Elon Musk, défenseur des libertés? 1re partie

#1 L’opposition contrôlée : Elon Musk et les Twitter files

Il n’a échappé à personne que suite au rachat de Twitter en 2022, Elon Musk et ses équipes ont révélé la manière dont certains politiques américains et un nombre de lobbys internationaux ont contrôlé les comptes et les messages des plateformes de réseaux sociaux. Cela s’est particulièrement produit sous l’influence des démocrates et de Big Pharma qui ont censuré un nombre invraisemblable de lanceurs d’alerte et de voix critiques, aux États unis comme en Europe.

Mais faut-il pour autant célébrer Elon Musk, lui faire confiance ? Ne s’agirait-il pas d’un « limited hangout », une « sortie limitée » d’informations, pour récupérer une situation problématique ? La censure massive exercée par les réseaux sociaux a poussé de très nombreux usagers à déserter les plateformes classiques. Comment rattraper le tir et restaurer la confiance du public dans ses applications et dans « le processus démocratique » ? Car si l’on perd le contrôle d’un côté, il faut bien le rattraper de l’autre en organisant et pilotant une opposition. Alors que fait véritablement Elon Musk et à quoi cette opération peut-elle aboutir ?

Depuis qu’il est passé aux commandes de Twitter en rachetant la société pour un montant astronomique de 44 milliards de dollars, Musk a divulgué des documents internes attestant des demandes de censure de certains sujets ou de certains comptes. Des journalistes et des lanceurs d’alerte concernés ont donc publié ces preuves, principalement sur leur lettre personnelle hébergée sur la plateforme Substack. À titre d’exemple, Matt Taibbi a révélé comment dès 2017 les services des renseignements ont pris le contrôle de Twitter sous l’influence des démocrates en supprimant les messages hostiles à Clinton et aujourd’hui les dossiers compromettants sur Hunter Biden. Alex Berenson a lâché ses bombes en révélant les pressions de Pfizer pour censurer les tweets de Scott Gottlieb sur la supériorité de l’immunité naturelle à celle du vaccin et le Dr Michael Shellenberger a révélé comment Facebook a rassuré la Maison-Blanche en expliquant que les informations défavorables à la vaccination sont supprimées, même lorsqu’elles sont vraies.

La liste des scandales est longue. Officiellement, les géants de la technologie ont fait savoir qu’ils ne supprimaient que les informations contenant « de fausses informations médicales », ce qui revenait déjà à laisser l’OMS décider de l’état des connaissances scientifiques et à supprimer tout débat contradictoire. Mais il apparaît désormais que l’ampleur de la censure est encore bien plus importante. La CIA, le FBI et d’autres agences gouvernementales ont donc régulièrement envoyé des demandes de suppression de tweets ou de comptes, et même appuyé leurs exigences par de solides compensations financières. Twitter a, par exemple, perçu 3 415 323 dollars du FBI pour les services rendus par ses employés.

La divulgation de toutes ces informations ouvre également la voie à des actions judiciaires. Ainsi l’avocat Robert F. Kennedy, Jr. a porté plainte pour violation de la liberté de la presse et de la loi antitrust contre le « Trusted News Initiative », un partenariat regroupant plusieurs groupes de presse dont la BBC, Associated Press (AP), Reuters le Washington Post et l’Agence France-Presse et d’autres médias ainsi que les plateformes de réseaux sociaux Google (Facebook, YouTube, Instagram) et Twitter. Ceux-ci s’étaient alliés pour censurer collectivement les informations concernant la Covid 19 et les élections présidentielles, qui n’étaient pas alignées sur les récits officiels. Plusieurs autres célébrités de la « résistance » américaine, telles que les époux Bollinger et le Dr Joseph Mercola, se sont associées à la plainte, savourant le plaisir d’enfin pouvoir contre-attaquer ces cartels qui les étouffent depuis plusieurs années.

Robert F. Kennedy Jr @RobertKennedyJr

Le vent tourne-t-il ?

C’est en tous cas ce qu’affirme l’eurodéputée Virginie Jauron dans une interview récente concernant les faits de corruption et de censure au sein des institutions européennes (voir l’excellente interview « Miss Pfizer au milieu de la tourmente » sur Kairos » dans laquelle elle finit par mettre en cause le nouvel ordre mondial et l’agenda de Davos) :

Je suis optimiste parce que le vent tourne. On l’a vu avec le rachat de Twitter. On a la certitude que la lutte contre la désinformation est en train d’être remise en question. Cela part des États-Unis, mais maintenant cela va se voir au sein de l’Union Européenne.

Dans son allocution de fin d’année, elle s’était déjà exprimée sur les Twitter files, expliquant que :

Bruxelles avait publié jusqu’en juillet 2021 des résultats de son programme de surveillance de la désinformation liée au Covid. En Europe, Twitter aurait désactivé plus de 1500 comptes, éliminé 43 000 tweets et contesté 11,7 millions de comptes pour cause de désinformation liée au Covid.

Prise par l’enthousiasme, la députée n’avait pas hésité à porter le milliardaire aux nues, en déclarant à la veille des fêtes de fin d’année :

Je voudrais terminer par cette 3e superbe nouvelle : nous avons eu un très beau cadeau de Noël par Elon Muskdans notre combat pour la vérité. Vous le savez Elon Musk c’est cet entrepreneur génial devenu milliardaire en lançant des voitures électriques et des satellites et qui a racheté Twitter pour 44 milliards de dollars en octobre dernier.

L’on comprend son enthousiasme et l’on ne peut que se réjouir du fait que ces informations soient divulguées. Il faut saisir les occasions offertes par Elon Musk et espérer que la commission d’enquête Corona des parlementaires européens parvienne à obtenir plus de précisions sur la manière dont la censure des réseaux sociaux s’est déroulée en Europe.

Mais en revanche, il est impératif de rester vigilant quant à la suite de l’opération lancée par Musk et à la confiance que l’on peut lui accorder.

Ironmusk à la rescousse

En quelques mois monsieur Musk s’est transformé en nouveau héros de la résistance, incarnant la figure du milliardaire donneur de leçons tel Tony Stark/Ironman, le personnage de la série Marvel qu’il affectionne.

Musk est l’incarnation du rêve américain vendu par Hollywood. Il jouit de la puissance du milliardaire qui peut tout se permettre, mais finit par se vouer à une bonne cause. Ses passes d’armes sont jubilatoires, il casse les codes du politiquement correct pour endosser ceux de l’imaginaire et met tout le monde au défi. (Par exemple lorsqu’il pousse à la démission d’Anthony Fauci, le monsieur santé qui a imposé la désastreuse politique Covid aux États-Unis). Musk est devenu le défenseur de la liberté d’expression, de la libre entreprise et de la décentralisation.

Il s’en était d’ailleurs également pris à PayPal (entreprise qu’il a co-fondée avec Peter Thiel, et dont il a revendu ses parts en 2000) et avait fortement condamné les manœuvres visant à étouffer le journalisme indépendant. Ces deux dernières années, la plateforme de payement a effectivement montré à quoi l’on peut s’attendre en matière de liberté, allant jusqu’à informer ses clients qu’en cas de diffusion de fausses informations, ils s’exposaient à des amendes de 2500 dollars, des blocages de compte pouvant aller jusqu’à 180 jours et la rétention de la totalité de leurs avoirs. La nouvelle avait provoqué un tollé et Musk avait déclaré que « cela ressemblait à un épisode de Black Mirror », une série britannique sur les dérives totalitaires de la technologie. PayPal avait alors rapidement corrigé le tir en invoquant « une erreur de communication ».

Comment expliquer que Musk soit animé par un penchant aussi aigu pour l’éthique et les valeurs démocratiques ? A-t-il eu une sorte d’épiphanie ? L’avantage du personnage fantasque, c’est que l’on ne cherche pas à le comprendre. Il suffit d’être excentrique et tout s’explique.

Et les médias participent à l’édification de cette épopée héroïque. Bien entendu Musk se fait aujourd’hui lyncher par la presse mainstream qu’il a dénoncée, mais cela ne fait que renforcer la crédibilité du personnage. N’est-ce point la preuve qu’il est dans le bon camp ? À titre d’exemple, le Nouvel Obs lui consacré un article au titre on ne peut plus éloquent : « Elon Musk de super-héros à super-vilain des Américains ».

En effet, le voici à présent dans la tourmente, son capital plonge et l’on exige sa démission. Le « pauvre » Musk risque de devoir abandonner son trophée gagné de haute lutte, et sera peut-être contraint de céder la direction de Twitter à, à…

À ses anciens amis de Paypal ?

Selon un article de Fox Business (que l’on pourrait qualifier de média de l’opposition contrôlée, en référence aux médias de propagande officiels) Elon Musk envisage déjà de démissionner de la présidence de Twitter et pourrait faire appel à ses anciens camarades de Paypal, notamment Joe Lonsdale qui en fut le co-fondateur et qui a participé à lancer Palantir le programme d’espionnage et de récolte de données de la CIA et du Mossad.

Pour l’instant l’on n’en sait rien, mais il est impératif de se demander quel est l’objectif derrière toute cette saga. Car l’idée qu’Elon Musk est une véritable force d’opposition du système est difficile à croire. Même en voulant, comment s’y prendrait-il pour réellement faire cavalier seul et s’opposer à ceux qu’il dénonce, tant il collabore étroitement avec « le régime » ?

Marié aux agences gouvernementales

Elon Musk, c’est avant tout l’un des principaux partenaires du gouvernement américain pour toutes les activités de renseignement, d’espionnage, de conquête spatiale et de technologie militaire.

Ses sociétés Space X et Starlink sont des sociétés qui dépendent quasi exclusivement de contrats gouvernementaux, la demande civile pour nombre de leurs produits étant quasi inexistante. Musk possède le plus grand réseau de satellites au monde et a obtenu des milliards de dollars de contrats pour produire et lancer des satellites-espions, des drones et d’autres technologies de télécommunications militaires. SpaceX a par exemple conclu des contrats (ici 150 millions de dollars, ici 130 millions) avec l’armée de l’air pour mettre en orbite son satellite de commandement, avec l’Agence de développement spatial pour envoyer des dispositifs de suivi dans l’espace, et avec le National Reconnaissance Office (NRO) pour lancer ses satellites-espions. Ces satellites sont utilisés par les « cinq grands » organismes de surveillance, dont la CIA et la NSA.

Récemment, le déploiement de milliers de terminaux Starlink en Ukraine, offerts par Musk en soutien à la population lui a valu beaucoup de sympathie. Officiellement, il s’agit d’aider la population à retrouver l’internet suite à la coupure du réseau dans une grande partie du pays. Starlink permet aux personnes disposant d’un terminal de se connecter à un système de 2400 petits satellites en basse orbite, la plupart lancés par SpaceX.

Cependant, il s’est rapidement avéré que le « don » extraordinaire de M. Musk a été discrètement financé par le gouvernement américain. Ainsi l’agence USAID — une agence gouvernementale a qui a régulièrement fait office d’organisation de changement de régime (« en résumé la CIA ») — aurait versé l’argent nécessaire à l’achat et à la livraison de la majeure partie des terminaux en question.

Car Starlink n’offre pas vraiment une solution commerciale. Les terminaux — qui sont en fait de minuscules antennes paraboliques portables — ont une portée nettement limitée et ne sont utiles que dans un contexte très local. Mykhailo Fedorov, ministre ukrainien de la transformation numérique, a estimé que les 10 000 terminaux Starlink permettaient à environ 150 000 personnes de rester en ligne, un chiffre assez modeste en réalité.

Par contre, en quelques semaines, Starlink est devenu la pierre angulaire de l’armée ukrainienne, lui permettant de continuer à cibler les forces russes via des drones et autres engins de haute technologie dépendant d’une connexion internet. Un responsable a confié au Times of London qu’il « doit » utiliser Starlink pour cibler les forces ennemies via l’imagerie thermique.

« Starlink est ce qui a changé la guerre en faveur de l’Ukraine. La Russie a fait des pieds et des mains pour faire sauter toutes nos communications. Maintenant, ils ne peuvent plus le faire. Starlink fonctionne sous le feu des Katyusha, sous le feu de l’artillerie. Il fonctionne même à Mariupol », a déclaré un soldat ukrainien au journaliste David Patrikarakos.

L’indépendant au service des idéaux ?

Elon Musk joue le personnage de l’outsider, du milliardaire indépendant qui s’oppose au système de subsides de l’état et défend la libre concurrence. Mais dans les faits, c’est autre chose. En 2015, le Los Angeles Times avait déjà calculé qu’au moins 4,9 milliards de subsides avaient été versés à ses entreprises.

Par exemple sa société Tesla profite largement des règles internationales complexes qui régissent la production de véhicules électriques. Dans le but de réduire les émissions de carbone, les gouvernements du monde entier ont mis en place un système de crédits pour les véhicules « propres », selon lequel un certain pourcentage de la production de chaque constructeur doit être constitué de véhicules à zéro émission. Tesla ne produit que des voitures électriques et remplit donc aisément cette condition.

Mais ce système permet surtout à l’entreprise de revendre les crédits carbone excédentaires aux constructeurs qui ne peuvent pas atteindre ces quotas. Sur un marché concurrentiel où chaque constructeur doit atteindre certains objectifs, ces crédits valent leur pesant d’or et rapportent à Tesla des milliards de dollars de bénéfice chaque année. Par exemple, rien qu’entre 2019 et 2021, Stellantis, qui possède les marques Chrysler, Fiat, Citroën et Peugeot, a déboursé près de 2,5 milliards de dollars pour acquérir les crédits verts américains et européens de Tesla.

Cela explique en partie pourquoi Tesla est le premier constructeur, en termes de capitalisation boursière. Jusqu’il y a peu, la société valait plus que ses cinq principaux concurrents réunis, alors qu’elle ne fait même pas partie des 15 premiers constructeurs automobiles en termes de véhicules vendus. Cela explique aussi l’engagement d’Elon Musk en faveur des politiques liées au changement climatique. Les voitures électriques et les énergies renouvelables rapportent considérablement en termes de subsides. (Idem pour les panneaux solaires avec Solar X qui récolte des tonnes d’incentives et d’avantages fiscaux). La fortune du milliardaire s’est donc aussi largement accrue avec l’argent des contribuables.

L’on sait pourtant que la production de véhicules électriques est loin d’être aussi écologique qu’on ne l’a affirmé et l’on connaît aujourd’hui les conséquences de l’augmentation de la consommation en électricité. Pourtant cela ne semble pas remettre en question la politique du « tout à l’électrique ». Ne serait-ce pas lié à l’immense avantage qu’auraient les gouvernements de pouvoir prendre le contrôle des déplacements de chacun ? Après tout, ces véhicules sont des ordinateurs sur roues commandés par des softwares, donc susceptibles de passer sous le contrôle d’autrui. (par ex. ici et ici).

Partenaire des coups d’État

Cette collaboration étroite d’Elon Musk avec les gouvernements se voit jusque dans la politique étrangère américaine et internationale. Outre l’exemple de l’Ukraine, l’on peut citer celui de la Bolivie où il a appuyé le coup d’État de 2019 contre le président Evo Morales qui s’opposait à l’exploitation des mines de Lithium, un minerai utilisé pour les batteries des voitures électriques Tesla. Critiqué par une internaute sur Twitter à ce propos Musk avait répondu : « we will coup whoever we want. Deal with it. » (Nous renverserons qui nous voulons. C’est comme ça !).

Enfin, même s’il s’en défend, il semble bien adhérer aux idées du Forum économique mondial. Selon certains, Musk aurait fait partie de la promotion 2008, mais son nom aurait été retiré de la liste. Quoiqu’il en soit, ses objectifs sont éminemment alignés sur ceux des élites de Davos et de leur agenda 2030. Quelques internautes ont d’ailleurs remarqué ses messages quasi « copiés-collés » du compte du Forum économique mondial, plaidant tour à tour pour l’introduction de la taxe carbone (qui rapporte indirectement à Tesla), le revenu de base universel, la vaccination avec les technologies génétiques ou l’identification des personnes par implantation de micropuces.

Une chose est certaine : Musk était bien présent au forum de l’an dernier à Davos et a même été considéré comme l’un de ses principaux intervenants. Il s’était exprimé sur la transition liée au changement climatique et les défis liés à la 4e révolution industrielle remplaçant le travail humain par la technologie robotique.

Mais depuis la saga des Twitter files, Musk et Twitter semblent être devenus des « indésirables » et ont été « supprimés des partenaires du forum de Davos » pour la semaine de réunion de janvier 2023, alors que l’on continue de promouvoir les plateformes chinoises comme TikTok, Weibo et le système de crédit social WeChat.

Tout ce combat d’Elon Musk prend donc sa place dans la confrontation ostensible entre « le modèle chinois » centralisé, avec sa censure draconienne et son système de crédit social et le modèle américain du marché libre et de la liberté d’expression issus des valeurs de la démocratie occidentale.

Avec cette polarisation de plus en plus marquée entre l’Est et l’Ouest, nous sommes amenés à croire que la lutte entre leurs deux « visions d’avenir » déterminera le futur des relations internationales et l’orientation des États-nations. Mais les choses sont souvent plus complexes qu’elles n’y paraissent. En réalité, la transformation mondiale n’est pas tant menée par les gouvernements nationaux, que par un réseau mondial de parties prenantes et d’intérêts privés qui œuvrent ensemble vers une forme de technocratie globale. Et Elon Musk est un pion important sur l’échiquier de cette « solution pour le futur », puisqu’il semble vouloir contrôler tous les domaines technologiques essentiels pour y parvenir. De quel côté cherche-t-il à faire pencher la balance ?

Article à suivre dans la 2e partie

[Voir aussi :
Le soutien d’Elon Musk à la « liberté de mourir » met en lumière l’impasse du libertarianisme
Quand Laurent Alexandre décrivait le projet d’Elon Musk de greffer des implants dans les cerveaux de nos enfants
Le grand jeu : Elon Musk et Twitter]




Mea culpa d’un ex covidiste : « Il est temps pour la communauté scientifique d’admettre que nous nous sommes trompés sur le COVID et que cela a coûté des vies »

[Source : reseauinternational.net]

Un véritable « mea culpa », une révision continue et rapide de l’histoire, ou une gestion narrative plus poussée en ce qui concerne l’« amnistie » de ce que « les autres » ont fait à ceux qui ont pensé par eux-mêmes au cours des dernières années…

Par Tyler Durden

À vous de décider…

Dans un torchon libéral comme Newsweek, Kevin Bass (étudiant en médecine MS/PHD, école de médecine) a écrit un article d’opinion assez surprenant (et « courageux ») disant qu’« il est temps pour la communauté scientifique d’admettre que nous avions tort au sujet du COVID et que cela a coûté des vies… »

En tant qu’étudiant en médecine et chercheur, j’ai fermement soutenu les efforts des autorités de santé publique en ce qui concerne le COVID-19.

Je pensais que les autorités avaient répondu à la plus grande crise de santé publique de notre vie avec compassion, diligence et expertise scientifique. J’étais avec eux quand ils ont demandé des mesures de confinement, des vaccins et des rappels.

J’avais tort. Nous, la communauté scientifique, avions tort. Et cela a coûté des vies

Je constate aujourd’hui que la communauté scientifique, des CDC à l’OMS en passant par la FDA et leurs représentants, a à plusieurs reprises exagéré les preuves et trompé le public sur ses propres opinions et politiques, notamment sur l’immunité naturelle ou artificielle, les fermetures d’écoles et la transmission des maladies, la propagation des aérosols, les masques obligatoires, l’efficacité et la sécurité des vaccins, en particulier chez les jeunes. Toutes ces questions étaient des erreurs scientifiques à l’époque, et non a posteriori. Étonnamment, certains de ces obscurcissements se poursuivent encore aujourd’hui.

Mais ce qui est peut-être plus important que n’importe quelle erreur individuelle, c’est que l’approche globale de la communauté scientifique était et continue d’être intrinsèquement défectueuse. Elle était défectueuse d’une manière qui a miné son efficacité et entraîné des milliers, voire des millions, de décès évitables.

[Note de Joseph : parce que dans la grande majorité des cas, il ne s’agit plus de science, mais de scientisme basé sur des croyances religieuses quasiment sectaires.
Voir aussi : Note sur l’incohérence écologiste]

Ce que nous n’avons pas bien compris, c’est que ce sont les préférences qui déterminent la façon dont l’expertise scientifique est utilisée, et que nos préférences peuvent être — en fait, nos préférences étaient — très différentes de celles de la plupart des personnes que nous servons. Nous avons créé une politique basée sur nos préférences, puis nous l’avons justifiée à l’aide de données. Puis nous avons dépeint ceux qui s’opposaient à nos efforts comme étant malavisés, ignorants, égoïstes et mauvais.

Nous avons fait de la science un sport d’équipe et, ce faisant, nous lui avons fait perdre son caractère scientifique. C’est devenu « nous » contre « eux », et « eux » ont répondu de la seule façon que l’on pouvait attendre d’eux : en résistant.

Nous avons exclu d’importantes parties de la population de l’élaboration des politiques et fustigé les critiques, ce qui signifie que nous avons déployé une réponse monolithique dans une nation exceptionnellement diverse, forgé une société plus fracturée que jamais et exacerbé des disparités sanitaires et économiques de longue date.

Notre réaction émotionnelle et notre esprit de parti bien ancré nous ont empêchés de voir l’impact total de nos actions sur les personnes que nous sommes censés servir. Nous avons systématiquement minimisé les inconvénients des interventions que nous avons imposées — imposées sans la participation, le consentement et la reconnaissance de ceux qui sont forcés de vivre avec elles. Ce faisant, nous avons violé l’autonomie de ceux qui seraient le plus négativement touchés par nos politiques : les pauvres, la classe ouvrière, les propriétaires de petites entreprises, les Noirs et les Latinos, et les enfants. Ces populations ont été négligées parce qu’elles nous étaient rendues invisibles par leur exclusion systématique de la machine médiatique dominante et corporatiste qui présumait de son omniscience.

La plupart d’entre nous ne se sont pas exprimés pour soutenir des points de vue alternatifs, et beaucoup d’entre nous ont essayé de les supprimer. Lorsque des voix scientifiques fortes, comme celles des professeurs de renommée mondiale de Stanford John Ioannidis, Jay Bhattacharya et Scott Atlas, ou celles des professeurs de l’Université de Californie à San Francisco Vinay Prasad et Monica Gandhi, ont tiré la sonnette d’alarme au nom des communautés vulnérables, elles ont dû faire face à la censure sévère de foules implacables de critiques et de détracteurs au sein de la communauté scientifique — souvent non pas sur la base de faits, mais uniquement sur la base de différences d’opinions scientifiques.

Lorsque l’ancien président Trump a souligné les inconvénients de l’intervention, il a été rejeté publiquement comme un bouffon. Et lorsque le Dr Antony Fauci s’est opposé à Trump et est devenu le héros de la communauté de la santé publique, nous lui avons apporté notre soutien pour qu’il fasse et dise ce qu’il voulait, même lorsqu’il avait tort.

Trump n’était pas parfait, tant s’en faut, pas plus que les critiques universitaires de la politique consensuelle. Mais le mépris que nous avons affiché à leur égard a été un désastre pour la confiance du public dans la réponse à la pandémie. Notre approche a aliéné de larges segments de la population de ce qui aurait dû être un projet national et collaboratif.

Et nous en avons payé le prix. La rage des personnes marginalisées par la classe des experts a explosé sur les médias sociaux et les a dominés. Ne disposant pas du lexique scientifique nécessaire pour exprimer leur désaccord, de nombreux dissidents se sont tournés vers les théories du complot et une industrie artisanale de contorsionnistes scientifiques pour faire valoir leurs arguments contre le consensus de la classe des experts qui dominait le courant dominant de la pandémie. Qualifiant ce discours de « désinformation » et le mettant sur le compte de « l’analphabétisme scientifique » et de « l’ignorance », le gouvernement a conspiré avec Big Tech pour le supprimer de manière agressive, effaçant ainsi les préoccupations politiques valables des opposants du gouvernement.

Et ce, malgré le fait que la politique de lutte contre les pandémies a été créée par une frange très mince de la société américaine qui s’est autoproclamée présidente de la classe ouvrière — des membres du monde universitaire, du gouvernement, de la médecine, du journalisme, de la technologie et de la santé publique, qui sont hautement éduqués et privilégiés. Du haut de ses privilèges, cette élite prône le paternalisme, contrairement aux Américains moyens qui louent l’autonomie et dont la vie quotidienne les oblige à prendre en compte les risques. Il est inadmissible que nombre de nos dirigeants aient négligé de prendre en compte l’expérience vécue de ceux qui se trouvent de l’autre côté du fossé des classes.

En raison de ce fossé des classes, nous avons sévèrement jugé les critiques du confinement comme étant paresseux, arriérés, voire mauvais. Nous avons rejeté comme « escrocs » ceux qui représentaient leurs intérêts. Nous pensions que la « désinformation » énergisait les ignorants, et nous refusions d’accepter que ces personnes aient simplement un point de vue différent et valable.

Nous élaborions des politiques pour les gens sans les consulter. Si nos responsables de la santé publique avaient fait preuve de moins d’orgueil, l’évolution de la pandémie aux États-Unis aurait pu avoir une issue très différente, avec beaucoup moins de vies perdues.

Au lieu de cela, nous avons assisté à une perte massive et continue de vies en Amérique en raison de la méfiance à l’égard des vaccins et du système de santé ; une concentration massive de la richesse par des élites déjà riches ; une augmentation des suicides et de la violence armée, en particulier chez les pauvres ; un quasi-doublement du taux de dépression et de troubles anxieux, en particulier chez les jeunes ; une perte catastrophique du niveau d’éducation chez les enfants déjà défavorisés ; et chez les plus vulnérables, une perte massive de confiance dans les soins de santé, la science, les autorités scientifiques et les dirigeants politiques en général.

Ma motivation pour écrire ces lignes est simple :

Il est clair pour moi que pour restaurer la confiance du public dans la science, les scientifiques doivent discuter publiquement de ce qui a bien fonctionné et de ce qui a mal fonctionné pendant la pandémie, et de ce que nous aurions pu faire mieux.

Il n’y a pas de mal à se tromper et à admettre ses erreurs et ce que l’on a appris. C’est un élément essentiel du fonctionnement de la science. Pourtant, je crains que beaucoup ne soient trop ancrés dans la pensée de groupe — et n’aient trop peur d’assumer publiquement leurs responsabilités — pour le faire.

Pour résoudre ces problèmes à long terme, il faut un plus grand engagement en faveur du pluralisme et de la tolérance dans nos institutions, y compris l’inclusion de voix critiques et impopulaires.

Il faut mettre fin à l’élitisme intellectuel, à la crédulité et au classisme. Le rétablissement de la confiance dans la santé publique — et dans notre démocratie — en dépend.

Le problème n’était pas l’ignorance des faits par les gens, mais l’antagonisme et la censure organisés à l’encontre de toute personne présentant des données contraires à l’agenda du mandat. Ceci sans tenir compte de proclamations comme celles du LA Times, qui a soutenu que se moquer de la mort des « anti-vaxxers » pouvait être nécessaire et justifié. Après deux ans de ce type d’absurdité arrogante, il est difficile d’imaginer que les gens seront prêts à faire comme si tout allait bien.

L’effort actif pour faire taire toute donnée opposée est le crime fondamental, cependant, et non, il ne peut jamais être oublié ou pardonné.

Les gens sont toujours livides…

On ne peut s’empêcher de remarquer que l’appel de l’Atlantique à l’oubli passif et maintenant ce mea culpa dans l’éditorial coïncident avec la fin des déclarations d’urgence du COVID, au milieu d’une réaction politique croissante à ces deux dernières années de verrouillages et de mandats insignifiants, et les démocrates ont joué un rôle déterminant dans la mise en œuvre des deux. Une grande partie de la population considère qu’un parti est la cause de la plupart des conflits de l’ère covidienne.

Peut-être que les grands médias réalisent soudain qu’ils vont devoir payer pour leur fanatisme covidien ? « Nous ne savions pas ! Nous ne faisions que suivre les ordres ! » Tout cela semble plutôt familier.

source : ZeroHedge via Le Libre Penseur




Plus de deux millions de Français ont manifesté dans la rue contre cette réforme imposée par Bruxelles : aidons-les en signant la pétition

Par Nicole Delépine

[Source de l’illustration : ici]

Près d’un million ont déjà signé cette pétition contre la réforme des retraites

Diffusons-la largement : plus le nombre de signataires sera élevé plus il sera difficile de ne pas tenir compte de l’opposition des Français à ce nouvel ukase de Bruxelles :

https://www.change.org/p/retraites-non-%C3%A0-cette-r%C3%A9forme-injuste-et-brutale-reformesdesretraites

« Le gouvernement a annoncé le report de l’âge de la retraite à 64 ans avec un allongement accéléré de la durée de cotisation.

Cette mesure est injustifiée : le rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) l’indique clairement, le système de retraites n’est pas en danger. Il n’y a aucune urgence financière

Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs, et plus particulièrement ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, et ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.

Ce projet gouvernemental n’a rien d’une nécessité économique, c’est le choix de l’injustice et de la régression sociale.

Renforcer notre système de retraites nécessite en revanche des mesures de progrès et de partage des richesses.

D’autres solutions sont possibles ! Je soutiens la mobilisation intersyndicale et je m’oppose à cette réforme : « je signe la pétition »

Vos données ne feront l’objet d’aucune collecte, ni d’aucun traitement de notre part.

La demande de don faisant suite à la signature de cette pétition n’émane pas des organisations syndicales, mais de la plateforme change.org sur laquelle est hébergée celle-ci. »

VIERZON

Soulignons que les comparaisons avec d’autres pays n’ont qu’un sens très relatif, car depuis le management à l’américaine et l’alignement de nos politiques derrière l’UE les conditions de travail sont devenues insupportables en 30 ans. D’ailleurs les Suédois qui ont reculé l’âge de la retraire conseillent fortement à E Macron de ne pas suivre leur exemple1.

Pourquoi ne pas tenir compte de l’avis des millions de personnes descendus dans la rue crier leur désarroi face à la politique globale, les retraites, mais aussi contre le cinéma covid qui a cassé les Français et les petites entreprises et évidemment la position guerrière du président sans consultation ni de la population par référendum, ni nos représentants élus au parlement.

Quant aux médias hypocrites ou corrompus qui prétendent que seul le parlement aurait le droit de s’exprimer, cet argument est caduc devant le navrant spectacle des députés évoquant les discussions de cour d’école maternelle telles que : « je ne voterai pas ta motion de censure parce qu’elle vient du RN alors que la mienne (identique) ne peut pas être soumise »

Et les récentes élections partielles où les disputes partisanes entre RN et NUPES ont permis la réélection d’une députée macroniste favorable à la guerre montrent bien qu’il n’y a pas grand-chose à attendre des partis politiques actuels, qui restent dans leur petit monde de disputes enfantines, alors qu’une guerre nucléaire nous menace.

L’énorme majorité des Français l’ont compris d’où ces cortèges immenses dans toutes les villes petites ou grandes contre cette réforme bruxelloise et demain espérons-le contre la guerre qui risquerait d’effacer une grande partie du monde et l’Europe aux premières loges avec les politiques guerrières des gouvernements allemand et français contre l’avis majoritaire de leurs peuples.

LES FRANÇAIS SE RÉVEILLENT ENFIN

AIDONS-LES PAR TOUS LES MOYENS EN FONCTION DE NOS POSSIBILITÉS : manifestations, tracts, informations sous toutes ses formes, directes, humaines ou via réseaux faute de mieux

Et les jeunes sortent de la léthargie de la crise covid et comprennent l’enjeu des réformes de Bruxelles accumulées :

Quel bonheur d’entendre cette lycéenne calme et déterminée faire le lien entre tous ces moyens détournés du gouvernement pour finir de détruire la société civilisée dont nous profitions, même si depuis des décennies la destruction de nos services publics s’est accélérée insidieusement dans le silence des médias et des peuples.

Nous étions endormis globalement dans le confort du quotidien (quoique relatif pour certains) doublé de la trahison des partis qui suffisait à éteindre les incendies locaux (fermeture de maternité, etc.. 2

DES CENTAINES DE MANIFESTATIONS TROUVENT ÉCHO SUR TWITTER ET AUTRES RÉSEAUX SOCIAUX

La colère monte, la loi retraites doit être retirée, les injections géniques inefficaces et mortifères stoppées et le combat pour la Paix s’intensifier avant la catastrophe.





Lien entre 5G et Covid-19

[Source : @Roms17]

[NDLR À un moment, il apparaît « bouse de taureau » dans la transcription en français, mais il s’agit d’une traduction littérale de « bull dung » synonyme de « bullshit » et qui signifie dans le contexte plutôt « connerie ».]

[Note de Joseph : dans la vidéo suivante est évoqué le caractère éventuellement choquant que la 5G puisse induire des virus comme réponse cellulaire. Cependant, Stefan Lanka a pu scientifiquement démontrer que les « virus » sont en réalité des composants cellulaires par ailleurs connus (isolés et caractérisés) produits par des cellules agressées (et elles peuvent l’être par des ondes pulsées telles que la 5 G, la 4 G ou le Wi-Fi), alors que jusqu’à présent aucun virus pathogène n’a pu être réellement isolé et caractérisé à partir de tissus biologiques soi-disant infectés.
Voir au moins :
À quel point les virus sont-ils morts ? dans le dossier Vaccins et virus.
Et pour ce qui concerne la 5G comme cause possible et probable de la 5G :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G dans le dossier 5G et ondes pulsées.]






Le cirque de Davos

[Source : Vivre sainement]




ANDRÉ BERCOFF humilie JULIEN PAIN sur son interview ratée de KLAUS SCHWAB

[Source : TRED]




Nous devons continuer à diffuser la vérité

[Source : mondialisation.ca]

Par Dr Pascal Sacré

« Il ne suffit pas d’inscrire des droits dans une Constitution, 
Il faut que le Peuple éduqué puisse les lire, 
Les comprendre et les défendre. »

« En face », ils nous disent quoi penser, quoi dire.  « Eux », ils savent. 
« Eux », ils ont compris et nous expliquent ce qu’il faut penser et faire, et c‘est ainsi. Pas autrement.

Ils emploient les grands moyens, émissions télévisées remplies d’experts bardés de titres, articles dans la presse écrite « sérieuse », synthèses par des instituts officiels aux noms et acronymes très professionnels. Les experts en question sont souvent bien habillés, ils ont des qualifications indiscutables sur le papier, ils parlent bien et les journalistes ou animateurs sont très gentils avec eux, boivent leurs paroles, et l’ensemble dégage une connivence, une évidence qui rend le message comme allant de soi.

  1. La vaccination ne se discute pas(([1] « La vaccination, cela ne se discute pas » estime Touraine | egora.fr)), elle a sauvé l’humanité(([2] Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’Humanité ? (collectif-federateur.org) )), c’est la seule vraie solution face aux épidémies.
  2. Le climat, c’est un réchauffement et il est dû principalement au CO2 humain.
  3. L’Ukraine, c’est à cause d’un méchant dictateur sadique et fou qui défie le monde ou exploite son peuple (toujours la même excuse, de Cuba, du Venezuela, d’Irak, à l’Afghanistan, en passant par la Lybie, le Mali, le Yémen, la Syrie… c’est à chaque fois cette même histoire, un méchant dictateur sanguinaire fou qui veut détruire son peuple ou l’humanité, Castro, Chavez, Hussein, les talibans, Kadhafi, el-Assad…)

Ce sont les trois derniers dogmes en date.

Si nous émettons un avis contraire, ou nuancé(([3] Nous avons été fact checkés ! | Science, climat et énergie (science-climat-energie.be) )), alors ils font semblant de ne pas l’entendre. Si nous insistons, surtout si nous sommes légitimes, alors ils nous traitent de tous ces termes peu flatteurs, disqualifiant :  complotiste, négationniste, sceptique, rassuriste, stupide, fou, incompétent, charlatan, antivax, antisémite, raciste…

« Ne pensez pas, nous pensons pour vous », voilà ce qu’ils prônent en face et ma foi, ils sont convaincants, ils ont les moyens médiatiques et institutionnels avec eux. Premièrement, cela démontre ce que nous savions déjà : l’être humain, depuis qu’il est tout petit, depuis la nuit des temps, adore les histoires. Si celles-ci sont simples, avec un gentil et un méchant, un gentil très gentil et un méchant très laid et très méchant, c’est encore mieux. Si elles ont des solutions toutes faites qui dépendent des autres, alors là, beaucoup d’êtres humains sont aux anges. Ils peuvent vaquer à leurs occupations quotidiennes en se disant que d’autres s’occupent de tout et surtout, que ces « experts » ont une solution toute faite et indiscutable.

Pratique, un dogme, il faut bien l’avouer. Pas besoin d’agir ni même de réfléchir. Malheureusement, un dogme n’a rien à voir avec la vérité, il n’a même rien à voir avec la réalité. Je sais que d’aucuns arrivent à vous dire que la réalité n’existe pas.(([4] La réalité n’existe pas | larecherche.fr)) Ça, c’est fort et pourtant, c’est ainsi, des personnes tentent de vous en convaincre et beaucoup de gens s’y laissent prendre. Pourtant, si je vous brûle le bras, je vous assure que la douleur et la blessure vous convaincront que la réalité (la chaleur dans ce cas) existe.

Ne pas confondre « perception de la réalité », et « la réalité elle-même ».
Idem pour la vérité.  Ou pour le bien et le mal.  Il y a le bien, qui ne veut pas dire perfection, et le mal.  Souvent, on discerne le bien du mal non pas au niveau cérébral, mais au niveau des tripes, du cœur et de sa peau. Le mal c’est par exemple torturer les animaux, maltraiter tout être vivant. Là où cela devient plus subtil, plus insidieux, c’est quand on a compris que le mal, c’est aussi laisser faire, laisser d’autres gens torturer les animaux, ou maltraiter un être vivant, sans rien dire, rien faire contre cela.

[Note de Joseph : la vérité peut se définir comme la traduction, l’interprétation ou la (re)présentation la plus fidèle possible de la réalité. Le problème est que cette transcription par un être humain dépend de la perception qu’il a de la réalité, perception qui dépend notamment de sens limités.
Voir aussi :
Pensée multiple
La fabrication des perceptions
Prise de conscience et autisme
Note sur le mental et l’astral
La vue, la vision et la vie
Note sur la vision
Note sur la lecture des événements]

En sachant combien la plupart des animaux sont maltraités et c’est un euphémisme, continuer à en consommer fait de nous de facto des complices de cette maltraitance mondiale. À ce moment très inconfortable sur les plans intellectuel et émotionnel, l’être humain va user d’artifices pour se trouver des circonstances atténuantes, détourner le propos, noyer le poisson, c’est le cas de le dire. Alors commencent les petits arrangements avec le mal, ces concessions qui laissent à penser que le mal, c’est relatif.
Non. Le mal est le mal. Le bien est le bien. Pour ma part, je ne tente pas de devenir végétarien que pour l’environnement ou la santé. Je le tente pour la seule raison qui se suffit à elle-même, sans avoir besoin d’aucune autre, pour cesser d’être complice d’un plus grand mal. 

Revenons à la vérité, dont le dogme est le pire ennemi. Autrement dit, la vérité est la pire ennemie du dogme. C’est la raison principale pour laquelle les dissidents actuels sont autant diabolisés, discrédités, censurés, chassés par un système qui a un besoin vital de dogmes pour se perpétuer. Plus les dogmes sont rigides, intraitables, plus la violence envers toute dissidence est forte et brutale. C’est la raison pour laquelle nous, les véritables lanceurs d’alerte, ceux qui bravent toutes les censures, nous devons continuer à éduquer de manière pédagogique et à diffuser la vérité.

Je parle de la vérité, à ne pas confondre avec la connaissance qui évolue sans cesse, beaucoup font cette confusion. Il n’y a d’ailleurs pas de vérité scientifique, c’est une impossibilité. Il n’y a pas de vérité économique, géopolitique, etc. Il y a des connaissances dans tous ces domaines, et celles-ci changent, évoluent en fonction du temps, des découvertes, du contexte, des actions et réactions des uns et des autres. Un exemple parmi les plus connus est d’avoir cru un moment que la Terre était le centre de l’Univers. Aujourd’hui, on sait que la Terre est une planète parmi d’autres et qu’elle tourne autour du soleil. Cette connaissance a évolué pour se conformer à la réalité.

La vérité, par contre, c’est la vérité. Soit vous avez trompé votre femme, soit vous ne l’avez pas trompée. Soit vous étiez à cet endroit à cette heure-là, soit vous n’y étiez pas. Vous ne pouvez pas être « à moitié » quelque part, vous ne pouvez pas avoir trompé votre femme « au quart ». Et cette vérité-là ne changera pas, ni deux jours après, ni mille ans après.

C’est là que les problèmes commencent : quand on confond, sans le vouloir ou intentionnellement, vérité et connaissance. La vérité est une et permanente. La connaissance est évolutive et plurielle. Dire que les vaccins ont sauvé l’humanité, ou qu’ils sont la meilleure arme contre les épidémies, c’est une connaissance qui évoluera en se confrontant aux faits. Elle doit être constamment vérifiée, comme toute autre connaissance scientifique du moment.

Dans le cas précis de la vaccination contre le covid, tout est parti d’une supposition puisque on a commencé cette vaccination mondiale alors que toutes les études n’étaient pas encore terminées. Le problème majeur est d’avoir présenté au public profane cette connaissance-hypothèse comme une vérité à ne plus discuter.

C’est ce que tentent toujours de faire pas mal d’experts assermentés, adoubés par le Système, comme ce docteur Nicolas Dauby(([5] BAM! News – Un expert indépendant ?)), un prototype de ce que j’entends par expert bardé de titres et coiffé d’une aura indiscutable, incontournable. Je vous encourage vraiment à lire toute la référence 5, un symbole de tout ce qui ne va pas dans ce monde opaque de l’expertise dépendante des lobbys.

Il y a des dizaines et des dizaines de « Nicolas Dauby » dans le monde entier. Un peu comme Anthony Fauci aux États-Unis ou Neil Ferguson en Grande-Bretagne. Peu importe que les prédictions et décisions de ces personnes se soient révélées fausses, mauvaises, influencées, ils conservent leur aura d’expert indiscutable, incontestable. Cela ne peut se faire qu’avec le concours des médias principaux, ceux qui ont accès au plus large public profane.

Ces médias sont l’équivalent moderne des prêtres et docteurs de la loi d’antan, l’intermédiaire indispensable entre le public profane et les pouvoirs, avec leurs « débats » convenus d’avance et leurs fact-checkeurs (« vérificateurs » de faits) anonymes et partisans. Experts adoubés et médias complices sont les outils indispensables d’un Pouvoir bâti sur des dogmes. Je ne sous-entends pas que tous ces « experts » adoubés seraient incompétents ou forcément malhonnêtes. Pour la plupart, j’ignorais jusqu’à leur existence, avant cette crise.

Je parle du processus tacitement admis qui consiste à désigner un « expert » plus ou moins légitime sur le papier puis de ne plus écouter que cet « expert » en faisant abstraction de tous ses conflits d’intérêts, conflits d’intérêts qui vont forcément influencer ses convictions, ses propositions, ses décisions et ses actions.
Je parle de ce processus universel et tacite, principe à l’œuvre partout, dans toutes les démocraties, qui consiste à supprimer les débats contradictoires en enfermant les opinions et les messages dans un vase clos bâti sur des préceptes qu’on ne discute plus, ânonnés par quelques-uns.

Cela se retrouve dans les débats sur le climat qualifié de réchauffement alors que d’autres scientifiques également légitimes parlent de refroidissement, réchauffement dont la cause est le CO2 dû à l’activité humaine alors que d’autres scientifiques, d’autres experts sérieux parlent de multiples autres causes. 

Cela se retrouve dans les débats sur la guerre en Ukraine pour laquelle a été posé d’emblée en Occident le postulat inviolable selon lequel le dictateur Poutine est le seul responsable, sans plus pouvoir à un seul moment discuter, nuancer ce dogme (forcément, ce ne serait plus un dogme, sinon), comme l’a amèrement expérimenté Ségolène Royal.(([6] Ségolène Royal met en doute les crimes de guerre commis en Ukraine, malgré les preuves (lemonde.fr) ))

Et cela s’était déjà produit lors des guerres au Kosovo, en Afghanistan, en Irak, en Syrie…
Pourquoi ?
Quel paradoxe !  

Tous ces scientifiques, tous ces journalistes, tous ces « experts » deviennent comme des équilibristes, autoproclamés spécialistes, factuels, dignes de foi alors que tous leurs discours sont finalement bâtis sur des dogmes. Cela se passe avec le concours zélé des médias principaux écoutés comme les prêtres d’antan par une partie de la population profane.

Un dogme n’est pas la vérité.
Un dogme est le socle pour raconter une histoire qui se travestit en vérité, s’habille en réalité seulement parce que chaque auditeur, chaque spectateur accepte d’y croire. C’est ce qui fait la force d’une fiction réussie. On sait que c’est faux mais on a choisi tacitement, implicitement d’y croire, ce qui fait que le spectateur frissonne, sursaute, pleure, a peur, vibre avec son acteur fétiche.

Il est vrai que nous, les êtres humains, nous sommes ainsi faits. Nous adorons les belles histoires, surtout les histoires simples, avec un gentil et un méchant bien identifiés, avec des solutions toutes faites, élaborées par d’autres à l’apparence crédible. L’apparence suffit.

Les lanceurs d’alerte, les diseurs de vérité viennent casser l’ambiance, mettre les points sur les i, les virgules à la bonne place, car si l’humanité préfère l’histoire à la vérité, à ce point de décalage, celle-ci sera très amère et brutale, alors qu’elle pourrait être mille fois plus formidable que la plus belle des fictions. À condition de regarder la vérité bien en face et de la considérer telle quelle, sans travestissement.

Je vous dis l’inverse de ce qu’ils vous disent : pensez par vous-même. Soyez vous-même. Reprenez les rênes de votre esprit. Je sais. Cela demande beaucoup d’efforts. C’est inconfortable. Au début. Par contre, cela ne nécessite pas de l’intelligence, ni d’avoir fait de longues et savantes études. Ces derniers points peuvent même être des obstacles, des pièges.

La personne de bon sens, qui a les pieds bien en contact avec le sol, qui n’a jamais fréquenté les universités ou les grandes écoles, est souvent la mieux à même de discerner le vrai du faux, le réel de l’illusoire, le bien du mal.

Pensez par vous-même. Ou alors, soumettez-vous.

« Si nous ne sommes pas en mesure de poser des questions de manière sceptique, d’interroger ceux qui nous disent que quelque chose est vrai, d’être critique à l’égard de ceux qui détiennent l’autorité, alors nous sommes à la merci du premier charlatan, homme politique ou religieux, venu. »

Carl Sagan, scientifique et astronome américain, 1996

Quelle que soit l’option choisie, ensuite, assumez-la. Il n’a jamais été aussi vital, pour chaque être humain comme pour toute notre espèce, de penser par lui-même et d’arrêter d’être complice de l’illusion, du faux et du mal.

En attendant, nous les lanceurs d’alerte, ceux qui bravent toutes les censures, nous devons continuer à diffuser la vérité.

Dr Pascal Sacré

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2023

Notes :




Le soutien d’Elon Musk à la « liberté de mourir » met en lumière l’impasse du libertarianisme

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Sur plusieurs sujets, Elon Musk apparaît comme un allié des opposants à la censure totalitaire. En libertaire engagé, Musk a rapidement restauré les comptes Twitter suspendus de Donald Trump, du Dr Jordan Peterson, et de nombreux dissidents. Ce qui, pour de nombreux journalistes du système, a fait de lui une personne non grata classé à droite voire à l’extrême droite. Et une partie de l’opinion publique, de l’extrême gauche à l’extrême droite, gobe cette vision simpliste de journalistes aux ordres.

Mais le fait que les wokistes voient le soutien à la liberté d’expression comme le retour du fascisme n’est pas une indication d’un quelconque engagement anti-mondialiste de la part de Musk. Elon Musk, en fait, est à la fois un artisan du transhumanisme, plutôt LGBT-friendly et s’aligne sur la redéfinition subversive du mariage. Il s’est vanté de sa grande famille, mais la réalité est que cinq de ses fils ont été mis au monde grâce à la Fécondation In Vitro et il a également utilisé la maternité de substitution (avec plusieurs femmes différentes). Lors de la dernière fête d’Halloween, il avait revêtu une cuirasse ornée de la tête de Baphomet, symbole des satanistes.

Le récent commentaire de Musk sur le suicide assisté montre que sa vision de la liberté est une vision post-humaine. Le médecin et entrepreneur Peter H. Diamandas a demandé au milliardaire sur Twitter à quel point sa vision de la liberté était maximale :

« Pensez-vous que les humains devraient pouvoir choisir quand ils meurent ? »

« Absolument« , a répondu Musk . « La liberté signifie la liberté de mourir quand vous êtes sûr de le vouloir. »

Un débat sur le suicide assisté et l’euthanasie – sujet d’actualité brûlant dans le monde occidental – a immédiatement commencé sur Twitter. Le Dr Jordan Peterson, lui-même psychologue clinicien, a répondu :

« De nombreuses personnes qui ont des conditions traitables (la dépression, par exemple) choisiraient la mort en raison des conséquences pourtant réparables de la maladie. Pas bon. De plus, nous avons donné le pouvoir de prendre cette décision à l’État au Canada. Plus de 30 000 personnes ont choisi la mort. Pas bon. Et pire à venir. »

L’éthicien Wesley J. Smith du Discovery Institute était d’accord, notant :

« Non. Un droit est exécutoire par la loi. Voyez les horreurs de l’euthanasie en cours au Canada. Les personnes suicidaires devraient recevoir de la prévention, pas de la facilitation. Si un droit de mourir pour une raison quelconque = mort sur demande. Cela conduit à la coercition et à l’abandon.»

Allie Beth Stuckey a répondu :

« Alors tout le monde devrait se suicider quand il en a envie ? »

Faisons un instant abstraction des commandements de Dieu et de la doctrine catholique qui excluent le suicide assisté et l’euthanasie. Et faisons simplement appel à la raison pour démonter le raisonnement de Musk.

En effet, le commentaire de Musk et les réponses qui y sont apportées soulignent une fois de plus le problème mortel de la conception libertaire du suicide assisté, vu simplement comme un droit universel au suicide. Musk l’affirme en déclarant que la liberté est la « liberté de mourir quand on est sûr de le vouloir« . Ce que nous constatons dans la pratique, c’est que le mot « sûr » dans cette phrase pose beaucoup de questions. Combien choisissent l’euthanasie parce qu’ils sont soumis à la pression extérieure ? Ou sont poussés au suicide assisté en raison de leur situation économique ou de leur incapacité à obtenir des traitements de santé mentale ou physique ou des soins palliatifs ?

Comme l’illustre le régime mortifère canadien, tous ces scénarios sont réels, et se produisent en ce moment. Un monde dans lequel des personnes libres décident de se suicider à l’abri des pressions extérieures est un fantasme libertaire mortel qui permet en réalité de conditionner des personnes en détresse à choisir une injection létale pour échapper à leurs soucis. Ce type de libertarianisme s’attaque aux faibles, aux défavorisés et aux souffrants – et il doit être complètement rejeté.




La sous-déclaration des effets secondaires des injections covid

Entrevue avec le Professeur Patrick Provost

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Lévesque

La sous-déclaration des effets secondaires n’est pas nouvelle.

En 2011, le rapport Lazarus estimait qu’aux États-Unis seulement 1 % des effets secondaires étaient rapportés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) :

Avec, d’un côté, la propagande sans précédent des injections covid et, de l’autre, le dénigrement et la censure des scientifiques indépendants critiques de ces injections, il semble qu’il soit encore plus ardu de faire reconnaître les effets secondaires qu’elles peuvent provoquer.

Le professeur Patrick Provost a publié un article sur le sujet dans la revue à comité de lecture International Journal of Vaccine Theory, Practice an Research : « The Blind Spot in COVID-19 Vaccination Policies: Under-Reported Adverse Events » (bientôt en français).

J’en discute avec lui dans cette entrevue.

Tous les liens pertinents sont sous la vidéo.

Notez que Patrick Provost sera en arbitrage les 25 et 27 janvier prochains concernant sa suspension par l’Université Laval. Les audiences auront lieu sur le campus de l’université, mais nous ne connaissons toujours pas l’heure et la salle. Je vous tiens au courant sur ma page Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100063484129370

UN IMMENSE MERCI À TOUS CEUX QUI M’APPUIENT EN FAISANT UN DON OU EN PARTAGEANT MON TRAVAIL!!!
Virement Interac : tribunaldelinfaux@gmail.com (réponse: tribunal)
Stripe : https://buy.stripe.com/8wMbKy3i26CM6cw7ss
Où me trouver : https://linktr.ee/julielevesque

(J’ai fait une intro sur les différents programmes de compensation des victimes d’une vaccination. L’entrevue commence à 14:08.)

Liens pertinents :

Statistiques du programme américain régulier de compensation pour les victimes d’une vaccination :

HRSA Data and Statistics

Statistiques du programme américain de compensation pour les pour les victimes de contre-mesures :

Table 1. Alleged COVID-19 Countermeasure Claims Filed | HRSA

Programme canadien :

Programme de soutien aux victimes d’une vaccination – Statistiques (soutienvictimesvaccination.ca)

Programme québécois :

Programme d’indemnisation des victimes d’une vaccination | Gouvernement du Québec (quebec.ca)

Manifestations cliniques inhabituelles, déclaration et surveillance, ministère de la Santé du Québec :

À propos des MCI – Manifestations cliniques inhabituelles (MCI) – Professionnels de la santé – MSSS (gouv.qc.ca)

Formulaire de déclaration de Réinfo Covid Québec :

Effets secondaires – Réinfo Covid Québec (reinfocovid.ca)




Les médias

Le journalisme actuel expliqué de l’intérieur. (Humour caustique !)

[Source : Franjo via profession-gendarme.com]

Toute ressemblance avec une ou plusieurs entités existantes est totalement fortuite.




Big Pharma et son hégémonie via l’autoritarisme des agences : un phénomène qui date des années 2000

Par Nicole Delépine

Après trois ans de coma mondial, hypnotique, lié à l’instrumentalisation dramatique du covid19, certains scientifiques se réveillent et critiquent le fonctionnement du circuit du médicament. Tel le papier de Claude Janvier dans mondialisation.ca qui attire fort justement l’attention sur les excès de consommation1 inadaptés aux besoins sanitaires réels.

De fait, la réalité est gravissime depuis les années 2000, avec suppression de l’autorisation d’utiliser des schémas thérapeutiques qui ont prouvé leur efficacité en plus de trente ans d’expérience avec des médicaments devenus peu chers depuis qu’ils sont génériquables. Sur ordre de l’INCa, ces traitements rodés sont remplacés par des essais thérapeutiques systématiques de nouvelles drogues à prix non limités.

Les réunions pluridisciplinaires instaurées par les plans cancer de 2003 permettent l’illusion d’un choix pour les patients qui se croient bien entourés, mais imposent de fait les molécules choisies par les autorités administratives et leurs complices adoubés par Big Pharma.

Cette situation qui a fait chuter la qualité des soins en France a été signalée depuis les années 2000 par de nombreuses tribunes et de nombreux ouvrages (tels ceux du Pr Even,2 ancien doyen de l’hôpital Necker-Enfants malades, de Marcia Engels3 ancienne rédactrice en chef du NEJM démissionnaire après le scandale du VIOXX4, de Peter Goetsche5 éminent fondateur de la fondation Cochrane récemment rachetée par Bill Gates qui a évincé son créateur). Les auteurs de tous ces livres sur l’impact de la capture des agences sanitaires par Big Pharma et sur l’extension autoritaire de leurs pouvoirs sur la pratique médicale n’ont pas été entendus. Nous avons traité dans « soigner ou obéir »,6 en 2016, des conséquences dramatiques des ingérences de la bureaucratie (ARS, HAS, INCa et x observatoires) dans les prescriptions médicales. Le système de santé ne pourra renaître qu’en limitant fortement l’influence des politiques et de la bureaucratie sur l’activité médicale jusque dans les prescriptions.

La population a été témoin de la dérive pendant la crise covid quand les politiques ont interdit aux médecins d’aller soigner leurs malades et de leur prescrire les médicaments efficaces, peu chers et non toxiques.

« Si les masques marchaient véritablement,
ils auraient été bannis… juste comme l’Hydroxychloroquine »

Un essai remplace l’autre

Il n’est plus possible en France, du moins en cancérologie, d’appliquer un schéma connu aux résultats publiés depuis des lustres, tant le monopole des traitements imposés à tous les centres du cancer est hégémonique. Ainsi, des maladies curables à plus de 80 % pour l’ostéosarcome ostéogénique par des traitements individualisés datant des années 80 et de la grande révolution thérapeutique en cancérologie voient leur pronostic global chuter à 60 % dans le meilleur des cas. Les exemples sont légion dans le domaine de cancers autrefois largement curables comme le cancer du sein.

Les malades concernés par le monde du cancer ont vite appris les termes récurrents de « protocoles », de réunions obligatoires qui décident du traitement sans que ni eux ni leur médecin traitant ne soient entendus. En pratique, les protocoles sont identiques de Lille à Marseille en passant par Lyon et Brest et il est devenu impossible d’obtenir un traitement adapté à la personne et à ses choix, même en faisant le Tour de France.

Ils ont vite aussi entendu les qualificatifs de « ringards », dépassés quand ils proposent d’envisager sur proposition d’un collègue ouvert une chimiothérapie classique comme le CMF par exemple pour le cancer du sein. Ces femmes malades auxquelles on a dit qu’il ne restait que « les soins palliatifs » (et bientôt l’euthanasie), après trois essais de « drogues nouvelles » sont horrifiées de découvrir que leur jeune oncologue ne leur propose pas ces schémas anciens et souvent efficaces (souvent il ne connaît pas même leur existence) et les envoie à la mort sans se battre avec les moyens connus. Effectivement, les prix des vieux médicaments sont ridicules (quelques dizaines d’euros) comparés aux milliers d’euros des nouvelles drogues.

Big Pharma fait la loi à l’hôpital public et privé (tous administrés par les ARS) et les médicaments de ville sont soumis à la même loi du marché.

Nouveau moyen complémentaire, le rôle des influenceurs du web est justement mis en exergue par Claude Janvier.

Mais le drame de la surconsommation de médicaments inutiles et dangereux (et en conséquence de l’abandon de traitements efficaces) ne date pas de la croissance des réseaux sociaux, mais bien de la détermination des puissants, décideurs officiels et leurs amis de Big Pharma à imposer les nouvelles drogues à prix délirants par le monopole des décisions et des autorisations ARS de traiter entre autres des patients cancéreux.

Feront-ils à leur tour l’objet d’une plainte en justice comme vont l’être Marc Blata et sa compagne Nadé7 installés à Dubaï, accusés par le collectif AVI (Aide aux victimes d’influenceurs) d’« escroquerie en bande organisée et abus de confiance » ?

À l’hôpital et en ville, l’argent est ROI

L’exemple de « Ozempic » antidiabétique. (ibid 1)

« Son concepteur, le laboratoire Danois Novo Nordisk, aimerait bien le hisser en haut du podium des jeux du même nom ou presque. Sa substance active est la Sémaglutide. Des “influenceurs” dans les réseaux sociaux n’hésitent pas à vanter ses mérites pour la perte de poids. Dans un article de “Trust my Science du 8 juin 2021”, ayant pour titre : “Un traitement contre le surpoids et l’obésité ultra-efficace approuvé par la FDA”, le traitement miraculeux coûte une “blinde”, — 1300 $ par mois —, et les effets secondaires sont des nausées, des diarrhées et des douleurs abdominales ».

Les influenceurs des Réseaux Sociaux8

« Depuis plusieurs mois, les propriétés coupe-faim de l’antidiabétique Ozempic (Sémaglutide) font l’objet d’une communication virale, et son détournement à des fins amaigrissantes sauvagement promu sur les réseaux sociaux provoque des tensions d’approvisionnement délétères pour les patients diabétiques. Le phénomène n’épargne plus la France »

Selon Claude Janvier :

« L’univers de la communication et de la propagande est à géométrie variable. Tout est permis quand vous êtes du “bon côté”. Pas de censures, pas de risques d’exclusions des réseaux sociaux, pas de plaintes déposées par les labos, pas de mise en garde des GAFAM.

Même la publicité pour “Copenhague Pride” est vantée dans la page Facebook de Novo Nordisk. Extrait : “20 août 2022 : plus de 500 collègues se joignent au défilé de Copenhague Pride pour célébrer la diversité, l’inclusion et l’amour. Tant de joie dans les rues. Souvenons-nous de cela tous les jours et transformez-le en action pour tous.” 

Il y aurait à peu près 100 000 influenceurs en France. Mais qu’est-ce qu’un influenceur ? Ce terme désigne toute personne qui dispose d’une notoriété sur une thématique spécifique au travers du web et notamment dans les réseaux sociaux. »

En laissant le champ libre ou presque à leurs influenceurs VRP, Novo Nordisk, comme d’autres laboratoires pharmaceutiques, peuvent mettre en danger la vie d’autrui, tout en empochant des bénéfices juteux. Comme trop souvent, le risque est minimisé et le dividende est roi ».  

Si le rôle d’influenceurs est néfaste, il faut se demander qui ont été les principaux « influenceurs » et créateurs de fake news pendant cette période covid si ce n’est le gouvernement via les publicités (mensongères) sur la conduite à tenir (ne pas aller voir votre médecin, et appeler le 15 si aggravation) et surtout les litanies sur l’intérêt de l’injection pour protéger les grands-parents… (tous vaccinés tous protégés, vaccins efficaces à 95 %, sans risques…)

Aujourd’hui encore alors que chacun sait que cette piqûre dangereuse ne protège de rien, même pas des contaminations, la DGS tente de nous faire injecter les enfants de 6 mois à 4 ans qui seraient dans l’entourage d’une personne immunodéprimée !

Qui est donc le plus gros influenceur en France en ce moment ?

Quelques exemples du détournement du rôle des médicaments par la loi du marché au service de la finance et non de la santé

Le blog du pharmacien François Pesty donne de nombreux exemples de la dérive depuis les années 2000.

Extraits : « 15/09/20179 — Comment 8 firmes ont-elles triché, avec la complicité de rhumatologues et la crédulité des agences, pour faire croire à la supériorité de leurs nouvelles biothérapies sur HUMIRA® dans le traitement de fond de la polyarthrite rhumatoïde après échec du méthotrexate ?

Nous connaissions les médicaments “me-too”, il faudra désormais aussi composer avec les essais cliniques “me-too”…

Dans l’ordre alphabétique, Bristol-Myers-Squibb, Janssen Biologics (Groupe Johnson & Johnson) en partenariat avec GSK, Lilly, Pfizer, Roche (en co-promotion avec Chugaï Pharma France), et Sanofi, sont les 8 firmes pharmaceutiques tricheuses. »

Dans l’ordre chronologique de la tricherie répétée, organisée, voire concertée, voir directement le tableau du site de François Pesty et les commentaires :

Illustration avec OLUMIANT®, bariticinib, de la firme américaine Lilly :

En effet, ce mardi 12 septembre 2017, le JO publiait 3 textes réglementaires concernant les 4 présentations de cette toute nouvelle spécialité pharmaceutique :

— Un arrêté du 8 septembre 2017 d’inscription sur la liste des médicaments remboursés aux assurés,

— Un arrêté du 8 septembre 2017 d’inscription sur la liste des médicaments remboursés aux collectivités

— Un avis relatif au prix d’OLUMIANT®, JO du 12 septembre 2017

« Les prix étant applicables 4 jours après la publication au JO, nul doute que des rhumatologues vont se ruer pour prescrire cette nouvelle biothérapie, à plus de 9 000 € de coût de traitement annuel ».

LE SYSTÈME INFLATIONNISTE DE LA LISTE EN SUS ET DE LA T2A

La liste en sus qui ne devait qu’être transitoire ou au moins limitée, toujours en cours, permet toutes les dérives. Voici ce qu’en disait le pharmacien François Pesty10 en 2011

« La liste des médicaments onéreux (prévue à l’article L.162-22-7 du Code de Sécurité Sociale), qui avait originellement vocation à faciliter l’accès pour tous les patients aux innovations thérapeutiques forcément coûteuses, représente aujourd’hui 40 % à 60 % de la dépense totale en médicaments des grands centres hospitaliers, universitaires ou non. Une dépense totale qui a plus que doublé en à peine dix ans, en grande partie avec la création de cette liste.

Selon les estimations de l’ATIH (agence), ces médicaments et DMI (dispositifs médicaux implantables) onéreux auraient représenté 2,727 milliards d’euros de dépenses en 2010 (Source : Les réalisations de la campagne budgétaire 2010. ATIH. 29/07/2011)

Ici même, dans un article du 18/08/2011 intitulé “La liste des médicaments onéreux : Propositions pour réformer un système dispendieux, opaque, irrationnel et non éthique, qui profite bien plus aux firmes qu’aux patients, nous avions présenté le tableau édifiant de la “minceur” du progrès thérapeutique réellement apporté dans leurs principales indications AMM par les 10 molécules anticancéreuses les plus coûteuses en 2008 et 2009 selon les chiffres de l’INCa (Institut national du cancer) et d’après les évaluations de l’amélioration du service médical rendu (ASMR) effectuées par la commission de la transparence de la HAS (Haute Autorité de Santé). »

Cette liste dispendieuse qui devait être remaniée, supprimée, limitée, est apparemment toujours en cours.

« Note en juillet 2022 11: Notice d’information relative à la procédure d’inscription et de radiation d’une spécialité pharmaceutique dans une ou plusieurs indications thérapeutiques d’une des listes mentionnées à l’article L. 162-22-7 ou L162-23-6 du code de la sécurité sociale.

Résumé : Cette notice d’information a pour objet de décrire la procédure de demande d’inscription ainsi que la procédure de radiation d’une spécialité pharmaceutique dans une ou plusieurs indications thérapeutiques d’une des listes mentionnées à l’article L. 162-22-7 ou L. 162-23-6 du code de la sécurité sociale, dites listes “en sus”, en application des articles R. 162-37 à R. 162-37-5 ou R. 162-34-12 à R. 162-34-15 du même code. »

Source > ATIH, données ScanSanté. Éditions 2019 DREES

Cette gabegie ne fait que se poursuivre :

« En 2017, la dépense pour les médicaments et dispositifs médicaux figurant sur la liste des produits et prestations pris en charge par l’assurance maladie obligatoire en sus des prestations de séjour et d’hospitalisation, dite “liste en sus”, s’élève à 5,4 milliards d’euros. Cette dépense a augmenté de 8,5 % par rapport à 2016, et de 30 % en cinq ans, bien plus rapidement que l’ensemble de la consommation des soins hospitaliers (+9,8 % depuis 2012) »

« Elle représente 5,8 % de la consommation hospitalière et se concentre sur un faible nombre de médicaments et de dispositifs médicaux ».12

Les traitements anticancéreux et pour les maladies auto-immunes représentent 80 % des remboursements de la liste en sus.

Deux classes thérapeutiques de médicaments comptent pour 80 % de la dépense totale : les antinéoplasiques (L01, médicaments anticancéreux), pour un peu plus de 60 %, et les immunosuppresseurs (L04, traitements pour les maladies auto-immunes), pour un peu moins de 20 %.

La classe des antinéoplasiques augmente fortement en 2017 (+21 %), s’élevant à 2,1 milliards d’euros. La dépense pour les immunosuppresseurs recule légèrement en 2017 (-1 %), pour s’établir à un montant de 640 millions d’euros. D’autres classes ont un poids non négligeable sur la dépense en 2017 : — les sérums immunisants et immunoglobulines (J06) : 8 % de la dépense les autres produits liés au tractus digestif et au métabolisme (A16) : 5 % ; — les antihémorragiques (B02) : 4 % ; — les antimycotiques (J02) : 3 %.

AGENCES, AUTORISATIONS

Le drame est bien sûr l’autorisation du remboursement de médicaments au service médical rendu nul (ASMR V) ou faible, via les très probables conflits d’intérêts multiples et dénoncés depuis tant d’années.

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Conflits d’intérêts et risques sanitaires13

« L’objet social des firmes pharmaceutiques est, comme pour toute entreprise, de réaliser des profits en vendant un produit. Et elles y excellent : la pharmacie est de loin le secteur industriel le plus rentable. La marge sur les médicaments phares (“blockbusters”) atteint ainsi 80 % (1), selon l’enquête sectorielle réalisée par la Commission Européenne. De surcroît, c’est un secteur peu sensible aux cycles économiques, moins risqué que la plupart des secteurs industriels. Ainsi la valorisation boursière de Roche a augmenté de 8,1 milliards d’euros en 2013, en pleine crise économique. Les actions des firmes pharmaceutiques figurent systématiquement dans les portefeuilles des gestionnaires de fonds, en tant que valeurs “défensives”.

« Cette économie de rente a été rendue possible grâce à la conjonction de deux stratégies : l’évitement du risque de recherche, en chargeant la recherche publique et les PME de tous les risques de recherche fondamentale, et l’éviction du risque réglementaire en capturant les autorités chargées de réguler le secteur (Agence Européenne du Médicament, ANSM notamment).

Le marketing, dont l’essentiel consiste en l’établissement de liens d’intérêts avec les professionnels de santé, est une activité indispensable pour servir efficacement cet objectif. Cette activité est tellement stratégique qu’elle engloutit en France 3 milliards d’euros par an selon un rapport de l’IGAS (Inspection générale des affaires sociales) de 2007. Un chiffre à comparer au déficit de la branche maladie de la Sécurité Sociale, de 4,6 milliards la même année, et qui représente en moyenne pour un laboratoire le double de son investissement en recherche.

Grâce à l’établissement de liens étroits au sein même des autorités de santé — Agence européenne du médicament (EMA) ou Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) pour la mise sur le marché, Comité Économique des Produits de Santé (CEPS) pour la fixation du prix, Direction Générale de la Santé (DGS) pour le remboursement (cf. chapitre 3) — le contrôle réglementaire n’est plus qu’une formalité sans surprise : 95 % des demandes d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) déposées auprès de l’EMA sont accordées. En France, la procédure de dépôt de prix permet à une firme de fixer unilatéralement son prix, même pour une innovation mineure (ASMR IV) ».

D’après la revue Prescrire, entre 2002 et 2016, les nouveaux médicaments : 1 % apportent une avancée réelle, 6 % présentent un avantage, 56 % n’apportent rien de nouveau, 15 % ne devraient pas être autorisés.

ÉVIDEMMENT LES SCANDALES SE SONT MULTIPLIÉS

Mais sans le moindre effet, comme le démontre chaque jour un peu plus le drame des effets secondaires dissimulés des injections géniques Pfizer, laboratoire déjà tellement condamné avant ces pseudovaccins !

Quelques exemples :

En 2007, Merck a sciemment dissimulé les complications cardiovasculaires du Vioxx (rofécoxib) et a payé 4,85 milliards de dollars pour éteindre les actions collectives en justice aux États-Unis.14

En 2012, GSK (GlaxoSmithKline) a payé une amende de 3 milliards de dollars pour avoir notamment dissimulé les effets indésirables de la rosiglitazone (Avandia) à la FDA (Food and Drug Administration).

En avril 2014, une enquête de l’EMA a montré que la firme Roche avait dissimulé des dizaines de milliers d’effets indésirables de plusieurs de ses médicaments.

Récemment, la crise des opioïdes, qui correspond à l’augmentation rapide de l’usage d’opioïdes a déjà fait des centaines de milliers de victimes par overdose, aux États unis principalement et au Canada15.

Le scandale a été sanctionné financièrement : le laboratoire Johnson & Johnson et trois gros distributeurs américains de médicaments ont accepté de payer 26 milliards de dollars pour solder des milliers de litiges16, le cabinet Mac Kinsey 573 millions de dollars pour solder des poursuites judiciaires, mais aussi pénalement avec une peine de cinq ans et demi de prison de John Kapoor, fondateur d’Insys Therapeutics, Reconnu coupable d’association de malfaiteurs17.

ALORS SI LES RESPONSABLES POLITIQUES AVAIENT ÉTÉ EN CHARGE DE LA SANTÉ DES POPULATIONS ET NON PAS DE LA FINANCE MONDIALE, AURAIENT-ILS LAISSÉ FAIRE PFIZER OU MODERNA ?

Le passif judiciaire de PFIZER, c’est un poème à lui tout seul !

La seule solution pour sortir vraiment de la destruction du système de la santé en France (et en Occident) est de lutter contre les conflits d’intérêts et les liens funestes entre industrie pharmaceutique, lobbies auprès des assemblées nationales ou européennes, ONU, etc.. , bureaucratie et dirigeants du monde.

Regardez qui était à Davos et n’a d’ailleurs pas répondu aux questions de journalistes ?

Et qui met en exergue ces conflits d’intérêts dans toutes les manifestations afin que le peuple SACHE ENFIN ?

Comme en Angleterre en ce 22 janvier ?





De guerre en guerre

[Source : histoireetsociete.com]

Le “parti poutinien s’est réveillé en France”, voici comment quelques articles à charge ont salué ce livre en témoignant du fait qu’il n’y avait plus pour ces gens-là (le parti de l’OTAN) le moindre espace de débat d’idées. Sans être même en guerre, le parti de l’OTAN, sa censure, en sont à ressusciter l’index Vatican: : si vous êtes contre la guerre, vous êtes “poutinien”, le mal. En considérant les individus désignés à la vindicte publique, j’ai pensé que le fait d’être juif, surtout si on est athée, peut parfois favoriser un certain courage face à tous les négationnismes. En effet si dans le parti “poutinien”, est-ce un hasard si c’est un descendant de Nizan (Todd), Arno Karsfeld, et maintenant Edgard Morin qui s’élèvent contre la manière dont le bellicisme occidental met ses pas dans ceux du nazisme? En matière de réhabilitation du nazisme, il n’y a pas que l’Ukraine où l’on constate d’étranges complaisances, la réhabilitation y compris en Amérique latine et même en Yougoslavie, en Pologne est allée loin derrière l’OTAN et les USA. Déjà plutôt que de répondre à des faits, comme nous l’avons expérimenté nous-mêmes, le parti de l’OTAN, le négationnisme sans frein, a trouvé sa réponse: le parti “poutinien” se réveillerait. Quelle honte, d’abord aller jusqu’à nier des faits manifestes, ensuite de s’attaquer ainsi à l’honneur de ceux qui osent dans ce consensus indigne défendre leur refus de la guerre, du racisme, de la xénophobie. Je vais me précipiter pour acheter et lire ce livre. En attendant, ce critique qui évoque Romain Rolland lui aussi à sa manière dénonce cet unanimisme qui rappelle les temps sinistres du fascisme, la toute puissance de celui qui crie “Vive la mort” et qui sort son revolver quand on prétend ne pas contribuer à la propagande de guerre. Ces intellectuels-là ont d’autant plus de courage qu’à l’inverse de Romain Rolland, il n’existe plus de parti communiste capable de s’opposer à la guerre fasciste, la lâcheté règne en maître chez les “élites” soumises aux médias. (note de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)

08.01.23 – Paris, France – Alain Refalo

Edgar Morin, que l’on ne présente plus, 101 ans, publie ces jours-ci un livre décapant sur la guerre, plus exactement sur les guerres, celle qu’il a vécue et celle d’aujourd’hui. Résistant, ayant combattu les armes à la main le nazisme, on ne suspectera donc pas le célèbre sociologue et philosophe d’être un « pacifiste », appellation péjorative inlassablement reprise pour discréditer toute personne qui s’élève contre les horreurs de la guerre ou tout simplement contre toute guerre. Et pourtant, ce livre, écrit dans un style incisif, bourré de références historiques précises, est un véritable plaidoyer contre la guerre, celles du passé comme celles du présent, et surtout contre celle, mondiale, qui risque d’advenir.

Son récit commence par rappeler le bombardement par l’armée allemande de la ville de Rotterdam auquel ont répondu, au nom de la lutte contre l’ordre nazi, les bombardements de plusieurs villes allemandes, faisant des centaines de milliers de morts. Il précise que « lors du débarquement allié en Normandie, soixante pour cent des morts civiles normandes furent dues aux bombardements libérateurs.  C’est bien plus tard, précise-t-il, – depuis l’invasion de l’Ukraine – que monta en moi la conscience de la barbarie des bombardements accomplis au nom de la civilisation contre la barbarie nazie ». Pour ma part, c’est la première fois que j’entends un penseur français dénoncer la « barbarie » des bombardements des Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale. Edgar Morin considère qu’il s’agit bien là de « crimes de guerre systémiques ». Ce qui l’amène à conclure que « si juste que fut la Résistance au nazisme, la guerre du Bien comporta du Mal en elle. »

Remontant dans le temps, Morin évoque « l’hystérie de guerre » survenue durant la Première Guerre mondiale, constituée de « la haine de l’ennemi et de sa totale criminalisation ». Il remarque que « le mensonge de guerre est l’un des aspects les plus odieux de la propagande de guerre ». Passant en revue quelques-uns de ces mensonges de l’Histoire, en URSS et en Chine, Morin ne peut que constater que « toute guerre, y compris l’actuelle, favorise des mensonges de guerre plus ou moins énormes ».

Son indignation se veut plus insistante quand il dénonce la criminalisation de tout un peuple que l’on retrouve en période de guerre. Il précise qu’il a « toujours rédigé des tracts clandestins antinazis, jamais antiallemands ou antiboches ». Cette criminalisation est un fait marquant et continu de l’histoire des nations en guerre. Elle entraîne les pires crimes contre les civils commis par des soldats, en toute légitimité et en toute impunité. Morin est catégorique : « Toute guerre, de par sa nature, de par l’hystérie qu’entretiennent gouvernants et médias, de par la propagande unilatérale et souvent mensongère, comporte en elle une criminalité qui déborde l’action strictement militaire ». C’est ce que les « pacifistes » ont toujours dit…

Morin n’est pas en reste avec la guerre actuelle. S’il condamne les manipulations, les mensonges et les crimes de guerre commis par les Russes en Ukraine, il remarque qu’en Ukraine, « la prohibition de la littérature russe, Pouchkine, Tolstoï, Dostoïevski, Tchekov, Soljenitsyne compris, est un signe très alarmant d’une haine de guerre non seulement contre un peuple, mais également contre sa culture ». Notre solidarité avec l’Ukraine ne doit pas nous aveugler, au point d’occulter les mensonges et les manipulations à l’œuvre aussi dans ce pays agressé.

Edgar Morin poursuit son regard sur les guerres passées et présentes en soulignant son expérience des « radicalisations qui ont déclenché le pire des atrocités de guerre et se sont terminées par les issues les plus tragiques ». Que ce soit en ex-Yougoslavie ou en Palestine, il montre que la radicalisation est indissociable de la criminalisation qui ne peut qu’engendrer des horreurs incommensurables. Tout particulièrement, il évoque la guerre d’Algérie, en précisant le rôle historique de la France dans le déclenchement des évènements et leurs développements meurtriers jusqu’à aujourd’hui. En Ukraine, selon Morin, les mêmes processus sont à l’œuvre faisant craindre « une nouvelle guerre mondiale ».

Dans son analyse de l’histoire récente de l’Ukraine, Morin est bien obligé de constater les parts d’ombre qui existent dans les choix effectués par les dirigeants ukrainiens, souvent sous l’influence grandissante des États-Unis. Ainsi comment ne pas être choqué par la décision de la municipalité de Kiev, après la révolution de 2014, de débaptiser l’avenue « de Moscou » pour l’appeler avenue « Bandera », du nom du nationaliste ukrainien qui approuva l’extermination des Juifs de Kiev en 1941. Aujourd’hui encore, Edgar Morin remarque qu’il existe « une complaisance au banderisme, et surtout une hystérie hypernationaliste antirusse qui a prohibé la langue, la littérature, la musique russes ».

Son livre se termine par un vigoureux plaidoyer pour la paix, avec des accents qui rappellent les exhortations lucides de Camus durant la guerre d’Algérie. Il s’étonne d’ailleurs que « si peu de voix s’élèvent dans les nations les plus exposées, en premier lieu européennes, en faveur de la paix ». Edgar Morin est particulièrement sévère envers ceux qui font la guerre par procuration, en livrant des armes, tout en étant sûr qu’elle ne les affectera pas sur leur sol. « Parler de cessez-le-feu, de négociations, est dénoncé comme une ignominieuse capitulation par les belliqueux, qui encouragent la guerre qu’ils veulent à tout prix éviter chez eux ». La négociation est désormais une priorité. D’ailleurs, Morin voit des signes de « réalisme » des deux côtés, y compris chez Poutine.

« J’ai écrit ce texte pour que ces leçons de quatre-vingt années d’histoire puissent nous servir à affronter le présent en toute lucidité, comprendre l’urgence de travailler à la paix, et éviter la tragédie d’une nouvelle guerre mondiale », nous dit Edgar Morin dans son ouvrage. C’est un livre éminemment pédagogique, autant pour les jeunes générations que les anciennes. Edgar Morin propose un regard neuf, original et salvateur sur la guerre en Ukraine à l’aune de sa propre expérience, de ses recherches, de sa grille de lecture toujours aussi féconde. Loin de la pensée unique qui s’exprime dans les médias toujours préoccupés de commenter la guerre « en direct », Morin, avec tout le recul nécessaire, nous invite à décentrer notre regard pour voir autrement l’événement qui s’inscrit dans une continuité historique qu’il expose avec brio.

On ne peut donc que conseiller la lecture de cet ouvrage, ni pessimiste, ni optimiste, mais profondément réaliste. Il y a urgence, clame Morin : « Cette guerre provoque une crise considérable qui aggrave et aggravera toutes les autres énormes crises du siècle ». La paix dans la justice, dans la reconnaissance mutuelle, tel est le combat prioritaire d’aujourd’hui. Car « plus la guerre s’aggrave, plus la paix est difficile, plus elle est urgente ». Comme Romain Rolland en son temps, Edgar Morin se situe au-delà de toutes les haines pour penser un avenir délivré de la malédiction de la guerre. Il nous invite à agir lucidement et vigoureusement en faveur d’une paix juste et durable en Europe.

L’article original est accessible ici


Alain Refalo
Militant de la non-violence et de l’écologie depuis 35 ans, cofondateur du Centre de ressources sur la non-violence de Midi-Pyrénées (en 2003). Professeur des écoles depuis 1990, Initiateur, en octobre 2008, du mouvement des enseignants-désobéisseurs du primaire pour résister aux attaques portées contre l’école de la République.

https://alainrefalo.blog/




N’ayez pas peur, le Grand Reset de Davos n’aura pas lieu !

[Publié initialement sur RL]

Par Nicole Delépine

Merci à la mathématicienne et enseignante Karen Brandin, pour son nouvel appel à sauvetage des jeunes actuellement sacrifiés sur tant de plans, en particulier éducatifs, mais aussi sociaux, culturels, etc..

La tribune https://nouveau-monde.ca/des-machines-et-des-profs/ appelle à écho par des témoignages et propositions d’autres professeurs, mais aussi d’élèves, parents, intellectuels, artisans, ouvriers, etc. afin que se lève un grand mouvement de protestation et surtout de reconstruction, sur des bases fondamentales, de l’ÉCOLE, que de nombreux « vivants » connaissent encore et ont animé, et seraient encore capables rapidement de remettre sur pied.

La grande table rase du Grand Reset n’est pas inéluctable et n’aura pas lieu(([1] « Ce projet est le Great Reset (réinitialisation) selon lequel il faut rebondir sur le Covid, pour révolutionner l’économie, la société et gouvernance du monde. Comme, hors du monde occidental, personne ne prend au sérieux ces perspectives, c’est un véritable programme d’autodestruction que les auteurs veulent imposer à l’Europe. L’auteur s’attache à démonter une à une les hypothèses et les propositions de Davos, le principal danger qui menace aujourd’hui le monde » Le Grand Reset n’aura pas lieu – broché – Roland Hureaux – Achat Livre ou ebook | fnac.))

Au moins si nous le décidons.

Contrairement à ce que voudraient les défenseurs du Grand Reset et singulièrement les milliardaires de Davos qui pensent qu’en se protégeant avec 5000 policiers pour 2500 participants, ils auront les moyens de faire taire près de huit milliards d’individus sur terre (même en ayant sacrifié un bon nombre via les injections volontairement funestes), ILS SE TROMPENT.

Non, il faut que chacun d’entre nous arrête de croire que le pire est inévitable, inéluctable et que l’ancien monde civilisé (si riche de différents types de civilisations) va nécessairement disparaître, parce que quelques sbires richissimes déversant leurs milliards sur quelques fous faciles à trouver qui déboulonnent statues et monuments l’ont décidé, tout en tentant de se protéger eux-mêmes et leurs familles des dangers diffusés largement sur les populations.

Rappelons à cette occasion que Bill Gates n’a jamais vacciné ses enfants et que les participants à Davos viennent en jet privé piloté par des pilotes indemnes de l’injection covid(([2] Un pilote révèle : L’élite veut être pilotée par des pilotes non vaccinés – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) )). On a eu récemment la confirmation de distribution d’injections anticovid via des lots répertoriés et différents dont certains réservés à l’élite étaient, semble-t-il, sans effet(([3] https://nouveau-monde.ca/la-drole-de-repartition-des-injections-selon-catherine-austin-fitts/)).

Comme l’explique clairement Roland Hureaux (ibid 1), il ne faut pas confondre prévision avec prophétie autoréalisatrice qui conduit à penser qu’on ne peut plus rien faire, qu’ils sont « trop forts » qu’ils vont forcément gagner… et donc effacer de la terre toutes ces « bouches inutiles » et rester entre eux, entre pervers narcissiques pour profiter des biens de ce monde.

Quelle suffisance et quelles vanités, qui leur font oublier le principe de réalité ! Non, vouloir tuer des milliards de personnes avec une injection poison n’a pas marché, même si elle a réussi à en supprimer des millions et en rendre handicapés à vie d’autres millions… Ils peuvent espérer l’injecter dans quelques années via des poissons « vaccinés » ou les disperser via des nuages déversés par des avions complices ou trompés, ils ne pourront qu’échouer. Le génome constitué en milliards d’années avant de devenir celui d’un humain est probablement beaucoup plus solide que ces disciples de Satan ne l’imaginent.

Il ne suffit pas d’être cruel pour être efficace sur de larges populations. Les chimères chinoises n’ont pas survécu plus que les hommes-chèvres ou autre invention maléfique.

Le projet du Grand Reset consistait à faire disparaître tout ce qui existait « avant » : nos cultures, nos monuments, tout notre patrimoine,(([4] Qu’y gagne Mme Bachelot ancienne ministre de la Santé puis de la « culture » pour oser envisager de détruire nos églises pour dix milliards d’euros ? Son poste peut-être ? Quelle tristesse !… Nos églises sont notre culture bimillénaire et cette tentation qui rappelle celle des talibans en Syrie et ailleurs fait trembler l’athée que je suis car cela n’a aucun rapport avec nos croyances ou non-croyances, mais avec le patrimoine de l’Humanité comme les pyramides égyptiennes ou les temples chinois, etc.)) notre Histoire, jusqu’à l’héritage de nos grands écrivains et penseurs, de Victor Hugo à Stendhal, etc……..Qui est cet animateur de radio cancel qui souhaitait détruire le château de Versailles ?

Cette volonté de faire disparaître ce qui existait avant elles est la marque des idéologies totalitaires et des extrémistes religieux : chrétiens des premiers siècles qui ont martelé les fresques de la religion pharaonique, islamistes d’Afghanistan qui ont dynamité les bouddhas de Bamiyan, nazis qui ont brûlé les livres…

L’outil théorie du genre de la cancel culture pour détourner l’attention

Et la « cancel culture » venue directement des USA n’a d’autre objectif que de faire disparaître, familles, homme, femme, enfant. L’épouvantable « théorie du genre » qui agresse nos enfants(([5] « la théorie du genre agresse nos enfants, appel à la résistance » coll. avenir de la culture.)) se répand comme une peste intellectuelle depuis quelques années et s’introduit dans nos écoles. Des militants fanatiques tentent d’imposer chez nos jeunes enfants l’idée que le sexe de naissance n’a aucune importance et que dès le plus jeune âge, il appartiendrait à chacun de décider d’être femme ou homme, en fonction de l’envie du moment et que ce serait possible sans les informer que le taux de suicide des transgenres atteint 40 % (20 fois plus élevé que celui de la population hétéro sexuelle).

Il existe aux USA des « camps » transgenres pour petits garçons et, surtout dans le monde occidental dont la France, se multiplient les structures dites médicales qui consistent à prendre en charge un petit dès 3 ou 4 ans pour aller dans le sens de son désir présent, quitte à le mutiler définitivement par des gestes chirurgicaux abusifs et des injections hormonales dont les effets ne seront pas ou très peu réversibles. Business is business et de l’idéologie woke bien adaptée au marketing médical financièrement très rentable.

Comme pour l’ensemble des conséquences de l’idéologie woke, rien n’est perdu et nous devons refuser la prophétie autoréalisatrice que nous imposent les médias aux ordres, eux aussi très bien subventionnés. Près de quatre milliards d’euros de subventions à l’audiovisuel public selon le récent coup de gueule de Cyril Hanouna sur C8 menacé par la ministre de la « Culture » franco-libanaise qui prévoit de le priver d’antenne. Car bien évidemment le wokisme ne peut s’imposer qu’à l’aide d’une propagande et d’une censure forcenée dont RT France et France Soir sont déjà des victimes expiatrices. Mais la prise en main de Twitter par Elon Musk a jeté un sacré pavé dans la mare.

Ainsi comme le suggère Karen Brandin, défendons nos enfants, et adolescents et exigeons de revenir à un enseignement de qualité dispensé par des humains capables de « sentir » et ressentir le vécu de l’élève pour le mettre sur la bonne voie. À l’évidence cette résistance à la négation de l’humain dans l’acquisition du savoir doit se développer, tant dans les matières dites scientifiques que pour la philosophie et l’histoire géographie, et bien évidemment les langues étrangères, mais aussi les langues mortes dont ceux qui ont pu en bénéficier (avant notre génération de boomers…) en disent tant de bien. Et ce ne semble pas être que de la nostalgie.

Nicole Delépine





Big Pharma et ses influenceurs !

Par Claude Janvier

« Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir ».

Jean de la Fontaine. Extrait de la fable, « Les Animaux de la peste. 1678 ».

L’Ozempic est un antidiabétique. Son concepteur, le laboratoire Danois Novo Nordisk, aimerait bien le hisser en haut du podium des jeux presque du même nom. Sa substance active est la Sémaglutide. Des « influenceurs » dans les réseaux sociaux n’hésitent pas à vanter ses mérites pour la perte de poids.

En effet outre-Atlantique, l’Ozempic est utilisé comme coupe-faim et conseillé comme tel. Sa communication virale — terme à la mode — finit par provoquer des tensions d’approvisionnement pour les patients diabétiques.

Le laboratoire Danois Novo Nordisk figure à la 6e place des entreprises pharmaceutiques dans le monde en termes de valeur marché. Il est spécialisé dans les traitements contre le diabète, mais aussi dans l’hémostase, l’hormone de croissance, les traitements hormonaux et l’obésité.

La Sémaglutide permet donc de soigner le Diabète de type 2. Jusque-là, tout va bien, mais elle permet aussi de maigrir, car elle coupe la faim. Elle permet donc de réduire la glycémie, le poids corporel et la masse grasse. Capricieuse molécule…

Comme trop souvent, dès que l’on creuse un peu, ça sent le gaz. Dans un article de « Trust my Science du 8 juin 2021 », ayant pour titre : « Un traitement contre le surpoids et l’obésité ultra-efficace approuvé par la FDA », le traitement miraculeux coûte une « blinde » — 1300 $ par mois —, et les effets secondaires sont des nausées, des diarrhées et des douleurs abdominales.

Toujours dans le même article, il est écrit et je cite :

« Novo Nordisk est aussi l’un des trois principaux fournisseurs mondiaux d’insuline, dont le prix a été multiplié par trois ces dix dernières années aux États-Unis, sans raison objective, passant de 230 dollars en 2010 à 730 dollars par mois aujourd’hui ! À tel point que des millions de diabétiques américains ne peuvent plus se soigner ».

Toujours aussi sympathique les labos. Décidément, il n’y en a pas un pour racheter l’autre.

Mais revenons aux influenceurs des Réseaux Sociaux. Le Quotidien du Pharmacien du 1er décembre 2022 consacre deux pages à ce sujet. Article de David Paitraud, ayant pour titre : Ozempic : le jeu dangereux des influenceurs.

Extraits :

« Depuis plusieurs mois, les propriétés coupe-faim de l’antidiabétique Ozempic (Sémaglutide) font l’objet d’une communication virale, et son détournement à des fins amaigrissantes sauvagement promu sur les réseaux sociaux provoque des tensions d’approvisionnement délétères pour les patients diabétiques. Le phénomène n’épargne plus la France. »… « Lorsque le patient m’a présenté son ordonnance d’Ozempic, 1 mg, à la posologie d’une injection par semaine, plusieurs éléments m’ont interpellée », se souvient Morgane Le Du, pharmacienne à la pharmacie Lafayette Colombia de Rennes. Sur la prescription établie par un médecin généraliste spécialisé en nutrition, ce dernier avait pris le soin d’ajouter la mention « prescription d’Ozempic car intolérance à la metformine ». « Le patient n’avait pas d’ALD — affection longue durée — pour le diabète ; il m’a confirmé ne pas être diabétique et ne jamais avoir pris de metformine. En revanche, il prenait Ozempic depuis plusieurs mois, pour perdre du poids. »

Le pharmacien semble être devenu le garde-chiourme des ordonnances médicales. Sonnez buccins et trompettes, une de leur nouvelle mission est de faire obstacle à la fraude à l’assurance-maladie. Vu le trou vertigineux de cette dernière — 19,7 milliards en 2022(1) —, c’est inefficace et totalement inutile.

Bien que Novo Nordisk se garde bien dans ses déclarations d’encourager les influenceurs, « — Quotidien du Pharmacien, même article sur l’Ozempic : Novo Nordisk n’encourage ni ne promeut l’utilisation de ses médicaments en dehors des indications pour lesquelles ils sont homologués » —, il n’en reste pas moins que les VRP de la Sémaglutide s’en donnent à cœur joie. Les qualificatifs employés sur Tik Tok ou Twitter vantant la perte de poids s’envolent : « Fantastique, magique, miraculeux… »

L’univers de la communication et de la propagande est à géométrie variable. Tout est permis quand vous êtes du « bon côté ». Pas de censures, pas de risques d’exclusions des réseaux sociaux, pas de plaintes déposées par les labos, pas de mise en garde des GAFAM. Même la publicité pour « Copenhague Pride » est vantée dans la page Facebook de Novo Nordisk. Extrait : « 20 août 2022 : plus de 500 collègues se joignent au défilé de Copenhague Pride pour célébrer la diversité, l’inclusion et l’amour. Tant de joie dans les rues. Souvenons-nous de cela tous les jours et transformez-le en action pour tous. » Récupération quand tu nous tiens !

Novo Nordisk condamne d’un côté et empoche de l’autre. Cynique business. En revanche, quand des lanceurs d’alertes et des médias libres et indépendants essayent de faire connaître leurs légitimes revendications, enquêtes et investigations précises sur les réseaux sociaux, curieusement les ennuis s’accumulent. Peu ou pas de visibilité, comptes supprimés, censures omniprésentes, etc. Dormez bien, braves gens. Les censeurs veillent au grain.

Il y aurait à peu près 100 000 influenceurs en France. Mais qu’est-ce qu’un influenceur ? Ce terme désigne toute personne qui dispose d’une notoriété sur une thématique spécifique au travers du web et notamment dans les réseaux sociaux.

« Être du bon ou du mauvais côté ? » Éternelle question qui concerne le vaste sujet du bien et du mal. Le bien se définit dans la construction positive avec un minimum de destruction. Recette simple, explicite et vérifiable.

Donc, en laissant le champ libre ou presque à leurs influenceurs VRP, Novo Nordisk et d’autres laboratoires pharmaceutiques peuvent mettre en danger la vie d’autrui, tout en empochant des bénéfices juteux. Comme trop souvent, le risque est minimisé et le dividende est roi.

Censures impitoyables d’un côté, tolérance de l’autre. L’impartialité et l’honnêteté semblent être deux concepts surannés.

Claude Janvier
Écrivain, essayiste. Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du « Virus et le Président » et de « Covid-19. Le bilan en 40 questions ». IS Édition https://www.is-edition.com/




« Coïncidence » et injection funeste…

Par Nicole Delépine

Nier l’évidence des dangers des injections géniques anticovid appelées abusivement vaccins pour poursuivre les campagnes d’injections a conduit à des articles délirants dans les médias du monde entier.



[La vidéo correspondante sur YouTube a été censurée :
https://youtu.be/Kz2ZQD_cwpk 1]

Difficile d’imaginer que cette vidéo n’est pas un gag, mais elle se contente de rassembler quelques-uns des délires mondiaux publiés par des journaux anciennement sérieux pour nier la responsabilité de l’injection génique dans les décès observés après injection anticovid, particulièrement chez les jeunes.

Mort après injection, ce n’est pas l’injection, mais une coïncidence ou la pizza !

Vous apprendrez aussi que tel étudiant est mort après avoir réussi aux examens, tel autre après la sieste ou la douche, voire le désespoir, mais aussi le rire et les plaisanteries, ou encore avoir tourné la tête trop vite… L’augmentation de la facture d’énergie, voire le partage inégal des tâches ménagères ou encore s’endormir avec la télévision allumée… pourrait provoquer crise cardiaque et accident vasculaire cérébral.

Vidéo :

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Alors médias de tous pays, de toute orientation politique cessez de publier ces informations grotesques, refaites du journalisme, informez objectivement afin que cesse définitivement ces injections parfois mortelles ou handicapantes à vie. Cessez la propagande de ce déni afin de sauver des vies de jeunes non encore injectés, et leur fertilité, que notre planète reste peuplée d’humains ayant échappé aux injections.

Et interrogez sans relâche nos dirigeants pour qu’ils cessent de cacher les vrais chiffres de mortalité selon le statut vaccinal !

Pierre Chaillot : « On n’a toujours pas accès aux statuts vaccinaux des morts du Covid-19 »

#SudRadio

Et honte aux dirigeants de Facebook pour la censure féroce qu’ils ont instaurée !

Quant à vos amis, vos proches injectés inquiets qui se réfugient dans le déni, tentez de les aider en les déculpabilisant et en leur conseillant une consultation chez un cardiologue honnête… (ça existe) ou au moins une prise de sang recherchant l’élévation des dimères. La découverte de petits signes anormaux permettrait un traitement précoce des complications possibles. Faire l’autruche n’a jamais sauvé personne. Les anticoagulants contre les phlébites oui !

Quant aux médias je ne peux que partager ici l’appel à la libre Belgique qu’on peut adresser à tous nos journaux, éditorialistes, commentateurs :

« À l’attention de la rédaction
De La Libre Belgique
(À Messieurs le Hodey, de Méeûs, Van de Woenstijn, Pierrard, Ducarme et Ghislain).

*LE SCANDALE PREND DE L’AMPLEUR… *

De partout, des rumeurs d’une profonde tristesse font état de décès suspects de plus en plus nombreux, morts subites, accidents ou décès cardiaques aggravés (principalement en population jeune), et d’effets secondaires très graves et variés, tous liés aux différentes campagnes d’injections à répétition contre le Covid et pratiquées à l’échelle planétaire.

Les statistiques officielles semblent converger dans l’ensemble des pays ayant fortement “vacciné” vers des taux de surmortalité de 15 à 19 %.

Comme cette vidéo tournée cette semaine à Davos le confirme, cela commence à sentir le roussi pour les principaux responsables de toute cette campagne où on a avant tout brassé des milliards d’argent public pour enrichir une clique d’industriels et politiques sans scrupule.

Aujourd’hui, Albert Bourla, Ursula von der Leyen et Fauci ; demain : les politiques et gouvernements, les médecins et experts de plateau complaisants ou corrompus… Après-demain : la presse et les médias qui n’ont pas joué leur rôle de contre-pouvoir et se sont couchés devant les ordres venus d’en haut, en faisant taire de l’information capitale (mais dérangeante, car risquant probablement de mettre à mal des subsides bienvenus)…

Ce qui se passe en ces moments troublés est capital et va prendre de l’ampleur : plus rien n’arrêtera ce qui a toutes les allures du futur plus grand scandale sanitaire et de santé publique de tous les temps.

Le judiciaire commence à être interpellé massivement dans tous les pays du monde et les cas innombrables de dégâts irrémédiables à la santé des personnes ou décès d’innocents liés à ces produits expérimentaux vont accentuer le phénomène de manière irréversible dans tous les pays.

Franchement, cela pue comme jamais depuis la libération de 1945 et l’épuration qui a suivi…

Les gens censés, et ils sont nombreux à avoir gardé (ou récupéré) leur bon sens, se rendent parfaitement compte du grand scénario qui se joue depuis trois ans et de la grande escroquerie de santé publique qui a été infligée aux populations du monde entier…

Nous pourrions écrire trois bouquins sur toutes les mesures et expérimentations débiles qu’on a fait subir aux populations… Mais heureusement, cela a déjà été fait par de grands noms de la médecine mondiale qui malgré la censure honteuse des principaux médias et autres fact-checkers corrompus à leur égard ont permis à une bonne partie de la population de garder le cap face à cette immense dérive “sanitaro” — hystérique.

Honneurs et remerciements leur soient rendus, infiniment… Ces courageux hommes et femmes d’exception nous ont permis de garder la foi dans l’Homme et la Vérité, face à ce déluge de mensonges politico-médiatiques.

Par contre, et même si c’est fort tard, il est urgent que des journaux comme le vôtre, qui porte de plus un nom prédestiné, refassent un travail sérieux et correct de réinformation.

Ce n’est pas la première fois qu’on vous écrit, mais l’absence d’articles et d’informations fiables dans vos colonnes sur tout d’abord les moyens de prévention simples et efficaces de lutte contre le virus, et puis maintenant à propos des graves effets secondaires de ces “vaccins” est inadmissible. Ce silence (omerta diront certains) soulève d’énormes questions, et révolte un nombre croissant de citoyens médusés.

On a trop caché, menti, omis (concernant le libre consentement, entre autres), et l’eau dans la marmite est en train de bouillir.

Mais sachez qu’un nombre immense de grenouilles ont sauté à temps de la casserole et ont compris : elles ne se laisseront plus faire ni s’entendre dire des mensonges ou propos débiles, car une fois la sidération passée, on se rend compte de l’ampleur irréversible des dégâts…

Puissions-nous vous conseiller, Messieurs, de faire preuve de courage et de rester du bon côté de l’histoire, au risque de faire perdre définitivement à votre journal la bien maigre crédibilité qui lui reste.

Vous remerciant d’avoir pris la peine de lire ces quelques lignes inspirées par un rejet profond de l’ambiance de mensonge dans lequel baigne une partie de l’élite occidentale d’aujourd’hui,

Bien cordialement,

Wauthier Dumont de Chassart »

À voir : la tentative d’interview de Burla, directeur de Pfizer

Les journaliste Ezra Levant et Avi Yemini lui posent des questions gênantes. Il ne veut pas répondre :

« Depuis quand saviez-vous que ce vaXin ne protégeait pas contre la transmission ? »

« Pourquoi l’aviez-vous caché ? »

« Allez-vous demander pardon (pour ce que vous avez fait) ? »

« Qu’en est-il des [morts subites] ? »

« Qu’avez-vous à dire au sujet des jeunes personnes victimes de crises cardiaques ? »

« Combien d’argent avez-vous gagné à titre personnel ? »

« À qui avez-vous versé des commissions ? »

(etc., etc. )

« LA HONTE SUR VOUS, LA HONTE SUR VOUS ! »

https://crowdbunker.com/v/xEymPoz8hU

Pour voir la vidéo en français :





Quand Laurent Alexandre décrivait le projet d’Elon Musk de greffer des implants dans les cerveaux de nos enfants

[Source : medias-presse.info]

Ceux qui se laissent aujourd’hui subjuguer par Elon Musk sous prétexte qu’il semble avoir mis fin à la censure sur Twitter feraient bien d’écouter la description que faisait Laurent Alexandre du projet Neuralink d’Elon Musk. C’était au Global Positive Forum à Paris en 2017. Il y soulignait que, conformément aux plans d’Elon Musk, la plupart des gens finiront par accepter que l’on greffe des implants dans les cerveaux de nos enfants et petits-enfants.

[Voir aussi :
Le grand jeu : Elon Musk et Twitter]




Le grand jeu : Elon Musk et Twitter

[Source : kla.tv via RI]

Un commentaire de Ernst Wolff

Le rachat de Twitter par Elon Musk suscite des réactions dans le monde entier. Les médias traditionnels lui tombent dessus. En revanche, des millions de fans de Musk célèbrent leur héros. Mais peu de gens se doutent de ce qui se cache vraiment derrière le rachat de Twitter…

Sur sa chaîne YouTube, le célèbre expert économique et financier allemand Ernst Wolff fait constamment la lumière sur le monde opaque de la finance mondiale grâce à ses contributions et ses interviews. Les relations complexes y sont réduites à l’essentiel et expliquées de manière compréhensible, même pour les profanes. Dans la rubrique « Le commentaire actuel », Ernst Wolff prend également position sur des sujets d’actualité et montre les dessous et les contextes dont on ne parle pas dans les médias grand public. Voici un commentaire sur Elon Musk et Twitter :

Le rachat de Twitter par Elon Musk suscite des réactions dans le monde entier. Les médias traditionnels lui tombent dessus parce que celui-ci a annoncé qu’il n’exercerait plus de censure et parce qu‘ils craignent désormais un déluge de fake news. En revanche des millions de fans de Musk célèbrent leur héros comme le sauveur de la liberté d’expression. Manifestement les deux groupes ne remarquent pourtant pas que leurs attitudes respectives les rendent victimes de la tendance la plus dangereuse de notre époque. La division de la société !

Essayons d’analyser tout cela froidement et voyons d’abord de qui il est question avec Elon Musk.

Musk est l’un des fondateurs de PayPal. PayPal, dont les principaux actionnaires sont BlackRock et Vanguard, fait actuellement l’objet de plusieurs procédures judiciaires, car l’entreprise aurait escroqué des clients et attiré des investisseurs avec des fausses déclarations.

Musk a fondé SpaceX et Starlink en 2002. Avec près de 2600 satellites, Starlink est de loin le plus grand opérateur de satellites au monde et est utilisé entre autres par le régime corrompu d’Ukraine pour faire la guerre.

Musk est depuis 2008 le PDG du groupe automobile TESLA, dont les principaux actionnaires sont également BlackRock et Vanguard. Quiconque achète une voiture électrique Tesla accepte que la voiture télécharge les données de conduite dans le cloud du constructeur. Ceux qui souhaitent éviter cette collecte de données en modifiant leur véhicule recevront un avertissement de la part des avocats de Tesla pour violation de licence.

Les entreprises d’Elon Musk, Tesla, SolarCity et SpaceX, ont reçu près de 5 milliards de dollars d’aides publiques rien que jusqu’en 2015. Musk n’est donc pas un adversaire, mais un partenaire et un profiteur de l’État.

Musk a suivi en 2008 la formation de Young Global Leader dans le cadre du Forum économique mondial, qui promeut le partenariat public-privé dans le monde entier.

Musk a fondé en 2016 la société Neuralink. Son objectif transhumaniste consiste à développer un dispositif de communication entre le cerveau humain et les ordinateurs, appelé Brain-Computer-Interface (Interface Ordinateur-Cerveau).

Ce ne sont là que quelques informations sur les activités d’un homme qui sait mieux que quiconque se mettre en scène comme quelqu’un qui nage à contre-courant et qui a promis de faire de Twitter un « marché de la liberté d’expression ».

Mais qu’est-ce qui sous-tend la décision de Musk de racheter Twitter ? De toute évidence, c’est le projet de faire de Twitter un prestataire de services financiers et d’émettre une monnaie privée par son intermédiaire, ouvrant ainsi un tout nouveau secteur d’activité. Musk a déjà racheté en 2017 le domaine X.COM, qui avait été fermé en 2002 à la suite de son acquisition par PayPal, et a annoncé vouloir rendre Twitter payant. De cette manière, il obtient ce qui l’intéresse le plus, à savoir les données de ses utilisateurs. PayPal vient de montrer à quoi on peut s’attendre : En octobre 2022, l’entreprise a informé ses clients qu’en cas de diffusion de fausses informations, ils s’exposaient à des amendes pouvant aller jusqu’à 2 500 dollars, à des blocages de comptes pouvant aller jusqu’à 180 jours, et même à la rétention de la totalité de leurs avoirs.

Que signifie tout cela ? Ni plus ni moins qu’un faux conflit a été déclenché avec la discussion sur le thème de la liberté d’expression. Celui-ci – à l’instar de la grande crise sanitaire de ces dernières années – contribue de manière remarquable à détourner l’attention de l’opinion publique mondiale des évènements les plus importants qui se déroulent en arrière-plan : la concentration toujours plus grande d’argent et de données dans un nombre toujours plus restreint de mains et la subordination de nous tous au complexe numérico-financier.




Danger mondial — Franc-maçonnerie de haut grade

[Source : Kla.tv]

[ou sur YouTube :]

Dans cette émission, les énergies criminelles et les magouilles de la franc-maçonnerie de haut niveau sont mises en lumière. Il ne s’agit toutefois pas de remettre en question leur bienfaisance dans les trois grades symboliques de base.

Mais ces grades d’apprentis et compagnons, etc., incarnés par les petits frères des loges johanniques, du Rotary, du Lions Club, etc. remplissent, pour la franc-maçonnerie de haut niveau le même but que celui de la farine et de la craie pour le loup dans le conte avec les sept chevreaux.

Les explications suivantes sont nées en réponse à un cri de détresse des francs-maçons de haut niveau. Ceux-ci ont rompu leur secret, poussés par l’extrême urgence, pour lancer un avertissement urgent à la population mondiale. Avant de se retirer, ils ont compilé pendant des années, des milliers de documents explosifs comme preuves. Cela doit démontrer que ce qui n’était jusqu’à présent qu’une thèse pour les lanceurs d’alerte indépendants, n’est absolument pas qu’une thèse. Ils demandent donc à la communauté mondiale de stopper à temps les groupes secrets qu’ils ont dévoilés, car ils ont compris trop tard que ceux-ci travaillaient à une catastrophe mondiale cruelle et délibérément orchestrée, qui ne pourrait pas être plus sanglante.

Le but de cette catastrophe mondiale serait l’établissement d’une dictature mondiale extrêmement draconienne, qui convoite pour elle-même un reste de sujets humains complètement privés de droits et de pouvoir. Ce n’est qu’après d’extrêmes querelles internes, des divisions et des luttes de pouvoir, lorsque les repentis ont réalisé que l’aile du plus haut grade, sujette à un extrémisme malveillant, disposait désormais de tous les moyens nécessaires pour mettre en œuvre ce plan odieux, qu’ils ont commencé leur travail de dénonciation impitoyable. Ces francs-maçons de haut niveau qui se sont retirés garantissent à la communauté mondiale qu’il ne s’agit pas de simples théories du complot, mais bien de véritables faits de conspiration, qu’il faut absolument dévoiler en unissant nos forces – et des projets inimaginables, dangereux pour la société, omniprésents, à l’échelle mondiale ! Pour protéger leur recueil de faits, fruit de plusieurs années de travail, ils l’ont fait sceller partout dans le monde sous contrôle juridique et notarial. Aussi au cas où ils seraient poursuivis juridiquement pour leurs témoignages, ce qui n’est pas encore arrivé.

En clair, si on tatouait le symbole de la franc-maçonnerie sur le front de chaque franc-maçon qui se trouve à un levier de commande quelconque, oui, on pourrait rendre visibles les francs-maçons qui se sont infiltrés dans les hautes sphères de notre société. Les peuples seraient choqués alors de constater qu’ils se sont emparés de presque tous les leviers de commande. Ils ne maîtrisent pas seulement l’ensemble du système d’information, de communication et des finances, nos services secrets, nos armées et nos politiciens ; ils dominent également l’économie mondiale, le système de santé mondial, Big-Pharma ; les autorités de surveillance de toutes sortes, l’immense majorité des médias grand public, une grande partie de la culture, en particulier le cinéma, la musique et l’audiovisuel, la télévision, l’espace, etc. Grâce à leurs réseaux secrets et d’entraide mutuelle, ils ont pu s’enrichir en échappant à tous les services fiscaux et acquérir ainsi une telle position de toute-puissance qu’ils ont réussi à s’emparer de la totalité du complexe numérico-financier, c’est-à-dire des principaux flux du capital mondial, et à les soumettre à leur contrôle de fer. Par le biais d’innombrables crises financières manipulées, de dangers de toutes sortes dans un climat de panique simulé, de grands projets bidons et de milliers d’agissements hypocrites et apparemment désintéressés, ils ont pu engranger des bénéfices de crise insoupçonnés, se hisser à la tête de toutes les conquêtes techniques, scientifiques, militaires, etc. Comme les métastases mortelles d’un cancer, ils ont pu s’introduire jusqu’au plus profond des juridictions et de tout ce qui peut être appelé système de sécurité, etc., s’insinuer partout, sans failles !

L’infiltration est tellement avancée qu’il faut partir du principe que toutes les menaces récemment esquissées dans la panique ne sont qu’un jeu de dupes de ces frères de la loge mondiale, qui souhaitent par ce biais imposer leur nouvel ordre mondial, c’est-à-dire leur propre domination du monde. Pour ce faire, ils utilisent notamment les armes météorologiques désormais bien connues, ou les substances cultivées dans leurs propres laboratoires, qui sont à l’origine de toutes les épidémies. La peste porcine, la grippe aviaire, la maladie de la vache folle, la maladie de la langue bleue, la plandémie des chauves-souris appelée SARS-CoV-2 et la variole du singe, etc.

Cette étude fournit des preuves dramatiques qui appuient la thèse selon laquelle les hauts fonctionnaires de presque tous les pays du monde sont tous des membres de la même loge, d’un seul et même réseau de sociétés secrètes et qu’ils doivent donc obéir aux diktats de leurs maîtres suprêmes. Ce documentaire nous fait d’abord traverser les siècles pour que nous réalisions que la plupart de ce que nous avons compris jusqu’à présent comme l’histoire fatidique du monde, n’était probablement qu’un calcul planifié de bout en bout. De nos jours, la logique veut que le printemps arabe, qui vient de se terminer, ainsi que toutes les révolutions de couleur, les épidémies, etc., jusqu’à la guerre actuelle entre la Russie et l’Ukraine, ne sont au fond qu’un seul et même scénario. Il s’agit d’un spectacle stratégique visant à réaliser des objectifs bien plus ambitieux par le biais de tous ces scénarios d’horreur orientés. Quels sont ces objectifs ?

Par exemple, la réalisation, planifiée depuis des siècles, d’une expropriation et d’une soumission totales de toute l’humanité. Par exemple, la réalisation du chaos total planifié depuis longtemps, en vue de l’élimination stratégique de toutes les nationalités. Nous parlons actuellement de la mise en œuvre ciblée d’un plan de plus de 300 ans qui vise à éliminer toutes les monnaies, les religions, les idéologies, les libertés, etc. – un plan ancestral qui, à travers la crise totale, doit permettre son propre nouvel ordre mondial ou domination draconienne du monde. Mais une telle solution ne serait pas acceptée par les peuples sans méfiance, à moins que les menaces les plus fatales, telles que le terrorisme imprévisible, les épidémies, les pandémies, les catastrophes climatiques, les crises financières mondiales, les guerres, les guerres mondiales, etc. ne puissent apparemment être surmontées que par l’établissement d’une domination mondiale draconienne. Ce que le monde ne devrait évidemment jamais savoir, c’est que la quasi-totalité de la terreur a été organisée par ceux qui se présentent soudain comme la seule issue et le sauveur du monde. Parmi les innombrables mensonges et les sacrifices impitoyables, qui sont d’ailleurs monnaie courante dans la franc-maçonnerie de haut niveau, ce grand spectacle doit donc servir un seul grand but final : l’établissement de la domination mondiale de cette même société secrète qui, d’une main invisible, dirige tout depuis longtemps. Cette tactique de la direction politique des peuples par une seule main pour ainsi dire cachée, est d’ailleurs retenue symboliquement, comme nous le verrons abondamment par la suite, dans la franc-maçonnerie depuis Napoléon 1er. D’innombrables hommes d’État et hauts fonctionnaires se sont en effet fait dessiner, peindre ou photographier comme Napoléon, avec une main dans le gilet.

Il semble n’y avoir qu’un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d’un tribunal mondial décrété par le peuple – un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués. Il est nécessaire de proclamer une annulation mondiale de la dette pour les peuples trompés. Toutes les dettes causées par cette injustice peuvent facilement être payées par les biens volés de ces pilleurs. Si les peuples ne le font pas très rapidement à leur encontre, ces conspirateurs le feront certainement encore de nos jours à l’encontre de tous les peuples !

Depuis que les milieux de l’information libre ont commencé à dévoiler ces réseaux maçonniques qui infiltrent tout sur la toile mondiale, d’innombrables preuves pertinentes sont constamment bannies d’Internet, effacées, censurées ! Il faut signaler ici que tous ces censeurs se rendent ainsi coupables de complicité de génocide. Ils seront certainement accusés de complicité lors des prochains procès Nuremberg 2.0.

En effet, chaque jour, des milliers d’informations pertinentes disparaissent de la toile à cause d’eux, et au lieu de preuves vitales sur ce complot réel, on trouve maintenant des textes et des vidéos qui minimisent systématiquement la franc-maçonnerie, la protègent, la justifient, et même la glorifient. Jetons donc un coup d’œil à quelques-uns de ces titres qui apparaissent en premier sur Google. Si on demande par exemple : « Quel est le danger de la franc-maçonnerie ? » Que se passe-t-il alors ?

Aussitôt, la Deutschlandfunk titre de manière extrêmement rassurante : « Les francs-maçons – des pierres pour un monde meilleur » – et puis cette même Deutschlandfunk associe intelligemment, dès le sous-titre, tout critique de la franc-maçonnerie aux nazis antisémites : « Donc, il a toujours été clair pour les nazis : les juifs et les francs-maçons, ils sont de mèche… »

Le magazine GEO Plus réhabilite lui aussi les sociétés secrètes dès son titre :
« Francs-maçons : une société secrète sans un seul secret »

Les francs-maçons pratiquants préfèrent s’auto-présenter avec ce slogan :
« Francs-maçons : le sens et le but est l’amélioration de soi »

Même les soi-disant experts en religion, qui stigmatisent habituellement toutes les sectes d’arrière-cour, même les plus inoffensives, enlèvent leur mise en garde contre la franc-maçonnerie en tant que secte et la minimisent considérablement dès le titre – et les experts en religion doivent bien le savoir.
« La franc-maçonnerie a perdu de son importance »

Le Centre fédéral pour l’éducation politique condamne également, dès son surtitre, toute référence à un réseau maçonnique influent comme un simple mythe. « Les francs-maçons – le mythe d’un réseau influent »

Et c’est avec cette petite sélection parmi d’innombrables autres dénigrements sur le web que nous nous lançons maintenant, dans la réalité ! Nous vérifions notamment si les réseaux maçonniques ne sont en fait qu’un mythe sans influence significative.
Nous nous intéressons tout particulièrement à la question de savoir si l’intérêt des francs-maçons pour la politique est vraiment aussi faible que ce qui est affirmé avec insistance sur toutes sortes de sites web maçonniques originaux comme celui qui suit – également dans son surtitre :
« La franc-maçonnerie n’est pas un mouvement politique et n’est pas un groupe de pression »
« Les loges et les grandes loges ne formulent pas de programmes et ne prennent pas part aux débats politiques partisans »

En outre, les francs-maçons de haut niveau aiment dissimuler la vérité en disant par exemple : « En fait, nous ne sommes pas des« loups déguisés en moutons », mais plutôt des « moutons déguisés en loups », dont la dangerosité est bien en deçà de l’image qu’en donnent la littérature et les médias.

Mais il est bien connu que l’on reconnaît chaque arbre à son fruit. La question est donc la suivante : Quels sont les fruits de la franc-maçonnerie ? En d’autres termes, quels francs-maçons ont incarné quelles œuvres dans l’histoire mondiale passée et présente ? Cela seul compte et est important !

Nous avons commencé nos recherches à partir du 18e siècle : Nous nous sommes d’abord intéressés à la question de savoir si les francs-maçons n’étaient effectivement pas actifs sur le plan politique, comme ils le prétendent toujours solennellement. Mais les premières enquêtes nous ont déjà prouvé le contraire : où que l’on cherche parmi les hauts fonctionnaires : francs-maçons, francs-maçons, francs-maçons ! Des francs-maçons sur tous les fronts politiques, militaires et juridiques : Ils ont mené de leurs propres mains des révolutions en première ligne, infiltrant les plus hauts postes politiques dans tous les pays que nous avons examinés. Voici quelques exemples pratiques :

Les renversements politiques suivants entre le 18e et le 20e siècle ont été directement inspirés et initiés par les francs-maçons :
1789: en France, par Mirabeau, Robespierre, Danton.
1812: Au Venezuela par Miranda
1821: En Colombie par Simón Bolívar. Bolívar est même surnommé aujourd’hui le « George Washington d’Amérique du Sud ».
Il faisait par exemple partie de la « Loge n°2 » au Pérou, appelée « Order and Liberty ».
1850: Renversement au Portugal par Magalhaes.
1860: En Italie par Mazzini et Garibaldi.
1896: Aux Philippines par José Rizal.
1918: En Hongrie par Bela Kun et Kossuth.
1923: En Turquie par Kemal Pacha Atatürk.
1926: Renversement au Portugal par Magalhaes.

Tous les subversifs que je viens de citer étaient effectivement des frères de loge !

Ce documentaire prouve que l’influence politique et générale de la franc-maçonnerie est très ancienne, qu’elle a déjà traversé nos siècles de manière atroce et qu’elle commence à porter ses fruits les plus meurtriers à l’heure actuelle. Avant de nous pencher sur leurs dérives récentes, regardons encore un peu autour de nous, du 17e au 19e siècle : par exemple, il est prouvé qu’au moins tous ces présidents américains étaient francs-maçons. Et comme on le sait, les présidents américains ont mené pas moins de 219 guerres d’agression et l’un deux – un franc-maçon – a largué les premières bombes atomiques du franc-maçon Alfred Einstein sur Hiroshima et Nagasaki.

Voir www.kla.tv/9250, 219 guerres américaines en comparaison de celles de la Russie, de la Chine, de l’Iran et de l’Allemagne

Sous leur photo, leur appartenance à une loge est chaque fois affichée – remarquez toujours la main cachée :

Des présidents des États-Unis francs-maçons

George Washington (1732-1799),
1er président des États-Unis
Maître de chaire de la « Alexandria Lodge ».
Il a prêté serment à la Constitution  sur la Bible de la « St. Johns Loge N° 1 » de New York.

James Monroe (1758-1831),
5e président des États-Unis
« Williamsburg Lodge n° 6 » en Virginie
Colonel pendant la guerre d’indépendance, ami de Jefferson, ambassadeur à Paris, Londres et Madrid

Andrew Jackson (1767-1845),
7e président des États-Unis
Grand Maître de la « Grande Loge du Tennessee »
Il a combattu les Anglais, les Indiens et les Espagnols
Il a soutenu le déplacement forcé des Indiens d’Amérique (en particulier des Cherokees) de leur pays d’origine.

James Knox Polk (1795-1849),
11e président des États-Unis
« Columbia Lodge n° 31” » à Columbia, Tennessee
Avocat
Il avait approuvé la guerre entre les États-Unis et le Mexique (1846-1848).

Pierce Franklin (1804-1869),
14e président des États-Unis
avec signe de la main d’appartenance à une loge maçonnique

James Buchanan (1791-1868),
15e président des États-Unis
« Lodge n° 23 » à Lancaster, Pennsylvanie
Avocat, sénateur

Andrew Johnson (1808-1875),
17e président des États-Unis
Franc-maçon 32e grade: il a été admis à l’âge de 43 ans dans la « Greenville Lodge n° 11 » au Tennessee
Membre honoraire de la Grande Loge de Floride
Il a gracié Albert Pike, le chef du rite maçonnique écossais, qui était recherché par le gouvernement américain pour haute trahison.

Rutherford B. Hayes (1822-1893),
19e président des États-Unis
Signe de main d’appartenance à la loge

James A. Garfield (1831-1881),
20e président des États-Unis
Franc-maçon 14e grade : membre de la « Magnolia Losge n° 20 » à Columbia (Ohio)
Général de division, avocat, sénateur, victime d’une tentative d’assassinat.

William McKinley (1843-1901),
25e président des États-Unis ‚Hiram Loge Nr. 21‘ in Winchester, Virginia
« Hiram Lodge n° 21 » à Winchester, Virginie
Avocat
Il a encouragé une politique qui a conduit l’Amérique à la guerre impérialiste hispano-américaine.

Theodore Roosevelt (1858-1919),
26e président des États-Unis
En tenue de franc-maçon
« Matinecock Lodge n° 806 » à Oyster Bay dans l’État de New York
Architecte de l’expansionnisme impérial américain.
Il a encouragé l’expansion japonaise en Asie.

William Howard Taft (1857-1930),
27e président des États-Unis
Membre de la « Kilwinning Lodge n° 356 » à Cincinnati
Il a joué un rôle important dans la militarisation et l’expansion du Japon impérial.

Warren G. Harding (1865-1923),
29e président des États-Unis
Membre de la « Marion Lodge n° 70 » à Marion (Ohio)

Franklin Delano Roosevelt (1882-1945),
32e président des États-Unis
Membre de la « Holland-Lodge n° 8 » à New York
Il a menti pour entraîner l’Amérique dans la Seconde Guerre mondiale.

Harry S. Truman (1884-1972),
33e président des États-Unis
Responsabilité du largage de la première bombe atomique en 1945
Membre de la « Belton Lodge no 450 » dans le Missouri
Fonda plus tard la « Grandview Lodge n°618 ».
Il a été promu Grand Maître du Missouri en 1940.
C’est la deuxième fois dans l’histoire des États-Unis qu’un ancien Grand Maître devient prési-dent ; le premier était Andrew Jackson plus d’un siècle auparavant.

Lyndon B. Johnson (1908-1973),
36e président des États-Unis
Johnson a été admis dans une loge au Texas en 1937.
Il a participé à la dissimulation des faits concernant « l’incident » de l’USS Liberty (1967).
Il a été impliqué dans l’assassinat de John F. Kennedy.

Gerald R. Ford (1913-2006),
38e président des États-Unis
« Malta Lodge no 465 » à Grand Rapids.
En 1975, il a été nommé Grand Maître honoraire de « l’Ordre maçonnique de Molay ».
Enseignant, député, sénateur
Il a joué un rôle crucial dans la dissimulation (des faits réels) de l’assassinat de John F. Ken-nedy.
En 1970, Newsweek a appelé Gerald Ford au Congrès « l’homme de la CIA »

George H. W. Bush (1924-2018),
41e président des États-Unis
Membre des super-loges HATHOR PENTALPHA et THREE EYES
Il a été directeur de la CIA de 1976 à 1977.
Il a armé Saddam Hussein jusqu’aux dents avec des armes chimiques qui ont été déversées en grande quantité sur le peuple iranien pendant la guerre imposée par les États-Unis dans les années 1980 (guerre Iran-Irak).

Bush a répété au moins cinq fois le mensonge des couveuses, qui a eu une grande influence sur l’opinion publique américaine et a conduit à ce que les Américains soutiennent largement la participation à la première guerre en Irak (également appelée deuxième guerre du Golfe).

Après ces preuves à peine effleurées « du peu d’influence directe des francs-maçons sur la politique », selon ce qu’ils affirment, on pourrait prétendre que ce n’est le cas qu’aux Etats-Unis et nulle part ailleurs.
Pour répondre à cette objection éventuelle, nous allons tout de suite faire un tour d’horizon international et constater depuis combien de temps des francs-maçons de haut niveau sont présidents d’autres pays. Ces constatations sont d’ailleurs importantes pour que nous puissions comprendre par la suite le sens et le but de cette divulgation. Depuis des siècles, un réseau international de chefs d’État issus de la franc-maçonnerie de haut niveau a pu se former, dont l’un des objectifs déclarés dès le début était le gouvernement mondial unique et donc l’abolition de tous les États-nations, mais aussi l’abolition de l’argent liquide, l’abolition de toutes les religions afin d’amener le monde à sa religion mondiale unique et bien d’autres choses encore. Mais revenons-en à la question :

Y a-t-il eu ou y a-t-il des francs-maçons de haut niveau en tant qu’hommes d’État, c’est-à-dire avec une influence politique directe, dans d’autres pays ?

Les hommes d’Etat francs-maçons dans d’autres pays :

Yat-sen Sun, de son vrai nom Sun Wen (1866-1925),médecin et homme d’État, leader de la révolution chinoise de 1911, 1er président de la République chinoise, fondateur et leader du Kuomintang (Parti du peuple). Membre de la société secrète « Hong » (Triade) et d’une loge maçonnique. (probablement américaine).

Chiang Kai-shek ou Jiang Jieshi (1887-1975)
dirigeant chinois du parti Kuomintang. S’est enfui à Taiwan avec le trésor national après sa défaite et y a gouverné la république de manière dictatoriale dans le but de reconquérir toute la Chine. Membre de la « Pagoda Lodge » dans le Massachusetts.

Sir Arthur Wellesley de Wellington (1769-1852), Premier ministre britannique, maréchal de camp, vainqueur à Waterloo (avec Blücher). A été admis dans une loge en Irlande, mais a ensuite renié son appartenance.

Jérôme Bonaparte (1784-1860),
roi de Westphalie.
Membre de la loge « La Paix » à Toulon.

Joseph Bonaparte, (1768-1844),
roi d’Espagne, frère de Napoléon Ier.
Grand Maître du Grand Orient.

Louis Bonaparte, (1778-1846), roi de Hollande.
Deuxième Grand Maître assigné du Grand Orient.

Joseph Jacques Césaire Joffre, (1852-1931), commandant en chef français pendant la Première Guerre mondiale, maréchal de France.
Membre de la loge « Alsace-Lorraine » à Paris.
Marquis de La Fayette (1757-1834), général français pendant la guerre d’indépendance américaine.
Membre d’une loge militaire à Morristown et de la loge « Contrat Social » en France.

Élie Decazes (1780-1860), Premier ministre de la France sous Louis XVIII, pair de France.
Il était grand commandeur de l’ordre maçonnique des hauts grades AASR.

Léon Victor Auguste Bourgeois (1851-1925), Premier ministre français, homme d’État, pacifiste, membre permanent de la Cour d’arbitrage de La Haye, premier président de la Société des Nations. Prix Nobel de la paix en 1920,
Membre de la loge « Sincérité » à Reims.

Manuel Valls, Premier ministre en France de 2012 à 2016.
Membre des loges« Grand Orient de France », « Edmund Burke », « CompassStar-Rose/Rosa-Stella Ventorum », « Der Ring ».

Alexandre Vassilievitch Souvorov (1729-1800), comte de Rimnikski, prince Italiski, généralissime russe (position de commandant en chef), a vaincu les Français en Italie du Nord, passage des Alpes avec des pertes, commémoré par le monument près du pont du Diable.
Membre de loges à Saint-Pétersbourg et Königsberg.

Abdelkader ibn Muhieddine (1808-1883), prince kabyle d’Algérie, émir arabe qui s’est distingué par son esprit chevaleresque lors des guerres coloniales contre la France et a sauvé des milliers de personnes lors des massacres de chrétiens à Damas.
Membre de la loge parisienne « Henri IV » et de la loge « Les Pyramides d’Egypte ».

Salvador Allende (1908-1973), président du Chili, il s’est suicidé lors du coup d’État du général Pinochet.

Emmanuel Grouchy, marquis de Grouchy (1766-1847), maréchal de France. Napoléon l’a rendu responsable de la défaite de Waterloo.

Eduard Beneš (1884-1948), cofondateur et ministre des Affaires étrangères de la République tchécoslovaque, Premier ministre, président de la République. A organisé la résistance contre l’Autriche avec Masaryk.
Membre de la loge « Pravda Vítezí ».

Joseph-Ignace Guillotin (1738-1814), médecin, inventeur de la guillotine.
Henri Lafontaine (1854-1943), vice-président du Sénat belge, l’un des fondateurs et président du Bureau international de la paix, prix Nobel de la paix en 1913.
Membre de la loge bruxelloise « Les Amis Philanthropes ». (1778-1846)

Henri Lafontaine (1854-1943), vice-président du Sénat belge, l’un des fondateurs et président du Bureau international de la paix, prix Nobel de la paix en 1913.
Membre de la loge bruxelloise « Les Amis Philanthropes ».

Jakob Friedrich Fritsch (1731-1814), ministre d’État et président du Conseil privé à Weimar.
Commandeur de la maison (maître de chaire) de la loge « Amalia » sous la « Stricte Obser-vance ».
Frédéric II le Grand, roi de Prusse (1712-1786).
Il est devenu franc-maçon alors qu’il était prince héritier.

John Edgar Hoover (1895-1972), directeur du FBI.
Membre de la « Federal Lodge n° 1 » et de la « Justice Lodge n° 46 » à Washington D.C.

Sir Winston Churchill (1874-1965), homme d’État anglais, Premier ministre.

Richard Coudenhove-Kalergi (1894-1972), fondateur du mouvement Paneurope visant à la création d’une confédération européenne, a été admis dans une loge à Vienne en 1922.

Aleister Crowley de son vrai nom Edward Alexander. Sataniste suprême avoué, successeur de Reuss Chef de l’OTO, se faisait appeler « Baphomet », a écrit la « Messe gnostique » et de nombreux livres sur l’ésotérisme maçonnique, spiritualiste et magique.

Albert Pike (1809-1891), général de brigade des États du Sud pendant la guerre civile américaine.
Franc-maçon 33e grade et sataniste avoué. Grand commandant de la juridiction du sud. Chef de l’Ordre de haut rang AASR.

Giuseppe Garibaldi (1807-1882), homme d’État et révolutionnaire italien.
1er Grand Maître du rite de Memphis-Misraïm.

Giuseppe Mazzini (1805-1872), avocat, combattant italien de la liberté.
Co-compagnon d’armes de Garibaldi et destinataire de la lettre d’Albert Pike, dans laquelle ce dernier, en tant que Général d’armée, planifiait exactement trois guerres mondiales. Les deux premières guerres mondiales se sont déroulées exactement selon sa planification.
Mazzini était à la tête de l’Ordre des Illuminati depuis 1834, membre et membre d’honneur de nombreuses loges.
Lors de ses funérailles, des drapeaux maçonniques ont été portés pour la première fois dans les rues de Rome.

Camillo Benso, comte de Cavour (1810-1861), homme d’État italien, a soutenu le combat de Garibaldi, véritable créateur d’une Italie unie.
Francs-maçons, comme beaucoup de ses compagnons d’armes.

Enrico Fermi (1901-1954), physicien italien, co-développeur de la bombe atomique en Amérique, prix Nobel de physique en 1938.

Alexandre Gustave Eiffel (1832-1923), ingénieur français, constructeur de la Tour Eiffel (forme = obélisque maçonnique).

C’est par de telles sociétés secrètes que la communauté mondiale a été dominée en tout depuis des siècles, bien qu’elles prétendent dur comme fer que :
la franc-maçonnerie aurait fait son temps, n’existerait pour ainsi dire plus que sur le papier.

De plus, les francs-maçons et les médias publics affirment que l’ordre secret Skull & Bones n’est qu’une petite blague d’étudiants sans importance et que quiconque prétend le contraire est un dangereux complotiste. Voyons donc maintenant qui se trouve à peu près dans cette société secrète tout à fait inoffensive – par manque de temps, nous ne citons que quelques petits exemples représentatifs. Ces exemples suffisent toutefois amplement à démontrer le mensonge sous-jacent, toujours minimisé.

Membres avérés de la société secrète Skull & Bones

William Howard Taft
Entré en fonction en tant que président en 1909. 27e président des États-Unis,
Juge en chef des États-Unis, (Entré en fonction en 1921)
Secrétaire d’État américain à la guerre.

George Herbert Walker Bush
Entré en fonction en tant que président en 1989. 41e président des États-Unis,
Directeur de la CIA, (Entré en fonction en 1976)
Ambassadeur de l’ONU,
Ambassadeur des États-Unis en Chine.

George W. Bush
Entré en fonction en 2001. 43e président des États-Unis.

William M. Evarts
Entré en fonction en 1868. Ministre de la Justice des États-Unis, secrétaire d’État des États-Unis, sénateur des États-Unis.

Potter Stewart
Entré en fonction en1958. Juge à la Cour suprême des États-Unis.

Morrison R. Waite
Entré en fonction en 1874. Président de la Cour suprême des États-Unis.

Simeon Eben Baldwin
Entré en fonction en 1907. Juge en chef de l’État du Connecticut et gouverneur.

F. Trubee Davison
Entré en fonction en 1951. Directeur du personnel de la CIA.

Henry L. Stimson
Entré en fonction en 1911. Secrétaire d’État américain à la guerre, secrétaire d’État américain.

William Collins Whitney
Entré en fonction en 1885. Secrétaire de la marine américaine et financier de la ville de New York.

Prescott Bush
Entré en fonction en 1952. Sénateur américain du Connecticut et banquier.

John Kerry
Entrée en fonction en 1985. Sénateur américain et candidat du parti démocrate à la présidence des États-Unis en 2004.

John Sherman Cooper
Entré en fonction en 1946. Sénateur américain et membre de la Commission Warren.

Jonathan Brewster Bingham
Entré en fonction en 1965. Sénateur américain.

James L. Buckley
Entré en fonction en 1970. Sénateur américain.

John Chafee
Entré en fonction en tant que sénateur en 1976. Sénateur américain, Secrétaire à la Marine et gouverneur de Rhode Island ; père du sénateur américain Lincoln Chafee.

David Boren
Entré en fonction en 1979. Sénateur américain.

Timothy Dwight V
Entré en fonction en 1886. Président de l’Université de Yale.

Lord Winston
Entré en fonction en 1977. Président du Council on Foreign Relations.
Ambassadeur des États-Unis en Chine et assistant du secrétaire d’État américain.

Percy Avery Rockefeller
Débuts d’homme d’affaire en 1900. Directeur de Brown Brothers Harriman (Banque privée),
Standard Oil et Remington Arms.

Averell Harriman
Entré en fonction en1943. Ambassadeur des États-Unis et secrétaire américain au Commerce, gouverneur de New York, président et président du conseil d’administration de l’Union Pacific Railroad, de Brown Brothers Harriman et de la Southern Pacific Railroad.

Franklin MacVeagh
Entré en fonction en 1909. Secrétaire au Trésor américain sous la présidence de William Howard Taft.

Ce que peu de gens savent, c’est l’appartenance aux loges des révolutionnaires et assassins de masse suivants :

Napoleon Bonaparte (1769-1821)
Entré en 1798 dans la « Loge Philadelphe de l’Armée ».
Ses frères Joseph, Lucian, Louis et Jérôme étaient également francs-maçons. Cinq des six membres du Conseil suprême de l’Empire de Napoléon étaient francs-maçons, tout comme six des neuf officiers impériaux et 22 des 30 maréchaux de France. Les liens de Bonaparte avec la franc-maçonnerie ont toujours été minimisés dans les documents historiques.

Napoleon III (1808-1873)
Franc-maçon et empereur de France, 1852-70. Membre du Rite Écossais Ancien et Accepté de France.
Note : également connu sous le nom de Louis-Napoléon Bonaparte

Karl Marx (1818-1883)
Karl Marx, le fondateur du com¬munisme, était un franc-maçon 32e grade Grand Orient. Il a causé la mort de plus de 100 millions de personnes.

Josef Stalin (1878-1953),
Véritable nom : Joseph Vissarionovitch Djougachvili
Le règne de terreur de Staline à travers les « purges » a coûté la vie à plus de 20 millions de ses propres compatriotes. Il est souvent représenté sur les photos avec le geste de la main cachée. Aucun document officiel n’a pu être trouvé prouvant l’initiation de Staline à la franc-maçonnerie. Bien sûr, les dictateurs comme Staline contrôlaient strictement toutes les informations le concernant et concernant ses affaires, ce qui rend difficile de prouver quoi que ce soit.
Staline et Washington – deux idéologies opposées, un même geste de la main.

Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924)
Précurseur de la sanglante révolution communiste russe de 1917. Selon l’historien Sergueï Volkov, les bolcheviks ont assassiné jusqu’à deux millions d’opposants après l’attentat manqué contre Lénine.
Loge : Joseph de Maistre, Art et Travail, Der Ring

Léon Trotski (1879-1940)
De son vrai nom = Leo Davidovich Bronstein : stratège de la guerre civile, criminel de guerre et meurtrier de masse.
Loge : Art et Travail

Tournons-nous encore un peu vers les temps modernes et examinons quelques noms connus de la politique de pointe. Pour chaque nom, il y aurait un registre de crimes si long qu’il n’y aurait pas assez de temps au monde pour en décrire tous les détails. Dans ce documentaire, il s’agit uniquement de prouver que la franc-maçonnerie n’est en aucun cas une société secrète sans intérêt politique et sans secret :

Francs-maçons à la tête des décennies passées jusqu’à aujourd’hui :

Gustav Walter Heinemann (1899-1976)
1969 Il était un franc-maçon actif
3e président de la République fédérale d’Allemagne.
Heinemann était également ministre de la Justice et exerçait en tant que tel une influence extrêmement pernicieuse : Il a par exemple aboli le paragraphe sur la pornographie dans sa forme existante et a ainsi libéralisé l’ensemble du droit pénal en matière sexuelle.Une vague d’impureté d’une ampleur sans précédent s’est alors déversée sur nos pays. Des centaines de millions de personnes ont perdu en peu de temps leur capacité naturelle à aimer, des dizaines de millions de relations amoureuses précieuses, de mariages et de familles ont volé en éclats. Des désirs animaux ont remplacé des relations auparavant pleines d’amour – une insensibilité inconcevable, la froideur, la haine ont remplacé une humanité responsable. Aujourd’hui, des centaines de millions d’enfants vulnérables de moins de 12 ans s’ébattent déjà régulièrement sur des sites pornographiques pernicieux sur Internet. Le bénéfice financier tiré par les exploitants de ces sites se chiffre chaque année en milliards de dollars. Il ne s’agit là que de la partie émergée de ce gigantesque iceberg. Les dommages réels causés dans le monde entier par ce seul franc-maçon ne pourraient pas être décrits de manière exhaustive pendant des jours.

Harry S. Truman, (1884-1972)
33e président des États-Unis, de 1945 à 1953.Il a porté la responsabilité du largage de la première bombe atomique en 1945. Rien qu’à cause de ce seul acte de ce franc-maçon de haut rang, des dizaines de milliers de civils sans défense ont été détruits instantanément. Il a détruit de façon définitive et impitoyable des centaines de milliers de familles sans défense. Dans les décennies qui ont suivi, des dizaines de milliers d’autres innocents ont été victimes de la contamination nucléaire.
Et tout cela après que les militaires américains et le président Truman avaient déjà été informés de l’incapacité de combattre du Japon et de sa volonté de capituler.
En effet, 60% des grandes villes japonaises étaient déjà détruites, de même que la majeure partie de la flotte et des forces aériennes. C’est pourquoi les Japonais ont demandé des négociations de paix. Les bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki étaient donc totalement inutiles d’un point de vue militaire. Cela a également été confirmé par le général américain Curtis Le May, le commandant responsable des bombardements. Lors d’une conférence de presse le 20 septembre 1945, il a déclaré textuellement : « La guerre aurait pris fin en deux semaines, sans l’invasion des Russes et sans les bombes atomiques. Les bombes atomiques n’ont absolument rien à voir avec la fin de la guerre. » (https://www/kla.tv/13009)
Et voici d’autres exemples du passé récent.

Nicolas Sarkozy,
Président français (2007-2012)
Appartenance aux loges « Edmund Burke », « Geburah », « Atlantis-Aletheia », « Pan-Europa »,« Hathor Pentalpha ».

Wladimir Putin, Président russe
Appartenance à la Super-loge « Golden EURASIA »

Angela Merkel,
Chancelière allemande (2005-2021)
Appartenance aux loges « Golden EURASIA », « Valhalla », « Parsifal »

Condoleezza Rice,
Secrétaire d’État des États-Unis (1997-2001)
Appartenance aux loges « Three Eyes », « Hathor Pentalpha »

Madeleine Albright,
Premier ministre du Royaume-Uni (1997-2007)
Appartenance aux loges « Three Eyes », « Leviathan » (SUPER-LOGE OLIGARCHIQUE)

Tony Blair,
Premier ministre du Royaume-Uni (1997-2007)
Appartenance aux loges « Edmund Burke », « Hathor Pentalpha »

David Cameron,
Premier ministre du Royaume-Uni (2010-2016) Appartenance aux loges « Edmund Burke », « Geburah ».

Abu Bakr al-Baghdadi – un chef de l’EI,
Appartenance à la loge « Hathor Pentalpha ».

Mariano Rajoy,
Premier ministre d’Espagne (2011-2018)
Appartenance aux loges « Pan-Europa », « Valhalla », « Parsifal ».

Antonis Samaras,
Premier ministre de la Grèce (2012-2015). Appartenance à la loge « Three Eyes »

Wolfgang Schäuble,
Ministre allemand des Finances (2009-2017). Appartenance à la loge Joseph de Maistre, fondée par Lénine, DER RING

Barack Obama, Président des États-Unis (2009-2017)
Appartenance à la loge « Maat » = Super-Loge de Zbiegniew Brzezinski fondée en tant que compromis entre les conservateurs et les progressistes francs-maçons.

Christine Lagarde,
Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) et ancienne directrice du FMI Appartenance aux loges « Three Eyes », « Pan-Europa »

George W. Bush, jr.
Président des États-Unis (2001-2009)
Appartenance à la loge « Hathor Pentalpha »

Michael Ledeen,
Journaliste américain
Appartenance aux loges « Three Eyes », « Pan-Europa »

Bill Gates
Fondateur de Microsoft et de la Fondation Bill & Melinda Gates
Appartenance aux loges « White Eagle », « Hathor Pentalpha »

D’autres politiciens et personnalités de premier plan avec leur appartenance à des loges

David Rockefeller
THREE ARCHITECTS / THREE EYES

Henry Kissinger
THREE ARCHITECTS / THREE EYES

Zbigniew Brzeziński
LUX AD ORIENTEM
THREE ARCHITECTS / THREE EYES
Super-Loge fondée en tant que compromis entre les conservateurs et les progressistes francs-maçons.

Edmond Adolphe de Rothschild (1926-1997)
THREE EYES

Bill Clinton
MAAT
COMPASS STAR-ROSE

Gerhard Schröder
HATHOR PENTHALPHA
GOLDEN EURASIA
PARSIFAL
FERDINAND LASALLE

Max Warburg
PAN-EUROPA

Albert Einstein
PAN-EUROPA

Friedrich von Hayek
THREE EYES
EDMUND BURKE
WHITE EAGLE

William Egan Colby
THREE EYES

Alexander Meigs jr. Haig
THREE EYES
WHITE EAGLE

Paul Volcker
THREE EYES

William Hedgcock Webster
THREE EYES

Martin Winterkorn
THREE EYES
VALHALLA

Alexander Dubček (1921-1992)
GOLDEN EURASIA

Neil Armstrong
JANUS
THREE EYES

Helmut Schmidt
FERDINAND LASSALLE

Otto Graf Lambsdorff
THREE EYES

Helmut Schmidt
FERDINAND LASSALLE

Olaf Scholz (*1958)
PARSIFAL
ATLANTIS-ALETHEIA

Philipp Rösler (*1973)
THREE EYES
PARSIFAL

Mario Draghi
DER RING

Dr. Jens Weidmann
DER RING

Bruno Bauer
Appartenant au communisme maçonnique.

Nikita Sergueïevitch Khrouchtchev
GOLDEN EURASIA

Václav Havel
GOLDEN EURASIA

Mikhaïl Gorbatchev
GOLDEN EURASIA

Helmut Kohl
Frère de haut rang
Konrad Adenauer
Frère de haut rang

Eduard Shevardnadze
GOLDEN EURASIA

Boris Eltsine
LUX AT ORIENTEM

Jegor Gaidar
LUX AD ORIENTEM
Oussama ben Laden
THREE EYES

Margaret Thatcher (1925-2013)
EDMUND BURKE

Philipp Hildebrand
HATHOR PENTALPHA

Jacques Chirac
SUPER-LOGE OLIGARCHIQUE

Robert Rubin
SUPER-LOGE OLIGARCHIQUE

Edward Kennedy
SUPER-LOGE PROGRESSIVE

Yitzhak Rabin
SUPER-LOGE PROGRESSIVE

François Mitterrand
SUPER-LOGE DÉMOCRATIQUE

Raúl Alfonsín
SUPER-LOGE DÉMOCRATIQUE

Jacques Delors
SUPER-LOGE DÉMOCRATIQUE

Robert S. McNamara
JANUS

Lyndon B. Johnson
JANUS

Sultan d’Oman
HATHOR PENTALPHA

Emir de Bahrain
HATHOR PENTALPHA

Des princes saoudiens, membres de HATHOR PENTALPHA
Abd Allah bin Abdulaziz Al Saud
Salman bin Abdulaziz Al Saud
Muqrin bin Abdulaziz Al Saud
Khalid al Faisal Al Saud
Nawwaf bin Abdulaziz Al Saud
Muhammad bin Nayef bin Abdulaziz Al Saud

D’Iran, membres de HATHOR PENTALPHA
Ali Akbar Hāschemi Rafsandschāni
Mohammad Momen
Gholam-Hossein Mohseni-Ejei
Heydar Moslehi
Mahmoud Alavi
Valiollah Seif
Hamad bin Khalifa Al Thani, Emir von Qatar
HATHOR PENTALPHA
Tamim bin Hamad Al Thani, Sohn des Emirs von Qatar
HATHOR PENTALPHA
COMPASS STAR-ROSE

D’Israël, membres de HATHOR PENTALPHA
Ariel Sharon
David Klein
Stanley Fischer
Moshe Ya’alon

Jan Peter Balkenende
HATHOR PENTALPHA

José María Aznar
HATHOR PENTALPHA

Aleksander Kwaśniewski
HATHOR PENTALPHA

Marcello Pera
HATHOR PENTALPHA

Antonio Martino
HATHOR PENTALPHA

Recep Tayyip Erdogan
HATHOR PENTALPHA

Michael W. R. Dobson (*1952)
DER RING

Jean-Claude Trichet (*1942)
DER RING

Josef Ackermann (*1948)
DER RING

Ben van Beurden (*1958)
DER RING

Laurence (Larry) D. Fink (*1952)
DER RING
HATHOR PENTALPHA

Lloyd Blankfein (*1954)
DER RING

Alexandre Lamfalussy (*1929)
DER RING

Robert Zoellick (*1953)
DER RING

Étienne Davignon (*1932)
DER RING

Irene Rosenfeld (*1953)
DER RING

Peter Mandelson (*1953)
DER RING

Lord Jacob Rothschild
DER RING
EDMUND BURKE

Nathaniel Philip Rothschild (*1971)
DER RING
EDMUND BURKE

Nathan Mayer Rothschild
EDMUND BURKE

Premier groupe non officiel de la future Loge HATHOR PENTALPHA :
George H. W. Bush
Jeb Bush
Samuel P. Huntington
Donald Kagan
Robert Kagan
Douglas Feith
Richard «Dick» Cheney
Donald Rumsfeld
Irving Kristol
William Kristol
Dan Quayle
Paul Wolfowitz
Richard Perle
Karl Rove
Bill Bennett

Astronautes francs-maçons

Enfin, il convient également de constater que pas moins de 10 astronautes de renommée mondiale étaient des francs-maçons de haut niveau et des frères de loge.

Buzz Aldrin, Edwin E. (*1930), franc-maçon 32e grade
Astronaute américain (Gemini 12, Apollo 11, pilote de la capsule lunaire «Eagle»), premier homme a marché sur la Lune avec Neil Armstrong.
« Avant son vol sur la lune, Aldrin était déjà devenu franc-maçon, comme de nombreux astronautes américains avant lui, à la Montclair Lodge n° 144 dans le New Jersey. Plus tard, il s’est affilié à la Clear Lake Lodge n° 1417 à Seabrook, Texas ».

Glenn, John (*1921),
Astronaute (Mercury 6, 6, Première orbite autour de la Terre), Senator, STS-95
Concord Loge No. 688. New Concord, Ohio

Schirra, Walter M. (*1923),
Astronaute (Mercury 8, Gemini 6, Kdt. Apollo 7)
Canaveral Loge n°. 339 Cocoa Beach, Florida

Grissom, Virgil I. (1926-1967),
Astronaute (Mercury 4, Liberty Bell 7, Gemini 3)
Mitchell Lodge n°. 228 Mitchell, Indiana

Cooper, L. Gordon Jr. (*1927),
Astronaute (Mercury 9, Faith 7, Gemini V)
Membre de la «Carbondale Loge» n°.82 Colorado

Eisele, Donn F. (1930-1987),
Astronaute (Apollo 7)
Luthor B. Turner Loge n°. 732. Columbus, Ohio

Irwin, James B., (1930-1991),
Astronaute (Apollo 15)
Tejon Lodge n°. 104, Colorado Springs

Mitchell, Edgar Dean (*1930),
Astronaute Apollo 14)
Artesia Loge n°. 28 Artesia, New Mexico

Stafford, Thomas P. (*1930),
Astronaute (Gemini VII, Gemini IX-A, Apollo 10 + 18)
Western Star Loge n°. 138 Waterford, Oklahoma

Weitz, Paul J. (*1932),
Astronaute (Skylab 2, Challenger -STS-6)
Lawrence Lodge n°. 708 Erie, Pennsylvania

Sur la base de ce qui a déjà été dit et démontré, le thème de l’alunissage – a-t-il réellement eu lieu ? – et l’explosion de la navette spatiale Challenger 23 revêtent une toute nouvelle acuité. Car au moins six des sept membres de l’équipage de Challenger sont encore en vie, selon le documentaire de Kla.TV « Est-ce que la NASA nous tromperait ? », quatre d’entre eux sous le même nom. Enfin, nous recommandons de visionner les documentaires suivants de Kla.TV. Les peuples sont appelés à participer à des recherches continues sur le thème du complot maçonnique ici et maintenant. Nous vous remercions d’avance pour toute information.

Vidéos conseillées :

https://www.kla.tv/9095 Est-ce que la NASA nous tromperait ? – Quand des astronautes morts ressuscitent
https://www.kla.tv/14599 Mythos oder Wirklichkeit? – Vortrag von Jo Conrad (4. AZK – 27.06.2009) Mythe ou réalité ? – Conférence de Jo Conrad (4e AZK – 27.06.2009) (seulement en allemand)

de is.




« Asservissement » gratuit

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam

Le cadeau du Nouvel An : Asservissement en téléchargement gratuit !

Ses justifications « scientifiques » de la pédophilie (viol compris)
n’auront pas empêché le « père de la sexologie » Alfred Kinsey
de faire la Une du Time en août 1953
Avec cela vous comprenez mieux les décisions choquantes de modifications de certaines lois qui réduisent drastiquement les protections de nos mineurs.

Chères lectrices, chers lecteurs,

Je voudrais tout d’abord vous souhaiter une excellente année 2023!

J’espère que malgré tous les clignotants qui passent au rouge, vous trouverez bonheur, santé et paix intérieure.

A titre personnel, j’aime particulièrement le passage de Jean 14 qui dit: « Que votre coeur ne se trouble point. » C’est à mon avis LE conseil le plus utile en ces moments troubles.

Cela ne signifie nullement de faire l’autruche et de pratiquer ce que d’aucuns appellent le déni actif. Ignorer la réalité afin de veiller sur son coeur est pour le moins inutile.

La clé serait à mon sens de s’informer pour se faire une image, présente et future, du modèle organisationnel global. Puis, malgré les dangers potentiels réels qui guettent, empêcher son coeur de se troubler.

Dans le but d’informer au-delà de toutes relations commerciales, l’éditeur et Vincent Held ont décidé de mettre à disposition le PDF de Asservissement. Ainsi, personne ne pourra dire qu’il ne connaissait pas les concepts pathologiques, pour ne pas dire plus, de ce que certains ont prévu pour la société.

asservissement

Ces individus qui bénéficient de moyens historiques foulent au pied l’humanité, la vie qu’elle porte, et toutes formes de respect et de libertés.

De fait, quelques individus, légitimés par des pseudo-scientifiques financiarisés, se considèrent comme des dieux qui ont le droit de disposer des populations pour satisfaire leurs besoins personnels largement pathologiques et pervers.

Prendre en otage l’humanité entière pour pratiquer des expérimentations dangereuses n’a certainement pas à ce jour de qualificatifs dans le dictionnaire. Il faut bien se souvenir, qu’avant les expérimentations covidiennes, d’autres ont eu lieu. Exemple.

Au départ, il y a un professeur de psychologie, Helmut Kentler. Il travaille à Berlin dans un centre de recherche sur l’éducation et se spécialise sur la sexualité infantile. Dans les années 1970, c’est un chercheur respecté qui prône l’émancipation sexuelle dans ses livres et sur les plateaux de télévision allemands. À la même époque, c’est avec l’assentiment des autorités locales qu’il décide de mener à bien une expérience « scientifique » pour laquelle il décide de placer des enfants berlinois sans domicile fixe auprès de pédophiles. Certains « parents d’accueil » ont déjà un casier judiciaire, mais les autorités, là aussi, ferment les yeux. Helmut Kentler justifie son expérimentation par sa conviction que les enfants sont placés dans des familles aimantes et que les rapports sexuels entre enfants et adultes ne sont, selon lui, pas malsains. https://www.ladepeche.fr/2020/06/30/le-scandale-des-enfants-places-chez-des-pedophiles,8956682.php

De fait, nous vivons une situation historique que certains biblistes pourraient identifier en tant que « temps de la fin ». Car à tous les problèmes posés par le Nouveau Monde dont l’ordre se heurte de manière frontale à l’ordre divin, s’ajoutent des menaces tangibles provenant du Système solaire et de ses décharges considérables d’énergie…

https://video.wordpress.com/embed/2eXQ5ltG?cover=1&preloadContent=metadata&useAverageColor=1&hd=1Les ondes de choc solaires peuvent anéantir le monde moderne Suspicious0bservers

Et malgré tout ce qui précède et malgré certaines informations , difficiles à digérer, de Asservissement, je vous souhaite de continuer de bénéficier de votre Paix intérieure.

Avec mes cordiaux messages.

LHK




Yves Charles Zarka : « L’écriture inclusive détruit la langue française en tant que telle »

[Source : marianne.net]

[Photo : Yves Charles Zarka, philosophe et professeur émérite à l’Université de Paris.
DR]

Propos recueillis par Kévin Boucaud-Victoire

Écriture inclusive, « politiquement correct », « cancel culture » et novlangue : le français est-il menacé ou s’agit-il de simples évolutions ? Le dernier numéro de la revue « Cités » (PUF) consacre un dossier à ce sujet. Son directeur, le philosophe et professeur émérite à l’Université de Paris, Yves Charles Zarka, revient pour « Marianne » sur les questions soulevées par sa publication.

[Voir aussi :
L’avis d’Hélène Carrère d’Encausse sur l’écriture inclusive
Langue française : « À l’usage, l’écriture dite “inclusive” se révèle excluante »]

Marianne : Pourquoi consacrer votre dossier à la langue ?

Yves Charles Zarka :Comme vous l’avez remarqué, nous avons consacré le dossier principal du numéro 86 de la revue Cités (PUF) au thème de « La langue sous contrôle ? ». C’est bien entendu la question de l’écriture dite inclusive qui en constitue l’enjeu essentiel. Pourquoi cette attention ? Parce que, tout d’abord, d’une manière générale, la langue n’est pas une dimension de la culture comme les autres. Bien entendu, il importe de préserver toutes les formes culturelles : l’architecture, l’art, la littérature, le théâtre, mais aussi les monuments, l’histoire, la philosophie. Mais la langue a en outre une dimension universelle. Elle n’est pas un simple instrument de communication, parce qu’elle est le lieu où se constitue la culture d’un pays sous toutes ses formes. Mieux, elle exprime et forme une approche du monde et de la société, une manière de les appréhender, de les comprendre.

Chaque langue est chargée de sens sédimentés dans l’histoire. Chaque langue a ses caractères particuliers, sa façon de dire les choses qui exprime une histoire. Cela est valable y compris pour les langues ayant la même origine, comme le latin pour bon nombre de langues européennes : le français, l’italien, l’espagnol, le portugais, etc. Ces langues ne disent pas la même chose. Elles ont chacune des traits et des façons de dire particulières.

C’est pourquoi la traduction est toujours difficile, sauf peut-être, et encore, pour les usages purement techniques. Si l’on considère des langues ayant des origines très différentes, les différences sont encore plus nettes, voire plus radicales. Le chinois dit le monde, exprime l’expérience des gens, leur vécu, leurs rapports d’une manière impossible à comprendre pour qui n’a pas longuement étudié cette langue et les expériences du monde qu’elle forme. Le plus souvent, c’est par une périphrase que l’on peut tenter de rendre un caractère chinois. On comprend donc que la langue est essentielle à tout un espace, non seulement culturel, mais aussi social et politique, pour tout dire civilisationnel. On ne joue donc pas avec la langue sans conséquences.

« La féminisation des noms de métiers ne pose en général pas de problème. »

Or, c’est pourtant ce qui arrive avec l’écriture dite inclusive. Ce qui est en jeu, sous couvert d’établir jusque dans la langue une égalité du masculin et du féminin, c’est la langue française elle-même, puisque cette écriture consiste à supprimer ce qui fait la spécificité du français. Les groupes minoritaires qui entendent la faire prévaloir agissent comme s’ils avaient « honte de leur langue natale » pour reprendre le titre de l’entretien que Jean-Claude Milner a donné dans le numéro de Cités indiqué ci-dessus. Cette écriture dite inclusive, en réalité exclusive, consiste à rendre l’écriture du français illisible, imprononçable et impossible à enseigner. Si la féminisation des noms de métiers ne pose en général pas de problème, l’écriture inclusive est destructrice de la langue française en tant que telle.

Vous parlez de « véritable entreprise tyrannique » concernant les attaques que subit le langage, notamment par l’écriture inclusive. Pouvez-vous revenir dessus ?

J’ai essayé de montrer que le principe de l’écriture inclusive relevait d’une tyrannie portée sur la langue française, en utilisant les deux définitions que Pascal donne de la tyrannie. La première définition est la suivante : « La tyrannie est de vouloir avoir par une voie ce qu’on ne peut avoir que par une autre. » Cette définition est extraordinaire, car c’est la seule définition purement formelle de la tyrannie. Généralement, on définit la tyrannie politiquement comme un régime politique coercitif où le pouvoir tient la population à sa merci et considère le territoire national comme sa propriété.

À LIRE AUSSI : La « cancel culture » : trouvaille absurde de la gauche américaine

Or, la tyrannie peut intervenir dans d’autres domaines que la politique. Il y a plusieurs formes de tyrannie : une tyrannie s’exerçant sur un individu ou un petit groupe d’individus (tyrannie domestique), une tyrannie s’exerçant sur un peuple (tyrannie politique), mais il peut aussi y avoir une tyrannie sur les institutions ou sur les lois. De celle-ci, Platon disait qu’elle était la pire.

Il peut y avoir aussi une tyrannie par la langue (imposer une langue pour assurer l’homogénéité de populations ou d’un territoire). Le trait commun de ces figures de la tyrannie est qu’elles sont anciennes, et maintes fois éprouvées. Mais voici qu’une nouvelle forme de tyrannie voit le jour ces dernières décennies : une tyrannie s’exerçant sur la langue qui vise à la soumettre à des exigences qui n’ont aucun fondement linguistique, pédagogique ou autre. Quelle en est la raison ? Celle-ci semble à première vue tout à fait légitime : combattre la domination masculine qui se serait insinuée jusque dans la langue.

« En quoi changer les règles de l’écriture modifierait en quoi que ce soit les discriminations ou les inégalités réelles ? Ne s’agit-il pas ici d’une conduite proprement magique ? »

Or, vouloir vaincre la domination masculine en inventant de nouvelles règles grammaticales parfaitement arbitraires visant à changer la langue, n’est-ce pas vouloir avoir par une voie, ce que l’on ne peut avoir que par une autre, à savoir une lutte sociale et politique contre les inégalités persistantes ? En quoi changer les règles de l’écriture modifierait en quoi que ce soit les discriminations ou les inégalités réelles ? Ne s’agit-il pas ici d’une conduite proprement magique ? La seconde définition pascalienne complète la première. Elle s’énonce ainsi : « La tyrannie consiste au désir de domination universel et hors de son ordre. » Cette seconde définition s’applique particulièrement à la volonté qui entend s’imposer à la langue à travers l’écriture, cette volonté est bien un désir de domination universel parce que la langue est la dimension universelle d’une culture dans son histoire et son présent.

La langue n’est-elle pas vouée à évoluer avec le temps et s’adapter à son époque ?

Bien entendu, les langues ont une histoire. Il en va de même pour l’écriture. Il suffit à cet égard de lire Montaigne dans le texte pour voir les changements subis par la langue française depuis le XVIe siècle. En quelques décennies d’ailleurs, cette langue s’est nettement modifiée. On lit aujourd’hui beaucoup plus facilement Descartes que Montaigne. J’ajoute que, outre l’évolution historique qui change périodiquement les usages, fait apparaître de nouveaux mots ou expressions et frappe de désuétude d’autres mots ou expressions, des décisions proprement politiques ont contribué notablement aux changements intervenus dans la langue française.

Ce qui est cependant particulier à la volonté (minoritaire) d’imposer l’écriture inclusive, c’est qu’elle n’a pas pour but d’en faciliter l’écriture pour la rendre plus accessible ou un autre motif de ce genre plus ou moins légitime, mais au contraire de la compliquer infiniment et de la rendre, comme je l’ai dit à l’instant, illisible, imprononçable et impossible à enseigner.

L’an dernier, vous aviez consacré un dossier aux « nouvelles censures ». Ce numéro est-il un prolongement de ce dossier ?

Bien entendu, le dossier sur l’écriture inclusive se situe dans le contexte des nouvelles censures. Ces dernières années, ce sont tous les aspects de la culture française qui ont fait l’objet d’emprises proprement tyranniques visant à en annuler ou à supprimer certaines formes : dans la peinture, la sculpture, le théâtre, la littérature, etc. Il s’agit là de l’arrivée en France de la « cancel culture » née dans les universités aux États-Unis où certaines œuvres ou des parties d’œuvres, comme celles de Shakespeare, sont censurées, où des monuments sont détruits, et certaines œuvres picturales dénoncées. Tout se passe comme si toute l’histoire culturelle devait se conformer aux manières de penser du moment présent.

« Il est certain que ces formes de dominations doivent être révélées et dénoncées pour ce qu’elles sont. Mais cela ne justifie en aucune manière que l’on doive réduire les cultures et les civilisations à ces dimensions délétères. »

Comprenez-moi bien, je ne dis nullement qu’il faille cautionner en bloc tout ce qui est arrivé dans l’histoire. Il est vrai que depuis l’aube de l’humanité, les femmes ont été soumises à la domination masculine, il est vrai que l’esclavage a été (et est encore) radicalement barbare et inhumain. Il est vrai que le colonialisme a été destructeur de cultures et parfois de peuples. Il est certain que ces formes de dominations doivent être révélées et dénoncées pour ce qu’elles sont, afin qu’elles ne se poursuivent pas dans le présent sous une forme explicite ou larvée. Mais cela ne justifie en aucune manière que l’on doive réduire les cultures et les civilisations à ces dimensions délétères. Cela justifie encore moins de censurer les aspects de l’art, de la littérature et autres qui relèvent de cette histoire et faire du présent la norme de jugement de tout ce qui a été.

À LIRE AUSSI : Une « écriture excluante » qui « s’impose par la propagande » : 32 linguistes listent les défauts de l’écriture inclusive




Viginum : le plan de l’État français pour le flicage de la dissidence

[Source : jeune-nation.com]

Par Émile Mallien

L’affaire des « Twitter Files » nous démontre la forte collusion ou imbrication entre l’État profond américain et le réseau social Twitter (il en est vraisemblablement ainsi sur les autres plateformes) pour censurer ce que les « élites » et « oligarchies » ne veulent pas voir éclater outre-Atlantique en matière de politique intérieure ou d’affaires étrangères dans leur opinion publique et au-delà. Mais les États-Unis ne sont pas seuls concernés. En France, l’État s’est doté, très discrètement, récemment, d’une politique et d’un organisme qui est destiné à assurer la même veille sur les esprits,  Viginum, sous prétexte de lutte contre le « complotisme » ou les « fake news ».

Pendant que l’on nous abreuve de propos sur la liberté dont nous disposons et que le monde nous envie, le flicage de chacun d’entre nous devient une préoccupation majeure des gouvernements occidentaux, d’autant plus qu’ils sont sur la défensive.

Cela a été mis en place à partir d’une décision du G7, lors du Sommet de Charlevoix (Canada) en 2018, visant à « Relever les défis à la démocratie et à l’ordre international fondé sur des règles », ce qui « exige une coopération internationale » (site du gouvernement du Canada). Le Canada a été chargé par le G7 de coordonner un « mécanisme de réponse rapide » (G7 RRM). Ce RRM Canada est le secrétariat permanent du G7 RRM qui « renforce la coordination du G7 pour identifier et répondre aux menaces étrangères contre les démocraties… Ces menaces comprennent l’activité hostile de l’État ciblant les institutions et les processus démocratiques. Il comprend également l’environnement médiatique et informationnel, ainsi que l’exercice des droits de l’homme et des libertés fondamentales. » L’objectif est de lutter contre la « la désinformation parrainée par des États étrangers ».

Ne nous leurrons pas : derrière ce langage policé, c’est la Russie qui, en premier lieu, est visée, mais aussi tous ceux qui dénoncent la démocratie occidentale qui est le faux nez du pouvoir, chaque jour d’essence de plus en plus dictatoriale d’une oligarchie transnationale, apatride qui a confisqué le pouvoir dans la plupart des États dits Occidentaux. Et les moyens utilisés sont le développement « des outils et des méthodes d’analyse de données communs pour identifier les menaces étrangères » en vue de « renforcer la capacité du G7 RIVIM pour une réponse coordonnée aux menaces étrangères ».

En conséquence, sous prétexte d’éviter les influences étrangères qui pourraient menacer le débat démocratique – entendons l’expression d’opinions qui ne dérangent pas le système – le fichage des « mal-pensants », autrement dit de dissidents est devenu une activité industrielle inspirée du « modèle chinois ». Cela nécessite la mise sous surveillance de toute la population.

Viginum vous surveille

En France, cette opération est confiée à Viginum, une agence placée auprès du Secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale, anciennement secrétariat général à la Défense nationale, le SGDSN, un organisme interministériel placé sous l’autorité du Premier ministre et créé en 1906.

Viginum a été créée par un décret du 13 juillet 2021 qui fonde un « service de vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères », au moment même où Macron ostracisait les opposants au piquage avec les produits géniques anti covid.

Les missions de ce service sont exposées par l’article 3 du décret : il doit notamment détecter sur Internet les activités « de nature à altérer l’information des citoyens pendant les périodes électorales », d’assister le secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale dans sa mission d’animation et de coordination des travaux interministériels en matière de protection contre ces opérations, de « contribuer aux travaux européens et internationaux ». Nous noterons que ces objectifs sont très flous et permettent de nombreuses interprétations et surtout de nombreuses applications lesquelles, n’en doutons pas, seront de plus en plus intrusives. Viginum est donc l’outil de la propagande gouvernementale sur Internet avec, pour prétexte de faire la chasse aux internautes jugés pro-russes parce qu’ils diffusent une information non conforme à la doxa régimiste.

Nous sommes dans un système d’essence paranoïaque selon lequel celui qui ne partage pas le discours médiatique dominant est un ennemi dangereux.

Le décret établissant les modalités d’action et outils de Viginum a été publié le 9 décembre 2021 au Journal officiel. Il prévoit notamment que Viginum puisse travailler sur les plateformes nécessitant une inscription, comme Facebook, Instagram ou Twitter, Linkedin.

Le texte précise que Viginum « est autorisé à mettre en œuvre un traitement informatisé et automatisé de données à caractère personnel », un traitement qui « a pour finalités la détection et la caractérisation des opérations impliquant, de manière directe ou indirecte, un État étranger ou une entité non étatique étrangère, et visant à la diffusion artificielle ou automatisée, massive et délibérée (…) d’allégations ou imputations de faits manifestement inexactes ou trompeuses de nature à porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation, notamment lorsque ces opérations sont de nature à altérer l’information des citoyens pendant les périodes électorales. »

Mais sur quels critères juger que des allégations sont « manifestement inexactes ou trompeuses » ? Quant à « porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation », lesquels sont-ils ? Il nous est précisé « notamment durant les périodes électorales ». Mais cela signifie que ce flicage est valable en tout temps, tout simplement. Et cela ouvre le vaste champ de la chasse à toute personne jugée (arbitrairement) dissidente.

De plus, ce flicage ne concerne pas que le diffuseur d’information mais tous ceux avec lesquels il est en contact. Ce travail est évidemment opéré par des systèmes automatiques, des mots clés.

La dynamique du flicage

Sous prétexte de lutter contre un présupposé démiurge russe maléfique, se met en place un flicage de tout opposant pour cause d’un délit d’opinion qui ne dit pas son nom.

La lecture de la Délibération n°2021-116 du 7 octobre 2021 de la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) nous instruit sur la dangerosité de ce qui s’annonce.

La CNIL (d’ordinaire assez timide) relève ainsi que le traitement envisagé nécessite la collecte automatisée de données publiées sur diverses plateformes (notamment les réseaux sociaux), en énorme quantité et à tout instant. Or les données collectées sont susceptibles de révéler nombre d’aspects de la vie privée des personnes surveillées, y compris des informations sensibles, telles que les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques ainsi que l’état de santé ou l’orientation sexuelle, alors que de telles données bénéficient légalement d’une protection spécifique. Et cela, hors du cadre légal encadrant les procédures judiciaires et de la législation relative aux techniques de renseignement. De plus, la CNIL s’inquiète du « traitement de données non pertinentes au regard des finalités poursuivies et en limitant les périodes au cours desquelles ce traitement peut être mis en œuvre » en demandant que cela soit limité.

La CNIL s’inquiète aussi de ce que « Ces informations sont susceptibles de révéler des informations sur un nombre important d’aspects de la vie privée des personnes concernées, y compris des informations sensibles, telles que les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques ainsi que l’état de santé ou l’orientation sexuelle ». Ainsi, celui qui qualifiera tel personnage de l’État de pédéraste, de dépravé sexuel, verra ses communications décortiquées jusqu’à la dernière avec beaucoup d’autres éléments jugés compromettants qui pourront être utilisés pour faire pression sur son auteur, le faire chanter.

La preuve ? On la trouve dans ce qui suit : « la collecte automatisée d’un grand nombre de données à partir des plateformes concernées, selon certains paramètres déterminés par avance (au sein des fiches dites de « traçabilité », implique la collecte et le traitement de données non pertinentes au regard des finalités poursuivies ». Cela signifie que l’on ne collectera pas seulement les données d’ordre politique mais toutes les autres, fichant ainsi tous les opposants, mieux que le faisait la Stasi ou le KGB.

D’ailleurs, la CNR, n’est pas dupe et écrit : « certaines données à caractère personnel, présentes dans les notes d’analyse précédemment évoquées, seront adressées à de multiples services étatiques et administrations ainsi qu’à des homologues étrangers ». En termes clairs ces collectes permettront des « notes d’analyse », c’est-à-dire de fiches de police constituées sur tout un chacun et utilisables par tout service de l’État qui le jugera utile à son action.

Certes, ce fichage n’empêchera pas que le système s’effondre tôt ou tard. Mais nous devons savoir ce qui se met en place et en tenir compte dans l’action politique.




Témoignage de la journaliste Myriam Palomba un an après son Coup de gueule face à Laurent Alexandre

[Source : reaction19.fr]



Compte Twitter : https://twitter.com/myriampalomba

[Voir aussi :
Coup de gueule de la journaliste Myriam Palomba face à Laurent Alexandre, au sujet des non-vaccinés, du vaccin et du pass vaccinal]




Robert Kennedy Jr : à qui profite le crime ?




L’invention du « virus Ebola »

Par Jean Bitterlin

Voici le travail de recherche de Mike Stone sur l’arnaque du « virus Ebola ». Les articles provenant de l’OMS ou d’autres sources que l’analyse de l’auteur sont sur fond coloré.

[Voir aussi :
Ebola : briser les mensonges et la supercherie]

Quel que soit le « virus » sur lequel on se penche, on retrouve toujours le même narratif :

  1. L’émergence de « l’épidémie » se fonde sur des maladies préexistantes que l’on attribue à un « nouveau virus ». Pour Ebola il s’agissait du paludisme, de la fièvre typhoïde, de la méningite, de l’hépatite, etc., pour le VIH il s’agissait du sarcome de Kaposi, de la pneumonie cystite carinii auxquels se sont rajoutées près d’une trentaine d’autres maladies et pour le Covid-19 les pneumonies)
  2. Le « virus » en question n’est et n’a jamais été isolé (ce qui rend d’ailleurs impossible la mise au point d’un test) et personne ne l’a jamais vu.
  3. La « preuve de la présence du virus » est toujours indirecte : c’est la présence d’anticorps que l’on prétend être, sans aucun fondement scientifique, spécifiques au « virus ».
  4. Des malades qui ne sont pas porteurs de ces anticorps dits spécifiques et des bien-portants chez lesquels on trouve ces anticorps. Ces bien-portants sont alors appelés porteurs asymptomatiques du « virus », situation qui peut durer des années ! (On peut se demander alors ce que « foutent » ces virus pendant tout ce temps, doivent s’emmerder tapis dans des cellules et prêts à passer à l’attaque.)
  5. Des remèdes ou médicaments qui ont les mêmes effets pathogènes, effets pouvant aller jusqu’au décès, que l’on attribuera au « virus ». Dans le cas d’Ebola il s’agit de la chloroquine, dans le cas du VIH il s’agit de l’AZT…

Voici également une vidéo qui bien que datant mérite d’être visionnée même si les intervenants se situent dans l’hypothèse virale : https://www.dailymotion.com/video/xmq1ka

Le professeur De Harven qui est interviewé dans la vidéo est malheureusement décédé en mars 2019.

Dès le début de cette escroquerie phénoménale qu’est le « virus du SIDA » des voix se sont élevées pour dénoncer les graves incohérences de l’hypothèse d’une épidémie qui allait éradiquer l’Humanité. Qu’un Luc Montagnier ait persisté dans la fraude, n’ait jamais douté et n’ait jamais fait amende honorable malgré les décennies où aucun fait scientifique n’a pu corroborer cette hypothèse me fait dire qu’il est à classer dans la catégorie des pires criminels que l’Humanité ait connue.

Dès le début des années 1990 des voix se sont élevées (le groupe de Perth en Australie, le professeur Stefan Lanka en Allemagne) pour dénoncer l’hypothèse virale qui ne repose sur aucun fondement scientifique. Tous ceux qui, tout en restant dans cette hypothèse virale, ont combattu le narratif officiel du SIDA ont bien malgré eux contribué à la mise en œuvre de l’escroquerie Covid-19. Ne perdons pas 40 années supplémentaires en restant dans cette hypothèse virale. Je suis persuadé que nous devons nous concentrer que sur un seul objectif : balayer cette hypothèse, tout le reste n’a guère d’importance.

À vous de vous impliquer dans cette lutte en diffusant l’information autour de vous et de mettre à la poubelle tout ce qui provient des idiots utiles (à Big Pharma) tels que Perronne, Stuckelberger, Henrion-Caude… et bien d’autres


[Source : https://viroliegy.com/2022/09/26/the-ebola-virus-part-1/]

Par Mike Stone

Mon voyage pour découvrir les mensonges de la théorie du germe

Il y a quelques années, un de mes proches a été mal diagnostiqué et maltraité par notre système médical. Il a été victime de nombreux médicaments toxiques et de procédures médicales invasives inutiles qui lui ont malheureusement coûté la vie après des années de souffrance dans des conditions horribles.

En essayant de découvrir les meilleurs moyens de l’aider à traverser cette difficile crise sanitaire, je suis tombé sur les mensonges de la théorie des germes et sur l’état désastreux de notre système de « santé ». J’ai découvert la bataille entre Antoine Béchamp et le plagiaire Louis Pasteur. J’ai commencé à étudier les différences entre la théorie des germes et la théorie du terrain. J’ai pris conscience de l’influence des Rockefeller sur la création de notre establishment médical. Je me suis plongé dans les travaux de David Crowe, Stefan Lanka, Roberto Giraldo, du Groupe de Perth, de Liam Scheff, Celia Farber et bien d’autres.

En 2020, il est devenu évident que je ne pouvais plus rester sur la touche tout en accumulant ces informations pour moi-même. Le monde s’est passionné pour une « pandémie » fondée sur de nombreux faux prétextes et une désinformation/propagande délibérée. Nous nous sommes retrouvés dans une pandémie de tests entretenue par la PEUR. De trop nombreuses personnes ont agi sur la base d’informations inexactes provenant de sources grand public contrôlées par l’industrie pharmaceutique, sans jamais être conscientes du fait qu’il existe un côté beaucoup plus logique à ce débat. Un côté basé sur la connaissance et non sur la PEUR.

J’ai décidé qu’il était temps de partager cette information sur Facebook avec mes amis, ma famille et tous ceux qui avaient besoin de l’entendre. Malheureusement, cela est devenu de plus en plus difficile face à la censure actuelle. Ce paysage orwellien m’a conduit à la création de ce blog. J’ai l’intention de partager les articles que j’ai rédigés sur les méthodes fallacieuses utilisées en virologie, l’absence de preuves scientifiques valables concernant les « virus » et les anticorps, la supercherie de la génomique, les dangers des vaccins et de diverses interventions médicales, ainsi que de fournir des informations sur les meilleures façons de prendre soin de sa santé naturellement.

Je ne suis pas médecin, virologue, microbiologiste, scientifique, etc. Beaucoup s’en serviront contre moi. J’ai fait des études en sciences de la santé et de l’exercice. J’ai été entraîneur personnel, nutritionniste, et je suis actuellement coach en santé et bien-être. Ce que je partage ici est basé sur des années de recherche et de lecture d’études ou de sources originales. Je ferai toujours de mon mieux pour fournir les sources d’où proviennent les informations. C’est le meilleur conseil que j’ai reçu de Kary Mullis, l’inventeur du test PCR actuellement utilisé à tort dans le monde entier :

« Je pense que c’est de la simple logique. Cela ne nécessite pas que quelqu’un ait une connaissance spécialisée du domaine. Le fait est que s’il existait des preuves que le VIH cause le SIDA — si quelqu’un qui était en fait un spécialiste dans ce domaine pouvait écrire une analyse de la documentation, dans laquelle seraient citées un certain nombre d’études scientifiques qui, seules ou en groupe, pourraient soutenir l’hypothèse que le VIH est la cause probable du SIDA — quelqu’un l’aurait écrite. Il n’y a pas d’article, ni d’analyse de documentation mentionnant un certain nombre d’articles qui, pris ensemble, pourraient soutenir cette affirmation. »

Kary Mullis

J’espère que les informations que j’ai acquises au cours de mon voyage vous aideront dans le vôtre.

Le « virus » Ebola — 1re partie

Un commentaire a récemment été laissé sur l’un de mes articles et a attiré mon attention :

Si vous bande d’idiots (traduction libre !) êtes si sûrs que les virus n’existent pas, allez dans un pays d’Afrique et exposez-vous à Ebola. Faites-moi savoir comment ça se passe pour vous. J’attendrai. Mais encore une fois vous êtes tous trop idiots pour me prouver que j’ai tort.

Pour une raison quelconque, il y a des personnes qui semblent croire que pour prouver que les « virus » n’existent pas (sophisme de la non-existence), il faut soit s’injecter du sang « infecté » soit s’exposer à des individus « infectés ». Ces personnes estiment que la dissection des études qui ont été présentées comme des preuves de l’existence de ces entités pathogènes fictives n’est pas suffisamment convaincante. Dans ce cas précis, on m’a dit d’aller en Afrique et de m’exposer à un patient atteint d’Ebola. Cette personne a fièrement déclaré : « Prouve-moi que j’ai tort en te contaminant toi-même ». Bien sûr, si je tombais malade après m’être exposé à un patient atteint d’Ebola, cela ne prouverait en aucun cas qu’un « virus » en est la cause, car les toxines environnementales, le stress et la fatigue dus aux voyages, les changements dans les habitudes alimentaires et de sommeil, etc. pourraient tous être des facteurs potentiels conduisant à la maladie. Si je ne tombais pas malade, ces personnes se rabattraient sur des dispositifs de secours tels que les anticorps naturels ou les infections asymptomatiques comme explication probable de l’absence de maladie. Ce serait en fin de compte un exercice infructueux.

Malheureusement pour ceux qui font des demandes illogiques comme l’exemple ci-dessus, la charge de la preuve incombe à celui qui fait la déclaration positive. Si quelqu’un affirme qu’un « virus » existe, c’est à cette personne qu’il incombe de prouver l’existence de ce « virus » particulier. La meilleure façon de le faire serait de présenter les études fondamentales relatives à ce « virus ». Je trouve intéressant que ces personnes ne se tournent jamais vers la littérature scientifique pour tenter d’établir que l’existence de ces « virus », tels qu’Ebola, a été prouvée en premier lieu comme on le prétend. Cependant, je comprends leur frustration lorsqu’ils essaient de présenter les études originales comme preuve, car la preuve scientifique n’existe tout simplement pas dans aucun de ces documents.

Quoi qu’il en soit, Ebola est l’un de ce que je considère généralement comme les trois principaux « virus » avec lesquels les gens aiment défier ceux qui critiquent la virologie, les deux autres étant le VIH et la rage, dont j’ai parlé précédemment. Selon leurs exigences, pour réfuter la virologie, nous devons surmonter l’obstacle des « trois grands » en nous exposant physiquement à des patients malades. Malheureusement, même si j’adorerais faire un safari, tout laisser tomber et m’envoler pour l’Afrique afin de m’exposer à des « virus » imaginaires n’est pas vraiment une option réaliste pour moi en ce moment. Cependant, pourquoi engager des frais de voyage alors que je peux simplement démonter les preuves pseudo-scientifiques utilisées pour prouver l’existence dudit « virus » (que ces personnes ne veulent pas regarder et soumettre elles-mêmes) ?

Cet effondrement de la fraude Ebola sera présenté en deux parties. La première partie se concentre sur « l’isolement » du « virus » Ebola par trois groupes de chercheurs en 1976. J’ai fourni les trois documents soumis, un de chaque groupe, pour voir s’il existe des preuves scientifiques de l’existence d’un « virus » Ebola dans ces documents. Les chercheurs ont-ils respecté la méthode scientifique ? Ont-ils essayé de purifier et d’isoler correctement les particules supposées être le « virus » Ebola directement à partir des fluides d’un hôte malade ? Ces particules purifiées ont-elles été utilisées pour exposer un hôte sensible de manière naturelle ? Les images obtenues au microscope électronique ne montraient-elles que les particules supposées « virales » et rien d’autre ? Les chercheurs ont-ils effectué les expériences de contrôle appropriées ? C’est ce que nous allons découvrir.

La deuxième partie explore les incohérences du rapport de 23 pages publié par l’OMS en 1978, qui résume les recherches menées en 1976. Le récit comporte de nombreuses lacunes qui nécessitent un examen plus approfondi. Nous examinerons également d’autres causes potentielles des symptômes ressentis par les patients qui ont été bizarrement négligées par l’OMS.

C’est quoi le « virus » Ebola ?

Traduction du document du CDC :

Écologie et transmission du virus Ebola

La maladie du virus Ebola est une maladie zoonotique. Les zoonoses concernent les animaux et les humains.

1re colonne : Transmission d’animal à animal

Les preuves suggèrent que les chauves-souris sont les hôtes réservoirs pour le virus Ebola (satanée bestiole — la même qui nous a transmis le virus du Covid-19 !! – NdT). Les chauves-souris porteuses du virus peuvent le transmettre à d’autres animaux, les grands singes, les singes et les duikers (antilopes), tout comme elles peuvent le transmettre aux humains.

2colonne : Événement de débordement

Un « événement de débordement » se produit lorsqu’un animal (chauve-souris, singe, antilope) ou humain devient infecté par le virus Ebola par contact avec l’hôte réservoir. Ce contact pourrait se produire lors d’une chasse ou lors de la préparation de la viande de l’animal pour la manger.

3colonne : Transmission d’humain à humain

Une fois que le virus Ebola a infecté le premier humain, la transmission d’un humain à l’autre peut se produire par contact avec le sang et les fluides du corps des personnes malades ou par contact avec les corps de ceux qui sont décédés d’Ebola (p….. même les morts sont dangereux !!! – NdT)

4colonne : Survivants

Les survivants d’Ebola affrontent de nouveaux défis après la guérison. Certains survivants rapportent des effets tels que la fatigue et des douleurs musculaires et peuvent avoir à affronter la stigmatisation lorsqu’ils retournent dans leurs communautés.

Au milieu : Pratiques funéraires traditionnelles — Travailleurs de la Santé non protégés – Contacts non protégés avec le sang et les fluides corporels.

D’après le CDC, le « virus » Ebola a été découvert au Zaïre en 1976 (après une épidémie de fièvre hémorragique). De temps en temps le « virus » aime occasionnellement faire des apparitions en Afrique. L’on dit qu’il s’est d’abord transmis à l’homme par contact avec un animal infecté. Ensuite, le « virus » se transmet d’homme à homme par contact avec les fluides corporels d’une personne infectée :

« Le virus Ebola a été découvert pour la première fois en 1976 près de la rivière Ebola, dans ce qui est aujourd’hui la République Démocratique du Congo. Depuis lors, le virus infecte de temps en temps des personnes, ce qui a entraîné des épidémies dans plusieurs pays africains. Les scientifiques ne savent pas d’où vient le virus Ebola. Sur la base de virus similaires, ils pensent que la maladie du virus Ebola est transmise par les animaux, les chauves-souris ou les primates non humains étant la source la plus probable. Les animaux infectés porteurs du virus peuvent le transmettre à d’autres animaux, comme les grands singes, les singes, les antilopes et les humains.

Le virus se transmet d’abord à l’homme par contact direct avec le sang, les fluides corporels et les tissus des animaux. Le virus Ebola se transmet ensuite à d’autres personnes par contact direct avec les fluides corporels d’une personne malade ou décédée de la maladie du virus Ebola. Cela peut se produire lorsqu’une personne touche ces fluides corporels infectés ou des objets contaminés par eux. Le virus pénètre ensuite dans l’organisme par les lésions cutanées ou les muqueuses des yeux, du nez ou de la bouche. On peut contracter le virus par contact sexuel avec une personne malade ou guérie de l’EVD. Après la guérison de la maladie, le virus peut persister dans certains fluides corporels comme le sperme. » (NdT : EVD pour Ebola Virus Disease, Maladie due au Virus Ebola)

https://www.cdc.gov/vhf/ebola/about.html

Ministère de la Santé de la République d’Uganda — OMS — Unicef

(Ebola : Signes et symptômes
Fièvre – Vomissements – Sang lors de diarrhée ou dans l’urine – Maux de tête – Affaiblissement du corps – Maux de gorge – Douleur musculaire – Saignements des orifices corporels.)
OMS, l’image du gars qui vomit sur le sol est-elle vraiment nécessaire ?

Selon l’OMS, nous constatons que cette « maladie rare, mais grave, souvent mortelle » ne peut être transmise que par les personnes qui présentent des symptômes. Le « virus » Ebola est associé à une liste de symptômes non spécifiques, et est souvent confondu lors du diagnostic avec de nombreuses autres maladies et même avec une grossesse (!) :

Symptômes

La période d’incubation, qui est l’intervalle de temps entre l’infection par le virus et l’apparition des symptômes, est de 2 à 21 jours. Une personne infectée par Ebola ne peut pas transmettre la maladie avant qu’elle ne présente les symptômes.

Les symptômes de la maladie du virus Ebola peuvent être soudains et incluent :

  • Fièvre
  • Fatigue
  • Douleur musculaire
  • Maux de tête
  • Maux de gorge

Ceci est suivi de :

  • Vomissements
  • Diarrhées
  • Éruptions cutanées
  • Symptômes d’altération des fonctions rénales et hépatiques
  • Dans certains cas saignements internes et externes (par exemple suintements des gencives ou sang dans les selles)
  • Les résultats des laboratoires comprennent un faible nombre de globules blancs et de plaquettes et des enzymes hépatiques élevées.

Diagnostic

Il peut s’avérer difficile de distinguer cliniquement la maladie du virus Ebola d’autres maladies infectieuses telles que la malaria, la fièvre typhoïde et la méningite. De nombreux symptômes de la grossesse et la maladie Ebola sont également assez similaires. En raison des risques pour la grossesse, les femmes enceintes devraient idéalement être testées rapidement en cas de suspicion d’Ebola.

https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/ebola-virus-disease?gclid=Cj0KCQjwj7CZBhDHARIsAPPWv3cNnRDMQ6A8_meGwLE7XzuMOX1WvF97TctCB1A3nu1AfVv0MxnTwi4aAimkEALw_wcB

Le Dr Piot et les chasseurs du « virus » !

Indépendamment des symptômes non spécifiques et des similitudes de la maladie avec la grossesse, les chercheurs de 1976, constatant les mêmes signes et symptômes de fièvre hémorragique associés à de nombreuses affections, ont eu le sentiment, pour une raison quelconque, qu’ils avaient un nouveau « virus » sur les bras. Pour déterminer s’il s’agissait d’une nouvelle épidémie « virale » au Zaïre, des échantillons prélevés sur une infirmière malade ont été envoyés au Dr Peter Piot en Belgique, un homme qui venait de terminer ses études de médecine en 1976 et qui suivait une formation de microbiologiste clinique. Il est considéré comme l’un des chercheurs qui ont finalement découvert le nouveau « virus », quand bien même si le « virus » qu’il a « trouvé » ressemblait exactement au « virus » de Marburg, un autre « virus » découvert en 1967 qui présente une série de symptômes similaires :

Le scientifique qui a découvert Ebola

« Alors qu’il travaillait dans un laboratoire de l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers, en Belgique, Piot a reçu un thermos en plastique bon marché contenant deux flacons de sang et de la glace fondue. À l’intérieur se trouvait également une note manuscrite d’un médecin belge basé au Zaïre (aujourd’hui la République Démocratique du Congo). La note expliquait que le sang avait été prélevé sur une religieuse belge travaillant au Zaïre. Elle et deux cents autres personnes vivant dans une région reculée du Zaïre avaient été gravement atteintes d’une maladie mystérieuse. Le thermos avait été transporté sur un vol commercial en provenance de la capitale du Zaïre dans l’un des bagages accompagnés du passager ! En ouvrant le thermos, Piot et ses collègues ont été accueillis par un mélange gluant de glace fondue et de sang. Des deux flacons, un seul était resté intact, tandis que l’autre s’était brisé en route.

Piot et son équipe ont soupçonné la maladie inconnue d’être la fièvre jaune. L’Institut de Médecine Tropicale était qualifié pour traiter la fièvre jaune. Ils étaient loin de se douter que ce qui devait être appelé virus Ebola se cachait dans le thermos. À cette époque, les protocoles de biosécurité n’étaient pas aussi stricts qu’ils le sont aujourd’hui. Ne portant que de fins gants en latex, les scientifiques ont prélevé un échantillon de sang dans la fiole intacte et ont procédé à des tests standard. L’échantillon de sang a été soumis à des tests de dépistage de microbes connus, celui de la fièvre jaune et de plusieurs virus de fièvre hémorragique tels que Lassa, Marburg et dengue. Aucun des microbes ou virus potentiels n’a été trouvé dans le sang. Piot a également injecté à des souris des échantillons du sang de la nonne. Au bout d’une semaine, toutes les souris étaient mortes.

Lorsque les scientifiques ont examiné le sang au microscope, ils ont été surpris par ce qu’ils ont vu. « Nous avons vu une structure vermineuse gigantesque, gigantesque par rapport aux normes virales », explique Piot. Le seul autre virus connu qui avait une taille et une forme similaires était le virus de Marburg. Ce virus est apparu pour la première fois en 1967, lorsque 31 employés de laboratoire ont été atteints de fièvre hémorragique après avoir été en contact avec des singes infectés. En 1976, seules trois installations en dehors de l’Union soviétique étaient qualifiées pour traiter les virus mortels en toute sécurité : Porton Down près de Londres, Fort Detrick dans le Maryland et ce qui est aujourd’hui le CDC à Atlanta. L’Organisation Mondiale de la Santé a ordonné aux scientifiques belges d’envoyer leurs échantillons de sang au laboratoire du CDC, qui était à l’époque le centre de référence mondial pour les virus hémorragiques. Après avoir analysé le virus, le CDC a confirmé que l’échantillon contenait un tout nouveau virus hémorragique. Le Dr Piot dit avoir éprouvé un sentiment « d’excitation incroyable » avec la découverte d’Ebola.

Rétrospectivement, le Dr Piot dit qu’il a eu « de la chance de ne pas être infecté, non seulement dans le laboratoire, mais plus tard, lorsque je prélevais du sang sur les patients et que je les touchais. » Après son travail sur Ebola, le Dr Piot a mené des recherches sur l’épidémie de SIDA en Afrique, puis est devenu le directeur exécutif fondateur d’ONUSIDA, le programme commun des Nations Unies sur le VIH/SIDA. Le Dr Piot est actuellement directeur de l’Ecole d’Hygiène et de Médecine Tropicale de Londres.

https://www.nature.com/scitable/blog/viruses101/the_scientist_who_discovered_ebola/

Le Dr Piot surpris dans l’art de dormir tout en étant debout.

Il est intéressant de noter que si le Dr Piot a été largement crédité de la découverte du « virus » Ebola, cette affirmation a fait l’objet d’une certaine controverse, car de nombreuses autres personnes auraient été impliquées dans le processus de découverte. Même si le Dr Piot et ses collaborateurs ont affirmé avoir « isolé » le « virus » identique à celui de Marburg dans tous les sens du terme, ils ne savaient pas s’il s’agissait en fait d’un nouveau « virus ». Après l’insistance de l’OMS, des chercheurs du CDC ont reçu des échantillons pour vérifier si l’équipe de Piot avait trouvé quelque chose de nouveau :

L’histoire attribue à cet homme le mérite d’avoir découvert Ebola par lui-même. L’histoire a tort

Mais Pattyn et ses collègues ne savaient pas ce qu’ils regardaient. Ils ont vu un virus en forme de lasso qui ressemblait au virus de Marburg — la cause d’un type similaire de fièvre hémorragique découvert neuf ans plus tôt — mais n’avaient pas la capacité de déterminer avec certitude si ce qu’ils observaient était quelque chose de nouveau.

Comme le laboratoire d’Anvers n’était pas équipé pour travailler sur des virus mortels comme celui de Marburg, l’Organisation mondiale de la santé a demandé à Pattyn d’envoyer les échantillons aux laboratoires militaires britanniques de Porton Down. Les scientifiques ont commencé à l’étudier, mais ont également envoyé un échantillon au CDC.

L’équipe d’Atlanta a pu démontrer que l’épidémie de Yambuku était causée par un virus inconnu jusqu’alors, et non par Marburg. Webb a effectué les tests critiques.

« Il est certain que ceux qui devraient avoir le mérite de la découverte savaient en fait qu’ils avaient découvert quelque chose de nouveau », se souvient le Dr Joel Breman, épidémiologiste du CDC en 1976, qui avait dirigé l’enquête de terrain sur l’épidémie à Yambuku. « Savoir ce que c’est, différent de tout le reste — c’est ça la découverte d’un nouvel organisme ».

« Les équipes d’Anvers, de Porton Down et du CDC ont copublié des articles décrivant leur rôle dans la découverte d’Ebola dans le numéro du 12 mars 1977 du Lancet. Il y avait 15 auteurs en tout. »

« Dans l’interview accordée à STAT, Piot a reconnu que le mérite de la découverte effective revient à Johnson et à l’équipe du CDC.

Il a toutefois noté que lui et d’autres membres du laboratoire de Pattyn estimaient avoir le droit de se décrire comme codécouvreurs, en raison du travail qu’ils ont accompli pour isoler le virus à partir de l’échantillon de sang original. »

Qui mérite d’être crédité de la découverte du « virus » Ebola ?
Personne. 

Trois équipes distinctes composées de 15 chercheurs auraient été impliquées dans le processus de découverte du « virus » Ebola. Il y avait le groupe du Dr Piot à Anvers, le groupe militaire britannique à Porton Down et le groupe du CDC à Atlanta. Il a été décidé que le groupe du Dr Piot pouvait prétendre avoir « isolé » le « virus » semblable à celui de Marbourg, tandis que le CDC a eu le dernier mot pour déterminer que « l’isolat » était un nouveau « virus » et non le même vieux Marbourg de 1967. Malgré le drame lié à l’attribution correcte du mérite de la découverte d’Ebola aux bonnes personnes, lorsqu’on examine les trois études soumises au Lancet en 1977 par tous les chercheurs impliqués, on se rend compte que la question ne devrait pas du tout être de savoir qui a le mérite de la découverte d’un nouveau « virus ». Il apparaît clairement à la lecture de ces études qu’aucun de ces chercheurs ne mérite cette reconnaissance, car nulle part dans les articles, les particules supposées être le « virus » Ebola ne sont pas correctement purifiées et isolées directement à partir des fluides d’un hôte malade, et ensuite prouvées être pathogènes de manière naturelle.

Par exemple, dans l’étude du Dr Piot, ce que nous constatons c’est que le sang qu’il a reçu de l’infirmière malade ne contient jamais de « virus ». À aucun moment, l’article ne décrit un quelconque processus de purification (c’est-à-dire centrifugation, filtration, précipitation, etc.), et il n’y a donc aucune preuve de la présence de présumées particules « virales » directement dans les fluides de l’infirmière. Tout ce qui est décrit est le processus habituel de culture cellulaire utilisant des cellules Vero de singes verts africains, du milieu 199 et 7,5 % de sérum de veau. C’est exactement le contraire de la purification et de l’isolement, car de nombreux matériaux étrangers et contaminants ne sont pas séparés, mais au lieu de cela sont ajoutés ensemble dans une boîte de Petri. L’effet cytopathogène (ECP) observé dans les cultures cellulaires a d’abord été considéré comme non spécifique jusqu’à ce que les chercheurs changent le milieu au cinquième jour pour un milieu plus susceptible de produire un ECP et incubent la culture pendant une semaine supplémentaire, créant ainsi l’effet qu’ils voulaient voir. Les études de pathogénicité ont consisté à injecter du sang dans le cerveau et l’estomac de souris nouvellement nées et à affirmer que tout décès était dû au « virus » plutôt qu’à la méthode non naturelle d’injection du sang dans les animaux. Les résultats des anticorps indirects n’étaient pas spécifiques non plus et ont en fait déclenché la fièvre jaune, c’est ce le Dr Piot a déclaré être sa suspicion initiale. Les particules observées en microscopie électronique n’étaient pas de nouvelles entités distinctes et étaient en fait identiques à celles associées au « virus » de Marburg. Aucun contrôle n’a été effectué à l’aide de matériel provenant d’hôtes sains ou de personnes présentant des symptômes similaires de la maladie. En conclusion, le Dr Piot et ses collaborateurs ont déclaré qu’il était possible que tout ce qu’ils avaient fait c’était d’avoir « isolé » le « virus » de Marbourg, mais il a émis l’hypothèse qu’il s’agissait peut-être d’un parent distinct d’un point de vue sérologique ou peut-être d’un nouveau « virus » appartenant au même groupe de « virus » que la rage. En d’autres termes, ils ont utilisé les mêmes méthodes indirectes et obtenu des résultats non spécifiques, ce qui a en quelque sorte alerté l’OMS qu’un nouveau « virus » était en cause :

Isolation d’un virus de type Marburg à partir d’un cas de fièvre hémorragique

Une femme de 42 ans (la patiente M. E.) est tombée malade le 23 septembre 1976 à Yambuku, dans la province de l’Équateur, au Zaïre. Elle a été transportée par avion le 25 septembre à Kinshasa, où un syndrome hémorragique s’est progressivement développé. Du sang coagulé prélevé le 5e jour de la maladie a été envoyé sur glace à l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers. L’échantillon est arrivé dans la soirée du 29 septembre et a été conservé au réfrigérateur.

Le lendemain matin, le sérum a été inoculé à 6 souris jeunes adultes par voie intracérébrale et intrapéritonéale, à 2 portées de souris nouveau-nées par voie intracérébrale et à 10 tubes de cultures de cellules Vero (cultivées dans du milieu 199 contenant 7,5 % de sérum de veau).

Le sérum a été testé par fixation du complément pour les anticorps du virus de Lassa (le résultat était négatif) et par neutralisation sur cellules Vero pour les anticorps du virus de la fièvre jaune (les anticorps étaient présents à une dilution de 1/30).

Résultats des inoculations

Chez les souris

Un animal a été trouvé mort au 4jour et un second au 5e. Au 5jour les cerveaux ont été prélevés sur ces animaux et sur les survivants.

Chez les souris nouveau-nées

Au 5jour d’observation, un animal a été retrouvé mort et partiellement mangé dans chaque portée. Dans une portée, plusieurs souris avaient disparu les jours 6 et 7, ne laissant qu’un seul animal. En revanche, dans la deuxième portée, dont les animaux avaient été très sains pendant toute la période d’observation, il ne restait que trois jeunes souris : une morte, une paralysée et une très malade. Les cerveaux de ces animaux ont été prélevés et envoyés à l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down pour une étude plus approfondie.

Cellules Véro

Au cours des 4 premiers jours d’observation, certaines cellules du fond de la plupart des tubes se sont détachées de la surface du verre. Bien que ce phénomène ait d’abord été interprété comme un effet cytopathique partiel, il n’a pas augmenté au cours des jours suivants et a donc été considéré comme non spécifique. Au 5jour, le milieu de culture tissulaire a été remplacé par le milieu tamponné au succinate/acide succinique (tel que décrit par Plaisner et al.1) sans sérum. Selon notre expérience, ce milieu permet l’observation des cellules Vero pendant plusieurs semaines, alors que de nombreux arbovirus produisent un effet cytopathique dans ces conditions. Au 11e jour, un effet cytopathique très frappant a été observé dans ces cultures, la plupart des cellules étant encore attachées au verre. L’effet cytopathique était presque complet au 12e jour. (NdT : effet cytopathique ce sont les altérations métaboliques, biochimiques et morphologiques attribuées à un « virus » qui « infecterait » une cellule hôte)

Résultats de la microscopie électronique

Fig. 1 : Particules virales extracellulaires droites et croisées (agrandies x 112 000)

Le liquide surnageant de trois tubes a été décanté et ceux-ci ont été remplis de glutaraldéhyde à 3 % pendant 30 min. Les cellules ont ensuite été raclées dans une petite quantité de glutaraldéhyde, rincées avec du saccharose tamponné au cacodylate (7,5 %), postfixées dans du tétroxyde d’osmium tamponné au phosphate à 1 % et préparées par la méthode de coagulation à l’albumine. Une coloration de blocage a été effectuée avec de l’acétate d’uranyle à 0,5 %, suivie d’une déshydratation et d’une inclusion dans le milieu à faible viscosité de Spurr. L’examen au microscope électronique de coupes ultrafines de ce matériel a révélé des particules virales extracellulaires droites et croisées morphologiquement similaires au virus de Marburg (fig. 1). Des nucléocapsides intracellulaires ont également été observées, certaines d’entre elles semblant provenir de vésicules (fig. 2 et 3).

Figure 2 : particules virales provenant des membranes intracellulaires. (Agrandies de x 112 000)
Figure 3 : Particules virales intracellulaires en coupe transversale. (Agrandies de x 112 000)

Au même moment, des sections du foie du patient chez qui ce virus avait été isolé et qui était décédé le 1er octobre sont devenues disponibles. Bien que l’ultrastructure de ce tissu soit très mal conservée, des particules virales similaires ont été observées.

Conclusion

Il a été conclu que l’agent responsable de l’épidémie de fièvre hémorragique en Afrique centrale était soit le virus de Marburg, soit un virus différent de celui-ci d’un point de vue sérologique, mais appartenant au même groupe de virus, soit le rhabdovirus ou le torovirus.

C’est lui Anthony Fauci ?

L’OMS souhaitant que les résultats soient examinés séparément par des laboratoires mieux équipés pour traiter le « virus » le plus dangereux supposé avoir été identifié à Anvers, il a été fait appel aux militaires britanniques de Porton Down pour confirmer les résultats. Dans le document de Porton Down, nous constatons une fois de plus l’absence de toute mention de la purification et d’isolement des particules supposées être un « virus ». On retrouve les mêmes expériences de culture cellulaire utilisant des cellules Vero que celles de l’équipe de Piot, allant même jusqu’à utiliser du matériel envoyé par Anvers. Porton Down s’est procuré à Anvers le sang de patients en phase aiguë, le matériel de culture cellulaire et les cerveaux de souris inoculées pour ses propres expériences de science folle. Aucun des ingrédients utilisés pour le processus de culture n’a été détaillé et même s’il est fait mention de contrôles, ceux-ci restent indéfinis. Au cours de leurs expériences de culture cellulaire, les chercheurs ont noté de légers effets cytopathogènes qu’ils ont attribués aux matériaux toxiques utilisés pour l’inoculation. Finalement, trois des cultures ont pris une couleur plus acide et ont provoqué des maladies lorsqu’elles ont été injectées dans l’estomac de jeunes cobayes, signalant ainsi aux chercheurs la présence d’un « virus ». Les autres études de pathogénicité réalisées comprenaient l’injection des cerveaux des souris tuées à Anvers dans le cerveau et l’estomac de souris nouveau-nées à Porton Down et la revendication d’un succès lorsque les souris finissaient par mourir.

Bien que les chercheurs aient supposé qu’ils étaient en présence d’un nouveau « virus », les structures observées par microscopie électronique des foies de cochons d’Inde étaient identiques à celles observées chez les cochons d’Inde et les singes inoculés lors des expériences sur le « virus » de Marburg en 1967 et 1975. Le surnageant de la culture cellulaire contenait des structures sinueuses allongées qui ressemblaient aux structures observées dans les cellules rénales de bébé hamster après infection par le « virus » de Marburg. En fait, les chercheurs ont admis que la maladie et les lésions produites chez les cobayes par les nouveaux agents ressemblaient à celles des cobayes inoculés avec les premiers niveaux de passage du « virus » de Marburg. À toutes fins utiles, les chercheurs auraient dû conclure qu’ils avaient « isolé » le « virus » de Marburg. Bien que cette conclusion aurait été tout aussi frauduleuse, elle aurait au moins correspondu à ce que les preuves pseudo-scientifiques indirectes indiquaient :

Fièvre hémorragique virale dans le sud du Soudan et le nord du Zaïre

Entre juillet et septembre 1976, des cas sporadiques de fièvre avec manifestations hémorragiques ont été signalés dans les régions de Nzara, Maridi et Lirangu dans le sud du Soudan. On pense que les premiers cas se sont produits dans des établissements agricoles. Un foyer d’une maladie similaire a également été signalé dans la zone de Bumba, dans le nord du Zaïre. Alors que l’épidémie s’intensifiait, le pourcentage inquiétant de cas signalés parmi le personnel hospitalier a suggéré une propagation directe de l’infection de personne à personne. La maladie commençait par une fièvre aiguë, des malaises, des maux de gorge, des douleurs musculaires, des vomissements et des diarrhées. Les personnes gravement touchées ont présenté des épistaxis, des hémorragies sous-conjonctivales, des hémoptysies, des hématémèses et le méléna. Certains patients ont également présenté des éruptions cutanées, des tremblements et des convulsions.

Provenance des spécimens

Des spécimens provenant de l’épidémie du nord du Zaïre ont été envoyés à l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton, par le professeur S. R. Pattyn de l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers. Il s’agissait d’un sérum en phase aiguë (n° 718), de matériel de culture cellulaire et de cerveaux de souris qui allaitaient et qui avaient déjà été inoculés avec le sérum. Nous avons reçu plus tard un spécimen de foie du même patient et également 5 spécimens de sang en phase aiguë du Zaïre par l’intermédiaire du professeur Pattyn. Les spécimens provenant du sud du Soudan ont été principalement collectés à l’hôpital de Maridi et nous ont été envoyés directement par le Dr Babiker el Tahir, le Dr D. H. Smith, le Dr K. Jones et le Dr M. Cornet, qui étaient sur place pour enquêter. Ils consistaient en 3 prélèvements de gorge, 3 échantillons d’urine, 6 échantillons de sang en phase aiguë et des échantillons de sérum de personnes en convalescence. Ces spécimens ont été envoyés sur de la glace sèche ou dans de l’azote liquide. Trois laboratoires engagés dans des études préliminaires sur l’agent étiologique ont rapporté l’isolement d’un virus qui était morphologiquement similaire au virus de Marburg.

Les résultats des tentatives d’isolement du virus

L’isolement du virus à partir du matériel humain original a été tenté dans : (1) des préparations de culture de cellules Vero ; (2) des souris allaitantes inoculées par voie intraparentérale (i.p.) et intracérébrale (i.c.) ; et (3) de jeunes cobayes (200-250g) inoculés par voie i.p.

L’isolement chez les cobayes

Jusqu’à présent, 5 isolations de l’agent étiologique ont été obtenues chez le cochon d’Inde : 4 provenant de spécimens du nord du Zaïre et 1 d’un spécimen du sud du Soudan. Les cobayes inoculés par ces spécimens sont devenus fébriles à 40,5 °C après une période d’incubation de 4 à 7 jours. La maladie fébrile a duré 4 à 5 jours pendant lesquels les cochons d’Inde ne se développaient pas et avaient l’air malade. Un des 12 cochons d’Inde inoculés avec le matériel original est mort le 12jour après l’inoculation. Les 11 autres cochons d’Inde se sont lentement rétablis et ont ensuite présenté des anticorps détectables par des tests d’anticorps fluorescents à des titres allant de 1/64 à 1/128. Lorsque du sang hépariné entier provenant de cochons d’Inde fébriles a été inoculé par voie i.p. à d’autres cochons d’Inde, cela a entraîné une maladie fébrile similaire chez ces derniers.

Résultats histopathologiques

Foie — Il y avait de nombreux foyers de nécrose qui n’avaient pas de distribution lobulaire cohérente et consistaient en des groupes de cellules hépatiques subissant une dégénérescence hyaline et une nécrose. Dans certaines des cellules en dégénérescence, de petits corps éosinophiles pléomorphes étaient présents dans le cytoplasme qui étaient positifs à l’acide périodique/Schiff et se coloraient en rouge vif avec la technique de Machiavello, mais ne se coloraient pas en métachromie avec le Giemsa. Les cellules de Kupffer étaient hypertrophiées, certains sinusoïdes contenaient des lymphocytes et les zones périportales étaient fortement infiltrées par des cellules lymphoréticulaires.

La rate et les ganglions lymphatiques – Il y avait un appauvrissement généralisé du tissu lymphoïde des follicules, qui contenait de petites zones de nécrose. De nombreux macrophages se sont accumulés dans les sinus.

Poumons — Les changements dans les poumons étaient légers : épaississement localisé et infiltration des septa inter alvéolaires par des cellules lymphoréticulaires.

Autres organes : aucune lésion n’a été détectée dans le cerveau, les reins ou les glandes surrénales.

Microscopie électronique du foie

Figure 1 : Foie de cobaye infecté, canalicules biliaires (réduit de x 40 000) : particules virales bourgeonnant hors de la membrane cellulaire.

De petits morceaux de foie d’un cobaye tué 5 jours après l’inoculation ont été fixés dans du tétroxyde d’osmium à 1 %. Des coupes ultrafines ont été colorées à l’acétate d’uranyle et au citrate de plomb et examinées au microscope électronique. La figure 1 montre des structures étonnamment similaires à celles observées dans les foies de cobayes et de singes infectés expérimentalement par le virus de Marburg.

Isolation chez les souris

Les cerveaux de souris de lait qui sont tombées malades après avoir été inoculées avec du sérum en phase aiguë par le professeur Pattyn à Anvers ont été réinoculés dans quatre portées de souris nouveau-nées. Les souris ont commencé à mourir le 5jour et étaient toutes mortes au 9jour. Ce matériel de passage chez les souris n’a pas encore été étudié plus profondément. Nous proposons d’inoculer ce matériel à des cochons d’Inde pour voir si l’infection caractéristique se développe avant que nous ne tentions d’autres études chez la souris.

Études sur les cultures cellulaires

L’isolement à partir des échantillons originaux de sérum et de sang a également été tenté dans des préparations de cellules Vero en culture. Un effet cytopathique partiel a été observé sous examen microscopique à faible puissance. Cet effet n’a pas progressé jusqu’à la destruction complète de la membrane cellulaire et pourrait être attribué à un effet toxique des spécimens inoculés. On a toutefois observé un net changement de couleur dans le milieu de trois de ces cultures. Au 6e ou 7e jour après l’inoculation, elles sont devenues nettement plus acides que les cultures témoins. Lorsque de jeunes cobayes ont été inoculés avec ces trois cultures cellulaires, une maladie fébrile s’est développée après 4 à 6 jours.

Figure 2 : fluides de culture de tissus infectés à partir de cellules Vero (agrandis de x 110 000) : aspect interne des particules virales avec une structure en forme d’épaulement.

Figure 3 : Liquide de culture tissulaire infectée de cellules Vero (agrandi x 139 000) particules virales ramifiées.

L’examen au microscope électronique du liquide de culture cellulaire a révélé des structures sinueuses allongées (figures 2 et 3) qui ressemblaient aux structures observées dans les cellules rénales de baby-hamster après infection par le virus de Marburg ».

Conclusion

La microscopie électronique de foies de cobayes infectés et de matériel de culture cellulaire a révélé des structures présentant une ressemblance frappante avec le virus de Marburg. La maladie et les lésions produites chez les cobayes par les nouveaux agents ressemblent à celles des cobayes inoculés avec des niveaux de passage précoce du virus de Marburg. Les lésions d’un échantillon de foie prélevé lors de l’autopsie d’un des patients du Zaïre étaient très similaires à celles produites dans le foie de cochons d’Inde infectés expérimentalement. Jusqu’à présent, nous ne disposons d’aucun élément positif permettant de penser que les virus isolés dans le nord du Zaïre et le sud du Soudan sont sérologiquement apparentés à la souche du virus de Marburg isolée en 1967. 18 sérums de convalescents collectés au Soudan présentaient des titres d’anticorps fluorescents allant de 1/4 à 1/128 contre l’un des isolats du virus du Zaïre. Bien que cette preuve soit faible, elle suggère que les deux épidémies ont été causées par des virus apparentés, sinon identiques. Des études sont en cours pour déterminer la relation entre les nouveaux isolats du Zaïre et du Soudan et la souche de Marburg isolée en 1967.

Une recherche active du « virus »

L’insistance de l’OMS pour un réexamen des preuves a finalement conduit l’équipe du CDC d’Atlanta à s’impliquer afin d’avoir le dernier mot sur la question de savoir si les « isolats » d’Anvers étaient constitués d’un nouveau « virus » ou non. Dans le document du CDC, il est indiqué que Porton Down a envoyé un aliquot (NdT : petit échantillon) de sang au CDC. Comme dans les études précédentes, ce spécimen a également été inoculé sur des cellules Vero. Une fois de plus, aucune procédure de purification n’a été détaillée et la composition exacte des matériaux utilisés pour la culture des cellules n’a jamais été fournie. Après avoir observé un ECP (NdT : rappel — effet cytopathique) « distinct », le liquide surnageant non purifié a été utilisé pour l’imagerie EM (NdT : Electron Microscopy ou microscopie électronique). Les chercheurs ont déclaré avoir observé un grand nombre de particules filamenteuses, d’un diamètre d’environ 100 nm et d’une longueur variant de 300 nm à plus de 1500 nm. Il s’agit d’une différence assez importante dans la gamme de tailles des particules, ce qui montre qu’elles ne sont pas homologues et qu’il pourrait s’agir de nombreux « virus » et/ou microbes différents. Les chercheurs ont également noté que, dans tous les détails, ces particules ne se distinguaient pas de celles observées lors des précédentes épidémies de « virus » de Marbourg. Même l’examen des tissus hépatiques a révélé les mêmes structures que celles observées dans les foies des humains et des cobayes lors des épidémies de Marbourg de 1967 et 1975. Les seules preuves d’une différence proposée entre ce qui a finalement été déclaré Ebola et le « virus » de Marbourg étaient les résultats des tests d’immunofluorescence indirecte des anticorps qui, comme son nom l’indique, est une forme de preuve INDIRECTE utilisant des réactions chimiques non spécifiques. En fait, les chercheurs admettent qu’il y avait une faible réaction entre les échantillons de Marburg et du Zaïre. Cependant, sur la base des faibles preuves sérologiques (qui contredisaient les résultats antérieurs concernant le « virus » de Marbourg) et malgré les nombreux aveux d’identification des mêmes particules que celles associées au « virus » de Marbourg, le CDC a eu le dernier mot en déclarant que le « virus » Ebola était en fait un nouveau « virus ». Ils l’ont déclaré en dépit du fait qu’il est clair que pas un seul des trois groupes de chercheurs n’a vraiment purifié et isolé un « virus » Ebola pour commencer :

Isolation et caractérisation d’un nouveau virus responsable de la fièvre hémorragique aiguë au Zaïre

Une épidémie de fièvre hémorragique avec un taux de mortalité exceptionnellement élevé s’est produite dans le sud du Soudan et le nord du Zaïre avec un pic de cas en septembre 1976. Une commission internationale de l’OMS a opéré au Soudan et au Zaïre à partir d’octobre. Des échantillons de sang et de tissus provenant de personnes atteintes de la maladie hémorragique ont été envoyés à des laboratoires en Belgique et en Angleterre, et les résultats de ces laboratoires figurent dans les rapports ci-joints. Pendant que ces spécimens étaient étudiés, Monsieur E. T. W. Bowen (du Microbiological Research Establishment de Porton Down) a envoyé un aliquot d’un spécimen de sang aigu provenant d’un patient du Zaïre (n° 718, patient M. E.) au CDC d’Atlanta, pour une étude complémentaire.

Ce spécimen et tous les spécimens aigus ultérieurs ont été inoculés dans des cellules Vero (singe vert africain). Trois jours plus tard, un changement cytopathique distinct (arrondi focal et réfractivité) était évident, et un aliquot du liquide surnageant a été prélevé pour une microscopie électronique à contraste négatif.

La microscopie électronique des cultures cellulaires

Des grilles recouvertes de carbone ont été successivement mises à flotter sur des gouttelettes de liquide de culture cellulaire, puis sur du silicotungstate de sodium à 2 % de pH 7. De grandes quantités de particules virales filamenteuses ont été observées (fig. 1). Leur diamètre était d’environ 100 nm et leur longueur variait de 300 nm à plus de 1500 nm. Un grand nombre d’entre elles présentaient des boursouflures terminales. Les particules avaient des projections régulières à la surface d’environ 10 nm de long et, après coloration, elles présentaient des stries transversales internes indiquant une structure centrale hélicoïdale (fig. 2). Dans tous les détails, ces particules ne se distinguaient pas des particules du virus de Marburg étudiées en 1967 (isolats d’Allemagne) et en 1975 (isolat d’Afrique du Sud). Deux caractéristiques étaient plus marquées dans l’isolat du Zaïre de 1976 : les particules filamenteuses étaient plus ramifiées (fig. 1) et la continuation de l’enveloppe au-delà des extrémités de la structure interne plus rigide était plus évidente (fig. 1, flèche).

Des cellules Vero infectées par le même isolat du Zaïre ont également été examinées par microscopie électronique à coupe fine. On a trouvé des particules virales filamenteuses bourgeonnant de la membrane plasmique des cellules (fig. 3), et de nombreuses cellules contenaient des corps d’inclusion. Ces inclusions intracytoplasmiques étaient complexes et distinctes, et consistaient en une substance finement fibrillaire ou granulaire qui se condensait en structures tubulaires. Ces dernières ont été considérées comme la structure hélicoïdale interne des particules virales matures. Ces tubules ont été sectionnés au hasard, certains en coupe transversale, d’autres linéairement. Les particules virales dans ces sections étaient identiques à celles observées dans les isolats de 1967 et 1975.

SPÉCIMENS DE FOIE POST-MORTEM

Des signes d’infection ont été observés par microscopie optique dans trois échantillons de foie humain post-mortem provenant du Zaïre (reçus dans du formol). L’infection de deux d’entre eux a été confirmée par microscopie électronique. Une nécrose hépatocellulaire éosinophile focale avec une infiltration inflammatoire modeste était proéminente. De grandes inclusions cosinophiles étaient présentes dans de nombreux hépatocytes intacts, en particulier près des sites de nécrose sévère (fig. 4). Ces inclusions plutôt lisses et réfractives étaient si caractéristiques qu’elles ont une signification diagnostique. Les spécimens de nécropsie fixés au formol et inclus dans du plastique ont été examinés au microscope électronique. Bien que le tissu hépatique ait été mal conservé, on a trouvé un grand nombre de particules virales filamenteuses et de corps d’inclusion (masses de tubules) (fig. 5) qui ne se distinguaient pas de ceux présents dans les foies humains et de cobayes infectés par le virus de Marburg étudiés en 1967 et 1975.

Comparaison antigénique avec Marburg

Une différence antigénique entre cet isolat et Marburg 67 a été mise en évidence par immunofluorescence indirecte (I.F.A.). Une suspension de cellules Vero infectées a été placée en gouttes sur des lames, séchée à l’air, puis fixée à l’acétone pendant 10 minutes à température ambiante. Les lames ont été conservées à -70 °C jusqu’à ce qu’elles soient testées. Des lames d’antigène Marburg 67, préparées de la même manière, ont été utilisées pour la comparaison. Les titres réciproques obtenus avec des sérums humains convalescents prélevés au cours des épidémies de 1967, 1975 et 1976 sont indiqués dans le tableau I. À l’exception d’une faible réaction à l’antigène de Marburg à une dilution de 1/4 du sérum de convalescent zaïrois, le nouvel isolat était distinct du virus de Marburg. Les titres homologues de Marburg de 128 et 64 obtenus avec les antigènes et antisérums de 67 et 75 étaient comparables à ceux rapportés par Wulff et Conrad.

Un sérum immunisé contre le nouvel agent a été préparé en une seule injection chez le cochon d’Inde, et des tests d’immunofluorescence réciproques ont été effectués avec des réactifs similaires disponibles pour le virus de Marburg. Les titres réciproques (tableau 2) ont confirmé par la suite la distinction entre les deux virus. Bien qu’un des deux sérums de convalescence précoce provenant du Soudan ait donné une réaction positive à l’antigène du Zaïre (tableau I), des travaux supplémentaires sont nécessaires pour déterminer si les agents de la maladie hémorragique provenant des deux pays sont identiques.

Le Virus Ebola

Avec l’accord du Prof. S. R. Pattyn de l’Institut de Médecine Tropicale et de E. T. W. Bowen de l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down, le nom de virus Ebola est proposé pour ce nouvel agent. Ebola est une petite rivière du Zaïre qui coule vers l’ouest, au nord de Yambuku, le village d’origine du patient dont le premier isolat a été obtenu. Par respect pour les pays concernés et en raison du manque de connaissances spécifiques sur la source naturelle originale du virus, il est également suggéré de ne pas utiliser de noms de pays ou de villes spécifiques.

Ils cherchent beaucoup ou peu ?

En résumé

  • Le « virus » Ebola a été découvert pour la première fois en 1976 près de la rivière Ebola, dans ce qui est aujourd’hui la République démocratique du Congo.
  • Depuis lors, le « virus » infecterait de temps en temps des personnes, ce qui a entraîné des épidémies dans plusieurs pays africains.
  • Le « virus » se transmet d’abord à l’homme par contact direct avec le sang, les fluides corporels et les tissus d’animaux.
  • Le « virus » Ebola se transmet ensuite à d’autres personnes par contact direct avec les fluides corporels d’une personne malade ou décédée de la maladie.
  • Cependant, une personne infectée par le virus Ebola ne peut pas propager la maladie tant qu’elle n’a pas développé de symptômes.
  • Il peut être difficile de distinguer cliniquement la maladie d’Ebola d’autres maladies infectieuses telles que le paludisme, la fièvre typhoïde et la méningite.
  • De nombreux symptômes de la grossesse et de la maladie à virus Ebola sont également très similaires.
  • Les symptômes habituels sont les suivants :
  • Fièvre

    • – Fatigue
    • – Douleurs musculaires
    • – Maux de tête
    • – Maux de gorge
    • – Vomissements
    • – Diarrhée
    • – Éruption cutanée
    • – Symptômes d’altération des fonctions rénale et hépatique. Dans certains cas, saignement interne et externe (par exemple, suintement des gencives ou sang dans les selles).
    • – Les résultats de laboratoire comprennent une faible numération des globules blancs et des plaquettes et une élévation des enzymes hépatiques.

  • En 1976, le Dr Peter Piot a reçu une bouteille thermos contenant des flacons de sang avec une note expliquant que le sang avait été prélevé sur une religieuse belge travaillant au Zaïre.
  • Elle et deux cents autres personnes vivant dans une région reculée du Zaïre étaient gravement atteintes d’une maladie mystérieuse.
  • Piot et ses collègues ont trouvé un mélange gluant de glace fondue et de sang, car des deux flacons, un seul était resté intact, tandis que l’autre s’était brisé lors du voyage.
  • Le Dr Peter Piot et son équipe ont soupçonné la maladie inconnue d’être la fièvre jaune.
  • Portant uniquement de fins gants en latex, les scientifiques ont prélevé un échantillon de sang de la fiole intacte et ont effectué des tests standards sur celui-ci.
  • L’échantillon de sang a été analysé pour détecter des microbes connus, la fièvre jaune et plusieurs « virus » de fièvre hémorragique tels que Lassa, Marburg et la dengue.
  • Aucun des microbes ou « virus » potentiels n’a été trouvé dans le sang.
  • Au microscope électronique, le Dr Piot a déclaré : « Nous avons vu un ver gigantesque comme structure — gigantesque par rapport aux normes virales. »
  • Le seul autre « virus » connu qui avait une taille et une forme similaires était le « virus » de Marburg.
  • En d’autres termes, Piot et ses collègues ont trouvé exactement les mêmes particules que celles que l’on prétend être du Marburg, mais ont déclaré qu’ils n’avaient pas trouvé de Marburg dans les échantillons de sang…
  • Rétrospectivement, le Dr Piot a déclaré qu’il avait eu de la chance de ne pas être infecté, non seulement au laboratoire, mais aussi plus tard, lorsqu’il prélevait du sang sur des patients et les touchait…
  • Piot et ses collègues ont vu un « virus » en forme de lasso qui ressemblait au « virus » de Marburg — à cause d’un type similaire de fièvre hémorragique découvert neuf ans plus tôt — mais n’avaient pas la capacité de déterminer avec certitude si ce qu’ils observaient était quelque chose de nouveau.
  • Les scientifiques de Porton Down ont commencé à étudier l’échantillon, mais ont également envoyé un échantillon au CDC après avoir été sollicités par l’OMS.
  • L’équipe du CDC d’Atlanta aurait démontré que l’épidémie de Yambuku était causée par un « virus » inconnu jusqu’alors, et non par le Marburg.
  • Les équipes d’Anvers, de Porton Down et du CDC ont copublié des articles décrivant leur rôle dans la découverte du virus Ebola dans le numéro du 12 mars 1977 du Lancet.
  • Dans l’interview accordée à STAT, Piot a reconnu que le mérite de la découverte effective revient à Johnson et à l’équipe du CDC.

  • Le sérum de l’infirmière malade a été inoculé à 6 jeunes souris adultes par voie intracérébrale et intrapéritonéale, à 2 portées de souris nouveau-nées par voie intracérébrale et intrapéritonéale (NdT : injection par le péritoine) et à 10 tubes de cultures de cellules Vero (cultivées dans un milieu 199 contenant 7,5 % de sérum de veau).
  • Le sérum a été testé par fixation du complément pour la recherche d’anticorps contre le « virus de Lassa » (le résultat était négatif) et par neutralisation sur cellules Vero pour la recherche d’anticorps contre le « virus » de la fièvre jaune (des anticorps étaient présents à une dilution de 1/30).
  • Au cours des 4 premiers jours d’observation, certaines cellules du fond de la plupart des tubes se sont détachées de la surface du verre et, bien que ce phénomène ait d’abord été interprété comme un effet cytopathique partiel, il n’a pas augmenté au cours des jours suivants et a donc été considéré comme non spécifique.
  • Au 5jour, le milieu de culture tissulaire a été remplacé par un milieu tamponné au succinate/acide succinique (comme décrit par Plaisner et al.1) sans sérum.
  • Au 11jour, un effet cytopathique très frappant a été observé dans ces cultures, la plupart des cellules étant encore attachées au verre et l’effet cytopathique était presque complet au 12jour.
  • En d’autres termes, Piot et ses collègues n’obtenaient pas l’ECP qu’ils voulaient voir, alors le milieu a été changé pour un milieu connu pour produire l’ECP avec des « arbovirus » et au 12e jour, ils ont obtenu l’effet qu’ils voulaient voir.
  • L’examen au microscope électronique de coupes ultrafines de ce matériel a révélé des particules virales extracellulaires droites et transversales morphologiquement similaires au « virus » de Marburg.
  • Bien que l’ultrastructure du tissu hépatique s’était très mal conservée, des particules de « virus » similaires ont été observées.
  • Il a été conclu que l’agent responsable de l’épidémie de fièvre hémorragique en Afrique centrale était soit le « virus » de Marburg, soit un « virus » sérologiquement différent de celui-ci, mais appartenant au même groupe de « virus », soit le « rhabdovirus », soit le « torovirus ».

  • Des spécimens provenant de l’épidémie du nord du Zaïre ont été envoyés à l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down par le professeur S. R. Pattyn de l’Institut de médecine tropicale d’Anvers. Il s’agissait d’un sérum en phase aiguë (n° 718), de matériel de culture cellulaire et de cerveaux de souris de lait qui avaient déjà été inoculés avec le sérum.
  • Trois laboratoires engagés dans des études préliminaires sur l’agent étiologique ont rapporté l’isolation d’un « virus » qui était morphologiquement similaire à celui de Marburg.
  • « L’isolation du virus » à partir du matériel humain original a été tentée dans :

    • des préparations de culture de cellules Vero
    • des souris de lait inoculées par voie intrapéritonéale (i.p.) et intracérébrale (i.c.)
    • de jeunes cobayes (200-250g) inoculés par voie i.p.

  • Chez les cobayes inoculés, une maladie fébrile a duré 4-5 jours pendant lesquels les cobayes ne se développaient pas et avaient l’air malades.
  • 1 des 12 cobayes inoculés avec le matériel original est mort le 12jour après l’inoculation, tandis que les 11 autres cobayes ont lentement récupéré.
  • De petits morceaux de foie d’un cobaye tué 5 jours après l’inoculation ont été fixés dans du tétroxyde d’osmium à 1 % et des structures étonnamment similaires à celles observées dans les foies de cobayes et de singes infectés expérimentalement par le « virus » de Marburg ont été observées.
  • Les cerveaux de souris de lait qui sont tombées malades après avoir été inoculées avec un sérum en phase aiguë par le professeur Pattyn à Anvers, ont été réinoculés dans quatre portées de souris de lait.
  • Les souris ont commencé à mourir au 5jour et étaient toutes mortes au 9e jour, mais ce matériel de passage de souris n’avait pas encore été davantage étudié.
  • Dans des expériences de culture cellulaire impliquant des cellules Vero, un effet cytopathique partiel a été observé sous un examen microscopique à faible puissance.
  • Cet effet n’a pas progressé jusqu’à la destruction complète du feuillet cellulaire et pourrait être attribué à un effet toxique des spécimens inoculés.
  • On a cependant observé un net changement de couleur dans le milieu de trois de ces cultures et, au 6e ou 7jour après l’inoculation, elles sont devenues nettement plus acides que les cultures témoins (qui n’ont pas été définies).
  • La microscopie électronique de foies de cobayes infectés et du matériel de culture cellulaire a révélé des structures présentant une ressemblance frappante avec le « virus » de Marburg.
  • Les chercheurs ont déclaré qu’ils n’avaient aucune preuve positive pour suggérer que les « virus isolés » du nord du Zaïre et du sud du Soudan étaient sérologiquement liés à la souche du « virus » de Marburg isolée en 1967.
  • En d’autres termes, ils n’avaient aucune preuve positive pour suggérer que le « virus », qui était identique à Marburg à tous les autres égards, n’était pas non plus exactement le même « virus », car ils ont simplement supposé que leurs nouveaux « isolats » étaient différents.
  • Les chercheurs ont admis que, même si leurs preuves étaient minces, elles suggéraient que les deux épidémies étaient causées par des « virus » apparentés, ou même identiques.

  • E. T. W. Bowen (de l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down) a envoyé un aliquot d’un échantillon de sang aigu provenant d’un patient du Zaïre (n° 718, patient M. E.) au CDC d’Atlanta, pour une étude complémentaire.
  • Ce spécimen et tous les spécimens aigus suivants ont été inoculés dans des cellules Vero (singe vert africain).
  • Trois jours plus tard, un changement cytopathique distinct (arrondissement focal et réfractivité) était évident, et un aliquot du liquide surnageant a été prélevée pour une microscopie électronique à contraste négatif.
  • Au microscope électronique, on a observé un grand nombre de particules « virales » filamenteuses d’un diamètre d’environ 100 nm et d’une longueur variant de 300 nm à plus de 1500 nm.
  • Dans tous les détails, ces particules ne se distinguaient pas des particules du « virus » de Marburg étudiées en 1967 (isolats d’Allemagne) et en 1975 (isolat d’Afrique du Sud).
  • Les cellules Vero infectées par le même « isolat » du Zaïre ont également été examinées par microscopie électronique en coupe fine et les particules de « virus » dans ces coupes étaient identiques à celles observées dans les « isolats » de 1967 et 1975.
  • Bien que le tissu hépatique ait été mal conservé lors de l’examen, on a trouvé un grand nombre de particules de « virus » filamenteux et de corps d’inclusion (masses de tubules) qui ne se distinguaient pas de ceux présents dans les foies humains et de cobayes infectés par le « virus » de Marburg étudiés en 1967 et 1975.
  • Une différence antigénique entre cet isolat et le Marburg « 67 a été mise en évidence par immunofluorescence indirecte (I.F.A.).
  • À l’exception d’une faible réaction à l’antigène de Marburg à une dilution de 1/4 du sérum de convalescence du Zaïre, le nouvel isolat était distinct du « virus » de Marburg.

Lorsque l’on cherche soit à prouver soit à réfuter une affirmation positive, telle que l’existence d’un « virus » Ebola, comme c’était le cas dans ce cas particulier, il faut toujours se tourner vers les documents de base originaux et voir si les preuves scientifiques qui soutiennent l’affirmation existent réellement. En remontant aux origines du « virus » Ebola, j’ai trouvé trois articles différents rédigés par trois équipes de chercheurs différentes dans trois régions différentes du monde. Quiconque comprend les méthodes pseudo-scientifiques employées par la virologie ne sera pas surpris de constater qu’à aucun moment les articles présentés ne respectent la méthode scientifique. Cette dernière est absolument essentielle pour qu’une étude soit considérée comme scientifique. Nulle part dans les articles, le « virus » Ebola n’est correctement purifié et isolé directement à partir des fluides d’un hôte malade et donc il n’existe aucune variable indépendante que les chercheurs peuvent faire varier et manipuler afin de déterminer la cause et l’effet. Sans une variable indépendante valide de particules purifiées/isolées, il ne peut y avoir de véritables études de pathogénicité utilisant une voie d’exposition naturelle, et il ne peut donc y avoir aucune allégation de pathogénicité. Sans contrôles appropriés, il n’y a aucun moyen de déterminer quels autres cofacteurs pourraient aussi potentiellement causer l’effet recherché par l’expérimentation, ce qui rend les résultats obtenus invalides et sans signification.

Ce que font ces chercheurs pseudo-scientifiques, c’est tenter de contourner la méthode scientifique en présentant des preuves indirectes fabriquées à la place des vraies preuves. Ce sont des escrocs qui vendent des résultats contrefaits. Au lieu d’un « virus » correctement purifié et isolé, nous obtenons une soupe de culture cellulaire non purifiée mélangée à de nombreux ingrédients toxiques tels que des cellules Vero, du milieu 199 et du sérum de veau à 7,5 %. Au lieu d’observer le « virus », nous obtenons une mort cellulaire non spécifique, connue sous le nom d’effet cytopathogène, imputée à un agent pathogène invisible qui peut être le résultat de bien d’autres choses qu’un « virus », comme le changement de milieu à mi-parcours pour un milieu plus approprié à la production de l’effet cytopathique désiré. Au lieu de ne visualiser que les particules censées être le nouveau « virus », nous obtenons des images par microscopie électronique de particules filamenteuses non purifiées et non isolées, de forme et de taille très variables, qui étaient auparavant associées au « virus » de Marburg. Nous obtenons des résultats histopathologiques de laboratoire montrant les mêmes résultats que ceux obtenus lors de l’investigation du « virus » de Marburg une décennie auparavant. Nous obtenons des résultats d’anticorps indirects non spécifiques utilisés pour affirmer que le « virus » est un nouveau « virus » de la même famille que le « virus » de Marburg, même si les autres résultats indirects auraient dû conduire à la conclusion qu’ils avaient soit découvert le même « virus » soit que les résultats dans les deux cas étaient frauduleux. En d’autres termes, les chercheurs ont trouvé exactement les mêmes particules dans des images par microscopie électronique associées à des cas présentant exactement les mêmes symptômes de la maladie attribuée à Marburg (et à de nombreuses autres maladies). Pourtant, comme les résultats des anticorps ne concordaient pas, plutôt que de remettre en question la crédibilité des résultats précédents concernant Marburg, les chercheurs ont décidé que ce qu’ils avaient découvert était un nouveau « virus ». Tout pour que l’histoire continue à vivre.

Cependant, si l’on revient en arrière pour enquêter sur le « virus » de Marburg, on constaterait que les mêmes pratiques pseudo-scientifiques ont été employées : aucun « virus » n’a jamais été purifié et isolé et les mêmes particules appartenant à la rage ont été identifiées comme étant celles du Marburg. Si l’on se penche sur le « virus » de la rage, on constate que le même schéma se répète, et ainsi de suite, en remontant aussi loin que possible dans le temps. Le même cycle de tromperie persiste : les mêmes symptômes de la maladie reçoivent un nouveau nom associé à des particules similaires et/ou identiques, sur la base de résultats d’anticorps indirects et contradictoires. Ce que l’on ne trouvera jamais, c’est une preuve directe de l’existence d’un « virus » qui adhère à la méthode scientifique. Tout ce que l’on trouvera c’est une fiction pseudo-scientifique présentée comme un fait scientifique.

Traduction du document ci-dessus :

À qui revient la charge de la preuve ?

Dire que la charge de la preuve n’incombe pas à la personne qui affirme, mais à quelqu’un d’autre qui doit la réfuter.

La charge de la preuve incombe à l’auteur d’une affirmation et ce n’est à personne d’autre de la réfuter. L’incapacité, ou le manque de volonté, de réfuter une affirmation ne la rend pas valide (cependant, nous devons toujours nous baser sur les meilleures preuves disponibles).

Bertrand déclare que la théière est, en ce moment même, en orbite autour du Soleil, entre la Terre et Mars, et que, puisque personne ne peut lui donner tort, son affirmation est donc valable.

Ceci étant dit, je répondrai à tous ceux qui prétendent que nous devons d’abord nous infecter intentionnellement pour pouvoir affirmer qu’il n’existe aucune preuve scientifique de l’existence d’un quelconque « virus ». C’est absurde et complètement à l’envers. La charge de la preuve incombe à toute personne qui affirme qu’un « virus » existe et c’est à elle de fournir les preuves à l’appui de son affirmation afin de la justifier. Cela exige logiquement que les preuves scientifiques de l’existence du « virus » Ebola soient contenues dans les documents de recherche originaux. J’ai fait le travail difficile pour ces personnes et j’ai retrouvé les études originales utilisées pour prouver l’existence du « virus » Ebola. J’ai montré qu’à aucun moment, la méthode scientifique n’a été respectée et que les particules supposées être Ebola n’ont jamais été correctement purifiées et isolées, ni prouvées pathogènes de manière naturelle. Si quelqu’un n’est pas d’accord avec cette affirmation, j’ai une proposition à faire. Montrez-moi, dans les trois articles que j’ai cités plus haut, où la méthode scientifique a été appliquée et respectée dès le début. Montrez-moi où les chercheurs ont purifié et isolé le « virus » directement de l’hôte malade. Montrez-moi que les particules dans les images de microscopie électronique ne sont que le « virus » et rien d’autre. Montrez-moi que ces particules purifiées et isolées peuvent rendre un hôte approprié malade de manière naturelle et non par des injections de toxines non purifiées directement dans le cerveau. Montrez-moi où les résultats sont reproduits et répliqués à grande échelle en utilisant les contrôles appropriés comme on devrait s’y attendre dans toute tentative scientifique. Si une personne prétendant l’existence du « virus » Ebola peut me montrer où, dans ces documents, il a été scientifiquement prouvé que le « virus » Ebola existe en suivant la méthode scientifique, alors j’irai en Afrique pour m’infecter intentionnellement à mes frais. Il est vrai qu’à ce moment-là, ils auront prouvé ce qu’ils avancent, ce qui rendra mon voyage en Afrique coûteux, inutile et potentiellement dangereux pour moi. Cependant, s’ils ne peuvent pas démontrer que cette preuve est contenue dans ces trois documents, ils concéderont que la preuve scientifique de l’existence du « virus » Ebola est introuvable et j’envisagerai un voyage gratuit en première classe pour un safari en Afrique.

Y a-t-il des preneurs ?

Le « Virus » Ebola — Partie 2

Dans la première partie de cette analyse de la fraude qu’est le « virus » Ebola, j’ai examiné les trois principales publications de trois équipes de chercheurs différentes qui ont été soumises à The Lancet en 1977 comme preuve de l’existence d’un nouveau « virus » provoquant une fièvre hémorragique en 1976. Les trois équipes, dont l’une était basée au CDC d’Atlanta, se sont coordonnées avec l’OMS afin d’associer le nouveau « virus » aux symptômes non spécifiques de la maladie survenue au Zaïre. Elles ont agi de la sorte alors que toutes les informations obtenues dans le cadre de leurs investigations pointaient vers le « virus » de Marburg, lui-même basé sur l’acquisition de preuves indirectes frauduleuses en 1967.

L’OMS ayant été intimement impliquée dans la coordination de ces trois équipes et dans la détermination du « virus » Ebola comme agent causal, j’ai pensé qu’il serait amusant de parcourir leur propre récit des événements qui ont conduit à cette conclusion. En 1978, l’OMS a eu la gentillesse de publier un rapport de 23 pages qui a servi de résumé des informations recueillies lors de l’enquête sur l’épidémie de fièvre hémorragique survenue dans un hôpital du Zaïre. Comme le rapport est assez long, je vais en donner les points les plus importants. Afin de faciliter la décomposition et la mise en évidence des informations pertinentes, je procède un peu différemment cette fois-ci. Au lieu de présenter les points saillants sous la forme d’un texte continu, les sections fournies du rapport seront séparées par des commentaires et des informations supplémentaires seront insérées en cours de route. Vous trouverez toujours le résumé habituel à la fin ainsi qu’un lien permettant de télécharger le rapport complet pour que chacun puisse le lire s’il le souhaite. Ceci étant dit, allons-y et voyons ce que nous pouvons découvrir sur ce « virus » directement auprès de l’OMS :

La fièvre hémorragique au Zaïre de 1976

« Entre le 1er septembre et le 24 octobre 1976, 318 cas de fièvre hémorragique virale aiguë sont survenus dans le nord du Zaïre. L’épidémie était centrée sur la zone de Bumba de la région de l’Équateur et la plupart des cas ont été enregistrés dans un rayon de 70 km autour de Yambuku, bien que quelques patients aient consulté à Bumba, Abumombazi et dans la capitale Kinshasa, où des cas individuels secondaires et tertiaires sont apparus. Il y a eu 280 décès et seulement 38 survivants confirmés sérologiquement. »

Je tiens tout d’abord à souligner que dans la section suivante, nous verrons que le dénominateur commun observé dans la grande majorité de ces cas de fièvre hémorragique était l’injection de médicaments comme la chloroquine, un antipaludéen, dans un hôpital du Zaïre. Je discuterai de l’utilisation de la chloroquine un peu plus tard, mais notez que le patient initial a reçu cette injection, car on présumait qu’il était atteint de paludisme en raison de ses symptômes. Après l’injection, ses symptômes sont entrés en rémission clinique, mais il a de nouveau eu de la fièvre 5 jours après le traitement. Alerte spoiler (NdT : avertissement indiquant qu’un détail important du développement de l’intrigue est sur le point d’être révélé) : nous apprendrons plus tard que le patient a subi une hémorragie gastro-intestinale après avoir reçu de la chloroquine et qu’il est finalement décédé le 8 septembre 1976 :

Le cas index de cette épidémie a présenté des symptômes le 1er septembre 1976, cinq jours après avoir reçu une injection de chloroquine pour un paludisme présumé à la clinique externe du Yambuku Mission Hospital (YMH). Il a eu une rémission clinique de ses symptômes de paludisme. Dans la semaine qui a suivi, plusieurs autres personnes qui avaient reçu des injections au même hôpital ont également souffert de la fièvre hémorragique Ebola, et presque tous les cas ultérieurs avaient soit reçu des injections à l’hôpital, soit eu un contact étroit avec un autre cas. La plupart de ces cas sont survenus au cours des quatre premières semaines de l’épidémie, après quoi l’hôpital a été fermé, 11 des 17 membres du personnel étant morts de la maladie. Tous les âges et les deux sexes ont été touchés, mais les femmes de 15 à 29 ans ont eu la plus forte incidence de la maladie, un phénomène fortement lié à la fréquentation des cliniques prénatales et ambulatoires de l’hôpital où elles recevaient des injections. Le taux global d’attaque secondaire était d’environ 5 %, bien qu’il ait atteint 20 % chez les proches parents tels que le conjoint, le parent ou l’enfant, le frère ou la sœur.

Notez ci-dessus que les femmes enceintes étaient parmi celles qui présentaient le plus de symptômes de la maladie dite d’Ebola. Vous vous souvenez de cette information de l’OMS dans la première partie ?

« Il peut être difficile de distinguer cliniquement la MVE (NdT : Maladie à Virus Ebola) d’autres maladies infectieuses telles que le paludisme, la fièvre typhoïde et la méningite. De nombreux symptômes de la grossesse et de la maladie à virus Ebola sont également très similaires. »

https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/ebola-virus-disease?gclid=Cj0KCQjwj7CZBhDHARIsAPPWv3cNnRDMQ6A8_meGwLE7XzuMOX1WvF97TctCB1A3nu1AfVv0MxnTwi4aAimkEALw_wcB

Sur le schéma ci-dessous :

EBOLA : Hoquet — Difficulté à avaler. Le hoquet est un symptôme d’Ebola ?!?!

OVERLAPPING SYMPTOMS (Symptômes qui se chevauchent) : Fièvre – Saignements — Maux de tête – Douleurs articulaires et musculaires – Faiblesse et fatigue – Douleurs abdominales, douleurs dans le quadrant supérieur droit – Difficultés à respirer – Vomissements – Diarrhées.

COMPLICATED LABOR (Accouchement compliqué) : Vision floue — Convulsions.

Selon l’OMS, les symptômes de la grossesse imitent ceux d’Ebola. Curieusement, c’est en 1976 que l’incidence de la maladie a été la plus élevée chez les femmes enceintes, qui ont reçu des injections (vraisemblablement de chloroquine, mais ce n’est pas directement indiqué) dans les cliniques prénatales et ambulatoires. Quelle coïncidence !

La surveillance active a révélé que des cas sont apparus dans 55 des quelque 550 villages qui ont été examinés maison par maison. La maladie était jusqu’à présent inconnue des habitants de la région touchée. Les recherches intensives de cas dans la région du nord-est du Zaïre, entre la zone de Bumba et la frontière soudanaise, près de Nzara et de Maridi, n’ont pas permis de trouver des preuves définitives d’un lien entre une épidémie de la maladie dans ce pays et le foyer près de Bumba. Néanmoins, il a été établi que les gens peuvent faire et font le voyage entre Nzara et Bumba en quatre jours au maximum : il a donc été considéré comme tout à fait possible qu’une personne infectée ait voyagé du Soudan à Yambuku et ait transféré le virus à une aiguille de l’hôpital alors qu’elle recevait une injection à la clinique externe.

Dans ce paragraphe suivant, l’OMS souligne que les symptômes d’Ebola ne sont pas spécifiques. Elle a tenté d’ajouter d’autres affections sous la marque Ebola, telles que l’hépatite, la pancréatite et la coagulation intravasculaire disséminée (un trouble de la coagulation sanguine entraînant des saignements massifs associés à une inflammation, une infection ou un cancer), mais les résultats de laboratoire n’étaient pas concluants :

La période d’incubation et la durée de la maladie clinique étaient en moyenne d’une semaine. Après 3 à 4 jours de symptômes et de signes non spécifiques, les patients ont généralement souffert d’un mal de gorge de plus en plus sévère, ont développé une éruption maculopapuleuse (NdT :type d’éruption cutanée caractérisé par une zone plate et rouge sur la peau, couverte de petites bosses confluentes), ont eu des douleurs abdominales rebelles et ont commencé à saigner de plusieurs endroits, principalement du tractus gastro-intestinal. Bien que les analyses de laboratoire aient été limitées et non concluantes, on a conclu que la pathogenèse de la maladie comprenait une hépatite non ictérique et peut-être une pancréatite aiguë ainsi qu’une coagulation intravasculaire disséminée.

Comme je l’ai montré dans la première partie, les particules que l’on prétend être le « virus » Ebola ont été reconnues comme étant morphologiquement identiques à celles associées au « virus » Marburg. Pourtant, l’OMS et leurs homologues du CDC ont déclaré que ces « virus » étaient immunologiquement différents sur la base de résultats d’anticorps indirects non spécifiques (antibody results.). Il est intéressant de noter que le « virus » n’a été « isolé » que dans 8 des 10 cultures cellulaires (cell cultures) réalisées et que les particules n’ont été trouvées que dans les échantillons de foie de trois cas :

Ce syndrome était causé par un virus morphologiquement similaire au virus de Marburg, mais immunologiquement distinct. Il a été nommé virus Ebola. L’agent a été isolé à partir du sang de 8 des 10 cas suspects en utilisant des cultures de cellules Vero. Les titrages d’échantillons en série obtenus chez un patient ont révélé une virémie persistante de 106,5 à 104,5 unités infectieuses du troisième jour de la maladie jusqu’à la mort au huitième jour. Des particules de virus Ebola ont été trouvées dans des échantillons de foie fixés au formol provenant de trois cas. Les survivants de l’infection présentaient des anticorps à fluorescence indirecte contre le virus Ebola à des titres de 1:64-1:256 dans les trois semaines suivant le début de la maladie et ces titres sériques ont persisté avec une légère diminution pendant une période de 4 mois.

Au total, 201 unités (200-300 ml chacune) de plasma contenant des anticorps du virus Ebola à des titres d’au moins 1:64 ont été obtenues et congelées. Deux de ces unités ont été utilisées pour traiter un employé de laboratoire infecté par le virus Ebola. Cette personne s’est rétablie, ce qui suggère que les anticorps ont pu être utiles sur le plan thérapeutique.

Notez que dans ce paragraphe suivant, l’OMS admet que la transmission du « virus » s’est arrêtée lors de l’arrêt des injections à l’hôpital.

Comme c’est étrange.

La transmission du virus a été interrompue par l’arrêt des injections et par l’isolement des patients dans leurs villages. L’utilisation de vêtements de protection et de respirateurs, l’isolement strict des patients et l’élimination soigneuse des excréments et des fomites (NdT : objets susceptibles d’être « contaminés » tels que les habits,…) potentiellement contaminés permettront presque certainement de prévenir de futures épidémies majeures. Le virus est probablement rarement transmis par des aérosols infectieux, bien que l’infection par de grosses gouttelettes reste une possibilité.

Nous apprenons également que des anticorps anti-Ebola ont été trouvés chez cinq personnes qui n’ont jamais été malades et n’ont jamais été en contact avec des personnes infectées. Ce que cela signifie en fin de compte, c’est que l’OMS a stratégiquement préparé le terrain afin d’avoir une excuse toute prête pour les cas asymptomatiques d’Ebola lorsque les anticorps dits « spécifiques » sont trouvés chez des personnes chez qui ils ne sont pas censés être trouvés :

Seules des enquêtes écologiques limitées ont été menées, car l’épidémiologie de l’épidémie suggérait fortement que le virus avait été importé dans la zone de Bumba. Le virus Ebola n’a pas été retrouvé dans des échantillons représentatifs de punaises de lit ou de rongeurs (Rattus rattus et Mastomys spp.) ayant un contact plus ou moins étroit avec l’homme. Des anticorps au virus Ebola ont cependant été trouvés chez cinq personnes qui n’étaient pas malades et n’avaient pas eu de contact avec les villages « infectés » ou l’hôpital de Yambuku pendant l’épidémie. Si ces résultats peuvent être confirmés par une méthode de test indépendante, ils suggèrent que le virus est en fait endémique dans la région et devraient conduire à des efforts supplémentaires pour découvrir un réservoir viral au Zaïre. »

Si l’on en croit les conclusions telles que présentées par l’OMS, le « virus » Ebola provient d’une personne infectée voyageant du Soudan au Zaïre. Cette personne non identifiée a été soignée à l’hôpital de Yambuku au moyen d’une injection parentérale. La même aiguille n’a pas été stérilisée et a ensuite été réutilisée sur un autre patient sans méfiance, ce qui a entraîné la propagation de la maladie de patient à patient par l’utilisation continue des mêmes aiguilles non stérilisées.

Dans le paragraphe qui suit, l’OMS plante la graine pour le récit qui va suivre. Il est affirmé que seulement 5 seringues et aiguilles ont été utilisées pour chaque patient tout au long de la journée. Si l’OMS affirme que les aiguilles n’ont pas été stérilisées, elle précise qu’elles ont été rincées dans des casseroles d’eau chaude et/ou bouillies.

Cinq seringues et aiguilles étaient remises chaque matin au personnel infirmier pour être utilisées dans le service de consultations externes, la clinique prénatale et les unités pour patients. Ces seringues et aiguilles n’étaient apparemment pas stérilisées entre leurs utilisations sur différents patients, mais rincées dans une casserole d’eau chaude. À la fin de la journée, elles étaient parfois bouillies. Le bloc opératoire disposait de ses propres instruments, seringues et aiguilles, qui étaient conservés séparément et autoclavés après usage.

Contrairement à ce qu’affirme l’OMS, l’utilisation de la chaleur est une forme courante de stérilisation dans les hôpitaux :

« La stérilisation est le processus qui consiste à tuer les micro-organismes et bactéries nocives présents sur un objet en les soumettant à un environnement qu’ils ne peuvent pas supporter.

« La stérilisation peut être effectuée par deux voies principales : l’application de chaleur et les moyens chimiques.

La chaleur est la forme la plus courante de stérilisation et est utilisée dans la plupart des hôpitaux et des cabinets médicaux via un autoclave. »

https://study.com/academy/lesson/how-to-sterilize-a-needle.html

L’OMS indique également que le service de chirurgie a utilisé des seringues et des aiguilles qui sont autoclavées après usage. Nous sommes donc censés croire que l’hôpital du Zaïre avait apparemment des protocoles différents pour la stérilisation des seringues et des aiguilles selon qu’il s’agissait de patients externes, de patients hospitalisés ou du service prénatal, par rapport au service de chirurgie. Bien que possible, est-ce probable ? Est-ce même important ? Comme nous l’avons appris précédemment, l’OMS a déclaré que la transmission « virale » s’est arrêtée lorsque les injections ont cessé à l’hôpital. Elle n’a pas parlé d’injections avec des aiguilles non stérilisées. Ce que l’OMS veut nous faire croire, c’est que la transmission du « virus » s’est arrêtée parce que le « virus » n’a pas été transféré par des injections avec des aiguilles non stérilisées entre les patients. Cependant, comme c’est toujours le cas, il existe un scénario beaucoup plus plausible et probable.

Le patient index a reçu une injection de chloroquine après avoir été diagnostiqué avec le paludisme. En fait, son hémorragie gastro-intestinale n’est apparue qu’après l’utilisation de la chloroquine. Cet antipaludéen est bien connu pour ses effets secondaires toxiques et graves. Pour une liste complète des effets secondaires signalés, vous pouvez cliquer ici, mais je souhaite mettre en évidence quelques-uns des plus importants :

  • douleurs au dos, aux jambes ou à l’estomac
  • selles noires et goudronneuses (NdT : des selles noires ou goudronneuses avec une odeur nauséabonde sont le signe d’un problème dans le tube digestif supérieur. Elles indiquent le plus souvent un saignement dans l’estomac, l’intestin grêle ou le côté droit du côlon.)
  • sang dans l’urine ou les selles
  • fièvre
  • éruption cutanée, urticaire ou démangeaisons
  • mal de gorge
  • saignement ou ecchymose inhabituels,
  • douleur dans la partie supérieure droite de l’abdomen ou de l’estomac,
  • vomissements

Relisez maintenant ce paragraphe du rapport de l’OMS :

« Après 3 à 4 jours de symptômes et de signes non spécifiques, les patients ont généralement souffert d’un mal de gorge progressivement sévère, ont développé une éruption maculopapulaire, ont eu des douleurs abdominales intraitables et ont commencé à saigner de plusieurs sites, principalement du tractus gastro-intestinal. »

On dirait que les symptômes de l’Ebola sévère correspondent parfaitement aux effets secondaires de l’injection de chloroquine. Allez savoir.

Il est intéressant de noter que la chloroquine a été étudiée comme médicament pour traiter les patients atteints d’Ebola, néanmoins sur des modèles animaux elle a entraîné une aggravation de la maladie et la mort :

« Cependant, alors que la chloroquine inhibait la réplication du virus Ebola in vitro, elle a provoqué une aggravation rapide de l’infection par Ebola chez les cobayes et ne faisait aucune différence sur la mortalité chez les souris ou les hamsters. »

« Lorsque la même dose (90 mg/kg) de chloroquine a été administrée à des hamsters infectés par le virus MA EBOV, l’étude a dû être interrompue le deuxième jour après le traitement. Presque tous les animaux traités, aussi bien dans le groupe MA EBOV que dans le groupe simulé, sont morts de toxicité aiguë après l’administration de chloroquine par voie intrapéritonéale, généralement dans les 30 minutes suivant le traitement (Figure 2, panneau B). »

https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/21/6/15-0176_article

Nous devons donc nous demander ce qui est le plus logique. Était-ce les aiguilles « non stérilisées » qui ont propagé un nouveau « virus » ou les effets secondaires des injections de médicaments toxiques qui ont entraîné les symptômes que l’on prétend être ceux d’Ebola ?

Injection mortelle

Le paragraphe suivant détaille ce qu’est un cas probable, possible et avéré d’Ebola. Selon l’OMS :

– Probable : vivre dans une zone endémique, avoir reçu une injection ou côtoyé un cas probable ou avéré et être décédé après avoir ressenti 2 symptômes ou plus.

– Prouvé : le « virus » a été « isolé » ou mis en évidence par microscopie électronique, ou les titres d’anticorps ont été produits dans les trois semaines suivant les symptômes.

– Possible : une personne présentant des maux de tête ou de la fièvre avec ou sans autres symptômes et ayant été en contact avec un cas probable ou avéré.

Il est intéressant de noter que l’OMS note que les cas possibles ont été traités avec des antipaludéens, des antibiotiques et des antipyrétiques afin d’exclure d’autres maladies communes à la région. En d’autres termes, s’ils n’étaient pas un cas probable/prouvé avant le traitement, ils l’étaient très probablement après :

« Un cas probable de fièvre hémorragique Ebola était une personne vivant dans la zone épidémique qui est décédée après un ou plusieurs jours avec deux ou plusieurs des symptômes et signes suivants : maux de tête, fièvre, douleurs abdominales, nausées et/ou vomissements, et saignements. Le patient doit avoir, au cours des trois semaines précédentes, reçu une injection ou été en contact avec un cas probable ou avéré, la maladie n’ayant pas été diagnostiquée autrement pour des raisons cliniques. Un cas avéré est une personne chez qui le virus Ebola a été isolé ou mis en évidence par microscopie électronique ou qui présentait un titre d’anticorps à fluorescence indirecte (IFA) d’au moins 1:64 contre le virus Ebola dans les trois semaines suivant l’apparition des symptômes. On a considéré qu’une infection par le virus Ebola était survenue chez des personnes qui présentaient un titre d’anticorps IFA similaire, mais qui n’avaient pas été malades entre le 30 août et le 15 novembre 1976.

Un cas possible était une personne présentant des maux de tête et/ou de la fièvre depuis au moins 24 heures, avec ou sans autres signes et symptômes, et ayant été en contact avec un cas probable ou avéré au cours des trois semaines précédentes. Ces patients ont été traités avec des antipaludéens, des antibiotiques et des antipyrétiques pour exclure d’autres maladies communes à la région. Les personnes signalant de tels symptômes ont eu un prélèvement sanguin rétrospectivement et leurs sérums ont été testés pour la recherche d’anticorps au virus Ebola. De même, tout cas de fièvre avec hémorragie signalé au ministère de la Santé dans n’importe quelle partie du Zaïre, quelle que soit l’issue clinique, était considéré comme un cas possible, et tous les efforts étaient faits pour établir un diagnostic par des moyens virologiques ou histopathologiques. »

Ce qui est intéressant dans le paragraphe qui suit, c’est la façon dont les équipes de surveillance ont entrepris de trouver des cas de la nouvelle maladie et comment elles ont apparemment éduqué les villageois au sujet d’une maladie qu’ils étaient censés encore essayer d’étudier et de comprendre eux-mêmes. Les équipes auraient été formées au diagnostic différentiel entre Ebola et d’autres maladies :

« Les objectifs des équipes de surveillance étaient de trouver les cas passés et actifs de fièvre hémorragique Ebola, de détecter les éventuels cas convalescents, d’éduquer le public sur la nature de la maladie et les moyens de la prévenir, et d’établir de manière incontestable la fin de l’épidémie. Dix équipes spéciales de surveillance active ont été recrutées et formées. Chacune était composée de quatre personnes : un chef d’équipe (médecin ou infirmier), deux infirmiers et un chauffeur. Les thèmes abordés lors de la formation étaient le diagnostic différentiel de la fièvre hémorragique Ebola, son épidémiologie (y compris les modes de transmission possibles), les moyens de protection du personnel, les méthodes de recensement des familles et d’enregistrement des cas probables et possibles. Les équipes ont reçu des formulaires standard, un calendrier écrit et des cartes détaillées montrant les villages qu’elles devaient couvrir pendant une période de deux semaines. Chaque équipe s’est vu attribuer un véhicule à quatre roues motrices, dont certains étaient équipés de radios, et a reçu de la nourriture, de l’eau, des blouses, des casquettes, des gants, des bottes, des respirateurs et du matériel pour prélever des échantillons de sang. La chloroquine, la tétracycline, l’aspirine et un médicament contre les parasites intestinaux étaient tous fournis sous forme de comprimés. Un médecin supervisait cinq équipes par de fréquentes visites sur le terrain et des examens administratifs. »

Selon le dictionnaire médical, le diagnostic différentiel est défini comme suit :

1. Une liste de maladies qui peuvent causer un signe clinique ou un symptôme particulier.

2. L’établissement d’un diagnostic par la comparaison des similitudes et des différences entre divers signes cliniques.

https://medical-dictionary.thefreedictionary.com/differential+diagnosis

Traduction du document : Le diagnostic différentiel d’une maladie fébrile aiguë, sévère, à courte incubation, en provenance d’Afrique subsaharienne, comprend :

Paludisme, autres entérites bactériennes, leptospirose, infections à rickettsies, peste, hépatite virale, dengue, Chikungunya, fièvre jaune, fièvre de la vallée du Rift, fièvre de Lassa, fièvre hémorragique de Marburg, grippe sévère, trypanosomiase africaine, pneumonie bactérienne, méningococcie (NdT : infection du sang), EVD (maladie à virus Ebola).

« Beaucoup de ces maladies se présentent de manière non spécifique, souvent avec de la fièvre et des malaises. Dans les cas avancés, l’hémorragie est fréquente, mais elle ne peut être présente que dans environ 50 % des cas d’EVD. Il y a eu au moins 20 cas suspects d’EVD aux États-Unis ; cependant, seul un cinquième de ces cas répondait aux critères de dépistage. Néanmoins, ces cas suspects drainent des ressources limitées en matière de soins de santé en raison de la crainte accrue de l’EVD. Certains des patients ont finalement souffert de paludisme et de grippe ».

https://westjem.com/perspective/ebola-virus-disease-essential-public-health-principles-clinicians.html

Pour diagnostiquer une maladie, il faut qu’il y ait des différences dans les signes et symptômes cliniques. Cela pose un sacré problème, car les symptômes d’Ebola ressemblent à ceux de nombreuses autres maladies plus courantes, comme la grippe, le paludisme, la fièvre typhoïde, la méningite, la fièvre jaune et même la grossesse. Il n’y a pas de différences évidentes dans la symptomatologie, c’est pourquoi le CDC (CDC) et l’OMS (WHO) déclarent tous deux que le diagnostic basé sur les seuls symptômes est difficile (c’est-à-dire impossible) et nécessite des méthodes indirectes de laboratoire pour confirmer l’infection. Les CDC affirment que le diagnostic d’Ebola nécessite l’utilisation de la PCR (requires use of PCR in order to “confirm” a case) pour « confirmer » un cas, ce qui n’était pas à la portée des chercheurs en 1976, la PCR n’ayant été inventée qu’en 1983. Dans le document de l’OMS d’août 2014 intitulé Ebola and Marburg virus disease epidemics : preparedness, alert, control, and evaluation (épidémies des maladies à virus Ebola et Marburg : préparation, alerte, contrôle et évaluation), il est indiqué que les cas doivent être confirmés en laboratoire, en rappelant que cela se fait soit par le biais de la PCR, soit par des tests d’anticorps IgM non spécifiques :

« CAS CONFIRMÉS EN LABORATOIRE :

Tout cas suspect ou probable dont le résultat de laboratoire est positif. Les cas confirmés en laboratoire doivent tester positif pour l’antigène du virus, soit par la détection de l’ARN du virus par la réaction en chaîne de la transcriptase inverse (RT-PCR), soit par la détection d’anticorps IgM dirigés contre le virus de Marburg ou d’Ebola. »

Il est absolument impossible que l’une de ces équipes ait pu établir un diagnostic différentiel sur la base des seuls symptômes cliniques. En fait, les chercheurs de 1976 avaient 15 cas possibles de fièvre hémorragique qui imitaient Ebola :

« Quinze cas possibles de fièvre hémorragique survenus en dehors de la zone épidémique principale ont été investigués à partir de Kinshasa. La fièvre hémorragique Ebola a été exclue dans chaque cas pour des raisons cliniques, virologiques ou pathologiques. Les diagnostics finaux comprenaient la fièvre typhoïde, l’hépatite virale, l’amibiase, l’œdème pulmonaire aigu et l’intoxication au monoxyde de carbone. »

Ils ont finalement décidé que ces 15 cas de fièvre hémorragique n’étaient pas de véritables cas d’Ebola, car les résultats des méthodes indirectes précédemment établies ont conduit à des diagnostics tels que la fièvre typhoïde, l’hépatite « virale », l’amibiase, l’œdème pulmonaire aigu et l’empoisonnement au monoxyde de carbone. La seule méthode permettant de « diagnostiquer » un cas d’Ebola était soit l’élimination basée sur ces méthodes indirectes précédemment établies pour d’autres maladies associées aux mêmes symptômes, soit les résultats d’anticorps indirects non spécifiques. Il s’agissait de la méthode circulaire permettant de prétendre qu’une personne présentant un ensemble de symptômes est un malade d’Ebola dans un cas, tandis qu’une autre personne présentant les mêmes symptômes est un malade du paludisme dans l’autre (NdT : astuce habituelle utilisée par les autorités sanitaires. Un malade vacciné a forcément une autre pathologie que celle contre laquelle il a été vacciné tandis que le non-vacciné, qui présente les mêmes symptômes, est étiqueté de la maladie). Ils aiment ignorer le fait que, pour que ces tests soient précis, il faut non seulement purifier et isoler le « virus » en question afin de calibrer et de valider les tests, mais aussi connaître la prévalence de la maladie. La prévalence de la maladie ne peut être déterminée que par le diagnostic clinique, en différenciant les symptômes entre ces maladies, ce qui est une impossibilité avouée, et les résultats des cas de 1976 à aujourd’hui sont donc totalement dénués de sens.

Origine et évolution de l’épidémie

Comme je l’ai déjà dit, nous apprenons ici que le premier patient atteint d’Ebola a été diagnostiqué comme souffrant de malaria, qu’il a reçu une injection de chloroquine et que ses symptômes se sont atténués pendant quelques jours avant de réapparaître plus graves qu’auparavant. Le patient est finalement décédé d’une hémorragie gastro-intestinale quelques jours plus tard :

« Le premier cas connu, un homme de 44 ans, instructeur à l’école de la mission, s’est présenté de lui-même à la clinique externe de l’hôpital de la mission de Yambuku (YMH) le 26 août 1976 avec une maladie fébrile que l’on pensait être le paludisme. Cet homme avait parcouru en voiture la zone de Mobaye-Bongo, dans le nord de la région de l’Équateur, du 10 au 22 août, avec 6 autres travailleurs de la mission. Le groupe a visité certaines des plus grandes villes (Abumombazi, Yakoma, Katokoli, Wapinda) le long de la route de Yambuku à Badolit, mais n’est jamais arrivé à ce village, car un pont avait été emporté par les eaux à quelques kilomètres à l’est de la ville. Le 22 août, de la viande d’antilope et de singe fraîche et fumée a été achetée sur la route à environ 50 km au nord de Yambuku. Le patient et sa famille ont mangé de l’antilope en ragoût à son retour, mais pas la viande de singe. Il a reçu de la chloroquine par injection parentérale le 26 août. Sa fièvre a rapidement disparu et il est resté sans fièvre jusqu’au 1er septembre, date à laquelle il est de nouveau monté à 39,2 °C. D’autres symptômes et signes ont suivi et il a été admis à l’YMH le 5 septembre pour une hémorragie gastro-intestinale. Il est décédé le 8 septembre. »

On note également que 9 autres cas de fièvre hémorragique sont survenus au cours de la première semaine et qu’ils avaient tous été traités pour d’autres maladies à l’hôpital. Aucun des diagnostics initiaux de ces 9 cas n’a été enregistré.

Au moins 9 autres cas sont survenus au cours de la première semaine de septembre, tous parmi des personnes qui avaient reçu un traitement pour d’autres maladies à la clinique externe de l’hôpital YMH. Les noms des personnes traitées à la clinique externe et les diagnostics spécifiques n’ont pas été enregistrés. Il a donc été impossible de déterminer si des personnes fiévreuses s’étaient rendues à YMH fin août. Il est toutefois intéressant de noter qu’un homme d’environ 30 ans a été admis dans le service médical le 28 août pour « dysenterie et épistaxis », un diagnostic qui n’avait pas été mentionné au cours des huit mois précédents. Cet homme, répertorié comme résidant à Yandongi, le village chef-lieu de la collectivité situé à environ 7 km de Yambuku, a quitté l’hôpital deux jours plus tard. Il s’est avéré être une personne totalement inconnue des habitants et des autorités de Yandongi.

Toutefois, il a été indiqué que l’injection parentérale était le principal mode d’administration de presque tous les médicaments :

Les histoires de cas ont rapidement suggéré que YMH était une source majeure de dissémination de la fièvre hémorragique Ebola. On a appris que l’injection parentérale était le principal mode d’administration de presque tous les médicaments. »

Pour ceux qui ne le savent pas, les injections parentérales sont administrées à travers la peau, généralement de l’une des cinq manières suivantes : sous-cutanée (dans la graisse), intrapéritonéale (dans l’estomac), intraveineuse (dans les veines), intradermique (sous la peau) et intramusculaire (dans le muscle). Ce processus contourne la peau et les muqueuses, ce qui entraîne certains inconvénients notables pour ce mode de traitement, notamment :

  1. L’administration de médicaments par ces voies est irréversible et présente plus de risques que les autres voies.
  2. Il s’agit d’une voie invasive d’administration de médicaments et, par conséquent, elle peut provoquer de la peur, de la douleur, des lésions tissulaires et/ou des infections.
  3. Les injections ont des limites pour l’administration de produits protéiques, en particulier ceux qui nécessitent des niveaux soutenus.
  4. Elle est généralement plus risquée.
  5. La préparation à injecter doit être stérile.
  6. Le médicament administré par voie parentérale, à l’exception de la voie intra-artérielle, peut encore être éliminé par un métabolisme de premier passage dans le foie avant d’être distribué dans le reste de l’organisme.
  7. Une aide est toujours nécessaire pour administrer une forme de dosage parentérale (NdT : le terme « parentéral » décrit toute administration de médicament autre que par voie orale).

https://www.pharmapproach.com/parenteral-route-of-drug-administration-advantages-and-disadvantages/

Cela confirme que les interventions médicales utilisant des injections risquées avec des effets secondaires toxiques connus étaient la source la plus probable de la maladie, y compris des symptômes tels que des saignements gastro-intestinaux. Bien sûr, aux yeux de l’OMS, il n’est pas possible que les injections de médicaments toxiques soient capables de produire lesdits symptômes et qu’elles soient la cause probable de la maladie, car il doit s’agir d’un nouveau « virus ». Cependant, comment ils ont pu conclure cela après aveux ci-dessous me dépasse :

« Tous les âges et les deux sexes ont été touchés (tableau 3), mais les femmes ont légèrement prédominé. Les taux d’attaque par âge/sexe, en utilisant la collectivité de Yandongi comme dénominateur de la population, ont montré que les femmes adultes avaient le taux d’attaque le plus élevé. Une grande partie de cet excès de maladie était associée à la réception d’injections parentérales à l’YMH ou dans l’une de ses cliniques. La distribution de la maladie par groupe d’âge et par type de transmission était essentiellement la même pour les deux sexes, sauf pour la maladie associée à l’injection chez les personnes âgées de 15 à 29 ans. Les femmes représentaient 22 des 24 cas de ce type dans l’étude menée dans 21 villages.

Le seul facteur de risque commun par rapport aux témoins appariés de la famille et du village pour 85 des 288 cas où le mode de transmission a été déterminé était la réception d’une ou plusieurs injections à l’YMH. Les injections reçues en dehors de l’YMH étaient très inhabituelles. D’autres facteurs tels qu’un cas-contact antérieur, une exposition à de la nourriture, à l’eau, aux bâtiments de l’hôpital, aux animaux domestiques et sauvages, ou un voyage dans les trois mois précédant l’apparition de la maladie, n’ont pas été associés à ce type de transmission. En outre, 149 autres personnes ont contracté la maladie après avoir été en contact avec des patients, généralement dans leur village d’origine, et 43 cas avaient des antécédents de contact avec des patients et d’injection dans les trois semaines précédant le début de la maladie. Dix-sept personnes qui vivaient en dehors de Yambuku ont eu des contacts à YMH et ont pu y recevoir des injections sans le signaler à leur famille.

La plupart des cas liés à l’injection sont survenus au cours des 4 premières semaines de l’épidémie (Fig. 4). En effet, il semble probable que la fermeture de l’YMH ait été l’événement le plus important dans l’éventuelle fin de l’épidémie.

Plusieurs paramètres ont été comparés pour les personnes ayant respectivement contracté l’infection par contact et par injection. Bien qu’aucune différence statistiquement significative n’ait été constatée en termes de durée des symptômes et des signes de la maladie (tableau 4), aucune personne dont le contact s’est fait exclusivement par injection parentérale n’a survécu à la maladie. »

Selon l’OMS, l’excès de maladie observé était lié aux injections. La maladie chez les femmes de 15 à 29 ans était plus élevée chez celles qui avaient reçu des injections pendant la grossesse. On a appelé ces cas « maladies associées aux injections ». Le seul dénominateur commun à tous les cas était la réception d’une ou plusieurs injections de médicaments capables de produire les symptômes associés à la maladie. Il n’y a eu aucun survivant parmi ceux qui ont reçu les injections et l’épidémie a pris fin après l’arrêt de ces traitements. Même après avoir résumé ces événements, l’injection invasive et les médicaments toxiques n’étaient apparemment pas une préoccupation pour l’OMS. Comme c’est toujours le cas, toutes les autres causes potentielles beaucoup plus logiques ont été écartées au profit de l’ennemi invisible illogique.

« Cinq générations consécutives de transmission de la fièvre hémorragique Ebola ont été documentées dans un cas. Aucun cas probable sporadique, apparemment spontané, n’a été enregistré. Lorsque la “famille” était définie comme l’ensemble des personnes vivant dans des logements contigus et partageant des cuisines communes, les taux d’attaque secondaire n’ont jamais dépassé 8 % (tableau 6). »

« En décembre 1976 et janvier 1977, des sérums ont été sollicités auprès du plus grand nombre possible de personnes ; 236 au total ont été obtenus. Trois personnes, dont 2 appartenant à des ménages cliniquement non infectés, qui n’avaient pas présenté de symptômes pendant ou depuis l’épidémie, ont présenté des titres IFA du virus Ebola d’au moins 1:64. Toutes les 3 avaient été en contact avec des cas mortels. » (NdT : IFA pour Indirect Immunofluorescence Assay. Il s’agit d’un test pour déterminer la présence d’anticorps)

Études sérologiques et écologiques

Le test porte la mention « Virus Ebola », il doit donc être spécifique.

Dans les quelques points marquants qui suivent, nous constatons que les mesures d’anticorps, dites spécifiques et utilisées pour le diagnostic, ne le sont pas tant que cela et étaient sujettes à caution. L’OMS a même déclaré qu’elle attendait le développement d’une méthode spécifique au type pour l’interprétation finale des résultats des anticorps. Il est également démontré que des réactions positives aux anticorps ont été trouvées chez des personnes en bonne santé qui n’avaient pas été malades récemment, n’avaient pas eu de contact avec des cas probables ou avérés et n’avaient pas d’antécédents de visite à l’hôpital. En d’autres termes, l’OMS a prétendu avoir trouvé des cas asymptomatiques d’Ebola en utilisant des tests d’anticorps dont elle admet qu’ils ont donné des résultats douteux.

« Des échantillons de sérum ont été obtenus en novembre et décembre 1976 et en janvier 1977 auprès de 984 personnes résidant dans 48 des 55 villes et villages ayant signalé des cas probables de la maladie. Ces personnes ont été classées comme malades cliniquement, non malades, mais en contact avec un cas, ou ni malades ni en contact. Plus de la moitié des sujets résidaient dans 8 villages, chacun ayant plus de 5 cas probables. Ces personnes ont été classées comme étant malades d’un point de vue clinique, non malades, mais ayant été en contact avec un cas ou ni malades ni cas contact. Plus de la moitié des sujets résidaient dans 8 villages, chacun de ces villages ayant au moins 5 cas probables. Des prélèvements de sang ont été effectués sur ces personnes lors de rapides sorties d’enquête, en prenant la famille entière comme unité d’étude. La composition de ces groupes par âge, sexe et caractéristique épidémiologique est donnée dans le tableau 7 ainsi que le nombre et la catégorie de personnes ayant des titres IFA du virus Ebola d’au moins 1:64. Les données de Yamolembia I sont incluses. Trente-huit positifs ont été trouvés. Vingt (16,5 %) des 121 personnes malades ont été confirmées comme ayant eu la fièvre hémorragique Ebola, et 10 (2,5 %) des 404 personnes en contact avec les cas avaient également de tels anticorps. Il y avait 4 personnes positives aux anticorps qui ont admis être ni malades ni avoir été en contact avec des malades. Ces personnes ont été interrogées une deuxième fois et ont subi un nouveau prélèvement sanguin, et il a été confirmé qu’elles avaient des anticorps Ebola IFA. Des anticorps ont également été trouvés dans les sérums de 4 personnes dont l’histoire n’était pas claire et qui n’ont pas pu être retrouvées une seconde fois pour une étude de confirmation.

Dans un effort supplémentaire pour documenter une infection asymptomatique simultanée ou une possible infection passée par le virus Ebola, on a prélevé du sang chez 442 personnes dans 4 villages voisins qui n’avaient pas connu de cas mortels de la maladie. Les sérums de 5 personnes âgées de 8 à 48 ans contenaient des anticorps IFA à des titres de 1:64. Aucune de ces personnes n’était malade, n’avait eu de contact avec des personnes dans d’autres villages ou n’avait visité l’hôpital YMH pendant l’épidémie.

Les sérums de 58 personnes appartenant à diverses catégories d’exposition présentaient des titres IFA anti-Ebola de 1:4 à 1 h 32. La spécificité de ces réactions a été mise en doute lorsqu’on a constaté que les échantillons de 4 des 200 Indiens San Blas au Panama présentaient également de tels « anticorps » pour le virus Ebola, mais pas pour le virus Marburg. L’interprétation finale de ces données attend la mise au point d’une autre méthode de mesure des anticorps spécifiques de type contre ces agents. »

L’excuse de l’infection asymptomatique est encore utilisée aujourd’hui pour dissimuler la découverte de résultats d’anticorps dits « spécifiques » chez des personnes en bonne santé. Extrait d’une étude du Lancet de 2014 :

« Les preuves suggèrent que de nombreuses infections à Ebola sont asymptomatiques, un facteur négligé par les résumés et les projections récentes de l’épidémie. En particulier, les résultats d’une enquête sérologique menée après l’épidémie d’Ebola ont montré que 71 % des personnes séropositives n’avaient pas la maladie ; une autre étude a signalé que 46 % des contacts étroits asymptomatiques de patients atteints d’Ebola étaient séropositifs. »

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(14)61839-0/fulltext

Patients hospitalisés

Nous constatons ici que, dans 3 cas d’EBV à l’hôpital de Ngaliema, les patients ont tous présenté des symptômes similaires dans les premiers temps, notamment de la fièvre, des maux de tête, de l’anorexie, des vomissements, une éruption cutanée, des hémorragies et un mal de gorge sévère. Cependant, après quelques jours, les symptômes ont varié entre les trois patients. Cela peut s’expliquer par le fait que chaque patient a été soumis à des cocktails de traitements toxiques différents, décrits dans le paragraphe ci-dessous. Sans surprise, les trois patients ont succombé à leurs affections après le traitement. Il a été déterminé qu’ils ont tous souffert d’un choc hypovolémique, c’est-à-dire d’une perte de sang soudaine et importante qui empêche le cœur de pomper suffisamment de sang dans tout le corps, ce qui entraîne finalement la défaillance de plusieurs organes. L’une des causes possibles de ce choc est une lésion de l’estomac. Qu’est-ce qui pourrait conduire à un tel résultat chez ces patients ? Peut-être un traumatisme des organes gastro-intestinaux par le biais d’injections multiples de cocktails de médicaments toxiques connus pour endommager l’estomac ?

« Les premiers symptômes et signes chez les 3 patients de l’hôpital de Ngaliema comprenaient de la fièvre, des céphalées, de l’anorexie et des vomissements. Une éruption morbilliforme (NdT : une éruption cutanée qui ressemble à la rougeole) est apparue sur la partie antérieure du tronc chez chacun de ces patients au cinquième ou sixième jour, s’est étendue au dos et aux membres, puis s’est estompée dans les 48 heures. Les hémorragies et les maux de gorge sévères ont commencé entre le quatrième et le septième jour de la maladie.

Un patient a présenté des pétéchies buccales et conjonctivales à partir du quatrième jour, une hématémèse et un melæna à partir du quatrième jour, un saignement gingival le septième jour et un saignement des sites d’injection le huitième jour. Un autre patient n’a présenté que du melæna, à partir du sixième jour de la maladie. Le troisième patient a eu un seul épisode d’hématémèse le 7jour, suivi d’un melæna et d’ecchymoses le jour suivant. Une glossite et une pharyngite progressives débutant le troisième jour ont été notées chez un patient qui a développé un érythème et un œdème sévères du palais mou et du pharynx entraînant une dysphagie prononcée. Les trois patients ont été fébriles pendant toute la durée de la maladie, avec des températures fréquemment supérieures à 39 °C. Deux patients présentaient une tachycardie terminale. Un patient est décédé le 7jour et deux autres le 8jour de la maladie.

Des tests de laboratoire clinique ont été effectués sur le premier patient, mais seules quelques mesures ont été réalisées sur les deux autres cas afin d’éviter une exposition excessive du personnel de laboratoire de l’hôpital au virus. La numération leucocytaire du premier patient était de 7600 et 8900/mm3 respectivement aux 5e et 7jours. Les plaquettes aux 4e, 6e et 7jours étaient de 162 000, 150 000 et 150 000/mm; ce sont les jours où une hémorragie franche s’est produite. Pendant ce temps, le SGOT (NdT : enzyme du foie) sérique est passé de 90 à plus de 200 unités/ml et le SGPT (NdT : également enzyme du foie) est passé de 40 à plus de 200 unités/ml. La bilirubine sérique est passée de 25,6 tmol/l au jour 5 à 59,8 tmol/l au 7jour. Le temps de thromboplastine partielle (TTP) était de 47 secondes le cinquième jour. Cette patiente n’a produit que 200 ml d’urine le septième jour et aucune le lendemain, jour de son décès. La deuxième patiente, sur laquelle aucun test de laboratoire n’a été effectué, est devenue anurique au cours des deux derniers jours de sa vie.

Le troisième patient avait un nombre de globules blancs de 9 400 et 12 300/mm3 respectivement aux 7e et 8jours. Le nombre de plaquettes ces jours-là était de 253 000 et 205 000/mm3, tandis que les valeurs P17 étaient de 45 et 50 secondes, respectivement. Les produits de dégradation de la fibrine, mesurés à l’aide d’un kit commercial (Burroughs-Wellcome) ont été enregistrés comme 1+ et 2+ aux 7e et 8jours.

Le premier cas a été traité avec de l’aspirine, des antibiotiques, des corticostéroïdes, une transfusion sanguine et des fluides intraveineux. Le second patient a reçu de l’aspirine, de l’hydrocortisone, de l’immunoglobuline, des fluides intraveineux et un médicament expérimental, la moroxydine. De l’entérovioform a été administré pour contrôler la diarrhée, mais sans succès. Le troisième patient a été traité pour une malaria non confirmée pendant les deux premiers jours de la maladie. Lorsqu’il a été démontré que l’agent étiologique de l’épidémie était un virus de type Marburg, le 4jour on lui a administré 500 ml de plasma humain Marburg obtenu à partir d’un patient guéri en Afrique du Sud. Ce plasma avait un titre IFA de 1 h 32. En prévision d’une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD – NDT La coagulation intravasculaire disséminée se traduit par un excès de génération de thrombine et de fibrine dans la circulation), elle a reçu 16 000 unités d’héparine le sixième jour et 30 000 unités par jour par la suite. Bien que l’anticoagulation n’ait pas été satisfaisante, comme le montre le TCA normal (NdT : TCA ou Temps de Céphaline Activé est le temps de coagulation d’un plasma pauvre en plaquettes, recalcifié en présence de phospholipides et d’un activateur du système contact de la coagulation.) aux 7e et 8jours, elle a présenté moins de saignements cliniques que les deux autres patients. La veille de son décès, elle s’est plainte d’une douleur thoracique substernale et a présenté une tachycardie de 136 avec un rythme de galop. La digitalisation n’a que légèrement ralenti ce rythme. Elle présentait un œdème marqué du visage et des membres supérieurs.

Bien qu’aucune autopsie n’ait été pratiquée, il est apparu cliniquement que ces patients sont morts d’un choc hypovolémique (NdT : baisse du volume total de sang circulant dans l’organisme). Les preuves de la CIVD (NdT : voir ci-dessus) étaient fragmentaires, mais ce syndrome pourrait bien avoir précipité l’hémorragie et le choc dans tous les cas. La biopsie post-mortem du foie dans le premier cas a révélé une nécrose focale marquée des cellules hépatiques avec de grandes inclusions éosinophiles intracytoplasmiques. Des particules semblables au virus de Marburg ont été visualisées au microscope électronique (2).

Le virus Ebola a été retrouvé au jour 6 dans des échantillons de sang du patient 1 et aux jours 3 et 6 chez le patient 2. Les analyses quantitatives du virus sur le sang du troisième patient sont présentées dans le tableau 8. Aucun anticorps IFA contre les virus Ebola ou Marburg n’était présent.

Études rétrospectives sur le terrain

(Échantillon de sérum – Conjugués nanométriques d’anticorps étalon or – Antigènes virus Ebola – Anticorps de contrôle)
Comment ils veulent vous faire croire que les tests d’anticorps sont faits.

Si vous aviez besoin d’une raison supplémentaire pour douter des résultats des anticorps, ne cherchez pas plus loin. Dans cette étude portant sur 231 cas probables, 34 avaient des anticorps IFA. 59 % de ceux qui avaient des anticorps présentaient des symptômes, ce qui laisse 41 % de ces cas probables asymptomatiques. De nombreuses autres personnes qui ont eu un contact direct avec des cas mortels ont déclaré avoir eu des symptômes, mais pas d’anticorps. En d’autres termes, beaucoup de ceux qui étaient malades n’avaient pas d’anticorps et près de la moitié de ceux qui avaient des anticorps n’ont jamais été malades.

Des questionnaires ont été remplis pour 231 cas probables âgés d’un an ou plus, 34 personnes chez qui on a découvert des anticorps IFA du virus Ebola et 198 témoins. Le nombre de réponses obtenues pour chaque symptôme et les pourcentages de réponses positives dans ces groupes sont présentés dans le tableau 9. La fièvre et les maux de tête étaient presque invariablement présents. Le mal de tête irradiait souvent vers la colonne cervicale et était associé à des douleurs lombaires irradiant dans les jambes. Le mal de gorge était souvent signalé en association avec une sensation de « boule » dans la gorge. Les douleurs thoraciques et la pleurite étaient rares. Parmi les personnes présentant des anticorps, 59 % avaient un ou plusieurs symptômes, les plus importants étant la fièvre, les maux de tête, les douleurs abdominales et l’arthralgie. De nombreuses autres personnes qui avaient été en contact avec des cas mortels ont signalé des symptômes, mais ne présentaient pas d’anticorps au virus Ebola. La maladie chez les personnes porteuses d’anticorps était, en général, marquée par une profonde prostration, une perte de poids et une période de convalescence de 1 à 3 semaines. »

Selon l’OMS, un test de protéine urinaire, qui n’est plus utilisé comme diagnostic aujourd’hui, a été utilisé au début de l’épidémie pour diagnostiquer les cas. Combien de ces patients ont été mal diagnostiqués sur la base d’un test défectueux ?

« Le seul test de laboratoire clinique effectué sur les patients admis à l’hôpital de Yambuku était la protéine urinaire. Ce test a été rapporté comme étant uniformément positif et a été utilisé comme un critère de diagnostic majeur par les sœurs infirmières au début de l’épidémie.

L’OMS admet que les études virologiques, qui constituent sans doute la partie la plus importante des preuves (pseudo)scientifiques nécessaires pour comprendre un nouveau « virus », étaient limitées. Cela est évident puisqu’elles ont utilisé des échantillons de petite taille où « l’isolement du virus » n’a été tenté que dans 10 cas et où seules 4 biopsies du foie ont été réalisées :

Les études virologiques étaient limitées. Le virus Ebola a été isolé dans des cellules de rein de singe vert africain (Vero) à partir d’échantillons de sang dans 8 des 10 cas tentés. Ces spécimens ont été prélevés 2 à 13 jours après l’apparition des symptômes. Il est intéressant de noter la détection simultanée du virus et d’anticorps Ebola IFA à un titre de 1 h 32 chez un patient. Cet homme en était au 13e et avant-dernier jour de sa maladie. Des particules de virus Ebola ont également été visualisées dans 3 des 4 biopsies hépatiques post-mortem obtenues à partir de cas cliniquement suspects. »

Le « virus » Ebola aurait eu le taux de mortalité le plus élevé depuis la rage. Peut-être les cocktails toxiques injectés à ces patients ont-ils contribué à ce taux de mortalité élevé ?

« Aucune épidémie plus spectaculaire ou potentiellement explosive d’une nouvelle maladie virale aiguë ne s’est produite dans le monde au cours des 30 dernières années. Le taux de mortalité de 88 % de la fièvre hémorragique Ebola au Zaïre est le plus élevé jamais enregistré, à l’exception de l’infection par la rage. Dans ces circonstances, il n’est pas surprenant que de nombreuses informations souhaitées n’aient jamais été obtenues. Les retards dans la reconnaissance, la notification aux agences sanitaires internationales et le diagnostic spécifique de la maladie ont largement contribué à ce résultat. Aucun meilleur exemple ne vient à l’esprit pour illustrer la nécessité d’une surveillance nationale des maladies et d’une sollicitation rapide de l’aide internationale, ni la nécessité de développer des ressources internationales, comprenant du personnel, de l’équipement, des transports, des communications et des finances, qui peuvent être mises à disposition en quelques jours pour faire face à de telles urgences.

Il est intéressant de noter que le virus Ebola et la rage sont tous deux liés à des injections dangereuses. Dans le cas de la rage, jusque dans les années 1980, le traitement consistait en une série de piqûres dans l’estomac :

« Il y a eu une confusion parmi le grand public en raison des craintes historiques et des douloureuses injections de vaccin antirabique (vaccin à base de tissu nerveux administré sur l’abdomen) effectuées dans le passé. »

https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.who.int/docs/default-source/searo/india/health-topic-pdf/b5010.pdf%3Fsfvrsn%3D619e77a3_2&ved=2ahUKEwian7aUorb6AhXdkIkEHWPEBOg4ChAWegQIFRAB&usg=AOvVaw2S3jACpOqMEg9qBA6fmZj_

En fait, il pourrait y avoir jusqu’à 21 injections dans l’abdomen pour la rage :

« Il y a plusieurs années, le traitement contre la rage comprenait 21 injections dans l’estomac d’une personne. C’était extrêmement douloureux et nécessitait une longue aiguille. Cependant, depuis le début des années 1980, il existe un vaccin antirabique très différent pour traiter les humains exposés à la rage. »

https://www.oklahoman.com/story/lifestyle/health-fitness/2013/07/14/whats-it-like-to-get-a-rabies-shot/60899910007/

Les injections intrapéritonéales (dans la cavité de l’estomac) étant l’une des 5 voies utilisées pour le traitement parentéral, se pourrait-il que ces patients atteints d’Ebola en 1976 aient pu recevoir les médicaments toxiques de cette manière, comme on le faisait pour la rage jusque dans les années 1980 ? L’injection de médicaments toxiques directement dans l’estomac pourrait expliquer l’augmentation des hémorragies gastro-intestinales. Les dommages causés à l’estomac par un traumatisme sont également un facteur de risque de choc hypovolémique comme celui dont ont souffert les patients de l’hôpital de Ngaliema. Malheureusement, l’OMS ne définit pas la voie d’injection parentérale et nous ne pouvons donc que spéculer.

Les quelques paragraphes suivants présentent des éléments d’information aléatoires qui percent des trous dans l’histoire de l’OMS. Tout d’abord, vous verrez l’OMS admettre que les données de laboratoire étaient pratiquement inexistantes pour cette épidémie, mais elle confirme que le tableau clinique ressemblait au « virus » de Marburg. L’OMS pensait que les agents « isolés » au Soudan et au Zaïre étaient identiques, mais elle n’avait pas encore effectué les tests d’anticorps (précédemment admis comme douteux) pour le confirmer. L’OMS a affirmé que la virémie (présence de « virus » dans le sang) était une caractéristique constante du « virus », en se fondant sur une seule étude portant sur un seul patient. Toutefois, l’OMS a ensuite déclaré qu’aucune preuve n’avait été obtenue quant à la persistance du portage du « virus » dans les cas d’infection à Ebola au Zaïre, un phénomène documenté à deux reprises pour le « virus » de Marburg, mais elle a averti que cette information était basée sur un échantillon de petite taille. Il semble très clair que l’OMS aime avoir le beurre et l’argent du beurre :

Bien que les données de laboratoire soient pratiquement inexistantes, le tableau clinique observé lors de cette épidémie ressemblait à la maladie produite par le virus Marburg, un virus apparenté. En fait, l’évolution de la fièvre hémorragique Ebola semblait plus inexorable et moins variable que celle de l’infection par le virus de Marburg. Bien que cela soit loin d’être prouvé, nous soupçonnons que le syndrome de défibrination aiguë et la pancréatite étaient les principales caractéristiques du syndrome et qu’une grave maladie du foie était évidente.

Contrairement aux observations faites simultanément au Soudan, la maladie au Zaïre présentait moins de symptômes respiratoires, une évolution clinique plus courte et un taux de mortalité plus élevé (4). On ne sait pas si cela était dû à des différences dans la virulence du virus en soi ou à des variables relatives à l’hôte et à l’écologie, comme le climat (humidité relative). À l’heure actuelle, on pense que les agents récupérés au Soudan et au Zaïre sont identiques, bien que des tests de neutralisation définitifs n’aient pas encore été effectués.

La virémie semble être une caractéristique constante de l’infection par le virus Ebola chez l’homme. Le virus a persisté en grande quantité dans le sang dans le seul cas bien étudié. La découverte à la fois du virus et d’anticorps dans le sang d’un autre cas agonal 13 jours après l’apparition des symptômes soulève la possibilité, considérée comme improbable, que des complexes antigène-anticorps puissent contribuer à la pathologie de l’infection. Cette question, ainsi qu’un certain nombre d’autres questions virologiques importantes, ne peut être traitée pour l’instant que par des études sur des singes. L’une des nécessités les plus urgentes est de trouver un moyen de poser un diagnostic rapide dans les cas suspects de la maladie en recherchant des cellules contenant un antigène viral. Le diagnostic spécifique rétrospectif des cas mortels par examen au microscope électronique de biopsies hépatiques fixées au formol semble très prometteur et devrait être tenté dans tous les cas de maladie hémorragique fébrile aiguë en Afrique.

Aucune preuve de portage viral persistant n’a été obtenue dans les cas d’infection à Ebola au Zaïre, un phénomène documenté à deux reprises pour le virus de Marburg (5, 6). Mais il faut se rappeler que le nombre de sites appropriés et immuno-séquestrés échantillonnés était très faible. Cependant, le sperme d’un patient infecté par une souche zaïroise du virus Ebola au Royaume-Uni contenait du virus pendant plus de deux mois après l’apparition des symptômes (3).

Dans les derniers points saillants, nous obtenons la version simplifiée des événements de l’OMS qui réitère des points antérieurs qui auraient dû mettre en doute leurs conclusions selon lesquelles un nouveau « virus » était la cause de l’apparition d’une nouvelle maladie. Tout d’abord, l’OMS admet que le « virus » Ebola a un faible taux de transmission secondaire de personne à personne, ce qui signifie qu’il ne se propage pas facilement, même en cas de contact étroit avec des personnes « infectées ». Ils déclarent que l’on ne saura jamais comment le nouveau « virus » est arrivé à l’hôpital, mais ils pensent qu’il a été apporté du Soudan par un être humain. Il a été décidé que le « virus » se propageait par les aiguilles et les seringues contaminées utilisées pour les injections aux patients malades. Une fois que ces injections ont cessé, l’épidémie s’est arrêtée elle aussi :

L’épidémie du Zaïre présentait tous les attributs d’une épidémie de source commune, ainsi qu’un taux heureusement faible de transmission secondaire de personne à personne. Les moyens par lesquels le virus a été introduit dans l’Hôpital de la Mission de Yambuku ne seront probablement jamais connus avec précision, mais il semble possible qu’il ait été apporté directement du Soudan par un être humain. La dissémination de l’agent dans les villages de la région s’est faite principalement par le biais de matériel contaminé utilisé pour les injections parentérales. L’épidémie s’est calmée lorsque l’hôpital a été fermé par manque de personnel médical. Il a été démontré, lors de la petite épidémie de Kinshasa, qu’une élimination soigneuse des excréments et des fomites contaminés, ainsi que des soins infirmiers stricts utilisant des respirateurs, pouvaient rompre la chaîne de transmission. Des précautions d’isolement encore plus simples et un changement des coutumes culturelles lors des funérailles semblent avoir contribué à l’extinction de l’infection dans les villages.

Il est intéressant de noter que l’OMS a admis que les cas provoqués par l’injection étaient différents et plus susceptibles d’être mortels que ceux qui, selon elle, étaient des cas secondaires contractés sans injection. Ceci est évidemment logique si l’on considère que les symptômes non spécifiques de la maladie étaient le résultat de l’injection contre nature de divers médicaments toxiques directement dans les patients et non l’effet d’un nouveau « virus ». Les cas secondaires n’étaient rien d’autre que la recherche de symptômes similaires chez les villageois et l’utilisation de résultats d’anticorps frauduleux pour prétendre que les symptômes étaient causés par le même « virus » imaginaire.

Bien que les données ne soient pas toujours statistiquement convaincantes, nous avions la forte impression que la fièvre hémorragique Ebola acquise par injection différait de celle due au contact avec un autre cas. La mortalité était plus élevée. Dans une étude, les taux de transmission secondaire étaient également plus élevés à partir de cas index qui avaient été induits par voie parentérale. Il se peut que l’augmentation de la réplication et de l’excrétion du virus à la suite d’une infection parentérale explique tout ou partie de ces différences, mais d’autres causes n’ont nullement été exclues.

L’OMS a ensuite admis que les cas « néonatals » n’étaient pas complètement élucidés. En d’autres termes, elle n’a pas pu expliquer comment les bébés ont contracté la maladie de leur mère. On ne s’est apparemment pas interrogé sur les injections de médicaments nocifs dans les femmes enceintes, susceptibles de provoquer la mort et la maladie chez les nourrissons. Il fallait que ce soit ce « virus » magique qui traverse le placenta et infecte l’enfant à naître :

Les cas « néonatals » observés de la maladie n’ont pas été complètement élucidés. On souhaite savoir si le virus Ebola peut traverser le placenta et infecter le fœtus, et si le virus est présent dans le lait maternel et est infectieux s’il est ingéré.

Enfonçant une fois de plus le dernier clou dans le cercueil du « virus » Ebola, l’OMS nous a rappelé que de meilleurs tests d’anticorps étaient nécessaires pour pouvoir interpréter les résultats. Bien que les résultats frauduleux des tests d’anticorps ne doivent jamais être considérés comme des preuves, ces résultats étaient le seul moyen pour les chercheurs de différencier Ebola de « Marburg » et de nombreux autres « virus », et leur « exactitude » douteuse en dit long. Les résultats de l’IFA étaient essentiels pour démontrer que Marburg et Ebola étaient des « virus » différents, mais l’OMS n’était pas certaine de l’exactitude de ces résultats. Elle ajoute que, comme pour le « virus » Marburg, la source du « virus » Ebola était inconnue. Cela devrait vous dire tout ce que vous avez besoin de savoir :

Enfin, une meilleure méthode de mesure des anticorps du virus Ebola est nécessaire pour interpréter les résultats sérologiques rapportés ici. Le fait que moins de 20 % des personnes aient donné des antécédents de maladie aiguë après un contact avec un cas mortel n’est pas surprenant. La plupart de ces personnes avaient des maladies légères et spontanées, celles-ci étant hautement endémiques dans la région. Mais si les données de l’IFA sont correctes, au moins 2,5 % des personnes en contact avec des cas mortels ont connu une infection subclinique. En outre, la découverte d’anticorps chez quelques individus en l’absence de tout contact connu avec le virus Ebola pendant l’épidémie soulève la possibilité que l’agent est en fait endémique dans la région de Yambuku et est occasionnellement transmis à l’homme. Une réponse définitive est essentielle pour poursuivre l’exploration écologique de ce qui est maintenant un agent très mystérieux. Comme dans le cas du virus de Marburg, la source du virus Ebola est totalement inconnue au-delà du simple fait qu’il est d’origine africaine. »

EBOLA
Ce qu’on ne vous dit pas

En résumé

  • Entre le 1er septembre et le 24 octobre 1976, 318 cas de fièvre hémorragique « virale » aiguë (supposée) sont survenus dans le nord du Zaïre.
  • Il y a eu 280 décès et seulement 38 survivants confirmés sérologiquement (c’est-à-dire des résultats d’anticorps non spécifiques).
  • Le patient zéro de cette épidémie a présenté des symptômes le 1er septembre 1976, cinq jours après avoir reçu une injection de chloroquine pour un paludisme présumé à la clinique externe du Yambuku Mission Hospital (YMH).
  • Il a eu une rémission clinique de ses symptômes de paludisme.
  • Dans la semaine qui a suivi, plusieurs autres personnes qui avaient reçu des injections à l’hôpital YMH ont également souffert de la fièvre hémorragique Ebola, et presque tous les cas ultérieurs avaient soit reçu des injections à l’hôpital ou avaient été en contact étroit avec un autre cas.
  • Tous les âges et les deux sexes ont été touchés, mais les femmes de 15 à 29 ans ont eu la plus forte incidence de la maladie, un phénomène fortement lié à la fréquentation des cliniques prénatales et ambulatoires de l’hôpital où elles ont reçu les injections.
  • La recherche intensive de cas dans la région du nord-est du Zaïre, entre la zone de Bumba et la frontière soudanaise, près de Nzara et Maridi, n’a pas permis de détecter des preuves définitives d’un lien entre une épidémie de la maladie dans ce pays et le foyer près de Bumba.
  • Néanmoins, il a été établi que des personnes peuvent faire et font le voyage entre Nzara et Bumba en moins quatre jours : il a donc été considéré comme tout à fait possible qu’une personne infectée ait voyagé du Soudan à Yambuku et ait transféré le « virus » à une aiguille de l’hôpital alors qu’elle recevait une injection à la clinique externe.
  • En d’autres termes, ils n’ont pas pu établir de lien entre les deux épidémies, mais ont tout de même supposé qu’il était possible comme scénario hypothétique qu’un individu inconnu « infecté » porteur d’un nouveau « virus » se rende à l’hôpital et transmette sans le savoir le nouveau « virus » par le biais de la même aiguille utilisée avec d’autres patients.
  • Après 3 à 4 jours de symptômes et de signes non spécifiques, les patients présentent généralement un mal de gorge de plus en plus sévère, une éruption cutanée maculo-papuleuse, des douleurs abdominales irréductibles et des saignements en de multiples endroits, principalement dans le tractus gastro-intestinal.
  • Bien que les analyses de laboratoire aient été limitées et non concluantes, il a été conclu que la pathogenèse de la maladie comprenait une hépatite non ictérique et peut-être une pancréatite aiguë ainsi qu’une coagulation intravasculaire disséminée.
  • Ce syndrome a été causé par un « virus » morphologiquement similaire au « virus » de Marburg, mais immunologiquement distinct (c’est-à-dire que tout était identique à part les résultats des anticorps non spécifiques).
  • L’agent a été « isolé » du sang de 8 des 10 cas suspects à l’aide de cultures de cellules Vero. (NdT : aucun « virus » n’a jamais été isolé, les débris des cellules Vero utilisées ne permettent pas de dire que le « virus » a été isolé)
  • Des particules du « virus » Ebola ont été trouvées dans des échantillons de foie fixés au formol provenant de trois cas. (NdT : le « virus » n’ayant pas été isolé on peut se demander comment ce « virus » a pu être trouvé).
  • Les survivants de l’infection présentaient des anticorps fluorescents indirects contre le « virus » Ebola.
  • Un total de 201 unités (200-300 ml chacune) de plasma contenant des anticorps contre le « virus » Ebola à des titres d’au moins 1:64 ont été obtenues et congelées et utilisées sur une personne « infectée » qui s’est rétablie, ce qui leur a suggéré que les anticorps ont pu être utiles sur le plan thérapeutique (et les anticorps invisibles peuvent n’avoir absolument rien fait pendant que la personne se rétablissait malgré leur utilisation, ce qui revient donc à une spéculation inutile)
  • La transmission du « virus » a été interrompue par l’arrêt des injections et par l’isolement des patients dans leurs villages (c’est-à-dire que l’arrêt des injections de chloroquine a mis fin à la propagation du « virus »…).
  • Ils ont décidé, d’une manière ou d’une autre, que le « virus » est probablement rarement transmis par des aérosols infectieux, bien que l’infection par de grosses gouttelettes reste une possibilité (encore une spéculation sans preuve et sans fondement).
    (NdT : l’explication officielle de la « Science » sur la transmission par aérosol est la suivante : les « virus » sont transportées par de minuscules gouttelettes d’eau exhalées qui peuvent « voyager » grâce aux courants d’air. Ces gouttelettes sont soumises à la gravitation terrestre et finissent par retomber au sol ; leur « voyage » dans l’air est estimé à 1 min 50 s environ (en horizontal). En hiver l’air est plus sec et les gouttelettes sont donc plus rares et plus petites. Les « virus » peuvent donc être emportés plus facilement par les courants d’air, d’où une « transmission » plus facile et les « épidémies » !!!!)
  • Des anticorps au « virus » Ebola ont été trouvés chez cinq personnes qui n’étaient pas malades et n’avaient pas eu de contact avec les villages « infectés » ou l’hôpital de Yambuku pendant l’épidémie (en d’autres termes, soit les anticorps étaient soit non spécifiques et/ou il y a des patients Ebola asymptomatiques qui se promènent… ou le scénario le plus probable est que tout cela est frauduleux).
  • Cinq seringues et aiguilles ont été distribuées chaque matin au personnel infirmier pour être utilisées dans le service de consultation externe, la clinique prénatale et les salles d’attente.
  • Ces seringues et aiguilles n’étaient apparemment pas stérilisées entre leurs utilisations sur différents patients, mais rincées dans une casserole d’eau chaude et, à la fin de la journée, elles étaient parfois bouillies.
  • Cela a conduit les chercheurs à conclure qu’il s’agissait d’un « virus » transmis de personne à personne en raison de l’utilisation de l’aiguille plutôt que du contenu de l’injection.
  • Par ailleurs, les injections de chloroquine, comme celles qui ont été administrées aux patients, sont connues pour provoquer exactement les mêmes symptômes que ceux associés à Ebola : douleurs au dos, aux jambes ou à l’estomac – selles noires et goudronneuses – sang dans l’urine ou les selles – fièvre – éruption cutanée, urticaire ou démangeaisons – mal de gorge – saignement ou ecchymose inhabituels – douleur dans la partie supérieure droite de l’abdomen ou de l’estomac – vomissements.
  • Un cas probable de fièvre hémorragique Ebola est une personne vivant dans la zone épidémique qui est décédée après un ou plusieurs jours avec deux ou plusieurs des symptômes et signes suivants : maux de tête, fièvre, douleurs abdominales, nausées et/ou vomissements et saignements.
    Le patient doit avoir, au cours des trois semaines précédentes, reçu une injection ou été en contact avec un cas probable ou avéré, la maladie n’ayant pas été diagnostiquée autrement pour des raisons cliniques.
  • Un cas avéré est une personne sur laquelle le « virus » Ebola a été « isolé » ou mis en évidence par microscopie électronique ou qui présentait un titre d’anticorps fluorescent indirect (IFA) d’au moins 1:64 contre le « virus » Ebola dans les trois semaines suivant l’apparition des symptômes.
    On a considéré qu’une infection par le « virus » Ebola était survenue chez des personnes qui avaient un titre d’anticorps IFA similaire, mais qui n’avaient pas été malades entre le 30 août et le 15 novembre 1976.
  • Un cas possible était une personne présentant des maux de tête et/ou de la fièvre depuis au moins 24 heures, avec ou sans autres signes et symptômes, et ayant été en contact avec un cas probable ou avéré au cours des trois semaines précédentes.
    Ces patients ont été traités avec des antipaludéens, des antibiotiques et des antipyrétiques pour exclure d’autres maladies communes à la région.
  • En d’autres termes, dès lors que vous avez présenté un ou deux des symptômes non spécifiques et que vous avez reçu une injection ou que vous avez côtoyé des personnes dont la présence a été jugée probable/prouvée au moyen d’une microscopie électronique indirecte ou de résultats d’anticorps non spécifiques, vous êtes considéré comme un patient Ebola.
  • Les objectifs des équipes de surveillance étaient de trouver les cas passés et actifs de fièvre hémorragique Ebola, de détecter les éventuels cas convalescents afin d’éduquer le public sur la nature de la maladie et les moyens de la prévenir, et d’établir de manière incontestable la fin de l’épidémie (comment ont-ils éduqué le public sur la nature et les moyens de prévenir un « virus » qu’ils étaient encore censés identifier et étudier ?)
  • Les sujets abordés lors de la formation ont été le diagnostic différentiel de la fièvre hémorragique Ebola, son épidémiologie (y compris les modes de transmission possibles), les moyens de protéger le personnel, les méthodes pour obtenir les données de recensement des familles et enregistrer les cas probables et possibles (comment diagnostiquer de manière différentielle une maladie qui imite de nombreuses autres maladies partageant exactement les mêmes symptômes… et même la grossesse ?)
  • La chloroquine, la tétracycline, l’aspirine et un médicament contre les parasites intestinaux ont tous été fournis sous forme de comprimés (parce que si on ne peut pas trouver des cas naturellement, autant les créer).
  • Quinze cas possibles de fièvre hémorragique survenus en dehors de la zone épidémique principale ont été examinés à partir de Kinshasa et la fièvre hémorragique Ebola a été exclue dans chaque cas pour des raisons cliniques, virologiques ou pathologiques (c’est-à-dire que les preuves indirectes indiquaient d’autres causes supposées).
  • Les diagnostics finaux étaient les suivants : Fièvre typhoïde —Hépatite « virale » —Amibiase —Œdème pulmonaire aigu —Empoisonnement au monoxyde de carbone.
  • Le premier patient a reçu de la chloroquine par injection parentérale le 26 août. Sa fièvre a rapidement disparu et il est resté afébrile jusqu’au 1er septembre, date à laquelle il a de nouveau eu de la fièvre à 39,2 °C.
  • D’autres symptômes ont rapidement suivi et il a été admis au YMH le 5 septembre pour une hémorragie gastro-intestinale et est décédé le 8 septembre.
  • On a appris que l’injection parentérale (injections dans le corps par différentes voies) était le principal mode d’administration de presque tous les médicaments.
  • Le seul facteur de risque commun par rapport aux témoins appariés de la famille et du village pour 85 des 288 cas où le mode de transmission a été déterminé était la réception d’une ou plusieurs injections à l’hôpital YMH.
  • D’autres facteurs tels qu’un contact antérieur, l’exposition à la nourriture, à l’eau, aux bâtiments de l’hôpital, aux animaux domestiques et sauvages, ou un voyage dans les trois mois précédant l’apparition des symptômes, n’ont pas été associés à ce type de transmission.
  • D’autres facteurs tels qu’un contact antérieur avec un cas, une exposition à la nourriture, à l’eau, aux bâtiments de l’hôpital, aux animaux domestiques et sauvages, ou un voyage dans les trois mois précédant l’apparition de la maladie, n’ont pas été associés à ce type de transmission.
  • 43 cas avaient des antécédents de contact avec un patient et de réception d’une injection dans les trois semaines précédant le début de la maladie.
  • Dix-sept personnes qui vivaient en dehors de Yambuku ont été en contact avec l’hôpital de YMH et il est possible qu’elles aient eu des injections sans le signaler à leur famille.
  • Aucune personne dont le contact était exclusivement une injection parentérale n’a survécu à la maladie.
  • En fait, il semble probable que la fermeture de l’hôpital de Yambuku ait été le seul événement le plus important dans la fin éventuelle de l’épidémie.
  • En d’autres termes, le mode d’injection risqué et non naturel ainsi que les médicaments toxiques capables de produire exactement les mêmes symptômes sont les seuls éléments nécessaires pour expliquer ces cas, et non un nouveau « virus » invisible.
  • Aucun cas probable sporadique, apparemment spontané, n’a été enregistré.
  • Lorsque la « famille » a été définie comme l’ensemble des personnes vivant dans un logement contigu et partageant des cuisines communes, les taux d’attaque secondaire n’ont jamais dépassé 8 %.
  • Des efforts ont été faits pour documenter une infection asymptomatique simultanée ou une possible infection antérieure par le « virus » Ebola.
  • Les sérums de 5 personnes âgées de 8 à 48 ans contenaient des anticorps IFA à des titres de 1:64 et aucune de ces personnes n’était malade, n’avait eu de contact avec des personnes dans d’autres villages ou n’avait visité YMH pendant l’épidémie (c’est-à-dire qu’elles étaient asymptomatiques).
  • Les sérums de 58 personnes appartenant à diverses catégories d’exposition présentaient des titres IFA anti-Ebola compris entre 1:4 et 1:32. Néanmoins la spécificité de ces réactions a été mise en doute lorsqu’il a été constaté que des échantillons provenant de 4 des 200 Indiens San Blas du Panama présentaient également de tels « anticorps » contre le virus Ebola, mais pas contre le « virus » Marburg.
  • L’interprétation finale de ces données attendait la mise au point d’une autre méthode de mesure des anticorps spécifiques de ces agents.
  • En d’autres termes, les résultats des anticorps prétendument spécifiques n’étaient pas si spécifiques que cela et les résultats des anticorps devaient être confirmés par une méthode « plus spécifique » qui n’avait pas encore été mise au point.
  • Les premiers symptômes et signes observés chez les trois patients à l’hôpital Ngaliema comprenaient de la fièvre, des maux de tête, de l’anorexie et des vomissements, mais les autres symptômes variaient d’un patient à l’autre.
  • Des tests de laboratoire clinique ont été effectués sur le premier patient, mais seules quelques mesures ont été réalisées sur les deux autres cas afin d’éviter une exposition excessive du personnel de laboratoire de l’hôpital au « virus ».
  • Le premier patient a été traité avec de l’aspirine, des antibiotiques, des corticostéroïdes, une transfusion sanguine et des fluides intraveineux.
  • Le deuxième patient a reçu de l’aspirine, de l’hydrocortisone, des immunoglobulines, des liquides intraveineux, un médicament expérimental, la moroxydine, et de l’entérovioform pour contrôler la diarrhée, mais sans succès.
  • La troisième patiente a été traitée pour un paludisme non confirmé pendant les deux premiers jours de la maladie et, lorsqu’il s’est avéré que l’agent étiologique de l’épidémie était un « virus » de type Marburg, elle a reçu, le quatrième jour, 500 ml de plasma humain Marburg obtenu à partir d’un patient guéri en Afrique du Sud.
  • Les trois patients sont morts après le traitement.
  • Bien qu’aucune autopsie n’ait été pratiquée, il est apparu cliniquement que ces patients sont morts d’un choc hypovolémique (perte rapide de sang pouvant être causée par une hémorragie interne dans les organes abdominaux et le tube digestif).
  • Des particules ressemblant au virus de Marbourg ont été visualisées au microscope électronique dans un cas.
  • Aucun anticorps IFA contre les « virus » Ebola ou Marburg n’était présent chez les 3 victimes.
  • Des questionnaires ont été remplis pour 231 cas probables âgés d’un an ou plus, on a trouvé chez 34 personnes des anticorps IFA contre le « virus » Ebola, et 198 témoins parmi les personnes présentant des anticorps, 59 % avaient un ou plusieurs symptômes (41 % n’avaient apparemment aucun symptôme), les plus importants étant la fièvre, les maux de tête, les douleurs abdominales et l’arthralgie.
  • De nombreuses autres personnes qui avaient été en contact avec des cas mortels ont signalé des symptômes, mais n’avaient aucun anticorps du « virus » Ebola.
  • Nous pouvons voir ici à quel point les résultats des tests d’anticorps ne sont pas fiables lorsque 41 % des personnes ne présentaient aucun symptôme de la maladie et que celles qui ont eu des symptômes après avoir été en contact avec des cas mortels n’avaient aucun anticorps.
  • Le seul test de laboratoire clinique effectué sur les patients admis à l’hôpital de Yambuku était la protéine urinaire, qui a été signalée comme étant uniformément positive et utilisée comme critère de diagnostic majeur par les sœurs infirmières au début de l’épidémie (remarque : ce n’est pas un diagnostic utilisé aujourd’hui, ce qui amène à se demander combien de cas précoces ont été mal diagnostiqués en utilisant une méthode défectueuse qui n’est plus utilisée ?).
  • Les études virologiques ont été dites limitées.
  • Le « virus » Ebola a été « isolé » dans des cellules de rein de singe vert africain (Vero) provenant d’échantillons de sang dans 8 des 10 cas tentés.
  • Des particules de « virus » Ebola ont également été visualisées dans 3 des 4 biopsies hépatiques post-mortem obtenues à partir de cas cliniquement suspects.
  • Le taux de mortalité de 88 % de la fièvre hémorragique Ebola au Zaïre est le plus élevé jamais enregistré, à l’exception de l’infection par la rage.
  • Bien que les données de laboratoire soient pratiquement inexistantes, le tableau clinique observé lors de cette épidémie ressemblait à la maladie produite par le « virus » Marburg, un virus apparenté.
  • À cette époque, on pensait que les agents retrouvés au Soudan et au Zaïre étaient identiques, bien que des tests de neutralisation définitifs n’aient pas encore été effectués.
  • La virémie semblait être une caractéristique constante de l’infection par le « virus » Ebola chez l’homme, car le « virus » persistait en grande quantité dans le sang dans le seul cas bien étudié (un cas).
  • L’OMS a déclaré qu’un certain nombre d’autres questions virologiques importantes ne peuvent être abordées pour l’instant que par des études sur des singes.
  • Aucune preuve n’a été obtenue quant à la persistance du portage du « virus » dans les cas d’infection à Ebola au Zaïre, un phénomène documenté à deux reprises pour le « virus » de Marburg.
  • L’épidémie du Zaïre présentait tous les attributs d’une épidémie de source commune, ainsi qu’un taux heureusement faible de transmission secondaire de personne à personne (c’est-à-dire qu’elle n’était ni infectieuse ni transmissible).
  • Selon l’OMS, on ne saura probablement jamais avec précision par quel moyen le « virus » a été introduit dans l’hôpital de la mission de Yambuku, mais il semblait possible qu’il ait été apporté directement du Soudan par l’homme.
  • La dissémination de l’agent dans les villages de la région s’est faite principalement par le biais de matériel contaminé utilisé pour les injections parentérales (vous voyez comment ils ont parlé d’aiguilles « contaminées » plutôt que du mode d’injection avec de nombreuses toxines ?).
  • L’épidémie a reculé lorsque l’hôpital a été fermé par manque de personnel médical (et donc par l’arrêt des injections de médicaments toxiques).
  • L’OMS avait la forte impression que la fièvre hémorragique Ebola acquise par injection différait de celle due au contact avec un autre cas, car la mortalité était plus élevée.
  • Les cas « néonataux » observés n’ont pas été définitivement élucidés.
  • L’OMS a de nouveau admis qu’une meilleure méthode de mesure des anticorps du « virus » Ebola était nécessaire pour interpréter les résultats sérologiques rapportés ici (ce qui est un aveu assez troublant lorsque le seul moyen qui leur permettait d’affirmer l’existence d’un nouveau « virus » ainsi que de cas passés et présents était basé sur les résultats des anticorps).
  • Le fait que moins de 20 % des personnes aient donné des antécédents de maladie aiguë après avoir été en contact avec un cas mortel n’est apparemment pas une surprise.
  • L’OMS a déclaré que si les données de l’IFA sont correctes, au moins 2,5 % des personnes en contact avec des cas mortels ont souffert d’une infection subclinique (ces résultats d’anticorps semblent plutôt vagues si l’on en croit l’hésitation constante de l’OMS quant à leur exactitude).
  • En outre, la découverte d’anticorps chez quelques individus en l’absence de tout contact connu avec le « virus » Ebola pendant l’épidémie a soulevé la possibilité que l’agent soit en fait endémique dans la région de Yambuku et soit occasionnellement transmis à l’homme.
  • Comme dans le cas du « virus » de Marburg, la source du « virus » Ebola est totalement inconnue au-delà du simple fait qu’il est d’origine africaine.

Si l’on en croit les conclusions présentées par l’OMS, le « virus » Ebola provient d’une personne infectée qui a voyagé du Soudan au Zaïre. Cette personne non identifiée a été soignée à l’hôpital de Yambuku au moyen d’une injection parentérale. La même aiguille n’a pas été stérilisée et a ensuite été réutilisée sur un autre patient non suspect, ce qui a entraîné la propagation des symptômes non spécifiques de la maladie de patient à patient par l’utilisation continue des mêmes aiguilles non stérilisées. Cela peut avoir un certain sens pour ceux qui sont encore sous le charme « viral » et qui ne sont pas disposés à creuser un peu plus profondément que le simple fait de gratter la surface. Cependant, pour quiconque examine les preuves présentées de manière critique et logique, il existe une explication beaucoup plus raisonnable à l’apparente épidémie de maladie, autre qu’un « virus » Ebola récemment découvert.

Les symptômes associés au « virus » Ebola ne sont pas spécifiques et imitent d’autres maladies courantes dans la région, notamment la grippe, le paludisme, la fièvre jaune, la typhoïde et même la grossesse ; les symptômes n’étaient donc ni nouveaux ni inédits. Le patient initial a été traité pour le paludisme par une injection de chloroquine. Alors que les symptômes du paludisme disparaissaient cliniquement après le traitement, des symptômes plus graves sont apparus quelques jours plus tard et le patient a finalement succombé à une hémorragie gastro-intestinale. La chloroquine est un médicament toxique connu dont les effets secondaires connus sont des problèmes gastro-intestinaux et des saignements inhabituels. Le mode d’injection parentérale est réputé risqué et, s’il est effectué par la cavité abdominale, il peut entraîner des lésions des organes de l’abdomen. D’autres patients traités à l’hôpital pour des affections non liées présentant des symptômes similaires, y compris des femmes enceintes, ont également reçu des injections de différents médicaments et ont eux aussi développé les symptômes associés à une fièvre hémorragique sévère. De nombreux patients ont reçu des cocktails de nombreux médicaments et antibiotiques par injection parentérale. Toutes les personnes ayant reçu des injections à l’hôpital ont fini par mourir de leur maladie. L’OMS a même noté que les personnes ayant reçu les injections présentaient une présentation différente de la maladie par rapport aux cas n’ayant pas reçu d’injections, la principale différence étant une mortalité plus élevée chez les personnes traitées à l’hôpital. Il a été observé qu’une fois que les injections ont cessé, la transmission de la maladie s’est également arrêtée. Pour quiconque examine cette question de manière logique, il n’est pas difficile de voir le lien entre l’injection de médicaments toxiques et les symptômes de la maladie qui y sont associés. Il n’est pas nécessaire de trouver un nouveau « virus » pour expliquer ce phénomène, mais l’OMS a ignoré la possibilité de chercher du côté des injections parentérales de chloroquine et d’autres médicaments toxiques (et expérimentaux dans un cas au moins) dans le cadre de ses enquêtes.

Si l’on ajoute à cela le fait que les chercheurs n’ont jamais purifié ni isolé de « virus » directement à partir du sang d’un patient malade au Zaïre et que tous les résultats des concoctions de cultures cellulaires qu’ils ont créées en laboratoire présentaient les mêmes preuves indirectes associées au « virus » de Marburg découvert moins de dix ans auparavant, il est tout simplement étonnant qu’ils aient pu conclure à l’existence d’un nouveau « virus ». La seule preuve utilisée par les chercheurs pour affirmer que le « virus » Ebola était en quelque sorte un nouveau « virus » distinct de celui de Marbourg était les résultats du test des anticorps à fluorescence indirecte, dont l’OMS a admis qu’ils étaient loin d’être idéaux. En fait, les résultats des tests d’anticorps étaient très variables, de nombreuses personnes, n’ayant jamais eu de contact avec un patient atteint d’Ebola et n’ayant jamais été malades d’aucune manière, ayant été testées positives pour les anticorps censés être spécifiques au « virus ». Dans le même temps, de nombreuses personnes présentant des symptômes et ayant eu un contact direct avec des malades d’Ebola ne présentaient aucun anticorps. Comment les résultats de ces tests pouvaient-ils indiquer aux chercheurs qu’ils avaient un « virus » unique ? Lorsque l’on comprend la fraude de la recherche sur les anticorps et que l’existence de ces entités théoriques n’a jamais été scientifiquement prouvée, tout comme les « virus », il est facile de voir comment les résultats inexacts peuvent être utilisés pour affirmer ce que les chercheurs veulent bien leur faire dire. Lorsque l’on réalise que les résultats des tests d’anticorps contredisent directement les résultats de la recherche sur le virus de Marburg, démontrant ainsi que ces résultats sont également frauduleux, on comprend que le CDC et l’OMS n’avaient pas d’autre choix que d’essayer de prétendre qu’un nouveau « virus » lié au virus de Marburg était à blâmer afin de maintenir le mensonge sur la « précision » des résultats des tests d’anticorps.

Il est assez clair que toute l’affaire Ebola n’était qu’une gigantesque opération de camouflage des effets secondaires des médicaments toxiques injectés par voie parentérale. Comme les symptômes n’étaient pas spécifiques et correspondaient à de nombreuses autres maladies courantes dans la région, il était facile pour les chercheurs de trouver des personnes présentant des symptômes similaires afin de prétendre qu’elles étaient elles aussi victimes du « virus » pathogène nouvellement « découvert ». Ce schéma consistant à dissimuler des injections toxiques par la découverte d’un nouveau « virus » a été observé une décennie plus tôt avec le « virus » Marburg associé à l’expérimentation de la vaccination contre la polio. Ils ont également utilisé cette même tactique pour dissimuler des empoisonnements au moyen de produits chimiques, comme dans le cas de la polio et du DDT/arséniate de plomb. Lorsque tout le monde reconnaîtra ce schéma, il sera en mesure de voir clair dans la fraude et nous pourrons alors commencer à travailler ensemble pour faire en sorte que ces astuces ne soient plus utilisées pour tromper les crédules et les amener à avoir peur et à s’empoisonner davantage avec des médicaments et des injections toxiques. Ensemble, nous pouvons briser ce cercle vicieux une fois pour toutes.

Traduction Jean Bitterlin 31.12.2022




Avertissement aux vautours et aux chacals, vous qui dépecez la France

[Source : michelledastier.com]

Par Michelle d’Astier de la Vigerie

J’ai 81 ans, mais je ne veux pas mourir sans avoir vu ce que Dieu m’a promis ! J’aime trop la France, que l’on désintègre et dont on assassine l’âme, pour ne pas avoir l’envie criante de voir balayée la bande de vautours et de chacals qui la dépècent.

Pourtant, depuis plus de vingt ans, j’avais envie d’être en Haut, car je commençais à trouver cette terre moche à mourir par rapport à celle que j’avais connue et que j’avais parcourue de long en large. Et surtout la France dont je voyais la dégringolade morale face aux valeurs judéo-chrétiennes qui lui avaient forgé des fondements de saphir, la métamorphosant en une nation à l’identité unique, qui rayonnait dans le monde entier par sa culture et son intelligence.

Un joyau…

Depuis longtemps, je la voyais progressivement s’écrouler dans tous les domaines où elle étincelait. Alors j’avais envie de ne plus être là, et de rejoindre ma demeure céleste, auprès de mon merveilleux Père. J’avais suffisamment vécu.

Mais quand la pandémie a éclaté, quelque chose m’a alertée, et donné l’envie de me lever et d’agir, avec les armes dont je disposais. J’avais une guerre à faire ! Car après un bien court temps de sidération, j’ai vite réalisé que le Pouvoir nous disait tout et son contraire, volontairement, et dans un but que je distinguais encore mal. Cela paraissait si monstrueux que des hommes prétendant notre bien s’ingénient à nous faire du mal, et même à tout faire pour nous rendre fous !

QUOI ? N’étaient-ce pas les Français qui les avaient élus, qui les payaient, qui leur obéissaient, dans la certitude d’être ainsi « protégés » !

C’EST LE CONTRAIRE QUI S’EST PRODUIT, DE PLUS EN PLUS VISIBLEMENT !

MAIS POURQUOI CELA A-T-IL FONCTIONNÉ DANS UNE APATHIE QUASI GÉNÉRALE ?

Même si les vautours et les chacals en position de pouvoir avaient corrompu secrètement, mais méthodiquement, depuis des décennies, tous les postes et organismes décisionnaires, cela allait apparaître presque soudainement, provoquant la stupeur même de ceux qui avaient les yeux ouverts, tant cela dépassait l’entendement.

Car il n’est rien de caché qui ne doive être découvert, rien de secret qui ne doive être connu et mis au jour.

Luc 8:17

Même s’ils avaient muselé par avance tous les médias, même s’ils savaient faire taire ceux qui tentaient de dire la vérité, par la manipulation de l’information, par le mensonge, par la censure, par la terreur, voire par l’assassinat… AU FINAL, TOUT LE MONDE POUVAIT SAVOIR, au moins ceux qui avaient l’amour de la vérité. Car les « lanceurs d’alerte » se sont vite multipliés. Il était facile de vérifier s’ils étaient des « complotistes » — mot dont la signification (= ceux qui soupçonnent l’existence d’un complot) a vite été déviée en : « illuminés dangereux, répandant des fake news », ou bien, au contraire, des gens soucieux de dire la vérité, pour avertir et sauver.

Qu’ils soient journalistes, avocats, juristes, médecins, scientifiques, ou simples citoyens ulcérés et lucides, ou encore simplement des chrétiens qui entendaient la voix du Seigneur, il s’est levé une armée de HÉROS, les résistants de la première heure.

EN TOUT TEMPS D’HORREUR, CE SONT LES HÉROS QUI SE LÈVENT, FÛT-CE AU PRIX DE LEUR VIE !

Oh ! Jamais je n’ai pensé que cela allait durer. Je me disais que les Français allaient tous se lever, face aux ordres aberrants et contradictoires qu’on leur donnait, d’autant que les justifications « scientifiques » que leur présentaient les « médecins de plateau » étaient systématiquement démenties par de multiples spécialistes internationaux qualifiés, dont des sommités françaises respectées dans le monde entier pour leur savoir, leur expérience et leur travail. Mais aussi démenties, et de plus en plus fortement, par les chiffres, les preuves et les faits.

Encore fallait-il vouloir entendre !

Pourquoi les Français allaient-ils à la queue leu leu se faire piquer avec un produit dont ils ne savaient rien et se mettaient-ils à mordre férocement ceux qui tentaient de les avertir, devenant pour beaucoup des moutons enragés, complices d’un Pouvoir qui ne se cachait même pas de les mépriser ?

Comment le corps médical pouvait-il aussi, pour une grande partie, devenir complice d’un génocide programmé ? Pourquoi des toubibs Bac + 10 ou plus ne s’étaient-ils pas levés, ensemble, quand on leur avait interdit brutalement l’utilisation de médicaments ayant fait leur preuve depuis des décennies, et même l’autorisation de soigner ? Comment pouvaient-ils ne pas s’étonner qu’on leur propose, un an plus tard, des milliers d’euros par jour pour injecter un produit expérimental, dont ils ne connaissaient qu’une faible partie de la composition ? Pourquoi leur proposait-on jusqu’à 120 euros pour une seule injection, alors qu’ils touchaient 6 €30 pour un vaccin classique ? Qu’est-ce qui les a aveuglés : le lucre ? La naïveté ? La peur ? Le conformisme ? L’incapacité d’imaginer qu’ils pouvaient être manipulés par l’État, par leur ministre, par les ARS, par les préfets et par leur Conseil de l’Ordre ? Certains étaient-ils des complices conscients ? Comment ne se sont-ils pas levés lorsque Macron a déclaré la mise à la porte brutale, sans salaire, sans indemnités, sans inscription possible au chômage, sans RSA pour des milliers de leurs confrères dont, souvent, ils connaissaient la probité et la qualification, en plus des milliers et milliers de ces auxiliaires si précieuses qui clamaient déjà depuis des années leur détresse face à un système oppresseur écrasant, de par son mille-feuille administratif : parmi eux, bien sûr, les infirmières, les aides-soignantes, les urgentistes…

Et les pompiers ? Et les gendarmes ?

Combien en tout ? 15.000 ? 100.000 ? 300.000 ? Ne parlons pas des ricochets ravageurs provoqués par cette folie de destruction. Aujourd’hui, c’est tout le système de santé qui est par terre. Et demain ? Les faillites en cascades (ça a commencé) ? La famine ? Des émeutes sanguinaires ? La guerre civile ?

Je ne fais qu’effleurer les énormes plaies qui sont apparues brutalement sur tout le système régalien français. L’Éducation Nationale, la Police, la Justice… Donc sur les fonctions vitales d’une nation jusqu’alors civilisée. Elles broient les familles en sabrant l’autorité des pères, des mères et toutes les autorités ; en semant la confusion dans les identités conférées par amour par un Dieu trois fois saint, avec toutes leurs démoniaques théories du genre, avec la légalisation des meurtres par l’avortement et par l’euthanasie…

Quel tsunami d’ordures !

ET CELA NE LEUR SUFFIT PAS !

Les mêmes maintenant démantèlement ma France en organisant des pénuries en tout genre : énergie, alimentation, matériaux…, fragilisant ainsi les emplois, les entreprises, et la nation tout entière.

S’ARRÊTERONT-ILS JAMAIS ?

OUI !

Tout cela se voit désormais à l’œil nu et chacun devra rendre des comptes devant Dieu.

41 Le Fils de l’homme enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l’iniquité :
42 et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents.
43 Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Que celui qui a des oreilles pour entendre entende.

Matthieu 13

QU’A-T-ON FAIT À MA FRANCE ? POURQUOI LA DÉCHIQUETER AINSI ?

Un virage fulgurant a été pris avec la macronie, même si, à l’évidence, la destruction de ma nation était programmée de longue date. Beaucoup de gens lucides le répètent : » la France est foutue ! »

NON ! MA FRANCE N’EST PAS FOUTUE ! CAR MON DIEU EST VIVANT !

Il est écrit que chacun de nos cheveux est compté. Dieu ne compterait-il pas chaque minute de travail de ceux qui font vivre ce pays depuis des siècles ni chaque larme de détresse de ceux qui aujourd’hui n’en peuvent plus ?

1 À vous maintenant, riches ! Pleurez et gémissez, à cause des malheurs qui viendront sur vous.
2 Vos richesses sont pourries, et vos vêtements sont rongés par les teignes.
3 Votre or et votre argent sont rouillés ; et leur rouille s’élèvera en témoignage contre vous, et dévorera vos chairs comme un feu. Vous avez amassé des trésors dans les derniers jours !
4 Voici, le salaire des ouvriers qui ont moissonné vos champs, et dont vous les avez frustrés, crie, et les cris des moissonneurs sont parvenus jusqu’aux oreilles du Seigneur des armées.
5 Vous avez vécu sur la terre dans les voluptés et dans les délices, vous avez rassasié vos cœurs au jour du carnage.
6 Vous avez condamné, vous avez tué le juste, qui ne vous a pas résisté.

Jacques 5

Je n’aurais pas dû être surprise par l’écroulement accéléré du pays. De multiples prophéties, reçues en direct ou venant de prophètes solides, avaient annoncé que des temps apocalyptiques arrivaient sur le monde, selon ce que la Bible avait déjà annoncé plusieurs millénaires auparavant, et en particulier sur la France.

En sus, j’étais préparée. J’en avais tant vu défiler, déjà, de ces hommes de Pouvoir, en voyant, de près, leur médiocrité grandissante ! Comme ancienne journaliste, je voyais depuis longtemps l’avilissement professionnel de la plupart des médias par leur dépendance à l’argent sale. Les quotidiens qui avaient fait l’admiration de tous quand j’étais jeune, je les voyais s’avilir, ne plus avoir la passion de la vérité, et devenir les laquais d’un pouvoir corrompu.

À 81 ans, bien des choses ont changé dans mon regard sur la vie et sur ma propre vie, surtout depuis que je me suis convertie en février 1992. Un an plus tard, je devenais une servante du Dieu Très-Haut, et je parcourais le monde pour prêcher la bonne Nouvelle, avec la passion des Écritures.

Les Écritures, la Parole de Dieu : c’est bien le seul repère pour connaître la VÉRITÉ dans ce monde devenu fou, où le mensonge règne en maître absolu dans toutes les strates de la société, y compris dans le monde médiatique, scientifique et médical, et particulièrement dans les allées du Pouvoir.

MAIS POURQUOI TANT D’ACHARNEMENT POUR DÉTRUIRE, PARTICULIÈREMENT, LA FRANCE ?

Voici ce qu’il m’est donné d’annoncer :

VOUS TOUS, LES VAUTOURS, LES CHACALS, ET TOUS VOS COMPLICES, CES AVIDES, COMME VOUS, DE L’ARGENT, DE LA GLOIRE ET DU POUVOIR, piétinant ceux-là mêmes qui vous ont fait confiance : VOTRE TEMPS EST TERMINÉ ! Et ce, quel que soit le niveau d’action où vous œuvrez : localement, régionalement, nationalement, et même internationalement…

Rappelez-vous ce qui est écrit en Jacques 5 : « leur rouille dévorera vos chairs comme un feu ». CRAIGNEZ DIEU !

Car en touchant à la France, c’est à Jésus-Lui-même que vous vous attaquez. La France, tout comme Israël, est la prunelle de Ses yeux, car cette nation a été fondée sur une alliance éternelle avec notre Sauveur. Vous, les iniques, les assoiffés de gloire et de pouvoir, vous qui piétinez les racines judéo-chrétiennes du pays en promulguant ou en acceptant des lois abominables, vous êtes des usurpateurs, et vous vous croyez forts, car vous ne connaissez pas Celui qui a vaincu le Monde (Jean 16:33).

Cela englobe l’Église tiède qui s’est faite couleur couleuvre en pensant pouvoir garder ses privilèges terrestres et sa tranquillité au prix de compromis, mais qui a perdu son sel et sa lumière. Tu seras la première jugée, et cela a commencé !

Le temps que Dieu a donné jusqu’ici, dans Sa longue patience et Son amour, c’était pour en sauver le plus possible pour l’Éternité, ceux qui se repentiraient et croiraient en l’œuvre de la Croix ! Il y en aura encore, mais ce sera sans toi, Église tiède que Dieu vomit de sa bouche, à moins que tu ne te repentes !

C’en est fini. La puanteur de l’iniquité touche le ciel et la terre vomit ses habitants !

17 La terreur, la fosse, et le filet, Sont sur toi, habitant du pays !
18 Celui qui fuit devant les cris de terreur tombe dans la fosse, Et celui qui remonte de la fosse se prend au filet ; Car les écluses d’en haut s’ouvrent, Et les fondements de la terre sont ébranlés.
19 La terre est déchirée, La terre se brise, La terre chancelle.
20 La terre chancelle comme un homme ivre, Elle vacille comme une cabane ; Son péché pèse sur elle, Elle tombe, et ne se relève plus.

Esaïe 24

Un décret céleste est promulgué. Il est irrévocable.

Dieu vous a donné du temps pour vous repentir, mais écoutez :

Arrêtez, et sachez que je suis Dieu : Je domine sur les nations, je domine sur la terre. –

Psaume 46:10

Il vous reste peu de temps. Mais certains ont encore le choix :

J’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité,

Deutéronome 30:19

CHOISIS !

[Voir aussi :
JE SUIS EN COLÈRE, par Michelle d’Astier de la Vigerie]


Un commentaire de Magisaci

MERCI Michelle pour cet avertissement.
Que Le couperet tombe sur toutes ces lois iniques et les coupe en pièces au nom de Jésus-Christ qui est ROI de la FRANCE.
Les discussions des Français (les non-convertis sont plus lucides que certains chrétiens) tournent autour des mauvaises lois, et de la mauvaise gestion du pays, ils se rendent compte que le mal est appelé bien et le bien est appelé mal. Ceux qui se sont fait injecter ont des doutes, la plupart n’en veut plus.
Les chrétiens ! il y a ceux qui font confiance au gouvernement. J’ai beau leur rappeler toutes les lois iniques, le Rivotril sur les personnes âgées, etc., ils sont comme anesthésiés et aveuglés. Beaucoup de gens suivent à la lettre tout ce qui se dit aux informations (comme pour les élections, ils ont descendu Monsieur Fillon en un rien de temps).
Il y avait un slogan pendant les manifestations qui disait : éteignez vos télés, allumez vos cerveaux.




Elon Musk admet que « presque toutes les théories du complot à propos de Twitter se sont révélées vraies »

[Source : anguillesousroche.com]

Elon Musk, PDG de Twitter, a admis que « pour être tout à fait franc, presque toutes les théories du complot concernant Twitter se sont avérées vraies » et souvent « plus vraies que ce que les gens pensaient ».

Musk s’exprimait dans une vidéo suite à la publication de Twitter Files 9, qui a révélé des détails supplémentaires sur la censure gouvernementale à Twitter et sur d’autres plateformes de médias sociaux.

La CIA faisait partie d’un certain nombre d’agences étatiques de sécurité, dont le département d’État et le Pentagone, impliquées dans la censure de Twitter, selon la neuvième tranche des Twitter Files publiée par Elon Musk, via le journaliste Matt Taibbi.

À la suite de la déclaration bizarre publiée par le FBI, qualifiant le signalement des Twitter Files de « désinformation » diffusée par des « théoriciens du complot » dans le « seul but de discréditer l’agence », M. Taibbi a publié une nouvelle tranche de fichiers internes de Twitter révélant une implication du gouvernement dans la censure encore plus étendue que ce que l’on connaissait jusqu’à présent – ajoutant : « Pourquoi s’arrêter à une seule [agence] ? »

Il n’y a pas que les soi-disant théories du complot sur Twitter et les médias sociaux qui se sont avérées vraies. Au cours des dernières années, le discours de l’élite mondiale s’est effondré et les « théoriciens du complot » ont eu raison sur une longue liste de sujets.



Par exemple, presque toutes les théories du complot que tout le monde avait sur Covid se sont avérées vraies. Vous vous souvenez quand la théorie de la fuite du laboratoire était strictement interdite sur les médias sociaux ? Vous vous souvenez que déclarer que les vaccins Covid ne protègent pas contre la transmission vous valait un bannissement immédiat ?



Compte tenu de l’effondrement du récit de l’élite, il n’est pas surprenant qu’elle intensifie ses attaques contre les « théoriciens du complot ».

Les Nations unies ont déclaré la guerre aux théories du complot, décrivant la montée de la pensée conspirationniste comme « inquiétante et dangereuse », et fournissant au public une boîte à outils pour « pré-bunk » et « debunk » toute personne qui ose suggérer que les gouvernements mondiaux sont tout sauf complètement honnêtes, droits et transparents.

L’ONU veut que vous sachiez que les événements ne sont PAS « secrètement manipulés dans les coulisses par des forces puissantes aux intentions négatives » et si vous rencontrez quelqu’un qui pense que l’élite mondiale conspire pour consolider son pouvoir et dicter les événements mondiaux, vous devez agir.

Le Forum économique mondial (FEM) est également en première ligne de la guerre contre les « théories du complot » qui font dérailler ses plans de domination mondiale. Au début de l’année, le FEM a annoncé qu’il avait recruté des centaines de milliers de « guerriers de l’information » pour contrôler l’internet, en surveillant les médias sociaux et les forums à la recherche de « désinformation » et de contenus conspirationnistes qui seront ensuite systématiquement fermés.

Selon le FEM de Klaus Schwab, la désinformation sur l’internet est une « infodémie » qui est « potentiellement mortelle » et nécessite un « remède ». La définition de la désinformation, selon le FEM, est tout ce avec quoi ils ne sont pas d’accord. Cela signifie que les guerriers de l’information seront essentiellement engagés dans l’acte de faire taire la dissidence.

Le contrôle autoritaire de l’internet, des médias et des médias sociaux par l’élite mondiale a eu des conséquences désastreuses sur nos libertés.

Faire taire les voix dissidentes est catastrophique pour le bon fonctionnement d’une société.




Une mafia au pouvoir

[Source : voltairenet.org]

Après Bush, Obama et Biden, rétablir la liberté d’expression en Occident

Par Thierry Meyssan

Les présidents républicain George Bush Jr, et démocrates Barack Obama et Joe Biden ont détruit la liberté d’expression en Occident. Tous trois sont parvenus à faire des principaux médias des soutiens de leur idéologie commune. En deux décennies, la presse a fermé les yeux sur tout ce qui contredit les discours officiels de Washington et s’est convertie à ses inepties. Le jacksonien Donald Trump a fait du rétablissement de la liberté d’expression l’axe de sa campagne de 2024. Il est pour le moment le seul candidat à se positionner ainsi.

L’Alliance atlantique coordonne sa propagande de guerre comme l’ont montré les mensonges de George Bush Jr et Tony Blair.

Le candidat Donald Trump a prononcé, jeudi 15 décembre 2022, son premier discours électoral. Il a désigné comme sa priorité le rétablissement de la liberté d’expression aux États-Unis alors que les révélations d’Elon Musk (Twitter Files) et celles de l’America First Legal Foundation attestent que toute l’information est manipulée.

On peut penser ce que l’on veut de M. Trump, d’autant qu’il fait l’objet d’une campagne mondiale de diffamation depuis son élection en 2016 nous empêchant d’évaluer correctement son action, mais force est de constater que, depuis le 11 septembre 2001, il pose les bonnes questions.



« Si nous n’avons pas la liberté d’expression, alors nous n’avons tout simplement pas un pays libre. C’est aussi simple que cela », a-t-il déclaré au début de sa vidéo. « Si ce droit le plus fondamental est autorisé à périr, alors le reste de nos droits et libertés s’effondrera comme des dominos. Un par un, ils s’abîmeront ».

Il a réitéré qu’il fallait distinguer
 le droit des plate-formes à l’immunité des contenus s’ils se contentent de les véhiculer sans en prendre connaissance,
 de leur responsabilité s’ils se permettent de les noter ou d’en censurer. Dans ce second cas, ils doivent encourir des poursuites judiciaires au même titre que les auteurs des messages qu’ils diffusent.

« Ces dernières semaines, des rapports explosifs ont confirmé qu’un groupe sinistre de bureaucrates de l’État profond, de tyrans de la Silicon Valley, d’activités de gauche et de médias d’entreprise dépravés ont conspiré pour manipuler et faire taire le peuple américain », a déclaré M. Trump.

« Ils ont collaboré pour supprimer des informations vitales sur tout, des élections à la santé publique (…) Le cartel de la censure doit être démantelé et détruit et cela doit se produire immédiatement », a t-il poursuivi.

1- LE 11-SEPTEMBRE 2001

Le mensonge généralisé a débuté en Occident avec la description des attentats du 11-Septembre 2001 aux États-Unis(([1] « Tout donne aujourd’hui raison à Thierry Meyssan », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 31 août 2021.)). Dès les premières minutes de l’évènement, des médias, sans mener d’enquête et en l’absence de revendication, ont désigné le coupable. Plus tard dans la journée, une journaliste de la BBC a assuré que la Tour 7 venait de s’écrouler alors qu’on la voyait en arrière plan durant encore quelques minutes.

Ce jour-là, si certains journalistes états-uniens ont décrit avec plus de pertinence et d’esprit critique ce qu’ils voyaient, un seul homme a osé dire à la télévision que ce que racontaient les autorités était faux. C’était le promoteur immobilier Donald Trump pour qui les deux premières Tours ne pouvaient s’être écroulées sous l’effet des avions qui les avaient percutées. Il savait d’autant mieux ce qu’il affirmait qu’il employait à l’époque les architectes qui avaient construit le World Trade Center.

Donald Trump, le 11 septembre 2001.

Donald Trump fut assez avisé pour expliquer que les autorités devaient avoir des motifs de sécurité nationale pour cacher la vérité au public. Six mois plus tard, je n’ai pas eu le même habileté en publiant le best seller mondial L’Effroyable imposture.

De cette période, je me souviens d’une journaliste d’une grande revue états-unienne venue m’interviewer à Paris. Lorsque je lui faisais remarquer que, si les avions avaient fait tomber les tours, elles ne se seraient pas effondrées sur elles mêmes comme lors d’une démolition contrôlée, mais latéralement, elle me répondit qu’elle n’avait pas d’opinion parce qu’elle n’était pas experte en la matière. Je me souviens aussi du rédacteur en chef d’un très grand magazine US qui me téléphona pour m’expliquer qu’il ne pouvait rien publier, mais qu’il me soutenait.

Une chape de plomb venait de s’abattre sur l’Occident. Les années qui ont suivi avec le « remodelage du Moyen-Orient élargi » n’ont été qu’une longue suite de mensonges. On a présenté une opération du Pentagone comme une suite d’interventions contre des dictatures ou dans des guerres civiles. Washington détruisait des peuples pour la bonne cause. On n’a pas renâclé à prétendre que l’Iraq disposait de la troisième force militaire du monde et d’armes de destruction massive ; que Mouamar Kadhafi et Bachar el-Assad étaient des dictateurs, etc.

Ces événements furent le début du Fact Checking. Des médias aux ordres assuraient doctement des choses invraisemblables. Le quotidien Le Monde publia des calculs absurdes assurant que tout était clair et logique. Puis vinrent les insultes. Ceux qui réfléchissaient furent qualifiés de « complotistes » et accusés d’être idéologiquement des extrémistes. Deux grands journalistes publièrent un livre sur commande pour assurer que, s’il n’y avait pas de débris d’un Boeing au Pentagone, c’était que l’avion s’était écrasé en « piquet horizontal » (sic)(([2] L’effroyable mensonge. Thèse et foutaises sur les attentats du 11 septembre, Guillaume Dasquié et Jean Guisnel, La Découvert ( 2002).)). Toutes ces absurdités furent répétées à l’envie.

2- LA CAMPAGNE DE 2016 CONTRE LES JACKSONIENS

Le débat que j’avais initié mondialement fut particulièrement long à débuter aux États-Unis. Il aura fallu, qu’en 2004, un intellectuel réputé, David Ray Griffin, décide d’écrire un livre pour réfuter mes allégations et découvre avec stupeur que j’avais raison.

Un des avocats de Donald Trump au colloque Axis for Peace, organisé par Thierry Meyssan en 2005 à Bruxelles

En 2016, par surprise, Donald Trump s’empara du Parti républicain et fut élu à la présidence des États-Unis. La presse aux ordres a interprété cette élection comme une victoire du populisme sur la raison. Mais pourquoi donc le peuple US suivait-il un tel homme sinon parce qu’il refusait le mensonge dominant ?

Donald Trump étant investi par le Parti républicain, mais n’étant pas républicain pour autant, une vaste campagne bipartisane fut organisée pour détruire son image(([3] « Le dispositif Clinton pour discréditer Donald Trump », par Thierry Meyssan, Al-Watan (Syrie) , Réseau Voltaire, 28 février 2017.)). Elle débuta avant même qu’il n’accède à la Maison-Blanche. Elle fut orchestrée au plan international par David Brock et couta au moins 35 millions de dollars.

Pour la première fois, la presse occidentale décrivait le président élu des États-Unis comme un raciste et appelait à l’éliminer avant qu’il ne fasse trop de dégâts. Durant quatre ans, aucune de ses décisions importantes ne furent relayées dans la presse, uniquement des bruits de couloir sur les chamailleries au sein de son équipe. Avez-vous entendu parler du décret présidentiel excluant la CIA du Conseil de Sécurité ou de l’arrêt du financement des jihadistes ?

On a présenté la politique étrangère du président Trump comme la folie inconséquente d’un seul homme alors qu’il agissait dans la lignée d’une école de pensée, celle du président Andew Jackson. Mais avez-vous entendu parler de lui autrement que comme un raciste ?

3- L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE ÉTATS-UNIENNE DE 2020

L’élection présidentielle de 2020 est aussi importante que les attentats du 11-Septembre. La relation qui en est faite n’a aucun rapport avec l’évènement. Le problème n’est pas de savoir qui a triché, ni comment, mais de constater qu’elle n’est pas transparente. Les scrutins de plus de la moitié des votants ont été dépouillés sans répondre aux exigences de transparence d’une démocratie.

Seul le documentaire de The Epoch Times, « The real story of January 6 », montre le moment où la manifestation pacifique devant le Capitole s’est transformée en émeute. On y voit distinctement des policiers balancer un des manifestants du haut d’un des étages afin de le tuer. Nous n’avons pas pu acquérir les droits sur ces images.

Le monde entier a assisté à une élection opaque dans un pays qui prétendait être un exemple de démocratie. Ce que Donald Trump a qualifié de « vol » n’en est peut-être pas car nul ne connaît le résultat réel de ce scrutin. Toujours est-il que cette opacité a abouti à la prise du Capitole par des manifestant pacifiques après que la police ait intentionnellement balancé l’un d’entre eux de plusieurs mètres de haut pour le tuer.

4- LA PANDÉMIE DE COVID-19 DE 2020-21

Lors de la pandémie de Covid-19, les administrations Biden et van der Leyen ont volontairement trompé leurs administrés. Il ont en pleine connaissance de leurs mensonges diffusé des chiffres faux et prétendu que :
 Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) protègent de la transmission du virus (ce que les fabricants n’ont jamais affirmé).
 Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) sont recommandés pour les femmes enceintes.
 Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) protègent les enfants (alors qu’ils ne contractent qu’exceptionnellement cette maladie).
 Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) n’ont pas d’effets secondaires notables quels que soient l’âge et la condition des patients (alors qu’ils provoquent de graves accidents cardiaques chez des hommes de moins de 40 ans).
 Il n’existe pas d’autre remède efficace contre la Covid-19 que les vaccins occidentaux (alors que bien d’autres États ont utilisé des médicaments au premier stade de la maladie ou mis au point leurs propres vaccins).

Le président Joe Biden a menti à ses concitoyens sur la Covid-19 en s’abritant derrière les autorités scientifiques de son département de la Santé.

Certains interprètent ces intoxications comme de l’incompétence, d’autres comme de la corruption par les laboratoires pharmaceutiques. Peu importe : dans un cas comme dans l’autre, l’Occident s’est enfoncé dans le mensonge parce que ses moyens de communication sont censurés.

L’ORGANISATION DE LA CENSURE D’ÉTAT

Les documents de Twitter (Twitter Files) révélés par son nouveau propriétaire, Elon Musk, et les e-mails de l’agence de Santé publique états-unienne (CDC) obtenus par l’association trumpiste America First Legal Foundation(([4] « Comment l’information sur la Covid-19 a été censurée mondialement sur les réseaux sociaux », Réseau Voltaire, 17 décembre 2022.)) attestent que l’administration Biden a secrètement contrôlé et occasionnellement censuré l’ensemble des messages échangés sur Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, Whatsapp et Hello partout dans le monde. Pour ce faire, Washington a disposé de complicités étrangères. Le président Biden a lui-même mis en place une agence de censure, le « Conseil de gouvernance de la désinformation » (Disinformation Governance Board)(([5] « L’Occident renonce à la liberté d’expression », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 8 novembre 2022.)). Certes, il l’a officiellement dissoute face aux critiques, mais elle poursuit son action sous un autre nom.

Cette agence se consacre à censurer les informations sur les « nationalistes intégraux » ukrainiens(([6] « Qui sont les nationalistes intégraux ukrainiens ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 15 novembre 2022.)) et sur les crimes du régime de Zelensky(([7] « Volodymyr Zelensky et l’ethnopolitique », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 13 décembre 2022.)). Elle nous intoxique sur les actions de la Russie et de la Chine, de sorte que nous ne percevons pas le basculement du monde contre l’Occident.

Force est de constater que la progression du populisme est avant tout une réponse populaire à l’extension de la censure d’abord aux USA, puis dans tout l’Occident. La liberté d’expression, et donc la démocratie, est morte, tuée par ceux qui avaient la responsabilité de la protéger.

Les efforts de Donald Trump, s’ils sont couronnés de succès, rétabliront la liberté d’expression, mais pas la démocratie. Il est trop tard. Le monde a changé. Durant ces 20 dernières années, l’égalité minimum entre les citoyens a disparu : les écarts de revenus ont été multipliés par plus de 1000 et les classes moyennes ont partiellement été ruinées.

Dans ces conditions, un nouveau régime politique doit être inventé et il ne pourra se construire dans l’intérêt de tous que si chacun dispose de la liberté d’expression.





Comment l’information sur la Covid-19 a été censurée mondialement sur les réseaux sociaux

[Source : voltairenet.org]

America First Legal Foundation a obtenu, par voie juridique, des documents internes de l’agence fédérale de Santé publique, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) d’Atlanta(([1] « AFL Releases More CDC Documents Revealing Bizarre “Equity” Agenda in COVID-19 Vaccination and Slides Discussing the Policy Objective of Injecting Children Even When “Parent Is Not Present” », America First Legal Foundation, December 15, 2022.)). Parmi ceux-ci, certains attestent que le CDC avait accès à un portail secret de Google chargé de centraliser les notifications de nouvelles s’écartant du discours officiel sur la Covid-19.

America First Legal Foundation est présidé par l’ancien speechwriter du président Donald Trump. Son conseil d’administration comprend de hauts responsables de la Maison-Blanche du président Trump. Son budget annuel est de plus de 6 millions de dollars. Cette fondation fait partie, selon le Washington Post(([2] « How a Trump-allied group fighting ‘anti-white bigotry’ beats Biden in court. America First Legal was founded last year by Stephen Miller, the architect of Trump’s immigrant family separation policy », Beth Reinhard & Josh Dawsey, Washington Post, December 12, 2022.)), de l’administration en attente de Donald Trump s’il gagne la prochaine élection présidentielle.

Le portail secret de Google est situé en Indonésie et géré par l’association islamiste de Fact Checking, Mafindo(([3] Site officiel de Mafindo.)). Il centralise la censure sur Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, Whatsapp et Hello. Cette association est financée par l’État indonésien.

Le choix des informations considérées « vraies » ou « fausses » est opéré par la Kaiser Family Foundation (KFF)(([4] Site officiel de la Kaiser Family Foundation.)). Contrairement à ce que son nom inique, KFF n’est pas une fondation familiale, mais une société californienne dont le directeur du Los Angeles Times est administrateur. Elle diffuse gratuitement aux journalistes des notes sur les discours hygénistes à tenir. On ignore qui finance cette organisation.

Ce dispositif a notamment permis d’imposer plusieurs allégations mensongères telles que :
→ Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) protègent de la transmission du virus.
→ Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) sont recommandés pour les femmes enceintes.
→ Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) protègent les enfants.
→ Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) n’ont pas d’effets secondaires notables quels que soient l’âge et la condition des patients.
→ Il n’existe pas d’autre remède efficace contre la Covid-19 que les vaccins occidentaux.

Cette campagne d’intoxication s’est particulièrement concentrée sur les adolescents noirs pour les convaincre de ces inepties.

Les documents obtenus par l’America First Legal Foundation attestent que l’ensemble de ce dispositif est contrôlé par l’administration Biden depuis la Maison-Blanche.





La plus grande réinitialisation — Le film

L’ascension de la Bête.

[NDLR Si la vidéo manifeste un problème technique à environ 1 h 29 min, relancer son affichage, et positionner son curseur vers 1 h 30 pour pouvoir voir la suite.]



VO : https://odysee.com/@FlowerPower2:e/THE-GREATEST-RESET-FULL-MOVIE:cclub de romekissingerklaus schwabla plus grande réinitialisationvatican

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanotechnologie et « vaccins »
Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Dossier 5G et ondes pulsées
Sur le transhumanisme :
Obsession vaccinale et transhumanisme
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Yuval Noah Harari, le gourou liberticide qui chuchote à l’oreille de Klaus Schwab
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !]




La déclaration importante de Trump du 15 décembre passée sous silence par les médias mainstream

[Source : Vivre sainement]

[Voir aussi : Trump a-t-il pété une coche ?]



Version originale :

[Daté du 15 décembre]

[Source : businessbourse.com]

COMBAT POUR LA LIBERTE D’EXPRESSION – LA VERITE SUR LES VACCINS – INFLATION MORTELLE : Pour Trump, la liberté d’expression est indispensable dans un pays LIBRE…Toute l’arnaque liée aux vaccins fait surface ! Plus la planche à billets tourne, plus l’inflation AUGMENTE !!!

Le président Trump a fait une grande annonce sur sa plateforme Truth Social, mais le Lying Legacy Media (LLM) ne vous le montrera jamais parce qu’il s’agit de la collusion entre le LLM et le gouvernement pour censurer « We the People ». En bref, ils suppriment la vérité sur toutes sortes de choses. De la légitimité de l’ordinateur portable Hunter Biden aux dangers des injections CV19, voici quelques-unes des vérités qu’ils ont censurées. Trump dit ceci : « Si nous n’avons pas la liberté d’expression, nous n’avons pas de pays libre. » Il a raison. C’est une grande partie de la plate-forme de campagne 2024 de Trump.

Les mensonges au sujet des vaccins contre le CV19 continuent d’être exposés avec chaque nouveau rapport « Mort soudainement » et de nouvelles données montrant que le vaccin était une fraude mortelle et dangereuse depuis le tout début. Rien n’arrête ce qui arrive. La rage des millions de blessés et des familles dont les proches sont décédés ne va pas cesser de s’accumuler. Maintenant, il y a de plus en plus d’appels à des poursuites contre toutes les personnes qui ont poussé à faire vacciner tous ces gens qui ont eu de graves problèmes de santé. La vérité sur les doses de rappel du CV19 a également été censurée par le gouvernement et Big Tech. Les soi-disant « Twitter Files » exposent les criminels qui ont caché la vérité. Je peux déjà vous affirmer que beaucoup plus d’informations graves sont en train de sortir. Comptez là-dessus.

La Fed continue de lutter contre l’inflation en relevant un taux directeur de 0,5 % supplémentaire. L’augmentation des taux va-t-elle arrêter l’inflation ? Pas selon l’économiste John Williams de « ShadowStats.com ». Williams dit que la flambée de l’inflation est causée par l’impression extrême de monnaie, et avec un nouveau budget de 1,65 milliard de dollars qui vient d’être adopté au Congrès, ne vous attendez pas à ce que l’inflation recule. C’est tout le contraire, selon Williams. Préparez-vous à un krach financier dans très peu de temps !

Source: usawatchdog.com




La perfidie du chantage à « l’extrême droite »

Par Lucien SA Oulahbib

Il ne se passe pas un jour sans que les thuriféraires de la génuflexion robespierriste-léniniste, aujourd’hui recyclés dans l’alter-djihadisme chic (avec promotion qatarie au Parlement européen…) fasse feu de tout bois non pas devant l’assassinat djihadiste quotidien de leurs « concitoyens » mais uniquement à l’encontre de certains patriotes ulcérés devant l’inaction des fausses forces de « l’ordre », patriotes désireux de prévenir de façon musclée si nécessaire (mais pas plus le couteau de para toujours au fourreau) tout ce débordement lancinant des faux supporters de foot qui auraient été à la moindre incartade au pain sec et à l’eau (et sexuellement malmenés) dans les geôles d’Afrique du Nord, cette pauvre contrée encore et toujours dominée par les juntes apatrides diverses et variées (récusant leurs racines amazighes judéo-chrétiennes et le legs juridico-médico-social français) reléguées à la hâte par une décolonisation ratée.

Que les sbires de la LFI et affiliés soient las de servir de toutous serviles aux macroniens est une chose, mais de là à sans cesse tenter de faire d’une poignée d’identitaires agacés la base centrale d’un coup d’État à venir (comme tente de le faire croire également le gouvernement allemand en roue libre et va-t’en guerre) est bien facile, et fait plutôt penser à l’éternelle tactique stalinienne du « front contre front » amalgamant au fond tout ce qui n’est pas eux dans ladite « extrême-droite » qui d’ailleurs progresse, ne leur en déplaise, dans les urnes malgré ces hurlements répétés au loup (qu’on libère par ailleurs de plus en plus, victoire de l’ensauvagement tous azimuts…).

Ces hurlements à la mort contre « l’extrême droite » ne seraient que peu de choses à vrai dire s’il n’y avait pas précisément cette volonté d’y amalgamer toute critique sur l’illégalité, mieux encore, sur l’inconstitutionnalité de la suppression de fait des frontières d’une part, sur également d’autre part cette volonté scientiste et hygiéniste opiniâtre de nous museler pour rien, sinon un plaisir sadique programmatiquement théorisé par le néo-léninisme, aujourd’hui au service de la Secte SHAA.

Et sa violence politique exigeant d’emblée toutes sortes d’interdictions (alors que juridiquement ces groupes qui patrouillaient n’ont rien « ratonné ») fait exprès de faire de plus en plus peur pour masquer dans tous les sens du terme leurs diverses exactions contre le pays qu’ils détestent en réalité et surtout pour exiger du pouvoir macronien qu’ils servent si servilement des moyens de répression milicienne exigés constamment par leurs créatures obséquieuses hantant de leurs ciseaux pour censure les médias de grand chemin.

Bientôt le moment où toute possession de chien non vert sera interdite et pourchassée… Et rira bien qui pourra rire…




L’ordre des Médecins : les Bons, les Justes et les Méchants

[Source : covid-factuel.fr]

Par Gérard Maudrux

Poursuivi par l’Ordre des médecins qui possède une juridiction d’exception qui ne devrait pas exister dans un pays démocratique, je ne me faisais pas beaucoup d’illusions. Pour moi c’est un tribunal d’exception, car ce sont les mêmes qui définissent ce qu’ils considèrent comme une faute, qui vous poursuivent et qui vous jugent. La justice ne peut être indépendante et donc juste, quand on est à la fois juge et partie. 

J’avais tort : il existe de bons juges, honnêtes, qui ne font pas de politique et jugent sur les faits, contrairement à l’accusation. Si je suis bien tombé, ce n’est malheureusement pas le cas partout, tant il y a de différences d’un département à l’autre, d’une région à l’autre. Ceci n’est pas acceptable, la justice doit être la même pour tous. En effet j’ai rencontré les deux extrêmes : un confrère condamné à 18 mois de suspension pour une ordonnance d’Ivermectine (j’ai écrit une, ce n’est pas un lapsus), et d’autres pour lesquels le département refuse de poursuivre pour 100 prescriptions, au nom de la liberté de prescription, quand celle-ci ne présente pas de danger.

LES MAUVAIS

Je suis convoqué le 17 février 2021 par le CDOM 84, Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins du Vaucluse, par téléphone, « pour parler de mon blog », à la demande du CNOM, Conseil National de l’Ordre des Médecins. Sans plus de précision sur les motifs de la convocation, et ayant besoin d’un justificatif de sortie (confinement), je réclame une convocation écrite, et la reçois par mail 2 jours avant, mail précisant que :

« Le Conseil National nous demande de recueillir vos explications sur les affirmations que vous portez au sujet de certains traitements controversés ».

Je me présente donc à cette réunion, avec 3 « confrères » en face de moi. Comme ils n’avaient aucun élément à me présenter, aucun écrit litigieux de ma part pour que je puisse m’expliquer sur un quelconque manquement, je leur propose de lire un courrier que j’avais fait, à destination du Président du National, afin qu’ils le lui remettent. Ce courrier décrivait ce que je faisais, comment, et dans quel esprit. Ils m’ont coupé avant la fin, pour ne me poser qu’une seule et unique question : « quelle est votre spécialité ?», ce qu’ils savaient parfaitement. Je n’ai jamais eu de réponse à ce courrier, ni à la plainte qu’elle contenait.

Première surprise, au lieu de se contenter de transmettre mes explications, démarche demandée par le CNOM et pour laquelle j’avais été convoqué, le CDOM décide de porter plainte devant la chambre disciplinaire, sans que j’aie pu savoir quelle faute j’aurais pu commettre et sans que je puisse m’en expliquer et donc sans que je puisse m’en défendre !  Ils appellent cela sans doute de la confraternité, l’affaire était entendue, ils n’avaient pas l’intention de m’écouter ni de m’entendre, leur décision était prise d’avance.

Le 8 avril 2021, je reçois un courrier m’avisant que « le Conseil a examiné de nombreux articles » (lesquels ?) que j’ai publié dans le Quotidien du Médecin, et « a décidé de porter plainte, considérant que depuis décembre 2020, dans des billets hautement polémiques, vous vous opposez aux recommandations, que vous appelez à prescrire des thérapeutiques non éprouvées, que les études citées ne font pas la preuve de rigueur scientifique ». On me reproche aussi le fait que le QDM soit accessible au grand public, que je ne suis pas infectiologue, et que je sème le trouble chez les médecins et le grand public.

 Ils joignent à la plainte 4 billets et 11 pièces, le tout ne m’ayant jamais été opposé pour discussion, la première convocation étant censée statutairement être une « réunion de conciliation ».

Billet du 30 janvier 2021, où je reprends ce qu’a écrit l’ANSM dans son mémoire au Conseil d’Etat, rappelant aux médecins qui prescrivent, les lois qu’ils doivent respecter avec un lien sur tous les articles des Codes de la Santé Publique, de la Sécurité Sociale et de Déontologie qu’ils doivent respecter, ainsi que le mémoire de l’ANSM qui les autorise à prescrire. Où est le problème ? Interdit de reprendre ce qu’écrit l’ANSM ? Ce n’est pas précisé.

Billet d’actualités du 7 janvier 2021 où je m’étonne de la création d’un “Conseil des citoyens pour la vaccination”, alors qu’il y a déjà pléthore de Conseils traitant du sujet en en citant une quinzaine, auxquels s’ajoute McKinsey, et je pose la question : “à quoi servent toutes ces administrations et tous ces énarques qui nous coûtent très cher ? ». Je signale également les difficultés de mise en place de la vaccination, citant la presse et Xavier Bertrand. Je fais également le tour de l’actualité sur l’ivermectine, avec l’OMS ayant chargé Andrew Hill d’une méta-analyse, je cite ses résultats, et des articles de presse favorables sur Paris Match, The Times, Daily Mail avec liens correspondants, le tout sans commentaire de ma part. Je cite ensuite une étude intéressante sur la nigelle, proposant de faire des études pour confirmer. Je termine sur les vaccins pour dire que j’ai découvert le possible phénomène ADE (anticorps facilitants), qui est à suivre, et j’évoque l’apparition de variants, à surveiller. Des faits, publiés, et des questions. Où est le problème ? Ce n’est pas précisé.

Troisième billet du 31 décembre 2020 sur les vaccins. Là c’est le scandale, la pièce fournie au dossier a été manipulée à charge ! Nous sommes dans la confraternité ! En effet, c’est un billet édité en 4 pages, et ils n’ont donné que 2 pages contrairement aux autres billets de 4 pages, la première et la dernière. Relisez le billet, je cite les 250 vaccins en cours, je parle de l’intérêt du rapport bénéfice/risque, reprochant des commandes passées avant connaître ce rapport, signalant que les laboratoires, pas fous, n’ont pas voulu assumer le facteur risque. Je décris les différents types de vaccins, je parle des risques possibles, posant plusieurs questions sans rien affirmer. Mais surtout après toutes ces questions, je propose pour rassurer, d’aller sur le site de la Société de pathologie infectieuse, avec un lien vers 4 pages rassurantes sur les vaccins. Ceci n’est bien évidemment pas dans les pages fournies mais écartées. Est-il interdit de poser des questions, de s’inquiéter et de rassurer ? Où est le problème ?

Quatrième billet du 2 février 2021 où je démonte, liens à l’appui, les fact-cheking de l’AFP, de l’Inserm et de la Société Française de Pharmacologie. Chacun cite plusieurs études, moi je détaille ce qui est réellement écrit dans ces études citées, en donnant chaque fois les liens, pour que le lecteur puisse se faire lui-même son opinion. Il s’agit d’un débat, est-ce interdit ? On n’a pas le droit de dire que l’on a une interprétation différente ? Eux ont le droit de donner leur opinion sur ces études et pas moi ? En vertu de quel principe ? Quelle loi ? Le débat est-il interdit ? Comme pour les autres pièces, données sans commentaire, les propos interdits ne sont pas précisés, je ne peux donc argumenter et me défendre.

À ces quatre billets, sont jointes 11 pièces surprenantes, toutes en ma faveur :

L’article de Charlotte BERNIGAUD (montrant l’efficacité à 100% de l’ivermectine en ehpad), notre mémoire pour convaincre le Conseil d’Etat (avec notamment le rapport du Dr Andrew Hill pour l’OMS montrant une division par 4 de la mortalité sous ivermectine), le mémoire de l’ANSM précisant entre autres que les médecins peuvent prescrire, en le soulignant dans le texte), le jugement du référé (sans objet l’ANSM ayant démarré l’évaluation 8 jours plus tôt), un courrier de Me TEISSEDRE apportant des éléments complémentaires promis à l’audience, un article d’Ivmmeta.com (devenu c19ivm.org) signalant 40 études (à l’époque) sur l’ivermectine (dont la moyenne donne 89% de résultat en prophylaxie et 78% sur la mortalité), le pré-rapport de HILL pour l’OMS (aux résultats exceptionnels), un article de Pierre KORY qui dit la même chose, une présentation de Paul MARIK (idem), la méta-analyse de Tess LAWRIE, une lettre de Marc WATHELET, virologue, au Ministre de la santé Belge (qui demande la même chose que nous, avec les mêmes arguments), et l’article de Prescrire pour lequel j’ai déposé plainte (ignorée par l’Ordre). Prescrire cite 2 études positives et 9 « négatives », alors que les conclusions de ces études disent le contraire ! J’avais fait un billet pour le démontrer, que le CDOM s’est bien gardé de donner : le débat contradictoire, béaba de la justice, connaît pas !

Manifestement le CDOM 84, pour démontrer que l’Ivermectine est peu recommandable et ne doit pas être prescrite, n’a lu aucune de ces pièces présentées , car toutes démontrent le contraire ! Ou alors il ne sait pas lire.

Par la suite j’ai présenté un mémoire en défense, démontant toute l’accusation infondée, puis le 21 avril 2021, le CDOM 84 a fait une réponse à notre réponse, ajoutant 2 pièces pour étayer son accusation.

La première est la décision négative de l’ANSM, datée du 1 avril 2021. Comment pouvais-je  avoir connaissance de cette décision 4 mois plus tôt ? Drôle d’accusation s’appuyant sur des éléments postérieurs aux faits ! Ceci serait rejeté par n’importe quel tribunal normal. La seconde tente de faire croire à la toxicité de l’Ivermectine avec un article concernant le centre anti poison de l’Oregon, signalant que des américains avaient pris des formes vétérinaires jusqu’à 10 fois la dose (aucun décès). Quel rapport avec les prescriptions faites par des médecins ? De plus c’est ce qui arrive quand on interdit. Personnellement je regarde plutôt les rapports de pharmacovigilance, qui à l’époque (N°18 du 11 janvier 2021), ne signalaient aucun effet secondaire déclaré pour l’ivermectine, même bénin, contre 219 pour le Lopinavir par exemple.

LES JUSTES

Je me présente donc à l’audience le 13 octobre 2022. En face, un Président, magistrat non médecin, Président honoraire des tribunaux administratifs et des cours d’appel administratives, et 6 juges, médecins. Le Président est venu me voir avant, pour me dire de ne pas en vouloir à mon avocat s’il ne plaidait pas, il n’en avait pas le droit, car c’est une procédure écrite, on ne parle que si les juges posent des questions pour éclaircir certains points. Je lui dis que j’avais préparé une petite intervention de 5-10 minutes, il me répond que c’est 5-10 minutes de trop, pas question. Drôle de procédure depuis le début, où l’accusé ne peut s’exprimer face aux juges.

Le rapporteur présente alors le dossier, tout à fait correct, expliquant qu’en gros, j’avais relaté toutes mes démarches avec l’administration, je le (la en fait) sens favorable. Elle ne posera qu’une question au Président du CDOM 84, pour signaler que l’accès au QDM n’est pas si évident que cela pour le public.

Le Président de la Chambre Disciplinaire s’exprime, il a manifestement bien épluché le dossier de A à Z, je sens qu’il a compris beaucoup de choses sur le fond du problème. Après une petite joute amicale entre spécialistes avec mon avocat, concernant les droits à la défense (à laquelle je ne comprends pas grand-chose), il insiste sur son attachement à la liberté d’expression. À la fin, pour appuyer les remarques du rapporteur au président du CDOM 84, il fera une petite erreur en précisant que pour accéder au QDM, il fallait un n° de RPPS. Erreur excusable pour un non médecin, mais surpris de voir que ni le Président du CDOM 84, ni les 6 assesseurs médecins n’ont relevé l’erreur, ce qui montre que les médecins ne lisent pas beaucoup la presse professionnelle, surtout le CDOM 84 qui m’accuse de quelque chose qu’ils ne connaissent pas.

À la fin, le Président me donne la parole par sympathie, « pour que je ne sois pas déçu de n’avoir pas pu parler ». Correct, je fais au plus court, me contentant de ne relever deux points soulevés en audience par le CDOM 84, signalant d’une part que je ne suis pas responsable si le public peut accéder au QDM, et que c’est le cas pour toutes les revues médicales, même les plus pointues, et qu’ensuite, comme le CDOM insistait sur le fait que je ne suis pas infectiologue, je précise que je n’ai jamais eu cette prétention, mais que par contre je suis un de ceux qui en France connaît le mieux l’ivermectine, avec une bibliographie de plus de 450 articles fournis par Medincell.

Le Président clôt la séance (15 mn en tout), en remerciant de manière appuyée sur le fait que je suis venu seul, dans le calme, qu’il l’avait remarqué et apprécié. Je suppose que certains avaient dû le prévenir qu’il y aurait une manifestation. Au début de son intervention, il avait aussi salué la qualité du dossier “très bien argumenté”.

LE DÉNOUEMENT

Fin novembre 2022 je reçois la décision de la chambre disciplinaire : la plainte du CDOM 84 est rejetée, et une somme de 3 000 € est mise à la charge du CDOM.

Suite mais pas fin, il y a 10 jours je reçois une lettre recommandée, le CDOM 84 fait appel, appel qui est suspensif. Je pensais que cela viendrait du National, non c’est le Départemental qui s’acharne. Je dis s’acharne car lors de l’audience, alors qu’on ne lui demandait rien, le Président du CDOM a dit qu’il ne s’agissait pas d’un acharnement à l’égard du Dr Maudrux. Puisqu’il le dit, je suis bien obligé d’en conclure, que devant un dossier si vide, un jugement clair, qu’il n’y a pas de fumée sans feu. Vengeances syndicales, ordinales, de la part de membres du CDOM ? Je n’en sais rien.

Cette action ne vient pas de patients ou de politiques, mais de confrères qui tentent de salir une carrière complète exemplaire, sans aucun faux pas, au service des patients, des confrères dans le bénévolat total, dévouement reconnu par les patients et par les confrères. Ceci pour avoir défendu une certaine idée de la médecine, pour avoir défendu l’obligation de soigner et la liberté de prescription du médecin, tous deux inscrits dans la Loi et le Code de déontologie, et pour avoir voulu appliquer le Serment d’Hippocrate, le Code International d’Ethique, des déclarations Genève de 1947 d’Helsinki de 1964, toutes signées par l’Ordre, et qui stipulent, je cite : « Je partagerai mes connaissances médicales au bénéfice du patient et pour les progrès des soins de santé».

S’ils sont là pour contrôler et empêcher le mensonge, ils ne sont pas là pour interdire le débat scientifique, inventer un délit d’opinion, ignorer la bonne foi si nécessaire (reconnue par les autres tribunaux), et se prendre pour une police politique, au lieu de faire de la médecine. Les polices politiques sont les images les plus sombres de certains pays, et de certaines périodes chez nous.

Distilbène, Dépakine, Médiator, Lévothyrox, Isoméride, hormone de croissance, Stalinon, chlordécone, amiante, Vioxx et d’autres, toutes des affaires soulevées par la base, médecins, patients, contre des substances « éprouvées », et défendues par les autorités. Avec les méthodes actuelles, tous ces produits auraient fait encore plus de morts.

Je ne sais pas ce que donnera l’appel, le CDOM tentant de se rapprocher des donneurs d’ordre pour juger au National après avoir échoué en province, mais ils ont déjà gagné : deux ans de censure, deux ans de soucis, et des frais correspondants à 2 mois de retraite, et c’est reparti pour un tour. Ils n’ont sans doute pas remarqué, que dans confrères, il y a aussi le mot frères.




REVUE DE PRESSE DU 11 DÉCEMBRE 2022

Par MF

ÉDITORIAL
Fraude, censure et radiations

Partout dans le monde les témoignages affluent au sujet des mécanismes de la censure que viennent renforcer les twitter files, tandis qu’Albert Bourla le PDG de Pfizer refuse toujours de se présenter devant les parlementaires européens, qu’un professeur de médecine japonais dénonce les documents falsifiés et que le projet de gouvernance mondiale de la santé avance à l’OMS. Des voix se lèvent contre le port du masque et les faux positifs, sur fond de graves effets indésirables reconnus par l’ANSM et une explosion mondiale de maladies cardiaques, tandis que certains ordres continuent de radier des médecins pour avoir osé contrer le discours officiel et mensonger.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Il y a une organisation globale pour augmenter la censure, selon le Pr PERRONNE

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/christian-perronne-organisation-globale-augmenter-censure

« Il ne faut pas toucher aux enfants (…) Ils font des formes bénignes et ne transmettent pas le virus (…) Faut rester zen. On va nous sortir d’autres causes de peur pour essayer de continuer à nous asservir, mais les gens doivent se sentir libérés de cette pandémie. »

Le Dr Kierzek défend la réintégration des soignants non vaccinés

https://dissidentofficiel.com/le-dr-gerald-kierzek-defend-avec-brio-la-reintegration-des-soignants-non-vaccines-ca-ne-fait-plus-aucun-sens-cette-histoire-video-complete/

« Il est revenu sur… le mythe selon lequel ce serait le nombre de contaminations qui serait à prendre en compte, alors que tout le monde sait que c’est en fait la mortalité causée par le virus qu’il faut surveiller. »

Rétablissons les suspendus dans leurs droits

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/12/08/science-sans-conscience-et-politique-sans-ethique-par-patrick-de-casanove/

« Réintégrer les soignants non vaccinés pourrait être le premier pas pour démonter la machine infernale que les politiques ont mise en route au prétexte des COVID. »

Pour ne pas s’allier avec le RN, LFI retire sa proposition de texte de loi pour la réintégration des soignants suspendus

https://www.francesoir.fr/politique-france/soignants-suspendus-les-insoumis-refusent-de-defendre-le-texte-avec-le-rn-et

Selon le RN : « Macronistes et Insoumis empêchent donc les soignants suspendus de reprendre le chemin des hôpitaux et autres cabinets médicaux. »

Les fraudes de l’émission Complément d’enquêtes du 17 novembre 2022

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/nicolas-vedrinesla-presentation-des-preuves-de-complement-d-enquete-est-frauduleuse

« “Au moins une dizaine de fake” : c’est le nombre de fausses preuves qu’affirme avoir identifiées Nicolas Védrines, soignant diplômé en ingénierie et passionné par les études de méta-analyses. »

ÉTRANGER

AUSTRALIE — Mécanismes de la censure à l’heure du Covid 19

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/brian-martin

« Brian Martin revient sur les expériences des médecins et des chercheurs qui ont été la cible de cette censure suite à leurs publications ou à leurs déclarations contestant le point de vue officiel sur le covid. Il rend compte des attaques et des méthodes de déstabilisation employées par les tenants du narratif dominant contre les individus critiques des mesures sanitaires et de la politique de vaccination en population générale.
Il expose également les contre-attaques des personnes censurées qui, après une période d’effroi, ont réagi en élaborant des stratégies de défense pour continuer à faire entendre leurs voix/Brian Martin est professeur émérite en sciences sociales à l’Université de Wollongong en Australie. Spécialiste de la censure, il est l’auteur de 22 livres et de centaines d’articles sur la non-violence, les lanceurs d’alerte, les controverses scientifiques, les questions d’information et la démocratie.
 »

Le PDG de Pfizer refuse toujours d’être auditionné par le Parlement européen

https://www.francesoir.fr/politique-monde/le-pdg-de-pfizer-refuse-toujours-d-etre-auditionne-par-les-parlementaires-europeens

« Beaucoup de mystères entourent toujours les commandes de vaccins à ARNm de Pfizer-BioNTech passées avec la Commission, qui s’est aussi refusée à communiquer les prix pratiqués.
Les échanges de SMS entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, sont tenus encore secrets à ce jour. »

JAPON — Le Pr FUKUSHIMA fustige le ministère de la Santé.

Vidéo sans langue de bois, « le Professeur Fukushima demande à ses interlocuteurs de se baser systématiquement sur les faits réels, l’état clinique, la situation des malades et certainement pas sur tous les documents officiels falsifiés, trafiqués depuis le début de la crise sanitaire. »

Royaume-Uni — La liberté académique est morte

https://www.francesoir.fr/societe-sante/la-liberte-academique-est-morte-un-professeur-de-stanford-raconte-son-enfer

Si « les dirigeants universitaires ne défendent pas la liberté académique, ils ne méritent pas les postes qu’ils occupent. »

La première version du traité de l’OMS sur les pandémies

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/12/08/exclu-la-premiere-version-du-traite-oms-sur-les-pandemies/

« Le traité pose donc crûment le “global health governance”, la gouvernance mondiale de la santé, comme solution pour régler les questions de pandémie… »

USA — Suite des twitter files

https://www.francesoir.fr/politique-monde/twitter-files-la-journaliste-bari-weiss-devoile-des-listes-noires-qui-limitaient

La journaliste Bari WEISS a cité le cas du Dr Jay Bhattacharya de l’Université de Stanford, qui avait exprimé son opposition au confinement durant l’épidémie de coronavirus en 2020. « Twitter l’a secrètement placé sur une “liste noire des tendances”, empêchant un reach important. »

JUSTICE

Les radiations continuent, avec celle du Dr Marc Girard, expert auprès des tribunaux

« Je suis radié parce que je mets en danger même mes proches, a fortiori des patients, par mon incompétence apparemment criante — en dépit du fait facilement vérifiable qu’en 40 ans de pratique intensive, je n’ai pas eu un seul sinistre… »

Capsule de Maître X

https://crowdbunker.com/v/ps826jgFZR

Où il est question d’un Conseil de l’Ordre qui rejette une demande d’une CPAM concernant des prescriptions hors AMM, d’un référé qui donne raison à une employée non vaccinée, et d’une plainte auprès de la Cour pénale internationale. Liens sous la vidéo

IRLANDE Enquête sur un décès d’adolescent après vaccin Pfizer

https://www.francesoir.fr/societe-sante/enquete-en-irlande-sur-le-deces-d-un-adolescent-apres-avoir-recu-un-vaccin-pfizer

« L’instruction, qui commençait à la cour de Castlebar, dans le comté de Mayo, en Irlande, pourrait durer des années et aboutir à la mise cause du vaccin du laboratoire américain dans la mort de cet adolescent. »

COVID

Origine du Covid, nouveaux éléments

https://nypost.com/2022/12/03/scientist-with-ny-non-profit-tied-to-wuhan-lab-says-covid-man-made-virus/

« Andrew Huff, qui travaillait pour une organisation à but non lucratif basée à New York qui étudiait les virus, a déclaré que le COVID s’était échappé de l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, il y a plus de deux ans, et a accusé les autorités d’être à l’origine du “plus grand échec du renseignement américain depuis le 11 septembre”, a rapporté samedi le journal britannique The Sun. »

TRAITEMENT et STRATÉGIES

ALLEMAGNE — le président des pédiatres déconseille le port du masque chez les enfants

https://exxpress.at/infektionswelle-praesident-der-kinderaerzte-raet-dringend-von-maskenpflicht-ab/

« C’est précisément le port de masques au cours des 2 dernières années qui a entraîné un affaiblissement du système immunitaire chez les enfants. »

Les masques sont des bâillons inutiles

https://docteur.nicoledelepine.fr/les-masques-sont-des-baillons-inutiles-et-dangereux-pour-la-sante-mentale-et-physique/

« Avoir imposé une telle mesure si totalement inutile, si inconfortable, si toxique en particulier pour les jeunes est une véritable barbarie. Et s’être inspiré pour notre stratégie Covid de celle de la Chine est malheureusement révélateur des valeurs démocratiques de nos dirigeants. »

Le masque est un gadget politique

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/gerald-kierzek-le-masque-est-un-gadget-politique-qui-eclipse-la-crise-generale-du-systeme-de-sante-20221209

« L’obligation du port masque, en particulier dans les transports en commun, n’a plus de sens pour différentes raisons. Ses bénéfices n’ont jamais été formellement démontrés pour endiguer une épidémie : les virus de l’hiver sont particulièrement contagieux, masque ou pas. »

Les tests PCR faux positifs sont nombreux

« Les faux positifs sont responsables de dommages individuels et sociétaux importants/Non Mme de Marval, et l’AFPles résultats faux positifs ne sont pas rarissimes, mais au contraire de plus en plus nombreux et ont causé des dommages sanitaires et économiques considérablesaux individus et à la société. »

EFFETS INDÉSIRABLES

L’ANSM annonce au 17 novembre 2022 46 989 effets indésirables GRAVES

« Malgré ce massacre de masse, aucune alerte n’a été lancée par l’ANSM qui estime toujours que la balance bénéfice/risque est positive, ce qui est une première dans toute l’histoire de la médecine moderne. »

Les cobayes de Pfizer ne pouvaient pas signaler les effets secondaires graves

« Le produit dit vaccin de Pfizera bien été distribué sans la moindre preuve de non-dangerosité. »

Explosion de maladies cardiaques post-vaccinales

« Les auteurs d’une étude portant sur 25 patients décédés et autopsiés déclarent qu’au cours des “20 dernières années à l’hôpital universitaire de Heidelberg, ils n’ont vu aucune inflammation (!) comparable dans le muscle cardiaque.” »

RÉSISTANCES

FranceSoir fait appel de la décision de retrait de leur agrément

https://twitter.com/france_soir

« Le directeur de la publication, @xazalbertsouhaite apporter de nouvelles informations aux lecteurs et les remercie pour leur soutien. »

Qui veut la peau de FranceSoir ?

« Du jamais-vu depuis la loi de 1881 qui a instauré le droit d’information et la liberté d’expression, à l’exception de l’occupation. »

CSI n° 82 du 8 décembre 2022

https://crowdbunker.com/v/eggDF4HVK5



Invité : Pierre CHAILLOT statisticien et auteur de la chaîne Décoder l’éco
Sujet : le ministère de la Santé avoue que les non-vaccinés sont bien plus nombreux !




« Ça peut pas faire de mal. » — « C’est mieux que rien. » — Masque, peur, sidération, épuisement, etc.

Par Alain Tortosa

Préambule :

Ce texte s’appuie sur l’hypothèse que les trois théories (croyances) suivantes sont vraies :

  • Il existerait des entités virus1 que l’on n’a jamais pu observer in vivo qui se reproduiraient et survivraient en tuant des cellules hôtes.
  • Ces virus seraient contagieux et il y aurait transmission depuis un patient zéro vers une population de plus en plus importante jusqu’à la « vague » suivante.
  • Il serait possible de contrôler ces virus, de contenir, de prévenir, voire de les éradiquer par des mesures pharmaceutiques (médicaments, vaccins, etc.) et non pharmaceutiques (masques, confinements, etc.).

Vous ne pouvez pas croire en l’épidémie de Covid et aux mesures préconisées depuis le début de la crise sans adhérer pleinement à ces trois théories précédentes. Ce texte s’adresse donc principalement à celles et ceux qui y croient.

La « Vérité » :

Les « complotistes » étudient, critiquent, se font leur vérité quand bien même ils se tromperaient. En revanche, la quasi-totalité des vérités des humains lambda semble une adhésion pure et simple à l’information reçue (famille, amis, enseignants, spécialistes, médias, etc.)

Pour dire autrement :

« La vérité du commun des mortels est la vérité de la société. »

Elle n’est en aucune façon le fruit d’une réflexion, d’une critique ou de recherches personnelles.

Plus « l’information » distillée par les médias sera monocorde et plus la vérité sera simpliste et binaire.

Nous en avons eu une preuve flagrante avec les trois sujets suivants :

  • Covid.
  • Guerre en Ukraine.
  • Réchauffement climatique.

Sur ces trois sujets, et il y en a plein d’autres, il y a « consensus ». 100 % des médias mainstream, qu’ils soient dits de gauche ou dits de droite, tiennent exactement le même discours (à un ou deux pour cent près).

Il m’est arrivé de « discuter » avec des membres de l’Église du coronavirus et leur demander de m’expliquer leurs croyances. En entendant leur discours, j’étais inexorablement poussé à leur dire :

« Je ne te demande pas de me répéter le discours de BFM, du Figaro ou de Libération que je connais,
je te demande TON opinion. »

La plupart des humains croient « savoir » alors que dans les faits
ils ne sont que les « croyants » d’une religion inculquée par la société.

Pour être totalement honnête, les « complotistes » ne sont pas à l’abri de la croyance et peuvent parfois basculer dans une « anti-foi ». Ils prendront comme « Vérité » l’exact inverse du discours officiel sans étudier par eux-mêmes pour débusquer des mensonges.

Adhésion :

Hormis les « complotistes », espèce reconnue contagieuse par les autorités qui font tout pour les contrôler en espérant les éradiquer, la population a adhéré dans son ensemble aux mesures gouvernementales de « lutte contre le virus ».

Comme indiqué précédemment, cette adhésion est totalement déconnectée d’un travail de recherche, d’analyse et de critique personnelle.

« Si tout le monde (civilisé, non pas les complotistes malades, antisémites d’extrême droite) le dit et le répète,
c’est que c’est vrai ! »

Vérités :

Le public a donc majoritairement adhéré aux vérités suivantes citées au début de l’épidémie :

  • Le Covid est un virus inconnu « vachement dangereux ». (Dans les faits, il circulait des mois avant la déclaration officielle et n’est devenu dangereux qu’au moment où les médecins se sont vus interdits de soigner comme à l’accoutumée.)
  • Nouveau virus, donc absence de traitements, quand bien même il était d’une catégorie banale (coronavirus).
  • Les confinements sont efficaces – « logique », il suffit de s’isoler pour ne pas croiser de virus. (Ici encore, point de questionnement, point de références aux études passées, point de comparaison entre les pays qui confinent et ceux qui ne confinent pas. La Vérité vient d’en haut et on la croit. »
  • Le masque est « efficace ».
    [Le public qui adhère à l’inefficacité et à la dangerosité du masque en début de crise, grâce aux conseils des autorités, vérité scientifique rapportée par l’OMS, se met à adhérer tout autant à son « efficacité » et à l’obligation de le porter en tout lieu. Preuve s’il en est de l’adhésion aux paroles d’évangile sans la moindre réflexion de fond.]
  • Les gestes barrières sont efficaces.
    (Idem, aucune référence aux études ou aux statistiques. Notez que le spécialiste médiatique affirme et on ne lui demande JAMAIS ses sources.)
  • Le « vaccin » est efficace.
    (Se référer à mes écrits précédents. Il est intéressant de voir comment le public a suivi dès lors que les autorités ont déclaré qu’il était sûr et efficace. Et ce quand bien même l’autorisation de mise sur le marché était conditionnelle, que l’on était encore en phase expérimentale, que l’on vendait une technologie ARNm jamais déployée à grande échelle, et qu’il faut en général 10 ans de recul avant de commercialiser un nouveau vaccin. Ici, rien, même pas peur !)

Tout ceci étant bien entendu martelé 24 heures sur 24 par tous les médias, tout un chacun devenant à son tour le porte-parole de ces « vérités ».

Usure :

Notons qu’il existe un phénomène d’usure et de saturation.

L’objectif de la dictature est de nous maintenir dans la peur pour nous faire adhérer et même réclamer nos chaînes. La peur sidère, ou dit plus simplement, la peur rend con !

Le problème est que notre cerveau se lasse de la peur, il finit par mettre en place des contre-mesures afin de pouvoir se remettre à fonctionner.

Un exemple simple à comprendre est celui du soldat sur un champ de bataille. Je ne l’ai pas vécu, mais nous voyons bien que les premiers jours sont un enfer de chaque seconde.

« Vais-je me prendre une balle, un obus, un gaz mortel, un missile ou pire, une visite de Macron ? »

Impossible de dormir dans ces conditions !

Si vous retournez voir ce pauvre bougre quelques semaines plus tard, et s’il est encore vivant, vous pourrez voir qu’il dort comme un bébé au milieu de l’enfer et du chaos.

Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il a fait de son quotidien (le champ de bataille) une réalité sur laquelle il n’a pas de prise.

Il en est de même du Covid :

  • Dans un premier temps nos gouvernants nous décrivent l’enfer.
  • Puis ils prennent soin de nous le rappeler au quotidien, le tout avec quelques permissions en dehors du front (faire souffler du chaud et du froid en permanence).
  • Ils nous expliquent enfin que nous pouvons vaincre et que notre survie dépend de nous, de notre capacité à obéir aveuglément aux injonctions, quand bien même celles-ci seraient contradictoires.
    [C’est la même stratégie employée pour la crise de l’énergie. Les coupures aléatoires, pour faire peur, se sont pas « le fait de sanctions énergétiques à l’égard de Poutine, le fait de céder aux lobbies dits écologiques et de fermer des centrales nucléaires », mais de « la responsabilité du public qui doit faire cuire ses pâtes pendant 10 minutes dans de l’eau à 30 °C. »]
  • Semaine A, vous n’avez pas le droit de vous asseoir sur la plage avec le haut-parleur qui vous rappelle la menace et les consignes. Semaine B on vous dit qu’il ne faut surtout pas se déplacer, au risque de se faire contaminer ou de contaminer sur cette plage.
  • Les personnes sont dans la panique, elles obéissent sans se poser la moindre question.

Le battage médiatique est tel que l’être humain ne peut pas dormir dans sa tranchée, maintenu dans une même peur, durant des mois ou des années.

Nous assistons de plus en plus à la perte de peur du Covid.
Pas forcément qu’il est perçu comme « gentil », mais que le phénomène d’usure est là.

On n’y croit plus…

« Vous nous avez dit que si on se confinait on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on portait un masque on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on se faisait tester on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on se vaccinait on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on avait un QR code on le flinguerait ! »

Et là « vous dites qu’il faut faire une deuxième, troisième, quatrième, cinquième dose et vous n’osez plus dire que cela le tuera ! »

« Vous dites qu’il est indispensable de faire un truc auquel vous ne semblez même pas croire et qui ne servira de fait à rien ! »

Les autorités n’osent plus dire qu’une mesure sera efficace, mais juste « nécessaire » !

Il y a une combinaison de « c’est l’enfer » avec « on ne gagnera jamais », affirmant que l’ennemi aura toujours un coup d’avance.

Le discours est :

« il y a une pluie de bombes, prends un antalgique ! »

Raisons pour lesquelles nous avons eu droit à l’Ukraine 24 heures sur 24 et maintenant le réchauffement climatique.

Il n’y a plus que LCI qui fait de l’Ukraine non-stop à la télé.

Bruno Lemaire nous disait il y a plus de huit mois que la Russie serait à genoux avec les sanctions.

LCI continue de le répéter jour après jour.

« Poutine est foutu, l’économie russe est aux aboies, ils n’ont plus de missiles, etc. »

Le Français voit que les prix de l’énergie ou des denrées alimentaires explosent et n’en a plus rien à faire de Poutine. Le « nous allons nous prendre une ogive nucléaire sur la gueule et Poutine va visiter la tour Eiffel avec les troupes » ne fonctionne plus.

Le cobaye humain standard est saturé, il en a marre !

Panne de la vaccination

Une grande partie des Français est lassée et semble ne plus avoir vraiment peur du Covid. Ils ne sont plus convaincus de l’efficacité des mesures et encore moins du « sauveur », l’injection expérimentale ! La preuve en est du taux ridiculement bas d’injections du bivalent2.

Au 4 décembre, il y avait officiellement (chiffres probablement mensongers comme tous les autres) 3,1 % de Français injectés pour 80 % avec une seule dose. Pour ce qui est de la première dose, l’électro-encéphalogramme est plat depuis le début de l’année, plus de candidats à la première.

J’en reviens au bivalent, seuls 10 % des plus de 70 ans sont censés l’avoir reçu. D’autant plus intéressant que les personnes de plus de 80 ans ne sont pas à plus de 10 % non plus.

On sait que c’est une population captive en maison de retraite ou une population qui suit presque aveuglément les conseils de son médecin traitant sans poser de questions. Cette donnée permet ainsi d’affirmer que :

« Les médecins généralistes ont, eux aussi, renoncé au vaccin Covid. »

Relance de l’épidémie ?

Depuis quelques jours le gouvernement essaie de lancer la 9e vague pour introduire de l’angoisse pour les fêtes. Je ne suis pas dans le secret de Satan et je ne sais donc pas si c’est juste pour relancer le marché d’un produit qui n’intéresse plus ou pour relancer la dictature sanitaire.

La relancer ou tout du moins prendre le pouls de la population…

Est-elle prête à gober de nouveau et repartir comme en 14 ? Masques, confinements, vaccination obligatoire, passe sanitaire ? Je ne le sais pas.

Pour autant même les autorités et les corrompus sont bien timides et semblent marcher sur des œufs.

Les spécialistes et les politiques sont de retour, mais pour dire que « les personnes à risque » doivent porter le masque dans les lieux publics. Ils parlent d’une nécessité de rappel vaccinal uniquement pour cette même population. Exit les recommandations pour tout le monde.

Est-ce à dire qu’ils ont peur du procès, peur que les effets secondaires des injections expérimentales leur sautent au visage ? C’est assez crédible.

Le « tous vaccinés, tous protégés » est dans les poubelles de l’histoire, nul n’ose le dire encore.

De là à imaginer qu’ils vont relancer une fausse vague à un niveau biblique avec à nouveau des fausses saturations et des faux morts du Covid, j’ai quelques doutes, même si l’on peut s’attendre à tout de la part de psychopathes. Il n’en demeure pas moins vrai que la situation demeure anxiogène aussi bien pour les covidistes que pour les complotistes.

Les faits suite aux effets d’annonce

Pour autant nous voyons bien que les annonces gouvernementales, aussi bien des autorités que des médecins corrompus (ou avec conflit d’intérêts), ont leur effet.

Le fait est que le nombre de personnes masquées augmente. Je ne pense pas qu’elles soient toutes dans un mode « au secours on va tous mourir ». Le retour du masque chez les paniqués serait d’autant plus étrange que rien ne leur interdisait de continuer de le porter.

Jamais un quelconque responsable politique
ou médecin médiatique n’a annoncé la fin de l’épidémie en France !

Au contraire, le discours sur le retour du Malin en automne est généralisé.

J’entends que le mouton paniqué ne pense pas ou peu, mais quand même, si vous avez vraiment peur de mourir du Covid, d’autant plus que vous avez 5 doses d’un vaccin « efficace », il demeure relativement « logique » de le porter.

Cette augmentation n’est donc pas un effet de panique, mais de « prudence » (cela me fait mal aux tripes d’écrire de telles contre-vérités scientifiques).

J’ai donc, sinon l’intime conviction, la croyance que cette augmentation du nombre de masques repose sur mon titre !

« Ça peut pas faire de mal, c’est mieux que rien. »

C’est pas bien grave ? Là est le danger ! (Pour la santé, nos libertés et la démocratie.)

Nous l’avons croisé si souvent depuis des mois le fameux « c’est pas bien grave ».

  • « Quelques semaines de confinement, c’est pas bien grave si ça peut permettre de se débarrasser du virus. »
  • « Quelques heures de masques par jour c’est pas bien grave si cela permet de contrôler l’épidémie et diminuer les contaminations. »
  • « Scanner un QR code, c’est pas bien grave, après tout qu’est-ce qu’elles (les autorités) en ont à faire de savoir si je suis allé au resto. »
  • « Se faire injecter un produit expérimental c’est pas bien grave si cela peut éviter un séjour en réanimation et de décéder d’une maladie mortelle. »
  • Etc.

Ce qu’il y a de formidable avec l’assujetti, c’est que « rien n’est grave », quel que soit le sujet!

  • Interdire la circulation de véhicules anciens ?
  • Interdire de dépasser le 90 km/h sur autoroute ?
  • Interdire (conseiller, car ils ne peuvent pas contrôler) de chauffer à plus de 19 °C ?
  • Interdire de fumer.
  • Obliger une ceinture de sécurité.
  • Censurer la liberté d’expression.
  • Interdire de prendre l’avion.
  • Obliger un vaccin expérimental pour des millions de personnes en contact avec le public.
  • 11 vaccins obligatoires à la naissance.
  • Faire des délestages d’électricité dont nous serions les responsables.
  • Etc., etc., etc.

Il y a des centaines d’autres exemples que nous ne voyons même plus au quotidien tant nous sommes habitués. Que répondre ?

« C’est pas bien grave ! »

De toutes les façons, pour cette population obéissante, « rien n’est grave » du moment qu’elle a un toit, à manger et qu’elle peut regarder le foot !

Il faut dire que le matraquage est ininterrompu, nous expliquant en novlangue que « la liberté c’est l’interdit ».

« Ça peut pas faire de mal » et « c’est mieux que rien. »

Qu’est-ce qui pousse à l’adhésion aux mesures les plus délirantes ou liberticides ?

Cette masse obéissante n’est pas extrémiste, car :

  • Si la majorité des masqués actuels ne sont pas paniqués à l’idée de mourir du virus.
  • Si la majorité des masqués n’est pas intimement convaincue de l’efficacité de la mesure.
  • Si la majorité des masqués pense que « c’est pas bien grave » de le porter. À noter que le « c’est pas bien grave » pourrait durer pendant 40 ans en l’absence d’opposition…

Le moteur est certainement lié de fait au « ça peut pas faire de mal »

À noter que les croyances sont les mêmes pour les couvre-feux, distanciations, confinements, QR-codes, passe vaccinal, etc., le leitmotiv demeure : « ça peut pas faire de mal ».

La conjonction de « y’a pas besoin d’en faire une affaire d’État »
combiné à « ça peut pas faire de mal » est la porte ouverte à la dictature de masse.

Ce concept de danger lié à des effets secondaires directs ou indirects semble difficilement appréhendable par cette population molle qui obéit sans se poser de (vraies) questions.

Il faut dire que les médias sont « d’une grande aide ».

Tout individu qui émet l’hypothèse d’une dangerosité du confinement,
du masque ou du vaccin et j’en passe,
est immédiatement factchecké, calomnié, censuré puis mis au ban de la société.

C’est d’une grande aide pour ne pas se poser de questions.

Concernant les masques, je pense qu’il est difficile pour le commun des mortels d’y voir une nuisance ou un danger. (Sans même tenir compte des autorités qui rassurent et mentent sur ce sujet).

Ils ne voient qu’un bout de tissu qui semble d’autant plus inoffensif qu’il est notamment utilisé par des chirurgiens. Le fameux argument « imparable ».

Bien heureusement, il est pris soin de passer sous silence :

  • Qu’un chirurgien ne le porte pas douze heures par jour.
  • Qu’il est changé à minima toutes les quatre heures ou entre chaque opération.
  • Qu’il est porté en atmosphère contrôlée, dans un lieu où la température n’excède pas les 19 °C.
  • Qu’il n’est jamais manipulé, enlevé, remis, déplacé.
  • Qu’il est porté par un adulte formé à son usage.
  • Qu’il a pour objet de protéger des bactéries et certainement pas des virus !

Quelques dangers directs ou indirects du masque :

  • Augmente la quantité de CO2 inhalé.
  • Nid à champignons, bactéries qui se développent dans le milieu humide (d’autant plus qu’il est gardé pendant des heures, des semaines ou des mois, rangé dans une poche et manipulé hors protocole).
  • Substances chimiques inhalées dont microparticules qui se retrouvent dans les poumons.
  • Graphène selon les modèles de masque.
  • Perturbations dans la communication non verbale
  • Problèmes d’apprentissage des langues et des émotions.
  • Induction de la peur d’autrui, autrui qui devient potentiellement un danger mortel.
  • Problèmes relationnels, amplification de troubles psychologiques.
  • Détruit la convivialité, la légèreté, le vivre ensemble.
  • Rend visible une épidémie dont on ignorerait l’existence sans les médias ou le masque.
  • Sentiment de sécurité illusoire. (Comme le contrôle technique générateur d’accidents du fait d’un excès de confiance dans un véhicule âgé.)
  • Et pour ceux qui croiraient à son efficacité, dangereux, car il mettrait à mal les défenses immunitaires, exposerait à des maladies et condamnerait le porteur à le garder jusqu’à sa mort.

Le plus délirant est qu’il est déclaré indispensable
pour des personnes qui ont des problèmes respiratoires !

Les faits sur la dangerosité réelle du masque n’entrent pas
dans le processus décisionnel de le porter ou pas.

Quand bien même l’ensemble des dangers sont ou seraient connus, ils ne sont jamais additionnés.

Le porteur pourra dire « oui, c’est vrai » à propos d’une affirmation, mais n’en fera pas un tout, un objet dangereux (sans même parler de son inefficace légendaire).

Penser que le masque c’est dangereux, c’est comme penser que l’excès de sucre c’est dangereux ou que la cigarette est dangereuse. C’est un danger relatif, presque imaginaire !

Paradoxe des peurs et de la réalité de la menace

C’est là que l’on touche du doigt un énorme paradoxe.

Ce public n’a pas peur de porter pendant des heures, des jours,
des semaines, des mois un produit factuellement dangereux.

Une dangerosité dont on peut discuter des conséquences, mais dont nul (honnête) ne peut nier la réalité. Je vous rappelle que nous naissons sans masque et que l’espèce a pu survivre jusqu’à présent. Que le masque est à l’intérieur de notre corps dans nos systèmes de défense contre les agressions extérieures.

La peur de cet objet objectivement dangereux n’est pas conscientisée.

En revanche :

Les porteurs de masque ont peur d’un virus qu’ils n’ont jamais vu
pour lequel ils ont besoin de faire un test pour savoir s’ils sont « malades »
et dont la mortalité est statistiquement anodine.

Qui connaît une personne jeune, en bonne santé, non vaccinée, qui aurait été terrassée par ce virus ? Je pense que je peux répondre sans risque : Personne !

Je peux affirmer que les masqués dans la rue ou dans le bus sont aussi les vaccinés. Vous connaissez peut être une exception sait-on jamais ?!

Plus vous avez de doses de rappels et plus il est probable
que vous ayez peur de ce virus et plus vous êtes masqué.

Et c’est là que l’on touche au merveilleux. Le multi-injecté croit que son vaccin le protège des formes graves. Il en est à ce point convaincu qu’à sa sortie de réa diagnostiqué Covid, il pourra déclarer sans sourciller :

« Heureusement que j’étais vacciné », sous-entendu que le vaccin lui a sauvé la vie.

N’espérons pas faire pénétrer le doute et lui suggérer que le dit vaccin serait totalement inefficace ou pire, à l’origine de ses troubles.

Le multivacciné est donc à la fois intimement convaincu de l’efficacité
de ses injections et en même temps, a d’autant plus peur du Covid qu’il a de doses !
Plus il sera protégé et plus il sera prompt à remettre un masque.

Ce multirécidiviste de l’injection « efficace et inoffensive » se sentira protégé d’un virus mortel par un masque dont la dangerosité réelle sera de fait totalement inexistante.

Parler d’un rapport bénéfice vs risque pour le masque n’a donc pas de sens pour celui qui le porte « volontairement ».

Face à la peur de mourir :

  • La dangerosité réelle du masque devient imaginaire.

Tandis que :

  • L’efficacité imaginaire du masque devient réelle, réelle, car anxiolytique.

La question est donc :

Cette masse a-t-elle encore assez peur pour se masquer massivement et exiger plus de dictature ou pas ? L’augmentation du nombre de masques dans la rue ou les magasins n’est pas forcément rassurante, mais il est à mettre en balance avec le taux ridicule de personnes qui ont fait leur bivalent.

Merci.

Alain Tortosa3.
7 décembre 2022.
https://7milliards.fr/tortosa20221207-masque-peut-pas-faire-de-mal.pdf




La rage de démembrer envoûte les marionnettes officielles de la Secte

Par Lucien SA Oulahbib

Comment les arrêter ? Des créatures grimaçantes, seringue à la main, courent, masquées, à votre gauche en agitant des chiffres biaisés (quel est le statut d’injecté ou non des personnes testées « positives », malades, mortes… ?) et des créatures hilares, hagardes, ciseau à censure à la main, ou avec couteau ou machette courent enturbannés (de façon invisible aussi) à votre droite…

Aiguille scientiste, muselière hygiéniste, ciseau à censure et couteau djihadiste s’entrelacent ainsi et forment drapeau,

celui de la Secte SHAA qui a donc ainsi et bel et bien ses assassins, ses docteurs Mengele et Moreau, et aussi ses défenseurs aux griffes (de luxe) acérées, appelés « journalistes », doublés, adoubés par des « vérificateurs » (y compris des centrales nucléaires…), nettoyeurs et orcs enveloppant façon Matrix l’ensemble de cette meute de drones cyberhumains en action…

Prenez d’abord comme exemples récents la pseudo loi sur « l’immigration » qui refuse de lier salaire et motivation pour les emplois en « tension », ou encore les recommandations de plus en plus pressantes sur la fausse protection injectable (alors que la grippe frappe bien plus fort ces semaines). Et que penser ensuite de la gabegie énergétique alimentée par des ensorceleuses et autres jeteurs de sorts qui continuent à nier l’abandon cynique du nucléaire (voir le dernier aveu de Dominique Voynet) au profit de l’éolien et solaire (même couplé au gaz devenu rarissime par ailleurs…), alors que cela ne marche tout simplement pas, et ce plus encore en hiver et avec un prix exorbitant montrant la soumission de la France à l’Allemagne en échange de son droit à s’endetter et à enrichir les marionnettes au pouvoir ?

Prenez maintenant tout cela ensemble, touillez, et vous assistez bel et bien à une avalanche, permanente, de non-sens, un démembrement effroyable et furieux, un déchaînement au cœur des neurones avec amoncellement de « vagues » (virus froid et crimes) sans vague à l’âme, celle-ci n’existant plus, vendue au diable par les Dorian Gray qui nous « gouvernent » (qui gèrent, mal en plus, ce démembrement).

« Ami entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ? », ami vois-tu à nouveau ce vol qui reprend, certains corbeaux parlant de « main qui ne tremblera pas » à l’instar de celle du bourreau au moment de couper les têtes de pourtant innocents ?…

La muselière sanitaire ne sert à rien (même en salle d’opération tant les virus sont microscopiques), tant pis (Poutou « plus antilibéral que moi tu meurs » ne le sait même pas…), mais, politiquement, elle sert beaucoup (la preuve avec Poutou, voire Zemmour qui a défendu tout cela également — on l’a vu avec la muselière tout en défendant la piquouse). Et cette cécité sanitaire s’avère bien être un indicateur de soumission, d’adoration même. Les plus âgés votent Macron. Les moins âgés habitant en « métropole » aussi (ces centres de commandement multiforme : politique économique et culturelle), mais votent bien sûr Nupes d’abord. Puis tous, macronistes et mélenchonistes, les deux M, s’allieront toujours le temps d’un vote au second tour puisqu’ils ont objectivement le même agenda : démembrement de la France, de sa laïcité, de sa culture, de ses acquis civilisationnels, et de sa base ethnique…

Et puis, et « en même temps », maintenant que les animaux sont de plus en plus interdits dans les autres cirques, il s’avère que, comme dans la Planète des singes — les humains, surtout les blancs, étant assignés à les remplacer (déjà dans les télé-réalités) —, ces députés font aussi parties de ces nouveaux animaux fabriqués par ce Moyen-âge cybernétique : ils animent ainsi le cirque de la détestation simulée à l’Assemblée, quitte par exemple à sacrifier les soignants suspendus, comme se justifient les marionnettes de la Nupes — pour ne pas « mêler » leurs votes avec ceux de « l’extrême droite », pérorent-elles (le RN n’étant pourtant pas interdit et ayant même des députés (marionnettes))… 

Aussi, et au final, dans ce laboratoire géant qu’est devenue la Terre avec ses salles d’expérimentations spécialisées en Chine, en Europe, en France, « on » somme donc les rats humains, députés, académiciens, journalistes, intellectuels, artistes compris, à (se faire) « injecter » en permanence (mentalement, corporellement…) les « bons » comportements. Peu importe les effets indésirables (physiques et mentaux…). Ceci permet de « décaler » jusqu’à plus soif les choses du quotidien, ou (sur)vivre, sur mode SDF, chez soi, Les misérables en temps réel, Cosette, la petite fille aux allumettes comme horizon et non plus Barbie ou « Blanche » Neige…

Et il faut continuer à bombarder, et en permanence, tous ces rats humains avec les ondes du « dire-tout-et-son-contraire », continuer donc à mentir sur la crise énergétique et dénoncer ceux qui propageraient la « peur » comme le fait Emmanuel Macron, ne plus jamais parler de Minsk 2 et dénoncer Poutine, marteler que Fessenheim était trop « vieille » (alors qu’elle venait d’être remise à neuf, adoubée par l’Autorité nucléaire), et pourtant en appeler à la culpabilité, attaquer sans cesse Raoult et menacer maintenant de se « suicider » si on « les » embête encore, clament certains vérificateurs/nettoyeurs, inquiets et énervés de voir leur fromage de délation frelatée être de plus en plus dénoncé…

Mais « dénoncé » pour quoi faire au fond ? Dénoncer ce que tout le monde sait déjà ?… Ce que tout le monde (ou presque) accepte ?… Le tout dans un silence assourdissant ?… L’hypnose et l’envoûtement continuent… De plus belle. La preuve ? Même des organes de presse prétendus « alternatifs » n’invitent que ceux qui ne sont pas étiquetés « extrême-droite » par les médias de grand chemin…