Chloroquine, combien de morts ?

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Au tout début, nous y avons cru. À l’entame de l’année 2020, nous avons pensé que le Pr Didier Raoult faisait bien de « repositionner » l’hydroxychloroquine et de préconiser cette molécule en traitement de la nouvelle maladie venue de Chine. En découvrant rapidement qu’il s’agissait d’une fausse pandémie alimentée par une terreur irrationnelle, une méthode de dépistage bidon et des statistiques frauduleuses, nous avons cependant très vite remis en cause la nécessité de recourir à ce médicament non dénué de toxicité. Car oui, il faut le dire et le redire : l’HCQ n’est pas un bonbon pour la toux ni un banal remède à la malaria prescrit également contre le lupus érythémateux et la polyarthrite rhumatoïde. Dotée de dizaines d’effets indésirables potentiels, dont celui d’engendrer des détresses respiratoires (!), cette spécialité pharmaceutique chimique peut gravement léser ses consommateurs et peut même tuer ceux qui souffrent du cœur. On pense ce qu’on veut d’Agnès Buzin, mais l’ex-ministre française de la Santé n’a pas eu tort, fin 2019, de déclasser l’antipaludéen et de le ranger parmi les « substances vénéneuses » exigeant de sérieuses précautions d’usage. Depuis cette décision controversée, la recherche scientifique a encore mis en évidence que l’hydroxychloroquine avait des effets tératogènes et pouvait donc engendrer des malformations congénitales, tout comme la Thalidomide, le Distilbène ou la Dépakine de sinistre mémoire ! Les partisans inconditionnels du druide marseillais et de sa potion sont-ils bien conscients de prendre la défense d’un apprenti sorcier administrant à tour de bras un authentique poison ?

La potion n’était pas magique

En guise de plaidoirie pour sa molécule chérie, l’ancien patron de l’IHU phocéen invoque constamment des décennies de prescription sans conséquences sanitaires perceptibles. Mais en quoi cet argument est-il valable puisque des tas d’autres médicaments dangereux aujourd’hui interdits ont été longtemps prescrits avant qu’on ne découvre ou admette leurs ravages ? À juste titre, Didier Raoult a d’ailleurs accusé le paracétamol d’être une drogue plus dangereuse que sa protégée, or l’antalgique superstar vendu sans ordonnance est précisément un redoutable hépatotoxique qui mériterait d’être chassé des pharmacies ! Remède pire que le mal, l’HCQ est également soupçonnable d’occasionner plus de morts qu’elle ne sauve de vies, comme en atteste la nouvelle étude parue le 2 janvier dans la revue Biomedicine and Pharmacotherapy. Effectuée par des chercheurs lyonnais, cette étude arrive à la conclusion que l’hydroxychloroquine donnée en 2020 aux malades du covid a tué 17 000 d’entre eux, et ce seulement dans les six pays étudiés (Belgique, Turquie, France, Italie, Espagne et USA). Purement rétrospective et usant d’extrapolations hasardeuses, cette recherche a certes des faiblesses que n’ont pas manqué de pointer les défenseurs du Plaquenil et de son prescripteur-vedette. Le travail est notamment basé sur la méta-analyse parue en 2021 dans Nature Communications, alors que celle-ci avait inclus les deux études malhonnêtes de l’OMS (Recovery et Solidarity) recourant à des dosages trop élevés (quatre grammes sur trois jours au lieu de 2,4 grammes sur cinq jours). La récente étude française se base aussi sur des chiffres belges carrément erronés, ce qui a même suscité un « fact checking » du très covidiste et anti-Raoult journal Le Soir. Malgré ses erreurs et ses failles méthodologiques, la recherche en question ne mérite cependant pas d’être balayée d’un revers de main. Elle montre à tout le moins que le « remède miracle » n’en était pas un et qu’il a, plus que probablement, été contre-productif. Si la chloroquine avait performé au lieu de nuire, ce genre d’analyse aurait mis en lumière un impact favorable sur la mortalité au lieu d’indiquer l’inverse.

Des dégâts sous-estimés

Mais alors, comment expliquer que de nombreuses autres études, comme celle menée en Belgique par l’Institut Sciensano, ont bel et bien conclu à un effet positif de l’HCQ sur le taux de décès en hôpital ? Cela n’a rien de mystérieux à nos yeux. D’abord parce que les médecins hospitaliers savent que la dose fait le poison et qu’ils l’ont administré en respectant scrupuleusement la posologie conseillée. Ensuite parce que ces mêmes blouses blanches hospitalières sont parfaitement au courant de la cardiotoxicité du médicament et qu’ils ont prudemment évité de le distribuer aux insuffisants cardiaques. Et enfin, surtout, parce que les patients ont été soignés au lieu d’être laissés en plan ou directement mis sous respirateur artificiel ! Outre une action sur les états inflammatoires, cette prise en charge a permis d’activer l’effet placebo et de réduire drastiquement l’effet nocebo, comme je le postulais dès juin 2020 dans mon infolettre intitulée « Le vrai protocole Raoult ». Si le druide a fait cinq fois mieux dans son IHU-Méditerrannée qu’à Paris et dans l’est de la France, c’est certainement aussi parce que l’hydroxychloroquine a été employée en lieu et place des antiviraux comme le Redemsivir, médoc encore bien plus toxique et inapte, lui, à favoriser l’assimilation du zinc. Bref, la très iatrogène HCQ a fait illusion parce qu’elle a évité une iatrogénie encore plus prononcée. Mais seulement à l’hôpital ! Non sans raison, le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie au CHU de Bordeaux, a fait remarquer que l’étude lyonnaise ne tenait pas compte des malades mis sous chloroquine par leurs médecins traitants et décédés d’un arrêt cardiaque « en ville ». Leur nombre est inconnu. À ces victimes non comptabilisées, il faudrait aussi ajouter les patients qui se sont procuré le médicament sous le manteau et l’ont consommé « sauvagement » à leur détriment. Et comme l’étude menée à Lyon ne s’est pas penchée non plus sur les décès survenus en Inde et au Brésil, deux pays où la molécule antipalu s’achète à tous les coins de rue, le bilan humain global est sans doute bien plus lourd que redouté. Lorsque le Pr Molimard évalue le passif mondial de l’HCQ à « des centaines de milliers de morts excédentaires », je ne pense pas qu’il exagère et je trouve navrant que de nombreux résistants et lanceurs d’alerte crient au complot et à l’intox. Il tombe sous le sens que la potion meurtrière a contribué à autoréaliser la pseudo-pandémie et à remplir les cimetières.

L’éthique a trop bon dos

Dans son argumentaire, Didier Raoult fait systématiquement appel à l’éthique pour justifier sa décision de ne pas procéder à un essai clinique. Selon ce raisonnement louable, il était moralement inadmissible de ne pas traiter tous les covidés et de faire perdre aux malades des chances de guérison. Avec une rigueur toute soviétique, les patients admis ont donc été soumis au même protocole thérapeutique « compassionnel ». Personnellement, je trouve l’esquive un peu facile. Sans groupe contrôle ne recevant pas le médicament, il est impossible de discerner son effet réel et ses inconvénients. Sans randomisation (tirage au sort des participants) ni double aveugle (ni le patient ni le soignant ne savent qui reçoit quoi), il est vain d’espérer atteindre l’objectivité. À défaut de produit inactif, l’IHU aurait pu tester une autre molécule garantie inoffensive, voire une plante bienfaisante comme l’Artemisia. Contrairement à ce qu’a parfois suggéré Raoult, les essais cliniques contre placebo en double insu et randomisés offrent le plus haut niveau de preuve scientifique en « Evidence Based Medicine ». De son côté, l’épidémiologiste et chercheur émérite Michel de Lorgeril ne cesse de rappeler cette vérité élémentaire. La différence entre ces deux fortes têtes ? Le premier critique peu la vaccinologie tandis que le second l’a prise en grippe depuis qu’il en examine les fondements. Dans ses ouvrages sur les vaccinations, le Dr de Lorgeril dénonce en effet l’absence de véritable contrôle dans le développement des vaccins. Et c’est aussi ce que dénoncent les auteurs israéliens du livre « Des tortues jusqu’en bas » : selon leur remarquable enquête appuyée par des centaines de références, les vaccins ne sont JAMAIS comparés à de véritables placebos, ce qui permet de faire croire à leur efficacité et surtout de dissimuler leur insécurité. En agissant de la sorte, l’industrie vaccinale et les instituts de recherche qu’elle stipendie bafouent l’éthique médicale au lieu de la servir. D’une certaine manière, le Panoramix marseillais a commis un crime similaire en omettant de vérifier l’innocuité de sa potion prétendument miraculeuse. Lorsque l’histoire de la mascarade sera écrite, je crains malheureusement que son nom soit associé à une partie de l’hécatombe faussement imputée à un pathogène inexistant…




Explosion de turbo-cancers chez les médecins canadiens vaccinés à 99,9 %

[Source : @ledeclencheur]

L’oncologue William Makis qui a diagnostiqué plus de 20 000 patients atteints de cancer au cours de sa carrière, déclare :

« Je n’ai jamais rien vu de tel… je n’ai jamais vu de cancers du sein de stade 4 chez des femmes d’une vingtaine d’années. Je n’ai jamais vu de cancers du côlon au stade 4 chez des hommes et des femmes de 20 à 30 ans. Des leucémies qui vous tuent en quelques jours, voire en quelques heures, après le diagnostic. »






Écoutons pleurer les bébés vaccinés !

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Andrew Moulden, vous connaissez ? Personnellement, je n’avais jamais entendu parler de ce neuropsychologue canadien décédé en 2013. J’ai découvert récemment qui il était et ce qu’il avait fait à travers les écrits du Dr Midwestern (pseudonyme), un médecin américain qui promeut la médecine intégrative et qui ne tarit pas d’éloges sur l’œuvre « révolutionnaire » du disparu. Spécialiste du développement neurocognitif chez les enfants, mais aussi auteur d’une thèse de doctorat sur l’imagerie cérébrale fonctionnelle et la neuroélectrophysiologie (l’activité électrique dans le corps humain), ce scientifique surdoué et multirécompensé avait en effet conjugué ses trois compétences pour étudier l’autisme et tenter d’en comprendre les causes. Au fil de ses observations, il a fini par acquérir la conviction que les vaccinations infantiles étaient à l’origine de l’épidémie affolante de troubles autistiques et de bien d’autres affections neurologiques. Comment ? Selon Moulden, chaque vaccin administré endommage les minuscules capillaires du cerveau en raison de l’afflux de globules blancs générés par la réponse immunitaire aux antigènes vaccinaux. L’obstruction qui en résulte empêche la circulation des globules rouges et provoque l’asphyxie des cellules nerveuses. C’est la définition même d’un accident vasculaire cérébral !

Un désastre pour l’humanité

Certes, il ne s’agit en général que de mini, voire de micro AVC. Mais ces événements passant le plus souvent inaperçus seraient suffisants pour entraîner des conséquences pour la santé et des séquelles neurocomportementales. Nombreuses photos à l’appui, Moulden a montré que l’administration d’un vaccin était suivie de symptômes subtils (léger strabisme, petite paralysie faciale, légère aphasie motrice…) typiques des lésions cérébrales et d’atteintes aux nerfs crâniens. Mais le chercheur-découvreur allait encore beaucoup plus loin : pour lui, l’interruption de l’apport en oxygène et l’instabilité électrostatique du flux sanguin résultant de l’altération microcirculatoire étaient les dénominateurs communs de TOUTES les maladies non héréditaires. En dehors des vaccins et de leurs adjuvants, ce sont les polluants environnementaux qui provoquent l’anoxie et font ainsi office de déclencheurs pathologiques. Exemple-phare : la poliomyélite dont la symptomatologie est parfaitement compatible avec un empoisonnement aux pesticides et dans laquelle l’agent viral ne joue aucun rôle causal. Ce n’est donc pas à la seule vaccinologie que s’en prenait Moulden, mais au paradigme médical allopathique tout entier, et à la théorie du germe en particulier. Comme l’écrit Catherine Courson dans l’introduction de son dossier-hommage à Andrew Moulden (Néosanté de janvier), les découvertes de ce dernier sapaient les fondements mêmes de la médecine pasteurienne ! S’agissant des vaccins, le savant canadien les accusait d’être à l’origine des « dommages les plus lourds que l’Humanité se soit infligés à elle-même au cours de son Histoire ».

Disparition étrange

On imagine bien que pareil discours est assez mal passé. Dès que le neuropsychologue a commencé à faire connaître ses travaux, il a été censuré, ostracisé et mis au ban de la communauté scientifique. Du jour au lendemain, le brillant expert en neurodéveloppement de l’enfant a été relégué au rang de charlatan ou de « complotiste » comme on dirait aujourd’hui. L’écroulement de sa carrière l’aurait miné et poussé au suicide ? Selon une autre version de sa disparition mystérieuse à seulement 49 ans, il serait mort d’une crise cardiaque suspecte, c’est-à-dire probablement non naturelle. D’après un de ses collègues, Andrew Moulden s’apprêtait à rompre le silence qu’il s’était imposé et à publier de nouvelles recherches contenant de nouvelles preuves fatales pour l’industrie vaccinale. Sa mort subite et prématurée fut une aubaine pour Big Pharma, trop content de voir disparaître cet équivalent nord-américain du Dr Hamer. Concernant ce dernier, je n’ai jamais trop cru aux neuf tentatives d’assassinat auxquelles il prétendait avoir échappé. Scénario trop parano à mon goût. Si c’était vrai, il y en aurait au moins une qui aurait réussi alors que le médecin allemand est mort octogénaire dans son lieu d’exil norvégien. Pour Moulden, c’est différent. Les circonstances de son décès précoce sont plus qu’étranges, ses trouvailles nuisaient déjà à de puissants intérêts et ses révélations annoncées étaient susceptibles de déclencher un véritable séisme financier. Quitte à nous mettre nous-mêmes en danger, il est temps à nos yeux d’exhumer l’œuvre de ce gêneur oublié en publiant un dossier essentiellement constitué de ses déclarations publiques et explications scientifiques. À tout hasard, je signale que je n’ai aucun penchant suicidaire et que mon cœur semble en pleine forme. Pareil pour la collaboratrice qui a rédigé ce dossier explosif potentiellement dévastateur pour le business des vaccins.

Un bébé ne pleure pas pour rien

Le mensuel de janvier étant arrivé dans les boîtes mail et dans la plupart des boîtes aux lettres, j’ai déjà reçu quelques réactions négatives envers la photo que nous avons choisie pour annoncer en couverture l’article principal. Elle montre un nouveau-né qui hurle et une seringue prête à lui être enfoncée dans la peau. Choquées par cette image, les personnes qui la critiquent la trouvent inutilement « agressive » ou « sensationnaliste », certaines personnes m’accusant même de « jouer sur la peur » pour impressionner les lecteurs. Mais pourquoi diable s’en offusquer et ne pas regarder en face la cruelle vérité ? Ces griefs ne mettent-ils pas en relief l’emprise de la propagande vaccinaliste sur nos inconscients ? Il y a plus de 12 ans, en septembre 2011, nous avons suscité les mêmes reproches lorsque nous avons publié un dossier sur les pleurs des bébés et leur rapport plus que probable avec les vaccinations. Et voici ce que j’écrivais en préambule de l’article :

« Pour illustrer ce dossier, nous avons cherché des photos de bébés pleurant pendant une vaccination. Surprise : elles sont extrêmement rares, voire quasiment introuvables dans les banques d’images. Partout les mêmes clichés de jolies infirmières souriantes, de toubibs Pespsodent et de moutards rigolards. Or les parents d’enfants vaccinés le savent bien : dans la réalité, la réaction instinctive d’un nourrisson auquel on inocule le contenu d’une seringue est généralement faite de cris et de larmes. La rareté des illustrations objectives en dit long sur l’autocensure des photographes et l’ampleur de la désinformation sur ce sujet. Car les pleurs du bébé vacciné ne sont pas seulement un réflexe éphémère et anodin : ils se prolongent, augmentent en violence et se répètent souvent de manière anormale, jusqu’à devenir incessants. Ce dossier de Françoise de Joët vous révèle que la souffrance des bébés inconsolables est très probablement la conséquence fréquente de la maltraitance vaccinale. »

À l’époque, l’auteure de ce dossier n’avait pas connaissance des découvertes d’Andrew Moulden. Mais elle avait notamment rédigé cette sentence de pur bon sens :

« Quand un bébé pleure, c’est toujours parce qu’il y a quelque chose qu’il veut dire et qui le dérange. Un bébé ne pleure pas pour rien ».

Une douzaine d’années plus tard, il me semble important et opportun de méditer cette phrase compassionnelle. Un bébé qui pleure manifeste une indicible douleur et il est du devoir des adultes de ne pas y être sourds et insensibles. C’est donc par empathie et non pour « vendre du papier » que nous avons choisi d’illustrer le Néosanté de janvier avec une photo qui peut légitimement choquer. À nos yeux, l’enjeu exige de ne pas les détourner.




Bonne année ou bonne fin du monde ?!

Par Alain Tortosa

Bon-ne an-née… Ces deux mots sonnent-ils comme une prière, un mantra, un mensonge à soi-même, une manière de conjurer le mauvais sort ou ont-ils la valeur d’un « bon appétit » ?
Le fameux « bon appétit » que nous, riches occidentaux, nous lançons pour nous motiver ? Il faut dire que nous ne savons pas ce qu’est la faim, la vraie, et qu’il faut bien s’encourager pour supporter l’excès de calories que nous nous apprêtons à ingérer.

Mais je m’éloigne du sujet de ce fameux « bonne année ».
À en croire ceux qui vous le souhaitent avec légèreté (ou inconscience), la « bonne année » se définirait comme une année durant laquelle nous ne rencontrions pas de mésaventures, pas de problèmes de santé, et une certaine « réussite ».
Typiquement le genre de phrases où l’usage veut que vous mentiez à celui qui vous la souhaite. Un peu comme le « ça va ? » du quotidien où celui qui vous bombarde avec cette phrase veut tout entendre sauf la vérité !

Avec le « bonne année », nous sommes au top du mensonge et de l’hypocrisie bienveillante.
Il ne serait pas de bon ton de gâcher l’illusion de celui qui vous transmet le message et qui espère en retour des ondes positives dont il pourra bénéficier à son tour, afin sans doute de lui porter chance.
Imaginez-vous lui répondre sincèrement, lui exprimer votre état d’esprit, vos craintes, vos interrogations, vos désillusions, votre noirceur et j’en passe.

Si on sort du mantra pour pénétrer le monde réel, il va devenir très très compliqué d’avoir une « bonne année 2024 » !

Attention je ne dis pas que c’est de l’ordre de l’impossible, mais quand même relativement peu probable. Disons que si le scénario des derniers siècles, des dernières décennies, des dernières années, des derniers mois ou des dernières semaines n’évolue pas, alors je vous garantis que la nouvelle année sera pire que la précédente !
Disant cela je suis peut-être « optimiste », car ils nous ont tellement gâtés les dernières années que cela va être difficile de faire pire. Difficile, mais pas impossible.

Il est d’usage de faire un bilan en fin d’année alors ne nous privons pas :

  • La fausse pandémie, pardon la vraie pandémie de tests avec son lot de lois dictatoriales, de passe sanitaire « pour notre bien et nous sauver du fléau (informatique) ».
  • Le faux vaccin « sûr et efficace » censé nous protéger du fameux « virus ». Injection qui n’a pas d’effets secondaires, bien entendu, et n’a tué strictement aucune personne jeune et en bonne santé.
  • « L’odieux psychopathe méchant Poutine » qui ne rêve que de marcher sur les Champs-Élysées et dont le pays a été ruiné grâce à nos sanctions économiques et qui est totalement isolé sur la scène internationale. Heureusement le preux, le courageux, l’honnête président Zelensky est là pour faire barrière au « camp du mal ».
  • Les « enculés du Hamas » qui, par « chance », ont pu tranquillement commettre leurs odieux méfaits permettant à Israël de parfaire un juste nettoyage ethnique dans la bande de Gaza.
  • Le « dérèglement climatique » qui devra nous empêcher de manger de la viande, de nous chauffer, de voyager, d’utiliser notre propre argent grâce à l’euro numérique afin de sauver la planète. Tandis que les gens importants utiliseront des jets privés pour faire des réunions sur comment prendre le peu d’argent qui reste aux gueux et construire des palais au niveau de la mer qui montera inexorablement dans les pays pauvres, mais pas devant leur plage privée.

J’ai sans doute oublié de nombreux sujets, mais l’esprit est là. Terroriser le peuple, le ruiner le plus possible, détruire l’Europe, l’Occident, ses valeurs, son mode de vie, sa civilisation, son économie et bien entendu accroître les lois dictatoriales plébiscitées par ce même peuple ignorant et apeuré.

L’ultralibéralisme a tué Dieu, a créé le protestantisme1 pour faire croire qu’il pouvait être juste de devenir immensément riche et aller au paradis grâce à la théorie du ruissellement.

Oublions donc le fameux :

« Il est plus facile à un chameau de passer par un trou d’aiguille
qu’à un riche d’entrer dans le royaume des Cieux. »

Théorie assez simple à comprendre, le riche se construit une piscine olympique d’argent gagné sur le dos des esclaves et pour réduire les coûts de production a de petites fuites dans le réservoir, Les gueux en dessous récupèrent les maigres gouttes, c’est ce que l’on appelle la théorie du ruissellement.

Il n’est aucunement question de distributisme qui prônerait une juste réparation des richesses, mais seulement du riche qui vole les pauvres puis leur rend quelques miettes qu’il pourra récupérer grâce aux achats de « biens » de consommation.
De nos jours l’argent ne coule plus du tout des riches vers les pauvres, mais c’est l’inverse. Comme il est vital d’amasser le plus possible et d’être plus riche que certains États, il est important de piquer aux pauvres le peu qui leur reste. De toutes les façons, ils sont tellement cons qu’on arrive à leur vendre 100 euros une paire de baskets à 3 euros.

Le sens du courant a donc été inversé et le ruissellement est désormais
du pauvre vers le riche jusqu’à la dernière goutte.

La preuve en est de l’explosion du nombre de milliardaires durant le plan Covid et de l’augmentation de la pauvreté.
La guerre en Ukraine n’est que la continuité du même plan avec le sabotage de Nordstream par les Russes eux-mêmes (dire qu’il y a des Occidentaux pour le croire, ça fait peur), l’explosion totalement artificielle du prix de l’énergie et une inflation tout aussi artificielle.
Ce que j’ignore c’est s’ils ont prévu un plan intermédiaire entre l’Ukraine et le dérèglement climatique.
Vous pourriez me citer le Hamas, mais je pense que ce n’est qu’une opération (de trop ?) des sionistes messianiques pour créer le grand Israël, mais aussi camoufler la défaite de l’OTAN face à la Russie. Russie dont personne ne pouvait douter sinon de sa victoire, au moins de sa non-défaite.
Ce que je ne sais pas c’est si Blackrock ou Goldman Sachs ont déjà transféré leurs avoirs chez les BRICS.

Pour en revenir au climat, au fameux « dérèglement », j’adore ce mot comme si dans l’histoire le climat avait été un jour « réglé », l’unique objet est la mise à mort de l’Europe.
Tandis que les émissions de CO2 baissent en Europe, preuve de la destruction de l’économie, elles augmentent sur toute la planète et explosent en Asie.
Il faut dire que faire croire que le CO2, gaz totalement naturel qui sort de notre bouche et qui est source de vie sur la planète, 0,04 % de l’atmosphère (si je ne m’abuse), désormais un poison mortel, relève du génie du mal et de l’ignorance et de la naïveté du peuple. Le taux de CO2 était 20 fois supérieur durant l’ère des dinosaures.

Bref, Satan n’est pas près de prendre des vacances, il a un boulot fou en ce moment.

Bonne année ?

Alors l’année sera-t-elle bonne pour nous les gueux, les sans-dents, les inutiles dont la technologie fait qu’un robot et bientôt un androïde coûteront moins cher qu’un ouvrier occidental qui peut tomber en panne et avoir des putains de droits sociaux de merde ?

Je vais essayer de ne pas être totalement pessimiste et fournir quelques éléments objectifs positifs.

Si, si, je peux, ne soyez pas cruels…

L’État profond, les maîtres du monde, l’Église de Satan, appelons-les comme nous voulons du moment que nous n’écrivons pas « qui »…
« Eux », la secte des méchants, ont commis de graves erreurs en voulant trop accélérer leur agenda messianique. Ils ont aussi cru qu’ils pourraient contrôler Internet et les médias sociaux grâce à la censure massive, aux trolls et autres « vérificateurs de l’information ».
De ce point de vue c’est un échec total, la censure, la parole unique, la décrédibilisation systématique de toute dissidence, ont réveillé des millions, que dis-je des centaines de millions d’endormis quand bien même la masse demeure aujourd’hui sur une planète diamétralement opposée à la notre.

Il faut dire que les gouvernants ont été très cons comme par exemple nous autoriser à être assis sans masque au restaurant, mais interdit d’être debout, de même que les plages où il était interdit de marcher puis interdit de s’asseoir à moins que ce ne fût l’inverse. Cela a permis à certains de se demander si on ne se foutait pas un peu de notre gueule.
Pour les injections, nombreux ont vu que cela n’empêchait pas d’avoir la grippe en hiver et que les effets secondaires ne manquaient pas dans leur entourage.

Celui qui veut savoir, celui qui veut avoir accès à une information alternative et sourcée,
peut trouver très rapidement son chemin dans les méandres d’Internet.

Ce n’est pas ou plus une question de possibilité, mais de volonté !
Telegram, pourtant créé par un « méchant russe », est devenu un outil de liberté d’expression qui ne pourra pas disparaître ou sera remplacé par un autre. Espace de liberté au point que des groupes totalement hostiles à Poutine peuvent s’exprimer librement.

Nous traiter de « complotistes » est l’arme de ceux qui ont perdu la bataille, c’est le degré zéro de l’argumentaire.
Nous pouvons disposer de nos jours d’informations dans quasi tous les domaines et nous forger notre propre opinion en la comparant à celle des médias mainstream qui ne parlent que d’une voix.

Quiconque s’autorise à modifier ses croyances, prend le risque d’accepter qu’il puisse y avoir une autre vérité. Raison pour laquelle les mainstream font tout pour décourager l’innocent de lire des « désinformations complotistes ».

N’importe quel individu « sain et éduqué » peut avoir son monde totalement bouleversé en quelques semaines dès lors qu’il ne se contente plus des affirmations des médias, mais investit le temps nécessaire.
Autant il est facile de mentir, autant démontrer le mensonge prends plus de temps.

Il en est des sujets suivants :

  • La Lune où nous irons peut-être un jour.
  • JFK, la CIA et le Mossad.
  • La plandémie Covid.
  • Le 11 septembre.
  • Les guerres mondiales, le Vietnam, l’Irak, etc.
  • La théorie virale et l’arnaque de Pasteur.
  • Les « vaccins ».
  • La guerre en Ukraine.
  • La « victoire » de Biden vs Trump.
  • Le conflit israélien.
  • Le « réchauffement climatique » et la secte du Giec.
  • La mort de Diana.
  • La famille royale d’Angleterre
  • Les réseaux pédophiles et les élites, Epstein, Pizzagate, Sound of Freedom.
  • Les « énergies renouvelables ».
  • Les attentats de Nice, etc.
  • L’économie et la destruction de l’Europe.
  • L’illusion de démocratie.
  • Jean-Michel Trogneux et Mickaël.
  • Le sabotage de Nordstream.
  • L’État profond, Blackrock.

J’ai volontairement omis certains sujets, mais cette liste est déjà totalement délirante pour le commun des mortels.
Le mieux que vous pourrez obtenir d’un normie qui vous est proche est un sourire où un ricanement plus ou moins amical, soulignant que l’auteur de ces lignes est un original. Bref rien qui ne justifierait un investissement personnel pour vérifier si telle ou telle partie mériterait que l’on si attarde.

Dès lors que vous quittez le discours officiel sur les sujets précédents vous êtes au mieux qualifié de « complotiste » pour ne pas dire « d’extrême-droite » ou « antisémite » par la « bonne » société.
N’espérez pas que la parole soit donnée à des personnes compétentes sur ces sujets qui défendraient une thèse diamétralement opposée à la doxa.

Le fait est que celles et ceux qui ont pris la pilule rouge (c’est bien la rouge ? Je ne me rappelle plus) ne peuvent plus faire marche arrière et ont ouvert les yeux sur un monde, plutôt horrible, qu’ils ne pouvaient pas imaginer « à ce point ».

Jamais vous ne croiserez un « complotiste » regretter de ne pas s’être injecté le produit expérimental BioNTech ou faire son Mea culpa en déclarant son erreur et que l’homme a bien marché sur la Lune.
Ouvrir la boîte de Pandore c’est mettre un vers dans le fruit qui non seulement ne pourra plus jamais être retiré, mais ne fera que grandir pour se transformer en chrysalide.

À ce titre je pense que les missions Apollo sont les plus intéressantes pour une « initiation au complotisme » ça facilitera l’ingestion de la pilule « 11 septembre ».
Pour autant il est nécessaire d’avoir en face de soi un public qui se pose des questions ou qui tout du moins n’est pas à l’aise avec les vérités officielles.
C’est loin d’être évident, une majorité de la population ne veut ABSOLUMENT PAS savoir, ne veut PAS écouter, apprendre et veut rester dans ce monde imaginaire décrit par les médias.

Si d’aventure vous avez face à vous un « client » qui est prêt à prendre le risque alors le simple bon sens permettra de mettre à mal le discours officiel.

  • Imaginez que vous arriviez à l’intime conviction que l’homme n’est jamais allé sur la Lune, grâce à un ensemble de faits objectifs !
  • Imaginez que l’on vous mente sur ce sujet depuis 1969, soit plus de 50 ans !
  • Imaginez que le mensonge perdure encore et encore !
  • Imaginez l’énergie déployée pour vous convaincre du contraire et décrédibiliser la thèse « complotiste » !
  • Imaginez la complicité active des politiques, des scientifiques, de TOUS les médias mainstream pour vous maintenir dans l’ignorance !
  • Imaginez que la NASA soit, non pas une usine à rêve, mais, une usine de fabrique du mensonge !

Dans cette hypothèse qui serait désormais le « fou » ?

  • Celui qui imaginerait qu’ils disent la vérité sur les autres sujets ?

Ou

  • Celui qui se demanderait s’il faut mettre en doute 100 % des « vérités » qui nous sont enseignées pour se forger sa propre opinion ?

J’ai lu il y a quelques jours une publication sur Telegram dont j’ignore l’auteur. Le titre en était « Comment savoir si une information est vraie ? »
Il est bien évident que cela ne vaut pas loi, mais pour autant mérite réflexion. Les réponses étaient les suivantes :

  • « Facebook la bloque. »
  • « Twitter la supprime. »
  • « Google la cache. »
  • « YouTube l’interdit. »
  • « Les médias la qualifient de théorie du complot. »

Je pourrais rajouter :

  • Les auteurs sont bannis, moqués, disqualifiés, discrédités, calomniés, rejetés, interdits de médias, victimes d’attaques ad hominem.

Rappelons que la notion de « complotiste » a été médiatisée par la CIA lors de l’assassinat de JFK afin de décrédibiliser tout questionnement qui mettrait à mal la thèse officielle rocambolesque.

« Si tout le monde le dit, c’est vrai ! »

Dans nos sociétés, la vérité n’est qu’une question de statistique. Si la majorité dit que ou pense que… c’est que c’est vrai. On peut faire gober n’importe quoi à un normie qui a la mémoire courte.
Le simple fait que l’on ait dit au début de la plandémie que les masques étaient inutiles, inefficaces, extrêmement difficiles à bien mettre (et aussi dangereux), bref un ensemble de vérités scientifiques prouvées depuis des décennies. Puis quelques semaines plus tard, ce même objet devenait indispensable, efficace, sans la moindre contre-indication et obligatoire, aurait dû en toute logique provoquer un scandale planétaire. Mais non, la première « Vérité » de la totale inefficacité était oubliée et le caractère Vital de son utilisation devenait la nouvelle « Vérité ». Celles et ceux qui avaient quelques démangeaisons anales ont alors pensé que la première « Vérité » était un gentil mensonge qui était justifié par le manque de masques tandis qu’ils ne se disaient pas que c’était peut-être la deuxième « Vérité » qui était le vrai mensonge.
Et c’est ainsi pour tous les sujets.
Pendant des années on nous a dit que la voiture à essence polluait et qu’il fallait la remplacer par un diesel (Peugeot étant le leader européen du diesel et notre capacité de production était trop importante du fait de la fermeture de centrales thermiques au pétrole). Le quidam a alors vendu sa voiture essence en parfait état de fonctionnement pour acheter un diesel. Et là le diesel est devenu un assassin de la planète et le quidam achète une voiture électrique ou hybride pour sauver encore la planète. Il n’est pas impossible que la voiture électrique soit bientôt désignée comme une aberration écologique (ce qui est vrai) pour être remplacée par je ne sais quoi, par exemple une voiture à hydrogène qui, de bien entendu, « sauvera la planète ».

Il est tout aussi drôle, mieux vaut en rire, que des centaines de millions de normies se soient injecté une substance expérimentale, dont les précédents essais avaient été un échec retentissant, pour se prévenir d’une maladie qui n’a jamais tué les personnes en bonne santé. C’est quand même fou qu’ils aient pu gober (et c’est encore le cas pour nombreux d’entre eux) que le produit était sans danger alors que sa commercialisation a été permise sur les SEULES données du vendeur, en l’occurrence Pfizer pour ne parler que de lui.
Ici encore le normie a TOTALEMENT oublié les différents scandales, les milliards de dollars de condamnation de Pfizer pour mensonges, escroquerie, corruption et j’en passe. Le plus fou est que nous étions en France en plein scandale du laboratoire Servier et du Médiator.
Oublié que l’industrie pharmaceutique est un ramassis de voleurs sans conscience, d’un coup, par miracle, pour le Covid nous pouvions leur faire confiance au point d’injecter nos enfants et même des femmes enceintes alors qu’un médecin hésite à lui donner de l’aspirine tant cela peut être dangereux.
Ne nous étonnons pas qu’un Breton soit intimement convaincu du réchauffement climatique et du manque d’eau quand bien même il pleuvait tous les jours en Bretagne cet été !
C’est dans la nature humaine de suivre et de croire ce qui est répété jour après jour.

Néanmoins :

Mathématiquement, le nombre de personnes « complotistes »
ou « éveillées » ne peut que croître inexorablement.

Chaque jour, heure, minute, seconde, le nombre ne fait qu’augmenter, car trop c’est trop.
À cela vous pouvez ajouter que les hommes politiques, les médecins, les juges, les scientifiques et les journalistes ne sont pas tous des moutons, des naïfs, des égoïstes, des lâches, des débiles, des criminels ou des corrompus. Certains ouvrent les yeux et commencent à faire parler leur conscience. Nous voyons de nombreuses fissures dans le mur des forces du mal.

La question est donc de savoir si le mur va céder ou pas, et quand ?

2024 sera-t-elle une « bonne » année ? 

Je crains que cela ne dépende pas de gens comme vous et moi en ce qui concerne la bascule.

  • La version probable, logique, réaliste, pessimiste, voudrait que la dictature mondiale poursuive sa marche inéluctable, que nous perdions encore plus de libertés et que nous allions de plus en plus vers la pauvreté matérielle et spirituelle.

Et

  • La version utopique, optimiste, réaliste, voudrait que l’État profond soit démasqué et que les honnêtes gens ouvrent les yeux sur la réalité de l’horreur et de la manipulation.

L’année 2024 sera-t-elle lumineuse :

  • L’année où l’on dira « STOP » au sionisme messianique et au génocide des Palestiniens et autres minorités ?
  • L’année où l’est de l’Ukraine rejoindra naturellement la Fédération de Russie et l’Ouest deviendra neutre, sans présence de l’OTAN ?
  • L’année où Trump aura le droit d’être réélu ?
  • L’année où débuteront les premiers procès contre Pfizer ?
  • L’année où les scientifiques du climat pourront prendre la parole face aux corrompus ?
  • L’année où les agriculteurs, les entrepreneurs et le peuple européen (et occidental) diront « stop » à la destruction de notre vie ?
  • Etc.

Je voudrais y croire, je veux y croire, mais je n’ose y croire.

La question qui se pose est de savoir si le monde pourra basculer du bon côté sans notre intervention active. Les réseaux sociaux sont une mine d’informations salutaires et vitales, mais aussi notre prison.
Nous, peuples européens et occidentaux, pourrons-nous nous opposer activement sans descendre massivement dans la rue ? Je crains que non.

Je réserverai donc mon « bonne année 2024 » à la fin de l’année, sachant que le début n’a pas grand-chose de bon, et le remplacerai alors par « l’année 2024 a-t-elle était bonne ou moins mauvaise que la 2023 ? »

Alors, s’il vous plaît, ne me souhaitez pas une « bonne année », mais fabriquez là.

Merci

Alain Tortosa2

8 janvier 2024
https://7milliards.fr/tortosa20240108-bonne-annee-ou-fin-du-monde.pdf


1 Libre interprétation

2 Groupe Telegram « Stop état urgence » https://t.me/+cNljt4jKWeVW0I1o
Groupe Telegram « Docus qui dérangent » https://t.me/+Vb2slUv5Lk9hZmZk




« S’opposer aux récits “officiels” du COVID, c’est comme affronter Goliath »

[Source : Business Bourse]

Par Tyler Durden

17 MILLIONS DE DÉCÈS À CAUSE DES VACCINS CONTRE LE COVID-19 : « C’est comme un bilan de guerre mondiale… L’OMS va imposer des contrôles TOTALITAIRES sur toutes les nations ! »

Tucker Carlson s’est entretenu avec le biologiste évolutionniste Bret Weinstein, et les deux ont disséqué le réseau complexe de récits autour du COVID-19, l’industrie pharmaceutique et les changements mondiaux en matière de gouvernance et de politique de santé publique.

Selon Weinstein, s’opposer aux récits « officiels » du COVID, c’est comme affronter Goliath — avec des experts compétents et courageux dans divers domaines qui ont été agressivement censurés pendant la pandémie. Cela a conduit à la formation d’une « Dream Team » de dissidents.

« J’appelle la force que nous affrontons Goliath. Goliath a commis une terrible erreur et l’a commise de la manière la plus flagrante pendant la période du COVID, c’est-à-dire qu’il a pris toutes les personnes compétentes, toutes les personnes courageuses, et les a chassées des institutions, là où elles s’accrochaient. Et cela a créé, ce faisant, la “Dream Team”. Cela a créé tous les joueurs que vous pourriez souhaiter dans votre équipe pour mener une bataille historique contre un mal terrible », a-t-il déclaré, suggérant que la « Dream Team » est particulièrement qualifiée, pour lutter contre ceux qui ont bâclé la stratégie médicale face à la pandémie, avec des conséquences mortelles.

Weinstein a également discuté de la diabolisation des traitements alternatifs tels que l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine, et a affirmé qu’il y a eu 17 millions de décès dus au vaccin contre le COVID-19.

« Donc, je ne suis pas un génie en mathématiques, mais une injection sur huit cents multipliée par milliards, cela représente beaucoup de gens… 17 millions de décès dus au vaccin contre le COVID ? » demanda Tucker. « Juste pour mettre en perspective. Je veux dire, c’est comme le bilan d’une guerre mondiale. »

Ce à quoi Weinstein a répondu : « Oui, absolument. C’est une grande tragédie de l’histoire. Donc on est vraiment dans cette proportion. Et étonnamment, il n’y a aucune chance que cela soit fini. Je veux dire, ils nous recommandent toujours ces choses pour les enfants en bonne santé. »

Weinstein et Carlson ont également discuté de ce qu’ils perçoivent comme un changement de pouvoir mondial orchestré par les politiques de santé publique. Ils ont discuté du plan de préparation à une pandémie proposé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), exprimant leurs inquiétudes quant à d’éventuelles atteintes à la souveraineté nationale. Weinstein a mis en garde contre une « planète totalitaire clé en main », dans laquelle l’OMS serait en mesure d’imposer des contrôles sans précédent sur les nations et leurs citoyens.

Source : zerohedge




Réponse du Dr Colignon sur l’étude attribuant 17000 décès à l’hydroxychloroquine

[Source : bam.news]

En guise de nouvel an, la RTBF et la DH exhume une vieille étude que BAM avait déjà debuncké en juillet 2023(([1] Une nouvelle fraude pour accuser l’Hydroxychloroquine)) et attribuant près de 17000 décès à l’hydroxychloroquine. Voici la réponse du Dr Colignon :

Par Dr Alain Colignon

Cher Confrère LEGA,

J’ai eu l’occasion de prendre connaissance de la méta‑analyse sur les dangers de l’hydroxychloroquine administrée pour traiter les infections à SARS CoV2 que vous venez de publier et qui fait grand bruit dans les médias mondiaux.

En relevant des données de la littérature que vous croisez dans cette analyse, vous déterminez de façon spéculative le nombre de décès iatrogènes attribuables à l’hydroxychloroquine dans 8 pays industrialisés…

Si j’ai bien compris votre démarche, la séquence des opérations comptables est la suivante :

  • 1. déterminer le nombre total de patients hospitalisés pour Covid au cours de cette période, dans chacun des 8 pays (N).
  • 2. déterminer pour chaque pays la proportion de patients ayant reçu de l’hydroxychloroquine ®
  • 3. En déduire le nombre absolu de patients hospitalisés pour Covid, traités à l’hydroxychloroquine (R*N)
  • 4. Déterminer l’ODDS Ratio de mortalité iatrogène liée à l’Hydroxychloroquine à partir d’études spécifiques (OR)
  • 5. En déduire pour chaque pays, le nombre de décès iatrogènes secondaires à l’administration d’Hydroxychloroquine par combinaison de l’ODDS (OR/conv. 1‑1/1;11 soit 0,09909).et du R*N

Etant donné que je suis Belge, j’ai été interpellé par les chiffres que vous avez recueilli pour mon pays.

  •  1. N est bien égal à 19.644 au regard des chiffres avancés par Sciensano. C’est exact.
  • 2. R est évalué à 0,51 conformément aux chiffres annoncés dans l’étude conduite par Nicolas Dauby et Lucy Catteau intitulée Low‑dose Hydroxychloroquine therapy end mortality in hospitalised patients with Covid‑19.
    Il s’agit d’une étude prospective dans laquelle le pourcentage de 0,51 entre dans une logique méthodologique, même s’il ne s’agit pas d’une étude RCT. Ce ratio est exact, mais l’extrapoler à l’ensemble des hôpitaux de Belgique qui n’étaient nullement concernés par le protocole de l’étude de Sciensano/CHU Saint‑Pierre est une faute grossière qu’on ne pardonnerait pas à un mauvais étudiant en médecine.
  • 3. Le chiffre (R*N) de 10.018 patients traités est donc nécessairement faux par excès.
  • 4. Déterminer l’ODDS ratio sur base d’études où des doses mortelles d’hydroxychloroquine (2400 mg / jour)ont été administrées – ce que vous admettez dans votre étude –  et appliquer cet ODDS incongru à une étude où les doses utilisées sont 4 à 6 fois moins élevées est un mélange de genre indigne d’un scientifique.

En suivant votre raisonnement, vous considérez de facto que dans la série de Catteau/Dauby, qui dénombre 4542 patients hospitalisés sous hydroxychloroquine parmi lesquels on dénombre 804 décès, 80 d’entre eux  (0,09909 * 804) sont dus à l’hydroxychloroquine. Par une extrapolation linéaire simpliste jusqu’à l’indicible, la Belgique devrait selon vous déplorer 240 décès iatrogènes dû à l’hydroxychloroquine.

Or, on peut lire dans cette étude de catteau et Dauby dont vous vous prévalez : 

Our study provides further support to the claim that this regimen is not associated with increased short term risk of cardiotoxicity and mortality in the hospital setting and in well‑selected COVID‑19 patients. Accordingly, as of 17 June 2020, the Federal Agency for Medicines and Health Products had registered in total eight reports of adverse reactions suspected to be associated with HCQ use for the treatment of COVID‑19 in Belgium, among which were three cases of cardiac toxicity (all having received concomitant medication), and no reported deaths.
[Notre étude apporte un soutien supplémentaire à l’affirmation selon laquelle ce régime n’est pas associé à un risque accru à court terme de cardiotoxicité et de mortalité en milieu hospitalier et chez des patients COVID-19 bien sélectionnés. En conséquence, au 17 juin 2020, l’Agence fédérale des médicaments et des produits de santé avait enregistré au total huit rapports d’effets indésirables soupçonnés d’être associés à l’utilisation de l’HCQ pour le traitement de COVID-19 en Belgique, dont trois cas de toxicité cardiaque (tous ayant reçu des médicaments concomitants), et aucun décès signalé.]

Ma question vient immédiatement : Qui se trompe, qui ment, qui se fout de la gueule de ses confrères ? Catteau et Dauby qui prétendent qu’ils n’ont aucune mortalité par cardiotoxicité secondaire à l’administration d’hydroxychloroquine ou vous qui prétendez qu’ils ont tué 80 personnes par leur incurie ?

Non, monsieur Lega, Nicolas Dauby et Lucy Catteau n’ont pas tué 80 personnes… ils en ont sauvé beaucoup et si quelqu’un doit aller en prison pour homicide involontaire, c’est vous et non lui !

Cher confrère,

Votre analyse est un ramassis d’inepties qui déshonorent notre profession et qui ne peuvent trouver leur source que dans l’incompétence ou la malhonnêteté. Vous n’imaginez pas à quel point j’aimerais me tromper et trouver dans votre réponse des arguments qui me donnent tort… car je me jetterais à vos pieds, pour implorer votre pardon.

Alain Colignon

Chirurgie Vasculaire




« À l’hôpital, j’étais isolé. En privé, on venait me demander si leur pathologie avait un lien avec la vaccination »

[Source : francesoir.fr]

Alors que depuis deux ans, de nombreux patients attestent que leurs médecins leur disent en privé que leur pathologie est probablement liée à la vaccination contre le Covid-19, ils sont encore très peu à oser prendre la parole, de peur d’être convoqués par l’Ordre. Le docteur ZL a accepté de témoigner sous couvert d’anonymat. Chercheur en neurosciences et médecin en CHU, fort d’une quinzaine d’années d’expérience en milieu hospitalier, il évoque sa réintégration et les problèmes rencontrés alors dans ses rapports sociaux.






Après le Lancet Gate, le France Info Gate ?

Par le Dr Gérard Delépine

Le 04/01/2024, Anne Le Gall sur Radio France a encensé une étude française actualisant les thèses et les méthodes du Lancet Gate1 2 pour prétendre que l’hydroxychloroquine utilisée contre le covid aurait causé « près de 17 000 décès dans six pays (en Belgique, en Espagne, en France, en Italie, en Turquie et aux États-Unis) », que « le nombre de victimes est probablement bien plus grand. » et ajoutait que plusieurs travaux de recherche auraient souligné « son inefficacité dans cette indication ».

Peut-on reprocher à une journaliste non-médecin d’affirmer de telles bêtises, mais elle aurait dû se rendre compte que la prétendue étude n’était pas une étude de faits avérés, mais seulement une simulation biaisée3 basée de plus sur des données en partie inventées comme l’a très bien démontré Gibergie dans son excellente analyse4. Elle aurait pu aussi vérifier les résultats publiés par l’OMS et les agences sanitaires qui ont utilisé ce traitement et demander des commentaires au professeur Raoult qu’elle accuse de tous les maux.

Pour tenter de l’instruire, nous lui rappellerons quelques faits indiscutables qu’elle paraît ignorer alors qu’ils sont authentifiés par les données de L’OMS, par des agences sanitaires et les déclarations de ministres de la Santé de nombreux pays.

Dans le monde réel, l’hydroxychloroquine n’est guère toxique

C’est l’un des médicaments qui a été le plus utilisé dans le monde. Depuis 1945, il a été administré contre le paludisme à des milliards d’adultes, d’enfants et de femmes enceintes pendant de très longues périodes sans accident toxique notable au prix de quelques précautions chez les cardiaques, les malades de porphyrie ou de rétinopathie. Ce médicament est si peu toxique qu’on pouvait, avant le Covid, se le procurer en France sans ordonnance.

Et brutalement, à l’occasion du covid, il se serait transformé en médicament tueur ? Il faut ne rien connaître à la médecine, n’avoir aucune mémoire, ou être de mauvaise foi pour croire pareille sornette.

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop qui a largement utilisé le traitement Raoult contre le Covid, a confirmé la faible toxicité de ce traitement lors d’une interview à Marianne sur le sujet 5 :

« On a constaté des effets secondaires, mais bénins, qui ont tous disparu sans qu’il y ait de traitement supplémentaire, notamment des diarrhées… … On a eu à constater quelques cas de troubles du rythme cardiaque, qui ont cessé sans traitement, ainsi que quelques cas de palpitations cardiaques. Globalement le traitement est bien supporté. ».

Cette bonne tolérance habituelle chez les sujets sains et aux doses recommandées est confirmée par tous les manuels de thérapeutique.

Le traitement Raoult a prouvé son efficacité en Algérie

Le 31 mars 2020, le ministre de la Santé algérien, Abderrahmane Benbouzid, annonçait à la radio :

« Le Comité scientifique installé auprès du ministère de la Santé a décidé de démarrer le traitement à la chloroquine sur tous ceux qui sont déclarés positifs au Covid-19 ainsi que sur tous ceux qui auront des signes de contamination ».

Très rapidement des médecins d’Alger et d’Oran signalent les excellents résultats de ce protocole.

Le 31 mai 2020, lors de la réunion du Conseil algérien des ministres présidée par le chef de l’État, le ministre de la Santé déclarait que le protocole de traitement à la chloroquine avait prouvé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traités. La situation sanitaire du pays se stabilise. Ce qui a permis “une reprise des activités sanitaires au niveau des hôpitaux, y compris les interventions chirurgicales non urgentes”. »

Depuis janvier 2022, l’épidémie Covid est terminée en Algérie, et en octobre 2022 la mortalité Covid globale y était 22 fois moindre que celle de la France pour une population des 2/3 (44M vs 67M) soit, par million d’habitants, 15 fois moindre.

Une telle différence n’est pas expliquée par leurs facteurs de mauvais pronostic: mêmes pourcentages de plus de 60 ans6 7, et un peu plus d’obèses en Algérie (23 % vs 17 %)8 9.

Le climat algérien, différent de celui de la France pourrait être invoqué, mais la comparaison avec la Tunisie permet de l’exclure. En effet, Algérie et Tunisie partagent le même climat, des populations et des habitudes de vie communes. Mais la Tunisie a, comme la France, appliqué la stratégie de l’OMS « pas de traitement précoce et tout vaccin » et comme la France compte 16 fois plus de morts par million que l’Algérie.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité au Sénégal

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop, expliquait à Marianne10 :

« J’ai choisi au départ, en mars 2020, d’utiliser cette combinaison thérapeutique après lecture d’articles scientifiques sur l’effet de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine ainsi qu’après avoir étudié les analyses préliminaires du Professeur Raoult. Par ailleurs, ces molécules étaient connues en Afrique, pas très coûteuses et accessibles rapidement. C’était une urgence, une question de santé publique. On ne pouvait pas rester sans rien faire. Dès les premières études, nous avons remarqué que l’azithromycine associée à l’hydroxychloroquine faisait mieux que l’absence de traitement ou que l’hydroxychloroquine seule. »

« Nous avons depuis réalisé une analyse multivariée 11 ; le résultat reste constant : l’association de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine pour soigner est bénéfique. »

Au 31/12/2023 le Sénégal comptait 113 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (22 fois moins)12.

Le président sénégalais Macky Sall a d’ailleurs remercié le professeur Raoult en l’élevant à la dignité de commandeur dans l’ordre national du Lion.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité en Côte d’Ivoire

La directive du ministère de la Santé, édictée le 4 avril 2020, a recommandé l’utilisation de l’hydroxychloroquine associée à une antibiothérapie pour les cas sévères. Les espoirs portés sur l’arrivée des vaccins ont été tempérés par la réticence d’une partie de la population à adhérer à la campagne nationale de vaccination et à peine 40 % de la population du pays était injectée en décembre 22, lorsque l’épidémie s’est arrêtée.

Grâce au traitement Raoult, au 31/12/2023, la Côte d’Ivoire comptait 29 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (89 fois moins !).

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité dans de nombreux autres pays africains

En Guinée, le docteur Noël Tordo, grand virologue et responsable de l’Institut Pasteur à Conakry a rapporté sur sud radio 13 :

« En Guinée, nous donnons de la chloroquine et cela a ses effets sur les premières phases »

En RD Congo, le président Félix Tshisekedi a estimé en 2020 qu’il était « urgent que soit produite une quantité industrielle de chloroquine »14.

Mais aussi au Bénin, Burkina Faso, Cameroun où les gouvernants ont généralisé le traitement à base de chloroquine bien connue sur le continent, peu chère et vendue en pharmacie sans ordonnance. Cette utilisation massive de la chloroquine explique en partie la très faible mortalité Covid (30 à 200 fois inférieure à celle des USA ou de l’Europe) tout à fait inattendue dans ces pays pauvres où les systèmes de santé sont quasi inexistants :

La pauvreté de ces pays africains leur a épargné la corruption et la propagande pro vaccination et leur a permis d’utiliser les traitements bon marché qui ont sauvé leurs populations. Mais peut-être que Anne Le Gall et Radio France ignorent-ils l’Afrique…

L’ensemble des médias français a repris ces désinformations sur la prétendue toxicité de la chloroquine et sa supposée inefficacité du traitement Raoult, sans même émettre des réserves sur leur méthodologie, ni leurs hypothèses fausses. Leurs conclusions ne sont plus crédibles aujourd’hui avec le recul et les chiffres de mortalité Covid dont on dispose. Honte à eux et aux auteurs lyonnais de ce torchon pseudo-scientifique qui les discrédite.

On peut même se demander si leur responsabilité pénale ne serait pas engagée pour diffusion de fausses informations mettant en danger la vie d’autrui. L’avenir nous le dira.

Sortie désespérée de l’impasse dans laquelle les mondialistes se trouvent ?

De nombreux tweets commentent cette attaque en piqué de tous nos médias le même jour à la même heure… grotesque et pitoyable :

et bien d’autres… bonne lecture.





Culte des vaccins et déclin de la spiritualité 

Par Nicolas Bonnal

On n’a pas assez relié le développement des vaccins avec la disparition des génies artistiques et littéraires en occident : à partir des années 1880, ils se raréfient au niveau de naissances, ensuite vers 1930 (totalitarismes…) ils disparaissent. Qui a succédé à Broch, Musil, Strauss, Ravel, Céline, Bernanos, Bartok ou Ives ? La disparition de la grande culture pressentie par Zweig dans les années trente est une donnée du monde d’après 1945. On entre dans l’ère du citoyen superflu dont parle Nietzsche dans Zarathoustra, citoyen tellement superflu qu’il se laisse emprisonner et exterminer sans réagir. La culture devient du savoir congelé (Debord) ou de la pensée et de la musique jetable. La poésie a disparu : tout ce qui importe c’est de jouir et survivre. La panique Covid et le code QR n’ont pas d’autre cause.

Le déclin de la spiritualité accompagna aussi la modernité et ses vaccins (voyez ce pape et ces cathos) ; et c’est là que je vais reprendre Rudolf Steiner et ses conférences de 1917. Steiner est un grand esprit qui n’est pas ma tasse de thé, pas plus que Lévi-Strauss. Je les cite ici parce qu’ils ont raison ou ouvrent une vraie question sur un certain point de la monstruosité moderne. Quod verum est meum est, comme dit Sénèque à Lucilius (lui oui est un de mes maîtres).

Steiner voit donc le vide spirituel arriver avec son cortège de démons :

« En fait, rien ne reste tout à fait vide. Et dès lors que l’âme de l’homme se retire de plus en plus de son corps, celui-ci est de plus en plus exposé au danger d’être habité par autre chose. Si les âmes ne veulent pas faire effort pour s’ouvrir à des impulsions spirituelles qui ne peuvent prendre naissance que dans la connaissance du spirituel, le corps sera habité par des êtres démoniaques. Voilà le sort vers lequel marche l’humanité ; les corps peuvent être entièrement habités par des puissances ahrimaniennes démoniaques. »

Il est bon, disait Léon Bloy (qui redoutait Pasteur comme la peste) d’exaspérer les imbéciles et de rafraîchir l’imagination des bons chrétiens ; alors poursuivons dans la même veine :

« La nostalgie du diable qu’a ressentie Ricarda Huch a vraiment un lien avec ce qui se prépare. Les institutions, les concepts, les idées sociales que conçoivent aujourd’hui les gens sont des abstractions grossières par rapport aux conditions complexes qui vont se créer. Et parce que les humains ne sont pas capables de saisir à l’aide de leurs concepts, de leurs représentations, la réalité qui est là, ils glissent de plus en plus au chaos, comme le révèlent suffisamment les évènements de cette guerre. »

Car on est en 1917. Steiner ajoute :

« Autrefois, au concile de Constantinople, l’esprit a été éliminé, on a institué un dogme : l’homme n’est fait que d’une âme et d’un corps, parler d’esprit est une hérésie. On aspirera sous une autre forme à éliminer l’âme, la vie de l’âme. »

Si un christianisme déjà dévoyé a éliminé l’esprit, le scientisme moderne élimine, lui, l’âme ; c’est là que le vaccin va l’aider :

« Dans le passé, on a éliminé l’esprit. On éliminera l’âme au moyen d’un médicament. En partant d’une “saine vue des choses”, on trouvera un vaccin grâce auquel l’organisme sera traité dès la prime jeunesse autant que possible, si possible dès la naissance même, afin que ce corps n’en vienne pas à penser qu’il existe une âme et un esprit. »

Seul le corps doit rester, l’âme et l’esprit doivent disparaître :

« Les autres, les successeurs des actuels matérialistes, chercheront le vaccin qui rendra les corps “sains”, c’est-à-dire constitués de telle façon qu’ils ne parleront plus de ces sottises que sont l’âme et l’esprit, mais, parce qu’ils seront “sains”, des forces mécaniques et chimiques qui, à partir de la nébuleuse cosmique, ont constitué les planètes et le Soleil. On obtiendra ce résultat en manipulant les corps. »

Rôle du médecin moderne :

« On confiera aux médecins matérialistes le soin de débarrasser l’humanité des âmes. Oui, ceux qui croient qu’on peut prévoir l’avenir à l’aide d’idées qui jouent avec la réalité sont bien dans l’erreur. »

La liquidation spirituelle des enfants est déjà à l’ordre du jour :

« Je vous ai expliqué que les esprits des ténèbres souffleront à leurs hôtes, aux hommes qu’ils habiteront, de découvrir un vaccin qui puisse dès la prime jeunesse, par la voie du corps, extirper la tendance à la spiritualité. On vaccine aujourd’hui contre telle ou telle maladie, à l’avenir, on vaccinera les enfants à l’aide d’un produit que l’on peut très bien composer, et qui empêchera les enfants de développer en eux les “folies” de la vie spirituelle, “folie” dans la perspective matérialiste, bien entendu. »

C’est à cette époque très freudienne qu’on cherche à traiter chimiquement ou cliniquement les génies :

« La chose a déjà commencé, dans le domaine littéraire du moins, où elle est moins nocive. Des écrits de médecins très savants ont déjà paru qui traitent de la pathologie de différents génies. Conrad Ferdinand Meyer, Victor Scheffel, Nietzsche, Schopenhauer, Goethe, on a essayé de les comprendre tout en faisant état de tel ou tel trait pathologique avéré. Et ce qui est le plus bouleversant dans ce domaine, c’est qu’on a aussi essayé de comprendre le Christ Jésus et les Évangiles en se plaçant au point de vue de la pathologie. »

Les siècles du totalitarisme et des camps de concentration arrivent. Dans un esprit proche de Guénon et de Bernanos, Steiner écrit :

« Mais tout cela vise à trouver pour finir le moyen de vacciner les corps afin que ne s’y développe pas la tendance aux idées spirituelles, et que leur vie durant les hommes ne croient qu’à l’existence de la matière que perçoivent les sens. Tout comme on vaccine contre la phtisie, on vaccinera contre la tendance à la spiritualité. »

Cela explique très certainement la faible résistance à la tyrannie sanitaire et au Reset. Les peuples abêtis et grégaires ont été anesthésiés (cf. Payne et aussi Ortega Y Gasset) par le consumérisme, la massification, les médias mais aussi par les vaccins. Le culte obligatoire des vaccins actuels, promu par 99 % des élites mondiales et par ce pape monstrueux, n’est certes pas fortuit.

Sources

RUDOLF STEINER : La chute des esprits des ténèbres — Quatorze conférences faites à Dornach du 29 septembre au 28 octobre 1917.

https://transfert.meybeck.net/bd/cosmobacchus/docs/steiner/Steiner%20Rudolf%20-%201917%20-%20La%20chute%20des%20esprits%20des%20t%C3%A9n%C3%A8bres.pdf




En France les militaires ne meurent plus sous les balles, mais par les injections

L’intervenante est le Dr Typhaine Pinsolle que l’on peut voir aussi ci-dessous
[qu’elle ne remette pas en question l’existence de virus pathogènes est une autre affaire. Comme beaucoup de personnes travaillant dans le milieu médical, elle nest probablement pas informée de la réfutation de la pseudo théorie virale ou na pas voulu se pencher sérieusement sur la question.] :

Dr Typhaine Pinsolle au Sénat sur les effets secondaires du Covid19. Paris/France – 07 Novembre 2023
Autre lien pour la vidéo, en cas de censure : https://crowdbunker.com/v/98a1USuQom

Une autre vidéo sur cette intervention :





Pierre Chaillot : « L’OMS est un passe-plat, financée par des névrosés bourrés de fric ! »

[Source : putsch.media]

Pierre Chaillot, statisticien et auteur de « Covid 19 : ce que révèlent les chiffres officiels » publié aux éditions de l’Artilleur était l’invité dans le grand entretien de Nicolas Vidal. Il est revenu sur les effrayantes statistiques des effets secondaires des vaccins concernant les décès et la baisse fulgurante de la natalité. Il a abordé également le rôle obscur de l’OMS sur cette épidémie.

[À partir de 0:59]





Les soignants ont compris que les vaccins covid étaient inutiles mais pas B. Davido

Par Gérard Delépine

Dans une interview récente sur BFM1 Benjamin Davido tente de nous gâcher les fêtes de Noël 2023 en angoissant la population pour qu’elle accepte de nouvelles injections Covid et constate avec dépit que les soignants ne sont plus dupes.

D’après B. Davido :

« Les fêtes de Noël sont placées sous le signe de la maladie pour de nombreux Français. Au moins quatre épidémies sont en cours ; le véritable enjeu, c’est le retour de cette période de vacances, notamment avec le brassage et le fait qu’après le petit effort consenti, il y a souvent un relâchement qui donne justement du sang frais à tous ces virus et ces bactéries. »

Avant Noël 2022, la même propagande terrorisante avait été créée et entretenue par l’Institut Pasteur, santé publique France et certains académiciens2 3 qui ne parlaient alors que de 3 épidémies simultanées. Leur message n’a pas été cru, les taux de rappel sont restés très bas, les gens ont fait la fête sans précautions particulières et les prédictions alarmistes des experts ont été démenties par la chute brutale des contaminations journalières passées de plus de 61 000 le 17 décembre 2022 à 6615 le 13 janvier2023.

Et curieusement Benjamin Davido ajoute :

« Le risque, ce n’est pas tellement que ces malades ne soient pas pris en charge, c’est que ceux qui avaient rendez-vous le 10 janvier pour un suivi de chimiothérapie, ou un suivi auprès de leur cardiologue, soient retardés et décalés et qu’il y ait une perte de chance ».

Cette crainte actuelle de B. D. est très étonnante puisqu’en 2020 ce même médecin était un chaud partisan du plan blanc4 qui a précisément imposé ces retards de traitement et de consultations et l’arrêt des dépistages alors que la plupart des cliniques privées qui avaient annulé leurs activités restaient vides faute d’hospitalisés Covid.

Il reconnaît tout de même que « la communication sur la vaccination n’a peut-être pas été idéale :

« On a dit au début, peut-être un peu avec excès, que la vaccination des soignants allait protéger les personnes les plus fragiles. On sait qu’elle ne peut pas suffire à protéger les plus fragiles. »

De fait les soignants et une grande partie de la population ont compris que les injections étaient incapables de prévenir les transmissions et donc de protéger les personnes fragiles. Les soignants l’ont constaté dans leurs services et dans les données publiées par l’OMS pour le monde où les populations les plus vaccinées souffrent de taux de contaminations par million 30 à 100 fois plus élevés que celles qui ont échappé aux injections :

Échec également patent en France où 90 % des contaminations ont été observés après le début des campagnes de vaccination et avec une recrudescence toute particulière en février 2023 alors que le taux de vaccinés frôlait les 80 %.

Prétendre comme Benjamin Davido que « la communication sur la vaccination n’a pas été idéale » vise à éluder la responsabilité des médecins de plateau dont il fait partie : la communication sur la vaccination covid a été totalement mensongère.

Il ne faut donc pas s’étonner si les soignants qui ont été contraints de se vacciner pour travailler et ont vu trop de collègues ignominieusement exclus de leur sacerdoce sur des arguments totalement mensongers n’ont plus confiance dans les mises en garde d’experts qui ne précisent même pas leurs liens d’intérêts avec les firmes vaccinales.

Les soignants comme la très grande majorité des populations ont pris conscience de l’inefficacité et des risques des pseudos vaccins et n’en veulent plus. Les pays de l’Union européenne ont jeté au moins 215 millions de doses de vaccins contre le Covid, pour une valeur estimée à plus de 4 milliards d’euros5 et il faut s’attendre à de plus grandes destructions dans les mois à venir. Pour la France, l’info récente donne sept milliards d’euros perdus 6 selon la députée européenne Virginie Joron.

Les faits ont tranché : les pseudo vaccins covid ont constitué une gigantesque arnaque qui a coûté plus de 150 milliards de dollars au budget des états qui les ont imposés pour le seul bénéfice des actionnaires et leurs complices corrompus. Les drames secondaires à ces injections sont majeurs et traités ailleurs7. Pourquoi n’a — ton pas consacré cet argent à renforcer nos systèmes de santé tellement en souffrance ?





STOP INJECTIONS POISONS, ET SINGULIÈREMENT CHEZ LES ENFANTS !

Par les Drs Gérard et Nicole Delépine

Il faut interdire les pseudovaccins covid chez l’enfant (et toute la population) inutiles et toxiques. Examen des faits au 15/12/2023.

Les seuls à se réjouir de la distribution du poison :

Il faut le redire encore et encore, car le ministre continue à faire une publicité mensongère largement diffusée (via nos impôts !). Craignons encore que l’argument d’autorité ne soit toxique et parfois fatal à trop de petits en influençant leurs parents !

Un beau cadeau de Noel : leur éviter les injections, poisons de degré très important et avec un long terme inconnu.

Et pourtant le ministère de la Santé, toutes les agences gouvernementales, l’Académie de médecine et les médias continuent de recommander les pseudo-vaccins anti-covid aux enfants de 6 mois à 4 ans. Ils continuent de prétendre qu’ils seraient utiles, efficaces et sûrs.

Mais que nous enseignent les données publiées par l’OMS sur les risques médicaux que la maladie fait courir aux enfants et sur l’efficacité des vaccins pour empêcher les contaminations et prévenir les formes graves ?

Le covid représente-t-il une menace réelle pour les enfants sains ?

L’infection Covid 19 n’est pas dangereuse pour l’enfant sain. Les enfants sont plus rarement infectés que les adultes ; ils ne font habituellement que des formes asymptomatiques et ne constituent pas un facteur notable de transmission du virus. Cela a été constamment démontré dans tous les articles médicaux, rappelé par la société française de pédiatrie, la presse internationale et l’OMS.

La bénignité du covid chez l’enfant est d’ailleurs illustrée par ce graphique de Santé Publique France :

Le covid menace moins les enfants que la grippe saisonnière contre laquelle la Haute Autorité de Santé n’avait jamais conseillé de vacciner les enfants jusqu’à cette année1. Cette recommandation antigrippale, fort mal justifiée, reconnaît d’ailleurs « l’absence de données de bonne qualité sur l’efficacité de la vaccination sur les hospitalisations ou les décès notamment chez les enfants âgés de moins de 2 ans ». La Haute Autorité de Santé n’hésite donc pas à conseiller un traitement en ne sachant pas vraiment s’il est efficace !

Les pseudo-vaccins Covid ne protègent pas des formes graves ni de la mort

Les essais randomisés n’ont pas recherché ni prouvé significativement un effet des injections sur les formes graves et les décès. Mais les données de l’OMS sur les populations vaccinées démentent les affirmations des agences françaises et prouvent que la généralisation des injections n’a pas permis de diminuer la mortalité attribuée au covid. La courbe de la mortalité mondiale n’a en effet pas été infléchie par les pseudo-vaccins administrés aux populations à risque :

En France, en septembre 2022, la quasi-totalité des personnes à risque étaient vaccinées contre le covid ; cela ne les a pas protégées des formes graves ni de la mort.

Le gouvernement, les agences sanitaires et les médias français ont prétendu que seuls les non injectés mourraient. Mais la saisine de l’autorité de la transparence pour obtenir les données brutes de mortalité par statut vaccinal s’est vue répondre « de telles données n’existent pas ». Comment peut-on encore croire les affirmations gouvernementales basées sur l’absence de données ? D’autant que la comparaison des mortalités covid observées dans les pays riches (les plus vaccinés) et les pays africains pauvres (peu ou non vaccinés) montrent que ce sont les pays apôtres du tout vaccin qui souffrent des mortalités les plus fortes.

Un risque de formes graves quasi nul chez l’enfant, des pseudo vaccins incapables de prévenir les formes graves… Comment peut-on imaginer qu’un enfant pourrait espérer le moindre bénéfice personnel de cette injection ?

Les enfants porteurs du sars-cov-2 ne constituent pas des vecteurs notables de transmission

Les articles médicaux publiés dans les grandes revues, les enquêtes épidémiologiques réalisées en France et à l’étranger, la Société Française de Pédiatrie, la presse internationale et l’OMS affirment tous que les enfants sont contaminés par les adultes et ne transmettent guère le virus.

L’expérience personnelle de chacun de covid transmis autour de soi par des vaccinés et les données de l’OMS démontrent que les vaccins sont incapables d’empêcher les transmissions.

Les personnes fragiles ne peuvent donc espérer aucun bénéfice de l’injection aux enfants de produits n’empêchant pas les transmissions !

Vacciner son enfant contre le covid l’expose à de multiples complications

Aucun traitement actif n’est exempt de complications, mais les risques des injections covid sont particulièrement élevés déjà à court et moyen terme et le futur reste encore plus flou et inquiétant.2

Les myocardites

Les atteintes cardiaques du cœur survenant brutalement chez l’enfant en bonne santé étaient devenues exceptionnelles depuis la disparition du rhumatisme articulaire aigu grâce au traitement par pénicilline des angines à streptocoque.

Mais depuis les vaccinations des enfants, les myocardites réapparaissent, ainsi que l’ont signalé les médecins israéliens dès octobre 20213.

Les analyses aux USA ont confirmé que le nombre de cas observés après vaccin covid dépassait le nombre attendu de cas dans le groupe d’âge des 16-24 ans : 32 fois plus de myocardites qu’escompté chez les garçons de 12-17 ans, 27 fois plus chez les 18-24 ans4. Ces cas s’observent principalement chez les hommes et se développent peu de temps après l’administration de la 2e dose5.

L’étude du ministère de la Santé d’Israël, pays avec l’un des taux de vaccination les plus élevés au monde, évalue le risque de myocardite après avoir reçu la 2e dose de vaccin entre 1 sur 3 000 et 1 sur 6 000 chez les hommes de 16 ans à 24 ans et 1 sur 120 000 chez les hommes de moins de 30 ans.

Une étude stratifiée du VAERS montre que le risque de myocardite avec troponine élevée chez les adolescents de 12 à 17 ans après vaccin est de 2,6 à 6,1 fois plus élevé que le risque d’hospitalisation à 120 jours pour la maladie Covid en août aux USA.

Le CDC estime le risque d’accidents cardiaques nécessitant une hospitalisation à 62 par million d’injections chez les garçons de 12 à 15 ans et à 94 cas/million chez les 15-17 ans.

En se limitant aux seuls effets cardiaques (myocardites et péricardites en particulier), on peut conclure que la vaccination contre la Covid-19 chez les adolescents américains en bonne santé est plus dangereuse que le risque de la maladie elle-même.

La myocardite aiguë est l’une des causes de mort subite à l’effort chez les sportifs et les médecins et cardiologues recommandent de ne pas effectuer d’efforts physiques intenses dans la semaine qui suit la vaccination. Comme les myocardites sont aggravées par l’effort, elles sont fortement soupçonnées d’être responsables de nombreuses pertes de connaissance et de morts brutales des sportifs.

L’agence de presse allemande a dressé une liste de 75 athlètes européens décédés « soudainement » au cours des 5 derniers mois depuis qu’ils ont été complètement vaccinés. F-Dagoury, meilleur plongeur en apnée du monde, a souffert d’une myocardite et d’une péricardite 40 jours après sa deuxième dose Pfizer. Le plongeur a consulté un cardiologue qui lui a dit que c’était un effet secondaire courant du Pfizer.

Non, avant les injections covid les crises cardiaques qui tombent du ciel n’étaient pas habituelles chez les jeunes qui jouaient au foot dans la cour. Nous avons tous des enfants à l’école ou des petits-enfants. Combien de fois par le passé récent (avant la mascarade Covid), avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique selon le vieux terme ? Jamais ! Cessez de croire aux balivernes tragiques de journalistes corrompus ou ayant perdu tout bon sens depuis la coronafolie. Si vous avez des vaccinés autour de vous, surveillez leur cœur en particulier par des dosages sanguins de D-dimères et CPK MB et des consultations cardiologiques.

D’autres complications moins dramatiques affectent les performances des sportifs en affectant particulièrement le métabolisme anaérobie particulièrement utile lors des épreuves de haut niveau. Les Belges ont été les premiers à remarquer une baisse de 10 à 20 % des performances de leurs footballeurs6 7 particulièrement dans les dernières minutes du match, souvent les plus cruciales pour le résultat final. Depuis, de nombreux athlètes ont dû déclarer forfait à des compétitions pour lesquelles ils s’étaient préparés, ou interrompre leur saison sportive (Jérémy Chardy, Antoine Méchin ou Christophe Lemaitre…). On peut même se demander si les performances exceptionnelles actuelles de Djokovic ne seraient pas en partie facilitées par le fait qu’il a opiniâtrement refusé cette vaccination Covid que ses concurrents ont été contraints d’accepter pour pouvoir continuer à jouer durant la crise covid.

Des troubles neurologiques post vaccinaux divers ont été recensés par l’OMS. Au 29 juin 2021, 1,256 « polyneuropathies aigues » ont été signalés (422 États-Unis, 387 UK, 328 Europe [40 France) et 119 ailleurs). Les paralysies faciales8 et syndromes de Guillain Barré post vaccinaux initialement observés en Inde et en Angleterre9 10 et en Australie 11 marqués par des paralysies d’étendue et de gravité variable pouvant entraîner la mort.

Selon l’Agence américaine du médicament (FDA), le vaccin Janssen de Johnson & Johnson serait lié à un « risque accru » de développer le syndrome de Guillain Barré12. Il s’agit d’un effet secondaire rare, mais possible observé chez 100 personnes sur près de 12,5 millions de doses administrées du vaccin Johnson & Johnson. Sur les 100 cas, 95 étaient graves nécessitant une hospitalisation d’urgence.

Cette complication a été également reconnue par l’agence européenne du médicament dont Le Comité d’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance de l’EMA a conclu « qu’une relation causale entre Vaxzevria et le syndrome de Guillain-Barré est considérée au moins comme une possibilité raisonnable »13. Ajoutant : « Le syndrome de Guillain-Barré devrait donc être ajouté aux informations sur le produit en tant qu’effet secondaire de Vaxzevria ».

Au Pérou, dont plus de 85 % de la population est vaccinée, l’explosion récente des cas de Guillain Barré a même fait déclarer l’état d’urgence sanitaire !

Risques de myocardite, de paralysie, et toute autre complication neurologique cognitive, thrombocytopénie, hémorragie cérébrale, etc.. Nous avons récemment insisté sur l’épidémie de turbocancers14 qui n’épargnent pas les enfants. Chez ces derniers on verra surtout des leucémies et lymphomes et surtout des tumeurs cérébrales d’évolution rapide et résistantes à tout traitement. Pourra-t-on longtemps à parler de coïncidence ?

Quel parent censé pourrait faire courir de tels risques à son enfant pour un vaccin qui ne peut lui apporter aucun bénéfice personnel, ni protéger les personnes fragiles qu’il côtoie ? Juste par obéissance ou déni ?

Les preuves de la dangerosité et de l’inefficacité s’accumulent15, mais nos ministres successifs dans le déni continuent de recommander le poison au prix d’énormes mensonges et de dégâts dans la population. Ne réalisent-ils même pas qu’ils se mettent eux-mêmes en danger au moins juridique (car ne sont pas forcément réellement injectés16) comme le ministre italien sous le coup d’une enquête judiciaire ?17

NE VACCINEZ PAS VOS ENFANTS, ils vous en seront reconnaissants.





Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?

[via santeglobale.world]

Rien de biologique dans les vaxxins, que des nanotechnologies métalliques. L’être humain est « hacké », implanté, hybridé avec des matériaux synthétiques… on fabrique des transhumains ! La pandémie de graphène est en route.

À 1 h 15 Dominique GUILLET (Xochipelli) apporte sa vision du danger de la graphénisation de l’humanité. Depuis un siècle, les vaxxins sont des armes léthales. Il montre que Raoult, Fouché, Henrion-Caude et d’autres n’ont rien compris au vrai problème : le graphène et autres particules métalliques qui sont partout et ont pour but de génocider l’humanité (avec la 5G).

Delgado (Quinta Columna) : il y a des « prédateurs invisibles », des « entités énergétiques » (les Archontes) qui se nourrissent des émotions négatives et de la souffrance humaine et agissent à travers la franc-maçonnerie et les gouvernements. Il s’agit d’une « lutte pour les âmes ». Les prédateurs passent inaperçus en contrôlant les institutions et en traitant de « non scientifiques » ceux qui leur résistent.

Ceux qui occultent le graphène sont les jouets des forces sataniques… Graphène et 5G sont des outils pour neuromoduler ou tuer les êtres humains.

D’autres civilisations avant la nôtre ont été implantées, domestiquées, manipulées, parasitées…

Tout le monde a été trompé, sur toute la planète, avec la supercherie vaxxinale.

Combien faut-il de millions de gens conscients pour lever enfin le « Secret Défense » qui règne encore ?

Chacun, ayant reçu ces informations capitales, doit se repositionner et sortir de cette « usine du mensonge ». Aucune entité ne peut vous dominer si vous vous reliez à votre souveraineté pour dire NON à leur domination.

Note de TAL : cette vidéo est IMPORTANTE, faites circuler !! Le temps est venu de montrer la vérité du combat titanesque entre les forces de l’ombre et les forces de la lumière, qui ne peuvent que gagner lorsque les consciences s’éveillent !

[NDLR En complément,
voir les dossier 5G et ondes pulsées
et Vaccins et virus]

Direct avec Next Dose, Ricardo Delgado, Astrid Stuckelberger et Dominique Guillet




[Source : xochipelli.fr]




La santé internationale selon l’Organisation mondiale ou morbide de la Santé ?1

Par Claude Janvier

« Négocié par 194 États membres de l’OMS depuis 2021 et devant être adopté définitivement le 24 mai 2024, le Traité de l’OMS sur les pandémies menace gravement nos droits et libertés. En effet, sous couvert de nous préparer à une prochaine pandémie, ce traité va confier à l’OMS un pouvoir contraignant sur les pays, pouvoir qui lui permettra lorsqu’il déclarera une pandémie de forcer les états signataires à procéder à des confinements, ainsi qu’à d’autres mesures sanitaires (par exemple le port obligatoire du masque), voire de procéder à une vaccination de masse. Nous sommes donc dans la dernière ligne droite et pourtant rien ou presque ne filtre. »

Extrait d’un article de Réinfo-Québec.

Depuis la crise « sanitaire » qui a sévi dès le début 2020, où presque tous les gouvernements de la Terre ont obéi comme un seul homme à une folie « confinatoire et vaccinale », il apparaît de plus en plus évident que l’OMS, créée en 1948, règne en maître absolu dans l’élaboration des directives mondiales pour la santé.

Selon sa constitution, l’OMS a pour objectif d’amener tous les peuples des États membres et partenaires à un niveau de santé le plus élevé possible ; la santé étant définie comme un « état de complet bien-être physique, mental et social et ne consistant pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».

L’OMS est donc devenue incontournable dans le domaine de la santé mentale et physique, dictant ses recommandations à la planète entière.

Aucun État ne songe à remettre en cause ses décisions émanant de spécialistes éminents ou se faisant paraître comme tels. Cette « chasse gardée » de la santé rapporte des milliards de dollars aux puissants laboratoires pharmaceutiques, censés nous vouloir du bien.

Financée par les États membres et par la fondation Gates, il apparaît nécessaire de s’interroger sur l’efficacité réelle de cette organisation au vu, entre autres, du nombre grandissant des effets secondaires des liquides expérimentaux appelés frauduleusement « vaccins » pour soigner la Covid-19, qui ont occasionné « 2 600 effets secondaires graves par semaine en France2 ».

À peine sortis des essais cliniques non concluants, les vaccins Covid-19 continuent d’être injectés à grand renfort de publicité à quasiment toute la population, y compris les jeunes enfants, provoquant beaucoup de décès et d’innombrables effets secondaires dans l’Union européenne et aux États-Unis.

Dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid, appelée « EudraVigilance », 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 2021. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens3.

L’OMS est assurément un outil bien pratique pour asseoir une suprématie planétaire au service d’une poignée d’individus. Le 13 mars 2018, cette organisation a publié comme chaque année, la liste des maladies prioritaires à étudier d’urgence, coïncidant avec l’apparition de la mystérieuse maladie X causée par un hypothétique virus ! John Arne Røttingen, directeur exécutif du Conseil norvégien de la recherche et conseiller de l’OMS, précise au média Telegraph, à propos de cette maladie encore inconnue, que :

« … L’Histoire nous enseigne qu’il est probable que la prochaine grande épidémie sera quelque chose que nous n’avons pas connu auparavant […]. Cela peut 30 paraître étrange d’ajouter un X, mais le but est de s’assurer que nous nous préparons et que nous planifions de manière flexible des tests de vaccins et de diagnostics. Nous voulons mettre au point des plateformes prêtes à l’emploi qui fonctionneront pour n’importe quelle maladie ou pour un large nombre de pathologies, des systèmes qui nous permettront de créer des contre-mesures rapidement4 »

Étonnant ! D’une part, parce qu’une déclaration comme celle-ci est une insulte à la science et, d’autre part, comment et sur quels critères l’OMS a-t-elle pu classer la mystérieuse maladie X dans la liste Blueprint regroupant les maladies et les pathogènes qui représentent la menace la plus importante pour la santé publique par leur potentiel épidémique, au même titre que l’Ebola, Marburg, Zika, alors qu’il ne s’agit que d’une pure hypothèse ?

Dès lors, on peut légitimement se poser un certain nombre de questions sur la Covid-19, dont l’émergence, la propagation et le déferlement mondial auront été attendus, voire conjecturés, par l’OMS. Auquel cas, cette Organisation mondiale de la santé, agence spécialisée de l’ONU pour la santé publique, dont dépend directement le Conseil économique et social des Nations unies, a donc osé épouvanter la population avec une prospective terrifiante par une maladie inconnue qui s’abattra sur la planète tout entière.

Partant de ce constat, l’OMS, avec ses satellites tentaculaires, s’avère être bel et bien une organisation pervertie et corrompue aux ordres de l’oligarchie financière mondiale apatride.

La liste des bienfaiteurs et pourvoyeurs de fonds de cette organisation présidée par l’Éthiopien, Tedros Adhanom Ghebreyesus, depuis le 23 mai 2017, est longue. Parmi les plus grands contributeurs (en millions de dollars US) pour l’exercice 2020-20215, retenons la fondation Bill & Melinda Gates, la Gavi Alliance, où siègent en permanence Bill & Melinda Gates, Baxter international, inc. (contributeur volontaire), la Commission européenne, le Rotary International ou encore l’Unicef.

Que du « beau » monde ! L’OMS dépendant, comme souligné, de l’ONU, voici une déclaration étonnante émanant de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) et ayant pour titre :

« Échapper à l’ère des pandémies : les experts mettent en garde contre de pires crises à venir » :

(Bonn, le 29 octobre 2020)

« Des pandémies futures vont apparaître plus souvent, se propageront plus rapidement, causeront plus de dommages à l’économie mondiale et tueront plus de personnes que la Covid-19, à moins que l’approche globale de la lutte contre les maladies infectieuses ne soit modifiée, avertit un nouveau rapport clé sur la biodiversité et les pandémies (en anglais6) rédigé par 22 experts de premier plan du monde entier. »

Alice Desbiolles, épidémiologiste, le 5 janvier 2022, citait une déclaration de l’OMS sur Europe 1 dans l’émission de Sonia Mabrouk :

« Le coronavirus n’est qu’un “amuse-gueule” de ce que nous allons vivre ces prochaines années… Nous rentrons dans l’ère des pandémies, on peut parler d’épidémie de pandémie… »

Vous êtes prévenus ! Il est encore temps de dire stop aux diktats de l’oligarchie financière mondiale apatride.

Claude Janvier. Ecrivain, essayiste, chroniqueur. Auteur du livre « Les Démasqués, Qui dirige réellement le monde ? » KA Editions

Notes




Turbos cancer et surmortalité mondiale : ne vous faites plus ou pas injecter !

Le point le 18 décembre 2023

Par Nicole Delepine

Les autorités françaises continuent à inciter la population à se faire injecter les pseudovaccins anticovid, éventuellement associées au vaccin contre la grippe (ce qui aggrave le risque d’AVC) y compris chez les enfants. Aberrant (aucun risque du Covid et très faible risque de la grippe).

Ils n’hésitent pas à falsifier les résultats actuels en France et à nier les effets dévastateurs des injections démontrés dans de nombreux autres pays. Ils reprennent ainsi le vieux mythe du temps de Tchernobyl : « grâce à nos frontières qui existent encore pour nous protéger des virus et des complications des vaccins, pas de problème ».

Ne pouvant plus nier les multiples accidents cardiaques ni l’augmentation de la mortalité constatés chez nos proches ou amis, l’inénarrable Libération prétend qu’ils seraient liés au vilain virus qui tuerait à retardement et même peut être au « port du masque tombé en désuétude » ! Mais n’espérez pas que les injections qui ont été incapables de vous protéger hier vous protégeraient demain. Elles sont déjà responsables de nombreuses victimes par le monde, et il n’est pas nécessaire d’en rajouter !

Il semble donc opportun de rappeler à tous, y compris ceux qui croient que la plandémie covid 1 est terminée, que le risque de ces injections expérimentales est élevé à moyen terme et encore impossible à estimer à long terme.

En effet, après l’apparition des accidents cardiaques y compris brutaux, puis des atteintes neurologiques, des troubles des règles et de la fertilité et des turbocancers depuis quelques mois, chacun doit s’inquiéter et surtout éviter de s’injecter à nouveau ou de faire injecter les enfants ou les personnes âgées qui nous font confiance. L’apparition de dissonances cognitives plus tardive fait craindre que nous ne soyons pas au bout de nos découvertes post-poison.

En attendant, un seul mot d’ordre devrait inonder la planète à la suite des spécialistes comme Alexandra Henrion Caude2, Robert Malone ou le Dr Makis pour n’en citer que trois mondialement connus :

STOP AU POISON PARTOUT DANS LE MONDE !

Ainsi les turbocancers que nous évoquions il y a déjà deux ans se sont multipliés depuis quelques mois par centaines laissant craindre une explosion de cancers à distance des injections.

Voici par exemple la distribution des cancers au Royaume-Uni rapporté par le cancérologue William Makis3 :

Alors Pfizer veut nous rassurer et certainement aussi améliorer ses perspectives de ventes : il achète les labos fabriquant les remèdes contre le cancer. Ainsi Makis, le 14 décembre 2023 dans un nouvel article, met en exergue l’acquisition par Pfizer de la firme Seagen pour 43 milliards de dollars pour une petite entreprise de médicaments contre le cancer qui gagne à peine 2 milliards de dollars par an. Cherchez la raison. D’autant que Pfizer émettra également 31 milliards de dollars de dette pour l’acquérir.

Que se cache-t-il dans ces détails si ce n’est le fait que les vaccins anticovid provoquent de nombreux turbocancers, ce qui permettra, Pfizer l’espère, de traiter les maladies qu’on a créées ?

Dans la description de Makis 5 principaux cancers apparaissant chez les injectés à l’ARNm

La nouvelle acquisition de Pfizer permettra de traiter deux de ces cancers et Bourla le PDG annonce, au cours d’une tournée publicitaire, que 33 % des gens auront un cancer. C’est un bon commerçant et il continue ses pronostics morbides, tout en vantant l’efficacité de ses futurs produits ciblés et sa capacité grâce à son réseau mondial de « disposer de moyens rapides de finir les essais cliniques ! » Pourquoi a-t-il besoin de tant d’antipoison si ce n’est qu’il SAIT ce qu’ils ont fait ?4

Ces nouveaux traitements seraient « des missiles » contre le cancer. Et quoi encore ? En tous cas tout est bien planifié. Un bien portant n’est pas un client, alors les rendre malades puis produire des médicaments pour guérir des maladies induites par les poisons et ainsi de suite, le rêve de tout patron d’entreprise de médicaments.

Malheureusement, nous ne pouvons actuellement que constater la surmortalité démontrée depuis 2021 dans de nombreux pays plus transparents que le nôtre. Cette surmortalité, toutes causes confondues, est probablement liée en grande partie aux complications du poison injecté, car ce sont les pays les plus injectés qui ont la surmortalité la plus forte.

Voici quelques tableaux d’information afin de vous faire votre propre opinion :

Sources :
@felicittina #Surmortalité @HMDatabase continue à produire ces chiffres de surmortalité sans qu’aucun des grands instituts qui l’ont créée (Berkeley, Max Planck, @InedFr il ne semble s’en intriguer. On y trouve pourtant les plus prestigieux démographes…]

Sur l’ensemble des 26 pays, la surmortalité « post-ARNm » représente 2,4 fois celle constatée précédemment :

Et ça continue :

Les chiffres sont malheureusement très parlants et BFM Tv est encore actuellement en train de nier les effets secondaires du poison-vaccin.

Écoutez pour conclure la dernière interview de Didier Raoult :





Répression COVID — Mise à jour pour la Nouvelle-Zélande

[Source : @TheAmir]



Références




Les Français doutent du Gardasil, le refusent largement : il faut continuer à informer !

Par Dr Delépine

Le gardasil n’a jamais démontré son utilité contre les cancers du col ou de l’anus, qui se développent lentement sur des décennies. Son efficacité contre les infections à papillomavirus (HPV) n’a que peu d’intérêt contre une contamination qui guérit spontanément chez 90 % des gens. Ses potentielles complications (perte de la fertilité, accidents neurologiques, etc.) et son énorme coût financier plaident pour un abandon de cette vaccination et surtout un renoncement à toute obligation et/ou pression sur les familles.

Mise à jour :

Gardasil 2023-24: Alertes et Responsabilités

(…)

Depuis le début de la campagne généralisée avec le Gardasil-9, des associations et des médecins alertent les parents, les personnels de l’éducation nationale, les personnels et organismes de santé et leurs Ministères de tutelle, ainsi que les élus sur un grave manque d’informations claires et loyales concernant ce vaccin et ses conséquences:

Quelle est l’efficacité connue de ce vaccin Gardasil-9 contre le cancer du col de l’utérus ?
Quels sont ses bénéfices en regard des risques possibles d’effets secondaires graves, voire de décès, comme cela est indiqué dans la notice américaine du vaccin ou encore d’après les notifications dans les bases de pharmacovigilance ?
N’est-il pas légalement obligatoire d’informer chaque parent de ces risques ?  
Le déroulement de la campagne dans les collèges respecte-t-il cette obligation d’informer les parents de façon appropriée  (notamment sur les pertes de connaissances et autres conséquences indésirables possibles ) ?
Des consignes de surveillance et de sécurité suffisantes en « per injection » sont-elles respectées pour les collégiens ?
Ces questions et de nombreuses autres se posent. Certaines ne sont pas nouvelles et font suite au travail d’associations de victimes et de médecins de terrain qui informent et alertent depuis plus de 15 ans. Dans de nombreux pays, les données des registres des cancers sont publiques et permettent d’analyser s’il y a un bénéfice réel à vacciner en masse des enfants et jeunes adultes.

Devant le silence assourdissant des médias officiels et des autorités de santé, nous avons essayé de répondre à une quinzaine de questions afin que tous les parents puissent s’informer de façon libre et éclairée et ainsi puissent exercer, en toute connaissance de cause, leur consentement ou leur refus que l’on vaccine leur enfant en milieu scolaire. (…)

Depuis le coup de Jarnac, où le président s’est transformé en représentant de commerce du Gardasil, toutes les agences de l’État, les médias et même la sécurité sociale font la propagande de ce vaccin en n’hésitant pas à mentir, sans limites.

L’une des « désinformations » les plus diffusées par ces propagandistes concerne l’Australie où ils prétendent : en Australie, le succès de la campagne de vaccination contre les HPV, associée au dépistage du cancer du col de l’utérus, ouvre la perspective d’une éradication du cancer du col de l’utérus d’ici une quinzaine d’années.

Pour vérifier qu’il s’agit d’une fake news, il suffit d’interroger l’agence sanitaire australienne en demandant sur internet « https://www.canceraustralia.gov.au/cancer-types/cervical-cancer/statistics » et en précisant comme langue « français ». On obtient alors le nombre de cancers du col (942 en 2022 contre 727 en 2006) et la courbe d’incidence de ce cancer qui montre que depuis la vaccination, l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus n’a plus baissé depuis la vaccination alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % à l’ère du dépistage seul entre 1987 et 2006 (de 14,2 à 7,1).

Et surtout dans le groupe d’âge le plus vacciné on observe une augmentation d’incidence de 15 % entre 2006 (7,9/100 000) et 2019 (9,1), dernière date analysée par groupe d’âge en décembre 2023.

Comment tous ces médias et agences peuvent-ils être aussi ignorants ?

Mentent-ils volontairement ?

Et ils diffusent bien d’autres fausses informations sur d’autres pays pour faire croire à l’efficacité anticancéreuse du Gardasil, alors que les faits publiés par les agences officielles et les registres du cancer démontrent le contraire.

Le Royaume-Uni a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école en 2008. Un article mensonger récent mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, très largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « vaccin anti-HPV: quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais fin 2022, l’agence officielle « Cancer research UK » (CRUK) affirme sur son site : « dans la dernière décennie, l’incidence du cancer du col est restée stable » et annonce une incidence standardisée de cancer invasif de 9,6/100 000 (supérieure de 50 % au taux français actuel) ainsi que l’illustre ce graphique.

L’analyse par groupe d’âge objective une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées qui ont globalement poursuivi le dépistage cytologique.

À l’opposé, le groupe des 25-34 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée.

Cette inefficacité anticancéreuse du Gardasil est également observée dans les pays scandinaves. Elle est dénoncée depuis maintenant plus de cinq ans.1

En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66 % de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée de 24/100 000 (en 1965) à 8/100 000 (en 2011). La généralisation de la vaccination à l’école, au contraire, a été suivie d’une augmentation de l’incidence standardisée globale des cancers invasifs de 7 en 2006 – 2009 à 11,5 en 2014–2015 (p <0.03),et même 13 en 2021 y compris dans le groupe d’âge le plus vacciné celui des 25-34 ans.

En Norvège, la vaccination scolaire a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer2 montre que l’incidence standardisée sur l’ensemble de la population de ce cancer est passée de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-2021 et surtout qu’elle a augmenté de 30 % dans le groupe de femmes les plus vaccinées.

En Finlande même phénomène

Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais avec 16 ans de recul s’est jusqu’ici révélée inefficace sur les cancers invasifs.

Même si elle était totalement efficace contre le cancer et sans danger la vaccination anti hpv ne serait pas justifiée !

En particulier chez les garçons où le cancer anal est rarissime (350 cas annuels en France d’après l’INSERM3), bénéficie de traitements efficaces et ne touche dans la quasi-totalité des cas que des homosexuels passifs et surtout lorsqu’ils sont atteints du SIDA.

Cette vaccination inefficace contre le cancer expose de plus à des complications !

Les brûlures cutanées dont ont tout récemment souffert 7 élèves d’Agde

Et Le décès d’un collégien à Nantes vient de rappeler qu’aucune vaccination ni qu’aucun médicament n’est dénué de risque4. Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, aux USA le VAERS recensait 523 décès et une quantité d’effets secondaires qui ont motivé plus de 100 plaintes en justice aux USA et des manifestations dans de nombreux pays.

L’inefficacité du Gardasil contre les cancers, voire sa nocivité paradoxale et ses nombreuses complications dont certaines très graves témoignent d’une balance avantage/risque franchement défavorable qui justifie d’arrêter cette vaccination, et au minimum de ne pas l’imposer via des campagnes scolaires et de laisser à chaque famille le loisir d’en discuter avec son médecin personnel afin d’obtenir une information claire et objective d’où un possible consentement éclairé.

Mais depuis la crise covid durant laquelle nos gouvernants, toutes leurs agences et les médias ont menti sans arrêt pour nous imposer des injections expérimentales qualifiées abusivement de vaccins dont chacun a pu constater autour de soi l’inefficacité et la toxicité, les Français sont devenus moins crédules. Ils se renseignent au lieu de se précipiter lorsqu’on leur annonce qu’un vaccin est nécessaire, sûr et efficace.

Et les informations que les résistants, les collectifs de parents, soignants, etc. ont su transmettre autour d’eux ont été efficaces : au 31 octobre 2023, après deux mois de campagne de vaccination scolaire, seulement 20 000 collégiens (2,5 % de la population ciblée) ont été vaccinés en France.

Ce n’est qu’un début, continuons sans relâche le combat contre la propagande mensongère du Gardasil, car l’information via des conférences, mais surtout des tracts distribués individuellement à la sortie des écoles, des marchés, des magasins est efficace ! Ne nous décourageons pas, car la campagne mensongère continue comme en témoignent des invitations à des conférences par les officiels pour tenter d’imposer ce vaccin inutile aux enfants.





Le détournement de la psychiatrie pour répression

Publié par [Publication initiale : ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

Depuis plusieurs années, il est devenu de plus en plus flagrant que les libertés fondamentales des peuples sont exposées à la montée du totalitarisme des états modernes.

Néanmoins, pour une nette frange de la population, ce totalitarisme n’est pas chose neuve. En effet, leurs droits élémentaires sont bafoués depuis des décennies au prétexte de vouloir maintenir l’« ordre social » par l’intermédiaire de la psychiatrie.

Des lanceurs d’alerte aux innocentes victimes isolées, ce système pseudo-médical a détruit des millions de vies de par le monde à travers des diagnostics douteux et des pratiques anticonstitutionnelles.

Si auparavant dans l’Allemagne nazie, l’URRS et actuellement la Chine communiste, elle est ouvertement utilisée à des fins répressives contre la dissidence, dans nos contrées son implémentation est plus pernicieuse et sournoise, car abuse des motifs de « maintien de l’ordre » et de « protection » des malades mentaux et de la société.

Ainsi des « diagnostics » de « schizophrénie paranoïde » ou de « bipolarité » sont arbitrairement distribués aux victimes de ce système perfide pour les décrédibiliser après une entrevue de cinq minutes parfois moins avec des psychiatres parfois corrompus et des dénonciations pouvant être totalement calomnieuses. De plus, le mouvement antipsychiatrique avance qu’elle ne serait pas, ou pas assez scientifique, notamment car elle ne se base sur aucune haute technologie et (en dehors des traitements médicamenteux) sur aucun fonctionnement scientifique (pour les diagnostics notamment).

L’état profond n’est pas loin

Quant à l’aspect judiciaire, nous observons une collusion de procureurs, préfets, juges et avocats corrompus pour emprisonner les victimes dans les griffes des institutions étatiques ainsi que dans les camisoles chimiques de Big Pharma qui sont prescrites à l’encontre de la convention de Genève, celle-ci stipule que nul n’a le droit d’inoculer des substances médicamenteuses à un individu contre son consentement. Évidemment, la logique parfois détournée du « maintien de l’ordre public » et de la « protection » des « malades mentaux » viole outrageusement cette convention. Ces produits ont des effets secondaires gravement délétères sur la santé allant du diabète aux désordres neurologiques incapacitants et peuvent même amener à la mort. L’artiste américain Kanye West a avoué que son psychiatre avait insisté pour qu’il prenne un traitement qui aurait pu lui provoquer de lourds dégâts.

Le Dr Fourtillan, intervenant du documentaire Hold Up qui avait dénoncé la supercherie de la crise covid avait fait les frais de cette conspiration en novembre 2020. En effet, le juge d’instruction avait délivré un mandat d’amener à une maison d’arrêt à Nîmes. Après une entrevue avec un « médecin », il a été « jugé » que son état de santé nécessitait un placement dans un établissement psychiatrique. Il a été libéré en juillet 2021 par l’armée française. J’avais également présenté le cas de harcèlement étatique et psychiatrique de Fabio Traina.

[Voir aussi :
La pathologisation de la dissidence
Le Pr Fourtillan, apparu dans « Hold-Up », interné en hôpital psychiatrique contre son gré? MàJ 12/12/2020
Le harcèlement des opposants ne passera pas !
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui]

Comme cela a été le cas pour eux, ces lieux de pénitence psychiatriques peuvent être infiltrés par des agents du renseignement pour pourrir la vie des victimes, des agressions, viols et empoisonnements peuvent se produire et comme elles sont discréditées, leur voix est étouffée. De plus, le personnel « soignant » peut également infliger des mauvais traitements, essentiellement lors d’injections forcées de neuroleptiques, mais également lors de la mise en contention.

Un système de harcèlements organisés

Tristement, un nombre considérable de victimes sont amenées dans ce système suite à une agression psychotronique et du harcèlement criminel en réseau (les deux pouvant être appelés Gang Stalking) qui sont également des outils du système répressif des états développés pour conduire de personnes initialement en bonne santé mentale à la folie. La réputation des victimes en sort gravement entachée à cause du tabou entourant la psychiatrie et le mal-être provoqué peut les pousser parfois au suicide.

La psychotronique utilise les infrastructures de communication (satellites, antennes relais, box wi-fi et smartphones/PC) pour induire des psychoses et autres désordres psychologiques, voire cet article à ce sujet. Le harcèlement criminel en réseau est implémenté à l’aide des services de renseignement et de civils mafieux pour traquer les individus ciblés et saboter leurs vies et leurs biens, les plaintes contre ces délits mènent très fréquemment à une expertise psychiatrique à cause de la corruption ou l’incompétence policière.

À l’heure de la résistance contre le totalitarisme sanitaire, numérique, électromagnétique (5G) et climatique, elle doit également s’étendre au totalitarisme psychiatrique qui est un frein à l’émancipation des peuples, car les individus ciblés sont les personnes les plus valeureuses pour la lutte globale en cours. D’ailleurs au même moment de la survenue de la crise covid, les placements sous contrainte se vont vus augmenter.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste citoyen




Alerte sur le Beyfortus®

[Source : neosante.eu]

Par Pryska Ducœurjoly

Alors que les vaccinations obligatoires pour nos bambins représentent déjà un marathon médical, voici que le gouvernement nous surprend avec une énième injection, que peu de parents ont vu arriver : le Beyfortus®. Depuis le 15 septembre 2023, cette nouvelle « thérapie préventive », présentée comme le meilleur bouclier contre la bronchiolite, est « vivement recommandée » chez tous les nourrissons. En toile de fond : une campagne gouvernementale contre cette inflammation des bronches touchant en priorité les bébés. Lavage des mains, gestes barrières, masques… Derrière ce nouveau cheval de bataille se cache en réalité le cheval de Troie des nouveaux traitements à base d’anticorps monoclonaux.

Développé conjointement par Sanofi et AstraZeneca, le Beyfortus® a bénéficié de la voie royale de l’évaluation en mode accéléré. Il avait en effet déjà obtenu de la part de plusieurs organismes réglementaires la désignation très spéciale de « Traitement innovant » (Breakthrough Therapy pour la FDA américaine) ou de « Médicament prioritaire » (PRIME, pour l’Agence européenne des médicaments) dans la lutte contre le VRS, le grand méchant virus respiratoire syncytial des bronchiolites.

Décidément, le gouvernement français est sur tous les fronts sanitaires cet automne : Gardasil anti-papillomavirus chez les collégiens, campagne anti-Covid et antigrippe chez les aînés… Le ministre de la Santé enrôle à tour de bras (droit et gauche) et à tous les âges. Il ne manquait plus que les tout-petits ! Ils sont pourtant déjà bien aiguillés… Mais pas contre la bronchiolite !

[Note de Joseph : compte tenu de la multiplication des « vaccins » en dépit des alertes passées et présentes contre leurs effets secondaires, il semble bien que la seule réelle manière de stopper l’industrie pharmaceutique et les gouvernements dans cette course vaccinale, voire de faire tomber cette industrie pour en revenir à des approches plus saines et naturelles de la Santé, soit de propager largement la connaissance que l’hypothèse virale est une fraude scientifique et que la théorie mère des germes a également été scientifiquement réfutée.
Les virus pathogènes n’ont jamais été réellement isolés (ceci en suivant une démarche scientifique) et leurs divers prétendus « séquençages » génétiques ne sont que des opérations virtuelles suite à une mauvaise cuisine rituelle appelée « culture virale » dont le résultat est pourtant exactement le même sans matériel biologique supposément « infecté ». Et les bactéries et autres micro-organismes ne sont pas nos ennemis, mais participent dans des conditions de vie normales à des échanges symbiotiques. Notre corps héberge notamment en permanence plus de bactéries de toutes sortes qu’il contient de cellules. Ces bactéries se comportent comme de minuscules usines chimiques qui se nourrissent de certaines substances et en produisent d’autres. Dans notre organisme, elles servent notamment à assimiler les aliments et à nettoyer des déchets. De même, les « exosomes » (dont l’existence a elle été démontrée scientifiquement [contrairement aux virus pathogènes] et qui sont visuellement semblables à ce qui est pris pour des virus pathogènes) servent à évacuer des déchets génétiques (brins d’ARN ou d’ADN) hors des cellules puis du corps et peut-être également à avertir d’autres cellules de la présence de substances toxiques.
Le nouveau paradigme médical (qui hérite des travaux d’Antoine Béchamp et d’autres savants ignorés ou discrédités sous l’influence de Big Pharma) propose une vision plus logique et positive des micro-organismes. Et conséquemment, elle remplace la notion de supposé système « immunitaire » par celle de système de nettoyage, d’assimilation, d’entretien et de réharmonisation.
Voir le dossier Vaccins et virus.
Si en réalité il n’existe pas le moindre méchant « virus » ni la moindre méchante bactérie (la multiplication bactérienne soudaine et anormale en certains endroits du corps ne répondant qu’à la présence d’une cause perturbatrice plus profonde), alors la notion même d’« anticorps » devient caduque et grotesque.
Selon le nouveau paradigme, les maladies proviennent de déséquilibres (par excès ou par déficience) sur un ou plusieurs plans de l’existence : chimiques, physiques, vitaux, émotionnels, affectifs, mentaux, psychologiques, psychiques, et même spirituels. Sur le plan purement concret, les perturbateurs possibles sont nombreux : pesticides, additifs alimentaires, détergents, substances toxiques que sont de nombreux ingrédients cosmétiques, des médicaments et des « vaccins », polluants atmosphériques, contaminants de diverses industries (dont la pétrochimie), etc., mais aussi toutes les formes d’ondes artificielles, spécialement lorsqu’elles sont pulsées (radars, Wi-Fi, radio, télévision, téléphonie sans fil — dont la récente 5G —, Bluetooth, etc.), à cause de leur interaction avec la nature électrique sensible des organismes vivants du fait des multiples courants électriques de faible intensité qui les parcourent en permanence (et pas seulement au niveau des nerfs et des neurones pour les espèces dotées d’un système nerveux). Mais il existe aussi des perturbateurs émotionnels (produisant notamment la peur et la colère, nocives pour l’organisme physique et amenant des excès dhormones), affectifs, mentaux, etc.]

L’État vient justement de recevoir les 200 000 premières doses de Beyfortus®. C’est une quantité qui ne comblera pas encore les besoins des 750 000 naissances annuelles. Les parents sont invités à se ruer sur cette rareté pharmaceutique. Pourtant, il n’y a pas de quoi se précipiter : la bronchiolite est assez bénigne. Elle est certes la première cause d’hospitalisation des bébés, mais il faut garder à l’esprit que cela représente généralement moins de 1,8 % des bébés de moins de deux ans (25 000 hospitalisations environ pour une population de 1,4 million).

Une trop curieuse coïncidence…

Il semble que les maternités aient été les premières servies. Depuis le 15 septembre 2023 donc, on injecte le Beyfortus® à des nourrissons âgés de trois ou quatre jours, avant même leur sortie. Prématurés ou pas, à peine nés, déjà piqués ! Les bénéficiaires de cette innovation thérapeutique ne sont-ils pas un peu trop « pris au berceau » ? Cette injection est-elle vraiment sûre et efficace ? Du côté de la Haute Autorité de Santé française, qui a rendu un avis favorable au remboursement de cette nouvelle spécialité (le 19 juillet 2023), on reconnaît que le bénéfice en matière de réduction des hospitalisations sera probablement assez faible, mais on estime que le risque sera lui aussi limité à quelques réactions cutanées. Vraiment ?

Après la polémique sur les injections Covid, l’opinion publique est devenue plutôt méfiante sur les nouveaux traitements… Par précaution, l’Agence France-Presse a immédiatement déployé son bouclier anti-intox « AFP Factuel » pour débunker les premiers tirs émanant des tranchées de la dissidence médiatique. Parmi les premières alertes neutralisées, celle de la biologiste Hélène Banoun, personnalité du Conseil Scientifique Indépendant déjà bien connue du service fact-checking de l’AFP…

Dans son article publié le 12 novembre 2023, sur le site de l’Aimsib, la scientifique démonte méthodiquement le bénéfice/risque du Beyfortus® à partir de trois essais cliniques ayant conduit à son autorisation de mise sur le marché. Elle explique aussi que l’injection généralisée peut avoir un effet contre-productif, sur le plan individuel ou collectif : risque de facilitation de l’affection, risque de sélection de souches résistantes et donc moins faciles à traiter… Elle rapporte par ailleurs l’existence de plusieurs décès dans la cohorte des nourrissons ayant reçu l’injection. Quel âge avaient-ils ? De quoi sont-ils morts ? Pour l’instant, ces informations ne sont pas disponibles et aucune autopsie n’a été pratiquée, les décès ayant été classés comme « sans lien » avec l’expérience. Or, il y a quelques jours, de nouvelles données produites par une statisticienne française sont venues apporter un nouvel éclairage, là encore peu rassurant.

Christine Mackoi, observatrice aguerrie des données officielles de mortalité infantile et néonatale, fait état d’une hausse de la mortalité chez les nourrissons âgés de deux à six jours. Cette hausse dépasse largement les attentes habituelles : 54 décès en septembre 2023 (au-delà de la fourchette des 26 à 50 décès attendus), 61 décès en octobre (encore au-delà de la fourchette des 28 à 52 décès attendus). « Deux mois consécutifs avec des taux de mortalité étonnamment élevés, et particulièrement alarmants en novembre ! Que se passe-t-il ? ». Le constat n’a pas manqué d’attirer l’attention d’Hélène Banoun qui a tout de suite établi la corrélation avec le déploiement du Beyfortus®. Les deux scientifiques ont décidé de publier une nouvelle alerte sur le site de l’AIMSIB le 10 décembre 2023, soutenues par les données récentes.

Où est l’étude sur les nouveau-nés ?

En explorant le site de la Haute Autorité de Santé, on découvre plus grave encore. Parmi les annexes disponibles dans le dossier Beyfortus®, une transcription de la réunion de la Commission Transparence se révèle tout particulièrement instructive. Cette réunion, qui s’est tenue le 19 juillet 2023, est fondamentale, car elle sert de base pour la rédaction de l’avis officiel de la HAS. Or, à la lecture du document, on constate que les experts approuvent tranquillement l’injection de bébés de moins de 6 jours en l’absence de données de sécurité les concernant.

Ce texte dévoile en quelque sorte l’arrière-cuisine de nos experts sanitaires, encore bardés de conflits d’intérêts (après étude de leur pedigree sur le site Transparence Santé). Ici, pas vraiment de débats contradictoires. La discussion suit un cours cordial, évoquant tour à tour l’importance du besoin médical d’un nouveau traitement, les conséquences psychosociales des hospitalisations de jeunes nourrissons ou encore la nécessité de procéder dans l’intelligence collective et la diligence, car la saison des bronchiolites approche. Certes, une posture d’objectivité amène un participant à souligner les failles et imperfections des essais cliniques. Mais la Société Française de Pédiatrie (SFP) n’a pas trop de doute, sa présidente fait même preuve d’un zèle certain : « Les études que vous avez rappelées sont extrêmement prometteuses. On n’a pas de signaux ni d’inquiétudes particulières quant aux effets secondaires ». Elle insiste sur le fardeau de la maladie : « Au pic de l’épidémie, c’est 70 % des lits qui sont occupés par des bronchiolites, pour plusieurs semaines de l’hiver, et qui fragilisent tout notre système de santé ».

La présidente de la SFP, dont l’avis est décisif pour l’avis final, est de toute évidence une pro-vax convaincue, on se souvient d’ailleurs de son émotion au micro de BFM TV devant la « grande maturité » et le « civisme » des 12-17 ans allant se faire vacciner contre la Covid (dès le 15 juin 2021), ce qui lui avait valu d’être épinglée pour ses conflits d’intérêts par ses détracteurs. Concernant le Beyfortus® : « Notre proposition était, pour un premier hiver (2023, ndlr), d’immuniser avant tout les moins de 6 mois, de manière systématique, et dès le début de la période épidémique avec une distribution des médicaments, qui serait idéalement faite en maternité pour que les enfants sortent immunisés et protégés dès les premiers jours (…) ». Dans la foulée, la vice-présidente du Collège de Médecine générale, également présente à la réunion, assure de l’appui des généralistes pour bien communiquer en amont auprès des patientes enceintes.

Cependant, au milieu de la réunion (page 25 de ladite transcription), le ronronnement ambiant est subitement interrompu par la question d’une experte qui a examiné la méthodologie des études cliniques :

— Dans ces essais, ils ont inclus des enfants essentiellement dits en bonne santé, demain, avez-vous l’intention de donner ce médicament à tous les nouveau-nés, en sachant que les études n’ont pas inclus de nouveau-nés ? Ils ont inclus des enfants qui avaient entre moins de trois mois, certes, mais jusqu’à plus de 6 mois.

Nul doute que cette remarque a dû laisser un blanc ! Vérification faite (par nos soins après consultation de la fiche produit sur le site de Sanofi), les nouveau-nés ne représentent effectivement qu’une toute petite partie des 4 500 bébés inclus dans les essais cliniques. L’âge médian oscillant entre 2,6 et 3,5 mois selon les cohortes. La recommandation de vacciner les bébés directement à la maternité, c’est-à-dire à la naissance, relève ainsi plutôt de la légalisation d’une expérimentation de masse : ce public n’étant pas représentatif de celui inclus dans les essais cliniques.

Un bébé de six jours est totalement immature sur le plan immunitaire, il est évidemment beaucoup plus fragile qu’un nourrisson de six mois. Cela peut faire une différence de taille en matière d’effets indésirables. Par ailleurs, les essais cliniques ne sont pas représentatifs du type d’effets indésirables et de leurs niveaux, qui seront très probablement différents sur le terrain. En revanche, ces essais peuvent contribuer à produire un avis officiel rassuriste !

Un bénéfice plus que douteux ! Sauf pour les labos…

Après lecture de l’Avis définitif résultant de cette réunion de la Commission Transparence, on ne peut qu’être perplexe sur l’impartialité de la Haute Autorité de Santé : elle reconnaît que les essais n’ont pas apporté la preuve suffisante d’une réduction des hospitalisations, mais elle valide un médicament pour tous les nourrissons ! Par ailleurs, comparé à l’autre traitement existant, la protection réelle contre la bronchiolite n’apparaît pas vraiment supérieure.

Cet autre traitement déjà disponible contre la bronchiolite mérite un petit détour ! Le Synagis® est également un anticorps monoclonal commercialisé par AstraZeneca, mais sa première autorisation de mise sur le marché remonte à 1999. Le brevet de la molécule active du Synagis® serait-il tombé dans le domaine public ? Sanofi et AstraZeneca, grands perdants des vaccins contre la Covid, ont-ils fait pression pour trouver de nouveaux marchés ?

On peut se perdre en suppositions ou… chercher l’explication dans les propos du deuxième expert de la Société Française de Pédiatrie invité à participer à la réunion de la Commission de la Transparence :

— Pour le Synagis, c’est un produit qui ne protège qu’à 50 % alors que l’autre, c’est plutôt 78 % — 80 %. Il est beaucoup moins efficace, et il faut cinq injections très onéreuses. C’est entre 400 et 600 euros, le flacon 15 milligrammes/kilo…

Oui, vous avez bien lu ! Jusqu’à présent, le pack anti-bronchiolite coûtait donc 2 000 € par tête de nourrisson pour une saison de protection. Au-delà de l’efficacité affichée (nous expliquerons pourquoi ce chiffre est trompeur dans le prochain numéro de la revue Néosanté), on comprend bien l’impossibilité de rembourser un tel traitement chez l’ensemble de nos poupons… Dans les faits, le Synagis® a toujours été réservé aux nourrissons à risque, soit environ 6 000 bébés éligibles chaque année. On comprend désormais que l’intérêt du Beyfortus® réside surtout dans son mode d’administration : une injection pour cinq mois de protection. Pour le praticien de santé, il sera beaucoup plus facile de convaincre les parents, et ainsi d’élargir le nombre de personnes prétendument protégées.

À ce stade de la discussion, le président de la Commission Transparence se doit de rappeler les règles de la Commission :

— On ne peut pas parler du prix des médicaments.
— Alors on ne parle pas du prix. Par contre, il y a cinq injections qui sont douloureuses et qu’il faut faire tous les ans, et cela marche beaucoup moins bien. C’est clair qu’il n’y a pas photo entre les deux.

Les bons sentiments ont parfois un coût. La question du prix du Beyfortus®, éludée au cours de cette réunion, est loin d’être anodine. Hélène Banoun s’est d’ailleurs penchée sur cette question, mais elle n’a pas réussi à obtenir le prix de la négociation entre la France et le laboratoire. Top secret ? Aux États-Unis en revanche, la transparence reste de mise : le Beyfortus® coûte entre 300 $ et 500 $…

Il est maintenant possible de sortir la calculatrice pour évaluer, du point de vue du laboratoire, le bénéfice de ce nouveau traitement :

Pour le Synagis® : 6 000 nourrissons x 2 000 € pour 5 injections = 12 000 000 €, c’est le montant maximum du marché.

Pour le Beyfortus® : 750 000 nourrissons x 400 € (estimation) pour une seule injection = 300 000 000 € ! C’est le chiffre d’affaires annuel potentiel de ce nouveau traitement s’il était généralisé, dans le cadre d’une obligation thérapeutique préventive par exemple ou via un forcing promotionnel similaire à celui du Gardasil.

On comprend mieux l’intérêt pour AstraZeneca d’écraser son ancienne molécule au profit de la nouvelle version ! À condition que les effets indésirables passent sous les radars de la pharmacovigilance, ce « me too » peut représenter une bien meilleure opération encore que le Gardasil de Merck : deux injections (230 €) pour 850 000 enfants de 12 ans, cela donne 195 500 000 € par an, « seulement ».

Le 12vaccin obligatoire avance-t-il masqué ?

Pour le ministère de la Santé, rappeler qu’il ne s’agit PAS d’un vaccin est cette fois-ci un élément clé du narratif : « Le Beyfortus® repose sur la technologie des anticorps, c’est-à-dire que l’on donne à l’organisme les outils pour se défendre, et est efficace sur plusieurs mois, à la différence de la vaccination qui présente la maladie à l’organisme pour l’entraîner à se défendre seul ». Ce charabiargumentaire ne veut pas dire grand-chose et à ce titre, les soi-disant vaccins contre la Covid n’en étaient effectivement pas, puisqu’ils ne présentaient pas la maladie à l’organisme. Dans le cas du Beyfortus®, on administre directement des anticorps anti-VRS, très similaires aux anticorps vaccinaux induits par un « vrai » vaccin anti-VRS. Bref, dans l’éventail des nouvelles thérapies immunitaires, il y a franchement de quoi s’y perdre. Même la représentante du Collège de médecine générale patauge :

— … ce vaccin, j’ai bien compris qu’il allait être pris en charge à 100 %. Normalement, nous allions l’avoir à disposition, comme on a pu l’avoir pour le Covid dans les cabinets. Ce que nous craignons, je ne vous le cache pas, c’est qu’on fasse une campagne d’information et que nous n’ayons pas les doses…

Le président de la Commission Transparence se doit de rectifier :

— Merci. Juste une précision, ce n’est pas un vaccin. C’est un produit qui ne passera pas par la Commission Technique des Vaccinations (CTV).

Dont acte. Mais pourquoi avoir convoqué un membre de la CTV en tant qu’expert pour cet audit ? Et notamment Daniel Floret, figure historique de la CTV jusqu’à peu (entre autres commissions), grand spécialiste des vaccins, mais aussi collaborateur régulier de l’industrie pharmaceutique ?

En fait, l’industrie a tout intérêt à ce que le Beyfortus® soit considéré comme un vaccin. Comme toutes les nouvelles thérapies destinées à lutter contre des maladies infectieuses (notamment les produits de thérapies géniques), « le flou est volontairement entretenu du point de vue de la qualification de ces nouveaux produits » rappelle Hélène Banoun. L’industrie aimerait qu’ils suivent plus ou moins la réglementation plus souple des vaccins, en vue d’éviter des essais cliniques complexes et longs. Par exemple, le Beyfortus® contre le VRS a été approuvé en urgence comme un vaccin aurait pu l’être »…

Mais du côté politique, il s’agit surtout de ne pas effrayer les parents avec un « nouveau vaccin » et encore moins relancer la douloureuse polémique sur les vaccins obligatoires du nourrisson. Donc NON, on ne peut pas parler de vaccin ! Et encore moins d’un vaccin obligatoire puisqu’il « ne peut être administré sans l’accord des parents », assure le Ministre de la Santé. Du moins pas pour l’instant… Mais peut-on encore vraiment lui faire confiance ?

[Voir aussi :

Le train du Beyfortus a déjà déraillé

https://www.aimsib.org/2023/12/10/le-train-du-beyfortus-a-deja-deraille/

]




Qu’est-ce que l’oxyde de graphène et les nanotechnologies ont à voir avec la 5G ?

[Source : https://www.kla.tv/24056]

La recherche scientifique et les rapports faisant état de graves dommages causés aux vaccins confirment les conclusions inquiétantes concernant les ingrédients des vaccins. Entretien avec le biostatisticien Ricardo Delgado Martin sur l’oxyde de graphène et la nanotechnologie dans les vaccins Covid : qui a ordonné l’inclusion de ces substances toxiques et quel est leur rapport avec la technologie mobile 5G ? Comprenons-nous désormais mieux l’Agenda 2030 et le plan du Forum Économique Mondial ?

Transcription en français de l’interview

Kla.TV : D’accord, alors commençons. Bienvenue Ricardo Delgado Martin. Une brève présentation de vous-même pour le public germanophone. Eh bien, Ricardo Delgado Martin est fondateur et directeur de « la Quinta Columna ». Il est diplômé en biostatistique de l’Université de Séville. Il est titulaire d’un Master en Biostatistique, Postgraduate en Biologie de la Santé, Microbiologie Clinique, Épidémiologie et Immunologie Clinique, appliqué à l’Université Européenne Miguel de Cervantes. Expert universitaire en génétique clinique de l’Université Antonio de Nebrija. Certificat de contribution scientifique, de l’Université de Séville et Master de troisième cycle en psychologie de l’enfant. Master en banque et finance de l’Instituto Superior de Técnicas y Prácticas Bancarías. Master en formation personnelle. Autrement dit, un dossier long et complet.

M. Delgado : Merci, Angel, pour l’invitation et à la chaîne Kla.tv pour l’opportunité d’y présenter nos recherches.

Kla.TV : Ricardo, si tu devais te décrire, qui est selon toi Ricardo Delgado Martin ?

M. Delgado : En fait, puisque l’être humain est probablement soumis à une évaluation et à un changement constants, nous pouvons dire qu’une personne, proche de l’éveil, dans un sens, nous avons réalisé, nous avons constaté que le monde dans lequel nous vivons n’est pas exactement celui qu’on nous a dit. À partir d’un certain moment, j’ai dû mettre en quarantaine tous les grands dogmes et paradigmes officiels qui viennent de ce qu’on appelle la science.

Kla.TV : Eh bien, qu’est-ce que la biostatistique ?

M. Delgado : La biostatistique est une spécialité des statistiques, qui à son tour est une branche des mathématiques, une science exacte, et il s’agit plutôt d’un sujet d’épidémiologie, appliqué au domaine de la santé. C’est pratiquement la même chose, ce sont des synonymes.

Kla.TV : D’accord, comment vous est venue l’idée de fonder la plateforme « La Quinta Columna » ?

M. Delgado : Cela est né du besoin urgent de former un collectif humain, un groupe d’êtres humains conscients, qui ne partagent absolument pas la réalité qu’ils veulent peindre avec ce soi-disant agenda 2030. Puis, à partir de là, petit à petit, la chaîne s’est développée de manière exponentielle, surtout lorsque nous avons décidé d’analyser les flacons, d’abord de Pfizer, puis d’Astra Zeneca, Moderna et Johnson également. Dès lors, nous avons logiquement commencé à fournir des informations basées sur l’observation et à mettre en quarantaine tout ce qui provenait de la version officielle et des articles scientifiques des laboratoires pharmaceutiques eux-mêmes.

Kla.TV : D’accord, donc la question est : quelle est votre mission, pratiquement, eh bien, vous avez répondu à cette question. Je suppose que c’est reconnaître toutes ces incohérences et ces doutes, etc. J’imagine.

M. Delgado : À partir d’aujourd’hui, nous pouvons énoncer encore plus clairement la mission de la « Quinta Columna ». Il s’agit littéralement de sauver autant d’êtres humains que possible. Car là où ils veulent nous emmener, c’est la perte de toute forme d’identité et d’humanité intrinsèque, vers le transhumanisme ou l’extinction de l’espèce humaine, telle que nous la connaissons.

Kla.TV : Pourquoi pensez-vous qu’il n’y a pas plus de biostatisticiens, comme vous, ou de personnes dans le monde de la recherche ? Des scientifiques qui se consacrent à ces questions, c’est-à-dire à l’analyse et à la recherche sur le sujet du vaccin, de l’épidémie, etc.

M. Delgado : Il y en a, le problème est que ceux qui savent se taisent, et c’est un silence complice qui cause la perte d’un grand nombre de vies, et les autres se contentent de suivre le système et de travailler pour lui. Bien sûr, avec de grosses sommes d’argent sur la table, de l’argent taché de sang, pour le dire précisément.

Kla.TV : Eh bien, si nous revenons au début des événements, c’est-à-dire à tout ce que nous avons vécu de la soi-disant pandémie. Comment pourrait-on mieux expliquer, ou présenter ainsi à travers les médias officiels, ce qui nous a été dit, ou ce qui ne nous a PAS été dit, dans ce sens ?

M. Delgado : On nous a dit que tout était la conséquence d’un coronavirus inexistant et qu’il s’agissait donc d’une pandémie, alors que la réalité est évidente : il s’agit d’un génocide par l’introduction d’un composé chimique toxique à l’intérieur de l’organisme. Par conséquent, si nous introduisons un composé chimique qui a une capacité radio modulable et qui agit dans le corps comme un agent pathogène, nous parlons d’un acte prémédité et conscient et bien sûr d’un génocide et pas du tout d’une pandémie. C’est pourquoi ils peuvent savoir avec une précision absolue quand une vague apparaît, la deuxième, la troisième, qu’ils appellent variants, ce qui n’est qu’une justification des morts et des maladies causées par ce qu’ils appellent des vaccins, qui logiquement ne sont pas du tout des vaccins.

Kla.TV : D’accord. À partir de quel moment, ou plutôt, à quel moment avez-vous vraiment commencé à avoir des soupçons, ou comme on dit, à penser que quelque chose ne colle pas ? À quel moment avez-vous eu ces doutes ou avez-vous commencé à ne pas trouver de logique dans tout ce qu’on nous dit et ce que nous vivons ?

M. Delgado : Pratiquement depuis le début. Nous avons d’abord pensé qu’il pouvait y avoir un type d’agent biologique qui ne correspondait pas à ce que l’on nous avait dit. Nous avons commencé à faire des calculs, en utilisant précisément les chiffres que les modèles épidémiologiques peuvent donner. Nous avons fait des comparaisons avec la grippe saisonnière commune et nous avons considéré les contre-mesures qui étaient prises. Et nous avions aussi le précédent de la fameuse grippe A de 2009/2010. Tout cela nous a fait soupçonner qu’il y avait une grande opération derrière tout cela : le fameux événement 201 organisé à New York le 18 octobre par la Fondation Bill et Melinda Gates, l’Université John Hopkins et le Forum Économique Mondial, et c’est très important. Tout cela était très suspect, mais surtout lorsque nous avons analysé le vaccin, c’est-à-dire lorsqu’ils ont commencé à l’injecter, nous avons constaté un effet magnétique exacerbé, d’abord dans la zone de la piqûre, puis étendu à la zone du plexus solaire supérieur et enfin à la tête, c’est-à-dire le tissu conducteur d’électricité du corps. Nous avons émis l’hypothèse qu’il s’agissait d’un dérivé du graphène sur la base de tout ce que nous savions déjà et des hypothèses ou des fortes indications qui existaient, et nous l’avons finalement prouvé par une analyse préliminaire, puis par une analyse finale que nous développerons un peu plus tard.

Kla.TV : Nous avons donc entendu dire jusqu’à présent que le virus SRAS-CoV-2, c’est-à-dire le virus censé causer cette maladie Covid-19, n’a jamais été isolé ni séquencé. Que signifie isoler ou séquencer au sens d’un virus ?

M. Delgado : Le séquençage et l’isolement d’un agent biologique — de type Corona viral, dans ce nouveau cas — impliqueraient de disposer de la séquence exacte de nucléotides et de la combinaison de toutes ces paires qui ne donnaient pas l’impression d’être 29 800, ou environ 30 000 paires de nucléotides. Il s’agit d’un format d’ADN, c’est-à-dire que nous n’avons pas cela. Ce que vous avez, c’est une construction virtuelle assemblée avec un algorithme informatique qui est également appelé MUSCLE, c’est-à-dire que ce sont des virus in silico [sous forme purement logicielle ou virtuelle, NDT] ou des virus chimères, c’est ainsi qu’on les appelle. Il n’existe que dans l’ordinateur. Le SRAS-CoV-2 n’existe pas dans la nature. À partir du mucus de trois patients atteints ou décédés de différents types de pneumonie précisément à Wuhan, ils ont extrait du matériel génétique et essayé de séquencer quelque chose, mais avec seulement une amorce initiale, à partir de laquelle ils ont extrapolé. Ils n’ont pas besoin de le faire [ils pensent qu’ils n’ont pas besoin de séquencer une chaîne complète de nucléotides, NDT], ils ont des logiciels ! [qui sont supposés permettre de reconstituer la chaîne complète du supposé virus à partir de l’amorce et de multiples bouts de chaînes dont en réalité on ne peut certifier l’origine génétique, NDT.] Mais pas seulement pour cet agent biologique, mais aussi pour tous les autres qui l’ont précédé. Il n’y a donc pas de véritable connaissance en matière de séquençage de la nature du SRAS-CoV-2. Personne ne l’a [le virus et/ou son séquençage d’un seul tenant, NDT]. S’ils l’avaient eu, ils auraient soi-disant fabriqué un vaccin traditionnel atténuant l’agent. Il n’existe pas non plus de laboratoire capable de le cultiver, alors qu’il y a déjà environ 180 institutions dans le monde : ministère de la Santé, institutions universitaires de toutes sortes, etc. dont aucune ne dispose du séquençage [réel] du SRAS-CoV-2. Néanmoins, elles nous parlent de variants et de sous-variants.

Kla.TV : Exactement, donc à un moment donné de l’histoire, pour autant que nous le sachions, y a-t-il eu un séquençage d’un virus ? D’une manière générale, savons-nous que certains virus, je ne sais pas, Ebola ?…

M. Delgado : Il est possible qu’il y en ait un, Angel, il est possible qu’il y ait un véritable séquençage d’un agent biologique [mais jusqu’à présent, aucun institut n’a pu apporter la preuve de l’isolation et du séquençage intégral d’un seul tenant d’un supposé virus, alors que l’on a pu scientifiquement isoler et caractériser des exosomes produits naturellement par des cellules agressées, et d’aspect similaire aux supposés virus pathogènes vus par microscopie électronique, NDT]. Car désormais, nous devons également nous demander si ce que nous appelons virus est la conséquence ou la cause [en tant que supposés agents contagieux (cause) envahissant le corps d’un hôte (effet), puis se propageant à un autre (cause) pour le rendre à son tour malade (effet), etc., NDT] de maladies et non le produit de celles-ci [en tant qu’exosomes résultant de l’agression de cellules par des causes supérieures telles que des toxines chimiques ou des ondes électromagnétiques, NDT]. Il est probable que la virologie actuelle doive littéralement être déchiquetée et jetée à la poubelle. Nous avons amené tout le monde à croire — en fonction des intérêts pharmaceutiques, d’abord la Fondation Rockefeller et maintenant la Fondation Bill et Melinda Gates, qui prend le relais — que ce que nous appelons virus ou agents viraux sont la cause de maladies, alors qu’ils en sont très probablement la conséquence. Et la maladie est causée par des phénomènes de radiation, d’intoxication, etc. comme c’est le cas que nous allons voir maintenant avec ce qu’ils appellent Covid-19.

Kla.TV : Dès lors, nous devrions, comme on dit, prendre avec des pincettes le fait qu’il existe peut-être un virus de la grippe, de la variole, de la rougeole, du sida, d’Ebola, etc., selon ce que vous mentionnez.

M. Delgado : Et il n’y a pas non plus de contagion en tant que telle, et il n’a jamais été démontré non plus qu’une personne soi-disant infectée par la grippe puisse contracter ou transmettre la maladie à une autre personne par voie aérienne, car il a été démontré que l’information voyage, l’information génétique, mais comme messager d’alerte, c’est-à-dire ce que nous appelons le Coronavirus — ces types d’agents viraux, sont probablement des messages d’alerte inter-espèces pour alerter qu’il existe un phénomène tel que les radiations qui affecte tout le monde. [NDT Ici, il s’agit sans doute de l’hypothèse du rôle messager de certains exosomes, mais surtout un messager intracorporel pour avertir les autres cellules du corps. Il resterait à démontrer que les exosomes produits par un organisme donné peuvent réellement pénétrer dans un autre corps biologique. Cependant, il a été scientifiquement démontré que les cellules ou les tissus vivants peuvent communiquer de l’information biologique entre individus d’une même espèce par le biais d’ondes électromagnétiques dans les gammes de fréquences visibles et ultra-violettes sous forme de biophotons. Voir Communication entre organismes vivants par biophotons.] Le virus synthétise alors une protéine qui va protéger l’individu, non pas pour le tuer, mais pour le protéger. [NDT Alors que la nature abonde en exemples de collaborations symbiotiques entre diverses espèces, par exemple entre arbres, champignons et bactéries, la vision pasteurienne et de l’industrie pharmaceutique voudrait nous faire croire que les bactéries et surtout les virus ont été essentiellement créés pour nuire aux plantes, aux animaux et aux êtres humains.]

Kla.TV : Préparer l’organisme, le corps humain à réagir d’une certaine manière ou sous une certaine forme.

M. Delgado : Exactement, mais ce qui le tue ou le rend malade, ce sont les radiations. Il est probable que la grippe commune soit saisonnière, il s’agit probablement d’une sorte de rayonnement solaire naturel, par exemple : typique des hivers.

Kla.TV : Nous posons la question automatiquement, par exemple dans les vaccins qui nous ont été administrés depuis des générations. Qu’est-ce qui a vraiment été donné à l’être humain, si toutes ces causes virales n’ont vraiment aucune justification ou n’existent pas en tant que telles ?

M. Delgado : Je vais vous répondre très rapidement : le mercure sous forme de thimérosal, qui a augmenté la prolifération d’enfants souffrant de troubles nerveux. L’aluminium, c’est précisément à cela que le corps réagit de manière allergique, et non à aucun virus atténué, responsable d’une épidémie d’autisme depuis précisément le moment où il a commencé à être injecté. Dans les vaccins traditionnels dont nous parlons, il existe des solvants qui sont censés dissoudre la membrane lipidique cellulaire, de sorte que le vaccin a davantage d’importance en tant qu’adjuvant. C’est ce qu’ils nous disent. Détergents tels que polysorbate 80 et tritoniqui 100 ; c’est ce qui a été introduit dans les vaccins traditionnels, mais maintenant il existe ce qu’ils appellent la technologie de l’ARN messager, il n’y a pas d’ARN messager du tout, la seule chose qui existe est la microtechnologie et le graphène. Le graphène est une autre matière particulièrement toxique à l’intérieur du corps, qui s’ajoute à toute cette opération machiavélique qui dure depuis longtemps.

Kla.TV : OK, en parlant de cet agent toxique, l’oxyde de graphène comme vous le dites. Que provoque exactement l’oxyde de graphène dans l’organisme humain ?

M. Delgado : L’oxyde de graphène — la première chose que nous devons comprendre est que lorsqu’il est à l’intérieur du corps en contact avec des cellules vivantes, il a un comportement magnétique exponentiel, c’est pourquoi « La Quinta Columna » a envoyé un message lorsque nous avons vu de nombreux cas autour de nous, le phénomène typique où les cuillères et les objets métalliques se collent directement dans la zone de la piqûre et ensuite, comme je l’ai dit, dans la zone de la poitrine et de la tête, mais il était également mesurable et l’est encore avec des appareils de mesure électromagnétique comme celui-ci. Nous savons donc que le graphène renforce le signal des antennes téléphoniques en gigahertz et, grâce à l’effet transistor, le convertit ou le transfère en térahertz, ce qui permet précisément à la microtechnologie présente à l’intérieur du vaccin de fonctionner. Le graphène dans le corps entier active la coagulation sanguine, il est utilisé dans le format, pour réduire les plaquettes, pour activer la coagulation et a donc un effet thrombocytopénique. Toutes sortes de maladies apparaissent à la suite de thrombus générés par la coagulation du graphène, et c’est le cas, parce qu’il renforce les dommages causés par les radiations. Les radiations génèrent déjà l’effet de bobine, en empilant les globules rouges, les érythrocytes. Si le graphène renforce cet effet, il y aura un effet cumulatif de coagulation. Conséquence : accidents vasculaires cérébraux, embolies, toutes sortes de phénomènes d’accidents cardiovasculaires et cérébrovasculaires, embolies également là où il y a un manque d’apport sanguin. Mais le graphène est également mutagène à l’intérieur du corps, il a la capacité de moduler les gènes, il génère la mutagenèse, l’altération chromosomique et le cancer. Il est également à l’origine de l’infertilité masculine et féminine. Dans le sperme masculin, il affecte la motilité des spermatozoïdes et entraîne la stérilité de la quasi-totalité de la population. La neurodégénérescence également et, bien sûr, le cancer. Mais aussi des arythmies cardiaques parce que c’est un matériau super conducteur et qu’il va se loger dans cette ligne où l’on provoque précisément le magnétisme, c’est-à-dire le système nerveux central, formé par la moelle épinière et les neurones. Dans la tête, comme je l’ai dit : neurodégénérescence. Il a d’autres capacités dont le but final que nous verrons plus tard. Et dans le cœur, lorsqu’il entre en activité électrique en raison de l’activité cardiaque, le graphène sera dirigé là, agissant comme un super conducteur, ce qu’il est. Tout le monde connaît donc déjà les batteries au graphène. Le graphène est également un condensateur d’énergie : il stocke l’énergie qu’il reçoit de son environnement, en particulier des antennes téléphoniques. Il reçoit cette énergie et peut la décharger. S’il génère des décharges dans le cœur, il rompt le rythme cardiaque, provoquant un évanouissement dû à un manque d’irrigation cérébrale et, par conséquent, un effondrement, une syncope, un évanouissement, une arythmie avec une mort soudaine et abrupte, ce que nous constatons également aujourd’hui. Et j’oublie l’essentiel : à moyen terme, le graphène est dépendant des radiations, c’est-à-dire qu’il absorbe les radiations des micro-ondes et multiplie à la fois la fréquence et les dommages. Dès qu’il pénètre dans le corps, il commence à libérer des radicaux libres. Le moment venu, il dépassera un certain seuil du système immunitaire et générera ce que l’on appelle une tempête de cytokines, la fameuse tempête de cytokines. À l’intérieur du corps, comme il s’agit d’un toxique, le système immunitaire répond par une inflammation pour essayer d’empêcher la prolifération du toxique. Il s’agit donc d’une inflammation systémique ou multi-organes. La tempête de cytokines est éliminée par les poumons. Dieu merci, le corps humain a la capacité de l’éliminer, mais une fois irradiée dans les poumons, elle génère une pneumonie bilatérale. Nous avons donc déjà une Covid-19 sévère. La vraie Covid.

Kla.TV : Puisque nous parlons d’un syndrome d’irradiation aiguë, d’après certains programmes que je vous ai entendus dire, il n’y a pas de législation au niveau de chaque pays sur la quantité d’émissions autorisées, ou sur les antennes : combien sont autorisées à être émises pour qu’elles n’affectent pas les êtres humains, la santé humaine. Savez-vous quelque chose à ce sujet ? Je veux dire, parce que bien sûr nous parlions il y a des années des antennes 2G, 3G, 3G+, 4G, mais à un moment donné j’imagine que ce rayonnement est collecté de manière à ce que nous puissions savoir s’il est nocif ou non. Jusqu’à quelle limite pouvons-nous dire qu’elles sont nocives et qui peut nous protéger de ces radiations ? Officiellement, à qui devrions-nous nous adresser ?

M. Delgado : En théorie, auprès des organisations du comité des radiofréquences, dans notre pays, par exemple en Espagne, ou auprès du Conseil de l’environnement. Les valeurs qui causent des dommages dépassent même 500 à 1000 fois celles qui sont autorisées dans notre pays. Les chiffres changent ou varient légèrement d’un pays à l’autre au sein de l’Union européenne, mais même ainsi, ceux qui sont déjà considérés comme permissifs dépassent de loin ceux qui affectent la biologie humaine. Par exemple, j’ai ici en ce moment, si vous regardez l’écran, je ne sais pas si vous voyez quelque chose… eh bien, les volts par mètre ou en microwatts par cm² sont de 13, à l’intérieur de la maison il faudrait que ce soit 0,1, c’est-à-dire que nous parlons de 130 fois plus. Bien que nous ayons placé un tissu antiradiation sur cette fenêtre et de l’autre côté de l’arrière, je veux dire que c’est de la folie. Ils ont transformé le monde en une soupe électromagnétique. Si nous introduisons également dans le corps un matériau qui augmente le rayonnement de trois magnitudes d’onde, qui convertit les gigahertz des antennes téléphoniques en térahertz, ce qui est précisément là où la microtechnologie que nous avons également trouvée dans le vaccin fonctionne, alors vous avez un syndrome d’irradiation aiguë. C’est pourquoi la symptomatologie et le tableau clinique du syndrome d’irradiation aiguë correspondent exactement au syndrome de Covid. Le syndrome d’irradiation chronique, conséquence de l’irradiation constante de la personne ou de l’individu, est appelé Covid long — Covid long ou Covid persistant.

Kla.TV : En parlant de radiations et de virus, comment expliqueriez-vous l’événement de 1918 ou 19, je pense, de la fameuse ou de la soi-disant grippe espagnole ? Je veux dire, que s’est-il passé là ? Parce que si nous regardons parfois ainsi, dans les livres d’histoire, nous voyons des gens protégés, avec des masques, etc. Et que s’est-il passé, que s’est-il passé exactement là ?

M. Delgado : C’est à ce moment-là que les premières ondes radio du spectre électromagnétique ont commencé à être émises globalement et massivement vers la biologie humaine pour la première fois. La première modification globale du terrain de l’être humain a eu lieu, en fait, elle a commencé précisément dans des casernes militaires aux États-Unis, qui étaient le foyer de l’épidémie supposée de ce qu’ils appelaient le virus H1N1 de la grippe espagnole, ou la variante de l’époque. C’est là que tout a commencé. Chaque fois qu’il y a eu un bond technologique avec une nouvelle émission de rayonnement micro-ondes, dans ce cas déjà, nous avons eu une épidémie ou ce que l’on a appelé une pandémie. La pandémie de Hong Kong était liée à la pandémie de 1958, qui comportait également une nouvelle émission de radiofréquences. La 4G a coïncidé, la 4G+ a coïncidé avec la grippe de 2018. Je me souviens qu’en 2018, le Covid-19 est déjà apparu, au cas où vous ne le sauriez pas, des pneumonies bilatérales sont apparues, des inflammations sur tout le corps. Encore plus qu’en 2020. En 2018, ils ont déjà introduit dans le vaccin antigrippal, selon toute probabilité, ce matériau radiomodulable et l’irradiation subséquente avec la 4G+. Ils ont constaté que cela fonctionnait, donc la campagne suivante, la campagne 2019-2020, ils ont globalement introduit chez les personnes âgées dans les maisons de retraite, dans le vaccin contre la grippe, l’oxyde de graphène réduit, et c’est ce que le Dr Campra a trouvé par la suite.

Kla.TV : Alors, parlons encore de la question de la grippe espagnole, de cet événement très célèbre. C’est arrivé et il n’y avait pas de vaccins, il n’y avait absolument rien dans ce sens. Que se passe-t-il pour que l’être humain ait la capacité de s’adapter à cela ? Et pourquoi tout d’un coup, après qu’un nombre effarant de personnes soient mortes soi-disant à cause de la fameuse grippe, que s’est-il passé là, c’est-à-dire comment les êtres humains ont-ils pu s’adapter ? Parce que les antennes émettaient toujours, je comprends. C’est-à-dire que notre capacité d’adaptation nécessite un certain temps chez la plupart des gens, mais bien sûr, comment pourrait-on mieux expliquer cela ? C’est-à-dire que chaque fois qu’une nouvelle radiation arrive, un élargissement du spectre se produit, à partir de ce moment-là, nous avons davantage de possibilités de tomber malade ou de ne pas nous adapter et peut-être que seuls certains sont capables de faire face à cette nouvelle exposition, pour ainsi dire.

M. Delgado : Simplement, lorsqu’il y a une nouvelle altération de l’environnement, certains survivent, résistent et d’autres meurent, comme dans la nature. Sauf que cela ne correspond pas à la nature, c’est une nouvelle altération artificielle de l’environnement. Il y a une… dans le concept d’épigénétique une adaptation par la modulation rapide des gènes, ce qui est fait précisément c’est d’aller à l’endroit de ce que l’on appelle à tort virus ou Coronavirus, qui n’est qu’une réadaptation de notre ADN par une synthèse protéique lorsqu’il est soumis ou irradié, dans ce cas avec une nouvelle longueur d’onde qui n’est pas de la trame normale — solaire naturelle par exemple.

Kla.TV : Alors ce nouveau rayonnement, la 5 G, en quoi est-il clairement différent de la 2 G ou de la 3 G jusqu’à présent, c’est-à-dire que sommes-nous… quelle est l’ampleur ou de quoi parlons-nous en comparaison ?

M. Delgado : Eh bien, en tout, il n’y a absolument aucune comparaison possible. Depuis la 4 G+ et surtout la 5 G, outre le fait que c’est infiniment plus d’électricité ambiante artificielle, infiniment plus de millions d’antennes placées partout dans le monde, il y a un nombre exponentiel élevé de Volts par mètre qui traversent la biologie humaine, le règne végétal et tous les êtres vivants en général. Nous voyons également des oiseaux tomber lorsqu’ils changent de fréquence. Surtout, ils tombent fondus, et même certaines antennes téléphoniques brûlent à cause des radiations qu’elles émettent. On parle aussi de micro-ondes, mais avec beaucoup plus de force et aussi en format AX. C’est-à-dire qu’il s’agit d’un faisceau. La 5G est scalaire et millimétrique, elle envoie un faisceau directement à la personne qui se connecte ou qui a un smartphone. Mais ce n’était pas seulement pour le téléphone, c’était aussi pour les gens, d’après ce que nous savons maintenant.

Kla.TV : Mais ce faisceau, disons, dont vous parlez, auquel vous faites référence, signifie qu’il n’émet pas toujours. Je veux dire, ce que j’ai du mal à comprendre, c’est qu’une antenne normalement, si elle est en fonctionnement, est censée émettre en permanence et si elle est au niveau de la 5 G, eh bien évidemment, elle émettrait en permanence, mais vous me dites que ce n’est peut-être pas son but, de ne pas émettre en permanence, mais d’émettre seulement à un certain moment de la journée, de l’heure, je ne sais pas. C’est ce que je n’ai pas…

M. Delgado : Il émet, il émet toujours dans un format vectoriel à gradient directionnel, c’est-à-dire qu’il y a un courant qui vous traverse constamment, mais s’il y a une exigence d’un certain type d’appareil électronique qui est connecté à cette fréquence, parce que c’est un objet intelligent, par exemple une couche qui va… une couche intelligente va nous dire quand elle est mouillée ou non, selon que l’enfant a fait ses besoins ou non. Dans ce cas, la couche reçoit un faisceau pour exiger cette information automatiquement ou à la demande de l’utilisateur et, bien sûr, ce faisceau est une impulsion électromagnétique, ce qui est peut-être la chose la plus dangereuse. Les changements brusques sont les plus dommageables. Ainsi, une personne entre dans un supermarché avec un niveau de radiation, entre à l’intérieur, est protégée par les murs. C’est pourquoi nous observons de nombreux évanouissements et syncopes à la sortie des supermarchés, où il y a également beaucoup de radiations.

Kla.TV : Nous parlerions donc d’une dose, pour lui donner un nom, que nous recevions une quantité de dose supérieure à ce qui est sain, à quoi le corps humain pourrait s’adapter. Nous pourrions le dire ainsi.

M. Delgado : Exactement. Les doses mesurées en millisievert, c’est-à-dire que les rayonnements causent des dommages, soit sous forme d’impulsion, soit à moyen terme, parce qu’ils absorbent la dose de rayonnement qui s’accumule dans les tissus. C’est ce qui finit par générer le cancer, qui prolifère. C’est ce qui finit par générer, ensuite, tout type de… Tous les dommages causés par les radiations sont précisément ce qui a été décrit comme le Covid 19, et ses variantes respectives, parce qu’il s’agit d’un syndrome d’irradiation aiguë. Lorsque nous avons vu les études officielles, qui comparaient le syndrome d’irradiation aiguë avec le Covid-19, le problème est qu’elles ne l’ont pas considéré comme un agent causal, comme la véritable cause, parce qu’elles ne sont pas conscientes, ou elles [les études, NDT] n’étaient pas conscientes que ce dérivé du graphène, l’oxyde de graphène réduit, est introduit, ce qui augmente les dommages causés par les radiations. Même s’il les rapproche des rayonnements Cherenkov, c’est-à-dire qu’il les multiplie par mille, le graphène augmente les dommages causés par les rayonnements. Et tout ce que je dis, ce sont des articles scientifiques que j’ai recueillis ; même le projet CORDIS de l’Union européenne, et nous pourrons continuer plus tard.

Kla.TV : Alors, euh, Wuhan, juste pour revenir un peu en arrière, quand toute cette histoire macabre a-t-elle commencé, pour ainsi dire, est-ce là que le rayonnement 5G a été pratiquement émis pour la première fois ?

M. Delgado : Exactement en novembre, fin novembre 2019, à Wuhan, a coïncidé l’apparition de ce qu’ils ont appelé un virus corona inexistant, en raison de ce que nous avons dit dans l’introduction, avec juste la mise en œuvre de la technologie 5G dans une ville de 11 millions d’habitants, dans le temps et l’espace, qui était Wuhan. Dites-moi quelle est la probabilité que la prétendue épidémie de coronavirus apparaisse à Wuhan, au moment et à l’endroit où cette technologie a été mise en œuvre pour la première fois, avant la vaccination contre la grippe de tous les Chinois, hein ; il faut aussi dire que dans le vaccin contre la grippe, il y avait déjà ce matériau, l’oxyde de graphène, qui est également mentionné dans les brevets.

Kla.TV : OK, très intéressant ce que vous venez de dire, ou très inquiétant, comment mieux le dire ? Euh, nous avons entendu parler de l’analyse du Dr Campra, dans laquelle de l’oxyde de graphène a été trouvé. Comment et pour quelles raisons la recherche sur les ingrédients des différents vaccins a-t-elle commencé, c’est-à-dire, quelle en était la raison exactement ?

M. Delgado : Eh bien, le Dr Sevillano, qui est un élément important de la Quinta Columna et qui nous accompagne tous les soirs dans les émissions en direct, a déclaré : « quand ils commenceront à injecter les gens, nous réaliserons vraiment ce qui se passe ». Jusque-là, nous savions que des personnes tombaient à proximité des antennes téléphoniques ; en effet, 8 antennes sur 10 ont été placées dans les maisons de retraite, on comprend maintenant pourquoi. Nous sommes allés jusqu’à estimer la mortalité des EHPAD. Un autre cofacteur était le vaccin contre la grippe. Il y a eu certains rapports, comme celui de Barbastro, une région ici à Teruel en Espagne, et nous avions enregistré que, euh, ceux qui n’étaient pas vaccinés contre la grippe, pratiquement tous avaient survécu. Et chez ceux qui ont été vaccinés contre la grippe, il y a eu une mortalité très élevée liée au Covid-19 ; et la morbidité due à la maladie également. Il y avait des maisons où 80 personnes âgées sont mortes en 4 heures. Aucun agent biologique ne peut faire cela, pas même Ebola. Mais les radiations…

Kla.TV : La simultanéité, disons. Cela s’appelle la simultanéité, je ne sais pas… En même temps, il est difficile de penser que ce soit un agent infectieux, que certains expliquent comme la version officielle, qui puisse provoquer une telle chose dans un tel groupe.

M. Delgado : Ce n’est pas comme cela que nous voyons les choses, avec les médecins et les travailleurs de la santé qui ont vu la situation ; beaucoup d’entre eux sont déjà d’accord avec la thèse de la Quinta Columna. Je dis bien, avec la thèse, pas avec l’hypothèse. Mais lorsqu’ils ont commencé les injections et que le phénomène magnétique s’est aggravé, nous nous sommes rendu compte que ce matériau était magnétique, qu’il était conducteur, supraconducteur et qu’il était un condensateur énergétique. De plus, il dégageait des différences de potentiel, une tension importante dans la tête des personnes inoculées, notamment avec mes parents, j’ai pu faire l’expérience et avec un multimètre, des courants alternatifs jusqu’à 0,3 et 0,4 Volt sont arrivés. C’était fou. Ils pouvaient même allumer une petite LED. Ensuite, on a cherché quels matériaux : il y en avait aussi un qui était candidat, c’était une merveille, c’était le matériau miracle, c’était le graphène, c’était à la mode, c’était magnétique à l’intérieur du corps, c’était un supraconducteur, c’était un condensateur d’énergie : il était utilisé pour les futures batteries et il avait aussi des applications biomédicales dans le domaine des neurosciences qui est l’objet de ce fameux transhumanisme qui est venu après. Nous avons reçu un flacon de Pfizer, par l’intermédiaire de Rafa Navarro, un policier d’Alicante, nous étions à un stade intermédiaire bien sûr, nous avons fait appel à quelques universités et le Dr Campra, professeur à l’université d’Almeria, le Dr Campra à Madrid, pas seulement en sciences chimiques et diplômé en sciences biologiques, s’est chargé de l’enquête. Nous lui avons dit : cherchez comme hypothèse — suspicion — un dérivé du graphène dans l’échantillon et en effet, une semaine plus tard, bien qu’il ait d’abord douté de la présence de ce matériau, il nous a dit : « Félicitations ! C’est probable. Il est très probable qu’il y ait des preuves sérieuses de la présence d’un dérivé du graphène dans l’échantillon, d’après le rapport préliminaire qui comprenait une analyse microscopique jostique, une analyse par microscopie électronique TEM, S-TEM et une compatibilité avec les séquences de lumière ultra-violette. » Mais ce n’est que 4 mois plus tard, lorsque non plus un seul flacon de Pfizer mais 7 flacons, provenant maintenant de 4 marques différentes : Pfizer, Astra Zeneca, Moderna et Janssen, qui sont les plus commerciales dans notre pays, ont été soumis à une technique Micro Raman qui donnait déjà les pics caractéristiques de tous les matériaux d’un point de vue physique. L’oxyde de graphène réduit est apparu sans équivoque et de manière concluante.

Kla.TV : Dans tous les échantillons de différentes marques ?

M. Delgado : Dans chacun d’eux. Dans chacun d’eux. Cette matière est assez abondante dans le corps, mais qui plus est, voici la partie inquiétante. Le graphène a expliqué ce qu’ils ont appelé le syndrome Covid et toutes les morts immédiates et subites auxquelles nous assistons, en dehors de tous les cas de cancer de nos jours. Mais le graphène lié au domaine des neurosciences est utilisé, avons-nous dit, pour convertir le signal Gigahertz en Terahertz. L’effet secondaire : le syndrome Covid, d’accord. Mais ces Tera-Hertz sont utilisés pour les micro et nanotechnologies afin qu’ils puissent fonctionner, c’est-à-dire à l’échelle nanométrique et micrométrique, à cette très petite échelle, ces appareils dans le domaine des nanocommunications et des réseaux intra-corporels ne peuvent que travailler dans le groupe Terahertz. C’est pourquoi ils ont introduit l’oxyde de graphène dans tout le corps.

Kla.TV : La batterie, l’énergie nécessaire au fonctionnement de cette nanotechnologie.

M. Delgado : En effet, même si cette énergie a généré la mort de millions de personnes et une épidémie qu’ils ont qualifiée ou présentée comme un coronavirus, ce n’est qu’un écran de fumée pour continuer à tromper les gens.

Kla.TV : Cela soulève une question Ricardo, excusez-moi. Les gens qui n’ont pas été vaccinés, nous n’allons pas appeler cela un vaccin, évidemment. Ils n’ont pas été vaccinés, ni injectés, ni graphénés, mais ils ont quand même contracté le Covid, comment expliquez-vous cela ?

M. Delgado : Il faut faire une parenthèse. Lorsque nous parlons de Covid, nous parlons d’inflammations dans tout le corps. Le véritable Covid est : inflammations dans tout le corps, dyspnée — difficulté à respirer, parce que vous avez des niveaux de saturation bien inférieurs à la normale —, pneumonie bilatérale et tempête de cytokines. C’est à peu près tout. Tout le reste, il y a des preuves, mais tout le reste n’est pas un test PCR positif, un autre outil qui a été utilisé pour poursuivre cette tromperie massive en faisant croire que tout est positif.

Kla.TV : Oui, il semble que tout ait donné un résultat positif pour le Covid, y compris la grippe — il semble que nous n’ayons pas entendu parler de cas de personnes qui avaient seulement la grippe.

M. Delgado : Cela faisait longtemps que nous ne pouvions plus croire ce qui venait des médias, ni les chiffres, ni les statistiques, probablement tous manipulés. 47 000 euros ont été payés ici par admission, et par décès Covid dans les hôpitaux. On a donc essayé de rendre positifs les patients atteints de pneumonie, jusqu’à 15 et 16 PCR. Finalement, ils ont opté pour l’eau du robinet, ce qui leur a permis d’obtenir très facilement leur précieux résultat positif. Il y a aussi le test de l’antigène. Le test de l’antigène déclenche l’immunoglobuline ; nous pourrions dire qu’il est plus proche de la réalité, mais le fait est que le graphène déclenche les immunoglobulines à l’intérieur du corps. Ce qu’ils font, c’est que si vous introduisez de la ciguë, ou n’importe quel toxique, les anticorps neutralisants vont agir comme s’il s’agissait d’un agent biologique pathogène, alors qu’il s’agit d’un composé chimique toxique. Ainsi, les immunoglobulines sont déclenchées, les anticorps neutralisants apparaissent et vous disent que le vaccin fonctionne. Bien sûr, lorsque le corps parvient à l’éliminer, au bout de quelques mois, on vous dit : vous n’avez plus d’anticorps, vous devez recevoir la deuxième dose, ou la troisième, ou la quatrième, etc.

Kla.TV : C’est-à-dire que le graphène se dégrade d’une manière ou d’une autre, puis retourne à la charge, afin que cette énergie puisse continuer à s’accumuler dans l’organisme.

M. Delgado : En effet. En fait, la seule façon de se soustraire aux doses est de finir aux soins intensifs de l’hôpital ou au cimetière, ce qui est malheureusement le cas d’innombrables parents, très proches d’ailleurs, qui n’ont pas voulu croire, disent-ils, mais ce n’est pas une question de croyance. Nous avons déjà démontré et prouvé tout ce qui se trouve à l’intérieur des vaccins. De plus, le graphène n’a pas seulement été injecté, rappelez-vous que tous les éléments de la prétendue protection ou prévention de la maladie contenaient du graphène. Les masques contenaient du graphène et ont été rappelés. Le FPP2 en contient encore. Et les autres en contiennent également, parce qu’ils disent qu’ils les mettent au point de manière à ce qu’ils ne soient pas contaminés une fois jetés. Les hydrogels alcooliques, avec lesquels les enfants se lavaient compulsivement les mains, contiennent également des dispersions d’oxyde de graphène. Les tests PCR sont fabriqués par Nanographic, une entreprise qui commercialise et produit du graphène. Il en va de même pour les tests antigéniques. En d’autres termes, cela a été introduit partout, et aussi par inhalation. Il y a des gens qui ont présenté le phénomène magnétique dans la poitrine, parce qu’ils n’avaient pas été vaccinés, et nous ne doutons pas qu’ils ont également été fumigés. Il existe des brevets pour la dispersion d’oxyde de graphène dans des biocides, eh, des fongicides, dans des produits phytosanitaires, des pesticides, et pour améliorer la combustion du kérosène liquide brûlé dans les avions. Donc, ils l’ont probablement fumigé…

Kla.TV : Je veux dire, à travers ces traînées qu’on voit parfois dans le ciel, euh, qu’on ne sait pas, on pense que c’est de l’évaporation, etc. Mais en fait, bien sûr, quand elles persistent, ça semble être pour une période plus longue et, à partir de ce moment-là, il faut évidemment se méfier.

M. Delgado : Bien sûr. En fait, il ne s’agit pas de traînées de condensation de vapeur d’eau normales pour l’aviation, qui disparaissent immédiatement. Elles durent jusqu’au lendemain, et tout ce matériel, ainsi que les métaux lourds, génèrent également des pneumopathies, tombent au sol et s’intègrent aux poumons des patients en service.

Kla.TV : Eh bien, Ricardo, qu’en est-il des autres vaccins prévus au calendrier, peut-on leur faire confiance ? En général ? Ou ?

M. Delgado : Non. Depuis 2018, avec l’introduction de cette technologie, nous avons découvert qu’elle n’affecte pas seulement le vaccin Covid, nous avons déjà examiné le vaccin contre la grippe également. Hier, ils nous ont envoyé un document sanitaire contenant davantage d’images, et ces objets ressemblant à du graphène, non caractérisés dans ce cas, oui dans les vaccins Covid, mais nous avons la caractérisation des vaccins Covid, et une fois que nous connaissons l’image, le relief que le graphène forme, comment il se replie sur lui-même, il est très probable qu’il soit dans le calendrier régulier des vaccins, parce que, en outre, le phénomène magnétique est observé après la piqûre, dans le vaccin pour les enfants également. Le vaccin antipneumococcique, Pneumovax, je crois qu’il s’appelle, Prevenar 13, Vaxigrip, qui est un vaccin antigrippal, tous ces vaccins contiennent également du graphène. Il s’agit probablement d’une nanotechnologie appliquée aux flacons. Ainsi, de 2018 à aujourd’hui, le conseil, ou la recommandation de la Quinta Columna, est que personne n’injecte absolument rien.

Kla.TV : D’accord. Ces personnes qui se sont conformées, eh bien, aux deux premiers vaccins, puis aux rappels ; et ils ont encore des doutes, je ne sais pas s’ils ont pris les trois vaccins, ou s’ils vont continuer à se faire vacciner, que diriez-vous à ces gens ?

M. Delgado : Eh bien, ils ont eu beaucoup de chance. En effet, pas plus tard que la semaine dernière, je parlais à quelqu’un qui me disait qu’il avait reçu deux doses, l’une de Pfizer et l’autre de Moderna, et qu’il était en vie. Avant-hier, nous sommes revenus des funérailles de cette personne. Mort subite et immédiate, 36 ans. Un autre, un autre cas, 34 ans, un garçon, cancer fulminant. N’oublions pas que le graphène augmente les dommages causés par les radiations, et que l’un des effets des radiations est le cancer. Ils arrivent en feu. Il peut arriver qu’une personne reçoive trois doses et qu’il ne lui arrive absolument rien parce qu’elle vit dans un environnement où elle n’a pas accumulé de radiations ; par conséquent, elle ne va pas absorber ces radiations. C’est l’arme parfaite pour tuer. Cependant, une personne ayant reçu une seule dose, et qui reçoit l’impact des radiations parce qu’elle a une antenne téléphonique, et que le temps d’exposition, disons, est très élevé, développera très probablement soit une mort subite à la suite de la décharge de graphène dans le cœur, soit une myocardite péricardique, lorsqu’elle enflamme ce tissu, soit une mort subite, également, en raison de la même conséquence. Ou le fameux poumon Covid, euh, à moyen terme ; surtout, quand il commence à l’éliminer par le poumon. Au bout d’un mois et demi, ce matériel commence à être éliminé par les poumons, certaines enzymes entrent en jeu, comme la myéloperoxydase, qui essaient de le dégrader, mais comme il a été irradié alors qu’il est dans les poumons, il génère des inflammations pulmonaires qui ont été appelées « pneumonie bilatérale ».

Kla.TV : C’est-à-dire que ces personnes, euh, eh bien, avec la deuxième et la troisième [dose], eh bien, ce qu’elles font vraiment, c’est accumuler des radiations, et il arrive un moment où, si elles sont dans un foyer très aigu, très fort, très intense, disons, de cette irradiation qu’elles reçoivent, c’est à ce moment-là, j’imagine, que les problèmes commencent. Elles peuvent ne pas être en mesure de réagir à temps parce qu’il semble que cela provoque des arythmies ?

M. Delgado : Fulminant, c’est un fulminant, oui. Faire du sport, c’est fulminant parce que, quand on fait du sport, c’est le cœur qui entre en jeu, et les impulsions électriques cardiaques sont beaucoup plus élevées, alors, comme le graphène est super conducteur, elles vont être dirigées vers là. Et une fois là, lorsque vous terminez l’activité, il génère un choc arythmique mortel ; même avec le défibrillateur, ils n’arrivent même pas à faire avancer les gens. Les jeunes de 20 à 30 ans, les athlètes, en plus. Il absorbe également, excusez-moi, il absorbe tous les types de radiations, y compris ultrasons, infrasons, etc. C’est donc la roulette russe. Il n’y a rien dans le vaccin qui permette de développer une quelconque immunité, bien au contraire, c’est juste un composé chimique toxique et une micro-technologie, pour marquer les gens, en plus.

Kla.TV : D’accord, et à partir de là, de ces gens, comme je vous l’ai dit, les deux ou troisièmes doses, qu’ils appellent le rappel, puis celle qui a peut-être une pathologie qu’ils appellent Covid long, ça semble vouloir dire « Covid persistant », non, ou quelque chose comme ça ?

M. Delgado : Mais c’est cela, d’un point de vue biologique, nous ne connaissions pas d’agent biologique persistant. Je veux dire, la grippe commune qui sera n’importe quel autre type de coronavirus, comme ils disent, bien que l’oxyde de graphène génère l’effet corona, ils ont probablement tiré le nom de là, ils ont dit, « disons que c’est un coronavirus ». Euh, tout autre coronavirus met fin à la vie de l’hôte ou bien l’hôte développe une immunité contre lui, un point c’est tout. Il n’y a pas de séquelles à vie. Ce qui laisse des séquelles à vie, c’est l’irradiation, et c’est un syndrome, qui devient un syndrome d’irradiation chronique, qui figure dans la littérature médico-scientifique depuis plus de 70 ans. Ce n’est pas nouveau.

Kla.TV : Par exemple, au sein d’une même famille, il peut y avoir des membres qui ont développé ce Covid long, ou même ce Covid, disons, pour l’appeler d’une manière générale, et d’autres qui ne l’ont pas encore découvert, je suppose, je ne sais pas.

M. Delgado : Bien sûr, cela dépend du rayonnement que vous absorbez, mais aussi de variables intrinsèques à l’individu lui-même, telles que les niveaux de glutathion. Le glutathion est un antioxydant qui agit précisément contre l’oxyde de graphène, car celui-ci génère des radicaux libres. Ainsi, s’il génère des radicaux libres, il oxydera toutes sortes de molécules, entraînant leur mort. D’autre part, le glutathion endogène (c’est pourquoi la NAC agit contre le Covid, car c’est un précurseur du glutathion) ou la vitamine D (c’est pourquoi les patients atteints de Covid ont de faibles niveaux de vitamine D), car ils épuisent leurs ressources en essayant de dégrader l’action de l’oxyde de graphène. C’est pourquoi les personnes vaccinées, ou celles qui souffrent de Covid, sont si fatiguées, parce que le corps, le système immunitaire, travaille constamment pour essayer de dégrader l’action du toxique. Ainsi, le glutathion chez les jeunes, beaucoup de glutathion, moins de glutathion en vieillissant, plus de difficultés à avoir le Covid-19. À partir de 65 ans, les niveaux de glutathion chutent, c’est pourquoi cela a affecté, je veux dire, parce que maintenant cela affecte aussi les jeunes, à partir du moment où les jeunes sont vaccinés.

Kla.TV : Comment expliquez-vous… euh, au début de la pandémie, je me souviens que même les autopsies étaient interdites dans les hôpitaux, comment expliquez-vous le fait que c’était même accepté dans les hôpitaux, qu’on ne fasse pas d’autopsies, qu’il fallait incinérer directement ? J’ai entendu dire, je ne sais pas si c’est vrai. Puisque certains médecins, Italiens, je crois, je ne sais pas s’ils étaient du nord de l’Italie, de Milan, ont exactement contredit cette règle, qu’ont-ils découvert ? Peut-être pourriez-vous m’expliquer plus en détail.

M. Delgado : Oui, Pascual Baco était le médecin, ou l’équipe médicale, qui a ignoré les directives et protocoles génocidaires de l’Organisation mondiale de la santé de l’époque, et qui a pratiqué des autopsies. C’est incompréhensible. La seule explication est de cacher l’arme du crime. Aujourd’hui, si une autopsie est pratiquée sur un véritable patient Covid, victime d’un syndrome d’irradiation aiguë, on trouvera, et c’est d’ailleurs déjà le cas, de l’oxyde de graphène. Nous avons également trouvé de l’oxyde de graphène dans le sang des personnes ayant reçu des injections. Des équipes allemandes l’ont confirmé, de même que nous avons vu ces images de micro-feuillets d’oxyde de graphène sur tout le corps, après la piqûre. Ensuite, nous avons eu l’occasion de parler plusieurs fois avec Pascual Vasco, ce médecin, lorsqu’ils ont sauté les autopsies, ils ont découvert que ce qu’ils appelaient Covid était un phénomène thrombotique, il coagulait le sang, mais c’est le graphène qui le fait ! Le graphène active la coagulation du sang. En fait, il est, ou est destiné à être utilisé comme traitement antiplaquettaire, n’est-ce pas ? Il provoque également une réduction des plaquettes, c’est-à-dire tout ce que l’on a dit que le vaccin faisait au départ, bien sûr, parce qu’il en contient.

Kla.TV : Ils n’étaient pas intéressés, je suppose, à découvrir, disons, ce qu’ils faisaient, ou qu’ils appliquaient un protocole, j’imagine, euh, très faux, parce que cela semble être….

M. Delgado : En fait, en fait, on nous a dit de ne pas utiliser l’ibuprofène, qui est un anti-inflammatoire, alors que ce que fait précisément l’ibuprofène est de prévenir l’inflammation provoquée par le Covid, comme premier prodrome de la maladie. De plus, le paracétamol est toujours administré, et le paracétamol, c’est le contraire, il est contre-indiqué, car c’est l’antidote de la N-acétylcystéine, qui fonctionnerait.

Kla.TV : Donc, l’un est un oxydant et l’autre est un antioxydant.

M. Delgado : Exactement. Exactement…

Kla.TV : D’accord. Euh, à part l’oxyde de graphène, qu’a-t-on trouvé d’autre dans la composition ou les ingrédients du prétendu vaccin ?

M. Delgado : Eh bien, le Dr Campra a commencé à identifier des modèles artificiels. Par la suite, il a produit un autre rapport. La Quinta Columna, datée du 14 janvier de l’année 2022, a produit un autre rapport avec des échantillons très, très, très clairs de ce que, euh, de microcircuits ; nous avons même identifié ces modèles en comparant avec la littérature scientifique, avec des micro-rectènes, qui sont des ponts redresseurs à diodes, qui passent le courant alternatif direct, nous nous souvenons qu’avec un multimètre [sur] la tête des inoculés, nous pouvions mesurer des courants alternatifs jusqu’à 0,3 et 0,4 volts. Mais pour que cette microtechnologie fonctionne, il faut qu’elle se fasse en courant continu ; nous avons donc découvert ces redresseurs de courant, nous avons trouvé ces formats de microantennes, également des microantennes, également un cryptage de communication Codex, des supports logiques, des micro-routeurs qui émettent des adresses MAC, c’est-à-dire que cela peut être vérifié dès à présent par n’importe qui. Toute personne vaccinée peut télécharger l’application Bluetooth scanner, par exemple, et activer le GPS, puis le Bluetooth, et elle verra que toutes les personnes vaccinées dans son environnement émettent une adresse MAC, qui ne correspond à aucun fabricant de n’importe quel appareil qu’elle a chez elle. Il s’agit donc de dire que tous les individus ont été étiquetés. Nous savons que ce qui est émis, ou ce qu’ils émettent, ce sont au moins des données biomédicales : le rythme cardiaque et l’indice glycémique du sang, au minimum. Mais ils peuvent aussi émettre des signaux vers vous, rappelez-vous que tout le monde qui a un routeur…

Kla.TV : Donc, cela va dans les deux sens.

M. Delgado : Exactement.
Si vous voulez voir mes voisins, c’est toujours le cas, ou lorsque le voisin vacciné arrive, je serai toujours au téléphone ici. Je sais donc quand le voisin est là et quand il n’est pas là.

Kla.TV : Peut-il y avoir une personne qui n’est pas vaccinée, ou au moins… OK ?

M. Delgado : Voici ma télévision d’un côté, et tous les chiffres qui apparaissent sont des adresses MAC, des codes MAC de personnes vaccinées. On peut même cliquer sur l’un d’entre eux et connaître la distance approximative qui nous en sépare.

Kla.TV : Ces adresses sont donc censées se trouver dans votre environnement immédiat ou dans votre quartier ? Et peut-être auriez-vous la confiance nécessaire pour leur demander s’ils ont été vaccinés efficacement.

M. Delgado : Oui, en effet. Il s’agit d’adresses dynamiques. Elles changent toutes les 50 à 52 secondes. N’oublions pas que dans chaque dose, nous trouvons des dizaines de ces microcircuits dans une seule gouttelette et qu’avec une qualité de grossissement de 100 à 120, cela a l’air très bien. En d’autres termes, ils ont marqué tous les individus. Mais ils les ont également marqués au niveau intracorporal et intraneuronal. Et c’est ce qui est le plus dangereux. Il existe de nombreux articles scientifiques. Ils sont tous rassemblés dans la recherche de la Quinta Columna. L’oxyde de graphène traverse la barrière hématoencéphalique, une barrière qui sépare le cerveau de l’extérieur et le protège des agents pathogènes et des produits chimiques. Nous comprenons maintenant pourquoi les tests PCR passent tous par le nez, pourquoi les patchs à l’oxyde de graphène réduit pour les diabétiques qui veulent supprimer la piqûre d’aiguille et la remplacer par l’oxyde de graphène. Tout passe par la tête. Le but de toute cette opération est le contrôle comportemental dans le domaine des neurosciences de l’ensemble de la population mondiale. L’oxyde de graphène, lorsqu’il mesure moins de 45 nanomètres, traverse la barrière hématoencéphalique et s’installe dans les neurones, ce qui est très bon pour eux et présente beaucoup d’affinités parce qu’ils ont des impulsions électriques et que c’est un supraconducteur. Cet oxyde de graphène remplace le réseau neuronal naturel par un réseau neuronal artificiel. La personne est donc parasitée numériquement. Elle peut être connectée à un Cloud ou à la Meta, comme l’appelle Mark Zuckerberg, et être contrôlée par une intelligence artificielle. Cet oxyde de graphène, nous l’avons dit, est magnétique. C’est un support magnétique. Il a donc une capacité de mémoire — flash ! On peut effacer des souvenirs, enregistrer l’activité neuronale sous forme d’impulsions électriques et la contrôler sur un écran, au point de savoir ce que pense l’individu. Il est possible d’effacer des souvenirs et d’insérer des émotions, des sentiments, des pensées, en brisant la synapse neuronale, ce que fait l’oxyde de graphène. Et tout cela à distance et sans fil. En utilisant bien sûr la technologie 5 G. Nous comprenons maintenant pourquoi le président chilien Sebastián Piñeira, lorsqu’il a annoncé la 5G, a parlé d’insérer des émotions, d’insérer des pensées, en même temps qu’il proposait une loi sur les neurodroits avant la réforme constitutionnelle au Chili. Cela se fait d’ailleurs dans tous les pays. Si les gens ne sont pas conscients de ce qui se passe, je le répète : l’espèce humaine telle que nous la connaissons est en train de disparaître pour devenir un automate dirigé par l’intelligence artificielle selon les caprices de 4 ou 5 personnes au Forum de Davos. Elon Musk, Mark Zuckerberg, Klaus Schwab, etc.

Kla.TV : C’est-à-dire qu’ils peuvent influencer nos décisions à un moment donné de notre réflexion dans le sens qu’ils souhaitent et nous incliner dans une direction ou une autre en fonction du sujet qui les intéresse, j’imagine.

M. Delgado : Cela surprendrait-il quelqu’un s’ils essayaient vraiment de nous conditionner par le biais des médias, d’acheter telle ou telle chose, de voter pour tel ou tel président, etc. S’ils pouvaient le faire avec la technologie et s’il était nécessaire de l’injecter ? C’est ce qui se passe actuellement, alors que les gens n’en sont pas conscients. C’est un acte de trahison. Et oui, pour autant que je sache, on peut rendre l’individu ou le groupe d’individus ou la population en général plus docile, plus malléable. On peut le rendre plus dépressif, plus ductile, plus malléable, comme je l’ai dit, on peut le rendre plus agressif. On y parvient en brisant les synapses neuronales et en excitant certaines zones du cerveau qu’ils connaissent très bien. Rappelons que le Graphene Flagship, une organisation européenne depuis 2013, a dépensé deux milliards d’euros sur le graphène et un autre milliard d’euros sur la connaissance du cerveau. Toutes les universités sont présentes, pratiquement beaucoup d’entre elles en Espagne. L’Espagne est l’un des pays qui participent le plus et aussi avec la contribution du neuroscientifique « Rafael Yuste », qui a rencontré Obama en 2015 et a remis la clé du cerveau de pratiquement toute l’Humanité à l’élite psychopathe de l’Agenda 2030.

Kla.TV : Existe-t-il également une possibilité que la nanotechnologie dont vous parlez et le graphène puissent nous être fournis par d’autres moyens que par injection ? Surtout la nanotechnologie, car même si le graphène peut se dégrader à un moment donné en fonction, comme vous le dites, du niveau de glutathion de chaque individu, il y a peut-être cette partie dont je sais qu’elle ne se dégrade pas au sein de l’organisme humain.

M. Delgado : Les nouveaux comprimés auront très probablement aussi un support magnétique et seront probablement dotés de la nanotechnologie de l’oxyde de graphène — un nouveau comprimé en tant que nouveau traitement qui a été annoncé en 2018 — et seront probablement aussi dotés de microcircuits. Les aiguilles qui ont été éliminées chez les diabétiques qui ont vu le ciel s’ouvrir ont été remplacées par un patch d’oxyde de graphène réduit à l’intérieur de la joue. C’est-à-dire ce qui se rapproche le plus du cerveau. La majorité de la population n’est pas consciente de cette folie. C’est pourquoi nous devons réveiller tout le monde et leur faire voir ce qu’il en est. Nous constatons aujourd’hui que ceux qui se sont piqués ne le feront probablement plus parce qu’ils ont vu ce qui s’est passé autour d’eux et la symptomatologie qu’ils ont acquise, s’ils sont encore en vie pour le raconter. Mais l’orgueil, disons l’orgueil humain, le fait de ne pas reconnaître et de ne pas être honnête (ce qui, mêlé à la vertu de l’intelligence, est déjà beaucoup demander à un être humain de nos jours) fait que ces personnes se taisent et ne sont pas capables d’alerter leur entourage. C’est très triste, très triste ce que nous voyons.

Kla.TV : Vous m’avez parlé du président du Chili, je ne me souviens pas du nom que vous m’avez donné.

M. Delgado : Sebastian Piñeira.

Kla.TV : Sebastian Piñeira, oui, exactement. Ils disent avoir adopté une loi sur les neuro-droits et la protection des mutants. Je ne sais pas si j’ai bien lu ? Ou alors, de quoi s’agit-il exactement ?

M. Delgado : Si cette information était diffusée à la télévision, qui est une information publique, les gens commenceraient probablement à faire le lien avec tout ce que nous avons fait ici. Bien que nous l’ayons fait directement avec l’analyse des vaccins. Mais nous parlons de preuves et je répète que tout ce que nous disons ici est démontré et prouvé. Quiconque souhaite obtenir des preuves peut se rendre sur le site La Quinta Columna.net ou nous écouter tous les soirs sur la chaîne Telegram. Quelqu’un peut-il se demander si nos pensées et nos sentiments sont en danger ? Oui, ils le sont ! Les neurosciences et les nanotechnologies ont considérablement progressé dans le dos de la société civile. Il est désormais possible de surveiller ce que pense une personne en se basant sur les signaux qu’elle émet. Le graphène ne fait qu’amplifier ces signaux et les microcircuits les captent et les surveillent. Mais pas seulement ! Le graphène est bidirectionnel. D’une part, nous pouvons recevoir les signaux des personnes vaccinées, comme indiqué ici, mais nous pouvons également émettre des signaux à leur intention. Ces émissions de signaux, lorsqu’elles sont dans la tête, lorsque l’oxyde de graphène est installé dans les neurones, peuvent modifier le comportement des synapses neuronales de manière à faire de l’individu un automate contrôlable, à mettre au pas le cerveau d’une personne, d’un groupe ou d’une communauté entière. Tout cela est possible par la volonté d’une intelligence artificielle qui programme logiquement quelqu’un ! Et ils ont profité de l’ignorance et du manque de connaissances de 99 % de la population, y compris de la communauté médicale, pour introduire les nanotechnologies et le graphène, même si l’effet secondaire de l’introduction du graphène est de renforcer les dommages causés par les radiations qu’ils ont fait passer pour un coronavirus. Ils l’ont appelé Covid-19. C’est la chose la plus importante que l’on puisse dire à l’heure actuelle. Il n’y a pas d’information plus importante que celle que nous donnons ici. Car de cette information dépend l’avenir de toute l’espèce humaine dans toute l’histoire de l’Humanité. C’est un cauchemar pour tous ceux qui sont conscients et qui regardent dans le microscope pour vérifier par eux-mêmes. Dans quelques jours, nous aurons probablement une réunion avec plus de 100 médecins qui examineront la situation au microscope. Pouvons-nous dire si cela servira à quelque chose ? Probablement à sauver au moins ces familles, ce groupe de familles. Et de leur faire prendre conscience de ce qui se passe. Mais c’est de la folie. C’est tellement odieux, humiliant et aberrant pour l’être humain qu’on n’arrive pas à s’y faire.

Kla.TV : Si les vaccinés faisaient une prise de sang, que trouveraient-ils ?

M. Delgado : Si vous effectuez une analyse des D-dimères, par exemple, vous constaterez que la protéine de fibrine est impliquée dans le déclenchement de la coagulation. Le taux est très élevé, ce qui est très inquiétant. Et cela peut être fait par n’importe qui. Un test qui coûte seize euros en pharmacie. Mais si vous faites un test au microscope optique, vous trouverez ce matériau, l’oxyde de graphène, ou micro-oxyde de graphène, dans le sang.
Par conséquent, les globules rouges, c’est-à-dire ce que l’on peut voir au microscope optique, les érythrocytes, sont pratiquement déformés, détruits, amorphes et empilés.
N’oublions pas que le graphène renforce les radiations. Et l’un des effets du rayonnement est de générer l’effet de rouleaux, c’est-à-dire l’empilement et la coagulation du sang par l’empilement des globules rouges. Nous allons donc voir des thromboses. Cela génère des thromboses. Et si vous avez des thromboses, vous avez toutes sortes d’accidents cardio-cérébrovasculaires. Il y a des embolies cérébrales et pulmonaires, des hémorragies dues à l’obstruction d’une artère quelque part et à un saut de pression ailleurs, des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques, des ischémies, toutes sortes d’insuffisances de la circulation sanguine. C’est d’ailleurs ce que nous constatons.

Kla.TV : À tous ceux qui ne croient pas avoir été inoculés de graphène et de nanotechnologies, que diriez-vous ?

M. Delgado : Je comprends tout d’abord qu’il existe un principe que nous étudions également en psychologie, à savoir le principe du déni. Avant tout, chaque personne a littéralement peur, comme une partie instinctive de la survie humaine, de reconnaître qu’elle a fait une erreur. Et ce n’est pas tout, c’est une sorte de protection, sachant qu’ils ont probablement envoyé leurs parents à la mort, et aussi qu’ils ont l’intention de le faire à leurs enfants s’ils ne l’ont pas déjà fait ou s’ils ne leur apportent pas au moins beaucoup de problèmes d’après tout ce que l’on sait. Toutes ces informations, pour les démolir d’un seul coup, c’est démolir tous les fondements de la base qu’ils ont générée et créée tout au long de leurs trente, quarante ou cinquante ans. Pourquoi ? Parce qu’ils croyaient aux institutions, tout le monde, moi y compris, croyait avant aux institutions. Nous n’avions aucune raison de penser que c’était vraiment en train de se faire. Mais le doute et la suspicion nous ont fait analyser de première main et réaliser qu’il y avait eu un changement, depuis cette chose qu’ils appellent l’agenda 2030. Et lorsqu’ils parlent de développement durable de la société, ils veulent dire la maintenir en éliminant littéralement les gens. Puis en contrôlant le comportement de ceux qui restent. La quatrième révolution industrielle. Je leur dirais de regarder au microscope. Et si ce n’est pas d’ici, nous proposons à la Quinta Columna de rentrer à la maison si vous le souhaitez et d’examiner un, deux, trois, dix vaccins. Autant que vous le souhaitez. Tous ceux que nous avons examinés et qui ont été recréés en Nouvelle-Zélande, en Allemagne, au Royaume-Uni, en Argentine et au Chili ont tous la même composition !

Kla.TV : Bien sûr, ce que j’ai du mal à croire, c’est que tant de médecins qui doivent fournir des vaccins sachant également qu’il s’agit d’un vaccin expérimental, en tant que médecin qui fait une expérience, devraient avoir un doute dans ce sens. Donc, si je fournis ce vaccin à cette personne, peut-être que cela ne fonctionnera pas ou peut-être qu’il aura au moins des effets secondaires. Et ce qu’on ne comprend pas, c’est qu’il n’y a pas plus de protestations, plus de refus de proposer quelque chose d’expérimental dès le départ. C’est-à-dire sans aborder la question de ce qui est dedans ou de ce qui n’est pas dedans. C’est-à-dire qu’un médecin prête le serment d’Hippocrate. Comment cela n’aurait-il pas pu être envisagé dès le début ? Après tout, nous parlons d’une expérience.

M. Delgado : Eh bien, ils ne le recommandent pas aujourd’hui. Il n’est plus recommandé par tant de gens parce qu’ils en sont conscients. Dans notre pays, les 4 premiers médecins qui l’ont recommandé sont décédés. Ils ne sont plus là. Ici, nous enterrons un ou deux médecins tous les deux jours. Il y avait des jeunes, des infirmières, des médecins, des chefs de service de chirurgie, etc. Je me souviens de certains noms de ceux qui sont décédés. Eh bien, c’est pareil. Les médecins ont également été payés. Les médecins sont répertoriés dans les politiques de transparence de Pfizer et de Moderna qu’ils ont reçu une grande somme d’argent par l’intermédiaire de l’organisation à laquelle ils appartiennent, que ce soit le service de santé andalou ou le service public de santé ou individuellement. Ils ont littéralement reçu de l’argent pour avoir recommandé cela ! Je pense que c’est expérimental pour eux de voir à quel point la biologie humaine résiste. Je vais être clair, regardez le degré d’humiliation auquel ils ont humilié l’être humain et l’énorme tromperie à laquelle ils ont soumis la population entière. Ils ont qualifié le vaccin de « ce qui peut potentiellement provoquer le développement de la maladie ». C’est pourquoi vous comprendrez que ce sont justement les vaccinés qui occupent 90 % des USI et les 10 % sont dans les cimetières. Ils ont dit que, comme nous avons vacciné tant de gens, il était normal qu’ils ne se portent pas bien. Comment ça, c’est normal ? Ceux qui ont reçu trois doses se sont fait dire : « il vous manque la quatrième ». Celui qui est mort avec le deuxième, ont-ils dit, « s’il avait pris le troisième ».

Kla.TV : Bien sûr, il y a toujours une excuse pour continuer à se vacciner et continuer à se soumettre au plan 2030 en fin de compte, car c’est celui-là qui semble, d’une manière ou d’une autre, fixer le cap. Au niveau politique, nous savons déjà que personne ne s’est prononcé ou du moins presque personne ne s’est prononcé sur ces questions de contenu ou d’analyse des vaccins, etc. Surtout lorsqu’il y a un pourcentage de la population qui a crié à haute voix après le « Rapport Campra », comment en sommes-nous dans cette situation ? Y a-t-il une possibilité que la plainte soit portée devant un tribunal qui la prendra au sérieux et qui donnera réellement suite à la plainte ?

M. Delgado : Nous nous proposons tous les jours, le docteur Sevillano, le docteur Campra et moi-même, de nous présenter devant les tribunaux lorsque nous sommes appelés à témoigner par le procureur ou par un juge ou un magistrat. Nous avons déjà déposé 550 plaintes entre les tribunaux, les postes de la police nationale qui ont reçu l’ordre et sont obligés de le faire, et les casernes de la Guardia Civil. Certaines plaintes ont été portées devant une Haute Cour de justice. En particulier ici en Andalousie. Et puis il y en a qui progressent, mais très légèrement. C’est-à-dire que, normalement, les juges gardent le dossier dans un tiroir, lorsqu’ils sont appelés à témoigner, ils ne le leur ont même pas lu. Il est probable qu’ils ont un slogan pour ne rien dire de tout ce qui se passe ici. Au Royaume-Uni, ils disposent même d’une traçabilité et d’une garde légale. Ils ont également découvert le graphène et la microtechnologie dans les vaccins et pourtant, ils ont beaucoup de mal à se faire entendre ou à intenter une action en justice alors qu’il est démontré et prouvé qu’ils tuent tout le monde et que cela n’a rien à voir avec une pandémie ou un coronavirus. C’est pourquoi ils savent quand les deuxième, troisième, quatrième et cinquième vagues apparaissent. Parce qu’il leur suffit d’exciter la qualité de la fréquence de ce matériau à l’intérieur d’eux [les vaccinés]. Et maintenant, ils vous le disent, et il y aura d’autres pandémies, bien sûr. Avec ce matériel, lorsqu’ils sont technologiquement excités, ils peuvent créer et générer autant d’épidémies qu’ils le souhaitent. Des sous-variantes, tout ce qu’ils veulent. Et ils diront aux gens qu’il s’agit d’un coronavirus ou d’un variant d’Omicron ou de Deltacron une fois de plus.

Kla.TV : Eh bien, Ricardo, pour conclure : quelles possibilités avons-nous, nous, le citoyen ordinaire, la base, je ne sais pas comment l’appeler, pour contrer efficacement tout ce plan macabre qui est en cours ?

M. Delgado : Eh bien, la vérité est que c’est extrêmement difficile. Nous avons prévu que de nombreuses personnes se réunissent demain. Nous avons organisé des groupes par provinces et les gens apprennent à se connaître. Car il est également bon de faire monter un peu la vibration, compte tenu de la torture psychologique quotidienne dans les médias officiels qui servent le Forum Économique Mondial à travers Vanguard et Blackrock. Certains disent : comment se fait-il que tous les médias disent la même chose ? Parce que tous les médias sont dirigés par le même gars ! C’est aussi simple que ça ! Sauf pour les médias alternatifs comme Kla.tv et très peu d’autres. Nous en sommes très reconnaissants. Celui qui veut chercher des informations se tourne donc logiquement vers les groupes d’information alternatifs. Nous devons faire quelque chose d’important. Il y a des actions collectives comme des entretiens comme celui que nous faisons actuellement. Des Plaintes. Nous avons épuisé toutes les voies d’un État de droit démocratique. Mais sommes-nous vraiment dans un État de droit démocratique ? Ou est-ce une tyrannie ? Quoi qu’il en soit, qu’allons-nous dire que les gens ne savent pas déjà ? Même ceux qui ont tout avalé. C’est très difficile. Nous devons rechercher une formule commune, afin d’une part d’augmenter la masse critique plus que ce que nous faisons actuellement. Mais ces gens sont allés jusqu’à payer littéralement des gens pour qu’ils mentent en tant que porte-parole dans les médias et continuent de tromper une grande partie de la population. Une tromperie qui n’est pas une tromperie idéologique ou politique. Il s’agit d’une tromperie majeure qui conduit la personne et sa famille à la mort. C’est ce que nous constatons. C’est que cette tromperie n’est pas n’importe quelle tromperie. C’est une tromperie qui mène à la mort.

Kla.TV : J’ai entendu dire qu’au Royaume-Uni, ils semblent avoir fait une analyse similaire à celle effectuée par le Dr Campra, mais j’ai lu qu’elle était même légalement protégée.

M. Delgado :… sous surveillance légale. Parce que nous avons aussi la traçabilité et la garde. Les gens qui ont produit la fiole, nous sommes prêts à témoigner et à jurer la vérité devant un tribunal. Mais là, ils ont la garde légale, c’est-à-dire qu’il y a un notaire qui a suivi toutes les traces… Pourtant, ils auraient dénoncé cela, mais pensez-vous que cela changera quelque chose ? Parce que ce que nous voyons est le quatrième vaccin, le cinquième de la grippe, qui sera le sixième parce qu’il transporte aussi ce matériel, c’est-à-dire que c’est ce qui est prévu et quand nous introduisons un matériel globalement et simultanément dans la population mondiale entière et puis nous l’irradions, vous générez une épidémie, une pandémie, tout ce qu’ils veulent. C’est aussi clair que ça.

Kla.TV : Eh bien, j’aimerais que vous donniez un peu d’espoir avec tout ce que vous racontez et que vous voyiez une lumière au bout du tunnel ou quoi que ce soit. Si c’est une lumière et qu’elle nous mène à un port sûr, alors nous accueillerions favorablement une idée qui pourrait, je ne sais pas, que vous pourriez transmettre et qui pourrait être vraiment efficace comme phrase finale.

M. Delgado : À l’heure actuelle, nous devons trouver un moyen de garder espoir dans cette situation, qui est très difficile parce que cette technocratie contrôle pratiquement tout, les institutions politiques, judiciaires, financières, communicationnelles, médiatiques, etc. Mais peut-être qu’une solution serait de créer une société alternative d’êtres conscients qui ne croient plus absolument rien à ce qui est vomi dans les médias officiels. Voyons s’ils nous le permettent. Pour augmenter la masse critique, pour être ensemble, pour porter l’ambiance et pour essayer de convaincre. Ne pas essayer de convaincre pour le plaisir de convaincre, c’est-à-dire que les informations de la Quinta Columna n’essaient jamais de convaincre qui que ce soit, vous devez vous convaincre vous-même. Nous disons bien sûr « regardez le microscope ». On nous dit que les nanoparticules lipidiques de taille nanométrique ne sont visibles qu’au microscope électronique — eh bien, non ! Au microscope optique, on peut tout voir, aussi bien le graphène que la microtechnologie. Vérifiez si vous émettez une adresse MAC et si vous avez été marqué comme un bovin, comme un bovin directement à partir de votre téléphone portable, ainsi que vos amis. Nous ne pouvons pas faire grand-chose de plus. Pour l’instant, il s’agit de résister et de se rendre dans des environnements ruraux pour vivre à l’écart de toutes les radiations.

Kla.TV : Eh bien, jusqu’à présent, je pense que toutes les questions auxquelles vous avez répondu ont été assez intéressantes et en principe, nous n’avons plus de questions pour le moment. Il y a beaucoup d’informations que nous devons diffuser en ce moment et soyez assuré que Kla.tv se chargera de diffuser ce message. Merci d’avoir assisté à cette interview, merci beaucoup, et bien, espérons que si à un moment donné dans le futur nous pouvons en avoir une deuxième, eh bien, espérons que nous pourrons compter sur vous aussi.

M. Delgado : Il y a sûrement plus d’informations et la capacité de les élargir, car c’est beaucoup d’informations qui doivent être fournies progressivement pour que tout le monde puisse les assimiler. Et merci aussi Angel et un grand merci à cette production de Kla.tv pour m’avoir donné l’opportunité de diffuser le travail de recherche pionnier de La Quinta Columna dans le monde.

Kla.TV : Merci beaucoup, Ricardo, merci beaucoup.

M. Delgado : Un câlin.

Kla.TV : Un câlin.

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées
Dossier Vaccins et virus
Dossier Implants numériques et contrôle mental
Nanotechnologie
Quinta Columna]

Interview traduite en anglais

Original en espagnol




VAXINS : les Japonais indemnisent ; les Anglais tombent comme des mouches ; en France, le ministre ne sait même pas lire les notices Pfizer

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

En France les journalistes et les politiques bloquent toujours la porte de l’escalier et la Vérité ne peut monter. On a même vu le ministre mentir, incapable, comme les juges de la Cour de Justice de la République de lire les notices Pfizer.

Au Japon la presse parle et en Angleterre c’est la panique.

Enfin, la plus grande chaîne d’information nationale du Japon, NHK, vient de mentionner les décès dus au vaccin COVID ! Concernant une femme d’une cinquantaine d’années dans la préfecture, décédée le lendemain de la réception du nouveau vaccin contre le coronavirus, elle a reçu 44 millions de yens (environ 300 000 USD). À l’échelle nationale, plus de 2 000 demandes de décès par vaccin sont toujours en cours.

Hier, la télévision japonaise CBC a diffusé un reportage complet sur les victimes de familles décédées après les vaccinations contre le covid ! Voici un reportage sur « une mère de 4 bébés dont le mari est décédé trois jours après la vaccination.

Semaine 43 — Angleterre et Pays de Galles — Décès excessifs.
Les décès de moins de 45 ans sont les plus élevés jamais enregistrés.
57 936 DÉCÈS EXCÉDENTAIRES EN 2023 DÉJÀ.
301 395 DÉCÈS EXCÉDENTAIRES CUMULÉS.

Problème, la surmortalité ne concerne pas les non-vaccinés… tendance à la baisse pour eux.

@PanDanTag

Royaume Uni Comparaison de la mortalité chez les 18-39 ans selon les statistiques officielles de l’ONS (Office for National Statistics) Non vaccinés vs “vaccinés” 4 doses Les “vaccinés” meurent 2,5 X plus




Un projet de loi du gouvernement veut criminaliser les donneurs d’alerte en médecine

Par Gérard Delépine

Sous prétexte de réprimer les dérives sectaires Gérald DARMANIN, ministre de l’Intérieur et Mme Sabrina AGRESTI-ROUBACHE, secrétaire d’État veulent en réalité interdire le doit d’expression des médecins donneurs d’alerte. Nous devons tout faire pour défendre la liberté d’expression et la science menacées par ce texte scandaleux1 !

Illustration présentée dans La Croix du 08/09/20172

Quelques extraits du texte déposé au Sénat le 15 novembre 2023

Sous prétexte de Protéger la santé l’Article 4 veut insérer dans le Code pénal, un article ainsi rédigé :

« Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente. »

« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Bien plus qu’une simple censure ce texte menace les donneurs d’alerte d’amendes astronomiques et même de prison. Il attente ainsi gravement à la liberté d’expression et au développement du progrès scientifique qui repose sur la critique constructive des vérités admises.

Les progrès de la science naissent du doute et de la résolution des paradoxes3 par la controverse

L’histoire de la médecine de Pasteur à Flemming démontre qu’elle progresse le plus souvent par l’intuition de personnes « hérétiques » qui s’opposent à la doxa. La particularité de la science est d’être discutée, et de passer par des expériences qui peuvent être reproduites.

Rappelons les propos de Bertrand Russell 4 considéré par beaucoup comme le Voltaire du XXe siècle :

« La tournure d’esprit scientifique est circonspecte et tâtonnante ; elle ne s’imagine pas qu’elle connaît toute la vérité, ni même que son savoir le plus sûr est entièrement vrai. Elle sait que toute théorie doit être corrigée tôt ou tard, et que cette correction exige la libre recherche et la libre discussion. […] L’argument contre la persécution des opinions reste inchangé, quel que soit le prétexte de la persécution. Cet argument est que nul d’entre nous possède la vérité infuse, que la découverte de vérités nouvelles est favorisée par la libre discussion et rendue très difficile par la censure, et qu’à la longue, le bien être humain est accru par la découverte de la vérité et desservi par les actes basés sur l’erreur. Les vérités nouvelles sont souvent gênantes pour les intérêts privés […] mais l’intérêt général exige que les vérités nouvelles soient librement diffusées. »

Une vérité scientifique n’est admise comme telle que tant qu’elle est confirmée par les faits. Toute discordance entre la réalité constatée et une « vérité » du moment justifie l’abandon de cette dernière et l’élaboration d’une nouvelle hypothèse qui deviendra, après discussion, la nouvelle vérité. L’esprit scientifique se caractérise par cette remise en question permanente des connaissances admises.

À l’opposé l’approche religieuse repose sur la foi, consacrant une vérité immuable et des dogmes que rien ne peut remettre en question. La foi justifie l’inquisition et la condamnation des hérétiques.

L’article223-1-2 de la proposition de loi, interdisant la remise en cause « des connaissances médicales » du moment constitue donc un outil profondément anti-scientifique instaurant une « science officielle » décidée par l’état et ses agences suivant le triste exemple des communistes sous Staline et Lyssenko.

Cette proposition de loi vise à empêcher la dénonciation future des mensonges d’état en santé

Lors du Covid le très mal nommé « comité scientifique » a longtemps prétendu que les masques, les pass et les vaccins seraient efficaces. Le ministère, les agences officielles et l’académie de médecine ont répété que « les vaccins sont efficaces à 90 %5… ils empêchent la diffusion de l’épidémie6 7… ils protègent des formes graves8… ils sont efficaces et sans danger 9 10».

L’académie de médecine a même réclamé l’obligation vaccinale pour tous y compris pour les enfants en prétendant « qu’un taux de vaccination de 80 % assurerait une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie »11. Cette affirmation été depuis cruellement démentie par les données de l’OMS montrant l’explosion d’Omicron alors que le taux de vaccinés en France atteignait ce 80 %.

Les données de l’OMS démontrent également que les injections covid ont été inefficaces contre les transmissions et les ont peut-être même favorisées :

Mais aussi que les injections anti-covid n’ont pas évité les formes graves entraînant la mort :

Cette propagande pro vax officielle a été très tôt mise en doute par une petite poignée de médecins qui ont été diffamés, traités de complotistes et condamnés par l’ordre des médecins alors qu’ils ne faisaient qu’énoncer des faits maintenant démontrés.

Le caractère mensonger de ces affirmations gouvernementales (ils reconnaissent des « erreurs » !) est maintenant admis par la quasi-totalité des scientifiques y compris Delfraissy 12 et l’Agence Européenne des Médicaments (EMA)13 qui aurait recensé 1,7 million d’effets indésirables14 post injections Covid.

Si l’état avait laissé se développer un débat démocratique honnête sur ces sujets au lieu de réprimer les donneurs d’alerte, de nombreux soignants, pompiers, gendarmes n’auraient pas été ignominieusement exclus de leur sacerdoce et les citoyens vaccino prudents n’auraient pas été discriminés de manière scandaleuse comme en témoignent les quelques déclarations incroyables mais vraies qui suivent :

Les mensonges d’état, la censure et le refus de tout débat démocratique ont abouti à une gestion catastrophique de la crise qui a placé la France dans le top dix des plus fortes mortalités covid par million des pays riches, tandis que la propagande sur les prétendus vaccins ont mis en danger de très nombreux français et en particulier les enfants qui ne craignaient pourtant rien du covid.

Si on avait écouté les donneurs d’alerte vaccino prudents, la majorité de la population n’aurait pas été exposée aux complications de ces injections expérimentales qui rendent difficile la vie de plus en plus de vaccinés souffrant de complications neurologiques, de myocardites ou thromboses et qui, trop souvent, en meurent comme le montrent l’inquiétante surmortalité toutes causes confondues de l’année 2022 et 2023 alors que le covid a quasiment disparu.

Cet article 4 ouvre la chasse aux donneurs d’alerte

Les trop nombreux scandales sanitaires des dernières années ont montré que les agences sanitaires ne font pas correctement le travail pour lequel elles ont été créées et que sans les alertes émises par les soignants de nombreux médicaments ou vaccins dangereux seraient encore prescrits (Distilbène, Thalidomide, Vioxx, Hormone de croissance, sang contaminé, Dépakine, vaccination contre la grippe A H1N1, traitements au 5-FU de patients déficients en DPD, Médiator, vaccin Dengvaxia administré sans précautions aux jeunes enfants…)

Mais au lieu de tirer les leçons de sa gestion insuffisante de notre sécurité sanitaire, le gouvernement préfère la fuite en avant et veut renforcer la censure et sa mainmise sur notre santé en criminalisant les donneurs d’alerte !

Si ce projet de loi avait été voté les médecins et les scientifiques, qui ont dénoncé le Médiator ou le VIOXX responsables de dizaines de milliers de morts dans le monde, auraient pu être condamnés à un an d’emprisonnement !

Des directeurs de recherche comme les professeurs Didier Raoult ou Christian Perronne, qui vanteraient les effets de l’hydroxychloroquine contre le virus du Covid-19, risqueraient deux ans de prison et 30 000 euros d’amende avec une telle loi !

L’association E3M, les docteurs Delépine1516, De-Chazournes 17 et de nombreux autres médecins 18 qui alertent sur les graves effets indésirables du Gardasil (allant jusqu’au décès des patients alors qu’il n’y a aucune preuve solide qu’il évite le cancer) et réclament un moratoire sur la campagne de vaccination Gardasil19, tomberaient sous le coup de l’article 4 !

Une maison d’édition indépendante comme la revue Prescrire, qui publierait la liste des 107 médicaments plus dangereux qu’utiles, serait menacée elle aussi par cet article 4 !

Cette loi veut interdire la liberté de parole, droit fondamental de la démocratie

L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme20 précise « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme »

Le Conseil d’État s’est d’ailleurs inquiété dans son avis21 de cette proposition de loi qui « pourrait remettre en cause, par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte » et « constituer une atteinte portée à l’exercice de la liberté d’expression, protégée par l’article 11 de la Déclaration de 1789 ».

La liberté de parole fait pourtant partie des libertés protégées par la Cour européenne des Droits de l’homme.

La Convention communautaire de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales octroie aux citoyens européens la liberté « d’accepter ou de refuser un traitement médical spécifique, ou de choisir un autre type de traitement, qui est essentielle à la maîtrise de son propre destin et à l’autonomie personnelle, en l’absence de pressions inappropriée. »

Profondément contraire aux libertés fondamentales, ce projet de loi est d’autant plus scandaleux que la « science » officielle repose habituellement sur l’avis d’experts qui souffrent trop souvent de la corruption systémique qui règne dans le milieu médical et dans la science en général qui explique en autre que 75 % des études publiées dans les grandes revues soient gravement faussées par les liens d’intérêts22 23. L’exemple de l’article du Lancet Gate24, prétendant que la chloroquine serait inefficace et très toxique, qui a constitué le prétexte pour interdire ce médicament en France est à cet égard tristement démonstratif.

Contraire aux Droits de l’homme, cet article menace aussi gravement la santé de nos citoyens !

La présentation du gouvernement sur le projet de loi et sa prétention à « protéger la santé », suscite bien des interrogations et des inquiétudes chez les médecins sur l’exercice de leur métier25 et des avocats soucieux des libertés publiques26

Nous devons tout faire pour que cette proposition de loi soit rejetée

Dénoncez cette proposition de loi scandaleuse autour de vous par la parole, des tracts ou de réunions publiques.

Signez des pétitions : https://www.abolition-article-4.com/signature

Alerter vos élus locaux

Demandez à vos députés d’affirmer leur opposition ce projet profondément antidémocratique.


Pétition — NON au projet de loi « Protéger la santé » du 19 décembre !

Par Thibaut Masco

Chère lectrice, cher lecteur,

C’est dans l’urgence que je vous écris, car c’est avec urgence qu’il faut que nous RÉAGISSIONS !

Un projet de loi vient d’être déposé ce 15 novembre au Sénat par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et la secrétaire d’État Sabrina Agresti-Roubache1.

Ce projet piloté par la Miviludes2, je le cite, « visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires » a l’audace de porter le nom « PROTÉGER LA SANTÉ ».

Son but ?

A priori, très éloigné de la santé.

Il s’agit d’un article de loi, par ailleurs tout à fait raisonnable, voire souhaitable, sur les dérives sectaires au sein de groupes

Et en particulier quand celles-ci mènent à de la torture, voire la mort

Il s’agit également de mieux en accompagner les victimes.

La France a en effet été marquée de scandales gravissimes liés à des sectes ces dernières décennies. 

Je ne citerai que l’exemple de l’Ordre du Temple Solaire, qui mena en 1995 à la mort de 16 personnes, dont 3 enfants, brûlées sur un bûcher.

Ainsi :

« Art. 223-15-3. — I. — Est puni de trois ans d’emprisonnement et 375 000 euros d’amende le fait de placer ou maintenir une personne dans un état de sujétion psychologique ou physique résultant de l’exercice direct de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement et ayant pour effet de causer une altération grave de sa santé physique ou mentale ou de conduire cette personne à un acte ou à une abstention qui lui sont gravement préjudiciables. »

Jusque-là, je ne peux que féliciter l’initiative.

Mais à mesure que je lis le projet de loi, je tombe sur l’inquiétant chapitre 3 : « Protéger la santé ».

Et c’est en particulier l’article 4 qui a soudain provoqué en moi une terrible indignation. Et qui mérite aussi VOTRE indignation.

« 2) Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique (c’est-à-dire préventif),lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

Et ça continue !

« 4) Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Autrement dit, les médecines alternatives sont comparées directement à des dérives sectaires.

Mais dans quel monde vit-on !

Je vais vous le dire…

Dans un monde qui veut INTERDIRE et EMPRISONNER les médecins qui proposent des TRAITEMENTS NATURELS qui ne seraient pas approuvés par la soi-disant MÉDECINE D’ÉTAT.

Mais le pire vient à la toute fin. 

Car cette loi ne s’applique pas seulement aux médecins.

Elle s’applique à TOUTE PERSONNE et TOUT MÉDIA parlant de santé !

J’en veux pour preuve l’alinéa 5.

« 5) Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. »

Votre blog personnel sur la médecine chinoise pourrait vous mener en PRISON !!! 

Alors, de quelle santé parle-t-on ? Comme le disait un journaliste, si c’est la santé financière des fabricants de vaccin, alors ce titre est approprié.

Mais la santé des citoyens qui sont libres de choisir leur traitement ? J’EN DOUTE

SOUVENEZ-VOUS DE L’AFFAIRE RAOULT

L’idée de la loi est de faire taire les charlatans, qui eux, existent bel et bien, et causent des torts immenses à la médecine.

Mais le sous-texte, ce que vous devez lire entre les lignes, c’est que le Gouvernement se réserve le droit d’éteindre les voix de scientifiques ayant une parole différente.

Souvenez-vous, au début de la crise sanitaire en 2020, la véritable CHASSE AUX SORCIÈRES dont a été victime le professeur Didier Raoult.

Éminent virologiste, professeur des universités et lauréat du Grand prix de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) en 2010 pour ses recherches sur les virus, Raoult avait un avis « hors-piste » au sujet du COVID-19.

Il préconise alors un traitement à base d’hydroxychloroquine, un médicament bien connu de la médecine pour ses propriétés bénéfiques pour l’immunité. Il est même classé « médicament essentiel » par l’OMS3.

Raoult ne prétend pas que c’est un médicament miracle, mais qu’il peut être une arme thérapeutique supplémentaire pour lutter contre l’épidémie.

Très vite, il comprend que le vaccin ne freine pas l’épidémie et que cela ne sert donc à rien de vacciner de force les populations qui ne sont pas en risque de formes graves.

Par ailleurs, il pointe du doigt le manque de transparence des labos, dont il dénonce les pratiques. 

Pour le Gouvernement et les médias, c’en est trop. Avec une rare unanimité, ils lui tombent dessus.

Ses prises de position dérangent parce que grâce à lui les Français entendent un autre son de cloche que celui du Gouvernement.

Il est traité de tous les noms par lesquels on essaie de museler la pensée critique : complotiste4, charlatan5, fou à lier6, criminel7…

Vous l’aurez compris : les autorités sanitaires ont l’air de choisir qui a le droit à la parole dans les débats publics !

Cet article de loi censé « protéger la santé » semble donc plutôt protéger les intérêts de l’État.

Comme le dit très justement le sénateur Alain Houpert8 :

alain houpert

Car ne vous méprenez pas. Son véritable objet : ce sont les prochains vaccins qui seront mis sur le marché.

Imaginez la situation quand la prochaine crise sanitaire surviendra.

(Car elle va venir, aucun doute là-dessus.)

Quand le gouvernement prendra des mesures coercitives du jour au lendemain.

Quand il rouvrira les vaccinodromes pour un vaccin développé à la va-vite sans essai clinique.

Qu’arrivera-t-il aux médecins, aux médias et aux citoyens qui oseront, pas même émettre des doutes ou s’opposer, mais simplement OUVRIR UN DÉBAT NEUTRE, CRITIQUE et LIBRE ?

  • Votre médecin pourra être condamné à 3 ans de prison !
  • Les journaux pourront être fermés et les rédacteurs amendés (45 000 €) !
  • Vos opinions seront muselées et vous deviendrez « sectaire » !

Bref, un retour à la situation de 2020… mais cette fois, le gouvernement veut avoir le CONTRÔLE TOTAL sur l’information et éviter TOUTE FORME DE DISCUSSION ÉCLAIRÉE.

C’est pour cela que j’ai besoin de vous au plus vite. 

Si vous voulez conserver votre liberté d’expression dans ce « pays des droits de l’homme », signez aujourd’hui la pétition.

JE SIGNE LA PÉTITION

Avoir une pensée critique dans la France d’aujourd’hui, c’est être « sectaire »

Cette loi prétend limiter l’expression des opinions qui ne seraient raccord avec « l’état des connaissances médicales ».

Mais qui décide de ce qui fait « état des connaissances médicales » ?

Est-ce au juge pénal de décider de cela désormais ?

Il ne me semble pas qu’il revient au législatif de trancher entre ce qui est une « bonne » et une « mauvaise » étude !

La science doit rester l’affaire des scientifiques !

Par contre, cela me semble évident qu’il y a une médecine « approuvée par les intérêts politiques et économiques du gouvernement » et une médecine libre.

Comment peut-on tolérer une société où un honnête pharmacien sera traité de paria, de complotiste, d’escroc et désormais aussi de CRIMINEL, de MEURTRIER ?

Si la loi passe au Sénat le 19 décembre prochain, ce sera la réalité dans laquelle vous vivrez.

JE SIGNE LA PÉTITION

Qui décide de la vérité ?

Pendant la crise du Covid les médias officiels n’ont cessé d’exposer des personnalités qui se sont trompées.

Les médecins de plateau TV bien sûr comme Karine Lacombe9, Michel Cymes10, Gilbert Deray11, ou le Pr Delfraissy12.

Les ministres de la Santé censés être bien informés se sont eux aussi fourvoyés à de multiples occasions comme Véran, Rousseau ou Buzin. 

Tous se sont trompés avec plus ou moins de bonne foi…

Que ce soit sur l’efficacité des masques, l’utilité des confinements, l’efficacité des vaccins sur la transmission ou la réalité des effets secondaires, la validité de telle ou telle étude, etc.

On voit donc bien que l’erreur n’est pas l’apanage des complotistes !!

CHERCHEZ L’ERREUR

La médecine est facilement manipulable par les intérêts économiques et politiques. 

Les Gouvernements et les lobbys ont la furieuse tendance de choisir la médecine qui les arrange le mieux en fonction de leurs intérêts du moment,

Quand donc la loi « PROTÉGER LA SANTÉ » nous parle de « l’état des connaissances médicales », comment pouvons-nous leur faire confiance ???

Faisons bloc le 19 décembre pour que cette loi ne passe pas !

Quand vous aurez lu et signé cette pétition, ne vous arrêtez pas là.

Parlez-en aux membres de votre famille, à vos amis, à vos voisins, à votre médecin même.

Il faut faire comprendre à notre gouvernement que nous sommes libres de notre corps et de nos choix.

Le patient a le droit de s’informer comme il le souhaite, et d’avoir accès à une information complète et loyale. Et surtout, de choisir pour lui-même.

Sinon, le régime de Liberté est anéanti.

Pour conserver ma liberté d’expression, et mon droit de choisir la médecine qui me soigne vraiment. 

JE SIGNE LA PÉTITION AVANT LE 19 DÉCEMBRE

Prenez soin de vous,

Thibaut Masco de Santé Non Censurée





Si l’on arrache la prise, le Métaverse est dans le noir, mais le Royaume de Dieu s’illumine

[Source : Campagnol tvl]






« Certains ont reçu de très mauvais lots… l’EMA et les institutions nationales auraient dû informer le public »




Surmortalité confirmée depuis les campagnes d’injection expérimentale anticovid

Par Nicole Delepine

Œuvrons ensemble pour l’interdiction générale mondiale de l’injection expérimentale covid19 ! URGENT

La surmortalité confirmée dans tous les pays vaccinés devrait calmer les ardeurs de la poursuite de cette pseudo vaccination meurtrière et appeler à son interdiction mondiale.

Chacun doit protéger ses proches par l’information objective, interdire le harcèlement des personnes âgées en EHPAD pour qu’ils acceptent l’injection (celle couplée avec la grippe est encore plus génératrice d’AVC).

Nos élus devraient assumer leur devoir de représentants du peuple en exigeant pour le moins un moratoire. Pourquoi ce silence général devant la nouvelle qui devrait revenir chaque jour sur nos écrans TV ? Rappelez-vous le bruit répétitif d’un décès à la suite d’un essai clinique d’un médicament, essai qui était immédiatement stoppé.

Et depuis le vax anticovid expérimental des millions d’effets secondaires, dont un quart grave, et des milliers de morts dans le monde en rapport direct avec l’injection, sans que cette interdiction de poursuivre ne tombe. Il est clair qu’il n’est plus question de santé des peuples.

Pour ceux qui n’arrivent pas à accepter ce dur état des choses, voici les résultats résumés sur X par DR Hippocrate. Ces schémas ne devraient plus permettre d’ignorer cette surmortalité post injection expérimentale, y compris chez les jeunes. Ce sont des faits avérés et non des opinions. Pourquoi les nier ou les ignorer ?

Cette surmortalité post vaccinale s’observe aussi chez les personnes âgées alors que les injections, si elles étaient efficaces et non toxiques auraient dû stopper la surmortalité observée lors de la première année de la crise covid :

Il est de plus incompréhensible de continuer à recommander ces injections délétères alors que les données de l’OMS, mises en graphique par le département de l’université d’Harvard, démontrent la fin de l’épidémie depuis février 2022.

Virginie Joron députée européenne, a commenté la réponse de la Commissaire qui a signé les contrats d’achats vaccins Covid.
https://europarl.europa.eu/doceo/document/P-9-2023-002470-ASW_EN.html

Dans cette réponse, figure un élément important que les médecins devraient regarder de plus près avant de faire des injections (Les avocats en charge de dossier de victimes devraient aussi s’en servir) : « Ce n’est que dans des cas très exceptionnels que des décès ont été signalés causés par le vaccin. Un exemple est la “thrombose avec syndrome de thrombocytopénie” avec les vaccins vecteurs adénoviraux COVID-19 pour lesquels des mises en garde et des contre-indications ont été incluses dans les informations sur le produit afin d’informer les professionnels de la santé et les patients et de réduire le risque de conséquences indésirables. » Quid donc de la thrombose avec syndrome de thrombocytopenie ? « Le syndrome de thrombose-thrombocytopénie (TTS) est un problème de santé grave impliquant des caillots sanguins (thrombose) et un faible taux de plaquettes (thrombocytopénie). Lorsque des rapports de TTS après la vaccination avec des vaccins contre la COVID-19 à vecteurs viraux ont été révélés en 2021, le TTS est devenu une priorité de l’enquête menée au Canada et dans le monde. »1

Au début des premières injections, j’avais interrogé l’association Amapti. Évidemment, ils avaient répondu comme la majorité des médecins qu’ils n’en savaient rien, mais que le rapport bénéfice-risque était en faveur de l’injection Covid. Qu’en est-il aujourd’hui ? Pourquoi l’@EMA_News ne suspend pas ces autorisations qui entraînent la mort ?2

De « societies of actuaries » Exam Results | SOA

L’excès de mortalité chez les jeunes se confirment en 2023

Même la France avare de la publication de ses résultats ne peut plus nier une surmortalité en 2022

Docteur Hippocrate a reposté
@tatiann69922625

Incroyable qu’il y ait encore des médecins qui ne savent pas que les ARNm de Pfizer & Moderna endommagent le système immunitaire et que chaque injection supplémentaire provoque davantage de dégâts immunitaires Prouvé par la Cleveland Clinic !
https://medrxiv.org/content/10.1101/2022.12.17.22283625v1.full.pdf 19 nov.

Laisserez-vous encore injecter vos proches, ainés dans les EHPAD harcelés par les encadrants, vos enfants ou vous — même, ou bien est-ce suicidaire ou encore finalement le syndrome de Stockholm ?

D’autant que les aveux de l’agence européenne du médicament viennent de confirmer OFFICIELLEMENT que les injections visant à éviter les contaminations entre personnes n’avaient jamais été démontrées efficaces. Relisez la lettre de l’EMA aux parlementaires européens3. 4

Quant aux effets néfastes reconnus ils sont de plus en plus nombreux.

Selon la journaliste Annette Gartland from Changing Times 21 novembre 2023
WHO database lists more than 5.23 million reports of adverse reactions after Covid vaccination

La VigiBase de l’Organisation mondiale de la santé répertorie désormais 5 239 635 rapports d’événements indésirables à la suite de la vaccination contre le Covid, dont 25 881 décès (répertoriés sous « Troubles généraux et conditions au site d’administration »).

Il existe une liste distincte, dans la même catégorie, de 2 296 rapports de mort subite, ainsi que 486 rapports de mort subite d’origine cardiaque, 202 rapports de mort cérébrale, 174 rapports de mort cardiaque, 20 rapports de décès prématuré d’un bébé et 15 rapports de décès néonatal., huit rapports de syndrome de mort subite du nourrisson, six rapports de « mort clinique » et trois rapports de « mort subite inexpliquée par épilepsie ».

UNE SEULE CONCLUSION : INTERDICTION MONDIALE ET IMMEDIATE DES INJECTIONS ANTICOVID A ARNm ET DE TOUT VACCIN BASE SUR LA TECHNOLOGIE ARNm





Aveux de l’EMA : l’agence lâche les gouvernements !

À la demande de parlementaires de l’UE, l’EMA AFFIRME que les pseudovaccins expérimentaux anticovid-19 n’ont jamais été approuvés pour empêcher la transmission du virus [jamais isolé(([1] NDLR Voir le dossier Vaccins et virus, et notamment Un adieu à la virologie))] de personne à personne. L’Agence européenne des médicaments a ainsi confirmé, de fait, que la « vaccination obligatoire » contre le Covid-19 était une utilisation illégale hors AMM.

LES VAX MASSIVES NE REPOSAIENT PAS SUR DES FAITS.

L’EMA SOULIGNE LE MANQUE DE DONNÉES SUR LA CONTAGIOSITÉ.

LES VAX SONT UNIQUEMENT PROPOSÉES POUR LA PROTECTION D’UN INDIVIDU.

EN CONSÉQUENCE :

LES CAMPAGNES DE VACCINATION DOIVENT ÊTRE ABSOLUMENT STOPPÉES ET LES GOUVERNEMENTS DEVRONT PORTER LA RESPONSABILITÉ DES EFFETS SECONDAIRES ET DE LEUR RÉPARATION.

Conférence de presse du 21 novembre 2023 au Parlement européen, suite à la réponse pour le moins surprenante de l’EMA, à la lettre du député européen Marcel de Graaff, demandant de retirer l’autorisation de mise sur le marché des « vaccins » Covid à cause des très graves problèmes engendrés.

➡️ Voir sur Odysee
https://odysee.com/@Q…uestions:6/Le-scandale-arrive—L’eurod%C3%A9put%C3%A9-Marcel-De-Graaff:8

➡️ Voir en VOSTFR sur Odysee
https://odysee.com/@ledeclencheur:b/Le-scandale-arrive—L’eurod%C3%A9put%C3%A9-Marcel-De-Graaff—(VOSTFR):e

➡️ Partager le tweet
https://x.com/LDeclencheur/status/1727400835821314420?s=20




France — Campagne de vaccination HPV dans les collèges : informations partielles, encadrement inadapté et précipitation mettent en péril la vie des enfants !

La campagne de vaccination contre le HPV dans les collèges a débuté en octobre 2023, sur circulaire interministérielle de juin 2023.

Le 19 octobre 2023, un accident qui va s’avérer mortel a lieu dans un collège privé sous contrat de la région nantaise : un élève de cinquième fait une « chute » consécutive à un « malaise » post-vaccinal. Il décède quelques jours après.




France — Chronique de la vie ordinaire

[Illustration : source]

Le froncé continue sa petite vie pourrie sans questionnement et sans réaction

Amal en forme ; voici son petit compte-rendu sur nos froncés enthousiastes et leur quotidien mâtiné de dystopie : « Dans l’entourage d’une de mes connaissances, les personnes souffrent de l’inflation et ne mangent plus à leur faim. Ils ne prennent plus qu’un repas par jour. Il est désolant de voir que même à ce stade, il n’y ait aucune réaction de leur part… Cette même personne, m’a affirmé qu’une amie à lui, est décédée à 28 ans d’une crise cardiaque, une autre jeune femme qui à moins de la trentaine, a eu deux AVC et est toujours souffrante. Les effets secondaires de l’injection obligatoire font beaucoup de dégâts et personne ne se réveille… Le métier en vogue est porteur funéraire, on en recherche régulièrement depuis un an… La folie continue, les débiles continuent, encore, à aller chercher leur dose mortelle. » Sinon, l’État fait la pub pour le Grand Reset : notre extermination se rapproche…

Nicolas Bonnal

Par Amal

Nous vivons depuis des semaines des jours pluvieux ininterrompus. Hier, nous avons eu la chance d’avoir du soleil et un peu de douceur (15°), cela fait du bien au moral et aux articulations.

Ma petite campagne est bien verte et la rivière est bien pleine, cela n’empêche pas notre presse locale de mettre cette pluie et ce temps sur le dos du réchauffement climatique :

« Ce qui différencie toutefois ces épisodes climatiques, c’est leur côté on-off. À une fin d’été très sèche a succédé un temps est très pluvieux. Réchauffement climatique oblige, nous devrions aller vers une météo de plus en plus nerveuse, avec des blocages de types de temps sur une certaine période. Il va falloir s’attendre à des contrastes. »

Je tiens à préciser que cet été, hormis le mois de juin, il avait plu régulièrement. Je rajouterai que toute cette année, nous avions eu de la pluie. Une année pluvieuse et humide. Voilà en ce qui concerne la météo dans la Marne.

Petite parenthèse : à chaque fois que le ciel est bleu, et c’est systématique, on aperçoit dans le ciel les traînés de chemtrails. Ils ne veulent pas que nous ayons un ciel clair.

Je vous suggère cette belle chanson sur ce phénomène d’Ian Brown intitulé : « Blue sky day ». Voici le lien de la chanson :

Quelques brèves :

Dans l’entourage d’une de mes connaissances, les personnes souffrent de l’inflation et ne mangent plus à leur faim. Ils ne prennent plus qu’un repas par jour. Il est désolant de voir que même à ce stade, il n’y ait aucune réaction de leur part.

Cette même personne, m’a affirmé qu’une amie à lui, est décédée à 28 ans d’une crise cardiaque, une autre jeune femme qui à moins de la trentaine, a eu deux AVC et est toujours souffrante. Les effets secondaires de l’injection obligatoire font beaucoup de dégâts et personne ne se réveille.

J’ai constaté que sur le site de Pôle Emploi, il y avait beaucoup plus d’offres qu’à l’habitué. Cette région est, en général, saturée dans certains secteurs comme le tertiaire. Aujourd’hui, les offres pleuvent, même la région et la préfecture recrutent. Je tiens à préciser que ces administrations font rarement appel à Pôle Emploi. Le métier en vogue est porteur funéraire, on en recherche régulièrement depuis un an.

Un médecin spécialiste qui se fait régler ses honoraires en espèces ou en chèques sur la question de la monnaie numérique : j’ai demandé, comment il envisageait l’avenir avec le CBDC ? Il ne savait pas de quoi je parlais, ni que nous assistions à la fin du cash. Il n’avait pas l’air convaincu ni préoccupé des informations que je lui dévoilais. On n’est pas sorti de l’auberge avec ce genre d’ignare.

Dans la ville des sacres, j’ai demandé à une personne croisée dans la rue de me renseigner sur le nom d’une basilique que j’apercevais au loin. Je l’aborde poliment et lui demande le nom du monument. La personne s’est figée, mais complètement, et a longtemps hésité avant de me répondre. Je n’ai pas compris sa réaction. Les gens ont peur de parler aux passants.

La région a mis en place, cette année, divers abonnements pour les usagers. Il est possible de se les procurer soit au service de la région, soit par l’intermédiaire du chauffeur de bus. Rien de spécial me diriez-vous. J’ai mis dix jours pour avoir mon abonnement. Dix jours ! Pourquoi ça a mis autant de temps ? Je vous explique : plusieurs chauffeurs avaient leurs nouveaux boîtiers HS, d’autres n’en étaient pas encore équipés. Et pour finir, je me suis déplacée à la région et, devinez quoi, c’était fermé (pour info, aucun message à l’entrée n’indiquait la fermeture de l’administration). Tout devient compliqué, c’est de plus en plus compliqué.

Dans le train, la contrôleuse se plaignait aux usagers détenant la carte d’abonnement TGV que son appareil boguait à chaque fois qu’elle passait leur carte et qu’elle était obligée de réinitialiser son boîtier. Elle prenait ça avec le sourire et se demandait si elle arriverait à contrôler tous les passagers.

Les prix dans les différents commerces ont encore prix une hausse, pour exemple le pot de miel de 500 g qui était, il y a un mois, à 3,19 € est passé à 3,39 €.

Dans mon petit bourg, une misérable fête foraine est en place depuis quelques jours. Malgré la pluie et le froid, les gens s’y précipitent. Pour s’amuser, il y a toujours du monde, mais pas pour se rebeller.

A la pharmacie de mon patelin, les gens continuent d’aller chercher leur injection expérimentale. Pendant que j’écris, j’ai reçu un mail de la CPAM :

« Grippe et Covid-19 : se faire vacciner pour être doublement protégé. Pour se protéger contre la grippe, toujours aussi imprévisible et dangereuse, la vaccination est une arme efficace. Elle est prise en charge à 100 % pour les personnes les plus fragiles, notamment celles de 65 ans et plus, les enfants et les adultes souffrant d’une maladie chronique ainsi que les femmes enceintes. Il leur est recommandé de se faire vacciner en même temps contre le Covid-19, maladie qui peut, elle aussi, les affecter sévèrement. ».

La folie continue, les débiles continuent à aller chercher leur dose mortelle.

Les consultations médicales ont augmenté de 1,50 € en France métropolitaine et de 1,80 € dans les régions d’outre-mer.

Tarifs des consultations médicales : ce qui a changé au 1er novembre 2023
La consultation des médecins généralistes et spécialistes conventionnés avec l’Assurance Maladie a augmenté de 1,50 euro en métropole et de 1,80 euro dans les départements et régions d’outre-mer. En métropole, en secteur 1, la consultation d’un médecin généraliste est à 26,50 euros et, dans la plupart des cas, celle d’un médecin spécialiste est à 31,50 euros. Ces consultations sont remboursées à 70 % par l’Assurance Maladie et à 30 % par les complémentaires santé.

Le froncé continue sa petite vie pourrie sans questionnement et sans réaction. Il va de lui-même à son extinction. Il ne restera plus grand-chose de cette humanité de décérébrés. Dans cette dystopie, mon être ne trouve plus sa vibration naturelle. Ils me fatiguent à un point, j’en peux plus les voir.

Source [pour climat] :

https://www.lunion.fr/id540161/article/2023-11-16/aisne-marne-et-ardennes-il-y-eu-autant-de-pluie-en-15-jours-quen-un-mois-en




Situation sanitaire du Bangladesh et évaluation de l’utilité du Gardasil dans ce pays

[Illustration : Mohammad Ponir Hossain/Reuter]

Par Dr Gérard Delépine

L’OMS tente d’imposer dans le monde entier sa vaccination coûteuse, mais fort rentable Gardasil. Quelle en est l’opportunité ? Nous étudierons ici l’exemple du Bangladesh.

Au Bangladesh, malgré la rareté du dépistage et l’absence de vaccination contre les papillomavirus (HPV), le cancer du col est actuellement moins fréquent (8268 cas annuels1) que dans de nombreux pays européens pourtant très dépistés et très vaccinés. Dans ce pays, l’incidence de 10,6/100 000 est proche de celui de la Grande-Bretagne ou des Pays-Bas et inférieure à celui de la Norvège (14,8/100 000) ou de la Suède (13/100000), pays qui bénéficient tous du dépistage et d’un taux de vaccination Gardasil de la population cible supérieur à 80 %.

Au Bangladesh, le cancer du col constitue la seconde cause de décès par cancer féminin dans ce pays, mais ne siège qu’à la 29e place des causes de mortalité avec un taux de 6/100000 très loin derrière les diarrhées (27,3/100 000), la tuberculose (22,6/100 000)2 ou les infections des voies respiratoires inférieures (17,9/100 000), maladies infectieuses que des traitements peu coûteux, qui ont fait leurs preuves d’efficacité certaine, pourraient éviter.

Au Bangladesh le cancer du col ne représente donc pas un problème prioritaire de santé publique.

La vaccination par Gardasil n’a toujours pas démontré qu’elle était capable d’éviter un seul cancer du col dans aucun pays du monde. Aucun essai randomisé de Gardasil n’a prouvé une quelconque diminution d’incidence des cancers invasifs, mais seulement celle des infections à HPV, des verrues génitales et de dysplasies bénignes qui régressent le plus souvent toutes seules, mais qui, considérées à tort comme des critères substitutifs des cancers, ont permis d’obtenir l’autorisation de mise sur le marché.

La vaccination à visée anticancéreuse par Gardasil ne constitue, en réalité, qu’une expérience massive sur des populations désinformées par une propagande massive (comme lors du covid).

Après 17 ans d’utilisation, les résultats cancérologiques du Gardasil sont inquiétants, car dans aucun pays l’incidence globale (0-85 an), qui diminuait depuis les années 1990 grâce au dépistage, ne diminue plus, et dans le groupe d’âge le plus vacciné, arrivé à la période à risque (actuellement les 25-34 ans) l’incidence de ce cancer augmente paradoxalement, comme le montrent les données des registres des cancers.

L’Australie a été le premier pays à instaurer la vaccination scolaire des filles dès 2006. Les chiffres officiels3 montrent que, depuis la généralisation de la vaccination, le nombre global de cancers du col a augmenté (de 727 en 2006 à 942 en 2022) et que l’incidence standardisée des cancers invasifs ne diminue plus, alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % entre 1987 et 2006, grâce aux dépistages par frottis cytologiques. 

Pour 2022 l’incidence est estimée à 7,1/100 000. Les nombreux articles qui claironnent l’éradication du cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur des simulations hasardeuses et l’espoir incertain que la diminution des infections à HPV entraînerait une diminution des cancers invasifs, hypothèse démentie par les faits constatés dans le monde réel.

Mais le plus inquiétant dans les données publiées par l’AIHW est l’augmentation d’incidence des cancers invasifs dans le groupe des femmes les plus vaccinées, celui des 25-34 ans4 :

La triste histoire de Sharon Tate, championne olympique à Londres, morte du cancer du col 7 ans après avoir été vaccinée est là pour illustrer ce risque.

Les données britanniques, publiées par Cancer Research UK5, confirment cette tendance très inquiétante avec une augmentation significative d’incidence (+15 %) dans le groupe le plus vacciné.

Même constat alarmant en Norvège6 7 et Finlande8 9 où, depuis le Gardasil, l’incidence standardisée des cancers invasifs augmente sur l’ensemble de la population et encore plus dans le groupe le plus vacciné des 25-34 ans.

En France, la prudence envers cette vaccination explique un taux de vaccination relativement bas par rapport aux pays voisins, qui va de pair avec une incidence standardisée de cancers qui continue de diminuer et qui est devenue significativement inférieure à celles des pays champions du Gardasil.

Le Gardasil ne protège pas non plus des cancers du canal anal

Pour doubler le marché du Gardasil, les complices des laboratoires font tout pour l’imposer aux garçons en effrayant les parents avec les cancers de l’anus et en prétendant que la vaccination permettrait d’éradiquer les HPV (comme ils l’ont affirmé pour le covid19). Mais en France ce cancer est exceptionnel chez l’homme (600 cas annuels), et le plus souvent curable (environ 200 morts par an) et il ne menace qu’une population très limitée (les homosexuels passifs et les malades du Sida).

De plus, la consultation des registres nationaux du cancer montre une augmentation d’incidence des cancers de l’anus depuis le Gardasil chez les filles dans les pays adeptes de la vaccination scolaire comme l’Australie, la Grande-Bretagne ou les pays scandinaves.

Contrairement aux affirmations des médias et de nos autorités sanitaires, les registres des cancers montrent que dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination Gardasil se révèle incapable de diminuer l’incidence des cancers dont on accuse les HPV et est même suivie d’une augmentation !

Comme tout traitement, le Gardasil expose à des complications

Tout récemment à Nantes un collégien est mort des suites de la vaccination Gardasil ; et malgré les dénégations embarrassées de l’agence régionale de santé, ce fait est indiscutable : si ce collégien n’avait pas été vacciné, il serait toujours vivant.10

Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, le VAERS (système de déclarations des complications postvaccinales) recensait 523 décès post Gardasil.

La vaccination Gardasil est de plus suivie d’une quantité d’effets secondaires recensés par le VAERS : Coma, Épilepsie, Paralysies des membres, Paralysie faciale Syndrome de Guillain-Barre, Thromboses, Uvéite, Choc anaphylactique, Avortement spontané, Insuffisance ovarienne…

Ces complications ont motivé des plaintes en justice :

et des manifestations dans de nombreux pays (Colombie, Japon, Irlande, Danemark) :

Ces manifestations contre le Gardasil et les nombreuses actions en justice dans plus de dix pays étrangers témoignent de la fréquence et de la gravité des complications de cette vaccination.

Mais en France les agences officielles les nient comme elles ont jadis nié que les retombées du nuage de Tchernobyl aient atteint notre territoire.

L’absence de bénéfice cancérologique constaté dix-sept ans après la mise sur le marché du Gardasil et les nombreuses complications recensées rendent la balance avantage/risques négative même si l’OMS financée en grande partie par Bill Gates et nos agences prétendent le contraire.

Le prix européen considérable du Gardasil (près de 360 euros pour trois doses dont la fabrication revient à 1,5 euro), la propagande mensongère et la corruption de certains décideurs expliquent peut-être sa recommandation pour le Bangladesh, d’autant plus surprenante que l’expérience du Gardasil dans le district de Gazipur en 2016 a été entachée de nombreux problèmes éthiques 11 et n’a apporté en pratique aucun bénéfice aux jeunes filles vaccinées.

Quelle politique pour l’Occident voulant vraiment « aider » les pays encore défavorisés ?

L’exemple du Bangladesh : un des vrais fléaux médicaux curables est la tuberculose

Pour les associations humanitaires voulant aider réellement la population, il paraîtrait plus efficace de s’attaquer à la tuberculose (plus de 16 000 morts annuels dans ce pays) curable dans plus de 85 % des cas par des antibiotiques adaptés. Le prix d’un traitement complet, y compris le traitement BPaLM (composé de bédaquiline (B), de prétomanide (Pa), de linézolide (L) et de moxifloxacine (M)), permettant de traiter les personnes atteintes de tuberculose résistante aux médicaments en 6 mois (au lieu des deux ans habituels) est d’environ 500 dollars, soit à peu près le coût d’une vaccination à trois doses de Gardasil.

Chaque don de 1000 euros permettrait de sauver à coup sûr 2 tuberculeux et aussi de diminuer les transmissions de la maladie, permettant à terme d’espérer l’éradication de la maladie alors que consacrer cette somme au Gardasil n’aboutirait à aucun bénéfice mesurable ni prévisible selon les expériences relatées précédemment.

Ce n’est pas de Gardasil dont le Bangladesh a besoin, mais de médicaments et de tests contre la tuberculose et d’eau potable pour lutter contre les diarrhées mortifères.





Mise en garde contre un désastre dans le transport aérien dû aux vaccins Covid

[Source : echelledejacob]

Par Sally Beck

Le capitaine Shane Murdock affirme que l’industrie aérienne est « au bord du désastre ». Pilote depuis plus de 40 ans et enquêteur qualifié sur les accidents aériens, il a présenté des données officielles qui étayent son affirmation d’une catastrophe mondiale imminente. Il ajoute :

« Lorsqu’elles sont corrélées, les données indiquent qu’il existe un énorme problème qui a et aura un impact significatif sur la sécurité aérienne dans le monde entier. Il y a suffisamment de preuves pour lancer des signaux d’alarme. »

Il y a eu de nombreuses tragédies cette année. Phil Thomas, un jeune diplômé de l’académie de formation au pilotage de Cadix, en Espagne, est tombé malade et est décédé subitement en avril. Il y a eu cinq incapacités de pilote en mars, dont un pilote de British Airways qui s’est effondré et est décédé au Caire, en Égypte, peu de temps avant son départ.

Les pilotes sont en excellente forme physique, alors pourquoi tant de morts subites ou d’effondrements ? Le Cpt Murdock conclut qu’ils souffrent de graves réactions indésirables aux vaccinations Covid-19, qui ont comme effets secondaires une myocardite (inflammation cardiaque), un brouillard cérébral, de l’insomnie, des caillots sanguins et une anaphylaxie.

Il pense que certains pilotes sont des bombes à retardement et affirme que beaucoup ne déclarent pas être en mauvaise santé. Il a déclaré :

« Ils ne signalent pas le brouillard cérébral, les battements anormaux du cœur et les étourdissements, parce qu’ils ne veulent pas perdre leur emploi. »

Les aviateurs subissent des contrôles de santé annuels complets, ou tous les six mois s’ils ont été malades. Les règles stipulent qu’ils ne peuvent réussir qu’avec moins de 1 pour cent de chances de souffrir d’une maladie qui pourrait les rendre incapables de piloter.

Comment passent-ils les examens médicaux s’ils souffrent de réactions indésirables graves ? L’année dernière, le régulateur mondial de l’aviation, la Federal Aviation Administration (FAA), a modifié les marqueurs de l’électrocardiogramme (ECG) qui mesurent « l’intervalle PR ». C’est le temps qu’il faut à une impulsion électrique pour se déplacer d’une partie du cœur à une autre et constitue un indicateur de la santé cardiaque. La nouvelle limite est 50 % plus longue que la limite précédente et signifie que si un pilote développe une maladie cardiaque, elle pourrait ne pas être détectée.

C’était le 15 novembre 2020, lorsque les compagnies aériennes australiennes ont rendu obligatoires les vaccins contre le Covid-19 pour 900 pilotes et tout le personnel navigant et au sol. Pfizer, AstraZeneca et Moderna étaient disponibles en Australie.

Aujourd’hui, c’est le troisième anniversaire de ce mandat de vaccination et le Cpt Murdock est l’un des 12 pilotes qui ont refusé l’inoculation. Il a bien sûr été licencié, accusé de faute professionnelle grave, une accusation généralement réservée aux comportements sexuels inappropriés ou aux comportements imprudents et dangereux.

M. Murdock, 60 ans, qui vit près de Sydney, en Australie, a volé en tant que capitaine de Virgin Australia pendant 20 ans et est titulaire d’une licence depuis 1984. Il est également titulaire d’une maîtrise en facteurs humains de l’aviation, la science qui sous-tend la façon dont les humains interagissent avec les machines. Il a déclaré :

« Quelque part sur le réseau international, vous découvrirez quotidiennement qu’un avion a été refoulé en raison d’une urgence sanitaire. Soit une urgence sanitaire pour les passagers, soit une urgence sanitaire pour l’équipage. »

Lorsque les pilotes lancent un appel radio au contrôle de la circulation aérienne, cet appel est surnommé « squawk ». Ils utilisent le code 7700 pour tous les appels de secours réservés aux incidents graves comme l’incapacité du pilote ou un incendie non maîtrisé à bord. Peu de scénarios justifient un Mayday ; les passagers et l’équipage doivent faire face à un véritable péril.

Il y a eu une augmentation sans précédent du nombre d’appels Mayday, suivis par un robot créé par le compte X @GCFlightAlerts. Il publie lorsqu’un pilote utilise le code 7700 n’importe où dans le monde.

Entre 2018 et 2019, la moyenne des appels de détresse représentait 29,1 % de tous les appels de détresse. En 2022, les appels de secours ont augmenté de 272 %. Au cours des trois premiers mois de 2023, l’augmentation était de 386 %. Le graphique montre qu’il y a eu une forte augmentation instantanée lorsque les vaccins ont été obligatoires pour les pilotes.

L’âge moyen du décès en Australie pendant la pandémie était de 85,3 ans. Les chiffres ne justifiaient pas d’imposer la vaccination aux pilotes en bonne santé et en bonne forme physique et de mettre en œuvre une politique sans vaccin, sans emploi. Cela a même violé leurs propres directives : selon les règles de la FAA, aucun pilote n’est autorisé à prendre un quelconque type de médicament à moins qu’il n’ait été approuvé et utilisé dans la population générale pendant 12 mois. Il est interdit aux pilotes de participer aux essais de médicaments et tous les vaccins contre le Covid-19 ont été autorisés sous autorisation d’utilisation d’urgence. La phase finale du procès se termine cette année.

Le Cpt Murdock a également examiné le nombre de licences pour équipage multiple délivrées par le régulateur australien, la Civil Aviation Safety Authority (CASA). Ils ont le pouvoir d’imposer des restrictions sur les licences de pilote de ligne (APTL). Une licence multi-équipage restreint les pilotes à opérer avec plusieurs membres d’équipage et est délivrée lorsque leur état médical montre une possibilité qu’ils puissent devenir frappés d’incapacité pendant le vol. CASA surveille et administre les certifications médicales et les licences de tous les pilotes australiens. Les données sur la liberté d’information montrent qu’il y a eu une augmentation sans précédent de 126 % des limitations.

On pourrait penser que cela entraînerait un examen majeur de la part de la CASA, mais ils ne feront rien tant que l’organisme australien de surveillance des médicaments, la Therapeutic Goods Administration (TGA), continue d’approuver la vaccination contre le Covid-19 pour tous. Il s’agit d’une porte tournante qui évite les responsabilités, ce qui est familier à ceux d’entre nous qui enquêtent sur les questions liées aux vaccins.

Le Cpt Murdock pense que l’inaction ne peut avoir qu’un seul résultat, et gardez à l’esprit que nous avons vu de nombreux avions effectuer des atterrissages d’urgence en raison de l’incapacité des pilotes. Il est sans équivoque et a déclaré :

« Des catastrophes se produiront et les équipages et les voyageurs mourront inutilement. »

Source




Lettre ouverte à Mme le docteur Claire Siret Présidente de la section Santé Publique du conseil national de l’Ordre des médecins

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par Dr Gérard Delépine

Le 12 novembre 2023

Ma chère consœur,

Je suis surpris des termes de votre lettre du 10 novembre 2023 adressée à des citoyens inquiets, et réellement stupéfait de votre croyance en « la quasi-éradication du cancer du col de l’utérus dans de nombreux pays (exemple l’Australie) qui témoigne de votre méconnaissance des données officielles de l’AIHW (Australian Institute of Health and Welfare) sur le cancer du col de l’utérus en Australie. Je me permets donc de vous adresser les données officielles qui contredisent totalement votre foi en l’efficacité anti cancéreuse du Gardasil.

En tapant «  https://www.canceraustralia.gov.au/cancer-types/cervical-cancer/statistics » vous pourrez vérifier qu’en 2022 le nombre estimé de cancers invasifs du col atteint 922 ce qui est très loin de la « quasi éradication » claironnée comme l’atteste cette copie d’écran :

Ce chiffre correspond à une augmentation de 30% depuis le Gardasil (en 2007 seulement 727 cancers du col avaient été recensés)

Vous pourrez aussi vérifier que l’incidence standardisée du cancer du col (qui élimine les influences de la démographie australienne) ne diminue plus depuis 2006, date de l’instauration de la vaccination scolaire et que cette incidence s’est stabilisée au-dessus de 7/100000 depuis la vaccination Gardasil.

Alors qu’en France, peu vaccinée, l’incidence standardisée monde des cancers invasifs du col est, d’après Santé Publique France inférieure à 6/100000, définition OMS des maladies rares.

Je ne doute pas de votre bonne foi qui a été manifestement abusée par les communiqués fallacieux de l’INCa1 et de la HAS que vous citez, mais la démarche médicale et scientifique exige de nous tous de toujours analyser les opinions qu’on vous soumet et d’en vérifier les données brutes indiscutables.

Cette augmentation d’incidence des cancers du col de l’utérus depuis le Gardasil se constate d’ailleurs dans tous les pays qui en ont instauré la vaccination scolaire et tout particulièrement chez les femmes de 25-34 ans en 2022 qui constitue le groupe le plus vacciné arrivé à l’âge de survenue des cancers du col.

Comme en Grande Bretagne (vous pouvez le vérifier en tapant : https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence#heading-Two)

Mais aussi dans les pays scandinaves (Norvège, Finlande et Suède) ou l’incidence des cancers invasifs du col augmente dans le groupe d’âge le plus vacciné (les 25-34 ans) depuis les campagnes de vaccination scolaire comme vous pouvez le vérifier en tapant : https://nordcan.iarc.fr/en/dataviz/trends?cancers=190&sexes=1_2&populations=578&key=asr&mode=cancer&multiple_populations=0&multiple_cancers=1&age_start=5&age_end=6&years=2009_2021

Il est extrêmement triste de constater que l’INCa et la HAS nient les faits établis et trompent ainsi les nombreux médecins qui leur font confiance comme vous-même.

De plus, j’attire votre attention sur le fait qu’affirmer « l’Australie est en voie d’éradication du cancer du col » constitue une fake news caractérisée qui nuit à votre crédibilité.

Je reste bien entendu à votre entière disposition pour vous apporter toutes précisions que vous jugeriez utiles sur les résultats paradoxaux de cette vaccination, efficace sur l’infection et les dysplasies bénignes, mais pas sur les cancers invasifs que nous avons explicitées dans un livre récent.

https://www.fauves-editions.fr/livre-hysterie_vaccinale_gardasil_et_cancer_un_paradoxe_gerard_delepine_nicole_delepine-9791030204841-76856.html

Je vous prie, Madame et chère confrère d’agréer mes salutations les plus confraternelles.

Dr Gérard Delépine Chirurgien cancérologue et statisticien

Annexe : lettre réponse  du dr Claire Siret aux collectifs citoyens

[Voir aussi :

https://www.mondialisation.ca/mort-sur-ordonnance-gouvernementale-dinjection-gardasil

et :

Gardasil, hystérie vaccinale

Conférence du Dr Gérard Delépine.

(Vidéo 24 min)

Lettre ouverte contre la vaccination HPV au Gardasil 9

Simples citoyens, nous sommes informés des effets indésirables et parfois graves du Gardasil donnant lieu à des procès dans plusieurs pays. Professionnels de Santé, soucieux du « primum non nocere », vous ne pouvez ignorer ces dommages alors que plus de 90 % des infections provoquées par les Human Papillomavirus (HPV) disparaissent spontanément et que la mortalité du cancer du col de l’utérus a une incidence annuelle de 0,006 %.

Ne rien en dire ou les nier, comme le fait l’actuel Ministre de la Santé et de la Prévention, Monsieur Aurélien Rousseau, pour les nombreuses victimes des vaccins anti-Covid, c’est être complice du nouveau drame qui a déjà commencé.

Mise à jour : fichiers ajoutés.

L’institut national du cancer (INCa) désinforme pour faire vendre le Gardasil prétendument anticancer

Dans une brochure récente distribuée dans les collèges en cette rentrée 2023 « une vaccination sûre et efficace pour protéger mon enfant contre les cancers HPV » l’institut du cancer (INCA) fait une promotion mensongère du Gardasil pour appuyer la campagne de vaccination du gouvernement dont elle est le porte-parole et qui la finance.

Voici ici des faits avérés qui démentent ses affirmations.

Les dangers du Gardasil

Vidéos

Informez vos enfants, parents, amis sur la propagande mensongère du Gardasil

Ne faites pas courir de risques inutiles en vaccinant vos enfants par le Gardasil, inefficace contre les cancers et responsable d’effets délétères non négligeables

Une victime de plus du Gardasil

Adriana, est décédée alors qu’elle n’avait que 17 ans et 5 mois.
« Voici son histoire et notre combat :
Nous commencerons par la fin, c’est-à-dire après son décès, le 20 octobre 2010, car jusqu’alors nous ignorions quel mal l’avait frappé. La multitude d’examens, de recherches en tous genres, qui avaient été effectués dans les différents hôpitaux où elle avait été admise, dès le 8 août 2010, n’avaient rien décelé et les nombreux diagnostics, qui avaient été avancés au fil des jours tels que : décompensation psychotique, catatonie, syndrome malin des neuroleptiques, maladie auto-immune, épilepsie…, nous avaient laissés dans l’inquiétude et la détresse la plus complète. … »

Parents en colère… contre le Gardasil

France — Alerte contre la campagne vaccinale du Gardasil pour les enfants entrant en 5e.

Gardasil : inutile, ruineux et dangereux !

Diffusion de la conférence du Dr Gérard Delépine réalisée à Paris le 1er juillet dernier avec les Drs Nicole Delépine, Sabatier, Alexandra Henrion-Caude ainsi que Salim Laïbi. Il sera question dans cette intervention de l’utilité ou non du vaccin contre le cancer du col de l’utérus (Cervarix, Gardasil) qu’il estime « inutile, ruineux et dangereux » ! Les preuves sont nombreuses, elles sont toutes issues des chiffres épidémiologiques officiels de plusieurs pays occidentaux. Merci de partager l’info puis la vidéo au plus grand nombre.

(Vidéo 29 min)

Gardasil — Laissons les enfants tranquilles

Gardasil, une vaccination dans les collèges qui fait débat.

Selon le Dr Delépine, le vaccin Gardasil ne protège pas des cancers et expose à des complications.

Nicole et Gérard Delépine — Gardasil protège-t-il des cancers du col de l’utérus ?

(Vidéo 1 h 33)

Le Gardasil inutile et dangereux — Témoignage

L’histoire de la famille Bourguignon et l’histoire d’Adriana décédée suite à ce vaccin.

(Vidéo < 8 min)

HYSTÉRIE VACCINALE
Gardasil et cancer : un paradoxe

Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus, a pour objectif officiel de diminuer la fréquence des cancers du col utérin dans les populations vaccinées. Pourtant, ce cancer est rare (moins de 3000 par an en France, pour 1000 décès) et prévenu à plus de 80% par le dépistage.

Quand aucune urgence de santé publique n’existe, pourquoi les agences du médicament accordent-elles des autorisations à toute allure, comme s’il s’agissait de maladies gravissimes ? Pourquoi le Gardasil a-t-il été traité comme un produit d’urgence vitale et bénéficié d’une publicité et d’un soutien massif des sociétés savantes, des experts et des gouvernants ? Pourquoi chaque jour apporte un nouvel article publicitaire trompeur dans les grands médias ? Et, surtout, pourquoi le gouvernement a t-il annoncé une campagne de vaccination dès la rentrée 2023 pour tous les élèves de 5e – filles et garçons – au collège ?

Les horreurs du vaccin HPV : Meurtre et invalidité dus au Gardasil, POURSUITE EN COURS, et lettre d’éminents rabbins disant « Ne vous faites pas vacciner ! »

Dans quel but a-t-on donné du poison à ces enfants ?

L’objectif déclaré du Gardasil est de prévenir une MST (Maladie Sexuellement Transmissible) qui pourrait éventuellement entraîner un cancer du col de l’utérus lorsque les enfants seront beaucoup plus âgés.

Mais il n’existe aucune preuve que le vaccin soit réellement efficace pour prévenir le cancer. Il s’agit d’une imposture qui ne fait que provoquer la mort et la misère.

Gardasil Episode 7 : Entre mensonges et corruptions

𝟳ème et dernier épisode de la série consacrée au 𝐺𝑎𝑟𝑑𝑎𝑠𝑖𝑙. Série qui pourrait être complétée en fonction de l’avancée du procès aux USA ou de nouvelles actualités brûlantes.

Le Gardasil ne diminue pas la fréquence des cancers du col de l’utérus, ni de l’anus

Depuis plusieurs semaines (en France), les lobbys des entreprises pharmaceutiques ont mobilisé les médias, notre ministre de la Santé et notre président pour faire la promotion de la vaccination anti-HPV (papillomavirus). Après avoir déploré qu’« un tiers des jeunes filles » et moins de 10 % des garçons se font vacciner », il s’être déclaré « ouvert à une vaccination obligatoire »1, et vient de déclarer des contre-vérités flagrantes dans un collège de Charente. Comment ses conseillers peuvent-ils le tromper à ce point et lui cacher les résultats inquiétants de cette vaccination dans le monde réel ? 

Gardasil, un vaccin de moins en moins polémique et de moins en moins dangereux au fil du temps ?

C’est ce que nous rapportent les médias et Google !

Gardasil épisode 3 : Dévastateur et pourtant 17 ans sans procès, pourquoi ?

Arrêtons-nous un instant sur les États-Unis qui sont utilisés comme exemple pour imposer à nos enfants toutes les potions magiques qui sont injectées aux enfants américains. Nos politiques, médecins VRP et médias financés par le gouvernement nous disent souvent : regardez, les États-Unis ont rendu ce vaccin obligatoire depuis X années et tout se passe bien. Et ceci pour tous les vaccins qu’ils veulent rendre obligatoires en France.

En revanche ce qu’ils ne disent pas c’est qu’aux USA, il ne peut pas y avoir de procès contre les vaccins recommandés par le CDC, même s’ils ne sont pas obligatoires !

Les erreurs et/ou mensonges du Parisien sur le Gardasil l’exposeront-ils à des poursuites judiciaires ?

Dans un article récent1 le Docteur Martine Perez prétend dans le journal quotidien le Parisien que « le vaccin contre le papillomavirus est une prévention efficace contre le cancer du col de l’utérus » et rajoute « … ce cancer que d’autres pays ont réussi à éradiquer ». On a connu cette collègue plus vigilante…

Ce titre et son sous-titre, totalement mensongers exposent ce médecin et son journal à d’éventuelles plaintes de parents pour informations mensongères susceptibles de mettre en danger autrui. En effet comment des parents, abusés par cet article qui les aurait convaincus de vacciner leur enfant souffrant depuis l’injection de Gardasil de complications, ne pourraient-ils pas en vouloir à ceux qui les ont désinformés ?

Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l’AFP Factuel

Un “article” récent de l’AFP Factuel – la cellule “fact-checking” de l’Agence France-Presse (AFP) – repris par Actu Orange fait la promotion du vaccin anti-HPV (papillomavirus humain) Gardasil. Il tente de mettre en doute les faits rapportés dans ma tribune publiée par FranceSoir et ignore soigneusement les données officielles. Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! Contre-vérification en détails.

Premier procès pour décès injustifié lié au Gardasil, alléguant que le vaccin contre le VPH a causé la mort d’un adolescent de 13 ans

Baum Hedlund Aristei & Goldman et Robert F. Kennedy Jr, président de Children’s Health Defense, ont déposé cette semaine leur première plainte pour « wrongful death » (mort injustifiée) contre Merck, alléguant que le vaccin VPH Gardasil du fabricant a causé la mort de Noah Tate Foley, 13 ans.

Ne vaccinons pas non plus les garçons par le Gardasil

Pour les marchands de vaccins, limiter l’indication du Gardasil, vaccin anti-papillomavirus, à « la prévention du cancer du col de l’utérus » a un inconvénient majeur : on ne peut le vendre qu’aux femmes qui ne constituent qu’une moitié de la population mondiale. Perdre la moitié d’un marché si rentable leur est insupportable. C’est pour cela qu’une campagne de propagande pro Gardasil pour les garçons se développe actuellement dans les médias, relayée par le ministère, et des médecins trompés ou corrompus.

Il faut rappeler que les cancers liés au HPV sont rarissimes chez les hommes y compris chez les populations à risque que sont les homosexuels, quasiment les seuls concernés (800 cancers par an pour 67 millions de Français).

Avalanche de « Fake news » pour promouvoir le Gardasil chez les garçons

Tout récemment les médias, mais aussi la ligue contre le cancer et certaines ARS ont publié des tribunes, appels et/ou des tracts mensongers utilisant la peur du cancerpour promouvoir la vaccination anti HPV (papillomavirus) chez les garçons.

Le but réel de cette propagande n’est certainement pas d’éviter quelques décès d’hommes atteints de cancer de l’anus, mais plus vraisemblablement de doubler le marché du vaccin jusqu’ici centré sur les filles et de préparer la population à une nouvelle obligation qui serait évidemment pour le bien de tous mais surtout pour les actionnaires de Merckx…

Merck pousse le vaccin mortel Gardasil sur les enfants de 9 ans pour augmenter les ventes — Vaccin connu pour causer l’infertilité

Après la chute des ventes de leur vaccin à succès contre le VPH, Gardasil, pendant la pandémie de COVID-19, les ventes rebondissent à nouveau, et Merck a maintenant lancé une nouvelle campagne publicitaire ciblant les enfants de 9 ans pour augmenter les ventes de leur vaccin mortel qui a tué et blessé tant de jeunes au fil des ans.

Illégalité de la campagne HPV

L’avocat Carlo Alberto Brusa, de Reaction19, a accepté d’étudier en urgence les documents reçus par les parents de 5e pour les inciter à accepter l’injection d’un nouveau vaccin après les drames des injections covid et les nombreuses victimes d’enfants pour une injection prétendue « sûre et efficace ».

Une nouvelle fois il pointe l’illégalité du procédé et singulièrement l’absence d’information sur les supposés intérêts de l’injection pour leur enfant et les effets secondaires à craindre, pourtant connus depuis que ce vaccin est injecté de par le monde, depuis sa commercialisation.

Vaccin « gratuit » contre le papillomavirus : une mise au point cruciale pour les parents !

Voici un état des lieux de la controverse du vaccin contre le papillomavirus (Gardasil). (…)

Depuis 2006, ce vaccin a déjà fait beaucoup de dégâts et de décès, désormais visibles et documentés, ce qui rend tout à fait irresponsable la campagne de promotion à l’attention des collégiens organisée cette année en France sous l’impulsion des lobbys, de l’OMS, et par l’intermédiaire du président français.

+ Témoignage

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La révolution woke a des conséquences dramatiques

[Source : ripostelaique.com]

Par Jean Saunier

Le mot woke signifie éveillé, c’est-à-dire lucide et alerté face à des gestes ségrégatifs visant des groupes minoritaires. Les personnes considérées comme woke se revendiquent du wokisme. Le mouvement woke germe sur les campus américains et devient un groupe de pression influent. Il traque les racistes, homophobes, sexistes, transphobes, grossophobes, spécistes, ou jugés tels. Il dénonce le passé des pays occidentaux, l’esclavagisme, le racisme, le colonialisme, le sexisme, l’homophobie. Il dévoile les iniquités, les abus qui toucheraient les minorités sexuelles ou raciales. Il appelle à déconstruire l’histoire et la civilisation occidentales, et à promouvoir la véritable égalité.

Les activistes woke insinuent que les Blancs écrasent les Noirs, que les hommes écrasent les femmes, que les hétérosexuels écrasent les homosexuels, que les chrétiens écrasent les musulmans, que les êtres humains écrasent les animaux. La lutte des classes marxiste est transposée à l’ensemble des relations humaines, avec pour finalité, le renversement de l’ordre social et l’anéantissement de la civilisation chrétienne.
L’hystérie idéologique recouvre plusieurs sujets : le transgenrisme, le racisme, le réchauffement climatique, l’homophobie, les inégalités hommes-femmes présumés.

Des faits démontrent les ravages du wokisme dans l’éducation, chez les enfants, dans la société, dans la France chrétienne. Les enfants subissent un lavage de cerveau.
L’Éducation nationale est la bannière du mouvement woke. Ainsi, certains établissements préconisent le changement de prénom et de pronom, des toilettes et des vestiaires non genrés. Des intervenants LGBT invités pratiquent un véritable bourrage de crâne. Pap Ndiaye, ministre en 2022-2023, suppôt de la discrimination positive, a des positions racialistes et indigénistes, souhaite que l’université bataille en ce sens. En mars 2021, la présidente de l’UNEF a organisé des réunions interdites aux hommes et aux Blancs. En septembre 2022, l’université Rennes 2 a proposé un atelier de musique réservé aux femmes. Les dirigeants luttent contre les stéréotypes et discriminations de genre, contre les LGBT-phobies, les violences sexuelles et sexistes, instituent l’éducation à la sexualité. 29 septembre 2021, la circulaire Blanquer validée par le Conseil d’État autorise tout élève transgenre à employer un prénom d’usage à l’école, et demande aux personnels d’accompagner les élèves trans pour les WC, douches, vestiaires, dortoirs. Pour Anne Coffinier, la théorie du genre à l’école, « sous prétexte de progressisme sociétal, est peut-être une dramatique régression qu’on plébiscite ».

Xavier-Laurent Salvador dénonce les dangers du langage woke dans la littérature, la linguistique, l’histoire, la géographie, les sciences dures. « La rhétorique qui vise à mimer le discours scientifique est évidemment dangereuse. C’est le principe même du sophisme. Sous prétexte de parole savante, il y a en réalité une parole politique qui mène droit sur une pente extrêmement glissante ». L’écriture inclusive est « un signal militant et politique qui instrumentalise l’orthographe parce que des gens ont décidé que la langue leur appartenait ».

Les ravages du wokisme chez les enfants résultent de cette éducation et de la publicité. Partout, des films et des affirmations louent la transition de genre chez les enfants. Pour Eugénie Bastié, « le discours de protection de l’enfance disparaît ». D’autant que la contestation décerne des injures et le bannissement. Les demandes de changement de sexe chez les enfants augmentent, dix requêtes par an en 2010, dix demandes par mois en 2020. Le sentiment d’incohérence entre le sexe de naissance et le ressenti a augmenté, selon les pays, de 1 à 4. Dans L’Express du 20 septembre 2022, des médecins et des intellectuels accusent l’influence de l’idéologie sous couvert d’émancipation. Les seuls ressentis peuvent transcender la réalité biologique. On fait croire aux enfants qu’ils ne sont pas nés dans le bon corps et qu’ils peuvent changer de genre. Cette grave dérive est « une mystification contemporaine » qui relève de « l’embrigadement idéologique ».

Pour Caroline Eliacheff et Céline Masson, « un dogmatisme prétend que l’anatomie n’est qu’un épiphénomène ». « Rester humains, c’est se soumettre aux interdits fondamentaux, accepter de renoncer à sa toute-puissance, intérioriser des limites ». Pour elles, les traitements hormonaux et chirurgicaux font d’un enfant sain un patient à vie.
Au sein de la compagnie Walt Disney, pour la communauté LGBT+ qui représenterait moins de 1 % de la population mondiale, on ne dit plus Mesdames et Messieurs, ni garçons et filles. On dit Bonjour tout le monde, ou Bonjour les amis, ou Rêveurs de tous âges. On ignore la réalité.

De plus en plus, dans certaines écoles, les fêtes des mères et des pères sont remplacées par une formulation inclusive, la « fête des gens qu’on aime ». De même, on a transformé les mentions père et mère par parent 1 et parent 2 sur les documents officiels.
Pour Pauline Guillon, le lobby trans découle « d’une petite minorité ultracapitaliste ». En effet,
l’idéologie transgenre et la conversion des corps par la chirurgie et les produits chimiques procurent des gains financiers considérables. Au-delà de la liberté absolue, le corps sans limites dépend « des machines et des industries qui lui vendent les hormones nécessaires au maintien de son apparence ».
eBay, plate-forme de vente en ligne, vend des T-shirts pour enfants sur lesquels sont inscrits des messages sataniques et incitant au meurtre, des t-shirts qui normalisent le sacrifice d’enfants et le meurtre satanique entre enfants.
11 décembre 2022, à Bordeaux, à Blonde-Vénus, on a organisé un cabaret baby party pour les 0 -3 ans. Parmi d’autres clowns était invité un drag-queen, un homme travesti en femme.

Le wokisme exerce ses ravages dans la société. Grégory Doucet, maire écologiste de Lyon, propose un budget genré : toutes les actions dépendront de l’égalité entre les hommes et les femmes. Par exemple, genrer les équipements sportifs de la ville. Choisir les artistes invités en fonction du genre. Orienter le nombre d’hommes et de femmes qui viennent voir les expositions.

16 novembre 2022, à Bègles, deux passages pour piétons, aux couleurs arc-en-ciel du lobby LGBT, positionnés en face de la mairie, sont inaugurés par le maire, Clément Rossignol-Puech. Durant quinze jours, la commune est éclairée aux couleurs LGBT.

Août 2022, la Première ministre, Élisabeth Borne, annonce la nomination d’un « ambassadeur aux droits LGBT+ dans le monde avant la fin de l’année », pour défendre « la dépénalisation universelle de l’homosexualité et de la transidentité ». Elle annonce également « la création d’un fonds de trois millions d’euros pour créer dix nouveaux centres LGBT+ », en sus des 35 déjà existants.
La Cour d’appel de Toulouse reconnaît un homme transgenre comme mère, donc la qualité de mère à un homme qui avait changé de sexe à l’état civil avant d’engendrer. Ainsi, deux filiations maternelles peuvent être établies avec la mention de l’époux devenu femme « en qualité de mère ».

6 juillet 2022, une note de service de l’administration fiscale, recommande aux agents de ne plus mentionner la civilité des contribuables, « compte tenu de la double motivation des usagers concernés (changement de genre ou refus de toute référence à un genre). Finis les Bonjour Monsieur, Bonjour Madame. On se contente de Bonjour.
Le Planning familial, association d’extrême gauche, promeut le « polyamour » auprès de la jeunesse, le droit d’avoir plusieurs amoureux. euses. Une affiche du même Planning familial soutient que « les hommes aussi peuvent être enceints ». À quand le droit d’entretenir une relation zoophile avec son animal de compagnie ? Les féministes proclament « Mon corps, mon choix » et rejettent toute considération sur la réalité objective.

L’épidémie du VIH, la victimisation du monde homosexuel, font de la débauche, de la multiplicité des partenaires, un tabou absolu. La puissance de la rhétorique et la complicité des médias font de la sodomie une source de fierté.
Le PACS, puis le mariage et le droit à adopter des enfants, tranches successives de l’évolution, achèvent la morale traditionnelle fondée sur l’ordre naturel.
Négation de la complémentarité des sexes, négation de l’altérité sexuelle, choix d’un compagnon ou d’une compagne de même sexe, définition de l’homme ou de la femme indépendamment de son sexe, c’est le triomphe du genre subjectif sur le sexe biologique.

Le transhumanisme qui déclare créer un nouvel homme pointe son nez. Il rejoint l’offre du Serpent de la Genèse : « Vous serez comme Dieu ».
Wikipédia compte moins de contributeurs femmes que hommes, et moins de pages dédiées à des femmes qu’à des hommes. L’association “Les sans pagEs veut « créer et améliorer des articles portant sur des femmes, sur les féminismes, ou d’autres sujets sous-représentés ». Mais cette association est financée par Wikipédia, donc avec l’argent des donateurs, 20 000 euros en 2020, 25 000 euros en 2021.
Les prochains Jeux olympiques sont à l’heure woke. Premier symbole : les mascottes de Paris 2024 sont des phryges, une paire de bonnets phrygiens, un duo non genré, caractéristique stipulée par le comité d’organisation.
Deuxième symbole : le clip promotionnel du slogan Paris 2024 montre un drapeau LGBT, donc une idéologie et un agenda politiques.

Pour Élisabeth Montfort, les deux mots de Noël et de famille, leur sens et leur réalité, sont devenus tabous, des notions à détruire. On remplace la famille par des entités plus inclusives, la famille monoparentale, la famille homoparentale, la famille pluri-parentale, la famille recomposée… Les lois agressives isolent davantage l’individu.

Les ravages du wokisme traversent en particulier la France chrétienne. La France est infectée par l’idéologie woke. Pap Ndiaye a participé à un débat où les Blancs étaient interdits de parole. Le maire de Bordeaux a supprimé le sapin de Noël. Le maire de Lyon veut créer des pistes cyclables non genrées. L’écriture inclusive se répand dans les documents administratifs.

Le musée de Cluny a organisé une conférence autour du livre de Clovis Maillet, Les Genres fluides, de Jeanne d’Arc aux saintes trans. Sami Biasoni dénonce cette dérive, une relecture de l’histoire au regard d’un genre fluide, c’est-à-dire changeant. Ces théories concluent, puis homologuent ces conclusions « par la métaphore, la provocation, l’emphase quand il le faut. Le réel leur sert d’abord à montrer ce qu’elles ne peuvent généralement démontrer ». Ainsi, l’histoire critique du genre s’appuie sur Jeanne d’Arc qui a dû renier sa condition de femme pour servir sa cause.

Aux Sables-d’Olonne, une statue de l’archange saint Michel est menacé de retrait. Étienne Madranges déplore cette décision. En France, sur 34 955 communes, près de 4 600 portent le nom d’un saint ou d’une sainte. Faudrait-il les débaptiser ? On arrache les calvaires et on déboulonne les statues de la Vierge.
En plus, le culte public rendu à Satan se manifeste, avec la célébration d’Halloween, le 31 octobre, culte dédié à des figures maléfiques, avec le triomphe de la Fête de l’Enfer, festival de musique à Nantes, où les chanteurs vomissent leur haine antichrétienne.

Le satanisme se répand dans le paysage urbain. À Nantes, la roue de l’Enfer est une gigantesque roue en forme d’œil, un triangle autour de la roue, à laquelle s’agitent et pendent vingt squelettes.
Chaque année, un millier d’actes antichrétiens est recensé, églises, librairies catholiques sont profanées. L’héritage chrétien est en train de disparaître, le patrimoine religieux est menacé. C’est le fruit de la déchristianisation.
L’offensive woke conduit à la déconstruction de la langue française. La langue et le vocabulaire sont des cibles de la dictature woke. Des nouveaux mots apparaissent, par exemple femmage pour hommage, matrimoine pour patrimoine, patron féminisé en patronne. À quand la matronne ?

Les affiliés woke ont pénétré les campus, les associations, les partis politiques, les conseils d’administration des grands groupes. Ainsi, Disney, Netflix, Facebook, qui intoxiquent la jeunesse.

12 octobre 2021 : Paul Preciado, anciennement Beatriz, demande que Notre-Dame de Paris soit transformée en un « centre d’accueil et de recherche féministe, queer, trans, et antiraciste et de lutte contre les violences sexuelles ». Il réclame qu’elle soit rebaptisée « Notre-Dame des survivants et survivantes de la pédocriminalité ».
Pour elle, la tradition chrétienne a engendré « une tradition de masculinisme, de racisme et d’abus sexuels sur les enfants et les femmes ».

Les islamistes exploitent le mouvement woke pour accélérer leur programme, éradiquer l’identité chrétienne et implanter la religion et la culture musulmanes. Les islamistes excitent les musulmans originaires d’Afrique en accusant la France et l’Angleterre de racisme et d’oppression envers leurs ancêtres. Et ils culpabilisent les élites occidentales qui doivent faire repentance.

Toute critique de l’Islam et toute poursuite contre un musulman coupable deviennent des signes de racisme. Le wokisme est le cheval de Troie des islamistes.
Les militants woke censurent un documentaire sur d’anciens djihadistes parce qu’il associe musulmans et terrorisme, et qu’il entretient l’hégémonie culturelle occidentale. La cinéaste américaine est taxée d’islamophobie et de racisme.

Mais des voix se lèvent contre le wokisme. Le cardinal Willem Eijk, archevêque d’Utrecht critique la théorie du genre, la propagande dans les écoles, les entreprises, les organisations gouvernementales, les établissements de santé, les effets secondaires liés aux hormones administrées, la vision de la personne humaine limitée à sa conscience, à l’esprit, la dégradation du sens des mots, père, mère, mariage, paternité, maternité.
La sémantique woke, véritable novlangue, change l’opinion et la mentalité des gens. L’acculturation aux mots genre, sexisme, diversité, homophobie, transfère les opinions vers la gauche.

Racisme dans la société occidentale, système vétuste et injuste. Le woke ou éveillé, personne désintéressée, bienveillante, progressiste, lutte contre ces discriminations. Mais le même woke ou éveillé accuse et condamne les non-éveillés, devient menaçant. L’exorcisme du terme woke jette la suspicion sur la mode d’être woke.
La gauche manipule la sémantique pour imposer son idéologie, égalitarisme, collectivisme, athéisme. La réponse se trouve dans l’utilisation d’un vocabulaire limpide, clair et net, dans la poursuite du bien, du vrai et du beau.

7 juillet 2022, dans Le Point, une centaine d’intellectuels et de médecins critiquent la théorie du genre et le changement de sexe chez les jeunes : « On ne choisit pas son sexe. On naît fille ou garçon. Le sexe est constaté à la naissance et inscrit à l’état civil. On peut changer l’apparence de son corps, mais jamais son inscription chromosomiale. Le vocabulaire créé de toutes pièces repose sur des croyances et met sur le même plan des vérités scientifiques et des opinions ».

Thibault Mercier dévoile la mutation du concept de loi : la Loi consiste désormais à convertir tout désir en droit individuel. Conséquence. Un enfant peut choisir le prénom de son choix dans l’enceinte scolaire, façonner sa propre réalité, l’imposer à son entourage, contraindre les adultes.
Paul Melun, dans Le Figaro, alerte : la théorie du genre invite à l’éclosion du transhumanisme, d’une humanité éthérée, et d’une civilisation chosifiée et abrutie. Pour lui, trois outils servent les idéologues : l’hypersensibilité, la judiciarisation des idées, des études truquées et une lecture anachronique de l’histoire.

Alexandre del Valle, dans Valeurs Actuelles, souligne la tyrannie grandissante des minorités : cours universitaires sur la théorie des genres, sur les études indigénistes, néo-gauchisme trotskiste internationaliste-libertaire à la place du communisme soviétique, victimisation sélective des homos — LGBT, et des blancs — beurs — muslims, assimilation présentée comme raciste, culpabilisation pathologique de l’Europe face aux pouvoirs des lobbies immigrationnistes, de genre, des écolo – radicaux – animalistes, et des oligarchies européistes.

14 novembre 2022, selon un rapport publié par le New York Times, les hormones et les bloqueurs de puberté feront des ravages chez les enfants : déficit de la masse osseuse, entrave du développement du cerveau.
Pour Jean-François Braunstein, le wokisme est une nouvelle religion, religion du genre et de la race, religion au caractère très intolérant, religion qui vise le monde universitaire, l’enseignement primaire et secondaire. « Les années d’école, de collège, de lycée, sont désormais des années d’endoctrinement continu par des enseignants eux-mêmes convertis à l’université. Il y a là une vraie dimension totalitaire ».

Le transgenre régit notre culture. Le rejet de la nature a des fondements diaboliques. Ce mouvement démoniaque cherche à renverser la vérité par un mensonge. Un homme qui se déclare femme est toujours un homme. Les adeptes transgenres le savent parfaitement. Le combat est d’ordre spirituel.
Bérénice Levet, dans Valeurs Actuelles, affirme que le wokisme est une idéologie, comme le marxisme, idéologie scindée en plusieurs faisceaux, féminisme, indigénisme, écologie… police de la pensée et de la parole. Le courant woke est fort de nos doutes, de nos faiblesses.

Jean Szlamowicz, dans Le Figaro, dénonce la féminisation des mots, un mot qui possède la racine homme ne constitue aucune injustice à corriger, et l’écriture inclusive qui propulse ses explications sur la grammaire. À chaque mot masculin devrait correspondre un mot féminin. Mais l’égalité n’est que statistique. L’égalité doit être juridique, professionnelle, politique, culturelle… Nous sommes en plein délire du post-modernisme : faire dire aux choses ce que l’on veut.

À Renfrew, dans l’Ontario, un jeune Canadien n’a pu se rendre en classe, car il a affirmé que seuls deux genres existent, le masculin et le féminin. Les sectateurs du wokisme essaient de supprimer l’humanité ancienne, d’éradiquer l’homme blanc, hétérosexuel, genré, chrétien et carnivore.
Une véritable entreprise de rééducation se produit. Ainsi, les écologistes réclament l’interdiction du Père Noël au nom du droit des végétaux, du Tour de France à cause de la pollution, des piscines privées qui gaspillent l’eau, du barbecue qui favorise le machisme.

D’autres idées dans la même veine totalitaire : un permis de voter réservé aux citoyens jugés les plus aptes, la limitation des naissances, l’inversion de la logique des allocations familiales.
Tous les wokistes veulent faire de la société un vaste camp de rééducation, interdire la viande, effacer les monuments, éliminer la littérature, détruire l’histoire. Dans leur esprit, une causalité unique explique les événements historiques : l’oppression des minorités par la majorité. L’idéologie l’emporte sur la réalité. L’idée de vérité devient obsolète. L’idée de réalité est périmée. Alors, tous les mensonges sont possibles.

Les dissidents sont exclus, effacés de la vie publique. Une seule pensée est tolérée. Une police de la pensée sévit sur les réseaux sociaux. Le débat public est impossible, car « la liberté d’expression n’est pas celle d’offenser ». Aucune guillotine. Aucune kalachnikov. Pas de Goulag en Sibérie. Pas une goutte de sang, du moins en apparence. Et des valeurs incontestables, mais hypocritement exaltées, la justice, la bienveillance, l’inclusion. Les adjectifs infamants et avilissants suffisent à la mort sociale, à la ruine d’une carrière, à l’éloignement des amis, à la destruction de la famille : raciste, sexiste, homophobe.

Jean Saunier

D’après le livre :




Gardasil, hystérie vaccinale

[Source : Salim Laïbi]

Conférence du Dr Gérard Delépine