. Goodwin croyait et prétendait que Bush avait orchestré les attaques du 11 septembre et la guerre en Irak comme une distraction de NESARA. La description de Goodwin de NESARA va bien au-delà de la proposition de Barnard en annulant toutes les dettes personnelles, en supprimant l’Internal Revenue Service, en déclarant la paix mondiale et en exigeant de nouvelles élections présidentielles et au Congrès. Goodwin a souvent affirmé que les fonctionnaires de Bush tentaient de pirater et de faire tomber son site Web pour l’empêcher de publier la loi.

Harvey Francis Barnard a pris connaissance de la description de Goodwin de NESARA avant sa mort en 2005. Il a nié que NESARA avait été promulguée dans la loi ou même assigné un numéro de projet de loi, et a condamné les allégations de Goodwin comme une campagne de désinformation. Le site Web de l’Institut NESARA, nesara.org, a publié une déclaration essayant de corriger les distorsions de son texte par la secte NESARA, et même l’acronyme original. Goodwin, pour sa part, a rejetté l’Institut NESARA comme une couverture de désinformation pour la famille Bush.

Goodwin a commencé à commenter NESARA en relation avec Omega Trust, un stratagème d’investissement frauduleux dont le créateur, Clyde Hood, était alors jugé. Selon Goodwin, les investisseurs d’Omega Trust recevraient leurs rendements après l’annonce de NESARA. Goodwin a prédit à plusieurs reprises que l’annonce NESARA se produirait dans un avenir très proche, bien que dans les années plus tard, elle soit devenue plus réservée dans ces prédictions.



Les autres développements

Après que Goodwin a commencé à commenter NESARA, d’autres théoriciens de la conspiration basés sur Internet s’y sont accrochés. Un partisan, Sheldan Nidle, lie l’annonce imminente de NESARA dans sa prophétie vieille de plusieurs années d’une visite imminente d’OVNI à grande échelle par des extraterrestres bienveillants (occasionnellement sur son site Web, mais plus en évidence dans ses vidéos, séminaires et apparitions publiques). Jennifer Lee, qui avait l’habitude de publier des rapports de situation sur Internet NESARA presque quotidiennement sur son site maintenant disparu, a discuté d’une foule d’êtres d’un autre monde et « interdimensionnels » qui aident dans les coulisses à faire annoncer NESARA. L’évangéliste Internet Sherry Shriner, qui exploite de nombreux sites Web, considère NESARA comme lié à des extraterrestres reptiloïdes malveillants qui, selon elle, contrôlent depuis longtemps le gouvernement américain.

Les groupes NESARA sont connus à coup sûr pour exister et pour avoir attiré l’attention de la presse en Utah et aux Pays-Bas. Les membres de ces groupes se réunissent pour discuter du statut de NESARA, lire les divers rapports, organiser des manifestations et distribuer des dépliants sur NESARA au public. Goodwin affirmait que les groupes NESARA existent dans plusieurs pays et États américains, y compris la Californie, Washington, l’Arizona et le Texas, et fournit des centaines de preuves photographiques de personnes participant à des manifestations publiques tenant des bannières NESARA, mais il n’est pas clair dans quelle mesure les personnes qui tiennent les banderoles savent ce qu’est NESARA, ni pendant combien de temps ces groupes sont actifs. Le News Tribune a retracé l’histoire derrière au moins certaines de ces photos (photos de camions circulant dans Washington, DC portant les mots “NESARA Announcement Now!”), et a constaté qu’elles faisaient partie d’une campagne publicitaire de 40 000 $ qui aurait été payée par un un résident âgé de San Francisco qui avait fait des dons à Goodwin.

Critique et comparaison à une secte

Le « Maître Ascensionné » Saint-Germain

Les critiques considèrent NESARA comme une secte. Soulignant le fait que Goodwin, Lee et Nidle sollicitaient fréquemment des dons de leurs lecteurs, ils accusent ces dirigeants d’être principalement intéressés à assurer un flux régulier de revenus pour eux-mêmes. Goodwin, qui a également demandé aux lecteurs de faire don de leurs miles de fidélisation, a affirmé qu’elle avait besoin et avait utilisé les fonds pour se rendre dans divers endroits à travers le monde afin de rencontrer secrètement des hauts fonctionnaires du gouvernement au sujet de l’annonce de NESARA.

Certains partisans de NESARA affirment également que des êtres d’un autre monde travaillent pour faire annoncer NESARA. Ceux-ci incluent un être cosmique « canalisé » appelé « Hatonn » (un androïde Pléiadien), et un autre nommé Sananda. Selon certains partisans des enseignements des maîtres ascensionnés, tels que Joshua David Stone, Sheldan Nidle et Luis Prada, Sananda est le “nom galactique” du Maître Ascensionné Jésus, qu’il utilise dans son rôle de commandant en chef du commandement Ashtar, flotte de soucoupes volantes.

Pallas Athena est considéré comme le vice-commandant de la flotte de soucoupes. Ashtar (Ashtar Sheran) est considéré dans ces enseignements comme étant le troisième commandant. La désignation de George W. Bush comme reptilien déguisé coïncide souvent avec cette affirmation. Goodwin a affirmé que le Maître Ascensionné Saint-Germain est descendu du plan éthérique pour rencontrer physiquement les chefs de banques et les dirigeants mondiaux concernant l’annonce de NESARA.

La proéminence de la prophétie ratée apporte également un soutien à la théorie du culte. Les partisans de NESARA disent souvent à leurs lecteurs que l’annonce de NESARA va avoir lieu dans quelques jours. Ces affirmations ont été faites trop souvent pour être énumérées, sans jamais aboutir. Selon le documentaire Waiting For NESARA, il a également été affirmé avant mars 2003 que George Bush planifiait la guerre avec l’Irak dans le seul but de retarder l’annonce de NESARA. Il a été prophétisé que les êtres spirituels et les OVNIS interviendraient avec les plans de Bush et empêcheraient la guerre.

Une plainte déposée en juin 2006 auprès de la division de protection des consommateurs de Washington a accusé Goodwin d’avoir utilisé l’histoire de NESARA pour escroquer au moins 10 000 dollars une femme de 64 ans à San Francisco. La fille de la femme a déclaré que le montant réel était beaucoup plus élevé, des centaines de milliers de dollars. (The News Tribune, 18 juin 2006)


NESARA : Drain the Swamp (Free book) ; Global Currency Reset from The Free School

À propos de Clyde D. Hood et Omega Trust

La fraude financière de Clyde D. Hood (The Free Lance-Star, 31 août 2000)

Clyde D. Hood est un ancien électricien de Mattoon, dans l’Illinois. En 1994, Hood a formé Omega Trust and Trading Limited et a commencé à donner des conférences aux groupes religieux. Il a dit que le Seigneur lui avait donné une mission. Il a affirmé qu’il était l’un des négociants internationaux qui pouvaient conclure des transactions secrètes de plusieurs millions de dollars au profit de programmes humanitaires par le biais de débentures et de « billets de banque de premier ordre » dans des banques étrangères. Hood a demandé un investissement de 100 $ et a promis un versement de 5 100 $ dans les 275 jours. Il voulait que l’argent livré soit emballé dans du papier d’aluminium et via Federal Express parce que le gouvernement fédéral américain tentait de bloquer les échanges via le service postal des États-Unis. Par conséquent, le schéma doit rester secret. Des milliers de personnes des États-Unis et de l’étranger ont envoyé de l’argent.

Le programme a cessé d’accepter de nouveaux investisseurs en 1995. À ce moment-là, Hood avait reçu plus de 10 millions de dollars. Il a commencé à présenter un certain nombre d’excuses expliquant pourquoi les investisseurs n’avaient pas été payés, accusant les coûts administratifs, les problèmes avec les banques étrangères et les conflits financiers internationaux. Alors que certaines personnes voulaient encore se joindre au programme, Hood et ses complices ont affirmé qu’ils pouvaient vendre des unités d’actions de personnes qui avaient voulu quitter le programme. Le montant total estimé était de 20 millions de dollars.

En outre, Hood a commencé de nouveaux plans d’investissement nommés Alpha et Destiny et a obtenu plus d’argent de ceux qui avaient investi dans Omega. Avec l’argent, Hood et ses associés ont acheté des terrains et des entreprises à Mattoon, ont accordé des prêts sans intérêt et ont fait des voyages en Europe. Une partie de l’argent a également servi à financer les activités d’autres associés de Hood comme l’entrepreneur en construction Chris Engel.

Engel a coopéré plus tard avec la police et les a laissés enregistrer une conversation téléphonique avec Hood. L’avocat de Hood Steve Ryan a également été retiré de l’affaire par la suite lorsqu’il a été assigné à comparaître en tant que témoin et pour une éventuelle collusion.

Clyde Hood et ses 18 associés ont été inculpés en 2000. Certains d’entre eux ont plaidé coupable ou ont été reconnus coupables de multiples chefs d’accusation de fraude, de fraude postale, de blanchiment d’argent et de dépôt d’une fausse déclaration de revenus (voir 26 U.S.C. § 7206). Le 10 avril 2001, Hood a plaidé coupable de complot de fraude postale ou électronique, de complot de blanchiment d’argent et de production d’une fausse déclaration de revenus.

Le 24 janvier 2002, Hood a été condamné à 14 ans de prison et à une amende de 5 000 $. Cinq de ses associés ont été reconnus coupables de participation active au programme et condamnés à restituer. Treize associés ont été reconnus coupables de blanchiment d’argent. Trois cent cinquante-cinq victimes ont reçu une restitution des fonds confisqués par Omega Trust pour un montant total de 1 697 310,00 $.

L’Omega Trust existe toujours sur Internet en tant que prétendu programme mondial de lutte contre la pauvreté (NESARA). Hood a été emprisonné au « Federal Medical Center Devens », au nord de Worcester, Massachusetts, et devait être libéré en novembre 2012, mais il est décédé plus tôt la même année à l’âge de 78 ans. (Journal Gazette & Times-Courier, 27 juillet 2012)

Entrevue de Shaini Goodwin qui parle de toutes les choses fantastiques sur NESARA et ses vaillants chevaliers blancs.

Les différentes versions d’« OMEGA » et de « NESARA »

Inger G. Nordangård écrit sur le site internet suédois Pharos : « En août 2000, alors que Hood était à court d’excuses pour le non-retour des fonds investis et était poursuivi en justice, Dove s’est présentée comme la nouvelle cheffe. Elle a simplement pris le contrôle des nombreux abonnés de Hood, qui ont refusé de croire qu’ils avaient été arnaqués. Dès le lendemain, elle a commencé à inventer des histoires pour calmer la foule et garder leur espoir vivant. L’arrestation n’était qu’un “complot” contre Hood pour “arrêter les paiements” et les accusations seraient bientôt abandonnées. » Shaini Goodwin a vivement averti les membres qui feraient des recherches d’informations sur l’affaire :

« Restez à l’écart des site Web qui contiennet des informations sur cette affaire !!! », a-t-elle écrit. « Vous serez suivi si vous accédez à ces sites Web. Et évitez absolument de remplir des plaintes – vous pourriez perdre votre financement si vous faites cela! »

Le site internet “Un souffle de la vie” conclut ainsi : « À côté des arguments de base de la fraude — argent facile et rapide, mettre à la portée de tout à chacun une spéculation réservée à une élite — Dove a animé une histoire dans l’histoire en plaçant le produit “OMEGA” au cœur d’une intrigue. Le produit “OMEGA” est devenu un maillon parmi une cinquantaine de “Programmes de prospérité”. Des programmes qui devaient financer de vastes projets “humanitaires”. Des sommes de plusieurs “milliards de dollars” pour initier un “nouveau paradigme”. L’intrigue prît encore plus d’ampleur lorsque le déblocage des gains générés devait être conditionné à l’annonce publique d’un projet “NESARA” qui réformerait le système bancaire fiscal au niveau mondial. »

Vous connaissez maintenant la véritable histoire de l’arnaque actuelle de NESARA.



Quand les restaurateurs vont-ils enfin comprendre le sort qui les attend ?

Par Jean-Michel Grau

La décision prise par le gouvernement de plus que doubler l’amende aux restaurateurs qui tentent de rouvrir, la faisant passer de 200 à 500 euros, devrait définitivement leur ouvrir les yeux sur le sort qui les attend. (1)

Doit-on leur rappeler ici que dans le Grand Reset décrit en détail dans le livre de Klaus Schwab, le président fondateur du Forum de Davos, que notre gouvernement suit aveuglément, il est spécifiquement écrit que les restaurants indépendants ne rouvriront jamais ? (2)

Les restaurants toujours ouverts à Madrid et à Monaco sont la preuve vivante que cette soi-disant pandémie instrumentalisée par les mondialistes est une gigantesque arnaque.

Quel est ce virus qui choisit de sévir avec tous ses variants à Nice, ville déjà programmée pour un troisième confinement, mais pas dans sa voisine monégasque, car la législation n’est pas la même ? (3) Sans parler des heures de couvre-feu qui varient d’un pays à l’autre. Toujours ces fameux variants, qui ne doivent pas se coucher à la même heure probablement…

Ce Covid 19 fait en réalité partie du grand plan de spoliation et de dépossession des classes moyennes par l’oligarchie financière mondialiste afin d’asseoir définitivement son pouvoir sur les peuples et avant tout, de récupérer la mise de ses actions perdues dans le grand krach boursier qui va advenir incessamment sous peu. Pour cela, elle pratique la politique de la carotte et du bâton, via l’Union européenne et ses gouvernements serviles, en donnant des subventions dans un premier temps afin d’endormir la méfiance, puis en spoliant et dépossédant ensuite très rapidement tous les indépendants qu’elle aura acculés à la faillite et à la ruine en fermant leurs activités, pour racheter leur bien pour un euro symbolique. C’est ce qui se passe déjà aux États-Unis dans l’État de l’Oregon(4) qui a pour objet de servir de terrain d’essai avant de passer aux choses sérieuses avec la mise en œuvre de la spoliation généralisée de tous les indépendants de l’Union européenne, des USA et du Canada, ruinés après le krach boursier qui s’annonce. (5)

Le but de cette gigantesque prise d’otage des peuples occidentaux au moyen du Covid 19, alimentée par la peur H24 par tous les médias à la botte de l’oligarchie financière, est de faire passer cette supercherie pour une grande œuvre humanitaire pour le développement durable et la lutte contre le réchauffement climatique, afin d’inciter les futurs spoliés à s’exclamer béatement :

« Je ne possède plus rien et je suis heureux. » comme dans la propagande du Forum de Davos. (6)

Traduction avec un cerveau qui fonctionne : « Je suis bien content d’être devenu un esclave. »

Malgré le chantage de l’État aux aides financières et la répression des contrevenants, il existe encore un dernier moyen pour les restaurateurs de résister pacifiquement avant la faillite.

Il s’agit d’appuyer massivement la proposition des 65 sénateurs qui demandent la réouverture des restaurants le midi.(7) (8) (9) (10) (11) On peut comprendre qu’ils aient mauvaise conscience, vu que leur restaurant 5 étoiles du sénat n’a jamais fermé, pas plus que celui de l’assemblée.

Il est quand même consternant que des sénateurs en soient réduits à quémander l’autorisation de la réouverture des restaurants à un jeune paltoquet de 43 ans qui pense et décide tout seul à leur place, alors que dans toute démocratie qui se respecte, c’est justement l’assemblée et le sénat qui devraient voter la réouverture. Mais comme l’assume dorénavant notre exécutant servile du programme de Davos, nous vivons bien en dictature (12). Pour preuve, l’état d’urgence sanitaire reconduit jusqu’au mois de juin qui lui donne les pleins pouvoirs, lui permet de se passer de l’avis de l’assemblée, du sénat, du conseil d’état, et même du Conseil constitutionnel ! Covid 19 oblige.

Il est décidément très pratique ce virus, puisqu’il permet de prolonger indéfiniment cet état d’urgence sanitaire, en tout cas, au moins jusqu’aux élections présidentielles. Ainsi pourra-t-on rétablir le vote par correspondance aboli en 1975 pour cause de fraudes, et généraliser le vote électronique avec les machines à voter comme aux USA. Le résultat est bien évidemment déjà écrit d’avance : il n’y a plus qu’à faire un copié-collé de l’élection américaine, dont la fraude massive a si bien marché, et le tour est joué ! Elle est pas belle la vie ?


Notes

(1) francais.rt.com/france/84056-restaurants-gouvernement-augmente-fortement-amende- reouverture-clandestine

(2) Klaus Schwab, Covid 19 : la grande réinitialisation, Forum publishing

(3) capital.fr/economie-politique/les-touristes-francais-se-ruent-a-madrid-ou-les-bars-et-restaurants- sont-ouverts-1393438

(4) translate.google.com/translate?sl=en&tl=fr&u=https://rfangle.com/politics/oregon-considering- bill-for-emergency-seizure-of-private-property/?fbclid %3DIwAR3iEzw607fhzZcPW7MSsRY6M3yYxt8o0-2LkL8U7WWmLHdA1oZSUpuxa44

(5) fr.sott.net/article/36297-Le-projet-diabolique-du-Forum-economique-mondial-Reinitialiser-le- futur-du-monde-du-travail

(6) nouveau-monde.ca/fr/dici-2030-nous-naurons-rien-et-nous-en-serons-heureux/

(7) francais.rt.com/france/84059-65-senateurs-ecrivent-macron-pour-demander-reouverture-restaurants-midi

(8) twitter.com/PALevisenat/status/1362462672185344001/photo/1

(9) twitter.com/PALevisenat/status/1362462672185344001/photo/2

(10) twitter.com/PALevisenat/status/1362462672185344001/photo/3

(11) twitter.com/PALevisenat/status/1362462672185344001/photo/4

(12) reseauinternational.net/macron-annonce-que-nous-vivons-bien-sous-une-dictature/




Le Grand Reset, un pacte suicidaire

[Source : Le Saker Francophone]

Par Dmitry Orlov – Le 8 février 2021 – Source Club Orlov

[NdNM : Dmitry Orlov est doué d’un type d’humour, éventuellement noir, plus ou moins sarcastique et particulièrement drôle pour ceux qui y sont sensibles.]

La récente rencontre virtuelle des plus riches du monde à Davos a fait beaucoup de bruit. En prélude à cette rencontre, l’éternel coureur des jupons ploutocratiques, Klaus Schwab a publié un très court livre sur ce qu’il appelle le « Grand Reset ». Il a donné naissance à des slogans accrocheurs tels que « Tu ne posséderas rien… et tu en seras heureux. » L’une des personnes invitées à prendre la parole lors de cette réunion était Vladimir Poutine. Ce qu’il a dit a mis ces gens en état de choc. « Mais qu’en est-il de l’Europe ? ! » s’est mis à crier Schwab dès que Poutine eut fini de parler. « M. Poutine, la Russie sauvera-t-elle l’Europe ? ! » « Peut-être », dit Poutine. Parmi les dignitaires réunis, 80 d’entre eux se sont immédiatement inscrits à une conférence privée avec Poutine, cherchant comment être parmi les invités. Après avoir pris tout cela en considération et l’avoir laissé mijoter dans ma tête pendant quelques semaines, je crois que je comprends maintenant ce qu’est le « Grand Reset » : c’est un pacte pour un suicide de l’oligarchie. Permettez-moi de vous expliquer…

Dans son disours, Poutine a exposé quelques nouvelles idées audacieuses. Je ne sais pas si Schwab a compris que Poutine lui a dit très poliment d’aller au coin et de sucer son pouce, mais en tant qu’homme à idées, Schwab est un désastre. Sa pensée est un mélange de platitudes pompeuses, de vœux pieux et d’incessantes contradictions, le tout servi par une ferveur révolutionnaire sénile digne de Léon Trotsky qui, à 141 ans maintenant, serait en effet assez sénile. Les dirigeants occidentaux semblent avoir accepté le concept du « Grand Reset » de Schwab et abusent d’un autre slogan accrocheur : « Reconstruire en mieux ! »

Schwab pense que le coronavirus offre une grande opportunité pour son « Grand Reset ». En effet, cet horrible fléau a déjà tué plus d’un tiers de la population mondiale et le monde ne sera plus jamais le même. Oh, attendez, c’est à la Grande Peste que je pensais, pas au « Grand Reset » – je confonds toujours les deux…

D’après les derniers chiffres officiels, le coronavirus n’a tué que 0,02821% de la population mondiale, dont 73,6% de retraités, la plupart des autres étant déjà gravement malades. Beaucoup d’entre eux sont en fait morts du rhume ou de la grippe ou d’une infection bactérienne ou fongique et n’ont été testés positifs au coronavirus que par un test PCR, toujours aussi peu fiable, mais nous ne saurons jamais combien. Le coronavirus a tué un nombre d’enfants qui apparaît à peine dans l’épaisseur du trait et moins de 0,001% de personnes en bonne santé dans leurs années de vie active (18 à 45 ans). Cela représente moins d’une personne sur un million.

Le nombre de décès dus à l’introduction d’objets étrangers dangereux, tels que des ampoules électriques, dans l’anus est nettement inférieur, même si l’on peut se demander dans quelle mesure. Dans cette optique – jeu de mot assumé – la position du gouverneur de New York , selon laquelle « aucune mesure, aussi draconienne soit-elle, ne peut être considérée comme imprudente si elle sauve ne serait-ce qu’une seule vie », incite à interdire toutes les ampoules et à rester assis dans le noir en toute sécurité. La sécurité parfaite est impossible et si c’était le cas, ce serait une mauvaise idée : nous serions dans le collimateur pour être lauréat du prix Darwin. La sécurité parfaite ne devrait pas exister. Les idiots sont produits naturellement et nous rendent tous un grand service en mourant le plus tôt possible.

Une autre chose qui ne devrait pas exister est le SARS-COV-2 de la Covid-19. Comme vous l’avez peut-être déjà supposé, il s’agit d’un coronavirus. Les coronavirus sont très communs dans toutes sortes d’espèces ; il y en a au moins une douzaine chez l’homme qui ne provoquent pas de maladie particulièrement grave. Un fait communément admis concernant les coronavirus – et la plupart des autres virus, à l’exception spécifique du lyssavirus qui provoque la rage – est qu’ils sont spécifiques à une espèce. Il existe un coronavirus pour chien qui leur donne la diarrhée, un coronavirus pour chat qui les tue, et aucune proximité de chats, de chiens et d’humains au cours de milliers d’années n’a fait sauter ces coronavirus d’une espèce à l’autre.

Et puis on s’attend à ce que nous croyions qu’un virus de chauve-souris a sauté sur l’homme. L’analyse du génome du virus a montré qu’il a simultanément emprunté une protéine de pointe à un coronavirus humain lui permettant de pénétrer dans les cellules humaines et le mécanisme de réplication du VIH – qui cause le sida – lui permettant de se répliquer dans les cellules humaines. Bien sûr, tout est possible, mais ce qui est plus probable, c’est que quelqu’un a fabriqué ce virus.

Est-ce que ce genre de choses arrive ? On pourrait penser qu’une personne qui veut rendre les virus plus mortels a sa place dans une camisole de force dans une cellule capitonnée, mais apparemment certains d’entre eux se sont échappés et sont allés travailler pour le gouvernement américain. Selon la revue Nature« les chercheurs qui étudient les virus en laboratoire les rendent parfois délibérément plus dangereux pour aider à préparer de meilleures réponses aux épidémies qui pourraient survenir naturellement. » Et parfois, ce qui se passe dans le laboratoire ne reste pas dans celui-ci.

Non seulement ce virus est susceptible d’avoir été concocté en laboratoire, mais il semble qu’il ait été concocté de manière incompétente. C’est un virus minable qui ne se réplique pas bien : au lieu de fabriquer des particules virales fonctionnelles et bien formées, il fabrique toutes sortes de déchets moléculaires qui provoquent ensuite de graves réactions allergiques. Vous avez probablement entendu parler des tempêtes de cytokines ? La libération de cytokines est essentielle à presque tous les stades de la réponse immunitaire aux allergènes. Les enfants sont immunisés grâce à un organe appelé thymus qui est « le plus grand et le plus actif pendant les périodes néonatale et préadolescente ».

Là encore, tout est possible, mais certaines choses sont plus probables que d’autres. Un coronavirus passant spontanément de la chauve-souris à l’homme est extrêmement improbable. Un projet de recherche financé par le gouvernement américain, super effrayant et maléfique, qui tournerait horriblement mal semble non seulement beaucoup plus probable, mais il a aussi une certaine dose d’inévitabilité. Étant donné la dégradation actuelle des États-Unis, à ce stade, presque tout ce que font les États-Unis tend à se transformer en boomerang. Jusqu’à présent, il y a eu 2,31 millions de décès dus au coronavirus dans le monde et 463 000 aux États-Unis, ce qui est huit fois pire par habitant que la moyenne du reste du monde. Bien joué, les intrépides fabricants de boomerangs de gain de fonction, financés par le gouvernement américain !

Ce qui est un désastre pour la plupart est une opportunité pour quelques-uns, et Klaus Schwab, pour sa part, semble penser que si la vie vous donne une boîte de boomerangs, alors vous devriez vous dépêcher de les utiliser pour vous assommer. Le point de vue de Schwab est que nous n’aurons pas le coronavirus pour toujours, donc nous devrions vraiment nous dépêcher avec le « Grand Reset » ou nous allons manquer la chance de nous tenir tous par la main et de sauter par ce qu’il appelle « la fenêtre d’opportunité » et le monde ne sera plus jamais, le même parce que vous ne pouvez pas vous baigner deux fois dans la même eau d’une rivière, ou inventer votre propre idée stupide car je ne me soucie pas beaucoup de ces absurdités. Schwab ressemble vraiment à une caricature pour le dysfonctionnement cognitif occidental, alors laissons-le dans son coin à sniffer de la colle et retournons à Poutine.

Poutine a dit que le système libéral occidental est mort et que la Russie ne plongera pas dans ces absurdités de « Grand Reset ». Au lieu de cela, il a exposé ses propres principes pour ce qu’on appelle en Russie « l’État social » : un État qui fonctionne bien et qui sert les intérêts de ses citoyens. L’Occident peut suivre ce programme ou non. Mais si ce n’est pas le cas, un désastre humanitaire de l’ampleur de la Seconde Guerre mondiale semble très probable. Vous pouvez lire l’intégralité de son discours sur le site du Kremlin. Vous pouvez également comparer son discours à celui du Chinois Xi. Xi n’a pas non plus gobé ces absurdités de « Grand Reset », et son grand plan semble étrangement bien harmonisé avec celui de Poutine.

La bonne façon de faire avancer le monde est un sujet énorme que je réserve pour un autre jour. Ici, je veux juste répondre à la question « Qu’est-ce que le « Grand Reset », vraiment ? » Réinitialiser quelque chose, c’est le remettre dans son état initial. Quel était l’état initial de votre compte bancaire lorsque vous l’avez ouvert pour la première fois ? Zéro, exactement ! Et que contrôle un conclave des super-riches du monde ? Les finances, bien sûr ! Je pense qu’il serait plus juste de l’appeler la Grande Annulation. Mais comment les super-riches vont-ils déterminer qui sera annulé et qui ne le sera pas ?

Puisque les pauvres, par définition, n’ont rien à annuler et que la classe moyenne n’existe plus qu’en tant que dépositaire d’une dette qui s’annule progressivement, les super-riches n’ont qu’eux-même à annuler. Et comment, je vous prie, vont-ils décider qui sera annulé et qui ne le sera pas ? Lanceront-ils les dés ? Se livreront-ils à des duels ? Laisseront-ils un robot à base d’IA décider ? Toutes ces propositions semblent farfelues ; après tout, nous parlons des bâtards les plus avides du monde qui sont sur le point de tout perdre. Aimeriez-vous que tous vos comptes bancaires soient annulés alors que votre voisin est épargné ? Vous voyez ce que je veux dire ? Non, il n’y a qu’un seul moyen pour qu’ils acceptent tous de partir : sauter de la falaise tous ensemble, en se tenant la main. Dans ce contexte, « Reconstruire en mieux » est un rêve de vie après la mort : le vaisseau spatial de sauvetage d’un futur qui ne viendra jamais.

Ce qu’ils appellent le « Grand Reset » est un pacte suicidaire. S’ils se précipitent pour en finir alors que la pandémie de coronavirus, si mortelle soit-elle, fait toujours rage, c’est pour que leur suicide collectif paraisse moins ridicule. Après tout, si la fausse pandémie passe et que le système financier occidental n’implose qu’à ce moment-là, ce sera comme si tous les grands oligarques sortaient simultanément sur leurs balcons, dans leurs temples, installaient des peaux de bananes, soigneusement positionnées sur le parapet du balcon,  et dansaient de manière synchrone en tombant sur les piques des hallebardes décorant la clôture du lieu. La moitié de la planète verrait cela et mourrait aussi de … rire. La pire des morts est une mort ridicule, et l’effondrement financier de l’Occident doit donc se produire pour que l’on puisse dire que « le coronavirus l’a fait ! » de manière plausible comme excuse ; d’où la ruée.

Dmitry Orlov

Le livre de Dmitry Orlov est l’un des ouvrages fondateurs de cette nouvelle « discipline » que l’on nomme aujourd’hui : « collapsologie » c’est à-dire l’étude de l’effondrement des sociétés ou des civilisations.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Pourquoi une telle indifférence aux enfants, aux étudiants et aux vieillards ?

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte laïque]

Médias et réseaux sociaux : abordons les vrais sujets, cessons d’être le bon opposant qui se fait imposer son timing par le pouvoir !

« Imaginez un vaccin tellement sûr que vous devez être menacé pour le prendre, contre une maladie si mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l’avez ».

Professeur Denis Rancourt

Saint-Lô. Suspension de la vaccination Astra Zeneca : vingt soignants avec des effets secondaires (lamanchelibre.fr)

Voilà, le nouveau vaccin dont le ministre a fait la pub fait parler de lui et prive les services hospitaliers d’un quart de leur personnel pour syndrome grippal intense. Il semble que la durée d’immobilisation ne soit pas longue, mais néanmoins embarrassante pour les hôpitaux qui ont fait la pub à outrance de ce vaccin anticovid.

Vidéo Sandrine Sarroche “quand Véran dégrafa son corsage”

(20+) Facebook

Mise à l’écart des généralistes de terrain

Il est aberrant que les généralistes soient exclus du système de prise en charge et que les gens se fassent vacciner sans avoir été examinés par leur médecin généraliste qui connaît leurs antécédents et leurs éventuelles contre-indications, en particulier allergiques. Comme en 2008 avec les vaccinodromes de la grippe H1N1 qui restèrent vides, la volonté d’exclure les généralistes de la prise en charge des malades. Et pourtant, comme de nombreux médecins de terrain tentent de le dire en vidéos multiples, c’est bien le médecin de famille (notion que les médias décrédibilisent en permanence, mais ô combien fondamentale) qui est le pilier de la vraie médecine, celle d’Hippocrate, celle que la quatrième révolution industrielle veut  faire disparaître et remplacer par des robots.. Les vrais médecins rencontrent physiquement leurs patients, les examinent, les interrogent avant toute prescription médicale ; et en particulier celle d’un vaccin génique expérimental jamais utilisé auparavant et quasiment pas testé. C’est pourquoi l’injection par une infirmière ou un pharmacien n’est pas acceptable. Un vaccin est un médicament à risques de complications, comme les deux mois écoulés et les vaccinations à la chaîne le démontrent de façon spectaculaire.

Les soldes et les ruées vers les stocks de Nutella chez Lidl ou vaccin, même combat

Cet engouement pour le vaccin en général semble invraisemblable et ne cesse de surprendre. Il évoque les ruées de foules lors des ouvertures des soldes ou bien de promotion sur des baskets Nike ou des lots de Nutella. Pauvre France qui n’écoute pas les messages d’alerte donnés par les pro-vaccins covid eux-mêmes et sur lesquels les habitants se précipitent à l’aveugle. Même les médias racontent comment tel ou tel hôpital arrête ou suspend la campagne de vaccination, le temps que le personnel vacciné soit en état de se remette au travail. Quant aux morts multiples survenues dans des zones jusque-là quasiment indemnes de covid-19, comme Gibraltar ou Monaco, ils n’intéressent pas les médias ni les auditeurs bientôt cobayes eux-mêmes. Lorsque les mathématiques dites modernes ont détruit l’enseignement de la mathématique et de la logique, l’esprit critique a progressivement disparu, transformant des citoyens normaux en moutons avides de téléréalité et de biens de consommation comme le vaccin.

Nous ferions mieux d’évoquer la réforme indispensable et urgente de l’enseignement plutôt que de lire un xième article sur l’activité de l’hydroxychloroquine dont on sait depuis le début de l’histoire qu’elle marche. Et, si on veut en reparler, republier les courbes de survie des pays qui l’ont utilisée (ou des drogues du même type comme l’artémisine à Madagascar. Oui, on sait indubitablement que les traitements précoces fonctionnent et qu’ils sont de plus variés. L’objectif n’est plus de démontrer que la terre est ronde mais bien d’imposer aux gouvernants d’autoriser les docteurs à retrouver leur fidélité au serment d’Hippocrate bafoué.

Les traitements précoces marchent, cela est démontré depuis mars 2020. Les médecins sont interdits de pratiquer la médecine mais autorisés à euthanasier les patients suspects de covid-19 par deux décrets, celui de mars signé Véran et E. Philippe alors Premier ministre, et celui d’octobre par Véran. Le Conseil de l’Ordre poursuit les médecins qui soignent, et ce dans l’indifférence générale. Les écoliers sont gravement maltraités par le port du masque imposé à longueur de journée. Et le discours de panique raconté par leurs enseignants pour se justifier à eux-mêmes leur lâcheté de priver les petits et même très petits des visages de leurs nurses ou de leur institutrice.

Soulignons la maltraitance qui tue les vieux, mais, pire encore, condamne l’avenir des jeunes générations

C’est de ces conséquences dramatiques qu’il faut parler maintenant, afin que cesse la maltraitance imposée par les dirigeants, mais acceptée, voire soutenue, par les syndicats d’enseignants et supportée par les familles dans le confort de l’obéissance aveugle, plutôt que de la résistance à des mesures illogiques, indignes et sans justification médicale.

Les jeunes, de la crèche à l’université, abandonnés

Il faut dénoncer le port du masque et toutes les formes de confinement, supprimer toutes mesures liberticides et donc rouvrir TOUT dès demain.
Et qu’on ne me dise pas qu’ils ne peuvent pas savoir, et croient protéger leur prochain. Des dizaines d’articles internationaux ont exposé en clair l’inutilité du masque (et la seule étude prospective randomisée sur le sujet Danmasq19 réalisée par des partisans de cette obligation n’a pas pu en prouver l’efficacité). Et la toxicité constatée du port prolongé tant sur le plan physique que psychologique. Qu’on ne nous dise pas que les enseignants ou leurs parents ne sont pas capables de lire un article du réanimateur belge Pascal Sacré ou du professeur canadien Denis Rancourt qui, dès juillet, expliquaient clairement la mascarade.

À jouer sur les joutes pseudo-scientifiques, sur les essais ou leur absence sur chloroquine ou ivermectine, nous jouons dans leur camp, sur le terrain choisi par les autorités qui veulent cacher l’absence de conséquences de cette pseudo-pandémie dans les pays qui ont choisi de ne pas confiner et de ne pas écouter les ordres de l’OMS et du gouvernement mondial, plus ou moins en place de fait.

Les vieux des EHPAD abandonnés, condamnés par isolement et euthanasie si besoin, et cobayes des vaccins

Et qu’on ne me dise pas que les jeunes sont martyrisés pour protéger les vieux.  Ils sont sacrifiés sans raison sanitaire mais uniquement pour leur faire accepter la dictature et les vaccins. La moyenne d’âge des décès étant de 84 ans, il fallait tenter de masquer la réalité sordide : se débarrasser de quelques vieux (dont Attali répète depuis 20 ans qu’ils devraient se suicider quand ils ne sont plus utiles dès qu’ils sont à la retraite). L’eugéniste Laurent Alexandre répète à loisir et ouvertement qu’il faut utiliser les vieux comme cobayes puisque leur espérance de vie est faible.

La fermeture des bars est arrivée fin février alors que les manifestations contre la réforme des retraites se multipliaient avec moults drames – perte d’œil, etc. Le 29 février aurait dû rester dans les mémoires comme un jour noir. Le Parlement se réunissait pour parler des retraites et cela finit par l’état d’urgence et l’interdiction des manifestations. Oui, les Français ne voulaient pas être vendus à BlackRock et bien pas de problème, le virus servirait de leurre pour détruire la grande majorité des lois qui protégeaient les travailleurs et les aînés seraient maltraités.  Et ce fut fait dans le silence général des politiques de tous bords et des syndicats.

MALTRAITANCE DES AÎNÉS

Maltraitance par isolement, séparation des familles, interdiction des visites des bénévoles, bises à travers un plexiglas lors de la demi-heure parfois autorisée de visites sur ordre vague de confinement, dans l’application plus ou moins violente de directeurs d’ARS et/ou d’Ehpad qui auraient une certaine liberté d’adaptation des mesures carcérales de nos aînés venus finir leur vie dans un établissement convivial (pensaient-ils) de soins. Ils se sont retrouvés dans un univers carcéral, pas encore Guantanamo, mais on y vient avec punitions, rétorsions, si on n’accepte pas le fameux vaccin qui à 95 ans vous assurera un avenir riant des trente prochaines années.

 Raoult l’a dit très tôt ; ils sont devenus fous ! Mais l’étrange est la contagion de la folie plutôt que la révolte. Les nouveaux dictateurs mondiaux sont très forts et leur argument « les autres pays font pareil » est très efficace. On apprend d’ailleurs que des chercheurs anglo-saxons ont été rémunérés pour écrire des articles sur la Suède pour tenter de masquer que la vie normale sans confinement, sans fermeture des écoles ne constituait pas un danger puisque ce pays ne pleure pas plus de morts attribués au Covid-19 que nous.

De même, le gouvernement allemand a fait rédiger un rapport alarmiste par des complices du Robert Koch Institute de Berlin. Oui, l’OMS a proposé à Madagascar 20 millions de dollars pour mettre de petites doses de poison dans leur médicament efficace. Oui, l’OMS a voulu corrompre le Président de Biélorussie par des dizaines de millions de dollars pour instaurer le confinement de son peuple qu’il a heureusement refusé, etc. Toutes ces manipulations sont maintenant démontrées dans un silence encore général des médias mainstream où on tente de faire semblant d’être scientifiques pour démontrer l’efficacité des traitements précoces déjà bien établie, la nocivité des vaccins géniques déjà avérée, au lieu de faire éclater au grand jour les énormes manipulations organisées par les politiques afin de mettre en place leur quatrième révolution industrielle et effacer la civilisation occidentale et aussi de détruire les classes moyennes sur lesquelles repose la démocratie.

Il est temps d’oublier le virus, leurre du véritable objectif, et de bloquer le système destructeur avant qu’il ne soit trop tard.

NE NOUS LAISSONS PAS IMPOSER LES SUJETS PAR LES MÉDIAS

Il faudrait que les psychiatres expliquent quel dérèglement de l’esprit peut amener à vacciner des vieillards de 110 ou 115 ans qui ont résisté à tant de périodes difficiles comme les deux guerres mondiales. Quel est le but ? Les protéger d’un virus en voie de disparition, les faire servir de cobayes, mais il semble bien y avoir plus de volontaires que de vaccins ? Donc, discuter pendant des heures des vaccins, des morts, des effets secondaires et, comme pour la chloroquine ou l’ivermectine, oublier le bilan d’un an de manipulations et de destruction de la médecine, de l’enseignement universitaire, de destruction de 70 ans de protection sociale par les soins et les retraites, et donc de notre système de santé.

Oui les traitements précoces marchent, mais grâce à l’état d’urgence, à l’hystérie et au Plan Blanc, les cancers ne sont plus soignés et les lits d’hôpitaux continuent à fermer sans que la population ne se rebelle. Les ARS – dont la nocivité a été mise en évidence aux yeux de tous lors de cette crise – sont toujours en place avec les pleins pouvoirs pour imposer des tests PCR ou salivaires aux écoliers et fermer les écoles pour un test positif, dont l’OMS et les tribunaux ont déjà jugé l’incapacité à affirmer seuls que les « cas » sont malades ou contagieux. Mais cela, on n’en parle pas, on continue d’être un « bon opposant » discutant des sujets choisis par le pouvoir.

Reprenons la main et abordons les vrais problèmes que sont la fermeture des écoles et universités, les interdictions des visites en Ehpad ou à l’hôpital, le retard aux soins des malades urgents sous prétexte de test PCR positif. Claironnons le malheur des gens dont un proche meurt sans visite, d’accompagnement des dernières heures et même au cimetière.
L’indifférence aux appels de la comédienne Stéphanie Bataille pour l’autorisation des visites hospitalières (de quel droit divin les interdire), l’indifférence à tous les articles sur les souffrances des enfants masqués ou des vieux interdits de bisous doit cesser, si tant est que notre société veuille retrouver un peu d’humanité.

Cessons d’avoir peur d’une maladie qui n’est qu’une grippe sévère (comme l’a été la grippe asiatique de 1958-1959). Retrouvons notre humanité, notre joie de vivre, notre respect réel des vieux et notre plaisir de voir nos jeunes heureux de faire la fête et, à nouveau, de croire en leur avenir. Refusons le confinement et les couvre-feux totalement inutiles et parfaitement suicidaires. Exigeons le respect de nos droits fondamentaux et du premier d’entre eux, la Liberté.

À moins que la société projetée par Klaus Schwab, faite d’obéissance aveugle, ne plaise à la majorité d’entre nous…[1]

Tyrannie mortifère ou liberté, c’est l’heure du choix !

Nicole Delépine


Note

[1] Covid-19 : Un meurtre social qui en prépare un plus violent


[Voir aussi : «J’ai envie de mourir» le récit bouleversant d’une petite fille souffrant des mesures sanitaires : ]






Le complot des multi-milliardaires

[Source : Entre la Plume et l’Enclume]

Par Israel Shamir

Les millionnaires veulent faire de l’argent. Les milliardaires veulent faire l’histoire. Nous pouvons ajouter que les multi-milliardaires vont plus loin : ils veulent que l’humanité s’adapte à leurs besoins et à leurs souhaits. Quant aux personnes qui contrôlent des milliards, eh bien, elles se soucient de nos souhaits autant que nous nous soucions des fourmis en balayant le jardin. Nous n’employons pas de fourmicide tant que les fourmilières n’empiètent pas sur nos plates-bandes, mais nous n’hésitons pas à le faire si nous le jugeons nécessaire. L’humanité a croisé de nombreux mégalomanes. Certains d’entre eux avaient beaucoup de pouvoir. Gengis Khan en était un. Cependant, ils étaient toujours limités territorialement. Le puissant Gengis pouvait faire trembler la terre jusqu’à Rome, mais les Anglais et les Français n’avaient pas à se soucier de la montée de l’empire mongol. Les nouveaux super-tycoons n’ont pas de telles limites. La mondialisation leur a permis de sortir des sentiers battus. Leurs mouvements avaient été depuis longtemps anticipés par le cinéma, le monde des rêves. Comme les rêves permettent à un psychologue de se pencher sur les désirs et les craintes de l’homme, le cinéma offre des aperçus sur l’ego collectif de l’humanité. Que craignions-nous dans les années 70, relativement libres ?

Le méchant classique des années 70 et 80 était le magnat du mal. James Bond s’attaquait à certains d’entre eux. Retrouvez Hugo Drax de Moonraker, ou Karl Stromberg de L’espion qui m’aimait ; ces types étaient prêts à détruire l’humanité pour la remplacer par une meilleure version. Stromberg prévoyait de déclencher une guerre nucléaire mondiale et d’y survivre sous l’eau. Drax avait l’intention d’empoisonner l’humanité avec son gaz mortel et de repeupler le monde avec ses nouveaux élus. Encore un, Wynter, le super-vilain des Avengers, joué par Sean Connery. Il contrôlait la météo mondiale et pouvait nous éliminer tous par des ouragans et des tsunamis.

Avant les magnats, lorsque la guerre froide faisait rage, le méchant était un agent du KGB ou un agent chinois. Lorsque la détente a apaisé les relations entre les blocs, les agents se sont démodés ; plus tard, ce sont les fantastiques méchants de Marvel qui sont devenus à la mode. Mais ces méchants magnats étaient désagréablement proches de la réalité ; et les voilà passés du monde cinématographique à notre réalité.

Le monde dans lequel nous vivons est le monde formaté par les méchants magnats. Ce sont les démiurges modernes, les créateurs maléfiques  selon les gnostiques, une secte primitive qui avait affronté l’Église. Comme les démiurges, ils sont pratiquement omnipotents ; plus forts que l’État. Le gouvernement a besoin de beaucoup de permissions et d’autorisations pour dépenser le moindre centime. Si un centime a été mal dépensé, on entend résonner le terme glauque de « corruption ». La « corruption » est un concept stupide ; en l’appliquant à qui ils veulent, les oligarques ont éliminé la concurrence de l’État, car ils peuvent payer ce qu’ils veulent à qui ils veulent. L’État doit respecter des règles complexes et obscures, alors que les magnats ne connaissent pas de barrières. En conséquence, ils façonnent nos esprits et nos vies, faisant de l’État un pauvre roi légitime parmi des barons autrement riches et puissants.

La crise du Corona est le résultat de leurs manigances. Aujourd’hui, un groupe de scientifiques de l’OMS vient de clore sa tournée d’inspection de quatre semaines à Wuhan pour tenter de découvrir comment le virus s’est retrouvé chez les humains ; certains d’entre eux pensent (comme le président Trump) que le virus s’est échappé du laboratoire de Wuhan. Matt Ridley, du Daily Telegraphconclut son article en analysant leurs découvertes : « Un nombre croissant d’experts de haut niveau [il en fournit la liste] disent qu’une fuite du laboratoire reste une hypothèse scientifique plausible, à examiner ». C’est plutôt improbable, a déclaré l’OMS, mais d’autres explications (pangolins, etc.) frôlent également l’improbable. On peut comprendre que les Chinois soient indignés. Hua Chunying, la porte-parole du ministère des affaires étrangères (l’homologue chinois de Ned Price du département d’État) a rejeté l’idée en disant : « Les États-Unis devraient ouvrir le laboratoire biologique de Fort Detrick et inviter les experts de l’OMS à y effectuer des recherches sur l’origine de la chose aux États-Unis ». Le rapport du Guardian a déclaré qu’elle défendait « une théorie  conspirationniste selon laquelle cela proviendrait d’un laboratoire de l’armée américaine » ; tandis que Mme Hua accusait les États-Unis de répandre « des théories complotistes et des mensonges » en remontant jusqu’à Wuhan. Tout ce que nous disons est le résultat d’une recherche diligente basée sur des faits ; tout ce que vous dites est une théorie complotiste: les représentants des États-Unis et de la Chine souscrivent également à ce mantra.

Notre propre Ron Unz avait fait une excellente analyse de ces accusations et contre-accusations dans son article d’avril 2020. Il faisait remarquer que l’attaque du virus à Wuhan a eu lieu au pire moment et au pire endroit possible pour les Chinois ; par conséquent, une libération accidentelle (ou intentionnelle par les Chinois) est extrêmement improbable. Ron Unz suggèrait qu’il pouvait s’agir d’une attaque d’armes biologiques américaine contre la Chine. Mais les Américains n’ont-ils pas souffert de la maladie ? Si, mais c’est parce que le gouvernement américain est « grotesquement et manifestement incompétent » et qu’il s’attendait probablement à ce qu’une « épidémie massive de coronavirus en Chine ne se propage jamais en Amérique ».

Peut-être, mais il y a une meilleure explication: c’est que certain(s) magnat(s) maléfique(s) ont joué le rôle de Karl Stromberg, celui qui avait l’intention d’atomiser à la fois Moscou et New York, tout en provoquant la guerre et la dévastation du monde entier, comme dans le film de James Bond. Il pourrait s’agir de quelqu’un comme Bill Gates, qui est un important investisseur dans le laboratoire de Wuhan. Un site de vérification des faits avec son langage de fouine a admis que le Labo « avait reçu des fonds de la Fondation Bill & Melinda Gates, mais Bill Gates peut difficilement être appelé un ‘partenaire’ du laboratoire ». Bien sûr, ce n’est pas un partenaire. Juste un investisseur, mais… c’est plus important qu’un partenariat. Et il n’est pas le seul ; d’autres multimilliardaires sont également impliqués dans la recherche biologique, dans la fabrication de vaccins, dans les grandes entreprises pharmaceutiques. « Glaxo, BlackRock et Bill Gates sont tous partenaires, mais pas propriétaires de Pfizer », déclare un autre enquêteur. « En 2015, Anthony Fauci avait effectivement accordé une subvention de 3,7 millions de dollars à l’Institut de virologie de Wuhan, mais pas pour « créer le coronavirus », ajoute un autre site de vérification des faits. Vous n’alliez quand même pas vous attendre à ce que Fauci formule l’objet de sa subvention de manière aussi directe ?

C’est peut-être un travail trop colossal, même pour un magnat diabolique comme Gates. Un complot de plusieurs magnats malfaisants est plus probable. Ensemble, ils pourraient essayer de changer le monde et l’humanité à leur convenance.

Les méchants tycoons auraient pu empoisonner la Chine pendant ses vacances du Nouvel An et faire baisser leur sentiment de supériorité d’un cran ou deux. Ils pourraient avoir importé le virus aux États-Unis pour saper et éliminer Trump, qu’ils détestaient. Ils pourraient avoir empoisonné l’Europe pour l’affaiblir et la rendre plus docile et obéissante à leurs exigences – et pour acheter leurs richesses à bas prix. Le Corona et le confinement ne leur ont pas fait de mal du tout, car ils sont tout naturellement à l’écart des tracas quotidiens de l’homme de la rue.

Les milliardaires contrôlent les médias, nous le savons, et le rôle que les médias ont joué dans la crise de Corona a été énorme. La couverture médiatique de la crise a un énorme coût caché. Essayez donc de publier les informations que vous jugez importantes en première page d’un journal. Cela vous coûtera fort cher. Pourtant, tous les journaux appartenant au bloc des médias des milliardaires, à commencer par le New York Times et en terminant par Haaretz, ont donné au moins un tiers de leur première page aux Corona News chaque jour. Le coût de cette publicité se chiffre en milliards. Saurons-nous un jour qui a payé pour cela ?

Le film de Steven Soderbergh (2011) Contagion prédisait de nombreuses caractéristiques du Covid-19, notamment l’origine du virus. Dans le film, la maladie provient de chauves-souris en Chine et se propage sur les marchés où de la viande de porc contaminée est vendue. Comment Soderbergh (ou son scénariste Scott Z. Burns) pouvait-il savoir huit ans avant l’événement que la contagion devait provenir des chauves-souris chinoises ? Qui le lui avait dit ? Ne peut-on pas supposer qu’il savait quelque chose? Burns a été instruit par des experts de l’OMS, explique le site de CNN. N’est-il pas intéressant que ce même Bill Gates soit un des principaux donateurs de l’OMS ? Est-il totalement impossible que déjà en 2011, des agents de Gates aient commencé à divulguer à Hollywood certains détails du futur virus par l’intermédiaire de leur propre OMS ?

Nos magnats pouvaient forcer un État faible à suivre leurs instructions. Les scientifiques obéissent aux ordres : sinon, pas de subventions, pas de positions. En avril 2020, les scientifiques allemands ont reçu l’ordre « d’instiller la peur du Corona ». Et ils l’ont fait, comme nous l’avons appris cette semaine, en produisant des nombres de morts à la demande.

Il semble que nos tycoons ont tiré le plus grand profit de la crise du Corona. Leurs avoirs ont augmenté de plusieurs milliards, tandis que ceux des classes moyennes ont diminué dans les mêmes proportions. Plus important encore, tous les États ont souffert de la crise ; ils ont contracté des emprunts et des crédits, car ils étaient responsables de la santé de leurs citoyens, tandis que les milliardaires se sont juste bien amusés et ont profité de la situation. C’est pourquoi j’ai tendance à rejeter les poursuites contre les États, qu’il s’agisse des États-Unis ou de la Chine, alors que certains  milliardaires me semblent être les seuls méchants possibles.

Ces milliardaires sont capables d’influencer les gens bien mieux que l’État. Prenons l’exemple de Pierre Omidyar. En plus d’être le propriétaire d’eBay, il est la force derrière des centaines d’ONG. Ses organisations bricolent l’agenda « progressiste » et forment les fantassins du Green Deal, la mouvance écolo officielle. Roslyn Fuller, de Spiked-online, a vérifié la pléthore d’ONG qu’il emploie, et voici le diagramme:

Selon elle, ses ONG et ses organisations caritatives sont « engagées dans l’ingénierie sociale », c’est-à-dire qu’elles utilisent leurs ressources pour modifier artificiellement la structure de la société, afin de la faire correspondre à leurs attentes. En cas de succès, cela équivaudrait à un contournement extrême de la démocratie, par l’utilisation de l’argent non seulement pour gagner des élections, mais aussi pour substituer un contenu payant ou subventionné à un soutien réel, et ainsi faire basculer toute une culture politique dans un sens différent, en amplifiant certaines voix et en en noyant d’autres ».

Pierre Omidyar n’est que l’un des Maîtres du discours, aux côtés du tristement célèbre George Soros. Facebook, Google, Twitter et Amazon sont encore plus puissants. Les milliardaires ont un pouvoir immense et ils décident de ce que nous pouvons ou ne pouvons pas dire et écrire. Pas plus tard que la semaine dernière, Amazon a interdit mon livre Cabbala of Power (La Bataille du Discours), un livre qu’ils vendaient depuis une dizaine d’années. L’inestimable The Unz Review  est interdit sur Facebook et relégué dans l’ombre sur Google. Twitter a débranché le président Trump, montrant ce faisant qui est le vrai patron des États-Unis. Il est probable que presque tous les mouvements décrits comme « gauchistes » de nos jours sont créés par des magnats comme Omidyar ou Soros. La vraie gauche a été laissée pour morte sur le champ de bataille des idées.

Les super-magnats sont directement impliqués dans la crise du Corona, car ses résultats sont bons pour eux. Et cela signifie qu’ils font de nous ce qu’ils veulent et qu’ils ne nous laisseront pas leur échapper. Nous voilà niés, néantisés jusqu’à ce que nous reprenions les rênes, et que nous les réduisions à néant.

Le SAGE, comme l’équipe britannique de gestion de la crise de la Corona s’est nommée de manière plutôt présomptueuse (elle a agréé le chiffre ridicule de Neil Ferguson, celui qui annonçait des millions de morts), a déjà déclaré que les confinements feront partie de la vie des Britanniques pendant des années, vaccin ou pas vaccin. Le Guardian, la Voix des oligarques, se sont gentiment esclaffés, car il n’est pas bon de déclarer ce qui doit arriver tout de suite. Laissez les gens avoir un peu d’espoir, pour qu’ils courent se faire vacciner, et ce n’est qu’après que l’on pourra révéler que, désolés, cela ne sert à rien, il va falloir encore porter un masque et observer la distanciation sociale et, oui, subir encore des confinements: « Il est beaucoup plus facile de suivre les règles si on les considère comme des contraintes temporaires ».

Les plans des comploteurs ne sont pas secrets ; ils ont été décrits par Klaus Schwab dans son livre Le grand Reset. Schwab n’est pas un grand penseur, ce n’est qu’un scientifique médiocre avec seulement quelques publications, et ce n’est même un bon écrivain. Il a dû collaborer avec un journaliste, Thierry Malleret, pour réaliser ce livre. Ce n’est qu’un porte-voix pour les magnats. Mais la question est de savoir s’ils obtiendront ce qu’ils veulent.

Ma réponse préliminaire est non. Nous avons récemment eu un événement important, Davos-2021, le rassemblement en ligne des magnats et de leurs sbires intellectuels. Pour la première fois depuis de nombreuses années, ils ont invité Vladimir Poutine. Le président Xi a prononcé le premier discours. L’idée était de prouver que la Russie et la Chine sont d’accord avec leurs plans. J’étais très inquiet, je dois l’admettre, et le discours du Chinois ne m’a pas calmé (contrairement à notre ami Pepe Escobar qui a fêté son apparition). Oui, Xi a dit que la Chine avancerait à son propre rythme et selon sa propre voie, mais vers les mêmes objectifs. Durable, inclusif, tous les mots utilisés pour nous rappeler à l’ordre étaient là. Je m’attendais à un discours encore pire de la part de Poutine. Pendant des années, il a voulu être invité et coopté par les décideurs occidentaux, et c’était une belle occasion pour lui de sauter dans leur train.

Poutine m’a surpris. Il a catégoriquement refusé l’offre de Schwab et de ses semblables. Il a condamné la manière dont la croissance pré-Covid était générée ces derniers temps, car toute la croissance est allée dans quelques poches profondes. De plus, il a fait remarquer que les magnats du numérique sont dangereux pour le monde. Selon ses propres termes, « les géants technologiques modernes, en particulier les entreprises numériques, sont de facto en concurrence avec les États. De l’avis de ces entreprises, leur monopole est optimal. Peut-être, mais la société se demande si ce monopole répond aux intérêts publics ».

Les magnats ont probablement été stupéfaits. En 2007, à Munich, ils s’étaient moqués de lui. Max Boot, un émigré juif russe, appelait Poutine « le pou qui rugit » et il ajoutait : « dans la rhétorique sinistre et absurde de Poutine, on peut entendre un empire qui se meurt ». Mad Max ne savait pas encore quel était l’empire qui se mourait.

Poutine était censé avoir été amolli par les manifestations pro-Navalny du 23 janvier (le discours de Davos, c’était le 27 janvier), mais il ne l’a pas été. Bien au contraire. Le président russe n’aime pas qu’on le pousse. La manifestation du 31 janvier a été accueillie avec force ; les personnes détenues ont été condamnées à de lourdes amendes (selon les normes russes). Trois diplomates européens ont été expulsés de Russie pour avoir participé à une manifestation. Josep Borrell, un diplomate espagnol et représentant de l’UE, s’est rendu à Moscou et a été durement traité. Lors de la conférence de presse finale, le ministre russe des affaires étrangères, Sergey Lavrov, a déclaré à la presse que la Russie ne considère pas (je répète, pas) l’UE comme un « partenaire fiable ». Les expulsions ont été effectuées en même temps. En outre, Poutine a averti l’Occident que les « sanctions » (actes de guerre économique) pourraient amener la Russie à utiliser la force militaire directe. C’était probablement le premier avertissement de ce type depuis 1968.

Dans le même temps, la Russie a pratiquement mis fin aux restrictions autour du Corona. Des bars et des restaurants sont ouverts pour les fêtards ; les manifestations sportives sont revenues ; les écoles sont ouvertes ; dans certaines régions de Russie, les masques sont devenus « recommandés » au lieu d' »obligatoires ». Les Russes sont désormais autorisés à voyager et à rentrer librement de nombreux pays. Les Russes ont un accès facile à leur vaccin Sputnik-V qui a été jugé par The Lancet comme le meilleur de tous les vaccins Corona existants. Il s’agit d’un coup comparable au premier Spoutnik lancé en 1957, ont déclaré les experts occidentaux. La Russie a donc fait dérailler le Grand Reset.

Cette évolution a provoqué un énorme changement de conscience en Russie. Si jusqu’à présent (du moins depuis 1970), les classes instruites russes avaient tendance à se sentir inférieures à l’Occident, les terres prospères de la liberté, cela a maintenant bien changé. L’un des principaux directeurs de théâtre russes, Constantine Bogomolov, a déclaré que l’Occident est désormais défait. Le politiquement correct obligatoire de l’Occident, son annulation de la culture, son agenouillement et son léchage de bottes de BLM, son culte des transsexuels, sa peur du « harcèlement » et du sexe, son sourire obligatoire, son engouement « Woke », sa peur de la mort (et de la vie !), sont comparables au comportement d’Alex, la victime de la thérapie dans Orange mécanique, a déclaré Bogomolov:

Le jeune homme [Alex] ne se débarrasse pas seulement de son agressivité – il est malade de la musique, il ne peut pas voir une femme nue, le sexe le dégoûte. Et en réponse aux coups, il lèche la botte de l’attaquant. L’Occident moderne est un criminel de ce genre, qui a subi une castration chimique et une lobotomie. D’où ce faux sourire de bonne volonté et d’acceptation totale, figé sur un visage o Occidental. Ce n’est pas le sourire de la Culture. C’est un sourire de dégénérescence.

Et il conclut : L’Occident nous dit : La Russie est à la traîne du progrès. C’est faux. Par hasard, nous nous sommes retrouvés à la remorque d’un train courant à sa perte, nous précipitant tête baissée dans l’enfer de Jérôme Bosch, où nous serons accueillis par des diables souriants, multiculturels et neutres. Il faut maintenant dételer notre wagon du train, faire un signe de croix et commencer à reconstruire notre bonne vieille Europe, l’Europe dont nous avons rêvé. L’Europe qu’ils ont perdue.

Prenez note de son appel à « faire le signe de croix ». À l’Ouest, les églises ont été interdites d’accès, le service interrompu. L’Église anglicane est à l’agonie, l’archevêque de Canterbury célèbre BLM, enlève les statues des églises, accepte tous les édits du SAGE en fermant les églises. Pendant ce temps, les églises russes sont toutes ouvertes et les fidèles se déversent dans leurs cathédrales à chaque fête et chaque dimanche.

Les garçons et les filles russes flirtent les uns avec les autres, sans crainte de MeToo et des accusations de harcèlement. Les cafés russes sont ouverts. Ceux qui le veulent peuvent se battre contre le Covid, ou l’ignorer.

Pour la première fois depuis de nombreuses années, la Russie montre la voie à l’Occident. C’est une bonne chose. Peut-être que l’Occident, après une correction nécessaire depuis longtemps, pourra à nouveau reprendre le pas sur la Russie. Car, même si la Russie avait montré la voie du socialisme à l’Europe, les meilleurs résultats du socialisme ont été obtenus ailleurs, dans le nord de l’Europe. La bonne vieille Europe (et les États-Unis, sa ramification d’outre-mer) sont encore capables de répéter cet exploit et de se débarrasser des magnats comploteurs et de leurs prédications d’amour obligatoire. En ces circonstances, peut-être que l’interdiction de tous les magnats est une bonne idée. Dans le monde meilleur d’avant leur ascension, il n’y avait pas de multimilliardaires. L’histoire n’est pas terminée ; nous entrons dans la partie la plus intéressante de celle-ci. Soyez de bonne humeur !

Joindre Israel Shamir: adam@israelshamir.net

Traduction : Maria Poumier

Original : The Tycoon Plot, by Israel Shamir – The Unz Review




La quatrième phase de Schwab

[Source en italien : Blondet et amis]

« Nous connaissons tous, mais nous n’y accordons pas toujours suffisamment d’attention, le scénario effrayant d’une cyberattaque mondiale qui conduirait à l’arrêt complet de l’alimentation électrique, des transports, des services hospitaliers et de notre société dans son ensemble. La crise covid-19 est, en comparaison, une petite perturbation par rapport à une cyberattaque grave. Nous devons nous demander, dans une telle situation, comment nous pourrions laisser cela se produire malgré toutes les informations sur la possibilité et la gravité d’une attaque comportant de tels risques. La cybercriminalité et la coopération mondiale devraient être au premier plan de l’ordre du jour mondial. »

https://twitter.com/ohboywhatashot/status/1357103772602892295?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1357103772602892295%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.maurizioblondet.it%2Fla-quarta-fase-di-schwab%2F

Dans cette courte vidéo de juillet 2020, klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos, annonce et décrit la « quatrième phase » du Grand Reset, celle qui amènera l’humanité occidentale dans son ensemble au revenu universel de base et à l’abolition de la petite propriété privée.

L’attaque de pirates informatiques semble-t-elle être l’excuse qui sera utilisée pour justifier ce qui est décrit dans cette «feuille de route» exfiltrée par le Canada?

  • Perturbations prévues de la chaîne d’approvisionnement, pénuries de stocks, grande instabilité économique. Prévu pour la fin du deuxième trimestre de 2021.
  • Utilisation de personnel militaire dans les grandes régions métropolitaines et sur toutes les routes principales pour établir des points de contrôle des déplacements. Limiter les déplacements et les voyages. Fournir un soutien logistique à la région. Attendu pour le troisième trimestre 2021.

La « cyberattaque épouvantable » menée par des pirates informatiques tout-puissants a déjà été « redoutée » (c’est-à-dire prédite) par Ygal Unna, le chef de la Direction nationale de la cyberdirection d’Israël. Celui-ci a averti l’année dernière qu’un « cyber-hiver » d’attaques contre le net « est à venir et vient plus vite que je ne l’aurais cru. »

Peut-être n’est-il pas nécessaire de préciser, comme le font les journalistes Jhonny Wedmore et Withney Webb, que « dans la direction informatique, Unna travaille en étroite collaboration avec les services de renseignement israéliens, y compris l’unité 8200, qui a une longue histoire d’espionnage électronique contre les États-Unis et d’autres pays et qui a été responsable de plusieurs attaques dévastatrices, y compris le virus Stuxnet qui a endommagé le programme nucléaire iranien. » Avec la vaccination de masse effrénée au prix de vies juives, l’État profond d’Israël est parmi les plus grands bénéficiaires de la Grande Réinitialisation étant donné la force de l’industrie de haute technologie de la nation.

Une simulation de l’attaque a déjà eu lieu

Nous nous souvenons de l’Event 201 qui s’est tenu à New York sous l’égide du Forum économique mondial en octobre 2019 avec la Fondation Rockefeller, Bill Gates et l’Université John Hopkins, simulant une nouvelle pandémie de coronavirus qui se propage dans le monde entier et provoque de graves interruptions de l’économie mondiale. Et quelques semaines plus tard, le premier cas de COVID-19 est apparu. Ces messieurs étaient prêts pour la chose que la simulation était destinée à « prévenir ».

Serez-vous surpris d’apprendre que le 3 février le Forum Économique Mondial a annoncé qu’en juillet prochain aura lieu la simulation d’une cyberattaque mondiale qui frapperait les réseaux d’approvisionnement et provoquerait la « fermeture » de l’Internet ou permettrait le vol de données privées détenues par le système bancaire? Cet exercice s’appelle Cyber Polygon 2021. Sur le site Web de l’événement récemment mis à jour, on estime que, compte tenu de la numérisation massive en cours de chaque activité économique, elle-même rendue nécessaire par la « pandémie » et le confinement, il arrive qu’« un seul lien vulnérable suffise à faire tomber l’ensemble du système, avec effet domino », ajoutant qu’« une approche sûre du développement numérique aujourd’hui déterminera l’avenir de l’humanité pour les décennies à venir ».

Le fait que Cyber Polygon 2021 soit prévu pour juillet signifie-t-il que la supposée attaque de pirates se produira après cette date ? Rien n’est moins sûr.

Une simulation similaire parrainée par le WEF qui a eu lieu en juillet 2020, Cyber Polygon 2020, a été officiellement décrite comme « une formation internationale en ligne pour accroître la cyber-résilience mondiale » ; à cette occasion, les grands médias comme le New Yorker ont déclaré que la cyber-pandémie « est déjà en cours ». Les orateurs ont conçu « la pandémie mortelle imminente » de cyberattaques qui toucherait principalement deux secteurs économiques : la santé et la finance. Un jeu de guerre impliquant des méga-entreprises du secteur technologique, comme IBM, Huawei et Amazon, pratiquement toutes les méga-banques (Bank of America, Credit Suisse, Equifax (l’agence de notation), JP Morgan Chase, Mastercard, PayPal, SWIFT (l’ancien réseau international de compensation des transactions), PayPal, et bien sûr Blackrock (deep state finance central)… et des entités internationales telles qu’INTERPOL.

Mais parmi les participants, le plus surprenant — qui participera également au scénario polygone 2021 en juillet — est Sberbank, une banque contrôlée par le gouvernement russe, qui participe sous l’acronyme de sa filiale de cybersécurité BI.Zone. En fait, détail supplémentaire : la personne choisie pour ouvrir l’événement Cyber Polygone 2020 était le Premier ministre en fonction depuis janvier 2020 de la Fédération de Russie, Mikhaïl Mishustin — ingénieur en informatique, déjà nommé (en 2010) par Poutine directeur du service fiscal de la fédération, génie de la numérisation et fanatique du Big Data qui utilisait, disent-ils, des systèmes « techno-autoritaires » de surveillance gouvernementale de l’activité économique pour éradiquer les remboursements injustifiés de taxes.

Mikhaïl Vladimirovitch Mishustin,
le Premier ministre.

L’invitation au WEF, et avec tous les honneurs, du Premier ministre russe est-elle le prélude à la suppression du récit blâmant les « hackers russes » fantômes et omnipotents pour toute cybercriminalité, dont la plus grave aurait déterminé l’élection de Donald Trump ? Les deux auteurs de l’article l’espèrent. Nous l’espérons aussi. Seul le temps nous dira si, au contraire, Mishustin n’est pas invité pour simuler le grand crime prophétisé sous une forme similaire à celle pour laquelle un dirigeant du Trésor italien a été invité en Grande-Bretagne à l’époque.

Pendant ce temps, je vais vous laisser un autre prophète de la panne générale redoutée, qui servira probablement aussi à faire disparaître nos dépôts, et des blogs alternatifs sous couvert des pannes du Web :

« Je pense qu’il y aura une autre crise. Ça va être plus significatif et tu sais qu’on doit vraiment se préparer maintenant. Lorsque nous verrons cette prochaine crise, elle sera plus rapide qu’avec la covid. Le taux de croissance exponentiel sera beaucoup plus raide, l’impact sera plus grand et, par conséquent, les implications économiques et sociales seront encore plus importantes… »

Jeremy Jurgens, Directeur général du Forum économique mondial, 8 juillet 2020




Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux

[Source en italien : Blondet et amis]

[Photo : ThinkstockPhotos]

Par Roberto PECCHIOLI

L’Agenda 2030 pour le développement durable est un programme d’action pour les peuples, la planète et la prospérité signé en septembre 2015 par les gouvernements des 193 pays membres de l’ONU. Il intègre 17 objectifs de développement durable dans un important programme d’action pour un total de 169 objectifs. Ceci est écrit sur le site officiel des Nations Unies. Promesse ou menace ? Plutôt la deuxième hypothèse. La Grande Réinitialisation — grande annulation et redémarrage — n’est pas la même chose, mais les objectifs coïncident et ont en commun la proximité avec les politiques du Forum Économique Mondial, du soi-disant « parti de Davos », du cartel des grandes multinationales et des hommes les plus puissants de la planète.

La dernière réunion s’est tenue en ligne fin janvier 2021, en attendant la réunion plénière « en chair et en os », prévue à Singapour en mai prochain. Tous ensemble les différents aspects de l’agenda mondial s’inscrivent dans un immense projet de reconfiguration anthropologique, économique, environnementale et existentielle à moyen terme (2030 n’est certainement pas loin) dont il n’est pas hasardeux de définir l’époque [d’achèvement], en ce sens que son succès — s’il intervient — va changer l’existant, l’Humanité et son être (l’être là — « Dasein » dans le lexique de Martin Heidegger) dans le monde, comme jamais cela n’est arrivé dans l’Histoire.

Il faut détourner le regard du scénario crucial du virus et tenter une première approche avec le plan mondialiste, qui vise à bouleverser, peut-être à submerger, nos vies. Il s’agit d’une action gigantesque et coordonnée à plusieurs niveaux — politique, économique, sanitaire, technologique, environnementale — conçue pour renforcer l’empire du néocapitalisme et à ouvrir une nouvelle ère pour l’humanité.

Essentiellement, c’est l’établissement d’un techno-féodalisme pour lequel le jugement du philosophe Giorgio Agamben s’applique.

« Le capitalisme qui se consolide à l’échelle mondiale n’est pas le capitalisme sous la forme qu’il avait prise en Occident : c’est plutôt le capitalisme dans sa variante communiste, qui a apporté un développement extrêmement rapide de la production avec un régime politique totalitaire. (…) Ce qui est certain, cependant, c’est que le nouveau régime combinera l’aspect le plus inhumain du capitalisme avec l’aspect le plus atroce du communisme étatiste, combinant l’aliénation extrême des relations entre les hommes avec un contrôle social sans précédent. »

L’une des vidéos diffusées en marge du tout récent Forum Économique Mondial montre l’image d’un jeune homme au sourire radieux et au titre emblématique : « en 2030, vous n’aurez rien et vous serez heureux ». Cela ressemble à un programme communiste et ça l’est, en fait. La vidéo a été critiquée sur les réseaux sociaux et le Forum l’a supprimée de Twitter, mais elle est toujours visible sur la page Facebook. Les écrits de Karl Marx émettent l’hypothèse d’un monde parfait dans lequel — propriété privée abolie — il y aurait des entrepôts remplis de marchandises dans lesquels tout le monde se servirait librement.

Communisme impitoyable en bas, capitalisme tout aussi écrasant au sommet, pour ces messieurs la variante néo-féodale est que la grande majorité de l’Humanité ne possédera rien, pendant que la propriété privée — non plus seulement les « moyens de production », mais [absolument] tout, tout ce qui existe dans le monde (biens, services, technologies, argent) restera à la charge d’une minorité avec la puissance de fer. Un Moyen Âge postmoderne dépourvu de la spiritualité et de la hauteur morale du Moyen-âge. Au sommet, une poignée d’empereurs — les maîtres universels — aidés par diverses castes de seigneurs féodaux, vassaux, valvasseurs et valvassins. En bas, nous tous, les serfs à qui donner une existence animale.

Dans cette réflexion, nous nous limiterons à analyser cet aspect de la réinitialisation — ce qui, nous le répétons — signifie annulation. Les maîtres du monde prédisent un avenir proche dans lequel la propriété privée généralisée ne sera pas pertinente et pourra être éliminée.

En 2016, le Forum économique mondial a publié un article décrivant une société apparemment utopique dans laquelle tous les besoins matériels fondamentaux seraient satisfaits. L’auteur en est Ida Auken, membre éminente du Forum et ancienne ministre de l’Environnement au Danemark. La nouvelle Cité du Soleil sera-t-elle un paradis — ou un enfer ? — où en quelques minutes quelqu’un livrera toutes sortes de marchandises : le monde d’Amazon. Plus personne n’aura de voiture, remplacée par un réseau de transport public (mais privé…). Vous ne paierez pas de loyer pour le logement, qui sera utilisé par d’autres en votre absence. Une vie animale, nomade ou transhumante parfaite — mieux vaut dire liquide ? — en traînant un chariot [de courses, comme certains « sans domicile fixe »] pour chasser ça et là des « opportunités », une sorte de projet Erasmus perpétuel pour une humanité déracinée.

Même la nourriture dans ce cauchemar de rêve sera gratuite : les ordures seront livrées par de pauvres employés par le biais de plates-formes dédiées; personne ne possédera plus de vaisselle et de couverts. Il sera plus « pratique » de les recevoir à la maison au moment de l’utilisation. L’insistance sur le « confort », le même permis par l’utilisation de cartes de crédit (ou de débit), fournies ou contrôlées par la puissance financière au détriment de l’argent comptant, est terrible. « Vous pourrez louer n’importe quoi et vous serez heureux. » Des millions, des milliards de vies louées. Mais si nous payons le loyer, cela signifie que les biens et les services appartiennent à quelqu’un qui conserve fermement la propriété et peut choisir à qui et dans quelles conditions accorder éventuellement son utilisation.

Est-il possible que vous ne remarquiez pas l’immense tromperie? Possible, parce que les maîtres universels ont atteint la capacité technologique d’entrer dans nos vies et nos esprits. L’appel extrême de George Orwell à la liberté dans 1984 devient anachronique : « Ils peuvent vous forcer à dire n’importe quoi, mais il n’y a aucun moyen qu’ils vous le fassent croire. Ils ne peuvent pas entrer en vous ». Faux : maintenant, ils peuvent. Les technologies de surveillance et l’immense appareillage de programmation neuronale, les puces sous-cutanées, les médicaments imposés, y parviennent.

Même le travail n’existera plus, remplacé par « le temps de penser, de créer et de développer ». Penser à quoi, à la consommation matérielle et triviale ? Puis créer? Dans quel but, puisque rien ne sera « à nous » et que nous ne serons pas en mesure de profiter des fruits et de les transmettre aux enfants? En ce qui concerne le développement de la personnalité, nous pensons plutôt à un nombre infini de névroses, qui ne pourront être corrigées que par une nouvelle médicalisation de la vie, l’administration massive de substances psychotropes capables de faire supporter une vie d’homo sapiens en captivité, en tant qu’animal de ferme.

Vous n’aurez pas besoin de sortir faire du shopping, « l’algorithme le fera pour vous. » L’immense expérience de l’ingénierie sociale sous-jacente au coronavirus est très bien expliquée : tout le monde à la maison, espacé « socialement », atomes solitaires et méfiants qui reçoivent l’alimentation du maître. Serfs : dans l’économie de Curtense, les agriculteurs et leurs familles avaient l’obligation de rester à vie dans le fief vassal du seigneur et de travailler pour lui. En retour, ils bénéficiaient d’une protection et d’une garantie de subsistance matérielle minimale. Tout sauf quelques outils et quelques meubles, appartenait au seigneur féodal.

Nietzsche avait-il raison avec sa théorie cyclique de l’histoire, « l’éternel retour »? Auken conclut : « Je n’ai pas de propriété. Je n’ai pas de voiture. Je n’ai pas de maison. Je ne possède pas de vêtements ni d’équipement. Cela peut sembler étrange, mais dans cette ville, cela a du sens ». La propriété privée est un accessoire inutile, presque une nuisance. Étrange que les hyper-maîtres, propriétaires de tout, les seigneurs néo-féodaux, ne s’en débarrassent pas. Nous n’aurons plus de vie privée : « Je n’ai pas de véritable intimité. Je ne peux aller nulle part sans être inscrit. Tout ce que je fais, je pense et rêve reste enregistré. En fin de compte, c’est une bonne vie ». C’est fou, mais des idées comme celles-ci sont l’avant-garde visible de ce qui nous attend, et il est de peu de valeur que le Forum ait expliqué que les idées exprimées sont d’Auken et non du WEF [FEM – Forum Économique Mondial], qui les publie cependant et les diffuse dans d’autres documents, tels que la vidéo mentionnée plus haut, dans lequel, entre autres choses, il y a une prédiction que d’ici 2030, nous allons manger des aliments artificiels.

C’est l’un des objectifs de Bill Gates, mais il achète prudemment des fonds agricoles fertiles. Il possède déjà plus de cent mille hectares. Les ordures alimentaires sont pour nous, pas pour ces messieurs. En attendant, aussitôt dit, aussitôt fait : l’UE impose l’étiquetage de la viande et d’autres aliments avec l’indication qu’ils peuvent causer le cancer. Ils ont vérifié avec le virus que la peur fait du quatre-vingt-dix, dans l’Ouest matérialiste et décadent. La civilisation alimentaire changera également, modifiant profondément non seulement les habitudes de vie, mais submergeant des secteurs économiques entiers et le panorama même que nous avons sous les yeux. Vous mangerez moins de viande, intime le Forum, indiquant les insectes, les algues et la viande artificielle comme alternatives. Pour le bien de l’environnement et de notre santé : Big Brother est végétarien et qui sait si nous pourrons encore choisir notre alimentation? Par pur hasard, Bill Gates est l’un des grands financiers de la recherche sur les produits Frankenstein, à travers des entreprises comme Beyond Meat et Impossible Foods. Il a également investi dans la biologie dite synthétique, une technologie dont le but est de produire artificiellement toutes sortes d’aliments.

Nous tenons à souligner à quel point les contrastes politiques et idéologiques sont futiles, en ce qui concerne l’immense portée des thèmes réels du présent et du proche avenir. L’Agenda 2030 stipule qu’«un milliard de personnes devront émigrer en raison du changement climatique. Nous devrons mieux accueillir et intégrer ces réfugiés. Pourquoi consacrer des ressources à la lutte contre le changement climatique si nous savons à l’avance qu’il y aura un exode biblique de cette ampleur? »

Les entreprises paient pour le dioxyde de carbone. Il y aura un prix mondial normalisé. Cela permettra d’accélérer la disparition de l’utilisation des combustibles fossiles. Qui fixera le prix? Peut-être le Soviet suprême du parti monopoliste mondial.

« L’humanité pourra se rendre sur Mars ». Pour faire quoi, et qui paie? Et puis, pourquoi aller sur Mars, si nous sommes si heureux ici? Pendant ce temps, nous nous organisons pour un monde dans lequel vous ne bougerez presque plus, la réédition parfaite du féodalisme. Le télétravail nous gardera cloués au bureau à la maison, télécommandés par un superviseur qui dépend également d’un niveau supérieur.

Ils disent ouvertement qu’il faut oublier les voyages, le tourisme et les vols low cost [à bas prix] : l’avion leur sera à nouveau réservé, ces quelques heureux et éclairés. Pour nous, les voyages court-courriers : le retour des voitures-lits, la revanche du cher et vieux chemin de fer, est déjà à l’ordre du jour. Ô machiniste, mettez le charbon, faites démarrer cette grosse voiture. C’est la réalisation parfaite de ce que Tocqueville avait imaginé au milieu du XIXe siècle, une tyrannie qui dégrade, efface l’âme sans torturer le corps, « immense pouvoir qui se conservera dans l’adolescence éternelle, à la recherche constante de plaisirs vulgaires ». Ajoutons l’avènement d’un matérialisme plus lourd que le marxiste et plus absolu que le libéral.

L’épidémie a été providentielle pour l’oligarchie, car elle a permis de tester avec succès la relation verticale entre les sujets et le souverain, sans plus de médiations sociales, politiques et de valeur, avec l’élimination de « toute relation étrangère à l’échange individuel entre la protection et l’obéissance » (Roberto Esposito). L’Agenda 2030 peut donc être présenté, comme l’a annoncé le Forum, car « les citoyens sont maintenant préparés ». C’est pourquoi ils ont imposé le masque et nous ont fait cacher le visage.

Eux ne se cachent pas du tout. C’est ainsi que Klaus Schwab, le grand chambellan du forum, a écrit dans le programme de cette année :

« L’aspect positif de la pandémie, c’est qu’elle nous a appris que nous pouvons apporter des changements radicaux à notre mode de vie très rapidement. Les citoyens ont amplement démontré qu’ils sont prêts à faire des sacrifices pour le bien des soins de santé. Il est clair qu’il y a une volonté de construire une société meilleure et nous devons en profiter pour assurer la Grande Réinitialisation. »

Le bien d’un pour cent de l’humanité, le féodalisme techno postmoderne, est transmis comme un intérêt commun, au point de critiquer grotesquement le capitalisme mondialisé. Ils organisent l’avenir et aussi l’opposition paradoxale à eux-mêmes, conscients qu’une grande partie de l’humanité, malgré l’endoctrinement colossal, ne pense pas comme eux. Bill Gates prévient, pour sa part, que« le transport aérien doit être réduit de plus de la moitié. Les avions contaminent beaucoup. »

Étrange mondialisation sédentaire, avec la population terrée dans des maisons louées travaillant à la pièce. Le Forum annonce sans un mot que nous devrons retourner voyager en train. Dans un message de propagande, ils nous expliquent à quel point « c’est merveilleux de voyager en train de nuit ». L’avion sera le privilège des riches : le glas de Ryanair. Nous, dans la plèbe, retournerons au train solaire. Tout au plus, nous aurons le retour de l’Orient Express, payable en plusieurs fois avec retrait direct par virement bancaire. Les fortunes magnifiques et progressistes des peuples que « le capitalisme actuel a conduit à de grandes inégalités économiques ». Des mots effrontés de la part de ceux qui ont causé l’incendie.

C’est, au contraire, une grande contre-offensive hégémonique face à la crise du consensus qui a affecté le capitalisme financier (Luciano Gallino) et qui touchera bientôt le capitalisme techno féodal et panoptique des GAFA.

Une réflexion de Geminello Preterossi, auteur de Contro Goliath, est éclairante :

« s’il y a un besoin de réorientation, pour les oligarques de Davos, cela devra être réalisé par le capitalisme lui-même, c’est-à-dire par ceux qui ont produit la catastrophe. Avec une sorte de faux mouvement illusionniste, s’opposant à l’existant, ils exploitent l’occasion de la pandémie pour immuniser le pouvoir absolutiste du capital de tout changement réel qui vient d’en bas et représente une alternative organisée : pour ce faire, il faut changer de récit, prétendre liquider le néolibéralisme pour sauver et relancer le capitalisme (dont le noyau du pouvoir néolibéral reste intact), en renforçant ses possibilités de domination. Cette domination des esprits va jusqu’au projet excessif de contrôle total et algorithmique sur les vies, dont les résidus de différence et d’autonomie doivent être mis à zéro ou neutralisés avec des modes automatiques. »

La passivité sociale soutenue par la surveillance bloque les conflits et minimise la socialité, devenue synonyme de danger. La Réinitialisation détruit les petites et moyennes entreprises et la grande muraille du tissu social et communautaire, abolit les traditions historiques et perturbe l’autonomie de l’être humain. C’est la fin de la liberté au nom d’une sinistre égalité que Pasolini aurait qualifiée d’homologation féroce et de conformisme forcé d’Orwell. Tout cela est assaisonné avec une sauce indigeste que Preterossi appelle « rhétorique insensée du bien commun, du vert, de l’inclusion, dans laquelle la novlangue s’exempte de cohérence pour mystifier toute situation, en la faisant apparaître à l’opposé de ce qu’elle est réellement. »

Le but ultime est l’anti-société post-humaine. Ce qui est en jeu, c’est une transformation anthropologique dont l’Agenda 2030 n’est qu’une étape. Le but ultime est de vaincre l’homme, le tournant du transhumanisme dans un horizon où la technologie est la sage-femme de l’histoire et le capitalisme devient religion, comme Walter Benjamin l’a deviné. La nouvelle normalité consistera en des relations sociales réduites au minimum, la majeure partie de l’humanité (occidentale) enfermée dans le terrier, reliée à des appareils artificiels, supervisée par par le nouveau Panopticon [NdNM : en français « panoptique » — établissement, souvent correctionnel, conçu de façon à pouvoir en voir tout l’intérieur à partir d’un point donné], avec des comportements prévus et pré ordonnés par le système technologique, en attendant devenir un composant de nouveaux appareils sophistiqués. L’exploitation de l’homme deviendra encore plus répandue, jusqu’à ce qu’elle produise deux espèces humaines distinctes : les maîtres féodaux; et les serfs qui seront amenés à aimer leurs chaînes, par ignorance, par la peur, par de mystérieuses substances pharmacologiques introduites dans le corps physique grâce à une puissance devenue bio-puissance.

De nombreuses activités économiques, artistiques et culturelles disparaîtront. L’appauvrissement — matériel et spirituel — sera immense, tandis que la numérisation des relations humaines sera le summum du délire anti-humain et en viendra à un nihilisme glaçant dirigé d’en haut. Le totalitarisme mélodieux de Davos et de la Silicon Valley est la réponse d’un libéralisme handicapé par son incapacité à obtenir légitimité et consentement.

La vie est ailleurs et on ne dit pas que la gigantesque opération de reconfiguration réussira. L’homme a des reflets de la vie. Il s’agit de savoir si l’ancienne réalité désuète sera vaincue par la vie désincarnée préparée, avec un mouvement uniformément accéléré, par l’oligarchie sociopathe de l’argent et de la technologie. Cependant, même d’une manière très différente de tout passé, la dialectique demeure celle indiquée par Hegel : serviteur contre Seigneur. On n’est rien, donc on ne peut rien avoir. La conscience de la condition des serviteurs, non plus des gens, mais du matériel humain, est la première étape pour sortir de la grotte et attaquer les Seigneurs.

Une histoire de Covid
La grand-mère de la femme de mon physiothérapeute en 2020 avait 99 ans et était au Trivulzio dans une maison de retraite. Covid: négatif. Cependant, comme dans toutes les maisons de retraite, les familles ne sont plus admises. Au téléphone, vous êtes informatisé, les personnes âgées ne sont plus obligées de se lever. Il est inutile de protester, c’est le protocole. Demande de reprise de la grand-mère: impossible à cause du protocole. Coup de fil en août: elle n’a plus que quelques heures à vivre, mais pas à cause de la Covid. Visite pour le dernier adieu? Non, [à cause du] protocole. Grand-mère meurt. Pas à cause de la Covid. Dossier médical: Covid.
Annalia Martinelli

Ils tuent avec des protocoles. Plus propre que le vieux coup [du lapin] à l’arrière de la tête.




Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons-la en tsunami !

Par Dr Nicole Delépine

Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons-la en tsunami !

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille Lacourt, Fantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet.

Un appel (bien tardif) de la fédération française de natation à la ministre des sports (ancienne nageuse !) pour la réouverture des piscines apparait enfin sur le net.  Il est évidemment urgent de soutenir cette démarche qui pourra diminuer, si elle réussit, la déprime et la consommation d’antidépresseurs des nageurs frustrés, comme remède aux mesures liberticides globales dont les fermetures des équipements sportifs.

Le sport, une religion de nos sociétés de consommation, actuellement reniée

Alors que la pratique du sport devenait presque une « religion » dans nos pays encore riches, que les cancérologues la recommandaient comme adjuvants des chimiothérapies, allant même jusqu’à demander le remboursement des séances encadrées de différentes spécialités, alors que l’éducation sportive devenait aussi importante que la pratique des mathématiques ou de la philosophie à l’école pour être considéré comme « bon élève », brutalement tout s’écroule !

À l’occasion d’une épidémie grippale particulière, le fameux coronavirus dont on s’aperçut assez vite que sa létalité (son risque de tuer) était bien faible et ne touchait que les personnes âgées déjà malades d’autres pathologies (cœur, diabète etc. ou d’extrême vieillesse). La moyenne des décès est de 84 ans alors que la moyenne de survie en France est de 82 ans. Bref on allait gagner deux ans sur la moyenne si on décédait de ou avec le coronavirus (moyennes établies sur cette ambiguïté…).

Trêve de plaisanterie, il apparut (plus ou moins vite selon qu’on est collé, ou pas, à BFM Menteur, ou Francedésinfo) que le fameux virus ne touchait ni les enfants, ni les adolescents, exceptionnellement les jeunes adultes et que les enfants même parfois contaminés (quasiment toujours par leurs familles ou un très proche) ne devenaient pas des malades,[1] ne contaminaient ni enfants ni adultes.

Finalement le risque de décès avant 65 ans est de 1 pour 300 000 personnes. Avec plus ou moins d’humour, les intéressés auraient pu vite savoir qu’un jeune avait beaucoup moins de chance (risque) de mourir de Covid19 que par la foudre ou accident domestique ou de la fameuse trottinette.[2]

Le scénario catastrophe de la clique de Davos

Mais peu importe, le grand cinéma se mit en place, pour créer et entretenir la sidération des peuples obnubilés grâce à la mise en scène digne de Goebbels (par répétition des mensonges assénés mille fois par jour, sur toutes TV, radio ou journaux de désinformation même anciennement côtés via leur passé comme Libération ou Le monde).

Le scénario de panique essayé et raté en 2008 avec le H1N1 avait pour but de rétablir la finance mondiale en ruinant les classes moyennes. En une décennie, le film catastrophe fut rodé en particulier en novembre 2019 avec la répétition du plan « disponible en cas de pandémie ». Ce fut l’Event201 que vous pouvez retrouver sur le web.

Et finalement à l’occasion de la nouvelle épidémie de coronavirus (cousine des épidémies de SRAS ou Mers vite disparues), le plan fut lancé dans la vie réelle avec son cortège de mensonges, de truquages (tests PCR via Drosten dès janvier 2020), de rapports trompeurs réalisés à la demande du gouvernement Merkel par exemple présentant des prévisions catastrophiques (rapport supposé secret et dont on organise la fuite).  Les prévisions tragiques du prophète Ferguson[3] furent le prétexte de notre président en mars 2020 pour nous confiner et stopper l’économie du pays dont les écoles et universités.

L’OMS fut le pivot des annonces terribles via son conseil scientifique de 194 pays ayant signé un accord pour appliquer ses consignes en cas de pandémie[4]. Il ne restait qu’à déclarer la pandémie. Ce qui fut fait rapidement en changeant les critères car ce petit virus peu obéissant n’était pas assez méchant, que diable !

Le confinement aveugle et ses suites délirantes

Alors branle-bas de combat, on n’allait pas revivre le ratage de la finance internationale de 2010 et les gouvernements liés dans leur projet de Nouvel Ordre Mondial (NOM) que nous promettait déjà le président Sarkozy. Ils adoptaient des mesures drastiques pour convaincre les peuples de la gravité de la situation et ruiner les classes moyennes selon le mécanisme clairement exposé dans le dernier livre de Klaus Schwab « Covid19 et grande réinitialisation ».

Selon les pays, ce fut plus ou moins drastiquement et intelligemment appliqué. Mais la France, comme la Belgique ou l’Italie versa dans l’extrémisme, pas forcément astucieux, car permettant d’ouvrir les yeux des plus attentifs par le ridicule de certaines décisions. Certes ils voulaient utiliser la dissonance cognitive de nos cerveaux par des ordres contradictoires, mais point trop n’en faut, et les conséquences dramatiques actuelles en sont la démonstration. Le peuple se réveille, certes doucement mais se réveille.

Remplacer le sport en salle par des séances guidées à travers zoom ou autres, n’eût qu’un temps. Et là nos apôtres du tout numérique de la grande révolution industrielle de Schwab, que le NOM veut imposer n’avait pas tout prévu. Ras le bol du yoga, ou de la box à travers un écran, et bien sûr des cours dits en distanciel, nouveau mot à la mode.

La piscine en distanciel, pas facile

Par manque d’imagination, ils n’ont pas su proposer des activités aquatiques en distanciel. Il a aussi été difficile de prétendre que les piscines sont des lieux dangereux, tant l’eau de javel et la douche permanente sont omniprésentes toute l’année. Ils n’ont même pas réussi à inventer un cluster, au moins un pour la forme et la panique. Pas de chance !

Alors ils ont fermé quand même contre toute logique et conseillé à la place de marcher (dans le rayon initial de 1 km et d’une heure). On peut avoir un grand projet pour dominer le monde et mettre en esclavage 99 % des habitants de la planète, on n’est pas forcément doué pour y arriver, le syndrome d’Hubris obscurcissant souvent tout bon sens.

Notons qu’ils ont osé interdire les sports aquatiques en mer (#Surf #KiteSurf #BodySurf #StandUpPaddle #Natation) et la marche sur les plages dont les entrées furent obstruées. Sacré virus qu’il fallait laisser se baigner tranquille dans l’océan… Qui a pu croire à leur sincérité sanitaire hormis les journalistes tellement révérencieux qu’ils en ont perdu leurs lunettes ?

Les nageurs, leurs entraineurs, leurs fédérations, se sont soumis comme la grande majorité du reste de la France. Mais le temps passe et les complications et peut-être séquelles de ces décisions sans aucun sens sanitaire, peut-être pas si politiquement efficaces, s’accumulent.

« Pour la santé de tous nous souhaitons le maintien des activités aquatiques dans toutes les piscines ! Elles ne présentent pas de risque sanitaire et nous demandons un plan de soutien ministériel pour notre réseau fédéral. Parce que savoir nager doit rester une priorité ».

Difficile de comprendre pourquoi depuis septembre, les piscines sont ouvertes aux scolaires pourtant en groupe, mais pas aux licenciés qui pratiquent la natation plusieurs fois par semaine, pourquoi les stages professionnels sont autorisés, mais pas les stages de compétition des plus jeunes.

DEUX PROBLEMES POUR LA FEDERATION : l’argent pour survivre, les nageurs en perdition

Le 1er février dernier, la Fédération Française de Natation (FFN) a publié un communiqué demandant le maintien des activités aquatiques dans les piscines, impactées comme beaucoup de secteurs par les mesures prises au nom de la guerre au Covid-19, souhaitant également un plan de soutien.

« Dans mon dernier courrier, je vous ai interpellée sur le plan de soutien qui, à ce jour, est très loin de répondre aux besoins et aux enjeux de la FFN et de ses 1 300 clubs, des 2,6 millions d’euros de perte financière et des 103 000 licences de retard. Pour mémoire, nous sommes la 4e fédération la plus impactée financièrement. », dressait comme constat le président Gilles Sezionale à destination de la ministre déléguée aux Sports Roxana Maracineanu.

« Sans soutien fort de votre part, même avec une reprise rapide, de nombreux clubs déjà très affaiblis disparaîtront du paysage fédéral« , souligne-t-il à l’attention de l’ancienne championne du monde du 200m dos (1998) et vice-championne olympique de la distance (2000).

La réduction, voire la suspension des activités aquatiques ont obligé licenciés et scolaires à se tourner vers d’autres activités. En effet peu de piscines ont offert la possibilité de nager en extérieur lorsqu’elles possèdent des bassins ad hoc et peu de personnes intéressées par la nage en extérieur dans le grand froid ont conduit à la fermeture des quelques espaces aquatiques pendant de longues semaines. Payer des salariés pour peu d’entrées est moins rentable que de les mettre au chômage technique. Triste France.

 « Pour toutes ces raisons, je vous demande de bien vouloir permettre l’accès aux piscines dans lesquelles aucun cluster n’a été répertorié, à nos licenciés, comme aux scolaires, mais aussi d’envisager dès maintenant les modalités claires d’un plan de soutien au niveau fédéral », demandait à la fin de la lettre le président de la FFN.

Les nageurs professionnels appuient cette demande de la FFN, en relayant la lettre sur leurs réseaux sociaux associés à des engagements individuels. De nombreux athlètes, dont Florent Manaudou, Charlotte Bonnet, Camille Lacourt et d’autres tentent de créer une vague de soutien au chevet des clubs français, malades des mesures.

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille LacourtFantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet.

« En tant qu’ambassadrice du programme #nageuretcitoyen, j’ai bien conscience que

l’apprentissage de la natation est un enjeu national. Tous unis pour le maintien des activités aquatiques », a lancé la triple championne d’Europe en grand bassin.

Mélanie Henique s’est interrogée : « Pourquoi fermer les piscines si elles ne présentent pas de risque sanitaire ? Tous unis pour maintenir les activités aquatiques et l’apprentissage de la natation ».

Une vague de soutien pour un sport souvent pratiqué en intérieur et qui donc souffre particulièrement de la fermeture des établissements couverts afin officiellement d’éviter la propagation de la pandémie de Covid-19.  Le coronavirus aimerait-t-il l’eau de javel ?

La détresse physique et psychologique des nageurs

Les enfants et jeunes enfermés avec leur famille à un âge où on a besoin d’espace et des copains sont particulièrement traumatisés comme l’annonçaient les psychiatres et psychologues dès mars 2020. Actuellement, ce ne sont pas les lits covid qui manquent malgré la pub, mais bien les lits de psychiatrie et singulièrement de pédopsychiatrie. On commence à entendre parler de suicides chez les moins de dix ans, ce qui n’arrivait jamais avant ces temps de folie.

« Papa, quand on est mort, est-on encore obligé de porter le masque »

question d’un petit de 5 ans qui montre l’extrême détresse des enfants.

Il est évident que le sport de groupe, et de compétition chez les jeunes aurait pu être un bon moyen de les maintenir en bon état psychologique, par l’activité sportive elle-même mais aussi par l’activité de groupe qui aurait maintenu un lien social tellement indispensable.

D’autant que les jeunes ne risquent rien de ce virus[5], et qu’ils ne participent pas à la diffusion de la maladie. Mais non, on ferme, peu importe la perte des performances, l’absence de compétition pour les non professionnels mais engagés dans les championnats de France depuis quelques mois ou années. Seuls les trois premiers d’une tranche d’âge ont pu aller en compétition et ont été autorisés à s’entrainer depuis l’été. Mais la quatrième ou la cinquième ? Comment peut-on espérer assurer la relève de nos champions dans une discipline où la période d’excellence est courte ?

Nada, pas de piscine, ni de compétition. Les stages toujours prévus sautent aussi au dernier moment. La dépression suit et si on a choisi natation, ce n’est pas pour marcher seul dans les rues de son quartier guetté par la police pour voir si on ne dépasse pas la distance autorisée (et maintenant avant 18 h et peu importe si on a cours).

Les élites qui veulent imposer le grand reset sont indifférents à ces considérations psychologiques, c’est logique, ils font leur « boulot » sans état d’âme au service des milliardaires.

Mais l’acceptation de ceux qui se sont soumis, croyant protéger leurs concitoyens par des mesures sans fondement scientifique ni médical est incompréhensible D’autant que dès mars 2020, le pr Raoult avait largement expliqué qu’il existait un traitement efficace de ce petit virus à condition de le donner tôt ; incompréhensible.

Alors oui, les nageurs non professionnels mais titulaires d’une licence de la fédération ont besoin de retrouver leurs piscines, leurs coachs, leurs amis et de reprendre l’entrainement quotidien, autant que faire se peut, pour retrouver leurs performances d’avant le grand chambardement.

Cela fera toujours autant de travail en moins pour les psychiatres. Même si le mal est fait, comme pour la classe, avec les décrochages nombreux, il faut vite ouvrir pour tous ceux qui attendent chaque jour de retrouver leur vie et pleurent à chaque annonce du ministre de laisser en plan la situation catastrophique, en particulier pour notre jeunesse, avenir du pays.

Jeunesse dont on sous-estime la souffrance que seuls les suicides qui s’accumulent dans les universités semble réveiller (a minima) les médias. Jeunesse abandonnée, comme les seniors qui n’ont pas été protégés davantage puisqu’on leur a refusé les hospitalisations et pire les traitements précoces, et que le ministre et premier ministre ont signé en décret en mars puis en octobre permettant des euthanasies facilitées par le Rivotril au moindre doute de difficultés respiratoires possiblement en rapport avec le covid.  Non la jeunesse n’a pas été sacrifiée pour les vieux, mais en même temps que les plus âgés. Seule la force de travail utilisée dans les entreprises importe encore un peu aux dirigeants.

L’épidémie est terminée. Nous vivons avec des milliards de virus depuis des millions d’années. Ce virus est de plus sensible à de nombreuses molécules de l’artémisine qui a sauvé Madagascar, à l’ivermectine en passant par l’hydroxychloroquine.

Des milliers de médecins engagés[6] [7] sont prêts à vous soigner malgré les menaces du conseil de l’ordre qui ne tiendront pas, vu le nombre de plus en plus grand de résistants. Vous ne sauverez personne en acceptant les ukases du ministère, du masque qui apporte germes et champignons si portés trop d’heures d’affilée, au confinement ou pseudo confinement et méfiez-vous des vaccins peu expérimentés pour l’instant, et dont les premières campagnes en Israël et en Grande-Bretagne ont été suivies d’une augmentation considérable de la mortalité. Prenons du recul.

N’oubliez pas que ce virus tue moins de 0,001 % personne en France. N’ayez plus peur et battez-vous pour reprendre une vie normale le plus vite possible. La vie libre de notre jeunesse est plus importante que des mesures pseudo sanitaires inefficaces.


Notes

[1] Sauf immunodéprimés congénitaux, ou sous traitement pour maladie chronique ou leucémies etc.

[2] Une épidémie, des asymptomatiques, des hospitalisations, des réanimations, des maths, de la physique et de la malhonnêteté intellectuelle assumée. – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[3] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine

[4] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

[5] D’après santé publique France en 1 an le covid a été incriminé dans 3 morts chez les moins de15 ans (dont deux chez des patients qui souffraient de graves maladies antérieures) alors que la grippe en tue chaque année entre 7 et 10.

[6] Laissons-les prescrire

[7] https://manifestes-libertes.org/medecins-engages/




L’étau se resserre sur la clique de Davos

Par Jean-Michel Grau

Rappelons en préambule que le procès intenté contre le Dr Drosten par l’avocat allemand Reiner Fuellmich a pour but de le poursuivre pour crimes contre l’humanité, pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, qui a amené les gouvernements occidentaux à prendre toutes les décisions ravageuses de confinements, couvre-feux, distanciations sociales et port du masque obligatoire. En préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient presque tous positifs, même avec des traces infimes de virus, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Voici le résumé traduit de la dernière communication du Docteur Fuellmich du 11/01/2021. (1)


« Les auditions menées par le Comité Covid de Berlin depuis le 10.07.2020 d’une centaine de scientifiques, d’experts médicaux, d’économistes, de juristes et de personnes de renommée internationale ont révélé que le scandale Covid19 n’a en aucun cas porté sur la santé. La dangerosité de ce prétendu nouveau virus correspond à celle d’une grippe, selon les études du professeur John Ioannides de l’université de Stanford, mais aussi selon l’évaluation de l’OMS. De plus, les tests PCR du Dr Drosten, que la direction de l’OMS sous contrôle financier de la Chine et de la Fondation Bill & Melinda Gates a recommandé comme norme mondiale de référence pour la détection des infections, ne conviennent en aucun cas à la détection des infections. »

« Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent. »

« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes. »

« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal”. »

« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires. »

Le krach financier de septembre 2019 dont presque personne n’a parlé

« À ce jour, il faut partir du principe que ce que nous appelons la clique de Davos (dirigée par Klaus Schwab, ndt) composée d’élites d’entreprises et d’élites politiques autoproclamées qui collaborent intensivement depuis au moins 20 ans dans le cadre des réunions de l’organisation privée du World Economic Forum (WEF) a menacé de donner l’alerte en septembre 2019. Car en septembre 2019, il y a eu un autre krach financier, encore plus grave que la crise financière de la Lehman il y a 12 ans. Cela n’a été rapporté que très brièvement, entre autres de manière très argumentée dans le journal DIE ZEIT, puis le reportage sur cette crise a complètement disparu. »

« Une fois de plus, tout le système financier a été au bord de l’effondrement, car il menaçait de dévoiler que pendant au moins 20 ans, il n’avait servi qu’à piller les contribuables au profit de sociétés agissant comme des mafieux, c’est-à-dire en transférant les actifs des citoyens vers les sociétés. Le meilleur exemple est celui de la fraude fiscale appelée CumEx (2)des financiers opérant en bandes organisées, qui sont restées sans sanction jusqu’à ce jour, grâce auxquelles les banques, les entreprises et les super-riches se sont fait rembourser deux ou trois fois des impôts qu’ils n’avaient payés qu’une seule fois. »

« Ainsi les financiers ont-ils collecté pendant de nombreuses années un total d’environ 38 milliards d’euros par le biais de la fraude fiscale. Cela est passé inaperçu, car le soutien politique pour faire advenir cela venait des politiciens eux-mêmes,qui avaient été rendus dociles par les élites des entreprises fraudeuses au cours des 20 dernières années au moins, en particulier par le biais des réunions privées du WEF. Le fait que le pouvoir judiciaire allemand n’ait rien pu faire montre combien ces financiers sont capables de dominer la politique jusque dans les tribunaux. »

« Nous constatons depuis longtemps, notamment dans le cadre de nos actions en responsabilité des banques pour le financement de l’immobilier bon marché, que quelque chose ne va pas. Car là aussi, il est apparu que la complicité de l’ancien patron de la Deutsche Bank, Josef Ackermann avec Angela Merkel était telle que non seulement il la rencontrait régulièrement à Davos, mais encore allait même jusqu’à fêter son 60e anniversaire directement dans le bureau de la chancelière. Ainsi, avait-il un accès direct aux tribunaux pour la politique et avait-il fait des juges des garçons de courses à sa disposition. Ce n’est que de cette manière que l’on peut expliquer que les juges allemands ont repris aveuglément dans leurs jugements l’affirmation de la Deutsche Bank selon laquelle il était habituel pour elle d’accorder des prêts à des personnes sans contrat de prêt si elles en faisaient la demande, dans l’espoir qu’un jour un contrat de prêt approprié serait conclu, car l’octroi d’un prêt à la demande d’un emprunteur potentiel conduit à la conclusion d’un contrat de prêt. Mais au moment où le contrat de prêt était conclu, la Deutsche Bank ne disposait pas des documents requis pour une conclusion effective du contrat, de sorte qu’aucun tribunal n’a pu constater que le contrat avait été réellement conclu en mettant l’argent à disposition, car sinon la Deutsche Bank aurait coulé comme une pierre ! »

« Aucun d’entre nous n’a tenu compte du fait que la Deutsche Bank est une composante importante du blanchiment d’argent de la clique de Davos, et qu’aujourd’hui, nous avons affaire à une petite élite d’entreprises totalement corrompues qui ne s’arrête devant rien. »

« Paul Schreyer décrit très bien dans son rapport “Pandemic-Planspiele” l’imbrication toujours plus étroite des élites d’entreprises avec les élites politiques depuis au moins 20 ans. (3) Il y décrit également comment ces élites tentent délibérément depuis des années, non seulement de conserver leur pouvoir illégitime, mais de l’étendre à l’infini à l’aide de mécanismes de contrôle massifs et inhumains, avant que les objets de ces mécanismes de contrôle, à savoir nous, ne le remarquent et puissent se révolter contre lui. »

« Le professeur Rainer Mausfeld explique à son tour, dans sa conférence “Pourquoi les agneaux se taisent-ils”, comment la politique depuis de nombreuses années (et sans que le public le remarque) met en scène à plusieurs reprises la peur et la panique pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement. » (4)

« Catherine Austin Fitts, ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquier d’affaires, explique dans “Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown” (5) comment ces “élites” sont en train de mettre en œuvre la prise de contrôle économique des richesses de toute la classe moyenne, car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement. Certains universitaires supposent même un pourcentage inférieur. »

« Cela suppose que les petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, soient fermées par le confinement, de sorte que ces entreprises ne peuvent plus obtenir de revenus, et donc plus payer leurs crédits. L’aide est annoncée, mais elle est en réalité versée avec parcimonie ou pas du tout. Ensuite — cela ne s’applique pour l’instant qu’aux États-Unis — des émeutes sont organisées dans ces régions, qui entraînent une destruction supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues en urgence. De ce fait, des investisseurs privilégiés sur le plan fiscal, à savoir ceux de la clique de Davos, reprennent ces entreprises quasi gratuitement. »

Les litiges juridiques maintenant

« Comme vous le savez, un certain nombre d’institutions et de cabinets d’avocats du monde entier se sont concertés pour dénoncer le contexte décrit ci-dessus avec l’aide des tribunaux et pour demander ensuite aux bailleurs de fonds et aux entreprises responsables d’indemniser les nombreuses victimes des confinements consécutifs au test du Dr Drosten. »

« Les litiges juridiques qui se déroulent actuellement dans le monde entier résultent essentiellement d’une planification conjointe approfondie des scientifiques et des juristes concernés. Car le fait que le test Drosten recommandé par l’OMS dans le monde entier ne puisse pas détecter les infections, et qu’il n’y ait pas d’infections asymptomatiques, donc pas de pandémie, tout au plus une pandémie de test PCR, est d’une importance capitale pour la conclusion de tous les litiges menés dans le monde entier, afin de faire s’écrouler partout le château de cartes des fraudeurs pandémiques. Cela signifie que tout ce qui est établi aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Italie, en France et ailleurs dans ce contexte avec l’aide de témoins et d’experts, peut être utilisé comme preuve dans tous les tribunaux du monde. »

Notre procès des tests PCR contre le Dr Drosten ainsi que les procès ultérieurs

« Le procès contre Drosten sera terminé dans les prochains jours et sera ensuite également déposé auprès du tribunal de grande instance de Berlin. Nous travaillons avec un groupe d’avocats pour préparer un certain nombre d’autres procès qui feront jurisprudence, mais surtout, parce que c’est plus rapide et moins coûteux. Nous obtiendrons ainsi un recours collectif allemand : les avis permettront de mettre sous pression les marionnettes visibles comme Drosten et Wieler, mais aussi les fonctionnaires de Leopoldina, y compris les personnes responsables auprès des autorités des ordres de quarantaine. »

Poursuite du procès des tests PCR à New York

« Les collègues américains du “Robert F. Kennedy Jr’s Childrens Health Defense group” ont déposé une plainte pour tests PCR frauduleux à New York le 16/12/2020, conseillés par les mêmes experts que nous pour un certain nombre de plaignants dont on peut lire le procès en anglais. » (6)

Le procès collectif canadien

« Le recours canadien va devenir un recours collectif international pour toutes les victimes de confinements suite aux tests PCR falsifiés du Dr Drosten.

Les collègues canadiens dirigés par Michael Swinwood ont déposé une action collective début janvier. Le recours collectif est composé d’Indiens et, entre autres, d’un groupe de propriétaires de petites entreprises et d’un représentant des handicapés.

Ce recours, contrairement à tous les autres recours introduits jusqu’à présent, décrit également le contexte historique des structures de pouvoir construites au cours des années derrière la clique de Davos mentionnée plus haut. Voir le procès canadien qu’on peut lire en anglais. » (7)

Jugements au Portugal

« Un premier jugement d’une cour d’appel du Portugal a déjà déclaré de façon spectaculaire que les tests PCR — tout comme leur inventeur, le prix Nobel Kary Mullis l’a souligné à maintes reprises — ne sont pas capables de détecter des infections ou même des maladies.

Ce jugement concerne quatre touristes allemands, dont l’un a été testé positif, ce qui a été considéré comme infectieux par les autorités sanitaires, tout comme par la fausse science allemande et les autorités administratives qui les suivaient aveuglément, entraînant une assignation à résidence jugée inconstitutionnelle par le tribunal, confirmant ainsi le tribunal de première instance. »

« Ce jugement invalide toutes les décisions des tribunaux administratifs allemands, qui ne pouvaient pas ne pas reconnaître dans les décisions d’urgence que les tests PCR ne peuvent pas détecter les infections, mais pensaient néanmoins, en agissant en véritables tribunaux de république bananière par un viol flagrant de la loi, qu’ils devaient suivre les fausses déclarations sanitaires qui mettaient l’accent sur les tests PCR frauduleux entraînant une surcharge accrue du système de soins de santé. »

Action en nullité pour cause de vaccin interdit et plainte constitutionnelle d’un juge allemand pour cause de destruction de la démocratie et de l’État de droit

« Parallèlement à toutes ces actions juridiques, la collègue italienne Dr Renate Holzeisen travaille avec notre aide et celle des experts sur un recours en annulation contre la Commission européenne en raison de l’approbation de vaccins non testés et très dangereux, en ce qui concerne les fabricants Pfizer/Biotech et Moderna, vaccins de facto interdits pour cause d’expériences génétiques sur les humains. De plus, en Italie, les procureurs antimafia, puissants et très bien formés, enquêtent, entre autres, sur l’OMS et ses gouverneurs italiens. En France, une plainte est par ailleurs en cours d’examen devant la Cour des droits de l’homme. »

« En outre, un juge allemand, avec lequel nous sommes en contact, a déposé une plainte constitutionnelle contre les mesures aveugles du gouvernement allemand qui détruisent la démocratie et l’État de droit. Cette Cour constitutionnelle peut être sollicitée par n’importe qui. »

« Nous continuerons à informer en permanence, y compris par des vidéos si nécessaire, sur les développements juridiques. Dans le même temps, nous devons tous nous efforcer de mettre les faits réels à la disposition du plus grand nombre de personnes possible. »

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Dr. Reiner Fuellmich


Notes

  1. fuellmich.com/news/mandanten-information-nr-03-corona-schadensersatzklage/
  2. fr.wikipedia.org/wiki/CumEx_Files
  3. youtube.com/watch?v=SSnJhHOU_28 (vidéo en allemand)
  4. youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w (vidéo en allemand)
  5. youtube.com/watch?v=MSAnq7HOmYs&feature=youtu.be (vidéo en allemand)
  6. fuellmich.com/wpcontent/uploads/content/newsletter/download/20210110/FILE_STAMPED_CO MPLAINT.pdf
  7. fuellmich.com/wp-content/uploads/content/newsletter/download/20210110/FINAL_statement-of- claim-A.pdf

Résumé et traduction du texte du Dr Fuellmich : Jean-Michel Grau




La grande conspiration criminelle du « zéro carbone »

[Source : Réseau International]

par F. William Engdahl

Le Forum économique mondial de Davos proclame la nécessité d’atteindre un objectif mondial de « neutralité carbone » d’ici 2050. Pour la plupart des gens, cet objectif semble lointain et donc largement ignoré. Pourtant, les transformations en cours, de l’Allemagne aux États-Unis, en passant par d’innombrables autres économies, préparent le terrain pour la création de ce que l’on appelait dans les années 70 le nouvel Ordre économique international. En réalité, il s’agit d’un schéma directeur pour un corporativisme totalitaire technocratique mondial, qui promet un chômage énorme, une désindustrialisation et un effondrement économique à dessein. Voyons un peu le contexte.

Le Forum économique mondial (FEM) de Klaus Schwab fait actuellement la promotion de son thème favori, la Grande Réinitialisation de l’économie mondiale. La clé de tout cela est de comprendre ce que les mondialistes entendent par « neutralité carbone » d’ici 2050. L’UE mène la course, avec un plan audacieux visant à devenir le premier continent « neutre en carbone » au monde d’ici 2050 et à réduire ses émissions de CO2 d’au moins 55% d’ici 2030.

En août 2020, sur son blog, Bill Gates, autoproclamé tsar mondial du vaccin, a évoqué la crise climatique à venir : « Aussi terrible que soit cette pandémie, le changement climatique pourrait être pire… La baisse relativement faible des émissions cette année montre clairement que nous ne pouvons pas atteindre le niveau zéro des émissions simplement – ou même principalement – en prenant moins l’avion et en conduisant moins ».

Avec un quasi-monopole sur les médias grand public et les médias sociaux, le lobby du réchauffement climatique a pu amener une grande partie du monde à supposer que le mieux pour l’humanité est d’éliminer les hydrocarbures, notamment le pétrole, le gaz naturel, le charbon et même l’électricité nucléaire « sans carbone » d’ici 2050, ce qui, espérons-le, pourrait éviter une augmentation de 1,5 à 2 degrés centigrades de la température moyenne mondiale. Il n’y a qu’un seul problème à cet égard. C’est la couverture d’un agenda criminel ultérieur.

Les origines du « réchauffement planétaire »

Beaucoup ont oublié la thèse scientifique originale avancée pour justifier un changement radical de nos sources d’énergie. Il ne s’agissait pas de « changement climatique ». Le climat de la Terre est en constante évolution, en corrélation avec les changements dans l’émission d’éruptions solaires ou les cycles de taches solaires qui affectent le climat de la Terre. Au tournant du millénaire, alors que le précédent cycle de réchauffement dû à l’énergie solaire n’était plus évident, Al Gore et d’autres ont, par un tour de passe-passe linguistique, déplacé le récit du réchauffement climatique vers le « changement climatique ». Aujourd’hui, le récit de la peur est devenu si absurde que chaque événement météorologique inquiétant est traité comme une « crise climatique ». Chaque ouragan ou tempête d’hiver est présenté comme une preuve que les dieux du climat nous punissent pour le péché d’émission de CO2 par les humains.

Mais attendez. L’entière raison de la transition vers des sources d’énergie alternatives comme le solaire ou l’éolien, et de l’abandon des sources d’énergie au carbone, est leur affirmation selon laquelle le CO2 est un gaz à effet de serre qui monte dans l’atmosphère où il forme une couverture censée réchauffer la Terre en dessous – le réchauffement planétaire. Selon l’Agence américaine de Protection de l’Environnement, les émissions de gaz à effet de serre proviennent principalement du CO2. D’où l’accent mis sur « l’empreinte carbone ».

Ce qui n’est presque jamais dit, c’est que le CO2 ne peut pas s’envoler dans l’atmosphère à partir des gaz d’échappement des voitures ou des centrales au charbon ou d’autres origines anthropiques. Le dioxyde de carbone n’est pas du carbone ou de la suie. C’est un gaz invisible et inodore essentiel à la photosynthèse des plantes et à toutes les formes de vie sur terre, y compris la nôtre. Le CO2 a un poids moléculaire d’un peu plus de 44 alors que l’air (principalement de l’oxygène et de l’azote) n’a qu’un poids moléculaire de 29. La gravité spécifique du CO2 est environ 1,5 fois supérieure à celle de l’air. Cela laisse supposer que les gaz d’échappement des véhicules ou des centrales électriques ne s’élèvent pas dans l’atmosphère à plus de 12 miles au-dessus de la terre pour former l’effet de serre redouté.

Maurice Strong

Pour comprendre l’action criminelle qui se déroule aujourd’hui autour de Gates, Schwab et des partisans d’une prétendue économie mondiale « durable », il faut remonter à 1968, lorsque David Rockefeller et ses amis ont créé un mouvement autour de l’idée que la consommation humaine et la croissance démographique étaient le problème mondial majeur. Rockefeller, dont la richesse était basée sur le pétrole, a créé le Club néo-malthusien de Rome dans la villa Rockefeller à Bellagio, en Italie. Leur premier projet a été de financer une étude de pacotille au MIT intitulée « Les limites de la croissance » en 1972.

Au début des années 1970, l’un des principaux organisateurs du programme de « croissance zéro » de Rockefeller était son ami de longue date, un industriel canadien du pétrole nommé Maurice Strong, également membre du Club de Rome. En 1971, Maurice Strong est nommé sous-secrétaire des Nations unies et secrétaire général de la Conférence de la Journée de la Terre de Stockholm en juin 1972. Il a également été administrateur de la Fondation Rockefeller.

Maurice Strong a été l’un des principaux propagateurs de la théorie scientifiquement infondée selon laquelle les émissions anthropiques des véhicules de transport, des centrales au charbon et de l’agriculture ont provoqué une augmentation spectaculaire et accélérée de la température mondiale qui menace la civilisation, appelée réchauffement climatique. Il a inventé le terme élastique de « développement durable ».

En tant que président de la conférence de Stockholm des Nations unies pour la Journée de la Terre de 1972, Strong a encouragé la réduction de la population et l’abaissement des niveaux de vie dans le monde entier pour « sauver l’environnement ». Quelques années plus tard, le même Strong a déclaré :

« Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-ce pas notre responsabilité d’y parvenir ? »

C’est le programme connu aujourd’hui sous le nom de Grande Réinitialisation ou Agenda 2030 des Nations unies. Strong a ensuite créé le Groupe d’Experts intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC), un organe politique qui soutient l’affirmation non prouvée selon laquelle les émissions de CO2 produites par l’homme étaient sur le point de faire basculer notre monde dans une catastrophe écologique irréversible.

Le co-fondateur du Club de Rome, le Dr Alexander King, a reconnu la fraude essentielle de leur programme environnemental quelques années plus tard dans son livre, « La première révolution mondiale ». Il a déclaré :

« En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous sommes arrivés à l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres problèmes du même genre feraient l’affaire … Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et ce n’est que par un changement d’attitude et de comportement qu’ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi, c’est donc l’humanité elle-même ».

King a admis que la « menace du réchauffement climatique » n’était qu’un stratagème pour justifier une attaque contre « l’humanité ». C’est ce que l’on appelle aujourd’hui la Grande Réinitialisation et la ruse du « zéro émission nette de carbone« .

Catastrophe des énergies alternatives

En 2011, sur les conseils de Joachim Schnellnhuber, de l’Institut de Recherche sur l’Impact climatique de Potsdam (PIK), Angela Merkel et le gouvernement allemand ont imposé une interdiction totale de l’électricité nucléaire d’ici 2022, dans le cadre d’une stratégie gouvernementale de 2001 appelée « Energiewende » ou « Tournant énergétique », pour s’appuyer sur le solaire, l’éolien et d’autres « énergies renouvelables ». L’objectif était de faire de l’Allemagne la première nation industrielle à être « neutre en carbone ».

Cette stratégie a été une catastrophe économique. Alors qu’elle disposait d’un des réseaux de production d’électricité les plus stables, fiables et à faible coût du monde industriel, l’Allemagne est devenue aujourd’hui le producteur d’électricité le plus cher du monde. Selon l’Association allemande de l’Industrie énergétique BDEW, au plus tard en 2023, lorsque la dernière centrale nucléaire fermera, l’Allemagne sera confrontée à des pénuries d’électricité. Dans le même temps, le charbon, la plus grande source d’énergie électrique, est progressivement éliminé pour atteindre l’objectif « zéro émission nette de carbone« . Les industries traditionnelles à forte intensité énergétique, telles que la sidérurgie, la production de verre, les produits chimiques de base, la fabrication de papier et de ciment, sont confrontées à une montée en flèche des coûts et à des fermetures ou des délocalisations et à la perte de millions d’emplois qualifiés. L’énergie éolienne et solaire, peu efficace, coûte aujourd’hui de 7 à 9 fois plus cher que le gaz.

L’Allemagne ayant peu d’ensoleillement par rapport aux pays tropicaux, le vent est considéré comme la principale source d’énergie verte. Il faut un apport énorme de béton et d’aluminium pour produire des parcs solaires ou éoliens. Il faut de l’énergie bon marché – gaz, charbon ou nucléaire – pour la produire. Au fur et à mesure de l’élimination de cette source d’énergie, le coût devient prohibitif, même sans « taxes sur le carbone » ajoutées.

L’Allemagne compte déjà quelque 30 000 éoliennes, soit plus que n’importe où ailleurs dans l’UE. Ces gigantesques éoliennes posent de graves problèmes de bruit ou de risques sanitaires liés aux infrasons pour les habitants des environs, ainsi que de dégâts causés par les intempéries et les oiseaux. D’ici 2025, on estime que 25% des éoliennes allemandes existantes devront être remplacées et l’élimination des déchets est un problème colossal. Les entreprises sont poursuivies en justice car les citoyens se rendent compte de la catastrophe qu’elles représentent. Pour atteindre les objectifs d’ici 2030, la Deutsche Bank a récemment admis que l’État devra créer une « éco-dictature ».

Dans le même temps, la pression allemande pour mettre fin au transport d’essence ou de diesel d’ici 2035 en faveur des véhicules électroniques est sur le point de détruire la plus grande et la plus rentable des industries allemandes, le secteur automobile, et de faire disparaître des millions d’emplois. Les véhicules alimentés par des batteries lithium-ion ont une « empreinte carbone » totale si l’on tient compte des effets de l’extraction du lithium et de la production de toutes les pièces, qui est pire que celle des voitures diesel. Et la quantité d’électricité supplémentaire nécessaire pour une Allemagne sans carbone d’ici 2050 serait bien plus importante qu’aujourd’hui, car des millions de chargeurs de batterie auront besoin d’une électricité de réseau fiable. Aujourd’hui, l’Allemagne et l’UE commencent à imposer de nouvelles « taxes sur le carbone », prétendument pour financer la transition vers le « Zéro Carbone ». Ces taxes ne feront qu’augmenter le prix de l’électricité et de l’énergie, assurant ainsi l’effondrement plus rapide de l’industrie allemande.

Dépopulation

Selon les partisans du programme « Zéro Carbone », c’est exactement ce qu’ils souhaitent : la désindustrialisation des économies les plus avancées, une stratégie calculée sur plusieurs décennies, comme l’a dit Maurice Strong, pour provoquer l’effondrement des civilisations industrialisées.

Faire de l’actuelle économie industrielle mondiale une dystopie de la combustion du bois et des éoliennes, où les coupures d’électricité deviennent la norme, comme c’est le cas actuellement en Californie, est un élément essentiel d’une Grande Réinitialisation dans le cadre de l’Agenda 2030 : le Pacte mondial des Nations unies pour la durabilité.

En 2015, Joachim Schnellnhuber, conseiller climatique de Merkel, a présenté le programme vert radical du pape François, la lettre encyclique Laudato Si, en tant que représentant de François à l’Académie pontificale des Sciences. Et il a conseillé l’UE sur son programme vert. Dans une interview accordée en 2015, Schnellnhuber a déclaré que la « science » a désormais déterminé que la capacité de charge maximale d’une population humaine « durable » était inférieure de quelque six milliards de personnes :

« D’une manière très cynique, c’est un triomphe pour la science car nous avons enfin stabilisé quelque chose, à savoir les estimations de la capacité de charge de la planète, à savoir moins d’un milliard de personnes ».

Pour ce faire, le monde industrialisé doit être démantelé. Christiana Figueres, contributrice à l’agenda du Forum économique mondial et ancienne secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur le Changement climatique, a révélé le véritable objectif de l’agenda climatique des Nations unies lors d’une conférence de presse tenue à Bruxelles en février 2015, où elle a déclaré : « C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que nous nous donnons pour tâche de modifier intentionnellement le modèle de développement économique qui a régné depuis la révolution industrielle ».

Les remarques de Figueres pour 2015 sont reprises aujourd’hui par le président français Macron lors de « l’Agenda de Davos » du Forum économique mondial de janvier 2021, où il a déclaré que « dans les circonstances actuelles, le modèle capitaliste et l’économie ouverte ne sont plus réalisables ». Macron, un ancien banquier de Rothschild, a affirmé que « la seule façon de sortir de cette épidémie est de créer une économie qui se concentre davantage sur l’élimination du fossé entre les riches et les pauvres ». Merkel, Macron, Gates, Schwab et leurs amis y parviendront en ramenant le niveau de vie en Allemagne et dans l’OCDE au niveau de celui de l’Éthiopie ou du Soudan. C’est leur dystopie du Zéro Carbone. Limiter sévèrement les voyages en avion, en voiture, les déplacements des personnes, fermer les industries « polluantes », tout cela pour réduire le CO2. La pandémie de coronavirus ouvre la voie à la Grande Réinitialisation et à l’Agenda 2030 « Net Zéro Carbone » des Nations unies.

source : https://journal-neo.org

traduit par Réseau International




Propriétaires et prolétaires, même combat

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

La présidente de la BCE, Christine Lagarde, est — il ne faut pas se le cacher — sur la même ligne de conduite que Klaus Schwab, le président fondateur du Forum Économique Mondial (Forum de Davos). Elle, qui fait partie du cartel des financiers dominants (que certains appellent avec juste raison le banco-centralisme), vient encore d’affirmer que la dette des États ne sera pas effacée.

Invitée de BFM Business et BFMTV le 7 février 2021, Christine Lagarde a réagi à la proposition de plus de 100 économistes d’annuler les dettes publiques détenues par la BCE.

Pour elle, cette annulation est

  • « légalement impossible. Ça serait une violation du traité de la zone euro » ;
  • « Ce traité dit que l’on ne peut pas faire tourner la planche à billets pour financer la dépense des États » ;
  • « Annuler cette dette publique, contreviendrait à l’article 123 » ;
  • alors qu’« il n’y a pas unanimité des États membres à ma connaissance pour réviser le traité » ;
  • « Ça coûtera beaucoup plus cher de se refinancer » ;
  • « Les Français savent bien qu’une dette, ça se rembourse, ne pas rembourser ça coûte très cher ».

Il devient évident que certains se servent de cette crise pour encore endetter un peu plus leur pays, un exemple manifeste est le cas Macron, n’a-t-il pas répété à satiété ceci : « Quoi qu’il en coûte. »

« L’actuelle crise économique et sociale mise à bon compte sur le dos de l’épidémie, à grand renfort de “liquidités” abondamment déversées par les Banques Centrales, dont la BCE en Europe, et qui sont devenues les véritables maîtres du jeu de Monopoly, alimentant sans cesse la partie que continuent de jouer, comme potentats locaux à leur solde, les différents gouvernements “nationaux”, dont celui de Macron, en France »

(Luniterre)

Macron a tenu à en rajouter une couche ainsi nous apprenons, grâce au site Politico, que depuis mars dernier six cabinets privés pour 26 missions en lien avec la gestion de la crise du coronavirus ont reçu 11,2 millions d’euros, le cabinet américain McKinsey choisi comme conseil pour placer le soi-disant vaccin anti-covid se taille la part du lion avec 4 millions. Insuffisances méthodologiques des essais des vaccins anti-COVID-19

Lors de son discours du lundi 16 mars 2020 à 20 heures, à six reprises, Emmanuel Macron a utilisé la même expression : « Nous sommes en guerre ! » sur un ton martial visant à sonner la « mobilisation générale » contre un « ennemi (…) invisible, insaisissable ». À la lumière des décisions qui ont été prises depuis par le gouvernement, dont Macron est le responsable, il faut se poser la question fondamentale : de quelle guerre voulait-il parler ? De celle contre le virus ou de celle contre les peuples ?

Dans un précédent article, nous avons vu la parfaite entente de Macron et Klaus Schwab (le président fondateur du Forum Économique Mondial) qui sont intervenus en cœur en dialoguant lors du Forum de Davos 2021 : Les comploteurs démasqués : Macron cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial et de la finance

Sachant que le gang de Davos et son président nous ont concocté un programme aux petits oignons pour la prochaine décennie : le point d’orgue en 2030, Vous n’aurez plus rien et vous serez heureux (D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux). Il peut y avoir de quoi s’inquiéter !

Surtout que ce n’est pas tout : Le masque, premier pas vers le transhumanisme.

Bel aveu, non ?!

C’est l’asservissement par la dette :  ils veulent recréer le système infernal des castes.

Sachez que 30000 médecins français ont demandé fin janvier un retour à la normale : 30 000 médecins français s’organisent, réclamant le retour à la normale — 2e conférence du collectif Coordination Santé libre (suite de l’appel du 9 janvier 2021).

Sachez que l’épidémie est terminée en Inde, en Chine,  en Russie…

Le Nouvel Ordre Mondial est en route et nous devons le combattreRav Dynovisz

Propriétaires et prolétaires, même combat ! Aussi, nous en appelons donc, pour la première fois dans l’histoire, à la convergence des luttes

Remarque terminale

Fermés à tous les débats contradictoires, prenant des décisions unilatérales, sans concertations avec des scientifiques indépendants, les exécutifs de quasiment tous les pays européens  s’enferment dans la démagogie. Prenons n’importe lequel de ces nuisibles, traînons-le dans un tribunal, il se dégonflera comme une baudruche. Cela ne vous rappelle pas ce qui s’est passé  au Tribunal de Nuremberg ?

Perspective

Un nombre croissant d’êtres humains s’ouvre à l’idée (hypothèse ou réalité) que l’Humanité est engagée dans un combat mondial qui n’est pas celui mis en avant par les médias dominants. Il ne s’agit pas d’un prétendu combat contre un virus que l’on veut faire passer pour un ennemi invisible, sachant que par ailleurs chaque corps humain accueille naturellement et en permanence plusieurs centaines de milliers de milliards de virus en son « virome », parallèlement aux dizaines de milliers de milliards de bactéries de son microbiote. Il ne s’agit pas non plus d’un combat entre droite et gauche politiques, ni même d’un combat entre « croyants » et athées. Non. Le combat qui apparaît de plus en plus manifestement est un combat épique, titanesque, planétaire. Celui qui a cours entre une petite minorité élitiste (devenue progressivement ultra riche) et le reste de l’Humanité. Il est le résultat de deux mouvements antagonistes d’origine millénaire, de deux forces qui s’affrontent depuis la nuit des temps et qui ont été observées et interprétées sous différentes formes tout au long de l’histoire humaine. Nous en arrivons de nos jours à la conclusion et la tension est maintenant maximale, de l’ordre des forces tectoniques en présence le long d’une faille sismique à la veille d’un tremblement de terre majeur. Le résultat de ce conflit, qu’il passe ou non par une explosion mondiale, sera la libération de l’Humanité.




Les comploteurs démasqués : Macron cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial et de la finance

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Le 1er décembre 2020, nous avons publié cet article : Le Choc en Retour II ou Macron en Place sur son siège… éjectable.

Le 26 janvier 2021, Macron a participé au Forum Économique Mondial virtuel de Davos 2021 en faisant une intervention en compagnie de Klaus Schwab.

Forum Économique Mondial de Davos

Le Forum Économique Mondial (weforum.org)

Klaus Schwab

Klaus Schwab est le fondateur et le président du Forum de Davos (Forum Économique Mondial) depuis 1971. C’est sans aucun doute un des plus fervents promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, il y a consacré toute sa carrière !
Le livre de Klaus Schwab écrit avec un collaborateur (Thierry Malleret) et publié en 2020.

COVID-19: The Great Reset | Malleret, Thierry & Schwab, Klaus

Analyse de cet ouvrage par des journalistes dissidents de The Guardian :
• en anglais : https://off-guardian.org;
• traduction en français : Le « Great Reset » n’est pas du complotisme.

Intervention commune de Klaus Schwab et de Macron

Transcription

INTERVENTION DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DANS LE CADRE DE L’AGENDA DE DAVOS ORGANISÉ PAR LE WORLD ECONOMIC FORUM

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Le Président de la République

Bonjour, Professeur SCHWAB, je suis très heureux aussi de vous retrouver par ce biais, et merci en effet d’avoir organisé ces échanges qui, je crois, s’imposent encore plus dans la période.

Je voudrais faire le lien entre le monde d’aujourd’hui et le monde d’après. D’abord parce que dans tous nos pays, les sociétés se transforment avec l’expérience qu’on est en train de vivre. Et je crois qu’on a quelques leçons à retenir de ce qu’on vit tous ensemble depuis un peu plus d’un an, et qui va encore durer, on le sait, pendant des mois, certains nous disent, des années. Avec en tout cas une présence plus ou moins forte de ce virus.

Je crois que la première chose que ça nous a enseigné, c’est qu’on ne peut pas penser l’économie sans l’humain. Alors, ça paraît être une banalité de dire ça, mais enfin, nous avons fait, dans tous nos pays, quelque chose qui était considéré comme impensable, c’est-à-dire qu’on a arrêté toutes les activités économiques pour protéger des vies. Première leçon. Et on s’est rappelé que l’économie dont vous parlez, c’était une science morale et donc que la vie des hommes primait sur les échanges et les chiffres.

La deuxième chose, c’est que cette période nous rappelle notre vulnérabilité, à titre personnel, si je puis dire (j’en ai fait les frais en l’attrapant), mais comme organisation, entreprise, société, pays. Et la vulnérabilité, ça veut dire qu’on ne peut pas penser nos organisations de notre économie sans l’intégrer. Et c’était au fond une idée qui nous paraissait – certains avaient plus conscience que d’autres sur ce sujet – mais qui nous paraissait parfois lointaine quand on parlait de l’écologie et du climat. Mais c’est la même notion. C’est de dire : ce qui se passe autour de nous a un impact sur notre quotidien et peut, en quelque sorte, briser les chaînes, changer nos vies.

Une fois que j’ai dit ça, ça veut dire qu’on ne peut rien reconstruire, à mes yeux, dans le monde d’après- Covid, qui ne tire les leçons de ces deux éléments fondamentaux. L’économie est redevenue une science morale, et rien n’est au-dessus de la valeur humaine ; et nos sociétés sont vulnérables parce que la nature nous le rappelle et elles sont vulnérables face à des événements pandémiques, climatiques et autres.

Et donc, l’économie de demain, forte de ces enseignements, mais de ce qu’on savait aussi avant, parce qu’il y a aussi, on parle beaucoup des variants dans cette période, il y a aussi des invariants, eh bien, l’économie de demain, c’est à mes yeux, une économie qui va devoir penser à la fois l’innovation, la vulnérabilité et l’humanité, et donc qui va devoir construire une autre compétitivité compatible et même aidant à la résolution des problèmes climatiques : réduction du CO2, adaptation de nos sociétés parce qu’on en a déjà les conséquences, agenda biodiversité. Ça veut dire une économie qui devra être plus résiliente aux chocs et donc intégrer dans ses modes de protection des individus, dans ses organisations des éléments de résistance, soit dans ses chaînes de production, soit dans ses organisations logistiques très fines des éléments de résilience -on pourra y revenir si vous le souhaitez- et une économie qui prenne en compte ce principe d’humanité, qu’il s’agit d’ailleurs du sanitaire ou des inégalités sociales. Et on avait ce problème, on en avait parlé ensemble il y a un an. Et je crois qu’on ne sortira pas de la Covid-19 avec une économie, je dirais, qu’on sortira plutôt de la Covid-19 avec une économie qui aura encore plus en son cœur la problématique de la lutte contre les inégalités. Voilà les quelques convictions rapidement brossées.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, je crois, l’année passée, vous avez dit dans une réunion de l’OID que le capitalisme est devenu fou, et dans le contexte que vous dites d’une économie morale, quelle est votre conception du rôle de l’entreprise, de la philosophie de l’entreprise ? Je pose la question parce que j’ai publié aujourd’hui un livre qui s’appelle « Stakeholder capitalism », which means un capitalisme des parties prenantes. Quelle est votre philosophie ?

Le Président de la République

Je me retrouve dans la formule du stakeholder capitalism, mais au fond, ce qui est vrai, c’est quand on regarde l’évolution des dernières décennies, nous avons un capitalisme qui, d’abord, capitalisme et économie de marché ont des vraies réussites dans cette dernière décennie, parce qu’il ne faut pas caricaturer les choses. Elle a permis l’ouverture des économies. Le commerce mondial, le capitalisme ont permis de sortir de la pauvreté des centaines de millions de personnes. Donc ça, ça a eu un intérêt. Ça a permis de procéder à beaucoup d’innovations, ça a permis de répondre à des demandes du citoyen consommateur de nos économies de manière extraordinaire, avec de l’accès aux biens et à des services comme rarement dans l’humanité, nous y avons eu accès. Donc ça, c’est le formidable succès des dernières décennies. Il y a une façon à tout cela. C’est que tout cela est allé avec, un, évidemment, de la création d’inégalités dans nos sociétés ; c’est-à-dire que l’ouverture et la théorie des avantages comparatifs a permis de sortir de la pauvreté à l’autre bout du monde des gens et d’autres concitoyens pour accéder à la production, mais à la sortie de la production et donc de l’activité, de l’utilité sociale, d’un rôle réel et d’un accès aux salaires, beaucoup de nos concitoyens qui ont eu à souffrir des crises de délocalisation que toutes les économies développées ont eu à vivre. Et c’était un choc à la fois économique et social pour des centaines de millions dans le monde, dans mon pays des centaines de milliers, voire des millions de personnes qui ont eu ce sentiment de perte d’utilité, qui ont perdu leurs emplois avec une vraie crise économique et morale. Et en quelque sorte ce problème, il a été externalisé par le capitalisme des dernières décennies.

Le deuxième sujet, c’est la déconnexion entre la création de valeur et les profits. Il y a une financiarisation de ce capitalisme. La financiarisation, c’est une très bonne chose quand elle permet d’aller plus vite, quand elle permet de procéder à la bonne allocation de l’épargne vers les besoins de financement. C’est une mauvaise chose quand elle sur-alloue en quelque sorte de la rémunération, alors qu’il y a peu de prise de risque et donc qu’elle permet des enrichissements qui ne sont pas liés ni à un travail ni à un phénomène d’innovation. Et c’est ce qui s’est passé. Donc, il y a eu une espèce d’emballement qui a accru ce premier phénomène d’inégalité. On a revu dans toutes nos sociétés une inégalité croissante en leur sein.

Troisième phénomène, avec l’accélération des réseaux sociaux, elle a mondialisé l’imaginaire en créant aussi une insoutenabilité, si je puis dire, des systèmes de comparaison, je dirais ce terme, de plus en plus difficiles.

Quatrième problème, elle a totalement externalisé le problème climatique pendant des décennies, c’est- à-dire qu’on a créé une logistique mondiale, des échanges mondiaux. On a dit au fond, il y a deux rois dans ce système : le consommateur et l’actionnaire, et le système a très bien produit pour le consommateur et l’actionnaire, mais il a ajusté sur le travailleur et sur le reste de la planète. Et en quelque sorte, on a créé des externalités négatives, comme on dit pudiquement, en termes climatiques.

Ces quatre phénomènes ont alimenté la crise des inégalités sociales, la crise de la démocratie et la crise climatique. Et donc, le modèle capitaliste marié à l’économie de marché ouverte, il ne peut plus fonctionner dans cet environnement. Pourquoi ? Parce qu’il a été le fruit historiquement d’un compromis qui étaient des sociétés démocratiques, l’individu libre, des libertés individuelles, le progrès des classes moyennes qui ont créé la soutenabilité dans chacune de nos sociétés. Et il est en quelque sorte complètement percuté, cet équilibre, ce consensus qu’il y avait, par ces 4 accélérations. Et donc, moi, je crois très profondément dans votre Stakeholder Capitalism, entre autres, c’est-à-dire dans l’idée de dire qu’on doit remettre au cœur du modèle la réponse à ces problématiques.

On a au fond, durant les dernières années, essayé d’y répondre par une réponse des États. L’État seul ne peut pas le faire parce que sinon on a un problème, c’est que l’État est le seul à corriger des externalités négatives. Et donc, il s’endette de plus en plus pour payer tout seul la réponse aux problèmes climatiques, pour payer tout seul la réponse aux inégalités. Et vous avez en quelque sorte un modèle où la dette publique devient trop importante et/ou c’est le contribuable qui vient payer pour toutes ces crises. Le contribuable est en quelque sorte le sédentaire de ce modèle et celui qui ne peut pas non plus en tirer tous les bénéfices. C’est pourquoi ma conviction, c’est que le modèle capitaliste, parce que je crois malgré tout que nous construirons l’avenir de l’humanité en gardant quelques fondamentaux : la propriété privée, la coopération, les libertés individuelles et collectives qui ont fait nos sociétés. Et donc, que tout ça doit simplement conduire à repenser nos organisations pour réintégrer au cœur de l’entreprise. Eh bien, la prise en compte des inégalités sociales dans nos pays, des inégalités entre les différents espaces géographiques, des conséquences climatiques que nous vivons, entre autres.

Et au fond, ce qu’on a ces dernières années appelé la responsabilité économique, environnementale, sociale de nos entreprises, l’approche par l’impact de nos entreprises, ce sont des innovations qu’il nous faut maintenant pousser beaucoup plus loin et nous devons réformer nos entreprises en leur sein pour qu’en leur cœur, pour que, en quelque sorte, l’ensemble des parties prenantes, donc stakeholders, les employés, les dirigeants, les actionnaires intègrent dans leurs comportements, mais aussi dans ce qu’on mesure, eh bien, l’impact de leurs actions en termes économiques, sociales, environnementales et démocratiques.

Pr. Klaus SCHWAB

Vous avez mentionné qu’en mesure, je suis très heureux, monsieur le président, de vous dire qu’aujourd’hui même, on a annoncé l’engagement de la société ici virtuellement, de reporter régulièrement selon des critères très exacts sur le progrès qu’ils font dans leur responsabilité sociale, écologique et aussi en ce qui concerne la goutte [inaudible]. J’aimerais bien reprendre l’écologie. Je crois avec aussi l’engagement maintenant du Gouvernement de la nouvelle administration américaine pour les objectifs du traité de Paris. Ma question, on a certainement fait beaucoup de progrès, mais je vous demande : est-ce que vous êtes satisfait avec ces progrès ? Ou est-ce que vous souhaiterez une sorte de nouveau consensus qui va au-delà de ce qu’on a discuté et décidé auparavant ?

Le Président de la République

Je pense plusieurs choses sur ce sujet. D’abord, on a une question de mise en œuvre, on a discuté et on s’est mis d’accord sur beaucoup de choses : un agenda climatique, l’agenda de Paris. Et aujourd’hui, nous ne sommes pas au rendez-vous tous ensemble, exactement de nos actes. Et donc, je pense que la priorité des priorités, c’est de manière coordonnée, de tout faire pour tenir nos engagements. Je dis de manière coordonnée parce qu’en quelque sorte, le passager clandestin peut détruire tout le système. Tout cela ne marche que si on avance ensemble au même rythme pour ne pas créer des biais de compétitivité. Et c’est en cela que les dernières années ont été capitales au moment où les États-Unis d’Amérique avaient décidé de quitter l’accord de Paris, à l’été 2017, il y avait un grand risque. Et moi, je regarde quand même les années qui viennent de s’écouler comme des années de résistance formidable où le château de cartes ne s’est pas effondré parce qu’on a tous ensemble tenu, on a créé cette initiative du One Planet Summit le 12 décembre 2017 avec ces coalitions. Tous ensemble on a tenu, Européens, avec beaucoup de pays émergents, développés, avec la Chine il faut bien le dire aussi qui a coopéré très fortement et avec le secteur privé et les États fédérés américains. Et là on a une administration américaine dont le premier geste est de revenir dans les accords de Paris.

Donc, moi, mon premier objectif, c’est qu’on tienne ces accords de Paris ; rehaussement de nos objectifs 2030, nous l’avons fait en européen en décembre dernier avec la réduction d’émissions comme on l’a dit, -55%, ce qui est un objectif très important. Deuxième point, neutralité carbone 2050. Ce sont les deux points de passage absolument décisifs pour, dans les prochaines années, structurer nos comportements. Derrière, il faut qu’au niveau régional et national, on décline ces stratégies et c’est là le plus dur, c’est-à-dire avoir un prix carbone suffisamment élevé, des mécanismes qui incitent nos entreprises et nos investisseurs à aller plus vite dans la direction, des mécanismes d’accompagnement et de sanction pour que les entreprises et les ménages puissent aller plus vite et plus fort, qu’on renouvelle plus rapidement notre parc automobile, qu’on change plus vite la rénovation de nos bâtiments, etc. etc. Donc ça, c’est le premier pilier, il est essentiel.

Le deuxième pilier, il est d’embarquer véritablement tout le secteur financier et toutes les entreprises et ça rejoint la discussion qu’on avait juste avant. On a des coalitions très importantes à cet égard, et moi je crois beaucoup à l’initiative qu’on a mise en place avec le One Planet Summit, des sovereign wealth funds, asset managers et private equity. Et on l’a réuni le 12 décembre dernier en mode virtuel. Et maintenant, on a réussi à généraliser, en effet, une même nomenclature. Tout le monde s’est engagé avec la task force for Climate-related financial disclosure, TCFD, qui est une vraie avancée à cet égard. On a une même méthodologie et on avance. Donc les investisseurs se sont engagés sur une méthodologie de mesure qui correspond exactement à ce que vous venez de dire et qui, maintenant, est en train de se décliner sur les entreprises. Et par exemple, on a obtenu en décembre dernier, le 12 décembre dernier, que les 40 entreprises du CAC 40 français intègrent cette méthodologie. Ce qui veut dire qu’elles vont devoir reporter à leurs actionnaires, aux marchés, le fait qu’elles sont justement elles- mêmes conformes à ses engagements et qu’elles font des efforts.

Troisième pilier de notre action, c’est qu’on fasse la même chose sur la biodiversité. Moi je crois beaucoup qu’on ne tiendra l’engagement climatique que si on arrive à engager nos entreprises, nos investisseurs, nos pays sur un agenda biodiversité. C’est tout le sens d’ailleurs de ce qu’on a fait avec One Health, qui est de rassembler notre sujet santé humaine, biodiversité, lutte contre le réchauffement climatique et contre la désertification. Mais je crois véritablement qu’on n’est encore qu’au début sur le climat, sur la biodiversité. Et c’est très important parce que c’est des changements de production dans notre agriculture, c’est des changements de notre mode de consommation, de notre mode de vie. Et donc là, nous avons à bâtir cette année les règles communes. Et donc quand vous dites qu’est-ce que l’on doit réussir à négocier de plus ? Eh bien moi, je pense qu’à la COP de Kunming, on doit réussir à négocier l’équivalent de l’accord de Paris pour la biodiversité. Nous avons réuni, il y a quelques jours à Paris et en mode virtuel, un One Planet Summit biodiversité, c’était le premier du genre. On a pris plusieurs initiatives très fortes : la Grande Muraille verte, justement, pour dans 11 pays du Sahel et de la Corne de l’Afrique, réussir à lutter contre la désertification ; beaucoup d’initiatives en matière de biodiversité. Et on a lancé une initiative, là aussi, de disclosure en matière financière pour intégrer la biodiversité dans ces critères, avec un rendez-vous qui se tiendra cet été. Et donc, ça, c’est le point clé. Voilà les trois piliers.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, si on prend tous ces changements, est-ce que ça signifie aussi un nouveau mode de mondialisation ? Est-ce c’est aussi, comme on dit, un « new normal » pour la mondialisation ?

Le Président de la République

Alors complètement. Je vais vous dire, tout ce qu’on est en train de se dire converge pour moi vers trois éléments. Le premier, on doit bâtir un nouveau consensus. Le 11 novembre dernier, lors du Forum de Paris pour la paix, on a essayé de réunir des chefs d’Etat et de gouvernement, des ONG, des organisations internationales, des intellectuels pour essayer de réfléchir à ce qu’on a appelé très immodestement le consensus de Paris. C’est le consensus de partout, qu’importe, mais de se dire plusieurs décennies après le consensus de Washington, il nous faut bâtir un nouveau consensus dont les règles ne sont pas la réduction de l’État, la baisse du secteur public et la création de valeur uniquement pour justement l’actionnaire. Et donc on doit bâtir, et c’est exactement la discussion qu’on a depuis tout à l’heure ensemble, un nouveau consensus qui intègre tout cela et qu’il remet au cœur du modèle. Deuxième point, il faut trouver un nouveau mode de coopération entre les États, c’est-à-dire retrouver un multilatéralisme efficace. C’est ce à quoi je crois depuis des années. Il était bloqué, en effet, par une administration américaine qui n’y croyait pas. Je nourris beaucoup d’espoirs en ce début d’année avec un partenaire américain, je l’espère, qui va se réengager, et donc nous devons construire un multilatéralisme efficace qui permettra de répondre et de mettre en œuvre ce nouveau consensus. Et puis, troisième chose, on a besoin de bâtir ces nouvelles coalitions, celles-là même qu’on a essayé de construire dans le cadre des One Planet Summit. C’est-à-dire qu’au fond, pour répondre à ces défis, le « new normal » dont vous parlez est une interaction et je salue à cet égard le caractère très innovant de votre forum, depuis des décennies, vous avez pensé ça, c’est-à-dire la coopération, mais au concret entre les États, les ONG, les entreprises, les investisseurs. C’est-à-dire que ce « new normal » dont on parle, la mise en scène du consensus, ce n’est pas qu’un multilatéralisme intergouvernemental, ce sont des coalitions d’acteurs hétérogènes qui se donnent les mêmes objectifs pour avoir des résultats.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, ça me donne justement une raison de vous demander : je sais votre intérêt pour toutes les nouvelles technologies, pour ce qu’on appelle la quatrième révolution industrielle, mais dans toute sa conception, disons, le numérique joue un très grand rôle.

Comment voyez-vous l’impact de la puissance de l’écosystème numérique sur tout ce que vous avez dit ?

Le Président de la République

Je pense qu’il y en a plusieurs. Le premier, c’est que nous sommes en effet en train de multiplier les révolutions, quand on parle de numérique. Il y a plusieurs révolutions en une. Nous sommes au début de plusieurs révolutions technologiques qui nous font complètement changer de dimension. On a la révolution de l’intelligence artificielle, qui va totalement changer la productivité et même aller au-delà du pensable dans énormément de verticaux, de l’industrie à la santé en passant à l’espace. À côté de la révolution de l’intelligence artificielle, il y en a une deuxième qui, pour moi, est totalement fondamentale, qui est celle du quantique, qui va là aussi, par la puissance de calcul et la capacité d’innovation, profondément changer notre industrie, en changeant l’industrie des capteurs et donc ce qu’on peut faire dans l’aéronautique, ce qu’on peut faire dans le civil, changer totalement la réalité du cyber, par exemple ; et notre puissance de calcul, ce qui veut dire aussi la capacité qu’on a à résoudre des problèmes. Je prends l’épidémie que nous sommes en train de vivre, l’intelligence artificielle et le quantique sont des instruments de gestion, de transformation de gestion de l’épidémie. C’est-à-dire que vous pourrez régler des problèmes qui aujourd’hui prennent des semaines, en un jour. Vous pourrez régler des problèmes de diagnostic, peut-être en quelques secondes, grâce au croisement de l’imagerie médicale et de l’intelligence artificielle. Et donc dans la grande famille de ce qu’on appelle le numérique, on a en fait une convergence entre des innovations, celles du numérique, qui est au fond, quand on appelle ça génériquement, des réseaux sociaux et d’une hyper connectivité avec celle de l’intelligence artificielle et des technologies quantiques.

Le mariage de tout ça fait que nous allons rentrer dans une ère d’accélération de l’innovation, de rupture très profonde d’innovation et donc de capacités à commoditiser certaines industries et créer de la valeur très vite. Par rapport à ce que j’ai dit, qu’est-ce que cela a comme impact ? Un, on va continuer

àinnover et à accélérer. C’est sûr. Deux, il y aura des impacts en termes d’ajustement sociaux et il nous faut les penser dès maintenant. C’est-à-dire que le sujet des inégalités sociales va être encore plus prégnant dans un monde comme celui que je viens d’évoquer parce que nous aurons des impacts, des ajustements qui seront réels et qui sont à penser dès maintenant. Trois, tout cela a des impacts en termes démocratiques qui sont massifs. Et donc si vous voulez, pour moi, ces innovations vont être des accélérateurs de nos problèmes sur le plan social et démocratique. L’expérience américaine des dernières semaines l’a montré sur le plan démocratique, si besoin était. Quatre, la bonne nouvelle c’est que je pense que sur la résilience de nos systèmes et la réponse à la crise climatique, on a sans doute sous-estimé l’apport de l’innovation et je pense aussi que toutes ces technologies vont nous permettre, beaucoup plus vite, de répondre aux défis climatiques.

Et donc si je regarde, que je prends deux pas de recul par rapport à tout ce qu’on est en train de se dire, je pense que nos économies vont devoir de plus en plus investir dans ces innovations et il faut y aller à fond. Je pense que si on s’y prend bien et qu’on coopère entre nous, ces innovations vont nous permettre de créer de la valeur, de répondre aux défis économiques. Elles vont nous permettre, je l’espère, je le crois possible, de répondre plus vite aux défis climatiques. Et c’est aussi pour ça que moi je crois à ce que j’appelle l’économie du mieux, la réponse climatique par l’innovation plutôt que par l’arrêt des activités. Mais elles vont nous poser des problèmes sur lesquels nous n’avons pas assez réfléchi en termes démocratiques, en termes de libertés publiques et d’augmentation des inégalités sociales dans nos différentes nations.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, c’était vraiment une vision intégrale de notre avenir. Mais notre avenir ne va arriver automatiquement, il faut le construire. Et je suis heureux, on a vu, à travers votre présentation, qu’il y a des gens et des leaders qui ont une perspective très claire comment devrait cet avenir – qu’est- ce que devrait être cet avenir qu’on veut construire pour le bien de tout le monde. Alors un grand merci, Monsieur le Président, et je suis désolé que la technologie, pendant un moment, avec la ligne entre Paris et Genève, nous a réservé certaines surprises. Mais je crois que c’était un grand événement en regardant l’avenir. Merci bien Monsieur le Président de la République.

Le Président de la République

Merci Professeur, merci cher Klaus et je remercie tout le monde. En effet, nous sommes parfois plongés dans le quotidien mais je pense que c’est aussi important – et merci de m’en avoir donné l’occasion – d’essayer de regarder ensemble le cap et d’échanger sur ces sujets. Et votre conclusion le dit très bien, je la partage et je m’arrêterai là dessus, n’oublions jamais que notre objectif est toujours en société de construire la vie bonne, avec les vertus qui vont avec et la volonté de respecter l’autre. Et je pense que c’est au service de cet objectif qu’on doit mettre chacune de nos actions. Donc merci beaucoup, tous mes vœux et j’espère à très bientôt physiquement.

Pr Klaus SCHWAB

A bientôt, au revoir Monsieur le Président.

Le Président de la République

Merci beaucoup, merci Klaus, merci Professeur.

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Commentaire

À l’évidence, les deux sont entièrement sur la même longueur d’onde. Ils partagent les mêmes idées. Ils prônent les mêmes solutions. Culs et chemises, ils sont ! D’après eux, le virus covidien les a fait réfléchir. Le système capitaliste est injuste. Il faut le modifier, le transformer, l’améliorer… L’écologie devient subitement une de leur priorité, alors que ce sont leurs petits copains qui pendant des décennies, en prônant le libéralisme économique, ont le plus contribué à saloper notre planète. La préservation de la santé de l’homme devient tout aussi subitement la priorité absolue. Elle justifie les confinements et la dépression économique. Ce qu’ils oublient de dire est que cette dépression, ils l’ont voulue. Ce sont eux qui l’ont créée, pour une raison très simple : tout le système financier a failli s’effondrer en automne 2019 ; les banques ne voulaient plus se prêter entre elles. (Voir : Le bon virus au bon moment). Mais ce n’est pas tout, au passage ils en ont profité pour faire quelques profits, et saigner les pigeons (voir : Lettre ouverte à Maître Di Vizio, aux Professeurs Raoult et Perronne et au Docteur Fouché).

En cas de crise majeure, tout était planifié depuis de nombreuses années, comme le prouve la mise en place dès le printemps 2020 des éléments contenus sur le site du Forum Économique Mondial.

Ce qui est très significatif dans cette histoire, c’est le silence médiatique : aucun écho un tant soit peu élaboré de ces manigances et de ces bacchanales : ni à la télévision, ni à la radio, ni dans la presse… À votre avis pourquoi ?

Intervention du Ministre allemand de la Santé

[Source :  Maurizio Blondet]

Le ministre allemand de la Santé admet au forum en ligne de Davos qu’il n’arrêtera pas de propager la terreur du Coronavirus tant que l’ADN de la population entière ne sera pas modifié avec l’ARNm et le Great Reset ne sera pas terminé.

Vidéo en allemand [Nécessité de vérifier la traduction ci-dessus]

Voir aussi :


Tranquillement le ministre de la santé québécois : “On a hâte de commencer à vacciner pour éliminer nos personnes vulnérables”




Le loup-garou expliqué aux innocents

Par Jean Michel Grau

Ou comment révolter les Gaulois réfractaires en décodant le discours élyséen.

Il était une fois un apprenti président aux dents longues qui voulait changer le monde.

Comme il n’avait aucune idée pour le faire — il était énarque — il s’adressa au gros poulpe de Davos qui avait mis au point avec ses amis les requins de la finance mondialiste, une grande réinitialisation du capitalisme pour permettre à ceux-ci, réunis au sein de son Forum de Davos, de s’enrichir encore plus sur le dos des bons peuples. À l’occasion de la dernière réunion du Forum de janvier 2021, l’apprenti président expliqua donc à son maître le gros poulpe en visioconférence depuis l’Élysée(1) comment il allait s’y prendre pour faire advenir « le monde d’après » du gros poulpe à son petit peuple confiné, infantilisé, muselé, puis sous couvre-feu par le Covid 19, depuis un an déjà.

Dans un discours-fleuve de banalités, platitudes et autres idées aussi convenues que soporifiques, il s’enflamma soudain sur le « new normal », concept nébuleux qui devait faire advenir « le monde d’après », prélude à un univers radieux et enchanteur. Oui, le « new normal » allait bouleverser toute la planète, en était-il persuadé.

Seulement voilà, comment y arriver ? Le cauchemar sanitaire que les français endurent depuis un an, l’apprenti président affirma qu’il allait durer encore des mois, « certains disent même des années » ajouta-t-il avec gourmandise. Il assuma ainsi avoir « arrêté toutes les activités économiques pour protéger des vies ». Vraiment ? Pour un virus mortel à 0,05 % : étonnant, n’est-il pas ?… Continuons.

Il affirma ensuite que la vie des hommes primait sur les échanges et les chiffres. Certes… sauf qu’en paralysant des pans entiers de l’économie française : PMI-PME, restaurateurs, petits commerçants, agriculteurs, industries culturelles et du tourisme, c’est encore bien plus de vies humaines que d’activités menacées de disparition pure et simple : la brusque augmentation des suicides par désespoir dans ces catégories sociales n’en est que la preuve la plus sinistre à mettre à son actif.

Ensuite, il confia que « ce virus nous rappelait notre vulnérabilité. » Il ajouta cyniquement qu’il en avait fait les frais en l’attrapant, comme si son petit cas personnel était comparable à celui de tous les désespérés mentionnés ci-dessus. Et il conclut que « l’économie est une science morale, car rien n’est au-dessus de la valeur humaine… » Que n’a-t-il appliqué ce beau précepte au lieu de s’acharner à détruire depuis des années, avant même d’être président, les fleurons de l’industrie française : Alstom, Alcatel, Technip, Latécoère et d’encourager toujours plus d’importations, de délocalisations et de destruction des services publics ? Où sont donc passées « la science morale » et « la valeur humaine » dans tous ces emplois détruits et toutes ces vies brisées ?

Ensuite, il affirma qu’« on ne sortira pas de la crise du Covid 19 tant que l’on n’aura pas résolu la lutte contre les inégalités. » Les gilets jaunes apprécieront, eux qui ont été systématiquement réprimés et sauvagement massacrés depuis 3 ans, au lieu d’être simplement écoutés…

L’apprenti président reconnut alors que si « le capitalisme mondial a permis de sortir de la pauvreté des centaines de millions de personnes d’un côté de la planète », il a en revanche « créé de l’inégalité en favorisant des crises de délocalisation à l’autre bout. ». Il ajouta : « cela a aussi été un choc économique et social pour des centaines de millions d’autres dans le monde. » Peut-on pour autant parler de « formidable succès » comme il le claironna au gros poulpe derrière son pupitre ? Étrangement, il dénonça ensuite « la financiarisation de l’économie qui a accentué encore la progression des inégalités », alors qu’il la trouve formidable, car elle permet d’avancer plus vite.

Un chef-d’œuvre de « et en même temps » dans le texte. Comprenne qui pourra…

Il s’indigna ensuite que « la mondialisation et la financiarisation de l’économie avaient accru la crise des inégalités, la crise de la démocratie et la crise climatique. » Très bien tout ça… sauf qu’il en conclut que « le modèle capitaliste marié à l’économie de marché ne peut plus fonctionner, car il est le fruit d’un compromis entre des sociétés démocratiques, des libertés individuelles et le progrès des classes moyennes. » Autrement dit : rien que des empêcheurs de tourner en rond et de faire des affaires… Et il ajouta qu’on a cru que les États pourraient répondre aux inégalités pour corriger ce qu’il appelle pudiquement « des externalités négatives », comprendre : les excès de la financiarisation, « en donnant la part belle aux actionnaires au détriment de l’économie réelle, à savoir l’économie des États. » Il reconnaissait enfin que « l’État ne pouvait apporter tout seul la réponse aux problèmes climatiques et aux inégalités, entraînant une dette publique trop importante et le contribuable à payer pour toutes ces crises. » Quelle clairvoyance ! Que proposait-il alors ?

Tout en affirmant à la 10e minute de l’entretien qu’il convenait de « conserver la propriété privée, la coopération, les libertés individuelles et collectives, il ajouta qu’il fallait prendre en compte les inégalités sociales et les conséquences climatiques pour que les parties prenantes des entreprises : employés, dirigeants, actionnaires, intègrent dans leur comportement l’impact de leur action économique, sociale, environnementale et démocratique. » On se frotte alors les yeux et les oreilles : a-t-on bien entendu ? Formidable, non ? Pas si vite, ne nous emballons pas !

Car la fin de l’entretien part alors en vrille sur un grand délire de notre président en herbe sur

« l’innovation et l’intelligence artificielle qui permettra en matière de gestion de l’épidémie du Covid de régler en un jour des problèmes qui prennent des semaines, de régler des problèmes de diagnostic en quelques secondes, une capacité de « comodiciter » (sic) certaines industries… »

Maintenant, nous prions tout un chacun de boucler sa ceinture avant le décollage sur les impacts de l’innovation. Ainsi sur un air martial, notre petit guide de l’Élysée de déclamer haut et fort :

1) « On va continuer à innover et accélérer. »

2) « Il y aura des impacts en matière d’ajustements sociaux et il nous faut les penser dès maintenant. »

C’est dire que le sujet des inégalités sociales va être encore plus prégnant que dans le monde que je viens d’évoquer. » Traduction : tous ceux qui croyaient encore naïvement à la 10e minute de l’entretien « qu’il faut prendre en compte les inégalités sociales » en seront pour leurs frais à la 23e. C’est d’autant plus vrai que toutes les professions impactées par la dictature sanitaire : PMI-PME, restaurateurs, petits commerçants, agriculteurs, industries culturelles et du tourisme ne rouvriront JAMAIS. C’est écrit noir sur blanc dans le livre du gros poulpe(2) : Covid 19, la grande réinitialisation, dont notre apprenti président est le plus servile et zélé exécutant.

3) « Tout cela a des impacts en termes démocratiques qui sont massifs. Ces innovations vont être des accélérateurs de nos problèmes sur le plan social et démocratique. »

Voilà qui a le mérite d’être clair… mais parfaitement incohérent avec ce qu’il affirmait 13 minutes auparavant, à savoir « qu’il convient de conserver les libertés individuelles et collectives. »

Et pour mieux faire comprendre « les accélérateurs de problèmes » que sont les innovations « sur le plan social et démocratique », il ajouta avec une franchise désarmante : « L’expérience américaine ces dernières semaines l’a montré sur le plan démocratique si besoin était. » Traduction : les machines à voter Dominion posent un problème démocratique, vu la fraude massive qu’elles ont engendrée, mais il faut l’assumer. Tout cela a un nom : cela s’appelle du foutage de gueule.

4) La seule bonne nouvelle pour notre jeune oracle est que « les nouvelles technologies de l’innovation vont permettre de répondre beaucoup plus vite aux défis climatiques. »

Et maintenant, résumons :

  • Privation des libertés de tous les Français avec l’instauration d’une dictature sanitaire sine die ;
  • Effondrement massif de pans entiers de l’économie française plongeant dans le chômage, la misère et le suicide pour certains, des millions de nos compatriotes ;
  • Disparition définitive de tout ce qui fait l’exception culturelle française : son cinéma, son spectacle vivant (concerts, opéra, théâtre), sa gastronomie, son industrie touristique avec 75 % des restaurants, comme prévu par le gros poulpe dans son bréviaire 2.0.

Tout ce cauchemar pour répondre aux défis climatiques grâce aux nouvelles technologies de l’innovation ???? On est censé être en direct de l’Élysée ou bien de la secte du Temple Solaire ????

Alors que la dictature sanitaire de la Grande Réinitialisation est déjà enclenchée depuis un an, l’apprenti sorcier président a l’outrecuidance de terminer par ces mots :

« Les innovations vont nous permettre de créer de la valeur et de répondre aux défis économiques. Mais elles vont poser des problèmes auxquels nous n’avons pas assez réfléchi en termes démocratiques, en termes de libertés publiques et d’augmentation des inégalités sociales. »

Autrement dit : Les innovations vont nous mener au bord du gouffre, c’est pourquoi je vous propose de faire un grand pas en avant.

Et le gros poulpe de Davos de conclure enthousiaste :

« Il y a des dirigeants qui ont une idée très claire de ce qu’ils veulent faire de cet avenir que l’on veut construire… pour le bien de tout le monde. »

Et notre apprenti sorcier président de parachever dans un grand élan lyrique :

« N’oublions jamais que notre objectif est toujours en société de construire la vie… bonne, avec les vertus qui vont avec, et la volonté de respecter l’autre. »

Les millions de Français confinés et reconfinés depuis un an, sous couvre-feu et muselés avec leurs enfants pour sortir de chez eux, applaudiront frénétiquement, c’est sûr…

Voilà. Pour tous ceux qui n’auraient toujours pas compris, après cette visioconférence entre Davos et l’Élysée, que cette dictature sanitaire nous mène droit à l’esclavage et ne s’arrêtera que le jour où l’on aura arrêté cette bande de criminels mondialistes, on ne peut que leur prodiguer ce conseil avisé du grand dramaturge irlandais quand il ne restera plus personne pour protester :

RÉSISTANCE MAINTENANT OU JAMAIS !

Notes

(1) https://youtu.be/mGHt1N0MYGA

(2) Klaus Schwab, Covid 19 : la grande réinitialisation, Forum Publishing