Réflexions sur la révolte agricole

Par Anonyme

Partant de :

Diverses infos venant de « l’opposition de façade » et d’amis qui « voient »… « Derrière le masque vert » pour citer le titre du livre de Rosa Koire, la première à nous avoir averti de l’« Agenda 21 » et qui a payé de sa vie pour cela…

Nous pouvons observer que la « Sécurité Sociale Alimentaire » fait son apparition « officielle » :

Voici, relayé par ISF du collectif pour une Sécurité Sociale de l’Alimentation, un documentaire réalisé par deux agronomes.
Il est en libre visionnage pendant encore 7 jours :

« En raison des mobilisations agricoles qui ont lieu en ce moment dans toute la France, nous mettons notre documentaire Tu nourriras le monde en ligne en accès libre sur notre site internet : https://parolesdepaysans.wixsite.com/parolesdepaysans/tu-nourriras-le-monde

Et sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=MbSaUIHpgg8&t=10s

N’hésitez pas à le partager à tous ceux qui cherchent à mieux comprendre ce qui se joue réellement en ce moment !
On a créé une page AlloCiné pour tenter de donner un peu de visibilité au film, n’hésitez pas à y déposer un commentaire.

Bien à vous,
Nathan Pirard & Floris Schruijer
Co-réalisateurs du documentaire »

Rien que la présentation du film me donne la nausée… Ingénieurs agronomes… Agro Paris Tech… « Débat citoyen »… « Pour une planète soutenable » nous sommes donc en plein dans la ligne de l’Agenda 21… Merci les Rockefeller, Klaus Schwab et cie…

[Mise à jour, après visionnement du documentaire :]

Je viens de finir de visionner « Tu nourriras le monde », film documentaire pas si nauséeux que je le pensais finalement, surtout en 1re partie où il est retracé tout l’historique de la politique agricole française, puis européenne, sans trop de concessions. Mais ce que Nathan Pirard et Floris Schruijer, les co-réalisateurs du documentaire, ne voient pas, c’est qu’ils sont dans un système qui est en train de ravager tout le vivant, et qu’eux-mêmes font partie de ce système. Ils sont totalement dans la doxa de la « transition écologique » et du « développement durable » sans avoir pris conscience des énormes mensonges et manipulations qu’il y a derrière ces « beaux mots » contenus dans les ODD ou Objectifs du Développement Durable. Voir à ce sujet le travail de Rosa Koire auteure du livre « Derrière le masque vert — L’agenda 21 démasqué », ici une vidéo avec une interview de Rosa durant les 7 premières minutes.

Le film documentaire « Tu nourriras le monde » parle de désertification des campagnes, du déclin du service publique en prenant l’exemple de la poste, des écoles, ils ne voient pas l’agenda, c’est-à-dire que tout cela a été prémédité et obéit à la mise en place de l’Agenda 21 ([pour 21e siècle] de l’ONU. Ils ne le voient pas alors que leur génération, qui — biberonnée aux mensonges et à la propagande depuis la tendre enfance — est complètement actrice de cette situation, tout comme les « aînés » ont été acteurs de l’engrenage à la production, de l’appauvrissement des sols, de la perte d’autonomie alimentaire, etc., malgré eux, eux aussi, en leur temps.

Tout comme les agriculteurs qui manifestent actuellement : plus ils se débattent dans le filet, plus le filet se resserre sur eux…

Le documentaire est par ailleurs très édulcoré : pas d’allusion au taux élevé de suicide des paysans ces dernières années, rien sur le codex alimentarius, beaucoup d’éoliennes sur les images, mais aucune information sur les dégâts causés par celles-ci, non seulement sur les humains, mais aussi sur les animaux domestiques, sur la faune, les insectes et la végétation. Certains agriculteurs font allusion à la sécheresse ou autre aléa météo, mais rien sur la modification intentionnelle de la météo et du climat [ou géo-ingénierie], rien sur la modification du cycle de l’eau… Le reportage sur le couple agriculteur bio est mignon, mais quid de l’agriculture bio qui n’est pas exempte d’OGM, et où les semences ne sont plus reproductibles, et que dire de l’agriculture intensive « bio » qui se profile de plus en plus ? Les auteurs en ont-ils même connaissance ? Quant à la Safer, c’est assez gentillet…

Selon les dires d’un certain Emmanuel : « Le futur sera numérique, robotique et génétique »… Et dans « Agro Paris Tech », il y a bien « Tech » n’est-ce pas ?

Ces deux jeunes diplômés sont complètement au service de l’Agenda 21 ; ils voient bien dans le rétroviseur, cependant, je vois qu’ils sont pris dans les filets et participent à la mise en place des pièges tendus par ceux-là mêmes qu’ils pensent dénoncer.

Voici un article que je trouve très éclairant sur le même sujet, et que je vous recommande fortement :

Pour approfondir

Arnaud Rousseau, le faux paysan à la tête du mouvement blocage autoroutier :

« Le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, prévoit des mobilisations (blocages d’autoroutes) dans 85 départements d’ici vendredi » :

https://www.lamontagne.fr/paris-75000/actualites/colere-des-agricultures-le-point-sur-les-autoroutes-bloquees-et-fermees-en-france_14440778/

Il veut même bloquer les marchés dans les villes où pourtant ce sont les agriculteurs qui peuvent fixer eux-mêmes leurs prix via leurs vendeurs sur place :

https://www.leparisien.fr/societe/agriculteurs-en-colere-pourquoi-des-manifestants-menacent-de-bloquer-le-marche-de-rungis-27-01-2024-H5PCJX65ARBCZKK4ZGH2MMFN7Y.php

Pourquoi cet agent de la PAC politique agricole européenne agroalimentaire pousse-t-il les paysans naïfs à bloquer les autoroutes en disant que c’est la solution pour que l’État leur donne ce qu’ils veulent ?

Pourquoi est-ce un PDG d’un groupe agroalimentaire (pesticides/OGM) qui représente le mouvement de la paysannerie en France ?

Arnaud Rousseau est :

  • – président de la FNSEA (seul syndicat admis à la négociation avec l’État), l’ancien titulaire de la FNSEA étant Xavier Beulin (DcD), ex-président du groupe laitier LACTALIS. (comme quoi les syndicats paysans sont toujours représentés par les multinationales) ;
  • – il veut transformer des terres agricoles en terres pour biocarburants et il met son entreprise agroalimentaire à la bourse, donc laisse les actionnaires banquiers Rothschild et Cie décider des prix des denrées alimentaires
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Avril_ (entreprise) ;
  • – président du groupe agroalimentaire AVRIL (Isio4, Lesieur, Matines, Puget, etc.)
    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Arnaud-Rousseau-le-faux-paysan-a-la-tete-de-la-FNSEA-74797.html ;
  • – directeur général de Biogaz du Multien, spécialisé dans la méthanisation ;
  • – administrateur de Saipol ;
  • – président du conseil d’administration de Sofiprotéol, qui finance des crédits aux agriculteurs ;
  • – leader français de la transformation de graines en l’huile ;
  • – maire (sans étiquette) de sa commune Trocy-en-Multien (Seine-et-Marne) ;
  • – vice-président de la communauté de communes du pays de l’Ourcq ;
  • – éleveur du Gers qu’il prétend représenter avec son syndicat ;
  • – patron d’exploitations agricoles, 700 hectares, principalement des céréales oléagineuses (colza, tournesol) mais aussi du blé, de la betterave, du maïs, et de l’orge ;
  • – diplômé de l’European Business School de Paris avec le courtage de matières premières agricoles, c’est-à-dire leur mise en vente sur les marchés financiers ;
  • – Il défend une agriculture productiviste française pour nourrir les Français, mais consacre ses champs à une production majoritairement destinée à l’export ;
  • – Il soutient les agriculteurs qui se plaignent de l’augmentation des taxes sur le gazole non routier (GNR), mais il a entériné cette hausse cet été, lors des négociations avec le gouvernement sur le projet de loi de finances ;
  • – Avec ses homologues grands céréaliers, il est l’un des principaux bénéficiaires de la PAC, quand les petits éleveurs, ceux-là mêmes dont la colère déborde dans le Sud-Ouest sont les plus lésés ;
  • – C’est pourquoi il ne peut répondre aux demandes des manifestants sur la hausse du GNR, qu’il a validée, ni sur les marges des groupes agroalimentaires, lui qui en dirige un
    https://www.humanite.fr/social-et-economie/agriculteurs/a-la-tete-de-la-fnsea-qui-est-arnaud-rousseau-le-businessman-qui-voulait-passer-pour-un-paysan.

Propositions et constats

Au lieu d’appeler tout le peuple français à squatter les campagnes et forêts désertes des milliardaires, les agriculteurs manipulés par des agents doubles du NWO [New World Order – Nouvel Ordre Mondial] bloquent les sorties des villes (autoroutes) empêchant les citadins d’en sortir.

Ils aident les élites pour transformer les villes en prison en bloquant les autoroutes.

Ils savent le plan de l’élite de destruction de l’agriculture, et ils accélèrent ce plan en bloquant les villes, en empêchant les campagnes d’être repeuplées en nombre par les citadins.

Construisons notre Nouveau Monde dans les campagnes, et arrêtons de trouver des solutions en ville, et de bloquer les sorties des villes, car c’est comme bloquer les sorties des prisons, laissez s’échapper les bagnards citadins vers les campagnes, et arrêtez d’être manipulés.

Une vidéo qui montre comment les gueux se font manipuler pour toujours faire des manifestations dans les Smart Cities, au lieu de construire leur monde libre HORS DE L’ENCLOS :
https://crowdbunker.com/v/t9nnza2xat



La plupart des gens croient toujours qu’il est possible de « réformer » le système, donc ils convergent vers les lieux de « gestion » de la merdasse étatico-marchande : les villes.

Réappropriation des terres et création d’un autre monde, le nôtre, celui de l’Humanité vraie, qui commence par réorganiser une agriculture saine, nourricière, base d’une société vraie et articulée, en plus d’être une nécessité absolue de vie.

La vie du bien-être ensemble commence par le bien manger. La bonne table mène aux bonnes relations sociales, au vivre ensemble sain et ancré dans la réalité.

Là est notre nature humaine. On est ce qu’on mange, c’est aussi simple que ça, et quand on voit la merde qui arrive dans nos assiettes quotidiennement, on ne peut être que de la merde.

Sortir de la spirale marchande infernale. Nous réinscrire dans la vie véritable de l’être joyeux, satisfait de sa vie individuelle et collective.
Ça vient, ça vient. De plus en plus de gens comprennent et seront bientôt prêts à la bascule…

Vive la Commune Universelle de notre humanité enfin réalisée !…

Donc le gouvernement utilise les agriculteurs pour la fausse solution de bloquer les villes, qui correspond à leur agenda.

Bloquer les villes correspond à :

  • – l’agenda 2030 des villes 15 minutes « Smart City » ;

Pas « à jour » de vos injections ? Vous avez dépassé votre allocation carbone hebdomadaire ? Vous vous êtes aventuré en dehors de votre quartier désigné « 15 minutes » ? Oups, pas d’argent pour toi !

  • – le confinement, préparer les futurs rafles pour la piqouze forcée et interdire les gens de s’échapper des villes (quand ils ont commencé le confinement 2020 de Nice, avec les premiers morts injectés, beaucoup de gens ont pu s’échapper des villes pour échapper au maire facho piqouzeur de Nice) ;
  • – à aucun moment, ces « résistants » ne proposent :

    • – de lutter contre la 5G,
    • – de lutter contre les caméras (qui fichent tous les opposants),
    • – de réclamer l’énergie libre ;
    • – de distribuer des tracts pour inviter les gens à venir se fournir directement dans leur campagne.

Si le carburant est trop cher, ils n’ont qu’à faire venir les gens chez eux, au lieu de venir vers eux, mais comment les citadins peuvent-ils venir dans les fermes rurales acheter leurs produits, si les agriculteurs bloquent les villes ?

C’est contre-productif leur truc, et c’est justement cela que le gouvernement veut, empêcher les citadins de se nourrir, en les empêchant de sortir des villes en utilisant les manifestants agriculteurs pour bloquer les autoroutes.

Et c’est contre-productif de se tourner vers le gouvernement, demander des solutions au gouvernement, reconnaître que le gouvernement est le chef, au lieu de créer un propre monde à eux, indépendant.

Les faux résistants préfèrent réduire encore plus l’indépendance des citadins en bloquant les villes, comme si cela changeait quelque chose, car les riches qui nous gouvernent vivent dans des châteaux dans les campagnes (demandez à Sakozy qui a son château avec ses oliviers et ses vignes au sud de la France, comment il doit rire du blocage des villes qui affament les gueux, après le génocide des gueux citadins par ces blocages des autoroutes).

Sinon, on peut faire un album de musique (avec chansons sur potager, contre la hausse carburant, contre la hausse des taxes terre) dont le bénéfice reviendra à chaque groupe local d’agriculteur (une dizaine maxi), et non pas un groupe national ou régional ou communal qui risque d’être contrôlé par le PDG d’une multinationale agroalimentaire qui peut être aussi en même temps le maire d’un village (donc, présider le groupe communal).

Organiser des recherches sur l’énergie libre, pour créer un camion d’énergie libre qui ferait des distributions au marché en ville après avoir collecté les denrées dans toutes les campagnes.

Un site s’est mis au troc pour soutenir les petits producteurs, mais curieusement, il n’est plus à jour (juin 2023) dérangeait-il le NWO ou problème de récolte annuelle ?
https://www.lepotiron.fr/

Le seul blocus qui marche c’est de bloquer les villas et les châteaux des milliardaires. Mais bloquer les villes, c’est justement dans le programme d’agenda 2030 des élites.

Solutions accessibles à tous :

  • – organiser des cueillettes comestibles dans les bois et les forêts publics (75 % des forêts sont privatisés) ;
  • – cultiver des comestibles qui poussent tout seuls une fois plantés sans besoin d’entretien dans les espaces délaissés (comme le topinambour, l’ail des ours, la menthe, les mûres, les vignes), pas besoin d’entretien, cela pousse partout une fois installé ;
  • – faire pousser des arbres fruitiers dans les espaces délaissés ;
  • – faire des appels à projets en tracts, sur les panneaux d’affichage pour que les gens soutiennent les formations de fermes associatives à proximité des villes.

Et arrêtez de jouer le jeu de bloquer les villes, cela pue l’agenda « quartiers 15 minutes ».

Ils l’ont essayé de le faire lors des retraites,
ensuite au nom de la lutte contre les émeutiers,
et maintenant au nom de la taxe carburant,
et après ils le feront au nom du traité pandémie mai 2024…
et ensuite au nom d’un QRcode jeux olympiques (plus tard transformé QRcode faux réchauffement climatique) été 2024…

https://www.francetvinfo.fr/les-jeux-olympiques/paris-2024/paris-2024-des-qr-codes-pour-circuler-aux-abords-des-sites-olympiques_6213372.html

Leur projet de bloquer les autoroutes, seules voies pour sortir des zones urbaines, c’est justement ce que souhaitent les élites (via les péages de pass OGM, carbone).

Elles veulent interdire les gueux d’aller dans les zones rurales en utilisant la colère des agriculteurs manipulés par les syndicats menés par des PDG agroalimentaires qui bloquent les autoroutes.

Ensuite : tickets de rationnement en échange de piqouze, et rafles dans les villes sans pouvoir s’échapper dans les campagnes..

Le programme quartier 15 minutes n’est pas loin…

Avec la monnaie CBDC contrôlée par Amazon et Bruxelles, vous sortez de votre quartier et votre fric est coupé :

https://youngplatform.com/fr/blog/news/digital-euro-bce-travaille-amazon-realiser-cbdc/




Le jambon de Matignon : message aux agriculteurs

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

Pour nous coordonner et soutenir les points de blocage SI ET SEULEMENT SI les agriculteurs le souhaitent après avoir pris contact, veuillez écrire sur : logistique@comitedesalutdupeuple.fr




« L’arme alimentaire » – C’est ce qui relie les protestations paysannes, l’Agenda 2030 et l’attaque contre l’alimentation…

[Source : kla.tv]

L’alimentation a déjà été utilisée comme une arme, un levier des dirigeants pour contrôler la population. C’est encore plus vrai aujourd’hui ! Si l’agriculture traditionnelle doit être supprimée, si les aliments sont contaminés par des ARNm, si les animaux de ferme sont vaccinés avec des ARNm, si les aliments naturels sont remplacés par des aliments synthétiques et si l’eau est liée au paiement numérique, alors c’est une déclaration de guerre de l’Agenda 2030 contre l’Humanité !

[NDLR Il semble que la question de l’ARNm soit un leurre destiné à éviter la prise de conscience de la nanotechnologie vaccinale à base de graphène et dont la finalité serait la transhumanisation de l’Homme.
Voir notamment :
La convergence bionumérique
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Le contrôle humain grâce à la technologie vaccinale]

Transcription

Actuellement, les protestations des agriculteurs allemands, mais aussi européens sont sur toutes les lèvres. L’émission Kla.tv en allemand « La lutte pour la survie des paysans » [https://www.kla.tv/27879], diffusée récemment, résume parfaitement le fait que les mesures de réduction des dépenses du gouvernement ne sont que la goutte d’eau qui a fait déborder le vase de l’oppression des paysans.

D’autres émissions aborderont la question de savoir dans quelle mesure les agriculteurs ont été instrumentalisés ou non par les protestations et pourquoi ils sont présentés sous un mauvais jour par les médias grand public. Alors, consultez régulièrement Kla.tv !

Le fait est que :

L’ONU, l’OMS et le FEM ont déclaré la guerre aux agriculteurs et aux produits alimentaires traditionnels. Leur Agenda 2030, comme Kla.tv l’a déjà signalé dans plusieurs émissions, s’attaque également aux agriculteurs en particulier.

Voici une brève reprise de l’émission « Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux. Comment l’ONU entraîne le monde dans l’abîme » https://www.kla.tv/19023

L’objectif 2 de l’Agenda 2030 prévoit selon ses dires d’éliminer la faim, d’assurer la sécurité alimentaire, d’améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable. Cependant, l’agriculture naturelle à petite échelle est en train d’être détruite, alors que dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais de l’agriculture industrielle, du génie génétique et des produits agrochimiques.

La situation des paysans, qui sont les piliers de notre société, est déplorable, mais ce n’est pas un hasard, comme vous pourrez le constater dans la suite de l’émission. Plus précisément, le sort des paysans est très étroitement lié à celui de nous tous :

Un résumé de l’essai « L’arme alimentaire », de l’écrivain et journaliste indépendant allemand Tom-Oliver Regenauer, montre comment l’alimentation, base de l’existence, a déjà été utilisée dans l’histoire, et l’est encore aujourd’hui, comme arme contre l’Humanité :

En décembre 1974, Henry Kissinger a rédigé un document stratégique secret pour le « Conseil de sécurité nationale » des États-Unis. Il portait le titre bureaucratiquement lourd d’« Implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité des États-Unis et les intérêts outre-mer ». La stratégie esquissée par Kissinger est devenue la ligne politique officielle du président Gerald Ford en 1975.

« La croissance démographique aura de graves répercussions sur les besoins alimentaires », lit-on. C’est pourquoi l’aide alimentaire aux pays en développement devra peut-être être liée à des programmes de stérilisation obligatoires ou à des quotas de réduction de la population, conclut Kissinger.

Ce raisonnement conduit le géostratège, qui travaille pour l’influent clan Rockefeller, à la conclusion amorale que dans un tel scénario, l’alimentation devient un « instrument de puissance nationale » efficace. Il déclare que l’alimentation est une arme. Cependant, ce n’est pas une idée nouvelle.

Qu’il s’agisse d’un siège au Moyen-Âge ou de l’inflation actuelle, l’alimentation est une arme depuis la nuit des temps. Un levier utilisé par les dirigeants pour contrôler la population. Mais avec les vaccins à ARNm pour les animaux d’élevage, les spores génétiquement modifiées pour optimiser les chaînes d’approvisionnement mondiales et les paiements CBDC pour l’eau, la lutte pour la survie atteint un autre niveau.

Exemples de l’histoire passée :

Il y a 3 000 ans, les Grecs assiégeaient déjà Troie pour l’affamer.

En Irlande, près d’un million de personnes, soit douze pour cent de la population irlandaise, sont mortes suite à la grande famine de 1845-1849. La cause première n’était pas de mauvaises récoltes ou un nouveau type de pourriture de la pomme de terre, mais la politique du gouvernement britannique de l’époque, corrompue par la haute finance et certains groupes d’intérêts.

La puissance coloniale britannique est également responsable de la mort de quatre millions d’Indiens lors de la famine au Bengale en 1943.

C’est ce que révèle une étude de scientifiques indiens qui ont analysé les périodes de sécheresse des 150 dernières années.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le siège de Leningrad, qui a duré 500 jours, a fait plus d’un million de morts, plus que les bombardements de Hambourg, Dresde, Tokyo, Hiroshima et Nagasaki réunis.

Joseph Staline a également utilisé son pouvoir pour mettre à genoux la « République socialiste soviétique d’Ukraine » par le biais de pénuries alimentaires. « L’Holodomor », nom donné à la famine des années 1930, considérée par certains comme un génocide, a coûté la vie à trois ou quatre millions de personnes. Le cannibalisme n’était pas rare.

Sous Mao Zedong, au moins 24 millions de personnes sont mortes de faim entre 1958 et 1962. Sa devise était la suivante : « Il vaut mieux laisser mourir la moitié des gens pour que l’autre moitié puisse manger à sa faim. »

Développements actuels :

Compte tenu de cet historique, il serait presque naïf de supposer que l’alimentation ne sera pas utilisée comme arme au 21e siècle. Toutefois, ce n’est pas par le siège ou la destruction de la flotte adverse, mais par une rupture avec les usages, la pénurie artificielle, la contamination par des substances toxiques, des additifs biotechnologiques, des matières premières génétiquement modifiées, etc.

Le nombre de personnes gravement menacées par la faim a doublé dans le monde depuis la déclaration de l’état de pandémie. Les confinements dus au Covid et les pertes de récoltes dues à la guerre en Ukraine ont entraîné des pénuries massives et des ruptures d’approvisionnement, beaucoup de choses sont devenues très chères, des exploitations familiales et des petites entreprises ont fait faillite. Les agriculteurs subissent une telle pression en raison de « l’économie verte », de l’agenda zéro CO₂, qu’ils ne peuvent pas faire face aux obligations et aux coûts croissants et descendent dans la rue en désespoir de cause. Marc Rutte [Premier ministre néerlandais] a même sorti le matériel militaire contre les révoltes paysannes !

Toute l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels. L’exemple le plus célèbre est la viande produite en laboratoire. Depuis de nombreuses années, Bill Gates, devenu le plus grand propriétaire foncier des États-Unis, et Google Ventures [une société de capital-risque] font preuve d’un grand dynamisme dans ce domaine.

Parallèlement, Gates investit beaucoup d’argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d’un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. [Référence à l’interview de HeikoSchöning « Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !? » https://www.kla.tv/27963] « C’est ce que veut Gates — qui ne cesse d’exprimer ses préoccupations en matière de “surpopulation” — écoutez ! — Aider les enfants des pays en voie de développement !!! »

On peut se sentir encore plus mal à l’aise si on considère que dans un avenir proche, les aliments seront livrés avec de l’ARNm ou de l’ARN ajouté. Ceux qui tirent profit des grandes sociétés pharmaceutiques, comme Bill Gates, annoncent depuis longtemps leur intention de distribuer ces substances expérimentales et nocives dans les aliments, afin de les faire parvenir aux personnes qui ont refusé l’injection antiCOVID. [Émission d’Ivo Sasek, Banane vaccin, salade d’ARNm & plus : Vaccination forcée inconsciente par les aliments ?! » https://www.kla.tv/26139]

Des entreprises comme Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels.

Les « vaccins auto-disséminés », des vaccins qui se propagent eux-mêmes, devraient aussi bientôt être utilisés. Dans ce cas, les vaccins ne sont administrés qu’à quelques porteurs qui servent de multiplicateurs et transmettent l’information génétique au reste de la population concernée par différentes voies de transmission.

De plus, à l’avenir, des spores génétiquement modifiées [Bioengineered Spores] seront utilisées pour contrôler les chaînes d’approvisionnement mondiales. Les microbes seront utilisés comme dispositifs de suivi [TrackingDevices]. Chaque aliment devrait à l’avenir pouvoir être tracé depuis le champ jusqu’à la fourchette dans la bouche. Les données sont converties en ADN, qui est ensuite introduit dans des micro-organismes. Ces micro-organismes peuvent être transférés à tout produit agricole. Qu’il s’agisse de bœuf ou de porc, de légumes, de fruits ou de céréales. Ce « code-barres ADN », comme l’entreprise appelle cette prétendue innovation, ne peut être détruit ni par la chaleur ou le froid, ni par le lavage et le hachage du produit. De plus, le produit contient des toxines qui, à faible dose, sont toutefois considérées comme — écoutez ! — « généralement inoffensives » !

Toutes ces évolutions dans le domaine de l’alimentation font de l’organisme humain un champ de bataille ! Car l’alimentation peut et va être utilisée comme une arme. Un instrument de domination de quelques-uns en arrière-plan ! Il est évident que l’UE est elle aussi un suppôt de ces dominants, car elle s’engage pour la « régulation » de l’élevage privé et veut rendre de plus en plus difficile l’autoproduction de denrées alimentaires. Au Nigeria, on est même allé plus loin. Après les Bahamas, ce pays africain est le deuxième qui a introduit la monnaie électronique de la banque centrale, la CBDC. Désormais, seules les personnes qui scannent leur code QR ou RFID CBDC peuvent obtenir de l’eau au Nigeria. Il est donc fort possible que ceux qui s’insurgent contre le gouvernement sur leurs profils de médias sociaux liés au compte de la banque centrale seront bientôt assoiffés ou mourront.

Une parenthèse de Kla.tv : l’objectif 6 de l’Agenda 2030 prévoit, selon ses dires, de garantir la disponibilité et la gestion durable de l’eau et de l’assainissement pour tous. On constate que 90 % de l’eau dans le monde est contrôlée par une série de multinationales qui en font de plus en plus un produit de luxe et empêchent toute autosuffisance et indépendance des populations.

Il est intéressant de noter que le symbole utilisé pour l’Agenda 2030 est le même que celui utilisé pour le « Great Reset » prôné par le FEM. Mais il ne faut pas s’attendre à une amélioration de la situation mondiale de la part d’une élite autoproclamée comme le Forum économique mondial. Bien au contraire, leur Nouvel Ordre Mondial n’est rien d’autre que l’enrichissement personnel et la folie du contrôle de quelques oligarques financiers aux dépens de la collectivité.

Au vu de ces développements, cette réduction de l’Humanité, planifiée de longue date, doit être révélée au public. Vous trouverez la version originale et intégrale, en allemand, de l’essai de Tom-Oliver Regenauer, sur le site : [https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe]

Diffusez également cette émission le plus largement possible ! Et revenez régulièrement sur Kla.tv pour ne pas manquer la suite. Kla.tv restera à l’écoute afin d’apporter plus de lumière sur les corrélations apparemment complexes de ce sujet.

de wou./abu.

Sources/Liens :

Essai original non abrégé de Tom-Oliver Regenauer :
https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe

Document stratégique de Henry Kissinger de 1974 :
https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/pcaab500.pdf

La lutte pour la survie des paysans :
https://www.kla.tv/27879

Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux :
https://www.kla.tv/19023




Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE !

Par le Dr Gérard Delépine

Chaque jour une nouvelle directive écologique de l’UE rogne nos libertés, nous rend la vie plus difficile, nous appauvrit. Quelques exemples.

La crise du logement fortement aggravée par l’UE et les mesures écologiques

La population française de souche n’augmente plus depuis déjà plusieurs années. La crise du logement que nous subissons est donc principalement due à l’afflux d’étrangers, souvent illégaux, que les écologistes et l’UE nous interdisent de refuser sous peine de 20000 euros par migrant1.

De plus les exigences des verts qui interdisent la location de ce qu’ils appellent passoires thermiques2 et qui exigent des travaux extrêmement coûteux, souvent peu efficaces, ont déjà retiré du parc locatif plusieurs centaines de milliers de logements bon marché en attendant d’en exclure plusieurs millions dans les prochaines années, si leur plan diabolique se réalise…Et comme les taux d’emprunts élevés et l’alourdissement important de la fiscalité sur les propriétés3 découragent déjà les investisseurs potentiels, la crise ne peut que s’amplifier…

La promesse écologique d’octroyer des logements faciles à chauffer se transforme progressivement en disparition de logement abordable. L’objectif des verts serait-il de transformer les pauvres en SDF pour leur bilan carbone bien meilleur ?

Les verts chassent les voitures des pauvres des centres-ville

Pour diminuer la pollution des villes, les élus verts font une guerre sans merci aux automobilistes. Après avoir fermé les voies sur berge, limité la vitesse de circulation à 30 Kms/H et rétréci la plupart des boulevards à une seule voie de circulation automobile, ils créent les zones à faible émission qui excluent des villes les voitures des classes moyennes. Mais, la circulation à basse vitesse dans des embouteillages permanents fait que malgré la baisse des émissions de polluants la concentration d’ozone n’a pas diminué dans l’air de Paris.

Pour travailler, les classes moyennes, contraintes de se loger en banlieue doivent supporter des transports en commun peu fréquents, souvent en panne, bondés, chers où l’insécurité règne en particulier pour les femmes. Aujourd’hui, 25 % des agressions et 40 % des vols non violents commis en Île-de-France se déroulent dans les transports en commun et on estime que 6 % des Franciliens ont déjà été victimes de l’un ou de l’autre pendant un trajet4.

Les écologistes préfèrent les punaises de lit et les rats aux pauvres !

La mairie de Paris finance des études et des entreprises de communication pour faire accepter la cohabitation avec les rats présentés comme nos semblables prêts à nous embrasser (les fameux surmulots) !

À Strasbourg, la majorité municipale défend une « régulation douce, non létale de ces animaux » qu’elle refuse d’appeler nuisibles. Caroline Zorn, coprésidente du groupe Strasbourg écologiste précise « je trouve même plutôt ça enthousiasmant qu’on utilise ce mot liminaire ».

Le mythe écologique de la mobilité électrique non polluante

Une propagande intense et des subventions colossales prélevées sur nos impôts incitent à convertir les véhicules thermiques en véhicules électriques sous prétexte d’une moindre empreinte carbone et d’une moindre pollution. Mais les calculs des écologiques ne tiennent pas compte des coûts sociaux et environnementaux de l’extraction des métaux rares nécessaires pour les batteries, ni des problèmes de leur recyclage fortement émetteur de CO2, ni des dégâts de la fabrication de la voiture en Chine, ni des graves nuisances générées par des centrales électriques au charbon qui ont été réactivées pour satisfaire à la demande après l’interdiction du gaz naturel russe.

Dans les pays qui ont généralisé avant nous les voitures électriques, beaucoup d’entre elles sont abandonnées dans d’immenses cimetières comme en Chine5

et certaines compagnies de location américaines les boudent 6.

La diminution des émissions de carbone grâce à la motorisation électrique dépend essentiellement de la manière dont l’électricité est produite. En Pologne la part du charbon dans la production d’électricité a avoisiné 80% en 2021 rendant actuellement l’utilisation d’une voiture électrique plus polluante que celle d’une voiture thermique à l’inverse de ce qu’on observe en Suède ou en Finlande où la production d’électricité repose sur des énergies renouvelables. Donc, avant de se féliciter de rouler grâce à l’électricité, il est prudent de vérifier comment il est produit et si la production possible sera suffisante.

Les taxes sur l’énergie menacent l’existence de nombreuses professions

Sous l’impulsion de l’UE et des écologistes, les taxes sur les énergies ne cessent d’augmenter sous des prétextes divers (combler le déficit créé par le « quoiqu’il en coûte », diminuer la pollution, soutenir l’Ukraine en refusant le gaz naturel russe…). Le prix de revient d’un litre de diésel avoisine les 80 centimes, mais il est vendu 2 euros (150% de taxes !). En France le coût moyen de l’électricité nucléaire qui représente 70% de notre consommation est de 0,04950€ le kWh. Le prix du kWh TTC pour les particuliers de 0.2276 € en janvier passera à 0,2516€ en février 2024 soit 400% de plus que son prix de revient.

Cette explosion des coûts met en péril de nombreuses professions qui consomment beaucoup d’énergie (boulangers, verriers, chauffeurs, taxi, pêcheurs7, agriculteurs…) dont les clients ne peuvent assumer pareilles augmentations. Il faut d’urgence limiter les taxes pour ces professions exposées.

Le tsunami des normes écologistes de l’UE et les contrôles tuent l’agriculture

Les écologistes de l’UE créent chaque jour de nouvelles normes qui noient les agriculteurs sous des monceaux de paperasse et des contrôles incessants qui les détournent de leurs champs près de la moitié de leur temps de travail8.

Le 28 février 2023, le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau a déclaré que la France, engagée dans une trajectoire européenne de neutralité carbone à l’horizon 2050, compte baisser de 46 % les émissions agricoles nationales, mais en réalité c’est la disparition de l’agriculture française qu’il prépare.

L’UE impose aux agriculteurs 14 normes pour les haies et leur dit quand les tailler. En cas d’infraction elle les menace jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende, sans compter des suppressions des aides de la PAC, soit beaucoup plus que de nombreux délits pourtant plus graves tels que les vols, les violences aggravées, le port d’armes, l’agression sexuelle…

La politique pro Ukraine de l’UE aggrave l’impact des mesures précédentes

La volonté de l’UE et des dirigeants français d’aider l’Ukraine a ouvert en grand le marché agricole à des produits (comme le poulet industriel ou le blé) qui ne suivent pas les normes de l’UE imposées à nos agriculteurs.

Et les milliards qui permettraient de soulager la misère de nos agriculteurs sont envoyés en Ukraine où ils alimentent une corruption endémique.

Ils veulent faire disparaître nos animaux familiers et ceux qui nous nourrissent

Les vaches dont « les rots menaceraient la planète » sont menacées par les directives européennes qui veulent en diminuer le nombre de près de 50% pour nous forcer à consommer le lait de Nouvelle-Zélande 9 et la viande d’Amérique du Sud 10. Cette directive a déjà été appliquée en Irlande et aux Pays-Bas suscitant des manifestations et la création d’un parti pro agricole qui a fait basculer la majorité gouvernementale aux dernières élections néerlandaises.

Les chiens11 et les chats sont accusés de constituer des « catastrophes » pour la biodiversité et le climat12 13. Ils rejetteraient l’équivalent carbone de plus de 13 millions de voitures. Le gouvernement écolo d’Australie a investi 7,6 millions de dollars australiens dans Elixer3, un robot tueur de chat guidé par intelligence artificielle14 pour lutter contre la prolifération des félins sauvages. Et 5 députés européens veulent instituer une taxe de 100 euros par chien, taxe déjà en vigueur (pour un moindre montant) à Gérone en Espagne.

Il est stupéfiant de constater que les écologistes découvrent les lois de la nature et en particulier que tous les animaux supérieurs sont des carnivores qui ne peuvent vivent qu’aux dépens des espèces plus petites et que les herbivores sont les prédateurs des espèces végétales qu’ils dévorent.

Ils veulent interdire aux chasseurs de chasser

Les chasseurs représentent pour les écologistes le diable15 qu’il faut interdire pour protéger la vie animale. Depuis lors, les sangliers ont été multipliés par 20; ils causent chaque année 20 000 à 30 000 accidents de la route16 et rôdent dans les villes françaises, se nourrissent dans les poubelles17 obligeant à des battues administratives qui se déroulent parfois mal18.

Si on se soumet à leur dictature, les verts nous interdiront de boire du café !

Selon les chiffres de l’institut Carbone 4, l’empreinte carbone par personne en France est de 2,35 tonnes : 920 kg pour la viande, 450 kg pour les boissons, 390 kg pour le lait et les fromages, 240 kg pour les fruits et légumes, 230 kg dans la catégorie « autres » et 120 kg pour le poisson.

Et parmi les boissons, le café dont l’impact en matière de gaz à effet de serre serait de 5 kg de CO2/kg de café. Les écologistes menacent donc notre boisson matinale et voudraient nous imposer à la place des tisanes locales.

Des objectifs UE écologiques très peu plausibles et qui ne servent à rien

Dans le monde la France ne participe que pour moins de 1% du rejet de CO2 très loin derrière la Chine (33%) et les USA (12,6%) et l’Inde (7%) qui ne diminuent pas leurs émissions même lorsqu’ils signent les accords du GIEC.

La majorité des pays émergents fait des promesses pour recevoir nos subventions climat, mais ils ne pourront pas les respecter sans risque de troubles sociaux graves, car sortir de l’extrême pauvreté leurs populations constitue un objectif prioritaire totalement contradictoire avec les mesures de réductions énergétiques que nous prenons.

L’objectif écologique de l’UE est d’obtenir une diminution des émissions de CO2 d’ « au moins 55 % d’ici à 2030 »19. Ce qui représente plus du double de la réduction annuelle moyenne réalisée entre 1990 et 202020. Il n’est donc guère crédible malgré les méthodes totalitaires employées.

De même, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie de l’Europe n’a, depuis 2005, augmenté que de 0,8 % par an; il faudrait tripler ce taux pour atteindre l’objectif prévu de 45% d’énergies renouvelables ce qui paraît irréalisable compte tenu de la désaffection croissante pour les éoliennes https://x.com/Georges73922577/status/1751143592612024343?s=20

et les panneaux solaires achetés en Chine.

Et même si l’UE y parvenait cela ne représenterait qu’une diminution de 0,5% du total mondial alors que les gros émetteurs continuent d’augmenter leurs émissions rendant cette minime réduction européenne totalement inopérante.

L’UE et les écologistes nous imposent des contraintes majeures qui pourrissent nos modes de vie, créent du chômage et de la misère sans le moindre espoir plausible d’obtenir la moindre diminution des rejets mondiaux de CO2  .

Rappelons à cette occasion que le rôle nocif du CO² est loin d’être démontré. Citons par exemple le député européen roumain :

Au Parlement européen, l’eurodéputé roumain Cristian Terheș dément complètement le canular du « réchauffement climatique provoqué par l’homme » :

« Le CO2 est un gaz qui représente actuellement 0,041 % de l’atmosphère totale. Malgré ce faible pourcentage, depuis des décennies, des campagnes sont menées pour faire croire que le CO2 produit par l’homme est la cause du changement climatique. » « Les solutions proposées pour lutter contre le changement climatique sont des impôts plus élevés et davantage de contrôle de l’État, ainsi que moins de droits et d’options pour les citoyens… Évidemment, l’objectif déclaré est de changer nos comportements, alors que la lutte contre le changement climatique n’est qu’un prétexte pour le faire. »
Source : https://www.youtube.com/watch?v=PIvw0_kPCw4

@wide_awake_news
 : https://t.me/realwideawakemedia

Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE et sortir de la servitude intellectuelle qui pourrit nos sociétés21





Dioxyde de carbone — Le gaz de la vie

[Source : articles.mercola.com]

Par Dr Mercola

L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

— Le dioxyde de carbone (CO2) est généralement considéré à tort comme un déchet nocif de la respiration et accusé à tort de perturber le climat de la planète.

— Le CO2 est un gaz essentiel à la vie. En outre, son impact sur les températures terrestres est négligeable et le restera même si sa concentration actuelle dans l’atmosphère devait doubler. Une augmentation de 100 % du CO2, de 400 ppm à 800 ppm, diminuerait le rayonnement vers l’espace de seulement 1,1 %, ce qui se traduirait par une augmentation de 0,7 degré C de la température moyenne de la Terre.

— Une différence de 0,7 degré C signifie qu’il n’y a pas d’urgence climatique et que, quoi que nous fassions pour réduire les émissions de CO2, cela n’aura pas d’incidence sur les températures mondiales. Pour créer une situation d’urgence là où il n’y en a pas, on suppose qu’il y a des rétroactions positives massives. Or, la plupart des rétroactions naturelles sont négatives, et non positives, de sorte qu’il est probable que l’augmentation de 0,7 degré Celsius soit surestimée dès le départ.

— Il n’existe pas de température unique pour la Terre. Elle varie en fonction du lieu et de l’altitude. Chaque kilomètre d’altitude entraîne un refroidissement moyen de 6,6 degrés Celsius.

— L’augmentation des niveaux de CO2 rendra la planète plus verte et plus accueillante pour les plantes. Plus il y a de CO2, plus les plantes et les arbres poussent bien. Le CO2 réduit également les besoins en eau des plantes, ce qui diminue les risques liés à la sécheresse.

La vidéo ci-dessus, « CO2, le gaz de la vie », présente une conférence donnée lors de la réunion de la vieille garde du Sommet dans le New Jersey, le 3 octobre 2023, par William Happer, PhD, professeur émérite de physique à l’Université de Princeton et ancien conseiller scientifique des administrations Bush et Trump.

Le sujet : le dioxyde de carbone (CO2), généralement considéré à tort comme un déchet nocif de la respiration et un polluant qui perturbe le climat planétaire. Comme l’explique M. Happer dans cette conférence, le CO2 est en fait un gaz essentiel à la vie. En outre, son impact sur les températures terrestres est négligeable et le restera même si sa concentration actuelle dans l’atmosphère devait doubler.

[Voir aussi :
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée
et les autres articles du dossier Climat.]

Le CO2 n’est pas un polluant

Actuellement, la concentration de CO2 dans l’atmosphère à quelques milliers de pieds d’altitude est d’environ 430 parties par million (ppm). Plus près du sol, les concentrations varient considérablement, à la fois en fonction du lieu et de l’heure de la journée. En effet, les relevés au niveau du sol sont influencés par la photosynthèse et la respiration des insectes, entre autres.

Dans la salle où M. Happer donnait sa conférence, la concentration de CO2 était de 1 800 ppm, ce qui s’explique par le fait qu’un grand groupe de personnes respire dans un espace clos. Les systèmes de climatisation sont équipés de compteurs de CO2 qui activent des ventilateurs pour amener l’air extérieur à l’intérieur lorsque les niveaux sont trop élevés.

La question de savoir ce qui est trop élevé est importante, étant donné que les promoteurs du Great Reset défendent un programme vert qui exige le démantèlement de l’infrastructure énergétique et de l’agriculture au nom de la lutte contre le changement climatique, qui menace manifestement notre qualité de vie et notre approvisionnement en nourriture. À terme, il pourrait même menacer l’existence de l’Homme.

Le fait est que le CO2 n’est pas le « méchant » que l’on croit, et que le programme « net zéro » est totalement inapproprié si le maintien de la vie sur Terre fait partie de l’équation.

« Le CO2 est un élément essentiel et naturel de la vie », explique M. Happer. « C’est le gaz de la vie. Après tout, nous sommes faits de carbone, principalement de carbone, et nous expirons beaucoup de CO2 par jour rien qu’en vivant. Chacun d’entre nous expire environ 2 livres [environ un kilogramme] de CO2 par jour. Si l’on multiplie ce chiffre par 8 milliards de personnes et 365 jours par an, on constate que le simple fait de vivre représente une part non négligeable du budget CO2 de la Terre.

Néanmoins, nous vivons une croisade contre ce qu’on appelle le CO2 polluant. On parle de pollution par le carbone. Mais chacun d’entre nous pollue la Terre en respirant, donc si vous voulez arrêter de polluer… apparemment, Dieu veut que nous nous suicidions…

Nous faisons toutes sortes de choses folles à cause de ce prétendu polluant… De plus en plus de belles prairies sont couvertes de panneaux solaires noirs. Cela ne fonctionne pas très bien ; cela ne fonctionne pas du tout la nuit. Cela ne fonctionne pas par temps nuageux. Cela ne fonctionne pas très bien au milieu de l’hiver à cause de l’angle du soleil.

Mais nous le faisons quand même. Si vous n’avez pas lu ce livre, je vous le recommande vivement. Il a été publié pour la première fois en 1841, sous le titre « Extraordinary Popular Delusions and the Madness of Crowds » (Illusions populaires extraordinaires et folie des foules). Il est tout aussi pertinent aujourd’hui qu’il l’était à l’époque…

Je suis physicien. Je suis fier de dire que personne ne peut me qualifier de climatologue, mais j’en sais beaucoup sur le climat et j’ai été coauteur de l’un des premiers livres sur les effets du dioxyde de carbone il y a 41 ans. Il s’agissait d’une étude réalisée par le groupe Jason, dont j’étais membre. J’en ai été le président pendant un certain temps et il y avait de très bonnes personnes au sein de ce groupe. »

Impact à long terme de l’augmentation du CO2 atmosphérique

La question clé en matière de réchauffement climatique est la suivante : de combien la Terre se réchauffe-t-elle si l’on double la concentration de CO2 dans l’atmosphère ? C’est ce qu’on appelle la question de la sensibilité du climat. On estime qu’un doublement du CO2 entraînerait une augmentation de 3 degrés centigrades de la température mondiale.

« Ce n’était pas basé sur des calculs rigoureux », explique M. Happer. « C’était le résultat d’une réflexion de groupe. C’est ce que tout le monde pensait, et c’est donc ce que nous pensions. Pour ma défense, l’une des raisons pour lesquelles je n’ai pas prêté beaucoup d’attention à cela [est que] je travaillais à ce moment-là sur quelque chose qui me semblait beaucoup plus important. Permettez-moi de vous en parler, afin que vous compreniez pourquoi je pense être qualifié pour pontifier sur ce sujet.

C’était le début de l’Initiative de défense stratégique, de la Guerre des étoiles… Le président Reagan… voulait trouver un moyen de défendre les États-Unis afin d’éviter ce pacte de suicide collectif, et nous avons notamment envisagé d’utiliser des lasers puissants pour brûler les missiles en approche…

Mais voilà le problème. Si vous prenez le laser d’un mégawatt au sol et que vous l’envoyez vers le missile, le temps qu’il atteigne le missile, le faisceau, au lieu de concentrer toute la puissance sur le missile, se brise en centaines de sous-faisceaux — des taches — et c’est quelque chose qui était bien connu des astronomes. Le même problème se pose lorsque l’on observe des étoiles et des galaxies lointaines.

Les astronomes savaient comment résoudre ce problème… Si l’on peut mesurer le degré de courbure de cette onde, on peut la faire rebondir sur un miroir courbé dans la direction opposée, et lorsque l’onde rebondit, elle est absolument plate. C’est ce qu’on appelle l’optique adaptative, qui fonctionne à merveille. Lorsque vous focalisez le faisceau corrigé, vous obtenez un seul point au lieu de centaines de [faisceaux].

Le problème, c’est que si vous regardez le ciel nocturne, il n’y a que quatre ou cinq étoiles qui sont assez lumineuses pour avoir suffisamment de photons pour mesurer la distorsion de l’onde. Nous avons donc organisé une réunion confidentielle au cours de l’été 1982. Un certain nombre d’officiers de l’armée de l’air y ont expliqué le problème. Par chance, je savais comment le résoudre.

On peut fabriquer une étoile artificielle n’importe où dans le ciel en faisant briller un laser réglé sur la fréquence du sodium sur la couche de sodium au-dessus de nos têtes, à 90 ou 100 kilomètres. »

Bien que l’armée de l’air ait d’abord douté de l’existence d’une couche de sodium dans l’atmosphère, elle a fini par construire le laser à sodium proposé par Happer, et si vous vous rendez aujourd’hui dans n’importe quel télescope terrestre, vous en verrez généralement un ou deux. Quoi qu’il en soit, cette histoire visait simplement à vous convaincre que Happer sait de quoi il parle lorsqu’il s’agit des constituants atmosphériques et des phénomènes qui y sont liés.

Le CO2 n’a pas d’impact perceptible sur les températures terrestres

Selon les alarmistes du climat, l’augmentation du CO2 entraînera un réchauffement de la planète qui menacera toute vie sur terre. En réalité, le CO2 « n’a qu’un effet très limité sur le climat », explique M. Happer.

Il faut garder à l’esprit qu’il n’existe pas de température unique sur la Terre. Elle varie en fonction du lieu et de l’altitude. Pour chaque kilomètre d’altitude, on observe un refroidissement moyen de 6,6 degrés C. C’est ce que l’on appelle le taux de déchéance [ou gradient thermique]. Ce refroidissement se poursuit jusqu’à la troposphère, où il s’arrête.

Le refroidissement est dû au fait que l’air chaud monte et que l’air froid descend. « C’est la convection qui provoque cette chute rapide des températures — 6,5 degrés par kilomètre », explique M. Happer. Il explique ensuite le graphique suivant, qui détaille le rayonnement thermique de la Terre vers l’espace, en supposant une température de surface de 15,5 degrés C. Les gaz à effet de serre représentent la zone située sous la courbe noire dentelée.

Selon M. Happer, ce chiffre ne représente que 70 % de ce qu’il serait en l’absence de gaz à effet de serre, ce qui est illustré par la courbe bleue lisse, car lorsque le soleil réchauffe la terre, les gaz à effet de serre — principalement la vapeur d’eau — empêchent le refroidissement.

La partie la plus importante de ce graphique est la ligne rouge dentelée, représentée ici avec une flèche rouge pointant vers elle. Cette ligne rouge montre l’effet qu’aurait un doublement (une augmentation de 100 %) du CO2 sur la température à la surface de la Terre. Comme vous pouvez le constater, cet effet est négligeable. Il diminue le rayonnement vers l’espace de seulement 1,1 %.

Comme le note Happer :

« Il faut bien l’admettre. Nous sommes loin de doubler [le CO2] aujourd’hui. Cela prendra beaucoup de temps, [et] cela n’entraîne qu’un changement de 1 %. Le CO2 est donc un très mauvais gaz à effet de serre. Ce n’est pas un gaz à effet de serre efficace. »

Si l’on supprime TOUT le CO2, on obtient la courbe verte en dents de scie. Comme vous pouvez le constater, les lignes dentelées verte et noire sont parallèles, à l’exception d’un point. L’effet est énorme si l’on passe de zéro CO2 à 400 ppm (flèche verte). Mais il est à nouveau négligeable lorsque l’on passe de 400 ppm à 800 ppm (flèche noire). Comme l’explique Happer :

« Tout l’effet se produit dès la première petite quantité de CO2 ajoutée… Il est donc tout à fait exact qu’un doublement du CO2 n’entraîne qu’une diminution de 1 % du rayonnement. Le GIEC [Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat] obtient la même réponse, ce qui ne prête pas vraiment à controverse, même s’il ne vous montrera jamais la courbe et ne vous dira jamais qu’il s’agit de 1 %. Cela perturberait la narration…

Il s’agit donc de rayonnement vers l’espace. Comment transformer cela en température ? Ils craignent un réchauffement intolérable de la surface de la Terre où nous vivons, ou d’autres parties de l’atmosphère.

Là encore, il est important de faire le calcul de premier ordre… et il indique que le réchauffement dû au doublement du CO2 est… inférieur à un degré… 0,7 [degré] C. Très faible. On ne peut vraiment pas le sentir. »

Pourquoi, alors, s’alarmer de l’augmentation du CO2 ?

Inutile de préciser qu’il s’agit là d’un énorme problème pour la communauté des climatologues, car une différence de 0,7 degré C signifie qu’il n’y a pas d’urgence climatique et que, quoi que nous fassions pour réduire les émissions de CO2, cela n’aura pas d’impact sur le climat.

Ainsi, pour créer une situation d’urgence là où il n’y en a pas, le GIEC « suppose d’énormes rétroactions positives », explique M. Happer. Le CO2 n’étant pas un gaz à effet de serre puissant, le minuscule réchauffement direct qu’il provoque est [supposé] amplifié par des facteurs allant de quatre à six pour donner l’impression qu’il a un impact perceptible.

« J’aime à dire qu’il s’agit d’une discrimination positive pour le CO2 », explique M. Happer.

« Il n’est pas très bon pour le réchauffement, mais si vous supposez qu’il y a beaucoup de rétroaction, vous pouvez continuer à recevoir de l’argent. Le problème, c’est que la plupart des personnes ayant des connaissances en chimie physique et en physique savent que la plupart des rétroactions naturelles sont négatives, et non positives. »

« Le réchauffement de 0,7 degré C obtenu lorsque l’on double le CO2 est probablement surestimé, car il existe probablement des rétroactions négatives dans le système climatique très complexe dans lequel nous vivons. »

William Happer, Ph.D.

C’est ce qu’on appelle le principe de Chatelier, du nom du chimiste français qui a découvert que « lorsqu’un système simple en équilibre thermodynamique est soumis à un changement de concentration, de température, de volume ou de pression… le système passe à un nouvel équilibre et… le changement s’oppose en partie au changement appliqué ».

Ainsi, le réchauffement de 0,7 degré Celsius obtenu en doublant le CO2 est « probablement surestimé », affirme M. Happer, « parce qu’il y a probablement des rétroactions négatives dans ce système climatique très compliqué dans lequel nous vivons. L’atmosphère, les océans, tout est non linéaire. »

Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que le fait que nous soyons à 400 ppm de CO2 ou à 800 ppm n’a pas d’importance lorsqu’il s’agit d’influer sur la température de la Terre. En bref, l’hystérie climatique n’est que cela. Elle ne repose sur aucune menace réelle. Ce n’est que si nous parvenions à atteindre le zéro absolu en matière de CO2 qu’il y aurait un changement, mais cela signifierait également que nous exterminerions tous les êtres vivants de la planète. Ce n’est rien d’autre qu’un programme de suicide.

Plus de CO2 rendra la planète plus verte

Comme l’explique M. Happer, une augmentation du CO2 rendra la planète plus verte et plus accueillante pour les plantes. Plus il y a de CO2, plus les plantes et les arbres poussent bien. Si nous voulons des forêts luxuriantes et des récoltes abondantes, la réduction du CO2 est donc la dernière chose à faire.

« Toutes les plantes poussent mieux avec plus de CO2 [dans l’air] », explique-t-il. «Aujourd’hui, les plantes manquent cruellement de CO2. Nous savons que les plantes ont besoin de nombreux nutriments essentiels. Elles ont besoin d’azote, de phosphore, de potassium et surtout d’eau. Mais elles ont également besoin de CO2, et comme beaucoup d’autres nutriments, le CO2 est aujourd’hui en pénurie.»

Le CO2 profite aux plantes en réduisant leurs besoins en eau, ce qui diminue les risques de sécheresse. Des niveaux plus élevés de CO2 réduisent également la photorespiration nocive. Selon M. Happer, les plantes de type C3 perdent environ 25 % de leur potentiel de photosynthèse en raison de l’augmentation de la photorespiration. Pour plus d’informations sur le rôle du CO2 dans la croissance des plantes et la photosynthèse, veuillez visionner la vidéo. La discussion commence vers la quarantième minute.

Mensonges, ignorance, stupidité ou autre chose ?

En conclusion, M. Happer s’efforce d’expliquer ce qui motive l’hystérie climatique :

« Malgré les arguments incontestables selon lesquels il n’y a pas d’urgence climatique — le CO2 est bon pour la Terre — la campagne visant à bannir le CO2, “net zéro”, a connu un grand succès. Comment cela est-il possible ? Je suis vraiment dépassé par les événements, car je parle maintenant de la nature humaine. Je suis très doué pour les instruments et la résolution d’équations différentielles, mais je ne suis pas très doué pour comprendre les êtres humains.

Mais voici quelques-uns des moteurs : les nobles mensonges, les mensonges politiques, l’ignorance, la stupidité, la cupidité. Les nobles mensonges remontent à Platon, qui en parle dans “La République”. En politique, un noble mensonge est un mythe ou une contre-vérité, souvent, mais pas invariablement, de nature religieuse, sciemment propagé par une élite pour maintenir l’harmonie sociale ou faire avancer un programme.

Et ici, l’agenda est clair. Si l’on peut d’une manière ou d’une autre unir l’humanité pour lutter contre une menace extérieure, par exemple la pollution par le CO2, alors nous ne nous battrons plus les uns contre les autres. Il n’y aura pas de guerres. Je pense donc que de nombreuses personnes sincères ont adhéré à la thèse du CO2 en partie pour cette raison. On peut d’ailleurs lire cela dans les premiers écrits du Club de Rome.

Il y a ensuite les mensonges politiques. Voici l’une de mes citations préférées de H. L. Menken : Le but de la politique pratique est de maintenir la population dans l’inquiétude (et donc de la pousser à se mettre à l’abri) en la menaçant d’une série infinie de hobgobelins, tous imaginaires ».

L’ignorance, bien sûr, est très répandue et repose en grande partie sur une connaissance incomplète ou une compréhension erronée des faits. Et qu’en est-il de la stupidité ? Dietrich Bonhoeffer, l’un des rares ecclésiastiques allemands à s’être opposé à Hitler et à avoir payé de sa vie son désaccord public, a écrit un jour sur la stupidité humaine :

« Contre la stupidité, nous n’avons aucune défense. Ni la protestation ni la force ne peuvent la toucher. Le raisonnement ne sert à rien. Les faits qui contredisent les préjugés personnels peuvent simplement ne pas être crus — en fait, l’imbécile peut contrer en les critiquant, et s’ils sont indéniables, ils peuvent simplement être écartés comme des exceptions insignifiantes.

L’imbécile, à la différence du scélérat, est donc parfaitement satisfait de lui-même. En fait, il peut facilement devenir dangereux, car il suffit de peu de choses pour le rendre agressif. C’est pourquoi il faut être plus prudent qu’avec un malin. »

M. Happer a lui-même fait l’expérience du danger que représente le fait de s’opposer à la stupidité. « Je reçois régulièrement des appels téléphoniques me menaçant de mort, ainsi que ma femme et mes enfants », dit-il. « Alors, de quel genre de mouvement s’agit-il ? Enfin, la cupidité. A.S. Pouchkine a dit un jour : “S’il y a un abreuvoir, il y aura des cochons”. Et c’est dans le domaine de la science du climat que l’on gagne actuellement le plus d’argent, à condition que votre travail contribue à renforcer le discours sur le réchauffement climatique et la nécessité de réduire à zéro les émissions nettes de gaz à effet de serre. »

Quels que soient les facteurs, les personnes responsables du monde entier doivent s’opposer à la fausse théorie du changement climatique et au programme « zéro émission », qui n’aboutira à rien en termes de normalisation des températures, mais qui érodera rapidement la qualité de vie et la durabilité de la production alimentaire, et qui fera passer la richesse dans les mains de quelques-uns.




Macron a fui en Inde plutôt que de voir les agriculteurs de l’Indre




Agriculteurs, « Les mesurettes proposées, c’est de l’enfumage, de l’hypnose. Réveillez-vous ! »




« Les raisins de la colère »

Paysans levez-vous, vous êtes nos racines et notre dignité !

Trop c’est trop, les agriculteurs de toute l’Europe disent « stop » !

Je sais bien qu’ils vont nous « emmerder1 » pour aller au travail. Je sais bien, disons que j’espère, qu’ils vont bientôt nous priver d’essence et vider les rayons des supermarchés. Mais ce n’est pas de notre colère dont ils ont besoin, mais de notre soutien.

Oui nos fins de mois, et pour certains nos débuts, sont difficiles, mais que dire de ces forçats qui travaillent plus de 90 heures par semaine pour aucun salaire !

Je ne sais pas s’ils sont notre dernier espoir ou notre seul espoir, mais nous devons être à leur côté et les aider en fonction de nos maigres possibilités.

La genèse du crime

Le capitalisme, les théories comme celles de Riccardo2 et les avantages comparatifs prônent la spécialisation et l’économie d’échelle.

Il est évident que le boulanger qui va planter du blé, fabriquer son four, avoir sa propre forêt pour le bois, le récolter, faire de la farine, faire son propre levain, pétrir son pain, le faire cuire et puis le vendre va être moins productif que celui qui se contente d’acheter un mix industriel, ajouter de l’eau, pétrir, faire cuire le pain dans un four électrique et le vendre.

Dans un monde capitaliste, il est dit que l’on doit croître ou crever et dans notre monde ultralibéral c’est encore pire.

Alors quel est le mode opératoire le plus simple pour détruire un petit agriculteur ?

Développons d’abord le comment :

La méthode est assez simple.

  • Augmenter les coûts de production : Matières premières, carburant, eau, électricité, taxes, charges sociales, impôts, réglementations, etc.
  • Diminuer les prix de vente.
  • Diminuer les rendements par exemple en interdisant certains pesticides. Ce qui est une bonne chose sur le papier, mais une concurrence totalement déloyale dès lors que les produits importés n’ont pas ces contraintes.
  • Diminuer ou supprimer les droits de douane sur les produits importés.

Dans ces conditions l’agriculteur n’a d’autre choix que d’agrandir son exploitation pour parvenir à une économie d’échelle et accroître son chiffre d’affaires.

Le pourquoi :

Ici aussi c’est assez simple.

  • Diminuer le nombre d’exploitations et donc le nombre de travailleurs indépendants.
  • Augmenter les profits, attention pas pour les petits exploitants, mais uniquement les grandes fermes.
  • Détruire la biodiversité. « L’idéal » serait une seule espèce de pommes de terre transgéniques sur la Planète.
  • Détruire l’indépendance et l’autosuffisance du pays.
  • Détruire l’indépendance de l’agriculteur pour en faire un esclave.
  • Détruire la ruralité, les petits villages, bref ce qui fait un pays.

Esclaves d’un système

Si le salarié est un esclave qui ne peut ni démissionner ni revendiquer, la faute au chômage et aux crédits pour payer sa maison ou sa voiture, il doit en être de même de l’agriculteur.

Dans l’ancienne France, l’enfant qui venait au monde dans le monde rural avait un capital à sa naissance. C’était un propriétaire terrien « raciné » et l’employé avait souvent un petit jardin pour cultiver ses fruits et légumes. Les agriculteurs possédaient de la terre et donc un capital. C’est une des raisons pour lesquelles les maîtres du monde ont tout fait pour en diminuer le nombre.

L’ouvrier ne possède RIEN, ni terre, ni racines.

Ces terriens avec des parcelles à taille humaine vivaient de leur travail, jamais riches, mais jamais pauvres, et pouvaient transmettre. La production était locale et les clients l’étaient aussi, vente à la ferme, vente à la coopérative gérée uniquement par les producteurs, vente sur les marchés alentour.

C’est alors que s’est refermé le piège de l’économie d’échelle imposée par l’économie de marché.

Pour s’agrandir, augmenter sa production et baisser ses coûts, il faut :

  • Acheter des terrains.
  • Acheter du matériel (tracteurs, etc.).
  • Embaucher de la main-d’œuvre.
  • Écouler sa production.

Et oui, non seulement il va vous falloir vous endetter à coup de crédits, mais aussi trouver des acheteurs. Il n’est plus possible de vendre la totalité de sa récolte par les moyens traditionnels.

Vous allez donc devenir esclave, mais largement plus qu’un salarié.

Le salarié a durant la durée de son contrat la garantie que sa perte de liberté sera compensée par une somme d’argent.

Pour l’agriculteur il n’en est rien, son maître sera le géant industriel, le groupement d’achat d’un supermarché qui lui « achète » sa production.

Soit il accepte les conditions de son « propriétaire », soit il crève. De toutes les façons il n’a pas le choix, ne pouvant écouler lui-même sa production et devant couvrir ses dettes, il est totalement coincé.

S’il crève, s’il est ruiné, s’il se suicide « qu’est-ce qu’on en a à foutre », une exploitation achètera ses terres pour une poignée de pain pour s’agrandir encore et encore.

Le plus « drôle » est que l’ultra-capitalisme a fait des denrées alimentaires un marché boursier avec une offre et une demande. Vos tomates seront en concurrence directe avec le producteur de Bogota. C’est dire que vous ne pouvez même pas espérer écouler votre production en cherchant un nouvel acheteur qui vous prendra vos produits soit au cours du jour, soit à un prix moyen renégocié tous les ans afin de limiter la fluctuation de vos entrées d’argent. Vous êtes totalement COIN-CÉ.

Diversification ?

Cela me fait penser au buraliste qui ne pouvant plus vivre de la vente de cigarettes s’est mis à faire bureau de poste, jeux d’argents, journaux, point relais, vente de pain et sans doute bientôt mécanicien automobile ou couturier.

Voilà donc que ces fermiers se font avoir en mettant des éoliennes sur leur terrain ou en couvrant leurs hangars de panneaux photovoltaïques à coup de crédits. Sans compter ceux qui utilisent désormais leurs terres pour faire pousser du panneau solaire.

Nous avons aussi le gîte à la ferme. J’entends que certains agriculteurs peuvent avoir du plaisir à faire connaître leur mode de vie, mais ce n’est plus l’objet lorsque cela devient un moyen de survie.

Un fermier devrait pouvoir vivre décemment de sa production, point final !

Mourir ou mourir ?

Le choix est donc limité pour le propriétaire d’une petite parcelle, disons d’une parcelle à taille humaine :

  • il crève du fait de l’augmentation des coûts de production qu’il ne peut pas répercuter, car il est en concurrence avec les produits importés de pays avec peu de normes et à la main-d’œuvre bon marché ou de l’entente entre les différents acteurs de la filière ;

ou

  • il crève parce qu’il fait le pari de l’endettement et de la vente de sa production à un esclavagiste. Esclavagiste qui le pressera jusqu’à la dernière goutte.

Les données sont impitoyables :

IA :

« En 1960, la France comptait 7,1 millions d’agriculteurs, soit 20 % de la population active. En 2020, ce nombre est tombé à 400 000, soit moins de 2 % de la population active. En 1960, la surface moyenne d’une exploitation agricole était de 15 hectares. En 2022, elle est de 100 hectares. »

Je ne connais pas d’exemples dans lequel celui qui produit s’enrichit. C’est comme le chercheur d’or à qui l’on achète ses pépites 100 fois moins cher et à qui l’on vend l’eau, la nourriture et les pelles une fortune.

Si la situation est telle qu’elle est, cela ne relève pas du hasard, mais d’une volonté de destruction.

IA :

« En 1960, la France était un exportateur net de produits alimentaires. Les exportations de produits alimentaires représentaient 10 % du PIB, tandis que les importations représentaient 5 % du PIB. Le solde de la balance commerciale des produits alimentaires était donc positif, à hauteur de 5 milliards de francs.

En 2022, la France est devenue un importateur net de produits alimentaires. Les exportations de produits alimentaires représentent désormais 7 % du PIB, tandis que les importations représentent 12 % du PIB. »

C’est simple, 5 % de PIB d’exportation nette en 1960 et l’inverse en 2022, 5 % de PIB d’importation nette. Et ils voudraient intégrer l’Ukraine à l’UE avec son blé 2 fois moins cher issu d’une agriculture intensive bourrée de pesticides ? Sans compter que 30 % des terres agricoles en Ukraine seraient dans les mains d’investisseurs étrangers versus 1 % en France.

L’argument dit « écologique »

Ne croyez pas que les vendus à Bruxelles aux ordres des maîtres du monde amateurs de Grand Reset vont nous dire que leurs lois ont pour but de détruire l’économie, nous appauvrir, supprimer toute indépendance, détruire nos racines et nous réduire en esclavage.

C’est ici que l’invention du prétendu réchauffement climatique causé par l’homme prend toute sa dimension.

Mais là n’est pas l’objet de ce texte donc :

  • Supposons qu’il y ait un réchauffement climatique sur l’ensemble du globe.
  • Supposons qu’il soit amené à durer.
  • Supposons qu’il soit mauvais pour la planète et ses habitants.
  • Supposons qu’il soit dû à l’activité humaine.
  • Supposons qu’il soit dû à l’augmentation du CO2, 0,04 % de l’atmosphère3, sachant que moins de 5 % des émissions de CO2 sont d’origine humaine.
  • Supposons que l’Europe et la France puissent apporter leur pierre à l’édifice (les émissions de CO2 en Europe baissent de quelques pour cent tandis qu’elles augmentent dans le reste du monde et explosent en Asie).

Vous voyez je suis bon prince.

Enfin imaginez l’hypothèse que vous êtes décideur au niveau de l’UE et que vous n’êtes ni totalement stupide, ni totalement corrompu. Je m’excuse auprès de mes fidèles lecteurs qui ne peuvent que rire en lisant ceci, mais « même pas peur ! ».

Que pensez-vous qu’il advienne si vous imposez des règles « environnementales » visant à réduire les émissions de CO2 de la production agricole de l’UE ?

À moins que vous n’imaginiez que nous allons diminuer notre consommation de nourriture, à moins de vouloir nous éliminer, autre hypothèse complotiste, cela ne va en rien réduire la consommation de produits agricoles.

Il ne faut donc pas être un génie pour savoir que cela va augmenter les coûts de production et donc favoriser les produits importés non soumis à ces contraintes et de plus, sans droits de douane.

D’un point de vue « climatique », qui pourrait imaginer qu’un kilogramme de tomates provenant de Chine, cultivées en n’ayant rien à foutre de l’écologie et devant voyager des milliers de kilomètres en bateau, ou mieux en avion, pourraient avoir une emprunte carbone moindre qu’une production française ?

Seul un écolo bobo parisien nourri au lait de Sandrine Rousseau pourrait gober un truc aussi illogique.

De fait les mesures dites « écologiques » (et les autres) imposées aux agriculteurs pour « réduire les émissions de CO2 » n’ont qu’un seul objectif, les tuer, ce qui fonctionne parfaitement.

L’escroquerie des aides :

Les gouvernements mettent en place des « aides » pour compenser les pertes des agriculteurs.

Il est pour le moins « merveilleux » de constater que des fermiers sont payés pour ne pas produire, laisser en jachère, alors même que notre balance agricole est déficitaire.

L’excuse du soutien du prix a peu de sens lorsque l’on sait que les cours des produits agricoles sont mondiaux.

Dans la réalité les États n’offrent pas la moindre aide. C’est uniquement des vases communicants (via les impôts et les taxes) qui passent d’une main à une autre. Au final cette « aide » se traduit par une perte de pouvoir d’achat des ménages qui sont encore plus ponctionnés.

Nous avons vécu un exemple frappant de la pourriture de ce système avec « l’aide à la pompe » dont ont « bénéficié » les Français pendant quelques mois.

En premier lieu, je voudrais rappeler que le prix à la pompe devrait être autour de 50 centimes le litre sans les taxes et les marges délirantes des producteurs et importateurs.

Le principe de l’escroquerie de « l’aide » était simple :

  • Le cours du pétrole augmente artificiellement du fait d’annonces d’embargos contre la Russie.
  • Le coût de production ainsi que les réserves disponibles demeurent les mêmes. L’Europe achète du pétrole russe via l’Inde et l’Arabie Saoudite.
  • Total le producteur, pour ne citer que lui, augmente donc le prix de vente de son pétrole brut et augmente donc quoi ? Ses marges !
  • Total le raffineur achète le pétrole plus cher à Total le producteur, le carburant raffiné est donc plus « cher » à produire.
  • Total le distributeur répercute l’augmentation sur le prix hors taxes (à ce stade ce n’est que de la marge supplémentaire pour Total).
  • Le gouvernement encaisse plus de taxes étant donné qu’une partie des taxes est fixe et l’autre est un pourcentage du prix HT, qui lui même a augmenté.

Dans un monde juste nous dirions à Total et à tous les profiteurs :

« Allez vous faire foutre, vous ne profiterez pas de la guerre en Ukraine pour augmenter encore plus vos marges sur le dos des ménages français ».

Mais là « que nenni » (en fait ce n’est pas tout à fait vrai Total s’est engagé à ne pas vendre le carburant à plus de 2 euros, ce qui a fait dire « bravo Total » alors même qu’il se contentait de limiter l’augmentation honteuse de sa marge).

Dans sa grande « générosité », le gouvernement décide de mettre en place ce qu’il appelle une « remise », c’est-à-dire une diminution de quelques centimes sur les taxes dont une grande partie est compensée par l’augmentation du prix HT et donc par l’augmentation du montant des taxes perçues par le gouvernement.

Résultat des courses, l’industriel a pu s’en mettre plein les poches et la « ristourne » a été financée par les impôts, les taxes et la dette, bref par l’ensemble des Français.

Mais comme Total n’en est pas à une escroquerie légale prêt, il va vous dire qu’il ne fait que quelques centimes de bénéfices par litre. Prix de vente du pétrole brut + prix du raffinage + prix transport + quelques centimes = prix de vente HT pour le client. Oubliant d’inclure la marge délirante engrangée pour la production de pétrole brut, la marge du raffinage et la marge du transport.

Ce pas une aide, mais du blanchiment d’augmentation de la marge de l’industriel.

Il en est de même pour les agriculteurs, toutes les aides sont financées par la solidarité nationale et permettent de ne pas toucher à la marge des différents acteurs de la filière !

Accepter de payer sa nourriture plus cher ?!

C’est la phrase que nous entendons régulièrement et les débats sans fin sur les médias mainstream.

Cette tromperie a un triple objet :

  • Vous désolidariser des paysans parce que vous avez déjà du mal à payer votre nourriture du fait de l’inflation artificielle (en réalité l’augmentation des marges).
  • Vous culpabiliser, « c’est de votre faute s’ils crèvent », car vous refusez de payer la nourriture à son « juste prix » imaginaire.
  • Vous détourner des vrais coupables que sont les industriels et les intermédiaires avec la complicité des politiques.

Il faut savoir que de nos jours les prix de vente sont totalement déconnectés du coût de production.

Regardez le prix de l’électricité qui a augmenté en France de plus de 40 % en un an, il me semble, alors même que les coûts de production n’ont pas ou peu bougé.

On nous fait croire que les agriculteurs pourraient enfin vivre dignement si leurs produits étaient achetés en fonction de leur prix de revient. C’est totalement ridicule pour 2 raisons :

  • Si vous augmentez les prix d’achat alors cela va augmenter les prix de vente et les produits ne se vendront plus du tout ou moins bien avec un report sur les produits d’importation.
  • Si les produits se vendent encore alors cela aura un effet inflationniste4 sur les matières et les salaires qui fait que le prix des matières premières et les charges de l’agriculteur vont augmenter. Il devra donc encore augmenter ses prix de vente, bref un cercle infernal sans fin.

Est-ce que les agriculteurs ont bénéficié de l’inflation depuis le début de la guerre de l’OTAN contre la Russie, bien sûr que non !

Dans les faits l’augmentation des prix ne bénéficie pas ou peu aux producteurs, mais aux vendeurs et intermédiaires. Les industriels, les distributeurs, les supermarchés ont augmenté le montant de leurs bénéfices quand bien même le pourcentage de leur marge restait identique.

Exemple : J’achète des poires au producteur à 1 euro le kilo, je fais une marge de 40 %, soit 40 centimes par kilo, je les vends 1,40 euro le kilo.

J’augmente de 10 % mon producteur qui vendra ses poires à 1,10 euro le kilo, je garde une marge de 40 %, soit 44 centimes et je vends le kilo à 1,54 €. L’agriculteur a gagné 10 centimes de plus par kilo et j’ai dépensé 14 centimes de plus pour mon kilo de poires en faisant mes courses. Et encore je suis dans la version bisounours de l’histoire, car des intermédiaires, grossistes et vendeurs en ont profité pour augmenter leur marge et faire passer cela sur le dos de l’augmentation des prix et de la guerre. Vive l’ultralibéralisme !

La solution ne passe pas par une augmentation des prix pour le consommateur

La méthode n’est pas uniquement d’augmenter le prix de vente des agriculteurs, mais de diminuer les marges honteuses des intermédiaires.

Si vous augmentez le prix des poires payées au producteur de 12 % et que vous diminuez la marge de l’ensemble des intermédiaires de 15 % alors le prix de vente au consommateur sera exactement le même !

Vous pourriez me dire, mais c’est dégueulasse, les intermédiaires et le vendeur n’auraient plus que 25 % de marge au lieu de 40 %.

(Petite précision vous entendrez ici et là que la marge de la grande distribution est de 1 à 2 %. Entendez par là que c’est ce qu’il leur reste en ayant couvert toutes les dépenses, achats, salaires, loyers, amortissements, etc. IA : « Le groupe Carrefour a dégagé un bénéfice net de 1,35 milliard d’euros en 2022, en hausse. Le chiffre d’affaires du groupe a lui augmenté de 8,5 %, à 90 milliards d’euros. En pourcentage du chiffre d’affaires, le bénéfice net du groupe Carrefour s’est donc établi à 1,5 % en 2022, contre 1,2 % en 2021 ». Ceci pour dire qu’il ne faut pas confondre la marge brute faite sur un kilogramme de poires avec le bénéfice.)

Imaginons que le prix de un euro le kg du départ couvre les coûts du paysan (version optimiste) comme si c’était un prix d’achat, bref qu’il margeait à zéro et ne gagnait RIEN. Dans ce cas de figure, les 12 % d’augmentation seraient de la marge permettant de dégager un revenu pour l’agriculteur.

Et vous trouveriez « juste » que les intermédiaires qui n’ajoutent strictement aucune valeur au produit, aucune transformation, touchent plus de 25 % de marge tandis que le producteur n’en aurait que 12 % ?

Si nous basculions dans un monde plus juste, 18 % de marge pour le producteur, 18 % de marge pour les intermédiaires, nous nous retrouverions à un kilogramme de poires au détail de 1,39 € pour le consommateur, soit 1 centime de moins pour celui-ci et 18 centimes de plus pour le producteur !

Ce n’est donc pas en donnant des « aides » aux agriculteurs ou à qui que ce soit que l’on va augmenter leur pouvoir d’achat, mais en limitant la marge des escrocs intermédiaires !

Les mêmes règles pour tout le monde

Ce n’est évidemment pas l’avis du premier cercle, mais si nous voulons participer à un Monopoly mondial les règles doivent être les mêmes pour tout le monde.

  • Si le pesticide X est interdit en France alors il est interdit d’importer un produit d’un pays qui a le droit de l’utiliser.
  • Si la main-d’œuvre dans le pays d’importation est le fruit du travail d’enfants ou d’esclaves alors les droits de douane doivent compenser cette partie-là. Il suffirait de définir un salaire minima de seuil de dignité selon le coût de la vie dans le pays d’origine et de taxer la différence. Exemple, salaire pratiqué dans le pays 3 euros de l’heure, seuil de dignité 5 euros de l’heure, droits de douane 15 % (c’est pour l’exemple, il faudrait faire des calculs).

Au lieu de niveler par le bas qui est la règle d’or de l’ultralibéralisme qui convertit nos économies occidentales en économies du tiers monde, cela inciterait les pays en question à augmenter le niveau de vie de leurs ressortissants étant donné qu’ils ne gagneraient rien à les exploiter du fait des droits de douane.

(Je vous rappelle que le coût de la main-d’œuvre sur un iPhone est indécent.

IA :

«  le coût de la main-d’œuvre représente environ 13,60 dollars sur le prix de vente d’un iPhone 14 Pro Max, qui est de 1 099 dollars aux États-Unis. Il n’est pas dit que la fabrication aux États-Unis coûterait plus cher à Apple. En effet, si la fabrication aux États-Unis permet à Apple de booster ses ventes, cela pourrait compenser l’augmentation des coûts de production. En outre, la fabrication aux États-Unis créerait de l’emploi aux États-Unis. Cela pourrait être bénéfique pour l’économie américaine, car cela créerait des revenus et des taxes. Enfin, la fabrication aux États-Unis pourrait être bonne pour le commerce extérieur américain. En effet, cela permettrait à Apple de réduire sa dépendance à la Chine, qui est un pays important pour le commerce extérieur américain. »)

Ici encore je pourrais entendre que les consommateurs seraient les grands perdants et devraient payer plus cher ! Mais non, c’est un mythe répandu par les industriels et les politiques corrompus, c’est toujours une question de marge, d’offre et de demande. Si des producteurs brésiliens veulent vendre leurs tomates en Europe, ils n’auront qu’à diminuer leurs marges. Notons qu’ils ne pourront pas baisser encore plus le prix d’achat auprès du producteur local, car cela entraînerait automatiquement une augmentation des droits de douane.

Mythe : On a besoin des agriculteurs !

Oui on en a besoin pour sauvegarder notre civilisation, notre terroir, notre diversité, le bien vivre, le bien manger, bref pour sauvegarder la France, mais pour les mondialistes ils ne servent plus à rien.

L’industrialisation et la robotisation de la production font que les agriculteurs [mais aussi bientôt tous les autres humains] ne servent plus à rien.

Il est désormais possible de produire de la merde industrielle pour des milliards d’individus sans agriculteur et même sans terre [avec le hors sol]. Quand vous dites que l’on en a besoin, vous ne raisonnez pas en pourriture ultralibérale sans conscience.

Si demain il n’y avait plus un seul agriculteur en France, cela n’empêcherait pas d’avoir les rayons des supermarchés garnis.

La faute à qui ?

À mince, j’ai encore écrit « qui », mille excuses !

C’est toujours la même histoire, en premier lieu les coupables sont tous les politiques français qui ont vendu, pardon, bradé la France. Tous ces destructeurs coupables de haute trahison ont abandonné la France et ses valeurs, pensez au scandale de la vente d’Alstom et de sa perte de souveraineté énergétique.

Ensuite il y a bien entendu l’Europe. Mais l’Europe ce n’est pas une personne morale ou juste une Hyène qui la dirige. Si ce monstre sans conscience a ce pouvoir, c’est bien qu’on le lui a donné. S’il y a bien haute trahison par les politiques de chacun des États membres il y a bien sûr haute trahison des instances européennes et de ses représentants comme les députés européens. Ces personnes ne sont pas élues pour tuer le peuple et ses intérêts, mais pour le représenter.

Un dictateur ne prend pas le pouvoir, on le lui donne.

Ceci tout en n’oubliant pas que ces traîtres européens ne sont que les pions des traîtres mondialistes dont l’objet n’est pas l’établissement d’une démocratie, mais d’une dictature mondiale qui enlève toute souveraineté aux différents pays. L’Europe en est une illustration parfaite, les élus et gouvernements français n’étant plus que des pantins, des administrateurs chargés d’appliquer les politiques européennes.

Si vous continuez à voter pour tel ou tel en France dont le programme ne serait pas le Frexit, vous vous bercez d’illusions. Rien de ce qu’il promettra ne pourra être fait sans l’accord de Bruxelles aussi bien d’un point de vue économique que sociétal.

Dindons de la farce ?

La question est de savoir si les agriculteurs qui manifestent dans toute l’Europe vont être naïfs et stupides au point de croire les gouvernants et les responsables syndicaux [vendus au pouvoir].

Vont-ils une fois de plus être stupides pour penser que les miettes d’aides que l’on va leur promettre leur permettront de vivre dans la dignité et dans la durée alors même qu’ils n’auront qu’un statut de mendiant ?

Vont-ils être naïfs au point de croire que les dirigeants européens vont mettre en place un protectionnisme de bon sens alors qu’ils font l’inverse depuis des dizaines d’années ?

Vont-ils croire que soudainement l’objectif ne sera plus leur mort, mais leur renaissance ?

Les chiffres font mal, 20 % de la population active en 1960, 1,8 % en 2020.

L’agriculteur sera bientôt un souvenir, on ira en voir quelques-uns en vacances comme on va au zoo pour voir une espèce en voie de disparition.

Avenir ?

Que l’on arrête de me répéter que ces agriculteurs ne sont que des pions manipulés, que l’on arrête de me dire qu’ils vont se faire massacrer par des polices fascistes sur ordre du dictateur. Que les oiseaux de mauvais augure me fassent une proposition concrète autre que « c’est foutu ».

Je ne suis pas pour autant né de la dernière pluie.

Il est étrange de constater que le gouvernement les laisse faire ce qu’ils veulent, les forces de l’ordre semblent plus à leur côté que l’inverse. Ils peuvent bloquer des axes routiers, déverser du fumier, brûler des biens publics, détruire totalement le macadam d’un supermarché, piller et détruire de la nourriture importée, et ce sans le moindre problème. D’autant plus étrange si l’on pense à la violence subie par les gilets jaunes pour autant pacifiques. Je ne saurais trouver d’explications convaincantes à cet instant. La répression sera-t-elle proportionnelle au laxisme apparent des autorités ? Est-ce une mise en scène dans laquelle les agriculteurs sont manipulés ?

Quoiqu’il en soit, la souffrance de la base est une réalité et je prie pour qu’ils se trouvent à ce point au bout du rouleau, au bord de la faillite ou du suicide pour qu’ils ne tombent pas dans le piège que va leur tendre le gouvernement avec la complicité active de la FNSEA.

Qu’ils exigent le droit à leur dignité, non pas le droit d’être riche comme les pourritures qui nous gouvernent, mais juste vivre honnêtement et modestement de leur travail.

Je prie pour qu’ils ne se prostituent pas pour des miettes, je prie pour que tous les Européens trompés relèvent la tête pour dire « moi aussi j’ai droit à la dignité, moi aussi j’ai droit de vivre de mon travail » et je serais avec eux pour les soutenir.

Agriculteurs unissez-vous :

  • Relevez la tête !
  • Bloquez tout jusqu’à obtenir votre dû et votre dignité !
  • Donnez vos invendus ou les marchandises confisquées sans les détruire !
  • Arrêtez de payer les intérêts de vos crédits qui s’apparentent à de l’abus de confiance et de l’abus de faiblesse !
  • Unissez-vous et appelez les autres professions comme les pécheurs, les transporteurs, etc. à vous rejoindre !
  • N’oubliez jamais où se trouvent les responsables et que vous devez faire tomber les lois européennes qui vous, qui nous, détruisent.

Je veux croire en ce mouvement paysan, je veux croire à cet appel de la terre, à cette révolte de nos racines, à ce cri de notre mère nourricière5.

Ces pourritures ne sont rien. Nous sommes le peuple, nous sommes la force si nous nous levons pour dire « STOP nous avons droit à la dignité ».

Merci

Alain Tortosa6
26 janvier 2024
https://7milliards.fr/tortosa20240126-agriculteurs-sauvez-nous.pdf


1 Vocabulaire emprunté au Président Macron.

2 « 7 milliards d’esclaves et demain ? » https://7milliards.fr

3 https://7milliards.fr/tortosa20230713-rechauffement-climatique-nuls.pdf

4 Tous ceux qui utilisent les produits agricoles devront augmenter leurs prix de vente. Certains salariés arriveront à avoir une augmentation de salaire pour compenser l’inflation. Le coût du travail va augmenter du fait de l’augmentation des salaires. Il peut même y avoir une incidence sur le chômage du fait de l’augmentation du coût du travail, mais aussi de la baisse de consommation liée à la perte de pouvoir d’achat et donc une augmentation des charges qui pèsent sur le travail. Sans compter une augmentation des produits importés du fait de l’augmentation des prix des produits locaux, etc., etc.

5 Comme j’étais en paix en regardant le convoi de la liberté au Canada

6 « Stop état urgence » https://t.me/+cNljt4jKWeVW0I1o
« Docus qui dérangent » https://t.me/+Vb2slUv5Lk9hZmZk
« On a marché sur le Nevada » https://t.me/+DeE9Htev6K8yMzM0
7 milliards d’esclaves et demain ? Https://7milliards.fr




À une jeune fille inconnue

[Source : tribunejuive.info]

Par Rémi Ferrand

A une jeune fille inconnue

Étais-tu inquiète, le soir à la ferme

Quand Papa parlait, du prix des luzernes

D’une voix très basse, comme dans un murmure

Sous les paperasses, faisant des ratures.

Étais-tu soucieuse, devant la caissière,

Quand Maman comptait le prix des affaires

Et qu’elle retirait du tapis tout noir

Une chose trop chère qu’elle disait vouloir.

Avais-tu donc honte, les jours de collège,

Quand tu comparais tes baskets beiges

Qu’on vend à Carrefour ou à Kiabi

Avec les Nike Air des garçons jolis.

Avais-tu appris, avec tous les tiens,

Le sort qu’on réserve à ceux qui matin

Se lèvent aux aurores pour aller aux champs,

Et travaillent encore au soleil couchant.

Mais étais-tu fière, de voir sur la table,

Le vin et le lait, sortant de l’étable,

Ou bien la farine du pain qui a cuit,

Et dont tous disaient : “on l’a fait ici !”

Étais-tu déjà, malgré ton jeune âge

De celles qui savent, et disent bien sage,

“Moi papa plus tard, je ferai comme avant

Et puis comme toi, je serai paysan !”

Et grandissant là, roulant vers l’école

Ignorant les traites, Crédit Agricole,

Politique commune et libre marché,

Tu pensais aux prunes et puis au verger.

Et as-tu donc ri, de voir sur la route,

Tous ces grands tracteurs qui malgré les doutes,

Faisaient la kermesse comme dans un grand soir

Pour ne pas subir et garder l’espoir.

Et t’es-tu serrée tout contre ta mère,

As tu regardé les yeux de ton père,

Qui plus loin voyait foncer droit sur vous

Une voiture pressée pleine de voyous.

As-tu entendu, la route qui pleure,

La campagne qui hurle parce qu’ici on meurt,

Et la foule idiote qui ne sait comment

On s’envole en France quand on a 12 ans.

© Rémi Ferrand




Le libre-échange tue l’agriculture française

[Source : reporterre.net]

[Illustration : Des agriculteurs manifestent début décembre 2023 devant la Draaf, la direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt de Bretagne, pour protester contre les importations de viandes étrangères. – © Loic Venance / AFP]

Par Emmanuel Clévenot

Les traités de libéralisation du commerce ratifiés par l’Europe avec l’aval de la France sont une plaie pour les agriculteurs français. Leurs normes, plus faibles, avantagent les pays exportateurs.

L’odeur du lisier déversé par les tracteurs aux quatre coins du pays contrarie les narines de l’exécutif. Le 22 janvier au soir, le Premier ministre recevait à l’hôtel Matignon le président de la FNSEA, syndicat agricole majoritaire, et celui de son petit poucet, les Jeunes agriculteurs (JA). Aux prémices de leur colère se dresse un millefeuille de normes — pour la plupart environnementales — jugées insupportables : suppression des pesticides, préservation des haies, obligation de laisser des terres en jachère…

« Supprimer ces normes n’est qu’un mirage », prévient de son côté Sylvie Colas, secrétaire nationale de la Confédération paysanne. Pour elle, l’urgence absolue est tout autre : rompre avec le libre-échange. « Les traités de libéralisation du commerce, signés entre l’Union européenne et différents pays étrangers, créent pour nous une véritable concurrence déloyale, détaille la maraîchère et éleveuse de volailles dans le Gers. N’étant pas soumis aux mêmes normes, les produits importés affichent des prix cassés… tirant ainsi les nôtres vers le bas. »

Le 20 janvier, sur le réseau social X, le Premier ministre Gabriel Attal tentait mollement d’apaiser le ras-le-bol des paysans en déclarant : « Notre agriculture est vitale pour la souveraineté de la France. » Des propos en total décalage avec la politique menée aujourd’hui, assure l’économiste Maxime Combes : « L’Europe ne cesse, avec l’aval d’Emmanuel Macron, de négocier et ratifier de tels accords. À chaque fois, ceux-ci augmentent les quotas d’importation sans taxe de produits agricoles venant de l’autre bout de la planète. »

Un nuage plane encore dans le ciel des agriculteurs, qui se révoltent depuis une semaine.
Celui d’un potentiel accord entre l’Union et le Mercosur.
© Patrick Batard/AFP

Dernier en date, l’accord avec la Nouvelle-Zélande, soutenu par 83 % des eurodéputés au mois de novembre 2023. Celui-ci prévoit à terme de supprimer la totalité des droits de douane sur les kiwis, les pommes, les oignons, le miel… ainsi que 10 000 tonnes annuelles de viande bovine, 15 000 tonnes de beurre, 25 000 tonnes de fromages ou encore 15 000 tonnes de lait en poudre. « Il ne s’agit pas de sucre de canne ou de mangues, mais bien d’aliments que l’on sait produire en Europe », poursuit le collaborateur de l’association internationale Aitec, défendant des alternatives aux politiques néolibérales.

Rainbow Warrior

Un contingent significatif sur la viande ovine — 38 000 tonnes — affectera par ailleurs les éleveurs de brebis. « En jetant un coup d’œil dans le rétroviseur, on sait déjà à quoi s’attendre, se désole Michèle Boudoin, éleveuse d’ovins dans le Puy-de-Dôme. En 1985, l’affaire du Rainbow Warrior [navire de Greenpeace coulé par les services secrets français en Nouvelle-Zélande] a fragilisé nos relations avec la Nouvelle-Zélande. Désireuse de poursuivre ses essais nucléaires dans le Pacifique, la France a alors contribué à la création d’un premier accord entre l’Union et les Néo-Zélandais. » Dès lors, 228 000 tonnes de mouton furent importées par l’Europe chaque année. Avec le Brexit, ce chiffre est retombé à 150 000 tonnes… auxquelles s’ajouteront bientôt les 38 000 tonnes du nouvel accord.

C’est à la suite d’une affaire diplomatique, celle du Rainbow Warrior,
qu’un accord avec la Nouvelle-Zélande a été conclu.
Raw pixel

Où a mené cette politique ? « Regardez les pâturages et vous comprendrez, développe la présidente de la Fédération nationale ovine, chapotée par la FNSEA. Dans les années 1990, nous étions autosuffisants à 128 %. Aujourd’hui, 4 des 9 millions de brebis françaises ont disparu et notre consommation dépend à 60 % des importations étrangères. »

« Les éleveurs ne peuvent plus vivre de leur métier »

Aussi nécessaires soient les normes environnementales, elle dénonce une bataille à armes inégales : « Nous perdons du temps et de l’argent à assurer la traçabilité de la viande, là où celle des produits importés n’est pas demandée. Certains produits vétérinaires proscrits chez nous pour la santé humaine et le bien-être animal sont autorisés là-bas. » Sans compter les cotisations sociales et le salaire des employés incomparables. Au final, le gigot d’agneau Label rouge de Michèle Boudoin coûte 25 €/kg… « là où le prix du leur dégringole à 9 €/kg » : « Les éleveurs ne peuvent plus vivre de leur métier, ça nous a anéantis. »

Mettre la main sur le lithium

Ratifié en décembre, l’accord avec la Nouvelle-Zélande est loin d’être le seul. Mexique, Chili, Australie, Kenya, Brésil, Paraguay… Une pléthore d’alliances commerciales fourmille dans les tiroirs de la Commission européenne. Certaines patientent, d’autres sont déjà en vigueur. « Abordés pays par pays, les quotas peuvent sembler modestes au regard de ce que nous consommons en Europe, concède l’économiste Maxime Combes. Seulement, l’accumulation de ces accords finit par peser et nous rendre dépendants des approvisionnements étrangers. » Pour l’heure, l’élevage bovin, ovin et caprin reste la principale victime de ce paradigme du libre-échange. Plus les traités seront nombreux et diversifiés, plus cette pression risque de s’accroître et grignoter d’autres secteurs.

Alors, à quoi bon s’entêter ainsi ? Pour Maxime Combes, l’Europe s’empresse de signer de nouveaux accords pour mettre la main sur des ressources jugées primordiales dans le verdissement de l’économie. À savoir, le lithium, le cuivre ou encore l’hydrogène : « Pour aider les multinationales européennes à ouvrir des marchés dans des pays comme le Chili ou le Kenya, il faut leur acheter quelque chose en échange. Ici, des produits agricoles. » Du côté de la Nouvelle-Zélande, Michèle Boudoin décrit de semblables manœuvres géopolitiques. « Dans les couloirs de Bruxelles, le message est clair : il nous faut un allié dans le Pacifique, quitte à faire trinquer nos éleveurs locaux. »

« Une déstabilisation massive des marchés agricoles européens »

Un grand nuage plane encore dans le ciel des agriculteurs. Celui d’un potentiel accord entre l’Union et le Mercosur… Autrement dit, d’une toute autre dimension. « Il s’agit là de quatre pays, dont deux ayant une économie agricole colossale : le Brésil et l’Argentine, poursuit l’économiste. Finaliser un tel accord signerait une déstabilisation massive des marchés agricoles européens. » En 2020, devant la Convention citoyenne pour le climat, Emmanuel Macron avait déclaré avoir « stoppé net » les négociations à ce sujet. Mais voilà qu’en juin 2023, son désormais ex-ministre du Commerce, Olivier Becht, témoignait vouloir « évidemment conclure » cet accord. « Les négociations n’ont jamais fini, conclut Maxime Combes. Elles se poursuivent porte close, avec une absence totale de transparence. »

Une chose est sûre, aux yeux de Sylvie Colas : pointer du doigt les normes environnementales, c’est se tromper de cible. « La déforestation en Amazonie et les émissions carbone induites par l’acheminement des produits accélèrent la crise climatique. Et celle-ci n’a pas de frontière », insiste la secrétaire nationale de la Confédération paysanne. Dans son département du Gers, cet automne, l’envolée des températures aurait facilité la propagation d’une maladie dans les élevages bovins.




Le nouveau projet mondialiste : mettre la Nature en Bourse !

[Source : Tocsin]

Avec Bruno Lecomte, éleveur de chèvres dans la Bresse, Collectif L113.

Ces traders qui veulent financiariser la nature.
Non, la nature n’est pas à vendre ! Enquête exclusive sur les traders de la nature.




BLOCAGES : endurcissez-vous, cela va être féroce !

[Source : L’Investisseur sans costume]

Par Guy de la Fortelle

Il y a quelque chose de pourri au Royaume de France.

Et Hamlet est une omelette qui s’étale devant les intérêts du grand corporatisme fasciste mondialiste.

Arnaud Rousseau, le président de la FNSEA va publier ce soir une liste de revendications agricoles.

Sauf que : Arnaud Rousseau en plus de son engagement syndical est surtout président du groupe Avril, géant de l’huile (1/3 du marché) et des biocarburants. Nous avions déjà parlé d’Avril pour son rôle essentiel dans les pénuries d’huile de 2022, ces gens sont des charognards (

• Pénuries : Le 1er producteur d’huile…).

Quand Arnaud Rousseau négocie les hausses de taxes sur le Gazole non routier, son groupe Avril se frotte les mains, car l’accord comporte le développement d’une filière de biocarburants professionnels… Et quelques mois plus tard, le syndicaliste monte sur les barricades et publie les revendications qu’il avait lui-même abandonnées à la table des négociations.

Cela marche de la même manière avec la PAC qui détruit notre agriculture, mais favorise Avril en forçant l’adoption des biocarburants.

Cela marche de la même manière avec les traités de libre-échange ou l’aide à l’Ukraine qui affaiblissent notre agriculture, mais renforcent le grand transformateur d’oléagineux qu’est Avril qui peut importer les OGM du Canada dont la production est pourtant interdite en Europe et les graines d’Ukraine qui lui permettent de fabriquer ses huiles à bas prix et maximiser ses marges.

Au fond Avril n’est plus vraiment un groupe agroalimentaire, mais un groupe de chimie. C’est vous dire ce qu’est devenue notre bouffe.

Plus simplement, comment Arnaud Rousseau dont le groupe a réalisé un profit record l’année dernière peut-il représenter l’immense majorité des agriculteurs sacrifiés à l’autel de ce grand corporatisme fasciste dont il est un digne représentant ?

Généralement, c’est à ce moment que l’on entend une sorte de ricanement sadique : de quoi se plaignent-ils ? Les paysans n’avaient qu’à élire quelqu’un d’autre à la tête de leur syndicat majoriaire.

Évidemment…

C’est oublier qu’en interne, Arnaud Rousseau était le seul candidat d’une élection à l’africaine n’ayant rien de démocratique.

C’est oublier aussi qu’en externe la FNSEA est le seul syndicat à qui le gouvernement ouvre la porte des négociations. Les autres syndicats sont étouffés par la politique publique de la chaise vide.

Cette fusion de l’État et de la grande corporation qui exigent le sacrifice du peuple : Nous avons la définition même d’un corporatisme fasciste dont nous ne sommes pas prêts d’arrêter de crever.

Nous avons les mêmes dérives en finance, les mêmes dérives dans l’industrie (Anne Lauvergeon est d’ailleurs au CA d’Avril).

Nous touchons au mal de notre époque, ce corporatisme étant lui-même une réaction de défense et de prédation face à la baisse tendancielle des marges depuis 1945.




Les mondialistes considèrent Trump et le populisme comme les principaux obstacles à un ordre mondial collectiviste

[Source : frontline.news]

Les dirigeants de Davos n’ont pas de solutions sérieuses face à la résurgence du populisme.

Par Caryn Lipson

Le coup de grâce pour ce qui reste de l’ordre mondial

Les mondialistes réunis au Forum Économique Mondial (FÉM) de Davos discutent ouvertement de leur crainte d’une victoire de Trump en 2024. Leur préoccupation, comme l’explique l’assistant personnel de Klaus Schwab, Yuval Noah Harari, est qu’une victoire de Trump détruira l’« ordre mondial ». De même, Harari a fait preuve de mépris à l’égard du peuple américain qui a élu Trump et a assimilé le patriotisme au fait de ne pas se soucier du reste du monde, comme l’a rapporté l’auteur de Valuetainment, Shane Devine :

Yuval Noah Harari, contributeur au Forum économique mondial (WEF) et auteur de Sapiens, a récemment déclaré qu’un second mandat de Trump serait le « coup de grâce » porté à l’ordre mondial…

Lorsqu’on lui a demandé s’il était préoccupé par la réélection de Trump dans un épisode du podcast « The Diary of a CEO », téléchargé il y a cinq jours, Harari a répondu :

« Je pense que c’est très probable, et si cela se produit, ce sera probablement le genre de coup mortel porté à ce qui reste de l’ordre mondial. Et il le dit ouvertement. Il faut bien comprendre que beaucoup de ces hommes politiques présentent une fausse dichotomie, une fausse vision binaire du monde, comme s’il fallait choisir entre le patriotisme et le mondialisme, entre la loyauté envers sa nation et la loyauté envers une sorte de, je ne sais pas, gouvernement mondial ou quoi que ce soit d’autre ».

Plus tôt dans l’interview, il a critiqué l’état d’esprit des membres de l’électorat américain qui ont voté pour Trump en 2016, le caractérisant comme une position isolationniste insensée qui ne manquera pas d’entraîner des guerres et des catastrophes.

Alors que Harari, comme d’autres détracteurs de Trump, a accusé l’ancien président d’être un isolationniste, Harari ajoute curieusement l’accusation selon laquelle son isolationnisme est « sûr de provoquer des guerres ». Harari, à propos duquel Current Affairs dit « qu’il sacrifie la science au sensationnalisme, et que son travail est truffé d’erreurs », n’a pas expliqué comment l’isolationnisme provoque des guerres. Les États-Unis ne sont pas entrés dans de nouvelles guerres pendant la présidence de M. Trump.

Devine a posté ce tweet de Harari discutant d’une victoire de Trump en 2024 :

L’interview complète de Harari peut être visionnée sur The Vigilant Fox.

Les élites se sont désignées pour construire votre avenir — et celui de tous les autres

Harari a laissé entendre que la crainte des Américains d’une transition vers un gouvernement mondial, qui les a poussés à soutenir Trump, est un non-sens stupide. Dans la vidéo ci-dessous, cependant, Klaus Schwab dit essentiellement cela, en disant aux participants à la conférence 2022 du FÉM à Davos que c’est leur puissante communauté qui est en charge de construire l’avenir du monde :

Le WEF frustré par les populistes

Nahal Toosi, correspondant principal de Politico pour les affaires étrangères, a résumé la frustration des dirigeants du FÉM face à leur incapacité à progresser plus rapidement vers un collectivisme mondial :

Dans la lutte transnationale contre la résurgence du populisme, les dirigeants d’entreprise présents à Davos ne semblent pas avoir de solutions sérieuses…

Loin d’y voir le moment de faire reculer l’insularisme, les dirigeants se préparent à un retour de bâton sans fin…

Comme beaucoup d’autres observations politiques présentées ici, elle aurait pu être partagée à n’importe quel moment de la dernière décennie. Si des leçons ont été tirées des convulsions populistes les plus aiguës du monde — la première administration Trump, l’expérience Bolsonaro au Brésil, la mise en œuvre du Brexit et d’autres — elles n’ont pas été mises en évidence.

Une certaine dissidence est permise — l’agriculture et la pêche ne sont pas des « écocides ».

Lors de la conférence 2024 du FÉM qui s’est tenue à Davos la semaine dernière, le président de la Heritage Foundation et de Heritage Action for America, le Dr Kevin Roberts, a été invité à participer à un panel discutant de ce que l’on peut attendre d’une administration républicaine.

M. Roberts avait écrit un article d’opinion avant la conférence, dans lequel il déclarait que le FÉM devait accepter que les nations, les familles et les individus aient le droit de se gouverner eux-mêmes. Evita Duffy-Alfonso, rédactrice pour The Federalist, a rapporté l’article de M. Roberts :

M. Roberts a écrit qu’il avait accepté l’invitation pour délivrer un message aux élites mondiales.

« Davos doit accepter les vertus morales, les avantages pratiques et les droits naturels des nations, des familles et des individus à se gouverner eux-mêmes », écrit-il, sinon « nous, le peuple », « prendrons les choses en main ».

« L’agenda que chaque membre de l’administration doit avoir est de compiler une liste de tout ce qui a été proposé au Forum Économique Mondial, et de s’opposer à tout cela en bloc », a-t-il ajouté.

Les affirmations de M. Roberts sont fondées sur la crainte réelle qu’éprouvent les gens face aux propositions politiques despotiques du FÉM. Jusqu’à présent, lors de la conférence de 2024, les élites mondiales ont discuté de l’instauration d’un « nouvel ordre mondial », décrié la « désinformation et la mésinformation » et qualifié l’agriculture et la pêche d’« écocide ».

« Je pense que le président Trump, s’il remporte un second mandat, s’inspirera des sages paroles du [président argentin] Javier Milei, qui a déclaré qu’il n’était pas au pouvoir pour guider les moutons, mais pour réveiller les lions », a conclu le président de Heritage. « C’est ce que l’Américain moyen et la personne libre moyenne de la planète Terre attendent de leurs dirigeants. »

Pour en savoir plus sur le discours de M. Roberts à Davos, regardez Patrick Bet-David et Glenn Beck de Valuetainment qui analysent la défense des valeurs familiales et du patriotisme par M. Roberts.




La colère des agriculteurs : un cocktail explosif

[Source : blogrioufol.com]

Par Ivan Rioufol

Attention ! Cocktail explosif. La colère des agriculteurs français, longtemps contenue, porte en elle les composants d’une possible déflagration sociale. En effet, la révolte qui se lève ne met pas seulement en cause la technocratie européenne, productrice de normes irréalistes qui exaspèrent aussi les agriculteurs allemands, belges, hollandais, espagnols, etc. Cette jacquerie, lancée initialement en Occitanie, est aussi la révolte existentielle d’une France rurale et enracinée qui est en passe de disparaître, menacée par le grand effacement mondialiste. Or cette possible dilution d’un mode de vie dépasse la réalité du monde agricole, qui ne compte plus que 416 000 exploitations, soit moins de 3 % de la population. Cette France oubliée, héritière de traditions historiques et familiales, parle aux Français gagnés par le sentiment de dépossession de leur nation et de leur destin. La France agricole est le symbole de cette France populaire qui n’intéresse pas les « élites » urbaines et déracinées. Celles-ci n’ont d’yeux que pour les « quartiers populaires » promus pour faire la France de demain. En cela, la montée en puissance de la contestation agricole ressemble à ce que fut l’insurrection des Gilets jaunes. D’autant que la pression de la fiscalité verte, qui avait été le déclencheur du mouvement, revient à la charge. Ce lundi, sur Europe 1, Priscat Thévenot, porte-parole du gouvernement, a parlé d’une « colère légitime ». Mais c’est notamment la politique d’Emmanuel Macron qui est mise en accusation.

L’européisme du chef de l’État l’oblige à cautionner la politique de l’Union européenne qui, au nom de la transition écologique, maltraite le monde agricole et ce qu’il représente comme société ancrée dans le concret. Depuis le Pacte vert (2019), l’UE a voté une quinzaine de textes qui imposent de nouvelles contraintes. Comme l’explique Christiane Lambert, l’ancienne patronne de la FNSEA : « La Commission européenne n’écoute pas les agriculteurs » (La Tribune, 21 janvier). La décision des technocrates de Bruxelles de suspendre les droits de douane sur les importations de céréales venues d’Ukraine a accentué la concurrence déloyale. En France, les producteurs ont déjà à supporter, outre des normes supplémentaires, la suppression des avantages fiscaux pour le gazole non routier (GNR), utilisé notamment pour les tracteurs. Le rétablissement de la taxe intérieure de consommation finale sur l’électricité (TICFE) s’ajoute à la liste, concernant tous les consommateurs. Après une hausse de 31 % du tarif de l’électricité l’an dernier, Bruno Le Maire vient d’annoncer 9, 8 % d’augmentation, en pointant la responsabilité de Poutine dans sa guerre contre l’Ukraine. En réalité, ces hausses sont dues à une politique énergétique erratique qui a ralenti le programme nucléaire, et à d’absurdes accords tarifaires européens (ARENDH) qui lient la France au nom de son adhésion sans faille à l’UE. Le monde réel n’a pas fini de faire trembler le Pouvoir.





PROTOCOLE 666 — L’agenda d’une élite dégénérée & satanique

[Source : le centurion romain]

Disciple de l’essayiste québécois René Bergeron et de l’ancien commandant de la marine canadienne William Guy Carr, Monast fut également proche des défenseurs du crédit social (Parti Crédit social du Canada).

Au début des années 1990, il se consacre à la rédaction d’ouvrages sur le thème du Nouvel Ordre Mondial et de conspirations ourdies par des sociétés secrètes, en particulier par les Illuminati. Il est particulièrement inspiré par les travaux de William Guy Carr.

Il fonde l’Agence Internationale de Presse libre (AIPL) où il publie la plupart de ses enquêtes.

En 1995, il fait paraître un document intitulé les « Protocoles de Toronto », un livre fait selon le modèle des Protocoles des sages de Sion où il dévoile l’activité secrète d’un groupe maçonnique, les « 666 », rassemblant tous les vingt ans les puissants de ce monde en vue de l’établissement du Nouvel Ordre Mondial et du contrôle mental des individus.

[Voir aussi, en version écrite :
Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste]




Sauvons nos agriculteurs dont l’UE et les écologistes veulent la disparition

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien

Sous prétexte de sauver la planète (qui survivra à l’espèce humaine quoiqu’il arrive), les écologistes et l’UE créent sans cesse des normes et des interdictions qui, peu à peu, détruisent notre agriculture tandis que les prétextes de la guerre en Ukraine et du financement de la transition écologique entraînent une augmentation des taxes de toutes sortes, dont celle du prix du diésel, poussant un nombre croissant d’agriculteurs à la ruine et au suicide.

Une politique agricole commune devenue désastreuse

La Politique agricole commune (PAC) a été mise en place en 1962 pour augmenter la production alimentaire ; elleprotégeait l’agriculture à l’aide de prix planchers et de protections douanières. Grâce à elle, la communauté européenne devenue ensuite l’Union européenne est devenue la première puissance agricole mondiale avec environ 418 milliards d’euros (dont 18 % pour la France).

Mais sous l’impulsion des lobbys écologistes et des mondialistes, l’Union européenne a développé l’une des législations agricoles les plus restrictives du monde tandis qu’elle ouvrait totalement notre marché à des pays qui ne la respectent pas. La législation UE, alourdie par l’inflation des normes spécifiquement françaises, a ainsi créé une distorsion de concurrence majeure au détriment de nos agriculteurs.

En 20 ans, la France est passée du 2e rang au 5e rang des exportateurs mondiaux de produits agricoles suscitant les inquiétudes résumées dans le rapport sénatorial du 28 septembre 20221 : un poulet sur deux, 56 % de la viande ovine, 28 % des légumes et 71 % des fruits consommés en France sont importés…

Le 22 novembre 2023, le Parlement européen a adopté, par 524 députés, dont les députés renaissance, l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et la Nouvelle-Zélande. Ce texte autorise l’importation de milliers de tonnes de denrées alimentaires en provenance de l’autre bout du monde, concurrençant de manière déloyale celles produites sur le sol européen tout en poussant la déforestation en Nouvelle-Zélande et la pollution mondiale par le transport maritime inter continental. Pour justifier ce traité de libre-échange, ni vert, ni vertueux, en matière sociale et environnementale, l’UE avance des arguments économiques très incertains.

Et l’UE envisage aussi de ratifier le traité de libre-échange avec l’Amérique latine qui aggravera la déforestation de la forêt Amazonienne, multipliera les transports maritimes intercontinentaux polluants et concurrencera scandaleusement l’agriculture européenne.

Notre souveraineté alimentaire est menacée par des normes souvent idéologiques inadaptées et par la politique gouvernementale qui prônent « la montée en gamme » entraînant une hausse des prix alors que la population voit son pouvoir d’achat baisser les obligeant de plus en plus à acheter des produits d’importation. Le marché du bio particulièrement exposé dans ce contexte a subi une baisse du chiffre d’affaires en 2021.

Selon le rapport sénatorial précédemment cité, 70 % des pertes de parts de marché s’expliquent par la perte de compétitivité par rapport aux autres pays. Celle-ci tient entre autres au coût du travail dans le secteur agroalimentaire lié aux charges sociales nettement plus fortes en France, à la fiscalité pesant sur la production et au coût des mesures des politiques environnementales.

La dérive totalitaire et fiscale des écologistes

Leurs menaces sur l’eau nécessaire à l’irrigation, sur l’existence même des vaches (dont les rots et les pets sont accusés du réchauffement climatique dont on observe actuellement les effets en Scandinavie2), contre les chiens accusés de menacer la biodiversité et contre les chats (pourtant jadis élevés au rang de dieu par les Égyptiens pour leur rôle de défenseur des récoltes contre les rats) rendent compte de la folie totalitaire qui inspire certains écologistes qui ne conçoivent leur religion que punitive et installent progressivement une véritable inquisition climatique.

Ce sont eux qui sont à l’origine des taxes sur le CO2, les plastiques, le diesel, l’électricité pour financer les éoliennes et les voitures électriques qui nécessitent dans de nombreux pays la réouverture des centrales à charbon. Ce sont eux qui interdisent progressivement la location des logements qu’ils qualifient de passoires thermiques aggravant d’autant la crise du logement.

Il est vrai qu’ils préfèrent les rats et les punaises de lit aux pauvres dans les villes qu’ils administrent comme à Paris, Strasbourg, Lyon ou Marseille.

Récemment Bruno Le Maire, a déclaré que, pour favoriser les investissements verts, il envisageait une re fiscalisation progressive du carburant des agriculteurs de 2024 à 2030.

Les agriculteurs des pays voisins se battent pour survivre

Les agriculteurs néerlandais ont créé un parti qui les défend et a permis ainsi de renverser un gouvernement qui les oppressait comme fait le nôtre. Suivons leur exemple.

Les agriculteurs allemands manifestent depuis plusieurs semaines 3 4 5sans jamais le moindre écho dans nos médias officiels. Depuis quelques jours, épaulés par de nombreux professionnels et commerçants, ils bloquent la circulation sur les autoroutes et les villes. Sous l’impulsion des verts, la coalition dirigée par Olaf Scholz s’était mise en tête de réaffecter une partie du budget non utilisé en 2022 à un fonds spécial pour la transition écologique et d’augmenter le prix du diesel pour les agriculteurs. Et Scholz, reniant sa promesse de campagne de ne pas augmenter la TVA s’il était élu, a augmenté la taxe sur les denrées alimentaires de 7 à 19 % le 1er janvier 2024.

Les manifestations « Zu viel ist zu viel » (« Trop, c’est trop ») rassemblent actuellement agriculteurs, cheminots et les routiers qui comptent faire grève jusqu’à ce que le gouvernement renonce à leur imposer toute mesure d’austérité.

L’AFP, a signalé de fortes perturbations du trafic dans presque toutes les régions allemandes, du Bade-Wurtemberg et la Bavière au sud, en passant par le Land le plus peuplé d’Allemagne, la Rhénanie du Nord, Westphalie, jusqu’au nord du pays. Des embouteillages de camions également été observés à la frontière entre l’Allemagne, la Pologne, la République tchèque et la France. De bruyants convois de tracteurs sont notamment entrés dans les métropoles de Munich au sud, Hambourg, Brème, au nord, ou Cologne à l’ouest, paralysant en partie le trafic.

Les autorités pour discréditer le mouvement actuellement très populaire prétendent « craindre que ce mouvement ne soit infiltré par des extrémistes d’extrême droite. »

Des agriculteurs français ont également rejoint le cortège

Au micro de France 3, Franck Sander, secrétaire général adjoint de la FDSEA 67, a déclaré : « C’est tout à fait normal que le canton de Soultz se mobilise pour leurs voisins. Nous avons des relations régulières, un lien étroit avec les agriculteurs du Palatinat et du Bade-Wurtemberg ». Tandis que Charles Wollenschlaeger, président cantonal FDSEA précise :

« On en a ras le bol de ces normes européennes qui s’empilent sur nos têtes et nous étouffent : environnement, sécurité alimentaire… On n’arrive plus à suivre, on a la tête sous l’eau. Voilà pourquoi, nous aussi, nous rejoignons ce mouvement. »

Thierry Mariani, eurodéputé RN, invité de CNews le samedi 13 janvier résume la crise :

« L’Europe est un véritable danger pour notre agriculture… Ce sera l’un des enjeux du 9 juin ! On est en train, au niveau européen, de mener une politique qui suicide nos agriculteurs. Ça a été dit par les responsables de la FNSEA. On a comme objectif de baisser de 15 % la production alimentaire ».

Thierry Coué peste6 contre « l’empilement de textes » français ou européens, les « injonctions contradictoires », ou le « manque de bon sens ». Les témoignages concordants s’accumulent7 8 9.

Pour sauver nos agriculteurs, il faut quitter l’UE, ses normes mortifères et sa politique d’ouverture aux concurrences étrangères déloyales.

Frexit !





Les agriculteurs en Allemagne et ailleurs en Europe

Mise à jour 15/01/2023 :


https://twitter.com/_2019_ncov/status/1731009664542757021?s=43




Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?

[Source : kla.tv]

« Mme Merkel, Tony Blair, ils ont tous été, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! »(([1] En ce qui concerne Poutine, l’article suivant conteste l’information :
https://www.guyboulianne.info/2023/01/29/un-nouveau-travail-de-demystification-vladimir-poutine-est-il-bien-un-young-global-leader-du-forum-economique-mondial-de-klaus-schwab/))

« Le FEM a pour mission […] de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. […] Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM — y compris les entreprises pharmaceutiques centrales, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Comment un professeur allemand inconnu a-t-il pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa Fondation suisse ? Y aurait-il eu de forces influentes qui le soutenaient en arrière plan ? Qui sont ceux qui tirent les ficelles du FEM ? Ce documentaire de Kla.TV dévoile sans ménagement les véritables plans du FEM ainsi que l’ensemble de ses dirigeants. Découvrez également les personnes de votre pays qui mettent en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM.

La 54e réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM) se tiendra du 15 au 19 janvier 2024 à Davos-Klosters, en Suisse. Selon ses propres indications, il sera consacré aux nouvelles technologies, ainsi qu’à leur impact sur la prise de décision et le partenariat global. Le FEM considère les réunions annuelles comme la principale plate-forme pour faire progresser le partenariat public-privé (PPP) au plus haut niveau. Plus de 100 gouvernements, toutes les grandes organisations internationales, les 1 000 principales multinationales, les principales institutions universitaires et autres, ainsi que les médias mondiaux y participeront.

Beaucoup de monde croit que le FEM et ses initiatives peuvent être considérés comme la force motrice de la globalisation. La globalisation est devenue un fait de société. La globalisation vient de « global » — « qui concerne le monde entier » — et signifie littéralement « devenir mondialisé ».

Selon le « Bundeszentrale für politische Bildung (Centre fédéral pour l’éducation politique) » (bpb), des formes complexes de gouvernance mondiale se sont développées au cours des dernières décennies, appelées « Global Governance » par les spécialistes. « Global Governance » est traduit dans le public par « gouvernance mondiale », mais peut également être traduit littéralement par « gouvernement mondial ». Et c’est justement là que les esprits se divisent. Les uns, comme le « Centre fédéral pour l’éducation politique », insistent sur le fait que le terme ne désigne pas un gouvernement mondial central et qu’il n’en existe pas. D’autres en revanche voient derrière le FEM et ses initiatives comme le « Great Reset » (explication : en français « Grande Réinitialisation ») une conspiration mondiale. Une « élite mondiale dans la politique et l’économie aspirerait à une dictature mondialisée ». Ce point de vue d’une possible conspiration mondiale est diffamé et taxé de théorie de conspiration par presque tous les médias établis et alignés, qui le répètent comme un mantra.

Mais où se situent les limites entre la globalisation, la gouvernance mondiale et un gouvernement mondial centralisé ? Y a-t-il des limites ou la globalisation en cours ne sert-elle pas tout simplement de terreau à un gouvernement mondial centralisé ?

Cette émission répond à ces questions et vise à jeter un coup d’œil derrière le FEM et le Great Reset : Qui sont ceux qui tirent les ficelles et y a-t-il quand même une conspiration mondiale ?

1. Origines et création du FEM

En 1971, l’économiste allemand Klaus Schwab a créé la fondation d’utilité publique « European Management Conference » (en français « Conférence européenne de management »). En 1987, elle a été rebaptisée « World Economic Forum », en abrégé en français FEM (« Forum économique mondial »). En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Dans son livre « World Economic Forum — La puissance mondiale en arrière-plan », le journaliste et expert financier allemand Ernst Wolff se demande comment un professeur allemand inconnu a pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa fondation suisse. Y aurait-il eu des forces influentes qui le soutenaient en arrière-plan ?

Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a dit à ce sujet : (www.kla.tv/19027) :

« Il me semble néanmoins que le Forum économique mondial a été poussé sur le devant de la scène par des puissances d’arrière-plan encore plus influentes. Le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, en fournit d’ailleurs lui-même un indice fort. Son ascension rapide au rang de “leader mondial du secteur privé” si je peux dire, témoigne si clairement d’un pouvoir caché en arrière-plan que je ne peux m’empêcher de percevoir l’ensemble du FEM comme une secte privée de l’économie mondiale, et plus précisément une secte qui a été installée avec succès dans la politique mondiale. »

2. Arrière-plans de Klaus Schwab

Klaus Schwab est membre du très influent groupe Bilderberg, qui a une orientation mondiale. Il a participé à de nombreuses réunions de Bilderberg et a même fait partie du comité directeur de Bilderberg.

Les hommes derrière Klaus Schwab

Entre 1966 et 1967, Schwab a effectué une année académique à la Harvard Business School aux États-Unis. Citation d’Ernst Wolff :

« C’est là qu’il a fait la connaissance de quelques personnalités qui allaient avoir une grande influence sur la suite de sa vie. Selon les propres déclarations de Schwab, son professeur Henry Kissinger compte parmi les personnalités qui ont le plus influencé sa pensée au cours de sa vie. »

Kissinger, décédé le 30 novembre 2023, était un politologue américain, stratège mondial avoué et directeur du groupe de réflexion « Council on Foreign Relations », en bref CFR.

(Plus d’informations sur Henry Kissinger https://www.kla.tv/26153)

Unlimited Hangout, une plate-forme américaine de journalisme d’investigation non censuré et indépendant, a résumé la situation de la manière suivante :

« Le Forum économique mondial n’était pas simplement une création européenne de Klaus Schwab. Cela résulte d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger — et par John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Schwab avait une équipe politique d’élite américaine qui travaillait dans l’ombre et l’aidait à créer l’organisation mondialiste basée en Europe (qui deviendra le FEM). […] »

Des années plus tard, lors du « European Management Symposium » de 1980 à Davos — l’ancêtre du FEM – Kissinger a prononcé le discours d’ouverture et a déclaré :

« Pour la première fois dans l’histoire, la politique étrangère est vraiment globale. »

John Kenneth Galbraith et Herman Kahn, les deux autres professeurs de Harvard, étaient à peine moins importants que Kissinger : Galbraith s’est rendu en Europe avec Kahn pour aider Schwab à convaincre l’élite européenne de soutenir le projet. — C’est ce qu’a rapporté « Unlimited Hangout ». Selon un article du « New York Times » de 1997, Schwab est revenu avec l’idée que les Européens paieraient probablement une bonne somme d’argent pour apprendre les méthodes de gestion enseignées à la Harvard Business School.

John Kenneth Galbraith (1908-2006) était un conseiller présidentiel canado-américain et l’un des économistes les plus influents du 20e siècle. Galbraith était membre du Council on Foreign Relations (CFR).

Herman Kahn (1922-1983) était un physicien américain et un membre fondateur du Hudson Institute. Il était également membre du CFR.

Les premières réunions à Davos

La première réunion organisée par Schwab a eu lieu en 1971 sous le nom de European Management Symposium. L’orateur principal de la réunion était Otto von Habsburg. Kenneth Galbraith et Herman Kahn faisaient également partie des orateurs.

Les premières réunions ont eu lieu sous le patronage de la Commission européenne et des fédérations industrielles européennes. Lors du troisième European Management Symposium en 1973, le prince Bernhard des Pays-Bas était le parrain honoraire. Le prince Bernhard des Pays-Bas a organisé la première conférence Bilderberg en 1954 à l’hôtel de Bilderberg près d’Arnhem, dont il était alors propriétaire. — À l’époque, la conférence était encore secrète. Le prince Bernhard a été le premier président du comité directeur du Groupe Bilderberg, et ce jusqu’en 1976.

En 1975, le « European Management Forum » a publié sa première brochure institutionnelle. Citation :

« Le European Management Forum est une fondation indépendante, autofinancée, à but non lucratif, axée sur les besoins stratégiques des principaux décideurs de l’économie européenne. » Après seulement cinq ans, le Forum s’était imposé au plus haut niveau économique et gouvernemental.

Jusqu’en 1983, le European Management Symposium était, comme l’a dit Klaus Schwab dans son discours d’ouverture, « la plus importante réunion annuelle de décideurs de l’économie mondiale ».

3. Financement du FEM

Le FEM a été créé en 1971 en tant que Fondation d’utilité publique et a son siège principal à Genève, en Suisse. Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], outre le FEM, ce sont surtout les « Open Society Foundations » du milliardaire américain George Soros et la Fondation Bill et Melinda Gates qui ont profité de la législation moderne des Fondations. Ce dernier a en effet été créé avant tout pour faciliter l’évasion fiscale des personnes fortunées. Il permet en outre d’exercer une influence directe sur la politique, l’économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires.

Selon le portail « Infosperber », le président du FEM Klaus Schwab perçoit à lui seul un salaire annuel d’environ un million de francs. La réserve d’argent du FEM serait remplie de plusieurs centaines de millions de francs. Parallèlement, le FEM ne paie pas d’impôts fédéraux.

Le FEM est principalement financé par ses 1 000 entreprises membres. Il s’agit typiquement de multinationalesmondiales dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à cinq milliards de dollars. Selon le quotidien suisse « Südostschweiz » (au 22.01.2019), la cotisation annuelle s’élève à 60 000 francs. Chacune de ces multinationales peut envoyer un représentant à Davos. Une invitation supplémentaire coûte 25 000 franc suisse, plus la TVA.

Partenaires stratégiques

Le FEM ne compte évidemment pas que de simples membres. Il y a 120 partenaires stratégiques. La cotisation annuelle minimale commence à environ 600 000 francs. La liste des groupes qui servent de « partenaires stratégiques » au FEM se lit comme un alphabet de la globalisation : d’Allianz à Bank of America et Credit Suisse (UBS à partir du 12 juin 2023), de Facebook à Huawei et KPMG (explication : KPMG est l’un des quatre cabinets d’audit les plus importants au monde avec un chiffre d’affaires annuel de 32,1 milliards de dollars) à Microsoft, Unilever et Volkswagen.

Les autres grands noms sont Airbus, Alibaba, Amazon, American Express, Apple, Bill and Melinda Gates Foundation, BlackRock, Coca Cola, Goldman Sachs, Google, IBM, IKEA, JPMorgan Chase, Mastercard, Morgan Stanley, Nestlé, New York Times, Open Society Foundations, PayPal, SAP, Siemens, TikTok, Time, UBS, Zurich Insurance Group, etc. Les entreprises pharmaceutiques telles que Novartis, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna, Pfizer sont bien entendu également de la partie.

La liste complète de tous les partenaires du FEM peut être consultée sur le site Internet du FEM :

https://www.weforum.org/partners/#search

Le FEM emploie environ 850 personnes dans le monde et a réalisé un chiffre d’affaires de 383 millions de francs pour l’année financière allant de juillet 2021 à juin 2022. Les critiques portent sur le manque de transparence des rapports financiers du FEM. Les bénéfices apparemment considérables seraient réinvestis. La richesse réelle du forum ne serait pas claire.

4. Structure de direction du FEM

Le président du forum est le fondateur et directeur général, le professeur Klaus Schwab. Il est dirigé par un curatorium (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Selon ses propres termes, il s’agit de « personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs et qui supervisent le travail du Forum pour promouvoir une véritable citoyenneté mondiale ».

Le président du Forum est depuis 2017 l’homme politique norvégien Børge Brende. Il a été ministre de l’Environnement de son pays (de 2001 à 2004), puis ministre de l’Économie et du Commerce (jusqu’en 2005) et ministre des Affaires étrangères jusqu’en 2017. Brende fait partie du groupe Bilderberg et de son comité de pilotage. (Explication : organe de décision suprême)

Membres du curatorium du FEM

Le choix des membres ne doit guère être un hasard, comme le montre leur réseau. Les membres du curatorium sont entre autres :

Ajay Banga — manager indo-américain. Président de la Banque mondiale depuis 2023. Membre du CFR et de la Commission trilatérale, un groupe de réflexion influent de conseil politique fondé par Zbigniew Brzeziński et David Rockefeller.

Marc Benioff — entrepreneur américain. Président et directeur général de Salesforce, une société de logiciels cotée en bourse. Fortune personnelle estimée à environ 8,1 milliards de dollars en 2022. Membre du CFR.

Thomas Buberl — manager allemand et président du conseil d’administration du groupe d’assurance AXA. Participant aux réunions Bilderberg 2017, 2019 et 2022.

Laurence D. Fink — entrepreneur américain. Fondateur, PDG de la plus grande société de gestion d’actifs au monde, BlackRock. Les actifs sous gestion du groupe s’élevaient à 8,70 billions de dollars américains fin 2020. Fink est également membre de la Commission trilatérale et du conseil d’administration du CFR.

Orit Gadiesh — manager américano-israélienne et présidente de Bain & Company, l’un des plus grands cabinets de conseil au monde. Participante aux réunions Bilderberg de 1997 et 1998. Également membre du CFR.

Kristalina Georgieva — femme politique et économiste bulgare. Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Participante à la réunion Bilderberg 2016.

André Hoffmann — Entrepreneur suisse. Depuis 2006, vice-président du conseil d’administration de Roche Holding AG (Suisse), l’une des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde. Membre du « Club of Rome » et participant à la conférence Bilderberg 2019.

Joe Kaeser — manager allemand. Président du conseil d’administration de Siemens de 2013 à 2021. À gagné 9,27 millions d’euros en tant que PDG de Siemens 2020. Membre de la Commission trilatérale en Europe. À participé à la conférence Bilderberg en 2015 et 2016.

Christine Lagarde — juriste française. Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) depuis 2019. Membre du groupe Bilderberg et participante aux réunions Bilderberg de 2009, 2013, 2014, 2016 et 2017.

David M. Rubenstein — entrepreneur américain. Co-fondateur et co-président du Carlyle Group, l’une des plus grandes sociétés d’investissement privées au monde. Fortune personnelle estimée à 3,2 milliards de dollars américains en 2019. Membre de la Commission trilatérale. Participant à la réunion Bilderberg 2017. En outre, actuellement président du conseil d’administration du CFR.

Al Gore — homme politique et écologiste américain. N’a pas participé à une réunion du Bilderberg, mais joue un rôle de pionnier décisif dans l’agenda climatique. Son film « Une vérité dérangeante » (2006) a fait le tour du monde et a été diffusé dans les écoles. En 2007, un tribunal de Londres a décrété que les élèves devaient être informés des erreurs de contenu. Par exemple, que la fonte des glaciers de l’Antarctique occidental et du Groenland ne provoquerait pas « dans un avenir proche », comme l’affirme le film de Gore, une hausse dramatique du niveau des mers. Le père de deux écoliers qui a porté plainte a qualifié le film de « lavage de cerveau » qui n’a rien à faire dans les écoles.

À propos des réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale

La participation à une réunion de Bilderberg est un fil rouge pour les membres du Curatorium du FEM (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Il vaut donc la peine de jeter ici un coup d’œil sur les réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale.

L’émission suivante de Kla.TV donne des informations : « Groupe Bilderberg — le gouvernement secret de l’ombre ? » (www.kla.tv/26318)

Le plan stratégique pour la création du club Bilderberg a été élaboré au sein du CFR Council on Foreign Relations (en français : Conseil des relations étrangères). Le CFR est un groupe de réflexion privé américain, fondé en 1921 — qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l’ombre aux États-Unis. Henry Kissinger se souvient de la naissance du club Bilderberg :

« Nous nous sommes rencontrés il y a 60 ans dans le cadre d’un groupe d’étude au Council on Foreign Relations. Peu de temps après, il [David Rockefeller] a encouragé un groupe de discussion qui est devenu plus tard ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de groupe Bilderberg. »

David Rockefeller a été directeur du Council on Foreign Relations jusqu’en 1985 et ensuite, jusqu’à sa mort, président honoraire de celui-ci.

Henry Kissinger (*né en1923) a participé à la naissance du club Bilderberg. Il a toujours joui d’une position forte lors des conférences Bilderberg.

Kissinger a été l’un des plus proches alliés de David Rockefeller jusqu’à sa mort. Il est membre de longue date du CFR et a fait partie de son conseil d’administration de 1977 à 1981. À l’occasion de son centième anniversaire, Kla.TV a diffusé le documentaire « 100 ans de Henry Kissinger — stratège mondial et criminel de guerre ? » (www.kla.tv/26153).

Le groupe Bilderberg a été fondé à l’initiative de David Rockefeller (1915-2017). David Rockefeller était le président et l’actionnaire principal de la Chase Manhattan (devenue depuis JPMorgan Chase), autrefois la plus grande banque américaine au monde. Sous sa direction, la Chase Manhattan Bank est devenue un pilier central du système financier international. Toute sa vie, Rockefeller a poursuivi le projet d’un gouvernement mondial dirigé par la haute finance.

Il a écrit dans ses mémoires :

« Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, qualifiant ma famille et moi d’“internationalistes” et de conspirateurs qui ont uni leurs forces avec d’autres à travers le monde pour créer une plus forte structure économique — un monde unique, si vous voulez. Si telles sont les allégations, je plaide coupable et j’en suis fier. »

Pour atteindre cet objectif, David Rockefeller a lancé plusieurs organisations ou « think tanks » (groupes de réflexion) dont la « pensée préalable » influence la politique internationale :

Outre le groupe Bilderberg, il a ainsi fondé la Commission trilatérale avec Henry Kissinger et le stratège mondial Zbigniew Brzezinski.

La Commission trilatérale remonte à la réunion de Bilderberg de 1972, au cours de laquelle David Rockefeller a proposé sa création. De nombreux membres de Bilderberg ont également rejoint la Trilatérale.

Conclusion intermédiaire

Jusqu’ici, il apparaît que les origines du FEM remontent à des stratèges mondiaux comme David Rockefeller et Henry Kissinger. Afin d’œuvrer à leur objectif de gouvernement mondial centralisé, ils créent des groupes de réflexion pour influencer la politique internationale. Ils ont commencé par le CFR, puis ont donné naissance au groupe Bilderberg et, plus tard, à la Commission trilatérale. Le FEM doit être considéré comme une nouvelle pièce du puzzle dans cette série, afin de réaliser leurs objectifs de gouvernement mondial.

5. Avec quels objectifs le FEM a-t-il été initié ?

Le FEM peut être considéré comme une forme moderne de groupe de réflexion permettant de contourner les structures parlementaires et d’exercer une influence sur la politique internationale.

L’expert financier Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre, [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], citation :

« Le FEM joue un rôle particulier à cet égard, car son exemple illustre parfaitement la manière dont le parlementarisme a été progressivement vidé de sa substance au cours des dernières décennies et condamné à l’inefficacité. En outre, son histoire montre que la marche du monde est de plus en plus déterminée par des forces qui ne sont élues par personne et qui sont souvent à peine connues du public. »

Mission du FEM

Écoutez à ce sujet une déclaration du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek :

[https://www.kla.tv/WEF/19027]

« Le FEM a pour mission de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM, y compris les principales entreprises pharmaceutiques, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

« … et bien que le FEM ne soit pas une institution publique, il domine néanmoins clairement l’ensemble de la politique mondiale, et ce de manière considérable. »

6. Initiatives du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Les initiatives stratégiques décisives des temps modernes ont toujours été introduites via la plateforme du FEM. Parmi elles, le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019 — c’est-à-dire la dictature du Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc.

Dans ce qui suit, nous allons maintenant nous pencher sur la pertinence de chaque initiative :

Année 1968 — Club de Rome – Dictature climatique

Déjà lors de la réunion Bilderberg de 1964 (du 22 au 24 mars en Virginie, USA), David Rockefeller, Max Kohnstamm et Aurelio Peccei s’étaient rencontrés pour chercher les meilleurs moyens de réduire la population. Le point de départ était l’initiation et l’utilisation des crises mondiales. [V&CV14/2023] Enfin, le « Club de Rome » a été fondé en 1968 par David Rockefeller et Aurelio Peccei après une réunion du Bilderberg (26-28 avril 1968 au Canada). Tous deux figurent sur les listes des participants aux réunions de Bilderberg de 1964 et 1968. Aurelio Peccei (1908-1984) était un industriel italien. Il a été directeur de Fiat et président du conseil d’administration d’Olivetti et d’Italcon.

Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 28], Peccei a été l’orateur le plus écouté de la réunion du FEM de 1973. Dans son discours, il a résumé les thèmes clés du livre « Les limites de la croissance ». Il s’agit à l’origine d’un rapport du « Club de Rome » sur la situation de l’humanité, publié en 1972.

Dans son discours, Peccei a abordé la surpopulation mondiale comme le plus grand problème de l’humanité et en a déduit l’exigence d’une réduction de la population mondiale.

Dans une interview, Klaus Schwab fait la déclaration suivante : « I worked on climate change since 1973. Just to tell you, because I was the person, who gave the Club or Rome, the first big platform! »[enregistré en français] :

« Je travaille sur le changement climatique depuis 1973. Juste pour vous dire que c’est moi qui ai donné au Club de Rome sa première grande plate-forme ! »

Année 2000 — GAVI, la dictature de la vaccination

[Explication : GAVI = abréviation de l’anglais « Global Alliance for Vaccines and Immunisation » (en français « Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation »)].

[https://www.gavi.org/]

L’Alliance a été fondée le 29 janvier 2000 au Forum économique mondial de Davos. Objectif : faire face à la stagnation, voire au recul, des taux de vaccination dans les pays les plus pauvres du monde depuis la fin des années 1990 déjà. Ernst Wolff écrit dans son livre [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 79] que la création de GAVI « a été de loin l’événement le plus important de la première réunion du nouveau millénaire ». Citation de Wolff :

« Les initiateurs de la création de l’Alliance étaient l’OMS, l’UNICEF, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates (ainsi que la Fondation Rockefeller [p. 81]). La Fondation Bill et Melinda Gates a fourni à l’Alliance un financement initial de 750 millions de dollars. »

Selon un communiqué de presse de GAVI du 23 janvier 2020, des politiciens de pays industrialisés de premier plan ont apporté leur soutien à l’Alliance pour la vaccination GAVI. Ceci dans le cadre des festivités du 20e anniversaire au Forum économique mondial. La chancelière allemande Angela Merkel a ainsi annoncé une promesse de soutien à hauteur de 600 millions d’euros pour les années 2021 à 2025.

Dans une interview donnée à Kla.TV en juin 2022, Wolff définit un autre grand objectif de GAVI : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui devient encore plus intéressant, c’est qu’en 2017, ce GAVI a créé avec Microsoft et quelques autres multinationales l’ID2020, c’est l’Alliance pour l’identité numérique, c’est l’alliance pour la promotion de l’identité numérique. Et c’est le rêve de tous les groupes numériques de donner à chaque personne dans le monde sa propre identité numérique. Et derrière tout cela, il y a aussi GAVI et Microsoft, donc Bill Gates et la fondation Bill et Melinda Gates. Ce qui est très intéressant, si l’on regarde — donc GAVI est une organisation médicale — on devrait supposer que le chef de cette GAVI est probablement un médecin. Mais loin de là, le chef de GAVI n’est autre que José Manuel Barroso, l’ancien chef de la Commission européenne, mais aussi un camarade de classe de Bill Gates et d’Angela Merkel dans la l’école Young Global Leaders du FEM. Et accessoirement, cet homme est également conseiller de Goldman Sachs depuis 2016. L’actionnaire principal de Goldman Sachs n’est autre que BlackRock, donc là encore, la boucle est bouclée. »

Année 2005 — Young Global Leaders (« Jeunes leaders mondiaux »)

Selon le site Internet du FEM, Klaus Schwab a créé le forum « Young Global Leaders » (abrégé en YGL) en 2004. Il est issu de la communauté des « Global Leaders of Tomorrow », qui a existé de 1993 à 2003. Citation :

« Parmi les plus de 1 400 membres et diplômés de 120 pays, on trouve des personnalités innovantes du monde économique et social, des entrepreneurs, des pionniers de la technologie, des pédagogues, des activistes, des artistes, des journalistes et bien d’autres ».

L’objectif étant de « créer un avenir meilleur et plus durable » et de le façonner.

Selon leurs propres indications, les membres entretiennent « L’initiative 2030 ». Celle-ci a pour objectif un plan d’action visant à réaliser la vision d’un monde idéal en 2030.

Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre « Forum Économique Mondial — Le pouvoir mondial en arrière-plan » [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, P. 64-65] ce qui suit :

« Pour la première fois, l’élite a commencé à sélectionner de manière ciblée sa propre relève, à l’instruire systématiquement pour la préparer à ses tâches et à la mettre en réseau. Quelques noms de la première promotion, qui se lisent comme un Who’s Who de l’élite politique et corporative des années suivantes, montrent à quel point le projet a été un succès sensationnel. On y trouve notamment Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Tony Blair, Gordon Brown, José Manuel Barroso et Bill Gates. Comme l’ont montré les 30 années qui ont suivi, les fondements d’un réseau étroitement lié de politiciens, de dirigeants économiques et de professionnels des médias, qui allaient avoir une influence décisive sur la marche du monde, ont ainsi été posés. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 265]

« Le président russe Vladimir Poutine n’apparaît pas dans les listes des participants aux Young Global Leaders ou aux Global Leaders for Tomorrow. Mais Klaus Schwab lui-même l’a mentionné dans deux interviews en tant que Young Global Leader ».

(Déclaration originelle de Klaus Schwab au FEM 2019) :

« Mme Merkel, Tony Blair, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! Avec eux, le chancelier Kurz et la Première ministre de Nouvelle-Zélande, ce sont les trois plus jeunes dirigeants de gouvernements qui sont ici ! »

Wolff a souligné une autre caractéristique dans une interview accordée à Kla.TV en juin 2022 : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui est intéressant, c’est qu’ils ont adopté une ligne de conduite particulièrement dure lors de la crise du Covid. Donc, chez nous en Allemagne, c’était le ministre de la Santé Jens Spahn, en Autriche, c’était l’ex-chancelier Kurz, en France, c’était Monsieur Macron, au Canada, c’était Justin Trudeau et en Nouvelle-Zélande, c’était Jacinda Ardern. Ils ont tous présenté une démarche tout à fait extrême, et ce sont tous des Young Global Leaders du FEM. »

Découvrez les personnes de votre pays mettant en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM. Vous trouverez le document avec la liste des 3 800 « Young Global Leaders » de 1993 à 2023 sous l’émission.

Année 2007 — Réunion annuelle des nouveaux champions

En 2007, le FEM a introduit la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui se déroule chaque année en Chine et qui est également appelée « Davos d’été ». Il s’agit de représentants d’« entreprises mondiales en croissance ». Des entreprises phares de pays émergents à croissance rapide tels que la Chine et l’Inde, mais aussi des entreprises à démarrage rapide de pays industrialisés.

Année 2011 — Global Shapers (« Façonneurs mondiaux »)

En 2011, le FEM a créé le réseau mondial « Global Shapers » pour les personnes âgées de 20 à 30 ans avec un grand potentiel pour de futurs rôles de leaders dans la société. La « Global Shapers Community » se compose de hubs locaux (c’est-à-dire de centres) auto-organisés dans les grandes villes du monde entier.

[Déclaration originelle d’Ernst Wolff lors de l’interview avec Kla.TV : https://www.kla.tv/WEF/22827

« Le FEM va désormais plus loin ; il a maintenant lancé un nouveau programme qui fonctionne depuis environ 10 ans. Ce sont les Young Global Shapers. Il y en a aujourd’hui 10 000 dans le monde. Ce sont de jeunes entrepreneurs en startup qui ne peuvent avoir qu’entre 20 et 30 ans. »

Le programme du FEM des « Global Shapers » doit être considéré comme un instrument supplémentaire pour mettre en place l’agenda de gouvernance mondiale globale des hommes de l’ombre du FEM.

Année 2016 — Transhumanisme

Lors de la rencontre annuelle du FEM 2016, on a discuté des nouvelles technologies, de l’« édition génétique » à l’intelligence artificielle et à l’impression 3D. « Édition de gènes » — en anglais « genome-editing » — est un terme générique désignant les techniques de biologie moléculaire permettant de modifier l’ADN de manière ciblée, y compris le patrimoine génétique des plantes, des animaux et des êtres humains.

Selon le site web du FEM, les questions suivantes ont été posées :

« Comment ces technologies vont-elles changer la vie de la prochaine génération ? »

« Comment ces technologies vont-elles changer le monde des affaires, les gouvernements et la société ? »

« Comment l’homme et la technologie peuvent-ils collaborer pour obtenir de meilleurs résultats ? »

À ce sujet, l’expert financier Ernst Wolff : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 117]

« Le livre de Schwab “La Quatrième Révolution Industrielle” a été publié à l’occasion de la réunion annuelle de 2016 et a ensuite été traduit en 30 langues. Son message fondamental était que la fusion des technologies des mondes physique, numérique et biologique créerait des possibilités entièrement nouvelles. […] En effet, malgré ses mises en garde contre les risques de l’évolution, Schwab a ouvertement professé le transhumanisme dans de nombreuses interviews et a qualifié la fusion des corps humains avec la sphère numérique de progrès évolutif. »

Dans une vidéo de 2016, Klaus Schwab expliquait ce qu’il entendait par « Quatrième Révolution Industrielle » : [https://www.youtube.com/watch?v=7xUk1F7dyvI]

La Quatrième Révolution Industrielle | En bref (par le FEM) https://youtu.be/raOS5dxQ9uI?si=evFgKv6gYO5La7g7

« La révolution industrielle aura un impact complet sur nos vies. Elle ne changera pas seulement la façon dont nous communiquons […], mais aussi notre propre identité. »

« Ce sera comme un tsunami, pas seulement une révolution numérique — bien sûr qu’elle est numérique, physique, c’est la nanotechnologie, mais elle est aussi biologique. »

Ray Kurzweil, inventeur américain et directeur du développement technique (Director of Engineering) chez Google LLC, a décrit les plans de l’humanisme comme suit : https://www.kla.tv/18254

Fusionner l’homme et la machine : notre avenir doré ? 04.03.2021 | www.kla.tv/18254

« Cette fusion de l’homme et de la machine, avec l’explosion soudaine de l’intelligence des machines, conduira à un monde où il n’y aura plus de distinction entre la vie biologique et la vie mécanique, ni entre la réalité physique et la réalité virtuelle. »

À ce stade, il est important de s’arrêter un court instant et de réfléchir à ce que cela signifie, ou aux conséquences qui en découlent : la porte est ainsi grande ouverte à toutes les manipulations, au contrôle et à la gestion de l’humanité par des programmeurs anonymes. Plus rien ne s’opposerait à une « dictature mondiale unique » centralisée !

Année 2019 — Agenda 2030

Le 13 juin 2019, Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, et António Guterres, secrétaire général de l’ONU, ont signé un partenariat entre leurs deux organisations. Le but de ce partenariat est d’accélérer la réalisation des 17 objectifs de développement durable. Il s’agit d’objectifs politiques des Nations unies (ONU) qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016. Le titre officiel en français est « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le développement durable », en bref : « Agenda 2030 ».

En principe, cela signifie que le pouvoir de façonner l’avenir mondial a été remis aux grandes multinationales et à leurs propriétaires. L’accord stipule également que « la Quatrième Révolution Industrielle » du Forum économique mondial est une composante importante pour mettre en œuvre l’Agenda 2030.

Călin Georgescu est roumain et ancien membre de haut niveau des Nations unies. Dans l’émission Kla.TV du 11 mars 2023, il a révélé ce qui se cache derrière l’agenda de l’ONU. Voici un résumé de l’introduction de l’émission kla.TV : [https://www.kla.tv/25376]

Nous sommes TOUS concernés : Un haut fonctionnaire de l’ONU révèle les sombres secrets de l’ONU 11.03.2023 | www.kla.tv/25376

« Les Nations unies, en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et bien d’autres, sont en train de mettre en place l’Agenda 2030 à l’échelle mondiale. Il s’agit de la plus grande transformation jamais envisagée, planifiée massivement pour tous les pays et tous les peuples, et qui vise à modifier chaque aspect de la société humaine : finances, agriculture, alimentation, voyages, économie, sexualité, éducation, etc. L’objectif ultime de l’Agenda 2030 est d’établir un gouvernement mondial unique avec des dirigeants non élus. Les Nations unies, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial sont au cœur de ce projet de gouvernement mondial. Au-dessus d’eux se trouvent des groupes d’intérêts financiers qui agissent totalement dans l’ombre, afin que personne ne leur demande jamais de rendre des comptes pour leurs crimes contre l’humanité. »

Année 2019 — Événement 201 — Dictature de Covid

Selon le site web de l’« Université Johns Hopkins », le « Johns Hopkins Center for Health Security » (Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire), en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé le 18 octobre 2019 à New York l’« Event 201 ».

Il s’agissait d’un cas fictif de pandémie grave à l’échelle mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. L’exercice de pandémie portait sur des situations dans lesquelles des partenariats public-privé sont nécessaires pour faire face à de telles pandémies. Dix semaines plus tard, la Chine a annoncé à l’OMS les premiers cas de Covid-19.

Année 2020 — Great Reset — Dictature numérique

The Great Reset, c’est-à-dire la Grande Réinitialisation désigne l’initiative du Forum économique mondial visant à remodeler l’économie et la société mondiales à la suite de la pandémie de COVID-19.

Ernst Wolff a résumé dans son livre de quoi il s’agit [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 133] :

« Quatre mois après la déclaration de la pandémie mondiale (le 9 juillet 2020), Klaus Schwab a présenté son ouvrage “COVID-19 La Grande Réinitialisation”, co-rédigé avec l’auteur Thierry Malleret. […] En même temps que son livre, Schwab a présenté l’initiative Le Grande Réinitialisation avec laquelle le FEM, en coopération avec ses partenaires, veut s’attaquer à la construction du monde post-COVID-19. Ce qui est remarquable, c’est que dans le cadre de cette initiative, la crise du Covid n’est considérée que comme un phénomène passager. […] Il est essentiellement question de deux autres thèmes : Le changement climatique et la quatrième révolution industrielle. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, pages 144-145]

« L’introduction de la monnaie numérique de banque centrale est la pièce maîtresse du Great Reset. Il est actuellement préparé en arrière-plan dans le monde entier et soutenu par le FEM. […] Concrètement, le projet se présente ainsi : Chaque citoyen et chaque entreprise ne disposerait plus que d’un seul compte auprès de la banque centrale. Cela permettrait à l’État de fixer de manière centralisée la quantité d’argent, de diriger et de contrôler les flux monétaires et de fixer les taux d’intérêt en fonction des besoins. […] Les citoyens comprendront très vite que l’État pourrait non seulement suivre chaque transaction, mais aussi leur imposer au passage des taux d’intérêt individuels, des taux d’imposition individuels, ou encore des pénalités, lier l’argent à […] un système de crédit social sur le modèle chinois ou les couper complètement de tous flux financiers. »

Une vidéo du Forum économique mondial (FEM) datant de 2016 montre où pourrait mener l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, jusqu’à la coupure de tous flux financiers. Cela est paru sous le nom de « 8 prédictions pour le monde en 2030 ».

« Tu ne posséderas rien et tu seras heureux » est une phrase de la vidéo. Elle est tirée d’un essai de la politicienne danoise Ida Auken.

La vidéo a été supprimée du site web du FEM, car elle a suscité trop de protestations. Elle peut toutefois être consultée sur la page Facebook du FEM.

Le 10 novembre 2016, le FEM a défini dans un article du magazine « Forbes » comment il fallait comprendre la phrase « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux ». Citation : « Bienvenue en 2030. Bienvenue dans ma ville — ou devrais-je dire “dans notre ville”. Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède pas d’appareils ni de vêtements. Cela peut vous sembler étrange, mais c’est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est maintenant devenu un service. Nous avons accès aux transports, au logement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. L’un après l’autre, toutes ces choses sont devenues gratuites, si bien que cela n’avait aucun sens pour nous de “posséder” beaucoup. »

La non-possession est promue comme une aubaine.

Écoutez à ce sujet le fondateur de Kla-TV, Ivo Sasek (Émission Kla.TV du 18.06.2021) : [https://www.kla.tv/WEF/19027]

« De l’extérieur, le FEM se présente (on ne peut pas être plus effronté) avec diverses vidéos qui font ou devraient faire miroiter à la population mondiale le renversement de l’ancien ordre mondial. Après des critiques sévères, ils ont rapidement supprimé certaines de ces vidéos. En effet, ils y ont carrément glorifié l’appauvrissement des peuples, imaginez un peu, la dépossession totale de tous nos biens présentée comme un événement enthousiasmant, vous comprenez, la privation de nos droits comme désirable, présentée de manière moderne. »

Ivo Sasek a également une solution pragmatique toute prête, comme il l’a exposé le 16 mars 2023 : https://www.kla.tv/PrincipeSourisLaboratoire/25587]

Le nouveau principe de la souris de laboratoire 30.03.2023 | www.kla.tv/25587

« En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d’abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM. »

7. Autres acteurs du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Outre les acteurs mondiaux et les grandes multinationales déjà mentionnés, il faut encore citer deux autres acteurs décisifs.

Il est important de garder à l’esprit que ces acteurs et d’autres n’agissent pas de manière autonome, mais qu’ils ont été créés par ces mêmes acteurs mondiaux.

Chine

De 1978 à 1997, la Chine a été dirigée de facto par Deng Xiaoping. Lorsqu’en décembre 1978, celui-ci a amorcé l’abandon de l’économie planifiée centralisée et le passage au capitalisme, Klaus Schwab a réagi promptement. Schwab a immédiatement invité Deng Xiaoping au prochain symposium de Davos en 1979.

Ernst Wolff a écrit dans son livre : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 96]

« 2009 a été la 30e année de participation d’une délégation chinoise à la rencontre de Davos. Entre-temps, presque tous les chefs d’État et de parti chinois avaient rendu visite au FEM. Le bureau du FEM à Pékin a travaillé en étroite collaboration avec la Commission nationale chinoise pour le développement et la recherche, avec le ministère chinois des Affaires étrangères et avec un certain nombre de grandes entreprises chinoises. ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 139]

« Lors de la réunion virtuelle de janvier 2021, organisée sous le slogan “Great Reset” […] le président chinois Xi Jinping a prononcé un message vidéo. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p.139]

« Si on regarde la liste des participants qui rejoindront les rangs des Young Global Leaders entre 2020 et 2022, on constate que la Chine a fourni le plus gros contingent après les États-Unis et que le nombre de candidats issus du secteur financier est supérieur à la moyenne. Ce n’est pas un hasard, car selon la volonté du FEM, ces deux pays sont appelés à jouer un rôle décisif dans le cadre du Great Reset dans un avenir proche ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund », 2022, p. 143-145]

« Si la Chine joue depuis des décennies un rôle décisif pour le FEM […], c’est parce que, malgré le passage d’une économie planifiée à une économie de marché, la Chine a conservé les structures centralisées de l’époque du maoïsme. C’est pourquoi le gouvernement chinois peut agir de manière beaucoup plus autoritaire que ses adversaires qui agissent dans des conditions parlementaires. On le voit notamment dans le cadre de la crise Covid, pendant laquelle le régime de Pékin a fait preuve d’une dureté de fer en décrétant les confinements les plus longs et les plus sévères au monde. Mais cela se voit aussi par rapport à un autre projet qui se prépare actuellement en coulisses dans le monde entier et qui est soutenu par le FEM : l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, la pièce maîtresse du Great Reset ».

Dans l’émission Kla.TV sur la Chine, ce système de domination nous menace tous ! — le rôle de la Chine a été résumé comme suit :

https://www.kla.tv/27164

Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l’aide de l’intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l’intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100 % dans l’intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l’introduction de ce système de contrôle et d’éducation.

Comme l’a démontré l’émission de Kla.TV « Chine — ce système de domination nous menace tous ! », la Chine a été financée et construite par la société secrète Skull&Bones, Lord Rothschild et plus tard la Fondation Rockefeller. Skull&Bones était à l’origine une association d’étudiants de l’université de Yale et forme le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR). Au début du 20e siècle, elle a fondé en Chine une série d’écoles et d’hôpitaux connus sous le nom de « Yale-in-China ». Selon les résultats de la recherche de l’ExpressZeitung suisse (numéro 50 d’octobre 2022), c’est « Yale-in-China » qui a ouvert la voie du pouvoir aux marxistes ainsi qu’au dictateur chinois Mao Tse-tung (1893-1976). Dès 1986, l’historien britannique Antony C. Sutton écrivait :

« Vers l’an 2000, la Chine communiste sera une “superpuissance” construite avec la technologie et l’expertise américaines. »

De même, le scientifique renommé Sutton montre comment la Russie a été infiltrée par la Croix-Rouge américaine au début du 19e siècle. Celle-ci aurait également été accaparée par les forces de la haute finance. Ainsi, la révolution d’octobre 1917 — qui mit fin au tsarisme et marqua l’avènement du communisme — fut soigneusement orchestrée par l’élite financière, et notamment par les Rothschild, et soutenue par des moyens financiers colossaux. Sutton montre comment les cercles de banquiers autour de la banque centrale américaine ont mis en place presque toute l’industrie lourde de l’URSS.

Russie

En 1986, l’Union soviétique a participé pour la première fois à une rencontre du FEM à Davos sous la direction de Mikhaïl Gorbatchev, arrivé au pouvoir l’année précédente. À l’époque, cette rencontre s’appelait encore « European Management Forum » jusqu’en 1987.

Depuis les années 90, Klaus Schwab entretient une longue amitié avec le président russe Vladimir Poutine. Selon le magazine « Politico », Poutine et son prédécesseur à la présidence, Dmitri Medvedev, ont prononcé cinq discours au FEM entre 2007 et 2021. Schwab a littéralement déclaré : « Le FEM a établi une excellente relation avec la Fédération de Russie. Aussi bien avec le monde des affaires qu’avec le gouvernement ». En tant que « partenaires stratégiques », les entreprises russes ont, selon un initié, versé environ 600 000 francs par an au FEM et ont pu, en contrepartie, participer à l’élaboration du programme.

En 2018, le FEM a créé un « centre de cybersécurité » en collaboration avec la société russe de sécurité informatique BI.ZONE. BI.ZONE est une filiale de la plus grande institution financière de Russie, la Sberbank. C’est sous la direction de cette dernière que s’est déroulé l’exercice annuel en ligne « Cyber Polygon » afin de s’entraîner aux cyberattaques et à la défense contre celles-ci.

Pour le FEM de mai 2022, les Russes sanctionnés ont été désinvités dans le cadre de la guerre en Ukraine. Pour la première fois depuis l’ère Gorbatchev, il n’y a pas eu de participation russe au FEM. En outre, les deux banques russes Sberbank et VTB ainsi que le groupe énergétique russe Gazprom ont été supprimés de la liste des « partenaires stratégiques ».

Néanmoins, il faut bien constater que la Russie met en œuvre le même agenda mondial que celui promu par le FEM et les élites mondialistes :

● La Russie a toujours été en première ligne dans la lutte contre la prétendue pandémie de COVID, appelant la population à se faire vacciner au côté des autres pays.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans l’introduction de la monnaie numérique de la banque centrale, ou CBDC. En 2024, le rouble numérique devrait être introduit dans tout le pays. La CBDC peut être considérée comme un élément constitutif du contrôle total et de la surveillance totale.

● Avec la Chine, la Russie est le grand partisan de la mise en place d’un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.

● La Russie occupe une place de premier plan en tant qu’État de surveillance. Moscou et Saint-Pétersbourg font partie des dix villes les plus surveillées en dehors de la Chine.

En 2017 et 2018, les autorités moscovites ont introduit un système de caméras de rue soutenu par un logiciel de reconnaissance faciale. Lors de la crise de Covid en 2020, les autorités ont été en mesure de repérer et de punir les personnes qui quittaient leur domicile en violation des règles de confinement.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU et du Great Reset. Comme publié sur le site web du « Bureau exécutif du président russe », la Russie fait avancer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU. C’est ce qui ressort d’une déclaration commune avec la République populaire de Chine sur le développement durable mondial. Elle a été rédigée le 4 février 2022 à l’occasion de la visite du président russe Vladimir Poutine à Pékin. Le même jour, il a participé à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver.

La déclaration commune mentionne nommément :

« la lutte contre la pauvreté, la sécurité alimentaire, les vaccins et la lutte contre les épidémies, le financement du développement, le changement climatique, le développement à long terme, y compris le développement vert, l’industrialisation, l’économie numérique et la connectivité des infrastructures. »

Tout comme la Chine ou les acteurs mondiaux mentionnés ou les initiatives du FEM qui s’avèrent être des instruments dans la mise en place d’une dictature mondiale centralisée, il convient d’observer si cela concerne également la Russie.

8. Le FEM en un point

Voici un rappel et un résumé des points les plus importants :

● Le FEM n’est pas simplement une fondation suisse créée et mise en place par un Klaus Schwab indépendant.

● Pendant son séjour à la Harvard Business School en 1966/1967, Schwab subit l’influence de son professeur Henry Kissinger.

● Le « European Management Symposium » — l’ancêtre du FEM — est né d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger, et a été mis sur pied en Suisse avec le soutien de John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Tous les trois sont membres du groupe de réflexion du Council on Foreign Relations (CFR).

● Toutes les personnes liées à la création ou à la structure de gouvernance supérieure du FEM sont soit membres du groupe Bilderberg ou du Conseil des relations étrangères (CFR) ou de la Commission trilatérale, soit simultanément de plusieurs.

● Tous ces relais passent par les mêmes hommes en arrière et leurs successeurs, que ce soit David Rockefeller, Henry Kissinger, Laurence Douglas, « Larry » Fink ou David Rubenstein et quelques autres acteurs mondiaux fortunés.

● Lors de sa création en 1971, le FEM a reçu pour mission de mettre en œuvre l’agenda d’un Nouvel Ordre Mondial (NOM) à l’échelle mondiale avec l’aide des grandes entreprises mondiales. Entre-temps, toute l’élite des grandes entreprises mondiales s’y est regroupée.

● Le Forum économique mondial (FEM) a été installé comme l’un des points de contact les plus importants de la politique mondiale par ces mêmes dirigeants mondiaux. Grâce au FEM, différentes initiatives ont été lancées, qui servent d’outils pour faire avancer la globalisation. Ce qui prépare le terrain pour une future dictature mondiale centralisée.

● Parmi ces initiatives, certaines des plus importantes sont le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019, c’est-à-dire la dictature de Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc. Mais des acteurs comme la Chine et la Russie servent également d’instruments à l’agenda du FEM et le font avancer en première ligne.

● Le « Great Reset » proclamé par le fondateur du FEM a pour objectif de faire entrer l’ensemble des citoyens de la Terre dans une nouvelle ère, numérique et guidée par l’intelligence artificielle. « Great Reset » signifie quelque chose comme : Un monde dans lequel personne ne possède plus rien, où chacun est entièrement surveillé, mais aussi entièrement dépendant et donc dirigeable.

● Le programme du transhumanisme (la fusion des corps humains avec la sphère numérique) ouvre les portes à la manipulation, au contrôle et à la gestion de l’humanité. La voie est libre pour une dictature mondiale centralisée !

Voilà pour les points principaux. Compte tenu du fait que les fils du FEM sont reliés aux mêmes réseaux et aux mêmes personnes, et que les objectifs des initiatives du FEM, tels qu’ils sont décrits ici, servent sans équivoque un agenda mondial, on peut très bien parler d’une véritable conspiration mondiale.

Il ne s’agit pas d’une conspiration mondiale de quelques grands acteurs comme le gouvernement américain, la Russie ou la Chine, mais d’un petit nombre de dirigeants mondiaux. Ceux-ci ont en commun d’être profondément impliqués dans la société secrète de la franc-maçonnerie. Ainsi, l’une des super loges les plus puissantes et donnant le ton au niveau mondial, « THREE EYES », a été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzeziński.

Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut niveau Gioele Magaldi, on sait que l’ancien dirigeant du Parti chinois Deng Xiaoping (1904-1997) a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super loge « THREE EYES ». Cela a eu pour conséquence que, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, dont l’actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont depuis 1980 membres des super loges, dans lesquelles sont organisés les francs-maçons de haut grade.

Il est également connu que les acteurs russes les plus importants étaient ou sont encore membres de super loges. Par exemple Joseph Staline (1878-1953), Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924), Léon Trotski (1879-1940), Mikhaïl Gorbatchev (1931-2022), Boris Eltsine (1931-2007) ainsi que le président russe Vladimir Poutine.

Tout cela a été révélé dans l’émission de Kla.TV « Danger mondial : Franc-maçonnerie de haut grade ».

[https://www.kla.tv/23995]

Voyez pour finir la conclusion de cette émission : Il semble n’y avoir qu’un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d’un tribunal mondial décrété par le peuple — un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués.

Comme une aurore, les plans cachés et les tireurs de ficelles du FEM apparaissent. Faites partie de ce lever du jour ! Aidez-nous à diffuser ces révélations dans le monde entier et à mettre un terme au FEM et à ceux qui le dirigent !

de dd./mw.

Sources/Liens :




Comment redonner vie aux campagnes et produire une alimentation de qualité et de proximité ?

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

Colère agricole, production bioholistique, travail en communauté, Foi : nous donnerons la parole à Yves de Fromentel, agriculteur bioholistique passionné. Yves de Fromentel est notre tout premier partenaire avec lequel nous allons investir au titre de la Foncière Financière Libre.




Billet de très mauvaise humeur : le cirque Macron-Attal s’est installé dans votre village, sauve-qui-peut !

[Source : russiepolitics]

Par Karine Bechet-Golovko

À peine dévoilé, le nouveau Gouvernement soulève beaucoup de questions, mais il apporte aussi une réponse très claire : la France n’a plus besoin de gouvernants, elle est gouvernée. Et cela vient d’être officiellement reconnu. C’est la seule explication rationnelle à la farce, qui s’engage pour le plus grand déshonneur de notre pays. Bref, le cirque Macron-Attal arrive dans vos villages, avec ses putes, ses suspects et ses jeunes foutriquets. Planquez vos poules et vos enfants !

Je ne pourrai pas entrer dans tous les détails de la triste pièce, qui a commencé à être jouée hier à Matignon, sinon il faudrait écrire un roman. En revanche, je voudrais quand même souligner certains aspects.

Tout d’abord, deux questions organisationnelles — et idéologiques — concernant les ministères.

Ainsi, l’agriculture devient également le ministère de la « Souveraineté alimentaire ». C’est amusant cette manie de nous mettre de la « souveraineté » dans toutes les appellations, surtout lorsqu’elle est détruite systématiquement depuis au moins une trentaine d’années et que la France, malheureusement, n’est même plus aujourd’hui le pâle reflet d’elle-même. À l’époque de la Guerre froide, nos élites avaient le don de pointer les faiblesses de l’autre camp et elles se moquaient de cette manie de mettre du « démocratique » dans les dénominations des pays du bloc de l’Est, comme pour indiquer où était la véritable démocratie. Désormais, le ridicule est passé dans notre camp et ces élites restent muettes — elles n’ont pas plus de mandat pour le faire, que d’esprit pour le penser.

L’hôpital, qui faisait à juste titre la fierté de notre pays, est en lambeaux, le système de soins en général est à bout de souffle, il ne mérite pas un ministère en soi. Il est ainsi regroupé avec celui du travail. Le néolibéralisme, qui accompagne la globalisation, n’a pas besoin de s’embarrasser des questions sociales. Par ailleurs, comme le chômage de masse et la généralisation du travail précaire entraînent de véritables pathologies, les deux maux (le travail et la santé) seront manifestement traités ensemble par un ministre de la « Vérité-tout-va-bien ». Il semble que, dans cette logique, la généralisation de l’euthanasie serait un moyen autrement efficace de traiter les deux domaines… Comme nous vivons une époque de progrès, n’ayons aucun doute sur le potentiel de cette voie.

Adieu le ministère de la Santé ! Il fallait oser, ils l’ont fait, sans aucun remords, sans explication, comme quelque chose de normal. Une nouvelle norme se met en place, de plus en plus orwellienne.

En ce qui concerne les personnalités, arrêtons-nous un instant sur certaines. Quelle chance de voir Rachida Dati à la Culture, elle qui critiquait le parti de Macron, quand elle pensait faire carrière dans l’opposition !

La prostitution semble bien être le seul moyen reconnu par cette clique gouvernementale d’existence politique. Mais continuons sur la même ligne — celle de la promiscuité. Nous apprenons que le conjoint pacsé du Premier ministre, Stéphane Séjourné, est nommé aux Affaires étrangères. Il n’est pas diplomate de carrière, mais quelle importance, il y a juste une guerre en cours et un conflit mondial de civilisation et de modèles de gouvernance, dans lequel la diplomatie a un rôle à reprendre. La diplomatie, mais manifestement pas la France, a priori ridiculisée sur la scène internationale par la nomination de foutriquet. Et en matière de prostitution et de convictions, car la prostitution demande aussi de la conviction, il s’adapte rapidement :

Un dernier survol de cette ménagerie pour s’arrêter un instant sur notre visionnaire ministre de l’Économie, celui qui avait annoncé la destruction de l’économie russe avec les sanctions et la guerre. À sa décharge, étant ministre d’un pays qui appartient à peine à la lointaine périphérie dans le système de gouvernance globalisé, il ne fait que rediffuser le discours atlantiste imposé, que vous trouverez notamment dans Foreign Affairs. Pendant ce temps-là, l’économie russe se redresse, puisque le pays reprend petit à petit sa souveraineté et relance son industrie et sa production. Simple et logique. Hier, le Président russe déclarait :

« C’est un résultat étonnant. Il semble que nous soyons étranglés et écrasés de toutes parts, mais nous sommes devenus les premiers en Europe en termes de volume économique dans son ensemble. Nous avons dépassé l’Allemagne et pris la cinquième place mondiale. »

Nous avons souvent écrit sur les problèmes économiques en France et les Français le sentent au quotidien, avec l’augmentation du coût de la vie, sans véritable reprise économique. Donc, Bruno Le Maire annonce triomphant que, puisqu’il remplit à merveille le programme pour lequel il est en place, il ira encore plus loin :

Et finissons en beauté avec notre nouveau Héros, Gabi le Magnifique, encensé par les écharpes rouges de la République, monté au niveau des dieux et des anges. Mais comme cela nous est expliqué, ces dieux et ces anges ne travaillent pas pour le bien des hommes, non, ils travaillent pour eux-mêmes, ils se protègent les uns les autres. Ce n’est pas ça une mafia ?

Et ce Héros, va également devenir un héros de série télé, jouant son propre rôle, poussant à l’extrême la désacralisation du pouvoir — qui ne peut exister sans sacré :

Attal est un peu le Zelensky français, que l’on nous prépare pour les prochaines présidentielles. Décidément, l’Ukraine est bien l’avenir de la France. Alors, n’oublions pas les paroles de Malraux dans La condition humaine :

« L’humanité était épaisse et lourde, lourde de chair, de sang, de souffrance éternellement collée à elle-même, comme tout ce qui meurt. »

PS : Vous pouvez mettre en commentaires vos propositions pour sortir de ce cirque — ou pour sortir ce cirque.




Mythes et légendes de l’écologie

[Source : @TVL]

Mathématicien, enseignant chercheur en mathématiques, Benoît Rittaud montre que la science sert désormais d’outil de censure au profit d’une idéologie qui, sous couvert de sauver la planète, installe ses rituels, ses légendes et ses prescriptions toujours plus exigeantes au cœur de notre société. Dans « Mythes et légendes écologistes », le scientifique démontre que la mythologie écologiste postmoderne n’a rien d’une vision naïve et bien intentionnée. Pour Benoît Rittaud, derrière son sympathique imaginaire de façade, se cache en réalité un projet totalitaire qui combat l’aspiration même à un monde plus prospère et plus libre.
Dans un entretien sans concessions, Benoît Rittaud évoque la mascarade de la Cop28 et revendique son statut « d’environnementaliste raisonnable » refusant de verser dans le catastrophisme global émanant d’un cartel de recherche qui interdit la dissidence et ne tolère pas la nuance.

[Le site des climato-réalistes de Benoît Rittaud :
https://www.climato-realistes.fr]






Pourquoi manger biologique ?

[Source : Malo Naturo]

Article de bromatologie

En médecine naturelle, ce que l’on ingère fait partie des 9 facteurs de la santé intégrale [voir l’encart vert ci-dessous]. Du fait de son importance pour la santé, le mot « biologique » revient dans presque tous les articles de ce blog, car il n’est pas possible de fonctionner de manière optimale si la toxémie est élevée.

Les 9 facteurs de la santé intégrale

La santé ou la maladie dépendent de 9 facteurs principaux :

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.

=> Toxémie ou santé

TOUTES les pathologies (99 %) => maladie UNIQUE : la « TOXÉMIE ».

En 5 points :

  1. Toxémie naturelle des déchets cellulaires (toxémie endogène).
  2. Toxémie intestinale, produits de décomposition dans les voies digestives.
  3. Toxémie organique : par exemple, le pus.
  4. Toxémie chimique (exogène) par les médicaments et les produits de synthèse, les solvants, les colorants, les pesticides, le tabac, l’alcool, les perturbateurs endocriniens…
  5. Toxémie des substances naturelles toxiques (végétaux, venins, sérums, etc.)

Comment se manifeste la toxémie (symptômes) ?

  1. Les maladies (symptômes) à « colles » déchets colloïdaux (mucus, glaires).
  2. Les maladies (symptômes) à « cristaux » déchets cristalloïdes (acidose).
  3. Les maladies (symptômes) de « carences ».
  4. Les maladies (symptômes) de « surcharge » (excès alimentaires, saturation émonctorielle).
  5. Les maladies (symptômes) de « toxiques ».

Rare : les maladies génétiques, organiques.

N.B. Notre environnement constitué par les 9 facteurs de la santé intégrale influence l’expression des gènes de notre ADN, c’est l’épigénétique…

[Voir aussi :
Génétique : Le génome en dissolution,
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus
et Vos pensées contrôlent votre ADN !]

Ces mêmes facteurs sont également les 9 piliers de la longévité.

L’intoxication du milieu de vie de la cellule (humeurs)
constitue la TOXÉMIE.

Le respect des lois naturelles préserve de la toxémie et des différents symptômes qui en découlent.

Les microbes dits pathogènes ne peuvent se développer que sur un organisme dont le système immunitaire est affaibli par l’excès de toxines dû à des conditions de vie défavorables. Il en est de même pour les épidémies, signe d’une modification des paramètres bioélectroniques du terrain dû à une mauvaise hygiène de vie ou à des facteurs environnementaux, qui affectent l’ensemble de la population d’une région ou d’un pays tout entier.

[Note de Joseph : la théorie des germes pathogènes a été scientifiquement réfutée et si des bactéries (qui se comportent comme de minuscules usines chimiques se nourrissant de certaines substances pour en produire d’autres) se développent dans un milieu particulier (biologique ou non), c’est parce qu’elles y trouvent leur nourriture ou réagissent à une agression (par exemple de nature électromagnétique).
Dans un paradigme médical basé sur le terrain, la notion même de système immunitaire devient caduque et devrait être remplacée par exemple par celle de système de réharmonisation, d’entretien et de nettoyage.]

Fondamentalement, la maladie n’a qu’une cause :
la dégradation [ou le déséquilibre]
du terrain [par des excès ou des déficiences].

Voir la suite

Le bio c’est le naturel, le vivant, c’est la nourriture originelle depuis toujours, c’est interdire les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM). Ensuite est venu le progrès, et l’homme a commencé à s’affaiblir, à dégénérer, à tomber malade et à prendre beaucoup de médicaments.

Le bio c’est de la saveur et de l’odeur, c’est moins d’eau, plus de nutriments et d’antioxydants qui permettent une meilleure nutrition et protection cellulaire.

Le bio c’est moins de pollution environnementale, c’est meilleur pour la biodiversité et notre santé.

Le bio c’est en moyenne 30 % plus cher.

Le non-bio, c’est ingérer des pesticides, des antibiotiques, des médicaments, des additifs, des engrais, des métaux lourds, des perturbateurs endocriniens. C’est détruire le microbiote, les systèmes nerveux et immunitaire avec les conséquences graves qui peuvent en découler à moyen ou à long terme…

À notre époque, ce qui est cultivé est certes plus ou moins contaminé par les conditions environnementales : pluies acides, pollution, résidus de pesticides dans l’air, l’eau ou la terre, etc., mais la quantité de pesticides contenue dans les produits de culture biologique est contrôlée strictement et des cahiers de charges sont établis du moins en Belgique. L’Europe vient malheureusement de renouveler l’autorisation pour l’utilisation du glyphosate pendant 10 ans (novembre 2023).

Les pesticides :

« Pesticides » est le terme générique pour désigner les substances chimiques élaborées pour lutter contre des « nuisibles » tels que : mauvaises herbes (herbicides), champignons (fongicides), insectes (insecticides), parasites (parasiticides), rats (raticides), bactéries (bactéricides), etc. Ce sont des produits de synthèse toxiques générateurs de maladies, de perturbations endocriniennes et de cancers.

Ils détruisent le microbiote intestinal et les cellules épithéliales, ce sont des agents mutagènes et carcinogènes qui causent la porosité intestinale. L’homme ingurgite en moyenne 4,8 kg de produits chimiques par an avec une alimentation conventionnelle. (Source : Nelly Grosjean.)

La consommation quotidienne d’une nourriture ainsi polluée par les pesticides entraîne une toxémie exogène permanente. Le microbiote représente près de 80 % de notre système immunitaire, il contribue à la décomposition des aliments et à notre bien-être mental. Le foie aura toujours une surcharge de travail avec ces molécules toxiques à éliminer, et quand le foie va mal, tout va mal.

On ne peut pas régler naturellement un problème de santé si on persiste à consommer des aliments de culture conventionnelle, puisqu’en hygiénisme la priorité est de baisser la charge toxémique et d’augmenter l’énergie vitale.

Actuellement, le foie des nouveau-nés est 50 % plus volumineux qu’il y a 30 ans, on trouve dans leur sang à la naissance près de 300 substances polluantes (CHU Montpellier, 2007), sans compter les nombreux résidus qui polluent le lait maternel. Ces observations constituent un signal d’alarme d’une extrême gravité…

« La recherche indique que l’exposition aux pesticides en général (de même que l’exposition à certains pesticides en particulier) est associée à plusieurs types de cancers comme le lymphome non hodgkinien, le myélome multiple de même que les cancers de la prostate, du rein et du poumon, entre autres. »

Société Canadienne du Cancer

Les fruits et légumes biologiques contiennent jusqu’à 69 % plus d’antioxydants et en moyenne 180 fois moins de résidus chimiques que ceux de l’agriculture conventionnelle. Les fruits ordinaires subissent de 40 à 70 traitements chimiques. Un citron cultivé biologiquement, sans engrais de synthèse, contient environ trois fois plus de vitamine C qu’un autre.

Selon un rapport français validé en 2015 basé sur un échantillon de 5 806 fruits et légumes biologiques, 86,3 % ne contenaient aucune trace de pesticide.

Les fruits et légumes bio sont donc contaminés à 1,4 %, contre 35 % pour les légumes et 64 % pour les fruits de culture conventionnelle, soit 25 fois moins pour les légumes et 45 fois moins pour les fruits.

Les fruits et légumes de culture bio sont donc plus chargés en éléments nutritionnels et apportent beaucoup moins d’éléments toxiques que la culture conventionnelle.

Citations :

« Il ne faut rien enlever à l’aliment, car non seulement les parties soustraites font défaut, mais les parties restantes perdent partiellement ou totalement leur activité biologique. »

Henri-Charles Geffroy

« Une autre nuisance insoupçonnée de ces fongicides, insecticides, nématicides, taupicides, etc. se situe au niveau de nos enzymes digestifs : l’expulsion du zinc, du nickel, du cobalt, du vanadium dans le site actif de l’enzyme et son remplacement par le mercure, le cadmium ou autres généreront des enzymes peut actives ou inactives, en particulier vis-à-vis de la digestion de la caséine et du gluten… »

Robert Masson

« Les engrais chimiques déséquilibrent les sols, et entretiennent une “escalade” inexorable : les traitements appauvrissent les sols qu’il faut de plus en plus traiter. Les fruits et légumes, subissant aussi ces agressions chimiques, voient leurs immunités faiblir : il faut donc les traiter aussi chaque année un peu plus. Tout l’équilibre de l’écosystème est alors rompu : les insectes parasites mutent pour s’adapter aux contraintes croissantes, à la manière des indésirables de nos intestins à la suite d’antibiothérapies répétées… »

Daniel Kieffer

« Une des raisons des carences en oligoéléments de plus en plus fréquentes chez les hommes et les animaux d’élevage est à chercher dans l’usage d’engrais chimiques qui en sont dépourvus. »

Dr Catherine Kousmine

« Le docteur Curl mesura ensuite dans les urines des enfants les produits de dégradation des pesticides organochlorés (les pesticides les plus courants). Elle trouva que le taux de pesticides dans l’urine des enfants “bio” était nettement en deçà des minima fixés par l’Agence gouvernementale de protection environnementale. Il était aussi 6 à 9 fois moindre que celui des enfants “conventionnels”. Pour ces derniers, la charge toxique dépassait au contraire de 4 fois les limites officielles tolérées… La nourriture bio faisait bel et bien une différence de taille quant au niveau d’intoxication de l’organisme. »

Dr David Servan-Schreiber

« Paul Stiit estimait dans son livre de 1982 que l’Américain moyen consommait chaque année presque 5 kilogrammes d’approximativement 2 000 additifs alimentaires. »

Dawn Lester & David Parker, Qu’est-ce qui nous rend réellement malade ?

« Consommer des aliments de qualité, c’est-à-dire biologiques, pour éviter l’apport massif de produits chimiques — herbicides, fongicides… — qui encrassent l’organisme et sollicitent de manière importante le foie et nos mécanismes immunitaires, mais aussi nos filtres bio-émonctoriels. »

Christian Brun

« Les pesticides provoquent des déficits immunitaires ainsi que des infections à répétition. »

France-Hélène Rouvière, naturopathe




Dix choses qui changent sans les combustibles fossiles

[Source : ourfiniteworld.com]

Par Gail Tverberg

Il est aujourd’hui courant de parler de l’abandon des combustibles fossiles pour prévenir le changement climatique. C’est à peu près le même résultat qui se produit si nous manquons de combustibles fossiles : nous perdons des combustibles fossiles, mais c’est parce que nous ne pouvons pas les extraire. Pratiquement personne ne nous dit à quel point le système actuel dépend des combustibles fossiles.

[Voir aussi :
Sans pétrole, pas d’électricité !]

L’économie est extraordinairement dépendante des combustibles fossiles. S’il n’y a pas assez de combustibles fossiles pour tout le monde, il est probable que l’on se batte pour obtenir ce qui est disponible. Certains pays risquent d’obtenir bien plus que leur juste part, tandis que le reste de la population mondiale ne disposera que de très peu de combustibles fossiles, voire d’aucun.

Si la perte totale ou quasi totale des combustibles fossiles représente un risque pour une partie de la population mondiale, il pourrait être utile de réfléchir à certaines des choses qui pourraient mal tourner. Voici quelques-unes de mes idées sur les choses qui changent, principalement pour le pire, dans une économie privée de combustibles fossiles.

[1] Les banques, telles que nous les connaissons, vont probablement faire faillite

Avant que les banques ne fassent faillite dans les régions pratiquement dépourvues de combustibles fossiles, je pense que nous assisterons généralement à une hyperinflation. Les gouvernements augmenteront considérablement la masse monétaire dans une vaine tentative de faire croire aux gens qu’ils produisent davantage de biens et de services. Cette approche sera utilisée parce que les gens assimilent le fait d’avoir plus d’argent à la capacité d’acheter plus de biens et de services. Malheureusement, sans les combustibles fossiles, il sera très difficile de produire beaucoup de biens.

Plus d’argent entraînera simplement plus d’inflation parce qu’il faut des ressources physiques, y compris les types d’énergie appropriés, pour faire fonctionner toutes sortes de machines afin de produire des biens. La création de services nécessite également de l’énergie fossile, mais généralement dans une moindre mesure que la création de biens. Par exemple, la paire de ciseaux utilisée pour couper les cheveux est fabriquée à l’aide d’énergie fossile. La personne qui coupe les cheveux doit être payée ; son salaire doit être suffisamment élevé pour couvrir les coûts liés à l’énergie, tels que l’achat et la cuisson des aliments. Le magasin où l’on coupe les cheveux devra également payer l’énergie fossile nécessaire au chauffage et à l’éclairage, à supposer que cette énergie soit disponible.

Les banques feront faillite parce qu’une part trop importante des dettes ne pourra pas être remboursée avec des intérêts. Une partie du problème résidera dans le fait qu’alors que les salaires augmenteront, les prix des biens et des services augmenteront encore plus rapidement, rendant les biens inabordables. Une autre partie du problème est que les économies de services, telles que celles des États-Unis et de la zone euro, seront affectées de manière disproportionnée par une économie en déclin. Dans une telle économie, les gens se feront couper les cheveux moins souvent. Ils dépenseront plutôt leur argent dans des produits de première nécessité, tels que la nourriture, l’eau et les ustensiles de cuisine. Les entreprises de services, telles que les salons de coiffure et les restaurants, feront faillite par manque de clients, ce qui entraînera des défauts de paiement.

[2] Les gouvernements actuels feront faillite

Si les banques font faillite, les gouvernements d’aujourd’hui feront également faillite. Ils échoueront en partie à cause des tentatives de renflouement des banques. Un autre problème sera la baisse des recettes fiscales en raison de la diminution de la production de biens et de services. Les programmes de retraite deviendront de plus en plus difficiles à financer. Toutes ces questions conduiront à des politiques de plus en plus conflictuelles. Dans certains cas, les gouvernements centraux peuvent se dissoudre, laissant les États et d’autres unités plus petites, comme les provinces d’aujourd’hui, continuer à fonctionner seuls.

Les organisations intergouvernementales, telles que les Nations unies et l’OTAN, seront de moins en moins écoutées avant de disparaître. L’obtention d’un financement suffisant de la part des États membres deviendra un problème de plus en plus important.

Les dictatures dirigées par des chefs au pouvoir absolu et les aristocraties dirigées par des chefs aux droits héréditaires sont les types de gouvernements les moins gourmands en énergie. Ils sont susceptibles de devenir plus courants sans les combustibles fossiles.

[3] Presque toutes les entreprises d’aujourd’hui feront faillite

Les combustibles fossiles sont essentiels pour tous les types d’entreprises. Ils sont utilisés pour l’extraction des matières premières et le transport des marchandises. Nous utilisons des combustibles fossiles pour paver les routes et construire la quasi-totalité des bâtiments actuels. Sans combustibles fossiles, même de simples réparations de l’infrastructure existante deviennent impossibles. Sans combustibles fossiles adéquats, les entreprises internationales risquent tout particulièrement de se diviser en unités plus petites. Il leur sera impossible d’opérer dans des régions du monde où l’approvisionnement en combustibles fossiles est pratiquement inexistant.

Les combustibles fossiles sont même utilisés pour fabriquer des panneaux solaires, des éoliennes et des pièces de rechange pour les véhicules électriques. Parler de l’énergie solaire et de l’énergie éolienne comme de « sources d’énergie renouvelables » est dans une large mesure trompeur. Au mieux, on peut les décrire comme des « prolongateurs » de combustibles fossiles. Elles peuvent aider à résoudre un problème d’approvisionnement en combustibles fossiles légèrement insuffisant, mais elles sont loin d’être des substituts adéquats.

[4] Les réseaux électriques et l’Internet disparaîtront

Les combustibles fossiles sont importants pour maintenir le système de transmission électrique. Par exemple, le rétablissement des lignes électriques tombées en panne après une tempête nécessite des combustibles fossiles. Le raccordement de panneaux solaires ou de turbines éoliennes au réseau électrique nécessite des combustibles fossiles. Les systèmes de panneaux solaires domestiques peuvent fonctionner jusqu’à ce que leurs onduleurs tombent en panne. Une fois que les onduleurs tombent en panne, leur utilité se dégrade considérablement. Les combustibles fossiles sont nécessaires pour fabriquer de nouveaux onduleurs.

Les combustibles fossiles sont également importants pour l’entretien de toutes les parties du système Internet. En outre, sans réseau électrique, il devient impossible d’utiliser des ordinateurs pour se connecter à l’Internet.

[5] Le commerce international sera fortement réduit

À cette époque de l’année, beaucoup d’entre nous se souviennent de l’histoire des trois rois d’Orient venus rendre visite à l’Enfant Jésus avec de précieux cadeaux. Nous nous souvenons également des récits bibliques où Paul se rend dans des pays lointains. Grâce à ces exemples et à bien d’autres, nous savons que le commerce et les voyages internationaux peuvent se poursuivre sans combustibles fossiles.

Le problème, c’est que sans les combustibles fossiles, certaines régions du monde n’auront pas grand-chose à offrir en échange de produits fabriqués avec des combustibles fossiles. Les pays utilisant des combustibles fossiles se rendront rapidement compte que la dette publique des pays sans combustibles fossiles ne représente pas grand-chose lorsqu’il s’agit de payer des biens et des services. Par conséquent, les échanges commerciaux seront réduits pour correspondre aux exportations disponibles. Les exportations de biens seront probablement très limitées pour les régions du monde qui fonctionnent sans combustibles fossiles.

[6] L’agriculture deviendra beaucoup moins efficace

L’agriculture d’aujourd’hui a été rendue incroyablement efficace grâce à l’utilisation de gros équipements mécaniques, généralement alimentés par du diesel, et d’un grand nombre de produits chimiques, notamment des herbicides, des insecticides et des engrais. En outre, des clôtures et des filets fabriqués à l’aide de combustibles fossiles sont utilisés pour éloigner les animaux nuisibles indésirables. Dans certains cas, des serres sont utilisées pour fournir un climat contrôlé aux plantes. Les combustibles fossiles permettent de mettre au point des semences hybrides spécialisées qui mettent l’accent sur les caractéristiques que les agriculteurs jugent souhaitables. Toutes ces « aides » sont appelées à disparaître.

Sans ces aides, l’agriculture deviendra beaucoup moins efficace. La figure 1 montre que même avec la faible réduction de l’utilisation des combustibles fossiles en 2020, la part de l’emploi fournie par l’agriculture a augmenté.

Figure 1. Emploi mondial dans l’agriculture en pourcentage de l’emploi total, tel que compilé par la Banque mondiale.

L’emploi dans l’agriculture est essentiel. Ces travailleurs n’ont pas été licenciés, même si les travailleurs du tourisme et de la confection ont perdu leur emploi, de sorte que la part des emplois agricoles dans l’emploi total a augmenté.

[7] Les besoins futurs en main-d’œuvre seront probablement disproportionnés dans le secteur agricole

Les gens ont besoin de manger. Même si l’économie fonctionne de manière très inefficace, les gens auront besoin de nourriture. On peut s’attendre à ce que la part des personnes travaillant dans l’agriculture (y compris la chasse et la cueillette) augmente considérablement.

Certains espèrent que le passage à la permaculture résoudra le problème de la dépendance de l’agriculture à l’égard des combustibles fossiles. Je considère la permaculture comme un moyen de prolonger l’utilisation des combustibles fossiles plutôt que comme une solution permettant de s’en passer, car elle suppose l’utilisation de nombreux dispositifs basés sur les combustibles fossiles, tels que les clôtures modernes et les outils d’aujourd’hui. En outre, dans le meilleur des cas, la permaculture ne résout que partiellement le problème de l’inefficacité, car elle nécessite une énorme quantité de travail manuel.

[NDLR La permaculture sur de petites surfaces sera probablement toujours possible, car certaines de ses approches déjà démontrées se passent de technologie et de machines, en recherchant au contraire une symbiose avec la nature. Celle-ci peut subsister sans industries.]

Figure 2. Comparaison de la part de l’emploi agricole aux États-Unis par rapport à l’emploi total, avec un ratio similaire pour les pays les moins avancés des Nations unies, sur la base des données de la Banque mondiale.

Aujourd’hui, il existe un large fossé entre la part de l’emploi dans l’agriculture aux États-Unis et la même statistique pour le groupe des pays les moins avancés des Nations unies. La plupart de ces pays se trouvent en Afrique subsaharienne. Ils utilisent très peu de combustibles fossiles.

La part de l’emploi agricole aux États-Unis a récemment été d’environ 1,7 %. Dans la partie de l’Europe qui utilise l’euro, la part de l’emploi dans l’agriculture a récemment atteint une moyenne d’environ 3,0 %. Que ce soit aux États-Unis ou en Europe, il faudrait un énorme changement dans l’emploi pour atteindre 70 % d’emplois agricoles (comme on l’a vu au début des années 1990 pour le groupe le moins développé des Nations unies), ou même 55 % (comme on l’a vu récemment pour le même groupe).

[8] Le chauffage domestique deviendra un produit de luxe réservé aux riches

En l’absence de combustibles fossiles, le bois fera l’objet d’une forte demande pour son pouvoir calorifique. Le bois sera nécessaire pour la cuisson des aliments ; il est très difficile de subsister avec un régime composé uniquement d’aliments crus. Le bois sera également demandé pour fabriquer du charbon de bois, qui peut à son tour être utilisé pour fondre certains métaux. Compte tenu de ces besoins en bois, la déforestation risque de devenir un problème majeur dans de nombreuses régions du monde. Le bois en général sera assez cher, étant donné le coût considérable de sa récolte et de son transport sur de longues distances sans l’avantage des combustibles fossiles.

Les personnes vivant dans des régions boisées peu peuplées pourront peut-être ramasser leur propre bois pour se chauffer. Pour les autres, le chauffage domestique deviendra probablement un luxe, accessible uniquement aux personnes très riches

[9] Vivre seul deviendra une chose du passé

Sans chauffage suffisant et avec à peine assez de bois pour cuisiner, les gens (et leurs animaux) devront se serrer davantage les uns contre les autres. Les maisons abritant plusieurs générations, construites sur un lieu d’élevage d’animaux de ferme, pourraient redevenir populaires. Il sera plus efficace de cuisiner pour de grands groupes que pour une seule personne à la fois. Dans les régions froides, les gens se serreront les uns contre les autres dans leur lit pour se réchauffer. Ou bien ils se blottissent contre leurs chiens, comme dans le dicton « three dog night », qui signifie une nuit suffisamment froide pour que trois chiens soient nécessaires pour garder une personne au chaud.

Même dans les régions chaudes du monde, les gens vivront en groupe, tout simplement parce qu’entretenir un foyer pour une personne seule devient impossible. La nourriture et le combustible pour cuisiner absorberont une grande partie des revenus d’une famille. Il ne restera plus grand-chose pour les autres dépenses.

[10] Les gouvernements et leurs lois perdront de leur importance

Au lieu de cela, de nouvelles traditions et de nouvelles religions joueront un rôle plus important dans le maintien de l’ordre.

Les gouvernements ont fait des dizaines de promesses, mais sans un approvisionnement croissant en combustibles fossiles (ou un substitut adéquat), ils ne seront pas en mesure de les tenir. Les retraites disparaîtront. La capacité des gouvernements à faire respecter les lois sur la propriété disparaîtra probablement. En l’absence d’un bon substitut aux combustibles fossiles, on peut s’attendre à un désordre généralisé.

Les gens ont besoin d’ordre. Sans ordre, il est impossible de faire des affaires. L’expérience récente nous a appris que les « groupes de durabilité », constitués par des personnes ayant un intérêt commun pour la durabilité, ne fonctionnent pas suffisamment bien pour assurer l’ordre. Ils ont tendance à s’effondrer dès que des obstacles surgissent.

Ce qui a semblé fonctionner pour assurer l’ordre dans le passé, c’est une certaine combinaison de traditions et de religions. Dans un monde en mutation, les traditions et les religions sont susceptibles de devoir changer. Dans le livre Communities that Abide, de Dmitry Orlov et coll. les auteurs soulignent que le fait d’avoir un leader fort (non élu) et un ensemble de croyances religieuses partagées aide à maintenir la cohésion d’un groupe. En fait, le fait que le groupe soit quelque peu persécuté est un atout. La lutte pour une cause commune fait partie de ce qui maintient la cohésion du groupe.

Les dix commandements de la Bible sont interprétés d’une manière qui suggère fortement qu’il s’agit de règles de comportement au sein du groupe, et non de comportement en général. Par exemple, « Tu ne tueras point » s’applique aux autres membres du groupe ; les guerres contre d’autres groupes étaient très attendues. Dans ces guerres, on s’attendait à ce que des membres d’un autre groupe soient tués. Cela semble autoriser Israël à tuer des membres du Hamas aujourd’hui. Faute de combustibles fossiles en quantité suffisante, les combats deviennent plus fréquents.

Conclusion

À mon avis, le problème auquel le monde est confronté aujourd’hui est le même que celui auquel les petites économies ont été confrontées, à maintes reprises, par le passé : la population est devenue trop importante pour la base de ressources de l’économie, qui comprend désormais les combustibles fossiles. Pour rendre la situation moins effrayante, les dirigeants d’aujourd’hui reformulent le problème en disant qu’il faut volontairement abandonner les combustibles fossiles pour prévenir le changement climatique.

Selon moi, le monde doit réduire son utilisation des combustibles fossiles car, en fin de compte, ce sont les lois de la physique qui déterminent les prix de vente des combustibles fossiles. Nous extrayons d’abord les combustibles fossiles peu coûteux à produire. Le problème est que les prix de vente des combustibles fossiles ne peuvent pas augmenter arbitrairement. Les prix doivent être à la fois :

  • — Suffisamment élevés pour que les producteurs fassent des bénéfices et qu’il leur reste des fonds à réinvestir et des taxes adéquates pour leurs gouvernements ;
  • — suffisamment bas pour que les consommateurs puissent se permettre d’acheter de la nourriture et d’autres biens de consommation produits à partir de ces combustibles fossiles.

Si nous supposons que tous les combustibles fossiles qui semblent se trouver sous le sol peuvent réellement être extraits, le changement climatique dû à leur combustion pourrait effectivement constituer un problème. Mais il est difficile d’imaginer qu’ils puissent réellement être extraits, étant donné la question de l’accessibilité financière. Les hommes politiques maintiendront les prix à la baisse pour inciter les électeurs à voter pour eux, ne serait-ce que pour cela.

Les chercheurs ont travaillé avec diligence pour trouver des solutions, mais jusqu’à présent, ils n’ont pas eu beaucoup de succès. Toutes les solutions supposées nécessitent un recours important aux combustibles fossiles. Nous devons donc réfléchir à ce qui pourrait se passer si nous étions contraints de nous passer des combustibles fossiles et si nous ne disposions pas d’un substitut adéquat.

À propos de Gail Tverberg

Je m’appelle Gail Tverberg. Je suis actuaire et je m’intéresse aux problèmes du monde fini — épuisement du pétrole, épuisement du gaz naturel, pénuries d’eau et changement climatique. Les limites du pétrole sont très différentes de ce que la plupart des gens pensent, avec des prix élevés menant à la récession, et des prix bas menant à des problèmes financiers pour les producteurs de pétrole et pour les pays exportateurs de pétrole. Il s’agit en fait d’un problème physique qui touche simultanément de nombreux secteurs de l’économie, y compris les salaires et le système financier. J’essaie d’examiner le problème dans son ensemble.




Bill Gates, ou le mythe du bon milliardaire

[Source : reinformation.tv]

Par Anne Dolhein

Un récent livre du journaliste américain Tim Schwab (pas de lien avec Klaus !) est venu contester le « mythe » Bill Gates, le milliardaire qui se « rachète » de sa richesse fabuleuse en s’adonnant à une philanthropie tapageuse. The Bill Gates Problem: Reckoning With The Myth Of The Good Billionaires, pose de multiples questions sur la sincérité, l’utilité, l’efficacité et même l’altruisme de ce prétendu bienfaiteur de l’humanité. L’homme qui a fait preuve d’une ambition agressive pour prendre le pouvoir sur Microsoft aurait-il tant changé qu’il mérite aujourd’hui le genre d’hommages qu’on lui a prodigué en Inde, où un « love-in » avait été organisé pour ses soixante ans dans un lycée en 2015 ? Près de 2 000 enfants brandissaient le portrait du héros sous le slogan : « Grow rich, help others » (devenez riche, aidez les autres).

Le livre est sorti quelques jours à peine après Controligarchs de Seamus Bruner, qui dénonce lui aussi Bill Gates et ses achats frénétiques de terres agricoles…

Pour Tim Schwab, Gates s’est en réalité beaucoup aidé lui-même. Sa promesse de donner 95 % de sa fortune (pour éradiquer la polio, on y reviendra) remonte à 2010. Il assurait trois ans plus tard que l’argent ne lui servait à rien au-delà d’un certain seuil ; il fallait « faire le travail de Dieu ». La Fondation Bill et Melinda Gates a été créée en 2000 (quelques mois à peine après que Microsoft fut retoqué pour « abus de monopole ») et a reçu de leur part au fil des ans une « dot » de 67 milliards. Mais dans le même temps, la fortune de Gates a plus que doublé en vingt ans : il « vaut » aujourd’hui 117 milliards de dollars. Et les dons, ainsi que le veut le droit fiscal américain, lui ont permis de récupérer une somme rondelette sur les impôts : 50 %, pour être précis.

[Voir aussi :
La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste
et
Robert F Kennedy Jr. expose le plan de dictature des vaccins de Bill Gates – cite le «complexe du Messie» tordu de Gates]

Bill Gates, un milliardaire qui vit comme tel

Avec une fortune qui ressemble au PIB d’un pays comme l’Équateur ou la Slovaquie, il peut s’offrir à peu près ce qu’il veut en termes d’immobilier, de voitures de luxe et de jet privé ; il paraît même qu’il importe du sable des Caraïbes pour agrémenter le lac privé de sa demeure de Xanadu dans l’État de Washington. Pour quelqu’un qui prétend lutter contre le « changement climatique », et surtout l’agriculture traditionnelle, il n’a pas peur de dépenser de l’énergie et de laisser son « empreinte carbone » partout où il passe. Cela ne parvient pas à ternir sa réputation, tant il est mis en avant comme le « gentil » universel.

Pour Schwab, il est grand temps de voir la réalité au sujet de sa Fondation et de sa bienfaisance affichée : « Elle est un outil manié par Bill Gates pour faire progresser sa vision du monde. Ce n’est pas tellement qu’il donne de l’argent ; il achète de l’influence. »

De manière « totalement irresponsable, antidémocratique et non transparent », Gates peut peser sur le cours des choses, persuadé qu’il est d’avoir raison sur tout. Et s’il finance fortement l’aide internationale — en faisant la promotion de la contraception en particulier — par son pouvoir, il entraîne également les gouvernements à investir dans les projets qu’il affectionne. Manière d’exercer le pouvoir sur l’argent du contribuable…

Bienfaisance ou influence ? Bill Gates « travaille pour lui »

En lançant une lutte acharnée contre la polio et en finançant des programmes de vaccination massive et de recherche sur les vaccins, Gates a peut-être fait plus de mal que de bien, argumente Tim Schwab. Sa Fondation prétend avoir sauvé la vie de « 122 millions d’enfants » ; mais il s’agit du nombre d’enfants de moins de cinq ans qui seraient morts depuis 1990 si le taux de mortalité infantile était resté le même depuis lors — or s’il s’est amélioré, la Fondation ne peut s’en attribuer seule le mérite, d’autant que l’augmentation globale du niveau de vie a certainement joué un rôle.

Schawb rappelle notamment la recherche en vue d’un vaccin contre le papillomavirus humain menée en Inde. Sept filles d’âge scolaire sont mortes du fait de ces études menées — on l’a su plus tard — sans consentement personnel et parental, assure le journaliste. Si la Fondation nie énergiquement, assurant que les morts sont attribuables à d’autres causes, Schwab affirme qu’il n’y a jamais eu d’autopsie.

Sur le front de la polio, la focalisation de Gates sur cette maladie contribue à détourner des fonds d’autres maladies bien plus létales comme la diphtérie et la rougeole, d’autant que l’éradication complète des tout derniers cas en arrive à la phase la plus difficile, la plus chère et la moins « rentable ». Au point que Gates a obtenu que le Pakistan considère la lutte contre la polio comme la priorité des priorités là où 25 millions de personnes font face à d’autres maladies tropicales et que 28 millions souffrent de malnutrition.

[Voir aussi :
La grande tromperie des vaccins depuis Pasteur l’imposteur, le pire étant le vaccin contre La Polio
La poliomyélite n’a pas été éradiquée par la vaccination, mais par le traitement des eaux !
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
La poliomyélite, une escroquerie médicale de plus ?]

Le mythe du bon millionnaire Bill Gates lui permet de peser sur le pouvoir politique

Bill Gates a joué un rôle de premier plan quant au vaccin anti-covid ; Schwab lui reproche surtout d’avoir favorisé les brevets et la protection de la propriété pour des laboratoires comme Pfizer et Merck pour empêcher la technologie de profiter à tous, au détriment de l’Afrique (une bénédiction déguisée, plutôt ?). Par ailleurs, les dons de sa fondation représentent 88 % des fonds donnés par des organisations philanthropiques à l’OMS. Vous avez dit influence et pouvoir ?

Schwab, qui a la réputation d’être de gauche, affirme : « Un homme dont la fortune repose en grande partie sur les méthodes ingénieuses de Microsoft en vue de l’évitement légal de l’impôt dans le monde entier servirait mieux la planète s’il donnait cet argent aux gouvernements pour qu’ils le consacrent à l’aide et au développement, plutôt que d’agir comme s’il était Dieu. »

Cela ne nous épargnerait sans doute pas de la tyrannie de la bien-pensance. Mais il est sûr qu’avec ses milliards de dollars, Gates l’impose à sa propre façon, ajoutant le poids du monopole au penchant totalitaire du pouvoir.




L’agenda mondial de Bill Gates et comment résister à sa guerre contre la vie

[Source : exoconscience.com]

Par Vandana Shiva

Il n’y a pas de « vie » dans le paradigme de la santé que Bill Gates et ses semblables promeuvent et imposent au monde entier.

En mars 2015, Bill Gates a montré une image du coronavirus lors d’une conférence TED et a déclaré au public qu’il s’agissait de ce à quoi ressemblerait la plus grande catastrophe de notre temps.

La véritable menace pour la vie, a-t-il dit, « ce ne sont pas les missiles, mais les microbes ». Lorsque la pandémie de coronavirus a déferlé sur la terre comme un tsunami cinq ans plus tard, il a ravivé le langage de la guerre, décrivant la pandémie comme « une guerre mondiale ».

La pandémie de coronavirus oppose l’humanité tout entière au virus », a-t-il déclaré.

En fait, la pandémie n’était pas une guerre. La pandémie était une conséquence de la guerre. Une guerre contre la vie. L’esprit mécanique connecté à la machine à fric de l’extraction a créé l’illusion que les humains sont séparés de la nature, et que la nature est une matière première morte et inerte à exploiter.

Mais en fait, nous faisons partie du biome. Et nous faisons partie du virome. Le biome et le virome, c’est nous. Lorsque nous faisons la guerre à la biodiversité de nos forêts, de nos fermes et de nos entrailles, nous nous faisons la guerre à nous-mêmes.

L’urgence sanitaire du coronavirus est inséparable de l’urgence sanitaire de l’extinction, de l’urgence sanitaire de la perte de biodiversité et de l’urgence sanitaire de la crise climatique. Toutes ces urgences sont enracinées dans une vision du monde mécaniste, militariste et anthropocentrique qui considère que les humains sont séparés des autres êtres et qu’ils leur sont supérieurs. Des êtres que nous pouvons posséder, manipuler et contrôler.

Toutes ces situations d’urgence trouvent leur origine dans un modèle économique fondé sur l’illusion d’une croissance et d’une avidité illimitées, qui violent les frontières planétaires et détruisent l’intégrité des écosystèmes et des espèces individuelles.

De nouvelles maladies apparaissent parce que l’agriculture mondialisée, industrialisée et inefficace envahit les habitats, détruit les écosystèmes et manipule les animaux, les plantes et d’autres organismes sans aucun respect pour leur intégrité ou leur santé. Nous sommes liés au niveau mondial par la propagation de maladies telles que le coronavirus parce que nous avons envahi les habitats d’autres espèces, manipulé les plantes et les animaux à des fins de profits commerciaux et d’avidité, et cultivé des monocultures.

Alors que nous coupons les forêts à blanc, que nous transformons les exploitations agricoles en monocultures industrielles produisant des produits toxiques et vides sur le plan nutritionnel, que nos régimes alimentaires se dégradent en raison de la transformation industrielle à l’aide de produits chimiques synthétiques et du génie génétique, et que nous perpétuons l’illusion selon laquelle la terre et la vie sont des matières premières à exploiter pour réaliser des profits, nous nous connectons en effet. Mais au lieu de nous connecter sur un continuum de santé en protégeant la biodiversité, l’intégrité et l’auto-organisation de tous les êtres vivants, y compris les humains, nous nous connectons par la maladie.

Photo de Bjørn Tore Økland sur Unsplash

Selon l’Organisation internationale du travail, « 1,6 milliard de travailleurs de l’économie informelle (représentant les plus vulnérables sur le marché du travail), sur un total mondial de deux milliards et une main-d’œuvre mondiale de 3,3 milliards, ont subi des dommages massifs à leur capacité de gagner leur vie. Cela est dû aux mesures de fermeture et/ou au fait qu’ils travaillent dans les secteurs les plus touchés ».

Selon le Programme alimentaire mondial, un quart de milliard de personnes supplémentaires seront poussées vers la faim et 300 000 pourraient mourir chaque jour. Il s’agit là aussi de pandémies qui tuent des gens. Tuer ne peut pas être une prescription pour sauver des vies.

La santé, c’est la vie et les systèmes vivants. Il n’y a pas de « vie » dans le paradigme de la santé que Bill Gates et ses semblables promeuvent et imposent au monde entier. Bill Gates a créé des alliances mondiales afin d’imposer une analyse et des prescriptions de haut en bas pour les problèmes de santé. Il donne de l’argent pour définir les problèmes, puis il utilise son influence et son argent pour imposer les solutions. Ce faisant, il s’enrichit. Son « financement » entraîne un effacement de la démocratie et de la biodiversité, de la nature et de la culture. Sa « philanthropie » n’est pas seulement du philanthrocapitalisme. C’est du philanthro-impérialisme.

La pandémie de coronavirus et le confinement ont révélé encore plus clairement comment nous sommes réduits à des objets à contrôler, nos corps et nos esprits étant les nouvelles colonies à envahir. Les empires créent des colonies, les colonies enferment les biens communs des communautés indigènes vivantes et les transforment en sources de matières premières à extraire pour réaliser des profits.

Cette logique linéaire et extractive est incapable de voir les relations intimes qui soutiennent la vie dans le monde naturel. Elle est aveugle à la diversité, aux cycles de renouvellement, aux valeurs de don et de partage, ainsi qu’au pouvoir et au potentiel de l’auto-organisation et de la mutualité. Elle est aveugle aux déchets qu’elle crée et à la violence qu’elle libère. Le confinement prolongé du coronavirus a été une expérience de laboratoire pour un avenir sans humanité.

Le 26 mars 2020, alors que la pandémie de coronavirus atteignait son paroxysme et que le confinement se prolongeait, l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) a accordé un brevet à Microsoft. Le brevet WO 060606 déclare que « l’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d’un système de cryptomonnaie… »

L’« activité corporelle » que Microsoft souhaite exploiter comprend les radiations émises par le corps humain, les activités cérébrales, la circulation des fluides corporels, la circulation sanguine, l’activité des organes, les mouvements corporels tels que les mouvements oculaires, faciaux et musculaires, ainsi que toute autre activité pouvant être détectée et représentée par des images, des ondes, des signaux, des textes, des nombres, des degrés ou toute autre information ou donnée.

Le brevet est une revendication de propriété intellectuelle sur nos corps et nos esprits. Dans le cadre du colonialisme, les colonisateurs s’attribuent le droit de s’approprier les terres et les ressources des populations autochtones, d’anéantir leurs cultures et leur souveraineté et, dans les cas extrêmes, de les exterminer. Le brevet WO 060606 est une déclaration de Microsoft selon laquelle nos corps et nos esprits sont ses nouvelles colonies.

Nous sommes des mines de « matière première » — les données extraites de notre corps. Au lieu d’être des êtres souverains, spirituels, conscients et intelligents qui prennent des décisions et font des choix avec sagesse et valeurs éthiques concernant l’impact de nos actions sur le monde naturel et social dont nous faisons partie et auquel nous sommes inextricablement liés, nous sommes des « utilisateurs ». Un « utilisateur » est un consommateur sans choix dans l’empire numérique.

Mais ce n’est pas la totalité de la vision de Gates. En fait, elle est encore plus sinistre : coloniser l’esprit, le corps et l’âme de nos enfants avant même qu’ils aient l’occasion de comprendre à quoi ressemblent la liberté et la souveraineté, en commençant par les plus vulnérables.

En mai 2020, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a annoncé un partenariat avec la Fondation Gates pour « réinventer l’éducation ». M. Cuomo a qualifié M. Gates de visionnaire et a affirmé que la pandémie avait créé « un moment dans l’histoire où nous pouvons réellement incorporer et faire avancer les idées [de M. Gates]… tous ces bâtiments, toutes ces salles de classe physiques — pourquoi avec toute la technologie dont vous disposez ? »

En fait, cela fait deux décennies que M. Gates tente de démanteler le système d’enseignement public des États-Unis. Pour lui, les étudiants sont des mines de données. C’est pourquoi les indicateurs qu’il préconise sont l’assiduité, l’inscription à l’université et les résultats aux tests de mathématiques et de lecture, car ils peuvent être facilement quantifiés et exploités. En réimaginant l’éducation, les enfants seront contrôlés par des systèmes de surveillance pour vérifier s’ils sont attentifs alors qu’ils sont forcés de suivre des cours à distance, seuls à la maison.

La dystopie est un monde où les enfants ne retournent jamais à l’école, n’ont pas l’occasion de jouer, n’ont pas d’amis. C’est un monde sans société, sans relations, sans amour et sans amitié.

Lorsque je regarde vers l’avenir, dans un monde de Gates et de barons de la technologie, je vois une humanité qui est encore plus polarisée en un grand nombre de personnes « jetables » qui n’ont pas leur place dans le nouvel empire. Ceux qui en feront partie ne seront guère plus que des esclaves numériques.

Ou nous pouvons résister. Nous pouvons ensemencer un autre avenir, approfondir nos démocraties, nous réapproprier nos biens communs, régénérer la terre en tant que membres vivants d’une famille Terre unique, riche de sa diversité et de sa liberté, unie dans son unité et son interconnexion. C’est un avenir plus sain. C’est un avenir pour lequel nous devons nous battre. Nous devons le revendiquer.

Nous sommes au bord du précipice de l’extinction. Allons-nous laisser notre humanité en tant qu’êtres vivants, conscients, intelligents et autonomes être anéantie par une machine avide qui ne connaît pas de limites et qui est incapable de mettre un terme à sa colonisation et à sa destruction ? Ou allons-nous arrêter la machine et défendre notre humanité, notre liberté et notre autonomie pour protéger la vie sur terre ?

Source : https://www.thepulse.one/p/bill-gates-global-agenda-and-how

Traduction : https://exoconscience.com




L’agriculture française sombre dans le presque silence politique et médiatique : condamnée à disparaître ?

Par Gérard Le Maître

Des manifestations d’agriculteurs ont lieu un peu partout en France ces jours-ci, mais à part la presse régionale c’est SILENCE RADIO dans les grands médias ! Le gouvernement s’en fout !

Panneaux retournés, manifestations… Les raisons de la colère des agriculteurs français

Depuis plusieurs semaines, la colère gronde dans les campagnes, avec différentes actions dans toute la France. Les syndicats agricoles attendent des réponses du gouvernement et une « respiration normative ».1

Comme aux Pays-Bas dans le même silence il y a quelques mois suite aux injonctions européennes de réduire la production de viande bovine jugée trop polluante en abattant 1/3 du cheptel !

Une réduction de cheptel forcément inéluctable !
La réduction de cheptel semble en tout cas inéluctable. Plus de 11 000 fermes pourraient devoir mettre fin à leurs activités, et au moins 17 000 autres devront réduire leur nombre d’animaux pour répondre aux objectifs fixés. Une tendance qui va à l’inverse de la politique menée depuis l’après-guerre dans le pays et qui a fait des Pays-Bas le deuxième exportateur mondial (en valeur) de produits agricoles, et le pays à la plus forte densité d’animaux en Europe.2

Giscard d’Estaing en 1980 : « L’agriculture doit être notre pétrole »3

En 20 ans, la France est passée du 2e rang au 5e rang des exportateurs mondiaux de produits agricoles.

Le rapport sénatorial publié le 28 septembre 2022 s’inquiète de la baisse du potentiel agricole français malgré une balance commerciale excédentaire de 8 milliards d’euros en 2021.
Quelle est la situation de la production agricole aujourd’hui ? Avec une production agricole estimée à 81,6 milliards d’euros en 2021, la France demeure le principal producteur européen avec près de 17 % de la production totale du continent loin devant l’Allemagne et l’Italie. Pourtant, selon le rapport sénatorial, l’agriculture française poursuit sa lente érosion. 10 oct. 2022

Une lente érosion de l’agriculture française

La France est (était désormais !) historiquement un grand pays d’agriculture. En 2021, elle a exporté près de 70 milliards d’euros en matière agricole et agroalimentaire, soit 1,8 fois plus qu’en 2000. Avec une production agricole estimée à 81,6 milliards d’euros en 2021, la France demeure le principal producteur européen avec près de 17 % de la production totale du continent loin devant l’Allemagne et l’Italie.

Pourtant, selon le rapport sénatorial, l’agriculture française poursuit sa lente érosion.
Ces chiffres masquent l’augmentation des produits importés dans de nombreux secteurs.
La France importe près de 63 milliards d’euros de denrées alimentaires, soit 2,2 fois plus qu’en 2000.
La plupart des secteurs sont touchés :

  • un poulet sur deux consommés en France est importé : Brésil, Ukraine…
  • 56 % de la viande ovine consommée en France est d’origine importée Nlle Zélande, Australie… 
  • 28 % de la consommation de légumes et 71 % de la consommation de fruits sont importés : Espagne, Maroc, Amérique centrale et Sud…4

L’agriculture française est condamnée par L’Union Européenne qui a fait tomber toutes les frontières plutôt que de se protéger à l’intérieur de cette UE qui devait apporter la croissance et la prospérité c’est tout l’inverse, des accords ont été passé avec trop de pays qui nous inondent de produits à bas prix, avec des normes sanitaires très inférieures si bien que la production française est devenue trop coûteuse, les exemples de libre-échange par exemple avec le Mercosur (Amérique du Sud) permet au Brésil, L’Argentine, Le Pérou et d’autres de nous submerger de leurs productions en étant moins chers malgré tous les coûts logistiques pourtant énormes et un coût écologique qui ne gêne personne en faisant des milliers de kilomètres à travers les océans…

Cet été un nouvel accord de libre-échange entre L’UE et La Nouvelle-Zélande va encore aggraver la situation des producteurs français, dissimulé dans un texte de coopération sur la recherche et l’innovation c’est la porte grande ouverte à encore plus d’importations de produits agricoles venant de Nouvelle-Zélande…5

En France tous les deux jours un agriculteur se suicide, souvent acculé à la faillite :

Pourquoi tant de suicides dans le monde paysan ? Ce fléau, véritable tabou en Bretagne, se cache souvent derrière les secrets de famille…6


En politique, rien n’arrive par accident. Si quelque chose se produit, vous pouvez parier que cela a été planifié de cette façon.

Franklin Delano Roosevelt





« Les mondialistes sont passés de la phase de test à la phase opérationnelle »

[Source : aubedigitale.com]

Par JADE

Tucker Carlson et Alex Jones parlent de la dépopulation, de la censure et du NOM

Qualifié d’« homme le plus censuré du monde », Jones a commencé par parler de sa prédiction (correcte) concernant le 11 septembre.

Comme le souligne Tucker, « cette affaire du 11 septembre, vous l’avez annoncée publiquement ».

Mais Jones affirme que sa prédiction la plus précise remonte à une dizaine d’années, lorsqu’il a lu le « rapport sur l’opération Lockstep de la Fondation Rockefeller » :

« Ce rapport décrit l’utilisation d’un virus pour instaurer un gouvernement mondial, une identification médicale mondiale, à partir de laquelle ils construiraient un score de crédit social…

… qu’ils feraient porter des masques aux gens par peur, fermeraient des événements sportifs et d’autres choses du même genre… et introduiraient progressivement cette nouvelle tyrannie. »

[Voir aussi :
Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but]

Selon Carlson, ces avertissements, entre autres, sont la raison pour laquelle Alex Jones a été si largement déplacé.

« Fondamentalement, Alex Jones a raison sur beaucoup de choses. Et en fait, c’est pour cela qu’ils ne l’aiment pas ».

La Censure

« À ce jour, personne n’a été censuré de manière plus agressive que vous, je ne pense pas. J’ai lu des articles à ce sujet et j’ai eu l’impression que c’était un moment important dans l’histoire des médias américains. Je ne pense pas que quiconque vous ait défendu lorsque cela s’est produit. N’importe qui, avec n’importe quel type d’audience ».

Ce à quoi Jones a répondu :

« Lorsque Tim Cook a admis qu’il s’était réuni le week-end d’août 2017 avec les autres grands chefs de la technologie, et qu’ils ont pris la décision de “conserver” comme s’il s’agissait d’un musée — et de me retirer, il s’agissait de centaines de plateformes. Il n’y avait pas que les grandes. Tout, de LinkedIn à la suppression de nos comptes bancaires, en passant par tout ce qui a suivi au cours de la semaine et du mois suivants. Et je savais que j’étais un cas test ».

« C’est la remise en question de la fusillade à l’école qui est arrivée plus tard. Ils ont en quelque sorte déterré cela de mon passé, l’ont fait exploser après que j’ai été déplateformé, et ont dit que j’avais été déplateformé pour cela. »

« Une fois qu’ils m’ont déplateformé, l’émission n’a fait que prendre de l’ampleur… Alors ils ont paniqué et ont dit “ok, regardons son dossier et créons plus de raisons”, alors ils ont pris des choses hors contexte de 5-6 ans auparavant, les ont fait passer pour des choses actuelles hors contexte, et ont rapporté de manière trompeuse ce que j’ai dit pour créer un argument de paille afin de faciliter la raison ».

La discussion porte sur l’état actuel de l’Amérique et Jones rejette la responsabilité de la division croissante de la nation en fonction de la race sur la Chine.

« Le PCC ainsi que le SPLC et l’ADL voient la faiblesse de l’Amérique et ils viennent littéralement dire que les Blancs sont intrinsèquement mauvais à cause de la couleur de leur peau…

… puis ils les organisent tous en groupes raciaux sous le drapeau du parti démocrate pour attaquer la gauche… qui a tendance à être plus conservatrice ».

Jones prévient toutefois qu’« ils paniquent » parce que « de plus en plus de Noirs et d’Hispaniques votent républicain », ce qui, explique-t-il, est la raison pour laquelle la politique d’ouverture des frontières est autorisée.

« Ils font venir du monde entier toutes ces personnes totalement privées de leurs droits et les placent dans des camps où elles sont endoctrinées pour former une classe politique subalterne qui sera ensuite lâchée sur l’Amérique ».

C’est pourquoi les démocrates accordent aux immigrés clandestins des permis de conduire, le droit de vote dans certaines villes, les autorisent à devenir officiers de police « afin d’importer une nouvelle classe d’agents de la force publique contre le peuple américain ».

Cette nouvelle classe leur permettra d’instaurer le Nouvel Ordre Mondial.

Le NOM

Jones et Carlson ont également discuté du Nouvel Ordre Mondial après que Carlson a fait remarquer que la secrétaire de presse de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre, était une idiote.

« C’est tout », a répondu Jones. « Nous sommes dans un très beau bal. C’est le bal de fin d’année. Tout le monde est bien habillé. Il y a de la bonne nourriture, un grand bol de punch délicieux, et puis ils disent “qu’est-ce qu’on peut faire” — eh bien, il suffit de demander à Brian Stelter de chier dedans. Et puis il est là, à se moquer de vous — ils sont tous là à se moquer de vous, pour que vous vous sentiez petit. Pour que vous vous interrogiez sur la réalité — pourquoi tout est-il si laid ? »

Jones explique ensuite que les élites diabolisent les Américains des zones rurales afin de les rendre responsables des maux de la société.

« La raison pour laquelle vous allez mal n’est pas Blackrock, le FEM et Bill Gates. C’est à cause de toutes ces personnes malveillantes dans les campagnes. Ce sont tous des suprémacistes blancs, des terroristes et des racistes. Allons les chercher ! Car le dernier groupe qu’ils ne contrôlent pas, ce sont les ruraux qui sont autosuffisants. C’est pourquoi j’ai décidé d’aller à la campagne et de protéger mes enfants. C’est le Saint Graal. Le problème, c’est qu’il faut avoir un pied dans chaque camp — il faut retourner se battre en ville pour les infrastructures, pour le gouvernement ».

https://twitter.com/CitizenFreePres/status/1732900509676151058

« Il faut donner de l’espoir aux gens, tout en construisant une opération de sauvegarde de l’agriculture, de l’élevage et de l’autosuffisance », poursuit Jones.

C’est pourquoi le FEM et l’ONU viennent en Irlande et dans certaines régions d’Asie, ainsi qu’aux Pays-Bas, et disent « d’ici 2030, 80 % de vos vaches devront être mortes », et ils viennent d’en interdire 30 % cette année aux Pays-Bas. »

« Ce sont tous des anciens élèves mondialistes du FEM dont les grandes banques se vantent — elles ont “pénétré les cabinets”, pour citer Klaus Schwab, elles ont placé leurs agents pour nous couper l’énergie, nous démoraliser, libérer les criminels endurcis, mettre les activistes politiques en prison, continuer à couper les ressources, pour rendre le monde plus furieux

Klaus Schwab dit :“Nous allons provoquer l’effondrement du monde, nous allons faire en sorte que tout le monde se retourne les uns contre les autres, nous allons blâmer les classes politiques que nous possédons et contrôlons, et quand nous en aurons fini, nous apporterons notre nouvelle solution”. Mais ils doivent d’abord démolir les cultures des sociétés que nous avions avant, avec le fentanyl, les frontières ouvertes, la démoralisation, puis ils introduisent leur phase suivante, qui est une société high-tech sans argent liquide. Un cauchemar contrôlé par des drones robotisés. Les cartes officielles des Nations unies, qui existent depuis plus de 25 ans, montrent que plus de la moitié des États-Unis sont interdits aux humains.

Toutes les voitures devront être équipées d’un GPS, tout le monde devra avoir un téléphone portable en permanence…

Et c’est le plan global normalisé de l’ONU qui a été admis, où l’on ne sort pas de chez soi sans un téléphone portable ».

« Si les gens pensent que les choses vont mal aujourd’hui, poursuit Jones, c’est que le carcan, le boulet et la chaîne sont en cours, et que tout cela est géré militairement. Nos militaires sont des hommes et des femmes formidables, mais au sommet, nos militaires sont des Ukrainiens mondialistes, des gens du Nouvel Ordre Mondial depuis au moins 30 à 40 ans ».

Jones affirme également que le NOM fait pression pour… :

La dépopulation

La discussion sur le nouvel ordre mondial amène Jones à aborder le sujet controversé de la dépopulation, qui semble figurer à la fin de toute politique mondialiste émanant d’en haut.

[Voir aussi :
Dépopulation en Marche V5 — Tout est dit,
Le plan de dépopulation mondiale et sa stratégie,
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation,
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation,
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19,
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme]

« Les mondialistes sont passés de la phase de test à la phase opérationnelle », prévient-il. « Ils disent — lisez leurs écrits — que nous aurons un monde post-industriel d’ici 2030… et que nous commencerons à dépeupler 90 % du pays d’ici 2045 ».

C’est, explique Jones, le plan officiel du FEM, de l’ONU et du Club de Rome.

Carlson, stupéfait, demande : « Que voulez-vous dire par “dépopulation” ? »

Jones répond : « Ils veulent ramener la population mondiale à 500 millions d’habitants ».

On nous dit « n’ayez pas d’enfants, c’est mauvais pour la terre », et il souligne qu’Elon Musk est un héros pour avoir souligné que nous devons avoir des enfants pour sauver le monde, « sinon, la société s’effondre ».

Carlson prend un moment pour réfléchir à ce qu’il a entendu et dit de manière poignante : « Je me sens un peu innervé et abattu rien qu’en entendant votre connexion par points… comment est-ce que c’est de vivre avec ça ? »

La blague sur Brian Stelter

https://twitter.com/CitizenFreePres/status/1732912560830107860

Les élections de 2024, la Troisième Guerre mondiale

Les deux hommes ont également discuté des élections américaines de l’année prochaine. Selon Jones, Biden et Trump sont tous deux des « passifs » pour l’État profond, de sorte que le plan est le suivant :

« Ils font assassiner Biden par un extrémiste de droite et Trump par un extrémiste de gauche…

… Le pays se retrouvera alors encore plus en lutte les uns contre les autres, puis ils mettront en place Gavin Newsom et, vous savez, quelqu’un comme Mike Pence ou qui sait. Mais je pense vraiment que les treize prochains mois seront les plus critiques, non seulement dans l’histoire des États-Unis, mais aussi dans l’histoire du monde », a poursuivi Jones.

Biden « ne sait pas qui il est ».

Alex Jones affirme que des sources à la Maison-Blanche lui ont dit que Joe Biden « se promène nu » et qu’il est sous l’emprise d’un cocktail constant d’amphétamines et de benzos.

Tucker affirme connaître quelqu’un qui a vu Biden prendre des amphétamines en 2020.

« Car s’ils parviennent à faire tomber l’Amérique, ils feront tomber le monde. On assiste alors à une escalade », prévient-il.

Rappelez-vous, il y a un an, Biden a dit : « Vous ne pouvez pas donner des F-16, des chars Abrams et des missiles de croisière aux Ukrainiens, c’est la troisième guerre mondiale. Aujourd’hui, c’est ce qu’ils font. Alors que la Russie gagne cette guerre, comme l’a montré le colonel McGregor il y a quelques mois, l’OTAN escalade. Cela nous mène tout droit à la guerre nucléaire. »

« Depuis quand les démocrates aiment-ils la guerre ? » demande Jones.

« Depuis quand les démocrates aiment-ils les agences de renseignement ? Ils les adorent maintenant. Et donc vraiment, les démocrates, tout comme le parti républicain, sont la tête de pont de la raison et du populisme — ce n’est pas parfait, mais c’est une tête de pont. Le parti démocrate a totalement basculé dans le mal ».

Enfin, Jones dit qu’il ne s’attend pas à ce qu’Elon Musk le rétablisse sur X :

« Je comprends que s’il le faisait, l’ADL et d’autres seraient vraiment en mesure de fermer Twitter »

Regardez l’intégralité de l’interview ci-dessous :

  • 02:46 Les prédictions d’Alex Jones
  • 15:07 La censure
  • 21:59 Nous diviser sur la base de la race
  • 25:37 La frontière
  • 28:09 Austin
  • 32:12 Nouvel ordre mondial
  • 42:09 Vidéo démoniaque de Brian Stelter
  • 50:57 Dépopulation
  • 1:07:51 Nourriture
  • 1:13:51 Whiskey
  • 1:16:22 Élection présidentielle




Le traité de l’OMS sur les pandémies et les enjeux de souveraineté

[Source : infodujour.fr]

Par La rédaction Infodujour

Grégory Houillon est Maître de conférences, enseignant-chercheur à l’université de Poitiers en droit public et sciences politiques. Il a enseigné en France et à l’étranger. Spécialisé sur la pénalisation de l’action publique, il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le lobbying, dont Lobbying. Du déni au défi (Presses Littéraires, 2017). Dans cette entrevue, il nous fait part de son analyse juridique sur ce projet de traité en cours de discussion et nous transmet son analyse plus approfondie à télécharger ci-dessous.

Combien de morts dus au Covid-19 ? L’OMS avoue des erreurs de calcul. (UnlimPhotos)
Que prévoit de faire ce traité sur les pandémies et quels sont ses délais ?

L’objectif du traité consiste en une révision du Règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS. Le RSI est considéré comme un instrument de droit international, un accord juridiquement contraignant conclu par pratiquement tous les pays du monde (à l’exception du Liechtenstein), qui invite les membres à détecter, évaluer, signaler et répondre aux urgences de santé publique de manière coordonnée. En vertu de son actuel article 2, le RSI a pour objet et pour portée de « prévenir la propagation internationale des maladies, à s’en protéger, à la maîtriser et à y réagir par une action de santé publique proportionnée et limitée aux risques qu’elle présente pour la santé publique, en évitant de créer des entraves inutiles au trafic et au commerce internationaux ».
L’Organe international de négociation (OIN) s’est ainsi attelé à la rédaction d’un projet de traité, dont la dernière version accessible est celle transmise aux États membres qui date du 1er février 2023. Ce projet sera examiné à la 76e Assemblée mondiale de la Santé, qui se tient en mai 2023. L’OIN espère conclure l’accord en mai 2024, ce qui permettrait à l’OMS de déclarer les pandémies et soumettre les États membres à son autorité « de direction et de coordination du travail sanitaire international ».

Quels sont ses objectifs et en quoi posent-ils problème ?

De l’exposé des motifs introductif du projet de traité, on peut retenir une volonté des États membres de se donner les moyens juridiques d’agir en cas de pandémie — dans un cadre permanent et non uniquement d’exception — et de contenir l’appréhension différenciée par les États de la gestion d’une pandémie comme cela a pu être le cas lors de la survenance la pandémie de Covid-19. On peut aussi y relever le rôle central que les États-parties envisagent de donner à l’OMS en tant qu’autorité directrice et coordonnatrice, ainsi que la nécessité d’une intervention « pansociétale » (whole-of-society), en s’appuyant sur plusieurs concepts comme les « systèmes de santé résilients » ; le programme « One Health », ou encore la « couverture sanitaire universelle ». Son champ d’application sera, en vertu de son article 5, à la fois national, régional et international.

A l’analyse, ce projet de traité semble poser un problème de fond ainsi qu’un problème de forme. Sur le fond, il constitue, au prétexte de la prophylaxie et d’une vision globale de la gestion d’une future pandémie, une immixtion importante dans les prérogatives inhérentes à la souveraineté interne des États membres. Ce qui amène une nécessité de forme : la nécessité d’en respecter le cadre constitutionnel
contraignant pour procéder à sa ratification.

En quoi s’agit-il d’une immixtion dans la souveraineté des États ?

Outre qu’il limite fortement les réserves des États et ne permet pas de retrait du traité avant une période de deux ans après la date d’entrée en vigueur du traité, le projet de traité sur les pandémies vient s’immiscer de façon importante dans la souveraineté des États de plusieurs façons, que nous pouvons synthétiser en trois points :

  • D’abord, le projet de traité organise un transfert de pouvoirs des États membres à l’OMS en matière de santé. L’article 3 § 3 du projet de traité pose la limite du principe de souveraineté des États, tout en le conditionnant à l’évidence même qu’il ne soit préjudiciable aux populations. Qui appréciera cette condition d’une grande complexité à apprécier du préjudice à la population en matière de santé ? Et à partir de quel seuil considère-t-on un dommage à la population ? Le projet n’en dit rien.
  • Ensuite, ces concessions se révèlent à la lecture du projet de traité, encore plus graves et importantes. En effet, le traité organise dans son article 15, l’exercice d’un pouvoir solitaire pour le Directeur Général de l’OMS qui décide seul, en l’état du projet, sans contre-pouvoirs ni conditions claires, de la possibilité de déclencher une pandémie.
  • Enfin, le projet de traité excède largement le domaine de la seule santé publique dans son champ d’application, ce qui accroît la gravité du transfert de compétence indirectement organisé. Trois éléments permettent de le constater : d’abord, avec la mise en œuvre du concept « One Health » (synergies multisectorielles et transdisciplinaires), qui s’étend au climat et à l’environnement, mais aussi à l’agriculture, l’école, l’information, les médias et le numérique (programmes éducatifs de sensibilisation, gestion des infodémies, lutte contre les fake news et la désinformation, etc.). Plus encore, il s’immisce dans les compétences législatives et l’exercice du pouvoir réglementaire des autorités nationales et les conséquences juridiques des mesures de santé publique (confinements, couvre-feux, isolements, fermetures) peuvent toucher à l’ordre public interne des États avec des mesures relevant du noyau dur des compétences régaliennes de l’État (ministère de l’Intérieur, justice). Le traité permet une intervention de l’OMS non seulement au plan régional et international, mais aussi national. Et il faut ajouter que ce traité, malgré un titre trompeur, dépasse le seul cadre pandémique, puisqu’il engage les États dans ce qu’il appelle les « périodes inter-pandémiques » (formule récurrente retrouvée dans les principaux articles).

Or, de telles compétences ainsi concédées sont au cœur de la souveraineté de l’État et ont des effets sur les libertés fondamentales. Elles relèvent d’un noyau dur de « compétences régaliennes », ont trait aux libertés publiques et ne peuvent en aucun cas être concédées par l’État. Or, ce serait incontestablement le cas si l’État liait toute décision à l’appréciation et à la direction d’une organisation internationale comme l’OMS. Car la santé publique est intimement liée à l’ordre public interne et à aux libertés. Si l’on se réfère à l’alinéa 15 du préambule de la Constitution de 1946 qui dispose que « sous réserve de réciprocité, la France consent aux limitations de souveraineté nécessaires à l’organisation et à la défense de la paix », force serait de constater que le projet de traité sur les pandémies va bien au-delà de la simple « organisation et défense de la paix » tel que prévu par cette disposition. Il pourrait bien de ce point de vue, se retrouver en contrariété avec la
Constitution sur plusieurs points.

Ce traité sera-t-il vraiment contraignant ? Et si oui, dans quelle mesure ?

En pratique, cela va dépendre. Certes, dès son préambule, le projet de traité précise que « Dans le cadre du mandat susvisé, l’INB a établi un processus et une approche systématique pour son travail et en a convenu, lors de sa deuxième réunion, que l’instrument devrait être juridiquement contraignant et contenir à la fois des stipulations juridiquement contraignantes aussi bien que des éléments juridiquement non contraignants. » Mais, l’on voit bien qu’à l’analyse du projet, les choses ne sont pas aussi claires et qu’il risque d’y avoir une interprétation au cas par cas, article par article, par le juge saisi au contentieux, tant du traité que des lois qui seront initiées pour le mettre en œuvre. En effet, ce genre de document préparatoire permet au juge d’analyser chaque stipulation dans le cadre du contentieux dont il est saisi afin d’en déterminer le caractère impératif ou non pour l’État. Il faudra donc s’en remettre à la jurisprudence.

Ce futur traité vise donc incontestablement à produire des effets juridiques si l’on suit les volontés de son auteur. De plus, il faut se référer à la précision d’un certain nombre de stipulations qui prévoient les engagements des États, comme par exemple, l’article 13 qui prévoit que les États devront mener des exercices réguliers bisannuels avec des simulations multi-pays pour identifier les lacunes et vulnérabilités de leurs systèmes afin de les rendre résilients. On peut aussi citer, entre autres stipulations, l’article 19 § 1, d) qui prévoit un financement de chaque État sur la base d’une « ressource PIB », ou chaque État contribuera au financement des institutions créées par le traité à hauteur d’un pourcentage à définir de son PIB.

S’il est contraignant pour les États, il faudra bien que ce traité soit ratifié par eux, dont la France ?

Oui, car ce projet relève incontestablement d’un véritable traité international. Au regard du droit des traités, le texte est écrit et régi par le droit international (Charte des Nations-Unies et Constitution de l’OMS) et qui plus est multilatéral (il concerne les 194 États membres de l’OMS, ce qui lui donne aussi une importance certaine), et d’autre part, il appert que, dès lors que dans ses travaux préparatoires et en préambule du document, les auteurs ont explicitement voulu rendre le texte juridiquement contraignant en tout ou partie et que celui-ci comporte des engagements précis, nous n’avons plus à faire à un simple accord, mais à un véritable traité au sens de l’article 55 de la Constitution. Et c’est là que le cadre constitutionnel intervient pour lui imposer des formes obligatoires rigoureuses pour sa ratification.

Dans un précédent article avec le Professeur de droit international Francis Boyle, nous avions vu qu’une clause permettait une application provisoire. Le traité n’essaierait-il pas de prévoir des exceptions possibles pour faire appliquer ce traité avant sa ratification en bonne et due forme ?

Le projet de traité semble en effet prévoir une application provisoire des futures stipulations. Son article 35 évoque la possibilité pour un État signataire d’appliquer, « à titre provisoire, en tout ou partie », les stipulations du texte. Il faut toutefois rappeler que le propre du provisoire est de ne jamais être définitif. Et le paragraphe 2 de l’article 35 vient le confirmer en prévoyant immédiatement que cette application provisoire prend nécessairement fin à la date d’entrée en vigueur du traité. Ne produisant plus ses effets juridiques, il sera alors nécessaire de ratifier le traiter par les voies « normales », prévues par le droit constitutionnel français, conformément à l’article 19 de la Constitution de l’OMS. Aussi, une telle application revient à « reculer pour mieux sauter » puisque, quand bien même ces stipulations s’appliqueraient provisoirement depuis quelques mois, les parties n’échapperont pas à la ratification en la forme prévue par leur modèle constitutionnel.

Justement, que prévoit alors le droit constitutionnel français pour la ratification de ce traité ?

La ratification relève de l’article 53, alinéa 1er de la Constitution : « Les traités de paix, les traités de commerce, les traités ou accords relatifs à l’organisation internationale, ceux qui engagent les finances de l’État, ceux qui modifient des dispositions de nature législative, ceux qui sont relatifs à l’état des personnes, ceux qui comportent cession, échange ou adjonction de territoire, ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi ». Les traités doivent donc, lorsqu’ils relèvent de ces catégories de conventions régies par le droit international, faire l’objet d’une ratification solennelle en la forme législative et donc passer par la voie parlementaire. Dans ce cas, sur le plan administratif, en application de l’article 39 de la Constitution, le Conseil d’État devra être consulté comme pour tous les projets de loi autorisant la ratification ou l’approbation des traités ou accords énumérés à l’article 53. Il faut aussi rappeler que, si la ratification d’un tel traité est de nature législative, cette nature législative peut être parlementaire (article 53 de la Constitution), mais aussi référendaire (article 11 de la Constitution), en dépit de la démophobie ambiante (plus aucun référendum de ce genre n’a été organisé depuis quasiment 20 ans).

En l’état du droit, vous pensez donc que sa ratification ne pourra faire l’économie d’une loi ou d’un référendum. L’enjeu est-il important ?

Évidemment. Il ressort donc à l’évidence que ce traité multilatéral rédigé dans le cadre de l’OMS, va produire des effets de droit, créer de nouvelles institutions internationales, comporte des stipulations budgétaires pour les États et va imposer en droit français des modifications de nature législative au droit préexistant, comme par exemple des modifications des dispositions du Code de la santé publique (de valeur législative), mais pas seulement, car des confinements, une politique d’isolement et de quarantaines, une obligation du port du masque en population générale ou une campagne éventuelle de vaccination obligatoire ou supplétive de volonté produiront inévitablement d’évidentes conséquences sur l’exercice des libertés fondamentales. La mise en œuvre de mesures sanitaires de prophylaxie ou de lutte contre les épidémies implique la mise en œuvre d’instrument relevant de la police administrative, qui revient, dans l’intérêt de l’ordre public sanitaire, à entraver l’exercice de plusieurs libertés. Par exemple, l’instauration d’un « pass » sanitaire ou vaccinal comme cela a été le cas pendant la crise du Covid-19 nécessite un encadrement législatif avec des garanties accordées aux citoyens en contrepartie de telles entraves — même temporaires — aux libertés.




La controverse sur les manipulations du climat

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

Il va de soi que ce n’est pas auprès des « experts du GIEC » qu’il faut s’informer sur les questions climatiques, tout comme ce n’est certainement pas auprès des « experts de l’OMS » qu’il faut chercher une information sérieuse sur la santé ! Dès que vous évoquez ce thème concernant le climat et l’eau en particulier, vous avez immédiatement une pluie de railleries qui vous tombe dessus ! Puis, vous êtes traîné dans la boue ; les pouvoirs nient farouchement la réalité et développent des arguments copieusement puisés dans le registre de la diffamation, traitant de « complotistes » ou « délirants » tous ceux qui osent évoquer ce scandale bien réel pour la santé publique. Ceux qui ont des preuves de la pratique des « chemtrails » sont bâillonnés, enfermés en psychiatrie ou astucieusement exécutés ! Une femme pilote de l’US Air Force, Kristen Meghan, témoigne depuis quelque temps, partout dans le monde, de la réalité indiscutable de ces programmes qui se pratiquent dans tous les pays occidentaux. Sa carrière a été brutalement compromise ! Pour ceux qui sont encore en mesure d’avoir envie de savoir, vous pouvez écouter son témoignage sur :



Concernant les Chemtrails, il existe un rapport scientifique qui ne laisse aucun doute possible sur la question et qui a été publié le 8 juillet 2010 par Vivre Debout ! Ce rapport scientifique a pour nom CASE ORANGE.

[Voir aussi :
Les catastrophes naturelles ne sont pas toutes naturelles,
Révélations sur les chemtrails,
Smart dust, la poudre blanche intelligente,
L’arme du climat, une guerre invisible]

Case Orange a été élaboré par une équipe « d’experts », qui ont estimé qu’il était temps de dévoiler au public les faits réels concernant ces traînées de condensation des avions que l’on nomme « chemtrails ». Certes, l’identité des auteurs n’est pas dévoilée dans ce rapport — on peut comprendre pourquoi — mais toutes les données peuvent être contrôlées via les renvois en bas de page et toutes les affirmations sont étayées par des annexes détaillées.

Ce rapport prouve essentiellement et sans démenti possible que des épandages sont réellement effectués partout dans le monde, depuis de nombreuses années et mis en action tout d’abord par les États-Unis.

Case Orange a été présenté au Symposium International de Gand, en Belgique, organisé par le Belfort Group, le 29 mai 2010. L’on pouvait écouter les orateurs sur le site suivant :
http://www.ustream.tv/channel/belfort-test

Le document comprend un texte de base de 70 pages et de 230 pages d’annexes. Il était possible de le télécharger sur le site suivant :
http://www.belfort-group.eu/sites/default/files/page/2010/05/COpart1.pdf
[en allemand en anglais ??]

Si vous ne pouvez pas le visualiser, je propose ici un résumé du texte de base que j’avais gardé en son temps dans mes documents.

Définition des termes

Contrails (condensation — trails = traînées de condensation): il s’agit de la condensation de la vapeur d’eau émise dans les gaz d’échappement des avions.

Leur formation dépend et de l’altitude et de la température (aussi pour les moteurs à hélice). Leur caractéristique : ils sont éphémères.

Les avions actuels, équipés de moteurs plus puissants génèrent des traînées plus persistantes sur des longueurs de 30 à 40 km.

Distrails (dissipation — trails = dispersion) : ce sont des tunnels qui se forment lorsqu’un avion vole à travers un nuage. Les gouttelettes d’eau se transforment en vapeur d’eau.

Chemtrails (chemical – trails = traînées chimiques) : il s’agit de traînées d’avion délibérément provoquées par épandage à des fins militaires ou politiques.

Elles sont plus persistantes, elles durent des heures et se déploient en quadrillant, de grandes surfaces. Officiellement, les États nient leur réalité. Si l’on met de côté le mensonge et la négation par les pouvoirs, la justification qui est avancée est celle-ci : il s’agirait d’influencer le climat et plus particulièrement de favoriser ou d’éviter les précipitations par le « cloud seeding » (ensemencement de nuages) en vue de s’opposer au réchauffement climatique !

Les carburants

Pour les avions civils, il y a +/— 50 substances chimiques dont l’éthylène, le formaldéhyde, l’acétylène et le propène.

Pour les avions militaires, le carburant est différent et breveté parce qu’il contient des additifs en relation avec le « point d’inflammabilité » (point plus élevé), la stabilité thermique, l’encrassement par des résidus de coke, etc. Il contient un lubrifiant supplémentaire.

Pas de contrôle sur les programmes militaires

Le commandement militaire qui centralise les missions d’épandages n’est pas contrôlé par les pouvoirs publics. Les avions militaires sont exclus des normes. Les recommandations ne sont pas toujours traduites en lois et sont donc non contraignantes.

Les avions-citernes KC135 (= équivalent du Boeing 707) et les bombardiers posent problème. Leurs émissions de gaz sont 1200 % supérieures pour le CO2 et 30 % supérieures pour le NO si on compare ces valeurs aux normes de référence !

Les Contrails

En d’autres termes, les contrails (« normaux ») sont déjà source d’une sérieuse pollution ! Les cirrus quant à eux — naturels ou artificiels — ont un effet refroidissant sur la température.

Les aérosols ont une double action :

1 — d’une part, ils forment un écran/filtre de la lumière du soleil (assombrissement global — global dimming). Il fait plus froid et plus sec.

2 — d’autre part, ils forment des gouttelettes d’eau et donc des précipitations.

La quantité d’aérosols influence le climat et cela donne donc la possibilité de manipuler le climat !

Les Chemtrails

Le phénomène des chemtrails a démarré à la fin des années 90. (On se rappelle l’article de William Thomas)

La recherche sur ce thème doit être menée et basée sur les programmes militaires et scientifiques existants, des études sur la modification de l’atmosphère et du climat basées sur des notions telles que « l’ensemencement », la « géo-ingéniérie », etc..

Elle doit également se baser sur des faits concrets comme des brevets, des licences, des contrats…

On connaît déjà plusieurs expériences faites par les militaires, comme le WWII, qui sont des plaquettes de brouillage (aluminium) servant de contre-mesure radar. (CHAFF)

Le Projet « Cirrus » qui est le premier programme d’ensemencement de nuages par General Electric, mais, dès le début, effectué dans un contexte militaire et donc en collaboration avec l’US Air Force et l’US Navy…

C’était un essai pour provoquer « artificiellement » la pluie.

Continuation des projets d’ensemencement via « Storm Fury » 1962 et « Popeye » 1967. Le but était d’affaiblir des cyclones tropiques avec de l’iodure d’argent.

1. À partir de cette époque, divers programmes d’ensemencement ont été réalisés aux États-Unis et sont devenus une arme par modification du climat.

Les ELF (Extreme Low Frequency)

En 1974, est découverte une autre possibilité pour influencer les conditions atmosphériques à savoir, modeler la magnétosphère (la couche au-dessus de l’ionosphère) avec des ondes mégamétriques (ELF – extreme low frequency, ondes inférieures à 300 Hz ou des longueurs d’onde supérieures à 1 000 000 mètres).

Les ondes ELF génèrent un courant de particules qui sont capables de passer l’horizon et de retomber en tant qu’ondes à fréquence extrêmement haute (EHF — extreme high frequency — ondes entre 30 et 300 gigahertz ou de 1 à 10 millimètres).

Elles influencent les conditions atmosphériques et peuvent provoquer la pluie ou la sécheresse.

En 1995, on assiste à la création en Alaska, d’une entreprise commune (militaire, civile) avec le projet HAARP (High Active Auroral Research Project). En réalité, HAARP est devenu une arme puissante et redoutable et fonctionne actuellement à pleine capacité : plusieurs gigawatts !

Ceci permet de provoquer des séismes (cf. les brevets et la hausse du magnétomètre 2 jours avant le tremblement de terre à Haïti).

Avec cette technologie, l’on peut donc aussi influencer le temps : « La Guerre des Fréquences ».

La manipulation du climat est un fait !

De plus, on en parle ouvertement depuis 1996 ! Des études sont effectuées au sein de l’armée américaine sous la dénomination « 2025 ». L’objectif poursuivi, c’est le contrôle et le monopole de l’atmosphère ainsi que de l’espace !

Le document « Owning the weather in 2025 » regroupe toutes les études qui ont un rapport avec la manipulation des conditions atmosphériques.

1 — Ensemencement des nuages avec de l’iodure d’argent.

2 — Modification de la ionosphère : « Space Weather ».

3 — Contrôle des pluies et des tempêtes par la formation de nuages et de CONTRAILS.

« Les évolutions actuelles sur le plan démographique, économique et environnemental créeront, au niveau mondial, des zones de tension qui, pour beaucoup de pays et ‘groupements‘ rendront inévitables et effectives, l’exécution des possibilités de modifications climatiques. » (Rapport Case Orange)

« Aux États-Unis, la modification du climat sera une composante de la politique nationale de défense avec des applications internes y compris des applications à l’étranger. Nos gouvernements mèneront les politiques à différents niveaux selon et compte tenu des intérêts. » (Idem)

On peut donc provoquer ou empêcher la pluie où l’on veut. Et ceci est très important. L’eau sera une ressource rare, chère et essentielle pour la survie. Celui qui contrôle l’eau contrôlera le monde.

Le programme a prévu une introduction de miroirs ionosphériques artificiels à partir de 2000 avec une nette hausse aux alentours de 2008.

Le système HAARP est devenu complètement opérationnel en 2015.

L’emploi de produits chimiques était prévu pour ensemencer l’atmosphère à partir de 2000 afin d’obtenir ainsi un « Weather Force Support » pour 2015 et obtenir un climat virtuellement contrôlable à 100 % en 2025 !

Le programme stipule une introduction de « smart clouds » par la nanotechnologie aux environs de 2004, avec un accroissement exponentiel après 2010. Une évolution identique est prévue pour « l’Énergie Dirigée », en parlant du réchauffement de l’ionosphère.

Une application toute particulière fut la présentation du « Carbon Black Dust » (poussière carbone noir), une technologie qui a été développée par le Ministère de la Défense US à partir de 2005.

Les gens à l’origine de ce programme délirant en parlaient ouvertement à la conférence de l’AAAS (American Association for Advancement of Science) à Asilomar en Californie, conférence qui a eu lieu du 18 au 22 février 2010. Ces gens sérieux affirmaient ouvertement qu’ils devraient épandre annuellement jusqu’à 20 millions de tonnes d’Aluminium ! Aujourd’hui, tous les pouvoirs nient farouchement dans toutes les langues, qu’on serait en train d’en épandre…

Le thème du « Réchauffement climatique Global » est sujet à de sérieuses controverses, surtout après le ‘climate-gate’ et la condamnation du film d’Al Gore par la Justice britannique.

La Géo-ingénierie est un néologisme pour exprimer la manipulation délibérée du climat pour contrecarrer les effets du réchauffement climatique (dû à l’émission des gaz à effet de serre) en influençant la balance énergétique et la réflexion de la lumière du soleil dans l’espace. La géo-ingénierie est apparue pour la première fois dans un brevet de la Hughes Aircraft Company: le brevet décrit — déjà en 1991, 18 techniques pour réduire le réchauffement global en dispersant dans la stratosphère de l’oxyde d’aluminium, de l’oxyde de thorium et des particules de « Welsbach » (=des particules de métaux) pour réfléchir la lumière du Soleil.

Ces substances sont vaporisées à une altitude de 7 à 13 000 m et sont de la taille de 10 à 100 microns.

La Hughes Aircraft Company est momentanément une division de la Raytheon Corporation, une entreprise avec un chiffre d’affaires annuel de 21 milliards de dollars, qui est propriétaire de HAARP et fournisseur de l’armée américaine…

Les autorités nient l’existence d’opérations d’épandages dans l’atmosphère, mais le scénario proposé dans le rapport IPCC en 2001 ressemble étrangement au brevet « Welsbach »

D’une part, ces particules réfléchissent partiellement la lumière du Soleil, mais, d’autre part, elles bloquent le ‘rayonnement de corps noir‘ (black body radiation), le rayonnement thermique de la terre.

La conséquence de tout cela a été une nette hausse du réchauffement global !

Une étude récente montre qu’il y a deux manières de vaporiser ce mélange, qui contient 85 % de particules métalliques et 15 % de silica colloïdal (gel) (dioxyde de silicium) : Les particules sont ajoutées au carburant des avions à réaction civils et vaporisées à l’altitude de croisière et ainsi le problème de l’épandage n’est ni vu ni connu !

Ou alors, le mélange est injecté directement dans les gaz d’échappement à haute température, via un dispositif dont la marine américaine détient le brevet.

Ainsi, ce mélange se diffuse comme un aérosol, dans la traînée que produit l’avion avec l’avantage, encore une fois, de n’être ni vu ni connu !

Plusieurs avions militaires, dont l’avion-citerne KC135, possèdent ce dispositif d’aérosol et ceci pourrait expliquer au moins partiellement le fait que les avions militaires ont des valeurs d’émission plus élevées que les avions des lignes commerciales.

De plus, il n’est pas difficile de se procurer les preuves que des Ministères Européens de la Défense font des achats en grande quantité de baryum et de barytine C14, qui est employée, entre autres, pour la détection des courants maritimes… (Pour la France, voir les analyses de la Cour des Comptes publiées chaque année.)

Il existe des cartes météorologiques indiquant les zones d’épandage de par le monde. Elles ont même été, un certain temps, consultables publiquement sur un site officiel de Californie, avant d’être retirées par les pouvoirs qui se sont tardivement aperçus de la bourde.

Ceci indique que les hauts responsables des États ont connaissance de ces programmes de contrôle du climat, mais qu’ils se taisent, peut-être parce que la situation est plus grave qu’on se l’imagine. Depuis le délire covidiste, nous savons que les États au service du mondialisme veulent organiser le génocide des peuples pour les motifs que nous avons déjà largement analysés et publiés au cours de ces trois dernières années passées.

Dans un communiqué de presse du 9 septembre 2009, au cours des préambules du sommet de Copenhagen, 5 économistes (dont des prix Nobel) déclaraient que la géo-ingénierie du climat était considérée comme le moyen le moins coûteux pour résoudre le problème du réchauffement climatique global.

À propos de la légalité

Aux États-Unis, il n’y a pas de « problème » : l’épandage est légal depuis 1977. Le Ministère de la Défense peut faire des expérimentations biologiques sur sa propre population.

Ces mesures ont été renforcées en 2002. Initialement, il y avait une proposition de loi garantissant la sauvegarde de l’espace, d’armes à basse fréquence, la sauvegarde du milieu et du climat d’armes de nouvelles technologies destructrices et la protection contre les « chemtrails ». Mais toutes ces restrictions sont tombées lors de l’approbation de la loi en 2002.

En Europe, certaines directions militaires ont déjà dû admettre qu’ils épandaient au-dessus de leur propre territoire (propre population), mais, soit ils nient les effets nocifs (comme en Allemagne), soit ils justifient cet épandage dans le cadre de l’intérêt national (comme en Grande— Bretagne).

Menaces sur la santé des peuples et argent public utilisé contre les contribuables

Après avoir revu la vidéo de Claire Séverac (cf., également « La Guerre secrète contre les peuples », éditions Contre Kulture, 2015, 405 pages) j’ai noté la composition des produits chimiques qu’elle avait signalée en son temps. Composition des épandages (chemtrails) :

DIBROMURE D’ÉTHYLÈNE

– allergies
– gorge irritée, toux

– symptômes grippe

– fatigue

BARYUM, THRONTIUM

– difficultés respiratoires

– difficultés cardio-vasculaires

– division du cerveau (empêche une interaction entre les acides aminés)

– destruction de la couche d’ozone

ALUMINIUM
– alzheimer
– parkinson
– lou gehrig : La sclérose latérale amyotrophique ou SLA, également appelée dans le monde francophone maladie de Charcot ; maladie de Lou Gehrig ou ALS en anglais, est une maladie neurodégénérative des motoneurones de l’adulte.

– Autisme

METAUX LOURDS

– nanoparticules : la maladie des morgellons.

Elle conseillait de regarder un film : BYE BYE BLU SKYE



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Les autres dommages sont les suivants : les dégâts désastreux sur la couche d’ozone ; les coûts sont plus élevés pour introduire du soufre ; une diminution de la luminosité. Le cycle hydrologique est perturbé ce qui a comme conséquence l’apparition de sécheresses plus fréquentes. Le ciel bleu est désormais plutôt gris ou voilé. L’énergie solaire est amoindrie. Le vivant est clairement menacé.

Les gaz des avions, même sans l’ajout d’aérosols, sont une menace directe pour la nature, les animaux et l’homme, pour tout ce qui vit sur Terre…

L’existence de programmes en vue de maîtriser le climat ne peut plus être niée. Ils sont contrôlés et coordonnés par les autorités militaires. Ils sont approuvés par les gouvernements partisans du mondialisme et exécutés en silence pour éviter tout conflit et protestation, ainsi que pour pouvoir continuer tranquillement le massacre de ce qu’ils considèrent comme une « surpopulation problématique ». Les 2 objectifs principaux sont : 1 — le contrôle de la température en créant des nuages artificiels, les chemtrails via des contrails manipulés ; et 2 — le contrôle du climat par manipulation de l’ionosphère, via des Installations comme HAARP (ionisation, réchauffement de l’ionosphère).

Les États-Unis ambitionnent le contrôle total, civil et militaire, du climat d’ici 2025. Sur base des brevets qui sont la propriété de Raytheon et du Département de la Défense américain, il est clair que les programmes de manipulation climatique émanent et sont organisés à partir des États-Unis.

Les pouvoirs sont clairement criminels et n’ont aucun scrupule à planifier un génocide de masse. Ces deux dernières années qui viennent de passer nous ont donné un aperçu de ce qui va pouvoir se faire, comme les tremblements de terre sur commande (Turquie, Maroc) ; les incendies rigoureusement ciblés (île Maui Hawaï), où le métal des voitures a même été fondu ; les nuages de poussière gigantesques (sable du Sahara sur toute l’Europe) ; les vents d’une violence exceptionnelle comme en octobre 2023 en France (210 km/h sur la Bretagne)…

Récapitulons :

Toutes les sources d’eau potable ont été globalement captées par les communes ou par des sociétés d’exploitation et de distribution de l’eau potable. C’est d’ailleurs la captation abusive des sources d’eau sur tous les territoires, et la prolifération des « bassines » qui ont également provoqué la pénurie par l’épuisement de la nappe phréatique.

Le réchauffement climatique en tant que tel, n’est pas la cause première ou exclusive de la pénurie d’eau potable (des sources qui tarissent, des nappes phréatiques qui ne sont plus réalimentées par les pluies devenues plus rares, des petits et moyens cours d’eau qui se retrouvent asséchés), mais c’est le comportement irresponsable des industries de l’agriculture intensive et surtout les programmes militaires contrôlant le climat qui sont à l’origine de ce dérèglement climatique observé…

L’eau est un élément indispensable à la vie ; elle est donc d’une valeur inestimable. Nous devons faire preuve d’un immense respect pour cet élément sans lequel rien ne peut vivre sur Terre. Sur cette question, il est également évident que la conscience reste essentielle. Les conditions de la vie sur Terre sont en relation étroite avec la spiritualité, avec l’éveil de conscience de chacun, avec une éthique intime qui a trouvé la voie de son avènement.

Seul, ne sait pas, celui qui ne veut pas savoir ! Il va de soi que les inconscients ou les handicapés de l’autocensure n’ont toujours pas compris le projet criminel des mondialistes, ayant entre leurs mains l’ensemble des pouvoirs, et le degré de perversion qui anime ceux qui veulent dominer le monde. Les acteurs égarés de ces programmes délirants sont capables d’abolir toute trace de vie sur Terre en préservant la leur, mais aussi tout avenir pour l’espèce humaine ! Il faut impérativement les arrêter ou disparaître !

Jean-Yves Jézéquel

Voir aussi :

https://crowdbunker.com/v/CZZ46R4mqL

Le document comprend un texte de base de 70 pages et de 230 pages d’annexes. Il était possible de le télécharger sur le site suivant :

http://www.belfort-group.eu/sites/default/files/page/2010/05/COpart1.pdf

*

Pour aller plus loin :

Voir en anglais :

Weather Warfare: “Beware the US Military’s Experiments with Climatic Warfare” par Michel Chossudovsky

En français :

HAARP : La guerre climatique par Michel Chossudovsky (article également publié par The Ecologist)

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2023




Les catastrophes naturelles ne sont pas toutes naturelles

[Source : cielvoile.fr]

Article scientifique de Fabien Deruelle

Lien : https://journaljgeesi.com/index.php/JGEESI/article/view/727

Journal de géographie, environnement et sciences de la Terre
International
Volume 27, numéro 11, pages 74-94, 2023 ; Article n° JGEESI.108644
ISSN : 2454-7352

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Fabien Deruelle a++*
a Rue Anatole France, 59790 Ronchin, France.
++PhD, Chercheur Indépendant
*E-mail : fderuelle@webmestre

Contribution de l’auteur
L’auteur unique a conçu, analysé, interprété et préparé le manuscrit.

Information sur l’article
DOI : 10.9734/JGEESI/2023/v27i11727

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Reçu : 21/10/2023
Accepté : 06/11/2023
Publié : 10/11/2023

RÉSUMÉ

Depuis un demi-siècle, l’armée développe des technologies pour transformer les phénomènes climatiques et environnementaux extrêmes en armes.

Cette étude est une revue de la littérature qui a été menée avec les objectifs suivants : 1/ révéler les puissantes technologies militaires connues de modification du climat et de l’environnement ; 2/ souligner que de nombreux événements environnementaux extrêmes observés ces dernières années correspondent aux effets que ces technologies militaires sont capables de générer ; 3/ analyser les conclusions du Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) sur les origines de l’augmentation des catastrophes naturelles.

La littérature utilisée provient de sources officielles : articles scientifiques à comité de lecture (sauf un) ; brevets ; organisations intergouvernementales ; documents militaires ; documents politiques ; documents universitaires ; journaux nationaux ; agences de presse ; écrits de scientifiques respectés dans leur domaine. Les résultats de l’analyse documentaire révèlent que HAARP (High-Frequency Active Auroral Research Program), le chauffage ionosphérique le plus puissant en fonctionnement, est capable d’influencer le climat. Les impulsions électromagnétiques de haute puissance dans la croûte terrestre, produites par un générateur magnétohydrodynamique mobile, sont une technique développée depuis les années 1970 pour déclencher des tremblements de terre. Les armes à énergie dirigée, une technologie réelle, peuvent déclencher des incendies destructeurs à distance. Depuis plusieurs années, des documents officiels font état d’effets sur la santé et l’environnement similaires en tous points à ceux qui seraient détectés si la géo-ingénierie solaire par injection d’aérosols stratosphériques, une technique de modification du climat, était utilisée. En raison de nombreux biais et d’un manque d’objectivité, les arguments du GIEC sur les causes de l’augmentation des phénomènes environnementaux extrêmes (vagues de chaleur et de froid, tempêtes, ouragans, tornades, sécheresses, inondations, incendies de forêt, pollution de l’air, etc.) sont erronés. L’hypothèse solaire n’est pas non plus appropriée, compte tenu de sa faible activité depuis plusieurs années.

En conclusion, le recours aux technologies militaires de modification du climat et de l’environnement apparaît comme l’explication la plus pertinente pour comprendre l’augmentation des catastrophes naturelles au cours des 20 dernières années.

Mots-clés : Pollution atmosphérique ; sécheresse ; ondes électromagnétiques ; tremblement de terre ; conditions météorologiques extrêmes ; HAARP ; géo-ingénierie solaire ; incendies de forêt.

J. Geo. Env. Earth Sci. Int., vol. 27, no. 11, pp. 74-94, 2023

1. INTRODUCTION

Au moins 50 pays utilisent déjà des technologies de modification météorologique. La Chine utilise cette méthode sur près de 50 % de son territoire [1,2]. La technologie la plus largement utilisée est l’ensemencement des nuages, qui vise à améliorer les précipitations [3,4,5]. Plutôt que d’utiliser l’ensemencement traditionnel des nuages, qui soulève d’importantes préoccupations en matière de santé et de sécurité environnementale en raison des retombées des sous-produits, les Émirats Arabes Unis emploient des drones, conçus pour cibler certains nuages, qui produisent des décharges électriques via des lasers concentrés pour regrouper de force les gouttelettes d’eau dans l’air, et ainsi déclencher les pluies désirées [6].

Mais ce sont les militaires qui s’intéressent le plus aux techniques de modification de la météo, avec des objectifs bien plus ambitieux que simplement faire pleuvoir. En 1957, Lyndon B. Johnson déclarait : « Depuis l’espace, on pourrait contrôler le climat de la Terre, provoquer des sécheresses et des inondations, modifier les marées et élever le niveau de la mer, rendre les climats tempérés glacials ». Depuis les années 1970, grâce à un programme de contrôle climatique appelé Climate Dynamics, le Pentagone a étudié comment les États-Unis pouvaient faire fondre les calottes glaciaires, générer des tempêtes destructrices et utiliser les « instabilités environnementales clés » pour libérer d’énormes quantités d’énergie. Ils avaient découvert comment les États-Unis, agissant secrètement depuis l’espace, pouvaient infliger des intempéries à l’Union soviétique. En Union soviétique, les ingénieurs ont réussi à inverser le cours de la rivière Pechora, qui traverse l’Arctique, pour créer des mers intérieures susceptibles de modifier le climat mondial [7].

La première manipulation météorologique à des fins militaires fut la célèbre opération Pop-Eye (ensemencement de nuages) menée pendant la guerre du Vietnam, dont le but était de prolonger la mousson. Les pluies étaient de qualité acide et les risques écologiques étaient totalement inconnus [8]. À la suite de cette opération militaire, l’ONU a créé, en 1976, la Convention sur la modification de l’environnement (ENMOD). Cependant, cette convention n’est pas suffisamment précise et offre la possibilité de contourner et d’adapter presque tout ce qui est écrit. Par exemple, la convention autorise la recherche et le développement d’armes climatiques ou l’utilisation de telles techniques contre un État non signataire [9,10]. À noter que la France n’est pas un État signataire.

Aux États-Unis, depuis au moins 1959, le gouvernement finance des recherches sur la modification météorologique [11], dont l’objectif reste essentiellement militaire [12,13,14]. Parmi les technologies nécessaires pour assurer la sécurité des États-Unis, une étude commandée par l’US Air Force en 1994, intitulée « Spacecast 2020 », considérait la modification météorologique comme une arme [15]. En 2001, un projet de loi, qui a été rejeté, a été présenté au Congrès américain pour interdire les armes spatiales, y compris les armes météorologiques et tectoniques [16].

Il y a cinquante ans, Gordon J. F. MacDonald (géologue, géophysicien et membre du comité consultatif scientifique du président Johnson), fortement impliqué dans les travaux de modification météorologique, prédisait une nouvelle stratégie de guerre dans un chapitre (« Comment détruire l’environnement ») d’un livre intitulé « Unless Peace Comes » écrit en 1968. L’auteur explique que les conflits futurs seront liés à la manipulation de l’environnement. Ces guerres seront secrètes car les tempêtes, inondations, sécheresses, tremblements de terre et raz-de-marée sont inhabituels, mais pas inattendus, et pourront se poursuivre pendant des années en toute discrétion [17]. En 2012, le journal britannique « The Guardian » a publié une lettre d’un ancien conseiller exécutif de l’aérospatiale et de la défense, qui expliquait que la météo était utilisée comme arme par au moins quatre pays : « … Les États-Unis, la Russie, la Chine et Israël possèdent la technologie et l’organisation nécessaires pour modifier les événements météorologiques et géologiques pour diverses opérations militaires et secrètes, qui sont liées à des objectifs secondaires, notamment la gestion des ressources démographiques, énergétiques et agricoles… La guerre inclut désormais la capacité technologique d’induire, d’améliorer ou de diriger des événements cycloniques, des tremblements de terre, des sécheresses et des inondations, y compris l’utilisation d’agents viraux polymérisés en aérosols et de particules radioactives transportées par les systèmes météorologiques mondiaux… » [18].

Des publications scientifiques, de nombreux documents officiels et observations montrent que les techniques militaires de modification du climat pourraient être utilisées depuis plus de 20 ans [12,13].

Quelles technologies pourraient être utilisées pour générer des phénomènes météorologiques, climatiques et environnementaux extrêmes (vagues de chaleur et de froid, pollution de l’air, tempêtes, ouragans, tornades, sécheresses, inondations, incendies de forêt, forts tremblements de terre, etc.) ?

Les rayonnements électromagnétiques semblent être le point commun de la plupart des recherches sur les armes climatiques et environnementales [12,13]. La première partie de l’article se concentre sur les faisceaux dirigés d’ondes électromagnétiques de forte puissance. La deuxième partie est consacrée à la géo-ingénierie solaire par injection d’aérosols stratosphériques (SAI), et à son association avec les ondes électromagnétiques. La troisième partie complète les deux précédentes et revient sur la version faisant autorité sur les causes conduisant à l’augmentation des phénomènes climatiques et environnementaux extrêmes.

2. ONDES ÉLECTROMAGNÉTIQUES DE HAUTE PUISSANCE

L’ionosphère terrestre (~ 60 à 1 000 km au-dessus du niveau de la mer) est composée de plasma dense, qui présente des variations complexes selon l’altitude, la situation géographique et le niveau d’activité solaire [19]. L’ionosphère joue un rôle majeur dans les performances des systèmes de communication civils et militaires. Les signaux radio de longueur d’onde plus longue sont réfléchis par l’ionosphère. Les signaux radio de longueur d’onde plus courte traversent l’ionosphère, mais en sont affectés, via des processus tels que l’absorption et la scintillation [20].

2.1 Énergie dirigée dans l’ionosphère

2.1.1 Réchauffeur ionosphérique

Un réchauffeur ionosphérique (IH) envoie des ondes à haute fréquence (HF) et haute puissance dans l’ionosphère pour la perturber et en observer les effets. Le plus connu est HAARP (High- Frequency Active Auroral Research Program) (Fig. 2, 4). Officiellement, les axes de recherche de HAARP sont : Physique des plasmas, radioscience, diagnostic mésosphère-thermosphère, météo spatiale, connaissance du domaine maritime arctique, ceinture de rayonnement de la magnétosphère, physique sous-aurorale, génération de plasmas, propagation de fréquences extrêmement basses, détection de cavités sous terre, radar au-dessus de l’horizon, science citoyenne et radioamateur, tendances des conditions ionosphériques et atmosphériques, y compris les tendances du changement climatique mondial. Entre 1990 et 2014, HAARP était un programme militaire. Depuis 2015, la responsabilité des installations et équipements HAARP a été transférée à l’Université d’Alaska à Fairbanks (UAF), mais le terrain appartient toujours à l’US Air Force [21].

HAARP fonctionne entre 2,7 et 10 mégahertz (MHz) avec une puissance crête (PP) de 3,6 mégawatts (MW) [21]. Étant donné que HAARP utilise un réseau d’antennes phasées, l’énergie peut être concentrée dans des directions variables, produisant une puissance apparente rayonnée (PAR) de l’ordre de quelques gigawatts (GW) (au moins jusqu’à 5,1 GW). Un chauffage à des fréquences plus élevées entraîne une augmentation de la PAR et permet de concentrer la puissance de la pompe du réseau d’antennes sur un point plus petit de l’ionosphère, ce qui augmente encore l’efficacité du chauffage [22, 23, 24].

Dans le monde, il existe d’autres IH : la Russie (SURA) fonctionne entre 4,5 et 9,3 MHz avec un PP de 750 kilowatts (750 kW) et un ERP de 190 MW ; Norvège (EISCAT), 3,85 à 8 MHz, PP de 1,2 MW et ERP de 1,2 GW ; Pérou (JRO), 50 MHz avec un PP de 6 MW (Figs. 1, 4) [25]. Les IH peuvent propager leurs faisceaux HF sur de très longues distances, par exemple de la Norvège à l’Antarctique [26].

Les scientifiques travaillent également à la construction d’IH mobiles (sur la barge d’un navire) dotés des mêmes capacités techniques que HAARP (Fig. 2). Ces études sont soutenues par le Bureau de Recherche Scientifique de l’Air Force [27,28,29,30].

2.1.1.1 Effets du réchauffement ionosphérique sur le temps

Les expériences réalisées par HAARP ont généré des perturbations sans précédent dans l’ionosphère [22]. Bien que l’UAF déclare que HAARP ne peut pas modifier la météorologie, B. Eastlund, dont les applications ont initié le développement de HAARP [31,32,33], affirme que les capacités de HAARP sont adéquates pour générer un contrôle météorologique [34]. Selon un rapport universitaire rédigé en 1998, toute la vérité sur HAARP ne serait pas officiellement révélée. Cette technologie peut conduire à des déséquilibres dangereux pour l’environnement et les personnes [35]. Le rapport du Parlement européen de 1999 déclare que HAARP a créé des trous dans l’ionosphère et peut être utilisé comme une arme à énergie dirigée pour provoquer un dérèglement climatique et manipuler les systèmes météorologiques mondiaux [36,12].

Fig. 1. JRO (Pérou) [25]

Fig. 2. Recherche pour le développement d’un réchauffeur ionosphérique mobile fonctionnant
avec la même technologie que HAARP (à gauche), mais sur une surface 20 fois plus petite [28]

Lorsque l’ionosphère était chauffée par un IH (SURA (Russie)), une diminution (jusqu’à 20 %) de l’intensité du spectre d’émission de l’ozone (mésosphère : 60 km) a été mesurée [37]. Le brevet d’Eastlund permet la production de régions ionisées artificielles depuis le niveau de la mer jusqu’à environ 80 km [34]. L’altitude de chauffage pouvant être stratosphérique, la couche d’ozone située à ce niveau peut être altérée.

Les ondes de gravité atmosphériques, qui apparaissent lors des mouvements verticaux de parcelles d’air, peuvent avoir un impact puissant sur le comportement des événements météorologiques extrêmes (pluies et températures extrêmes, ouragans, tornades, tsunamis) [38]. Des études ont montré qu’une puissante émission radio de HAARP ou SURA génère des ondes de gravité atmosphérique et acoustiques dans l’ionosphère [37,39,40,41,42]. Les ondes de gravité internes générées par le réchauffement ionosphérique, y compris dans la haute atmosphère, se propageant jusqu’aux hauteurs mésosphériques, modifient la température de la mésosphère [37]. Eastlund a précisé dans son brevet que la génération de régions d’air chauffées par un puissant IH permet de déposer de l’énergie dans l’air des régions troposphériques qui peuvent générer des ondes acoustiques atmosphériques ou des ondes de gravité atmosphériques pour modifier les vents directeurs à des fins de modification météorologique. Il est également possible d’influencer la répartition des charges électriques dans les mésocyclones [34].

En plus de modifier la configuration des vents (comme dans un autre brevet [31]), la technologie développée par le brevet d’Eastlund [32] permet de modifier la composition moléculaire atmosphérique, ainsi que d’augmenter la concentration d’une ou plusieurs molécules dans une région atmosphérique (par exemple ozone, azote, etc.).

Il est important de noter que deux brevets relatifs à la technologie HAARP sont classés comme une arme à énergie dirigée [32] et un dispositif ou une méthode pour influencer les conditions météorologiques [34]. Par conséquent, conformément au rapport du Parlement européen de 1999 [36,12], un IH tel que HAARP a la capacité d’être utilisé pour modifier le climat.

2.1.2 Autres appareils envoyant des faisceaux électromagnétiques dans l’ionosphère

De nombreux émetteurs militaires puissants à très basses fréquences (VLF) (Figs. 3, 4) induisent des perturbations et un échauffement importants de l’ionosphère, qui peuvent s’étendre latéralement sur plusieurs milliers de kilomètres [43,44].

Parmi tous les instruments qui envoient des ondes électromagnétiques dans l’ionosphère pour l’étudier, on trouve :

  • Le radar à diffusion incohérente (ISR), conçu pour sonder l’ionosphère afin de comprendre la densité, la température et la vitesse de déplacement du plasma. Ces radars doivent être construits avec une puissance (mégawatts) et des ouvertures (généralement des centaines de mètres carrés) suffisamment grandes (Fig. 4) [19,46].
  • Quelques radars militaires de forte puissance (Fig. 4) [45].
  • Super réseau de radars dual auroral (SuperDARN). Un réseau international d’environ 40 radars HF de faible puissance, fonctionnant entre 8 et 22 MHz, répartis dans les hémisphères nord et sud [47].
  • Nerc MST Radar Facility (Royaume-Uni), radar Chung-Li VHF (Chine), EAR (Japon) [47].

Le grand nombre d’émetteurs radio émet des ondes de différentes longueurs dans l’ionosphère, auxquelles il faut ajouter des satellites, contribuant ainsi aux changements environnementaux, météorologiques et climatiques [37,48] (voir également la section 3.2). À noter qu’individuellement, ces appareils ne se comportent pas exactement comme les IH, mais c’est leur quantité qui induit inévitablement des perturbations environnementales.

2.2 Liens entre les tremblements de terre et les ondes électromagnétiques

2.2.1 Les tremblements de terre déclenchés par des impulsions électromagnétiques

L’arme tectonique est un objectif militaire depuis la Seconde Guerre mondiale. En 1944, un scientifique anglais créa une bombe sismique [49]. Plus tard, des programmes soviétiques ont travaillé sur le déclenchement de tremblements de terre par des impulsions électromagnétiques [50].

Fig. 3. Australie, puissant émetteur VLF (émetteur North West Cape (NWC) :
Naval Communication Station Harold E. Holt) [45]

Fig. 4. * Réchauffeur ionosphérique ; ♦ Certains ISR ; ■ Quelques radars militaires.
(Réalisé à partir des références [21,25,45,46]).

Dans les années 1970, des scientifiques russes ont découvert que les impacts électromagnétiques sur les roches et les failles de la croûte terrestre en état de contrainte pouvaient déclencher des tremblements de terre. À l’origine, cette méthode a été étudiée dans le but de déclencher de petits séismes pour libérer des contraintes tectoniques afin d’éviter des tremblements de terre destructeurs. Des scientifiques russes ont donc développé un générateur magnétohydrodynamique (MHD) mobile (Pamir 1), capable de générer beaucoup d’énergie en très peu de temps et de la convertir en électricité. Ce système fut perfectionné dans les années qui suivirent. Ainsi, à l’aide d’un générateur MHD pulsé (Pamir-1, Pamir-2) ou d’un système électrique pulsé plus économique (ERGU-600-2), un dipôle électrique au sol avec un espacement des électrodes de 3 à 4,2 km, des impulsions de courant sont injectées dans la croûte terrestre, créant une forte activation sismique locale après 2 à 7 jours et se poursuivant pendant plusieurs jours (en fonction de l’appareil utilisé).

Les impulsions électromagnétiques accélèrent la libération de l’énergie stockée dans le milieu lors des processus tectoniques, sous la forme de séismes relativement faibles. Les auteurs soulignent que les tremblements de terre dépendent non seulement des déclencheurs, mais aussi de la nature et des propriétés géologiques de la région. Par conséquent, dans une zone sismique métastable, des impulsions électromagnétiques de faible puissance peuvent suffire à déclencher une cascade de petites secousses, conduisant à un séisme désastreux [51,52,53,54].

En 1995, un générateur MHD de haute puissance, Pamir-3U (PP ~ 15 MW), a été construit par l’Institut des Hautes Températures de l’Académie des Sciences de Russie et livré à l’US Air Force. Il s’agit d’un système d’alimentation portable autonome qui peut être transporté vers divers emplacements opérationnels et pour une utilisation éventuelle avec des applications d’armes avancées (Fig. 5) [55,56].

2.2.2 Un réchauffeur ionosphérique tel que HAARP pourrait-il déclencher un tremblement de terre ?

2.2.2.1 Paramètres mesurés avant et pendant un séisme

Avant le très fort séisme au Japon du 11 mars 2011, des variations importantes du contenu total en électrons (TEC) de l’ionosphère ont été observées [58,59], ainsi qu’un réchauffement de l’atmosphère au-dessus de l’épicentre [58]. Ces anomalies ont été identifiées comme des précurseurs à court terme associés à certains des tremblements de terre récents les plus destructeurs. Certains auteurs soutiennent que la libération de radon par la croûte terrestre agirait à travers une série d’événements pour induire de la chaleur et de la conductivité atmosphérique [58,60]. D’autres auteurs stipulent que les anomalies du TEC sont déclenchées et gérées par un champ électrique à grande échelle [61,62].

L’apparition de perturbations (augmentations) dans les gammes d’ondes ultra-basse fréquence (ULF), extrêmement basse fréquence (ELF) et VLF a également été observée avant de forts tremblements de terre [63,64,65,66].

La littérature montre qu’un séisme génère des micro-ondes et que les micro-ondes peuvent contribuer au déclenchement d’un séisme (en fonction de l’état énergétique du foyer sismique). En effet, le foyer sismique est un générateur permanent de micro-ondes, mais il est aussi un récepteur de micro-ondes. Cela conduit à un mécanisme d’autodéclenchement dû aux micro-ondes générées par le foyer du séisme lui-même. Les micro-ondes stimulent la roche, provoquant sa dislocation, laquelle à son tour génère des micro-ondes. Les roches semblent donc pénétrables par les micro-ondes [67].

Fig. 5. Pamir-3U système MHD [56,57]

2.2.2.2 Une perturbation ionosphérique peut déclencher un tremblement de terre

Une tempête magnétique provoquée par une éruption solaire peut également déclencher une libération d’énergie stockée dans la Terre. Les éruptions électromagnétiques solaires perturbent la conductivité de la basse ionosphère, générant également des perturbations du champ géomagnétique. L’absorption du rayonnement solaire ionisant induira des variations de densité de courant tellurique dans les failles sismogènes, pouvant conduire à un tremblement de terre si la zone affectée est dans un état de contrainte métastable. Ce changement de densité de courant dans la croûte terrestre est comparable aux variations induites par les injections électromagnétiques artificielles [51]. De plus, la forte corrélation entre l’activité solaire (vent solaire) et les séismes majeurs, résultant de la modulation de la densité de protons et donc du potentiel électrique entre l’ionosphère et la Terre, est susceptible d’être à l’origine des phénomènes lumineux visibles auparavant, ou accompagnant, un grand tremblement de terre [68].

Ainsi, la littérature scientifique montre non seulement que les tremblements de terre influencent certains paramètres de l’ionosphère, mais aussi que les perturbations ionosphériques peuvent avoir un impact sur la lithosphère.

2.2.2.3 Que peut provoquer HAARP ?

Il convient de souligner que parmi les objectifs de HAARP, des rapports militaires montrent que la génération d’ondes radio basses fréquences est également utilisée pour la tomographie de la terre, c’est-à-dire la détection et l’imagerie des structures souterraines [69,70]. HAARP pourrait donc dans un premier temps identifier les zones métastables dans les zones sismiques.

Nous avons vu précédemment qu’un réchauffeur ionosphérique tel que HAARP perturbe sérieusement l’ionosphère [22]. De plus, cela peut créer des irrégularités du TEC ionosphérique (comme un renforcement) en chauffant des régions localisées de l’ionosphère [23,34,71].

La génération d’ondes ULF/ELF/VLF dans l’ionosphère par chauffage modulé avec des ondes HF de haute puissance est l’un des objectifs les plus importants d’un IH [21,23,72,73].

Grâce au chauffage, HAARP peut créer des couches d’ionisation artificielles, produire des perturbations du champ magnétique, diverses structures lumineuses, des lueurs aériennes et des aurores artificielles, parfois visibles à l’œil nu [74,75].

Ainsi, tous les paramètres apparaissant dans l’ionosphère et l’atmosphère avant un fort séisme peuvent être générés par HAARP. De plus, puisque les perturbations ionosphériques liées aux orages magnétiques d’origine solaire peuvent déclencher des tremblements de terre, et que HAARP est capable de perturber l’ionosphère au point de créer des aurores artificielles locales — c’est-à-dire comparables à ce qu’est capable de faire un orage magnétique — il semble justifié de considérer la possibilité qu’un réchauffeur ionosphérique comme HAARP puisse être à l’origine d’au moins certains paramètres agissant en cascade pour produire un séisme. En 2011, bien que non publié dans une revue à comité de lecture, le Dr F. De Aquino (professeur de physique à l’Université d’État du Maranhao [Brésil], chercheur titulaire à l’Institut National de Recherche Spatiale) a démontré que le rayonnement ELF de haute puissance généré par les hautes fréquences provenant d’un réchauffeur ionosphérique, tel que HAARP, peut provoquer des tremblements de terre, des cyclones et un fort échauffement localisé [76].

En termes de micro-ondes, la capacité de HAARP à créer un miroir ionosphérique permet d’utiliser des faisceaux micro-ondes sur de longues distances [77,78].

2.3 Autres fréquences de rayonnement électromagnétique pour le contrôle météorologique

Un brevet explique comment un appareil, qui peut être utilisé comme arme militaire, peut produire des éclairs, du tonnerre et des ouragans au moyen d’ondes sonores à haute fréquence générées par un radar ou d’autres dispositifs d’émission à micro-ondes ou à haute fréquence [79].

Le laser permet le contrôle de la foudre, la condensation de la vapeur d’eau, la formation et la dissipation du brouillard, ainsi que la diffusion de la lumière (albédo) à partir des nuages de haute altitude pour la gestion du forçage radiatif [80].

3. GÉO-INGÉNIERIE SOLAIRE PAR SAI

3.1 Les explications officielles ne correspondent pas aux observations et aux mesures

Selon les autorités, une technologie de modification météorologique appelée géo-ingénierie solaire par injection d’aérosols stratosphériques (introduction de minuscules particules réfléchissantes dans la haute atmosphère, pour renvoyer une partie de la lumière du soleil vers l’espace) n’est pas utilisée actuellement [13]. L’Organisation météorologique mondiale (OMM), qui représente la seule référence faisant autorité (Atlas international des nuages) pour l’identification des nuages, a classé les traînées persistantes d’avions comme « traînées de condensation d’avions » pour les désigner comme de nouveaux nuages : Cirrus homogenitus [13], Cirrocumulus stratiformis homomutatus [81 ]. Bien que la majorité de la littérature scientifique soit d’accord avec cette classification des nuages, elle précise que ces traînées d’avions provoquent des effets délétères sur la santé, l’environnement, la qualité de l’air et agissent fortement sur le climat en le réchauffant bien plus que par le CO2 [13, 82,83]. De plus, la combustion de carburants aéronautiques alternatifs génère de petites particules non volatiles, favorise la formation de traînées de condensation et de cirrus étendus [84].

De nombreux indices permettent de conclure que la géo-ingénierie solaire par SAI est utilisée depuis longtemps. Depuis plusieurs années, articles scientifiques et documents officiels signalent des effets sur la santé et l’environnement (disparition du ciel bleu, maladies, pollution, appauvrissement de la couche d’ozone, qualité et quantité du rayonnement solaire, sécheresse, propriétés électriques de l’atmosphère, etc.) similaires en tous points à ceux qui seraient détectés si la géo-ingénierie solaire par SAI était utilisée (Fig. 6) [13].

Des publications scientifiques qui ne reconnaissent pas l’existence de l’utilisation de la géo-ingénierie solaire par SAI montrent néanmoins que les traînées persistantes d’avions sont composées de nombreuses particules métalliques [13]. À l’aide de mesures d’irradiance par spectrométrie solaire, une étude a montré que ces traînées persistantes d’avions ne sont pas des traînées de condensation de cristaux de glace, mais des traînées chimiques [85]. Des documents reliant ces traînées persistantes à la technologie de modification de la météo par pulvérisations chimiques montrent que leurs teneurs semblent être particulièrement concentrées en aluminium (Al), baryum (Ba), nanoparticules et soufre [13]. Ni l’aluminium, ni le baryum, ni les nanoparticules ne sont surveillés dans les analyses internationales de la pollution atmosphérique [86].

3.2 Effets des SAI et leur couplage aux ondes électromagnétiques

Un rapport militaire de 1996 a montré que la technologie électromagnétique nécessite des pulvérisations chimiques pour manipuler la météo, ajoutées à l’utilisation de la nanotechnologie pour créer une météorologie artificielle vers 2025 (par exemple des nuages intelligents composés de particules informatisées microscopiques), de sorte que des actions délibérées puissent être prises pour des phénomènes météorologiques naturels [78]. Cela a été corroboré en 2009 par un rapport de l’US Air Force, selon lequel vers 2030, avec l’aide de la nanotechnologie, l’armée américaine serait capable de créer (et pas seulement de modifier) le temps (tempêtes, brouillard, nuages, etc.) dans une zone définie [87].

À mesure que les SAI endommagent la couche d’ozone [13,88], ce qui a été corroboré par un modèle de géo-ingénierie aux sulfates [89], le rayonnement solaire devient de mauvaise qualité et très agressif, à tel point que le rayonnement ultraviolet (UV) sous forme d’UV-C, dans la plage 250-300 nm, a été mesuré à la surface de la Terre [90]. Les SAI augmentent le réchauffement local de l’atmosphère grâce au transfert de chaleur provoqué par les particules [10], et augmentent la conductivité électrique de l’atmosphère grâce aux particules métalliques [13]. Les découvertes d’Eastlund [32] permettent à une technologie comme HAARP de modifier les systèmes d’absorption solaire en construisant un ou plusieurs panaches de particules atmosphériques qui agiront comme une lentille ou un dispositif de focalisation. De plus, en utilisant des lignes de champ divergentes et avec la disponibilité d’une énergie suffisante transmise par un réchauffeur ionosphérique, des particules de différentes tailles présentant des caractéristiques souhaitées telles que l’adhésivité, la réflectivité, l’absorptivité, etc., peuvent être transportées à des fins ou pour des effets spécifiques (par exemple, concentration de grandes quantités de lumière solaire sur des parties spécifiques de la terre) [32]. En relation avec ce sujet, une étude a démontré que les propriétés physiques des microparticules atmosphériques en suspension (qui augmentent la pollution atmosphérique mondiale, affectent la santé ainsi que les conditions météorologiques et climatiques locales en diffusant et en absorbant le rayonnement solaire) sont considérablement modifiées sous l’action continue du rayonnement électromagnétique. Le nombre de particules augmente, la morphologie des particules est déformée avec l’augmentation du temps d’action électromagnétique, les caractéristiques de mouvement des microparticules sont affectées, la trajectoire des particules est modifiée et le champ électromagnétique favorise l’agglomération des particules dans la direction correspondant à la force du champ magnétique [91].

Fig. 6. Les photographies ont été prises par l’auteur lui-même, situé en France, avec un appareil photo Nikon Coolpix L16. a) : Près de Toulouse ville (sud) 5 septembre 2021, 16 h 37 ; b ; c ; d) Près de la ville de Lille (nord), 12 août 2021, 14 h 58 ; 11 avril 2022, 13 h 40 ; 22 avril 2023, 15 h 53. Les traînées d’avions persistantes sont pour la plupart dirigées vers le soleil et s’étalent, laissant un ciel voilé, devenant progressivement blanc.

Ainsi, un réchauffeur ionosphérique, tel que HAARP, et la géo-ingénierie solaire par SAI peuvent agir en symbiose pour optimiser leurs actions respectives sur le climat. C’est pourquoi, dans la feuille de route militaire de contrôle météorologique, les pulvérisations atmosphériques de produits chimiques (principalement métalliques) sont programmées pour coïncider avec le lancement de HAARP (dans les années 90) [13].

De plus, les particules atmosphériques sont constamment stimulées par les fréquences d’autres installations envoyant des faisceaux électromagnétiques dans l’ionosphère (section 2.1.2). Par exemple, les radars au-dessus de l’horizon (OTHs) sont des radars militaires qui transmettent en continu des ondes HF (entre 3 et 30 MHz) sur des milliers de kilomètres [45]. Par conséquent, ces actions ont également une influence sur la météo et le climat.

3.3 Financements, brevets, technologies similaires

Les agences d’espionnage (CIA et autres), très intéressées par la géo-ingénierie, financent la recherche climatique dans le but de trouver une arme météorologique [92,93]. À noter que Bill Gates fait également partie des puissants bailleurs de fonds de cette technologie [94].

Parmi les dizaines de brevets expliquant de nombreuses techniques de modification du temps, plusieurs concernent la géo-ingénierie solaire par SAI, décrivant entre autres certains composants utilisés et les méthodes de diffusion [13,95,96,97].

Bien que ne faisant pas partie de la géo-ingénierie, il existe une méthode similaire et tout aussi polluante. En effet, l’épandage de sable du Sahara est une autre technologie permettant de modifier la diffusion de la lumière solaire dans la haute atmosphère [98]. Cela pourrait expliquer les épisodes (ou certains d’entre eux) de ces dernières années de retombées de poussières de sable du Sahara en France et en Espagne, qui ont obscurci le ciel et provoqué une pollution de l’air [99].

3.4 Feux de forêt

Selon le Programme des Nations Unies pour l’environnement, il existe un lien entre le changement climatique et les incendies de forêt incontrôlables et extrêmes [100]. Cependant, les nanoparticules de soufre et d’aluminium présentes dans les SAI augmentent le risque, du fait de la sécheresse, d’incendies de forêt [13,101]. Les nanoparticules d’aluminium sont également bien connues pour leur capacité pyrophorique et la forte énergie qu’elles émettent lors de la combustion [102], amplifiant ainsi le risque et la gravité des incendies de forêt. De plus, des simulations de géo-ingénierie ont montré que les SAI induisent des sécheresses [103], entraînant une augmentation de la fréquence des incendies extrêmes dans certaines régions [104].

Il semblerait que 50 % des incendies de forêt dans l’ouest des États-Unis soient provoqués par la foudre [80], mais il a également été rapporté (dans la section 2.3) que certaines technologies à énergie dirigée sont capables de déclencher et de contrôler la foudre [79,80]. Un document militaire explique que les armes à énergie dirigée (AED), composées par exemple de lasers, d’appareils à radiofréquence, de technologie de micro-ondes de haute puissance, d’ondes millimétriques et de faisceaux de particules, peuvent déclencher des incendies destructeurs, à distance. De plus, comme il est difficile de localiser la source de l’énergie dirigée, les AED sont souvent utilisées dans des opérations spéciales ou secrètes. Les auteurs de ce rapport affirment que le monde a atteint un « point de basculement » dans lequel l’énergie dirigée est désormais essentielle au succès des opérations militaires [105]. Les AED utilisant des dispositifs militaires spécifiques (avion, navire, véhicule de combat, etc.) ne relèvent pas de la science-fiction [106]. À noter que les incendies de forêt font partie des armes environnementales mises en œuvre par l’armée américaine [107].

4. CAUSES DE L’AUGMENTATION DES CATASTROPHES NATURELLES AU COURS DES 20 DERNIÈRES ANNÉES

En 2006, le Dr D. Deming (géologue et géophysicien) a témoigné devant la commission du Sénat américain sur l’environnement et les travaux publics que les médias sont extrêmement partiaux sur la question du réchauffement climatique, essayant de lier chaque catastrophe naturelle au réchauffement climatique. Cela constitue une désinformation importante à l’égard du public sur les questions climatiques et environnementales [108].

Le Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) explique dans ses rapports que depuis la période 1850-1900, le climat est de plus en plus perturbé (notamment réchauffé) par un puissant facteur anthropique, les gaz à effet de serre, dont le principal représentant est le CO2 émis par la combustion des énergies fossiles. Ce réchauffement climatique augmenterait les événements météorologiques, climatiques et environnementaux extrêmes (vagues de chaleur et de froid, tempêtes, ouragans, tornades, sécheresses, inondations, incendies de forêt, pollution de l’air [aggravée par les vagues de chaleur et les incendies de forêt], etc.) [109]. Pour certains scientifiques et médias, le changement climatique pourrait également déclencher des tremblements de terre, des tsunamis et des éruptions volcaniques [110].

Cependant, l’autorité internationale du GIEC en matière de politique climatique a été acquise en supprimant les opinions dissidentes sur toute question où existe encore un désaccord scientifique [111]. De nombreuses publications montrent que les modèles climatiques du GIEC ne prennent pas en compte les cycles climatiques naturels multidécennaux, séculaires et millénaires, surestiment le réchauffement climatique (biais d’urbanisation) et, dans de nombreux cas, ne sont pas validés par le climat observé [111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121]. De plus, les rapports du GIEC sur les causes climatiques actuelles (le CO2 comme responsable du changement climatique) sont fortement contestés par des milliers de scientifiques [122 123 124 125 126 127 128].

Ainsi, les explications officielles de l’augmentation du nombre et de l’intensité des événements extrêmes ne sont pas satisfaisantes. Une hypothèse serait l’activité solaire. Cependant, bien qu’il existe de nombreux cycles solaires (cycle de Schwabe [cycle de taches solaires de 11 ans], cycle de Hale [22 ans], cycle de Gleissberg [~ 85 ans], cycle de José [~ 178 ans], cycle de Suess-de Vries [~208 ans], cycle de Foucault [~1000 ans], et le cycle de Bray-Hallstatt [~2300 ans]), dont les interactions sont complexes [129], et qui peuvent se superposer et influencer les oscillations terrestres naturelles [113 130 131 132], le cycle de Schwabe montre une faible activité solaire depuis le cycle 24 (2008 à 2019) (Fig. 7), et cette faible activité se poursuivra jusqu’en ~ 2050 [133 134 129]. Par conséquent, l’augmentation de la fréquence et de l’intensité d’au moins certains événements environnementaux extrêmes au cours des dernières années ne peut pas être attribuée à une augmentation de l’activité solaire.

Pour le Forum économique mondial (FEM), il est nécessaire de débloquer 3 000 milliards de dollars par an pour le climat et la nature [136]. D’énormes intérêts financiers se cachent derrière la politique climatique, ainsi que la mise en œuvre progressive de lois sur le contrôle de l’énergie [137] et la taxation du carbone dans le cadre du plan de gouvernance mondiale décrit par le WEF [138].

Étant donné que l’argumentation du GIEC sur l’augmentation des événements extrêmes au cours des dernières années manque considérablement d’objectivité, et que la gestion mondiale du climat génère d’énormes enjeux financiers, il semblerait que l’explication la plus plausible de l’augmentation des événements extrêmes (au moins certains d’entre eux) au cours des 20 dernières années ne soit pas naturelle, mais plutôt due à l’utilisation de technologies militaires de modification du climat et de l’environnement.

Fig. 7. Cycles des taches solaires selon les années. Valeurs mensuelles.
Produit à partir de : Centre de prévision météorologique spatiale [135]

5. CONCLUSION

Tout au long de cet article, nous avons vu que la littérature scientifique révèle que les techniques de manipulations météorologiques, climatiques et environnementales sont étudiées depuis plus d’un demi-siècle. Les plus puissantes de ces technologies ont toujours été destinées à un usage militaire, c’est-à-dire comme armes capables de créer l’illusion d’un événement naturel. De nombreux indices indiquent que ces armes climatiques et environnementales sont utilisées depuis plusieurs années. Certaines de ces technologies sont totalement niées par les autorités et les médias, tandis que d’autres sont utilisées avec des justifications scientifiques. Cependant, de nombreux gouvernements sont conscients de l’existence et/ou de l’utilisation de ces armes. Puisqu’ils consentent à l’activation de ces armes environnementales, cela implique non seulement que la législation sur les émissions de carbone est basée sur un mensonge climatique, mais aussi que ces gouvernements sont en partie responsables de la destruction de la faune sauvage et de la mort de plusieurs milliers d’êtres humains chaque année.

Il est urgent de mener davantage d’enquêtes, sans conflits d’intérêts, sur les causes réelles des catastrophes naturelles.

CONFLITS D’INTÉRÊTS

L’auteur a déclaré n’avoir aucun conflit d’intérêts.

RÉFÉRENCES




La France, la Belgique, les États-Unis et le Canada inondés de nourriture à base d’insectes, même dans les produits bio et les végans

[Source : reponsesbio.com]

Innovafeed et McKinsey inondent d’insectes France, Belgique, États-Unis et Canada

Par Jean-Baptiste Loin — 19 novembre 2023

Depuis 2015 le cabinet McKinsey est en charge d’une campagne mondiale pour la promotion d’aliments à base d’insectes.

Par le prisme d’une entreprise actuellement considérée comme une des plus importantes Biotechs françaises, Innovafeed, ils ont patiemment détourné l’attention du public et usé d’arguments fallacieux pour parvenir à leurs fins.

Selon l’ONU et le lobbyiste McKinsey, appuyés par une armée de soldats disciplinés et avides de pouvoir, le choix ne vous appartient déjà plus, même les réseaux de distribution d’alimentation biologique commencent à s’organiser pour vous en faire manger… en toute discrétion.

Innovafeed ayant refusé l’interview que nous leur avons proposée pour expliquer leur démarche de manière transparente, puisque vous avez le droit de savoir, j’ai enquêté pour vous délivrer la vision la plus claire possible de la situation actuelle.

Tout commence en 2016, lorsque trois jeunes trentenaires, Clément Ray, Aude Guo et Bastien Oggeri, anciens membres du cabinet McKinsey et de la banque d’affaires Rothschild1, fondent une entreprise de biotechnologies spécialisée dans la production et la vente de mouches soldats noires.

Soit à peine un an après que l’influence tentaculaire du cabinet ayant galvanisé les citoyens français pour les campagnes présidentielles d’Emmanuel Macron2, commence à jouer de sa légion de réseaux pour favoriser le développement de cette entreprise nourrissant le souhait de vous faire gober leurs mouches.

Levant très rapidement des fonds colossaux avec une facilité déconcertante, Innovafeed suit un plan de route redoutable pour passer sans encombre les barrages ayant pourtant conduit la majorité des acteurs du secteur de l’insecte « comestible » à la banqueroute.

En l’espace de quelques années, ce n’est pas moins de cinq cents millions d’Euros qui auront été réunis pour la création de centres ultra technologiques, « cultivant » des insectes dans une proportion jamais atteinte auparavant à l’aide d’Intelligences Artificielles s’appuyant sur plusieurs milliers de capteurs par usine, contrôlant des centaines de bras robotisés semblables aux robots nourriciers imaginés par les créateurs du film Matrix.3

Faisant sans conteste de cette « French Tech » la principale usine de production d’insectes au monde.

Tout chez Innovafeed a été pensé pour donner une apparence vertueuse à sa démarche, s’alignant sur la logique d’une réduction des émissions carbone et se donnant en modèle d’une bonne conscience environnementale, en se réclamant pour une économie circulaire inoffensive.

Entreprise représentée par des jeunes gens à l’apparence fort sympathique, dont une des fondatrices, née en Chine et élevée en France, remporte le prix d’entrepreneuse de la « French tech » en donnant un visage au « pacte de parité » imaginé par son gouvernement.4

Offrant à la fois :

  • – une initiative semblant tout d’abord dédiée à l’alimentation des animaux d’élevage de poules, porcs et poissons ;
  • – une dynamique économique « green » prisée par les régions, censée favoriser l’emploi ;
  • – un discours soigneusement poli et diffusé par les médias avec parcimonie, prenant soin de ne pas trop en dire…

Qui aurait pu penser que ces dernières années Innovafeed allait resserrer un étau de domination mondiale allant bien au-delà de son apparente mission ?

Et pourtant, comme vous allez le constater, le véritable danger de l’inondation des marchés par l’alimentation à base d’insectes ne vient pas de la société vietnamienne citée dans mon précédent article sur le sujet récemment autorisée par l’UE, mais plutôt de la dynamique et des nouveaux contrats organisés par Innovafeed.

Cependant, pour bien en comprendre l’impact il est nécessaire de faire un rapide point sur le contexte planétaire ainsi que le jeu d’influences exercé par le cabinet McKinsey.

McKinsey et son pilotage des démocraties occidentales

Fondé en 1926 par un comptable évangéliste américain donnant son nom au cabinet, McKinsey « conseille » et influence le monde sur la base du développement occidental depuis les débuts de l’ère ultra industrielle.

Comptant aujourd’hui cent trente bureaux répartis dans soixante-cinq pays, cette firme ayant inspiré le film éponyme — La Firme — emploie plus de quarante mille avocats, statisticiens, ingénieurs et journalistes pour déployer ses pions en régulant les marchés.5

Vivement critiquée en période de pandémie de Covid pour son rôle alarmant dans la promotion des vaccins ARNm de chez Pfizer en France, elle a en quelques mois pris les rênes du gouvernement et des instances de santé pour s’assurer qu’un maximum de citoyens soient sous l’emprise de ces injections dont les ravages mortels ne sont plus à souligner.6

Mais sur lesquelles je ne me priverai pas de revenir plus en détail dans un prochain article.

Empochant deux millions d’Euros par mois, pour ses « conseils » ayant empoisonné des populations entières et endeuillé tant de familles.7

Or, en plus de cet inquiétant tableau, brandissant à la première occasion la bannière des risques du réchauffement climatique auquel elle a largement contribué en plébiscitant les plus grands groupes pétroliers au monde depuis le Clayton Antitrust Act de 19148, le cabinet McKinsey est aujourd’hui victime d’une « rébellion interne » pour avoir joué un double jeu en faveur des principaux groupes pétroliers censés faire évoluer positivement leur activité d’ici 2050.

Plus de mille de ses employés ont ainsi signé une lettre commune déclarant, je cite :

« Notre inaction et notre soutien au sujet des émissions — de gaz à effet de serre — des clients — de la Firme — pose un risque sérieux pour notre réputation » mais aussi « pour les relations avec nos clients ».

« Depuis plusieurs années, nous disons au monde d’être audacieux et de s’aligner sur une trajectoire d’émissions pour atteindre 1,5 °C ; il est grand temps que nous appliquions notre propre conseil ».9

Conseil qu’elle a pourtant le toupet de prétendre suivre, en organisant des stratagèmes échafaudés dans le but de coincer les consommateurs dans un processus introduisant différentes sortes d’insectes dans leurs assiettes, snacks et autres produits de consommation.

Bien que l’entomophagie ait déjà été majoritairement rejetée, et ce à plusieurs reprises au fil de ces dix dernières années, McKinsey continue de disposer ses pions sur l’échiquier.

À l’aide de son influence légendaire auprès des médias « mainstream », mais aussi et surtout en utilisant ses ouailles dans le cadre d’une approche de longue haleine. Dorant soigneusement leur blason en mettant financements, atouts politiques et démarches pseudo écologiques de leur côté. Tentant de faire passer de jeunes requins pilotés par IA, pour de gentils idéalistes.

C’est le cas, entre tous, d’Innovafeed, que le gouvernement français se félicite de compter parmi son élite entrepreneuriale.

Obtenant en novembre 2022 le certificat B Corp, leur permettant de prétendre « officiellement » exécuter un « business » au service des « forces du bien ».10

La phase 2 d’Innovafeed

Après avoir patiemment lissé son discours en évitant de trop déborder sur l’alimentation pour humains, prétextant venir à la rescousse d’éleveurs qu’elle est en réalité en train d’exterminer, la Biotech Innovafeed s’attaque aussi à la nourriture pour animaux de compagnie et commence à fournir les plus grosses « agro-tech » à destination de l’alimentation industrielle, pondant des produits déjà disponibles dans vos supermarchés.11

Non contente de l’ouverture des deux plus grosses fermes d’insectes au monde, Innovafeed vient de s’associer à l’industriel ADM, pour ouvrir une nouvelle usine aux États-Unis, dans l’Illinois.12

Au programme une large gamme d’aliments pour animaux domestiques, tout en ouvrant indirectement le marché des plats cuisinés qui embarqueront les premières huiles et farines de « mouches soldat noires ».13

Augmentant une production actuelle initialement démesurée, de soixante mille tonnes de protéines, vingt mille tonnes d’huiles, ainsi que quatre cent mille tonnes de fertilisants à base d’insectes par an.

Agitant numériquement ses tentacules robotisées sur des bacs de culture de cinq étages, s’étalant sur une surface globale de plus de quatre-vingt-dix mille mètres carrés.14

Destinés, en plus des animaux de compagnie, des animaux d’élevage et des engrais, à la production de barres énergétiques et boissons pour sportifs ainsi qu’une panoplie de nouvelles marques venant éclore comme des œufs.

Un marché qui atteindra d’ici la fin de l’année le milliard et demi de Dollars, créé de toute pièce par McKinsey et l’ONU à travers les branches de la FAO et du PAM, le Programme Alimentaire Mondial, respectivement dirigés par Qu Dongyu, ancien vice-Ministre de l’agriculture chinois, et Madame Cindy McCain, veuve du sénateur McCain et héritière d’une dynastie agroalimentaire, pour atteindre les habitudes de près de deux milliards d’individus en 2023.15

Sans même compter le potentiel du marché des animaux d’élevages, que le président d’Innovafeed estime à quarante-huit milliards d’Euros par an.

Toutefois, puisqu’il ne leur est pas encore facile de convaincre tout le monde, les « dealers » d’insectes n’hésitent pas à passer par les niches économiques les plus surprenantes, ne semblant effrayés par la moindre antinomie.

C’est en tout cas ce que semble penser Alexandra Kazaks, Docteur à la division nutrition de l’Institut de technologies alimentaires américain.

Selon elle, « un surprenant nombre de végans en achète déjà ».16

D’autres fabricants tentent d’ailleurs de s’inviter dans les rayons bio, à l’image d’Entomo Farms, une structure canadienne proposant différentes sortes de produits à base d’insectes comme des snacks ne laissant présager aucune présence de poudre de crickets sur l’emballage, indiquant uniquement, discrètement, la présence de « poudre de criquet biologique » dans la composition du produit.17

Sentiers que la marque française Avenia essaie de suivre en s’invitant dans les Biocoop après avoir passé le cap des muffins et desserts à base d’insectes.18 19

Ou encore la marque Hi, à traduire par « Salut », déjà largement critiquée pour sa volonté à « faire de l’argent avant tout », qui tente de s’immiscer dans l’industrie du cannabis avec des produits édulcorés demandant une attention toute particulière pour pouvoir y détecter la présence de poudre d’insectes.20

Innovafeed aussi veut intégrer le marché de la bio, cependant tout en discrétion, passant d’abord par la conquête du label allemand Naturland en plaidant pour la première « guideline » dédiée à l’élevage d’insectes bio.21

Rejoignant par la même occasion le marché de la santé avec le développement de nouveaux médicaments à base d’insectes, ainsi que de compléments alimentaires.

La phase 3 d’Innovafeed

Pourquoi s’arrêter en si bon chemin puisque l’alimentation pour bestiaux, animaux domestiques et humains lui semble déjà acquise ?

Le prochain tournant d’Innovafeed est cousu de fil blanc.

En plus de mourir de malnutrition, les branches alimentaires de l’ONU, soit la FAO et le PAM, bâtissant les fondations dictatoriales d’un nouveau programme alimentaire mondial, augurent qu’en 2050 l’humanité risquerait davantage de mourir d’infections microbiennes que de cancers… contre lesquelles le seul remède serait, vous vous en doutez, la bio-ingénierie d’insectes.

C’est en tout cas ce que prédisent les entomologistes du centre de biotechnologies pour insectes LOEWE, installé à Giessen, en Allemagne.22

De son côté, avec un nouveau produit lancé depuis quelques mois, « NovaGain », Innovafeed s’intéresse déjà à la santé des crevettes d’élevage en formulant le premier complément alimentaire pour animaux destinés à la consommation humaine.23

Pendant que des « Agri-Tech » spécialisées dans la biologie génétique comme FreezeM, développent des mouches soldats noires modifiées génétiquement pour optimiser le rendement, la taille et la capacité à moins consommer pour se développer. Cette nouvelle espèce de mouches mutantes atteignant deux à trois fois la taille d’une mouche normale a été baptisée « BSF-Titan ».

Promettant une ouverture de marché de la mouche soldat aussi suspecte qu’inquiétante.

Que se passera-t-il quand ce genre d’insectes sera amené à « s’échapper » et se reproduire dans la nature ?

Question ne semblant guère préoccuper Innovafeed, qui dès le début avait toutes les cartes en main pour éviter les pièges recensés par McKinsey après plus d’une décennie d’échecs des fermes d’insectes françaises, belges, néerlandaises, israéliennes, canadiennes et américaines.

Sa principale usine se trouvant à proximité des productions de Tereos, le plus important sucrier de betterave de l’hexagone, un accord était vraisemblablement prévu en amont pour nourrir les mouches de la Biotech avec les déchets de leur production de sucre avant l’implantation de l’usine.24

De même que son récent contrat avec Cargill, le lobbyiste de l’agriculture internationale ayant atteint les plus hautes sphères gouvernementales.

S’ouvrant de plus en plus de portes en direction des hypermarchés et produits de consommation de masse, en entretenant ses partenariats avec des structures comme Labeyrie et Auchan.25

Les insectes débarquent dans les supermarchés et produits bio

Depuis 2013 la marque Crickeat est disponible dans des hypermarchés Auchan du sud de la France.26

Suivie ces dernières années par le groupe Carrefour et ses équivalents belges et néerlandais.27

Concrétisant ses bonnes relations avec Innovafeed en insérant discrètement dans ses rayons les premières truites28, poulets29 et porcs30 nourris à la mouche noire soldat, Auchan, qui n’en est plus à son coup d’essai, devrait bientôt passer à la vitesse supérieure, mais cette fois dans le nord de la France.

Or, bien que l’approche soit encore timide, selon une source anonyme, tout porte à croire que l’introduction de denrées à base d’insectes dans les magasins bio et Biocoop soit déjà en cours de négociation.

Une troupe d’investisseurs formant une nouvelle forme de trust

Comment une jeune entreprise comme Innovafeed a pu devenir la première licorne de la tech française en « disruptant » agriculture et élevage traditionnels en quelques années ?

Tout simplement parce qu’en plus de l’influence et des services de McKinsey, elle compte dans son capital la majorité des entreprises lui ayant permis un développement foudroyant.

Vous vous souvenez d’ADM et Cargill, ses deux derniers plus gros contrats ? Eh bien figurez-vous qu’ils sont actionnaires d’Innovafeed.31

Et avec eux le géant Temasek, faisant partie des fonds souverains de Singapour, ouvrant actuellement de nouveaux bureaux à Paris après avoir jeté son dévolu sur Bruxelles et Londres.32

Mais aussi Futur French Champions, fonds d’investissement du Qatar, et Grow Forward, le magnat d’investissements du secteur agroalimentaire de Chicago.

Un ensemble d’atouts largement introduits dans les habitudes alimentaires des Américains, mais aussi des Français et des Européens, s’assurant qu’au final l’insecte soit bel et bien la protéine la plus plébiscitée et la moins chère de la consommation du futur.33

Montrant que l’argument selon lequel l’alimentation à base d’insectes ne « peut pas envahir la consommation humaine à cause d’un prix trop important », ne sera bientôt plus qu’un vague souvenir.

Il est pourtant si facile d’aller dans le bon sens et, avant d’avouer l’environnement et l’humanité vaincus par un futur incertain, de miser sur le développement présent de l’agriculture biologique, de l’artisanat, de l’élevage bio lié au respect animal, et de certaines protéines végétales quasi autosuffisantes, comme, par exemple, le propose la charte de la boutique de Réponses Bio, ayant ouvert ses portes la même année qu’Innovafeed sans jamais avoir été aidée ou financée autrement que par le choix de ses nombreux abonnés, clients et lecteurs et lectrices.34

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

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Sources et références :




La réinitialisation mondiale pour un appauvrissement mondial

[Source : telegra.ph]

Par Enrique Refoyo, Politologue, docteur en géographie militaire et géopolitique, traducteur et journaliste, Espagne

Bonjour, chers collègues. Je suis très reconnaissant de l’occasion qui m’est donnée de m’exprimer dans le cadre de ce forum. J’espère que l’année prochaine, je pourrai être présent à Chisinau, une ville magnifique dans laquelle j’ai séjourné il y a quelques années.

Je voudrais commencer par un exemple espagnol qui, à première vue, peut sembler absurde et inutile, mais qui est également révélateur de la réalité dans laquelle nous vivons.

Vous savez peut-être que l’équipe nationale espagnole de football féminin a récemment remporté la Coupe du monde. Ce grand succès sportif devrait faire la une de l’actualité internationale. Cependant, nous ne vivons pas dans un monde de gagnants, mais d’éternelles victimes. L’excuse pour lancer une opération psychologique complète de distraction massive de la part de l’oligarchie politique et de ses médias contre tous les Espagnols était due à un comportement général regrettable du président de la Fédération royale espagnole de football. Le comportement spécifique qui a servi de détonateur à cette opération de l’establishment a été un petit baiser entre ledit président et une joueuse de l’équipe nationale espagnole.

Dès lors, nous avons assisté à une escalade sans fin, où toutes les branches du système, ses médias et ses associations connexes ont lancé une campagne de criminalisation sans précédent, appelant non seulement à la démission du président, mais aussi à son emprisonnement en tant que violeur le plus infâme de l’univers. Les manifestations féministes n’ont pas tardé, et dans le même temps, des réponses dissidentes à la situation se sont élevées. Certaines personnes se sont demandé pourquoi l’establishment, sous le déguisement de féministes, n’est pas venu protester contre la dizaine de cas réels de viols qui se sont produits en Espagne parallèlement à l’affaire des médias (« le baiser »). S’ils sont si préoccupés par les violeurs, pourquoi ne protestent-ils pas contre les cas réels ? Ah, oui, c’est vrai, le système ne cherche que des cas concrets qui favorisent sa propre histoire et oublie le reste.

Autrefois, on disait que l’establishment offrait toujours « du pain et des jeux ». Eh bien, en Espagne, il n’offre que les jeux. Du pain uniquement pour leurs collègues des partis politiques. Et pour les autres… seulement l’oubli et la misère. Il se trouve que les prix des denrées alimentaires et des carburants, les loyers et les prêts hypothécaires continuent d’augmenter. Et l’« establishment » ne se préoccupe que de créer davantage d’impôts pour payer les nouvelles représentations des jeux du cirque. L’équipe de clowns publics ne cesse de s’agrandir. Et là, de plus en plus de dissidents se demandent où est l’oligarchie politique lorsqu’il s’agit de poursuivre les vrais criminels ou de s’attaquer aux problèmes qui touchent les travailleurs. Elle n’est tout simplement pas là, et on ne s’attend pas à ce qu’elle le fasse.

À partir de cet exemple actuel, examinons la ligne historique des événements. Il s’avère qu’au cours de ces 23 années du 21e siècle, nous avons assisté à une augmentation brutale du nombre d’affaires traitées par les médias du système contre le peuple. Ces affaires sont présentées comme la quintessence des prophéties politiques et visent à consolider ce qu’ils appellent le « consensus social ». Un consensus qui repose sur le fait que les gens doivent avaler la version officielle du moment. Sinon, ils deviennent de terribles et méchants « négationnistes ». C’est ainsi que le terme « tragacionista » (avaleur) est apparu en Espagne pour désigner les personnes qui avalent l’histoire officielle, quelle qu’elle soit. Ces avaleurs sont ceux qui attaquent leurs compatriotes pour défendre les politiciens de leur propre parti politique.

La bataille n’est pas perdue. Au contraire, elle est de plus en plus contestée, car le système organise des opérations psychologiques de plus en plus absurdes et éloignées de la réalité. Ils savent que les gens souffrent de la réalité, et les politiciens le leur disent : Qui allez-vous croire, vos yeux ou l’histoire officielle ? Il y a de plus en plus de dissidents, parce que la réalité est de plus en plus précaire et que le cirque politique est de plus en plus intense. La polarisation sociale continue de s’accentuer.

D’un autre côté, approfondissons les questions qui mettent les gens en colère et les transforment en « négationnistes » de l’establishment. On parle beaucoup de l’Agenda 2030 et de cette phrase : « Vous n’aurez rien et vous serez heureux ». Lorsque je l’ai entendue, j’ai réalisé que cet agenda n’est pas apparu en 2020, mais qu’il préparait le terrain depuis les années 2010 (au moins). Au cours de la dernière décennie, on parlait déjà du précariat, de la romantisation de la pauvreté comme moyen de la normaliser. Les médias de l’establishment parlaient de nouvelles tendances, de nouvelles modes : Faire les poubelles n’est pas synonyme de pauvreté, c’est profiter des opportunités. Ne pas sortir de chez soi n’était pas non plus synonyme de pauvreté, mais une occasion de se détendre. Partager une maison avec des inconnus n’était pas la pauvreté, mais l’occasion de faire de nouvelles rencontres…

Ensuite, on observe et on assemble les pièces du puzzle : Les membres de l’« establishment » peuvent non seulement profiter de tous les luxes, mais c’est aussi un sujet d’actualité et un motif d’admiration pour les médias. Mais les autres, les gens normaux, doivent accepter de vivre avec des restrictions parce que… [ils donneront toujours une raison fondée sur la peur pour justifier le contrôle social]. Par exemple, le changement climatique. C’est le problème des « avaleurs » en 2023. En 2022, c’était la guerre (en Ukraine). En 2021, c’était les vaccins. Et en 2020, la pandémie. Nous avons connu quatre années consécutives de dénigrement massif de la part de l’establishment. Que nous réserve l’année prochaine ? En Espagne, on parle de se préparer à de nouvelles fermetures, soit à cause d’une nouvelle pandémie, soit à cause du changement climatique. Oui, ils parlent déjà de « lockdowns climatiques ». Tout cela, bien sûr, pour des raisons de « science scientifique », très bien fondées.

Quoi qu’il en soit, après avoir comparé les gros titres avec la réalité des faits, après cette diffusion de l’« agenda 2030 » (nom de code pour « la grande réinitialisation »), il n’y a que trois phases :

1) Normalisation de la pauvreté

2) Justification de la pauvreté

3) Obligation de pauvreté

En Europe, nous sommes déjà dans la phase 2. D’autres continents, comme l’Amérique du Sud, en sont encore à la phase 1. Dans tous les cas, l’agenda progresse régulièrement et intègre même régulièrement la normalisation du transhumanisme et des monnaies numériques qui, ensemble, constitueraient le contrôle financier à distance de la population. Le système contrôlerait ce à quoi l’argent est dépensé, si vous pouvez le dépenser ou non, voire sa saisie en cas de protestation contre le système (pour les « négationnistes »)…. Nous l’avons déjà vu au Canada avec le « progressiste » Justin Trudeau [dans l’affaire du convoi de camionneurs pour la liberté, NDT].

Il y a d’autres actions que l’on voit en Espagne pour créer de la pauvreté : Destruction des barrages (importance de l’eau et de l’énergie), démolition des centrales électriques (thermiques et nucléaires), destruction de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche, fermeture ou inaction dans l’exploitation minière…. En fait, le gouvernement et l’opposition s’entendent pour nous priver de nos moyens de subsistance afin de nous conduire au sous-développement. Avec ces actions, s’il y a moins de stockage d’eau et moins d’énergie disponible, alors ils auront une excuse plus forte pour dire que nous sommes forcés de suivre un « verrouillage climatique », et ajouté à une monnaie numérique, imaginez : L’establishment contrôlera en temps réel et de manière absolue toute l’eau, l’énergie et les biens que nous dépensons.

Il est vrai que l’« establishment » dispose de fonds gigantesques pour acheter des volontés, pour acheter des mercenaires dans la société. Mais ils ne peuvent pas non plus acheter tout le monde, ni dissimuler la vérité avec de l’argent. Comme je l’ai dit dans d’autres forums, nous sommes la dernière génération. Si nous échouons, il ne restera qu’un système de techno-esclavage dont il sera impossible de s’échapper. Oui, nous pourrons choisir notre sexe parmi de nombreuses options, mais aucune de ces options ne consistera à changer le système, mais à l’accepter et à être une marionnette inoffensive dans la chaîne de production et de consommation. La seule chose qui reste est de lutter jusqu’à la victoire de l’humanité réelle :

Nous devons être conscients de la réalité et l’affronter avec tous les moyens dont chacun d’entre nous dispose. Le peuple est la majorité et l’establishment et ses mercenaires sont une minorité. Avec la vérité entre nos mains, nous les vaincrons. Ils veulent faire la grande réinitialisation, et nous les confronterons au grand réveil.






Définir les narrations dominantes et créer un nouveau paradigme

[Source : arcaluinoe.info]

Par Calistrat Marvin Atudorei

Un ex-agent du KGB nommé Yuri Bezmenov, qui a fait défection aux États-Unis dans les années 1970, a expliqué dans une interview à la télévision américaine en 1984 que 85 % de l’activité des services secrets soviétiques visait à contrôler la perception de la réalité au niveau de la population.1 Mais cette affirmation était certainement vraie (et c’est toujours le cas) pour les services secrets de toutes les autres grandes puissances du monde. Et il ne s’agit pas seulement de la population d’un État ennemi, mais en premier lieu de la population de son propre pays ou de la sphère d’influence de cette grande puissance.

Pour confirmer avec la situation de la population américaine, je me souviens de la déclaration de 1981 de l’ancien directeur de la CIA, William J. Casey, qui déclarait ce qui suit à propos d’un des programmes de contrôle mental :

Nous saurons que notre programme de désinformation est terminé quand tout ce que le public américain croit est sous contrôle.2

Bezmenov, l’ancien agent du KGB, a également déclaré que lorsque la subversion idéologique (opération psychologique) atteint un stade avancé, alors « exposer les sujets à la véritable information n’a plus d’importance du tout. Une personne qui a subi un lavage de cerveau n’est plus capable de traiter l’information. Les faits ne lui disent plus rien. Même si on lui fais une douche d’informations, avec des preuves authentiques, avec des documents, des photos… il refusera de croire ! ».3

Le problème des opérations psychologiques est bien plus important qu’il n’y paraît à première vue. Parce que souvent un analyste politique, un philosophe ou — de manière générique — un penseur bien intentionné se trouve dans une situation où, même s’il « crie » la vérité à ses pairs pour les réveiller de leur léthargie morbide, il semble que presque personne ne l’entende plus. L’explication est que le processus de « lavage de cerveau » génère un phénomène psychologique appelé « dissonance cognitive » dans lequel un sujet qui a été « hypnotisé » par des suggestions répétées qui ont induit/configuré une Fausse Réalité dans sa conscience, n’est plus capable d’accepter les vérités élémentaires et des preuves aussi évidentes que possible.

Nous nous voyons dans la situation où, face à l’appareil mondialiste (comme un rouleau compresseur) d’induire une Fausse Réalité (en particulier à travers les mass-medias obéissants), dire la Vérité n’a presque plus de pertinence pour beaucoup de nos pairs. Nous avons constaté cela dans le cas de la campagne génocidaire de vaccination « anti-Covid » par exemple, lorsque dans de nombreux pays occidentaux « civilisés » le pourcentage de population injectée dépassait 70-80 %, même s’il y avait des personnalités bien informées qui signalaient l’immense danger des soi-disant « vaccins ».

Par une analyse attentive, nous découvrons qu’au cours des dernières décennies les autorités politiques et universitaires alignées sur l’agenda mondialiste ont énormément imposé de nombreuses autres anomalies flagrantes afin de déformer un certain paradigme social. Malgré l’absurdité de la version officielle, ces narrations ont été largement adoptées.

Je mentionne brièvement quelques exemples :

  • le genre (l’identité sexuelle) est fluide, c’est la liberté de chacun (un droit fondamental) de s’identifier à ce qu’il veut ;
  • les réfugiés musulmans et africains sont défavorisés, pas de leur faute, dans leur pays d’origine et il est donc du devoir des peuples du monde (en particulier ceux d’Europe et d’Amérique du Nord) de les adopter à bras ouverts. De plus, les États d’accueil doivent modifier leurs habitudes socioculturelles afin de ne pas nuire aux conceptions des nouveaux arrivants ;
  • l’Humanité a été naturellement frappée en 2019 par une terrible pandémie. Il est très possible que la situation se répète et c’est précisément pourquoi il est nécessaire d’établir un Traité Mondial sur la Pandémie impliquant la vaccination obligatoire au niveau de l’ONU et de l’Organisation Mondiale de la Santé ;
  • l’Ukraine est un pays libre et souverain que la Russie a attaqué de manière brutale et totalement injustifiable sur les ordres insensés de Vladimir Poutine. Sous la direction du héros-président Volodymyr Zelensky, l’Ukraine résiste avec l’aide désintéressée de tous les États démocratiques ;
  • nous assistons à de nombreux changements climatiques dans le monde entier qui se produisent à travers le rejet de CO2 dans l’atmosphère, fait qui est le résultat du mode de vie irrationnel des gens ;
  • nous pourrions également ajouter les récits officiels sur la Révolution Française, la Révolution Bolchevique, les deux Guerres Mondiales, la Révolution Roumaine de 1989, sur la création et les objectifs de l’Union Européenne, sur les attentats du 11 septembre 2001, sur l’atterrissage sur la Lune en 1969, etc., etc., etc.

Toutes ces narrations sont en réalité des mensonges ridicules, des manipulations grossières. Mais parce qu’elles ont été répétées systématiquement et avec aplomb comme étant des positions officielles soutenues par les « plus grands experts », non seulement la grande masse ne les remet plus en question, mais elle acquiesce à l’avertissement selon lequel toute autre version ne serait qu’une stupide « théorie du complot ».

En réalité — et c’est une conclusion importante que je souhaite souligner — le monde a longtemps été systématiquement contrôlé par des opérations psychologiques massives.

Un corollaire à la conclusion ci-dessus, qu’il convient également de garder à l’esprit, est le suivant : l’impact sur la grande masse des gens n’est pas déterminé principalement par la valeur de vérité, mais par le pouvoir de suggestion.

Qui lance ces opérations psychologiques, dans quel but et à travers quelle infrastructure sociale ?

La réponse apparaît de plus en plus clairement sous nos yeux. C’est l’acteur mondialiste qui vise à établir un Gouvernement Mondial tyrannique. C’est une possibilité contre laquelle d’innombrables personnalités notables au cours des cent dernières années nous ont très sérieusement mis en garde. Il faut noter parmi eux plusieurs présidents des États-Unis d’Amérique comme Théodore Roosevelt, Dwight Eisenhower ou encore John Fitzgerald Kennedy.

Rappelons plus concrètement ce qu’ils ont dit, car leurs expressions sont particulièrement suggestives :

Théodore Roosevelt soulignait en 1912 que :

Derrière le gouvernement visible siège un gouvernement invisible qui ne doit pas fidélité au peuple et ne se reconnaît aucune responsabilité.4

Dwight Eisenhower a averti en 1961 que :

Nous devons nous garder de toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel. Le risque potentiel d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de ce complexe militaro-industriel mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques.5

John Fitzgerald Kennedy notait avec le plus grand sérieux en 1962, peu avant son assassinat :

Nous sommes confrontés dans le monde entier à une conspiration monolithique et impitoyable qui s’appuie principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence. (…) C’est un système qui a mobilisé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et très efficace qui combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques.6

Ainsi, partout dans le monde, les grandes décisions ont été prises depuis longtemps par une organisation transnationale extrêmement efficace et coordonnée, dont nous constatons sa présence aujourd’hui plus concrètement que jamais. Cette organisation cherche à imposer et à accélérer de plus en plus un programme visant à l’établir un Gouvernement Mondial unique visible et le « Nouvel Ordre Mondial » tant annoncé.

Le projet d’ensemble des « élites » ressort des programmes rendus publics dans les forums internationaux les plus prestigieux. Je mentionne parmi ces programmes l’Agenda 2030 de l’ONU, le Grand Reset du Forum Économique Mondial (WEF) en réponse à la pandémie, aux crises climatiques et économiques ou la Quatrième Révolution Industrielle du même WEF, corrélée à l’introduction sociale invasive de l’Intelligence Artificielle. Bref, au-delà des déclarations « politiquement correctes », le plan global apparaît comme une combinaison de vaccinations répétées et de concentration de populations ethniquement métissées, confuses, malades, abêties et moralement désemparées dans de soi-disant « villes intelligentes » totalement surveillées grâce à des moyens artificiels. Le projet globaliste vise à ce que le nombre de personnes soit « régulé » jusqu’au seuil souhaité par les dirigeants (500 millions, selon les Georgia Guiding Stones), et le reste soit strictement contrôlé physiquement et mentalement dans la position d’esclaves (c’est-à-dire privé de toute liberté, non seulement externe, mais aussi interne/de conscience).

Que pouvons-nous faire à part dire la vérité ? Que faire de ceux qui, hypnotisés, se jettent aveuglément dans l’abîme ?

À mon avis, il est nécessaire d’aborder la question un peu plus sérieusement du point de vue psychologique et même spirituel. Sans comprendre ces processus, il est irréaliste d’espérer que nos messages d’éveil auront un impact significatif.

Voyons d’abord comment cet état collectif de transe maléfique est induit. Le mécanisme principal est celui de la suggestion persuasive. Une fois qu’une suggestion franchit la barrière du discernement, elle est considérée comme allant de soi et peut même devenir une sorte de commande insidieuse. Les suggestions peuvent être liminales (adressées au mental conscient) ou subliminales (adressées directement au subconscient). Pour la première catégorie on utilise les messages délivrés par les officiels, par les « experts », par les influenceurs médiatiques, etc. Pour la deuxième catégorie, on utilise des mots-clés, des expressions clés (codes, ancres psychiques), des dispositifs psychotroniques, des images symboliques ou des rituels/cérémonies sataniques impactant massivement l’inconscient collectif (voir par exemple le rituel CERN/Suisse de 2016 ou les nombreuses cérémonies bizarres depuis l’ouverture de certains Jeux Olympiques).7

Bien entendu, toutes ces opérations psychologiques nécessitent de maintenir la population au niveau de conscience le plus bas possible, où prédominent les instincts primaires et l’égoïsme, sans éveiller les hautes valeurs morales qui font vibrer l’âme. Cela se fait en induisant un état continu de peur, en maintenant un stade avancé d’inculture et même de stupidité, en bloquant la créativité supérieure, en détournant les véritables voies spirituelles.

Il faut dire que les « élites » mondialistes disposent depuis des décennies d’instituts spécialisés qui s’occupent intensivement de la gestion psychologique du contrôle des masses. En philosophie sociale la branche postmoderniste (initiée notamment par l’École de Francfort) s’est développée de manière très intensive, dans laquelle se distingue la théorie critique du langage ou le constructivisme social. Conformément aux découvertes de la physique quantique, on a repris l’idée selon laquelle la réalité n’est pas un fait objectif, mais elle tend d’être façonnée par ce que nous croyons fermement qu’elle est. C’est pourquoi le subconscient collectif est de plus en plus amené par ces marionnettistes d’ombres à contribuer inconsciemment à un certain état d’esprit induit par la programmation neurolinguistique (NLP) et la programmation prédictive (films hollywoodiens, proclamations du Forum Économique de Davos, etc.).

Une fois que nous comprenons les méthodes de base de l’élite obscure, nous commençons déjà à distinguer les manières dont nous pouvons agir plus efficacement. Il est nécessaire de sortir de la « boîte de pensée » dans laquelle la population mondiale est conceptuellement tenue captive (« Think Out of the Box ») et de développer des lignes de compréhension et d’action qui libèrent l’énorme potentiel de l’Humanité.

J’évoque brièvement quelques pistes d’action qui peuvent être développées largement et intensivement :

  • déconstruire/exposer en clair les méthodes d’hypnose collective par lesquelles l’Humanité est retenue captive. J’insiste encore une fois sur le fait que cet exposé de leur principal schéma d’action peut grandement amplifier nos efforts pour dire la Vérité. Dire la vérité nous est nécessaire pour arriver à une forme d’éducation de la conscience des masses par la répétition systématique, comme une forme d’imprégnation bénéfique de l’inconscient collectif ;
  • créer un nouveau paradigme en termes d’histoire réelle, mettre en lumière les principes géopolitiques fondamentaux, les principes moraux, restaurer les connaissances essentielles qui donnent le pouvoir. Insistons surtout sur les vérités fondamentales que nous répétons de manière presque didactique pour former et renforcer un nouveau cadre conceptuel ;
  • comme exemple de distorsion d’une réalité fondamentale, il convient de noter que dans les analyses géopolitiques promues par le système mondialiste le principal acteur international est complètement ignoré. Personne ne parle des organisations transnationales secrètes qui matérialisent l’acteur mondialiste, celui qui planifie un Gouvernement Mondial et orchestre la scène politique, économique et militaire mondiale depuis au moins 150 ans ;
  • il faut sortir du mécanisme réactif dans lequel on ne fait que contredire les thèses lancées par les mondialistes sataniques. Devenons proactifs et établissons de nouvelles écoles de pensée, de nouvelles structures de compréhension et de nouveaux noyaux de lumière spirituelle ;
  • il est important de clarifier que la perception de la vraie réalité est déterminée par le niveau de conscience à partir duquel nous vivons notre vie. Une conscience ancrée dans les instincts primaires, la peur, l’égoïsme et l’extériorité est non seulement insensible aux vérités fondamentales, mais peut également être facilement programmée/hypnotisée. Au lieu de cela, une conscience qui a découvert le lien essentiel entre sa dimension intérieure (psychomentale et spirituelle) et Dieu Tout-Puissant n’a plus peur. Une telle conscience éveillée comprend clairement la Vérité et est prête à sacrifier tout aspect matériel plutôt que de se déconnecter du Sens divin de l’Existence ;
  • élever le niveau de conscience des communautés par la présentation de principes de base dans le domaine de la psychologie de masse, en offrant des solutions nouvelles et efficaces dans le domaine social, scientifique, social et, surtout, en promouvant une spiritualité authentique ;
  • Je mentionne que la grande masse des gens a été délibérément maintenue dans une ignorance grossière pendant des décennies, même s’il existe depuis longtemps des solutions technico-scientifiques efficaces et viables, validées et faciles à mettre en pratique. Nous avons dans tous les pays des inventeurs de génie dont les projets ont été jusqu’ici bloqués et refusés par les autorités. Nous pouvons créer des communautés autonomes sur des principes écologiques. Nous avons besoin d’une agriculture bio ; il existe certaines possibilités de mettre en œuvre des techniques de guérison holistiques nouvelles et révolutionnaires ; il existe de brillants projets de production de diverses formes d’énergie, par de multiples méthodes. Plusieurs alliances internationales ont déjà commencé à apparaître, dont la principale ligne d’action est précisément la réalisation de ces objectifs.

N’oublions pas que nous constituons plus de 99 % de la population mondiale et que nous avons la Vérité, la Justice et surtout Dieu à nos côtés.







Un éleveur breton a perdu deux cents bêtes en trois ans et demi, à cause des ondes électromagnétiques

[Voir aussi (15 août 2019) :
https://www.ouest-france.fr/bretagne/allineuc-22460/allineuc-stephane-le-bechec-perdu-200-vaches-en-trois-ans-6481406]

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3 octobre 2020 : Ondes électromagnétiques : Stéphane Le Béchec a « perdu 250 vaches en quatre ans 1/2 » !

14 septembre 2022 : Ondes électromagnétiques : cet éleveur obtient gain de cause face au ministre de l’Agriculture

22 juin 2023 : Méfaits des ondes électromagnétiques : l’éleveur breton invité à témoigner en Bulgarie